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Y) Suite 25 (1)

Or les évolutions faites en dollars/PPA (parité pouvoir d’achat) sur une courte période de 6 mois en 2022 sont toutes en défaveur des occidentaux et en faveur de leurs challengers eurasiatiques (y compris en faveur de la Russie). En clair, même le FMI est obligé de constater que les équilibres mondiaux sont en cours de bascule et que ce mouvement de bascule s’accélère. On peut débattre de tout sauf des chiffres. Si l’OTAN a vu 2 pays (Suède et Finlande) poser leur candidature pour rejoindre l’OTAN, pas moins de quinze pays ont exprimé leur intérêt pour rejoindre l’OCS. En clair, les pays membres de l’OCS vont creuser l’écart en PIB/PPA par rapport aux pays de l’OTAN sous le double effet d’un différentiel de croissance qui leur est favorable et des nombreuses demandes d’adhésion. La guerre en Ukraine qui affecte durement les économies occidentales et plus particulièrement européennes, et qui semble au contraire favoriser les économies des pays des BRICS et de l'OCS en particulier celle de la Russie, précipite donc la recomposition des grands équilibres économiques mondiaux au profit des BRICS et de l’OCS. La disparition de l’Union Soviétique laissait les États-Unis seuls maître du jeu, ouvrant la voie à un monde monopolaire sous l’hégémonie de ces derniers. Le trio États-Unis, OTAN et dollar leur a permis cette domination quasiment sans partage. Comme le disait de Gaulle : « La situation de monopole est la meilleure, surtout pour celui qui le détient... » Les décennies qsuivantes furent marquées par une politique étrangère américaine de plus en plus belliqueuse et de moins en moins diplomatique. Mais, dans la même période, le reste du monde ne restait pas figé. En 1970, la population occidentale représentait 25% de la population mondiale pour un PIB de 90% du total. Aujourd’hui, les chiffres sont tombés à 12% (Japon compris) et 40% pour le PIB. Cette évolution de la démographie et de l’activité économique est incontournable et influence la géopolitique mondiale. On ne peut, avec de tels chiffres, imposer un monde monopolaire qui serait dirigé par un pays (USA) dont la population ne représente que 4% de la population totale. De plus, peut-on encore parler d’un bloc occidental alors qu’on assiste à une main-mise des États-Unis sur l’Union Européenne via l’OTAN, ramenant les membres de cette dernière à l’état de vassaux ? Aujourd’hui, le dollar qui jouissait d’un quasi-monopole pour les échanges internationaux, n’est plus utilisé que pour 50% d’entre eux. Et cela n’est pas sans conséquence pour l’économie américaine. La FED, pour tenter d’enrayer l’inflation, augmente ses taux, ce qui affaiblit l’euro car la BCE, compte-tenu de l’endettement des pays de la zone euro, ne peut pas suivre ces augmentations. Les prix à l’importation de la zone euro augmentent considérablement, ce qui génère plus d’inflation et de perte du pouvoir d’achat. Pourtant, on continue comme si de rien n’était. Le temps travaille donc pour la Russie et l'OCS et contre l’Occident, alors que dans les années 1990 des efforts déployés par les États-Unis et l’OTAN ont tenté d’émietter la Russie. Ils y seraient probablement parvenus si Vladimir Poutine n’était pas arrivé au pouvoir en 2000. La puissance économique des pays BRICS et OCS progressant plus vite que celle des pays occidentaux, les budgets de défense suivront et l’écart se creusera désormais au profit de ces pays. Tout peut aller très vite d’autant qu’un élargissement de ces deux grandes organisations est à l’ordre du jour et qu’un effondrement économique de l’occident global n’est pas à exclure. Cette guerre OTAN-Russie ne peut, en aucun cas être gagnée par l’OTAN. Elle n’est pas prête à la faire autrement qu’en paroles ou en communiqués. Après trente années de désinvestissement, l’OTAN n’a ni les personnels, ni les matériels, ni les munitions, ni les réserves, ni la disponibilité technique opérationnelle, ni l’entraînement, ni le soutien suffisant des populations, ni la résilience économique et sociale, pour entreprendre et gagner une guerre de haute intensité contre la Russie et ses très puissants soutiens. La Russie peut donc prendre son temps car le temps va jouer en sa faveur en précipitant l’occident global dans des difficultés économiques et sociales et dans de fortes divisions, voire dans un effondrement des gouvernances en place et des révolutions. Ainsi les gilets jaunes, l’alternance politique en Suède et en Italie, la chute de deux premiers ministres britanniques, sont des signes de crise et de déclin qui va frapper l’occident tout entier. Dans ce processus de « syrianisation » de l'Europe, les bases militaires américaines pourraient devenir des centres idéaux pour régimenter et/ou « former » des escouades d'émigrés d'Europe de l'Est, dont la seule opportunité d'emploi, en dehors du commerce de la drogue et du trafic d'organes, sera de devenir des mercenaires impériaux, combattant tout centre de désobéissance civile émergeant dans une UE appauvrie. Il va sans dire que cette nouvelle armée modèle sera faussement sanctionnée par l'eurocratie de Bruxelles qui n'est que le bras de relations publiques de l'OTAN. Une UE désindustrialisée et empêtrée dans plusieurs couches d'intra-guerre toxiques, où l'OTAN jouera donc son rôle éprouvé de Robocop, est le scénario Mad Max parfait juxtaposé à ce qui serait, du moins dans les rêveries des straussiens/néo-conservateurs américains, un îlot de prospérité : l'économie américaine, destination idéale pour les capitaux mondiaux, y compris donc les capitaux européens. Surtout que l'Empire va « perdre » son projet favori, l'Ukraine. En effet selon la doctrine juridique constitutionnelle classique, un Etat n’est pas qu’un territoire et une population, mais exige l’existence d’un système juridique en général efficace et une autonomie dans la prise de décision politique. Ces deux éléments permettent la souveraineté de l’Etat, qui est une condition essentielle à l’existence d’un territoire peuplé et organisé en qualité d’Etat, ce qui n'est plus le cas pour l'Ukraine. De plus le régime de Kiev ne peut plus remplir de manière indépendante ses obligations sociales envers ses citoyens, ni payer les salaires et les pensions. Le système financier du pays est détruit, et il doit en plus remboursé 100 milliards de dollars de dette, alors que les taux d’intérêt sur les prêts augmentent de jour en jour. Ainsi l’Ukraine a déjà perdu, en particulier sa capacité d’exister en tant qu’État, et devrait par conséquent être partagée. Mais les USA n'accepteront jamais de perdre le « jardin » européen à travers une alliance Paris-Berlin-Moscou, d'où les sanctions communes de l'Occident contre la Russie.
