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C) Un récit de la Création (fin)


« La crise de 2008 devait sonner le glas de notre système monétaire fondé sur la dette avec intérêts. La crise dite des subprimes, soit l’effondrement du château de cartes des crédits immobiliers américains, a provoqué à son tour l’effondrement d’un château de cartes bien plus grand : celui de la finance internationale... La finance n’est rien d’autre que le business de la dette. Cette dernière est sa matière première : la finance émet de la dette, puis la fait circuler, la fait rouler (soit le fait d’emprunter pour rembourser la dette précédente), la restructure, la titrise, etc. Mais comment la finance a-t-elle pu devenir à ce point hégémonique si celle-ci ne repose que sur de la dette ? La dette est un fardeau social porté par les individus. Un fardeau puissant devenu presque un outil d’aliénation. Celui qui ne paye pas ses dettes devient coupable d’une faute, il est excommunié de la société. La finance quant à elle – « la main du dessus » dans les contrats de prêts – a le droit de vie ou de mort sociale, tout autant sur les individus que sur les États qui font défaut à leurs engagements en ne s’acquittant pas de leur dette. Si par moment la dette est une solution de dernier recours pour des ménages qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts, le plus souvent elle répond à l’impatience des consommateurs qui sont pressés d’assouvir leurs envies matérielles. Il est aisé de pointer du doigt le financier, mais il faut reconnaître que la finance répond à une demande des impatients : celle d’accélérer le temps, d’assouvir des envies aujourd’hui plutôt que demain ! Mais comme tout service rendu, cette accélération du temps offerte par le financier a un coût humain : celui de perdre une partie de sa liberté (car un ménage endetté est continuellement emprisonné par l’idée de rembourser sa dette), mais aussi celui de sacrifier son temps pour travailler davantage afin de payer les intérêts (contraint dans certains cas d’exercer un métier qui ne lui plaît pas forcément, mais qui permet d’assurer le remboursement des mensualités). Ainsi, la dette permet au financier de faire commerce du temps : il amène à aujourd’hui le fruit de votre travail futur, tout en prenant sa part lorsque vous aurez fini de lui payer la somme empruntée et que vous continuerez à lui payer les intérêts ! La dette est une arme puissante entre les mains des financiers qui pourrait expliquer à elle seule pourquoi la finance a pris le dessus sur notre économie et sur notre société dans son ensemble. Comme si le pouvoir d’endetter son monde ne suffisait pas, la finance a pris au cours du temps le contrôle sur un outil tout aussi puissant pour asseoir son pouvoir, à savoir la monnaie, en profitant de la confiance que les individus portent en cette dernière. Au cours des siècles, la plus grande ingéniosité de la finance a été de faire de la monnaie la coquille de la dette. En effet, de nos jours, l’immense majorité de la monnaie est créée par les banques commerciales lors de l’octroi d’un crédit à un ménage ou à une entreprise, ou lors de l’achat de l’émission d’une dette d’État ou de multinationale. Ce pouvoir de création monétaire est immense. Lorsqu’un individu, une entreprise, un État, demande à s’endetter, il confère à la banque le pouvoir de créer la monnaie correspondante, dans la mesure où les emprunteurs sont capables de rembourser. La banque n’a guère besoin de posséder les sommes prêtées, il lui suffit d’en disposer une infime partie de côté, au cas où les choses se passeraient mal et où quelques emprunteurs feraient défaut. Pour comprendre à quel point la dette a « colonisé » notre monnaie, il suffit de se dire qu’aux billets et aux pièces près, la monnaie disparaîtrait si tous les endettés remboursaient en même temps toutes leurs dettes. Sachant que de nos jours, la majorité (plus de 90 %) de la monnaie est constituée de lignes de compte sur des registres informatisés logés dans les serveurs des banques, et que les pièces et les billets ne représentent qu’une petite partie de la monnaie, on se rend compte à quel point la dette a pris en otage la monnaie. Or, la monnaie est aussi un liant social. C’est une convention sociale puissante qui renferme en elle la confiance de chaque agent économique. Nous sommes prêts à vendre notre travail contre de la monnaie, car nous avons confiance en elle ; nous savons que cette monnaie est une convention sociale, qui conserve (plus ou moins bien) son pouvoir d’achat quand elle est dépensée au moment opportun. La finance a donc réussi à marier sa matière première, la dette, avec une convention sociale qui renferme notre confiance, la monnaie. Comment voulez-vous qu’elle ne soit pas puissante ? Après la crise de 2008 et l’effondrement annoncé du système-dette, les banques centrales ont décidé d’agir dans l’urgence pour repousser à plus tard l’effondrement du château de cartes. En effet, pour éviter « l’effet domino » (une faillite en entraînant une autre), système inhérent à la finance, les banques centrales ont créé de la monnaie à partir de rien, en appuyant sur un clavier d’ordinateur, pour inonder les marchés financiers de nouvelles liquidités, et ce par un mécanisme complexe : l’achat de titres de dettes d’états et de multinationales sur le marché secondaire. Jouant auparavant le rôle d’arbitre au-dessus de la mêlée des marchés, les banques centrales sont devenues de « vulgaires acteurs financiers ». La monnaie centrale était créée, puis échangée contre des dettes. Ce qui revient dans l’Ancien Monde à transformer du plomb (les dettes d’États et de multinationales) en or (la monnaie centrale). Avec les taux négatifs très répandus jusqu’en 2021, les banques centrales donnaient paradoxalement plus de valeur au plomb qu’à l’or. Cela aurait dû sonner comme un « red flag » (drapeau rouge) sur les dérives des politiques monétaires des banques centrales occidentales. Ces dysfonctionnements monétaires, nommés officiellement « politiques monétaires non conventionnelles », ont été permis grâce à une expansion monétaire historique : les bilans des banques centrales entre 2008 et 2022 ont été multipliés par 7, avec une accélération soutenue de la création monétaire au moment de la crise sanitaire. Cette création monétaire des banques centrales, initiée après la crise des subprimes, a permis lors de son instauration de limiter les pertes des banques, puis de les éponger. Les bilans des banques commerciales ont agi comme un trou noir assoiffé de liquidités nouvelles, consommant toute la monnaie créée, laissant presque supposer que la monnaie était « magique ». Étant donné la facilité déconcertante avec laquelle les marchés financiers ont consommé la monnaie de banque centrale, sans provoquer d’inflation dans l’économie dite réelle, les banquiers centraux ont continué de verser les milliards sur les marchés financiers jusqu’à créer des bulles en tout genre sur les actifs financiers. Bien entendu, la première bulle financière a été créée sur le marché de la dette. Cette bulle obligataire confirme l’effet décrit par Cantillon (économiste irlandais du XVIIIe siècle) : la monnaie créée engendre d’abord une hausse des prix là où elle est injectée. Mais comme le stipule la théorie émise par Cantillon, « une injection de monnaie dans l’économie exerce un effet progressif et différencié sur les prix au fur et à mesure que la monnaie se propage par les échanges, à partir du point où elle a été injectée ». Les marchés actions et le marché de l’immobilier ont très rapidement suivi le pas des marchés obligataires. Jusqu’en 2020, la monnaie créée par les banques centrales a engendré une inflation des prix à la consommation très modeste, puisque jusque-là, cette même monnaie est restée enfermée dans la sphère financière, créant ainsi des bulles et des inégalités de richesse de plus en plus criantes. L’austérité budgétaire et la pression sur les salaires ont aussi permis de limiter l’inflation des prix à la consommation, et de « justifier » la politique de création monétaire des banques centrales. Tant que la montagne de monnaie n’était pas captée par les radars des indices qui calculent