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G) Suite 7 (1)


Il s'agit clairement d'une stratégie cherchant à effacer la noblesse spirituelle chrétienne insoumise à la perversité, afin de démoraliser, rabaisser et affaiblir le peuple français (et les autres) pour le dominer en faveur des oligarques sionistes, surtout qu'il a en plus avoué dans un de ses livres que le judaïsme politique existe en réalité. C'est à dire que pendant que lui développe sa spiritualité juive, il prétend défendre l'occident, alors que corrompant donc le pays de l'intérieur comme le font aussi beaucoup d'étonnants programmes télés fades et abrutissants ou certains politiciens tel Geert Wilders le leader du Parti Néerlandais pour la liberté, jusqu'à détruire la civilisation avec l'acceptation laïque des droits homosexuels, de la transsexualité, du mariage non traditionnel, de l'usure, des lois libertaires, de l'extrémisme ultra-libéral, du transhumanisme et de la pornographie, afin de permettre l'oppression financière contre le peuple rabaissé donc jusqu'à la faiblesse morale pour donner le pouvoir à sa minorité confessionnelle. Dans ce sens, l'oligarque Soros qui était pourtant hétérosexuel a financé la société ouverte, le wokisme et le Lgbtisme, ce qui prouve sa volonté et celle de ses partenaires oligarchiques mondialistes de saper les fondements civilisationnels et anthropologiques des peuples, afin de les déraciner totalement, de les déstructurer, d'en faire une masse amorphe, de les réduire démographiquement et donc de créer un monde peuplé d'esclaves et d'une élite oligarchique en grande partie juive, au sein d'un monde pur d'où leur insistance pour l'écologie globaliste. Dans le combat contre le Lgbtisme, il ne faut donc pas oublier de combattre son origine qui est ce mondialisme gauchiste, car il faut traiter la maladie avec le symptôme. Pour favoriser ces types de domination perverse, la pornographie professionnelle à l'origine organisée par des juifs est un cercle vicieux de passivité et d'auto-alimentation, servant à dégrader moralement et donc contrôler puis dominer voire détruire spirituellement les chrétiens par les messianistes juifs selon certains rabbins. D'ailleurs l'avocat, rabbin et magnat de la pornographie Solomon Friedman résume bien ce système messianiste juifs corrompant les peuples pour les dominer. La société de capital-investissement qu’il a aidé à fonder, Ethical Capital Partners, a acheté le plus important site pornographique au monde, Pornhub. Le rabbin Friedman promet que les pires aspects de la pornographie disparaîtront, ce qui lui permet aussi de prétendre que la pornographie qu’il promeut n’est pas critiquable. Pour améliorer son image, l’entreprise a d’ailleurs l’intention de parrainer des articles de recherche, des conférences universitaires et de créer d’autres forums pour « déstigmatiser » et démystifier le commerce de la pornographie sur Internet. En gros, il s’agit de faire passer le message que la pornographie doit être banalisée. Or Laila Micklewait rétorque que le nouveau système de vérification de Pornhub pour le téléchargement de contenu ne garantit pas que toutes les personnes visibles ont donné leur consentement pour la publication de ces images pornographiques. D’autres poursuites, dit-elle, sont à venir. À aucun moment, Solomon Friedman n’explique comment son activité de pornocrate est compatible avec son statut rabbinique. Ainsi aussi en réalité, les agents antipatriotique comme Alain Bauer, Eric Zemmour et donc Vincent Peillon ne prônent pas une laïcité neutre, mais une laïcité positive, active, combative et donc religieuse. En effet diminuer, voire faire disparaître la spiritualité des autres, source de clairvoyance, d'intégrité, d'intelligence, de transcendance, de bienfaisance et d'évitement de l'Enfer, permet de facilement manipuler le peuple. Ainsi cette destruction de la religion chrétienne allant jusqu'à celle de la famille traditionnelle est sournoisement organisée par Peillon et sa clique, comme le prouvent la pratique monothéiste de ce dernier puisque fêtant la bar-mitzvah de son fils et la spiritualité de la famille traditionnelle étant le pilier principal de la civilisation car elle stabilise une nation en particulier donc pour éviter de malveillantes, pullulantes ou oppressantes ingérences étrangères ou privées.
C'est à dire que l’individu poussé à devenir roi, mais en réalité de rien, débarrassé des relations familiales gratuites et de toute solidarité, du travail pénible et du culte de l’effort, de la croyance en Dieu et de toute transcendance, de l’idée de nation et de fraternité d’armes, sera alors devenu à son insu un soldat du Système sans aucune résistance possible. Il ne disposera plus des moyens mentaux et sociaux de se défendre contre l’intrusion et la conformation oligarchiques. C'est pourquoi Vincent Peillon a même été jusqu'à dire que l'école républicaine doit amener les enfants à devenir des citoyens, sujets autonomes à la république laïque.
Au cours des dernières décennies, les pratiques éducatives occidentales se sont même malheureusement éloignées de ce que l’on appelait autrefois la « pensée critique ». En fait, la pensée critique était autrefois un élément fondamental dont des universités américaines et il semble aujourd’hui que ce concept n’existe plus, du moins pas de la même manière qu'auparavant. Au lieu de cela, un autre type d’apprentissage a vu le jour, qui promeut la « pensée juste » ; une forme d’endoctrinement qui encourage et récompense une réponse particulière des étudiants, conforme à l’idéologie et pas nécessairement à la réalité. Ceci étant à l'image de la plupart des dictatures qui s'éloignent de l’État démocratique moderne prétendant par l'école orienter les enfants vers un esprit indépendant suite à avoir reçu un savoir riche et utile.
Dans le monde moderne, la prise de pouvoir se fait en plus par la culture. Celui qui contrôle la culture (ainsi que les médias) contrôle le pays politiquement et économiquement. Aujourd’hui, la culture en Europe est malheureusement contrôlée par des structures pro-américaines mondialistes. La principale bataille aujourd’hui n’est pas tant militaire que culturelle. Il est donc crucial de comprendre la nouvelle mission de la culture, qui porte la sémantique de la civilisation.
Peillon dira encore en tant que franc-maçon que l'école républicaine laïque doit conditionner une nouvelle naissance des enfants (souvent également à travers un anti-racisme synonyme d'anti-France et donc d'anti-français facilitant aussi la domination perverse sur le peuple), telle une nouvelle église, avec son nouveau clergé, son nouveau baptême, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L’Éducation nationale, l’usine à républicains » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=1591&v=Z90LeJwahCU&feature=emb_title
De plus : « Il faudrait quand même s’interroger sur la raison pour laquelle la classe dominante alloue tellement d’argent à une institution qui serait censée être une espèce de village résistant de l’intérieur. La bourgeoisie adore l’école, elle a très envie qu’elle perdure, elle veut qu’il y ait une école publique par ailleurs parce que ça lui permet, elle, de mettre ses enfants dans l’école privée, tout en étant contente qu’il y ait une école publique pour garder les pauvres. » (François Bégaudeau)
L’école a toujours fait monter qui elle voulait faire monter, qui elle avait besoin de faire monter pour des raisons économiques, industrielles, capitalistiques. Le problème, c’est que 95 % des enfants sont dits nuls en maths, et que ne sont conservés par la bourgeoisie que les forts en maths qui peuvent lui servir dans l’organisation de la production et de la dominance politique. C’est tout l’objet de l’ENA, de l’X et de Sciences Po, pour ne prendre que ces établissements dits d’élite. Mais une nation est faite de beaucoup d’autres personnes que ces étudiants qui sortent des grandes écoles. C’est la source du problème numéro un de la France : des élites consanguines autoproclamées, renouvelées en petit comité, disqualifiées par leur influence de toute évidence désastreuse sur la nation. Surtout que ces élites sont protégées de toute justice populaire grâce à une Justice corrompue par les réseaux de pouvoir occultes (voir la très longue impunité de l’oligarque socialo-sioniste Jérôme Duhamel), pendant que des élites naturelles formées sur le tas sont écartées, ignorées ou vilipendées par les médias mainstream qui ne sont plus dominants, car ils ont été dépassés par l’Internet incontrôlé ou pas encore totalement sous contrôle, celui qui fait l’opinion. L’école est bien une machine à brider les corps impatients, les intelligences sauvages, pour ne garder que les serviles intelligences utiles au maintien de la structure hiérarchique sociale. La surprise, c’est quand des gens qui ont les moyens intellectuels d’être des agents de la dominance passent de l’autre côté de la barrière sociale. On appelle ça une révolution, ou l’évolution, qui renversera la laïcité ou au moins le laïcisme.
La laïcité n’est pas cette séparation des pouvoirs que l’on a vendue aux masses, mais elle consiste à usurper la souveraineté (d’essence divine) pour la transférer à la République, l’État, la Nation, qui, détenant cette souveraineté, soumettra, détruira et remplacera toute religion, minoritaire ou majoritaire, sur son territoire, en particulier quand elle est fortement influencée par de très riches groupes de pressions mondialistes, oligarchiques, wokistes ou sionistes, sachant que la piété populaire limite leur cupidité et donc leur domination.
Ceci constitue donc un renversement hiérarchique des ordres et une lente décomposition de la patrie et de la société, dont à travers l'acquisition du pouvoir politique et la création du droit par ces pervers groupes de pressions pervers, étranger ou/et privés.
