Z) Fin (3)
Pour revenir à la question de l’hypnose, il est évident que les élites juives ont joué un rôle important dans la découverte et la manipulation de l’esprit inconscient comme le prouve perversement Freud. Par cela, les élites juives cherchent à faire reconnaître le peuple juif comme le plus opprimé de l'Histoire afin de bénéficier de cette position même malhonnêtement. Et pour que les goys comprennent bien le message, ces élites juives ont utilisé leur extraordinaires richesses, leur quasi monopole sur les masses médias, leur influence politique massive et leur censure des points de vue alternatifs. La découverte de l’inconscient par Sigmund Freud a été transformée en arme par son neveu Edward Bernays et aussi instrumentalisée dans les « relations publiques », afin de manipuler directement l’inconscient des peuples dans un processus rappelant l’hypnose de masse, comme donc à travers la victimisation éternelle du peuple juif suite à la shoah et ainsi à son instrumentalisation par le chantage à l'antisémitisme entretenus par les grands médias pour faire passer le mondialisme wokiste, sioniste et ploutocratique. En effet même pour les français agacés par ce contexte, le système est devenu un oligarchique libéralisme-libertaire autoritaire puisque oppressant de plus en plus la droite des valeurs et la gauche du travail par manipulation médiatique presque jusqu'à l'accusation de sécessionnisme voire de terrorisme, surtout si c'est associé à l'antisionisme, à l’anti-judaïsme ou à l'anti-élites juives (incarnant toutes les élites de la superstructure du système et augmentant toujours plus son pouvoir dont par ce procédé), et évidemment à l'antisémitisme. « L’image des Juifs en tant que victimes en est la pierre angulaire. Elle élève les Juifs au rang de peuple saint: tous les autres peuples sont invités à se repentir et à ne jamais oublier leur culpabilité. Désormais, toute allusion à l’antisémitisme, sans parler des tentatives directes de révision du statut sacré des Juifs et de la métaphysique de l’Holocauste, est punissable. Or les politiciens sionistes de droite abandonnent le référent à l’Holocauste, car le capital moral des victimes de celui-ci est maintenant complètement épuisé. En effet comme Netanyahou a détruit Gaza, massacrant sans pitié des centaines de milliers de civils, puis attaqué le Liban, tuant tous les dirigeants du Hezbollah. puis échangé de tirs de roquettes avec l’Iran et ayant fait des préparatifs actifs de guerre contre ce pays dont des attaques contre des installations nucléaires, puis ayant envahi ce qui restait du plateau du Golan et ayant effectué des attaques contre la Syrie, Israël affiche désormais sa puissance, sa grandeur et sa cruauté actuelles, presque comme si nous étions revenus à l’Ancien Testament(, mais seulement car l'axe de la résistance musulman ne frappe pas massivement Israël pour éviter une troisième guerre mondiale, empêcher une destruction trop massive du Moyen-Orient, et attendre la bénédiction des pays musulmans unis et donc l'avénement du Mahdi). Aujourd’hui, les Juifs ne sont plus pris en pitié, mais craints, haïs, détestés ou admirés et, dans tous les cas, considérés comme une force puissante et impitoyable. L’identité juive a donc hangé. Elle n’est plus symbole d’humiliation et de souffrance, mais synonyme de domination et de triomphe. Il n’est plus nécessaire de penser depuis Auschwitz. Il faut maintenant penser à partir de Gaza. La tradition juive elle-même parle de deux Machia’h, celui qui souffre (Ben Yusef) et celui qui est victorieux (Ben David). Après l’holocauste européen, l’accent a été mis sur le Machia’h souffrant, la victime. Aujourd’hui, cette Gestalt est remplacée par le Machia’h victorieux, celui qui attaque, celui qui triomphe. C’est particulièrement évident en Israël même. Mais il est clair que cela ne s’arrêtera pas là. Il y a un changement d’archétype messianique parmi tous les Juifs du monde. » (Alexandre Douguine) Or cette vie permanente en rapport à la mort la perpétue voire l'industrialise et empêche les juifs de devenir un peuple normal dont en restant dans le passé plutôt que de vivre le présent et organiser le bon futur mondial. Le chantage à l'antisémitisme, la terreur à l’holocauste et l'oppression cherchant à faire condamner pour apologie du terrorisme même ceux qui ont simplement exprimé leur soutien aux palestiniens permettent aussi de justifier des guerres dont contre les palestiniens. Dans une interview accordée à Amy Goodman de Democracy Now le 14 aout 2002, Shulamit Aloni, ancienne ministre de l’Éducation d’Israël, a d'ailleurs déclaré que l’antisémitisme était utilisé comme un moyen de faire taire les critiques en occident et ainsi justifier les exactions contre les Palestiniens : « L’antisémitisme est une combine. En Europe, lorsque quelqu’un critique Israël, on lui sort l’Holocauste. Quand c’est aux États-Unis que les gens critiquent Israël, alors ils sont accusés d’antisémitisme. Il est bien plus facile d’accuser ceux qui critiquent certains actes du gouvernement israélien d’antisémitisme, d’invoquer l’Holocauste et la souffrance du peuple juif. Cela justifie tout ce que nous faisons aux Palestiniens. » La souffrance entretenue des juifs leur fait oublier celle des autres surtout en tant que peuple prétendument élu alors qu'il ne l'est plus. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « [Documentaire] Defamation » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=loNPmYUUzFs Or un aspect de la victimisation correspond à une partie de la haine. En effet la victimisation des juifs donne la lutte contre l’anti-sémitisme et donc la haine envers toute personne critique de l'Etat d'Israël. La victimisation des femmes donne le féminisme et donc la haine contre toute personne revendiquant la famille traditionnelle. La victimisation des homosexuels devient la lutte et donc la haine envers toute personne valorisant l'hétérosexualité. La victimisation des colonisés donne la lutte contre le racisme et donc la haine envers toute personne recherchant le patriotisme. Or telle l'ingérence Etats-unienne à travers le monde par leur puissance politique, monétaire, financière et militaire, en déstabilisant divers partis politiques à travers le monde par l'accusation d'antisémitisme appuyée par les grands médias et l’emprise du judéo-sionisme sur les structures politiques ainsi que sur les esprits du monde occidental, connaît un rejet par de nombreux pays. Ceci explique pourquoi les organisations et intellectuels juifs sionistes de droite s’appuient ces dernières années en Occident sur le prétendu philosémitisme national de droite pour contrer l'antisionisme social de gauche. « La liberté d’expression est plus forte que la censure, parce que la raison est plus forte que le mensonge. Le mensonge, avec toutes les polices du monde, ne peut tenir éternellement : il s’effrite avec le temps, le temps tue le mensonge. Le temps serait-il raison (et antisioniste ) ? (Oui!) Sur le conflit IP, la tension est montée depuis le 7 Octobre entre les gardiens du dogme – pour qui les Israéliens sont des démocrates et les Palestiniens des terroristes – et les gauchistes qui retrouvent leurs fondamentaux, l’humanisme et l’anti-impérialisme. À noter que même si cette gauche est anticléricale, sur le papier, son humanisme descend tout droit du Christ, et sa raison de la Grèce ancienne. Cette gauche qui ne veut plus se taire devant l’injustice majeure se retrouve mise au ban, comme elle a mis au ban la droite nationale depuis 40 ans. Une droite nationale qui s’est rangée sous le drapeau israélien au moment où tout basculait. Un calcul historiquement perdant, alors qu’il fallait tenir encore un peu. Le programme de redressement national aurait dû prôner le retour de la voix de la France, à l’extérieur comme à l’intérieur : devant la folie destructrice israélo-américaine, et devant la meute médiatique inféodée à cette puissance. Au lieu de quoi, le RN d’aujourd’hui aboie avec les Américains et les Israéliens, qui sont mis au ban des nations (regardez les derniers votes à l’ONU, qui servent au moins à quantifier le rapport de forces). Quelle erreur de timing ! Les médias subventionnés coulent idéologiquement en direct devant tout le monde. Sur les Gilets jaunes, l’injection, les retraites, l’inflation, la corruption, le conflit IP, ils ont toujours pris le parti de l’oligarchie, celui de la répression et de la désinformation, et ils couleront avec. Les gifles ont endurci l’opposition, qui n’a plus rien à perdre. Le peuple est aux abois, il se demande comment il va finir le mois, et on lui demande de chanter chaque jour, en versant si possible une larme, l’hymne israélo-américain. Surréaliste. » (Rédaction ER) Bernays s’est servi des travaux de son oncle sur la psychanalyse et des théories psychanalytiques de Freud pour mettre en place des mécanismes de manipulation de l’opinion. Ils s’articulent ainsi comme la base de ses concepts à l’aide des dispositifs sociaux pour faire entrer le désir humain dans la logique marchande. Certes, d’autres avant lui comme les Sophistes de la Grèce Antique ou Machiavel durant la Renaissance italienne avaient expérimenté des techniques de manipulation de l’opinion publique. Mais Edward Bernays se joue des codes de la démocratie. Plus que cela, il la méprise et l’associe au chaos. Selon lui, les citoyens sont incapables de tenir leur rôle comme ils le devraient idéalement car ils ne sont pas assez ou mal informés. Bernays estime qu’un gouvernement invisible constitué de minorités agissantes devrait fabriquer du consentement à l’aide des outils de propagande pour aiguiller le peuple dans ses choix. Dans son travail, concevant des stratégies de communication, il a combiné les idées de Gustave Le Bon et Wilfred Trotter, ainsi qu'utilisé la psychologie des masses et les idées psychanalytiques de Sigmund Freud. Bernays a commencé une sorte de révolution en combinant les idées traditionnelles de l’agent de presse avec les technologies de la psychologie et de la sociologie, créant ce que les théoriciens appellent aujourd’hui les relations publiques modernes. Il a activement utilisé des idées de psychanalyse dans le but de maximiser les effets commerciaux, et tout cela dans le but de promouvoir divers services et produits. Gustave Le Bon (1841-1931) est un personnage important dans la conceptualisation des masses, ses travaux sont encore utilisés. Il a fréquenté la faculté de médecine de Paris mais n’a pas eu son diplôme. Il a été un anti-colonialisme et a dénoncé le concept de race. Afin de les comprendre, il s’est intéressée à l’influence du déterminisme social et sociologique pour expliquer des comportements sociaux humains, en s’appuyant aussi à la théorie de la dégénérescence de Bénédict Morel. Il a exposé ses thèses, en 1895, en publiant un livre sur ce sujet « psychologie des foules ». Ce livre précise que le comportement d’individus réunis n’est pas le même que lorsque les individus raisonnent