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Z) Fin (3)


« C’est en creusant ces dossiers de réseaux pédocriminels, que l’on découvre certains témoignages troublants concernant des pratiques de viols en réunion avec tortures pouvant aller jusqu’au meurtre. Il semble s’agir de réunions très bien organisées et planifiées, lors desquelles toutes les lois morales seraient évacuées au profit d’une libération des pires pulsions qui soient ; tel un verrou qui saute durant une soirée, au grand détriment des victimes subissant les abominations. Au premier abord, ce sont des récits inimaginables et le déni prend rapidement le dessus : on referme le dossier. C’est la multiplication de ces témoignages et leur ressemblance, cela à l’échelle internationale, qui finit par interpeller… L’existence de ce que l’on nomme « abus rituels » ou « sévices rituels », parfois associés au satanisme de par le cadre et la forme des rites ou cérémonies, devient alors une triste évidence. L’étude de l’affaire Dutroux, notamment des dossiers X, permet d’avoir un aperçu de ce que sont ces pratiques hautement criminelles : les dépositions et procès-verbaux enregistrés et archivés par la police, rendus publics par Wikileaks, sont à faire vomir. Le journaliste belge Xavier Rossey ayant enquêté sur l’affaire Dutroux écrira : « On peut dire qu’il y a deux types de pédocriminalité : le « simple » pédophile et le pédocriminel pervers avec ce côté rituel. Lorsqu’on enquête dans ce genre de dossiers, il faut aussi voir le côté occulte des choses, les assassinats rituels. Il est clair que ce sont des dossiers souvent discrédités et qui sont tellement horribles qu’on ne veut pas aller plus loin. Pour beaucoup, ces abus rituels sont inconcevables (…) On a essayé de faire passer Dutroux pour un pédophile, ce qu’il n’est pas (…) on est ici dans le cadre des abus rituels pédophiles. » L’horreur de ces dossiers est évidemment un frein pour le grand public, un repoussoir ne facilitant pas la reconnaissance des victimes. Le déni est massif, pourtant dans son guide national pour la protection de l’enfance, le site officiel du gouvernement Écossais diffuse de l’information concernant cette forme de pédocriminalité que sont les abus rituels. Nous pouvons y lire cette définition : « L’abus rituel peut être défini comme des agressions sexuelles, physiques et psychologiques, d’une manière organisée, systématique et durant une longue période de temps. Cela implique l’utilisation de rituels, avec ou sans système de croyance et généralement avec plusieurs agresseurs. Les abus rituels commencent généralement durant la petite enfance et impliquent l’utilisation de modèles d’apprentissage et de développement visant à renforcer les abus et à réduire au silence les victimes (ndlr: contrôle mental). »
La franc-maçonnerie est en quelque sorte une maison mère ; subdivisée en une multitude d’écoles ésotériques, dites à « Mystères », dont certaines baignent dans l’occultisme le plus noir. C’est une sorte de poupée gigogne cloisonnant les adeptes dans diverses strates hermétiques, une imperméabilité stricte sauf affinités bien décelées…. Réseau maçonnique et pédocriminalité de réseau sembleraient effectivement intimement liés. De par mes recherches, j’ai pu au fil des années archiver de nombreux témoignages de victimes et de thérapeutes décrivant ce que l’on pourrait appeler des « sévices rituels maçonniques » visant à fractionner l’esprit de l’enfant ; c’est à dire à créer des états dissociatifs par la multiplication de traumatismes extrêmes. Beaucoup de survivants de ces réseaux ont en effet développé un trouble dissociatif de l’identité (une personnalité multiple). J’écris dans mon livre MK que « Ce principe « d’initiation » par les traumatismes et les états dissociatifs est le point commun de toutes les structures fraternelles lucifériennes ou satanistes, pour lesquelles l’initiation durant la petite enfance est le meilleur moyen d’obtenir un adulte loyal, fidèle, qui respectera parfaitement la loi du silence tout en perpétuant l’obscure tradition où toute notion de Bien ou de Mal a été gommée dans un relativisme absolu. Les rituels comprenant des actes pervers et immoraux, notamment pédocriminels, permettent également d’établir un chantage au silence sur les personnes qui y ont pris part. Cela permet de créer des liens « fraternels », d’autant plus forts lorsqu’un sacrifice humain, un crime rituel, a été commis en groupe. Les adeptes qui plongent dans cette violence addictive se sentent connectés entre eux par un secret qu’il est strictement impossible de révéler à l’extérieur, c’est un ciment malsain qui soude les membres entres eux et qui leur donne un sentiment de supériorité sur la masse humaine profane. »
Le psychanalyste américain Lloyd deMause s’est largement intéressé au sujet des dérives sectaires sur les enfants et notamment à la question du pédo-satanisme. Selon lui, la seule manière de donner un sens à certains éléments rapportés dans les témoignages d’abus rituels serait de considérer qu’il s’agit de faire revivre symboliquement et même physiquement le traumatisme de la naissance ; dans une sorte de « reconstitution traumatique ». On y retrouve le confinement dans des ventres symbolique (cages, boîtes, cercueils, mais aussi des ventres organiques réels), la pendaison la tête en bas qui reproduit la sensation qu’éprouve le foetus dans le ventre de sa mère. La submersion de la tête dans l’eau lors des tortures reproduit l’expérience du liquide amniotique tandis que la suffocation reproduit l’anoxie que tous les bébés vivent lors de l’accouchement. La victime est forcée de boire du sang et de l’urine, tout comme le foetus boit du sang placentaire et baigne dans son urine. Les rituels sont souvent effectués dans des tunnels ou des caves, des lieux souterrains sombres et humides symbolisant le confinement du canal vaginal ou du ventre de la terre mère. Certains de ces rituels semblent effectivement créer une sorte de « résurrection initiatique ». Le passage par une mort et une renaissance symbolique via des rites traumatiques est une constante dans les religions antiques dites à Mystères, mais aussi dans certaines traditions chamaniques. Ces cultes à Mystères étaient particulièrement présents dans le bassin Méditerranéen, les Mystères égyptiens d’Isis et Osiris, les Mystères d’Éleusis, de Mithras, d’Attis et Adonis, mais aussi le culte à Bacchus (Dionysos) étant les plus connus. Il ne fait aucun doute que certaines pratiques de ces cultes antiques se perpétuent encore de nos jours via des sociétés secrètes formant une sorte de religion ésotérique, gnostique, réservée au petit nombre. Le fondateur de l’église de Satan, Anton Lavey, a affirmé que la cérémonie de la renaissance, qui se passe dans un grand cercueil, est une chose commune à la plupart des rituels de loges. Nous retrouvons cette cérémonie du cercueil dans les rites de la célèbre société secrète Skull & Bones où l’initié meurt au monde pour renaître dans l’Ordre… L’ultime « initiation » étant de provoquer chez le candidat une expérience de mort imminente avec une sortie astrale ; c’est à dire un état dissociatif extrême propulsant l’âme de l’initié dans une autre dimension et se terminant par la réintégration de celle-ci dans le corps physique, symbolisant une nouvelle naissance, ou renaissance initiatique. Ce phénomène de décorporation est très souvent rapporté par les victimes de viols, elles affirment qu’elles n’étaient plus dans leur corps physique mais voyaient la scène de l’extérieur avec une totale anesthésie. L’initiation d’enfants par des rituels hautement traumatiques semble quelque chose d’impensable, d’irréaliste, mais prenons conscience que pour certaines sectes, apprendre à souffrir mais aussi apprendre à faire souffrir fait partie des rites de passage. Le but est de provoquer une transcendance de la conscience, un état spirituel extatique reposant ni plus ni moins sur cette « Loi de la Dissociation », un profond état dissociatif déclenché par les drogues, la douleur et diverses privations. Les traumatismes ont toujours été considérés au cours de l’histoire comme un moyen de créer des états modifiés de conscience et d’ouvrir les portes vers le monde des esprits, les occultistes contemporains ne s’en privent évidemment pas… y compris sur leurs propres enfants. Selon le psychologue américain James Randall Noblitt, les pratiques de contrôle de l’esprit ou programmation mentale ont anciennement débutées lorsque des groupes ont détecté que l’application de rituels traumatiques pouvaient produire ces états dissociatifs allant jusqu’à fractionner la personnalité de l’individu en plusieurs alter, isolés les uns des autres par des murs amnésiques. Ces personnalités alter pouvant former un véritable système hiérarchique interne programmable. C’est ce que l’on nomme aujourd’hui le contrôle mental basé sur les traumatismes, la programmation d’esclaves dissociés. Le MK-Ultra, aujourd’hui historiquement et médiatiquement bien référencé, n’est que la mise en application, de manière scientifique et militaire, d’antiques pratiques païennes et ésotériques. Notons ici qu’un certain nombre de médecins impliqués dans les expérimentations du MK-Ultra étaient des francs-maçons de haut degrés, citons le Dr Sydney Gottlieb, le Dr Georges Estabrooks ou encore le Dr Ewen Cameron. Notre société occidentale moderne en grande partie coupée de ses racines spirituelles, biberonnée à la laïcité et au consumérisme, aura grand mal à comprendre et accepter la dure réalité de ces pratiques sectaires ultra violentes. D’autant plus lorsque le monde médiatique et politique use de la stratégie de l’édredon pour ne surtout pas alerter et informer à ce propos… Pourtant les sectes initiatiques basées sur la loi du secret ne datent pas d’hier, l’anthropologue et universitaire américain Brian Hayden a étudié les sociétés secrètes primitives remontant aux temps préhistoriques. Dans son livre « The Power of Ritual in Prehistory », il décrit l’utilisation de techniques « psycho-spirituelles » lors de « rituels extatiques » (loi de la dissociation), permettant de forger de puissants liens entre les membres du culte. On y retrouve les sévères épreuves physiques, la privation sensorielle, le sacrifice humain mais aussi la notion de violation volontaire des tabous comme la consommation de chair humaine. Selon lui, ces sociétés secrètes primitives ont marqué un tournant décisif dans l’évolution des religions en provoquant une division entre culte populaire et culte élitiste, entre religion exotérique et religion ésotérique. L’égyptologue franc-maçon Jan Assmann parle également de « Religio Duplex », ou religion à deux visages, pour qualifier ces cultes à Mystères ayant une face exotérique destinée à la masse non-initiée et une face ésotérique destinée aux élites. Brian Hayden affirme que des enfants aussi jeunes que quatre à six ans, parfois même encore plus jeunes, pouvaient devenir membres de ces cultes et donc subir les rites initiatiques. Notons ici que le musicologue Carl de Nys affirme que Wolfgang Amadeus Mozart, dont la famille baignait dans les milieux maçonniques, a fréquenté les illuminés de Bavière (illuminati) dès son plus jeune âge. Se basant sur les correspondances de la famille, il rapporte que le petit Mozart participait à des réunions nocturnes organisées au fond d’une grotte nommée le « trou des sorcières », située dans le parc d’Aigen à Salzburg, et dont l’entrée était à l’époque flanquée de deux colonnes soutenant un Sphinx ailé, symbole des Mystères de Isis… Dès l’époque romaine, cette grotte aurait servi aux adeptes de Mithras et d’Astarte pour on ne sait trop quelles pratiques initiatiques. Que subissait le petit Mozart lors de ces cérémonies illuminati ? La participation des enfants aux rituels initiatiques a également été rapportée par Ross Nichols (spécialiste du druidisme et de la mythologie celtique) dans son livre « The Book of Druidry », où il écrit que les druides « plongeaient ou cuisaient l’enfant dans le feu mystique ». Ce feu mystique, ou flamboiement de lumière, étant une métaphore symbolisant le profond état dissociatif résultant des épreuves initiatiques traumatiques. Les druides étaient effectivement adeptes des rituels visant à transcender la douleur et la peur pour en ressortir nés de nouveau.