Suite aux référendums d’adhésion à la Russie dans les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk ainsi que dans les régions de Kherson et Zaporijia, une cérémonie de signature d’accords organisée à Moscou a eu lieu et le président russe s’y est exprimé.  Voici la transcription du discours révolutionnaire du président Poutine : « La dictature des élites occidentales, c’est la religion inversée, c'est le satanisme pur et simple » :
« Chers citoyens de Russie, citoyens des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, habitants des régions de Zaporijia et de Kherson, députés de la Douma d’État et sénateurs de la Fédération de Russie !
Vous le savez, des référendums ont eu lieu dans les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, dans les régions de Zaporijia et de Kherson. Leurs résultats ont été résumés, les résultats sont connus. Les gens ont fait leur choix, un choix clair. Aujourd’hui, nous signons des accords sur l’admission de la République populaire de Donetsk, de la République populaire de Lougansk, de la région de Zaporijia et de la région de Kherson en Russie. Je suis sûr que l’Assemblée fédérale soutiendra les lois constitutionnelles sur l’adoption et la formation en Russie de quatre nouvelles régions, quatre nouvelles entités de la Fédération de Russie, car c’est la volonté de millions de personnes. Et cela, bien sûr, est leur droit, leur droit inaliénable, qui est inscrit dans le premier article de la charte des Nations unies, qui stipule clairement le principe de l’égalité des droits et de l’autodétermination des peuples. Je le répète : c’est un droit inaliénable du peuple, il repose sur l’unité historique, au nom de laquelle les générations de nos ancêtres ont gagné, ceux qui, depuis les origines de l’ancienne Russie pendant des siècles, ont créé et défendu la Russie. Ici, à Novorossia, Rumyantsev, Suvorov et Ouchakov se sont battus, Catherine II et Potemkine ont fondé de nouvelles villes. Ici, nos grands-pères et arrière-grands-pères sont morts pendant la Grande Guerre patriotique.  Nous nous souviendrons toujours des héros du « printemps russe », de ceux qui n’ont pas accepté le coup d’État néonazi en Ukraine en 2014, tous ceux qui sont morts pour le droit de parler leur langue natale, de préserver leur culture, leurs traditions, leur religion, leur droit à la vie. Ce sont les guerriers du Donbass, les martyrs de « Odessa Khatyn », les victimes d’attentats terroristes inhumains organisés par le régime de Kiev. Ce sont des volontaires et des miliciens, ce sont des civils, des enfants, des femmes, des personnes âgées, des Russes, des Ukrainiens, des personnes de diverses nationalités. C’est le vrai chef du peuple de Donetsk Alexander Zakharchenko, ce sont les commandants militaires Arsen Pavlov et Vladimir Zhoga, Olga Kochura et Alexei Mozgovoy, c’est le procureur de la République de Lougansk Sergey Gorenko. C’est le parachutiste Nurmagomed Gadzhimagomedov et tous nos soldats et officiers qui sont morts de la mort des braves pendant l’opération militaire spéciale. Ce sont des héros. (Applaudissements.) Des héros de la Grande Russie. Et je vous demande d’honorer leur mémoire par une minute de silence. Derrière le choix de millions d’habitants des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, dans les régions de Zaporijia et de Kherson se trouve notre destin commun et une histoire millénaire. Les gens ont transmis ce lien spirituel à leurs enfants et petits-enfants. Malgré toutes les épreuves, ils ont porté à travers les années leur amour pour la Russie. Et personne ne peut détruire ce sentiment en nous. C’est pourquoi les générations plus âgées et les jeunes nés après la tragédie de l’effondrement de l’Union soviétique, ont voté pour notre unité, pour notre avenir commun. En 1991, à Belovezhskaya Pushcha, sans demander la volonté des citoyens ordinaires, les représentants des élites du parti d’alors ont décidé de disloquer l’URSS, et les gens se sont soudainement retrouvés coupés de leur patrie. Cela a déchiré, démembré notre communauté populaire, et cela s’est transformé en une catastrophe nationale. Comme après la révolution, les frontières des républiques fédérées ont été arbitrairement tracées. Les derniers dirigeants de l’Union soviétique, contrairement au vote de la majorité, ont ruiné notre grand pays, mettant le peuple devant le fait accompli. J’admets qu’ils n’ont pas bien compris ce qu’ils faisaient et quelles conséquences finales cela entraînerait inévitablement. Mais cela n’a plus d’importance. Il n’y a plus d’Union soviétique, nous ne pouvons revenir en arrière. La Russie d’aujourd’hui n’en a plus besoin, nous ne nous battons pas pour cela. Mais il n’y a rien de plus fort que la détermination de millions de personnes qui, par leur culture, leur foi, leurs traditions, leur langue, se considèrent comme faisant partie de la Russie, dont les ancêtres ont vécu dans un même État pendant des siècles. Il n’y a rien de plus fort que la détermination de ce peuple à retourner dans sa vraie patrie historique. Pendant huit longues années, les habitants du Donbass ont été soumis au génocide, aux bombardements et au blocus. À Kherson et à Zaporijia, on a essayé de leur inculquer criminellement la haine de la Russie, de tout ce qui est russe. Maintenant, pendant les référendums, le régime de Kiev a menacé de mort les enseignants, les femmes qui travaillaient dans les commissions électorales, a intimidé par la répression des millions de personnes venues exprimer leur volonté. Mais les habitants du Donbass, de Zaporijia et de Kherson n’ont pas été découragés d’avoir leur mot à dire. Je voudrais que les autorités de Kiev et leurs vrais maîtres occidentaux m’entendent, afin que tout le monde s’en souvienne : les habitants de Lougansk et de Donetsk, de Kherson et de Zaporijia deviennent nos citoyens pour toujours. (Applaudissements.) Nous appelons le régime de Kiev à cesser immédiatement le feu, toutes les hostilités, la guerre qu’il a déclenchée en 2014, et à revenir à la table des négociations. Nous y sommes prêts, cela a été dit plus d’une fois. Mais nous n’évoquerons pas le choix des habitants de Donetsk, Lougansk, Zaporijia et Kherson, il a été fait, la Russie ne le trahira pas. Et les autorités de Kiev actuelles doivent respecter ce libre arbitre du peuple. C’est le seul chemin vers la paix. Nous protégerons notre terre avec toutes les forces et tous