Ce livre de Youssef Hindi poursuit et se finit avec cet important chapitre en partie résumé « Anthropologie et religion : aux origines de la décomposition des sociétés modernes. » :
L'auteur y rappelle qu'il a analysé et mis en exergue, dans son précédent ouvrage « Occident et Islam », les origines messianiques et antinomiques (sionistes) de l’athéisme moderne (destructeur des lois divines et naturelles pour diminuer la force spirituelle des peuples afin de les manipuler plus facilement), et plus précisément l'athéisme dont sont porteuses les idéologies modernes et révolutionnaires, tels le libéralisme, le républicanisme, le socialisme, le communisme, Mai 68, le mondialisme et même le nazisme selon Pierre Hillard. En effet ces mouvements progressistes utopistes athées ont découlé de la perversion juive sabbato-frankiste, c'est à dire liée à Sabbatai Zevi puis à Jacob Frank, et se prétendaient tous illégitimement être l'accomplissement heureux final de l'humanité dans un paradis terrestre sous des formes de messianismes laïques illusoires devenant donc des idéalismes moteur égarés, puisque c'est uniquement par le véritable islam que l'humanité peut parvenir au petit paradis terrestre, puis au Grand Paradis Céleste, comme il sera revu plus tard. Le « Jacob » Frankisme peut être défini comme une continuité du marranisme, du messianisme et de la kabbale. C'est à dire que le but du sionisme est de parvenir par des institutions et des idéologies modernes (athées) à faire vivre les non-juifs sous l'impérium du judaïsme sans que nous le sachions. En effet, en remplaçant la loi divine par les droits de l'homme résumés à travers « liberté, égalité, fraternité » (qui sont pourtant des valeurs chrétiennes mais déviées comme le prouve la suite), devenus « libéralisme prédateur et libertaire au lieu de liberté de culte, de propriété et d'entreprendre du monothéisme, égalité des droits pour les homosexuels et les transsexuels au lieu d’égalité devant la loi du monothéisme, et fraternité de l'athéisme laïque franc-maçon au lieu de fraternité en religion et par rapport à Adam et Eve » et devenus « liberté de blasphème, égalité sauf pour les ultra-riches, et fraternité dans l'oppression subie par le peuple », les sionistes et la perverse caste ultra riche mondialiste parviennent à manipuler et dominer les peuples par cette corruption rabaissant le niveau moral de ces derniers. Cela dans le but de parvenir à faire apparaître le faux messie pour contrôler une partie de la terre voire uniquement de l'Occident ou de l'Etat d'Israël (mais possiblement seulement pendant 37 jours selon un hadith du Prophète Mouhamed comme il sera revu), alors que Dieu a évidemment interdit à tous les croyants de ne pas hâter la venue du Messie en particulier par la corruption, même si des prophéties juives, chrétiennes et islamiques expliquent qu'il arrivera quand le monde sera plongé dans l'égarement et la perversion des lois religieuses. Cette très importante interdiction divine a donc évidemment été pervertie très gravement par le sabbato-frankisme et à la franc-maçonnerie y étant liée, puisque cette idéologie très corrompue valide les pires actions (dont l'infiltration et la réforme par la corruption de toute religion dont le judaïsme), en cherchant à amener tout au plus bas par un évident très honteux prétexte fallacieux donc d’accélérer légitimement la venue du Messie : (S16v1) « L'ordre d'Allah arrive. Ne le hâtez donc pas. Gloire à lui ! Il est au-dessus de ce qu'on Lui associe. »
C'est ainsi que la fin du Califat qui empêchait la division du monde musulman se réalisa, que les partis politiques dont athées et laïques voire laïcistes sont apparus presque partout dans le monde, et que les idéologies islamiques prétendument réformatrices alors qu'égarées se sont multipliées, dont celles terroristes.
En effet depuis la fin de la première puis de la deuxième guerres mondiales, il y a peu d'unité musulmane à cause des nations et donc les nationalismes en plus souvent laïques qui ont été créés ensuite, alors que depuis cette période l'occident a intelligemment modéré la puissance des nationalismes.
Tout ceci expliquant donc comment en moins de 200 ans, la plupart des royaumes chrétiens et une grande partie du monde musulman ont basculé vers des républiques athées ou laïques, dont suite à de la manipulation politique, des actions militaires, des services secrets ou l’oppression de l'usure massive. Ainsi cette fin du califat est donc évidemment aussi à l'origine de l'expansion des hérésies du wahhabisme, du réformisme islamique, et du nationalisme arabe, même si ces dernières ont aussi évidemment participé à sa fin de même que l'étonnant endettement ottoman auprès des banques occidentales et juives, dont à travers et suite à la première guerre mondiale, et que suite à un accord avec les sionistes US pour l'entrée en guerre des USA afin de sauver l’Angleterre de l'Allemagne lors de cette guerre, les anglais ont attaqué le califat ottoman en Palestine pour y établir un protectorat. En sachant que ce premier conflit mondial a en plus permis de liquider les dettes de nombreux pays occidentaux et autres, de même que les diverses guerres depuis la grande crise financière de 2008.
Dans ce sens l’information tronquée, voire la désinformation massive et délibérée dont nous sommes l’objet au quotidien, ne permet pas au citoyen ordinaire de s’y retrouver, de percevoir une logique, une explication, des liens entre les événements. La question qui se pose est de savoir si tous ces désordres sont les fruits d’une conjoncture ou des hasards de l’Histoire, ou bien si quelqu’un tire les ficelles, initie ou favorise ces situations de crise, et si oui comme y répond ce site : QUI et POURQUOI ? C'est aussi à cause de la Russie devenue communiste que l'occident collectif s'est progressivement identifié au bloc capitaliste libéral conservateur qui a ensuite dévié vers un capitalisme ultra libéral jusqu'au niveau sociétal (wokisme, Lgbtisme). En effet le rabaissement spirituel et l'appauvrissement populaires à travers ce système politique matérialiste, organisé, contrôlé et exploité d'abord par l'avide hyper classe mondiale ultra-libéraliste et la domination des sionistes, ont permis particulièrement avec l'aide des médias, de la publicité, du cinéma et de la musique d'augmenter les segments de marché pour toute habitude nouvelle ou sociale (motards, rappeurs, geeks, hommes d'affaires, immigrés, hétérosexuels, homosexuels, bisexuels, transsexuels, transhumanistes etc). C'est à dire qu'en en étant parvenu à faire de l'homme une marchandise comme une autre, ce système leur est devenu encore plus lucratif. Surtout qu'il pousse aussi à effacer le rôle du père de famille freinant généralement la consommation et modérant donc la famille comme le véritable monothéisme. D'ailleurs cette destruction du père a commencé avec la décapitation du roi Louis XVI, père de la nation, et dans un juste retour des choses, Macron, qui est une image du roi soleil Louis XIV du système oligarchique (rothschildien, dont à travers son organisation d'un grand banquet au Château de Versailles avec le Roi d'Angleterre), pourrait donc finalement finir condamner à Mort comme Louis XVI par une contre-révolution.
Or comme le mondialisme attaque aussi le père et le monothéisme authentique car ils apportent chacun la modération, la tempérance morale, la vertu, l'esprit de famille traditionnel et le respect des institutions, de la nation et de l'Etat, cela prouve qu'il est bien lié au messianisme juif erroné cherchant la domination politique et financière par la perversion. C'est à dire que cet égarement mondial travaille à un messianisme sans Dieu servant des impies juifs ou mondialistes généralement de l'élite, dont une étape importante a été les manifestations de mai 1968 (pré-révolution de couleur, première révolution orange) qui avait pour slogan « il est interdit d'interdire » même le mariage homosexuel, la consommation de drogue, l'avortement et bientôt la pédophilie. Surtout que les pervers arguments d'orientation sexuelle libre ou de nature innée même pour un enfant ont déjà été utilisées par certaines personnes grandement égarées voire très corrompues, tels dans des analyses du juif Sigmund Freud, dans l'essai « La Révolution sexuelle (expression totalement impie inventée par les sionistes pour affaiblir tous les peuples moralement afin de les dominer) » de Wilhelm Reich dénonçant la « société autoritaire » bâtie sur l'ordre moral défini par l'Église, dans son travail dénonçant follement la « répression de la sexualité juvénile », et dans les travaux de l'entomologiste américain Alfred Kinsey dont concernant l'analyse de ses nombreuses pratiques diaboliques sur l’orgasme d'enfants et même de nourrissons ayant pourtant très étrangement fait l'objet d'une Charte des droits sexuels proclamée en 2008 par une organisation partenaire de lʼONU, lʼInternational Planned Parenthood Family.
D'ailleurs Freud a propagé très perversement voire très sournoisement pour affaiblir les goys, le pseudo inconscient de l'homme voulant tuer le père et coucher avec la mère et donc le pseudo inconscient de la femme voulant couchait avec le père et tuer la mère, alors que le monothéisme authentique élève le père et la mère comme représentation de la souveraineté, de la justice et de la miséricorde divines exemplaires à respecter et honorer surtout spirituellement, comme le prouve d'ailleurs le dégoût inné de l'inceste par la très très grande majorité de l'humanité.
L'absence croissante du père et la féminisation de la société depuis cette révolution de 1968 ont ainsi diminué l'autorité par essence patriarcale vers une forme de matriarcat libertaire de plus en plus établi, et donc amené les gens masculins des nouvelles générations à moins de maîtrise d'eux-mêmes, de leur virilité et donc de leur force pour la justice dont religieuse. En effet le père représente plus la force de la juste loi établie et la mère représente plus la manière de vivre cette loi, c'est à dire à travers la douceur, l'amour, la miséricorde ou la rigueur. Or les mondialistes ne veulent pas seulement détruire la société patriarcale, mais aussi l’amour entre les hommes et les femmes.
De plus un autre slogan gauchiste perversement totalitaire est ensuite apparu, mais peut être remonté déjà à la période de la terreur pendant la révolution de 1789 : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Ainsi le sens de la liberté est devenue libertariste, alors qu'elle ne peut être totale mais encadrée dans un domaine moral devant préserver la civilisation, comme à travers les interdictions du mariage homosexuel, du meurtre injustifié, de l'usure, de la pédophilie, de l'inceste, etc. Le libertarisme a souvent pour origine la bourgeoisie cherchant de la renommée à partir de ses névroses et de son oisiveté. En effet la bourgeoisie catholique réagit de plus en plus de manière bourgeoise que de manière catholique. Mai 68 a été une révolution sociétale (dont sexuelle dans le sens de ne pas être éteint à ce niveau, et donc aussi synonyme d'un soulèvement de la jeunesse contre le matérialisme, cette dictature de la technique, de l'abrutissement capitaliste, du formatage laïciste, du Nombre, révolution qui sera récupérée par les marchands, et donc quand même finalement le matérialisme friand de développer de multiples comportements sexuels) provenant de 1789, novembre 2018 et ses gilets jaunes est une révolution sociale venant rééquilibrer celle de 1789. En effet, le Mai 68 qualifiable d'hippie a été une des grandes erreurs prouvant que la révolution sociale française n'a pas réussie, puisque cela inversa les valeurs entre la force innée et guerrière de l'homme et la séduction innée et stratégique de la femme, c'est à dire qu'au détriment de l'équité des divers niveaux sociaux, cela a mis la sexualité (dont le Lgbtisme) au-dessus de l'autorité. Pierre de Brague : « En remettant en avant la mystique, l'intuition (du fond, spirituelle, géométrique, souveraine, qualitative) et le social, il faut dépasser la culture bourgeoise (de la forme, matérielle, arithmétique, ultra-libérale, quantitative) venant de cette révolution de 1789 s’enfonçant actuellement toujours plus dans la décadence. (D'ailleurs notre monde de plus en plus sagement très ordonné par le numérique provient en grande partie de la bourgeoisie qui a souvent utilement inventé ou géré la production industrielle, le commerce, l'administratif, la science, l'informatique et maintenant l'Intelligence Artificielle, mais cette dernière est beaucoup plus développée et récupérée par la ploutocratie ultra-riche, apatride, wokiste et mondialiste recherchant le contrôle de masse et la monopolisation économique.) »
« L’esprit bourgeois se définit selon les termes de Werner Sombart et plus précisément par l’entremise de quatre traits caractéristiques : la « prudence réfléchie », la « circonspection qui calcule », la « pondération raisonnable » (et « l'épanouissement général par la connaissance, la découverte et le développement en particulier scientifiques », dont donc aussi vers le raisonnable confort de base répandu). Comme défendu dans l’ouvrage, l’ensemble souligne la vocation naturelle et la fonction primordiale de la bourgeoisie, à savoir la gestion et l’organisation de la structure économique et sociale. À rebours d’une certaine lecture infantile des rapports de classe, le bourgeois originel a donc été chargé par l’histoire d’une mission précise. La philosophie révolutionnaire de Proudhon est d’une richesse fabuleuse. C’est le penseur du futur, l’un des plus à même de répondre aux problématiques sociales du 21e siècle si l’on veut bien faire l’effort d’actualiser ce que recouvre sa « civilisation des producteurs » : mutuellisme, fédéralisme, banque du peuple, droit ouvrier, lutte contre les monopoles et in fine dépassement du capitalisme et priorité politique au travailleur. Ce qui est en rapport avec Marx qui a été le plus grand médecin légiste du devenir capitalistique, un adversaire acharné de l’individualisme libéral et de l’égoïsme bourgeois, et surtout l’indispensable libérateur de la conscience de classe des peuples européens.
