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Z) Fin (1)


De plus Jésus le Messie étant donc étant venu orienter le judaïsme au départ parfois légitimement guerrier vers l'universalisme compatissant, et les barbares n'existant plus sur terre en tant que nation, lorsque les élites et messianistes juifs impies valident ces extraits précédents du Talmud, ils créent les conditions pour qu'ils incarnent finalement ces écrits et que ces derniers se retournent par un probable combat divin et populaire contre eux aujourd'hui, mais certain à la fin des temps.
Surtout qu'en continuant perversement ce judaïsme guerrier par l'effacement lois religieuses christiques ou islamiques à travers le laïcisme wokiste et par leurs alliances à des minorités impies type homosexuelle devenant leur image, pour affaiblir la spiritualité des peuples afin de les dominer plus facilement, ces sionistes incarnent une nouvelle forme de barbarie.
A ce sujet le livre suivant de Youssef Hindi est important à lire pour comprendre cet égarement d'une grande partie du peuple juif vers une idéologie guerrière de domination : « Occident & Islam: Tome 2, Le paradoxe théologique du judaïsme (ou Comment Yahvé, idole guerrière et donc devenant un évident égarement satanique, usurpa la place de Dieu, par preuve qu'Isra(ël) est lié à « el » qui est la dénomination authentique de la divinité unique et donc de Dieu en araméen, hébreux et arabe) ». En effet dans ce livre, cet historien retrace les diverses influences qui ont dévoyé la bible hébraïque et fait apparaître l'ombre qu'elle a fait peser sur l'histoire de l'humanité et le danger mondial qu'elle représente désormais. Il faut noter que dans la Bible hébraïque, Yahvé est souvent traduit l’Éternel. L'univers mental des juifs qui étaient et sont liés à cette idole guerrière Yahvé est donc de rester dans une concurrence matérielle et religieuse synonyme d'un mauvais monothéisme suprémaciste et tribal comme le prouvent l’État d'Israël, au lieu d'être fraternel et mondial comme l'a demandé Jésus. Surtout que le Judaïsme affirmant que les parents de l’humanité sont Adam et Eve, le judaïsme suprémaciste en tant que race et même en tant que, religion depuis la venue de Jésus le Messie est une hérésie. Ainsi certains n'ont pu et désormais beaucoup ne peuvent adhérer au rappel de Jésus qui précisa que le véritable monothéisme est universaliste, humaniste et équitable. Yahvé incarne donc en réalité le guerrier symbole pervers de l’autorité et des intérêts des élites juives et mondiales corrompues au détriment de la moralité des peuples.
Bible (Evangile de Jésus Christ selon saint Jean 8, 44) : Jésus dit (aux pharisiens vénérant Yahvé à l'origine du sionisme) : « Votre père, c’est le diable (donc car lié donc à l'idole usurpatrice de Dieu qu'est Yahvé), et vous voulez vous conformer à ses désirs. Depuis le commencement, c’est un meurtrier (car ayant participé au meurtre d'Abel, le fils d'Adam) : il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il ment, il parle de son propre fond, puisqu’il est menteur, lui le père du mensonge. »
Alain Escada : « Ce nouvel ordre mondial (en partie sioniste) avilit, nous animalise(, nous ensauvageonne), nous tribalise et nous individualise pour nous enlever les qualités humaines, morales, nationales et collectives nous aidant à être digne dans la relation avec notre Créateur, nos proches et la société. » Il est intéressant de voir également son excellente vidéo « Le Réveil des Peuples et les mensonges des Etats (Alain Escada/Civitas) » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?time_continue=7480&v=W2t3ILPSugQ&feature=emb_title
Jérôme Bourbon directeur du journal Rivarol : « L'agenda mondialiste utilisant entre autres l'agenda LGBT correspond à la destruction des nations (représentant principalement l'importance de l'union sociale) par celles de la famille (noyau fondamental), des identités, de la morale.... C'est une révolution anthropologique absolument considérable, inouïe et sans précédent dans l'histoire, à travers son ampleur, sa rapidité, et sa violence envers le corps social, les consciences et les individus. »

Georges Bernados : « On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne (laïciste, matérialiste, progressiste, wokiste) si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. »
Bernados a aussi avertit du dictatorial totalitarisme économique post-moderne américain via les technocrates et la mathématisation, l'automatisation, la robotisation, le transhumanisme et donc la déshumanisation du monde.
Alain Soral : « Comme leurs ancêtres refusèrent ou trahirent l’amour du Christ, ils (les juifs et autres personnes sionistes) refusent et trahissent l’assimilation à la nation française pour soumettre la nation française à Israël. Donc oui, luttons et soyons tous unis contre la (leur) haine ! Dénonçons ces fanatiques racistes et dominateurs. Assez de la tyrannie de la (leur) minorité (dans notre démocratie donnant normalement le pouvoir à la majorité) ! De cette minorité qui, pour continuer à régner dont par le chantage à l'antisémitisme devenant de plus en plus à l'antisionisme (possiblement via une prochaine loi avec donc une très dangereuse association perverse de la cause israélienne à la cause juive dont dans le sens empêchant d'éliminer le mal sioniste si on ne peut le nommer), au pro-sionisme, ou au pro-dommage et intérêts pour la nouvelle religion qu'est la shoah (car devenue perversement la seule religion imblasphèmable puisque occultant fréquemment d'autres génocides de l'Histoire, ou même la dénonciation par exemple de la mafia juive, des escrocs juifs ou des juifs ayant participé à la shoah) souvent traitée à la télévision et dans l'éducation nationale pour y soumettre constamment le peuple dans une repentance permanente (alors que la France a accueilli lors des années 1920-1940 des centaines de milliers de juifs et qu'il y a eu 1400 morts juifs morts en Israël de 2000 à 2023 contre 15 juifs morts en France pendant 75 ans depuis la Création d'Israël, c'est à dire que le système pousse donc chacun et donc le peuple à ne pas s'aimer soi-même mais les élites sionistes, mondialistes et financières, de même le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Kaddour Benghabrit, par exemple, a aidé des centaines de Juifs en les déguisant en Musulmans pour échapper à la déportation durant la 2ème Guerre Mondiale ; autre exemple, en Algérie, durant la colonisation française, les Algériens, contrairement aux colons, ont catégoriquement refusé de s’emparer des biens juifs confisqués par le régime de Vichy, les imams algériens ont rejeté cette offre de spoliation contraire à l’Islam, on parle ici des vrais Juifs sémites, et non des sionisés ou des convertis au judaïsme ou des «conversos», non sémites, devenus sionistes), par des condamnations de fortes amendes ou de prison éprouvant et limitant honteusement la liberté d'expression des dissidents, par une fermeture aux grands médias publics et grands réseaux sociaux privés, ou/et par des lois contre les « fake news » se rapprochant inévitablement de celles de la dictature que les politiciens, les juristes et les journalistes pointent de moins en moins du doigt), pousse à la haine (contre la majorité) toutes les minorités (puisque comme elle) derrière elle (pour être favorisée) dans une forme de dictature : féministes et Lgbtistes (contre famille traditionnelle), jeunes (contre adultes ou vieilles générations), homosexuels (contre hétérosexuels), immigrés (contre nationaux), noirs (contre blancs), juifs (contre musulmans), musulmans (contre chrétiens), ruraux (contre citadins), gilets jaunes (contre policiers), chômeurs (contre travailleurs), public (contre privé), les pro-système (contre les anti-système), et maintenant les pro-vaccins (contre les anti-vaccins), etc, afin donc de diviser jusqu'à la violence horizontale généralisée pour que les lobbys et l'hyper classe financière corrompus de la société conservent le pouvoir et augmente leurs privilèges, même si cela conduit pays au chaos (par la dévalorisation et donc l'humiliation du français moyen) ! (Le pervers système mondialiste, ploutocratique et sioniste cherche donc à tout séparer dans une super guerre civile froide, car un individu solitaire est plus fragile et donc plus facilement contrôlable. Tout conflit horizontal de basse intensité correspond au plus grand bonheur des dominants.) Conformément au principe même de la démocratie, il est grand temps que le pouvoir revienne à la majorité (contre cette ingénierie sociale malfaisante de domination mondialiste, ploutocratique et sioniste par la division), aux 99 % de goïms, de gentils, méprisés et manipulés qui constituent ce pays. Ici ni peuple élu ni terre promise. Égalité et réconciliation ! » (Il est également intéressant de lire ses livres « Comprendre l'empire » et « Comprendre l'époque ».)
Cette division voulue par le système pervers actuel synonyme d'une vaste compétition victimaire a même atteint la séparation entre les diverses catégories Lgbt, entre végétariens végétaliens et vegans, entre gauchistes, entre droitards. Cette division est parvenue à un tel degré qu'il n'y a plus deux personnes qui se parlent sans qu'elles soient rapidement divisée. L’antisémitisme actuel, ce n’est que ça : la volonté de maintenir les communautés séparées, si possible par un mur de haine, ou alors un mur tout court. Mais on ne peut pas vivre éternellement sur la haine, cela finit toujours mal, c’est le Christ qui le dit. Afin de garder le pouvoir, le système compte même encore plus perversement sur la fracture vaccinés/non vaccinés pour que les premiers fassent pression sur les seconds, histoire de transformer les vaccinés en policiers de la pensée, et de la santé.
Les rapports individuels sont atteints et ce donc jusque dans le couple et la famille. Toutes les relations gratuites doivent être brisées sous prétexte de libération de l’individu qui est censé être tout, mais qui n’est vraiment rien sans les autres, à commencer rien sans les parents ou les tuteurs.
A cause de l'inquisition ou plutôt de la gestapo sioniste, mondialiste et ploutocratique, petit à petit on dissout groupes politiques et relations sociales, on ferme associations et sites internet, on clôt salles de spectacle et conférences, on réprime les gilets jaunes et les leaders dissidents, on interdit de penser, de réfléchir et des livres, on oblige les vaccins, on prive le droit à la vie, on ruine agriculture et paysans, on taxe ou impose les retraités, les petits patron, et les familles, on paupérise le peuple, on détruit ou enlève les croix et les églises, on transforme ou révise la langue française et l'histoire de France, on empoisonne comme Mosanto, Syngenta et la malbouffe, on assujettit parents et enfants, etc... Comment cela se nomme, si ce n'est pas « dictature (sioniste, mondialiste et ploutocratique) » ?