de manière isolée. Il explique ainsi les comportements irraisonnés des foules. Ces études ont aidé aussi à conceptualiser les politiques du maintien de l’ordre français. Gustave Lebon avait classé et nommé les masses de la manière suivante : les foules dites criminelles ; les jurés de cour d’assises ; les foules électorales ; et les assemblées parlementaires. Les dénominations ont changé, maintenant on les dénominations sont : électorat, public, audience, consommateur etc.., mais les mobiles, les mécanismes et les facteurs d’influence et de manipulation des foules restent les mêmes. Gustave Le Bon a aussi nommé et étudié «le leader » en énumérant trois moyens d’action : l’affirmation, la répétition et la contagion. De nos jours, avec des mouvements populaires comme les gilets jaunes, on choisit ou on met en avant un chef de file avec ces techniques et il devient un agent d’influence et peut être un agent d’influence que ce soit voulu, à leur initiative ou poussé, et influencé. Wilfried Trotter (1872-1939) était un chirurgien anglais, un pionnier de la neurochirurgie. Il était également connu pour ses études sur la psychologie sociale, notamment pour son concept de l’instinct de troupeau, qu’il a d’abord décrit dans deux articles publiés en 1908, et plus tard dans son célèbre ouvrage populaire « Instincts of the Herd in Peace and War », un classique précoce de la psychologie des foule. Trotter a soutenu que la grégaire était un instinct chez l’homme tout comme les ruches, les troupeaux de moutons et les meutes de loups qu’il a étudié. Wilfried Trotter a rencontré à plusieurs reprises Sigmoud Freud car il apprécié ses travaux. Edward Bernays est ainsi devenu le père du lobbyisme, le maître dans l’art de manipuler l’opinion que ce soit à des fins politiques ou publicitaires. En réalité, les contributions de Bernays (et de Freud) n’étaient pas originales. En effet, elles doivent plutôt être considérées comme des versions modernes des techniques de contrôle de l’esprit vieilles de plusieurs siècles basées sur la « magie » kabbalistique, telles que décrites dans « Eros and Magic in the Renaissance » de Ioan Couliano. Il faut noter que la révélation de ces secrets kabbalistiques par Couliano lui a peut-être coûté la vie, puisqu'il a été assassiné dans des toilettes de l’Université de Chicago, cette Mecque des néoconservateurs, c'est à dire des gens prétendant défendre le judaïsme alors que servant à les faire dominer le monde d'abord par la laïcité matérialiste, l'utilisation de puissances (nations) étrangères et la déstabilisation mondiale liée à Israël. Ce qui n'est pas rejeté par les israéliens attendant la resacralisation officielle d'Israël. « Si l’on est en droit de considérer les néoconservateurs comme sionistes, c’est surtout en constatant que leurs choix en politique étrangère ont toujours coïncidé parfaitement avec l’intérêt d’Israël (tel qu’ils le conçoivent), au point de susciter de légitimes questions sur leur loyauté première. L’intérêt d’Israël est depuis toujours compris comme dépendant de deux choses : l’immigration des juifs d’Europe de l’Est et le soutien financier des juifs de l’Ouest (américains et, dans une moindre mesure, européens). Jusqu’en 1967, l’intérêt national fait pencher Israël vers l’Union Soviétique, tandis que le soutien des juifs américains reste réservé. L’orientation socialiste et collectiviste du Parti travailliste, fondateur et majoritaire, l’y enclint, mais ses bonnes relations avec l’URSS d’alors s’expliquent surtout par le fait que l’immigration massive des juifs n’est possible que par le bon vouloir du Kremlin. Durant les trois années suivant le départ des Britanniques (1948), qui avaient jusque-là limité l’immigration par égard pour la population arabe, 200 000 juifs polonais réfugiés en URSS sont autorisés à s’installer en Palestine, tandis que d’autres affluent de Roumanie, Hongrie et Bulgarie. Mais la guerre des Six Jours marque un tournant : en 1967, Moscou proteste contre l’annexion par Israël de nouveaux territoires en rompant ses relations diplomatiques avec Tel-Aviv et en stoppant soudain l’émigration de ses citoyens juifs, qui s’était pourtant accélérée dans les mois précédents. C’est à partir de cette date que Commentary devient, selon le mot de Benjamin Balint, « le magazine polémique qui a transformé la gauche juive en une droite néoconservatrice ». Dès lors, les néoconservateurs prennent en effet conscience que la survie d’Israël — et si possible son expansion territoriale — dépend de l’aide et de la protection militaire états-unienne, et simultanément que le besoin en immigration ne pourra être comblé que par la chute du communisme. Ces deux objectifs convergent vers le besoin de renforcer la puissance militaire des États-Unis. C’est la raison pour laquelle, écrit Irving Kristol dans la revue de l’American Jewish Congress en 1973, il faut combattre la proposition de George McGovern de réduire le budget militaire de 30 % : « C’est planter un couteau dans le cœur d’Israël. Les juifs n’aiment pas les gros budgets militaires, mais il est maintenant dans l’intérêts des juifs d’avoir un grand et puissant appareil militaire aux États-Unis. Les juifs américains qui se préoccupent de la survie de l’État d’Israël doivent dire ‘non, nous ne voulons pas réduire le budget militaire, il est important de garder un gros budget militaire, afin de pouvoir défendre Israël » Avec la fin de la Guerre froide, l’intérêt national d’Israël change à nouveau. L’objectif prioritaire n’est plus la chute du communisme (à cause donc de la fin de l'acceptation de l'émigration juive vers Israël par l'URSS suite à la guerre d’annexion de six jours), mais l’affaiblissement des ennemis d’Israël. Les néoconservateurs vivent leur seconde conversion, de l’anticommunisme à l’islamophobie. La démonstration de la duplicité des néoconservateurs repose sur la coïncidence entre la fondation du PNAC en 1996 et la publication par le think-tank israélien Institute for Advanced Strategic and Political Studies, d’un rapport intitulé Une rupture propre : une nouvelle stratégie pour sécuriser le royaume (d’Israël). Le rapport, adressé au Premier ministre nouvellement élu Benjamin Netanyahou, l’invite « à mobiliser toutes les énergies possibles pour la reconstruction du sionisme », ce qui suppose de rompre avec le processus d’Oslo, c’est-à-dire abandonner la politique « paix contre terre » de restitution des territoires occupés, et réaffirmer le droit d’Israël sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza. « Notre revendication de la terre — à laquelle nous nous sommes accrochés par un espoir de 2000 ans — est légitime et noble. Seule l’acceptation inconditionnelle par les Arabes de nos droits, en particulier dans leur dimension territoriale, « la paix pour la paix », est une base solide pour l’avenir. » Les auteurs de Rupture nette engagent donc le Premier ministre israélien à adopter une politique d’annexion territoriale contraire non seulement à la position officielle des États-Unis et des Nations Unies depuis toujours, mais contraire également au discours officiel d’Israël. Alors même qu’il signe en septembre 1999 la « Feuille de route » devant aboutir à un État palestinien et poursuit dans cette voie au sommet de Camp David en juillet 2000, Netanyahou suit les conseils de Rupture nette et travaille secrètement à saboter ce processus. Netanyahou a alors pour ministre des Affaires étrangères Ariel Sharon, qui qualifie ouvertement les Accords d’Oslo de « suicide national » et se prononce pour les « frontières bibliques », c’est-à-dire un Grand Israël ne laissant aucune terre aux Palestiniens : « Tout le monde doit se précipiter et s’emparer de toutes les collines qu’il peut pour élargir les colonies parce que tout ce que nous prendrons maintenant restera à nous » déclare-t-il le 15 novembre 1998. En 1999, Sharon succède à Netanyahou, qui devient à son tour ministre des Affaires étrangères. Le 28 mars 2001, la diplomatie internationale a placé la paix au Proche Orient à portée de main : 22 nations réunies à Beyrouth sous l’égide de la Ligue Arabe s’engagent à reconnaître Israël sous condition d’application de la Résolution 242. Mais le jour suivant, l’armée israélienne envahit Ramallah et assiège Yaser Arafat dans son QG, au mépris des protestations de la communauté internationale. Six mois plus tard, le 11-Septembre enterrera définitivement le processus de paix. Au-delà de cette politique locale, Rupture nette présente un plan permettant à Israël de « modeler son environnement stratégique , » en commençant par « retirer Saddam Hussein du pouvoir en Irak », puis en affaiblissant la Syrie et le Liban, et finalement l’Iran. (D'ailleurs c'est le Mossad qui a menti concernant la présence d'armes de destruction massive en Irak et c'est Israël qui a poussé les USA et l'Otan à la guerre en Libye et Syrie sous le pseudo prétexte de pacifier les risques régionaux, comme ils continuent de le faire vis à vis de l'Iran.) Ce que recommande Rupture nette pour l’Irak, par exemple, n’est nullement la démocratie mais la restauration d’une monarchie pro-occidentale. Il faut entraîner les USA à faire la guerre aux ennemis d’Israël, et pour cela convaincre les États-uniens que les ennemis d’Israël sont leurs ennemis. De surcroît, il faut que les États-uniens croient que ces ennemis détestent leur pays pour ce qu’il incarne (la démocratie, la liberté, etc.), et non en raison de son soutien à Israël, alors que telle est bien en réalité la principale cause du ressentiment contre les États-unis dans le monde musulman. (Après le 11 septembre,) L’un des buts évidents est de faire passer, aux yeux des États-uniens, l’oppression contre les Palestiniens (l’Irak, le Liban, la Syrie, l'Iran, etc) pour une lutte contre le terrorisme islamique (ou des dictateurs). » (Extraits de l'article « Le triple jeu des néoconservateurs – Laurent Guyenot » à l'adresse https://strategika.fr/2023/08/06/le-triple-jeu-des-neoconservateurs/) L’hypnose est basée sur la répétition : vous regardez la montre qui se balance d’avant en arrière, d’avant en arrière, d’avant en arrière, ou la cuillère qui tourne, tourne, tourne autour de la tasse, et vous entrez en transe hypnotique. Lewis Carroll résume admirablement l’équivalent verbal de ce type de répétition hypnotique : « Ce que je vous dis trois fois est vrai. » C’est pourquoi les téléspectateurs du 11 septembre 2001, stupéfiés à coup d’images traumatiques, ont subi des centaines de rediffusions d’avions pénétrant dans des bâtiments, d’avions pénétrant dans des bâtiments, d’avions pénétrant dans des bâtiments, puis de bâtiments explosant en nuages pyroclastiques, de bâtiments explosant en nuages pyroclastiques, de bâtiments explosant en nuages pyroclastiques, tandis qu’un défilé sans fin de têtes parlantes scandait « Pearl Harbor, Pearl Harbor, Pearl Harbor » et « Ben Laden, Ben Laden, Ben Laden ». En faisant concentrer sur une seule chose (un son régulier ou une image), l'hypnose