Proudhon est le syndicaliste révolutionnaire véritable, car il s'agit de l'authentique tradition révolutionnaire mais aussi française (catholique), dont dans les débuts de la CGT et la grève générale inscrite à son statut. » (Pierre de Brague)
Dans son livre « Dictionnaire de conscience révolutionnaire », Pierre de Brague nous explique comment la culture bourgeoise, celle d’une classe sociale qui a pris le pouvoir à partir de 1789, a connu une phase ascendante de grandeur au 16e siècle en France et en Allemagne, avant de décliner par la suite. Il critique également l’assimilation sans nuance de la bourgeoisie au capitalisme, et met en avant la mutation de la bourgeoisie en bourgeoisie capitaliste comme étant le résultat d’un rapport de force et non d’une fatalité historique.
Dans ce sens, Pierre de Brague a précisé par ailleurs que la mutation de la bourgeoisie en bourgeoisie capitaliste n'était donc pas une finalité, car elle pouvait dompter le capitalisme, plutôt que se faire dominer par lui en empêchant d'atteindre un très haut développement théologico-éonomico-social par la raison, la mesure et la culture, mais elle a oublié la chaleur humaine des campagnes dans son élégance des villes, dont à cause de la richesse et malgré pourtant l'arrivée du confort. D'ailleurs après la révolution et avant l'établissement définitif de la monarchie trois monarchies constitutionnelles et deux régimes impériaux sont apparus en France. Puis cela a laissé la place à des penseurs juifs bourgeois dont messianistes et à la ploutocratie des ultra riches. Il faut donc noter que la cité grecque reposait sur le principe guerrier, la cité médiévale sur le principe religieux, et la cité révolutionnaire au final sur le principe social de la classe bourgeoise.
A ce sujet il est intéressant d'écouter l'émission « POURQUOI TANT DE HAINE ? LES GILETS JAUNES, AVEC LES GILETS JAUNES CONSTITUANTS & NOUS VOULONS VIVRE » https://www.youtube.com/watch?time_continue=1662&v=2nx35miSL7g&feature=emb_title
Dieudonné Mbalabala : « Nous sommes dans un monde qui semble perdu, un monde qui se cherche. On le voit depuis quelques années : mariage pour tous (créé follement pour la première fois en terme de droit dans l'histoire de l'humanité), procréation tarifée, (théorie du genre), trafic d'organes, terrorisme, radicalisation (des idéologies), menace de guerre nucléaire. Nous sommes arrivés à la fin d'un système. L'obscurantisme moderne prétendument progressiste et droit-de-l’hommiste, arrive à son apogée : le non sens(, revenant à dire absurdement, follement, maléfiquement, dangereusement, et donc démoniaquement que rien n'a une nature et par conséquent de sens, et s'opposant ainsi gravement au bon sens, et donc à la loi naturelle, et donc au monothéisme authentique). Oui, nous évoluons à présent dans le non sens total. La lumineuse et généreuse idée d'un accès au savoir pour tous (dont par internet) s'est transformée en quelques temps à un accès illimité 24h/24h au mensonge et à la perversion (en particulier par la télévision et la pornographie, et malgré un éclatement de l'information et une ouverture de la science via internet). (A cause du système et de nombreuses personnes indignes, nous sommes réellement confrontés à une avalanche de mensonges, de bassesses, d'impostures, de contre-vérités, de trahisons et de manipulations.) Avec des élites sans panache (et ayant de moins en moins de personnalité), vidées de toute substance créative (et sensée), nous sommes en roue libre vers le grand n'importe quoi (alors que pourtant il existe incontestablement une morale universelle, une décence commune concernant divers points, comme la famille traditionnelle, la volonté de sécurité, le respect des biens d'autrui, la justice économique, et la noblesse de manger à sa fin en ayant une demeure). »
En effet la technologie dont surtout internet, formidable serviteur devenant souvent maître des désirs (et de nos opinions dont par la manipulation de la télévision), peut aller jusqu'à ne pas développer la connaissance de beaucoup dont en les abrutissant par leur utilisation futile voire immorale de cet outil internet, alors qu'il peut incontestablement enrichir spirituellement, religieusement, scientifiquement et philosophiquement. Or de nombreux bons articles, vidéos et exposés sur internet servent quand même a élevé grandement le niveau de connaissance aussi de beaucoup malgré l'athéisme des idéologies modernes. Et les réseaux sociaux ainsi que les sites d’informations alternatives ont en plus permis la réinformation d'une grande partie de la population, car l'être humain sait souvent reconnaître la vérité quand il l'entend. D'ailleurs un rédacteur en chef du Wall Street Journal a littéralement admis qu’ils (les médias dominants hors internet) étaient propriétaires de l’information jusqu’à ce que ces satanées sources alternatives (réseaux sociaux d'internet) arrivent. Même la télévision et les pubs ont relevé dans un aspect le niveau linguistique (voire en plus poétique) général puisque devant parler le plus correctement possible, mais pas par rapport à la lecture répandue auparavant et peu pour les catégories sociales inférieures. Dans ce sens, une partie du cinéma et des séries TV ont servi à répandre une partie de la culture générale.
De plus les apparitions du républicanisme, du fascisme (étatisme), du socialisme, du libéralisme et du syndicalisme ont tout de même apporté en partie à travers la raison humaine des compréhensions intéressantes des rôles, des intérêts, et donc des négociations ou des compromis parfois nécessaires entre l’État, la gouvernance, le peuple, les entreprises commerciales, les patrons, les travailleurs, la propriété, la vie en société, le traditionnel, le social, le capital et le national pour le bien commun ou l'intérêt général, dont au niveau politique, géopolitique et monothéiste, et au niveau de la distinction de chiffres économiques importants comme le PIB, le solde commercial, le taux de croissance, le pouvoir d’achat, le taux d'inflation, l'épargne, le placement, la production, la consommation. En sachant que la droite et la gauche originelles sont apparues suite à la révolution de 1789 et correspondaient à la droite monarchique constitutionnelle ayant changé avec le temps et peu régné depuis cette date et à la gauche bourgeoise ayant souvent été nuancée ou évolué et ayant beaucoup régné depuis. C'est pourquoi, on peut dire que le RN 2024 est en réalité un parti de centre gauche, en particulier au niveau des décideurs de ses grandes lignes même si beaucoup de membres sont d'authentiques nationaux conservateurs.
« L'ordre hiérarchique dans l’Occident médiéval se manifeste par une structure ternaire. Georges Dumézil expliquait en 1941, dans Jupiter, Mars, Quirinus, que les sociétés indo-européennes reposent sur une tripartition des fonctions : celle de la souveraineté associée à la fonction spirituelle, la fonction guerrière et enfin la fonction de production et de reproduction. Il utilise pour les besoins de sa démonstration la figure des flamines majeurs, membres de la caste sacerdotale romaine, qui honoraient la triade archaïque symbolisant ces trois fonctions. Si la grille de lecture de la « trifonctionnalité » ne peut s’appliquer de manière satisfaisante pour la société grecque, Aristote reconnaît néanmoins trois régimes politiques comme justes : la monarchie, l’aristocratie et la démocratie. D’ailleurs Polybe (v. 200–v. 120 avant J.-C.) reconnaissait dans la République romaine une organisation politique reposant sur l’équilibre énoncé par Aristote : le consulat (monarchie), le Sénat (aristocratie) et les comices (démocraties). La fonction attribuée aux individus s’appuie, en principe, sur leur nature (avant que ce soit exclusivement la naissance qui prime) et est indéfectiblement associée à la responsabilité qu’elle implique. Responsabilité, qui signifie étymologiquement « assumer ses promesses ». Dans la France médiévale, la société des trois ordres, théorisée par Adalbéron de Laon au XIe siècle, distingue un ordre hiérarchique à la tête duquel se trouve la caste des oratores (ceux qui prient), puis les bellatores (ceux qui combattent), enfin les laboratores (ceux qui travaillent). Paroxysme d’une crise de légitimité de la personne royale, la longue guerre de cents ans marque le recul de l’importance de la caste guerrière. Elle se sacrifie elle-même, notamment lors de la bataille d’Azincourt, le 25 octobre 1415 où la chevalerie française, refusant de fuir, est littéralement décimée par les archers et la piétaille anglaise. L’armée féodale, perd de facto sa justification. Après l’intervention de Jeanne d’Arc, qui se bat au nom du « roi du Ciel », Charles VII comprend que la consolidation de l’État monarchique doit passer par la constitution d’une armée professionnelle. C’est chose faite avec le traité de Lloupy-le-Châtel de 1445 qui établit les compagnies d’ordonnance, permettant au roi de s’affranchir de l’ost royal basé sur le respect de la parole donnée au souverain par la caste des bellatores (ceux qui combattent). La société d’ordres devient, dès cette époque, davantage spéculative que véritablement opérative. Si elle connaît son coup de grâce lors de la Révolution française, ce n’était déjà depuis le XVe siècle qu’une survivance dont la légitimité collective allaient en s’amenuisant. C’est d’ailleurs au sortir de la guerre de Cent Ans, sous Louis XI, que la noblesse française fut autorisée pour la première fois à pratiquer le commerce terrestre et maritime sans « déroger », c’est-à-dire sans manquer à son rang qui lui interdisait d’exercer des activités économiques pour se financer. En effet, le noble est avant tout un guerrier qui doit vivre du sien, c’est-à-dire de l’exploitation de la terre par les paysans placés sous son autorité seigneuriale. Mais le noble a bel et bien un travail : c’est l’art de la guerre. Et il paie bel et bien le prix de son statut : il doit accepter de verser son sang et s’engage à respecter une éthique chevaleresque. Si la noblesse est encouragée par le pouvoir royal à déroger à son statut au XVIIe siècle, en particulier sous Louis