l’inflation du panier de la ménagère, les banques pouvaient s’en donner à cœur joie pour nourrir le monstre insatiable que représente la finance. On pourrait dire que tant que l’inflation enrichissait Wall Street (la finance et ses initiés) sans impacter Main Street (l’économie réelle), les banques centrales pouvaient continuer la création de monnaie « magique ». Le Covid, le grain de sable dans le système ? Tout se passait bien pour la finance et les banques centrales : des marchés financiers en lévitation malgré une croissance en berne et une inflation des prix à la consommation modérée. Mais un élément imprévu, le Covid-19, vint contester ce déroulement monétaire presque idyllique. Cette fois, le réel s’est mêlé au monde virtuel de la finance : l’économie s’est mise à l’arrêt, les chaînes de production et d’approvisionnements se sont rompues ; en même temps, les États accéléraient leur endettement pour garantir les emprunts des entreprises en difficulté et pour subventionner les ménages et les entreprises. Ralentissement économique couplé à une hausse vertigineuse de la création monétaire : c’est un vrai coup de ciseaux ! Jamais les spéculateurs n’ont eu entre leurs mains autant de liquidités pour jouer sur la hausse des matières premières et parier sur la hausse des cours, pariant sur une reprise économique soutenue post-confinements. Quant à ceux qui ont réellement une utilité à acheter les matières premières, jamais il n’a coûté si peu financièrement de « prendre de l’avance sur le temps » en constituant des stocks grâce à un endettement peu coûteux, voir gratuit jusqu’au début de l’année 2022. La montagne de liquidités monétaires disponible, à laquelle il faut ajouter les dysfonctionnements des chaînes de production et des chaînes d’approvisionnements, a provoqué une hausse des cours des matières premières quasi hystérique durant l’année 2021 (bien avant la guerre en Ukraine). Comme le résumait si finement l’homme politique et écrivain Jean Mistler : « Il y a inflation quand la monnaie devient plus encombrante que les denrées ». L’inflation finit par toucher les consommateurs Depuis l’automne 2021, l’inflation ne touche plus seulement les actifs purement financiers et immobiliers, ou les marchés des matières premières, mais aussi l’économie réelle. Nous sommes véritablement passés d’une « Wall-Street-Inflation » à une « Main-Street-Inflation ». Même si les causes de l’inflation ne trouvent pas uniquement leurs origines dans un phénomène monétaire, croire que la montagne de monnaie créée par les banques centrales allait rester hermétiquement dans le monde de la finance sans se frayer un chemin vers l’économie réelle est une pure illusion, que de nombreux économistes continuent de penser. Ne serait-ce que le financement de la dépense publique ou l’offre de liquidités offerte avec insistance aux spéculateurs sur les matières premières, la montagne de monnaie créée par les banques centrales a joué un rôle dans la hausse des prix à la production et à la consommation. Seuls des universitaires de salon peuvent continuer de le nier. Aucun trader n’ayant les mains dans le cambouis n’ose dire que l’inflation des prix des matières premières n’a pas été facilitée par les banques centrales. De même, seuls des keynésiens aveuglés par leur monde théorique peuvent penser qu’une accélération de la dépense publique ne génère pas d’inflation, même s’ils savent pertinemment que cette dépense publique n’a pas servi l’investissement stratégique source de richesse, mais a servi au sauvetage du monde financier et à subventionner une économie réelle à l’arrêt. Avec une inflation à deux chiffres dans certains pays de l’Union Européenne, ce sont les déposants qui se font spolier le fruit de leur travail passé. De même, avec des salaires qui n’augmentent pas au même rythme que l’inflation, ce sont les travailleurs qui se font sucrer une partie de leur pouvoir d’achat, ou ce qui revient au même, une partie de leur temps de travail. De plus en plus d’anciens gouverneurs de banques centrales font aujourd’hui le constat amer de la fuite en avant monétaire des banques centrales occidentales. Avant eux, la Directrice du Fonds Monétaire International, Kristalina Georgieva, a fustigé les politiques monétaires accommodantes de la dernière décennie, lors d’un débat avec Christine Lagarde (Présidente de la BCE) et Jérôme Powell (Président de la FED). Selon elle, « Nous prenons des décisions avec un objectif en tête (sauver l’économie), et nous réfléchissons rarement à ce qui pourrait arriver qui ne soit pas notre objectif (inflation) ». Lors de ce débat, la directrice du FMI expliquait l’inflation par « trop de monnaie en circulation pour pas assez de biens ». Elle comparait les dirigeants des grandes instances monétaires à « des enfants de 8 ans qui jouent au football et qui ne peuvent se concentrer que sur le ballon sans faire attention à quoi que ce soit d’autre ». Ces dirigeants sont pris par les urgences de l’instant présent, et n’ont que la création monétaire comme réponse à donner, sans réfléchir au long terme, et à la fuite sans issue du système-dette. De son côté, Jacques de Larosière, ancien directeur du Trésor et du FMI, et ancien gouverneur de la Banque de France, ne mâche pas ses mots : « En réalité, derrière cette poussée d’inflation et ces phénomènes d’offre sur les matières premières, il y a une création monétaire qui a été excessive, et qui s’est petit à petit propagée dans le corps économique et social. C’est cet excès de création monétaire qui finit par nous rattraper avec l’inflation. » L’ex-gouverneur de la Banque de France précise bien qu’il fustige « l’excès » de création monétaire, à savoir le surplus de création monétaire qui ne correspond à aucune création de valeur réelle, mais qui sert juste la finance, la spéculation, la dépense publique stérile (en termes de croissance économique). Il finit par résumer les effets pervers des politiques monétaires accommodantes : « L’inflation est néfaste, car cela tue l’économie, cela tue les revenus réels, cela appauvrit les populations, en particulier les moins riches, et donc c’est une taxe qui ne dit pas son nom, qui n’est pas votée par le Parlement, et qui finit par être régressive du point de vue social. » Quelques jours après, ce fut au tour de Lord Mervyn King, ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, de fustiger les politiques expansionnistes des banques centrales occidentales, dans une émission sur la chaîne britannique BBC. Il déclarait ainsi : « Toutes les banques centrales occidentales ont curieusement fait la même erreur. Pendant le Covid, alors que l’économie se contractait à cause du confinement, les banques centrales ont décidé que c’était le bon moment pour imprimer beaucoup de monnaie. C’était une erreur qui a conduit à l’inflation. Il y avait trop de monnaie pour trop peu de biens, et la conséquence a été l’inflation. C’était prévisible. C’était prédit. Et c’est arrivé. » L’inflation des prix à la consommation fait perdre du pouvoir d’achat aux ménages. Avec une monnaie qui perd de sa valeur, les citoyens perdent confiance en la monnaie. Elle n’est plus une réserve de valeur qui garde presque hermétiquement le fruit du travail passé. Or, nous avons vu que cette confiance est un des deux piliers de la finance et du système-dette. Les garants du pouvoir financier ne peuvent pas laisser filer cette confiance des citoyens dans la monnaie ! S’ils font cette erreur, ils savent pertinemment qu’ils laissent filer le levier qu’il leur confère un pouvoir presque infini sur les peuples et leurs gouvernants. Dans ce contexte, les banquiers centraux ont décidé – depuis le début de l’année 2022 – d’agir en urgence et de restaurer cette confiance en remontant agressivement les taux d’intérêt, et en réduisant drastiquement la création de nouvelle monnaie centrale. Cette hausse des taux, couplée à un ralentissement de la création monétaire (qui sert à racheter les dettes publiques et les dettes des multinationales) a pour objectif de rendre la monnaie « plus chère » et « plus rare ». Ainsi, s’il y a moins de monnaie en circulation, alors la demande sera plus faible, et la pression à la hausse sur les prix est censée