3) Les épreuves difficiles proviennent toujours de la sage omniscience divine ou des fautes humaines (fin)
« La guerre des sexes existe depuis des décennies, depuis le féminisme bourgeois revendicatif, dirions-nous. Un saut qualitatif eu lieu avec le féminisme masculinisant qui, désormais, incite partout les femmes à prendre la place des hommes et – comble anti-féminin ! – les incite même à devenir des « hommes comme les autres », à grands coups de pilules et de chirurgies, pour le plus grand bonheur de Big Pharma. La guerre des sexes est donc passée d’un assaut des féministes (juives et/ou lesbiennes pour la plupart, manipulées ou manipulatrices) contre les hommes (blancs), pour arriver aujourd’hui à une lutte intestine des femmes masculines contre les femmes (blanches) féminines, celles qui aiment les hommes et qui veulent procréer ! Force est de constater que le mouvement féministe contemporain, luttant contre l’"oppression des femmes par le mâle blanc hétéro de plus de cinquante ans", n’a jamais eu autant d’ampleur alors que paradoxalement la situation de la femme occidentale n’a jamais connu une situation aussi favorable. Inutile de rappeler ici que cette incroyable promotion du féminisme est le fait de certains de ces mâles blancs hétéros de plus de cinquante ans : les élites mondialistes. En plus d’avoir monté, dans une logique d’ordo ab chaos, les communautés, les générations, les classes sociales ainsi que les orientations sexuelles les unes contre les autres, nos élites satanistes prennent un malin plaisir à provoquer la rébellion de la Femme contre l’Homme. En outre, comme le prévoyait déjà le Dr Moebius à l’aube des années 1900 puis Alain Soral un siècle plus tard, le féminisme est désormais masculinisant et ses revendications totalement anti-féminines. La stratégie est par conséquent la suivante : manipuler les femmes via l’adolescente – être doublement fragile – afin de lui faire haïr la Femme qui est en elle, sa féminité et son futur rôle de mère. Ceci allant parfois jusqu’à l’irréversible et suicidaire changement de sexe. Cette manœuvre s’inscrit dans une volonté plus générale de stérilisation du monde blanc, de destruction de la famille et de la disparition terminale et de notre identité et de notre héritage. Contre cette idéologie mortifère qui mène in fine à la théorie du genre et aux changements de sexes – donc aux mutilations irréversibles de pubères manipulés par des dégénérés – j’exhorte les femmes européennes, par le travail présenté ici, à renouer avec leur rôle imposé par la Nature, ou Dieu selon chacun : leur rôle fondamental de Mère. » (Arthur Sapaudia) Comme un autre bug dans la perverse matrice wokiste et mondialiste, réagissant à la campagne de communication du Planning familial mettant en scène un homme enceinte, l’historienne et féministe Marie-Joe Bonnet dénonce une destruction des combats féministes par une « idéologie transhumaniste ». Il y a eu un rôle grandement dévoyé de la femme étant une des conséquences de l'individualisme, néoféminisme féminisant à outrance la société dont à divers niveaux comme la généralisation de l'incapacité à maîtriser ses émotions, des achats compulsifs, du matérialisme protecteur, du manque de spiritualité, du manque de politique, du manque de la force physique, et de la fragilité, et amenant finalement en plus paradoxalement voire sournoisement au féminisme masculinisant et oppressant, c'est à dire au triomphe du masculinisme par les femmes. Or les errances du féminisme ont entre temps amené en plus la grave dérive LGBTQ+. C'est pourquoi il faut être anthropologiquement encore plus ferme qu'avant dans la défense du respect entre homme et femme naturels, car elles sont des créateurs essentielles, solides, saines et droites. Surtout qu'avec donc les lesbiennes masculanisées, mais aussi les transsexuels hommes devenu femmes, le sport ouvert à tous dont aux transsexuels hommes devenus femmes dans les catégories « femmes » les faisant remporter toutes les épreuves, et le « meetoo » homosexuel faisant oublier celui des femmes, on peut en plus dire que nous sommes après la fin du féminisme. Ainsi le Lgbtisme provenant du féminisme a donc effacé les femmes, et l'aboutissement du féminisme efface donc les femmes, et ainsi la famille traditionnelle. « On retiendra que cinquante ans de propagande féministe ont réussi à retourner la tête de millions de femmes fragiles, qui croient non seulement que les hommes sont leur ennemi, mais aussi qu’elles ont du pouvoir. Alors qu’elles ne sont que les idiotes utiles du néolibéralisme qui se sert d’elles pour détruire le travail (comprendre la lutte sociale au niveau économique écartée donc par la lutte sociétale des féministes à outrance amenant celle Lgbt), la famille et la patrie. (Mais beaucoup d'hommes ont été remis dans un meilleur chemin par une femme voulant une relation plus respectueuse ou amoureuse.) » (Rédac ER) Or des influenceuses même relativement féministes n'hésitent pas à redevenir des soumises comme les temps d'avant, mais indignement par choix, puisqu'elles recherchent des hommes riches sur internet. « Avec les idéologies féministes et Lgbt, être aujourd'hui une femme équilibrée au sens traditionnel, c'est à dire dont l'esprit est en accord avec son corps lui intimant presque l'ordre de faire des enfants, devient difficile par schizophrénie. En effet avec les injonctions contradictoires entre ce qu'exige le corps, ce que ressent la psychologie et ce qu'impose l'idéologie d'Etat actuelle, c'est à dire le biologico-organique (corps), le psychologico-affectif (psychologie) et l'économico-social (le culturel), être une femme authentique est compliquée. Ce qui entraîne des problèmes comme la nervosité féminine, la durabilité du couple, l'éducation des enfants, leur orientation d'identité sexuelle, surtout que l'homme est désigné comme l'ennemi car prétendument malfaisant pour son pseudo statut patriarcal et machiste, dans une forme de folie collective politique. Par conséquent dans cette période, un homme relativement équilibré à l'ancienne en ayant conscience de ce qu'il est, de son corps et de sa sexualité, et donc de sa non déconstruction, et voulant faire couple avec une femme dont pour avoir des enfants éduqués et donc non dépressifs, suicidaires ni transitionants (ce qui est la même chose à terme), devra chercher sa femme dans des milieux protégés comme la périphérie nationale ou la Russie et le Maghreb. » (Alain Soral) « Les rapports humains sont désormais une source potentielle de revenus ; les hommes, de vulgaires distributeurs de billets ; les sentiments, inutiles, voire, dérangeants ; le calcul, minable ; et le résultat, terrible. C’est l’ultralibéralisme appliqué aux rapports hommes-femmes, ou filles-garçons, vu le degré d’immaturité. Le féminisme, qui se justifie et qui justifie tout – même l’injustice ! – par la violence présupposée des hommes, donne alors le droit de tuer, moralement ou physiquement. Le féminisme a fourni à la femme une arme, son sexe, qui lui permet de jouer avec ses faveurs et d’obtenir des faveurs. Le féminisme autorise et encourage les femmes à se servir de cette arme contre les hommes. L’amour et les sentiments s’effacent alors pour laisser place à des rapports de pouvoir, avec un système de chantage récompense-punition. La manipulation du désir du mâle faisait partie du jeu de l’amour, elle est aujourd’hui érigée en système de domination destructeur de l’amour, du couple, et de la famille. Sur les réseaux sociaux et dans la rue, les filles qui ont compris ce programme se changent en putes, non pas pour faire couple ou trouver l’amour, la fin (trouver l’homme idéal) justifiant les moyens (la séduction), mais pour ferrer le pigeon idéal qui leur donnera tout sans rien exiger en retour. Obtenir le maximum de faveurs en donnant le minimum de son sexe. Dans ce schéma, le pigeon idéal c’est le garçon solvable gentil, timide, sans expérience, prêt à tout pour plaire à sa pseudo-princesse (Camille faisait du cheval), qui va utiliser ses charmes comme une araignée sa toile. C’est ce qui est arrivé à ce pauvre Théo Decouchant (tué par sa compagne qui es cette fille), la mouche confiante qui finira dévorée par l’araignée. La pétasse est bien un monstre, malade de cette perversion narcissique qui est la conséquence du féminisme sur les jeunes filles fragiles, ou déstructurées. Les enfants sordides de la crise économique, de la crise des valeurs et de la tentation capitaliste du profit rapide. Camille, qui aurait voulu être belle et riche, n’était qu’un pauvre boudin sans âme : il ne lui restait plus que son sexe et sa haine pour se hisser socialement d’un petit cran. Là, elle va chuter lourdement, dévisser de plusieurs crans. On comprend que le féminisme est la branche sexuée du libéralisme et qu’il est aussi destructeur pour les hommes que pour les femmes. Camille est le produit de la promotion des antivaleurs – les valeurs antichrétiennes – par les médias et le politique, tous deux sous influence de forces occultes. La cérémonie d’ouverture des JO a donné le ton et envoyé un message universel, bien capté par les perdants du jeu social : n’importe qui a droit au plaisir, quelles qu’en soient les conséquences sur les autres, dans le pur esprit du marquis de Sade. « Je chie sur les autres » est la devise de cette nouvelle espèce (in)humaine. Les autres ne sont que les objets de mon plaisir, perdant leur statut de sujet, d’égal à respecter. Profiter de la faiblesse des hommes : c’est tout bonnement une culture du viol que le féminisme promeut et ne veut pas voir. Dans l’esprit des filles fragilisées par une éducation défaillante et une instruction minimaliste, cette culture a pourtant des conséquence directes, violentes, ignobles. En vérité, depuis que le divorce est devenu une loi (féministe), de nombreux pères s’occupent des enfants, font les courses, la cuisine et le ménage, et le font sans se plaindre, tout en bossant (dur) à côté, alors que les femmes nous font croire que ça leur fait 3 boulots en même temps (dont 2 non payés) et que c’est l’horreur. Les hommes divorcés découvrent que les femmes ont exagéré leur souffrance. De l’autre côté de ce féminisme égoïste (mais le féminisme est un égoïsme), il y a des femmes qui s’épanouissent dans la vie de couple et de famille, tout ce qu’abhorrent les gauchistes : pour ces dernières, c’est le lieu de la tyrannie patriarcale et de l’esclavage féminin, alors que bosser sous les ordres d’un patron dominateur par essence, ça, c’est pas grave. Au bout du compte, dur choix pour les femmes d’aujourd’hui en âge de procréer : épouse idéale astreinte à l’amour d’un homme et de ses enfants, ou femme superficielle alcoolisée avec un travail synonyme de racket et une psychanalyse interminable qui s’achève par une euthanasie salvatrice ? » (Rédac ER) Concernant la destruction même donc des femmes liée au wokisme, au féminisme et à la cancel culture mondialiste, il est important de voir cette vidéo https://x.com/DefiantLs/status/1831043352898506986 « Aujourd’hui, les féministes ont pris le pouvoir dans le champ du quotidien, et notre société est devenue bancale, paranoïaque, hystérique. Les mondialistes, eux, ont mis la main sur les nations occidentales et ont prouvé qu’ils étaient des criminels à une échelle inédite. » (Rédac ER) En sachant qu'à notre époque où les femmes sont de plus en plus hautement diplômées, l'hypergamie qui est une phénomène naturelle chez les femmes car les femmes sont logiquement attirées par les hommes ayant un statut plus élevé que le leur comme une infirmière épouse son supérieur médecin, devient un grand problème, dont car il n'y a que très peu d'hommes plus diplômés qu'elles, et donc moins de mariages. Surtout qu'en plus à notre époque où les partenaires ont été souvent nombreux pour les femmes, les hommes recherchent d'abord des femmes chastes. Le peuple doit donc revenir au réel et donc au conservatisme face au monde du mensonge du mondialisme progressiste, surtout pour les femmes car elles en sont plus influencées et les hommes en deviennent généralement réactionnaires. En effet comme le prouvent de nombreux mariages basés sur la piété même en cas de femme gagnant plus la vie que leur mari, cela facilitera de parvenir à la vie familiale équilibrée et à la production de nombreux enfants, ce que le mondialisme veut détruire. Le féminisme couplé à la crise – ces deux enfants du néolibéralisme –, ça donne la prostitution des mineures. La pauvreté matérielle (et morale), la publicité du bonheur, l’envie de consommer, d’acheter, de s’entourer d’objets, c’est chose trop forte pour les âmes fragiles, qui vendent leur intimité. Pas leur corps ou leur cul, puisque ça, c’est incessible (cédé), comme les droits d’auteur. Non, ce qui se vend, et se perd presque définitivement, c’est l’âme. Après le passage de tant d’hommes, frustrés par le même néolibéralisme individualiste tueur-vendeur d’amour, tu n’as plus que des corps sans âme, sans profondeur, sans grandeur. Après ça, le discours féministe de libération de la Femme, qui s’est fait avoir en profondeur par le néolibéralisme, prend une tournure tragi-comique. Certaines ne sont pas assez lucides pour comprendre le piège, et continuent leur masterclass gaucho-embourgeoisée alors que tout s’écroule autour d’elles, même leur corps devenus anorexiques, sales ou gros. Les féministes, qui courent après l’égalité salariale, ont perdu : les femmes ont pris les jobs mal payés, comme les migrants. Ce sont les migrantes de l’intérieur. Un petit salaire ne suffit pas pour vivre seule malgré la grande promesse de la presse de libération pleine de pubs pour les produits de jeunesse et de beauté. Et les féministes voulant l'égalité totale ne la veulent pas au point d'aller faire la guerre avec les hommes pour protéger leur société et donc leur vie libertaire. Les femmes ont perdu les hommes et il ne reste que le sexe, c’est triste et con. Les femmes ont perdu les hommes et il ne reste que le sexe, c’est triste et con. « En dehors de la sphère géopolitique, et encore, on la retrouve aussi là, nous assistons à une lutte féroce entre progressisme et conservatisme, notoirement aux États-Unis. Ce qui préfigure une aggravation de la guerre sociétale chez nous. Pour la raison simple du poids démographique, les femmes représentant la moitié de la population, le féminisme est en première ligne de ce conflit, loin devant l’homosexualisme, l’antiracisme ou l’israélisme. L’idéologie féministe, qui a pénétré la population et changé les mœurs depuis un demi-siècle (1975, loi sur l’avortement), concerne tout un chacun. Et dans le fatras actuel qui bouleverse les lignes politiques, ou qui les remet en ordre, à l’intérieur de la matrice gauchiste les contradictions internes du féminisme éclatent au grand jour. Les donneuses de leçons devraient regarder un peu dans leur culotte : tout n’est pas très cohérent dans leur idéologie. À force de retirer leur autorité – et donc leur force aux mâles –, revendication numéro un du féminisme, les femmes se retrouvent en première ligne de la guerre sociale, avec des jeunes et une oligarchie qui n’ont plus de limites. Dans les familles, l’inversion des rôles a mené à la tragique théorie du genre. Beaucoup de femmes qui ont cru à l’idéologie féministe, plutôt faite par et pour des bourgeoises qui avaient les moyens de la vivre, un peu comme la psychanalyse, se sont retrouvées le cul dans l’eau : soit seules avec des gosses – on peut les appeler des SHF, des sans homme fixe –, soit seules sans enfant, donc aussi SHF. Ne pas avoir d’enfant n’est pas une tare, on peut toujours adopter. Mais certaines n’adoptent pas, parce qu’elles n’ont pas trouvé d’homme fixe. Pourquoi ces hommes ne restent-ils pas ? Le féminisme, qui prône l’insoumission, heurte la nature profonde du rapport homme-femme. Il y a évidemment une dimension de soumission à accepter pour la femme, ce qui ne veut pas dire automatiquement femme au foyer enchaînée à la cuisine et au ménage ! C’est pourtant l’image binaire que les féministes veulent présenter, histoire de grossir leurs rangs. Il y a heureusement des femmes de qualité entre la grosse lesbienne haineuse et la pauvre esclave domestique. Pour éviter que Carmen Daudet nous gronde à nouveau, on finira sur une touche positive : il y a des féministes intelligentes, c’est-à-dire mâlo-compatibles, et des féministes débiles. Les premières ont évolué, pas les secondes. » (Rédac ER) Surtout qu'il y a eu aussi une infantilisation à outrance de la société dont souvent jusqu'à la désinvolture voire pire, comme ne pas faire du sport car demandant trop d'effort, ne pas être très hygiénique, ne pas s'occuper de sa santé dont par la prise de drogue ou la mauvaise nourriture, homme adulte jouant aux jeux vidéo, femme adulte aimant fortement les vêtements telles des poupées, homme recherchant sa mère chez sa future femme voire sa femme, femme recherchant son père chez son futur mari voire son mari, hommes et femmes s'habillant comme des adolescents, apolitisation (en dehors des élections et pour les associations caritatives), suffisance minimale au niveau de l’intelligence, voire de la réussite matérielle et donc de la bienfaisance sociale, peu de limites dans certains cas (par exemple temps de jeux vidéos ou nombres de vêtements), impatience développée à cause de la vitesse technologique (dont grâce au smartphone contenant courriers e-mail, contacts téléphoniques, GPS, paiement numérique), impulsivité, absence de diverses vertus authentiques et donc affranchissement du réel dont via le wokisme et la cancel culture. Cela est lié à la tertiarisation de la société et peut donc entraîner à la régression de son développement, puisque les secteurs primaire (agricole) et secondaire (industriel) sont délaissés dans une forme d'effondrement du monde matériel synonyme d'apocalypse, car toute la civilisation et même la vie humaine sur terre ont commencé par la production matérielle. « L'éducation traditionnelle est de transformer les enfants en adultes. Dans cette perspective l’enfance est vue comme un ensemble de défauts – impatience, égoïsme, narcissisme, violence, incontinence émotionnelle, irresponsabilité, incompétence, etc. – que l’éducation a pour mission de corriger, notamment par la transmission d’un ensemble de savoirs et de préceptes moraux. En ce sens, l’éducation traditionnelle vise à éliminer l’enfance en chaque enfant. Mais il faut remarquer une dimension essentielle : cette vision de l’enfance comme le lieu de la faiblesse et de l’hétéronomie est justement ce qui pousse les sociétés traditionnelles à protéger les enfants. À l’inverse, en considérant les enfants comme les égaux des adultes, les sociétés occidentales progressistes les exposent à des violences contre lesquelles ils sont incapables de se défendre. C’est cette idéologie absolument mortifère qui pousse certains « adultes », par exemple, à encourager leur enfant à changer de sexe. Dans une société saine, ces parents seraient inculpés pour maltraitance et abus de faiblesse ; dans les sociétés occidentales, ils reçoivent désormais l’aval et les applaudissements du pouvoir. La transcendance en général éloigne de l’enfance. Elle invite à sortir de sa minuscule sphère individuelle et à considérer l’humanité comme une partie seulement du monde, et non comme sa totalité. C’est déjà en soi une invitation à l’humilité, qui s’oppose au nombrilisme infantile. L’enfance est notre premier rapport au monde, et elle ne disparaît jamais entièrement. Toute notre vie, nous luttons contre les réflexes infantiles qui menacent en permanence de reprendre la main sur notre volonté. La civilisation consiste justement à compenser cette pente naturelle en mettant en place des structures collectives capables de nous obliger à sortir de l’enfance. Dès lors que vous détruisez ces structures collectives qui nous tirent vers le haut, l’humanité redescend la pente et beaucoup d’individus, que plus rien n’oblige à sortir de l’égoïsme, du narcissisme et du parasitisme, ne parviennent plus à s’affranchir de leur enfance. La logique marchande du Capital sape en permanence les structures collectives pourvoyeuses de civilisation. Elle a en effet cette capacité déprimante de transformer toutes les activités humaines en échanges commerciaux. Il ne reste plus dès lors à l’individu qu’à explorer deux puits sans fond, qui feront désormais office pour lui de « sens de la vie » : la recherche de la jouissance d’une part, et celle de la puissance d’autre part. Il s’agit de deux ressorts centraux de la pulsion de consommation. Pour comprendre le mécanisme qui nous pousse à nous ranger à l’avis des experts, il faut comprendre le rapport au monde de l’enfance. Un enfant n’a pas les capacités cognitives pour poser un problème, définir précisément des termes, faire se confronter des idées en apparence contradictoires, les mettre en rapport et accoucher d’une synthèse complexe et riche qui puisse expliquer les phénomènes qu’il observe. Pour réduire la complexité du monde à un niveau qui lui soit accessible, il cherche donc non pas à le synthétiser mais à le simplifier. Pour cela, outre le fait qu’il ignore des pans entiers de la réalité, il a notamment recours à de l’intelligence par délégation : puisqu’il n’est pas capable de comprendre lui-même le monde, il délègue cette tâche à quelqu’un d’autre – un tuteur, en quelque sorte. Ainsi son monde devient plus simple, car sa réflexion peut désormais se limiter au choix des experts derrière lesquels se ranger. Beaucoup d’adultes réfléchissent encore comme des enfants dans la mesure où ils cherchent à se ranger derrière telle ou telle figure d’autorité, et ce dans beaucoup de domaines. Plutôt que de s’obliger à écouter tout le monde pour construire ensuite leur propre vision du monde, ils préfèrent éliminer une partie du réel et des analyses possibles en classant certaines personnes, par exemple, dans la catégorie « charlatans ». Ce faisant, ils s’épargnent la peine du travail intellectuel de synthèse, qui est inconfortable car il oblige à accepter une période d’incertitude déstabilisante. Mais n’oublions pas non plus la dimension sociale de ce genre de choix : un expert incarne toujours un certain système de valeurs ainsi qu’une certaine position sociale, et à travers lui, c’est aussi cela qui est validé par ceux qui lui délèguent l’explication du monde. Le règne de l’infantilisation entraîne des comportements hystériques dès qu’un élément vient remettre en cause les certitudes de la majorité. Ce refus de l’autre et de la contradiction est devenu la marque d’une morale progressiste juvénile. Le refus de la contradiction est l’extension intellectuelle de la volonté plus générale d’éliminer toute contrainte, qui est effectivement un trait caractéristique de l’enfance. Il y a en Occident une tendance générale à l’élimination pure et simple de ce qui peut contredire le modèle progressiste dominant. Il ne faut pas se leurrer sur la portée du phénomène : elle est beaucoup plus grande qu’on ne l’imagine au premier abord. Le rejet de la contradiction n’est pas circonscrit à une communauté de « gauchistes ». Imbue d’elle-même, cette population « progressiste » se considère comme moralement supérieure à deux autres groupes : à ses propres ancêtres d’une part, et au reste du monde d’autre part. Ce sentiment de supériorité se traduit par un enfermement intellectuel presque total, qui l’empêche de s’intéresser à la fois à la Tradition et aux autres modèles civilisationnels. Les conséquences de la prise du pouvoir par cette idéologie en Occident sont catastrophiques : elle nous pousse à attaquer tout ce qui ne nous ressemble pas et nous entraîne donc tout simplement vers la guerre. Une guerre dont je souhaite à titre personnel que nous la perdions, et vite, tel un enfant arrogant giflé par un adulte à bout de patience. Les tentatives du progressisme de transformer l’histoire à son avantage sont autant d’aveux de son incapacité à accepter la réalité du passé. La cancel culture est, au final, une entreprise de destruction de tout ce qui nous sert d’appui pour sortir de l’enfance. » (Thomas Boussion) Thomas Boussion précise donc que les causes de cette infantilisation programmée et souhaitée, en pointant du doigt le gauchisme comme principal vecteur de ce phénomène, et en affirmant que l'individualisation de la société participe aussi à son infantilisation et vice-versa. D'ailleurs c'est l'atomisation de la société par le système qui participe beaucoup à faire consommer le peuple car ne lui restant plus que ça, surtout sa partie gauchiste n'ayant plus de tradition ni donc de passé et d'identité, ce qui fait de ce système est un ennemi principal. D'autant plus que l'infantilisation amenant souvent à ne pas vouloir d'enfants correspond ainsi en plus à de la dépopulation, que l'infantilisation comme donc les enfants se désintéresse de la science et de la culture générale en préférant l'insouciance du pain et des jeux jusqu'à créer une idiocratie facilement manipulable qui pourrait en plus être facilitée par l'IA simplifiant la vie aux incultes consuméristes, que l'infantilisation préfère la déresponsabilité du salariat généralisé au détriment de la force économique et donc politique populaire, et que la corrélation entre individualisation et infantilisation occidentales affaiblit en plus les autres peuples la prenant par erreur comme exemple puisque correspondant à une pseudo large liberté moderne et permet donc de les dominer, dont en évitant que leurs populations se portent massivement volontaires dans leurs armées respectives en tant que patriotes inconditionnels.