XIII puis Louis XIV, cette pratique a été plus difficile à mettre en place qu’en Angleterre, où la noblesse s’est très tôt comportée comme une bourgeoisie, pour des raisons économiques mais aussi religieuses. Le Parlement anglais, que l’on peut pratiquement faire remonter à la Magna Carta de 1215 (ancêtre des droits de l'homme laïques) avec la création d’un Grand Conseil constitué de barons et de bourgeois, quitte peu à peu son rôle judiciaire pour prendre une fonction politique. C’est sous Édouard III (1327–1377) que ce Parlement se scinde en deux avec la Chambre des lords et la Chambre des communes dans laquelle ne siégeront bientôt plus que des chevaliers et des bourgeois, le bas clergé en étant progressivement évacué au cours du XIVe siècle. La crise de l’Exclusion Bill à partir de 1678 voit la création d’un parti whig, farouchement opposé à l’absolutisme catholique et qui favorisa la montée sur le trône d’Angleterre du Stathouder Guillaume III d’Orange en 1689 lors de la Glorieuse Révolution. Le parti opposé, les tories, rassemblait des nobles attachés à la famille des Stuart et donne naissance au XIXe siècle au parti conservateur. Davantage attachés à la terre, les tories se convertissent au libre-échangisme et sacrifient l’agriculture britannique en abrogeant en 1846 les corn laws qui protégeaient le marché anglais des céréales bon marché américaines. Ainsi, ils augmentaient le pouvoir d’achat des ouvriers sans avoir à augmenter d’un penny leurs salaires. C’est cette opposition whig/tories au sein du régime parlementaire britannique qui servira de modèle au parlementarisme républicain qui se met en place en France à partir de 1870. L’Église romaine, quant à elle, trinitaire par essence, n’en est pas moins marquée par un profond clivage qui prend sa source dans l’interprétation d’une parole du Christ citée dans les trois Évangiles synoptiques : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. » Les conclusions de cette citation ont participé à la distinction, en Occident, du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel. Si les rois de France, jusqu’à Philippe le Bel, se sont soumis au magistère pontifical ou s’en sont parfois simplement accommodés, l’apparition à partir de 962 du Saint-Empire romain germanique provoque la querelle des investitures (1075-1122) et l’opposition farouche entre partisans de l’empereur (Gibelins) et partisans du pape (Guelfes). Or, cette parole du Christ, si on l’interprète du point de vue strictement métaphysique, est évidemment hiérarchique. César ne peut être opposé à Dieu que d’un point de vue matérialiste. Celui qui est créé, fût-il César, ne peut posséder que sa dépendance envers Celui qui l’a créé. Avec le moment de la Révolution française, on peut observer de manière nette le passage d’une société basée sur les survivances d’un ordre hiérarchique à un modèle horizontal qui laisse libre cours à la binarité, progressivement présentée comme le cadre idoine (approprié) pour penser le « réel » et gouverner les peuples. Si les termes droite et gauche servant à définir des positions politiques antagonistes trouvent leur origine dans les débats liés au droit de veto à accorder ou non au monarque, ils ne prennent toutefois que tardivement leur place comme horizon indépassable du clivage politique français. Lorsque, le 22 juin 1789, l’Assemblée nationale se réunit dans l’église Saint-Louis à Versailles, contre la volonté du roi, les députés du tiers-état laissent spontanément les sièges les plus proches du maître autel, dans la partie supérieure de la nef, aux deux ordres « supérieurs » : le clergé et la noblesse. Moins de trois mois plus tard, le 11 septembre 1789, l’Assemblée abandonne le placement hiérarchique pour adopter une répartition horizontale. À droite se placent les députés favorables à un droit de veto royal (ceux que l’on appelle les « monarchiens », c’est-à-dire des monarchistes constitutionnalistes sur le modèle anglais) et à gauche les partisans d’un veto royal suspensif. (A noter que la droite et la gauche actuelles n'ont donc presque plus rien à voir avec leurs origines comme il va être vu ci-après, ce qui signifie que la révolution est toujours en cours et que la contre-révolution n'a ainsi pas encore perdue, dont au niveau mondial puisque de nombreuses nations ont été ou sont encore liés politiquement à ces forces idéologiques.) Ce clivage n’est cependant pas dominant dans la vie politique française avant la toute fin du XIXe siècle. Ainsi, au moment de la révolution de 1848, on distingue trois grandes forces qui écrasent la mise en place d’une opposition droite/gauche : il y a les Blancs (monarchistes), les Bleus (républicains qui se réclament de 1789 comme Adolphe Tiers ou Louis Napoléon Bonaparte) et les Rouges, héritiers de 1793. Encore en 1880, le capucin Ubald de Chanday publie Les Trois Frances, ouvrage dans lequel il distingue une « France satanique » acquise aux idées de la Révolution, une « France chimérique » bercée par le libéralisme et une « France catholique ». C’est sous la IIIe République que le clivage gauche-droite s’impose progressivement. L’adaptation forcée du système parlementaire britannique au régime républicain rend nécessaire la construction d’un bipartisme à l’anglaise qui, s’il a du mal à s’imposer après la Commune, trace peu à peu sa route avant de se cristalliser durablement pendant l’affaire Dreyfus. Tout se passe comme si droite et gauche, par une même force centrifuge, s’éloignaient progressivement de l’axe qui constituait leur essence pour finalement le renier presque entièrement. Ainsi, la « droite », avec les guillemets qui s’imposent encore au XIXe siècle, s’est construite sur la défense d’un État incarné par la personne royale, puis elle rompt ce lien et prend ses distances avec cet État qui doit désormais simplement favoriser ses intérêts par le libre-échange. Du côté gauche, le socialisme du XIXe siècle est classé parmi les extrêmes, les « rouges ». Les radicaux sont d’ailleurs encore antisocialistes à la fin du XIXe siècle. Mais, là aussi, un glissement s’opère ; d’abord hostiles à la démocratie parlementaire perçue comme une forme libérale et individualiste de la république, les socialistes s’en accommodent et finissent par intégrer la gauche, au sens moderne, grâce notamment à la stratégie du « pas d’ennemis à gauche » adoptée par les dreyfusards. Le critique littéraire français Albert Thibaudet explique, en 1932, que ce clivage est largement une construction des écrivains : « Ce n’est plus qu’en parlant des écrivains qu’on dit couramment : un Tel est de droite, ou un Tel est de gauche... À quelle époque cette division a-t-elle paru dans la République des Lettres ? Évidemment, au temps de l’affaire Dreyfus où presque tous les écrivains étaient d’un côté ou de l’autre, et où la bataille des encriers fit rage. » Une bataille des encriers qui correspond bien à une représentation et qui montre le caractère théâtral du clivage gauche-droite qui, s’il repose sur une opposition réelle, est cadré et exacerbé. La représentation nationale, comme son nom l’indique, est une mise en scène de la volonté de la nation. Toute la question est de savoir qui en est le metteur en scène. À Athènes, il n’y avait pas de démocratie représentative car elle eut été considérée comme une « restriction oligarchique » de l’isègoria (le droit égal de parole). En réalité, le régime parlementaire permet de passer à la moulinette toutes les aspérités politiques potentiellement dangereuses pour la république. En 1914, le journaliste Robert de Jouvenel, issu de la gauche républicaine, résumait ainsi la situation dans La république des camarades : « Il y a moins de différence entre deux députés dont l’un est révolutionnaire et l’autre ne l’est pas qu’entre deux révolutionnaires dont l’un est député et l’autre ne l’est pas. » Par ailleurs, l’apparition des partis politiques à la faveur de la loi de 1901 contribue à gommer les particularismes locaux au profit d’un discours progressivement uniformisé par un organe de décision central. La Première Guerre mondiale fut le sacrifice des laboratores, car la guerre de 14-18 est la conclusion apocalyptique de la rupture avec l’ordre hiérarchique. En 1917, dans la boue crayeuse des tranchées du Chemin des Dames, ce n’est pas l’expression d’un clivage droite-gauche tel qu’il s’institutionnalise au Parlement qui raisonne dans la complainte de Craonne, c’est le refus d’une injustice fondamentale qui conduit les élites à abandonner leur responsabilité pour n’en conserver que les privilèges qui, par là même, deviennent indus. Ainsi, comme l’écrit Paul Valéry, la guerre devient ce massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. La Première Guerre mondiale est donc bien la « Der des Ders » en ce sens qu’elle est l’aboutissement de la disparition de l’ordre hiérarchique qui structurait la société française. L’élite, refusant de faire le sacrifice de son sang, envoie à la mort l’ouvrier, le paysan, ceux que le Moyen Âge désignait comme les laboratores. C’est à Craonne, à Verdun ou dans la Somme que meurent les Français en tant que peuple libre (c’est-à-dire les « Francs » dans son sens originel) dans le même caveau que le progressisme. La paysannerie ne se relèvera jamais vraiment et entrera dans une phase d’extinction. Après cela, l’opposition binaire (politique), qui ne cesse pas d’être une réalité, est captée et détournée par la représentation nationale. Ce n’est pas que la droite ou la gauche ne reflètent pas des opinions réelles et contradictoires au sein de la population, mais plutôt que leur réalité est confisquée par la représentation nationale qui distribue les dossards aux équipes. En enfilant le maillot, on accepte les règles du jeu. La structure ternaire ne disparaît pourtant pas. On la retrouve d’ailleurs dans la séparation des pouvoirs théorisée par John Locke puis reprise en France par Montesquieu. Un pouvoir exécutif, qui est l’autorité de commandement. Le pouvoir spirituel est officiellement évacué, mais on connaît l’influence que jouera le clergé maçonnique sur les gouvernements, en particulier sous la IIIe République.
