Y) Suite 25 (1)
Pierre Hillard confirme que ces sionistes et oligarques ultra riches cherchent par le mondialisme supranational ou international, à créer une humanité indifférenciée (transgenrée, théorie du genre), métissée (sans race ou ethnie ou couleur bien que dans la nature tout se transforme et que le monothéisme est au-dessus de ces considérations par son origine que sont Adam et Eve), consommatrice (esclave) et déracinée (immigrée, nomade, délocalisée en fonction des aléas de la production économique) en quelques étapes, le tout plongé dans une mystique transhumaniste glorifiant l’homme-Dieu (une élite, pas le peuple) interconnecté au numérique (intelligence artificielle et biotechnologie électronique). Il s'agit du gauchisme universaliste provenant de la maçonnerie. Cela afin qu'ensuite ils puissent effacer les Etats et créer des blocs continentaux pour les fusionner dans une région monde en commençant par les traités commerciaux supranationaux suivants : Traité transatlantique, Accord Transpacifique, Union européenne, Union Africaine, Union des nation sud-américaines, et possiblement l'Organisation de coopération de Shanghai si le monde unipolaire triomphe. Or il faut noter que le traité transatlantique a été contré par des médias alternatifs de la réinformation, ce qui prouve que des populations éveillées peuvent lutter contre le pervers mondialisme oligarchique, wokistes et sionistes. Cette perverse organisation mondiale cherche à ce que l'humanité soit au service d'une élite mondialiste sioniste ultra riche différente d'elle, puisque ses membres prônent la différence supérieure de leur race ne pouvant se métisser, ne prônant donc pas le libéralisme étonnamment à la différence du messianisme juif globaliste (comme l'Etat d'Israël est plus basé sur la race et donc sur la racisme que sur la religion, car le judaïsme s'est fondé inexactement sur le concept de peuple-race provenant des hébreux élus par Dieu, puisque l'élection divine n'est principalement pas raciale mais religieuse) et devant vivre en Israël ou au service de cet Etat corrompu, par preuve de ses récentes lois favorisant les juifs en opposition au califat islamique qui demandait pieusement un impôt moins important aux non musulmans. Il s'agit donc d'un très pervers tribalisme dont car prônant en plus un impie et donc faux universalisme pour les autres. Ainsi la politique immigrationiste de métissage au sein des nations portant le christianisme ou l'islam par essence universalistes peut ne pas être mauvaise puisque c'est en opposition à cet impie suprémacisme tribal juif, en sachant que le métissage apporte un sang plus riche, vif, tolérant et ouvert, mais que le métissage forcé allié à un système oligarchique poussant pour se maintenir à la division horizontale par la racisme et l'antiracisme est un danger. Et il faut noter que le métissage des occidentaux se fait à travers la grand remplacement des occidentaux par des étrangers et la société ouverte, alors que le non métissage des israéliens se fait à travers le grand remplacement des palestiniens par des juifs et la société fermée. Or pour parvenir à ce nouveau paradigme les organisations mondialiste et sioniste ne suivent parfois pas la même stratégie. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Troisième Forum de Chisinau » à l'adresse https://strategika.fr/2015/03/19/toisieme-forum-de-chisinau/ En effet il existe par exemple au sein des élites une faction des juifs néoconservateurs pro grand Israël divergeant un peu de celle des juifs mondialistes pro république planétaire, dégénérée, transhumaniste et virtuelle (métaréalité du métaverse). Il y a donc une élite juive voulant dominer le monde par le contrôle des nations (droite identitaire américano-sioniste) et une élite juive voulant dominer le monde par le mondialisme (gauchiste, progressiste, wokiste). C'est à dire que comme nous sommes dans un contexte où il y a une révolution technologique, numérique et robotique, le réel est de plus en plus anxiogène (terrorisme, virus, pass sanitaire, problème climatique), et donc une envie de se réfugier dans le monde virtuel augmente. Il s'agit d'un contexte que l'oligarchie veut mettre à son profit dont en prétendant qu'il faut baisser le niveau de vie général car tout le monde ne peut avoir celui de la bourgeoisie américaine, voire baisser la trop nombreuse population mondiale, tout en contrôlant tout, dont en rendant inerte les peuples, en particulier en les mettant en dehors du monde réel à travers une utilisation excessive du métaverse. Surtout que les activités effectuées dans ce métaverse pourraient être surveillées par les administrateurs de la plateforme, ce qui aurait le potentiel de réduire considérablement la confidentialité de tous les utilisateurs de la plateforme. Il faut noter que la guerre wokiste contre la réalité dont en prônant l'autorisation de la transsexualité est similaire en partie au métaverse virtuel puisque l'identité sexuelle de l'avatar de chacun peut y être changée. L’intégration de tous les aspects de sa vie avec le métaverse cadrerait avec la vision du WEF (Forum économique mondial) d’un avenir sans vie privée. L’assimilation de ces activités quotidiennes dans le World Wide Web via le Métaverse soulève également la question de savoir si tout discours, parole, écrit et avis prononcés alors qu’il est branché au Métaverse peut être réglementé par ses administrateurs. Un tel pouvoir réglementaire sans précédent ressemblerait à celui d’un gouvernement mondial, qui est un objectif explicite du Forum économique mondial. Le méta-président des affaires mondiales et ancien vice-Premier ministre britannique Nick Clegg a confirmé mercredi le rôle de leadership du WEF dans le Metaverse. En effet un de ses twitts précise que le WEF jouera un rôle de leadership en informant les meilleures pratiques et les principes de gouvernance dans le Metaverse. Le WEF a même expliqué que son initiative se concentrera également sur la création de valeur économique et sociétale dans le Métaverse, ce qui implique sa propre économie parallèle de biens et services virtuels. Une telle économie pourrait prendre plus d’importance par rapport au monde réel dont si la vision du WEF d’abolition de la propriété privée s'y concrétise et pas dans le Métaverse. Face à tout ce désordre mondial anormal qui se passe actuellement et qui sert mystérieusement à de rares lobbyistes loin d'être humanistes, il faut impérativement dénoncer rapidement la mise en place du Nouvel Ordre Mondial corrompu des mondialistes et des sionistes synonyme de tyrannie à l’échelle mondiale, surtout que progressant de nos jours encore plus vite sous prétexte médical, économique, inflationniste, énergétique, guerrier et banlieusard. Par conséquent il est important de dévoiler point par point tous les éléments de cette mascarade mondiale satanique : dépopulation ou réduction importantes de la population mondiale ; esclavagisation des survivants de cet holocauste planétaire ; pandémies ; inflation ; guerre ; destruction méthodique des économies du monde ; numérisation totale ; suppression de l’argent liquide ; Agenda 21 et Agenda 2030 ; développement durable ; Club de Rome et limites de croissance , rapport 2010 de la Fondation Rockefeller ; projets de Bill Gates et Klaus Schwab (Great Reset) ; Organisation mondiale de la santé et GAVI ; nanoparticules ; 5G ; cyber pandémie ; urgence climatique (mythe du réchauffement climatique et armes climatiques) ; traces chimiques ; agenda du transhumanisme ; puces ; programmation prédictive ; développement de l'IA ; contrôle sur l’esprit humain ; ingénierie sociale ; etc. Il s'agit d'informations s’appuyant sur une multitude de sources internationales d’une crédibilité maximale. Le principal catalyseur de l’exploitation et de la victimisation de vastes populations est le fait que nombre d’entre elles ne parviennent pas à se faire à l’idée d’une conspiration organisée par des monstres humains. Ils refusent de reconnaître l’existence du mal qui se trouve juste devant eux, ce qui permet au mal de s'établir et se répandre sans opposition pendant de longues périodes. Cependant, il y a toujours un moment où les psychopathes poussent les mauvaises personnes trop loin. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, et c’est à ce moment-là qu’ils se retrouvent au bout d’un nœud coulant ou dans la ligne de mire du canon d’une arme. Lorsqu’il s’agit d’organisations de psychopathes, le même moment finit par arriver, il faut simplement plus de temps pour que le public comprenne que c’est nécessaire. Les globalistes vont essayer d’appliquer l’agenda 2030 et la tyrannie du passeport numérique dont écologique quoi qu’il arrive. Ils ne peuvent pas arrêter le processus qu’ils ont mis en marche. Les événements totalitaire en Australie et en Nouvelle-Zélande pendant le Covid ont montré que leur addiction à la tyrannie est insatiable et qu’elle exige qu’ils poursuivent un contrôle croissant quel qu’en soit le coût. Ils le disent d'ailleurs clairement, surtout que c'est un plan diabolique. Or les événements en Afghanistan montrent qu’un tel contrôle est presque impossible à maintenir sur une population armée et que, du moins aux États-Unis, ils finiront par perdre grandement. En effet le fait est que gagner a toujours été impossible en Afghanistan. L’establishment le savait il y a vingt ans lorsqu’il a envoyé les premières troupes américaines. Ils n’avaient pas besoin de saboter la mission américaine en Afghanistan, car perdre en Afghanistan était de toute façon inévitable. De même s’ils utilisent des tactiques de terreur absolue, ils perdront aussi toujours aux USA tant que les Américains continueront à se battre avec les armes à feu, même si les lois de l’usure prévalent toujours et car la supériorité technologique ne signifie rien. Pour résumer, le combat est déjà gagné, mais la lutte ne fait que commencer. Surtout que Biden a plusieurs crises à cacher : (1) le pic pétrolier, (2) la dévaluation du dollar, (3) la montée en puissance de la Chine et de la Russie, (4) la fin du monde unipolaire, (5) la destruction de la base industrielle des États-Unis. C’est grâce au sabotage du Nord Stream que les États-Unis développent leur industrie, vendent leur pétrole, et continuent à creuser leurs déficits. Le problème est la dégradation des infrastructures, et l’échec inévitable d’un système basé sur la finance. L’occupation d’une nation entière afin de réduire une insurrection importante et d’imposer un changement culturel est un effort qui doit désormais être accompli rapidement ou pas du tout. Le coût financier est écrasant, le coût humain est stupéfiant et la quantité de ressources nécessaires pour maintenir la subjugation est exponentielle. En vérité, plus une occupation se prolonge sans l’élimination totale de l’insurrection, moins elle a de chances de réussir. Le problème est que pour éliminer