R) Suite 18 (1)
-irréligieuse usure préservant et développant les inégalités entre pauvres et riches, puisque cela ne partage pas la valeur ajoutée car l'argent est aspiré dans un seul sens et ne circule donc pas équitablement (en particulier sans la zakat), ce qui fait que la répartition des richesses ne se produit effectivement pas dans une forme d'oppression et de mise en esclavage indigne, surtout vu l’évidente dignité de prêter sans intérêt. Surtout que cela entraîne donc le monde vers une perverse centralisation (concentration) des ressources, des richesses et des capitaux dans de rares monopoles qui influent fortement la politique dont en imposant l'impie idéologie ultra-libérale, libertaire, mondialiste, sioniste et ploutocratique. D'autant plus donc que prêter dignement sans intérêts étant par essence aussi pure et charitable que l'eau, si le prêt est conditionné avec des intérêts dans la forme d'une bonne action devenant mauvaise puisque dépourvue de gratuité charitable pour Dieu par un intérêt financier synonyme de profit personnel, c'est comme si l'eau était mélangée à du poison ou de l'urine. En remplaçant le mot « usure » par « prêt à intérêt » les usuriers ont donc perversement, et donc indignement et donc bassement gagné la guerre des mots. Surtout que dans l'usure, il est absurde et donc dangereux que l'argent soient simultanément acteur (joueur) et juge (arbitre), car il ne peut être simultanément la mesure de la valeur des biens et être un bien. L'économie ne peut donc être que celle de l'épargne, dont pour éviter d'accélérer et donc perturber follement le temps car il appartient à Dieu le Créateur et l'Organisateur de la Création, puisque l'usure est par définition une avance sur le temps et donc un vol du temps, à cause de l'impiété (défaut) du banquier mais aussi de l'impatience (défaut) du demandeur. Aïcha (SDP) rapporte : Le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Allah enrichit celui (le pieux) qui est économe. » Ainsi cela devrait plutôt s'appeler louer de l'argent sauf que dans le monothéisme authentique l'argent ne se loue pas. Par conséquent il s'agit d'un sens mauvais devant bien s'appeler l'oppression indigne, surtout que c'est plus néfaste que l'usure d'avant, car la richesse permettant cette usure est désormais créée ex-nihilo par de simples lignes de compte (écritures comptables synonyme d'appuyer sur un bouton) désormais informatiques synonyme d'un produit immatériel très perversement inventé car corrompant énormément l'économie. En effet aucun garde-fou sérieux ne s’oppose à la logique folle de cet argent-dette dominant voire corrompant la plupart des nations et c'est aussi pour ça qu'il est clairement interdit dans le christianisme et l'islam, et qu'il faut un changement progressif vers un système stable pour éviter une rupture trop forte et donc chaotique, dont par l'établissement puis l'orientation progressifs vers un bon voire un excellent paradigme alternatif. Il est très intéressant de voir à ce sujet l'entretien "Argent-dette, inflation, usure : Quelle alternative? (Partie I)" à l'adresse https://youtu.be/Q8CsUEbM-04 Régis Chamagne : « La raison d’être d’une monnaie-dette, ce sont les intérêts (pervers) de la dette, tandis que la raison d’être d’une monnaie libre, c’est (le développement de chaque) l’être humain. » L'usure est donc aussi l'art impie de s'enrichir avec l'argent des autres sans travailler. De plus les intérêts ne correspondant à aucune énergie humaine ni donc valeur mais à de la dette montant vite, pour freiner l'augmentation inexorable de cette dette et par conséquent l'inflation et l'arrivée du chaos, cela amène à la mise en esclavage des peuples à travers le mondialisme, l'augmentation des prix, l'immigration de masse, le chômage, la stagnation ou la baisse des salaires, et même la paupérisation des classes moyennes. A ce sujet il est intéressant d'écouter l'émission « Pourquoi tant de haine ? #26 – Comprendre la monnaie : de simple moyen d’échange à outil de domination » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=dhxxNtibVtM&feature=emb_title En effet pour prendre le pouvoir sur le politique défendant normalement le bien commun, la chaîne d'usure du mondialisme privé amène très nuisiblement à la dette, et donc à l'oppression, et donc à l'esclavage, et donc à l'appauvrissement généralisé, et donc souvent à la démoralisation du peuple dont jusqu'à l'alcoolisme, au vol, à la prostitution ou au suicide, voire à la guerre civile ou internationale, comme ce fut le cas en Allemagne entre les deux guerres mondiales et c'est le cas aujourd'hui puisque deux salaires voire trois minimaux aux États-Unis permettent juste de survivre : (S30v37-39) « N'ont-ils pas vu qu'Allah dispense Ses dons ou les restreint à qui Il veut ? Il y a en cela des preuves pour des gens qui croient. Donne donc au proche parent son dû, ainsi qu'au pauvre, et au voyageur en détresse. Cela est meilleur pour ceux qui recherchent la face d'Allah (par Sa satisfaction), et ce sont eux qui réussissent. Tout ce que vous donnerez à usure pour augmenter vos biens au dépens des biens d'autrui ne les accroît pas auprès d'Allah, mais ce que vous donnez comme Zakat, tout en cherchant la Face d'Allah (par Sa satisfaction)... Ceux-là verront (leurs récompenses) multipliées. » (ExtS59v7) « afin que cela (le butin, l'économie) ne circule pas parmi les seuls riches d'entre vous » (S2v276) « Allah anéantit l'intérêt usuraire et fait fructifier les aumônes. Et Allah n'aime pas le mécréant pécheur. » (S2v278/279) « Ô les croyants ! Craignez Allah et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire si vous êtes croyants. Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part d'Allah et de Son Messager (signifiant pas de pardon divin ni de miséricorde du Prophète Mouhamed et vengeance divine pour ceux n'arrêtant pas ce péché et ne se repentant pas). Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne léserez personne, et vous ne serez point lésés. » Il faut noter que jusque dans les années 70 en France, le prêt sans intérêt existait en liaison avec la croissance du pays (plus normalement par une partie de la zakat récoltée) et était accordé par les banques publiques aux projets commerciaux et entrepreneuriales sérieux. D'ailleurs l'état peut créer la monnaie pour financer tout projet semblant bon et important, car la monnaie est saine quand elle repose sur une bonne et importante valeur économique, sinon il faut qu'elle est valeur intrinsèque comme l'or dont car il est rare, est reconnu par tous et sert dans l'industrie électronique pour son importante conductivité électrique et thermique, pourquoi pas avec un faible intérêt pour financer les services et infrastructures publics s'il n'y a pas de zakat. Puis, très mystérieusement et probablement stupidement, cupidement, servilement ou/et sataniquement, le président Pompidou (qui passa 9 ans chez Rothschild de 1953 à 1962) accepta gravement la proposition des banques privées de prêter à intérêts dont à l'Etat français. Or ces prêts ayant fini par être toujours plus importants en entraînant donc toujours plus dettes dont désormais jusqu'à financer les services publics et paupériser le peuple, cela a progressivement soumis la France à la finance privée mondialiste, surtout que suite à la fin des accords de Bretton Wood, la monnaie ne reposait plus sur l'or. En sachant que Pompidou prit le pouvoir après De Gaulle, suite à la révolution américaine de couleur de mai 1968, qui fut la très surprenante première grande opération psychologique contemporaine financée par un Etat et l'oligarchie pour déstabiliser un pays. Il est intéressant de voir à ce sujet les vidéos « Sheikh Imran Hosein - La dernière révélation (ultime verset révélé à l’humanité correspondant au précédent) - 23 novembre 2012 » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=SWgswQvDyw4 , et « Pierre-Yves Rougeyron : la loi du 3 janvier 1973 (coup d'Etat bancaire sous le président Pompidou ancien membre de la banque Rothschild comme le président Macron) » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=unfPVVYgEuM -rachat des banques régionales et donc populaires par celles too big to fail nationales voire supranationales et donc oligarchiques voire mondialistes. -destruction honteuse d'innombrables denrées alimentaires ou de biens consommables pour garder l'équilibre des prix ou les faire fluctuer sur les marchés financiers. -stérilisation de l'économie lorsque l'argent est thésaurisé, dont particulièrement dans les paradis fiscaux suite à des évasions voire de l’optimisation fiscales facilitées, et n'est donc pas soumis à l'impôt social islamique « zakat » de 