Alors que le pouvoir temporel (politique) et le pouvoir spirituel (chrétien, catholique) ne doivent pas se passer l'un de l'autre, même si le pouvoir spirituel ne joue plus qu'un rôle de conseiller ou de nourrisseur philosophique. Par ailleurs, de manière anecdotique sans que cela soit anodin, le président de la République française est aussi Chanoine de Latran, un titre dont l’origine remonte au moins à 1482, sous Louis XI. On se souvient de Nicolas Sarkozy qui, en décembre 2007, lors de son intronisation en tant que « chanoine d’honneur », affirmait vouloir « réparer » le lien qui s’était abîmé entre l’Église et l’État. La même année, en février 2007, c’est le même Sarkozy qui délestait le chef de l’État de ses responsabilités en supprimant le crime de haute trahison de la Constitution. Un pouvoir judiciaire, dont le symbole est la balance mais aussi l’épée qui tranche. Les seigneurs féodaux possédaient le droit de vie et de mort sur leurs terres et les conflits internes à la noblesse se réglaient par des duels judiciaires que l’autorité royale s’efforça de faire disparaître. Enfin, un pouvoir législatif confié à l’Assemblée du peuple. En dehors du fait que la séparation des pouvoirs stricto sensu est un mythe qu’il n’est plus nécessaire de démasquer aujourd’hui tant il est évident, ce système ternaire se combine parfaitement avec l’opposition binaire du clivage gauche-droite décrit plus haut puisque dans un cas comme dans l’autre, la réalité de la souveraineté du peuple est virtuelle. Lorsqu’il existe un ordre hiérarchique, basé nécessairement sur la reconnaissance de principes métaphysiques, on trouve des sociétés symboliques, c’est-à-dire que les choses sont vraies, en puissance et en acte, à tous les niveaux : celui de la réalité matérielle mais également au niveau subtil et spirituel. Le laboratores est bien un travailleur, son statut est bien inférieur aux deux ordres et nul ne cherche à le lui cacher. Mais son statut social est également en lien avec sa nature spirituelle qu’il doit chercher à développer. Le charpentier du Moyen Âge peut voir en lui une image du Christ, mais le vagabond aussi, au moins jusqu’au XIIIe siècle. C’est un monde dans lequel la parabole, au sens évangélique du terme, fonde la valeur du langage. Le modernisme produit des sociétés métaphoriques dans lesquelles l’image littérale proposée est purement fictive, fausse, mais sert à décrire une réalité idéale qu’aucune responsabilité personnelle n’engage à atteindre. C’est précisément ainsi que l’on peut voir la représentation nationale. Une assemblée réunit à l’intérieur d’un hémicycle, sur le modèle des théâtres, dans laquelle les citoyens doivent se voir eux-mêmes, malgré l’indigence des discussions qui s’y tiennent. Proudhon, qui souhaitait la mise en place d’une république, rejetait la démocratie représentative. Paraphrasant Adolphe Thiers, il affirmait qu’en démocratie, « le peuple règne mais ne gouverne pas ». De plus, dans les sociétés métaphoriques, la monnaie est une allégorie d’elle-même. Elle ne contient plus les métaux précieux qui lui donne pourtant son nom. L’argent n’est plus l’argent, d’une part parce qu’il n’en contient plus, mais aussi parce qu’il repose sur la captation des richesses produites par l’économie réelle au profit d’une économie financiarisée prédatrice et virtuelle. En fait de ruissellement, promis par les chantres du néolibéralisme, il n’y a que la bave concupiscente et stérile de la finance internationale, constituée en caste mais dont la relation à la transcendance se fait exclusivement par le bas. Lorsqu’il décrypte le langage du capitalisme et ses « signifiants », Michel Clouscard distingue la « valeur d’usage », qui est la « consommation naïve » du produit, de la « valeur d’échange », c’est-à-dire que « le produit n’est plus signifiant selon la consommation immédiate, mais au contraire selon sa conservation et son insertion dans un système global de valeurs ». En observant les signifiants culturels, il remarque, pour l’après-guerre, que le passage du jazz au rock correspond à la transition d’un rythme ternaire à un rythme binaire. Le temps est découpé en sections homogènes, et les jeunes gens dansent sur un rythme qu’ils pensent subversif mais qui est en réalité l’outil de leur adaptation à la valeur d’échange néolibérale. C’est le libéralisme libertaire. Opposition en apparence contradictoire mais convergente dans ses finalités. Alain Soral a décrit le mécanisme de la double injonction contradictoire dans laquelle le clivage binaire est au service d’un système ternaire. L’opposition binaire est inhérente à la nature, mais elle est aujourd’hui un outil intégré dans un système qui l’encadre pour mieux la désorienter. Ainsi, l’Homme sera opposé au climat, aux virus, et jusqu’à sa propre nature au nom d’une prétendue capacité à transcender les choses, comme son « identité de genre ». Ainsi, la France est, officiellement en tout cas, gouvernée par un agent provocateur, saltimbanque, marié à son professeur de théâtre, et faisant appel à une transcendance et à un système de valeurs « hiérarchique » dont la pointe du triangle est manifestement tournée vers le bas. En lieu et place d’une triade précapitoline, un Jupiter picrocholin. Quand la binarité elle-même devient factice, cette société métaphorique n’est plus qu’une accumulation de planches pourries posées dans le vide les unes sur les autres, de plus en plus rapidement, tentant à chaque instant d’empêcher ceux qui y posent les pieds de s’apercevoir qu’ils sont en réalité dans le vide. Lors du référendum de 2005 sur le traité établissant une constitution européenne, c’est un autre clivage qui est apparu, dépassant le clivage convenu. Pour sortir de cette dyade lénifiante qui engourdit les corps, les âmes et les esprits, le retour au sens des responsabilités est indispensable. Et dans une société comme la nôtre, dans cet Occident qui est mort, la première des responsabilités, c’est que les hommes tiennent leurs engagements et se comportent comme des hommes. Il faut également dépasser la pensée d’opposition qui est le fruit de l’égalitarisme (et donc revenir à la stabilité de la complémentarité et à la richesse morale de l'équité). Tradition et modernité, si l’on regarde ce clivage d’un point de vue hiérarchique, ne s’opposent pas au sens strict. La modernité n’est pas née d’elle-même, elle s’est construite par l’éloignement progressif de la tradition, tout en puisant dans celle-ci qui contient en elle-même les germes de la manifestation universelle (et du développement raisonnable et donc clairement limité à un certain moment). (D'ailleurs quand) le réel qui (re)surgit, il ne submerge pas les principes authentiques mais les conforte. » (Extraits de l'article « Opposition binaire et ordre hiérarchique » de Hyacinthe Maringo)
Mais il faut noter qu'on parle de personnes communistes, fascistes, islamistes, mais qu'on parle de personnes libérales comme s'il ne s’agissait pas de personnes suivant une idéologie mais l'ordre naturel des choses...
Or il est aussi intéressant que ces apparitions du républicanisme, du fascisme (étatisme), du socialisme, du libéralisme et du syndicalisme aient mis en relief le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire ainsi que l'importance de leur indépendance respective dans certains cas. Surtout que le pouvoir ne s'arrête que là où il trouve des limites, dont face à la grève voire à la révolte populaires. D'ailleurs depuis l'époque capitaliste et la grande augmentation de la population mondiale, les très riches généralement patrons ou dirigeants politiques ont parfois voire souvent limité utilement le peuple, comme le peuple a parfois voire souvent limité utilement ces très riches. Tout cela permettant aussi de mieux comprendre au niveau du droit social dont islamique, l'importance au sein de la noblesse du juste milieu entre l'autorité, la liberté et l'ordre. C'est pourquoi le grand plan du destin de l'humanité et toutes situations peuvent très dignement être seulement perçues comme de l'éducation morale ou des épreuves pouvant nous ennoblir. Ainsi de même que les scientifiques se servent des découvertes mathématiques, physiques et chimiques précédentes dans leurs recherches et analyses, pour analyser certains domaines comme ces systèmes politiques, sociaux et économiques modernes, on peut par une ouverture d'esprit se servir intelligemment de l'outil critique du marxisme (sans adhérer à la philosophie matérialiste marxiste, car Marx était gravement voire sournoisement amoral), comme de ceux de certains philosophes dont antiques tels Aristote ou Platon, et bien sûr aussi comme de celui du monothéisme authentique. En effet il faut évidemment profiter des bonnes analyses de certains penseurs concernant divers sujets comme aussi la critique de la modernité par Guénon, mais être prudent concernant leurs propres conceptions religieuses parfois voire souvent imprécises ou inexactes. Or les pervers messianistes ont parfois utilisé ces bonnes analyses comme certaines de Marx pour propager le communisme athée afin de dominer les peuples dont en les éloignant du monothéisme authentique, et utilisent même désormais des mensonges grotesques ou de perverses interprétations dont de la liberté pour propager le progressisme wokiste synonyme de libéralisme à outrance mais aussi de marxisme culturel dévoyé. Le wokisme correspond donc simultanément au néolibéralisme culturel et au néomarxisme culturel.
Ces systèmes politiques erronés ont aussi mis encore plus en évidence les rôles et l'importance des cinq pouvoirs principaux dans une société : législatif, exécutif, judiciaire, médiatique et monétaire. De plus ils ont permis une liberté d'expression et une science plus libres que sous un régime religieux dont par rapport à ce site et à l'apparition de la cryptomonnaie et surtout de la blockchain nécessaire puisque synonyme de pureté économique équilibrante à notre époque dangereusement dérégulée. Et ils ont en plus clairement rappelé l'importance des devoirs régaliens de l'Etat : police, justice, défense nationale, politique étrangère, diplomatie, impôt, gestion d'une grande partie de l'eau, projets routiers, création de la monnaie, banque nationale, prêt bancaire à taux zéro pour des projets commerciaux ou entrepreneuriales solides ; et des secteurs essentiels devant donc rester des services publics quand c'est possible ou nécessaire tels l'éducation, la santé, les transports, les communications et l’énergie. En effet il est des biens et des services (du bien commun) qui doivent évidemment être placés en dehors des lois du marché.
L'Etat est aussi là pour encadrés les intérêts (dont libertés) individuels afin qu'ils convergent vers l'intérêt général. Or ces dernières décennies avec le recul du périmètre de l’État, cela a augmenté la pauvreté, les inégalités et la baisse générale du niveau de vie au profit de la caste mondialisée ultra riche.
Ainsi pour le bien commun, une société a également besoin de corps constitués au niveau des personnes morales de droit publique dont l'État, les collectivités territoriales, les établissements publics, et de corps intermédiaires au niveau scolaire, sécuritaire, médical, économique et judiciaire, afin d'éviter la privatisation, et donc la cupidité ou la perversité, et donc le risque de gestion inconséquente de ces secteurs.
Or le système actuel considère tout espace de liberté comme un cancer qui met en danger son existence et n’aura de cesse de tous les éradiquer. Il privatise beaucoup en faveur des très riches et contrôle la liberté et l’indépendance d’esprit jusqu'à désormais interdire l'école à la maison, puisque l’instruction a cédé sa place à l’éducation institutionnelle synonyme de formatage idéologique. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Interdit d’apprendre (mieux) à la maison » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Interdit-d-apprendre-mieux-a-la-maison-61129.html
Pour son profit et son développement, le Nouvel ordre mondialiste perversement manipulateur est en plus basé sur la culpabilisation de l'humanité, dont à propos de ses dégâts sur la nature faisant devenir l'être humain coupable du réchauffement et donc méchant. Et cette culpabilisation du peuple se passe au niveau des dangers climatiques, des conséquences sanitaires, du gaspillage de l'énergie et des pénuries, la diversion est parfaite.