peut faire passer des injonctions subliminales que l'on pourrait éventuellement refusé sans cela, comme aussi lors du covid et son « un bon citoyen est un citoyen vacciné, un bon citoyen est un citoyen vacciné, un bon citoyen est un citoyen vacciné ». Surtout que tout traumatisme en particulier massif comme les attentats du 11 septembre 2001 et la crise du Covid rend manipulables beaucoup de gens voire presque des populations entières, car il suffit d'alimenter ce traumatisme par des idées ou des affirmations. On ne peut imaginer un exemple plus honteux d’opération d’hypnose de masse, en particulier car il s'agit d'une attaque sous faux drapeau ou de connivence, et ces événements permettent l’enchaînement de long narratif politico-médiatique comme par rapport à l'Ukraine et la Palestine. Et si autant de gens se vaccinent, c’est que le monde est encore victime d’une énorme hypnose collective. Ce que l’on observe avec l’hypnose de masse, c’est qu’une grande partie de la population est totalement incapable de traiter de nouvelles données et faits scientifiques démontrant qu’elle a été induite en erreur sur l’efficacité et les effets nocifs de l’utilisation obligatoire du masque, des enfermements et des vaccins génétiques qui obligent le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active. C'est pourquoi il faut aussi faire attention aux cartes météorologiques alarmant les populations avec uniquement du rouge de plus en plus foncé en fonction de la chaleur, afin d’éviter de se faire manipuler par d’éventuelles futures mesures liberticides en faveur du climat concernant nos déplacements, voyages et dépenses énergétiques. On a l’impression que si un ministre ou un président disait aujourd’hui aux foules « on vous a bien arnaqués », la majorité des gens ne réagirait pas, ne comprendrait même pas ce message pourtant très primaire. C’est pourtant ce qu’il se passe, comme cela s'est passé avec les USA ayant admis être parti en guerre en Irak par erreur car qu'il n'y avait pas d'armes de destructions massives. Quand ce sont les réprouvés, les mal-pensants, les résistants qui le disent, cela ne passe naturellement pas, ça provoque une réaction de défense naturelle. Quand ce sont des oligarques, ça ne peut pas être compris, car cela crée un bug entre la croyance en l’autorité et la parole officielle. Un oligarque ne peut pas mentir, sinon tout s’effondre, le monde s’écroule, pour beaucoup de gens dont les soumis confiants et les soumis inconsciemment. « L'hypnose, une technique ancienne et mystérieuse, continue de fasciner et d'intriguer les scientifiques et le grand public. Utilisée dans divers domaines, de la médecine à la manipulation mentale, elle soulève des questions sur son efficacité et ses dangers potentiels. A travers un livre de Vance Packard, Arthur Sapaudia nous propose de plonger dans l'univers de l'hypnose pour découvrir ses applications modernes et ses implications éthiques. Extraits de Vance Packard, L’homme remodelé, chapitre X, Le contrôle du comportement par les nouveaux hypnotechniciens (1977) : « Un des plus anciens mystères de l’humanité est en passe d’être utilisé massivement en vue d’induire les gens à se comporter d’une manière différente de la normale. Je veux parler de l’hypnotisme. Il est employé par les policiers, les publicitaires, les médecins, les éducateurs, les juges d’instruction, les entraineurs sportifs, les psychothérapeutes et les militaires. Nombre de ces utilisateurs ont suivi des cours intensifs et sont eux-mêmes des praticiens. Plus fréquemment ils ont entendu quelques conférences sur le sujet et recourent aux services d’hypnotiseurs professionnels. Le pourquoi et le comment de l’hypnotisme ne sont pas encore parfaitement compris. Mais le fait qu’il soit efficace dans un grand nombre de situations (pas toutes) n’est pratiquement plus mis en doute par les scientifiques. (Ce qui est logique puisque la signification de « l'homme » en arabe selon le Coran est « celui qui oublie » et qui doit pieusement choisir de faire l'effort de se rappeler et donc de répéter noblement le bon sens de la vie, et ce processus peut donc être sagement ou perversement utilisé.) Je connais 11 associations, nationales ou internationales, qui œuvrent en vue d’une utilisation sérieuse de l’hypnose. Le recrutement est généralement limité aux personnes réellement qualifiées. Il existe deux centres internationaux, un à Milan, en Italie, l’autre à Upsal en Suède. De nombreuses universités américaines organisent des cours sur l’hypnotisme. C’est là une promotion considérable pour un art sentant le soufre et qui, il y a encore peu de temps, était abandonné aux amuseurs et aux charlatans. L’origine de l’hypnotisme se perd dans la nuit des temps. Beaucoup de peuples primitifs tombaient dans une sorte d’hypnose au cours des cérémonies prolongées où l’on battait les tambours et où l’on psalmodiait des chants à l’infini. Les hypnotiseurs ont coutume de dire aux sujets qu’ils vont dormir. En fait, ils ne dorment pas. Il s’agit d’une transe éveillée. Les ondes cérébrales ne sont pas celles de quelqu’un qui dort mais plutôt celles d’une personne particulièrement détendue. L’hypnose véritable suppose don cette transe. Le sujet devient docile parce qu’il a été persuadé de réduire considérablement son activité cérébrale organisée. Les apports des cinq sens sont également sérieusement limités. La conscience est étroitement centrée sur la voix de l’hypnotiseur. Dans une large mesure, le moi du sujet tombe sous le contrôle de l’hypnotiseur. Une personne prédisposée à l’hypnose éprouve, sous hypnose, un fort désir de plaire à l’hypnotiseur. Erich Fromm, qui est spécialiste du comportement à l’université de Chicago, estime que 10% d’entre nous sommes fortement hypnotisables, 10% fort peu susceptibles de l’être, le reste se situant dans une zone intermédiaire. (Il s'agit généralement du niveau de volonté profonde de croire en l'hypnotiseur et donc d'un abandon en lui, ce qui peut se faire à son insu comme un médecin demandant à son patient de se détendre de plus en plus comme une technique pour faciliter son affrontement de ses problèmes dan le futur. D'ailleurs il est dit fréquemment que personne ne peut être hypnotisé contre son gré. D’un point de vue technique, c’est vrai. Mais un individu réfractaire à l'hypnose au sein un groupe d’individus ouvert à l'hypnose devient influencé par ce groupe.) Des études ont été menées pour permettre aux astronautes de se tirer d’affaire et de continuer à être actifs dans des cas de chaleur ou de froid extrêmes. Des étudiants furent hypnotisés, puis placés dans des boxes surchauffés. Après quoi, on leur dit de s’employer activement à l’accomplissement d’une tâche donnée. Ils apprirent ainsi à rester en activité une heure durant par des températures de 60°. En se penchant sur cette étude, le psychologue Perry London trouva significatif le fait que, dans ce cas de résistance aux températures extrêmes, tout ne se passe pas seulement dans la tête. Les résultats semblaient indiquer que l’hypnose affecte les fonctions corporelles. En l’occurrence, elle contribuait à diminuer les effets débilitants des températures glaciales sur les battements du cœur et à éviter les tremblements. Dans une étude sur la résistance à la douleur, financée par les Instituts nationaux pour la santé, l’hypnose surclassa le valium et l’aspirine et fit légèrement mieux que la morphine et l’acupuncture. L’hypnose est fréquemment utilisée pour atténuer les douleurs de l’enfantement. Dans un petit nombre de cas, elle a permis de pratiquer des césariennes sans recourir à l’anesthésie. Une autre dimension de l’hypnose, dangereuse potentiellement, concerne la capacité qu’a un hypnotiseur expert d’’influer sur les actes d’une personne après que la transe hypnotique a pris fin. Dans la pratique, la suggestion post-hypnotique est utilisée principalement par les thérapeutes pour faciliter au sujet la réalisation de ce qu’il a déjà envie de faire. Par exemple, rester calme à l’occasion d’un oral inquiétant, s’offrir une bonne nuit de sommeil, etc. L’injonction donnée durant la transe fait office de renforcement et produit un réflexe conditionné au futur. Certains de ces renforcements, paraît-il, ont duré des mois. Mais chez les sujets moyens l’effet du renforcement se dissipe en quelques jours. Sur un signal donné, certaines personnes profondément hypnotisées semblent pouvoir régresser jusqu’à se comporter et parler comme un enfant de cinq ans. Il n’est pas nécessaire que l’hypnotiseur se trouve dans la même pièce que le sujet. En fait, il peut être à des kilomètres de là. Un des instruments de l’hypnotisme à distance est la télévision. Il y a quelques années, à la radio anglaise, un hypnotiseur a hypnotisé par mégarde une partie de ses auditeurs. Après les réactions de fureur qui y firent suite, toute démonstration hypnotique fut interdite à la radio et à la télévision britanniques. Aux États-Unis, l’Association nationale des diffuseurs de radio et de télévision (qui représente la majorité des diffuseurs) a émis la même interdiction. Mais le danger demeure d’une utilisation incontrôlée et perverse. Or il y a un bon sens de l'hypnose quand les médecins s'en servent pour aider à arrêter une drogue même si par la pratique religieuse et la piét est beaucoup plus honorable, ou pour rendre supportable des douleur de maladies incurables cancers ou de l’arthrite, mais à condition d'annoncer auparavant de le faire en Dieu. Dans ce bon sens aux États-Unis actuellement, la police se sert de l’hypnose, mais avec précaution et uniquement sur les suspects n°1 des affaires criminelles. La défense pourrait en effet se saisir de la chose lors du procès et en tirer argument. Par ailleurs, si les suspects savent que l’on va pratiquer l’hypnose sur eux, ils résistent le plus souvent, à moins qu’on ne les ait amenés à accepter l’idée de la nécessité d’une « relaxation progressive ». Au cours de ces dernières années, les services de police ont témoigné d’un intérêt considérable pour l’hypnose considérée comme un outil d’investigation. Elle est utilisée pour aider les témoins, les victimes ou les policiers, à se rappeler avec précision ce qui s’est passé. Or pendant au moins vingt ans, la C.I.A. a testé et utilisé de nombreux modes de contrôle du comportement. L’hypnose, manifestement, en faisait partie, en combinaison parfois avec des drogues. Le livre de Donald Bain, « The Control of Candy Jones » retrace la manière, dont, théoriquement, la C.I.A. aurait allié drogues et hypnose. Herbert Spiegel a écrit une préface favorable à ce livre. La belle Candy Jones, un ancien mannequin qui est actuellement une célébrité de la radio, semble avoir été utilisée, sans le savoir, comme messager de la C.I.A. dans divers pays et durant de nombreuses années. Spiegel la classe au rang des personnes exceptionnellement hypnotisables, à tel point qu’elle entre en transe hypnotique, sans s’en apercevoir, sur un simple signal, comme le