2.5% par an prouvant l'importance de faire circuler l'argent pour éviter que l'économie pourrisse comme l'eau par stagnation et aussi donc l'invitation d'investir dans l'économie. Surtout que le capitalisme étant basé sur la consommation, lorsque des hommes comme Georges Soros gagnent jusqu'à 4 milliards par an qu'ils ne peuvent sérieusement pas dépenser au cours de l'année suivante, ils les captent en réalité dangereusement à l'économie réelle par la bassesse donc de ne pas payer la zakat annuelle, d'autant plus si ensuite ils les investissent encore plus bassement dans d'ignobles spéculations à des fins perverses, puisque souvent au détriment de la stabilité politique et économique de pays par lesquels ils se sont souvent enrichis dont parfois à travers des paris honteux sur la dévaluation de leur monnaie. Ce qui prouve encore plus le danger du système économique international actuel. Toujours plus grave dans ce sens, 97 % des investissements des très riches ne sont pas utilisés dans l'économie réelle, mais dans la spéculation n'enrichissant donc qu'eux mêmes au détriment du reste de la population et parfois des entreprises voire des nations. Par conséquent le système moderne court un grand risque d'implosion ou d'explosion, en particulier car cette boulimie de richesse est synonyme d'énormes problèmes sociaux, puisque 40 % de la population mondiale essayent de survivre avec 2 euros par jour. Surtout qu'en plus que de parier très bassement sur la monnaie ou la faillite d'un pays, de plus en plus d'acteurs parient aussi sur des faillites de sociétés en prenant lors d'investissements pour elles, plusieurs assurances financières sous forme de Credit default swap (CDS étant en même temps des actifs) qui ont été à l'origine de la plus grande crise financière de l'histoire qui est celle de 2008, car il s'agissait d'innombrables assurances qui n'avaient pas assez de fonds pour sauver des sociétés ou des crédits. Or des traitements pour lutter contre tous ces dangers existent : placement de l'homme au centre de l'économie, certification de l'utilité des produits financiers, séparation des banques de dépôts et d'investissements (ce qui exposerait ces dernières tout de même à l'oppression spéculative), reprise du pouvoir de la création monétaire pour se protéger du joug de la dette encore pire que l'abomination de l'usure selon Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL) car parvenant donc à créer des intérêts sans argent au départ, création d'une Banque nationale, régulation des fonds spéculatifs, correction des rémunérations et primes de départ surdimensionnées même en cas de mauvais bilan, forte réduction de l'endettement des banques systémiques, introduction d'une micro-taxe sur tous les paiements électroniques (différent de la taxe Tobin) surtout que 0.5% suffirait à supprimer les impôts et les taxes autres que la zakat et que la bienfaisance dans ce sens ne peut être que valide, révision de l'enseignement de l'économie et de la finance. Il est très intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « La crise permanente - Marc Chesney » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=jK3A5wat6Bk Dans la Bible Mathieu 21, Jésus expulse les marchands du temple car ils manipulaient la monnaie et pratiquaient la perversité. En effet les changeurs qui opéraient l’échange des monnaies étrangères contre celle du pays, créèrent illégitimement des didrachmes avec lesquelles il fallait payer un tribut du temple, et le bruit qui se faisait dans cette enceinte ainsi que les fraudes et les délits qui s’y commettaient dont la prostitution, profanaient aussi le saint lieu et troublaient là dévotion des fidèles. Jésus fut donc un noble mouvement généreux et de générosité chassant pieusement les marchands du temple, c'est à dire le matérialisme, l'usure, la cupidité, la perversité et la corruption, dont particulièrement des pseudos représentants de Dieu. C'est pourquoi dans la langue arabe le base du mot « généreux » (karim) peut être utilisée en tant que « noble » ou « digne » (akram). A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « Victoria Grant, canadienne de 12 ans, nous explique l'escroquerie bancaire de l'argent-dette » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=100&v=Wkv9ZYfk7fs -banques privées trop influentes ayant atteint le summum de leur corruption, puisque étant parvenues à endetter de très nombreuses nations, et donc à les contrôler égoïstement et donc dangereusement. En effet cela a entraîné des privatisations jusqu'à parfois diminuer fortement la qualité de secteurs indispensablement publics comme celui hospitalier, puisque voulant souvent satisfaire des intérêts particuliers d'actionnaires cupides divergeant par essence du bien commun. Surtout que cela suit généralement le plan du mondialisme oligarchique et sioniste cherchant inconséquemment à tout privatiser si nécessaire jusqu'au chaos pour la grande richesse et le grand pouvoir de quelques uns, comme l'ont sous-entendu Franklin Delano Roosevelt, président des États-Unis de mars 1933 à avril 1945 qui a dit « Je crois sincèrement que les établissements bancaires sont plus dangereux que des armées de métier », et le célèbre industriel Henry Ford qui a dit « Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin ». Rappelons que tant qu'elles ne seront pas remplacées par une banque nationale simplement de dépôts, les grandes banques privées too big to fail garderont en otage les peuples, mais aussi car leurs faillites suite à des spéculations inconséquentes sont assurées par les contribuables. Or les gouvernements et les ministres du pouvoir occidental actuel appartenant généralement à ce système n'ont de cesse de satisfaire l’appétit insatiable de la Banque et de la Bourse, c’est-à-dire les puissances de l’argent, en cherchant réellement à tout privatiser. Ils sont devenus des esclaves de ces ordres supérieurs. Ils sont entre le chien du capital et l’os du peuple, et c’est pour cette raison qu’ils nementent ou trahissent souvent. Il y a bien un pacte de corruption entre les puissances de l’argent et le système politico-médiatique. -illicite monnaie papier car trop imprimée, n'ayant pas de valeur intrinsèque, devant normalement être basée sur l'or et ne représentant pas honnêtement les richesses réelles du pays. Ce qui sera probablement encore plus le cas pour les futures monnaies numériques centralisées qui verront le jour en facilitant la soumission des Etats aux banques centrales privées voire aux multinationales oligarchiques mondialistes, à moins qu'elles soient décentralisées, établies sur la création de richesse, adossées à l'or et représentatives de l'économie réelle. Ainsi même si elles sont centralisées au départ, il est possible que cela permette finalement à la technologie blockchain et à une cryptomonnaie populaire décentralisée synonymes de perfection économique de se développer et donc à l'humanité de pouvoir changer de paradigme en bien. Car comme tout outil que sont d'ailleurs l'environnement et l'argent, il est certain que la blockchain et la cryptomonnaie peuvent être utilisées sagement ou perversement. De même pour parfaire certaines situations, le QR code peut être utilisé quand il est sécurisé par une signature numérique. En effet en cryptographie, on peut signer et vérifier un document pour permettre de garantir qu’une personne ou un organisme l’a créé et que personne ne l’a pas modifiée. C'est à dire que l’organisme possède une clé numérique secrète pour le signer, et qu'ensuite une autre clé publique accessible à tous permet de vérifier la signature. En effet personne ne peut donc créer un QR code conforme sans avoir la clé secrète de signature et ensuite n’importe qui peut le vérifier en utilisant la clé de vérification. Ainsi par exemple, cette technologie paraît légitimement utile pour la validation de la présence authentique d'un candidat à un examen (pouvant être liée à une photo ou même à une emprunte digitale puisque nos smartphones s'en occupe déjà), d'une carte de cantine scolaire ou professionnelle, d'un voyageur utilisant une compagnie de transport, du billet d'un supporter, d'un citoyen recevant une aide gouvernementale, d'un malade recevant une indemnité de la sécurité sociale ou d'une personne devant récupérer un colis. Le QR code peut également être bien utilisé dans divers autres cas dont en devenant un lien pratique vers un site internet, un anti-vol et un raccourci anti-perte vers les papiers d'un véhicule loué. (Or il faut évidemment faire attention aux dérives totalitaires du QR code comme celles qui ont eu lieu lors du Covid. Par exemple pour accéder à la « zone anti-terroriste » de