Pour Jean-Louis Daudet, auteur du livre "Croyez ou vous êtes morts", depuis quelques années, nous sommes confrontés à des obligations ou des interdictions de tous ordres. On ne peut plus dire tel ou tel mot, on ne peut plus exprimer telle ou telle pensée. La censure s'exerce à tous niveaux dans de nombreux aspects de la vie quotidienne. Associées à ces interdits, de nouvelles croyances ont été créées dans différents domaines. Ces nouveaux dogmes sont répétés chaque jour dans tous les médias et repris à l'envi par les réseaux dits "sociaux". Il s’est établi une véritable religion de la terreur.
Par ailleurs l’État, nécessaire pour préserver la liberté, l'ordre et la paix sociale, détient donc la responsabilité de la violence légitime à travers la police et la prison. Cependant il ne faut pas faire un usage disproportionné de la force, comme lors de l'usage de LBD et de l'arrestation d'une personne ne portant pas de masque sanitaire ou fumant dans un lieu publique. Et pour éviter de diviser le peuple, les journalistes ou instituts de sondage ne doivent pas demander si les citoyens sont pour ou contre la police en fonction des images de policiers frappés par des manifestants ou de citoyens frappés par la police, mais demander quelle police voulez vous, car certains responsables policiers corrompus peuvent organiser des agressions de policiers pour leur légitimer plus de répression. C'est pourquoi l'IGPN (organisme de surveillance de la police par la police) devrait devenir citoyen.
D'autre part l'indépendance financière et le droit de propriété foncière et commerciale accentuent la liberté et donc la paix sociales pour éviter la tyrannie ploutocratique. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'accès à cette indépendance financière de même donc qu'à la propriété foncière et commerciale devienne de plus en plus impossible, à travers la perverse monopolisation de l'économie par des multinationales appartenant à des oligarchies corrompues poussant à des lois supranationales oppressantes. Ainsi la propriété foncière permet bien de ne pas être soumis au système ni au patron, puisqu'on sait que nous avons un toit et donc la liberté quoiqu'il arrive, d'où la volonté de Davos de supprimer la propriété foncière pour le peuple, et l'importance de préserver souverainement les terres nationales des grandes entités étrangères prédatrices, et de renforcer la souveraine puissance économique française en soutenant les artisans, les petits commerçants, les PME et les PMI. Cependant l'attachement à la propriété foncière est déconseillé par le Prophète (SBDSL) pour éviter donc un sédentarisme trop individualiste, un amour trop important du bas-monde, un oubli de son épéhémérité et un détournement de la demeure éternelle du Paradis, ce qui n'empêche donc pas de chercher à être propriétaire d'une entreprise. Il est donc possible d'avoir une demeure en location ou une propriété foncière sans attachement et sans y végéter, tout en ayant une propriété commerciale familiale pour utiliser principalement l'argent dans l'épanouissement familial, les investissements entrepreneuriaux, le développement national et la recherche scientifique raisonnable, mais aussi donc pour empêcher la tyrannie politique soumises à des entités privées ultra-riches.
En sachant que payer une location n'est pas un mal surtout si c'est pour éviter d'acheter une propriété par de l'usure même en petite partie :
Selon Abdullah Ibn Masud (SDP), le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Ne vous attachez pas aux propriétés foncières car elles susciteraient en vous le désir de ce monde (avarement et jusqu'à votre mort dont par une possible sortie de la vie sociale et car ne dépensant plus mensuellement pour Dieu en ancrant donc le cœur à la terre au lieu de tendre vers l'au-delà). » (Tirmidhi)
Le vrai problème est la raréfaction bureaucratique du foncier associée à la spéculation massive de grands fonds d'investissements internationaux et à l'achat de propriété par des étrangers, car cela augmente fortement les prix de l'immobilier et entrave donc l’accession des familles modestes à la propriété dans leur région. On peut également y associé la croissance des grandes agglomérations, à commencer par la région parisienne. Les Français ont besoin d’un plan visant la décentralisation des activités économiques et une occupation équilibrée ainsi qu'harmonieuse de notre territoire.
Par rapport aux systèmes politiques évoqués dans ce chapitre, il est bon de savoir que l'islam en conformité avec le christianisme est divinement dans un sage juste milieu, car simultanément dictatorial (souverainiste) par ses règles divines (dont patriotiques et non ultra-libérales libertaires), capitaliste (telle la réelle droite qui est celle des valeurs validant le droit de propriété et d’entreprendre et organisant un marché libre et juste, voire parfois plus ou moins régulé si nécessaire) par le sacré au niveau du sang, des biens et de l'honneur de chacun, et socialiste (telle la réelle gauche politique donc non sociétale ni ploutocratique) par la zakat (impôt social purificateur, un des cinq piliers obligatoires de l'islam) et par les exhortations christiques et coraniques invitant à agir souvent pieusement pour résoudre les problèmes des autres en particulier des faibles (orphelins, handicapés, pauvres, malades, personnes âgées). Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « Conférence Jean Michel Vernochet -Youssef Hindi - Partie 02 » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=vXinkS6ecEA
Les travaux du démographe et historien Emmanuel Todd, spécialiste des structures familiales (qu’il étudie selon l’anthropologie historique), confirment sur la base d’une toute autre méthodologie l'analyse de Y.Hindi, à savoir que les mouvements athéistes constituent non pas seulement une négation de Dieu, mais une lutte contre Lui (servant donc à l'affaiblissement moral puis à l'asservissement des peuples par les impies). Ses travaux sur la crise des sociétés modernes mettent en évidence que leur décomposition, ayant précédé leur atomisation, est essentiellement due au vide religieux ; il en arrive donc, par le biais d’une étude historique quantitative (statistique), anthropologique et empirique, à la conclusion qu’aucune société ne peut vivre sans croyance religieuse. D'ailleurs l'atomisation de la société anglaise protestante (christianisme cupide) au niveau familial à la fin du Moyen âge par rapport à la France catholique (christianisme charitable) le montre bien, dont car il y avait plus de terres vendues que de terres héritées déjà à cette époque en Angleterre.
Lisons Emmanuel Todd qui nous livre les résultats édifiants de ses travaux : « Républicanisme, socialisme, communisme(, libéralisme libertaire) se sont en pratique définis contre un catholicisme résiduel, qui les structurait pour ainsi dire négativement. La mort de cette religion a tué comme par ricochet les idéologies modernes. Nous sommes ici tout proche de l’un des points nodaux (principaux) de la crise qui, bien loin de n’affecter que la surface politique des choses, touche en réalité le socle métaphysique de la société, fond de croyances irrationnelles et inconscientes venues d’une histoire très lointaine. L’identification du fond religieux de la crise nous permet d’éclairer certains aspects du malaise actuel, et en particulier la difficulté que peut avoir une société à vivre sans croyance religieuse. L’athéisme a triomphé... L’histoire concrète de l’athéisme nous dit : loin de mener au bien-être, l'émergence d’un monde sans Dieu conduit à l’anxiété, au sentiment d’un manque (surtout car la naissance, la vie, la réflexion et la mort amènent à la question incontournable d'en quoi devons nous croire. D'ailleurs ce qui fait l'identité d'un homme est au final sa religion, qu'elle soit transcendante, ou athée et donc politique, nationaliste ou raciale. Mais comme l'a dit Chesterton : « Quand les gens cessent de croire en Dieu, ce n'est pas pour croire en rien, c'est pour croire en n'importe quoi. »). Le monde mental des êtres humains n’est pas le monde physique des sciences dures. Privé d’adversaire, l'athéisme doute, fléchit et s’effondre. La déchristianisation conduit donc à une situation paradoxale : l’incroyant semble ne se sentir bien dans sa certitude que s’il y a encore dans la société une Église, minoritaire, mais porteuse d’une croyance positive en l’existence de Dieu, qu’il peut critiquer et nier. Le saut dans l’irrationnel de la foi avait, à la fin de l’Empire romain, permis la construction d’un système explicatif et moral stable et rassurant. Le christianisme avait alors réglé, sur le plan psychologique, la question de la mort... Tant qu’il y a encore des croyances à dénoncer, des croyants à libérer, l'existence a encore un sens, métaphysique (aussi donc pour un athée qui en a donc également besoin par nature humaine même si c'est pour s'y opposer à travers un illégitime cause à défendre). Cependant la disparition du dernier groupe solidement organisé de croyants donne le signal du mal-être pour les vainqueurs (athées), qui, libérés de tout, ne peuvent que constater qu’ils ne sont rien, rien qui ait un sens du moins. D'ailleurs suite à la fin de son ennemi principal qui était la droite catholique, la gauche socialiste et athée est même ensuite devenue folle par sa dérive sociétale vers la défense de l'homosexualité, du Lgbtisme, de la transsexualité, de l'avortement. La mort de l’Église (et donc ensuite de l'athéisme laïque) réactive la question (la réalité) de la mort de l’individu en particulier quand l'injustice sociale répand le malheur, (et de la société puisque la foi du peuple dans une idéologie est la seule chose qui maintient ses institutions).
Et c’est pour ça qu'après être passé par un hypermatérialisme du consumérisme devenu écœurant hyper hypermatérialisme étouffant mentalement dont avec l'oppression climatique, le terrorisme, le wokisme, l'individualisme numérique, la guerre, les épidémies, le confinement, le port du masque, la distanciation sociale (qui devrait s'appeler distanciation asociale, surtout que l'homme est un animal social et donc que sa proximité sociale fait partie de l'humain sinon il ne reste que l'animal), et le culte inconséquent de la vie des corps étant devenu mystérieusement prioritaire sur tout jusqu'à la destruction de l'économie sans réactions fortes des peuples lors de la crise covid, l'humanité parviendra inévitablement à une hyperspiritualité du monothéisme voire donc à une comblante hyper hyperspiritualité de l'islam grandement ouverte d'esprit et de cœur, comme si la modernité technologique, le laïciste mondialisme ploutocratique, et les crises financières, sanitaires, guerrières et énergétiques étaient un entonnoir pour y parvenir. D'ailleurs il apparaît logique que suite aux révolution laïque, industrielle, politiques, puis technologique, il y ait une révolution spirituelle. Il faut noter que l'hyper spiritualité ne signifie pas de devenir sans matériel ni proximité physique, mais de valoriser fortement même le peu qu'on a comme proches et biens ainsi que la Création, tout en vivant grandement pour la justice, la noblesse, la religion, Dieu et son Paradis. Et cela signifie aussi que la fin des temps sera une profonde reconnexion définitive d'une grande partie de l'humanité avec Dieu à travers la tradition traditionnelle.
