Recherche

Menu principal

PDF Imprimer Envoyer

C) Suite 3 (1)

Mais en réalité, la Science n’a ni bras ni jambes, ni essence guidante. Elle observe le monde pour en tirer des lois générales. Elle établit des liens entre des séries de faits, des relations entre les phénomènes. Or, si les lois physiques sont connues et acquises, le vivant n’y obéit pas exclusivement. En effet par rapport à ce dernier, ce qui n’est pas acquis, ce qui reste aléatoire, c’est par exemple l’efficacité des traitements et le bien-être de chacun.
« On ne passe pas le meilleur de nous, de notre argent, de nos richesses et de notre science pour améliorer l’homme, pour le rendre plus humain, alors que ça lui donnerait à nouveau une forme de joie et d’optimisme supérieurs, et donc l'envie de créer une planète apaisée. Parce que nous avons les moyens de nous apaiser. » (Jean Lassalle)
En réalité les maladies n’existent pas sans nous. Car la santé est un processus, un état qui s’améliore ou se détériore en permanence en fonction de nombreux facteurs. D’un point de vue hygiéniste, nous fabriquons notre santé et notre maladie tous les jours. Nous avons bien sûr une certaine marge de manœuvre pour mener une vie saine et contribuer à notre santé. Mais parfois nous perdons la main comme lors d'une situation financière difficile, la perte d'un proche, une pression professionnelle, le manque de chauffage à la maison, une panique collective créant de l’insécurité, une période de guerre...
D’autre part, même en imaginant que l’on puisse parler de l’humanité comme d’un seul corps, il est tout autant irréaliste de penser lui éviter les maladies, ou le stress, ou les peines de cœur, ou les catastrophes naturelles. Car la seule chose que l’on ne puisse pas faire pour nos proches, c’est bien de leur éviter de mourir ou de souffrir. En revanche, il est par exemple tout à fait possible de mettre en place un système de soin performant, peu cher, local et accessible, avec les médecins généralistes en première ligne à qui on laisse la possibilité de faire leur travail. Dans ces conditions, on peut soigner, réduire les souffrances, améliorer le confort de vie. Or pour cela, nous n’avons pas besoin de progrès scientifiques mais de volonté populaire et politique. Surtout que de nombreuse molécules peu chères soignent, et que tout est déjà bien accessible.
Or à cause du système laïciste, de nombreux humains endormis se détournent de ces vérités, car ils vivent souvent sous l’emprise de conditionnements et d’automatismes sans Dieu, en devenant un humain athée, fanatique, obsessionnel, sectaire ou/et radicalisé de la masse, tel un programme d’ordinateur incapable de se corriger et d’arrêter de répéter les mêmes erreurs en boucle, et en ne pouvant donc que survoler superficiellement la vie et qu'effleurer le sens de l'existence.
C'est pourquoi on n’entend jamais la parole des gens ordinaires réveillés, dont beaucoup n’ont pas fait de grandes études ou vivent simplement. Pourtant ces personnes lambda sont des gens normaux, de bon sens, avec une bonne dose de lucidité, celle qu’on contracte quand on est aux prises avec le réel et pas à donner ou recevoir des leçons via des plateaux TV. En effet cette lucidité populaire est loin du hors-sol des dirigeants médiatico-politiques corrompus, surtout que ces derniers sont en plus souvent générateurs de conflits d'intérêts, de chantage, de mensonges, de manipulations et de catastrophes. Notre système politique est si faussement méritocratique qu'une partie de cette population réveillée se refuse à donner son avis quand on ne l'empêche pas de parler dans les médias dominants. Heureusement contre cela, internet offre un vaste champ d’expression et de réflexion. Les chaînes éducatives, scientifiques, philosophiques, politiques ou religieuses sont légion, et donnent agréablement accès au savoir en dehors de toute rigueur académique ou violence symbolique.
          Ainsi à notre époque avec cet outil internet, mais aussi avec l'éducation nationale, l'ensemble des médias et les flux migratoires, les différentes religions du monde sont présentes dans notre culture. Malheureusement le plus souvent, les journalistes rappellent principalement les mauvais actes de certains adeptes, mais surtout du catholicisme et de l'islam par conséquent de manière intrigante. Une petite parenthèse mérite d'être ouverte à ce sujet. Il faut reconnaître que notre quotidien est souvent calme, puisque sans télévision nationale ou mondiale les grands malheurs et les morts dans notre environnement proche semblent généralement assez rares, même si les conflits sont de plus en plus nombreux surtout qu'ils ne sont pas des grandes guerres d'annexion, car il y a beaucoup plus de pays en paix sur leurs territoires qu'en guerre.
          L'être humain doit ainsi profiter de ce doux aspect de la vie, tout en cherchant évidemment comment il peut agir pour toujours accompagner notre monde dans le mieux, car ce n'est pas à l'univers (Création) source d'excellentes épreuves de s'adapter à nous, mais à nous de s'adapter à lui en tendant vers une excellente gestion des qualités morales exclusivement. C'est à dire que sans s'attarder sur l'ambiance morose provoquée par le journalisme avide de malheurs et de souffrances dont de faits divers, tel un culte du pire auquel beaucoup de journalistes et téléspectateurs succombent, l'être humain peut être en harmonie avec l'excellence de l'univers par un excellent comportement en particulier envers toute l'humanité, à l'image de la symbiose entre une fleur fournissant du sucre à une abeille et cette abeille lui apportant le pollen reproducteur. En effet, le monde de Dieu attend que nous soyons en harmonie avec lui. C'est à dire que nous pouvons créer autant de noblesse et de beauté que celles qui font avancer le monde :
(S20v2-4) « Nous n'avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux, si ce n'est qu'un Rappel pour celui qui redoute (Allah), (et comme) une révélation émanant de Celui qui a créé la terre et les cieux sublimes. »
(S18v7) « Nous avons placé ce qu'il y a sur la terre pour l'embellir, afin d'éprouver (les hommes pour savoir s'ils vivent et partagent pieusement et ainsi dignement et conformément cet embellissement ou s'ils sont cupides et ainsi indigne et non conforme vers cet embellissement, et donc pour connaître) qui d'entre eux sont les meilleurs dans leurs actions. »

C'est à dire qu'avec la vision religieuse affirmant l'excellence des épreuves terrestres et un sérieux gérant bien la sagesse, la bienveillance et la bienfaisance permanentes, nous pouvons ne voir que des solutions et même que du bien dans ce monde, et plus de problèmes.
Selon Abou Houreyra, le Prophète (SBDSL) a dit : « Un homme passa devant la branche d’un arbre qui barrait la route aux passants. Il se dit : « Par Dieu, je vais enlever cette branche pour qu’elle ne nuise plus aux musulmans ». Il fut introduit pour cela au Paradis. » (Mouslim)
          Or donc malencontreusement, il est à constater dont à cause de la perversité médiatique, oligarchique et politique, que l'adoration monothéiste se perd par crainte, dégoût ou désintérêt, alors que nous sommes pourtant dans une période idolâtrant tel un paganisme moderne des célébrités, des sportifs, la richesse, les milliardaires, le matérialisme, le corps, la culture générale dans des jeux télés, la science, la technologie, la nature, les mouvements politiques athées, le bouddhisme, le polythéisme type hindou ou des sectes types franc-maçonne ou scientologue. Ainsi avant de se forger une opinion, chaque personne devrait d'abord étudier sérieusement les diverses spiritualités, après s'être informée correctement sur la réalité des forces visibles, cachées, lumineuses et occultes en présence sur terre, dans notre société et au sein du monde politico-médiatique, afin d'éviter les mauvais préjugés et les plausibles manipulations.
          Pour prendre un exemple, dans la guerre au terrorisme ou à la pauvreté décrétée par certains pays, nous ne pouvons oublier le double jeu de certains qui ont armé des « rebelles » et affaibli diverses nations, afin d'exploiter leurs ressources naturelles avidement par les multinationales occidentales, de continuer l'hégémonie américano-sioniste politiquement par le laïcisme désormais wokiste et d'entretenir le pouvoir impérial oligarchique financièrement toujours par la dette. Ainsi particulièrement en France, il n'est pas étonnant que la désinformation atteint des sommets inégalés, à cause des médias mainstream soumis aux politiciens et oligarques corrompus sous une forme ressemblant dangereusement de plus en plus à un média unique tyrannique, puisque appartenant environ à huit milliardaires qui influencent inévitablement l'information transmise et étant donc une évident problème moral et démocratique. Surtout que les milliardaires sont généralement copains entre eux, qu'ils n’ont pas besoin de se consulter pour dire la même chose, et que ces grands médias achetés ne servent que cette influence car ne rapportant pas d'argent, dont pour empêcher la dénonciation massive du système financier occidental ultra corrompu car ayant en faveur des ultra riches très diminué le partage la richesse. On peut même qualifier ce système de « cartel des médias de la désinformation subventionnés par le gouvernement ». En effet l’idéologie des différents journaux et des grandes chaînes mainstream correspond souvent en tous points à la ligne mondialiste. Il s'agit de celle qui défend les intérêts de l'oligarchie financière internationaliste corrompue, et donc du mondialiste Empire américano-sioniste wokiste, et donc son outil militaire qu'est l’OTAN (deuxième nom du Pentagone), et donc ses ses larbins que sont l’Union européenne et les gouvernements occidentaux alignés. La militarisation de l'information (de la communication) fait donc aujourd'hui partie du système occidental. En effet la presse n’est plus objective mais militante. Les chaînes d'infos mainstream créent même des campagnes médiatiques ou de faux sondages pour ensuite permettre au pouvoir de prétendre s'appuyer sur l'opinion publique lors de ses décisions. Ou du moins le sondage orienté est aussi souvent utilisé.