ralentir dans un moindre degré. Un des objectifs annoncés du Président de la FED est ainsi de provoquer une récession « maîtrisée » en créant du chômage : « Nous pensons que pour faire baisser l’inflation, il faudra un ralentissement du marché du travail et une croissance sous le potentiel (…). Nous avons besoin d’une augmentation du chômage, d’un ralentissement du marché. » Créer du chômage peut sembler cynique comme décision pour le quidam, surtout si on sait combien les banques ont été accommodantes pour sauver les marchés financiers depuis 2008. Mais c’est ainsi que fonctionne la logique du système-dette. La morale n’y a pas sa place, le bien être des ménages n’est pas une variable prise en compte dans ce système. Dans l’esprit des banquiers centraux, il faut restaurer la confiance dans la monnaie, quoiqu’il en coûte. Rien ne semble les arrêter, pas même une récession économique qui est en réalité leur objectif annoncé. Mais une récession gentille nous disent-ils, « un atterrissage en douceur » de l’économie. Le cynisme est à son comble quand on sait que les banques centrales veulent créer une récession qui va surtout toucher les plus modestes, pour rectifier les excès de leurs politiques monétaires passées qui ont surtout permis aux plus riches de gonfler indécemment leurs patrimoines ! Depuis les annonces d’un resserrement monétaire, les marchés financiers ont commencé leur baisse. Leurs capitalisations se sont réduites de presque 20 % : un record historique. Il en résulte une situation inédite : une montagne de dette publique et privée. En prenant exemple sur la politique de Paul Volcker dans les années 1980 (ex-président de la FED qui fit le choix de remonter les taux d’intérêt à 18 % face à l’inflation), les gouverneurs de banques centrales actuelles savent-ils que l’endettement public et privé rapporté à la richesse créée annuellement a plus que doublé entre-temps ? Avec la remontée historique des taux initiée depuis février 2022 par les institutions monétaires, la charge de la dette pour les États, les entreprises, et les ménages risque de devenir insoutenable. Ainsi, en France, la charge de la dette pour 2023 dépassera les 60 milliards d’euros, soit autant que le budget de l’Éducation nationale. Aux États-Unis, la charge de la dette avoisine maintenant les 800 milliards de dollars, soit autant que le budget militaire du « gendarme du monde ». De toute évidence, les banques centrales seront face à un choix cornélien : laisser les faillites se produire et provoquer une purge financière qui sera suivie d’une récession économique sans précédent et d’un chaos social, ou essayer de gagner encore un peu de temps en baissant les taux et en rouvrant les vannes de la monnaie magique, quitte à provoquer toujours plus d’inflation et à tuer toute confiance résiduelle en la monnaie, ce qui signifiera la faillite de la monnaie-dette et des banques centrales. Les ménages en détresse et les dirigeants politiques préféreront probablement gagner du temps et mourir à petit feu, plutôt que d’accepter une récession économique qui est inscrite dans la logique même de la monnaie-dette (génératrice de cycles du fait du caractère exponentiel des intérêts). Mais ce sont les marchés qui risquent encore une fois d’obliger les banques centrales à intervenir grâce au fameux « too big to fail » (trop gros pour faire faillite). En effet, le système-dette est un système qui se nourrit de lui-même. Les dettes sont consenties en contrepartie d’une garantie, un collatéral : une maison, une action, un titre de dette. Plus le prix de ce collatéral augmente, et plus la capacité d’endettement est grande, et plus les prix des actifs augmentent. Si le prix de ce collatéral baisse comme c’est le cas en ce moment, en 2022, avec la baisse récente de 20 % des marchés financiers, les garanties ne sont plus suffisantes. Devant ce scénario, soit les emprunteurs apportent des liquidités, soit ils sont contraints de vendre leurs actifs financiers. Mais comme la monnaie se fait de plus en plus rare du fait des politiques monétaires des banques centrales, les agents financiers sont dans l’obligation de vendre leurs actifs, ce qui accélère encore plus la baisse des marchés, générant une sorte de spirale infernale. Si les marchés baissent violemment, c’est tout le système-dette qui risque de s’effondrer sur lui-même. Une situation explosive que les banquiers centraux devront gérer en intervenant, comme ce fut le cas à la suite de la crise de 2008. Si les banques centrales interviennent, la situation étant bien plus explosive qu’en 2008, la quantité de monnaie nécessaire pour sauver la finance risque d’être cette fois gigantesque. Lorsque cette montagne de monnaie finira par se frayer un chemin des marchés financiers vers l’économie réelle (ce n’est qu’une histoire de temps), et inévitablement dépasser la quantité nécessaire pour l’économie réelle, elle risque de provoquer une inflation d’une telle ampleur que plus personne n’aura confiance dans la monnaie-dette. Les banques centrales le savent, et depuis quelques années, elles s’activent en coulisses pour avoir un plan B. Ce plan est l’instauration d’une monnaie numérique de banque centrale... » (Article « « La finance n’est rien d’autre que le business de la dette » d'Anice Lajnef »)
Par rapport à Yahvé qui est une idole unique juive illégitime comme toute idole surtout qu'ayant remplacé Dieu, la domination des élites juives au niveau mondial peut même se faire en sacrifiant des juifs orthodoxes, modérés ou non sionistes, comme Hitler fut financé par des banquiers juifs amércains, ce qui permis la Shoah ayant entraîné la pseudo légitimité de recréer l’État d'Israël. En effet l’autorité de Yahvé et de ses élites représentatives, correspondant à une seule et même chose, a très souvent été fondée sur la violence et la terreur contre les juifs eux-mêmes. Les juifs qui défient leurs chefs, socialisent avec leurs voisins non-juifs, mangent avec eux, ou marient avec eux, et font donc preuve de respect envers leurs dieux, sont selon l’idéologie biblique des traîtres à Yahvé et à leur race, qui attirent sur leur communauté la colère de Yahvé et méritent d’être éliminés sans pitié. Leur extermination plaît à Yahvé et régénère le peuple. C’est peut-être là, au fond, la vraie raison pour laquelle les juifs d’Europe morts sous l’occupation nazie sont désignés comme un holocauste. En effet un holocauste désigne dans la traduction grecque de la Torah, le sacrifice propitiatoire d’animaux entièrement consumés, offert par les prêtres à Yahvé.
Pierre Hillard explique très bien ces stratagèmes. Ce sont des luttes générationnelles. Telle génération fera aboutir tel projet et ainsi de suite. Donc le projet messianique sioniste se déroule en secret sur des décennies et des siècles. De plus les élites sionistes connaissant parfois en avance les nouvelles technologies, cela peut avantager leur projet.
Or il est important de distinguer :
- Le sémite, descendant d’Abraham.
- Du juif descendant d’Isaac.
- Du juif mosaïque ou judaïque descendant spirituel de Moise, seul vrai juif.
- Du talmudiste descendant spirituel des Pharisiens et des sadducéens, juif dévoyé.
- Du sioniste juif (il existe un sionisme chrétien) descendant intellectuel de Birnbaum et Herzl qui se dit juif alors qu’il n’est qu’israélien.
La papauté et l'islam véritable ont toujours reconnu et protégé les trois premières catégories, et ont toujours condamné les deux dernières :
- la talmudisme car c’est une contrefaçon christicide du judaïsme
- et le sionisme car c’est la version laïcisée et impérialiste du talmudisme.