Il est difficile pour un profane d’établir une hiérarchie ou une échelle de dangerosité concernant les groupes occultes, qui sont par définition secrets et malicieusement organisés ; généralement imbriqués les uns dans les autres avec un cloisonnement étanche. Leur dépravation extrême, allant jusqu’à faire couler le sang dans des crimes rituels, identifie et relie ces sectes par une idéologie commune. Celle de faire sauter tous les tabous et verrous de la morale dans une sorte de catharsis. Cela rappelle fortement les antiques Bacchanales, le culte à Bacchus ou « Mystères de Dionysos », fonctionnant avec des grades initiatiques, et dont les origines remonteraient, selon le franc-maçon Jacques-Antoine Dulaure, au culte phallique d’Osiris de l’ancienne Égypte. Dans le livre « Le monde grec antique », Marie- Claire Amouretti écrit à propos de ce culte à Mystères : « Dionysos apparaît comme le dieu libérateur, Dieu du vin et du désir débridé. C’est tout le cadre civique et familial qui craque à l’occasion de ces fêtes (…) L’ivresse physique et la liberté sexuelle expriment un besoin profond de se libérer d’un système civique, moral et familial. » Nous lisons également dans le livre « Dionysos mis à mort » de Marcel Détienne : « Les fidèles de Dionysos s’ensauvagent et se conduisent comme des bêtes féroces (…) Le Dionysisme permet d’échapper à la condition humaine en s’évadant dans la bestialité par le bas, du côté des animaux. » Le juge Roche a également décrit comment cette « Loi de la Dissociation » était mise en application durant ces bacchanales modernes, voici ce qu’a rapporté son fils : « Il est question pour libérer l’esprit, d’éteindre le corps. Pour éteindre le corps sans mourir, on va le saturer de sensations, de plaisir et de douleur, qui sont procurées par ces « soirées » le tout exalté par les drogues, jusqu’à ce que les capteurs sensoriels disjonctent, et alors là, lorsque vos capteurs sensoriels disjonctent, et bien c’est le nirvana, c’est l’ascension spirituelle. » Voilà donc quelques pistes pouvant aider à intégrer le fait que des groupes puissent se livrer aux pires pratiques bestiales lors de cérémonies pseudo-religieuses, de type paganisme polythéiste, dont l’idéologie se résumerait à la doctrine luciférienne « Fais ce que tu voudras sera le tout de la loi. », l’ultime abomination « libératrice » étant la pédocriminalité et le meurtre rituel. La survivante Caryn Stardancer, co-fondatrice du groupe d’entraide Survivorship, a affirmé dans un témoignage avoir été victime d’une secte Dionysiaque panthéiste, un polythéisme vouant un culte à la fertilité. Elle décrit une organisation structurée telle une poupée russe initiatique : « La progression au sein du culte se faisait en fonction de votre capacité d’adaptation, vous ne saurez peut-être jamais qu’il existe un groupe plus grand, englobant, celui auquel vous appartenez (…) L’exploitation des enfants, dressés pour le sexe, visait à les utiliser pour les photographier, ou filmer, avec des adultes dans un but de chantage (…) Cette secte Dionysiaque m’a appris qu’une des plus anciennes lois adoptées contre les abus rituels à Rome, à l’époque pré-chrétienne, a été faite contre ces mêmes sectes Dionysiaques qui étaient encore en activité durant les années 40 et 50, et qui le sont probablement encore aujourd’hui ! La raison pour laquelle des lois ont été érigées à leur encontre était qu’à l’époque on savait que leurs rituels intégraient des orgies sexuelles, des flagellations, des viols rituels sur des femmes et des enfants. » Le trouble dissociatif de l’identité (TDI) est un point commun chez beaucoup de victimes d’abus rituels ou d’inceste prolongé durant toute l’enfance. En voici une courte mais nécessaire définition pour le lecteur : Le TDI est la conséquence de traumatismes extrêmes vécus durant la petite enfance, une dissociation de la personnalité se produisant généralement avant l’âge de 6 ans. Le TDI, précédemment nommé trouble de personnalité multiple, est un type de trouble dissociatif caractérisé par au minimum deux identités alternantes (appelées alters, états autonomes ou identités du moi), mais aussi par des épisodes récurrents de trous de mémoire, un marqueur fort indiquant la présence de murs amnésiques séparant les différentes personnalités alter prenant successivement le contrôle du corps physique. Le TDI est un vaste sujet qui nécessite une étude plus approfondie. J’y consacre une grande partie de mon livre MK avec une approche, dirons-nous métaphysique, car touchant aux questions de « fragments d’âmes » et de « possessions » (vous pouvez trouver ici un chapitre entier consacré au sujet). Le TDI peut se développer de manière incontrôlée et « anarchique » chez un enfant subissant notamment l’inceste ou bien être volontairement provoqué, alimenté et canalisé dans le cadre d’une programmation mentale avec protocoles traumatiques. Cette « science occulte » consistant à provoquer, maîtriser et exploiter le TDI a été observée au fil des années par de nombreux thérapeutes comme par exemple Michaela Huber en Allemagne. Ce sont des pratiques sectaires pédocriminelles utilisant cette fonction naturelle de l’être humain qu’est la dissociation, cela à des fins d’esclavage mental. Il s’agit de briser la psyché de l’enfant pour créer des personnalités alter dans un système interne très bien structuré. Ces identités seront programmées puis exploitées sur le long terme. C’est une des fonctions des abus rituels dits « sataniques ». En effet, nous observons que le TDI est devenu un phénomène de mode depuis plusieurs années. Comme je le faisais déjà remarquer dès 2016 dans mon livre MK, le TDI a tout d’abord été propulsé dans la sphère publique et profane par plusieurs stars mondialement connues telles que Lady Gaga, Beyoncé ou encore Nicki Minaj, se vantant d’être fractionnées en plusieurs personnalités alter. J’observais alors comment cette culture des « personnalités multiples » était transmise au public, au monde profane, lors de performances grandiloquentes ou d’interviews télévisuelles touchant des millions de personnes… rendant ainsi glamour et tendance les personnalités fractionnées par les traumatismes. Autrement dit, il s’agit d’infuser une sous-culture ultra-violente dans la culture populaire sous la forme d’un divertissement. Inconsciemment, la jeune génération associe donc cet occultisme vulgarisé et simplifié à quelque chose de positif, à une mode, à un modèle à suivre ; mais c’est également une forme de désensibilisation aux pires pratiques criminelles commises sur cette terre. Aujourd’hui, nous pouvons constater que la mode du TDI a littéralement explosé, notamment dans les sphères LGBT avec l’apparition d’une « Culture Plurielle » ouvrant grand la porte à une vague d’autodiagnostics ; phénomène qualifié d’épidémie par certains psychiatres. Nous constatons qu’une frange de l’extrême gauche Woke s’est emparée de la question du TDI, qu’elle est en train d’étouffer par la mise en place de cette vaste culture dite « Plurielle » ouverte à toute forme de « multiplicité » dans une confusion généralisée. Il en résulte une épidémie de faux TDI dont la source est plus narcissique que traumatique. Cette appropriation du TDI à des fins d’identification personnelle et de tendance culturelle déviante est non seulement nuisible à la crédibilité du trouble, mais aussi et avant tout à la santé et au bien-être des personnes qui en souffrent réellement. Des « influenceuses » sont devenues en quelque sorte des spécialistes autoproclamées du TDI, se déclarant elles-mêmes multiples… et souvent « sorcières » pour compléter le tableau ! Les médias de masse se sont également emparés du sujet et le TDI est aujourd’hui largement popularisé, mais surtout édulcoré quant à ses réels tenants et aboutissants. De fait, nous n’entendons jamais parler du dangereux potentiel d’esclavage mental de ces personnes fractionnées : les alter isolés par des murs amnésiques pouvant être programmés. Car c’est là l’envers du décor glamour et narcissique actuellement véhiculé sur les réseaux sociaux. Le point positif de cette médiatisation du TDI est le fait qu’il est aujourd’hui reconnu et validé, même si la controverse reste toujours aussi virulente au sein du milieu médical/psychiatrique. Cet effet de mode, médiatiquement boosté, ayant entraîné une véritable explosion d’autodiagnotics est je pense un contrefeu masquant les victimes et survivants réellement dissociés ; car malgré la médiatisation du TDI, jamais le sujet des abus rituels pédocriminels n’est abordé alors que ces deux phénomènes sont intimement liés. J’emploie le terme « d’effet de mode dérivatif » dans le sens où la véritable nature du TDI et son fonctionnement complexe, pourraient être en quelque sorte « dilués » dans cette vague de vulgarisation outrancière allant jusqu’à l’idéalisation d’un mode de vie multiple et gender-fluid (fluidité de genre que l’on retrouve dans le TDI lorsque les personnalités alter d’une même personne peuvent avoir un genre différent). Lorsque la « multiplicité d’identité » devient finalement quelque chose de « cool et tendance », nous arrivons en effet, et malheureusement, à la dilution massive d’un trouble qui mériterait amplement d’être étudié en profondeur ; car relevant non pas seulement de la psychologie mais aussi de la parapsychologie et de la démonologie… clé du contrôle mental basé sur les traumatismes et boîte de Pandore de certaines sectes au pouvoir… J’aimerais terminer par une anecdote médiatique très révélatrice sur les conséquences de cette popularisation malsaine et outrancière du TDI. Je suis tombé il y a quelques mois sur l’extrait d’une rubrique consacrée au BDSM (sado-masochisme), une émission régulièrement diffusée sur la radio NRJ à heures de grande écoute… L’animatrice de la rubrique, la « coach BDSM Déborah », affirme avoir un TDI avec notamment une personnalité alter d’enfant. Cette femme raconte alors sur un ton badin et benêt, encouragée par l’animateur de radio surexcité, que son alter enfant, Lia, aurait émergée en pleine séance de « bondage au cellophane » pratiquée en groupe… Dans le studio, tout le monde est hilare et trouve cela évidemment super original et so hype ! Le monde luciférien est sous nos yeux grands fermés ; et bien voilà un exemple typique avec cette vulgaire « coach BDSM » racontant aux adolescents qu’elle est fractionnée en plusieurs identités, qu’elle est une « esclave » soumise à un « maître », et que sa personnalité alter enfant Lia participe malgré elle à des séances de sado-masochisme en groupe ! Ou lorsque la sous-culture MK relevant de l’occultisme imprègne petit à petit le monde profane dégénéré devenu ultra poreux aux immondices…