complètement l’insurrection, il faudrait anéantir la majeure partie de la population en utilisant des tactiques grotesques, qui ne font qu’inspirer davantage d’insurrection. C’est un peu ce qui s'est passait au Proche-Orient, où toutes les communautés pouvaient vivre en harmonie, jusqu’à ce que l’axe américano-israélien mette fin à la paix dans la région. Certains esprits retors vont même jusqu’à imaginer que les autorités sionistes basées en Palestine occupée ont jeté de l’huile sur le feu inter-communautaire en agitant des factions indépendantistes, comme dans le Maghreb des années 60 lors des indépendances africaines, afin de pousser les juifs nord-africains à émigrer en Israël. Même chose dans l’URSS des années 70-80, quand Israël salivait sur l’apport démographique alléchant de plus d’un million de juifs dans ses territoires... Cependant la démocratie américano-sioniste comme la plupart des ingérences étrangères ont fini par quitter l'Afghanistan comme des voleurs... En effet tout pays occupé finit toujours par être récupéré par ses habitants naturels, historiques. Cette leçon devrait résonner aux oreilles des militaires au pouvoir à Tel-Aviv et aux mondialistes dans les nations européennes. La solution militaro-policière n’en est pas une, elle n’est pas durable, et envenime chaque jour le conflit. L’histoire du monde nous apprend que la justice finit par vaincre, même si ça met du temps. C’est pour ça qu’en France il faut avoir la foi que Dieu sortira les américano-sionistes et mondialistes du pouvoir. Et les résistants l’ont par définition, pas les occupants. Or les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez le tyran de Syracuse Denys où une femme prie pour que le tyran en place reste au pouvoir, car elle a compris que le tyran suivant est toujours pire. C’est maintenant que cela va empirer avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens. Ils ont été obsédés par la propagation du vaccin ARN. Il doit bien y avoir une raison. On peut alors se rappeler rappelé le soma de Huxley. Selon le roman d'anticiption d'Adous Huxley « Le meilleur des mondes » traitant d'une société totalitaire, le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’Etat (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. La ration de soma quotidienne était une garantie contre l’inquiétude personnelle, l’agitation sociale et la propagation d’idées subversives. Karl Marx déclarait maladroitement que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple, comme de nos jours, l'alcool, la cigarette, les drogues, la télévision, les jeux vidéos, les séries, le cinéma et les loisirs à outrance sont l'opium du peuple(, mais aussi d'ailleurs de plus en plus désormais les antidépressifs prescrits facilement pour ne rien ressentir et même les médicaments opioïdes qui apporte de la joie alors qu'ils ne sont seulement valables que pour soulager certaines fortes douleurs quand il n'y a pas d'effets secondaires ni de prise prolongée ou régulière, pouvant entraîner l'addiction jusqu'à la mort, comme chez les chômeurs ou les SDF en particulier aux USA, dont selon la volonté malthusianiste de dépopulation des élites et oligarchies mondialistes, par preuve qu'il y a eu dans cette nation plus de 500 000 morts liés à cette addiction, tout de même aussi dus en partie au manque de piété des consommateurs, ce qui risque d'empirer avec la propagation criminelle de la drogue Fentanyl beaucoup plus puissante et donc possiblement mortelle). Comme la religion, le soma (ressemblant au mot « sommeil » dans lequel on dort ou rêve) avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui a produit des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut donc en dire autant de l’alcool euphorisant classique, qui selon les termes du psalmiste « réjouit le cœur de l’homme ». Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar totalitaire de ce type d'anticipation dystopique d'Huxsley ou d'Orwell, et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces forces impersonnelles sont en train de rendre le monde peu sûr pour les démocraties, et peu hospitalier pour la liberté individuelle. Et d’un point de vue totalitaire, il ne serait donc pas étonnant que le système finisse par interdire les livres d'Huxley et d'Orwell. Extraits de l'article « L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté, Pas la Démocratie ou le Gouvernement International » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/28/lantidote-a-la-tyrannie-est-la-liberte-pas-la-democratie-ou-le-gouvernement-international/ : « Le langage politique manipule le débat politique. En se définissant comme « pro-vie », les anti-avortement opèrent une manipulation sémantique qui fige les partisans de l’avortement en « pro-mort ». En se proclamant « pro-choix », les partisans de l’avortement placent leurs opposants dans le camp des « anti-choix ». Qui veut être « pro-mort » ou « anti-choix » ? Telle est la nature de la politique. Les mots sont des armes : habilement maniés, ils façonnent nos esprits pour le combat. Quand les dirigeants occidentaux parlent beaucoup de démocratie et oublient les droits individuels, quand ils vantent les vertus des institutions internationales et diabolisent le nationalisme comme xénophobe et dangereux, il faut se rendre à l’évidence : la souveraineté nationale et les droits naturels inviolables sont la cible d’attaques directes dans tout l’Occident. … La démocratie ne garantit pas qu’une société fonctionne de manière noble et juste. Dans une démocratie de cent citoyens qui fonctionne correctement, cinquante et un d’entre eux peuvent priver les quarante-neuf autres de leur droit de propriété, de leur liberté et même de leur vie. ... (Et encore en démocratie) Quand les droits naturels individuels sont considérés comme des « cadeaux » du gouvernement, ils disparaissent rapidement chaque fois que ce gouvernement le juge opportun. Il est de plus en plus courant de voir les droits individuels attaqués en raison de leur caractère « égoïste » ou parce que contraires au « bien commun ». L’Etat de droit n’empêche pas la tyrannie quand ce qui est injuste a été adopté de manière démocratique (alors que le califat originel respecter par essence les droits sacrés individuels au niveau du sang, des biens et de l'honneur tout en les orientant vers le bien commun dont par la zakat). Si une minorité électorale est vulnérable aux caprices de la majorité, alors un gouvernement démocratique apparaîtra à cette minorité comme extrêmement autoritaire. Et si votre vie, votre liberté ou vos biens sont en jeu, vous pourriez très bien préférer le jugement d’un dictateur bienveillant aux exigences d’une foule vengeresse, mais « démocratique ». Le contraire de la tyrannie n’est pas la démocratie, mais la liberté et les droits individuels. Comment s’étonner que les dirigeants occidentaux rendent hommage à la démocratie et très peu aux libertés individuelles (même si le laïcisme wokiste et LGBTiste s'est construit sur elles) ? La civilisation occidentale devrait se souvenir que de dures batailles ont été menées en faveur de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du libre-arbitre. Tout avancement de la liberté humaine devrait être célébré comme un triomphe de la raison et de la rationalité sur les systèmes de pouvoir féodaux et leurs contrôles autoritaires. Toute société « libre » se distingue des régimes autoritaires par une protection sans faille des droits de l’homme qu’elle considère comme inviolables et qui existent indépendamment de la loi statutaire. Pourtant, la liberté et les droits individuels sont rarement mentionnés. Les dirigeants politiques chérissent plutôt les « vertus » de la démocratie et rien d’autre. Ce tour de passe-passe linguistique prive les citoyens occidentaux de leur patrimoine le plus précieux. … La rhétorique vaudou utilisée par les dirigeants politiques occidentaux pour remplacer la « liberté individuelle » par de vagues notions de « démocratie », a fait émerger une sorcellerie similaire pour remplacer la souveraineté nationale par des formes internationales de gouvernement. L’Union européenne, les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé sont des structures institutionnelles créées pour affaiblir le vote individuel des citoyens d’une nation en cédant des pouvoirs nationaux autrefois souverains à des non-citoyens. N’est-il pas étrange que les dirigeants occidentaux vantent la démocratie contre l’autoritarisme au moment même où ils diminuent le pouvoir de leurs électeurs au profit d’institutions étrangères ? Les nations « démocratiques » ne devraient-elles pas décider de leur propre destin ? Les nations qui transfèrent leur autorité à l’UE, l’ONU ou l’OMS, peuvent-elles toujours affirmer qu’elles jouissent de gouvernements démocratiques ? « Nationalisme » est devenu un mot désobligeant, comme si tout ce qui est fait dans l’intérêt d’une nation en particulier était intrinsèquement suspect. Les citoyens qui expriment leur patriotisme en s’affirmant fiers de leur culture et de leur histoire nationale sont aujourd’hui réprimandés comme des culs terreux ou les adhérents d’une secte. Les mouvements politiques qui défendent l’autodétermination nationale (comme la coalition MAGA du président Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni) sont tournés en dérision, considérés comme « fascistes » ou « néo-nazis ». Même au sortir d’élections démocratiques, les vainqueurs sont néanmoins qualifiés de « menaces » pour la démocratie. Pourquoi des gouvernements internationaux plus grands et plus larges seraient-ils plus vertueux et moins corrompus que leurs homologues nationaux ? Il est aussi absurde de magnifier les institutions internationales au détriment des gouvernements nationaux, que de faire l’éloge de la démocratie sans tenir compte des libertés et des droits individuels. Il est plus facile de garder à l’œil un politicien local que d’exiger des comptes d’un fonctionnaire éloigné à Washington. DC, New York, Bruxelles ou Genève. Pourtant, les organismes internationaux jouissent aujourd’hui d’un immense respect, alors que les organismes nationaux sont traités avec mépris. C’est comme si la souveraineté nationale avait été démolie parce qu’on ne peut pas faire confiance aux votes des nations démocratiques pour servir les intérêts internationaux. Quand les dirigeants occidentaux reprennent les éléments de langage du Forum économique mondial de Davos, ils ne prennent pas leurs ordres de marche auprès de leurs électeurs. S’en remettre à des organisations non élues, non transparentes et non responsables semble une façon plutôt étrange de lutter contre l’autoritarisme. Lorsque les populations nationales se voient refuser l’autodétermination et que les libertés individuelles sont considérées comme des privilèges et non comme des droits, la tyrannie n’est jamais loin. Des manipulations de langage ne changeront pas cette puissante vérité. Elles retarderont les règlements de compte politiques, mais ils n’en seront que plus explosifs le jour où ils auront lieu. » Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la prétendue surpopulation crée une situation telle qu'une dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable selon la caste mondialisée ultra riche. Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, seront bien sûr gravement désavantagés, puisque dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même en tant que producteurs indépendants : les Gros les auront dévorés. A mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans cette tyrannie, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État financier, c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant les ordres des ultra riches modnialistes. Dans une démocratie capitaliste comme les U.S.A., elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé l’Elite du Pouvoir. De manière plus locale, l’acharnement de la Miviludes et de son conseil d’orientation contre une personnalité influente comme Thierry Casasnovas dans le domaine de la santé et du bien-être, est une excellente illustration de l’ambition totalitaire du régime républicain, qui entend contrôler tous les aspects de la vie des Français, de la naissance à la tombe : c’est exclusivement de ses prêtres que doit émaner la bonne parole, toute voix autonome et divergente devant être bannie ou pourchassée et écrasée sans états d’âme. Mis en examen pour huit chefs d'inculpation, notamment pour exercice illégal de la médecine, il devient la cible de la nouvelle loi "anti sectarisme" récemment validée en conseil des ministres. Cette loi vise à sanctionner la provocation à abandonner un traitement médical présenté comme bénéfique, mais manifestement risqué pour la santé des personnes concernées. Le débat soulevé par cette affaire dépasse largement le cadre des considérations de fond de la vidéo de Thierry. Il interroge notre liberté à questionner la science et la santé. Jusqu’où peut-on s’interroger sur les moyens de prendre soin de notre corps sans être accusé de sectarisme dont au profit de Big Pharma, du système ou/et de la pseudo science divinisée ? La bride qui relie le cerveau du citoyen consommateur à l’État doit être solide et constamment tenue serrée, dans tous les domaines de la vie et de l’activité humaine, et ne saurait être parasitée par aucune autre forme d’influence. En cela nous commençons à entrevoir que cet État s’inscrit de manière de plus en plus ouverte dans une démarche globale d’embrigadement sectaire de toute la population. Dans ce sens on peut remarquer que depuis bientôt 60 ans, avec le départ du général de Gaulle, ce qu’on pouvait encore appeler sans ambiguïté l’État français n’a jamais cessé de perdre en autonomie et en souveraineté, pour se réduire aux apparences d’une coquille vide, avec la délégation de son pouvoir à l’Europe de Bruxelles, l’OTAN, la Banque centrale européenne et l’euro, avec la politique de régionalisation (devant finir suite à un Etat devenu seulement policier dans une soumission au super état européen organisé à travers des devoirs régaliens privatisés, soit clairement l’avènement du gouvernement mondial oligarchique), l’ouverture de plus en plus large à l’immigration de masse, l’abandon progressif de tout ce qui s’apparente à la richissime culture française originelle, et avec la délégation aux grands médias privés et pseudo publics de toute la production et la diffusion des informations, des divertissements, du lancement des fatwas, de la remise des récompenses et du magistère de la morale établissant ce qui est bien et ce qui est mal et persécutant ou récompensant en conséquence. Mais nous avons bien vu qu’il ne fallait pas confondre l’État français avec « l’État républicain », et qu’à mesure qu’on dépouillait le peuple français de sa souveraineté, l’État républicain s’est vu adjoindre avec le temps le concours de forces considérables qui lui permettent d’exercer sur les âmes et les corps un pouvoir dont les tant décriés souverains des temps jadis (jusqu’à Louis XIV lui-même !) n’auraient jamais rêvé disposer : les médias privés, les GAFAM, les communautés organisées, une justice aux ordres devenue inquisitoriale à force d’infiltration et de noyautage par des magistrats pervers, véreux ou lâches (d'ailleurs un ancien vice-président du tribunal judiciaire de Dijon, qui proposait à des internautes de violer sa fille de 13 ans, a été condamné à du sursis et n'ira donc pas en prison) : il existe bien une souveraineté forte qui s’exprime, qui ne la sent pas ? Mais c’est une souveraineté contre nature, comme si ce qu’on pourrait comparer au « cerveau » de la France avait été complètement colonisé et perverti par un parasite qui unirait à présent tout ce qui reste des fonctions régaliennes pour travailler au dépérissement final du « corps », en promouvant tous les agents pathogènes et en traquant et éliminant tous les lymphocytes destinés à la défense immunitaire, tout en lui tenant du matin au soir un discours obsédant qui pourrait se résumer à « C’est pour ton bien… c’est pour ton bien… ». Les Français anti-UE et anti-OTAN ont organisé le 8 octobre 2022, une mobilisation dans le quartier de Montparnasse à Paris, place du 18 juin 1940. Le choix de ce lieu était sémantiquement très important, car c’est la date de l'appel historique du Général de Gaulle aux Français à s’unir dans l’action pour libérer la France contre les envahisseurs. Parmi les motivations de ce rassemblement, les organisateurs ont évoqué sur Twitter : l’opposition au « bellicisme » de l’OTAN, au « sabordage de l’économie » par l’exécutif et aux « restrictions énergétiques et sanitaires ». Ce dernier motif fait écho au plan de sobriété controversé récemment présenté par le gouvernement, dans le contexte de crise énergétique. De plus peu importe leur couleur politique, ce sont de plus en plus d'européens qui nagent à contre courant leur gouvernement ou l'UE, quitte à se placer sous le mot « Résistance ». « Rendez-vous national de la résistance », c'est sous cet intitulé qualifiable de parti « souverainiste » que s'est réunie cette manifestation. Mais l'expression « Résistance anti Empire » peut-il avoir un jour une réelle signification en Europe ? La guerre contre la Russie fomentée depuis plusieurs années par l’axe US/Israël/OTAN par Ukraine interposée, impacte clairement les pays d’Europe. Malgré la propagande menée par les acteurs de la sphère politico-médiatique occidentale pour convaincre les Européens du bien-fondé de cette guerre, les Européens, peu habitués à ressentir directement les effets des guerres habituellement menées régulièrement à des milliers de kilomètres de leurs frontières par leurs gouvernements ont beaucoup de mal à comprendre les décisions de leurs responsables. Mais ces derniers se moquent de ces avis et de ces principes pourtant démocratiques, alors qu'ils donnent des leçons démocratiques à toute la planète et surtout aux Etats du Moyen Orient. Ainsi il est fréquent de tomber sur un ras-le-bol allant jusqu’à appeler à la désobéissance civile, la grève générale, voire à la révolution. D’aucuns rétorqueront que les « Gilets jaunes » ont commencé à en mener une et pourtant il n’en est rien, dans la mesure où le mouvement a fini par s’étioler face au déploiement impitoyable des forces de répression mises en service par le pouvoir et ses relais, aux divisions politiques, et aux intérêts particuliers qui en ont tiré quelque maigre bénéfice, 100 € supplémentaires mensuels ici, 200 € là, ou quelques primes pour les mieux lotis. Ce n’est évidement pas avec de telles friandises que se gagne une révolution digne de ce nom. Mais la Résistance est-elle viable dans les sociétés européennes, une Résistance version palestinienne par exemple ? S’il y a des différences flagrantes entre l'Europe et la société palestinienne, il y en a aussi des moins évidentes. La société palestinienne fait face à une occupation des plus brutales depuis près de 75 ans. Et tout le monde voit et connaît l’agresseur, malgré ses tentatives éhontées de se faire passer pour la victime dans cette inversion accusatoire devenue très à la mode depuis. Personne n’est dupe, et la juste cause palestinienne a traversé frontières, montagnes et océans, et touché le cœur et la raison du plus grand nombre. Il n’est que nos pantins politico-médiatiques qui sont aux abonnés absents et continuent à soutenir un gouvernement criminel, sans se soucier pour le coup, de leur habituel mantra des « droits de l’Homme », qui en réalité est incomplet. Il eût plutôt fallu dire : les « droits de l’Homme blanc ». Ces sinistres individus qui ont perdu tout honneur savent que pour réussir dans leur carrière, ils ne peuvent mordre la main perverse qui les nourrit. Or en Europe, les gens sont aussi attaqués et occupés, mais de manière sournoise. Les attaques ne se font pas de front, avec la brutalité de la soldatesque israélienne. Elles se font par la bande, sont feutrées, enrobées, par multinationales interposées, par intérêts privés au détriment d’intérêts publics, par détricotage méthodique des acquis sociaux arrachés de longue lutte par nos aînés, par travail de sape incessant auquel s’activent les lobbies pour imposer leurs contrats et leurs normes à coups de cadeaux, primes, promesses diverses faites à tous ceux qui dans les couloirs des appareils d’État, jouissent du droit décisionnel de dire oui ou non aux prébendes qui leur sont offertes en échange des signatures attendues. Le problème majeur rencontré pour espérer une révolution de la population contre les appareils d’État, et de manière plus large contre les autorités politiques européennes, se vérifie dans l’incapacité des populations à se fédérer et à s’unir dans la lutte à mener pour renverser cet ordre inique et impersonnel qui finit par ne plus représenter que cette caste nuisible. Mais la société palestinienne échappe à ce genre de défaillance. C'est une société civile qui est vivante, pleine de dynamisme, d’initiatives. Après les multiples tentatives échouées de la détruire tout au long des décennies d’occupation sioniste, la société palestinienne s’est organisée et réinventée à travers un réseau d’ONG que la majorité de citoyens occidentaux n’imagine même pas. À tous les niveaux les Palestiniens se sont arrangés pour trouver des solutions aux multiples manques et difficultés provoqués par ce régime colonial qui tente de les priver de tout, pour se soutenir, pour s’épauler, en toutes circonstances. En France, voilà 40 ans que défilent dans les médias, des petits fascistes se faisant passer pour des modernistes aux idées larges, tout en utilisant le foulard pour masquer les vrais problèmes de société et leur racisme nauséeux. On peut le voir encore avec la tentative de révolution colorée en Iran à cause du voile, comme par hasard, au moment de trouver possiblement un accord