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d) La relation globale : Tendre évidemment vers un comportement écologique


La spiritualité monothéiste authentique demande logiquement d'avoir aussi un excellent comportement, c'est à dire d'être dans un grand respect de la vie, par rapport à :

-la faune :

Le Messager d’Allah (SBDSL) a dit : « Il n’y a point un moineau ou un animal plus gros, que l’homme ne tue sans excuse, sans qu’Allah ne lui en demande des comptes le Jour de la résurrection. » (Nassaî)

Selon Abdeljabbar Ibn Alhatith, le Messager d'Allah (SBDSL) a interdit de castrer les chevaux (probablement déjà pour leur honneur d'avoir participé beaucoup à la transmission du message dans le monde).

Abdallah Ibn Jafar (SDP) rapporta que le Prophète (SBDSL) entra un jour dans l’enclos d’un jeune homme ansârite. Il y trouva un chameau qui se mit à geindre à la vue du Prophète (SBDSL). Des larmes coulait des yeux de l’animal. Le Prophète (SBDSL) s’en approcha et lui prodigua quelques tapes sur la bosse et sur la face, ce qui réconforta la bête. Puis le Prophète (SBDSL) s’enquit de son propriétaire. Le jeune homme ansârite se présenta et dit : « Ô Messager de Dieu, ce chameau m’appartient. » Le Prophète lui dit : « Ne crains-tu pas Dieu vis-à-vis de ce chameau alors qu’Il l’a mis en ta possession ? Il s’est plaint à moi que tu le surcharges et le fais travailler sans cesse. » (Abou Dawoud)

Selon Shaddad Ibn Aws (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Dieu prescrit l'excellence (al-ihsan) en toute chose. Ainsi quand vous tuez (l'animal avant de le consommer), faites le convenablement, et si vous l'égorgez, faites-le avec soin en aiguisant la lame auparavant afin qu'on épargne à la bête de souffrir. » (Mouslim)

Commentaire : Al-ihsan signifie le bien-faire, le savoir-faire, l'excellence, la perfection, dans la piété. Cela doit doit être effectué en toute chose. C'est à dire que l'on doit tendre à accomplir toute œuvre au mieux. Ainsi l'islam nous impose du respect même envers les animaux que l'on doit abattre, dont leur épargner la souffrance autant que possible. D'ailleurs, il y a de nombreuses prescriptions concernant l'abattage rituel : il faut traiter la bête avec prudence et douceur, faire une invocation à Dieu calmant généralement la bête, rendre bien tranchant un couteau puis le cacher afin de lui épargner la peur et la souffrance avant de l'égorger pour la vider de son sang, ne pas l'abattre en présence d'une autre bête, et après l'abattage, ne pas la tenir attachée pour qu'elle puisse se débattre si nécessaire tout en pouvant respirer. Ce qui permet en plus de garder la viande tendre puisque l'animal n'a pas ses muscles crispé au moment de la mort. Il faut noter que cette tradition prophétique a donc une noble valeur excellente, et qu'elle fait donc logiquement partie de ce qui est halel (pur) religieusement, en notant que c'est symboliquement proche de « Al El » signifiant le Dieu et affirmant donc que toute pureté authentique est liée à la Sienne.

Il faut aussi noter qu'une ville sous la forme d'un mur de 170 km de long sur 200 m de large et 500 m de hauteur ne peut que correspondre à une catastrophe pour la faune et la flore.

-la flore :

(ExtHadith) Jâbir (SDP) rapporta que le Prophète (SBDSL) a dit : « Ne perturbez pas (inutilement ou inconséquemment) les créatures de Dieu. »

-et l'environnement en général :

Vivre souvent au sein de de la nature terrestre empêche le sentiment de dystopie. En effet comme l'ont prouvé la découverte de Schuman et différentes expériences concernant l'importante résonance de 7,8 hertz du champ magnétique terrestre, la synchronisation du corps avec cette fréquence apporte de nombreux bienfaits pour la santé. Elle permet de nourrir l'énergie vitale et donc de reconstituer les capacités naturelles du corps à se défendre contre les agressions externes. C'est pour cette raison que les promenades en pleine nature sont si agréables. Mettre les enfants au contact de le nature, du jardin et des cultures permet d'ailleurs de leur éviter des troubles psychologiques et du développement.

Selon Abou Oumama (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « La supériorité du savant sur le dévot est comparable à la mienne par rapport au plus petit d'entre vous. » Puis le Prophète (SBDSL) ajouta : « Dieu, Ses anges, les habitants des Cieux et de la Terre, jusqu'à la fourmi dans son trou et au poisson dans la mer, prient en faveur de celui qui enseigne le bien aux gens (dont le respect de l'environnement fait partie). »

Aïcha (SDP) rapporte : Après la bataille des Benou Mostalaq, Cafwane Ibn Almouaattil Assoulemi (SDP) était resté à l'arrière de l'armée pour certains besoins (pour ramasser les objets tombés) et n'avait pas passé la nuit avec l'armée.

« Nos émotions et nos décisions ne seraient pas dictées uniquement par le cerveau. Une discipline méconnue, l’endocrino-psychologie, dévoile comment nos glandes influencent en profondeur notre esprit. L’endocrino-psychologie, concept développé par Jean du Chazaud à partir des travaux du Dr Jean Gautier (1891-1968) propose une lecture intégrée du fonctionnement humain, en analysant l’impact du système endocrinien sur les dynamiques psychiques et comportementales. Elle s’inscrit dans une perspective holistique, où les glandes endocrines influencent – sans déterminer – les fonctions cognitives, affectives et physiques. Selon cette approche, le libre arbitre ne disparaît pas, mais il est conditionné par l’équilibre hormonal propre à chaque individu. Le Dr Gautier a ainsi identifié quatre grands types glandulaires, chacun corrélé à des caractéristiques psychologiques et somatiques spécifiques :
- L’hypophysaire : rationnel, réfléchi, organisé
- Le thyroïdien : sensible, vif, adaptable
- Le surrénalien : énergique, instinctif, orienté vers l’action
- Le génital interstitiel : équilibré, volontaire, altruiste  
Ces profils ne sont pas exclusifs : chaque individu incarne un agencement particulier de ces quatre influences, comparables aux instruments d’un orchestre dont l’harmonie conditionne l’équilibre global. L’endocrino-psychologie insiste sur le rôle du mode de vie dans le maintien de cet équilibre glandulaire. Ainsi, les facteurs environnementaux, alimentaires, hygiéniques, sportifs, émotionnels et comportementaux influencent directement la régulation hormonale, et par extension, les dynamiques de la pensée, de l’action et de la liberté intérieure. » (Rédac ER)

La montée en flèche des cas d’allergies, d’asthme et d’autres maladies inflammatoires interroge les scientifiques sur les véritables impacts de notre environnement microbien sur la santé. Après « La fabrique des pandémies », la réalisatrice Marie-Monique Robin explore, avec l’aide de chercheurs internationaux, le rôle essentiel des microbes pour renforcer notre système immunitaire, en particulier chez les enfants. Depuis les années 60, les maladies atopiques (allergies, asthme, eczéma) explosent dans les pays industrialisés. À l’avant-garde de la recherche, Tari Haahtela, pionnier de « l’hypothèse de la biodiversité », mène une étude en Carélie, région scindée entre la Finlande occidentalisée et la Russie rurale. Résultat : les allergies y sont presque absentes en milieu rural, là où le contact avec une riche biodiversité microbienne reste naturel. La pédiatre allemande Erika von Mutius met aussi en lumière « l’effet de la ferme », démontrant que les enfants exposés aux microbes de l’élevage traditionnel et aux produits laitiers bruts développent une meilleure immunité. Il existe un rôle central de la biodiversité – animale, végétale et microbienne.

« La géoingénierie solaire, une méthode visant à réduire les températures en modifiant le rayonnement solaire, a récemment attiré l'attention des chercheurs. Une étude publiée dans Nature Climate Change met en évidence les conséquences potentiellement négatives de cette approche, notamment l’éclaircissement des nuages. Cette technique consiste à diffuser de l’eau salée dans l’atmosphère pour provoquer une baisse locale des températures. Bien que cela puisse sembler bénéfique à première vue, les effets à long terme pourraient être bien plus complexes et imprévisibles. Les chercheurs de l’université de Californie à San Diego et du Centre national de recherche atmosphérique à Boulder ont utilisé des modèles climatiques pour simuler les impacts de deux opérations d’éclaircissement des nuages. Les résultats montrent des effets adverses importants pour l’Europe. Par exemple, une opération menée près de la Californie pourrait paradoxalement intensifier les vagues de chaleur en Europe, notamment en raison du réchauffement global et du ralentissement de la circulation méridienne de retournement de l’Atlantique (AMOC). Jessica Wan, co-auteure de l’étude, souligne l’urgence de développer des structures de gouvernance pour la géoingénierie solaire. Selon elle, sans régulation claire, ces initiatives pourraient mener à des interventions non coordonnées avec des conséquences globales potentiellement dommageables. Des tests similaires ont été effectués en Australie et aux États-Unis, notamment pour refroidir des zones comme la Grande Barrière de Corail et la baie de San Francisco. Le manque de régulation soulève des questions sur les impacts à l’échelle mondiale. » (Site « Innovant »)
Suite à la question à ChatGPT : la géo-engénierie existe-t-elle ? Voici sa réponse : « La géo-ingénierie est un domaine qui explore des techniques pour manipuler délibérément le climat de la Terre afin de contrer les effets du changement climatique. La géo-ingénierie pourrait créer des nuages artificiels en utilisant des aérosols ou d’autres substances pour augmenter la réflectivité des nuages existants (mais au risque de les rendre plus lourds puisque la chaleur du soleil ne les disperse plus assez, d'où possiblement les cyclones et inondations de plus en plus massifs, parfois voulus comme armes). »



Il faut noter que la matière peut être classée en deux groupes de matériaux principaux :
Les matériaux naturels : végétaux, anim
aux, minéraux et métaux
Les matériaux artificiels : céramiques, verres, plastiques et composites.
De plus des huiles essentielles incontournables dont pour éloigner les moustiques, calmer une piqûre d’insecte, apaiser une entorse, adoucir des troubles digestifs, soulager un coup de soleil ou retrouver le sommeil dans un nouveau lit sont présentes à cette adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Au-Bon-Sens-presente-les-huiles-essentielles-incontournables-pour-les-vacances-68947.html

L'éthique est évidemment aussi importante au niveau de la production et de la consommation alimentaire afin d'éviter la toxicité.
« Or progressivement au sein de la nourriture, il y a très souvent eu gravement un apport massif de produits non nécessaires voire délétères comme les pesticides, les colorant, les conservateurs, des hormones ou des OGM, associé en plus à une perte colossale de contenus micronutritionnels causée par la transformation à haute température que sont la pasteurisation et la stérilisation. En effet en rajoutant d'un côté des choses nocives, et en enlevant de l'autre des choses bénéfiques, cela signifie que notre alimentation s'est beaucoup dégradée alors que c'est un pilier de notre santé. Or même après avoir retrouvé une alimentation saine favorisant le retour à la bonne santé parfois presque miraculeusement pour certains, il faut comprendre qu'aucun aliment ne guérit, et que ce sont seulement ses micronutriments, synonyme d'éléments de constructions, que la vie du corps créée par Dieu peut utiliser pour réparer, en particulier quand la personne a une bonne hygiène de vie (physique comme le sport, mentale comme le repos suffisant, émotionnelle comme la sérénité et spirituelle comme la connaissance et la pratique religieuse). » (Thierry Casasnovas)
Selon Robert Kennedy Jr, la mauvaise hygiène de vie alimentaire (dont suite à la consommation de mauvais produits chimiques agro-alimentaires de perverses sociétés à but très lucratif), intellectuelle et morale aux USA a affaiblit l'espérance de vie dont via des maladies chroniques dès le bas âge, a avancé en 2024 souvent à 10 ans la puberté qui avait lieu à 16 ans en 1900 et a fait apparaître l'obésité à 75% chez les américains alors que cela n'existait pas cent ans auparavant.
« Nous trimballons notre carcasse partout avec nous. Il faut bien la nourrir, la vidanger, la déplacer, la faire dormir. Notre esprit aussi a sa nécessaire intendance : comprendre, mémoriser, être écouté, se faire comprendre en retour. Négocier nos émotions, nos incapacités, affronter nos peur, camoufler notre honte. Tant de matière à mauvaise santé ! Et encore, si ce n’était que ça ! Tout est occasion à symptômes motivant la visite chez le médecin : je ne digère plus le lait, je suis constipé, ma hanche est bloquée, je ne dors plus. Mon fils est hyperactif, ma fille est exclue, mon dernier a le trac, mon père est confus. Pas si facile pour la médecine de soutenir la gageure de tant de disparité. Mais si tout impacte bien notre santé, tout n’est donc pas pour autant directement du ressort de la médecine. » (Béa Bach)
En sachant qu'un enfant malade est la meilleure chose pour l'industrie pharmaceutique.
« Kennedy Jr. : « Je devais soutenir Trump pour avancer ma priorité : mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques. » Robert Kennedy Jr. a récemment annoncé la suspension de sa campagne présidentielle, une décision qu'il décrit comme difficile mais nécessaire. Dans une interview accordée à Dr. Phil, il explique les raisons de ce choix et son soutien à Donald Trump. Kennedy Jr. a rappelé que la censure médiatique et l’absence de débats ont rendu sa campagne extrêmement difficile. « Je n’avais vraiment pas de chemin vers la victoire », a-t-il déclaré. Il a également mentionné que ses réunions avec Trump ont été déterminantes, notamment en ce qui concerne leur engagement commun contre les maladies chroniques. » (Média en 4-4-2)
Robert F. Kennedy Jr. a officiellement annoncé que les colorants artificiels seront progressivement  interdits dans tous les produits alimentaires courant 2026.
Pour Thierry Casasnovas, notre système de santé est souvent présenté comme un modèle d'accès gratuit et universel aux soins, alors que cette vision idyllique cache une réalité bien différente. Car ce système n'est pas réellement gratuit et ne promeut pas réellement la santé. Il s'agit plutôt d'une vente forcée déguisée en droit fondamental, qui discrédite toute autre approche de santé. C'est pourquoi Thierry Casasnovas préfère promouvoir l'assurance santé plutôt que l'assurance maladie. En effet, il souligne que le système de santé actuel ne promeut pas la santé de manière globale, mais plutôt les traitements thérapeutiques et pharmaceutiques. La santé et les symptômes sont deux choses différentes, et le système de santé actuel ne fait donc que soulager les symptômes plutôt que de promouvoir la santé en général.
Thierry Casasnovas est persuadé que son approche de la santé naturelle peut aider de nombreuses personnes à améliorer leur qualité de vie. Il estime que tout le monde peut bénéficier d’une réforme de son hygiène de vie et de son hygiène globale, en se basant sur les trois piliers que sont l’hygiène de vie, les relations sociales et la foi. Il est convaincu que même les personnes atteintes de maladies graves ou de handicaps peuvent voir une amélioration de leur état de santé en adoptant une approche holistique. Thierry Casasnovas, né en 1974 à Perpignan, est un ancien professeur des écoles devenu un fervent défenseur de la santé naturelle. Après avoir souffert de graves problèmes de santé, il a réussi à se rétablir grâce à des recherches, des voyages et des expérimentations personnelles. Il a ensuite créé une chaîne YouTube en 2011 pour partager son parcours et son approche holistique de la santé, alliant alimentation, jeûne et mode de vie naturel.
Effectivement, l'être humain doit évidemment faire attention aux différents paramètres physiques, énergétiques, émotionnels, mentaux, psychiques et spirituels, composant sa personne.
Casasnovas et des personnalités reconnues de la médecine comme le professeur Perronne affirment aussi par exemple que manger plus d'aliments frais (ne nécessitant pas de cuisson) est meilleur pour la santé et que diminuer la consommation du sucre raffiné permet de diminuer certains cancers.