Omnia Veritas a publié en 2020 mon deuxième livre « Franc-maçonnerie et Schizophrénie : comprendre les arcanes du pouvoir », une synthèse du livre MK focalisée sur la question des sociétés secrètes. Ce dernier ouvrage devait à l’origine s’intituler « Dr Jekyll & Mr Hyde » en référence à la double personnalité dissociée des bourreaux pratiquant les sévices rituels et la programmation MK. Des individus généralement eux-mêmes fractionnés dès l’enfance, avec un alter de façade respectable tandis que sommeille en eux l’abjecte bête. De la même manière, nous retrouvons ce schéma dans la franc-maçonnerie avec sa façade publique discrète faisant l’éloge d’un humanisme bienveillant et philanthropique tandis que le secret couvre les pires pratiques immorales voir criminelles. La survivante australienne Lynn Brunet, victime de son père franc-maçon et rosicrucien, décrit cette dualité en ces termes : « Je suis aujourd’hui amenée à comprendre les principes qu’il y a derrière ces pratiques « magiques » séculaires, qui divisent le psychisme de ces hommes en deux : d’une part des citoyens et des hommes dévoués, et de l’autre, la plus puérile, absurde et cruelle créature humaine. »
La perte de sens et de spiritualité est une forme de chute dans le matérialisme entraînant inéluctablement un déclin de civilisation. Cette société s’élève matériellement (technologiquement) d’une manière exponentielle tout en régressant drastiquement sur le plan spirituel et moral. Le progressisme scientifique et idéologique ad vitam aeternam n’est pas viable lorsque ceux-là mêmes qui le programment en privé puis le prônent en public, ont tout fait en parallèle pour couper l’homme de Dieu. Sans cette connexion divine avec son Créateur, l’homme ne s’élève pas mais il déchoit et tombe sous le contrôle du Serpent. Hors, à l’heure actuelle, ce sont les loges adeptes du Serpent qui mènent le bal sous nos latitudes. Le bal du progressisme à tout prix est un enfer pavé de bonnes intentions, « ils parlent comme des anges mais pensent comme des assassins », pour reprendre l’expression d’Arnaud Upinski. Le peuple a été volontairement et très progressivement déraciné et déspiritualisé. Victime d’une véritable ingénierie sociale l’ayant affaibli sur plusieurs générations, il est aujourd’hui mené par le bout du nez par ceux que j’appelle les sorciers-contrôleurs ; lucifériens adorateurs du Serpent, ennemis du Christ et de Son peuple. Les lucifériens ont toujours cherché à subvertir et bouleverser les valeurs traditionnelles, en particulier tout ce qui émane du Christianisme. Étant donné que le chaos est leur terrain de jeu favori pour asseoir leur domination, ils le provoquent et misent sur le manque de discernement des populations pour avancer leur sempiternel agenda révolutionnaire… La Révolution a commencé au Ciel, avec la révolte d’un ange, Lucifer, elle se perpétue ici-bas encore de nos jours. La guerre est spirituelle ; d’où la subversion première consistant à isoler l’homme du Christ, tout en proposant aux plus assoiffés de spiritualité la soupe théosophique qu’est le « New Age » ou luciférisme 2.0 ; consistant en un occultisme vulgarisé mais qui n’en est pas moins nocif. Nous observons aujourd’hui une popularisation de la « sorcellerie pour tout.e.s » via les mouvements néo-féministes et autres influenceuses Wicca mais aussi la presse à grand tirage qui ne se prive pas de promouvoir les pratiques ésotériques sous couvert de « développement personnel » et de « bien-être ». Une grande partie de l’industrie musicale injecte quant à elle inlassablement la symbolique occulte dans ses productions à l’esthétique toujours plus décadente et morbide. Elle inverse les codes moraux et crée une véritable mode du satanisme qui imprègne ainsi petit à petit la culture populaire. Notre libre arbitre choisit délibérément de consommer la soupe du diable, car sucrée à souhait… Le monde luciférien est sous nos yeux grands fermés et la grande majorité des humains s’y complait tout comme une grenouille barbotant dans une marmite sur le feu… L’athéisme combiné au consumérisme est la porte ouverte à la médiocrité, au cynisme et à l’orgueil, créant trop souvent cette mentalité mondaine assumée et encouragée par les programmes de divertissements abrutissants. Cet état d’esprit typique, propre à notre société urbanisée, est évidemment un frein à la divulgation des dossiers de pédo-satanisme, alors tournés en dérision et considérés comme du risible complotisme… Effectivement, les notions de « satanisme », de « rituels », de « sacrifices », de « transe dissociative » ou « d’amnésies traumatiques », pourront sembler irréelles, fantaisistes et non crédibles pour certains individus, ricanant alors devant un domaine qui dépasse ce logiciel intellectuel bridé mais ultra répandu. Le manque de temps et surtout de courage ne permettront généralement pas de faire les recherches nécessaires à un début de compréhension du sujet. Ces PNJ iront même jusqu’à s’offusquer de cette « nauséabonde chasse aux sorcières » sous les applaudissements des factcheckers ricaneurs ! Bien heureusement, cette chute sociétale de plus en plus marquée, accompagnée d’une avalanche de révélations sur le véritable profil de cette oligarchie, produit également un réveil massif d’individus qui, dirons-nous, par la découverte du Mal se tournent finalement vers le Bien ; pour résumer de manière un peu simpliste et manichéenne. En réalité la question des réseaux pédocriminels est tellement prise au sérieux par les médias de masse qu’ils en sont terrifiés, à tel point qu’une véritable omerta est mise en place. Cette loi du silence passe effectivement par la sempiternelle théorie du « prédateur isolé »… Toute autre explication d’un dossier de pédocriminalité pouvant mener l’opinion publique à comprendre qu’il existe effectivement un fonctionnement en réseau, pire encore, une protection institutionnelle des abominations, est systématiquement ridiculisée et qualifiée de « théorie du complot »… d’extrême droite s’il vous plaît ! Cet épouvantail poussiéreux ne fait plus le poids face aux évidences et le public est aujourd’hui bien plus apte à comprendre la réalité des choses qu’il n’y a encore quelques années. Preuve en est, « l’expert en complotisme » Tristan Mendès France vient de valider publiquement l’existence des réseaux pédocriminels, déplaçant ainsi son curseur face à l’inexorable et triste réalité des choses. Existe-t-il des journalistes d’investigation intègres enquêtant à l’heure actuelle sur ces réseaux de l’horreur ? Je n’en ai aucune idée. Il faut l’espérer mais la France est verrouillée, en particulier dans le domaine du journalisme. Cela dit, je ne désespère pas et suis intimement convaincu que cela finira par exploser ici-même en France. Continuons à travailler à notre petit niveau pour enquêter et informer avec ou sans carte de presse !
J’invite les lecteurs à visionner l’intégrale de la série « Noyau Dur » qui fait partie d’une trilogie récapitulant mon travail audiovisuel sur Youtube et formant une sorte de synthèse. Les deux autres vidéos sont « TDI & MK : La Rétrospective », visant à expliquer les mécanismes du contrôle mental basé sur les traumatismes, et « Franc-Maçonnerie La Fin du Silence » compilant plus de quatre heures de témoignages de victimes et thérapeutes ; une vidéo qui dépasse aujourd’hui les 159k vues. Des contenus plutôt accablants qui devraient interpeller les plus sceptiques, particulièrement les francs-maçons des loges bleues. Je travaille également sur un « petit manuel contre-révolutionnaire », qui sera sûrement publié en ligne courant 2024. Je conclurai en reprenant les dernières phrases du livre MK : « Pour faire face à ces générations qui perpétuent coûte que coûte l’adoration de l’ange déchu, représentant l’infra-humain sanctifié par Lucifer, et donc possédant une force d’ordre surnaturelle ; sanctifions nous en Jésus-Christ pour également remettre notre vie à une Force d’opposition indispensable dans un tel combat. Même dans cette époque semblant des plus obscures, Dieu nous donne en permanence la connaissance et la sagesse pour pouvoir justement s’opposer et faire le contrepoids face à l’abomination Babylonienne. » » (Extraits de l'article « Dévoiler l’Inconcevable : Entretien exclusif avec Alexandre Lebreton » du Média en 4-4-2)
Voici l'article « Dix astuces pour transformer un homme en mouton » du Média en 4-4-2 :
« Macron a utilisé le bâton contre les Gilets Jaunes, la carotte pour les moutons (le privilège de pouvoir aller au café avec un pass). Après des débats parlementaires (carotte) totalement inutiles, Élisabeth Borne démolit la démocratie à coups de 49-3 (le bâton). Mais nous restons en démocratie tant que les Français y croient. Par quels moyens est-il possible de faire croire au père Noël ?
Voici les techniques de manipulation de masse telles que le linguiste américain Noam Chomsky les a analysées dans « La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie » : La recette utilise dix ingrédients que tout cabinet de conseil qui se respecte utilise à foison.
1. La distraction : Afin de manipuler les gens, l’une des armes les plus puissantes est la distraction. Déplacer votre attention vers des nouvelles moins importantes ou insignifiantes vous permet en fait de détourner votre intérêt de questions beaucoup plus vitales qui, dans ce cas, passent en arrière-plan. Exemples : LGBT, corrida, IVG, migrants, racisme, Ukraine, foot, mais jamais : répartition des richesses, prise de décision par les citoyens, indépendance industrielle et politique, corruption.
2. Problème et solution : Montrer un certain thème comme un problème vous permet de créer une solution souvent impopulaire et qui a déjà été décidée a priori. Aggraver un service public pour pouvoir proposer sa privatisation. Des exemples ? Hôpitaux, écoles, SNCF, RATP, Poste, etc.
3. Gradualité : Dans certains cas, pour manipuler les masses, il est nécessaire de le faire progressivement. Dans le cas de l’élimination de certains droits fondamentaux, par exemple, il est préférable de les éliminer à petites doses afin de ne pas provoquer de protestations des citoyens. Par exemple, les retraites trois mois plus tard chaque année, c’est indolore et c’est pour notre bien.
4. Différer : Dans ce cas, une certaine réforme intervient, garantissant qu’à court terme, bien que négative pour les citoyens, elle sera positive pour tous. De cette façon, les gens sont moins susceptibles de protester, en attendant les avantages. Quand il s’avère que ces avantages étaient faux, il sera déjà trop tard et les gens auront pris l’habitude de changer. Exemples : masques, pass assis, debout, couché, cas asymptomatique, contact, signalé, diesel ou électricité, ça dépend du moment. Ainsi le covid recule et la planète sera sauvée !
5. Infantiliser le public : Dans les publicités et les discours politiques, les gens ont souvent tendance à parler aux auditeurs comme s’ils étaient des demeurés. De cette façon, le sens critique est éliminé. Exemples : signez vous-même votre autorisation de sortie d’une heure. Faites cuire les nouilles à 19 heures. Fermez les fenêtres, ouvrez les fenêtres, etc.
6.Utiliser les émotions : Les messages qui tentent de manipuler la masse n’invitent pas à la réflexion mais, au contraire, sont basés sur des émotions. Actuellement la peur du covid qui, cette année, c’est pratiquement sûr, va tuer Papi et Mamie dans l’obscurité totale due aux coupures d’électricité, est largement utilisée. Et ça marche !