sur la question nucléaire, et au moment où les drones iraniens supplantent la technologie otanesque en Syrie, en Irak, au Yémen et en Ukraine (ce qui contrarie considérablement le régime sioniste). Ce sont les agents de la CIA et du Mossad qui cherchent à déstabiliser la société civile iranienne par l’exploitation de la question du voile des femmes. Ces gens et leurs relais sont des imposteurs professionnels, qu’il faudrait écarter une fois pour toutes. Et le minable petit coup de gueule des chanteuses et actrices qui se coupent une mèche de cheveux est affligeant de bêtise et d’hypocrisie. Où sont-elles quand il s’agit des Palestiniennes abattues froidement dans la rue devant leurs enfants, ou détenues dans de sordides prisons ? Où sont-elles quand l’armée « la plus morale du monde » les laisse accoucher seules et sans aide, bloquées à quelque check-point devant les rires salaces de petits imbéciles forts de leur uniforme ? Tout cela n’est que piteuse mise en scène, et ces idiotes (in)utiles ne prennent pas le moindre risque (sauf d'aller en Enfer) mais sont récupérées par le système qui au passage, leur offre leur petite pub. En Palestine, dans le moindre village qui se fait envahir la nuit par la courageuse armée sioniste suréquipée pour enlever quelque gamin lanceur de pierres, la population réagit de manière unanime. Elle se soude, s’organise et manifeste collectivement. Elle n’a pas peur d’affronter avec ses maigres moyens, les balles et les grenades lacrymogènes de l’armée coloniale israélienne dans un bord de la méditerranée représentant clairement l'impie empire colonialiste, mondialiste, thalassocratique, laïciste, wokiste et ploutocratique. Elle monte au front. Elle proteste haut et fort. Elle est prête à se faire embarquer et passer des mois et parfois des années en prison, s’il le faut. Elle est prête à tous les sacrifices, y compris la démolition de leur toit, ainsi que des grèves de la faim menées jusqu’à la limite de la mort. Et cela, depuis près de 75 ans, et après avoir essuyé quantité d’assassinats, de crimes de guerre et de pertes d’êtres chers sous des bombardements sans retenue de la puissance occupante. Et sans parler du silence général des médias occidentaux, ni des trahisons des gouvernements de pays frères. S’il ne fallait que se couper une mèche de cheveux pour nourrir et gagner une révolte... Et c’est cette solidarité-là que l’ennemi sioniste (soutenu par les États dits démocratiques) tente par tous les moyens de briser, dressant les partis du Fatah contre celui du FPLP ou du Hamas contre le Jihad islamique. Diviser, fracturer, opposer les uns contre les autres, toujours, pour régner, contrôler et asservir. Et malgré ici et là quelques réels problèmes au niveau des cadres, la population reste solidaire dans sa lutte contre l’ennemi commun depuis plus de sept décennies, ce qui représente trois générations. Si une révolution commence d’abord dans le cœur et les tripes qui hurlent à l’injustice, elle se construit et s’organise dans la tête. Elle a ses hauts et ses bas. Elle a ses résistants et ses collabos. Elle a ses héros et ses traîtres. Aucun pays n’échappe à cela, et là n’est pas la question. Dans les têtes, il faut la détermination. Il faut sans arrêt se rappeler les objectifs et tenter de ne pas en dévier. Il faut se rencontrer, échanger, partager ses réflexions, se soutenir dans les doutes et les épreuves. Il faut quelque prudence aussi. Savoir sur qui compter et de qui se méfier. Il faut de la vigilance, de la discrétion, et bien sûr, un certain courage sinon un courage certain. Mais toujours, toujours une sourde détermination que rien ni personne ne peut entamer, malgré le chaos, nouveau nom de code des opérations de déstabilisation. Quand les populations occidentales auront goûté aux manques et aux privations, et pour certaines d’entre elles, peut-être touché le fond, quand elles se rendront compte et réaliseront qu’elles sont occupées et asservies par les armes maquillées de la finance internationale qui leur ont lobotomisé les neurones, elles finiront peut-être par avoir la lucidité de s’organiser afin de renverser cet ordre mafieux qui gangrène leurs vies jusque dans les moindres détails du quotidien. Elles pourront alors se rappeler et prendre exemple sur la résistance palestinienne opiniâtre, prête à tous les sacrifices, de même que sur celle afghane. « Lettre ouverte à nos chers amis Talibans (qui ne sont plus wahhabites) » de Maître Damien Viguier : « Chers amis, Je ne vous cache pas que c’est avec une joie immense que nous avons appris que vous aviez remporté la victoire dans cette bataille contre le Grand Satan. Depuis vingt ans nous étions morts d’inquiétude et ne nous relâchions pas dans nos prières. Dieu les a exaucées. Dieu merci. Certes, ce n’est pas terminé et il faut rester vigilant. Mais ce qui est rassurant c’est que vous êtes entourés de puissants alliés : Pakistan, Russie, Chine, Iran. Je voudrais vous dire la honte particulière que nous avons en France d’avoir pour ministres et pour chefs de l’État des personnages aussi ridicules que ce monsieur Le Drian. Ce dernier s’est montré d’une arrogance comique en vous imposant cinq conditions à respecter pour qu’il vous fasse l’honneur de vous reconnaître ! Ce serait seulement comique si ça n’avait pas l’aspect sinistre d’une déclaration de guerre totale. Il vous demande de permettre que « ceux qui ont peur » de vous puissent quitter l’Afghanistan : moyen de vous priver d’une partie de vos forces, comme ils l’ont fait pour la Syrie. Il vous accuse d’accueillir des terroristes : inversion accusatoire, quand on sait comment la France héberge et nourrit le terrorisme. Le comble, c’est qu’il vous demande d’accueillir l’aide humanitaire, alors que vous venez de parvenir à chasser de votre territoire ces prédateurs et ces rapaces, et qu’il ose encore, vraiment comme s’il vous dominait, vous demander de constituer « un gouvernement de transition » : on croit rêver ! De transition vers quoi et avec qui ? Mais je voudrais surtout insister sur la dernière de ses cinq requêtes, celle qui concerne « les droits des femmes ». C’est la plus importante. Il s’agit d’un message envoyé aux Occidentaux pour les convaincre que vous seriez d’irréductibles ennemis du genre humain. Mais les populations occidentales elles-mêmes ne voient pas ce que cette formule signifie. Le droit est mon domaine. Je cultive depuis près d’un demi-siècle cette discipline difficile, dont il est dit dans la tradition en Occident qu’une vie entière ne suffit pas à s’en rendre maître. Personnellement, lorsque j’entends « droits des femmes », je sors mon Manurhin. Voici pourquoi je ne vous fais pas la liste exhaustive des droits des femmes, mais seulement, en forme de code, de quelques éléments qui viennent naturellement à l’esprit : Petit code des droits des femmes : - Article 1. Droit des femmes… de tuer l’enfant qui sommeille en leur sein : ils ont nommé ça dépénalisation de l’avortement. C’était perfide. Aujourd’hui ils parlent ouvertement du droit à l’avortement. Un droit exercé par la femme seule, quel que soit son âge, sous l’influence insistante de militants fanatiques. Ils considèrent que l’embryon humain, c’est le corps de la femme ! - Article 2. Droit des femmes… d’éteindre dans leur ventre toute capacité procréative : ils nomment ça droit à la contraception libre et gratuite. Ils revendiquent pour les femmes seules la maîtrise de la procréation et y voient une merveilleuse révolution anthropologique. - Article 3. Droit des femmes… de divorcer librement, c’est-à-dire de répudier leur mari ad nutum (d’un froncement des sourcils). - Article 4. Droit des femmes… à une sexualité libre, même si elles sont mariées, c’est-à-dire dépénalisation de l’adultère et droit de tromper son mari à volonté. - Article 5. Droit des femmes… de faire éloigner du domicile le conjoint violent, physiquement ou même moralement, ou qui se livre à du harcèlement moral. Autrement dit possibilité de chasser manu militari le mari de sa maison, pour un oui ou pour un non. - Article 6. Droit des femmes… de refuser tout commerce avec le mari. Il peut être condamné pour viol ou pour harcèlement sexuel s’il insiste. - Article 7. Droit des femmes… de se défendre contre le mari par le meurtre et l’assassinat. L’opinion publique est systématiquement mobilisée contre les juges qui condamnent les meurtrières. Nos présidents les gracient et nos jurés les acquittent ou ne les condamnent que symboliquement. - Article 8. Droit des femmes… sur les enfants, à qui elles peuvent transmettre leur nom. - Article 9. Droit des femmes… de priver les enfants de leur père. Par le rapt lors de la séparation et par la procédure de divorce. Par contre le mari doit payer une rançon (sans pour autant retrouver ses enfants). - Article 10. Droit des femmes… de vivre avec un homme sans être mariées. C’est la reconnaissance des droits de la concubine. - Article 11. Droit des femmes… de se marier avec qui elles veulent, sans l’accord de leurs parents. - Article 12. Droit des femmes… de se livrer à la débauche, dès le plus jeune âge, y compris contre rémunération en tant que « travailleuses du sexe ». Avec, pour les partenaires masculins, le risque imprescriptible d’être accusés un jour de viol. Il suffit que la séductrice prétende qu’elle était dissociée, ou sous emprise, ce qui invalide rétroactivement son consentement. - Article 17. Droit des femmes… d’hériter entièrement de leur défunt mari, même si elles ne sont pas leurs parentes et contre ses parents à lui. - Article 18. Droit des femmes… de devenir ou de se sentir homme. Et d’être reconnues comme telles. D’épouser une femme, d’avoir des enfants entre elles, sans père. C’est ce qu’ils entendent en prononçant de leurs langues fourchues les mots droits-des-femmes. Pour choquant que cela soit, c’est indéniable. Ces droits brisent nos sociétés occidentales comme ils prétendent briser les vôtres. Aussi croyons-nous pouvoir au nom de la tradition d’Occident vous dire toute notre sollicitude. Puissiez-vous tenir et par votre exemple jeter chez nous les germes d’un monde restauré. Très cordialement, » On dirait qu’entre tous les fous mondialistes, il y a une sorte de compétition à qui serait le plus fou. On a trouvé le plus fou : le Premier ministre australien, qui confine 400 000 personnes pour UN cas de covid delta. Cela montre clairement aux vaccinés que la raison et le but de la répression ne sont pas sanitaires, mais bien politiques : les gouvernements, qui avaient perdu la main sur les gens depuis l’avènement du Net, ne sont plus là pour faire le bien, mais le mal. Le pass a aussi achevé un 7e art qui agonisait depuis longtemps déjà. Bilan des courses : la démocratie (franc-maçonne) est morte, bon débarras ; le cinéma est mort, fin des navets progressistes ; le travail est mort, vive la révolution ! Les communistes (socialistes excessifs) actuels veulent voler