Gérald Darmanin lors des JO 2024 en France, il vous faudra votre saint QR code. Oui, même si vous êtes riverain et que vous voulez juste rentrer chez vous pour regarder les JO à la télé. Pas de QR code, pas de maison, c’est la nouvelle devise de Paris ! Et attention, pour louer un appartement sur une plateforme internet ou aller au restaurant, il faudra aussi avoir votre précieux QR code.) De plus les certificats numériques peuvent être sécurisant au niveau de la propriété ou d'une vente. En effet par exemple le NFT (Non Fongible Token) signifiant jeton non fongible correspond à une donnée valorisée composée d'un type de jeton cryptographique qui représente un objet, auquel est rattachée une identité numérique. Cette donnée est stockée et authentifiée grâce à un protocole de chaîne de blocs, qui lui accorde par là-même sa première valeur. Dans ce sens, une solution aux arnaques deepfake dans les environnements d’entreprise est d’équiper chaque employé d’une paire de clés cryptées, suite à avoir signé les clés publiques lors de réunions en personne. Ainsi plus tard, dans les communications en visioconférence à distance, ces clés signées pourraient être utilisées pour authentifier les parties au sein d'une réunion, particulièrement avant d'y valider le virement demandé de grosses sommes d'argent par un responsable. De plus pour éviter les fakes lors d'une acceptation de contrat numériquement par la reconnaissance faciale ou l’emprunte digitale, la blockchain est la meilleure solution. Le possible nouveau paradigme populaire pour le bien commun à venir basé sur cette évolution de la technologie devra donc créer un système de protection dont par la transparence de la blockchain qui veillera à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des personnes liés à de particuliers intérêts commerciaux avec des multinationales ou de grosses banques spéculatives. En effet la blockchain peut correspondre à la principale purification de l’économie dont par une monnaie limitée, la corruption impossible grâce à des valises anonymes (sauf pour l'impôt ou la justice) d'une monnaie traçable, toute transaction enregistrée même vers les paradis fiscaux, un système électoral infalsifiable (puisque chacun pourra consulter son vote et compter les votes affichés seulement avec des codes de numéros représentant chaque électeur) et donc un marché clairement libre et équitable. Cependant cela se fera donc au profit d’une surveillance augmentée mais pas tant que ça, puisque nos revenus par l’impôt et nos achats sur internet et avec une carte bleue peuvent être déjà utilisés par le Big Data ou les services de renseignements, et surtout si donc l'identité de chaque personne située derrière un code synonyme d'anonymat ne serait consultable que pour l'impôt ou la justice. D'autant plus que la vie publique peut religieusement être transparente, ce qui n'est pas le cas de la vie privée. Or il n’est pas interdit que pour le bien commun des hommes soient ultra riches dont en centralisant les ressources à travers de rares énormes sociétés, s'ils payent annuellement comme tous les autres citoyens l'impôt zakat de 2.5% sur leur argent thésaurisé au dessus de 3000 euros et sont raisonnables dans leurs prix de vente. Surtout que cet impôt zakat est en réalité le seul impôt valable et peut largement financer les dépenses publiques dont des infrastructures nationales et du revenu universel pour les pauvres, en particulier donc par la blockchain mais aussi l'IA permettant l'automatisation d'une grande partie de l'économie. D'autant plus que selon certains spécialistes et politiciens, 20% de la population suffirait à faire tourner un pays développé comme la France, et 20% de l'humanité pourrait même suffire à faire tourner le monde en étant donc logiquement mieux payés que ceux qui touchent le revenu universel qui pourrait être un des aspects de l'Eden terrestre complété. En sachant qu'il est logique d'améliorer ses conditions de vie en tendant à peu travailler pour se libérer pieusement du travail, d'autant plus que les grands capitaux et les grosses forces de l'argent travaillent très peu en particulier physiquement d'où la lutte des classes,, et qu'avant l'homme ne travaillait que pour cueillir. Ce qui pourrait être une des autres raisons principales pour laquelle les impies mondialistes oligarchiques recherchent la dépopulation. Concernant les monnaies électroniques indépendantes car décentralisées comme le bitcoin, elles semblent donc par le pieux commerce licite d'abord pouvoir redonner actuellement le pouvoir au honnêtes gens, car encore un fois l'argent est avant tout un moyen, un outil, une énergie et un flux pour agir en bien ou en mal. Or comme l'argent ne peut pas tout acheter, il ne doit pas être un but. En effet il faut l'utiliser pour l'épanouissement personnel et collectif, c'est à dire en écrivant noblement l'Histoire face à la crise systémique du capitalisme financier ayant promotionné des lubies afin de faire de l'être humain un simple consommateur à la recherche de l'assouvissement de ses pulsions égotiques. Ce qui crée finalement des êtres frustrés car correspondant à la volonté de remplir un seau troué puisque les plaisirs matériels et physiques ne peuvent être satisfaits qu'aux Paradis. C'est à dire que ces êtres sont en réalité dans un vide existentiel synonyme de souffrance cherchant d'ailleurs souvent à être compensée par des cachets ou autre drogues, alors que c'est par la piété, la bienfaisance et la fraternité heureuses que l'on en guérit : (S61v4) « Allah aime ceux qui combattent dans Son chemin (pour Ses voies du bien) en rang serré pareils à un édifice (aux murs) renforcé. » Cependant même une cryptomonnaie privée comme le bitcoin peut aussi malheureusement attirer vers sa nouvelle technologie les grands acteurs pervers du dollar. En effet les Rothschild se mettent à créer leur propre cryptomonnaie voire achètent beaucoup de bitcoins pour juguler (influencer) cette monnaie, et la banque Goldman Sachs rachète des compagnies stratégiques détenant de nombreux bitcoins pour juguler aussi cette monnaie. Il faut que les peuples régulent l'économie contre cela, et c'est ce que les cryptomonnaies type « Zynecoin » et la blockchain type « Wethio » pourraient réaliser, tout en développant l'Afrique très noblement par de nombreux projets économiques bons (à la grande différence du Bitcoin qui porte principalement l'aspect monétaire) dont l'investissement est ouvert facilement à toute l'humanité. En sachant que même si le bitcoin est une création US, toutes les cryptomonnaies du monde ne le sont pas. Ce possible investissement de l'humanité en Afrique peut en plus se faire avec l'intention d'une forme de réconciliation avec les africains et les africains entre eux à travers un développement commun gagnant-gagnant de ce continent, surtout que cela pourrait être la seule manière d'y parvenir. Or pour cette réussite, il paraît important qu'un grand nombre de particuliers y participent, mais raisonnablement dont avec pas plus de 500 euros d'investissement dans le zynecoin, afin de sagement réinvestir la moitié des grands bénéfices quand on en fait dans les nombreux autres projets économiques y étant liés. Dans ce sens, ceux investissant seulement dans le Bitcoin (qui est une cryptomonnaie non basée sur un projet économique à la différence d'autres cryptomonnaies comme le zynecoin) plutôt que par exemple dans la pierre (immobilier) ou le végétal (agriculture) doivent comprendre qu'ils laissent ces marchés se monopoliser par l’oligarchie, mais aussi supportent principalement le dollar puisque toutes les cryptomonnaies décentralisées sont très liées au stable coin USDT (sorte de dollar numérique faisant référence de valeur de base). Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Chaos économique et revenu universel, ou monnaie libre ? - Poléco n°292 avec Benoit Lavenier – TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=k1nHbBmJseE Surtout qu'il serait nettement préférable que comme révolution, ces nouvelles technologies que sont la blockchain et la cryptomonnaie, permettant de redonner progressivement et donc pacifiquement le pouvoir aux peuples et aux petites et moyennes entreprises honnêtes, remplacent un éventuel triomphe d'une future révolution populaire violente. Et ce qui est très intéressant, c'est que si un jour cette honnête nouvelle monnaie du peuple devait être détournée du bien commun, il suffirait d’en créer une autre et de réinviter les honnêtes gens à l’utiliser. Ça paraît simple comme ça et pourtant ça pourrait bien être ce qui bloque voire efface le plus les grands oppresseurs financiers. Une compétition entre les bonnes cryptomonnaies privées décentralisées du peuple et les mauvaises cryptomonnaies privées centralisées des banques centrales pourrait donc avoir lieu à travers leur noble utilité, leur valeur, leur efficacité et leur nombre d'utilisateurs. Or les cryptomonnaies privées décentralisées ne seront probablement jamais des stable coins, car cela sera sûrement réservé aux monnaies des États dont il faut espérer qu'elles seront devenues nationales et étant plus lié à des banques centrales. Or quand le bitcoin atteindra une taille critique ou grand nombre d'utilisateurs, il pourrait devenir un stable coin. Il faut rappeler qu'un stable coin est une monnaie stable évitant la spéculation et donc les dépréciations ou augmentations trop fortes. C'est à dire que même si il y a des risques pour les petits porteurs investisseurs du privé de se faire manger par de gros porteurs avides du privé pouvant influencer le cours de certains actifs, il existe aussi la possibilité comme on l'a vu dans l'affaire « GameStop » que pleins de petits poissons (union massive de petits porteurs, petits actionnaires) ensemble peuvent faire trembler le grand requin (union des peu nombreux grands porteurs et grands actionnaires avides détenant le plus de technologie, d'information et d'argent pour investir, ce qui a été une superbe réponse dans la lutte face à l'indignité de la vente à découvert pariant sur les faillite d'entreprises, dont car ça a poussé les fonds d'investissement de Wall Streeet à réduire leur position à découvert. Surtout que plus les échanges avec une cryptomonnaie sont importants, plus la confiance en elle est grande et plus son prix s’élève logiquement, et que ce sont les transactions qui génèrent la création des unités d'une cryptomonnaie monnaie décentralisée, alors que la création de valeur échappe à la logique de la création des unités d'une monnaie centralisée par une banque centrale dont par la folle planche à billets. En effet si un très grand nombre d'utilisateurs utilisaient une honnête cryptomonnaie vraiment décentralisée, stable et échangeable contre de l'or ou l'argent, des États ne pourraient que l'accepter voire s'y soumettre, et c'est pourquoi des États tendent à ce genre de cryptomonnaie au niveau étatique. D'autant plus que plus il y aura de particuliers et d'entreprises qui utiliseront une cryptomonnaie décentralisée, plus il sera difficile de la manipuler à la hausse comme à la baisse, surtout quand son nombre est limité. Idéalement, la quantité de monnaie en circulation dans un pays devrait représenter la somme de toutes ses ressources de valeur tout en y étant indexée : la force de travail de la population, les infrastructures, la technologie, les terres cultivables, le tourisme, les brevets, les réserves de métaux précieux et pierres précieuses. A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « De la nécessité de repenser la monnaie avec Valérie Bugault » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=zUXMsLWwCjg , et de lire article « Mais où est le loup ? » à l'adresse suivante https://www.levilainpetitcanard.be/mais-ou-est-le-loup/ La monnaie a en partie une réalité abstraite et symbolique qui sert principalement à organiser l'orientation idéologique et confiante d'une société ou d'un paradigme international, surtout quand une monnaie papier ou déjà informatiquement virtuelle ne détient pas de valeur intrinsèque comme l'or. En effet tout système monétaire tient sur la confiance dont tant que la bourse se maintient et que l'inflation n'amène pas une guerre civile, une révolution ou une grève générale faisant retirer fortement les investisseurs d'une nation ou d'une union de nations. De même que par une langue, un système politique et économique peut donc être porté principalement par une monnaie, comme le prouvent l'euro portant l'oligarchique union économique européenne oppressive, laïciste, progressiste, mondialiste, wokiste, sioniste, ploutocratique et donc impie, ou le dollar portant l'oligarchique empire américano-sioniste belliqueux, laïciste, progressiste, mondialiste, wokiste, sioniste, ploutocratique et donc impie. Toutes les guerres US sont d'ailleurs des guerres du tyrannique (pétro)dollar contre les autres monnaies, contre les autres pays, contre les autres nationalismes ou contre les autres idéologies. D'ailleurs dans la guerre en Ukraine, des enjeux monétaires colossaux sont en plus liés à la bataille énergétique dont principalement entre le pétrodollar et le panier monétaire multipolaire des BRICS. En effet l'aspect probablement le plus important de la monnaie est que lorsque celle d'un pays s'effondre, ce pays perd généralement sa souveraineté d'abord au niveau économique. Alors que ce panier de monnaie lié au rouble renforcé par le gaz porte le début du changement de paradigme noblement opposé à l'euro et au dollar ! Après la première guerre mondiale en Allemagne, la seule solution consiste dès l’automne 1923 à refonder la monnaie sur la richesse véritable. C’est ce qu’on appelle le Rentenmark créé par le docteur économique Hjalmar Schacht. Une monnaie qui ne serait plus en elle-même garante du pouvoir d’achat, mais qui représenterait la vraie richesse, les usines, les champs, les banques allemandes, gagés sur le pouvoir de l’Allemagne, cette extraordinaires machine à créer de la richesse. Cette histoire nous rappelle donc que les limites à la création monétaires sont doubles : elle dépendent des autres usagers de la monnaie à l’intérieur du pays et à l’extérieur, mais elles dépendent aussi de la capacité à toujours relier la monnaie à la richesse réelle. Ce que dit cet universitaire au doctorat économique à propos de l’Allemagne de 1923 a résonné aux oreilles des Français de 2021 soumis à la BCE. En effet le covidisme qui a été une agression mondialiste programmée contre les peuples, leurs économies et leurs richesses, puisqu'il s’agissait en réalité d'un putsch oligarchique voire d’un vulgaire braquage universel oligarchique sur la plupart des richesses du monde, a eu l’effet d’une guerre atomique en termes de destruction de valeur. Pour résumer, la politique de madame Lagarde présidente de la BCE depuis 2019 a eu quatre conséquences : .elle a accéléré les hausse de prix et la baisse de pouvoir d’achat en Europe ; .elle a entretenu l’exubérance folle sur les marchés financiers ; .elle a créé des tensions fortes en Allemagne ; .elle a accentué les risques pour la stabilité financière dans le monde. La reconstruction après la destruction, c’est évidemment l’objectif des puissances mondialistes (Big Pharma, Big Tech, Big Buisness, Big Bank) dont de fonds de pension et de gros gestionnaires d'actifs qui sont déjà plus puissants que des États. Depuis la fin du covid, la BCE faisant croire aux peuples européens qu’elle soutient l’activité, est au contraire en train de détruire la production (dont sous le prétexte de l’écologie) et le pouvoir d’achat (là sous aucun prétexte, mais toujours au profit des oligarques mondialistes). En 2008, ce sont principalement les banques qui avaient été sauvées par le plan Sarkozy ; en 2021, les centaines de milliards injectés dans l’économie à cause du covid et reliés à aucune activité réelle (bien au contraire puisque l'économie a longtemps été grandement ralentie), vont faire l’effet d’une bombe. Tout le monde peut déjà voir que les prix ont grimpé. C'est pourquoi comme il sera revu, la juriste Valérie Bugault propose de réorganiser la société en groupe d'intérêts bien compris similaires aux grands électeurs américains pour retrouver de la politique authentique face au monopole du groupe de la haute finance mondialisée et d'aller au-delà du clivage entre libéralisme et communisme empêchant toute discussion. Ce qui paraît logique car la démocratie ne peut pas inclure principalement seulement le peuple, car beaucoup de gens sont incultes et donc manipulables. D'ailleurs le mouvement politique « Action française » précise que le système actuel est enfermé entre la dictature de la majorité absolue et l'anarchie de la lutte des partis, toutes deux synonyme de fracture entre le pays réel et le pays légal. C'est à dire que le peuple doit s'associer à trois groupements d’intérêts principaux synonyme de contre-pouvoirs même entre eux et lors des élections : celui commercial, celui non commercial dont fait partie le développement de la communauté (instruction, sport, culture, art), et celui spirituel (ayant aussi des contre-pouvoirs dans ce groupement par les divers avis des différentes religions). Il faudrait aussi rajouter à l'assemblée nationale un grand nombre de représentants des métiers, des familles, des régions et des classes sociales, afin