7. Garder le public ignorant : Un public ignorant est le meilleur allié de la manipulation de masse. Pour cette raison, la détérioration du système éducatif est une arme très puissante pour contrôler les citoyens. Quoi de mieux que des écoliers muselés et qu’une école qui ferme ses portes dès qu’il y a un « cas contact » ou une pénurie d’électricité ?
8. Un public consentant : Les médias rivalisent de vulgarité et de médiocrité. Il suffit d’appuyer sur un bouton de télécommande et c’est souvent n'importe quoi.
9. Renforcer le sentiment de culpabilité : Cette stratégie de manipulation de masse a tendance à faire croire aux gens que tous leurs problèmes viennent d’eux-mêmes. Au lieu de se rebeller contre le système, les citoyens penseront donc qu’ils sont directement responsables de ce qui se passe. Eh oui ! Ce ne sont pas les sanctions contre la Russie qui réduisent nos approvisionnements en gaz et pétrole, mais notre gaspillage énergétique. Fini le temps de l’abondance ! Les millions de chômeurs sont un peu responsables, non ?
10. Connaître l’être humain : Les cabinets sont de bon conseil : crever les yeux et arracher les mains ne suffit pas à faire accepter l’inacceptable. Leurs moyens de manipulation ne sont pas compliqués, ils sont de l’ordre du marketing, d’une grosse entourloupe commerciale. Cela dit, ils ne sont pas loin du sadisme, puisqu’il s’agit de transformer l’humain en objet, le vivant en rouage d’un système et les victimes en complices. Connaître l’être humain pour mieux le détruire, tel est l’apport des cabinets de conseil qui ont coûté un milliard à la collectivité. »
L’opération d’hypnose de masse du 11 Septembre, analysée avec l’aide de Douglas Rushkoff (un utopiste juif) comme exemple classique de coercition, avait pour but de faire de l’islamophobie la principale suggestion post-hypnotique, afin de la mettre au service d’un Choc des civilisations dont le principal bénéficiaire serait le sionisme. Surtout que le racisme antimusulman est actuellement de rigueur, mais le simple humour sur les juifs et même sur les sionistes est interdit, et vaut toutes les relégations, toutes les répressions. Pourtant il y avait un humour même à Auschwitz et au Goulag. La loi est simple : plus la vie est dure, plus l’humour est nécessaire. Les populations oppressées ont besoin de ce contrepoids. Or ceux qui nous rendent la vie dure aujourd’hui veulent en plus nous amputer l’humour ! Ça devient dangereux pour le système... Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Déconstruire l’islamophobie » du sakerfrancophone à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Deconstruire-l-islamophobie-57337.html
Et « Dans l’ère covidienne en France, l’hypnotiseur est le pouvoir, à savoir l’État, l’appareil médiatico-politique et ses relais aux ordres de l’oligarchie, et l’hypnotisé est le peuple français. (Mais cette état de sidération traumatique s'estompe avec le temps). » (Extrait de l'article « Tyrannie sanitaire et folie collective – Youssef Hindi » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/09/tyrannie-sanitaire-et-folie-collective/)
Le journal « NZZ am Sonntag » a rapporté les déclarations d’Ueli Maurer ex-conseiller fédéral suisse au sujet de la gestion de la pandémie lors d’une interview à Hoch2.tv, fin décembre 2023 : « La pandémie était une hypnose de masse » et une « hystérie sciemment attisée » (en faveur de Big Pharma, et donc de l'OMS et donc des mondialistes oligarchiques et sionistes).
De plus en plus de voix raisonnables, de personnalités unanimement connues et largement reconnues, tant au plan national qu’international, se font aujourd’hui entendre tant sur le conflit israélo-palestinien que sur le conflit ukrainien, voire sur la crise Covid, en prenant parfois le risque de subir les foudres de l’oligarchie financière mondiale, largement sionisée, et des autorités gouvernementales et médias qu’elle contrôle, quasiment tous sous influence des lobbies pro-Israël.  Ces voix de plus en plus nombreuses et de plus en plus puissantes viennent de tous les pays et de toutes les communautés, juive comprise. Ce ne sont pas les «Nouveaux Justes» qui manquent au sein de cette communauté aujourd’hui en crise.
Lorsque quelqu’un comme Ilhan Omar (qui a subi un traumatisme horrible à la suite du plan sioniste déclenché par le 11 Septembre, visant à détruire « sept pays en cinq ans » selon la vidéo de l'ancien général des armées Wesley Clark, dont son pays natal la Somalie) voit les puissants États-Unis, une nation de 300 millions d’habitants, travailler avec obéissance pour le petit Israël comme une sorte de golem zombie (humain robotisé, esclavagisé plus ou moins consciemment), on comprend pourquoi le mot « hypnose » est entré dans son esprit et sur son compte Twitter. Ainsi qu'il a été montré, sa métaphore de l’hypnose est à la fois éclairante et appropriée, surtout que les médias et l'industrie du cinéma qu'est Hollywood y participent incontestablement comme à travers le monde. En effet à travers des films d'anticipation, cette industrie cinématographique permet même de PREPARER les peuples à diverses évolutions mondiales servant les intérêts des oligarchies corrompues. Ces films dévoilent même des réalités de l'actuel mondialisme technologiste, transhumaniste, wokiste, oligarchiques et sionistes sans que les populations de ne réveillent, ce qui prouve leur aveuglement. De plus à travers de nombreux clips, séries et films, d'évidents messages subliminaux sataniques même envers les jeunes augmentent sans arrêt.
D'ailleurs il est désormais clair que cette hypnose de masse a pour but final d'établir le mondialisme ploutocratique impie :
« « Ils sont les machinistes de l’univers. Qui se révolte contre eux parle contre les dieux »… Bardèche ne croyait pas si bien dire, le petit maître à penser de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari n’a-t-il pas commis un opuscule titré Homo Deus. Ce cuistre s’imagine en effet que nous serons bientôt, après le mariage de l’homme et de la machine, comme des dieux ? Difficile d’être plus prétentieusement mégalomaniaque. Bref, ces gens se prennent pour des petits démiurges appartenant à une caste sacerdotale ayant pour mission de « réparer le monde » – tikkoun olam – alors que leur seul génie est celui de la destruction, de la trahison et du mensonge. Lénine promit « la Paix et la Terre » mais omit de dire qu’il s’agissait seulement du sol à labourer et en aucun cas des moissons et des récoltes qui furent derechef confisquées… S’ensuivit la famine de 1921/1922 la guerre civile étant alors close, répétition avant l’Holodomor de 1932/33 et leurs affreux cortèges de tragédies cannibales. « Welcome to 2030, I own nothing, have no privacy and life has never been better » (« Bienvenue en 2030, je ne possède rien, je n’ai pas d’intimité et la vie n’a jamais été plus belle ») nous déclarait le 12 novembre 2016 la claudette Ida Auken, députée danoise, membre éminent du Forum économique mondial… » (Jean-Michel Vernochet)
En conclusion, une précision va de soi : il est évident que les élites juives ne sont pas les seules personnes impliquées dans le secteur de l’hypnose de masse.
« En espérant que nous n’arrivions pas à la fin du monde (c’est-à-dire à la catastrophe nucléaire), nous sommes certainement à la fin d’un monde, la fin de la sphère publique, d’un système d’organisation du monde, de structures conceptuelles. La notion de sphère publique – nous le savons depuis Mill et Tocqueville jusqu’à Habermas et Arendt – est fondamentale pour la notion de démocratie, puisque la démocratie suppose une opinion publique informée, critique, capable de discernement. Ce qui a rendu possible cette forme de gouvernement, ce sont les « corps intermédiaires » (partis, associations, etc.) qui sont la condition de possibilité d’un décryptage critique et pluriel, et sans pluralisme des informations et des interprétations, il n’y a pas de sphère publique. Un processus entamé depuis longtemps, mis en évidence par de nombreux penseurs de manière différenciée – de Baudrillard à Byung-Chul Han – montre que cette notion de sphère publique s’est effondrée. En effet, nous sommes passés d’une partitocratie malmenée à une médiocratie : les médias nous font vivre dans la réalité qu’ils construisent. Ils ont ainsi construit la figure du héros Zelensky, et ils ont également construit le nationalisme ukrainien, qui ne se serait pas développé sous la forme que nous lui connaissons aujourd’hui sans les médias. La télévision ne représente pas la réalité, elle la produit, elle la fait advenir, et pas seulement parce qu’elle la falsifie (elle le fait aussi), mais parce qu’elle transforme un modèle en réalité. Le modèle était : la construction du nationalisme ukrainien, la construction de la figure du héros. Les images, la narration ont fait du modèle une réalité. Mais de la manière dont ils l’ont construit, ils peuvent le détruire en deux jours : il leur suffit de commencer à transmettre d’autres images, d’autres informations, par exemple, il leur suffit de répandre la rumeur selon laquelle en Ukraine, les États-Unis, avec l’accord de Zelensky, possédaient des laboratoires d’armes biologiques, une nouvelle qui circule dans les médias. Il leur suffit de diffuser des nouvelles bouleversantes : le mythe de la lutte de la liberté contre la barbarie s’effondrerait, le récit changerait, et le changement de récit changerait l’expérience. Les médias peuvent faire advenir la réalité qu’ils souhaitent. Maduro était donc le dictateur, et en un instant, il devient un interlocuteur, des sanctions contre Maduro à l’achat de pétrole auprès de lui. Dans peu de temps, s’il le souhaite, il se fera le chantre de la liberté. Le public médiatisé n’a plus de mémoire culturelle et communicationnelle (Assman) : il vit dans l’instant, il oublie dans l’instant. Les médias ne construisent pas une histoire, mais une série d’instants fragmentés. Ce qui n’est pas sans signification dans la « vraie réalité ». Une sphère publique qui n’a plus d’influence sur les décideurs cesse d’exister, nous le savons depuis Locke, qui avait saisi le pouvoir d’interdiction de la sphère publique, pouvoir qui a cessé d’exister. Et c’est pour cela que la modernité est terminée. Il est désormais clair que tout se joue dans la sphère médiatique. Nous ne sommes pas seulement passés du gouvernement économique au gouvernement de la société, comme le souligne également Foucault à juste titre : nous sommes passés du gouvernement de la société au gouvernement de l’opinion. Et nous paierons cher cette classe (médiatico-)politique inepte, sans aucun sens de la mesure, qui parle comme un ivrogne au bar, sans penser que – s’il n’y a pas de guerre nucléaire – il faudra rétablir les relations. » (Extraits de l'article « La guerre en Europe, la fin de la sphère publique. La fin d’un monde » à l'adresse https://strategika.fr/2023/09/20/la-guerre-en-europe-la-fin-de-la-sphere-publique-la-fin-dun-monde/)
« Avant, les hommes de science po ne disaient pas tout, mais c’était pour le bien du peuple. On mentait par omission, mais il y avait une certaine morale, disons un code d’honneur. Les journalistes ne mentaient pas, ils relayaient, car ils étaient choisis pour leur « sérieux ». En revanche, Macron, Trudeau, Leyen, Biden, ça a la langue fourchue. C’est aussi parce que la démocratie n’existe pas, qu’il s’agit d’une tyrannie déguisée, et que le discours politique doit en permanence cacher cette dure vérité aux naïfs. Le pouvoir doit faire croire aux naïfs que ce sont eux qui décident, ce qui est du plus grand comique. Le mensonge n’est que la conséquence logique de cet état de fait. D’où notre proposition : le mensonge est consubstantiel à la tyrannie démocratique. Aujourd’hui, et c’est le problème numéro un des « démocrates » occidentaux, il est plus difficile de mentir, ou de ne pas dire la vérité. Le mensonge, surtout s’il est grossier, est débunké sur les RS, de manière quasi simultanée : les désinformateurs de l’oligarchie sont attendus au tournant. Heureusement pour les hommes po, les journalistes mainstream mentent aussi. C’est dans leur intérêt : les médias mainstream étant en perdition, ils ont besoin de l’argent de l’État, d’où le combo soudé « homme po-journaliste ». Cependant, chaque nouveau mensonge qui s’ajoute à la pile de mensonges agrandit la fracture entre le combo et le peuple. On a lu chez un journaliste mainstream que le peuple ou le concept de peuple n’existait pas, donc voici notre définition : est peuple tout ce qui n’appartient pas au système médiatico-politique, ce qui inclut évidemment des piliers économiques. » (Extraits de l'article « La démocratie, c’est le mensonge » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-democratie-c-est-le-mensonge-73617.html)
Tous les gouvernements et toutes les entreprises hypnotisent leurs sujets et leur personnel pour obtenir d’eux une obéissance loyale dont évidemment par la télévision. Toute religion implique un degré d’hypnose de masse ; et le mysticisme (la piété), le cœur de la religion, implique un certain degré d’auto-hypnose. Et même les parents hypnotisent régulièrement leurs enfants pour les endormir par des histoires répétitives. Une partie de tout cela est normal et sain, comme le prouve le Coran en nous invitant au rappel religieux fréquent de Dieu et de ses voies du Bien. Mais ce qu'il faut comprendre, c’est que d'abord pour leur profit puis pour leur messianisme erroné, les élites juives (sataniques) ont eu un succès inhabituel dans l’utilisation de la manipulation hypnotique de masse, ce qui signifie que cela a été utilisé excessivement et massivement dont par les grands médias télévisuels du système amoral et abrutissant.