les moyens à notre disposition et ferons tout pour assurer la sécurité de notre peuple. C’est la grande mission de libération de notre peuple. Nous allons certainement reconstruire les villes et villages détruits, les logements, les écoles, les hôpitaux, les théâtres et les musées, restaurer et développer les entreprises industrielles, les usines, les infrastructures, la sécurité sociale, les retraites, les systèmes de santé et d’éducation. Bien entendu, nous travaillerons à l’amélioration du niveau de sécurité. Ensemble, nous veillerons à ce que les citoyens des nouvelles régions ressentent le soutien de tout le peuple de la Russie, de tout le pays, de toutes les républiques et régions de notre vaste patrie. Chers amis, collègues ! Aujourd’hui, je veux m’adresser aux soldats et aux officiers qui participent à l’opération militaire spéciale, aux soldats du Donbass et de la Novorossie, à ceux qui, après le décret de mobilisation partielle, rejoignent les rangs des forces armées, pour accomplir leur devoir patriotique, à ceux qui, à l’appel de leur cœur, se présentent aux bureaux d’inscription et d’enrôlement militaires. Je voudrais me tourner vers leurs parents, épouses et enfants, pour leur dire pour quoi notre peuple se bat, quel est l’ennemi, qui jette le monde dans de nouvelles guerres et crimes, tirant leurs profits de cette tragédie sanglante. Nos compatriotes, nos frères et sœurs d’Ukraine (la partie native de notre peuple uni) ont vu de leurs propres yeux ce que les cercles dirigeants du soi-disant Occident préparent pour toute l’humanité. Ici, en fait, ils ont jeté leur masque, ont montré leur véritable nature. Après l’effondrement de l’Union soviétique, l’Occident a décidé que le monde, nous tous, devions à jamais subir ses diktats. Puis, en 1991, l’Occident s’attendait à ce que la Russie ne se remette pas de tels chocs et s’effondre d’elle-même. Et cela est presque arrivé : nous nous souvenons des terribles années 90, avec la faim, le froid et sans espoir. Mais la Russie a résisté, s’est relancée renforcée, a repris sa place légitime dans le monde. En même temps, l’Occident a cherché et continue de chercher à nous frapper, à affaiblir et détruire la Russie, et ce dont ils ont toujours rêvé, à diviser notre État, à dresser les peuples les uns contre les autres, à les condamner à la pauvreté et l’extinction. Ils sont simplement hantés par le fait qu’il existe un si grand et immense pays dans le monde tel que le nôtre, avec son territoire, ses richesses naturelles, ses ressources, avec un peuple qui ne sait pas vivre selon les ordres de l’étranger et ne le fera jamais. L’Occident est prêt à tout pour maintenir un système néocolonial qui lui permet de parasiter, en fait, de piller le monde grâce à la puissance du dollar et des diktats technologiques, de percevoir un véritable tribut de l’humanité, pour extraire la principale source de prospérité non méritée, la rente de l’hégémonie. Le maintien de cette rente est leur motivation clé, authentique et totalement intéressée. C’est pourquoi la désouverainisation totale est dans leur intérêt. D’où leur agression envers les États indépendants, envers les valeurs traditionnelles et les cultures d’origine, les tentatives de saper les processus internationaux et d’intégration échappant à leur contrôle, les nouvelles devises mondiales et les centres de développement technologique. Il est essentiel pour eux que tous les pays abandonnent leur souveraineté au profit des États-Unis. Les élites dirigeantes de certains États acceptent volontairement de le faire, pour devenir vassales ; d’autres sont corrompues, intimidées. Et si cela ne fonctionne pas, ils détruisent des États entiers, laissant derrière eux des catastrophes humanitaires, des ruines, des millions de destins humains détruits et mutilés, des enclaves terroristes, des zones d’effondrement social, des protectorats, des colonies et des semi-colonies. Peu importe, pourvu qu’ils en tirent profit. Je tiens à le souligner une fois de plus : c’est précisément dans la cupidité, dans l’intention de préserver son pouvoir illimité, que résident les véritables raisons de la guerre hybride que « l’Occident collectif » mène contre la Russie. Ils ne nous souhaitent pas la liberté, mais ils veulent nous voir comme une colonie. Ils ne veulent pas une coopération équitable, mais nous piller. Ils ne veulent pas nous voir comme une société libre, mais comme une foule d’esclaves sans âme. Pour eux, notre pensée et notre philosophie représentent une menace directe, c’est pourquoi ils portent atteinte à nos philosophes. Notre culture et notre art sont un danger pour eux, c’est pourquoi ils essaient de les interdire. Notre développement et notre prospérité sont également une menace pour eux : la concurrence s’intensifie. Ils n’ont pas du tout besoin de la Russie, c’est nous qui en avons besoin. Je voudrais vous rappeler que des prétentions à la domination mondiale dans le passé ont été brisées plus d’une fois par le courage et la détermination de notre peuple. La Russie restera toujours la Russie. Nous continuerons à défendre à la fois nos valeurs et notre Patrie. L’Occident compte sur l’impunité pour s’en tirer. Les accords dans le domaine de la sécurité stratégique partent à la poubelle ; les accords conclus au plus haut niveau politique sont déclarés caducs ; les promesses fermes de ne pas étendre l’Otan à l’Est, auxquelles nos anciens dirigeants ont cru, se sont transformées en mensonge ; les traités sur la défense antimissile et les missiles à portée intermédiaire et courte ont été unilatéralement rompus sous de faux prétextes. Tout ce que nous entendons de toutes parts, c’est que l’Occident défend l’ordre fondé sur des règles. D’où viennent-elles ? Qui a vu ces règles ? Qui les a acceptées ? Écoutez, ce n’est qu’une véritable aberration, une pure tromperie, des normes doubles ou déjà triples ! C’est vraiment conçu pour des imbéciles. La Russie est une grande puissance millénaire, un pays-civilisation, et ne vivra pas selon de telles règles fausses. C’est le soi-disant Occident qui a piétiné le principe de l’inviolabilité des frontières, et maintenant il décide à sa guise qui a le droit à l’autodétermination et qui n’en est pas digne. Pourquoi ils décident ainsi, et qui leur a donné ce droit, ce n’est pas clair. Ils se le sont accordé eux-mêmes. C’est pourquoi le choix des habitants de Crimée, de Sébastopol, de