« Une récente enquête sur le « soutien » français à l’Ukraine, réalisée par Ipsos pour La Tribune Dimanche, met en lumière les subtilités de la manipulation de l’opinion publique à travers les sondages. Alors que l’objectif des sondages d’opinion est généralement de mesurer les attitudes et les opinions des citoyens, cette enquête particulière semble avoir été conçue d’une manière biaisée, favorisant une interprétation favorable au soutien à l’Ukraine. En effet, le sondage en question présente trois questions spécifiques sur différentes formes de soutien à l’Ukraine, « pensez-vous qu’il faudrait… ? » : -Augmenter le soutien français à l’Ukraine. -Maintenir le soutien français à l’Ukraine au niveau actuel. -Réduire le soutien français à l’Ukraine. Cependant, une quatrième question cruciale semble manquer : -celle sur l’arrêt de l’aide à l’Ukraine. En l’absence de cette question, l’enquête semble être conçue pour conduire les répondants vers des réponses favorables au maintien voire à l’augmentation du soutien à l’Ukraine. Parce que si une augmentation du soutien est envisagée, il est également nécessaire de considérer une réduction, de même que si le maintien est évoqué, il convient alors d’inclure une question sur le retrait du soutien. En examinant les résultats, on constate que les réponses favorables à l’Ukraine sont majoritaires dans les deux premières questions, tandis que la troisième question, sur la réduction du soutien à l’Ukraine, reçoit le moins de soutien. Sans la possibilité de choisir une option pour arrêter l’aide à l’Ukraine— notamment l’aide militaire —, les répondants sont limités dans leur capacité à exprimer leur véritable position sur la question. Dans de telles circonstances, les médias mainstream interviennent ensuite pour amplifier une information mensongère, comme en témoignent les titres suivants : -Le Figaro : « La majorité des Français en faveur de la poursuite de l’aide à l’Ukraine » -20 Minutes : « Guerre en Ukraine : La majorité des Français soutient le maintien de l’aide au pays » -Europe 1 : « Sondage : La majorité des Français souhaite maintenir l’aide à l’Ukraine » Ce biais apparent dans la conception du sondage soulève des questions sur l’intégrité et la fiabilité des enquêtes d’opinion. Les résultats de telles enquêtes peuvent avoir un impact significatif sur les politiques gouvernementales et les décisions publiques. Par conséquent, ce genre de sondage biaisé n’est pas menés de manière impartiale et équilibrée et ne permet pas aux sondés d’exprimer pleinement leurs opinions sans être influencés par la formulation des questions. Nous sommes clairement dans la manipulation d’opinion. Dans un contexte où la désinformation et la manipulation de l’information sont de plus en plus répandues, les Français doivent de rester vigilant face aux pratiques trompeuses des médias mainstream qui pourraient fausser notre compréhension de l’opinion publique et influencer les décisions politiques. » (Média en 4-4-2)
La fonction ultime des médias occidentaux apparaît de manière éclatante en période de guerre, comme quand BFM TV se met à soutenir les islamistes modérés ou les nazis ukrainiens. BFM est une chaîne mondialiste, car elle suit l'idéologie libérale-libertaire basée sur la droite du travail (financier et parasitaire) et la gauche des valeurs (sociétales perverses), plutôt que sur la droite des valeurs (souverainistes, christiques même si la solidarité ou l’amour du prochain est plutôt de gauche) et la gauche du travail (productive) selon la théorie soralienne comme il sera revu.
Tout cela sert au laïciste système international d'usure, car il cherche à dominer toutes les nations même au détriment de la stabilité économico-sociale. C'est à dire que comme pour la crise des subprimes, lorsque la finance internationaliste endettent une personne, un couple, une famille, une ville, un pays ou même des banques par des couches de crédits rachetés, cela correspond à de l'asservissement par le chaos. Surtout que seules les très énormes entreprises et banques peuvent avoir une valeur économique grandement négative dans ce système par leur aspect too Big to fail. Une entité too big to fail est une entité trop impliquée économiquement et donc nécessaire et donc entretenue par l'Etat même si elle grandement endettée. C'est à dire que ces entités souvent apatrides peuvent presque aller à moins l’infini au profit d'intérêts particuliers, puis être sauvées par les contribuables alors qu'à leur propre détriment dont de leurs services publiques en particulier en France, et donc parvenir à une tyrannie ploutocratique. Ainsi la dette, c’est comme les amendes, ça n’affecte que les pauvres.
En France, ces occupants apatrides correspondent logiquement à la clique mondialiste, financière, anglo-saxonne, cupide, sioniste, dominatrice et donc antifrançaise qui a mis la main sur l’État, et qui s’en sert pour déprotéger les Français, dont en détruisant leurs services publics,en brisant leur moral, en les rabaissant économiquement (dette, inflation, fiscalité, chômage, salaires bas) et donc en les asservissant.
Le problème principal est donc le contrôle de la création monétaire. Nous avons besoin d’un contrôle citoyen sur ce point. D'ailleurs la création monétaire étant normalement un devoir régalien mais qui est désormais contrôlé perversement par le privé, cela prouve qu'elle pourrait se faire à travers la a décentralisation d'une cryptomonnaie populaire contrôlée par l'Etat voire par une organisation supranationale, ou la centralisation d'une cryptomonnaie étatique stable contrôlée par quelques comités populaires régionaux se renouvelant. En sachant que pour l'impôt, il faudrait lier ces cryptomonnaies à des cryptomonnaies spécifiques comme pour les salaires et à des valises cryptos attachées à une banque nationale, et que pour les achats à l'étranger, il faudrait aussi créer une cryptomonnaie spécifique en vue d'éventuelles taxes protectionnistes. Cette idée de monnaie populaire est parfois discutée à Bâle afin de lutter contre la grande oppression de la Banque des règlements internationaux qui s'y trouve : la « banque des banques centrales ». Suite à des réunions de plusieurs groupes d'experts, la World Freedom Alliance a même décidé de l’inclure dans sa charte des droits de l’homme en tant que « liberté économique hors des systèmes de crédit coercitifs et exploitants ».
Or quand JF Kennedy a essayé de rendre le contrôle de la création monétaire aux mains du Congrès en signant l’Executive Order 11110, il a été assassiné peu de temps après avant d'y parvenir. Et c'est pourquoi l'Etat profond états-uniens (complexe militaro-industriel, bancaire et sioniste lié à la CIA et au FBI) peut être à l'origine de son assassinat, même si comme dans d'autres affaires similaires dans le monde, des services spéciaux ont pu se servir d'une mafia comme relais, surtout que l'assassin Jack Ruby du prétendu assassin Lee Harvey Oswald de Kennedy était lié à la mafia juive (khazar). Or ce sont les services de renseignements intérieurs et extérieurs ainsi que le complexe militaro-industriel qui sont (étaient car désormais cela correspond plus à Israël et aux réseaux liant l'AIPAC, des Milliardaires, la CIA et le Mossad à travers des sayanims juifs ou non juifs et les nombreux évangélistes sionistes) la plus grande partie du pouvoir profond américain.
D'autant plus que selon le Généarl Delawarde, la mort de Kennedy (qui était pacifique et prêt à la multiparité géopolitique par son intention d'arrêter la guerre du Vietnam, sa volonté de mettre fin à la guerre froide et à son support aux pays non alignés ne voulant choisir entre ces deux blocs hyper puissants) a été possiblement le principal événement ayant amené au monde actuel faisant suite aux attentats du 11/09 puis au chaos provoqué par les USA et Israël. Car son successeur Johnson était un sayan voulant maintenir la guerre hégémonique des USA au Vietnam et favorisant l'armement d'Israël (bombes nucléaires comprises) et l'ingérence d'Israël dans le USA, dont en permettant que le néoconservatisme naissent et s'épanouissent dans toutes les administrations américaines successives, particulièrement aux postes clés comme il sera revu. D'ailleurs ceux qui se sont occupés de l’enquête sur l'assassinat de Kennedy en évoquant un probable inside job (CIA, Pentagone ou FBI alors qu'une fin de mandant de Kennedy leur auraient suffis) étaient des sayanims et ne pouvaient donc qu'écarter Israël des possibles commanditaires. En tout cas vu la non déclassification de ce dossier par les gouvernements américains alors qu'ayant dépassé 50 ans, cela prouve qu'il y a eu un complot.
Dont aussi car il a été prouvé que Johnson était un descendant de juifs allemands de manière certaine sur trois génération puisque dans le sens généalogique maternel, le Général Delawarde affirme même que Johnson a été le plus grand sayan de l'histoire, car juste après la mot de Kennedy, sa politique alla donc principalement à l'inverse de ce dernier, dont donc au niveau du développement de l'unipolarité US, de la naissance du néoconservatisme, de la nucléarisation, mais aussi du l'étouffement de la crise du bateau Liberty (faux drapeau israélien contre les USA pour espérer une attaque contre l’Égypte et annexer de son territoire), de l'armement offensif donné à Israël et de sa validation la guerre israélienne de 1967 qui a permis de tripler son territoire, ce qui ramène encore Israël comme principal profiteur de la mort de Kennedy. Ainsi selon très bon avis du Général Delawarde, l'assassinat de Kennedy correspond même à l'événement le plus important ayant mené le monde au désordre actuel, devant la fin de l'URSS et les attentats de 2001.