Parmi ces stratégies, les idiotes et instrumentalisées minorités agissantes sont comme des enfants mal élevés : ça casse et ça salit tout, c’est jamais content, ça gémit, ça geint, ça pleurniche, c'est rancunier, ça réclame, ça fait des caprices, ça parle mal, ça veut dominer, ça divise, et ça finit par se prendre des claques par le réel, si les parents ne le font pas avant.
Par conséquent il ne faut plus parler de minorités agissantes car faisant croire à un rétablissement de la justice pour de pauvres victimes, mais plutôt de minorités tyranniques servant à faire adhérer une partie de la majorité à leurs objectifs qui profitent en réalité d'abord aux mondialistes oligarchiques. Ces minorités sont d'ailleurs comparables et liées à la minorité occidentale voulant imposer son ploutocratique système colonial au monde. C'est pourquoi après avoir réussi à acheter et donc gérer les grands médias afin de contrôler l'information propagée et donc d'orienter une grande partie de l'opinion publique en leur faveur, ces mondialistes élites très riches, souvent cupides ou défendant des intérêts particuliers cachés par définition opposés au bien commun, sont généralement à l'origine du financement des associations de ces idiotes minorités manipulées.
Le livre « La fabrique du consentement (par le conditionnement) » de N.Chomsky et E.Herman confirme que le système de propagande en milieu démocratique est lié à l'influence des avides propriétaires ultra riches de la publicité et du conformisme qui va uniformiser l'information dans les médias de masse sans qu'il y ait besoin de coercition ou d'un état autoritaire qui impose une ligne trop directement. Il s'agit d'une industrialisation de la psychologie sociale amenant à l'étouffement de la conscience dont par un joug culturel de la bien-pensance de plus en plus mondialiste et wokiste (cancel culture). Il est intéressant de lire à ce sujet la lettre-pétition d'un collectif de psychologues qui demande l'arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations sur la population française, en particulier celles liées à la crise sanitaire, au climat et à la guerre en Ukraine, à l'adresse https://lemediaen442.fr/un-collectif-de-psychologues-demande-larret-immediat-de-chantage-et-de-discriminations-du-gouvernement/
« L’essentiel est donc de résister à la propagande, de ne pas se laisser engourdir par les violons officiels parlant de choses qui n’existent pas : État de droit, indépendance de la justice, grands médias objectifs n’ayant d’autre souci que la recherche de la vérité, etc L’important, c’est de bien décrire la réalité, sans se laisser égarer par les fausses apparences, concrètement par la propagande nous disant, par exemple, que nous vivons dans un « État de droit ». Ce n’est en aucune manière le cas. Je ne dirais pas que le droit ne joue aucun rôle dans le régime occidental. Mais le droit est surtout aujourd’hui un instrument de pouvoir, plus exactement encore d’intimidation. Les autorités l’appliquent ou ne l’appliquent pas suivant l’intérêt qu’elles ont ou non à l’appliquer. Elles-mêmes, en tout état de cause, se considèrent comme au-dessus des lois : en témoigne, entre autres, leur recours de plus en plus fréquent aux services spéciaux pour gérer certaines situations (y compris d’ordre privé, comme on l’a vu récemment en Suisse). L’hybris, il est vrai, leur fait parfois perdre le sens des limites, en sorte qu’elles en subissent ensuite les conséquences. Mais on ne dira pas que cela ait un quelconque lien avec l’ État de droit. C’est juste lesdites limites se rappelant à leur bon souvenir. Il en va de même de l’utilisation du droit à des fins de règlements de compte et autres échanges de bons procédés (comme, bien sûr, cela n’arrive jamais). Plus fondamentalement encore, le droit est une épée de Damoclès. Il peut vous tomber dessus à tout moment, pour tout et à peu près n’importe quoi. Mais il ne tombe jamais par hasard. En ce sens, comme je viens de le dire, il a rôle d’intimidation. Ce qui précède va à l’encontre d’une thèse à l’heure actuelle très à la mode, celle du gouvernement des juges. Il y aurait ainsi trop de droit en Occident et pas assez de démocratie. Il n’y a en réalité pas plus de droit que de démocratie. Le gouvernement des juges n’a rien à voir avec l’État de droit. C’est un pouvoir comme les autres, à la limite même plus dangereux encore que les autres, car plus hypocrite.  Certains me reprocheront peut-être mon manque de nuance. Mais je dis la réalité.  Revenons-en maintenant à l’étiquetage. Le mot totalitarisme s’impose tout naturellement (« Tout dans l’État, rien en dehors de l’État, rien contre l’État »), mais il faut alors parler d’une nouvelle espèce de totalitarisme : la pierre angulaire en est les services spéciaux articulés aux NTIC, d’une part, au contrôle de l’information de l’autre. On pourrait aussi parler de tyrannie, mais en précisant bien que le tyran est aujourd’hui collectif : c’est la suprasociété (autre nom de la Nouvelle Classe). Dictature, pareil, sauf que la dictature actuelle n’a bien sûr rien à voir avec l’institution du même nom dans l’ancienne Rome. On parle d’autre chose, à certains égards même du contraire, puisque à Rome la dictature était instaurée pour six mois et qu’au bout de ces six mois le dictateur rentrait dans le rang : c’était un régime d’exception. Aujourd’hui, à l’inverse, l’exception est devenue la règle, comme on le voit avec les lois antiterroristes. La résistance « Cela va du simple non-consentement silencieux à la guerre de partisans, en passant par la résistance passive, la désobéissance civile, la grève, le sabotage, l’émeute, le refus de payer l’impôt, etc. »  Aristote explique dans la Politique que le propre d’un régime tyrannique est d’« employer tous les moyens pour empêcher le plus possible tous les citoyens de se connaître les uns les autres » (1313 b 4-5). Ne se connaissant plus les uns les autres, il leur est dès lors difficile de se révolter. C’est en soi déjà une forme d’atomisation. L’atomisation est aussi un produit de la civilisation technique. C’est très bien décrit par Hannah Arendt dans Les Origines du totalitarisme. L’atomisation est le terreau même du totalitarisme. Mais ce que dit aussi Arendt, c’est que le totalitarisme fait aller l’atomisation jusqu’au bout d’elle-même. Beaucoup de traits du régime actuel se laissent interpréter sous cet angle. On l’a vu par exemple avec les mesures de confinement liées au Covid-19. Sous couvert de lutte contre la pandémie, le régime a testé son aptitude à contrôler les allées et venues des citoyens et surtout à les isoler les uns des autres. Ce n’est pas en vain, par ailleurs, que les dirigeants se sont fixé pour objectif la déconstruction de la famille traditionnelle, en fait de la famille tout court : le but étant que rien ne fasse plus écran entre la multitude des individus et l’État. La cancel culture et la destruction de l’école traditionnelle pourraient aussi s’interpréter sous cet angle. En règle générale, le lien social passe par le partage d’une culture commune. Si le but est d’« employer tous les moyens pour empêcher le plus possible tous les citoyens de se connaître les uns les autres », la liquidation de la culture ne peut pas ne pas apparaître comme un objectif souhaitable. L’asservissement passe ici par l’analphabétisme de masse. On est habitué depuis toujours à avoir un accès facile aux classiques et à la culture. C’est encore dans une certaine mesure le cas. Mais moins aujourd’hui déjà qu’hier. Cela le sera probablement moins encore demain. C’est le pendant laïc de la sécularisation. Après la sortie de la religion, la sortie de la culture. Tant la culture que la religion font obstacle à l’automatisme, partant aussi à la domination totale. Il est donc normal que l’État total cherche à les supprimer. Il ne sera vraiment tranquille que quand toute trace en aura été effacée. À partir de là, on voit bien qu’on ne peut pas se contenter de dire que le livre nous aide à résister. Il nous aide, certes, à résister, c’est un adjuvant aux forces morales, mais lui-même est aujourd’hui très exposé. C’est l’autre aspect de la question. Les grands textes nous fortifient moralement, mais nous-mêmes, en sens inverse, avons à prendre leur défense, car l’époque ne leur est guère favorable. On pense en particulier aux mesures de protection qu’il conviendrait de mettre en œuvre pour les soustraire à la censure, et à terme aux autodafés appelés très probablement à se multiplier ces prochaines années. Elles aussi, ces mesures de protection, relèvent du recours aux forêts. Ajouterais-je que, pour utiles et importants qu’ils soient, les grands textes ne permettent pas à eux seuls de répondre à toutes les questions que nous nous posons sur nous-mêmes et sur la conduite à tenir en l’époque troublée qui est la nôtre. Il en faudrait d’autres reprenant certes les textes en question mais les complétant en même temps, un peu comme ont su si bien le faire les humanistes à l’époque de la Renaissance lorsque, s’inspirant de la sagesse antique et s’appropriant les préceptes des moralistes stoïciens et épicuriens, ils ont écrit leurs propres ouvrages pour répondre aux questionnements spécifiques de leur temps. Nous seuls, sur la base de notre propre expérience personnelle, en même temps que des expériences vécues avec d’autres, pouvons apporter une réponse sinon complète, du moins relativement appropriée. » (Extraits de l'article « La fin du G7 » de Serge Berthier)
          Lorsqu’on pense aux moyens chaque fois plus puissants dont dispose le système, un esprit ne peut évidemment rester libre qu’au prix d’un effort continuel comprenant ses rouages anciens, nouveaux et futurs, tout en les dénonçant et les évitant au maximum. Dans ce sens, la tendance lourde du transhumanisme et de l’ingénierie sociale consiste en plus à le placer le vivant entièrement sous contrôle informatique.