La dictature financière synonyme de totalitarisme bancaire, oligarchique et sioniste prenant le pouvoir progressivement partout amènera inévitablement par la dette asservissante synonyme d'esclavage moderne, au chaos, au réveil de la population et donc à un retour profond du social vers un changement d'idéologie politique que se disputera le peuple contre le pouvoir pervers, ou les pauvres et honnêtes gens contre les riches corrompus. Ainsi cette situation nécessite une victoire de plus en plus urgente du camp du Bien pour éviter une troisième guerre mondiale militaire ou une guerre civile généralisée qu'apportera inévitablement ce système d'usure international, de dérèglement économique et d’oppression commerciale dont des multinationales perverses. Or heureusement que c'est souvent le camp le moins pire qui triomphe, voire le meilleur en particulier dans la probable époque de fin des temps qu'est la nôtre. Dans ce sens pour espérer devenir un des probables très riches pieux provenant du peuple qui apparaîtront à la fin des temps afin de dépenser dans le bien commun plus que les très riches impies dans le mal privé, il faut évidemment d'abord se rapprocher beaucoup du caractère et de la moralité prophétiques synonyme de grand cœur clairvoyant. En effet comme à travers l'histoire de l'humanité suite à une corruption généralisée, Dieu attribuera à des membres du peuple affaibli et ayant donc valorisé la sagesse, la gestion politique dont afin que les élites perverses ne favorisent plus les ultra-riches. C'est à dire qu'à l'image des référendums d'initiative citoyenne en Suisse légitimés par le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, une gestion beaucoup plus juste et donc utile et donc populaire de centaines de milliards d'euros sera possible, surtout car cette richesse massive est souvent gaspillée ou servant des intérêts privés.  Or le système politique anglo-saxon dans lequel l'Europe et la France s'enfonce perversement empêche l'autodétermination des peuples par le pouvoir absolu économique très utilement caché sournoisement derrière une démocratie représentative.
Le monde se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité.
L’homme avide de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler, surtout quand il s’agit de contrôler l’évolution technologique, économique, sociale, démographique et génétique de notre espèce. Dans ce sens, l’opération Covid-19 semble clairement avoir été une ingénierie sociale. En effet on ne peut pas comprendre la crise du Covid-19 sans la contextualiser dans le temps long, sans la voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.
Valérie Bugault explique : « A travers divers traités, la réforme de l’entreprise au profit du privé et donc d'intérêts particuliers éloignés du bien commun s'amplifie afin de faire disparaître le modèle politique, économique et sociétal de la France et de l’Europe continentale. Il s'agit de le fusionner puis de le soumettre à l'arme de guerre de l'empire américano-sioniste qu'est le droit économique et financier anglo-saxon. (C'est à dire que le juste droit économique et commercial international a été remplacé par une réglementation financière favorisant les très riches mondialistes.) Ainsi, ce n’est plus seulement le droit civil français qui disparaît en tant que droit commun, mais aussi les particularités françaises et continentales du droit commercial, matérialisé en 1807 par le Code de Commerce napoléonien. Du droit et de la justice français en tant que recherche collective de la vérité, il ne doit plus rien subsister. Telle est la volonté de nos maîtres financiers anglo-saxons qui visent sans relâche à l’élaboration d’un gouvernement mondial ploutocratique. Que tous les prétendus « économistes » et « juristes » qui conservent une once de bon sens et l’idée de l’intérêt commun, gage de démocratie et de liberté, se dressent contre toute cette vilenie, ce complot contre les peuples et contre la liberté. Sinon la sanction de l’inertie sera la disparition non seulement d'un bon modèle économico-social, mais aussi et surtout de la civilisation elle-même. »
C'est à dire que le système pousse fortement à la mise au pas administrative, fiscale et juridique du droit social français en faveur du droit anglo-saxon et donc des oligarques.
A l’opposé, le droit civil français lié au droit continental était traditionnellement fondé sur des grands principes écrits, résultant du droit naturel. Ce droit, dont la synthèse fut en France la publication du Code civil de 1804, était le résultat d’un rapport de force permanent entre la capacité législative du pouvoir temporel (dont Roi, seigneurs, intellectuels et philosophes) et la capacité législative du pouvoir spirituel (dont Evangile, Pape et évêques). Ce droit établi par des juristes était fondé sur plusieurs strates dont voici les très grandes lignes :
les apports de la Grèce antique pour ses aspects logiques ;
les apports de la période romaine pour son esprit de système ;
les apports du droit canon (catholique) pour tous les aspects de protection de la personne humaine.
Mais il fut aussi fondé sur les strates bourgeoise, révolutionnaire et traditionnelle, quoique le Code Civil pérennise la bureaucratie de la bourgeoisie laïque.
Les enjeux nationaux et internationaux de la guerre du droit se jouent donc entre le droit continental (de type français) et le droit anglo-saxon (britannique, judéo-protestant, thalassocratique).
Le droit continental est à l’origine du droit international public, lequel est fondé sur le concept de personne morale de droit public, par nature hors du champ commercial. Ces personnes morales de droit public que sont les États y sont donc au-dessus des personnes morales de droit privé, dont car devant les réguler.
Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Contextualisation et enjeux réels de la guerre du droit » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/31/contextualisation-et-enjeux-reels-de-la-guerre-du-droit/
« Je dénonce depuis des années l’infiltration de notre modèle de droit européen, fondé sur un droit civil commun, par des instances et autres organisations, y compris académiques, dévouées à la cause « commercialiste » chère au droit anglo-saxon. Il faut encore préciser que, par « droit anglo-saxon », je parle précisément du droit britannique en tant qu’arme absolue au service exclusif des puissances financières dominantes. Cette bifurcation malheureuse du droit anglo-saxon résulte de deux évènements historiques majeurs, à savoir :
-La disparition de sa concurrence par le droit canon à la suite de l’éviction de l’Église catholique du territoire britannique par Henri VIII en 1531, suivi de,
-L’avènement d’Olivier Cromwell qui a positionné la haute finance comme tête de proue du développement de l’empire britannique.
A l’opposé de ce contre-modèle juridique « moderne » d’origine britannique, se trouvait notre Droit continental (assez généralement commun aux pays européens) fondé sur la prééminence d’un droit civil commun, au service de la justice, de la vérité et de la protection de la personne humaine. Il faut comprendre que ce modèle de Droit prit, après la Révolution française, la forme d’un droit civil commun, issu de la fusion du pouvoir règlementaire temporel, Roi et seigneurs inclus, avec le pouvoir normatif spirituel développé autour des principes de droit naturel développés tout au long du Moyen-Âge par les grands docteurs de l’Église, souvent issus du clergé régulier. Nous parlons ici du fameux Code civil de 1804. » (Extrait de l'artcile « Les attaques contre le Droit continental s’intensifient - Strategika » à l'adresse https://strategika.fr/2023/02/22/les-attaques-contre-le-droit-continental-sintensifient/)
Pour ne pas entrer en tyrannie et pacifiquement manifester légitimement quand il le faut, le peuple doit absolument jauger quand des niveaux sécuritaires liberticides sont temporaires, deviennent exceptionnels, ou demeure une généralisation autoritaire. De plus quand le parlement refuse de dire que le Roi (Président) est fou, il faut comprendre que la tyrannie vient de lui.
Maitre Brusa : « L'article 10 de la déclaration des droits de l'Homme précise que la libre communication est un des droits les plus précieux de l'homme, et donc que tout citoyen peut parler, écrire, imprimer et filmer (ce qui est de moins en moins autorisé aujourd'hui en particulier sous l'état d'urgence se renouvelant fréquemment en faisant passer à chaque fois de nouvelles lois liberticides définitives), sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans le cadre déterminé par la loi. Mais encore faut-il que cette loi soit une loi démocratique. En effet le parlement est souvent une chambre d'enregistrement, c'est à dire le contraire de la démocratie, surtout que le 49.3 amplifie cette dérive tyrannique. Car le parlement est normalement le lieu où les convictions, la réflexion, l'amour pour la patrie, l'amour pour les libertés, l'amour pour l'équité, l'amour pour la fraternité, (et normalement l'amour le monothéisme) doit se déployer. Or le parlement actuel est donc souvent une majorité qui soutien une monarchie qu'on nommera constitutionnelle, et encore si la constitution a toujours un sens aujourd'hui. »