Or Ynet cite le rapport de Kaufman : « (De plus en plus) Les juifs sont identifiés aux puissants oppresseurs blancs, tout comme l’État d’Israël (oppressant les palestiniens par des politiciens blancs ashkénazes). » Ynet se demande : « Puis-je être blanc, juif, libéral et démocrate ? » Kaufman répond : « Bien sûr que vous pouvez l’être, mais certains de vos droits sont "plutôt révoqués". Vous pouvez être un allié dans les luttes sociales, mais vous ne pouvez pas être au centre de la question. » Ce que Kaufman nous dit ici, c’est que vous pouvez être un « juif » et un « gauchiste », mais que votre rôle d’opposition contrôlée pourrait avoir pris fin. Ynet souligne qu’« il est important de se rappeler que les juifs ont progressé dans la société américaine par le biais de l’establishment, et que c’est une part importante de l’influence des juifs sur les États-Unis ; or le mouvement progressiste est très anti-establishment. Par conséquent, la conclusion est clairement que les juifs font partie des blancs oppresseurs. Bien sûr, le tableau réel est plus complexe, mais cette division binaire met les juifs dans certaines cases. » Dans ce sens la répression ne cesse de s’étendre et de s’aggraver et les événements actuels au Proche-Orient sont l’occasion et le prétexte pour un lobby communautaire de resserrer encore l’étau. Il est ainsi sérieusement question de pénaliser l’antisionisme pour empêcher toute critique de l’entité sioniste. Les délits d’opinion sont désormais légion : pénalisation du révisionnisme, du nationalisme, de la défense de la morale naturelle et de la famille traditionnelle. On ne peut plus rien dire, on ne peut même plus penser une situation, l’analyser objectivement, froidement, posément. On est dans le slogan, dans l’hystérie, dans la diabolisation ou la négation de l’autre. Or l'interdiction législative de l’antisionisme même sous prétexte d'antisémitisme ne fera jamais disparaître les idées antisionistes. Ce n’est pas en faisant des lois contre des idées que les idées changent, bien au contraire, c’est toujours le bon sens qui l’emporte. Surtout que selon les juifs orthodoxes israéliens, Israël est certainement devenu un pays où l’antisémitisme est en hausse, car les sionistes brutalisent fréquemment et sans pitié les juifs. Encore selon eux, le sionisme est aujourd’hui une nouvelle forme d’antisémitisme, c'est à dire que si vous êtes un juif opposé au sionisme et à Israël en Israël, vous risquez d’être battu chaque jour, harcelé par les sionistes et constamment perquisitionné et insulté par la police. D'autant plus que la perversion sioniste mondialiste apparaît de plus en plus nettement, car pour leur agenda messianique erroné devant dominer les nations, chassant les palestiniens de leurs terres et pouvant passer par une troisième guerre mondiale entre chrétiens et musulmans, ou entre sunnites et chiites (car les guerres sectaires intra-musulmanes sont particulièrement recherchées par l'empire américano-sionsiste pour le contrôle du Moyen-Orient et l'établissement du grand Israël, d'ailleurs quand un pays entièrement uni en particulier au niveau du pouvoir et peuple n'est pas sous influence de l'empire americano-wahabo-sioniste, ce dernier y préfère le chaos comme le prouvent la Libye, la Syrie et le Yémen), ou entre Occident (ou Europe) et Russie(-Chine), les sionistes n'hésitent pas à honteusement supporter des groupes qu'ils considèrent pourtant comme leurs pires ennemis tels les nazis en Ukraine ou les islamistes en Syrie.
« L’invasion de l’Ukraine par la Russie et la guerre qui s’en est suivie occupent le devant de la scène internationale, reléguant en coulisse la quasi-totalité du monde non européen. Un observateur naïf pourrait se réjouir, au vu de la vigueur des réactions occidentales à cette agression, que progresse le droit international, et donc le respect de la souveraineté dans ce qu’elle a d’inattaquable, à savoir l’intégrité territoriale qu’est censée protéger la Charte des Nations unies.
La Cour pénale internationale (CPI) a d’ailleurs dépêché, avec une inhabituelle célérité, une équipe de 42 enquêteurs afin de collecter les éléments de preuves de crimes de guerre. Qu’il déplace quelque peu son regard vers le Moyen-Orient, et notre observateur sera vite déçu, voire choqué. Ce qui vaut, à juste titre réprobation, disgrâce et contre-attaques multiples dans le cas de la Russie n’attire, au mieux, que molles protestations de forme dans le cas d’Israël. Ici, l’invasion, la dépossession et l’annexion ne conduisent pas à des sanctions. L’occupation militaire, la colonisation de territoires occupés, et le crime de guerre au quotidien et au ralenti, n’ont fait l’objet que de timides démarches de la part de la CPI. Ici, les mots qui fâchent sont évités par les gouvernements occidentaux au profit de formulations usées jusqu’à en devenir anachroniques : face aux exactions de l’armée israélienne et des colons qu’elle protège, on fait mine de s’inquiéter de la mise en danger d’un « processus de paix » mort et enterré depuis plus de vingt ans, et on ânonne son souhait d’une « solution à deux États » qui est une invocation rituelle desséchée, puis l’on passe à autre chose. » (Rony Brauman, Le Monde)
« Dans la modernité, en raison de la notion de progrès, nous avons tendance à écarter de nombreuses idées du passé, estimant qu’elles sont dépassées pour notre époque. Ainsi, nous considérons que les écrits et les avertissements du passé ne sont plus valables dans le présent ou ne conservent plus qu’une leçon anecdotique. Pour la stratégie, en revanche, le passé est une source pédagogique inépuisable. L’œil militaire avisé y trouve des vérités utiles pour l’art de la guerre ou l'art de la politique. (Or il ne faut pas regarder le présent avec les yeux du passé, mais le passé avec les yeux du présent, sauf bien sûr si l’on veut se condamner soi-même, comme beaucoup d’autres, à vivre un éternel retour. Car le futur ne se devine pas de façon linéaire, mais sur un mode cyclique, et dans une quasi non-superposition des situations du passé au présent.) L’histoire n’est donc pas une chose morte, mais une réalité en mouvement qui se répète de différentes manières. Bien démêler le présent du passé peut mener à la victoire (même au niveau politique en regardant donc ce qui a réussi dans la dignité). Dans ces termes, il existe de nombreux écrits exemplaires qui traversent le terrain commun de la pensée stratégique. Nous pouvons citer les plus célèbres, comme « Vom Kriege » de Clausewitz ou « L’art de la guerre » du Chinois Sun Tzu. Mais les citations et réflexions favorites de l’académie militaire se trouvent dans « Le Prince de Niccolò » de Machiavel écrit au 16ème siècle. L’une des premières leçons que Machiavel nous a enseignées dans son livre est la suivante : « Toujours, même si vous avez une très forte armée, vous avez besoin de la faveur des habitants lorsque vous entrez dans une région. » Le roi Louis XII de France, mentionne Machiavel, a envahi Milan et a été rapidement expulsé parce qu’il n’avait pas gagné la faveur des habitants. Ils ont été trompés par le nouveau prince, qui n’a pas répondu à leurs attentes et les a déçus. Ainsi il ne suffit pas de conquérir un territoire et de s’attirer les faveurs de la population. Il faut aussi faire participer ce peuple à la vie politique. En outre, Machiavel mentionne que si le peuple n’était pas habitué à la liberté et était maltraité, il est facile de retourner le peuple contre son ancien régime si on lui accorde la liberté et si on le respecte dans ses coutumes. Machiavel fait également l’éloge des capitaines romains, car ils étaient des maîtres de la prudence et de l’anticipation. Grâce à ces compétences, ils ont anticipé les événements et les ont traités avant qu’ils ne deviennent irrémédiables. Le temps, dit-il en plus, « apporte le bon et le mauvais » ; c’est pourquoi il n’est pas conseillé de l’attendre les bras croisés. D’un point de vue militaire, Machiavel précise que : « les armées mercenaires ne sont bonnes qu’en temps de paix et que les armées auxiliaires sont toujours nuisibles : car si l’on perd, on est rejeté, et si l’on gagne, on est prisonnier. » Face à ce genre de situation un chef et une nation doivent toujours avoir mettre en avant leur force militaire et leur affirmation de supériorité morale. De plus, une vertu machiavélienne est d’être un grand dissimulateur pour faire douter les ennemis extérieurs comme intérieurs. Dans ce sens Poutine a toujours été entouré d’intrigues, de tsarisme, de positions contradictoires, tendant souvent à favoriser les diktats de la puissance mondiale libérale à laquelle il est maintenant censé s’opposer. En fin de compte, l’important est d’être aimé dans son propre État, et c’est le cas selon les sondages. La Russie dénote une grande force et une grande tranquillité chez elle grâce à la mentalité de son peuple et à la sécurité de ses dirigeants. Le gouvernement, quant à lui, gère les tensions par la force ou la politique. Nous ne devons pas négliger le halo religieux qui imprègne l’ensemble de la nation. La Russie prétend dépoussiérer ses prouesses historiques contre le nazisme et ressuscite un mort qui est loin d’être analogue. En plus de se défendre contre les intentions conquérantes de l’OTAN, elle lutte contre un nazisme ukrainien bizarre, qui est soutenu par le pouvoir libéral et par un président juif. Ainsi, et avec le mysticisme chrétien orthodoxe russe, Poutine impose un messianisme qui répond à une norme machiavélienne consistant à toujours opérer ou feindre une religiosité exemplaire. L’écriture de Machiavel est un travail d’ingénierie politique, mais elle possède également des principes ontologiques. Il s’agit d’un traité sur l’harmonie des forces, celles que tout prince doit opérer de telle sorte que, en plus d’être un roi, il soit aussi un souverain. Et comme le pouvoir est en mouvement, même si vous le possédez, vous pouvez toujours le perdre. Poutine a entamé une grande bataille, composée de batailles plus petites mais tout aussi importantes. Seul l’avenir nous dira si la prévoyance et la prudence de ce président font l’objet d’un scénario prémédité, ou si au contraire au fur et à mesure qu’émergeront des pressions et d’autres agents désireux de s’emparer du pouvoir, il pourra continuer à maintenir l’impassibilité qui est la vertu de tout grand seigneur et gagner sans avoir (beaucoup) à combattre comme le conseil Sun Tzu. » (Extraits de l'article « Poutine, un leader machiavélien » à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/28/poutine-un-leader-machiavelien/)