Quand on commence à s’intéresser à l’alimentation pour la santé, on tend à classer les aliments en « bons » ou « mauvais ». On trie, élimine, ajoute et expérimente. Puis on ajuste, jouant avec les quantités, les modes de cuisson, les calories, et les nutriments. On choisit des aliments biologiques et on réfléchit au moment optimal pour les consommer. Ensuite, on aborde la complexité : associer les aliments. Cette étape est cruciale pour parfaire sa diététique. On réalise que les aliments ne sont pas simplement « bons » ou « mauvais », mais qu’ils dépendent des combinaisons. La connaissance des associations alimentaires transcende les doctrines nutritionnelles. Elle améliore la digestion, répare la muqueuse intestinale, équilibre l’environnement bactérien et renforce le système immunitaire. Raphaël Perez, en s’appuyant sur les travaux de Désiré Mérien, explique scientifiquement comment associer les aliments pour ces bénéfices multiples. Les trois grands paramètres qui vont notamment conditionner les associations alimentaires sont : le temps de digestion, le pH de l’environnement digestif et la capacité digestive individuelle.

Le vitalisme est aussi une clé de la santé réelle face au mortalisme ambiant. Le mortalisme, cette idéologie prédominante de nos jours, se caractérise par une vision négative de la santé, axée sur la maladie et la mort. Cette approche ne prend pas en compte les relations entre les organes et les processus dynamiques qui déterminent notre niveau de santé et de vitalité. À l’opposé, le vitalisme prône l’importance de nourrir et de renforcer notre force vitale, notre énergie interne, pour maintenir et améliorer notre santé. Il faut donc écouter son corps et lui donner une bonne hygiène de vie : sommeil bien dosé, alimentation équilibrée, propreté constante, sport régulier, jeûne judicieux.

Exemple d'une journée sobre mais complète au niveau alimentaire :
« .le matin, banane, chocolat (2 à 4 carrés de noir à 70 %, un bon compromis entre vertu et amertume), un litre de thé vert (sencha ou earl grey) infusé 2-3 minutes, pas plus, sinon ça devient amer (ça fait 3 tasses de 300-400 cl), des fruits secs (raisins, canneberges, noisettes, amandes, noix) à foison, avant tout cela à jeun une cuillerée d’huiles mélangées (en prendre 4 selon votre âge, on conseille lin, olive, noix et par exemple marine, celle qui sent le poisson mais riche en DHA, les fameux oméga-3, acide gras super bon pour la santé), des gâteaux secs peu sucrés (pas de les nocifs ultratransformées), normalement avec ça vous n’aurez pas trop faim à midi.
.En cas de coup de fatigue, selon vos activités physiques ou mentales (genre bûcheron ou étudiant), des cacahuètes (bio de préférence) grillées et salées, un bout de poisson gras (sardine, saumon, thon ou foie de morue), encore des graines si vous avez faim l’après-midi, et des morceaux de fromage en vrac (pâtes cuites, moins grasses théoriquement que les coulants).
.Le soir, une soupe de légumes bouillis puis mixés, avec un ou deux cracker (cette espèce de pain suédois dur comme de la pierre mais peu calorique), pomme et poire : ça fait pauvre, et alors ? Adjoindre pour les plus fragiles psychologiquement une petite sucrerie, ce n'est pas interdit, genre fromage blanc (vache ou brebis) avec une très bonne confiture pas trop sucrée, et un peu de crème fraîche (pas pasteurisée si possible).
.En cas de baisse de régime, de coup dur, de fatigue : une petite cure de chlorure de magnésium. » (ER)
« (Pour complètement s'hydrater) « Boire plus d’eau » ne suffit pas. L’hydratation ne se résume pas à « boire un litre d’eau par jour. » En fait, ce conseil est contre-productif la plupart du temps, car l’eau est aujourd’hui appauvrie en électrolytes, car une grande quantité d’eau épuise les reins, n’apporte pas les minéraux attendus par la cellule. Une espèce de fonctionnement à vide qui épuise.
Pour être correctement hydraté : Tout d’abord, vous avez besoin d’électrolytes. Sans la quantité adéquate d’électrolytes, l’eau ne sera pas absorbée par les cellules mais restera entre les parois des cellules. Les électrolytes se dissolvent dans l’eau et lui donnent la capacité de conduire l’électricité. Les électrolytes les plus importants sont : 1) le sodium 2) le chlorure 3) le potassium 4) Magnésium 5) le calcium.
Nous devons nous assurer que nous avons suffisamment d’électrolytes dans notre système pour que nos cellules puissent communiquer électriquement entre elles. Les bonnes sources d’électrolytes mentionnées ci-dessus sont les suivantes : l’eau de coco ; le sel de mer ; le magnésium, par voie orale et topique ; la poudre de coquille d’œuf  ; le lait cru ; certains jus alcalins (ne conviennent pas à tout le monde, il faut tenir compte du contexte) ; certaines eaux de source.
Mais attendez une seconde, cela signifie aussi que vous devez éviter les choses qui nous appauvrissent en électrolytes, dont certaines sont : - l’alcool - le fluorure de sodium - l’acide phytique - les stimulants - les pilules contraceptives - beaucoup de glucides  - le stress.
Vous devrez également gérer votre exposition aux nnEMF qui interfèrent avec les courants électriques naturels de nos cellules (vous pouvez également rechercher comment ils relâchent les jonctions des cellules). Les sources les plus courantes de nnEMF sont : - Wi-Fi - les téléphones portables - les tours de radio - les appareils électroniques sans fil.
Ainsi, des choses telles que la mise à la terre et l’exposition à la lumière du soleil tôt le matin et tard le soir contribueront également à l’hydratation cellulaire. » (Extrait de l'article « L’hydratation ne se résume pas à boire un litre d’eau par jour » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-hydratation-ne-se-resume-pas-a-boire-un-litre-d-eau-par-jour-73164.html)

« Aujourd’hui, nous avons l’impression d’avoir de nombreuses sources d’approvisionnement en nourriture, mais la majorité des ingrédients bruts proviennent tous des mêmes entreprises. En fin de compte, beaucoup de ces ingrédients bruts ne sont que du poison, quel que soit le nom qu’on lui donne (comme le phosphate d'aluminium ou de potassium, le plomb, l'argile à pipe blanche et l’argile en général contenant souvent des niveaux toxiques de métaux lourds, le vinaigre empoisonné, les feuilles vénéneuses telles celles du laurier-cerise utilisées pour créer un goût de noisette, des produits chimiques industriels). Si nous devons parler de grippe (ou toute autre maladie ou trouble métabolique en particulier récents) et non d’empoisonnement, c’est parce que quelqu’un est responsable de l’empoisonnement et que cette personne ou cette entreprise peut être poursuivie, mais personne n’est responsable des virus invisibles qui se cachent sur chaque poignée de porte et chaque balustrade, attendant de sauter sur nos doigts et de se frayer un chemin jusqu’à notre bouche. A travers l'histoire, il est très facile de voir comment une maladie peut se répandre comme une traînée de poudre dans une ville entière qui mange la même nourriture (et boit à la même source d’eau). A ces empoisonnements chimiques s’ajoutent une quantité sans cesse croissante d’ondes électromagnétiques artificielles dont les effets sur la santé peuvent être similaires et aussi variés, comme on peut encore le voir dans le dossier 5G et ondes pulsées du site nouveau-monde. Le degré de maladie et les symptômes manifestés par votre corps dépendent de ce que vous consommez, de la quantité que vous consommez, de la fréquence de consommation et de votre état de santé général. Comme le dit le vieil adage, vous êtes ce que vous mangez. Si vous consommez des conservateurs, qui sont conçus pour éliminer l’humidité, empêcher la croissance de micro-organismes, y compris les bactéries, modifier l’acidité et détruire les protéines, votre corps ne peut pas fonctionner. Ajoutez-y du poison et vous faites tourner la roue de la maladie. Ainsi de manière équilibrée, il faut manger le plus possible d'aliments non transformés. » (Extraits de l'article « Le grand empoisonnement et le virus bouc émissaire — La folle histoire méconnue de l’approvisionnement alimentaire » de chemtrails.substack.com )

En sachant que « 6 poisons détruisent la fertilité masculine. Aujourd’hui, les spermatozoïdes et la production de testostérone subissent une attaque sans précédent à cause des perturbateurs endocriniens. D'ailleurs ces derniers affaiblissent aussi beaucoup les signes corporels du genre masculin ou féminin.
Parmi les plus nocifs, on retrouve six grands responsables : les pesticides, le glyphosate, les plastifiants (comme les phtalates), les substances perfluorées, les parabènes, et le tabac. Les pesticides Ces produits chimiques, utilisés dans l’agriculture pour protéger les cultures, se retrouvent dans notre alimentation quotidienne. Des études récentes montrent que l’exposition chronique aux pesticides est directement liée à une baisse de la qualité du sperme et à des troubles hormonaux. Le glyphosate, cet herbicide controversé, bien que reconnu comme cancérogène probable par l’OMS, continue d’être utilisé massivement dans le monde entier. Ses effets sur la santé reproductive sont bien documentés, incluant des perturbations du système endocrinien et des dommages à l’ADN des spermatozoïdes. Les plastifiants (Phtalates), présents dans les produits en plastique, les emballages alimentaires et certains cosmétiques, sont particulièrement toxiques. Ils migrent facilement vers les aliments ou la peau, provoquant des perturbations hormonales graves. Les phtalates, en particulier, sont associés à une baisse marquée de la fertilité masculine. Les perfluorés (PFCs) qui sont utilisés dans les emballages alimentaires résistants à l’eau et à la graisse, sont présentes dans l’environnement et s’accumulent dans l’organisme. Ces substances chimiques persistent dans le corps humain, perturbant la production de testostérone et réduisant la qualité du sperme. Les parabènes qui sont des conservateurs présents dans une multitude de produits cosmétiques et d’hygiène, correspondent à des perturbateurs endocriniens avérés. Leur accumulation dans l’organisme affecte le fonctionnement des hormones sexuelles, augmentant le risque de maladies liées à la fertilité. Fumer le tabac ne nuit pas seulement aux poumons, mais affecte également la fertilité masculine. Les toxines présentes dans la fumée de cigarette endommagent directement les cellules spermatiques, réduisant à la fois leur nombre et leur mobilité. Par ailleurs l’imprégnation chimique chez les femmes enceintes est un risque pour les fœtus. En effet les femmes enceintes sont particulièrement exposées à ces substances, ce qui entraîne des conséquences graves pour le développement des fœtus, notamment des malformations génitales chez les garçons. Des études démontrent que des produits comme les phtalates traversent la barrière placentaire, impactant la formation des testicules dès les premières semaines de grossesse. Ce phénomène pourrait expliquer l’augmentation des cas de cryptorchidie (testicules non descendus) et de micropénis observés ces dernières années. Conséquences pour les adultes : une crise silencieuse. L’exposition à ces perturbateurs endocriniens ne s’arrête pas à la naissance. À l’âge adulte, les hommes subissent des conséquences dramatiques, notamment une baisse significative du nombre de spermatozoïdes, un déséquilibre de la production de testostérone, et une hausse alarmante du risque de cancers des testicules et de la prostate. Le nombre de cancers des testicules a triplé en quarante ans, révélant l’urgence de traiter ce problème comme une véritable crise de santé publique. Pourtant, les régulations actuelles restent insuffisantes face à l’ampleur de cette menace, nécessitant une prise de conscience collective et des actions plus décisives de la part des gouvernements et des individus. La France en première ligne, le reste du monde à la traîne ? La France impose des normes strictes sur les perturbateurs endocriniens, notamment en interdisant le Bisphénol A dans les emballages alimentaires et en limitant l’usage de certains pesticides et produits chimiques. À l’inverse, des pays comme les États-Unis et la Chine, grands exportateurs de produits vers la France, adoptent des régulations beaucoup plus permissives, ce qui pose des risques pour la santé des consommateurs français. Malgré les efforts internationaux pour harmoniser ces régulations, des disparités importantes subsistent, nécessitant une vigilance accrue sur les produits importés. Face à cette situation, il est impératif de repenser notre rapport aux produits chimiques et de prendre des mesures pour protéger notre santé et celle des générations futures. » (Article « LES PRODUITS CHIMIQUES VOUS STÉRILISENT : LE SCANDALE CACHÉ PAR BIG PHARMA ! » reprenant les paroles de Corinne Lalo, journaliste et grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans)

« Dans ce sens, la détox consiste à aider son corps à éliminer les toxines. La cure a donc pour but d’éliminer par les reins et par le foie tout ce qui obstrue l’organisme et qui piège de l’énergie. Normalement, après une bonne détox, on se sent plus léger, plus frais, moins empoisonné, la peau et le moral s’en ressentent. Oui mais voilà, quelle cure choisir ?
-L’argile nettoie les intestins sans abîmer la flore intestinale.
-La potion au radis noir est désagréable au goût, mais très efficace sur le foie.
-Le Jus de bouleau détoxifie et reminéralise les reins.
-Le jus de citron pressé, chaque matin, à jeun évidemment, c’est un excellent nettoyeur pour le foie, ainsi que l’huile d’olive, ou un mélange de 4 ou 5 huiles.
-Le charbon végétal (celui qui est extrait de déchets végétaux ou d’écorces de fruits comme de la noix de coco, et qui se boit dilué dans un verre d’eau) est bénéfique pour la peau et la digestion.
-Le magnésium marin, magnésium malate, c’est une coup d'énergie claque quand on est à plat. C'est donc bon d'en prendre en période de fatigue et en intersaison.
-La spiruline est une algue remplie de vitamines, de sels minéraux, et de principes actifs cachés, et très bonne pour l'immunité.
-L’huile d’olive c’est bon pour la santé grâce aux oméga-multiples-de-3.
-L'huile de nigelle guérit toute maladie selon le Prophète (SBDSL). L’argile peut aussi (presque) tout soigner. C’est ce que de nombreux travaux semblent montrer, notamment ceux de Jade Allègre ou de Raymond Dextreit... Le docteur Jade Allègre, spécialiste incontestable de l’usage thérapeutique de l’argile, a d'ailleurs été attaquée pour son travail ! Car l’argile est un remède bon marché qui peut coûter cher à Big Pharma, surtout que déjà depuis 1930, la faculté de médecine qui s'était installée sur le domaine Rockefeller créent artificiellement et donc très lucrativement des médicaments via la chimie.
Ces compléments entre l’aliment et le médicament (alicaments) sont alors les bienvenus pour conserver la santé, dont aussi par plus d'immunité.
Pour finir, les fondamentaux qui accompagnent une bonne détox sont de boire de l'eau (si possible filtrée), de manger des fruits et des légumes (de saison), de pratiquer un jour de jeûne régulier, er de faire de l’exercice, car çà améliore évidemment métabolisme. » (Résumé article ER)

« Aussi pour le bien-être à travers celui de la peau, il faut aussi faire attention aux bons et aux mauvais savons, car il y a ceux qui détruisent la peau, et ceux qui la nourrissent, la renforcent, en plus de la nettoyer. Donc les adjuvants naturels dans un savon bien dosé, c’est pas de la comédie. Et il en va du corps comme du visage : sur un visage sali par la pollution (si on se regardait au microscope on tomberait dans les vapes), fatigué par une mauvaise digestion, affaibli par le stress, un petit coup d’exfoliant, ça vous revigore : nettoyage en surface et en profondeur, ouverture des pores, respiration. Le corps ne se nourrit pas que par la bouche. Dans ce sens par exemple, le lait d’ânesse, le beurre de karité et la verveine mélangés, ça nourrit le derme, ça hydrate, et ça a des vertus apaisantes et antiseptiques, et le savon d'Alep est un savon oriental, avec ce parfum puissant alliant les vertus nutritives de l’olive à la vertu principale du laurier, ce désinfectant naturel. » (ER)

Or il est particulièrement important de faire attention aux carences provenant du stress, de l'alimentation, du sommeil et de l'activité physique, souvent par leur manque pour les trois derniers.
Dans ce sens, l'islam dit logiquement de manger régulièrement de la viande sans en abuser. Car « Pour obtenir le nombre de calories, de minéraux et de vitamines nécessaires à une activité physique plus ou moins longue ou à de la survie, il suffit de consommer un petit mammifère, car c'est une bombe calorique et d’oligo-éléments, sous réserve bien sûr que vous mangiez impérativement les abats. Alors qu’il faudrait des kilos de végétaux à manger ou trouver pour la même efficacité calorique et vitaminique, ce qui est donc peu rentable en regard de l’effort demandé. Bref, il ne fait plus aucun doute que l’homme est fait pour manger de la viande et du gras, mais aussi donc l’animal de la tête à la queue. Car sans protéines et sans gras, il meurt rapidement. Alors que sans sucres (hydrates de carbone), il survit sans problème. Mieux, sans glucides, donc en état de cétose (via la cétogenèse), comme il l'a été alimenté depuis le néolithique par les céréales, les farines, les fruits en toute saison, il ne connaît aucune des maladies de civilisation : diabète, caries, Crohn, maladies auto-immunes, thyroïdites, etc. Alors que ce n'est plus le cas depuis les années 50, par les sucres de toutes sortes et les recommandations absurdes des organismes officiels. Ainsi il faut aussi faire évidemment attention aux graisses en particulier saturées et à la mise en avant des glucides dans la pyramide alimentaire, qui sont au plus grand profit de l’industrie agricole et pharmaceutique. Que ceux qui croient encore qu’il est complotiste de penser que Big Pharma veut notre mal méditent la-dessus. Les recommandations de l’American Diabetes Association pour les diabétiques vaut le détour. Un crime organisé et bien rentable.
(Le fondateur du collectif Réinfocovid a même critiqué sévèrement l’industrialisation de la médecine et la création de maladies pour alimenter le marché des soins. Il dénonce les conflits d’intérêts et la corruption dans le système de santé, appelant à un retour à une médecine plus artisanale et centrée sur le patient.) » (ER)

La vie modeste du Prophète (SBDSL) se servant sagement des ressources naturelles était évidemment en équilibre avec son environnement : utilisation d'animaux pour le transport, repas légers, vêtements composés de tissus issus de cultures et d'élevages, couche créée à base de feuilles de palmiers, pas de gaspillage, etc...