les autres par l’intermédiaire du gouvernement et en revendiquant le statut de groupe de victimes. Ils travaillent main dans la main avec les politiciens et les oligarques des multinationales qu’ils disent mépriser. Les gouvernements et les entreprises le font parce qu’ils peuvent utiliser la foule marxiste comme une arme sociale pour faire peur à leurs adversaires idéologiques (les conservateurs), et ils le font parce qu’ils peuvent se nourrir des restes de la table des grands en utilisant le gouvernement pour les redistribuer de force dans leurs propres poches. C’est une sorte de gagnant-gagnant, du moins pendant un certain temps. Finalement lorsqu’ils ne sont plus utiles, ceux d’en bas sont cloués au mur, envoyés au goulag ou abandonné à la mort de faim comme lors de l'Holodomor. Les politiques actuelles dans de nombreuses régions du monde donnent la priorité au changement climatique pour réaliser une nouvelle donne verte. Pendant ce temps, ces politiques contribueront à ce que des enfants meurent de malnutrition sévère en raison de systèmes alimentaires défaillants, avec des pénuries de nourriture et d’eau, du stress, de l’anxiété, de la peur et une exposition à des produits chimiques dangereux. Accroître la pression négative sur les agriculteurs et le système alimentaire revient à provoquer une catastrophe. Le système immunitaire de nombreuses personnes, notamment des enfants, a perdu sa résilience et s’est trop affaibli, avec des risques élevés d’intoxication, d’infections, de maladies non transmissibles et infectieuses, de décès et d’infertilité. Les agriculteurs néerlandais, dont beaucoup seront confrontés à une crise du coût de la vie après 2030, ont tiré un trait. Ils sont soutenus par un nombre croissant d’agriculteurs et de citoyens du monde entier. À la suite des nouvelles limites d’azote qui obligent les agriculteurs à réduire radicalement leurs émissions d’azote jusqu’à 70 % au cours des huit prochaines années, des dizaines de milliers d’agriculteurs néerlandais se sont soulevés pour protester contre le gouvernement. Les agriculteurs seront contraints d’utiliser moins d’engrais et même de réduire le nombre de leurs animaux, dans certains cas jusqu’à 95 %. Pour les petites exploitations familiales, il sera impossible d’atteindre ces objectifs. Nombre d’entre elles seront contraintes de fermer leurs portes, y compris des personnes dont la famille est agricultrice depuis huit générations. Le Sri Lanka, un pays dont le leader politique a introduit une politique de zéro émission d’azote et de CO2, est aujourd’hui confronté à des problèmes économiques, à une faim sévère et à des difficultés d’accès à la nourriture suite à une décision politique interdisant aux agriculteurs d’utiliser des engrais et des pesticides. Pourtant, les politiciens responsables des émissions d’azote et du changement climatique dans d’autres pays poursuivent la même politique verte. En outre, les experts préviennent que la chaleur, les inondations, la sécheresse, les incendies de forêt et d’autres catastrophes ont causé des ravages économiques, et que le pire est à venir. Les pénuries d’eau et de nourriture ont fait la une des médias. En plus de cela, les experts australiens annoncent un risque d’épidémie d’une maladie virale chez le bétail. L’économie australienne pourrait en pâtir à hauteur de 80 milliards de dollars australiens et les problèmes de chaîne d’approvisionnement seraient encore plus réels. D’innombrables entreprises et producteurs font faillite. Le tribut émotionnel qu’ils doivent payer pour euthanasier leurs troupeaux en bonne santé est immense et difficilement supportable. Cela pousse de plus en plus d’agriculteurs à mettre fin à leur vie. Ce ne sont pas les agriculteurs qui sont les plus gros pollueurs de l’environnement, mais les industries qui fabriquent les produits nécessaires à une révolution technocratique vers l’énergie verte, l’extraction de données et l’intelligence artificielle. Or l'énergie verte pourrait être un leurre pour revaloriser le pétrole au profit des oligarchies puisque sa demande risque de devenir prochainement encore plus massive qu'avant. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Un changement d'époque » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-changement-d-epoque-62564.htm Plus les plans du FEM de Davos sont mis en œuvre par les politiciens, plus les inégalités sociales se creusent et plus les conflits se multiplient dans le monde, surtout depuis que la pandémie Covid a été mise en place. « Le phénomène COVID ne peut être compris sans comprendre l’effondrement financier sans précédent qui menace l’ensemble du système financier mondial. L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique. Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire. Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de “reconstruire une société meilleure” conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes. Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement est régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée. Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable. L’activation de la fraude COVID est devenu nécessaire lorsque les marchés mondiaux ont été confrontés à une crise aiguë de la dette à l’automne 2019, crise qui est apparue sur des marchés auparavant essentiellement liquides : les marchés des pensions, les marchés monétaires et les marchés des changes. Les gouvernements occidentaux se sont précipités pour sauver ce système en décomposition, endiguer ce glissement de terrain cataclysmique, renflouer les investisseurs à grande échelle et installer de manière proactive une infrastructure de sécurité afin de contrôler l’inévitable désordre social résultant de cet effondrement. Cette opération serait suivie d’une réinitialisation financière mondiale, après une période d’hyperinflation, détruisant à la fois la valeur de la dette et les créances papier correspondantes. Le système financier était déjà à un stade avancé de déclin à l’automne 2019, comme l’illustre la prise de contrôle du marché Repo par la Fed en septembre pour court-circuiter la Repocalypse. Cet effondrement a commencé pour de bon en 2008/09 et les tentatives des quinze dernières années pour sauver ce système économique corrompu n’ont fait que retarder l’inévitable. À l’automne 2019, la crise a recommencé à s’étendre rapidement. Une baisse spectaculaire de la production industrielle a caractérisé la crise bancaire d’août 2019 – la crise dite du Repo – lorsque les banques ont commencé à refuser les titres de la dette souveraine américaine comme garantie pour les prêts au jour le jour, obligeant la Réserve fédérale à intervenir et à imprimer de l’argent pour couvrir cette pénurie massive. Le marché Repo est le marché sur lequel les banques empruntent de l’argent chaque jour afin de disposer d’un certain pourcentage d’actifs liquides à la fin de chaque journée pour pouvoir répondre à certaines exigences fiduciaires. Vers la mi-septembre, la Fed a commencé à injecter 10 à 20 milliards de dollars par jour sur le marché des pensions pour maintenir les taux d’intérêt à un bas niveau, afin que les banques puissent emprunter l’argent nécessaire pour rester en activité. Cependant, ce n’était toujours pas suffisant. Début mars, la Fed injectait 100 milliards de dollars sur le marché Repo afin d’endiguer cette crise majeure. Tout le monde à Wall Street était chargé d’une énorme dette et retenait les liquidités américaines afin d’assurer le service de cette dette, refusant de financer les achats de devises étrangères, puis de devises américaines, alors que le marché Repo se bloquait à un taux d’intérêt de 10 % sur les prêts Repo au jour le jour. Les obligations du Trésor américain et même les billets de banque américains étaient rejetés comme garantie pour les opérations de pension. En mars 2020, la crise de liquidité s’est propagée des marchés des courtiers primaires (les banques TBTF et les fonds spéculatifs ont été renfloués en septembre) vers toutes les autres actions, matières premières, obligations, obligations adossées à des prêts, titres adossés à des prêts hypothécaires, fonds communs de placement, fonds négociés en bourse, ainsi que divers systèmes de Ponzi tels que les produits dérivés structurés, négociés sur des plateformes propriétaires représentant jusqu’à plusieurs milliers de milliards de dollars. Lorsque les bons du Trésor américain sont devenus illiquides en raison de la croissance exponentielle de la dette publique – mais surtout privée – en dollars, alors même que la FED absorbait les liquidités des marchés financiers, l’enfer s’est déchaîné. Le château de cartes qui s’écroulait depuis six mois n’a pas pu être arrêté, si bien que l’hystérie du COVID a été fabriquée pour couvrir ce qui représente 10 à 15 000 milliards de dollars de renflouement de la FED en espèces et en actions via les opérations permanentes d’open market (POMO) – une façon élégante de dire que la FED achète des bons du Trésor, injecte de l’argent sur les marchés financiers et donne des garanties de valeur des garanties utilisées dans les produits dérivés structurés. Le tour final, actuellement en cours, consiste pour les banques centrales (Fed) à racheter toutes les dettes toxiques et sans valeur des fonds spéculatifs et des banques, y compris les 1,5 quadruple milliards de produits dérivés, puis à transférer la dette au Trésor public en tant que dette souveraine. Ils imprimeront ensuite de l’argent à l’infini, ce qui est déjà en cours, pour assurer le service de cette dette fictive afin de faire couler le dollar via l’hyperinflation, puis saisiront les États-Unis et tous les autres détenteurs de dettes en dollars sans valeur. C’est ça le tour : une hyperinflation mondiale pour vaporiser les actifs des masses et des États afin de remettre les actifs publics aux investisseurs privés. Cela permet à la classe dirigeante d’éponger les biens (petites entreprises en faillite, maisons saisies, etc.) afin de s’approprier sans limite tout ce qui existe dans le monde. L’arrivée de l'urgence” Covid-19 a fourni la justification et l’opportunité de geler l’effondrement bancaire américain par des injections massives de liquidités. Quelque 8 à 10 trillions de dollars ont été versés aux banques américaines jusqu’en mars 2020, avec un stimulus économique supplémentaire de 5 trillions de dollars promis par la Fed. L’opération Covid fut donc le cheval de Troie pour inaugurer le nouvel ordre mondial. En effet alors que la nécessité immédiate était de stopper l’hémorragie du système financier mondial, de nombreux autres objectifs étaient et sont servis par cette opération à multiples facettes. Rien de tout cela n’est accidentel. Tout cela est caché au grand jour, planifié et exécuté, comme en témoignent de multiples exercices de simulation tels que “Event 201” et de nombreux documents tels que “l’Agenda 2030 pour le développement