clignotement d’une lumière. Et ses transes peuvent être intenses au point de provoquer l’amnésie. Le psychologue G. H. Eastabrooks a révélé qu’il s’est occupé de la formation de nombreux messagers de ce type durant la Deuxième Guerre mondiale. Après avoir contacté le colonel Brown, en Orient ou ailleurs, le messager demandait le message qu’il supposait être venu chercher. Le colonel Brown le lui donnait puis l’hypnotisait après avoir dit « La lune est claire ». Une fois hypnotisé, le messager révélait l’information secrète et recevait la réponse secrète dont la suggestion post-hypnotique lui était tout souvenir. » (Extraits de l'article « « L’Homme remodelé » de Vance Packard : L’hypnose, une technique ancestrale aux usages modernes » à l'adresse https://lemediaen442.fr/lhomme-remodele-de-vance-packard-lhypnose-une-technique-ancestrale-aux-usages-modernes/) Bien souvent le véritable objectif de la transe hypnotique n’est pas ce qui se passe pendant la session d’hypnotisme, mais les changements futurs de comportement induits par la suggestion post-hypnotique : le fumeur arrête de fumer, la personne grosse perd du poids ou le sujet de MK-Ultra tire avec une arme à feu sur Robert Kennedy, sans la moindre idée de ce qu’il fait ou pourquoi, parfois après avoir aussi subi un lavage de cerveau synonyme de programmation mentale avec le LSD. En effet avec l'association d'une puissante drogue extrêmement abrutissante et très hallucinogène, de la torture, du viol, de la privation (sommeil, nourriture, bonne température), de la répétition extrême, de l'hypnose (dont par rapport au somnambulisme étant déjà une dissociation, provenant d'intenses tensions psychologiques et émotionnelles, et permettant en plus possiblement de déjà suggérer des idées pour la vie éveillée), et donc d'un ou des traumatismes profonds que l'on peut apaiser à une ou des conditions et donc manipuler, on peut généralement manipuler et programmer l'esprit sans qu'il s'en rende compte ensuite, dont car l'esprit a tendance à occulter les énormes traumatismes ou l'esprit du cobaye crée souvent des personnalités différentes en lui, tout ceci amenant donc à un envoûtement en particulier quand c'est lié à de la sorcellerie (magie noire) et donc à des djinns sataniques... D'ailleurs il est évident qu'en créant chez l'esprit une personne autant d'étourdissement pas ces souffrances et cette drogue très forte, on peut y implanter des souvenirs de personnalités multiples et donc des personnalités multiples. Surtout que le registre émotionnel donne accès à l'inconscient humain en permettant d'y implanter des idées, des désirs, des normes et des peurs, puisque le cœur est la principal source d'action, d'habitude ou de craintes même fantasmées. D'autant plus que l'inconscient chez l'être humain peut faire faire ou faire dire des choses, sans savoir pourquoi. Car l’inconscient, lui, sait. Il a sa logique. Et parfois, cet inconscient affleure donc dans le monde conscient. D'ailleurs avant ma conversion à l'islam, lors d'un simple délire oxygène (grandes respirations répétées puis bloquées) pour rigoler stupidement avec deux amis alors que j'étais simplement alcoolisé, je me suis légèrement évanoui et la peur de mon cœur a poussé mon cerveau à créer l'image des visages de mes parents très inquiets me ranimant alors qu'au fur et à mesure de mon retour à la réalité ces visages devenaient ceux de mes deux amis riant bêtement. De plus le somnambulisme violent et même meurtrier existent. Tout ceci a donc très probablement permis de cacher certains commanditaires très criminels dans l'Histoire, (sauf lors du Jugement Dernier)... En sachant qu'à diverses fins très perverses, les personnes officiellement en avis de recherche et celles très isolées (sans famille, ni amis, ni travail) sont évidemment les plus susceptibles d'être victimes de l'organisation MK-Ultra. Et il y aurait encore plus de 10 000 disparition d'enfants annuellement en France. Le LSD est une drogue terriblement forte dans ses effets physiques et ses hallucinations, puisque arrivant dans un sens à faire pénétrer la conscience encore éveillée dans l'imagination du sommeil à l'image d'un mirage, et donc faisant croire que tout provient de l'esprit, et donc amenant à perdre la foi, et donc provoquant des dégâts qualifiables de bombe atomique spirituelle, et donc étant une possible représentation du faux messie ou/et de la Bête de la fin des temps. Le LSD a d'ailleurs participé à la généralisation de l'abrutissement, et donc l'impiété, et donc la baisse de foi, et donc la révolution sexuelle, et donc de la pertes des valeurs et donc de la propagation du satanisme plus ou moins caché. Le LSD est une drogue terriblement forte dans ses effets physiques et ses hallucinations, puisque arrivant dans un sens à faire pénétrer la conscience encore éveillée dans l'imagination du sommeil à l'image d'un mirage (surtout que dans un sens comme le mirage, il s'agit aussi de la formation d'une image par la pensée liée à la chaleur et donc à la vision trouble qu'on a horizontalement juste au-dessus d'un feu), et donc faisant croire que tout provient de l'esprit, et donc amenant à perdre la foi, et donc provoquant momentanément des dégâts qualifiables de bombe atomique spirituelle, et donc étant une possible représentation du faux messie ou/et de la Bête de la fin des temps. D'ailleurs le LSD est un produit ionique positivement électrifié tel par le feu (dont lumière solaire et donc possiblement comme une possession par Satan puisque ce dernier est fait de feu) et donc négativement électrifié pour le cerveau, et donc les yeux et donc l'esprit, c'est à dire que c'est un acide et donc une substance mise en solution aqueuse (d'où la prise par des timbres imbibés) et libérant ainsi un ion positif (cation) ou des ions positifs (un ou des protons voire un ou des atomes chargés positivement) en plus hydrogène H+ (le feu consommant de l'hydrogène ne produit pas de C02) dans ce cas, contrairement à la base car elle est une substance qui mise en solution aqueuse (comme le MDMA se mélangeant avec la salive) produit un ion négatif (anion) ou des positif (anion) ou des ions positifs (un ou des protons voire un ou des atomes chargés négativement) et devient donc un produit ionique négativement électrifié tel par les bons ultra-violets (dont lumière noire, feu orienté vers le bien comme au Paradis et pour le Prophète Abraham) et donc dans un sens positivement pour le cerveau, et donc les yeux et donc l'esprit. Le LSD a d'ailleurs participé à la généralisation de l'abrutissement, et donc l'impiété, et donc la baisse de foi, et donc la révolution sexuelle, et donc de la pertes des valeurs et donc de la propagation du satanisme plus ou moins caché. « C’est en creusant ces dossiers de réseaux pédocriminels, que l’on découvre certains témoignages troublants concernant des pratiques de viols en réunion avec tortures pouvant aller jusqu’au meurtre. Il semble s’agir de réunions très bien organisées et planifiées, lors desquelles toutes les lois morales seraient évacuées au profit d’une libération des pires pulsions qui soient ; tel un verrou qui saute durant une soirée, au grand détriment des victimes subissant les abominations. Au premier abord, ce sont des récits inimaginables et le déni prend rapidement le dessus : on referme le dossier. C’est la multiplication de ces témoignages et leur ressemblance, cela à l’échelle internationale, qui finit par interpeller… L’existence de ce que l’on nomme « abus rituels » ou « sévices rituels », parfois associés au satanisme de par le cadre et la forme des rites ou cérémonies, devient alors une triste évidence. L’étude de l’affaire Dutroux, notamment des dossiers X, permet d’avoir un aperçu de ce que sont ces pratiques hautement criminelles : les dépositions et procès-verbaux enregistrés et archivés par la police, rendus publics par Wikileaks, sont à faire vomir. Le journaliste belge Xavier Rossey ayant enquêté sur l’affaire Dutroux écrira : « On peut dire qu’il y a deux types de pédocriminalité : le « simple » pédophile et le pédocriminel pervers avec ce côté rituel. Lorsqu’on enquête dans ce genre de dossiers, il faut aussi voir le côté occulte des choses, les assassinats rituels. Il est clair que ce sont des dossiers souvent discrédités et qui sont tellement horribles qu’on ne veut pas aller plus loin. Pour beaucoup, ces abus rituels sont inconcevables (…) On a essayé de faire passer Dutroux pour un pédophile, ce qu’il n’est pas (…) on est ici dans le cadre des abus rituels pédophiles. » L’horreur de ces dossiers est évidemment un frein pour le grand public, un repoussoir ne facilitant pas la reconnaissance des victimes. Le déni est massif, pourtant dans son guide national pour la protection de l’enfance, le site officiel du gouvernement Écossais diffuse de l’information concernant cette forme de pédocriminalité que sont les abus rituels. Nous pouvons y lire cette définition : « L’abus rituel peut être défini comme des agressions sexuelles, physiques et psychologiques, d’une manière organisée, systématique et durant une longue période de temps. Cela implique l’utilisation de rituels, avec ou sans système de croyance et généralement avec plusieurs agresseurs. Les abus rituels commencent généralement durant la petite enfance et impliquent l’utilisation de modèles d’apprentissage et de développement visant à renforcer les abus et à réduire au silence les victimes (ndlr: contrôle mental). » « L'avocat de Marc Dutroux, Xavier Magnée, a accepté de revenir sur cette affaire, 20 ans après le procès. Dans une interview pour Kairos, il se penche sur les zones d'ombre de cette affaire qui a bouleversé la Belgique et choqué le monde entier. Il évoque notamment l'existence de réseaux pédophiles et de complicités au sein de la police et de la justice. Lors du procès, Xavier Magnée a dénoncé les dysfonctionnements de l’enquête et les complicités au sein de la police et de la justice. Il a notamment évoqué l’existence de réseaux pédophiles et de complicités au sein de la police et de la justice. Selon lui, Dutroux n’était pas un prédateur isolé, mais plutôt un maillon d’une chaîne plus large. Il a également critiqué la décision de classer sans suite le dossier bis, qui contenait des éléments importants pour comprendre l’affaire dans son ensemble. Xavier Magnée a également évoqué les pressions subies par les parents des victimes, qui avaient besoin d’une condamnation de Dutroux. Il a cependant souligné que le jury avait craqué de ce côté-là, car on cherchait surtout à punir un coupable évident, sans chercher à comprendre les réseaux et les complicités qui avaient permis à Dutroux d’agir en toute impunité pendant des années. L’ancien avocat décrit le dossier Dutroux comme une affaire de délire dans un monde de paumés et de combinards, où la police et les enquêteurs de tous bords étaient impliqués, et où les principes policiers de l’infiltration ont été utilisés pour excuser les principes du milieu et des