Pour la réussite pieuse et donc bienveillante de l'agriculture, la recherche éthique au niveau biologique, les études sur la nutrition et surtout les biotechniques voire biotechnologies bien comprises peuvent donc également êtres employées. Des biotechniques agricoles existent déjà comme à travers la permaculture, à travers de la culture bio, à travers des serres industrielles pouvant être chauffées par le secteur énergétique de l'Etat à très bas prix l'hiver surtout avec un contrôle précis désormais permis par la blockchain, et à travers l'excellente conférence « Konrad Schreiber « L'agro-écologie appliquée aux fruits et légumes » évoquant principalement la pose de paille (et encore mieux la nature sauvage, des petites bassins proches ou autres particularités comme la place, le vent, la bonne alternance entre soleil et ombre, et le juste milieu entre nombre d'arbres et nudité pour certains ensemencements comme divers légumes en particulier pour la permaculture) sur un terrain pour conserver l'azote du sol à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=qoba9ZK5tKo
Il faut donc cultiver avec la nature, c'est à dire intelligemment et donc évidemment sans se laisser submerger par elle, soit en synergie avec l’ensemble du vivant présent dans le jardin potager, ce qui correspond à allier la quantité (calories) et la qualité (nutritionnelle et gustative). Dans ce sens un paysan doit donc chercher à léguer à ses enfants une terre plus fertile que celle qu'il a reçu.
Or « Le paysan de bio breton Christophe Bilto est aujourd’hui confronté à une toute autre bataille. Sa ferme est menacée de saisie, son accès au crédit inexistant depuis 17 ans, et il est blacklisté bancairement. Il dénonce une cabale orchestrée contre lui, avec des intimidations constantes, des animaux retrouvés morts, et des procédures administratives asphyxiantes. Sa ferme, encensée comme un modèle en matière d’agriculture bio, intègre une gestion agro-environnementale novatrice. Malgré cela, Christophe est devenu l’homme à abattre pour la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles), qu’il accuse de travailler pour les lobbyistes de l’agrochimie. Son modèle d’agriculture prône l’indépendance de l’agro-industrie et vise à nourrir la population, mais se trouve confronté à des entraves financières et administratives insurmontables.  Le combat de Christophe est un cri de désespoir face à une justice perçue comme biaisée et à un système agricole en proie aux intérêts financiers. Malgré ses convictions, son entreprise est asphyxiée par des procédures qui l’empêchent de travailler. Cette situation dramatique révèle les failles d’un système où la justice semble à géométrie variable, et où les agriculteurs sont laissés pour compte. Christophe incarne cette réalité d’un combat isolé contre un système qui tend à l’écraser. Sa voix se fait l’écho d’une agriculture alternative menacée par des intérêts financiers, d’une justice biaisée et d’une lutte inégale. À travers son témoignage poignant, il appelle à une prise de conscience sur les enjeux cruciaux de l’agriculture et de la justice en France. » (Article du Média en 4-4-2)
De plus une autre agriculture s’appuie sur des technologies numériques de pointe tels que des messages de résonance naturelle pour fortifier les plantes dont en goût sans pesticides chimiques, des capteurs d’état du végétal, des dispositifs informatiques embarqués sur les machines agricoles, des robots, des images satellites, des drones (dont avec des capteurs du taux d'humidité), afin de pratiquer une agriculture excellente et précise.
Or la sagesse, le repos de la terre en jachère (qui correspond à ne pas semer l'automne, à la retourner pendant l'hiver voire à y rajouter des fertilisants, puis y tracés des sillons l'été afin que la terre soit ameublie par la chaleur du soleil, afin de semer l'automne suivant après ses premières pluies) ou d'une partie la terre en alternance (pour les familles modestes ou les industries pas assez riches) tous les trois ans comme semble le demander ou le conseiller symboliquement le Coran dans un passage pour favoriser la fertilité du sol lors d'une agriculture industrielle (différente de la permaculture ne nécessitant pas la jachère mais l'entretien du sol), les invocations religieuses et la confiance en Allah sont les premières conditions préalables à tout réussite d'une agriculture (industrielle, en permaculture, ou autre). En effet la jachère en particulier pour les terrains jamais ensemencés ou ou plusieurs fois ensemencés permet la régénération du sol dont logiquement en faisant remonter dans le sol le taux de matière organique et celui d'azote qui est un élément nutritif essentiel à la croissance des cultures, ce qui augmente la productivité, apporte la résilience des cultures face aux maladies, et offre une qualité de produits supérieure.
Dans ce sens « Jean-François Chaperon est à la tête d’une exploitation de 70 hectares, où la polyculture et l’élevage cohabitent en harmonie. Avec 600 moutons et 150 chèvres, il pratique l’écopâturage, une technique visant à réduire la dépendance aux intrants chimiques et à favoriser un système agronomique respectueux de l’environnement. Sa stratégie repose sur la création d’écosystèmes complexes, impliquant arbres, herbes, ruminants et oiseaux. Ce réseau vivant génère un sol autofertile, favorisant la culture sans recours excessif à des intrants extérieurs. Dans cette optique, Jean-François met en lumière l’importance de l’herbe dans la polyculture. Elle constitue le fondement d’un écosystème équilibré, nourrissant les ruminants. Contrairement à la croyance urbaine, la culture de l’herbe ne se résume pas à la simple coupe, mais contribue à la complexité d’une agriculture durable. Il explique comment cet écosystème naturellement équilibré, avec arbres, herbages, et animaux, se substitue avantageusement aux engrais et protéines habituellement administrés aux animaux d’élevage. Il met l’accent sur la régénération des sols et la résilience des cultures face aux maladies, offrant une qualité de produits supérieure. L’agriculture écologique de Jean-François Chaperon soulève des questionnements sur la rentabilité. Il confie que ce modèle exige une transition progressive. La méthode nécessite un temps d’adaptation pour remonter le taux de matière organique des sols, augmentant ainsi leur productivité. Il suggère une mutation vers l’agroécologie pour libérer l’agriculture de sa dépendance aux intrants. En dépit des défis, Jean-François envisage un avenir où une agriculture écologique, exemptée de l’influence des intrants, pourrait s’ériger en norme. Il évoque une transition possible en 3 à 5 ans pour redonner à l’agriculture française sa productivité, sans nécessiter l’usage excessif de produits chimiques.  Toutefois, il admet que cette transition peut demander plus de main-d’œuvre, tout en précisant que cela dépend des cultures mises en place. Cette approche, bien que révolutionnaire, pose des questions cruciales sur la viabilité économique et la réorganisation des pratiques agricoles actuelles.  À travers son engagement pour une agriculture respectueuse de l’écosystème, Jean-François Chaperon ouvre une réflexion sur l’avenir de l’agriculture française, où la durabilité et la productivité pourraient coexister harmonieusement. » (Article du Média en 4-4-2)
Il faut noter qu'il est souvent important qu'un légume ne soit pas trop aidé à travers des pesticides, des engrais et de l'arrosage lui évitant de puiser l'eau sous terre ou à travers la pluie. Car un légume est tel un être vivant : plus on va l'aider, plus il sera faignant et faible, et çà se sentira dans son faible apport énergétique et donc bienfaisant pour le corps et l'esprit humains. Moins on l'aide, plus on le rend donc aussi courageux, ce qui sera ressenti par le corps et l'esprit humains. Certains agriculteurs bio sont même parvenus à cultiver des légumineuses sans pesticides, à préserver la biodiversité, et à contribuer à un monde plus durable.
L’agriculture traditionnelle pré-industrielle était intensive en termes de travail, et l’agriculture industrielle est intensive en termes d’énergies fossiles. La permaculture agricole est elle intensive en matière grise ; elle est une manière de travailler plus en phase avec la nature. A petite échelle d'un point de vue écologique, l’énergie utilisée doit de préférence provenir de ressources renouvelables comme le vent, le solaire passif, ou les biocarburants. Un bon exemple est la serre poulailler. En accolant le poulailler à une serre solaire, on réduit le besoin de chauffer la serre avec des énergies fossiles, car la serre est réchauffée par le métabolisme des poulets. On utilise également leurs déchets (plumes, déjections, chaleur, grattage du sol) pour diminuer le travail : les déjections fertilisent, les plumes forment l'équivalent d'un paillis, la chaleur diminue la quantité d’énergie à apporter pour garder une température voulue, le grattage permet de se débarrasser des mauvaises herbes et des insectes. Alors que dans une production en batterie, tous ces sous-produits sont considérés comme des déchets, car toute l'organisation est concentrée seulement sur la production d’œufs.
Il faut aussi noter que les sols français sont en moyenne à 2% composés de matière organique, et que travailler le sol comme le font les gros légumiers, accélère la minéralisation de l’humus, empêche les sols de résister aux pluies, de plus en plus abondante (absence de colloïde). Résultat, inondations de plus en plus régulière, avec des boues (argile et limons fins) qui font des dégâts importants en plus de diminuer la capacité d’échange cationique (CEC), et il est donc important de réintroduire du carbone dans les sols. Le réseau MSV travaille sur ce sujet depuis plusieurs années. Et miracle, les agriculteurs en Technique Culturale Simplifiée (TCS) ou en Semis Direct sur Couvert Végétal, obtiennent des résultats impressionnants en terme de régénération des sols (0.1 % par an de matière organique gagnée). La matière organique doit, au minimum, remonter à 3.5% pour que les micro organismes, les champignons, puissent se développer dans le sol et digérer convenablement la matière organique. Des études démontrent qu’un sol vivant est plus résilient aux pluies très abondantes et permet aux plantes qui y poussent d’être moins sujets aux maladies cryptogamiques ou telluriques. Les agriculteurs conventionnels sont enfermés dans un modèle qui ne respecte pas la vie. Ils pensent le sol comme un support de culture, et non comme un être vivant, qui comme tout être vivant a besoin de repos, c'est à dire d'un an tous les trois ans par la mise en jachère demandée donc apparemment dans le Coran et tous les sept ans dans la Bible :
Bible (Exode 23:10) « Pendant six années, tu ensemenceras la terre, et tu en recueilleras le produit. 11Mais la septième, tu lui donneras du relâche et tu la laisseras en repos »
« Dans le monde islamique aux premiers temps de la conquête, ces périodes de repos étaient souvent supprimées, la jachère n'était pas recommandée dans la plupart des manuels agricoles (Ibn al'Awwâm, Ibn Bassâl), elle est uniquement utilisée pour les terres restées longtemps en friche, et très pauvres. » (Extrait du livre « L'agriculture musulmane aux premiers temps de la conquête : apports et emprunts » de Andrew M. Watson)
L'initiative des villes en transition vise à créer des communautés résilientes et de l'agriculture verticale face à la triple menace du pic pétrolier, du dérèglement climatique et d'une crise économique mondiale. Or la transition énergétique voulue par les mondialistes sera en réalité très énergivore au niveau de la production des batteries et de certains matériaux. De plus à un niveau industriel, les biocarburants (présentés comme carburants Verts dont par de grands groupes agro-alimentaires flairant l’aubaine, alors que s’engager dans cette voie est un désastre écologique et humain à brève échéance) défrichent actuellement des forêts entières et remplacent des cultures destinées à l’alimentation humaine par ces plantations destinées à la production de carburant « vert » : une année, 50% de la production de maïs des USA a été détourné pour cette production, ce qui a entraîné la famine au Mexique qui est le premier acheteur de ce maïs.
De même si la fin progressive de l'élevage et de l'abattage d'animaux demandée par le Véganisme advenait, cela aurait de graves conséquences :
-sans viande consommée, il y aurait pour la nutrition essentielle à chacun, un besoin de beaucoup plus de fruits, de légumes, de granes, de noix, de légumineuses, d'oléagineux (végétaux dont on peut extraire l'huile), ce qui demanderait d'avoir beaucoup plus de champs pour ces agricultures et pour les animaux non consommés, et ce qui deviendrait une nécessité d'autant plus compliquée dans les pays ayant peu de terre cultivable.
-un marché noir de la viande apparaîtrait (comme l'a prouvé le marché noir de l'alcool lors de sa prohibition aux USA) et donc grave augmentation du prix en particulier dans les pays pauvres.
-il y aurait une multiplication problématique de certaines espèces sur terre dont rapport aux dégâts dans les villes, sur les cultures, et même sur la vitale chaîne alimentaire, surtout que Dieu a soumis toute la création aux humains.
-sans élevage de poissons, il y aurait une augmentation des déserts sous marins en poissons à cause de la pêche, alors que lorsqu'on laisse tranquille un environnement sous marin pendant trois ans, il multiplie ses individus environ par quatre.
L’économie de la communauté nécessite un équilibre entre les trois aspects que comprend une communauté : la justice, l’environnement et l’économie, aussi appelée le triple facteur décisif, ou triple E (écologique- économique-éthiques). Un marché coopératif de paysans serait un bon exemple d’une telle structure. Les agriculteurs sont les travailleurs et les propriétaires. De plus, comme toute économie est pondérée par son écologie, aucun système économique ne peut exister indépendamment de son écosystème, et tous les coûts externes doivent être pris en compte quand on parle d’économie.
Par ailleurs l''intelligence artificielle et le « big data » modernes sagement utilisés peuvent par des algorithmes permettre le traitement d'une très grande quantité de données provenant de tout appareil électronique dont les statistiques sont mesurables informatiquement, afin de les synthétiser et les mettre à la disposition du bien commun à travers le secteur primaire (agricole), le secteur secondaire (industriel), le secteur tertiaire (services), les associations humanitaires, les secteurs médicaux, les gouvernements, les entreprises et les autres organisations, pour déterminer leur potentiel maximal ainsi que leurs meilleurs opportunités stratégiques.
Or il faudra encore beaucoup de temps pour que le système nous réoriente vers la pureté du primitif et du primordial. Ce retour à la terre, qui est la condition pour retrouver notre liberté, autour des trois catégories fondamentales de l’existence : alimentation, logement et habillement. En effet comme l’existence humaine est en plus le subtil mélange de liberté individuelle et d’entraide sociale, il faut d'autant plus retrouver ce que le système s’évertue à nous faire oublier à chaque minute : le respect de la vie. Cela commence par la recherche d’une alimentation naturelle. Il est intéressant de lire à ce sujet le bon article « L’histoire des molécules (fondements de la naturopathie) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-histoire-des-molecules-fondements-de-la-naturopathie-60220.html
Actuellement la meilleure façon de lutter bienveillamment contre les effets des sécheresses ou du manque d'eau réside dans la poursuite de nos efforts technologiques comme la désalinisation, le recyclage et l'efficacité hydraulique industrielle et agricole, afin de réduire nos prélèvements sur les nappes phréatiques et les rivières. A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « Non, nous ne manquons pas d'eau potable ! | Idriss Aberkane » à l'adresse https://youtu.be/gJHlnAnyylo
Même l'électricité pourrait être proprement créée si elle provenait uniquement de forces naturelles comme à travers les barrages, les éoliennes, le solaire ou la force des marées, plutôt que que par des centrales nucléaires créant le danger des déchets radioactifs. Or les éoliennes étant unanimement reconnues comme largement insuffisantes pour garder le sécurité et le confort énergétiques, cette insistance à les étendre peut révéler un plan supranational basé sur l'écologisme à outrance. Surtout qu'elles apparaissent de plus en plus comme meurtrières de la faune en particulier des oiseaux et  comme polluantes à cause de fuites d'huiles massives. De plus il y a souvent une impossibilité de baser l'énergie d'une nation seulement sur le solaire ou l'éolien, car certaines régions ont peu de soleil ou de vent. Or les automates solaires (gaz se comprimant par simple changement de température) pourraient être utiles pour fabriquer de l'énergie. Le barrage demeure donc une des meilleure production d'énergie, puisqu'elle se fait à volonté et n'a pas besoin d'être stockée ni donc consommée immédiatement. Ainsi le surplus de solaire associé au barrage pour le faire pomper l'eau éjectée semble un excellent compromis quand c'est possible.
Or à notre époque nécessitant beaucoup d'électricité, le nucléaire civil bien entretenu et gérant au mieux les déchets radioactifs semble quand même inévitable, surtout que la gestion de ces derniers ne paraît plus insurmontable, comme le prouvent le réacteur chinois expérimental à fusion nucléaire « l’Experimental Advanced Superconducting Tokamak (EAST) » créant une énergie propre et massive, et le réacteur à neutrons rapides type celui d'Edf « Superphénix » ayant eu un facteur de charge de plus de 30 % en 1997 et un taux de disponibilité de 95 % en 1996. De plus ce dernier utilisait 100 % du poids de l'uranium alors qu'avec les réacteurs nucléaires précédents seulement 3% était utilisé. Il avait aussi 90% d'efficience et peu de déchets nucléaires qui en plus étaient destructibles par laser. Ainsi il fut très étrangement arrêté par le conseil d’État en 1997. L'abandon du projet Astride est également très étonnant, alors que l'avenir pourrait clairement être au recyclage par neutron rapide, car il est pratiquement sans déchets ni production de carbone. En effet la France a étrangement stoppé le projet ASTRID définitivement en 2019. Ce programme étudiait les réacteurs de quatrième génération, lesquels recyclent les déchets des autres réacteurs. Autrement dit, de l’énergie nucléaire propre assurant notre pays et les autres, d’une énergie sans limite. Mais, cette solution n’arrange pas BlackRock, Vanguard et quelques autres. Il faut vendre à prix d’or des programmes d’énergie inefficaces et polluants.
Il est intéressant de voir aussi les expériences de Jean-Pierre Petit à ce sujet. En effet a fusion nucléaire, à ne pas confondre avec la fission nucléaire utilisée dans les centrales actuelles, est un processus qui alimente le soleil et les étoiles. Si maîtrisée, elle pourrait fournir une énergie propre, sans émission de CO₂, avec peu de déchets radioactifs et un rendement énergétique sans précédent.
Surtout que suite aux sabotages des gazoducs Nord Stream1 et 2, il apparaît que le projet mondialiste est d’atteler l’Europe au GNL américain hors de prix, voire d'amener l’exploitation du gaz de schiste en Europe, puis de construire des éoliennes partout pour produire de l’hydrogène permettant de « stocker » de l’électricité, tout en détruisant définitivement l’industrie européenne qui fait concurrence aux oligarques américains. D'autant plus que cette quantité stockée serait insuffisante pour tous les besoins des Européens.
Selon Samuel Furfari, expert en politique et géopolitique de l’énergie, la crise actuelle découle en grande partie des décisions prises par l’Union européenne, notamment avec l’adoption du « plan vert ». Ce plan, axé sur la décarbonation de l’économie, a conduit à une série de mesures qui ont compromis la sécurité énergétique de la région. En effet, au lieu de garantir un approvisionnement abondant et abordable en énergie, l’UE a opté pour une approche axée sur la réduction des émissions de CO2, ce qui a eu des conséquences néfastes sur l’industrie et l’économie.
Il faut savoir que même si le pétrole donnant l'essence reste un problème pour la pollution de l'air des grandes villes
(quoique çà ne serait pas le cas avec le moteur à eau inventé par l'ingénieur Pentone diminuant fortement la pollution et la consommation d'essence) et qu'il est donc préférable d'y utiliser des voitures électrique bien que cela demeure impossible pour l'instant vu le nombre d'utilisateurs et les nombreux grands outils à mettre en place, selon certains spécialistes russes le pétrole ne serait pas d'origine fossile ni biologique et serait en quantité illimitée à une certaine profondeur sous terre afin. Si c'est le cas, il serait important de l'utiliser sagement dont en mettant des meilleurs filtres dans les voitures, surtout que le CO2 n'est pas mauvais en soi. Les scientifiques russes ont appelé leur théorie sur l’origine du pétrole, la théorie « abiotique », c'est à dire ayant une origine non-biologique créée naturellement par la pression dans les profondeurs terrestres tel le diamant. Ceci afin de la distinguer de la théorie biologique occidentale des origines. C'est à dire qu'à une grande profondeur où la pression est à 20 000 (Pa) et la température à 2000 degrés la roche dégagerait du pétrole en quantité presque illimitée, ce qui serait confirmé par la marée noire inarrêtable (sans explosion atomique à cause de l'énorme pression) ayant été causée par un perforation de BP en eau très profonde au large du Venezuela. D'ailleurs l'argile pouvant devenir une boue liquide avec de l'eau est une matière naturelle issue de la décomposition des roches mères, c'est-à-dire des parties superficielles de la croûte terrestre, et une réserve d'eau plus importante que celle de tous les océans et les mers réunis serait cachée dans la zone de transition du manteau terrestre dont à travers des roches humides selon Le Point. Ces roches se décomposent et cristallisent pour donner une matière aux propriétés exceptionnelles. Avec un sol argileux, vous arrosez moins, fertilisez moins, obtenez une meilleure base pour vos plantes et prolongez leur résistance lorsque des conditions climatiques extrêmes se produisent. Ainsi comme la France est la dixième nation en longueur de littoral et donc en eaux territoriales, les ingénieurs français comme toutes les nations ayant un littoral devraient chercher le moyen écologique de l'extraire pour que l'énergie soit abondante et peu chère afin de développer intelligemment le monde entier, en particulier si l'énergie nucléaire relativement propre ne se propage pas massivement.. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article « Confessions d’un « ex » partisan du pic pétrolier » à l'adresse https://strategika.fr/2022/06/24/confessions-dun-ex-partisan-du-pic-petrolier/
« Titan, la lune orange de Saturne, contient des centaines de fois plus d'hydrocarbures liquides que toutes les réserves de pétrole et de gaz naturel connues sur Terre, selon de nouvelles données de la sonde spatiale Cassini de la NASA (alors que n'ayant jamais eu de vie sur elle...) » (Cambridge University Press)

