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Z) Fin (12)

« La Russie, est en guerre, et donc utilise tous les moyens pour affaiblir l’occident : En étant le fer de lance de la dédollarisation. En jouant sur les liens tissés lors de la décolonisation pour s’allier l’Afrique. En dressant contre l’occident «décadent» une communication forte axée sur le respect des valeurs de la famille, des cultures, religions, et des peuples. Et en occupant les terrains : Diplomatiques (ouvertures d’ambassades, respect du protocole pointilleux), Médiatiques, (essaimage de TASS et partenariat, RT, Sputnik), Militaires (Nombreux accords de coopération, de formation et d’armement, sans parler de l’influence de Wagner), Culturels (augmentation du nombre d’étudiants en Russie, ouverture de centre culturels, l’industrie du cinéma reste cependant à mettre à la hauteur des autres arts où la Russie a déjà ses lettres de noblesse), Sportifs (invitations aux Jeux Mondiaux de l’Amitié), Économique (accords céréaliers, investissements dans les réseaux énergétiques, miniers, abandon de créances sur les pays les plus faibles), Moral (fin du Lgbtisme). En termes d’échanges, que peut fournir l’Afrique à la Russie qu’elle n’aurait pas ? La Russie pratique donc ici une guerre d’influence qui parachève le caractère global du conflit en dérobant des pays, des populations entières à l’hégémonie chancelante américaine : il s’agit bien d’un conflit mondial civilisationnel. Quant à la Chine, elle continue son expansion commerciale. L’Afrique peut donc échanger valablement matières premières contre biens de consommation, infrastructures et investissements. La dynamique de la Chine est donc très différente de celle de la Russie. Il semble que la Chine et la Russie se soient réparties en ce moment les zones d’influences : à la Chine, l’Amérique centrale et du Sud, à la Russie, l’Afrique et ensemble à l’OCS, l’Asie centrale. Reconnaissons que la Chine et la Russie, à elles seules, pourraient vivre et se développer en autarcie complète. La Russie et la Chine pensent que les Nations unies sont indispensables à un monde apaisé mais il faudra passer par une régénération de son personnel trop atlantiste, et une révision du Conseil de Sécurité. Les BRICS proposent un cadre juridique simple et rassurant. Cet outil pourra rapidement être mis en place pour peu de frais. Ce que cherchent les candidats BRICS, et cette quête est commune, c’est la mise en place de lois internationalement reconnues et appliquées. Les Nations unies ont été discréditées par son inféodation à la superpuissance du monde d’avant. » (Extraits de l'article « De BRICS et de Broques » à l'adresse https://strategika.fr/category/actualite/)
« La chute de puissance continentale qui fait suite à la réforme protestante qui a affaibli à la fois l’Église romaine et le Saint-Empire romain germanique, a permis sur le longue durée l’expansion hégémonique des thalassocraties anglo-américaines, et la vassalisation de l’Europe continentale. La sortie de la scène de l’Histoire de l’Europe, comme la naissance du monde multipolaire, était perceptible par certains esprits visionnaires dès les années 1930/40. La guerre actuelle opposant Russie et OTAN en Ukraine est le résultat de cette tension entre puissances terrestre et maritime. La guerre que mène aujourd’hui la Russie est classique, au sens où elle combat là où se trouve des populations russophones dans les territoires dans l’ancien empire russe. Elle combat dans sa zone d’influence naturelle, et non pas à l’autre bout du monde. C’est une guerre du XIXe siècle, typique des puissances terrestres, comparable à celle de la Prusse qui s’est battue pour réunir (partiellement) les populations germaniques disséminées dans une partie de l’Europe. La Russie mène également une guerre de sanctuarisation de sa zone d’influence géopolitique sur laquelle empiète l’Amérique, via l’OTAN. On peut remonter à l’Antiquité pour y trouver ce type de guerre limitée pour préserver ou agrandir sa zone d’influence. Une zone d’influence qui coïncide avec la zone de sécurité, pour tracer une limite géographique au-delà de laquelle la vie de l’État lui-même est menacée. La guerre était inéluctable. Car, de deux choses l’une, soit la puissance terrestre demeure dans ses frontières et laisse venir la puissance maritime l’attaquer sur son territoire, au risque d’être acculée voire de disparaître, soit elle se projette militairement pour sanctuariser une zone d’influence plus large qui constituera une protection durable. Les États-Unis menacent la Russie près de sa frontière en utilisant les proxys ukrainiens et européens. Les Américains mènent une guerre internationale contre la Russie sans avoir à s’impliquer officiellement. L’asymétrie militaire au désavantage de la Russie est extraordinairement important. Mais l’asymétrie dans ce conflit n’est pas exclusivement militaire. La Russie mène une guerre traditionnelle, conventionnelle, limitée par nature. Nous dirons même que l’offensive russe est limitée par la nature même de la Russie. Les États-Unis mènent une guerre hors limite, c’est-à-dire une guerre dont l’espace d’action n’est plus seulement militaire, mais également civil, économique, juridique, sociétale. La guerre hors limite est une guerre totale. Et c’est bien à cette attaque totale à laquelle fait face la Russie depuis de nombreuses années. Ce qui est donc une dépense beaucoup plus grande que la Russie et donc un risque plus grand de faillite. Il est apparu le constitution de blocs géopolitiques en réaction à l’hégémonisme de la thalassocratie : Chine/Russie versus hégémon anglo-américain. L’ordre des grands espaces est advenu, c’est ce que l’on appelle le monde multipolaire constitué de grandes puissances agrégeant autour d’elles des nations qui forment des blocs géopolitiques. La séquence unipolaire ne fut qu’un bref moment durant lequel devait se reconstituer les puissances russe et chinoise. Un malentendu historique en somme. Cette courte période, d’une vingtaine années, a été interprétée par certains Américains comme la fin de l’Histoire signifiant leur hégémonie sur la planète. Ce début de XXIe siècle est non seulement celui de la multipolarité, mais aussi celui du déplacement du centre de gravité vers l’Est, vers le coeur continental du monde, au détriment des thalassocraties périphériques. Il s’agit d’un phénoménal renversement du rapport de force à l’échelle de l’Histoire et de la planète. Les plus grandes ressources énergétiques (pétrole, gaz, sans oublier les matières premières), et les plus grandes puissances économiques et militaires sont des États continentaux contrôlant de grands espaces et s’alliant à de nombreux États de l’immensité continentale africaine. Les États-Unis et le reste du monde occidental représentent 25% de la population mondiale, et ils font face au 75% restant qui sont agrégés autour des deux puissances continentales que sont la Russie et la Chine. C’est la fin de l’ère thalassocratique. Halford John Mackinder (1861-1947) mettait d’ailleurs en garde l’Empire britannique il y a plus d’un siècle face au danger que présentait la puissance terrestre russe, en ce que la puissance continentale a des chances supérieures de triompher contre la puissance maritime face à la diplomatie, même ingénieuse, de cette dernière. Les dirigeants chinois et russes, qui ont une forte conscience historique, ne commettront pas l’erreur de se séparer. D’autant plus que la double politique de contention américaine visant la Russie et la Chine, contraint ces deux pays à se souder. Le globe étant un champ de bataille où « les États se disputent la domination du monde », la guerre en Ukraine peut être interprétée comme la continuation de la politique eurasiatique de la Russie pour sécuriser le continent. C’est ce que l’on appelle traditionnellement une « pacification », à la romaine. L’on comprend donc naturellement le soutien apporté par Pékin à Moscou ; l’Empire du milieu ayant besoin, pour pérenniser ses nouvelles routes de la soie, que l’Europe et l’Asie soient pacifiées. La Russie fait donc une besogne nécessaire aux yeux de la Chine. Ce qui est frappant aujourd’hui, c’est que le réalisme géopolitique allemand a été adopté par les Russes et les Chinois. La politique euro-asiatique n’est effectivement pas un projet élaboré originellement et ponctuellement par quelques dirigeants, mais le fruit de la nécessité, de la force des choses historiques. L’alliance euro-asiatique suit un principe qui nous vient de l’Antiquité, à l’époque de la naissance de l’État romain. Lord Palmerston (1784-1865), homme politique britannique, deux fois premier ministre, avait lancé, lors d’une crise ministérielle en 1851 : quelque désagréable que puissent être maintenant nos relations avec la France, nous devons les maintenir car à l’arrière plan menace une Russie qui peut relier l’Europe et l’Asie orientale, et, seuls, nous ne pouvons pas faire face à une telle situation. Homer Lea (1876-1912), aventurier et écrivain américain, écrit un livre sur le crépuscule des Anglo-Saxons à l’époque de l’apogée de l’Empire mondial britannique. Il y dit que la fin de la domination anglaise pourrait survenir le jour où l’Allemagne, la Russie et le Japon s’allieraient.  On comprend dès lors que ce ne sont pas les cerveaux de Vladimir Poutine et de Xi Jinping qui ont élaboré la politique de rapprochement sino-russe. Il s’agit d’une réaction à la géopolitique des anglo-américains qu’ils ont baptisé la « politique de l’anaconda ». Enserrement, étouffement et broyage des nations. Il s’agit d’un rapport dialectique, d’une menace qui contraint les États continentaux à former de puissants et grands espaces pour entraver la politique de l’anaconda. Aussi, l’objectif stratégique anglo-américain de séparation de l’Allemagne et de la Russie, n’est pas une nouveauté. La nouvelle route de la soie chinoise qui relie l’Est de la Chine à l’Ouest de l’Europe par voie essentiellement continentale, a ravivé une vieille peur anglo-américaine. Récemment, la domestique italienne de Washington, Giorgia Meloni, a fait sortir l’Italie de la nouvelle route de la soie chinoise.  