(Quand la religion s'effondre et) Au-delà de l'interrogation métaphysique de base, toutes les constructions idéologiques et politiques ayant pour fondement théorique l’inexistence du Ciel appuyé sur une opposition aux religions monothéistes sont ébranlées. La disparition du Paradis, de l’Enfer et du Purgatoire des esprits dévalorise donc logiquement tous les prétendus paradis terrestres politiquement et dont étatiquement athées. »
D'ailleurs avant de poursuivre ces propos d'Emmanuel Todd, il est important de préciser ici que Gustave Le Bon donne dés 1895 dans son livre « Psychologie de foules » une anticipatoire explication de l'effondrement rapide des croyances aux paradis terrestres athées ou laïques de type socialiste(, libérales ou libertaires) : « Ce n’est pas l’évidente faiblesse des croyances athées socialistes(, libérales ou libertaires) actuelles (telles des idoles fragiles) qui empêchera les religions de triompher dans l’âme des foules. Leur véritable infériorité par rapport à toutes les croyances religieuses tient uniquement à ceci : l’idéal de bonheur que promettaient ces dernières ne devant être réalisé que dans une vie future, personne ne pouvait contester cette réalisation. L’idéal de bonheur socialiste(, libérales ou libertaires) devant être réalisé sur terre, dès les premières tentatives de réalisation, la vanité des promesses de paradis terrestre apparaîtra aussitôt, et la croyance nouvelle perdra du même coup tout prestige en laissant revenir les croyances en l'au-delà. (C’est précisément ce que l’on a vu se produire avec l’Union soviétique communiste athée qui s’est effondrée sous ses propres contradictions pour laisser revenir le christianisme orthodoxe en Russie.) La puissance des idéologies athées ne grandira donc que jusqu'au jour où, ayant triomphé de la religion, la réalisation pratique commencera. Et c’est pourquoi, si l'idéologie nouvelle exerce d’abord, comme toutes celles qui l'ont précédée, un rôle destructeur, elle ne saurait exercer ensuite, comme la religion, un rôle créateur. »
Emmanuel Todd poursuit : « Alors commence la quête désespérée du sens qui, logiquement et banalement, va se fixer sur la recherche de sensations extrêmes dans des domaines historiquement répertoriés : argent, sexualité, violence ; tout ce que la religion contrôlait. L’examen empirique de la réalité sociale montre la validité de cette séquence... L’argent, la sexualité et la violence sont désormais au centre de notre dispositif mental et médiatique. Les anxiolytiques (et paradis artificiels) ne peuvent remplacer complètement les croyances collectives. »
« Le monde moderne a détruit le monde, sa diversité, sa culture, sa tradition, ses civilisations. Ce qu’on appelle diversité aujourd’hui n’est qu’un moyen psychologique et technocratique d'oppresser tout le monde. La révolution industrielle a commencé à tout détruire, puis le capitalisme a commencé à tout esclavagiser. ... Le grand historien et économiste Karl Polanyi compare le sort des ouvriers et celui des colonisés, ces pauvres de tous les pays, dont la culture a été désintégrée par le contact avec l’occident : (Suite à l'effacement de la religion catholique) Les vices développés par la masse du peuple (français) étaient globalement les mêmes que ceux caractérisés par des populations colorées (non blanches) dégradées par le contact avec la culture (colonialiste occidentale corrompue) en décomposition: dissipation, prostitution, volage, manque d’épargne et de prévoyance, négligence, faible productivité du travail, manque de respect de soi et endurance. En Effet l’extension de l’économie de marché détruisit le tissu traditionnel de la société rurale, la communauté villageoise, la famille, l’ancien régime foncier, les coutumes et les normes qui sous-tendaient la vie dans un cadre culturel. » (Extraits de l'article Karl Polanyi et la destruction du monde par le marché – Nicolas Bonnal à l'adresse https://strategika.fr/2022/02/21/karl-polanyi-et-la-destruction-du-monde-par-le-marche-nicolas-bonnal/)
Il y a deux millénaires, la pensée antique eut à définir dans le cadre d'un effondrement des religions païennes, un sens purement terrestre de la vie, une discipline de l’âme et du corps pour opérer dans un monde privé de ses dieux. Cette prodigieuse tentative, ne l’oublions pas, fut un échec, et déboucha sur le saut massif dans la croyance en la vie éternelle et du christianisme. Cette loi anthropologique à laquelle l’Homme ne peut échapper même en la niant, prouvant scientifiquement que la croyance en Dieu (quel que soit son mode) est inscrite dans le « code source » de l’Homme surtout que tous les aspects miraculeux de la vie terrestre ne peuvent qu'amener à devoir s'interroger sur son sens, est énoncée explicitement dans le Coran :
(S30v30) « Dirige tout ton être en pur monothéiste vers la religion (exclusivement pour Allah). Telle est la nature originelle (fitra discrète si pas d'ajout de piété) qu'Allah a donnée aux (cœurs des) hommes. Pas de changement à la Création d'Allah. Voilà la religion de droiture, mais la plupart des gens ne savent pas. »
L’absence d’alternative à la religion de Dieu étant illustrée par l’angoisse et le mal-être que ressentent les athées face au vide religieux, et plus profondément par la décomposition des sociétés largement touchées par l’athéisme, cela prouve la bienfaisante et donc authentique foi en Dieu. Les travaux d’Emmanuel Todd mettent donc en évidence que l’incroyance ne vit qu’en opposition à Dieu et à la religion : même perçue négativement et combattue, la croyance collective et transcendantale reste vitale, elle est constitutive de la nature de l’homme ; c’est ce que nous dit l'anthropologie sociale.
Ces travaux confirment ce qu’avait perçu le père de la sociologie Ibn Khaldûn au 14e siècle qui poursuivit l'analyse d'Aristote qui définit l’Homme comme étant un animal social ; à savoir que l'homme a besoin de vivre en société, puisque étant incapable de mener une existence individuelle déjà par sa dépendance relationnelle lors de son enfance et à l'âge adulte. Or, dit-il, la conséquence inéluctable de la vie sociale, c’est le désaccord dû à la pression d'intérêts divergents voire parfois opposés. A ce sujet le Coran précise :
(S49v13) « Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez (dans la dignité par le commerce honnête, le partage culturel et le compromis raisonnable dans vos intérêts respectifs, et donc la valeur suprême qu'est l'adaptation digne). Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur »
Commentaire : Il faut rappeler que le compromis pieux représente le plus haut niveau moral par son juste milieu entre l'esprit angélique parfait n'ayant pas de contrainte sociale et l'esprit animal imparfait recherchant la domination sociale, et surtout par son reflet et donc son explication uniques d'un des aspects les plus nobles de l'Esprit Divin.
Tant qu'il n'y a pas de modérateur pour les contenir, ces discordances engendrent donc logiquement des conflits pouvant conduire à la disparition de l'espèce humaine. Or la conservation de l'espèce est un des principaux objectifs de la loi religieuse, ce qui prouve que les Prophètes dans la réalité de leur fonction, rappelant les vérités, règles, caractère et moralité monothéistes pour ennoblir, modérer, rendre bienfaisant et unir le peuple, sauvent l'humanité.
Ce que l’on déduit en lisant Ibn Khaldûn et en analysant la longue séquence historique de décomposition des religions se résume ainsi : lorsque la religion (qui est le ciment de la société) et sa loi disparaissent avec ses institutions (Califat, Église et régimes politiques appliquant la loi divine/naturelle...) modératrices des intérêts des individus et des groupes, la société perd de sa cohésion pour s’atomiser lentement. Ce qui prouve encore un fois que pour détruire et donc dominer un pays, il faut corrompre sa spiritualité et sa foi. L’individu « tout puissant » (le consommateur narcissique, le self-made-man, le prédateur économique...) émerge et la conservation de l’espèce se voit mise en péril par la guerre de tous contre tous. C'est d'ailleurs prouvé par son aboutissement final actuel, puisque ayant atteint la lutte des sexes et même la lutte contre la nature de chacun à travers la transsexualité. Or cette dernière va en plus renforcer les minorités dominantes en particulier celle sioniste et oligarchique, celles qui imposent à la majorité un « progressisme » libéral, libertaire et forcené qui est une dictature perverse et divisante totalement illégitime par rapport à celle irréprochable et unifiante de Dieu.
Cette réflexion d’Ibn Khaldûn constitue donc aussi une juste critique anticipatoire des conséquences nuisibles du libéralisme actuel, c'est à dire tel que défini par Adam Smith (1723-1790) qui prétendait très injustement qu’une société composée d’individus ne recherchant que leurs propres intérêts serait harmonisée, notamment par « la main invisible du marché » et sans intervention aucune ni de l’État ni d’un quelconque modérateur. En effet dans ce genre de système pervers, les droits individuels deviennent de plus en plus souverains au détriment des droits collectif, moral, religieux, et autres, comme le prouvent la destruction de la famille traditionnelle, l'augmentation d'un féminisme à outrance synonyme de racisme envers les hommes, le mariage homosexuel, la propagation de la pédocriminalité, la transsexualité, le transhumanisme, etc... D'ailleurs briser le lien familial par le féminisme à outrance, l'homosexualisme et le transsexualisme est une finalité perverse du capitalisme ultra libéral afin que chacun devienne un individu isolé ne recherchant plus que la consommation personnelle excessive. C'est à dire que les droits individuels finissent par très dangereusement devenir tout ce qu’il y a : il n’y a pas de droit des communautés, des tribus ou des nations ; il n’y a pas de droit de souveraineté, d’autodétermination, d’autonomie, de sécession, ni de rappel d'une histoire collective soudant le peuple. Tout le monde est seul, seul contre le système entier qui peut donc plus facilement contrôler le peuple mais sans l'amener au bonheur, car dans ce genre de système comme le prouvent tristement les Etats-Unis et la France, le taux de suicide augmente vite puisque le peuple est dépourvu d'un sage climat moral général, d'une union pieuse au sein du pays et donc d'une bonne ambiance locale et nationale, comme l'explique Dmitry Orlov dans son article « L’individualisme comme facteur de risque » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-individualisme-comme-facteur-de-risque-51654.html
Ainsi la famille empêchant encore l'individualisme à outrance est particulièrement attaquée aujourd’hui, tandis que l’État semble vouloir s’y immiscer de plus en plus loin dont à travers son ingérence en particulier numérique dans la vie privée. Il y a une vraie menace à très court terme pour nos libertés à ce sujet. Or ce n’est plus une menace. L’oppression est effective. C’est arrivé en douceur, étape après étape, graduellement, pour que l’on ne se révolte pas, ce qui est le génie de cette stratégie liée au mondialisme laïciste et ploutocratique. L’offensive vient de très loin. Depuis vingt ans, c’est le saccage absolu. Tout n’est pas perdu, mais s’il n’y a pas un coup d’arrêt clair et net porté contre cette destruction de la famille, il y aura toujours plus de dégâts. Ceci étant dit, la famille ne relève en réalité pas de la vie privée. C’est une institution publique. Elle est aux mains de l’État. Le problème, c’est que l’État est aux mains de l’ennemi. Les choses pourraient donc être rétablies très vite, à condition qu’il y ait de l’intelligence populaire et un réveil patriotique massif.