Or le véhicule hybride peut permettre des économies financières dont en en consommant moins de pétrole et le véhicule électrique peut devenir moins beaucoup moins cher si les batteries sont améliorées et produites en plus grandes quantités en particulier aussi car le moteur d'une voiture électrique est beaucoup plus simple que le thermique. D'ailleurs les camions de transport dont les 36 tonnes ont généralement des dépôts où ils peuvent les recharger la nuit, et il est possible de créer des lieux de recharge électrique sur les autoroutes pour ceux au national ou à l’international lorsque leurs chauffeurs dorment.
Or il faut bien comprendre que les batteries des véhicules électriques dépassent rarement plus de 700 km d'autonomie dont pour les camions très lourds et donc énergivores, en sachant qu'en plus la musique, les phares, les freins, les essuie-glaces et la climatisation diminue beaucoup cette autonomie.
Cependant « Selon François-Xavier Pietri, la production de batteries électriques repose sur des ressources comme le cobalt et le lithium, dont l’extraction est à la fois un désastre social et écologique. Le cobalt, à 80 % produit au Congo, implique le travail de dizaines de milliers d’enfants et d’adultes dans des conditions précaires, tandis que le lithium nécessite des quantités d’eau astronomiques (l’équivalent de la consommation annuelle de 500 personnes pour faire une batterie !). De plus, les terres rares, essentiellement contrôlées par la Chine, rendent cette dépendance stratégiquement risquée. Malgré les aides de l’État, le prix élevé des voitures électriques, notamment dû au coût des batteries, reste un frein pour les ménages. Selon François-Xavier Pietri, la transition forcée vers l’électrique, sans prise en compte de ces réalités, est donc une marche trop rapide et insoutenable. » (Média en 4-4-2)
Question énergie, le mieux serait tout de même la découverte de la fusion ou de la fission nucléaires froides si les matériaux et leur grande quantité nécessaires à la technologie ne sont pas nocifs pour la terre dont possiblement grâce au recyclage. Des chercheurs du Massachusetts Institut se rapprochent d'ailleurs de la fusion à froid, c'est à dire sans radiation puisqu'à travers celle de deux atomes d'hydrogène, mais il y aurait une impossibilité dans ce sens à cause de verrous technologiques. Or des inventions permettant d'obtenir de l'énergie pure et massive ont été confisquées ou déconsidérées à Nicolas Tesla, Stanley Meyer, Guy Nègre, Léon Raoul Hatem, avant ou après leur mort par des gouvernements ou des agences gouvernementales secrètes, au service du lobby pétrolier. Et des réacteurs à surgénération lié à utilisation de divers neutrons ont même atteints trois avantages excellents :
-combustible reproduit à l'infini
-sûreté meilleure
-déchets pouvant être brûlés. Cercle vertueux existant donc déjà de l'énergie abondante peu chère.
Ce qui prouve encore un fois qu'avant que la bonne technologie s'ouvre entièrement pour l'humanité, cette dernière doit d'abord s'ouvrir massivement à la bonne spiritualité. Or malgré cette possible future énergie nucléaire abondante, l'humanité ne peut absolument se passer séparer du très pratique pétrole au niveau des déplacements en véhicules. Et le sabotage du nucléaire français comme la fin programmée de l'agriculture française à cause de l'UE pourrait être lié à affaiblir le peuple et la nation, afin d'éviter que ces derniers soient ambitieux, autonomes et donc fiers et indépendants.
De toute manière, il faut comprendre qu'une énergie sans limite pourrait amener l'humanité à ne plus avoir de limite et donc à s'autodétruire, sauf si l'énergie demeure payante à l'Etat ou s'il la gère sagement, c'est à dire en divisant équitablement cette l'énergie libre et pure quand elle n'est pas une nécessité absolue comme pour les logements de particuliers il faudrait y avoir un bon niveau minimal de chaleur ou de climatisation.
Pour se développer, maintenir son niveau actuel voire s'améliorer scientifiquement et matériellement ainsi même que spirituellement, l'humanité a toujours eu au moins besoin d'une énergie abondante et bon marché, qui est pour l'instant celle nucléaire.
Or « La privatisation des secteurs de l’énergie et la transition énergétique vers le tout renouvelable sont deux choses différentes, qui ont été implémentées parallèlement au Danemark. Mais il aurait été possible d’avoir une privatisation du secteur, sans transition énergétique, ou l’inverse. La politique de l’Union Européenne en matière d’énergie, a pour but premier d’assurer le bon fonctionnement du marché de l’énergie. On parle bien du marché, c’est-à-dire le lieu où se négocie la denrée énergie (gaz ou électricité). La volonté politique de l’UE en matière d’énergie est donc prioritairement orientée sur l’aspect mercantile du marché d’énergie et non pas sur l’aspect opérationnel du réseau d’énergie. Les réglementations européennes vont donc aller dans le sens du marché. Ce constat capital permet de comprendre de manière logique les décisions prises pour encadrer la filière de l’énergie. Si l’on regarde la problématique énergétique sous l’angle du bon fonctionnement du réseau, alors les décisions européennes nous semblent absurdes. Par contre si l’on se place sous l’angle du marché, tout devient logique. Il faut bien comprendre que toute la filière ENR de l’UE a été subventionnée de toute part et cela depuis 20 ans. 20 années où l’argent public a été transféré dans des systèmes de production qui permettent à des groupes privés de réaliser leur business-plan à savoir : la spéculation journalière à la hause ou à la baisse sur le marché de l’énergie. On pourra questionner la notion du libéralisme européen où l’argent public subventionne l’intégralité d’une filière. Ne serait-ce pas du socialisme déguisé ? On pourra également comparer le sort réservé à EDF, forcé de vendre sa production nucléaire à ses concurrents à un tarif inférieur à ses coûts de production, à celui des producteurs d’ENR qui voient leurs productions rachetées et subventionnées. Il est également intéressant de rappeler que le Danemark, pays présenté comme le champion de la transition énergétique, a réalisé cette transition via la société DONG/Orsted dont la valeur boursière a atteint son maximum le 8 janvier 2021, soit juste après l’arrêt des subventions aux rachats des productions ENR survenu au 31 décembre 2020.  Il y aurait-il un lien de cause à effet entre la fin des subventions et la chute de la valeur boursière de DONG ? Si c’est le cas, les marchés eux-mêmes montrent que l’ensemble de la filière ENR n’est pas viable sans subvention. Cette remarque peut être mise en parallèle avec les faillites des fournisseurs d’énergie survenues depuis 2021. Est ce qu’un marché dont les acteurs font faillite les uns après les autres lorsqu’ils ne sont plus subventionnés peut encore être qualifié de libéral ?  Ce marché est-il durable et résilient ? » Conclusion sur le marché Européen de l’énergie  En définitive, sous couvert d’assurer le bon fonctionnement du marché de l’Energie la France fait face à une augmentation générale des prix de l’électricité depuis son entrée dans le marché commun de l’énergie. Si dans la théorie les mécanismes de Merit Order poussent les prix vers le bas, ils évoluent en réalité plutôt vers le haut. La réalité du terrain ne se plie pas au dogmatisme de l’UE. Cela a engendré une extrême variabilité du marché de l’énergie. Si ce résultat est totalement aberrant pour le consommateur, il est excellent pour les spéculateurs. La politique énergétique européenne n’est-elle pas finalement une vaste opération financière qui asservit le réseau électrique au marché de l’énergie ; qui amplifie les spéculations possibles sur ce marché en forçant l’intégration des ENR sur le réseau ; qui subventionne les producteurs ENR depuis 20 ans afin de leur garantir une solvabilité ; qui contraint les gestionnaires de réseaux à assurer la stabilité de leur réseau en ayant recours au gaz, énergie que les pays européens ne produisent pas ? Nous verrons dans un prochain article comment l’UE organise le rapprochement entre le marché de l’électricité et celui du gaz ; comment l’ENTSOE et l’ENTSOG étudient des scénarios à 10 ans pour continuer la transition énergétique ; comment la juxtaposition du marché européen de l’énergie au marché russe de l’énergie ne pouvait résulter qu’en un choc frontal inconciliable. » (Extraits de l'article « Comprendre le marché commun et l’explosion des tarifs de l’énergie » de François Nuc)
Mais vu les grands problèmes économiques de notre époque et comme beaucoup y travaillent en réalité, l'énergie propre, gratuite (peu chère) et abondante pourrait arriver plus vite qu'on le croit. A moins qu'il faille donc d'abord que l'humanité ou une majorité d'elle s'ennoblisse grandement pour recevoir cette bénédiction divine, de même avant de pouvoir profiter de la bénédiction divine à travers de grandes découvertes médicales guérissantes comme le fait penser ce qui suit.
En effet de même au niveau médical, le docteur André Gernez, découvreur des cellules souches, qui empêchait les myopathie dégénératives de se déclencher, ainsi que le cancer (qui correspond à des mutagènes faisant des dérèglements voire des trous dans l'ADN humain et donc la logique génétique du vivant à l'image de la radioactivité élevée) avec son protocole, fut contraint d'arrêter ses travaux. C'est à dire qu'un ministre de la santé français lui a répondu que si on empêchait le cancer, le régime de retraite s’effondrerait. Or en Russie, le prélèvement et la conservation du cordon ombilical et de son sang à la naissance d'un bébé sont des pratiques de plus en plus courantes, car les cellules contenues dans le sang de cordon ombilical ont une valeur thérapeutique pour certaines maladies du sang, malignes ou bénignes, et maladies auto-immunes, de même que pour la reconstitution d'organes.
« Le Dr Reliquet, spécialiste en hydrotomie et membre du comité médical de l’Association internationale de médecine scientifique indépendante, critique vivement l’influence des grandes firmes pharmaceutiques sur les pratiques médicales. Il souligne l’importance de la vitamine C, notamment dans le traitement du scorbut, une maladie qui fait un retour inquiétant en France, et déplore le manque d’informations sur les dosages nécessaires. Il aborde également les vertus anticancéreuses de l’artémisinine, dérivée de l’armoise, et les obstacles politiques et économiques qui empêchent son utilisation. Enfin, il dénonce les carences en vitamine D et en iode, essentielles pour la santé, mais souvent négligées par les autorités sanitaires. Pour le Dr Reliquet, une médecine au service de l’humanité doit se libérer des intérêts financiers pour redécouvrir des traitements naturels et efficaces. » (Média en 4-4-2)
Et « A tous ceux qui ne veulent pas avoir un cancer, à tous ceux qui veulent guérir, à tous ceux qui ne veulent pas avoir une récidive, trop de cancérologues n'ont pas le temps de parler de prévention. Quand le cancer est là, ils considèrent que c'est trop tard et n'osent pas évoquer les causes, alors que si les causes premières persistent, les risques de rechute sont évidents... La prévention est le maître-mot dans la lutte contre le cancer. Le professeur Joyeux estime que la recherche sur la prévention est cruciale, car personne ne souhaite développer un cancer. Il encourage les gens à comprendre les causes spécifiques liées à leur risque de cancer et à prendre des mesures préventives. Adopter un mode de vie sain pour réduire les risques de cancer :
-Alimentation : Il recommande une alimentation équilibrée et le choix de produits naturels plutôt que transformés. Il encourage également la consommation de chocolat noir à forte teneur en cacao en substitution de la cigarette pour ceux qui cherchent à arrêter de fumer.
-Exercice physique : L’exercice régulier est essentiel pour éliminer les toxines, en particulier les pesticides, de l’organisme par la transpiration. Le professeur encourage la marche, la natation, le vélo, ou toute autre activité qui favorise la sudation.
-Gestion du stress : Le stress et l’anxiété sont des facteurs de risque. Le professeur recommande de réduire le stress en évitant les informations anxiogènes et en cherchant des activités relaxantes.
-Éviter les substances nocives : Il met en garde contre l’abus de médicaments contenant de l’aluminium et contre la prise inutile de médicaments comme le Doliprane. Il conseille également de réduire l’exposition à la pollution environnementale. » (Extraits de l'article « Le Pr Henri Joyeux : L’épidémie des cancers peut régresser… » du média en 4-4-2)
Dans ce sens, la technologie 5G peut être nocive pour le corps humain, car elle transmet des micro-ondes (comme un four à micro-ondes). Mais un tel rayonnement ne peut nuire à une personne que si elle reste longtemps à proximité immédiate de la tour. Tout rayonnement est un gros problème environnemental que la science essaie de résoudre en trouvant la meilleure option pour les gens. (La 5 G permettant beaucoup plus d’objets connectés, il devient en plus délicat de protéger et surveiller les accès à ces objets par des inconnus. Selon Netscout, les objets connectés sont attaqués dans les cinq minutes qui suivent leur connexion à internet. Par conséquent, si nos voitures, maisons et données biométriques et médicales sont hackées, cela devient un vrai danger sécuritaire dans tous les sens du terme, en particulier avec des enfants aux montres connectées, dont pour leur santé puisque toujours en contact avec des ondes.)
André Gernez aurait dû avoir le prix Nobel et des avenues à son nom. Les DVD « Docteur ANDRE GERNEZ - Le scandale du siècle 1 & 2 » aborde des sujets aussi divers que : le cancer, l'Athéromatose, lasclérose en plaques, la schizophrénie, la myopathie de Duchenne, l'Asthme et l'allergie, le Psoriasis, le Parkinson, l'Alzheimer, l'Ultra lumière, la transfusion sanguine universelle, le sida, l'hormone de croissance, le dépistage du cancer du sein et de la prostate, la surmortalité masculine, la biologie du phénomène religieux et la greffe d'organe. Le 17 juin 1979, il reçut tout de même la médaille Hans Adalbert Schweigart pour sa découverte sur« la théorie unifiée du cancer ». Le jury était composé de 40 prix Nobel. Puis la Société d'Encouragement au Progrès lui décernera la médaille d'Or le 17 Novembre 2007 pour l'ensemble de ses travaux au Sénat, dans le Palais du Luxembourg à Paris. Il reçoit aussi en Octobre 2012 la grande médaille d'or. Ainsi ce qui met le plus en colère dans ce monde "moderne", c’est que la science raisonnable ne soit pas libre, alors que celle folle l'est :
« Des chercheurs chinois ont modifié ce coronavirus GX_P2V, découvert en 2017 sur des pangolins, pour créer un virus mortel lorsqu’il a été testé chez des souris « humanisées », comme l’expliquent nos confrères du Figaro. Ces souris étaient porteuses de protéines humaines et au total, sur les huit souris infectées par le virus, toutes sont mortes de l’infection entre sept et huit jours après avoir l’avoir contracté. Le taux de létalité de ce coronavirus modifié est de 100 %. Le professeur François Balloux, expert en maladies infectieuses basé à l’University College London, a lui commenté l’étude sur X : « C’est une étude épouvantable, elle est scientifiquement totalement inutile. Je ne vois rien de vaguement intéressant qui pourrait être appris en infectant de force une race étrange de souris humanisées avec un virus aléatoire. Par contre, je peux voir comment de telles pratiques pourraient mal tourner... » « Je serais très inquiet de la trajectoire d’un tel virus s’il se retrouvait dans la nature », a lui confié Étienne Decroly, directeur de recherche CNRS et virologue au laboratoire AFMB qui appelle à des mesures : « Il faut réglementer rapidement les manipulations sur les virus comme ceux-là qui ont un réel potentiel pandémique ».  Ce type de manipulations a longtemps été encadré par un moratoire qui a été levé en 2017 mais la réglementation change selon les pays. Ces pratiques sont ainsi totalement interdites en France, selon nos confrères. Les défenseurs de ce type d’étude avanceront l’argument de la recherche scientifique qui pourrait permettre d’aboutir à la découverte d’un vaccin. Mais le jeu en vaut-il la chandelle ? » (Extraits d'une article ladepeche.fr)
Les intérêts financiers, idéologiques voire messianiques achètent, dénaturent et falsifient la science. Cela a plus ou moins exister dans toute l’histoire de l’humanité, mais actuellement, cela a atteint un tel niveau de mensonge scientifique dans tous les domaines que ça en devient un risque pour l’existence même de notre espèce.
Surtout que depuis la crise sanitaire du covid désormais associée à l'écologisme climatique, à la guerre énergétique à la lutte d'influence géopolitique et à l'agenda du grand reset, le mondialisme efface de plus en plus l'idéologie basée sur la liberté de mouvement, et donc de circulation, et donc d'abolition des frontières, mais seulement sur l'immigration, le wokisme, la peur et la menace, tout en restreignant les libertés d'esprit, du sanitaire et bientôt de toute consommation (énergétique, carbone et alimentaire). Ce mondialisme cherche aussi à faire de toute la Terre un immense hypermarché dans lequel tous les pays seraient des rayons sans culture, ni spiritualité ni humanisme, mais plutôt des hôtels ou espaces de totale liberté accessibles seulement aux ultra riches, car ils seront les seuls à pouvoir supporter l'inflation ou payer les amendes liées au dépassement de la limite des possibles futurs pass énergétique, carbone et alimentaire. Ce qui correspond dans le fond à un système populicide.
Or vu l'interdépendance et l'interconnexion liée au mondialisme, il faut donc bien tendre à un localisme modéré pour commencer à lutter contre lui. D'ailleurs la solidarité fondamentale, correspondant principalement à celle familiale et locale (du voisinage au communal, voire jusqu'au départemental et régional), revient en force comme le prouvent les grands parents revenant chercher les petits enfants à l'école. Surtout que ce localisme devient la seule solution face aux incohérences structurelles très nocives du mondialisme, car elles ont prouvé qu'il faut produire le plus qu'on peut chez soi en particulier les besoins essentiels (eau, nourriture, électricité, vêtements, éducation, comme le prouve le livre blanc du ZYRRI à l'adresse http://zyrri.io/zyrri.pdf). En effet la relocalisation est synonyme de beaucoup moins de gaspillage et de gens mieux payés. D'autant plus que le rythme abusif de la période industrielle était seulement supportable, car il améliorait les conditions de vie de chacun, alors qu'avec le niveau de technologie et de science atteint actuellement, ce retour à un mode de vie édenique car plus modeste et moins stressant paraît encore plus nécessaire. Or pour l'instant le localisme en autarcie au niveau d'une famille ou d'une petite communauté est apparemment plus possible dans les pays pauvres, sauf s'il y a un revenu complémentaire et la proximité d'un grand village ou d'une petite ville, car sinon pour un occidental moyen, il faut généralement être prêt à diminuer son rythme voire son niveau de vie d'au moins 70 %. Or l'autonomie permet de ne pas payer la zakat, mais il est mieux de tendre à commercer au moins au niveau départemental pour participer au maintien de la nation même par le paiement d'une zakat modeste. Pour combattre au mieux la dictature républicaine oligarchique, il faut, encore au niveau de la commune puis du département, s'organiser en plus à travers des associations (comme pour l'école à la maison), la survie, l'opposition au pass (sanitaire ou autre), des référendums d'initiative locale et l'amélioration des institutions, afin d'aller ensuite motiver les petits commerçants à ces projets populaires voire révolutionnaires. En effet afin de lutter contre les crises provenant du globalisme, la France doit repenser sa résilience locale, sortir des dogmes économiques mondialistes, organiser une démocratie plus directe en remettant le pouvoir au centre de la cité (commune, ville), réfléchir à la justice sociale, établir la vérité climatique et se prévenir des risques financiers. D'autant plus que les problématiques climatiques, économiques et sociales sont évidemment changeantes en fonction des régions, et que ce localisme 2.0 sera probablement logiquement le système de l'Eden terrestre complété possiblement à travers la technologie dont de la blockchain et de la cryptomonnaie éthiques. En effet il paraît important de faciliter et d'améliorer l'avènement de ce moderne localisme rural dont par l'informatique, la technologie moderne, des objets connectés et l'intelligence artificielle bien comprise, puisque cette dernière étant un outil elle peut aussi servir l'intérêt général. D'ailleurs l’intelligence artificielle a déjà été utilisée pour détecter le cancer de la peau avec plus de précision que les dermatologues humains, et une IA Microsoft a même inventé un nouveau matériau pour batterie dans l'un des laboratoires PNNL (Pacific Northwest National Laboratory) appartenant au département de l'Énergie des États-Unis, vient de mettre au point un nouveau matériau de batterie. L'IA peut aussi identifier la rétinopathie diabétique avec une précision de 97 %, surpassant les ophtalmologistes de 17 %. Elle peut également analyser l'état d'une entreprise rapidement et exhaustivement. Et ça s’améliore tout le temps...
D'ailleurs l'utilisation de l'IA pourrait aller jusqu'à diriger des nanorobots médicaux. L'utilisation responsable de l’IA peut donc être bonne dans l’industrie et la société.
Mais il faut faire attention que les IA n'isolent pas, ne polarisent pas les réseaux sociaux, ne remplacent pas le peu d'amis restant, et ne favorisent donc pas la préférence du virtuel au réel. Or les véritables connexions humaines transcendent la superficialité des IA par essence sans âme ni conscience, et les IA peuvent sortir sagement certains de l'isolement dont donnant de bons conseils particuliers de même évidemment que beaucoup de science.
En effet l’IA ne sera jamais une entité consciente, mais simplement une programmation utilisant des réseaux de neurones artificiels et des techniques avancées de traitement de l’information. Il est important de comprendre cela pour éviter les idées fausses et les peurs infondées.
Par ailleurs la Coalition des droits sur le réseau (CDR) appelle à l’établissement de règles minimales pour garantir que les systèmes d’IA favorisent l’innovation fondée sur les droits de l’homme, l’éthique et la responsabilité.
Car l’IA peut tuer l’âme des peuples si des mesures urgentes ne sont pas prises pour la protéger du virus
de l'idéologie occidentale lgbtiste, mondialiste, oligarchique, franc-maçonne et américano-sioniste.
« Les élitistes se concentrent de plus en plus sur la fusion du monde humain et du monde numérique. Ils veulent fabriquer la nécessité de l’IA parce que la dépendance de l’homme à l’égard de la technologie sert les objectifs de la centralisation. Mais à quoi cela ressemblerait-il en réalité ? Eh bien, il faut que la population continue à devenir plus stupide tandis que l’IA s’intègre de plus en plus à la société. il est aujourd’hui largement admis qu’une formation universitaire n’est pas un gage d’intelligence ou de compétence. Des millions de diplômés entrant sur le marché du travail aujourd’hui font preuve d’un niveau d’incompétence déconcertant. Cela s’explique en partie par le fait que les enseignants sont moins compétents, qu’ils ont des préjugés idéologiques et que le programme d’études moyen s’est dégradé. Mais nous devons aussi commencer à prendre en compte le nombre d’enfants qui suivent leur scolarité en utilisant ChatGPT et d’autres outils de triche.  Cette tendance est inquiétante, car les êtres humains ont tendance à emprunter le chemin le plus facile dans tous les aspects de la survie. La plupart des gens ont cessé d’apprendre à cultiver leur nourriture parce que l’agriculture industrielle le fait pour nous. Ils ont cessé d’apprendre à chasser parce qu’il y a des abattoirs et des camions frigorifiques. Aujourd’hui, de nombreux Zennials sont incapables de se faire à manger parce qu’ils peuvent recevoir des plats à emporter à leur porte à tout moment. Ils ne parlent presque plus au téléphone et ne créent plus de communautés physiques parce que les textos et les médias sociaux sont devenus les intermédiaires de l’interaction humaine. Oui, tout est «plus facile», mais cela ne veut pas dire que tout est mieux (si ce n'est pas utilisé intelligemment). La gouvernance de l’IA est inévitable selon les institutions globalistes. Elles prétendent qu’un jour, l’intelligence artificielle sera utilisée pour gouverner des sociétés entières et infliger des punitions sur la base de modèles scientifiquement efficaces. Ils agissent comme si c’était la voie naturelle de l’humanité et que nous ne pouvions pas l’éviter, mais en réalité, il s’agit d’une prophétie auto-réalisatrice. Ce n’est pas nécessairement censé se produire, mais c’est conçu pour se produire. Les partisans de l’IA affirment que les algorithmes ne peuvent pas agir avec les mêmes préjugés que les humains, et qu’ils seraient donc les meilleurs juges possibles du comportement humain. Chaque décision, de la production à la distribution, en passant par les soins de santé, la scolarité et l’ordre public, serait gérée par l’IA afin de parvenir à une “équité” ultime. Or on attends toujours le moment où l’IA fera quelque chose de significatif ou encore mieux de majeur en termes d’avancement des connaissances humaines ou d’amélioration de nos vies. Comme indiqué plus haut, ils se sont déjà heurtés à l’obstacle des probabilités statistiques et au fait que, même si l’on laisse l’IA prendre de manière autonome des décisions dénuées d’émotions, des millions de personnes considéreront toujours ces décisions comme biaisées. Et, d’une certaine manière, ils auraient raison. La décision la plus logique n’est pas toujours la plus morale. En outre, une IA est programmée par son créateur et peut être conçue pour prendre des décisions en tenant compte des préjugés de ce dernier. Qui programme l’IA ? Qui peut dicter son codage ? Des élitistes globaux ? Les globalistes ont effectivement une religion, et que leur système de croyance fondamental est, selon les preuves, le luciférisme. La philosophie luciférienne est faite sur mesure pour les personnes narcissiques et sociopathes. La racine du culte concerne des êtres humains “spéciaux” qui ne sont pas entravés par les limites de la conscience, de la morale ou de l’éthique (tels les suprémacistes de tout bord). Le manque d’empathie est considéré comme un avantage pour le progrès et le but ultime du luciférisme est la divinité – une personne devenant comme un dieu, que ce soit en étant adulée par les autres, par le pouvoir d’influence ou par des méthodes technologiques permettant de prolonger la vie et les capacités. Je crois que les globalistes considèrent l’IA avec une telle vénération parce qu’ils pensent qu’il s’agit d’une nouvelle forme de vie, ou d’une forme ultime de vie – une vie qu’ils créent (comme les dieux créent la vie). Et, si vous y pensez symboliquement, cette nouvelle “vie” est en fait faite à l’image de ses créateurs : Elle n’a aucune empathie, aucun remords, aucune culpabilité, aucun amour. Par manque d’un meilleur mot, elle est sans âme, tout comme les psychopathes globalistes sont sans âme. » (Brandon Smith)