qu'ils défendent l'intérêt national sur un long terme. Surtout qu'associer à un chef d'état élu à vie (au moins 15 sauf suite à un référendum s'il trahit la nation), ce changement ne serait pas compliqué car les prérogatives actuelles du chef de l'état dans la cinquième république conviendrait parfaitement à une monarchie française ou à un président élu sur le long terme voire à vie tant qu'il défend bien les intérêts nationaux. Pour revenir à la monnaie, celle-ci incarne une énergie intelligemment utilisée puisque normalement synonyme de valeur d'un bien, d'un déplacement ou d'un travail, et donc de valeur intrinsèque, et représente donc la vie car elle est un échange similaire à l'interaction entre l'oxygène des arbres et le dioxyde de carbone des hommes. La monnaie incarne aussi les actions de donner, recevoir et rendre. Or de nos jours l'argent est créé ex-nihilo pour la première fois dans l'histoire de l'humanité (c'est à dire depuis la fin des accords Bretton woods et surtout suite à la création de l'Euro et des planches à billets) sur de la richesse future (travail, entreprise, vente, promesse de remboursement avec intérêt) qui de plus en plus ne se réalise pas. C'est à dire que le dollar de l'empire américano-sioniste n'ayant plus été échangeable contre de l'or depuis la fin des accords Bretton woods, il est devenu la monnaie d'échange internationale et les États-Unis produisant le dollar à volonté ont donc pu acheter une grande partie du monde et de nombreux politiciens étrangers par la corruption, puisque le dollar s’est ensuite répandu massivement au niveau international. Par conséquent, il s'agit d un pouvoir hégémonique très corrompu, et les fabricants du privé de monnaie des grandes nations ou des organisations supranationales comme l'Euro ont donc également un grand pouvoir. Afin de toujours avoir plus de contrôle dont désormais jusqu'à la fin de l'argent papier centralisé par le passage à la monnaie numérique centralisée, le système monétaire de l'union oligarchico-sionisto-bancairo-anglosaxonne est sournoisement passé progressivement depuis des siècles à travers la city et wall street criminels du bimétallisme (or et argent) au standard or unique, au système de change or (contre billets papiers nationaux), aux accords d'échanges flottants, et au pétrodollar. En effet ce système veut désormais mettre en place la monnaie numérique des banques centrales mondialiste du privé synonyme d'oppression et de pouvoir mondialistes. La fin de ces accords de Bretton Woods ont donc amené un avantage déloyal en faveur des Etats unis. Pourtant auparavant le fond économique international régula en partie ce système basé sur l'or, puisque les monnaies étaient indexées sur le dollar avant qu'elles soient échangeables contre de l'or, ce qui permettait tout de même aux USA l'avantage de dévaluer leur dollar pour être toujours plus compétitifs. Or suite à différents facteurs ayant affaiblis leur économie, les Etats-Unis finirent donc par en sortir unilatéralement encore plus favorablement en tout cas jusqu'à nos jours, car le dollar n'était plus échangeable contre de l'or. Cette sortie des accords de Bretton Woods a été un des principaux piliers du mondialisme, puisque cela signifiait l'apparition d'une grave dérégulation financière, de la planche à billets à outrance et surtout de la marchandisations des monnaies nationales suite à la fin de leur taux de change (valeur) fixe. En effet la marchandisation des monnaies amena la possibilité d'affaiblir certaines nations, puis de prendre leur contrôle par d'autres nations ou par certaines entités privées supranationales, et même de gagner de l'argent en pariant contre leur dévaluation comme lorsque le hedge fund de Soros a gagné 1 milliard de livres sterling en pariant sur la dévaluation de la devise anglaise et sa sortie du mécanisme de change européen. « Les accords de Bretton Woods ont clairement dessiné en 1944 le monde de l’Après Seconde Guerre mondiale en faisant du dollar américain la monnaie de référence pour tous les échanges internationaux, avec la mise en place de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International. Les accords multipartites qui viennent de se nouer entre les BRICS et au-delà modifient donc l’ordre mondial monétaire de façon majeure, dans l’indifférence suspecte d’à peu près tout le monde occidental. On peut s’en étonner puisque ceci signifie de façon assez claire une perte de suprématie pour le dollar américain. En effet, jusqu’à présent certains échanges commerciaux internationaux étaient réglés en dollars américains : la vente de matières premières, le prix du baril ou le prix de l’or. Les règlements interbancaires entre nations étaient donc très majoritairement réglés en dollars, ce qui imposa que des masses considérables de billets verts devaient être conservés dans la plupart des banques centrales des pays de la planète. Pour ces pays, l’utilisation du dollar n’a pas que des avantages. La monnaie américaine donne à l’Oncle Sam une très grande capacité d’influence dans le monde : qui utilise le dollar doit en respecter les moindres contraintes, notamment celles imposées par la politique étrangère américaine, car qui ne les respecte pas peut donc se retrouver coupé des échanges internationaux ou voir ses réserves bloquées. Ce fut le cas de nombreuses fois pour différents pays. Leurs tentatives de sortie du « système dollar » se traduisirent même parfois par des changements brutaux de régime. Quant à l’interdiction d’utiliser le dollar, elle a longtemps signifié un effondrement de l’économie concernée. Cette position dominante du dollar lui permit aussi de diluer son inflation en la répartissant à échelle planétaire, ce qui était perversement pratique. Surtout que l’impression de billets n’avait jusqu’à présent pas d’impact réel pour l’économie américaine, et que les problèmes afférents au dollar étaient rejetés sur le reste du monde. Normalement dans le plan mondialiste, tout est prévu pour qu'ensuite un nouvel ordre mondial taillé au cordeau apparaisse. C'est à dire que la pandémie plus l'inflation et la guerre en Ukraine doivent générer des piscines olympiques de dettes faramineuses, qui doivent à leur tour largement inciter les gouvernements en pleine banqueroute à effacer ces dettes par le truchement d’une inédite monnaie mondiale numérique centralisée. Et dans ce nouvel ordre mondial, c'est très simple : l’Occident mènera la danse, les humains seront tous contrôlés par cette monnaie et tout ira bien (seulement pour les élites mondialistes en particulier occidentales) sur le principe « Vous ne serez bien sûr plus propriétaire de rien, mais vous serez heureux (ou sinon, tant pis) », comme l’explique calmement un Forum Économique Mondial toujours aussi relax dans son projet de collectivisme oligarchique international synonyme de soviétisme 2.0 ou de (néo)libéralisme 2.0. Heureusement, avec le nouveau monde unipolaire proposé par l'axe sino-russe, ce « Nouvel Ordre Mondial de l'Occident unipolaire » ne semble pas prendre la direction envisagée par nos fines élites. En effet il est difficile d’imposer une monnaie unique dans un monde qui n’est pas unipolaire, surtout que de plus en plus de nations s’éloignent vigoureusement d’un dollar devenu une arme financière (weaponized currency) et donc des USA. Surtout qu'il est aussi difficile de pousser les monnaies numériques de Banques centrales alors que le bitcoin et les cryptomonnaies indépendantes continuent d’attirer l’attention et d’offrir une alternative de plus en plus crédible aux monnaies fiat qui démontrent chaque jour un peu plus les dangers qu’elles comportent dont par la planche à billets très à outrance. Eh oui, il est difficile de rendre l’utopie collectiviste mondialiste attrayante dans un contexte de plus en plus mouvant où la concurrence apparaît et ne semble pas vouloir se laisser faire, comme il est difficile de vendre des CBDC (monnaies numériques de banques centrales) dans un monde qui ne veut pas se plier au diktats de moins en moins cachés d’une petite élite prétendument éco-consciente alors que voulant diminuer l'empreinte carbone principale, c'est à dire l'humanité... Si un nouvel ordre mondial est en train de se mettre en place, ce n’est décidément pas celui que cette élite avait prévu. » (Extraits de l'article « Tiens, un imprévu dans le Nouvel Ordre Mondial » de contrepoints.org à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/25/tiens-un-imprevu-dans-le-nouvel-ordre-mondial/) Or l'argent est malheureusement l'actuel principal carburant du monde et la pensée principale de beaucoup de gens, surtout car il est souvent mis en avant dans notre société