forces de l’ordre qui l’ont infiltré. Il ajoute que l’enquête elle-même a ressemblé au crime dont elle se mêlait. » (Média en 4-4-2) La franc-maçonnerie est en quelque sorte une maison mère ; subdivisée en une multitude d’écoles ésotériques, dites à « Mystères », dont certaines baignent dans l’occultisme le plus noir. C’est une sorte de poupée gigogne cloisonnant les adeptes dans diverses strates hermétiques, une imperméabilité stricte sauf affinités bien décelées…. Réseau maçonnique et pédocriminalité de réseau sembleraient effectivement intimement liés. De par mes recherches, j’ai pu au fil des années archiver de nombreux témoignages de victimes et de thérapeutes décrivant ce que l’on pourrait appeler des « sévices rituels maçonniques » visant à fractionner l’esprit de l’enfant ; c’est à dire à créer des états dissociatifs par la multiplication de traumatismes extrêmes. Beaucoup de survivants de ces réseaux ont en effet développé un trouble dissociatif de l’identité (une personnalité multiple). J’écris dans mon livre MK que « Ce principe « d’initiation » par les traumatismes et les états dissociatifs est le point commun de toutes les structures fraternelles lucifériennes ou satanistes, pour lesquelles l’initiation durant la petite enfance est le meilleur moyen d’obtenir un adulte loyal, fidèle, qui respectera parfaitement la loi du silence tout en perpétuant l’obscure tradition où toute notion de Bien ou de Mal a été gommée dans un relativisme absolu. Les rituels comprenant des actes pervers et immoraux, notamment pédocriminels, permettent également d’établir un chantage au silence sur les personnes qui y ont pris part. Cela permet de créer des liens « fraternels », d’autant plus forts lorsqu’un sacrifice humain, un crime rituel, a été commis en groupe. Les adeptes qui plongent dans cette violence addictive se sentent connectés entre eux par un secret qu’il est strictement impossible de révéler à l’extérieur, c’est un ciment malsain qui soude les membres entres eux et qui leur donne un sentiment de supériorité sur la masse humaine profane. » Le psychanalyste américain Lloyd deMause s’est largement intéressé au sujet des dérives sectaires sur les enfants et notamment à la question du pédo-satanisme. Selon lui, la seule manière de donner un sens à certains éléments rapportés dans les témoignages d’abus rituels serait de considérer qu’il s’agit de faire revivre symboliquement et même physiquement le traumatisme de la naissance ; dans une sorte de « reconstitution traumatique ». On y retrouve le confinement dans des ventres symbolique (cages, boîtes, cercueils, mais aussi des ventres organiques réels), la pendaison la tête en bas qui reproduit la sensation qu’éprouve le foetus dans le ventre de sa mère. La submersion de la tête dans l’eau lors des tortures reproduit l’expérience du liquide amniotique tandis que la suffocation reproduit l’anoxie que tous les bébés vivent lors de l’accouchement. La victime est forcée de boire du sang et de l’urine, tout comme le foetus boit du sang placentaire et baigne dans son urine. Les rituels sont souvent effectués dans des tunnels ou des caves, des lieux souterrains sombres et humides symbolisant le confinement du canal vaginal ou du ventre de la terre mère. Certains de ces rituels semblent effectivement créer une sorte de « résurrection initiatique ». Le passage par une mort et une renaissance symbolique via des rites traumatiques est une constante dans les religions antiques dites à Mystères, mais aussi dans certaines traditions chamaniques. Ces cultes à Mystères étaient particulièrement présents dans le bassin Méditerranéen, les Mystères égyptiens d’Isis et Osiris, les Mystères d’Éleusis, de Mithras, d’Attis et Adonis, mais aussi le culte à Bacchus (Dionysos) étant les plus connus. Il ne fait aucun doute que certaines pratiques de ces cultes antiques se perpétuent encore de nos jours via des sociétés secrètes formant une sorte de religion ésotérique, gnostique, réservée au petit nombre. Le fondateur de l’église de Satan, Anton Lavey, a affirmé que la cérémonie de la renaissance, qui se passe dans un grand cercueil, est une chose commune à la plupart des rituels de loges. Nous retrouvons cette cérémonie du cercueil dans les rites de la célèbre société secrète Skull & Bones où l’initié meurt au monde pour renaître dans l’Ordre… L’ultime « initiation » étant de provoquer chez le candidat une expérience de mort imminente avec une sortie astrale ; c’est à dire un état dissociatif extrême propulsant l’âme de l’initié dans une autre dimension et se terminant par la réintégration de celle-ci dans le corps physique, symbolisant une nouvelle naissance, ou renaissance initiatique. Ce phénomène de décorporation est très souvent rapporté par les victimes de viols, elles affirment qu’elles n’étaient plus dans leur corps physique mais voyaient la scène de l’extérieur avec une totale anesthésie. L’initiation d’enfants par des rituels hautement traumatiques semble quelque chose d’impensable, d’irréaliste, mais prenons conscience que pour certaines sectes, apprendre à souffrir mais aussi apprendre à faire souffrir fait partie des rites de passage. Le but est de provoquer une transcendance de la conscience, un état spirituel extatique reposant ni plus ni moins sur cette « Loi de la Dissociation », un profond état dissociatif déclenché par les drogues, la douleur et diverses privations. Les traumatismes ont toujours été considérés au cours de l’histoire comme un moyen de créer des états modifiés de conscience et d’ouvrir les portes vers le monde des esprits, les occultistes contemporains ne s’en privent évidemment pas… y compris sur leurs propres enfants. Selon le psychologue américain James Randall Noblitt, les pratiques de contrôle de l’esprit ou programmation mentale ont anciennement débutées lorsque des groupes ont détecté que l’application de rituels traumatiques pouvaient produire ces états dissociatifs allant jusqu’à fractionner la personnalité de l’individu en plusieurs alter, isolés les uns des autres par des murs amnésiques. Ces personnalités alter pouvant former un véritable système hiérarchique interne programmable. C’est ce que l’on nomme aujourd’hui le contrôle mental basé sur les traumatismes, la programmation d’esclaves dissociés. Le MK-Ultra, aujourd’hui historiquement et médiatiquement bien référencé, n’est que la mise en application, de manière scientifique et militaire, d’antiques pratiques païennes et ésotériques. Notons ici qu’un certain nombre de médecins impliqués dans les expérimentations du MK-Ultra étaient des francs-maçons de haut degrés, citons le Dr Sydney Gottlieb, le Dr Georges Estabrooks ou encore le Dr Ewen Cameron. Notre société occidentale moderne en grande partie coupée de ses racines spirituelles, biberonnée à la laïcité et au consumérisme, aura grand mal à comprendre et accepter la dure réalité de ces pratiques sectaires ultra violentes. D’autant plus lorsque le monde médiatique et politique use de la stratégie de l’édredon pour ne surtout pas alerter et informer à ce propos… Pourtant les sectes initiatiques basées sur la loi du secret ne datent pas d’hier, l’anthropologue et universitaire américain Brian Hayden a étudié les sociétés secrètes primitives remontant aux temps préhistoriques. Dans son livre « The Power of Ritual in Prehistory », il décrit l’utilisation de techniques « psycho-spirituelles » lors de « rituels extatiques » (loi de la dissociation), permettant de forger de puissants liens entre les membres du culte. On y retrouve les sévères épreuves physiques, la privation sensorielle, le sacrifice humain mais aussi la notion de violation volontaire des tabous comme la consommation de chair humaine. Selon lui, ces sociétés secrètes primitives ont marqué un tournant décisif dans l’évolution des religions en provoquant une division entre culte populaire et culte élitiste, entre religion exotérique et religion ésotérique. L’égyptologue franc-maçon Jan Assmann parle également de « Religio Duplex », ou religion à deux visages, pour qualifier ces cultes à Mystères ayant une face exotérique destinée à la masse non-initiée et une face ésotérique destinée aux élites. Brian Hayden affirme que des enfants aussi jeunes que quatre à six ans, parfois même encore plus jeunes, pouvaient devenir membres de ces cultes et donc subir les rites initiatiques. Notons ici que le musicologue Carl de Nys affirme que Wolfgang Amadeus Mozart, dont la famille baignait dans les milieux maçonniques, a fréquenté les illuminés de Bavière (illuminati) dès son plus jeune âge. Se basant sur les correspondances de la famille, il rapporte que le petit Mozart participait à des réunions nocturnes organisées au fond d’une grotte nommée le « trou des sorcières », située dans le parc d’Aigen à Salzburg, et dont l’entrée était à l’époque flanquée de deux colonnes soutenant un Sphinx ailé, symbole des Mystères de Isis… Dès l’époque romaine, cette grotte aurait servi aux adeptes de Mithras et d’Astarte pour on ne sait trop quelles pratiques initiatiques. Que subissait le petit Mozart lors de ces cérémonies illuminati ? La participation des enfants aux rituels initiatiques a également été rapportée par Ross Nichols (spécialiste du druidisme et de la mythologie celtique) dans son livre « The Book of Druidry », où il écrit que les druides « plongeaient ou cuisaient l’enfant dans le feu mystique ». Ce feu mystique, ou flamboiement de lumière, étant une métaphore symbolisant le profond état dissociatif résultant des épreuves initiatiques traumatiques. Les druides étaient effectivement adeptes des rituels visant à transcender la douleur et la peur pour en ressortir nés de nouveau. Il est difficile pour un profane d’établir une hiérarchie ou une échelle de dangerosité concernant les groupes occultes, qui sont par définition secrets et malicieusement organisés ; généralement imbriqués les uns dans les autres avec un cloisonnement étanche. Leur dépravation extrême, allant jusqu’à faire couler le sang dans des crimes rituels, identifie et relie ces sectes par une idéologie commune. Celle de faire sauter tous les tabous et verrous de la morale dans une sorte de catharsis. Cela rappelle fortement les antiques Bacchanales, le culte à Bacchus ou « Mystères de Dionysos », fonctionnant avec des grades initiatiques, et dont les origines remonteraient, selon le franc-maçon Jacques-Antoine Dulaure, au culte phallique d’Osiris de l’ancienne Égypte. Dans le livre « Le monde grec antique », Marie- Claire Amouretti écrit à propos de ce culte à Mystères : « Dionysos apparaît comme le dieu libérateur, Dieu du vin et du désir débridé. C’est tout le cadre civique et familial qui craque à l’occasion de ces fêtes (…) L’ivresse physique et la liberté sexuelle expriment un besoin profond de se libérer d’un système civique, moral et familial. » Nous lisons également dans le livre « Dionysos mis à mort » de Marcel Détienne : « Les fidèles de Dionysos s’ensauvagent et se conduisent comme des bêtes