L’histoire récente a donc bien finalement donné raison à Ibn Khaldûn et donné tort à Adam Smith. Par sa dénonciation également de la domination perverse par le conditionnement progressif, le texte suivant de Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie, va aussi dans le sens d'Emmanuel Todd et d'Ibn Khaldûn :
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter(, surtout il est bombardé de pubs matérialistes, de divertissements et de pornographie). »
Surtout que de tels moutons (voire aveugles seuls au milieu d'une forêt la nuit) deviennent plus ou moins inconsciemment si désespérément dépendants du système corrompu les spoliant pourtant, car ayant peur d'en être rejeté et de n'être plus rien alors qu'ils entreraient dans l’absolue plénitude infinie du système divin, qu'ils vont jusqu'à se battre pour le protéger tel des embrigadés par apathie, conditionnement puis consentement. D'autant plus que beaucoup ne peuvent supporter de devoir en plus admettre qu'ils sont dirigés par des élites diaboliques, et donc de devoir supporter en plus le grand poids de la foi en l'existence de Dieu qu'ils rejettent. Ainsi se détourner de Dieu est très grave, car c'est aussi occulter le très maléfique Satan et donc refuser d'admettre que certains politiciens peuvent être sataniques en leur laissant les mains libres. Une des meilleures ruses du Diable est de faire croire qu'il n'existe pas. Or il existe même ceux qui sont simultanément victime et complice d'un système, et qui appartiennent donc à ce qu'il y a de plus irrespectable.
Aldous Huxley écrivait dans son livre « Le meilleur des mondes » : « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »
Ce qui se confirme puisque malgré les crises, malgré les inégalités, malgré le règne oppressif de la finance, les peuples d'occident restent en grande majorité passifs, comme anesthésiés par le système médiatique, politique et consumériste. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'impossible révolte des peuples d'occident ? » qui est un extrait du film « Dette, crise, chômage : qui crée l'argent ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=TcE5v1rzSPY&t=272s
Ainsi pour éviter de regarder en la réalité, de plus en plus de gens préfèrent garder le dogme de la laïcité devenue laïcisme, puis progressisme et actuellement wokisme, prétendument synonyme de liberté ultime alors que folie qui d'ailleurs est aussi de la liberté ultime, sans retenue. Lorsque un document avertissant des méfaits de l'alcool sur la santé est proposé à un alcoolique, généralement certains être humains ne le prendront pas pour changer leur comportement car ils savent déjà que c'est vrai mais préfèrent continuer leur plaisir destructeur. C'est pourquoi ce n’est pas la peine d'insister fréquemment avec les personnes soumises au système, dont à travers leur inertie face aux grandes crises climatique, bancaire, terroriste, sanitaire, guerrière, inflationniste et banlieusarde, et jusqu’à un point où on peut parler d’esprit corrompus. Beaucoup intériorisent la contrainte et par manque de liberté ou d’autorité compensent en se transformant en petits chefaillons du faux ou du pervers que ce soit au niveau professionnel, sécuritaire, sanitaire ou économique. Ce qui n'est pas étonnant car le registre émotionnel donne accès à l'inconscient humain en permettant d'y implanter des idées, des désirs, des normes et des peurs apportant souvent des exigences absurdes et intolérantes.
Ainsi aux Etats-unis, les citoyens républicains qui déménagent pieusement ou sagement d'un état démocrate (progressistes) vers un état républicain (conservateurs) sont considérés par le système, les médias et les démocrates comme des traîtres, car le fait même de partir suggère que le système est défectueux, et le doute crée des questions, et les questions créent des demandes, et les demandes mènent à la défiance, et la défiance mène à la rébellion du peuple.
Dans une forme de déni qui peut être qualifié de sottise, les gens utilisant aussi souvent le mot « complotisme » sont aussi des esclaves du système, car ils le défendent également par peur de voir la réalité en face.
En effet le mot « complotiste » inventé et utilisé par le système succède à une série de mots (tels fasciste, raciste, populiste…) sert à discréditer et à priver des grands médias tous ceux qui luttent contre le mondialisme, le ploutocratisme, le sionisme, le laïcisme, le progressisme, le wokisme, les crimes d'Etat et tout point de vue qui s’écarte de la vérité « officielle » ayant pourtant été souvent démentie au cours de l'Histoire comme par rapport aux pseudos armes de destructions massives présentes en Irak du temps de Saddam Hussein, car cette prétendue vérité officielle devrait tout simplement être appelé « vérité » pour que le système conserve son conditionnement sur les populations. Alors que dire qu'autrui a une pensée fasciste (complotiste, raciste) quand ce n'est pas le cas correspond fortement à du fascisme.
« Non contents de supposer des forfaits à certains défenseurs de la noblesse authentique, de perverses entités idéologiques leur en prédisent. Tout cette construction pernicieuse d'une version possible de quelqu'un montre bien que quand le combat précède la cause, on crée un objet qui le justifie. Il s'agit d'accusations bancales qui relèvent essentiellement du procès d'intention pouvant malgré cela atterrir honteusement dans de grands médias. C'est à dire par exemple que se faire qualifié d'extrême droite quand on parle de souverainisme, de conservatisme ou de valeurs traditionnelles chrétienne charrie d'autres termes comme raciste, antisémite, misogyne, homophobe ; accusations qui accompagnent donc certains étiquettes politiques comme leur ombre et qui de par leur nature exercent une indigne (o)pression coercitive à ces accusés illégitimement, en les amenant à devoir y répondre sous peine d'y être associés par la complicité voire la complaisance.
Or la grande gravité de ces accusations calomnieuses est rarement réalisée par leurs auteurs ou plutôt leurs suiveurs, alors qu'ils sont souvent eux-mêmes séparatistes. Il y a donc une rhétorique partiale bien établie, une pensée unique voulue par le système, une volonté de programmer les sensibilité qui mine le débat en assignant à certaines positions une valeur morale propre à leur ôter tout dignité intellectuelle, à tel point que la discrimination peut donc être pratiquée avec brio par ses prétendus plus zélés pourfendeurs.
Le militantisme sociétal de gauche va même souvent jusqu'à devenir bruyant, déguisé et criant voire crachant pour empêcher la discussion, voire jusqu'à prétexter ridiculement avoir un niveau rhétorique plus faible. Il est ainsi synonyme de carnaval impie et médiocre, car amoral et donc grotesque puisque brisant toutes les frontières : hiérarchiques, sociales et même sexuelles. Cette perversion va donc aussi souvent jusqu'à de la folle nudité exhibitionniste puisque riant dans une festivité par moquerie du camp opposé incarnant pourtant souvent le Bien légitime, surtout que cela contraste grandement avec le sérieux de la cause voire des causes étrangement multiples à défendre. C'est à dire que l’aspect carnaval voire la violence irréfléchie ne pas convenables pour exprimées une sensibilité heurtée, une injustice subie ou une souffrance ressentie. Ces militants prennent leur méchanceté pour du courage, et veulent faire du roi (représentant la foi, le droit, les vertus dominantes) un bouffon et du bouffon un roi. Selon leur délire, l’amoralité ou l'inversion des valeurs serait l'avenir de l'homme et le berceau d'un monde plus juste. Cette idée erronée se prétend souvent encore plus légitime quand elle est portée par une foule même relative se croyant cultivée dont sur les réseaux sociaux, alors qu'il n'y a eu aucun raisonnement rigoureux, mais seulement de l'émotion souvent liée à des ressentiments d'existence mal vécue personnellement, car ne voyant pas ou rejetant les bonnes valeurs réelles. Ainsi cette multiplicité fréquente de leurs causes impies défendues généralement contradictoires et pourtant souvent présentes simultanément dans leurs manifestations devient logique, car ces militants revendiquent le propre ordre des choses de chacun, même si c'est dans un égarement collectif total. Et cela peut donc même se faire au détriment d'un gouvernement bon, c'est à dire ayant un credo transcendant ou naturel et donc monothéiste. » (La cartouche)
Surtout que l'expression « enfants de la télé » et désormais « enfants des réseaux sociaux du smartphone » concernant les générations actuelles, dont l'éducation, la connaissance et l'obéissance ont souvent été faites par la télé wokiste, explique bien que les gens y croient souvent plus qu'en leurs parents voire qu'en Dieu. D'autant plus que la télévision sert donc perversement l'impie wokisme sous prétexte d'un projet de paix universel et messianique en réalité corrompu. Or cet égarement répandu a plus pour cause le paresse de s’informer et de recouper (croiser, coupler, trianguler) les informations avec les nombreux sites de réinformation (synonyme d'enseignements complets, d'esprit critique, d'humour, de sagesse, qu’on ne trouve plus dans les médias dominants), car beaucoup de gens ont été grandement conditionnés depuis leur petite enfance à vivre dans un monde en total décalage avec la réalité, alors que c'est nécessaire pour trouver la vérité surtout quand le système donne seulement une réponse binaire à un événement ou à un sujet. En effet le système pousse de plus en plus à l'analyse binaire, alors que la pensée est souvent plus complexe ou nuancée. Ils n’ont pas conscience de l’emprisonnement mental dans lequel ils vivent comme le prouve la suite. Ils ne sont pas guidés par la raison, mais par l’émotion. Ils refusent tout argument même logique allant à l’encontre de leur croyance. Car c’est bien de croyance, de peur et d’émotion qu'il s'agit, dont car quand vous essayez de leur parler, vous ne faîtes que provoquer leur colère. Une colère et une agressivité qui augmentent proportionnellement à la qualité de vos arguments. Les gens ont si peur d’être mis à l’écart de cette perverse société wokiste et mondialiste, qu'ils "jouent le jeu". Les terrorismes (mondialistes) d'Etat climatique, bancaire, sécuritaire, sanitaire, économique, guerrier, énergétique, inflationniste et banlieusard auront surtout mis en évidence l’extrême vulnérabilité de la population actuelle perfusée au médiatico-politique du système, et aussi son extrême soumission, son manque de rationalité, son suivisme, son manque de notions élémentaires, son manque d’éducation, son indifférence quand à ses libertés fondamentales, son goût masochiste des contraintes, sa constatable paresse intellectuelle voire lâcheté. Avant l’augmentation drastique du niveau de coercition par la tyrannique gestion sanitaire, on observait déjà le stéréotype comportemental, l’absence d’esprit critique et l’obéissance inconsciente, mais il était difficile de jauger le niveau auquel la population étaient en général descendus, c’est fait. Comment s’étonner du fait que tant de médiocrité soit la proie de tant de perversité ? Le Covid a donc permis que les gens soient d'accord et donc s'habituent avec les mesures de coercition extrême, dont pour les prochaines crises comme l'inflation, la guerre en Ukraine et l'annexion israélienne de Gaza. Même selon le CNRS : « Les français ont été les sujets d’une expérience d’obéissance de masse pendant la crise du Covid-19. »