Donetsk, de Lougansk, de Zaporijia et de Kherson provoque la haine en eux. L’Occident n’a aucun droit moral de donner son avis, même de parler de la liberté de la démocratie. Il ne l’a jamais eu ! Les élites occidentales ne nient pas seulement la souveraineté nationale et le droit international. Leur hégémonie a un caractère prononcé de totalitarisme, de despotisme et d’apartheid. Ils divisent effrontément le monde en leurs vassaux, entre pays soi-disant civilisés et tous les autres, qui, selon le plan des racistes occidentaux d’aujourd’hui, devraient s’ajouter à la liste des barbares et des sauvages. Les fausses étiquettes (« pays voyou », « régime autoritaire ») sont déjà prêtes, elles stigmatisent des peuples et des États entiers, et il n’y a là rien de nouveau : les élites occidentales restent telles qu’elles étaient : colonialistes. Elles discriminent, divisent les peuples en première et secondes catégories. Nous n’avons jamais accepté et n’accepterons jamais un tel nationalisme politique et un tel racisme. Et qu’est-ce que la russophobie, sinon du racisme, qui se répand actuellement dans le monde entier ? Qu’est-ce, sinon du racisme et une pseudo conviction péremptoire de l’Occident que sa civilisation et sa culture néolibérale sont un modèle incontestable pour le monde entier ? « Ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous. » Cela sonne étrangement. Même la repentance pour leurs propres crimes historiques est déplacée par les élites occidentales vers tout le monde, exigeant à la fois des citoyens de leurs pays et d’autres peuples de s’excuser de ce avec quoi ils n’ont rien à voir du tout, dont par exemple les conquêtes de la période de la colonisation. Il convient de rappeler à l’Occident qu’il a commencé sa politique coloniale au Moyen Âge, puis par la traite mondiale des esclaves, le génocide des tribus indiennes en Amérique, le pillage de l’Inde, de l’Afrique, les guerres de l’Angleterre et de la France contre la Chine, à la suite de quoi elle a été contrainte d’ouvrir ses ports au commerce de l’opium. D'ailleurs l'invention du Kosovo devenu une plaque tournante de l'héroïne en Europe en est encore un signe. Ce qu’ils ont fait, c’est imposer la drogue à des nations entières, exterminer délibérément des groupes ethniques entiers pour la terre et les ressources, organiser une véritable chasse à l’homme comme des animaux. Ceci est contraire à la nature même de l’homme, dont font partie la vérité, la liberté et la justice. Et nous, nous sommes fiers qu’au 20e siècle, notre pays ait dirigé le mouvement anticolonial, qui a ouvert des possibilités à de nombreux peuples du monde de se développer afin de réduire la pauvreté et les inégalités, de vaincre la faim et la maladie.  Je souligne que l’une des raisons de la russophobie séculaire, de la haine non dissimulée de ces élites occidentales envers la Russie est précisément que nous ne nous sommes pas laissé piller pendant la période des conquêtes coloniales, nous avons forcé les Européens à commercer pour un bénéfice mutuel. Cela a été réalisé par la création d’un État centralisé fort en Russie, qui s’est développé et s’est renforcé en s’appuyant sur les grandes valeurs morales de l’orthodoxie, de l’islam, du judaïsme et du bouddhisme, sur la culture russe et la parole russe ouverte à tous. On sait que des plans d’interventions en Russie ont été élaborés à plusieurs reprises. Ils ont essayé d’utiliser le temps des troubles au début du 17e siècle et la période de bouleversements après 1917. Ils ont échoué. L’Occident a néanmoins réussi à s’emparer des richesses de la Russie à la fin du 20e siècle, lorsque l’État a été détruit. Ils nous qualifiaient d’amis et partenaires, mais, en fait, ils nous ont traités comme une colonie ; des milliards de dollars ont été détournés du pays dans le cadre de divers stratagèmes. Nous nous souvenons tous de tout, nous n’avons rien oublié. Et ces jours-ci, les habitants de Donetsk et de Louhansk, de Kherson et de Zaporijia se sont prononcés en faveur de la restauration de notre unité historique. Merci ! Les pays occidentaux répètent depuis des siècles qu’ils apportent la liberté et la démocratie aux autres peuples. Tout est exactement le contraire : au lieu de la démocratie, c’est l’exploitation ; au lieu de la liberté, l’esclavage et la violence. L’ordre mondial unipolaire est intrinsèquement antidémocratique et non libre, il est trompeur et totalement hypocrite. Les États-Unis sont le seul pays au monde à avoir utilisé deux fois l’arme nucléaire, en plus sur des civils, en détruisant les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki. Soit dit en passant, ils ont créé un précédent. Permettez-moi également de vous rappeler que les États-Unis, avec les Britanniques, ont réduit en ruine Dresde, Hambourg, Cologne et de nombreuses autres villes allemandes sans aucune nécessité militaire pendant la Seconde Guerre mondiale. Et cela a été fait de façon ostentatoire, sans aucune, je le répète, nécessité militaire. Il n’y avait qu’un seul but, tout comme dans le cas des bombardements nucléaires au Japon : intimider à la fois notre pays et le monde entier. Les États-Unis ont laissé une trace terrible dans la mémoire des peuples de Corée et du Vietnam avec des bombardements barbares en « tapis », l’utilisation du napalm et des armes chimiques. Jusqu’à présent, ils occupent de fait l’Allemagne, le Japon, la République de Corée et d’autres pays, tout en les qualifiant cyniquement d’alliés égaux. Écoutez, je me demande de quel genre d’alliance il s’agit. Le monde entier sait que les dirigeants de ces pays sont surveillés. Chez les dirigeants de ces États sont installés des appareils d’écoute non seulement dans les bureaux, mais aussi dans les locaux résidentiels. C’est vraiment regrettable. C’est une honte à la fois pour ceux qui font cela et pour ceux qui, comme des esclaves, acceptent silencieusement et docilement cette grossièreté. Ils appellent Solidarité euro-atlantique les ordres et les menaces à l’adresse de leurs vassaux. Ils appellent le développement des armes biologiques, les expériences sur des êtres humains, y compris en Ukraine, de la recherche médicale noble. Ce sont leur politique destructrice, leurs guerres et leurs vols qui ont provoqué les actuels flux massifs migratoires. Des millions de personnes souffrent de privations, d’abus, des milliers meurent en essayant de rejoindre l’Europe.  