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B) Contexte international (suite 1)


Pour parvenir à une monnaie mondiale unique, les mondialistes doivent donc commencer par organiser un effondrement économique global. Or pour éviter que le système mondialiste s'en fasse accuser, il pourrait de temps en temps faire gagner l'extrême droit nationaliste aux élections présidentielles de divers pays afin de le lui attribuer la responsabilité. Mais les quinquennats grandement pro-système de Macron montre que le pouvoir est en fait logiquement prioritaire quelles que soient les conditions. Surtout que cet effondrement économique pourrait faciliter la mise en œuvre législative d'une grande partie du great reset.                               
Et comme c'est urgent, l'actuel système bancaire mondialiste pourrait désormais disparaître à travers des monnaies numériques nationales et des cryptomonnaies basées sur des blockchains en parties décentralisées, puisque cela peut être un populaire nouveau système monétaire, économique et financier solidifiant apparemment la stabilité de l'économie mondiale par sa transparence et sa perfection. D'autant plus que par rapport à l'actionnariat prédateur, les projets en cryptomonnaie permettent de faire venir des investisseurs tout en conservant le créateur du projet, le fondateur d'une entreprise ou la souveraineté d'un pays. Surtout que comme nous comprenons notre surveillance par le ministère des impôts, il devient donc important d'orienter notre époque moderne corrompue vers de décentralisées blockchains étatiques surveillées par des comités populaires et consultées hors anonymat seulement en cas de litige commercial ou de prise d’impôts, c'est à dire dans un juste milieu entre surveillance économique et liberté individuelle, ou inversement avec de centralisées blockchains étatiques surveillées par des comités populaires.                           
Or la caste mondialisée ultra riche cherche à empêcher ce bon changement de paradigme en créant des monnaies numériques centralisées au sein des banques centrales privées synonyme d'une hyper surveillance voire d'un hyper contrôle oppressif. En effet la centralisation (concentration) de l'économie par les multinationales, la centralisation (concentration) de la finance par les grandes banques d’investissement (dont Black Rock, Vanguard et Goldman Sachs) et la centralisation (concentration) de la création monétaire par les banques centrales privées sont clairement le système chéri de la ploutocratie actuelle. C'est à dire que cette monopolisation de l'hyper classe n'hésitera pas à continuer perversement cette course folle d'hyper centralisation synonyme de pouvoir absolu jusqu'à appauvrir la classe moyenne comme l'ont fait la crise de subprimes, le covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique. Or c'est la démolition contrôlée de l’économie mondiale par le confinement qui a produit le plus grand transfert de richesse de la classe moyenne vers l’occidentale oligarchie mondialiste et sioniste. D'ailleurs pour augmenter ses privilèges égoïstes et son pouvoir, cette caste diabolique a aussi souvent provoqué de graves déstabilisations financières comme en Grèce et au Liban, toujours plus d’endettement des nations, des révolutions de couleur occidentaliste, des coups d’État, des guerres civiles et des guerres internationales comme en Irak, Libye et Syrie.                                  
Toutes ces perversités s'incarnent particulièrement à travers l’impôt monétaire ne figurant pas dans le publique Code fiscal de la République laïque française et qui est donc illégal, mais que les banquiers centraux privés collectent sans jamais être inquiétés. La centralisation du système sera donc toujours le problème du capitalisme par son oppression, ses combines et son chantage. Pierre Jovanovic : « Vous, directeurs des banques centrales et privées, avez imprimé avec vos photocopieuses l'argent dette ou en avez profité, et nous, l'avons payé avec notre travail, nos demeures et nos terres. Par conséquent vous devez aller en prison. »                                         
Ainsi la création monétaire étant normalement un devoir régalien mais qui est désormais contrôlé perversement par le privé pourrait bien être confiée à l'Etat par la décentralisation d'une cryptomonnaie stable surveillée par des comités populaires se renouvelant, mais aussi au peuple par la décentralisation d'une cryptomonnaie stable surveillée par l'Etat.                                            
En effet il est désormais évident que la décentralisation économique de certaines blockchains, les cryptomonnaies d'investissement populaire préservant donc à la tête des projets leurs propriétaires ou les Etats, et la création de la subsistance de base à travers un retour au village avec la technologie moderne semblent bien la meilleure solution pour adapter cette technologie moderne aux besoins et conforts humains de base et pour que les peuples ne reçoivent plus seulement les miettes de la ploutocratie mondiale planétaire actuelle.                                         
Cependant pour empêcher cela et pour favoriser cette ploutocratie mondiale, les oligarques corrompus semblent prêts à provoquer une guerre chaude militaire généralisée, par preuve qu'une guerre chaude financière est en cours contre la Chine, la Russie, l'Iran, le Liban et le Venezuela par des sanctions économiques, des taxes, des pressions politiques et d'appauvrissantes batailles militaires interminables par procuration comme en Ukraine, Syrie, Libye et Yémen. Et pour éviter une grande prise de conscience populaire en Occident à ces sujets, il sont très rarement évoqués dans les médias dominants sauf l'Ukraine qui est limitrophe avec l'Union Européenne et liée à la Russie. Car comme le dit l'expression : « loin des yeux, loin du cœur ».
Or l'effondrement économique global voulu par les messianistes pervers est actuellement précédé par les effondrements culturel, psychologique, social, politique, commercial, financier et donc spirituel et civilisationnel provoqués par l'immoralité de leur système en cours. Ces effondrements en particulier celui de la psychologie correspondent en quelque sorte à la liquidation totale des défenses immunitaires de l’esprit, du caractère, de la moralité, de la perception, de la compassion et de toutes les fonctions intellectuelles, laissant ainsi la raison complètement à découvert et à la merci permanente de la subversion dont par l'émotion, quand ce n'est pas de l’inversion de tout ce qui forme la réalité. En effet ces conditions recherchées par ces messianistes pervers empêchent de comprendre, de reconnaître puis d’analyser cette situation d’effondrement généralisé, ses causes et son processus. Ils essayent même d'en profiter en y opposant des mesures salvatrices les favorisant encore plus, parfois avec l'insistance de persuasions émotionnelles honteuses dont de photos d'enfants désœuvrés ou morts montrées en boucle dans les chaînes dites d'information. Et avec différents autres sujets traités sournoisement par les médias du système, ces messianistes pervers se servent également du wokisme pour désorienter puis orienter bassement l'opinion publique en leur faveur, dont à travers la perte des repères suite à la destruction de la famille traditionnelle, la liquidation des valeurs conservatrices, la déconstruction sociétale, le Lgbtisme, le rejet du monothéisme authentique et la radicalisation idéologique. Ainsi le monde change perversement par la victoire de l'émotion sur la raison.                                                         
Bernanos : « Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation valeurs de la vie. »

Et par conséquent la cause originelle de ce processus d’effondrement moral massif ne peut être que mal intentionnée, puisque confortant stratégiquement toujours au pouvoir les élites perverses, cupides, avides de pouvoir et peu soucieuses du peuple. C'est pourquoi ce vaste affaiblissement des peuples n’a clairement pas une origine principalement involontaire, innocente et intérieure, car cela vient tout au contraire d'une origine principalement maléfique, condamnable et extérieure, surtout que c'est véhiculé par une diffusion très pressante, très vaste et très rapide des moyens de communication moderne du système mondialiste, en plus à la puissance extraordinaire dans son expression professionnelle et son efficacité de répétition. Mais heureusement dans le plan divin, à force de percevoir de l'impur, du faux et donc de l'impiété tant quand on a pas choisi consciemment d'être malfaisant, les cœurs nauséeux de la population finissent par vouloir du pur, du vrai et donc du pieux, même si c'est à travers une dépression. Ainsi la perverse hyper classe oligarchique, dominatrice, mondialiste et sioniste manipulant les peuples ne se soucie donc en réalité aucunement des personnes et enfants désœuvrés, comme le prouvent l'abandon des palestiniens dans l’apartheid israélien, de l'Afrique dans la pauvreté, des nations dans d'oppressantes organisations économiques et législatives supranationales comme l'Union Européenne, et de certains pays riches dans des problèmes comme l'immigration incontrôlée provenant des injustes guerres occidentales, augmentant le chômage, baissant les salaires et accélérant l'effondrement économique global.    
Pour amplifier ce ploutocratique contrôle corrompu au niveau international, les mesures mondialistes supranationales pour le climat, l'écologique, l'immigration, le sanitaire et la guerre font oublier les grandes injustices se répandant contre les peuples. On l’aura compris, cette ingénierie sociale cherche sournoisement à constituer une gouvernance mondiale sous le pseudo prétexte d’un meilleur futur pour tous, puisque principalement pour les élites oligarchiques, globalistes et sionistes.
Pour continuer à piller l'Afrique en évitant de la développer, les élites mondialistes ne s’arrêtent pas là et nous préparent un grave pack écologico-migratoire par les études liant l’immigration Sud-Nord à l’explosive démographie africaine, et annonçant le manque d'eau, un réchauffement important et la montée des eaux sur les côtes. A l’image de l'acceptation du réchauffement climatique se propageant par les intoxiqués aux médias du système dont à travers les ours blancs squelettiques, la venue des peuples du Sud pauvre vers le Nord riche deviendrait légitime et donc inéluctable, surtout qu'elle serait bien aidée en cela par les ONG mondialistes humanitaires qui assurent le transport des très nombreux immigrés qui continueront d'être esclavagisés dont en affaiblissant économiquement les peuples.                                                 
Selon Israël Adam Shamir, l'immigration de masse entraîne effectivement le trafic d’esclaves de millions de personnes dont avant d'arriver en Europe. Or il précise qu'elle est souvent perversement organisée par des associations humanitaires prétendument amies de la démocratie européenne, puisque recevant souvent très étrangement des millions de dollars de financement comme l'association immigrationniste SOS Méditerranée et son bateau « l'Oceans viking ». Ainsi une grande partie de ces subventions est reversée aux sauveteurs parmi lesquels certains sont évidemment aussi corrompus, surtout que généralement chaque migrants voulant traverser la méditerranée doit payer au minimum 5000 euros au marché noir. En effet les vrais passeurs, ce sont les organisations politiques et non gouvernementales plus ou moins occultes qui autorisent ou organisent l’immigration illégale et massive pour détruire les nations. Et ceux-là, on ne les voit jamais dans les tribunaux à la place des coupables, ou des responsables. En général, ils sont partie civile. Il s'agit d'un exemple supplémentaire de l’inversion accusatoire qui a renversé notre justice.             
Ces coupables pseudos égalitaristes qui veulent donner massivement la nationalité à des étrangers sont en réalité des anti-égalitaires forcenés utilisant de la manipulation politique dont le but n'est pas la générosité ou l'égalité, mais de détruire les fondements d'intelligence, de qualité de vie et d'instinct de survie de communautés humaines structurées historiquement en nations, afin de les livrer à la logique marchande mondialiste anti-frontières, c'est à dire aux prédateurs financiers privés internationalistes.                                                                                        
En effet l'immigration massive ruine au profit des pervers ultra riches mondialistes tant les pays donateurs, par leur grande perte de population parfois diplômée, que les pays receveurs, par les fortes dépenses d'accueil, la baisse des salaires et l'augmentation du chômage.

Pourtant « Sur l’immigration de masse qui submerge le continent européen en provenance de l’Afrique et du Moyen-Orient, les grands médias français taisent la complicité des ONG liées aux puissances financières visant à l’homogénéisation de peuples déracinés. En témoigne leur silence sur la colère des autorités italiennes au sujet des organisations non-gouvernementales qui participent délibérément au transport d’êtres humains depuis les côtes d’Afrique vers l’Europe, à la suite de la publication d’un rapport de l’agence Frontex. L’agence de surveillance des frontières extérieures de l’UE établit que les équipages de bateaux d’ONG, cofinancées par le milliardaire George Soros, se comportent en véritables complices des trafiquants d’êtres humains : en prenant le relais durant la traversée maritime, ils permettent aux passeurs professionnels de diminuer leurs coûts de transport. Frontex relève que les passeurs contournent ses propres bâtiments et de ceux de la Marine italienne, se rapprochant des navires de ces ONG qui vont leur assurer le passage vers l’Italie. Or plusieurs articles ont rapporté, s’appuyant sur une étude du groupe Quilliam, que l’Etat islamique contrôle désormais le trafic des êtres humains à partir de l’Afrique du Nord et qu’il en profite pour recruter parmi les migrants. « En plus de leur action les rendant de facto complices du trafic humain, les ONG dénoncées par le rapport de Frontex sont ainsi susceptibles de contribuer activement à aggraver le terrorisme en Europe », en déduit William Craddick, analyste du site disobedientmedia. » (Extraits de l'article « L’agence Frontex obligée de le reconnaître : Soros et ses ONG favorisent le trafic de migrants » à l'adresse https://strategika.fr/category/actualite/)                    
Or cette immigration est en plus rendue légitime par l’image du Blanc occidental à la prétendue Histoire totalement maléfique devant payer, et donc accepter en compensation toute la misère du monde, et donc se serrer la ceinture si nécessaire jusqu'à disparaître ethniquement ou économiquement, en commençant évidemment par celui de plus de 50 ans car il est le principal frein à l'hyper consommation de l'ultra libéralisme libertaire.
C’est ce que prépare le Pacte de Marrakech, la dernière trouvaille mondialiste des oligarchies qui entend « gérer » le déplacement de 50 millions de migrants vers cette Europe qui n’a rien demandé, du moins ses habitants. Or l’ONG Oxfam prévoit 250 millions de réfugiés dits climatiques en 2030, et plus d’un milliard en 2050. Les peuples hôtes n’ont pas leur mot à dire et des ONG créées par le système ou Soros dans diverses nations cherchent même à mettre au même niveau l'immigration légale et celle clandestine. En effet leurs élites corrompues se sont déjà entendues pour ouvrir les frontières et noyer le poisson nationaliste, un poison selon les mondialistes. On ne trouve dans ce pacte rien d’autre que la philosophie mondialiste qui prévaut depuis le début du 20e siècle : un monde peuplé d’hommes déracinés, sans patrie, sans famille et sans cervelle. Après cela il n’y a plus rien à dire. Et personne n’osera prétendre que les Droits de l’Homme pourraient être interprétés autrement au sujet des migrations. Par conséquent, ceux qui sont contre le pacte de Marrakech sont aussi accusés perversement d'être contre les Droits de l’Homme. Ils seront donc traités en hors-la-loi synonyme donc d'ennemi du genre humain, car la migration y est érigée en valeur positive même si le nombre de migrants dépasse énormément les limites du raisonnable et que la plupart des nations la refusent. Hier, tout le monde riait en regardant ce résumé du plan Coudenhove-Kalergi. Aujourd’hui, avec le Pacte de Marrakech synonyme de destruction des nations, plus personne ne rit. Même les détracteurs des « théories du complot » doivent admettre qu’un bouleversement majeur est en cours, un bouleversement qui va changer la face des nations pour le plus grand profit des très riches mondialistes. En sachant qu'avant Kalergi mort en 1972 et après Thomas More mort en 1535, Louis-Lucien Klotz mort en 1930 allait aussi dans le sens que la république universelle (désormais gouvernance mondiale) doit remplacer l’Église catholique, détruire la nations en particulier la France puisque fille aînée de cette Église, supprimer le pouvoir royal et augmenter l'immigration tout en diminuant donc la spiritualité dont via les capitalistes hébreux, la judaïsation et donc le noachisme voire le brahmanisme qui est le système social et religieux de l'Inde fonctionnant par caste. Ainsi la république française apparue suite à la révolution de 1789 est pour eux l'an 1 de la république universelle s'étendant de plus en plus comme le prouvent les USA et l'UE.              
Même le pacte de l'UE d'avril 2024 devant freiner l'immigration ne changera rien aux invasions massives programmées par l’oligarchie européiste, car il s'agit en réalité 2 millions de migrants par an dans les 27. C’est un minimum, puisque ça n’inclut pas les flots surnuméraires dus aux grands conflits du type Syrie ou Ukraine. Orbán, une des rares personnalités lucides dans le tas, traduit cette avancée historique par « un autre clou dans le cercueil de l’Union européenne » : « L’unité est morte, les frontières sûres n’existent plus. La Hongrie ne cédera jamais à la frénésie migratoire de masse ! Nous avons besoin d’un changement à Bruxelles pour arrêter l’immigration ! »               
Dans ce sens « Derrière le prétexte humanitaire, il faut savoir discerner les objectifs géopolitiques plus larges dans lesquels l’appel du GADEM au Maroc s’insère. Le GADEM ne se cache pas d’être lié à toute la galaxie d’organisations qui travaillent à la normalisation de l’immigration irrégulière comme l’OSF ou Human Rights Watch. À titre d’illustration, on notera les appels de Bill Frelick, directeur de la division des droits des réfugiés et des migrants de Human Rights Watch et ancien cadre du Comité américain pour les réfugiés et les immigrés (USCRI) ainsi que d’Amnesty International (avec laquelle le GADEM collabore) ; ce dernier appelait dès 2014 à « bannir » les termes de « migrant illégal » ou d’« immigré clandestin » pour privilégier ceux de « migrants sans-papiers » ou de « migrants en situation irrégulière ». Un lissage sémantique déjà opéré par les institutions politiques et les médias de masse en Europe. Les implications d’un tel rejoignent l’idée de société ouverte défendue par Open Society. OSF est le nom générique de l’ensemble des fondations fondées par George Soros. Il s’agit d’un réseau d’ONG, réparties sur tous les continents et dont l’action se déploie dans des thématiques sociales, sociétales ou politiques telles que : les migrations, la dépénalisation des drogues, les nouvelles normes sociétales (théorie du genre, propagande LGBT), les déstabilisations de régimes politiques jugés autoritaires, la liberté de la presse, l’écologie punitive, etc. Les fondations Open Society comptent officiellement plus de 40 organisations nationales et régionales interconnectées à travers le globe, mais elles sont en fait beaucoup plus nombreuses, car chaque branche de l’OSF entretient elle-même son propre réseau d’associations de terrain et finance de nombreuses autres organisations. Parmi les champs d’action des réseaux Soros, la question migratoire est l’une des priorités des activités de l’OSF. Le but de George Soros et de ses réseaux est d’arriver à refondre le système politique international sur les principes de la société ouverte, les leviers de l’immigration et les déplacements massifs de population constituent les moyens les plus efficaces pour parvenir à cette fin. La notion de “société ouverte” fait référence au livre de Karl Popper, La société ouverte et ses ennemis. Un livre écrit dans la première partie du 20e siècle dans lequel Karl Popper exposait les grands axes de la philosophie politique du cosmopolitisme supra-étatique (globaliste ou mondialiste). Je suis arrivé à la conclusion que cette notion de “société ouverte” désigne en fait, pour ceux qui y ont recours, le projet de modification permanente et furtive des sociétés pour le compte des intérêts politiques de la haute finance. Il s’agit d’un projet de domination et de transformation sociale à grande échelle camouflé en une utopie internationaliste et humanitaire. L’appel du GADEM au Maroc s’insère dans cette stratégie qui se déploie à une échelle réellement cosmopolitique. » (Pierre-Antoine Plaquevent)                                                                             
« Dans sa croisade pour une « société ouverte (libérale-libertaire) », affranchie des pesanteurs du vieux monde et des repères traditionnels (frontière, famille, continuité historique des peuples, etc.), George Soros peut compter sur un relais fiable : Emmanuel Macron. Les exemples de proximité entre George Soros et Emmanuel Macron que nous avons identifiés sont en effet aussi troublants que nombreux :
-Rothschild & Co a aidé Soros au début de sa carrière et employé Macron avant sa vie politique.
-Lorsqu’il était ministre de l’économie, de 2014 à 2016, Emmanuel Macron a eu comme conseiller un certain Shahin Vallée. Ce dernier a également travaillé pour George Soros sur les questions économiques et monétaires dans la zone euro.
-L’accueil des migrants en Europe est une priorité pour Soros et Macron.
-Les « Eurobonds » pour sauver l’Europe ont été prônés par Sors et Macron.
-L’ambassadeur de France en Hongrie en poste à l’époque, après avait rédigé une note qui n’accable pas la politique du gouvernement hongrois et dont Soros fut furieusement mis au courant, fut limoger par Macron.
-Soros et Macron sont pour une politique étrangère européenne.
-Parmi les membres du think-tank « L’European Council on Foreign Relations » qui est premier centre de recherche et d’influence pan-européen le Directeur de l’EFCR, Mark Leonard, est également le directeur exécutif de l’Institut de Open society pour l’Europe, figure Macron. Nous aurions pu multiplier les indices d’une proximité entre le milliardaire américain et le président français. Nous aurions pu évoquer notamment les « Young global leaders » dont font partie le fils de George Soros, Alexander, et Emmanuel Macron. Ou de l’influence des ONG financées par George Soros sur la Cour Européenne des Droits de l’Homme, une institution qui a à cœur de promouvoir la GPA, dont la PMA est la première étape. Le changement de peuple, le grand déplacement de population et la remise en cause des équilibres sociétaux ont de précieux alliés. La super classe mondiale a de grands projets pour le vulgum pecus que nous sommes… » (Extraits de l'article « Emmanuel Macron, une comète dans la galaxie Soros ? » de polemia.com)                                  
Or en 2024 en Suède, il y a eu une première en 50 ans concernant le solde migratoire car il a été négatif. C'est à dire que le nombre de personnes quittant la Suède devrait dépasser le nombre d’immigrés en 2024. Comment les Suédois ont-ils réussi cette inversion exemplaire pour d'autres nations en crise économique ? Simplement par la fermeture des pompes aspirantes financières en supprimant les privilèges accordés aux immigrants :
– le placement des demandeurs d’asile s’effectuera dans des centres de transit et non plus dans des logements payés par l’Office des migrations pendant l’examen de leurs demandes ;
– l’augmentation du revenu minimal exigé pour décrocher un permis de travail est validé ;
– la fin du statut de résident permanent pour les réfugiés sera la norme.               
Surtout que depuis quelques temps, selon le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU lors d’une réunion du Conseil de sécurité, Vasily Nebenzya, l’Union européenne mène désormais une guerre non déclarée contre les migrants au lieu de les aider, ce qui serait possible vu la volonté de dépopulation mondiale des élites occidentales. Il précise : « En outre, bien souvent, les États membres de l’UE non seulement ne prennent pas de mesures pour sauver un navire, mais interdisent en fait à tout autre navire de venir en aide ; ceux qui osent désobéir s’exposent à des poursuites pénales et peuvent être accusés de trafic d’êtres humains. Selon le rapport du secrétaire général, certains tribunaux de l’UE ont délibérément tendance à pousser un navire en détresse hors de leur juridiction, condamnant ainsi les personnes à bord à une mort douloureuse. Autrement dit, ils font tout ce qu’ils peuvent pour protéger leur “jardin fleuri” des invités de "la jungle", comme le dit le Haut-Commissaire de l’UE aux affaires étrangères et à la politique de sécurité M. Josep Borrell. » Nebenzya a en plus souligné que l’afflux actuel de migrants vers l’Europe était dû à l’ingérence de l’Occident dans les affaires intérieures d’autres États : « L’exode massif de populations du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord vers l’Europe est le résultat de l’ingérence irresponsable et irréfléchie des pays occidentaux, y compris de l’Union européenne, dans les affaires intérieures des États souverains afin de les déstabiliser. Ce sont ces pays occidentaux qui portent la principale responsabilité des conséquences. »                           
Ici il faut comprendre que ces élites internationales corrompues, cupides et égoïstes, sous couvert d'un faux prétexte d'aimer l'humanité, profitent donc aussi de l'idéologie mondialiste jusqu'à oppresser tous les peuples de la planète dont le leur pour encore plus s'enrichir et augmenter leur pouvoir, car elles sont idéologiquement apatrides.                            
Ainsi une méfiance populaire est apparue envers l'actuelle politique imposée d'en haut, plaçant les intérêts supranationaux et globaux au-dessus des intérêts nationaux. Cette méfiance se caractérise de plus en plus par l'absence de certitude et un grand manque de confiance concernant les déclarations internationales qui prétendent amener des améliorations pour les nations. En effet tout ne marche clairement pas comme promis dont dans l’Union européenne.                          
Surtout que le choc migratoire s’ajoute au choc social du déclassement programmé des classes moyennes européennes consécutif au remboursement de la Dette, ce concept formidable qui permet de mettre un pays à genoux et de le piller avec la bénédiction des pervers grands instituts financiers usuriers là encore supranationaux : BCE et FMI. C'est d'ailleurs ce qu'a subi la Grèce tels un cobaye et un avertissement parmi les premières grandes nations, malgré un référendum national et sa position à l'origine de la démocratie. Ce qui prouve qu'elle a donc été attaquée prioritairement et humiliée symboliquement par la tyrannie qu'est la domination du néolibéral euro-mondialisme financier, bancaire et politique, à travers l'endettement puis l'austérité.                
Surtout que les nations, ayant délégué aux banques privées leur création monétaire, s'endettent perpétuellement, et que de nombreuses parmi elles, ayant choisis des fermetures massives par rapport au covid et l'appauvrissement dans leurs sanctions économiques contre la Russie, les ont poussé vers la dépendance et donc la soumission au FMI mondialiste. Le FMI ainsi que la commission européenne vont même jusqu'à envoyer des documents aux gouvernements pour leur demander des réformes structurelles ultra libérales voire donc insitutionnelles favorisant les ultra riches au détriments de la protection sociale des peuples, tout en plaçant des politiciens, des technocrates et ou des chefs d'entreprise pro-empire états-unien, sioniste et wokiste ou pro-mondialisme oligarchique, sioniste et wokiste. D'ailleurs le FMI et la Banque mondiale sont fortement sous l'influence du judaïsme politique, puisqu'ils conditionnent l'aide au Liban à la normalisation des relations avec Israël et au désarmement du Hezbollah. Ce système amène donc à la dépossession totale de la souveraineté des nations dont aussi au profit de la tyrannie bancaire et financière que servent d'ailleurs les technocrates bruxellois de la commission européenne. Une des preuves de l'Euro-mondialisme (euro-atlantisme) de l'UE est la signature du traité de libre échange aux conséquences inquiétantes entre Bruxelles et la Nouvelle-Zélande de même qu'avec le MERCOSUR (union de pays d'Amérique du Sud qui est une forme d'agrandissement de l'UE), en attendant celui avec l’Amérique du Nord, quoique avec l'élection de Trump les USA comme la Russie vont vers de la démondialisation économique, ce qui rend encore plus mauvais le MERCOSUR. C'est à dire que comme la Russie ne peut tolérer l’Ukraine en tant que projet anti-russe, Trump ne peut accepter le mondialisme en tant que projet anti-américain (supranational, oligarchique et lgbtiste). En effet les accords de libre-échange type MERCOSUR amène à faire toujours plus de marges par les ultra-riches, à rendre non compétitif et donc appauvrir les paysans français, pour ensuite les obliger à vendre leurs terres à l'oligarchie mondialiste, dont pour ensuite employer des agriculteurs étrangers à bas prix ou s'en servir pour divers autres projets. D'ailleurs 100 000 exploitations agricoles françaises ont été perdues en 10 ans et le secteur industriel français va aussi évidemment diminuer par ce type d'accord de libre-échange, ce qui prouve le grand danger de la perte de souveraineté alimentaire et donc du risque d'ingérence étrangère ou privée. En sachant qu'en plus, il faut 35 % de la population européenne pour s'opposer à cette loi européenne... D'ailleurs le 13 novembre, Michel Barnier, ancien négociateur pour l’UE, a rencontré Ursula von der Leyen pour réaffirmer la position française. Il a déclaré : « Dans les conditions actuelles, cet accord n’est pas acceptable par la France. » Mais la France ne dispose pas d’un droit de veto sur cette décision, qui relève de la compétence de la Commission européenne. Si cette dernière décide d’aller de l’avant, la France ne pourra pas bloquer l’accord. Sébastien Béraud, agriculteur de Haute-Loire, a créé pour cela et pour l’inaction des syndicats traditionnels comme la FNSEA, le premier syndicat agricole anti-Union Européenne, dénommé Verte France. Connu pour son appel au Frexit en février sur CNews, l'agriculteur a souvent exprimé sa colère face à la situation actuelle des agriculteurs français. Car l’accord entre l’Union européenne et le MERCOSUR suscite donc une vive opposition de la part des agriculteurs français, puisque l’accord de libre-échange UE-Mercosur, négocié depuis 20 ans, inquiète fortement les agriculteurs français. En effet il prévoit la suppression de 90 % des droits de douane, permettant au Mercosur d’exporter jusqu’à 99 000 tonnes de viande bovine vers l’Europe. Les agriculteurs français s’y opposent, dénonçant une concurrence déloyale et des normes moins strictes comme le bœuf brésilien nourrit au soja, aux hormones et aux activateurs de croissance vendu deux fois moins cher par cette qualité malsaine, donc dans une forme d'idéologie (oligarchique) aveugle de l'UE. Pour le monde agricole français, cet accord pourrait aggraver une situation déjà fragile. Les produits agricoles sud-américains, notamment la viande bovine, sont perçus comme une menace directe en raison de leur coût plus bas et de normes sanitaires et environnementales moins strictes. En effet concernant l'utilisation des pesticides et hormones, de nombreux pesticides interdits en Europe sont par exemple autorisés au Brésil, tout comme l’utilisation d’hormones de croissance ou de farines animales pour l’élevage. Et concernant les règles environnementales, les pratiques agricoles sud-américaines ne respectent pas les mêmes standards que ceux imposés en France et dans l’UE, ce qui crée une concurrence asymétrique, surtout avec un coup de main d’œuvre inférieur voire très inférieur. Pour les agriculteurs français, ces disparités rendent le marché européen vulnérable à un afflux de produits moins chers et moins réglementés, menaçant directement leur subsistance. Sébastien Béraud dénonce cet accord, soulignant qu’il met en péril l’agriculture familiale et favorise les grands fonds d’investissement, notamment anglo-saxons. Il critique également la position de la France, impuissante face à la majorité des États membres de l’UE.
Or « L'UE vient finalement de signer un accord avec le Mercosur qui va bouleverser l’agriculture européenne. Résultat ? Les agriculteurs français sacrifiés au profit de produits bon marché venus d'Amérique du Sud. La concurrence déloyale et la dérégulation ne sont plus de simples théories, elles sont là, en train de détruire notre agriculture. Depuis vingt ans, l’Union européenne négocie avec le Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay et Bolivie) un accord de libre-échange qui promet de bouleverser l’agriculture européenne. Et voilà, après des années de négociations, l’accord tant redouté est enfin signé : 90 % des droits de douane seront supprimés, permettant aux pays du Mercosur d’inonder le marché européen avec jusqu’à 99 000 tonnes de viande bovine, le tout à des prix dérisoires. En d’autres termes, l’Europe s’apprête à ouvrir grand ses portes à des produits d’une qualité plus que discutable, tout en sacrifiant ses propres agriculteurs sur l’autel de la mondialisation. C’est une véritable agression pour les agriculteurs français, déjà en proie à des difficultés économiques majeures. En acceptant cet accord, l’Union européenne se tire une balle dans le pied. Les produits sud-américains, notamment la viande bovine, arrivent sur le marché européen avec un coût de production bien inférieur, en raison de normes sanitaires et environnementales largement moins strictes. Les pesticides interdits en Europe, les hormones de croissance et les farines animales autorisées au Brésil sont autant d’ingrédients qui rendent cette concurrence totalement déloyale. La France, elle, impose des standards de qualité qui laissent ses agriculteurs vulnérables à une invasion de produits à bas prix, souvent au détriment de la santé publique et de l’environnement. Et il y a donc en plus un sacrifices des populations européennes. En trahissant ses propres producteurs et ses consommateurs, l'UE a donc vend son âme à bas prix pour toujours plus de profit oligarchique, surtout qu'attendant en plus ensuite la vente des terres des agricultures en faillites. » (Média en 4-4-2)
Mais le Mercosur n'a pas mis toute l'agriculture à terre, c'est le modèle économique qui a été mis en place par les politiciens français, et donc un nouveau modèle basé sur une équitable répartition de la marge (de la valeur ajoutée) est nécessaire, tout en demandant des comptes à l'industrie agro-alimentaire (gros acheteurs) qui achète seulement à des prix au niveau du coût de production. En sachant que l'accord sur le Mecosur ne va permettre que 0,1 % de croissance à l'UE, en ne profitant pas à la France mais seulement à 20 sociétés du CAC 40, et que les agriculteurs sont bloqués pour leur demande de RSA par la MSA (la sécurité sociale agricole ne jouant donc pas le jeu de la solidarité pour les petits paysans). C'est pourquoi sans révolution avec un seul leader bien sélectionné, clairement mis en avant et faisant vraiment l'unanimité, les manifestations (dont des gilets jaunes) deviennent finalement inutiles, car il est impossible de revendiquer un changement du système auprès des politiciens du système n'ayant plus de pouvoir. Surtout qu'avec la diabolisation médiatique des manifestations populaires, les syndicats et les partis s'en écartent lâchement au point qu'ils se rallient honteusement à la défense des droits Lbgt, de la vaccination et des sanctions contre la Russie. Il faudrait en plus  auparavant avoir généralisé ou s'être associé à un autre système économique souverain pour sortir de l'oppression financière comme le font les BRICS+, qui pourraient être une nécessaire étape transitoire, une anticipation, une préparation, voire possiblement une organisation précédant le retour du califat bien guidé. Or c'est un choc de savoir que même la BCE a souvent des dettes qui sont très étonnamment remboursées par les monarchies pétrolières sponsorisant le terrorisme islamique. Surtout que ce choc peut donc ajouter au choc financier, climatique, sanitaire, immigrationnaire, inflationniste et banlieusard. La crise des subprimes, le réchauffement climatique, la crise sanitaire, l’immigration massive, l'inflation et la guerre en Ukraine n’ont communément rien de naturel. Ce sont des chocs créés de toutes pièces ou alimentés pour augmenter la domination des pervers ultra riches mondialistes. Tant que les dominés n’auront pas saisi cet aspect démoniaque de la géopolitique, ils continueront à voter bon an mal an pour ceux qui les déshumanisent, car c'est le combat du Mal contre le Bien.                                                           
Or ces chocs terroristes participent de moins en moins à ressouder l’opinion publique désireuse de sécurité autour du pouvoir en place pour plus de stabilité, par preuve qu'à travers les échanges incontrôlables qui fourmillent sur les réseaux sociaux, ce système est de plus en plus contesté. A tel point que depuis 10 ans, le gâteau publicitaire s’est réduit pour les chaînes, dont aussi car les jeunes ne regardent plus la télé. En effet comme de nombreux adultes qui ont logiquement fui sur internet la médiocrité généralisée des programmes télévisuels, ils ont aussi logiquement fui pour se retrouver souvent sur Instagram, TikTok ou Twitch. Quand le foin manque au râtelier, dit le bon sens paysan, les chevaux se battent. On se bat donc entre chaînes TV qui misent de moins en moins sur la bonne télé pour avoir plus de publics et donc d'annonceurs publicitaires : il faut plus de trash, plus de sexe, plus de choc, plus de peur, plus d’émotion ; et tant pis pour l’information, le réel, l’éducation, l’art, et une inflation qui mène tout droit à une explosion puis une implosion finales comme chez les étoiles mourantes. Or de très nombreuses vidéos des réseaux sociaux ne servent qu'à prendre du temps de cerveau disponible et donc à abrutir en particulier via le zapping rapide comme sur Tiktok. Rappelons que ces obscures manipulations planétaires associées au terrorisme mental et meurtrier ont pour but d'amener à une gouvernance mondiale pilotée par les oligarchies américano-sionistes.                                                            

Or avec l'actuelle noble évidence de devoir combattre ou dénoncer la malsaine mise en place de ce système toujours plus corrompu, la révolte des nations doit aussi principalement s'unir dans une organisation de coopération comme celle de Shanghai. Cette dernière a d'ailleurs déclaré : « Les États membres de l’OCS soulignent que les principes de respect mutuel de la souveraineté, de l’indépendance, de l’intégrité territoriale des États, de l’égalité, des avantages mutuels, de la non-ingérence dans les affaires intérieures et du non-recours à la force ou à la menace de recourir à la force, sont à la base du développement durable des relations internationales. » Cette phrase s’inscrit en opposition totale à la pratique des relations internationales par les États-Unis.              Cependant par rapport à l'union européenne, cela devra être beaucoup moins supranational au niveau économique ou politique, mais plus approfondi dans certains domaines. En effet pour l'intérêt général de l'humanité, les solutions aux problèmes mondiaux urgents doivent être facilités par un sage développement international comme au niveau de l'organisation mondiale de la santé (tant que cette organisation n'est pas corrompue ni au service du mondialisme en devenant privée comme actuellement), de la solidarité lors de catastrophes naturelles (feux, inondations, tremblements de terre dont par des budgets, effectifs et véhicules communs), des marchés communs pour des pays de valeur économique proche voire différente si des lois antitrust, des droits douanes, des taxes ou des quotas sont mises en place afin d'apporter un équilibre stabilisant car le marché libre à outrance appauvri même la classe moyenne en faveur de l'élite financière, de la lutte contre la faim et la pauvreté dans le monde, la réduction des écarts de richesse, à la fois à l’intérieur des pays et entre les pays, des programmes communs de développement des pays pauvres avec des investissements étrangers voire des prêts sans intérêt progressifs en fonction de l'évolution d'un projet, des ligues mondiales sportives telles qu'il en existe déjà, ou une police mondiale combattant plus facilement la corruption internationale, le terrorisme, les diverses mafias, et les paradis fiscaux stérilisant l'économie mondiale. La coopération internationale et la responsabilité des plate-formes en ligne doivent aussi s'unir pur lutter contre la criminalité dont la pédocriminalité. Ces derniers problèmes créés en grande partie par l'oligarchie mondialiste manipulatrice et donc par l'accumulation des principales richesses au sein des pays de l'hémisphère Nord dont les USA, la Chine, et l'Europe, participent également à l'immigration de masse déstabilisatrice suite à l’appauvrissement de nombreuses nations.                                                       
Et c'est pourquoi à notre époque selon Bernard Lugan, le développement de l'Afrique semble difficile en particulier car ayant en plus un taux de fécondité élevé, un besoin de 7 % de croissance (probablement exagéré mais loin d'être impossible vu le fréquent sous-développement, dont éventuellement avec la cryptomonnaie faisant sortir du Franc CFA et avec la blockchain empêchant la corruption économique, en particulier car le potentiel de développement de l'Afrique est très important), des soutiens financiers mondiaux beaucoup moins importants qu'ailleurs, des déstabilisations liées au terrorisme, des cerveaux quittant les pays et peu de grands investisseurs déterminés. Or vu la pauvreté de nombreux pays d'Afrique, ces 7 % de croissance pourraient facilement être atteignables avec du sérieux, quoiqu'il est difficile de travailler sous de grosses chaleurs d'où l'importance de électricité pour pouvoir travailler la nuit, en sachant que partager le travail même vers le mi-temps bien payé doit être recherché si la population en particulier masculine sait gérée noblement son temps libre, car on ne doit pas vivre pour travailler mais travailler pour vivre. Mais la voie de salut actuelle pour les Africains commence d'abord par la souveraineté et donc par la fin des vassaux corrompus africains, de leurs valets et de leurs réseaux d’influence et d’espionnage, car ils sont les instruments de pénétration et de domination étrangères ou privées, tout comme les groupes séparatistes et terroristes locaux. Il faut donc remettre la vie et donc l'humain et donc l'intelligence et donc la sagesse dans l’organisation générale du monde. En effet les partenariats internationaux ne doivent pas être un simple établissement de nouveaux liens entre États et économies. Ils doivent aussi apporter la paix, la stabilité, la prospérité, le confort de base et une nouvelle qualité de vie dont intérieure. Comme pour les nouvelles routes de la soie, il faut développer les infrastructures dans une perspective d’intégration et de transports interconnectés dont pour les produits vitaux et ceux spéciaux.                                                     
En attendant selon Cheikh Imran Hosein, un effondrement économique généralisé pourrait également faire chuter tout l'argent papier dans le monde et laisser la place à l'argent électronique centralisé privé au profit des globalistes, comme ça commence à l'être partout dans le monde par les cartes bancaires et la crise sanitaire. En effet ce plan cherche à centraliser suprêmement le système bancaire mondialiste des très riches et des sionistes afin qu'ils contrôlent tout l'argent de leur système monétaire. Il s'agit d'un des sens de l'hégémonie ressemblant à la soumission des pays aux grandes banques too big to fail (trop grosses pour échouer) puisqu'en dépendant désormais, comme le prouvent la dette accumulée mondialement, la crise de 2008 que les contribuables ont du réparé suite aux spéculations bancaires à outrance et les ventes bancaires souvent ignoblement conscientes de placements toxiques. Divers spécialistes précisent même que certaines sociétés d'assurances et grands fonds d'investissements ainsi que les nations hébergeant leurs sièges sociaux sont encore plus too big to fail que les grosses banques.                                   
Cependant pour atténuer cette domination perverse voire l'arrêter, la grâce divine a possiblement préparé la technologie pure de la blockchain décentralisée transparente, en particulier car pouvant encadrer les utilisateurs par une charte honorable. En effet les peuples peuvent désormais s'orienter vers des cryptomonnaies ou monnaies locales (communales ou intercommunales, inter-entreprises si possible au début prioritairement entre PME, départementales ou régionales), et au maximum vers une monnaie numérique nationale surveillée par le peuple si le niveau économique du pays est trop différent d'autres nations, voire donc vers une monnaie numérique internationale contrôlée par les peuples et utilisée uniquement avec des pays ayant un niveau économique proche ou ayant une politique identique mais en imposant donc des quotas, des droits douanes, taxes et des lois antitrust pour garder un certain équilibre avec des nations trop différentes économiquement même avec des frontières ouvertes. D'ailleurs les monnaies communales, départementales voire régionales, inchangeable sauf dans quelques cas, permettent logiquement d'éviter que la monnaie, le travail et donc la richesse produits quittent la région.

« La déglobalisation, en faisant éclater le corset de la pax americana, rend plus difficile sinon impossible la mise en place de coalitions occidentales contre un adversaire isolé et considérablement inférieur, militairement et économiquement. La Russie, l’Iran ou la Chine ne sont pas la Serbie, l’Irak ou la Libye. La crise syrienne à montré qu’un petit État, s’il est solide politiquement, pouvait résister à une agression occidentale pour peu qu’il soit soutenu. C’est d’ailleurs cet attelage qui a permis au Vietnam de gagner sa guerre ou à la Corée du nord de ne pas disparaître. L’intervention russe en Syrie marque un tournant militaire et géopolitique. La guerre d’Ukraine un tournant économique et technologique. D’abord à la grande surprise de ses leaders, l’Otan s’avère moins capable que la Russie à soutenir une guerre longue, que l’on pourrait presque se hasarder à considérer comme une réponse de l’histoire à la course aux armements et à la guerre des étoiles qui avaient asphyxié économiquement la Russie. Ensuite, la Russie s’est révélée en avance techniquement sur un certain nombre d’armements de premier plan. Les États-Unis restent sur leur position belliciste, considérant la Chine comme leur adversaire majeur pour les années à venir, ainsi que l’a si délicatement confirmé Joe Biden lors de sa fameuse conférence de presse en clôture du sommet de San Francisco. L’élite américaine apparaît incapable de sortir de sa rhétorique de puissance dominante agressive, et tape du pied quand on lui résiste comme un enfant égoïste qui exige que l’on fasse ses quatre volontés. La Chine, en position de force diplomatique et économique, répète patiemment son credo: nous ne recherchons pas la domination mondiale mais le développement pacifique et commercial des relations entre pays égaux. La stratégie anglo-saxonne est de préparer la guerre pour faire pression sur les forts, de la faire contre les faibles – y compris au moyen de coalitions ( à vaincre sans péril…) – de semer le chaos sur la planète et la dissension chez leurs rivaux ou considérés par eux comme tels (révolutions de couleur…). Éternelle politique de la canonnière. La Chine a souffert de cette politique au 19e siècle. Soyons assurés que les dirigeants chinois ont de la mémoire et fondent leur politique sur la connaissance de l’histoire et de la morale politique anglo-saxonne, plus que sur les narratifs auto-légitimants des occidentaux. Narratifs qui ne sont écoutés que par des foules occidentales peu cultivées politiquement et soumises à une propagande constante. Les occidentaux n’ont qu’une vision conflictuelle des rapports internationaux, même s’il faut se garder de tout angélisme : si les États n’ont pas d’états d’âme lorsqu’il s’agit de leurs intérêts, cette constatation est tout aussi valable pour la Chine que pour les USA. Cette vision est tout de même significative d’une mentalité impériale où la conquête et le maintien de territoires sous tutelle sont les aspects essentiels. Cela ne saurait être la vision d’un État qui n’a ni les moyens ni l’intérêt à tenter de s’emparer de territoires appartenant à ses voisins, surtout dans une confrontation du faible au fort. Pour conclure laissons la parole au chef de l’État chinois, Xi-Jinping : « La concurrence entre grandes puissances ne résoudra pas les problèmes auxquels la Chine, les États-Unis et le monde sont confrontés. Cette planète est assez grande pour la Chine et les États-Unis. Le succès de chacun est une chance pour l’autre. Il y a deux options pour la Chine et les États-Unis à l’ère des transformations mondiales sans précédent depuis un siècle : L’une consiste à renforcer la solidarité et la coopération et à se donner la main pour relever les défis mondiaux et promouvoir la sécurité et la prospérité dans le monde ; l’autre consiste à s’accrocher à la mentalité du jeu à somme nulle, à provoquer des rivalités et des confrontations et à conduire le monde vers l’agitation et la division. Ces deux choix indiquent deux directions différentes qui décideront de l’avenir de l’humanité et de la planète Terre. » » (Extraits de l'article « BRUIT DE BOTTES DANS LA ZONE ASIE-PACIFIQUE » de Franceschino Guicciardini)

« Le concept de mondialisme regroupe des phénomènes hétérogènes possédant des causes historiques distinctes, mais qui avancent en parallèle, ce qui peut donner l’impression d’une unité programmatique et d’une origine commune. En voici une liste non exhaustive. Sur le Great Reset du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) : personne n’échappe à l’informatique et aux dangers du transhumanisme, il est donc vain de reprocher à la Russie et aux BRICS leur informatisation croissante, surtout quand on le fait grâce à l’informatique, en publiant des textes en ligne qui alimentent les Data Centers de l’infrastructure numérique mondiale. En effet, quand nous utilisons des ordinateurs, et que nous communiquons par internet et messageries électroniques, nous participons tous à ce paradigme – au sens épistémologique d’une tranche historique de l’état donné de la technoscience – que certains appellent (au choix) la quatrième révolution industrielle, la transformation numérique ou le Great Reset. À propos des agendas 21 et 2030 de l’ONU visant le développement durable : personne ne veut renoncer au développement économique et technologique, car personne ne veut renoncer à la compétition internationale, sauf à sortir de l’Histoire et se laisser coloniser par plus puissant que soi. Concernant la dictature sanitaire de l’OMS : tout le monde ou presque a été pris par surprise en 2020, mais les réactions critiques sont venues essentiellement des BRICS, du Sud global et des milieux conservateurs occidentaux, largement pro-russes. Sur le Nouvel Ordre Mondial : ce terme recouvre un projet d’hégémonie anglo-américaine lancé officiellement par le président des USA, George Bush père, en 1990 pour célébrer la victoire du capitalisme sur le communisme, ce qui aboutit en 2024 à la dictature woke LGBT, combattue officiellement par la Russie, avec le soutien des BRICS, au moyen d’un arsenal juridique de défense de la famille et de la tradition.  Dans ses interventions des années 2023 et 2024, Yurie Roșca nous dit qu’il rejette le discours mondialiste anti-Poutine ET le discours alternatif pro-Poutine, pour proposer une troisième voie. Ce faisant, Yurie Roșca rejoint le discours mondialiste anti-Poutine dans une variante partagée par Edward Slavsquat et d’autres, qui œuvrent au fil de leurs publications à faire monter la méfiance vis-à-vis de la Russie et de son gouvernement, sous n’importe quel prétexte, même les plus ténus, et en pratiquant parfois une forme de désinformation très subtile. Et toujours en se faisant passer pour un ami de la Russie. L’ingénierie sociale est l’usurpation d’identité et l’abus de confiance – telle est la définition du pirate informatique Kevin Mitnick – et cela consiste à prendre le contrôle conscient et méthodique des relations de confiance, de méfiance et d’indifférence, pour les faire monter ou descendre stratégiquement à volonté. Sur le plan méthodologique, c’est très exactement ce que font nos médias de masse occidentaux mondialistes. Et si l’on se contente de décrire objectivement ce que font les gens, leur comportement empirique, sans tomber dans le procès d’intention subjective, alors le comportement informationnel observable de Yurie Roșca et Edward Slavsquat, soit leur façon concrète de traiter et diffuser l’information sur la Russie, est le même que celui des médias français et de l’OTAN : ils essayent tous de faire monter la méfiance contre « la Russie de Poutine ». Parfois en donnant l’impression d’une opposition. Une astuce d’ingénierie sociale, appliquée par les auteurs cités, au rayon de la gestion de réputation et du management des perceptions, consiste à affirmer que la Russie ne s’oppose pas vraiment à l’OTAN, ou qu’elle obéit au Forum de Davos – alors qu’elle en a été expulsée en 2022. Et l’on bascule alors dans la reconstruction complète de la réalité par la parole, ce que certains appellent la vérité post-factuelle, quand la vérité est entièrement résorbée dans une parole, phénomène de type psychotique, et qui se propage de façon inquiétante chez nos contemporains. Le lavage de cerveau antirusse 24h/24 commence en France et dans la zone OTAN avec le putsch ukrainien de 2014 et n’a jamais cessé depuis, émanant aussi de médias dits alternatifs. Probablement sous l’effet du syndrome de Stockholm, qui vous pousse à aimer votre bourreau quand vous ne pouvez pas lui échapper, Yurie Roșca nous offre dans l’article déjà cité une profession de foi dans laquelle il reprend les grandes lignes de la propagande de guerre diffusée par le régime de Bruxelles – Commission Européenne et OTAN – ces deux organisations ayant déjà annexé de fait la Moldavie. J’avais pu voir de mes propres yeux en 2017, à l’occasion du second Forum de Chișinau, que le ministère des Affaires étrangères de Moldavie avait déjà été renommé ministère des « Affaires étrangères et de l’intégration européenne »8. Et nous avions appris de la bouche du Président moldave lui-même, Igor Dodon, qu’il avait reçu quelques jours avant nous une visite de la secrétaire générale déléguée de l’OTAN, Rose Gottemoeller, pour inaugurer un bureau de liaison. Ceci étant dit, je peux concevoir que Yurie Roșca et moi-même, nous ayons des intérêts nationaux différents. L’intérêt national des Français est de détruire l’UE et l’OTAN par tous les moyens. L’intérêt national des Moldaves peut être d’intégrer l’UE et l’OTAN par tous les moyens… pour essayer d’envahir ou de détruire la Russie. C’est le vieux projet de l’Occident collectif, le Grand Jeu britannique, qui remonte au Drang nach Osten médiéval, et qui passe par Napoléon et Hitler. À chaque fois, c’est une défaite occidentale. Il faudrait peut-être enfin tourner la page, mais la litanie antirusse continue, comme un robot butant contre le mur, incapable de se reprogrammer pour changer de trajectoire. Ensuite, il faut bien admettre qu’il existe deux réelles menaces intérieures en Russie. D’une part, une cinquième colonne mondialiste libérale pro-occidentale qui travaille à intégrer la Russie dans la globalisation unipolaire. Et d’autre part, des progrès scientifiques et techniques agitant le spectre du transhumanisme, en Russie, comme partout ailleurs. Or, sur ce point, il y a beaucoup de confusion entre la politique et la technologie. La politique est réversible, la technologie ne l’est pas. La politique est basée sur les choix de la volonté humaine, la technologie est plus forte que la volonté humaine et ne laisse pas le choix. En bref : la technologie n’est pas un bus que l’on prend quand on veut et qui s’arrête quand on le demande, c’est un bus qui ne s’arrête jamais et que tout le monde veut conduire. C’est comme la course aux armements, personne ne peut y échapper, sauf à se désarmer soi-même et à laisser l’adversaire gagner. La preuve : pour critiquer la transformation numérique en Russie, Yurie Roșca et Edward Slavsquat utilisent les outils de la transformation numérique. La Russie est embarquée dans la numérisation du monde, comme Yurie Roșca et Edward Slavsquat, qui ne peuvent plus vivre sans des ordinateurs et des Smartphones connectés à internet et à la 5G pour communiquer et propager leur discours antirusse sur les blogs, les réseaux sociaux et les messageries comme Telegram. La compétition internationale se réalise avec des outils technologiques et tout le monde utilise les mêmes, principe du paradigme. Nous sommes tous acteurs du transhumanisme, à des degrés divers, l’auteur de ces lignes aussi, ce n’est donc pas un critère discriminant, au sens épistémologique, pour attaquer la Russie. En revanche, si l’on s’informe honnêtement et de façon impartiale, alors on apprendra que la Russie développe une stratégie numérique plus prudente qu’en Occident.  La technologie procède par étapes irréversibles. Notre usage de l’informatique dans 10 ans, même s’il est contraire à la nature humaine, est une conséquence directe de l’usage que nous en faisons aujourd’hui sans y voir de problème, lequel est rendu lui-même possible par l’usage que nous en faisions dans les années 1980, et qui semble aujourd’hui dépassé, et surtout inoffensif, alors que le Great Reset n’en est que le développement logique, étalé sur le long terme. Et pour un homme préhistorique, qui vient seulement de découvrir la maîtrise du feu, tous ces écrans et claviers ne seraient que sorcellerie et déshumanisation. Des paliers d’acceptation et de dépendance aux nouvelles technologies sont franchis sans arrêt, et la nouvelle technologie en question – par exemple le GPS ou le téléphone portable – qui paraissait problématique ou anxiogène à une époque est entrée dans les mœurs et les usages courants, on ne peut plus s’en passer, on se demande même comment on faisait avant son apparition, elle devient une seconde nature, que tout le monde trouve bien pratique, et l’on ne se rend plus compte que nous avons déjà accepté l’inacceptable, aux yeux d’un homme appartenant à l’âge technologique précédent. En résumé : accuser Vladimir Poutine d’obéir au Forum de Davos parce qu’il développe l’intelligence artificielle en Russie au 21e siècle n’a pas plus de sens que d’accuser Bismarck de développer l’électricité en Allemagne au 19e siècle. La quatrième révolution industrielle théorisée par Klaus Schwab, c’est-à-dire l’informatisation et la transformation numérique de la société, est une fatalité métahistorique. » (Extrait de la « Lettre ouverte à Yurie Roșca (ayant pu être mis sous chantage vu son parcours intellectuel) et Edward Slavsquat » envoyé par Lucien Cerise)
« Il a fallu virer Kennedy méchamment pour poursuivre la guerre du Vietnam et pour parachever la mainmise du Deep State sur cette pauvre Amérique, toujours plus victime de sa ploutocratie et du bellicisme. Mais le Trump fut mollement chassé du pouvoir, comme un Nixon, avec les moyens du bord : l’éternelle triche électorale que l’on découvre enfin en France et ailleurs, et le soutien indéfectible des médias contrôlés ; dès lors sommes-nous enfin devant les vérités ultimes, la résistance derrière un héros ou la mort de tout dans la bouilloire mondialiste des sorcières de Shakespeare. (Trump president) on ne vit guère de gros changements sous son interrègne. Certes dès qu’il disparut, l’affaiblissement sur ordre de l’Amérique s’accéléra avec Biden ; mais aussi le Grand Reset prit le pouvoir avec des politiques pétrolières dignes des pires navets hollywoodiens, traditionnellement anti-pétrole depuis les années soixante-dix. Le reste de l'agenda libéral des années 70 sembla aussi s’accélérer : une immigration folle de grand remplacement comme on dit, un satanisme culturel et médiatique sans pareil, une dinguerie morale et culturelle (le « wokisme ») et bien sûr une russophobie rabique et exterminatrice. La destruction créatrice de Schumpeter ne se veut même plus créatrice : elle ne se veut que destructrice. La vraie question est celle-ci : le Donald est-il est un oligarque droitier, démagogue et chanceux après cet attentat ou un Elu du Ciel, destiné à lutter enfin contre l’hydre mondialiste et les légions des innombrables néo-cons qui aujourd’hui contrôlent les pays européens et occidentaux ? (Suite à la tentative d'assassinat contre lui) Les choses sérieuses ont-elles enfin commencé dans un cadre eschatologique, qui ferait de ce Donald ce héros combattant qu’on ne pouvait jusque-là pas prendre trop au sérieux ? En d’autres termes Trump va-t-il retourner la fameuse observation de Karl Marx : un événement se produit d’abord sous une forme tragique, ensuite sous une forme comique ? Et si c’était l’inverse cette fois ? La première présidence n’ayant pas semblé sérieuse, la deuxième peut-elle l’être ? Et nous fournir le salut espéré pour échapper aux guerres et aux vœux d’une élite sataniste dévoyée qui depuis qu’elle a mis ce pape irréel aux affaires a avancé comme un taureau pour tout ravager ? Entre le grand remplacement migratoire que Trump avait bien dénoncé après beaucoup d’autres (question sur laquelle j’ai beaucoup insister), le terrorisme écologique devenu fou, la rage guerrière antirusse, les progrès inquiétants de l’intelligence artificielle, que reste-t-il dans un futur proche pour les petits blancs que nous sommes, victimes des caprices politiciens et des ambitions messianiques d’une usure dévastatrice qui renforce son pouvoir depuis la crise de l’an 2008 ? Le prodigieux aveuglement de l’opinion publique occidentale montre qu’elle n’est que le tam-tam dont parle Céline. Pour cette masse abrutie et même possédée maintenant (masques, vaccins, codes QR…), Trump c’est la violence et c’est la menace pour la paix dans le monde (logique, puisqu’il veut éviter une guerre nucléaire contre Chine et Russie) ; tout cela a été très bien décrit par Céline et j’en ai parlé dans mon livre sur ce grand homme – le pacifiste enragé – en insistant sur cet aspect de son œuvre : on ne veut plus crever pour vous. De même Trump est comme les isolationnistes honnis et traités de nazis en Amérique par les lobbies celui qui veut éviter la castagne nucléaire dont le camp humaniste et mondialiste rêve nuit et jour. On sait pourtant qu’il est tenu, qu’il est limité, qu’il est plus vieux, plus mou maintenant, et qu’on ne peut lui faire trop confiance. Mais ce qui nous motive c’est l’état dans lequel il les met ces tribus du mondialisme capitaliste et bureaucratique : il les rend folles et elles sont prêtes à tuer maintenant, de jour, de nuit, d’après-midi. Ils ne prennent plus de gants, et de ce point de vue il a été un accélérateur de l’histoire même si nous savons que c’est avec Obama que ce capitalisme de la Fin a pris forme, qui veut se débarrasser des petits blancs puis de la vie sur terre. Le film de Jarmusch sur les zombies en parla bien, qui dénonce un petit blanc (Steve Buscemi) doté d’une casquette à logo : make America white again. Or, blanche, l’Amérique le fut, ne leur en déplaise, et il n’y a pas si longtemps. Et cette phobie anti-Trump a certainement des sources racistes anti-blanches qu’on ne détaillera pas ici… On n’a pas la prétention de dire ce qui va se passer. Tout ce que l’on sait c’est qu’avec les hordes gauchistes et démocrates ou gauchistes qui ici depuis 1789, 1848, 1917, 1968 ou 1981 dévastent l’occident, tout va mal se passer. Alors bon courage, mon Donald. » (Extrais de l'article « Donald Trump martyr du mondialisme » de Nicolas Bonnal)
« La paupérisation de la France se porte à merveille, la classe moyenne est mise à mort, tout est mis en œuvre pour affaiblir la société et tourner la page de l’histoire d’un pays. La classe moyenne, colonne vertébrale de la France, n’a plus ni le temps ni la force de se poser des questions : elle doit tenter de survivre. Les associations tirent l’alarme, les chiffres de l’inflation s’envolent, les gens restreignent leur nourriture et leur chauffage. Nous devenons un pays à l’abandon. Ne pensez pas que cela soit un hasard ou une erreur, c’est le fruit des politiques néolibérales anti-nationales menées depuis des années en toute connaissance de cause afin de permettre l’avènement de la globalisation. Et cela concerne tous les pays développés d’Europe.  Des données socio-économiques particulièrement inquiétantes viennent d’être publiées. Tout d’abord en ce qui concerne l’inflation : en un an, elle ne cesse d’augmenter, que ce soit avec l’alimentaire ou l’énergie. L’inflation s’accompagne ainsi d’une paupérisation de la population, qui dépasse largement le seul cas français.Le problème n’est pas que les riches soient riches, mais qu’il y ait de plus en plus de pauvres et que la base de la société, qui est constituée par la classe moyenne, est la première touchée. Il serait naïf de penser qu’il s’agit d’une erreur politique. Non, il s’agit justement d’une politique.  La classe moyenne est celle qui est réputée la plus conservatrice. Elle est attachée à son bien, à sa ville, à son mode de vie. Elle fait des enfants, elle a une famille, l’image parfaite de la petite bourgeoisie de sous-préfecture, celle qui a survécu à toutes les révolutions. Elle est désormais anachronique. La politique fiscale est orientée contre la petite possession immobilière, la nouvelle famille acceptée est homosexuelle, la religion chrétienne est presque une accointance à l’extrémisme. La nouvelle norme sociale – pas d’enfants, exister juste pour soi, pour son plaisir. Même le plaisir de voyager, comme on l’a vu peut-être très limité et que le fanatisme écolo envisage une limitation du nombre de voyage par personnes dans le temps. Désormais, la classe moyenne n’a plus le temps de se poser des questions, elle doit survivre. Elle peut être exaspérée par l’immigration de masse qui a envahie les pavillons de banlieue, par les cultes divers et variés devant déstructurer le tissu social et tuer le « vivre ensemble », elle est au bord du gouffre : les impôts toujours plus forts, les prix qui ne cessent d’augmenter, les PMI PME qui péréclitent à la pelle, aucune perspective réelle pour leurs enfants – quand ils peuvent sortir intellectuellement vivants de l’école, des fins de mois de plus en plus proches, des vacances de plus en plus courtes. Quand la société est ainsi placée en état de choc, elle est manipulable – mais explosive. L’on voit donc une radicalisation de la politique sécuritaire – devant faire tenir un régime autoritaire soft.  Tous les acquis de l’après-guerre ont été détricotés volontairement avec les politiques néolibérales, il ne reste rien du service public à la française, ni de l’hôpital, ni de l’école, ni de l’Université, ni des administrations civiles. Mais les Français et leurs voisins ont d’autres priorités, sans oublier l’immigration de masse, qui permet de remplir le pays par des gens … qui en général se moquent éperdument de ce pays, dont ils partagent à peine la langue et certainement pas la culture. Sans classe moyenne, c’est le nerf même du pays qui est enlevé. Désormais, elle est mise en état de survie, pour ne pas déranger. »  (Extraits de l'article « Billet du jour : Mise à mort volontaire de la classe moyenne en France ou comment faire disparaître un pays à petit feu » à l'adresse https://strategika.fr/2023/09/12/billet-du-jour-mise-a-mort-volontaire-de-la-classe-moyenne-en-france-ou-comment-faire-disparaitre-un-pays-a-petit-feu/)
« 2 millions de foyers ne peuvent plus payer leur loyer. Ils ne sont pas riches, ils sont locataires, et le macronisme, en 6 ans, les a essorés : explosion des prix de l’essence (les 2 euros dépassés), explosion en cours des prix de l’électricité, hausse de 30 à 50 % des prix de l’alimentation, stagnation, voire recul, des salaires en euros constants, dureté de Pôle emploi, resserrement des indemnisations chômage, recul de l’âge de la retraite, tabassage des Gilets jaunes, on peut dire que la classe laborieuse et la classe moyenne inférieure sont dans le viseur de l’oligarchie, ou de la Banque, qui commande tout. Et on ne parle pas de l’étouffoir (le masque), de la piqûre forcée, des assignations à résidence de tout un peuple. Le tableau est noir, et ça ne va pas s’arranger tout seul, car les oligarques aux commandes sont devenus fous. Ils veulent tout : notre ruine, la guerre, la mort. Et nos enfants. Il y a 70 ans, la Banque avait encore besoin des prolétaires pour maintenir son taux de profit. Mais ces derniers ont trop demandé (un CDI, une protection sociale, une retraite, des soins, des sorties, une épargne, et quoi encore ?) : alors la Banque a choisi la classe moyenne, et l’a enrichie pendant les Trente Glorieuses. Aujourd’hui, elle n’a plus besoin d’elle, alors elle la fout à la poubelle, mais la classe moyenne ne comprend pas : on a participé à l’enrichissement de ce pays, et on nous jette ? Ben oui, relis Marx. La Banque n’a plus besoin des travailleurs de catégories 4 et 5 pour maintenir son taux de profit (en particulier avec la numérisation et l'automatisation de l'économie) : l’argent travaille tout seul, sans usines, sans employés, et tant pis pour les masses. Va falloir pandémiser tout ce trop-plein... Bill Gates reconnaît que le combo masque-vaccin a servi à tester la résistance de la population vis-à-vis de ses dirigeants et de la politique de santé. On est d’accord avec lui. » (Extraits de l'article ER à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Start-up-nation-2-millions-de-foyers-ne-peuvent-plus-payer-leur-loyer-73550.html)
Il est indéniable qu’il existe une cabale des élites au pouvoir, qu’elles sont fortement organisées autour de l’idéologie globaliste et qu’elles veulent un contrôle centralisé total de la société. C’est un fait immuable, étayé par des preuves infinies. Le débat est clos. La réponse Covid y a mis fin.  La liste des crimes contre les libertés civiles est longue.
« S’il y a une élection en 2024 et que Trump réintègre la Maison Blanche, rappelez-vous qu’aucun président ne nous sauvera de ce combat, nous devons nous sauver nous-mêmes. L’objectif des globalistes sera de passer rapidement à d’autres événements de crise, qu’ils soient réels ou fabriqués, pour mettre la population au pas. C’est le cas aujourd’hui avec l’hystérie du changement climatique… L’agenda Covid et l’agenda du changement climatique sont très similaires en ce sens qu’ils reposent sur une erreur fondamentale. Le mensonge consiste à dire que ces événements sont en fait dictés par le comportement humain, et que ce comportement doit donc être contrôlé au nom du « plus grand bien ». L’idée va cependant plus loin, dans le domaine du collectivisme, car les globalistes et les gauchistes affirment que chaque action individuelle affecte la vie du reste de la population au sein d’une grande ruche qui ne s’ennuie pas. Par conséquent, l’État doit micro-gérer la vie de chaque personne afin d’éviter une sorte de réaction en chaîne qui conduirait à une catastrophe pour la précieuse colonie d’insectes. C’est ce que l’on a prétendu lors de la farce Covid, et c’est également ce que l’on prétend pour le changement climatique et les restrictions en matière de carbone. Ils ont inventé une nouvelle excuse pour éliminer les libertés individuelles. Pour la crise Covid, c’était l’air que nous respirons tous qui était censé détruire la santé publique, et pour le changement climatique, c’est à nouveau l’air que nous respirons qui est censé détruire le monde... » (Brandon Smith)

« ONU : « Le système de contrôle mondial proposé peut être résumé comme suit :
-Gouvernance exécutive : L’ONU a évolué vers un gouvernement mondial doté d’un parlement mondial et d’une armée permanente qui, avec l’appui d’un conseil scientifique, établit des lois, des objectifs et des lignes directrices et les applique de manière exécutive.
-Gouvernance anticipative : Gouvernance anticipative grâce à la collecte de données sur les citoyens du monde afin d’étudier les réactions et le respect des règles, ainsi que de prédire les événements futurs et de fournir ainsi une base pour la prise de décision continue.
-Gouvernance multipartite : Gouvernance en réseau avec des partenariats public-privé pour mettre en œuvre les décisions à tous les niveaux de la société. »
Le travail de longue haleine des multimilliardaires sur plusieurs décennies pour développer ce qu’ils appellent le « développement durable » a finalement conduit à ce qui commence à se révéler être les deux événements les plus décisifs de l’histoire de l’Humanité : l’adoption de l’Agenda 2030 lors du sommet de l’ONU en septembre 2015 ; et la signature l’Accord de Paris (lors de la réunion de l’ONU sur le climat à Paris en décembre 2015) qui signifiait l’objectif de maintenir le réchauffement climatique « en dessous de deux degrés, mais de préférence en dessous de 1,5 degré ». Il ne reste plus que le Sommet de l’ONU pour l’avenir en septembre 2024, avec comme arme le Règlement Sanitaire International actualisé de l’OMS, pour que la technocratie totalitaire numérique mondiale devienne un fait. Cependant, il nous reste une petite fenêtre de temps pour contrer cet agenda en faisant connaître ses plans ouvertement déclarés et en cessant de coopérer avec toutes ses petites parties et étapes. C’est donc pour essayer d’influencer une petite portion de ces 16 parties par million (ppm) de dioxyde de carbone dans l’atmosphère (auxquelles les activités collectives de l’homme contribueraient) que le monde entier et tout ce qu’il contient doit être numérisé, surveillé, contrôlé — et peut être fermé arbitrairement et complètement par les intendants planétaires choisis. Cela soulève également quelques questions : Quelle quantité d’énergie faudra-t-il pour faire fonctionner ce cerveau du monde numérique qui est prétendument nécessaire pour créer « notre avenir durable » ? Est-il même possible de réduire considérablement les émissions de dioxyde de carbone sans nous assigner à résidence de manière permanente, sans revenir à la technologie de l’âge de pierre ou sans tuer la majeure partie de la population de la Terre ? Quelle différence cela fera-t-il pour l’atmosphère et la température de la Terre ? » (Dr Jacob Nordangard)  « Commençons par poser la question : qu’est-ce que l’Agenda 2030 ? Il s’agit d’un document contenant 17 objectifs de développement durable (ODD) que l’ONU a approuvé en 2015 et dans lequel elle propose aux États membres un horizon d’action, avec une période de 15 ans pour l’atteindre. Il s’agit, disons, de l’ONU agissant comme une sorte de gouvernement mondial, ou de proto-gouvernement mondial. Tous les pays ne l’ont pas signé, mais l’Espagne a bien entendu été l’un des premiers pays à le faire. Qui serait contre l’éradication de la faim dans le monde ? Qui s’opposerait à la fourniture d’eau potable et d’un système d’assainissement à l’ensemble de la population mondiale ? Qui serait contre la construction de systèmes de santé de qualité partout, ou contre une éducation de qualité ? Alors, où est le piège ? D’abord, dans les petits caractères. Chacun de ces principes génériques est ensuite décomposé en sous-objectifs, en buts, et là apparaît un parti pris idéologique clairement gauchiste. Les moyens proposés par les Nations unies pour atteindre ces objectifs que nous partageons en principe tous sont discutables. Et deuxièmement, dans le fait que les Nations unies proposent les mêmes objectifs à tous les pays du monde, ignorant les disparités abyssales de développement matériel et moral entre les différents pays. L’objectif 5.6 parle de la nécessité de promouvoir la santé sexuelle et reproductive, les droits sexuels et reproductifs... Quiconque connaît le jargon et la pratique des Nations unies sait que cet euphémisme inclut non seulement les contraceptifs mais aussi l’avortement. Et cela a été confirmé en 2018 par le Rapporteur spécial sur le droit au développement dans des déclarations dans lesquelles il a déclaré que les lois qui restreignent ou criminalisent l’avortement constituent une menace pour la santé sexuelle et reproductive des femmes, entraînent des décès lors d’avortements clandestins, etc. On peut donc dire que l’Agenda 2030 est favorable à l’avortement. Si, lorsque nous examinons les petits caractères, nous constatons que l’Agenda 2030 n’a pas cette bonté apparente, pourquoi l’acceptons-nous au niveau national ou européen ? Je suppose que c’est une question de posture morale. Apparaître devant le public comme quelqu’un qui s’identifie à ce projet de progrès parrainé par l’ONU, qui semble conserver une aura morale positive… Personne n’ose s’en distancier de peur d’être identifié comme ultra, ou de se faire dire qu’il est faveur de la faim dans le monde, ou de l’analphabétisme… Bien sûr, personne n’ose se charger d’expliquer où se trouvent les pièges. On peut dire que là où il est dit «éducation de qualité», il y a endoctrinement, que là où il est dit «frontières ouvertes», il y a invasion migratoire, que là où il est dit «égalité des sexes», il y a destruction de la famille... » (Extraits de l'article « Professeur Contreras : Le piège de l’Agenda 2030 est dans les petits caractères » à l'adresse https://strategika.fr/2023/09/23/professeur-contreras-le-piege-de-lagenda-2030-est-dans-les-petits-caracteres/)

« La structure de pouvoir actuelle de l’Occident, fondée sur l’idéologie, exige catégoriquement que certains types de personnes occupent des postes d’influence et que d’autres soient mis à l’écart. Cela s’applique à tous les niveaux de l’échelle sociale, des enseignants de la maternelle aux professeurs d’université, en passant par les cadres d’entreprise, et jusqu’aux dirigeants de la société elle-même. La société occidentale moderne est, du point de vue de la gouvernance, idéologiquement motivée et idéologiquement contrôlée. Elle est poussée dans une direction idéologique très clairement définie, sous la houlette de l’Union européenne et de l’actuelle administration américaine. Cette idéologie n’est pas le sujet de cet article, mais elle est visible partout par toute personne rationnelle et indépendante. Pour les curieux non informés, un bon point de départ est le site web de l’organe de décision de l’UE, le Forum économique mondial. Afin d’atteindre ces objectifs idéologiques pour l’Occident, deux choses doivent se produire : a) les bonnes personnes doivent être mises au pouvoir à tous les niveaux de la société et b) tout élément perturbateur doit être éliminé ou supprimé. Étant donné que tous les objectifs idéologiques ont tendance à être plus ou moins en conflit avec la réalité, il n’y a pas de groupe plus perturbateur pour eux que celui qui opère de manière objective et indépendante. Les personnes de ce type ne peuvent tout simplement pas être autorisées à occuper des postes de pouvoir et, si elles doivent l’être, elles doivent se taire et/ou être forcées à suivre la ligne de conduite. Parmi les postes (principaux à contrôler) on peut citer les cadres d’entreprise, toutes sortes de planificateurs et d’administrateurs, les développeurs de produits, les inventeurs, les consultants et analystes de haut niveau, les chefs et planificateurs militaires, les diplomates, les juges, les dirigeants politiques, les scientifiques et théoriciens de haut niveau, pour n’en citer que quelques-uns. De fausses disciplines ont même été inventées de toutes pièces dans le but de former des idéologues purs sans qu’il soit nécessaire de faire preuve de compétence, d’intelligence ou d’un quelconque lien avec la réalité. On trouve ces disciplines dans les listes des «diplômes universitaires les plus inutiles» sur Internet, mais c’est un malentendu. Ces diplômes ne sont pas du tout inutiles : ils élèvent les idéologiquement purs dans la société en leur accordant une «certification» universitaire. Cette certification justifie qu’on leur confie des postes importants dans la société. La société occidentale, en général, a abandonné la rationalité et l’a remplacée par le subjectivisme (officiellement désigné sous le nom de “post-modernisme”). L’objectif n’est pas seulement de former et de faire progresser les idéologues purs, mais d’utiliser le subjectivisme comme outil d’oppression contre le groupe et la partie rationnelle de la population en dehors de ce groupe. La meilleure façon de supprimer une personne rationnelle est de la soumettre à une existence d’irrationalité totale et constante. Il s’agit essentiellement d’un détournement cognitif à l’échelle de la civilisation, dirigé contre le groupe rationnel dangereux.  Pendant que le groupe rationnel dangereux est supprimé et subverti, les «leaders de demain» idéologiquement purs sont endoctrinés plutôt qu’éduqués, reçoivent des certifications universitaires plutôt que de vrais diplômes, et enfin se voient offrir une quantité inépuisable de faux emplois bien rémunérés dans les secteurs privé et public. Ce groupe idéologiquement pur et bien rémunéré devient alors la base du pouvoir du nouveau système idéologique. La principale chose à comprendre est que les sociétés et les économies occidentales ont été placées sur une base idéologique. La productivité, la compétitivité, la technologie et la science ne sont tout simplement plus des priorités en Occident. Expliquer les conséquences de ce processus pour l’Occident nécessiterait de nombreux articles, voire un livre de plusieurs centaines de pages. Citons tout de même quelques exemples. La crise inversée des compétences – L’objectif de tout ce projet a été de placer les personnes idéologiquement pures à tous les postes de pouvoir et à tous les niveaux de la société. Le processus est aujourd’hui presque achevé, la plupart des postes de pouvoir étant occupés par des personnes idéologiquement pures. Certaines de ces personnes ont un QI élevé, mais elles ne sont ni objectives ni indépendantes. L’idéologie à laquelle elles doivent souscrire est tout simplement incompatible avec ces qualités. Cette situation a de graves conséquences.  Rappelez-vous que les postes de pouvoir et d’influence sont plus susceptibles d’exiger une compétence générale que les autres postes (par opposition à une expertise spécifique). Plus le pouvoir est grand, plus le poste exige une connaissance générale. Les personnes qui occupent ces postes sont aujourd’hui sélectionnées en fonction de leur ferveur idéologique et de leur fiabilité – donc plus on monte dans la hiérarchie, plus les personnes qui occupent ces postes sont idéologiquement enthousiastes. Cela signifie que les personnes les moins objectives et les moins indépendantes occupent les postes qui requièrent le plus d’objectivité et d’indépendance d’esprit. Par conséquent, en Occident, l’incompétence devient de plus en plus fréquente au fur et à mesure que l’on monte en grade. Alors que les Russes semblent procéder à des purges des incompétents et des corrompus au sein des structures de l’État, y compris l’armée. La méritocratie semble être à l’ordre du jour, un concept radical de nos jours. Les Russes considèrent très probablement que ces efforts sont essentiels à la pérennité de leur État et de leur nation – et ils ont raison. Le conflit actuel entre l’Occident et la Russie – et de plus en plus entre l’Occident et le reste du monde – devient un conflit entre les incompétents et les irrationnels et les compétents et les rationnels. En plaçant ses sociétés sur une base idéologique, l’élite occidentale s’est mise au pied du mur. Elle ne peut pas être compétitive, elle ne peut pas développer ses économies ou ses sociétés, et elle ne peut pas revenir en arrière. Pour résoudre les problèmes de l’Occident, il faudra un renouveau économique, où une économie réelle remplacera l’actuelle fausse économie de services financiarisée. Par conséquent, cela ne se fera pas tant que la classe dirigeante occidentale actuelle sera au pouvoir. Les sociétés occidentales ne survivront pas à une relance économique dans leur configuration idéologique actuelle. Le conflit est donc la seule option qui reste à la classe dirigeante pour s’accrocher au pouvoir. » (Extraits de l'article « Pourquoi l’Occident est-il si faible (et la Russie si forte) ? Le rôle du capital humain et de l’éducation occidentale » à l'adresse https://www.google.com/search?client=firefox-b-e&q=Pourquoi+l%E2%80%99Occident+est-il+si+faible+%28et+la+Russie+si+forte%29+%3F+Le+r%C3%B4le+du+capital+humain+et+de+l%E2%80%99%C3%A9ducation+occidentale+)

La Russie de Poutine et la nouvelle Amérique de Trump rendent les gauchistes encore plus bêtes qu’ils ne sont. On peut même dire que l’antitrumpisme et l’antipoutinisme primaires sont deux marqueurs de la médiocrité intellectuelle.

Au G20 de 2023, les pays émergents ont montré leur refus de décarboner, car leur développement dépend majoritairement de la consommation de pétrole, de gaz ou de charbon ! Les pays industrialisés ont voulu piéger les pays dits du sud, qui ne sont pas favorables au protocole de Kyoto. Or les Américains n'y sont aussi pas favorables, puisqu’ils sont en train de remplacer leur pétrole par du gaz de schiste. Le piège tendu par les Occidentaux, c’est d’accuser aujourd’hui les pays émergents de polluer (rappel : le CO2 n’est pas de la pollution, c’est même du bon manger pour les forêts), alors que leur développement à eux est acquis depuis un siècle déjà. La décarbonation, c’est en grande partie l’arme anti-chinoise du groupe euro-américain, et les Chinois n’en ont rien à faire. Face au diktat occidental incarné par les COP, l’Arabie saoudite, la Chine et l’Inde ont même fait bloc, dont en se vengeant sur le dossier ukrainien par leur refus de condamner la Russie. Car derrière, comme toujours, tout n’est qu’une question d'argent et de pouvoir.
C'est pourquoi il est important de remarquer que pour empêcher ce réveil des peuples au profit de l'amplification de leurs intérêts et privilèges, les élites mondialistes impies de l'actuel monde moderne, matérialiste et donc individualiste nous vendent du rêve futile à travers l’idolâtrie envers des célébrités du sport, de la musique, de l'art, de la fausse politique, ou de la télévision. Dans ce sens ils vendent aussi de la peur recroquevillant et donc affaiblissant les peuples par les risques de guerres, le covid, l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures ou la pauvreté sociale. En effet cette amère ambiance d'appauvrissement et de rabaissement moral pousse souvent les gens à l'excessive consommation perverse d'alcool, de cigarettes, de drogues, de vêtements, de nourritures, de médias, de jeux vidéo ou/et de pornographie. Surtout qu'ajouté dans ce système poussant à prendre plaisir dans ce qui nuit, en répandant fréquemment divers produits chimiques ou des pesticides partout, cela va encore plus dans le sens des malfaisantes élites cupides au pouvoir, puisque faisant de plus en plus mourir les gens vers le début de leur retraite comme des esclaves pour qu'ils en profite peu voire pas du tout, à cause des fréquents cancers, crises cardiaque ou accidents vasculaires cérébraux. De plus il faut rappeler que les peurs comme celles liées au covid et au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 permettent de faire accepter n'importe quoi aux populations pour leur sécurité : mesure liberticide, contrôle social, identification numérique, refonte économique complète, mondialisme ploutocratique pour honteusement gérer l'humanité tel un troupeau.
Benjamin Franklin : « Un peuple prêt à sacrifier un peu de sa liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. »
On en revient toujours au conflit entre révolution et confort, confort dont le besoin augmente souvent avec l’âge, alors qu'il devrait être pieusement occulté vu la mort proche ou le ralenti et l'enlaidissement de la vieillesse. En ce sens on peut dire que le Diable, c’est la sécurité, c’est-à-dire la peur et son corollaire, la soumission. En notant que la liberté de consommer n'est évidemment pas le sens principal de la liberté.
Or pour beaucoup le fantasme de leur santé immortelle face à la crise du covid est passé avant leur liberté, alors qu'auparavant ils étaient prêts à mourir pour leur liberté. De plus quand le parlement refuse de dire que le Roi (Président) est fou, il faut comprendre que la tyrannie vient de lui et du système.
En effet par exemple sous le pervers prétexte de notre protection contre le covid, contre l'antisémitisme, et même contre la haine, la liberté de mouvement et d'expression est diminuée. Alors que la perception de la haine est un sentiment subjectif, et que tout peut donc être supprimé au nom de la lutte contre la haine, car il suffit d'avoir une communauté de pleunichars suffisamment large. Mais la manipulation qui consiste à amalgamer toute vérité, aussi déplaisante soit-elle, à de la haine, ne tient plus. Ces lois obscures contre la haine et la désinformation pourraient même d'abord servir à ce que toute idée contraire au mondialisme devienne considérée comme mauvaise et interdite. L’esprit de résistance, c’est ce que les corrompus appellent la « haine », mais qui n’est que la réaction naturelle à leur corruption. Cet esprit de résistance a généralement déserté les instances d’opposition classiques, car de plus en plus soumises à la lâcheté et aux petits calculs. Le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence – indispensable à son propre maintien – d’avoir conduit à une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les Gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. Et cette fois-ci comme l'antidémocratique loi Avia contre la haine a été remise en cause en grande partie par le conseil constitutionnel, face aux principes fondamentaux de la République française dont la liberté d'expression qui s’y opposent, on utilise l’Union Européenne et la violation de notre souveraineté pour les contourner et mettre en place un système autocratique dont Thierry Breton est l’un des surveillants zélé. C'est à dire que les réseaux sociaux déjà devenus des éditeurs de contenus souvent wokistes peuvent de plus en plus devenir de la censure envers les paroles dissidentes. Même la presse de gauche a abandonné le terrain à la tyrannie mondialiste oligarchique en se soumettant au covid, car le covidisme, c’est la pointe acérée du mondialisme oligarchique, l’aiguille de la seringue qui doit toujours plus paralyser les peuples car avec aussi les crises financières, l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine. Cela vérifie encore une fois la théorie selon laquelle la gauche officielle n’est que le moyen pour la droite dure, spéculative, usurière, dominatrice, bancaire, dirigeante et répressive, de faire croire à la démocratie.

Concernant ces grosses pertes de valeurs traditionnelles, de liberté et de souveraineté des nations, voici d'ailleurs un résumé des principales nouveautés du projet de modification des traités sur l’UE adopté par le Parlement européen en 2023 :
-La prise de décision à l’unanimité des Etats membres (Conseil européen) devient l’exception, le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle.
-On ne parle plus d’égalité entre les hommes et les femmes mais entre les “genres”. Le personnel de l’administration européenne devra refléter “l’égalité de genre et la diversité de la société” (discrimination positive).
-Création d’une fonction de “Président de l’Union européenne” en remplacement des président du Conseil européen et de la Commission qui est elle-même remplacée par un “exécutif”.
-La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.
-Création d’une “union de la défense” dotée de “capacités militaires” sous le “commandement opérationnel de l’UE” qui peut acquérir des armes au nom de l’UE, et donc constitution d’une véritable armée de l’UE.
-Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un Etat membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses Etats membres comme dans l'OTAN.
-L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation.
-Compétence exclusive de l’UE au détriment des Etats membres pour conclure et négocier les accords internationaux sur le changement climatique.
-L’UE aura dorénavant une compétence partagée avec les Etats membres sur les questions de santé publique, “l’accès universel et complet à la santé” et les “droits sexuels et génésiques”. (Cela signifie que les Etats membres ne pourront agir que si l’UE a décidé de ne pas le faire ou qu’elle n’a pas encore proposé de législation). Il en est de même pour : la politique des frontières extérieures, les affaires étrangères, la sécurité extérieure, a défense, la protection civile, l’industrie et l’éducation.
-La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des Etats membres et répondre aux besoins de mains d’oeuvre du marché unique.
-L’UE ne pourra définir que les conditions “minimales” d’entrée et de séjour ainsi que les normes “minimales” de délivrance de visas et titres de séjour de longue durée.
-L’UE sera dorénavant compétente pour définir les règles minimales relatives à la définition des infractions pénales et des sanctions dans les domaines de la “violence fondée sur le genre” et “la criminalité environnementale”.
-L’UE pourra compléter l’action des Etats membres dans la lutte contre la pauvreté et le “soutien au logement social”.
-Création d’un “Etat d’urgence” européen : Le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif).
-Instauration d’un droit fondamental à “l’autonomie corporelle” et à un “accès universel à la santé” “sans discrimination”.
Pour ne pas entrer en tyrannie et pacifiquement manifester noblement quand il le faut, le peuple doit donc absolument jauger quand des niveaux sécuritaires liberticides sont légitimement exceptionnels, deviennent malhonnêtement des restrictions temporaires, ou demeurent tyranniquement une permanente autorité excessive, car dans les démocraties occidentales, le respect des libertés est normalement la règle, et les restrictions, l’exception.
« En matière de Défense et de Politique étrangère, les positions de l’UE sont exactement celles du G7, auquel elle participe. Il n’y a aucun cas où elle en diffère, ou même simplement où elle émette une nuance. L’anglais est devenu de facto la seule langue de l’Union commune à tous ses membres, alors que l'Angleterre n'est même plus dans l'UE. Cela n’a évidemment aucun rapport avec le fait que l’UE soit, non pas un projet européen, mais un projet anglo-saxon... L’UE se dote donc actuellement d’une industrie de fabrication d’armes et coordonne chaque pays de sorte qu’elle approvisionne en continu le gouvernement de Kiev. Jusqu’en 2022 (opération spéciale de l’armée russe en Ukraine), l’UE ne se mêlait pas des questions de Défense. En effet, les Traités européens stipulent que ce n’est pas de son ressort. La Défense du territoire de l’Union ne dépend pas de ses États-membres, mais de l’Otan, qu’ils en soient membres ou pas. La Commission n’a pas eu de difficulté à s’emparer des questions d’armement. Elle l’avait déjà fait pour les médicaments durant l’épidémie de Covid, ce qui a donc facilité cette orientation vers l'armement. La Commission a ainsi prouvé qu’elle pouvait s’emparer d’un thème qui n’était pas de son ressort et qu’elle pouvait même conclure des contrats gigantesques au nom de ses membres sans leur dévoiler le secret de ses négociations. Lorsque l’UE sera devenue un État unique, la Commission devrait faire preuve de la même habileté et plus encore, puisque son action ne sera plus entravée par les 27 États-membres. Ils auront disparu. Après cette fusion, le banquier Mario Draghi devrait réaliser des « économies d’échelle ». Par exemple : il est inutile de gaspiller en ambassades pour chaque État-membre, un seul réseau suffit pour l’État-unique. Tant qu’à faire, les privilèges des uns seront mis au service de tous. Par exemple, le siège permanent des Français au Conseil de sécurité des Nations unies reviendra à l’Union. Ou encore, la Bombe atomique française sera remise à la Défense de l’Union Européenne en cas de fédéralisation, ce qui serait une haute trahison du dirigeant français le permettant, surtout que l'UE est plus une entité privée que publique. En effet l'européanisation de la France entraînera celle de son siège permanent à ONU et donc de sa dissuasion nucléaire. (La perte d’indépendance de la France conduit à un constat parfois formulé en ces termes dans le débat dissident : la France est une colonie américaine et/ou une colonie israélienne. Au sein de la droite, on entend davantage que la France est devenue « la colonie de ses colonies ». Ce terme de colonie peut-il être sérieusement employé ? Faut-il regarder le phénomène par le haut ou par le bas ? Si l’on mobilise la notion de « situation coloniale », il est possible de mettre en évidence des caractéristiques de colonisation dans la France d’aujourd’hui, non pas dans le sens d’une rigoureuse comparaison historique entre les sociétés coloniales des XIXe et XXe siècles (sans remonter à la période de la traite négrière) et la France de l’après-guerre mais plutôt dans le sens de la continuité et des évolutions d’une situation coloniale qui fournit à ceux qui la mettent en place et l’entretiennent des outils commodes de domination. Le Français est enfermé aujourd’hui entre un statut de colon de par une dette morale dont il n’est pourtant pas responsable (rappelons que les autorités coloniales n’ont cessé de se plaindre du manque d’intérêt des Français pour les colonies, d’où la mise sur pied répétée des expositions coloniales en métropole) et celui de colonisé de par une dette financière dont il ne porte pas plus la responsabilité mais qui a conduit son pays à vendre sa dépendance aux intérêts privés et communautaires. On se félicite ainsi de l’émancipation des femmes qui ont pu, après la loi de 1965, signer des chèques sans l’autorisation de leur mari, mais on ne s’émeut guère du fait que le mari comme la femme doivent aujourd’hui demander l’autorisation à leur banquier pour retirer leur propre argent en liquide. La mise sous tutelle des peuples n’est en réalité pas un phénomène propre à la colonisation. Les populations colonisées d’Algérie, d’Afrique subsaharienne, d’Indochine, n’avaient pas grand-chose à envier au sort des ouvriers français du XIXe siècle. Entre colon ou colonisé, le Français ne devrait pas avoir à choisir, car le seul statut qui lui sied, c’est celui d’homme libre. » (Hyacinthe Maringot)) Les États neutres, tel que l’Autriche, auront de toute manière disparus. Ce qui est vrai en matière politique l’est aussi en matière économique. Mario Draghi préconise depuis longtemps déjà une réorganisation de l’économie de l’UE selon le modèle soviétique : à chaque région sa spécificité. C’est d’ailleurs en misant sur cette évolution que l’UE a conclu les accords de libre-échange auquel je faisais référence au début de cet article. Si l’élevage restera une particularité de la Pologne, les Pays-Bas ont pris de l’avance en mettant au chômage autoritairement leurs paysans et la France ne devra plus tarder à consacrer ses talents à d’autres tâches. Le véritable obstacle à la création d’un État-unique ne peut venir que des États-membres refusant de disparaître. Il réside dans le Conseil des chefs d’États et de gouvernements. Deux points de vue diamétralement opposés et inconciliable se font face. Les deux extrêmes étant dans l’ancienne Tchécoslovaquie : la Tchéquie est gouvernée depuis un peu plus d’un an par le général Petr Pavel, ancien président du Comité militaire de l’Otan. Son programme est celui du G7 (affirmation d’un monde régi par des règles, endiguement de la Russie, soutien aux nationalistes intégraux ukrainiens, préparation de l’affrontement avec la Chine). Au contraire, la Slovaquie est gouvernée depuis six mois par Robert Fico. L’alliance sur laquelle il s’appuie comprend certes quelques nostalgiques du père Jozef Tiso qui établit, sous la protection des nazis, un régime national-catholique durant la Seconde Guerre mondiale. Plus sérieusement, elle est fondée sur les partisans de l’indépendance vis-à-vis de l’URSS qui ne se reconnaissait pas dans la figure de Václav Havel, l’agent de la CIA qui prit le pouvoir à l’occasion d’une révolution colorée, la « révolution de velours ». Ancien communiste, Robert Fico distingue la Russie de l’URSS. Il défend un monde organisé autour du Droit international (et non pas des « règles » du G7). Il a pris position pour la résolution 2202 du Conseil de sécurité et par conséquent a approuvé l’intervention de la Russie en Ukraine. Il est le seul et unique dirigeant de l’Union a avoir tenu cette position (la Hongrie de Viktor Orbán évite d’aborder ce sujet). Il y a quelques jours, le problème a été réglé : le 15 mai 2024 un individu a tiré cinq coups de feu à bout portant sur lui. Robert Fico a immédiatement été évacué (photo). Il a déjà été opéré deux fois et ses jours ne sont plus en danger. Le débat qu’il animait au sein du Conseil est interrompu. Il ne devrait pas reprendre.  L’Histoire de l’UE est déjà écrite. Ce qui est merveilleux avec ce projet, c’est qu’au fur et à mesure qu’il s’accomplit, on découvre pourquoi Bruxelles a imposé des règles et des faits qui n’avaient aucun sens lorsqu’ils ont été arrêtés, mais en prennent un désormais. Le grotesque débat des Spitzenkandidaten, en anglais et dans un décor grandiose, mais sans enjeu, aura joué son rôle : occuper les foules pendant que les gens qui comptent décident de leur avenir dans l’ombre. Ceux qui s’opposent au projet d’État unique seront éliminés. » (Extraits de l'article « La « démocratie », version Union européenne » de Thierry Meyssan)
« Tout devra disparaître, même nos ambassades : s'emparer des questions d'armement,  la Bombe atomique française sera remise à la Défense de l’Union. Les États neutres, tel que l’Autriche, auront de toute manière disparus. Meyssan conclue glacialement : « L’Histoire de l’UE est déjà écrite. Ce qui est merveilleux avec ce projet, c’est qu’au fur et à mesure qu’il s’accomplit, on découvre pourquoi Bruxelles a imposé des règles et des faits qui n’avaient aucun sens lorsqu’ils ont été arrêtés, mais en prennent un désormais. » Meyssan omet incidemment l’horreur numérique (euro, contrôle social, vaccins constants et obligatoires sinon…) qui nous attend : voyez l’arrogance insensée du fils Barrot (oh, ces centristes cathos giscardiens…) pour vous faire une idée. Je rappelle un texte de Trotski que j’avais étudié il y a quelques années. Il se passe de commentaires :  « L’histoire favorise le capital américain: pour chaque brigandage, elle lui sert un mot d’ordre d’émancipation. En Europe, les États-Unis demandent l’application de la politique des “portes ouvertes”… Mais, par suite des conditions spéciales où se trouvent les États-Unis, leur politique revêt une apparence de pacifisme, parfois même de facteur d’émancipation. » Et on était en 1924… Regardez ce que Trotski ajoute : « Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie allemande et française, que font les socialistes de toute l’Europe ? Ils s’éduquent et s’efforcent d’éduquer les masses ouvrières dans la religion de l’américanisme ; autrement dit, ils font de l’américanisme, du rôle du capital américain en Europe, une nouvelle religion politique. » On parlait de gauche ? De social-démocratie ? De banques américaines (Davos, c’est elles…) ? « En d’autres termes, la social-démocratie européenne devient actuellement l’agence politique du capital américain. Est-ce là un fait inattendu ? Non, car la social-démocratie, qui était l’agence de la bourgeoisie, devait fatalement, dans sa dégénérescence politique, devenir l’agence de la bourgeoisie la plus forte, la plus puissante, de la bourgeoisie de toutes les bourgeoisies, c’est-à-dire de la bourgeoisie américaine. » Et Trotski enfonce le clou : « Le capital américain commande maintenant aux diplomates. Il se prépare à commander également aux banques et aux trusts européens, à toute la bourgeoisie européenne. » Et l’interminable guerre euro-américaine contre la Russie permettra de renforcer l’Etat totalitaire européen !) (Nicolas Bonnal)  « Après deux ans de guerre, l'armée russe est incontestablement la plus entraînée au combat de haute intensité moderne avec une utilisation massive des nouvelles technologies (drones, guerre électronique) et des feux massifs terrestres et aériens. Elle est bien équipée. Elle tire chaque jour des enseignements et améliore ses équipements en fonction de l’expérience acquise sur le terrain. Son complexe militaro-industriel fonctionne 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Il suffit largement pour alimenter un combat de haute intensité contre l’OTAN et produit, à lui tout seul, davantage que l’ensemble des 32 pays de l’OTAN. L’armée russe dispose également d’une avance technologique décisive dans certains secteurs : notamment sur l’hypersonique, mais pas que …. Elle a la meilleure défense anti-aérienne du monde. Elle agit à proximité de ses frontières, ce qui facilite la logistique.  Le soldat russe agit pour une cause en laquelle il croit, à juste titre. Celle de la sécurité nationale de son pays face à un occident fourbe et sans parole. Il est non seulement entraîné, mais motivé. Tout cela est à comparer avec le triste constat de l’état de l’OTAN, devenue, au fil du temps et des désarmements successifs pour engranger les dividendes de la paix, un conglomérat d’Armées nationales bonsaï en état de décomposition avancée. Moscou atteindra ses objectifs militaires lorsqu’il le voudra. Mais il n’a pas intérêt à en terminer trop vite. C’est sur l’opportunité qu’offre cette guerre d’Ukraine que s’accélère la construction de la multipolarité. C’est sur cette guerre d’Ukraine que se construit l’affaiblissement économique en cours de l’Union européenne qui devrait être durable et qui va rebattre les cartes de la hiérarchie des puissances en Europe. C’est sur cette guerre d’Ukraine et sur les sanctions occidentales illégales et boomerangs que se justifie la stratégie de dédollarisation qui devrait venir à bout de l’hégémonie US. C’est sur cette guerre d’Ukraine que se fonde, par obligation, le réveil d’une économie russe plus autarcique, plus autonome et plus souveraine.  Arrêter trop tôt, alors que le temps joue en faveur de la Russie, avec une UE et des USA qui s’auto-détruisent chaque jour un peu plus ne serait pas une bonne opération pour la Russie, si l’on veut bien prendre du recul et réfléchir …. L’armée russe n’est pas le moins du monde en difficulté. Elle est maîtresse des horloges. Elle pourra accélérer lorsqu’elle le décidera, attaquer à partir de, et dans de nouvelles directions, créer de nouveaux fronts en Ukraine, alors même qu’elle se renforce chaque jour et que son adversaire otano-kiévien s’affaiblit. Elle choisira le moment favorable pour tirer le meilleur parti géopolitique de sa victoire. La naissance du monde multipolaire est incontestable. Non seulement l’économie des BRICS-10 a déjà largement dépassé l’économie du G7 et celle de l’OTAN, mais le rythme de croissance annuel, difficilement réversible, est aujourd’hui de deux à trois fois supérieur pour les BRICS-10. Autrement dit la bascule du centre de gravité économique mondial a déjà eu lieu et le fossé va continuer de se creuser en faveur des BRICS-10 sous le double effet du différentiel de croissance et d’un nouvel élargissement dès octobre 2024. Rappelons que le G7 comptait 16% de la population et 52% de l’économie mondiale en 1975 lors de sa création et qu’il ne compte plus aujourd’hui que 9% de sa population et moins de 30% de son économie.  En 2024, les 10 pays BRICS comptent déjà 37,3% du PIB/PPA de la planète, contre 29,9% aux pays du G7. Lorsqu’on sait que la seule comparaison pertinente des budgets de défense et de la capacité de résilience des États se fait en parité de pouvoir d’achat, il devrait y avoir là, pour les 7 pays lesplus endettés du monde (G7), matière à s’interroger.  En 2024, les 10 pays BRICS détiennent déjà 44,4% des gisements de pétrole contre 2,9% au G7. Et cela sans compter, évidemment, les pays «amis des BRICS» et de la Russie producteurs de pétrole (Venezuela, Algérie pour ne citer qu’eux). Les 10 pays BRICS contrôlent 38,3% de la production industrielle mondiale contre 30,5% au G7 ; 48,7% de la production de blé et 54,7% du Riz contre 18,1% et 2,6% au G7.  Les 10 pays BRICS produisent 79,2% de l’Aluminium mondial et 30,7% de l’Or contre 1,3% et 12,2% pour le G7. Non seulement le nouveau monde multipolaire est bien là mais il est déjà très puissant et le deviendra toujours plus parce qu’il est appelé à s’étendre et à s’organiser bien davantage et que les différentiels de croissance et de ressources seront désormais toujours plus en sa faveur. Certains de mes camarades pensent qu’il n’est pas vraiment nécessaire d'avoir beaucoup de réserves militaires parce qu'en cas de guerre nous arriverions ainsi très vite au seuil nucléaire et que nos armes et nos vecteurs, non testés depuis 30 ans, seraient toujours efficaces et dissuasifs. Il s’agit là d’un pari très risqué. En cas d’échange nucléaire, même si l’on parle souvent du pouvoir égalisateur de l’atome, l’avantage va quand même au nombre de têtes nucléaires, à la qualité, à la vélocité et à la flexibilité des vecteurs (ne particulier les missiles), à la qualité de la défense et du bouclier anti-missiles et à la profondeur stratégique du territoire, plus qu'aux sous-marins lanceurs de missiles nucléaires pouvant se rapprocher des côtes, car des sonars peuvent les détecter comme les radars peuvent détecter des avions. Aujourd’hui, dans tous ces domaines, ni la France, ni l’UE, ni l’OTAN ne font le poids face à la Russie qui dispose de 6000 têtes nucléaires, de vecteurs de conception récente, plus véloces, plus «flexibles» et moins vulnérables que les nôtres, d’une défense anti-missiles supérieure et surtout d’une immense profondeur stratégique. Rappelons pour mémoire que les fameux LGM-30G Minuteman III de l’US Air Force sontles seuls vecteurs terrestres de l’arsenal nucléaire états-unien. Mis en service en 1970, ces missiles stratégiques US ont donc plus de cinquante ans d’âge et doivent être remplacés dans la décennie à venir en raison de leur obsolescence. Le résultat d’un éventuel échange nucléaire serait donc probablement très «douloureux» et dévastateur pour l’occident otanien. Observons par ailleurs que le chaos Syrien, comme le chaos israélo-palestinien, comme le chaos ukrainien ont tous les mêmes racines et les mêmes responsables : les néoconservateurs mondialistes et sionistes Israélo-US-UE. Il suffit de lire quotidiennement la presse israélienne pour se convaincre de l’implication directe et profonde d’Israël dans ces trois conflits. La situation en Syrie est encore loin d’un retour à la normale, puisque ce pays est toujours bombardé quasi quotidiennement par Israël, seul pays au monde qui puisse bombarder ses voisins en toute impunité, depuis sa création, grâce à la protection du veto US à l’ONU. Les bouchers de Tel-Aviv poursuivent inlassablement leur œuvre de destruction de la Syrie. Si le président Bachar al-Assad n’avait pas eu le soutien d’une forte majorité de son peuple, il y a belle lurette qu’il aurait été renversé. Ce qui me frappe dans l’observation de ce peuple martyr, c’est sa résilience très comparable à celle des Palestiniens. Mais les narratifs mensongers dont la presse mainstream occidentale, sous influence sioniste, nous inondent quotidiennement se poursuivent. Heureusement, les populations du monde entier commencent à ouvrir les yeux. Nos médias et nos journalistes n’en sortiront pas grandis. La Syrie qui avait retrouvé sa place au sein de la Ligue Arabe et qui est aujourd’hui soutenue par l’Iran, la Russie, mais aussi par la Chine, aurait incontestablement pu connaître des jours meilleurs, dont s'il y avait eu en plus une union forte des pays musulmans. La capacité de nuisance des bouchers de Tel-Aviv aura forcément une limite. L’épuration ethnique menée par Israël dans la bande de Gaza  m'inspire du dégoût ! Un immense dégoût ! Et même de la rage … Dégoût que l’actuelle gouvernance nazie d’Israël puisse exercer un tel pouvoir de nuisance à la face du monde et d’un occident moralisateur sans la moindre réaction forte et efficace de l’ONU et de la communauté internationale. L’occident otanien y a perdu son âme et la crédibilité qui lui restait dans le monde. Dégoût de la gouvernance US, sionisée jusqu’à la moelle, qui soutient et participe même directement en fournissant les bombes, au massacre des populations civiles palestiniennes et qui a trop longtemps bloqué toute initiative de paix au Conseil de sécurité de l’ONU. Dégoût des gouvernances européenne et française, et des médias et journalistes aux ordres, eux aussi, sionisés jusqu’à la moelle, qui suivent la politique étrangère US, inspirée par Tel-Aviv, sans se poser la moindre question et qui préfèrent pleurer abondamment la mort naturelle (selon le chef des renseignements ukrainiens Boudanov) du délinquant Navalny que s’apitoyer sur la mort de plus de 32 000 civils palestiniens dont 80% de femmes et d’enfants et sur le sort des 75 000 blessés répertoriés à ce jour. » (Général Delawarde)