Mais comme l'a précisé le Général Wesley Klark, ancien commandant de l'OTAN, c'est suite à une forme de prise de contrôle mafieux de l'appareil administratif US par les néoconservateurs suite aux attentats de 2001, que le renforcement du néoconservatisme et de son projet hégémonique sans partage des USA a eu lieu. Ce projet s'appuie très mensongèrement sur la pseudo nécessité US de se défendre, de propager sa démocratie et de lutter contre les dictateurs, puisque malgré son association aux monarchies pétrolières arabes. Ainsi les néoconservateurs sont clairement les organisateur du désordre mondial actuel depuis 2001, en particulier, en Irak, en Syrie, en Ukraine, en Arménie et en Palestine. Ce néoconservatisme s'est ensuite aussi beaucoup renforcé dans certains pays alliés par le biais d'une diaspora soutenant activement Israël : Tony Blair en Grande Bretagne, John Howard en Australie, Stephen Harper au Canada, Sarkozy en France, dont par preuve de leur participation à différentes guerres. Et ce sont souvent encore d'anciens néoconservateurs qui sont les plus attachés à la continuité de ces guerres.
Concernant les autres raisons possibles de son assassinat très mystérieux d'autant plus avec le mystérieux assassinat de son frère et le mystérieux accident mortel de son fils, l'excellent entretien « La mort de Kennedy marque un tournant majeur dans l’histoire des États-Unis et du monde : entretien avec Laurent Guyénot » peut être lu à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-mort-de-Kennedy-marque-un-tournant-majeur-dans-l-histoire-des-Etats-Unis-et-du-monde-entretien-66992.html
Cependant ce pervers pouvoir profond américain est aussi donc beaucoup dirigé par la finance internationaliste de Wall-Street et de la City qui a donc fait une sorte putsch dans le monde anglo-saxon principalement incarné par les USA et la Grande Bretagne. Comme il a été vu, cette finance internationaliste vampirise les États dont en soumettant ou déstabilisant leurs dirigeants et en ayant progressivement la main mise sur leurs services publiques surtout quand ces dirigeants la laisse d'abord vampiriser leurs peuples.
Même l'énorme dette US provient de cette vampirisation anti-populaire, puisque elles composée par les dettes des ménages, des étudiants, des entreprises, des États de l’union, des institutions locales, de l'armée, des institutions financières et de la fédération. Le rythme d’augmentation de la dette fédérale était encore de 3 milliards de dollars par jour en mai 2019, et il a été en moyenne de 9 milliards de dollars par jour sur les 16 mois suivant le début de la crise du covid. Les étrangers ne se bousculant plus vraiment pour être créanciers des USA, c’est donc la planche à billet US qui accélère désormais considérablement le rythme de cette vampirisation, surtout que l'inflation correspond à avoir plus de billet que d'or, en particulier depuis la fin accords de Bretton Woods qui échangeait le dollar contre l'or par corrélation comme il sera revu, puisque par la planche à billet le dollar peut acheter le monde entier. Or en attendant les nombreuses planches à billets ont produits des milliers de milliards de dollar et d'euros pour le système. Et en cas de crash, ce sont donc les citoyens US moyens qui en subiront directement les plus lourdes conséquences, car la caste mondialisée ultra riche détient souvent son argent dans les paradis ou plutôt enfers fiscaux, ce qui prouve l'organisation diabolique de ce système
Ainsi il est apparu une mafieuse aristocratie financière synonyme d'autoritarisme immoral basé sur le monopole économique. En effet elle s'appuie sur l'ultra libéralisme mondialiste apportant l'indifférenciation des valeurs, la négation de la différence des sexes, le mépris de la différence des âges, et le mépris de la différence des cultures et donc des ethnies. C'est à dire que par une forme cachée de guerre hybride basée sur l'ultra libéralisme libertaire, l'anti-christianisme, l'hyper consommation, le Lgbtsime, la pornographique, l’obésité, le Big Pharma, l'avillissement moral, l'oppression financière, l'usure professionnelle et l'immigration de masse, ces ultra riches corrompus cherchent à perversement éteindre toute défense immunitaire populaire à leur domination, puisque effaçant sa meilleure arme qui est la piété noblement insoumise à la corruption. Il faut noter que cette guerre hybride peut ensuite être associée à la guerre sans contact, comme les Etats-unis ont provoqué un putsh suite à une révolution de couleur en Ukraine, ont pratiqué des guerres par procuration, ou ont bombardé avec constance des hôpitaux, des ponts, un train, deux bus, un pont de village, un jour de marché, de nombreuses de maisons, des casernes, des raffineries et des civils, dans l’intention de mettre la Serbie à genoux, dont pour faire changer ses dirigeants de l'époque par une manipulation de la contestation du peuple appauvri par ces bombardements, possiblement à travers des ONG sournoises. Les fortunes colossales impies actuelles suffisent de toute manière à faire comprendre la perversité oligarchique de notre système.
Or avec l’Agence américaine pour les projets de recherche avancée de défense (DARPA), cette guerre hybride oligarchique qui est apparue pour dominer le monde s'oriente souvent vers le concept de « guerre mosaïque (mosaic warfare) », dont le but est de multiplier les attaques politiques, informatiques, économiques, médiatiques, financières, terroristes, sanitaires et immigrationnistes, car utilisées séparément, elles seraient peu décisives, mais combinées et déployées simultanément, successivement, rapidement ou fréquemment, elles peuvent finir par épuiser et submerger les défenses adverses des nations et des peuples. Le cynisme politique de ce système occidental ose même très effrontément se couvrir de compassion à travers le wokisme.
En effet peut-on croire un seul instant à la volonté farouche de ces élites de lutter contre l’oppression, le terrorisme et la pauvreté, alors qu’ils s'en servent à l’extérieur (à l'étranger) pour leur propre compte, et à l’intérieur (dans leur propre nation) pour raffermir leur pouvoir, favoriser certains lobbies, diviser la population et garder à distance leur peuple suite à des lois liberticides. Surtout qu'elles tendent à criminaliser « préventivement » la réponse sociale devenant forcément violente face à leur politique souvent ultra libérale dévastatrice populairement. Il y a là un évident conflit d’extensions, comme on dit en informatique. C'est à dire que cette situation prouve d'elle-même sa duperie, dont à travers ses malhonnêtes buts convergents de domination.
Notre système médiatico-politique devenu partial, lobbyiste et corrompu est par conséquent très gravement défaillant. Il s'agit d'une lobbycratie composée des lobbies sioniste, franc-maçon, bancaire, commercialo-mondialiste, Lgbt, pharmaceutique, des armes. C'est à dire que cela favorise mafieusement leurs intérêts particuliers et non généraux, souvent par convergence malgré quelques affrontements. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « De la Révolution française au Covid, Petite histoire de manipulation du peuple. Partie 3 (L’essor de l’ingénierie sociale particulièrement pour développer le consumérisme) » à l'adresse https://lemediaen442.fr/de-la-revolution-francaise-au-covid-petite-histoire-de-manipulation-du-peuple-partie-3/
D'ailleurs il faut remarquer que comme par rapport au système corrompu actuel, les mafias se développent quand il y a peu ou de moins en moins de culture, de services publics, de méritocratie authentique et surtout de monothéisme véritable répandus au sein de la société.
Ainsi les gouvernements, les fonctionnaires et les services publiques doivent incarner l'intérêt général et non des intérêts particuliers comme lors aussi du nazisme ou du communisme, qui furent tout deux du socialisme totalitaire que le libéralisme américano-sioniste totalitaire a organisé puis vaincu pour devenir hégémonique. Or à notre époque, les membres de nos bureaucraties doivent comprendre que tôt ou tard, ils n'échapperont pas non plus aux poursuites comme lors du tribunal de Nurembeg.
Surtout que la désinformation et les mensonges du système deviennent encore plus nocifs, car pour survivre, il doit de plus en plus « éliminer (écarter) » de ses médias dominants, de la politique et de l'économie, le nombre croissant des nombreuses personnes qui ont décrypté son illégitimité évidente. Parmi les désinformations les plus condamnables sont l’occultation ou le mensonge par omission empêchant la justice. La désinformation sur le terrorisme peut aussi être vue à travers son attribution perverse par des politiciens sionistes à la résistance palestinienne luttant pourtant légitimement à l’oppression, à la colonisation et aux tueries de l’État raciste israélien. Pour parvenir à autant de manipulation par ce gros niveau de propagande devenant sournoisement de l'endoctrinement, ce système a donc d'abord acheté les personnes politiques puis les grands médias. Car dans la prétendue ou plutôt donc la pseudo France des droits de l'homme et de la liberté d’expression, cela lui permet d'interdire l'antenne à certains dissidents voire simplement à des voix dissonantes ou de se servir de la technique journalistique de noyade d’un invité contradicteur pour le discréditer,c'est à dire par de nombreuses questions rapides parfois sans rapport et souvent suite à des coupures fréquentes de paroles ou en parlant en même temps que lui. Ce qui est qualifiable de terrorisme intellectuel abjecte, car envers tous ceux qui ne correspondent pas au socle idéologique du système corrompu et envers la plus dangereuse des armes pour une tyrannie qui est la vérité ainsi que la promotion du partenariat voire de l'amitié dans le bien commun. Ainsi généralement, celui qui est du côté de l’information reste calme, et ce sont les défenseurs de la désinformation ou de la propagande qui s’énervent, deviennent agressifs et idiots, puisqu’ils défendent le mensonge, l’indéfendable. En effet ils s’enfoncent dans le déni et finissent par attaquer ceux les dérangeant à travers le champ émotionnel, surtout que désormais ils font partie des comploteurs en étant sous le financement et donc l'influence de huit milliardaires, et ils veulent donc faire taire les complotistes qui ont raison. Cette très basse technique de faire perdre les repères intellectuels d'une personne se voit également à travers les nombreuses infos, les nombreux nouveaux mots, les nombreux ordres et contre-ordres et même des discours paradoxaux pour sidérer puis noyer le citoyen, sa logique et sa raison. La méthode de gouvernement utilisée n’est pas sans rappeler les techniques utilisées par la CIA pour le contrôle mental (projet MK Ultra) consistant à créer un climat de terreur permanent et généralisé (la crainte du virus) pour ensuite se montrer partiellement clément et finalement, dans un troisième et dernier temps, punir sévèrement les victimes ciblées. Le « en même temps » gouvernemental souvent alterné tend aussi à un stress maximal qui allié à la folie Lgbt et à l'état d'urgence (à cause du terrorisme, du covid, de la guerre en Palestine et de la guerre en Ukraine) et donc à l'état d'exception permanent permettant la suspension de l'état de droit, parvient comme dernières limites à tenir le peuple, au profit de ce système oligarchique et totalitaire se servant du privé pour donc maîtriser l'appareil d'état contre le peuple et les dissidents. L’objectif de ces manœuvres frauduleuses est de générer sidération, confusion et culpabilisation au sein des populations, de sorte qu’elles deviennent incapables de réactions, que leurs velléités d’auto-défense soient définitivement neutralisées. (Il faut ajouter pour une vue exhaustive de la situation, que le gouvernement utilise à nouveau la délation comme mode de gouvernement ; ce qui n’est pas sans rappeler les techniques de gestion du peuple français sous occupation nazie.) En effet tout état d'urgence permanent associé à de fréquentes nouvelles mesures votées et mises en place rapidement empêche la réflexion prenant par essence du temps, ce qui bloque ainsi oppressément diverses analyses et nuances normalement importantes pour le peuple dans le débat et la réalité. Et c'est pourquoi l'éventuel meilleur futur médical du groupe témoin des non-vaccinés est craint par le système.