          Surtout que cette manipulation médiatique et donc politique et donc économique du peuple par les ultra riches dominateurs pour les ultra riches dominateurs est extrêmement simplifiée à travers les multiples partis divisant et donc affaiblissant aussi le peuple. D'autant plus que les plus importants sont financés par cette hyper classe, et que l'actuelle démocratie représentative est loin d'une représentation proportionnelle (qui est intéressante car elle amène à avoir un représentant pour chaque parti et donc chaque électeur, afin qu'il puisse proposer possiblement de bonnes idées ou analyses à l'assemblée nationale), ou d'une démocratie participative, et encore plus loin d'une démocratie directe dont cette dernière serait tout de même trop difficile à mettre en place puisque le peuple doit y voter chaque loi bien qu'il devrait au moins le faire par des référendums concernant les grandes lois dont sociétales. Or le mandat impératif obligeant les élus à consulter régulièrement ses électeurs, particulièrement avant des prises de décisions importantes, correspond au système le plus démocratique. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « La démocratie et son spectacle » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-democratie-et-son-spectacle-62122.html
Or selon Montesquieu et Etienne Chouard, le tirage au sort est la seule procédure démocratique, dont pour éviter la corruption entre politique, économie et finance. Dans ce sens, Chouard affirme si que s'il y a une révolution populaire, la nouvelle constitution devra désormais être écrite par les représentés dans une forme de pédagogie excellente et non par les représentants, afin que ces deniers ne réécrivent pas leur pouvoir et l'impuissance populaire. Cette constitution devra se faire d'abord au niveau communal car la démocratie est la plus logique et légitime au niveau local. Chaque commune devra donc choisir quels mandats organisés, la durée de ces mandats, si les représentants sont élus ou tirés au sort, si ces représentants sont des maîtres ou serviteurs, comment on surveille ces représentants, comment on les renvoie en cas d’insatisfaction, comment la population grade le pouvoir par RIC concernant les sujet considérés comme importants, comment on change la constitution quand on estime qu'on s'est trompé concernant la réalité des pouvoirs établis, comment on produit la monnaie, etc. Puis à partir de ces différentes constitutions, une grande constitution devra voir le jour à Paris dans une forme de fédération ces communes. Afin qu'il n'y ait pas trop de représentants à ce moment là puisqu'il y a 36 000 communes en France, les communes de moins de 500 habitants devront établir leur constitutions avec d'autres afin d'atteindre entre 2000 et 5000 habitants. Enfin cette fédération de devra évidemment pas devenir une dictature et encore moins une tyrannie par une chambre de contrôle citoyen renouvellée annuellement par tirage au sort.
« N’oublions pas qu’en France, sous la Ve République, la démocratie s’exerce de manière indirecte mais également directe, normalement par référendum, à défaut par la rue. Les deux sont indissociables : une démocratie purement directe ou indirecte est catastrophique. … Mais dans les crises terminales comme celle que nous traversons, lorsqu’il n’y a plus aucun intérêt à agir, peuvent s’exprimer les valeurs supérieures de morale et de devoir. Foutu pour foutu un peuple se met alors à faire ce qu’il a à faire. » (Guy de la Fortelle)
Or le mandant impératif est clairement aussi intéressant comme l'explique cet article du média en 4-4-2 :
« Ce qui nous empêche actuellement d’être dans un système démocratique ce sont tout bonnement les représentants élus (et tous, sans exception en passant de la gauche à la droite). Mais pourquoi ? Parce que dans une démocratie avec des représentants, les citoyens ont le contrôle sur eux et peuvent à tout moment demander la révocation de celui qui ne ferait pas son travail pour lequel il a était élu. Un représentant avec des conflits d’intérêts, incriminé dans une affaire de justice et / ou qui ne tient pas compte de ce qu’a décidé la majorité des citoyens (comme pour le référendum de 2005 sous Sarkozy par exemple), pourrait à la demande de ceux-ci, et à n’importe quel moment de son mandat, être révoqué. Voilà pourquoi dans notre système représentatif actuel, la démocratie est inexistante et pourquoi aucun de nos élus ne se bat vraiment pour qu’il le soit. Le seul élu à ma connaissance ayant proposé cela pour son potentiel futur poste de chef d’état est Jean Lassalle. Pour quelle raison ? Sans tenir compte de son programme, c’est le seul candidat qui se présentait avec un mandat impératif. Le mandat impératif c’est quoi ? C’est un mode de représentation dans lequel les élus ont l’obligation de respecter les directives de leurs électeurs sur la base desquelles ils ont été désignés, sous peine de révocation. Voilà pourquoi à mon sens il était le seul à donner du sens à l’élection présidentielle. S’il ne respectait pas ses promesses, nous pouvions le révoquer à tout moment. Je vous laisse décider quoi penser des autres candidats qui eux ne se sont jamais présentés avec ce mandat en vous vendant de faux RIC à tour de bras. Après tout, les promesses sans engagement de la part de ceux qui les font, n’engagent finalement que ceux qui les croient (nous, les petits électeurs crédules). »
La fabrique du consentement a été aussi organisée et donc encore plus facilitée par l'abrutissement et l'inculture de plus en répandus mondialement. En effet l’hédonisme, le plaisir, le matérialisme et le modernisme à outrance sont des armes du système rendant stupides de très nombreuses personnes jusqu’à l’asservissement virtuel. Cela va jusqu'à ridiculiser l’épargne, la prévoyance, la respectabilité, la pudeur, la retenue, tous les bons sentiments d’antan. D'ailleurs une des plus fortes images incarnant la fabrique du consentement a été de faire accepter aux gens de se signer soi-même un papier pour pouvoir sortir pendant le confinement et de sortir un QR code confirmant la vaccination pour entrer dans un restaurant tels un apartheid sanitaire pour les non vaccinés et du bétail pour les obéissants.
Surtout qu'à travers l'Histoire, les oligarchies corrompues du monde sont devenues très expertes dans la manipulation. D'autant plus qu'avec les médias, elles arrivent encore plus facilement à défendre l'élite perverse tout en attaquant les vrais défenseurs du peuple, sans avoir l’air de s’en prendre au peuple et tout en ayant l’air d’être quand même un peu contre le pouvoir. Leurs intérêts les obligent à faire dans ce « populaire » pour mieux tromper les intérêts du peuple en l'influençant, le manipulant, l'orientant ou transformant sa cause, et donc s'appropriant ses nouvelles aspirations, tandis que les commanditaires supérieurs attaquent les résistants qui sont vraiment populaires par leur volonté de bien commun. Toujours dans le but de diviser pour régner, on est passé par exemple du socialo sionisme immigrationniste au national sionisme perversement identitaire. C'est à dire qu'auparavant, les musulmans et immigrés étaient prétendument les victimes des français, et que maintenant, les français sont prétendument les victimes des musulmans et des immigrés. Par une nouvelle ingénierie sociale du système auquel sont liés certains lobbies dont la LICRA (ligue loin d'être acceptée massivement comme représentation par les juifs français du quotidien), la société civile est donc en train de passer en force à l’antiracisme 2.0 au détriment de l'union des peuples, mais au profit des oligarques souvent sionistes dont à travers la préservation de leurs privilèges injustes et de leur pouvoir politique, alors que ce même système avait donc monté les immigrés contre les Français dans les années 80 dans l'antiracisme 1.0. L’association de bienfaisance israélienne Livra, pourtant élue par personne, a même menacé directement et sans complexe le député LFI Thomas Portes pour son soutien aux palestiniens, pourtant élu LFI dans la 3e circonscription de Seine-Saint-Denis (93) avec 54 % des voix ! Où est le respect de la République ?
« Oui, il faut garder cette idée que l’antisémitisme c’est ce qui permet de définir la santé d’une démocratie. » (Anne Hidalgo, lors de la 11e convention nationale du CRIF, le14/11/21)
« à partir du moment où l’on sait que "l’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme". Il faut poser la question : "À qui profite le crime ?" et chercher qui se trouve à la tête (occulte) du futur Gouvernement Mondial. » (Yann Moncomble, L’Irrésistible Expansion du mondialisme, 1981)
Par rapport à cela, Malcolm X a noblement dit : « Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés (les innocents) et aimer ceux qui les oppriment (les coupables). »
De plus les gens sont souvent plus indignés par une parole (islamophobe, anticatholique, antisémite, antinationale) écrite sur un mur ou dite dans un média que par la pauvreté.
Par conséquent l'apparition de la démocratie est une épreuve révélant le niveau social des humains, des oligarques, des politiciens et de nombreux peuples face à la raison, à la piété, à différentes valeurs, à l'oppression, à la manipulation ou à la création de guerres illégitimes.
L’antisémitisme n’a pas sa place dans le débat sur l'identité française, car il s'agit plutôt d’anti-talmudisme, parce que la République est antifrançaise car la France est chrétienne, et que le Talmudisme est pro républicain et donc anti français car il est plus que christophobe, il est christicide. En dissolvant l'association catholique civitas, le système a montré qu’il a fait de la France une tyrannie, mais aussi qu'il a eu très probablement peur de la possible évolution rapide et massive de ce parti politique. L’antisémitisme n’a pas sa place dans le débat sur l'identité française, car il s'agit plutôt d’anti-talmudisme, parce que la République est antifrançaise car la France est chrétienne, et que le Talmudisme est pro républicain et donc anti français car il est plus que christophobe, il est christicide. En dissolvant l'association catholique civitas, le système a montré qu’il a fait de la France une tyrannie. D'ailleurs de grandes décisions tyranniques comme cette dissolution sont simplement déclarées sur Twitter sans la moindre consultation à l'assemblée nationale. Le système politico-judiciaire reproche même à Civitas de défendre la royauté sociale du Christ en France, de dénoncer l'action de la franc-maçonnerie, de dénoncer la théorie du genre, de dénoncer la propagande Lgbt à l'école. Tout défenseur de la liberté d'expression devrait donc supporter Civitas, sinon la défense des valeur authentiques ne pourra plus être exprimée publiquement.
De plus le judaïsme étant une religion et une race, il peut être défendu par la lutte contre la discrimination raciale ou religieuse, et est donc difficilement critiquable publiquement et surtout médiatiquement.