« Aldo Sterone dresse un constat sans appel : nous vivons désormais dans une économie d'extraction(,dont jusqu'à toujours plus d'endettement), loin de l'idéal capitaliste de création de valeur. Selon lui, cette dérive profite à une ultra-minorité tandis que la majorité voit son niveau de vie se dégrader. Aldo Sterone dénonce une économie qui ne crée plus de richesse pour le plus grand nombre, mais qui extrait les ressources restantes au profit d’une élite. Il illustre son propos avec des exemples frappants : des jeunes plus pauvres que leurs parents, des systèmes de santé en crise où l’argent permet de sauter les files d’attente, et des politiques publiques déconnectées des réalités quotidiennes. Pour lui, le capitalisme est entré dans une phase descendante, où la création de valeur cède la place à l’exploitation des crises. L’Europe, en particulier, semble engluée dans une bureaucratie inefficace, régulant des technologies qu’elle ne maîtrise pas, au lieu d’innover. » (Média en 4-4-2)   « Pourquoi, professeur, l’Occident va-t-il à la dérive ? Il a des limites et même des frontières qui se déplacent avec le temps et la sensibilité. L’Occident d’aujourd’hui a adopté l’American way of life, la suprématie économique et technologique, l’idéologie du marché et de la mondialisation, l’idée fantaisiste de Francis Fukuyama d’une fin de l’histoire dans l’ordre libéral. Mais il ne sert que des intérêts qui ont suscité l’hostilité des « Brics » Ce projet occidental vise-t-il à affaiblir Poutine ?  Non : le projet est de créer un grand rassemblement de petits États défendus par l’OTAN, fondée sur le principe de la consommation et dont le marché ouvert est soumis au dollar. L’idée est de construire un empire dont le centre est sécurisé et qui dépend du système multinational basé sur la mondialisation, mise en œuvre par la civilisation du dollar et de la consommation. Cet empire devrait s’étendre de l’Europe à la grande muraille de Chine. Mais cette construction, initiée avec la guerre contre (et avec) l’islam dit fondamentaliste (plutôt extrémiste car les fondateurs étaient raisonnablement pieux, et il en est de même pour l'islam radical car lié à la racine), tarde à devenir une réalité effective. » (Extraits de l'article « La dérive de l’Occident – Entretien avec le Prof. Franco Cardini » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/19/la-derive-de-loccident-entretien-avec-le-prof-franco-cardini/)
« La saisie unilatérale des biens de l’État russe constituerait une grossière violation du droit international. Les États disposent de l’immunité souveraine, en ce qui concerne leur propriété, et sont exemptés de la juridiction des autres pays – l’expropriation de leurs biens est interdite. Nulle dérogation à cette interdiction n’est légale. La possibilité de confiscation des avoirs souverains gelés de la Fédération de Russie n’est qu’une spéculation politique hors le champ de la légalité. Les dispositions du droit international sont sans équivoque et ne sont pas soumises à une interprétation : l’unique possibilité légale de confisquer les actifs souverains d’un état est la décision du Conseil de sécurité de l’ONU, le verdict de la Cour internationale de Justice de l’ONU ou un accord signé par les parties concernées dans le cadre d’un traité de paix sur les réparations suite à un conflit armé. Dans tous les cas de figures, dans le cadre du conflit actuel nulle action ne peut avoir lieu sans le consentement officiel de la Russie. Le projet de spoliation des actifs souverains russes – une excellente nouvelle pour Moscou. Parmi les effets délétères qui seront inévitablement produits par la confiscation des actifs russes, on peut citer deux majeurs, dont le premier est l’autodestruction de la réputation étatique que bénéficiait jusqu’à présent l’ensemble du monde Occidental en tant qu’espace du respect des droits. La perte inévitable de cette réputation mènera directement à la perte de confiance vers le système financier occidental basé sur le dollar américain et l’euro et donc vers la sûreté d’investissement dans des produits financiers proposés par ce dernier. Le second effet majeur de la spoliation des réserves souveraines de la banque centrale de Russie sera la légitimation directe de la Russie dans sa légalisation de la nationalisation/confiscation des actifs occidentaux présents sur le marché russe à titre de dédommagement financier vis-à-vis des avoir spoliés. La confiscation par des occidentaux des avoirs que Moscou leur a confiés confirmera, de facto, une fois de plus, le bienfondé de la cause russe auprès de l’opinion de la quasi-intégralité du monde non-occidental dans sa confrontation avec le camp « atlantiste » qui se positionne ainsi ouvertement dans le rôle de la civilisation supérieure se situant au-dessus de toute loi internationale, face à des nations inférieures, dont le reste du monde est composé. » (Extraits de l'article « LA CONFISCATION DES ACTIFS RUSSES SERAIT UNE VICTOIRE STRATEGIQUE DE MOSCOU » de Oleg Nestorenko)
Surtout que cette Amérique déchirée intérieurement tient grâce à son hyperagressivité à l’extérieur. Le gendarme du monde, mu par le profit, tire sur tout ce qui bouge, coupables comme innocents, militaires et civils confondus. C’est la grande déchéance morale de vitrine de la démocratie occidentale, avec veto permanent au Conseil de sécurité contre un cessez-le-génocide à Gaza. Pour info, et pour l’histoire, quand on jugera la responsabilité américaine dans les deux massacres en cours, celui des combattants ukrainiens (500 000 au compteur après 2 ans de guerre) et celui des civils gazaouis (30 000 en 5 mois), on se souviendra que le projet de résolution d’un cessez-le-feu immédiat au Conseil de sécurité recueillit le 20 février (2024) 13 voix pour, une abstention (le Royaume-Uni) et une voix contre (les USA). L’ambassadeur algérien dira : « Un vote pour ce projet de résolution est un soutien au droit des Palestiniens à vivre. À l’inverse, voter contre signifie un soutien à la violence brutale et à la punition collective qui leur est infligée. »
Au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, les États-Unis étaient une puissance manufacturière majeure, mais l’abandon des accords de Bretton Woods, la flottabilité du dollar, le système des pétrodollars, la légalisation, en 1987, des marchés des produits dérivés dont les fondements avaient été « validés » par Black, Merton et Scholes et bien des événements additionnels ont transformé ce pays en une sorte de gigantesque banque infertile. De la même manière, l’Europe, suiviste, s’est désindustrialisée en délocalisant elle aussi dans les pays à bas coûts et ainsi l’Ancien Monde dit « libre », a perdu bien des compétences qu’il croyait inutiles, mais qui risquent un jour de se révéler cruciales. De plus, le conflit en cours en Ukraine accélère la désindustrialisation de l’Allemagne via la destruction des gazoducs Nord Stream, annonçant un appauvrissement supplémentaire substantiel de l’Union européenne. Face à cela, nous avons eu une montée productive extraordinaire en Chine, tant en quantité qu’en qualité. De son côté, sanctions obligent, la Russie a été contrainte à la fois de développer une partie d’activités qu’elle n’avait pas, ainsi que son agriculture avec un potentiel, pour cette dernière, de devenir un leader global absolu dans la majorité des biens. Il y avait néanmoins un secteur où l’on aurait pu penser que les USA auraient gardé la prééminence et c’était la défense, mais ce n'est clairement plus le cas avec la Russie de Poutine.
En Ukraine, même avec l'aide des USA et en plus de l'Union européenne, le moral est au plus bas : on se bat pour son pays, mais aussi pour l’UE du couple Leyen-Scholz et l’OTAN des Anglo-Américains. Le pays se saigne pour l’Empire, des vidéos de soldats éprouvés sortent par les RS et passent le mur de la censure : « Nous sommes envoyés comme des imbéciles au hachoir à viande, nous allons à l’abattoir comme des moutons. Si vous revenez en arrière, vos propres gens commenceront à tirer... » Les sommes englouties par l’entité européiste, aux ordres des Américains, dépasse l’entendement : non seulement la bande à Leyen alimente un conflit qui dessert le peuple ukrainien, mais elle dilapide l’argent des Européens, qui n’ont jamais voté pour cette guerre. L’Ukraine, sous la pression des Occidentaux, a déjà perdu lors de la guerre 500 000 hommes souvent recrutés par la force et 10 millions d’habitants émigrés, ce qui pourrait signifier que c'est le but recherché par les oligarques corrompus pour récupérer des terres agricoles.
Dans ce sens « Bruno Guigue voit la Syrie comme un tournant : « La Syrie était le dernier domino qu’il fallait faire sauter dans le Moyen-Orient, conformément au plan Wolfowitz défini dans les années 90 par les néo-conservateurs américains, qui visait à déstabiliser, ou anéantir, tous les États souverains qui s’opposaient à l’hégémonisme américano-israélien. Cela a fonctionné en Irak, au Soudan, en Libye, mais la Syrie a constitué le premier butoir sur lequel l’impérialisme occidental, sous hégémonie américaine, s’est cassé les dents. En utilisant massivement des proxys, c’est-à-dire les hordes de fanatiques du djihad global, qui se sont fait laminer par l’appareil militaire syrien (pendant plus de 13 ans et même plus s'il n'y avait pas eu d'embargo occidental). » Pareil pour l’Ukraine : Bruno Guigue déclare « ne pas avoir de doutes sur l’issue du conflit », « c’est un échec total pour les Américains ». Il voit un lâchage imminent de l’Ukraine par l’allié US. Des Américains « dont l’objectif n’était pas de permettre aux Ukrainiens de récupérer leurs territoires, mais d’affaiblir la Russie, de créer un abcès de fixation, un bourbier à la vietnamienne. Tout cela aujourd’hui se présente comme un vaste fiasco. La politique occidentale visant à ruiner la Russie a échoué ». Un constat sans appel, que l’ex-haut fonctionnaire voit se conclure par « l’effondrement de l’Ukraine ». « Comme l’Irak, c’est raté ; l’Afghanistan, c’est raté ; le Viêt Nam, c’était raté. L’Occident, et les États-Unis, vont de guerre en guerre et de défaite en défaite ». Décidément en forme, Bruno Guigue n’oublie pas notre cher pays, ou plutôt ce qu’il en reste dans sa version macronienne : « La France est devenue une province de l’Empire, qui s’assume comme telle, et qui suit aveuglément la ligne géopolitique de ses maîtres américains. » On n’entend plus un tel discours souverainiste et, disons-le, patriote, du côté de ceux qui prétendent défendre la France dans la droite dite nationale. » (Rédaction ER)
« La mondialisation a consisté en la financiarisation de l’économie sous hégémonie américaine. Les USA créent des sommes considérables, ex nihilo, chaque mois. Ils inondent la planète de leur monnaie à laquelle ils ont associé l’extraterritorialité de leur droit et punissent sévèrement les contrevenants comme, par exemple, BNP Paribas. Les montants engagés dans le conflit ukrainien sont colossaux, de l’ordre de 200 milliards de dollars, eux aussi sortis de rien et ne correspondant à aucune nouvelle richesse réelle. La question qui se pose est celle de cette fuite en avant : une partie du monde soutient la guerre avec de la création monétaire quand l’autre semble le faire uniquement avec du concret. En ce sens, l’affrontement est moderne et intéressant. En effet, jusqu’au 19e siècle au moins, l’argent étant sous forme sonnante et trébuchante, en fabriquer n’était point aisé. Le combat pouvait donc cesser faute de ressources. Là, la production est potentiellement infinie, mais nous nous trouvons devant un problème quelque peu nouveau. Les réserves d’or étaient tangibles et vérifiables. Aujourd’hui, dans un contexte où les États-Unis ont interrompu la publication de leur agrégat M3 depuis 2006, nous ne savons rien de la valeur de cette monnaie. Chacun comprendra aisément comment cela marche. Si vous avez une certaine quantité de dollars pour un volume de biens dans le monde, vous évaluez, de facto, combien vous pouvez acheter de ces marchandises avec cette somme, ce qui donne une idée de la réalité de la fraction que peut vous procurer une unité de compte. Mais il est bien clair que si vous ne savez pas combien il en circule, vous ne pouvez pas faire ce calcul élémentaire. Ainsi, toute autre monnaie dont la masse globale n’est pas promulguée ne vaut rien, par principe. Comprenons-nous bien, dans un contexte où l’on ne connaît pas la valeur d’une monnaie, en fabriquer des quantités industrielles, ne cause aucun dommage à court voire à moyen terme. C’est donc une arme redoutable pour calmer les récalcitrants, surtout lorsque cela s’accompagne d’un bâton, la guerre, important sinon obèse comme nous l’avons qualifié plus haut. Pour résister à cela, il faut par conséquent à son tour une dissuasion puissante et une force militaire substantielle et suffisamment dimensionnée. C’est clairement le cas aujourd’hui de la Russie et peut-être de la Chine. (Surtout que) nous l’avons vu auparavant, le soutien à l’Ukraine s’obtient par création monétaire incontrôlée. (En effet) Le problème est que les acteurs impliqués dans la production matérielle accompagnant cela, eux, sont potentiellement payés en monnaie de singe. À l’intérieur de la zone occidentale, si elle était autosuffisante, ce pourrait ne pas être très gênant. Mais la difficulté c’est que le critère ci-avant cité n’est pas rempli. Dès lors, cela entraîne la nécessité de la prédation physique, par exemple le pillage du pétrole syrien. Nous vivons donc dans une sorte de fuite en avant et qui oblige à gagner, sinon le système tout entier s’effondre. La question fondamentale est de savoir si cela amènera ou non au conflit mondial et ainsi inéluctablement nucléaire au vu des forces en présence. Cela aussi, au cas où l’on arriverait à l’éviter, plaide pour que du côté des BRICS on mette au plus vite en place un dispositif de mesure de la masse monétaire fiable et en temps réel, observable par tout un chacun. C’est à la fois un gage d’honnêteté, de transparence, de puissance, et enfin de non-impérialisme. » (Extraits de l'article « Le nerf de la guerre » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/18/le-nerf-de-la-guerre/)
On est passés dans une nouvelle époque, car la démocratie est terminée ! C’est soit la dictature monothéiste (au début possiblement à travers un chef militaire, un président à vie ou un roi) imposée par les patriotes, soit la tyrannie transhumaniste, wokiste, financière et ploutocratique du grand reset imposée par les mondialistes apatrides oligarchiques, soit l'Eurasisme conservateur multipolaire, soit l'hégémonie du grand Israël, soit le retour du califat, voire un peu de tout ça en même temps jusqu'à  la victoire du bien.
« Le prochain forum de Davos doit se tenir du 15 au 19 janvier 2024. L’an dernier, selon les organisateurs du Forum, la notion de “polycrise” avait triomphé. 2024 devrait naissance à l’expression de “permacrise”, terme assez bien trouvé pour désigner la crise général de l’Occident qui sévit désormais, entre chaos sanitaire, chaos social, et guerre à la fois en Ukraine et en Palestine. Comment traiter la permacrise dans laquelle l’Occident stagne désormais, les pieds embourbés dans les difficultés en tous genres ? Cette année, tout devrait donc tourner autour de la “permacrise”, “permacrisis” en anglais, c’est-à-dire de la crise mondiale permanente qui permet à Schwab de vendre du conseil stratosphérique à ses 1.000 “partenaires” internationaux, qui viennent acheter du carnet d’adresses et de la renommée dans le village helvétique. Ainsi, il existerait une “permacrise”, qu’à une époque les marxistes appelaient la crise permanente du capitalisme : -Parvenir à la sécurité et à la coopération dans un monde fracturé, qui vise à régler les crises internationales (rien que ça !) dont celle du Proche-Orient. -Créer de la croissance et des emplois pour une nouvelle ère, qui vise à augmenter la croissance dans le monde et à en partager les bénéfices. -L’intelligence artificielle comme moteur de l’économie et de la société, avec cette croyance chevillée au corps que l’intelligence artificielle est le moteur de la croissance de demain. -Une stratégie à long terme pour le climat, la nature et l’énergie : l’objectif de ce volet consiste bien entendu à faire émerger un autre modèle de consommation fondé sur une diminution des énergies fossiles. On voit bien la tendance générale du Forum : promouvoir des solutions de “marché” pour diminuer les énergies fossiles (dont pour en finir avec l'influence de la Russie et du monde arabe et musulman très riche basé sur la vente de pétrole et de gaz), notamment, en développant l’intelligence artificielle. » (Article « Le Great Reset cherche à théoriser la permacrise mondiale… » de Eric Verhaeghe)
« Heureusement, les consommateurs ne jouent pas le jeu (en achetant peu de voitures électriques, de fausse viande, de vaccins contre le covid). Nous vivons encore avec les vestiges d’un système capitaliste dans lequel les fabricants doivent faire des bénéfices. C’est donc un grave problème pour l’ensemble de l’industrie des VE qui pourrait faire face à une vraie crise en 2024 … ce qui amène à se demander pourquoi tous ces magouilleurs continuent à nous faire avaler leurs trucs. Les consommateurs commencent à en avoir marre. Les marchés du monde réel rejettent le « Great Reset » (Grande réinitialisation), ce plan radical international socialiste conçu pour formater l’économie mondiale. Que l’on mange des insectes, que l’on conduise des voitures électriques, que l’on mange de la fausse viande ou que l’on vive dans le monde du métavers censuré, rien de tout cela ne marche. Nous ne pouvons qu’espérer que cette tendance se poursuive en 2024 et qu’elle entraîne la faillite des sociétés qui se sont lancées dans ces affaires bien douteuses. Espérons que le marché des consommateurs puisse rendre son jugement final avant que tous ces trucs ne deviennent obligatoires — ce qui est le véritable objectif. En attendant, soyons reconnaissants pour tout ce qui reste de capitalisme, car les marchés libres sont synonymes de choix pour les consommateurs. Et lorsqu’ils ont le choix, nous pouvons constater aujourd’hui que les consommateurs n’aiment pas les projets envisagés pour notre vie par Klaus Schwab, même s’ils sont soutenus par Bill Gates. » (Extraits de l'article « Les consommateurs rejettent le « Great Reset » de Joseph Stroberg)
« Tout est gangrené. À partir du moment où vous voyez le sigle « organisation internationale », le bon réflexe à adopter est : « Si c’est international, c’est de facto suspect ». Pourquoi ? Parce que toutes les organisations internationales sont sous l’égide des USA et de l’oligarchie financière mondiale apatride. Donc, tout est faussé et, plus grave, tout est dirigé dans le seul but d’assouvir les noirs desseins de cette mini-caste mondiale. Derrière les « beaux slogans », la réalité est toute autre. Il y a de plus en plus « d’usines à gaz internationales » et curieusement, il y a toujours 9 millions de gens qui meurent de faim chaque année dans une indifférence quasi générale. Au vu des milliards de dollars qui circulent chaque jour sur la planète, la faim, l’illettrisme, la criminalité, auraient dû être éradiqués depuis longtemps de la surface de la terre. Or, il n’en est rien. Étonnant, n’est-ce pas ? » (Claude Janvier)

« En Occident, la guerre a été déclarée à toutes sortes de valeurs traditionnelles. C’est-à-dire que toute collectivité est détruite, tout caractère sacré est rejeté, tout est relativisé et l’individu est chargé de tout. Le Moyen Âge a été dénigré et vilipendé dans le cadre du projet de relations publiques de la « nouvelle ère des lumières ». La civilisation du Moyen-Âge était très spirituelle, très humaine, très profonde, avec en son cœur l’immortalité de l’âme humaine. Quoi de plus beau qu’une société construite autour de l’immortalité de l’âme ? Et l’idée de progrès a remplacé cette verticale spirituelle par une idée de confort très douteuse. Je pense que nous devrions être plus prudents et plus critiques à l’égard des idées d’évolution, de progrès et de développement technologique, car elles ne s’accompagnent pas d’une ascension et d’une profondeur de l’esprit humain, mais conduisent au contraire à une chute. Le progrès est une chose très douteuse. Il existe en fait une dictature libérale totalitaire [aux États-Unis]. Antiaméricaine, elle n’a rien à voir avec la démocratie américaine classique, avec le vieux libéralisme américain classique. Quiconque pense que la démocratie est la règle de la majorité est un fasciste. Donc, vénérer les minorités, n’importe quelle minorité, différente, multicolore, transgenre, c’est de la démocratie. Trump est un représentant de la tradition politique américaine classique, plus enclin à l’isolationnisme, au réalisme en politique internationale, c’est un partisan des paléoconservateurs plutôt que des néoconservateurs, c’est un pragmatique, c’est un Américain normal et ses adversaires sont des post-Américains profondément anormaux. (Il faut noter qu'il est très rare que Sorros pour les intérêts de sa société ouverte internationaliste et Trump pour les intérêts patriotiques ou anglo-saxons se rejoignent comme contre la Chine, alors que les globalistes Schwab et Sorros sont contre l'isolationnisme de Trump, mais que Schwab veut amener la Chine dans le globalisme.) » (Alexandre Douguine publié dans Aftershockv)
Ainsi tout le grave contexte actuel (dette, inflation, covid, guerre prolongée, sanctions économiques, pénuries) touchant les peuples occidentaux ne cherche probablement pas d'abord le grand reset suivi par le gouvernement mondial occidental, mais à faire quitter la Russie du territoire du grand Israël, surtout que ce sont les sionistes et les néoconservateurs qui sont le plus derrière toutes ces déstabilisations.
Thierry Meyssan : « Avec le temps, les objectifs de chaque protagoniste se hiérarchisent et leurs positions se précisent. Conforme à sa tradition, la diplomatie russe ne cherche pas, à la différence de l’états-unienne, à redessiner les frontières et les alliances. Elle tente de démêler les objectifs contradictoires de ses partenaires. Ainsi a t-elle aidé l’ancien Empire ottoman et l’ancien Empire perse à s’éloigner de leur définition religieuse (les frères musulmans pour le premier, le chiisme pour le second) et à revenir à une définition nationale post-impériale. Moscou ne cherche pas à « changer les régimes », mais certains aspects des mentalités. »
Surtout que la manipulation des frères musulmans au niveau politique a servi à lutter contre la nationalisme arabe dont nasserien et baasiste, et donc souvent contre les intérêts de nombreuses populations musulmanes dont celle de Syrie et d'Irak anti-impérialistes et anti-sionistes. Mais à travers l'Histoire, certains pays comme l'Egypte ont plus ou moins légitimement privilégier leur relation avec la domination des USA, car la domination de l'URSS menait à la stagnation économique.
Or le sentiment croissant d’insécurité parmi les différentes nations du Moyen-Orient et celui d'effondrement économique pour les grandes nations établissent aussi ces deux camps principaux (occidental et russo-irano-chinois). De plus cela entraîne logiquement l'instabilité des alliances internationales, le choix de nouvelles alliances et la façon d’exécuter la politique extérieure de chaque pays malgré leurs relations commerciales et stratégiques actuelles. Çà a d'ailleurs été prouvé par le protectionnisme Etats-Unien de Trump qui cherchait désormais une relation bilatérale avec chaque pays plutôt que le globalisme précédent. Or c’était aussi probablement car les USA ne pouvaient plus le supporter financièrement, par preuve de leurs grosses guerres commerciales inédites, de leurs très coûteuses 800 bases militaires à travers le monde, de leurs taxes importantes sur de nombreuses importations en particulier chinoises et de leur demande de dépenses supérieures des alliés dans l'OTAN.
La géopolitique est comme une toile d’araignée géante autour du monde : toucher un fil ici peut faire vibrer la toile à l’autre bout du monde. Or depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le paysage politique du Moyen-Orient s’était figé autour de quelques crises : l’expulsion des Palestiniens de leur terre (1948), l’affaiblissement des empires anglais et français devant les USA et l’URSS (Suez, 1956), la surveillance du pétrole du Golfe par les États-Unis (Carter, 1979), la disparition de l’URSS et l’hégémonie des USA (Tempête du désert, 1991), la stratégie Rumsfeld/Cebrowski (2001), et enfin le retour de la Russie (2015). Tous les événements politiques et militaires, y compris la révolution iranienne ou les « printemps arabes », ne sont que des épiphénomènes sur cette trame. Aucun grand acteur n’a fait surgir de nouvelles alliances. Au contraire, ils ont renforcé les alliances existantes pour tenter vainement de transformer en leur faveur tout le Moyen-Orient. Or il faut bien comprendre que même en Iran ou en tout cas dans de nombreuses tribus ou partis politiques parfois corrompus présents dans le Moyen-Orient, les alliances peuvent s'alterner par intérêt avec l'empire americano-sioniste, le bellicisme d'Israël, les djihadistes, les pétro-monarchies arabes, la Russie, l'Iran chiite, leur nation, ou la lutte réelle contre Israël et les Etats-Unis. Mais divers responsables politiques du Moyen-Orient analysent la situation avec des données erronées du passé et la méconnaissance de nouveaux acteurs. Surtout qu'en septembre 2021, même l’Arabie saoudite pourtant pro-américaine depuis des décennies, qui avait déjà acheté pour 3 milliards de droits de fabrication d’armes à la Russie en 2017, puis renoncé à acquérir des systèmes anti-missiles S-400, a signé le 24 août 2021 à Moscou, un accord de coopération militaire avec le ministre adjoint de la Défense, le général Alexander Fomin. On ignore le contenu exact de ce document, mais ayant été conclu après la victoire de la République arabe syrienne et la chute de Kaboul, il indique que Riyad ne perçoit plus l’équilibre des forces internationales de la même manière, c'est à dire ne croyant plus à la super puissance militaire des USA. Rappelons en plus qu’après sa défaite en Syrie, le Pentagone entend poursuivre la stratégie néoconservatrice Rumsfeld/Cebrowski de destruction des structures étatiques de la région, Arabie saoudite comprise. Un à un enfin, de nombreux acteurs de la région ne considèrent donc plus logiquement les États-Unis comme un protecteur, mais comme un suzerain qui n’hésitera pas à les écraser lorsque le temps viendra.
« Le mouvement néoconservateur est né dans les années 1970 autour d’un petit groupe central, dont plusieurs ont été influencés par le politologue Leo Strauss de l’Université de Chicago et le professeur Donald Kagan de l’Université de Yale. Le principal message des néo-conservateurs est que les États-Unis doivent dominer militairement toutes les régions du monde et qu’ils doivent affronter les puissances régionales émergentes qui pourraient un jour contester l’hégémonie américaine. À cette fin, les forces militaires américaines devraient être déployées à l’avance dans des centaines de bases militaires à travers le monde et les États-Unis devraient être prêts à mener des guerres choisies contre des puissances rivales. Les institutions internationales doivent également rester subordonnées aux intérêts de Washington. L’ONU, par exemple, ne devrait être utilisée « que lorsqu’elle est utile aux objectifs des États-Unis », sinon ils devraient suivre leur propre chemin, ignorant délibérément les traités internationaux. Certains néoconservateurs comme Wolfowitz se sont également prononcés en faveur des guerres lancées par les États-Unis, défendant le droit de Washington à agir de manière indépendante, voire seule, en réponse à des crises qui concernent l’État profond. Selon le général à la retraite Wesley Clark, Wolfowitz lui a fait comprendre dès mai 1991 que les États-Unis dirigeraient les opérations de partage du pouvoir en Irak, en Syrie et chez d’autres anciens alliés soviétiques. » (Extrais de l'article « L’Ukraine, le dernier projet catastrophe des néoconservateurs américains » à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/09/lukraine-le-dernier-projet-catastrophe-des-neoconservateurs-americains/)     « Plus folle et totalitaire que jamais, entre ses guerres, ses vaccins, ses Reset et ses chasses au petit blanc, la démocratie occidentale nécessite une cure de jouvence libertarienne, et surtout un petit rappel du Maître qui se rend compte que quelque chose va mal au pays des libertés privées et publiques. Le grand chapitre de Du pouvoir est réalité celui sur la démocratie totalitaire. Comment se fait-il qu’en termes de tyrannie, règles, lois, guerres et conquêtes (coloniales ou autres), la démocratie puisse tout se permettre ? Réponse : le droit de vote et le suffrage universel. La gangrène française a gagné le monde. Il y a un problème : en démocratie ce n’est jamais le peuple qui décide ou qui gouverne. Jouvenel cite aussi Montesquieu : « Comme dans les démocraties le peuple paraît faire à peu près ce qu’il veut, on a mis la liberté dans ces sortes de gouvernements, et on a confondu le pouvoir du peuple avec la liberté du peuple. » Il en tire vite une conclusion essentielle ; la souveraineté du peuple est une fiction. Il ajoute : « Cette confusion est le principe du despotisme moderne. On peut, par des institutions sagement combinées, assurer la garantie effective de chaque personne contre le Pouvoir. Mais il n’y a point d’institutions qui permettent de faire concourir chaque personne à l’exercice du Pouvoir, car le Pouvoir est commandement et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n’est donc qu’une fiction et c’est une fiction qui ne peut être à la longue que destructive des libertés individuelles. » Jouvenel est un nostalgique subtil de la royauté traditionnelle : « La volonté royale était connue pour celle du personnage couronné, de son favori, de son ministre: elle était par là humaine et particulière, de plain-pied avec les autres volontés. La volonté du Pouvoir démocratique se dit générale. Elle accable chaque individu sous le poids de la totalité des individus qu’elle représente, et opprime chaque intérêt particulier au nom d’un intérêt général qui s’incarne en elle. » En démocratie ce qui dirige, c’est l’abstraction, c’est le tout : « La fiction démocratique prête aux régents l’autorité du Tout. C’est le Tout qui veut, c’est le Tout qui agit. » La royauté protégeait les pouvoirs locaux. Cet heureux temps n’est plus, comme dit Racine, qui n’avait pas vu Bruxelles ni Washington. A ce sujet Jouvenel cite aussi Tocqueville : « Les vieux pouvoirs locaux disparaissent sans se rajeunir ni être remplacés par rien, car partout à leur place le gouvernement central prend la direction des affaires. Toute l’Allemagne donnerait plus ou moins le même spectacle, je puis dire tout le continent. Partout on sort de la liberté du Moyen Age, non pour entrer dans la liberté moderne mais pour retourner au despotisme antique, car la centralisation, ce n’est autre chose que l’administration de l’empire romain modernisée. » Jouvenel cite Sieyès : « La conduite du Pouvoir démocratique offre des particularités remarquables. Il se présente comme venant libérer l’homme des contraintes que faisait peser sur lui l’ancien Pouvoir, issu plus ou moins directement de la conquête. Pourtant la démocratie a amenée la Convention guillotine, les fédéralistes, le Parlement d’Angleterre écrase, sous des répressions qui sont parmi les plus sanglantes de l’Histoire, le séparatisme national irlandais, le Gouvernement de Washington déchaînant une guerre telle que l’Europe n’en avait pas encore vu pour étouffer les tentatives des États du Sud de s’organiser en corps séparé. Faut-il citer encore l’action de la République espagnole en 1934 contre la volonté d’indépendance catalane ? » Voilà pour la cruauté démocratique. Comme chez Platon, l’avilissement démocratique débouche sur la tyrannie : « L’Autorité n’est plus alors qu’un enjeu, elle perd toute stabilité, toute considération. Le caractère de ceux qui l’exercent va sans cesse s’abaissant jusqu’à ce qu’enfin le Palais du Commandement ait un occupant qui décide de ne point s’en laisser chasser : c’est le tyran. » Et puis il y a un problème : la démocratie a une élite de gens très occupés par les fonctions et les commissions et cette élite méprise le peuple « pas assez éclairé » depuis toujours ; cette fois Jouvenel cite Kant : « Le philosophe rangeait parmi les passifs « tous ceux qui pour la conservation de leur existence, leur nourriture ou leur protection, dépendent d’un autre particulier », c’est-à-dire qu’il aurait refusé le droit de vote à tout le personnel salarié d’une usine. Ce n’est pas, chez d’autres penseurs, l’indépendance mais le loisir qui est le critère des droits civiques. Et ici l’on sent l’influence d’Aristote : c’est le loisir de réfléchir aux affaires publiques qui fait le citoyen, point de loisir point de citoyen. On trouve chez Sieyès et même chez Rousseau comme un regret honteux des facilités que l’esclavage antique donnait à l’homme libre pour former une opinion éclairée. » Les parlements dégénèrent très vite : « L’avilissement de l’électeur et l’abaissement de l’élu ne sont encore qu’accidentels. Ils vont progressivement devenir systématiques. Des syndicats d’intérêts et d’ambitions se formeront qui, regardant l’assemblée comme une simple attributrice du Pouvoir et le peuple comme un simple remplisseur de l’assemblée, s’ingénieront à capter les suffrages pour investir des députés dociles qui rapporteront à leurs maîtres l’enjeu de toute l’opération ; le commandement de la Société. » Jouvenel découvre comme Cochin Ostrogorski qui l'a très bien décrite, la « machine » administrative et politique. Et cela donne quelque chose de déplorable la machine : « C’étaient de grands esprits, les Rousseau, les Jefferson. Les techniciens de la machine n’ont pas de si hautes prétentions ; mais ils connaissent l’homme réel, qui veut de la chaleur, de la camaraderie, de l’esprit d’équipe, et qui est capable pour son clan de nobles sacrifices. Fondée sur une psychologie empirique, la machine réduit au néant et au ridicule les prétentions de la philosophie politique. » Toujours aussi implacable Jouvenel ajoute : « Loin d’éveiller la capacité citoyenne chez ceux qui ne la possèdent pas encore, on l’éteint chez ceux qui l’ont acquise. » Les partis établissent leur tyrannie  et Jouvenel établit un parallèle entre démocratie et discipline militaire en citant cette fois Baudelaire : « Pour étouffer la curiosité que peut inspirer un orateur éminent du bord adverse, pour combattre l’envie de s’instruire par la connaissance d’arguments différents, pour anéantir cette gentillesse naturelle qui prédispose l’homme en faveur de son prochain, on fait vibrer la corde du loyalisme. C’est trahison de lire le journal de l’ennemi, de se rendre à ses réunions sinon pour couvrir sa voix et ensuite le réfuter d’après un canevas passe-partout. Car la bataille politique est une véritable guerre. Baudelaire s’étonnait déjà d’y trouver un langage militaire : « L’avantgarde de la démocratie », « à la pointe du combat républicain », et autres. Le poète avait raison. On a transformé les électeurs en soldats, en « militants ». C’est que leurs meneurs sont des conquérants du Pouvoir. »  La politique n’attire donc que les nuls et les soumis, ou les roués : « La machine a commencé d’écarter les intelligences et les caractères. Maintenant ils s’écartent d’eux-mêmes. Le ton et l’allure de l’assemblée vont s’abaissant. Elle perd toute considération. La puissance effective quitte d’ailleurs l’assemblée à mesure que les partis gagnent en consistance et en discipline. Si l’un d’eux dispose d’assez de sièges pour dominer l’assemblée, elle n’est plus qu’une chambre d’enregistrement de ses décisions. Dans ces conditions aucun gouvernement n’est possible que celui voulu par le parti, que celui du parti. » Le résultat c’est (par exemple) la tyrannie de Macron et de son parti : « Ainsi la pratique des partis a fait passer la Souveraineté du Parlement à la Machine victorieuse, et les élections ne sont plus qu’un plébiscite par lequel tout un peuple se remet entre les mains d’une équipe. » Magnifique conclusion : « Les citoyens acceptent cette tyrannie et ne la haïssent que trop tard. » On se consolera avec cette dernière observation : « La poussée de ce type de Pouvoir ne dépossède donc point les citoyens du leur, normalement le seul, car les citoyens se déchargent eux-mêmes. »  Vive donc Biden, Leyen et Macron. Et une énième guerre exterminatrice pour « faire du monde un lieu sûr pour la démocratie ». » (Extraits de l'article « Bertrand de Jouvenel et la démocratie totalitaire- Nicolas Bonnal »)
Pour connaître la réalité d'un politicien, il faut regarder ceux qui le financent. C'est pourquoi il est clair qu’Emmanuel Macron ne voyant dans le monde que des managers et des migrants, il incarne plus la caste des managers que l’identité, l’esprit et la culture français. Ce mondialiste veut même imposer à la France comme seule culture le progressisme wokiste, et par cela faire de chaque français quelle que soit sa confession un homme universel globaliste. Il devient donc clair qu'elles soient progressistes ou prétendument conservatrices, seules les personnes néolibérales sont soutenues par la haute finance et les grands médias et peuvent atteindre le deuxième tour de l'élection présidentielle. Et pour analyser encore plus correctement la plupart des enjeux politiques comme donc ceux concernant ce que représente Zemmour, il faut faire un travail interdisciplinaire : c'est à dire comprendre la réalité et les liens de la géopolitique, de l'histoire des religions et de l'histoire des idéologies modernes, tout en ayant une connaissance des réseaux et des convergences de ces différents réseaux. Dans ce sens, il faut savoir que les principaux soutiens de Zemmour, Julien Madar et Jonathan Nadler, sont des banquiers d’affaires venus de chez Rothschild et de JP Morgan. On fait donc clairement mieux comme position anti-Système ! Or le judaïsme de Zemmour apparaît sournoisement comme plus authentique et plus patriotiquement français au niveau du conservatisme que celui du CRIF travaillant avant tout pour Israël et que celui libéral (financier, mondialiste, libertaire) travaillant avant tout pour l'oligarchie juive apatride. Mais ce qui ressort de la position en apparence courageuse de Zemmour sur le lobby sioniste puisque ayant quand même reçu l’appui de Rothschild et de JP Morgan pour sa candidature, c’est qu’il semble plus avertir le lobby juif de l’impasse politique et des dangers de leur totalitarisme actuel (c’est-à-dire d’un pouvoir sans opposition) que se mettre en opposition frontale avec lui. Zemmour, qui se fait le chantre du retour du peuple, et du peuple souverain selon les principes du général de Gaulle, montre là par inadvertance une honteuse inclination flagrante pour les élites, celles qui justement fondent la technostructure française, qui, c’est le moins qu’on puisse dire, n’a pas résisté à l’américanisation et à la sionisation de notre pays. Mais heureusement que l'esprit français social n'est pas comme l'esprit israélien sécuritaire voire raciste, comme le prouve les seulement 7 % en France de Zemmour et donc du Likoud et des néoconservateurs lors des élections présidentielles de 2022. Mais pour des postes, de l'argent, du pouvoir ou/et de l’influence, les dirigeants français ont donc littéralement trahi le peuple en ne s'opposant pas à l’occupation progressive de l'américano-sionisme et de son mondialisme. Le drame français vient de ce choix néolibéral qui ne correspond pas à sa mentalité, et qui fait de ses élites quasiment ses ennemis. Zemmour, en plaçant sa candidature au cœur de cette technostructure, ou du moins dans sa mouvance voire à sa tête, ne change donc rien par rapport à ses prédécesseurs tous inféodés au Système, parce qu'ils sont des produits de ce Système. Or Zemmour, qui est loin d’être un idiot dont en ayant donc compris le danger pour le lobby sioniste de continuer sur cette lancée totalitaire de plus en plus répressive parce qu’il sait que les Français n’en peuvent plus, veut sournoisement associer (en apparence) ce même peuple de France aux intérêts de la communauté juive organisée. Mais pour cela, il faut faire certaines concessions aux français patriotes et au lobby sioniste : c'est à dire que le lobby doit lâcher un peu la bride sur la répression du patriotisme français, et les français doivent s’en prendre aux ennemis du sionisme dont les musulmans en les présentant comme le problème numéro un du peuple français. Des musulmans qui « doivent » eux-mêmes démocratiser ou franciser leur religion... ce que les juifs n’ont pas fait. Or la réactivation du débat gauche/droite est un autre moyen de diviser le peuple français, et Zemmour ne fait que mettre des bûches dans ce feu. Les députés israéliens souhaitant épurer Gaza et envoyer les Palestiniens en Europe, contribuant ainsi au grand remplacement, Le Pen et Zemmour deviennent même les alliés objectifs de ce qu’ils prétendent combattre. En d’autres termes, en se rangeant derrière Israël sans considération pour les conséquences géopolitiques, Marine Le Pen et Zemmour contribueny objectivement à alimenter le problème de l’immigration qu’elle prétend combattre. C’est une contradiction flagrante qui soulève des questions sur la cohérence de leur vision politique et de leur engagement envers les intérêts nationaux français. Zemmour n’agit donc nullement en faveur des classes populaires et des classes moyennes françaises dont il se moque éperdument, puisqu’il ne remet donc pas en cause ni l’euro ni l’Union européenne qui empêchent la France de pratiquer une politique protectionniste. Il s’agit pour ce système judéo-oligarchique de déplacer la colère du peuple vers un autre ennemi dont pour permettre le maintien sioniste, progressiste et mondialiste sur les mœurs, les institutions, les consciences et même sur l’extrême droite grand-remplacée par les Zemmour, Lévy, Goldnadel et consort. Une autre illustration parfaite de la corruption de ces élites est l’ingénierie sociale baptisée covid : toute la hiérarchie politico-sanitaire française  a participé à cet enfumage ayant oppressé et appauvri le peuple, en particulier pour le plus grand profit du Big Pharma, du Big Tech, du Big Buisness (CAC40) et du Big Bank. Surtout que cela a mené à une surveillance électronique accrue, une dictature politique de plus en plus dure, une répression sanitaire qui a été insensée et demeure menaçante, une inflation galopante qui ne profite qu'aux très riches, une paupérisation amplifiée, une criminalisation de la résistance. 

Les réformes majeures n'ont été que des clous plantés dans le cercueil de la France sociale et nationale. Attali, c’est la dérégulation totale de la France sur ordre de la Banque, une dérégulation qui produit du chaos social, de la paupérisation économique et un enrichissement sans précédent de la Banque, qui vit sur la dette, grassement, sans effort. « Le rapport « Attila », c’est « l’outing » : ça y est, la gauche bobo et la droite financière se sont alliées et enfin, aux yeux de la France, on voit qu’ils sont tous les deux pour la dérégulation totale, l’ultralibéralisme délirant, celui qui va mettre la France entre les mains des grands groupes. » (Front National) « À la tête d’une commission largement squattée par les patrons, Jacques Attali n’a pas fait dans la médecine douce. Sa potion pour libérer la croissance est un remake, en plus "hard", des politiques libérales. Contre une telle politique, la riposte des salariés, de l’ensemble de la population, doit être maximum. » (Ligue communiste révolutionnaire) En 15 ans, Attali et ses « actionnaires » ont démembré, découpé, revendu le pays, en faveur de l'oligarchie mondialiste.
Le bilan des dernières années est sans appel : à force de lobbying, jouant sur la naïveté française qui croyait en être restée à une entente franco-allemande quelque peu romancée, l’Allemagne a durablement fusillé l’industrie française. Et au moment où elle allait enfin assurer sa suprématie sur tout le continent, la guerre en Ukraine et les décisions européennes qui furent prises à la suite ont fusillé l’industrie allemande. Et l'Europe est donc très affaiblie voire dominée d'abord par l'oligarchie mondialiste.
« Nous vivons aujourd’hui dans le cadre d’un régime manifestement totalitaire. Il est donc parfaitement logique que des spécialistes élèvent leurs voix afin de rappeler quels sont les valeurs, les principes, les règles applicables, et que de nombreux Français relèvent les irrégularités, les infractions commises et tentent d’alerter le reste de la population, sachant que les médias grand public font office de modèle de propagande au sein de ce monde occidental putréfié. Ainsi, étant donné que la qualification de terrorisme est désormais de plus en plus couramment mise en avant, et que les opposants au totalitarisme mondialiste sont considérés de toute façon comme étant des criminels tant au niveau national que d’après les organisations internationales telles que l’OMS, le glissement n’est pas uniquement hypothétique. Quelle en sera la résultante ? Les avocats ne souhaiteront vraisemblablement pas prendre le risque de défendre un opposant au régime (ou du moins aux mesures prises), de peur de subir le même sort que le mien. Il s’agissait d’ailleurs probablement d’un signal adressé à mes confrères, afin que chacun rentre dans le rang, même si les constats sont évidents, et que l’avocat par son métier a toujours participé aux débats d’intérêt public, tout simplement parce qu’il est l’un des mieux placés pour faire l’exégèse des textes. » (Source Antipresse n° 399 : extraits de Me Virginie de Araujo-Recchia Le 30 mars 2022 à l'adresse https://lemediaen442.fr/la-determination-sans-faille-de-me-virginie-araujo-recchia/)
« Les tensions internationales, les conflits et les changements qui se produisent dans le scénario mondial démontrent irréfutablement la phase de modification des équilibres de l’ordre international que le monde traverse. On peut dire qu’une nouvelle guerre mondiale a commencé depuis longtemps en raison de la volonté des États-Unis, en tant que superpuissance hégémonique, de maintenir leur leadership perdu sur la scène internationale. Aujourd’hui, les États-Unis cherchent désespérément à maintenir leur leadership par des actions destructrices non seulement contre leurs adversaires, mais aussi contre leurs alliés et ce, dans toutes les directions possibles. Cela est démontré à la fois par les nombreux conflits armés et les agressions dans le monde entier dont les États-Unis sont les instigateurs, et par les sanctions imposées aux pays qui ne veulent pas se plier aux directives de Washington et n’acceptent pas d’être les marionnettes de la superpuissance américaine. Sans compter que ces sanctions sont imposées en violation des normes généralement acceptées et sans l’approbation des organisations internationales. L’élite du pouvoir à Washington est déterminée à faire en sorte que le monde unipolaire le reste à jamais. C’est la meilleure condition pour les hégémonistes, car elle est optimale pour leurs affaires. Les monopoleurs savent qu’il n’y a rien de mieux qu’un monopole assuré pour toujours. Cette condition leur permet d’accumuler de nombreux bénéfices, d’imprimer des dollars à volonté pour financer leur niveau de consommation, de financer leurs guerres et de vivre sur le dos des autres. La campagne massive de propagande et de désinformation menée par les méga-médias du système a fait naître un fort sentiment de « russophobie » en Europe, qui a incité l’UE à répudier tous les accords économiques existants avec Moscou et à suspendre les importations d’énergie en provenance de Russie, ce qui a porté un grave préjudice à la compétitivité du système industriel européen, déstabilisé la situation politique et sociale des pays européens et réduit encore davantage leur compétitivité. Exactement ce que Washington voulait et qui endommage irréversiblement l’économie européenne. » (Extraits de l'article « La guerre mondiale en cours et l’asservissement des peuples européens » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/24/la-guerre-mondiale-en-cours-et-lasservissement-des-peuples-europeens/)  Or comme il est apparu que le système a beaucoup tricher avec le covid, similairement à avoir crié faussement au loup, cela entraîne donc le risque d'imprudence massive face à une éventuelle prochaine pandémie.
Selon les propos du mondialiste oligarchique Klaus Schwab le fondateur du « Forum économique mondial de Davos », on peut même comprendre que par les grandes crises s'enchaînant, une ingénierie sociale perverse veut amener l'humanité à une fusion du biologique et du numérique, afin ce que les travailleurs êtres humains se fassent remplacer par des machines ou des robots et que les peuples deviennent plus surveillable voire contrôlable par plus de numérique en particulier pour empêcher les révolutions populaires dangereuses contre les privilèges des perverses oligarchies.
« (Il peut y avoir) une connivence syndicale policière avec la gouvernance. Les syndicats de police sont devenus des outils de représentation spectaculaire destinés à capter les colères afin de les catalyser et, in fine, de les absorber ou de les instrumentaliser de sorte à ce qu’elles finissent, soit par ne plus être dangereuses pour le système, soit par lui être utiles. Le gouvernement ne peut qu’être demandeur d’un renforcement du statut juridique et des droits accordés à sa police. En revanche, il est actuellement trop faible et trop impopulaire pour endosser la responsabilité de telles revendications. Le monopole de la violence légitime est un état de fait, cependant, il existe un curseur que l’on peut déplacer, ce curseur peut autoriser toujours plus de droits à la violence du moment qu’il y a acceptation sociale. Cette dernière est le fondement qui justifie l’actuelle stratégie mise en place par le gouvernement sous la forme d’une pseudo fronde. D’où la nécessité d’organiser une contestation au sein des rangs de la police. La peur du chaos qui découlerait d’une grève généralisée de la police conduira l’opinion publique à mieux accepter la requête Ces émeutiers délinquants sans culture politique sont instrumentalisés par la racaille d’en haut, tel le lumpenproletariat décrit par Marx et Engels, afin d’exhausser les tensions intracommunautaires et inter-religieuses promptes à diviser la scène politique et à maintenir Emmanuel Macron et ses sbires en place. C’est par ailleurs du contexte de ces émeutes qu’est née l’affaire d’Hedi. La violence d’État empruntant petit à petit la voie du durcissement, il n’est pas impossible que ces émeutes se déroulent par cycles de plus en plus proches, l’exacerbation croissante des tensions augmentant les possibles affaires Nahel, elles offrent ainsi un pont d’or au renforcement de l’arsenal répressif et sécuritaire. Pour conclure, j’ajouterai à ce propos qu’une institution aussi indispensable que la police ne devrait pas être structurellement politisée. La neutralité des forces de l’ordre est l’absolue garante du maintien de l’État de droit face aux dérives totalitaires et aux possibles instrumentalisations politiciennes. La manœuvre grossière qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux, laisse augurer d’un glissement progressif et calculé, premier pas décisif, vers la mise en place un système totalitaire. Système dans lequel le politique et sa police seraient détenteurs d’une immunité leur autorisant tous les débordements. Un système « politico-policier » alors suffisamment efficient pour piloter le modèle néo- collectiviste Davossien qui prône, en guise d’État, une technostructure du contrôle permanent et du verrouillage numérique, schémas d’une société féodale 2.0 construite sur les narratifs de la peur. Une société de servitude volontaire à laquelle aspirent profondément les gourous Davosiens Klaus Schwab, Yuval Noah Harari et consort. » (Extraits de l'article « Fronde dans la police : vers un renforcement du monopole de la violence légitime de l’Etat » à l'adresse https://strategika.fr/2023/08/03/fronde-dans-la-police-vers-un-renforcement-du-monopole-de-la-violence-legitime-de-letat/)
Klaus Schwab a créé l’école des « Young Global Leaders » en 2004, pour le formatage des futurs chefs d’États des nations sous contrôle du Nouvel Ordre Mondial. Il a également été membre directeur du Groupe Bilderberg. L’exemple du Young Global Leader Macron est particulièrement parlant. C’est sur ordre des mondialistes qu’il a stoppé le projet révolutionnaire Astrid de retraitement des déchets nucléaires. Le groupe Bilderberg, quant à lui, est parmi tous ces acteurs qui décident de notre histoire, la crème du sérail politique, économique et financier du monde atlantiste. Toutes les huiles du mondialisme constituent, avec bien d’autres, les élites du Club de Bilderberg.
Il faut bien comprendre que ce qui se joue en ce moment, et notamment avec la guerre en Ukraine, c’est le combat acharné des mondialistes qui veulent nous imposer un monde sans nations ni frontières, où l’individu n’est plus qu’un simple consommateur, sans identité, ni culture, ni racines, ni histoire. Un simple maillon interchangeable du grand village mondial. Bref, ce monde de demain, c’est la négation de l’histoire de l’humanité de l’Antiquité à nos jours.
« Depuis sa création, la commission Trilatérale se veut un “Forum mondial des penseurs”. En juillet 1973, les mondialistes créaient un parti politique transnational, une organisation de contrôle et de décisions politiques, économiques et militaires, la Commission Trilatérale. Les fondateurs : David Rockefeller, Henry Kissinger, Zbigniew Brezinski, notamment... Son but, tout contrôler au niveau planétaire : économie, travail, armées (Otan), énergies et matières premières, alimentation, démographie, santé... La Trilatérale est donc un « parti politique à l’échelle mondiale ». Ne font partie de cette entité que des membres éminents des pays riches, considérés comme « démocratiques », « libres » et « avancés », en opposition à l’hémisphère Sud et au bloc socialiste de l’époque. Ces pays représentés par la Trilatérale sont : les USA, le Canada, le Royaume-Uni, l’Union européenne, le Japon et Israël (« l’Axe du Bien »).
Selon la liste officielle de ce Parti Mondial, la Trilatérale compte 424 membres. 87 sont citoyens des USA, qui se réunissent pour décider de la politique du monde. Depuis Carter, la plupart des présidents américains appartenaient à la Trilatérale, de même que de nombreux présidents de la Banque Mondiale. Outre le groupe Amérique du Nord (USA-Canada), la Trilatérale s’est ensuite élargie avec un groupe Asie-Pacifique et un groupe Europe intégrant les pays de l’Est. Tout ce joli monde décide de tout et court-circuite les règles démocratiques pour imposer sa politique aux élus. L’UE ne décide de rien et ne fait que se plier aux ordres venus d’en haut, au mépris des peuples, qui pensent naïvement être les citoyens actifs d’une démocratie saine en allant voter. Macron obéit à Bruxelles, qui se plie aux diktats de la Trilatérale. Les crises financières, économiques, terrorisme, guerres, grands projets économiques, sont manipulés par la Trilatérale. D’ailleurs, tous les hauts dirigeants de l’UE appartiennent à la Trilatérale. Bien entendu, citoyens américains ou européens ignorent tout de cette machination qui broie les les États-nations, remplacés par les banques et les multinationales, qui manipulent les peuples à leur guise. Et ne comptez pas sur les médias pour vous informer. Car, bien entendu, tous les grands patrons des grands médias appartiennent à la Trilatérale ! Il y a ce qu’il faut dire et surtout ce qu’il faut taire... L’araignée qui se trouve au cœur de cette toile, c’est Vanguard/BlackRock. Une institution financière opaque et très fermée, qui place ses pions dans tous les pays, aidant à la mise en place de leaders qui renverront l’ascenseur, au besoin en falsifiant les élections. Vanguard/BlackRock possèdent déjà tous les grands groupes pharmaceutiques et tous les grands médias pour un contrôle absolu des moyens de faire ce qu’ils veulent. C’est 1% de la population mondiale qui possède 99% des biens… (Rapport d’Oxfam et de Bloomberg, 16 janvier 2023). Grâce à ses algorithmes Aladdin, BlackRock contrôle les activités de la Bourse elle-même en pilotant comme elle veut toutes ses fluctuations. Les traders ne sont plus nécessaires. Ce système regroupant trois acteurs financiers détient à lui seul 15 fois le CAC 40 dans sa totalité... C’est effectivement le Nouvel Ordre Mondial qui est là dans la réalité et qui s’impose à tous. En 1981, Jacques Attali avouait carrément qu’il fallait songer à euthanasier les vieux, les faibles, les plus stupides, qui ne produisent rien et coûtent cher. C’est un recul humaniste de 1000 ans. Au panier la philosophie, la morale ou la spiritualité ! Evidemment, derrière tout cela figurent les grands noms de la finance internationale, Rothschild, Rockefeller et autres... Ce monde néoconservateur et ultralibéral n’a que mépris pour les peuples, dont le vote n’est jamais pris en compte, comme ce fut honteusement le cas en France avec la Constitution européenne finalement adoptée par un gouvernement suite au refus populaire via un référendum, ce que les français n'auraient pas dû laisser passer en manifestant voire se révoltant souvent. L’Europe est le contre-modèle de démocratie le plus inique qui soit. Ce sont des gens non élus mais choisis par la Trilatérale, qui décident à notre place et mènent leur politique, quel que soit le choix des peuples. Pourquoi ? Parce que c’est le Nouvel Ordre Mondial qui dirige de fait l’Occident... Il s'agit d'une gouvernance mondiale appelée “le Royaume secret”, qui doit manipuler les masses afin de les soumettre aux seuls intérêts du Royaume secret. Question manipulation des masses, les États-Unis sont des experts. Toutes leurs guerres récentes ont été déclenchées sur d’odieux mensonges d’État ! Le Pouvoir Suprême détenu par la Trilatérale repose évidemment sur une constellation sans foi ni loi, chargée de mettre en œuvre le grand projet et de soumettre les éventuels empêcheurs de tourner en rond. Le N.O.M rêve de mettre Trump derrière les barreaux. Médias et Loges maçonniques transmettent la bonne parole du camp du Bien, façonnent les esprits en diffusant les vérités ou les mensonges qui les arrangent, pour mieux soumettre les peuples. Ce 1 % des maîtres du Nouvel Ordre Mondial est constitué des disciples de Léo Strauss, affichant leur mépris pour l’humanité : ils sont en fait les serviteurs inconditionnels du Mal ! Car c’est un monde barbare que nous prépare ce N.O.M, un univers sans morale, où toutes les valeurs humanistes ont disparu, où l’homme n’a de valeur que s’il travaille et rapporte de l’argent, seul objectif digne d’intérêt dans cette société future, de débauche et de luxure. Face à cette folie mondialiste, véritable recul de l’humanité, il faut recréer enfin les démocraties, signifiant que ce sont les peuples qui commandent et que ce sont les États qui obéissent ! Vaste entreprise, tant le N.O.M tentaculaire a pris le contrôle de toutes les Institutions internationales et nationales pour contrôler les populations. Le N.O.M, c’est le monde du vice et de la faillite morale, au nom du dieu “Argent”, un monde décadent mais qui est tout puissant, car il concentre tous les pouvoirs. À mon humble avis, seule une victoire totale de l’armée russe sur l’Otan peut renverser le cours de l’histoire et nous ramener au temps des nations souveraines et des valeurs conservatrices, qui ont fait la richesse de la civilisation occidentale. La destruction de la cellule familiale, pilier de toute société depuis la nuit de temps, ainsi que l’abandon de tout ordre moral, ne peuvent mener qu’au chaos et à la désolation, voire  à la guerre civile. » (Extraits de l'article « La Trilatérale, cette pieuvre monstrueuse qui asservit le monde » à l'adresse https://strategika.fr/2023/08/23/la-trilaterale-cette-pieuvre-monstrueuse-qui-asservit-le-monde/)

Il est urgent de comprendre, que la souveraineté ne peut pas être un slogan, qui doit s’effacer devant les impératifs du moment (le vote électronique, la privatisation des services publics, la déstructuration de l’enseignement, etc.). La souveraineté oblige, elle ne peut être réalisée que par l’adoption d’un ensemble de règles de droit contraignantes redonnant le pouvoir, notamment de l’initiative politique, aux institutions nationales. Mais cela n’est possible que si les élites politiques dirigeantes 1) en prennent conscience et 2) ont la volonté politique de la mettre réellement en place de manière systémique. Bref, si les pouvoirs publics sont prêts à réellement gouverner. Sinon, la souveraineté ne reste qu’un slogan pour cacher, au mieux, la faiblesse politique.
« Comme pour tous les événements liés au changement climatique, les discussions à Paris en (Juin 2023) ont naturellement porté sur la centralisation du pouvoir à l’échelle internationale et la création d’un consortium mondial afin de résoudre des problèmes qui, selon eux, dépassent les capacités ou la volonté des nations souveraines. Cependant, ce que je vois de plus en plus au cours des deux dernières années, c’est une convergence de récits – les banques centrales et les banques internationales sont soudainement plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique qu’elles ne semblent l’être par la stagflation (situation dans laquelle l’économie souffre simultanément d’une forte inflation et d’une croissance faible, voire nulle) et l’effondrement économique. Il est probable que cela ait été l’objectif initial dès le départ, et que l’effondrement économique fasse partie intégrante du plan. Les mondialistes combinent désormais la question du changement climatique avec la finance internationale et l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus le fait que l’agenda du changement climatique fait désormais partie de l’agenda de la « Grande réinitialisation ». Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner plus de pouvoir aux banques mondiales pour dicter la circulation des richesses et pour déconstruire le système existant afin de le remplacer par autre chose. Le chef de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le système financier mondial, qui a été conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre de l’accord de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il contribue même à perpétuer et à aggraver les inégalités sociales. En d’autres termes, il soutient la nécessité d’une refonte du système financier mondial similaire à celle qui a été entreprise avec l’accord de Bretton Woods. Il a également proposé un plan de relance de 500 milliards de dollars par an pour les investissements dans le développement durable et les actions en faveur du climat. De plus, un plan a été présenté pour utiliser le panier des droits de tirage spéciaux du FMI comme mécanisme visant à accroître la liquidité mondiale.  Gardez à l’esprit que les mesures de relance fiduciaires des banques centrales et les politiques de taux d’intérêt des banquiers mondiaux sont à l’origine de la crise économique actuelle. Ce n’était pas le covid, ce n’était pas la guerre en Ukraine et ce n’était certainement pas le changement climatique. Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché une inflation élevée pendant 40 ans, ce qui a conduit les banques centrales à relever les taux d’intérêt jusqu’à la faiblesse économique. Cette stratégie a constamment provoqué l’implosion de la dette et des catastrophes boursières dans le passé. Les banquiers et les mondialistes sont la source du problème, ils ne devraient pas être chargés de le régler. Pourtant, les voici, pour prendre le contrôle et mettre en place un plan de réinitialisation à grande échelle en réponse à la crise qu’ils ont eux-mêmes créée. Des plans décousus sont même choisis pour simplement gonfler les prix par différentes formes de taxation et forcer le public à consommer moins, mais il y a un plan beaucoup plus vaste en jeu ici. Il est important de comprendre que le changement climatique n’est rien de plus qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle du FMI, de la BRI, de la Banque mondiale et de l’ONU. Les versements annuels des nations les plus riches aux institutions mondiales sont perçus comme un acte d’hommage et une démonstration de fidélité envers ces institutions. C’est aussi un moyen pour des groupes comme le FMI de créer un système de plus grande interdépendance. Si d’énormes sommes d’argent circulent à travers les institutions mondialistes et qu’elles deviennent les arbitres de la manière dont cette richesse est redistribuée, elles peuvent également construire un système de récompenses et de punitions. Ils peuvent punir les pays qui ne suivent pas leurs diktats et ils peuvent donner des avantages aux pays qui suivent la ligne. En termes de nouveau Bretton Woods, je soupçonne que tout cela aboutira à une crise monétaire que les globalistes utiliseront comme une opportunité pour enfin introduire leur modèle CBDC (Central Bank Digital Currency – monnaie numérique). Et une fois que les CBDC seront mises en place, leur capacité à dominer la population sera complète. Imposition et redistribution de la richesse nationale. L’imposition du FMI et de la Banque mondiale comme médiateur pour les fonds mondiaux. L’utilisation du panier de DTS du FMI comme parapluie monétaire mondial de facto. L’injection de la monnaie numérique et une société sans numéraire. Aucune de ces choses n’aurait d’incidence sur le changement climatique, même s’il s’agissait d’une menace légitime. Si l’intention ultime est de détruire l’économie au point que la plupart des industries meurent, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable, alors on pourrait dire que les mondialistes « sauvent la planète » en se débarrassant des gens. Je suppose que si vous pensez que maintenir la population dans un statut perpétuel de tiers-monde nous sauvera du réchauffement climatique, alors vous pourriez soutenir un tel programme. Que l’objectif soit simplement la micro-gestion économique ou la liquidation forcée de la production, le résultat serait plus de pouvoir pour les internationalistes et moins de liberté et de prospérité pour tous les autres. Ils ont la capacité de le manipuler à leur guise, mais lorsque les élites appellent à un « choc financier ». En réalité, cela revient à chercher à asphyxier dramatiquement le système de sorte qu’il ne puisse plus subvenir aux besoins de la population actuelle. Lorsqu’ils prônent une taxation mondiale et un tribut au nom de l’égalité, ils ne garantissent pas la prospérité équitable pour tous, mais plutôt d’assurer que tout le monde soit également dans la pauvreté.  Et quand ils appellent à une surveillance centralisée des nations pour sauver la planète, ce qu’ils veulent vraiment, c’est une gouvernance mondiale. » (Extraits de l'article « L’agenda caché derrière le discours sur le changement climatique : Une réinitialisation économique mondiale » de Brandon Smith)
En attendant suite à la sortie des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien (alors que cette énergie nucléaire vraiment seulement civile selon de nombreux observateurs pourrait faciliter le développement du proche et Moyen-Orient) et à leur isolationnisme participant à renforcer les unions continentales, le scénario mondialiste amène la France et l'Allemagne à s'unir pour définitivement créer le bloc Européen, comme il pousse à l'union politique ou/et commerciale des Amériques, de l'Afrique, de l'Eurasie et du Moyen Orient, si nécessaire après avoir réduit par des guerres certains pays en nations plus petites comme ce qui s'est passé pour la Yougoslavie. Surtout que cette tendance est confirmée à travers l'affrontement économique envers le monde déclenché par l'empire de Etats-Unis s'affaiblissant et à travers le risque d'une nouvelle future grande crise économique apparaissant cycliquement environ tous les 7 ans depuis trois décennies et qui sera  probablement inédite dans son ampleur. En effet ces grands blocs précédant le gouvernement mondial et pouvant défavoriser les peuples aux profit de certaines oligarchies corrompues sont recherchés pour l'hégémonie financière, mondialiste et sioniste.

Extrait de l'article « Élections de 2020 aux États-Unis : de la théorie du complot au fait de complot » de Andrew Korybko − Le 12 février 2021 − Source Oriental Review :
« Le magazine Time a reconnu dans un article que ce que l’auteur appelle lui-même une « conspiration », lancée par une « cabale bien connectée de gens puissants », « a fait en sorte que des États changent de système et de lois électoraux » et « ont réussi à faire pression sur les sociétés de médias sociaux », parmi d’autres actions visant à abattre Trump « démocratiquement ». La révélation de ces éléments constitue une tentative des Démocrates d’infléchir leur puissance narrative d’après-scrutin à l’encontre de leurs opposants, et de provoquer les plus instables d’entre eux à sur-réagir de manière violente, d’une manière qui pourrait être exploitée pour justifier leurs accusations et la phase suivante de leur « conspiration ». Après avoir réussi à ourdir ce que Nebojsa Malic, du journal RT, décrit à raison comme une révolution de couleur, et à remporter ce que l’auteur du présent article a décrit par le passé comme la guerre hybride terroriste contre l’Amérique, ils sont assez ivres de pouvoir pour passer à pleine vitesse et sans hésitation à l’étape suivante dans la poursuite de cet objectif. Les Démocrates ont pris la décision délibérée de faire arborer fièrement par l’un de leurs organes de communication les plus visibles ce qu’ils décrivent eux-mêmes comme une « conspiration » quant à une « cabale bien connectée de gens puissants » ourdie contre Trump. Cette action a été menée pour humilier et démoraliser leurs opposants politiques, et sans doute pour provoquer les éléments les plus instables et à risque, comme les plus radicaux pratiquants du culte QAnon, à une surréaction à base d’actions violentes, qui pourrait donc par la suite être exploitée comme justification de la phase suivante de leur « conspiration ». Plusieurs messages ont été envoyés : les Démocrates ont réussi à prendre le contrôle de toutes les institutions, et les utilisent désormais comme armes servant à supprimer politiquement leurs opposants, en pratiquant le « deux poids, deux mesures » ; cette révélation était bien connue depuis longtemps par toutes les parties, mais n’a été reconnue publiquement par les coupables que pour des raisons de calendrier stratégique ; et nul ne pourra jamais plus prendre pour argent comptant les affirmations des Démocrates et de leurs mandataires (institutions y comprises). En vérité, au moment où s’est refermée une guerre hybride contre les États-Unis, une autre ne fait que commencer. »

On dirait qu’entre tous les fous mondialistes, il y a une sorte de compétition à qui serait le plus fou. On a trouvé le plus fou : le Premier ministre australien, qui confine 400 000 personnes pour UN cas de covid delta. Cela montre clairement aux vaccinés que la raison et le but de la répression ne sont pas sanitaires, mais bien politiques : les gouvernements, qui avaient perdu la main sur les gens depuis l’avènement du Net, ne sont plus là pour faire le bien, mais le mal. Le pass a aussi achevé un 7e art qui agonisait depuis longtemps déjà. Bilan des courses : la démocratie (franc-maçonne) est morte, bon débarras ; le cinéma est mort, fin des navets progressistes ; le travail est mort, vive la révolution !
Les communistes (socialistes excessifs) actuels veulent voler les autres par l’intermédiaire du gouvernement et en revendiquant le statut de groupe de victimes. Ils travaillent main dans la main avec les politiciens et les oligarques des multinationales qu’ils disent mépriser. Les gouvernements et les entreprises le font parce qu’ils peuvent utiliser la foule marxiste comme une arme sociale pour faire peur à leurs adversaires idéologiques (les conservateurs), et ils le font parce qu’ils peuvent se nourrir des restes de la table des grands en utilisant le gouvernement pour les redistribuer de force dans leurs propres poches. C’est une sorte de gagnant-gagnant, du moins pendant un certain temps. Finalement lorsqu’ils ne sont plus utiles, ceux d’en bas sont cloués au mur, envoyés au goulag ou abandonné à la mort de faim comme lors de l'Holodomor.
Les politiques actuelles dans de nombreuses régions du monde donnent la priorité au changement climatique pour réaliser une nouvelle donne verte. Pendant ce temps, ces politiques contribueront à ce que des enfants meurent de malnutrition sévère en raison de systèmes alimentaires défaillants, avec des pénuries de nourriture et d’eau, du stress, de l’anxiété, de la peur et une exposition à des produits chimiques dangereux. Accroître la pression négative sur les agriculteurs et le système alimentaire revient à provoquer une catastrophe. Le système immunitaire de nombreuses personnes, notamment des enfants, a perdu sa résilience et s’est trop affaibli, avec des risques élevés d’intoxication, d’infections, de maladies non transmissibles et infectieuses, de décès et d’infertilité.  Les agriculteurs néerlandais, dont beaucoup seront confrontés à une crise du coût de la vie après 2030, ont tiré un trait. Ils sont soutenus par un nombre croissant d’agriculteurs et de citoyens du monde entier. À la suite des nouvelles limites d’azote qui obligent les agriculteurs à réduire radicalement leurs émissions d’azote jusqu’à 70 % au cours des huit prochaines années, des dizaines de milliers d’agriculteurs néerlandais se sont soulevés pour protester contre le gouvernement. Les agriculteurs seront contraints d’utiliser moins d’engrais et même de réduire le nombre de leurs animaux, dans certains cas jusqu’à 95 %. Pour les petites exploitations familiales, il sera impossible d’atteindre ces objectifs. Nombre d’entre elles seront contraintes de fermer leurs portes, y compris des personnes dont la famille est agricultrice depuis huit générations. Le Sri Lanka, un pays dont le leader politique a introduit une politique de zéro émission d’azote et de CO2, est aujourd’hui confronté à des problèmes économiques, à une faim sévère et à des difficultés d’accès à la nourriture suite à une décision politique interdisant aux agriculteurs d’utiliser des engrais et des pesticides. Pourtant, les politiciens responsables des émissions d’azote et du changement climatique dans d’autres pays poursuivent la même politique verte. En outre, les experts préviennent que la chaleur, les inondations, la sécheresse, les incendies de forêt et d’autres catastrophes ont causé des ravages économiques, et que le pire est à venir. Les pénuries d’eau et de nourriture ont fait la une des médias. En plus de cela, les experts australiens annoncent un risque d’épidémie d’une maladie virale chez le bétail. L’économie australienne pourrait en pâtir à hauteur de 80 milliards de dollars australiens et les problèmes de chaîne d’approvisionnement seraient encore plus réels. D’innombrables entreprises et producteurs font faillite. Le tribut émotionnel qu’ils doivent payer pour euthanasier leurs troupeaux en bonne santé est immense et difficilement supportable. Cela pousse de plus en plus d’agriculteurs à mettre fin à leur vie. Ce ne sont pas les agriculteurs qui sont les plus gros pollueurs de l’environnement, mais les industries qui fabriquent les produits nécessaires à une révolution technocratique vers l’énergie verte, l’extraction de données et l’intelligence artificielle. Or l'énergie verte pourrait être un leurre pour revaloriser le pétrole au profit des oligarchies puisque sa demande risque de devenir prochainement encore plus massive qu'avant. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Un changement d'époque » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-changement-d-epoque-62564.htm
Plus les plans du FEM de Davos sont mis en œuvre par les politiciens, plus les inégalités sociales se creusent et plus les conflits se multiplient dans le monde, surtout depuis que la pandémie Covid a été mise en place.
« Le phénomène COVID ne peut être compris sans comprendre l’effondrement financier sans précédent qui menace l’ensemble du système financier mondial. L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique. Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire. Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de “reconstruire une société meilleure” conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes. Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement est régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée. Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable. L’activation de la fraude COVID est devenu nécessaire lorsque les marchés mondiaux ont été confrontés à une crise aiguë de la dette à l’automne 2019, crise qui est apparue sur des marchés auparavant essentiellement liquides : les marchés des pensions, les marchés monétaires et les marchés des changes. Les gouvernements occidentaux se sont précipités pour sauver ce système en décomposition, endiguer ce glissement de terrain cataclysmique, renflouer les investisseurs à grande échelle et installer de manière proactive une infrastructure de sécurité afin de contrôler l’inévitable désordre social résultant de cet effondrement. Cette opération serait suivie d’une réinitialisation financière mondiale, après une période d’hyperinflation, détruisant à la fois la valeur de la dette et les créances papier correspondantes. Le système financier était déjà à un stade avancé de déclin à l’automne 2019, comme l’illustre la prise de contrôle du marché Repo par la Fed en septembre pour court-circuiter la Repocalypse. Cet effondrement a commencé pour de bon en 2008/09 et les tentatives des quinze dernières années pour sauver ce système économique corrompu n’ont fait que retarder l’inévitable. À l’automne 2019, la crise a recommencé à s’étendre rapidement. Une baisse spectaculaire de la production industrielle a caractérisé la crise bancaire d’août 2019 – la crise dite du Repo – lorsque les banques ont commencé à refuser les titres de la dette souveraine américaine comme garantie pour les prêts au jour le jour, obligeant la Réserve fédérale à intervenir et à imprimer de l’argent pour couvrir cette pénurie massive. Le marché Repo est le marché sur lequel les banques empruntent de l’argent chaque jour afin de disposer d’un certain pourcentage d’actifs liquides à la fin de chaque journée pour pouvoir répondre à certaines exigences fiduciaires. Vers la mi-septembre, la Fed a commencé à injecter 10 à 20 milliards de dollars par jour sur le marché des pensions pour maintenir les taux d’intérêt à un bas niveau, afin que les banques puissent emprunter l’argent nécessaire pour rester en activité. Cependant, ce n’était toujours pas suffisant. Début mars, la Fed injectait 100 milliards de dollars sur le marché Repo afin d’endiguer cette crise majeure. Tout le monde à Wall Street était chargé d’une énorme dette et retenait les liquidités américaines afin d’assurer le service de cette dette, refusant de financer les achats de devises étrangères, puis de devises américaines, alors que le marché Repo se bloquait à un taux d’intérêt de 10 % sur les prêts Repo au jour le jour. Les obligations du Trésor américain et même les billets de banque américains étaient rejetés comme garantie pour les opérations de pension.  En mars 2020, la crise de liquidité s’est propagée des marchés des courtiers primaires (les banques TBTF et les fonds spéculatifs ont été renfloués en septembre) vers toutes les autres actions, matières premières, obligations, obligations adossées à des prêts, titres adossés à des prêts hypothécaires, fonds communs de placement, fonds négociés en bourse, ainsi que divers systèmes de Ponzi tels que les produits dérivés structurés, négociés sur des plateformes propriétaires représentant jusqu’à plusieurs milliers de milliards de dollars.  Lorsque les bons du Trésor américain sont devenus illiquides en raison de la croissance exponentielle de la dette publique – mais surtout privée – en dollars, alors même que la FED absorbait les liquidités des marchés financiers, l’enfer s’est déchaîné. Le château de cartes qui s’écroulait depuis six mois n’a pas pu être arrêté, si bien que l’hystérie du COVID a été fabriquée pour couvrir ce qui représente 10 à 15 000 milliards de dollars de renflouement de la FED en espèces et en actions via les opérations permanentes d’open market (POMO) – une façon élégante de dire que la FED achète des bons du Trésor, injecte de l’argent sur les marchés financiers et donne des garanties de valeur des garanties utilisées dans les produits dérivés structurés. Le tour final, actuellement en cours, consiste pour les banques centrales (Fed) à racheter toutes les dettes toxiques et sans valeur des fonds spéculatifs et des banques, y compris les 1,5 quadruple milliards de produits dérivés, puis à transférer la dette au Trésor public en tant que dette souveraine. Ils imprimeront ensuite de l’argent à l’infini, ce qui est déjà en cours, pour assurer le service de cette dette fictive afin de faire couler le dollar via l’hyperinflation, puis saisiront les États-Unis et tous les autres détenteurs de dettes en dollars sans valeur. C’est ça le tour : une hyperinflation mondiale pour vaporiser les actifs des masses et des États afin de remettre les actifs publics aux investisseurs privés. Cela permet à la classe dirigeante d’éponger les biens (petites entreprises en faillite, maisons saisies, etc.) afin de s’approprier sans limite tout ce qui existe dans le monde. L’arrivée de l'urgence” Covid-19 a fourni la justification et l’opportunité de geler l’effondrement bancaire américain par des injections massives de liquidités. Quelque 8 à 10 trillions de dollars ont été versés aux banques américaines jusqu’en mars 2020, avec un stimulus économique supplémentaire de 5 trillions de dollars promis par la Fed.
L’opération Covid fut donc le cheval de Troie pour inaugurer le nouvel ordre mondial. En effet alors que la nécessité immédiate était de stopper l’hémorragie du système financier mondial, de nombreux autres objectifs étaient et sont servis par cette opération à multiples facettes. Rien de tout cela n’est accidentel. Tout cela est caché au grand jour, planifié et exécuté, comme en témoignent de multiples exercices de simulation tels que “Event 201” et de nombreux documents tels que “l’Agenda 2030 pour le développement durable”. L’opération Covid elle-même couvre de nombreux objectifs :
Préemption et le camouflage des raisons de l’implosion économique susmentionnée ; Accélération du plus grand transfert de richesse vers le haut de l’histoire humaine ; Justification et ancrage de l’État de biosécurité, y compris la surveillance par l’IA dans de multiples secteurs de la société ; Renforcement et enrichissement du cartel des technologies de pointe, par le biais d’applications de suivi, de la prolifération et de la normalisation des médias sociaux et des plateformes de communication en tant qu’intermédiaires” dans tous les domaines de la vie. Evolution de toute la vie sociale vers l’impératif technologique – les repas commandés via DoorDash, les réunions sur Zoom, l’augmentation des dépenses via Visa/MasterCard en commandant des biens en ligne avec Amazon, les films via Netflix, etc. ont tous été imposés à un public mondial crédule et largement soumis pendant la tyrannie Covid ; Création de “la pandémie” comme mécanisme financier. Les pandémies fabriquées sont devenues des opportunités d’investissement gigantesques qui augmentent la richesse des milliardaires et consolident davantage leur pouvoir ; Expansion de l’industrie de la santé publique dans tous les domaines de la vie publique et économique. L’industrie de la santé est désormais directement liée aux marchés mondiaux et aux conglomérats financiers et est devenue l’un des instruments financiers les plus importants pour les investisseurs ; Création d’un système de “gestion de la santé” bio-médical entièrement nouveau et lucratif afin d’introduire et de codifier un modèle médical bio-technique en mettant l’accent sur des “vaccins” ARNm téléchargeables “révolutionnaires” ; Expansion et normalisation de l’utilisation des cartes d’identité numériques, y compris les passeports vaccinaux, en les reliant à une monnaie numérique de la Banque centrale (CBDC) ; Système de revenu de base universel (UBI), permettant de suivre les achats, les interventions médicales, les “choix de vie”, etc. pour nous inciter à adopter les comportements “souhaités” ou nous exclure complètement du système, à leur gré ; Réorganisation, privatisation et réduction des services publics sous le prétexte de les rendre “plus agiles” pour les “urgences publiques” ; Conditionner le public à des “états d’urgence” perpétuels pour le préparer à la mise en œuvre de “l’Agenda 2030 pour le développement durable”.
Nous vivons le plus grand crime organisé mondial depuis la Seconde Guerre mondiale. Certains l’ont compris. D’autres sont encore endormis ou traumatisés, alors que le tissu social est réduit en miettes et que le monde qui les entoure est complètement transformé. Les élites financières savent qu’elles ont accumulé d’énormes dettes et déficits impayables. Elles savent que les promesses de retraites et d’avantages sociaux ne pourront pas être payées. Elles savent que le système a atteint son Waterloo et que l’agitation sociale est inévitable. Ils savent qu’ils doivent agir rapidement et de manière globale pour détourner cet effondrement afin de protéger le Léviathan financier dont dépend leur capacité à maintenir leur pouvoir et leur contrôle.  En d’autres termes, le Covid-19 n’était pas une urgence médicale généralisée, mais un système de blanchiment d’argent, une opération psychologique de masse et un écran de fumée pour une révision et une restructuration complètes de l’ordre mondial social et économique actuel. » (Extraits de l'excellent article « COVID-19 : Une opération financière mondiale » à l'adresse https://strategika.fr/2023/01/19/covid-19-une-operation-financiere-mondiale/)

Le pouvoir, après s’être attaqué au prolétariat par la désindustrialisation et le chômage, s’attaque maintenant à la classe moyenne par une violente inflation et une retraite écourtée. Le bras de fer a commencé : jusqu’où iront les syndicats ? Le blocage national ou la négociation de subventions ? Oseront-ils voter un jour contre Macron et sa clique ? A 64 ans, déjà pas loin d’un tiers des hommes les plus pauvres sont déjà partis dans l’au-delà. Résultat logique, il y a des milliers de Français qui vont mourir au travail, pendant leur période d’activité, et ce ne sera pas des accidents du travail, mais bien une élimination programmée. La bourgeoisie, après les déconvenues de 1936 et 1945, a laissé tomber le prolétariat qui passait son temps à réclamer, grignotant le taux de profit, pour faire alliance avec la classe moyenne, plus sage. Ce sera les Trente Glorieuses. Notre pays a abandonné la production pour les services, les ouvriers sont devenus des fachos et ont été remplacés dans le cœur de la bourgeoisie par les employés du tertiaire, plus serviles, qui n’ont pas soutenu les Gilets jaunes. Aujourd’hui, la bourgeoisie n’a plus besoin de la classe moyenne pour maintenir son taux de profit. Elle s’en débarrasse comme elle s’est débarrassée du prolétariat. La baisse du niveau de vie de 80 % des Français est programmée. Chaos social ? Non, chaos libéral.
Or le nihilisme idéologique affirmant que l'humanité a déjà creusé sa tombe se trompe, car de nombreuses données quantifiables montrent que l’humanité dans son ensemble obtient en réalité plus de résultats avec moins de ressources au fil du temps. À presque tous les égards, notre travail d’amélioration de la condition humaine et de gestion de l’environnement s’améliore, et non se dégrade. Malgré l’augmentation de la population au cours des deux derniers siècles, nous tirons une plus grande abondance et prospérité de moins de matières premières. Nous ne tenons pas compte des gains d’efficacité. De plus, s’il y a une chose sur laquelle presque tous les démographes s’accordent, c’est que la croissance de la population humaine atteindra un pic vers le milieu du siècle, puis connaîtra un déclin séculaire. Selon la réalité que l’esprit n'émerge pas de la matière, mais l'inverse, l’IA ne sera jamais réellement atteinte, et il faut donc abandonner l’hypothèse selon laquelle elle surgira, sera plus maligne que nous et décidera ensuite d’éradiquer l’humanité. En fin de compte, les mouvements de ce type échoueront parce qu’ils refusent obstinément de comprendre les motivations et les incitations humaines fondamentales : le désir de vie, de prospérité et de croissance. La plupart de ces aspirations collectivistes vont à l’encontre de la nature humaine et exigent en fin de compte de leurs adeptes qu’ils agissent à l’encontre de leur propre intérêt rationnel, voire qu’ils se détruisent eux-mêmes.
« Certains suggèrent qu’il n’y a rien à faire sur le plan économique, si ce n’est se préparer et attendre l’effondrement pour pouvoir reconstruire une fois la poussière retombée. Et puis il y a ceux qui pensent qu’une approche politique est possible. Après que près de la moitié des États américains aient bloqué les obligations et les confinements Covid, je commence à penser que des solutions au niveau des États pourraient être viables. Ensuite, il y a ceux qui veulent construire un système alternatif, une économie parallèle qui rivalise avec l’économie traditionnelle. C’est quelque chose dont je discute depuis longtemps et c’est la raison pour laquelle j’ai lancé Alt-Market il y a 12 ans. C’est la solution idéale car elle est proactive. Au lieu d’attendre que d’autres personnes résolvent la crise pour nous, les gens ordinaires établissent simplement leurs propres systèmes de commerce et de production basés sur les nécessités, se séparant de l’économie mourante de sorte que lorsqu’elle s’effondre, ils ne sont pas affectés. Il s’agit cependant d’une solution à court terme, car une production nationale à grande échelle est finalement nécessaire pour ramener un pays et son économie à une plus grande prospérité. Cultiver des jardins, fabriquer des articles d’échange et créer des marchés de troc locaux n’est qu’un moyen de résister à la tempête ; ce n’est pas une voie à long terme vers la santé financière. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une production locale à grande échelle de produits de première nécessité, ainsi que de la découverte de nos propres ressources nationales. Afin de lutter contre le déclin monétaire, les États-Unis doivent à nouveau produire la majorité de leurs propres biens. Si le problème est que trop d’argent court après trop peu de biens, alors nous pouvons produire nos propres biens ici, chez nous, au lieu de dépendre de pays comme la Chine et de la chaîne d’approvisionnement mondiale instable. Mais qu’en est-il s’il existe une réponse au-delà de la seule production nationale ? Et si nous construisions une économie qui se concentre sur la QUALITÉ ? C’est une notion qui a pu être suggérée par d’autres, mais qui n’est certainement pas promue par un économiste du courant dominant ou un représentant politique.  L’économie de la qualité comme moyen de lutter contre l’inflation ? Réfléchissez-y un instant : Que se passerait-il si les producteurs à domicile recevaient des incitations de la part de l’État (comme une réduction d’impôts) pour fabriquer des biens durables et de haute qualité ? Il existe de multiples raisons pour lesquelles ce modèle n’est pas utilisé, toutes fallacieuses. Mais qu’en est-il de la nourriture, qui constitue une part importante du problème de l’inflation ? En fait, le gouvernement fédéral paie les agriculteurs pour qu’ils produisent MOINS de nourriture afin de maintenir les prix élevés sur les marchés des matières premières. Pourquoi ne pas simplement arrêter de le faire ? Ou, encore une fois, les États pourraient offrir des incitations fiscales aux agriculteurs qui produisent dans le but de faire baisser les prix, et les gouvernements des États pourraient proposer d’acheter les aliments excédentaires à long terme comme le blé comme une forme de réserve stratégique. L’Amérique avait l’habitude de faire cela ; pourquoi ne le faisons-nous plus ? Et qu’en est-il du logement trop cher ? C’est simple : interdire les achats de biens immobiliers par des étrangers et ne permettre qu’aux citoyens américains d’acheter des terrains américains. Les citoyens américains ont le droit à la propriété privée en vertu de la constitution. Les investisseurs étrangers et les gouvernements n’ont pas ce droit. Le but de chacune de ces politiques serait de libérer l’offre sans tuer le pouvoir d’achat du dollar et sans écraser délibérément les marchés du crédit et déclencher des pertes d’emplois massives. Ma suggestion est que nous contournions entièrement l’establishment et que nous créions notre propre modèle économique, toujours basé sur la propriété privée mais également adapté à une production de qualité. Et que nous fabriquions tous nos biens localement, dans nos propres États et notre propre pays. Je crois que cela mettrait fin à l’inflation, pas seulement aujourd’hui, mais pour toujours. L’establishment permettra-t-il à un tel système de prospérer ? Ils essaieront certainement de l’empêcher de se produire en utilisant tous les moyens à leur disposition. La décentralisation et l’abondance sont les ennemis de l’autoritarisme. Ce que je veux dire, c’est qu’il y a effectivement une solution. Nous n’avons pas besoin de l’intervention de la Fed. Nous n’avons pas besoin de taux d’intérêt élevés. Nous n’avons pas besoin de stimulus. Nous n’avons pas besoin d’oppression gouvernementale ou d’interventions étrangères. Nous n’avons pas besoin de centralisation globaliste ou d’un Grand Reset. Nous n’avons besoin de rien de tout cela. Ils essaieront de vous convaincre que nous en avons besoin. Quoi qu’il arrive, le public doit être informé qu’il existe une meilleure solution. » (Extraits de l'article « Existe-t-il un moyen d’arrêter l’inflation sans écraser l’économie et tuer le dollar ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Existe-t-il-un-moyen-d-arreter-l-inflation-sans-ecraser-l-economie-et-tuer-le-dollar-71067.html)

En Syrie comme dans de nombreuses autres nations, l'américano-sionisto-globalisme pouvoir profond maléfique recherche la destruction de l'économie réelle (souvent publique) au profit de la financiarisation et la numérisation (souvent privées) de toute l'économie. Ainsi le parti communiste chinois possiblement précédant pourrait avoir été choisi pour essayer le crédit social (réputation des citoyens et des entreprises établie par de la surveillance et un système de points) recherché par les mondialistes. Or en tant qu'empire du milieu au niveau mondial prouvé par sa position géographique et sa muraille, la Chine semble seulement rechercher le business au niveau international, demeure protégée par des patriotes authentiques et doit gérer ses habitants qui sont plus d'un milliard. Alors que le système numérique de surveillance et de contrôle américano-sioniste recherche en plus le pouvoir oligarchique international dont aussi par la déstabilisation économique, sociale et morale d'un capitalisme prônant le wokisme, autorisant l'usure et facilitant la dérégulation financière.                                               
Le capitalisme peut être défini par deux caractéristiques principales : la propriété privée des moyens de production et une dynamique fondée sur l'accumulation du capital productif guidée par la recherche du profit. Les économistes, les sociologues et les historiens ont adopté des perspectives différentes dans leurs analyses du capitalisme et en ont reconnu diverses formes dans la pratique. Ceux-ci incluent le capitalisme de laissez-faire, le capitalisme de marché libre, l'économie sociale de marché ou le capitalisme d'État. Les différentes formes de capitalisme présentent des degrés variables de libre marché, de propriété privée, d'obstacles à la libre concurrence et d'implication de l'État à travers les politiques sociales qui sont du ressort des politiciens et de la loi. La plupart des économies capitalistes existantes sont des économies mixtes, qui combinent des éléments de libre marché avec l'intervention de l'État, et dans de rares cas la planification économique alors qu'elle est pourtant importante. Mais comme cela a aussi été trouvé par l'histoire, il est également important qu'une économie planifiée le soit seulement en partie pour laisser la place à l'innovation de la collective intelligence populaire libre. Le système capitaliste a connu une popularité croissante depuis la révolution industrielle et est actuellement le système économique de la plupart des pays de la planète. Or il lui est fait de plus en plus de critiques concernant notamment son immoralité (dont usure), ses mauvaises théories économiques, sa domination de l’État, l'oppression du grand capital, le partage peu équitable de la valeur ajoutée (profit), l’organisation abusive du travail, la spéculation financière improductive, le bas niveau du salaire minimum, ou encore son orientation directive des relations internationales, en résumé son manque de régulation de façon globale. L'implication du capitalisme dans de grandes questions sociétales (comme au niveau de sa participation importante au développement du libertarisme matérialiste), son impérialisme ou ses dégâts à l'environnement, font aussi l’objet de controverses. Ceci étant lié au problème de la gauche actuelle qui est devenue sociétale. Le libertaire a été le moyen de détruire la gauche du travail car ce n'est en réalité que le prolongement du libéral. C'est à dire que cette dernière ne parle plus aux pauvres mais aux minorités souvent impies : elle parle plus de discrimination que d'inégalité. La gauche d’aujourd’hui, c’est la version originelle (sociale et nationale) qui a dérapé dans le sociétal (dont en se positionnant pour le mariage homosexuel) et l’antinational (en se positionnant pour l'immigration de masse), soit l’anti-gauche absolue par rapport à la légitime qui est la gauche du travail. Tous ces reproches contre la capitalisme sont bons, surtout que le véritable système économique saint même s'il est en partie basé sur la capitalisme individuel sacré au niveau des biens est logiquement celui du Coran provenant de Dieu le Suprêmement Sage Omniscient.              
Particulièrement dans ces conditions, le capitalisme est logiquement combattu, notamment par les tenants du marxisme et de l'anarchisme. Ainsi que le démontre l'historien Fernand Braudel dans « La dynamique du capitalisme », le capitalisme s'est développé à partir du XVIe siècle en Europe. Avant la révolution industrielle, l'aspect du capitalisme était principalement lié au commerce, d'où le vocable « Capitalisme marchand » utilisé dans une vision marxiste, et ce jusqu'à la fin du Moyen Âge. Or après la disparition progressive et légitime du féodalisme (qui réapparaît par ce même capitalisme à travers l'organisation néoféodale mondiale des pervers oligarques du privé) car ayant donner le droit de propriété et d'entreprendre pour tous, la croissance économique s'est évidemment développée plus rapidement dans le monde occidental. En effet cette disparition a permis l'extension de cette croissance économique dans toute l'Europe au cours du 19e et du 20e siècles. Surtout qu'associé à l'amélioration des sciences, de la technique et de la pratique économique après la Renaissance, cela a été jusqu'à entraîner l'industrialisation dans la majeure partie du monde et donc la propagation du confort de base et ainsi de la sécurité, puis du confort moderne actuel. Selon le sociologue Max Weber, l'émergence puis le développement du capitalisme au 18e siècle s'explique par l'apparition du protestantisme et notamment par la propagation des idées calvinistes. D'une part celles-ci conduisent les croyants, même riches, à un mode de vie simultanément travailleur dans le sens de vocation et ascétique au point de valider l'impie thésaurisation. (Or il s'agissait donc d'un système non hédoniste allant jusqu'à l'aliénation de vivre pour travailler plutôt que de travailler pour vivre. Ce qui a entraîné l'obsession pour l'épargne individualiste et donc la création de capitaux massifs pouvant servir d'oppression. En sachant que le matérialisme judéo-protestant laïciste et financier qui tend plus à vivre pour travailler plutôt que travailler pour vivre a écarté l'étude, l’analyse et la caritatif religieux, voire les valeurs de la famille, des loisirs, du sport et du bien être, comme le prouvent les nombreux obèses aux USA.) D'autre part, elles ont conduit à une mauvaise interprétation sur la prédestination, c'est à dire celle selon laquelle ceux qui seraient sauvés par Dieu dans l'au-delà correspondraient à ceux ayant reçu le plus de bénédictions matérielles pendant la vie terrestre et donc de réussite économique. Ce qui a aussi bien entendu puissamment encouragé perversement l'accumulation de richesses ainsi donc que le capitalisme à outrance, puisque le temps terrestre doit en partie principalement servir à dépenser par le libre-arbitre pour Dieu au mieux dont généreusement. De la Révolution française à la chute de la Révolution communiste, l'évolution des conditions juridiques, sociales et politiques (dont en France) fut importante. Ces révolutions de la fin du 18e au 20e siècles poseront un cadre juridique nouveau permettant une croissance encore plus du capitalisme avec notamment donc l'apparition de la propriété foncière possible pour tous par rapport à la féodalité (ce qui est légitime selon l'islam quand il n'y a pas d'abus ni d'excès), du marché du travail et de la propriété intellectuelle (valide au niveau de l'innovation technique mais pas au niveau des bonnes analyses philosophiques ou découvertes scientifiques, car ces dernières appartiennent à Dieu dont pour la guidée et ainsi à toute l'humanité).                  
Puis le capitalisme prendra donc son véritable essor avec la révolution industrielle et donc l'industrialisation de la société. Les modifications du travail et de son organisation engendrées par l'arrivée de machines entraînent alors pour la population paysanne une source d'emploi, mais en même temps une source de déqualification et donc de chômage pour les anciens travailleurs des domicile-ateliers dont par rapport à la vitesse de travail.          
Concernant ces analyses sur le capital, on peut les conclure en précisant que l'islam, avec sa zakat correspondant au seul impôt religieux valide et prélevant 2.5 % sur toute somme ou denrée non périssable thésaurisée pendant un an d'un montant supérieur à 3 000 euros, est aussi la meilleure manière de gérer l'économico-social par un Etat.   Concernant les Gauche très différentes actuelles dont celle de Chavez, il est intéressant de lire ces extraits de l'article « Le gauchisme, stade suprême de l’impérialisme » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-gauchisme-stade-supreme-de-l-imperialisme-66175.html :
« L’effondrement de l’Union soviétique a-t-il sonné le glas du communisme ? Ceux qui ont prononcé son oraison funèbre ont peut-être pris leurs désirs pour des réalités. Contrairement à ce qu’ils croyaient, le socialisme réel n’a pas disparu corps et biens. Que le drapeau rouge ne flotte plus sur le Kremlin ne signifie pas son extinction sur la planète. Un milliard et demi de Chinois vivent sous la direction d’un parti communiste qui ne manifeste aucun signe d’essoufflement. Le Viêt Nam socialiste se porte plutôt bien. En Russie, le parti communiste demeure la première force d’opposition. Les communistes dirigent le Népal et l’État indien du Kerala. Malgré le blocus impérialiste, les Cubains poursuivent la construction du socialisme. Les communistes ont remporté des succès électoraux au Chili et en Autriche. Dire que le communisme n’a laissé qu’un mauvais souvenir et appartient à un passé révolu, c’est commettre une double erreur d’analyse. Car non seulement il a contribué au mieux-être d’un quart de l’humanité, mais rien n’indique qu’il ait dit son dernier mot. Il n’est pas plus condamné par son passé qu’il est privé d’avenir. Il peut inscrire à son actif le combat victorieux contre le nazisme, une contribution décisive à la chute du colonialisme et une résistance opiniâtre à l’impérialisme. Ce triple succès suffit à lui donner des lettres de noblesse révolutionnaire. Mais son passé, c’est aussi la longue série des avancées sociales, les millions de vie arrachées à la misère, à l’analphabétisme et aux épidémies. Le communisme, c’est un effort titanesque pour sortir les masses de l’ignorance et de la dépendance qu’elle sécrète. Séjournant en URSS en 1925, le pédagogue Célestin Freinet exprime « sa surprise et son émerveillement, surtout si l’on songe dans quelles conditions ont été réalisés ces immenses progrès ». Les pédagogues russes, écrit-il, ont « trouvé dans leur dévouement à la cause du peuple et dans l’activité révolutionnaire des clartés suffisantes pour non seulement hausser leur pédagogie au niveau de la pédagogie occidentale, mais pour dépasser aussi, et de beaucoup, nos timides essais ». Aucune autre force politique n’aurait pu sortir de l’ornière du sous-développement les pays arriérés, coloniaux et semi-coloniaux dont les communistes ont reçu la responsabilité au 20e siècle. Que serait la Russie si elle était restée entre les mains de Nicolas II ou d’Alexandre Kerenski ? Que serait la Chine si elle n’avait échappé à Chiang Kai-chek et à sa clique de féodaux ? Où en serait Cuba si elle était demeurée entre les griffes de l’impérialisme et de ses mercenaires locaux ? La révolution communiste, partout, fut la réponse des masses prolétarisées à la crise paroxystique de sociétés vermoulues, sur fond d’arriération économique et de retard culturel. Si cette révolution a eu lieu, c’est parce qu’elle répondait aux urgences de l’heure. En Russie, en Chine et ailleurs, elle a été le fruit d’un mouvement profond de la société, d’un mûrissement des conditions objectives. Mais sans le parti, sans une organisation centralisée et disciplinée, une telle issue révolutionnaire était impossible. En l’absence de la direction incarnée par les communistes, sur quelle avant-garde auraient pu compter les masses ? Et faute d’alternative, à quel désespoir aurait conduit l’avortement des promesses révolutionnaires ? Que les formes du combat pour le socialisme ne soient plus les mêmes ne change rien à l’affaire. Ce combat est toujours d’actualité. Les pays capitalistes développés sont en crise, et la seule solution à cette crise est la formation d’un bloc opposé au bloc bourgeois. La Chine, le Viêt Nam, le Laos, la Syrie (avant sa chute), le Kerala, le Népal, la Bolivie, le Venezuela et le Nicaragua construisent un socialisme original. Se prétendre communiste tout en jetant un regard dédaigneux sur ces réalisations concrètes est dérisoire. C’est ce que font, pourtant, les innombrables chapelles du gauchisme occidental. Le travail quotidien des médecins cubains, des instituteurs vénézuéliens et des infirmières nicaraguayennes, à leurs yeux, n’accède pas à la dignité de la révolution mondiale. Pour ces vestales du feu sacré, de telles réalisations sont beaucoup trop modestes pour susciter l’enthousiasme des lendemains qui chantent. Gardiens intransigeants de la pureté révolutionnaire, les gauchistes adorent distribuer des cartons rouges à ceux qui construisent le socialisme. Faute d’agir à domicile, ils jugent ce que font les autres. Et le pire, c’est qu’ils appliquent les critères d’appréciation de l’idéologie bourgeoise. Lorsque la révolution cubaine a chassé Batista, les gauchistes ont inventé le slogan : « Cuba si, Fidel no ». Par ce mot d’ordre ridicule, ils prétendaient défendre la révolution tout en condamnant la « dictature castriste ». Mais qu’est-ce que la révolution cubaine sans le castrisme ? Et comment engager le pays sur la voie du socialisme autrement qu’en jugulant une opposition soutenue par l’impérialisme ? Cette offensive idéologique contre Fidel Castro ne traduisait pas seulement une indifférence aux conditions de la lutte menée par le peuple cubain. Elle cautionnait aussi les tentatives de renversement du pouvoir révolutionnaire. On ne saurait mieux dire. Mais la réalité de l’ingérence impérialiste et la nocivité de ses mensonges passent sous les écrans-radar de la gauche radicale occidentale. Elle s’acharne d’autant plus contre les États socialistes qu’elle est d’une innocuité totale à l’égard des États capitalistes. Impuissante et marginalisée à domicile, elle exhale son ressentiment contre le socialisme réel. Incapable de comprendre l’importance de la question nationale, elle regarde de haut l’anti-impérialisme légué par les nationalismes révolutionnaires du Tiers Monde et le mouvement communiste international. Elle est indignée (ou gênée) lorsque le chef de la droite vénézuélienne, formé aux USA par les néo-conservateurs pour éliminer le chavisme, est mis sous les verrous pour avoir tenté un coup d’État. Lorsque le Parti socialiste uni du Venezuela (PSUV) connaît des difficultés électorales, elle hurle avec les loups impérialistes et s’empresse de dénoncer ses prétendues « dérives ». Elle feint d’ignorer que la rupture des approvisionnements a été provoquée par une bourgeoisie importatrice qui trafique avec les dollars et organise la paralysie des réseaux de distribution en espérant saper la légitimité du président Maduro. Indifférente aux mouvements de fond, cette gauche se contente de participer à l’agitation de surface. À croire que pour elle, la politique n’est pas un champ de forces, mais un théâtre d’ombres. Rien d’étonnant, dès lors, à ce qu’elle passe à côté des leçons administrées par les tentatives de déstabilisation qui frappent sans relâche la révolution bolivarienne. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme « alternance », c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses. Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local « compradore » qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. À peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Venezuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su (ou pu) bâtir un modèle alternatif. Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que le Venezuela n’est pas Cuba. Et si le Venezuela s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait sans doute pas de nervis à Caracas. La crise qui sévit dans le pays a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au cœur de son « arrière-cour » sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste. Bien sûr, la révolution bolivarienne n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîne avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Une néo-bourgeoisie a profité de sa proximité avec le pouvoir pour capter des prébendes et conforter des privilèges. Pire encore, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Mais peu importe. La révolution bolivarienne n’aurait de révolution que le nom, elle ne pourrait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère de ses adversaires. Lorsqu’elle s’indigne des victimes (présumées) de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche occidentale oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973. La leçon a été oubliée par la gauche embourgeoisée des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, le refus des recettes néo-libérales, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des États souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes du projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer. Une révolution périt rarement d’un excès de communisme, et beaucoup plus souvent de son incapacité à y conduire. Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953) ni Mobutu à Lumumba (1961) ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte. Autant d’enjeux auxquels la gauche occidentale feint de ne rien comprendre. Pseudo-internationaliste, elle refuse de voir que le respect de la souveraineté des États n’est pas une question accessoire et qu’elle est la revendication majeure des peuples face aux prétentions hégémoniques d’un Occident vassalisé par Washington. Elle feint d’ignorer que l’idéologie des droits de l’homme sert de paravent à un interventionnisme occidental qui s’intéresse surtout aux hydrocarbures et aux richesses minières. Elle milite pour les minorités opprimées à travers le monde en omettant de se demander pourquoi les unes sont plus visibles que les autres. Elle préfère les Kurdes syriens aux Syriens tout court parce qu’ils sont minoritaires, sans voir que cette préférence sert leur instrumentalisation par Washington et cautionnait un démembrement de la Syrie conforme au projet néo-conservateur. Ce qui était d'autant plus logique car la Syrie était le denier pouvoir arabe étatique engagé dans la guerre contre Israël. D'ailleurs la Syrie est tombée, car elle a été fortement déstabilisée au Nord Ouest à travers les takfiristes protégés par la Turquie et soutenus aussi par Israël, à l'Est à travers donc les kurdes soutenus par les USA et au Sud à travers l'occupation du Golan par Tsahal. Les Druzes en Syrie, qu’Israël prétend défendre contre les islamistes qu'il a pourtant lui-même mis au pouvoir, sont très largement localisés dans la partie sud-ouest du pays, soit au plus près d’Israël. On ne s’étonnera donc pas si, par la force des choses, pour venir en aide aux pauvres populations druzes, Israël se doit de prendre pied en Syrie, au-delà du plateau du Golan et de son piémont, déjà de facto en sa possession, puis à d'autres populations ailleurs en Syrie... On cherchera longtemps, dans la littérature de gauche occidentale, des articles expliquant pourquoi à Cuba, malgré le blocus, le taux de mortalité infantile est inférieur à celui des États-Unis, l’espérance de vie est celle d’un pays développé, l’alphabétisation est de 98 % et il y a 48 % de femmes à l’Assemblée du pouvoir populaire. On n’y lira jamais, pourquoi le Kerala, cet État de 34 millions d’habitants dirigé par les communistes et leurs alliés depuis les années cinquante, a l’indice de développement humain de loin le plus élevé de l’Union indienne, et pour quelle raison les femmes y jouent un rôle social et politique de premier plan. Car les expérience de transformation sociale menées loin des projecteurs dans des contrées exotiques n’intéressent guère ces progressistes fascinés par l’écume télévisuelle. Dopée à la moraline, intoxiquée par le formalisme petit-bourgeois, la gauche occidentale signe des pétitions et lance des anathèmes contre des chefs d’État qui ont la fâcheuse manie de défendre la souveraineté de leur pays. Ce manichéisme lui ôte la pénible tâche d’analyser chaque situation concrète et de regarder plus loin que le bout de son nez. Elle fait comme si le monde était un, homogène, traversé par les mêmes idées, comme si toutes les sociétés obéissaient aux mêmes principes anthropologiques, évoluaient selon les mêmes rythmes. Elle confond volontiers le droit des peuples à s’autodéterminer et le devoir des États de se conformer aux réquisits d’un Occident qui s’érige en juge suprême. Dans le drame syrien, ce tropisme néo-colonial a poussé l’extrême-gauche occidentale à se fourvoyer de manière pathétique. Pratiquant le déni de réalité, elle a avalé avec gourmandise la version mensongère des médias occidentaux. Elle s’est fiée à des sources douteuses dont elle a répété en boucle les chiffres invérifiables et les affirmations gratuites. Bonne fille, elle a accrédité la narration ridicule du boucher-de-Damas-qui-massacre-son-peuple. Elle a gobé cul sec le false-flag de l’attaque chimique comme si elle ingurgitait une vulgaire fiole onusienne de M. Powell. Elle est tombée dans le panneau d’une propagande humanitaire à deux vitesses qui fait le tri, sans vergogne, entre les bonnes et les mauvaises victimes. Cet aveuglement stupéfiant, la gauche française le doit d’abord à son indécrottable posture morale. Une grille de lecture manichéenne a anesthésié son esprit critique, elle l’a coupée du monde réel. Voulant absolument identifier des bons (rebelles) et des méchants (Assad), elle s’est interdit de comprendre un processus qui se déroule ailleurs que dans le ciel des idées. Quand on désigne les protagonistes d’une situation historique en utilisant des catégories comme le bien et le mal, on donne congé à toute rationalité. On peut certes avoir des préférences, mais lorsque ces préférences inhibent la pensée critique, ce ne sont plus des préférences, ce sont des inhibitions mentales. La deuxième raison de cet aveuglement tient à un déficit abyssal d’analyse politique. Cette gauche radicale n’a pas voulu voir que le rapport de forces, en Syrie, n’était pas celui qu’elle croyait. Elle a reconstruit le récit des événements à sa guise pour donner corps au fantasme d’une révolution arabe généralisée qui balaierait le régime de Damas comme elle avait balayé les autres, méconnaissant ce qui faisait précisément la singularité de la situation syrienne. De même elle s'appuie encore actuellement sur l'immoralité, puisqu'elle soutient le régime de Kiev associé à des néonazis contre la Russie.                
Le lobby sioniste français n'a pas voulu « tuer » le PS : il a seulement voulu en plus le sioniser. Il a mis la main sur la gauche française il y a 40 ans, qui était initialement socialo-communiste (voir le congrès de Tours il y a un siècle), c’est-à-dire très sociale et encore un peu nationale, pour en faire une gauche siono-compatible, néosocialiste, c’est-à-dire débarrassée de son communisme anti-impérialiste. Le PS a pris le pouvoir en 1981, ce fut le règne du socialo-sionisme, mais cela a fini par tuer la « nouvelle gauche », qui n’était qu’une gauche libéralisée (voir Fabius et sa rigueur, l’autre nom du libéralisme économique, en 1984). En 40 ans, Macron a succédé à Fabius, la Banque est toujours aux commandes, et le socialo-sionisme parti unique et idéologie d’État.                   
Les gauchistes (du sociétal) utilisent l'anti-fascisme jusqu’à l’éclatement, tant ils ont besoin de ce vieil argument pour se justifier, pour justifier leurs mensonges, leurs arnaques, leur fonction dans la hiérarchie sociale, leur oppression similaire au fascisme, et donc leur soumission à l’ordre dominant qui est celui du fasciste néolibéralisme mondialisé profitant avant tout aux ultra riches. Ils vont même jusqu'à faire du gauchisme un totalitarisme dont à travers les Black Block terroristes. Pier Paolo Pasolini : « Le nouveau fascisme, la société de consommation (au profit de la domination oligarchique mondialiste), a profondément transformé les jeunes ; elle les a touchés dans ce qu'il ont d'intime, elle leur a donné d'autres sentiments, d'autres façons de penser, de vivre, d'autres modèles culturels. Il ne s'agit plus, comme à l'époque mussolinienne, d'un enseignement superficiel, scénographique, mais d'un enrégimentement qui a volé leur âme(, car avec l’enseignement scientifique il n'y a plus celui moral du catholicisme depuis 1905, puisque c’est la morale qui forge les caractères et ce sont les caractères qui font les nations libres). »                              
Pasolini avait aussi compris avant tout le monde le déplacement du fascisme vers le groupe démocratiste dominant, dont car les gauchistes sont devenus progressivement les adjoints du mondialisme oligarchique lgbtiste et de ses guerres dont celles de Libye, de Syrie et d'Ukraine déclenchées en partie par le messianiste juif globaliste et/ou sioniste Bernard Henri Lévy. Ainsi il existe désormais plusieurs définitions ou plutôt visions du fascisme au sein des sociétés, et donc de plus en plus de protagonistes dans la lutte nationale ou internationale qui s'accusent de fascisme, voire de terrorisme ou de nazisme.                                              
Deux chocs se croisent et se superposent donc aujourd’hui en France, donnant cette impression de chaos général : un choc sociétal diffus, avec l’offensive LGBT, à laquelle on peut associer la poussée féministe, et un choc social profond, avec la paupérisation produite par les « réformes » du gouvernement. Le premier choc est un calcul de l’hyperclasse mondialiste et de ses relais nationaux, le second est la résultante d’une politique néolibérale de casse de la nation, de fracture entre le haut et le bas, d’enrichissement d’une minorité (l’oligarchie et son organisation) et de paupérisation de la majorité. Dans beaucoup de nations, une grande partie de la caste élitaire dont technocratique et politique suivent les représentants du capitalisme financier internationaliste. D'ailleurs si l’on considère que le gouvernement Macronien travaille pour la Banque, la finance mondialiste, l'agenda bruxellois et les Marchés, et pas pour les Français, alors ses résultats sont excellents, car il rétribue comme jamais les « grands actionnaires », qui n’ont jamais gagné autant qu’en 2022-2023, au détriment des petits, soit le peuple français, qui n’a jamais perdu autant qu’en 2022-2023. On peut même affirmer que dans le grand jeu planétaire, Macron est le petit représentant d’une France inféodée donc à l’UE oligarchique et lgbtiste, mais aux USA hégémonique et à l'Israël suprémaciste, une triple humiliation. De plus la gauche française (comme le capitalisme selon Marx) finira par s’écrouler victime de ses propres contradictions, à savoir la mise en place simultanée d’une société libertaire LGBT+ et d’une société diversitaire composée de populations africaines ou moyen-orientales très peu tolérantes vis-à-vis de la première.                                                                           
Ceux qui se vantent de connaître leurs classiques auraient dû appliquer la formule par laquelle Lénine définissait le marxisme : « L’analyse concrète d’une situation concrète ». Au lieu de se plier à cet exercice d’humilité devant le réel, l’extrême gauche occidentale a cru voir ce qu’elle avait envie de voir. Abusée par sa propre rhétorique, elle misait sur une vague révolutionnaire emportant tout sur son passage, comme en Tunisie et en Égypte. Mauvaise pioche. Privée d’une base sociale consistante dans le pays, la glorieuse « révolution syrienne » n’était pas au rendez-vous. Véritable farce sanglante, une invasion de desperados a pris sa place. La nature ayant horreur du vide, cette invasion du berceau de la civilisation par des hordes de décérébrés a tenu lieu, dans l’imaginaire gauchiste, de révolution prolétarienne. La mouvance trotskiste n’a pas voulu voir que les rassemblements populaires les plus imposants, en 2011, étaient en faveur de Bachar al-Assad, surtout que ce dernier protège les chrétiens d'orient et même les musulmans non pratiquants à la différence des takfiristes. Elle a écarté avec dédain la position du parti communiste syrien, lequel s’est rangé au côté du gouvernement pour défendre la nation syrienne contre ses agresseurs. Poussant le déni de réalité jusqu’aux frontières de l’absurde, ce gauchisme s’est déclaré solidaire, jusqu’au bout, d’une « révolution syrienne » qui n’existait que dans son imagination. … Incapable de comprendre ce qui se passe sur place, l’extrême gauche française est victime d’un théâtre d’ombres dont elle a écrit le scénario imaginaire. Faute d’entendre ce que lui disaient les marxistes du cru, elle a joué à la révolution par procuration sans voir que cette révolution n’existait que dans ses rêves. Comme il fallait préserver le mythe d’une opposition démocratique et non-violente, le récit des événements fut purgé de ce qui pouvait en altérer la pureté. La violence des allumés du wahhabisme fut masquée par un déluge de propagande. Preuve factuelle d’un terrorisme qui était le vrai visage de cette révolution-bidon, ce déchaînement de haine fut effacé des écrans-radar. De même, cette gauche bien-pensante a hypocritement détourné le regard lorsque les feux de la guerre civile furent attisés par une avalanche de dollars en provenance des pétromonarchies. Pire encore, elle a fermé les yeux sur la perversité de puissances occidentales qui ont misé sur l’aggravation du conflit en encourageant la militarisation de l’opposition, tandis qu’une presse aux ordres prophétisait avec délices la chute imminente du « régime syrien » (effectivement). Sans vergogne, cette gauche a calqué sa lecture partiale du conflit sur l’agenda otanien du « changement de régime » exigé par les néo-conservateurs. En effet l'OTAN est un instrument de la politique étrangère des États-Unis. Alors qu’elle se dit anticolonialiste, elle s’est laissé enrôler par un impérialisme décidé à provoquer le chaos dans l’un des rares pays arabes à ne pas avoir transigé avec l’occupant sioniste. L’histoire retiendra que la gauche radicale a servi de supplétif à l’OTAN dans la tentative de destruction d’un État souverain sous le prétexte fallacieux des droits de l’homme. Il est vrai que la mouvance trotskiste n’est jamais à court d’arguments. … On aimerait connaître ces « définitions » de l’impérialisme (américano-sioniste lié au gauchisme par rapport à un prétendu impérialisme russe), mais on n’en saura pas plus. Or la Russie n’envahit aucun territoire étranger, elle n’inflige aucun embargo, elle ne pratique aucun régime change chez les autres. Le budget militaire russe représente 8 % de celui de l’OTAN. La Russie a quatre bases militaires à l’étranger quand les États-Unis en ont 725. Le retour de la Crimée dans le giron russe n’est pas plus choquant que l’appartenance d’Hawaï aux États-Unis ou de Mayotte à la France. » (Bruno Guigue)                               
Il est aussi intéressant de voir à ce sujet l'interview en rapport avec l'oeuvre : Le livre noir de la gauche (bourgeoise, du capital et sociétale et non du travail, du social de l'anti-mondialisme) française : « De tout temps, la gauche française est bourgeoise et antisociale - Le Zoom - Xavier Moreau - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=GGiBNMXYJY0&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1                                       
Pour avoir un bon commentaire de ce livre et le lien entre républicanisme messianique, gauchisme et protestantisme prônant perversement l'élection élitaire comme l'ancien testament et des valeurs inversées, il est possible de voir la vidéo de Youssef Hindi « "Le livre noir de la gauche française" de Xavier MOREAU » à l'adresse suivante https://www.youtube.com/watch?v=f9GUcU8YLnI&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ                                                
Il faut noter que la gauche française dont parle Xavier Moreau correspond au gauchisme dont colonial (étant allé jusqu'à être par exemple à l'origine de la guerre d'Algérie) et sociétal de la gauche bourgeoise qui est différente de la gauche sociale, car cette dernière après avoir défendu les ouvriers et pris le pouvoir ne leur tire pas dessus comme lors de la semaine sanglante de 1871 et les gilets jaunes 2018. En sachant que les positions politiques du RN 2024 indiquent qu'il est en réalité un parti de centre gauche, en particulier au niveau des décideurs de ses grandes lignes même si beaucoup de ses membres sont d'authentiques nationaux conservateurs. Xavier Moreau est revenu sur le concept de gauche française, qu’il définit comme étant les deux courants régicides de la Révolution : les Girondins et les Montagnards (ou Jacobins). Il explique que ces deux courants ont une ambition de transformer le monde en créant un être nouveau, mais qu’ils ont des méthodes différentes. Les Montagnards se concentrent sur la transformation de l’intérieur du pays, tandis que les Girondins ambitionnent de répandre leurs valeurs dans toute l’Europe, voire dans le monde entier, par la colonisation. Xavier Moreau estime que la gauche française a mis en place un système répressif qui continue encore aujourd’hui, en particulier à l’encontre des Gilets jaunes et des paysans. Il souligne que toutes les branches de la gauche se revendiquent de la Révolution française, de Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par Emmanuel Macron. Il dénonce le fanatisme de la gauche française, qui cherche à exporter ses valeurs révolutionnaires à l’étranger, en particulier en Ukraine.                                                   
Selon Xavier Moreau, la gauche a instauré la terreur et la guerre en Europe suite à la Révolution française. Il fait un parallèle entre les élections législatives de 1795 en France et la situation politique actuelle. Il rappelle que la Révolution française, loin d'apporter la liberté, a instauré la dictature et le totalitarisme, et que la gauche française est née dans la terreur et le génocide. Les élections de 1795, truquées par la gauche pour conserver le pouvoir, ont provoqué une insurrection légitime des monarchistes, que Napoléon a réprimée dans le sang. De plus il explique que la Révolution française a été une révolution bourgeoise, qui a transféré les privilèges vers la gauche bourgeoise, qui tient encore le pouvoir aujourd’hui. La révolution n’a pas apporté l’élection, qui existait déjà sous l’Ancien Régime, mais a instauré la dictature et le totalitarisme. La gauche française est née dans la terreur, avec le premier génocide de l’histoire et la guerre contre l’Europe, et est la matrice de tous les génocides qui ont suivi.                                                
La gauche a donc révolutionné en 1789, colonisé (1830 à 1962), collaboré (avec les nazis) et insisté à garder l'Algérie. Selon lui encore, l’élite bourgeoise mondialiste socialiste a viré le Général, réalisé mai 68 et n’a plus lâché le pouvoir depuis les années Giscard et Mitterrand.                                    
Dans ce sens « La guerre est un moment charnière depuis que le capitalisme est devenu impérialisme et monopole. Le vote des crédits de guerre par la social-démocratie allemande et européenne en 1914 l’a placée pour toujours du côté de l’État et du capital, entraînant un profond changement dans le concept de classe. La tendance contemporaine à l’alliance entre libéraux et fascistes, que nous avons vue à l’œuvre au 20ème siècle et qui est réapparue sous nos yeux ces dernières années, a été remise en cause en France par ce que les luttes de ces dernières années ont réussi à sédimenter. Mais la situation est loin d’être résolue : Macron, qui reste président de la République, veut continuer à mener jusqu’au bout l’expropriation des salaires, des revenus et des services, le génocide, la guerre ; Hollande et le Parti socialiste sont déjà prêts à poignarder le programme du Nouveau Front populaire ; le Rassemblement national a augmenté sa force parlementaire. Bref, la France est un pays divisé. Dans cette situation, les mouvements sociaux joueront un rôle décisif : seule une lutte de classe pressante pourra construire les rapports de force qui sont aujourd’hui dans la balance et faire avancer La France Insoumise.  » (Maurizio Lazzarato) Selon ces extraits de l'article « États-Unis : comment l’establishment se sert de la "grève (manifestation) d’octobre" pour cacher la résistance (manifestation) de masse aux vaccins obligatoires » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-comment-l-establishment-se-sert-de-la-greve-d-octobre-pour-cacher-la-resistance-de-masse-66214.html , le gauchisme est même une des principales armes des mondialistes (et c'est même la principale origine belliqueuse de leur système au niveau national et international comme il a été vu et sera revu) : « Le Striketober (littéralement « Grève d’octobre ») : pourtant martelé sans cesse depuis un mois, la majorité des Américains en parle rarement. Peut-être un signe de plus de l’influence déclinante des grands médias... Ce à quoi nous sommes confrontés régulièrement, en revanche, ce sont les pénuries constantes de main-d’œuvre dans de multiples secteurs de l’économie, ainsi que les perturbations croissantes de la chaîne d’approvisionnement et les hausses stagflationnistes des prix de détail. La notion médiatique de « reprise du pouvoir par la main-d’œuvre » est un récit de fond qu’ils s’efforcent toujours de planter dans le subconscient du public, tandis que la majorité des gens essaient de s’adapter à des préoccupations plus sérieuses. Cela dit, l’establishment ne se soucie pas vraiment de savoir si la propagande s’installe, mais seulement d’avoir une couverture utile pour l’effondrement très réel de l’économie américaine. C’est une sorte de perversion vicieuse de la stratégie du fake it until you make it. ... Striketober, comme BLM, Antifa et de nombreux autres mouvements gauchistes ou freudo-marxistes, a été créé de toutes pièces par une combinaison de battage médiatique et de financement de fondations globalistes. Il est important de reconnaître d’abord qu’aucune de ces organisations gauchistes n’aurait jamais vu le jour sans le soutien généreux d’institutions comme la Fondation Ford et la Fondation Open Society de George Soros. BLM, par exemple, a été fondé par des leaders ouvertement « marxistes » et a démarré grâce à des millions de dollars de financement de la Fondation Ford et de la Fondation Open Society.  De nombreux « syndicats de travailleurs » impliqués dans divers éléments du Striktober bénéficient également d’un financement direct ou indirect de fondations mondialistes. La Food Chain Workers Alliance, par exemple, reçoit des fonds de la Fondation Ford, et la National Domestic Workers Foundation reçoit beaucoup d’argent de la Fondation Ford, de la Fondation Open Society et de la Fondation Rockefeller. ... Comme je l’ai dit à maintes reprises dans le passé, toutes les personnes malveillantes sont du côté de la « gauche ». Toutes les élites milliardaires et les entreprises qu’ils prétendent haïr les alimentent en argent sans fin. Les grèves ouvrières de « gauche » n’existent que parce que les globalistes veulent qu’elles existent.  Bien sûr, les grèves gauchistes sont en fait un problème minime. En fait, je soupçonne qu’il s’agit d’une mise en scène délibérément fabriquée pour masquer les véritables grèves parmi les conservateurs à propos des obligations de vaccination du fait de la pandémie de Covid-19. Laissez-moi vous expliquer... (D'autres) grèves et manifestations très médiatisées commencent à éclipser la couverture médiatique des véritables coupables de la crise du travail, à savoir l’administration Biden et les gouvernements des États démocrates qui promulguent des obligations universelles, des contrôles de vaccins et des stimulus Covid. Les travailleurs peuvent avoir l’impression d’être maltraités, mais ce ne sont pas leurs chèques de salaire qui sont attaqués ou leurs managers qui leur font des avances sexuelles. Ce sont des préoccupations mineures comparées au problème plus important qui se pose : leurs libertés civiles individuelles. Comme indiqué, il y a deux facteurs majeurs dans la pénurie de travailleurs : les obligations de vaccination de Biden et les programmes de relance de l’État et du gouvernement fédéral qui paient les gens plus cher pour rester à la maison qu’ils ne le feraient au travail. Ce sont les raisons de la pénurie de travailleurs et toute personne qui prétend le contraire est ignorante ou a un programme. ...  Les chèques fédéraux Covid ne sont pas encore terminés. Contrairement à la croyance populaire, l’argent continue de couler à travers divers programmes, y compris les programmes de crédit pour les enfants. De même, la plupart des États continuent à verser des aides financières au titre du Covid en plus des allocations de chômage existantes. C’est essentiellement le revenu de base universel et ce n’est pas fini, loin de là. Les entreprises ne trouvent pas assez de main-d’œuvre parce que le gouvernement a soudoyé des millions de travailleurs pour qu’ils restent chez eux. Les gauchistes n’aiment pas aborder ce problème parce qu’il entre en conflit avec leur fantasme de Striketober, alors ils nient son existence. L’establishment est bien conscient que ces actions déstabilisent le marché du travail et je crois que l’objectif est de détruire spécifiquement le secteur des petites entreprises. Les petites entreprises ne peuvent pas concurrencer les sociétés soutenues par des milliers de milliards de dollars de stimulus de la banque centrale. Elles n’ont pas les moyens de doubler les salaires des travailleurs non qualifiés ou d’offrir de grosses primes à la signature. Elles n’ont pas non plus les ressources nécessaires pour contrôler leurs propres employés et clients afin de s’assurer que ces derniers respectent les passeports vaccinaux et les piqûres de rappel. D’ici un an, les solides fondations des petites entreprises américaines ne seront plus qu’une coquille vide. ...  Avec la mort des petites entreprises, tout ce qui restera sera des conglomérats internationaux qui appliqueront les obligations et menaceront les gens de pauvreté et de famine s’ils refusent le vaccin. Toutes les autres alternatives légales seront supprimées et c’est exactement ce que veulent les élites. Sans les petites entreprises défiantes, il n’y a plus de place pour travailler ou faire du shopping sans le passeport vaccinal. Les monopoles d’entreprise sont l’outil que les gouvernements utilisent pour contourner les protections constitutionnelles des individus. Mais à mesure que ce processus se déroule, la résistance grandit. Et, comme on dit, la résistance ne sera pas télévisée. Si les protestations et les grèves de masse sont attribuées aux conservateurs et aux patriotes qui s’opposent aux obligations, alors tous les autres « esclaves » pourraient réaliser qu’ils sont en fait légion. Ce serait mauvais pour les globalistes et leur programme de Grand Reset. Ils tentent donc de coopter les protestations contre les vaccins et de réécrire l’histoire en temps réel en créant un faux mouvement ouvrier par le biais de la Striketober. Et non, cela ne se terminera pas en octobre, les médias vont promouvoir cette idée à partir de maintenant. De cette façon, la résistance devient alambiquée et confuse et les grands médias peuvent dire que le grand nombre de travailleurs en grève sont en fait du côté de la « gauche » politique qui combat la « machine capitaliste », et non des conservateurs et des patriotes du côté de la vérité et de la liberté. Il y a trois choses dont les autoritaires Covid ont le plus peur : que les groupes de la Liberté reconnaissent leur véritable nombre, que ces mêmes groupes s’organisent au niveau local et étatique dans tout le pays, et que tout s'oriente vers la perte du récit dominant selon lequel ils sont les « gentils » et que nous sommes les « méchants insurgés ». La grève du travail n’est qu’une autre tentative désespérée des élites du pouvoir pour gérer l’image face à une opposition inattendue. Leurs efforts pour terroriser les gens qui refusent de devenir des cobayes pour un cocktail d’ARNm à peine testé se retournent contre eux. Les grèves des travailleurs dues à la vaccination forcée finiront par déboucher sur des actes de rébellion plus importants contre le système. Et, à chaque escalade de la résistance, l’establishment mettra à rude épreuve les cerveaux de ses faibles groupes de réflexion en essayant de créer de nouveaux récits pour masquer ce qui se passe réellement (dont leur orientation importante vers le grand reset). » (Brandon Smith) Le socialisme de trahison est mort, et c’est une bonne chose. Le communisme de trahison aussi : les deux anciens grands partis laissent la place à l’écologie de trahison, tout à fait compatible avec le Système. Tout ce petit monde de lâches est d’accord pour laisser la profonde politique sociale de côté et s’attaquer aux petits problèmes sociétaux : le climat, les sacs en plastique, les méduses. La gauche idéologique est morte, mais elle a fait son office de bourreau, car elle a bien saigné le pays. Maintenant, c’est à elle de se faire trancher la tête. Mais entre-temps, son orientation sociétale aura permis de détruire les traditions, d'ébranler le socle historique national, de couper le nerf vital du présent avec le passé et de laisser les jeunes dans une brume sans repères les amenant vers l’enclos et la fosse dont du néolibéralisme libertaire. Or nous savons tous que la dévirilisation, la déchristianisation et l’humiliation d’un peuple mènent à la violence, à d’effroyables violences, puisque les garde-fous sautent les uns après les autres. Les gardes-fous sont d’abord la morale monothéiste, le sens du bien commun, le respect de l’autre, la fidélité à des idéaux, la protection des faibles, la solidarité active. Surtout que « l’Homo neoliberalus » vit dans une guerre permanente contre les autres et donc contre lui-même, et ses qualités sont inversées : individualisme, exploitation de la faiblesse d’autrui, goût immodéré de l’argent, en un mot, « déshumanisme », comme les anti-vax ont d'ailleurs été déshumanisés. Dans ce monde à l’envers, le cloporte peut insulter le tigre, parce qu’il se croit protégé par le Système. La haine devient une politique, une politique d’État. Les fous sont lâchés. L’inversion des valeurs, c’est à ça qu’on reconnaît un Système pourri, une démocratie qui devient une tyrannie. Et c’est une bonne chose : c’est signe qu’il va mourir.