En revenant aux référendums populaires, ils devront être protégés de certaines mauvaises influences étrangères ou privées par un pouvoir souverain national fort, puisque celui-ci représentera solidement le pays, le peuple et leurs intérêts, par exemple en quittant la législation européenne supranationale, mais pas son marché économique commun si nécessaire en autorisant des quotas, des droits douanes, des taxes et des lois antitrust pour préserver les entreprises françaises. Etant donné les populismes montant partout en Europe, c'est d'ailleurs une preuve que l'Union Européenne tendra de plus en plus à devenir une Europe des nations (dont vu les langues, histoires et cultures différentes entre chaque nation, en sachant que la filiation formant en grande partie une nation est importante pour en faciliter la cohésion). Pour fortifier la souveraineté de la France, il paraît donc inévitable de retrouver un chef politique modérément laïque sur une période d'au moins 15 ans, c'est à dire dans une remontée chronologique de l'histoire de France reconnaissant à nouveau la présence du Créateur unique, les règles christiques, la famille traditionnelle, la loi naturelle et toute idéologie améliorant ces valeurs. Ce nouveau pouvoir fort basé sur ces valeurs pourrait être un président à vie destituable par référendum similairement à un calife, afin que ce chef politique redevienne le lieutenant de Dieu conformément à la création historique de la France, pour retrouver une noble union populaire grâce à la mémoire collective, la conscience nationale et une foi commune essentielles à la réussite de ce projet. Surtout que la France a un compte à rendre avec l'Histoire, car la laïcité, devenue un laïcisme tendant vers le wokisme et effaçant les règles monothéistes à travers le monde, a commencé chez elle au détriment de sa relation avec Dieu ayant pourtant incarné sa création...
Israël Adam Shamir : « Il semble que la force obscure qui est derrière les fonctionnaires, les pandémies et les fermetures du Covid, ne soit rien de moins qu’une haine organisée envers Dieu et la religion, que ce soit le christianisme, l'islam, et même étonnamment le judaïsme. En effet pendant le Covid, Noël, l'Eid el Fitr et Yom Kippour n'ont pu être fêtés. Les personnes âgées sont les transmetteurs vivants de la tradition aux jeunes générations. Dépouillée de nos aînés, de concert avec la fermeture délibérée de tous les lieux de culte, notre tradition religieuse risque de s’éteindre, et nos enfants grandiront dans un monde sans Dieu, sans la grâce, sans la pitié. Cette force obscure veut nous séparer et nous isoler, parce que la religion, les fêtes et les rassemblements familiaux unissent les gens. « Aucun homme n’est une île », déclarait John Donne, un homme d’église lui-même, mais la force obscure veut que nous soyons chacun sur des îles séparées dans un vaste océan. Il est plausible qu’elle veuille que les humains s’éteignent, en tant que race, qu’ils cessent de se reproduire, qu’ils se suicident, qu’ils n’aient aucun espoir, aucun Dieu, aucun voisin à aimer.
Gregory Sinaisky attribue la responsabilité des fausses pandémies aux ploutocrates américains qui contrôlent commodément la plupart des médias du monde et disposent d’un vaste réseau de fondations sournoisement caritatives et d’ONG soumises dans le monde entier. Ce réseau est utilisé depuis des générations comme un outil pour influencer les médias, les institutions éducatives, les gouvernements et les organisations internationales, pour l’ingénierie sociale et le contrôle idéologique... Ainsi nous pouvons appeler toutes ces fondations, groupes de réflexion et ONG, le Réseau d’influence ploutocratique, celui des obscurs contrôleurs et « Maîtres du discours » comme lors du narratif prolongé sur le covid et le narratif sur la Russie.
Sinaisky affirme qu’ils ont provoqué les pandémies en raison du problème de la dette élevée, ou de leur incapacité à poursuivre le pillage colonial. Par ailleurs, un commentateur notable de son texte suggère que cela a été mis en route à cause de la surproduction de capital. En d’autres termes, le taux des prêts bancaires est si proche de zéro voire négatif que toute la machinerie du capitalisme a été submergée par un flot de capitaux tel, qu’il fallait une guerre majeure voire une pandémie mondiale pour l’éponger. Enfin, Sinaisky affirme que l’atomisation de la société, la rupture de la solidarité communautaire, l’érosion de tous les liens non monétaires entre les gens, la destruction des relations familiales et l’affaiblissement des liens de sang, c’est un projet ploutocratique de longue date. En ayant utilisé cette fausse pandémie, les ploutocrates sont allés encore plus loin, ils nous ont entraîné à nous voir non pas comme des amis, non pas comme des frères, non pas même comme une source de profit, mais surtout comme une source d’infection mortelle. »
Tout cela prouve donc qu'il y a bien un grand plan principal du Mal et un grand plan principal du Bien pour que les humains puissent s'ennoblir par le libre-arbitre.
« Courage, sagesse, droiture, don de soi, abnégation, ascétisme, inébranlabilité, auto-sacrifice, maîtrise des gestes et techniques, intrépidité, force physique mise au service d’un idéal, générosité, confiance, honneur, etc., telles étaient les grandes qualités humaines et les hautes valeurs ontologiques incarnés par les dieux qui justifiaient tous les comportements de l’homme traditionnel : celui-ci était donc constamment tiré vers le haut et invité à se parfaire malgré ses imperfections et ses faiblesses inhérentes à sa condition terrestre. De nos jours, l’homme des sociétés modernes désacralisées n’a pas changé : même s’il en est parfaitement inconscient, il reste, qu’il le veuille ou non, un Homo religiosus nécessitant des mythes et des modèles héroïques afin de structurer son psychisme et de donner un sens à sa triste existence. Cependant, à notre époque apostate, tous les aspects de la vie qui autrefois revêtaient une qualité supra-humaine ont été subvertis voire intégralement inversés : les mythes ne sont plus portés par les membres d’une autorité spirituelle visant à élever ses ouailles, mais bien par l’industrie du spectacle (livres d’histoire, actualité médiatique, cinéma, musique, littérature, sport de masse, jeux vidéo, Internet…), en tant que gigantesque machine à pervertir et à abrutir. Ainsi, les héros – ou plutôt les idoles – d’aujourd’hui (politicards, starlettes, dieux du stade, actrices/courtisanes, chanteurs dégénérés, super-héros robotisés, horribles créatures animées…) sont de véritables contre-exemples, littéralement des anti-héros, ils n’incarnent plus des modèles de perfection anthropologique mais au contraire sont des figures humanoïdes sans valeur, quasi diaboliques, lâches, tordues, égocentriques, brutales, imbéciles, hypersexualisées, dépourvues de moralité, hystériques, dévergondées, torturées, nihilistes, intérieurement tiraillées, etc... (Il est même apparu souvent dont en dessin animé ou série pour enfants que des anti-héros sont devenus des héros comme les vampires, les sorcières, les loups-garous.) Pour terminer ce court article sur une note positive, nous conseillerons à nos lecteurs d’ignorer et de mépriser tous ces faux héros qui ne sont, au final, que des fantômes – au sens propre comme au sens figuré – qui resteront dans les poubelles de la mémoire collective ; en revanche, les grands mythes et les textes sacrés des quatre coins du monde sont toujours bien là pour nous donner des clés de compréhension fort utiles à nos propres vies, les héros et les dieux n’ont jamais cessé de représenter des exemples d’identification individuelle, des bons modèles à suivre, et ce, afin de conférer une signification profonde à tous nos actes, de nous améliorer de jour en jour et de ré-enchanter nos existences tourmentées… » (Extraits de l'article « Du héros à l’anti-héros » de Pierre-Yves Lenoble)