En fait pour la domination mondiale des oligarchies sionistes ou corrompues, ce nouvel ordre mondial tente bien d'imposer progressivement la religion universelle noachide erronée ou mal interprétée pour les non juifs qu'est la laïcité, synonyme de démocratie pouvant s'égarer à travers l'oubli des commandements divins. En effet soit cette religion universelle noachide a été perversement inventée, soit elle est désormais pervertie car elle ne devait servir qu'à civiliser les non juifs barbares de l'antiquité en les amenant progressivement vers le monothéisme authentique qu'était le mosaïsme, devant être complété par le christianisme, puis conclu par l'islam. D'ailleurs l'erreur de l'interprétation précisant que la loi noachide est toujours réservée aux non juifs est prouvée par le mariage du Prophète Salomon (paix sur lui) avec la reine de sabbat après qu'elle se soit convertie. Et si des populations ne se convertissaient pas, les juifs de l'antiquité devaient effectivement probablement les faire tendre vers les valeurs monothéistes dont à travers le commerce licite noachide.
Surtout que les Messagers Jésus et Mouhamed étant venus mettre à jour le monothéisme, certaines de ces lois noachides sont d'autant plus perverties, puisque par le Talmud fréquemment erroné, les non juifs sont encore souvent illégitimement considérés au même niveau que les animaux car n'étant plus barbares, et parce que le nouveau sens malhonnête de ces lois ne cherche même plus à orienter les non juifs exclusivement vers les valeurs monothéistes, alors que les véritables christianisme et islam y invitent tous les humains incontestablement. Certaines lois noachides perversement inventées, désormais corrompues ou encore bonnes sont les suivantes :
-obligation d’avoir des magistrats pour faire respecter les lois (désormais des droits de l'homme laïques souvent impies).
-sacrilège désormais des négationnistes concernant la shoah devenue la mortifère religion imblasphémable du mondialisme américano-sioniste, très étonnamment seul événement de la longue Histoire de l'humanité dont aucun aspect de la thèse officielle ne peut être remis en cause par de la recherche historique en France alors qu'autorisée aux Etats-Unis au nom de leur premier amendement tant que cela ne prône pas la violence ou la haine, ou sacrilège de l'opposition à la laïcité démocratique du nouvel ordre mondial alors que par ce système politique une sorte d'«expertocratie» (politiques, banques et multinationales) proche d'une dictature financière des très riches qui assied de plus en plus son pouvoir sur le reste de l'humanité par la sournoise idée erronée que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à «ceux qui savent» (les élites oligarchiques, ploutocratie favorisant inévitablement les très riches injustement) le soin de conduire les affaires publiques. Il s'agit d'une caste ploutocratique s'appuyant sur les médias mainstream, ayant beaucoup de membres très riches et technocratique, et ayant beaucoup de membres travaillant pour l'union européenne. La vérité, c’est que nous sommes idéologiquement dominés. Les trois moyens pour qualifier ou plutôt disqualifier le peuple et surtout les dissidents sont : l’invisiblisation (on ne parle pas d'eux, c’est le plus simple et cela fait d'eux des fantômes politiques néantifiables), l’infériorisation (du peuple considéré comme un ramassis d’abrutis socialement frustrés et sous-scolarisés ne pouvant donc prendre de décisions importantes, c’est le manipulateur portrait médiatique habituel concernant l’électeur patriote moyen), la diabolisation. Il faut noter que la shoah permet une sacralisation internationale du sionisme (ou du messianisme juif liés à la haute finance mondialisée) fondé sur une lecture littéraliste et erronée de l'ancien testament. C'est à dire que dans une époque de désacralisation du christianisme et du catholicisme, le système parvient donc pourtant à sacraliser Israël, le judaïsme et les juifs. Pourtant le sentiment de l'identité juive tend même à ne se baser sans religiosité que sur la mémoire du génocide de la Shoah et l’État d'Israël aux valeurs occidentales, tout en préservant contradictoirement un identitaire aspect racial de pseudos descendants d'hébreux.
Gilad Atzmon explique : « Au contraire, le peuple doit faire la politique et raconter le passé, à mesure que nous avançons, car l’Histoire devient une aventure qui a du sens, seulement à partir du moment où nous avons revisité et révisé le passé (pour avoir l'entière vérité surtout car il n'y a que les vainqueurs qui écrivent l'Histoire. L'écrivain Balzac précise : « Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, menteuse qu'on enseigne, l'Histoire ad usum delphini (expurgée) puis l'Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse. »). Lorsque l’Histoire se transforme en un chapitre scellé et intouchable, elle est réduite à une religion. L'occident sous une très grande pression sioniste devient rapidement un endroit très sombre. La liberté d’expression est réduite à la nostalgie. De manière assez désastreuse, la plupart des partis politiques jouent un rôle clé dans cette catastrophe naissante. Il faut donc se lever face à cette chasse aux sorcières et à ce changement tyrannique au sein des sociétés, et rester à l’écoute des dernières voix qui résistent de manière permanente, surtout que malheureusement, les politiciens, les universitaires, les journalistes, et les autres artistes, s’inclinent très rapidement. Camille Desmoulins : « Les despotes maladroits se servent des baïonnettes, alors que « l’art de la tyrannie » consiste à faire la chose avec les juges (la loi). » Au lieu de commander l’oubli, le droit international actuel ordonne, sous peine de poursuites, de cultiver la mémoire des horreurs en particulier envers les peuples qui les ont commises. Il s’agit de nourrir dans le cœur des hommes la flamme de la vengeance. C’est une culture de haine qui va même jusqu'à la perplexité de voir des personnes âgées sionistes pourrir la vie des gens au lieu d’être un exemple d’amour, de pardon et de générosité. Le progressisme qu'utilise le sionisme s'appuie pourtant sur une prétendue générosité envers par exemple les Lgbt, et le sionisme s'appuie aussi sur une réparation politico-financière (n'existant que pour les juifs suite au tribunal de Nuremberg ayant en plus facilité la recréation impie de l'Etat d'Israël en 1948 non reconnue par certains pays), l'idéologie de la minorité tyrannique, la culpabilisation systématique des majorités, et la dette éternellement due et irremboursable. Ainsi la shoah est devenue une religion de haine à la différence du christianisme authentique qui est une religion d'amour. Tel est le sens caché des lois françaises Pleven ou Gayssot, qui prétendent lutter contre la haine en condamnant haineusement de blasphème le révisionnisme (impossibilité totalement injuste d'apporter des preuves contre la thèse officielle). Cependant malgré que la lutte contre l'antisémitisme sert de plus en plus à diviser une nation pour la contrôler, elle sert quand même dans un sens (selon le plan divin) à faire tenir le vivre ensemble actuel, dont en incarnant une partie de la dénonciation de la bassesse du racisme car beaucoup doivent dépolluer leur esprit d'indignes stéréotypes attribués à des ethnies, et même si l'islamophobie est répandue par une partie du système puisque utilisant souvent le lexique de la doxa islamophobe. Or si les institutions juives veulent que tout le monde comprenne l’Holocauste en termes numériques, il serait peut-être raisonnable d’attendre des Juifs qu’ils connaissent le nombre de crimes colossaux contre l’humanité perpétrés en grande partie ou partiellement par des juifs. L’historien moderne obéissant sans intégrité aux hommes politiques est investi d’une mission sacrée : souffler sur les braises pour entretenir le foyer de la guerre civile (possiblement larvée) mondiale. (Le « ni pardon ni oubli » utilisé à travers diverses minorités perverses est l’arme la plus puissante de nos maîtres avides en nous empêchant de découvrir l’autre, de peur qu’on discute, qu’on se comprenne, qu’on apprenne, qu’on se réconcilie et qu'on construise ensemble dans le bien commun. Tous les mouvements radicaux de contestation minoritaire comme les Lgbt, les antiracistes, les environnementaux, et cætera, ne sont plus des mouvements de défense mais d’agression, de division et de destruction, et sont donc devenus dangereusement extrémistes. En effet la jurisprudence du communautarisme victimaire qui exige des compensations donne en réalité des avantages aux minorités par rapport à celui qui est normal, qui n'a droit à rien, qui est même en dette avec elles, et qui doit donc s'excuser auprès des noirs, des juifs, des homosexuels, des femmes, parce que lui est le méchant normal ! Ce qui permet à ces minorités de retourner les accusations valables sur certains de leurs mauvais comportements. Alors que les droits des minorité non perverses doivent être reconnus mais pas au détriment de ceux de la majorité, surtout que religieusement certains dogmes et pratiques cultuelles peuvent changer, mais pas les justes règles sociales et économiques. Or la plupart des responsables politiques, la majorité silencieuse et les forces de police soumises aux mondialistes ont plus de responsabilité par rapport à cette dégénérescence de la France que les perverses minorités actives voire agressives que la majorité supporte de moins en moins. En effet la majorité silencieuse est opprimée par la ou les perverses minorités non silencieuses agissantes. On peut même dire qu'éhontément, des minorités sont agressives bruyament, idéologiquement et même tyranniquement contre la majorité silencieuse. Mais on ne doit pas oublier la force des valeurs millénaires de la majorité contre la tyrannie d'une minorité corrompue et décadente. La France est devenue une dictature de sionistes ultra avec comme auxiliaires des féministes hystériques, des antiracistes militants qui sont en fait des racistes, des homosexuel prétendant se défendre contre l'homophobie alors qu'en fait on découvre derrière des réseaux pédophiles : c'est un contexte abject ! c'est un contexte horrible ! D'ailleurs le réseau LGBT est très présent au sommet de l'Etat, ce qui n'est pas étonnant car les forces occultes les contrôlent plus facilement, puisque l'homosexualité est le pouvoir de se faire désirer par la voie du mal jusqu'à la soumission, et donc l'orientation d'obéir au mal jusqu'à la célébrité, la richesse et/ou l'autorité. Il est intéressant d'écouter à ce sujet l'émission « C’est parti mon qui-QUI ?! #18 – De quoi le gouvernement Attal est-il le nom ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/C-est-parti-mon-qui-QUI-18-De-quoi-le-gouvernement-Attal-est-il-le-nom-74787.html
Ainsi ceux qui attendaient une fin des temps avec des orcs comme dans le film "le seigneur des anneaux" doivent comprendre qu'ils ont en réalité une apparence plus présentable (quoique le travestissement ne soit pas mieux) : une douce tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale tyrannie grossières avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation et l'argent alors que la deuxième est violente et visible ce qui entraîne plus de réactions d'opposition. En effet quelle que soit la conséquence de la vaccination, elle n'était que le prélude au pass sanitaire puis vaccinal, la procédure nécessaire, au marquage général de toute la population, à la surveillance voire au contrôle absolus sur le peuple par les oligarchies perverses. Alors que dans les années 90, il aurait été impensable qu'un pass soit créé pour contrôler les gens par rapport au sida.) Dès lors on peut se demander qui est le plus coupable devant le tribunal de l’Histoire, un homme recherchant la vérité pour apaiser les tensions et faciliter la paix comme le Professeur Robert Faurisson condamné par des lois visant à entretenir la haine et la guerre, ou les législateurs violant des règles morales en votant ces lois et les magistrats les appliquant sans réfléchir un minimum. »
« Finalement, la question (dont par rapport à l'existence des chambres à gaz des nazis) n’est plus tant de savoir si l’histoire est libre ou non. Il faut distinguer selon que l’histoire est brûlante ou non, c’est-à-dire actuelle ou pas, politique ou sans enjeu. Lorsque l’histoire est présente (il peut s’agir de faits récents comme des faits très lointains), l’histoire n’est jamais libre. Sauf la liberté absolue pour l’historien d’enfreindre l’interdit, à ses risques et périls. Mais il est une distinction cardinale en la matière. Certains interdits, comme celui de Créon, sont des prolongements de la guerre, tandis que d’autres, comme l’éclair de Zeus évoqué par Carl Schmitt dans un texte de 1947, sont des gages de paix. Entretien de la mémoire dans un cas, effacement de la mémoire dans l’autre. » (Maître Damien Viguier)
Ce qui irrite les gardiens de la mémoire, c’est qu’à Auschwitz avec les jeunes qui font des selfies (dont de nombreux ados israéliens) ou à Buchenwald où les promeneurs font du sport, la vie reprend ses droits, et les reprend sur la mort. La réalité serait-elle révisionniste ? Le culte des morts est une chose, le culte de la mort (comprendre son exploitation) en est une autre. Même si les livres d’Histoire ont un sens, et il y en a beaucoup sur le sujet de la déportation avec des niveaux très inégaux, on ne pourra pas empêcher les enfants de faire du foot dans le bloc 41, de se bécoter devant un crématoire ou de jouer au chat et à la souris, aux gendarmes et aux voleurs, voire aux SS et aux juifs derrière l’infirmerie. Pour les jeunes, le devoir de mémoire est encore un « devoir (pénible à faire à la maison) », et ça ne les intéresse pas. Et ceux qui recrachent leur leçon apprise par cœur ne valent pas mieux que les cancres. C’est la morbidité de ce culte qui le rend inadéquat et immangeable aux jeunes générations, qui ne pensent qu’à vivre et à s’amuser, pas à mourir et à se morfondre. Cultiver la mort, c’est l’histoire épuisante et absurde du rocher de Sisyphe.