« Ce 24 juillet 2022, la guerre en Ukraine est entrée dans son sixième mois. Désormais guerre par procuration, non déclarée, entre l'Otan et la Russie, elle est devenue une guerre globale par son impact sur l’économie mondiale, sur les marchés de l'énergie et de l'alimentaire notamment. Le sort de centaines de millions d êtres humains en est directement impacté : sans conteste, il s'agit de la plus grave crise mondiale depuis 1945, car annonciatrice d'une nouvelle ère infiniment plus périlleuse dans les rapports de force sur la planète. En à peine six mois de guerre, les rapports de force qui autrefois étaient latents ont émergé, la tectonique géopolitique mondiale a bougé, les grandes nations ont dû choisir un camp (ou une prudente neutralité), de nouvelles alliances ont surgi, le monde se restructure autour du conflit en Ukraine qui a tout changé. L’Amérique a voulu exercer son leadership sur le monde, comme avant, à coups de dollars et de bombardements, mais nous ne sommes plus le 26 décembre 1991, date de la dislocation de l’URSS. Trente ans après, la Russie a restauré sa puissance, la Chine est devenue surpuissante, et ces nouveaux grands ont naturellement de grandes ambitions (pourtant multipolaires), qui contrecarrent les plans de domination et de dislocation du monde des néoconservateurs, cette faction qui tient le pouvoir profond américain, qui a eu entre autres la peau de Trump en 2020. Cela sonne la fin de l'inintelligence occidentale au niveau économique : endettement massif, désindustrialisation, immigration à outrance, ploutocratique wokisme mondialiste. Au début de la guerre, la propagande occidentale, à l’image de celle qu’on a subie lors du conflit entre la Serbie et l’OTAN (1998-1999) et lors du covid, ne souffrait aucune contestation dans nos médias. Le médiatique était aligné sur le politique. Aujourd’hui, des voix se font entendre, qui ne sont pas celles des prétendus « complotistes », signe d’une résistance nouvelle au cœur d’une France prisonnière de l’OTAN. Des généraux, d’anciens ministres (Védrine), des journalistes affûtés en géopolitique, ont prévenu que le soutien à Zelensky et à son régime pourri présentait à terme un risque. Maintenant, on parle de coupures d’électricité en hiver, de pénuries de nourriture, de récession brutale, pour ne parler que de la France. L’Allemagne, qui a besoin du marché chinois et du gaz russe pour entretenir sa puissance économique de premier exportateur mondial, est au bord du précipice, faisant même dire à des politiciens antirusses que le risque est devenu trop grand. Le sacrifice pour l’OTAN, et donc l’Oncle Sam, est total pour le couple franco-allemand. La balance bénéfice-risque penche complètement du côté du risque, avec zéro bénéfice à la clé. Français et Allemands sont piégés par le contrat léonin signé (par des dirigeants corrompus) avec l’OTAN, qui les enchaîne à la politique extérieure de l’Amérique, qui elle ne prend aucun risque. Le conflit aura au moins révélé que la France et l’Allemagne, ainsi que l’Union européenne, si elles veulent survivre, devront se désarrimer de l’OTAN et de la politique mortifère de l’Amérique. Chez nous, la politique suicidaire d’un Macron provoque des montées de lucidité et de courage politique. Mélenchon a ainsi carrément soutenu la politique taïwanaise de la Chine. Macron, qui était l’homme de la Banque, est désormais aussi celui des Américains. À l’image de Zelensky qui détruit son pays en le vendant aux forces mondialistes, Macron détruit sciemment le sien. » (Rédaction ER)
Or en occident, l’ingénierie sociale est la méthode par laquelle on pénètre un système (mental ou social) sans effraction, sans violence mais par abus de confiance, pour en prendre le contrôle furtivement ; on fait donc s’ouvrir le système librement en endormant sa méfiance, c'est le moment de l’hameçonnage, pour ensuite l’infiltrer sans résistance et le détruire de l’intérieur en amplifiant ses contradictions internes latentes pour le fragmenter, c'est le moment du sournois conflit triangulé (Bourreau, victime, sauveur), permettant à un des trois angles de manipuler les deux autres pour les dominer voire en plus les exploiter. Le triangle rappelle son utilisation par le Diable à travers les pyramides païennes égyptiennes et la pyramide franc-maçonne. Ainsi le système montre toujours les effets comme l'islamisme ou la délinquance (contre lesquels l'administration devrait payer des abonnements sportifs aux jeunes défavorisés), mais pas les causes d'origine politique ou occultes comme les décisions gouvernementales ayant validé l'immigration de masse favorisant en plus l'hyper classe par la main d’œuvre par chère du marché noir, sur l'ordre de sociétés secrètes.
C'est à dire que contre l'intérêt général, certains lobbies correspondant souvent au sommet de la pyramide sociale cherchent à occuper les populations fréquemment dans des oppositions pendant qu'ils les volent ou les dépossèdent de leur droits ou devoirs, sans donc qu'ils ne s'en rendent compte. Par la manipulation, l’ingénierie sociale peut aussi correspondre à étendre une idéologie à forcer un projet, ou à exploiter perversement les projections psycho-émotionnelles donc de la trilogie bourreau/victime/sauveur décrit dans l'article suivant concernant l'utilisation perverse du coronavirus « Entretien avec Lucien Cerise : "Face au biopouvoir, nous n’avons pas le capital économique. Mais nous avons le capital humain" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Lucien-Cerise-Face-au-biopouvoir-nous-n-avons-pas-le-capital-economique-Mais-nous-59323.html
Lucien Cerise y explique qu'à l’instar de la fable des Animaux malades de la peste du covid, les consommateurs sevrés par cette crise sanitaire orchestrée sentaient qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe témoin des non vaccinés, complément indispensable à une stratégie ou une ingénierie sociale de triangulation, fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie, il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux.
Dans ces passages d'un autre de ses articles, Lucien Cerise précise la manipulation des mondialistes ploutocratiques et sionistes :
« Leur méthode : l’ « ingénierie sociale » définie comme « la modification furtive et planifiée du comportement humain ».
Leur but : fabriquer le consentement à la « démolition contrôlée des structures (étatiques, nationales, locales, familiales, conjugale) préexistantes ».
Une idéologie « one world », basée sur le wokisme et le métissage obligatoire, avance sous le couvert d’un bric-à-brac moralisateur pour « citoyen du monde ».
Lors du covid (bourreau), le système ment aux victimes (le peuple) sur ses intentions (de sauveur), car il veut en réalité une société de surveillance totalitaire informatique et numérique.
Article « Tous «pucés» ? » de Jacques henry du Réseau International :
« Le beau-père japonais de mon fils a subi une petite intervention chirurgicale pour la pose d’un régulateur cardiaque qui est communément appelé un pace-maker. Il souffrait d’arythmie et ce symptôme angoissant s’auto-amplifie en raison de l’appréhension que l’arythmie provoque : constater que le cœur cesse de fonctionner durant cinq secondes. Je n’arrive pas à évaluer comment je réagirais si j’étais confronté à une telle situation. Ce régulateur cardiaque est un système très petit dont on recharge la batterie avec un petit dispositif externe comme les «smart-watches» que l’on pose sur le même type d’équipement. Ce dispositif de régulation cardiaque se connecte en Wi-Fi ou Bluetooth, je ne sais pas trop au routeur de la maison et il envoie alors des données à un central spécialisé qui les fait suivre au cardiologue traitant. Ainsi il est possible pour ce dernier d’évaluer le temps horaire ou quotidien de prise en charge du cœur par le régulateur. Le cœur du beau-père de mon fils est donc connecté ! Mon fils et son épouse ont chacun autour du poignet une montre électronique également «connectée». Elle permet d’effectuer toutes sortes d’opérations que je ne saurais décrire ici à l’exception des données enregistrées dans le but de surveiller l’état de santé. Par exemple combien de temps une personne montant à l’étage de son logement renseigne sur son état de fatigue, quelle est la longueur de ses pas quand il marche et son assiette est également enregistrée, ce qui indique un éventuel déséquilibre pathologique du squelette. Bien d’autres points de surveillance de la santé du corps sont programmés dans ce type de montre comme le rythme cardiaque et la fréquence de la respiration qui sont utiles pour se faire une idée exacte de la qualité du sommeil. Enfin un malaise vagal est détectable. À Singapour toute la population est sous surveillance médicale constante. Enfin je ne voudrais pas dire de bêtises mais j’ai constaté que ce type de montre peut recevoir un appel téléphonique et des messages, connaître la température extérieure, la vitesse et la direction du vent, bref une multitude de services utiles et moins utiles. Beaucoup de personnes de par le monde sont donc déjà «connectées» et la tendance ira en s’amplifiant dans la mesure où la collecte et le traitement de toutes les données pourront contribuer à la surveillance de l’état de santé de chaque individu. Mais il y a tout de même un gros problème dans la mise en place de ce contrôle : tout est déjà géré par des entreprises américaines dans les pays dits occidentaux, depuis la gestion des adresses IP et le traitement des données par les gigantesques ordinateurs des… GAFAM+. Le projet d’introduction d’une carte d’identité globale numérique en Europe incluant l’OMS pour les données de santé comme indiqué ci-dessus mais également pour les mouvements financiers effectués sur les compte de dépôts bancaires, le paiement des impôts, le montant des salaires et des honoraires, les dépenses de carburant ou de nourriture de luxe incompatible avec les mesures de protection du climat et bien d’autres aspects de la vie quotidienne strictement privés aujourd’hui mais à terme gérés par des entreprises privées dont par exemple Google ou Amazon qui connaissent déjà tout de nous, que nous ayons une «smart-watch» ou pas, tout ceci aboutira inévitablement à une perte de liberté. L’exemple de la Chine avec ses 1,5 milliards de citoyens serait-il adaptable à un petit pays comme la Hongrie ? La réponse est évidemment négative. Afin de protéger les libertés individuelles des citoyens, chaque gouvernement de chaque pays occidental devrait utiliser en premier lieu son propre système de «surveillance» pour s’affranchir de la domination américaine. (Il faut noter que malgré une perte de liberté, sauf si des contrôles citoyens peuvent empêcher ceux qui nous surveillent d'aller en dehors des statistiques, d'une ordonnance juridique et des urgences, la numérisation intelligente de la société liée à la Blockchain est source de justice et de sécurité supérieures.) »
          Infusée à haute dose par un groupe d’organisations internationales, de think tanks, d’ONG et de médias sous contrôle, cette moraline politiquement correcte conduit la multitude au vide émasculé de la vie moderne, et ses contradicteurs à la mort sociale. Les seuls types humains adaptés à ce néant post-humain selon Cerise sont « le dépressif et la frivole ».