et n’a ni odeur ni valeur humaines. C’est une relation sociale aliénatoire incontrôlable qui a vampirisé le monde et le dévore. C'est ce que beaucoup appelle le triomphe de Satan ! Selon Jésus, on ne peut servir en même temps deux maîtres : Dieu et Mammon qui le culte idolâtre et donc diabolique de l'argent, des biens et du matérialisme, c'est à dire de l'avoir avant, voire sans l'être. Et Jésus est d'ailleurs d'abord venu pour aimer et rappeler d'aimer principalement l'être. Mais nous vivons une époque où l’avoir et le paraître dominent le monde et l’asservissent, à tel point qu'avec les réseaux sociaux, souvent les gens ne choisissent plus les activités qu'ils aiment vraiment mais celles qui seront le plus appréciées par les followers proches comme inconnus. En effet la désincarnation de l’être, la disparition de l’être, se font au profit de l'avoir pour créer des gens qui vivent dans le paraître, ce qui conduit à la réification et au transhumanisme. L'être, le véridique, l'honnête et le réel doivent donc se réveiller. Sinon cette apparence se superposera à la réalité, et l’homme ne sera plus en contact avec la vérité de son être d'origine divine, et le châtiment divin tombera pour éviter la propagation de son mal. Et on ne peut évidemment pas non plus servir Jésus et le Lgbtisme, ni la France et l'UE, etc... Dans les nations corrompues et christicides qui sont celles occidentales, donc dans les démoncraties, le Beau, le Vrai, le Juste, le Bien ne sont plus des vertus mais des handicaps. Dans ces pays la trinité, c’est devenu l'association de Mamon, Belzebuth et Asmodée : l’Argent, l’Injustice et la Luxure. Or le plus important c’est Mamon, car c’est lui qui finance les deux autres : la tyrannie et la débauche. Mais lorsque nos élites satanisées constateront que le résultat final de leur politique, c’est la chute inexorable de leurs recettes fiscales, ils brûleront ce qu’ils ont adoré. Cependant ce n'est pas l’outil « argent » qui pose problème, mais ses modalités décidées par des hommes peu scrupuleux. Et tout cela rend schizophrène car on est forcé de subsister avec le système du mauvais maître, tout en vivant pour l'excellent Vrai et en tendant donc vers une grande sagesse pieuse nécessairement adaptative à notre époque, et donc subtile, et donc profonde, et donc intelligente, et donc méritante. Or comme selon l'ultime révélation qu'est l'islam, on ne peut plus vivre seulement d’amour et d’eau fraîche en ermite puisque cette religion a été envoyé à toute l'humanité et est donc en partie essentiellement sociale, on doit souvent se résoudre au salariat, surtout car la possibilité d'entreprendre devient très difficile par rapport aux crises actuelles (subprimes, covid, inflation, pénuries, Ukraine, énergie) et aux faveurs accordées aux multinationales. Par conséquent on se retrouve avec des pays de plus en plus dénaturés et composés d’individus aliénés au Marché ainsi qu'à la finance internationaliste, surtout que travaillant donc fréquemment par obligation vitale en rapport avec les marchands du Temple. Beaucoup s’y dirigeant sans foi ni donc piété ne courent plus qu’après l’argent et oublient tout le reste. Voilà l'égarement contre lequel nous devons lutter pieusement. D'ailleurs suite à la crise en Ukraine incarnant très probablement un affrontement ultime entre l'économie de l'occident et l'économie de l'Eurasie, la pieuse Russie paie désormais courageusement sa modeste dette en rouble. C'est la première fois depuis les avènements du régime de Bretton Woods et du prétrodollar qu'un pays utilise et réussit une approche de règlement de la dette autre que le dollar et qu'il vend son énergie dans sa monnaie nationale. Et cela s'est donc trouvé payant et victorieux car la Russie a tenu face aux sanctions, surtout que çà a conduit les économistes de nombreux gouvernements à croire en sa supériorité, surtout qu'elle est associée à la Chine. Dont aussi par sa souveraineté financière, alimentaire et donc politique, le système économique russe a très dignement brisé l'oppression mondialiste américano-sioniste en démantelant toute la structure du système international de la dette et en détruisant ainsi le régime monétaire de Bretton Woods, de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international. Surtout que désormais en repurifiant progressivement le monde, le rouble, portant actuellement l'orthodoxie russe, est religieusement convertible en or et donc béni. Ce qui apporte à la Russie encore plus de confiance de la part de nombreuses nations. D'autant plus que les matières premières énergétiques russes étant obligatoirement achetables en rouble, cela lui donne une excellente notoriété supplémentaire, que pendant ce temps une grande partie du monde se sépare du dollar portant le laïcisme wokiste, et que l'Union européenne portant aussi le laïcisme wokiste se tire même une balle dans le pieds en ne pouvant plus acheter une grande partie de son énergie en euros à cause de la juste rétroactivité de leurs injustes sanctions contre la Russie. La respectable Russie propose même une nouvelle norme internationale pour le négoce de l'or : le Moscow World Standard (MWS). En effet le MWS souhaite s'imposer comme une alternative à la London Bullion Market Association (LBMA), une organisation régulièrement critiquée de manipuler le marché des métaux précieux. Selon le ministère russe des Finances, cette nouvelle structure internationale indépendante est nécessaire pour « normaliser le fonctionnement du secteur des métaux précieux » et sa création est « d'une importance capitale ». Sur la base de ce nouveau marché, le Kremlin entend faire progresser le système d'échanges bilatéraux en monnaies nationales, qui exclut spécifiquement le dollar, l'euro et la livre sterling. Car payer en monnaie nationale empêche l'oppression monétaire du dollar ou de toute autre monnaie. D'ailleurs un discours du président russe Poutine précise que la Russie construira une nouvelle architecture financière mondiale sur une base technologique avancée qui ne dépendra pas d'interférence politique. Dans ce sens, il devient donc possible qu'une monnaie électronique honnête se répande sans usure et en étant adossée ou échangeable à l'or même s'il s'agit de millième de centimes pour un once d'or. Surtout qu'étant donné le nombre d'humains et d'échanges sur terre, l'or ne peut logiquement plus servir dans des transactions manuelles, mais seulement entre États, à moins de créer un token or et un token argent basés sur une réelle quantité d'or et d'argent voire de toute matière ayant une valeur équivalente, car c'est évidemment prioritaire puisque ces monnaies sont indiquées dans le Coran. En effet, l'or est la monnaie du capital, alors que l'argent est la monnaie du travail et de la circulation. Ainsi une monnaie électronique honnête stable de haute valeur pourrait devenir tel de l'or numérique (digital), c'est à dire telle une valeur refuge ou d'épargne. Cependant pour l'instant c'est plutôt synonyme de réserve de valeur mais devenant progressivement un moyen d'échange qui est autre sens possible de la monnaie avec l'unité de compte. Ensuite cette monnaie pourra être dérivé vers un stable coin adossé à la valeur de l'or, ou/et possiblement au prix moyen des matières premières alimentaires, énergétiques et des métaux précieux échangés dans les bourses mondiales, ou/et à un panier de monnaies pour les échanges internationaux. En effet il s'agit de diluer sa volatilité dont sans oublier de l'orienter vers les qualités de l'or qui sont la quantité limitée, la croissance limitée, la non déflation et la valeur stable ou progressivement croissante, car la croissance sans fin même doucement de l'humanité et de son économie paraît inévitable. Surtout que le Bitcoin a été en partie récupéré par le veau d'or par preuve qu'il est de plus en plus indexer au Nasdac, et qu'en tant qu'actif, il faut donc plutôt s'orienter vers le zynecoin qui conserve la pureté de la vision initiale du Bitcoin. En effet il est urgent de purifier l'économie par ce type de monnaie à la valeur intrinsèque puisque synonyme de code mathématique numérique, et aussi car les unités de ce type de monnaie sont limitées et empêchent donc les graves dangers économiques et idéologiques de la planche à billet, de l'inflation et de l'oppression monétaire. Dans l'histoire de la monnaie, la monnaie n'a été nationale que depuis une courte période. Avant on utilisait de l'or et ce n'était pas spécialement national, car on en trouvait un peu partout. Mais comme on ne pouvait pas émettre ou créer de l'or, on a donc perdu cette caractéristique principale et fondamentale, à savoir la rareté de la monnaie. La