« Je comprends enfin de quoi les réactions débiles et hystériques de la masse à chaque événement ou sujet clivant sont le nom : celui de « l’immaturité » intellectuelle et politique. L’immaturité intellectuelle et politique est le mal occidental. Se faire traiter de « nazi », facho », truc-phobe, « nauséabond », etc, n’est autre que le signe d’une « infantilisation des esprits », telle que l’exprime brillamment Thomas Boussion dans son implacable essai. Ces esprits, souvent de gauche (le gauchisme est parfaitement défini dans ces pages) ont un rapport infantile au monde et aux événements en ce qu’ils ne supportent ni la contrainte ni la contradiction. Ils préfèrent l’insulte ou l’évitement, au débat constructif adulte et à la mise en perspective historique et dialectique. D’où le dialogue de sourds qui s’installe entre « conservateurs », tenants de la transmission de la Tradition (impliquant autorité, hiérarchie et discrimination) dotés d’une solide colonne vertébrale spirituelle, et progressistes du XXIe siècle, mondialistes mous et marionnettes idéologiques qui rejettent le passé et la nature. Un passé crânement jugé, qui incarne forcément la « faute morale », l’injustice et l’inégalité pour les têtes gavées des discours « républicains » hérités des « Lumières ». Avec des raccourcis pratiques et absurdes résumés par l’auteur d’une formule lapidaire et brillante : « L’histoire prouverait que l’autorité est la première marche d’un escalier qui mène aux chambres à gaz. » « Les catégories traditionnelles révulsent le gauchiste. » En bloc est rejeté, apparaissant comme contraires au « progrès », tout ce qui est : père, mère, vieux, blanc, homme/femme. On le voit avec la propulsion de béjaunes à la tête des États occidentaux, à la promotion de l’avortement, aux délires « intersectionnels » et à la « non-binarité », etc. Il faut saccager tout socle solide qui nous a été transmis par les siècles, et la Nature n’a plus rien à nous enseigner. Le gauchisme est donc une forme de nihilisme qui refuse tout ce qui l’oblige à grandir, tout ce qui incarne l’autorité, qui n’est pas « bienveillant » selon sa mièvre définition, afin de rester dans son confortable « safe space » infantile. Or, Thomas Boussion nous explique bien que grandir, devenir adulte, demande de détruire en soi l’enfance et fait de facto souffrir. Je me souviens de la formule qui disait « il faut souffrir pour être belle », formule qui ferait bondir les « féministes » actuelles qui refusent toute douleur, quand bien même elle serait la voie vers un mieux, un plus beau et permettrait l’évolution. Société de l’hyperindividualisme forcené, du nombrilisme acharné. Les gauchistes exigent que la société s’adapte à eux et non l’inverse. Ils refusent tout effort pour se faire au « moule » collectif et ont une vision essentialiste et binaire de système politique et de l’histoire. Si tu n’es pas avec eux, tu es contre eux. « La doxa infantile divise le monde en deux catégories : les "dictatures" et les "démocraties". » Accouchent de cette infantilisation des esprits plusieurs phénomènes symptomatiques de cette incapacité à grandir, de ce refus des contraintes et de la souffrance initiatique, typiques de l’Occident « déspiritualisé » : la « communication non violente », les « safe spaces », etc. Naît alors un monde manichéen qui n’a que peu de rapport avec la vérité et la réalité : d’un côté les « gentils démocrates » occidentaux, de l’autre les « méchants dictateurs » et leurs régimes « autoritaires ». Avec pour nouveau dieu la « science » érigée comme nouvelle croyance, nouvelle foi moderne à laquelle se soumettre aveuglément. Par ailleurs, la « droite et la gauche » ne permettent plus vraiment d’offrir une grille de lecture pertinente (excellents chapitres en la matière). Thomas Boussion souligne que la vision historique de ces esprits se cantonne essentiellement au XXe siècle, ce qui empêche toute profondeur historique dans l’analyse. Il devient donc difficile de « construire collectivement » avec des individus qui sont sans mémoire ancienne, ne font que « consommer individuellement » et ne sont que des rebelles de salon, manipulés et manipulables. Mais derrière cette tendance grandissante de l’infantilisation des esprits se cache en vérité la bataille entre le Capital et la Tradition, le premier cherchant à écraser l’autre, seule capable de menacer son déroulement (non son existence, hélas). Ainsi vivons-nous actuellement sous le règne médiatique de « l’adulte-enfant occidental », un individu bas du front qui rejette la Russie, embrasse Zelensky, applaudit les drag queens, vomit le catholicisme, trouve Bill Gates et Zuckerberg géniaux, le « vaccin » sûr et efficace, qu’il faut lutter contre le « patriarcat » avec l’écriture inclusive, etc. Le temps est long quand on fait face à des êtres qui ont délégué toute leur réflexion et leur esprit critique à des tiers « de confiance » comme l’État, les institutions, les médias, les représentants de la « science » (autorisée)… Excellent essai qui permet de jeter une lumière crue sur tous les phénomènes et tendances politiques, culturels et sociétaux observables actuellement. Afin de chercher comment lutter. Mais la route est longue ! « L’enfance, en tant que rapport au monde, sert objectivement les intérêts du Capital (…) parce qu’elle s’attaque aux structures traditionnelles existantes (linguistiques, familiales, religieuses) et empêche la Tradition de lutter contre la "pente naturelle" de la marchandisation du monde ; parce qu’elle maintient les individus dans un essentialisme intellectuel qui les empêche d’identifier les forces politiques réelles en présence, ce qui les rend incapables d’identifier les véritables alliés et leur véritable ennemi. » (Anaïs le Faucheux concernant la sortie du livre « L’Immaturité permanente » de Thomas Boussion aux éditions Kontre Kulture) La recherche de l'égalité absolue aveugle provient du pseudo progressisme servant le mondialisme oppressif, alors qu'elle est donc absurde par rapport à l'équité et va même jusqu'à créer diverses inégalités comme lorsque des transsexuels hommes devenues femmes participent aux épreuves ou compétitions sportives féminines en les gagnant toutes. La droite politique authentique, c’est l’égalité des chances. La gauche politique actuelle, c’est l’égalité du résultat, ce qui n’existe pas dans le monde réel. Or nous sommes même dans un fou monde occidental, car il promeut donc injustement l'égalité au détriment de l'équité, alors que c'est seulement l'équité (c'est à dire la justice réfléchie, morale et donc authentique synonyme de meilleure noblesse puisque non mathématique) qui réalise le bien commun, révèle la véritable raison apaisante, réconforte les âmes, guérit les blessures psychologiques, assure la stabilité interne de chacun, et nous pousse donc tous à rationaliser le dialogue et l’action collective dans la bienveillance optimale pour surmonter tout problème important et toute crise dangereuse : (ExtS16v90) « Certes, Allah commande l'équité, » « La société laïciste est devenue suprêmement impie par sa déchéance, dont car le stupide progressisme ultra égalitaire en tout partout, se prétendant de raison et humaniste, se croit à son apogée. Ce qui prouve qu'il s'agit bien que nous vivons une époque de chaos voire d'apocalypse (révélation), puisque dans une contradiction maximale. Or inévitablement par plus ou moins de violence, notre époque s'orientera soit vers une société numérique progressiste déshumanisée dont suite à l'abrutissement des dernières décennies et donc à la soumission des peuples, soit vers une société retournant à l'équité pieuse authentique suite à une exaspération populaire massive. Ainsi actuellement, deux chemins d’égalité sont en concurrence et en lutte. Il s'agit du combat suprême au sein d’une même modernité : celui du dieu mathématique, maçonnique et kabbaliste et celui de la fraternité réelle du Dieu d’amour. Dit autrement encore : le règne menteur de l’égalité formelle, face au règne moral de la fraternité réelle (à travers l'équité) ; le pouvoir des nombres ou l’amour. ... Ainsi la modernité égalitaire perverse a en plus durablement chassé du monde le principe aristocratique, alors que le réel impose partout une évidence hiérarchique, que ce soit dans le monde animal, celui de la culture ou de l’entreprise... Dans notre monde, cette contradiction entre aspiration à l’égalité, synonyme de justice, et impératif hiérarchique, a été humainement résolue par la proposition du Christ, sa « loi naturelle » au sein de laquelle la nécessité hiérarchique est tempérée, moralisée par le souci de l’autre, et basée sur la compassion, comme le sous-entend sa parole : « aimer vous les uns les autres ». Ce chemin d’égalité, qui est tout autre que l’égalité formelle (illégitime) issue de révolution et de la raison mathématique et qui conduit au pouvoir technocratique, puise son origine dans la double composante de l’intelligence humaine, affective et cognitive. Ainsi c’est logiquement de l’effacement de cette dimension de l’intelligence et du message du Christ que provient notre descente vers ce monde froidement mathématique et technocratique qui semble de plus en plus dominé par le diable. ... Pourtant la France originelle avait inventé un processus égalitaire légitime (car synonyme d'équité) basé sur sa double culture grecque et chrétienne, la logique d’Aristote et la charité du Christ qui fondent l’humanisme français, nos valeurs helléno-chrétiennes. … « L’inégalité au nom de l’égalité ! » est un coup de génie qui embrasse toute l’époque, car telle la suprême arnaque sortie de la tête même du diable. (En effet c'est finalement d'abord l'inégalité économique qui apparaît au profit des privilèges de la super classe, comme le prouvent les prêts étudiants US exorbitants. Et cette inversion des valeurs dont donc de l'égalité va jusqu'à empirer vers toujours plus de folie et donc d'impiété, en particulier à travers la transsexualité, le transhumanisme, le mariage pour tous.) Nous avons donc en tant que français helléno-chrétiens authentiques, dans ce combat à mener contre la bête, la froide bête mathématique et technocratique judéo-anglo-saxonne du tout puissant Marché, un rôle fondamental d’opposant historique à jouer. Surtout que la France étant aussi la fille aînée de l’Église, le mère des révolutions et la patrie du cœur et des idées, elle peut donc être en première ligne une fois encore pour y jouer son rôle et y tenir son rang ! … En effet même si pour ce rôle, la France est logiquement au cœur de l'enjeu de la domination satanique du monde, elle détient aussi une grande énergie par ses intellectuels dissidents de diverses origines et donc une des meilleurs opportunités par son histoire pour trouver le chemin du triomphe ultime de la vérité et des peuples. » (Alain Soral) Il est également intéressant de lire ses livres « Comprendre l'empire » et « Comprendre l'époque ». De plus il n'y a plus aucun courage à soutenir le progressisme wokiste, puisque c’est le sens du courant actuel, c'est à dire que c'est validé, porté et même propagé par le système. En effet c'est une idéologie imprimée par les célèbres décideurs du mondialisme connus désormais par tous : Gates, Lagarde, Schwab, Leyen, Macron, Trudeau, Epstein, Lang, et tous leurs obligés des médias ou de la culture qui épandent ce poison wokiste dans les consciences par tous les moyens, dont la télé et le cinéma. Il existe même une nuisante internationale LGBT au pouvoir dans la plupart des pays occidentaux, car cela influe grandement sur leur politique extérieure jusqu'à l'appauvrissement économique en faveur du mondialisme, puisque Poutine et Xi par exemple sont considérés comme homophobes et donc presque ennemis d’États démocratiques. Le processus d’érosion de la souveraineté nationale des États du monde par des moyens se fait économiquement d’abord, mais aussi par une guerre non militaire multidimensionnelle – culturelle, informationnelle, idéologique et surtout cognitive. Et ce, au-delà des grandes rivalités entre États et groupes d’États. Puisque tous les pays du monde acceptent docilement des politiques telles que celles de l’Agenda 2030, la religion du codivisme et du climatisme, des concepts tels que l' « économie verte » et le Développement Durable, la numérisation totale, la suppression de l’argent liquide, les passeports électroniques, les QR codes, les « smart things » – « smart cities » – « smart bodies », etc, tous les conflits entre eux deviennent absolument secondaires face à l’instauration imminente d’une tyrannie globale portant le nom des deux jumeaux fatidiques Technocratie et Transhumanisme. Dans le monde du progressisme wokiste, la famille blanche hétéronormative est considérée comme naturellement trop remplie de préjugés. Elle doit donc laisser sa place a plus d’ouverture. Et pour cela il suffit simplement de promouvoir le multiculturalisme, la diversité et le LGBTisme en discriminant les Blancs. Remplacer le racisme par du racisme ; fallait y penser ; le wokisme l’a fait ! Or de nombreux gens se plaignent de l'évolution de la France tout en aimant les mauvaises dérives progressistes, néolibérales et donc impies qui en sont la cause : « Dieu se rit (est insatisfait) des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes. » (J.B Bossuet) L'impiété de ce progressisme se révèle de plus en plus, car il est comme une machine de guerre détruisant toute civilisation et toute nation dans une forme de crime contre l'humanité le plus authentique, dont à travers la destruction de la famille et de la morale traditionnelle. « Mon voyage en Russie m’a apporté la confirmation définitive que l’Occident libéral était un immense hôpital psychiatrique, dirigé par des fous ! Le transsexualisme, c’est-à-dire l’automutilation du corps, est l’une des formes de la psychose et est aujourd’hui enseigné aux enfants dans les écoles en Occident. Toutes les pathologies mentales et sociales sont au pouvoir en France et en Occident. Ce qui n’est pas le cas en Russie. Cela recoupe à peu près la division du monde entre capitalisme et communisme. Comment expliquer que le communisme et la société russe qui en est sortie soient en meilleure santé mentale que les sociétés qui n’ont connu que le capitalisme et le libéralisme ? Je vais tenter de l’expliquer. Transsexualité, trans-esthétique, transphobie, tous ces types de « trans » sont le désir incontrôlé par lequel le capital occidental tente de dominer le monde. Chez les Russes, la transgression en tant qu’instrument de la volonté de puissance perd son pouvoir. Car le communisme, comme le christianisme, dont la Russie est issue sur le plan civilisationnel, est ce qu’on appelle la « cinquième politique », après la tyrannie, la démocratie, l’oligarchie et la ploutocratie. L’Occident a connu les quatre : le pouvoir des dictateurs, le pouvoir des marchands, le pouvoir des démagogues et le pouvoir de la foule. Platon disait que la démocratie serait la pire des politiques car elle conduirait inévitablement à la tyrannie. C’est ce qui s’est passé avec le pluralisme occidental, qui cache les nationalismes les plus fous et les prétentions mondialistes. Derrière chaque bonbon occidental se cache un autre poison local, et derrière chaque rouge à lèvres mondial se cache du sang ethnique. Le multiculturalisme n’existe pas : il s’agit d’une manipulation mondialiste visant à justifier la perversion et le mal. Tolérer le mal, c’est trahir le véritable événement, c’est trahir le bien, c’est renier le Christ. Le communisme a, dans une certaine mesure, repris le christianisme et enseigné les mêmes choses que l’orthodoxie russe, mais sous une forme laïque : solidarité, volontarisme, collectivisme, sacrifice, amour, justice, liberté réalisée, devoir. Le monde occidental ne fait que parler de liberté, mais il n’est pas libre : il est complètement dépendant de ses désirs et de ses maîtres qui dirigent ces désirs. La Russie n’a pas voulu s’agenouiller devant la société du désir, elle est restée une société de droit et n’a donc pas besoin de la démocratie libérale occidentale. Le mondialisme néolibéral est la pire forme d’esclavage, une forme de mal rampant et transparent. Par conséquent, pour nous, Russes, nos traditions ne sont pas du tout un fondamentalisme ignorant, mais une manière de résister au monde global de l’Occident collectif. Nous sommes passés par le prémoderne, le moderne et, dans les années 90, le postmoderne. Nous avançons, non sans difficultés, non sans craintes, mais nous avançons. L’Europe, en revanche, reste dans la postmodernité par inertie, c’est-à-dire dans une société de désir effréné, un spectacle de mort recouvert de chansons douces sur le confort. Les films de Tarantino le montrent bien, comme ceux de Lynch, de Kusturica, de Stone. Il est temps pour l’Europe de dire adieu aux idoles transnationales américaines. L’Europe a été plus libre tout en restant traditionnelle. J’ai toujours aimé l’école française de philosophie : pour moi, Lacan et Badiou ne sont pas des mots vides de sens, ce sont de grands génies de la pensée. Mais aujourd’hui, l’Europe, en la personne de ses élites, s’est vendue aux mondialistes et se trahit elle-même. Cela vaut pour la droite comme pour la gauche. Les élites corrompues ne se soucient pas de la vie des gens ordinaires, elles ne se soucient pas de la justice de classe. Elles ne se soucient pas non plus des traditions nationales authentiques ; elles transforment toute culture nationale en une attraction touristique. C’est pourquoi je pense que les ailes libres de gauche et de droite de l’anti-mondialisme en Occident, si elles existent encore, devraient s’unir pour