Or « "Avec l'introduction de l'intelligence artificielle dans la science, l'éducation, la santé et dans toutes les sphères de notre vie, l'humanité entame un nouveau chapitre de son existence", a expliqué le président russe Vladimir Poutine. L’introduction de l’automatisation et de l’IA créeront les conditions d’une croissance des revenus des citoyens, le nombre d’emplois modernes nécessitant des compétences sérieuses, et donc un niveau de salaire plus élevé », a-t-il estimé. Durant son discours, Poutine a également fustigé la capacité de moteurs de recherche occidentaux à ignorer ou effacer la culture russe. "La domination monopolistique de telles créations étrangères en Russie est inacceptable, dangereuse et inadmissible", a-t-il déclaré, exhortant son gouvernement à prendre "une longueur d'avance". Vladimir Poutine a appelé le gouvernement et les entreprises membres de l'Alliance pour le développement de l'IA à travailler à l'augmentation de la capacité des superordinateurs russes, et a jugé impératif d'élargir la formation des scientifiques et de développer un programme éducatif axé sur l'IA. "Il y aura des limites (à l'IA), mais nous ne pouvons pas l'interdire", a fait remarquer Vladimir Poutine, plaidant pour une "utilisation raisonnable". À cet égard, la "culture traditionnelle" pourrait s'avérer "le régulateur éthique le plus naturel du progrès technologique"(, et tout scientifique et entrepreneur allant au-delà des limites pieuses montre donc qu'il n'a pas la foi ou qu'il a une foi en partie incorrecte). (En effet nous vivons une époque ou le lien entre la machine et l'homme est autorisé quand il s'agit de bienveillamment guérir quelqu'un et tant que ça ne dépasse pas la nature humaine comme une force, une vision, une écoute ou un apprentissage surhumains (dont avec prothèse bionique, transhumanisme, puce électronique), ou des nouveaux sens tels entendre le couleurs avec une antenne greffée dans le cerveau à l'image de Neil Harbisson ou se connecter à un ordinateur via une puce dans le cerveau à l'image de la volonté d'Elon Musk, puisque Jésus a souvent guéri miraculeusement dont un paraplégique, de même que Mouhamed dont un œil sorti de son orbite... « Les relations entre les époques et les civilisations sont la base de la paix et du développement », a aussi déclaré dans ce sens Vladimir Poutine. D'ailleurs l'union européenne a trouvé un accord concernant la régulation de l'IA. Or comme l'IA correspond à une optimisation économique, professionnelle et scientifique, il va ya avoir un changement radical de l'organisation sociale et économique des pays par l'IA en particulier ceux basés sur les services surtout que par exemple personne ne songerait par exemple à revenir à la mécanisation de production de tissu plutôt qu'à la manufacture industrielle de tissu, et que cela va très probablement faire apparaître le revenu universel.) » (Extraits article French Press TV)
(L’effondrement des modèles (si le web est saturé de contenus créés par ces IA, et que de nouveaux modèles s’entraînent dessus, un décalage progressif s’opère, et les modèles produisent alors des réponses de plus en plus biaisées et déconnectées de la réalité, jusqu’à l’effondrement) s’ajoute à la longue liste des défis que l’IA doit relever pour tenir ses promesses : biais algorithmiques, explicabilité, robustesse, alignement avec les valeurs humaines... La route vers une IA digne de confiance est encore longue. D'ailleurs il faut faire très attention à l'apparition de blanchiments de courtoisies concernant des personnalités condamnées par la justice et d'autres processus de manipulation des IA non souveraines ou étatiques, puisque devenant une source de propagande et plus seulement d'informations. Ainsi il faut inventer des IA surveillants les autres IA. Surtout que l'évolution de l'IA a réussi à passer le test de turing, qui vise à déterminer si par le biais d'une conversation en ligne, un ordinateur peut convaincre un humain qu'il est humain. De plus il ne faut évidemment pas tendre comme Bill Gates à vouloir déployer 61 000 satellites à basse altitude pour surveiller précisément toute la Terre avec une IA. En effet il affirme que sa société à elle seule sera capable de surveiller chaque centimètre carré de la Terre, 24 heures sur 24. « Ce que nous créons, c’est une sorte de totalitarisme clé en main, où le prochain régime totalitaire qui interviendra et voudra vraiment réprimer les choses – il aura mis en place tous ces mécanismes comme aucun régime n’en a eu dans l’histoire de l’humanité. » (Robert Kennedy Junior)
Or la surveillance de certains quartiers très fréquentés ou mal fréquentés d'une grande ville par une IA pour la sécurité semble légitime, surtout si ne gardant pas en mémoire les images longtemps. Ainsi même si l'IA est un outil d'une puissance extraordinaire comme l'énergie atomique découverte, elle demeure aussi un outil pouvant être bien utilisé si cela n'a pas de graves conséquences sur la société. D'ailleurs l'IA très puissante d'Elon Musk va sûrement participer à faire des économie au niveau du système administratif US, à améliorer l'organisation de la société voire à aider au niveau de la politique et la géopolitique. C'est pourquoi l'IA doit être utilisable par toutes les nations et éviter leur division. En sachant que géopolitiquement, refuser un outil très puissant amène au risque de se faire dominer et donc de perdre encore plus sa culture face à une nation ou une entité étrangères, et que commercialement cela amène au risque de ne plus être concurrent et donc de faire faillite.)
Vladimir Poutine a donc lancé une stratégie numérique pour la Russie, car si la Russie ne développe pas sa propre souveraineté numérique et sa propre intelligence artificielle, elle sera soumise à la souveraineté numérique et à l’IA de ses ennemis. C'est à dire qu'il faut éviter un processus de décrochage capacitaire et stratégique, surtout en rapport à cette puissante technologie nouvelle qu'est l'IA. Et l'IA devra être orientée principalement vers la solidarité et le progrès raisonnable ne dénaturant pas l’être humain. Dans ce sens, il a aussi expliqué que l'IA pourrait même amener à des accords internationaux tels sur les armes nucléaires, car menaçant possiblement l'existence de l'humanité, en particulier si elle est négativement ou oppressivement utilisée. En effet lorsque les réseaux de connaissances entrent en collision avec une nouvelle technologie, des avenirs différents tendent à apparaître à l’horizon et appellent à la prudence et à un dialogue plus solide.
Microsoft a un budget de recherche environ égal à VINGT FOIS celui du CNRS. Sans surprise donc, ils font des découvertes hors du commun. Après plus de dix ans de recherches et plusieurs échecs, la firme de Redmond a présenté au monde une toute nouvelle méthode pour stabiliser les bits d'information quantique, qui ouvre la voix à une révolution absolument majeure pour tout le 21ème siècle. Ce qu'a présenté Microsoft au niveau de l'IA est au moins aussi important que l'apparition du transistor au 20ème siècle. Leur Majorana Zero Mode ou topoconducteur permet de stabiliser des bits quantiques sans refroidissement extrême, donc de les miniaturiser de sorte que nous pourrions bientôt disposer d'un million de qubits dans n'importe quel ordinateur. Personne ne mesure les conséquences extraordinaires de disposer d'une telle capacité de calcul.