moitié des dollars en circulation en 2021 n'existaient pas en 2020, alors qu'il n'y a clairement pas eu un doublement de la valeur créé par la planète en un an, ce qui prouve la grande perte de valeur du dollar et donc son grand danger. Or les pays peuvent revenir à une monnaie nationale plus stable pourquoi pas en créant leurs propres stablecoin numériques liés à des blockchains populaires contrôlée par les Etats ou à des blockchains étatiques contrôlées par les peuples, si nécessaire en interdisant seulement les stablecoins privés non spéculatifs. Car la cryptomonnaie d'investissement honnête sert d'abord à remplacer l'actionnariat prédateur en protégeant et donc purifiant le développement d'un projet économique et d'un pays, c'est à dire en préservant leur souveraineté face à la haute finance privée, de même que le droit intellectuel ou de propriété d'un inventeur ou d'un entrepreneur. Cela serait comparable à un écosystème stable, surtout grâce à une technologie plus essentielle que la crytpomonnaie pour un noble changement qu'est la blockchain transparente, ayant de multiples applications et pouvant même purifier les banques de leur très grave oppression particulièrement prouvée lors de la crise financière de 2008, en les faisant être le lien d'échange entre les monnaies nationales et les cryptomonnaies d'investissement basées sur de bons projets. Ainsi le cryptomonnaie spéculative sera anecdotique par rapport à la révolution Blockchain et l'utilité des cryptomonnaies d'investissement. Il faut noter que sans besoin vital, il n'est pas sage de trader une crytomonnaie portant un noble projet sur plusieurs années, puisque cela amène une fréquente volonté de baisse du prix pour racheter après avoir vendu plus haut et ainsi de non réussite du projet pour gagner de l'argent dans l'immédiat plutôt que de patienter, à l'image des algorithmes cupides du trading à haute fréquence par essence donc déshumanisé dont en préférant donc le profit au développement humain réussi, surtout que ne conservant souvent des actions que des micro secondes à la différence du succès des pieuses entreprises commerciales humaines prenant généralement des années. Mais il semble de plus en plus clair que les monnaies fiat vont devenir des monnaies numériques centralisées possiblement oppressives des banques centrales du privé. Or ces monnaies centralisées possiblement oppressives s'écartant donc de l'éthique monothéiste, les populations les éviteront probablement beaucoup à part pour payer un service public ou un impôt, c'est à dire en préférant placés une partie de leurs avoirs sur des cryptomonnaies et blockchains décentralisées éthiques voire monothéistes pour plus de liberté et de dignité, ce qui est un doux moyen de changer le monde très positivement. Ainsi suite au communisme n'ayant pas réussi et au capitalisme en train de s'effondrer, une très digne troisième voie est désormais possible à travers la blockchain décentralisée, la crytomonnaie décentralisée sans usure et les technologies modernes. Cette troisième voie est aussi celle de la mesure, de l’exactitude, de la vérité, de la justice, de l'éthique, de l'esthétique, du bien, du pur, du noble, du vrai, du beau et du monothéisme authentique. C'est à dire que ce nouveau monde incarnera un nouveau modèle plus en adéquation voire une excellence par rapport à la vie en société, à la transmission des valeurs véritables et à la loi naturelle, possiblement synonyme d'Eden terrestre complété. Blockchain : Il s'agit du réseau internet 3.0 enregistrant précieusement et mondialement toute opération ou savoir de manière sécurisée, anonyme, décentralisée, infalsifiable et transparente, et permettant de créer, garder et transmettre de la valeur financière sans les banques et donc plus seulement de l'information, et pouvant donc créer un monde alternatif hors de contrôle des puissants lobby nocifs et des malhonnêtetés commerciales, bancaires ou politiques, synonymes de corruption et d'oppression massives. En effet une honnête blockchain populaire contre le système corrompu correspondrait à une grande ronde autour de la forêt amazonienne pour empêcher sa destruction, et donc à une seule âme et un seul corps nobles aimés de Dieu qu'est d'ailleurs l'origine et la réalité de l'humanité provenant d'Adam : Selon An-Nomân Ibn Bashir (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « L'image des croyants (ou des frères en humanité contre l'oppression) dans l'amour, la miséricorde et l'affection qu'ils se portent, est comparable à celle d'un même corps : lorsqu'un membre se plaint de quelque douleur, c'est l'ensemble du corps qui en pâtit par l'insomnie et la fièvre. » (Boukhari et Mouslim) A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « QU'EST-CE QUE LA BLOCKCHAIN WETHIO ? » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=_A7gSXVPQuY Les petites entreprises et les inventeurs individuels ne disposent souvent pas des investissements et des capitaux nécessaires pour traduire leurs intentions en produits et services de base à grande échelle ou pour les monétiser sur des marchés connexes. Au contraire, ils créent souvent des prototypes, espérant trouver d’autres développeurs pour fabriquer et commercialiser leurs inventions et récupérer leur investissement en recherche et développement en concédant des licences d’exploitation de leurs inventions à ces développeurs. Et cela est vrai non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour d’autres pays, dont la Russie. Or avec la blockchain, une cryptomonnaie, un cahier des charges et un contrat de déblocage de fonds progressifs en rapport avec l'évolution du projet, l'entrepreneuriat deviendra beaucoup plus juste et simple dont en préservant la propriété intellectuelle. Ce système moderne inédit correspond à l'incubateur numérique anti scam Mister Z (par son intelligente demande d'établir un livre blanc synonyme d'étapes à suivre et donc d'une feuille de route pour débloquer les fonds progressivement) du projet zynecoin dans lequel une idée vaut 1, ceux la finançant valent 10 et l'équipe travaillant vaut 100. Cet incubateur permet au porteur de projet de création d'une entreprise innovante de préciser son idée, d'évaluer la pertinence de son projet et de catalyser des ressources propres, et c'est pourquoi cet incubateur est un accélérateur de projets économiques tout en étant un contrôleur anti faux projets. Enfin par rapport à l'actionnariat qui généralement n'est ouvert que lorsqu'une entreprise est suffisamment grosse et connue en profitant nettement plus aux riches, ce système est en quelque sorte la mise en actionnariat rapide voire immédiate par et pour le peuple concernant des projets économiques. -centralisation (concentration) de l'économie par les multinationales, centralisation (concentration) de la finance par les grandes banques d’investissement (dont Goldman Sachs) et centralisation (concentration) de la création monétaire par les banques centrales. Ces dernières sont le système chéri de la ploutocratie actuelle qui va jusqu'à provoquer des guerres civiles comme en Grèce et au Liban pour préserver avidement ses privilèges et son pouvoir égoïstes. La centralisation du système sera donc toujours le problème du capitalisme par son oppression, ses combines et son chantage. Alors il est désormais évident que la décentralisation par la blockchain, par les cryptomonnaies d'investissement populaire, et par la création de la subsistance de base dans un retour au village est bien la solution pour adapter la technologie moderne jusque dans le monde rural devant le faciliter et pour ne plus donner seulement aux peuples les miettes de cette ploutocratie. C'est pourquoi le peuple doit amplifier la lutte cherchant à orienter cette ploutocratie vers l'Eden terrestre complété qui peut être basé sur ce possible nouveau paradigme du bien commun utilisant très noblement ces nouvelles technologies que sont la blockchain et la crytomonnaie décentralisées, voire utilisant en plus les grandes sociétés mondiales bien gérées et bien imposées. Surtout que la monnaie est d'abord une affaire de confiance, ce qui est facilité quand elle est cryptée et liée à une blockchain décentralisée, dont à travers la valeur intrinsèque des cryptomonnaies prouvant leur pureté, puisque basée sur l'achat et les transactions y étant liés. D'autant plus que par rapport à la folle planche à billet, la création de coins d'une cryptomonnaie est limitée et souvent liée à de la création de richesse. Ainsi cela pourrait rééquilibrer financièrement tous les continents et par conséquent résoudre le problème de l'immigration de masse. Ainsi la cryptomonnaie portant déjà dans