préserver la vie humaine en Occident et ne pas être accablées par le mondialisme. Merci Evgenia pour ces analyses de très haut niveau, et à bientôt ! » (Extraits de l'entretien « Lucien Cerise s’entretient avec Evgenia Bilchenko, ancienne égérie de l’EuroMaïdan » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-s-entretient-avec-Evgenia-Bilchenko-ancienne-egerie-de-l-EuroMaidan-73212.html) « Mon voyage en Russie m’a apporté la confirmation définitive que l’Occident libéral était un immense hôpital psychiatrique, dirigé par des fous ! Le transsexualisme, c’est-à-dire l’automutilation du corps, est l’une des formes de la psychose et est aujourd’hui enseigné aux enfants dans les écoles en Occident. Toutes les pathologies mentales et sociales sont au pouvoir en France et en Occident. Ce qui n’est pas le cas en Russie. Cela recoupe à peu près la division du monde entre capitalisme et communisme. Comment expliquer que le communisme et la société russe qui en est sortie soient en meilleure santé mentale que les sociétés qui n’ont connu que le capitalisme et le libéralisme ? Je vais tenter de l’expliquer. Transsexualité, trans-esthétique, transphobie, tous ces types de « trans » sont le désir incontrôlé par lequel le capital occidental tente de dominer le monde. Chez les Russes, la transgression en tant qu’instrument de la volonté de puissance perd son pouvoir. Car le communisme, comme le christianisme, dont la Russie est issue sur le plan civilisationnel, est ce qu’on appelle la « cinquième politique », après la tyrannie, la démocratie, l’oligarchie et la ploutocratie. L’Occident a connu les quatre : le pouvoir des dictateurs, le pouvoir des marchands, le pouvoir des démagogues et le pouvoir de la foule. Platon disait que la démocratie serait la pire des politiques car elle conduirait inévitablement à la tyrannie. C’est ce qui s’est passé avec le pluralisme occidental, qui cache les nationalismes les plus fous et les prétentions mondialistes. Derrière chaque bonbon occidental se cache un autre poison local, et derrière chaque rouge à lèvres mondial se cache du sang ethnique. Le multiculturalisme n’existe pas : il s’agit d’une manipulation mondialiste visant à justifier la perversion et le mal. Tolérer le mal, c’est trahir le véritable événement, c’est trahir le bien, c’est renier le Christ. Le communisme a, dans une certaine mesure, repris le christianisme et enseigné les mêmes choses que l’orthodoxie russe, mais sous une forme laïque : solidarité, volontarisme, collectivisme, sacrifice, amour, justice, liberté réalisée, devoir. Le monde occidental ne fait que parler de liberté, mais il n’est pas libre : il est complètement dépendant de ses désirs et de ses maîtres qui dirigent ces désirs. La Russie n’a pas voulu s’agenouiller devant la société du désir, elle est restée une société de droit et n’a donc pas besoin de la démocratie libérale occidentale. Le mondialisme néolibéral est la pire forme d’esclavage, une forme de mal rampant et transparent. Par conséquent, pour nous, Russes, nos traditions ne sont pas du tout un fondamentalisme ignorant, mais une manière de résister au monde global de l’Occident collectif. Nous sommes passés par le prémoderne, le moderne et, dans les années 90, le postmoderne. Nous avançons, non sans difficultés, non sans craintes, mais nous avançons. L’Europe, en revanche, reste dans la postmodernité par inertie, c’est-à-dire dans une société de désir effréné, un spectacle de mort recouvert de chansons douces sur le confort. Les films de Tarantino le montrent bien, comme ceux de Lynch, de Kusturica, de Stone. Il est temps pour l’Europe de dire adieu aux idoles transnationales américaines. L’Europe a été plus libre tout en restant traditionnelle. J’ai toujours aimé l’école française de philosophie : pour moi, Lacan et Badiou ne sont pas des mots vides de sens, ce sont de grands génies de la pensée. Mais aujourd’hui, l’Europe, en la personne de ses élites, s’est vendue aux mondialistes et se trahit elle-même. Cela vaut pour la droite comme pour la gauche. Les élites corrompues ne se soucient pas de la vie des gens ordinaires, elles ne se soucient pas de la justice de classe. Elles ne se soucient pas non plus des traditions nationales authentiques ; elles transforment toute culture nationale en une attraction touristique. C’est pourquoi je pense que les ailes libres de gauche et de droite de l’anti-mondialisme en Occident, si elles existent encore, devraient s’unir pour préserver la vie humaine en Occident et ne pas être accablées par le mondialisme. Merci Evgenia pour ces analyses de très haut niveau, et à bientôt ! » (Extraits de l'entretien « Lucien Cerise s’entretient avec Evgenia Bilchenko, ancienne égérie de l’EuroMaïdan » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-s-entretient-avec-Evgenia-Bilchenko-ancienne-egerie-de-l-EuroMaidan-73212.html) Ce progressisme est d'autant plus impie, puisqu'il avance toujours même après l'erreur, alors que chercher le meilleur peut être synonyme de s'immobiliser ou de revenir en arrière pour se réorienter, surtout suite à une erreur. Si l'on pouvait partitionner les territoires, puis vivre entre patriotes productifs ou entre mondialistes progressistes, on verrait rapidement que ce dernier modèle s’écroulerait en quelques années et démontrerait ainsi aux générations futures ses grands dangers. Que ce soit le sexisme, le racisme, le spécisme, la xénophobie, l’homophobie, la grossophobie, la transphobie et la kyrielle d’autres phobies moins connues ou en cours d’invention, nous vivons dans l’époque du procès d’intention permanent et de la sycophanterie généralisée. La définition de sycophante correspond à un délateur professionnel déconnant non pas dans un but de justice mais pour s’enrichir. Le retour des soviétiques et des nazis apparaît. En effet il y a du côté soviétique un retour d'une bureaucratie galopante (union européenne) et d'une délation devenue obligatoire, et du côté nazi un retour des mêmes troubles obsessionnels compulsifs d’un Système totalitaire (financier) n’admettant pas la moindre opposition. Il s'agit de deux systèmes qui vont même jusqu’à condamner non seulement les actes et les propos, mais aussi les pensées. Mais aujourd’hui en réalité, il n’y a plus ni soviétisme ni nazisme, mais un mondialisme qui utilise les mêmes ressorts : intoxication mentale des masses par une propagande subtile de tous les instants, car c'est une propagande déguisée en progrès humain, en défense des victimes, en lutte anti-persécutions, en défense de la démocratie, en élan vers la liberté. Surtout que cela se fait à travers des outils de communications dont Staline et Hitler n’auraient même pas osé rêver. En effet ces outils permettent un contrôle massif des opinions, dont via les réseaux sociaux s'étant en grande partie transformés en centrale de surveillance-délation mondiale et via les chaînes d'informations et les séries TV hypnotisant les masses par du mensonge, de la propagande en boucle ou des vérités cachées. « Seule la répétition constante réussira finalement à graver une idée dans la mémoire (la psychologie et la moralité) d’une foule (comme la religion explique que tout ce que nous voyons et entendons entre dans notre cœur en particulier lorsque c'est répété ou non analysé). La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. » (Aldous Huxley) Et que nous vend le mondialisme wokiste ? Un homme nouveau qui sert les intérêts des de la ploutocratie internationaliste corrompue. Cet homme nouveau, qui n’est plus vraiment un homme mais un esclave décervelé, satisfait aux tentacules de l’hydre mondialiste, aux piliers du mondialisme : le féminisme, l’antiracisme perverti (ou le droit-de-l’hommisme et donc le laïcisime, voire le racisme anti-blanc provenant souvent de la pensée décolonialiste, de la shoah surexploitée, de l'antiracisme à outrance, le manque d'éducation des racailles, et de l'ensauvagement voire la wahhabisation des cités, dont via les médias, la repentance, la fausse bien-pensance et le manque d'éducation des racailles de cités, alors que le monothéisme authentique invite clairement au pardon pour repartir sur des bases saines solides et que la grande majorité des humains blancs n'ont aucun rapport avec le mal du passé, n'en sont même pas conscients ni de ses conséquences dans le présent, et subissent plus ou moins consciemment le système oppresseur qui en a découlé), le sionisme, le protestantisme (en particulier calviniste), le maçonnisme, l’anti-christianisme (principalement anti-catholique, anti-orthodoxe, et anti-islamique, ce qui est résumable par le sionisme), l’homosexualisme (et le LGBTisme, ou l'anti-hétérosexualisme), le pornocratisme, le mercantilisme (le libéralisme dérégulé ploutocratique, ou anti-socialiste), la matérialisme, le consumérisme, le jeunisme, l'immigrationnisme, l'égalitarisme (au lieu de l'équitarisme), l'individualisme (ou l'anti-collectivisme sauf celui favorisant la perverse ploutocratie mondiale), le transhumanisme et l’antinationalisme. En effet ces tentacules résume correctement ce pseudo « progressisme » qui est en réalité totalement dégradé moralement et au service du nouvel ordre mondial, cet alliage entre le mondialisme et le messianisme juif impie. Or non seulement ses tentacules se cognent les unes contre les autres comme le prouvent les innombrables bugs dans cette Matrice, mais toutes se cognent contre cette bonne vieille réalité. En voulant diviniser l'homme, le mondialisme progressiste maçonnique l'amène finalement à un rang inférieur à celui des animaux dont car les animaux ne changent pas de sexe comme les transsexuels : (S8v22) « Les pires des bêtes (moralement) auprès d'Allah sont (en vérité) les sourds-muets qui ne raisonnent pas (pieusement). » Or ce ploutocratique wokisme mondialiste qui était au départ basé sur le système de valeurs socialo-sionistes (défendant l'antiracisme, l'immigrationnisme, l'anti-nationalisme) devient encore plus tyrannique, car il se mélange voire s'oriente souvent et finalement logiquement vers le nouveau système de valeurs national-sionistes (individualisme, suprémacisme, racisme, guerre civile, terrorismes, colonialisme, nationalisme sous contrôle), en particulier à travers les transhumanistes et les ultra-riches de Davos. Le culte de l’individualisme mène tout droit au culte de la star, de l’artiste, comme le prouvent de nombreuses tendances sur les réseaux sociaux. Et en faisant devenir les êtres humains des individus rois par le libéralisme libertaire, l'intérêt particulier a devancé la pourtant évidente priorité morale du bien commun source d'apaisement général. Bruno Lafourcade : « C'est un monde sans autres et sans ailleurs, où la présence n'existe plus, où ne reste qu'un soi vide, hagard et pianoteur (sur les appareil numériques), si vide qu'on a besoin pour le remplir d'écrans et de bruits, de casques et d'Ipod. C'est un monde qui a changé de névroses, où le désir est un besoin, la frustration une infirmité, ce que l'on veut doit advenir. C'est le monde du monologue (telles des innombrables orgueilleuses opinions individuelles paresseuses, bâclées, incertaines, dont religieusement car souvent sans avoir même étudier la base véridique des grandes religions monothéistes, s'épanchant trop souvent en particulier sur le net, dans une forme d'inanité comme il est possible d'enrober moralement n'importe quoi), de la geignardise, et du sanglot, où l'on est poussé à s'exprimer et à se confier, où l'on ne peut donc plus écouter ni se taire, où la bouche a tué l'oreille, et le bruit la musique. C'est un monde sans humour, puisque c'est un monde de femme, et plus de femme que de maman. C'est le monde des kiss, des seflies, des prouds (fiers) et des bears (ours en peluche), le monde de la poule, du cul, et de la bouche en cul de poule, c'est un monde grotesque, et au premier degré. (Or ce narcissisme et cet égocentrique dont via les selfies va très probablement se ringardiser avec la prochaine génération, surtout qu'une personne faisant ça auparavant aurait été moqué par tout le monde.) » En effet la Sainte Foi de Dieu étant oubliée, chaque individu voudra se guider par lui-même et être supérieur à ses semblables dans sa conception morale même si elle est gravement erronée, alors que le Prophète (SBDSL) a dit : « Que celui qui croit en Dieu et au Jour dernier dise du bien ou qu'il se taise. » (Boukhari et Mouslim) Ainsi il est conseillé de tourner sept fois la langue dans la bouche avant de dire un mot, car c'est la moisson des mauvaises actions de la langue ou du sexe qui le plus souvent jette les gens dans l'Enfer. Proverbe : « Si ce que tu vas dire n'est pas plus beau (ni de plus important) que le silence, alors tais-toi. » Or ces innombrables opinions erronées synonyme de multiples égarements extraordinairement divers ne sont globalement pas naturelles aux peuples, et finissent par prouver à beaucoup la nocivité du ploutocratique nouvel ordre mondial wokiste. Ce qui signifie qu'il est en train de perdre sa force, et même d'entrer dans une phase de déclin, en particulier suite au réveil des peuples souverainistes. Mettre en lumière le pervers pouvoir profond occulte, mondialiste, wokiste et ploutocratique en le dénonçant tout en recherchant la souveraineté nationale totalement indépendante des USA fait partie des meilleures premières armes pour vaincre. En effet quand un réseau est mis en lumière, il perd une partie de sa puissance, ou de sa nuisance, et quand la souveraineté nationale est retrouvée, elle n'a plus les mains liées. Azzoubeyr Ibn Adi (SDP) a dit : Nous nous rendîmes auprès de Anas Ibn Mâlik et nous nous plaignîmes à lui du mal que nous faisait Al Hajjaj. Il leur dit : « Patientez car chaque temps qui vient sera pire que le précédent, et cela jusqu’à ce que vous rencontriez votre Seigneur (ou jusqu'au retour de Jésus signifiant d'ailleurs en partie la même chose, puis après jusqu'au Jugement Dernier). J’ai entendu cela de votre Prophète (SBDSL). » (Boukhari) Le hadith précédent est aussi une image de notre époque, puisqu'elle nous amène à vivre chaque jour dans un monde allant de pire en pire à travers un pervers progressisme fou puisque sans limite ni donc raison. Surtout qu'il est entretenu par la dégradation morale générale des politiciens. D'autant plus que suite Covid 19 ayant renfermé beaucoup de monde, il y a une nette orientation vers l’euthanasie des plus de 60 ans, l’infantilisation des 18-60 ans, l'identification numérique de tous, et le façonnement des petits enfants pour un future sans culture, ni foi ni loi sauf celles du big data des multinationales, de big pharma et des banques too big to fail. Toutes ces « idées » étaient en germe dans le Talmud et la franc-maçonnerie. Il faut donc comprendre que la propagande a évolué parce que la conscience politique de la domination a aussi évolué. Les propagandes soviétique et nazie ne pourraient aujourd’hui plus fonctionner, elles sont trop épaisses, évidentes, et donc contre-productives. Les formes nouvelles de la propagande mondialiste sont beaucoup plus subtiles et associent ses victimes à une victoire morale, au formatage à la supériorité de l'idéologie wokiste, transhumaniste, mondialiste et ploutocratique, et à une justice généralisée qui ne vient jamais et qui se transforme tranquillement en cauchemar : eugénisme, et destructions de la famille, du couple, de l’amour, des nations, des cultures, de l’histoire, de l’intelligence, de la volonté, de l’inspiration. Il suffit d'allumer sa télé cinq minutes ou la radio d’État, sans même parler des programmes scolaires, pour comprendre la baisse programmée du niveau intellectuel et donc moral du peuple par les autorités qui se cachent... C’est le résultat objectif du pervers mondialisme appliqué à la France depuis un demi-siècle, Mai 68 étant le top départ de ce basculement. Il est désormais reconnu que Mai 68 fut une révolution judéo-sioniste laïciste et messianiste dont contre le Général de Gaulle souverainiste et la France catholique. Avant 68, la France était encore la France, depuis elle est devenue ce pays torturé tout en douceur par les tentacules mondialiste, afin de la spolier jusqu'à lui effacer son originalité socialiste trop exemplaire pour le monde et donc trop inquiétante pour le cupide, avide, égoïste et donc pervers système ploutocratique anglo-saxon. Ses valeurs catholiques ont été visées au premier chef, car elles sont un axe de résistance millénaire et enraciné. Le détournement de la gauche socialiste en gauchisme sociétal y a d'ailleurs fortement participé. En effet ce gauchisme est un programme du mondialisme pour arnaquer encore plus profondément les pauvres. En effet le gauchisme sociétal libertaire ultra immigrationniste a les mêmes conséquences que la droite ultra libérale financière usurière. On le reconnaît à son absence d’argument solide qu’il remplace par des imprécations, des anathèmes, et des dénominations réductrices. Il fera tout pour éviter de débattre car ses arguments sont creux et vains. « Il est quasiment impossible de déprogrammer un gauchisé à 100 %. Il mourra gauchiste, après avoir fermé les yeux sur les contradictions qui vont nécessairement jaillir dans son existence (on pense au couple bobo qui enseigne l’antiracisme à son enfant unique qui se fait racketter à la sortie du collège). Car le réel viendra constamment mettre en défaut sa structure mentale, ou ce qu’il en reste. Cela s’appelle une souffrance existentielle, due à une mauvaise carte mentale du réel. Pourquoi il est important de connaître les lois physiques ? Pour ne pas mourir bêtement (tomber dans un ravin, par exemple, ou traverser une autoroute à pied). De la même