De même l'enchaînement des crises de la finance, du climat, du terrorisme, du covid, de la guerre, de l'inflation, de l'énergie et des pénuries déstabilise le peuple, alors que la stabilité est importante pour la sérénité, le développement et la clairvoyance humains. De plus le transsexualisme et la théorie du genre participent aussi à embrouiller la raison, puisqu'ils représentent clairement la fusion-confusion du système cherchant à faire perdre tout repère et à orienter perversement tout humain pour le soumettre plus facilement. La succession de mensonges et de vérités assénés par le gouvernement décourage également la réflexion. Les médias et les politiciens dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront aussi toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond. Dans ce sens oppressif, le harcèlement par des questions rapides à tout opposant au système sert aussi à casser sa dynamique et sa cohérence, surtout quand elles sont associées à des questions se détournant des sujets concernés et des informations dissidentes importantes pour le faire manquer de temps ou chercher à le décrédibiliser voire le culpabiliser. Ce type d'émission en apparence démocratique n'est donc qu'une mécanique d’extinction de voix dissonante, surtout que ces émissions sont de plus en plus discourtoises voire brutales.
« (Dans les médias mainstream) Nous nous inscrivons dans une logique spectaculaire en vertu de laquelle tout ce qui n’est pas montré n’existe pas. Et comme à l’heure actuelle, de nombreuses alternatives aux médias traditionnels apportent la visibilité nécessaire à certains groupes dissidents, nos gouvernants ont, à cet effet, mis en œuvre des stratégies adaptées pour détruire ces derniers. Il s’agit ici de décrédibiliser les individus qui les composent afin de les stigmatiser. Certaines techniques d’ingénierie sociale aboutissent à une horizontalisation du conflit. C'est à dire que les victimes de la narration officielle deviennent alors oppresseurs et la gouvernance n’a plus qu’à observer. Ce qui a pour effet d’entraver les mécanismes de construction des groupes, et de contribuer à communautariser les mouvements dissidents pour mieux les stigmatiser. Dans ce sens tyrannique, la gouvernance peut également produire et soutenir ses propres communautés contrôlées qui sèmeront le chaos et la terreur de façon spectaculaire afin d’être amalgamées avec les réels contestataires, ôtant à ces derniers la possibilité de se constituer en corps social. Les mouvements antifas d’extrême gauche entrent dans cette catégorie. Nous empêcher de nous fédérer pour nous exprimer est l’un des objectifs principaux d’une gouvernance non démocratique. Par ailleurs, le travail de sape qui consiste à isoler les individus ne date pas d’hier, car pour faire disparaître un groupe, il faut effacer la personnalité de l’individu. Dans un monde de plus en plus porté sur la virtualisation, la prééminence du « moi » et la quête d’admiration, il devient de plus en plus facile de briser les effets de la dynamique de groupe. Enfin, l’augmentation souhaitée et contrôlée de la précarité sociale, économique et intellectuelle constitue le terreau propice à une société individualiste, rendue docile à souhait par sa propre incapacité à s’inscrire dans une action collective. À l’avenir, si nous demeurons illusionnés, nous accepterons l’inacceptable sans même en avoir conscience, c’est orwellien. Ainsi le « tout sécuritaire », le « tout sanitaire » ou le « tout environnemental » sont les outils utiles de la gouvernance à la construction d’un régime totalitaire de contrôle permanent sous couvert de bienveillance. Ce détournement machiavélique de la bienveillance relève évidemment la stratégie du pompier pyromane. » (Passage de l'article de François Dubois (vice-président de l'Association Professionnelle Gendarmerie, un « ancien gradé » qui a « quitté l'institution » suite à des « divergences avec sa hiérarchie, notamment sur la politique vaccinale ») « Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale » à l'adresse https://lemediaen442.fr/francois-dubois-macron-est-anime-par-un-ideal-messianique-en-lien-avec-la-gouvernance-mondiale/)
D'autre part à la différence du journaliste Carlson qui s'est professionnellement entretenu avec le Président russe Poutine sans expliquer ensuite aux téléspectateurs ce qu’il faut comprendre, la plupart des journalistes mainstream disent ensuite aux téléspectateurs ce qu’ils doivent comprendre derrière ce qu’ils ont entendu, et donc comment ils doivent s’aligner...
Par ailleurs les grands médias du système cherche souvent à faire croire que 80 % du peuple pense d'une certaine manière pour orienter l'opinion publique, dont en créant de faux sondages, en établissant des débats abêtissant qui opposent des virulentes personnes fermées à la contradiction ou à la recherche de compréhension même historique, et en invitant d'agressifs hommes limités intellectuellement pour ridiculiser et donc discréditer son camp, surtout quand c'est face à une élégante et intelligente (voire simplette) femme par essence faible (ou face un homme s'exprimant correctement). C'est à dire que dans une forme de disproportion, le système arrive à convaincre les gens par leurs propres intuitions, d'autant plus que pour canaliser l'opinion les services utilisent souvent donc des polémistes. D'ailleurs la surmédiatisation de certains faits divers à des fins de manipulations (dont les agressions provenant de l'immigration ou de l'extrême droite pour diviser la société française) y participe aussi beaucoup.
Par occultation ou pseudo prétexte inversant la nécessité de défense, ces médias et politiciens vont jusqu'à honteusement faire commencer la guerre en Ukraine à cause de la Russie et non à cause des 8 ans de bombardements ukrainien sur le Donbass que Zelensky prévoyait ensuite d’écrabouiller militairement, ni de l'extension à outrance de l'OTAN, celle à Gaza à cause du 7 octobre et non à cause des agressions israéliennes répétées, des territoires occupés, de la politique de colonisation et de la politique ethnique, et celle avec l'Iran à cause de son attaque contre le territoire israélien n'ayant pas causé de morts et non à cause de la destruction du consulat iranien par Israël en Syrie ayant causé de nombreux morts. Ils vont même jusqu'à qualifier de pro-russe, tout gouvernement défendant sa souveraineté nationale, dont celui de Trump.
Des sujets comme le patriotisme authentique sont donc aussi écartés ou peu élevés. Le patriotisme en France est persécuté, parce qu’il constitue une résistance à l’entreprise de démoralisation mondialiste. En Russie, le patriotisme est au pouvoir, et ça change tout. Si la Russie est en guerre aujourd’hui, c'est parce que le patriotisme ne rime pas avec agressivité, mais avec défense : défense de son territoire historique, bien sûr, mais aussi de ses valeurs, les valeurs chrétiennes que l’Europe a oubliées.
De plus, des tactiques journalistiques empêchant le réveil des gens tendent vers un effet de distraction par la diffusion de nouvelles non pertinentes, ou idiotes (rapports concernant la famille royale britannique, ragots, etc), ou annonciatrices de peur et de malaise (racisme généralisé, résurgences imaginaires du fascisme, homophobies diverses, persécution des migrants, etc), car cela permet aussi la dissimulation de bonnes informations ou critiques contre le système. Un des nombreux travers de la presse mainstream, c’est aussi de minimiser les événements importants affaiblissant le système, et de maximiser les événements futiles voire affaiblir les mouvements populaires dont par des rumeurs. C’est le temps qui finit par renverser ces perspectives populaires, mais la progressive prise de conscience populaire se fait de plus en plus rapidement, en particulier chez les jeunes ne se servant pas des réseaux sociaux et d'internet seulement comme de la distraction. Sinon certaines analyses populaires correctes peuvent même sans aucun scrupule être censurées ou considérées comme des fake news. Surtout que via ces médias dominants honteusement soumis, le système ose en plus promotionner la loi sur les fake news apportant de la méfiance du peuple envers toute nouvelle idée et donc pensée, d'autant plus que même s'il est juste de prévenir les gens des mauvaises influences, il faut d'abord se méfier de ceux qui disent de nous méfier, en particulier quand ils se victimisent alors qu'ils sont loin d'être irréprochables mais plutôt la source principale de mensonge. Ainsi pour comprendre toute cette perversion journalistique du système, il est intéressant de lire à ce sujet la charte de Munich de 1971 concernant normalement le journalisme intègre à l'adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich
La fake news est même devenue le moyen de décrédibiliser toute information qui viendrait contredire la version médiatique. En effet après la crise des subprimes, les critiques des journalistes mainstream ont été si fortes contre le système que les oligarchies ont décidé de racheter tous les grands médias. Les médias mainstream ne font donc plus de l’information impartiale mais bien de la propagande partiale du système corrompu, surtout que ce sont principalement eux qui se servent de fake news.