« Le stress provoqué par la rupture des cohérences naturelles au prétexte de les sauver dans une cohérence culturelle supérieure (Lgbtisme, wokisme, transhumanisme) induit une souffrance et une tension intérieure permanente, aboutissant à une dislocation psychique et à une montée du désordre mental et de l’incohérence dans les esprits et dans la société. C’est la fin du sens. Les raisonnements illogiques, les propos incohérents et les comportements aberrants et anormaux se généralisent, se banalisent, se normalisent. Le mensonge et l’hypocrisie recouvrent tout, la simulation et les simulacres ont tout envahi jusque dans le moindre recoin institutionnel, plongeant le monde occidental dans une duplicité générale, une dissonance cognitive permanente et une non-cohérence globale entre la pensée et les paroles. Les formes hybrides se multiplient, notamment avec l’apparition de mouvances idéologiques comme l’islam inclusif et les identitaires wokistes, pro-Union européenne et pro-OTAN. L’Ukraine, qui a inventé le judéo-bandérisme, soit le judéo-nazisme, et créé sur son sol un bataillon de soldats LGBT, en est le laboratoire. (D'ailleurs Israël agit désormais à Gaza aussi comme les nazis contre les Palestiniens, puisque racialement et violemment.) L’Occident et ses colonies deviennent un immense hôpital psychiatrique où les malades font la loi et qui explose de toutes les façons possibles et imaginables : explosion des troubles mentaux et comportementaux, hyper-narcissisme, hystérisation des relations, vagues de paranoïa et d’accusation d’opposition contrôlée, reconstruction psychotique, c’est-à-dire subjective, du réel à partir des médias et d’Internet, mais aussi explosions de violence physique aveugle, libération totale des pulsions de mort sadomasochistes, émeutes urbaines, insécurité galopante, guerre civile larvée, avec pour toile de fond les quotients intellectuel et émotionnel en chute libre, conduisant à une disparition progressive du langage humain, une montée de l’incompétence et un effondrement socio-économique complet. » (Lucien Cerise)
Ainsi tous ces points sont des signes de la capacité satanique parvenant à suggérer aux humains incroyants, agnostiques ou impies de commettre de graves péchés, et aux monothéistes ignorants, égarés ou manipulés d'effectuer des actes insensés participant au rejet de la religion authentique. C'est à dire que tous ceux-là risquent d'aller en Enfer, dont car ils participent à l'égarement d'une grande partie de l'humanité, dont en propageant des plans démoniaques comme la théorie de l'évolution de Darwin, en pratiquant le terrorisme ou en favorisant le suprématisme ethnique voire oligarchique.
La mère des croyants (l’épouse du Prophète) Oum Salma  a dit : « Quand le Prophète (SBDSL) sortait de la maison, il disait : « Au nom de Dieu. Je m’en remets à Dieu. Seigneur Dieu ! Je me mets sous Ta protection afin de ne point m’égarer ni égarer quelqu'un, afin de ne pas glisser dans l’erreur ni d’y être poussé, afin de ne commettre aucune injustice ni d'en subir, et afin de ne point me comporter en insensé ni d’être victime des insensés. »
A ce propos, il est très important de rappeler qu'une religion ne se juge pas à travers certains de ses adeptes mais plutôt à ses enseignements. C'est d'ailleurs probablement dans ce sens qu'il faut interpréter les paroles de Jésus qui a prévenu de passer par la porte étroite. C'est à dire très probablement celle incarnée par le dernier message divin qu'est l'islam, puisque cette religion serre le plus notre cœur dans notre poitrine par rapport au contexte international souvent égaré. Surtout que mêmes les bons musulmans de notre époque sont pris en étau émotionnellement par l'extrémisme de certains fanatiques islamiques et l'extrémisme du système laïciste ayant plusieurs aspects, tels les médias corrompus égarant facilement les naïfs gens incultes, l'écœurement de l'hyper consommation, l'évocation de sujets superficiels, le rabaissement de l'islam et du catholicisme, le gauchisme sociétal, la droite identitaire impie.
(Évangile de Jésus Christ selon saint Luc, 13:22-30) :
« Dans sa marche vers Jérusalem, Jésus passait par les villes et les villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y aura-t-il que peu de gens à être sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite (du monothéisme pur islamique par opposition à la grande porte médiatico-politique mondiale corrompue désacralisant le message divin), car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer (au Paradis) et ne le pourront pas. Quand le maître de la maison (Dieu) se sera levé et aura fermé la porte (de la miséricorde), si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte en disant: "Seigneur, ouvre-nous", Il vous répondra: "Je ne sais pas d'où vous êtes (car vous n'étiez pas dans une recherche sincère de la véritable sagesse)." Alors vous vous mettrez à dire: "Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places." Il vous répondra: "Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui faites le mal (en rejetant, se moquant ou combattant le dernier message divin et les oppressés)." "Il y aura des pleurs et des grincements de dents quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob et tous les Prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'Orient et de l'Occident, du Nord et du Midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. »
(Évangile de Jésus Christ selon saint Luc, 7:13/14) Jésus a dit : « Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin, qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin, qui mènent à la vie (du cœur, de la spiritualité authentique et du Paradis Eternel), et il y en a peu qui le trouvent. »
Anas (SDP) rapporte ces paroles de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Il y aura à la fin des temps des lettrés véreux (politiciens, intellectuels, scientifiques et journalistes orgueilleux, impies, malhonnêtes, corrompus ou/et hypocrites, imposteurs de la pensée, idéologues fortement égarés). Que celui qui vivra à cette époque demande la protection de Dieu contre Satan le lapidé car ils sont ce qu'il y a de plus puant ! Puis apparaîtront des couvre-chefs (probable référence à l'apparition des casquettes). Nul en ce temps-là n'aura plus compte de l'adultère. Celui qui (passera par la petite porte qu'est la piété par rapport à la grande porte matérialiste médiato-politico-économique ou au terrorisme répandu et) continuera à pratiquer fermement sa religion à cette époque, sera comparable à celui qui tient un tison à pleine mains (puisque contractant son cœur en rendant donc l'orientation vers la spiritualité plus étroite à cause du foudroiement lié à l'ambiance générale qu'il y aura autour de l'islam), et sa récompense sera celle de cinquante hommes. Ceux qui étaient présents demandèrent : « Cinquante d'entre eux ou bien d'entre nous ? » « D'entre vous. » répondit le Prophète (SBDSL). » (Hakim et Tirmidhi)
Par conséquent il est facile de constater que cette époque où la foi en Dieu aura du mal à être respirée est déjà d'actualité à cause de l’étouffement provoqué par le monde impie, corrompu et terroriste, bien qu'avec le réveil des peuples contre la perverse oligarchie mondialiste, transhumaniste et oppressive servant dans un sens à cela, tout le monde respire la foi en Dieu de mieux en mieux. Et ceux qui pratiqueront l'islam malgré cette inédite difficulté généralisée incarneront logiquement un inédit haut niveau spirituel louable.
Ainsi lorsque Jésus (paix sur lui) reviendra sur terre en tant que chef musulman du dernier califat voire plus tard du monde s'il réalise beaucoup de miracles, espérons le rapidement, et qu'il gouvernera parfaitement après avoir anéanti le Faux Messie et son système corrompu, les croyants respireront enfin une énorme bouffée de liberté pieuse et donc de vérité délicieuse. Or par une sérieuse bienfaisance, nous pouvons tous ensemble commencer à faciliter cette respiration vivifiante du monothéisme pur, en l'honneur de la noblesse de Dieu, de Ses Messagers et de tous nos ascendants.