« Les États-Unis sont une oligarchie et non une démocratie. C’est cette oligarchie qui a tout intérêt à mettre le feu aux poudres, là où les gens se battent pour des questions de droits civiques, de race, de prévalence sexuelle et non pour des droits sociaux, pour des droits qui assurent une qualité de vie, une redistribution des revenus et garantissent un pouvoir associé. Les Européens seraient ainsi bien avisés de lâcher les liens transatlantiques, surtout que les Américains sont destinés à subir une contraction continue de leur actuelle puissance mondiale tandis qu’à l’intérieur de leur propre pays, ils paniquent de plus en plus à propos de tout, sauf de l’inégalité sans cesse croissante, une maladie mortelle pour toute société. Une grande partie de la phénoménologie perverse, brièvement décrite ici, a déjà infecté nos sociétés. Du mondialisme-néolibéralisme aux gémissements unidimensionnels sur les droits civils et non sur les droits sociaux qui excite la réaction traditionaliste, toute l’imagerie qui percole des séries télévisées et du cinéma, tout l’Internet et la logique du social qui découle d’un comportementalisme précis, ont déjà contaminé nos sociétés. Cette déchéance graduelle découle d’un milieu psycho-culturel comportementaliste précis inintelligent, de la résurgence en Europe et en Italie de la production et du commerce des armes, de la destruction de la démocratie déjà programmée depuis le début des années 1970, de la démagogie, de l’ignorance agressive, du déclin qualitatif drastique des élites, de l’absence d’une culture de l’information, de la disparition de la fonction intellectuelle, du simplisme, de l’enthousiasme infantile pour la technologie, de la foi irrationnelle dans le rôle de la technologie, des épidémies de solitude sociale et de dépression, de la toxicomanie, de la plastification des corps et de la manipulation des neurones. La crise du centre anglo-saxon du système occidental irradie depuis longtemps l’ensemble de la civilisation, même là où l’anthropologie culturelle, sociale et historique serait tout à fait différente sans cette imprégnation continue. Il conviendrait de commencer à préparer un divorce, une bifurcation des destins, une refondation de l’être occidental qui referme la parenthèse anglo-saxonne. Traverser des périodes complexes avec ces personnes à la barre pourrait être très dangereux. Puisque dans le système économicocratique tout problème est une source de profit possible, voici qu’est prêt le jeu de société simulant la deuxième guerre civile américaine avec Captain America contre Iron Man. C’est également ainsi que sont créées les hypothèses mentales de l’image du monde, en « gamifiant » les conflits sociaux. » (Conclusion de l'article « Les Américains sombrent dans le chaos » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/09/les-americains-sombrent-dans-le-chaos/)
L’État américain n’est qu’une coquille pour un conglomérat d’énormes sociétés qui dirigent le pays et tentent de dominer le monde. Pour les multinationales, même les présidents américains ne sont que des figurants qu’on peut faire taire, comme Trump. La réglementation juridique internationale actuelle des activités économiques des sociétés multinationales est formée dans l’intérêt des sociétés elles-mêmes et avec leur participation directe. Son changement en faveur des intérêts nationaux des pays est torpillé. Dans les conditions de changements cardinaux dans le monde, l’objectif des entreprises est de préserver le système d’exploitation mondiale. Il est dirigé par une élite d’hommes d’affaires qui ne s’associent à aucun État. En dessous se trouvent les pays dits développés du monde, ainsi que le « milliard d’or ». Et puis le reste de l’humanité, qualifié avec mépris de « tiers monde ». À cet égard, les Occidentaux cherchent à affaiblir la Russie, à la démembrer, à la détruire ainsi que la langue russe et le monde russe. Ils ont depuis longtemps mis au point la technologie permettant de saper leurs rivaux de l’intérieur et de les diviser en petits États. C’est ainsi qu’ils agissaient auparavant, lorsque, par exemple, Londres, à la suite des résultats de la Première Guerre mondiale, a effondré des empires et a éliminé des dizaines de pays. C’est ainsi qu’ils fonctionnent aujourd’hui. Un excellent exemple est la Yougoslavie : ayant eu une voix indépendante sur la scène internationale, l’État est désormais divisé en six.

La forte révolte des agriculteurs aux Pays-Bas est un appel à une transition urgente vers un monde orienté vers les personnes, libre et sain, avec des aliments nutritifs cultivés et récoltés dans le respect des processus naturels. La coopération des gens ordinaires dans le monde entier est en hausse pour empêcher une catastrophe de famine de masse causée par le plan du scientisme et de la technocratie voulant diriger et contrôler le monde par des scientifiques et des élites non élus. La malnutrition est responsable de plus de problèmes de santé que toute autre cause.
« La malnutrition n’est pas seulement influencée par la pénurie de nourriture et d’eau, mais aussi par l’exposition à un stress extrême, à l'insécurité, à la peur, à la sécurité de la nourriture, à des facteurs sociaux, aux produits chimiques, aux microplastiques, aux toxines et à la surmédicalisation. Aucun pays au monde ne peut se permettre de négliger cette catastrophe sous toutes ses formes, surtout qu'elle touche principalement les enfants et les femmes en âge de procréer. À l’échelle mondiale, plus de 3 milliards de personnes n’ont pas les moyens de se nourrir sainement. Et cela va à l’encontre de ce que beaucoup de gens pensent être un problème propre aux pays à faible revenu. Comme l’a déclaré Lawrence Haddad, le coprésident du groupe d’experts indépendants du Rapport mondial sur la nutrition, « nous vivons désormais dans un monde où être malnutri est la nouvelle normalité. C’est un monde que nous devons tous revendiquer comme totalement inacceptable ». Alors que la malnutrition est le principal moteur de la maladie avec près de 50 % des décès causés par des maladies non transmissibles liées à la nutrition en 2014, seulement 50 millions de dollars de financement des donateurs ont été accordés pour lutter contre dont par des campagnes de préventions. La malnutrition sous toutes ses formes impose des coûts élevés inacceptables (directs et indirects) aux individus, aux familles et aux nations. L’impact estimé sur l’économie mondiale de la sous-alimentation chronique de 800 millions de personnes pourrait s’élever à 3 500 milliards de dollars par an, comme l’indiquait un rapport mondial sur la nutrition en 2018. Alors que les décès d’enfants, la mortalité prématurée des adultes et les maladies infectieuses et non transmissibles liées à la malnutrition sont évitables avec une nutrition adaptée. Selon diverses études sur les femmes enceintes victimes de famine, les famines ont même des effets transgénérationnels sur les enfants : syndrome métabolique, maladie cardiovasculaire, schizophrénie, insuffisance rénale, hypertension, modifications du système endocrinien et de l’expression génique prénatale dans les systèmes reproducteurs. Des rapports choquants de l’ONU et de l’OMS reconnaissent que la santé des personnes et de l’environnement est en déclin. Le monde recule dans l’élimination de la faim et de la malnutrition. Le véritable danger est que ces chiffres augmentent encore dans les mois à venir. La vérité est que les hubs d’innovation alimentaire, les appartements alimentaires (agriculture verticale), les viandes artificielles et les manipulations génétiques et mentales ne pourront pas s’attaquer à l’état déprimant auquel l’humanité est confrontée. La politique du zéro-covid a mis l’humanité en danger dans son existence. Nous devons agir maintenant pour faire baisser immédiatement les prix des denrées alimentaires et des carburants en soutenant les agriculteurs et les systèmes alimentaires efficaces pour que les aliments nutritifs guérissent les personnes les plus mal nourries (enfants et femmes en âge de procréer) de la population. Espérons un retour du principe d’Hippocrate : Que la nourriture soit ta médecine et la médecine ta nourriture. » (Extraits de l'article « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, pas de vie » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/05/pas-dagriculteurs-pas-de-nourriture-pas-de-vie/)
Il y a deux façons de voir la vie : ou bien vous regardez un être humain comme étant fait à l’image de Dieu, cela veut dire que sa vie est sacrée ; et si vous avez une vie sacrée, alors vous avez des droits humains. Or si vous avez des droits humains, ce n’est pas vos affaires ou mes affaires de décider combien de personnes devraient être sur la planète ou qui devraient vivre ou mourir.
L’autre vision de la vie, l’autre système, appelons ça le système eugéniste de Darwin ou/et de Davos, mais en réalité ça remonte à très loin. C’est le système qui dit que les ultra riches et sionistes sont son sommet dominant la vie.
Ce qui inévitablement amène à trois catégories de personnes : l’Übermensch, le Mensch et l’Untermensch. Si vous appliquez ça il y a 80 ans, les Übermensch étaient les nazis qui se disaient descendants des dieux aryens ; ils estimaient que c’était leur prérogative, leur droit, de décider qui vit ou mort. Les Mensch étaient les anglo-saxons, c'est à dire les Européens qui pouvaient vivre mais en tant qu'esclaves. Et les Untermenschen, c'est à dire les Juifs, les Slaves, les handicapés, les gitans, les prisonniers politiques, ceux-là devaient devenir de la poussière. Cela ressemble à de gentilles fadaises, mais cela a tué 60 millions de personnes.
Et c’est exactement la même chose qui se passe en ce moment, sauf que ce n’est pas antisémite. En effet aujourd’hui, c’est complètement différent : il y a un groupe de personnes qui ont le sentiment d’avoir évolué à un niveau de conscience le plus élevé, et qui dans leur nouvelle intelligence, et leur nouvelle perspicacité, leur permet de déterminer des choses similaires. Or ils n'ont pas évolué, ce sont aussi de diaboliques païens. Ils sont devenus les mamzers dans la Torah (des adorateurs de Moloch). Il n’y a pas de différence.
Nous sommes dans une troisième guerre mondiale contre la malfaisance à un niveau certainement jamais vu dans l’histoire de l’humanité, puisque le ploutocratique mondialisme américano-sioniste sacrifie même des enfants par des vaccins dangereux pour eux alors qu'ils ne sont pas touchés par le covid. De même la prétendue démocratie entourée de pays islamistes que serait Israël n'est en réalité qu'une théocratie racialiste favorisant seulement les élites prétendues juives. Surtout que l'apartheid israélien étatique contre les palestiniens est plus dur que le fut l'apartheid sud africain étatique contre les noirs. En effet l’État d’apartheid israélien est plus sadique, cruel, génocidaire, vicieux, fasciste et inhumain. Pourquoi y a-t-il eu des sanctions contre l’apartheid de l’Afrique du Sud tandis qu’aujourd’hui les gouvernements européens prennent au contraire des mesures pour criminaliser les mouvements non violents de boycott, de désinvestissement et de sanctions (BDS) qui luttent pour la liberté, la justice et l’égalité des droits du peuple palestinien souffrant actuellement de l'apartheid israélien ? D'autant plus qu'auparavant les manifestations publiques contre l’apartheid sud africain faisaient partie de la vie universitaire et le boycott était respecté et promotionné. Les médias libres occidentaux critiquant la politique d’apartheid d’Israël et du cabinet d’extrême droite sont fréquemment accusés d’antisémitisme, alors que l'Occident se prétend démocratique et les Israéliens et les juifs sont eux-mêmes nombreux à dénoncer depuis des années la chute de l’entité sioniste dans le fascisme. Dans ce sens, il est aussi important de tendre à boycotter l'oppressif, belliqueux, Lgbtiste, wokiste, sioniste et oligarchique hegemon américain. Désormais, il est tyranniquement interdit de boycotter Israël sous un ridicule prétexte de lutte contre l'antisémitisme, alors que le boycott contre la Russie est encouragée médiatiquement. Il y a trois explications à cette énigme.
Premièrement, les lobbies pro-israéliens de nombreux pays européens sont aussi efficaces que leurs homologues américains tout en étant moins voyants. Deuxièmement, il y a la culpabilité de l’Holocauste. La politique de certains pays, comme les Pays-Bas, à l’égard d’Israël, est toujours influencée par la culpabilité de ne pas avoir fait davantage pour sauver les juifs pendant la Seconde guerre mondiale. Troisièmement en rapport à ces deux première explications, et c’est le plus important, il y a la peur d’être traité d’antisémite. Mis en avant et manipulé par Israël et les lobbies israéliens ainsi que les mondialistes, le concept d’antisémitisme a oppressivement été élargi pour recouvrir non seulement la haine des juifs mais aussi la critique de l’apartheid israélien, des juifs mondialistes et du messianisme juif.
Or au sein du mondialisme selon Pierre Hillard, un affrontement idéologique aurait lieu entre l'organisation de coopération de Shanghai cherchant progressivement un mondialisme multipolaire voulu par des messianistes juifs modérés (russes) basé sur une équité des intérêts de chacun, et le monde anglo-saxon cherchant hâtivement un mondialisme unilatéral voulu par des messianistes juifs extrémistes (américains) basé sur la maîtrise de toute chose laissant des miettes aux autres et devenant logiquement le plus grand risque de troisième guerre mondiale. C'est à dire que ces deux tendances finissent tout de même par une hégémonique domination mondiale des juifs, mais qui avec l'actuel axe russo-chinois sera rapidement perdue en faveur de l'hégémonie du monothéisme authentique dont à travers le retour de Jésus.
Surtout qu'avec la fascination pour le pire se répandant au sein des peuples via la télévision, il ne serait pas étonnant que le fin des temps et donc l’avènement de l'Eden terrestre complété soient liées aux premières décennies ou au premier siècle de l'arme télévisuelle formatant les esprits, surtout vu l'actuel contexte impie, dangereux et auto-destructeur se répandant d'occident et d'Israël, mais aussi vu les bonnes armes culturelles que sont internet et le traitement de texte informatique permettant de trouver, pratiquer et répandre de grandes vérités nobles importantes voire inconnues.
« Profitant de l’effondrement de l’Union soviétique et de l’effacement russe de la scène internationale durant la décennie 1990, les États-Unis ont tiré profit de cet avantage et de ce vide géopolitique pour multiplier les guerres directes et par proxy et les révolutions colorées pour mettre en place des régimes soumis en Afrique, en Europe, au Proche-Orient, en Amérique du Sud, en Asie. Ils ont imposé le dollar comme monnaie de référence internationale et leurs institutions supranationales par lesquelles ils ont appauvris, endettés nombre de pays du monde menacés par l’appareil militaire américain qui pratique la politique moderne de la canonnière. Cette agitation militaire, cette hubris n’a pas fait perdre le sens des réalités aux stratèges américains qui gardaient à l’esprit que cette domination mondiale avait pour première condition l’empêchement de l’émergence ou la réémergence de puissances rivales.
Or la crise du covid marque la fin à venir de l’hégémonie des États-Unis. Leur économie est en dépôt de bilan, devenue fictive et réfugiée, pour l’essentiel, dans des places offshore échappant à toute réglementation bancaire internationale. La tête de pont du capitalisme est affaiblie par une dette totale qui se situait à hauteur de plus de 92 000 milliards de dollars au mois d’août 2022 ! Plus le capital des entreprises transnationales se concentre, plus leurs centres de décisions politiques et financiers accompagnent ce mouvement, possiblement selon le plan du Reste du WEF. Les États libéraux ne sont plus que les serviteurs endettés des intérêts financiers de ces grands propriétaires privés de l’économie et de la finance. La question qui est posée aujourd’hui aux cercles impérialistes des milieux politiques de Washington est celle de leur fin de règne sur le monde qu’ils rêvaient soumis à leur diktat. Le problème est qu’ils ne peuvent accepter que leur politique et leur loi soient remises en cause et ils sont prêts à tout pour s’accrocher à leur prétention hégémonique, quitte à déclencher un nouveau conflit de haute intensité. Leurs guerres sous toutes formes possibles (culturelle, diplomatique, économique, financière, militaire, médiatique) contre l’Europe aux fins de la diviser et de la séparer de son cœur, la Fédération de Russie, pour éviter qu’elle se retrouve en une grande puissance, le soutien à des organisations extrémistes en Ukraine et en Allemagne, l’accaparement par la guerre et la subversion de richesses des peuples comme en Irak, en Yougoslavie, en Libye ou en Ukraine, témoignent de leur agressivité. Celle-ci ne peut conduire qu’à une aggravation de la situation dans laquelle ils ont déjà plongé le monde. En ce sens, nous sommes entrés dans une nouvelle période qui est celle de la fin du monde unipolaire.
Le danger est le suivant : nous avons d’un côté la Russie et la Chine qui souhaitaient un partage du monde à « l’amiable », une sorte de second Yalta sans trop d’effusion de sang, et de l’autre côté, les États-Unis qui ne veulent plus partager, qui sont devenus fous, et qui risquent de nous entrainer dans une guerre totale. La guerre qui est menée actuellement par l’Amérique contre la Russie ne se fait pas dans un cadre limité. L’objectif est de détruire complètement l’État russe. C’est une guerre d’anéantissement, une guerre totale que la Russie tente d’éviter ; d’où sa grande timidité militaire. Les autorités russes affichent leur crainte du déclenchement d’un conflit direct entre puissances nucléaires. La Russie joue sa survie, tandis que l’Amérique met en jeu son hégémonie mondiale. Vladimir Poutine l’a déjà dit clairement : si la Russie est menacée dans son existence, par un missile nucléaire, elle ripostera, et il n’y aura plus grand-chose à se partager dans ce monde.
L’histoire de longue durée nous apprend une chose, aucun empire n’est éternel. Cela a été la grande naïveté, ou plutôt le fanatisme messianique de l’Amérique que de croire qu’elle était le dernier empire. Le monde multipolaire est la coexistence de plusieurs empires ou puissances, plusieurs grandes civilisations et centres économiques qui agrègent d’autres nations. Carl Schmitt avait très tôt prévenu que l’établissement d’un État mondial était une impossibilité. « Le caractère spécifique du politique entraîne un pluralisme des États. Toute unité politique implique l’existence éventuelle d’un ennemi et donc la coexistence d’une autre unité politique. Aussi, tant que l’État en tant que tel subsistera sur cette terre, il en existera plusieurs et il ne saurait y avoir d’État universel englobant toute l’humanité et la terre entière. Le monde politique n’est pas un universum, mais, si l’on peut dire, un pluriversum. Telle est la réalité implacable à laquelle se confrontent les États-Unis.
Le seul espoir pour 2023 est que de plus en plus de personnes, y compris les membres des élites économiques, se rendent compte que ce gouvernement et la fausse opposition ruinent le pays, qu’ils n’ont aucun concept positif, mais qu’ils sont sur le point de détruire ce qui a été construit pendant des générations en termes de prospérité et de paix. » (Extraits de divers articles)
Or le suprémacisme blanc actuel est désormais en fait pour l’essentiel un suprémacisme ploutocratique techno-scientifique (lié en grande partie aux juifs blancs ashkénazes, aux sionistes et aux mondialistes) encore plus dangereux que les précédents, car soluble dans le mondialisme et convergeant dans ses grandes lignes avec le Great Reset. Ainsi les impies liens historiques complexes entre les mouvements suprémacistes blancs (néonazis), la franc-maçonnerie, le sionisme, le mondialisme et les projets transhumanistes du Great Reset sont clairs, puisque même si en apparence ils sont contradictoires, les objectifs politiques de ces mouvements convergent pourtant régulièrement. D'ailleurs toutes ces entités partagent un fondement de l'occultisme qui est la quête impie de l’humain augmenté, voire partagent tout l'occultisme, et les guerres de l'Ukraine (ukronazis) et d'Israël (ashkénazes) correspondent en partie à du suprémacisme blanc.

À notre époque mondialisée, nous pouvons cependant coordonner de manière rationnelle l’entretien des différences, des distances et des souverainetés. Il faut défendre un internationalisme ethno-différentialiste, pour que tous les peuples autochtones luttent ensemble mais chacun chez soi contre le mondialisme nivelant. Dans cette perspective, le blogueur Antonin Campana propose de se placer sous la protection de la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones. C’est une excellente idée ! » (Lucien Cerise)
« Le gouvernement sud-africain sous l’égide de l’ANC (African National Congress) était déjà en train de passer au communisme intégral en 2018-2019 avant la pandémie de Covid. Dans le cadre des amendements proposés à la constitution, ils ont exigé que des « réparations » soient prises aux fermiers blancs sous la forme de saisies de terres, qui seraient ensuite redistribuées aux citoyens noirs. Il s’agit de l’argument classique de la théorie de la race critique : parce que le colonialisme a existé, tous les bénéficiaires et leurs supposés descendants doivent des réparations aux descendants des indigènes qui ont perdu leurs terres. Le problème est que seuls les descendants des colons blancs sont tenus de payer des droits. C’est exactement la même voie que suivent les socialistes/marxistes du parti Démocrate aux États-Unis, certains États et villes exigeant que des réparations pour les Noirs soient inscrites dans la loi à cause de l’esclavage, il y a près de 200 ans. Le mouvement des réparations est minuscule, mais comme toutes les autres initiatives de justice sociale, il gagne en puissance parce que les politiciens et les entreprises le soutiennent artificiellement, alors qu'il n'y pas eu de réparations dans l'histoire même quand des blancs ont été mis en esclavage. Pourquoi ? C’est facile : il s’agit de diviser pour mieux régner. Comme nous l’avons vu l’été dernier avec les 1 milliard de dollars de dommages causés par les émeutes « majoritairement pacifiques de Back Lives Matter (BLM) », le conflit racial est une arme efficace pour les élites pour créer le chaos. Après tout, BLM a reçu la majeure partie de son financement initial par la Fondation Ford et la Fondation Open Society de George Soros. Il s’agit d’un mouvement fabriqué de toutes pièces, construit autour d’affirmations erronées de la théorie critique des races, mais il est suffisant pour faire régner la violence à l’échelle nationale. La réponse du gouvernement sud-africain au Covid a été brutale et continue. Les mesures de confinement ont été parmi les plus strictes au monde : couvre-feu, interdiction de se réunir à l’intérieur ou à l’extérieur, interdiction de consommer de l’alcool et restriction des déplacements dans certaines zones. Une grande majorité de la population a été empêchée de participer à l’économie normale. Des émeutes ont éclaté  à Johannesburg et ailleurs, avec plus de 200 morts et des milliards de dollars de dégâts matériels et de vols. Dans ce cas, il est difficile de condamner catégoriquement les pillages car le gouvernement empêchait les citoyens de gagner leur vie au nom des confinements Covid. Surtout que cela s’ajoutait au niveau de pauvreté déjà élevé de l’Afrique du Sud, et au fait que contrairement aux États-Unis et à leur monnaie de réserve mondiale, l’Afrique du Sud n’a pas la même capacité à imprimer des chèques de relance pour apaiser les masses et dissimuler les dégâts. Lorsque le gouvernement sabote activement la capacité de millions de personnes à travailler et à nourrir leurs familles, la seule option qui reste à la plupart d’entre elles est le vol ou la révolution. Les chaînes d’approvisionnement du pays ont été complètement interrompues et les seuls points de vente au détail ayant des stocks sont ceux qui ont été protégés par l’armée ou ceux qui ont été protégés par des propriétaires armés de fusils et de battes de baseball. Seuls 6 % de la population ont été autorisés à posséder des armes à feu en vertu de la bureaucratie et de la paperasserie du contrôle des armes à feu en Afrique du Sud. En France limiter la chasse, c'est aussi désarmé la paysannerie. Le gouvernement avait le quasi-monopole de la force et il est peu probable que les émeutiers ont changé grand-chose en termes de politique. En revanche, ils rendront la vie infernale au reste de la population. L’agitation civile dans cette région est, à mon avis, un avant-goût de ce qui est à venir aux États-Unis et dans d’autres nations occidentales. Nous avons déjà assisté à des émeutes en France, en Italie et dans d’autres parties du monde occidental à cause de la législation qui rendrait obligatoire l’utilisation des vaccins expérimentaux à ARNm par le biais de passeports vaccinaux. La seule raison pour laquelle la tyrannie médicale a été repoussée aux États-Unis est qu’environ 50 % des ménages américains sont armés. Les millions de propriétaires d’armes à feu créent une dissuasion contre la tyrannie. Par rapport à la crise sanitaire, il existe d'autres différences entre les États-Unis et l’Afrique du Sud en termes de motivations et d’économie, mais l’écart n’est pas aussi important que certains pourraient le penser. Les États-Unis présentent des signes similaires de déclin en termes de pauvreté, de fermeture de petites entreprises et d’inflation. Le taux de chômage et le taux de pauvreté de l’Afrique du Sud semblent beaucoup plus élevés, mais les États-Unis ont la capacité de cacher la pauvreté réelle grâce à des mesures de relance temporaires, des programmes d’aide sociale et des moratoires sur les expulsions. Lorsque les chèques sociaux seront épuisés et que les expulsions reprendront, nous assisterons à un nouveau pic massif des niveaux de pauvreté aux États-Unis. En outre, l’inflation des prix de base a atteint des sommets inégalés depuis 30 ans en raison des milliers de milliards de dollars imprimés et de la dévaluation du dollar, ainsi que des chaînes d’approvisionnement en difficulté.
Il faut noter que lorsque l'URSS s'est effondrée, le rouble a été fortement dévalué au point que le troc fut utilisé sur les marchés en Russie, et qu'il est donc important de faire attention à l'effondrement économique occidental et à la valeur monétaire de l'euro et du dollar en investissant par exemple dans l'or et l'argent. Or l'effondrement occidental pourrait être beaucoup plus grave que celui de l'union soviétique dont monétairement. D'ailleurs ce qui est parmi le plus inquiétant, c’est que beaucoup de pays comme la France vivaient de la capacité à s’endetter à taux très bas en euros. Ce ne sera sans doute plus possible suite à la guerre en Ukraine. On pourrait même imaginer que Washington a utilisé cette crise pour tuer cette monnaie concurrente et s'attendre donc à une déstabilisation de l’Union européenne par sa propre monnaie. Pour l’instant, l’augmentation de la demande créée par les chèques Covid donne l’illusion que l’économie est en train de se redresser, mais tout comme les ventes de maisons sont en train de plonger après un pic récent, il en sera de même pour la demande dans la plupart des secteurs de l’économie. Cela ne signifie pas pour autant que les prix vont baisser avec la demande. Par exemple, les prix du bois d’œuvre sont en baisse à mesure que la demande diminue, mais après avoir augmenté de 300 % dans certaines régions, ils ont encore un long chemin à parcourir et ne reviendront probablement jamais à leur niveau d’avant la pandémie. Nous observons actuellement la même dynamique dans les ventes de logements par rapport aux prix des logements. Lorsque la demande diminue mais que l’inflation des prix continue d’augmenter ou reste élevée, c’est le signe d’une crise stagflationniste. (La stagflation, c'est aussi gravement la récession synonyme de perte massive d'emploi associée donc à l'inflation.) Et si c’est le cas, l’économie américaine va s’effondrer de manière spectaculaire, en entraînant des niveaux de pauvreté similaires à ceux de l’Afrique du Sud. L’impression monétaire est une solution temporaire qui conduit à des désastres à plus long terme. Ce n’est également qu’une question de temps avant qu’un variant Covid (comme la variant Delta) ne soit utilisé comme excuse pour ramener les confinements dans tout le pays. Et ne vous y trompez pas, ils tenteront de mettre en place des mandats de plus en plus durs, similaires à ceux de l’Afrique du Sud, afin d’intimider les gens pour qu’ils se soumettent à la piqûre et aux passeports. À ce stade, le gouvernement américain aura non seulement des émeutes de masse sur les bras, mais aussi une rébellion armée. Il ne fait aucun doute que les chaînes d’approvisionnement s’effondreront, si elles n’ont pas déjà été perturbées par le coût de la guerre en Ukraine, des confinements ou une crise financière connexe. La question qui se posera alors sera la suivante : Qui va reconstruire ? Si ce sont les élites de davos et la secte Covid, alors la liberté disparaîtra à jamais. Si ce sont des gens épris de liberté, alors il y aura peut-être une chance de sortir notre civilisation du gouffre. Tout dépend de qui restera debout après le chaos. L’Afrique du Sud est un avertissement pour les Américains : Ne prenez pas trop vos aises. Ne vous laissez pas aller à la complaisance. Soyez prêts à la prochaine mauvaise nouvelle. Préparez-vous en conséquence, et comprenez qu’un combat s’annonce. L’establishment fera le pari que les troubles et le désastre économique créeront un consentement fabriqué. Ils pensent que le public sera suffisamment désespéré et qu’il implorera le totalitarisme comme solution. Ne vous retrouvez pas parmi les désespérés, et si vous le pouvez, organisez votre communauté pour résister à la tempête. Enfin, rappelez-vous toujours qui sont les personnes qui ont causé ce désordre en premier lieu. Les émeutiers et les pillards vont constituer un problème, mais ils ne sont pas le véritable ennemi. Il faut s’attaquer au système mais aussi aux personnes qui se cachent derrière son rideau si nous voulons retrouver la paix. » (Brandon Smith)
Gilad Atzmon : « La Troisième Guerre mondiale, en tant que telle, peut aussi être une confrontation vicieuse entre des gens qui sont libidinalement enthousiasmés par la distanciation sociale et ces personnages « suicidaires » qui sont en fait nostalgiques de l’interaction humaine, de l’air frais et de la liberté en général. La Troisième Guerre mondiale est une lutte entre deux groupes : le premier est celui qui insiste sur la notion de « vraie science », sans probablement faire la distinction entre « science » et « technologie ». Les autres semblent comprendre que si la science est une tentative pour comprendre l’univers, la technologie est l’art de traduire cette compréhension en profit. ... Ces deux camps semblent se méfier l’un de l’autre et, pour des raisons évidentes, pensent qu’ils sont existentiellement menacés l’un par l’autre. »
Or la gouvernance globale occidentale a pour finalité l'instauration d'une paix universelle au sein d'un bolchevisme 2.0 suite à la destruction de la classe moyenne entrepreneuriale au niveau mondial, à la fin de toute forme d'autonomie locale et personnelle, et à l'arasement de toutes les classes sociales, afin de ne laisser qu'une élite mondiale nomade face à une masse humaine informe, sans identité, sans travail, sans réflexion, et entretenue par les divertissements, les médias, les machines, le revenu universel, le cannabis et la pornographie. Voilà ce qui se joue dans notre monde contemporain. Nous tendons même de plus en plus vers l'idéologie qui exige que les individus et les organisations bénévoles fournissent un filet de sécurité dont alimentaire plutôt que l’État.
Or comme de plus en plus de gens parmi les peuples se réveillent grandement, il n'est pas étonnant que le mondialisme oligarchique corrompu cherchent à les tenir par la peur à travers toujours plus de crises dont bancaire, climatique, sanitaire, inflationniste, guerrière, énergétique et banlieusarde. En effet comme il a été vu, la terreur induite à grande échelle dans une société entraîne une sorte d’état d’hébétude, une situation où le contrôle peut facilement être obtenu à partir d’une autorité extérieure surtout suite à l'infantilisation du peuple.
Les crises mondialistes suivent de plus en plus un agenda historique de spoliation et d'appauvrissement massif des peuples d'abord de la classe moyenne et des PME/PMI, par preuve de l'effondrement de l'économie moyenne voulu par le système bancaire et ses relais oligarchiques, dont afin d'empêcher l'authentique jonction révolutionnaire basée sur l'union de la classe moyenne avec les classes inférieures contre la finance internationaliste. Cette classe moyenne correspond aux modestes entrepreneurs libéraux au sens honnête du terme. A ne pas confondre avec celle des salariés cadres et petits chefs du Capital. En effet, c'est la classe moyenne des entrepreneurs libéraux qui est progressivement liquidée par la concentration du Capital des ultra riches et pas l'autre, quoique avec l'automatisation se généralisant, cette dernière se fait aussi liquidée par les ultra riches. Cela ressemble au communisme soviétique qui a toujours été ultra libéral pour sa classe dirigeante et ultra autoritaire pour la masse, ce qui n'est pas étonnant puisque le communisme a toujours été financé par le grand capital bancaire même dès son origine révolutionnaire en Russie. Le système Français est déjà un communisme soviétique 2.0 sur énormément de paramètres : impôts écrasant pour les petits propriétaires, cosmopolitisme, athéisme, etc. En effet la France comme l'Europe et l'Occident sont clairement devenus une tyrannie bancaire par un Etat policier sovieto capitaliste, puisque ultra surveillant, soumis à la finance internationale, et crevant des yeux et arrachant des mains aux manifestants s'y opposant. Ce qui prouve que nous sommes entrés dans les temps d'apocalypse de la fin des temps. D'ailleurs le mot « Apocalypse » signifie : révélation, implicite devenant explicite, dévoilement des choses cachées, dont donc du pervers plan mondialiste, oligarchique et sioniste, surtout vu l'asservissement tyrannique de la nation par le système financier privé international prouvé à travers le lien évident entre l’État désormais policier français et le Président Macron ancien membre de la banque Rothschild et saint simonien selon Frédéric Rouvillois.
« Un nombre grandissant de Français commence à le comprendre, le monde de la finance – qui a bien des noms et des visages – est en guerre contre eux. La réforme des retraites est une nouvelle attaque à laquelle le peuple réagit ; une réforme à laquelle s’opposent 80 % des Français. La désignation de cet ennemi mortel qui a placé ses pions à la tête de l’Europe et de la France est la première étape, nécessaire, pour mener un combat politique efficace. L’ennemi est désormais nommé, non seulement par des manifestants, mais aussi par des personnes et personnalités qui ont accès aux médias. projet économico-eschatologique de certains juifs n’est pas le produit de leur cerveau. Il est inscrit dans les textes fondamentaux de leur religion, le judaïsme. Quand Giraud parle de privatisation comme projet eschatologique : il entend par là la spoliation des peuples par la haute finance qui utilise l’arme du prêt à intérêt jusqu’à la dépossession complète de toute la société, de l’individu à l’État. Ce programme méthodique est explicité dans la Bible hébraïque. Voilà pour le prêt aux personnes. La Torah préconise également le prêt à intérêt aux nations pour les soumettre autrement que par les armes. Ces prêts octroyés aux nations ont pour finalité eschatologique la domination sur les peuples. pour rembourser cette dette, Attali, le fondateur et premier président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), préconisait au lendemain de la crise financière de 2008, de « mener, en urgence, des politiques de restriction budgétaire et d’augmenter les impôts. La domination économique, dans un monde où le capital ne connaît pas d’obstacle national, est également politique. Preuve en est, Goldman Sachs a placé ses hommes à la tête de l’Europe. Macron lui-même s’est targué de servir David de Rothschild. Gaël Giraud n’est pas sans savoir que David de Rothschild est juif – il a d’ailleurs son siège réservé au premier rang de la synagogue de la Victoire – et que, par conséquent, si un projet eschatologique il a, c’est un projet eschatologique juif. L’objectif de BlackRock est dans ce sens de mettre la main sur l’épargne retraite des Français par sa capitalisation. En faisant intrusion au siège parisien de BlackRock, les manifestants opposés à la réforme des retraites ont désigné l’ennemi principal. Les organisations syndicales, auxiliaires du pouvoir, et donc du monde de la finance, perdent progressivement le contrôle de leurs troupes qui ne veulent plus se contenter de défiler entre Nation et Bastille. D’ailleurs, Emmanuel Macron s’en est inquiété. Au fur et à mesure que la situation se tend, que les Français s’appauvrissent, la société atomisée se réunit et cherche où situer son ennemi. Elle ne pourra le trouver que sur le terrain du théologico-politique. » (Extraits de l'article « Le peuple contre la banque » de Youssef Hindi à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-peuple-contre-la-banque-72038.html)
Or ce néolibéralisme et son déchaînement des forces vives du Marché correspondant à la prédation économique, à la tyrannie du plus fort, à la fin du plus faible, à la concurrence violente, à la publicité ravageuse et à l'addiction individualiste, cela appauvrit mais unit la classe moyenne et les honnêtes gens modestes, comme par opposition cela unit aussi les mafieuses racailles très riches d’en haut et les mafieuses racailles d’en bas.
« Le néolibéralisme prédateur réduit le périmètre de l’État, produisant du chaos dans la population. Toutes les sécurités sont touchées : sociale, économique, sanitaire, physique, psychologique même. La délinquance d’en haut pille le trésor national, entre autres par le couple dette-usure, affamant les services publics, le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. Entre autres services publics, les commissariats ferment. Le message est clair : pour votre sécurité, débrouillez-vous. Les forces de l’ordre sont quasiment privatisées par les dominants : on le voit avec les dizaines de milliers de policiers qui ont réprimé durement la révolte des Gilets jaunes, et plus récemment avec les 4 000 policiers qui ont « sécurisé » les supporters israéliens, pourtant antifrançais. Le peuple est devenu l’ennemi de l’oligarchie, et traité comme tel. Le gang néolib à la tête de l’État se fout royalement de la paix civile, et même, l’insécurité généralisée est la garantie de sa sécurité à lui. Logiquement, parce que la nature a horreur du vide, là où la puissance publique recule, les forces privées avancent. C’est donc tout naturellement que pendant le régime macroniste, et notamment les confinements, la DZ Mafia est passée d’un groupe de dealers de quartier à une petite nationale du crime, pas encore multi, mais les liens avec les grands voisins sont déjà là. Ainsi on pourrait remplacer « DZ Mafia » par « oligarchie ». Les méthodes sont les mêmes – terreur, crime et pillage –, seule l’échelle diffère. La société est un corps vivant, et le mimétisme animal joue. L’impunité accordée à l’oligarchie (détournements d’argent, détournement de mineurs) par une justice aux ordres minée par les forces occultes a fatalement donné des idées à son calque d’en bas, le gang de racailles. Évidemment, ce sont les boss de la DZ qui vont en prison, ce qui parfois ne les dérange pas trop : ils sont à l’abri des vendettas, et peuvent cantiner tranquilles avec le cash de côté. Surtout, il continuent parfois à diriger leurs soldats. Du côté de l’oligarchie, on ne va jamais en prison, puisque la justice est leur complice. Aujourd’hui, en France, on fait de la taule pour une manif où l’on défend son steak, où l’on dénonce le génocide des Palestiniens, où l’on combat les décisions européistes, pas pour voler des milliards dans le trésor national ou pour violer des enfants. En régime néolib, la Banque engraisse, les services publics maigrissent, c’est aussi simple que ça. Dans les espaces de chaos créés par le recul de l’État, qui n’a plus les moyens de gérer l’intégralité du pays, des calques de l’oligarchie prédatrice éclosent. Les entrepreneurs de la DZ Mafia devraient être décorés par le trio Attali-Niel-Macron, qui voulaient libérer les énergies et l’initiative. Ils ont libéré les démons. » (Extraits de l'article « DZ Mafia, néolibéralisme et chaos : le calque de l’oligarchie » par la Rédac ER) Israël Adam Shamir : « À mes frères libres d’esprit, je dirai hier comme aujourd’hui : ne craignez personne d’autre que Dieu. Méfiez-vous des médias car ils vous vendent de la peur. Ils ont inventé l’« homophobie » pour que les homosexuels craignent les gens normaux et se précipitent dans les bras de leur Oncle Sam. Ils ont inventé le « chauvinisme masculin » et les « femmes battues » pour que les femmes aient peur de leurs hommes et cherchent un refuge autorisé par le gouvernement. Ils ont inventé le « racisme » pour que chaque minorité ethnique puisse se réfugier sous la tutelle de Big Brother et que le peuple se divise. Ils ont utilisé le problème des « enfants maltraités » pour que les femmes se méfient de leurs maris. Ce sont des manipulations. Il n’y a pas d’homophobie, car on se fiche complètement de ce que vous faites dans votre chambre, tant que vous n’ameutez pas le voisinage. Les hommes sont naturellement protecteurs envers les enfants et chevaleresques envers les femmes que les féministes le refusent ou pas. Les Blancs adorent que les Noirs soient joyeux et qu’ils jouent du banjo, tant que ce n’est pas toute la nuit. Je vous le dis : nous sommes tous des minorités à part, et ensemble nous sommes le Peuple. Nous nous entendons très bien ensemble sans la surintendance oppressante de Big Brother. La peur du Covid a été fabriquée pour nous faire craindre chaque être humain et nous désocialiser par le rejet de la proximité amicale, et il faut la chasser. » Commentaire d'internautes : « N’empêche qu’un virus qui ne te vise qu’en dehors de tes heures de travail, que dans les lieux où tu t’amuses, que dans les endroits où tu peux échanger avec les autres, et qui ne prend pas le métro, se ballade dans certains rayons de grandes surface, sévit hors couvre-feu à horaire modulable, ne perturbe pas les relais routiers, et devient inopérant sur les policiers, les députés, et sénateurs, bah ça ressemble quand même beaucoup à un virus évadé d’un labo de l'oligarchie perverse et du Medef (surtout que le système a été jusqu'à plus cibler injustement les réunions de famille alors que les transports en commun étaient bondés dans les grandes villes)... »
D'autant plus que ce type d'ingénierie s'attaque aussi à la protection sociale, car avec une fausse crise, mais une vraie psychose, la destruction néolibérale passe plus facilement dans l’opinion, dont pour arriver à repousser l’âge de la retraite et baisser les indemnités chômage. C'est le but de l’opération Attali-Macron-Rothschild depuis 2014, date du lancement du petit prince des ténèbres économico-sociales Macron. Car la classe dominante a besoin du chômage, puisque le patronat en jouit chaque jour dont en recadrant un salarié par un « j’en ai 100 comme toi qui attendent à la porte », ou en faisant des chantages comme dans des usines où des « accords de performance collectives » on été conclus après une intimidation du type « baissez vos salaires ou on ferme », alors que le peuple doit impérativement lutter pour mieux rééquilibrer les profits entre le travail et le capital.
Quand une masse critique du peuple aura compris la manipulation, les choses pourront vraiment changer. Certes, on essaiera alors de nous plonger dans une nouvelle guerre, dans une grande terreur, djihadiste ou microbienne (les deux possiblement sous faux drapeau), mais au moins on aura compris définitivement. L’humanité n’est pas encore entrée dans sa phase adulte, celle de la conscience. Pour cela, elle doit sortir de l’enfance, de la crédulité, de sa confiance dans les dominants. Les dieux du mondialisme ne peuvent pas être des hommes et comme ils le sont, c’est que ce sont des voleurs et des menteurs.
La France (comme la plupart des pays) devient une nation martyre qui crève sous les parasites néolibéraux à cause de leur tyrannie (comme dans tout système totalitaire), leurs insultes, leurs menaces, leurs violences, leurs impostures, leurs usurpations, leurs spoliations méthodiques, leurs évincements systématiques. Les français sont un peuple qui agonise sous le joug de tous ces méprisants, ennemis, agressifs, voleurs impérieux, exigeants, avides ; avec le concours actif et virulent des traîtres au Peuple et à la Nation.
La France verse actuellement par an environ 23 milliards d’euros à l’Union européenne. Cet argent provient des impôts de ses contribuables. Sur ces 23 milliards, 14 nous sont restitués sous le nom de « subventions européennes ». Ces impôts sont seulement renommés et les français doivent en plus rendre compte de ce qu'ils en font et remercier l’UE en affichant partout son drapeau. À quoi servent les 9 milliards perdus ? Ils servent pour l’essentiel à développer l’industrie et l’agriculture hors de France. Ils servent à favoriser les concurrents à l’agriculture et à l’industrie françaises, donc à fermer des sites en France et à augmenter le chômage dans notre pays. Ils servent aussi à financer la bureaucratie européenne ainsi que des associations et ONG dont les activités sont antinationales. L’Europe, entité physique, historique et culturelle, est bien entendu totalement différente de la commission européenne qui est une oligarchique bureaucratie mondialiste. Il faut absolument revenir sur le point économique. 9 milliards d’euros, c’est le coût de la construction de 180 hôpitaux, ou de 2 500 usines, ou l’installation de 50 000 exploitations de maraîchage ou de 100 000 artisans financés sur une seule année. Dans une situation où les hôpitaux en France n’ont plus les moyens de renouveler leur matériel, ou sont tenus de fermer des services, c’est une provocation que de voir de telles sommes s’enfuir du pays. Peut-on imaginer ce que seraient les conséquences, au moins sur la santé publique, de l’installation massive d’exploitations agricoles qui produiraient des produits naturels de qualité, alors que l’Union Européenne nous oblige à importer les produits frelatés venant d’outre-atlantique ? Combien d’industriels ou d’artisans français aimeraient bénéficier d’aides dont ils ne voient pas la couleur parce que les fonds servent à aider leurs concurrents à l’étranger qui viennent ensuite vendre en France, grâce à la porosité des frontières imposée par l’UE ? Il ne s’agit pas uniquement du détournement d’impôts prélevés sur les Français et qui sont gaspillés, il s’agit d’un système pervers qui fait que plus les Français versent d’impôts à l’union, plus ils donnent de moyens au démantèlement de leur propre pays par le procédé de la concurrence économique. C’est l’exact opposé de l’usage normalement dévolu à un impôt national. De plus la production effrénée par l’UE de directives, d’orientations et de normes a un coût monstrueux sur les entreprises, les particuliers, et la société française toute entière. Ce coût est évalué au minimum à plusieurs dizaines de milliards d’euros. Or ces normes européennes s’imposent aussi aux entreprises de petite taille, ultra majoritaires, qui n’exportent pas et respectent déjà le système normatif français de très haut niveau. C’est un nouveau gaspillage. En revanche, on vient sans vergogne vendre en France des produits dont le nom ou la composition ne sont même plus rédigés en français, sans doute pour une meilleure information du consommateur... En conséquence, bien que les impôts des Français augmentent, les recettes fiscales s’avèrent insuffisantes. La France est sommée de réduire les budgets des services publics et de l’entretien des biens publics, ce qui conduit immanquablement à des problèmes. Les services publics sont alors accusés de coûter cher et d’être inefficaces, et sont bradés au privé, réduisant ainsi le patrimoine des Français et compromettant la solidarité nationale. Voilà comment, année après année, les Français constatent, impuissants, le gaspillage de leurs impôts dans un processus sournois qui les appauvrit, baisse leur niveau de vie et conduit à une régression sociale généralisée. Arithmétiquement, plus nous finançons la « construction européenne », plus nous finançons donc la destruction de notre pays. Pour combattre réellement le chômage et sauver la France, il n’existe pas d’autre solution que de quitter l’Union Européenne qui fonctionne pour nous comme une escroquerie. Nous devons retrouver notre souveraineté le plus tôt possible. A l'origine de cette idéologie néolibérale, il y a des dogmes qui sont la liberté de l'individu, la dérégulation des marchés, le profit inconséquent et la dénonciation illégitime de l'Etat providence, amenant de l'oppression et donc de gros problèmes dans divers secteurs professionnels, politiques, administratifs et sociaux : situations difficiles, dégradation des conditions de travail, bournouts, dépressions, suicides, sentiment d'impuissance, saturation à tous les niveaux, diminution de la sécurité suite à de l'agressivité et des agressions, de moins en moins de personnel, bureaucratisation à outrance, pénurie dans certains secteurs comme des médecins généralistes, dégradation de la civilité, démoralisation, mauvaise consommation, affaiblissement intellectuel et culturel même des élites.
Ainsi l’américanisation de notre société est en cours, et ce, dans presque tous les domaines : management brutal, privatisation à outrance, déchirement du filet social, concurrence interindividuelle érigée en dogme, destruction des collectifs nécessaires au vivre ensemble, augmentation de l’isolement et de la peur, développement accru de la sécurité, montée de la violence. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article « Décadence de l’Occident » (Par qui et pour qui ?), à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Decadence-de-l-Occident-57132.html#forum2327579    Cependant il est apparu la menace de pénurie alimentaire pour 265 millions de personnes suite au coronavirus et à la guerre en Ukraine ayant révélé la fragilité structurelle de notre société globalisée et mondialisée sans aucune vision stratégique à part la cupidité. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Pénurie alimentaire l'ONU sonne l'alarme » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=FDaBjfO53Nc De plus « Une proportion importante de la production agricole mondiale annuelle finit en stockage où elle se dégrade et est éliminée sans jamais être comptabilisée par les BPAH. Il y a donc un très grand trou comptable. Le modèle agricole dominant, dirigé par les entreprises, est fondé sur la surproduction, qui produit des prix bas pour les produits agricoles de base au profit des entreprises agroalimentaires, plutôt que sur un modèle agroécologique conçu pour offrir aux agriculteurs et aux consommateurs une alimentation saine et abordable. Et le mythe de « nourrir un monde affamé » est fabriqué pour justifier l’approche dominante. Même avec la croissance démographique et l’évolution des régimes alimentaires, la production mondiale peut facilement dépasser l’augmentation de la demande. En fait, la surabondance actuelle et future se poursuivra et entraînera probablement une baisse des prix des produits de base. La façon dont les perturbations climatiques pourraient modifier le terrain de jeu est un facteur imprévisible. Mais promouvoir l’agriculture industrielle comme moyen d’atténuer le changement climatique ou de s’y adapter, alors que les systèmes alimentaires industrialisés sont les principaux émetteurs de dioxyde de carbone, défie toute logique. Il convient au contraire de promouvoir l’agroécologie, qui piège le carbone atmosphérique dans le sol, et de la transposer à grande échelle pour : refroidir la planète, fournir une meilleure nutrition, répondre aux besoins des agriculteurs et protéger la diversité biologique et l’intégrité des écosystèmes dans le monde entier. L’alarmisme concernant les pénuries futures, surtout si l’on tient compte des énormes erreurs de calcul, ne devrait jamais servir à rationaliser l’expansion de l’agriculture, surtout lorsque notre modèle agricole surproductionniste entraîne l’accaparement des terres, la diminution des forêts, la destruction des écosystèmes et le changement climatique, ainsi que la destruction des moyens de subsistance des petits exploitants agricoles et des économies des nations les plus pauvres qui dépendent de l’agriculture. Les fausses préoccupations concernant l’alimentation d’un monde affamé sont utilisées pour justifier l’agriculture de type AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique), caractérisée par une utilisation intensive de pesticides et d’engrais et par le génie génétique. Bill Gates a tout faux et l'AGRA est une dangereuse imposture. » (Extraits de l'article « Bill Gates devient le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis et annonce des « pénuries alimentaires » pour l’humanité » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/28/bill-gates-devient-le-plus-grand-proprietaire-de-terres-agricoles-aux-etats-unis-et-annonce-des-penuries-alimentaires-pour-lhumanite/)
Le chanteur Philippe Guêpe précise : « Masque, confinement, agenouillement et autre symbolique orwellienne : le monde des années 60/70/80 semble n’avoir jamais existé. Vaccin à nanoparticules, puçage de masse et autre 5G sont à nos portes. La machine s’engouffre dans une société globalisée, inhumaine et destructrice à vitesse carabinée. Lorsque l’ignorance, la désinformation et le contrôle généralisé ont définitivement poussé la grande fable « liberté-égalité-fraternité » à la trappe, il est peut-être temps de méditer. »
Le peuple, quant à lui, progressivement remplacé par des migrants ou des machines et donc plus utile économiquement, sera mis totalement à l’écart de la société. Les solidarités naturelles détruites par l’individualisme triomphant, la solitude et la dépression annihileront toute velléité de révolte citoyenne. C'est pourquoi ayant déjà le plus l'argent, la ploutocratie actuelle mondiale a été d'accord d'en perdre beaucoup lors de l'effondrement économique planétaire lié au Covid pour conserver voire asseoir son pouvoir dans un contrôle absolu sur les gens afin de les gérer comme des ressources, des objets. Ainsi, le revenu universel probablement à venir pourrait même être une transition de cette ploutocratie vers un monopole mondial des multinationales synonyme de monde bureaucratique sans argent attribuant un niveau moyen de subsistance au niveau de la nourriture, de l'hygiène, de l'eau, de l'électricité, de l'essence, etc.
C'est dans ce sens que cette perverse ploutocratie internationale utilise l'inversion des valeurs (et des symboles) pour préserver son pouvoir : la guerre c'est la paix, la surveillance c'est la liberté (sécuritaire), le masque sanitaire c'est la liberté (de mouvement), etc.
Or il est évident que l’écrasante majorité de la population ne croit pas, en leur for intérieur, au danger d’un virus mortel. Ils s’auto-convainquent seulement du danger viral, car sinon ils devraient admettre qu’ils vivent effectivement sous une dictature qui leur veut du mal. Cependant c’est une idée trop insupportable pour la majorité. Il n’y a pas besoin de lire un seul livre de sociologie pour comprendre que l’on peut plus facilement manipuler et contrôler par la peur. Un glissement vers la tyrannie s’est opéré. En protégeant les plus riches, les plus corrompus, les plus criminels, et en accusant le citoyen de tous les maux, l'État français a complètement inversé sa fonction d'autant plus en se servant de la peur. Les gens ont d’abord marché à la peur du virus dans un premier temps. Puis la fable de l’épidémie dangereuse s’étant éventé, la peur demeure pourtant mais n’est plus que l’effet de la terreur policière et judiciaire, étatique en un mot. C'est aussi pourquoi les pénuries, l'inflation et la guerre en Ukraine sont apparues pour faire oublier cette réalité. Le formidable appareil répressif d’une dictature pèse sur les esprits et les paroles, humilie les intelligences dont de professeurs voire prix Nobel. Pour échapper à une situation rendue à nouveau insoutenable, les gens redemanderont leur propre servitude qu’ils confondront avec un retour à la liberté, comme à travers le pass vacinal. Tout ceci est un coup d’Etat mondialiste du privé car amenant selon un plan progressif depuis des décennies voire des siècles à beaucoup plus de privatisations, d'inflation et donc de destruction des PME/PMI au profit des multinationales et des banques. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « États-Unis : un passeport vaccinal obligatoire détruirait l’économie des petites entreprises » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-un-passeport-vaccinal-obligatoire-detruirait-l-economie-des-petites-entreprises-65313.html
Ainsi ce ne sont pas les événements comme le covid qui réveillent le plus les gens, mais les conséquences politiques qu’ils permettent de mettre œuvre, surtout quand ils voient les basses statistiques mortelles du covid. Le plan n’a jamais été autant visible, ça s’accélère. C'est une attaque de l’élite mondialiste contre la France et le reste du monde, dont la finalité peut donc être l’instauration d’un régime totalitaire comme le prouve les discussions à l'UE pour la censure sur internet. Tout cela n’a rien d’un « délire », il n’y a là aucune « incohérence », au contraire, cela a clairement été organisé : l’ouverture des frontières au début de l’épidémie, l’interdiction de vendre des masques au pic de l’épidémie, le refus d’employer les moyens disponibles pour tester au pic de l’épidémie, le refus de soigner les malades, l’incitation à attendre la détresse respiratoire avant de les prendre en charge, les études falsifiées publiées dans les revues médicales, les conflits d’intérêts des médecins officiels. Le wokiste gouvernement mondialiste et sioniste ne « délire » pas, il agit mal et ment en toute connaissance de cause d'autant plus par rapport à la guerre en Ukraine. Surtout qu'avoir laissé l’application locale de décisions nationales peu fondées, comme le port du masque et le confinement, a exposé les français à la tyrannie de l’appareil d’État, de ses serviteurs, de ses agents, des magistrats, de la police, et des officines de toutes natures, en soumettant les individus à leurs revirements ou à leurs subjectivités selon les circonstances.
Les médias dominants et la majorité des citoyens ont donc été plus ou moins inconsciemment complices de terrorisme social gouvernemental, de ses brutalités anticonstitutionnelles et même des assassinats de masse prémédités envers les EPAHD lors du Covid. Ce qui paraît logique, car le peuple français a consenti pendant des années aux pires horreurs commises en Irak, en Libye et en Syrie par les gouvernements qu’il a élus. Les Français ont voté, revoté, et revoté encore, pour des politiciens ayant soutenu les pires milices terroristes qui ont poussé au massacre et ravagé des pays entiers. Et les Français se sont donc généralement détournés de la souffrance de ces peuples. Tant qu’on peut remplir son caddie, qu'importe la destruction d’autres pays ? Et on a maintenant des opposants français en prison ou en exil, dans l’indifférence totale. Avec la crise sanitaire, l'inflation et la crise énergétique, la soumission à cette société de consommation qui privilégie les uns mais tue les autres reçoit sa rétribution. Cela fait des années qu'une grande partie du peuple français ignore la violence guerrière et répressive exercée par ses élus, et qu’il se désintéresse de leur perversion et de leur corruption, mais les gilets jaunes donnent de l'espoir. Après la police, la justice s’est aussi complètement déconsidérée, et ne fait qu’accélérer le délabrement général, puisque de moins en moins de personnes ont confiance dans les institutions en place. L’existence d’une volonté de détruire notre pays devient de plus en plus évidente chaque jour qui passe, et les agents de l’État feraient bien de réfléchir au fait qu’ils sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis, bien plus sûrement que s’ils refusaient de suivre les instructions iniques qui leur sont données. Eh bien voilà, les Français se prennent maintenant le retour de manivelle. C’est normal, et même, ce n’est que justice. Mais les gilets jaunes authentiques n'ont donc pas de reproches à se faire, savent ce qu'il se passe et luttent contre les mesures liberticides dictatoriales dont simplement pour la liberté d'expression. Or le processus déclenché depuis la crise des subprimes, puis du covid, de la guerre en Ukraine et de la guerre en Palestine semble inarrêtable parce qu’il n’y a aucune autorité crédible ni contre-pouvoir pour sonner la fin de la partie mondialiste. Surtout que médiatiquement, toutes ces grandes crises et d'autres s'atténuent mutuellement par leur diversité et la peur générale d’un troisième grand conflit mondial en Europe ou en Moyen Orient alors qu'elles sont très graves et importantes, ce qui fait donc oublier les milliers de soldats et des civils qui meurent quotidiennement.
Mais cette campagne globaliste à travers la propagande et la déstabilisation cherchant à asservir les gens peut les réveiller et se retourner dangereusement contre elle. En effet face à ce sombre tableau, les mouvements anti-mariage pour tous, des Gilets jaunes, des anti-pass sanitaire et des anti-retraite à 64 ans représentent un grand espoir d'union pour le futur. Le peuple de France semble enfin avoir pris conscience de la gravité de la situation liée au mondialisme et être déterminé à changer les choses en profondeur. S’informer, penser, réfléchir, aller, venir, agir, choisir : il est primordial que tous ces droits appartenant à chacun ne soient pas détruits par une perverse politique idéologique sur le collectif, le sociétal, le sécuritaire, le sanitaire et le social.
Pour empêcher ce réveil populaire, le système développe la judiciarisation croissante du débat politique et la ségrégation entre les pensées interdites et la pensée autorisée. Naturellement, la pensée autorisée, ce composé idéologique établi par les réseaux occultes et les lobbies, est celle qui assure les intérêts de l’oligarchie. Dans ce sens, l'antiracisme instrumentalisé par le pouvoir profond corrompu divise le peuple et manipule les partisans antiracistes afin de les dénigrer plus tard pour détourner le combat des patriotes contre l'oligarchie. Surtout que ce pervers pouvoir profond a même réussi à faire prendre aux noirs comme héros, Georges Floyd, un acteur porno, délinquant multi récidiviste et drogué, en plus en parvenant à l'associé à la perversion du mouvement LGBT. Ce qui prouve que beaucoup sont soumis à la dictature du système via sa transmission de ressentis. C'est une image de la fréquente promotion sournoise par le système corrompu des pires hommes que sont les membres pervers des grandes multinationales ou des grosses banques d'investissement,  les rappeurs matérialistes, les représentants du mouvement LGBT, les présidents d'un pays soumis aux mondialistes, etc.

L’article 122 de l'UE est un 49.3 à la sauce européenne. L’article 122 du TFUE permet à l’UE d’adopter des mesures exceptionnelles en cas de crise sans passer par un vote des États membres. Présenté initialement comme un outil de solidarité pour répondre à des situations d’urgence, il a été détourné par Von der Leyen pour lever 800 milliards d’euros destinés à la course à l’armement contre la Russie. En clair, Bruxelles a déjà engagé des sommes colossales pour la guerre, forçant les pays européens à investir massivement dans l’industrie militaire, sans qu’aucun Parlement national ne puisse s’y opposer. L’Assemblée nationale a même voté une proposition de confiscation des avoirs russes, alors qu'il s'agit d'un vol d’État assumé qui détruit la confiance mondiale en l’UE.

L'antiracisme illégitime devenant clairement de la cancel culture du wokisme parvient même à changer certaines œuvres (films, livres, contes, dessins animés) tel en faisant de l'homme blanc fictif 007 une femme noire, comme si les autres ethnies n'avaient pas de culture ni d’œuvres. C'est en réalité se moquer des noirs que de créer des films de personnage normalement blanc avec des noirs, mais aussi oppresser les blancs, puisque il serait très mal vu qu'un blanc incarne un personnage noir. Or la critique négative de l’appropriation culturelle est stupide quand il ne s'agit pas d'une œuvre individuelle tel donc d'un livre, car chacun a divinement le droit de prendre le meilleur de chaque chose, humain ou communauté. En sachant que l'appropriation culturelle par les non américains du style US dont des rappeurs descendants souvent d'esclaves, personne ne s'en préoccupe, et cela devrait être la même chose pour une grande partie de la culture en particulier vestimentaire et musicale, mais pas lgbtiste, bien que la tradition prophétique du Messager Mouhamed soit le meilleur code. Pourtant certains antiracistes à outrance devenant des racistes reprochent à des blancs de suivre les codes d'apparence et de musique du Rastafari, alors qu'on ne les entend pas quand l'homme blanc 007 est joué par une femme noire. Dans ce sens il est clair qu'Elvis qui avait grandi dans le sud des USA et la musique noire avait aussi le droit de tendre à faire des chansons dans ce style. En sachant que les codes de l'islam sont évidemment ouverts à toute l'humanité, comme le savent tous les musulmans un minimum éduqués. Suite à l'affaire du délinquant et donc pas exemplaire Georges Floyd développé médiatiquement aussi donc de manière moqueuse et amplifié par le système Soros, il apparaît donc encore plus clairement que le sujet concernant le racisme systémique aux USA et en Occident est un événement supplémentaire qui fait la une du gratin politique et culturel pour occulter les réelles forces aux pouvoir détruisant économiquement tous les citoyens dont donc les noirs. En effet si nous recherchons le principal moyen de contrôle sur la vie des gens aux Etats-Unis, il sera facile de découvrir qu'il s'agit du capital. Ce type d'événements très médiatisé n'incarne donc pas en réalité le clivage racial, mais celui de classe. Ainsi il n'est pas étonnant que ce soit les super riches dont les multinationales qui supportent financièrement des mouvements comme ceux des black lives matter, des féministes, des LGBT, de l'oppression liée au Covid, de la guerre en Ukraine et de la guerre en Palestine. Le pouvoir profond ultra riche dont des grandes entreprises utilise donc les politiques perversement identitaires pour diviser les gens et préserver leur puissance en évitant que des personnes issues des classes laborieuses accèdent à la richesse et au pouvoir.

« L’homme qui remplace Klaus Schwad à la présidence du WEF pourrait être encore pire. En effet Peter Brabeck, tyran de Nestlé, est désormais à la tête du Forum économique mondial. Vous n’avez jamais entendu parler de lui. C’est intentionnel. Peter Brabeck est l’ancien directeur général et président du conseil d’administration de Nestlé, le plus grand empire mondial de l’alimentation et des boissons. Il a dirigé Nestlé de 1997 à 2008. Ses convictions font passer Schwab pour un modéré.  La citation la plus célèbre de Brabeck ? « L’opinion qui me semble extrême est représentée par les ONG, qui se battent pour que l’eau devienne un droit public. Cela signifie qu’en tant qu’être humain, vous devriez avoir droit à l’eau. C’est une solution extrême. » Oui, il l’a dit. Nestlé a acheté des droits sur l’eau dans le monde entier, en particulier dans les zones de sécheresse. Elle n’a presque rien payé pour l’extraire, l’a mise en bouteille et l’a revendue à des communautés en difficulté en réalisant des bénéfices. Dans la forêt nationale californienne, Nestlé (sous la direction de Brabeck) a siphonné 45 millions de gallons d’eau de source de Strawberry Creek pour presque rien. Les ruisseaux se sont asséchés. Les écosystèmes se sont effondrés. Nestlé a gagné des milliards. Les habitants ont été victimes de la sécheresse et se sont vu revendre de l’eau en bouteille.  Mais si vous pensez que ce type n’est qu’un homme d’affaires... attendez de savoir ce qu’il s’est passé sous sa direction chez Nestlé... En 2005, Nestlé a été poursuivie en justice par d’anciens enfants esclaves du Mali. Ils ont déclaré que Nestlé savait qu’ils avaient été victimes de trafic, battus et forcés à travailler dans des plantations de cacao en Côte d’Ivoire. L’action en justice affirme que Nestlé a payé des fournisseurs pour réduire les coûts, puis a fermé les yeux lorsque ces coûts étaient supportés par des enfants enchaînés. Brabeck était PDG à l’époque. Nestlé a nié toute responsabilité, mais n’a pas pour autant blanchi son nom. Elle a obtenu un non-lieu pour vice de forme, et non pour innocence. La même année, aux Philippines, le dirigeant syndical de Nestlé, Diosdado Fortuna, a été assassiné. Un autre dirigeant syndical avait été tué quelques années auparavant. Pas d’indignation. Pas d’enquête. Pas de justice. Sous sa direction, Nestlé a poussé :  - les aliments cultivés en laboratoire - le génie génétique - l’approvisionnement alimentaire contrôlé par l’IA - des partenariats pharmaceutiques avec les gouvernements  Ce n’est pas de l’alimentation. Il s’agit de contrôle social. Brabeck a participé à des panels du WEF, à des groupes de réflexion et à des réunions de l’élite Bilderberg. Il n’a jamais eu de comptes à rendre – il a seulement été élevé. Cela en dit long. Brabeck ne croit pas aux droits. Il croit en la propriété des entreprises. De votre nourriture. De votre eau. De vos données. De votre avenir. » (Rédac ER)

L'Union Européenne :

L'Union Européenne est actuellement le fer de lance du mondialisme davossien dont par son gouvernement européen préfigurant mondial, et par ses supranationales règles financières et économiques gravement dérégulées favorisant honteusement les multinationales, puisqu'elle cherche à diluer les pays en transformant les frontières d’État en frontières administratives commerciales et en dominant le monde par l'union bancaire planétaire suite à une nouvelle grande crise financière plus grave que celle de 2008. Mais ce sera possiblement finalement sa défaite par l'orientation nécessaire car vitale mondialement des peuples vers des blockchains et cryptomonnaies honnêtes décentralisées, à moins que pendant un certain temps elle arrive à imposer l'oppression d'une cryptomonnaie centralisée. C'est à dire que l'union européenne créée par les Etats-Unis et Israël est perversement orientée pour leurs intérêts ainsi que ceux des mondialistes comme le prouvent sa soumission fréquente à l'empire américano-sioniste et son organisation privée gérée injustement par des bureaucrates non élus provenant parfois secrètement de l'OTAN ou de services secrets. En effet cette union européenne a aussi voire d'abord été faite par des riches pour des riches, puisqu'elle enrichit toujours plus les riches et appauvrit toujours plus les pauvres, tout amenant à une ploutocratie internationale.
« Cette Union Européenne a été bâtie par et pour les multinationales : commencée par la CECA, elle s’est poursuivie par la toute-puissance de la BCE, dont aucun personnel n’est élu par quelque peuple que ce soit, tout en se cachant derrière l’apparence de légitimité populaire issue du Parlement européen qui n’a aucune initiative en matière règlementaire et dont le rôle, bon an mal an, se concentre sur le choix des multinationales bénéficiaires des Directives et autres Règlements.  Les intérêts qui gèrent les institutions européennes sont les mêmes que ceux qui se trouvent être à l’origine du Club de Rome (dont la posture eugéniste est revendiqué et assumé), du Bilderberg (ce groupe fut créé par le prince Bernhard des Pays-Bas, ancien nazi ; il fut officiellement impliqué, avec la mafia et la loge P2, dans des attentats sous faux drapeaux du Gladio survenus en Italie), et de Davos (outre les activités nazies du père de Klaus Schwab ; le site même de Davos ayant hébergé des activités nazies. Ces intérêts, qui sont à l’origine de la montée nazie ayant aboutie au IIIème Reich et à la 2nde Guerre Mondiale, sont dirigés et normés par ceux qui contrôlent la City of London et la Banque des Règlements Internationaux. Ces intérêts sont à nouveau à l’œuvre aujourd’hui pour le renforcement des institutions de « l’Union Européenne »... Un pas plus loin, le renforcement du fédéralisme européen sera la porte d’entrée à la fusion de ces instances, dominées par la Haute finance anglo-saxonne, avec l’organisation appelée « Intermarium » (tentative d'alliance des pays situés entre la mer Baltique, la mer Noire et la mer Adriatique), laquelle est ouvertement dirigée contre la Russie et revendique officiellement et sans complexe la doctrine et l’idéologie nazie.. Le mot d’ordre de l’Intermarium est « Reconquista » ! De quelle « reconquête » peut-il bien s’agir dans le contexte où les pays membres de l’Intermarium n’ont strictement aucun problème d’immigration ?  La France en suspension administrée par l’équipe Macron et sous le contrôle des forces financières globales nous mène donc « En marche » vers le nazisme « toutes tendances » confondues et la destruction de l’Humanité via la 3ème Guerre Mondiale… » (Valérie Bugault)
Or les rêves mondialistes des oligarques occidentaux (WEF) semblent bien toucher à leur fin avec ce qu’on appelle par rapport aux BRICS « l’ordre fondé sur des règles ».
C'est pourquoi si la France veut se sauver, elle doit s'orienter vers une Europe des nations associée à la Russie, c'est à dire dans une confédération européenne. Par conséquent, le monde actuel ne tendra que vers une révolte des nations, de ses peuples, de leurs valeurs traditionnelles et de leurs économies probablement basées sur des blockchains honnêtes, ou vers une tyrannique gouvernance globale, oligarchique et sioniste momentanée par un hyper mondialisme bancaire, numérisé, matérialiste, ultra-libéral, libertaire et wokiste ne favorisant que la ploutocratie. Surtout que ces systèmes peuvent être les seuls moyens de conserver la modernité, c'est à dire en évitant de retourner à l'âge de pierre à cause d'une guerre nucléaire mondiale ou d'une guerre civile généralisée.

« On a beaucoup dit et écrit à propos du deep state américain – et, inévitablement, on en a dit tout et son contraire, au point de perdre complètement de vue ce qu’il est réellement –, mais on n’a jamais parlé d’un deep state européen. Pourtant, il existe, et il devient de plus en plus visible. Il y a bien sûr une différence fondamentale avec celui des États-Unis, qui représente un ensemble composite, certes, mais néanmoins focalisé sur le maintien de l’hégémonie américaine sur le monde, tandis que celui de l’Europe est avant tout centré sur la préservation de lui-même et de son propre pouvoir. Ce deep state européen est essentiellement composé de politiciens, de bureaucrates, de grands commis et de lobbyistes, en connexion croissante avec des militaires du commandement de l’OTAN. Il constitue de fait une sorte de franc-maçonnerie européenne, fortement engagée dans la promotion et la défense de ses membres, mais surtout dans l’exercice d’un pouvoir supranational de plus en plus envahissant – et de plus en plus antidémocratique. Ce deep state s’est formé principalement au cours des 10 à 15 dernières années et a progressivement dépouillé les divers gouvernements nationaux – les seuls à disposer d’une quelconque légitimité démocratique – de tout pouvoir réel. La Commission européenne s’est de plus en plus caractérisée comme une toute autre « commission » : une véritable coupole de super-pouvoir dépourvue de toute légitimité démocratique. De manière de plus en plus évidente, des figures occupant des rôles essentiellement représentatifs (président de la Commission européenne, secrétaire général de l’OTAN) ont commencé à agir et à se présenter comme des autorités suprêmes au pouvoir, non soumises à un quelconque contrôle de la part des pays qu’elles sont censées représenter – et qui, de toute façon, ayant progressivement renoncé à tout pouvoir effectif, continuent largement à ne pas s’y opposer, renforçant ainsi le rôle (abusif) de cette coupole. Cette prise de pouvoir insidieuse s’est réalisée grâce à un parfait alignement avec le bloc de pouvoir dominant aux États-Unis – à savoir l’alliance entre les démocrates et les néoconservateurs – dans l’ombre duquel le deep state européen a prospéré. En d’autres termes, il s’est fait l’instrument docile de la faction dominante du deep state américain, trouvant dans cette soumission docile la garantie de son propre pouvoir sur le continent.  Inévitablement, donc, le changement des équilibres au sein du deep state américain provoque un bouleversement imprévu, et les membres du deep state européen ne savent plus très bien comment se positionner, indécis entre la subalternité historique à l’empire d’outre-Atlantique et la cohérence avec les axes politico-stratégiques auxquels ils se sont longtemps subordonnés. L’émergence de la vérité brute sur la nature de la relation entre l’empire et ses pays vassaux – avec le désintérêt, voire le mépris, de la nouvelle administration américaine ouvertement affichés – s’ajoute à la prise de conscience qu’une période de marginalisation accrue, mais aussi de plus grande soumission, s’ouvre devant eux. Cela ébranle la coupole du pouvoir européen. La perspective d’une guerre aux portes orientales du continent, et surtout la crainte de devoir y faire face seuls, désoriente les membres du deep state européen, qui cherchent désormais, de manière confuse, à trouver un nouveau point d’équilibre, essentiellement pour préserver leur jardin.  Alors que l’axe géopolitique mondial se déplace inéluctablement vers l’Asie et que les structures de pouvoir européennes vacillent, les élites qui dirigent le continent depuis plusieurs décennies se referment sur elles-mêmes. La restriction des espaces de liberté et de démocratie – déjà largement amorcée pendant la pandémie, puis fortement relancée avec la guerre en Ukraine – devient de plus en plus une obsession dominante. Pour l’instant, l’absence de forces véritablement antisystème (on ne voit que des mouvements d’opposition partielle) menace tout au plus le personnel politique de haut niveau, mais pas le système en lui-même.  Tristement, la seule perspective visible qui pourrait remettre en question cet état de choses serait une défaite dans la guerre, spectaculaire – et douloureuse. »  (Enrico Tomaselli)
« La construction européenne est devenue une œuvre de destruction de la démocratie, de l’État de droit et de nos libertés, c’est une machine à conflits d’intérêts... Et en même temps c’est une politique contraire à nos intérêts. Le libre-échange, l’euro, ne sont pas adapté à la France (car elle a un niveau économique supérieur à de nombreuses nations de l'UE)... Il faudrait faire de la protection, il faudrait faire de la réindustrialisation... Il faut sortir de l’Union européenne pour reprendre le contrôle, comme l’ont fait les Britanniques. » (Florian Philippot)
Trump, Musk et RFK sont en train de donner un formidable coup de pied à l’UE, qui va avoir du mal à s’en remettre. Mais le problème, un peu comme les généraux français jusqu’en 1917, ce ne sont pas les Européens mais leur oligarchie, cette bande de fous mondialistes qui sont en train de détruire scientifiquement les nations pour composer un ensemble sans force, sans âme et sans idéal autre que le sale wokisme. Si le trio US pouvait nous débarrasser de cette engeance, ce serait merveilleux, un cadeau du Ciel.

La guerre de Zelenski et le détournement de Trump concernant l'ukraine permet le supranationalisme européen au niveau de la défense.

« L'échec de l’Ukraine est avant tout un échec de l’OTAN. Cette alliance, Macron l’avait déjà déclarée « en état de mort cérébrale » (8 novembre 2019). Certains avaient cru voir un néo-gaullisme dans cette déclaration. Ce n’était pas le cas une seconde. C’était la préparation à une prise de relais. Il s’agit donc de reprendre le travail de l’OTAN mais en l’européanisant. Tel est le projet de Macron. Telle est la mission qui lui est confiée. Pourquoi ? Parce que tel est l’intérêt du Capital international. Or le Capital international est très lié aux intérêts américains. Macron est l’homme du Capital. Il est actuellement en charge de la SFIC : Section Française de l’Internationale du Capital (la maison mère de la SFIO : Section Française de l’Internationale de l’Oligarchie). Macron est donc d’abord, inévitablement, l’agent du capital américain, la fraction dominante du capital mondial, forme économique de l’Occident collectif avec ses pseudopodes tels les fondations mondialistes, l’État d’Israël et d’autres. Parce que c’est lui, le capitalisme américain, qui domine le capitalisme mondial. Et que quand la périphérie est fichue, il faut la sacrifier et sauver le noyau.  C’est pourquoi, après avoir détruit l’industrie française à la suite de Hollande, Macron veut détruire ce qu’il reste d’industrie en Europe, et donc l’industrie allemande. C’est en cours : le gaz américain est pour les Allemands six fois plus cher que le gaz russe. Conséquence : leur industrie n’est plus compétitive. Et donc, l’industrie allemande quitte l’Europe et s’installe aux EUA [États-Unis d’Amérique]. C’est pourquoi Macron ne s’est aucunement opposé à la politique de l’UE des « sanctions » contre la Russie, qui étaient avant tout des auto-sanctions contre l’Europe. N’imaginons pas un instant que Macron soit inintelligent. Il savait ce qu’il faisait. Sa mission ? Sauver le capitalisme. Enrayer la baisse des taux de profits. Et donc sauver d’abord le capitalisme américain. En ce sens, Macron fait le « job ». Que l’Europe soit vidée de ses dernières industries (9 % du PIB en France correspond à l’industrie, il ne reste donc plus grand-chose à liquider), qu’elle soit pillée par les EUA, tel est l’intérêt du capitalisme international. Tel est donc l’objectif de Macron puisqu’il est un de ses fondés de pouvoir et son « délégué France ». Si des miettes avaient été disponibles pour le capitalisme national français, Macron n’était pas fondamentalement contre, mais ce n’est malheureusement plus possible. « No soucy » comme on dit dans les bureaux des « managers ». On sacrifie la France. Et l’Europe. C’est pour cela que Macron veut un néo-OTAN. Pour créer de la tension, faire taire les oppositions en politique intérieure, préparer les esprits à une éventuelle guerre, si cela devient un jour l’intérêt des Américains. Tel est le sens du propos de Macron sur l’éventualité d’envoi de troupes françaises (et européennes) au sol, mais aussi sur l’éventuelle européanisation de notre force de frappe, idée agitée depuis des années. Rappelons que, du point de vue américain, ce qui était « épatant » dans la IIe guerre mondiale, c’est que l’Allemagne et la Russie se massacraient mutuellement. C’est l’avenir de nos peuples européens qui est en jeu. Maîtrise de l’immigration, réindustrialisation et économie auto-centrée, relance de la natalité des autochtones : ce sont là des impératifs vitaux pour les peuples d’Europe. (…) Quand les Européens se débarrasseront des divers micro-Macron et autres agents de l’Internationale du Capital, l’Europe pourra revivre. » (Extraits de l'article « Troupes au sol ? Le vrai projet de Macron : une néo-OTAN » de Pierre Le Vigan)

Sans revenir à Machiavel (« celui qui contrôle la peur des gens devient maître de leurs âmes »), on retrouve toujours la stratégie de McKinsey dans le discours macronien. La peur étant le meilleur outil marketing, Macron s'en sert beaucoup pour faire oublier les inégalités sociales, l'inflation, la corruption, la maltraitance des enfants, la déconsidération envers les personnes âgées... Tellement confiant dans ce contexte, Macron a même donné un milliard d’euros à l’Ukraine du président Zelensky, tout en alertant après un conseil des ministres que la France vivait la fin de l’abondance. Il a ainsi déclaré : « Ce que nous vivons est une grande bascule, un grand bouleversement ... c’est la fin de l’abondance de terre, de matière, de technologie, de l’eau… » Les oligarques corrompus peuvent se rassurer, car ce n’est pas la fin de l’abondance pour acheter des armes ou donner quelques milliards aux oligarques ukrainiens qui vont abondamment profiter des plages de Marbella dans leurs nouveaux yachts.                                                                        
Il faudra qu'un jour les Français comprennent bien ce concept de multiterrorisme : djihadiste (à vérifier), social (c’est tout vu), économique (l’inflation galope), médiatique (la liberté d’expression est privatisée), politique (il n’y a plus d’opposition réelle), juridique (la justice est sous influence), sanitaire (le pays est maintenu dans l’incertitude et l’affaiblissement immunitaire), policier (on tabasse les Gilets jaunes au lieu de tabasser les responsables du chaos), climatique (pour amener à des organisations supranationales puis un gouvernement mondial), énergétique pour concentrer l'économie, bancaire pour centraliser vers les banques too big to fail, guerrière dont pour éviter de parler des manifestations et des autres problèmes... Tout cela est synonyme de harcèlement moral, financier et policier, facilitant la propagande perverse et donc le contrôle du peuple par le pouvoir profond et visible, puisque certains responsables politiques ont été jusqu'à dire qu'il fallait s'habituer à vivre avec le virus et désormais avec les pénuries, comme auparavant certains ont dit qu'il fallait s'habituer à vivre avec le terrorisme.                                                                
« Nombre de Français n’en peuvent plus de ces grands discours et de ces cérémonies de deuil (et de pessimisme) qui se succèdent au fil des mois. Pour légitimes et émouvants qu’ils soient, leur répétition nous démoralise (mais sert à démotiver une révolution) et renforce le sentiment que l’État est impuissant (alors que sournois). » (Le Goff)                                       
Or toutes ces formes de terrorisme d'Etat sont d'autant plus de perverses manipulations politiques car elles sont honteusement récupérées voire organisées par les mondialistes. En fait la crise sanitaire est arrivée car les mesures contre le terrorisme et pour le climat ne suffisaient pas à l’accentuation du mondialisme sur les peuples. Profitant de cette fausse pandémie en attendant la prochaine grosse crise financière pour mieux asseoir le mondialisme ploutocratique, l’oligarchie a déconstruit à une vitesse hallucinante tout le mur de protection sociale français, celui qui protégeait nos concitoyens de la violence capitaliste. Richard Horton, patron du Lancet, après avoir noté que les scientifiques sont tout aussi corruptibles que les politiques (bien placé pour le savoir et affirmant même que les régimes autoritaires ont mieux géré la crise que les démocraties) finit son ouvrage « La catastrophe du covid-19 » ainsi : « Le transfert du pouvoir vers la science (synonyme de Biocratie vivant sur un état d'urgence permanent) pourrait s’avérer être une subversion dangereuse des derniers vestiges de nos valeurs démocratiques. » En effet la science qui est un rapport de force devient progressivement une religion en particulier à travers la biologie totalitariste erronée concernant le covid. Beaucoup assistent sans rien dire (ou sidérés) à cette mondialiste centralisation pharmacologique et économique, y voyant un effet « normal » de la mondialisation, quelque chose de fatal, contre lequel on ne peut rien. C’est exactement ce que veulent les ingénieurs sociaux à l’origine de cette opération. Mais le match contre le peuple n’est pas terminé. Il est intéressant de voir à ce suje la vidéo « Manipulation de masse : jusqu'où va la mythification ? - Le Zoom - Stanislas Berton - TV » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=aRrZJJgHh2I&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1&t=3s
Actuellement le pouvoir mondialiste joue donc sur le chaos (destruction du travail, de la classe moyenne et des libertés) pour se maintenir, alors que normalement le pouvoir lutte contre le chaos pour maintenir un ordre profitable à tous. Surtout que le virus, le terrorisme islamique et le climat étant sans frontières et donc à portée mondiale, ils favorisent encore plus sournoisement l'utopique gouvernement mondial tyrannique du privé ultra riche. D'autant plus que les mesures brutales et liberticides israéliennes contre le terrorisme s'étant peu répandues internationalement ont souvent été utilisées contre le covid à travers le monde en particulier occidental, dans une forme de gazzaïfication sioniste habituant les populations. Le covid, l'inflation et la guerre énergétique liée à celle en Ukraine sont donc clairement de possibles accélérateurs historiques du mondialisme synonyme de sauts qualitatifs ou plutôt dégradants vers sa grande réinitialisation.    
Cependant cela peut entraîner l'union révolutionnaire du peuple, puisque la petite voire aussi la moyenne bourgeoisie entrepreneuriale familiale se rapprochent de la modeste France périphérique.                  
C'est pourquoi l'apatride oligarchie occidentale de nature financière et commerciale, devenant de plus en plus contestée de l'intérieur par le populisme et de l'extérieur par la Chine et la Russie, cherche à accélérer l'avènement de la grande réinitialisation devant amener tout l'occident et les pays en dépendant dans un tyrannique axe unipolaire américano-siono-mondialiste puisque au détriment de la libre action économique de leurs gouvernements et citoyens. Il faut noter que l'énorme crise des subprimes en 2008, ayant ruiné une grande partie de la classe moyenne américaine et du monde au profit des ultra riches, fut le premier saut qualitatif (accélérateur historique) de la finalisation du nouvel ordre mondial jusqu'à cette grande grande réinitialisation vers la ploutocratie. D'ailleurs cette crise a été synonyme de paris colossaux perdus car très probablement voulus par les grosses banques pour asseoir leur pouvoir too big to fail, c'est à dire trop grosses pour faire faillite. Selon Bill Gates, la crise énergétique peu liée à la guerre en Ukraine doit aussi servir d’accélérateur pour la transition énergétique étant une composante du grand reset. Et le saut qualitatif (accélérateur historique) suivant se fera très probablement en 2023/2024 à travers les faillites, les pénuries et l'inflation, dont l'origine sera aussi probablement attribuée mensongèrement à la guerre en Ukraine. Surtout qu'il y a en même temps, les grosses bulles obligataire (possiblement la plus synonyme de passage au grand reset), immobilière, cryptomonnétaire, technologique et écologique au sein de mégas bulles, puisque les Etats n'ont jamais été aussi endettés au cours de l'Histoire de l'humanité. Or Trump pourrait être un accélérateur historique vers la fin du projet du grand reset gauchiste, oligarchique, wokiste et lgtbiste, et même vers un retour à la spiritualité voire à l’avènement de l'hyper spiritualité comme il sera revu. Les problèmes économiques dont suite à la crise des subprimes, à celle du covid et à celle en Ukraine sont tellement nombreux et graves que les spécialistes économiques dissidents ne sont même plus invités sur les plateaux TV des médias dominants. Les mondialistes et les médias ignorent même délibérément la plus grande menace qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créées par les banques centrales, surtout que ces dernières pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires « trop grosses pour faire faillite ». Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes d’aide sociale, ce qui change de l'attribution aux banques pour une fois. Or en ajoutant à cela les nombreux billions de dollars que la Fed a imprimés depuis le crash du crédit en 2008 : c’est bien une fête destructrice du dollar au profit des mondialistes qui n’a jamais cessé et dont le public ressent de plus en plus les conséquences à travers une grosse inflation. La Réserve fédérale n'est donc pas une institution bancaire ayant pour mission de protéger les intérêts financiers américains. La Fed est plutôt un kamikaze idéologique mondialiste qui attendait pour pouvoir commencer à se faire exploser afin de faire délibérément dérailler ou détruire l’économie américaine au profit des mondialistes oligarchiques et sionistes au moment opportun. Ainsi ces banquiers et les mondialistes avaient besoin d'événements de couverture pour cacher leur attaque économique calculée, sinon ils seraient entièrement responsables du désastre. La crise des subprimes, la pandémie de covid, les confinements, les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, la guerre en Ukraine, la crise énergétique et l'inflation ont fourni ces événements de couverture. Heureusement et donc étrangement pour les banquiers centraux que donc la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée depuis 2008 sur la pandémie et sur Poutine. (La FED a été créée par des membres de la mafia khazar, car la main mise sur la création monétaire correspond au premier pouvoir avant celui politique, et contrôle donc tout le reste.) La masse des veaux maintenus sous hypnose n’y voit que du feu, surtout que si des gens ont intérêt à fermer les yeux par rapport à leur situation personnelle dont au niveau professionnel et financier, ils ne veulent ou ne vont pas voir la perversité du système. D'autant plus que cette masse a été formatée depuis plusieurs générations pour se laisser exterminer. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « États-Unis : l’instabilité économique est-elle l’objectif derrière la "rupture de la chaîne d’approvisionnement" ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-l-instabilite-economique-est-elle-l-objectif-derriere-la-rupture-de-la-chaine-d-66292.html , et de voir la vidéo « Great Reset : le "monde d'après" est un cauchemar - Politique & Eco n°320 avec Marc-Gabriel Draghi » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=waEglmyG6Io                                                 
D'ailleurs de nombreux citoyens oublient qu'ils ont le de droit de dire non à diverses mesures liberticides dont du code de travail voulu par le pervers mondialisme néolibéral. Surtout qu'en plus d'avoir tempéré les mouvements révolutionnaires à travers le monde tels ceux aux USA, en France et en Angleterre, cette destruction du code du travail français a été une des utilisations voire raisons principales de la crise des subprimes, du covid, de l'inflation, de la guerre en Ukraine, de la crise énergétique et des pénuries. Et c'est pourquoi il faut encore plus refuser la peur facilitant l'imposition du nouveau paradigme dicté par les mondialistes.                         
Ainsi toute société ou entreprise qui exigerait à nouveau une preuve de vaccination au nom du gouvernement ou des mondialistes devrait être mise au piquet et mise au pas. Toute entreprise concurrente qui refuserait à nouveau de demander des passeports vaccinaux devrait encore être soutenue par le public et protégée des représailles du gouvernement. Le Montana a rendu illégal le fait que des entreprises demandent des passeports vaccinaux, mais de nombreux États ne l’ont pas fait. En Israël ça a même été l’enfer : passeport pour être libre ; vaccination tous les 6 mois ; passeport sanitaire dès trois ans, bracelet électronique pour ceux qui reviennent de l'étranger voire camps d'internement (apparaissant ou se préparant aussi ailleurs) ; collèges, compagnies aériennes, hôtels, hôpitaux et grandes chaînes de magasins qui exigeaient un passeport vaccinal.                       
Pour Davos Israël est la nation qui élabore et expérimente le plus la 4e révolution industriel, c'est à dire le numérique dont donc via le pass sanitaire lors du covid, la reconnaissance faciale, les meilleurs chirurgiens de réattribution sexuelle et d'esthétique, le Lgbtisme, le transhumanisme, la viande de synthèse, ce qui prouve encore l'impiété de cette nation interdite par Dieu.            
L’effet d'une tyrannie médicale même privée, puisque celle du covid était liée à l'OMS supranationale privatisée, peut donc être aussi important que si c'était un gouvernement qui l'imposait. Or mettre en doute un traitement thérapeutique dont de l'Etat ou de l'OMS, ce qui est presque pareil, est désormais tyranniquement condamnable de 2 à 5 ans d'emprisonnement. En l’absence de protections juridiques de l’État pour limiter l’ingénierie sociale par les mastodontes que sont les consortiums du privé (grands groupes industriels), l’establishment dispose donc de tous les outils dont il a besoin pour imposer des conditions oppressantes. Dans ce sens un oligopole se définit par la détention d'un marché par un petit nombre de vendeurs face à une demande forte, dérivant souvent vers de la collusion. Ces sociétés ou organisation ne représentent plus l’entreprise privée ou le marché libre. Elles sont plutôt des appendices du pouvoir de l’establishment qui reçoivent en plus souvent des milliards de dollars des contribuables pour financer leurs opérations (subventions à des organisations supranationales, aides aux entreprises, subventions de la presse). Et elles ne doivent donc plus être traitées comme si elles avaient les mêmes droits que les entreprises normales.                                                                    
Surtout qu'avec le pass sanitaire, cela touchait donc gravement à la liberté de déplacement, à la discrimination sanitaire et à la surveillance de masse, alors les policiers qui contrôlaient le pass sanitaire, les députés qui devaient voter des lois et les routiers qui pouvaient facilement bloquer le gouvernement, n’avaient pas d'obligations vaccinales. Ce qui montre que cette politique sanitaire correspondait bien à une mise sous contrôle du peuple, alors que le pass sanitaire est pourtant interdit selon le droit international et pourrait même devenir occidental voire mondial. Il ne leur reste plus que la peur pour retenir le peuple dont au détriment de sa liberté mais aussi de sa patience.                                                                                                       
Le professeur Alexandra Henrion-Caude a dit : « Le pass sanitaire, c’est la destruction de toute forme de paix sociale ! » En effet s'il faut une piqûre ou un pass pour être libre, c’est que le peuple ne l'est pas et que la rébellion voire la révolution se rapprochent. Sinon il ne reste plus à l'oligarchie mondialiste que de parachever la gouvernance mondiale par le contrôle la surveillance et le terrorisme dont concernant le climat, les virus, la guerre, l'inflation, les pénuries, l'extrémisme, la mort, la vie et l’avenir. Or même si tous ces terrorismes sont vrais dans leur manifestation et leur promotion, ils sont faux dans leur origine ou exagérés dans leur réalité. Surtout qu'en les instrumentalisant politiquement et médiatiquement, cela permet d'étouffer, de dévitaliser et de soumettre l’ensemble du pays au profit du système.