façon, connaître les lois humaines permet de ne pas souffrir inutilement. Las, le gauchisme les nie pour imposer ses propres lois – les droits des minorités –, qui ne marchent pas. On n’a évidemment rien contre Mathilde, qui chante sa souffrance, c’est-à-dire son décalage par rapport au réel, une pathologie non répertoriée qui s’appelle gauchisme. Le gauchiste est par essence inadapté : le comble, c’est de devoir refuser une partie du réel pour sauvegarder sa structure mentale. D’où son inextinguible besoin de gauchiser les autres, et de considérer que seul le gauchisme est viable, n’y voyant aucune contradiction avec les pires thuriféraires du totalitarisme. Pour survivre en effaçant le doute, le gauchiste devient donc forcément totalitaire et contagieux. Si le mal au dos est le mal du siècle, alors le gauchisme est la maladie mentale du siècle, celle qui nous mène tout droit à la décivilisation, à la barbarie, à la guerre fratricide. » (Rédaction ER) Finalement ce gauchisme sociétal, c’est le radicalisme de la bêtise voire du néant, mais c’est donc aussi le meilleur instrument des maîtres prédateurs malfaisants dont font partie les avides financiers internationalistes corrompus. En revanche l’Église qui rejette les mondialistes tentacules wokistes, actionnées par les ingénieurs sociaux de Satan, doit brûler. Et c’est pourquoi de nombreuses d'églises françaises dont la cathédrale « Notre Dame de Paris » brûlent, sans alertes médiatiques fréquentes : ce sont les signes de la guerre occulte de plus en plus concrète et grave contre le Bien. Ici il faut noter que si le quartier Notre-Dame et l'Ile de la cité n'ont pas été privatisés pour devenir commercial, c'est parce que la dénonciation a été massive via les réseaux sociaux, ce qui prouve que les plans sournois révélés ne se réalisent généralement pas et donnent de l'espoir à tous les humains de bonne volonté. Possiblement en s'occupant principalement leur origine, il faut donc une réponse synthétique à toutes les progressistes offensives mondialistes : LGBTQ, immigration de remplacement, infécondité des Européens, individualisme, déracinement et désaffiliation, confiscation fiscale, contrôle étatique et mercantile, règne de la machine et tyrannie de l’argent... Cette réponse pourrait aussi être une riposte via un mouvement bioconservateur intégral et assumé qui se donne pour programme la préservation de tous nos cadres de vie naturels : sexes, famille, patrimoine, patrie, nation française, civilisation européenne et religion chrétienne voire musulmane. Ce bioconservatisme serait à la fois populiste et de droite. Faisant la jonction des classes populaires et des classes moyennes, il aurait pour base-arrière la ruralité et la France périphérique. En effet c’est une formule en mesure de répondre aux aspirations des populations et de garantir la constitution d’un bloc de gouvernement de salut public. La philosophie authentique est aussi logique que les mathématiques. Ainsi la raison étant basée sur des limites lui évitant de devenir insensée dont par une prise de conscience responsable et de la maîtrise émotionnelle, lorsqu’elle viole et dépasse les limites naturelles dont par le progressisme ou le transhumanisme, elle devient par conséquent folie. C’est incontestable. Surtout que pour certains, le progressisme wokiste doit amener à la numérisation biologique synonyme d'une déconstruction et donc d'une disparition de l'humanité jusqu'au cyborg. Et vous savez pourquoi tout est possible ? Parce que les esprits sont égarés. Et pourquoi sont-ils égarés ? Parce que tout est possible, il n’y a plus de frontières. Comprendre que tout est colonisable. Or cette folle idée, dont car grandement impie, est très étrangement souvent promotionnée dans les médias dominants du système, puisqu'elle provient de peu de personnes. (S30v30) « Dirige tout ton être vers la religion exclusivement (pour Allah), telle est la nature qu'Allah a originellement donnée aux hommes - pas de changement à la création d'Allah (dont donc le fondement principal qu'est la nature de tout élément de la Création)-. Voilà la religion de droiture, mais la plupart des gens ne savent pas. Revenez repentants vers Lui, craignez-Le, accomplissez la Salat et ne soyez pas parmi les associateurs, » Il est intéressant lire à ce sujet l'excellent article « Élus ou ordinaires » de Gilad Atzmon à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Elus-ou-ordinaires-62096.html , et de voir les excellentes vidéos sur YouTube.com : « COMPRENDRE LE PROGRESSISME EN FRANCE (ET LA "CANCEL CULTURE") » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=kV3yKQHxpSI&feature=emb_title, et« De la possible agonie du progressisme » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=x6Frv6hTo5k&feature=emb_title Cet endoctrinement wokiste synonyme de superficialité se répandant va même jusqu'à contaminer les études scolaires. Par exemple en histoire, l’étude événementielle est bannie. Et en mathématique les déduction abstraites de la géométrie sont de plus en plus écartées. Du coup, le fil conducteur de l’enseignement reste essentiellement doctrinal sans aucun repère chronologique et sans raisonnement logique. La réalité n’est donc plus au cœur de l’enseignement, la rigueur non plus. On arrive donc à cette absurdité pédagogique qui est de demander à un élève d’effectuer un travail de synthèse alors qu'il a été privé des éléments didactiques lui permettant d’acquérir une connaissance suffisante pour élaborer une analyse. En effet ce préalable est évidemment indispensable à l’élaboration d’une synthèse cohérente et justifiable. Serge Carfantant, un enseignant de philosophie de khâgne, a résumé l’instrumentalisation de l’enseignement pour la maîtrise des masses en reprenant des éléments déjà avancés dans « L’obsolescence de l’Homme » (Günter Anders) et « Le meilleur des mondes » (Aldous Huxley). C'est à dire qu'il a parfaitement exposé le rôle de l’instruction dans le formatage des individus. On peut d'ailleurs rappeler ces paroles de Günther Anders reprises par Aldous Huxley concernant la réussite d'un totalitarisme : « L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains, comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste, et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. » Or le progressisme wokiste pouvant aussi être désigné sous le nom du « modernisme », car ce terme est dans un sens déconstructeur de toutes les valeurs passées, cela mène logiquement en phase terminale à du nihilisme et donc à sa propre destruction, puis à un retour inexorable vers Dieu par son manque absolu de valeur et ainsi une déception totale. Cependant le post-modernisme inévitable ne concerne que le bas de la société car les oligarques pervers chercheront toujours à demeurer dans le modernisme. Ainsi après le modernisme ayant été souvent de manière inédite hyper matérialiste, il est très probable que le post-modernisme populaire sera hyper spirituel. Or l'hyper spiritualité ne signifie pas de devenir sans biens matériels ni proximité sociale, mais de valoriser et vivre intensément même le peu que nous avons comme proches et biens ainsi que la Création, tout en tendant grandement vers la justice, la meilleure noblesse, la religion et Dieu. Comme une bonne et donc authentique montre est celle qui donne l'heure, un bon et donc authentique homme est celui qui défend la nature humaine et ses meilleurs aspects. Les contraintes naturelles et les bonnes valeurs qui en découlent ne peuvent donc qu'être opposées au libertarisme, et ainsi au relativisme, et ainsi au progressisme wokiste, et ainsi au transhumanisme, et ainsi au transsexualisme, et ainsi au Lgbtisme. Surtout que comme les valeurs sont par essence communes, elles ne peuvent être individuelles, sinon elles n'ont pas de sens, sont qualifiables d'intérêts particuliers et empêchent donc de parvenir au bien collectif. Par conséquent le meilleur système de valeurs est celui qui apporte tous les meilleurs bienfaits spirituels, moraux, physiques, matériels et donc particulièrement sociaux. Ce qui est le cas de l'islam lié en plus à l'irréprochable Paradis éternel. Ainsi enfin, la lutte folle du progressisme wokiste, mondialiste, oligarchique et sioniste contre la pieuse intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence avant que par choix, cherche à transcender perversement les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres, en abolissant toutes les lois dans une interprétation corrompue du sens du retour promis à l'Eden terrestre où il n'était interdit que de manger d'un fruit. En effet celui-ci ne pourra évidemment réapparaître que sous forme complétée par l'élévation morale de l'humanité suivant les règles divines entièrement révélées ainsi que le caractère, la moralité et le mode de vie prophétiques, et certainement pas suite à une stupide disparition de la loi naturelle divine qui autoriserait mariage homosexuel, racialisme, transsexualité, transhumanisme dont numérique, etc. D'ailleurs pour reviriliser la société française, il faut abolir tous les sacrements de la religion laïque : avortement, mariage homosexuel, transsexualité, wokisme généralisé, dont car sinon cela ne sert à rien de se prétendre guerrier face à la Russie et la Chine. Le principal mérite de l'homme n'est donc pas d'établir librement sa propre loi ou sa propre conclusion morale par sa raison surtout si elle sont folles, mais de librement suivre et grandir au mieux celles divines par choix après avoir reconnue la foi par la raison et le cœur. « Nous assistons à un suicide démocratique : avortement, mariage homosexuel, transsexualité, et euthanasie. Et avec la mise en circulation massive des techniques contraceptives puis abortives modernes, chaque génération est désormais en situation de décider s’il y aura une génération suivante ou non. (Les nombreux dirigeants occidentaux sans enfants représente déjà une forme de nihilisme comme le système actuel défendant donc l'avortement, l'homosexualisme, la transsexualité, tous cause de baisse démographique.) Il s'agit du grave choix d’arrêter la reprogrammation de la vie. Comme l’a observé le grand historien Pierre Chaunu, le crach de la foi a été l’élément psychologique central du collapsus démographique. Tous les anthropologues vous le diront, la foi est la célébration de la fertilité, l’exaltation du génératif. Il y a là une corrélation absolue : la crise de la reproduction de la vie aura été la conséquence de la crise de la reproduction des systèmes de sens qui lui donnaient une signification, les grands systèmes qu’ils soient spirituels ou politiques. Les Français, comme l’indiquent toutes les enquêtes de l’opinion, ont cessé non seulement de pratiquer mais aussi de croire dans un au-delà après la mort. Ils sont majoritairement devenus des sociétaires du néant, des sans-abris transcendantaux. En désertant l’espérance chrétienne, ils ont également rejeté la vie. En effet, brusquement, les années 1964-1965 mettent fin à la prodigieuse dynamique du baby-boom amorcée dès 1942. Un cycle s’achève alors dans la fermentation de changements majeurs : prééminence de l’affectif sur le collectif, primat du socio-culturel sur le biologique, dissolution du sens de la continuité historique qui laisse place à l’impérialisme du moi. Je lisais cette semaine dans la presse que 90% des Français, selon un sondage Harris Interactive, se déclarent aujourd’hui favorables à l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution. Et savez-vous dans quel électorat le score d’adhésion à cette idée est le plus élevé ? Celui de la France Insoumise ? Non. Celui du Rassemblement National ! 91% à l’unisson de Marine Le Pen adhérent à cette idée, confirmant d’ailleurs la métamorphose sociologique et idéologique de cet électorat, qui passe du statut de “peuple-nation” à celui de “peuple-classe”, selon une conception purement et exclusivement matérialiste. Ainsi donc, la France s’apprête à inscrire dans la loi suprême ce qui est à l’origine de son déclin. Nous nous apprêtons à faire de notre sortie de l’histoire un principe de vie commune. Dans ces conditions, il est parfaitement abusif de parler, comme vous l’entendez dès que vous ouvrez aujourd’hui le moindre média audiovisuel, de guerre de civilisation à propos de la situation que nous vivons. Ce qu’on nous propose de défendre face à l’Islam, ce n’est plus la civilisation traditionnelle de l’Occident, c’est une non-civilisation, une décivilisation, pour macronner, pour parler comme Macron. La religion, ce sont les murs porteurs d’une civilisation : retirez-les et tout l’édifice s’effondre. La part de sacré que contient le nouvel Islam en France nous est devenue complètement étrangère, si bien qu’il y a dans une certaine détestation de l’Islam, il faut bien le reconnaître, un violent rejet de vertus dont ce dernier s’est fait le conservatoire et que nous avons perdues en cours de route : abnégation, sacrifice de soi, sens de la communauté. Qu’avons-nous à opposer à l’Islam dans cette soi-disant guerre de civilisation ? Qu’avons-nous à opposer à la nuit islamiste hormis l’obscénité marchande, la laïcité et le droit au blasphème, le gauchisme culturel et l’idéologie du genre ? Ceux qui vaticinent et semblent en appeler à un scénario de guerre civile sont des inconscients et des irresponsables. Qui voudra mourir demain pour le drapeau arc-en-ciel ? Car notez-le, la République, qui reconnaît le droit au blasphème quand il s’agit de Dieu, a créé un nouveau périmètre du sacré, une sorte de religion civile pour tout ce qui concerne les droits des minorités. Là, non seulement le blasphème est interdit mais il est sévèrement sanctionné à travers tout l’arsenal dispositif que le législateur a institué à l’encontre des blasphèmes attentatoires aux valeurs de la République. Ces chères valeurs de la République ! A ces soi-disant valeurs, il est accorde une protection qu’il est refusé aux religions monothéistes. Cela s’appelle la loi Pleven, la loi Gayssot, la loi Taubira sur la traite des noirs et l’esclavage, la loi Raffarin sur l’homophobie, j’en passe et des meilleures. (Or) Lorsque les idéologiques politiques n’ont plus rien de religieux, lorsqu’elles ne sont plus capables de fournir autre chose qu’un opium frelaté, un opium de mauvaise qualité, ce sont les croyances religieuses qui se repolitisent. Avez-vous remarqué, chers amis, que c’est l’espérance qui mobilise, qui galvanise ? C’est toujours un passé à faire revenir. Non le passé comme nostalgie stérile mais comme énergie accumulée, ressource de l’imaginaire, matériau de création ; non le passé comme lieu de repentance et de culpabilité, mais comme bouclier de protection contre tout ce que cette époque sans limite charrie de hideux, d’inhumain et de déraisonnable. Une histoire vécue ne se ressasse pas. Elle est une réserve de sagesse, une certitude exemplaire, une action génératrice d’actions. Le préfixe « arché » (comme dans archétype) nous le dit, il signifie étymologiquement « ce qui commence et ce qui commande ». Chers amis, n’en doutons pas, notre salut, notre chance de renaissance est suspendue à l’intelligence de ce que nous avons été et que nous ne sommes plus. » (Extraits de l'ultime conférence de Patrick Buisson, qui a eu lieu lors de la fête du Livre en décembre 2023) « Le wokisme, présenté comme un éveil à la tolérance, se révèle être une idéologie radicale aux conséquences désastreuses. Bettina Flores, auteure et ancienne enseignante, dénonce dans son ouvrage "Le wokisme : nouvelle morale du bien ?" une dérive totalitaire qui s’attaque aux fondements de notre société. Entre cancel culture, manipulations médiatiques et ingénierie sociale, le wokisme instrumentalise les luttes légitimes pour imposer un agenda politique destructeur. Bettina Flores souligne notamment les dangers de la transidentité imposée aux enfants, les dérives de l’écriture inclusive et la réécriture opportuniste de l’Histoire. Sous prétexte d’inclusivité, cette mouvance promeut en réalité l’intolérance, criminalisant toute dissidence. Pire, elle s’attaque à la famille et à l’éducation, transformant les écoles en laboratoires idéologiques. Derrière les bonnes intentions se cache un projet de société mortifère, où la science et la raison cèdent le pas au dogme et à l’émotion, au profit du mondialisme oligarchique, sioniste et malthusianiste. Une menace qu’il est urgent de combattre. » (Média en 4-4-2)
L'évidente interdiction de l'inceste :
Ce qui fait religion, civilisation et société humaines, c'est avant tout l'interdit de l'inceste puisque seuls certains animaux très sauvages le pratiquent parfois. Or nous sommes arrivés à une satanique époque wokiste où l'interdiction de l'inceste pour des adultes consentants a été retirée par la république maçonnique, gauchiste, mondialiste, ultra-libéraliste, oligarchique, diabolique et sioniste au nom de la prétendue liberté individuelle, alors que pour la domination sur les peuples particulièrement contrôlables quand ils sont rabaissés moralement. L'interdiction de l'inceste généralement ressentie clairement par le cœur et l'âme sert aussi à comprendre divers sens dignes de certaines limites, des degrés de la pudeur, l'importance du juste milieux dans les qualités spirituelles, le respect pur par essence lié à la chasteté obligatoire dans les relations familiales en dehors de celle conjugale, différents aspects de la proximité avec les différents membres de la famille, et donc le niveau comparable à Dieu de noblesse exclusivement pure à travers les relations familiales sauf celle conjugale devant tendre jusqu'à celles sociales. D'ailleurs la consanguinité est souvent synonyme de maladie dégénérative.