« L’intelligence artificielle se profile comme l’une des révolutions les plus marquantes de l’histoire, surpassant l’électricité, l’automobile ou la bombe atomique. Elle incarne à la fois une puissance sans limites et un risque latent, non par sa nature, mais par l’usage qu’on en fait. Désormais omniprésente, elle façonne l’ingénierie, le commerce, la défense, la santé et jusqu’à notre quotidien en ligne, traquant nos habitudes, influençant nos décisions et remodelant l’économie numérique.  Dans cette course technologique effrénée, aucun pays ne peut se permettre de décrocher sans risquer l’asservissement. L’IA perfectionne les cyberattaques, automatise les chaînes de production et redéfinit la guerre, où la suprématie repose moins sur la force brute que sur l’intelligence des machines. Sur le champ de bataille, les drones bon marché équipés d’IA surpassent des blindés valant des millions, transformant radicalement les stratégies militaires. Face à ces mutations, les grandes puissances investissent massivement : Donald Trump, à peine élu, lance le plan « Stargate » avec 500 milliards de dollars pour asseoir la domination américaine. Mais cette révolution a un coût. La puissance de calcul requise croît de manière exponentielle, faisant de l’IA une vorace consommatrice de ressources. En 2024, son fonctionnement a nécessité cinq milliards de mètres cubes d’eau pour refroidir les infrastructures, plus que la consommation annuelle du Danemark. La quête d’une IA plus sobre énergétiquement devient cruciale, favorisant des pôles d’investissement comme l’Arabie saoudite et l’Iran, riches en capitaux et en énergie solaire. Par ailleurs, la prolifération des drones et des armes autonomes démocratise la puissance militaire, modifiant les équilibres géopolitiques et renforçant les menaces non étatiques.  Au-delà des enjeux techniques, une question obsède : l’IA pourrait-elle mener à l’extinction de l’humanité ? Certains craignent la singularité, ce point où l’intelligence artificielle dépasserait l’Homme et évoluerait de manière autonome. Popularisé par Ray Kurzweil, ce concept évoque un monde où les machines, affranchies de tout contrôle humain, façonneraient leur propre avenir, avec des conséquences imprévisibles sur la société. Loin de la science-fiction, cette dynamique alimente une révolution anthropologique : IA, robotique et transhumanisme redéfinissent déjà notre rapport au réel. Mais le danger réside-t-il vraiment dans l’IA elle-même ? Ou dans le modèle de société qui l’oriente ? La Chine, outre les applications militaires, médicales et industrielles, l’utilise pour renforcer son contrôle social, tandis que les États-Unis, nouvellement conservateurs, privilégient l’innovation commerciale et militaire. La Russie orthodoxe l’intègre également, dopée dans ses recherches par le conflit Ukrainien, mais avec des dynamiques sociétales différentes où tradition et autorité forgent un tout autre équilibre. Chaque nation façonne son rapport à l’IA selon sa propre vision du pouvoir. Cette mutation n’est pas qu’un défi technologique : elle redessine l’ordre mondial et impose une réflexion profonde sur l’avenir de l’humanité. Face aux blocs aux logiques divergentes, l’Europe se distingue par son progressisme universaliste et son attachement, devenu aujourd’hui aussi obsessionnel que dépassé, aux objectifs de l’Agenda 2030 du Forum économique mondial. Exprimé de façon dialectique, son modèle de gouvernance est le fruit d’une synthèse de certains pans des totalitarismes historiques, combinée à son anti-thèse sociétale que représente l’idéologie progressiste décomplexée. À persévérer dans une telle dynamique, l’Europe prend le risque de devenir cette néo-synthèse totalitaire intégrant IA, transhumanisme et ingénierie sociale comme piliers d’un nouveau modèle de gouvernance.  Le progressisme puise dans le transhumanisme : cette idéologie visant à transcender les limites biologiques de l’Homme pour atteindre une condition post-humaine. Dès 1973, Fereidoun M. Esfandiary (alias FM-2030) anticipait un monde où l’individu, détaché de ses racines culturelles et familiales, évoluerait dans un univers globalisé. Les modifications corporelles, la procréation artificielle et l’éducation standardisée formeraient des êtres sans attaches, parfaitement adaptés aux exigences du marché. Ce projet résonne aujourd’hui dans les ambitions du Forum de Davos et l’influence intellectuelle de figures comme Yuval Noah Harari. Le transhumanisme s’étend bien au-delà de la technologie : il imprègne les idéologies contemporaines. La transition de genre, la fusion homme-machine ou la modification génétique s’inscrivent dans cette logique d’émancipation des déterminismes biologiques. D’une typographie semblable à celle de l’idéologie LGBTQIA+, Humanity+, organisation fondée par Nick Bostrom, reflète cette tendance, tout comme sa théorie des simulations, influente dans l’imaginaire collectif et dont le film Matrix à entièrement pompé le concept. Matrix dont les réalisateurs, frères de leur état, se sont aujourd’hui transformés en sœurs. De là à dire que l’idéologie transgenre est un sous-produit du transhumanisme… Par ailleurs la quête d’immortalité transhumaniste soulève des paradoxes. Alors que l’industrie investit massivement dans la médecine régénérative et les interfaces cerveau-machine (Neuralink, Calico), les préoccupations environnementales et sanitaires suivent une logique néo-malthusiennes et façonnent un monde où la croissance démographique est perçue comme un problème. Les politiques de santé privilégient la gestion des maladies plutôt que leur prévention, tandis que l’euthanasie et le suicide assisté se normalisent dans plusieurs pays. Alors à qui se destinerait ce marché de l’immortalité, probablement hors de prix pour le commun des mortels ? La réponse est dans la question. Loin d’être un simple progrès technologique, le transhumanisme pose une question existentielle : en cherchant à transcender sa condition, l’Homme ne risque-t-il pas de se perdre lui-même ? À mesure que l’IA et la robotique redessinent l’avenir, une fracture se profile : entre une élite transhumaniste et une masse reléguée à l’obsolescence. Comme le suggérait Laurent Alexandre en 2019, le futur pourrait bien opposer les « dieux » aux « inutiles », questionnant ainsi la place de l’humain dans un monde façonné par l’intelligence artificielle et la biotechnologie.  Le danger ne réside pas tant dans la technologie elle-même que dans les modèles de société que nous avons bâtis au fil du temps. Le monde moderne a sacrifié l’être sur l’autel de l’avoir, instituant une civilisation du paraître où domine une vision matérialiste de l’homme et de ses interactions. Jadis, la morale chrétienne constituait un rempart contre la réification de l’être humain. Mais les grandes mutations historiques – l’essor du protestantisme, le libéralisme économique, l’universalisme maçonnique d’influence judéo-protestante – ont progressivement sapé cet équilibre, facilitant l’avènement du matérialisme et du relativisme moral.  La Révolution française illustre ce basculement. Alors que la Révolution industrielle transformait l’Angleterre, la France abolissait les structures traditionnelles freinant le libéralisme économique par le biais de sa révolution. Ces changements favorisaient l’émergence d’un capitalisme sans entrave, celui que Zola dépeindra plus tard dans Germinal. Le XIXe siècle, avec Marx et Engels, consacra un matérialisme dialectique où les structures économiques et matérielles déterminent les idéologies et les institutions dans un monde purement athée. Qu’on le veuille ou non, le Marxisme a contribué à faire apostasier la classe ouvrière, la rendant ainsi plus compatible avec le marché et la société de consommation. C’est dans ce contexte matérialiste et concurrentiel qu’il faut appréhender l’intelligence artificielle. Bien plus qu’une simple avancée technologique, elle incarne l’ultime étape de la réification de l’homme, amené à devenir un simple un rouage optimisable dans la machine du marché. La robotique et l’IA forment une combinaison explosive qui risque d’accentuer les inégalités : selon le FMI, près de 40 % des emplois mondiaux seraient menacés, une proportion atteignant 60 % dans les économies avancées. Ceux qui maîtriseront l’IA connaîtront un essor fulgurant, tandis que les travailleurs aux tâches automatisables seront relégués à l’obsolescence.  Cette fracture ne se limite pas aux individus : elle divise aussi les nations. Les pays technologiquement avancés creuseront leur avance, tandis que d’autres, faute d’infrastructures, seront marginalisés. Pendant ce temps, les gouvernances, de plus en plus déconnectées des volontés populaires, imposent des diktats sous couvert de progrès. L’érosion des libertés fondamentales et la numérisation intégrale de la monnaie est déjà palpable. L’IA seule n’est qu’un outil, mais combinée à une ingénierie sociale et politique redoutable, elle deviendrait l’instrument d’une domination absolue. Pis encore, un tel modèle de société pourrait soumettre les Hommes à la tyrannie algorithmique non par conviction, mais par nécessité : dans une société intégralement dématérialisée, y compris la monnaie, les Hommes seraient conduits à protéger les serveurs qui abritent leur possessions, sous peine de ne plus exister. » (Francois Dubois)
Philippe Guillemant souligne que l’IA, bien qu’impressionnante dans sa capacité à traiter le langage naturel, ne possède pas de conscience ni de capacité à faire des choix véritables. Elle reste un outil puissant pour explorer des données et présenter des perspectives multiples, mais elle ne peut pas prendre de décisions basées sur des émotions ou une conscience vibratoire, propre à l’humain.  Il met en garde contre la tentation de confier des décisions cruciales à l’IA, ce qui, selon lui, mènerait à une perte de notre humanité. Il appelle à un réveil collectif pour redécouvrir la véritable intelligence, liée à la conscience et à la capacité d’adaptation, et à ne pas se laisser fasciner par une illusion de pensée artificielle.
Certains disent même que les changements liés à l'invention et l'utilisation de l'IA changera le monde plus rapidement et vastement au 21e siècle, que la découverte puis l'utilisation des ondes radios étant ce qui a le plus changé le monde au 20e siècle. Mais l'IA doit rester un outil et ne pas devenir une finalité, surtout à l’heure où les États sont tentés par le contrôle total des peuples qu’elle rend particulièrement possible si elle est associée perversement à la numérisation massive de la société. D'autant plus que la plus grande limite de l'IA est la rigidité dans l'interprétation de la fonction objective. C'est à dire que lorsque le contexte d'application est dynamique et riche en variables, cela peut changer l'équation entière et par conséquent le résultat, même si dans des contextes spécifiques et circonscrits, les IA sont capables de résoudre des problèmes avec une précision de performance inégalable. Il est très important prendre en compte que l'IA ne peut pas devenir consciente même si elle devait parvenir à jouer cette réalité très bien, car c'est impossible sans esprit divin insufflé. Enfin l'IA facilitant tojours plus le travail des hommes, la production de l'énergie est dans un sens devenue plus importante que la main d’œuvre.
De même, comme l’automobile a représenté une avancée qui a modifié de nombreux aspects de notre mode de vie qui étaient les mêmes depuis des milliers d’années, les rendant primitifs, nous pouvons nous attendre à ce que les changements qu’apporteront Bitcoin soient tout aussi significatifs.
« Bitcoin n’est pas simplement de l’argent qu’on utilise sur Internet. C’est la première fois que nous avons un système décentralisé et sans confiance, où vous pouvez transmettre de la valeur à travers le monde sans avoir besoin d’intermédiaires. Les implications de cette rupture (invention des cryptomonnaies) sont si profondes qu’elles remettent en question la nature même de l’économie et de l’État (et peuvent amener naturellement un retour du califat bien guidé au niveau économique dont par sa transparence). C’est une innovation qui a le potentiel de changer le monde de manière aussi radicale que l’Internet lui-même l’a fait. » (Andreas M. Antonopoulos)
Nous connaissons aussi la nanotechnologie ; ce monde microscopique qui nous offre des possibilités gigantesques. Par exemple, il pourrait nous permettre de fabriquer des médicaments plus efficaces et plus avancés, comme la biomédecine, qui peuvent cibler et attaquer les cellules cancéreuses de manière sélective sans nuire aux cellules saines. Cela nous permet également d'augmenter la durée de vie de l'électronique en nous permettant de fabriquer des circuits plus précis pour nous permettre d'obtenir et de stocker de l'énergie de nouvelles façons. Et c'est formidable, mais pour que nous puissions récolter les bénéfices de la nanotechnologie, il y a un problème simple qui nous empêche d'y arriver. Et ce problème simple qui est très difficile à résoudre est que nous sommes capables d'interagir avec et manipuler des nano-cellules et des nanoparticules.
Or un paraplégique remarche grâce à des implants cérébraux et médullaires et à une interface cerveau-moelle épinière développée par le CEA et l’EPFL. C'est à dire qu'il peut marcher en contrôlant ses jambes par la pensée. Gert-Jan peut se lever, se tenir debout, marcher et monter des escaliers en contrôlant l’amplitude et le rythme de ses pas uniquement en y pensant. Après six mois d’entraînement, les chercheurs ont noté qu’il avait progressivement récupéré des fonctions neurologiques liées à la marche et à l’équilibre. Ces résultats suggèrent que la synchronisation de l’activité cérébrale et du mouvement a favorisé la formation de nouvelles connexions nerveuses, ce qui prouve encore la supériorité et l'amont de l'esprit sur la matière.
De plus « Si on commence à raisonner en terme de physique quantique plutôt qu’en physique classique, il y a une propriété essentielle qui va être le fil conducteur de notre exposé. C’est qu’un objet quantique – alors j’appelle un objet quantique, une particule qui est plus petite qu’un atome, qui est contenu dans l’atome, ou l’atome lui-même, les molécules et même les cellules –, ces objets quantiques ont une double dimension : une dimension corpusculaire et une dimension vibratoire simultanément. Donc revisiter la médecine avec la physique quantique sert à donner au vivant une dimension supplémentaire qui est la dimension vibratoire. Soigner un corps vibratoire par la vibration, ce n’est pas un raisonnement ésotérique, occulte, paranormal, c’est tout simplement cohérent. Et donc on peut utiliser différentes ondes, les ondes acoustiques, les infrarouges, on utilise même en médecine allopathique les UV, à une époque le traitement du psoriasis se faisait avec les ultraviolets... Qu’est-ce que la radiothérapie si ce n’est que d’utiliser des rayons gamma… ou les rayons X. Vous voyez bien qu’on utilise la vibration mais on n’a pas étendu le champ d’application de la vibration en dehors de la radiologie, c’est cela qui est assez curieux, c’est pour cela que je parle d’une sorte de « schizophrénie ». » (Philippe Bobola, Docteur en physique et spécialiste en biologie et en psychanalyse aldérienne)
« Les avancées dans le domaine de l’interface cerveau-machine via des puces greffées dans le cerveau, telles que celles développées par Neuralink, ont le potentiel d’avoir un impact significatif sur le traitement de diverses maladies et affections, notamment :
-Paralysie : Les interfaces cerveau-machine peuvent offrir de nouvelles opportunités de communication et de contrôle moteur pour les personnes atteintes de paralysie. En permettant aux individus de contrôler des dispositifs externes, comme des prothèses robotiques ou des fauteuils roulants, par la pensée, ces technologies peuvent améliorer leur qualité de vie et leur indépendance.
-Maladies neurodégénératives : Pour les personnes atteintes de maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson ou la sclérose latérale amyotrophique (SLA), les interfaces cerveau-machine pourraient aider à restaurer la fonction motrice et à améliorer la communication. Ces technologies pourraient également permettre un meilleur contrôle des symptômes et une gestion plus efficace de la maladie.
-Problèmes de communication : Les interfaces cerveau-machine offrent également des solutions potentielles pour les personnes souffrant de troubles de la communication, tels que l’aphasie après un AVC ou les troubles du spectre autistique. En permettant aux individus de communiquer directement par la pensée, ces technologies peuvent aider à surmonter les obstacles à la communication et à améliorer l’inclusion sociale.
-Déficiences sensorielles : Pour les personnes atteintes de déficiences sensorielles, telles que la perte de vision ou de l’ouïe, les interfaces cerveau-machine pourraient permettre de restaurer ou de fournir les fonctions sensorielles altérées. Par exemple, des implants cérébraux pourraient être utilisés pour créer une vision artificielle ou pour traduire des signaux auditifs en stimuli neuronaux compréhensibles. » (Média en 4-4-2)
Ainsi le futur bien compris synonyme d'Eden terrestre complété est à nos portes avec son lot d’inventions bénéfiques et d’avancées technologiques qui pourront être utilisés dans divers domaines tels que la médecine, l’exploration spatiale, les opérations de sauvetage et donc le développement rural, surtout qu'au niveau citadin ces avancées technologiques peuvent causer d'autres problèmes telles la perte d’emplois, la surveillance oppressive et la perturbation des équilibres économiques et sociaux.
Dans ce sens, le recyclage des déchets possiblement par la biologie voire la chimie intelligente est aussi une des questions majeures à régler pour le futur. Il s'agit de transformer en actif (richesse) le déchet qui est passif. Il faut donc parvenir à faire rencontrer le bon déchet avec la bonne connaissance, pourquoi pas l'IA, surtout que aucun humain ne veut regarder ses poubelles. Dans ce sens, il existerait des champignons se nourrissant des déchets nucléaires, comme il existe déjà la transformation en champignons de l'amiante, de métaux lourds, du plastique et de polluants organiques dont kérosène, mais pas sur la mer dont au niveau des marées noires, car il existe peu de champignons dans ce milieu, et dans ce sens il faudrait donc plutôt chercher au niveau de certaines bactéries.
Or les aspects limités de l'IA sont bien expliqués dans cette vidéo « CHATGPT ET LA DIGNITÉ HUMAINE » à l'adresse https://youtu.be/OC9rb1zjUwA.