La pandémie du covid a même été qualifiée de « merveilleuse opportunité » par les mondialistes corrompus du Forum économique mondial de Davos pour procéder à « une grande réinitialisation » du capitalisme qui est en réalité un passage à un collectivisme soumis à une ploutocratie internationale et sioniste, mais comme cela n'a pas aboutit une grande guerre pourrait donc être recherchée par certains dans ce but. D'ailleurs le Forum économique Mondial de Davos veut en même temps créer un collectivisme pour les peuples et un ultra-capitalisme (ultra-libéralisme) pour les oligarques et grands acteurs économiques et financiers. Il faut noter comme l'a rappelé étonnamment voire orgueilleusement Klaus Schwab, les Young global leader liés au Forum Économique de Davos sont présents dans de nombreux gouvernements du monde comme lors du Covid d'ailleurs. Après le covid puis la guerre en Ukraine, la troisième crise menant à la grande réinitialisation sera probablement celle financière, inflationniste et monétaire, car cela servira à mettre en place la cryptomonnaie de banque centrale possiblement synonyme d'un totalitarisme économique numérique dont en pouvant encadrer les achats.                                         
« Le programme politique derrière le slogan de Grande Réinitialisation est en définitive l’instauration du Nouvel ordre mondial. Pour être plus clair, il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché. D’un point de vue historique, il s’agit de la victoire finale du monde de l’argent contre les institutions protectrices des individus, la famille et la Nation, qui doivent être désormais totalement liquidées. (En effet comme sous le soviétisme, le mondialisme cherche à détruire toutes les cellules d'enracinement formant une résistance par rapport ses élites perverses, comme le local, la famille, la nation, et même la nature du vivant.) Le Great Reset est l’application concrète de la volonté de l’hyper classe mondialisée (dont le Forum économique mondial et Klaus Schwab sont les symboles). L’establishment, par ce nouveau paradigme, vise à accélérer les tentatives d’asservissement des populations à leur profit, tout en leur faisant croire que la construction de ce Monde d’Après (Build Back Better) est réalisée pour leur propre bien (sécurité, liberté, santé, survie de la planète, etc). La Grande Réinitialisation se structure autour de différentes phases de sidération des peuples (contrôle et gouvernance par la peur). De la pandémie à la guerre, en passant par le climat, les pénuries, etc., l’establishment maîtrise l’Agenda (horizon 2030) et, après avoir créé les problèmes, impose ensuite les solutions (vaccins, pass sanitaire-carbone, rationnement, crédit social, monnaie numérique de banque centrale, etc.). On l’a constaté à l’occasion du narratif covidien, ce programme politique est exécuté par la quasi-totalité des « décideurs » mondiaux (plus spécifiquement en Occident). Même les pseudos annonces politico-médiatiques alarmistes de pandémies ou autres propagent désormais la peur et par conséquent une forme de traumatisme psychologique, ce qui touche particulièrement les jeunes générations (puisqu'elles ont besoin de sentiment de sécurité pour s'épanouir) et donc les formate pour les manipuler. Ainsi l’agenda 2030 avance pour que de nombreux pays occidentaux, et bientôt ils se seront transformés en Corée du Nord afin de préserver le “climat”. Le moindre aspect de la vie sera soumis à des contrôles, quotas et permissions accordées au mérite. Les pandémies répétitives sont des crises artificielles qui jalonnent ce cheminement vers un autre monde, surtout si les peuples ne se rebellent pas face deux prochaines fausses pandémies et donc leurs lois de plus en plus liberticides et monopolistiques. D'ailleurs presque officiellement, par le confinement, le quoi qu’il en coûte, les taux négatifs, puis l’hyperinflation, les véritables dirigeants sont désormais les firmes obscures du capitalisme financier (BlackRock pour ne citer qu’elle) qui, par la dette et la concentration totale du capital, dictent les actions à entreprendre aux gouvernements mondiaux et autres grands acteurs (firmes transnationales, ONG, institutions internationales). Le Grand Reset est la proclamation de la victoire du grand capital nomade et apatride sur les populations. L’oligarchie et leurs valets, les Mark Carney, Al Gore, John Kerry etc, vont légitimer l’effondrement financier qui vient par la surconsommation et la mort prochaine de la planète. Alors qu’en vérité, la Terre ne va pas mourir, car c’est le système capitaliste nomade et apatride qui risque de mourir, et c'est pourquoi il sème le chaos, la destruction, le gaspillage et la pollution, pour essayer de passer à une étape suivante. Et évidemment ce système de concentration des richesses au profit des 0,1 % ne va évidemment pas être remis en cause. Il va au contraire se renforcer. L’objectif final est d’écraser les peuples avec ce motif vert culpabilisant et génocidaire (0 carbone = mort), au profit de la caste mondialisée ultra riche tout en sauvegardant ce système destructeur fondé sur l’hubris et la corruption. La spoliation mondiale a déjà commencé à l’occasion du covid avec l’énorme concentration du capital (notamment via les gestionnaires d’actifs comme BlackRock et The Vanguard Group). Mais surtout c’est le contrôle du narratif, du récit et donc de l’information qui va être important dans les mois qui viennent. Le discours alternatif et résistant du genre Réinfo Covid ou de tout média de réinformation ne doit plus exister. La guerre des prochains mois va vous concerner prioritairement, elle sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent. Cependant dans le narratif davossien, c’est bien la Grande Dépression 2.0 et la Guerre latente qui servira de motif à la Grande Spoliation. Nous sommes déjà entrés dans le récit de l’économie de guerre. (Or le super État européen pourrait déjà aussi provenir du sacrifice financier des États européens pour cette guerre en Ukraine et donc du sacrifice donc des ukrainiens.) Le support de Davos ne devrait surprendre personne, car les globalistes prennent le parti de leur équipe expansionniste et ravageuse (l’OTAN) et s’opposent au principal soutien mondial des valeurs traditionnelles, des frontières et de la souveraineté nationale. L’hyper classe, grâce à l’hyperinflation, aux pénuries, aux rationnements, nous proposera comme solution les CBDC (monnaie numérique de banque centrale), le revenu universel et la fin de la petite propriété privée. Le Great Resist face au Great Reset (la grande résistance face à la grande réalisation) commence et le plus dur est devant nous. La révolte des peuples devra donc être massive, spontanée et solidaire pour réussir. » (Extraits de l'entretien « Marc-Gabriel Draghi : La révolte des peuples devra être massive, spontanée et solidaire pour réussir » à l'adresse https://lemediaen442.fr/marc-gabriel-draghi-la-revolte-des-peuples-devra-etre-massive-spontanee-et-solidaire-pour-reussir/)  
Dans cette ville hyper-sécurisée de Suisse qu'est Davos se réunit donc chaque année le Forum économique mondial qui est devenu l’événement politico-financier le plus célèbre, car il réunit les politiciens, les financiers apatrides, les technocrates mondialistes et les entrepreneurs les plus influents de la planète ou plutôt de l'Occident pour discuter de questions économiques et sociétales. Parmi les 100 partenaires stratégiques de ce forum économique, on peut citer la Fondation Gates, la JP Morgan, Nestlé, EDF, McKinsey. Au fil des dernières années, l’événement de Davos est reconnu pour avoir acquis une immense puissance lobbyiste sur les gouvernements, les institutions internationales et les organismes supra-nationaux. Le pervers progressisme de ces élites mondiales n’est finalement qu’une question de forme, car en réalité dans le fond, il cache le désir d’un retour  de l’univers concentrationnaire communiste mais à l’échelle mondiale cette fois-ci, dont le capitalisme ultra-libéral est le meilleur allié : les possédants d’un côté, ceux qui se réunissent à Davos pour discuter du sort du monde et construire leur monde d’après, et de l’autre à cause de ces derniers, tous les dépossédés de leur nation, de leur identité, de leurs propriétés, de leur travail, d'un bon salaire, de leur culture et de leur religion. Telle est la sombre réalité de ce messianisme mondialiste et sioniste promu par ce forum et ce Klaus Schwab capitalisto-marxistes. Klaus Schwab  dit encore tyranniquement : « Soyons clair, le futur n’est pas juste en train d’arriver, il est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle. ... Nous avons les moyens d’imposer le sort du monde. » Pour atteindre leurs objectifs de cette pseudo meilleure société car les favorisant, les membres de ce forum veulent d’abord logiquement installer un système de surveillance numérique pour contrôler l’humanité dont via un pass (énergétique, climatique) carbone (limitant les déplacements, le nombre de certains appareils ou autres) et diminuer la liberté d'expression sur internet. En effet après le pass vaccinal, le « passeport vert » lié à la numérisation économique serait un dernier outil excellent pour mettre en place le crédit social asservissant le peuple. Or le crédit social, c'est à dire la limitation à outrance de la consommation alimentaire et énergétique amène au marché noir et donc à une perte de pouvoir par l'Etat et le système, sauf si la monnaie est aussi numérisée à travers une cryptomonnaie centralisée comme c'est actuellement recherché par le système. Et comme tout dépassement de l'énergie accordée à un citoyen mensuellement devra être payé avec une majoration, ce ne sera bien que les ultra riches qui seront libres. D'ailleurs une forme de pass vert discriminant les moins riches est déjà apparu à travers les interdictions de rouler dans des villes par rapport à l'ancienneté des voitures et à travers le conseil de ne pas se chauffer à plus de 19 degrés pour éviter une facture trop importante. Un quota carbone carbone pourrait donc même être mis en place afin qu'il ne puisse être dépassé sous peine de sanctions voire d’interdictions en tout genre. Le programme de réponse du système au changement climatique, à la pandémie, à la guerre, à la crise énergétique et à l'inflation semble donc de plus en plus lié à ce grand reset. Surtout que l'émancipation de la Chine du système international, la supériorité des armes russes nouvelles, et le réveil populaire ont avancé la mise en place forcée de l'agenda 2030. Et si il y a trop d’armes ou de contestations populaires dans les rues, cela pourrait même amener des états occidentaux à devenir militaires au service de l'oligarchie.
Or il est étonnant que quelques points du grand reset en lien avec ses mesures mondialistes, économiques, climatiques, sanitaires, monétaires et énergétiques pourraient habituer les populations au paradigme qu'il y aura après la fin des temps, car étant des images possibles du système de l’Eden terrestre complété régionalement voire mondialement : dont à cause de l'apparition de l'IA fréquent revenu universel bien compris (c'est à dire donné à ceux n'ayant pas ou peu de ressources et donc possible volontariat pieux mais mieux payé pour faire fonctionner pendant un certain temps les rares entreprises fortement automatisées) ; purification économique par la bockchain ; métissage répandu dans le partage de la religion monothéiste authentique ; comme à l'époque du Calife Abou Bakr, orientation vers un système économique ne recherchant plus la croissance illimitée mais la croissance modérée voire l'équilibre économique surtout que nous sommes dans l'époque post-modernité et que les ressources sont limitées sur terre (l'équilibre économique ne signifiant pas non amélioration scientifique, matérielle et spirituelle d'un peuple et d'une nation, surtout que l'humanité cherche avant tout matériellement la simplicité de la nourriture suffisante, d'un logement confortable et de la sécurité répandue, en sachant qu'Abou Bakr et Omar dont pour éviter toute thésaurisation avaient parfois dépenser tout le trésor publique et donc l'argent de la zakat, du commerce étatique ou de victoires militaires deux à trois mois avant la fin de l'année en particulier pour les faibles, car ils avaient confiance en la subsistance de Dieu et en la fraternité du peuple musulman) ; évitement du gaspillage énergétique ; fermeture des bars comme sous le covid ; gestion des ressources, du secteur médical et des transports ou autre grand bien commun par de grandes entreprises publiques ou privées dont via l'automatisation ; taxe prise sur les comptes bancaires d'épargne des particuliers pour leur entretien, ressemblant donc à l'important prélèvement annuel de la zakat sur de l'argent thésaurisé de plus de 3000 euros surtout que sinon l'inflation compense au profit des ultra riches la zakat non pratiquée par le peuple (d'ailleurs dans le projet de monnaie numérique de banque centrale où les citoyens seront taxés au-delà d’un certain seuil, Fabio Panetta, un haut responsable auprès de la BCE, évoque une taxation au-dessus de 3000 euros, pour pénaliser la thésaurisation) ; disparition de la drague sans but de mariage réapparaissant comme à certaines époques monothéistes ; etc...
« Ces pays (même dépeuplés) développeront rapidement la robotique, l’IA et la technologie. Et si la promesse de tout cela transforme la productivité, ce que la plupart d’entre nous pensent, nous serons en mesure d’élever le niveau de vie de ces pays et de ces individus, même avec des populations en baisse. » (Larry Fink, PDG de BlackRock)

C'est à dire que si les peuples ou les nations ne parviennent pas d’eux mêmes à l'Eden terrestre complété par une lumineuse piété collective, cela pourrait se faire en partie par une obscure contrainte oligarchique au début. En effet pour parvenir à une partie du système économique du califat ultime, si la dignité populaire n'y parvient pas, cela pourrait se faire en partie par l'indignité mondialiste, mais qui dans le stratagème irréprochable de Dieu correspondrait encore à un mal pour un bien. C'est à dire qu'au lieu d’utiliser les nouvelles technologies comme un outil d’amélioration des conditions de vie de l'humanité comme lors de l'Eden terrestre complété, le Grand Reset mettrait en place ces nouvelles technologies mais comme un outil d’asservissement pendant un temps, afin donc selon le plan divin de s'orienter vers le bien commun plus tard. Ce qui serait toujours mieux qu’une troisième guerre mondiale nucléaire, n'étant aussi pas nécessaire pour sélectionner ceux pouvant accéder à l'Eden terrestre complété, puisque un virus voire un mauvais vaccin pourraient s'en occuper, comme le fera l'haleine sainte de Jésus jusqu'où porte son regard à son retour selon un hadith. Au niveau religieux, alimentaire et relationnel, le meilleur comportement et le meilleur bien-être se trouvent dans le juste milieu, alors cela doit se faire aussi au niveau technologique, car l'humanité doit toujours rechercher la plus noble aspiration.
Pour parvenir au grand reset synonyme de concentration des biens mondiaux aux mains d'une ploutocratie supranationale, le grand capital se sert aussi perversement du gauchisme et de l'écologie vers un collectivisme sauf pour les oligarques. D'ailleurs au moment des accords de Paris sur le climat, le président Laurent Fabius du conseil constitutionnel français, qui est le plus haut niveau de juridiction en France, a déclaré : « aujourd'hui c'est le début d'un gouvernement mondial. »
Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Le Grand Reset... ou le grand ménage ? – Épisode 1 » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-Grand-Reset-ou-le-grand-menage-Episode-1-62277.html , et de lire l'article « Des experts libéraux disent non au Grand Reset » à l'adresse https://lemediaen442.fr/des-experts-liberaux-disent-non-au-grand-reset/                                               
Par le grand reset, le capitalisme (bourgeoisie) bancaire prendrait donc définitivement le pouvoir sur le capitalisme (bourgeoisie) entrepreneurial, dans une forme de capitalisme ploutocratique collectiviste qui vaincrait l'ancien capitalisme libéral en l'effaçant. En effet le capitalisme a toujours été une guerre entre la bourgeoisie bancaire et la bourgeoisie entrepreneuriale, et donc aussi entre le capitalisme financier et le capitalisme industriel que voulait sauver Trump. Le Capital pourrait donc triomphé du Travail, ce qui n'est pas étonnant car le Capital se sert de l'usure, impose la dette et peut désormais retirer ses actions d'une société en une milliseconde. D'ailleurs le capitalisme financier US principalement juif et wokiste a affaibli beaucoup celui industriel des WASP, dont car le lobby sioniste est prêt à appauvrir voire faire effondrer l'hégémonie des USA au profit de l'hégémonie Israël. Ce système faussement démocratique car en vérité bancocratique montre aussi qu'il n’y a plus de République depuis longtemps, mais une monarchie absolue bancaire et financière. Car la démocratie est morte dans les mains des banquiers et des financiers. Ce sont eux qui dirigent le pays à travers leurs marionnettes à l’Élysée.  
Par conséquent la crise du Covid a été aussi un coup d’état occidental dont pour empêcher la réélection de Trump, en particulier avec la censure sur les grands réseaux sociaux, les médias mainstream partiaux et  l'utilisation tyrannique d'un logiciel trafiqué de comptage des votes. C'est à dire que parmi ses objectifs principaux, le système ne voulait pas du plan NESARA de Trump & Kennedy qui aurait permis la fin de l’argent dette et des barons francs-maçons et illuminatis. Les pays qui ont été les plus sévères contre leur propre population à cause du covid sont les suivants : France, Royaume Uni, Australie, Nouvelle-Zélande. Les pays latins détenu par la Cabale suivent derrière ainsi que la Belgique. Or il semble que les nations du monde doivent plus rechercher comme Président un homme tel que Chavez plutôt que Trump, dont car ce dernier a affirmé que Jérusalem était la capitale d'Israël, sauf que c'est possiblement une stratégie pacifiante et légitime pour savoir quelles nations le reconnaîtront pour que ce soit authentique.       

Dans ce sens malgré l'apparition du covid 19 pour le préserver, le technologique (euro)mondialisme oligarchique devient heureusement de moins en moins vendable suite aux crises financières régulières, à l'immigration de masse et à la montée des populismes. En effet ces derniers sont de plus en plus conscients de cet hyper globalisme destructeur et commencent à lutter contre lui par preuve du vote ayant validé le Brexit, du triomphe d'un parti souverainiste en Italie, de l'apparition des gilets jaunes en France et de l'élection de Trump aux USA. D'ailleurs cet (euro)mondialisme sioniste est de plus en plus orienté ou partagé vers une union de néo-nationalismes sionisés en cherchant à écarter les nationalismes authentiques, à amener des conditions sécuritaires similaires à Israël (Cnews et une partie de l'extrême droite participant au point précédent, mais en sachant que c'est une des très rares chaînes TV à oser parler en profondeur de graves affaires pédocriminelles ou laisser parler des handicapés moteur sur leur expérience, ainsi la droite nationale sioniste française dont de Trump détruisant le mondialisme gauchiste, oligarchique, wokiste et lgbtise, lié en plus à des réseaux pédocriminels est pour l'instant très utile) et à favoriser les minorités homosexuelle, immigrée et évidemment religieuse dont font partie les élites juives.
(L'exportation du modèle sécuritaire israélien fait partie des messianistes juifs infiltrés au sein des nations. D'ailleurs dans le cyber contrôle des populations, Israël s’est fait, en moins de vingt ans, une réputation universelle – engrangeant grâce à ses compétences des bénéfices financiers, politiques et diplomatiques considérables. Yuval Noah Harari, l’historien israélien qui a acquis en quelques best-sellers une notoriété internationale, précise que la Cisjordanie occupée offre aux Israéliens un formidable « laboratoire dans le domaine de la formation d’une dictature numérique ». Il a rajouté que les israéliens savent « Comment contrôler de façon efficace une population de 2,5 millions de personnes en utilisant l’intelligence artificielle, le big data, les drones et les caméras. Israël est leader en matière de surveillance : le pays fait des expériences puis les exporte dans le monde entier ». Et il a poursuit en disant « En Cisjordanie, on peut déjà difficilement passer un coup de fil, se retrouver entre amis, aller d’Hébron à Ramallah, sans être filmé et repéré. … Les Israéliens développent des méthodes de plus en plus complexes pour contrôler des millions de personnes, puis les exportent dans le monde entier. Toutes sortes de régimes savent qu’Israël est en pointe dans ce domaine ».)
Ce changement de stratégie des élites de la diaspora juive a été trouvé rapidement par de nombreux analystes de plus en plus intelligents ou décryptant de plus en plus facilement les intentions sionistes malveillantes par l'expérience acquise dans l'étude de la longue histoire du fourbe messianisme juif gravement erroné. En effet ce dernier a souvent usé de perverses stratégies politiques au cours de l'Histoire dont en transformant ou en se servant des deux principaux messianismes récents aussi erronés mais athées. C'est à dire le Communisme 2.0 (étant la suite de l'internationalisme communiste jusqu'au grand reset) et le Capitalisme 2.0 (étant la réalité du Mondialisme capitaliste jusqu'au grand reset), qui ont été les principaux projets politiques depuis le milieu du 19e siècle puisque organisant en réalité l'avènement de la collectiviste ploutocratie planétaire du grand reset.
Or depuis que le communisme s'est effondré, cette collectiviste ploutocratie planétaire cherche à s'imposer par un capitalisme matérialiste totalitaire, c'est à dire en partant du libéralisme démocratique manipulé plutôt que du communisme. Surtout qu'en s'éloignant de la spiritualité monothéiste, le communisme et le libéralisme se ressemblent, car le communisme est synonyme d'un matérialisme historique et le libéralisme est synonyme d'un matérialisme vulgaire. Le projet de Lénine est en train d'être réalisé par la Silicon Valley au niveau de la technologie, par Wall Street (avec la City de Londres et Tel Aviv) au niveau de la finance, par l'Union Européenne au niveau économique et au niveau politique, et par l'égaré Dalaï-Lama au niveau spirituel comme gourou du laïcisme universel et sinon possiblement par le Vatican ayant perverti le catholicisme au profit du ploutocratique mondialisme wokiste et sioniste tel le protestantisme…

Le plan, intitulé « Rearm Europe », vise à renforcer les capacités de défense de l’Union européenne. Ursula von der Leyen a présenté ce projet comme une réponse aux menaces actuelles, notamment la guerre en Ukraine. Le plan prévoit une mobilisation budgétaire importante, avec des prêts et des financements publics pour soutenir les industries de défense. Ce plan est est une nouvelle tentative de l’Union européenne de s’emparer des compétences nationales en matière de défense et va conduire à une perte de souveraineté et à une dépendance accrue vis-à-vis de Bruxelles. L’objectif est de prendre la main sur les budgets de défense nationaux, qui pourraient être conditionnés à des réformes imposées par l’UE. Un coup de quoi qu’il en coûte qui fera de la dette pour le peuple allemand, et des intérêts pour les gros prêteurs, c’est-à-dire la Banque, ou les superpuissances financières. Ce sont elles qui misent sur la guerre, et pour cela agitent leurs marionnettes qui nous servent de dirigeants. Vendus, escrocs, corrompus, menteurs, voleurs, assassins en puissance, tous ces qualificatifs s’appliquent à ces ennemis du genre humain. Or il s'agit plutôt probablement du suicide de l'UE, et donc du jackpot pour la fin mondialisme, dont par le non soutien des USA. En effet l'hégémon us anglo-saxon avec Trump ne veut pas que l'hégémon UE avec les ashkénazes devienne plus puissant qu'eux.

« Il est important de clarifier et résumer les deux grandes options, « l’Europe intégrationniste » et « l’Europe des Nations », qui ont scandé le débat européen des années 1950/1960 sur les réalités institutionnelles et le système international. Car ces deux options sont restées fondamentalement les mêmes et demeurent de criante actualité. L’Union européenne aurait dû identifier les menaces extérieures et intérieures, vu le caractère composite ou « multiculturel » des sociétés des pays membres. Au sein de l’Union, on aurait gagné à rechercher un autre équilibre entre la France et l’Allemagne et entre l’Europe et la Russie, dans l’établissement d’un jeu coopératif, ayant pour objectif la stabilité et la paix en Eurasie et dans le monde, sans oublier l’influence du système multipolaire, planétaire et sous-jacent. L’option de L’Union européenne pour le multilatéralisme a été la résultante sournoise de l’idée d’Europe des pères fondateurs, celle du refus de la guerre et du principe d’égalité formelle entre les nations, dans le cadre des relations internationales. » (Irnerio Seminatore)
Or « Mario Draghi, ancien président de la Banque centrale européenne et ex-Premier ministre italien, a prononcé un discours qui a fait grand bruit dans les cercles européens. Lors d’une intervention devant le Sénat italien le 18 mars, il a exposé une vision audacieuse et terrifiante de l’avenir de l’Union européenne. Un projet qui, selon lui, passe par la création d’une armée européenne, une dissuasion nucléaire commune, et surtout, la transformation de l’UE en un véritable État fédéral. » (Média en 4-4-2)

« Constatons-le, la pugnacité des trumpistes, celle de Georgescu ou des partis d’opposition allemands contrastent avec celle des partis censés occuper la fonction tribunicienne en France. Certes, cela rend la vie difficile, car les partis en place multiplient vexations et attaques. Mais n’est-ce pas la grandeur du politique ? Rien ne garantit la valeur d’un chancelier AfD, mais, si faute de l’avoir vu au pouvoir, on peut toujours douter, le parti mène au moins le combat sérieusement. En France, le peuple a investi le RN de la fonction tribunicienne, mais la PME Le Pen a choisi de se coucher. La libération est loin, alors que Trump et l’AfD nous montrent la voie : la lutte sans concessions.
La réunification franco-allemande doit s’analyser sous trois angles : la gestion des entreprises d’État par la Treuhand, l’investissement dans les infrastructures et enfin, la politique ou non-politique mise en œuvre pour reconstituer un peuple. La Treuhand, autorité constituée pour privatiser les entreprises de l’État est-allemand, fut, disons-le clairement, une catastrophe. L’autorité socialiste avait alloué des dettes aux entreprises d’État, les comptables occidentaux les ont comptabilisées au pair et y ont ajouté les dettes environnementales pour rendre la charge insupportable. Les entreprises de l’est mises en faillite, les financiers de l’ouest pouvaient les racheter, la supériorité du capitalisme sur le socialisme était établie. » (Jules Seyes)

La France :

Il faut noter que la réussite de cette révolution française de 1789 est liée aux jacobins qui étaient des francs-maçons. C'est à dire que ce Club des jacobins était une société de pensée qui a constitué, pendant la Révolution française, à la fois un groupe de pression et un réseau d'une remarquable efficacité. L'action du club, essentielle dès le début de 1790, devient dominante entre 1792 et 1794. En un sens, la Révolution française a été une révolution manquée. Seulement 11 ou 12 ans après cette révolution, un empire puissant a été créé par Napoléon, une monarchie absolue pire que celle de son prédécesseur Louis XVI qui avait été décapité pendant la révolution. Dans la période de 12 ans entre la Révolution française et l'avènement de Napoléon, trois groupes différents sont arrivé au pouvoir. Chaque nouveau groupe a massacré et anéanti le groupe précédent et à son tour, a été massacré par le groupe suivant au pouvoir. Les gens vivaient dans les pires conditions et dans un chaos total. Ce sont les réalités de la Révolution française. Autrement dit, les objectifs initiaux ont été atteints d'une façon ou d'une autre puis détournés. La révolution 1789 eut lieu contre la monarchie française. La Révolution française fut une révolution populaire mais planifiée par la bourgeoisie. D'ailleurs ce mouvement n'avait rien d'idéologique, ils voulaient d'abord un gouvernement populaire et démocratique. Trois ou quatre ans après la révolution en 1789, le groupe qui avait fait la révolution a été écarté par un groupe plus extrémiste. Pendant les onze premières années, de célèbres personnalités politiques de différents groupes révolutionnaires ont été exécutées. Ainsi à quelques exceptions près, ceux qui avaient fait la révolution se sont au final effectivement éloignés de la trajectoire initiale.
Chaque Français devrait lire ces lignes de l’abbé Jacques-François Lefranc, assassiné en 1792 : « Voici le tableau que nous offrira la France. L’autorité y tombera dans l'avilissement, la majesté du trône y sera foulée aux pieds, le crime y sera impuni, les propriétés envahies, la force publique sans exercice, l'innocence opprimée, la justice sans vigueur, tous les vices en honneur, les lois ne seront publiées que pour faire la terreur de ceux qui les respecteront. L’intrigue, l'orgueil, l'intérêt ouvriront le chemin aux premières places de l'état, on s'y soutiendra par le crime et l'injustice. On abusera de l'autorité dont on aura été revêtu, pour faire le malheur de tous ceux qui y auront recours.On s'attribuera les fonds publics, on les dissipera pour soudoyer les factions.On déclamera contre des vices anciens, pour détourner les yeux de dessus les forfaits inouïs dont on se sera souillé; on s'environnera de tous les hommes usés dans la crapule et la débauche, et pour lesquels il n'y a rien de sacré. On aura l'air de poursuivre avec une sévérité outrée,des fautes légères contre l'ordre public,et on ne voudra pas seulement examiner les crimes qui saperont le fondement de l'état. On privera l'état de toutes ses ressources et on dira qu'il est régénéré. On dira que la liberté y règne et que chacun y vit heureux... »

Les attentats de 2001, la lutte contre le terrorisme, la cause climatique, la crise des subprimes, la crise sanitaire, la crise inflationniste, la crise énergétique, la guerre en Ukraine et la guerre à Gaza sont une tentative de prise de pouvoir oligarchique et sioniste au niveau international. La prétendue mondialisation libérale heureuse cachait donc en réalité le mondialisme monopoliste.
C'est pourquoi la France est un pays en dissonance comme d'autres nations, surtout qu'elle est particulièrement envahit par une toile de réseaux aux dimensions insoupçonnées, dont celui des néoconservateurs sionistes et celui des néolibéraux mondialistes, qui prennent en tenaille les peuples.
Du fait de ce projet liberticide et d’expropriation terminale, car à terme on peut aisément imaginer un monde de travailleurs pauvres, continuellement masqués, à l'identité numérisée, au mode de vie automatisé et à qui l’État pourra tout préempter dont le logement, le terrain, les économies et les enfants, on se dirige vers une nouvelle simplification sociologique : il y aura les Gaulois réfractaires d’un côté et les Français dociles de l’autre.
De ce point de vue la question collective fondamentale est : veut-on vraiment continuer à vivre dans le mensonge du monde libéral ? Combien sommes-nous prêts à payer pour faire vivre une illusion ?
Le gouvernement français soumis aux oligarchies corrompues n’est intéressé que par une chose : le basculement de la France d’avant, celle du travail et de la production, dans la France d’après, celle de la précarité, de l’uberisation, de la dématérialisation et de la dette éternelle qui va dans la poche de la Banque. C’est le sens de toute l’ingénierie du Covid, qui a servi d’écran à une destruction économique et sociale censée accélérer le passage d’un capitalisme productif à une capitalisme financier puis à un capitalisme numérique. Il s'agit d'une fuite en avant pour sauver le capitalisme parasitaire et financier en le faisant muter vers un capitalisme du numérique totalitaire et donc de la surveillance, ce qui est facilité par la fausse accusation que cela est dû à la guerre en Ukraine : inflation, pénurie, effondrement, instabilité démocratique. Or il s'agit de plus en plus d'un capitalisme cannibale gravement différent de celui productiviste. En ayant dit aux Français en substance, si vous ne mettez pas le masque vous serez responsables de tant de morts, ce gouvernement vendu à tous les grands intérêts économiques et financiers cherchait à obtenir la soumission par la culpabilité, et surtout à mettre la peur du virus devant la peur du déclassement. Or le déclassement économique était déjà là, il s'est caché derrière le virus, et c’est le projet numéro un des employés de la Banque qui nous servent de dirigeants. Ils vont casser les salaires, le CDI, la sécurité professionnelle. Les Français, s’ils croient à la propagande d’État de la part d’une élite qui a totalement trahi les intérêts de la nation, remettront le masque de la peur et de la soumission. Ils accepteront donc le corollaire de toute cette manipulation, la paupérisation économique qui pointe et qui va toucher de plein fouet la classe productive, la fameuse classe moyenne. Le deal proposé par la dominance a été simple :
« Votre santé compte plus que tout, plus que la prospérité économique, plus que votre travail, plus que votre tranquillité, plus que votre protection sociale. Pour se débarrasser de ce terrible fléau, il va falloir faire des sacrifices, mais nous sommes là pour vous accompagner dans cette période difficile que nous avons construite de toutes pièces. »
« Dans ce monde de flux illimités, de communications permanentes et d’échanges généralisés, les pandémies nous obligent l’espace de quelques mois à vivre dans la distance, le confinement et la solitude. Nous subissons un mouvement de balancier en sens inverse. Mais qui peut dire que ce n’est pas au fond notre lot quotidien ? Bien que les sociétés modernes laissent tout circuler, l’anonymat urbain n’a jamais été aussi grand. Bien que nos smartphones nous connectent avec le monde, nous ne savons plus comment s’appelle notre voisin. La pandémie ne fait que révéler l’envers des temps modernes : l’isolement. Le juste milieu implique que nous réapprenions le sens du voisinage. L’économie en circuit court, la vie citoyenne locale, l’action associative, l’enracinement familial : ces valeurs nous protègent de l’anonymat, tout en nous dissuadant de céder aux chimères d’un monde sans limites. De tout temps, c’est vrai, les hommes ont voyagé. Le voyage n’en était pas moins autrefois un long chemin initiatique à travers le monde, réservé aux plus curieux d’entre nous. Lorsqu’on inventa les congés payés, avant-guerre, on n’avait pas en tête de faire exploser son empreinte carbone en trajets aériens low-cost. Quelle diversité de paysages avons-nous encore à découvrir, quand nous sommes parqués dans des clubs de vacances en Egypte ou des paquebots au large de San Francisco et du Japon ? Nous avons voulu la mondialisation, mais nous avons eu en même temps l’individualisme, le réchauffement climatique, le dumping social, la standardisation culturelle, le mercantilisme, la guerre pour les parts de marché, le terrorisme, l’élevage industriel ou la dévastation des sols surexploités, et nous avons maintenant aussi le corona virus. Cette cure forcée de quarantaine (lors du confinement) pouvait amener à méditer, comme des moines en ascèse, sur le monde que nous sommes en train de créer, et donc sur un meilleur système à travers plus de localisme. L’ordre naturel des choses finit par reprendre ses droits. Et il y a toujours un prix à payer dont à travers le Coronavirus. » (Thibault Isabel)
Par des luttes portées à travers des spécialistes scientifiques en substitution de la crise du politique, ce nouveau monde occulte le moteur principal qu'est la ploutocratie. Ceci tend à mener les peuples vers le Nouvel Ordre Mondial et la gouvernance mondiale synonyme d'une monnaie unique.

La France pourrait aller finalement à deux partis plutôt que trois extrêmes centre, gauche ou droite (en particulier face aux de plus en plus nombreux députés et électeurs du RN qui est un parti sans alliance composant désormais le tiers de l'électorat national (c'est pourquoi ceux qui disent que le RN doit seulement être un parti d'opposition critique se trompe, car cela devrait donc être la gauche sociale, mais actuellement c'est même la pensée critique de droite qui est légitime quand elle est contre le wokisme lgbtiste de gauche), surtout que Marion Aubry de LFI a même enlacé Leyen pour la féliciter de sa réélection à la commission européenne qui est ultra-libérale, ce qui prouve le réveil massif des français et de la majorité de moins en moins silencieuse) si le centre macronien s'unit avec la gauche ou la droite (électeurs de Macron déçus par lui devant d'ailleurs choisir entre le RN et le NFP, ce qui signifierait que par sa dissolution de l'assemblée nationale, Macron aura ainsi dissout en même temps le Macronisme), ou que le centre Macronien va vers le RN si ce dernier protège plus les riches voire plus les ultra-riches, ou que les centristes, les droitards modérés et les gauchistes modérés s'orientent vers la droite plus ou moins extrême ou la gauche plus ou moins extrême, ou que le front républicain s'unit et que l'extrême droite et l'extrême gauche s'unissent dont simplement possiblement par la discussion pour ces dernières, mais le système oligarchique et sioniste, refusant principalement l'union de l’extrême gauche et de l’extrême droite, supporte le vigilant identitaire et le vigilant antiraciste qui empêche cette fraternisation et donc le bon changement massif pour le peuple. D'autant plus que la droite patronale joue sur le dumping social tout en critiquant l’islam, et la gauche se retrouve dans une position schizophrène en défendant l’immigration tout en stigmatisant l'islam, mais cela paraît difficile car la gauche est éclatée en deux camps : celui des sociaux antisionistes contre celui des libéraux sionistes. Or l'alliance RN/NFP qui a fait tomber le gouvernement Barnier montre qu'ils peuvent travailler ensemble, même si chacun leur tour ils peuvent faire accepter des lois. De plus par le combat contre l’israélisme, Mélenchon peut gagner la présidentielle, mais avec le woke, c’est perdu. Que ce soit aux USA ou chez nous, les populations en ont marre du woke, de la tyrannie LGBT et des lois oppressantes antiracistes qui fracturent la société. Curieusement, c’est le RN de Marine qui s’attaque au woke, mais qui a plié sur l’israélisme. Seule la fusion entre les deux luttes, contre l’israélisme et le woke, donnera un gagnant, qui sera qualifié de populiste, mais sera élu président de la république. » (En sachant que François Asselineau avait lancé un appel urgent aux députés, notamment ceux du Rassemblement National (RN) et du Nouveau Front Populaire (NFP), pour censurer immédiatement le gouvernement sur la question de la guerre en Ukraine. Il insiste sur l'urgence de la situation, soulignant que les déclarations des dirigeants français, notamment celles complètement délirantes du ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, risquent d'entraîner la France dans un conflit direct avec la Russie. D'ailleurs cette possibilité de censurer le gouvernement par l'alliance NFP et RN doit aussi permettre d'empêcher la fédéralisation de l'UE au profit d'une Europe des nations.) En cas de nouveau duel électoral entre un(e) candidat(e) du Rassemblement National (RN) et un(e) candidat(e) macroniste ou des Républicains (LR), le député de gauche Aymeric Caron a même annoncé qu’il s’abstiendra. Cette position n’est pas une question d’humeur, mais une nécessité pour restaurer la confiance dans l’exercice électoral, profondément ébranlée par ce qu’il qualifie de « trahison macroniste ». « Mercredi 23/10/2024 au soir, dans une école du 18e arrondissement, le député (LFI) de Paris Aymeric Caron organisait un débat participatif. Sujet : faut-il voter la niche parlementaire du RN abrogeant la réforme des retraites ? Au terme d’un vote consultatif, une majorité écrasante s’y est résolu. Pour un homme de progrès, Caron ne manque pas d’abnégation : consacrer deux heures de débat sur un vote voué à l’échec (pour aboutir, la niche parlementaire devrait s’appuyer sur le Sénat où le RN ne compte aucun élu…), quel courage ! Un mois après le RN, La France insoumise présentera sa propre niche proposant également l’abrogation de la réforme Borne, mais le mal aura été fait. La fascisation des esprits dépasse les bornes. » (Hélène Hécate ) En sachant que cette orientation vers deux partis se fera très probablement seulement aux législatives en cas de risque de passage du RN, car les intérêts des partis composant des coalitions divergent rapidement ensuite, et que les législatives servent à financer les partis qui n'ont pas fait plus de 5 % au présidentielles, puisque un bulletin y équivaut à 1.60 euros de gagner grâce à l'Etat et donc les contribuables. Or le plus probable est un essai de construction d’une majorité “Front républicain (du centre)”, d’Edouard Philippe (camp macronien, reste de renaissance) aux écolos en passant par le PS, sans LFI, et avec une partie des LR, dont donc en diabolisant désormais aussi LFI en plus du RN pour diviser suffisamment les voix électorales à leur avantage pour le premier tour et ensuite par conséquent diaboliser le parti au second tour ne faisant pas parti de l'arc républicain. D'ailleurs le procès contre le RN pour rendre inéligible sa présidente et l'engagement du Retailleau des républicains au poste de ministre de l'intérieur, cherchent clairement à faire remonter électoralement l'arc républicain et donc le front républicain.
« D’après Régis de Castelnau, la magistrature, qui a fait élire Macron en liquidant François Fillon et qui le protège, vient d’envoyer un message clair au peuple qu’elle déteste et méprise : « C’est nous qui commandons et c’est nous qui décidons qui peut, ou pas, se présenter aux élections ». Vincent Hervouet fait le tour, sur Europe 1, des réactions indignées de «l’internationale réactionnaire» comme l’appelle Macron, à travers le monde. Il cite Elon Musk, la bête noire de la gauche européenne : « Quand la gauche ne peut pas gagner démocratiquement, elle instrumentalise le système judiciaire, c’est son mode opératoire à travers le monde. » Selon Hervouet, cet arrêt de justice vient prouver que Vance avait raison quand il a dit que «l’ennemi de l’Europe est en son sein», lors de son fameux discours de Munich. » (Média en 4-4-2)
On peut même précisé qu'avec le TCE (traité européen politique malgré le référendum ayant dit non à la constitution européenne), l'affaire Fillon, l'affaire De Villepin, C8, les Législatives 2024 et l'inéligibilité de Marine Le Pen : six coups d’État français voire plus ont eu lieu en 20 ans !
LFI et les communistes sont les seuls de gauche
contre la fédéralisation de l'UE, ils pourraient donc composer principalement le Front de Gauche, face donc à ce Front Républicain et au Front (Rassemblement) National. D'ailleurs comme l'ont prouvé les législatives 2024, le système politique s'est finalement préservé avec la confirmation des trois grands partis dont par les désistements et en favorisant ainsi le centre ou l'extrême gauche, alors que si les législatives étaient à un tour le RN aurait gagné à 93 % sur toute la France, ce qui prouve la perversion de ce système électoral. (Ainsi ce qui est apparu clairement lors de ces élections législatives 2024, c'est : est-ce que la France veut retrouver sa souveraineté politique, ou continuer derrière Macron et son service au multinational US ? En sachant que si le France veut vraiment une reprise de sa souveraineté française, elle devra quitter certains traités économiques de libre-échange et des organisations comme l'OTAN, l'UE, l'OMS et Mc Kinsey.)
« Le résultat des élections législatives a été rendu possible grâce à l’appui de Jean-Luc Mélenchon et de son nouveau front populaire, dont les désistements au nom du barrage républicain ont assuré l’élection de pas moins de 86 macronistes. Cependant, Emmanuel Macron doit surtout son score et son maintien à la tête de l’État à un véritable hold-up démocratique, révélant à quel point nos institutions et nos fonctionnements politiques peuvent être utilisés pour tromper le peuple et lui voler son droit à décider de son destin. Le mode de scrutin majoritaire à deux tours, conçu en d’autres temps, est devenu un instrument de négation de la volonté populaire en particulier nationaliste, au profit des minorités perverses dont oligarchique, sioniste et lgbtiste. Les résultats montrent que le Rassemblement National (RN) est arrivé largement en tête avec plus de 11 millions de voix, soit 37 % des suffrages exprimés. Cependant, le RN n’a obtenu que 24,7 % des sièges à l’Assemblée nationale, contre 31,5 % pour le Nouveau Front Populaire (NFP) et 29,1 % pour le camp macroniste. Ainsi, un électeur du RN a deux fois moins de poids sur la vie politique qu’un électeur macroniste. Ce scandale révèle que la 5e République a cessé de fonctionner, sinon contre le peuple, et que notre démocratie n’en a plus que le nom. Le seul rôle qui lui reste est de barrer la voie à toute possibilité de changement. Les grands démocrates qui peuplent les plateaux de télévision se gardent bien de dénoncer cette situation, car ils tirent un avantage personnel et politique de la situation. Avec cette élection, nous entrons dans une nouvelle étape de la décomposition politique de notre pays, où l’élection par ses règles dépassées amène l’exact contraire de la volonté populaire. » (Média en 4-4-2)

Or cette ingérence d'Israël, des USA et du Privé en France se fait d'abord à travers une forme d'opposition contrôlée comparable à celle des syndicats et des partis politiques pour effacer l'authentique sentiment patriote français. C'est à dire qu'ils récupèrent puis dévient les idées politiques populaires et patriotes pour obtenir le pouvoir, et ensuite trahir ces idées en obéissant au système mondialiste de l'hyper classe corrompue. Le niveau de cette ingérence en France est devenu aussi grand que celle anglo-saxonne lors de la première décennie après la deuxième guerre mondiale. Et les sionistes et les mondialistes parviennent donc ainsi à mettre des personnes à eux dans les principales entités politique, institutionnelle, ou autre. Par exemple toujours dans le but de diviser pour régner, les élites sionistes sont passées en 20 ans de l'antiracisme multiculturaliste de gauche pro-immigrés et anti-français considéré à l'époque comme congénitalement fasciste (correspondant toujours à une forme d'opposition contrôlée de gauche, par des hommes comme Michel Onfray en plus possible cheval de Troie du national-sionisme ou Bernard Henri Lévy, face à l'authentique esprit français national, catholique et social), à l'islamophobie rabique immanente pro-Israël contre la réconciliation sociale dans une sorte de national sionisme (correspondant toujours à une autre forme d'opposition contrôlée de droite, par des hommes comme Eric Zemmour, face donc aussi à l'authentique esprit français national, catholique et social) basé sur les non nationaux authentiques et s'incorporant dans un nouveau national globalisme et donc plus dans un mondialisme sans nation, c'est à dire à travers par exemple un passage de l'union européenne à une Europe des nations liée fortement à l'américano-sionisme.
En effet le système mondialiste dont sioniste dans notre époque démocratique pousse à la haine horizontale contre les immigrés pour ne pas que ce soit son tour, et punit d'ailleurs de prison lourde toute agression contre les immigrés puisque voulant préserver ce contexte de guerre civile foire puisque lui profitant donc.
Le pervers système français actuel ne valide donc seulement que le nationalisme pro-Israël (sioniste) ou le mondialisme antiraciste (socialo-sioniste), et pas le national socialisme. Dans ce sens l'anti-racisme d'une partie de la gauche est passé à l'anti-islam (considéré tel le christianisme comme fasciste par Onfray le libéral-libertaire, prenant de plus en plus la place de leader du gauchisme libertaire souverainiste pour que cette énième orientation politique égarée soient aussi contrôlée par le système impie dont donc par une polarisation extrême de la société où les gens ne se parviennent presque plus à se parler, à échanger, à faire des compromis ni donc à s'unir, d'ailleurs cet honteux philoshope Onfray se dit athée chrétien, ce qui rend fou et soumis la population, mais aussi séduit cupidement tous les publics ; en effet dans ce sens il dit dans un de ses livres que Jésus et la Bible sont une allégorie qui serait en plus antisémite, alors que même le Talmud parle de Jésus et que les sources historiques mentionnant Jésus sont beaucoup plus nombreuses que celles mentionnant d’autres figures historiques de l’époque tel Jules César), puis à l'écologie par le regret moral des bobos préférant finalement une cause neutre et donc facile plutôt que raciste envers l'islam et donc les musulmans. En effet on a eu le rebelle sans cause (James Dean, La Fureur de vivre), on a désormais beaucoup de causes sans une once de rébellion. Chacun y va de sa lutte, ou d’un ensemble de critiques convenues dans lesquelles ne transpire plus aucune révolte sincère. Et lorsqu’on n’est pas dans la pure posture – en général destinée à accompagner la vente d’un nouveau produit, disque, livre, etc. – on reste à la surface des choses. Soit par bêtise (le niveau s’étant effondré depuis 40 ans), soit par lâcheté (la puissance centrifuge du moindre dérapage pousse à les éviter tous). (Dans le spectre de tous les concepts hybrides dégénérés comme Onfray et son gauchisme souverainiste (en plus associé à Idriss Aberkane associé à André Bercoff qui est national sioniste, contre l'immigration sauf celle des palestiniens vers l'Europe, et contre le grand remplacement sauf par les israéliens en Palestine comprenant juifs originels, chrétiens et musulmans, et étant tous des défenseurs de Jacques Attali alors que critiquant sa créature Macron et donc faisant donc partie du problème en refusant de désigner l'ennemi qu'est ce Attali le proche des présidents français telle une des tumeurs principales pour la politique française depuis des décennies), Gluksman est un gauchiste libertaire libéral, un gauchiste de droite. Il est dans la droite ligne de l’axe Sarkozy-Hollande-Macron, Macron étant la fusion parfaite entre ses deux prédécesseurs. Gauche des valeurs, et droite du travail. Liberté sexuelle et exploitation du travailleur. Sexe et esclavage. Or Gluksman explique qu'il a été un jour été au meeting de Sarkozy seulement pour écrire un livre sur Mai 68 et la défense des valeurs de Mai 68, contre lesquelles Sarkozy disait lutter. Alors que Gluksman et Sarkosy, malgré leur génération d’écart, sont deux purs produits de Mai 68, deux figures du libéralisme libertaire. Au fond, Gluksman ne s’oppose à Sarkozy sur rien, sinon quelques éléments de langage ou postures de surface. Ils sont les produits de la confusion entre le politique, le média et le people. D’ailleurs, comme de bons agents de l’axe israélo-anglo-américain, ils sont pour l’OTAN et pour la guerre contre la Russie. Derrière la coolitude de Mai 68, les couples people et la liberté sexuelle, il y a la guerre et la mort, en particulier au prfit des USA, ce qui n'est pas étonnant puisque c'est la CIA quia piloté la révolution orange de Mai 68...) Ainsi le messianisme juif anti-raciste globalise et donc désormais le national sionisme servent toujours à canaliser le potentiel réveil populaire et donc révolutionnaire bien compris. Encore dans le sens de l'opposition contrôlée, Goldnadel est le contrôleur d'opposition politique qui va traiter les personnalités influentes de la droite, Bercoff est le contrôleur d'opposition médiatique qui va ouvrir le micro aux personnalités qui contestent le discours officiel de la doxa tout en faisant jusqu'à trois cent mille personnes et Hanouna est le contrôleur d'opposition populaire avec des audiences parfois à plus de deux millions de téléspectateurs. L'opposition contrôlée se voit aussi à travers les faux dissidents qui attaquent Macron mais pas ses inventeurs qui sont Attali et Rothschild. Il est intéressant d'écouter à ce sujet la vidéo « Émission Faits & Documents — Les contrôleurs d’opposition : Goldnadel, Bercoff, Hanouna » à l'adresse https://youtu.be/QcTEr7DrPl0
Dans ce sens, le journaliste, écrivain et réalisateur franco-algérien Sifaoui est clairement mandaté et soutenu par l’Intérieur, via la secondante de Darmanin Marlène Schiappa, pour islamiser les peurs françaises, qui sont majoritairement économiques et sociales : la paupérisation programmée via l’inflation et le chômage, la destruction du soin en particulier et des services publics en général, la répression de la contestation et de la liberté d’expression, la surveillance généralisée, la soumission aux ordres délétères de l’européisme et du mondialisme, l’immigration de masse, la perspective de la guerre.
« La profanation effrontée des saintetés de l’islam au nom de la liberté d'expression et de pensée a été scandaleusement normalisée dans les sociétés occidentales. Plus récemment, nous en avons été témoins à Stockholm et à La Haye, où le Saint Coran a été profané en plein jour et, comme toujours, les pays occidentaux sont non seulement restés des spectateurs muets, mais en sont devenus les pom-pom girls. Le 23 janvier, Edwin Wagensveld, homme politique néerlandais d'extrême droite, provocateur et leader du groupe islamophobe Pegida, a arraché des pages du Coran à La Haye, la capitale administrative des Pays-Bas. Deux jours plus tôt, dans un autre acte de provocation, le politicien d'extrême droite Rasmus Paludan, un double ressortissant danois-suédois, connu pour son extrémisme anti-islamique, avait brûlé une copie du Coran devant l'ambassade de Turquie à Stockholm sous la protection de la police et avec la permission des autorités. Une semaine plus tard, Paludan a répété l'acte, incendiant un exemplaire du livre islamique vénéré devant une mosquée au Danemark, toujours sous le couvert de la police. Naturellement, cela a déclenché la colère, l'indignation et la condamnation dans le monde entier, en particulier dans les pays à majorité musulmane. Malgré la demande légitime d'une action en justice contre de telles provocations qui blessent les sentiments de 1,4 milliard de musulmans à travers le monde, les gouvernements occidentaux n'ont rien fait d'autre que de publier des déclarations pour sauver la face. Leur inaction et leur indifférence sont passées sous le couvert de la liberté de parole et d'expression, ce qui leur donne le droit d'insulter effrontément l'islam et les musulmans et de s'en tirer comme il se doit. Les crimes de haine anti-musulmans visent principalement à provoquer et à blesser les communautés musulmanes. Dans des cas récents, les gouvernements en question ont non seulement refusé de criminaliser les actes, mais les ont également autorisés et ont fourni une protection. Les médias occidentaux ont également gardé le silence, sauf pour les reportages sur les réactions du monde musulman. Leur couverture était principalement axée sur l'impact potentiel de cet incident sur la candidature ambitieuse de la Suède à l'adhésion à l'OTAN. Cela indique à quel point les valeurs religieuses islamiques sont compromises dans la sécularisation rapide des sociétés occidentales. Fait intéressant, certains pays occidentaux ont des législations sur le blasphème conçues pour protéger les croyances religieuses et empêcher la violation de ces croyances. Le blasphème est défini comme l'acte de parler d'une manière qui montre l'irrévérence pour Dieu ou les saintetés sacrées. Dans certains pays européens, c'est un crime punissable. Les sanctions vont des amendes aux peines de prison. Cependant, en 2017, le Danemark a abrogé sa loi sur le blasphème et les dernières lois suédoises contre le blasphème ont été annulées dans les années 70. Elle a été remplacée par une nouvelle loi appelée « agitation contre un groupe spécifique de personnes » qui ne protège pas les religions mais leurs pratiquants. Les Pays-Bas, la France, la Grèce, l'Angleterre, le Pays de Galles, l'Islande, l'Irlande, la Norvège et l'Écosse font également partie des pays qui ont abrogé la loi. Certains autres pays européens comme l'Allemagne envisagent également de prendre une mesure similaire. En fait, même dans les pays où la loi est promulguée, elle ne s'étend pas nécessairement à toutes les insultes contre les religions et à la profanation du Saint Coran. Malheureusement, la dépénalisation de ces crimes haineux et le mépris continu des insultes contre l'islam et de la profanation de son caractère sacré, ostensiblement pour défendre la liberté d'expression, ne manqueront pas d'entraîner l'islamophobie et des crimes liés à l'islamophobie, voire des meurtres.  En juillet 2021, le Conseil national des musulmans canadiens (NCCM) a annoncé que le Canada avait connu plus de massacres motivés par l'islamophobie au cours des cinq dernières années que tout autre pays du Groupe des Sept (G7). En janvier 2017, la fusillade de la mosquée de Québec a fait six morts parmi les fidèles et 19 blessés. Ce fut l'un des meurtres de masse les plus meurtriers de l'histoire du Canada. En août 2022, une série de meurtres d'hommes musulmans au Nouveau-Mexique dans l'État américain du Nouveau-Mexique a envoyé des ondes de choc dans les communautés musulmanes à travers le pays. Alors que les pays européens prennent des mesures pour dépénaliser le blasphème et encourager l'islamophobie et l'anti-islamisme, leur position sur l'antisémitisme reste claire, alors qu'évidemment soutenir même un seul racisme tel l'islamophobie facilite voire développe les autres racismes. La négation de l'Holocauste est une infraction pénale dans de nombreux États membres de l'UE, dont l'Allemagne, la Grèce, la France et les Pays-Bas, entre autres. Dans certains pays européens, la négation de l'Holocauste est passible de mois à des années d'emprisonnement. En avril 2021, le ministre suédois de la Justice, Morgan Johansson, a déclaré qu'il croyait fermement que la négation de l'Holocauste devrait être rendue illégale dans son pays, annonçant que le gouvernement avait créé une commission parlementaire pour examiner la question plus en détail. Selon la même norme, les dessinateurs, rédacteurs et éditeurs du magazine "satirique" français Charlie Hebdo qui ont pris l'habitude de se moquer des personnalités et des saintetés islamiques devraient également être détenus et jugés. (Charlie hebdomadaire n’incarne pas la laïcité joyeuse à la française, un vivre-ensemble harmonieux entre toutes les sensibilités, mais bien le sionisme islamophobe, anticatholique et même antifrançais, la dernière idéologie du pouvoir profond. Se tromper à ce point sur le sens de cette laïcité est une honte ou plutôt une ingérence maléfique.) Mais malheureusement, les préjugés contre les musulmans ont été essentiellement normalisés et les doubles standards occidentaux à cet égard ne font qu'alimenter les flammes de l'islamophobie. » (Maryam Qarehgozlou, journaliste basée à Téhéran qui a largement couvert l'environnement, la santé, la technologie et les affaires du Moyen-Orient depuis 2015)
Surtout que Zemmour et Onfray (dont l'opposition contrôlée peut être plus incarnée par le franc-maçon anticatholique Mélenchon) n'ayant pas dénoncé la tyrannie sanitaire et ne s’étant pas opposés à la vaccination obligatoire des soignants ou au pass, cela en dit long sur leurs prétendus courage et honnêteté populaires.
Ainsi toutes ces oppositions contrôlées par des juifs ou des sionistes monopolisent le débat et empêche de parler des vrais problèmes qui sont sociaux, économiques, politiques, moraux et religieux. Ce qui favorise la guerre de l’hyper caste cherchant la spoliation des peuples. Pour cela, les volets environnementaux, sanitaires et sécuritaires nous sont en plus présentés comme les problématiques fondamentales, comme le prouvent depuis près de cinq ans voire plus les rares sujets que sont le Terrorisme, le Climat, le Covid, la Guerre en Ukraine et la Guerre en Palestine, surtout que cela a permis d'éviter donc des sujets comme les gilets jaunes et la crise des subprimes de 2008. Ainsi ces problématiques sont des narrations spectaculaires, des produits de la "société du spectacle", au détriment des sujets importants comme la justice économique. L’explosion de l’individualisme et du subjectivisme a permis le développement du droit positif, c'est à dire le droit du moment, aléatoire et antinaturel. Nous passons du communisme rouge au "néo-communiste vert". Son objectif ne vise plus la réappropriation du capital par le peuple, mais la spoliation intégrale de ce dernier. Ainsi, le "néo-communiste davosien" ne laissera demain le champ libre qu’au seul droit positif. En d’autres termes, plus rien ne sera absolu, ni irrévocable et tout deviendra le fruit d’une interprétation humaine et subjective au bénéfice de l’hypercaste.
De plus en finançant les partis politiques dans de nombreux pays et pour leurs propres intérêts, les très riches permettent donc aussi souvent à des agents mondialistes ou/et sionistes d'infiltrer tous les partis politiques, afin de créer ou maintenir encore sous leur pouvoir diverses autres oppositions contrôlées ou orientation politiques populaires. De même de ridicules amalgames comme les expressions « islamo-gauchisme » ou « national-socialisme nazi » arrivent à égarer. Le concept d’islamo-gauchisme sert aujourd’hui à dynamiter ce qui reste de la vraie gauche : ceux qui soutenaient encore la Palestine, critiquaient la politique israélienne, défendaient les musulmans, dénonçaient le pouvoir du CRIF, s’opposaient à la tyrannie du néolibéralisme, refusaient les diktats de Bruxelles. Et le concept de national-socialisme associé à nazi sert à le faire craindre, alors qu'il s'agit actuellement d'un souverainisme social (antimondialiste). En effet en expurgeant la composante raciste du national-socialisme, cette théorie politique est rendue « sûre » et ses aspects positifs peuvent être pris en considération.
« Jusqu’ici protégées par les mesures provisoires du gouvernement liées au covid pour faire face à la crise économique, plusieurs dizaines de milliers d’entreprises risquent de se retrouver en faillite. La société Altares, spécialiste des données d’entreprises, table sur plus de 60 000 banqueroutes entre juin 2020 et juin 2021. » (Média Sputnik)
En réalité pour le grand reset, nos dirigeants s’attaquent à notre santé physique, mentale et économique avec l’étouffoir qu’on appelle le masque, des injonctions contradictoires qui rendent fou jusqu'à souvent faire passer les plus fragiles dans des asiles, et une destruction clairement programmée de l’emploi et de la production. Le masque cache le projet totalitaire du néolibéralisme incarné par la Banque et l’oligarchie économique, qui donnent leurs ordres au personnel politique, pris entre le chien et l’os, le chien diabolique du haut et l’os du bas. Alors que le peuple soit un os incassable. En régime néolibéral dur, la pauvreté est un des éléments clés du Système : la richesse innommable des uns produit la pauvreté innommable des autres, et le premier traite de communistes les dissidents à ce système alors que c'est ce dernier qui amène les pauvres à un communisme précaire.
Macron a enterré les vieux clivages politiques de l’ancien monde, il a tué ou plutôt résumé l’UMPS (UMP/PS, extrême centrisme pervers), réunit le cœur de l’arc Républicain sous son étendard et a isolé les deux extrêmes. D'ailleurs il faut noter que la gauche comme la droite ont toujours poursuivi le même projet qui est la préservation voire la consolidation de la république maçonnique. De plus la grande opposition entre extrême gauche et extrême droite empêche le peuple de gagner l'élection. Grâce au Covid, Macron a occulté le débat politique et le remplace par le débat technique autour des mesures contre le Covid. Par conséquent, à pandémie peu ou prou constante dans sa dangerosité, il y aura désormais en plus les pros confinement, couvre-feu, masque, tests, vaccins et les anti. L’ingénierie en cours est en train de fabriquer un clivage de l’opinion publique autour des arguments techniques des différentes chapelles scientifiques à la place du débat droite-gauche. Cela correspond désormais aux débats entre les sachants (pandémie, écologie, catastrophes naturelles, industrielles, etc...) et les non sachants sommés de croire dans l’une des différente chapelles proposées. Resteront de l’ancien monde seulement les luttes sociétales progressistes (racialisme, féminisme, LGBTisme, bioéthique, réfugiés).
C'est à dire que pour manipuler à son avantage les français ou leurs nouveaux courants idéologiques, le pouvoir profond est donc passé du socialo-sionisme immigrationniste (faussement et sournoisement antiraciste et surtout bancairo-oligarchico-mondialiste) au national-sionisme islamophobe (sécuritaire), voire préserve ces deux oppositions horizontales pour faire oublier la lutte verticale bas/peuple contre haut/oligarchie. Surtout que ces deux idéologies sionistes encore un peu unie cherche à contrer par un désordre économique, social, public, éducatif, sécuritaire, sanitaire et sexuel, le national populisme, conservateur, catholique ou/et antimondialiste montant partout par le bas de la société. D'ailleurs le système est clairement passé de la diversité bienheureuse au séparatisme dangereux.
D'autant plus qu'il existe aussi une opposition contrôlée entre le sionisme judéo-islamique et le sionisme judéo-chrétien servant la stratégie du choc des civilisations. En effet cela sert aussi à entretenir une guerre civile larvée préservant les élites au pouvoir, à travers le détournement vers l'islam de la colère légitime de nombreux français appauvris par le système. Ainsi ce n'est évidemment pas le choc des civilisations qui doit se répandre mains l'aristocratie de l'esprit. Or le système entretient l'islamophobie d’extrême droite et l'immigration d’extrême gauche dans une forme de double injonction contradictoire pour garder par la division le pouvoir en place  qui est d'ailleurs une extrême centre pervers. Mais fort heureusement, l'Histoire prouve que le peuple français est avant tout dans une lutte des classes contre l'hyper classe mondialiste et sioniste (comme le montrent les gilets jaunes), et non ethnoconfessionnelle. Cependant le peuple français doit être prudent pour éviter une guerre civile car il est donc entre le marteau du national sionisme (islamophobe et xénophobe) et l'enclume de l'anti-racisme sioniste (immigrationniste, LGBTiste et mondialiste).
Afin de préserver la paix civile, reste à savoir pour qui voter, en dehors de l’extrême droite car devenue nationale sioniste (pro-Israël, lgbtiste, européiste, anti-islam). Mais comme tous les autres partis sont immigrationnistes, européistes ou/et lgbtistes, la perte d’identité, de souveraineté ou de valeurs va se poursuivre. C’est insoluble, dont car la droite devenue nationale-sioniste est en plus perversement raciste et la gauche devenue socialo-sioniste est donc perversement sociétale. A moins de créer un parti islamo-catholique, ou plutôt de recréer un parti seulement catholique comme Civitas mais respectant la citoyenneté de tout français quelle que soit sa confession tant qu’elle est pacifique et respecte la loi naturelle et encore mieux la vertu. Dans ce sens religieux, il est noble que dans quelques cas, le droit du sol (obtention de la nationalité à la naissance suite à un accouchement dans le pays) ou la nationalisation pour certains réfugiés soient validés, mais sinon le droit du sang est évidemment logique dans toute nation en particulier très endettée et/ou donc sans but religieux, car cela devient compliqué, en sachant qu'il est plus légitime de donner le passeport à un étranger ayant travaillé plus de 30 ans dans le pays ou étant marié depuis plus de 15 ans avec une indigène. En sachant que la bi-nationalité est évidemment légitime en cas de mariage avec un étranger, mais que leurs enfants doivent avoir la nationalité de leur lieu de résidence principale dans une de ces deux nations ou la choisir une fois adulte. Concernant le droit du sang ou du sol et la légitimité des colons ou des immigrés ayant construit un pays méritant d'y rester quel que soit le pouvoir en place, il est intéressant de voir en plus la vidéo suivante « Nouvelle-Calédonie : droit du sol ou droit du sang ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Soral-a-presque-toujours-raison-Episode-27-76002.html
Cette vidéo explique logiquement que quand une population étrangère est venue dans une région ou un pays en y apportant la civilisation contre la sauvagerie dont par la religion, par l'école ou/et par son travail pour créer des infrastructures modernes, il lui paraît légitime d'y rester même si elle a pris le pouvoir par la force auparavant, en particulier si elle s'y développée sur des générations. Mais le peuple autochtone voulant s'y libérer pour garder son identité tout en gardant le bon de cette population étrangère dont la religion et les infrastructures ne semble pas anormal en particulier en récupérant que le pouvoir possiblement déjà comme une région autonome et en n'expulsant personne dont car ces populations de cette région ont désormais un avenir commun puisque le peuple autochtone ne souhaite pas détruire le bon qu'a apporté la population étrangère, surtout que c'est le religieux le plus important. De plus pour faciliter cette main mise sur les plus grands partis politiques nationaux, les sionistes se servent aussi de variables d'ajustement à travers l'utilisation de tiers dans des partis supplémentaires divisant encore plus les votes du peuple. De même les « islamistes » divisant la société sont les créatures des francs-maçons, des mondialistes, des sionistes et de leurs affidés dont wahhabites comme l'Arabie Saoudite.
Un décret paru dans le Journal officiel acte la suppression du corps diplomatique français. Les hauts fonctionnaires des affaires étrangères vont entrer dans un vivier commun d’administrateurs de l’Etat. Ils auront vocation à passer d’un ministère à un autre tout au long de leur carrière. En supprimant le corps diplomatique, Macron assène le coup de grâce à la géopolitique française. Macron liquide le deuxième réseau diplomatique mondial (publics) et confiera probablement certains dossiers internationaux à McKinsey (au privé) ou la coopération à des start-ups caritatives. Au ministère des affaires étrangères, l’ultime baroud d’honneur a débuté en octobre, mais possiblement pour des motifs plus terre à terre. Deux corps assez privilégiés, piliers de la diplomatie française, sont dans le collimateur : celui des conseillers des affaires étrangères et celui des ministres plénipotentiaires, « mis en extinction » à partir de 2023. Les hauts fonctionnaires rejoindront un nouveau « corps des administrateurs de l’Etat », où seront rassemblés les cadres jusqu’ici formés par l’Ecole nationale d’administration (ENA), elle-même remplacée par l’Institut national de la fonction publique depuis janvier 2022. Avec, potentiellement, un noyautage croissant de l’Etat par des élites pro-américaines, soit qu’elles aient été formées dans leur cursus aux Etats-Unis, soit qu’elles aient été cooptées par des think tanks et des réseaux comme les young global leaders ou Davos. Un tour de passe-passe, une vraie fausse réforme qui change tout pour ne rien changer, mais qui atteint sans doute son véritable but : privatiser toujours plus la nation et liquider pour les intérêts de Washington ce qui reste d’influence à l’un de cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Le Quai d’Orsay rentre à son tour de plain-pied dans la gouvernance post-démocratique. Nous sommes dans un système totalitaire créant de multiples oppositions contrôlées par des ingénieries sociales. C’est à dire que c'est un système de domination qui produit ses propres ennemis afin de neutraliser l’émergence d’ennemis authentiques autonomes. Antifas, anti-capitalistes, alter-mondialiste, national-sionisme, tous ces mouvements appartiennent à l’opposition contrôlée et c’est pour cette raison qu’ils ne s’attaquent jamais au pouvoir réel qui est socialo-sioniste mondialiste. Ainsi il faut faire attention à une autre ingénierie sociale sur internet : des trolls peuvent accuser faussement d'opposition contrôlée certaines personnes de bonne volonté s'organisant sérieusement face à ce système.
L'opposition contrôlée ou l'orientation des tendances populaires se font encore en faisant de la gauche un islamo-gauchisme LGBTiste permettant d'oublier la lutte des prolétaires et favorisant donc l'oligarchie. Les musulmans français en votant pour cette gauche et les catholiques bourgeois en votant pour Macron aussi Lgbtiste votent donc perversement pour leur intérêt de classe (sociale) et contre leurs spiritualités puisque ces musulmans et catholiques devraient voter pour une droite nationale religieuse.
Or des millions de Français ont compris qu’en obéissant à la fracture droite/gauche établie par les forces occultes, aucun changement n’était possible, et que tout discours établi sur cette fracture était un discours de complicité insidieuse avec le Système qui se retrouve aujourd’hui dans une impasse. Le PS est mort, LFI rétrécit. En effet le PS est en état de mort cérébrale, ce qui prouve un basculement populaire à droite. La faute à un parti qui ne croit plus en lui-même, qui a accepté la domination du Marché en 1983 (soit la trahison de la classe ouvrière, qui le lui fera payer en votant extrême droite) et qui en est mort. Le Système en profite pour grossir les rangs de la nouvelle impasse : l’écologie qui rafle la mise avec l’appui des forces des médias mondialistes et du Marché de la haute finance internationaliste qui n’est pas contre, puisque des deux côtés on parle déproduction, chômage de masse et revenu universel. Tous ces collabos du Système disent la même chose : nous pouvons devenir présidents. Et c’est tout à fait possible puisque la gauche sociale et l’écologie anti-impérialiste ont donc été laminées par le Système pour construire une gauche gentillette, factice, compatible avec la Banque !
Par cette très grande perturbation, synonyme de grande division ou d'effacement du sentiment national français, de l'homme blanc, de l'hétérosexuel et de la famille traditionnelle, cela pousse le peuple à s'amuser, à jouir, à danser et à se critiquer mutuellement, et donc à ne pas se cultiver ni à se spiritualiser, et cela évite qu'il retrouve une noblesse insoumise afin que ces élites mondialistes et sionistes préservent plus facilement leur domination oligarchique et politique. En effet la société wokiste au service du mondialisme et du sionisme n'apporte qu'obsession de l’accumulation des richesses, mise en scène perpétuelle de soi, fuite des angoisses via la fête ou le voyage, tout en détruisant la tradition nationale chrétienne.
Une nouvelle géographie du conflit de classe est donc apparue : il y a en haut la tyrannique classe financière déracinée des grands seigneurs nomades ou transnationaux de la spéculation, comme Georges Soros, et en bas les nouveaux « esclaves », pour citer Hegel, les masses nationales populaires devant se libérer. Dans cette classe opprimée, convergent l’ancien prolétariat décrit par Marx ainsi que la moyenne bourgeoisie entrepreneuriale.
Aujourd’hui le capitalisme, c’est donc devenu la féodalité financière qui vit de ses rentes spéculatives et de ses fraudes légalisées comme celle très néfaste des subprimes aux États-Unis. (Il est possible de voir à ce sujet l'excellent film « The Big Short : Le Casse du siècle » de Adam McKay). Par conséquent ses membres doivent être plus dénoncés que les chômeurs peu payés à rien faire, puisqu'ils sont beaucoup payés à détruire l'économie. Comme l'avait vu Chateaubriand, toute aristocratie connaît souvent trois âges successifs : « l'âge des supériorités, l'âge des privilèges et l'âge des vanités ; sortie du premier, elle dégénère dans le second et s'éteint dans le troisième. » Dans son dernier ouvrage « Populophobie - Pourquoi il faut remplacer la classe dirigeante française », le politologue Guillaume Bigot compare la France d'aujourd'hui à celle de 1789 : « Le roi s'appuie sur une noblesse de robe (la haute fonction publique) et d'épée (les capitalistes de l'hyper classe). Un néoclergé médiatique et culturel prie pour la construction européenne, les migrants et la sauvegarde du climat. Formant l'immense base de cette échelle matérielle et symbolique, un tiers état salarié pâtit de la mondialisation... A quand la nouvelle Révolution du peuple ? »
A l'aide d'une alternance de nationalisme xénophobe et de mondialisme immigrationniste, voire en plus avec l'aide de l'augmentation de fragmentations des territoires en plus petites zones basées sur les ethnies et les confessions, et de la multiplication d'organisations supranationales type union européenne, les riches mondialistes et sionistes cherchent donc à éviter cette lutte des classes apportée par le nouveau populisme. Ils continueront d'essayer par un illusoire récent progressisme à outrance, c'est à dire toujours plus libéral libertaire ou plus contenu, de défier, détourner et dominer la légitimité du protectionnisme, du souverainisme, du bon repli identitaire, du retour au véritable monothéisme et de l'étatisation de l’économie pour une meilleure stabilité nationale et de meilleurs services publiques par et pour le peuples. Surtout que cette démocratie progressiste et consumériste fabrique des émasculés, des soumis ou des psychopathes facilement dominables, comme toute politique ou spiritualité athées.

Il s'agit de la relance possiblement ultime du système oligarchique UMPS, car le RN est devenu le premier parti largement devant les autres qui ne sont donc plus que deux coalitions. En effet la répartition des couleurs de l'assemblée nationale suite aux très nombreux désistements lors des législatives 2024 est une illusion évidente, dont possiblement pour espérer casser la vague de fond RN. Le barrage républicain a été cambriolage démocratique. Selon un décompte de l'AFP, plus de 210 candidats de gauche ou macronistes qualifiés pour le second tour des législatives se sont m désistés ce lundi. Ces candidats sont engagés dans des triangulaires et sont arrivés en troisième position. Sur les 214 désistements recensés, entre 50 et 100 concernent des candidats du Nouveau Front populaire, a indiqué l'insoumise Mathilde Panot sur France Bleu, ce mardi, même si l'Agence France presse a recensé 126 désistements dans l'alliance de gauche. Concernant la majorité sortante, un peu plus de 80 candidatures ont été retirées, a affirmé l'ancienne Première ministre Élisabeth Borne sur France Bleu Normandie. Au total, seulement 110 triangulaires et quadrangulaires ont subsister au second tour, sur les 311 prévues à la sortie des urnes, selon l'AFP. Le second tour dimanche a donc donné lieu à 390 duels, 108 triangulaires et deux quadrangulaires. Ces désistements sont un signe que le parti unique existe au moins en partie et montrent qu'à part le RN qui est un grand parti en pourcentage d'électeurs, tous les autres partis sont moyens et seront proches en pourcentage lors des élections présidentielles 2024. Et donc pour l'élection présidentielle, il y aura donc probablement un front républicain, car si LFI, PS, Renaissance ou LR se présentent seuls, il y aura un possible duel Gauche(LFI, Nouveau Front Populaire)/RN avec une victoire presque certaine du RN ou de la Gauche(LFI, Nouveau Front Populaire) face au Front Républicain, car les électeurs RN ne feraient pas barrage et voteraient même probablement en grande partie pour cette gauche, alors qu'en cas de duel Front Républicain/RN, surtout si des mesures d'extrêmes gauches ont été votées et appliquées pendant trois ans, la victoire du Front Républicain sera également presque certaine par rapport aux élections précédentes où toute la gauche a fait barrage au RN, ce qui signifie que dans ce cas, l'alliance de l'extrême gauche et de l'extrême demeure toujours la seule solution face au Front Républicain, et que ce serait donc encore la possibilité de deux partis comme aux USA. Mais le système oligarchique globaliste et sioniste fait tout pour l'empêcher dont en se satisfaisant que Mélenchon soit antisionite mais mondialiste, et que Le Pen soit nationaliste mais sioniste (racialiste), car tout cela demeure de l'anti-France en réalité. Or comme Lucien Cerise l'explique, il faut faire attention à la possible fusion macrono-compatible de l’ultragauche et de l’ultradroite contre Poutine. Il ne s'agit plus de politique au service du peuple mais de stratégie souvent perverse.
« Avant que naquit le Front républicain n’est-ce pas que nous prédisions : « Et ça va repartir pour un tour, un tour de piste du cirque antifa, comme en 2002, les antissionistes racisé.e.s woke et les sionistes étudiants juifs, quand ils se mettent en mode SOS (racisme), enfin réconcilié.e.s » ? Ce Front républicain fut une nouvelle Alliance universelle des lucifériens (franc-maçons) avec les sataniques (oligarchiques et sionistes). La honte du Front populaire, du Front républicain et du RN, c’est que l’Ex-France est exterminée comme l’est la Palestine, mais moralement, cependant que Palestine l’est physiquement(, quoique l'énorme dette française correspond aussi à une extermination physique). » (Félix Niesche)
« La gauche a joué le rôle du tueur payé par la mafia pour exécuter un contrat et une fois le RN éliminé la Macronie a exécuté le tueur. Le basculement démocratique prend du temps, le pays est à droite, patriote et anti-libéral, mais les piliers du Système résistent. Les médias, les institutions, l’Éducation, tout a été construit pour sanctuariser un pouvoir économique libéral et un pouvoir culturel gauchiste. Ce qui est proposé aux électeurs, régulièrement cocufiés, à part ceux qui votent Système (qui peut s’appeler Sarkozy, Hollande ou Macron, c’est la même came), c’est une alternance libérale de droite et libérale de gauche. Mileï (président argentin) est l’incarnation de ce faux changement. On peut chier sur la gauche parce que c’est la pute du Capital, qui trahit régulièrement les travailleurs et les pauvres, mais si c’est pour avoir la pute directe du Capital... Personnellement, on n’a jamais cru une seconde à ce Système pourri, qui ne génère que misère sociale et mensonge grossier. L’ensemble est si vermoulu qu’il s’effondrera tout seul, il faut juste ne pas être dessous quand ça va tomber, comme lors de la destruction contrôlée des deux tours... Macron déglingue le pays et ses institutions pour sauvegarder le pouvoir d’une oligarchie incarnée officiellement par Fabius, Moscovici, Braun-Pivet et Kohler. Les élections et les post-élections sont truquées, les frigos se vident, la guerre pointe, une seule question se pose : jusqu’où les gens vont-ils accepter de descendre ? (Il s'agit d'une évidente convergence de nombreux faits que le citoyen moyen n'arrive même pas à comprendre voire se rappeler. Pourtant les partisans du système gauchisto-républicano-oligarchico-mondialiste vont laisser une dette immense à leurs enfants, alors que les patriotes du RN ne veulent que la paix, la richesse et l'abondance pour notre pays.) » (Rédac ER)
« On sait depuis Aristote que la « démocratie représentative » est nécessairement une oligarchie. La démocratie c’est le pouvoir des pauvres sur les riches : « Il y a démocratie quand les hommes de naissance libre et pauvres, étant en majorité sont à la tête des affaires publiques et oligarchie quand les gens riches et d’une naissance au-dessus du commun, et en petit nombre gouvernent » Donc pour l’instant, on s’accommode de cette oligarchie devenue d’ailleurs ploutocratie depuis l’installation de Macron à l’Élysée par les oligarques français. Mais notre fondé de pouvoir de l’Argent est aussi un psychopathe. Avec sa dissolution surprise, il a par conséquent foutu un singulier bordel institutionnel. Et nous sommes ainsi confrontés depuis le deuxième tour des législatives à une sacrée cacophonie, où ignorants et manipulateurs rivalisent entre mensonges, approximations, contresens, voire carrément inepties. Le 7 juillet dernier a vu une alliance électorale entre la bourgeoisie oligarchique et la petite bourgeoisie qui se présentaient pourtant avant le premier tour comme des adversaires irréductibles. L’objectif de cette alliance conjoncturelle était clair : empêcher le RN soutenu massivement par les couches populaires de s’approcher du pouvoir. Dans un petit jeu à toi, à moi, on a mis en place des désistements croisés, pour garantir le retour à l’Assemblée du maximum de Playmobils macronistes et le maintien d’une force dite « de gauche » parfaitement hétéroclite, dont le pire symbole est la cohabitation entre Hollande, le président belliciste parjure partisan inconditionnel du massacre de Gaza et Aymeric Caron défenseur des moustiques et soutien méritant de la cause palestinienne. Pour arriver à ce résultat, on avait bricolé un soi-disant programme en y incluant scrupuleusement la contradiction principale empêchant son application. À savoir le maintien d’un européisme quasi fanatique rendant impossible les quelques engagements sociaux. Et histoire de mener l’imposture jusqu’au bout l’assemblage avait été nommé « Nouveau » Front populaire par référence à l’ancien, qui n’avait pourtant rien à voir. Superbe leçon de lutte des classes, avec ce ralliement, certes habituel, des couches moyennes à la bourgeoisie. Avec quand même cette fois-ci une particularité : la « gauche » politique pour sauver Emmanuel Macron a clairement fait alliance avec l’hyper classe que le néolibéralisme dont économique (oligarchique finance internationaliste) et libertaire (Lgbt+) a également fait advenir dans notre pays. On peut penser que Bernard Arnault, l’homme le plus riche du monde, est soulagé de voir sa créature s’en tirer. Avec cependant un problème qu’il va falloir gérer, en attendant la reconstitution du bloc central qui avait permis à Macron de poursuivre depuis 2022 la destruction méthodique de notre pays. C’est qu’après s’être prostituée, la « gauche » demande le prix de sa passe. Elle a d’abord bien sûr crié victoire pour avoir terrassé l’hydre fasciste. Mais ensuite, il fallait être récompensé pour cet effort de mobilisation sur un mensonge, l’abandon des principes, et l’invocation d’un risque de néo-nazisme imaginaire. Alors, fébrilement elle réclame l’accès immédiat aux salons de la république. Bien sûr, la main sur le cœur et la vertu en bandoulière, toutes ces cohortes dont le seul point commun est l’arrivisme, prétendent qu’elles veulent le pouvoir pour satisfaire les revendications sociales dont elles ont parsemé leur programme. François Hollande, le fameux « ennemi de la finance », investi par cette « gauche » vertueuse, et élu grâce aux voix des macronistes, est là pour garantir qu’évidemment, et comme d’habitude, tous les engagements seront trahis. Et aujourd’hui, ce Macron remis en selle par le sauvetage dont la « gauche » l’a gratifié, dispose de l’initiative et va donc pouvoir manœuvrer. Histoire de se débarrasser de cette fausse « union de la gauche », il va même peut-être trouver astucieux de nommer un quelconque des bras cassés, pioché dans la vitrine du NFP, pour le voir immédiatement exploser en vol, ce qui permettrait plus facilement d’écarter LFI. Et de reconstituer le « bloc central » qui serait peut-être minoritaire à l'assemblée nationale mais gouvernerait comme l’a fait Élisabeth Borne, à coups de 49-3. Le temps pour Macron de récupérer le pouvoir de dissolution en septembre 2025 et de préparer l’avènement du successeur que lui désignera l’oligarchie. On peut avoir de l’aversion pour le Rassemblement National, se défier des couches populaires qui le soutiennent, on peut considérer que ce mouvement n’était pas prêt à exercer le pouvoir, on peut être soulagé qu’il ne participe pas à la gestion du pays, et légitimement penser qu’il ne surmontera pas ses contradictions, mais qu’elle le veuille ou non, avec son antifascisme en carton, la « gauche » n’a fait qu’une seule chose entre les deux tours législatives, elle a sauvé Emmanuel Macron de la situation très difficile dans laquelle il s’était fourré. Ce faisant, enfermée dans ses mensonges et son refus du réel, elle a d’ailleurs probablement sauvé un cadavre. Armées de leur libéralisme libertaire et de leur mépris social, ayant remplacé le prolétariat pour constituer sa base, les nouvelles couches moyennes diplômées et urbaines emmènent cette gauche dévoyée dans une impasse historique. Espérons qu’elles le paieront cher. » (Extraits de l'article « La « gauche » entre mensonges et traditions inventées » de  Régis de Castelnau)
« L’incroyable lettre par laquelle les groupes de gauche et d’extrême-gauche demandent à leurs collègues du centre et du centre-droit de participer à une manœuvre grossière pour éliminer le RN de toute participation au Bureau de l’Assemblée Nationale dénote une progression inquiétante de l’intolérance et du sectarisme, y compris dans les rangs de la gauche socialiste, naguère « républicaine » Le pluralisme du Bureau de l’Assemblée nationale est non seulement conforme à la tradition républicaine ; il est nécessaire au bon fonctionnement de l’institution, dont la direction et la gestion nécessitent l’avis de tous. La tentative d’y priver de toute représentation 143 députés représentant près de 10 millions de Français révèle une radicalisation haineuse qui, au contact de l’extrême-gauche, a gangréné la gauche toute entière. » (Bruno Gollnisch – Ancien député à l’Assemblée nationale et au Parlement européen)
Selon Edouard Husson et Harold Bernat, le « barrage républicain » (face au pseudo parti anti-républicain RN) a permis au bloc bourgeois de conserver le pouvoir en jouant l’arbitre entre les forces opposées. Ils ont également noté que la France de droite, qui a obtenu le plus grand nombre de voix aux élections européennes et législatives, s’est fait « piller son vote » par une majorité relative de gauche Les électeurs de gauche seront également déçus car ils verront leur représentant à l’Assemblée bloqué par le bloc progressiste, qui ne représente que 6 millions de votes. Ils ont conclu que le vrai gagnant de ces élections est le bloc bourgeois, qui a donc réussi à conserver le pouvoir malgré la montée des forces populistes et la victoire du nouveau front populaire. Cependant, ils ont averti que la colère des Français, de gauche comme de droite, pourrait entraîner un retour de bâton à l’avenir.
Surtout que ce front républicain oligarchique plus centriste que gauchiste continuera de diluer la France dont via la fédéralisation européenne qui sera la fin du parlement français et donc ensuite l'obligation pour le peuple français de faire du séparatisme puis une révolution pour retrouver leur souveraineté ainsi plus difficilement que par le parlement.
« L’eurodéputé Bernard Guetta a déclaré que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, tente de se donner un nouveau rôle en tant que présidente de l’Union européenne. Cette initiative s’inscrit dans un contexte où les deux principales puissances de l’Union, la France et l’Allemagne, sont affaiblies. Guetta a souligné que von der Leyen cherche à ouvrir la voie aux États-Unis d’Europe, une ambition qui inquiète le président des Patriotes.  Cette révélation fait écho à une déclaration de Mario Draghi en novembre 2023, selon laquelle l’Union européenne doit devenir un État. Florian Philippot voit dans ces déclarations une confirmation de ses craintes concernant la perte de souveraineté nationale. Il appelle à une mobilisation urgente pour éviter que la France ne disparaisse complètement sous la domination de l’Union européenne. » (Média en 4-4-2)
En sachant que le Parlement (Assemblée nationale et Sénat) fait la loi et l’Assemblée vote le budget, que la constitution donne au Président et au gouvernement un pouvoir réglementaire suffisant, et que le gouvernement n’est même pas obligé de présenter des projets de loi. Ce qui signifie que la troisième force alliant des macronistes, des LR et des PS (contre les alliances avec les deux extrêmes) va effectivement très probablement se dégager, afin de profiter de l’opposition entre les deux extrêmes, et de la peur que ces dernières produisent dans le ventre de l’électorat. Lors des législatives de juin 2024, ce bloc central avec des revenants démonétisés comme François Hollande a difficilement dominé le RN dans ses 300 triangulaires et duels face au Front populaire (puisque le front républicain peut aller désormais du centre à l'extrême gauche dans une forme donc de lutte bi-partisane comme aux USA, car le système a peur que même de rares changements sociétaux par la raison morale comme la fin de la théorie du genre plutôt que l'émotionnel irréfléchi comme la sécurité, et la faveur envers toutes les entreprises françaises votées par le RN amènent une vague populaire conservatrice tel un effet boule de neige comme en Russie encore plus grande pour le RN).
« Avec son annonce surprise, le chef de l’exécutif peut aussi vouloir provoquer un électrochoc et instrumentaliser la peur de l’extrême droit et la division de la gauche pour obtenir une assemblée nationale plus gouvernable. Une politique accompagnée de l’annonce tactique que la majorité présidentielle ne présentera pas de candidat face aux forces appartenant à « l’arc républicain ». Le pari est ainsi clair : tenter de ramener, d’une manière ou d’une autre, des secteurs de la gauche institutionnelle et de la droite dans son giron, à l’issue de législatives sous le signe du « front républicain ». » (French Press TV)
« Le second tour des élections législatives de 2024 s'annoncent tendues. Face à un paysage politique de plus en plus fragmenté, les partis traditionnels cherchent à s'allier pour former une « Coalition Républicaine » capable de gouverner sans le Rassemblement National (RN) et La France Insoumise (LFI). Le Nouveau Front Populaire (NFP) et les macronistes semblent être en train de se préparer dans la coulisse pour former cette alliance qui n'est plus si secrète que ça. Les macronistes ont tout fait pour torpiller les candidats de LFI, jugés trop extrémistes, tout en soutenant les candidats du NFP et d’autres partis compatibles avec leur idéologie. L’objectif est de former un gouvernement de « coalition républicaine » avec tous les partis sauf le RN et LFI. Cette stratégie n’est pas sans risque. En effet, elle pourrait mener à l’élection d’une chambre de centre droit avec les voix de l’extrême gauche. De plus, les électeurs de gauche pourraient se sentir trahis par cette alliance avec les macronistes, qu’ils considèrent comme étant en grande partie responsables de la situation actuelle du pays. Malgré ces risques, les macronistes et le NFP semblent déterminés à former cette alliance. Les deux partis ont déjà commencé à discuter en coulisse pour préparer le terrain. Il est encore trop tôt pour dire si cette stratégie sera couronnée de succès, mais une chose est sûre : les élections législatives de 2024 s’annoncent comme un moment crucial pour l’avenir politique de la France. » (Média en 4-4-2)
« On voit que le problème principal suite aux législatives 2024, ce sont les partis politiques, de véritables mafias qui se sont liguées contre le peuple pour que sa volonté ne soit pas respectée. A cause d’eux, cette « démocratie représentative » n’est ni l’une, ni l’autre. Il faut interdire ces organisations mafieuses et instaurer d'urgence une meilleure démocratie. Personne ne conteste la légitimité des députés élus à la Proportionnelle, comme aux Européennes. Par contre les députés élus par le scrutin majoritaire à deux tours ont une légitimité suspecte car, à part les RN, ils ont changé de programme entre les deux tours, en contractant des alliances trompeuses. Le RN, ayant eu deux fois plus de voix au 1er tour en arrivant 1er pour 93% des lieux de vote, finit dernier avec la macronie relancée à la deuxième place, c’est totalement abracadabrantesque, et tout cela provoque davantage de désillusion démocratique. Le RN avec 10,1 millions de votes au second tour, 3,1 millions de votes d’avance sur la nupesbis (Front Populaire) et 3,8 millions sur la macronie n’a pas droit à la majorité, ce sont des tractations dans des couloirs qui ont lieu « pour bâtir une majorité » ! Les urnes ont donné la majorité relative au RN avec plus de 38% des votes, loin devant ses concurrents. Il n’y a pas à « bâtir une majorité » en secret, elle est déjà là : le peuple s’est exprimé. Macron s’est servit de LFI pour avoir 70 députés de plus, maintenant il demande à faire barrage contre LFI. Seule la proportionnelle fait des députés légitimes. La défaite du RN c’est la victoire du scrutin truqueur, le majoritaire à deux tours, inventé par Schwartz-Debré pour éliminer les patriotes. » (Commentaires d'internautes)
Pour garder la république oligarchique laïciste en Europe, le système laisse parfois passer un parti national (d'extrême droite) quand trop les élites mondialistes ont trop volé le peuple afin de calmer ce dernier et éviter la remise en question du bilan en ravivant le clivage (extrême-)droite/(extrême-)gauche. En effet les pervers ultra-riches mondialistes oublient parfois qu'ils doivent tondre le peuple en prenant garde à ne pas l’écorcher. D'ailleurs la baisse de l'électricité et de l'inflation via l’extrême gauche ou l'extrême droite pourrait aussi être apparue comme nécessaire à notre époque pour empêcher la fin des PME et donc de l'économie française. Surtout que par exemple 15 % des boulangers du Nord ont fermé à cause de l'augmentation importante du prix de l'énergie.
Or « Les petits (par le revenu et le poids culturel) Français des campagnes, des villes moyennes frappées par la crise (européenne) de l’agriculture et le chômage industriel, les médias ne voulaient pas les voir, leur préférant la jeunesse bien élevée (ou formatée) des grandes villes et de la capitale. Et voilà qu’à travers le jeune Bardella (RN rajeuni et dédiabolisé) – on en pense ce qu’on veut, c’est pas le débat –, cette part de la jeunesse s’exprime haut et fort et renverse la table. Ce n’est pas Macron, qui serait tout-puissant, qui a déclenché ça, c’est un mouvement de fond, une lame qui vient de loin, du fin fond des années 80, des enfants de la crise, oubliés par le Système. C’est le retour (ou plutôt l’arrivée car ils n’ont jamais été mis en avant) sur le devant de la scène des invisibilisés par les médias gauchisés, alors que le vrai ghetto français, il est là, dans cette France périphérique et patriote (et non identitaire aveugle, égarée ou raciale alors qu'avant l'immigration africaine, elle a reçu les immigrations italienne, espagnole, portugaise, polonaise) effacée par nos agents politico-médiatiques. Depuis que le RN a fait un tiers des voix aux européennes, et qu’un bon tiers des moins de 35 ans a voté Bardella, les médias se mettent en branle pour essayer de comprendre le phénomène, toujours avec une guerre et deux métros de retard. Les jeunes ne regardent plus les JT, la propagande ne les atteint plus : ils s’informent sur les RS, où se sont réfugiés le pluralisme et l’intelligence. Le compte TikTok de Jordan (28 ans) compte 1,6 million d’abonnés, comparativement aux 4 ou 5 millions de téléspectateurs des JT de TF1 ou France 2, chiffres totalement gonflés par les chaînes elles-mêmes, histoire de choper encore de la pub. En réalité, les courbes vont bientôt se croiser, et un politique patriote, pour remplir ses urnes, n’aura plus besoin d’aller se faire insulter par une Lapix ou un Cohen en plateau. Les médias en général se fourvoient sur cette jeunesse, qui n’est pas plus d’extrême droite que d’extrême gauche (les 18-24 votent à 46 % pour LFI) : elle est anti-Système, tout simplement, parce que les jeunes voient les dégâts qu’il cause. Et les médias font partie de ce Système. Le vote Bardella n’est pas un vote idéologique, mais le moyen d’envoyer un message fort à l’oligarchie et à ses larbins. » (Rédac ER)
Or « Il y a la torsion – par le lobby sioniste français – ou le reniement des fondamentaux du RN pour le laisser arriver au pouvoir. Il ne s’agit pas de dire que l’antisémitisme est (dans) l’ADN du RN, mais bien que la souveraineté nationale, le patriotisme, le nationalisme, appelez-le comme vous voulez, est incompatible avec la soumission à Israël et à ses intérêts, dont le génocide des Palestiniens ! Se prosterner ou s’agenouiller devant Israël et sa sempiternelle « sécurité », l’euphémisme pour agressivité, n’est pas digne d’un patriote français. Sinon d’un patriote franco-israélien ! Mais alors, il y a double allégeance, et double jeu. Le RN aujourd’hui ne s’attaque pas à l’islamisme ou au voile pour faire plaisir aux Français, mais bien pour faire plaisir à Israël, qui cherche à transformer la résistance palestinienne en terrorisme islamiste. Il a suffi, pour cela, de favoriser le Hamas, quitte à l’armer, et de réduire le Fatah, le versant politique et non religieux de la résistance à l’occupation. » (Rédac ER)
Mais face à la possible élection d'un parti national (d'extrême droite) dans une élection à deux tours, l'alliance du centre avec la gauche devient possible lors du deuxième tour dans une forme de grand centre. Et si un parti de droite nationale passe premier ministre après une dissolution de l'assemblée nationale, un chaos social par un conflit triangulé gauchistes/droitards peut ainsi aussi servir l'extrême centre pervers pour les présidentielles suivantes, en particulier donc si le système pousse à épuiser ou discréditer ce premier ministre dont avec des actes gauchistes extrêmes et la crise économique, en sachant que la cohabitation politique peut servir d'excuse si on manque de courage ou on est impuissant à ce poste à cause du système et du président de la république empêchant d'obtenir des résultats conformes à son programme, le tout accompagné d’un chaos social, afin que son parti ne se fasse pas élire à la présidentielle suivante. Or cela pourrait aussi légitimer le pouvoir ou le système en place si la parti de droite national n'est finalement pas élu classiquement par barrage républicain fonctionnant quand même de moins en moins. Mais la gauche pourrait gagner si elle ne participait pas à la crise sociale majeure actuelle, car quand on s’occupe du climat et des trans, quand on valide la GPA et l’euthanasie, sans oublier l’immigration massive, (et l'économie-libérale de même que le soutien à l'Ukraine et Israël avec le PS), on oublie le pouvoir d’achat des Français qui travaillent. Et par conséquent les messianistes globalistes juifs sont obligatoirement avec ce pervers hyper centrisme mondialiste bourgeois cerné par les extrêmes, puisqu'ils sont serrés tel dans un étau entre le socialo-islamo-gauchisme de gauche et le socialo-catholico-nationalisme de droite, logiquement détournés que ce soit par la NUPES ou le RN Lgbtistes mais plus souvent diabolisés par les médias mainstream (subventionnés), et possiblement bientôt par des attentats ou des menaces d'attentat, dont pour que le pouvoir puisse pratiquer plus de répression contre ces mouvements en particulier les patriotes car étant le dernier rempart à la tyrannie complète du système oligarchique internationaliste. C'est à dire que les juifs globalistes sont par l'arc républicain allant du PS aux Républicains en passant par le centre. Alors que le sionistes peuvent être avec l'extrême-droite si elle est pro-Israël, mais elle peu cacher son jeu. Or sur la politique extérieure en condamnant Israël, la gauche mélenchoniste et la droite authentiquement catholique sont aujourd’hui les seuls à porter le flambeau du noble esprit français, ce mélange de raison (grecque) et d’humanisme (chrétien). C’est pourquoi elle prend les coups les plus durs des gardiens du Système, qui sont en plus souvent à la fois cyniques et délirants. D'ailleurs avoir choisi le camp israélien pendant le massacre quotidien de civils à Gaza, c’est une grosse idiotie pour la France, et Braun-Pivet la présidente de l’Assemblée nationale au lieu d'aller voir Tsahal aurait dû penser à mieux incarner le pluralisme des différentes sensibilités présentes à l’Assemblée nationale. On peut parler d’un suicide d’image de la Macronie et donc du pervers hyper centrisme. Ces trois France sont de nature si différente que la réconciliation paraît encore difficile, mais leurs représentations plus équilibrées à l'assemblée nationale suite aux élections législatives de 2022 permet de l'espérer, surtout que cela apporte une meilleure gestion au niveau social, économique et géopolitique, sauf si l'Union Européenne et l'OTAN sont trop contraignants. Surtout que l'extrême centre Macronien prônant le consumérisme mais éjectant du système de plus en plus d'appauvris de droite et de gauche, ces derniers se politiseront, et que la gouvernance par le chaos ne peut être ainsi totalement contrôlée. D'autant plus que Droite et Gauche sont de plus en plu mesquinement dans les détails ou absurdement dans l'égarement de leurs valeurs, et que Mélenchon amalgame dans une totale incohérence des composantes de gauche (islam et lgbtisme) qui n'ont strictement rien avoir et Marine Le Pen lâche les fondamentaux d'un sursaut national (quoique le super extrémisme du parti « Reconquête » de Zemour a dédiabolisé le RN, mais préserver le RN comme un opposant à détester avant une élection permet au pervers système oligarchique de pas avoir besoin de faire de la politique), ce qui permet à Macron de se maintenir. (D'ailleurs la stratégie de dédiabolisation permettant au RN d'arriver au deuxième tour d'une élection politique, puis sa rediabolisation lors du tour suivant fonctionne de mieux en mieux pour le centriste système oligarchique UMPS au pouvoir. Surtout que LFI appelle ensuite à voter Macron. En sachant que selon le Média en 4-4-2 Florian Philippot, président des Patriotes, a réagi avec virulence à la situation politique actuelle en France et au refus du RN de voter pour la destitution de Macron, ce qui prouve au final le parti unique de la politique en France. D'ailleurs suite aux législatives 2024, Macron avait donc nommé comme premier ministre Barnier qui est un commissaire européen, mais en partie conservateur.
Or « Jacques Cheminade souligne que Barnier a joué un rôle prépondérant dans la préparation du traité de Lisbonne (et dénonce donc son mondialisme), qui a remplacé le traité constitutionnel européen rejeté par les Français en 2005. Cette manœuvre montre que l’ancien négociateur en chef du Brexit est prêt à contourner la volonté du peuple pour servir les intérêts de l’oligarchie financière. En outre, Jacques Cheminade met en garde contre une politique d’austérité imposée par l’Union européenne, qui pourrait plonger la France dans une crise politique et économique. Il appelle à une mobilisation pour une politique de paix et de développement économique, en rupture avec l’oligarchie financière qui contrôle les gouvernements. » (Média en 4-4-2)
D'ailleurs avec la France mise sous surveillance voire tutelle de l'UE pour déficit excessif voire budget 2025 impossible, les élections législatives n’auront très probablement eu qu’un seul but qui est d’avoir un parti et un gouvernement obéissant aux ordres de l'oligarchie de Bruxelles. Et avec l'élection de Trump, l'Union Européenne pourrait accélérer sa fédéralisation par l'excuse de la nouvelle orientation isolationniste des USA.
« (Suite à la prise de fonction de Barnier en tant que premier ministre, des manifestations de gauche ont eu lieu car il est de droite alors que c'est le Nouveau Front Populaire de gauche qui a gagné les législatives.) On a presque pitié pour tous ces manifestants qui descendent dans la rue sous des mots d’ordres dépassés, reliquats de la vieille opposition droite/gauche, désormais morte, alors que la vraie lutte est entre les souverainistes et les mondialistes. (Or le souverainisme n'existe presque plus voire plus du tout dans le système politique de France synonyme de parti unique, car tous les grands partis sont pour l'UE et donc l'immigration massive, même les partis prétendument d'extrême-droite que sont le RN et Reconquête. D'ailleurs ces deux derniers se mêlant en plus comme le pouvoir macronien des conflits internationaux dont en soutenant l’État israélien, contribue encore plus directement à l’aggravation de la crise en devenant les alliés objectifs de ce qu’ils prétendent combattre, puisque créant toujours plus d'immigration massive dont des palestiniens et des libanais ou toujours des syriens. Mais quelques différences entre ces partis évitent quand même un certain totalitarisme.) » (ER)
« Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont passé un accord secret pour la nomination de Michel Barnier Premier ministre, assure le JDD, évoquant plusieurs sources en macronie et au RN. Ce deal a été mené par Thierry Solère, conseiller officieux du PR, 13 fois mis en examen… En juillet dernier, Libé révélait déjà que Marine Le Pen et Jordan Bardella avaient été reçus plusieurs fois chez Thierry Solère, le conseiller de l’ombre multi-mis en examen du PR, avec autour de la table Édouard Philippe et le min. des Armées. » (Brèves de presse sur X) Quatre ans plus tard, Macron, sous la pression de 10,6 millions d’électeurs frontistes, négocie avec Marine le nom du Premier ministre. Exit Xavier Bertrand, trop anti-RN et peut-être trop franc-mac (ou trop mauvais), et bonjour Barnier, pourtant pas le choix premier du Président. C’est ce qu’on raconte dans la coulisse. Marine Le Pen a indiqué « penser » que le discours de politique générale de Michel Barnier « correspondra très certainement sur un nombre de sujets non négligeables aux espérances » du Rassemblement national. (Reste à savoir si Barnier serait allé vers une Europe des nations conservatrice, ce qui paraît peu probable puisque il a participé à créer le nouvelle constitution européenne imposée sous Sarkozy le après le refus des français lors du référendum contre la précédente en 2005 et a déjà rejeté le débat sur l'interdiction du mariage homosexuel. Pourtant suite à l’élection de Trump le sens de l'histoire semble être une Europe devenant puissante par sa transformation en Europe des nations ou sans commission européenne et avec démocratie législative du parlement européen.) C’est pourquoi Le Pen justifie le fait que le RN ne votera pas de mention de censure d’ici là, jugeant celle-ci « pas raisonnable ». (Or il s'agit très probablement d'abord d'un arrangement probablement validé par tous dont le front de gauche puisque ayant appelé à voté pour Macron au deuxième tour, car sinon le peuple aurait vu que malgré le blocage du parlement actuel, le pays tourne encore et les députés et sénateurs sont quand même payés.) » (RMC) Dernière cette cohabitation Macronie-RN qui ne dit pas son nom, mais qui est électoralement logique, Marine vise de nouvelles législatives d’ici un an, et la majorité absolue, loupée en juin 2024, ou barrée par l’union républicaine de la gauche et de la Macronie.) Dans une interview accordée à Radio Courtoisie, Florian Philippot a a critiqué la complicité entre le Rassemblement National (RN) et la macronie, affirmant que tout député qui ne votera pas la destitution d'Emmanuel Macron est un traître à la nation. Ce président des Patriotes a aussi appelé à une prise de responsabilité des députés, affirmant que la situation est bien trop grave pour se cantonner à des jeux politiciens classiques. Il a souligné l’importance de poser les vraies questions de fond aux Français, notamment sur l’Union européenne, l’immigration et la liberté d’expression. Florian Philippot a insisté sur le fait que la France est sous tutelle de Bruxelles, avec des obligations budgétaires strictes et des amendes potentielles.) Ainsi il y a une forme de parti unique en France, car la droite, le centre et la gauche valident l'Otan, l'Euro, l'UE (et donc l'oligarchie laïciste eurpéiste), le Lgbtsime, la vaccination ARN l'avortement constitutionnalisé, l'euthanasie, l'anti-Russie, la politique génocidaire israélienne (sauf extrême-gauche) et donc un agenda mondialiste similaire, mais la droite RN peut progressivement changer une fois au pouvoir afin de plaire à ses très nombreux anciens et possibles nouveaux électeurs, si par la division les favorisant, elle et les autres partis actuels ne vont pas vers la synthèse supérieure demandée par les oppositions et donc la dialectique, ni par conséquent vers une sortie par le haut. D'ailleurs les élites mondialistes et sionistes ne sont clairement pas prêtes à sacrifier la France qui est leur capitale principale, même si elle devient soumise au FMI, car elle est un des fer-de-lances principaux du laïcisme, du gauchisme, du lgbtisme, du sionisme et de la finance mondialistes, dont car comme il sera revu elle est disputée entre le catholicisme romain charitable et le judéo-protestantisme cupide, et donc même si le RN passe, surtout que la commission européenne voulant fédéraliser l'UE après les JO, cela écraserait encore plus les patriotes authentiques si ça se faisait sous le RN qui est donc pro-UE, en sachant qu'atténuer l'influence du RN s'il ne passe pas facilitera évidemment la fédéralisation de l'UE (surtout que Macron veut très probablement devenir le premier président de l'UE fédéralisée tel un faux messie), et que sinon la guerre en Ukraine peut aussi la faciliter, car cela amplifie l’étouffement de l'économie française par Macron et donc son risque de mise sous tutelle de l'UE. (Il faut noter que cette dissolution pourrait ne pas apparaître comme la conséquence des européennes puisque les scores généraux sont proches du classique, mais en remarquant la  grande perte de voix de près de deux tiers du parti Macroniste qui est le parti principal portant la fédéralisation de l'UE, dont Macron le représentant principal des mondialistes aimerait donc être le premier président, cela devient plus clair surtout s'il espère que son parti fasse un score beaucoup plus grand à ces législatives. D'ailleurs au final, le choix de Barnier par Macron comme premier ministre pouvait accélérer la dissolution de la France dans les diverses instances nationales et donc accélérer la fédéralisation de l'Europe. En tout cas suite à la censure de Barnier et l'arrivée de Bayrou au poste de premier ministre, il est clair que la France est une fausse démocratie, puisque ce sont les perdants de l'élection législtaive qui sont au pouvoir. En effet suite au choix de Bayrou comme premier ministre après Barnier, sur les 565 députés, 250 n’auront toujours pas de représentant au gouvernement, dont le Rassemblement national (124 députés) et les partis de gauche (71 NFP et LFI, 38 Ecologistes, 17 Gauche Démocrate et Républicaine). En revanche Renaissance (Ensemble pour la République) qui a 93 députés occupe 8 ministères, les partis de droite et les ministres du gouvernement Barnier (ils sont 17) et du gouvernement Borne (3) se partagent les parts de gâteau qui restent.) D'autant plus que suite à l'union des gauche « Nouveau Front Populaire », l'antisionisme a en partie disparu de LFI et donc plus aucun grands partis supporte les palestiniens suite à la dissolution de l'assemblée nationale par Macron. Dans ce sens lors de cette campagne pour les élections législatives de juin 2024, la lutte contre l'antisémitisme correspond à ce qui divise le plus le pays et donc y apporte le plus le chaos, alors que les juifs sont moins d'1% de la population, ce qui interroge évidemment sur le véritable sens et donc la possible manipulation via cette lutte. En sachant que Le Pen s'est dit sioniste mais parle d'un gouvernement d'union nationale si le RN se faire élire et que le front populaire de gauche demeure anti-islamophobie. D'ailleurs dénoncer l’antisémitisme peut têtre une stratégie politique permettant au RN de rafler les voix inquiètes de l’islamisme, et de la pseudo complaisance de LFI. Alors que pour la Licra sur X : « Le programme du #frontpopulaire comprend la lutte contre l' «islamophobie» (p. 10). Cette notion dévoie la lutte contre le racisme et criminalise la libre critique de l'islam. En France, la critique des religions est libre, n'en déplaise à cette gauche qui trahit la #laïcité. » En 2012, Alain Soral évoquait déjà le « retournement d’alliance » de la communauté organisée, le passage de l’antiracisme à l’islamophobie : la judéophobie, c’est du racisme ; l’islamophobie, c’est autorisé. Avec en plus les diverses luttes antiracistes et Lgbt, dans notre pays, tout est fait pour briser l’unité nationale, car elle est synonyme, pour le pouvoir occulte aux commandes, de fin de règne. « Si la France est dirigée par les LFI (qui est un parti anti-captialiste à la différence du RN qui est un parti capitaliste) nous irons droit dans le mur en quelques semaines. Si la France est ingouvernable nous irons droit dans le mur en quelques semaines car nous serons incapables de voter un budget. Imaginez la tête des marchés une seule seconde. La réalité c’est que la France a désormais une probabilité très grande de se retrouver sous la tutelle d’une Troïka (FMI/BCE/Commission Européenne) comme cela fût le cas pour la Grèce (et c'est possiblement le grand but recherché afin de préserver l'UE voire réussir sa fédéralisation, même si c'est le RN qui gagne les législatives de Juin 2024 plutôt que le Nouveau front Populaire. D'ailleurs l'extrême droite pourrait n'arriver au pouvoir que juste avant que la France s'effondre économiquement, afin de légitimer encore plus son effacement au profit de l'UE supranationale.).  Brillant résultat du règne maudit du Mozart de la finance de l’Elysée qui n’est qu’une vaste fumisterie. Une escroquerie, de sa première élection à sa désastreuse dissolution (qui pourrait en plus servir à faciliter la fédéralisation de l'UE suite à la première place du RN aux européennes). La réalité c’est que dans 3 semaines, nous allons voter pour le capitalisme ou pour le communisme. D’autres voteront pour ou contre l’immigration. Le débat sera hystérisé. Les positions radicalisées. Les violences exacerbées. La réalité c’est que dans tous les cas, il n’y aura aucune bonne solution et que la situation sera compliquée, dans les urnes, dans les rues et dans les comptes publics. » Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant et dont les chefs se goinfrent dès le matin ! » (Ecclésiaste 10) Nous y sommes. Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous ! (Or la paupérisation du bas de la société et des services publiques (en particulier hôpitaux) par les forces d'argent est telle que le plan du front populaire parait important, quoique la France a aussi besoin de retrouver plus d'ordre, de faire des économies et donc de tendre au protectionnisme en particulier économique avec la droite. Ainsi c'est l'extrême centre pervers Macronien qu'il paraît le plus important d'éviter, dont car cette idéologie correspond trop à la vie pour les chiffres économiques et donc insuffisamment à l'humanisme et aux valeurs traditionnelles, populaires et nationales, comme le prouve son pro-lgbtisme et son mondialisme oligarchique.) » (Charles Sannat)
« La culture ploutocratique mondialiste prétend être à travers Macron l'accomplissement de la révolution (moderne, bourgeoise) de 1789 alors qu'elle est sa réalisation illusoire post-moderniste car perverse et dégénérescente dont au niveau culturel, alors que la culture française est basée sur la lutte et le domptage de la menace capitaliste. En effet avec le post-modernisme macroniste on est dans la soumission et même l'accompagnement intégraux au capitalisme. Par son libéralisme financier autoritaire lors d'une guerre civile sociale, Napoléon 3 fut le premier pré-macron. Donc les conservateurs bonapartistes font une grave erreur. Même le premier Bonaparte fut l'épée de l'ordre bourgeois capitaliste de 1789 et l'exportateur de la démocratie libérale de 1789, et le destructeur de l'empire traditionnel en Europe, tout en finissant par devenir un tyran dans le sens qu'il doit y avoir l'ordre capitaliste ou il y aura le chaos, c'est à dire dans le sens d'en dehors de moi point de salut, ou après moi le déluge. Macron représente l'apothéose de l'ultime golem de la caste judéo-ploutocratique, dont à travers l'écrasement du parlement à coup de 49/3 et de décisions du conseil d'état, etc. Mais leur problème de fond en plus de la crise politique, c'est la faillite économique de l’État français, ce qui entraînera toujours plus de répressions et d'autorité jusqu'à l'état policier dont par l'article 16 si nécessaire tel le pouvoir absolu de Napoléon, comme s'ils avaient écrit leurs lois par avance dans ce sens et donc organisé tout ce scénario. Mais en allant dans le parallèle avec Napoléon jusqu'au bout, on ira jusqu'à sa défaite à Waterlow. Mais à quel prix et à quelle vitesse, y parviendra-t-on ? » (Pierre de Brague)
Dans les récents systèmes hégémoniques comme l'URSS, la bureaucratie se tyrannise puis se décompose elle-même jusqu’à la forme la plus dégradée de la bureaucratie, qui est la bureaucratie policière. Au terme de cette évolution, il ne subsiste de l’État qu’une police, une police pour le contrôle, la surveillance, l’exploitation et l’extermination du citoyen, et c'est ce qui risque d'arriver au système occidental démocratique, laïciste, wokiste, oligarchique, Lgbt et sioniste, si les peuples ne se réveillent pas massivement.
Et si la victoire du RN survient un jour, on verra si cela plonge le pays dans le chaos, et si les FDO vont tabasser les jeunes, les antifas et les syndicalistes comme ils ont tabassé les Gilets jaunes, et s'ils vont manifester aussi longtemps, qualitativement et quantitativement que les gilets jaunes, en particulier si le RN n'améliore pas la situation de la France, ce qui prouverait encore plus que la souveraineté politique est désormais clairement à Bruxelles, puisque les fréquentes sanctions de l'UE (commis ion européenne) contre diverses nations n’appliquant pas certaines de ses politiques le prouvent déjà...
Or la faillite et le chaos de la France pourrait être nécessaire pour arrêter l’étouffant asservissement politique et technocratique aux puissances de la dette et librement refonder révolutionnairement le système dont en s'orientant vers les BRICS+. Mais cela pourrait aussi justifier le maintien au pouvoir de Macron dont en faisant porter le chapeau de la mauvaise situation économique au futur premier ministre, surtout qu'en cas de cohabitation Macron garderait la main sur le Sénat, le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État, ceux qui ont validé les réformes controversées du quinquennat et restent des alliés fidèles du président, ainsi que sur les institutions supranationales telles que Bruxelles et les marchés financiers.
En effet l’article 16 de la Constitution française accorde des pleins pouvoirs exceptionnels au président de la République en cas de menace insurrectionnelle, de blocage du parlement ou d’interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics, et il y a un risque de chaos important dont si la droite passe et rien ne change beaucoup dont sans majorité absolue. Surtout que Macron a même averti d'une possible guerre civile et les candidats de son camp (LREM) ne l’affichent même plus sur leurs affiches et dissimulent leur appartenance pour espérer êtres élus, mais il continue pourtant d’être très présent médiatiquement comme s'il voulait vraiment la guerre civile qu'il y a d’ailleurs évoquée pour activer cet article 16 dictatorial, quoi que ce dernier est actuellement peu nécessaire puisque la France est dans un état d'exception, depuis les attentats de 2015, puis le covid puis la guerre en Ukraine, et que le RN n'est pas passé. En sachant que sans assemblée nationale ayant une majorité ni de premier ministre suite aux législatives dont avec sa trêve politique à cause des jeux olympiques voire aussi paralympiques qui durera jusqu'au 8 septembre, voire plus, Macron pilote l'Etat déjà tel un tyran. D'ailleurs ensuite, le blocage des institutions par le motion de censure suite aux législatives 2024 est tel que le porte-parole du Modem, le parti du deuxième Premier ministre, brandit la menace de l’article 16.
Et avec une guerre en Ukraine, l'article 16 pourrait aussi servir à Macron à se maintenir au pouvoir au-delà de son mandat. C’est une sorte de putsch. Le président se substituerait au Parlement et gouvernerait par ordonnances, sans en référer ni à son Premier ministre ni à ses ministres. Et c’est légal !
Ce risque de mini guerre civile à cause des extrêmes aurait donc été créée et sauvée par Macron tel un pompier pyromane, retrouvant de l'admiration et du pouvoir. Mais si Mélenchon n'est pas élu premier ministre ou que le programme du Front Populaire n'est pas appliqué, des émeutes de blackblocks pourraient être rejointes par les cités et les patriotes, car la stagnation politique sans donc retour politique en arrière au moins partiel est une victoire pour l'actuelle tyrannie oligarchique mondialiste avancée, quoique bloquer la poursuite ultralibéralisme soit aussi une victoire pour le peuple. Mais il apparaît que le Populisme a été contenu et le système bourgeois sauvé. Le peuple a de nouveau voté comme on le lui a dit pour le plus grand profit de la bourgeoisie. Certes, l’assemblée est un peu divisée et sera difficile à manier, mais la dette a tellement raccourci la marge de manœuvre de la France que le programme anti social de la macronnie passera tout debout, sous pression de la tyrannie. En sachant que l'Etat d’exception correspond à la suspension de la loi et donc de la constitution réelle, que dans ce cas le dictateur se différencie du tyran en tendant quand même à respecter la loi habituelle, et que l'état d'urgence est presque permanent depuis les attentats 2015, suivis par le Covid, suivie par la guerre en Ukraine. Mais tout cela pourrait accélérer une révolution populaire. (Surtout qu'après la proposition de Mélenchon de destituer Macron pour refuser un premier ministre du nouveau front populaire suite à sa victoire aux législatives, le Rassemblement National (RN) a annoncé qu’il ne voterait pas la destitution de Macron, arguant que cela « abîmerait la fonction présidentielle ». Le parti de Marine Le Pen trahit donc ses idées et les Français en refusant de s’allier à la gauche pour destituer le président. Le RN s’affiche comme une fausse opposition ou une opposition mystérieusement contrôlée, pilotée par l’oligarchie, et permettant ainsi à Macron de poursuivre ses politiques européennes, wokistes et donc anti-nationales.) En sachant que cela confirmerait aussi l'actuelle inanité du système électoral français puisqu'il n'y a pas de majorité absolue et que le pays est presque ingouvernable, et c'est possiblement aussi ce que Macron recherche, c'est à dire rendre ingouvernable de l'intérieur pour le gouverner de l'extérieur via l'UE. Alors le 49/3 doit servir sans hésitation, bien que la construction d'une loi avec l'opposition est parfois améliorée. En sachant qu'un 49/3 est empêchable par 289 voix contre au parlement, et que la majorité proche absolue est donc importante dans ce sens, sinon une motion de censure peut faire sauter le gouvernement, ce qui serait quand même une honte d'avoir bloqué les vainqueurs politiques et le pays dont selon une grande partie du peuple. Or aucun élu du NFP, candidat au poste, ne peut prétendre qu’il l’a été sur son programme, puisque les voix qui l’ont porté à la chambre viennent tout autant du camp et du programme adverse pour faire barrage au méchant RN. Mais cette dissolution pourrait aussi simplement être une  modification de la face du système afin de le conserver, surtout que Bolloré a lâché Zemmour président des Reconquête (droite extrême) et pousse Cioti président des LR (droite modérée) vers le RN.
Or la Macronie pourrait aussi simplement garder le pouvoir aux élections 2027 à cause donc de l'impossibilité au RN de pouvoir changer beaucoup les choses. En sachant que la fausse alternance gauche/droite de l'UMPS qui a fini par lasser le peuple et donc laisser une place au centre Macroniste pour atténuer le mécontentement populaire, ne peut plus se faire avec la droite devenue de plus en plus extrême et la gauche devenue aussi extrême, et c'est possiblement pour ça que la droite met de l'eau dans son vin concernant son islamophobie et la gauche met de aussi de l'eau dans son vin concernant son anti-sionisme. Il n’y aura sans doute plus de grands partis pour pleurer les Palestiniens, qui sont déjà oubliés, ou pour s’opposer à une guerre contre les Russes ou les Chinois. Et peut-être est-ce tout ce qui comptait.
Après avoir accompli à peu près tout ce pour quoi il avait été mis en place, Macron semble donc mettre fin au « en même temps » qui lui aura permis d’être cette météorite néo-libérale qui s’est abattue sur la France depuis bientôt dix ans. Il remet le pays comme il l’a trouvé politiquement avec la recomposition d’une stérile opposition droite-gauche. Une droite et une gauche qui ont entre-temps été intégralement purgées de tous leurs éléments souverainistes et mis sous contrôle de forces pro-européennes, atlanto-sionistes et sur les rails de la guerre. La seule véritable stratégie révolutionnaire possible étant inéluctablement repoussée : à savoir le passage au service du peuple (le monde du travail) qui vote RN de la petite bourgeoisie intellectuelle (sociale et pro palestinienne) qui est chez LFI. En effet il faut espérer que cette dissolution correspond à un réel besoin de changement politique et économique pacifique et donc plus en douceur.
« Après un certain décalage dans le temps qui correspond au processus de compréhension, c’est-à-dire de la montée de la conscience face à une problématique nouvelle, le Français de base finit, en régime ultralibéral hostile, par voter RN, ou LFI, ce dernier choix correspondant à une prise de conscience incomplète. Attention, ici, on devrait dire, pour être précis, que l’ultralibéralisme mène à un vote social-national si sa violence, ou le rapport entre la politique de l’oligarchie et la souffrance populaire (collective ou personnelle), est bien établi, sinon à un vote social-antinational au cas où les individus sont encore sous contrôle mental. L’antinationalisme antisocial, c’est le fondement de l’ultralibéralisme. Il est antinational parce que transfrontalier et anti-État, et il est antisocial par nature : pour l’oligarchie, contre le peuple. C’est d’une évidence biblique aujourd’hui chez nous, dans ce pays chrétien qui a trop fait confiance à ses élites, qui en ont profité pour le trahir, et le déposséder. Le peuple français ne possède plus grand-chose – les services publics sont détruits les uns après les autres – et il possède encore moins son destin. Ce n’est pas la petite maison ou le petit appartement qui comptent, car ceux-là aussi seront volés par ruse. Mais il possède encore sa volonté et sa colère. Le peuple a essayé, avec les Gilets jaunes en 2018-2019, de reprendre son destin en main, mais le soulèvement des perdants de la mondialisation n’a pas été suivi par les forces intermédiaires de la société, à savoir les partis de prétendue opposition, les syndicats de prétendue protection des travailleurs, et les médias, ce prétendu quatrième pouvoir. Tous ont pourfendu le mouvement, pourtant justicier. Mais il était révolutionnaire. Aujourd’hui, six ans après les Gilets jaunes, ce tremblement de terre social se traduit dans les urnes. C’est le temps long de la politique : personne n’a jamais dit que le Grand Soir arriverait en cinq minutes. Ceux qui n’ont pas eu le courage d’accompagner les Gilets jaunes dans la rue, pour renverser le Système, seront balayés dans les temps qui viennent : partis réformistes, syndicats véreux et médias prostitués. Les partis d’alternance se sont déjà effondrés, laissant la place aux partis révolutionnaires. Quant aux syndicats, sans l’argent du Système, ils sont virtuellement morts. Les médias ? Il n’y a plus que les idiots pour les croire. Les Français, qui ont eu peur de la répression policière de 2018-2019, se vengent aujourd’hui dans l’isoloir : c’est plus lent, mais plus sûr, car c’est anonyme. Certes, ils vont en ordre de bataille dispersé, entre populistes de droite et populistes de gauche (les deux blocs représentent les deux tiers de l’électorat, ces fameux « deux Français sur trois » chers à Giscard !), mais cette scission artificielle, qui permet au bloc ultralibéral de se maintenir, est condamnée à terme. Quand la souffrance sociale sera insupportable, les deux blocs écraseront le centre et fusionneront, de gré, ou de force. Car c’est notre destin, celui que les forces du mal veulent empêcher à tout prix, même à celui de la guerre, civile ou mondiale. Le seul vecteur de changement dans l’histoire, c’est la souffrance sociale, bien sûr, mais la souffrance sociale couplée avec l’audace, car sans audace, ni croyance en la victoire, rien n’est possible. Il y a un siècle, d’autres, dans d’autres pays, ont renversé la table avec leur volonté et leur colère. C’est pourquoi il ne faut pas dire « Macron a tout prévu », « Macron est un génie de l’ingénierie politique », « Macron pousse les LFI et les RN à s’entretuer », non : la Macronie est en panique, leur navire coule, et la France n’est pas la Macronie. Nous lui survivrons. Il faut croire en la victoire, même si LFI s’aligne sur les conneries woke et si le RN s’aligne sur Israël et l’Ukraine. Ce n’est pas exactement de la taqîya, mais pour prendre le pouvoir, il faut parfois montrer patte blanche. Pour que le pouvoir profond, qui tient encore les manettes, l’ait bien profond. Le changement passe donc par un effort de tous ceux qui sont les victimes de l’ultralibéralisme, plus ceux qui sont menacés par lui et qui ne le savent pas encore, ou ne veulent pas le savoir, car l’homme n’aime pas les nuages noirs qui s’amoncellent. Pourtant, ils sont là, sous nos yeux, et l’oligarchie, pour une fois, ne nous ment pas : crise sociale aiguë, risque accru de guerre civile pour faire s’entrechoquer les deux forces populistes qui menacent le Système, et guerre totale sous l’égide de l’OTAN pour le compte d’une Amérique rendue folle par la fin de son leadership mondial. Oui, nous sommes en 1936, nous sommes en pleine déconfiture de la « Ve République de Weimar », tous les voyants sont au rouge pour nous, mais aussi pour ce Système mortifère. » (Article « L’ultralibéralisme cherche à détruire l’opposition féroce qu’il produit » de la rédaction ER)
C'est un excellent article, car il faut effectivement tout envisager en particulier le positif plus ou moins pacifique et donc la cohésion du peuple (même si avis divergents) attendant de voir comment évoluent les nouveaux pouvoirs politiques et d’éventuelles frondes en leur sein s’ils trahissent le peuple, comme il pourrait y avoir une fronde avec l'idéologie trumpiste au sein du RN. En sachant que la majorité absolue à l'assemblée nationale facilitera le nouveau parti au pouvoir, sinon le président Macron aura plus de marge et sera encore plus au centre du jeu comme il a réussi à le préserver par sa dissolution. Et ça se trouve toute cette effervescence politique va donc ne servir à rien et presque rester sur le statu quo actuel, si le parlement n'a pas de majorité absolue, et n'aura été donc que du temps de gagner pour faire une rupture avec la victoire du RN aux européennes dont pour faciliter la fédéralisation de l'UE.
« Ce qui est à craindre en définitive, c’est un gouvernement à l’espagnole : coalition allant du centre-gauche à l’extrême gauche (sociétale et mondialiste, et donc pro-UE et peu sociale) où cette dernière donne le ton. On sera étonné de ces convergences , mais cessons de penser, comme on se le figure dans les beaux quartiers, que Macron est un centriste ; hormis le soin des plus fortunés, toutes ses positions sont à cette extrême gauche. Ce qui caractérise notre époque, que très peu comprennent, c’est le passage à l’extrême gauche de la partie la plus engagée du grand capital international (Bill Gates, Warren Buffet, George Soros, Jeff Bezos et d’autres). Eux seuls sont assez puissants pour imposer l’idéologie woke oligarchique à tout l’Occident. Ils n’y arrivent pas dans le reste du monde et c’est peut-être pourquoi nous avons une guerre. De cette gauche qui domine le monde, Macron est le parfait représentant et Mélenchon ne s’est à notre connaissance jamais distancié. La seule empoignade qu’il faille attendre de cette alliance est le partage des revenues, déjà en cours. La seule chose qu’il faille redouter, ce n’est pas le chaos, c’est qu’ils ne s’accordent que trop bien pour détruire encore plus la France. » (Rédac ER)
« La victoire surprise du Nouveau Front Populaire aux élections législatives pourrait marquer un tournant dans la politique économique du pays. Le parti de gauche a annoncé son intention de mettre en œuvre un programme économique qu'Eric Verhaeghe qualifie de "soviétique", ce qui pourrait entraîner une divergence avec les engagements pris par la France en signant le traité de Maastricht et provoquer une crise économique sans précédent. Selon Eric Verhaeghe, le programme économique du Front Populaire prévoit une étatisation générale de l’économie, une inquisition fiscale, une augmentation massive des dépenses publiques et un contrôle accru de l’État sur tous les segments économiques. Ces mesures, qui visent à remettre en cause la propriété privée et la liberté d’entreprendre, sont similaires à celles préconisées par Klaus Schwab, le président du Forum économique mondial de Davos, dans son livre « The Great Reset ». (Car quoi de mieux que de faire passer cet agenda par un autre parti que celui de Macron. D'ailleurs le Front Populaire étant composé de plusieurs partis, le premier ministre qui en sortira pourra en cas de mécontentement populaire être désigné tel le mouton noir de même que son parti afin de conserver les électeurs.) Cependant, la mise en œuvre de ce programme économique pourrait entraîner une divergence avec les engagements pris par la France en signant le traité de Maastricht, qui crée une zone monétaire unique et exige une convergence des politiques budgétaires entre les pays membres. En cas de crise économique, la France pourrait se retrouver dans une situation similaire à celle de la Grèce, avec une spéculation inévitable des marchés sur l’insoutenabilité de sa politique économique. Nous aurions donc une augmentation de l’inflation, une fuite de capitaux, une spéculation sur l’échec de la politique économique et une augmentation des taux d’intérêt auxquels la France devra emprunter pour financer ses services publics. Face à cette situation, Emmanuel Macron pourrait faire preuve de machiavélisme et laisser la situation se dégrader avant de reprendre le contrôle. » (Média en 4-4-2)