féroces (…) Le Dionysisme permet d’échapper à la condition humaine en s’évadant dans la bestialité par le bas, du côté des animaux. » Le juge Roche a également décrit comment cette « Loi de la Dissociation » était mise en application durant ces bacchanales modernes, voici ce qu’a rapporté son fils : « Il est question pour libérer l’esprit, d’éteindre le corps. Pour éteindre le corps sans mourir, on va le saturer de sensations, de plaisir et de douleur, qui sont procurées par ces « soirées » le tout exalté par les drogues, jusqu’à ce que les capteurs sensoriels disjonctent, et alors là, lorsque vos capteurs sensoriels disjonctent, et bien c’est le nirvana, c’est l’ascension spirituelle. » Voilà donc quelques pistes pouvant aider à intégrer le fait que des groupes puissent se livrer aux pires pratiques bestiales lors de cérémonies pseudo-religieuses, de type paganisme polythéiste, dont l’idéologie se résumerait à la doctrine luciférienne « Fais ce que tu voudras sera le tout de la loi. », l’ultime abomination « libératrice » étant la pédocriminalité et le meurtre rituel. La survivante Caryn Stardancer, co-fondatrice du groupe d’entraide Survivorship, a affirmé dans un témoignage avoir été victime d’une secte Dionysiaque panthéiste, un polythéisme vouant un culte à la fertilité. Elle décrit une organisation structurée telle une poupée russe initiatique : « La progression au sein du culte se faisait en fonction de votre capacité d’adaptation, vous ne saurez peut-être jamais qu’il existe un groupe plus grand, englobant, celui auquel vous appartenez (…) L’exploitation des enfants, dressés pour le sexe, visait à les utiliser pour les photographier, ou filmer, avec des adultes dans un but de chantage (…) Cette secte Dionysiaque m’a appris qu’une des plus anciennes lois adoptées contre les abus rituels à Rome, à l’époque pré-chrétienne, a été faite contre ces mêmes sectes Dionysiaques qui étaient encore en activité durant les années 40 et 50, et qui le sont probablement encore aujourd’hui ! La raison pour laquelle des lois ont été érigées à leur encontre était qu’à l’époque on savait que leurs rituels intégraient des orgies sexuelles, des flagellations, des viols rituels sur des femmes et des enfants. » Le trouble dissociatif de l’identité (TDI) est un point commun chez beaucoup de victimes d’abus rituels ou d’inceste prolongé durant toute l’enfance. En effet se créer une autre voire plusieurs personnalités peut servir à s'évader d'une situation ou d'un souvenir trop douloureux ou/et malheureux. En voici une courte mais nécessaire définition pour le lecteur : Le TDI est la conséquence de traumatismes extrêmes vécus durant la petite enfance, une dissociation de la personnalité se produisant généralement avant l’âge de 6 ans. Le TDI, précédemment nommé trouble de personnalité multiple, est un type de trouble dissociatif caractérisé par au minimum deux identités alternantes (appelées alters, états autonomes ou identités du moi), mais aussi par des épisodes récurrents de trous de mémoire, un marqueur fort indiquant la présence de murs amnésiques séparant les différentes personnalités alter prenant successivement le contrôle du corps physique. Le TDI est un vaste sujet qui nécessite une étude plus approfondie. J’y consacre une grande partie de mon livre MK avec une approche, dirons-nous métaphysique, car touchant aux questions de « fragments d’âmes » et de « possessions » (vous pouvez trouver ici un chapitre entier consacré au sujet). Le TDI peut se développer de manière incontrôlée et « anarchique » chez un enfant subissant notamment l’inceste ou bien être volontairement provoqué, alimenté et canalisé dans le cadre d’une programmation mentale avec protocoles traumatiques. Cette « science occulte » consistant à provoquer, maîtriser et exploiter le TDI a été observée au fil des années par de nombreux thérapeutes comme par exemple Michaela Huber en Allemagne. Ce sont des pratiques sectaires pédocriminelles utilisant cette fonction naturelle de l’être humain qu’est la dissociation, cela à des fins d’esclavage mental. Il s’agit de briser la psyché de l’enfant pour créer des personnalités alter dans un système interne très bien structuré. Ces identités seront programmées puis exploitées sur le long terme. C’est une des fonctions des abus rituels dits « sataniques ». En effet, nous observons que le TDI est devenu un phénomène de mode depuis plusieurs années. Comme je le faisais déjà remarquer dès 2016 dans mon livre MK, le TDI a tout d’abord été propulsé dans la sphère publique et profane par plusieurs stars mondialement connues telles que Lady Gaga, Beyoncé ou encore Nicki Minaj, se vantant d’être fractionnées en plusieurs personnalités alter. J’observais alors comment cette culture des « personnalités multiples » était transmise au public, au monde profane, lors de performances grandiloquentes ou d’interviews télévisuelles touchant des millions de personnes… rendant ainsi glamour et tendance les personnalités fractionnées par les traumatismes. Autrement dit, il s’agit d’infuser une sous-culture ultra-violente dans la culture populaire sous la forme d’un divertissement. Inconsciemment, la jeune génération associe donc cet occultisme vulgarisé et simplifié à quelque chose de positif, à une mode, à un modèle à suivre ; mais c’est également une forme de désensibilisation aux pires pratiques criminelles commises sur cette terre. Aujourd’hui, nous pouvons constater que la mode du TDI a littéralement explosé, notamment dans les sphères LGBT avec l’apparition d’une « Culture Plurielle » ouvrant grand la porte à une vague d’autodiagnostics ; phénomène qualifié d’épidémie par certains psychiatres. Nous constatons qu’une frange de l’extrême gauche Woke s’est emparée de la question du TDI, qu’elle est en train d’étouffer par la mise en place de cette vaste culture dite « Plurielle » ouverte à toute forme de « multiplicité » dans une confusion généralisée. Il en résulte une épidémie de faux TDI dont la source est plus narcissique que traumatique. Cette appropriation du TDI à des fins d’identification personnelle et de tendance culturelle déviante est non seulement nuisible à la crédibilité du trouble, mais aussi et avant tout à la santé et au bien-être des personnes qui en souffrent réellement. Des « influenceuses » sont devenues en quelque sorte des spécialistes autoproclamées du TDI, se déclarant elles-mêmes multiples… et souvent « sorcières » pour compléter le tableau ! Les médias de masse se sont également emparés du sujet et le TDI est aujourd’hui largement popularisé, mais surtout édulcoré quant à ses réels tenants et aboutissants. De fait, nous n’entendons jamais parler du dangereux potentiel d’esclavage mental de ces personnes fractionnées : les alter isolés par des murs amnésiques pouvant être programmés. Car c’est là l’envers du décor glamour et narcissique actuellement véhiculé sur les réseaux sociaux. Le point positif de cette médiatisation du TDI est le fait qu’il est aujourd’hui reconnu et validé, même si la controverse reste toujours aussi virulente au sein du milieu médical/psychiatrique. Cet effet de mode, médiatiquement boosté, ayant entraîné une véritable explosion d’autodiagnotics est je pense un contrefeu masquant les victimes et survivants réellement dissociés ; car malgré la médiatisation du TDI, jamais le sujet des abus rituels pédocriminels n’est abordé alors que ces deux phénomènes sont intimement liés. J’emploie le terme « d’effet de mode dérivatif » dans le sens où la véritable nature du TDI et son fonctionnement complexe, pourraient être en quelque sorte « dilués » dans cette vague de vulgarisation outrancière allant jusqu’à l’idéalisation d’un mode de vie multiple et gender-fluid (fluidité de genre que l’on retrouve dans le TDI lorsque les personnalités alter d’une même personne peuvent avoir un genre différent). Lorsque la « multiplicité d’identité » devient finalement quelque chose de « cool et tendance », nous arrivons en effet, et malheureusement, à la dilution massive d’un trouble qui mériterait amplement d’être étudié en profondeur ; car relevant non pas seulement de la psychologie mais aussi de la parapsychologie et de la démonologie… clé du contrôle mental basé sur les traumatismes et boîte de Pandore de certaines sectes au pouvoir… J’aimerais terminer par une anecdote médiatique très révélatrice sur les conséquences de cette popularisation malsaine et outrancière du TDI. Je suis tombé il y a quelques mois sur l’extrait d’une rubrique consacrée au BDSM (sado-masochisme), une émission régulièrement diffusée sur la radio NRJ à heures de grande écoute… L’animatrice de la rubrique, la « coach BDSM Déborah », affirme avoir un TDI avec notamment une personnalité alter d’enfant. Cette femme raconte alors sur un ton badin et benêt, encouragée par l’animateur de radio surexcité, que son alter enfant, Lia, aurait émergée en pleine séance de « bondage au cellophane » pratiquée en groupe… Dans le studio, tout le monde est hilare et trouve cela évidemment super original et so hype ! Le monde luciférien est sous nos yeux grands fermés ; et bien voilà un exemple typique avec cette vulgaire « coach BDSM » racontant aux adolescents qu’elle est fractionnée en plusieurs identités, qu’elle est une « esclave » soumise à un « maître », et que sa personnalité alter enfant Lia participe malgré elle à des séances de sado-masochisme en groupe ! Ou lorsque la sous-culture MK relevant de l’occultisme imprègne petit à petit le monde profane dégénéré devenu ultra poreux aux immondices… Omnia Veritas a publié en 2020 mon deuxième livre « Franc-maçonnerie et Schizophrénie : comprendre les arcanes du pouvoir », une synthèse du livre MK focalisée sur la question des sociétés secrètes. Ce dernier ouvrage devait à l’origine s’intituler « Dr Jekyll & Mr Hyde » en référence à la double personnalité dissociée des bourreaux pratiquant les sévices rituels et la programmation MK. Des individus généralement eux-mêmes fractionnés dès l’enfance, avec un alter de façade respectable tandis que sommeille en eux l’abjecte bête. De la même manière, nous retrouvons ce schéma dans la franc-maçonnerie avec sa façade publique discrète faisant l’éloge d’un humanisme bienveillant et philanthropique tandis que le secret couvre les pires pratiques immorales voir criminelles. La survivante australienne Lynn Brunet, victime de son père franc-maçon et rosicrucien, décrit cette dualité en ces termes : « Je suis aujourd’hui amenée à comprendre les principes qu’il y a derrière ces pratiques « magiques » séculaires, qui divisent le psychisme de ces hommes en deux : d’une part des citoyens et des hommes dévoués, et de l’autre, la plus puérile, absurde et cruelle créature humaine. » La perte de sens et de spiritualité est une forme de chute dans le matérialisme entraînant inéluctablement un déclin de civilisation. Cette société s’élève matériellement (technologiquement) d’une manière exponentielle tout en régressant drastiquement sur le plan