Tous les autres dissidents de la « Planète stupide » devront être reprogrammés ou éliminés. Dans ce sens, des spins doctors sous contrôle oligarchique se relaient à notre chevet pour nous persuader que le doute raisonnable, l’esprit critique (sans parler de la colère) sont hautement suspects, et que les sentiments qui les accompagnent (typiquement la haine et la défiance) doivent impérativement être neutralisés. Il ne suffit pas qu’un état de crise permanente nous soit imposé, il faut encore que ceux qui en souffrent se sentent coupables.
Les stratagèmes incapacitants qui « inversent la place du bourreau et de la victime » ont en outre une fonction précise : le pirate doit neutraliser le fonctionnement normal (hiérarchisé et stéréotypé) du cerveau avant de pouvoir y implanter des représentations pathologiques et dysfonctionnelles. »
Il est possible de lire l'article complet à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-temps-de-Cerise-62339.html
Lucien Cerise précise qu'en réalité ses analyses ne sont que la description de choses banales. Cet analyste explique que le lien social peut être représenté par des schémas et qu'il est clairement basé sur la confiance, la méfiance et l'indifférence, et sur l'existence donc de possible bourreau (les malveillants), sauveur et victime qu'une l'ingénierie sociale, une stratégie perverse, peut transformer lorsque le bourreau (actuellement gouvernements soumis à des réseaux de pouvoir et des lobbys devenus des mafias) usurpe le sauveur (par l'oppression du confinement, du vaccin ou/et du grand reset) ou la victime, afin de manipuler ou asservir une population sans qu'elles s'en rende compte.
Si le Covid instrumentalisé par les oligarchies perverses a attaqué en priorité les pays développés et émergents, c'est avant tout pour soumettre leurs économies et supprimer la liberté de commerce, et probablement voire d'abord pour ménager les oppressifs grands groupes financier privés dénoncés par les gilets jaunes et la réalité de l'hyper classe pédocriminelle révélait l'affaire Jeffrey Epstein impliquant Bill Gates.
« 1997, c’est aussi l’année où l’affaire Dutroux explose, révélant à toute l’Europe l’étendue et la puissance des réseaux pédophiles. Les parents comprennent que leurs enfants peuvent être enlevés, violés, vendus, torturés et abandonnés sans que la justice et la police n’interviennent, sinon fassent semblant d’intervenir. C’est un choc immense. Le grand public prend conscience de la pédocriminalité oligarchique, puisque dans le cas français et le cas belge, à chaque fois, la police patine et la justice bloque. Les enquêtes connaissent toutes un plafond de verre. De même toutes les enquêtes sur les grandes affaires de crimes en série en France ont été des fiascos inimaginables. Et on peut imaginer que ça continue, puisque des pédophiles de haut vol, connus comme le loup blanc, sont toujours en poste. On dirait même que la pédoligarchie est une spécialité nationale. C’est probablement dû au fait que, chez nous, les pouvoirs ne sont pas séparés : à part les bisbilles entre une police de droite et une justice de gauche, tout le monde est d’accord pour ne pas toucher aux ordures haut placées. Il y a donc collusion entre le politique, le juridique et le policier. Quant aux médias mainstream, n’en parlons pas : ils arrivent toujours après la bataille. C’est donc la grande coalition politique-justice-police-médias qui tue, plus sûrement que quelques salopards. En France, il n’y a qu’un pouvoir, et il ne défend pas les innocents. Il les exploite. » (ER)
Les quatre principales raisons de la durée du Covid, liées au fait que mêmes les oligarchies perverses savent que le système va s'effondrer, semblent avoir été par ordre d’importance et de priorité :
.Prétendu grand reset qui probablement sera seulement partiel afin d’endormir les peuples pour continuer de les appauvrir par cette mesure sournoise préservant le système d'usure internationale. Il s'agit d'imposer par un chemin inverse à l'affrontement, un totalitarisme consenti dont à cause de la crise du Covid, l'inflation, la crise énergétique, l'engagement climatique, la guerre en Ukraine et la guette en Palestine, c'est à dire en partant du libéralisme plutôt que du communisme.
.Fin de l’argent papier.
.Finir de subordonner la plupart des pays aux grosses sociétés pour que ces entreprises gouvernent presque entièrement le monde.
.Enrichir l'industrie pharmaceutique avec les vaccins, voire contrôler le peuple par des passeports sanitaires, puis par un passeport écologique puis une identité numérique.
« La « vaccination » est exigée comme une marque de confiance, sinon d’allégeance au régime en place. Dans les manifestations contre le « pass sanitaire », les cris de « Liberté ! » se font entendre. Cela se comprend et se justifie. Pour autant, le problème n’est pas tant celui du sacrifice d’une « liberté » abstraite et individuelle (celui-ci se justifierait sous d’autres régimes et sous d’autres cieux), mais bien plutôt qui le demande et pour quel objectif. Macron ne fait qu’accélérer les tendances destructrices de la nation déjà en cours et vient offrir aux destructeurs plus de moyens coercitifs. La décision du Conseil constitutionnel du jeudi 5 août 2021 validant la loi sur le « pass sanitaire » vient parachever un coup d’État fomenté en France de longue date. Pourtant, ne nous y trompons pas. Ce n’est ni l’« État » et encore moins l’« État français » qui est actuellement en guerre contre le peuple de France. Au contraire, on assiste à la faveur de cette crise du covid à une soumission totale de l’appareil d’État au profit d’un effacement complet (et définitif ?) de ce dernier. Le piège se referme sur le peuple français, désormais aux mains d’une oligarchie bancaire, financière, pharmaceutique, qui fait régner son pouvoir par la terreur policière, médiatique et judiciaire, et dont « Macron » est le nom en France mais qui peut s’écrire « Biden » aux États-Unis ou « Trudeau » au Canada. Crise politique, économique et sociale avant d’être sanitaire, le nombre de décès hier, puis le nombre de cas infectés, enfin celui des vaccinés aujourd’hui, sont devenus pour des raisons et dans des conditions qui restent à éclaircir (mais qui pour le moment ne changent rien à l’affaire), le nouvel étalon-mesure de la compétition géopolitique entre les blocs. Comme la course aux armements était celui de la Guerre froide. En l’état actuel du Nouvel Ordre mondial, une nation d’importance n’a d’autre choix que de se soumettre à cette nouvelle échelle des valeurs géopolitiques, sous peine de disparaître de la scène internationale et de subir opprobre, sanctions, embargo, voire à terme destruction. » (René Perriot)
D'ailleurs la crise du coronavirus orchestrée presque mondialement est très probablement une épreuve de la fin des temps pour imposer l'identification numérique à l'humanité après en avoir rendu une grande partie inculte et incroyante, et donc pour la faire obéir massivement dont afin d'obliger les gens réveillés à suivre l'organisation de la majorité endormie. Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui ne veulent pas se faire vacciner car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute.
Comme le prouvent la concentration des pouvoirs pendant l'état d'urgence et le pouvoir donné au préfet dont à l'aide d'une stratégie d'hystérisation du peuple le faisant souvent agir contre ses propres intérêts et contre sa propre santé physique et mentale, cette affaire de dictature liée au covid-19 restera donc dans l’histoire comme la plus vaste opération de contrôle social jamais orchestré par les perverses oligarchies politiques, médiatiques, bancaires, mondialistes et sionistes via le terrorisme sanitaire également instrument mystérieux de pilotage des nations. En effet, cela correspond à avoir créé un problème pour le résoudre par une solution compatible avec le nouvel ordre mondial. Cette organisation autour du covid a même presque été telle une nouvelle religion avec ses interdits (couvre feu), son clergé (comités médicaux soumis au pouvoir), ses rites (masques et gel hydroalcoolique). Cette crise sanitaire plus le vol de l'élection présidentielle américaine par Biden et sont parti démocrate dont à cause du grand nombre des votes par correspondance lié à cette crise covid ont révélé la fin de la superstition démocratique.
Poutine a dit le mardi 16 janvier 2024 : « Aux États-Unis, les élections précédentes ont été falsifiées grâce au vote par correspondance... Ils ont acheté des bulletins de vote pour 10 dollars, les ont remplis et les ont balancés dans les boîtes aux lettres sans aucune surveillance des observateurs, et voilà. »
La décision de la première institution juridique qu'est le Conseil Constitutionnel, cette espèce de Cour suprême à la française massivement infiltrée par les mondialistes, de valider le pass sanitaire, prouve tout cela et n’est donc pas surprenant. Au départ, elle devait être « une arme contre la déviation du régime parlementaire », celui de la IVe République, selon les propres mots de Michel Debré, le premier ministre du général de Gaulle. Soixante ans plus tard, le régime parlementaire a disparu, il ne reste que le régime présidentiel, et le Conseil Constitutionnel n’est donc même pas une arme contre ce dernier. C’est pour cette raison que nous sommes en dictature : il n’y a plus de frein institutionnel au délire présidentiel, l’homme des puissances occultes, c’est-à-dire de la Banque, des réseaux maçonniques et de la clique mondialiste qui rassemble les tordus du réseau Epstein, le Big Pharma, le Big Tech et les fonds de pension. Toute cette armada, avec sa puissance financière incommensurable et son organisation des crises subprimes, covid, inflationniste, énergétique, ukrainienne et banlieusarde, a lancé une attaque atomique sur la France, affaiblie depuis 20 ou 40 ans (selon qu’on est droite ou de gauche) par l’attalisme qui en ronge les institutions.