« Les individus dotés d’une mémoire encore vivace se rappelleront assurément des innombrables platitudes antirusses débitées sur les plateaux de télévision, ces autels de la sottise où défilaient des prétendus experts militaires métamorphosés en oracles de la propagande ukrainienne :
- Les Russes utilisent des casques de 1960, parce qu’ils n’arrivent pas à en produire de nouveaux.
- Ils utilisent des puces de machines à laver pour leurs missiles.
- Leurs chars sont des versions modernisés d’un modèle de 1937.
- La qualité des armes russes est un mythe.
Cependant, ces génies de l’opinion préfabriquée échouaient lamentablement à expliquer pour quelles raisons obscures, compte tenu de l’intrinsèque faiblesse et du niveau élevé d’arriération attribué aux Russes, nous devrions éprouver de la crainte à leur égard. l’Ukraine, une nation environ quinze fois moins peuplée que les États-Unis, a vu périr en moins de deux années de conflit environ cinq fois plus de soldats que les États-Unis en seize années de combat au Vietnam. Et cela, malgré – ou peut-être à cause de – l’armement et la formation « made in OTAN ». On ose à peine imaginer les contours de ce conflit si la Russie n’était pas perçue comme « arriérée » par certains. » (Fernand le Béréen)
Mais aujourd'hui la propagande c'est surtout l'art de détourner l'attention bien plus que de mentir, comme par rapport à la prédation oligarchique, aux massacres israéliens à Gaza et à l'OTAN belliqueux. Pour sa propre propagande, le système inventent, instrumentalise ou exagèrent aussi l'actualité. Ainsi les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent logiquement depuis des décennies, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société du spectacle actuelle a une mémoire de plus en plus courte.
Mais aujourd'hui la propagande c'est surtout l'art de détourner l'attention bien plus que de menti0, comme par rapport à la prédation oligarchique, aux massacres israéliens à Gaza et à l'OTAN belliqueux. Or les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent logiquement depuis des décennies, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société du spectacle actuelle a une mémoire de plus en plus courte.
Jacques Baud, colonel de l'Etat major, ancien membre des renseignements suisses et spécialiste du renseignement et du terrorisme définit l'expression « Fake news » :
« Il s'agit de toutes les informations qui sont partielles, quelquefois biaisées, quelquefois des rumeurs, qui sont devenues des informations sur lesquelles on se base pour juger les activités ou la situation internationale. On a fait avec de vraies rumeurs de fausses nouvelles, et cela biaise notre perception du monde. Bien souvent ce sont des Etats qui cherchent à expliquer ou excuser leur action internationale en masquant une partie de la vérité, occultant une partie de la réalité, afin de diffuser uniquement la partie qu'ils veulent bien communiquer. »
En effet quels sont les faits qui permettent d'affirmer que l'Etat islamique cherche à créer une guerre civile en France ; (que le président syrien Bachar al-Assad a utilisé des armes chimiques ; que Saddam Hussein avait des armes de destructions massives ; que Mouammar Kadhafi tuait son peuple avec des engins militaires ; que les attentats du world trade center ont été organisé par Oussama ben laden) ; que Vladimir Poutine tente de déstabiliser nos démocraties ; que le terrorisme a frappé la France, non pas pour ce qu'elle fait, mais pour ce qu'elle est ; que le génocide au Darfour a fait 400 000 victimes ? Littéralement aucun, mais ces affirmations suffisent à asseoir la politique étrangère des pays occidentaux.
Cela va jusqu'à faire disparaître les responsabilités et récrire la vérité originelle : par exemple l’attaque des « terroristes du Hamas » et celle russe ne venaient évidemment pas de nulle part. C'est à dire que le contexte, l’histoire, la géopolitique, on les occulte : seule l’émotion de l’instant compte.
Dans son ouvrage « Gouverner par les fake news », Jacques Baud évoque dans ce sens les principaux conflits contemporains, que les pays occidentaux ont orchestré et géré à coups de fake news ces trente dernières années. Pour obtenir encore plus de discernement dans ce contexte de fake news, il est intéressant de voir également l'excellente vidéo « Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien [IDRISS ABERKANE] » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=M8W-9_40m98&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Depuis plus 10 ans, le journalisme français a faux sur tous les tableaux, ce qui révèle son agonie, sa soumission et sa propagande : crise des subprimes, guerre en Syrie, attentats de 2015, Gilets jaunes, covid, vaccin ARN, Russie, et enfin Palestine. Il mérite un zéro pointé. Il a baladé ses téléspectateurs, ses auditeurs et ses lecteurs qui ne comprennent plus rien au monde et à la France. Il désoriente, omet, truque, condamne, accélérant sa déchéance. Plus il s’affaiblit, dont aussi économiquement parlant, plus il ment dont donc à cause de sa soumission aux puissances d'argent et aux subventions de l’État.
Surtout que le système sait que l'expérience Milgram a prouvé que la grande majorité des gens obéissent aveuglément à ce qu'ils considèrent comme une autorité, ce que les médias mainstream deviennent faussement de plus en plus pour eux. Le mensonge est devenu si institutionnel que la République s’est séparée en deux mondes : ceux qui gouvernent et mentent, ceux qui obéissent et subissent le mensonge. Certes, le mensonge a toujours fait partie de la politique. Mais le temps aidant et la démocratie déclinant, le mensonge politique est devenu une industrie, une organisation à part entière, et un mode de gouvernement structuré par des officines qui ne laissent plus aucune place à l’amateurisme et remplacent la vérité par une « narration » et un programme.
De plus le concept d’info de gauche est aussi grotesque que celui de l’info de droite, c’est comme si on nous demandait de choisir un pied sur les deux : ça n’aide pas à marcher. L’info n’est évidemment ni de gauche ni de droite, et ne parlons même pas de la vie : elle est au-dessus et au-delà de ces concepts foireux.
« À une époque où l'information est abondante mais souvent manipulée, où les médias semblent dicter la réalité, un concept émerge, celui du "Médiavers", développé par le philosophe Alexis Haupt. Dans cette ère de l'hyper-connectivité où tout un chacun peut accéder à une pléthore d'informations en quelques clics, se pose une question cruciale : qu'est-ce qui empêche les individus de se libérer du Médiavers ?
Au cœur du Médiavers réside un manque fondamental : celui de la volonté de savoir. Les médias, contrôlés par des intérêts particuliers, déforment la réalité et manipulent les masses. Dans cet univers parallèle, les véritables enjeux sont occultés, reléguant des sujets essentiels au second plan.  Dans le Médiavers, les déclarations sensationnalistes de certaines organisations, telles que l’OMS, sont amplifiées, détournant l’attention du véritable enjeu. Par exemple, une alarmante augmentation des cas de cancer va être attribuée à des causes superficielles telles que la pollution, l’alcool et la cigarette, alors que des facteurs plus profonds et systémiques sont négligés.
Mais le Médiavers va au-delà de la simple manipulation de l’information. Il façonne la perception de la réalité chez les individus, créant une dichotomie entre ce qui est présenté par les médias et ce qui est vécu dans le monde réel. Les personnes piégées dans le Médiavers nient les réalités évidentes sous leurs yeux, préférant croire ce qui leur est présenté par les médias. La psychologie des individus en proie au Médiavers est intrigante. Leur perception de la réalité est déformée, et ils peuvent nier les faits les plus flagrants pour adhérer à un récit prédéfini. Même lorsque des preuves tangibles contredisent les récits médiatiques, ils choisissent de les ignorer, préférant vivre dans une illusion confortable. Il est crucial de reconnaître les dangers du Médiavers. En concentrant l’attention sur des problèmes superficiels ou en déformant la réalité, il détourne l’attention des véritables enjeux. Par exemple, les préoccupations concernant des figures politiques éloignées peuvent occulter les menaces plus proches et plus pressantes qui affectent les individus au quotidien.
Dans le Médiavers, on fait semblant d'apprendre que Biden n'a plus toute sa tête. Dans le monde réel, on sait tous qu'il ne dirige rien depuis le début. Conclusion : tant que la masse vivra dans le Médiavers, elle sera condamnée à ne rien comprendre à ce qu'il se passe.