Suite à la déclaration de Marion Maréchal « La Russie n’est pas une démocratie, c’est un régime autoritaire, un simulacre d’élection ! », Marcel D. a répondu :
« Marion Maréchal, la championne de la démocratie à géométrie variable, était de retour ! Après avoir souhaité la victoire de l’Ukraine et demandé une aide financière pour la production de munitions face au Kremlin — histoire d’alimenter la guerre —, elle nous explique maintenant que la Russie n’est pas une démocratie, mais un régime autoritaire avec des élections simulées. Mais qu’en est-il de la France, Marion ? C’est pas ici qu’on utilise la justice pour virer les candidats qui dérangent, qu’on bidouille les comptes de campagne, qu’on ment sur sa vie privée et son pognon, qu’on achète des médias pour sa cause, qu’on trafique le dépouillement des votes ? Ce n’est pas Zemmour qui passe en boucle sur les chaînes de Bolloré, alors qu’un Asselineau doit se contenter de sa chaîne YouTube ? Rappelons à notre chère Marion que la démocratie, c’est le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple. Et en France, en 2005, le peuple a dit « Non » au référendum sur le Traité constitutionnel européen. Mais nos dirigeants s’en sont tartinés la rondelle et nous ont imposé le Traité de Lisbonne, qui reprenait quasiment les mêmes trucs, sans même nous demander notre avis. Et que dire des 49.3 ? Et pendant ce temps-là, la France s’enfonce dans la dette, la pauvreté, le manque de logements, les hôpitaux qui tombent en ruines, la délinquance à tous les coins de rue, nos vieux qui fouillent dans les poubelles pour bouffer et nos étudiants qui font la queue à la soupe populaire pour se remplir le ventre un repas sur deux, augmentation du gaz, de l’électricité, et tout ça pour les beaux yeux de l’Ukraine. C’est ça la démocratie, Marion ? Le wokisme, l’éducation sexuelle en primaire, Cohn-Bendit, Frédéric Mitterrand, Jack Lang, les maisons squattées des propriétaires, interdire aux non-vaccinés de bosser, de prendre un café, aux mômes interdits de piscine… ?  Mais t’inquiète pas, Marion, la Russie se porte bien, merci pour elle. Depuis que Vladimir Poutine est aux commandes, le PIB a augmenté, les réserves de change ont atteint plus de 650 milliards de dollars avec un fonds souverain de 150 milliards de dollars, pas de dette, la Russie est le deuxième exportateur de pétrole au monde, et l’industrie russe représente 30 % du PIB. Et tout ça grâce au soutien indéfectible du peuple russe à leur président. Là-bas, pas de wokisme où on apprend la masturbation aux mômes avant même qu’ils sachent lire et écrire, pas de propagande LGBT, pas de délinquance à chaque coin de rue. La police assure la sécurité des citoyens. Les valeurs familiales sont mises en avant et le respect des anciens est un trésor. La religion est respectée et les mômes écoutent leurs parents avec attention.  Mais pourquoi donc, Marion, les Russes soutiennent-ils autant Poutine ? Pour te répondre, voici les propos de Margarita Simonyan, rédactrice en chef de RT, qui suffisent à eux-mêmes : BBC : Pourquoi n’y a-t-il pas d’opposant sérieux à M. Poutine ? Margarita Simonyan : Y en a-t-il besoin ? BBC : Pourquoi n’en aurait-il pas besoin ? Margarita Simonyan : Pourquoi pensez-vous toujours que votre manière de vivre est meilleure que la nôtre ? Regardez vos questions : « Pourquoi ne faites-vous pas tout comme nous ? » – Parce que nous ne sommes pas vous et que nous ne vous aimons pas beaucoup… » Marion, occupe-toi de tes fesses et arrête de donner des leçons de démocratie aux autres ! On a assez de nos propres problèmes à régler en France, alors cesse de faire preuve d’hypocrisie et de duplicité. Balayons devant notre porte avant de critiquer les autres. »
« La stabilité stratégique du monde global passe par la destruction de la Russie, la stabilité stratégique de la Russie passe par la destruction du monde global. Lorsque l’on voit le chemin parcouru depuis le début des années 2000, nous voyons un pays avec une autre puissance. Qui peut donc obtenir une autre place sur la scène internationale, dans l’agencement globaliste, qu’il ne remet pas encore frontalement en cause, faute d’une réelle indépendance idéologique. Mais l’histoire avance, elle reprend ses droits et s’impose petit à petit. À chaque fois, la frontière politique se déplace un peu plus vers la souveraineté de la Russie, objectivement, malgré les réticences d’une bonne partie des élites politiques. L’évolution semble inévitable, surtout que le danger existentiel pour la Russie présenté par l’Occident est reconnu, parallèlement à la perte d’attractivité de l’Occident wokiste. La stabilité stratégique de la Russie dépend d’un ensemble de facteurs, qu’elle maîtrise en partie et d’autres qu’elle ne maîtrise pas directement, comme tout pays. La Russie peut assurer la stabilité sur le territoire qu’elle contrôle. Et ici, la question du territoire est fondamentale. Le contrôle peut être direct, lorsqu’il s’agit du territoire étatique – ainsi la prise de territoire sur le front ukrainien est une garantie de stabilité. Le contrôle peut être indirect, il dépend alors de la capacité de la Russie à générer une autre vision du monde, alternative à la globalisation, qui soit acceptable et intégrable par les autres pays. Ici, le potentiel existe, mais il est très loin d’être réalisé. Les « valeurs traditionnelles » accompagnées de tout l’arsenal conceptuel globaliste (ne retenons que l’expression « Sud Global », qui maintient le discours dans un paradigme globaliste) ne permettent pas – encore – à la Russie de s’engager dans une voie lui permettant de mettre en place les conditions d’une véritable stabilité stratégique. Elles seront en place lorsque le pas de la remise en cause du modèle globaliste de gouvernance aura été fait. L’histoire avance. La paix, qui va de paire avec la stabilité, ne sera possible que lorsque l’un des deux clans aura perdu. En quelque sorte, Borrell est honnête, malgré lui : la victoire doit passer par le champ de bataille. Mais pas uniquement. La dimension idéologique commence à être intégrée (et devient prioritaire). » (Planete360)
« Si tous les pouvoirs sont aujourd’hui déconsidérés en France, c’est parce qu’ils pratiquent le disqualifiant deux poids deux mesures :
- Cela vaut pour le pouvoir médical, qui n’accepte aucune erreur et qui envoie par millions les Français se faire injecter une substance aussi douteuse que chère, tout en harcelant les soignants soucieux de la santé de la population (et du service public de santé) ;
- cela vaut pour le pouvoir politique, qui ne fonctionne plus que par 49-3 ;
- cela vaut pour le pouvoir judiciaire, qui est miné par l’idéologie franc-maçonne, c’est-à-dire antifrançaise ;
- et cela vaut pour le pouvoir médiatique, qui travaille uniquement pour l’oligarchie, pas pour le bien commun.
Et le pire, c’est que ces pouvoirs sont consanguins, verticalement avec les fils et filles de, et horizontalement, puisqu’ils font front commun. Il n’y a pas en France de séparation des pouvoirs. Le pouvoir unique fait bloc contre les Français. » (Rédaction ER)
Suite aux gilets jaunes synonyme de nouvelle lutte pour le peuple, la justice sociale, le patriotisme et la spiritualité, il n'est donc pas étonnant que le covid soit apparu. De même il n'est pas étonnant que le clivage entre l'extrême droite et l'extrême gauche soit réapparu après l'extrême centriste Macron, ou plutôt le pion de l'extrême violence de la Banque qui s’enrichit au détriment des Français et qui laisse le pays exsangue. En effet Macron correspond à l'union de la droite financière et de la gauche sociétale, ce qui prouve que la droite financière qui est en réalité totalement de gauche sociétale. Ainsi par rapport au noble centrisme de Poutine alliant droite des valeurs et gauche du travail, ce pervers extrême centre est libéral, libertaire et anti-social et va jusqu'à se servir la droite perversement identitaire pour garder le pouvoir face à la droite patriote, car la droite identitaire est rejetée majoritairement par le peuple.  « Biden (comme Macron) est tout sauf de gauche. Il incarne le centre pervers (alliant droite financière internationaliste et gauche sociétale lgbtiste : pas de différence de sexe, de religion (cf. Bergoglio), de nation, de race, de variété mais un bon gros monde sous commande milliardaire et techno-US. Il faut gouverner au centre et il faut diaboliser le reste, le rejeter dans les limbes. Qui a dit qu’il fallait vomir les tièdes ? Et pourquoi ? Pensez-y… Voilà où nous en sommes avec ces centristes. Ils sont le centre de la terre. Voyez des centristes comme Bourlanges, Bayrou, et Schwab de Davos, plus bourgeois moliéresque et technophile que jamais, le modèle de Paul Nizan : il est le centre du monde, le reste doit crever : les humains contribuent par leur respiration au réchauffement climatique ; on en est là... Alors que c'est ce centrisme de « nonagénaire génocidaire » comme je l’ai appelé (Soros, Rothschild, Gates, Bergoglio, Fink, Warren Buffett, etc.) qui devrait être le seul dans une situation critique vu leurs âges... Toute son économie, toute sa politique et tout son style de vie aboutissent généralement à isoler le riche et à être indifférent du bas peuple participant pourtant à faire vivre son système. » (Nicolas Bonnal)
En résumé le véritable extrême centre correspond au juste milieu dans l’équité porté par le monothéisme authentique au niveau de la droite des valeurs universalistes christiques et de l’économie nationale prioritaire mais ouverte, associée à la gauche du travail, du social et de la tolérance religieuse, et donc pas au faux extrême centre de Macron basé sur la droite de la finance internationaliste et la gauche sociétale... Poutine gouverne d'ailleurs clairement comme ça. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article « Propagande et post-vérité » à cette adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Propagande-et-Post-verite-56925.htm
Dans ce sens Laurent Ozon dénonce le glissement d’une partie de la nébuleuse identitaire dans le camp otano-occidental et donc étrangement vers les néoconservateurs américano-wahhabo-sionistes ou vers les oligarques mondialistes wokistes. Ce qui n'est pas étonnant car la conséquence logique de ce sournois courant de pensée identitaire, c’est de s’aligner sur Israël et son sionisme laïque. Ces identitaires ne cherchent pas à défendre une quelconque tradition ou nation (christiques), mais simplement à promouvoir une sorte de racisme hystérique. D'ailleurs le néoconservatisme est principalement financé par des ultra riches mondialistes unipolaristes états-uniens, anglo-saxons, français et israéliens.
Particulièrement depuis 2022, en plein marasme, écroulement économique, menace climatique, tyrannie sanitaire, pertes d’emplois, perte de liberté, misère, vaccins dangereux devenus oppressifs y compris pour les enfants, et guerre européenne, un faux nationaliste comme Zemmour lié à l'américano-sionisme et au mondialisme tel le Zelensky français dont par ses sponsors financiers vient parler d’immigration. Combien a-t-il été payé pour détourner l’attention des vrais problèmes ? En plus il cache que l’immigration est souhaitée et favorisée par son ami Jacques Attali qui déclare que l’Europe a un « besoin vital de 150 millions de nouveaux immigrés ». Étrangement, il ne désigne que la conséquence de l'immigration massive et pas la source mondialiste et sioniste qui favorise le Grand Remplacement (plutôt grand métissage) qu'il dénonce, dont par preuve qu'il se tient à grande distance des thèmes monétaires, bancaires, économiques, sociaux et sanitaire. En fait, le changement population facilite le plan de dilution étatique et nationale de la France par les mondialistes. Dans ce sens les faux nationalistes et les vrais mondialistes se partagent ainsi le travail pour alimenter la haine raciale et religieuse afin de préserver le pouvoir du centre perverti et mondialiste que représente Macron. En effet chacun joue son rôle pour entretenir une guerre civile larvée dans notre pays afin de faire de la France un nouveau Liban oppressé financièrement, en détournant l'attention vers les éternels boucs émissaires que sont les musulmans. D'ailleurs Nasrallah a dit dans ce sens : « Le prix de la capitulation au Liban signifiait l’hégémonie politique et économique d’Israël sur notre pays. » L’objectif est de faire combattre le peuple avec le plus d’hostilité possible sur des questions qui dérangent le moins possible nos dirigeants. Or même s'ils y parviennent souvent grâce à diverses oppositions, ils se trompent en pensant que les Français vont être dupes longtemps de cette machination abjecte, d'autant plus que Zemmour ce pseudo nationaliste est pro union européenne et pro euro et donc mondialiste, alors que le mondialisme dilue la France souverainement et économiquement et qu'aucun patriote ne peut vouloir d’une guerre civile en France puisque chaque camp s'affaiblirait au profit des mondialistes oligarchiques et sionistes.

« L’alternative qui se présente aujourd’hui : soit le nouvel ordre mondial (OTAN, États-Unis, UE, World Economic Forum, …) peut arriver au sommet de sa puissance par le chaos, soit il est obligé de renoncer à son pouvoir et à sa logique de pouvoir par la prédation ; ce qui appellera forcément un changement de paradigme : un monde multipolaire – Poutine, Xi, Trump – avec des nations plus souveraines. (Quoique le crédit social et le transhumanisme guettent des 2 côtés.) Ce sera la gouvernance globale ou la révolte des nations (contre leurs perverses élites sionistes ou/et mondialistes), c’est-à-dire, la révolte des nations pilotées par ces trois nations maîtresses, et aussi le retour à une économie réelle non parasitaire sortie de la privation financière de ce faux dollar. Or on dirait bien que le monde préfère aller vers la révolte de nations, contre le mondialisme, ou l’Empire, dont car la mondialisation, quasi inévitable, s’est accompagnée d’un mondialisme qui n’était qu’idéologique en plus dans le sens wokiste, et donc évitable. Surtout que si elle ne parvient pas à provoquer une troisième guerre mondiale pour dissimuler ses vastes crimes et cupidités inconséquentes, la perverse oligarchie mondialiste pourrait créer des guerres civiles telles des diversions, et que tout mouvement populaire dans ce sens serait donc une très grave erreur. Mais cette perverse oligarchie mondialiste pourrait se suffire d'une éventuelle réussite de leur déconstruction des peuples, afin de reconstruire un système très dominé par elle. « Aujourd’hui il semble que l’oligarchie a momentanément répondu à cette question «  de la gouvernance globale ou de la révolte des nations (des peuples) » par un troisième terme, soit, sous l’intitulé du « Grand Reset », une démondialisation opérée par les mondialistes eux-mêmes, mais qui ne passe surtout pas par le retour à la souveraineté des nations… Tout fonctionne en effet comme si la crise sanitaire, tout comme le réchauffement climatique, permettait surtout de purger le Marché saturé. Soit les effets d’ordinaire dévolus aux guerres mondiales sans recourir à la guerre. Avec le recul et le sens de la synthèse, on peut dire que le covid est la réponse du tout puissant Marché aux taux d’intérêts négatifs ! Avec l’ampleur de la casse économique opérée, il semble que les taux repassent au positif, on devrait logiquement déconfiner… Mais ce serait oublier le rôle que joue aussi le covid sur le plan social et politique, avec l’enterrement des Gilets jaunes et le sabotage de la réélection de Trump. À bien analyser, ses bénéfices économiques, politiques et sociaux vont très au-delà des simples profits de Big Pharma !  Autre remarque, tout le débat politico-économique de ces 40 dernières années tourne autour de l’abolition des frontières, synonyme de progrès. Or avec le covid, l’oligarchie elle-même a rétabli les frontières, entravé la circulation des êtres et des marchandises (mais sans doute pas des capitaux qui ont valsé comme jamais !). Une variable d’ajustement à laquelle l’oligarchie avait toujours refusé de recourir, au nom de la sacro-sainte liberté du Marché ! Mais là, grâce au covid, cette démondialisation n’est plus une décision économique, mais de l’ordre de la nécessité sanitaire. Selon Jacques Attali, souvenons-nous que nous devions désormais considérer les nations comme des hôtels, mais là, d’un coup, les Attali décident que les hôtels sont momentanément fermés ! Le migrant, lui, n’ayant pas vraiment d’identité légale sur le territoire européen, n’est pas concerné par ces mesures de police. Et même si, il a alors droit au statut de « réfugié climatique » ! Quand c’est nécessaire, le carbone vient nuancer le covid ! La démondialisation économique et sociale, habillée d’écologie décroissante, ne doit pas contrarier le plan Kalergi. Pour l’Européen ce sera passeport vaccinal Et métissage ! La surveillance renforcée, pour être acceptée durablement doit s’accompagner de l’abrutissement de masse. Et par le métissage, on crée des luttes horizontales entre immigrés et natifs. L’immigration d’avec ces populations d’Afrique du Nord et d’Afrique sub-saharienne, à une époque où il n’y a plus de travail à leur distribuer, est donc clairement, de la part de nos élites parasites et illégitimes, une volonté de dissolution du peuple et de destruction de la citoyenneté dans un but de domination. En fait, l’ensauvagement et le séparatisme est la stratégie et l’intérêt même de l’oligarchie. Il n’y a aucune raison objective et pratique pour que la France, cette vieille nation qui avait atteint, dans les années 1960 un si haut standard sur les plans culturels, techniques et économiques, soit prise, depuis les années 1980, dans cette spirale infernale de déchéance. Conclusion : il faut vraiment être bête, malhonnête et lâche pour ne pas être complotiste ! Plutôt que de vouloir placer sa camelote idéologique, afin de se sentir de droite ou de gauche, mieux vaut regarder lucidement les ressorts du réel, les forces en présence et les mécanismes à l’œuvre, oser se servir de tous les outils, ceux de Marx, de Maurras, d’Evola, quand on sent que ça fait sens… C’est ce que je m’efforce de faire dans mes écrits, dans Comprendre l’Empire hier comme dans Comprendre l’Époque aujourd’hui… Les contours d’une résistance réussie à cette emprise oligarchique seraient déjà de sortir de cette stérile et superficielle opposition gauche/droite qui empêche l’union sacrée des opposants et des victimes du Système, qui empêche de réaliser la masse critique révolutionnaire… C’est pourquoi mon association proposait, et propose toujours, l’égalité et la réconciliation entre la « gauche du travail » et la « droite des valeurs ». Or les films de science-fiction, comme Blade Runner, Soleil vert, Elysium, Idiocracy et Minority Report, ont tous un élément au moins de cruelle vérité : MK-Ultra, eugénisme, homme augmenté, robotique, monopolisme, métissage généralisé, corruption, drogue et délinquance… Tous sont dystopiques et nous montrent un monde triste, violent et inégalitaire qui ressemble bien plus à ce que nous propose aujourd’hui la Californie de Joe Biden qu’un quelconque impérialisme chinois ou un retour à l’URSS… Notez bien qu’aucun de ces films de science-fiction, produits par Hollywood, ne nous montre un futur radieux dû au progrès technologique, comme dans les romans de Jules Verne au temps de l’optimisme positiviste. Comme si ces films, produits aussi par les maîtres du Capital, avaient pour fonction de nous habituer à cet avenir sordide, à nous le faire admettre comme inéluctable… La France a une destinée manifeste, car elle a inventé ce processus égalitaire basé sur cette double culture grecque et chrétienne, la logique d’Aristote et la charité du Christ qui fondent l’humanisme français, nos valeurs helléno-chrétiennes… Nous avons donc, dans ce combat à mener contre la Bête, la bête judéo-anglo-saxonne du tout puissant Marché, un rôle fondamental d’opposant historique à jouer. N’oublions pas que la France est aussi la fille ainée de l’Église ! Comme je l’écris à la fin du livre : « Fille ainée de l’Église et mère des révolutions, patrie du cœur et des idées », donc « en première ligne une fois encore pour y jouer son rôle et y tenir son rang » ! » (Soral)
« (Concernant la suite en France par rapport aux diverses évolutions du monde possibles,) L’effondrement des partis politiques, subséquent à la mort des idéologies structurantes, a laissé apparaître le clivage fondamental de la société française, à savoir l’opposition entre peuple et oligarchie. (En fait, la nouvelle sociologie de la France au niveau politique se compose désormais en d'un bloc élitaire, d'un bloc social-souverainiste et d'un bloc social-immigrationniste.) Cette oligarchie a investi les organes de l’État et l’a transformé en système politique totalitaire, tyrannique ; utilisant la police comme une milice dans sa guerre privée menée contre le peuple. Le duo Zemmour/Macron consiste à donner l’illusion de la recomposition du clivage politique gauche/droite. Débarrassée de l’extrême droite goy et de tout son héritage, la nouvelle droite, appuyée par la finance internationale et représentée par Zemmour, influencera Macron, ramené sur des positions néoconservatrices. C’est la naissance du macro-zemmourisme, qu’on devrait plutôt appeler le macro-sarkozysme. Cette reconfiguration politique qui consiste à renouveler le bail du Système accentuera l’opposition oligarchie/peuple car les catégories populaires, la France périphérique et les classes moyennes paupérisées n’auront définitivement plus de représentant politique prétendant défendre leurs intérêts. Zemmour comme Macron valident l’euro, l’Union européenne, l’OTAN, la financiarisation de l’économie (sur laquelle Zemmour ne dit plus mot puisqu’il est soutenu par des banquiers), la tyrannie, le pass sanitaire et tout ce qui s’en suivra. La violence politique augmentera alors en intensité et la désignation de l’ennemi principal (les faux opposants comme le franc-maçon Mélenchon, le gauchiste libertaire Onfray et l'écologiste Jadot dont les idéologies vont toutes dans le sens du grand reset progressiste, oligarchique et mondialiste) sera facilité. … Surtout que l'actuel parti unique en France (car tout parti arrivant au pouvoir suit l'Union Européenne) empêche la dernière sous-pape de sécurité face au mécontentent du peuple puisque ce dernier ne peut même plus l'exprimer au niveau électoral, et va donc entraîner plus de violence politique populaire, en particulier lorsque les classes moyennes seront touchés en plus des Gilets jaunes qui étaient en grande majorité modestes. En effet le droit européen, la Cour de justice de l’Union Eropéenne, la Cour européenne des Droits (laïciste) de l’Homme, et donc la Commission Européenne ont pris le pouvoir sur les nations. Pour en finir avec la repentance apportant de la soumission perverse et avec le système de rente basée sur la dette/culpabilité du peuple français, il ne faut pas se contenter de dire comme Zemmour « Pétain a sauvé les juifs français », ce qui revient au fond à protéger les juifs collabos qui ont donné des juifs étrangers, des enfants juifs, pour préserver leur position. Il faut aller plus loin et reconnaître la culpabilité des israélites collabos, leurs crimes, et la culpabilité du CRIF et du Consistoire qui les a blanchis. (Or si le CRIF a neutralisé Zemmour voulant dédiaboliser Vichy, c'est parce que pour contrôler la France, il vaut mieux la manipuler via la lutte contre l'islamisation plutôt que de la réhabiliter au grand risque que ses élites finissent par lutter aussi contre le judaïsme politique.) Jusqu’ici, ceux qui sont chargés des péchés de la collaboration, les bouc-émissaires, sont les Français, et eux exclusivement ; disculpant ainsi les israélites collabos qui sont englobés dans la catégorie des juifs victimes exclusives du nazisme et de Vichy. Si Éric Zemmour veut, comme il l’affirme, en finir avec la repentance, c’est de cette histoire qu’il doit parler. Tous les coupables doivent être désignés afin que soit levé le poids de la culpabilité(, de la soumission manipulable) et de la dette qui pèse sur les Français. » (Youssef Hindi)
En effet l'Etat français n'est plus protecteur car violemment, il détruit le peuple psychologiquement, socialement et désormais physiquement (œils crevés de dizaines de gilets jaunes et vaccins ARN aux effets secondaires graves), ce qui amènera à une réponse violente légitime du peuple contre l'Etat. Surtout que ces yeux crevés, le covid, la réforme des retraites, la paupérisation des agriculteurs et l'inflation correspondent à une mini guerre civile déclarée par l’état oligarchique illégitime, puisque ne représentant pas le peuple. D'ailleurs lors des gilets jaunes qui demandaient simplement plus de justice économique et sociale, avec ses balles de LBD comparables presque à des vraies balles de pistolets au niveau des dégâts causés, la police ne tiraient pas sur les blackblock armés de batte, mais tiraient souvent sur des manifestants pacifiques sans armes au point de crever des yeux et d'éclater des boites crâniennes. Après le régime de la terreur et des personnes comme Adolphe Thiers qui envoya la police tirer sur les mineurs en grèves alors qu'ils travaillaient plus de douze heure par jour dans des conditions infernales et sans pouvoir survivre vu qu'ils ne gagnaient même pas de quoi nourrir leurs familles ni de vivre dans un logement décent, ce qui les fit en plus subir logiquement les pires maladies, c'est encore une œuvre très honteuse de la bourgeoisie.
« Depuis des décennies, les Blancs sont la cible d’un véritable lavage de cerveaux culpabilisateur pour les désarmer psychologiquement et affaiblir leur instinct de conservation. Des millions d’Européens autochtones sont ainsi envahis par les peuples d’autres continents et paralysés moralement à la simple idée de se défendre contre ce « génocide par substitution », pour reprendre l’expression d’Aimé Césaire. La ligne directrice de ce piratage mental de masse consiste en la promotion d’une pensée universaliste, dérivant dans un égalitarisme qui est en fait le masque d’un système inégalitaire et mondialiste au profit des ultra-riches. Il existe quatre régimes politiques, dont le régime hitlérien, qui ont affirmé une supériorité blanche, donc leur propre supériorité. Comment se fait-il que ces régimes aient causé directement ou indirectement autant de morts parmi les Blancs, et qu’au minimum ils n’aient pas été capables d’assurer durablement la sécurité physique et culturelle des Blancs ? Avec des amis comme ça, les Blancs n’ont plus besoin d’ennemis. L’élitisme racial hitlérien, hybride de positivisme et d’irrationalisme, a été le pire ennemi du nationalisme blanc. Hitler pouvait dominer l’Europe, et peut-être le monde, par une simple guerre économique et culturelle, et en gérant l’Allemagne en « bon père de famille ». Mais il voulait plus, notamment créer une guerre militaire pour envahir la Russie, comme il l’écrit dans Mein Kampf dès 1925, mais probablement surtout permettre la recréation de l'Etat d'Israël par ses liens avec des réseaux occultes, dont car souvent dans ce livre, il y est aussi particulièrement antifrançais et donc anti-catholique. L’expansionnisme racial et le prométhéisme scientifique de la doctrine national-socialiste pervertie expliquent son caractère instable et probablement mégalomaniaque à moins donc qu'il servait un plan occulte, dont les conséquences ultimes ont été au bout du dompte la mort principalement d'énormément de blancs et leur dévalorisation par l'humanité. En effet Hitler et les dirigeants influents du national-socialisme allemand ont été les pires ennemis du blanc au regard des conséquences que leurs 15 années d’action ont eu sur toute une civilisation (Nuremberg, reductio ad hitlerum, repentance permanente, ethno-masochisme, rabaissement jusqu'à faire accepter lgbtisme et immigration massive, pénalisation de la liberté d’expression).

« On a préparé un article il y a quelques années qui s’intitulait « Juif contre juif au sommet », dans lequel on listait toutes les oppositions de style ou de pensée entre les personnalités françaises de confession juive. On avait Hanouna contre Arthur, BHL contre Zemmour, Attali contre Netanyahou, et même, pour rire, Goldnadel contre Goldnadel, puisque ce dernier était à la fois pro-migrants et anti-migrants : immigrationniste pour les Français (en dirigeant Avocats sans frontières), anti-immigrationniste pour les Israéliens. C’est pas nous, m’sieur l’agent, c’est Wikipédia. Il est évident pour tout le monde que Goldnadel roule pour le RN, ou plutôt le RN pour Goldnadel, la position des mots étant importante dans la phrase. Le fait est que Wargon, un peu à l’image de Julien Dray, n’a pas suivi l’actu et la nouvelle ligne du lobby juif profond (tiens, un nouveau concept), qui est évidemment toujours pro-Israël, mais en changeant d’alliance ou de vassal au sein du paysage politique français. Ce qu’on serine depuis des années sur ce site éclate aujourd’hui au grand jour.  En passant, on peut même dire que la communauté organisée fonctionne elle aussi sur le principe du conflit triangulé : le lobby de gauche, le lobby de droite, et la Banque (ou le pouvoir profond) au-dessus. On schématise, bien sûr.  Cependant, le lobby juif immigrationniste des années 80, lié au PS, n’est pas mort : c’est le PS, qui lui a servi de canasson, qui est mort. Ce même lobby, en partie, est parti chevaucher le RN, qui s’est débarrassé de JMLP, qui était trop rétif, trop ruade, trop rodéo. Le RN devrait peut-être retenir cette leçon historique... Aujourd’hui, le LJG (lobby juif de gauche) est toujours là, notamment avec BHL, qui a eu des mots avec Zemmour, mais les deux ne sont au fond pas incompatibles : ils enserrent et délimitent le champ politique français. Plus à gauche idéologiquement que BHL (multimillionnaire, mais c’est pas grave) y a pas ; plus à droite que Zemmour, y a pas non plus. Et de toute façon, c’est pas vraiment permis. En revanche, tous s’entendent pour interdire un parti anti-BHL et anti-Zemmour, ou anti-Goldnadel et anti-Wargon, un parti populiste français qui ratisserait large de gauche à droite. Là, c’est l’union sacrée de chez sacrée contre la concurrence déloyale française ! » (Rédac ER)

Le gauchisme ne fonctionne pas, et pour deux raisons bien simples. La première raison est qu'il a un faux ennemi : le pseudo-fascisme national actuel car il est en réalité un religieux souverainisme social essentiel face au mondialisme oligarchique oppressif. La deuxième raison est qu'il a un ami caché : la Banque, fer de lance de ce mondialisme oligarchique oppressif davossien. La Banque veut détruire la gauche (sociale) et pour ça, elle soutient le gauchisme (dont sociétal), qui fait le sale boulot en toute inconscience. Si la base ignore le projet, l’élite gauchiste est dans la duplicité. La Banque, à travers les médias mainstream et l’école franc-maçonne, monte les têtes vides gauchistes contre les pseudo-fascistes et ainsi interdit tout renversement d’alliance favorable au peuple entier, c'est à dire l'union de la droite et de la gauche populistes. Le gauchiste est clairement la victime idéale et permanente de l’histoire contemporaine. Le gauchiste, on le fait rêver avec le Grand soir, les matins qui chantent, le temps des cerises, la révolution, la redistribution et le ruissellement. Mais pendant qu’on lui susurre ces douces musiques à l’oreille « gauche », de la fausse main « droite », la Banque lui fait les poches, le paupérise, l’inflationne, le matraque, le migrantifie. À ce niveau de manipulation mentale, c’est de l’art, on ne peut que le reconnaître. Après ça, on peut élever la voix et dire qu’on va dans les entreprises pour semer la fausse bonne parole du gauchisme qui sert de vigile devant la Banque, mais rien ne change donc cette donne fondamentale : la gauche française sociétale et plus sociale est la prostituée de service de la Banque, et ça s’arrête là. Surtout que les travailleurs n’ont rien à faire des discoureurs creux. La Banque utilise la gauche sociétale (progressiste et donc impie) contre le nationalisme aux valeurs chrétiennes (sa vraie bête noire). On est simplement déçus pour les électeurs, ces éternels croyants cocus qui tombent dans le panneau d’un paradis terrestre qu’ils ne verront jamais et de cette fausse opposition qui dure depuis plusieurs décennies, c'est à dire le temps d’appeler inconsciemment à voter pour le Diable (Macron, La Banque) contre le souverainisme social authentique d'une partie de l'extrême droite, et ensuite de reprendre le bâton financé de l’opposition creuse en dénonçant les méfaits de ce Diable. Cette gauche ne voit pas que l’écrasante majorité des médias mainstream est d’obédience socialo-sioniste, ce qui ne l’arrange pas puisqu’elle devrait alors admettre qu’elle fait partie du Média Unique, ou de la tyrannie. Mais heureusement au second tour, Macron a récupéré seulement 52 % des voix qui se sont portées sur Mélenchon l'anti-extrême droite primaire au premier tour. Les autres se sont éparpillées en votes blancs, nuls ou abstentions. Comme quoi le peuple de gauche est largement moins bête (ou corrompu) que ses dirigeants et représentants. En effet Mitterrand est l’oncle de Mélenchon et le grand-père de Macron, car Mélenchon incarne la génération Mitterrand, c'est à dire la génération des potes, du trotskisme, de SOS Racisme (car ayant en réalité préservé l'idée du racisme pour diviser et donc permettre la domination de la France dont en faisant que le français moyen devienne anti-populisme, alors que la jeunesse de l'époque était gauchiste comme l'a prouvé le succès du chanteur Balavoine à la même époque), de la dictature des minorités et du globalisme perversement progressiste ; et Macron incarne le mariage de la gauche caviar et du mondialisme américano-bruxellois wokiste. Sous Mitterrand, après le départ des communistes qui avaient énervé plus qu’effrayé les bourgeois, ce petit monde s’est entendu. Et le peuple petit-bourgeois bohème en a pris de la graine. (Mais selon certains commentateurs, comme Mélenchon est souvent attaqué par les médias du système, il pourrait être en réalité tel un cheval de Troie, un islamo-gauchiste se servant hypocritement du gauchisme wokiste et lgbtiste pour finalement servir le socialisme conservateur s'il devient président de la république, surtout qu'il est pro-palestinien. Or il faut noter que par rapport à ce prétendu camp de l'islamo-gauchisme, il existe aussi des personnes politiques comme Darmanin qui appartiennent au camp des droito-sionistes. Cependant Mélenchon amalgame donc étrangement dans une totale incohérence des composantes de gauche (islam et lgbtisme) qui n'ont strictement rien à voir et Marine Le Pen lâche les fondamentaux d'un sursaut national (dont en oubliant la valeurs catholiques, validant la Lgbtisme et préférant le pro-sionisme dans revirement donc judéo-maçonnique probablement dû en partie par Collard), ce qui permet à Macron de se maintenir. Surtout que Mélenchon a honteusement demandé la dissolution de parti catholique Civitas. Ainsi la communauté islamo-arabe doit se détacher du gauchisme et se rapprocher de la gauche social patriotique et dans ce sens aussi des catholiques. D'ailleurs Mélenchon pourrait aussi donc être la soupape électorale de sécurité du système pour calmer les pro-palestiniens dont il profite électoralement.
Mais « L'antisionisme de Mélenchon est logique, politiquement et historiquement. (Et si c’était le sionisme qui créait le bon socialisme version nationale, pas celui d'Onfray ? Aujourd’hui, la liste de La France Insoumise aux élections européennes pourrait s’appeler Parti antisioniste, et le nom EuroPalestine irait à ravir au Parti Socialiste. Les idées sont les mêmes. Seuls les visages sur les affiches changent.) La gauche, anticapitaliste et anti-impérialiste par nature, est forcément opposée au fort qui colonise le faible et au riche qui écrase le pauvre. C’est le fond de la gauche, et ça ne changera jamais – la lutte des classes est éternelle –, malgré les perversions du socialisme et les trahisons de ses leaders contemporains, corrompus jusqu’à l’ischion. Cette gauche authentique revient en force parce que la crise, ou l’écrasement du pauvre par le riche – chez nous – et du faible par le fort – en Palestine –, n’a jamais été aussi évident, aussi limpide, aussi violent. La force de la crise a remis les partis dans leur lit naturel, comme la crue qui n’est qu’un juste retour des choses : la gauche redevient révolutionnaire, anticapitaliste et antisioniste ; la droite redevient le parti des traîtres à la patrie et au peuple. Cette droite n’est ni nationale ni sociale : elle est pour les frappes contre les Palestiniens, c’est-à-dire pour Israël, et pour les frappes contre les Français, que ce soit au portefeuille ou contre la liberté d’expression (voir les propositions de loi hallucinantes des Républicains). Certes, la gauche mélenchoniste n’a pas encore perdu tous ses oripeaux hérités de la trahison socialiste des années 80, à savoir la main forte prêtée à l’immigration de masse, qui est une machine à tuer le peuple, le travail et le pays. Il ne s’agit pas de racisme, soit de détester les étrangers, mais de protéger la France, en ce qu’elle a d’unique et de beau : sa mission divine qui est de défendre le faible contre le fort, et ça, ça parle à tout le monde. C’est un universalisme qui heurte les principes anglosaxons qui se résument en : le fort peut oppresser le faible, il a tous les droits, parce qu’il a l’argent, le pouvoir, les armes. La France, au fond, est très chrétienne dans l’âme, même si les Français ne vont plus à l’église : nous on n’y va pas non plus car les sermons sont déconnectés (sans parler du pape à la noix), à quelques exceptions près. Ainsi, il a pris le rôle du méchant, soit l’antisioniste, que Marine lui a laissé. C’est ça, la nouvelle alternance, c’est plus la droite et la gauche de gouvernement, soit l’arnaque LRPS, mais bien l’antisionisme qui sépare extrême gauche et extrême droite en changeant de boutique, alors que le peuple de droite et le peuple de gauche doivent s’unir pour tenir tête à la tyrannie. C’est pas encore pour aujourd’hui, mais en d’autres temps, il a fallu moins de 3 ans pour retourner tout un pays, bousculer l’ordre établi et rendre les puissants un peu plus humbles. L’intifada, soit la révolte du faible contre le fort, pourrait bien faire boule de neige dans le monde, et, pourquoi pas, en France. Mais, nous dit-on à l’oreillette, les Gilets jaunes, c’était une intifada ! » (La rédaction ER)                              
Le sentiment antiraciste de gauche a renversé, en toute logique, son penchant pro-Israël. Car la morale est une logique : si vous respectez autrui, alors vous ne pouvez que dénoncer celui qui ne le respecte pas pour des raisons politiques ou raciales, ce qui est le cas avec le pouvoir likoudiste de Tel-Aviv. Un par un, les représentants ou relais du pouvoir nétanyahiste en France perdent les pédales, choisissant le camp de la mort plutôt que de la vie, le camp indéfendable du meurtre et de la punition pseudo divine.                                                  
On pourrait croire que le lobby israéliste a perdu la gauche dont en l'accusant gravement d'être antisémite puisque seulement antisioniste, mais en réalité il s’en débarrasse, parce qu’elle ne lui sert plus à rien et, surtout, parce qu’elle le dérange avec ses idées sociales généreuses, sa défense du faible contre le fort, son antiracisme, bref, son fond un peu trop chrétien.                                                  
Or la guerre du 7 Octobre a aussi permis de tracer de nouvelles frontières politiques en France et en a éclairci d’autres. Il y a la gauche de compromission avec le pouvoir israélite, on pense à France Inter et au PS de Glucksmann, et il y a la gauche qui retrouve ses fondamentaux – la lutte contre tous les impérialismes –, celle de Mélenchon. À gauche, c’est donc la guerre entre sionistes et antisionistes. Ainsi fracturée, la gauche ne peut plus accéder au pouvoir – la Banque se frotte les mains –, ce qui laisse un boulevard à l’opposition dite nationale, mais qui a elle aussi cédé aux sirènes israélites et à la division avec Zemmour et Le Pen, et préserverait ainsi encore l'extrême centre pervers de Macron à l’élection présidentielle, en sachant que la gauche est aussi devenu perverse par son aspect sociétale et que la droite est devenu perverse par son aspect pro-israélien. « Pour résumer, la gauche est fracturée par le sionisme, la droite se restructure autour d’un RN dédiabolisé par le sionisme, l’idéologie désormais officielle du mouvement de Marine (alors qu’en réalité, en se sionisant, le mouvement national ne se dédiabolise pas, il se diabolise !), et les Français terrorisés par la surpolarisation du spectre politique tombent dans le piège du bloc bourgeois, celui du président. Autant dire qu’il va falloir un miracle pour que la France se relève de ce merdier. On aura compris une chose, qui est devenue très nette, même pour les aveugles ou les crétins, c’est que le sionisme est un grand couteau qui permet de tailler dans la viande de gauche ou de droite, affaiblissant l’une et renforçant l’autre, au gré de ses besoins. Ça nous fait penser à la découpe de l’Afrique par les pays colonisateurs, un remodelage au détriment des blocs ethniques homogènes, pour reprendre la théorie de Lugan. Eh bien politiquement, la France est une Afrique mal découpée, ou plutôt découpée à dessein. La gauche devrait être antisioniste (ou nationale) et antilibérale (ou sociale), et on se retrouve avec deux gauches au lieu d’une : la première antisioniste et sociale, mais antinationale (Méluche), et l’autre sioniste et antisociale (Glux), et encore moins nationale. En face, une droite libérale et sioniste (donc antisociale et antinationale, celle de Macron), et une droite sioniste et nationale (Marine), ce qui est un bel oxymore. Donc ça ne tiendra pas. Bref, un désordre intégral dans lequel les électeurs ne peuvent que se fourvoyer. Il reste une solution pour remettre tout ça en ordre. Non, pas la violence, mais la résistance passive : le boycott. Un jour, quand la conscience du piège sera montée à la tête d’une masse critique d’électeurs, ce sera la seule solution. Abattre la fausse démocratie qui tient sur une construction malfaisante. »                                              
La gauche dont sociétale de Mélenchon a même été rejointe par les wokistes (suivant généralement Macron) dans sa défense des palestiniens, car les wokes se disant aussi anti-impérialistes, ils sautent sur l’occase de pouvoir traiter le pouvoir impérialiste sioniste, de raciste et de nazi ! Dans des manifestations du monde, des wokeurs ont en plus scandaient : « Enfants de Gaza et de Palestine, C’est l’humanité qu’on assassine. » Mais ils considèrent les catholiques royalistes comme des fascistes, même ceux y associant une assemblée populaire conseillère du roi voire en partie indépendante.
La crise fondamentale de notre civilisation est que les intellectuels et partisans de l'antifascisme voient le fascisme partout, et ils n’auront de cesse de faire disparaître ce fantôme de leur paranoïa et tous ceux qui ne pensent pas exactement comme eux. Or il n’y a jamais eu autant d’antifascistes depuis que le fascisme a disparu. Les antifascistes, dans leur lutte supposée contre l’oppression, ne devraient pas se comporter en agents de la censure et de l’intimidation. Leur action aveugle ne fait que discréditer leurs revendications et porter atteinte à la liberté d’expression. Il est également nécessaire de rappeler les paroles de Lionel Jospin, qui soulignait qu’au cours des années du mitterrandisme, la France n’a jamais été confrontée à une menace fasciste réelle. Trop souvent, le discours antifasciste est galvaudé et utilisé à des fins politiques sans lien avec la réalité du contexte. 

Le concept de l'État profond corrompu :

« (Alexandre Douguine révèle que l’État profond est une cabale occidentale corrompue, infiltrant les États-Unis et l’Europe pour manipuler les élections, écraser les dirigeants populistes comme Donald Trump et imposer son programme libéral-mondialiste en se faisant passer pour un protecteur de la démocratie tout en subvertissant impitoyablement la volonté du peuple :) Le terme « État profond » est de plus en plus utilisé aujourd’hui dans le discours politique, passant du journalisme au langage politique courant. Cependant, le terme lui-même devient quelque peu flou et différentes interprétations apparaissent. Il est donc essentiel d’examiner de plus près le phénomène décrit comme « État profond » et de comprendre quand et où ce concept a commencé à être utilisé.  Cette expression est apparue pour la première fois dans la politique turque dans les années 1990, décrivant une situation très spécifique en Turquie. En turc, « État profond » se dit derin devlet . C’est crucial car toutes les utilisations ultérieures de ce concept sont d’une manière ou d’une autre liées à son sens originel, qui a émergé pour la première fois en Turquie. Depuis l’époque de Kemal Atatürk, la Turquie a développé un mouvement politique et idéologique particulier connu sous le nom de kémalisme. Il repose sur le culte d’Atatürk (littéralement, « Père des Turcs »), une laïcité stricte (rejet du facteur religieux non seulement en politique mais aussi dans la vie publique), le nationalisme (mise en avant de la souveraineté et de l’unité de tous les citoyens dans le paysage politique ethniquement diversifié de la Turquie), le modernisme, l’européanisme et le progressisme. Le kémalisme représentait, à bien des égards, une antithèse directe de la vision du monde et de la culture qui dominaient l’Empire ottoman religieux et traditionaliste. Depuis la création de la Turquie, le kémalisme était et reste en grande partie le code dominant de la politique turque contemporaine. C’est sur la base de ces idées que l’État turc a été établi sur les ruines de l’Empire ottoman. Le kémalisme a dominé ouvertement le régime d'Atatürk et a ensuite été transmis à ses successeurs politiques. L'idéologie du kémalisme incluait une démocratie de parti à l'européenne, mais le pouvoir réel était concentré entre les mains des dirigeants militaires du pays, en particulier du Conseil de sécurité nationale (NSC). Après la mort d'Atatürk, l'élite militaire est devenue la gardienne de l'orthodoxie idéologique du kémalisme. Le NSC turc a été créé en 1960 après un coup d'État militaire et son rôle s'est considérablement accru après un autre coup d'État en 1980. Il est important de noter que de nombreux officiers supérieurs de l’armée turque et des services de renseignements étaient membres de loges maçonniques, mêlant ainsi le kémalisme à la franc-maçonnerie militaire. Chaque fois que la démocratie turque s’écartait du kémalisme – que ce soit vers la droite ou vers la gauche – l’armée annulait les résultats des élections et lançait des répressions. L’État profond se révèle lorsque des contradictions apparaissent entre les normes démocratiques formelles et le pouvoir de cette élite (sinon, l’existence de l’État profond reste obscure). L’État profond n’est possible que dans les démocraties libérales, même nominales. Dans les systèmes politiques ouvertement totalitaires, comme le fascisme ou le communisme, il n’y a pas besoin d’État profond. Ici, un groupe idéologique rigide se reconnaît ouvertement comme l’autorité suprême, se plaçant au-dessus des lois formelles. Les systèmes à parti unique mettent l’accent sur ce modèle de gouvernance, ne laissant aucune place à l’opposition idéologique et politique. Ce n’est que dans les sociétés démocratiques, où aucune idéologie dominante ne devrait exister, que l’État profond émerge comme un phénomène de « totalitarisme caché », qui manipule à volonté la démocratie et les systèmes multipartites.  Les communistes et les fascistes reconnaissent ouvertement la nécessité d’une idéologie dominante, rendant leur pouvoir politique et idéologique direct et transparent ( potestas directa , comme le dit Carl Schmitt). Les libéraux nient avoir une idéologie, mais ils en ont une. C’est pourquoi ils influencent les processus politiques en se fondant sur le libéralisme en tant que doctrine, mais seulement indirectement, par la manipulation ( potestas indirecta ). Le libéralisme ne révèle sa nature ouvertement totalitaire et idéologique que lorsque des contradictions surgissent entre lui et les processus politiques démocratiques. En Turquie, où la démocratie libérale a été empruntée à l’Occident et ne correspondait pas tout à fait à la psychologie politique et sociale de la société, l’État profond a été facilement identifié et nommé. Dans d’autres systèmes démocratiques, l’existence de cette instance idéologique totalitaire, illégitime et formellement « inexistante », est devenue évidente plus tard. Concentrons-nous maintenant sur le fait que le terme « État profond » est apparu dans les discours des journalistes, analystes et politiciens aux États-Unis pendant la présidence de Donald Trump. Une fois de plus, le contexte historique joue un rôle décisif. Les partisans de Trump, comme Steve Bannon et d’autres, ont commencé à parler de la façon dont Trump, ayant le droit constitutionnel de déterminer le cours de la politique américaine en tant que président élu, a rencontré des obstacles inattendus qui ne pouvaient pas être simplement attribués à l’opposition du Parti démocrate ou à l’inertie bureaucratique. Peu à peu, à mesure que cette résistance s’intensifiait, Trump et ses partisans ont commencé à se considérer non seulement comme des représentants du programme républicain, traditionnel pour les politiciens et présidents du parti précédents, mais comme quelque chose de plus. Leur focalisation sur les valeurs traditionnelles et leur critique de l’agenda mondialiste ont touché une corde sensible non seulement chez leurs adversaires politiques directs, les « progressistes » et le Parti démocrate, mais aussi chez une entité invisible et inconstitutionnelle, capable d’influencer tous les processus majeurs de la politique américaine — la finance, les grandes entreprises, les médias, les agences de renseignement, le système judiciaire, les principales institutions culturelles, les meilleurs établissements d’enseignement, etc. — de manière coordonnée et ciblée. Il semblerait que les actions de l’appareil gouvernemental dans son ensemble devraient suivre le cours et les décisions d’un président des États-Unis légalement élu. Mais il s’est avéré que ce n’était pas du tout le cas. Indépendamment de Trump, à un niveau supérieur du « pouvoir de l’ombre », des processus incontrôlables étaient en cours. C’est ainsi que l’État profond a été découvert aux États-Unis mêmes. Or avec la réélection de Trump dont suite au travail de Bannon ayant travaillé à créer une structure internationale autour de Trump, de ses mandats, de son souverainisme conservateur, cherchant l'alliance du monde du travail élargi, c'est à dire des PME au delà des communautés, tout cela a fini par triompher grandement. Aux États-Unis, comme en Turquie, il existe sans aucun doute une démocratie libérale. Mais l’existence d’une entité militaro-politique non élue, liée à une idéologie spécifique (indépendamment de la victoire d’un parti particulier) et éventuellement membre d’une société secrète (comme une organisation de type maçonnique) était complètement imprévue pour les Américains. Par conséquent, le discours sur l’État profond pendant cette période a été une révélation pour beaucoup, passant d’une « théorie du complot » à une réalité politique visible. Bien sûr, l’assassinat non résolu de John F. Kennedy, l’élimination probable d’autres membres de son clan, les nombreuses incohérences entourant les événements tragiques du 11 septembre et plusieurs autres secrets non résolus de la politique américaine ont conduit les Américains à soupçonner l’existence d’une sorte de « pouvoir caché » aux États-Unis. L’histoire de la présidence de Trump, et plus encore, sa persécution après sa défaite face à Biden et les deux tentatives d’assassinat pendant la campagne électorale de 2024, rendent nécessaire de prendre au sérieux l’État profond aux États-Unis. Ce n’est plus quelque chose que l’on peut ignorer. Il existe bel et bien, il agit, il est actif et il… gouverne. Pour trouver une explication à ce phénomène, il faut d’abord se tourner vers les organisations politiques américaines du XXe siècle qui étaient les plus idéologiques et cherchaient à fonctionner au-delà des clivages partisans. Si nous essayons de trouver le noyau de l’État profond parmi les militaires, les agences de renseignement, les magnats de Wall Street, les magnats de la technologie et autres, il est peu probable que nous parvenions à une conclusion satisfaisante. La situation y est trop individualisée et diffuse. Il faut d’abord et avant tout prêter attention à l’idéologie. En laissant de côté les théories du complot, deux entités se distinguent comme étant les plus aptes à jouer ce rôle : le CFR (Council on Foreign Relations), fondé dans les années 1920 par des partisans du président Woodrow Wilson, ardent défenseur du mondialisme démocratique, et le mouvement beaucoup plus tardif des néoconservateurs américains, issus du milieu trotskiste autrefois marginal et qui ont progressivement acquis une influence significative aux États-Unis. Le CFR et les néoconservateurs sont tous deux indépendants de tout parti. Leur objectif est de guider le cours stratégique de la politique américaine dans son ensemble, quel que soit le parti au pouvoir à un moment donné. De plus, ces deux entités possèdent des idéologies bien structurées et claires : le mondialisme de gauche libéral dans le cas du CFR et l’hégémonie américaine affirmée dans le cas des néoconservateurs. Le CFR peut être considéré comme les mondialistes de gauche et les néoconservateurs comme les mondialistes de droite. Dès sa création, le CFR s’est fixé pour objectif de faire passer les États-Unis d’un État-nation à un « empire » démocratique mondial. Contre les isolationnistes, le CFR a avancé la thèse selon laquelle les États-Unis sont destinés à rendre le monde entier libéral et démocratique. Les idéaux et les valeurs de la démocratie libérale, du capitalisme et de l’individualisme ont été placés au-dessus des intérêts nationaux. Tout au long du XXe siècle, à l’exception d’une brève interruption pendant la Seconde Guerre mondiale, ce réseau de politiciens, d’experts, d’intellectuels et de représentants de sociétés transnationales a œuvré à la création d’organisations supranationales : d’abord la Société des Nations, puis les Nations Unies, le Club Bilderberg, la Commission trilatérale, etc. Leur tâche consistait à créer une élite libérale mondiale unifiée qui partageait l’idéologie du mondialisme dans tous les domaines – philosophie, culture, science, économie, politique, etc. Les activités des mondialistes au sein du CFR visaient à l’établissement d’un gouvernement mondial, impliquant le dépérissement progressif des États-nations et le transfert du pouvoir des anciennes entités souveraines aux mains d’une oligarchie mondiale, composée des élites libérales du monde, formées selon les modèles occidentaux. Grâce à ses réseaux européens, le CFR a joué un rôle actif dans la création de l’Union européenne (une étape concrète vers un gouvernement mondial). Ses représentants – en particulier Henry Kissinger, le leader intellectuel de l’organisation – ont joué un rôle clé dans l’intégration de la Chine au marché mondial, une mesure efficace pour affaiblir le bloc socialiste. Le CFR a également activement promu la théorie de la convergence et a réussi à exercer une influence sur les dirigeants soviétiques jusqu’à Gorbatchev. Sous l’influence des stratégies géopolitiques du CFR, les idéologues soviétiques de la fin de l’ère communiste ont écrit sur la « gouvernabilité de la communauté mondiale ». Aux États-Unis, le CFR est un organisme strictement non partisan, qui regroupe à la fois des démocrates, dont il est un peu plus proche, et des républicains. Il fait office d’état-major du mondialisme, avec des initiatives européennes similaires – comme le Forum de Davos de Klaus Schwab – comme branches. À la veille de l’effondrement de l’Union soviétique, le CFR a établi une branche à Moscou, à l’Institut d’études systémiques, sous la direction de l’académicien Gvishiani, d’où sont issus le noyau des libéraux russes des années 1990 et la première vague d’oligarques idéologiques. Il est clair que Trump a rencontré précisément cette entité, présentée aux États-Unis et dans le monde entier comme une plate-forme inoffensive et prestigieuse pour l’échange d’opinions d’experts « indépendants ». Mais en réalité, il s’agit d’un véritable quartier général idéologique. Trump, avec son programme conservateur à l’ancienne, mettant l’accent sur les intérêts américains et sa critique du mondialisme, est entré en conflit direct et ouvert avec elle. Trump a peut-être été président des États-Unis pendant une courte période, mais le CFR a une histoire séculaire de détermination de l’orientation de la politique étrangère américaine. Et, bien sûr, au cours de ses cent ans au pouvoir, le CFR a formé un vaste réseau d’influence, diffusant ses idées parmi les militaires, les fonctionnaires, les personnalités culturelles et les artistes, mais surtout dans les universités américaines, qui sont devenues de plus en plus idéologisées au fil du temps. Formellement, les États-Unis ne reconnaissent aucune domination idéologique. Mais le réseau du CFR est hautement idéologique. Le triomphe planétaire de la démocratie, l’établissement d’un gouvernement mondial, la victoire complète de l’individualisme et de la politique de genre – tels sont les objectifs les plus élevés dont il est inacceptable de s’écarter.  Le nationalisme de Trump, son programme America First et ses menaces de « drainer le marais mondialiste » représentaient un défi direct à cette entité, gardienne des codes du libéralisme totalitaire (comme de toute idéologie). Le CFR peut-il être considéré comme une société secrète ? Difficile. Bien qu’il privilégie la discrétion, il opère généralement ouvertement. Par exemple, peu après le début de l’opération militaire spéciale russe, les dirigeants du CFR (Richard Haass, Fiona Hill et Celeste Wallander) ont ouvertement discuté de la faisabilité d’un assassinat du président Poutine (une transcription de cette discussion a été publiée sur le site officiel du CFR). L’État profond américain, contrairement à l’État turc, pense à l’échelle mondiale. Ainsi, les événements en Russie ou en Chine sont considérés par ceux qui se considèrent comme le futur gouvernement mondial comme des « affaires intérieures ». Et tuer Trump serait encore plus simple – s’ils ne peuvent pas l’emprisonner ou l’exclure des élections. Il est important de noter que les loges maçonniques ont joué un rôle clé dans le système politique américain depuis la guerre d’indépendance des États-Unis. En conséquence, les réseaux maçonniques sont étroitement liés au CFR et servent d’organismes de recrutement pour celui-ci. Aujourd’hui, les mondialistes libéraux n’ont plus besoin de se cacher. Leurs programmes ont été pleinement adoptés par les États-Unis et l’Occident dans son ensemble. À mesure que le « pouvoir secret » se renforce, il cesse progressivement d’être secret. Ce qui devait autrefois être protégé par la discipline du secret maçonnique est désormais devenu un programme mondial ouvert. Les francs-maçons n’ont pas hésité à éliminer physiquement leurs ennemis, même s’ils n’en parlaient pas ouvertement. Aujourd’hui, ils le font. C’est la seule différence. Le deuxième centre de l’État profond est celui des néoconservateurs impérialistes. À l’origine, il s’agissait de trotskistes qui haïssaient l’Union soviétique et Staline parce que, selon eux, la Russie n’avait pas construit un socialisme international mais un socialisme « national », c’est-à-dire un socialisme dans un seul pays. Par conséquent, selon eux, une véritable société socialiste n’a jamais été créée, et le capitalisme n’a jamais été pleinement réalisé. Les trotskistes croient que le véritable socialisme ne peut émerger qu’une fois que le capitalisme sera devenu planétaire et aura triomphé partout, mélangeant de manière irréversible tous les groupes ethniques, peuples et cultures tout en abolissant les traditions et les religions. Ce n’est qu’à ce moment-là (et pas avant) que viendra le temps de la révolution mondiale.  Les trotskistes américains en ont donc conclu qu’ils devaient aider le capitalisme mondial et les États-Unis en tant que porte-étendard, tout en cherchant à détruire l’Union soviétique (et plus tard la Russie, son successeur), ainsi que tous les États souverains. Le socialisme, pensaient-ils, ne pouvait être que strictement international, ce qui signifiait que les États-Unis devaient renforcer leur hégémonie et éliminer leurs adversaires. Ce n’est qu’une fois que le Nord riche aura établi une domination complète sur le Sud appauvri et que le capitalisme international régnera partout en maître que les conditions seront réunies pour passer à la phase suivante du développement historique.  Pour mettre en œuvre ce plan diabolique, les trotskistes américains ont pris la décision stratégique de s’introduire dans la politique – mais pas directement, puisque personne aux États-Unis ne votait pour eux. Ils ont plutôt infiltré les principaux partis, d’abord par l’intermédiaire des démocrates, puis, après avoir pris de l’ampleur, également par l’intermédiaire des républicains.  Les trotskistes ont ouvertement reconnu la nécessité de l’idéologie et ont considéré la démocratie parlementaire avec dédain, la considérant simplement comme une couverture pour le grand capital (ce qui montre encore qu'un projet politique peut se servir d'une institution ou d'une organissation opposées pour se réaliser dont en transformant l'utilité de ces dernières jusqu'à les démoder). Ainsi, aux côtés du CFR, une autre version de l’État profond s’est formée aux États-Unis. Les néoconservateurs n’ont pas affiché leur trotskisme mais ont plutôt séduit les militaristes américains traditionnels, les impérialistes et les partisans de l’hégémonie mondiale. Et c’est avec ces gens, qui jusqu’à Trump avaient pratiquement dominé le Parti républicain, que Trump a dû lutter. La démocratie est une dictature  Dans un certain sens, l’État profond américain est bipolaire, ce qui signifie qu’il a deux pôles :le pôle de gauche mondialiste (CFR) et le pôle mondialiste de droite (les néoconservateurs).  Ces deux organisations sont apolitiques, non élues et véhiculent une idéologie agressive et proactive qui est, par essence, ouvertement totalitaire. Elles sont en accord sur de nombreux points, ne divergeant que par leur rhétorique. Toutes deux sont farouchement opposées à la Russie de Poutine et à la Chine de Xi Jinping, et elles sont contre la multipolarité en général. Aux États-Unis, elles sont toutes deux opposées à Trump, car lui et ses partisans représentent une version plus ancienne de la politique américaine, déconnectée du mondialisme et centrée sur les questions intérieures. Une telle position de la part de Trump est une véritable rébellion contre le système, comparable aux politiques islamistes d’Erbakan et d’Erdogan qui défient le kémalisme en Turquie. C’est ce qui explique pourquoi le discours sur l’État profond a émergé avec la présidence de Trump. Trump et ses politiques ont gagné le soutien d’une masse critique d’électeurs américains. Cependant, il s’est avéré que cette position ne correspondait pas aux vues de l’État profond, qui s’est révélé en agissant durement contre Trump, en outrepassant le cadre juridique et en piétinant les normes de la démocratie. La démocratie, c’est nous, a déclaré en substance l’État profond américain. De nombreux critiques ont commencé à parler d’un coup d’État. Et c’est essentiellement de cela qu’il s’agissait. Le pouvoir de l’ombre aux États-Unis s’est heurté à la façade démocratique et a commencé à ressembler de plus en plus à une dictature – libérale et mondialiste. Considérons maintenant ce que l’État profond pourrait signifier dans le cas des pays européens. Ces derniers temps, les Européens ont commencé à remarquer que quelque chose d’inhabituel se produisait dans la démocratie de leurs pays. La population vote selon ses préférences, soutenant de plus en plus divers populistes, en particulier ceux de droite. Pourtant, une entité au sein de l’État réprime immédiatement les vainqueurs, les soumet à la répression, les discrédite et les écarte de force du pouvoir. On le voit dans la France de Macron avec le parti de Marine Le Pen, en Autriche avec le Parti de la liberté, en Allemagne avec l’Alternative pour l’Allemagne et le parti de Sahra Wagenknecht, et aux Pays-Bas avec Geert Wilders, entre autres. Ils remportent des élections démocratiques mais sont ensuite écartés du pouvoir. Cette situation est-elle familière ? Oui, elle ressemble beaucoup à celle de la Turquie et de l’armée kémaliste. Cela suggère que nous avons affaire à un État profond en Europe également. Il devient immédiatement évident que dans tous les pays européens, cette entité n’est pas nationale et fonctionne selon le même modèle. Il ne s’agit pas seulement d’un État profond français, allemand, autrichien ou néerlandais. Il s’agit d’un État profond paneuropéen, qui fait partie d’un réseau mondialiste unifié. Le centre de ce réseau se trouve dans l’État profond américain, principalement dans le CFR, mais ce réseau enveloppe aussi étroitement l’Europe. Ici, les forces libérales de gauche, en étroite alliance avec l’oligarchie économique et les intellectuels postmodernes – presque toujours issus d’un milieu trotskiste – forment la classe dirigeante non élue mais totalitaire de l’Europe. Cette classe se considère comme faisant partie d’une communauté atlantique unifiée. Pour l’essentiel, elle constitue l’élite de l’OTAN. On peut encore une fois penser à l’armée turque. L’OTAN est le cadre structurel de l’ensemble du système mondialiste, la dimension militaire de l’État profond collectif de l’Occident.  Il n’est pas difficile de situer l’État profond européen dans des structures similaires au CFR, comme la branche européenne de la Commission trilatérale, le Forum de Davos de Klaus Schwab et d’autres. C’est à cette autorité que la démocratie européenne se heurte lorsque, comme Trump aux États-Unis, elle tente de faire des choix que les élites européennes jugent « mauvais », « inacceptables » et « répréhensibles ». Et il ne s’agit pas seulement des structures formelles de l’Union européenne. Le problème réside dans une force beaucoup plus puissante et efficace qui ne revêt aucune forme juridique. Ce sont les porteurs du code idéologique qui, selon les lois formelles de la démocratie, ne devraient tout simplement pas exister. Ce sont les gardiens du libéralisme profond, qui répondent toujours durement à toute menace qui surgit de l’intérieur même du système démocratique. Comme aux États-Unis, les loges maçonniques ont joué un rôle important dans l'histoire politique de l'Europe moderne, servant de siège à des réformes sociales et à des transformations laïques. Aujourd'hui, les sociétés secrètes ne sont plus vraiment nécessaires, car elles fonctionnent depuis longtemps ouvertement, mais le maintien des traditions maçonniques reste un élément de l'identité culturelle de l'Europe. Nous arrivons ainsi au plus haut niveau d’une entité antidémocratique, profondément idéologique, qui agit en violation de toutes les règles et normes juridiques et détient le pouvoir absolu en Europe. Il s’agit d’un pouvoir indirect, ou d’une dictature cachée – l’État profond européen, partie intégrante du système unifié de l’Occident collectif, uni par l’OTAN. Il reste à appliquer le concept d’État profond à la Russie. Il est à noter que dans le contexte russe, ce terme est très rarement utilisé, voire jamais. Cela ne signifie pas qu’il n’existe rien de semblable à un État profond en Russie. Cela suggère plutôt qu’aucune force politique significative bénéficiant d’un soutien populaire critique ne s’y est encore opposée. Néanmoins, nous pouvons décrire une entité qui, avec un certain degré d’approximation, peut être appelée « État profond russe ». En Russie, après l’effondrement de l’Union soviétique, l’idéologie d’État a été bannie et, à cet égard, la Constitution russe s’aligne parfaitement sur celle d’autres régimes prétendument libéraux et démocratiques. Les élections sont multipartites, l’économie est fondée sur le marché, la société est laïque et les droits de l’homme sont respectés. D’un point de vue formel, la Russie contemporaine ne diffère pas fondamentalement des pays d’Europe, d’Amérique ou de Turquie.  Cependant, il existait en Russie une sorte d’entité implicite et non partisane, surtout à l’époque d’Eltsine. À l’époque, on faisait référence à cette entité sous le terme général de « La Famille ». La Famille remplissait les fonctions d’un État profond. Si Eltsine lui-même était le président légitime (mais pas toujours légitime au sens large), les autres membres de cette entité n’étaient élus par personne et n’avaient aucune autorité légale. Dans les années 1990, la Famille se composait des proches d’Eltsine, d’oligarques, de responsables de la sécurité loyaux, de journalistes et d’occidentalistes libéraux convaincus. Ce sont eux qui ont mis en œuvre les principales réformes capitalistes dans le pays, les faisant passer au mépris de la loi, la modifiant à leur guise ou l’ignorant tout simplement. Ils n’ont pas agi uniquement par intérêt clanique, mais comme un véritable État profond : ils ont interdit certains partis, en ont artificiellement soutenu d’autres, ont refusé le pouvoir aux vainqueurs (comme le Parti communiste et le LDPR) et l’ont accordé à des individus inconnus et sans distinction, ont contrôlé les médias et le système éducatif, ont réaffecté des industries entières à des personnalités loyales et ont éliminé ce qui ne les intéressait pas. À cette époque, le terme « État profond » n’était pas connu en Russie, mais le phénomène lui-même était clairement présent. Il faut cependant noter que dans un laps de temps aussi court après l’effondrement du système de parti unique ouvertement totalitaire et idéologique, un État profond pleinement développé n’aurait pas pu se former de manière indépendante en Russie. Naturellement, les nouvelles élites libérales se sont simplement intégrées au réseau mondial occidental, en y puisant à la fois l’idéologie et la méthodologie du pouvoir indirect ( potestas indirecta ) – par le biais du lobbying, de la corruption, des campagnes médiatiques, du contrôle de l’éducation et de l’établissement de normes sur ce qui était bénéfique et ce qui était nuisible, ce qui était permis et ce qui devait être interdit. L’État profond de l’ère Eltsine qualifiait ses opposants de « rouges-bruns », bloquant préventivement les défis sérieux de la droite comme de la gauche. Cela indique qu’il existait une forme d’idéologie (officiellement non reconnue par la Constitution) qui servait de base à de telles décisions sur ce qui était bien et ce qui était mal. Cette idéologie était le libéralisme. L’État profond n’apparaît que dans les démocraties, fonctionnant comme une institution idéologique qui les corrige et les contrôle (telle une dictature libérale). Ce pouvoir de l’ombre a une explication rationnelle. Sans un tel régulateur supra-démocratique, le système politique libéral pourrait changer, car il n’y a aucune garantie que le peuple ne choisira pas une force qui offre une voie alternative à la société. C’est précisément ce qu’Erdoğan en Turquie, Trump aux États-Unis et les populistes en Europe ont essayé de faire – et y sont partiellement parvenus. Cependant, la confrontation avec les populistes oblige l’État profond à sortir de l’ombre. En Turquie, cela a été relativement facile, car la domination des forces militaires kémalistes était largement conforme à la tradition historique. Mais dans le cas des États-Unis et de l’Europe, la découverte d’un quartier général idéologique fonctionnant par la coercition, des méthodes totalitaires et des violations fréquentes de la loi – sans aucune légitimité électorale – apparaît comme un scandale, car elle porte un coup dur à la croyance naïve dans le mythe de la démocratie. L’État profond repose sur une thèse cynique, dans l’esprit de La Ferme des animaux d’Orwell : « Certains démocrates sont plus démocrates que d’autres. » Mais les citoyens ordinaires peuvent y voir une forme de dictature et de totalitarisme. Et ils auraient raison. La seule différence est que le totalitarisme à parti unique opère ouvertement, tandis que le pouvoir de l’ombre qui se tient au-dessus du système multipartite est contraint de dissimuler son existence même. Cela ne peut plus être caché. Nous vivons dans un monde où l’État profond est passé d’une théorie du complot à une réalité politique, sociale et idéologique claire et facilement identifiable.  Il vaut mieux regarder la vérité en face. L’État profond existe et il est sérieux. » (Extraits de l'article « l’État profond » d'Alexandre Douguine)

Il existe très étrangement un parlement communautariste juif européen non médiatisé dans les mêmes locaux que le parlement européen de Bruxelles. En effet ce parlement communautariste juif européen influence très probablement le parlement européen de Bruxelles, dont à travers des organismes privés, alors que s'il était islamique tous les regards et mauvaises critiques seraient portés sur lui. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Omerta médiatique : Le parlement Juif Européen » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=1VzROerPJrE C'est à dire qu'on ne peut que se demander, ce que font les israéliens dans le pré carré Européen. Cette question ne vient pas du fait que le Parlement européen doit être réservé aux pays de ce continent, mais parce que l’intrusion d’intérêts extra-européens pose sérieusement problème. Dans ce sens il faut noter que certains juifs pervers cherchent à créer en France un parlement sioniste similaire, et lié à des entités comme le CRIF qui sert d'abord à accuser illégitimement d'antisémitisme ceux qui critiquent la politique d’Israël. Lorsque l’entité israélienne s'ingère dans la politique profonde de pays étrangers, ça mérite un carton jaune ou plutôt rouge. Il faut noter qu'avec le CRIF les principaux organisations proches du pouvoir et l'influençant fortement sont « Le club Le Siècle » et « La French American Foundation (FAF) ». La French American Foundation, a depuis trente ans pour fonction de recruter les jeunes leaders appelés à occuper des postes de dirigeants pour les former au soutien de la politique atlantiste et donc oligarchique et sioniste. Cette organisation gérée par la CIA depuis 2015 est partenaire du Cabinet McKinsey qui a réorganisé l’agence sous le mandat de John Brennan et l’administration Obama. L’autre relais de ces organisations est Joel Benenson, qui a formé Emmanuel Macron. Il est le fondateur et PDG du Benenson Strategy Group et l’un des plus grands stratèges politiques et d’entreprise au monde. Benenson a dirigé les campagnes de 2008 et 2012 du président Obama. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Qui gouverne la France ? » à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/02/qui-gouverne-la-france/
Ainsi nous voyons bien qu’il ne faut pas confondre l’État français avec « l’État républicain », et qu’à mesure qu’on dépouillait le peuple français de sa souveraineté, l’État républicain s’est vu adjoindre avec le temps le concours de forces considérables qui lui permettent d’exercer sur les âmes et les corps un pouvoir dont les décriés souverains des temps jadis n’auraient jamais rêvé disposer : les médias privés, les GAFAM, les communautés organisées, une justice aux ordres devenue inquisitoriale à force d’infiltration et de noyautage par des magistrats pervers, véreux ou lâches (d'ailleurs un ancien vice-président du tribunal judiciaire de Dijon, qui proposait à des internautes de violer sa fille de 13 ans, a été condamné à du sursis et n'ira donc pas en prison).


Une partie de la diplomatie sous tension sert à endormir les peuples par l'ennemi commun.