L’historien et géopolitologue étasunien Brook Adams (1848-1927) voyait dans l’éventualité d’une vaste politique ferroviaire transcontinentale avec les terminus de Port-Arthur et de Tsing-tao (deux ports dans l’Est chinois), une unité germano-russe asiatique orientale que toute tentative de blocus anglais ou de blocus américain, même conjugués, ne pourrait briser.  Et nous le constatons aujourd’hui. La politique de sanctions américaines contre une Russie adossée à la Chine et aux autres grands espaces du monde multipolaire (BRICS) est vaine. Même sans l’Europe, que Washington a réussi à séparer de la Russie, l’alliance continentale eurasiatique met d’ores et déjà en échec les anglo-américains sur le plan politique, militaire et économique. La rupture russo-européenne causée par les Américains, pousse plus encore la Russie vers un autre contient, l’Afrique où les Chinois sont déjà bien implantés. Appelons cela les vases communicants de la géopolitique. Les États-Unis vivent sur les acquis géopolitiques de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Notamment le contrôle de l’Europe et du Japon. La politique continentale pour contrer l’endiguement anglo-américain doit se faire sans ces deux régions du monde, mais avec un nombre importants de grandes et moyennes puissances, dont l’Inde, l’Iran (et probablement bientôt tout le Moyen-Orient musulman), l’Indonésie, l’Afrique du Sud et le Brésil, (et possiblement des nations européennes dont si l'UE se réforme en Europe des nations, voire l'Australie liée commercialement avec la Chine). Auxquelles s’ajoute une Afrique qui bascule vers l’Est au détriment de l’Ouest. Vers quel épilogue ? Mais la force d’attraction de la masse économique continentale pourrait arracher du giron anglo-américain judéo-protestant le Japon et l’Europe, si une guerre mondiale (c’est-à-dire une confrontation directe des grandes puissances) n’advient pas avant. Car, si hier l’Amérique était une puissance économique attractive, aujourd’hui, ce qu’elle propose à ses vassaux c’est la récession, la pauvreté, le pillage de leurs industries, la guerre, l’humiliation continuelle. Les dirigeants européens sont ainsi pris en étau entre leurs maîtres de l’oligarchie occidentale qui entrainent leurs pays dans l’abîme, et leurs peuples en révolte qui s’opposent à cette politique mortifère. De son côté, la Russie attend de tirer des bénéfices de la guerre d’attrition contre l’Occident jusqu’à ce que la patience des peuples d’Europe atteigne ses limites. La pression russe exercée sur les gouvernements européens n’est pas visible mais réelle. La capacité de résistance et les ressources des Russes étant largement supérieures à celle des Occidentaux. Moscou n’a donc qu’à faire durer les hostilités et l’épuisement industriel européen jusqu’au moment où les peuples ne supporteront plus les effets économiques. Quant au Japon, il a fait montre d’un pragmatisme propre à sa culture. Tokyo a refusé de sacrifier son économie pour les besoins stratégiques étasuniens. « Les États-Unis ont rallié leurs alliés européens à l’idée de plafonner à 60 dollars le baril les achats de pétrole brut russe, mais l’un des plus proches alliés de Washington en Asie achète désormais du pétrole à des prix supérieurs à ce plafond. Le Japon a obtenu des États-Unis qu’ils acceptent cette exception, en affirmant qu’il en avait besoin pour garantir l’accès à l’énergie russe. Cette concession montre la dépendance du Japon à l’égard de la Russie pour les combustibles fossiles, ce qui, selon les analystes, a contribué à l’hésitation de Tokyo à soutenir davantage l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie. » Les Américains sont face à une situation difficile. Ils exigent une obéissance aveugle de leurs vassaux contre leurs intérêts vitaux. Trop tirer sur la corde de la soumission finirait par la casser. La situation géographique du Japon, qui est proche des deux mastodontes géopolitiques chinois et russe, peut le pousser à terme vers un rapprochement avec Pékin et Moscou pour trouver un modus vivendi. Le besoin d’hydrocarbure pour sa puissante industrie étant vitale pour le Japon, Tokyo ne peut pas se faire harakiri pour une guerre qui ne la concerne pas. La réalité des rapports de force est évidente entre une minorité démographique à l’échelle mondiale qui mène une politique économique et militaire mortifère, et des grandes puissances terrestres qui sont dans un essors économique et qui travaillent (grandement et donc avec grandeur) à la stabilisation du grand continent. » (Extraits de l'article « Blocs continentaux versus hégémonisme océanique – La dialectique géopolitique » de Youssef Hindi)
« Il a fallu virer Kennedy méchamment pour poursuivre la guerre du Vietnam et pour parachever la mainmise du Deep State sur cette pauvre Amérique, toujours plus victime de sa ploutocratie et du bellicisme. Mais le Trump fut mollement chassé du pouvoir, comme un Nixon, avec les moyens du bord : l’éternelle triche électorale que l’on découvre enfin en France et ailleurs, et le soutien indéfectible des médias contrôlés ; dès lors sommes-nous enfin devant les vérités ultimes, la résistance derrière un héros ou la mort de tout dans la bouilloire mondialiste des sorcières de Shakespeare. (Trump president) on ne vit guère de gros changements sous son interrègne. Certes dès qu’il disparut, l’affaiblissement sur ordre de l’Amérique s’accéléra avec Biden ; mais aussi le Grand Reset prit le pouvoir avec des politiques pétrolières dignes des pires navets hollywoodiens, traditionnellement anti-pétrole depuis les années soixante-dix. Le reste de l'agenda libéral des années 70 sembla aussi s’accélérer : une immigration folle de grand remplacement comme on dit, un satanisme culturel et médiatique sans pareil, une dinguerie morale et culturelle (le « wokisme ») et bien sûr une russophobie rabique et exterminatrice. La destruction créatrice de Schumpeter ne se veut même plus créatrice : elle ne se veut que destructrice. La vraie question est celle-ci : le Donald est-il est un oligarque droitier, démagogue et chanceux après cet attentat ou un Elu du Ciel, destiné à lutter enfin contre l’hydre mondialiste et les légions des innombrables néo-cons qui aujourd’hui contrôlent les pays européens et occidentaux ? (Suite à la tentative d'assassinat contre lui) Les choses sérieuses ont-elles enfin commencé dans un cadre eschatologique, qui ferait de ce Donald ce héros combattant qu’on ne pouvait jusque-là pas prendre trop au sérieux ? En d’autres termes Trump va-t-il retourner la fameuse observation de Karl Marx : un événement se produit d’abord sous une forme tragique, ensuite sous une forme comique ? Et si c’était l’inverse cette fois ? La première présidence n’ayant pas semblé sérieuse, la deuxième peut-elle l’être ? Et nous fournir le salut espéré pour échapper aux guerres et aux vœux d’une élite sataniste dévoyée qui depuis qu’elle a mis ce pape irréel aux affaires a avancé comme un taureau pour tout ravager ? Entre le grand remplacement migratoire que Trump avait bien dénoncé après beaucoup d’autres (question sur laquelle j’ai beaucoup insister), le terrorisme écologique devenu fou, la rage guerrière antirusse, les progrès inquiétants de l’intelligence artificielle, que reste-t-il dans un futur proche pour les petits blancs que nous sommes, victimes des caprices politiciens et des ambitions messianiques d’une usure dévastatrice qui renforce son pouvoir depuis la crise de l’an 2008 ? Le prodigieux aveuglement de l’opinion publique occidentale montre qu’elle n’est que le tam-tam dont parle Céline. Pour cette masse abrutie et même possédée maintenant (masques, vaccins, codes QR…), Trump c’est la violence et c’est la menace pour la paix dans le monde (logique, puisqu’il veut éviter une guerre nucléaire contre Chine et Russie) ; tout cela a été très bien décrit par Céline et j’en ai parlé dans mon livre sur ce grand homme – le pacifiste enragé – en insistant sur cet aspect de son œuvre : on ne veut plus crever pour vous. De même Trump est comme les isolationnistes honnis et traités de nazis en Amérique par les lobbies celui qui veut éviter la castagne nucléaire dont le camp humaniste et mondialiste rêve nuit et jour. On sait pourtant qu’il est tenu, qu’il est limité, qu’il est plus vieux, plus mou maintenant, et qu’on ne peut lui faire trop confiance. Mais ce qui nous motive c’est l’état dans lequel il les met ces tribus du mondialisme capitaliste et bureaucratique : il les rend folles et elles sont prêtes à tuer maintenant, de jour, de nuit, d’après-midi. Ils ne prennent plus de gants, et de ce point de vue il a été un accélérateur de l’histoire même si nous savons que c’est avec Obama que ce capitalisme de la Fin a pris forme, qui veut se débarrasser des petits blancs puis de la vie sur terre. Le film de Jarmusch sur les zombies en parla bien, qui dénonce un petit blanc (Steve Buscemi) doté d’une casquette à logo : make America white again. Or, blanche, l’Amérique le fut, ne leur en déplaise, et il n’y a pas si longtemps. Et cette phobie anti-Trump a certainement des sources racistes anti-blanches qu’on ne détaillera pas ici… On n’a pas la prétention de dire ce qui va se passer. Tout ce que l’on sait c’est qu’avec les hordes gauchistes et démocrates ou gauchistes qui ici depuis 1789, 1848, 1917, 1968 ou 1981 dévastent l’occident, tout va mal se passer. Alors bon courage, mon Donald. » (Extrais de l'article « Donald Trump martyr du mondialisme » de Nicolas Bonnal) « L’accroissement de la dette publique américaine a suscité de nombreux commentaires. L’emballement récent tient pour partie à des causes atypiques, telle la crise des subprimes ou la pandémie. Néanmoins, il existe un problème de fond lié au double déficit, budgétaire et commercial des États-Unis. Notre analyse commence par l’examen de la dette, et se poursuit