Sortir du Médiavers est essentiel pour embrasser la vérité et reconnaître les véritables défis auxquels nous sommes confrontés. Cela nécessite un esprit critique, une volonté de remettre en question les récits prédominants et une recherche active de la vérité. En cette ère où la désinformation prolifère, la capacité à discerner la vérité du mensonge est plus précieuse que jamais. Le Médiavers représente donc un défi majeur pour la société contemporaine. En nous piégeant dans une illusion médiatique, il entrave notre capacité à percevoir la réalité telle qu’elle est. Se libérer du Médiavers est donc une première étape cruciale vers la prise de conscience et l’action, car seule une compréhension authentique de la réalité peut nous permettre de relever les défis auxquels nous sommes confrontés. » (Le Média en 4-4-2)
Jérome le Filiatre du journal libération reconnaît que les médias ont majoritairement renoncé à être un contre-pouvoir critique de tous les ordres établis. En effet ce quatrième pouvoir est devenu le premier synonyme de sournois parti oligarchique tyrannique, alors que devant normalement encadrer les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, surtout qu'un cinquième pouvoir apparaissant avec les GAFAM censure de plus en plus politiquement ses utilisateurs. C'est à dire que les médias dominants financés désormais par divers grands capitalistes libéraux-libertaires dont devenus un pouvoir n'informant plus, mais formant la mentalité des populations vers ce système néfastement progressiste et ploutocratique. Lorsque des journaux déficitaires sont rachetés, même par des oligarques dissidents au système, ce n'est pas pour gagner de l'argent mais de l'influence, dont en pouvant faire des enquêtes devenant des articles rabaissant des ennemis. En effet les médias dominants appartenant aux ultra riches, ils peuvent même faire accélérer voire dicter des enquêtes à la police envers quiconque ne suit pas le pouvoir profond. Le pire, c’est le contrôle de la presse et des réseaux sociaux par le pouvoir politique. Les patrons de radio et de journaux sont remplacés par des macronistes, qui doivent faire la relation « parfaite » du réel selon les intérêts du pouvoir. C’est une atteinte grave à la liberté de la presse et à la démocratie.
En mettant uniquement la souffrance en avant, les médias érigent même un mur émotionnel pour le vrai travail d’investigation, mais cela ne nous empêche pas de douter, de réfléchir, de travailler. C'est pourquoi la presse actuelle se vautre dans le sang, dans l’exhibition, dans les larmes, avec un sadisme confondant. Partager la souffrance annuellement pendant des décennies des victimes ne sert à rien pour ceux qui ont survécu, ainsi que pour les témoins et les proches : l’empathie ne leur enlèvera pas un gramme de douleur, car la douleur nous ramène à notre peau, à notre individualité, à notre solitude devant la mort, alors que les morts, eux, ne souffrent plus. Les médias qui collaborent avec le Système disposent donc de plusieurs instruments pour ne pas dire ou ne pas chercher la vérité : la diversion, la minimisation, l’indifférence, l’oubli, le mensonge par omission, le mensonge direct, et le poignantisme. Et pour éviter une grande prise de conscience populaire en Occident sur certains sujets comme la guerre au Yémen, il sont très rarement évoqués dans les médias dominants. Car comme le dit l'expression : « loin des yeux, loin du cœur ».
Il est également fréquent de constater que tous les journaux télévisés relatent les mêmes nouvelles, avec des analyses souvent identiques, et en utilisant souvent les mêmes images, car cela tend par une perversité manichéenne à déterminer un horizon à l’intérieur duquel il faut prendre parti au risque de devenir un bouc émissaire. En effet ceux qui ne se conforment pas sont utilisés pour assurer l’équilibre du système : ils sont un ennemi de l’humanité, un haineux insatiable, une cible à maintenir en vie et à frapper souvent pour maintenir ou orienter l'opinion publique soumise.
Le Système dispose donc de deux armes principales, la propagande et la censure, qui vont ensemble, et qui croissent ensemble, car le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système doit être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité dont sur internet censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, le citoyen doit donc devenir un hors-la-loi, surtout que c’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, qui d’ailleurs est déjà en cours, mais contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation.
Or en plus de la propagande et de la censure très honteuses, le système a même mis en place le fact-checking. En effet les médias mainstream ont inventé les journalistes fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels). Mais de plus en plus de gens ne croient plus en ces fact-checkeurs, ni aux sondages, ni aux mensonges du gouvernement. Ils ne se contentent plus de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Et ils ont raison car il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, sioniste, esclavagiste, wokiste, oligarchique et ploutocratique.
Selon Jean-Yves Le Gallou, la société occidentale peut être facilement qualifiée de « société de propagande » (dont par les fake news donc). Il développe cette pensée et son expertise en rappelant qu’une société où la propagande est massive constitue le premier déterminant du contrôle du comportement social, surtout qu'amenant souvent à l'endoctrinement. Et sur cette base, l’auteur examine le goulag mental imposé aux Européens et propose d’y résister, en prônant un plan audacieux en trois parties concrètes : dissidence, rébellion et sécession.
Surtout que pour couper oppressément certains débats importants, le bon complotisme est même souvent perversement associé à de l'antisémitisme par le biais honteux que le négationnisme de la Shoah est un complotisme.
Une autre technique journalistique du système corrompu est d’émouvoir les gens pour distraire leur attention et leur masquer certaines choses. C'est à dire qu'ils jugent ce qu’ils voient sans suffisamment de profondeur critique. De la sorte, on parvient sans leur mentir à leur faire croire à des illusions.
Le système, le pouvoir et les médias dominants en arrivent même à établir la limite du débat avant une campagne électorale majeure, sinon c'est la marginalisation, ou l'accusation de communisme, de fascisme, de malhonnêteté, de folie ou désormais de conspiration. Alors que le fascisme dans sa définition élémentaire est la fusion entre les grandes entreprises et l’État comme dans le monde occidental actuel clairement.
Un organe gouvernemental de contre-propagande prétendument envers les complotistes (dont ceux concernant le covid ou la guerre en Ukraine) devenant clairement de la propagande tyrannique est de plus apparu, surtout qu'utilisant souvent la menace voire pire.
Cette contre-propagande se fait aussi souvent à travers de faux comptes créés sur les GAFAM et généralement gérés par des algorithmes. Tout cela est d'autant plus facilité aux chaînes d'informations vu l'amère nullité fréquente des autres programmes télés non payants.
Concernant des sujets chauds bouillants comme le sionisme ou des vérités sur le couple présidentiel, personne ou presque et encore moins les journalistes n’y va pleinement, même pas les humoristes, car il est difficile de s’affranchir du Conseil de l’Ordre des humoristes, un groupe occulte dirigé dans l’ombre par des oligarques, des avocats et des médiateurs. Les oligarques établissent la liste des humoristes à surveiller, les médiateurs dénoncent leurs « dérapages » selon le règlement qui leur a été distribué, et les avocats anéantissent toute vie économique et médiatique des dissidents. C'est à dire que ces procès publics servent d’exemple pour faire régner la terreur dans le métier. Et elle règne ! Et les humoristes d'un média sont aussi un bon thermomètre de la tendance d’un journal, d’une station radio ou d’une télé au niveau du socialo-sionisme atlantiste et mondialiste ou du national sionisme atlantiste et mondialiste. Sur les plateaux TV, on voit d'ailleurs de plus en plus souvent sans voix dissidentes, des invités étant exclusivement soumis à la pensée unique et mentant même parfois à plusieurs pour orienter le peuple plus facilement vers les intérêts oligarchiques, c'est à dire par cet obscurcissement de l’esprit critique des téléspectateurs.
Désormais tout journaliste ne faisant pas de propagande d’État est également combattu férocement par l’appareil répressif. Cette répression est similairement protéiforme car se caractérisant dans sa forme douce par la diabolisation (comme lors de la plandémie d’innombrables journalistes indépendants et médias alternatifs ont été étiquetés « complotistes ») et dans sa forme brutale par un harcèlement d'organismes subventionnés, de campagnes de calomnies et d'associations victimaires, dont à travers des procès à répétition visant la ruine ou tout bonnement des agressions physiques envers des dissidents. Un journaliste honnête ne peut donc connaître que la déchéance professionnelle, économique et donc sociale face aux apôtres de la fausse liberté d’expression et de la vérité institutionnelle. Dans ce sens les éditeurs filtrent aussi la dissidence afin par exemple de ne pas évoquer Israël ou les néoconservateur.
C'est pourquoi ce système de l'antéchrist basé sur une technique de censure inavouée et de manipulation très développée au cours de l'histoire jusqu'à tous ces aspect mais aussi à l'hypnose comme il sera revu, il est la plus difficile épreuve qu'aura connu l'humanité : :
D’après Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous de faire des bonnes actions avant d’en être empêchés par l’une de ces sept choses que vous devez attendre : Une pauvreté qui vous fait oublier. Une richesse qui vous pousse à une arrogance outrancière. Une maladie ruinant votre santé. Une vieillesse affaiblissant votre esprit. Une mort mettant fin à vos jours. L’arrivée du faux Messie et c’est le pire de ce que vous cache l’avenir. Ou l’Heure (de la fin du monde) et l’Heure est plus mortelle et plus amère encore. »
Ainsi il y a la censure traditionnelle, reconnaissable par tous, c'est à dire quand certaines personnes ne sont pas invitées dont sur des plateaux TV, et celle journalistique qui invite mais qui est oppressive dont donc en embrouillant le discours, en s’indignant de propos tenus ou en évitant certains sujets.
Avec toutes les techniques qui viennent d'être vues, le journaliste n’est alors plus journaliste, il est l’envoyé en plateau d’un projet de destruction d’une parole alternative par le système tyranniquement totalitaire. En effet force est de constater que ces méthodes ne relèvent pas de l’erreur journalistique et vont bien au-delà de la simple mauvaise foi. C’est bien d’une manipulation systématique qu’il s’agit. D'ailleurs le régime de Kiev et les médias occidentaux sont parvenus à instaurer un véritable totalitarisme médiatique.
Pourtant avant, le journaliste était le preux chevalier qui bravait le pouvoir pour défendre la veuve, l’orphelin et l’innocent... Ceci est une des nombreuses preuves que la dévouée noblesse chevaleresque (liée à celle de la magistrature monothéiste) a été remplacée honteusement par la cupide bourgeoisie (qui dans ce contexte fut une forme de fin du tribalisme comme le prouve les mondialistes juifs alliés aux mondialistes non juifs), puisque la noblesse est incontestablement ce qui est supérieur moralement et que la cupidité n'en fait pas partie.