« Le concept d’État profond représente la haute administration non élue et choisie par le chef de l’État pour décider de la politique et de la gestion des dépenses publiques. Avec plus de 3.100 milliards de dette (source Ministère de l’Economie et des finances 2024), la France est sous la tutelle du lobby bancaire et Emmanuel Macron n’y est pas étranger. Diplômé de l’école nationale de l’administration puis inspecteur des finances, il quittera la fonction publique pour une banque privée bien connue, à savoir la banque Rothschild, et deviendra son plus jeune associé gérant. Ce management transversal s’appelle « pantoufler ». À ce sujet, passer de la fonction publique dans le secteur privé s’appelle du « pantouflage » et pose, en général, des problèmes éthiques et déontologiques, du fait d’une transparence souvent absente. Le terme de « rétro pantouflage » désigne, à l’inverse, le passage du secteur privé vers la fonction publique. Le retour d’Emmanuel Macron dans l’administration française s’effectuera au ministère de l’Économie, véritable « cheval de Troie » du pouvoir bancaire afin de privatiser et de détruire, hélas, l’économie de notre pays. Les privatisations sont rendues légales grâce à une assemblée nationale, muée depuis bien trop longtemps en banale chambre d’enregistrement des ordres émanant du chef de l’État et de son Premier ministre. Pour bâtir son réseau dans la haute administration, Emmanuel Macron utilise les cercles de réflexions répertoriés dans notre livre, qui sont de véritables lobbies décisionnels, lui permettant de nommer les futurs agents aux postes stratégiques. Ces hauts fonctionnaires obéissent, sans faillir, aux puissances étrangères qui en réalité, sont les véritables commanditaires et donneurs d’ordres à l’Élysée. Toute cette engeance pousse notre pays vers la ruine, pille l’épargne des Français, et enfonce le peuple français vers une paupérisation de plus en plus visible. Mais revenons à la dette publique. Elle correspond à l’ensemble des emprunts publics contractés par l’État, la Sécurité sociale, les organismes divers d’administration centrale (ODAC) et les collectivités territoriales. Le détail de cette dette, tel que présenté sur le site de l’Insee, se fonde sur la définition de la dette des administrations publiques au sens du Traité de Maastricht. Pendant plus de trente ans, la France a connu une politique budgétaire laxiste. « L’État providence », souvent utilisé comme vache à lait par les banques, a dépensé sans compter pour financer la dette publique et assurer les salaires des fonctionnaires. Cependant, entre la dette corrélée au PIB et la dette publique, un flou persiste, particulièrement visible dans le bilan comptable de l’État français, notamment dans le registre « hors bilan bancaire ». Ce compte bancaire est fréquemment employé pour dissimuler les dettes embarrassantes ; une pratique courante dans le monde financier pour camoufler des actifs toxiques et des soldes négatifs ; qui pourraient ternir l’image d’une banque ou d’une multinationale, influant ainsi sur sa cotation boursière. Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron, le triumvirat de l’enfer, ont généré donc une dette de plus de 3 100 milliards d’euros à laquelle il faut ajouter le hors bilan bancaire :  Extraits de l’article d’Atlantico du 29 mars 2024 « Engagements hors bilan. Pire que la dette et les déficits, les engagements hors bilan de l’Etat français » : « En revanche, on trouve dans le hors bilan de l’Etat une dépense quasi certaine liée aux retraites que l’Etat s’est engagé à verser à ses personnels. Fin 2022, les engagements de retraite de l’Etat vis-à-vis des fonctionnaires civils et militaires représentaient 1 683 milliards d’euros, soit 65% du PIB. La dette publique ne tient pas compte de tous les engagements donnés par l’Etat. Ce n’est pas en soi une anomalie, sauf dans le cadre des retraites des fonctionnaires. Le dernier compte général de l’Etat intègre 2 200 milliards d’euros d’engagements hors bilan pouvant donner lieu à une implication indirecte de l’Etat. L’Etat garantit, par exemple, les livrets d’épargne réglementés soit 560 milliards d’euros d’engagements hors bilan, apporte 126 milliards de garantie au mécanisme européen de stabilité (MES), garantit 75 milliards d’euros de prêts au titre des PGE, pourrait en théorie être engagé pour le même montant vis-à-vis du plan de relance européen, soutient le commerce extérieur à hauteur de 60 milliards, garantit la dette de l’Unedic à hauteur de 52 milliards… Les données sur les engagement hors bilan de l’Etat sont publiques et fournies chaque année dans les comptes de l’Etat sur le site des ministères économiques et financiers pour un montant total de 3 800 mds€ (montant à comparer aux 3 088 mds€ de dette indiqués par l’INSEE à la fin de 3ème trimestre 2024), dont la moitié comme engagements de retraite de l’Etat. » « Si l’on additionne 3100 Mds€ de la dette publique plus les 3800 Mds€ des sommes mentionnées dans le hors bilan bancaire, on obtient un total vertigineux de plus de 6 900 milliards d’euros. Bagatelle ! Le reste de la situation en France est catastrophique. Entre le trafic de drogue qui explose, le nombre de SDF en constante augmentation, la criminalité en hausse, le bradage de nos industries, la crise sanitaire sous gérée, l’empêchement des médecins de soigner, la suppression des lits d’hôpitaux –17.600-, la destruction de la justice, la privatisation de la Française des jeux, la carte blanche donnée au sulfureux cabinet conseil McKinsey, la répression sanglante des Gilets Jaunes, les dettes, et la poussée très dangereuse d’une guerre contre la Fédération de Russie avec des provocations inutiles répétées sans cesse, on peut se demander si tout cela est bien réel. Malheureusement oui. Étonnamment tout s’écroule, sauf le complexe militaro-industriel français. En effet, notre pays vient de décrocher la médaille d’argent mondiale en 2024 pour les ventes d’armes juste derrière les USA. La France est à l’image de feu son paquebot qui, jadis, était une de nos fiertés. Touché, démantelé, coulé. Heureusement que les preuves existent, bien que noyées sous un déluge de fausses informations, de discours trompeurs, de photos alléchantes, et masquées par des courbes et des graphiques trafiqués. L’élite au pouvoir semble intouchable. Il ne faut pas oublier qu’elle obéit au doigt et à l’œil à la finance internationale, ainsi qu’à leur idéologie mortifère. Mais le problème réside essentiellement dans la présence des seconds couteaux, au-delà des marionnettistes. Il s’agit de toute l’armada des petits chefs de la République exécutant avec un zèle absolu les ordres, soutenus par une presse obéissante et soumise, par une majorité d’artistes généreusement subventionnés par le ministère de la Culture et avec, malheureusement, une partie importante de la classe moyenne qui, soit se contente de ses propres préoccupations, soit se considère comme le justicier de l’État, donnant du fil à retordre à une minorité consciente des enjeux, tout en essayant de garder le cap envers et contre tous. Soit, nous allons vers une causalité de plus en plus étendue, à savoir la compréhension des véritables enjeux, soit nous nous enfonçons dans une complaisance d’acceptation passive des événements menaçants notre survie, celle de nos voisins et de toute la population de la Terre. Identifier les vrais responsables de nos maux et du déclin rapide de la France, permet, non seulement de comprendre, mais aussi de pouvoir y remédier. Rien n’est écrit, tout peut changer. » (Claude Janvier Écrivain, co-auteur du livre avec François Lagarde : « L’État Profond Français. Qui, comment, pourquoi ? » pour le Média en 4-4-2)

En décembre 2024, les forces de sécurité guatémaltèques ont découvert un complexe d'une secte juive suspectée de trafic d'êtres humains à Santa Rosa, sauvant 160 enfants victimes d’abus sexuels. La secte, serait composée de 50 familles de divers pays. « Dans une vidéo (qui risque de sauter vu la thématique abordée), l'anthropologue suisse Jean-Dominique Michel se penche un sujet sensible et (presque) jamais traité par les médias : la pédocriminalité et le pédosatanisme. Selon lui, ces pratiques seraient non seulement répandues, mais aussi couvertes par les élites politiques et médiatiques. Jean-Dominique Michel s’appuie sur des « faisceaux d’indice » pour étayer ses propos. Il cite notamment l’affaire du Coral, du nom d’un réseau pédophile qui a sévi en France dans les années 80 et 90, et dont les ramifications ont atteint les plus hautes sphères de l’État. Il dénonce également l’omerta médiatique qui entoure ces sujets, et le manque de volonté des autorités à enquêter et à punir les coupables. Mais l’anthropologue va plus loin en évoquant le pédosatanisme, c’est-à-dire la pratique de rituels sataniques impliquant des enfants. Il affirme que cette pratique est elle aussi répandue et couverte par les élites. Il s’appuie sur des témoignages et des enquêtes, comme celle menée par la journaliste Élise Lucet en 2000, qui a révélé l’existence de réseaux pédophiles, pédocriminels et pédosataniques en France et en Belgique. » (Média en 4-4-2)
« L’affaire Alliance Kripten est l’une des rares affaires françaises de pédocriminalité révélée dans les médias. Il s’agit d’une secte sataniste doublée d’un réseau pédocriminel ayant opéré à Paris et à l’étranger durant les années 1980-1990. Elle est dévoilée en mars 1997 alors que de nombreuses affaires pédocriminelles sortent dans la presse (affaires Toro Bravo, ADO 71 et bien sûr Dutroux). Relativement bien médiatisée, elle fait l’objet de deux reportages l’un pour TF1, l’autre pour France 2 diffusés lors du JT de 20h. Malgré cela, elle est peu connue de nos jours, si ce n’est des personnes enquêtant sur les réseaux pédocriminels. » (Média en 4-4-2) « 1997, c’est l’année où l’affaire Dutroux explose, révélant à toute l’Europe l’étendue et la puissance des réseaux pédophiles. Les parents comprennent que leurs enfants peuvent être enlevés, violés, vendus, torturés et abandonnés sans que la justice et la police n’interviennent, sinon fassent semblant d’intervenir. C’est un choc immense. Le grand public prend conscience de la pédocriminalité oligarchique, puisque dans le cas français et le cas belge, à chaque fois, la police patine et la justice bloque. Les enquêtes connaissent toutes un plafond de verre. De même toutes les enquêtes sur les grandes affaires de crimes en série en France ont été des fiascos inimaginables. Et on peut imaginer que ça continue, puisque des pédophiles de haut vol, connus comme le loup blanc, sont toujours en poste. On dirait même que la pédoligarchie est une spécialité nationale. C’est probablement dû au fait que, chez nous, les pouvoirs ne sont pas séparés : à part les bisbilles entre une police de droite et une justice de gauche, tout le monde est d’accord pour ne pas toucher aux ordures haut placées. Il y a donc collusion entre le politique, le juridique et le policier. Quant aux médias mainstream, n’en parlons pas : ils arrivent toujours après la bataille. C’est donc la grande coalition politique-justice-police-médias qui tue, plus sûrement que quelques salopards. En France, il n’y a qu’un pouvoir, et il ne défend pas les innocents. Il les exploite. » (ER) « Aimé Bille, ancien gendarme, a dévoilé dans son livre "Dutroux, l'enquête assassinée, révélation d’un gendarme écarté de l’enquête" comment l'enquête sur Marc Dutroux a été étouffée par de hauts gradés et des magistrats corrompus. L’enquête sur des enlèvements, des viols, des actes de torture et des meurtres d’enfants est double. Elle vise, d’une part, Marc Dutroux et ses complices haut placés, d’autre part, de hauts gradés de la gendarmerie et des magistrats. La corruption se manifeste pleinement en avril 1992. Condamné pour viol, Marc Dutroux bénéficie pourtant d’une libération anticipée accordée par le ministre de la justice, Melchior Whattelet. Libéré, Marc Dutroux en profitera pour tuer.  Aimé Bille et Patriek De Baets, les gendarmes chargés d’éplucher les comptes bancaires de Dutroux, découvrent d’importants versements après plusieurs enlèvements d’adolescentes. Le récit révèle une corruption généralisée et des complicités au plus haut niveau, y compris une implication possible de la famille royale belge. Puis le gendarme est alors écarté. Le juge d’instruction Jean-Marc Connerotte, sans doute beaucoup trop honnête, a d'ailleurs lui aussi été écarté ! Le 14 octobre 1996, la Cour de Cassation de Belgique, top des institutions judiciaires belges, le dessaisit pour manque d’impartialité. Motif : il avait participé à un repas de spaghetti avec une association de défense des victimes de Dutroux. Quelques jours après l’indigne « arrêt spaghetti », le 20 octobre 1996, plus de trois cent mille personnes s’unissent pour une Marche blanche. Faute de confiance dans les institutions, ce rassemblement ne se structurera pas et restera sans lendemain. » (Média en 4-4-2)
Et il y aurait encore plus de 10 000 disparition d'enfants annuellement en France. Alors que la lutte contre la pédocriminalité (en particulier de réseau voire institutionnelle) devrait évidemment devenir la priorité, ce qui en plus est donc le meilleur moyen de lutter contre la grande corruption. En sachant que selon la loi française, le viol est devenu une agression sexuelle même envers les enfants pour descendre au niveau du tribunal correctionnel plutôt que criminel, ce qui amoindrit la gravité de la pédophilie.
« Jean-Dominique Michel évoque l’inefficacité des manifestations de grande envergure, qui ne parviennent plus à infléchir les décisions politiques. Il prend l’exemple de la réforme des retraites en France, où des millions de personnes dans la rue n’ont pas suffi à faire reculer le gouvernement. Il poursuit en expliquant que la société occidentale est en proie à une dérive inquiétante, où les moyens classiques de protestation ne fonctionnent plus. Il cite Alexandre Soljenitsyne, qui avait prédit cette dérive dans son discours à Harvard en 1978, en soulignant l’absence de spiritualité dans l’organisation de la société. Jean-Dominique Michel insiste sur la nécessité de remobiliser le courage et les valeurs de chevalerie pour protéger les plus vulnérables, en particulier les femmes et les enfants.  L’anthropologue met en lumière l’association « Bikers Against Child Abuse » (BACA), qui protège les enfants victimes d’abus en leur offrant un soutien physique et émotionnel. Il loue cette initiative comme un exemple de mobilisation citoyenne efficace et appelle à une présence déterminée et courageuse dans l’espace public pour contrer la dérive actuelle. » (Média en 4-4-2)
« La commission indépendante sur l’inceste et les violentes sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) existe officiellement depuis le 11 mars 2021. Mise en place sous la gouvernance d’Emmanuel Macron, l’objectif de cette commission est de recueillir les témoignages et protéger les enfants qui subissent des violences sexuelles et en particulier les enfants victimes d’inceste. Après 3 ans d’enquête et 30 000 témoignages, grâce au travail acharné de son président Édouard Durand, la CIIVISE rend son rapport, le 20 novembre 2023. Le constat est édifiant : 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles par an, en France. Et seulement 3% de ces abus sexuels aboutissent à une condamnation du violeur. Dans le cas d’incestes, c’est encore pire : seulement 1% des viols incestueux sont condamnés ! Le rapport de la CIIVISE est une bombe dans la France décadente, elle préconise 82 mesures pour que cessent les viols d’enfants et surtout l’impunité de violeurs.  Le seul hic (voire gros problème si le précédent rapport est maléfiquement utilisé), c’est que le 19 novembre 2023, Charlotte Caubel, secrétaire d’Etat chargée de l’enfance, annonce que l’équipe dirigeante de la, CIIVISE va être remaniée, et la ligne directrice de sa mission modifiée… Ainsi, Édouard Durand a été écarté de cette Commission si efficace à l’issue de la publication du rapport, en novembre 2023, et a été remplacé par trois hauts cadres de l’Enfance : Thierry Baubet, pédopsychiatre et directeur scientifique du Cn2r, Maryse le Men Régnier, présidente de la fédération France Victimes et Solène Podevin Favre présidente de l’association Face à l’inceste. » (chloeframmery.ch – 25 juillet 2024)
« Entre le 9 et le 19 décembre 2024, plus de 570 gendarmes, dont 140 experts en cybercriminalité, ont été mobilisés pour mener des perquisitions et procéder à des arrestations dans différentes régions de France. Parmi les 95 Français arrêtés, 36 étaient déjà connus pour des infractions sexuelles ou la consultation de contenus similaires. De plus, sept individus figuraient au Fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais). Ces accusés incluent des profils divers, comme un élu local, un éducateur sportif, et un responsable associatif. » (Média en 4-4-2)
Notre système médiatico-politique devenu partial, lobbyiste et corrompu est par conséquent très gravement défaillant. Il s'agit d'une lobbycratie composée des lobbies oligarchique, sioniste, franc-maçon, bancaire, commercialo-mondialiste, Lgbt, pharmaceutique, des armes. C'est à dire que cela favorise mafieusement leurs intérêts particuliers et non généraux, souvent par convergence malgré quelques affrontements. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « De la Révolution française au Covid, Petite histoire de manipulation du peuple. Partie 3 (L’essor de l’ingénierie sociale particulièrement pour développer le consumérisme) » à l'adresse https://lemediaen442.fr/de-la-revolution-francaise-au-covid-petite-histoire-de-manipulation-du-peuple-partie-3/
Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellente interview de Lucien Cerise : « Covid-19, ingénierie sociale, manipulations… Le point avec Lucien Cerise » à l'adresse : https://www.breizh-info.com/2020/08/28/149123/covid-19-ingenierie-sociale-manipulations-lucien-cerise-le-pouvoir-joue-essentiellement-sur-la-psychologie-humaine-et-ses-faiblesses-ses-biais-ses-angles-morts/
« Aldo Sterone explore comment le système économique actuel est conçu pour maintenir une classe pauvre, assurant ainsi la richesse et le pouvoir d'une élite. En s'appuyant sur les théories de Karl Marx et Bernard de Mandeville, il décrypte les mécanismes du capitalisme, du salariat, de la dette et de l'exploitation financière qui piègent les travailleurs dans un cycle de pauvreté. Aldo Sterone explique que les riches ont besoin des pauvres pour maintenir leur statut. Il cite Mandeville, qui affirmait qu’il serait plus aisé pour les riches de vivre sans argent que sans pauvres, car ce sont les pauvres qui produisent la valeur nécessaire à l’accumulation de richesse.  Marx, dans son livre « Le Capital », décrit trois circuits économiques : MAM (marchandise-argent-marchandise), AMA (argent-marchandise-argent), et AA (argent-argent). Le premier concerne les travailleurs qui échangent leur travail contre des biens de subsistance, sans jamais accumuler de capital. Le second est celui des commerçants qui investissent pour obtenir un profit. Le troisième, le plus brutal, est celui des banquiers qui prêtent de l’argent pour en obtenir davantage, sans créer de valeur réelle. Aldo Sterone conclut que ces circuits sont interconnectés et que la majorité des travailleurs sont programmés pour rester pauvres, piégés dans un système où l’argent circule toujours vers le haut, enrichissant une minorité au détriment de la masse laborieuse. » (Média en 4-4-2)

Sous prétexte également d'identifier et répondre aux menaces étrangères contre les démocratie, le plan Viginum de l’État français a été mis place pour la surveillance de la dissidence. Ces menaces comprennent prétendument l’activité hostile de tout État ciblant les institutions, les processus démocratiques, l’environnement médiatique et informationnel, ainsi que l’exercice des droits de l’homme et des libertés fondamentales. L’objectif est de lutter contre « la désinformation parrainée par des États étrangers ». Ne nous leurrons pas : derrière ce langage policé, c’est la Russie qui en premier lieu est visée, mais aussi tous ceux qui dénoncent la démocratie occidentale, car elle sert toujours plus à la tyrannie de l'oligarchie transnationale, apatride et sioniste. Sous prétexte d’éviter les influences étrangères qui pourraient menacer le débat démocratique mais d'abord en réalité l’expression d’opinions qui ne dérangent pas le système, le fichage S des « mal-pensants », autrement dit de dissidents est même devenu une activité industrielle inspirée du « modèle chinois ». Cela nécessite la mise sous surveillance de toute la population.
Au fond le terrorisme finit toujours par servir le pouvoir (profond) en place, car ce dernier peut ainsi augmenter la terreur sur la population dont par des médias de plus en plus contrôlés, augmenter la surveillance envers le citoyen d'abord résistant politique et non de droit commun, et augmenter la répression sous couvert de sécurité nationale, le Patriot Act américain post-11/09 servant d’exemple à toutes les démocraties totalitaires.
Or selon Lurie Roşca de l'Université d'État de Moldavie, l'époque actuelle ayant mis fin à la théorie selon laquelle le mondialisme serait un pur produit américain, il rappelle que l’essayiste et économiste français Hervé Juvin développe une thèse très importante pour comprendre les phénomènes des dernières décennies : tout comme le peuple russe fut la première victime du communisme, le peuple américain est la première victime du mondialisme, également appelé capitalisme extraterritorial, impérialiste et destructeur. En effet il ne faut pas oublier que la majeure partie de l’oligarchie mondialiste réside aux États-Unis tout en agissant contre les intérêts de l’État américain et du peuple américain.
La menace qui pèse sur le monde est celle d’une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, de l’homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l’existence sans tranhumanisme dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d’un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu’en parlant ainsi, cela fasse seulement allusion au communisme ou à l’hitlérisme qui ont disparus. En effet le monde moderne et sa démocratie tendent à disparaître au profit d'un dirigisme universel.
Il faut savoir que les sociétés secrètes, organisées depuis un siècle dans toutes les parties de l’Europe, ou plutôt dans le monde entier, sous divers noms et sous diverses formes sont le vrai foyer où se fomentent les projets détestables pour l'humanité, et d’où part le mouvement, la force d’agression qui s’attaque à l’Église et aux puissances temporelles.
Parmi elles, la Franc-maçonnerie en partie aussi synonyme de la synagogue de Satan est un pouvoir occulte anti-France et compte donc parmi les responsables secrets du changement d’ordre qu'est la Révolution française, puisque ayant remis en cause la France catholique, la France royale et la France éternelle.
En plus des sociétés secrètes mondialistes, les mondialistes sociétés ploutocratiques très influentes (dont à travers les médias, leur liens dans la politique et le contrôle des réseaux sociaux) comme les organisations Davos (dont les stratégies sont souvent suivies par l'Union Européenne), Bidelberg (étant une sorte de maçonnerie mondialiste perverse comme le Bohemian club prenant le pouvoir maçonnique et étant le bras armé politico-idéologique de l'OTAN qui est le bras armé de Wall Street), Trilatérale et Council on Foreign Relations (« arme miracle » de la géopolitique atlantique) agissent de moins en moins cachées, car avec internet elles sont de plus en plus dévoilées. On peut également évoquer les évangélistes et le réseau du comité des 300 comprenant : Washington, CIA, CIR, BRI, FMI, Forum économique de Davos, Grandes banques, B'NAI B'RITH, Organisation sioniste mondiale, GAFAMS, etc, le tout très probablement piloté par quelques décisionnaires du 33 e degré maçonnique satanique et contrôlé par le chantage concernant de graves crimes. Surtout que la franc-maçonnerie étant internationale, elle facilite l'établissement d'un plan mondialiste, d'autant plus quand ses hauts degrés sont occupés par de hauts responsables politiques, financiers et économiques dans chaque pays. D'ailleurs cela fait plusieurs décennies que la république française mène une guerre civile hybride et sans merci contre son propre peuple. Celle-ci explose à l’occasion d’événements violents, puis s’apaise pour un bref moment. Mais l’on peut être quasi certain que ce populicide républicain perdurera jusqu’à l’extinction de la France-pays réel, de ses forces vives, de sa culture, de ses coutumes et de sa religion ancestrale.
Selon l'entretien avec l'ancien résistant, membre des services de renseignements français, devenu journaliste et écrivain, et engagé à l'extrême droite, Pierre de Villemarest, à l'adresse https://youtu.be/SCpLqzsUfjk, des organisations secrètes mondialistes liées entre elles existent depuis 1814 en passant par 1918 et 1945 : la société fabienne (capitaliste pour les élites et socialiste ou collectiviste pour le peuple, et dont un premier symbole était un loup déguisé en agneau) et la synarchie de Vienne sont les ancêtres d'organisations ploutocratique ou/et mondialistes dont de la Trilatérale et du club Bidelberg. Ceci est d'autant plus prouvé, car elles tiennent le même langage depuis deux siècles. Elles veulent que 300 multinationales maximum contrôlent toute l'économie, le monétaire, le financier et le technocrate. Ces sociétés sont d'autant plus secrètes que pour y entrer, il faut être coopté par au moins 2 membres, même pour des non initiés pouvant servir de caution au plan caché. Or ces organisations peuvent ne pas rechercher la place suprême du pouvoir souvent éphémère, car elles préfèrent demeurer indispensables intellectuellement et économiquement aux divers dirigeants et gouvernements se suivant, afin que leur influence et leur projet soient continus.
« Depuis 2019, toutes les principales organisations internationales – UE, OTAN, FMI et ONU – sont présidées par des Bilderberg : Ursula von der Leyen à l’UE, Jens Stoltenberg à l’OTAN, Kristalina Georgieva au FMI et Antonio Guterres à l’ONU. Pourtant, la plupart des hommes politiques qui ont participé aux conférences du Bilderberg n’ont jamais été promus par la suite. Mais 133 l’ont été, et parfois même peu de temps après leur apparition aux rassemblements. Parmi ces hommes politiques, principalement européens, 42 sont devenus premiers ministres, présidents ou hauts représentants d’organisations internationales comme l’UE, l’OTAN et le FMI. » (Clémentine Jallais)
Il est intéressant de voir aussi à ce sujet la vidéo « Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat ! » qui précise que les conspirateurs sont les véritables parasites de cette planète, à l'adresse https://lemediaen442.fr/le-discours-de-john-f-kennedy-revelant-lexistence-des-societes-secretes-10-jours-avant-son-assassinat/
« Imaginer que la direction planifiée de la vie économique sur une vaste région habitée par des peuples différents pourrait s’effectuer par des procédés démocratiques, c’est ignorer complètement les problèmes que pareil plan soulève. Le planisme, à l’échelle internationale plus encore qu’à l’échelle nationale, n’est que l’application de la force brute : un petit groupe impose à tous les autres un standard de vie et un plan de travail qu’il estime juste. L’économie des grands espaces, conçue par les Allemands ne peut être réalisée que par une race de seigneurs imposant impitoyablement ses buts et ses idées à tous les autres. La brutalité et le manque de scrupules à l’égard des désirs et des idéaux des petits peuples ne sont pas simplement une manifestation de leur méchanceté spécifique, mais découlent logiquement de la tâche qu’ils ont entreprise. Celui qui parle de race des seigneurs dans le cadre de l’unification européenne qui se profile dès la fin de la guerre de 40, c’est Friedrich Von Hayek. Il a été souvent récupéré par les néolibéraux mais sa Route de la servitude reste un modèle. Hayek prédit que selon la volonté des anglo-saxons vainqueurs de cette guerre, le modèle nazi allemand sera plus ou moins suivi lors de la construction européenne, ce qui se confirmera par la caste (seigneurs) de la commission de l'union européenne, surtout que cette union européenne a été faite par des agents americano-sionistes et l'oligarchie perverse. » (Nicolas Bonnal pour Strategika)
Le Bilderberg qui s'est réunit à Washington en 2022, a été un conseil de guerre de haut niveau, présidé par Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN. Après 2 ans d'interruption dus au Covid, ce sommet mondial de l'élite a donc été relancé à Washington DC, avec une liste d'invités de haut niveau comprenant les chefs de l'OTAN, de la CIA, du GCHQ, du conseil de sécurité nationale des États-Unis, 2 premiers ministres européens, une bonne dose de milliardaires de la technologie et Henry Kissinger.
Surtout qu'il apparaît de plus en plus nettement que pour établir leur gouvernement mondial, c'est à dire un monde technocratique et ploutocratique sans états, ni nations, ni églises, ni syndicats, ni corps intermédiaires, ni frontières, ni traditions, ni biens (tout en location) etc, et ainsi avoir le contrôle total, ces sociétés secrètes participent fortement à ce que les populations soient désorganisées dont par des crises et vivent dans des sociétés déstructurées dont par les grands médias achetés et des organisations supranationales s'étant établies progressivement depuis des décennies selon un agenda clair. Le dernier traité de l’OMS sur la pandémie demande même que les pays délivrent les pleins pouvoirs à l’OMS afin de déclarer des pandémies et de décider quel protocole doit être suivi, quelles que soient les constitutions des pays. Pour l'instant certains dirigeants l'ont accepté et d'autre l'ont refusé.
Ce mondialisme ploutocratique allant dans le sens du socialisme, aboutissant au communisme, est la doctrine antisociale qui tend et aboutit à faire de l’État (et les ultra riches derrière) le maître absolu de toutes choses, c’est-à-dire des personnes et des biens, des corps et des âmes.
« On a d'ailleurs droit comme avec Schwab et Davos à l’abolition de la propriété privée. Or l'orientation vers fin de la propriété privée, qui est pourtant l'essence du capitalisme, indique même clairement une soviétisation de l'économie surtout cela ne concerne pas les ultra riches. Selon Davos : « Les propriétaires, graduellement courbés et accablés sous un joug impitoyable et intolérable de charges et d’impôts, solliciteront alors, comme un moyen de s’exonérer et de vivre en paix, la faveur de passer à l’état de fermiers ou de tenanciers. Et selon son caprice ou ses intérêts, le système expulsera les uns et acceptera les autres, tenant à la fois les hommes par la terre et la terre par les hommes. Le nom de propriétaire aura péri. A part les ultra riches, il n’y aura dès lors ni classes élevées, ni classes inférieures ; il n’y aura ni pauvres, ni riches, ni petits, ni grands, si ce n’est ceux que le système lui plaira de combler et d’élever autant que durera son caprice. »
Car le patriotisme (ainsi que la famille traditionnelle) n’est déjà plus qu’une étroitesse d’esprit pour ces cosmopolites ultra libéraux wokiste, ces prochains dominateurs de l’opinion. » (Extraits de l'article « Gougenot et l’avènement apocalyptique du mondialisme totalitaire (1865) » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/14/gougenot-et-lavenement-apocalyptique-du-mondialisme-totalitaire-1865/)

Selon Thoreau, le politicien aux ordres devient vite un malfaiteur ou un saboteur : « Et s’il fallait juger ces derniers en bloc sur les conséquences de leurs actes, et non sur leurs intentions, ils mériteraient d’être classés et punis au rang des malfaiteurs qui sèment des obstacles sur les voies ferrées. » Mais en bas cela ne s’agite guère mieux ; comme dans le cas de notre crise sanitaire les fonctionnaires ont servi l’État sans réagir (ou presque) : « La masse des hommes sert ainsi l’État, non point en humains, mais en machines avec leur corps. C’est eux l’armée permanente, et la milice, les geôliers, les gendarmes, la force publique, etc. La plupart du temps sans exercer du tout leur libre jugement ou leur sens moral ; au contraire, ils se ravalent au niveau du bois, de la terre et des pierres et on doit pouvoir fabriquer de ces automates qui rendront le même service. » Ils ont la même valeur marchande que des chevaux et des chiens. Et pourtant on les tient généralement pour de bons citoyens. D’autres, comme la plupart des législateurs, des politiciens, des juristes, des ministres et des fonctionnaires, servent surtout l’État avec leur intellect et, comme ils font rarement de distinctions morales, il arrive que sans le vouloir, ils servent le Démon aussi bien que Dieu. Une minorité se dégage alors contre cet autoritarisme déviant qui risque la persécution : Une élite, les héros, les patriotes, les martyrs, les réformateurs au sens noble du terme, et des hommes, mettent aussi leur conscience au service de l’État et en viennent forcément, pour la plupart à lui résister. Ils sont couramment traités par lui en ennemis. Thoreau dit : « Ainsi l’État n’affronte jamais délibérément le sens intellectuel et moral d’un homme, mais uniquement son être physique, ses sens. Il ne dispose contre nous ni d’un esprit ni d’une dignité supérieurs, mais de la seule supériorité physique. » Il se trompe. L’État va changer de tactique pour nous soumettre. A la même époque Tocqueville écrit plus justement : « Sous le gouvernement absolu d’un seul, le despotisme, pour arriver à l’âme, frappait grossièrement le corps ; et l’âme, échappant à ces coups, s’élevait glorieuse au-dessus de lui ; mais dans les républiques démocratiques, ce n’est point ainsi que procède la tyrannie ; elle laisse le corps et va droit à l’âme. » Et c’était avant les bombardements médiatiques. Mais Thoreau reste Thoreau. Gardez pour conclure cette formule magnifique : « Enfreignez la loi. Que votre vie soit un contre-frottement pour stopper la machine. »

@MikeBenzCyber a déclaré : « Nous finançons tous les groupes terroristes au Pakistan » L'USAID finançait : — 40 millions de dollars par semaine aux talibans — 122 millions de dollars à l'EI L'USAID est le véhicule de financement de l'État profond. Ce ne sont pas des acteurs partisans, ce sont des agents voyous irresponsables. Et ce n'est pas fini. Le marais n'est pas encore asséché. Selon certains témoignages, de profondes divisions entre factions se font jour au sein de la CIA, du Pentagone, etc. L'année dernière, The Intercept a découvert quelque chose de fou : Le Pakistan a envoyé des armes à l'Ukraine comme condition pour obtenir de l'argent du FMI Traduction : S'ils voulaient un plan de sauvetage, ils devaient aider l'OTAN à combattre la Russie. Alors posez-vous cette question : - Cette attaque était-elle une manœuvre visant à faire du Pakistan un centre d’armement clandestin de l’OTAN ? - Une initiative de certaines factions de l’État profond visant à saper le premier accord tarifaire de Trump avec l’Inde ? »

Le Moyen-Orient :

Or pour l'instant l'empire Israélo-américain continuera de déstabiliser le Moyen-Orient par des mercenaires ou des islamistes manipulés pour maîtriser ses importantes ressources énergétiques et aquifères devenues vitales à leur projet de domination économique mondiale. Ils pourraient même souhaiter une guerre entre sunnite et chiites pour affaiblir financièrement les deux camps afin de les contrôler ou/et les exploiter encore plus facilement. Ceci est à l'image du système cupide oligarchique qui ne veut surtout pas de l'amitié entre catholiques (chrétiens) et musulmans dont en France, car elle est la clé de la préservation de la justice économique, de la paix sociale, de la religion, de la civilisation et du sauvetage de diverses nations. Surtout que par l'assassinat du faux calife Al Baghdadi et peu de temps après du Général Soleimani (qui a souvent défendu toute population musulmane et chrétienne contre l'ennemi impérialiste oppresseur comme l'alliance américano-sioniste ou barbare comme Daech et les frères musulmans salafisés), Trump, isolationniste, souverainiste, homme d'affaires et comprenant l'état faible de l'empire américain, semble avoir voulu arrêté cet affrontement entre sunnites et chiites, ce que l'administration Biden mondialiste cherche à annuler, puisque la guerre au Yémen est peu dénoncé par l'occident. C'est pourquoi Hassan Nasrallah secrétaire général du Hezbollah au Liban, que l'occident évite en s'adressant seulement aux parlementaires du Hezbollah (politique et donc pas militaire), pourrait être la prochaine cible à éliminer, car il parle avec toutes les confessions de son pays et empêche l'exploitation du Liban par l'occident à travers son lien à l'Iran et sa résistance au mondialisme et à Israël. Et comme son assassinat a été réalisé comme celui de Soleimani, il faut espérer que cela servira seulement à diminuer l'axe de la résistance pour éviter un embrasement régional puis donc mondial, c'est à dire en évitant qu'Israël n'est d'excuse pour amplifier ses frappes et annexer de trop grand territoires le temps que selon la prédestination divine sous-entendue et explicitée dans divers hadiths, il domine toute la Palestine, Jérusalem, et donc seulement le petit Israël, puis reconstruise le troisième temple sur la Mosquée Al-Aqsa pour leur faux-messie, car cela paraît le seul moyen d'unir les musulmans du monde, de faire révéler le Mahdi et de permettre le retour de Jésus. Or le fleuve Litani joue un rôle central dans les ambitions géopolitiques d’Israël. Ce cours d’eau, situé à environ 40 kilomètres de la frontière israélo-libanaise, est stratégique tant d’un point de vue militaire qu’économique. Selon certains analystes, l’invasion du sud du Liban après l'assassinat de Nasrallah aurait pour objectif ultime d'étendre les frontières dans le cadre du projet du Grand Israël.  Mais pour l'instant la frontière avec le fleuve Litani demeure le petit Israël, par rapport à jusqu'à l'Euphrate. Or l'invasion terrestre du Liban jusqu'à ce fleuve, si elle se concrétise, pourrait être un tournant dans le conflit israélo-libanais et dans les ambitions régionales d’Israël. En effet si cette offensive se réalise, elle pourrait symboliser un nouveau chapitre dans la poursuite du projet du Grand Israël, du Nil à l’Euphrate, au mépris des conséquences humaines et politiques pour la région. Ce qui pourrait donc unir les nations musulmanes dans une confédération/califat avant la construction du troisième temple sur l'esplanade des mosquées, c'est à dire similairement à l'alliance contre l'Allemagne nazie expansionniste. Surtout qu'Israël a étonnamment annoncé avoir frappé un site de drones iraniens au Yémen, encore sous le pseudo prétexte d'y avoir tué comme d'habitude « des conseillers militaires du CGRI et du Hezbollah », mais aussi des infrastructures civiles comme une centrale électrique. D'ailleurs ce prétexte de devoir annihiler une menace pourrait être utilisé pour tendre à étendre toujours plus le territoire d'Israël, d'où l'importance que les populations ne deviennent pas des déplacés et restent sur place pour éviter de faciliter les annexions d' Israël. Or « Selon le témoin Youssef à Gaza, plus que l’absence d’aide humanitaire, ce sont les tirs incessants d’artillerie qui l'ont fait fuir avec sa famille, bien pires, dit-il, que les bombardements de l’aviation. (Rester en devient donc surhumain.) Des immeubles sont anéantis et il n’y a plus de secouristes depuis déjà plusieurs semaines pour aller sauver les victimes. Des cadavres gisent dans les rues et les chiens les mangent. La situation à Jabalia est catastrophique. C’est horrible. Ce qu’ils font c’est du nettoyage ethnique. C’est ça qu’on appelle un génocide. Sollicitée, l’armée israélienne réfute catégoriquement l’accusation de génocide. Elle assure cibler des combattants du Hamas et minimiser, « autant que possible » les pertes civiles, soutient un de ses porte-parole. » (French Press TV) Or le sud Liban devient même similaire au Donbass, car si le conflit s'étend trop au-delà dans les deux sens, comme trop au-delà en Russie, ça peut finir en troisième guerre mondiale, de même que si le nucléaire ou les installations pétrolifères iraniens sont détruits par Israël ou les USA. (Or cette attaque contre le Sud Liban a permis la déstabilisation et la future manipulation en Syrie contre le Liban, l'Iran et/ou la Turquie, ce qui écarte une troisième guerre mondiale, tant que de grands pays occidentaux ne participent pas clairement, quoique leur présence trop influente finira probablement par devoir être attaquée.) De plus aussi similairement que la guerre dans le Donbass, les frappes israéliennes en Iran comme au Liban détournent l'attention des annexions israéliennes en Palestine voire donc également au Sud Liban. Et la guerre perdue par l'armée syrienne contre les takfiristes d'Idlib ayant pris le pouvoir en Syrie permettent aussi de détourner l'attention des annexions israéliennes en Palestine. Or pour l'instant ce maintien de la guerre en Ukraine et au proche-Orient est possiblement une stratégie russo-iranienne, car permettant d'affaiblir les USA en Ukraine par leurs énormes dépenses au Proche-Orient et de les affaiblir au Proche-orient par leur énormes dépenses en Ukraine. En sachant que « seule la solidarité interne des nations musulmanes et le renforcement de la coopération régionale peuvent protéger le front de la Résistance face aux ennemis », a déclaré Araqchi le ministre iranien des affaires étrangères, ajoutant : « Le Liban, avec sa diversité culturelle et religieuse, est l’exemple d’une société qui ne pourra résister aux défis qu’en s’appuyant sur l’unité nationale (voire donc inter-orientale et donc principalement musulmane). »
« À l’exception d’Oman qui avait adopté une position visionnaire et intelligente contre les jihadistes, tous les pays du Golfe soutenaient la rébellion islamiste. Mais depuis, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite ont abandonné cet agenda. Ils ont été effrayés par ce courant intégriste qui pourrait chercher à islamiser à sa sauce « frériste » le monde arabe depuis la Syrie, remettant en question l’autorité des vieilles pétromonarchies. De plus, depuis le début de la guerre en Syrie, il a coulé de l’eau sous les ponts. Rappelez-vous que lors de sa visite à Riyad en 2017, Trump avait tenu des propos insultants envers les dirigeants saoudiens. Il leur avait dit qu’ils n’étaient rien sans les États-Unis, qu’ils ne tiendraient pas une semaine sans ce soutien et qu’ils devaient payer puisqu’ils avaient beaucoup d’argent. Et il a dit tout ça publiquement (alors qu'il est évident que la déstabilisation US contre la Mecque unirait le monde musulman contre les USA) ! Les Saoudiens n’ont jamais avalé cet affront. Ajoutons à cela l’accord historique patronné par la Chine pour normaliser les relations entre l’Arabie saoudite et l’Iran en 2023. Et le fait que la Chine est devenue le premier partenaire économique de la monarchie pétrolière. Pour moderniser son pays, le prince Mohammed ben Salmane (MBS) a manifestement compris qu’il était préférable de se tourner vers Pékin : c’est moins cher, plus rapide et plus efficace que ce qui est proposé par Washington. Toutes ces évolutions, l’attaque du 7 octobre et la réponse israélienne ont conduit l’Arabie saoudite à geler le processus de normalisation avec Israël voulu par les États-Unis. MBS était prêt à l’accepter sans condition malgré son statut autoproclamé de  gardien des lieux saints de l’islam. À présent, il exige, comme préalable à la normalisation avec Israël, la création d’un État palestinien avec Jérusalem comme capitale. » (Majed Nehmé, journaliste franco-syrien et rédacteur en chef du magazine Afrique-Asie) D'autant plus que si Israël parvient à créer le Canal Ben Gourion pour concurrencer fortement la canal de Suez, cela suffirait à la grande richesse d'Israël voire à son hégémonie même sans étendre son territoire jusqu'à la mer Caspienne ou la mer noire ou pour faciliter cette expansion territoriale, en particulier si les nouvelles routes de la soie terrestres sont empêchées par le blocage entre la Russie et l'Europe et par la division voire la destruction du Moyen-Orient, et qu'il ne reste donc que le transport maritime principalement par le canal Ben Gourion pour la nouvelle route de la soie chinoise et la nouvelle route des indes. Ainsi cela réalisera la prophétie suivante rajoutée probablement sataniquement par des rabbins dans le chapitre d'Ésaïe de la Bible, qu'Israël se nourrira du lait de toutes les nations, puisque les transports maritimes des marchandises du monde devront payés le passage. Et il en est de même si le Grand Israël va finalement jusqu'à la mer noire et taxent les nouvelles routes de la soie terrestres et la nouvelle route des indes terrestre : Bible (Ésaïe 60:16) « Tu te nourriras du lait des nations, tu te rassasieras des richesses des rois »  Et c'est pourquoi turcs et syriens auraient dû s'unir intelligemment et faire des compromis, mais ce n'était pas certain vu quelques textes islamiques sur la fin des temps concernant l'impiété de la Turquie. D'ailleurs suite au départ de Assad de Syrie, l'Iran pourrait laisser faire le grand Israël si son pays n'est pas annexé dans le cas où cela irait jusqu'à la mer noire en annexant une petite partie de la frontière de la Turquie en accord avec cette dernière, puisque l'Iran comme Israël taxerait toutes les nouvelles routes de la soie, c'est à dire allant vers l'Europe et l'Afrique et en sens inverse (à part celles maritimes qui pourraient passer par le canal Ben Gourrion), et la Turquie taxerait toutes celles allant vers l'Europe et en sens inverse. Or un Kurdistan et tout le temps de guerre probablement long pour le créer pourrait plutôt empêcher seulement la route de la soie chinoise terrestre au profit celle des indes maritime en particulier donc avec la canal Ben Gourion, et faciliter le Grand Israël surtout qu'un éventuel Kurdistan irait jusqu'à l'Euphrate. (D'autant plus que la population kurde qui est donc établie sur 4 pays composant une grande partie de la colonne vertébrale du Moyen-Orient stable est composée de 40 millions de personnes, ce qui en fait le plus grand peuple sans nation, alors qu'Israël est constituée de 8 millions de personnes et ne peut donc maintenir le Grand Israël seul, sauf que les Kurdes sont à 80 % sunnites et qu'ils leur est préférable de cohabiter sans état avec les autres nations comme les bosniaques vivaient mieux sous Tito, dont car étant au final sous contrôle du FMI, de l'Otan et bientôt de l'UE. Or tous les kurdes dont au sein de la Syrie, de la Turquie, de l'Irak et du Liban sont divisés entre islamistes, rebelles nationalistes, pro-Turquie, pro-Israël, Pro-Palestine, marxistes, libéraux, etc, et ne sont donc pas prêts à atteindre l'autonomie par une grand union nationale. Mais en sachant que le général américain Douglas Mc Gregor a déclaré en septembre 2024 que les USA entraînent le PKK à faire une guerre contre la Turquie, et que la nature ne crée pas de séisme grand comme deux fois la suisse et dont les répliques sont plus fortes que la secousse initiale (le foyer), surtout qu'ayant suivi les points faibles détectés suite à une étude après le séisme de 1999. Cependant dans le triangle manipulateur bourreau/victime/sauveur, le PKK et sa violence armée pourrait être une création turque pour contrôler les kurdes et empêcher leur volonté d'autonomie par l'opinion publique turque et kurde voire aussi syrienne, si ce n'est pas une création à but marxiste d'origine donc occidentale pour déstabiliser le Moyen-Orient.) D'autant plus que les mondialistes contrôlant la grande majorité du système bancaire, dont l'oppression pourrait s'accentuer avec une nouvelle énorme crise financière, le covid, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine, veulent obtenir un gouvernement mondial, ou le grand Israël au Proche-Orient puisque principal carrefour commercial du monde à travers lequel de nouvelles grandes routes de la soie très enrichissantes sont possibles, ce qui pourrait être une interprétation de la montagne d'or liée à l'Euphrate que révélera la fin des temps. D'ailleurs il est très étonnant que la Syrie soit régulièrement frappée par des missiles israéliens sans que les médias du système ne dénoncent ces attaques ni que l'armée Syrienne ne puisse répondre militairement par crainte de troisième guerre mondiale.  Un autre sens de cette grande guerre de la fin des temps pourrait correspondre à un combat continu entre chiites et sunnites extrémistes au Proche-Orient, mais le rapprochement de l'Arabie Saoudite et de l'Iran permet d’espérer qu'ils ont compris cette grande arnaque, surtout après la lutte musulmane fratricide dont contre Assad a dilapidé une grande partie de l'énergie de la oumma dans des voies de garages. Quoiqu'il demeure inquiétant qu'en août l'Arabie saoudite ait proposé de reprendre son aide financière à l'Autorité autonome palestinienne, en manque d'argent, dans le but d'obtenir le soutien de Ramallah dans ses efforts de normalisation des relations avec Israël, surtout qu'il y a quelques temps un pseudo savant wahhabite du royaume saoudien a même dit qu'Israël protège les lieux de culte musulmans, et que d'autres pseudos savants wahhabisme pratiquent l'anthropomorphisme concernant Dieu.
(A ce sujet, le jeunesse wahhabite extra Arabie-saoudite pratiquent souvent cet islam pour son aspect blingbling rigoriste même quand elle est à peu de richesses et peu de piété, alors qu'avec un peu de recherche et de recoupage, l'hérésie wahhabite leur apparaîtrait évidente dont donc pour leur américano-sionisme et leur associationnisme, mais aussi pour leur terrorisme. Or cet islam blingbling validant l’excommunication massive de musulmans est par conséquent inégalitaire, illégitime et donc comparable au judaïsme et au calvinisme.)                          
D'autant plus que la normalisation avec Israël contredit les engagements humanitaires, moraux et internationaux pour le soutien des droits du peuple palestinien. Or comme la géopolitique est compliquée, que la stabilité pour la hajj est importante et qu'une guidée massive doit avoir lieu avant l'apparition du Mahdi, l'Arabie saoudite de Ben Salmane semble tout de même avoir beaucoup changé dont en ayant rendu leurs droits complets aux femmes, arrêté des nombreuses personnes extrémistes, orienté son pays vers la multipolarité au niveau mondial et validé que le moyen-orient devait gérer ses affaires lui-même dans une forme d'invitation à l'alliance voire l'union même avec l'Iran chiite. Par conséquent, il est bon de savoir que tout cela doit rendre très perplexe les wahhabites, les takfiristes et les salafistes djihadistes par leur stupide suivi spirituel inculte et irréfléchi d'hérésies.
Mais « Les accords d’Abraham ne sont valides que sous réserve qu’Israël cesse d’annexer des territoires palestiniens. Or ce n’est pas le cas et ça n’a jamais été le cas, surtout avec la radicalisation actuelle d’Israël qui est donc diamétralement opposée. En clair, les accords d’Abraham sont fragiles et peuvent être dénoncés par les parties arabes lorsqu’elles le décideront. L’appartenance de l’Iran et des EAU à un même groupe dirigé par la Russie et la Chine est davantage un facteur de paix qu’un facteur de guerre. Les causes palestinienne et syrienne restent très populaires dans les rues arabes. Le monde arabe (musulman) semble se réunifier toujours davantage et avoir pris conscience qu’il ne peut compter vraiment que s’il est uni. (Ce sont des vérités que doivent se rappeler Gazza et la Cisjordanie fortement divisés politiquement dont à cause de la trahison du Fatah, car sinon ce manque d'identité commune empêche la demande d'un État palestinien, surtout que les colonies israélienne en Cisjordanie étant très dispersées, cela rend impossible à définir un territoire précis des colonies ou de la Cisjordanie sur une carte, et donc à le rendre suite à une forme d'épuration ethnique comme possiblement l'attaque contre Gazza, ce qui ne serait pas étonnant vu la colonisation israélienne par expropriation de musulmans mais aussi de chrétiens prouvant que le judaïsme sioniste est une religion de la terre et donc du matérialisme car liée au gain de la terre palestinienne, par opposition au monothéisme christique qui est la religion du ciel et donc de la spiritualité car liée au gain du ciel auprès de Dieu. D'ailleurs le général Solemani a été tué par un drone en Iraq, au moment où il allait rencontrer l’ambassadeur d’Arabie saoudite pour discuter d’un plan de paix entre l’Iran et l’Arabie. Et c'est pourquoi la guerre Hamas-Israël amenant les peuples des pays musulmans à refuser toute normalisation avec Israël est un juste retour des choses.) » (D. Delawarde)  Dans ce sens le Royaume d'Arabie Saoudite a non seulement appelé à l’arrêt immédiat de l’escalade entre le Hamas et Israël suite à l'attaque du 7 octobre 2023, mais il a également souligné à plusieurs reprises les dangers inhérents à la poursuite de l’occupation israélienne et aux très graves provocations contre des lieux saints, car les violations ostentatoires de l'esplanade des mosquées très sacrée est comparable à ce que des islamistes venaient stationner devant le mur des lamentations. L’Arabie saoudite estime que les droits légitimes des Palestiniens sont bafoués par Israël et que cette situation explosive est le résultat de violations continues des droits du peuple palestinien (dont à travers un blocus de 17 ans, l'absence de nation palestinienne, la centaine de morts et les 2 000 blessés lors de la manifestation pacifique « marche du retour » ayant commencé à Gaza le 30 mars et s'étant terminé le 15 mai 2018, l'indifférence de l'Occident dont seulement par quelques dénonciations et jamais par des sanctions, l'extrême droite israélienne suprémaciste comme les nazis qui a même tué le premier ministre israélien Yitzhak Rabin qui cherchait à donner plus d'autonomie à la Palestine (comme fut tué auparavant le diplomate Frank Bernadotte, un envoyé spécial suédois de l'ONU, venu en Palestine pour refuser la création de l’État d'Israël, et ayant pourtant sauvé 15 000 prisonniers des camps de concentration, mais en sachant que même si Rabin était de gauche, c'est sous son mandat de premier ministre qu'il y a eu le plus grand nombre de colonisations), l'augmentation de la violence meurtrière des colons contre le peuple palestinien même des femmes et enfants, les crimes contre les prisonniers palestiniens, le très mystérieux manquement du service de renseignement israélien dont militaire lors de l'attaque du 7 octobre alors que Gaza est très surveillé, l'inquiétante interdiction israélienne de journalistes étranger à Gaza, et l'annexion de nombreux territoires palestiniens par violation de résolution de l'ONU, alors que l'attaque du Hamas, qui est une forme de résistance légitime puisque religieuse par rapport à la résistance laïque, a principalement tué en réalité des militaires, des policiers et des colons armés, surtout que des rescapés israéliens et israéliennes ont témoigné que leur armée a tiré dans le tas, ce qui correspond d'ailleurs à la directive « Hannibal » de Tsahal concernant les possibles prises d'otages. D'ailleurs, Tsahal a admis avoir tué des israéliens lors de l'attaque du Hamas le 7 octobre. Il y a même des observateurs qui vont plus loin : les israéliens tueraient leurs otages pour mettre ces morts sur le dos des Palestiniens, éliminer les témoins de la directive Hannibal puis du génocide contre les gazaouis, et entretenir le sentiment de vengeance du peuple israélien. Il s'agirait encore de la stratégie d'Israël d'annoncer le pire pour normaliser son mal (le moins pire), comme il cherche à diaboliser toujours plus l'Iran pour l'isoler mais sans le détruire, afin de continuer sa colonisation. En sachant que la soumission à des conditions d'existence mettant en péril la vie d'un groupe de population correspond déjà à un génocide, et encore plus le massacre contre ce groupe. Pourtant les intervenants médiatiques donnent souvent un sens beaucoup plus important aux centaines de morts israéliens qui étaient donc principalement des militaires, des policiers et des colons, qu'aux milliers de civils palestiniens considérés comme de simples dommages collatéraux de la guerre. D'autant plus que ce sont divers groupes de combattants ne portant pas de tenues militaires du Hamas et n'étant pas connu des autres groupes de la résistance qui ont pu tuer des civils, quand ce n'est pas des tirs croisés causés par Tsahal. Cependant il existe aussi une partie du Hamas qui n'appartient plus aux frères musulmans et avait fait la paix avec Bachar al-Assad, et c'est principalement ceux là que Tsahal vise, comme le prouve l'assassinat de Saleh al-Arouri numéro deux du bureau politique Hamas, mais ces martyrs dont aussi ensuite ceux de Haniyeh, de Nasrallah et de Sinwar participent à créer de fortes personnalités et donc de grands personnages similaires pour les dix prochaines générations. Or les factions palestiniennes ont signé la déclaration de Pékin sur la fin de la division et le renforcement de l'unité nationale palestinienne enfin juillet 2024. Mais même si les combattants palestiniens de la partie du Hamas liée à la résistance avaient une bonne intention lors de l'attaque du 7 octobre 2023, l'origine de cette attaque contre les palestiniens en sacrifiant des juifs est très probablement liée à la partie du Hamas liée aux frères musulmans (voulant plus la recréation du califat sur l'ensemble des pays musulmans que d'un état palestinien), et donc aux services secrets anglais et donc aussi à la coalition de Netanyahou suivant le sionisme révisionniste de Jabotinsky qui fit alliance avec des massacreurs de juifs en Ukraine lors de la deuxième guerre mondiale, ce qui serait donc encore loin d'être la première fois que les élites juives sacrifient leur population, surtout que la défense de Tsahal avait été déplacée par ce gouvernement, et que l'attaque a donc été facilitée. D'ailleurs suite à des vidéos atroces qui ont émergé sur les réseaux sociaux, montrant des exécutions sommaires commises par des membres de la soi-disant rébellion modérée en Syrie incluant des prisonniers exécutés et des villages rasés, rappelant les méthodes de Daech, les médias occidentaux sont restés silencieux face à ces atrocités, tandis que des figures politiques et des mouvements de résistance palestiniens, comme cette partie du Hamas, se sont réjouis de la situation, d'où la légitimité de ne pas aider ces palestiniens, surtout que ces derniers supportent donc des djihadistes alliés d'Israël. Or ce qui est «subliminal» c’est d’affirmer que le Hamas (de la résistance de Gaza; pas celui des « frères » du Qatar), est une «création» d’Israël pour lui ôter certains de ses soutiens. Comme Pearl Harbor et le 11 septembre qui ont été autorisés et qui cachaient un plan important dont une grande ou longue guerre, ça pourrait être le cas pour l’attaque autorisée du 7 octobre, surtout si Tsahal et la police israélienne ont tué des israéliens pour augmenter le nombre de morts, comme annoncé par des médias israéliens, alors que le plan du Hamas était principalement de prendre beaucoup d'otages afin de les échanger avec les palestiniens très mal voire horriblement traités dans les prisons israéliennes parfois depuis des décennies. Surtout qu'il s'agissait aussi principalement de dénoncer qu'Israël fait des arrestations et donc des prisonniers arbitraires, ce qui est pire que des otages bien traités, comme l'ont reconnu ceux ayant été libéré.
Mais les Israéliens ont très probablement organisé  ce 7 octobre 2023 comme donc un 11 Septembre chez eux, enfin, sur les territoires pris aux Palestiniens, afin de justifier leur nouvelle phase de guerres de conquête. C’est exactement ce que les Américains (et les Israéliens en doublette) ont fait avec l’Irak et l’Afghanistan. En effet on peut penser que le renseignement militaire israélien a exploité une faille laissée volontairement ouverte dans sa défense, pour laisser entrer les combattants du Hamas, augmenter les victimes civiles de cette journée (en les mitraillant par hélicos ou les écrasant sous les obus de chars, ce qui est encore une image des élites juives corrompues se servant de leur peuple jusqu'à sa mort), et passer ensuite à l’annexion de nouveaux territoires. « C’est le 2 octobre qui a déclenché tout cela. L’attaque israélienne contre la mosquée visait à dire : Nous allons détruire la présence islamique en Palestine afin qu’elle soit entièrement non islamique. C’était la déclaration de guerre. Alors ne vous laissez pas entraîner par le New York Times en disant que tout s’est passé le 7 octobre. Cela a commencé une semaine plus tôt, tout comme en Ukraine (ou plutôt il y a 75 ans lors du début de la guerre d'annexion d'Israël, même si tous les médias dominants l'occulte, comme si tout avait commencé le 7 octobre 2023). La guerre en Ukraine n’a pas commencé lorsque la Russie a pris des mesures pour protéger sa population, sa population russophone de Donetsk et de Lougansk. Cela a commencé non seulement avec le Maïdan, mais aussi avec les bombardements de l’armée ukrainienne, les bombardements d’immeubles d’habitation et de civils dans les territoires russophones, le refus de payer la sécurité sociale ou les soins de santé dans les territoires russophones et l’interdiction de la langue russe. (D'ailleurs l’Ukraine a une constitution explicitement raciste, a opéré deux coups d’État successifs (2004 et 2014), a élu son président dont le mandat a pris fin en mai 2024, n'a ainsi pas ensuite tenu d'élection présidentielle, et a même interdit onze partis politiques d’opposition, dans une forme donc de tyrannie évidente.) La Russie était le pays attaqué, pas l’attaquant. Encore une fois, vous devez être très prudent lorsque vous datez le début de cela. Et les Américains veulent dater toutes les guerres comme ripostes à des attaques et lorsque d’autres pays se protègent. Ils qualifient les autres pays qui se protègent d’attaque contre les États-Unis. (Or en réalité comme Gaza risque fortement de passer sous le contrôle israélien, les plus grands combats pour la préservation d'une autorité palestinienne se déroulent en Cisjordanie, car les colons la déstabilisent par leurs multiples violences contre les palestiniens afin de l'annexer. En sachant que le fin du pouvoir occidental serait acté avec la fin de la Palestine en cas de son annexion totale par Israël, ou avec la fin d'Israël si ce pays est en grande partie détruit par l'axe de la résistance musulmane régionale en réponse à une attaque ou une annexion trop massive d'Israël contre le Liban. Or si le Liban participe de l'intérieur à détruire le Hezbollah et se soumet au protectorat d’Israël, ce serait le début de son empire voire de la pax judaïca (américano-sioniste, surtout qu'impossible sans l'argent et les armes US, et qu'avec l’élection de Trump les USA sont devenus intelligemment isolationnistes car ne pouvant plus être hégémoniques), d'autant plus que possiblement suite à d'autres guerres, divisions ou trahisons intérieures, ce protectorat pourrait finir par inclure la Jordanie, et jusqu'à l'Arabie saoudite, l'Irak et la Syrie.) Netanyahou a dit : « Eh bien, pendant qu’ils regardent tous ce que nous faisons, nous bombardons les civils, les hôpitaux et les ambulances et affamons Gaza, nous avons distrait le monde et nous pouvons maintenant éliminer les Arabes de Cisjordanie et avancer directement en Syrie sur les hauteurs du Golan. » Les Druzes en Syrie, qu’Israël prétend défendre contre les islamistes qu'il a pourtant lui-même mis au pouvoir, sont très largement localisés dans la partie sud-ouest du pays, soit au plus près d’Israël. On ne s’étonnera donc pas si, par la force des choses, pour venir en aide aux pauvres populations druzes, Israël se doit de prendre pied en Syrie, au-delà du plateau du Golan et de son piémont, déjà de facto en sa possession, puis à d'autres populations ailleurs en Syrie.... Et apparemment, les États-Unis ont promis à Israël qu’ils pourraient prendre tout ce qu’ils veulent de la Syrie, ce à quoi ils se sont toujours opposés. Nous ne savons pas ce que la Russie va faire dans tout cela. La Russie et la Chine sont restées complètement silencieuses sur tout cela. Et je peux comprendre qu’ils soient silencieux. La Chine a déplacé des navires de guerre dans la région parce qu’elle est elle-même très dépendante de la mer Rouge et des voies maritimes menant au pétrole d’Arabie saoudite. » (Extraits de l'article « La Russie, l’Iran et la mer Rouge » de Michael Hudson à l'adresse https://strategika.fr/2024/01/30/la-russie-liran-et-la-mer-rouge/) « Lors d’un discours prononcé ce jeudi après-midi sur Gaza et les derniers développements dans la région, Seyyed Abdel Malek al-Houthi, leader du mouvement yéménite Ansarallah a déclaré que le projet sioniste dirigé par l’Amérique et Israël est un projet hostile contre les musulmans. Soulignant que le but de ce projet est de confisquer la liberté et l’indépendance des nations et les droits des musulmans, il a affirmé que ce projet constitue une menace contre les musulmans et viole leur identité, leur religion, leur indépendance et leur liberté. Al-Houthi a souligné que l’Amérique cherche uniquement à préserver ses intérêts et à dominer la région, et a précisé : « Les Américains ont l’intention de placer les nations et les gouvernements de la région sous leur contrôle direct et celui d’Israël (dont en y mettant au pouvoir des tyrans). » Ainsi l’Amérique chercherait à établir son contrôle total sur la région. Le chef d’Ansarallah a déclaré que les ennemis cherchaient à détruire les musulmans et a souligné : « Ce qu’ont fait les ennemis en Palestine, ils peuvent le faire dans n’importe quel autre pays. Ce que l’Amérique a fait en Irak et en Afghanistan, elle peut le faire dans n’importe quel autre pays. Ces attaques s’inscrivent dans le cadre du projet sioniste, qui vise à changer le visage de la région. » » (French Press TV)          
La stratégie des bombardements aveugles en Irak, en Syrie, en Afghanistan, pratiquée par les Américains et qui s’est avérée perdante, a été reproduite par Israël à Gaza. Une erreur fatale a été commise : le Hamas a été considéré comme un mouvement islamique radical au même titre qu’ISIS, les Takfiri, etc. En plus de ne pas prendre en compte le niveau d’armement et d’organisation bien plus avancé des militants du Hamas par rapport à celui d’ISIS, le grand consensus populaire en sa faveur a été complètement négligé, dont au niveau des nombreux partisans au sein de l'administration, de la police, des enseignants, ce qui rend donc impossible sa destruction complète par Tsahal et finira probablement par une épuration ethnique. L’erreur capitale d’Israël est d’avoir ignoré le fait que le Hamas, tout comme le Hezbollah, les Houthis et d’autres, sont des entités non étatiques profondément ancrées dans le territoire, dotées de classes dirigeantes qui incarnent aujourd’hui l’identité politique et spirituelle de leurs peuples. En sachant que le journaliste Régis le Sommier a expliqué que la guerre en Syrie avait renforcé le Hezbollah, qui avait pris le contrôle de l’armée syrienne et a exporté ses combattants en Irak et au Yémen. Cette expansion avait transformé le Hezbollah en une force internationale redoutable, capable de mener des opérations complexes et de former des milices alliées. Et c'est peut être en partie pour cela, que l'armée loyaliste syrienne a en partie déserté. Associer le Hamas aux bandes de mercenaires égorgeurs d’ISIS révèle le suprémacisme raciste invétéré dont sont affligés tant les États-Unis qu’Israël, unis par un dogmatisme théologique – l’Ancien Testament – qui les empêche d’avoir une vision objective de la réalité historique et surtout de comprendre l’identité et les motivations de l’ennemi. Selon une étude intéressante sur de nombreux groupes terroristes à travers le monde du think-tantk « Real corporation » proche du complexe militaro-industriel, il est possible d'éradiquer un groupe terroriste (une organisation paramilitaire, ou un parti politique avec une branche armée,) principalement quand il ne compte que quelques centaines de membres. Mais dès lors qu'il a un ancrage territorial, qu'il est soutenu par une partie de la population et qu'il a des revendications territoriales, il est généralement impossible d'en venir à bout tant qu'on n'arrive pas à un processus politique, à une perspective politique ou à un service de renseignement, surtout quand le camp d'en face l'a favorisé comme Netanyahou vis-à-vis du Hamas. Tant qu'on n'offre pas à une population privée de tous ses droits depuis des décennies un territoire, une dignité et une liberté, il ne faut pas s'étonner de voir des groupes aussi radicaux émergés. Surtout que quand on parvient à en éliminer un qui liait la population, un groupe encore plus radical apparaît souvent. Or comme il est évident de devoir condamner tout acte terroriste en particulier sans cause, et de ne pas le confondre avec un acte de résistance, il faut bien comprendre que le 7 octobre correspond à un enchaînement d’événements qui ont entraîné une réponse inéluctable, surtout que cela change beaucoup de chose pour ceux qui veulent vraiment voir la paix advenir un jour. En sachant que la politique israélienne pour y répondre, qui est au mieux aveuglément meurtrière et au pire scientifiquement génocidaire, correspond donc beaucoup plus à du terrorisme, surtout que d'Etat. Alors que c'est clairement similaire à une méthode païenne ou plutôt barbare pré-abrahamique. Dans ce sens la réponse aux éventuels crimes de guerre du Hamas n’est pas davantage de crimes de guerre de la part d'Israël, alors que ce dernier affame la population, brûlent des maisons et tue des personnes portant des drapeaux blancs comme l'a précisé l'ONU. En effet le droit de se défendre n'est pas le droit de massivement massacrer aveuglément. Le cadre du droit international est très clair sur ce point et bien établi. Les crimes de guerre sont définis par le droit international humanitaire comme des actes commis dans le cadre d’un conflit armé et qui violent les lois et coutumes de la guerre. Ces actes incluent notamment les attaques contre des civils, les destructions de biens non militaires et les traitements inhumains infligés aux prisonniers de guerre. Ainsi le droit international moderne est valable, puisqu'il autorise la guerre légitime et empêche la mort de civils de même que la destruction d'infrastructures vitales lors de la guerre, et qu'il s'agit donc aussi du droit humanitaire. En effet le droit international humanitaire interdit évidemment d'utiliser des bâtiments civils tels les hôpitaux, les écoles et les centres commerciaux, sinon il s'agit d'une prise d'otage terroriste comme en Ukraine. Il faut noter que le droit international est basé sur des accords représentant une forme de démocratie, et que la pseudo démocratie qu'est Israël n'a jamais respecté aucune des résolutions de l'ONU, et elle ne s'est donc servie de l'ONU que pour la reconnaissance internationale de la création et la pérennité d'Israël, comme le prouve aussi sa décision d'annuler l'UNRWA de l'ONU en Palestine. D'ailleurs c’est parce qu’Israël ne respecte pas les résolutions de l'ONU depuis des décennies que se sont créés des organisations armées arabo-msulmanes. (En sachant que ce refus de respecter le droit international montre que Israël va très probablement annexer la Cisjordanie et donc Jérusalem.) D'ailleurs bombarder des civils comme le fait Israël est clairement un crime de guerre, et lorsqu’ils sont en plus soumis à un blocus comme dans ce cas, c’est encore pire, puisque étant du terrorisme massif (en plus d'Etat) et de la barbarie massive (en plus d'Etat). Le président de l'Assemblée générale de l’ONU a d'ailleurs appelé à la fin de « l'horreur à Gaza ». Pourtant il y a une étonnante et donc grave banalisation occidentale de ce terrorisme d'Etat israélien en particulier au niveau du médiatico-politique ne le dénonçant pas ou peu, alors qu'il est intransigeant pour les autres terrorismes. Ce qui est confirmé par les graves exactions de militaires israéliens contre les palestiniens et les conditions de détention choquantes dans les prisons israéliennes pour les palestiniens arrêtés. Des appareils civils comme des bipeurs et des talkies-walkies ont même été transformés en armes meurtrières et donc crime de guerre par le Mossad contre le Liban dans une forme évidente de terrorisme, ce qui pourrait annoncer une fin des relations commerciales par manque de confiance entre l'Occident et les autres nations. Le Liban, comme Gaza, se retrouve une fois de plus au cœur d’un conflit dont les civils sont les premières victimes. Les précédents attaques israéliennes visant des infrastructures civiles, sous la très indigne justification de frappes « défensives » voire « visant à anticiper la menace (en plus sous la pseudo menace existentielle d’Israël vu le soutien US, vu l'affaiblissement des voisins régionaux dignement pro-palestiniens et anti-normalisation avec Israël dont par la guerre, les blocus et la finance comme en Irak, en Libye, au Yémen, en Syrie et au Liban en particulier pour le Hezbollah pour ce dernier, et vu le contrôle sioniste de l'Occident) » puisque malgré leur évidente réalité barbare, ne sont aussi rien d’autre qu’une extension de l’occupation, du terrorisme et de la violence de Tsahal qui gangrène la région depuis des décennies. Or si Israël est en guerre, ce n’est sûrement pas pour sa « survie », comme le prétend Netanyahou. Non, c’est pour asseoir un projet colonial vieux de plusieurs décennies, fait d’occupation, de violations systématiques du droit international et d’expansion territoriale. En clair, c’est la stratégie du bulldozer dont aussi au Liban, et tout le monde doit s’y plier, sous peine d’être taxé d’antisémite, même donc lorsqu'on est pour un cessez-le-feu.                                                                            
Netanyahou joue cette carte à fond, mais manifestement, l’Assemblée de l’ONU n’était plus disposée à avaler cette fable, puisque une grande partie a quitté la salle de réunion lors de son intervention en septembre 2024. Et tant que les grandes puissances continueront de fermer les yeux ou qu'il n'y aura pas une réunification politique, économique et géopolitique des pays musulmans, ces crimes resteront impunis, et des enfants continueront de mourir en masse. Ce qui signifiera que le droit international n'existe plus surtout si Israël annexe toujours plus de territoires, et que la communauté musulmane pourra alors récupérer plus ou moins pacifiquement par la force divine toute la Palestine et Jérusalem. De plus l'ONU a critiqué l'utilisation de l’intelligence artificielle (IA) par Israël pour commettre un domicide (destruction massive de bâtiments) à Gaza. En effet l’utilisation de l'IA par le régime israélien dans la bande de Gaza assiégée cause des dégâts sans précédent à la population civile, aux logements, aux services vitaux ainsi qu’aux infrastructures, ont affirmé les experts de l’ONU dans un communiqué publié le lundi 15 avril. « Six mois après le début de l’offensive militaire actuelle, davantage de logements et d’infrastructures civiles ont été détruits à Gaza en pourcentage, par rapport à n’importe quel autre conflit dans l’histoire », a indiqué le communiqué. La destruction systématique et généralisée des logements, des services et des infrastructures civiles constitue un crime contre l’humanité, selon les experts de l’ONU.

Or l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a même critiqué le régime israélien pour avoir mené « une guerre de famine » contre les civils dans la bande de Gaza, surtout que la famine doit être prévenue car lorsque les corps deviennent très diminués et donc trop faibles, ils ne peuvent absorber la nourriture et donc vivre après avoir trop manger. Dans le sud de Gaza, les personnes interrogées ont décrit la pénurie d’eau potable, le manque de nourriture menant à des magasins vides et à de longues files d’attente, ainsi que des prix exorbitants. « Vous êtes constamment à la recherche des choses requises pour survivre », a déclaré un père de deux enfants. Le maire de Beit Lahia, Alaa Attar, a déclaré vendredi 26 avril 2024 que les raids israéliens ont endommagé la plupart des infrastructures de cette zone. Il a précisé que l’armée israélienne a détruit 70 % des puits d’eau ainsi que 50 % du réseau d’égouts, ce qui a déclenché une crise humaine.          
Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) a signalé le 6 décembre 2023 que 9 ménages sur 10 dans le nord de Gaza, et 2 ménages sur 3 dans le sud du territoire, avaient passé au moins une journée et une nuit complètes sans nourriture. Selon un communiqué émis par plusieurs organisations humanitaires, dont CARE International, Save the Children, ActionAid, Oxfam et Islamic Relief, 83 % de l’aide alimentaire requise ne parviennent pas à Gaza, alors qu’en 2023, ce chiffre était de 34 %. « Cette réduction signifie que les habitants de Gaza sont passés d’une moyenne de deux repas par jour à un seul repas tous les deux jours », indique le communiqué. Dans ce sens le chef de la politique étrangère de l'Union européenne, Josep Borrell, a même proposé des sanctions pour faire face aux crimes de guerre israéliens à Gaza et au Liban. Appartenant aux messianistes globalistes de l'UE, il essaie de calmer celui sioniste, alors qu'avec l'élection de Trump et les BRICS le messianisme globaliste n'est plus possible. Or le sud de Gaza n’est plus un sanctuaire : les Israéliens veulent pousser les déportés jusque dans le désert du Sinaï. Les Égyptiens ne sont pas d’accord ? L’Oncle Sam, qui a installé Sissi à leur tête (pour contrer les frères musulmans) à l’occasion des Printemps arabes, pourrait les persuader, mais le grand danger économique du projet « Canal Ben Gourion » passant par Gaza et concurrençant le Canal de Suez appartenant à l’Égypte est très probablement une des raisons principales de refuser l'accueil des deux millions de gazaouis, surtout que l'inondation des tunnels de Gaza avec l'eau de mer sert possiblement à préparer sa terre pour ce futur canal Ben Gourion. Ce qui prouve encore que le territoire du Grand Israël allant du Nil à la Mer Caspienne ou à la mer noire via les Kurdes d'origine juive d'Iran correspond au principal carrefour mondial planétaire. Ainsi les USA pourraient se servir du port humanitaire qu'il construise à Gaza pour faire migrer les gazaouis par bateau et donc éviter le problème avec l'Egypte de laisser Israël les envoyer dans le Sinaï, tout en espérant faire patienter Netanyahou avant d'envahir le sud de Gaza. Or en attendant vu le blocus israélien très stricte, cela participe étonnamment a diminué la population gazaouie donc par la faim et le manque de produits de première nécessité dont médical. Ainsi plutôt que la disparition massive, ces palestiniens peuvent en derniers recours devenir israéliens pour pas longtemps, c'est à dire jusqu'au retour de Jésus. En sachant que les palestiniens étant écrasés comme les peuples occidentaux et du monde par le pouvoir de l'oligarchie occidentalo-israélienne, cela permet au final d'être optimiste pour le futur puisque tendant en plus à une possible alliance de ces peuples pour leurs libération.                               
« Israël laisse deux options aux Palestiniens de Gaza : partir, ou mourir. J’ai couvert en 1988 la famine au Soudan qui a coûté la vie à 250 000 personnes. J’ai des cicatrices aux poumons, après m’être trouvé au milieu de centaines de Soudanais qui mouraient de tuberculose. J’étais fort et en bonne santé, et j’ai pu combattre la contagion. Eux, faibles et émaciés, n’ont pas résisté. La communauté internationale, comme à Gaza, n’a pas fait grand-chose pour intervenir.  Le précurseur de la famine – la sous-alimentation – touche déjà la plupart des Palestiniens de Gaza. Ceux qui meurent de faim manquent de calories pour survivre. En désespoir de cause, les gens commencent à manger du foin, de l’herbe, des feuilles, des insectes, des rongeurs et même de la terre. Ils souffrent de diarrhée et d’infections respiratoires. Ils découpent de minuscules morceaux de nourriture, souvent avariée, et les rationnent.  Bientôt, manquant de fer pour fabriquer l’hémoglobine, une protéine des globules rouges qui transporte l’oxygène des poumons vers le corps, et la myoglobine, une protéine qui fournit de l’oxygène aux muscles, et, souffrant d’une carence en vitamine B1, les populations développent de l’anémie. Le corps se nourrit de lui-même. Les tissus et les muscles se dégradent. La température corporelle n’est plus régulée. Les reins cessent de fonctionner. Le système immunitaire s’effondre. Les organes vitaux – cerveau, cœur, poumons, ovaires et testicules – s’atrophient. La circulation sanguine ralentit. Le volume de sang se réduit. Les maladies infectieuses telles que typhoïde, tuberculose et choléra se transforment en épidémie, tuant des milliers de personnes. Il devient impossible de se concentrer. Les victimes émaciées succombent à un retrait mental et émotionnel et à l’apathie. Elles ne supportent plus d’être touchées ou déplacées. Le muscle cardiaque est affaibli. Les victimes, même au repos, sont dans un état d’insuffisance cardiaque quasi-total. Les blessures ne cicatrisent plus. La vision est altérée par la cataracte, même chez les plus jeunes. Enfin, en proie à des convulsions et des hallucinations, les victimes succombent à un arrêt cardiaque. Ce processus peut durer jusqu’à 40 jours pour un adulte. Les enfants, les personnes âgées et les malades meurent plus rapidement.  J’ai vu des centaines de silhouettes squelettiques, des fantômes d’êtres humains, se déplaçant à un rythme glaçant dans le paysage aride du Soudan. (D’ailleurs une épidémie de poliomyélite probablement créée par des  vaccins se répand parmi les gazaouis.) Les hyènes, habituées à manger de la chair humaine, se nourrissent régulièrement d’enfants en bas âge. J’ai vu des amas d’ossements blanchis à la périphérie de villages où des dizaines de personnes, trop faibles pour marcher, s’étaient couchées en groupe pour ne jamais se relever. Il s’agissait souvent d’ossements de familles entières. Aujourd’hui, avec le recul, j’observe ce qui se passe dans un autre pays, à une autre époque. Je connais l’indifférence qui a condamné les Soudanais, principalement les Dinkas, et qui condamne aujourd’hui les Palestiniens. Les pauvres, surtout lorsqu’ils sont de couleur, ne comptent pas. Ils peuvent tomber comme des mouches. La famine à Gaza n’est pas une catastrophe naturelle. C’est l’œuvre d’Israël. Des universitaires et des historiens écriront sur ce génocide, pensant à tort que nous pouvons tirer des leçons du passé, que nous sommes différents, que l’histoire, une fois de plus, peut nous sauver de la barbarie. Ils tiendront des conférences savantes. Ils diront «Plus jamais ça !». Ils se féliciteront d’être plus humains et plus civilisés. Mais quand viendra le moment de s’exprimer, à chaque nouveau génocide, craignant de perdre leur statut ou leur poste universitaire, ils se réfugieront comme des rats dans leur trou. L’histoire de l’humanité est une interminable atrocité pour les pauvres et les vulnérables du monde. Gaza en est un nouvel épisode. » (Extraits de l'article « Qu’ils mangent de la poussière » de Chris Hedges)                      
Le droit international humanitaire, ou droit de la guerre, interdit d’affamer les civils comme méthode de guerre, surtout avec les conditions déplorables des déplacés palestiniens à l’approche de l’hiver en particulier lors de pluies. Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale stipule qu’« affamer délibérément des civils en les privant d’objets indispensables à leur survie, y compris en empêchant intentionnellement l’envoi des secours » constitue un crime de guerre. L’intention criminelle ne nécessite pas l’aveu de l’attaquant, mais peut également être déduite de l’ensemble des circonstances d’une campagne militaire. Surtout qu'en tant que puissance occupante à Gaza, Israël a l’obligation, en vertu de la Quatrième Convention de Genève, d’assurer l’approvisionnement de la population civile « en vivres et en produits médicaux ». En octobre 2023, Human Rights Watch a confirmé qu’Israël avait largué du phosphore blanc sur Gaza et le Liban. Ce produit chimique est connu pour ses effets graves et mortels sur les humains, les animaux et l’environnement. Cette substance hautement toxique brûle la chair humaine et s’enflamme à nouveau. Elle endommage voire contamine les sols, elle contamine les sources d’eau et empoisonne les écosystèmes aquatiques, explique Khaled El-Sayed, directeur général du Centre Synerjies pour les études internationales et stratégiques, basé au Caire, et conseiller en matière de développement durable. Les installations de traitement des eaux usées et de dessalement ont été fermées à la mi-octobre en raison de pénuries de carburant et d’électricité, et sont depuis lors largement inopérantes, selon l’Autorité palestinienne de l’eau. Même avant le 7 octobre, selon l’ONU, Gaza ne disposait que de très peu d’eau potable. Il faut noter que ce droit international et humanitaire en particulier dans la guerre permet de se détacher de la barbarie. Or un rapport de la base de données sur la sécurité des travailleurs humanitaires (AWSD) montre qu’Israël a même tué plus de travailleurs humanitaires dans la bande de Gaza que de travailleurs humanitaires tués ailleurs dans le monde au cours des 30 dernières années.  « Je rappelle que la résistance palestinienne est légitime en vertu de la résolution 45/130 de 1990 des Nations unies, qui légitime la résistance palestinienne à l’occupation israélienne, y compris par l’usage de la force. Et pour moi, l’exemple de l’opération Déluge d’al-Aqsa qu’on a vue répond à ce contexte-là. Maintenant, il y a effectivement la question des massacres. De ces massacres découle la justification pour les bombardements sur Gaza. Au début, on nous a dit que le Hamas a massacré des civils, etc. On s’aperçoit au fur et à mesures des semaines, et des jours, que des rescapés israéliens donnent une version complètement différente des événements et montrent qu’en réalité il semblerait que la majeure partie des civils qui ont été tués au tout début de l’offensive du Hamas ont été tués par les Israéliens eux-mêmes. » (Jaques Baud, ancien colonel de l'armée suisse, analyste stratégique, spécialiste du renseignement et du terrorisme)                             
D'ailleurs concernant cette légitimité, les palestiniens sont largement plus attachés à leur terre puisque malgré des bombardements massifs sur Gaza, beaucoup restent, alors que suite à quelques roquettes sur Israël, beaucoup de juifs quittent ces terres vers l'étranger.                                                
« Nous sommes essentiellement dans une politique de vengeance, (mais) la légitimité de défense n’est pas un droit indiscriminé à tuer des populations civiles », a déploré Dominique de Villepin, ancien Premier ministre de Jacques Chirac. Il a ajouté : « Benjamin Netanyahu mène une guerre pour que la solution politique ne vienne pas sur la table, c’est là où cette guerre n’est pas acceptable. »                                                                
En sachant que pour amplifier le pouvoir sioniste, c'est le Mossad sous Netanyahou qui a mensongèrement accusé l'Irak de détenir des armes de destruction massives et donc entraîné injustement la morts de plus d'un million d'irakiens.                                 
Dans ce sens, Thierry Meyssan précise logiquement que la surréaction d'Israël n'a aucun rapport avec de la défense, ce qui indique un plan.                                               
Rappelons que les chefs du Hamas sont au Qatar et que les combattants du Hamas ne se cachent pas dans les écoles, hôpitaux ou autres puisqu’il a un système de tunnels souterrains sophistiqué qui lui permet de se déplacer en toute sécurité, d’abriter ses armes et de rester en embuscade jusqu’à l’arrivée des soldats israéliens afin de les éliminer. Les bombardements qui ont lieu dans ces zones sont donc inutiles et ne font que tuer des civils, ce qui prouve encore que Tsahal a peur de mourir car ne croyant pas en l'au-delà, alors que le Hamas cherche le martyr pour obtenir le Firdaws. (D'ailleurs de plus en plus de mercenaires sont employés et le Israël sur toute la Palestine va probablement dépendre du nombre de mercenaires utilisés.) Mais cela signifie plutôt très probablement qu'« Israël mène une campagne pour rendre Gaza inhabitable.                             
S’il devient de plus en plus clair que ce blocus et cette guerre empirent, les Gazaouis peuvent donc désormais aller dans le Sinaï plutôt que de subir une extinction massive en particulier des jeunes femmes et des enfants, surtout car à un certain moment leurs pieux sacrifices auront atteint un niveau suffisant pour montrer la réalité impie d'Israël au monde et la preuve que l'ordre divin des épreuves de fin des temps est inexorable jusqu'à l'annexion totale de la Palestine par les sionistes devant amener l'apparition de l'Antéchrist puis le retour de Jésus. Or quelle que soit la décision des palestiniens, cette persévérance pieuse du peuple, des combattants et même des enfants palestiniens dans leur lutte contre l'impérialisme américano-sioniste malgré souvent la mort de proches voire des parents par Tsahal est une grande exemplarité, surtout que depuis plus de 75 ans. Partir dans le Sinaï correspond d’ailleurs à ce que Jésus fera à son retour, le temps que Dieu envoie des insectes particuliers tuer puis nettoyer les corps de tous les impies situés en Palestine et à Jérusalem. Et ils pourront probablement partir bientôt dans l'UE. Or en particulier si les pays musulmans sont désunis et que les USA supportent inexorablement Israël, il faut faire attention qu'à force de repousser les palestiniens qui auront à jamais un sentiment de vengeance dans des zones toujours limitrophes, Israël se se rapproche pas du grand Israël, voire de la planète entière... dont pour éviter une troisième guerre mondiale... Il faut noter que les appels aux civils de quitter des quartiers sous prétexte qu'ils vont devenir une zone de guerre et donc d'éviter un crime de guerre facilite cette épuration ethnique. Dans ce sens également, Netanyahou ne se préoccupe pas des otages, car ils sont juste là pour autoriser moralement l'épuration ethnique devant le monde entier, voire le génocide si l'épuration est bloquée. Et ceux qui ne veulent pas comprendre ça sont soit des escrocs soit des idiots. Surtout qu'il y a eu des occasions où le Hamas a proposé de libérer les otages.                    
Mais le Sinaï étant égyptien, il paraît tout de même impossible qu’Israël ira jusqu'à bombarder ces terres. Ainsi ce n'est pas plus mal qu'un rapport de Forensic Architecture, un groupe de recherche basé à Goldsmiths, Université de Londres, ait publié le mercredi 13 mars, que l'armée israélienne a « transformé en arme » les mesures humanitaires telles que les ordres d'évacuation et les zones de sécurité comme un outil pour pousser les civils vers les zones d'opérations militaires israéliennes actives.                                                                                               
Cette campagne comprend la destruction de tous les hôpitaux de Gaza. Le message qu’Israël envoie est clair. Vous n’êtes nulle part en sécurité. Si vous restez, vous êtes morts. Israël n’attaque pas les hôpitaux de Gaza parce qu’ils sont des «centres de commandement du Hamas». Israël détruit systématiquement et délibérément l’infrastructure médicale de Gaza dans le cadre d’une campagne de la terre brûlée visant à rendre Gaza inhabitable et à aggraver une crise humanitaire. Il a l’intention de forcer 2,3 millions de Palestiniens à franchir la frontière vers l’Égypte où ils ne reviendront jamais. » (Chris Hedges, réseau-international)                             
Ainsi la situation catastrophique des hôpitaux de Gaza prouve que le droit international n'y existe plus. Cette situation est connue de tous les politiciens et chefs de guerre. Or selon l'Institut de recherche sur les crimes contre l'humanité et le droit international de l'Université de Sarajevo, 826 enfants ont été tués à Srebrenica entre 1992 et 1995, et 694 enfants ont été tués en une semaine seulement en juillet 1995. L'ONU a déclaré qu'il y a eu plus d’enfants tués en 4 mois à Gaza qu’en 4 ans de conflits mondiaux. Le Centre d'information palestinien a rapporté début 2024 que plus de 25 000 personnes ont été tuées à Gaza depuis le début de la guerre, pour la plupart des civils. Il est donc clair que le nombre de victimes à Gaza a dépassé celui de Srebrenica, qui a été déclarée génocide par les tribunaux internationaux. En effet plus 40 000 civils morts soit plus de 1 % de la population de Gaza a été tuée par Israël (et juillet 2024 d’après la revue médicale The Lancet, le bilan à Gaza pourrait dépasser les 186 000 morts donc au moins 30 0000 blessés et donc environ un quart de la population de Gaza sont des victimes sans compter les maladies souvent graves à cause de la faim, du froid et de l'hygiène), tout cette période de grande immoralité pourrait ainsi annoncer la période d'un grand basculement vers le changement et donc le retour de Jésus) ! N’est-ce pas un génocide si l’on applique ce pourcentage par exemple aux USA (plus de 3 millions) ; au Royaume-Uni (plus de 600 mille) ; à la France (plus de 600 mille) ? Qu’auraient-ils conclu si 100 mille civils israéliens avaient été tués en 3 mois ? Ces 40 000 civils palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, sans compter les disparus ensevelis sous les décombres, les malades et les femmes enceintes morts par manque de soins, les blessés à vie, les mutilés sans anesthésie, les enlèvements d’enfants, les déplacements forcés, les réfugiés passant l’hiver sous des abris précaires.  « J’entends ça en permanence, y a pas que le ministère de la Santé du Hamas qui dit qu’il y a 40 000 morts, y en a vraisemblablement beaucoup plus, beaucoup plus ! (Surtout en comptant ceux de la Cisjordanie, dont il y aurait déjà en partie 13 000 étudiants.) Donc de ce point de vue-là ne donnons pas le sentiment que, voilà, ce serait un chiffre comme cela, tronqué, non. C’est malheureusement une réalité de tous les jours, à Gaza (par les bombardements) les corps sont en morceaux, les cœurs sont en morceaux, les âmes sont en morceaux, les têtes sont en morceaux, et l’idée de reconstruire tout cela alors qu’il n’y a aucune perspective, il faut quand même voir qu’Israël est en train de créer les conditions d’une réoccupation de Gaza... L’Israël a repris la possession de Gaza... Gaza est complètement assiégée... À Gaza, il n’y a pas d’objectif politique de la part d’Israël, il y a un objectif sécuritaire, il y a un objectif identitaire, il y a une folie messianique, et ça explique la catastrophe qui nous est donnée à voir. D'ailleurs les destructions humaines et mais aussi matérielles défient tellement l’entendement, qu'il s’agit clairement d’une guerre d’extermination physique et culturelle. Le Palestinien doit être effacé de sa terre. D'ailleurs en 2025 les recherches publiées dans la revue médicale The Lancet en juillet 2024 et janvier 2025 montrent que le nombre de morts directes et indirectes à Gaza est bien plus élevé que ce qui a été rapporté par le ministère palestinien de la Santé. En tenant compte des décès indirects dus aux conditions génocidaires, le bilan s’élève à environ 400 000 victimes, un chiffre qui dépasse même celui du génocide rwandais de 1994. Le monde regarde tout cela, et le monde en tire les conclusions et c’est en cela que nous Français, nous Européens, nous Occidentaux nous sommes aujourd’hui pointés du doigt par un "deux poids, deux mesures" qui ne pourra être sauvé que par le droit international, que par le retour de la justice. Nous aurons à payer comptant en termes d’efforts et de légitimité notre droit à reparler et redonner des conseils en matière internationale. Il faudra donner des preuves. (Or il paraît impossible de construire la paix, et encore plus deux états ou même seulement des relations avec l'Etat d'Israël, dans cette région après un tel massacre et autant de mal, d'où la nécessaire disparition etonc islamisation de cette État juif au milieu d'états musulmans. Surtout que l'actuelle politique extrémiste israélienne fait fuir du pays les gauchistes israéliens du pays et venir dans le pays les extrémistes juifs de droite de l'étranger qui sont tous prêts à accepter le passage de la pseudo république laïque israélienne au retour du royaume d'Israël sur toute la Palestine, ce qui signifie que possiblement, le faux-messie (antéchrist) sera le futur roi d'Israël ou ce dernier l'annoncera, en sachant que cette radicalisation extrême d'Israël dont aussi jusque dans son appauvrissante guerre multi-fronts accélère son effondrement tel un suicide. D'autant plus que le Droit international logiquement recherche la justice et donc la vérité comme valeur suprême, dont depuis les excellents grecs philosophes de l'antiquité et leur raison développée, et que pour parvenir au retour d'un monde plus juste, la parole donnée qui est la seule base du droit international doit être respectée au maximum, mais Israël se prétendant de droit divin, en plus faussement, sans utiliser sa raison et donc follement voire perversement ou sataniquement, se croit au-dessus du droit international, comme le prouve le gouvernement Netanyahou ayant interdit désormais la venue du secrétaire général des nations unies en Israël.) » (De Villepin, ancien ministre des affaires étrangères) « (Suite à cela) Deux Casques bleus ont même été blessés dans une tour d'observation touchée par des tirs délibérés de Tsahal.Ces frappes surviennent dans un contexte tendu où Israël a récemment demandé la délocalisation de la FINUL, une proposition fermement rejetée par Antonio Guterres, le Secrétaire général des Nations Unies. Guterres a insisté sur le maintien des Casques bleus en poste, soulignant que leur présence est essentielle pour la stabilité de la région et qu’il est impératif de garantir la sécurité de tout le personnel de l’ONU. Cette attaque contre des soldats de la paix, venant quelques jours après ces déclarations, ressemble fort à une réponse agressive aux positions de l’ONU, remettant en cause le respect par Israël du droit international. Cela apparaît comme une volonté d’intimidation claire. En plus des bombardements, la FINUL a accusé l’armée israélienne de désactiver volontairement les caméras de surveillance de l’une de ses positions, renforçant ainsi l’idée d’une intimidation planifiée. Ces actions montrent que les forces israéliennes cherchent non seulement à affaiblir la capacité de surveillance des Casques bleus, mais aussi à entraver les efforts diplomatiques menés par l’ONU pour maintenir une relative stabilité dans la région. L’attaque israélienne n’est pas passée inaperçue sur la scène internationale. Le ministre italien de la Défense, Guido Crosetto, a convoqué l’ambassadeur d’Israël à Rome, exprimant son indignation après que des tirs d’un char israélien ont visé directement le QG de la FINUL. En sachant qu’il y a 700 Français dans cette FINUL. » (Média en 4-4-2) « Au-delà de l’indignation et de la condamnation automatiques qui ne mangent pas de pain, attaquer et tuer les casques bleus est un acte hautement symbolique : cela signifie déclarer la guerre au monde entier. Pendant ces échanges d’amabilités diplomatiques, Israël applique au Liban Sud sa politique de destruction systématique utilisée à Gaza. Sous prétexte de viser des combattants du Hezbollah et du Jihad islamique, Tel-Aviv poursuit son épuration ethnique. C’est même assumé par Netanyahou, qui s’adresse ici, avec un cynisme confondant, aux Libanais. Dans un message, Netanyahou a insisté sur la nécessité pour les Libanais de se libérer du Hezbollah. « Vous avez une occasion de sauver le Liban avant qu’il ne sombre dans l’abîme d’une longue guerre qui provoquera des destructions et des souffrances comme celles que nous voyons à Gaza », a-t-il déclaré. Il a ajouté : « Je vous le dis à vous, Libanais : libérez votre pays du Hezbollah pour que cette guerre puisse se terminer. » Cette déclaration fait référence à l’offensive au sol lancée par Israël dans le sud du Liban le 30 septembre, après une campagne de frappes et bombardements aériens durant la deuxième moitié du mois de septembre. (Or Israël n'hésite pas à attaquer les civils et les zones urbaines dans cette pression contre le Hezbollah.) » (Rédac ER) « Mais pourquoi Israël cible-t-il les positions de la FINUL ? Bien qu’Israël affirme que ses attaques visent le Hezbollah, des analystes militaires et des sources diplomatiques soutiennent que ces actions ont également pour but d’intimider la FINUL, dans le but éventuel d’éliminer sa présence de la région. La FINUL a d’ailleurs déjà rejeté une demande formelle d’Israël de se retirer. Parallèlement, la FINUL indique que ses postes d’observation et ses caméras de surveillance ont été attaqués.  Israël reproche également à la FINUL de ne pas avoir rempli son mandat, en permettant la présence du Hezbollah dans la région. De plus, certains critiques avancent que ces attaques s’inscrivent dans une stratégie concertée visant à empêcher toute observation extérieure. Ce schéma d’exclusion rappelle des situations similaires observées avec les journalistes à Gaza et en Cisjordanie. La disparition de la FINUL pourrait avoir des conséquences dramatiques pour la région. Elle donnerait à Israël un prétexte pour intensifier ses opérations militaires dans le sud du Liban et pour mener à bien un projet de colonisation de ces territoires. Ce plan s’inscrit dans une vision messianique du Grand Israël, qui considère que cette terre lui a été promise par Dieu il y a 4 000 ans. Dans ce contexte, l’élimination de la FINUL serait perçue comme une opportunité pour Israël de renforcer sa présence militaire et de s’implanter davantage, aggravant ainsi les tensions et les conflits dans la région. » (Média en 4-4-2) A ce sujet « Il ne pourrait y avoir un nouvel ordre des relations internationales prochainement, car il ne peut être fondé sur l'exclusion voire la fin d'un peuple comme celui palestinien voire d'autres. En sachant que l'empire romain provenant en grande partie de la philosophie grecque était déjà universel par sa citoyenneté commune donnée à tous les peuples conquis parfois pendant de longue période de paix, même donc avant sa prise du christianisme (comme le Califat), et qu'il est donc en opposition au tribalisme de l'état d'Israël juif (voire aussi du tribalisme anglais, états-unien, nazi) depuis plus de 2000 ans, comme le prouvent leur attaque contre la France catholique et donc universelle, contre la troisième Rome qui est actuellement celle russe dont avant par le communisme et contre l'union des pays musulmans en califat dont suite à la fin de celui Ottoman). » (De Villepin, ancien ministre des affaires étrangères) Le Dr El Ghaoui a été confronté à des scènes d’horreur indescriptibles. Il a vu des enfants et des femmes ciblés par des drones, des patients mourir dans des conditions inhumaines à cause d'un blocus, et des médecins locaux travailler dans des conditions extrêmement difficiles.  Il y aura un avant et un après, les humanistes et les autres, les pieux authentiques et les impies. Et si on parle de pogrom pour le 7 Octobre – et même si on n’en parle pas –, alors il faut aussi parler des centaines de pogroms depuis 1948 qui ont fait 134 000 morts chez les Palestiniens. Chiffre officiel ! Un groupe de droit basé à Genève a même demandé une enquête sur la probabilité de l’utilisation d’armes thermiques interdites par Israël dans sa guerre génocidaire dans la bande de Gaza, qui pourraient faire évaporer ou faire fondre les corps des victimes, surtout qu'Israël aurait développé une mini-bombe à neutrons indétectable par sa faible puissance. Les témoignages reçus expliquent même que les corps des victimes semblent s’être évaporés ou fondus à la suite du bombardement israélien des zones résidentielles dans la bande de Gaza, a rapporté, le mardi 30 avril 2024, l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme. De toute manière sous couvert de mantras qui cherchent à atténuer cette barbarie dont en affirmant que des gens du hamas se cachent parmi la population, les bombardement à fragmentation empêchent déjà très souvent d'identifier le nombre de mort tellement ils sont déchiquetés.    
En poursuivant ses actions militaires indiscriminées, l’État d’Israël ne respecte pas la décision de la CIJ du 26 janvier 2024 sur l’application de la prévention et de la répression du génocide dans la bande de Gaza. En raison de massacres largement inventés, le Conseil de sécurité a invoqué en 2011 la «responsabilité de protéger» pour recourir à la force contre la Libye. En 2016, la Chambre des communes britannique a évalué sévèrement les conditions et les conséquences de cette action militaire. Où est la responsabilité de protéger dans le cas de Gaza ou au moins de lui apporter de l'aide humanitaire ? Le gouvernement américain est coresponsable voire dans un sens le patron des crimes commis par le régime d'occupation israélien dans la bande de Gaza, puisque il fournit des armes et des munitions aux sionistes et soutient donc inconditionnellement la campagne militaire sanglante d’Israël contre les Palestiniens y vivant.                                                                               
La solution finale, dans le plan des dirigeants israéliens, consiste à déporter la population de Gaza dans le désert du Sinaï et à faire disparaître Gaza en tant que territoire palestinien, puis à faire de même avec la Cisjordanie, les dirigeants israéliens commettant ainsi non seulement des crimes de guerre, mais aussi un véritable crime de génocide puisque massacrant des dizaines de milliers de civils. D'ailleurs début 2024, le ministre des Finances de Netanyahou accélère l’annexion de 800 hectares de terres en Cisjordanie occupée, après avoir déjà mis la main sur une vallée du Jourdain qui, selon des textes, appartiendrait à l'Israël fantasmé. Ce crime international consiste en la destruction méthodique d’un groupe ethnique, racial ou religieux en tant que tel, par l’extermination d’individus, la dissociation et la dispersion de groupes familiaux et la perturbation de toutes les institutions sociales, politiques, religieuses et culturelles.                         
Dans ce sens le 11 novembre 2024, le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich a lancé avoir ordonné les préparatifs de l’annexion de la Cisjordanie dans l’espoir que le régime sioniste obtienne la souveraineté sur la région en 2025. A ce propos « Lors d'un sommet extraordinaire conjoint de la Ligue arabe et de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI) qui s’est tenu en novembre 2024 à Riyad pour aborder l’impact dévastateur de la guerre génocidaire d’Israël sur Gaza et le Liban, les dirigeants arabes et musulmans ont fermement condamné Israël pour les crimes horribles et choquants commis dans le cadre de sa guerre génocidaire dans la bande de Gaza. La condamnation a été formulée dans la déclaration finale publiée lors du sommet conjoint arabo-islamique dans la capitale saoudienne, Riyad. Des responsables et des représentants de plus de 50 pays qui ont participé à la réunion ont déclaré qu’Israël avait commis un large éventail d’atrocités, notamment le nettoyage ethnique, la torture, les exécutions sommaires, l’enterrement en masse des victimes et les déplacements forcés. Un projet de résolution publié par l’OCI, la deuxième plus grande organisation intergouvernementale après les Nations Unies, avec une population collective de plus de 1,8 milliard d’habitants, a réaffirmé la centralité de la cause palestinienne et a souligné les droits « légitimes » et « inaliénables » des Palestiniens et la création d’un État palestinien. « Nous réaffirmons la pleine souveraineté de l’État de Palestine sur Qods-Est occupée, la capitale éternelle de la Palestine, et rejetons toute décision ou mesure israélienne visant à la judaïser et à consolider son occupation coloniale de la ville », indique la résolution. La résolution exprime également sa profonde inquiétude face à l’escalade de la violence dans la région, en particulier les crimes « horribles » et « choquants » commis dans la bande de Gaza, qui s’étendent désormais au Liban, et met en garde contre la violation de la souveraineté de l’Iran, de l’Irak et de la Syrie par le régime sioniste. Elle condamne également la disparition forcée de milliers de Palestiniens dans le cadre de la guerre génocidaire contre Gaza et les « abus, répression, torture et traitements dégradants » dont ils sont victimes dans les prisons israéliennes. Les nations arabes et musulmanes réitèrent également leur « soutien absolu » au Liban, soulignant leur engagement envers sa sécurité, sa stabilité, sa souveraineté et la sécurité et le bien-être de ses citoyens. La résolution impute à Israël la responsabilité de l’absence de cessez-le-feu à Gaza et au Liban et exhorte le Conseil de sécurité des Nations Unies à adopter une résolution contraignante pour faire respecter une trêve. « [Nous] mettons en garde contre le fait que ce double standard porte gravement atteinte à la crédibilité des États qui immunisent Israël et le placent au-dessus de toute responsabilité ainsi que de la crédibilité de l’action multilatérale, et révèle la sélectivité de l’application du système de valeurs humaines », indique la déclaration commune. La résolution rejette également la décision d’Israël de renforcer son occupation de la Palestine, la jugeant « nulle », « invalide » et « illégitime » au regard du droit international et des résolutions pertinentes des Nations Unies. Elle reconnaît qu’Al-Qods Al-Sharif est une question cruciale et une « ligne rouge » pour les nations arabes et islamiques. » (French Pres TV)  L’Amérique est dorénavant bien embarrassée par ces deux dossiers brûlants : la défaite à venir de l’Ukraine, donc de l’OTAN, et le jusqu’au boutisme génocidaire israélien.

Par la guerre Hamas/Israël, on se rend compte – c’est un effet secondaire positif et négatif à la fois – à quel point nos médias sont pénétrés de l’influence israéliste. On dirait qu’ils sont tous sous contrat avec Israël, un contrat profond et caché qui explose à la vue des téléspectateurs depuis le 7 Octobre. L’attaque du Hamas et la riposte génocidaire israélienne ont ainsi agi chez nous comme un révélateur de soumission, d’infiltration et de désouverainisme. En effet nos médias prétendument de gauche et du cercle de la raison révèlent leur mensonge et donc réveil la population, puisque soutenant inconditionnellement les fanatiques israéliens d'extrême droite au pouvoir génocidant les palestiniens sous la pseudo excuse très faible qu'Israël a le droit de se défendre, alors qu' évidemment on ne peut décemment pas relativiser un génocide avec une survictimisation des bourreaux.
« Il suffisait d’y penser et changer le droit d’assassiner ses voisins en droit de se défendre, et le tour était joué. Israël atomise Gaza, et ce n’est pas une simple expression : il y a désormais plus de victimes à Gaza qu’à Hiroshima. Mais c’est un Hiroshima progressif, homéopathique, acceptable, un génocide au compte-gouttes, au compte-morts, 10 par ici, 20 par là, c’est médiatiquement mieux que 40 000 d’un coup. La méthode démocratique, c’est toujours l’histoire de la grenouille dans l’eau qui bout lentement. Les organisations internationales et humanitaires ont beau crier au massacre, parfois au génocide, rien n’y fait : le massacre et le vidage du ghetto de Gaza, quatre fois plus peuplé que le ghetto de Varsovie, se poursuit. » (Rédac ER) Or plus les choses sont graves et plus il importe de les nommer avec précision. La nature génocidaire des exactions d'Israël dans la bande de Gaza procède de la définition de ce terme et non pas d'une attaque ni même d'une "opinion". Et s'il y a bien deux camps en présence, le premier est celui des êtres qui refusent la déshumanisation et la haine contre ceux qui les promeuvent - de quelque côté qu'ils soient.                                                      
« Selon Anthony Bellanger, l’État d’Israël, auparavant considéré comme une entité à part, est désormais perçu comme un belligérant parmi d’autres : « J’ai 30 ans d’expérience en politique internationale, et je n’avais jamais vu ça. En ce moment aux États-Unis, on observe un changement générationnel, indiquant clairement que la guerre médiatique de la victimisation a été perdue par l’État d’Israël, qui est désormais perçu comme un belligérant comme les autres(, même donc suite à la Shoah, surtout que par rapport aux 6 millions de juifs morts pendant la deuxième guerre mondiale, il y a eu 25 millions de morts russes). C’est tout simplement devenu la réalité qui se dégage, même pour les Israéliens eux-mêmes. » En effet aujourd’hui, les crimes de masse israéliens ont pulvérisé le bouclier moral de la Shoah. Ce bouclier, qui était soi-disant défensif, s’est curieusement transformé en arme offensive pour faire taire ceux qui critiquaient l'abject pouvoir suprémaciste de Tel-Aviv et de ses prolongements dans la diaspora juive d’extrême droite en particulier au niveau des élites. Ce renversement de perspective ne concerne pas seulement la jeunesse arabe, mais s’étend également aux jeunes occidentaux qui réévaluent leur vision d’Israël et du conflit en se rangeant du côté de ceux qu’ils perçoivent comme les plus vulnérables, à savoir les Palestiniens faisant face aux bombardements israéliens à Gaza. Anthony Bellanger décrypte ainsi un bouleversement profond dans la perception mondiale du conflit israélo-palestinien, soulignant l’émergence d’une nouvelle compréhension chez la jeunesse du monde. » (Le Média en 4-4-2)            
Les organisateurs du génocide, en minorité absolue dans le monde, à l’ONU et en France, en sont réduits à racler du people à la dérive pour soutenir l’insoutenable. Chez nous, on trouve des people – toujours les mêmes – qui soutiennent le génocide. Beaucoup d’autres n’osent pas le faire directement, car ils pensent à leur carrière : oui mais voilà, aujourd’hui, les carrières dépendent en partie de cette prise de position, comme pour les Gilets jaunes. Politisés malgré eux ! C’est l’antisionisme ou les salles vides ! Les people soumis à la doxa qui n’osent pas avouer leur penchant israéliste ne glorifient pas Tsahal – l’armée tout juste capable de massacrer des femmes et des enfants – comme le débris Darmon : ils attaquent les soutiens de la Palestine, les associant au Hamas, à LFI, à Hitler. C’est de bonne guerre, mais ça ne marche pas : tout le monde est contre Israël, contre l’ignoble massacre, et contre les menteurs qui affirment que c’est une « juste riposte » au massacre du 7 Octobre. Comme si le 7 Octobre venait de nulle part ! Des 7 Octobre, les Palestiniens en ont subi des centaines ! L’escroquerie israéliste, avec son racisme effrayant, sa colonisation maladive et sa torture de tout un peuple, est en train de s’écrouler. Il va falloir plus d’un De Niro et d’un Darmon pour renverser la vapeur, et refaire des israélites des victimes éternelles.
Dans ce sens Téhéran a dénoncé l’ONU (et l'Occident) pour avoir (souvent) lancé de fausses accusations contre l’Iran, tout en fermant les yeux sur la violente répression des étudiants par la police dans les campus universitaires américains. Le président de la Commission iranienne des droits de l’homme a critiqué le bureau des droits de l’homme des Nations unies pour avoir lancé de fausses accusations contre l’Iran, tout en fermant les yeux sur la violente répression des étudiants et des universitaires anti-guerre sur les campus aux États-Unis. De la Californie à New York, de l’Illinois au Texas, la police américaine a effectué des descentes sur les campus universitaires, emportant et emmenant les étudiants ou les battant encore de manière choquante. La police américaine a même utilisé des gaz lacrymogènes, tiré des balles en caoutchouc et procédé à de nouvelles arrestations, alors que les manifestations anti-israéliennes prennent de l'ampleur sur les campus du pays en solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza déchirée par la guerre. Ils ont aussi arrêté des professeurs, comme Caroline Fohlin, professeur à l’Université Emory en Géorgie, lors de manifestations contre la guerre génocidaire d’Israël à Gaza, qui a tué près de 34 500 Palestiniens et laissé plus d’un million de déplacés et de personnes en souffrance. Répression des étudiants par la dictature américaine : l'ONU n'ose pas arrêter les États-Unis.
Cette répression en Occident se fait parfois voire souvent sous le pseudo prétexte d'éviter l'importation du conflit, puisque cette dernière se fait en réalité beaucoup plus par les médias de même que certains politiciens souvent liés au lobby pro-israélien et donc par le haut, que par le bas que serait ces manifestations pro-palestiniennes.
Il va sans dire que le public est anti-Netanyahou, anti-génocide, anti-massacre à 99 %. Si nos stars de l’humour veulent garder leur audience, il faut qu’ils prennent le risque de heurter les médias aux ordres. La seule solution, comme toujours, est collective : s’ils résistent un par un, ils se feront fusiller un par un. Mais s’ils résistent en bloc dont à travers une déclaration commune, ça devient éminemment politique et beaucoup plus difficile à réduire. En effet il y a un humour autorisé, et un humour interdit. En résumé, les blagues sur les juifs sont interdites, et les blagues sur les musulmans et les chrétiens sont vivement autorisées. La tuerie de Charlie participé à réduire l’humour et la liberté d’expression, et à fracturer la gauche en deux entités : la gauche servile, et la gauche insoumise au CRIF. Aujourd’hui, le pouvoir profond s’est débarrassé de Dieudonné (qui joue au Liban devant 1 000 personnes), mais elle se retrouve avec des petits Dieudonné partout. Meurice, issu de la gauche antiraciste, est devenu logiquement antisioniste, c’est-à-dire opposé à l’impérialisme israélien. Le sionisme français a beau hausser le ton, convoquer tous ses nervis le pistolet sur la tempe, pour harceler et condamner les résistants et les pro-palestiniens, rien n’y fait, car il y a une chose plus forte que tout, c’est la démographie. Et donc la démocratie. C’est pour ça qu’il n’y a pas de démocratie en Israël, et que la démocratie française, qui n’est pas encore complètement corrompue, gêne autant le pouvoir israéliste. Car les médias mainstream sont devenus l’exact inverse de l’opinion publique. C’est qu’ils ont été forcés par les puissances occultes, qui n’ont rien à voir avec la démocratie, par définition, et encore moins avec les principes républicains, dont ils se drapent pourtant en permanence.
Durant 75 ans, les Occidentaux ont imposé leurs volontés à leurs anciennes colonies du «Moyen-Orient élargi», soit par l’intermédiaire des djihadistes, soit directement par leurs armées. En soutenant durant quatre mois les massacres perpétrés par les fascistes juifs du groupe Jabotinsky-Netanyahou, les Occidentaux ont perdu leur prestige. Quelle que soit la suite d’Israël, avec Benny Gantz et Yaïr Lapid plutôt qu’avec Benjamin Netanyahou et Itamar Ben-Gvir, la puissance d’Israël, fondée sur le mythe de l’incompatibilité des juifs avec le fascisme, s’est effondrée. Désormais, il sera possible d’exhumer tous les crimes commis par ce groupuscule, pour le compte de la CIA, durant la Guerre froide, au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique latine.
« Les narratifs israéliens, repris sans vérification par les médias et les politiques occidentaux, nous racontent les « massacres », en grand nombre, de femmes et d’enfants désarmés dans l’attaque des kibboutz voisins de Gaza. C’est mal connaître l’organisation de la société israélienne. Le service militaire est fait par les hommes (3 ans) et par les femmes (2 ans). Les Israéliens constituent un peuple en armes, plus entraîné que d’autres. Ils ont des armes « à la maison » (comme les Suisses) et particulièrement dans les kibboutz les plus exposés à proximité de Gaza. Ils s’en servent d’ailleurs régulièrement pour faire du tir au pigeon contre les Palestiniens. (D'ailleurs la population israélienne soutient son armée en scandant le slogan «mort aux Arabes» tandis que les colons, en tenues civiles et armés, participent aux opérations militaires. Ils sont chargés, avec des civils, de détruire l’aide humanitaire internationale destinée aux Gazaouis. Ils sont donc des paramilitaires soutenues par l’armée et éventuellement des prisonniers et non des «otages» ! Selon leur littérature et les déclarations de certains de leurs rabbins égarés, ces attitudes seraient conformes à leurs enseignements religieux.) En clair, ceux des Israéliens qui sont morts dans l’attaque du 7 octobre, sont très probablement ceux, hommes ou femmes, présumés civils mais armés, qui se sont défendus, les armes à la main. Les autres ont été pris en otages et emmenés à Gaza. Ceux des otages qui n’ont pas encore été tués par les bombardements israéliens sont toujours vivants. Qu’il y ait eu quelques dégâts collatéraux dans les échanges de coups de feu avec des balles perdues et quelques femmes non combattantes et quelques enfants tués, je veux bien le croire. Qu’il y ait eu quelques bavures, je veux bien le croire aussi. Mais l’idée d’un massacre de masse prémédité par les Palestiniens, je n’y crois pas une seconde, pas plus qu’aux chiffres donnés par l’une ou l’autre des parties en conflit. Dans leur lutte sans fin contre l’oppression qui leur est faite, les Palestiniens auraient eu, avant l’opération du 7 octobre, 797 tués par les forces armées et les colons armés israéliens soutenus par les gouvernances occidentales en moins de 4 ans. Ces derniers n’auraient eu que 64 victimes. Soit un rapport de 1 à 12. Alors QUI abuse de sa force et du soutien occidental pour tuer sans mesure depuis 75 ans ceux qui s’opposent à la colonisation ? QUI viole les résolutions de l’ONU et le droit international sous la protection des vétos US, UK et FR ? Il n’en reste pas moins vrai que les 420 enfants palestiniens, selon l’UNICEF, tués chaque jour par les frappes aériennes israéliennes constituent, au sens de la législation internationale, un crime de guerre. C’est deux Oradour-sur-Glane, tous les trois jours. C’est ça la légitime défense ? Tout ceci m’est intolérable. » (Général Delawarde)
Il faut noter que si les actuels et anciens généraux comme ce dernier parlent de la délinquance et de l'immigration, ils peuvent passer à la TV, mais s'ils dénoncent le sionisme barbare de certains israéliens ou le sommet de la française oligarchie (israélo-américaine) pour sa surreprésentation des intérêts d'une certaine communauté organisée qui défend les intérêts d'Israël dans une évidente forme déstabilisatrice d'ingérence étrangère, ils sont traités d'antisémites et interdits de TV. Même les personnes dénonçant le génocide à Gaza sont accusées par ce système comme des antisémitismes, alors qu'il faut évidemment distinguer la haine des juifs de la légitime critique politique de tout gouvernement.                                          
« (L’ancien président travailliste de la Knesset Avraham) Burg (ayant affirmé qu'en Israël, le sionisme est un outil de discrimination et ayant appelé à voter pour la liste judéo-arabe, baptisée « Liste commune ») cependant, était un adversaire du sionisme ; il était suffisamment perspicace pour voir que les sionistes semaient les graines de leur propre autodestruction : « Le sionisme n’est pas seulement spirituellement lié à l’antisémitisme, il ne peut pas vivre sans lui. Ce qui est terrible, c’est que ce sont précisément les sionistes qui ont le plus intérêt à l’antisémitisme. » Auparavant, en 1949, Burg s’était installé dans l’État d’Israël, qui venait d’être créé. L’époque est très difficile et le travail n’est pas facile à trouver. Il a essayé d’ouvrir un atelier de reliure, mais l’État lui a joué un tour : une fois que tout était arrangé, l’État a doublé le loyer. Il a remarqué que seuls les membres du parti au pouvoir, le MAPAI, avaient droit à des postes stables et à des accords. Tous les autres étaient exploités de manière routinière et éhontée. « À l’époque, les conditions sociales en Israël étaient pires que dans n’importe quel autre pays européen. Presque tous les immigrants venaient de pays où les conditions étaient bien meilleures qu’en Israël. Même les juifs venant d’Afrique et du reste de l’Asie affirmaient qu’ils n’avaient jamais eu à souffrir d’autant de misère dans leur pays d’origine qu’en Israël. Le gouvernement s’est montré incapable de gérer les choses. »  Si la situation était mauvaise pour les immigrants juifs, elle était encore pire pour les autochtones palestiniens. Burg s’est rendu à Nazareth : « Les bus ont été arrêtés à plusieurs reprises et des policiers militaires israéliens ont contrôlé les cartes d’identité des passagers. J’avais l’impression d’être en guerre… une pauvreté indescriptible. Où que vous marchiez ou que vous vous teniez, des dizaines d’enfants arabes vous suppliaient. Ces enfants arabes étaient tous sous-alimentés… » Selon Burg, les enfants israéliens ont été élevés dans la haine des non-juifs, tout comme cela avait été le cas dans la Russie prérévolutionnaire. Burg l’a remarqué : « Alors que ses frères socialistes du monde entier prônent l’égalité raciale et la protection des minorités nationales, le MAPAI gouverne avec les lois raciales les plus sévères. Il est bien connu que les Arabes, qui subissent les pressions politiques et économiques les plus fortes, ne sont même pas admis dans les syndicats. Il est impensable qu’un Arabe socialiste puisse être accepté dans les rangs du MAPAI socialiste. Et il est tout à fait impensable que, sous ce gouvernement socialiste en Israël, un juif puisse épouser une Arabe, et encore moins qu’un Arabe puisse épouser une juive. » Finalement, Burg, le cœur brisé, retourne à Munich en Allemagne, avec beaucoup de difficultés, car il est difficile de quitter Israël à cette époque. Il regrette que les juifs n’aient pas tiré autant d’enseignements qu’ils auraient pu le faire de l’histoire difficile de la guerre mondiale ; il regrette qu’ils n’aient pas créé un État d’égalité.  Les espoirs de Burg étaient peut-être irréalistes, mais ils étaient également partagés par une grande partie du monde. En fait, les sionistes se sont appuyés sur ces espoirs et ces rêves. Si la Seconde Guerre mondiale était effectivement une guerre entre les juifs et l’Allemagne, alors l’Amérique s’est battue pour libérer les juifs. La question est la suivante : 80 ans plus tard, les juifs sont-ils libres ? Ou sont-ils devenus des pions impuissants, capturés par les sionistes internationaux qui complotent pour conquérir le monde ? » (Israël Adam Shamir)
« Chacun a sa définition du Diable. Pour le CRIF, c’est-à-dire le lobby juif de gauche passé à droite, c’est l’antisémitisme, les antisémites. Pour les catholiques pratiquants, le Diable, c’est la tentation, le vice, la mauvaise vie. Dieu est là pour combattre le Diable à l’intérieur de nous. Pour les (vrais) résistants, le Diable c’est l’oligarchie mondialiste, d’ici ou d’ailleurs, qui détruit la raison pour enlever les âmes. Car la raison protège l’âme. La définition du Diable a varié avec le temps. Autrefois, c’était beaucoup plus biblique, rustique : aujourd’hui, pour la plupart des gens qui ont été déreligiosés, déchristianisés (par qui ?), il représente le hors piste social, par exemple voler, violer, tuer, mentir... Mais un jour, un grand avocat, un certain Maître Jaku, a dit qu’on avait le droit de mentir, que mentir n’était pas un délit. On s’en serait douté. On peut dire aussi que voler les autres, les exploiter, les piller, ou les massacrer, avec une bonne raison – économique, politique ou biblique – et un bon psy après coup, c’est permis. Résultat : il n’y a plus de règles fixes, plus de Diable bien défini. Les lois morales ont été abaissées, parfois jusqu’à disparaître. L’individu, devant tant de libertés possibles (mais peu réalisables en réalité), est perdu. Et il demande la protection de maîtres, qui sont évidemment là pour ça, et pour lui donner un cap. Après ce préambule historique de haute volée, on en vient au fait : pour le boss du CRIF, la boîte de Pandore de l’antisémitisme a été ouverte par les islamo-gauchistes, et on va avoir du mal à la refermer. En vérité, vous l’aurez compris, si vous avez un peu de religion ou de lucidité, le Diable, c’est justement ce pouvoir profond qui donne ses ordres et qui punit, si on ne lui obéit pas. C’est notre cas, on le sait, c’est mal, on a tout essayé mais on n’arrive pas à obéir à ces gens-là, qui se sentent supérieurs et qui veulent nous dominer. On sait très bien qu’on est atteints d’une sorte de pathologie, que nos faux maîtres nomment antisémitisme, mais c’est plus fort que nous. Ils appellent antisémites ceux qui refusent de se laisser dominer. Mais quand on voit ce qu’ils font en Palestine avec ceux qu’ils dominent, on a évidemment raison. Toujours la même chanson à la con pour ceux qui ne veulent pas se soumettre à leurs « lois » qui n’ont rien à voir avec celles de la République ou la démocratie, et là on parle de vraie république et de vraie démocratie. Depuis quand une extrême minorité exige l’obéissance d’une écrasante majorité ? Ce n’est pas le Diable ou le démon qui s’est réveillé, mais bien la France, qui, régulièrement, s’ébroue quand on la frappe et la tond un peu trop durement. Car les Français sont frappés, au sens propre et au sens figuré : terrorisme « djihadiste », terrorisme policier avec la répression des Gilets jaunes, terrorisme sanitaire avec les injections à effets secondaires, et par-dessus le marché, la double frappe sociale de la paupérisation par inflation ultralibérale et du choc migratoire. On n’est pas encore des Palestiniens, mais on sent comme un rapprochement. Conclusion  : il n’y a pas de génocide en Palestine, il y a de l’antisémitisme en France. Le Diable, c’est évidemment pas l’antisionisme, mais celui qui crie du matin au soir à l’antisémitisme. » (Rédac ER)                                                            
D'ailleurs Hassan Nasrallah (en tant que porte-parole de l’unité des Fronts de la Résistance) a clairement indiqué que l’objectif de la Résistance est d’épuiser Israël et de le conduire à un État de défaite et de désespoir, de sorte que les Israéliens commencent à renoncer à la revendication de droits spéciaux et d’exceptionnalisme, et se contentent de vivre «entre le fleuve et la mer» avec d’autres (les Palestiniens), en partageant une parité de droits. C’est-à-dire avec des juifs, des musulmans et des chrétiens vivant sur un territoire commun. Il n’y aurait alors plus de sionisme. Hassan Nasrallah a explicitement prévu la possibilité d’une telle issue, sans guerre majeure. C’est donc un «tour de passe-passe» que de présenter la «vision du monde» du Hamas comme consistant à «rayer Israël de la carte», comme si cela impliquait d’«exterminer» ou de tuer les juifs. Israël serait «rayé de la carte» dans le sens où un futur État ne serait pas exclusivement juif par nature, mais multiconfessionnel. L’imputation sournoise d’antisémitisme à la «vision du monde» du Hamas est une calomnie presque au même titre que le slogan «le Hamas est ISIS». (ISIS a inscrit des responsables du Hamas sur sa liste des personnes à abattre). La vision du monde du Hamas ne peut être retirée du contexte des haines enflammées par la guerre à Gaza.                                   
Suite aux bombardements grandement meurtriers sur la population palestinienne, la véritable nature de la pseudo démocratie des États-Unis, de l'Europe et de l'arrogance mondiale affichent donc le summum de leur hypocrisie et de leur brutalité sous les yeux du monde entier. En effet il s'agit clairement d'une agression barbare des sionistes contre Gaza, et les États-Unis ainsi que l’Occident ne prennent aucune décision concernant ces massacres collectifs perpétrés par Israël. Et ces opérations massives et meurtrières menées par Israël ne font que radicaliser les populations contre Israël, mais aussi donc contre l’Occident, tout en augmentant toujours plus le risque d'actions terroristes à venir. Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a exprimé son indignation face à la situation en Palestine lors d'une manifestation de soutien. Il a souligné l'importance de la solidarité africaine et musulmane, tout en appelant à une mobilisation politique plus large. Il a également dénoncé l’hypocrisie du monde occidental qui prône la démocratie et les droits de l’homme tout en soutenant Israël. Le FMI et les USA se livrent (même) à un ignoble marchandage : l’Égypte bénéficiera de nouveaux prêts pourvu qu’elle accepte d’accueillir les Palestiniens de Gaza dans le Sinaï. De fait Le Caire fait construire une « zone-tampon » – un camp de réfugiés entouré d’un mur – pour accueillir les Gazaouis s’ils fuient le massacre que leur promet Netanyahu. Arrêtons-nous un instant et respirons fort : le monde occidental (USA, Europe), qui n’avait que le « devoir de mémoire » à la bouche voit un gouvernement qui laisse le choix à 2 millions de personnes entre nettoyage ethnique et génocide ; et il continue à se faire complice ? Les Etats-Unis continuent à livrer des bombes à Tsahal ; ils osent mettre leur veto à la résolution algérienne de cessez-le feu au Conseil de Sécurité des Nations Unies. » (Edouard Husson)                                            
L’hypocrisie de l'UE et des USA sur le génocide en cours à Gaza est non seulement indigne, mais elle enterre définitivement toutes les illusions sur leur fondement humaniste et droit-de-l’hommiste. Surtout qu'avec la défaite en Ukraine et la promotion de la communauté LGBTQ+ occidentale marquant la fin de la suprématie culturelle occidentale en particulier en Afrique où les valeurs traditionnelles (fondamentales) prévalent, la chute est à la fois militaire, économique, et morale, c’est-à-dire totale. Israël copie donc de plus en plus ses protecteur US et occidental qui ont détruit l'Afghanistan, l'Irak, la Libye, la Syrie. Et leur fin du financement de l’UNRWA « Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) en pleine guerre a fini de faire mourir l’humanité occidentale (des élites). Pour tenter de justifier leur gel du financement de l’agence onusienne assistant ces malheureux (l’UNRWA), les principaux pays donateurs invoquent, comme on sait, la félonie d’une douzaine de ses employés soupçonnés d’implication dans l’opération Déluge d’al-Aqsa menée contre Israël par le Hamas. Or même si cette accusation devait s’avérer fondée ; même si grâce aux dispositifs électroniques de reconnaissance faciale, les coupables présumés étaient très probablement identifiés dès les premiers jours de la guerre de Gaza ; même si Israël ne s’est décidé à pousser les hauts cris qu’au moment précis où il figurait au banc des accusés devant la Cour de justice internationale ; oui, même en tenant compte de tout ce qui précède, la riposte internationale est d’abord prématurée, puisque l’enquête ouverte par les Nations unies vient tout juste de commencer. Mais surtout, elle est scandaleusement disproportionnée alors que la guerre comme réponse demande généralement la proportionnalité ; cette mesure a tout en effet d’une punition collective. Selon la ligue arabe, la suspension du financement de l’UNRWA viserait même à liquider cette agence onusienne, ce qui va dans le sens de l'annexion totale de la Palestine par Israël. Cependant Josep Borrell de l'Union européenne a critiqué cette stratégie et appelé au maintien du financement de l'UNRWA.                              
« La situation au moyen orient et la rupture dans l'approche de ces crises entre la minorité occidentale et la majorité mondiale, indique que le monde se trouve à un tournant crucial : sera t il possible de fonder un monde mondial véritablement juste et démocratique basé sur le rôle central des nations unis, ou si les USA continueront à imposer leurs soi-disant règles à la communauté internationale. » (Lavrov)                                                           
« Le conflit israélo-palestinien est un accélérateur de l'histoire, car il révèle au monde entier les limites de la puissance économique et militaire de l'Occident en général, et des USA en particuliers. Ses conséquences politico-stratégiques dépassent largement la région du Moyen-Orient. » (Xavier Moreau dans l'émission « L'échiquier Mondial »)