par l’étude du déficit budgétaire et du déficit commercial. Nous concluons que cette dette dans son état actuel ne peut que conduire à une crise majeure de l’économie américaine, et par contrecoup de l’économie mondiale. A la fin du premier trimestre de cette année, la dette américaine s’élève à 126% du produit intérieur brut (PIB) – un montant supérieur à celui de 1946 (118%) dû au coût de la Seconde Guerre mondiale. Cette situation est exceptionnelle. Au regard de l’histoire américaine, il s’agit d’une situation hors norme qui a certainement conduit Alexandre Hamilton – premier secrétaire du Trésor – à se retourner dans sa tombe. Suite à la Guerre d’indépendance, il avait effet promptement assaini les finances publiques américaines et rétabli le crédit international de la jeune nation – crédit qu’il considérait indispensable à son bon développement économique futur. Et, c’est bien de cela dont il s’agit aujourd’hui. Depuis 2008, les dirigeants américains agissent comme s’il n’existait pas de limite au montant de la dette américaine, mais cette limite existe même si elle n’est pas précisément définie. Si la dette croît plus vite que l’économie, le taux d’endettement croîtra aussi. S’il croît, les investisseurs exigeront un taux d’intérêt plus élevé pour compenser le risque accru de la dette. Concomitamment, le coût de la dette absorbera une part croissante des recettes fiscales, aggravant le déficit budgétaire… donc la dette. A un moment donné qui reste à définir, la situation financière de la nation débitrice entre dans un cercle vicieux d’endettement. Il semble que les dirigeants américains n’en soient pas conscients ou estiment que le moment de s’en inquiéter n’est pas encore venu ce en quoi ils ont tort. Au-delà de facteurs atypiques tel que la pandémie, l’aggravation du déficit tient à une baisse des recettes et un accroissement des dépenses en pourcentage du produit intérieur brut. Les recettes baissent sous l’effet d’un taux moyen d’imposition des ménages qui est tombé de 22,4% du PIB en 1980 à 16,4% en 20202. Cette baisse est elle-même due à une réduction du taux d’imposition des personnes physiques, en particulier sur les revenus les plus élevés. Parallèlement, le taux d’imposition des entreprises a été abaissé. Du côté des dépenses, la tendance est inverse. Pour l’analyser, nous avons classé les dépenses en quatre catégories : défense, programmes sociaux, dépenses de fonctionnement et coût de la dette.  Quelle est l’origine de cette dégradation du commerce extérieur américain. Les causes sont nombreuses. Retenons comme causes principales la consommation, la productivité et le dollar. Un individu disposant d’une somme d’argent n’a le choix qu’entre deux alternatives : dépenser ou épargner. L’analyse confirme que les Américains privilégie la consommation. En dépit de louables efforts de la part des économistes et des statisticiens, il n’existe pas de critère de référence pour mesurer la performance relative des nations. Le second facteur est la productivité. On est donc en présence d’une désindustrialisation de l’économie américaine – désindustrialisation aujourd’hui critiquée alors que dans les années 90, elle était présentée comme la voie du futur. C’est le troisième facteur expliquant le déficit commercial américain : la mondialisation. Alors que Bill Clinton était président, le 15 avril 1994 après huit années de négociation, 164 nations signent à Marrakech l’accord qui crée l’Organisation mondiale du commerce en remplacement de l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce de 1949, plus connu sous son acronyme anglais : GATT. Il est pour le moins surprenant qu’une nation chroniquement déficitaire traditionnellement protectionniste  ranimer une économie anémiée après le krach de 1929. Cette politique fut poursuivie dans les années d’après-guerre ce qui, avec le coût croissant de la guerre au Vietnam, produit une inflation incontrôlée dans les années 70 avec en point d’orgue la décision du gouverneur de la Réserve fédérale, Paul Volcker10, de porter le taux directeur de la banque à 21% à l’été 1981 pour la juguler. La baisse de productivité, non établie formellement mais néanmoins réelle, demeure inexpliquée. Enfin, la mondialisation s’inscrit dans le projet néoconservateur qui vise à faire des États-Unis l’arbitre du monde, ainsi que l’explique Paul Wolfowitz dans Defense Planning Guidance en février 1992, quelques mois seulement après l’effondrement de l’Union soviétique. A ces trois facteurs, s’en ajoute un quatrième, le dollar. importations, et promit de son côté que les États-Unis réduirait leur déficit budgétaire. Ce qui fut dit fut fait, à l’exception des États-Unis qui craignant que la réduction de leur déficit provoque une récession, ne firent rien. Quoiqu’il en soit, la conférence eut les résultats espérés. Les devises s’apprécièrent vis-à-vis du dollar, trop même à tel point qu’il fallut convoquer une nouvelle conférence le 22 février 1987, au Louvre cette fois, pour freiner leur appréciation trop rapide. Les marchés financiers comprirent le message que leur donnaient les autorités, et se calmèrent. L’objectivité de modération de la hausse du dollar avait été atteint. Le grand perdant de cette initiative américaine fut l’économie japonaise qui ne retrouva jamais le dynamisme dont elle jouissait jusqu’alors. sanctions sont illégales, comme l’est le gel des avoirs, mais elles constituent un casus belli en droit international. En prenant ces décisions, les dirigeants américains ont fait preuve de désinvolture, voire d’arrogance – décisions qu’ils pourraient regretter dans le futur. En réaction, la Chine et la Russie ont non seulement accru la part de l’or dans leurs réserves, mais décidé également, en coopération avec les membres des BRICS et du SCO, de créer une nouvelle monnaie internationale. Ce projet n’en est qu’à ses balbutiements. Sa réalisation prendra du temps et n’est donc pas un souci pour les dirigeants américains. Plus inquiétant est la décision de l’Arabie saoudite de ne pas renouveler l’accord qui la lie depuis cinquante ans aux États-Unis par lequel elle s’engage à libeller la vente de son pétrole en dollar et à en investir le produit en bons du Trésor. Le risque est que cette décision fasse tache d’huile en se généralisant à d’autres produits comme les céréales, par exemple. La Russie, la Chine et l’Inde conduisent une part croissante quoique modeste de leur commerce dans leur propre monnaie. Si cette tendance se poursuit et s’étend à d’autres nations, le dollar pourrait être relégué in fine à un rôle secondaire dans les relations monétaires internationales, or le dollar est l’un des piliers de l’empire américain. Il s’agit donc d’une question d’importance. La cause première de l’augmentation de la dette publique est l’irresponsabilité budgétaire du gouvernement et du Congrès. Derrière cette irresponsabilité se cache une prééminence donnée à la politique monétaire dans la conduite de l’économie. Cette prépondérance s’inscrit dans une adhésion au néolibéralisme qui, sous prétexte de libéraliser l’économie, la dégage de toute entrave et la concentre dans des groupes financiers dont le seul objectif est la rentabilité des capitaux. Il en résulte une inégalité croissante, et une déshumanisation de l’entreprise qui se traduit en suicides et en une dépendance accrue aux drogues. Au niveau qu’elle a atteint et par les excès qu’elle engendre sur les marchés financiers, la dette publique américaine ne peut que conduire à un krach financier de type 1929 à la puissance 2. » (Extraits de l'article de Jean-Luc Basié « Origines et conséquences de la dette publique américaine »)
« Tous les conflits dans le monde proviennent de la nature néfaste du capitalisme financier improductif et prédateur en crise. Les fanatiques riches s’efforcent de maintenir ce système par des tentatives incessantes d’étendre leur domination sur tout le reste de la terre par le biais de leur agenda mondialiste et de projets militaires sans fin. Leur vision insatiable et avide dépasse les limites de leur faim ! En plus de faire fuir de l’Ukraine la moitié de la population surtout active, de lui faire perdre les parties les plus utiles et vitales de son territoire avec sa population russophone, de la contraindre à s’endetter à hauteur de 152 milliards de dollars, l’Otan ne peut pas donner de meilleurs ‘conseils’ pour mener ce pays à la ruine sans possibilité de reprise. Elle s’emploie actuellement à hâter son sort « jusqu’à la disparition du dernier Ukrainien », c’est à dire vers l’anéantissement. Un peuple martyrisé, outragé, humilié par la faute d’un Occident cupide, prédateur et démoniaque en collusion avec une faction d’Ukrainiens « nazifiés », félons, ignobles et meurtriers. Les États-Unis ont impliqué l’Europe dans ce conflit sûrement par ‘affection’ aussi dont ils tirent parti économiquement et militairement jusqu’à la rendre vulnérable et dépendante de son énergie, de son armement, de ses dollars, de son narratif et de sa volonté. La situation en Europe est kafkaïenne : le choix d’accepter la défaite ou de persister aurait des conséquences insurmontables. Reconnaître la défaite détruirait l’OTAN. Continuer à soutenir l’Ukraine est limité par la puissance militaire russe croissante et par l’incapacité des Ukrainiens. Même l’idée d’«aller jusqu’au bout» a atteint ses limites. Il serait insensé d’envisager l’idée même de contrer la Russie avec des armes illégales et non-conventionnelles pour une cause déjà perdue. Ceux qui suggèrent cette option devraient soit prendre leur retraite ou abandonner la politique soit consulter un psychiatre. La meilleure décision est celle qui conforte la raison, même si elle est considérée comme « mauvaise » : déclarer forfait ! » (Extraits de l'article d'Amar Djerrad « La situation kafkaïenne de l’OTAN en Ukraine conduit à sa défaite par forfait ! »)