Or on voit de plus en plus qu’entre le champ politique mainstream et la dissidence avancée, il y a des opinions évolutives, qui sont en train de glisser d’un champ à l’autre, même sur la guerre en Ukraine, le covid ou l'impie tyrannie mondialiste, bancaire, sioniste, oligarchique, wokiste et transhumaniste.
Alors que très étonnamment la France n'est même pas en guerre pour conditionner l’opinion contre l'Ukraine, selon l'article « Guerre de l’information et formatage de l’opinion à l’occasion de la guerre en Ukraine » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/22/guerre-de-linformation-et-formatage-de-lopinion-a-loccasion-de-la-guerre-en-ukraine/ , nous sommes mêmes presque arrivés au stade ultime de la propagande médiatique totalitaire, puisqu'il est parvenu à imposer leur seule version américano-sioniste de la guerre en Ukraine, faire porter l’entière responsabilité de ce conflit à Moscou et neutraliser tout point de vue divergent :
« Invention d’une histoire, construction d’une menace ; émotion, passionner le débat pour empêcher toute analyse rationnelle ; Diabolisation, Poutine = Hitler ; Culpabilisation et menace des peuple envers les peuples occidentaux qu'ils sont les suivants si ils n'aident pas financièrement et militairement l'Ukraine ; matraquage médiatique, saturation informationnelle ayant pour double objectif d’empêcher toute réflexion critique et d’imposer un point de vue par la répétition et les images « chocs » ; partialité ; dissimulation des causes véritables du conflit, des événements historiques y ayant conduit, des responsabilités de l’ensemble des acteurs impliqués ; inversion des réalités, les groupes ultranationalistes ukrainiens sont des « gentils nazis » ; inventions et mensonges délibérés ; affirmations non étayées ; grossissement des faits, mettre l’accent sur des faits isolés, peu représentatifs ; présentation orientée des événements ; inversion des accusations, dont concernant des crimes de guerre ; dissimulation de faits favorables à la Russie ; dissimulation de faits défavorables à Kiev ; négation, rejet systématique et sans argument de la version des faits adverses ou des commentaires neutres, rejet de la réalité de certains faits pourtant avérés ; interdiction, impossibilité d’accéder aux chaînes d’information et aux sites internet russes ; ciblage des commentateurs indépendants qui contestent la version des faits construite par l’Ukraine ou qui mettent en lumière ses contradictions, disqualification en les traitant de pro-russes, de conspirationnistes et en les désignant à l’opprobre populaire ; polarisation de l’opinion, implication de l’opinion occidentale dans un conflit qui ne la concerne pas directement, volonté d’en faire un allié et d’un acteur pour peser davantage sur les gouvernements ; diversion, concentrer l’attention du public sur la guerre d’Ukraine permet également à l'oligarchie de faire passer des lois néolibérales anti-sociales dont au détriment des peuples. »
Alors que sur TF1 le 29 mai 2022, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a rappelé le devoir de protéger la Russie et les civils du Donbass :
« Nous demandons que le régime de Kiev cesse de tuer des civils dans le Donbass comme il le fait depuis huit longues années, depuis le coup d’État en Ukraine en 2014. Mais il faut aussi dénazifier l’Ukraine, parce que les idées et les actes néo-nazis font maintenant partie de la vie en Ukraine. (Or en déclarant officiellement comme buts de guerre en Ukraine la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine, on pourrait traduire cela d’un mot de la part de la Russie : désaméricanisation.) Pendant des années, nous avons essayé de persuader l’Occident que l’Ukraine ne devait pas être entraînée dans l’Otan. Or l’Otan s’était déjà rapprochée à cinq reprises de la frontière russe, contrairement à toutes les promesses faites lorsque l’Union soviétique a disparu L’hypocrisie de l’Occident s’est parfaitement illustrée par les réactions aux décisions prises par les États-Unis et l’Otan dans des situations telles que la Yougoslavie en 1999, l’Irak en 2003 et la Libye, en 2011. Toutes ces aventures militaires ont été lancées par les États-Unis sous prétexte que ces foyers de tension représentaient une menace pour eux. Et cette menace était à plus de dix mille kilomètres des côtes américaines. Pourtant, tout le monde a suivi Washington, pour détruire d’abord la Yougoslavie, puis l’Irak, puis la Libye. Plus d’un million de civils sont morts dans ces conflits et personne n’a rien dit. Tout le monde a trouvé ça normal. Parce que le souverain du monde, les États-Unis, commandent à tous les autres pays occidentaux. En Europe, à l’exception de la guerre en Irak où la France et l’Allemagne se sont opposées aux actions injustifiées et totalement inacceptables de Washington, dans tous les autres cas, tous les pays européens ont rapidement convenu que les États-Unis avaient le droit de déclarer une menace pour leur sécurité, n’importe où dans le monde, et de faire ce qu’ils voulaient. La Russie n’a pas déclaré une menace pour sa sécurité du jour au lendemain. Elle a, pendant de nombreuses années, exhorté l’Occident à ne pas faire de l’Ukraine un pays antirusse. En d’autres termes, la menace qui pèse directement sur nos frontières, et contre laquelle nous mettons en garde depuis de nombreuses années, a été complètement ignorée. C’est pourquoi notre opération militaire était inévitable. »
Cette propagande d'Etat ou d'Etat profond (lobbies) a même été jusqu'à faire devenir inexistant des débats TV ou radio entre professeurs aux analyses divergentes comme concernant les vaccins ARN, surtout que certains de ces derniers contiendraient perversement des modifications génétiques de l'être humain voire des cellules humaines provenant de fœtus avortés et il faut donc les refuser absolument d'autant plus le temps que leur évaluation qui doit normalement durer dix ans se termine. Alors que concernant tout sujet politique, il faut faudrait urgemment arrêter les débats stériles et adopter une approche intégrante, c'est à dire en s'ouvrant aux arguments de l’autre.
On peut noter ici que le premier amendement états-unien stipule pourtant que votre discours peut seulement être limité si vous causez du tort à autrui, et que les cardiologues disant que les vaccins ont multiplié par 100 les myocardites chez les jeunes sont donc encore plus légitimes à parler publiquement puisqu'ils empêchent le tort à autrui. Actuellement, il semble qu’il n’y ait qu’un seul jeu en ville, celui joué par les maîtres du Covid et donc Big pharma (la plupart des médicaments sont créés par une poignée de multinationales : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments), les géants du numérique, le FMI, le tout orchestré par la fondation Rockefeller. Or Poutine n'a pas voulu se battre contre cette force extraordinaire, car il a justement pensé que la Russie pouvaient se débrouiller dans le cadre des règles qu’ils avaient fixées, ou jusqu'à que ça se tasse ou le temps que les masques tombent. Car Poutine est un dirigeant cherchant à protéger son peuple le plus honorablement possible même lors de son suivi partiel de l'OMS mondialiste pendant le Codiv ou lors de sa décision de déclencher l'intervention militaire spéciale en Ukraine. Surtout que ce n’est que sous l’état d’urgence que l’on détermine qui détient la véritable souveraineté. Le souverain qui déclare l’état d’urgence et qui prend des décisions dans ses conditions, en s’appuyant non pas tant sur la loi que sur la volonté et l’esprit. Le sujet ne naît que dans l’état d’urgence. Dans les autres cas, il s’agit d’un sujet conditionnel (soit un sujet, soit un objet), et seul l’état d’urgence met tout à sa place. D'ailleurs il est admirable que Poutine ait réussi à rendre sa fierté et sa liberté à une grande nation qui a connu le communisme dure et l'effondrement économique ensuite. A ce sujet il est intéressant de voir à travers de l'humour et de l'émotion, l'excellent portrait de Vladimir Poutine à l'adresse https://youtu.be/anDPH40utkA
Ainsi l’occident devrait s’occuper de ses propres problèmes, en commençant par les géants du numérique. Ce ne sera pas facile comme nous l’apprend l’affaire dans laquelle le juge Hinkle a statué que Facebook et Microsoft devaient jouir de leur droit « divin » privé de bloquer les politiciens qu’ils n’aiment pas, mais une loi du Texas est en train de lutter contre cela. En effet les dissidents au système mondialiste actuel sont privés de toutes les voies de communication grand public : télévision et principaux réseaux sociaux, même le président Trump. Certains dissidents sont même désormais emprisonnés pour avoir dénoncé des groupes internationaux (en particulier la mafia juive) participant à des activités délictueuses : trafic d’êtres humains, d’organes, d’armes, de drogue, de blanchiment d’argent ; escroqueries en tous genres ; assassinats commandités ; rackets ; prostitution,etc. Ainsi même si ce sont des membres du système judiciaire, ceux qui s’en prennent à eux sont complices de ces criminels. Il s'agit d'un appareil d’état au service du crime organisée, puisqu'il emprisonne ceux qui dénoncent les criminels et laisse donc en liberté ces criminels. Et c'est donc incontestablement un état mafieux dirigé par des criminels. Cette répression contre ces nobles opposants au système provient du fait qu’ils désignent clairement et ouvertement les ennemis lobbyistes et mafieux s'enrichissant avec la corruption massive et menaçant ainsi l’avenir existentiel de pays dont la France.