« Restent (comme pays défendant les palestiniens) des exceptions comme l’Irlande (jadis colonisée par les Anglais) et l’Espagne.  Les pays du Golfe, qui sont des caniches de la Maison Blanche jouent de plus en plus ouvertement le jeu d’Israël. Dans les pays Arabes on trouve un mélange d’indignation et de lâcheté. Un pays comme la Jordanie est un supplétif d’Israël, comme le Maroc qui a maintenant une base militaire de soldats juifs dans son royaume. D’autres font ce qu’ils peuvent dans une situation bloquée où nul n’a accès au « champ de bataille ». C’est le cas de l’Algérie qui maintient une pression diplomatique qui est la seule arme comme l’Afrique du Sud l’a montré avec son recours a la Cour Internationale de Justice.  Mais n’oublions pas les traces éternelles laissées par ce génocide dans les consciences de hommes honnêtes partout dans le monde. Et les protestations qui ont toujours lieu dans les pays musulmans d’Asie. Israël a semé et planté le germe de la fin de sa propre histoire. L’Allemagne, qui réprime odieusement les manifestations de soutien à Gaza, se dit prête, aujourd’hui, à arrêter Netanyahou s’il venait sur son territoire étant frappé d’un mandat d’arrêt de la Cour Pénale Internationale ! La communauté juive américaine a compris qu’elle ne pouvait être solidaire avec une telle barbarie sans perdre son honneur. C’est ce que nous avons vu sur les campus, un vaste cri :« pas en notre nom ». Au neuvième mois du début du génocide du peuple palestinien, près de 160 journalistes palestiniens sont tombés en martyrs. Le sort fait aux journalistes à Gaza restera une honte éternelle, avec plus de morts que les confrères qui ont couvert la Deuxième guerre mondiale. Pour avoir vécu cela, la mort en moins, je sais comment l’armée israélienne détecte, piste et assassine les journalistes, seuls témoins de la barbarie. Tirer sur le presse fait partie du cahier de charges de cette armée « le plus morale du monde ». (D'ailleurs très probablement pour cacher leur génocide, les Forces israéliennes ont d'ailleurs fermer le bureau d’Al Jazeera à Ramallah. En sachant que c'est une violation du Droit international et humanitaire.) Ici, l’immobilisme de la profession est scandaleux, ses yeux regardent ailleurs. Alors que la mort, hélas, d’un reporter en Ukraine devient aussitôt une affaire internationale. Ayant été victime, dans le passé, d’un tir israélien, je peux témoigner du terrible silence manifesté par les confrères : tout ce qui  touche Israël appartient au sacré. Interdire des bouches ou des plumes le mot sioniste c’était du même coup faire oublier qu’Israël est un état colonisateur. » (Jacques-Marie Bourget)
« L’un des facteurs clés, mais sous-estimés, du soutien inébranlable des États-Unis à la guerre génocidaire israélienne contre Gaza est la présence écrasante de juifs sionistes dans l’administration de Joe Biden. Ces juifs sionistes exercent une énorme influence dans les couloirs du pouvoir américain et bénéficient du soutien inconditionnel du président américain qui s’est vanté à de nombreuses reprises d’être lui-même « sioniste ». La présence et l’influence des juifs sionistes à la Maison Blanche ont toujours été un sujet de discussion, mais depuis les événements du 7 octobre, elles se sont manifestées de nombreuses manières. Les vetos de l’administration Biden aux résolutions de cessez-le-feu au sein du Conseil de sécurité de l’ONU, qui ont suscité une large condamnation de la part des groupes pro-palestiniens, ont relancé le débat sur l’influence sioniste.  (Le mode de fonctionnement du régime Biden-Harris pour les relations étrangères vis-à-vis du Moyen-Orient consiste à faire semblant d’une chose tout en faisant autre chose. Il a été rapporté que les négociateurs de paix de Biden, Amos Hochstein, un Israélien qui a servi dans l’armée israélienne, et Brett McGurk, qui travaillaient ostensiblement pour aider à éviter l’expansion de la crise de Gaza au Liban, faisaient tout le contraire. Ils ont travaillé «dans les coulisses» pour encourager Israël, et ils décrivent désormais les opérations israéliennes au Liban, qui ont notamment inclus une invasion terrestre majeure, comme un «moment historique» – un moment qui «remodèlera le Moyen-Orient pour le mieux dans les années à venir».) Soulever la question de la domination des juifs sionistes dans l'administration et les cercles politiques américains est souvent perçu à travers le prisme de « l'antisémitisme » en Occident, même si paradoxalement ces mêmes personnes aiment se vanter du nombre disproportionné de juifs dans d'autres domaines. La judéité sioniste du cabinet de Biden a été soulignée récemment par The Forward, un média progressiste destiné à un public juif américain, ainsi que par le journal israélien de droite Times of Israel. Être juif ne devrait pas être considéré comme un problème, mais les membres de l’administration Biden ont clairement montré les tendances du sionisme – justifiant non seulement le génocide du régime israélien à Gaza, mais aussi faire pression pour obtenir davantage d’aide financière et militaire au régime occupant. Il existe également des sionistes non juifs dont le soutien est motivé par le sionisme chrétien ou ceux appartenant à des lobbies pro-israéliens, un cas courant dans les rangs du Parti républicain. Le problème réside dans le fait que tout le monde dans l’administration Biden est un sioniste radical qui justifiera sans compromis les crimes de guerre israéliens, avec de légers désaccords sur des questions relativement mineures, comme les colonies israéliennes illégales en Cisjordanie occupée. Dans les médias mainstream américains, voter au Conseil de sécurité de l’ONU et soutenir la destruction génocidaire de Gaza est considéré comme du bon sens et une ligne de conduite naturelle. Biden n'a pas caché ses penchants sionistes, en prononçant les mots "Je suis sioniste". Et il l’a prouvé à travers de nombreuses activités pro-israéliennes au cours de sa carrière politique qui s’étend sur plusieurs décennies. L’un d’eux est le placement de sionistes juifs à des postes élevés dans son administration, qui a suscité début 2021 une blague populaire sur les réseaux sociaux selon laquelle l’aile ouest aurait un « minyan ». Le terme hébreu « minyan » désigne le nombre minimum d'hommes requis pour constituer une « communauté d'Israël » représentative à des fins liturgiques. La liste initiale de Biden comprend Anthony Blinken en tant que secrétaire d'État, Merrick Garland en tant que procureur général, Avril Haines en tant que directrice du renseignement national, Ronald Klain en tant que chef de cabinet de la Maison Blanche, Rachel Levine en tant que secrétaire adjoint à la Santé, Alejandro Mayorkas en tant que secrétaire à la Sécurité intérieure, et Janet Yellen en tant que secrétaire au Trésor.  Au niveau plus bas se trouvent David Cohen en tant que directeur adjoint de la CIA, Eric Lander en tant que conseiller scientifique et technologique, Ann Neuberger en tant que conseillère adjointe à la sécurité nationale et Wendy Sherman en tant que secrétaire d'État adjointe. Entre-temps, Victoria Nuland a pris le poste de sous-secrétaire d'État aux affaires politiques, Ed Siskel celui de conseiller juridique de la Maison Blanche et Klain a été remplacé par Jeff Zients comme chef de cabinet.  Parmi les autres nommés par Biden figurent Daniel Shapiro comme agent de liaison spécial avec Israël sur l'Iran, Ned Price comme porte-parole du département d'État, Jennifer Klein comme directrice exécutive du Conseil de politique de genre de la Maison Blanche, ainsi qu'un grand nombre d'ambassadeurs. Les envoyés sionistes comprennent Michael Adler, David Cohen, Rahm Emanuel, Eric Garcetti, Mark Gitenstein, Amy Gutmann, Jonathan Kaplan, Yael Lempert, Alan Leventhal, Randi Levine, Jack Lew, Jack Markell, Constance Milstein, Marc Nathanson, Marc Ostfield, David. Pressman, Daniel Rosenblum et Marc Stanley, entre autres.Blinken, le plus haut diplomate américain, est issu d’une famille sioniste. Son grand-père Maurice était l’un des premiers sionistes américains et le fondateur de The American Palestine Institute, dans les années précédant la déclaration de l’entité sioniste. Son institut a financé des économistes pour préparer un rapport sur la viabilité économique d’une telle entité et a fait pression sur Washington pour qu’il soutienne politiquement sa création. Après la nomination de Blinken au poste de plus haut diplomate américain, en remplacement de Mike Pompeo, les médias israéliens ont salué ses relations étroites avec Tel-Aviv et celles de Biden pendant la Seconde Intifada au début des années 2000, soulignant leur « soutien de longue date à Israël et à sa sécurité ». Sous l’administration Obama, Blinken a souvent justifié les agressions israéliennes dans la région par l’expression éculée « le droit à l’autodéfense » et a félicité Trump pour le renforcement des alliances régionales d’Israël. Il était un proche confident de l'ambassadeur israélien aux États-Unis, Ron Dermer, qui pouvait l'appeler au milieu de la nuit pour des services pro-israéliens, comme un lobbying intense pour que le système militaire aérien israélien Dôme de fer soit financé avec l'argent des contribuables américains. Dès ses premiers jours au pouvoir, il a également fait savoir que la nouvelle administration Biden soutiendrait la décision précédente de Trump et conserverait l'ambassade américaine dans les territoires occupés de Qods (Jérusalement) occupés. Ce qui prouve le projet sioniste d'annexion de toute la ville, de même que les 16 000 unités résidentielles dans 22 projets montrant la judaïsation de Qods en 2024. Alors que le génocide se poursuit en Palestine, un projet israélien, nommé "Gaza 2035", vise à transformer ce territoire dévasté en une zone de libre-échange et un hub technologique et industriel, concurrençant ainsi Dubaï dans la région. Le projet « Gaza 2035 » définit un programme en trois étapes pour ramener Gaza à l’autonomie et finalement réintégrer l’enclave dans l’économie régionale. Ce plan, qui semble être l’idée derrière l’escalade des hostilités, montre que derrière « le droit de se défendre », il y a un véritable besoin pour l’impérialisme israélien de se développer sur de nouveaux territoires pour accueillir de nouveaux investissements et prendre une place plus importante dans le développement capitaliste de la région. L’année dernière, lors des querelles entre Biden et Netanyahu, Blinken a promis de maintenir les liens des États-Unis avec Israël, le considérant comme un allié bien plus important que la Turquie, membre de l’OTAN, dont pour le projet US de recomposition du Middle East. Quant à Mayorkas, même les médias israéliens se sont vantés de ses liens familiaux étroits avec Tel-Aviv et l’ont félicité pour le pacte de partage de données entre les États-Unis et le régime sioniste. Le crédit sioniste encore plus important pour le partage de renseignements revient au chef adjoint de la CIA, David Cohen, dont la carrière sous Obama s'est concentrée sur les sanctions contre les ennemis d'Israël. Il n’est donc pas surprenant que les Américains financent le génocide des Palestiniens à Gaza tout en insistant sur le cessez-le-feu et les largages d’aide pour tromper la Communauté internationale. (Surtout que le développement de l'Etat d'Israël et des petites monarchies pétrolières associés à la destruction de l’Irak et de la Syrie sont un leurre pour tous les pays de la région (en particulier ceux trop grands pour devenir aussi riches) voire du monde, hors grandes puissances dont celles nucléaires, quoique ces dernières seront déstabilisées en cas insoumission et de désobéissance. Ainsi le cœur du problème de la Palestine se trouve dans la passivité d'une très grande partie des ard et demi de musulmans, en particulier ceux de la région surtout au niveau du pouvoir.) » (French Press TV)            
Les USA pleurent même trois de leurs soldats tués en Jordanie (possiblement sous faux drapeau par Israël) tout restant indifférents face au massacre de dizaines de milliers de civils à Gaza. Mais le Hamas est toujours debout, et les soldats israéliens tombent les uns après les autres. Quant à Israël en grande difficulté militaire dans les ruines de Gaza, en grande difficulté économico-sociale à l’intérieur et en grande difficulté diplomatique dans le monde entier – 95 % des pays membres de l’ONU condamnent la politique israélienne –, l’extrême droite sioniste au pouvoir à Tel-Aviv n’a trouvé qu’une solution, qui risque de créer un sentiment anti-israélien encore plus fort : attaquer ceux qui dénoncent les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité, sur le modèle utilisé par les juifs depuis 80 ans. Les fondements du régime sioniste sont basés sur l'agression et la discrimination, comme le prouve sa création à travers l'Irgoun, puis Tsahal puis l'épuration ethnique. D'ailleurs la colonisation fréquente de la Palestine a été faite avec la complicité de l'occident, ce qui va dans le sens que l'occident et ses gouvernements se décrédibilisent mondialement à travers leur soutien au génocide des gazaouis par Israël, à causes de lobbies finançant et maintenant médiatiquement leur pouvoir. Ce qui explique pourquoi la profession criminelle de l'ennemi israélien se poursuit chaque jour, en témoignant de son arrogance, de sa nature agressive, de sa haine, de sa brutalité et de sa faillite morale, comme l'a noté le leader d’Ansarallah. Ces atroces décisions militaires et diplomatiques signifient que ce ne sera plus une colonie de peuplement viable très longtemps.
« Après un sombre héritage de plus de 70 ans caractérisé de prédation, de comportement mafieux et de meurtres, l’ère du régime sionisme colonialiste et raciste, en déclin, semble atteindre sa fin avec la perpétration de l’horrible génocide contre les Palestiniens, surtout que les grands barbares ont toujours perdu au final dans l'histoire de l'humanité dont car ne pouvant rester qu'humaine. Ces allégations s’appuient sur des éléments factuels issus de la pseudo-stratégie sioniste agonisante qu’ils tentent de dissimuler, et non sur une prémonition subversive. Voici que la même crainte est conjecturée dans un article de leur presse (Haaretz via Al Mayadeen) qui prévient que «l’effondrement complet d’Israël ne sera qu’une question de temps. Le compte à rebours a commencé». Des commentaires provenant de leur propre média sont plus persuasives, même si elles visent en réalité à défendre Israël en cherchant un sionisme «convenable» afin de lui éviter cette finalité.
Pendant ce temps, les plébéiens juifs endoctrinés par l’Alyah, qui servent de résidents permanents, subissent les conséquences de leur politique funeste et sont surtout exploités dans l’armée comme chair à canon. La solution à deux États est une ruse colonialiste. La division entre Juifs séculiers et religieux est devenue irréversible. Un demi-million d’Israéliens ont déjà quitté Israël avec leur fortune. L’isolement international continue de s’accentuer. Les sionistes qui veulent tout posséder sans considérer qu’ils peuvent tout perdre, se dirigent vers ce résultat. Tout semble se retourner contre eux. Les authentiques Juifs du Moyen-Orient sont bien entendu exclus de cette équation. À cause de leur partialité et de leur politique constante de «deux poids, deux mesures » de l’Occident impérialiste, dominé par les États-Unis, plusieurs Etats du Sud global ont changé d’alliance en rejoignant le camp de la raison pour d’obtenir plus d’autonomie stratégique. Quelle autre attitude adopter envers un camp qui a vivement réprouvé la Russie pour son intervention annoncée en Ukraine et pour avoir prétendument commis des «meurtres de civils innocents» sans fournir de preuves, tout en restant délibérément silencieux, par duplicité et/ou complicité, lorsque Israël commet un véritable génocide sous les yeux du monde entier ! Les combattants contre l’injustice n’abandonnent jamais. En comparaison avec les sionistes, ils se distinguent par leur légitimité. Contrairement à eux qui utilisent des moyens diaboliques, la Résistance persiste sans avoir recours à la force brutale ni à des méthodes condamnables. Même avec des ressources limitées, elle parvient à obtenir des résultats significatifs. Malgré les souffrances endurées, les Palestiniens font preuve d’un niveau de civilisation et d’humanité plus élevé que les Israéliens, animés par la haine et le racisme. Tous les colonialistes et suprémacistes se sont heurtés à ce paradigme et ont échoué. La victoire du mouvement de libération est inéluctable. Le colonialisme et le suprémacisme sont incompatibles avec une gouvernance fiable et durable. Israël représente le dernier terrain d’essai où se manifestent les ambitions coloniales des anglo-américains et de la France. S’ils persistent, la stabilité du monde est menacée. Plus ils s’entêtent à se comporter de manière arrogante et aveugle, en se prenant pour les maîtres du monde, plus ils se rapprochent d’une confrontation dont ils ne mesurent ni l’ampleur, ni l’issue, ni les moyens qui seront utilisés, ni les alliances qui se formeront ! » (Amar Djerrad)                  
Surtout qu'Israël est une nation qui a moins été créée au Moyen-Orient pour y légitimer la présence occidentale dont en rapport avec l'époque où Jérusalem était chrétienne, que pour influencer les réserves de pétrole et les politiques de cette région. En effet le conflit israélo-palestinien est également le résultat d’un jeu de pouvoir et de manipulations orchestrées par les puissances coloniales, notamment britanniques puis US, qui ont instrumentalisé les populations arabes et juives pour servir leurs propres intérêts dans le Moyen Orient. Or Israël est donc aussi une incarnation du militariste, ultra-libéral, laïciste et tyrannique et Occident colonial capitaliste, mais en plus un projet dystopique dont car aussi clairement illusoire dans ses buts. Mais cela prend fin avec la Russie et ses armes ainsi qu'avec les BRICS+.   
Cependant à la différence d'Israël, les empires chrétiens et musulmans ne cherchaient généralement pas la fin de la pratique des autres monothéismes à Jérusalem et en Palestine, ce qui prouve le projet d'abord messianique antichristique du rôle d'Israël.                                                     
« Nous vivons un tournant de l’histoire qui, aussi difficile soit-il, doit être reconnu pour son ampleur. On l’attendait depuis longtemps, mais la sauvagerie pathologique des Israéliens exterminant les Palestiniens de Gaza annonce la fin de toute prétention de l’Amérique et de l’Occident au leadership mondial sur quelque base morale ou juridique que ce soit, ou de toute hypothèse selon laquelle l’Occident est doté d’idéaux ou de principes de gouvernement supérieurs, ou quoi que ce soit d’autre. Le génocide israélien, reconnaissons-le, a de nombreux antécédents. Ainsi, l’État d’apartheid, en exposant sa propre perversité, expose également les siècles de péchés de l’Occident. Notre culture s’est avilie. D’habitude destinés à nous piéger dans le «mythe de l’Occident», ses attraits se sont flétris, comme des idoles manifestement factices», écrit l’ancien diplomate britannique, qui dirige aujourd’hui le Conflict Forum à Beyrouth. Alastair Crooke a publié la semaine dernière dans la revue Strategic Culture Foundation « Le feu qui s’éteint a dilapidé tout sentiment de «magie» dans l’Occident en décomposition, ou même d’espoir de regagner ce quelque chose qui s’est «perdu». Il s’agit d’une prise de conscience nostalgique que, dans l’état actuel des choses, le mythe n’est plus à même d’offrir quoi que ce soit de durable ». » (Extraits de l'article « La fin de la gouvernance mondiale » de Patrick Lawrence du réseau international)      Le leader de la Résistance Hassan Nasrallah a déclaré que les institutions internationales ne pouvaient pas faire avancer le sort de la nation, puisqu'elles sont « soumises à la volonté de l'administration américaine. » Il a aussi dit : « Leur dernière farce a été la décision de condamner le Yémen pour avoir ciblé des navires israéliens pour défendre Gaza afin de légitimer l'agression américano-britannique contre Ansarallah, ignorant les millions de citoyens palestiniens, y compris les martyrs, les blessés, les détenus, les affamés, les assoiffés et les déplacés. »               
D'ailleurs selon Abdul-Malik al-Houthi le chef houti d'AnsarAllah qui a prononcé un discours à l'occasion du neuvième anniversaire de la guerre menée par l'Arabie saoudite contre le Yémen : « La guerre au Yémen faisait (déjà) partie d’une stratégie géopolitique plus large poursuivie par les États-Unis, la Grande-Bretagne et Israël pour remodeler la région au profit du régime sioniste. » « Auparavant, ils ont tenu tête avec succès à l’Arabie saoudite et à l’Occident dans une guerre d’extermination qui a duré de 2015 à 2022 et qui a entraîné l’une des pires famines au monde. Aujourd’hui, ils combattent pratiquement tout l’Occident à la fois – et avec succès. Biden a repris la guerre contre Ansar-Allah, lancée par Donald Trump, et a de nouveau imposé des sanctions aux Yéménites affamés du nord du pays. En janvier de cette année, Biden a déclaré le groupe « terroriste mondial spécialement désigné ». Ce type d'accusation servant le narratif occidental est bassement classique. En effet par ailleurs pour pouvoir supporter le génocide des Palestiniens de Gaza, on dit qu’il faut éradiquer le Hamas, pour pouvoir supporter l’élimination des dirigeants du Hezbollah, on dit que c’est une organisation terroriste (alors qu'ils n'ont jamais connu d'attentat contre les civils), et pour pouvoir bombarder le Donbass avant la guerre en Ukraine, on dit que c'est des méchants pro-russes. Les Houthis sont ainsi devenus, quasiment du jour au lendemain, l’un des groupes de résistance les plus célèbres de la civilisation islamique, ce qui leur permet également de gagner un capital supplémentaire dans la guerre civile yéménite : La lutte contre Israël étant extrêmement populaire dans l’espace musulman, ils ont vu affluer 16.000 nouvelles recrues depuis décembre 2023. Ils pourraient les utiliser pour conquérir la côte sud et l’est du pays, riche en matières premières, où se trouvent d’importants gisements de pétrole et de gaz encore contrôlés par un gouvernement pro-occidental.  Dans leur propagande, les guerriers yéménites parlent de conquérir les territoires zaïdites d’Arabie saoudite ou même de prendre les villes saintes de l’islam, La Mecque et Médine. S’il s’agit pour l’instant d’un vœu pieux, n’oublions pas que la prise de contrôle de l’État yéménite était également impossible pour le groupe il y a encore dix ans. Le phénomène Ansar-Allah continuera donc de nous préoccuper à l’avenir. En effet, alors que le Hezbollah, bien plus connu, tente d’exercer un pouvoir sur l’État libanais, Ansar-Allah tente de contrôler l’État yéménite. » (Alexander Markovics)                                              
Côté Daech, sa relation avec Israël continue d'être au beau fixe. Ce pseudo champion autoproclamé de la défense des intérêts des musulmans et de l'islam dans le monde n’a jamais ni menacé ni attaqué Israël. Ils n'ont même pas été émus par le génocide en cours à Gaza. En revanche l’organisation djihadiste a été en guerre avec tous les ennemis de l’État hébreu, que ce soit le Hezbollah, l’Iran, les États irakien et syrien. On le voit, la convergence des intérêts géopolitique est forte entre Daech et l’axe américano-israélien. D'ailleurs éhonteusement dans le but de parvenir au grand Israël, le Mossad dit préférer Daech à l'Iran et Netanyahou prétend défendre la région contre les islamistes.                                                                                           
« Pendant des siècles, la civilisation occidentale a été fortement tributaire de la guerre, du génocide, du vol, du colonialisme et de l’impérialisme, qu’elle a justifiés par des récits fondés sur la religion, le racisme et la suprématie ethnique – autant d’éléments que nous voyons aujourd’hui se manifester dans l’incinération de la bande de Gaza. Ce que nous voyons à Gaza est une bien meilleure représentation de ce qu’est réellement la civilisation occidentale que tout le charabia sur la liberté et la démocratie que nous avons appris à l’école. Une bien meilleure représentation de la civilisation occidentale que tout l’art et la littérature dont nous nous sommes fièrement félicités au fil des siècles. Une bien meilleure représentation de la civilisation occidentale que l’amour et la compassion dont nous aimons prétendre que nos valeurs judéo-chrétiennes tournent autour.  Il est tellement surréaliste de voir les droites occidentales déblatérer sur la sauvagerie et la barbarie de la culture musulmane dans le cadre de la résurrection zombie de 2023 de l’islamophobie de l’ère Bush, alors même que la civilisation occidentale amasse une montagne de dix mille cadavres d’enfants. Nous sommes distraits par des divertissements insipides et des guerres culturelles artificielles afin que nous ne réfléchissions pas trop à ce qu’est cette civilisation et à ceux qu’elle tue, mutile, affame et exploite. Là où un empire géant s’étendant sur toute la planète et alimenté par le militarisme, l’impérialisme, le capitalisme et l’autoritarisme dévore la chair humaine avec un appétit insatiable, tandis que nous nous félicitons d’être bien meilleurs que des nations comme l’Iran ou la Chine. Ce sont les valeurs occidentales. C’est la civilisation occidentale. Demandez à quelqu’un de vous dire quelles sont ses valeurs et il vous donnera un tas de mots agréables à entendre sur la famille, l’amour, l’attention ou autre chose. Observez leurs actions pour voir quelles sont leurs valeurs réelles et vous obtiendrez souvent une histoire très différente.  C’est nous. C’est la civilisation occidentale. Nous disons que nous valorisons la liberté, la justice, la vérité, la paix et la liberté d’expression, mais nos actes donnent une image très différente. Les vraies valeurs occidentales, le produit réel à l’intérieur de la boîte sous l’étiquette attrayante, sont celles que vous voyez mises en œuvre à Gaza aujourd’hui. » (Extraits de l'article « Caitlin Johnstone : « Israël veut sauver la civilisation occidentale sur une montagne de cadavres d’enfants à Gaza » » à l'adresse https://lemediaen442.fr/caitlin-johnstone-israel-sauve-la-civilisation-occidentale-sur-une-montagne-de-cadavres-denfants-a-gaza/)                                                                
Ce qui se déroule à Gaza n'a donc rien de neuf pour le monde qui a vu le colonialisme, la dépossession de terres et le génocide plus d’une fois. Il en a été ainsi pour les indiens d'Amérique, pour les noirs, pour les aborigènes d’Australie et pour plus d'une nation. Les méthodes ont quasi toujours été les mêmes: déposséder par une voie ou une autre un groupe de population de ses biens pour mieux s’emparer de ses richesses. Il s'agit d'un système généralisé dans lequel des puissances s'entre-aident et créent des lois qui ne leur profitent qu'à elles, pour maintenir leur survie, au détriment des autres. Ainsi sans la proclamation prochaine d'un Etat Palestinien, les institutions internationales et donc la domination anglo-saxonne sur le monde va probablement s'effondrer (mais également l'occident s'il continue de ne pas respecter le droit international), dont par la révolte de très nombreuses nations. Surtout « Que cela plaise ou pas, le 35e veto américain (en faveur d'Israël contre les palestiniens) apparaît donc aux yeux de l’écrasante majorité des pays du monde comme un soutien monstrueux de Washington à un gouvernement israélien d’extrême-droite, menant une politique de nettoyage ethnique et coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, tels que définis par le Tribunal de Nuremberg en 1946. L’ambassadeur russe adjoint à l’ONU Dmitri Polyanskii a bien résumé le sentiment général d’indignation en disant que : « Nos collègues américains ont devant nos yeux condamné à mort des milliers voire des dizaines de milliers de civils palestiniens et israéliens supplémentaires. » Il faut être profondément fanatique, et intellectuellement borné, pour ne pas comprendre quelles seront les conséquences inéluctables d’une telle politique israélienne et d’un tel soutien inconditionnel des États-Unis à cette politique. Ils engendreront une haine absolue, et sans cesse croissante. Non seulement de la part des Palestiniens, du monde arabe et du monde musulman, mais aussi, et de plus en plus, de tout le « Sud Global » qui se reconnaît dans les BRICS et qui rejette l’Occident en général et les États-Unis en particulier. À supposer que le Hamas soit totalement décimé par Tsahal, et que tous ses chefs soient exterminés, il renaîtra donc inéluctablement de ses cendres. Du reste, l’Iran menace désormais d’intervenir ouvertement, au risque d’embraser la scène régionale, et peut-être mondiale. La réalité, c’est que la politique de fuite en avant du Likoud et des suprémacistes juifs, soutenue par l’État profond américain, conduit à une impasse tragique. Le temps, la démographie, l’évolution de la répartition des pouvoirs économiques et des puissances militaires dans le monde, tout joue contre cette politique déraisonnable. » (François Asselineau)                                  
« (Dont suite à l'attaque israélienne contre le consulat iranien à Damas qui est un crime de guerre selon le droit international,) L'Ayatollah Khamenei a affirmé que ces les USA, l'Angleterre et Israël ont véritablement exposé la « nature perverse » de la civilisation occidentale au monde entier. « Nous, ainsi que d'autres personnalités qui remettent en cause la civilisation occidentale, nous avions déjà souligné à plusieurs reprises que les attributs de cette civilisation étaient hostiles aux qualités et aux valeurs morales et humanistes », a souligné le Leader de la Révolution islamique, ajoutant que leur soutien manifeste au génocide à Gaza, depuis le 7 octobre de l’année dernière, a mis à nu cette réalité. Condamnant aussi le massacre sanglant de plus de 33 000 personnes à Gaza, l'Ayatollah Khamenei a souligné que le régime d'apartheid occupant la Palestine s'est livré au meurtre de bébés sur les genoux de leur mère ainsi que de patients dans les hôpitaux et pour la simple raison que ce régime ne faisait pas le poids face aux combattants de la Résistance palestinienne. Connu pour son courage et sa sagesse hors pair, l’Ayatollah Khamenei est sans aucun doute le seul dirigeant mondial à contester sans réserve la fausse façade de la civilisation occidentale et son respect tant vanté des « valeurs démocratiques » et des « droits de l’homme », comme le prétendent largement les conglomérats de presse financés par l’État dans les pays occidentaux. Or Biden continue à soutenir Israël inconditionnellement : « Comme je l’ai dit au Premier ministre Netanyahu, notre engagement en faveur de la sécurité d’Israël contre ces menaces de l’Iran et de ses mandataires est ferme et inébranlable. Permettez-moi de le répéter, inébranlable. ... Nous allons faire tout notre possible pour protéger la sécurité d’Israël. » Le Secrétaire d’État américain, Antony Blinken, un sioniste déclaré engagé envers le régime d’apartheid occupant la Palestine, a fait écho au vœu de Biden lors d’un appel téléphonique avec le ministre de la Guerre du régime israélien, Yoav Gallant, selon un communiqué du Département d’État. Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, lors d'une audition au Congrès mardi, a fait une déclaration étonnante qui a déclenché une vague de colères sur les réseaux sociaux. Il a déclaré que le régime israélien n'avait pas commis de génocide à Gaza, au mépris de toutes les preuves disponibles. « Nous n’avons aucune preuve de génocide », a proclamé Austin lors d’une audition au Sénat américain, suscitant l’indignation des défenseurs des droits locaux et des organisations musulmanes. Il a en outre réitéré que Washington restait déterminé à défendre le régime israélien, confirmant ainsi la complicité américaine dans le génocide de Gaza. Les derniers développements surviennent dans un contexte de protestations croissantes dans le monde entier, condamnant le soutien au génocide à Gaza par les États-Unis, des activistes et des observateurs faisant écho à la description de Washington comme le « Grand Satan » par le défunt fondateur de la Révolution islamique, l’Imam Khomeini. L'Ayatollah Khomeini a inventé l'étiquette de « Grand Satan » pour décrire le gouvernement américain en 1979, à une époque où l'Amérique était largement considérée comme la première « superpuissance » mondiale, citant l’ingérence massive et répétée des États-Unis et ses invasions militaires dans des pays du monde entier, y compris l’installation d’un dictateur brutal et impopulaire en Iran pour protéger les intérêts de Washington. » (France Press TV)

« La Russie, la Chine et plusieurs pays dans la région ont fermement condamné la frappe israélienne sur la section consulaire de l’ambassade d’Iran à Damas, mettant en garde contre ses conséquences pour la région de l'Asie occidentale. « Nous sommes profondément choqués et indignés par l'attaque israélienne contre la section consulaire de l’ambassade de la République islamique d'Iran à Damas, qui a fait des victimes et détruit le bâtiment », a déclaré l'ambassade de Russie à Téhéran dans un communiqué. Le communiqué souligne que l'attaque constitue « une violation flagrante » de tous les fondements du droit international, y compris de la Convention de Vienne qui garantit la sécurité des lieux diplomatiques et consulaires, avertissant qu'elle pourrait alimenter les tensions dans la région. Et de poursuivre que de telles « actions agressives de la part d'Israël sont absolument inacceptables et doivent cesser ». « Nous exhortons les dirigeants israéliens à abandonner la pratique d'actions militaires provocatrices sur le territoire de la Syrie et d'autres pays voisins », ajoute le communiqué. La Chine a également condamné l'attaque du lundi. « La sécurité des institutions diplomatiques ne peut être violée et la souveraineté, l'indépendance et l'intégrité territoriale de la Syrie doivent être respectées, » a noté le porte-parole chinois du ministère des Affaires étrangères, Wang Wenbin. De même, le Pakistan a « fermement condamné » la frappe israélienne, la qualifiant d’ « acte irresponsable », et d’une « escalade majeure dans une région déjà instable ». « Cette attaque constitue une violation inacceptable de la souveraineté de la Syrie, compromettant sa stabilité et sa sécurité. C’est une violation du droit international et de la Charte des Nations unies. Les attaques contre des diplomates ou des installations diplomatiques sont également illégales en vertu de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques de 1961 », a noté ce mardi le ministère pakistanais des Affaires étrangères dans un communiqué.  Islamabad a également exhorté le Conseil de sécurité de l’ONU à empêcher Israël de « poursuivre son aventurisme dans la région et ses actes illégaux à savoir, attaquer ses voisins et prendre pour cible les installations diplomatiques étrangères ». » (French Press TV)                               
Dans le droit international, la frappe contre le consulat iranien en Syrie est considérée comme une frappe contre le territoire iranien, ce qui est extrêmement grave, surtout qu'il y a eu la mort de personnes importantes. D'autant plus que cela fait suite à l'impossibilité de l'ONU de pouvoir mettre des casques bleus à Gaza pour imposer un cessez-le-feu suite à une de ses résolutions. C'est pourquoi cela apparaît comme encore plus grave, car si les USA et Israël sont au-dessus du droit international  dans une forme de pax Judaïcia, c'est que le monde entre dans la loi de la jungle alors que les armes atomiques sont apparues. Surtout que peu de nations réagissent à part légitimement l'Iran qui est le premier pays musulman à avoir frappés Israël depuis 45 ans. Or l'Iran sait que s'il frappe trop gravement Israël, cela déclenchera la troisième guerre mondiale.                        
« L'Iran a répondu avec force (mais mesure dont en avertissant à l'avance) à l'agression israélienne contre son ambassade à Damas en menant une opération militaire historique. (Ce qui montre que la démocratie prétendument rationnelle d'Israël est en réalité extrémiste dont par son génocide à Gaza, alors que l'autoritarisme prétendument irrationnel d'Iran est en réalité mesuré.) Cette riposte a pris Israël au dépourvu et a placé l'Iran dans le livre d'histoire. Dans la nuit du 13 au 14 avril, l’Iran a lancé une offensive d’envergure sur le sol israélien qui a durée au moins cinq heures, démontrant ainsi sa capacité à déployer des drones de haute technologie Shahed et des missiles Kheibar capables de parcourir plus de 1 300 km. Cette démonstration de force a pris l’État hébreu au dépourvu et semé la panique parmi la population. Cette attaque survient en réponse à une agression israélienne contre la section consulaire de l’ambassade iranienne à Damas, considérée comme une violation du territoire souverain iranien. Selon l’article 51 de la Charte des Nations Unies, cette riposte iranienne est légitime et conforme au droit international. Selon le journal chinois « Global Times », en réponse à l’échec des organisations internationales, en particulier du Conseil de sécurité de l’ONU, à condamner les attaques israéliennes contre les installations diplomatiques iraniennes, l’Iran a riposté en utilisant des renseignements stratégiques, des missiles et des drones pour détruire avec succès des cibles militaires majeures en Israël. Le leader et chef spirituel iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a écrit sur X (anciennement Twitter) que « le régime pervers a été puni. » Selon le haut fonctionnaire et homme politique américain proche des néo-conservateur, John Bolton, à propos des frappes iraniennes : « C’est un échec massif de la dissuasion israélienne et américaine » Et gros coup dur pour l’entité sioniste, selon CNN, le Président des États-Unis, Joe Biden a informé le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu par téléphone que les États-Unis ne participeraient pas aux opérations offensives contre l’Iran. Le président américain, Joe Biden, avait déclaré au Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, que son pays s’opposait à toute réponse israélienne à la frappe de représailles iranienne », a confié à Axios un haut responsable de la Maison Blanche. » (Le média en 4-4-2)    
Il faut noter que la superficie de l'Iran est 80 fois supérieure à Israël et que sa population est dix fois moins importante (et aussi même moins importante que la région parisienne), et donc qu'en cas de guerre la destruction d'Israël sera beaucoup plus rapide, surtout si l'on compare Israël au monde musulman, et donc même si Israël utilise des bombes atomiques, d'autant plus que Dieu peut les empêcher d'exploser, et que tous les missiles hypersoniques utilisés dans les frappes de représailles de l'Iran contre les positions d'attaques d'Israël sur le consulat iranien ont atteint leurs cibles après avoir échappé aux systèmes de défense aérienne du régime, ce qui est un gros revers très inquiétant pour Israël.                                                                                 
En effet l’attaque a traversé toutes les défenses et atteint les cibles assignées. (La précision avec laquelle cela a été fait ne sera pas connue avant un certain temps.) Ce fut une opération techniquement impressionnante et extrêmement réussie. Israël s’abstiendra probablement de riposter. Ne serait-ce que parce qu’il ne dispose d’aucune défense efficace contre une frappe similaire et certainement pas de suffisamment de quoi que ce soit pour se défendre contre une série de telles frappes. Demandez-vous simplement ce qui se passerait : • si l’Iran frappait sans avertissement ? • si les alliés israéliens n’étaient pas préparés ou peu disposés à contrer une frappe ? • si l’Iran frappait des cibles de plus grande valeur industrielles et/ou non militaires dont les centrales nucléaires ?                                                                                 
Une telle attaque pourrait être catastrophique pour Israël. La sécurité de sa population juive est la raison d’être de l’État sioniste. C’est l’argument avancé par Israël pour encourager l’immigration.  Israël n’est plus en sécurité. Elle ne peut plus faire ce qu’elle veut sans avoir à en craindre les conséquences. Il faudra un certain temps pour que ce fait s’imprègne dans l’esprit des sionistes.  Mais ça viendra.                                                                  
Or cette réponse de l’Iran a aussi montré que les pays de la région qui aiderait Israël à attaquer l’Iran seront également attaqués, dont les installations pétrolières se trouvant dans le golfe, ce qui confrontera le monde à une catastrophe économique, et conduira le système monétaire basé sur le pétro-dollar à s'effondrer. Par conséquent Israël est cerné et devrait déposer les armes voire rendre toute la Palestine, ou au moins se suffire de la Palestine et de Jérusalem pendant un temps qui sera court, sinon c'est la troisième guerre mondiale, à moins que le conflit se limite entre l'Iran (et ses alliés pour l'instant modestes) et Israël, en particulier au niveau des attaques, ce qui serait tout de même un gros risque de troisième guerre mondiale. Et depuis la très pieuse et modérée attaque inédite de l'Iran contre Israël en réponse à l'attaque israélienne de l'ambassade iranienne en Syrie montrant que l'Iran et les vrais musulmans ont plus confiance en Dieu, Son omnipotence et Son excellent jugement que les sionistes du monde entier, les médias mainstream occidentaux l'ont sérieusement bien compris. Surtout que l'Iran a invoqué l'article 51 de la charte des nations unies, a prévenu du lancement proche de son attaque en représailles dont les USA , n'a ciblé que des sites militaires israéliens dans le cadre d'une opération "limitée", et n'a pas causé de mort, alors que c'est une réponse à la mort de 11 dignitaires dans leur consulat en Syrie, qu'Israël est une nation sans frontière et donc illégitime du point de vue du droit international, qu'Israël commet un génocide contre les palestiniens, et que l'attaque contre une mission diplomatique est normalement un casus belli au regard du droit international et même du droit de la guerre depuis l'antiquité. D'autant plus que Dans ce sens, Hossein Amir-Abdollahian, ministre iranien des Affaires étrangères, a estimé que la RII n'avait pas d'autre choix que de punir le régime sioniste selon le droit de la légitime défense, dont car tout Etat aurait du répondre à l'attaque de son consulat par voie militaire ou en demandant une grand compensation financière. Or cette attaque a permis également de distinguer les nations du Moyen-Orient ayant défendu Israël comme la Jordanie, l'Arabie Saoudite et les Emirats-arabes-unis en  participant à intercepter des drones et missiles iraniens. D'ailleurs Dubaï a dès le lendemain subit de massives pluies destructrices... Mais comme Israël est devenu très dangereusement binaire dans sa stratégie, il faut espérer qu'il ne recherche plus le grand Israël, mais seulement celui établi sur la Palestine et Jérusalem. En attendant pour embraser la région, le risque dont il faut se méfier pour le contrer est évidemment le recours à leur spécialité : l’attentat sous faux drapeau...                                                                                                                   
Dans ce sens suite ensuite à l'assassinat de Ismaël Haniyeh sur le sol iranien par un missile israélien et possiblement à cause de sa localisation liée à son utilisation de l'application de téléphone WahtsApp, le président américain Joe Biden et ses homologues de France, d’Italie, d’Allemagne et du Royaume-Uni avaient appelé lundi soir 12/08/24 Téhéran à « renoncer à ses menaces d’attaque militaire contre Israël ». « Une telle demande manque de logique politique et est totalement contraire aux principes et aux règles du droit international (de la guerre) », a légitimement réagi mardi le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani. « La République islamique est déterminée à défendre sa souveraineté » et « elle ne demande pas l’autorisation de quiconque pour utiliser ses droits légitimes », a ajouté M. Kanani.                                 
Face à ces mises en garde et à des déclarations les anciens premiers ministres israéliens Ehud Barak et Ehud Olmert dénonçant aussi le messianisme du gouvernement Netanyahou, il apparaît essentiel de prendre en compte le messianisme sioniste dans l’analyse de la politique israélienne. Comme le souligne Youssef Hindi, cette idéologie influence profondément les décisions du pouvoir israélien et peut conduire à des situations dangereuses pour la stabilité régionale et mondiale. Il est donc crucial de repenser notre approche géopolitique pour mieux comprendre et anticiper les actions d’Israël, en particulier pour éviter la troisième guerre mondiale.                                     
Le journaliste David Sheen, né à Toronto (Canada) et qui s’installa en 1999 en Israël, a pu suivre de l’intérieur l’évolution de la politique en Israël, l’idéologie sous-jacente, et l’influence grandissante des disciples de Meir Kahane, rabbin et homme politique israélo-américain. C'est à dire qu'on sait que ce qu’il se passe actuellement à Gaza trouve plus sa justification, aux yeux des Israéliens soutenant leur gouvernement génocidaire, dans l’idéologie extrémiste transformant Israël en Kahanistan que dans le 7 Octobre, événement d’ampleur, mais simple prétexte déclencheur pour passer à une vitesse supérieure dans une voie sur laquelle le pays est engagé de longue date.
« Donc l'attaque iranienne contre Israël, c’est aussi un peu la fin de ce que certains experts appellent le proxy business, c’est-à-dire la fin des attaques indirectes, via le Hamas, via le Hezbollah, via les milices irakiennes, via les houthis, via tous les membres de ce que l’Iran appelle l’Axe de la Résistance. ... L’Iran a interrompu un engrenage qui devenait de moins en moins contrôlable, car Israël avait la main sur les provocations directes, en Syrie, au Liban, et risquait d’entraîner la région dans le chaos. Donc l'Iran a (sagement) repris la main pour éviter l’extension du conflit en mettant Israël sous pression forte et sous contrainte. Ça, ça marche si Israël comprend le danger, comprend l’aléa sécuritaire pour lui et finalement accepte ce jeu dissuasif avec l’Iran, ce renouvellement de la dissuasion de la relation israélo-iranienne. ... Mais évidemment, Israël, contraint dans ses manœuvres (et surtout intentions) régionales pourrait choisir de jouer son va-tout (en particulier s'il cherche plus que le petit Israël sur toute la Palestine), notamment au Liban, ce qui pourrait déclencher une nouvelle déstabilisation de ce pays, et en poursuivant ses opérations contre le Hamas à Gaza, dont la population civile demeure quand même la principale victime à ce jour. ... Il y a un gigantesque Axe de la Résistance, qui a dépassé le Moyen-Orient, qui se voit aussi dans les positions prises par les uns et les autres sur le conflit en Ukraine et ce grand Axe de la Résistance, la Russie l’incarne en Europe, et l’Iran désormais l’incarne, de manière assez claire, au Moyen-Orient comme puissance majeure de cette « récalcitrance ». Donc l’Iran a aussi eu un succès diplomatique et presque stratégique dans cette riposte parce qu’il se montre en puissance capable de dire stop, comme la Russie le fait vis-à-vis de l’OTAN, vis-à-vis de l’Occident en Europe et sur le théâtre ukrainien. » (Caroline Galactéros)                                              
« L’ambassadeur de Chine auprès de l’ONU, Jun Zhang, a fustigé les États-Unis pour avoir déclenché une « nouvelle tourmente » en Asie de l’Ouest après leurs récentes frappes illégales dans une région déjà instable. Jun Zhang a fait ces remarques lundi lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur les menaces pour la paix et la sécurité internationales, deux jours après que l’armée américaine a mené des attaques aériennes contre (les forces de résistance anti-impérialistes et anti-sionistes) l’Irak et la Syrie. Près de 40 personnes ont été tuées dans les raids aériens menés en réponse à une attaque de drone contre une base occupée par les États-Unis à la frontière entre la Jordanie et la Syrie. L’ambassadeur chinois a déclaré que les frappes aériennes lancées par les États-Unis « constituent une grave violation de la souveraineté, de l’indépendance et de l’intégrité territoriale de la Syrie et de l’Irak ». « Les États-Unis prétendent qu’ils ne cherchent pas à provoquer des conflits au Moyen-Orient ou ailleurs, mais en réalité, ils font exactement le contraire », a-t-il ajouté. « Les actions militaires américaines provoquent sans aucun doute de nouveaux troubles dans cette région et intensifient encore les tensions », a-t-il déclaré.   Zhang a également averti que la région est « au bord d’un péril extrême » et que les actions américaines « exacerberont le cercle vicieux de la violence du tac au tac au Moyen-Orient  ». Il a en outre souligné que la raison fondamentale de la situation actuelle réside dans l’incapacité à mettre en œuvre un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, dans un contexte de génocide commis par Tel-Aviv. « L’histoire a montré que le recours aux moyens militaires n’apporterait aucune solution aux problèmes qui secouent le Moyen-Orient », a-t-il affirmé.  L’envoyé chinois a appelé tous les pays concernés à cesser d’agir par intérêt personnel, et a déclaré : « Nous nous trouvons à un carrefour critique ». » (Article French Press TV)                                                                                       
On peut donc dire que la résistance palestinienne, exprimée dans un langage oummatique, perturbe les opérations ethno-nationalistes et colonialistes, non seulement dans les territoires occupés mais à l’échelle mondiale. La lutte du peuple palestinien signifie donc une lutte pour la « réhumanisation ». Seule cette résurgence oummatique, fondée sur une langue islamique, peut impliquer une amélioration des conditions de vie des musulmans, tant ceux résidant dans les pays musulmans que ceux vivant à l’extérieur. La Palestine est un symbole puissant qui pointe vers cette résurgence et donc vers l'union des musulmans et donc des pays musulmans.                                             
Or Gaza devient même une bataille décisive entre ceux qui croient en la tolérance, à la paix humaine, à la coexistence civilisationnelle, et les néo-nazis appuyés par les forces coloniales qui piétinent toutes les valeurs pour leurs intérêts et leur mentalité sanguinaire. Pour stopper cela, le mouvement Hamas a présenté une conception globale qui commence par l’arrêt de l’agression criminelle, l’ouverture des points de passage, en passant par l’échange des prisonniers, et l’ouverture d’un processus politique pour l’instauration d’un État palestinien indépendant, ayant pour capitale Qods avec le droit à l’autodétermination. Or très perversement selon Netanyahou et une partie du système, la création d'un état palestinien serait une victoire du Hamas et des terroristes du monde entier. D'ailleurs en juillet 2024, le parlement israélien (Knesset) a finalement voté une résolution s'opposant à la création d'un état palestinien, dont à l'ouest du Jourdain et donc en Cisjordanie, ce qui correspond au petit Israël qu'il faut espérer pour éviter une troisième guerre mondiale. En sachant que la logique des sionistes révisionnistes au pouvoir est clairement d'expulser la totalité des arabes de Palestine. D'ailleurs par la menace de tirer sur les centrales nucléaires israéliennes dont en cas de tirs nucléaires d'Israël sur des pays arabes ou en cas de guerre mondiale probablement nucléaire commençant contre l'Iran ou la Syrie, le petit Israël synonyme de fins des temps la plus douce paraît de plus en plus logique en sachant qu'en envoyant une bombe sur Gaza il y aurait des retombées radioactives tuant autant d'israéliens. « La Cisjordanie qui compte 3 millions de Palestiniens vivant au milieu d’un maillage de postes de contrôle, de barrages routiers et de colonies illégales, est occupée par Israël depuis des décennies. Nul n’ignore que Bezalel Smotrich, colon extrémiste et ministre influent du gouvernement Netanyahou, orchestre l’annexion de facto de la Cisjordanie. Cela permettra l’expansion des avant-postes paramilitaires et des colonies de peuplement exclusivement juives, que même les alliés des États-Unis considèrent comme illégales au regard du droit international. » (Mike Ludwig)    
« En mai 2024, l’État palestinien a été reconnu comme membre à part entière de l’ONU. Laissons le soin à Slimane Zeghidour, toujours mesuré et avisé, de décrire le processus en cours de reconnaissance d’un État palestinien par l’ONU, avec toutes les conséquences sur le conflit actuel, et sur l’occupation israélienne : « Les territoires palestiniens ne seront plus des territoires en situation juridique indéterminée ou à négocier, mais il deviendra un État membre occupé par un autre pays. Donc Israël ne sera pas l’occupant de territoires au statut indéfini, mais l’occupant d’un pays de l’ONU souverain. » C’est donc un vote plus que symbolique qui vient d’avoir lieu, et qui montre que l’entité israélienne est dans une impasse, évoluant sur un chemin de crête de plus en plus dangereux. En réaction l’ambassadeur israélien a a fait son show en déchirant la charte de l’ONU, et donc en mettant son pays définitivement au ban des nations. Naturellement, le vote de l’ONU n’arrêtera pas le massacre en cours, appuyé par les États-Unis, qui ont perdu tout sens moral depuis longtemps. Ce grand pays suivra Israël au ban des nations, ce n’est qu’une question de temps. En face, les BRICS, ou le Sud dit global, s’organise et rêve d’un monde meilleur... que le monde occidental. Nous vivons un grand retournement de l’ordre international. Les journalistes occidentaux ont beau évacuer cette construction d’un autre monde, ou d’un contre-monde avec moins de guerres et de mensonges, le fait est que l’Occident s’enfonce dans la misère morale et matérielle. » (Rédac ER)                                                  
Or l'établissement d'une nation palestinienne permettant de créer son armée sera très probablement toujours refusé par les sionistes, ce qui peut entraîner une annexion totale de la Palestine par Israël voire donc une extension du conflit.                                                                            
Les monarchies pétrolières n'appartenant pas à l'axe de la Résistance Iran, Syrie, Irak, Liban et Hamas, doivent au minimum soutenir la cause palestinienne en coupant leur exportation de pétrole vers Israël et en arrêtant même toute relation économique avec cette nation, afin de montrer leur piété dans leur aide aux Palestiniens. Dans ce sens l'Égypte doit au moins ouvrir sérieusement l'aide humanitaire à sa frontière avec Gaza et la Turquie doit arrêter de soutenir des djihadistes extrémistes contre la Syrie puisque cette dernière supporte le Hamas. Sinon les gouvernements de ces pays pourront être considérés comme des américano-sionistes, et leurs populations pourraient les renverser. Ce qui pourrait une forme de chaos au Proche-Orient pendant un temps à travers progressivement deux camps musulmans distincts puis un seul, dont aussi car les populations musulmanes d'Europe sont souvent plus structurées que celle du monde arabe en particulier du Maghreb, car ces derniers peuvent être à travers des stéréotypes en même temps pro-palestiniens, anti-Hezbollah pour son chiisme, pro-frères musulmans, anti-russes pour la guerre en Tchétchénie, vaccinés à l'ARN et anti-chinois pour la cause ouïghours, alors que les musulmans d’Europe sont souvent judicieusement par exemple en même temps pro-palestiniens, sunnites, pro-Hezbollah pour sa lutte contre Israël, anti-vaccins ARN et pro-BRICS. Pour être guider au mieux, il faut donc combiner la lecture religieuse, intelligente, et eschatologique à une lecture géopolitique, historique et cohérente. Et même si des nations musulmanes peuvent risquer d'épuiser leurs armements et munitions militaires américains en entrant en guerre contre les provocations américano-israélienne, elles peuvent s'adresser aux russes et aux chinois pour en obtenir d'autres, surtout que leurs populations sont prêtes à se battre pour la cause palestinienne dont car défendant depuis des décennies les territoires musulmans à Jérusalem.
Or « La chute du régime laïc de Bachar al-Assad favorise l’expansion de l’islamisme que promeut le richissime Qatar, gorgé de ressources gazières. La chute de Assad, allié de la Russie et de l’Iran, constitue un grave revers pour Moscou, qui possède 2 bases militaires très importantes en Syrie depuis 2017 (et théoriquement jusqu’en 2066) : la base aérienne de Khmeimim à Lattaquié et la base navale du port de Tartous. En outre, l’installation à Damas d’un pouvoir islamiste pro-occidental permet à Washington de poursuivre son pillage des ressources en hydrocarbures au nord-est de la Syrie. La chute de Assad présente des avantages multiples et considérables pour Tel Aviv : elle fait perdre à l’Iran un allié décisif au Proche-Orient pour mener des actions hostiles à Israël, prive le Hezbollah d’une base arrière essentielle, affaiblit l’État syrien, peut-être jusqu’à son démantèlement, et permet de prendre des gages territoriaux. C’est déjà le cas puisque Tsahal vient de prendre la ville de Al Quneitra, sur les hauteurs du Golan, pour agrandir sa zone tampon. Les Druzes en Syrie, qu’Israël prétend défendre contre les islamistes qu'il a pourtant lui-même mis au pouvoir, sont très largement localisés dans la partie sud-ouest du pays, soit au plus près d’Israël. On ne s’étonnera donc pas si, par la force des choses, pour venir en aide aux pauvres populations druzes, Israël se doit de prendre pied en Syrie, au-delà du plateau du Golan et de son piémont, déjà de facto en sa possession, puis à d'autres populations ailleurs en Syrie.... Et c'est HTS qui a permis cela comme par des attaques dans le Nord du Liban, ils facilitent le maintien de Tashal dans son Sud. Bien qu’ayant de bonnes relations avec Poutine, Erdogan poursuit ses rêves de grandeur ottomane et son refus absolu de laisser se créer un Kurdistan. Il veut établir une «ceinture de sécurité d’Ouest en Est» le long de la frontière sur environ 30km de profondeur en Syrie. Un éventuel partage de l’État syrien, avec Israël et un État fantoche de Washington, lui conviendrait très bien. Bachar al-Assad a chuté car ses 3 principaux soutiens ont dû le lâcher, étant tous trois trop occupés ailleurs : le Hezbollah au Liban, la Russie en Ukraine et l’Iran en interne. Les stratèges du Deep State des États-Unis et d’Israël ont profité au mieux de cette formidable concomitance. Le futur proche montrera si la Russie n’a pas négocié le lâchage de Assad en Syrie contre le lâchage de Zelensky en Ukraine par Trump. (Ce qui est très peu probable puisque la Russie a perdu ses bases en Syrie.) » (Média en 4-4-2 résumant une déclaration d'Asselineau) « Le départ d'Assad ne signifie pas pour autant un retour à la stabilité en Syrie, ni une levée ou un assouplissement des sanctions. Les nouveaux dirigeants ne forment pas une entité cohérente, mais plutôt une coalition de groupes armés aux idéologies, aux affiliations et aux objectifs politiques variés. La nouvelle coalition au pouvoir à Damas devra probablement faire face à des défis importants, notamment pour obtenir une légitimité internationale, à l’instar du gouvernement taliban de facto à Kaboul. Il est également fort probable que ces groupes armés finissent par se retourner les uns contre les autres, car leurs objectifs sont fondamentalement différents. Chaque faction cherchera probablement à obtenir une plus grande part du pouvoir. Le régime israélien, qui se nourrit de l’insécurité et du chaos dans la région, devrait continuer à aggraver la situation. Des rapports récents suggèrent qu’Israël a tenté d’étendre son invasion des territoires syriens au-delà du plateau du Golan déjà occupé, profitant des troubles actuels. S’il est évident que ces groupes armés ont bénéficié du soutien du régime sioniste, ce soutien ne continuera pas maintenant qu’ils ont renversé le gouvernement démocratiquement élu de Syrie(, et les USA ne vont probablement pas lâcher leurs positions sur les puits de pétrole à l'Est. Des questions supplémentaires se posent : quid de la relation entre l’Irak et la nouvelle Syrie ? L’Iran peut-il empêcher les combattants djihadistes d’essaimer en Irak ? De quel côté vont basculer les Kurdes ?) Les jours et les semaines à venir seront cruciaux et détermineront la direction que prendra la région. Cependant, une chose est sûre, l'Axe de la Résistance reste intact et en position de force. » (Seyyed Ali Riza, écrivain basé à Sydney spécialisé dans les affaires de l'Asie de l’Ouest)
« La situation en Syrie est en réalité très tragique. Initialement, ce pays était le Plan B des globalistes à la Maison Blanche. Les globalistes voulaient contrôler la situation et prolonger le processus d'escalade des conflits en attisant les tensions en Géorgie, en Moldavie, en Arménie, en Roumanie, en Syrie et au Moyen-Orient, partout où la Russie a des intérêts stratégiques. L'objectif était d'affaiblir la position de la Russie dans ces régions stratégiques, une après l'autre. La victoire de Trump et la perspective d’une nouvelle administration à Washington ont accéléré tous les plans visant à saper la Russie. Pour piéger Trump et le mettre en échec, ceux qui sont au pouvoir à Washington ont intensifié leurs efforts pour diminuer l’importance régionale de la Russie. Si la Russie apparaît trop faible et trop instable pour assurer ses propres intérêts régionaux et ceux de ses alliés, cela pourrait envoyer un mauvais message à Trump, le poussant à traiter la Russie comme une puissance régionale secondaire. Je crois que c’est le plan derrière toute la situation en Syrie. La Syrie était le maillon faible de la chaîne. Cette fois, les globalistes et Israël ont misé toutes leurs cartes, tout leur levier, tout leur potentiel en Syrie pour frapper simultanément contre Assad. Peut-être que l’armée syrienne corrompue avait des accords secrets avec l’Ouest (vu la victoire en une semaine). Peut-être aussi certains membres de la famille d’Assad. L’objectif était de chasser la Russie de Syrie, de renverser Assad, d’expulser les Iraniens et de soutenir Israël avec une Syrie affaiblie, tout en altérant l’image de la Russie aux yeux de Trump. La Russie et la Chine sont intervenues en Syrie, la Russie militairement et la Chine plus économiquement, pour sauver le régime laïc d’Assad, prévenir le génocide et éviter l’annihilation des minorités ethniques et religieuses en Syrie. Nous avons réussi cela pendant plus de 10 ans. Et finalement, la coordination entre les puissances hostiles orchestrée par les globalistes a prévalu. Je dirais que c’est une énorme perte. Ce n’est pas une perte existentielle, par exemple, comme l’Ukraine l’est pour nous, nous nous battrons en Ukraine jusqu’à notre dernier souffle. La Syrie n’est pas de cette priorité, mais néanmoins, elle était très importante pour un monde multipolaire et pour notre position stratégique au Moyen-Orient. Je ne vois pas d’issue pour le Moyen-Orient à court terme. La situation va s’aggraver jusqu’à atteindre un point critique. Maintenant, le monde est en turbulence, dans un chaos sanglant, et pas seulement au Moyen-Orient. Nous devons montrer la voie en établissant des relations alternatives entre les pays, les nations, les groupes ethniques, les religions, différentes de la manière dont l’Occident l’a fait. L’Occident ne peut pas diriger l’humanité. Il peut créer des conflits, déclencher des guerres et détruire, mais il ne peut pas construire. Ils ne peuvent rien construire du tout(, à la différence des BRICS et des pays musulmans unis). » (Alexandre Douguine)

« Un commentateur syrien de longue date et de premier plan, Bassem, donne une explication rapide à vol d'oiseau… : 1) La Russie s’est laissée distraire par la guerre en Ukraine et a détourné ses ressources vers ce pays. 2) Le Hamas s'est lancé de manière idiote dans une mission suicide en octobre 2023 et a entraîné indirectement le Hezbollah dans le conflit, l'épuisant ainsi. 3) Israël a affaibli l’Iran en Syrie ces dernières années. 4) Assad n'a rien fait pour améliorer la vie des habitants. L'électricité n'est disponible que quelques heures par jour, le carburant est insuffisant pour les besoins quotidiens, la corruption a fait de la vie des hommes d'affaires syriens un enfer (douanes, etc.), pour n'en citer que quelques-uns. 5) Pendant ce temps, l'opposition se reconstruisait, changeait son message, s'entraînait, et même les services secrets ukrainiens arrivaient pour les soutenir avec des renseignements et des drones. Il faut ajouter que les sanctions américaines et européennes ont dévasté l’économie et les infrastructures syriennes, ce qui a sans aucun doute eu un impact négatif sur l’état de préparation et le moral de l’armée syrienne (dont car gagnant de moins en moins d'argent). L’armée américaine occupe depuis des années les champs de pétrole et de gaz de l’est de la Syrie. L’objectif de Washington est en partie de priver Damas de ses ressources énergétiques, affaiblissant ainsi encore davantage l’État syrien. » (Tyler Durden)
« C’est dans ce contexte où l’État et la société syrienne sont exsangues (par des des années de sanctions économiques) que la Turquie d’Erdoğan viole les accords d’Astana (2017) et de Sotchi (2018). Ces accords ont été conclus entre la Russie, la Turquie (soutenant les groupes terroristes armées dont HTS au pouvoir actuellement en Syrie) et l’Iran pour éviter des confrontations directes, et pour coopérer afin de faire cesser les hostilités à Idlib en créant une zone démilitarisée. L’offensive de Hayat Tahrir al-Sham (ATS) appuyée par la Turquie démarre quasi- simultanément avec l’attaque israélienne contre le Hezbollah. Ce qui me permet d’affirmer que ces deux attaques étaient coordonnées et avaient pour objectif d’éliminer le Hezbollah (du moins l’empêcher de venir en aide à Assad) et l’État syrien simultanément. L’armée syrienne, qui se bat depuis 2011 contre les organisations terroristes en Syrie, ne livre aucun combat cette fois. Les généraux syriens donnent l’ordre aux soldats de battre en retraite livrant ainsi le pays à HTS. Au moment où je rédige ces lignes, nous n’avons pas d’informations précisent et documentées sur ces événements, mais tout laisse à penser que les généraux syriens ont été préalablement achetés pour permettre une conquête sans résistance (ce qui a pu être facilité par le grand appauvrissement du pays suite aux sanctions occidentales, l'armée sous-payée, au vol US du pétrole de la Syrie e et à Assad ayant perdu confiance dans son armée qui a lutté et son peuple par plus de contrôle alors qu'ils ont lutté pendant 13 ans à ses côtés, mais aussi par l'agacement excédé que la Russie autorisait depuis longtemps Israël à frapper la Syrie peut être légitimement pour éviter une trop grande emprise de l'Iran sur la Syrie). (D'ailleurs très mystérieusement, 350 djihadistes auraient pris Alep à 30 000 combattants syriens et iraniens après le retrait de ces derniers.) Au début de la conquête, quand les troupes terroristes arrivaient à Alep, les Russes et les Iraniens ont mené des frappes contre HTS. Ce qui donne à croire qu’ils n’étaient peut-être pas impliqués dans un deal consistant à laisser tomber Assad. Les frappes russes et iraniennes ont cessé lorsque Moscou et Téhéran ont constaté que l’armée syrienne ne livrait pas combat. Il demeure toutefois de nombreux questionnements et zones d’ombre dont l’éclaircissement pourrait nous faire revoir une partie de notre analyse. Le temps nous le dira (dont qu'il n'y a pas eu de deal entre la Russie et les États-Unis qui aurait consisté à échanger la Syrie contre l’Ukraine, ni de deal entre l’Iran et les États-Unis qui se serait traduit par l’abandon du Hezbollah et de Bachar el-Assad en échange de la levée des sanctions économiques contre Téhéran). »
« C’est le résultat de la conjonction de plusieurs circonstances qui ont entraîné la chute très rapide du gouvernement syrien. Tout d’abord, la Syrie subissait des sanctions économiques très dures (dont jusqu'à interdire l'aide humanitaire type « croix rouge »). Le terme est même quelque peu édulcoré. Nous devrions plutôt parler d’un blocus barbare qui a littéralement étouffé l’économie syrienne. L’accès au système bancaire international était bloqué, les échanges commerciaux officiels étaient pratiquement interdits. Alors qu’elle avait besoin de se reconstruire, la Syrie ne pouvait plus acheter ce dont elle avait besoin. Les conséquences humanitaires étaient désastreuses. D’ailleurs, en 2022, Alena Douhan rapporteuse spéciale des Nations unies sur les mesures coercitives unilatérales et les droits de l’homme, appelait à lever ces sanctions. Elle avait constaté que 90 % de la population syrienne vivait sous le seuil de pauvreté, avec un accès limité à la nourriture, à l’eau, à l’électricité, aux abris, aux combustibles de cuisson et de chauffage, aux transports et aux soins de santé. Le gouvernement syrien ne devait pas seulement composer avec ces sanctions illégales. Il était également privé de ressources importantes. Les États-Unis et leurs alliés kurdes contrôlaient des régions pétrolifères et agricoles stratégiques. Or, les ventes d’énergie constituaient environ un quart des recettes d’exportation de la Syrie et couvraient 90% des besoins de son marché intérieur. De plus, avant la guerre, la Syrie produisait annuellement 4 millions de tonnes de blé. De quoi assurer l’autosuffisance alimentaire et même des rentrées grâce aux exportations. Le blocus économique et la privation de ces ressources stratégiques ont donc eu un impact terrible. Le gouvernement syrien a par ailleurs commis des erreurs, il n’a pas réussi à s’attaquer aux fléaux de la bureaucratie et de la corruption. La population était fatiguée. Tout comme l’armée syrienne qui avait perdu près de 100.000 soldats depuis 2011 dans sa lutte contre les combattants islamistes. A un moment donné, on comptait jusqu’à 300.000 jihadistes sur le territoire syrien. Certains étaient originaires de Syrie. Mais beaucoup venaient de pays voisins, d’Europe, d’Asie centrale et même de la province chinoise du Xinjiang. Ces combattants takfiris n’avaient pas disparu. En effet, la région d’Idlib au nord-ouest de la Syrie était devenue un réduit intégriste protégé par la Turquie avec l’aide des Occidentaux et d’Israël. A présent (avec sa destruction des armes syriennes), Israël et ses soutiens veulent en finir une fois pour toute avec toute velléité de résistance dans le monde arabe. Pourtant avec la guerre à Gaza, les mouvements palestiniens ont montré qu'il est possible de porter un coup terrible à la supériorité technologique et militaire israélienne. D'ailleurs Netanyahou n’a atteint aucun des objectifs qu’il s’était fixés en retour. À part commettre un génocide à Gaza, Israël n’a pas réussi à éradiquer le Hamas ni à libérer tous les otages et encore moins à pousser les Palestiniens à l’exode(, mais encore à cause d'un énorme blocus, les gazaouis vont probablement de moins en moins résister fortement). La levée du blocus étasunien impliquera certainement une soumission totale et la normalisation des relations avec Israël. Car toute la stratégie occidentale est dévouée à la normalisation des relations avec Israël, sans aucune contrepartie, c’est-à-dire sans que les territoires occupés au Liban, en Syrie et en Palestine soient rendus à leurs propriétaires. Le jour même où Joulani entrait à Damas, Israël a occupé l’ensemble du Golan et s’est retrouvé à 20 kilomètres de la capitale, et l’aviation israélienne s’est acharné à détruire l’armée syrienne, ses bases aériennes et navales, ses centres de recherche, son industrie militaire, Joulani n’a pas levé le petit doigt pour protester(, ce qui prouve sa soumission à l'axe américano-sioniste, surtout que lors d'une interview à CNN, il a déclaré qu’il voulait être ami avec tout le monde, et les seuls ennemis de la Syrie étaient l’Iran, le Hezbollah et Assad qui est un allié de la Russie.) Reste donc à voir si le leader du HTS rentrera dans le rang, ou s’il poursuivra son propre agenda, ce qui amènera à beaucoup de manipulations par les USA et Israël puisque tous les acteurs en Syrie en sont désormais dépendants particulièrement au niveau des armes, quoique la Russie ne sera jamais très loin au cas où les djihadistes prennent de bonnes intentions. En effet HTS n’est pas seul. C’est une nébuleuse d’une trentaine de factions takfiris qui se retrouvent à Damas, autour de Joulani ancien numéro 2 de Daech, mais qui n’ont pas la même stratégie ni le même agenda pour gouverner.
En trois jours, un à trois milliers d’alaouites ont été assassinés lors de pogroms, d’abord sur la côte méditerranéenne, puis partout dans le pays. Des milliers d’alaouites se sont réfugiés dans les bases militaires russes de Tartous et de Hmeimim où ils ont été accueillis.
Les massacres terroristes en Syrie et ailleurs ne proviennent souvent pas d’exécutants véritablement de confession musulmane, car il y a beaucoup plus d'hybrides (dont racailles islamisées à dessein en prison ou sur le terrain ou mercenaires dont hypocrites), et leurs commanditaires sont ceux qui ont permis cela. A savoir en première ligne les Israéliens, qui ont soutenu les rebelles et les islamistes contre la Syrie d’Assad, c’est-à-dire le nationalisme arabe laïc, musulman et anti-sioniste. Un pouvoir qui avait certes ses défauts, notamment en termes de répression, mais qui tenait un pays ensemble. La chose est encore plus visible depuis le basculement de décembre 2024 : Israël a voulu une Syrie affaiblie, démembrée, décapitée, et sous contrôle aérien absolu. Dans ces affaires terroristes, les islamistes sont les pions de puissances qui sont derrière et qui tirent les marrons du feu. Le soutien turc s'est porté aussi en faveur des mercenaires de Daech (qui ont changé de nom, comme les multinationales qui ont trop de casseroles) et d'HTS. Là encore, la Turquie, qui est théoriquement un État laïc, se sert des islamistes voisins pour déblayer le terrain en Syrie et mettre la pression sur les Kurdes. En notant qu'au final, dans ces guerres, quoi qu’en disent les identitaires ou les islamophobes, ce sont toujours des musulmans qui se font massacrer...
Tous les jihadistes étant actuellement regroupés sur la côte et à Damas, le reste de la Syrie est vide de combattants. L’armée turque en profite pour attaquer les villes du Nord. Les groupes takfiristes (c’est-à-dire ceux qui cherchent à désigner et à tuer des hérétiques), qui avaient été expulsés à Idleb durant la guerre contre la République arabe syrienne, sont revenus dans la « Syrie utile ». Ils ont pu passer les barrages des forces du nouveau gouvernement sans problème jusqu’à parvenir sur la côte et y massacrer les « hérétiques ». La population syrienne a rendu les armes lors de la chute du président Bachar el-Assad. Elle se trouve donc sans défense, l’armée et les forces de l’ordre actuelles étant composées d’anciens jihadistes, généralement turcophones, souvent tchétchènes, ouzbeks ou tadjiks, encadrés par des officiers turcs. Historiquement, les massacres d’alaouites ont toujours été suivis de massacres de chrétiens. Comment ne pas s’interroger sur la quantité considérable d’armes et de munitions dont les takfiristes disposent aujourd’hui ?
De même comment ignorer que Daesh reconstitue ses forces à la frontière syro-iraquienne ? Al soufiani du hadith suivant pourrait donc correspondre à al Joulani et les forces avec lui dont al-Qaida et Daech, mais en réalité cela pourrait plus correspondre au président turc Erdogan puisque les soutenant et étant nostalgique voire plutôt orgueilleusement avide du califat ottoman, dont vu toutes ses décisions inconséquentes et même clairement impies au Proche-Orient puisque même jusqu'à la mort de nombreux musulmans et en faisant alliance via l'Otan avec un duo judéo-chrétien (israélo-américain) alors qu'interdit selon le Coran, surtout que selon un hadith la ville turque d'Istanbul va être conquis par le Mahdi. C'est à dire qu'en accord avec les sionistes, Joulani pourrait ensuite s'attaquer à l'Irak de l'ouest pour détruire les milices chiites irakiennes, pour déstabiliser le nord de l'Arabie saoudite pour son pétrole et la volonté de califat devant contenir Médine et La Mecque (possiblement de manière laïque si le turc Erdogan laïque est un agent des forces obscures comme pour Vatican 2 au profit bientôt du seul état religieux totalement monothéiste israélien si la Russie s'effondre), et même possiblement pour déstabiliser la Jordanie en faveur des sionistes voulant le grand Israël. Or Joulani pourrait juste servir à soumettre et approvisionner Daech en armes pour effectuer toutes ces tâches :
Houdayfa (SDP) rapporte que l'Envoyé de Dieu (SBDSL), après avoir mentionné la sédition qui éclaterait entre les gens de l'Orient et ceux de l'Occident, déclara : Pendant que ces gens-là se battront, le Soufiani (faux Messie) quittera sur-le-champ la vallée de la sécheresse pour les affronter. Il ira vers Damas et enverra deux armées, l'une à l'Orient et l'autre à Médine. L'armée d'Orient s'établira alors sur la terre de Babylone, dans la ville maudite (Bagdad, probable guerre d'Irak) et apportera la débauche. Ils tueront plus de trois mille hommes, violeront plus d'une centaine de femmes, et feront plus de trois cents victimes parmi les fils de Abbas (l'oncle du Prophète dont les descendants avaient établi à Bagdad la dynastie qui porte son nom : les abbassides). Puis ils se dirigeront sur Médine qu’ils pilleront pendant trois journées consécutives (ou délaisseront longtemps). Ensuite ils quitteront la ville pour se diriger vers La Mecque, mais quand ils seront parvenus dans une région désertique, Dieu (Glorifié soit-Il) leur enverra l'ange Gabriel pour les détruire. Celui-ci frappera alors la terre de son pied et Dieu les fera engloutir par la terre. Telle est explication des versets : (S34v51) « Si tu voyais quand ils seront saisis de peur, n'auront pas d'échappatoires, et seront saisis de près ! »
« Blinken s'est rendu en Turquie pour discuter de l'envoi d'armes massives de la Syrie vers l'Ukraine. Les capacités de production occidentales restant limitées, les stocks d’armes épuisés et de nombreux systèmes d’armes occidentaux s’étant révélés d’une utilité limitée sur le théâtre, l’approvisionnement à grande échelle en équipements militaires syriens pourrait représenter l’une des avancées les plus significatives en faveur de l’Occident sur le théâtre ukrainien depuis le début du conflit. L’influence considérable que la Turquie, membre de l’OTAN, conserve sur les militants islamistes qui contrôlent désormais une grande partie de la Syrie fait d’Ankara un partenaire indispensable pour de tels efforts. Washington pourrait offrir toute une série d’incitations à la Turquie pour soutenir ce processus, notamment une réduction du soutien aux groupes paramilitaires kurdes dans le nord-est de la Syrie, des prêts supplémentaires à l’économie turque en difficulté et peut-être une voie plus directe vers un retour au partenariat dans le programme de chasseurs F-35. On s’attend à ce que les stocks syriens d’artillerie et d’obus de char soient prioritaires pour le transfert à l’Ukraine, suivis par ses chars T-62, T-72 et T-90 et autres véhicules blindés. » (militarywatchmagazine.com)