« Le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé mi-juin 2024 que la Russie serait prête à cesser les hostilités et à entamer des négociations de paix sans délai, à condition que l'Ukraine retire ses forces des quatre régions en conflit depuis 2014 et abandonne son projet d'adhésion à l'OTAN. Dans une déclaration qui semble être une dernière chance pour l’Europe, Poutine a mis en garde contre la dépendance critique, voire totale, du Vieux Continent (l'Europe) vis-à-vis des États-Unis. Selon lui, le véritable danger pour l’Europe ne vient pas de la Russie, mais de cette relation d’asservissement.  Poutine a lancé un appel aux Européens, leur rappelant que s’ils souhaitent demeurer un centre de développement mondial indépendant et un pôle culturel et civilisationnel, il est essentiel d’entretenir des relations saines avec la Russie. Cela implique de se libérer de l’influence néfaste de Washington, qui se manifeste par la pression exercée sur les politiciens européens, les scandales, la surveillance et l’achat de gaz américain à un prix élevé. Le chef d’État russe a qualifié de « pure absurdité » les rumeurs selon lesquelles la Russie envisagerait une attaque contre l’Europe. Il a estimé qu’il était temps d’engager une discussion approfondie sur les garanties bilatérales et multilatérales de sécurité collective, soulignant que nous nous rapprochons dangereusement d’un point de non-retour. Poutine a sévèrement critiqué les appels à infliger une défaite stratégique à la Russie, qui détient le plus grand arsenal d’armes nucléaires au monde. Il a dénoncé l’aventurisme extrême des politiciens occidentaux, qui selon lui, ne comprennent pas l’ampleur de la menace qu’ils créent ou sont obsédés par leur propre impunité et leur propre exclusivité. Il a averti que ces deux attitudes pourraient mener à une tragédie. L’OTAN a d’ores et déjà rejeté la proposition de paix de Poutine, rendant inutile l’attente d’une réponse de la part de Zelensky, qui ne pourra plus prétendre que Vladimir Poutine refuse de négocier la paix. Il est désormais clair que l’OTAN souhaite la guerre et contrôle pleinement l'Ukraine. Les peuples doivent se libérer de l’emprise de ces bellicistes. » (Média en 4-4-2)
« Tous ceux qui ont un peu d’histoire savent que le capitalisme, quand il est à bout de souffle, c’est-à-dire quand il a épuisé les peuples, les pousse les uns contre les autres. En 1914, ces derniers n’avaient pas encore tout compris, même si Jaurès les avait prévenus. Mais ça n’a pas suffi. Cela n’a pas servi de leçon à nos dirigeants, qui sont dans la droite ligne des salopards de 1914, avec ces généraux achetés par les multinationales de l’armement – théoriquement en concurrence – et les banques d’affaires qui étaient derrière. C’est bien la Banque qui fait in fine la guerre aux peuples, surtout quand ils commencent à se cabrer. Un siècle plus tard, Macron, l’employé de la Banque (et l’obligé des puissances occultes européennes que sont l'OTAN, BlackRock, l'OMS, et les multinationales US), récidive en lançant les Français – qui n’en veulent pas – dans une guerre fratricide contre les Russes. Ses déclarations en Suède, pendant que les agriculteurs se soulèvent, sont gravissimes. (Les Américains auront une fois de plus le cul au chaud pendant que les Européens s’étriperont.) Cela fait maintenant 10 ans que l’OTAN, c’est-à-dire l’armée américaine en Europe financée par les Européens, prépare ce nouveau conflit qui doit mettre à bas la puissance militaire russe, la seule à pouvoir s’opposer à la puissance militaire américaine, tout ça pour isoler les Chinois, qui devront pactiser avec les Américains. C’est-à-dire se soumettre. Pour l’instant, l’alliance Xi-Poutine tient bon, et le partenaire chinois ne commet pas d’erreur, même si l’objectif chinois n’est pas l’objectif russe : la Chine veut être à l’horizon 2050 la première puissance économique doublée d’un juge de paix international, à mettre en miroir du gendarme américain du monde qui passe son temps à sanctionner et piller les autres pays. Face aux BRICS et à la nouvelle alliance russo-chinoise, les Américains peuvent compter sur les Five eyes, ses alliés dans la surveillance qui ont fait allégeance depuis la fin de la WW2. Il s’agit de la Grande-Bretagne, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, des vassaux privilégiés, dirons-nous. Ensuite, il y a les seconds vassaux, considérés comme moins sûrs, à savoir la France, l’Allemagne, l’Italie, et même le Japon, qui redoute la nouvelle puissance militaire chinoise mais qui commerce avec sa grande sœur... Dans ce tableau qui fleure bon 1913, on a un président en roue libre qui exécute les plans de la Banque et surtout de la puissance financière anglo-américaine, qui a besoin des ressources énergétiques et minières russes pour se refaire un profit. Le profit n’est pas extensible, sauf si l’on crée un nouveau marché en écrasant un pays sous les bombes, afin de le reconstruire dans le sens du Marché. C’est ce qu’on appelle la démocratisation à l’américaine. Une Amérique qui ne peut plus maintenir sa domination qu’en détruisant le reste du monde, ses ennemis, mais aussi ses vassaux. (Mais l'armée française ayant dignement refusée de bombarder le Yémen soutenant les palestiniens, elle pourrait en faire de même.) » (Rédaction ER)
La situation de crise actuelle constitue un sérieux test de résistance qui permet d’évaluer la capacité de Moscou à prendre des décisions éclairées, à faire preuve de résilience sociale, à utiliser efficacement les ressources, à adapter son modèle économique, à maintenir son système politique, à gérer les stratégies d’information et à relever les défis de la politique étrangère.
Or « Pour les quelques personnes restantes de ma génération, il est étonnant que le mérite, qui a fait la grandeur de l’Amérique et une échelle de mobilité ascendante, ait été officiellement mis de côté pour la « diversité » dans laquelle l’avancement est basé sur la couleur de la peau, le sexe ou le genre autoproclamé et non biologique. Ceux qui ont créé cette situation déplorable se sont-ils jamais demandé comment une société médiocre non fondée sur le mérite peut être une superpuissance, une unipolaire, une hégémonie dont l’existence exceptionnelle et indispensable lui donne droit à l’hégémonie sur le monde ? La Chine, qui accueille l’essentiel de l’industrie manufacturière américaine, doit s’étonner de l’illusion américaine. La Russie, dont la puissance et l’économie ont été considérablement renforcées par les sanctions américaines aveugles, doit se demander si les États-Unis peuvent même être considérés comme un adversaire. Même l’Iran ne craint plus les États-Unis. Surtout qu'indépendamment de la réalité dans laquelle ils vivent, de nombreux Américains continuent de voter pour les démocrates. Lorsqu’un peuple vote pour sa propre destruction, il est clair que le pays est fini. C’est l’Amérique d’aujourd’hui. Les jeunes sont perdus parce qu’ils ne sont plus éduqués dans les vertus d’une société libre, car on leur fait de la propagande contre la suprématie de la race blanche. Comment réparer cela ? Comment ressusciter la liberté ? Pas dans les écoles publiques. Les départements d'« éducation » des universités forment des crétins aliénés contre leur pays. Et les écoles de droit produisent des diplômés aliénés qui considèrent la Constitution américaine comme un document raciste et des procureurs qui considèrent la loi non pas comme un bouclier du peuple, mais comme une arme à brandir contre le peuple. Tout cela est grave et vrai. Il n’y a pas de pays libre ici. » (Paul Craig Roberts)
Mais Douguine croit en la victoire de l’Homme : « Nous sommes des alliés : les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays musulmans (dont le Maghreb, la Turquie et l’Iran), la Chine géante qui tente de s’élever sur la vague mondiale mais s’y oppose néanmoins et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie redevenue orthodoxe avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts. »
Ça pourrait même finir en boycott mondial contre les globalistes wokistes oligarchiques, contre les américano-sionistes et contre Israël, et en déroulement pacifique d'un tapis rouge pour le retour de Jésus.
D'ailleurs Guillaume Bigot précise : « Quand un pouvoir (mondialiste) donne des ordres qui ne sont pas exécutés (comme le confinement, le port du masque, la baisse de la consommation d'énergie, l'interdiction de la critique du sionisme), il dévoile que son pouvoir repose sur le consentement et que si les gens refusent d’obéir, il perd son pouvoir. Le gouvernement se met en danger en donnant des instructions qui sont peu fondées ou difficiles à justifier. L’autorité publique se retrouve abîmée par l’État lui-même. »
Ici il est important de noter qu'un secteur économique se fédérant et agissant collectivement peut aussi avoir un grand impact sur le réveil d'une nation et sur sa politique, surtout que pouvant unir le peuple vers la révolution.
De même l'association de nations vers la multipolarité peut réveiller les peuples. D'ailleurs au G20 de 2023, les pays émergents ont montré leur refus de décarboner, car leur développement dépend majoritairement de la consommation de pétrole, de gaz ou de charbon ! Les pays industrialisés ont voulu piéger les pays dits du sud, qui ne sont pas favorables au protocole de Kyoto. Or les Américains n'y sont aussi pas favorables, puisqu’ils sont en train de remplacer leur pétrole par du gaz de schiste. Le piège tendu par les Occidentaux, c’est d’accuser aujourd’hui les pays émergents de polluer (rappel : le CO2 n’est pas de la pollution, c’est même du bon manger pour les forêts), alors que leur développement à eux est acquis depuis un siècle déjà. La décarbonation, c’est en grande partie l’arme anti-chinoise du groupe euro-américain, et les Chinois n’en ont rien à faire. Face au diktat occidental incarné par les COP, l’Arabie saoudite, la Chine et l’Inde ont même fait bloc, dont en se vengeant sur le dossier ukrainien par leur refus de condamner la Russie. Car derrière, comme toujours, tout n’est qu’une question d'argent et de pouvoir.