durable”. L’opération Covid elle-même couvre de nombreux objectifs : Préemption et le camouflage des raisons de l’implosion économique susmentionnée ; Accélération du plus grand transfert de richesse vers le haut de l’histoire humaine ; Justification et ancrage de l’État de biosécurité, y compris la surveillance par l’IA dans de multiples secteurs de la société ; Renforcement et enrichissement du cartel des technologies de pointe, par le biais d’applications de suivi, de la prolifération et de la normalisation des médias sociaux et des plateformes de communication en tant qu’intermédiaires” dans tous les domaines de la vie. Evolution de toute la vie sociale vers l’impératif technologique – les repas commandés via DoorDash, les réunions sur Zoom, l’augmentation des dépenses via Visa/MasterCard en commandant des biens en ligne avec Amazon, les films via Netflix, etc. ont tous été imposés à un public mondial crédule et largement soumis pendant la tyrannie Covid ; Création de “la pandémie” comme mécanisme financier. Les pandémies fabriquées sont devenues des opportunités d’investissement gigantesques qui augmentent la richesse des milliardaires et consolident davantage leur pouvoir ; Expansion de l’industrie de la santé publique dans tous les domaines de la vie publique et économique. L’industrie de la santé est désormais directement liée aux marchés mondiaux et aux conglomérats financiers et est devenue l’un des instruments financiers les plus importants pour les investisseurs ; Création d’un système de “gestion de la santé” bio-médical entièrement nouveau et lucratif afin d’introduire et de codifier un modèle médical bio-technique en mettant l’accent sur des “vaccins” ARNm téléchargeables “révolutionnaires” ; Expansion et normalisation de l’utilisation des cartes d’identité numériques, y compris les passeports vaccinaux, en les reliant à une monnaie numérique de la Banque centrale (CBDC) ; Système de revenu de base universel (UBI), permettant de suivre les achats, les interventions médicales, les “choix de vie”, etc. pour nous inciter à adopter les comportements “souhaités” ou nous exclure complètement du système, à leur gré ; Réorganisation, privatisation et réduction des services publics sous le prétexte de les rendre “plus agiles” pour les “urgences publiques” ; Conditionner le public à des “états d’urgence” perpétuels pour le préparer à la mise en œuvre de “l’Agenda 2030 pour le développement durable”. Nous vivons le plus grand crime organisé mondial depuis la Seconde Guerre mondiale. Certains l’ont compris. D’autres sont encore endormis ou traumatisés, alors que le tissu social est réduit en miettes et que le monde qui les entoure est complètement transformé. Les élites financières savent qu’elles ont accumulé d’énormes dettes et déficits impayables. Elles savent que les promesses de retraites et d’avantages sociaux ne pourront pas être payées. Elles savent que le système a atteint son Waterloo et que l’agitation sociale est inévitable. Ils savent qu’ils doivent agir rapidement et de manière globale pour détourner cet effondrement afin de protéger le Léviathan financier dont dépend leur capacité à maintenir leur pouvoir et leur contrôle. En d’autres termes, le Covid-19 n’était pas une urgence médicale généralisée, mais un système de blanchiment d’argent, une opération psychologique de masse et un écran de fumée pour une révision et une restructuration complètes de l’ordre mondial social et économique actuel. » (Extraits de l'excellent article « COVID-19 : Une opération financière mondiale » à l'adresse https://strategika.fr/2023/01/19/covid-19-une-operation-financiere-mondiale/) Le pouvoir, après s’être attaqué au prolétariat par la désindustrialisation et le chômage, s’attaque maintenant à la classe moyenne par une violente inflation et une retraite écourtée. Le bras de fer a commencé : jusqu’où iront les syndicats ? Le blocage national ou la négociation de subventions ? Oseront-ils voter un jour contre Macron et sa clique ? A 64 ans, déjà pas loin d’un tiers des hommes les plus pauvres sont déjà partis dans l’au-delà. Résultat logique, il y a des milliers de Français qui vont mourir au travail, pendant leur période d’activité, et ce ne sera pas des accidents du travail, mais bien une élimination programmée. La bourgeoisie, après les déconvenues de 1936 et 1945, a laissé tomber le prolétariat qui passait son temps à réclamer, grignotant le taux de profit, pour faire alliance avec la classe moyenne, plus sage. Ce sera les Trente Glorieuses. Notre pays a abandonné la production pour les services, les ouvriers sont devenus des fachos et ont été remplacés dans le cœur de la bourgeoisie par les employés du tertiaire, plus serviles, qui n’ont pas soutenu les Gilets jaunes. Aujourd’hui, la bourgeoisie n’a plus besoin de la classe moyenne pour maintenir son taux de profit. Elle s’en débarrasse comme elle s’est débarrassée du prolétariat. La baisse du niveau de vie de 80 % des Français est programmée. Chaos social ? Non, chaos libéral. Or le nihilisme idéologique affirmant que l'humanité a déjà creusé sa tombe se trompe, car de nombreuses données quantifiables montrent que l’humanité dans son ensemble obtient en réalité plus de résultats avec moins de ressources au fil du temps. À presque tous les égards, notre travail d’amélioration de la condition humaine et de gestion de l’environnement s’améliore, et non se dégrade. Malgré l’augmentation de la population au cours des deux derniers siècles, nous tirons une plus grande abondance et prospérité de moins de matières premières. Nous ne tenons pas compte des gains d’efficacité. De plus, s’il y a une chose sur laquelle presque tous les démographes s’accordent, c’est que la croissance de la population humaine atteindra un pic vers le milieu du siècle, puis connaîtra un déclin séculaire. Selon la réalité que l’esprit n'émerge pas de la matière, mais l'inverse, l’IA ne sera jamais réellement atteinte, et il faut donc abandonner l’hypothèse selon laquelle elle surgira, sera plus maligne que nous et décidera ensuite d’éradiquer l’humanité. En fin de compte, les mouvements de ce type échoueront parce qu’ils refusent obstinément de comprendre les motivations et les incitations humaines fondamentales : le désir de vie, de prospérité et de croissance. La plupart de ces aspirations collectivistes vont à l’encontre de la nature humaine et exigent en fin de compte de leurs adeptes qu’ils agissent à l’encontre de leur propre intérêt rationnel, voire qu’ils se détruisent eux-mêmes. « Certains suggèrent qu’il n’y a rien à faire sur le plan économique, si ce n’est se préparer et attendre l’effondrement pour pouvoir reconstruire une fois la poussière retombée. Et puis il y a ceux qui pensent qu’une approche politique est possible. Après que près de la moitié des États américains aient bloqué les obligations et les confinements Covid, je commence à penser que des solutions au niveau des États pourraient être viables. Ensuite, il y a ceux qui veulent construire un système alternatif, une économie parallèle qui rivalise avec l’économie traditionnelle. C’est quelque chose dont je discute depuis longtemps et c’est la raison pour laquelle j’ai lancé Alt-Market il y a 12 ans. C’est la solution idéale car elle est proactive. Au lieu d’attendre que d’autres personnes résolvent la crise pour nous, les gens ordinaires établissent simplement leurs propres systèmes de commerce et de production basés sur les nécessités, se séparant de l’économie mourante de sorte que lorsqu’elle s’effondre, ils ne sont pas affectés. Il s’agit cependant d’une solution à court terme, car une production nationale à grande échelle est finalement nécessaire pour ramener un pays et son économie à une plus grande prospérité. Cultiver des jardins, fabriquer des articles d’échange et créer des marchés de troc locaux n’est qu’un moyen de résister à la tempête ; ce n’est pas une voie à long terme vers la santé financière. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une production locale à grande échelle de produits de première nécessité, ainsi que de la découverte de nos propres ressources nationales. Afin de lutter contre le déclin monétaire, les États-Unis doivent à nouveau produire la majorité de leurs propres biens. Si le problème est que trop d’argent court après trop peu de biens, alors nous pouvons produire nos propres biens ici, chez nous, au lieu de dépendre de pays comme la Chine et de la chaîne d’approvisionnement mondiale instable. Mais qu’en est-il s’il existe une réponse au-delà de la seule production nationale ? Et si nous construisions une économie qui se concentre sur la QUALITÉ ? C’est une notion qui a pu être suggérée par d’autres, mais qui n’est certainement pas promue par un économiste du courant dominant ou un représentant politique. L’économie de la qualité comme moyen de lutter contre l’inflation ? Réfléchissez-y un instant : Que se passerait-il si les producteurs à domicile recevaient des incitations de la part de l’État (comme une réduction d’impôts) pour fabriquer des biens durables et de haute qualité ? Il existe de multiples raisons pour lesquelles ce modèle n’est pas utilisé, toutes fallacieuses. Mais qu’en est-il de la nourriture, qui constitue une part importante du problème de l’inflation ? En fait, le gouvernement fédéral paie les agriculteurs pour qu’ils produisent MOINS de nourriture afin de maintenir les prix élevés sur les marchés des matières premières. Pourquoi ne pas simplement arrêter de le faire ? Ou, encore une fois, les États pourraient offrir des incitations fiscales aux agriculteurs qui produisent dans le but de faire baisser les prix, et les gouvernements des États pourraient proposer d’acheter les aliments excédentaires à long terme comme le blé comme une forme de réserve stratégique. L’Amérique avait l’habitude de faire cela ; pourquoi ne le faisons-nous plus ? Et qu’en est-il du logement trop cher ? C’est simple : interdire les achats de biens immobiliers par des étrangers et ne permettre qu’aux citoyens américains d’acheter des terrains américains. Les citoyens américains ont le droit à la propriété privée en vertu de la constitution. Les investisseurs étrangers et les gouvernements n’ont pas ce droit. Le but de chacune de ces politiques serait de libérer l’offre sans tuer le pouvoir d’achat du dollar et sans écraser délibérément les marchés du crédit et déclencher des pertes d’emplois massives. Ma suggestion est que nous contournions entièrement l’establishment et que nous créions notre propre modèle économique, toujours basé sur la propriété privée mais également adapté à une production de qualité. Et que nous fabriquions tous nos biens localement, dans nos propres États et notre propre pays. Je crois que cela mettrait fin à l’inflation, pas seulement aujourd’hui, mais pour toujours. L’establishment permettra-t-il à un tel système de prospérer ? Ils essaieront