L'interdiction de l'euthanasie :
L'époque à laquelle vivait le Prophète (SBDSL) paraît importante pour l'établissement de certaines règles religieuses. En effet vu qu'il n'y existait pas de médecine moderne à cette époque et que le maintien très prolongé de la vie du patient artificiellement n'y était pas possible, cela semble prouver que l'euthanasie passive envers des personnes végétative est autorisée. C'est à dire que n'ayant plus de fonctions cérébrales, on peut considérer qu'elles sont dans une mort cérébrale possiblement synonyme de mort, puisque de l'esprit et donc de l'âme et donc du corps. Or par le sédation, il est évidemment possible d'accompagner cette personne ne pouvant plus se nourrir vers sa fin, de même qu'une personne à qui il ne reste que peu de jours à vivre en particulier si elle souffre beaucoup ou si elle souhaite arrêter des soins en particulier pour acharnement thérapeutique ou désagréables effets secondaires, car ça demeure les dernière limites de l'euthanasie passive. D'autant plus que même si il est incontestable que préserver une vie est noble, le savoir-faire scientifique peut devenir un abus et donc une faute lorsqu'il porte atteinte à la dignité de l’homme en l'empêchant de rejoindre son Seigneur semblant être la meilleure direction dans ce genre de situation. Or évidemment, entretenir une personne végétative permet l'existence d'un pieux service éventuellement rémunéré, la valorisation de la santé, la compréhension de nombreux bienfaits divins corporels, l'attente d'un découverte scientifique pour la guérir, et un possible prélèvement de ses cellules reproductrices en cas de raréfaction importante de l'humanité. Sinon tout extrémisme étant interdit en islam, l'acharnement thérapeutique peut être considéré comme extrême et donc comme interdit, surtout que s'approchant d'un non-sens, d'une perte économique et d'une occupation possiblement synonyme d'éloignement du bien commun, d'autant plus si les personnes végétatives sont nombreuses et ne produisent ni n'apportent rien à la société voire provoquent son affaiblissement. De toute manière, il est indéniable qu'une personne dans un état végétatif peut donc être plus considérée comme morte que vivante. Ainsi une personne ne pouvant vivre sans boire plus d'une semaine ni manger pendant plus de 40 jours, les personnes végétatives peuvent ne plus être maintenue en vie au-delà des ces délais en particulier dans les pays pauvres, car ce sont principalement les pays riches ou développés qui peuvent se poser la question d'un maintien en vie d'une personne végétative, et en fonction du choix des proches ou d'une éventuelle volonté exprimée par la personne concernée auparavant. En effet cela paraît une fourchette raisonnable de prolongation thérapeutique de la vie, sauf évidemment si la constatation d'une grossesse en cours a été détectée. C'est donc apparemment pour ce type de compréhensions que le Prophète (SBDSL) est venu avant la technologie moderne, mais aussi pour laisser plus de temps à ses compagnons afin qu'ils vivent mieux la religion sans les multiples divertissements dont médiatiques ou autres tentations actuels et qu'elle se propage donc plus facilement, surtout que malgré de grands égarements pré-islamiques, la principale pratique qu'ils devaient difficilement arrêter était de boire de l'alcool, et tout ceci explique pourquoi légitimement à notre époque, les croyants tendant à suivre la religion complètement et ayant un bon comportement, auront la valeur de 50 compagnons du Prophète (SBDSL) et donc plus de récompenses qu'eux, même s'ils auront logiquement moins d'honneur par la position honorable de ces compagnons ayant soutenu le Prophète et l'islam à leur début, d'autant plus qu'ils n'auront pas profité du puissant moteur spirituel que fut le Prophète (SBDSL) en le voyant, mais en lisant des hadiths. Or il faut prendre en compte que « Le réveil d’une mère qui n’avait aucune activité cérébrale remet encore davantage en question la conception médicale de longue date de ce qu’on appelle la «mort cérébrale».Une mère de 36 ans sans activité cérébrale s’est réveillée après avoir entendu la voix de sa fille d’un an. Le père Michael Orsi, qui a entendu le récit détaillé de l’épisode par l’une des infirmières anesthésistes impliquées, a déclaré que la femme s’était récemment rendue à l’hôpital pour une double endoscopie. Alors que les patients se réveillent normalement dans les cinq à dix minutes qui suivent la fin de l’intervention, la mère ne s’est pas réveillée – le personnel de l’hôpital a constaté que son cœur s’était arrêté. Elle a bénéficié d’une réanimation cardiopulmonaire et son cœur a rapidement repris ses battements. Croyant qu’elle avait subi un AVC, ils ont envoyé la mère passer une IRM et ont découvert qu’elle n’avait plus d’ondes cérébrales. Elle a ensuite été transférée à l’unité de soins intensifs et mise sous respirateur pour l’aider à respirer. près deux jours aux soins intensifs, le mari a dit à l’infirmière de garde que si sa femme pouvait seulement entendre la voix de sa fille d’un an, elle irait bien. Étonnamment, lorsqu’il a demandé à sa fille de parler à sa mère sur son téléphone portable, elle s’est réveillée. Elle était «en parfait état», selon Orsi. Le prêtre a vérifié les détails de la chaîne des événements auprès du médecin de la femme, le Dr Omar Hussein, qui a également confirmé à la presse américaine que la mère s’était réveillée en entendant la voix de sa fille. Le Dr Hussein a déclaré qu’il n’y avait aucun moyen d’expliquer scientifiquement ce qui s’était passé Le Dr Heidi Klessig a récemment expliqué que de tels cas de récupération après des EEG plats (sans ondes cérébrales) peuvent probablement être attribués à une condition appelée pénombre ischémique globale, ou GIP : Comme tout autre organe, le cerveau arrête sa fonction lorsque son flux sanguin est réduit afin de conserver son énergie. À 70% du flux sanguin normal, le fonctionnement neurologique du cerveau est réduit et à 50% de réduction, l’EEG devient plat. Mais les lésions tissulaires ne commencent pas tant que le flux sanguin vers le cerveau ne descend pas en dessous de 20% de la normale pendant plusieurs heures. La GIP est un terme utilisé par les médecins pour désigner cet intervalle pendant lequel le flux sanguin du cerveau se situe entre 20 et 50% de la normale. En cas de GIP, le cerveau ne répond pas aux tests neurologiques et ne présente aucune activité électrique à l’EEG, mais il y a toujours suffisamment de flux sanguin pour maintenir la viabilité des tissus, ce qui signifie que la guérison est toujours possible. En cas de GIP, une personne apparaîtra en état de «mort cérébrale» selon les directives médicales et les tests actuels, mais avec des soins continus, elle pourrait potentiellement s’améliorer. Le mois dernier, le New York Times a partagé les résultats d’une vaste étude qui a révélé qu’au moins un quart des patients non réactifs (ceux diagnostiqués dans le coma, dans un état végétatif ou dans un état de conscience minimale) ont une certaine conscience. Au cours de l’étude, des équipes de neurologues ont demandé à 241 patients non réactifs d’effectuer des «tâches cognitives complexes», comme s’imaginer en train de jouer au tennis. Fait remarquable, 25% des patients ont présenté «les mêmes schémas d’activité cérébrale que ceux observés chez les personnes en bonne santé». «Ce n’est pas bien de savoir cela et de ne rien faire», a fait remarquer le Dr Nicholas Schiff, neurologue à Weill Cornell Medicine. «Cela jette une lumière nouvelle sur l’affaire Terri Schiavo», a déclaré le père Orsi, faisant référence à la décision d’un tribunal d’autoriser le mari d’une femme souffrant de troubles cognitifs et se trouvant dans un état végétatif persistant à se voir refuser de la nourriture et de l’eau afin qu’elle meure d’une mort lente et douloureuse par déshydratation. Le prêtre a souligné les implications de ces découvertes pour les soins aux patients non réactifs, y compris en réponse à leur capacité de détresse mentale. «Imaginez la terreur que cela représente, d’entendre ce qu’ils vont faire», a-t-il déclaré à propos des moments où la décision est prise de débrancher un patient qui ne réagit pas. «Ou d’entendre qu’il est temps d’appeler l’équipe de transplantation d’organes. C’est horrible». Les directives américaines sur la «mort cérébrale» ont été révisées cette année pour préciser que cette maladie survient chez des personnes ayant subi une lésion cérébrale catastrophique et ne présentant aucune preuve de fonctionnement du «cerveau dans son ensemble», une condition qui doit être «permanente». Klessig a souligné que «selon la formulation du «cerveau dans son ensemble», les personnes peuvent être déclarées mortes alors que certaines parties du cerveau fonctionnent encore, comme le montre l’activité électrique à l’EEG». Klessig a également souligné le fait que, selon la nouvelle directive, «le comité a choisi d’utiliser le terme permanent pour signifier que la fonction a été perdue et ne reprendra pas spontanément, et que les interventions médicales ne seront pas utilisées pour tenter de restaurer la fonction». «Le fait que les interventions médicales ne seront pas utilisées implique qu’elles auraient pu être utilisées et qu’elles auraient pu être efficaces si elles avaient été utilisées. Ce seul fait montre que ces personnes ne sont pas mortes, car il existe une possibilité de réanimation !» a-t-elle écrit. Klessig a noté que le diagnostic de mort cérébrale devient «une prophétie autoréalisatrice : la plupart des personnes diagnostiquées avec un trouble bipolaire ou une maladie neurodégénérative du cerveau voient très rapidement leur soutien leur être retiré ou deviennent donneurs d’organes». Klessig demande que les directives de l’AAN soient abandonnées au profit de «la définition traditionnelle de la mort : l’arrêt de la fonction cardio-pulmonaire». «La mort cérébrale est une fiction juridique qui prive de leurs droits civiques les personnes vulnérables atteintes de lésions cérébrales, qui, en vertu de la Constitution des États-Unis, possèdent un «droit inaliénable à la vie», méritent d’être protégées et devraient être traitées comme des personnes handicapées mentales (quand c'est matériellement ou/et financièrement possible) », soutient Klessig. » (Léo Kersauzie) Concernant l'euthanasie active, c'est à dire par rapport à une personne hors état végétatif, il est évident qu'elle est formellement interdite puisque le meurtre est illicite et cela pourrait conduire vers la dérive du suicide assisté. Or le 10 avril 2024 le gouvernement français a soumis un projet de loi sur l’aide à mourir. Le texte parle « d’aide à mourir » alors qu’il s’agit clairement d’un suicide légalisé. Ainsi, par le choix des mots, le gouvernement cherche à tromper le public. Cette loi intervient quelques semaines après la constitutionnalisation du droit à l’IVG. Ainsi, nous pouvons observer un accroissement de lois sociétales conduisant à nier le droit à la vie, voire à valider le droit à la mort ou actuellement le droit et l'aide à la fin de vie en paix (soins palliatifs, accompagnement pour apaiser la maladie et la douleur). Il y a donc l’idée nauséabonde que toutes les vies ne mériteraient pas d’être vécues, et que certaines devraient être abrégées. Ou encore, l’idée que certains combats ne devraient pas être menées. Ce fatalisme ambiant est annonciateur d’une époque sans rêve et sans espoir. En conclusion, une société qui fait de la liberté fondamentale de mourir, une valeur plus forte que celle de vivre, est une société sans avenir. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Aide à mourir ou suicide assisté » de l'avocat David Guyon à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=rNl20_Dhi2A&t=641s Ainsi l'éventuelle légalisation du suicide assisté en France soulève des questions éthiques et philosophiques profondes sur la valeur de la vie humaine et la responsabilité de la société envers les personnes souffrantes. Il est important de réfléchir aux implications potentielles de cette loi et de considérer d’autres moyens de soutenir les personnes en fin de vie, tels que les soins palliatifs et le soutien psychologique. « « Ce texte d'aide à mourir (finalement validé par l'assemblée nationale) signe une nouvelle victoire de l’individualisme sur le collectif, la sollicitude et la fraternité. Le projet de loi ne nomme pas correctement ce qu’il autorise : le suicide assisté et l’euthanasie, comme l’ont fait avant nous tous les pays qui les ont légalisés. L’aide à mourir, ce sont les soins palliatifs et la sédation profonde et continue. Aider à mourir, ce n’est pas faire mourir. Par ailleurs, le gouvernement dit vouloir mettre en avant le suicide assisté. L’euthanasie serait réservée au cas où le patient ne peut s’administrer lui-même la dose létale. Mais le texte ne consacre pas une procédure qui garantisse le caractère exceptionnel de ce geste. Dans la pratique, celui-ci sera posé dans l’intimité de la chambre du malade. Dans les statistiques, on recensera des suicides assistés. Qui saura ce qui s’est réellement passé ? Il s’agit d’une incertitude majeure que le débat parlementaire doit dissiper. Car dans tous les pays où ces deux manières de donner la mort ont été introduites, l’euthanasie a totalement supplanté le suicide assisté. En outre, l’association de proches du patient à l’acte létal, même avec son accord, ne semble pas exclue. Elle doit être prohibée en raison d’évidents risques d’abus de faiblesse, voire de conflit d’intérêts. Il est clair que la mort administrée va engendrer des économies non négligeables, déjà évaluées par le gouvernement canadien. Il aurait pu être procédé à ce chiffrage en s’appuyant sur un rapport de l’Igas sur les dépenses de l’Assurance-maladie en fin de vie qui s’élèvent à 6,6 milliards d’euros par an. Si l’on transpose à la France le taux de mort administrée du Québec, on peut estimer les économies à 1,4 milliard d’euros par an à terme pour la seule Assurance-maladie. Le projet de loi peut donc apparaître comme l’ultime ruse du libéralisme pour faire des économies sur l’État-providence. L’autre tabou de ce débat, c’est le risque que la mort administrée s’applique en priorité aux plus pauvres et aux plus démunis. En Oregon, l’expérience a montré qu’avec le temps, les personnes à faibles revenus étaient surreprésentées parmi les candidats au suicide assisté et que les problèmes financiers occupaient une place croissante dans leur motivation. Une étude canadienne montre un écart de près de 20 points entre la proportion des personnes à faibles revenus et celle des candidats à l’euthanasie. De cela aussi, il faut parler.Jean-Marc Sauvé, ancien vice-président du Conseil d’État, à propos de la discussion de la loi (Vautrin) On l’aura compris : cette loi est un permis de mourir quand on va mal, très mal, pas forcément physiologiquement, mais psychiquement ! Et là, ça ouvre un champ nouveau aux candidats à la disparition assistée... Le Monde, qui a suivi le débat, écrit à propos de ce point sensible des souffrances psychologiques : « Les députés ont également modifié la quatrième condition, afin de permettre à une personne en proie à « des souffrances psychologiques » de demander une « aide à mourir ». En commission spéciale, Mme Firmin Le Bodo avait fait préciser, par un amendement, que seules les souffrances psychologiques liées à des douleurs physiques pourraient être considérées comme une condition d’accès. En séance, des amendements Renaissance, écologistes et communistes ont rétabli la possibilité de faire état de souffrances psychologiques indépendamment de douleurs physiques. « On ouvre le champ à des maladies purement psychiatriques, dont la schizophrénie », s’est alarmé Philippe Juvin (LR, Hauts-de-Seine). » « Autre ajout majeur au texte : l’instauration d’un «délit d’entrave au suicide assisté». Un amendement prévoit en effet une peine d’un an d’emprisonnement et de 15’000 euros d’amende pour quiconque se rendrait coupable «d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur l’aide à mourir par tout moyen.» Dans Hommage à un journaliste exilé (1955), Albert Camus écrivait : «Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie.» C’est en effet avec l’argument d’abréger la souffrance des malades que l’euthanasie est toujours présentée. Et pour savoir quelle est véritablement l’intention des planificateurs, il suffit de se pencher sur ce qui se passe à l’étranger, dans les pays où l’euthanasie active est ancrée depuis plus longtemps. Aux Pays-Bas par exemple, le professeur d’éthique de la santé Theo Boer explique : « Permettez-moi de résumer ce qui s’est passé aux Pays-Bas au cours des quarante dernières années. Dix années de tolérance de l’euthanasie et huit années de loi provisoire ont été suivies d’une loi définitive en 2002. J’étais d’abord convaincu que nous avions trouvé le juste équilibre entre la compassion, le respect de la vie humaine et celui des libertés individuelles. C’est la raison pour laquelle le gouvernement m’avait demandé de faire partie de l’un de nos cinq comités d’examen régionaux. Mais au fil des années, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire du nombre de cas, de 2000 en 2002 à presque 10’000 aujourd’hui. À certains endroits des Pays-Bas, jusqu’à 15% des décès sont dus à l’euthanasie et tout le monde s’attend à ce que les chiffres continuent d’augmenter. Nous avons également constaté des changements dans la manière d’interpréter les critères juridiques. Tel est le paradoxe de la légalisation de la mort administrée: ce qui est perçu comme une opportunité bienvenue par ceux qui valorisent l’autodétermination devient rapidement une incitation au désespoir pour d’autres. J’ai vu des centaines de rapports d’euthanasie dans lesquels le souhait de protéger les êtres chers de l’agonie, de leur éviter d’être témoins de leur souffrance ou d’avoir à supporter le fardeau des soins était l’une des raisons, sinon la raison essentielle, de la demande d’euthanasie. Dans une société où l’aide à mourir est possible, les personnes sont confrontées à l’un des choix les plus déshumanisants : est-ce que je veux continuer à vivre ou est-ce que je veux mettre fin à ma vie? Par conséquent, restez vigilants et faites tout ce qui est possible pour que des critères stricts soient mis en place. Évitez que l’aide à mourir devienne une partie intégrante de votre système de santé. Cela saperait la détermination de la société à porter assistance aux plus vulnérables, et inciterait à baisser les bras. Le visage de la médecine serait radicalement altéré. » Les Pays-Bas sont bien un cas d’école; une enquête sur les médecins néerlandais intitulée The Report of the Dutch Committee on Euthanasia («Le rapport de la commission néerlandaise sur l’euthanasie»), publiée en 1991 par la revue Issues in Law and Medicine a révélé que, depuis la légalisation de l’euthanasie, 1030 patients avaient été tués sans leur consentement ; parmi eux, 140 avaient toutes leurs facultés mentales et 110 n’avaient qu’une légère déficience mentale. Ce genre d’enquête n’est pas réalisé souvent; on ne sait donc pas comment ces chiffres ont évolué depuis les années 1990. Ce qu’on sait en revanche c’est qu’en avril 2023 le gouvernement néerlandais a annoncé que l’euthanasie serait désormais possible pour les enfants de moins de 12 ans. La Belgique quant à elle est devenue en 2014 le premier pays européen à autoriser sans limite d’âge (mais «en capacité de discernement») les enfants à choisir l’euthanasie pour «abréger leur souffrance.» Selon la formule de Camus, on est permis de douter de la bienveillance des planificateurs qui prétendent agir dans l’intérêt des populations en élargissant le recours à la mise à mort médicale. » (essentiel.news) Cette loi devient un permis de mourir quand la vie est trop dure, que ce soit en fin de vie ou pas ! Quant au critère de la « volonté libre et éclairée », il repassera : quelqu’un a déjà essayé de remonter le moral à un dépressif lourd ? Autant soulever un éléphant avec une main. Au départ, on voulait légiférer su les affections graves et incurables, et