C'est pourquoi il est important de remarquer que pour empêcher ce réveil des peuples au profit de l'amplification de leurs intérêts et privilèges, les élites mondialistes impies de l'actuel monde moderne, matérialiste et donc individualiste nous vendent du rêve futile à travers l’idolâtrie envers des célébrités du sport, de la musique, de l'art, de la fausse politique, ou de la télévision. Dans ce sens ils vendent aussi de la peur recroquevillant et donc affaiblissant les peuples par les risques de guerres, le covid, l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures ou la pauvreté sociale. En effet cette amère ambiance d'appauvrissement et de rabaissement moral pousse souvent les gens à l'excessive consommation perverse d'alcool, de cigarettes, de drogues, de vêtements, de nourritures, de médias, de jeux vidéo ou/et de pornographie. Surtout qu'ajouté à cela, en répandant fréquemment divers produits chimiques ou des pesticides partout, cela va encore plus dans le sens des malfaisantes élites cupides au pouvoir, puisque faisant de plus en plus mourir les gens vers le début de leur retraite comme des esclaves pour qu'ils en profite peu voire pas du tout, à cause des fréquents cancers, crises cardiaque ou accidents vasculaires cérébraux. De plus il faut rappeler que les peurs comme celles liées au covid et au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 permettent de faire accepter n'importe quoi aux populations pour leur sécurité : mesure liberticide, contrôle social, identification numérique, refonte économique complète, mondialisme ploutocratique pour honteusement gérer l'humanité tel un troupeau.
Benjamin Franklin : « Un peuple prêt à sacrifier un peu de sa liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. »
Or pour beaucoup le fantasme de leur santé immortelle face à la crise du covid est passé avant leur liberté, alors qu'auparavant ils étaient prêts à mourir pour leur liberté. De plus quand le parlement refuse de dire que le Roi (Président) est fou, il faut comprendre que la tyrannie vient de lui et du système.
En effet par exemple sous le pervers prétexte de notre protection contre le covid, contre l'antisémitisme, et même contre la haine, la liberté de mouvement et d'expression est diminuée. Alors que la perception de la haine est un sentiment subjectif, et que tout peut donc être supprimé au nom de la lutte contre la haine, car il suffit d'avoir une communauté de pleunichars suffisamment large. Mais la manipulation qui consiste à amalgamer toute vérité, aussi déplaisante soit-elle, à de la haine, ne tient plus. Ces lois obscures contre la haine et la désinformation pourraient même d'abord servir à ce que toute idée contraire au mondialisme devienne considérée comme mauvaise et interdite. L’esprit de résistance, c’est ce que les corrompus appellent la « haine », mais qui n’est que la réaction naturelle à leur corruption. Cet esprit de résistance a généralement déserté les instances d’opposition classiques, car de plus en plus soumises à la lâcheté et aux petits calculs. Le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence – indispensable à son propre maintien – d’avoir conduit à une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les Gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. Et cette fois-ci comme l'antidémocratique loi Avia contre la haine a été remise en cause en grande partie par le conseil constitutionnel, face aux principes fondamentaux de la République française dont la liberté d'expression qui s’y opposent, on utilise l’Union Européenne et la violation de notre souveraineté pour les contourner et mettre en place un système autocratique dont Thierry Breton est l’un des surveillants zélé. C'est à dire que les réseaux sociaux déjà devenus des éditeurs de contenus souvent wokistes peuvent de plus en plus devenir de la censure envers les paroles dissidentes. Même la presse de gauche a abandonné le terrain à la tyrannie mondialiste oligarchique en se soumettant au covid, car le covidisme, c’est la pointe acérée du mondialisme oligarchique, l’aiguille de la seringue qui doit toujours plus paralyser les peuples car avec aussi les crises financières, l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine. Cela vérifie encore une fois la théorie selon laquelle la gauche officielle n’est que le moyen pour la droite dure, spéculative, usurière, dominatrice, bancaire, dirigeante et répressive, de faire croire à la démocratie.
Concernant ces grosses pertes de valeurs traditionnelles, de liberté et de souveraineté des nations, voici d'ailleurs un résumé des principales nouveautés du projet de modification des traités sur l’UE adopté par le Parlement européen en 2023 :
-La prise de décision à l’unanimité des Etats membres (Conseil européen) devient l’exception, le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle.
-On ne parle plus d’égalité entre les hommes et les femmes mais entre les “genres”. Le personnel de l’administration européenne devra refléter “l’égalité de genre et la diversité de la société” (discrimination positive).
-Création d’une fonction de “Président de l’Union européenne” en remplacement des président du Conseil européen et de la Commission qui est elle-même remplacée par un “exécutif”.
-La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.
-Création d’une “union de la défense” dotée de “capacités militaires” sous le “commandement opérationnel de l’UE” qui peut acquérir des armes au nom de l’UE, et donc constitution d’une véritable armée de l’UE.
-Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un Etat membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses Etats membres comme dans l'OTAN.
-L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation.
-Compétence exclusive de l’UE au détriment des Etats membres pour conclure et négocier les accords internationaux sur le changement climatique.
-L’UE aura dorénavant une compétence partagée avec les Etats membres sur les questions de santé publique, “l’accès universel et complet à la santé” et les “droits sexuels et génésiques”. (Cela signifie que les Etats membres ne pourront agir que si l’UE a décidé de ne pas le faire ou qu’elle n’a pas encore proposé de législation). Il en est de même pour : la politique des frontières extérieures, les affaires étrangères, la sécurité extérieure, a défense, la protection civile, l’industrie et l’éducation.
-La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des Etats membres et répondre aux besoins de mains d’oeuvre du marché unique.
-L’UE ne pourra définir que les conditions “minimales” d’entrée et de séjour ainsi que les normes “minimales” de délivrance de visas et titres de séjour de longue durée.
-L’UE sera dorénavant compétente pour définir les règles minimales relatives à la définition des infractions pénales et des sanctions dans les domaines de la “violence fondée sur le genre” et “la criminalité environnementale”.
-L’UE pourra compléter l’action des Etats membres dans la lutte contre la pauvreté et le “soutien au logement social”.
-Création d’un “Etat d’urgence” européen : Le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif).
-Instauration d’un droit fondamental à “l’autonomie corporelle” et à un “accès universel à la santé” “sans discrimination”.
Pour ne pas entrer en tyrannie et pacifiquement manifester légitimement quand il le faut, le peuple doit absolument jauger quand des niveaux sécuritaires liberticides sont temporaires, deviennent exceptionnels, ou demeure une généralisation autoritaire.
Alors si d'ici 2030 voire 2040 notre période possiblement synonyme de fin des temps n'évolue pas clairement en guerre mondiale, cela pourrait signifier comme le pense Pierre Hillard que les puissances nucléaires et hégémoniques s'entendent plus ou moins sur l'accomplissement du grand Israël, d'une gouvernance mondiale ploutocratique possiblement liée aux grands groupes financiers et commerciaux du privé, ou de la mise en place d'un monde multipolaire coopérant au niveau des principaux secteurs économiques dont étatiques pouvant être lié à la nécessité du retour d'un califat bien guidé. Cela signifierait qu'il y a bien une réelle lutte entre mondialistes et souverainistes pouvant déboucher sur un triomphe en grande partie pacifique du conservatisme et du monothéisme authentique.
En attendant l’extraterritorialité, c’est le concept numéro un d’une Amérique à la traîne économiquement (par rapport à la Chine), mais à la pointe militairement, quoique de moins en moins. Cela permet de punir les pays qui ne sont pas dans la ligne des intérêts maison (politique, financier, monétaire). Leur extraterritorialité s’applique donc en matière économique et militaire, et ces deux champs finissent par se confondre. La guerre que les États-Unis mènent contre le monde depuis 120 ans est une guerre économico-militaire, le lobby militaro-économique faisant figure de gouvernement réel depuis un siècle. Enfin l’extraterritorialité, qui permet aux USA de s'imposer dont en agressant d’autres pays sous des prétextes fallacieux comme la présence d’une organisation terroriste en Afghanistan et l 'existence d'armes de destruction massive en Irak, fait des élites perverses états-uniennes les principaux terroristes, et de cet empire belliqueux propageant le chaos le plus grand pays terroriste du monde. Le droit américain permet donc l’extraterritorialité de certains de ses textes juridiques du fait de dispositions l’autorisant expressément.
« Les principales lois à portée extraterritoriale sont les suivantes : « l’embargo contre Cuba ; la loi Helms-Burton ; la lutte contre les États soutenant les groupes terroristes : la loi d’Amato-Kennedy ; la lutte contre la corruption dans les transactions internationales : le Foreign Corrupt Practices Act ; la fiscalité : le Foreign Account Tax Compliance Act ; la lutte contre le terrorisme : le Patriot Act ; la surveillance comptable et financière et la corruption : la loi Sarbanes-Oxley ; la surveillance des données du monde entier : le CLOUD Act ; le droit de la concurrence américain. » (Wikipédia)
Sous prétexte également d'identifier et répondre aux menaces étrangères contre les démocratie, le plan Viginum de l’État français a été mis place pour la surveillance de la dissidence. Ces menaces comprennent prétendument l’activité hostile de tout État ciblant les institutions, les processus démocratiques, l’environnement médiatique et informationnel, ainsi que l’exercice des droits de l’homme et des libertés fondamentales. L’objectif est de lutter contre « la désinformation parrainée par des États étrangers ». Ne nous leurrons pas : derrière ce langage policé, c’est la Russie qui en premier lieu est visée, mais aussi tous ceux qui dénoncent la démocratie occidentale, car elle sert toujours plus à la tyrannie de l'oligarchie transnationale, apatride et sioniste. Sous prétexte d’éviter les influences étrangères qui pourraient menacer le débat démocratique mais d'abord en réalité l’expression d’opinions qui ne dérangent pas le système, le fichage S des « mal-pensants », autrement dit de dissidents est même devenu une activité industrielle inspirée du « modèle chinois ». Cela nécessite la mise sous surveillance de toute la population.