Maintenant, ils exportent du pain d’Ukraine. Où va-t-il sous prétexte « d'assurer la sécurité alimentaire des pays les plus pauvres du monde » ? Où va-t-il ? Tout va dans ces mêmes pays européens. Seulement 5 % sont allés aux pays les plus pauvres. Encore une fois, il s’agit d’une escroquerie et d'une véritable tromperie. L’élite américaine, en fait, utilise la tragédie de ces populations pour affaiblir leurs concurrents et détruire les États-nations. Cela s’applique aussi à l’Europe et à l’identité de la France, de l’Italie, de l’Espagne et d’autres pays avec une histoire séculaire. Washington exige de plus en plus de sanctions contre la Russie, et la plupart des politiciens européens s’y plient docilement. Ils comprennent clairement que les États-Unis, poussant l’Union européenne à renoncer complètement à l’énergie et aux ressources russes, conduisent pratiquement à la désindustrialisation de l’Europe, à la prise de contrôle complète du marché européen. Ces élites européennes comprennent tout, mais préfèrent servir les intérêts des autres. Ce n’est plus de la servilité, mais une trahison directe de leurs peuples. Mais que Dieu bénisse ces peuples, c’est leur affaire. Les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons: ils sont passés au sabotage (incroyable mais vrai) après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux du Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, et ils ont donc en fait commencé à détruire les infrastructures énergétiques de l’Europe. C’est clair pour tout le monde que ceux qui en profitent, sont les responsables. Le diktat américain est basé sur la force brutale. Parfois, il est magnifiquement emballé, parfois il est sans emballage, mais l’essence reste la même. D’où le déploiement et l’entretien de centaines de bases militaires dans les quatre coins du monde, l’expansion de l’Otan, les tentatives de mettre en place de nouvelles alliances militaires telles qu’Aukus (Australie, les Etats-Unis et le Royaume-Uni) et autres. Un travail actif est également en cours pour créer un lien militaro-politique entre Washington, Séoul et Tokyo. Tous les pays qui possèdent ou aspirent à une véritable souveraineté stratégique et qui sont capables de contester l’hégémonie occidentale, sont automatiquement déclarés ennemis. C’est sur ces principes que sont construites les doctrines militaires des États-Unis et de l’Otan, n’exigeant rien de moins qu’une domination totale. Les élites occidentales présentent leurs plans néocoloniaux avec la même hypocrisie, avec la même faux-semblant de paix ; elles parlent d’une sorte d’endiguement, et un mot aussi évasif migre d’une stratégie à l’autre, alors que cela signifie une seule chose : saper tous les centres de développement souverains. On a déjà entendu parler du confinement de la Russie, de la Chine, de l’Iran. Je crois que d’autres pays d’Asie, d’Amérique latine, d’Afrique, du Moyen-Orient, ainsi que les partenaires et alliés actuels des États-Unis, sont les suivants (quand ils n'ont pas déjà connu cela). Nous savons tout ce qu’ils n’aiment pas, ils imposent également des sanctions à leurs alliés ; d’abord contre une banque, puis contre une autre ; tantôt contre une entreprise, tantôt contre une autre. C’est la même pratique, et elle va se développer. Ils ciblent tout le monde, y compris nos voisins les plus proches, les pays de la CEI (Communauté des États indépendants). Dans le même temps, l’Occident prend depuis très longtemps ses rêves pour la réalité. Ainsi, en lançant une guerre éclair de sanctions contre la Russie, ils ont cru qu’une fois de plus ils pourraient dresser le monde entier selon leurs ordres. Mais, en fin de compte, une perspective aussi réjouissante est loin d’attirer tout le monde, sauf des masochistes politiques complets et des admirateurs d’autres formes non traditionnelles de relations internationales. La plupart des États refusent de s’incliner et choisissent une voie raisonnable de coopération avec la Russie. L’Occident ne s’attendait manifestement pas à une telle résistance de leur part. Il s’est habitué à agir selon son schéma, à tout prendre avec impudence, chantage, corruption, intimidation, et à se convaincre que ces méthodes fonctionneront pour toujours, comme dans le passé. Une telle outrecuidance est le produit direct non seulement du concept notoire de sa propre exception (même si cela reste bien sût tout simplement surprenant) mais aussi d’une véritable famine d’information en Occident. Ils ont noyé la vérité dans un océan de mythes, d’illusions et de falsifications, utilisant une propagande extrêmement agressive, mentant effrontément, comme Goebbels. Plus le mensonge est gros, plus vite on y croit. C’est ainsi qu’ils agissent, selon ce principe. Mais les gens ne peuvent pas être nourris avec des dollars et des euros imprimés. Impossible de se nourrir avec ces bouts de papier, et impossible de chauffer un foyer avec la capitalisation virtuelle et gonflée des réseaux sociaux occidentaux. Tout ce dont je parle est important, mais ce qui vient d’être dit est particulièrement important : vous ne pouvez nourrir personne avec du papier-monnaie, vous avez besoin de nourriture, et vous ne réchaufferez personne non plus avec ces capitalisations gonflées, des hydrocarbures sont nécessaires. Par conséquent, les politiciens de toute l'Europe doivent convaincre leurs concitoyens de manger moins, de se laver moins souvent et de s’habiller plus chaudement à la maison. Et ceux qui commencent à poser de simples questions justes, comme « pourquoi en est-il ainsi ? », sont immédiatement déclarés ennemis, extrémistes et radicaux. Ils accusent la Russie, en disant qu'elle est la source de tous vos ennuis. Ils mentent à nouveau. Qu’est-ce que je veux souligner ? Il y a tout lieu de croire que les élites occidentales ne vont pas chercher des solutions constructives à la crise alimentaire et énergétique mondiale, qui a surgi par leur faute, précisément par leur faute, à la suite de nombreuses années de leur politique, bien avant notre opération militaire spéciale en Ukraine, dans le Donbass. Alors que parmi les solutions sont d' obtenir la paix en Ukraine, de retrouver le prix bon marché du gaz russe, de ne plus payer l’énergie (dont pétrole, hydrocarbures) importée en dollar, d'arrêter les subvention à l'union européenne (ce qui réglerait déjà le problème des retraites) et de s'orienter vers l'autosuffisance.