Voici quelques descriptions apportées sur les djinns (génies) dans le Coran :

Les génies ont été créés à partir d’un feu sans fumée, mais comme les humains créés à partir de l'argile ne sont plus constitués uniquement de cette matière, la substance de leur corps n'est possiblement pas constituée que de feu, ce qui expliquerait pourquoi le feu peut quand même les brûler en Enfer comme l'argile peut blesser les hommes :

(S55v15) « et Il a créé les djinns de la flamme d'un feu sans fumée; »

Ils sont constitués de mâles et de femelles :

(S72v6) « Or, il y avait parmi les humains, des mâles qui cherchaient protection auprès des mâles parmi les djinns mais cela ne fît qu'accroître leur détresse. »

Certains d'entre eux ont une grande puissance :

(S27v38) « Il (Salomon) dit : “Ô notables ! Qui de vous m'apportera son trône (de la reine de Sabbat) avant qu'ils ne viennent à moi soumis ?” Un djinn redoutable dit : “Je te l'apporterai avant que tu ne te lèves de ta place. Pour cela je suis fort et digne de confiance.” »

Les bons et les mauvais peuvent choisir d'avoir foi aux messages divins :

(S20v123) « Allah dit : Descendez d’ici (du Paradis), (Adam, Eve, et Iblis), (vous serez) tous (avec vos descendants ennemis les uns des autres (hommes et diable). Puis si jamais un guide vient de Ma part, quiconque suit Mon guide ne s’égarera, ni ne sera malheureux. »

(S72v14) (Des djinns dirent :) Il y a parmi nous les musulmans, et il y a les injustes (qui ont dévié). Et ceux qui se sont convertis à l'islam sont ceux qui ont cherché la droiture. »

(S46v29-32) « (Rappelle-toi) lorsque Nous dirigeâmes vers toi une troupe de djinns pour qu'ils écoutent le Coran. Quand ils assistèrent (à sa lecture), ils dirent : “Ecoutez attentivement...” Puis, quand ce fut terminé, ils retournèrent à leur peuple en avertisseurs. Ils dirent : “Ô notre peuple ! Nous venons d'entendre un Livre (Coran) qui a été descendu après Moïse, confirmant ce qui l'a précédé (Thora et Evangile). Il guide vers la vérité et vers un chemin droit. Ô notre peuple ! Répondez au prédicateur d'Allah et croyez en lui. Il (Allah) vous pardonnera une partie de vos péchés et vous protégera contre un châtiment douloureux. Et quiconque ne répond pas au prédicateur d'Allah ne saura échapper au pouvoir (d'Allah) sur terre, et il n'aura pas de protecteurs en dehors de Lui. Ceux-là sont dans un égarement évident. »


Certains semblent vivre des milliers d'années


D) Inexistence des extraterrestres mais existence d'êtres extra-dimensionnels (possiblement donc composés seulement des djinns et des anges)