Au fond le terrorisme finit toujours par servir le pouvoir (profond) en place, car ce dernier peut ainsi augmenter la terreur sur la population dont par des médias de plus en plus contrôlés, augmenter la surveillance envers le citoyen d'abord résistant politique et non de droit commun, et augmenter la répression sous couvert de sécurité nationale, le Patriot Act américain post-11/09 servant d’exemple à toutes les démocraties totalitaires.
Or selon Iurie Roşca de l'Université d'État de Moldavie, l'époque actuelle ayant mis fin à la théorie selon laquelle le mondialisme serait un pur produit américain, il rappelle que l’essayiste et économiste français Hervé Juvin développe une thèse très importante pour comprendre les phénomènes des dernières décennies : tout comme le peuple russe fut la première victime du communisme, le peuple américain est la première victime du mondialisme, également appelé capitalisme extraterritorial, impérialiste et destructeur. En effet il ne faut pas oublier que la majeure partie de l’oligarchie mondialiste réside aux États-Unis tout en agissant contre les intérêts de l’État américain et du peuple américain.
Suite à l’élection de Donald Trump, deux pouvoirs se sont fait face aux États-Unis : d’un côté, un président populiste guidé par le principe de « l’Amérique d’abord ! », et de l’autre côté, « l’État profond », qui privilégie l’accumulation de profits pour les élites corrompues mondialistes au détriment des intérêts du pays. Tout patriote se retrouve donc dans le message suivant, car c'est un principe évident qui devrait être suivi par tout le monde et par toute élite politique qui se respecte : « Mon pays avant tout ! ». L’élection de Trump n’était pas prévu en 2016. D'ailleurs, il s’en ait pris ensuite au pouvoir détenu par la Cabale : medias, Big Pharma, complexe industriel militaro (diminution des guerres), BlackLivesMatter, pro-masques, pro-confinement, pro-avortement, réseaux pédocriminels, et même GAFAM convoqués juste avant l’élection présidentielle suivante. Or suite à la fraude ayant volé cette élection à Trump, les prétendus démocratiques Etats-Unis sont désormais officiellement une tyrannie dirigée par la mondialiste et apatride hyper classe possédante du privée et de l'étranger. Ce qui ne profite désormais plus en même temps aux patriotes, car seulement à la domination de cette caste d’élus. C'est pourquoi il faut toujours lutter ensemble pour préserver nos traditions, nos cultures et nos religions, pour conserver notre souveraineté nationale, pour protéger nos économies nationales face aux attaques du capitalisme mondialisé, pour contrecarrer l’invasion de nos pays par des vagues de migrants clandestins, et pour cesser d’inonder les pays de requins spéculateurs capitalistes. L’issue de cette confrontation historique dépend de notre solidarité. Lurie Roşca dit à ce sujet en paraphrasant une célèbre citation marxiste : « Populistes de tous les pays, unissez-vous ! »
Par conséquent il faut contribuer à renverser la ploutocratie mondialiste apatride actuelle, à reconstruire les États-nations et à harmoniser les relations internationales de manière à ce qu’elles servent les intérêts de tous les peuples, dont à travers l'expérience des peuples de l’ex-URSS ayant énormément appris en participant au démantèlement de l’ancien régime totalitaire. En effet particulièrement par rapport au capitalisme, personne n’aurait pu prévoir qu'après la fin de l'URSS communiste, le jour viendrait où des peuples auraient à revivre la nécessité du « triomphe de la souveraineté des nations », et où nous aurions à refaire la décolonisation de peuples captifs victimes d’une corporatocratie mondialisée et technocratique ayant anéanti la souveraineté de tous les pays et provoqué des dégâts sociaux et économiques considérables. A l'image de la chute passée de l’URSS et de la chute en cours de l'hégémonie des USA, la chute du nouvel empire miniature et totalitaire de l’Union européenne wokiste, mondialiste et ploutocratique devient tout autant nécessaire, car le besoin de sa fin se fait urgemment sentir.
« Il y a une guerre, menée par la finance apatride, l’économie fictive, contre l’économie réelle. Une guerre dans laquelle la Haute finance utilise l’arme et la religion de l’écologisme pour justifier la destruction de l’industrie, du commerce, de l’agriculture et des hommes. C’est une guerre qui transcendent les frontières géographiques de l’Occident, une guerre qui fait rage au sein même de l’hêgemôn étasunien. Mais il y a là une intrication d’une guerre géo-économique inter-étatique États-Unis/Europe de cette guerre civile intra-étatique entre le monde de la finance et ses affidés dans un camp, et toutes les composantes de l’économie réelle, de l’ouvrier au grand patron d’industrie, dans l'autre. Toutes deux sont basées sur la prédation comme modèle économique. C’est une nouvelle configuration socio-politique qui dessine les contours d’une lutte des classes inédites, puisque transversale. Transversale car elle divise le sommet de la pyramide oligarchique, entre les tenants de l’économie réelle et ceux qui la détruisent, les maîtres de l’économie fictive (virtuelle). Or il n'y a pour l'instant que le président Trump représentant l'économie réelle qui incarne cette lutte transversale en occident face à l'économie virtuelle de la finance internationaliste. D'ailleurs le patronat allemand a effectué un virage à 180 degrés en allant à Pékin. C'est ce qui s'appelle choisir la realpolitik plutôt que l'idéologie. Ce sont eux, les représentants de la Haute finance, qui ramènent dans le même camp salariés, petits patrons et grands patrons pour cette lutte de classes inédite. En les désignant comme ennemis, elle les contraint à s’allier ou à périr. En les attaquant simultanément, les financiers se désignent comme les ennemis communs de l’écrasante majorité de la société et de l'humanité. Tout cela abolit ainsi précieusement les divisions entre catégories socio-professionnelles qui se jalousent pour des « avantages » dérisoires, car cette double guerre est donc menée aux peuples, aux entreprises et aux États. Or comme ce sont des guerres qui ne sont pas déclarées, cela rend plus difficile l’identification de l’origine de l’offensive et donc de la désignation de l’ennemi. Et c'est pourquoi beaucoup ne comprennent pas ce qu'il se passe » (Strategika.fr)
« Le néo-conservatisme pro-américain est contre l’AFD et l’Europe réelle. C’est la lutte pour l’orientation géostratégique de l’Europe, en particulier des parties de l’Europe qui, en raison de leur histoire, de leurs conditions économiques et de leur situation géographique, ont besoin d’une bonne entente avec la Russie et l’accepteraient – si elles y étaient autorisées. L'Alternative pour l'Allemagne (AFD) est un parti politique allemand de droite populiste. L'AfD est connu pour son opposition à l'Union européenne et à l'immigration en Allemagne. La CPAC défend des positions pro-américaines, anti-russes et anti-chinoises. Elle défend les revendications de la « seule puissance mondiale » et travaille à l’intégration de l’Europe et de l’Amérique du Sud dans un bloc de puissance contre les blocs émergents qui non seulement aspirent à un ordre mondial multipolaire, mais qui vont certainement le provoquer : la Russie et la Chine. (Ce qui amènerait à deux blocs divisant le monde : d'un côté donc l'Amérique du nord, l'Europe et l'Amérique du sud (sans Venezuela ni Brésil voire d'autres pays), et de l'autre l'Asie, l'Afrique et l'Océanie (sans l'Australie ni la Nouvelle-Zélande voire d'autres pays), avec le Moyen Orient au milieu voire en grande partie avec ce dernier bloc et en petite partie avec le premier.) Il est frappant et important de voir ici la liste des hommes politiques, des publicistes et des gestionnaires de projets qu’Orban a réunis à Budapest pour la CPAC. Outre les représentants de tous les États européens, petits et grands, des porte-parole des États-Unis et d’Israël ont été invités, des membres du Congrès de plusieurs États américains, ainsi que le président de l’Union conservatrice américaine, Matt Schlapp, et Amichai Chikli, le ministre des Affaires israéliennes de la diaspora. On peut dire qu’Orbán a rassemblé à Budapest les forces conservatrices européennes qui pourraient former un groupe parlementaire commun au cours de la prochaine législature – un groupe parlementaire vraiment grand, complet et puissant. L’opposition conservatrice de la droite allemande, l’AfD, ne participerait pas à ce groupe. L’opposition française, quant à elle, serait autorisée à y participer si elle rompait d’abord avec l’AfD. C’est ce qu’a fait Mme Le Pen, alors que l'AfD et le SPD qui sont les partis de la paix ont triomphé puisqu'ils ont fini deuxième et troisième aux élections européennes 2024 en Allemagne, et que le RN est soumis à l'OTAN belliciste en Ukraine. Pourquoi l’a-t-elle fait ? Elle peut ainsi participer à un projet anti-allemand qui pourrait se transformer en un projet anti-français si ces deux nations européennes de premier plan ne coupaient pas complètement leurs contacts historiques avec la Russie. Les petits Etats alignés entre l’Allemagne et la Russie profitent résolument de ce nouveau rideau de fer. Ils forment un bloc, soutenu par les Etats-Unis, et situé entre la Russie et l’Allemagne; et profitent au maximum de la faiblesse politique et de la force économique résiduelle de l’Allemagne. Ils ne renonceront jamais volontairement à ce transfert venu d’Allemagne et dépassent ainsi l’Allemagne sur le plan politique, au détriment de l’Allemagne. Il s’agit du fait qu’une puissante branche conservatrice de la droite américaine s’est formée en Europe, qui veut et va marquer l’Europe des droites conservatrices – aux dépens de l’Allemagne et avec la participation de l’irrédentisme conservateur allemand. De telles considérations ne sont pas des hypothèses tirées par les cheveux. Si l’on fait le bilan de la fuite des entreprises allemandes, du savoir-faire allemand, des capitaux allemands, de la richesse nationale allemande et de la main-d’œuvre allemande la mieux formée, notamment vers les États-Unis, on se trouve face à une catastrophe nationale. Ceux qui se souviennent que nous avions préparé une marge de manœuvre énergétique par le biais des pipelines, une marge de manœuvre adaptée à la situation centrale de l’Allemagne et à ses besoins, savent ce que signifie, sur le plan géostratégique, le fait d’être désormais entièrement dépendant de l’Occident sur le plan énergétique. (En sachant qu'en Allemagne, BSW semble être un parti hybride mêlant des valeurs sociales conservatrices et une approche socialiste de l’économie. Bien qu’il s’agisse d’une première en Allemagne, le phénomène n’est pas nouveau sur le vieux continent  Avant les élections européennes, les experts ont découvert que le vote pour BSW pourrait séduire certains électeurs de l’AfD dans la mesure où il se présente comme une véritable alternative, pouvant attirer ceux qui traduisent leur « désespoir » en votant l’AfD. Il s’agit donc ici d’un report de voix qui semble dépasser le clivage traditionnel gauche-droite, ce qui signifie qu'en Allemagne, entre extrême gauche et extrême droite, il n’y a qu’un pas...) » (Götz Kubitschek)
La dérive totalitaire, l'état d'exception, le Lgbtisme, l'individualisme, l'avortement, l'écologisme à outrance, l’abolition de la peine de mort, le mariage homosexuel, la GPA, etc s'étant mis en place sur quelques décennies (depuis la chute du général De Gaulle et Mai 68 qui a prôné qu'il est interdit d'interdire) et provenant du vide religieux, la solution ne peut être qu'une réponse théologico-politique basée sur la loi naturelle.