Or comme ces élites ultra riches n’entendent pas résoudre les problèmes d’injustice et d’inégalité, on peut craindre qu’ils soient prêts à utiliser d’autres recettes oppressives qui leur sont familières. Et, ici, il convient de rappeler que l’Occident est sorti des contradictions du début du 20e siècle par la Première Guerre mondiale. Les profits de la Seconde Guerre mondiale ont permis aux États-Unis de surmonter enfin les conséquences de la Grande Dépression, de devenir la plus grande économie du monde, et d’imposer à la planète la puissance du dollar comme monnaie de réserve mondiale. Et la crise tardive des années 80 du siècle dernier, l’Occident l’a largement surmontée en s’appropriant l’héritage et les ressources de l’Union soviétique qui s’effondrait. C’est un fait. Maintenant, pour s’extirper d’un autre enchevêtrement de contradictions, il leur faut démanteler la Russie, et à tout prix les autres États qui choisissent la voie souveraine de développement, afin d'être en mesure de piller davantage la richesse d’autres nations et de colmater à ce prix leurs brèches. Si cela ne se produit pas, je ne peux pas exclure qu’ils vont tenter de provoquer l’effondrement de tout le système sur lequel tout le blâme peut être reporté, ou Dieu nous en préserve, décider d’utiliser la formule de croissance économique par la guerre. La Russie comprend sa responsabilité envers la communauté mondiale et fera tout pour ramener ces têtes brûlées à la raison. Il est clair que le modèle néocolonial actuel est finalement voué à l’échec. Mais je répète que ses vrais propriétaires s’accrocheront à lui jusqu’au bout. Ils n’ont tout simplement rien à offrir au monde, si ce n’est la préservation du même système de vols et de racket. En fait, ils se moquent du droit naturel de milliards de personnes, de la majeure partie de l’humanité, à la liberté et à la justice, à déterminer par eux-mêmes leur propre avenir. Maintenant, ils sont passés à un déni radical des normes morales, de la religion et de la famille. Répondons à quelques questions très simples. J’aimerais revenir sur ce que j’ai déjà dit, je veux m’adresser à tous les citoyens du pays et pas seulement aux collègues qui sont dans la salle : voulons-nous avoir, ici, dans notre pays, en Russie, au lieu de maman et papa, un « parent numéro un », « numéro deux », « numéro trois » (ils sont complètement fous là-bas) ? Voulons-nous vraiment, dans nos écoles dès la primaire, que des perversions, qui conduisent à la dégradation et à l’extinction, soient imposées aux enfants ? Qu’on leur fasse croire qu’il existerait d’autres genres que les femmes et les hommes, qu’on leur propose une opération de changement de sexe ? Voulons-nous vraiment cela pour notre pays et nos enfants ? Pour nous, tout cela est inacceptable, nous avons un avenir différent, notre propre avenir. Je le répète, la dictature des élites occidentales est dirigée contre toutes les sociétés, y compris les peuples des pays occidentaux eux-mêmes. C’est un défi pour tout le monde. Un tel déni complet de l’homme, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles, la suppression de la liberté acquiert les traits d’une « religion inversée », un satanisme pur et simple. Dans le Sermon sur la montagne, Jésus-Christ, dénonçant les faux prophètes, dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Et ces fruits empoisonnés sont déjà évidents pour les gens ; pas seulement dans notre pays, dans tous les pays, y compris pour de nombreuses personnes en Occident. Le monde est entré dans une période de transformations révolutionnaires, elles sont de nature fondamentale.
De nouveaux pôles de développement se forment, ils représentent la majorité de la communauté mondiale et sont prêts non seulement à déclarer leurs intérêts, mais aussi à les protéger. Ils voient la multipolarité comme une opportunité de renforcer leur souveraineté, d’acquérir une véritable liberté et une perspective historique, et d'avoir droit à une autonomie indépendante et créative, au développement original et à un processus harmonieux.
Les relations internationales que Beijing et Moscou promeuvent sont fondées sur le respect mutuel et non plus sur l’affrontement. À la division et aux guerres occidentales, ils opposent les échanges, le commerce et la collaboration comme prouvent l'intéressante réconciliation de l'Iran et l'Arabie saoudite de même que la possible réconciliation de la Syrie et la Turquie. Surtout que comme lors de la guerre Iran/Irak, les occidentaux veulent la destruction de tous ces pays. Cette réconciliation « réduit les Accords d’Abraham à néant » et aura comme conséquence la remise sur la table du plan de paix saoudien de 2002, « la terre contre la paix ». L’autre pays que prend à contre-pied le rapprochement irano-saoudien, c’est le Maroc. Contrairement à l’Algérie qui a adopté une position de neutralité, le pays maghrébin a clairement choisi son camp ces dernières années en normalisant avec Israël en 2020, deux ans après avoir rompu ses relations avec l’Iran. Dans sa stratégie pour imposer sa colonisation du Sahara occidental, le Maroc a joué sur les tensions des pays du Golfe, Israël et les Occidentaux d’un côté, et l’Iran de l’autre.