Cependant si l'entre-aide et la fédération dans des groupes populaires apparaissent pour lutter contre ces crises, cela donnera une force incroyable à ces gens et les rendra finalement plus vivant qu'avant le confinement telle une bonne thérapie. Il n’est nullement besoin de tomber dans un quelconque « complotisme » pour comprendre que l'oligarchie perverse veut imposer une stérilisation et une centralisation de tout et donc la diminution des interactions sociales afin de dominer le monde. L’observation des faits, leur accumulation et la mise en perspective du sens véritable que visent ces actions impose à tout cerveau éveillé cette terrible conclusion. Surtout que l'OMS servant de plus en plus des intérêts particuliers a amené le mondialisme à fermer les frontières à des pays récalcitrants au plan de vaccination du Covid en particulier ceux refusant aussi des mesures de l'OMC servant aussi de plus en plus des intérêts particuliers. Or selon Laurent Michelon, la Chine a amélioré l'OMC par ses propres mécanismes internes pour ne plus pénaliser les pays en voie de développement, à tel point que les USA pensent à sortir de l'OMC.
L’OMS n’est pas un organisme médical mais de santé. Là réside toute la nuance : elle n’a pas autorité à prendre des décisions sanitaires sinon faire des recommandations. Elle est par conséquent et inéluctablement à la merci des pressions politiques. L’OMS, en tant qu’énorme machine administrative, se caractérise par une inertie, un morcellement du travail et des méandres administratifs qui ne font que ralentir son objectif premier. L’OMS est l’organe des Nations unies qui a le plus de procédures en cours au Tribunal administratif de l’Organisation internationale du travail (ILOAT). Bien entendu, il y a en plus des dysfonctionnements et des situations beaucoup plus graves qui relèvent de comportements déplacés, d’abus de position de force, etc, et qui viennent s’ajouter au versant administratif de ce mauvais fonctionnement.
On comprend alors la finalité de la crise sanitaire affaiblissant les économies nationales au profit des ultra riches : il s’agit de tuer le capitalisme, le libéralisme, le libre marché, désigné ici sous le terme de néolibéralisme. Ce programme socialiste se rapproche autant du « socialisme de marché » à la chinoise que du « capitalisme de connivence » que nous connaissons malheureusement en Occident. L’objectif, c’est l’étatisation de la société soumises au grands groupes privés, décrite comme allant de soi, et le confinement semble être une image de notre avenir. Ce qui est proposé dans ces pages n’est rien d’autre qu’un processus de violence révolutionnaire destructeur de nos libertés fondamentales. Pour synthétiser : Great Reset = Covid + réchauffement climatique + crise énergétique + guerre en Ukraine = destruction du capitalisme et de nos libertés. On comprend donc pourquoi les gouvernements (en tout cas les plus étatistes) s’acharnent à détruire l’économie par des confinements stricts, longs et répétés : cela ne relève pas de leur incompétence comme le croient les naïfs, ça fait partie du plan antéchristique, c’est le Great Reset mis en œuvre, la destruction de la petite et moyenne entreprise, l’explosion de la précarité, la mise sous dépendance (de l’État) de millions de personnes, et la restriction des libertés comme on ne l’avait jamais vu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en somme un bond incroyable de l’étatisme soumis au privé dans tous les domaines. Et avec le Covid, le pli étant pris, ça continuera avec la lutte contre la prétendue urgence du réchauffement climatique encore plus tyranniquement mondialiste. Dans l’éternel combat entre la liberté et la tyrannie, cette dernière marque incontestablement des points. Ceci sous l'excuse donc de « nous n’avons pas le choix », comme dans toutes les idéologies totalitaires. Cette « pandémie » a donc été un outil de façonnage des nouvelles mentalités et une orientation vers des Etats qui feront juste le lien entre super riches et le reste du peuple.
A cause d'un mondialisme à outrance qui a détruit les économies, une démondialisation se met ainsi finalement en place, mais seulement pour le peuple et la classe moyenne, et toujours sans les nations, pour que l'oligarchie mondialiste reste des deux côtés de l'économie comme d'habitude pour gérer les crises (récessions) et les croissances. Or cette fois dont à travers le covid, cette oligarchie mondialiste cherche à arrêter la démocratisation de l'économie (dont elle a profité) et donc du low-coast liés au tourisme de masse prolétaire et de la moyenne bourgeoisie, car ce système leur rapporte de moins en moins d'argent, mais aussi car avec l'automatisation et le numérique, elle n'a plus besoin de la masse prolétaire pour faire tourner l'économie et cela pourrait même aller jusqu'à un génocide massif progressif dont à cause des futurs effets secondaires des vaccins déjà importants. Ainsi les seuls qui profiteront du monde ouvert d'avant seront cette oligarchie mondialiste. Surtout que cette crise du Covid associée à la crise énergétique pourrait durer longtemps, d'autant plus que même en devant lutter contre, on pourrait ne rien y faire selon le plan divin, c'est à dire s'il s'agit de laisser un plan diabolique se réaliser momentanément à des fins morales, de changement de paradigme bénéfique à l'humanité, ou/et de réveil spirituel massif. En effet le système ne peut plus nous vendre la mondialisation heureuse ou la respectabilité des élites médiatiques, politiques ou économiques par preuve des crises sanitaires, guerrières et énergétiques. Les masques tombent et la tyrannie se voit de plus en plus clairement comme lors des persécutions contre des médecins et dissidents, car dans tout plan ou affrontement, la radicalité apparaît dans les temps derniers que sont également la fin des temps selon les prophéties monothéistes. Surtout que rares sont désormais ceux, la lassitude aidant, qui se permettront encore une réflexion désobligeante devant un nez dénudé hors du masque sanitaire, même s'il persiste les attitudes inacceptables de personnes qui se transforment en petits tyrans ou grotesques chefaillons, puisque cette division populaire entre pro-masques et anti-masques a effacé gravement l'empathie et évité la lutte des classes, à tel point que pendant les confinements, 70 % des appels téléphoniques à la police ont été des délations de personnes ne respectant pas les consignes de sécurité sanitaire.
« Il y a aussi ceux qui considèrent leur existence comme tellement dénuée d’intérêt ou d’excitation qu’ils ont tendance à vivre par procuration à travers les calamités et les conflits. Pour eux, l’épidémie de Covid et les confinements ont donné un sens à leur vie. Oui, c’est triste et pathétique, mais c’est ainsi que beaucoup de gens font face à l’obscurité et au manque de mérite. Ces opportunistes ne voulaient pas que la pandémie prenne fin. Ils voulaient qu’elle dure toujours, parce que si c’était le cas, ils pourraient se nourrir du changement de pouvoir de l’establishment. Ils pouvaient ramasser les restes de la table des globalistes et, comme une charogne, se régaler du cadavre de notre République. Le motif ? La vanité égoïste, c’est tout. Tout cela pourrait très bien se reproduire. Les grands tyrans et les petits tyrans sont toujours là, attendant la prochaine crise, le prochain événement de panique pour prendre le public au dépourvu. Un autre événement viral est peu probable, mais ils semblent impatients d’utiliser le changement climatique, la guerre et les troubles économiques comme le prochain grand bouton de « réinitialisation ». En fin de compte, il faudra changer radicalement la façon dont les partisans de la liberté interagissent avec les libéraux autoritaires. Il est clair que nous ne pouvons pas partager le même pays, ni la même civilisation. Nos valeurs sont fondamentalement opposées. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’une simple étincelle ne déclenche une tempête de feu. D'ailleurs la gauche politique utilise les malades mentaux comme une matraque, un outil facilement manipulable pour semer le chaos. Pendant les confinements et les restrictions, l’establishment et les médias ont attisé les feux de la paranoïa. Ils n’ont aucun pouvoir à eux seuls ; ils ont besoin de la foule déchainée comme arme pour maintenir le reste du pays dans la peur et la discipline. Ils avaient besoin d’une bonne petite Stasi, toujours en train de surveiller, toujours en train de corriger, toujours en train de crier après ceux qui ne portaient pas de masque, d’attaquer ceux qui refusaient de se faire vacciner et de se moquer de ceux qui dénonçaient les incohérences scientifiques. En retour, l’establishment donnait aux malades mentaux l’impression d’être normaux. Pendant un moment fugace, les personnes les plus instables et les plus narcissiques de la planète ont eu l’impression d’être du bon côté de l’histoire et de la rationalité. Il s’agissait d’une boucle de rétroaction parasitaire qui a failli détruire les derniers vestiges de l’Amérique. Il y a généralement deux sortes de personnes dans le monde : celles qui veulent avoir le pouvoir sur les autres et celles qui veulent simplement qu’on les laisse tranquilles. L’idéologie progressiste semble être un terreau fertile pour les « petits tyrans » : des personnes qui n’ont aucun pouvoir individuel, peu de réalisations et aucune influence à proprement parler, mais qui sont tout de même obsédées par la micro-gestion du monde qui les entoure. Ces personnes considèrent les crises et les excès des gouvernements comme une opportunité plutôt que comme une menace. » (Brandon Smith)
Il apparaît donc que cette crise du covid pourrait aussi avoir cherché à détruire la morale traditionnelle (chrétiennement humaniste, dont donc en effaçant le côté compatissant des gens et en montant les gens les uns contre les autres) et à construire une tyrannie ultra numérisée et robotisée, pour faire du maximum de la population des esclaves lobotomisés par leur consentement paresseux, c’est à dire, esclaves jusque dans leurs esprits et leurs cœurs, dont à travers le télétravail faisant économiser des loyers de bureaux aux multinationales, voire les faisant transformer lucrativement en appartements à louer, et donc en centralisant encore plus l'économie au profit des très riches. D'ailleurs la crise du covid a en plus servi à préparer le peuple à l'inflation du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine favorisant encore plus le télétravail et centralisant encore plus l'économie, car les PME/PMI ne pourront tenir financièrement par rapport aux multinationales des super riches. D'autant plus que les ultra riches sont plus préservés des problèmes de l'inflation par rapport à la classe moyenne et qu'ils payent souvent peu voire pas d'impôts par rapport à eux.