on se retrouve avec des millions de candidats potentiels à la mort : les dépressifs, les schizophrènes, les archipauvres, les accidentés de la vie (divorce dur, licenciement brutal), les malades ou handicapés sans perspectives, les personnes séniles ou sur la voie de l’être. Toute cette nouvelle population, c’est sans compter les jeunes désorientés par les problèmes d’identité sexuelle, pour qui l’ultralibéralisme a inventé la facilité à changer de sexe : on trouve chez eux pas mal de candidats au suicide. Et ce, pas par la faute des homophobes ou des transphobes, mais bien parce que les troubles de l’identité sont une souffrance pour les jeunes en question, horriblement mal dans leur peau ! Sauvé pointe justement tout ce vocabulaire qui cache la réalité : les soins palliatifs sont renommés soins d’accompagnement, mais ça reste ni plus ni moins du suicide assisté ou de l’euthanasie. Nous terminerons sur les conséquences de cette loi sur la société et le soin en général : « Cette loi est le résultat d’une évolution, discrète mais constante comme d'habitude avec le système actuel, de notre relation à la fin de vie sur les trente dernières années. Préparé en amont par nombre de campagnes médiatiques, comité d’éthique, concertation et paroles officielles, nous sommes entrés dans une phase de rupture anthropologique inédite, qui a bien des chances de passer dans l’opinion publique comme une simple mise à jour, rendue nécessaire par l’évolution de la société. L’angle affiché est démocratique, thérapeutique et humain. Les vrais calculs, hélas, sont bien plus mercantiles et matérialistes qu’il ne sied à la question cruciale et essentielle de l’ultime étape de nos parcours de vie. Cette loi ne commande pas à lui seul notre avenir. Mais il signe, parmi d’autres indices, l’entrée dans une société moins fraternelle où l’on assume sans ciller que toutes les vies ne se valent pas et qu’il serait décent, à un certain moment, de partir. Au nom d’un droit nouveau, l’autodétermination de la personne, nous allons vers une société qui va ajouter au désespoir individuel une forme d’impuissance collective : « Tu veux partir ; voici la dose létale », alors qu’il faudrait entendre les appels au secours qui nous sont lancés sous couvert d’apparentes demandes de mort. Quand tout se juge à l’aune de l’utilité individuelle et de l’apparence de liberté, on ne parvient plus à penser en termes d’interdépendance et de solidarité. Nous risquons très vite de nous résigner à un monde où tous les « fatigués de la vie », les uns volontaires, les autres incités, pourront accéder à la mort, sans plus prendre en compte une maladie grave et incurable ou un pronostic vital. » C’est ni plus ni moins que de l’auto-élimination des plus faibles, dans un monde ultralibéral de plus en plus violent, individualiste, concurrentiel, bref, antichrétien. Il est question de valeurs fondamentales, là, et sous des prétextes humanistes – soulager les vies trop douloureuses –, la société avance vers le camp de dilution, ce camp de concentration sans barbelés mais aux principes identiques. Les faibles, les fragiles, les malades ? À la fosse ! Les autres, au turbin, et jusqu’à la mort ! L'ultralibéralisme est-il un nazisme, vous avez 4 heures.. » (Rédac ER) « La loi qui pourrait être votée au parlement ne parle pas de « suicide assisté », où le patient se donne lui-même la mort, mais d’euthanasie active, où un médecin administre la substance mortelle, comme en Belgique ou en Espagne. Le texte français prévoit une procédure hybride où le patient doit pouvoir ingérer seul le produit ou demander une injection par un soignant. Cela pose un risque de glissement vers l’euthanasie directe. Cependant, les médecins pourront-ils refuser ? La clause de conscience est menacée, avec des amendements rejetés. Les « safeguards » (délais, avis médicaux) ressemblent à ceux du Canada, où des dérives sont documentées, comme des patients poussés à choisir la mort par manque de soins. Le gouvernement évite le mot « euthanasie » pour parler d’ »aide à mourir ». Pourtant, si un médecin pose une perfusion létale, c’est bien une euthanasie. Si le patient avale un comprimé, c’est du suicide assisté. La loi n’emploie pas le terme, mais l’inclut de facto dans son application. En Europe, en Belgique, des euthanasies sont pratiquées pour dépression ou souffrance psychique (Rapport EUD 2024). Qu’en est-il de la notion de « consentement libre » avec des patients sous traitements lourds, vraiment lucides ? Au Canada, des témoignages révèlent des dérives en 48 heures. La pente glissante est déjà là. En Europe, à l’instar de l’Espagne, des euthanasies ont été proposées à des personnes handicapées (affaire Carlos en 2023). Quelle prochaine étape en France : une demande pour les mineurs, selon des critères élargis, comme aux Pays-Bas ? La priorité est aux économies : les soins palliatifs coûtent trois fois plus cher qu’une injection létale (étude CHU Lyon, 2024). Est-ce un progrès, une nouvelle liberté, ou bien l’abandon des plus vulnérables et des moins rentables ? Quand l’État offre la mort au lieu de soins, ce n’est plus un choix : c’est un programme. Avec un impact social et sociétal énorme : outre l’éthique, des héritages, des assurances-vie… les conflits vont exploser. » (Article « « Loi sur l’euthanasie : La mort devient un service public » du Média en 4-4-2 résumant une intervention vidéo de Fabien Lemoine) « Alors que l’Assemblée s’apprête à voter la légalisation de l’euthanasie, une question essentielle se pose : qui tire les ficelles de ce projet ? Derrière les beaux discours sur la « dignité », se cache une réalité glaçante : l’influence du Grand Orient de France et une dérive vers une logique de mort organisée. François Asselineau l’affirme avec force : cette loi n’est pas une avancée sociétale, mais une régression civilisationnelle. Inspirée par des idéologies eugénistes, elle rappelle étrangement les dérives nazies de l’Action T4, où l’État décidait qui méritait de vivre ou mourir. Le parallèle n’est pas excessif : comme le rappelle Bernard Kouchner, le mot « euthanasie » porte en lui une odeur de totalitarisme. Pire encore, cette loi n’est qu’un premier pas. Le professeur Touraine, proche du Grand Orient, l’a clairement assumé : demain, ce seront les malades mentaux, les jeunes dépressifs, puis les « bouches inutiles » qui seront visés. Avec, en prime, une pression financière insidieuse : une étude évoque déjà 1,4 milliard d’économies annuelles… comme dans la propagande hitlérienne. La France, fille aînée de l’Église, sombre dans une barbarie bureaucratique voulue par les malthusianistes mondialistes, oligarchiques et sionistes. » (Média en 4-4-2) En notant Légaliser un tabou ou une erreur morale (avortement, euthanasie) change les mentalités et les mœurs toujours plus vers ces pratiques. Nous devons nous assurer que notre société valorise et protège la vie humaine, plutôt que de faciliter sa fin : Selon Abou Hourayra (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Que personne parmi vous ne souhaite la mort. Si la personne est vertueuse, il se peut alors qu'elle augmente ses bonnes actions. Et si elle est malfaisante, il est possible qu'elle se repente. » (Boukhari) On trouve dans une version de Mouslim : « Que nul d'entre vous ne souhaite la mort et qu'il ne la demande pas avant qu'elle vienne, car s'il meurt ses oeuvres s'arrêtent, et le prolongement de sa vie ne fait qu'ajouter du bien. » En cas de volonté d'euthanasie personnelle par exemple à cause d'une souffrance, un hadith explique que l'on peut seulement demander à Dieu de nous aider à quitter ce monde, surtout que toute douleur sur terre efface des péchés : Selon Anas (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Aucun d'entre vous ne doit souhaiter la mort pour un mal dont il souffre. S'il doit absolument le faire qu'il dise : « Seigneur Dieu ! Garde-moi en vie tant que la vie m'est préférable et fais-moi mourir si la mort m'est préférable. » (Boukhari et Mouslim) Or une personne consciente de pouvant plus s'alimenter sans machine peut refuser de se nourrir et demander la sédation jusqu'à sa mort, alors que pour toute personne pouvant s'alimenter, seuls les médicaments anti-douleurs sont autorisés, à moins que la douleur soit honnêtement si forte qu'elle préfère également la sédation jusqu'à la mort. Ce sont des cas de figure que seule la médecine moderne permet, et il ne faut pas oublier que toute souffrance efface les péchés. La pratique de l’euthanasie forcée trouve une justification théorique dans la conception de la dignité humaine, portée par des fondateurs et responsables historiques de l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité). Le fait que cette association insiste aujourd’hui sur l’importance du principe d’autonomie individuelle n’est pas contradictoire avec l’euthanasie forcée, car le principe du respect de l’autonomie individuelle résulte de la conviction selon laquelle la dignité réside dans la maîtrise de soi, la conscience et la volonté individuelles. Dès lors, la mort serait préférable à « l’indignité » de la perte d’autonomie. Dans le Bulletin, des responsables de l’ADMD citent cette phrase de Nietzsche : « On devrait mourir fièrement, quand il n’est plus possible de vivre avec fierté. » Il est donc vrai que l’idéal supérieur de l’ADMD n’est pas l’euthanasie des personnes mourantes ou inconscientes, mais le suicide volontaire des personnes impies qui craignent de se voir dépérir, alors que ça peut faire gagner des qualités et des bonnes actions autrui. La loi française qui validerait l’euthanasie à la commande sous quelques conditions, pour l'instant, peut en plus être une partie du programme de dépopulation voulu par l'oligarchie mondialiste. La Belgique a d'ailleurs largement étendu l’accès à l’euthanasie aux mineurs et aux personnes dépressives depuis la loi initiale. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Grégor Puppinck : Euthanasie, le double discours radical de l’ADMD » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/04/gregor-puppinck-euthanasie-le-double-discours-radical-de-ladmd/) L'euthanasie illégitime est comparable à l'impiété de l'usure trafiquant le temps alors qu'il appartient à Dieu. « La pratique de l’euthanasie forcée trouve une justification théorique dans la conception de la dignité humaine portée par des fondateurs et responsables historiques de l’ADMD. Le fait que cette association insiste aujourd’hui sur l’importance du principe d’autonomie individuelle n’est pas contradictoire avec l’euthanasie forcée, car le principe du respect de l’autonomie individuelle résulte de la conviction selon laquelle la dignité réside dans la maîtrise de soi, la conscience et la volonté individuelles. Dès lors, la mort serait préférable à « l’indignité » de la perte d’autonomie. Dans son Bulletin, des responsables de l’ADMD citent cette phrase de Nietzsche : « on devrait mourir fièrement, quand il n’est plus possible de vivre avec fierté. » Il est vrai que l’idéal supérieur de l’ADMD n’est pas l’euthanasie des personnes mourantes ou inconscientes, mais le suicide volontaire des personnes qui craignent de se voir dépérir. Pour Odette Thibault, théoricienne et cofondatrice de l’ADMD, le suicide « est le seul moyen de mourir… vivant », c’est « la suprême autonomie, celle qui définit l’être humain… avant qu’on ne la perde tout à fait. » Quant au sénateur Henri Caillavet, un ancien président de l’ADMD, « le suicide conscient est l’acte unique authentique de la liberté de l’homme ». Cette apologie du suicide comme acte de liberté s’exprime en contrepoint d’une peur tout aussi extrême de la déchéance physique et de la dépendance. Pour Caillavet, « Lorsque nous sommes – morts en nous-mêmes – pourquoi maintenir une flamme vacillante ne permettant plus qu’une existence végétative, sinon proche de la sénilité ? Est-ce vivre que de ne plus être autonomes, de dépendre d’autrui, de ne plus être capable d’intégrer le monde extérieur et d’être parfois soumis à un acharnement thérapeutique illusoire ? Certainement pas. » De ce point de vue, un être privé d’autonomie et de capacités relationnelles ne serait pas ou plus vraiment humain ; ils auraient perdu toute dignité. Comme l’écrit Odette Thibault, « Tout individu ne possédant plus ces facultés peut être considéré dans un état sous-humain ou infra-humain, poussé à l’extrême dans le cas du débile profond ». Dès lors, ajoute-t-elle, « beaucoup d’individus sont des morts-vivants, déjà morts à l’humain bien avant la fin de leur vie organique ». Les tuer ne serait donc pas un meurtre, puisqu’ils seraient déjà morts à l’humanité ; et cela ne violerait pas leur autonomie individuelle puisqu’ils en sont démunis. Odette Thibault va jusqu’à écrire : « Prolonger cette déchéance est, à mon avis, une des plus graves atteintes qu’on puisse porter à la dignité humaine ». Ces arguments sur l’indignité et l’inhumanité de la fin de vie s’ajoutent des considérations économiques, sur la charge sociale des personnes handicapées et séniles. Odette Thibault écrit encore à propos des personnes âgées : « Dès qu’ils sont inutiles, ou qu’ils représentent une charge supplémentaire, comme c’est le cas dans les périodes de pénurie, on est content de les voir disparaître ». Un autre administrateur historique de l’ADMD, Albert Cuniberti, ajoute, dans le bulletin de l’association : « l’acharnement que l’on met à conserver une dérisoire caricature de vie à un nombre croissant de vieillards qui ne le souhaitent pas, coûte de plus en plus cher et devient pour la société une charge de moins en moins supportable. » De telles citations donnent une idée de ce à quoi pourrait ressembler une proposition de loi « dix fois plus radicale » de l’ADMD, ainsi que de la direction de la « pente glissante » dans laquelle ce lobby veut pousser la société française. (Tout cela au profit du mondialisme oligarchique, sioniste et donc malthusianiste. Ce qui prouve qu'une société qui ne s'occupe pas de ses faibles est une société barbare au service de ces oppresseurs mondialistes pervers, et que se suicider pour éviter de dépérir au point de devenir dépendant des autres peut donc correspondre au final dans ce sens à de l’égoïsme détruisant le bon équilibre futur de la société plutôt qu'un sacrifice pour l'améliorer.) » (Extraits de l'article « Euthanasie : l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité allant jusqu'à proposée une application mobile) démasquée) L’euthanasie n’est pas encore constitutionnelle comme l'avortement, mais « on » y vient. On remarque que l’ultralibéralisme, c’est (presque) comme le nazisme, mais sans les juifs : on y élimine les improductifs, soit les bébés et les vieux, ce qui est très interdit par l'islam. « Administrer la mort, c’est subvertir le geste médical, en le rendant mortifère. C'est mettre en péril le caractère irremplaçable et précieux de chaque vie humaine et modifier la perception que la société a du médecin. Cela va même jusqu'à considérer de mort naturelle la personne dont la mort résulte d’une aide à mourir. En outre, cette légalisation du «suicide assisté» interroge quant aux contours de l’assistance à personne en danger. Du reste, si la volonté de mourir devient cardinale, au nom de quoi pourrait-on continuer à s’opposer au suicide tout court ? Qu’adviendra-t-il, demain, du délit de provocation au suicide (actuellement puni de trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende aux termes de l’art. 223-13 du Code pénal) ? Pire, deviendrait-on soi-même fautif en tentant de sauver un candidat au suicide (quelqu’un se jetant d’un pont), au prétexte que l’on ferait obstacle à l’accomplissement de sa volonté ? Et parce qu’il sera avalisé par l’État, ce choix de mourir nous concernera tous. » (Fabien Moine) « La position du christianisme – et tout particulièrement celle de l’Église catholique – demeure sans équivoque : on ne tue pas. Ni activement, ni passivement. Parce que toute vie humaine, aussi diminuée soit-elle, reste sacrée. Les voix chrétiennes – et notamment catholiques – insistent sur l’impact collectif d’un tel basculement éthique. « La liberté est toujours une liberté en relation », rappellent les évêques de France. Légaliser l’euthanasie, c’est envoyer un signal dangereux aux plus fragiles : les personnes âgées, handicapées, dépendantes. Cela revient à leur suggérer qu’elles sont un fardeau, une charge inutile, que leur disparition serait un soulagement – pour elles, mais surtout pour les autres. En notant qu'une société qui ne s'occupe pas de ses faibles est une société barbare La dignité humaine, affirment les chrétiens, ne réside pas dans l’autonomie ou la performance, mais dans la simple réalité d’être un être vivant, aimé de Dieu. C’est cette vision radicale, intransigeante peut-être, mais profondément humaine, que le christianisme continue d’opposer à l’idée, de plus en plus répandue, selon laquelle il serait « digne » de choisir sa mort. Mourir dignement, pour l’Église, ce n’est pas choisir sa mort : c’est être accompagné, respecté et aimé jusqu’au dernier souffle. » (Extrait d'un article sur Strategika.fr) Il faut noter que l'assassinat d'innocents via l'euthanasie légalisée est une forme de rupture ultime avec Dieu, car il s'agit du premier commandement des dix commandements. Enfin en islam, les dons d'organes sont seulement autorisés lorsqu'ils sont prélevés sur un mort suite à sa volonté antérieure, ou quand ça ne cause pas la mort de celui qui donne comme lors du don d'un rein, en particulier entre proches et sans trafic d'organes obscur.
L'interdiction du porc :
Dans le Coran :
(S2v173) « Certes, Il vous est interdit la chair d'une bête morte, le sang, la viande de porc et ce sur quoi on a invoqué un autre qu'Allah. Il n'y a pas de péché sur celui qui est contraint sans toutefois abuser ni transgresser, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
Dans la Bible :
(Lévitique, 11:7) « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. »
-Il peut être la cause de plusieurs maladies dont la plus grave est le Taenia Solium qui est plus connu sous le nom de Ténia ou vers solitaire. Il se réfugie dans l'intestin et peut devenir très long. Il arrive qu'il endommage presque tous les organes du corps lorsque ses oeufs pénètrent le système sanguin. De plus l'estomac du porc étant le plus petit des mammifères, les toxines ne sont pas toutes éliminées après sa digestion. (voir vidéo Youtube.com : « les miracles du Coran : le porc » et « l'interdiction de manger du porc selon la bible »).
(ExtS10v23) « Ô gens ! Votre transgression ne retombera que sur vous-mêmes. »
-La viande de porc ne génère que très peu de tissus musculaires. Elle contient un excès de gras se déposant dans les vaisseaux et pouvant provoquer de l'hypertension et un arrêt cardiaque.
-Le porc est l'un des animaux les plus sales : il vit dans la boue, le fumier et la saleté. C'est le meilleur charognard créé par Dieu. Dans les villages où il n'y a pas de toilettes modernes, ce sont souvent les porcs qui mangent les excréments des habitants. Même dans les élevages qui se disent hygiéniques, les porcs mangent leurs propres excréments comme ceux de leurs voisins et même leurs petits mort né.
En revanche, consommer de la viande de porc modérément est autorisé lorsque quelqu'un est affamé et ne trouve pas autre chose pour se nourrir.
Par conséquent, il devient évident que ce chapitre entraîne l'interdiction du gavage dont des oies pour obtenir un fois gras, surtout que tout ce qui est extrême est interdit en islam.
L'interdiction de l'alcool :
Dans le Coran :
(S5v90) « Ô les croyants ! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, oeuvre du Diable. Ecartez-vous en afin que vous réussissiez. »
Dans la Bible :
(Ephésiens, 5:18) « Ne vous enivrez pas »
Le texte juif suivant précise l'importance du juste milieu à ce sujet comme dans toute chose : Quand l'homme boit une gorgée de vin, il est doux comme un agneau. Lorsqu'il en boit un verre, il est fort comme un lion. Si il en boit beaucoup, il devient sale comme un porc. Enfin s'il en boit trop, il finit par sauter dans les arbres comme les singes.