spirituel et moral. Le progressisme scientifique et idéologique ad vitam aeternam n’est pas viable lorsque ceux-là mêmes qui le programment en privé puis le prônent en public, ont tout fait en parallèle pour couper l’homme de Dieu. Sans cette connexion divine avec son Créateur, l’homme ne s’élève pas mais il déchoit et tombe sous le contrôle du Serpent. Hors, à l’heure actuelle, ce sont les loges adeptes du Serpent qui mènent le bal sous nos latitudes. Le bal du progressisme à tout prix est un enfer pavé de bonnes intentions, « ils parlent comme des anges mais pensent comme des assassins », pour reprendre l’expression d’Arnaud Upinski. Le peuple a été volontairement et très progressivement déraciné et déspiritualisé. Victime d’une véritable ingénierie sociale l’ayant affaibli sur plusieurs générations, il est aujourd’hui mené par le bout du nez par ceux que j’appelle les sorciers-contrôleurs ; lucifériens adorateurs du Serpent, ennemis du Christ et de Son peuple. Les lucifériens ont toujours cherché à subvertir et bouleverser les valeurs traditionnelles (fondamentales), en particulier tout ce qui émane du Christianisme. Étant donné que le chaos est leur terrain de jeu favori pour asseoir leur domination, ils le provoquent et misent sur le manque de discernement des populations pour avancer leur sempiternel agenda révolutionnaire… La Révolution a commencé au Ciel, avec la révolte d’un ange, Lucifer, elle se perpétue ici-bas encore de nos jours. La guerre est spirituelle ; d’où la subversion première consistant à isoler l’homme du Christ, tout en proposant aux plus assoiffés de spiritualité la soupe théosophique qu’est le « New Age » ou luciférisme 2.0 ; consistant en un occultisme vulgarisé mais qui n’en est pas moins nocif. Nous observons aujourd’hui une popularisation de la « sorcellerie pour tout.e.s » via les mouvements néo-féministes et autres influenceuses Wicca mais aussi la presse à grand tirage qui ne se prive pas de promouvoir les pratiques ésotériques sous couvert de « développement personnel » et de « bien-être ». Une grande partie de l’industrie musicale injecte quant à elle inlassablement la symbolique occulte dans ses productions à l’esthétique toujours plus décadente et morbide. Elle inverse les codes moraux et crée une véritable mode du satanisme qui imprègne ainsi petit à petit la culture populaire. Notre libre arbitre choisit délibérément de consommer la soupe du diable, car sucrée à souhait… Le monde luciférien est sous nos yeux grands fermés et la grande majorité des humains s’y complait tout comme une grenouille barbotant dans une marmite sur le feu… L’athéisme combiné au consumérisme est la porte ouverte à la médiocrité, au cynisme et à l’orgueil, créant trop souvent cette mentalité mondaine assumée et encouragée par les programmes de divertissements abrutissants. Cet état d’esprit typique, propre à notre société urbanisée, est évidemment un frein à la divulgation des dossiers de pédo-satanisme, alors tournés en dérision et considérés comme du risible complotisme… Effectivement, les notions de « satanisme », de « rituels », de « sacrifices », de « transe dissociative » ou « d’amnésies traumatiques », pourront sembler irréelles, fantaisistes et non crédibles pour certains individus, ricanant alors devant un domaine qui dépasse ce logiciel intellectuel bridé mais ultra répandu. Le manque de temps et surtout de courage ne permettront généralement pas de faire les recherches nécessaires à un début de compréhension du sujet. Ces PNJ iront même jusqu’à s’offusquer de cette « nauséabonde chasse aux sorcières » sous les applaudissements des factcheckers ricaneurs ! Bien heureusement, cette chute sociétale de plus en plus marquée, accompagnée d’une avalanche de révélations sur le véritable profil de cette oligarchie, produit également un réveil massif d’individus qui, dirons-nous, par la découverte du Mal se tournent finalement vers le Bien ; pour résumer de manière un peu simpliste et manichéenne. En réalité la question des réseaux pédocriminels est tellement prise au sérieux par les médias de masse qu’ils en sont terrifiés, à tel point qu’une véritable omerta est mise en place. Cette loi du silence passe effectivement par la sempiternelle théorie du « prédateur isolé »… Toute autre explication d’un dossier de pédocriminalité pouvant mener l’opinion publique à comprendre qu’il existe effectivement un fonctionnement en réseau, pire encore, une protection institutionnelle des abominations, est systématiquement ridiculisée et qualifiée de « théorie du complot »… d’extrême droite s’il vous plaît ! Cet épouvantail poussiéreux ne fait plus le poids face aux évidences et le public est aujourd’hui bien plus apte à comprendre la réalité des choses qu’il n’y a encore quelques années. Preuve en est, « l’expert en complotisme » Tristan Mendès France vient de valider publiquement l’existence des réseaux pédocriminels, déplaçant ainsi son curseur face à l’inexorable et triste réalité des choses. Existe-t-il des journalistes d’investigation intègres enquêtant à l’heure actuelle sur ces réseaux de l’horreur ? Je n’en ai aucune idée. Il faut l’espérer mais la France est verrouillée, en particulier dans le domaine du journalisme. Cela dit, je ne désespère pas et suis intimement convaincu que cela finira par exploser ici-même en France. Continuons à travailler à notre petit niveau pour enquêter et informer avec ou sans carte de presse ! J’invite les lecteurs à visionner l’intégrale de la série « Noyau Dur » qui fait partie d’une trilogie récapitulant mon travail audiovisuel sur Youtube et formant une sorte de synthèse. Les deux autres vidéos sont « TDI & MK : La Rétrospective », visant à expliquer les mécanismes du contrôle mental basé sur les traumatismes, et « Franc-Maçonnerie La Fin du Silence » compilant plus de quatre heures de témoignages de victimes et thérapeutes ; une vidéo qui dépasse aujourd’hui les 159k vues. Des contenus plutôt accablants qui devraient interpeller les plus sceptiques, particulièrement les francs-maçons des loges bleues. Je travaille également sur un « petit manuel contre-révolutionnaire », qui sera sûrement publié en ligne courant 2024. Je conclurai en reprenant les dernières phrases du livre MK : « Pour faire face à ces générations qui perpétuent coûte que coûte l’adoration de l’ange déchu, représentant l’infra-humain sanctifié par Lucifer, et donc possédant une force d’ordre surnaturelle ; sanctifions nous en Jésus-Christ pour également remettre notre vie à une Force d’opposition indispensable dans un tel combat. Même dans cette époque semblant des plus obscures, Dieu nous donne en permanence la connaissance et la sagesse pour pouvoir justement s’opposer et faire le contrepoids face à l’abomination Babylonienne. » » (Extraits de l'article « Dévoiler l’Inconcevable : Entretien exclusif avec Alexandre Lebreton » du Média en 4-4-2) « Dans nos médias mainstream saturés de messages simples et orientés, par exemple « les antivax sont dangereux », ou « les Français sont antisémites », sinon « les LFI sont la branche militaire du Hamas français », quoique, là, ça demande un peu de reconstruction cérébrale, ou encore « le CRIF est sympa », « BHL a (presque toujours) raison », « Glucksmann sera le prochain président », « la France se tiendra toujours aux côtés d’Israël », « la sécurité d’Israël est notre priorité », « le Hamas et le Hezbollah sont des organisations terroristes », on baigne tous dans un océan de messages aussi simples que faux (des bloqueurs ou des destructeurs de pensée), car la réalité est toujours plus complexe, voire carrément inverse (dont puisque la France est humaniste et d'origine catholique), d’ici à ce qu’on dise que la France entière est sous programme MK-Ultra... » (Rédac ER) Voici l'article « Dix astuces pour transformer un homme en mouton » du Média en 4-4-2 : « Macron a utilisé le bâton contre les Gilets Jaunes, la carotte pour les moutons (le privilège de pouvoir aller au café avec un pass). Après des débats parlementaires (carotte) totalement inutiles, Élisabeth Borne démolit la démocratie à coups de 49-3 (le bâton). Mais nous restons en démocratie tant que les Français y croient. Par quels moyens est-il possible de faire croire au père Noël ? Voici les techniques de manipulation de masse telles que le linguiste américain Noam Chomsky les a analysées dans « La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie » : La recette utilise dix ingrédients que tout cabinet de conseil qui se respecte utilise à foison. 1. La distraction : Afin de manipuler les gens, l’une des armes les plus puissantes est la distraction. Déplacer votre attention vers des nouvelles moins importantes ou insignifiantes vous permet en fait de détourner votre intérêt de questions beaucoup plus vitales qui, dans ce cas, passent en arrière-plan. Exemples : LGBT, corrida, IVG, migrants, racisme, Ukraine, foot, mais jamais : répartition des richesses, prise de décision par les citoyens, indépendance industrielle et politique, corruption. 2. Problème et solution : Montrer un certain thème comme un problème vous permet de créer une solution souvent impopulaire et qui a déjà été décidée a priori. Aggraver un service public pour pouvoir proposer sa privatisation. Des exemples ? Hôpitaux, écoles, SNCF, RATP, Poste, etc. 3. Gradualité : Dans certains cas, pour manipuler les masses, il est nécessaire de le faire progressivement. Dans le cas de l’élimination de certains droits fondamentaux, par exemple, il est préférable de les éliminer à petites doses afin de ne pas provoquer de protestations des citoyens. Par exemple, les retraites trois mois plus tard chaque année, c’est indolore et c’est pour notre bien. 4. Différer : Dans ce cas, une certaine réforme intervient, garantissant qu’à court terme, bien que négative pour les citoyens, elle sera positive pour tous. De cette façon, les gens sont moins susceptibles de protester, en attendant les avantages. Quand il s’avère que ces avantages étaient faux, il sera déjà trop tard et les gens auront pris l’habitude de changer. Exemples : masques, pass assis, debout, couché, cas asymptomatique, contact, signalé, diesel ou électricité, ça dépend du moment. Ainsi le covid recule et la planète sera sauvée ! 5. Infantiliser le public : Dans les publicités et les discours politiques, les gens ont souvent tendance à parler aux auditeurs comme s’ils étaient des demeurés. De cette façon, le sens critique est éliminé. Exemples : signez vous-même votre autorisation de sortie d’une heure. Faites cuire les nouilles à 19 heures. Fermez les fenêtres, ouvrez les fenêtres, etc. 6.Utiliser les émotions : Les messages qui tentent de manipuler la masse n’invitent pas à la réflexion mais, au contraire, sont basés sur des émotions. Actuellement la peur du covid qui, cette année, c’est pratiquement sûr, va tuer Papi et Mamie dans l’obscurité totale due aux coupures d’électricité, est largement utilisée. Et ça marche ! 7. Garder le public ignorant : Un public ignorant est le meilleur allié de la manipulation de masse. Pour cette raison, la détérioration du système éducatif est une arme très puissante pour contrôler les citoyens. Quoi de mieux que des écoliers muselés et qu’une école qui ferme ses portes dès qu’il y a un « cas contact » ou une pénurie d’électricité ? 8. Un public consentant : Les médias rivalisent de vulgarité et de médiocrité. Il suffit d’appuyer sur un bouton de télécommande et c’est souvent n'importe quoi. 9. Renforcer le sentiment de culpabilité : Cette stratégie de manipulation de masse a tendance à faire croire aux gens que tous leurs problèmes viennent d’eux-mêmes. Au lieu de se rebeller contre le système, les citoyens penseront donc qu’ils sont directement responsables de ce qui se passe. Eh oui ! Ce ne sont pas les sanctions contre la Russie qui réduisent nos approvisionnements en gaz et pétrole, mais notre gaspillage énergétique. Fini le temps de l’abondance ! Les millions de chômeurs sont un peu responsables, non ? 10. Connaître l’être humain : Les cabinets sont de bon conseil : crever les yeux et arracher les mains ne suffit pas à faire accepter l’inacceptable. Leurs moyens de manipulation ne sont pas compliqués, ils sont de l’ordre du marketing, d’une grosse entourloupe commerciale. Cela dit, ils ne sont pas loin du sadisme, puisqu’il s’agit de transformer l’humain en objet, le vivant en rouage d’un système et les victimes en complices. Connaître l’être humain pour mieux le détruire, tel est l’apport des cabinets de conseil qui ont coûté un milliard à la collectivité. »