« La Turquie a commencé à prendre le contrôle de la base aérienne T-4, située près de Palmyre, dans le centre de la Syrie. Un système de défense aérienne de type Hisar sera déployé sur la base T-4 pour assurer sa couverture aérienne. Une fois le système mis en place, la base sera reconstruite et dotée des installations nécessaires », ont précisé les sources. Selon le rapport, Ankara prévoit également de déployer des drones de surveillance et des drones armés, notamment dotés de capacités de frappe étendues. Les sources ont ajouté que la base permettrait apparemment à la Turquie de consolider sa puissance aérienne dans la région et de « soutenir les efforts de lutte contre Daech, qui possède encore des cellules dormantes dans les régions désertiques du centre de la Syrie. » (French Press TV)
Déjà à Idlib, elles se battaient entre elles avec une violence inouïe, la Turquie jouant les arbitres. (Surtout que « Le président russe Vladimir Poutine a commenté le changement de régime en Syrie lors de sa séance annuelle de questions-réponses jeudi. Selon lui, l'intervention militaire russe a atteint son objectif, à savoir empêcher la création d'une enclave terroriste de type afghan. Les groupes qui viennent de prendre le pouvoir en Syrie, y compris ceux qui sont considérés comme terroristes ou qui leur sont affiliés, ont apparemment changé d'avis au fil des ans. C'est pourquoi l'Occident souhaite établir des relations avec eux. Le changement de régime ne peut donc pas être considéré comme une défaite pour la Russie. Le double standard de Poutine sur les questions similaires de l'implication militaire turque et israélienne dans la Syrie post-Assad peut s'expliquer par l'interdépendance complexe de la Russie avec la première. En effet il est préférable pour les intérêts de soft power de la Russie de critiquer Israël pour avoir occupé une partie de la Syrie tout en gardant le silence sur le fait que la Turquie fasse la même chose. Car il faut tenir compte de l’aspect visuel. Bien que la Syrie soit toujours divisée politiquement et que la Turquie soutienne effectivement le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham (HTS) désigné par l’ONU, il est indéniable que de nombreux Syriens soutiennent Ankara, tout comme de nombreux autres musulmans de la région. On ne peut pas en dire autant d’Israël, qui est universellement méprisé en Syrie. De même, compte tenu de l’humeur intérieure et régionale, il est également logique que Poutine rappelle à tout le monde la lâcheté des unités pro-iraniennes qui ont abandonné des villes sans combattre et ont ensuite fui à l’étranger. Après tout, « la Russie a esquivé une balle en choisissant judicieusement de ne pas s’allier à l’axe de résistance désormais vaincu », elle n’a donc aucune raison de dissimuler ce qu’elle a fait. » (Andrew Korybko)
Et dans la petite ville de Suqaylabiyya, située à proximité de Hama, un acte de provocation a secoué la communauté chrétienne. Des djihadistes ont mis le feu à un sapin de Noël installé sur la place centrale de la ville. Cet incident, rapporté par Sky News Arabia, a eu lieu sous la menace d'armes, empêchant les habitants de s'approcher pour intervenir. Cet incident n’est pas isolé. Il fait suite à d’autres actes de vandalisme, notamment l’endommagement d’une église orthodoxe et la profanation de tombes chrétiennes. Des enlèvements et exécutions extrajudiciaires sont désormais fréquents. L’agence de presse Sputnik, citant des sources médicales, a rapporté mardi que la plupart des victimes enlevées ou tuées en Syrie étaient des membres de la minorité religieuse alaouite, alors que les actes de vengeance se poursuivent dans ce pays. Ces événements mettent en lumière les défis sécuritaires auxquels sont confrontées les minorités religieuses en Syrie, malgré les efforts des nouvelles autorités pour promouvoir une image inclusive et respectueuse des différentes communautés, et montrent qu'il manque à ces djihadistes l'essentiel par rapport à Dieu, c'est à dire un bon cœur. D'ailleurs le groupe armé Hayat Tahrir al-Cham (HTC), qui a pris le contrôle de la Syrie au début du mois, a même lancé des attaques incessantes contre des villes peuplées de minorités, selon un nouveau rapport qui fait également état de pillages, d'enlèvements et d'assassinats endémiques. « Toutes les 10 minutes, une attaque est signalée, y compris des incidents de pillage, d'enlèvement, d'assassinat ou de rapt », a révélé, le lundi 23 décembre, un rapport de l'agence de presse irakienne Al Maalomah, citant des sources anonymes. « Ces attaques, perpétrées par les groupes armés, visent les minorités, notamment le long de la côte », ajoute Al Maalomah.) Ce qui est sûr, c’est que Joulani n’aura pas tous les pouvoirs. La Syrie est de facto sous mandat américano-israélo-turc, avec tout ce que cela implique, chacun ayant ses propres intérêts. Cela n’augure rien de bon pour l’avenir du pays et de la région dont l'Iran. Mais l’Iran n’est pas un petit morceau, et ils sont chez eux, adossés à la Russie et à l’Eurasie. Et l’Axe de la Résistance, s’il a subi des dégâts, n’a pas disparu. Il lui faudra sans doute du temps pour se réorganiser, mais il est toujours là. Enfin, une chose est sûre, le développement du Sud global est en marche. Les Occidentaux sont en train de perdre la guerre en Ukraine. En Syrie, ils ont remporté une bataille. Mais l’Histoire ne s’arrêtera pas là. » (Majed Nehmé, journaliste franco-syrien et rédacteur en chef du magazine Afrique-Asie) « Alors que le terrorisme se répandait en Syrie et atteignait finalement Damas le soir du samedi 7 décembre 2024, des questions se posaient sur le sort du président et sur sa localisation. Cela s’est produit au milieu d’un flot de désinformation et de récits très éloignés de la vérité, visant à requalifier le terrorisme international en révolution de libération de la Syrie. À un moment aussi critique de l’histoire de la nation, où la vérité doit primer, il est essentiel de remédier à ces distorsions. Malheureusement, les circonstances qui prévalaient à l’époque, notamment une coupure totale des communications pour des raisons de sécurité, ont retardé la publication de cette déclaration. Ceci ne doit pas remplacer un compte rendu détaillé des événements qui se sont déroulés, qui sera fourni lorsque l’occasion le permettra. Tout d’abord, mon départ de Syrie n’était pas planifié et n’a pas eu lieu pendant les dernières heures des combats, comme certains l’ont prétendu. Au contraire, je suis resté à Damas, exerçant mes fonctions jusqu’aux premières heures du dimanche 8 décembre 2024. Alors que les forces terroristes s’infiltraient à Damas, je me suis rendu à Lattaquié en coordination avec nos alliés russes pour superviser les opérations de combat. À mon arrivée à la base aérienne de Hmeimim ce matin-là, il est devenu clair que nos forces s’étaient complètement retirées de toutes les lignes de bataille et que les dernières positions de l’armée étaient tombées. Alors que la situation sur le terrain dans la région continuait de se détériorer, la base militaire russe elle-même a été soumise à des attaques de drones intensifiées. N’ayant aucun moyen viable de quitter la base, Moscou a demandé au commandement de la base d’organiser une évacuation immédiate vers la Russie dans la soirée du dimanche 8 décembre. Cela a eu lieu un jour après la chute de Damas, après l’effondrement des dernières positions militaires et la paralysie de toutes les institutions étatiques restantes. À aucun moment au cours de ces événements, je n’ai envisagé de démissionner ou de chercher refuge, et aucune personne ou parti n’a fait une telle proposition. La seule ligne de conduite était de continuer à lutter contre l’assaut terroriste. Je réaffirme que celui qui, dès le premier jour de la guerre, a refusé de troquer le salut de sa nation contre des avantages personnels, ou de compromettre son peuple en échange de nombreuses offres et incitations, est le même qui s’est tenu aux côtés des officiers et des soldats de l’armée sur les lignes de front, à quelques mètres des terroristes dans les champs de bataille les plus dangereux et les plus intenses. C’est le même qui, pendant les années les plus sombres de la guerre, n’est pas parti mais est resté avec sa famille aux côtés de son peuple, affrontant le terrorisme sous les bombardements et les menaces récurrentes d’incursions terroristes dans la capitale pendant quatorze ans de guerre. De plus, celui qui n’a jamais abandonné la résistance en Palestine et au Liban, ni trahi ses alliés qui l’ont soutenu, ne peut pas être le même qui abandonnerait son propre peuple ou trahirait l’armée et la nation à laquelle il appartient. Je n’ai jamais cherché à obtenir des postes pour des avantages personnels, mais je me suis toujours considéré comme le gardien d’un projet national, soutenu par la foi du peuple syrien, qui a cru en sa vision. J’ai toujours été convaincu de leur volonté et de leur capacité à protéger l’État, à défendre ses institutions et à défendre leurs choix jusqu’au dernier moment.  Lorsque l’État tombe aux mains du terrorisme et que la capacité d’apporter une contribution significative est perdue, toute position devient sans objet, ce qui rend son occupation dénuée de sens. Cela ne diminue en rien mon profond sentiment d’appartenance à la Syrie et à son peuple - un lien qui ne reste ébranlé par aucune position ou circonstance. C’est une appartenance remplie d’espoir que la Syrie sera à nouveau libre et indépendante. » (communiqué du président Bachar el-Assad) Ali Larijani, envoyé spécial de l’ayatollah Ali Khameneï, se serait rendu à Damas pour poser des conditions des conditions culturelles ahurissantes pour un État laïque, afin d'autoriser une aide militaire de la République islamique d’Iran. « C’est bien le cynisme (occidental), c’est bien de raconter n’importe quoi en permanence, c’est bien de se réjouir comme ça a été fait dans une indécence, dans un indignité absolument totale après la chute du régime et la soi-disant arrivée triomphale des islamistes qui libèrent la Syrie, n’est-ce pas ?, mais tout de même… tout de même (soyons sérieux car les immigrés syriens ne veulent pas rentrer pour l'instant). Il devrait y avoir quelques limites à l’indécence parce que, quels que soient les torts de Bachar el-Assad, de son régime, de son pouvoir ; quelles que soient les faiblesses, importantes, de son pouvoir, ce n’est pas lui qui a voulu la misère de son peuple, c’est bien nous, c’est nous, les Occidentaux. Il a protégé très longtemps les minorités diverses, pas seulement chrétiennes, mais bien d’autres, parce que la Syrie est une mosaïque multiconfessionnelle, multi-ethnique, multicommunautaire, et il en était le protecteur, et on va voir ce qui va se passer maintenant. Face à tout cela, face à tant de souffrance, l’euphorie médiatique et politique en Occident autour de la chute du « tyran », Bachar el-Assad le « boucher de Damas », c’est non seulement politiquement complètement idiot, évidemment, mais c’est particulièrement indécent humainement, et profondément indigne de la part de ceux qui s’abandonnent à ce liesse mauvaise, parce que se réjouir que la Syrie, ce grand pays, et ce grand peuple, si tourmenté depuis déjà si longtemps, tombe dans les griffe d’un groupe terroriste patenté qu’on est certes en train de blanchir comme on peut, et je vais vous raconter comment, mais enfin tout de même, tout de même, on s’en est largement servi pour détruire ce même pays dans les années 2010, c’est quand même très, très écœurant. Ça traduit notre cynisme, ça traduit d’ailleurs notre parfaite incompréhension des dangers représentés par ce basculement, sans même parler qu’on a pas l’air de faire le lien entre cet islamisme qu’on a encouragé et instrumentalisé au Moyen-Orient, et ses surgeons dans nos rues, quand on a des campagnes d’attentats. » (Caroline Galactéros)
« L’Occident se lèvera-t-il collectivement pour défendre les chrétiens syriens restants lorsque les Drapeaux Noirs viendront les purger ? Le modus operandi standard de l’hégémon est toujours de diviser pour régner. Acculés par la montée inexorable de la réalité multi-nodale (c’est moi qui souligne), ils y ont vu une ouverture pour un redémarrage impérial, misant tout sur l’établissement du « Grand Moyen-Orient » esquissé encore pendant l’ère Cheney. L'axe de fer des néoconservateurs straussiens, des sionistes et des psychopathes de l'Ancien Testament de Tel Aviv n'a de cesse de détruire l'Axe de la Résistance, en utilisant leur réseau transnational de tueurs sanguinaires pour étendre le chaos et la guerre civile sectaire à toute l'Asie occidentale. Dans ce scénario idéal, ils rêvent de frapper mortellement la tête du serpent : l'Iran. Le sultan Erdogan, jouant le rôle de bouc émissaire utile, a proclamé : Une « période brillante » a commencé pour la Syrie. En effet. Une période faste pour les coupeurs de têtes de Black Flag, les poseurs de bombes de Tel Aviv et les accapareurs de terres – se nourrissant de la carcasse de la Syrie. Les tueurs psychopathologiques de l'Ancien Testament ont, par plus de 350 frappes, totalement détruit toute l'infrastructure militaire de l'ancienne armée arabe syrienne (AAS) ; usines d'armes, munitions, bases, avions de combat, y compris la base aérienne de Mezze à Damas, systèmes anti-navires russes, navires eux-mêmes (à Lattaquié, près de la base navale russe) et positions de défense aérienne. En un mot : c’est le combo OTAN/Israël qui démilitarise l’ancienne Syrie – sans même un mot de qui que ce soit dans le monde arabe et dans les pays d’Islam, à commencer par les tueurs du Drapeau Noir qui ont pris Damas. Ajoutez à cela une invasion/un accaparement de terres emblématiques, et Tel-Aviv déclarant officiellement l’annexion définitive du Golan – qui appartient légalement à la Syrie et dont la restitution a été exigée par l’ONU après la guerre de 1967. Le blitzkrieg psychologique de l'Ancien Testament fonctionne. Parallèlement, l’aviation turque a bombardé l’ancienne base russo-syrienne de Qamishli, à l’extrême nord-est du pays. Le prétexte : empêcher que des armes ne soient récupérées par les Kurdes et diverses tribus arabes soutenus par les États-Unis. Pour les Russes, cela n’a peut-être pas été un problème, car ils avaient suffisamment de temps pour évacuer leurs précieuses ressources de l’est de l’Euphrate. La Russie a donné asile à Suheil al-Hassan, un homme redoutable et incorruptible, un candidat sérieux au poste de tacticien et stratège militaire de premier plan dans le monde d’aujourd’hui. Les Russes ont misé sur lui dès 2015 et ont assuré sa sécurité personnelle. Personne en Syrie n’a bénéficié de gardes du corps russes, pas même Assad. Il a été le seul commandant à avoir remporté de facto des batailles au cours des dix jours de la chute de la Syrie. Au milieu d'un torrent de malheurs et de tristesse, ce qui se passe, aussi vite que l'éclair, c'est que l'OTAN/Israël se nourrit de la carcasse et divise une nation morte avec une ribambelle d'idiots utiles et de marionnettes - des faux djihadistes salafistes éveillés aux Kurdes américanisés. De toute évidence, un QI collectif inférieur à la température ambiante empêche cette foule de se rendre compte qu'elle se bat pour le même Suzerain. Les voyous de Tel-Aviv ont avancé leur blitzkrieg à travers la campagne de Damas et pourraient être à 15 km au sud de la capitale ; un stratagème classique de lebensraum, faisant partie de leur projet colonial, couplé à l'obtention d'un effet de levier maximal sur le flanc libanais. C’est absolument crucial et extrêmement inquiétant pour l’Axe de la Résistance : désormais, tout le sud du Liban est exposé à une attaque massive de l’occupation israélienne – car les plaines fertiles entre Chtoura dans la vallée de la Bekaa et Aanjar non seulement recèlent de précieuses ressources naturelles mais offrent également une voie d’accès directe à Beyrouth. Les scorpions se retournent les uns contre les autres. Parallèlement, les Drapeaux noirs ont pris le contrôle de Damas. Des massacres ont lieu dans tous les milieux : des chefs religieux et des scientifiques, mais surtout des anciens responsables de l’armée, d’anciens membres du contre-espionnage syrien, et même des civils accusés d’être d’anciens militaires.  Son Éminence, Cheikh Tawfiq al-Bouti, fils du célèbre cheikh Muhammad Said Ramadan al-Bouti, ancien imam de la vénérable mosquée des Omeyyades, a été assassiné dans sa madrassa de Damas.  Comme prévu, les Scorpions se retournent les uns contre les autres ; les gangs terroristes rivaux de Hayat Tahrir al-Sham (HTS) exigent que les hommes de main de Jolani libèrent leurs membres emprisonnés dans le Grand Idlibistan et menacent maintenant d'attaquer HTS. À Manbij, des terroristes soutenus par la Turquie tuent ouvertement des Kurdes d'origine américaine dans les hôpitaux. Le nord et le nord-est de la Syrie sont plongés dans une anarchie totale.  Les tribus qui refusent d’accepter les Kurdes américains et leur projet d’État communiste-laïc, et refusent également de rejoindre le réseau terroriste salafiste-djihadiste soutenu par la Turquie, sont désormais qualifiées d’« EI » et sont dûment bombardées par des avions de chasse américains. Certaines d’entre elles appartiennent peut-être encore à l’EI : elles l’étaient avant l’automne 2017, et il existe encore des restes de crypto-EI errant dans le désert.  L'armée russe a positionné ses navires jusqu'à 8 km de la base navale de Tartous. Cela ne garantit pas une sécurité totale, car les drones, l'artillerie et les petites embarcations peuvent toujours les atteindre. Pour l'aviation de Hmeimim, c'est encore plus compliqué. Moscou a déjà envoyé un message clair : si la base est touchée, les répercussions seront dévastatrices. HTS, pour sa part, s'est principalement concentré sur l'occupation de Lattaquié. L’avenir des bases russes reste un mystère : il dépendra d’une négociation épineuse et directe entre Poutine et Erdogan. Jolani, le nouveau calife de facto d’al-Sham, ne deviendra pas leader à ce stade initial, car il effraie la plupart des Syriens à mort, indépendamment de sa conversion éveillée méga-scénarisée « la route de Damas ». Il se nommera « chef militaire ». Une marionnette désignée – Mohammed el-Béchir – dirigera la « transition » jusqu’en mars 2025. Il est pratiquement certain qu’el-Béchir sera abhorré par pratiquement toutes les factions. Cela ouvrira la voie à Jolani, le coupeur de têtes repenti, pour organiser un coup d’État et s’emparer d’un pouvoir illimité. « En ayant invité Al-Jolani à l’Élysée, Macron montre que le terrorisme islamiste fait partie des valeurs de la république et que il luit fait même passer des ordres ! Logique puisque les Frères « musulmans » sont d’abord LES frères de loges à la base de ce régime. La civilisation occidentale et toutes ses valeurs sont en danger de mort  : notre monde dit civilisé, qui avait réussi à s’extirper de la barbarie se dirige aujourd’hui - lentement mais sûrement - vers un retour aux ténèbres d’un monde dénué de toute morale et de toutes valeurs, celui d’une bestialité qui n’aura plus rien d’humain... » (Commentaire internaute) C’est en Syrie, à Antioche, l’une des villes les plus redoutables de l’Empire romain, que les disciples de Jésus furent appelés « chrétiens », du grec christianos . Antioche a été réduite à la petite ville d’Antakya, faisant partie de la Turquie. Le sultan Erdogan rêve d’Alep, elle aussi partie de la Turquie. Le grec était la langue de ce coin de l’Empire romain : le latin n’était utilisé que par les occupants – militaires et cadres. L'Église dirigée par le patriarche d'Antioche s'est développée dans toute la Syrie jusqu'à l'Euphrate.  L’Occident se lèvera-t-il collectivement pour défendre les chrétiens syriens restants lorsque les Drapeaux Noirs viendront les purger – comme ils le feront ? Bien sûr que non. L’Occident collectif continue de se réjouir de la fin du « dictateur » tandis que les Drapeaux Noirs et les vautours de l’Ancien Testament organisent leur bal des vampires sur le cadavre d’une nation. » (article « Mort d'une nation : drapeaux noirs, massacres, accaparements de terres alors que les vautours se nourrissent de la carcasse de la Syrie » de strategic-culture.su) Il apparaît que le grand Israël peut désormais avoir lieu sans troisième guerre mondiale si Israël continue donc de se servir de proxies comme les djihadistes et maintenant les kurdes. « (La stratégie sioniste a consisté par les sanctions économiques à corrompre tout le monde par en-dessous des décennies durant tout en laissant le pouvoir nominal à Assad. Une fois la société complètement gangrenée par les mafias il ne restait plus qu’à remplacer le sommet.) Bachar el-Assad s’est très bien rendu compte de cette situation, il a très bien vu que la situation était un peu désespérée (dont pour lui et sa famille), si vous voulez, et je pense que c’est la raison pour laquelle il a commencé à négocier avec les « rebelles » pour qu’il n’y ait pas de combats. Les Russes, dans un premier temps, ont voulu aider Bachar el-Assad, mais apparemment, et c’est d’ailleurs ce que dit le communiqué du ministrère des Affaires étrangères russe, les Russes n’ont pas été impliqués dans la négociation menée par le gouvernement syrien et les rebelles ou la Turquie – il n’y a pas de clarté à ce stade entre qui et qui a eu lieu cette négociation. Les Russes, dans un premier temps, ont voulu réagir parce qu’ils pensaient que l’armée syrienne réagirait, mais ça n’a pas été le cas, et les Russes ont appliqué une logique assez simple, d’ailleurs ; c’est la même logique qu’on a eu en Arménie, lorsque les Arméniens ont cédé le Nagorny Karabakh à l’Azerbaïdjan. Les Russes ont dit « si vous-mêmes vous ne voulez pas défendre cette terre, c’est pas nous qui allons la défendre à votre place ». (En sachant que les russes et les iraniens étaient auparavant assez mécontents qu'Assad refuse obstinément d'entrer en discussion avec la Turquie pour que cette dernière ait une autonomie dans les zones contrôlées par les pro-turques empêchant l'accès à la méditerranée aux kurdes ou pour faire entrer une partie de l'opposition dite présentable dans le système politique syrien. Et en sachant qu'en plus de soutenir un allié et ses bases en méditerannée, la Russie était aussi intervenue en Syrie en 2015 pour se prémunir d’une contagion terroriste qui pourrait s’étendre à la Tchétchénie ou à l’Asie centrale. On trouve d’ailleurs parmi la rébellion syrienne des combattants venus de ces régions. Or avec l'expérience que son armée acquise en Ukraine et avec son délestage de la Syrie, si des djihadistes tentent de l'attaquer, ils se feront massacrer dont aussi car l'armée russe ne sera pas aussi modérée qu'en Ukraine.) » (Jacques Baud) « Pour la Russie, la situation syrienne est un revers majeur. Si Moscou conserve sa précieuse base de Tartus, ce bastion symbolique ne suffit pas à compenser la perte de crédibilité de la Russie en tant que protecteur et garant politique de ses alliés. Cette fragilité perçue pourrait inciter des partenaires-clés, comme l’Arabie saoudite, à réévaluer leur confiance envers la Russie, compromettant ainsi son influence au Moyen-Orient. (Mais il s'agit d'une situation particulière, puisque étant en rapport avec l'oppression israélienne et ne représentant pas le Sud Global.) En même temps, la CIA démontre une capacité impressionnante à orchestrer des coups d’État simultanés dans plusieurs régions du monde, notamment au Bangladesh, au Pakistan, en Roumanie, en Syrie et en Géorgie. Cette stratégie, menée avec une précision spectaculaire, reflète une puissance oppressive d’intervention toujours intacte, renforce le dollar affaibli, et pose de sérieuses questions sur l’équilibre des forces dans le monde. (Surtout qu'avec le retour des USA au conservatisme par Trump, l'axe russo-chinois porteur premier de la lutte contre le wokisme perd aussi de l'influence sur le Sud Global, mais avec le soutien des USA au génocide des palestiniens et à l'anti-droit international en Syrie par Israël, l'axe russo-chinois demeure fort. » (Média en 4-4-2 résumant une vidéo d'Idriss Aberkane) Le chef de l’opposition israélienne, Yaïr Lapid, en a profité pour déclarer qu’eu égard aux évolutions syriennes il est plus important que jamais de former une alliance régionale forte avec l’Arabie saoudite et les pays signataires des accords d’Abraham pour faire face ensemble à l’instabilité régionale en particulier contre le croissant chiite, afin ensuite de finalement déstabiliser ces nations musulmanes signataires. Or les frappes israéliennes sur l'arsenal syrien affaiblissent la Syrie contre Israël, mais aussi contre la Turquie, les kurdes et l'Iran, tout en favorisant donc la la division, la manipulation et la fragmentation de la Syrie. Surtout que tous les protagonistes de Syrie sont désormais dépendants des USA et d'Israël au niveau de l’approvisionnement en armes et munitions, et qu'il faut se demander ce que vont devenir les dizaines de milliers de djihadistes présents en Syrie ayant tué et voulu le califat, si HTS ne les finance pas ou n'impose pas la charia, surtout suite à la destruction des armes syriennes et donc la démilitarisation de la Syrie par Israël. En rappelant qu'il y a donc en Syrie : HTS, les kurdes, les pro-turcs, les nationalistes laïques, Daech, diverses autres factions rebelles dont islamistes, l’armée US, l'armée d'Israël, l'armée turque, les militaires de l'ancien régime, les chiites, les chrétiens, ce qui devient donc un risque de guerre perpétuelle dans cette région. Or les USA, la Turquie, l'Angleterre et HTS pourrait en réalité tous des proxies d'Israël qui ont testé leurs armes dans ce Proche-Orient et qui permettront l’avènement du Grand Israël, même si les objectifs des USA différent en partie de ceux d'Israël, puisque Israël veut donc seulement le grand Israël, alors que les USA veulent le contrôle du pétrole du Moyen-Orient élargi par la destruction totale des institutions politiques ou en tout cas de ses armes lourdes et veulent l'imposition du capitalisme unipolaire au niveau mondial dont contre la loi coranique et les BRICS multipolaires, ce qui montre encore leur incarnation moderne de Gog et Magog. Car par le libéralisme à outrance en Occident, ce sont les milliardaires, en particulier ceux juifs puisque organisés, qui y contrôlent les états dont par le transnational et donc une grande partie du monde. En sachant que comme l'Inde est encouragée à intensifier une course à l'armement avec le Pakistan, Israël pourrait s'en servir si les USA ne les alimentent plus en armes pour empêcher le grand Israël hégémonique pouvant faire disparaître celui US.
« Israël a détruit des navires de guerre syriens, des missiles mer-mer, des hélicoptères et des avions, y compris toute la flotte d’avions de combat MiG-29 et des stocks de munitions, lors d’attaques contre au moins cinq bases aériennes. Certains observateurs affirment qu’ils ne croient pas à sa promesse, affirmant qu’ils croient qu’Israël, en plus de s’emparer définitivement de territoires, tente de stopper la création d’un État syrien post-Assad fonctionnel avant même qu’il ne puisse commencer. Les conspirations américaines et israéliennes visent à empêcher les nations musulmanes d’acquérir toute forme de dissuasion et d’autodéfense. Ils souhaitent imposer la normalisation (des relations diplomatiques avec le régime d’occupation de Tel-Aviv) à certains États de la région et désunir l’Oumma islamique », a déclaré. Ce que les États-Unis et Israël tentent de faire, c’est de plonger les musulmans dans une lutte acharnée les uns contre les autres plutôt que de confronter les puissances arrogantes » (Al-Houthi leader de l’Ansarallah)
Ce qui montre que par rapport à l'Irak et la Libye, les mauvaises conséquences de la chute d'Assad par les abrutis de djihadistes leur ont été immédiatement révélés. Surtout qu'en plus, les forces israéliennes ont saisi la zone dite tampon, qui sépare les hauteurs du Golan occupé du reste de la Syrie, en violation d’un accord de désengagement de 1974. Les forces d’occupation sont entrées dans plusieurs villes de Quneitra, évacuant de force les habitants. Elles ont occupé le sommet de Jabal al-Cheikh qui fournit un point d’observation pour les zones en Syrie et au Liban. Il s’élève à 9 232 pieds (2 814 mètres) et est le point le plus élevé de la côte est de la mer Méditerranée permettant de capter les ondes radios à 360 degrés. « On peut formuler trois scénarios pour l’avenir de la Syrie. Aucune décision sur l’avenir du pays ne sera prise sans le concours des agents d’Israël et de Washington, mais aussi de Moscou et de Téhéran. Disons-le, ces perspectives ne laisse pas augurer l’avènement prochain d’un Nouveau Monde pacifique triomphant contre l’Empire du Mal. Mais cet avenir, plein d’incertitudes, de violence et de chaos, peut-être celui où se révèlent pour l’Histoire les vrais combattants du Bien. Dans le cadre d’un accord où la Russie serait largement gagnante, la Syrie pourrait être découpée en fiefs ethniques. Un fief kurde qu’Erdoğan devra surveiller de très près. Un fief alaouito-chrétien, où la Russie pourrait conserver ses bases. Un fief arabe sunnite où les Américains devraient prendre la responsabilité d’anéantir les germes djihadistes qu’ils ont semés. À supposer que Trump ait dans le même temps le pouvoir de regagner la main sur sa CIA. Un (petit) fief chiite où les Iraniens pourraient tenter, face au lobbying sioniste, de rétablir les bases d’un nouvel Axe de la Résistance. L’une des failles majeures de ce scénario est qu’il franchit une ligne rouge fondamentale turque : celle de l’établissement de fait d’un Kurdistan. Erdoğan aurait-il encore les moyens de s’opposer à un tel scénario ? Sûrement pas. Mais son pouvoir de nuisance au sein de l’OTAN n’est pas négligeable. Et Washington ne pourra pas non plus ignorer que l’adoubement d’un Kurdistan entraînera nécessairement une nouvelle guerre, celle opposant les Turcs aux Kurdes. (Mais  ce morcellement intéressant pour l'empire US ne prend pas en compte le projet du grand Israël dont concernant l'Iran, surtout que c'est l'antéchrist qui est au commande de projet depuis le début).  L’épisode a déjà été joué, en Afghanistan, en Irak, en Libye, et il est terrible. La création d’un gouvernement arabe sunnite sous contrôle américano-sioniste total. Ce scénario serait la consécration d’un trumpisme sioniste intégral. Il ne laisserait pas de marge de manœuvre à la Russie pour conserver des bases aussi stratégiques dans le cadre de sa rivalité de puissance avec les États-Unis. La CIA a-t-elle totalement la main sur la nébuleuse djihadiste qu’elle vient de lâcher ? Et si al-Joulani, ou l’un de ses hommes renversait à nouveau la table et qu’un scénario à l’Irak 2014 se répétait ? Des milliers de combattants de l’État islamique sommeillent dans des prisons kurdes au nord-est de la Syrie, prêts à être libérés. La possibilité d’un embrasement général qui aurait largement débordé le contrôle de Washington viendrait déstabiliser tous les acteurs : américains, turcs, russes, iraniens(, même si les USA sont les principaux fournisseurs d'armes aux divers factions en Syrie. Car Israël appuyé par l'UE et l'Inde voire l'Angleterre ou d'autres pourraient devenir les nouveaux principaux vendeurs d'armes dans cette région afin de la manipuler jusqu'au Grand Israël. D'ailleurs si les USA ne veulent plus fournir d'armes pour empêcher l'hégémonie d'Israël, ces nations pourraient finalement s'en occuper. Le régime israélien a même signé un accord avec le fabricant d’armes local Elbit Systems pour la production de bombes, dans le but de se passer des importations en provenance des États-Unis et de Grande-Bretagne). » (Rédac ER)  
La Syrie a montré qu'actuellement une victoire guerrière par proxy plus des sanctions économiques par l'Occident contre une nation moyenne prend entre dix ans et quinze ans, c'est à dire jusqu'au découragement et la division dont d'une partie de l'armée : Le scénario syrien rappelle funestement les épisodes afghan, irakien, libyen. La recette est toujours la même : infiltration, organisation et financement des milieux djihadistes (ou rebelles comme les néonazis en Ukraine) par la CIA (acquise aux intérêts des faucons), feu-vert pour leur déchaînement au prix de la mort de tout un peuple, communication criminelle et mensongère.  D'où l'importance que tous les citoyens soient prêts au martyr et à servir noblement dans n'importe quel secteur professionnel pour triompher, ce qui est l'essence même du djihad prôner par le Coran. C'est pourquoi même si l'ennoblissement maximal par l'intention est très probablement validé pour l'au-delà en particulier par l'invocation à la fin de ce site, il est nécessaire de le pratiquer progressivement de mieux en mieux dont à travers ce site est la persévérance dans le bien, la recherche du meilleur chemin et donc la plus grande proximité de Dieu, car sinon les bons humains n'auront pas assez de lumière intérieure pour effacer et donc détruire collectivement les forces obscures. C'est pourquoi l'abolition du califat unifiant le monde arabo-musulman est aussi grave que l'abolition de la papauté pour le monde catholique, dont puisque cette abolition a ensuite logiquement fait apparaître le nationalisme arabe laïque et l'islam politique au début aussi lié à la laïcité dont via les frères musulmans, car la nature a horreur du vide, tout en permettant par cette division aux sionistes puis aux israéliens de manœuvrer beaucoup plus facilement le Moyen Orient. Or le socialisme progressiste occidental au niveau de l'éducation, de la science, de l'industrie et du développement a pendant un temps souvent bien servi des nations arabes comme l'union soviétique. C'est d'ailleurs le développement éducatif, et donc scientifique et donc industriel qui a élevé l'occident dont au niveau technologique et militaire, par rapport au monde arabe ayant de nos jours dans certains pays 30 % analphabétisme. Mais cela a fini par la soumission des nations arabes à l'occident jusqu'à se faire manipuler dont via le détournement de légitimes colères populaires appauvries vers les révolutions de couleur et via le détournement destructeur des frères musulmans servant tous deux l'américano-sionisme, qui cherchait et cherche toujours en sa faveur et pour celle du Grand Israël à modifier des gouvernements ou à émietter des nations du Maghreb jusqu'au Pakistan comme cela s'est fait suite à l'effondrement de l'union soviétique. Le projet US pour le Middle East en est la preuve, même si parfois c'est plus des plans d’apprenti-sorcier, puisque par exemple le Maroc et l'Algérie ne peuvent normalement pas se diviser entre arabes et berbères tellement il y a d'intrications familiales. Ainsi même s'il y a une culture arabe, il n'y a pas de civilisation arabe mais une civilisation islamique, ce qui prouve l'importance de l'union des pays musulmans en particulier donc pour le monde arabe nationaliste au cours des dernières décennies voire du dernier siècle, ayant été souvent dans le chaos dont en Algérie, Egypte, Irak, Libye, Syrie. Toute civilisation s'est développée en se basant sur une religion et les laïcistes occidentaux doivent ainsi comprendre que sans religion, on tend vers le nihilisme.                                       
« Il apparaît désormais que près de la moitié des Israéliens tués étaient des combattants ; que les forces israéliennes étaient responsables de certaines de leurs propres morts civiles ; et que Tel-Aviv a diffusé de fausses histoires sur les « atrocités du Hamas » pour justifier son attaque aérienne dévastatrice contre les civils palestiniens (et les infrastructures cherchant une épuration ethnique) à Gaza. Au lieu du massacre généralisé de civils revendiqué par Israël, des chiffres incomplets publiés par le journal hébreu Haaretz montrent que près de la moitié des Israéliens tués ce jour-là étaient en fait des combattants – des soldats ou des policiers. Jusqu’à présent, aucun décès d’enfant de moins de trois ans n’a été enregistré, ce qui remet en question le récit israélien selon lequel les bébés étaient la cible des combattants de la résistance palestinienne. Jusqu’à présent, aucun décès d’enfant de moins de trois ans n’a été enregistré, ce qui remet en question le récit israélien selon lequel les bébés étaient la cible des combattants de la résistance palestinienne. Sur les 683 victimes signalées jusqu’à présent, sept étaient âgées de 4 à 7 ans et neuf de 10 à 17 ans. Les 667 victimes restantes semblent être des adultes. Le nombre et la proportion de civils et d’enfants palestiniens parmi les personnes tuées par les bombardements israéliens au cours de deux semaines – plus de 5.791 tués, dont 2.360 enfants et 1.292 femmes, et plus de 18.000 blessés – sont bien plus élevés que n’importe lequel de ces chiffres israéliens issus des événements du 7 octobre.                                                       
De nouvelles preuves indiquent désormais qu’il existe une forte probabilité, notamment en raison de l’ampleur des dégâts infrastructurels, que les forces militaires israéliennes aient délibérément tué des captifs, tiré sur des cibles incorrectes ou confondu des Israéliens avec des Palestiniens lors de leurs échanges de tirs. De plus des rapports émergent selon lesquels les autorités israéliennes ont intensifié les  mauvais traitements, la torture et même le meurtre de prisonniers palestiniens sous leur garde - une violation des Conventions de Genève -, (alors que) le Hamas les auraient suivi à la lettre. Alors qu’elle était remise aux intermédiaires de la Croix-Rouge, la vieille captive israélienne a même été filmée en train de se retourner  pour serrer la main  de son ravisseur du Hamas lors de ses derniers adieux. L’émission en direct de Lifshitz, dans laquelle elle a parlé de son calvaire de deux semaines, a encore plus « humanisé » ses ravisseurs du Hamas en racontant sa vie quotidienne avec les combattants et donc en prouvant que le Hamas n'a rien à voir avec Daech : « Ils étaient très amicaux avec nous. Ils ont pris soin de nous. On nous a donné des médicaments et avons été soignés. L’un des hommes qui nous accompagnait a été grièvement blessé dans un accident de moto. Leurs ambulanciers (du Hamas) ont soigné ses blessures, lui ont donné des médicaments et des antibiotiques. Les gens étaient sympathiques. Ils ont gardé l’endroit très propre. Ils étaient très inquiets pour nous. » (Extraits de l'article « Massacres du Hamas : que s’est-il réellement passé le 7 octobre ? » à l'adresse https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/massacres-du-hamas-que-s-est-il-251187)                                                                        
« Dans ce sens, on peut comparer le Hamas, Israël et les takfiristes pour montrer que ce sont Israël et les islamistes égarés, wahhabites et takfiristes qui ont des points en commun. C'est à dire que le Hamas ne vient pas d'Al-Qaïda comme Daech, qu'Al-Qaida a été crée d'un point de vue opérationnel par les anglo-saxons dans les années 80 contre les soviétiques alors que la Hamas à la différence d'Israël n'est pas soutenu par les anglo-saxons, qu'Al-Qaida et Daech sont pour beaucoup des gens qui viennent de l'étranger comme les juifs en Palestine, alors que le Hamas défend sa terre, qu'Al-Qaida et Daech n'ont pas combattu Israël mais plutôt principalement la Syrie qui était le dernier pays arabe honorablement en guerre contre Israël, et que Daech est l'ennemi de l'Iran supportant l'axe de la résistance dont la Syrie, alors que le Hamas est allié avec lui, et qu'Israël tue même des femmes et les enfants par le bombardements comme Daech par les massacres, alors que le Hamas n'aurait finalement tué aucun enfant. Ainsi on peut dire que Tsahal protège Israël de l'intérieur et Daech proche Israël à l'extérieur telle une légion étrangère. Donc tout rapproche Israël et les islamistes de la région, sauf la religion. (Or la violence des islamistes, indéniable, est en réalité très asymétrique avec celle de cette machine à tuer des civils qu’est devenue l'armée israélienne copiant de plus en plus celle de son protecteur et fournisseur d'armes US.) » (Passages résumés d'une interview d'Aïssa de l'Axe de la Résistance)                                   
Le président cubain Miguel Díaz-Canel a vivement condamné les actions d’Israël dans la bande de Gaza, les qualifiant de « génocide » perpétré par un « État terroriste » (car pratiquant un terrorisme d’État, surtout que le terrorisme correspond à tuer le maximum de civils pour influer sur leur gouvernement). Dans une déclaration sur le réseau social X, il a déclaré que cette situation constituait une « humiliation pour toute l’humanité ». Cuba, affirmant son engagement en faveur de la défense de la Palestine, continue de dénoncer l’impunité des actions israéliennes. Il a aussi dit : « Le génocide commis par l’État terroriste d’Israël à Gaza est une humiliation pour toute l’Humanité. Combien de temps se maintiendra l’impunité d’Israël, combien de temps lui laissera-t-on la liberté de tuer ? Cuba — qui ne sera jamais parmi les indifférents — élève encore et encore la voix en faveur de la Palestine. »                                                                                
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a déclaré que le génocide israélien, l’utilisation d’armes interdites et la poursuite du blocus de la bande de Gaza sont la preuve que le régime devance le groupe terroriste takfiriste Daech en matière de crime. « Le génocide et l'infanticide, l'utilisation d'armes prohibées, le blocage de l'acheminement d'eau, de nourriture et de médicaments à Gaza, et la brutalité envers les prisonniers et les citoyens innocents montrent que le régime d'apartheid et d'occupation israélien est bien en avance sur Daech dans la commission des crimes », a déclaré M. Amir-Abdollahian dans un poste sur son compte X, vendredi 8 décembre 2023. Il a mis en garde contre l'effondrement structurel des organisations internationales, menaçant la paix et la sécurité mondiales, au cas où Israël continuerait d'ignorer les avertissements de l'ONU.       Pourtant « L’accélération du conflit entre Israël et Gaza s’accompagne d’un retournement du paradigme nazi : bien que les hauts responsables israéliens traitent les autres peuples d’animaux ou de sous-hommes, qu’il s’agisse des Palestiniens ou des Bouriates (en Russie), bien qu’ils considèrent normal de les écraser physiquement, ils continuent à utiliser la victimisation nazie, payée très cher par les aïeux de leurs familles (mais non par eux-mêmes) pour justifier leurs crimes. Et quand on leur rappelle, à l’ONU, qu’ils ne sont pas au-dessus du droit international, l’enfant-roi se révolte : comment ça, il n’y aurait plus d’impunité totale, nous n’aurions plus le monopole de l’humanité ? Il semblerait que la communauté internationale, en faisant d’Israël une victime éternelle et intouchable sous peine d’antisémitisme, ait enfanté d’un monstre. (Or les palestiniens ne se battent pas par antisémitisme mais se défendent contre la colonisation même si elle portée par le sionisme juif, ce qui est le cas de toute personne et nation réellement antisioniste.) Qui est entré en guerre (depuis 75 ans) et se croit au-dessus de tout... et de tous. Ces derniers temps, Israël a changé de rhétorique et semble s’enfoncer dans les méandres de la justification de ses crimes par le recours à la déshumanisation de l’Autre et de tous les autres êtres humains. En effet l’État colonial d’Israël parle des Palestiniens comme d’une masse déshumanisée: il n’y a pas de mères, de pères, d’enfants, d’enseignants, de médecins, d’avocats, de cuisiniers, de poètes, de chauffeurs de taxi ou de commerçants. Par conséquent il est impératif de reconnaître la valeur de chaque vie humaine, quelle que soit sa nationalité, et de condamner fermement toute tentative de relativiser la souffrance des civils, qu’ils soient victimes du terrorisme ou de la guerre. Les médias maintsream occidentaux collectivisent la mort palestinienne et personnalise la mort juive. Les sous-hommes meurent en masse, les surhommes meurent – mais très difficilement, – par définition, un par un. Le pouvoir de Tel-Aviv a recensé 219 morts et 1 600 blessés lors des 100 jours de guerre contre le Hamas, bilan très sous-estimé pour une raison : l’obligation d’invincibilité. Une invincibilité battue en brèche par les stats des hôpitaux israéliens eux-mêmes. Les Palestiniens, dans le lexique israélien, constituent une contagion unique qui doit être éradiquée. Regardez cette vidéo d’écoliers israéliens chantant «Nous allons anéantir tout le monde» à Gaza. Les Jeunesses hitlériennes chantaient des chansons comme celle-ci sur les juifs.  « L’éditorialiste Gideon Levy définit la société israélienne : Un « peuple élu bourreau » qui se présente comme victime tout en déshumanisant les autres. L'éditorialiste Gideon Levy du quotidien de gauche Haaretz expose de manière percutante les trois principes fondamentaux qui, selon lui, guident la société israélienne contemporaine. Cette vision offre un éclairage sur les mécanismes psychologiques qui alimentent la perception collective en Israël. Premièrement, Levy souligne le concept profondément enraciné du « peuple élu » parmi les Israéliens. Cette conviction, selon lui, confère le droit de faire ce que bon leur semble. C’est un principe qui semble fournir une légitimation morale à certaines actions controversées. Deuxièmement, l’éditorialiste met en lumière la tendance historiquement unique de l’occupant israélien à se présenter comme la victime. Cette perception victimisante, affirme-t-il, permet à la société israélienne de vivre en paix en se positionnant comme la seule victime, ignorant ainsi les perspectives palestiniennes. Enfin, Levy pointe du doigt la déshumanisation systémique des Palestiniens, le troisième ensemble de valeurs qu’il considère comme le plus dangereux. Selon lui, cette déshumanisation permet aux Israéliens de maintenir un sentiment de paix intérieure, en niant effectivement la pleine humanité des Palestiniens et en écartant ainsi les questions fondamentales des droits de l’homme. (D'ailleurs l'éducation israélienne n'explique pas pourquoi est apparu le nazisme et donc fait des juifs les éternelles victimes innocentes.) » (Article du Media en 4-4-2)  Ainsi, il n’est pas condamnable d’effacer de la surface de la Terre Gaza, puisque ce ne sont pas des Humains, qui y habitent. Mais, je cite, des « animaux humanoïdes ». Dixit le ministre israélien de la Défense : « J’ai ordonné un blocus complet de Gaza. Il n’y aura pas d’électricité. Pas de nourriture. Pas de carburant. Pas d’eau. Tout est fermé. Nous luttons contre les animaux humanoïdes et agirons en conséquence. » Aucune réaction internationale. Aucune critique.                                     
Lors de cette guerre à Gaza, des allégations choquantes ont même refait surface concernant le vol d'organes sur les corps de Palestiniens tués par Israël(, voire vivants puis tués). Selon des médecins sur place, cette pratique abjecte ne serait pas nouvelle et aurait même été confirmée par des Israéliens eux-mêmes.                                                                  
« (La citation précédente provenant) du ministre israélien de la Défense, Yoav Galant, le 9 octobre dernier, aurait dû faire trembler les chancelleries du « monde libre » – qui nous rebat les oreilles avec le nazisme et le fascisme – si son droit-de-l’hommisme était sérieux. Les pays occidentaux auraient obtenu un mandat de l’ONU pour intervenir et arrêter Israël qui se lance pour la énième fois dans le massacre de la population civile de Gaza. Preuve, là encore de l’inanité des Nations unies et de la nécessité d’un monde équilibré par des puissances pouvant tenir tête à l’hégémon étasunien et à ses esclaves européens. L’unanimisme pro-israélien de « l’Occident collectif » est révélateur d’une dérive et d’une crise profonde. En effet, le soutien inconditionnel apporté par les dirigeants occidentaux à un État ouvertement raciste, colonial, qui pratique l’épuration ethnique, questionne. Il ne peut pas s’expliquer exclusivement par la puissance du lobby pro-israélien aux États-Unis et en Europe. Je propose ici une lecture historique de longue durée, combinée à l’anthropologie et à la théologie. Il faut, à mon sens, remonter à l’époque de la réforme protestante, pour saisir les origines de la révolution inégalitaire dans le monde occidental. Un inégalitarisme sous trois dimensions : théologique, sociale et raciale. Avec Martin Luther (1483-1546) s’opère une véritable rupture théologico-anthropologique dans l’Europe de la Renaissance. En effet, le luthérianisme abandonne la théologie des actes au profit de la théologie de la grâce qui est le versant religieux de l’inégalitarisme anthropologique qui a gagné les régions de l’Allemagne où le luthérianisme s’est répandu et implanté. Si le Saint-Empire romain germanique a perduré plus de huit siècles (962-1806), c’est parce que la structure familiale inégalitaire n’était pas encore établie dans l’espace germanique. Ainsi logiquement, l’affaiblissement du Saint-Empire romain germanique et son déclin commencent avec la révolution religieuse luthérienne, inégalitaire ; laquelle se caractérise par le rejet de l’Église catholique – une forme de séparatisme d’avec l’institution romaine qui représente l’universel, l’égalité, que l’Allemand a en horreur – et l’encouragement, par Martin Luther, du massacre des paysans en révolte, et des guerres opposant catholiques et protestants qui vont miner l’Europe chrétienne. Le protestantisme accentuera l’inégalitarisme germanique qui était entravé par le catholicisme, religion considérant les hommes comme égaux. On peut en déduire que Luther, qui distinguait les deux royaumes et reniait la Loi à la façon de saint Paul, utilisait cette même Loi, celle de l’Ancien Testament et son inégalitarisme fondamental, contre le message égalitaire des Évangiles, contre le message de Jésus face aux marchands du Temple notamment. Cette position de Luther, contre les petits (dont contre une révolution paysanne égalitaire) et du côté des puissants, valut au luthérianisme un renforcement de l’appui des princes et des bourgeois ; et ce aux dépens de son image populaire. La Réforme est profondément bourgeoise. Les oligarchies des villes mettent à profit le phénomène religieux pour confisquer à l’ancien clergé ses privilèges. Jean Calvin (1509-1564) accentuera très fortement l’inégalitarisme protestant, en faisant un retour plus radical que Luther à la Bible hébraïque. La prédestination calviniste finit par assumer un profil collectif, voire familial. Calvin reprend à la lettre la Torah, selon laquelle « Yahvé poursuit les crimes des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération » (Exode 20:5). En conséquence, le calvinisme postérieur proposera l’élection familiale. (Puis on passe logiquement) De la grâce à la race, écrit Bernard Cottret, « la prédestination a pu alimenter ultérieurement le discours eugéniste ou raciste – sans que Calvin soit en aucune façon responsable de cette dérive. Mais il est difficile de passer totalement sous silence l’utilisation détournée qui a pu être faite de la prédestination pour asseoir la suprématie de l’homme blanc protestant, en particulier dans le monde anglophone. Ou encore en Afrique du Sud dans l’élaboration de l’apartheid ». La structure familiale inégalitaire, qui engendre des systèmes politiques et des idéologies racistes et ethnocentrées, englobe un certain nombre de peuples, y compris les juifs, qui ont été désignés comme ennemis prioritaires par l’Allemagne nazie. « Il est assez pathétique de constater, écrit Emmanuel Todd, que les systèmes familiaux allemand et juif sont semblables dans leurs traits essentiels. Ces deux peuples sont remarquables par leur particularisme idéologique, qu’il soit politique ou religieux. » Le bibliste Jean Soler (1933-2019), qui a longtemps travaillé en Israël (il a été conseiller culturel et scientifique à l’ambassade de France en Israël de 1968 à 1973, et de 1989 à 1993) défend la thèse choquante d’une paternité idéologique juive du nazisme : « Hitler n’a jamais nié que Dieu ait fait des Juifs, dans l’Antiquité, son "peuple élu". Sa thèse est que les Juifs ont failli à leur mission en condamnant à mort Jésus [...] Mais Dieu a choisi un autre peuple, celui des Allemands (des Germains, fine fleur des Aryens) pour être désormais son nouveau "peuple élu". Avec Hitler pour "guide". Comme l’avait été Moïse. » Cette idéologie de l’inégalitarisme théologique, racial et social est inscrite dans la Bible hébraïque et y apparaît de façon récurrente. N’(y)oublions pas la dimension génocidaire que l’on retrouvera dans la politique israélienne et dans celle des anglo-saxons calivinistes en Amérique du Nord. La carte géographique des structures familiales inégalitaires correspond parfaitement à celle de l’implantation des religions et des idéologies inégalitaires : judaïsme, luthérianisme, calvinisme, nazisme, auxquels correspondent la sphère germanique, l’anglosphère et Israël. Il y a donc une correspondance entre anthropologie inégalitaire, religions/idéologies inégalitaires et systèmes politiques inégalitaire. La sécularisation des XVIe et XVIIe siècles, l’élimination progressive de l’Église catholique du champ politique, puis l’effondrement du catholicisme, égalitaire et universel, a ouvert la voie à la domination du monde anglo-américain et judéo-protestant, y compris dans ses formes laïcisées (jusqu'en France). Ce n’est d’ailleurs pas le fruit du hasard si Washington a choisi l’Allemagne post-protestante, de tempérament inégalitaire, comme gouverneur de l’Europe, au détriment de la France qui a longtemps joué le rôle de puissance d’équilibre entre l’Occident et l’Orient, et entre les États-Unis et la Russie. L’héritage résiduel du gaullisme, qui s’inscrivait dans la tradition millénaire (depuis Charlemagne) d’une politique extérieure à la fois réaliste et équilibrée, a disparu avec Jacques Chirac. « Une fois mis un terme à l’affaire algérienne, nous avions repris avec les peuples arabes d’Orient la même politique d’amitié et de coopération qu’avait été durant des siècles celle de la France dans cette partie du monde. Et dont la raison et le sentiment font qu’elle doit être aujourd’hui une des bases fondamentales de notre action extérieure. » (Le général de Gaulle, conférence de presse du 27 novembre 1967) L’intégration au grand-espace étasunien de l’Europe en général et de la France en particulier, avec le néoconservateur Sarkozy, a eu pour conséquence, non seulement l’alignement géopolitique sur l’axe israélo-américain, mais également l’imposition, par le haut, des valeurs judéo-protestantes. Le culte de l’argent, du self made man, l’exhibition des richesses, le mépris des petites gens... (Il faut noter que c'est à partir de 2008 que le régime de Sarkozy a purgé l’appareil français de tous ses éléments jugés « pro-palestiniens ». C’est durant cette présidence que la France va prendre le relais des politiques néo-conservatrices et renoncer à sa souveraineté pour devenir pleinement un vassal des États-Unis. Mais le 11 Septembre avait déjà fait beaucoup de mal aux musulmans des sociétés occidentales. Il s’agissait de fracturer la communauté nationale en deux camps, chrétiens (prosionistes) et musulmans (antisionistes), si possible irréconciliables. Et si réconciliation il y avait, un autre attentat venait tout redéchirer. N'est pas pas ce qu’on a vécu ?) L’effondrement accéléré du catholicisme à partir du concile Vatican II (1962-1965), a eu pour conséquence de libérer les tendances inégalitaires de la France ; tendances qui étaient contenues par la religion catholique. Les conséquences socio-économiques ne se sont pas fait attendre. Dès les années 1980 – le tournant de la rigueur de 1983 – la voie est ouverte en France au néo-libéralisme anglo-américain judéo-protestant. L’économie mixte, la tradition colbertiste, qui faisait la spécificité de la France (liberté d’entreprise combinée à un État fort qui empêche les dérives), sont minées.  Les inégalités se sont exacerbées, accompagnées d’un nivellement socio-économiques général vers le bas. Ce phénomène a également produit une fracture socio-éducative, une stratification de la société dont les 20 % du haut regarde avec mépris le reste de la société. L’acmé du phénomène est la séquence macronienne durant laquelle le mépris a pris la forme de la violence physique contre les Gilets jaunes et les insultes envers les « inutiles », les « gens qui ne sont rien », sortant de la bouche de Macron et de la haute bourgeoisie qui le porte. Cette crise socio-culturelle est caractéristique de tout l’Occident dirigé par une oligarchie qui se vit comme la race des seigneurs en guerre contre leurs peuples. Et ce n’est plus un non-dit. Il n’est pas accidentel que Yuval Noah Harari, le conseiller de Klaus Schwab (président du Forum économique mondial) qui divise le monde en deux catégories, « les dieux » et les « inutiles », soit un Israélien. L’État juif traite les Palestiniens comme des sous-hommes, le régime de Kiev traitait les Russes du Donbass comme des sous-hommes, et les dirigeants occidentaux traitent leurs propres peuples comme des sous-hommes. Et tout cela avec l’aval des « élites » occidentales. La crise interne à l’Occident se répercute dans les relations internationales. Le système de ségrégation sociale et civique (on l’a vu avec le covidisme) a pour pendant le ségrégationnisme géopolitique pratiqué depuis l’Antiquité par les puissances inégalitaires, qu’elles soient thalassocratiques (Athènes, la Grande-Bretagne, les États-Unis) ou terrestres (comme l’Allemagne), à l’inverse des empires terrestres égalitaires et intégrateurs (l’Empire romain païen et chrétien, la Russie, les empires musulmans, la Chine).  Cette dérive de l’Europe vers un inégalitarisme intérieur et extérieur est la conséquences historique de la victoire, en Occident, du triple inégalitarisme – théologique, social et racial – du judéo-protestantisme et de ses avatars. » (Extraits de l'article « Gaza, Israël et la dérive de l’Occident » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Gaza-Israel-et-la-derive-de-l-Occident-74188.html)                        
Or avec les bombardements massifs et aveugles, on est passé à Gaza d’une prison à ciel ouvert à un charnier à ciel ouvert composé aussi de chrétiens palestiniens. C'est pourquoi la position chrétienne en particulier en France doit être pour le Hamas, surtout que beaucoup d'israéliens sont irrespectueux envers les chrétiens de Palestine en particulier à Jérusalem et qu'Israël est allié à l’Azerbaïdjan. Et donc la position chrétienne doit être pro Iran, pro ancienne Syrie, et pro Hezbollah. D'autant plus que les hautes valeurs françaises ne peuvent restés neutres et doivent donc recherchées la justice. Par conséquent l'expression « ni kippa ni keffieh » de pseudos nationalistes est mauvaise, surtout que la France respectent toutes les religions. Aujourd’hui, les journalistes sont à la croisée des chemins : Israël est allé trop loin dans son expansion dévastatrice, écrasant les droits humains, montrant son vrai visage, celui de la haine biblique. Devant cet état de faits, qui sont indubitables, des journalistes mainstream commencent à douter. Certains rétropédalent, d’autres deviennent plus prudents dans leur défense inconditionnelle de la politique israélienne. C’est le moment de vérité, là où il faut choisir entre la résistance et la collaboration, l’avenir et le néant, la gloire et la dégradation nationale.                                                          
Surtout qu'ailleurs toujours sur cette même ligne, ce sont les Bouriates, peuple oriental de Russie, qui ne sont que des sous-hommes psychopathes, des animaux, comme l'a dit cite Arkady Milman, ancien ambassadeur d’Israël en Russie : « des animaux avec des instincts psychopathes complètement malsains de destruction de tout ce qui les entoure. »                                             
L’on voit ici un dérapage linguistique, qui est significatif d’une chute morale. La rhétorique nazie des sous-hommes est devenue une norme linguistique et politique(, alors que ce sont les américano-sionistes qui se servent des nazis en Ukraine et des terroristes de Daech). Tout est permis. La fuite en avant est terrible. Et le dernier scandale à l’ONU en est une illustration inquiétante.  Le Secrétaire général de l’ONU a simplement rappelé certaines vérités : les Palestiniens ont attaqué, car cela fait des années qu’ils sont agressés par Israël ; le droit à la défense ne justifie pas les atrocités et les crimes de guerre commis actuellement par l’armée israélienne contre les habitants de Gaza ; personne n’est au-dessus du droit international. La réaction d’Israël ne s’est pas faite attendre ; ces propos sont inacceptables et déconnectés de la réalité, le Secrétaire général de l’ONU doit démissionner. Rien de moins. De quelle réalité, s’agit-il ? De la réalité construite patiemment depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. De l’acceptation des violations systématiques du droit international par Israël dans ses guerres de conquête, puis d’occupation des territoires. De la réalité d’un Etat, qui est au-dessus du droit international, parce que ses aïeux ont souffert d’un génocide. L’impunité totale ne produit qu’une amoralité. Et nous le voyons aujourd’hui. Nous avons fait grandir un monstre, qui ne comprend pas qu’il doit respecter le droit international, qu’en-dehors des Juifs il y a aussi des Humains et qu’ils ont le droit à la vie – parce que, justement, ils sont humains. L’enfant-roi refuse de devenir adulte, il ne peut être qu’un tyran domestique. Mais avec une armée puissante, il est capable de faire beaucoup de dégâts. Et l’histoire ne l’en absoudra pas. Avoir été victime d’un génocide ne donne pas le droit d’en commettre un. » (Extraits de l'article à l'adresse « Israël et la normalisation de la rhétorique nazie : n’aurait-on pas enfanté d’un monstre ? » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/29/israel-et-la-normalisation-de-la-rhetorique-nazie-naurait-on-pas-enfante-dun-monstre/)                                              
Le représentant de la Russie auprès des Nations unies, Vasily Nebenzya, a accusé les pays occidentaux de « torpiller » les efforts visant à parvenir à un règlement pacifique de la situation en Palestine et a condamné les efforts des États arabes visant à normaliser leurs relations avec Israël avant que le conflit israélo-palestinien ne soit réglé. Le représentant russe a en outre déclaré que les critiques à l’égard des propos du secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans lesquels il a déclaré que le massacre du Hamas du 7 octobre « ne s’est pas produit en vase clos », étaient « imméritées ».                                                                                                     
Dans ce sens il a déclaré : « Nos collègues occidentaux font de leur mieux pour décrire tout cela comme si l’escalade actuelle était sortie de nulle part. Nous ne pouvons ignorer le fait que l’actuelle flambée de violence s’est produite dans le contexte de la violation systématique par Israël des résolutions du Conseil de sécurité et des Nations unies. Parmi eux, l’expansion illégale des colonies. Toute tentative d’ignorer ce contexte est une manipulation que nous ne pouvons soutenir. Pendant des années, les États-Unis ont bloqué toute tentative du Conseil de sécurité, tout appel à la modération, arguant qu’il est plus efficace d’aborder ces questions au niveau de la diplomatie régionale. Eh bien, il est désormais clair que cela a échoué. » Il a aussi précisé que pour la Russie, Israël, « puissance occupante », ne peut faire valoir la « légitime défense ».            
Sans surprise, mais il est important de le rappeler, le traitement médiatique des victimes palestiniennes, sous-humanisées, est loin de valoir celui des victimes israéliennes, sur-humanisées. D'ailleurs on ne parle plus de guerre israélo-palestinienne mais de guerre Israël-Hamas pour faciliter les bombardements massifs sur les civils par la diabolisation. En France, patrie des droits de l’homme plus sûrement israélien que palestinien, on se tait, dans les grands médias. On invite quand même quelques députés LFI pour faire bonne figure, histoire de dire – après coup – « on a eu le courage de parler de ce génocide », mais la plupart des médias mainstream respectent l’idéologie d’extrême droite de Tel-Aviv et sa fureur génocidaire, tout en dénonçant l’extrême droite française qui ne tue personne. (Or avec l'entrée de LFI dans le Nouveau Front Populaire, la question palestinienne est de plus en plus évitée. Désormais ceux qui soutiennent Netanyahou et son génocide ont droit de cité dans les médias ; et ceux qui dénoncent le génocide sont attaqués ou invisibilisés. Les médias mainstream disparaîtront avec leur idéologie mortifère. Ils devront s’expliquer pour avoir donné la parole à les Philippe Val, des Korsia et des Ventura.) Autrement dit, l’extrême droite française, quoi qu’elle fasse, reste bourreau, et l’extrême droite israélienne, quoi qu’elle fasse, reste victime, alors que la Chine, nation défendant depuis l'antiquité l'humanisme, l'harmonie, l'ordre et la prospérité, puis le communisme, considère que rien ne justifie ce massacre immoral causé par Israël, de même que ses annexions répétées, à tel point que la Chine ne commerce plus avec Israël, ce qui correspond à 80 % en moins de containers pour les ports israéliens. Le monde occidental en grande partie déchristianisé et ne croyant plus en rien devrait même maintenant croire selon Netanyahou et certains médias qu'il y a un peuple élu israélien se prétendant le peuple de lumière afin de légitimer ses bombardements sur un peuple des ténèbres, dont dans le sens de la Civilisation (israélienne et occidentale) contre la barbarie d'autant plus honteusement, ce qui prouve leur soumission au faux messie (antéchrist et même antichrist progressiste, wokiste, Lgbtiste, ploutocratique, sioniste) puisque c'est l'inverse. L'inégalité de traitement se fait à travers l'humanisation des israéliens en parlant de tués concernant les juifs, en condamnant les crimes palestiniens, en invitant que les juifs sionistes sur les plateaux TV, en accusant pas de terrorisme l'armée israélienne et en montrant des photos d'israéliens, et à travers la déshumanisation des palestiniens en parlant de morts concernant les palestiniens, en ne condamnant pas les crimes israéliens, en n’invitant pas les juifs antisionistes sur les plateaux TV, en accusant de terrorisme le soutien à la cause palestinienne et en omettant de montrer des photos de palestiniens. D'ailleurs les otages libérés par le Hamas ont des visages, des prénoms, une histoire, une importance, alors que les Palestiniens écrasés sous les bombes sont une masse, un collectif sans visage, sans prénom, sans passé, sans importance. Les médias, ça sert à changer une souris en dinosaure et un dinosaure en souris. C’est un entonnoir qui fonctionne de deux façons, en agrandissant ou diminuant. L’humanisme, on est d’accord, mais alors des deux côtés, s’il ne laisse personne sur le bord de la route. Sinon ce n’est pas de l’humanisme, mais de l’humanisme partial, c’est-à-dire du racisme déguisé. Un groupe de journalistes de la BBC a même accusé la chaîne de télévision d’accorder plus d’attention aux personnes tuées parmi les Israéliens qu’aux victimes Palestiniens de la bande de Gaza, a indiqué Al Jazeera. À la BBC, les termes « carnage » et « barbarie » peuvent être utilisés uniquement dans les reportages qui parlent des actions du Hamas, ont déclaré les journalistes. La chaîne britannique met souvent en avant les difficultés et les pertes des familles israéliennes, en omettant celles des familles palestiniennes, indique ladite lettre, sauf quelques rares exceptions expliquent les signataires de la lettre qui ont très logiquement indiqué que la réponse d’Israël était disproportionnée par rapport à l’attaque du Hamas. En effet la riposte d'Israël est très loin d'être proportionnée, et cela montre un projet plus vaste. De plus ce sujet devient ainsi tabou et divise la société, ce qui est contre-productif à la paix que les gouvernements prétendent pourtant vouloir obtenir. (A tel point qu'en France, l'oppression sioniste se fait de plus en plus grotesquement mais très tyranniquement sous l'excuse que plus Netanyahou est violent et génocidaire, plus il ne faut pas le dénoncer sous menace de condamnation judiciaire « d'incitation à la haine (voire au crime envers les juifs) » pour le pseudo prétexte d'éviter l’antisémitisme, la division, la violence et le terrorisme, même quand il s'agit des comprendre tensions pour les résoudre égalitairement, pacifiquement et démocratiquement, au point de faire de la prison ferme pourtant donc pour avoir utilisé les valeurs défendues par le système.) Il faut donc arrêter ce double standard, cette manipulation de notre empathie, cette condamnation sélective et ce droit sélectif à la parole. Sinon le stade suprême et ultime de la lutte contre l'antisémitisme correspond à l'honteuse validation du génocide à Gaza, ce qui peut aussi être liée à l'islamophobie par ailleurs. C'est pourquoi les dirigeants occidentaux supportant plus ou moins le massacre à Gaza sont e très indignes laquais du sionisme internationale, comme de nombreuses personnes pensant plus à sauver la faune et la flore dans le monde que les gazaouis.                                                       
Or par rapport à toutes les perversités liées au gouvernement Netanyahu, Jacques Attali a dit : « Benjamin Netanyahu est l'un des pires ennemis de la survie de l'Etat d'Israël(, mais aussi de la diaspora suite à la détestation des bombardements meurtriers sur les palestiniens et donc au bas raccourci de beaucoup vers le détestation des juifs pouvant pousser ces derniers à émigrer en Israël en particulier les plus pauvres, même si Tsahal parle beaucoup de guerre de civilisation entre le monde judéo-chrétien et le monde musulman ou plutôt islamiste via les médias occidentaux, dont possiblement pour déclencher la guerre jusqu'au Grand Israël). » En ne cautionnant pas la politique israélienne actuelle, Jacques Attali reste en phase avec sa doctrine universaliste wokiste du type « Black Lives Matter » et avec l’idéologie progressiste promue par les démocrates américains. Rappelons au passage que LVMH a sponsorisé Assa Traoré, tout en apportant son soutien financier à la cause LGBT… Ça ratisse large chez eux ! Si Attali se repose sur la ligne mondialiste et apatride de Georges Soros, il est foncièrement opposé au sionisme dur, nationaliste et suprémaciste du Likoud. Attali rêve, de façon messianique, d’une Jérusalem « capitale du gouvernement mondial » revendiqué, mais dans une logique mondialiste de suppression des frontières, de lissage universalisant et de nomadisme béat (supra-nomades et infra-nomades).

Le 20 juin 2020, Assa Traore, matrone d’un gang de banlieue marketée comme une « Angela Davies » à la « française » a reçu aux États-Unis le prix BET Global Good, remis par la chaîne communautariste noire américaine BET (pour Black Entertainment Television). Cette chaîne, propriété de la Paramount (encore Hollywood), offre également un prix LGBT. Nous voici encore au croisement de l’industrie du divertissement, du mondialisme et du communautarisme made in USA. Soutenue par SOS Racisme, Louboutin et Rothschild, cette fausse héroïne populaire, mais véritable racaille et chef de bande à Beaumont-sur-Oise, qui fait la Une de Time Magazine comme « Guardian of the Year » est également autorisée à s’exprimer dans l’enceinte de l’ONU au nom de la justice raciale. Les Wikileaks (encore eux) révèlent que l’ambassadeur US Charles Rivkin entend travailler « avec les musées français et les enseignants pour réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises, pour qu’ils prennent en compte le rôle et les perspectives des minorités » ! Il développera un important réseau de détection des «leaders de demain», issus de la diversité, qui seront invités à visiter dirigeants et responsables associatifs aux États-Unis. Il invitera de grands noms d’Hollywood (l’acteur noir Samuel L. Jackson, l’actrice réalisatrice lesbienne Jodie Foster et le producteur « lithuano-américain » Robert Zemeckis) à s’adresser à des jeunes « défavorisés » en France. La rhétorique communautariste qui est une vague promesse de bonheur individuel divise la France et d'autres nations, alors qu'un empire unit les communautés.                
Antoine Plaquevent : « […] il est stratégiquement stupide pour des conservateurs ou des identitaires de se mettre à la remorque du discours israélien en France. C’est monter dans un bateau qui coule et passer pour des racistes suprémacistes, là où nous défendons notre identité et notre souveraineté et le droit des peuples à rester eux-mêmes. Ni globalisme, ni suprémacisme, mais : identité, souveraineté, puissance. Nous n’avons pas à rester prisonniers de la dialectique interne au judaïsme politique polarisé entre racisme et mondialisme, mais à suivre notre propre orientation française, chrétienne, romaine (et hellénique philosophiquement).                                           
Or « (Même si) L’immigration est passée au second plan, elle se normalise davantage, parce qu’elle devient implacablement submersive. (Pourtant) La nouvelle problématique, érigée en spectacle politico-médiatique, devient depuis lors l’islam radical. À une nouvelle ère, une nouvelle sémantique. Médiatiquement effrayés par une certaine faction de la droite et le discours islamo-centré laissant perpétuellement planer le spectre de l’islamisation radicale forcée de notre société, nous sommes en droit de penser que nos dirigeants sont devenus schizophrènes lorsque nous les regardons se conformer, avec zèle, aux directives européennes qui, sous de fallacieux arguments comme le repeuplement de nos campagnes désertées, les obligent à accueillir avec une absolue bienveillance des flux migratoires erratiques et incontrôlés… Ces mêmes responsables politiques s’apitoient ensuite sur les méfaits d’un terrorisme islamiste qui n’est que l’exhalaison de la géopolitique de déstabilisation du Moyen-Orient, impulsée, au début des années 90, par les Américains sous les Bush, Brzeziński et consorts. Terrorisme qu’ils ont parfois eux-mêmes soutenu par le financement de pays à domination wahhabite, tels que le Qatar ou l’Arabie saoudite, ou provoqué, comme le cas de la Libye, devenue aujourd’hui une passoire névralgique du trafic de migrants ! Ce double langage de nos « élites » relève incontestablement d’un cynisme effronté !  Emmanuel Macron a pris le monde par surprise en lançant un appel à un possible projet de coalition internationale (inspirée de la coalition contre l’État islamique) pour détruire le Hamas. Il semblerait que cette déclaration n’ait pas fait l’objet de consultations préalables auprès de ses alliés. L’idée pourrait sembler séduisante pour les Américains, mais la pente est glissante. Le risque d’embrasement est élevé. Il peut provoquer une déstabilisation des BRICS utile à l’hégémon américain et à Israël, mais peut aussi engendrer une extension du conflit ou, a contrario, un enlisement du type Ukraine, qui leur serait potentiellement défavorable. La situation est compliquée, car si l’actualité israélienne est favorable aux Américains pour dissimuler le fiasco ukrainien et faire oublier l’entreprise de propagande grotesque conduite par l’industrie médiatique des pays membres de l’OTAN, le conflit ukrainien a démontré l’incapacité logistique de ces mêmes États membres à soutenir un effort de guerre de haute intensité qui impliquerait plusieurs grandes nations. Avec, comme le soulignait au printemps le Council on Foreign Relations (CFR), peu de temps avant le sommet de l’OTAN à Vilnius, un manque à gagner à moyen long terme pour l’image et la cotation en Bourse du complexe militaro-industriel américain. Par conséquent, il me paraît évident que les États-Unis n’ont pas immédiatement intérêt à ce que le conflit s’embrase à l’international, tout comme ils n’ont actuellement aucun intérêt qu’un dirigeant comme Netanyahou, qui joue constamment avec des allumettes au-dessus d’un baril de poudre, ne reste au pouvoir. Il n’est donc pas improbable que, dans un futur proche, une fois les tensions redescendues, l’éviction d’un Netanyahou impopulaire, talonné par un litige avec la justice, provienne de l’intérieur (mouvement social, ou financement d’une opposition). Gaza mis à part, les États-Unis n’ont aucune raison de ne pas continuer à opposer leur veto régulier au Conseil de sécurité de l’ONU sur les résolutions condamnant la colonisation israélienne en territoire palestinien, la colonisation étant pourtant admise comme contraire au droit international (on comptabilise au total trente utilisations du veto pour bloquer des résolutions concernant Israël). L’utilisation récurrente de ce veto par les Américains est à l’une des principales causes de la pérennisation du conflit, de même qu’elle participe au soutien de la politique d’expansion et de renforcement d’Israël indispensable à la déstabilisation du Moyen-Orient ; l’Iran restant une menace conséquente pour les Américains, surtout pour leur allié israélien, en cas d’embrasement régional, voire international. Avec un peu de recul, je m’avancerais à dire que le peuple israélien est victime d’une entreprise mondialiste, dont les intérêts politiques et financiers le dépassent pleinement et ne desservent qu’une caste de puissants apatrides(, mais cela a déplacé aussi géographiquement la pression occidentale en Syrie et en Ukraine). Il en a été de même pendant la période Covid-19, période durant laquelle la population israélienne a été vaccinée à outrance. » (Extraits de l'article « François Dubois : Point de situation sur le conflit Israélo-Palestinien » à l'adresse https://lemediaen442.fr/francois-dubois-point-de-situation-sur-le-conflit-israelo-palestinien/)                                                     
« Dans le brouillard de la guerre, les parties au conflit ont des points de vue différents sur ce qui s’est passé pendant le raid initial et ses conséquences. Il n’est pas contesté que les groupes armés palestiniens ont infligé des pertes importantes à l’armée israélienne, mais il y aura de nombreux débats sur tout le reste dans les semaines et les mois à venir. Une enquête internationale indépendante et impartiale est nécessaire de toute urgence, une enquête qui ait accès aux informations de toutes les parties impliquées dans le conflit. Ni les Israéliens ni les Américains n’accepteront cette proposition, ce qui suggère que Tel-Aviv et Washington ont beaucoup à cacher. Pendant ce temps, les civils palestiniens à Gaza subissent de grosses aveugles et continues avec les armes lourdes les plus sophistiquées qui existent, et vivent sous la menace persistante de la mort ou d’un déplacement forcé et potentiellement irréversible. (D'ailleurs selon l'ancien officier général Yakovleff, il est impossible à Israël d'avoir préparé stratégiquement 11000 bombardements en moins d'un mois(, à moins que cela soit déjà laissé à une IA afin d'enlever beaucoup l'action humaine ou/et pour faciliter des massacres). Ce qui correspond au niveau de destruction de la bombe atomique sur Hiroshima et à un an de guerre en Ukraine.) Ce blitz aérien israélien n’a été rendu possible que par le flot d’histoires non fondées sur les « atrocités du Hamas » que les médias occidentaux ont commencé à diffuser à partir du 7 octobre. » (Extraits de l'article « Que s’est-il réellement passé le 7 octobre ? » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/26/que-sest-il-reellement-passe-le-7-octobre/)                                                                             
Il est important de savoir que cela n'a pas été seulement une opération djihadiste des Frères musulmans, mais une attaque de l’ensemble des Palestiniens de Gaza. C'est à dire que l’attaque d’Israël le 7 octobre 2023 (opération « Déluge d’Al-Aqsa ») n’a pas été perpétrée par le seul Hamas. Son déclenchement a été décidé par une chambre d’opération unitaire de l’ensemble de la résistance palestinienne. Seul le Fatah de Cisjordanie, qui se tient à l’écart des groupes précités et dont le président, Mahmoud Abbas, est gravement malade, n’y a pas participé.                                          
Selon le Hamas, leur attaque étant une question de survie existentielle de la Palestine dont dans le sens de l'eschatologie islamique, et selon le gouvernement Netanyahu, leur réponse étant une question de survie existentielle d'Israël dont dans le sens de l'eschatologie sioniste, cela amplifie fortement les tensions et rend très compliqué le règlement de la situation dans cette région et même dans le monde vu les implications. Le messianisme, le millénarisme et le sionisme religieux sont donc désormais des sujets désormais incontournables.                             
Rien de neuf en ce qui concerne les méthodes et projets israéliens, comme le prouvent aussi l'Europe et le monde arabe menacés très concrètement de disparition par le messianisme sioniste organisant l'annihilation physique des populations : transsexualité, mariage homosexuel, euthanasie, avortement, métissage d’un côté, massacres de l'autre. Ce qui n'est pas étonnant car c’est ainsi que s'annonce dans les textes sacrés du judaïsme le triomphe d Israël, cet état qui n'aurait jamais dû voir le jour.   
Le plan sioniste suit son cours ! Le coucou sioniste occupe "presque " totalement le nid palestinien ! Depuis 75 ans qu’il écrase les œufs et les jette hors du nid, encore quelques massacres, enrobés de quelques cris d’orffrais de la "communauté internationale" et l’Histoire de ce pays ne sera plus qu’un souvenir , que cette même communauté internationale effacera tres vite de sa triste mémoire ! Les États-Unis et Israël sont les deux seuls pays créés sur l’élimination physique quasi totale des peuples othoctones, d’autres avaient essayé ailleurs, mais eux seuls en réussit ou sont en passe de le faire ! Depuis 75 ans après la proclamation de l’État d’Israël, ses frontières dans la région restent étrangement ou plutôt perversement indéfinies... Seul pays au monde dans ce cas. Comment voulez-vous qu’un pays qui n’a pas de frontières, connaisse ses limites ?                        
Surtout que la légitimation de la guerre totale (voire de l’épuration ethnique ou le génocide) contre les palestiniens se fait de plus en plus :
-en rappelant la légitimité de celle faite à l'Allemagne nazis. Jacques Kupfer, ancien président du Betar et du Likoud de France, ancien dirigeant de l’Organisation sioniste mondiale et membre du conseil d’administration de l’Agence juive, co-président du Likoud mondial, a même été jusqu'à dire le 15 juillet 2014 : « Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. À juste titre. Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. À juste titre. Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza. Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »
Il est injustifiable que les partisans de la guerre totale contre le Hamas invoquent Dresde, Hiroshima et d’autres atrocités pour justifier leur démarche de bombardements totale, négligeant le fait que ni l’Allemagne ni le Japon n’avaient personne pour pleurer sur eux après la guerre, alors que les Palestiniens ont 1,8 milliard de musulmans pour pleurer sur eux aujourd’hui. Il est évident qu’Israël ne peut pas poursuivre jusqu’au bout son objectif de destruction du Hamas sans provoquer des morts à une échelle biblique. Il n’y a aucune raison pour que les États-Unis adhèrent à ces objectifs. Le choix de Biden est de soit se montrer ferme avec les Israéliens soit d’accepter ce qu’il craint d’être une gigantesque catastrophe. Surtout que donner carte blanche aux bombardements massifs au nom d’un « combat contre le djihad », c’est très gravement dire que les femmes et les enfants sont tous des terroristes.
La spoliation territoriale et l’épuration ethnico-religieuse de la Palestine n’est pas un accident du sionisme, c’est son essence même, comme l'a prouvé l’État Israël depuis le début de sa création et même avant. L'entité sioniste a même tenté par tous les moyens de faire du mythe colonial de la « Terra Nullius (une terre qui peut être colonisée et occupée parce qu'elle est « vide ») » une réalité en Palestine, mais toutes ces tentatives ont échoué. Le concept juridique de « Terra Nullius » a été invoqué par les colonisateurs britanniques lors de l'occupation de l'Australie. Pourtant, la revendication palestinienne du territoire du fleuve Jourdain à la mer en plus promis par les britanniques durant et après la première guerre mondiale est d'autant plus légitime, car il s'agit de leurs terres ancestrales.                                                                
Divers politiciens proposent même que les pays arabes proches voire les pays européens accueillent les millions de gazaouis voire palestiniens, alors que vu la situation géographique de la Palestine, ce serait plutôt évidemment aux USA d'accueillir les millions de juifs israéliens. Des membres du gouvernement Netanyahou veulent en plus expulser toute la population arabe de Palestine.                  
Yoav Gallant, ministre israélien des Affaires militaires, a encore dit dans ce sens le 9 octobre 2023: « Israël doit accroître la pression humanitaire sur la bande de Gaza afin qu'à terme des centaines de milliers de Gazaouis affamés et assoiffés franchissent le terminal de Rafah (pour avoir accès à l'aide humanitaire mondiale dans le Sinaï). »                                                                           
D'ailleurs la déclaration du secrétaire d’État américain Antony Blinken lors de sa tournée au Moyen-Orient en Janvier 2024, selon lesquelles des membres du Hamas se cachaient parmi les civils dans la bande de Gaza, vont clairement dans ce sens.                                                
Il est important de lire à ce sujet l'article « L’épuration ethnique en Terre sainte, de la Bible hébraïque à nos jours » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-epuration-ethnique-en-Terre-sainte-de-la-Bible-hebraique-a-nos-jours-73848.html   Or la cour Internationale (CPI) a même lancé une procédure dans l'espoir d'obtenir un mandat d’arrêt international contre le président Netanyahou et le ministre de la défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, dont car il s'agit clairement d'un châtiment collectif, synonyme en plus de premier génocide en direct. Surtout que la CPI a été créé au départ pour contrôler des pays africains et autres pays faibles du monde. Or cet événement à la CPI peut aussi au final servir à disculper Israël.                                                                                  
« Il est indéniable que la Cour pénale internationale joue le rôle d’un gardien vigilant dans le paysage politique occidental. Elle agit comme chien de garde dans le « jardin » de l’Occident constamment à l’affût du souverainisme des Africains et d’autres « jungles » ! La CPI est bien un outil de l’Occident prédateur au service du Grand Capital. Elle agit comme une épée Damoclès sur les irréductibles. En écoutant l’annonce du procureur de la CPI, on a constaté que c’est le procès du Hamas qui est mis en avant, reléguant ainsi ceux de Netanyahou et de Gallant au second plan, en sachant que ces derniers en Israël pourraient être une mystification pour faire croire que Netanyahou n'a pas le choix de faire la guerre pour ne pas aller en prison et qu'Israël demeure une démocratie. Il semble avoir réussi à trouver une manière de mélanger les genres pour brouiller les vues et les avis. À moins qu’il ne s’agisse d’un coup de gueule de Khan, suite à des menaces insupportables, visant à anéantir cette Cour ! L’Occident devenant sourd, muet et aveugle, ce sera désormais le Sud Global qui prendra le relais des poursuites judiciaires, en utilisant leur CPI, contre les auteurs de génocides et des crimes de guerre. Israël ne se pliera pas aux juridictions internationales, que ce soit la CPI ou la CIJ, même au risque d’être exclu de l’ONU. Or La CPI, institution des mondialistes, demeurera un tigre en papier qui protège le «jardin» occidental, et aucune nation occidentale n'arrêtera un dirigeant israélien suite à un de ses éventuels mandats d'arrêts, en particulier tant que les USA soutiendront Israël. Ce genre de «justice internationale» prétendument «indépendante» n’a jamais existé et n’existera jamais! Demander à cette Cour, qui est manipulée à des fins politiques par un Occident prosioniste, de juger en faisant la différence entre un génocide en direct et la lutte armée contre l’occupation, est tout simplement inconcevable. Ne nous berçons pas d’illusions! C’est la première fois qu’une instance judiciaire internationale parvient à se mettre à dos à la fois la victime et le coupable ! On l’observe également avec toutes les organisations de défense des «droits de l’homme et des libertés» qui sont  manipulées contre finances. Dans cette confusion, il n’est pas étonnant que des pays européens comme l’Irlande, la Norvège et l’Espagne reconnaissent, aujourd’hui, l’État de Palestine. On retiendra, toutefois, que cette demande de mandat d'arrêt contre des dirigeants israéliens restera une épine dans leur pied, une gêne insupportable et constante, jusqu’à ce que justice soit rendue tôt ou tard. » (Amar Djerrad)                                                   
Et « Dans une décision historique, la Cour internationale de justice (CIJ), organe judiciaire principal des Nations Unies, a déclaré illicite la présence continue d'Israël dans les territoires palestiniens occupés. La Cour a également dénoncé des discriminations systématiques à l'encontre du peuple palestinien, qui s'apparentent à de la ségrégation ou à un régime d'apartheid. La Cour s’est appuyée sur les conventions de Genève pour rappeler qu’Israël est tenu de respecter le droit du peuple palestinien à l’autodétermination. Elle a également appelé tous les États à reconnaître comme illicite la situation dans les territoires palestiniens occupés. Bien que cet avis soit non contraignant, il pourrait exposer Israël à de nombreuses répercussions juridiques, diplomatiques et économiques.  Cette décision intervient dans un contexte de violations flagrantes des droits fondamentaux des Palestiniens depuis des décennies. Les massacres se poursuivent à Gaza dans l’indifférence générale, tandis que les ordonnances de la CIJ sont ignorées par le gouvernement israélien. Malgré les avertissements de la communauté internationale, rien ne semble freiner la politique coloniale d’Israël, qui risque de mener la région vers une guerre catastrophique pour tous. » (Média en 4-4-2) Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général de division Hossein Salami, a exhorté les pays musulmans à couper les voies d’acheminement de l’aide vers Israël après que la Cour pénale internationale a émis des mandats d’arrêt contre de hauts responsables israéliens pour crimes de guerre contre les Palestiniens dans la bande de Gaza. La Chambre préliminaire de la Cour pénale internationale a émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre des Affaires militaires Yoav Gallant pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis entre le 8 octobre 2023 et le 20 mai 2024, le jour où les demandes de mandats d’arrêt ont été déposées. Selon les mandats d’arrêt, les accusés pourraient être arrêtés s’ils se rendent dans l’un des 124 États membres de la CPI. -en omettant de rappeler le moment fondateur de la violence, qui n’est autre que l’établissement du brutal et suprémaciste régime colonial sioniste en 1948 qui se répète quotidiennement sous diverses formes et manifestations. Sans prendre en compte ce moment fondateur et sa répétition presque quotidienne, il est impossible de comprendre la violence infligée aux Palestiniens par le régime occupant et illégitime ainsi que la légitime défense des Palestiniens quelles que soient ses formes. L’omission de ce moment fondateur permet ainsi de qualifier l’opération du Hamas de violence injustifiée totalement irrationnelle et donc barbare, alors que c'est une réponse à la barbarie du terrorisme d'Etat israélien après avoir patienté des décennies.                                   
-en évitant l’absence d’analyse raciale de la situation. Depuis sa création, l’entité sioniste a établi une division ontologique entre Israéliens et Palestiniens, aboutissant à une dichotomie entre ceux considérés comme humains et ceux considérés comme non-humains. On peut donc affirmer qu’il n’est pas possible d’analyser la Palestine et la réponse palestinienne sans prendre en compte la structure raciale et coloniale sioniste. 
-en refusant le blâme de la victime. De ce point de vue, on attend donc de la victime qu'elle soit « parfaite » pour recueillir le soutien de l'opinion des pseudos élites occidentales. Dès que leur victime décide d’agir et cesse d’être passive ou endormie, les critiques et les condamnations se multiplient. Leur victime parfaite est celle qui n'a pas la capacité réelle d'agir pour modifier le statu quo politique et, en tout cas, doit être considérée comme « respectable » selon leurs volontés politiques. On peut donc affirmer que le système occidental cherche à manipuler l'opinion publique  en montrant que la victime palestinienne n'est pas parfaite, car elle n'est pas dans un perpétuel état de passivité absolue. Cette perspective est antipolitique car elle nie la possibilité de changer le statut de la victime et la confine dans un état d'oppression permanente sans possibilité de le modifier. De manière très perverse, cela tend même à ce que la « victime parfaite » se transforme en « oppresseur » dès qu’elle acquiert de l’action, comme cela a été évident dans le cas palestinien. En d’autres termes, un soutien peut être proposé aux victimes à condition qu’elles ne remettent pas en question les fondements occidentaux. Mais ce principe ne s’applique même pas à la situation en Palestine, puisqu'elle est rabaissée depuis des décennies. Il est important de souligner que se concentrer sur les prétendues « imperfections » des victimes palestiniennes équivaut à une complicité dans la domination coloniale sioniste.                                                      
-en délégitimant la résistance armée contre le régime colonial sioniste.                                           
-en omettant que la stratégie de collaboration de l’Autorité palestinienne, en particulier sous son président actuel Mahmoud Abbas, n’a pas réussi à mettre un terme à l’expansion sioniste illégale.
« C'est peut-être l'une des premières fois qu'un personnage public s'exprime librement sur un plateau télé et dit tout haut des vérités cachées. Alain Dieckhoff, sociologue, directeur du centre de recherche international de Sciences Po (CERI), directeur de recherche au CNRS, revient sur le projet du parti sioniste religieux au pouvoir en Israël avec à sa tête Benyamin Netanyahu. Interrogé lors de l’émission C ce Soir sur France Télévision, Alain Dieckhoff, directeur de recherche au CNRS, auteur de « Israël-Palestine : une guerre sans fin ? », a révélé l’évolution des dirigeants sionistes israéliens vers une politisation du messianisme, avec des implications controversées telles que le projet du troisième temple et la possible épuration ethnique : « Ils croient dur comme fer que ce qu’ils font n’est pas uniquement politique mais que ça a une dimension religieuse. Les messianistes au pouvoir d’Israël se foutent du droit des Palestiniens, ils veulent accélérer la fin des temps et la venue du Messie. » Alain Dieckhoff va encore plus loin, il évoque clairement le projet d’épuration ethnique sous couvert de l’application stricto-sensu des Prophéties d’Esaïe : « Ils pensent que ça va accélérer la fin des temps et donc la venue du Messie. Ultimement, cela se manifeste dans leur projet de construire le troisième temple, un projet qu’ils ne cachent pas. Ça voudrait dire qu’à terme, la mosquée Al-Aqsa et le dôme du Rocher seraient détruites et qu’on reconstruirait le troisième temple. Il faut bien comprendre que c’est ce type de personnes qui ont un rôle clé dans le gouvernement actuel. » » (Media en 4-4-2)
Or le message véhiculé par le déploiement américain de deux porte-avions est que l’entité sioniste ne peut pas affronter le Hamas et les autres membres de l’axe de la Résistance, en particulier le mouvement de résistance libanais Hezbollah, sans l’aide des États-Unis et d’autres alliés occidentaux. C'est à dire qu'on peut affirmer que ce qui s’est produit à Gaza et en Palestine occupée est, d’un point de vue politique, une révolte anticoloniale exprimée en termes islamiques et révolutionnaires, que les points précédents cherchent à cacher cette réalité.                                

Pour parvenir à une monnaie mondiale unique, les mondialistes doivent donc commencer par organiser un effondrement économique global. Or pour éviter que le système mondialiste s'en fasse accuser, il pourrait de temps en temps faire gagner l'extrême droit nationaliste aux élections présidentielles de divers pays afin de le lui attribuer la responsabilité. Mais les quinquennats grandement pro-système de Macron montre que le pouvoir est en fait logiquement prioritaire quelles que soient les conditions. Surtout que cet effondrement économique pourrait faciliter la mise en œuvre législative d'une grande partie du great reset.
Et comme c'est urgent, l'actuel système bancaire mondialiste pourrait désormais disparaître à travers des monnaies numériques nationales et des cryptomonnaies basées sur des blockchains en parties décentralisées, puisque cela peut être un populaire nouveau système monétaire, économique et financier solidifiant apparemment la stabilité de l'économie mondiale par sa transparence et sa perfection. D'autant plus que par rapport à l'actionnariat prédateur, les projets en cryptomonnaie permettent de faire venir des investisseurs tout en conservant le créateur du projet, le fondateur d'une entreprise ou la souveraineté d'un pays. Surtout que
comme nous comprenons notre surveillance par le ministère des impôts, il devient donc important d'orienter notre époque moderne corrompue vers de décentralisées blockchains étatiques surveillées par des comités populaires et consultées hors anonymat seulement en cas de litige commercial ou de prise d’impôts, c'est à dire dans un juste milieu entre surveillance économique et liberté individuelle, ou inversement avec de centralisées blockchains étatiques surveillées par des comités populaires.
Or la caste mondialisée ultra riche cherche à empêcher ce bon changement de paradigme en créant des monnaies numériques centralisées au sein des banques centrales privées synonyme d'une hyper surveillance voire d'un hyper contrôle oppressif. En effet la centralisation (concentration) de l'économie par les multinationales, la centralisation (concentration) de la finance par les grandes banques d’investissement (dont Black Rock, Vanguard et Goldman Sachs) et la centralisation (concentration) de la création monétaire par les banques centrales privées sont clairement le système chéri de la ploutocratie actuelle. C'est à dire que cette monopolisation de l'hyper classe n'hésitera pas à continuer perversement cette course folle d'hyper centralisation synonyme de pouvoir absolu jusqu'à appauvrir la classe moyenne comme l'ont fait la crise de subprimes, le covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique. Or c'est la démolition contrôlée de l’économie mondiale par le confinement qui a produit le plus grand transfert de richesse de la classe moyenne vers l’occidentale oligarchie mondialiste et sioniste. D'ailleurs pour augmenter ses privilèges égoïstes et son pouvoir, cette caste diabolique a aussi souvent provoqué de graves déstabilisations financières comme en Grèce et au Liban, toujours plus d’endettement des nations, des révolutions de couleur occidentaliste, des coups d’État, des guerres civiles et des guerres internationales comme en Irak, Libye et Syrie. Toutes ces perversités s'incarnent particulièrement à travers l’impôt monétaire ne figurant pas dans le publique Code fiscal de la République laïque française et qui est donc illégal, mais que les banquiers centraux privés collectent sans jamais être inquiétés. La centralisation du système sera donc toujours le problème du capitalisme par son oppression, ses combines et son chantage.

Pierre Jovanovic : « Vous, directeurs des banques centrales et privées, avez imprimé avec vos photocopieuses l'argent dette ou en avez profité, et nous, l'avons payé avec notre travail, nos demeures et nos terres. Par conséquent vous devez aller en prison. »

Ainsi la création monétaire étant normalement un devoir régalien mais qui est désormais contrôlé perversement par le privé pourrait bien être confiée à l'Etat par la décentralisation d'une cryptomonnaie stable surveillée par des comités populaires se renouvelant, mais aussi au peuple par la décentralisation d'une cryptomonnaie stable surveillée par l'Etat. En effet il est désormais évident que la décentralisation économique de certaines blockchains, les cryptomonnaies d'investissement populaire préservant donc à la tête des projets leurs propriétaires ou les Etats, et la création de la subsistance de base à travers un retour au village avec la technologie moderne semblent bien la meilleure solution pour adapter cette technologie moderne aux besoins et conforts humains de base et pour que les peuples ne reçoivent plus seulement les miettes de la ploutocratie mondiale planétaire actuelle. Cependant pour empêcher cela et pour favoriser cette ploutocratie mondiale, les oligarques corrompus semblent prêts à provoquer une guerre chaude militaire généralisée, par preuve qu'une guerre chaude financière est en cours contre la Chine, la Russie, l'Iran, le Liban et le Venezuela par des sanctions économiques, des taxes, des pressions politiques et d'appauvrissantes batailles militaires interminables par procuration comme en Ukraine, Syrie, Libye et Yémen. Et pour éviter une grande prise de conscience populaire en Occident à ces sujets, il sont très rarement évoqués dans les médias dominants sauf l'Ukraine qui est limitrophe avec l'Union Européenne et liée à la Russie. Car comme le dit l'expression : « loin des yeux, loin du cœur ». Or l'effondrement économique global voulu par les messianistes pervers est actuellement précédé par les effondrements culturel, psychologique, social, politique, commercial, financier et donc spirituel et civilisationnel provoqués par l'immoralité de leur système en cours. Ces effondrements en particulier celui de la psychologie correspondent en quelque sorte à la liquidation totale des défenses immunitaires de l’esprit, du caractère, de la moralité, de la perception, de la compassion et de toutes les fonctions intellectuelles, laissant ainsi la raison complètement à découvert et à la merci permanente de la subversion dont par l'émotion, quand ce n'est pas de l’inversion de tout ce qui forme la réalité. En effet ces conditions recherchées par ces messianistes pervers empêchent de comprendre, de reconnaître puis d’analyser cette situation d’effondrement généralisé, ses causes et son processus. Ils essayent même d'en profiter en y opposant des mesures salvatrices les favorisant encore plus, parfois avec l'insistance de persuasions émotionnelles honteuses dont de photos d'enfants désœuvrés ou morts montrées en boucle dans les chaînes dites d'information. Et avec différents autres sujets traités sournoisement par les médias du système, ces messianistes pervers se servent également du wokisme pour désorienter puis orienter bassement l'opinion publique en leur faveur, dont à travers la perte des repères suite à la destruction de la famille traditionnelle, la liquidation des valeurs conservatrices, la déconstruction sociétale, le Lgbtisme, le rejet du monothéisme authentique et la radicalisation idéologique. Ainsi le monde change perversement par la victoire de l'émotion sur la raison. Bernanos : « Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation valeurs de la vie. »

Et par conséquent la cause originelle de ce processus d’effondrement moral massif ne peut être que mal intentionnée, puisque confortant stratégiquement toujours au pouvoir les élites perverses, cupides, avides de pouvoir et peu soucieuses du peuple. C'est pourquoi ce vaste affaiblissement des peuples n’a clairement pas une origine principalement involontaire, innocente et intérieure, car cela vient tout au contraire d'une origine principalement maléfique, condamnable et extérieure, surtout que c'est véhiculé par une diffusion très pressante, très vaste et très rapide des moyens de communication moderne du système mondialiste, en plus à la puissance extraordinaire dans son expression professionnelle et son efficacité de répétition. Mais heureusement dans le plan divin, à force de percevoir de l'impur, du faux et donc de l'impiété tant quand on a pas choisi consciemment d'être malfaisant, les cœurs nauséeux de la population finissent par vouloir du pur, du vrai et donc du pieux, même si c'est à travers une dépression.

Ainsi la perverse hyper classe oligarchique, dominatrice, mondialiste et sioniste manipulant les peuples ne se soucie donc en réalité aucunement des personnes et enfants désœuvrés, comme le prouvent l'abandon des palestiniens dans l’apartheid israélien, de l'Afrique dans la pauvreté, des nations dans d'oppressantes organisations économiques et législatives supranationales comme l'Union Européenne, et de certains pays riches dans des problèmes comme l'immigration incontrôlée provenant des injustes guerres occidentales, augmentant le chômage, baissant les salaires et accélérant l'effondrement économique global.

Pour amplifier ce ploutocratique contrôle corrompu au niveau international, les mesures mondialistes supranationales pour le climat, l'écologique, l'immigration, le sanitaire et la guerre font oublier les grandes injustices se répandant contre les peuples. On l’aura compris, cette ingénierie sociale cherche sournoisement à constituer une gouvernance mondiale sous le pseudo prétexte d’un meilleur futur pour tous, puisque principalement pour les élites oligarchiques, globalistes et sionistes. Pour continuer à piller l'Afrique en évitant de la développer, les élites mondialistes ne s’arrêtent pas là et nous préparent un grave pack écologico-migratoire par les études liant l’immigration Sud-Nord à l’explosive démographie africaine, et annonçant le manque d'eau, un réchauffement important et la montée des eaux sur les côtes. A l’image de l'acceptation du réchauffement climatique se propageant par les intoxiqués aux médias du système dont à travers les ours blancs squelettiques, la venue des peuples du Sud pauvre vers le Nord riche deviendrait légitime et donc inéluctable, surtout qu'elle serait bien aidée en cela par les ONG mondialistes humanitaires qui assurent le transport des très nombreux immigrés qui continueront d'être esclavagisés dont en affaiblissant économiquement les peuples. Selon Israël Adam Shamir, l'immigration de masse entraîne effectivement le trafic d’esclaves de millions de personnes dont avant d'arriver en Europe. Or il précise qu'elle est souvent perversement organisée par des associations humanitaires prétendument amies de la démocratie européenne, puisque recevant souvent très étrangement des millions de dollars de financement comme l'association immigrationniste SOS Méditerranée et son bateau « l'Oceans viking ». Ainsi une grande partie de ces subventions est reversée aux sauveteurs parmi lesquels certains sont évidemment aussi corrompus, surtout que généralement chaque migrants voulant traverser la méditerranée doit payer au minimum 5000 euros au marché noir. En effet les vrais passeurs, ce sont les organisations politiques et non gouvernementales plus ou moins occultes qui autorisent ou organisent l’immigration illégale et massive pour détruire les nations. Et ceux-là, on ne les voit jamais dans les tribunaux à la place des coupables, ou des responsables. En général, ils sont partie civile. Il s'agit d'un exemple supplémentaire de l’inversion accusatoire qui a renversé notre justice. Ces coupables pseudos égalitaristes qui veulent donner massivement la nationalité à des étrangers sont en réalité des anti-égalitaires forcenés utilisant de la manipulation politique dont le but n'est pas la générosité ou l'égalité, mais de détruire les fondements d'intelligence, de qualité de vie et d'instinct de survie de communautés humaines structurées historiquement en nations, afin de les livrer à la logique marchande mondialiste anti-frontières, c'est à dire aux prédateurs financiers privés internationalistes. En effet l'immigration massive ruine au profit des pervers ultra riches mondialistes tant les pays donateurs, par leur grande perte de population parfois diplômée, que les pays receveurs, par les fortes dépenses d'accueil, la baisse des salaires et l'augmentation du chômage. Pourtant « Sur l’immigration de masse qui submerge le continent européen en provenance de l’Afrique et du Moyen-Orient, les grands médias français taisent la complicité des ONG liées aux puissances financières visant à l’homogénéisation de peuples déracinés. En témoigne leur silence sur la colère des autorités italiennes au sujet des organisations non-gouvernementales qui participent délibérément au transport d’êtres humains depuis les côtes d’Afrique vers l’Europe, à la suite de la publication d’un rapport de l’agence Frontex. L’agence de surveillance des frontières extérieures de l’UE établit que les équipages de bateaux d’ONG, cofinancées par le milliardaire George Soros, se comportent en véritables complices des trafiquants d’êtres humains : en prenant le relais durant la traversée maritime, ils permettent aux passeurs professionnels de diminuer leurs coûts de transport. Frontex relève que les passeurs contournent ses propres bâtiments et de ceux de la Marine italienne, se rapprochant des navires de ces ONG qui vont leur assurer le passage vers l’Italie. Or plusieurs articles ont rapporté, s’appuyant sur une étude du groupe Quilliam, que l’Etat islamique contrôle désormais le trafic des êtres humains à partir de l’Afrique du Nord et qu’il en profite pour recruter parmi les migrants. « En plus de leur action les rendant de facto complices du trafic humain, les ONG dénoncées par le rapport de Frontex sont ainsi susceptibles de contribuer activement à aggraver le terrorisme en Europe », en déduit William Craddick, analyste du site disobedientmedia. » (Extraits de l'article « L’agence Frontex obligée de le reconnaître : Soros et ses ONG favorisent le trafic de migrants » à l'adresse https://strategika.fr/category/actualite/) Or cette immigration est en plus rendue légitime par l’image du Blanc occidental à la prétendue Histoire totalement maléfique devant payer, et donc accepter en compensation toute la misère du monde, et donc se serrer la ceinture si nécessaire jusqu'à disparaître ethniquement ou économiquement, en commençant évidemment par celui de plus de 50 ans car il est le principal frein à l'hyper consommation de l'ultra libéralisme libertaire. C’est ce que prépare le Pacte de Marrakech, la dernière trouvaille mondialiste des oligarchies qui entend « gérer » le déplacement de 50 millions de migrants vers cette Europe qui n’a rien demandé, du moins ses habitants. Or l’ONG Oxfam prévoit 250 millions de réfugiés dits climatiques en 2030, et plus d’un milliard en 2050. Les peuples hôtes n’ont pas leur mot à dire et des ONG créées par le système ou Soros dans diverses nations cherchent même à mettre au même niveau l'immigration légale et celle clandestine. En effet leurs élites corrompues se sont déjà entendues pour ouvrir les frontières et noyer le poisson nationaliste, un poison selon les mondialistes. On ne trouve dans ce pacte rien d’autre que la philosophie mondialiste qui prévaut depuis le début du 20e siècle : un monde peuplé d’hommes déracinés, sans patrie, sans famille et sans cervelle. Après cela il n’y a plus rien à dire. Et personne n’osera prétendre que les Droits de l’Homme pourraient être interprétés autrement au sujet des migrations. Par conséquent, ceux qui sont contre le pacte de Marrakech sont aussi accusés perversement d'être contre les Droits de l’Homme. Ils seront donc traités en hors-la-loi synonyme donc d'ennemi du genre humain, car la migration y est érigée en valeur positive même si le nombre de migrants dépasse énormément les limites du raisonnable et que la plupart des nations la refusent. Hier, tout le monde riait en regardant ce résumé du plan Coudenhove-Kalergi. Aujourd’hui, avec le Pacte de Marrakech synonyme de destruction des nations, plus personne ne rit. Même les détracteurs des « théories du complot » doivent admettre qu’un bouleversement majeur est en cours, un bouleversement qui va changer la face des nations pour le plus grand profit des très riches mondialistes. En sachant qu'avant Kalergi mort en 1972 et après Thomas More mort en 1535, Louis-Lucien Klotz mort en 1930 allait aussi dans le sens que la république universelle (désormais gouvernance mondiale) doit remplacer l’Église catholique, détruire la nations en particulier la France puisque fille aînée de cette Église, supprimer le pouvoir royal et augmenter l'immigration tout en diminuant donc la spiritualité dont via les capitalistes hébreux, la judaïsation et donc le noachisme voire le brahmanisme qui est le système social et religieux de l'Inde fonctionnant par caste. Ainsi la république française apparue suite à la révolution de 1789 est pour eux l'an 1 de la république universelle s'étendant de plus en plus comme le prouvent les USA et l'UE. Même le pacte de l'UE d'avril 2024 devant freiner l'immigration ne changera rien aux invasions massives programmées par l’oligarchie européiste, car il s'agit en réalité 2 millions de migrants par an dans les 27. C’est un minimum, puisque ça n’inclut pas les flots surnuméraires dus aux grands conflits du type Syrie ou Ukraine. Orbán, une des rares personnalités lucides dans le tas, traduit cette avancée historique par « un autre clou dans le cercueil de l’Union européenne » : « L’unité est morte, les frontières sûres n’existent plus. La Hongrie ne cédera jamais à la frénésie migratoire de masse ! Nous avons besoin d’un changement à Bruxelles pour arrêter l’immigration ! » Dans ce sens « Derrière le prétexte humanitaire, il faut savoir discerner les objectifs géopolitiques plus larges dans lesquels l’appel du GADEM au Maroc s’insère. Le GADEM ne se cache pas d’être lié à toute la galaxie d’organisations qui travaillent à la normalisation de l’immigration irrégulière comme l’OSF ou Human Rights Watch. À titre d’illustration, on notera les appels de Bill Frelick, directeur de la division des droits des réfugiés et des migrants de Human Rights Watch et ancien cadre du Comité américain pour les réfugiés et les immigrés (USCRI) ainsi que d’Amnesty International (avec laquelle le GADEM collabore) ; ce dernier appelait dès 2014 à « bannir » les termes de « migrant illégal » ou d’« immigré clandestin » pour privilégier ceux de « migrants sans-papiers » ou de « migrants en situation irrégulière ». Un lissage sémantique déjà opéré par les institutions politiques et les médias de masse en Europe. Les implications d’un tel rejoignent l’idée de société ouverte défendue par Open Society. OSF est le nom générique de l’ensemble des fondations fondées par George Soros. Il s’agit d’un réseau d’ONG, réparties sur tous les continents et dont l’action se déploie dans des thématiques sociales, sociétales ou politiques telles que : les migrations, la dépénalisation des drogues, les nouvelles normes sociétales (théorie du genre, propagande LGBT), les déstabilisations de régimes politiques jugés autoritaires, la liberté de la presse, l’écologie punitive, etc. Les fondations Open Society comptent officiellement plus de 40 organisations nationales et régionales interconnectées à travers le globe, mais elles sont en fait beaucoup plus nombreuses, car chaque branche de l’OSF entretient elle-même son propre réseau d’associations de terrain et finance de nombreuses autres organisations. Parmi les champs d’action des réseaux Soros, la question migratoire est l’une des priorités des activités de l’OSF. Le but de George Soros et de ses réseaux est d’arriver à refondre le système politique international sur les principes de la société ouverte, les leviers de l’immigration et les déplacements massifs de population constituent les moyens les plus efficaces pour parvenir à cette fin. La notion de “société ouverte” fait référence au livre de Karl Popper, La société ouverte et ses ennemis. Un livre écrit dans la première partie du 20e siècle dans lequel Karl Popper exposait les grands axes de la philosophie politique du cosmopolitisme supra-étatique (globaliste ou mondialiste). Je suis arrivé à la conclusion que cette notion de “société ouverte” désigne en fait, pour ceux qui y ont recours, le projet de modification permanente et furtive des sociétés pour le compte des intérêts politiques de la haute finance. Il s’agit d’un projet de domination et de transformation sociale à grande échelle camouflé en une utopie internationaliste et humanitaire. L’appel du GADEM au Maroc s’insère dans cette stratégie qui se déploie à une échelle réellement cosmopolitique. » (Pierre-Antoine Plaquevent) « Dans sa croisade pour une « société ouverte (libérale-libertaire) », affranchie des pesanteurs du vieux monde et des repères traditionnels (frontière, famille, continuité historique des peuples, etc.), George Soros peut compter sur un relais fiable : Emmanuel Macron. Les exemples de proximité entre George Soros et Emmanuel Macron que nous avons identifiés sont en effet aussi troublants que nombreux :

-Rothschild & Co a aidé Soros au début de sa carrière et employé Macron avant sa vie politique.

-Lorsqu’il était ministre de l’économie, de 2014 à 2016, Emmanuel Macron a eu comme conseiller un certain Shahin Vallée. Ce dernier a également travaillé pour George Soros sur les questions économiques et monétaires dans la zone euro.

-L’accueil des migrants en Europe est une priorité pour Soros et Macron.

-Les « Eurobonds » pour sauver l’Europe ont été prônés par Sors et Macron.

-L’ambassadeur de France en Hongrie en poste à l’époque, après avait rédigé une note qui n’accable pas la politique du gouvernement hongrois et dont Soros fut furieusement mis au courant, fut limoger par Macron.

-Soros et Macron sont pour une politique étrangère européenne.

-Parmi les membres du think-tank « L’European Council on Foreign Relations » qui est premier centre de recherche et d’influence pan-européen le Directeur de l’EFCR, Mark Leonard, est également le directeur exécutif de l’Institut de Open society pour l’Europe, figure Macron.

Nous aurions pu multiplier les indices d’une proximité entre le milliardaire américain et le président français. Nous aurions pu évoquer notamment les « Young global leaders » dont font partie le fils de George Soros, Alexander, et Emmanuel Macron. Ou de l’influence des ONG financées par George Soros sur la Cour Européenne des Droits de l’Homme, une institution qui a à cœur de promouvoir la GPA, dont la PMA est la première étape. Le changement de peuple, le grand déplacement de population et la remise en cause des équilibres sociétaux ont de précieux alliés. La super classe mondiale a de grands projets pour le vulgum pecus que nous sommes… » (Extraits de l'article « Emmanuel Macron, une comète dans la galaxie Soros ? » de polemia.com) Or en 2024 en Suède, il y a eu une première en 50 ans concernant le solde migratoire car il a été négatif. C'est à dire que le nombre de personnes quittant la Suède devrait dépasser le nombre d’immigrés en 2024. Comment les Suédois ont-ils réussi cette inversion exemplaire pour d'autres nations en crise économique ? Simplement par la fermeture des pompes aspirantes financières en supprimant les privilèges accordés aux immigrants :
– le placement des demandeurs d’asile s’effectuera dans des centres de transit et non plus dans des logements payés par l’Office des migrations pendant l’examen de leurs demandes ;
– l’augmentation du revenu minimal exigé pour décrocher un permis de travail est validé ;
– la fin du statut de résident permanent pour les réfugiés sera la norme. Surtout que
depuis quelques temps, selon le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU lors d’une réunion du Conseil de sécurité, Vasily Nebenzya, l’Union européenne mène désormais une guerre non déclarée contre les migrants au lieu de les aider, ce qui serait possible vu la volonté de dépopulation mondiale des élites occidentales. Il précise : « En outre, bien souvent, les États membres de l’UE non seulement ne prennent pas de mesures pour sauver un navire, mais interdisent en fait à tout autre navire de venir en aide ; ceux qui osent désobéir s’exposent à des poursuites pénales et peuvent être accusés de trafic d’êtres humains. Selon le rapport du secrétaire général, certains tribunaux de l’UE ont délibérément tendance à pousser un navire en détresse hors de leur juridiction, condamnant ainsi les personnes à bord à une mort douloureuse. Autrement dit, ils font tout ce qu’ils peuvent pour protéger leur “jardin fleuri” des invités de "la jungle", comme le dit le Haut-Commissaire de l’UE aux affaires étrangères et à la politique de sécurité M. Josep Borrell. » Nebenzya a en plus souligné que l’afflux actuel de migrants vers l’Europe était dû à l’ingérence de l’Occident dans les affaires intérieures d’autres États : « L’exode massif de populations du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord vers l’Europe est le résultat de l’ingérence irresponsable et irréfléchie des pays occidentaux, y compris de l’Union européenne, dans les affaires intérieures des États souverains afin de les déstabiliser. Ce sont ces pays occidentaux qui portent la principale responsabilité des conséquences. » Ici il faut comprendre que ces élites internationales corrompues, cupides et égoïstes, sous couvert d'un faux prétexte d'aimer l'humanité, profitent donc aussi de l'idéologie mondialiste jusqu'à oppresser tous les peuples de la planète dont le leur pour encore plus s'enrichir et augmenter leur pouvoir, car elles sont idéologiquement apatrides. Ainsi une méfiance populaire est apparue envers l'actuelle politique imposée d'en haut, plaçant les intérêts supranationaux et globaux au-dessus des intérêts nationaux. Cette méfiance se caractérise de plus en plus par l'absence de certitude et un grand manque de confiance concernant les déclarations internationales qui prétendent amener des améliorations pour les nations. En effet tout ne marche clairement pas comme promis dont dans l’Union européenne. Surtout que le choc migratoire s’ajoute au choc social du déclassement programmé des classes moyennes européennes consécutif au remboursement de la Dette, ce concept formidable qui permet de mettre un pays à genoux et de le piller avec la bénédiction des pervers grands instituts financiers usuriers là encore supranationaux : BCE et FMI. C'est d'ailleurs ce qu'a subi la Grèce tels un cobaye et un avertissement parmi les premières grandes nations, malgré un référendum national et sa position à l'origine de la démocratie. Ce qui prouve qu'elle a donc été attaquée prioritairement et humiliée symboliquement par la tyrannie qu'est la domination du néolibéral euro-mondialisme financier, bancaire et politique, à travers l'endettement puis l'austérité. Surtout que les nations, ayant délégué aux banques privées leur création monétaire, s'endettent perpétuellement, et que de nombreuses parmi elles, ayant choisis des fermetures massives par rapport au covid et l'appauvrissement dans leurs sanctions économiques contre la Russie, les ont poussé vers la dépendance et donc la soumission au FMI mondialiste. Le FMI ainsi que la commission européenne vont même jusqu'à envoyer des documents aux gouvernements pour leur demander des réformes structurelles ultra libérales voire donc insitutionnelles favorisant les ultra riches au détriments de la protection sociale des peuples, tout en plaçant des politiciens, des technocrates et ou des chefs d'entreprise pro-empire états-unien, sioniste et wokiste ou pro-mondialisme oligarchique, sioniste et wokiste. D'ailleurs le FMI et la Banque mondiale sont fortement sous l'influence du judaïsme politique, puisqu'ils conditionnent l'aide au Liban à la normalisation des relations avec Israël et au désarmement du Hezbollah. Ce système amène donc à la dépossession totale de la souveraineté des nations dont aussi au profit de la tyrannie bancaire et financière que servent d'ailleurs les technocrates bruxellois de la commission européenne. Une des preuves de l'Euro-mondialisme (euro-atlantisme) de l'UE est la signature du traité de libre échange aux conséquences inquiétantes entre Bruxelles et la Nouvelle-Zélande de même qu'avec le MERCOSUR (union de pays d'Amérique du Sud), en attendant celui avec l’Amérique du Nord, quoique avec l'élection de Trump les USA comme la Russie vont vers de la démondialisation économique, ce qui rend encore plus mauvais le MERCOSUR. C'est à dire que comme la Russie ne peut tolérer l’Ukraine en tant que projet anti-russe, Trump ne peut accepter le mondialisme en tant que projet anti-américain (supranational, oligarchique et lgbtiste). En effet les accords de libre-échange type MERCOSUR amène à faire toujours plus de marges par les ultra-riches, à rendre non compétitif et donc appauvrir les paysans français, pour ensuite les obliger à vendre leurs terres à l'oligarchie mondialiste, dont pour ensuite employer des agriculteurs étrangers à bas prix ou s'en servir pour divers autres projets. D'ailleurs 100 000 exploitations agricoles françaises ont été perdues en 10 ans et le secteur industriel français va aussi évidemment diminuer par ce type d'accord de libre-échange, ce qui prouve le grand danger de la perte de souveraineté alimentaire et donc du risque d'ingérence étrangère ou privée. En sachant qu'en plus, il faut 35 % de la population européenne pour s'opposer à cette loi européenne... D'ailleurs le 13 novembre, Michel Barnier, ancien négociateur pour l’UE, a rencontré Ursula von der Leyen pour réaffirmer la position française. Il a déclaré : « Dans les conditions actuelles, cet accord n’est pas acceptable par la France. » Mais la France ne dispose pas d’un droit de veto sur cette décision, qui relève de la compétence de la Commission européenne. Si cette dernière décide d’aller de l’avant, la France ne pourra pas bloquer l’accord. Sébastien Béraud, agriculteur de Haute-Loire, a créé pour cela et pour l’inaction des syndicats traditionnels comme la FNSEA, le premier syndicat agricole anti-Union Européenne, dénommé Verte France. Connu pour son appel au Frexit en février sur CNews, l'agriculteur a souvent exprimé sa colère face à la situation actuelle des agriculteurs français. Car l’accord entre l’Union européenne et le MERCOSUR suscite donc une vive opposition de la part des agriculteurs français, puisque l’accord de libre-échange UE-Mercosur, négocié depuis 20 ans, inquiète fortement les agriculteurs français. En effet il prévoit la suppression de 90 % des droits de douane, permettant au Mercosur d’exporter jusqu’à 99 000 tonnes de viande bovine vers l’Europe. Les agriculteurs français s’y opposent, dénonçant une concurrence déloyale et des normes moins strictes comme le bœuf brésilien nourrit au soja, aux hormones et aux activateurs de croissance vendu deux fois moins cher par cette qualité malsaine, donc dans une forme d'idéologie (oligarchique) aveugle de l'UE. Pour le monde agricole français, cet accord pourrait aggraver une situation déjà fragile. Les produits agricoles sud-américains, notamment la viande bovine, sont perçus comme une menace directe en raison de leur coût plus bas et de normes sanitaires et environnementales moins strictes. En effet concernant l'utilisation des pesticides et hormones, de nombreux pesticides interdits en Europe sont par exemple autorisés au Brésil, tout comme l’utilisation d’hormones de croissance ou de farines animales pour l’élevage. Et concernant les règles environnementales, les pratiques agricoles sud-américaines ne respectent pas les mêmes standards que ceux imposés en France et dans l’UE, ce qui crée une concurrence asymétrique, surtout avec un coup de main d’œuvre inférieur voire très inférieur. Pour les agriculteurs français, ces disparités rendent le marché européen vulnérable à un afflux de produits moins chers et moins réglementés, menaçant directement leur subsistance. Sébastien Béraud dénonce cet accord, soulignant qu’il met en péril l’agriculture familiale et favorise les grands fonds d’investissement, notamment anglo-saxons. Il critique également la position de la France, impuissante face à la majorité des États membres de l’UE.
Or « L'UE vient finalement de signer un accord avec le Mercosur qui va bouleverser l’agriculture européenne. Résultat ? Les agriculteurs français sacrifiés au profit de produits bon marché venus d'Amérique du Sud. La concurrence déloyale et la dérégulation ne sont plus de simples théories, elles sont là, en train de détruire notre agriculture. Depuis vingt ans, l’Union européenne négocie avec le Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay et Bolivie) un accord de libre-échange qui promet de bouleverser l’agriculture européenne. Et voilà, après des années de négociations, l’accord tant redouté est enfin signé : 90 % des droits de douane seront supprimés, permettant aux pays du Mercosur d’inonder le marché européen avec jusqu’à 99 000 tonnes de viande bovine, le tout à des prix dérisoires. En d’autres termes, l’Europe s’apprête à ouvrir grand ses portes à des produits d’une qualité plus que discutable, tout en sacrifiant ses propres agriculteurs sur l’autel de la mondialisation. C’est une véritable agression pour les agriculteurs français, déjà en proie à des difficultés économiques majeures. En acceptant cet accord, l’Union européenne se tire une balle dans le pied. Les produits sud-américains, notamment la viande bovine, arrivent sur le marché européen avec un coût de production bien inférieur, en raison de normes sanitaires et environnementales largement moins strictes. Les pesticides interdits en Europe, les hormones de croissance et les farines animales autorisées au Brésil sont autant d’ingrédients qui rendent cette concurrence totalement déloyale. La France, elle, impose des standards de qualité qui laissent ses agriculteurs vulnérables à une invasion de produits à bas prix, souvent au détriment de la santé publique et de l’environnement. Et il y a donc en plus un sacrifices des populations européennes. En trahissant ses propres producteurs et ses consommateurs, l'UE a donc vend son âme à bas prix pour toujours plus de profit oligarchique, surtout qu'attendant en plus ensuite la vente des terres des agricultures en faillites. » (Média en 4-4-2)
Mais le Mercosur n'a pas mis toute l'agriculture à terre, c'est le modèle économique qui a été mis en place par les politiciens français, et donc un nouveau modèle basé sur une équitable répartition de la marge (de la valeur ajoutée) est nécessaire, tout en demandant des comptes à l'industrie agro-alimentaire (gros acheteurs) qui achète seulement à des prix au niveau du coût de production. En sachant que l'accord sur le Mecosur ne va permettre que 0,1 % de croissance à l'UE, en ne profitant pas à la France mais seulement à 20 sociétés du CAC 40, et que les agriculteurs sont bloqués pour leur demande de RSA par la MSA (la sécurité sociale agricole ne jouant donc pas le jeu de la solidarité pour les petits paysans).
C'est pourquoi sans révolution avec un seul leader bien sélectionné, clairement mis en avant et faisant vraiment l'unanimité, les manifestations (dont des gilets jaunes) deviennent finalement inutiles, car il est impossible de revendiquer un changement du système auprès des politiciens du système n'ayant plus de pouvoir. Surtout qu'avec la diabolisation médiatique des manifestations populaires, les syndicats et les partis s'en écartent lâchement au point qu'ils se rallient honteusement à la défense des droits Lbgt, de la vaccination et des sanctions contre la Russie. Il faudrait en plus auparavant avoir généralisé ou s'être associé à un autre système économique souverain pour sortir de l'oppression financière comme le font les BRICS+, qui pourraient être une nécessaire étape transitoire, une anticipation, une préparation, voire possiblement une organisation précédant le retour du califat bien guidé. Or c'est un choc de savoir que même la BCE a souvent des dettes qui sont très étonnamment remboursées par les monarchies pétrolières sponsorisant le terrorisme islamique. Surtout que ce choc peut donc ajouter au choc financier, climatique, sanitaire, immigrationnaire, inflationniste et banlieusard. La crise des subprimes, le réchauffement climatique, la crise sanitaire, l’immigration massive, l'inflation et la guerre en Ukraine n’ont communément rien de naturel. Ce sont des chocs créés de toutes pièces ou alimentés pour augmenter la domination des pervers ultra riches mondialistes. Tant que les dominés n’auront pas saisi cet aspect démoniaque de la géopolitique, ils continueront à voter bon an mal an pour ceux qui les déshumanisent, car c'est le combat du Mal contre le Bien. Or ces chocs terroristes participent de moins en moins à ressouder l’opinion publique désireuse de sécurité autour du pouvoir en place pour plus de stabilité, par preuve qu'à travers les échanges incontrôlables qui fourmillent sur les réseaux sociaux, ce système est de plus en plus contesté. A tel point que depuis 10 ans, le gâteau publicitaire s’est réduit pour les chaînes, dont aussi car les jeunes ne regardent plus la télé. En effet comme de nombreux adultes qui ont logiquement fui sur internet la médiocrité généralisée des programmes télévisuels, ils ont aussi logiquement fui pour se retrouver souvent sur Instagram, TikTok ou Twitch. Quand le foin manque au râtelier, dit le bon sens paysan, les chevaux se battent. On se bat donc entre chaînes TV qui misent de moins en moins sur la bonne télé pour avoir plus de publics et donc d'annonceurs publicitaires : il faut plus de trash, plus de sexe, plus de choc, plus de peur, plus d’émotion ; et tant pis pour l’information, le réel, l’éducation, l’art, et une inflation qui mène tout droit à une explosion puis une implosion finales comme chez les étoiles mourantes. Or de très nombreuses vidéos des réseaux sociaux ne servent qu'à prendre du temps de cerveau disponible et donc à abrutir en particulier via le zapping rapide comme sur Tiktok. Rappelons que ces obscures manipulations planétaires associées au terrorisme mental et meurtrier ont pour but d'amener à une gouvernance mondiale pilotée par les oligarchies américano-sionistes. Or avec l'actuelle noble évidence de devoir combattre ou dénoncer la malsaine mise en place de ce système toujours plus corrompu, la révolte des nations doit aussi principalement s'unir dans une organisation de coopération comme celle de Shanghai. Cette dernière a d'ailleurs déclaré : « Les États membres de l’OCS soulignent que les principes de respect mutuel de la souveraineté, de l’indépendance, de l’intégrité territoriale des États, de l’égalité, des avantages mutuels, de la non-ingérence dans les affaires intérieures et du non-recours à la force ou à la menace de recourir à la force, sont à la base du développement durable des relations internationales. » Cette phrase s’inscrit en opposition totale à la pratique des relations internationales par les États-Unis. Cependant par rapport à l'union européenne, cela devra être beaucoup moins supranational au niveau économique ou politique, mais plus approfondi dans certains domaines. En effet pour l'intérêt général de l'humanité, les solutions aux problèmes mondiaux urgents doivent être facilités par un sage développement international comme au niveau de l'organisation mondiale de la santé (tant que cette organisation n'est pas corrompue ni au service du mondialisme en devenant privée comme actuellement), de la solidarité lors de catastrophes naturelles (feux, inondations, tremblements de terre dont par des budgets, effectifs et véhicules communs), des marchés communs pour des pays de valeur économique proche voire différente si des lois antitrust, des droits douanes, des taxes ou des quotas sont mises en place afin d'apporter un équilibre stabilisant car le marché libre à outrance appauvri même la classe moyenne en faveur de l'élite financière, de la lutte contre la faim et la pauvreté dans le monde, la réduction des écarts de richesse, à la fois à l’intérieur des pays et entre les pays, des programmes communs de développement des pays pauvres avec des investissements étrangers voire des prêts sans intérêt progressifs en fonction de l'évolution d'un projet, des ligues mondiales sportives telles qu'il en existe déjà, ou une police mondiale combattant plus facilement la corruption internationale, le terrorisme, les diverses mafias, et les paradis fiscaux stérilisant l'économie mondiale. La coopération internationale et la responsabilité des plate-formes en ligne doivent aussi s'unir pur lutter contre la criminalité dont la pédocriminalité.
Ces derniers problèmes créés en grande partie par l'oligarchie mondialiste manipulatrice et donc par l'accumulation des principales richesses au sein des pays de l'hémisphère Nord dont les USA, la Chine, et l'Europe, participent également à l'immigration de masse déstabilisatrice suite à l’appauvrissement de nombreuses nations. Et c'est pourquoi à notre époque selon Bernard Lugan, le développement de l'Afrique semble difficile en particulier car ayant en plus un taux de fécondité élevé, un besoin de 7 % de croissance (probablement exagéré mais loin d'être impossible vu le fréquent sous-développement, dont éventuellement avec la cryptomonnaie faisant sortir du Franc CFA et avec la blockchain empêchant la corruption économique, en particulier car le potentiel de développement de l'Afrique est très important), des soutiens financiers mondiaux beaucoup moins importants qu'ailleurs, des déstabilisations liées au terrorisme, des cerveaux quittant les pays et peu de grands investisseurs déterminés. Or vu la pauvreté de nombreux pays d'Afrique, ces 7 % de croissance pourraient facilement être atteignables avec du sérieux, quoiqu'il est difficile de travailler sous de grosses chaleurs d'où l'importance de électricité pour pouvoir travailler la nuit, en sachant que partager le travail même vers le mi-temps bien payé doit être recherché si la population en particulier masculine sait gérée noblement son temps libre, car on ne doit pas vivre pour travailler mais travailler pour vivre. Mais la voie de salut actuelle pour les Africains commence d'abord par la souveraineté et donc par la fin des vassaux corrompus africains, de leurs valets et de leurs réseaux d’influence et d’espionnage, car ils sont les instruments de pénétration et de domination étrangères ou privées, tout comme les groupes séparatistes et terroristes locaux.

Il faut donc remettre la vie et donc l'humain et donc l'intelligence et donc la sagesse dans l’organisation générale du monde. En effet les partenariats internationaux ne doivent pas être un simple établissement de nouveaux liens entre États et économies. Ils doivent aussi apporter la paix, la stabilité, la prospérité, le confort de base et une nouvelle qualité de vie dont intérieure. Comme pour les nouvelles routes de la soie, il faut développer les infrastructures dans une perspective d’intégration et de transports interconnectés dont pour les produits vitaux et ceux spéciaux.

En attendant selon Cheikh Imran Hosein, un effondrement économique généralisé pourrait également faire chuter tout l'argent papier dans le monde et laisser la place à l'argent électronique centralisé privé au profit des globalistes, comme ça commence à l'être partout dans le monde par les cartes bancaires et la crise sanitaire. En effet ce plan cherche à centraliser suprêmement le système bancaire mondialiste des très riches et des sionistes afin qu'ils contrôlent tout l'argent de leur système monétaire. Il s'agit d'un des sens de l'hégémonie ressemblant à la soumission des pays aux grandes banques too big to fail (trop grosses pour échouer) puisqu'en dépendant désormais, comme le prouvent la dette accumulée mondialement, la crise de 2008 que les contribuables ont du réparé suite aux spéculations bancaires à outrance et les ventes bancaires souvent ignoblement conscientes de placements toxiques. Divers spécialistes précisent même que certaines sociétés d'assurances et grands fonds d'investissements ainsi que les nations hébergeant leurs sièges sociaux sont encore plus too big to fail que les grosses banques.
Cependant pour atténuer cette domination perverse voire l'arrêter, la grâce divine a possiblement préparé la technologie pure de la blockchain décentralisée transparente, en particulier car pouvant encadrer les utilisateurs par une charte honorable. En effet les peuples peuvent désormais s'orienter vers des cryptomonnaies ou monnaies locales (communales ou intercommunales, inter-entreprises si possible au début prioritairement entre PME, départementales ou régionales), et au maximum vers une monnaie numérique nationale surveillée par le peuple si le niveau économique du pays est trop différent d'autres nations, voire donc vers une monnaie numérique internationale contrôlée par les peuples et utilisée uniquement avec des pays ayant un niveau économique proche ou ayant une politique identique mais en imposant donc des quotas,
des droits douanes, taxes et des lois antitrust pour garder un certain équilibre avec des nations trop différentes économiquement même avec des frontières ouvertes. D'ailleurs les monnaies communales, départementales voire régionales, inchangeable sauf dans quelques cas, permettent logiquement d'éviter que la monnaie, le travail et donc la richesse produits quittent la région.