Il faut comprendre que la recherche d'extraterrestres n'a pas véritablement d'intérêt, car nous ne pourrons trouver que des êtres ayant une nature que nous connaissons déjà et qui prouve le sens moral et donc intelligent à l'origine de l'univers en particulier avec toutes les qualités spirituelles proposées sur terre, tout en sachant que l'être humain pieux par son libre-arbitre est le meilleure type de créature, surtout quand il suit le Prophète (SBDSL) qui est la meilleure créature :
-soit dominatrice, prédatrice, instinctive et tribale comme les animaux,
-soit parfaite comme les anges,
-soit pouvant s'ennoblir comme les humains et les djinns dont à travers l'adaptation, la négociation, le compromis, l’accommodement, la conciliation, et surtout la coopération gagnant-gagnant. Cette réalité principale de l'adaptation sur terre, dont spirituellement et socialement pour l'humain quand c'est nécessaire, est d'ailleurs prouvée par l'adaptation corporelle de nombreux animaux sur des millénaires :
(S4v128) « Et si une femme craint de son mari abandon ou indifférence (lors d'un divorce), alors ce n’est pas un péché pour les deux s'ils se réconcilient par un compromis quelconque, et la réconciliation est meilleure, puisque les âmes sont portées à la ladrerie. Mais si vous agissez en bien et vous êtes pieux… Allah est certes, Parfaitement connaisseur de ce que vous faites. »
Surtout que l'attente ou la compréhension du sens des extraterrestres ont encore moins d'intérêt, puisque de manière interprétative différente selon les chrétiens et les musulmans, Jésus le Messie est l'esprit de Dieu, et que selon les musulmans, le Prophète-Messager Mouhamed est la meilleure créature, dont car son nom est associé à celui de Dieu dans l'inscription sur le Trône divin : « Il n'y a de divinité qu'Allah et Mouhamed est Son Messager »
Il faut savoir qu'au cours de l’histoire de l'humanité, de nombreuses personnes ont cherché et cherchent encore illusoirement un sens à la vie à travers l'existence d'extra-terrestres ou le polythéisme. Or au cours de cette histoire humaine, l'idolâtrie en tout genre a souvent donné du pouvoir à des mauvais djinns en leur permettant de créer du surnaturel particulièrement à travers la sorcellerie, afin d'indignement se faire adorer. C'est à dire que cette croyance aux idoles apporte la possibilité de leur attribuer une apparence de vie ou de conscience par ces mauvais djinns ou des drogues hallucinogènes synonymes de sorcellerie. En effet lorsque les hommes sont ensorcelés par des drogues hallucinogènes étant une réalité entre le monde réel et celui du rêve, cela ouvre des portes inter-dimensionnelles à ces mauvais djinns pour qu'ils fassent semblant de donner vie à ces fausses idoles sculptées, de transformer l'apparence d'objets, d'être de faux extra-terrestres ou d'apparaître sous des formes de fausses divinités, afin d'égarer encore plus les humains comme du temps des pharaons et de l'épreuve du veau d'or. Selon certains savants, il est possible que les grandes pyramides au temps de l'Egypte antique permettaient possiblement d'ouvrir des portes inter-dimensionnelles plus grandes :
(S34v40/41) « Et le Jour (du Jugement Dernier) Il (Dieu) les rassemblera tous (les êtres conscients). Puis Il (Dieu) dira aux anges : “Est-ce vous que ces gens-là adoraient ?” Ils diront : “Gloire à Toi ! Tu es notre Allié en dehors d’eux. Ils adoraient plutôt les djinns en qui la plupart d’entre eux croyaient.” »
(S20v56-71) « Certes Nous lui avons montré tous Nos prodiges (à Pharaon, dont le bâton transformé en serpent et la main droite de Moïse devenue lumineuse), mais il les a démentis et a refusé (de croire). Il dit : “Ô Moïse, es-tu venu à nous pour nous faire sortir de notre terre par ta magie ? Nous t'apporterons assurément une magie semblable. Fixe entre nous et toi un rendez-vous dans un lieu convenable que ni nous ni toi ne manquerons.” Alors Moïse dit : “Votre rendez-vous, c'est le jour de la fête. Et que les gens se rassemblent dans la matinée.” Pharaon donc se retira. Ensuite il rassembla sa ruse puis vint (au rendez-vous). Moïse leur dit : “Malheur à vous ! Ne forgez pas de mensonge contre Allah, sinon par un châtiment Il vous anéantira. Celui qui forge (un mensonge contre Allah) est perdu.” Là-dessus, ils (Pharaons et ses gens) se mirent à disputer entre eux de leur affaire et tinrent secrètes leurs discussions. (Puis) Ils dirent (à leurs deux sorciers principaux devant l'assemblée des notables et d'une partie du peuple) : “Voici deux magiciens qui par leur magie veulent vous faire abandonner votre terre et emporter votre doctrine idéale (polythéiste). Rassemblez donc votre ruse puis venez en ranges serrés. Et celui qui aura le dessus aujourd'hui aura réussi (et sera récompensé).” Ils (les sorciers) dirent : “Ô Moïse, jettes-tu (le premier ton bâton) ou jetons nous les premiers (nos bâtons) ?” Il dit : “Jetez plutôt.” Et voilà que leurs cordes et leurs bâtons lui parurent ramper par l'effet (l'illusion) de leur magie. Moïse ressentit quelque peur en lui-même. Nous lui dîmes : “N'aie pas peur, c'est toi qui auras le dessus. Jette ce qu'il y a dans ta main droit, et cela dévorera ce qu'ils ont fabriqué. Ce qu'ils ont fabriqué n'est qu'une ruse de magicien, et le magicien ne réussit pas où qu'il soit.” (Après que le vrai serpent de Moïse mangea les illusions des magiciens et redevint bâton) Les magiciens se jetèrent alors prosternés disant : “Nous avons foi en le Seigneur d'Aaron et de Moïse.” Alors Pharaon dit : “Avez-vous cru en lui avant que je ne vous y autorise ?” »

(S20v83-91) « (Dieu dit :) “Pourquoi Moïse t'es-tu hâté de quitter ton peuple ?” Moïse répondit : “Ils sont là sur mes traces. Et je me suis hâté vers Toi Seigneur, afin que Tu sois satisfait.” Allah dit : “Nous avons mis ton peuple à l'épreuve après ton départ. Et le Samiri les a égarés.” Moïse retourna donc vers son peuple, courroucé et chagriné. Il dit : “Ô mon peuple, votre Seigneur ne vous a-t-Il pas déjà fait une belle promesse ? L'alliance a-t-elle donc été trop longue pour vous ? Ou avez-vous désiré que la colère de votre Seigneur s'abatte sur vous pour avoir trahi votre engagement envers moi ?” Ils dirent : “Ce n'est pas de notre propre gré que nous avons manqué à notre engagement envers toi. Mais nous fûmes chargés de fardeaux d'ornements (trésors) du peuple (de Pharaon), (et) nous les avons donc jetés (sur le feu) tout comme le Samiri les a lancés. Puis il en a fait sortir pour eux un veau (d'or), un corps à mugissement. Et ils ont dis : “C'est votre divinité et la divinité de Moïse (qu')il a (probablement) oublié !” Quoi ! Ne voyaient-ils pas qu'il (le veau) ne leur rendait aucune parole et qu'il ne possédait aucun moyen de leur nuire ou de leur faire du bien ? Certes, Aaron leur avait bien dit auparavant : “Ô mon peuple, vous êtes tombés dans la tentation (à cause du veau d'or). Or c'est le Tout Miséricordieux qui est vraiment votre Seigneur. Suivez-moi donc et obéissez à mon commandement.” Ils dirent : “Nous continuerons à y être attachés jusqu'à ce que Moïse retourne vers nous.” »
Avec l'existence des drogues hallucinogènes permettant à la sorcellerie de faire apparaître des illusions, certaines fausses croyances développées à travers l'Histoire sont donc plus compréhensibles, mais les Prophètes sont souvent venus rappeler la vérité de l'unicité divine et donc la noblesse des lois monothéistes grâce à de grands miracles. D'ailleurs nous sommes à une époque où la science, qui est selon certains donne accès à certains pouvoirs de la magie, la conception d'hologramme existent, et c'est aussi pourquoi Dieu parle désormais dans le Coran de signes et plus de miracles.
Le don de l'existence reçu étant extrêmement mystérieux, tout, mais alors tout est donc possible, et vraiment aussi l'existence de Dieu l'Omnipotent, surtout suite à l’apparition d'un univers rationnel et d'une vie terrestre dont nous dépendons. D'autant plus que l'impossibilité du néant à l'origine de tout est évidente par son non-sens absolu, de même finalement que les extraterrestres, puisque la philosophique cause première à l'origine de l'univers, confirmée par la découverte scientifique Big Bang, est un des attributs de Dieu dans le Coran à travers le nom « Le Premier ».