Face à l’extravagance de l’Occident pour maintenir son hégémonie et l’étendre aussi loin que possible, la résistance contre la coercition basée sur l’humanité et la spiritualité doit être mise à l’ordre du jour. En effet avec un plus grand nombre d’activistes pendant la période de transition du système international, nous pouvons espérer l’avènement d’un système multipolaire basé sur une approche pacifique et coopérative plus juste pour assurer pleinement la sécurité.
Ainsi la situation mondiale actuelle correspond donc avant tout à une épreuve divine pour distinguer les croyants bienfaisants des impies malfaisants avant le retour de Jésus (paix sur lui) qui sauvera seulement les humains bons. Par conséquent il s'agit d'un temps supplémentaire d'épreuves pour l'humanité voulu par Dieu afin d'établir la valeur de chacun, dont certains dirigeants sont probablement au courant puisque cherchant à préserver cette épreuve le plus pacifiquement possible.
En mars 1964, en visite au Mexique, le général de Gaulle s’adressant aux intellectuels de l’Université de Mexico envoya ce message au monde que l’actualité tragique rend encore plus essentiel :
« En effet, par-dessus les distances qui se rétrécissent, les idéologies qui s’atténuent, les politiques qui s’essoufflent, et à moins que l’humanité s’anéantisse elle-même un jour dans de monstrueuses destructions, le fait qui dominera le futur c’est l’unité de notre univers ; une cause, celle de l’homme ; une nécessité, celle du progrès mondial, et, par conséquent, de l’aide à tous les pays qui le souhaitent pour leur développement ; un devoir, celui de la paix, sont, pour notre espèce, les conditions mêmes de sa vie. »
« Le monde d’aujourd’hui connaît des changements tectoniques. La possibilité de domination d’un pays ou même d’un petit groupe d’États disparaît. Le modèle de développement international fondé sur l’exploitation des ressources de la majorité mondiale au profit du bien-être du « milliard d’or » est désespérément dépassé. Il ne reflète pas les aspirations du monde entier. Un ordre mondial multipolaire plus juste est en train de naître sous nos yeux. De nouveaux centres de croissance économique et de prise de décision politique d’importance mondiale en Eurasie, dans la région Asie-Pacifique, au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique latine sont guidées avant tout par leurs propres intérêts et placent la souveraineté nationale au centre de leurs préoccupation, et c’est dans cet esprit qu’elles réalisent des progrès impressionnants dans des domaines divers et variés. La Russie, État de nature civilisatrice et première puissance eurasienne et euro-pacifique, continue ses efforts de démocratisation de la vie internationale et de formation d’une architecture de relations interétatiques fondée sur les valeurs d’une sécurité égale et indivisible, de la diversité culturelle et civilisationnelle, et offrant des chances égales de développement à tous les membres de la communauté mondiale, sans exception. L’architecture des relations interétatiques serait fondée sur les valeurs d’une sécurité égale et indivisible, de la diversité culturelle et civilisationnelle et offrirait des chances égales de développement à tous les membres de la communauté mondiale, sans exception. Comme l’a souligné le Président Vladimir Poutine dans son discours à l’Assemblée fédérale de la Fédération de Russie le 21 février 2023 : « Dans le monde moderne, il ne devrait pas y avoir de répartition entre les soi-disant « pays civilisés » et tous les autres… Il devrait y avoir un partenariat honnête qui, en principe, refuse toute exclusivité, en particulier l’exclusivité agressive. » À notre avis, tout cela est conforme à la philosophie de l’Ubuntu, qui promeut la cohésion entre les nations et les peuples. Dans ce contexte, la Russie s’est toujours prononcée en faveur du renforcement de la position du continent africain dans l’ordre mondial multipolaire. Nous poursuivrons notre soutien à nos amis africains dans leurs efforts pour jouer un rôle de plus en plus important dans la résolution des problèmes fondamentaux de notre époque. Cela s’applique aussi pleinement au processus de réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, dans le cadre duquel, selon notre conviction profonde, les intérêts légitimes des pays en développement, y compris l’Afrique, doivent être garantis avant tout. La diplomatie multilatérale ne reste pas à l’écart des tendances mondiales. Les activités d’une association telle que les Brics symbolisent une véritable multipolarité et sont un exemple de communication interétatique honnête. Au sein de cette association, des États ayant des systèmes politiques différents, des plateformes de valeurs distinctes et des politiques étrangères indépendantes coopèrent avec succès dans divers domaines. Je pense qu’il n’est pas exagéré de constater que les Brics sont une sorte de « grille » de coopération au-dessus des lignes traditionnelles Nord-Sud et Ouest-Est. Effectivement, nous avons des choses à présenter à notre public. Grâce à des efforts conjoints, les Brics sont parvenus à créer une culture du dialogue fondée sur les principes de l’égalité, du respect du choix de notre propre voie de développement et de la prise en compte des intérêts de chacun. Cela nous aide à trouver un terrain d’entente et des « solutions », même sur les problèmes les plus complexes. Aujourd’hui, le partenariat stratégique des Brics prend de l’ampleur. L’association elle-même propose au monde des initiatives créatives et tournées vers l’avenir, visant à atteindre les objectifs de développement durable, à garantir la sécurité alimentaire et énergétique, la croissance saine de l’économie mondiale, la résolution des conflits et la lutte contre le changement climatique, y compris à travers le prisme d’une transition énergétique juste. Un système étendu de mécanismes a été créé pour réaliser ces objectifs. La stratégie de partenariat économique jusqu’en 2025 est en cours de mise en œuvre et définit les points de référence de la coopération à moyen terme. La plateforme de recherche énergétique des Brics, lancée à l’initiative de la Russie, fonctionne. Le Centre des Brics pour la recherche et le développement de vaccins a été lancé pour promouvoir des réponses efficaces aux défis posés au bien-être épidémique de nos pays. Des initiatives sur l’élimination des « refuges » pour les personnes corrompus et les actifs criminels, sur le commerce et l’investissement dans le but d’un développement durable, et sur le renforcement de la coopération dans le domaine des chaînes d’approvisionnement, ont été approuvées. La stratégie des Brics en matière de sécurité alimentaire a été adoptée. Parmi les priorités inconditionnelles figurent le renforcement du potentiel de la Nouvelle banque de développement et du Fonds de réserve de change des Brics, l’amélioration des mécanismes de paiement et le renforcement du rôle des monnaies nationales dans les règlements mutuels. Il est prévu que ces aspects fassent l’objet d’une attention particulière lors du sommet des Brics à Johannesburg. » (Sergeï Lavrov, Ministre des affaires étrangères russes, au sommet des BRICS 2023)
En voyant les choses positivement ou sagement comme il faut toujours chercher à le faire, le réchauffement climatique, le haut niveau de médecine (pouvant déjà parfois réparer des handicaps comme pour certains aveugles, sourds, paralysés, ou qui pourra guérir des maladies comme celle d'Alzheimer ou de Parkinson), le possible confort de base pour la plupart de l'humanité (grâce à l'eau potable au robinet et l'eau chaude sous la douche directement dans les demeures, à la voiture pour se déplacer, à l'électroménager facilitant les tâches ménagères, à la température convenable grâce au chauffage et à la climatisation), le revenu minimum universel bien établi, les technologies de la blockchain et de la cryptomonnaie pouvant probablement tout équilibrer économiquement par la religion, l'actuelle automatisation croissante de la plupart des métiers, et la bénédiction énorme des cultures, des élevages et des ressources énergétiques par les techniques modernes, pourraient déjà être des images de ce Jardin d'Eden complété et béni matériellement à venir synonyme de petit paradis terrestre et donc des preuves que l'ennoblissement maximal de l'humanité a déjà commencé quelque part. Surtout que le jardin d'Eden Originel pourrait être une façon d'exprimer la vie d'Adam avec l'émotion très joyeusement noble du Paradis mais avec les sensations et besoins de la vie terrestre. En effet, comme le précise Dieu au futur dans le verset suivant, il avertit Adam et Eve de ne pas se faire sortir du Paradis par la tentation d'Iblis pour qu'ils connaissent plus tard les conditions complètes de la vie paradisiaque. C'est à dire que dans le jardin d'Eden, il se peut qu'Adam et Eve sentaient modérément la faim, le froid et l'ardeur du soleil mais sans connaître la réelle valeur de leur aspect difficile puisque leur cœur était donc constamment dans l'émotion très joyeusement noble du Paradis. Et le jardin d'Eden complété synonyme de petit paradis terrestre pourrait donc d'autant plus corresponde à l'association de l'ennoblissement maximal du monothéisme entièrement révélé avec le niveau scientifique et économique permettant à l'humanité actuelle de ne plus avoir faim, de ne plus être nue, de ne plus avoir froid par le chauffage et de ne plus avoir chaud par la climatisation :
(S20v117-119) « Alors Nous dîmes : “Ô Adam, celui-là est vraiment un ennemi pour toi et ton épouse. Prenez garde qu'il vous fasse sortir du Paradis, car alors tu seras malheureux, puisque tu n'y auras pas faim ni ne seras nu, tu n'y auras pas soif ni ne seras frappé par l'ardeur du soleil (ni du froid glacial selon le verset suivant).” »
(S76v13) « (Au Paradis) ils y seront accoudés sur des divans, n'y voyant (n'y vivant) ni soleil (étouffant) ni froid glacial. »

Surtout que cette modernité laisse de plus en plus de temps pour agréablement être des adorateurs occupés plus par les œuvres religieuses en particulier à travers la sortie dans le chemin d'Allah, la prière, le rappel de Dieu, le soutien familial, le service social, l'apprentissage de la science, la culture générale, la prédication, une vie modeste et le temps passé avec des proches dont dans des loisirs, et qu'il est certain que Dieu soumet ce monde à ceux qui vivent la tradition prophétique jusqu'à la prédication comme le prouvent les nombreux miracles qu'ont reçu les Prophètes.