De plus après avoir détruit le Réel (économique, en particulier la classe moyenne) par des capitaux virtuels usuriers, les oligarchies corrompues réinvestissent dans le Réel avec des capitaux virtuels. En effet par l’hypercontrainte voire l’hyperviolence, elles ont une volonté délibérée de nuire pour accaparer un maximum de ressources. C'est pourquoi un des buts des crises sanitaire, inflationniste, énergétique et ukrainienne, est de ruiner l’UE au profit des USA.
La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante : « Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre. » La définition légale d’une conspiration est la suivante : « Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. » Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’une conspiration (dans les juridictions de droit commun) ou d’une entreprise criminelle commune (ECC) en vertu du droit international.
Ainsi il est clair que la gestion politique du COVID-19 est un arnaque qui a été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés. Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres. En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même. Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions. Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage. Et il ne fait donc aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés.
Dans les juridictions de droit commun, l’innocence est présumée, mais les preuves qu’un préjudice a été délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par la plupart des gouvernements du monde, ont clairement trouvé leur origine dans les groupes de réflexion mondialistes et les institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie peu dangereuse. Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que malgré leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre les preuves librement disponibles suggérant que la dangerosité du COVID-19 est très exagérée. Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.
« Seule certitude, les Français ont compris que le futur sera chaotique. Les inconséquences de la prétendue « stratégie » de vaccination en sont le prélude amer. Gestion sanitaire sournoise, décroissance économique, chômage en mode panique, finances de l’État et des entreprises sur le fil du rasoir, restructurations de secteurs entiers : autant de pierres d’achoppement qui mettront face à face un exécutif au bout du rouleau et une opinion publique à cran. » (Le Figaro)
On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée et une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée), contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma, le Big Tech et la sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement. Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique. On glisse vers une situation à la britannique, où le culte du profit, la destruction du public au profit du privé sont rois. En France, le basculement dans le totalitarisme néolibéral va tuer, c’est évident, des gens qui ne devraient pas mourir. C’est sous nos yeux, sous Macron 1er. Quand on pense aux 10 000 soignants que Véran a mis dehors car ils ne veulent pas du satané vaccin, et histoire de redresser les comptes de l’hôpital public, sous couvert de pandémie, on se dit que le cynisme est un crime. Il ne fait pas bon être fragile dans la France de Macron et ses sbires. Notre système de santé a été détruit sciemment par les politiciens corrompus qui ont ouvert la porte à tous les diables du privé. Quand on vote pour ces gens-là, on le paye très cher, dans sa chair.
Or avec une relative pénurie alimentaire ou un affaiblissement de l'approvisionnement des matières premières voire une grosse crise économique, le système peut éviter d'avoir à donner des contre-ordres concernant la tyrannie sanitaire pour continuer d’apeurer le peuple, de faire disparaître les PME (l'artisanat) au profit l'industrie et ainsi de la centralisation économique, et donc de contrôler de plus en plus toutes les ressources, toutes les technologiques et tous les services, surtout que cela va empirer à cause des actes occidentaux ayant poussé la Russie à entrer en guerre contre l'Ukraine. Un retour en partie au monde d'avant pour l'élection présidentielle a cependant été possible afin de faire réélire le fils de la banque. Mais qu'en partie car une fois qu'un gouvernement a ordonné que des enfants de 6 ans portent traumatiquement des masques pendant 8 heures à l'école, c'est que le pire est dans un sens atteint et qu'il n'est pas prêt de s'arrêter.
Sous prétexte de lutte contre la pandémie, nous sommes en train d’assister aux premières étapes d’une ère dirigée par les multinationales. En effet dans le silence le plus complet, la réunion du G7 au niveau des chefs d’Etat s’est tenue par visioconférence. Prétextant la nécessité d’une coalition plus forte des différents États du monde pour faire face au Covid-19 et au nom, bien sûr, de la démocratie, le G7 s’est mis d’accord sur deux points : le G7 annonce participer au programme COVAX de l’organisation GAVI ; il affirme sa ligne mondialiste avec des mesures économiques et politiques qui dépassent le cadre des Etats. Le programme COVAX, qui sera directement présidé par le GAVI (Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation), vise à favoriser et accélérer la vaccination dans le monde. Les Etats du G7, en acceptant d’y participer, lèguent leur pouvoir au GAVI pour produire et homologuer les vaccins. Cela permet à une entité privée supranationale de prendre des décisions sur la base d’un accord préalable des Etats. Le programme COVAX s’inscrit encore plus mondialement dans un partenariat plus large appelé ACT-A, puisque accepté par le G20 en avril 2020. Il es possible de lire à ce sujet l'article « Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial » à l'adresse https://strategika.fr/2021/11/06/comment-le-g20-instaure-progressivement-un-nouvel-ordre-politique-mondial/
Mis en place par l’OMS, l’ACT-A est une initiative mondiale pour lutter contre les maladies et met en lien les Etats avec l’OMS, le CEPI, le GAVI, et la fondation Bill et Melinda Gates. Etant donné que Bill Gates finance très largement les trois organisations précitées, en réalité c’est un partenariat entre les Etats et Bill Gates.
Les responsables politiques disent qu'ils ont fait ce qu’ils pouvaient face à la crise du Coronavirus : ils ont juste endetté la France sur 400 ans, détruit notre système immunitaire, traumatisé à vie nos enfants, écrasé l’économie, détruit nos droits fondamentaux, volé un an et demi de notre vie, annulé des RTT pour les soignants, supprimé des lits d’hôpitaux et fait fermer un service d’urgence en pleine pandémie. Surtout que même si le rôle de l’État est de protéger le citoyen contre un danger extérieur, les non-vaccinés ne représentent un danger que pour eux-mêmes.
Les sept étapes du passage de la pandémie au totalitarisme privé peuvent être résumée ainsi : L’état d’urgence immédiat ; une intense propagande ; l’imposition des tests sans réglementation ; le maintien des mesures restrictive ; l'arrivée des passeports immunitaires ; une impulsion concertée de l’OMS, de Bill Gates, de ses collaborateurs et des entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques des gouvernements et des universités ; l'orientation vers la privatisation de la santé et du contrôle des populations.
« Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le pass sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner. On peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un pass sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre leurs mouvements avec cette mesure sans précédent. Tout porte à croire que les décrets qui se succèdent, comme s’ils émanaient d’une seule personne (que pourrait être le cabinet Kinsey), doivent s’inscrire dans un processus de transformation des institutions et des paradigmes de gouvernance des sociétés dans lesquelles nous nous trouvons. Une transformation d’autant plus insidieuse que, comme cela s’était produit avec le fascisme, elle se déroule sans changement dans le texte de la Constitution, subrepticement. Le modèle ainsi érodé et annulé est celui des démocraties parlementaires avec leurs droits, leurs garanties constitutionnelles. Et à leur place apparaît un paradigme de gouvernement dans lequel, au nom de la biosécurité et du contrôle, les libertés individuelles sont vouées à subir des limitations croissantes. La concentration exclusive de l’attention sur les infections et la santé, en effet, semble nous empêcher de percevoir quel est le sens de cette grande transformation qui s’opère dans la sphère politique. Et cela nous empêche de réaliser que, comme les gouvernements eux-mêmes ne se lassent pas de nous le rappeler, la sécurité et l’urgence ne sont pas des phénomènes transitoires, mais constituent la nouvelle forme de gouvernementalité. Dans cette perspective, il est plus urgent que jamais que les parlementaires considèrent la transformation politique en cours avec une extrême attention, qu’ils ne se concentrent pas uniquement sur la santé. … La transformation politique en cours est à terme vouée à vider le Parlement de ses pouvoirs, en le réduisant comme il se passe actuellement, à simplement approuver au nom de la biosécurité, des décrets qui émanent d’organisations et de personnes qui ont bien peu à voir avec le Parlement. » (Gorgio Agamben)
La plupart des dirigeants même Poutine se sont soumis aux mesures liberticides du covid d'abord car c'était un possible grand danger, mais aussi car cela pourra leur resservir pour calmer leur peuple si nécessaire, comme pourraient servir les bons de rationnement par rapport à des pénuries tel un contrôle de toutes les ressources. Or M.Poutine a probablement autorisé momentanément les confinements et un pass sanitaire plus pour gérer la pandémie et la panique occidentales afin d'apaiser son opinion publique, surtout qu'il a refusé de forcer les gens à se faire vacciner car la nature du virus était obscure.