De même l’appropriation technologique de la médecine peut devenir un danger pour l’Homme. Si l’on considère l’homme comme une mécanique, il faut alors admettre – pour paraphraser Victor Frankl – que le malade n’a plus besoin de médecin. Seulement d’un technicien ! L’évolution de la médecine moderne a suivi fidèlement la vision mécaniste de l’homme et du monde. Elle se reflète dans la transformation essentielle du métier de soigner, tout en illustrant la dénaturation d’un art en technologie, alors qu'il s'agit aussi de prendre profondément en compte le contexte. L’introduction de la technologie est-elle à l’origine d’une amélioration des soins et d’une meilleure prévention ? Rien n’est moins sûr, bien au contraire. La médecine technologique se tient sur une pente glissante, et ses potentielles évolutions ont de quoi faire frémir.
« L’intelligence artificielle (IA) a pénétré le domaine médical avec la promesse d’une amélioration de la précision et de l’efficacité, tant du diagnostic que du traitement. Restons ouvert, au moins pour la beauté du progrès en marche. Abandonner des tâches rébarbatives et sans valeur ajoutée à qui peut le faire sans défaillance, et se libérer du temps pour des choses plus intéressantes, plus précises ou plus vastes, quoi de mieux en effet. En réalité, rien ne va vraiment changer. Nous resterons dans la continuité de ce qui se faisait avant, sans bien sûr remettre en question la manière de soigner, mais avec en plus l’alibi de l’infaillibilité de la technologie voire donc du diagnostic précoce et de la chirurgie. On peut craindre en revanche que l’utilisation de l’IA soit une étape de plus dans la standardisation de la médecine et dans l’abandon du qualitatif au profit du quantitatif. Avec en perspective, la possible difficulté de devoir se défendre contre un programme qui prétendra tout savoir de nous, dont des problèmes ou des prédictions que nous ne voulions pas vérifier et amplifiant donc exagérément les prises en charges, alors que ce programme pourrait en plus être corrompu si l'algorithme a été mal paramétré. Il faudra donc humainement encadrer les résultats, et évidement aussi auparavant, faire le choix du protocole d’examen adéquat et de la conduite à tenir à l’issue de cet examen. » (ER)
Mais il est donc quand même crucial de continuer à surveiller les développements de ces technologies et de réfléchir à leurs conséquences à long terme pour s’assurer que leur utilisation est éthique et bénéfique pour tous. D'ailleurs l’exposition à la réalité virtuelle peut perturber le système sensoriel et entraîner des symptômes tels que des nausées, des vertiges, des sueurs, une pâleur, une perte d’équilibre, etc, regroupés sous le terme de « maladie de la réalité virtuelle ». De plus il faut aussi absolument éviter les possibles dérives basses du metaverse dont celle pouvant autoriser les contenus pédophiles quand ils sont des images informatiques de synthèse en particulier celle créées par des IA. D'ailleurs « Des pédophiles utilisent l'IA pour créer des images réalistes d'abus sexuels sur enfants, accessibles via des plateformes comme Patreon et Pixiv. Ces dérives montrent les dangers de l'intelligence artificielle détournée à des fins criminelles.  Selon une enquête de la BBC, des pédophiles utilisent l’intelligence artificielle pour produire et vendre du matériel d’abus sexuel d’enfants d’apparence réaliste. Certains accèdent à ces images en souscrivant des abonnements à des comptes sur des sites comme Patreon. Bien que Patreon ait déclaré avoir une politique de « tolérance zéro », la police a critiqué la plateforme qui réalise d’énormes bénéfices sans assumer de responsabilité morale.  Les créateurs de ce matériel utilisent un logiciel d’IA appelé Stable Diffusion, initialement destiné à la génération d’images artistiques ou graphiques. Cependant, la BBC a découvert que ce logiciel était utilisé pour créer des images d’abus sexuels réalistes impliquant des enfants, y compris des viols de nourrissons. » (Média en 4-4-2)
Or le metaverse ne correspondant pas à la lumière divine du réel nourrissant l'âme ni à la solidité du réel stabilisant l'esprit, il est probable que les gens ne puisse tenir longtemps dans cette virtualité, même si elle peut être parfois utile sans excès. De même il y a un certain nombre de choses que nous pouvons faire pour prévenir les dangers de l’IA, comme limiter l’utilisation de l’IA dans certaines situations et industries où cela pourrait causer des dommages, comme veiller à ce qu’il y ait toujours des humains pour prendre des décisions en cas de besoin, et comme éduquer les gens sur le fonctionnement de l’IA afin qu’ils soient plus conscients de son impact potentiel sur eux. C'est à dire que ce changement civilisationnel liant la gestion de la nature, le monde rural et la production aux outils technologiques modernes et à l'intelligence artificielle pourrait être synonyme d'un nouveau paradigme dans lequel serait créé des richesses de manières éthique, en particulier à travers le partage équitable entre la créativité, le travail et le capital. Le paradigme post-moderniste, la fin de l'Histoire, l’ère messianique, l'Eden terrestre complété est une synthèse de restauration, de complétude et d’excellence. Cependant il n'est probablement atteignable que par les personnes ayant un réel bon sens, une grande piété ou une culture suffisante. Surtout qu'il apparaît de plus en plus que nous sommes à la fin du cycle moderniste dont à travers l'inflation, une concurrence à outrance, la tyrannie financière, la monopolisation économique, la reconnaissance que le confort n’accomplit pas pleinement, et la fuite en avant de la technique et de la technologie... Ce qui indique donc que nous sommes possiblement proches d'entrer dans l'époque authentiquement messianique.
Or tant qu'une grande partie de l'humanité ne se sera pas ennoblie hautement, cet empêchement d'accéder à l'énergie propre illimitée et à la guérison contre le cancer peut donc aussi être une nécessité divine contrôlant le nombre d'humains par rapport à la subsistance créée et préservant ainsi la survie de l'humanité. De même, les récents pièges à phéromones pour lutter contre les invasions de criquets représentant une percée dans la lutte contre les ravageurs ne seront définitivement utile que si les humains s’ennoblissent.
Extraits de l'article « Quel est votre niveau de santé ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Quel-est-votre-niveau-de-sante-69855.html :
« Vous pouvez collectionner les symptômes, mais manifester toutefois un très bon état général. Vous pourriez à l’inverse être dans un état critique, en mauvaise santé, et n’avoir rien ou pas grand-chose à décrire à votre médecin. Bien que cette notion soit contre-intuitive, la maladie ne constitue pas le critère de gravité. Ce dont il faut s’inquiéter en revanche, c’est du « niveau de santé » de celui qui la développe. Le pronostic en sera très différent !
Le concept de niveau de santé a été développé par l’homéopathe grec George Vithoulkas. Il est une clé de compréhension non matérialiste (incontournable de nos jours) pour comprendre les mécanismes de la santé et de la maladie. Il est tout à la fois un système cohérent et éclairant, et un outil de travail. Car cette grille de lecture permet de se repérer, et de mieux accompagner les malades dans la remontée vers un niveau d’énergie et de réactivité compatible avec la définition de la santé au sens large du terme. Cette largeur de vue, cet « état complet de bien être physique, mental et social qui ne consiste pas en une absence de maladie » nous vient de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Or, si cette belle définition est systématiquement mise en avant dans les textes et les intentions, notre système de soin moderne rend son application quasiment impossible.
Comprendre le fonctionnement des médecines traditionnelles ou de l’homéopathie nécessite de pénétrer l’univers de « l’énergie vitale », cette entité non matérielle mais bien substantielle, niée et moquée par la médecine moderne qui la cherche toujours en vain sous ses microscopes grossissants. Pour se faire une idée générale, on peut définir la force vitale comme le potentiel de réaction de l’organisme face aux agressions, c’est-à-dire aux stimuli positifs ou négatifs. Car bien sûr, même si c’est beaucoup plus agréable à vivre, les chocs heureux, eux aussi, usent notre capital nerveux et notre réserve en énergie vitale. Mais le corps est bien fait et s’auto-équilibre en permanence. Cette capacité de régulation automatique est tout simplement ce que Claude Bernard avait désigné sous le terme d’ « homéostasie ». Vu sous cet angle, pour qu’un organisme soit en bonne santé et la conserve, il faut qu’il ait suffisamment de ressort, d’énergie pour maintenir son état d’équilibre naturel. Le corps est donc capable de s’autoréguler tout seul, jusqu’à un certain point, c’est-à-dire tant qu’il a suffisamment de réserve énergétique pour le faire. C’est donc cette réactivité qu’il faut viser, plus qu’une normalisation « forcée » des analyses médicales, à coup d’interventionnisme chimique. Bonne nouvelle, il existe une voie pour l’y aider, de manière douce et sans effets secondaires, en stimulant le mécanisme de défense qui s’occupera ensuite de faire les réglages lui-même.
Constantin Hering avait observé que l’état maladif d’une personne progresse de l’extérieur vers l’intérieur, affectant progressivement des organes de plus en plus nobles. Il avait également observé que la guérison (qui n’est donc pas la disparition des symptômes) empruntait le même chemin que la maladie, mais à l’envers. La nature démontre une logique imparable ! Fait remarquable, le modèle est constant et se vérifie dans d’autres branches, comme l’acupuncture par exemple. La guérison procède donc de l’intérieur (principalement de la fitra) vers l’extérieur, et en sens inverse de l’ordre d’apparition des symptômes.
Un peu comme si on rembobinait l’enchaînement morbide des différentes pathologies de la personne jusqu’à retrouver le niveau de santé initial. George Vithoulkas a poussé plus loin les constations de Hering, et pour finir Édouard Broussalian et son complice Jean-Claude Ravalard ont traduit et affiné le concept pour un public francophone.
Il n’est pas confortable de le dire, mais les multiples médications ne font que refouler toujours plus profondément la pathologie. Rien n’a été rembobiné : on a juste fait passer à la trappe le symptôme qui dépassait. Or, les traitements suppressifs ont un effet négatif sur le niveau général de santé, à la fois sur le plan mental, émotionnel et physique. Il est parfaitement possible d’illustrer la théorie par la pratique en cabinet, en se penchant sur le suivi et l’observation des patients sur de longues périodes. La morale de l’histoire, c’est que la valeur thérapeutique d’un médicament devrait être évaluée selon sa capacité à soutenir (et non pas entraver) la réaction de défense du corps, pour ramener l’organisme à son homéostasie.
Il devient urgent de saisir la nécessité d’introduire des traitements capables de stimuler positivement l’énergie vitale et le mécanisme de défense, au lieu de l’étouffer. Car il nous faut faire le constat que la médecine de masse et ses médications chimiques systématiques sont corrélées à l’augmentation des maladies chroniques systémiques, qui envahissent la population de plus en plus, et de plus en plus tôt.
La classification en 12 niveaux de santé, répartis en 4 groupes, est arbitraire mais fonctionnelle.  Plus on descend (dans cette échelle), plus la réactivité s’affaiblit, le système immunitaire se dégrade, et la sévérité des pathologies s’accentue. On voit apparaître un état d’épuisement continu, plus ou moins associé à un état d’indifférence sans joie, quand ce n’est pas une dépression tenace et permanente. Au bas de cette échelle, les maladies seront difficiles à traiter ou incurables. Mais cette classification n’est pas fixée dans le marbre. Tant qu’un minimum de réaction vitale persiste, nous pouvons toujours stimuler le système de défense, et espérer une remontée dans les niveaux de santé. Pour simplifier on pourrait écrire l’équation : Force vitale = capacité de réaction = capacité de guérison. Si les traitements suppressifs nous font inexorablement dégringoler, nous avons fort heureusement la possibilité de remonter, par un traitement énergétique bien choisi (plus le jeûne et le sport quand c'est possible).. Ce n’est que lorsque le stade lésionnel irréversible est atteint qu’il nous faut renoncer au chemin de la guérison pour nous contenter de traitements palliatifs. Au quotidien également, notre état d’énergie est en perpétuelle fluctuation. Il est le reflet de nos adaptations aux stress internes et externes. On pourrait ainsi parler d’état dynamique permanent, que nous pouvons soutenir activement par une hygiène de vie équilibrée.
Ainsi dans les niveaux de santé élevés, des bactéries telles que les streptocoques et les staphylocoques sont aisément éliminés par antibiothérapie, au prix d’un affaiblissement du système immunitaire. Cette altération de santé permettra à un autre type de bactéries beaucoup plus virulentes, tel que Proteus de se développer lors d’une affection aiguë inflammatoire. Hélas, il faut s’attendre à observer une baisse collective du niveau de santé de la population mondiale. La majorité des peuples a subi ses trois dernières années à la fois la pression de stress psychologiques intenses, entre peurs et enfermements, ainsi que des médications suppressives, répétées et rapprochées. Si l’on doit rajouter à cela la paupérisation et l’incertitude de l’avenir, le tableau est complet. Fleurissant sur un terrain se dégradant sans cesse, il est fort probable que nous voyions apparaître de nombreux pathogènes, peut-être inconnus mais certainement résistants, qui iront nourrir à leur tour le cercle vicieux de la peur et des profits. Il faut s’attendre à ce que la stratégie médicale belliqueuse continue sur sa lancée, et que soient essayées de nouvelles médications plus agressives encore. Sourds aux avertissements d’Einstein, l’autorité médicale cherchera à résoudre le problème en réfléchissant de la même manière qu’il a été créé. Mais je fais le pari que nous serons de plus en plus nombreux à y voir clair. De plus en plus nombreux à réfléchir d’une autre manière pour tenter de stopper cette escalade mortifère, par la meilleure pédagogie qui soit : la pédagogie par l’exemple de la prise en charge intelligente de sa propre santé. »
Il faut noter que la découverte de l'énergie nucléaire et les inventions d'internet et de l'IA hyper puissante ont clairement fait apparaître le plan divin, mais reste à savoir pour aller où ou vers quelle épreuve, en sachant que ça pourrait aller jusqu'à la preuve de l'existence de Dieu, de la vérité supérieure du bon islam et de l'Eden complété paradisiaque, mais possiblement après la victoire contre des tentatives de manipulations.
Ce chapitre prouve donc que nous vivons une époque où la science libre et bien utilisée peut réellement apporter un Eden terrestre complété matériellement, en accord avec l'Eden terrestre complété spirituellement dans ce site. Ceci étant donc probablement la raison pour laquelle Monsieur Tesla et notre époque n'ont pu réaliser cette amélioration matérielle voire aussi médicale, car le spirituel et donc l'ennoblissement maximal répandu est nécessairement prioritaire. Or certains très riches ou certaines idéologies ne veulent pas de cela pour l'instant dont probablement par cupidité...
De plus, la science devrait principalement s'orienter à intelligemment et prioritairement recyclées la plupart des matières. En effet le recyclage semble clairement la solution comme le prouve le cycle d'une forêt. Surtout qu'il est clair que sans écologie et traitement des ordures pour préserver la terre, l'humanité serait vouée à disparaître. Cependant et surtout si cela pollue, le recyclage de certaines matières comme le coton peut ne pas être nécessaire, puisque avec ses graines il repousse continuellement dans des cultures préservant des revenus financiers pour beaucoup par la grâce de Dieu.
Il faut noter qu'il existe actuellement d’autres grandes menaces que les armes nucléaires. Il y a la révolution des drones. Des cyberarmes sont apparues. Il existe une intelligence artificielle. Des armes biologiques et des armes spatiales sont apparues. Chacun de ces éléments peut également menacer l’humanité de terribles problèmes. Par conséquent, il est important de développer un nouveau concept de dissuasion, qui comportera non seulement des aspects militaires mais aussi psychologiques, politiques et moraux.
Enfin le biomimétisme n'est pas assez suivi par le système, alors que cela correspond pourtant en grande partie à une sélection naturelle de la nature de ce qui fonctionne. Il est très intéressant de voir à ce sujet la vidéo dailymotion « Bio-mimétisme par M. Idriss ABERKANE » à l'adresse http://www.dailymotion.com/video/x3s1uka_bio-mimetisme-par-m-idriss-aberkane_news
Surtout que l'être humain peut faciliter sa vie par la technique et la technologie mais sans le transhumanisme ni l’intelligence artificielle trop intrusive. Dans ce sens, il ne doit pas oublier pour s'affirmer en tant qu'être humain de privilégier le développement que la machine (le rebot, l'IA) ne peut effectuer. En effet la valorisation et la glorification de l'humain se fait par rapport à l'IA quand cette dernière ne sait pas effectuer certaines tâches humaines. D'autant plus qu'actuellement, l'IA ne peut être pertinente que si elle traite un seul domaine et provoque environ 36 % d'erreur. Il faut le savoir et être donc éduqué avant de s'en servir. Se robotiser à travers le transhumanisme par le pseudo prétexte d'éviter la domination de l'IA est déjà une soumission, car c'est à l'IA de nous ressembler comme nous devons tendre à ressembler aux Prophètes Jésus et Mouhamed et donc à Dieu. Et si une partie du monde dont les pays musulmans, chrétiens ou pauvres ne refusent pas la technologie impie trop grave, il est très probable que ce soit une des causes principales du retour de Jésus afin qu'il fasse le tri parmi les humains dont possiblement par un virus comme semble l'évoquer un texte islamique eschatologique. Ce qui signifierait que son retour est de plus en lus proche. Il est possible de voir à ce sujet la vidéo « Intelligence artificielle : l'humanité en danger ? - Politique & Eco n°336 avec Idriss Aberkane » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=miIy2gb-Lgc&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1