« L'hypnose, une technique ancienne et mystérieuse, continue de fasciner et d'intriguer les scientifiques et le grand public. Utilisée dans divers domaines, de la médecine à la manipulation mentale, elle soulève des questions sur son efficacité et ses dangers potentiels. A travers un livre de Vance Packard, Arthur Sapaudia nous propose de plonger dans l'univers de l'hypnose pour découvrir ses applications modernes et ses implications éthiques. Extraits de Vance Packard, L’homme remodelé, chapitre X, Le contrôle du comportement par les nouveaux hypnotechniciens (1977) : « Un des plus anciens mystères de l’humanité est en passe d’être utilisé massivement en vue d’induire les gens à se comporter d’une manière différente de la normale. Je veux parler de l’hypnotisme. Il est employé par les policiers, les publicitaires, les médecins, les éducateurs, les juges d’instruction, les entraineurs sportifs, les psychothérapeutes et les militaires. Nombre de ces utilisateurs ont suivi des cours intensifs et sont eux-mêmes des praticiens. Plus fréquemment ils ont entendu quelques conférences sur le sujet et recourent aux services d’hypnotiseurs professionnels. Le pourquoi et le comment de l’hypnotisme ne sont pas encore parfaitement compris. Mais le fait qu’il soit efficace dans un grand nombre de situations (pas toutes) n’est pratiquement plus mis en doute par les scientifiques. (Ce qui est logique puisque la signification de « l'homme » en arabe selon le Coran est « celui qui oublie » et qui doit pieusement choisir de faire l'effort de se rappeler et donc de répéter noblement le bon sens de la vie, et ce processus peut donc être sagement ou perversement utilisé.) Je connais 11 associations, nationales ou internationales, qui œuvrent en vue d’une utilisation sérieuse de l’hypnose. Le recrutement est généralement limité aux personnes réellement qualifiées. Il existe deux centres internationaux, un à Milan, en Italie, l’autre à Upsal en Suède. De nombreuses universités américaines organisent des cours sur l’hypnotisme. C’est là une promotion considérable pour un art sentant le soufre et qui, il y a encore peu de temps, était abandonné aux amuseurs et aux charlatans. L’origine de l’hypnotisme se perd dans la nuit des temps. Beaucoup de peuples primitifs tombaient dans une sorte d’hypnose au cours des cérémonies prolongées où l’on battait les tambours et où l’on psalmodiait des chants à l’infini. Les hypnotiseurs ont coutume de dire aux sujets qu’ils vont dormir. En fait, ils ne dorment pas. Il s’agit d’une transe éveillée. Les ondes cérébrales ne sont pas celles de quelqu’un qui dort mais plutôt celles d’une personne particulièrement détendue. L’hypnose véritable suppose don cette transe. Le sujet devient docile parce qu’il a été persuadé de réduire considérablement son activité cérébrale organisée. Les apports des cinq sens sont également sérieusement limités. La conscience est étroitement centrée sur la voix de l’hypnotiseur. Dans une large mesure, le moi du sujet tombe sous le contrôle de l’hypnotiseur. Une personne prédisposée à l’hypnose éprouve, sous hypnose, un fort désir de plaire à l’hypnotiseur. Erich Fromm, qui est spécialiste du comportement à l’université de Chicago, estime que 10% d’entre nous sommes fortement hypnotisables, 10% fort peu susceptibles de l’être, le reste se situant dans une zone intermédiaire. (Il s'agit généralement du niveau de volonté profonde de croire en l'hypnotiseur et donc d'un abandon en lui, ce qui peut se faire à son insu comme un médecin demandant à son patient de se détendre de plus en plus comme une technique pour faciliter son affrontement de ses problèmes dan le futur. D'ailleurs il est dit fréquemment que personne ne peut être hypnotisé contre son gré. D’un point de vue technique, c’est vrai. Mais un individu réfractaire à l'hypnose au sein un groupe d’individus ouvert à l'hypnose devient influencé par ce groupe.) Des études ont été menées pour permettre aux astronautes de se tirer d’affaire et de continuer à être actifs dans des cas de chaleur ou de froid extrêmes. Des étudiants furent hypnotisés, puis placés dans des boxes surchauffés. Après quoi, on leur dit de s’employer activement à l’accomplissement d’une tâche donnée. Ils apprirent ainsi à rester en activité une heure durant par des températures de 60°. En se penchant sur cette étude, le psychologue Perry London trouva significatif le fait que, dans ce cas de résistance aux températures extrêmes, tout ne se passe pas seulement dans la tête. Les résultats semblaient indiquer que l’hypnose affecte les fonctions corporelles. En l’occurrence, elle contribuait à diminuer les effets débilitants des températures glaciales sur les battements du cœur et à éviter les tremblements. Dans une étude sur la résistance à la douleur, financée par les Instituts nationaux pour la santé, l’hypnose surclassa le valium et l’aspirine et fit légèrement mieux que la morphine et l’acupuncture. L’hypnose est fréquemment utilisée pour atténuer les douleurs de l’enfantement. Dans un petit nombre de cas, elle a permis de pratiquer des césariennes sans recourir à l’anesthésie. Une autre dimension de l’hypnose, dangereuse potentiellement, concerne la capacité qu’a un hypnotiseur expert d’’influer sur les actes d’une personne après que la transe hypnotique a pris fin. Dans la pratique, la suggestion post-hypnotique est utilisée principalement par les thérapeutes pour faciliter au sujet la réalisation de ce qu’il a déjà envie de faire. Par exemple, rester calme à l’occasion d’un oral inquiétant, s’offrir une bonne nuit de sommeil, etc. L’injonction donnée durant la transe fait office de renforcement et produit un réflexe conditionné au futur. Certains de ces renforcements, paraît-il, ont duré des mois. Mais chez les sujets moyens l’effet du renforcement se dissipe en quelques jours. Sur un signal donné, certaines personnes profondément hypnotisées semblent pouvoir régresser jusqu’à se comporter et parler comme un enfant de cinq ans. Il n’est pas nécessaire que l’hypnotiseur se trouve dans la même pièce que le sujet. En fait, il peut être à des kilomètres de là. Un des instruments de l’hypnotisme à distance est la télévision. Il y a quelques années, à la radio anglaise, un hypnotiseur a hypnotisé par mégarde une partie de ses auditeurs. Après les réactions de fureur qui y firent suite, toute démonstration hypnotique fut interdite à la radio et à la télévision britanniques. Aux États-Unis, l’Association nationale des diffuseurs de radio et de télévision (qui représente la majorité des diffuseurs) a émis la même interdiction. Mais le danger demeure d’une utilisation incontrôlée et perverse. Or il y a un bon sens de l'hypnose quand les médecins s'en servent pour aider à arrêter une drogue même si par la pratique religieuse et la piét est beaucoup plus honorable, ou pour rendre supportable des douleur de maladies incurables cancers ou de l’arthrite, mais à condition d'annoncer auparavant de le faire en Dieu. Dans ce bon sens aux États-Unis actuellement, la police se sert de l’hypnose, mais avec précaution et uniquement sur les suspects n°1 des affaires criminelles. La défense pourrait en effet se saisir de la chose lors du procès et en tirer argument. Par ailleurs, si les suspects savent que l’on va pratiquer l’hypnose sur eux, ils résistent le plus souvent, à moins qu’on ne les ait amenés à accepter l’idée de la nécessité d’une « relaxation progressive ». Au cours de ces dernières années, les services de police ont témoigné d’un intérêt considérable pour l’hypnose considérée comme un outil d’investigation. Elle est utilisée pour aider les témoins, les victimes ou les policiers, à se rappeler avec précision ce qui s’est passé. Or pendant au moins vingt ans, la C.I.A. a testé et utilisé de nombreux modes de contrôle du comportement. L’hypnose, manifestement, en faisait partie, en combinaison parfois avec des drogues. Le livre de Donald Bain, « The Control of Candy Jones » retrace la manière, dont, théoriquement, la C.I.A. aurait allié drogues et hypnose. Herbert Spiegel a écrit une préface favorable à ce livre. La belle Candy Jones, un ancien mannequin qui est actuellement une célébrité de la radio, semble avoir été utilisée, sans le savoir, comme messager de la C.I.A. dans divers pays et durant de nombreuses années. Spiegel la classe au rang des personnes exceptionnellement hypnotisables, à tel point qu’elle entre en transe hypnotique, sans s’en apercevoir, sur un simple signal, comme le clignotement d’une lumière. Et ses transes peuvent être intenses au point de provoquer l’amnésie. Le psychologue G. H. Eastabrooks a révélé qu’il s’est occupé de la formation de nombreux messagers de ce type durant la Deuxième Guerre mondiale. Après avoir contacté le colonel Brown, en Orient ou ailleurs, le messager demandait le message qu’il supposait être venu chercher. Le colonel Brown le lui donnait puis l’hypnotisait après avoir dit « La lune est claire ». Une fois hypnotisé, le messager révélait l’information secrète et recevait la réponse secrète dont la suggestion post-hypnotique lui était tout souvenir. » (Extraits de l'article « « L’Homme remodelé » de Vance Packard : L’hypnose, une technique ancestrale aux usages modernes » à l'adresse https://lemediaen442.fr/lhomme-remodele-de-vance-packard-lhypnose-une-technique-ancestrale-aux-usages-modernes/)
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