D'autant plus que comme il est logique de se rapprocher de la spiritualité du Paradis par l'ennoblissement religieux maximal, il est logique de rechercher les conditions basiques de la vie du Paradis par la science et la technologie mais dans un juste milieu ici-bas, dont donc à travers le chauffage, la climatisation, l'eau pure et chaude, l'électricité, l'automatisation, la bonne santé, le confort raisonnable, la nourriture modérée, la voiture, l'internet.
Ce Jardin d'Eden terrestre complété sera encore sublimement légitime, car l'humanité aura retrouvé la pureté (et le doux premier degré de la joie extrême paradisiaque) du cœur d'Adam et Eve d'avant la consommation du fruit interdit, mais en l'ayant complété ou distingué totalement dans un ennoblissement aussi maximal à travers l'apprentissage des nobles sentiments supplémentaires comme la pudeur, la prudence, la générosité, la patience, la justice, la miséricorde, la compassion et la piété. En effet en tendant à une bonne gestion de tous les nobles sentiments exclusivement tout en rejetant les mauvais nécessaires pour seulement mieux les identifier ou les choisir, l'humanité aura ainsi atteint dans la suprême dignité et donc la suprême valeur par ses propres décisions, la sainteté spirituelle originelle qui était présente naturellement dans le jardin d’Éden à travers l'originel et innocent esprit sans mal d'Adam et Eve, puisqu'ils restaient aussi exclusivement dans les premiers nobles sentiments humains comme l'émerveillement, l'assurance, la sérénité, la joie, l'amour et le respect particulièrement valorisés par leur erreur de consommer le fruit interdit les en ayant privés momentanément. Il s'agit donc de retrouver dans une méritante volonté de sainteté tendant à une gestion excellente de toutes les nobles qualités morales uniquement, un esprit saint similaire mais complété et donc supérieur à l'esprit saint originel de l'innocence involontaire d'Adam et Eve, car logiquement synonyme d'Eden complété. Surtout que pour qu'une situation ou un événement se réalisent, il faut au moins visualiser cette idée si ce n'est pas la désirer plus que tout. Ceci montrant l'importance de la force réalisatrice de l'intention par la pensée claire, sincère et profonde, dont pour cet ennoblissement maximal vers une excellente sainteté, correspondant donc à la connaissance de tous les nobles sentiments et à une digne utilisation exclusive de ces derniers à travers un bon caractère, une bonne moralité, une bonne pratique religieuse, de bonnes relations familiales et de bonnes actions sociales empathiques et une bonne prédication, synonyme d'apparition de l'Eden terrestre complété au niveau individuel puis collectif.
Quand ces vérités seront suffisamment répandues et suivies, cela permettra donc logiquement le retour du saint esprit de Jésus en tant que chef, surtout que l'humanité sera enfin parvenue en partie par elle-même au petit paradis spirituel saint (Eden terrestre complété) légitimement béni matériellement, que nous devrions tous vouloir pour nos enfants puisque représentant l'image terrestre du paradis céleste. Or pour accéder à cet Eden qui aura complété celui de nos honorables parents de l'humanité Adam et Eve et sera synonyme d'une noble paix probablement universelle, il faut bien d'abord que chacun le veuille véritablement et reconnaisse la nécessité première de cet ennoblissement maximal au niveau spirituel pour pouvoir le réaliser ensuite au niveau matériel voire médicale et obtenir ainsi logiquement la meilleure valeur. Surtout qu'à notre époque dangereusement égarée, cela devient très urgent.
Ainsi le monde reviendra à l'Âge d'or de la pureté heureuse du jardin d'Eden originel à travers l'épanouissement complet de l'humanité voire au moins de sa majorité par la connaissance progressive et la bonne utilisation de tous les nobles sentiments qui composaient exclusivement la félicité de l'innocent cœur pur originel d'Adam, puisque Adam ne les réalisait pas ou ne les connaissait pas tous avant d'être descendu sur la terre des épreuves :
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Dieu (Glorifié soit-Il) ne regarde ni vos corps ni vos images, mais Il regarde vos cœurs et vos actions. » (Mouslim)
(S6v48) « Nous n’envoyons des Messagers qu’en annonciateur et avertisseur : ceux qui croient donc et se réforment, nulle crainte sur eux et ils ne seront point affligés. »
(S2v219) « Ils t'interrogent sur le vin et les jeux de hasard. Dis : “Dans les deux il y a un grand péché et quelques avantages pour les gens, mais dans les deux, le péché est plus grand que l'utilité.” (Et ils sont par conséquent interdits car impurs, comme dans un sens les hommes ayant plus de mauvaises actions que de bonnes et l'humanité ayant moins de fidèles à Dieu que d'infidèles et ne méritant donc pas de vivre le retour de Jésus.) »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Le bon caractère (dont dans la maîtrise de l'âme au sein des qualités morales) conduit au bonheur. » (Al-Kharaytî)
Commentaire : Ainsi suite au hadith précédent, il apparaît que l'énorme félicité apaisée du Paradis et celle terrestre sereinement douce sont logiquement liées la fitra composées de toutes les qualités morales et donc caractérielles ressenties extrêmement, puisque c'est évidemment le Bien qui fait vraiment du bien et provoque le véritable bien-être. Par conséquent sur terre, ce degré sereinement doux correspondant en plus au premier degré de l'énorme félicité apaisée du Paradis ne peut être vécu que par ceux qui entretienne et développe la tranquillité profonde et les vertus de la fitra surtout qu'elle est synonyme des qualités de Dieu et de Son Paradis, sinon cela peut logiquement entraîner des problèmes psychologiques ou physiques dont par l'angoisse ou la dépression. En effet avec le rejet de tous les mauvais sentiments et défauts spirituels, tous les nobles sentiments et qualités spirituelles gérés pieusement correspondent logiquement à la pureté de la félicité suprême, à la pureté de l'ennoblissement maximal et donc à la pureté de la sainteté divine à notre origine dans le jardin d'Eden. C'est pourquoi le bonheur (Eden) terrestre complété de la fin des temps puis du Paradis le seront avant tout par cet épanouissement et accomplissement spirituels.
L'humanité doit donc se préparer à écrire la plus belle conclusion de son histoire, car après la possible révolution solidaire des peuples face à au mondialisme wokiste, financier, sioniste et oligarchique, qui aura peut être évité la troisième guerre mondiale, elle devrait être prête pour l'ultime révolution qui sera sublimement spirituelle, car synonyme d'ennoblissement religieux maximal lié au message du Prophète Jésus (paix sur lui), du Prophète Mouhamed (SBDSL) et du Mahdi, d’avènement de l'Eden terrestre complété et de retour du saint esprit Jésus, qui pourrait proposer une sublime prière mondiale annuelle se faisant grâce à internet, se décalant chaque année d'un fuseau horaire et ne pouvant qu'être une bonne innovation qui ne doit pas empêcher une prière obligatoire, mais qui peut s'y associer par l'intention.