Par ailleurs « Outre l’aspect mercantile des tests RT-PCR et autres, pudiquement baptisés antigéniques, ces outils sont liés à la collecte de matériel génétique et non à un quelconque diagnostic, voire en plus à un recensement déguisé. En termes plus bruts, la pandémie a été une occasion rêvée pour la collecte forcée et massive de matériel génétiques à des populations (identité génétique de chacun) non consentantes en temps normal, mais trompées sur l’usage et la destination de cette collecte. Cela explique en partie pourquoi le président Emmanuel Macron et son proche entourage ont refusé de se soumettre à un test RT-PCR ou à un test antigénique lors de son déplacement en Fédération de Russie. Ils ne sont pas les seuls. Ils savent que ces « tests » sont des moyens de collecte d’ADN à des fins non médicales. Les manipulations sur le génome humain ne sont plus un secret. L’usage sécuritaire et policier des échantillons ADN est par contre connu même si celui-ci donne lieu à des controverses. Demeurent des questions d’ordre logistique : Comment collecter des photographies faciales de milliards de personnes sans mettre en œuvre une logistique colossale ? Traquer le déplacement de ces milliards de personnes et pouvoir scanner l’empreinte digitale et l’iris de chaque individu ? Mieux son ADN ? On dispose aujourd’hui d’éléments de réponse à ces questions. L'imposition aux fabricants de smartphones d'interdire les batteries amovibles, puis par effet de tendance les impositions d'inclure des senseurs de plus en plus précis, des lecteurs généralistes d’empreinte et des technologies de reconnaissance faciale, se sont avérées autant de mesures insuffisantes. Il fallait un fermage massif et autofinancé de matériel génétique humain. C’est ce qui s'est fait depuis 2020 avec l’émergence de véritables fermiers généraux de l’ADN humain de plus de sept milliards d’individus sur un total de près de huit milliards d’habitants. Donc l'humanité s'est fait trompée par le biais de la fabrique de la peur à travers une ingénierie sociale classique, qui s'est poursuivie par la contrainte de soumettre les gens à une collecte consentie de leur matériel génétique sous un prétexte fallacieux de pseudo diagnostic. Or on ne sait toujours pas à ce jour l’usage réel qui pourra être fait de tout ce matériel génétique collecté sur l'humanité. » (Article Strategika.fr)
Le pass vaccinal n’est qu’un essai du crédit à la chinoise qui s’en vient : la disparition de la monnaie liquide, la mutualisation des informations personnelles économiques et de santé au sein d’une carte électronique ou même d’une application, le flicage intégral des déplacements, la reconnaissance faciale, les chantages à l’assurance au regard de votre santé ou de votre façon de vivre, etc.
D'ailleurs le chaos du soir de la finale de la ligue des champions 2022 en France a possiblement été organisé afin de justifier un accroissement de la surveillance des citoyens à travers la mise en place progressive la reconnaissance faciale. En France, on est habitués au laisser-aller calculé, afin de tenir en respect la population respectueuse des lois... C’est le principe des kapos qui font régner la violence dans les camps (nazis ou soviétiques) : en entretenant une insécurité de basse intensité, la racaille du bas sert les dessins de la racaille du haut.
La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires » (qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr), les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg causées par la vaccination obligatoire. Même l’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès, en particulier concernant les atteintes au corps.
Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid 19 » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible, ce qui annonce de possibles événements plus graves pour passer à un stade supérieur, comme le prouvent la crise des subprimes, le covid 20, l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine. Sinon avec l’augmentation de l’immunité dans la population et avec Omicron, il y aura beaucoup d’immunité naturelle en plus de la vaccination, et nous avancerons rapidement vers un scénario qui sera plus proche de l’endémicité et donc de la perte de contrôle par le système. Surtout qu'avec des rappels tous les quatre mois, il y aura potentiellement des problèmes de réponse immunitaire, et qu'avec l’administration continue de doses de rappels, cela entraîne évidemment la lassitude de la population. Nous en sommes donc au point où nous pouvons dire de façon acceptable que nous pouvons désormais vivre avec le virus, et où le système va effectivement continuer d'avancer son agenda par d'autres grands événements.
« Or pour le système, vivre avec le virus endémique ne signifie pas de diminuer fortement les mesures liberticides et contraignantes. Un Article du Guardian explique que vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection, que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais que rien ne changera en ce qui concerne les masques ou les (soi-disant) vaccins et que tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements. Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir. Mais pourquoi assouplissent-ils le discours ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse par des révolutions populaires. Peut être ont ils aussi le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario... Or on peut suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement : des chocs environnementaux et économiques qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques, à des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage, à un chaos inflationniste, à la mise hors service ou au remplacement d’Internet, à des problèmes avec la Russie, voire à une cyber-attaque mondiale, et donc à tout ce qui pourrait accélérer leur grand reset… » (Extraits de l'article « Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale » à l'adresse
https://strategika.fr/2022/01/14/ce-que-signifie-vraiment-vivre-avec-le-covid-et-la-prochaine-etape-dans-le-plan-de-la-gouvernance-mondiale/)

L'idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale ou toute oppression comme la russophobie fonctionnent comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes de la shoah et du Sida.
Or il suffirait d’arrêter de se faire tester pour que la pyramide de Fauci s’effondre, et que les oukases des gouvernements ne puissent plus se fonder sur des pseudos statistiques affolantes. C’est l’affolement qui crée le test, le test qui crée la répression, et la répression qui crée l’affolement. C'est une machine infernale, un cercle vicieux, une boucle cybernétique folle, mais qui peut donc être arrêtée facilement si les gens ne se font plus testés.
« En décembre 2021, l'OMS s’est réuni en toute urgence pour adopter le Traité pandémique, dont l’intérêt est de sortir la gouvernance des limites posées par les textes en vigueur, qui ne sont pourtant pas si contraignantes que cela, comme l’expérience le montre. Plusieurs éléments apparaissent. Il s’agit notamment de renforcer le travail sur les données génétiques, et de donner un fondement à la limitation globale des droits de l’homme, au transfert des compétences étatiques vers l’OMS, etc. L’intérêt de l’adoption d’un Traité, et non pas d’une modification du règlement sanitaire, est politique et juridique : la ratification au plus haut niveau va impliquer les décideurs politiques dans les pays, et juridiquement le Traité va entrer dans l’ordre juridique national. Ce Traité doit également être global, car il doit non seulement interagir avec les autres instruments juridiques internationaux déjà existants, mais il doit en simplifier les mécanismes et élargir leur champ d’action donc au niveau supranational. Surtout, il permet de se réapproprier la définition de la pandémie, qui va permettre de lancer ces mécanismes de gouvernance. Dans la négociation de ce Traité, les ONG et les entreprises, notamment pharmaceutiques, sont considérées, en plus des « partenaires » qualifiés de scientifiques qui font la comm covidienne, comme des sujets de premier choix. La question des conflits d’intérêt est abordée pour être immédiatement écartée, puisqu’ils détiennent des « informations » importantes... Même s’il va falloir du temps pour ratifier ce Traité, il est attendu qu’il provoque un effet politique de mobilisation dans les pays, et donc de facto, des effets avant même son entrée formelle en vigueur. Ces mécanismes s’appuient évidemment sur le principe de loyauté internationale, ce qui effectivement fonctionne très bien au niveau des élites dirigeantes, quel que soit le pays. Si la forme et la question du financement sont très développées dans le projet publié, la question du contenu est touchée de manière assez floue, car c’est bien le point le plus sensible. Si les formulations sont vagues, l’ONU donne le ton : il faut renforcer les pouvoirs de l’OMS sur les politiques nationales et sur les hommes. Sans oublier, évidemment, une hausse du financement. Dans cette nouvelle vision de la gouvernance globale, l’OMS doit être, je cite, « plus indépendante », la question étant de savoir de qui ?... Et il se trouve même des voix pour affirmer qu’un traité, c’est trop long, et qu'il faut aller encore plus vite dans le renoncement de la gouvernance nationale et du transfert des compétences. Évidemment, tel est le cas des Etats-Unis, puisque à la fin, ils sont les bénéficiaires politiques directs de ce mouvement. Ce qui en fait ressemble à une sorte de chantage : soit vous renoncer définitivement à ce qu’il vous reste de souveraineté et adoptez un traité en ce sens, soit, de toute manière, nous prendrons ces compétences. Et il n’y a aucune raison d’attendre la moindre résistance des élites gouvernantes de nombreuses nations en particulier occidentales.
La crise du coronavirus a donc permis d’accélérer le mouvement de globalisation qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques n'étaient plus adaptés à la nouvelle situation. C'est à dire que le défaut de base légale était de plus en plus flagrant car l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne pouvait entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Ainsi au son du « plus jamais ça ! », comme s’il s’agissait d’une guerre sainte, mais qui est en réalité diabolique car menée contre l'humanité, l’ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique désarmant les Etats et renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » de l’OMS. Il n’est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d’Etats souverains, mais d’une étrange « sécurité » totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination qu’il faut sauver d’elles-mêmes. Puisque tant qu’il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger et devra être, pour le mieux, contrôlé au niveau supranational... » (Karine Bechet-Golovko)
Aujourd’hui, il apparaît de plus en plus clairement que le peuple israélien avait été choisi (élu ?) pour servir les desseins covidémentiels de l’Oligarchie Mondiale. Et si Israël n’avait été créé que dans le but d’abriter une population qui servirait d’outil pour tous les projets hégémoniques de l’empire anglo-sioniste ? Israël s’est même enfoncé dans l’hystérisation covidémentielle.
« La "nouvelle normalité" est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire. Ce qu’ils appellent le Great Reset, c’est une rupture de civilisation. Cette « nouvelle normalité » qu’ils veulent nous imposer, et dont le Pass Sanitaire est la première étape, est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire issues de l’univers carcéral :
1) Il s’agit d’abord de généraliser le régime de la liberté conditionnelle : l’exercice de chacun de vos droits fondamentaux sera désormais conditionné par votre degré d’obéissance au système. Vos libertés les plus élémentaires seront donc modulées en fonction de votre conduite.
2) En pratique, il s’agit d’instaurer un système implicite de notation permettant de classer les citoyens selon leur degré d’obéissance et de conformité. Votre note détermine alors le nombre de libertés qui vous sont accordées, et qui pourront vous être retirées à tout moment.
3) Exemple : Les non-vaccinés sont notés 0 : libertés limitées au strict minimum. Les double-vaccinés sont notés 1 : privilèges temporaires, mais en sursis.
4) Les triple-vaccinés sont notés 2 : gain de quelques semaines de libertés supplémentaires, grâce à leur collaboration.
5) Évidemment, la responsabilité de nouvelles restrictions sera toujours attribuée aux citoyens les plus mal notés, afin d’horizontaliser la violence et le ressentiment grâce à la logique du bouc-émissaire.
6) La menace d’un reconfinement strict permet de relativiser ces restrictions. Ce processus de domestication sociale vise aussi à remplacer les formes traditionnelles de socialité par de nouveaux rapports exclusivement déterminés par l’attitude envers l’autorité.
7) Le but du Pass Sanitaire, du pass écologique du Grand Reset est de substituer aux solidarités naturelles, un régime de méfiance et de délation généralisée.