certainement de l’empêcher de se produire en utilisant tous les moyens à leur disposition. La décentralisation et l’abondance sont les ennemis de l’autoritarisme. Ce que je veux dire, c’est qu’il y a effectivement une solution. Nous n’avons pas besoin de l’intervention de la Fed. Nous n’avons pas besoin de taux d’intérêt élevés. Nous n’avons pas besoin de stimulus. Nous n’avons pas besoin d’oppression gouvernementale ou d’interventions étrangères. Nous n’avons pas besoin de centralisation globaliste ou d’un Grand Reset. Nous n’avons besoin de rien de tout cela. Ils essaieront de vous convaincre que nous en avons besoin. Quoi qu’il arrive, le public doit être informé qu’il existe une meilleure solution. » (Extraits de l'article « Existe-t-il un moyen d’arrêter l’inflation sans écraser l’économie et tuer le dollar ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Existe-t-il-un-moyen-d-arreter-l-inflation-sans-ecraser-l-economie-et-tuer-le-dollar-71067.html) « Les États-Unis sont une oligarchie et non une démocratie. C’est cette oligarchie qui a tout intérêt à mettre le feu aux poudres, là où les gens se battent pour des questions de droits civiques, de race, de prévalence sexuelle et non pour des droits sociaux, pour des droits qui assurent une qualité de vie, une redistribution des revenus et garantissent un pouvoir associé. Les Européens seraient ainsi bien avisés de lâcher les liens transatlantiques, surtout que les Américains sont destinés à subir une contraction continue de leur actuelle puissance mondiale tandis qu’à l’intérieur de leur propre pays, ils paniquent de plus en plus à propos de tout, sauf de l’inégalité sans cesse croissante, une maladie mortelle pour toute société. Une grande partie de la phénoménologie perverse, brièvement décrite ici, a déjà infecté nos sociétés. Du mondialisme-néolibéralisme aux gémissements unidimensionnels sur les droits civils et non sur les droits sociaux qui excite la réaction traditionaliste, toute l’imagerie qui percole des séries télévisées et du cinéma, tout l’Internet et la logique du social qui découle d’un comportementalisme précis, ont déjà contaminé nos sociétés. Cette déchéance graduelle découle d’un milieu psycho-culturel comportementaliste précis inintelligent, de la résurgence en Europe et en Italie de la production et du commerce des armes, de la destruction de la démocratie déjà programmée depuis le début des années 1970, de la démagogie, de l’ignorance agressive, du déclin qualitatif drastique des élites, de l’absence d’une culture de l’information, de la disparition de la fonction intellectuelle, du simplisme, de l’enthousiasme infantile pour la technologie, de la foi irrationnelle dans le rôle de la technologie, des épidémies de solitude sociale et de dépression, de la toxicomanie, de la plastification des corps et de la manipulation des neurones. La crise du centre anglo-saxon du système occidental irradie depuis longtemps l’ensemble de la civilisation, même là où l’anthropologie culturelle, sociale et historique serait tout à fait différente sans cette imprégnation continue. Il conviendrait de commencer à préparer un divorce, une bifurcation des destins, une refondation de l’être occidental qui referme la parenthèse anglo-saxonne. Traverser des périodes complexes avec ces personnes à la barre pourrait être très dangereux. Puisque dans le système économicocratique tout problème est une source de profit possible, voici qu’est prêt le jeu de société simulant la deuxième guerre civile américaine avec Captain America contre Iron Man. C’est également ainsi que sont créées les hypothèses mentales de l’image du monde, en « gamifiant » les conflits sociaux. » (Conclusion de l'article « Les Américains sombrent dans le chaos » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/09/les-americains-sombrent-dans-le-chaos/) L’État américain n’est qu’une coquille pour un conglomérat d’énormes sociétés qui dirigent le pays et tentent de dominer le monde. Pour les multinationales, même les présidents américains ne sont que des figurants qu’on peut faire taire, comme Trump. La réglementation juridique internationale actuelle des activités économiques des sociétés multinationales est formée dans l’intérêt des sociétés elles-mêmes et avec leur participation directe. Son changement en faveur des intérêts nationaux des pays est torpillé. Dans les conditions de changements cardinaux dans le monde, l’objectif des entreprises est de préserver le système d’exploitation mondiale. Il est dirigé par une élite d’hommes d’affaires qui ne s’associent à aucun État. En dessous se trouvent les pays dits développés du monde, ainsi que le « milliard d’or ». Et puis le reste de l’humanité, qualifié avec mépris de « tiers monde ». À cet égard, les Occidentaux cherchent à affaiblir la Russie, à la démembrer, à la détruire ainsi que la langue russe et le monde russe. Ils ont depuis longtemps mis au point la technologie permettant de saper leurs rivaux de l’intérieur et de les diviser en petits États. C’est ainsi qu’ils agissaient auparavant, lorsque, par exemple, Londres, à la suite des résultats de la Première Guerre mondiale, a effondré des empires et a éliminé des dizaines de pays. C’est ainsi qu’ils fonctionnent aujourd’hui. Un excellent exemple est la Yougoslavie : ayant eu une voix indépendante sur la scène internationale, l’État est désormais divisé en six. La forte révolte des agriculteurs aux Pays-Bas est un appel à une transition urgente vers un monde orienté vers les personnes, libre et sain, avec des aliments nutritifs cultivés et récoltés dans le respect des processus naturels. La coopération des gens ordinaires dans le monde entier est en hausse pour empêcher une catastrophe de famine de masse causée par le plan du scientisme et de la technocratie voulant diriger et contrôler le monde par des scientifiques et des élites non élus. La malnutrition est responsable de plus de problèmes de santé que toute autre cause. « La malnutrition n’est pas seulement influencée par la pénurie de nourriture et d’eau, mais aussi par l’exposition à un stress extrême, à l'insécurité, à la peur, à la sécurité de la nourriture, à des facteurs sociaux, aux produits chimiques, aux microplastiques, aux toxines et à la surmédicalisation. Aucun pays au monde ne peut se permettre de négliger cette catastrophe sous toutes ses formes, surtout qu'elle touche principalement les enfants et les femmes en âge de procréer. À l’échelle mondiale, plus de 3 milliards de personnes n’ont pas les moyens de se nourrir sainement. Et cela va à l’encontre de ce que beaucoup de gens pensent être un problème propre aux pays à faible revenu. Comme l’a déclaré Lawrence Haddad, le coprésident du groupe d’experts indépendants du Rapport mondial sur la nutrition, « nous vivons désormais dans un monde où être malnutri est la nouvelle normalité. C’est un monde que nous devons tous revendiquer comme totalement inacceptable ». Alors que la malnutrition est le principal moteur de la maladie avec près de 50 % des décès causés par des maladies non transmissibles liées à la nutrition en 2014, seulement 50 millions de dollars de financement des donateurs ont été accordés pour lutter contre dont par des campagnes de préventions. La malnutrition sous toutes ses formes impose des coûts élevés inacceptables (directs et indirects) aux individus, aux familles et aux nations. L’impact estimé sur l’économie mondiale de la sous-alimentation chronique de 800 millions de personnes pourrait s’élever à 3 500 milliards de dollars par an, comme l’indiquait un rapport mondial sur la nutrition en 2018. Alors que les décès d’enfants, la mortalité prématurée des adultes et les maladies infectieuses et non transmissibles liées à la malnutrition sont évitables avec une nutrition adaptée. Selon diverses études sur les femmes enceintes victimes de famine, les famines ont même des effets transgénérationnels sur les enfants : syndrome métabolique, maladie cardiovasculaire, schizophrénie, insuffisance rénale, hypertension, modifications du système endocrinien et de l’expression génique prénatale dans les systèmes reproducteurs. Des rapports choquants de l’ONU et de l’OMS reconnaissent que la santé des personnes et de l’environnement est en déclin. Le monde recule dans l’élimination de la faim et de la malnutrition. Le véritable danger est que ces chiffres augmentent encore dans les mois à venir. La vérité est que les hubs d’innovation alimentaire, les appartements alimentaires (agriculture verticale), les viandes artificielles et les manipulations génétiques et mentales ne pourront pas s’attaquer à l’état déprimant auquel l’humanité est confrontée. La politique du zéro-covid a mis l’humanité en danger dans son existence. Nous devons agir maintenant pour faire baisser immédiatement les prix des denrées alimentaires et des carburants en soutenant les agriculteurs et les systèmes alimentaires efficaces pour que les aliments nutritifs guérissent les personnes les plus mal nourries (enfants et femmes en âge de procréer) de la population. Espérons un retour du principe d’Hippocrate : Que la nourriture soit ta médecine et la médecine ta nourriture. » (Extraits de l'article « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, pas de vie » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/05/pas-dagriculteurs-pas-de-nourriture-pas-de-vie/) Il y a deux façons de voir la vie : ou bien vous regardez un être humain comme étant fait à l’image de Dieu, cela veut dire que sa vie est sacrée ; et si vous avez une vie sacrée, alors vous avez des droits humains. Or si vous avez des droits humains, ce n’est pas vos affaires ou mes affaires de décider combien de personnes devraient être sur la planète ou qui devraient vivre ou mourir.L’autre vision de la vie, l’autre système, appelons ça le système eugéniste de Darwin ou/et de Davos, mais en réalité ça remonte à très loin. C’est le système qui dit que les ultra riches et sionistes sont son sommet dominant la vie. Ce qui inévitablement amène à trois catégories de personnes : l’Übermensch, le Mensch et l’Untermensch. Si vous appliquez ça il y a 80 ans, les Übermensch étaient les nazis qui se disaient descendants des dieux aryens ; ils estimaient que c’était leur prérogative, leur droit, de décider qui vit ou mort. Les Mensch étaient les anglo-saxons, c'est à dire les Européens qui pouvaient vivre mais en tant qu'esclaves. Et les Untermenschen, c'est à dire les Juifs, les Slaves, les handicapés, les gitans, les prisonniers politiques, ceux-là devaient devenir de la poussière. Cela ressemble à de gentilles fadaises, mais cela a tué 60 millions de personnes. Et c’est exactement la même chose qui se passe en ce moment, sauf que ce n’est pas antisémite. En effet aujourd’hui, c’est complètement différent : il y a un groupe de personnes qui ont le sentiment d’avoir évolué à un niveau de conscience le plus élevé, et qui dans leur nouvelle