Partout dans le monde, y compris en Europe et aux États-Unis, nous avons de nombreuses personnes partageant les mêmes idées, et nous ressentons, nous voyons leur soutien. Un mouvement de libération anticolonial contre l’hégémonie unipolaire se développe déjà au sein des pays et des sociétés les plus diverses. Sa conscience ne fera que grandir. C’est cette force qui déterminera la future réalité géopolitique. Chers amis ! Aujourd’hui, nous nous battons pour une voie juste et libre, d’abord pour nous-mêmes, pour la Russie, pour que le diktat et le despotisme restent à jamais dans le passé. Je suis convaincu que les pays et les peuples comprennent qu’une politique fondée sur l’exception de quiconque, sur la suppression des autres cultures et peuples, est intrinsèquement criminelle, que nous devons tourner cette page honteuse. L’effondrement de l’hégémonie occidentale qui a commencé est irréversible. Et je le répète encore : ce ne sera plus comme avant. Le champ de bataille auquel le destin et l’histoire nous ont appelés est le champ de bataille de notre peuple, de la grande Russie historique. Pour la grande Russie historique, pour les générations futures, pour nos enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants. Nous devons les protéger de l’esclavage, des expériences monstrueuses qui visent à paralyser leurs esprits et leurs âmes. Aujourd’hui, nous nous battons pour qu’il ne vienne à l’esprit de personne que la Russie, notre peuple, notre langue, notre culture puissent être effacés de l’histoire. Aujourd’hui, nous avons besoin de consolider toute la société, et cette cohésion ne peut être fondée que sur la souveraineté, la liberté, la création et la justice. Nos valeurs sont l’humanité, la miséricorde et la compassion. Et je veux terminer mon discours par les mots du vrai patriote Ivan Alexandrovitch Ilyin : « Et si je considère la Russie comme ma patrie, cela signifie que j’aime, contemple et pense en russe, chante et parle en russe ; que je crois en la force du peuple russe et accepte son destin historique avec mon instinct et ma volonté. Son esprit est mon esprit ; son destin est mon destin ; sa souffrance est ma douleur ; son ascension est ma joie... » Derrière ces mots se cache un grand choix spirituel qui, pendant plus de mille ans d’État russe, a été suivi par de nombreuses générations de nos ancêtres. Aujourd’hui, nous faisons ce choix, les citoyens des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, les habitants des régions de Zaporozjie et de Kherson ont fait ce choix. Ils ont fait le choix d’être avec leur peuple, d’être avec la Patrie, de vivre son destin, de gagner avec elle. Derrière nous c’est la vérité, derrière nous c’est la Russie ! »
Le président Vladimir Poutine de la Fédération de Russie a en plus précisé lors de la signature des traités d’adhésion à la Russie des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et des régions de Zaporozhye et de Kherson :
« Je tiens à souligner à nouveau que leur insatiabilité et leur détermination à préserver leur domination sans entrave sont les véritables causes de la guerre hybride que l’Occident collectif mène contre la Russie. Ils ne veulent pas que nous soyons libres ; ils veulent que nous soyons une colonie. Ils ne veulent pas d’une coopération égale ; ils veulent piller. Ils ne veulent pas nous voir comme une société libre, mais comme une masse d’esclaves sans âme. Je voudrais vous rappeler que par le passé, les ambitions de domination mondiale se sont à plusieurs reprises brisées contre le courage et la résilience de notre peuple. La Russie sera toujours la Russie. Nous continuerons à défendre nos valeurs et notre patrie. … Nous n’avons jamais accepté et n’accepterons jamais un tel nationalisme politique et un tel racisme. Si ce n’est du racisme, qu’est-ce que la russophobie qui se répand dans le monde ? Qu’est-ce que, si ce n’est du racisme, la conviction dogmatique de l’Occident que sa civilisation et sa culture néolibérale sont un modèle indiscutable à suivre pour le monde entier ? …  Aujourd’hui, nous nous battons pour qu’il ne vienne à l’idée de personne que la Russie, notre peuple, notre langue ou notre culture puissent être effacés de l’histoire. Aujourd’hui, nous avons besoin d’une société unie, et cette unification ne peut être fondée que sur la souveraineté, la liberté, la création et la justice. Nos valeurs sont l’humanité, la miséricorde et la compassion. »
Concernant cette excellente vision du monde de Poutine, il est aussi important de lire son discours au club de Valdaï à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/29/discours-du-president-russe-vladimir-poutine-lors-du-forum-du-club-valdai/, dont voici des extraits :
« La période historique de domination sans partage de l’Occident touche à sa fin. Le monde unipolaire appartient au passé. La décennie qui s’ouvre est peut-être la plus dangereuse, la plus imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il tente désespérément de le faire et la plupart des nations du monde ne sont plus disposées à le supporter. La situation est quelque peu révolutionnaire : les classes supérieures ne peuvent plus et les classes inférieures ne veulent plus vivre ainsi. Le modèle occidental de mondialisation, néocolonial par essence, était également fondé perversement sur l’unification, sur le monopole financier et technologique, sur l’effacement de toutes les différences. Cette oppression de l'Occident est encore évidente quand il vend des médicaments ou des semences de cultures vivrières à d’autres pays, en ordonnant de tuer leurs produits pharmaceutiques et leurs élevages nationaux. En fait dans la pratique, tout peut se résumer à cela : s’il fournit des machines et des équipements, il détruit l’industrie mécanique locale. Lorsque j’étais Premier ministre, je l’ai compris : dès que vous ouvrez le marché pour un certain groupe de produits, c’est fini, le producteur local « coule », et il lui est presque impossible de relever la tête. C’est ainsi que se construisent les relations avec cet empire américano-sioniste. C’est ainsi que les marchés et les ressources sont accaparés, que les pays sont privés de leur potentiel technologique et scientifique. Ce n’est pas un progrès, mais un asservissement, la réduction des économies à un niveau primitif. Le développement technologique ne doit pas exacerber les inégalités mondiales, mais les réduire. Le développement doit se faire dans le cadre du dialogue des civilisations, sur la base de valeurs spirituelles et morales. Je suis convaincu seul le libre développement des pays et des peuples peut s’opposer à la dictature, que seul l’amour envers l’être humain comme envers le Créateur peut s’opposer à la dégradation des individus, et que seule la complexité épanouie des cultures et des traditions peut s’opposer à l’uniformisation et aux interdits primitifs. La signification du moment historique d’aujourd’hui est précisément que devant toutes les civilisations, tous les États et toutes leurs associations d’intégration, il existe des possibilités effectives de développement propre, démocratique et original. Et surtout, nous croyons que le nouvel ordre mondial doit être fondé sur le droit et la loi, et être libre, particulier et juste. C’est ainsi que la Russie a traditionnellement mis en œuvre sa politique technologique étrangère et sa géopolitique intérieure. Par exemple, en construisant des centrales nucléaires dans d’autres États, nous y créons simultanément des centres de compétence, nous formons du personnel national, nous créons une industrie, et nous ne nous contentons donc pas de construire