Or le saint esprit de Jésus et donc le Christianisme, et le Coran et donc l'islam, ont fini par affirmer la nécessité d’arrêter sa consommation, probablement car généralement l'humanité n'a pas su rester dans un juste milieu au niveau de la consommation d'alcool :
(Evangile de Jésus Christ selon Matthieu, 26:29) « Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne (vin), jusqu'au jour où j'en boirai du nouveau avec vous dans le royaume de mon Père. »
(S2v219) « Ils t'interrogent sur le vin et les jeux de hasard. Dis : “Dans les deux il y a un grand péché et quelques avantages pour les gens, mais dans les deux, le péché est plus grand que l'utilité.” (Et ils sont par conséquent interdits car impurs.) »
Suite à ces passages monothéistes, il peut effectivement être estimé qu'avec modération, la consommation de vin (alcool) a pu être autorisée pendant un certain temps dont pour réchauffer le corps contre le froid, mais qu'à travers l'histoire de l'humanité et par la connaissance divine du futur ayant vu que cette consommation est devenue plus mauvaise que bonne dont à notre époque, Dieu l'a finalement interdite.
-L'alcool exerce une influence sur les mécanismes inhibiteurs du cerveau, diminue la concentration rendant dangereux la conduite d'une voiture, perturbe le relation avec les proches dans une forme d'égoïsme par l'ivresse, et peut entraîner des actes indignes tout en les faisant oublier lorsqu'ils ont été commis après une consommation trop importante. Or cela perturbe aussi la fonction de compréhension et de moralité du cerveau, car ce dernier est comparable à deux éléments complémentaires similaires à une unité intégrale, puisque l'hémisphère gauche analyse le sens des choses ou des mots, et l'hémisphère droit perçoit les intentions ou la gravité. Surtout que l'émotion d'ivresse trouble la bonne gestion des sentiments, voire les fait disparaître. D'ailleurs il est clair que l’alcool fait dire des bêtises, car s’il éteint donc l’inhibition (pudeur), et donc la raison, et donc son filtre de la parole.
-Il y a donc plus de cas d'accidents, d'adultères, de viols, d'incestes et de SIDA chez les alcooliques.
-Il est cause de maladies : cirrhose du foie, gastrite, crises cardiaques, différents types de paralysie, neuropathie périphérique, symptômes d'amnésie, délires dus au manque, infections de la poitrine, maladies de peau.
(ExtS10v23) « Ô gens ! Votre transgression ne retombera que sur vous-mêmes. »
L'interdiction des addictions en général dont donc de la drogue
Comme il vient d'être vu par rapport à l'alcool, la plupart des programmes télés ainsi que la pratique de jeux vidéo à outrance, les drogues, ou les diverses habitudes matérialistes voire frivoles sont comparables à une machine addictive décérébrant l'homme tel dans des mouroirs et augmentant le nombre de personnes devenant séniles ou entrant dans la maladie d'Alzheimer. Or ces addictions synonyme d'asservissements, brisant en plus évidemment les relations familiales et sociales et n'apportant pas de spiritualité noble, sont d'abord organisées par les oligarchies corrompues afin de toujours dominer les peuples rabaissés moralement voire en plus financièrement et conserver leurs privilèges injustes. L'addiction aux drogues mène aussi souvent à la confusion, à l'incertitude, au manque de confiance en soi, à l'hésitation, à la paranoïa voire à la schizophrénie. Les addictions aux jeux vidéo (à outrance), aux séries TV ou à la télévision en générale ont été formellement reconnue comme maladie par le département de la Santé mentale et des toxicomanie de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), au même titre que celle à la cocaïne, aux jeux d’argent ou aux médicaments (anti-dépresseurs, anti-stress ou autres). Beaucoup parlent d'ailleurs de démon du jeu, et de plaisir de moins en moins complet. Le trouble des personnes addictes se caractérise par une perte de contrôle émotionnel et par une priorité accordée à l'addiction, au point que celle-ci prenne indignement le pas sur les responsabilités familiales, sociales, ou religieuses, et même sur des besoins personnels quotidiens comme manger ou dormir, c'est à dire en dépit de répercussions dommageables dont envers soi-même. Les addictions en particulier à la drogue, vidant la santé, l'innocence, la propreté, la beauté, la lucidité et donc la moralité humaines, sont donc des plaisirs destructeurs évidemment interdits en islam. C'est à dire que la félicité illimitée épuise logiquement le corps fatigable, mortel et donc limité sur terre, comme donc à l'image de ceux qui prennent de la drogue, et c'est pourquoi l'immense félicité permanente ne peut être liée qu'au Paradis éternel et réservée que pour les corps invulnérables des hôtes du Paradis éternel. Or une félicité douce permanente reflétant celle du Paradis peut exister et être valide sur terre : il s'agit de la profonde foi constante. Cependant pour y parvenir, il faut généralement triompher de notre ego et des biens matériels, car permettant d’accéder à une régulière pratique religieuse quotidienne agréable :D’après Abou Mouhamed Abd Allâh Ibn Amr Ibn Al-As (SDP), l’Envoyé d’Allah (SBDSL) a dit : « Aucun de vous ne croit (totalement) jusqu’à ce que sa passion soit conforme à ce que j’ai apporté (c'est à dire que ses addictions s'orientent vers la religion, la science et la culture générale). » Le Prophète (SBDSL) a dit : « Il est deux bienfaits que beaucoup de gens n’apprécient pas à leur juste valeur : la santé et le loisir (puisque permettant de « Maudit soit Mammon, quand, par l’appât de ses trésors, il nous pousse à des entreprises audacieuses, ou quand, par des jouissances oisives, il nous entoure de voluptueux coussins ! (En effet, une addiction provient souvent de l'oisiveté, quand ce n'est pas une souffrance liée à un traumatisme, ou une faiblesse morale liée à un manque de piété.) » (Goethe, Faust, 1790) Surtout que garder la clarté et donc la pureté spirituelles et émotionnelles après le réveil du matin permet d'intensifier notre perception de cette clarté et de cette pureté tout au long de la journée et de la vie, en approfondissant toujours plus joyeusement notre pureté clairvoyante. En effet tendre à préserver la pureté d'esprit, de cœur, de corps (par l'hygiène prophétique et les ablutions), de vision, d'intention et d'action, du réveil au coucher pendant plusieurs jours, apporte logiquement une douce voire profonde ivresse naturelle, agréable et donc positive de pieuse pureté. D'autant plus que c'est réellement important par rapport à notre vie qui est souvent synonyme de douces voire profondes ivresses (étourdissements), en particulier à travers le réveil matinal, la faim (dont le ramadan d'ailleurs), la fatigue mentale ou physique, le rappel inconscient de notre naissance difficile après le monde protecteur du ventre maternel, les espoirs et les craintes, les maladies, les blessures ou les handicaps, les peines sentimentales ou les désagréments physiques, les responsabilités diverses dont familiales, administratives, professionnelles et vitales, la gestion morale du libre-arbitre, les immenses enjeux de la vie terrestre, le Jugement Dernier à venir liés à l'existence du Paradis éternel et de l'Enfer éternel, et donc aussi beaucoup l'énorme sens de l'existence. Or toutes ces ivresses doivent être pieusement prises avec le sourire, surtout que certaines de ces ivresses sont de la douce voire en plus profonde félicité. Cela est parfois si étourdissant, qu'avec l'intention de tendre vers la meilleure piété, cela amène parfois à avoir des rires complices avec Dieu et souvent à valoriser l’irréprochable Paradis. Et si ce n'est pas le cas par trop d'aspects désagréables en particulier au début de notre piété, alors devenir machinal permet de se soulager, surtout par rapport en plus aux traumatismes et donc aux ivresses dures que sont les attentats, les meurtres, les viols, la corruption. On peut donc aussi avoir raisonnablement des absences dans des moments de pratiques religieuses et même dans des plaisirs purs. En sachant que l'être humain est parfois voire souvent dans une douce ivresse mauvaise liée à son rythme de vie, ses habitudes journalières, son caractère, sa moralité ou/et son comportement, et que pour arrêter cette douce ivresse mauvaise, il faut prier, se relâcher par la méditation ne faisant rien ou/et jeûner, voire sortir en retraite spirituelle, dont possiblement à travers les sorties du mouvement Tabligh. De plus comme lors de la guerre de l'opium (et donc aussi l'héroïne), il faut comprendre que certaines nations honteusement malveillantes (Royaume Uni, Etats-Unis, France) dans leur géopolitique ont inondé certaines autres nations (en particulier la Chine et donc en partie ses voisins mais aussi récemment l’Afghanistan où se passait 90 % de la production mondiale lors de la présence états-unienne, l'Iran et même le peuple américain par l'oligarchie mondialiste perverse) de drogues, pour effectivement les affaiblir et donc les dominer tout en s'enrichissant à leur détriment particulièrement en exploitant leurs ressources et les esclavagisant, comme cela a été aussi le cas lors du pillage l'Inde. C'est un plan similaire à celui du Diable cherchant toujours à affaiblir les humains spirituellement pour s'enrichir de leurs âmes en Enfer. De même que l’introduction d’alcool, d'opium ou de diverses drogues dans une population était donc une soumission au Diable, suivre le pervers ultra-libéralisme wokiste effaçant à l'image de l'impie communisme soviétique, la piété, la noblesse, l'équité et la charité du monothéiste authentique, est aussi une soumission au Diable. Il faut donc sans hésiter faire passer Dieu avant tout chose, ou au moins dès que c'est mieux, nécessaire ou demandé. Dans ce sens, tendre au meilleur comportement avec un excitant comme un café ou un calmant comme une verveine n'est pas interdit dont quand ça permet plus de concentration, car ce n'est pas nocif physiquement et psychologiquement, sauf si ça devient une dépendance ou on en abuse.
L'interdiction de l'usure :
L’usure est un problème car l’équation mathématique de l’intérêt est une fonction croissante. Une économie adossée à une fonction croissante ne peut que croître ou s’effondrer. Le prêt est nécessaire, le commerce est nécessaire et l’usure est à bannir. Si on considère que les capitaux sont intrinsèquement liées à l’usure, cela pose un problème car l’usure rend les prêts toxiques. La solution est le prêt sans usure. Si vous ne payez que le travail des banquiers (étude de faisabilité, évaluation des risques, comptabilité, etc) il n’y a pas d’usure. Que ce soit une banque privée ou publique, il y a dans une démanche de prêt, une nécessité d’évaluer sa faisabilité. L’usure est illicite, le commerce (ex : vente d’un service, d’un travail, d'un métier) est licite. Ainsi la banque est un métier, l’usure est un délit. Mis à part les ressources qui constituent un besoin vital, vous pouvez vendre au prix que vous voulez, avec la marge que vous voulez. L’accaparement à des fins spéculatives est interdit, mais pour des marchandises non essentielles vous pouvez demander le prix que vous voulez. Il n’y a aucune raison d’adosser l’usure (taux d’intérêts) à un contrat de prêt. Le travail bancaire (étude de faisabilité, évaluation des risques, comptabilité, etc) peut être payé comme tout autre service sans usure. Il est d’ailleurs idiot de calculer un coût de service bancaire lié à un prêt en utilisant une équation de croissance par rapport au temps (taux d’intérêts). Dans un contrat le coût bancaire pourrait très bien être facturé en fonction d’un travail réel et légitime (étude de faisabilité, évaluation des risques, comptabilité, etc). Le problème est que l’usure n’est pas déclarée comme illicite et que le service bancaire sans usure n’est pas assuré (comme le serait la santé, l’éducation...). Or l'usure n’est pas juste une question de contrat entre deux personnes. C’est avant tout un problème de transfert de richesse vers une minorité et c’est pour cette raison que le prêt usurier a été interdit par les religions. C’est donc un préjudice pour toute la communauté, pas les individus seuls. Toute monnaie aujourd’hui est souillée par l’usure, en commençant par nos salaires par exemple ! Néanmoins, quelle alternative ? Vivre des minimas sociaux qui sont tout autant souillés par l’usure ? Devenir entrepreneur et être encore plus poings et mains liés avec le capitalisme financier ? Un peu comme le colibri, chacun doit faire ce qui est en son pouvoir pour combattre l’usure. Une fois ce premier pas fait, les autres s’enclencheront et l’utopie de sortir définitivement les marchands du Temple sera jouable. En attendant, c'est vain au niveau mondial mais cela ne nous empêche pas d’agir niveau local. Il est inétressant de voir à ce sujet l'excellent entretien « Finance Islamique : "ennemi ou allié du capitalisme financier?" » à l'adresse https://youtu.be/NjpCJerYA1Q
L'interdiction des jeux d'argent :
Ici comme pour toute occupation ou addiction nocives, il s'agit d'affirmer l'évidente indignité de jouer avec la subsistance, pouvant en plus être de l'argent devant servir à la subsistance d'une famille. Surtout que cela peut finalement mener à tout perdre et donc à une pauvreté extrême.
La peine de mort ou déclaration de guerre pour apostasie :
L'islam étant l'ultime révélation transmise pour l'humanité et ayant une connotation de certitude dans sa foi, ceux qui après s'y être convertis librement finissent par renier cette religion peuvent être considérés comme des hypocrites et donc être condamnées, surtout si cela se fait au détriment de musulmans ou/et pour un intérêt particulier. Or il semblerait que cette punition divine soit surtout adressée aux tribus ou villes hypocrites ayant choisi momentanément la notoriété ou les avantages dont économique de la conversion à l'islam, lors d'un pacte avec le califat islamique devant stabiliser les assises de la religion, puis ayant renié cette conversion, comme le prouvent les guerres du très sage premier calife Abou bakr contre l'apostasie de certaines tribus arabes ayant trahies leur conversion peu après la mort du Prophète (SBDSL) : Zouhèri rapporte : Abou Bakr as-Siddiq (SDP) envoya combattre les apostats et dit : « Passez la nuit (à côté de chaque tribu avant l'attaque) ; tout endroit ou vous entendrez l'adhène (appel à la prière), laissez-les, car l'adhène est le slogan de la foi. »
Il y a eu un rôle grandement dévoyé de la femme étant une des conséquences de l'individualisme, néoféminisme féminisant à outrance la société dont à divers niveaux comme la généralisation de l'incapacité à maîtriser ses émotions, des achats compulsifs, du matérialisme protecteur, du manque de spiritualité, du manque de politique, du manque de la force physique, et de la fragilité, et amenant finalement en plus paradoxalement voire sournoisement au féminisme masculinisant et oppressant, c'est à dire au triomphe du masculinisme par les femmes. Or les errances du féminisme ont entre temps amené en plus la grave dérive LGBTQ+. C'est pourquoi il faut être anthropologiquement encore plus ferme qu'avant dans la défense du respect entre homme et femme naturels, car elles sont des créateurs essentielles, solides, saines et droites. Surtout qu'avec donc les lesbiennes masculanisées, mais aussi les transsexuels hommes devenu femmes, le sport ouvert à tous dont aux transsexuels hommes devenus femmes dans les catégories « femmes » les faisant remporter toutes les épreuves, et le « meetoo » homosexuel faisant oublier celui des femmes, on peut en plus dire que nous sommes après la fin du féminisme. Ainsi le Lgbtisme provenant du féminisme a donc effacé les femmes, et l'aboutissement du féminisme efface donc les femmes, et ainsi la famille traditionnelle. « On retiendra que cinquante ans de propagande féministe ont réussi à retourner la tête de millions de femmes fragiles, qui croient non seulement que les hommes sont leur ennemi, mais aussi qu’elles ont du pouvoir. Alors qu’elles ne sont que les idiotes utiles du néolibéralisme qui se sert d’elles pour détruire le travail (comprendre la lutte sociale au niveau économique écartée donc par la lutte sociétale des féministes à outrance amenant celle Lgbt), la famille et la patrie. (Mais beaucoup d'hommes ont été remis dans un meilleur chemin par une femme voulant une relation plus respectueuse ou amoureuse.) » (Rédac ER)
Or des influenceuses même relativement féministes n'hésitent pas à redevenir des soumises comme les temps d'avant, mais indignement par choix, puisqu'elles recherchent des hommes riches sur internet. « Avec les idéologies féministes et Lgbt, être aujourd'hui une femme équilibrée au sens traditionnel, c'est à dire dont l'esprit est en accord avec son corps lui intimant presque l'ordre de faire des enfants, devient difficile par schizophrénie. En effet avec les injonctions contradictoires entre ce qu'exige le corps, ce que ressent la psychologie et ce qu'impose l'idéologie d'Etat actuelle, c'est à dire le biologico-organique (corps), le psychologico-affectif (psychologie) et l'économico-social (le culturel), être une femme authentique est compliquée. Ce qui entraîne des problèmes comme la nervosité féminine, la durabilité du couple, l'éducation des enfants, leur orientation d'identité sexuelle, surtout que l'homme est désigné comme l'ennemi car prétendument malfaisant pour son pseudo statut patriarcal et machiste, dans une forme de folie collective politique. Par conséquent dans cette période, un homme relativement équilibré à l'ancienne en ayant conscience de ce qu'il est, de son corps et de sa sexualité, et donc de sa non déconstruction, et voulant faire couple avec une femme dont pour avoir des enfants éduqués et donc non dépressifs, suicidaires ni transitionants (ce qui est la même chose à terme), devra chercher sa femme dans des milieux protégés comme la périphérie nationale ou la Russie et le Maghreb. » (Alain Soral) « Les rapports humains sont désormais une source potentielle de revenus ; les hommes, de vulgaires distributeurs de billets ; les sentiments, inutiles, voire, dérangeants ; le calcul, minable ; et le résultat, terrible. C’est l’ultralibéralisme appliqué aux rapports hommes-femmes, ou filles-garçons, vu le degré d’immaturité. Le féminisme, qui se justifie et qui justifie tout – même l’injustice ! – par la violence présupposée des hommes, donne alors le droit de tuer, moralement ou physiquement. Le féminisme a fourni à la femme une arme, son sexe, qui lui permet de jouer avec ses faveurs et d’obtenir des faveurs. Le féminisme autorise et encourage les femmes à se servir de cette arme contre les hommes. L’amour et les sentiments s’effacent alors pour laisser place à des rapports de pouvoir, avec un système de chantage récompense-punition. La manipulation du désir du mâle faisait partie du jeu de l’amour, elle est aujourd’hui érigée en système de domination destructeur de l’amour, du couple, et de la famille. Sur les réseaux sociaux et dans la rue, les filles qui ont compris ce programme se changent en putes, non pas pour faire couple ou trouver l’amour, la fin (trouver l’homme idéal) justifiant les moyens (la séduction), mais pour ferrer le pigeon idéal qui leur donnera tout sans rien exiger en retour. Obtenir le maximum de faveurs en donnant le minimum de son sexe. Dans ce schéma, le pigeon idéal c’est le garçon solvable gentil, timide, sans expérience, prêt à tout pour plaire à sa pseudo-princesse (Camille faisait du cheval), qui va utiliser ses charmes comme une araignée sa toile. C’est ce qui est arrivé à ce pauvre Théo Decouchant (tué par sa compagne qui es cette fille), la mouche confiante qui finira dévorée par l’araignée. La pétasse est bien un monstre, malade de cette perversion narcissique qui est la conséquence du féminisme sur les jeunes filles fragiles, ou déstructurées. Les enfants sordides de la crise économique, de la crise des valeurs et de la tentation capitaliste du profit rapide. Camille, qui aurait voulu être belle et riche, n’était qu’un pauvre boudin sans âme : il ne lui restait plus que son sexe