son nom une justice économique par son impossibilité d'être malhonnêtement dupliquer et la blockchain étant d'une transparence absolue, cela semble correspondre en plus à un divin ennoblissement forcé de l'humanité jusqu'à la sainteté économique en particulier apparemment si l'IA y est bien associée dont en tant que vérification, mais qui ne sera légitimement validée qu'à ceux ayant le cœur pieux, comme aujourd'hui la piété n'est validée qu'à ceux n'agréant pas le corrompu système occidental malgré l'obligation de l'utiliser. En effet la blockchain décentralisée et donc incontrôlable par le système corrompu est un outil probablement prophétique puisque pouvant certainement guérir les grosses maladies économiques de notre époque que sont les grandes crises financières mondiales, comme la fission nucléaire a arrêté les guerres mondiales. C'est à dire que la blockchain décentralisée n'appartient à personne ou plutôt appartient à tout le monde, puisque toute information et mouvement sont enregistrés partout dans le réseau. Ceci induisant que ce probable ultime système de l'humanité correspond probablement à un des sens supplémentaires du noble plan divin irréprochable, surtout que comme le bombe atomique est donc apparue à la fin de la deuxième guerre mondiale pour préserver par la dissuasion la planète de grandes guerres militaires mondiales trop destructrices de civilisation, la cryptomonnaie et la blockchain décentralisées sont apparues à la fin de la crise financière mondiale de 2008 pour probablement par la pure transparence bien comprise préserver la planète des grandes crises financières mondiales trop destructrices de civilisation. D'ailleurs on peut même dire que cette invention de la cryptomonnaie est un grand signe de Dieu, car elle a empêché l'oppression extrême des USA et du dollar sur le monde, dont lors de la fermeture du Swift à la Russie suivie par l'abandon du Swift par les BRICS. Et il faut donc rappeler qu'apparemment aussi pour préserver la planète de grandes nations perverses trop destructrices de civilisation, la création des BRICS eut lieu en 2009. Dans ce sens de protection mondiale, le message du Mahdi sera probablement la solution aux grands problèmes politcico-économico-social. Ainsi on apprend aussi à imaginer de manière illimitée ce que le monde pourrait le plus honorablement être à travers cette pure transparence de la blockchain. Une des applications est par exemple la traçabilité de l'itinéraire d'un produit pour rassurer les consommateurs ou la traçabilité des dépenses d'une société d'assurance pour rassurer ses assurés. Surtout que quand cette société d'assurance sera liée à diverses sociétés comme des aéroports pour rembourser rapidement des billets, cela facilitera sa fonction. Or il faut donc se méfier que le système bancaire occidental ne parvienne pas à créer à une monnaie électronique unique centralisée et donc dominatrice ultimement, car un des principaux aspects d'un Etat qu'est la création monétaire pourrait rendre les nations obsolètes comme l'euro et l'union européenne tendent à le faire. Il s'agirait là d'une des possibles faces du messianimse juif erroné cherchant la gouvernance globale, car l'atlanto-sionisme militaire pour le grand Israël par le chaos semble cacher ou transférer son projet sioniste à la domination économique de l'euro-mondialisme liant le public (nations) et le privé (multinationales, grands fonds d'investissement, grosses banques et banques centrales). Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « La gouvernance mondiale du Partenariat Public-Privé Global (GPPP) et le Great Reset » à l'adresse https://strategika.fr/2021/11/05/la-gouvernance-mondiale-du-partenariat-public-prive-global-gppp-et-le-great-reset/ Ainsi la création monétaire devrait être effectuée seulement en fonction de la réalité du nombre d'échanges et en l'adossant à l'or, les banques ne devraient pas être des centres de profits privés mais un service public de dépôt, et les entreprises et les Etats devraient se satisfaire d'équilibrer leur compte s'il n'y a pas de croissance. De plus comme lorsqu'une banque détient physiquement l'équivalent de la somme lors de l'octroi d'un crédit, le remboursement du capital d’un crédit ne pose pas de problème, qu’en est-il des intérêts ? Ces derniers n’ont fait l’objet d’aucune création monétaire équivalente de la part de la banque. Leur paiement implique forcément l’accroissement de la masse monétaire par l’endettement d’autres acteurs économiques. On comprend aisément que de la sorte le problème n’est que repoussé, car l’équation globale au niveau macroéconomique n’est jamais résolue. En effet dans ce système, l’argent nécessaire au remboursement des emprunts (capital plus intérêts) sera toujours supérieur à la monnaie disponible pour le faire. Ce point est crucial car il montre que dans le néolibéralisme répandu de nos jours, le déséquilibre intrinsèque au concept d’argent-dette s’apparente à une gigantesque cavalerie follement nocive : les emprunts contractés appellent obligatoirement d’autres emprunts pour pouvoir être remboursés. C'est d'ailleurs une raisons principales de la grosse crise financière des subprimes de 2008. L’endettement global de l’économie n’y a donc pas vocation à être résorbé. Bien au contraire, son expansion sans limite est le gage de sa survie. Dans un tel système, tous les experts qui prétendent que la priorité doit être le désendettement sont, soit des incompétents, soit des menteurs. Théoriquement il est censé exister des garde-fous à la logique de l’argent-dette, mais ceux-ci sont largement inopérants. Les emprunts sont classés selon leur profil de risque auquel on attribue un coefficient de pondération, ce qui permet par exemple aux prêts non performants, c’est-à-dire ceux pour lesquels les chances de remboursement sont faibles, d’avoir à proportion égale, un poids plus important dans le calcul des encours. À l’inverse, les prêts dits performants ne représentent presque rien. On le devine, en introduisant de la subjectivité, on ouvre la porte aux abus. Cela est d’autant plus vrai que le régulateur permet aux grandes banques d’utiliser leur propre modèle de calcul de risque. Le conflit d’intérêts est évident : les banques sont financièrement incitées à minimiser voire à nier le niveau de risque des encours. En outre, la complexité des calculs et le volume considérable d’informations à récolter, fait qu’il est très difficile de contrôler et de mettre en doute la parole des banques. Ce qui prouve encore l'importance d'une blockchain décentralisée. Et pour que le tableau soit complet, un entre-soi très malsain existe entre les directions des grandes banques et les principaux services de l’État comme le Trésor, l’Inspection des finances et les organes de contrôle et de régulation. En effet les allers-retours de ce personnel hautement qualifié entre le public et le privé sont la norme. Si le cadre juridique de la création monétaire existe, son application n’est pas assez stricte et laisse trop de place à l’interprétation et à la connivence pour qu’il soit réellement efficace. Dès lors, ne reste qu’une possible autorégulation. Qu’en est-il réellement ? Pour les économistes néolibéraux, l’absence de contrainte légale efficace n’est pas un problème car le marché est censé in fine s’auto-réguler. Pour eux la concurrence opère une sélection naturelle afin par exemple que les banques mal gérées disparaissent. Ceci devant purifier le secteur puisque la peur de la faillite doit amener les cadres dirigeants à faire preuve de mesure dans l’octroi de crédit et les actionnaires à favoriser le renforcement des fonds propres aux dividendes. Or en France nous sommes face à un cartel de quatre acteurs principaux qui se partagent plus de 90 % du système bancaire. En effet chacune de ces banque représente un risque systémique et les répercussions d’une faillite seraient apocalyptiques pour l’économie française. C’est pourquoi elles bénéficient toujours du secours financier des États et des banques centrales lorsque les choses se gâtent. De même les expressions suivantes volontairement absconses : politique d’assouplissement quantitatif (quantitative easing), structure de défaisance, fond commun de créances, etc, sont en réalité les outils utilisés par les gouvernements et les banques centrales pour racheter les créances douteuses des banques privées, afin d’assainir leur bilan et leur permettre de repartir à zéro ou presque. Le scandale du Crédit Lyonnais (LCL), celui de Dexia, la crise des subprimes de 2008, puis celle grecque de 2011 et celle de 2020 l’ont très largement prouvé.
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