Cependant il n'existe pas de régime ou de forme politique qui soit susceptible d’accorder à ses opposants une liberté sans limite. Autrement dit, un opposant réel doit prendre sa liberté politique à ses risques et périls, car c'est uniquement dans ce sens que la liberté est toujours absolue. Mais l'opposant, le dissident, doit supporter la répression. En bref, quel que soit le régime, la liberté laissée par ce dernier est toujours limitée, et lorsque la limite est franchie, celle de l’opposant commence. Or la violence dans l’extrémisme politique ou identitaire est souvent de la lâcheté politique face au pouvoir tyrannique, car il faut avant tout avoir du courage social pacifique malgré des persécutions. Dans ce sens, l'identitaire français doit légitimement être universaliste par rapport à celui anglo-saxon qui est communautaire, en particulier puisqu'il est catholique et droit de l'hommiste, et que l'identitaire ethno-racial conduit à la balkanisation en faveur de l'empire américano-sioniste, comme l'a montré le président Yougoslave Milosevic à travers sa grande Serbie divisante qui y a beaucoup participé au contraire de l'impérialiste unifiant du précédent président yougoslave Tito. C'est à dire que quelles que soient les épreuves, il faut avoir de la virilité politique en devenant constamment un dissident authentique principalement par la dénonciation fréquente du pouvoir profond pervers et la promotion fréquente de l'association entre la droite des valeurs (patriote, catholique, monothéiste) et la gauche du travail (socialiste et nationaliste). En effet pour que le peuple français triomphe, il faut que la droites des valeurs (classe moyenne, manif pour tous) doit s'unir avec avec la gauche du travail (prolétariat, gilets jaunes) contre la droite libérale unie à la gauche libertaire. Or il y a une importante rééducation à faire de la classe moyenne, car elle a été flattée par l'hyper classe pendant des décennies afin de l'appauvrir aujourd'hui.
Ensuite pour renforcer le combat pour la vérité et le bien commun, l'étape suivante après la dissidence est de créer une résistance organisée autour d'une économie forte et d'une nécessaire hiérarchie intelligente, telle une armée avec son avant garde, son arrière garde et ses flans, composée par les diverses catégories sociales. Or à notre époque, la Résistance c’est avant tout dénoncer le vrai coupable, attaquer l’ennemi à sa racine et donc voir la réalité principale du Mal : le néolibéralisme guerrier basé sur la cupidité et donc sur l'intense amour inconséquent de l'argent menant au pouvoir, ce qui est aussi la principale face cachée du sionisme internationaliste.
Ainsi pour bassement contrer ces opposants dénonciateurs de l'ingérence sioniste, les avocats d'association de défense juive font généralement le récit d’événements de la Seconde Guerre mondiale puis invoquent sournoisement le pseudo risque de prochains malheurs comme le pseudo retour du nazisme. Pourtant ce sont des plaidoiries que l’on retrouve comme argument décisif dans les motifs des décisions de justice. Et une propagande massive du système via sa presse, sa radio, ses chaînes d'information et ses sites internet se fait le relais des mêmes propos. Les magistrats sont des gens comme les autres. Si les noms de Dieudonné, Soral ou Ryssen suscitent l’effroi dans le grand public, après de tels récits, pourquoi les magistrats réagiraient-ils différemment ?
En effet bon nombre de personnes sont parfaitement indifférentes au sort d’autrui et au contexte profond, en ne se préoccupant que de leur confort personnel. C'est à dire que les gens travaillent de moins en moins pour construire ensemble et de plus en plus uniquement pour favoriser leurs intérêts personnels. Quant à ceux qui pourraient avoir un soupçon d’intelligence ou simplement de réflexion, ils reculent devant l'oppression, les mensonges et les manipulations du système.
L’arnaque de la télé dite française, démocratique, libre et tolérante se voit encore à travers ses débats sur le voile islamique sans les intéressées, alors que la France a des problèmes beaucoup plus importants dus au pouvoir profond corrompu comme 2800 milliards d’euros de dettes, 6 millions de chômeurs, 9000 suicides par an, 48000 morts dus à la pollution de l’air, 165000 enfants victimes de viols et de violences sexuelles par an. Le sujet du voile traité dans les médias mainstream correspond plutôt à un grossier moyen de détourner le peuple des sujets essentiels comme les problèmes économiques, comme les sujets concernant les meurtres, les suicides et le terrorisme ne représentant que 3 % des morts en France représentent 70 % du temps d'antenne dans les chaînes d'informations, alors que d'autres sujets concernent beaucoup plus de morts anormales. D'ailleurs ces sujets sont désormais presque interdits d'être évoqués par preuve que généralement dans les chaînes d'informations très peu de sujets d'actualité sont traités quotidiennement, et sont souvent similaires sur plusieurs mois sans intervenants réellement dissidents, telle une propagande évidente du système corrompu.
(Dans une de ses vidéos Momotchi a dévoilé, de manière incisive, comment nos moteurs de recherche, notamment Google, semblent aussi restreindre l’accès à l’information. À travers une démonstration minutieuse, elle montre comment une simple recherche sur des sujets comme le changement climatique ou le vaccin contre le COVID-19 renvoie systématiquement vers les mêmes sources officielles, limitant ainsi la diversité des points de vue. Cette manipulation subtile de l’information peut avoir des conséquences profondes sur notre perception du monde. En restreignant notre accès à une pluralité de perspectives, les moteurs de recherche nous enferment dans une bulle d’information, nous donnant l’illusion d’un choix alors que la réalité est bien différente. L’impact de cette réduction de l’espace informationnel est alarmant. Non seulement elle limite notre capacité à accéder à une diversité d’opinions, mais elle pose également des questions fondamentales sur la nature même de la démocratie et de la liberté d’expression à l’ère numérique, dont car tendant vers le totalitarisme, qui pourrait être celui des mondialistes oligarchiques wokistes et sionistes. Momotchi nous met ainsi en garde contre cette évolution inquiétante d’Internet, appelant chacun à remettre en question la fiabilité de nos sources d’information, dont en recoupant de nombreuses sources d'information traitant différemment des sujets.)
Et quand des débats semblant contradictoires sont organisés à la TV mainstream, c'est désormais généralement en réalité de l’opposition contrôlée. Il faut noter que l'accusation de d'opposition contrôlée peut aussi être de l'opposition contrôlée pour diviser le camp adverse. Alors il faut juger l'arbre à ses fruits et changer de nom d'un groupe dissident ou résistant quand il est trop infiltré ou trop décrédibilisé. En effet pour combattre la dissidence, les américano-sionistes mondialistes préfèrent désormais l'infiltrée plutôt que l'affronter frontalement. Il s'agit d’infiltrer la dissidence pour diminuer son influence ou détourner des dissidents dont en les influençant vers l'anti-islam, l'anti-arabe ou l'anti-immigration via des invitations à la TV et non vers l'anti-atlantisme, l'anti-OTAN, l'anti-UE et l'anti-euro pour restaurer un état fort à l'intérieur des frontières. Ainsi il paraît important que des dissidents inconnus infiltrent aussi tout groupe du système pour obtenir des informations. Même chose quand il s’agit de sujets concernant d'authentiques souverainistes, patriotes ou gilets jaunes, ces émissions de soi-disant débats n'invitent pas ces derniers en prouvant qu'elles ne sont que des procès en l’absence des accusés. Même chose quand il s’agit de sujets concernant d'authentiques souverainistes, patriotes ou gilets jaunes, ces émissions de soi-disant débats n'invitent pas ces derniers en prouvant qu'elles ne sont souvent que des procès en l’absence des accusés. En effet beaucoup de dissidents ne sont pas invités ni évoqués dans les médias dominants et subventionnés. L'opposition contrôlée se fait aussi via de fausses organisations dissidentes pu des crises organisées par le système. Or l'opposition contrôlée devant se rapprocher de plus en plus de la dissidence, ou réalisant des pervers objectifs annoncés par la dissidence comme l'annexion entière de la Palestine par Israël, favorise finalement cette dissidence, et finit par ne pouvoir que se moquer d'elle ou la rabaisser trop indignement, ce qui sert aussi à retourner le peuple contre le système en particulier donc avec la pression du réel.
Suite à ces gilets jaunes synonyme de nouvelle lutte pour le peuple, la justice sociale, le patriotisme et la spiritualité, il n'est donc pas étonnant que le covid soit réapparu du clivage entre l'extrême droite et l'extrême après l'extrême centriste Macron, ou plutôt le pion de l'extrême violence de la Banque qui s’enrichit au détriment des Français et qui laisse le pays exsangue. En effet Macron correspond à l'union de la droite financière et de la gauche sociétale, ce qui prouve que la droite financière qui est en réalité totalement de gauche sociétale. Ainsi par rapport au noble centrisme de Poutine alliant droite des valeurs et gauche du travail, ce pervers extrême centre est libéral, libertaire et anti-social et va jusqu'à se servir la droite perversement identitaire pour garder le pouvoir face à la droite patriote, car la droite identitaire est rejetée majoritairement par le peuple. En résumé le véritable extrême centre correspond au juste milieu dans l’équité porté par le monothéisme authentique au niveau de la droite des valeurs universalistes christiques et de l’économie nationale prioritaire mais ouverte, associée à la gauche du travail, du social et de la tolérance religieuse, et donc pas au faux extrême centre de Macron basé sur la droite de la finance internationaliste et la gauche sociétale... Poutine gouverne d'ailleurs clairement comme ça. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article « Propagande et post-vérité » à cette adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Propagande-et-Post-verite-56925.html
Dans ce sens Laurent Ozon dénonce le glissement d’une partie de la nébuleuse identitaire dans le camp otano-occidental et donc étrangement vers les néoconservateurs américano-wahhabo-sionistes ou vers les oligarques mondialistes wokistes. Ce qui n'est pas étonnant car la conséquence logique de ce sournois courant de pensée identitaire, c’est de s’aligner sur Israël et son sionisme laïque. Ces identitaires ne cherchent pas à défendre une quelconque tradition ou nation (christiques), mais simplement à promouvoir une sorte de racisme hystérique. D'ailleurs le néoconservatisme est principalement financé par des ultra riches mondialistes unipolaristes états-uniens, anglo-saxons, français et israéliens.