et sa haine pour se hisser socialement d’un petit cran. Là, elle va chuter lourdement, dévisser de plusieurs crans. On comprend que le féminisme est la branche sexuée du libéralisme et qu’il est aussi destructeur pour les hommes que pour les femmes. Camille est le produit de la promotion des antivaleurs – les valeurs antichrétiennes – par les médias et le politique, tous deux sous influence de forces occultes. La cérémonie d’ouverture des JO a donné le ton et envoyé un message universel, bien capté par les perdants du jeu social : n’importe qui a droit au plaisir, quelles qu’en soient les conséquences sur les autres, dans le pur esprit du marquis de Sade. « Je chie sur les autres » est la devise de cette nouvelle espèce (in)humaine. Les autres ne sont que les objets de mon plaisir, perdant leur statut de sujet, d’égal à respecter. Profiter de la faiblesse des hommes : c’est tout bonnement une culture du viol que le féminisme promeut et ne veut pas voir. Dans l’esprit des filles fragilisées par une éducation défaillante et une instruction minimaliste, cette culture a pourtant des conséquence directes, violentes, ignobles. En vérité, depuis que le divorce est devenu une loi (féministe), de nombreux pères s’occupent des enfants, font les courses, la cuisine et le ménage, et le font sans se plaindre, tout en bossant (dur) à côté, alors que les femmes nous font croire que ça leur fait 3 boulots en même temps (dont 2 non payés) et que c’est l’horreur. Les hommes divorcés découvrent que les femmes ont exagéré leur souffrance. De l’autre côté de ce féminisme égoïste (mais le féminisme est un égoïsme), il y a des femmes qui s’épanouissent dans la vie de couple et de famille, tout ce qu’abhorrent les gauchistes : pour ces dernières, c’est le lieu de la tyrannie patriarcale et de l’esclavage féminin, alors que bosser sous les ordres d’un patron dominateur par essence, ça, c’est pas grave. Au bout du compte, dur choix pour les femmes d’aujourd’hui en âge de procréer : épouse idéale astreinte à l’amour d’un homme et de ses enfants, ou femme superficielle alcoolisée avec un travail synonyme de racket et une psychanalyse interminable qui s’achève par une euthanasie salvatrice ? » (Rédac ER) Concernant la destruction même donc des femmes liée au wokisme, au féminisme et à la cancel culture mondialiste, il est important de voir cette vidéo https://x.com/DefiantLs/status/1831043352898506986 « Aujourd’hui, les féministes ont pris le pouvoir dans le champ du quotidien, et notre société est devenue bancale, paranoïaque, hystérique. Les mondialistes, eux, ont mis la main sur les nations occidentales et ont prouvé qu’ils étaient des criminels à une échelle inédite. » (Rédac ER) En sachant qu'à notre époque où les femmes sont de plus en plus hautement diplômées, l'hypergamie qui est une phénomène naturelle chez les femmes car les femmes sont logiquement attirées par les hommes ayant un statut plus élevé que le leur comme une infirmière épouse son supérieur médecin, devient un grand problème, dont car il n'y a que très peu d'hommes plus diplômés qu'elles, et donc moins de mariages. Surtout qu'en plus à notre époque où les partenaires ont été souvent nombreux pour les femmes, les hommes recherchent d'abord des femmes chastes. Le peuple doit donc revenir au réel et donc au conservatisme face au monde du mensonge du mondialisme progressiste, surtout pour les femmes car elles en sont plus influencées et les hommes en deviennent généralement réactionnaires. En effet comme le prouvent de nombreux mariages basés sur la piété même en cas de femme gagnant plus la vie que leur mari, cela facilitera de parvenir à la vie familiale équilibrée et à la production de nombreux enfants, ce que le mondialisme veut détruire. Le féminisme couplé à la crise – ces deux enfants du néolibéralisme –, ça donne la prostitution des mineures. La pauvreté matérielle (et morale), la publicité du bonheur, l’envie de consommer, d’acheter, de s’entourer d’objets, c’est chose trop forte pour les âmes fragiles, qui vendent leur intimité. Pas leur corps ou leur cul, puisque ça, c’est incessible (cédé), comme les droits d’auteur. Non, ce qui se vend, et se perd presque définitivement, c’est l’âme. Après le passage de tant d’hommes, frustrés par le même néolibéralisme individualiste tueur-vendeur d’amour, tu n’as plus que des corps sans âme, sans profondeur, sans grandeur. Après ça, le discours féministe de libération de la Femme, qui s’est fait avoir en profondeur par le néolibéralisme, prend une tournure tragi-comique. Certaines ne sont pas assez lucides pour comprendre le piège, et continuent leur masterclass gaucho-embourgeoisée alors que tout s’écroule autour d’elles, même leur corps devenus anorexiques, sales ou gros. Les féministes, qui courent après l’égalité salariale, ont perdu : les femmes ont pris les jobs mal payés, comme les migrants. Ce sont les migrantes de l’intérieur. Un petit salaire ne suffit pas pour vivre seule malgré la grande promesse de la presse de libération pleine de pubs pour les produits de jeunesse et de beauté. Les femmes ont perdu les hommes et il ne reste que le sexe, c’est triste et con. Surtout qu'il y a eu aussi une infantilisation à outrance de la société, comme ne pas faire du sport car demandant trop d'effort, ne pas être très hygiénique, ne pas s'occuper de sa santé dont par la prise de drogue ou la mauvaise nourriture, homme adulte jouant aux jeux vidéo, femme adulte aimant fortement les vêtements telles des poupées, homme recherchant sa mère chez sa future femme voire sa femme, femme recherchant son père chez son futur mari voire son mari, hommes et femmes s'habillant comme des adolescents, apolitisation (en dehors des élections et pour les associations caritatives), suffisance minimale au niveau de l’intelligence, voire de la réussite matérielle et donc de la bienfaisance sociale, peu de limites dans certains cas (par exemple temps de jeux vidéos ou nombres de vêtements), impatience développée à cause de la vitesse technologique (dont grâce au smartphone contenant courriers e-mail, contacts téléphoniques, GPS, paiement numérique), impulsivité, absence de diverses vertus authentiques et donc affranchissement du réel dont via le wokisme et la cancel culture. Cela est lié à la tertiarisation de la société et peut donc entraîner à la régression de son développement, puisque les secteurs primaire (agricole) et secondaire (industriel) sont délaissés dans une forme d'effondrement du monde matériel synonyme d'apocalypse, car toute la civilisation et même la vie humaine sur terre ont commencé par la production matérielle. « L'éducation traditionnelle est de transformer les enfants en adultes. Dans cette perspective l’enfance est vue comme un ensemble de défauts – impatience, égoïsme, narcissisme, violence, incontinence émotionnelle, irresponsabilité, incompétence, etc. – que l’éducation a pour mission de corriger, notamment par la transmission d’un ensemble de savoirs et de préceptes moraux. En ce sens, l’éducation traditionnelle vise à éliminer l’enfance en chaque enfant. Mais il faut remarquer une dimension essentielle : cette vision de l’enfance comme le lieu de la faiblesse et de l’hétéronomie est justement ce qui pousse les sociétés traditionnelles à protéger les enfants. À l’inverse, en considérant les enfants comme les égaux des adultes, les sociétés occidentales progressistes les exposent à des violences contre lesquelles ils sont incapables de se défendre. C’est cette idéologie absolument mortifère qui pousse certains « adultes », par exemple, à encourager leur enfant à changer de sexe. Dans une société saine, ces parents seraient inculpés pour maltraitance et abus de faiblesse ; dans les sociétés occidentales, ils reçoivent désormais l’aval et les applaudissements du pouvoir. La transcendance en général éloigne de l’enfance. Elle invite à sortir de sa minuscule sphère individuelle et à considérer l’humanité comme une partie seulement du monde, et non comme sa totalité. C’est déjà en soi une invitation à l’humilité, qui s’oppose au nombrilisme infantile. L’enfance est notre premier rapport au monde, et elle ne disparaît jamais entièrement. Toute notre vie, nous luttons contre les réflexes infantiles qui menacent en permanence de reprendre la main sur notre volonté. La civilisation consiste justement à compenser cette pente naturelle en mettant en place des structures collectives capables de nous obliger à sortir de l’enfance. Dès lors que vous détruisez ces structures collectives qui nous tirent vers le haut, l’humanité redescend la pente et beaucoup d’individus, que plus rien n’oblige à sortir de l’égoïsme, du narcissisme et du parasitisme, ne parviennent plus à s’affranchir de leur enfance. La logique marchande du Capital sape en permanence les structures collectives pourvoyeuses de civilisation. Elle a en effet cette capacité déprimante de transformer toutes les activités humaines en échanges commerciaux. Il ne reste plus dès lors à l’individu qu’à explorer deux puits sans fond, qui feront désormais office pour lui de « sens de la vie » : la recherche de la jouissance d’une part, et celle de la puissance d’autre part. Il s’agit de deux ressorts centraux de la pulsion de consommation. Pour comprendre le mécanisme qui nous pousse à nous ranger à l’avis des experts, il faut comprendre le rapport au monde de l’enfance. Un enfant n’a pas les capacités cognitives pour poser un problème, définir précisément des termes, faire se confronter des idées en apparence contradictoires, les mettre en rapport et accoucher d’une synthèse complexe et riche qui puisse expliquer les phénomènes qu’il observe. Pour réduire la complexité du monde à un niveau qui lui soit accessible, il cherche donc non pas à le synthétiser mais à le simplifier. Pour cela, outre le fait qu’il ignore des pans entiers de la réalité, il a notamment recours à de l’intelligence par délégation : puisqu’il n’est pas capable de comprendre lui-même le monde, il délègue cette tâche à quelqu’un d’autre – un tuteur, en quelque sorte. Ainsi son monde devient plus simple, car sa réflexion peut désormais se limiter au choix des experts derrière lesquels se ranger. Beaucoup d’adultes réfléchissent encore comme des enfants dans la mesure où ils cherchent à se ranger derrière telle ou telle figure d’autorité, et ce dans beaucoup de domaines. Plutôt que de s’obliger à écouter tout le monde pour construire ensuite leur propre vision du monde, ils préfèrent éliminer une partie du réel et des analyses possibles en classant certaines personnes, par exemple, dans la catégorie « charlatans ». Ce faisant, ils s’épargnent la peine du travail intellectuel de synthèse, qui est inconfortable car il oblige à accepter une période d’incertitude déstabilisante. Mais n’oublions pas non plus la dimension sociale de ce genre de choix : un expert incarne toujours un certain système de valeurs ainsi qu’une certaine position sociale, et à travers lui, c’est aussi cela qui est validé par ceux qui lui délèguent l’explication du monde. Le règne de l’infantilisation entraîne des comportements hystériques dès qu’un élément vient remettre en cause les certitudes de la majorité. Ce refus de l’autre et de la contradiction est devenu la marque d’une morale progressiste juvénile. Le refus de la contradiction est l’extension intellectuelle de la volonté plus générale d’éliminer toute contrainte, qui est effectivement un trait caractéristique de l’enfance. Il y a en Occident une tendance générale à l’élimination pure et simple de ce qui peut contredire le modèle progressiste dominant. Il ne faut pas se leurrer sur la portée du phénomène : elle est beaucoup plus grande qu’on ne l’imagine au premier abord. Le rejet de la contradiction n’est pas circonscrit à une communauté de « gauchistes ». Imbue d’elle-même, cette population « progressiste » se considère comme moralement supérieure à deux autres groupes : à ses propres ancêtres d’une part, et au reste du monde d’autre part. Ce sentiment de supériorité se traduit par un enfermement intellectuel presque total, qui l’empêche de s’intéresser à la fois à la Tradition et aux autres modèles civilisationnels. Les conséquences de la prise du pouvoir par cette idéologie en Occident sont catastrophiques : elle nous pousse à attaquer tout ce qui ne nous ressemble pas et nous entraîne donc tout simplement vers la guerre. Une guerre dont je souhaite à titre personnel que nous la perdions, et vite, tel un enfant arrogant giflé par un adulte à bout de patience. Les tentatives du progressisme de transformer l’histoire à son avantage sont autant d’aveux de son incapacité à accepter la réalité du passé. La cancel culture est, au final, une entreprise de destruction de tout ce qui nous sert d’appui pour sortir de l’enfance. » (Thomas Boussion) Thomas Boussion précise donc que les causes de cette infantilisation programmée et souhaitée, en pointant du doigt le gauchisme comme principal vecteur de ce phénomène, et en affirmant que l'individualisation de la société participe aussi à son infantilisation et vice-versa. D'ailleurs c'est l'atomisation de la société par le système qui participe beaucoup à faire consommer le peuple car ne lui restant plus que ça, surtout sa partie gauchiste n'ayant plus de tradition ni donc de passé et d'identité, ce qui fait de ce système est un ennemi principal. D'autant plus que l'infantilisation amenant souvent à ne pas vouloir d'enfants correspond ainsi en plus à de la dépopulation, que l'infantilisation comme donc les enfants se désintéresse de la science et de la culture générale en préférant l'insouciance du pain et des jeux jusqu'à créer une idiocratie facilement manipulable, que l'infantilisation préfère la déresponsabilité du salariat généralisé au détriment de la force économique et donc politique populaire, et que la corrélation entre individualisation et infantilisation occidentales affaiblit en plus les autres peuples la prenant par erreur comme exemple puisque correspondant à une pseudo large liberté moderne et permet donc de les dominer, dont en évitant que leurs populations se portent massivement volontaires dans leurs armées respectives en tant que patriotes inconditionnels. « Je comprends enfin de quoi les réactions débiles et hystériques de la masse à chaque événement ou sujet clivant sont le nom : celui de « l’immaturité » intellectuelle et politique. L’immaturité intellectuelle et politique est le mal occidental. Se faire traiter de « nazi », facho », truc-phobe, « nauséabond », etc, n’est autre que le signe d’une « infantilisation des esprits », telle que l’exprime brillamment Thomas Boussion dans son implacable essai. Ces esprits, souvent de gauche (le gauchisme est parfaitement défini dans ces pages) ont un rapport infantile au monde et aux événements en ce qu’ils ne supportent ni la contrainte ni la contradiction. Ils préfèrent l’insulte ou l’évitement, au débat constructif adulte et à la mise en perspective historique et dialectique. D’où le dialogue de sourds qui s’installe entre « conservateurs », tenants de la transmission de la Tradition (impliquant autorité, hiérarchie et discrimination) dotés d’une solide colonne vertébrale spirituelle, et progressistes du XXIe siècle, mondialistes mous et marionnettes idéologiques qui rejettent le passé et la nature. Un passé crânement jugé, qui incarne forcément la « faute morale », l’injustice et l’inégalité pour les têtes gavées des discours « républicains » hérités des « Lumières ». Avec des raccourcis pratiques et absurdes résumés par l’auteur d’une formule lapidaire et brillante : « L’histoire prouverait que l’autorité est la première marche d’un escalier qui mène aux chambres à gaz. » « Les catégories traditionnelles révulsent le gauchiste. » En bloc est rejeté, apparaissant comme contraires au « progrès », tout ce qui est : père, mère, vieux, blanc, homme/femme. On le voit avec la propulsion de béjaunes à la tête des États occidentaux, à la promotion de l’avortement, aux délires « intersectionnels » et à la « non-binarité », etc. Il faut saccager tout socle solide qui nous a été transmis par les siècles, et la Nature n’a plus rien à nous enseigner. Le gauchisme est donc une forme de nihilisme qui refuse tout ce qui l’oblige à grandir, tout ce qui incarne l’autorité, qui n’est pas « bienveillant » selon sa mièvre définition, afin de rester dans son confortable « safe space » infantile. Or, Thomas Boussion nous explique bien que grandir, devenir adulte, demande de détruire en soi l’enfance et fait de facto souffrir. Je me souviens de la formule qui disait « il faut souffrir pour être belle », formule qui ferait bondir les « féministes » actuelles qui refusent toute douleur, quand bien même elle serait la voie vers un mieux, un plus beau et permettrait l’évolution. Société de l’hyperindividualisme forcené, du nombrilisme acharné. Les gauchistes exigent que la société s’adapte à eux et non l’inverse. Ils refusent tout effort pour se faire au « moule » collectif et ont une vision essentialiste et binaire de système politique et de l’histoire. Si tu n’es pas avec eux, tu es contre eux. « La doxa infantile divise le monde en deux catégories : les "dictatures" et les "démocraties". » Accouchent de cette infantilisation des esprits plusieurs phénomènes symptomatiques de cette incapacité à grandir, de ce refus des contraintes et de la souffrance initiatique, typiques de l’Occident « déspiritualisé » : la « communication non violente », les « safe spaces », etc. Naît alors un monde manichéen qui n’a que peu de rapport avec la vérité et la réalité : d’un côté les « gentils démocrates » occidentaux, de l’autre les « méchants dictateurs » et leurs régimes « autoritaires ». Avec pour nouveau dieu la « science » érigée comme nouvelle croyance, nouvelle foi moderne à laquelle se soumettre aveuglément. Par ailleurs, la « droite et la gauche » ne permettent plus vraiment d’offrir une grille de lecture pertinente (excellents chapitres en la matière). Thomas Boussion souligne que la vision historique de ces esprits se cantonne essentiellement au XXe siècle, ce qui empêche toute profondeur historique dans l’analyse. Il devient donc difficile de « construire collectivement » avec des individus qui sont sans mémoire ancienne, ne font que « consommer individuellement » et ne sont que des rebelles de salon, manipulés et manipulables. Mais derrière cette tendance grandissante de l’infantilisation des esprits se cache en vérité la bataille entre le Capital et la Tradition, le premier cherchant à écraser l’autre, seule capable de menacer son déroulement (non son existence, hélas). Ainsi vivons-nous actuellement sous le règne médiatique de « l’adulte-enfant occidental », un individu bas du front qui rejette la Russie, embrasse Zelensky, applaudit les drag queens, vomit le catholicisme, trouve Bill Gates et Zuckerberg géniaux, le « vaccin » sûr et efficace, qu’il faut lutter contre le « patriarcat » avec l’écriture inclusive, etc. Le temps est long quand on fait face à des êtres qui ont délégué toute leur réflexion et leur esprit critique à des tiers « de confiance » comme l’État, les institutions, les médias, les représentants de la « science » (autorisée)… Excellent essai qui permet de jeter une lumière crue sur tous les phénomènes et tendances politiques, culturels et sociétaux observables actuellement. Afin de chercher comment lutter. Mais la route est longue ! « L’enfance, en tant que rapport au monde, sert objectivement les intérêts du Capital (…) parce qu’elle s’attaque aux structures traditionnelles existantes (linguistiques, familiales, religieuses) et empêche la Tradition de lutter contre la "pente naturelle" de la marchandisation du monde ; parce qu’elle maintient les individus dans un essentialisme intellectuel qui les empêche d’identifier les forces politiques réelles en présence, ce qui les rend incapables d’identifier les véritables alliés et leur véritable ennemi. » (Anaïs le Faucheux concernant la sortie du livre « L’Immaturité permanente » de Thomas Boussion
aux éditions Kontre Kulture)
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