intelligence, et leur nouvelle perspicacité, leur permet de déterminer des choses similaires. Or ils n'ont pas évolué, ce sont aussi de diaboliques païens. Ils sont devenus les mamzers dans la Torah (des adorateurs de Moloch). Il n’y a pas de différence. Nous sommes dans une troisième guerre mondiale contre la malfaisance à un niveau certainement jamais vu dans l’histoire de l’humanité, puisque le ploutocratique mondialisme américano-sioniste sacrifie même des enfants par des vaccins dangereux pour eux alors qu'ils ne sont pas touchés par le covid. De même la prétendue démocratie entourée de pays islamistes que serait Israël n'est en réalité qu'une théocratie racialiste favorisant seulement les élites prétendues juives. Surtout que l'apartheid israélien étatique contre les palestiniens est plus dur que le fut l'apartheid sud africain étatique contre les noirs. En effet l’État d’apartheid israélien est plus sadique, cruel, génocidaire, vicieux, fasciste et inhumain. Pourquoi y a-t-il eu des sanctions contre l’apartheid de l’Afrique du Sud tandis qu’aujourd’hui les gouvernements européens prennent au contraire des mesures pour criminaliser les mouvements non violents de boycott, de désinvestissement et de sanctions (BDS) qui luttent pour la liberté, la justice et l’égalité des droits du peuple palestinien souffrant actuellement de l'apartheid israélien ? D'autant plus qu'auparavant les manifestations publiques contre l’apartheid sud africain faisaient partie de la vie universitaire et le boycott était respecté et promotionné. Les médias libres occidentaux critiquant la politique d’apartheid d’Israël et du cabinet d’extrême droite sont fréquemment accusés d’antisémitisme, alors que l'Occident se prétend démocratique et les Israéliens et les juifs sont eux-mêmes nombreux à dénoncer depuis des années la chute de l’entité sioniste dans le fascisme. Dans ce sens, il est aussi important de tendre à boycotter l'oppressif, belliqueux, Lgbtiste, wokiste, sioniste et oligarchique hegemon américain. Désormais, il est tyranniquement interdit de boycotter Israël sous un ridicule prétexte de lutte contre l'antisémitisme, alors que le boycott contre la Russie est encouragée médiatiquement. Il y a trois explications à cette énigme. Premièrement, les lobbies pro-israéliens de nombreux pays européens sont aussi efficaces que leurs homologues américains tout en étant moins voyants. Deuxièmement, il y a la culpabilité de l’Holocauste. La politique de certains pays, comme les Pays-Bas, à l’égard d’Israël, est toujours influencée par la culpabilité de ne pas avoir fait davantage pour sauver les juifs pendant la Seconde guerre mondiale. Troisièmement en rapport à ces deux première explications, et c’est le plus important, il y a la peur d’être traité d’antisémite. Mis en avant et manipulé par Israël et les lobbies israéliens ainsi que les mondialistes, le concept d’antisémitisme a oppressivement été élargi pour recouvrir non seulement la haine des juifs mais aussi la critique de l’apartheid israélien, des juifs mondialistes et du messianisme juif. Or au sein du mondialisme selon Pierre Hillard, un affrontement idéologique aurait lieu entre l'organisation de coopération de Shanghai cherchant progressivement un mondialisme multipolaire voulu par des messianistes juifs modérés (russes) basé sur une équité des intérêts de chacun, et le monde anglo-saxon cherchant hâtivement un mondialisme unilatéral voulu par des messianistes juifs extrémistes (américains) basé sur la maîtrise de toute chose laissant des miettes aux autres et devenant logiquement le plus grand risque de troisième guerre mondiale. C'est à dire que ces deux tendances finissent tout de même par une hégémonique domination mondiale des juifs, mais qui avec l'actuel axe russo-chinois sera rapidement perdue en faveur de l'hégémonie du monothéisme authentique dont à travers le retour de Jésus. Surtout qu'avec la fascination pour le pire se répandant au sein des peuples via la télévision, il ne serait pas étonnant que le fin des temps et donc l’avènement de l'Eden terrestre complété soient liées aux premières décennies ou au premier siècle de l'arme télévisuelle formatant les esprits, surtout vu l'actuel contexte impie, dangereux et auto-destructeur se répandant d'occident et d'Israël, mais aussi vu les bonnes armes culturelles que sont internet et le traitement de texte informatique permettant de trouver, pratiquer et répandre de grandes vérités nobles importantes voire inconnues. « Profitant de l’effondrement de l’Union soviétique et de l’effacement russe de la scène internationale durant la décennie 1990, les États-Unis ont tiré profit de cet avantage et de ce vide géopolitique pour multiplier les guerres directes et par proxy et les révolutions colorées pour mettre en place des régimes soumis en Afrique, en Europe, au Proche-Orient, en Amérique du Sud, en Asie. Ils ont imposé le dollar comme monnaie de référence internationale et leurs institutions supranationales par lesquelles ils ont appauvris, endettés nombre de pays du monde menacés par l’appareil militaire américain qui pratique la politique moderne de la canonnière. Cette agitation militaire, cette hubris n’a pas fait perdre le sens des réalités aux stratèges américains qui gardaient à l’esprit que cette domination mondiale avait pour première condition l’empêchement de l’émergence ou la réémergence de puissances rivales. Or la crise du covid marque la fin à venir de l’hégémonie des États-Unis. Leur économie est en dépôt de bilan, devenue fictive et réfugiée, pour l’essentiel, dans des places offshore échappant à toute réglementation bancaire internationale. La tête de pont du capitalisme est affaiblie par une dette totale qui se situait à hauteur de plus de 92 000 milliards de dollars au mois d’août 2022 ! Plus le capital des entreprises transnationales se concentre, plus leurs centres de décisions politiques et financiers accompagnent ce mouvement, possiblement selon le plan du Reste du WEF. Les États libéraux ne sont plus que les serviteurs endettés des intérêts financiers de ces grands propriétaires privés de l’économie et de la finance. La question qui est posée aujourd’hui aux cercles impérialistes des milieux politiques de Washington est celle de leur fin de règne sur le monde qu’ils rêvaient soumis à leur diktat. Le problème est qu’ils ne peuvent accepter que leur politique et leur loi soient remises en cause et ils sont prêts à tout pour s’accrocher à leur prétention hégémonique, quitte à déclencher un nouveau conflit de haute intensité. Leurs guerres sous toutes formes possibles (culturelle, diplomatique, économique, financière, militaire, médiatique) contre l’Europe aux fins de la diviser et de la séparer de son cœur, la Fédération de Russie, pour éviter qu’elle se retrouve en une grande puissance, le soutien à des organisations extrémistes en Ukraine et en Allemagne, l’accaparement par la guerre et la subversion de richesses des peuples comme en Irak, en Yougoslavie, en Libye ou en Ukraine, témoignent de leur agressivité. Celle-ci ne peut conduire qu’à une aggravation de la situation dans laquelle ils ont déjà plongé le monde. En ce sens, nous sommes entrés dans une nouvelle période qui est celle de la fin du monde unipolaire. Le danger est le suivant : nous avons d’un côté la Russie et la Chine qui souhaitaient un partage du monde à « l’amiable », une sorte de second Yalta sans trop d’effusion de sang, et de l’autre côté, les États-Unis qui ne veulent plus partager, qui sont devenus fous, et qui risquent de nous entrainer dans une guerre totale. La guerre qui est menée actuellement par l’Amérique contre la Russie ne se fait pas dans un cadre limité. L’objectif est de détruire complètement l’État russe. C’est une guerre d’anéantissement, une guerre totale que la Russie tente d’éviter ; d’où sa grande timidité militaire. Les autorités russes affichent leur crainte du déclenchement d’un conflit direct entre puissances nucléaires. La Russie joue sa survie, tandis que l’Amérique met en jeu son hégémonie mondiale. Vladimir Poutine l’a déjà dit clairement : si la Russie est menacée dans son existence, par un missile nucléaire, elle ripostera, et il n’y aura plus grand-chose à se partager dans ce monde. L’histoire de longue durée nous apprend une chose, aucun empire n’est éternel. Cela a été la grande naïveté, ou plutôt le fanatisme messianique de l’Amérique que de croire qu’elle était le dernier empire. Le monde multipolaire est la coexistence de plusieurs empires ou puissances, plusieurs grandes civilisations et centres économiques qui agrègent d’autres nations. Carl Schmitt avait très tôt prévenu que l’établissement d’un État mondial était une impossibilité. « Le caractère spécifique du politique entraîne un pluralisme des États. Toute unité politique implique l’existence éventuelle d’un ennemi et donc la coexistence d’une autre unité politique. Aussi, tant que l’État en tant que tel subsistera sur cette terre, il en existera plusieurs et il ne saurait y avoir d’État universel englobant toute l’humanité et la terre entière. Le monde politique n’est pas un universum, mais, si l’on peut dire, un pluriversum. Telle est la réalité implacable à laquelle se confrontent les États-Unis. Le seul espoir pour 2023 est que de plus en plus de personnes, y compris les membres des élites économiques, se rendent compte que ce gouvernement et la fausse opposition ruinent le pays, qu’ils n’ont aucun concept positif, mais qu’ils sont sur le point de détruire ce qui a été construit pendant des générations en termes de prospérité et de paix. » (Extraits de divers articles) En attendant suite à la sortie des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien (alors que cette énergie nucléaire vraiment seulement civile selon de nombreux observateurs pourrait faciliter le développement du proche et Moyen-Orient) et à leur isolationnisme participant à renforcer les unions continentales, le scénario mondialiste amène la France et l'Allemagne à s'unir pour définitivement créer le bloc Européen, comme il pousse à l'union politique ou/et commerciale des Amériques, de l'Afrique, de l'Eurasie et du Moyen Orient, si nécessaire après avoir réduit par des guerres certains pays en nations plus petites comme ce qui s'est passé pour la Yougoslavie. Surtout que cette tendance est confirmée à travers l'affrontement économique envers le monde déclenché par l'empire de Etats-Unis s'affaiblissant et à travers le risque d'une nouvelle future grande crise économique apparaissant cycliquement environ tous les 7 ans depuis trois décennies et qui sera probablement inédite dans son ampleur. En effet ces grands blocs précédant le gouvernement mondial et pouvant défavoriser les peuples aux profit de certaines oligarchies corrompues sont recherchés pour l'hégémonie financière, mondialiste et sioniste.
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