8) De telles méthodes d’ingénierie comportementale ont notamment été éprouvées dans les prisons de haute sécurité dites « Supermax » aux États-Unis, mais aussi en Chine dont le crédit social est déjà une réalité citée en exemple par nombre de responsables politiques occidentaux.
9) À terme, le Pass Sanitaire intégrera d’autres critères pour devenir une sorte de Multipass universel qui prendra en compte par exemple, votre empreinte carbone, vos attitudes politiques ou syndicales, vos habitudes de consommation, vos fréquentations, etc.
10) Ce régime de ségrégation systématique pourra être instauré par étapes, au gré des narrations de crises (dont énergétique, internet, alimentaire) déployées par les médias, et sera rendu possible par les nouvelles technologies de surveillance et de traçage : reconnaissance faciale, identité numérique, QR Code, etc.
11) Il n’y a rien de complotiste, c’est une dynamique générale déjà bien engagée. Par exemple, l’extension des ZFE (Zones à Faibles Émissions) et de la vignette Crit’Air préfigure déjà une forme de ségrégation écologique qui pourrait bientôt concerner l’ensemble du territoire.
12) Autre exemple : Google a décidé unilatéralement de booster le référencement des boutiques « LGBT Friendly » et « Black Owned » au détriment des autres.
13) Demain, les entreprises qui refuseront ces labels pourront être tout simplement déréférencées et condamnées à la mort économique. Voilà pourquoi la question du Pass Sanitaire est prioritaire. L’issue de ce combat déterminera le monde dans lequel nous vivrons demain.
14) Le choix est simple, et personne ne pourra s’y dérober : la liberté ou l’esclavage, la condition d’homme libre ou celle d’animal domestique. » (Vincent Vauclin)
Avec la tyrannie sanitaire, nous n'avons certains droits qu’après avoir été vaccinés. Nous passons donc d’un « État de droit » à un « État de devoir ». Le devoir de se soumettre pour avoir des droits, c’est le principe d’une dictature.
Un glissement voulu par le Système (et ses sbires) a donc eu lieu entre la sécurité sanitaire dont il se moque et la surveillance totalitaire qui est son objectif majeur dissimulé. Le covid n’est qu’un prétexte pour entrer dans cette nouvelle société qui disposera et dispose déjà d’outils de correction sociale, c’est-à-dire de soumission et de coercition. Partager notre vie entière avec un groupe privé, partenaire du gouvernement, c’est l’idée du « portefeuille d’identité numérique », sur les rails en Europe. Avec ce contrôle étouffant, la liberté disparaît. Or diverses techniques dont celle du QR code paraissent inévitables, surtout qu'une partie de la vie publique en particulier économique peut avoir une légitimité à être transparente, comme le prouve la zakat et les paiements par carte bancaire. Le plus gênant serait de se sentir toujours filmer bien qu’avec un smatphone nos déplacements sont toujours connus. Sinon il faut jeter les smartphones. Or ce système et ces informations devraient être gérés par l’Etat et l’utilisation de ces dernières devraient être sous le contrôle éthique d’organismes citoyens pour améliorer la vie et pour les transmettre à la justice si elles sont nécessaires.
Concernant l'analyse de la situation politique basée sur une tyrannie sanitaire et des réponses à y apporter, il est intéressant de voir l'entretien « Jean-Dominique Michel et Philippe Bobola : crise sanitaire, crise du monde moderne » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Jean-Dominique-Michel-et-Philippe-Bobola-crise-sanitaire-crise-du-monde-moderne-66217.html
Plus qu’une opération de recyclage, l’opération de sidération mondiale du Covid-19 est une extension de celle du SIDA et une accélération du processus d’exploitation oligarchique. Cela peut aussi être une politique de fuite en avant et de passage en force qui tient à l’urgence d’imposer à tout prix la société de contrôle et de surveillance généralisée à laquelle les mondialistes oligarchiques travaillent depuis plusieurs décennies : les passeports sanitaires, le traçage par smartphone et les puces à ADN n’étant que la poursuite des projets secrets des outils de l’État profond américain que sont Microsoft et IBM. C'est pourquoi ceux qui font le vaccin ou en tout cas ceux qui acceptent le passeport sanitaire sont comparables à ceux qui prenaient la carte de parti communiste sous Staline, car ils consentent à la mise en place d'une société totalitariste.
Certains spécialistes précisent que tant que la micro-puce reste dans la seringue, elle est inactive, mais dès son contact avec le liquide injectable, il se produit une activation radioélectrique de la puce. C'est à dire qu'au contact du graphène, la puce s’active électriquement et émet son signal Bluetooth dont par la 5G électromagnétique ou est capté par cette dernière à travers le système nerveux électrique, générant son code de marquage. L’élimination progressive du graphène, par certains mécanismes naturels méconnus du corps, nécessiterait une réinjection régulière de graphène.
« Le pouvoir s’est emparé de la santé. La santé publique, ça a toujours été au moins deux tiers de politique et un tiers de science – maintenant, c’est probablement moins que ça. Le pouvoir s’est emparé de la santé, et donc de ce qu’il faut dire pour la santé ; et donc c’est devenu le ministère de la Vérité. Ça, c’est un premier vrai problème, mais ce ministère de la Vérité, la compétence des gens de ce ministère de la Vérité est extrêmement limitée, parce que les bons ne font pas ça. » (Professeur Raoult)
« Nous avons assisté depuis des décennies à la Dépossession monétaire, agricole, minière, productive, industrielle, nationale, voire patrimoniale (en cours d’analyse grâce à un mixage indigeste de l’ultra capitalisme avec un ultra marxisme). Nous nous demandions à quoi pouvait bien servir toute cette captation de ressources. Puis nous avions trouvé que cela permettait le détournement des richesses et de la puissance des Etats à des intérêts privés. Nous avions appelé cet état de collectivisation des ressources au profit d’une caste, anonyme de plus est, un communisme privé, ou néo-soviétisme, etc. Plus nous poursuivons l’analyse, plus la captation de l’humain lui-même, et de son cerveau en particulier, semble faire consensus dans les sphères les plus élevées de la gouvernance mondiale mixte (public-privé). C’est pourquoi nous avons constitué ce Dossier Apocalypse 4.0 qui a vocation à évoluer ces prochains temps. Pourquoi ce nom ? Si tout le monde peut comprendre la référence à la Bible, le 4.0 peut sembler plus mystérieux pour certains. Nous travaillons à démontrer, et surtout alerter, que les temps annoncés par la Bible se présenteront avec la révolution industrielle 4.0 de Klaus Schwab où l’humain doit vivre (fusionner ?) avec robots et algorithmes, idéalement sans trop sortir de chez lui. Le principe de famille disparaîtra avec la condition et l’identité humaines. Dans ce discours qui ne rencontre AUCUNE opposition politique, intellectuelle ou journalistique officielle, Klaus Schwab parle de la révolution industrielle de 4ème génération comme médiatrice d’une renaissance humaine facilitée. Schwab exprime les desiderata des vainqueurs du coup d’Etat planétaire. Aux jeunes loups des laboratoires et de l’industrie d’exécuter les projets sans qu’aucune contrainte bioéthique ne vienne troubler leur créativité, voire leur folie. Fondée en 2016, Musk et l’équipe Neuralink ont ​​fait, en novembre 2022,une présentation avec des mises à jour sur leur feuille de route pour connecter – et éventuellement fusionner – nos esprits avec des machines. Au vu des imposantes difficultés, Neuralink de Elon Musk s’est d’abord vu refuser l’autorisation de passer à la phase expérimentale sur l’humain, puis quelques jours de réflexion plus tard la FDA s’est ravisée, et ce malgré un grand nombre de morts chez les cobayes animaux… Problèmes évidents de surveillance massive. Or En partenariat avec le Rockefeller Neuroscience Institute (WVU RNI) de l’Université de Virginie-Occidentale, un leader mondial dans l’application de la recherche et de la technologie innovantes pour améliorer les soins cliniques, cette étude a été conçue pour enregistrer et cartographier l’activité cérébrale avec des détails sans précédent et signale une étape majeure vers la objectif de restaurer une fonction significative pour des millions de personnes souffrant de maladies et de troubles neurologiques. Le technologue et futuriste Ray Kurzweil prédit qu’au début des années 2030, nous parviendrons à mettre en réseau le néocortex humain avec le cloud via des connexions à haut débit. Les implications à court terme signifient que les personnes souffrant de troubles neurologiques tels que les lésions de la moelle épinière, l’épilepsie, la perte de vision et la perte auditive peuvent finalement restaurer les fonctions sensorielles et motrices. » (Extraits de l'article « Blackrock ou Rockfeller aux manettes de la fusion cerveau-cloud. A venir l’Internet des pensées. Apocalypse 4.0 » à l'adresse)
L’observation des réseaux à l’œuvre derrière les personnalités majeures des deux « opérations » dessine sous nos yeux une architecture cohérente et distincte : d’un côté le complexe-militaro industriel américain sous pilotage oligarchique, de l’autre un pouvoir clairement communautaire installé au sein de la superstructure française principalement articulée autour des réseaux de l’INSERM et de l’institut Pasteur et des réseaux politiques. Les ramifications de ce Nouvel Ordre mondial, à la fois mondialiste, oligarchique et sioniste, sont notamment interconnectées par le Mossad israélien, comme le prouve l’emblématique affaire pédophile Epstein. Surtout que certaines associations et personnalités juives défendant la mémoire de la Shoa parlent très étrangement de complotisme à propos de la pédophilie de réseau alors que ce système est aussi oppressif et meurtrier que le nazisme, de même qu'à propos des anti-vaccins alors que toute injection forcée a été interdite au tribunal de Nuremberg.
Rappelons encore une fois que les grands mécènes Bill Gates et Bill Clinton aux États-Unis, Pierre Bergé et Jack Lang (que Bernard Kouchner connaît bien) en France, sont mouillés jusqu’au cou dans cette tentaculaire affaire de chantage et de pédocriminalité. Et si le véritable remède aux « épidémies » du SIDA, du Covid-19 et de la pédocriminalité était d’ordre politique ? Après tout, le parasitisme oligarchique est un virus qui dépasse de loin le cadre de la science...