Or piégé par sa vanité et aspiré par son propre flux, les phrases du sioniste sortent parfois toutes seules et il a du mal à les contrôler. La pensée inconsciente, celle qui sous-tend le discours, a tendance à vouloir sortir du carcan du langage logique, et le sioniste dit alors tout sans s’en rendre compte tellement son ambiguïté et sa duplicité débordent. Il valide implicitement l’amalgame populiste entre « banque » et « juifs ». Ce qui n’est pas une preuve en soi, mais qui montre que les sionistes présents dans les grands médias ne sont là que pour protéger les sujets tabous. Les gardiens du Système ont fabriqué l’arme de l’antisémitisme dans ce but : ils décident de ce qui est tabou et de ce qui ne l’est pas. C'est la définition objective d’un pouvoir religieux.
-interdiction du polythéisme (désormais en reconnaissant la démocratie des droits de l'homme laïciste comme seul système politique valable ou la volonté divine que les juifs soient le peuple prêtre de l'humanité organisant cette nouvelle société à travers cette fausse idéologie prétendant éclairer la vérité comme depuis l'époque des lumières alors que servant à rabaisser moralement les peuples pour les dominer)
-interdiction d'inceste (comme avant)
-interdiction de meurtre (comme avant).
Il faut noter que les personnes noachides sont d'abord les non juifs soumis au judaïsme et donc à ce laïcisme, et que les autres peuvent voire doivent être détruits.
Or toute doctrine même religieuse se liant voire se soumettant au sionisme comme l'évangélisme états-unien, le protestantisme anglais et le wahhabisme saoudien peut également être considéré comme noachide et avoir une résidence secondaire en Israël, de même que ceux qui croient en Dieu à travers la laïcité et qui ne croient donc pas authentiquement en Lui puisque Ses lois christiques ou coraniques font partie de la foi, ou ceux croyant seulement en la laïcité, puisque par ses lois, elle est soumise à la domination des minorités dont prioritairement des juifs comme il sera revu.
Dans ce sens pour les collabos de France info, les choses sont simples : si on aime la Russie, alors on est forcément un esclave de Poutine, le nouveau maître du monde pas libre, puis un complice de ses prétendus crimes de guerre. Bref, on est une ordure intégrale. En revanche, si on relaie la propagande israélo-américaine, on reste dans le camp du bien, même quand l’Empire écrase des pays entiers sous sa botte. Les médias dominants se permettent donc éhontément de massacrer tout un peuple et de dénoncer les pseudos crimes des autres.
Lorsque vous définissez par des termes précis ce que sont le viol ou l’escroquerie, vous avertissez le violeur ou l’escroc des bornes qu’il ne doit pas franchir. Vous lui laissez donc la possibilité de jouer avec la limite. Et c'est ce que pourrait empêcher une loi cherchant à assimiler l'antisionisme à l'antisémitisme pour encore plus faciliter l'ingérence israélienne dans toute nation. Alors que selon les juifs orthodoxes israéliens, Israël est certainement devenu un pays où l’antisémitisme est en hausse, car les sionistes brutalisent fréquemment et sans pitié les juifs. Encore selon eux, le sionisme est aujourd’hui une nouvelle forme d’antisémitisme, c'est à dire que si vous êtes un juif opposé au sionisme et à Israël en Israël, vous risquez d’être battu chaque jour, harcelé par les sionistes et constamment perquisitionné et insulté par la police. Avant un antisémite était quelqu'un qui n'aimait pas les juifs, aujourd'hui cela apparaît comme quelqu'un que les juifs n'aiment pas dont particulièrement ceux qui sont contre le suprémacisme juif et le sionisme, ce qui fait que sournoisement aujourd'hui, celui qui se tient au coté du christ dont ainsi les musulmans et dénonce donc la trahison des juifs pharisiens devient antisémite.
« Être antisémite, en France aujourd’hui, c’est aussi simplement être contre le masque, le pass sanitaire, la surveillance généralisée, la répression policière des colères populaires, la justice franc-maçonne de classe, la décadence sexuelle des ministres, l’oligarchie financière omnipotente et intouchable, la paupérisation de la classe moyenne, la confiscation des médias publics, la tyrannie européiste, la propagande pro-israélienne permanente et grossière, la criminalisation des musulmans, la condamnation des chrétiens, le génocide à Gaza, le terrorisme de l’OTAN, le risque de guerre mondiale entretenu par l’axe américano-israélien. (Par exemple, le New York Times et la presse mainstream US ont grossièrement accusé Kennedy d’avoir affirmé que le vaccin anti-covid aurait été conçu pour affecter certains groupes ethniques de la population tout en épargnant les seuls juifs ashkénazes qui sont souvent aux manettes du mondialisme ou d'Israël.) L’antisémitisme, c’est à la fois très vaste et très clair. Au fond, ça n’a plus vraiment à voir avec les juifs, ça devient une opinion politique générale : c’est l’autre nom pour résistance. » (Rédaction ER)
Il faudrait donc demander aux intellectuels juifs une définition précise de l'antisémitisme afin de pouvoir savoir la limite de la critique voire si on a le droit de critiquer le judaïsme et ses élites... En effet actuellement on est soit un antisémite soit un sioniste mondialiste ou souverainiste : il n’y a pas de milieu, et encore moins de juste milieu. Comme le disait le stupide GW Bush après l’attentat du Mossad sur le sol américain en 2001, vous êtes avec nous ou contre nous, vous êtes des pro-CIA ou de vils terroristes islamistes, vous êtes l'axe du Bien ou vous êtes l'axe du mal, ce qui prouve qu'il s'agit du domaine moral voire religieux normalement déconsidéré par l'Occident démocratique. (Les bons pays sont, par ordre d’importance : les USA, la perfide Albion (Angleterre), le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ce sont les fameux Five eyes qui se sont ligués, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, pour surveiller le monde communiste, et aujourd’hui le monde non aligné, tout en protégeant Israël.) Et cet honteux choix basique imposé entre le « pour nous » et le « contre nous » est repris lors du Covid en faveur du vaccin ARN, de la guerre dans le Donbass en faveur de l'Ukraine et de la guerre à Gaza en faveur d'Israël. Or avec la multipolarité se répandant mondialement, les oppressifs USA peuvent finir seuls avec le raciste Israël et le cupide Royaume-Uni dans ce pseudo axe du bien. Quant au terrorisme du Mossad et de la CIA, ça n’entre pas en ligne de compte, trop compliqué pour le grand public, cet enfant. C'est à dire qu'on peut blasphémer, sauf la religion juive ; on peut critiquer les gouvernements, sauf Israël ; on peut s’attaquer aux communautés, sauf à la communauté juive ; on peut être contre toute politique, sauf contre le sionisme ; on peut rire de tout, sauf des juifs si on n’est pas juif ; on dit qu'une agression sur quelqu'un est de la violence, sauf sur un juif car c’est du racisme ; on peut remettre en cause n’importe qui, sauf un juif sinon c'est considéré comme antisémite.
Cela mène ainsi à ce que les militaires, les policiers et même beaucoup de juges soient souvent dans l'incapacité de comprendre la logique de l'adversaire, en particulier quand il agit à travers une ingérence étrangère ou privée, car ils ont un déficit de culture générale et un manque d'imagination ; que les diplomates soient souvent corrompus et manquent de courage ; et que la plupart des dirigeants occidentaux soient incompétents ou indignes. En matière de politique au sein de l'occident, tout l’enjeu devient donc de conserver le pouvoir de décider si dans tel ou tel cas on applique ou non la notion polémique en particulier de l'antisémitisme.
Les partisans du système actuel corrompu font ainsi de la conservation du pouvoir leur priorité, dont même en infiltrant, influençant ou/et récupérant des orientations populaires pour devenir une opposition contrôlée qui fera comme d'habitude de fausses promesses électorales afin d'ensuite continuer constamment à favoriser l'oligarchie. En effet actuellement, nous sommes dans une opposition contrôlée judéo-maçonnique synonyme d'auto-alternance pour l'oligarchie. C'est à dire que l'Occident en particulier la France et les USA sont entre une droite judéo-nationale sioniste et une gauche judéo-maçonique. Par les finances de nombreux milliardaires, cela correspond en France à un renouvellement contant du bail du système politique tout en feignant de s'opposer à lui, jusqu'à possiblement parvenir à deux partis uniques comme aux USA. Ainsi le retour au sacré, à la religion, à Dieu et donc à la justice sociale des peuples ne doit pas être récupéré ou orienté par ces perverses idéologies, car elles s'en détourneront toujours.
En effet beaucoup d'infiltrés dans la politique et les gouvernements s'ingèrent et soumettent désormais les pays pour des tiers, dont par la dette, le formatage de l'éducation nationale, les médias, le contrôle de l'approvisionnement, les théories anthropologiques de l'évolution et de l'hominisation, ou une idéologie perverse :
Principe clé chez les penseurs chinois : « Le summum de la l'art de la guerre c'est de gagner sans livrer bataille, c'est de soumettre l'ennemi sans verser le sang, et même sans qu'on se rende compte qu'on lui livre bataille (sauf si cela signifie rabaisser la noblesse excellente). » (Sun Tzu)