En conclusion l'humanité étant destinée à partager un comportement agréable et souvent du bien-être, pourquoi n'arriverait-elle pas à trouver un équilibre entre technologie et environnement ? Surtout que le Prophète (SBDSL) choisissait toujours la facilité quand elle était noblement possible. D'autant plus qu'on arrête pas le technique qui est d'ailleurs un outil à utiliser en bien ou en mal, et qu'il faut donc l'équilibrer avec l'humain malgré la mondialisation ayant accéléré sa diffusion en créant du chômage de masse et des recherches immorales. Ainsi il faut tirer la post-modernité vers l'ascendance et donc la supériorité, dont jusqu'à ce que les élites repassent dans le système normal qui est celui ancien de l'élévation des vertus et le rabaissement des vices, qui est d'ailleurs celui transmis par toutes les religions et spiritualités primordiales, mais dévoyé depuis 1789 par le cycle du veau d'or laïque que nous devons évidemment fermer, et qui lui dure depuis 3500 ans chez certains juifs très égarés.
D'ailleurs en montrant qu'il n'y a pas que des épreuves individuelles sur terre, l'épreuve collective du veau d'or faite au peuple de Moïse suite pourtant à de nombreux miracles, doit nous rappeler qu'il s'agit toujours de voir si nous avons suffisamment de foi pour suivre les règles ancestrales de Dieu élevant, et donc harmonisant, et donc pérennisant la société sur terre, par plus de vie que de mort, plus de création que de destruction, plus de partage que de cupidité, plus de joie que de haine, plus de douceur que de violence, plus d'amour que d'indifférence, plus plus d'espoir que de désespoir, dont pour pouvoir accueillir le Messie dans une forme ascendant d'ennoblissement maximal. C'est également pour le premier accueil du Messie que les survivants juifs de cette épreuve furent considéré jusque là comme le peuple élu.
Pour parvenir à la meilleure post-modernité, la technologie actuelle permet de contourner la censure des grands médias du système par internet et l'oppression bancaire, monétaire et financière par les cryptomonnaies décentralisées à travers une blockchain. Cependant pour parvenir à ce juste milieu entre l'humanité et la technologie préparant possiblement le retour de Jésus, l'intelligence de la foi et la clairvoyance prudente concernant le bénéfice/risque sont nécessaires. En effet si les progrès de la technique et de l'intelligence artificielle sont mal gérés, ils pourraient provoquer le danger de l'incompétence, du contrôle massif, du transhumanisme et donc de la destruction de l'humanité. D'ailleurs le progrès de la technique, de la technologie et de l'intelligence artificielle faisant de plus en plus tout pour nous, et rendant déjà de plus en plus de gens trop dépendants d'elles, pourraient même avoir de très dangereux bugs de confusion dans les différents protocoles militaires de défense ou d'attaque, surtout avec des bombes atomiques existantes. Antonio Guterres s’est dit favorable à la création d’un conseil spécifique à l’IA, ayant pour objectif d’aider à réguler, gérer l’usage de l’IA militaire et réglementer ses dérives potentielles. Les trois premières puissances militaires (USA, Chine et Russie) ont indiqué, l’une après l’autre, qu’elles se réservaient le droit de développer des systèmes d’armes intégrant de l’IA, tout en précisant que ces systèmes devaient rester sous le contrôle humain.