une entreprise : nous créons une industrie entière. En fait, nous donnons à d’autres pays la possibilité de réaliser une véritable percée dans leur développement scientifique et technologique, de réduire les inégalités et d’amener leur secteur énergétique à un nouveau niveau d’efficacité et de respect de l’environnement. Aujourd’hui, les nouveaux centres de développement mondial possèdent déjà des technologies et des développements scientifiques uniques dans toute une série de domaines et, dans de nombreux secteurs, peuvent concurrencer avec succès les entreprises multinationales occidentales. Il est évident que nous avons un intérêt commun, tout à fait pragmatique, pour un échange scientifique et technologique équitable et ouvert. Ensemble, chacun en profitera davantage que séparément. Les bénéfices devraient revenir à la majorité, et non à des sociétés individuelles super riches. Permettez-moi de le souligner une fois de plus : la souveraineté, le développement autonome ne signifient en aucun cas l’isolement, l’autarcie, mais au contraire, cela implique une coopération active et mutuellement bénéfique sur des principes justes et équitables. Si la mondialisation libérale est la dépersonnalisation et l’imposition du modèle occidental au monde entier, l’intégration est au contraire le déblocage du potentiel de chaque civilisation au profit de l’ensemble, au profit de tous. Si le mondialisme est un diktat unipolaire, c’est à cela que tout se résume en fin de compte : l’intégration au multipolaire est le développement conjoint de stratégies communes bénéfiques pour tous. Dans ce contexte, la Russie estime qu’il est important de lancer activement des mécanismes de création de grands espaces fondés sur l’interaction de pays voisins dont l’économie, le système social, la base de ressources et les infrastructures se complètent. Ces vastes espaces constituent par essence la base d’un ordre mondial multipolaire, une base économique. De leur dialogue naît la véritable unité de l’humanité, qui est beaucoup plus complexe, diverse et multidimensionnelle que dans les idées simplistes de certains idéologues occidentaux. L’unité du genre humain ne se construit pas par le « fais comme moi », « sois comme nous ». Elle est formée en tenant compte des et en se fondant sur les opinions de tous, dans le respect de l’identité de chaque société et nation. C’est le principe sur lequel une interaction à long terme dans un monde multipolaire peut se développer. À cet égard, nous devrions peut-être aussi réfléchir à la manière dont la structure des Nations unies, y compris son Conseil de sécurité, pourrait refléter davantage la diversité des régions du monde. Après tout, le monde de demain dépendra beaucoup plus de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine qu’on ne le croit aujourd’hui, et une telle augmentation de leur influence est sans aucun doute positive. Le futur ordre mondial prend forme sous nos yeux. Et dans cet ordre mondial, nous devons écouter tout le monde, tenir compte de tous les points de vue, de toutes les nations, de toutes les sociétés, de toutes les cultures, et de tous les systèmes de visions du monde, d’idées et de croyances religieuses, sans imposer une seule vérité à quiconque, et seulement sur cette base, en comprenant notre responsabilité vis-à-vis du destin (le destin des peuples, de la planète) et en construisant une symphonie de la civilisation humaine. »
La Russie prône donc toujours la formation d’une architecture de sécurité internationale renouvelée et plus stable, fondée sur la garantie de la prévisibilité et de la stabilité stratégique mondiale, ainsi que sur le respect des principes d’égalité, de sécurité indivisible et de considération mutuelle des intérêts fondamentaux des parties.
Dans ce sens, le président chinois Xi Jinping vient d’offrir aux pays du Sud une alternative radicale à des décennies de diktats occidentaux, de guerres et de contraintes économiques. La « modernisation pacifique » permettra d’établir la souveraineté, l’économie et l’indépendance des États du monde en difficulté, comme le prouve la volonté de la Chine d’accélérer son indépendance technologique en matière de semi-conducteurs et d’équipements pour les produire.
Selon Poutine, l’Occident collectif veut piller la Russie, asservir son peuple et créer une colonie dont les richesses peuvent être siphonnées par des bigots tyranniques et des profiteurs étrangers. Les attaques incessantes des médias contre les athlètes, les universitaires, les scientifiques, les musiciens et même les hommes d’affaires russes n’ont fait que renforcer l’idée, chez les Russes ordinaires, qu’ils sont dans la ligne de mire d’une coalition occidentale violente et hors de contrôle qui a l’intention de porter à la Russie le même coup fatal qu’à l’Irak, à la Libye, à l’Afghanistan et à d’innombrables autres nations. La montée en flèche de la cote de popularité de Poutine souligne le fait que la plupart des Russes pensent que la menace est réelle et qu’il faut se battre. Selon Big Serge, Poutine a même réalisé son projet d’annexion formelle de l’ancienne bordure orientale de l’Ukraine, tout en légitimement transformant juridiquement la guerre en une lutte existentielle.
En refusant une sortie négociée du conflit à l’avantage de Moscou en mars 2022, les Américains ont prolongé et aggravé le conflit. Toutefois celui-ci a évolué dans un sens qu’ils n’avaient pas prévu, car ils avaient parié sur un écroulement économique de la Russie. Mais cela ne s’est pas produit, pas davantage que la défaite de l’armée russe sur le terrain ou la mise au ban unanime de Moscou par la communauté internationale. Pire, un nouveau système économique et financier est en train de se mettre en place, qui menace l’hégémonie politique et monétaire de Washington. Une nouvelle fois, les Américains se révèlent être de piètres stratèges et de vrais apprentis sorciers. Leur stratégie d’affaiblissement de la Russie s’est transformée en une guerre existentielle pour le maintien de leur domination sur le monde. Le piège qu’ils ont tendu pourrait bien se refermer sur eux.
          Ainsi la grande guerre (boucherie possiblement non mondiale) prophétisée par Jésus et Mouhamed pour ouvrir la porte au retour de Jésus pourrait apparaître lorsque l'hégémonie américano-sioniste sera trop oppressante et appauvrissante économiquement pour les populations, et sera donc rejetée massivement puis effondrée relativement. En effet de nombreux peuples du moyen orient et du monde se soulèveront pour leur survie, comme le prouve la montée du populisme dans de nombreux pays basé sur le refus de l'inégalité éoncomico-sociale, de la domination bancaire et de l'immigration de masse risquant par le métissage un grand remplacement, synonyme dans un sens de génocide des blancs similaire à celui des indiens d'Amérique du Nord, voulu pourtant par les élites occidentales. Or il faut rappeler que le christianisme et l'islam dépassent les ethnies et que la laïcité les a imiter perversement dans ce sens. Cependant il faut relever que les droits civiques laïques ont précieusement participé au changement bénéfique de certaines mentalités repliées, en habituant les hommes au mélange ethnique effaçant le racisme et diversifiant les mariages qui ont souvent été injustement trop conservateurs. En effet en étant donc impieusement trop fermé d'esprit même entre coreligionnaires par rapport à la différence physique, sociale, financière ou d'origine d'autrui, de nombreuses familles ont reproduit l'orgueil impie qu'Iblis fait de feu eut vis à vis d'Adam fait de terre, bien qu'ils soit légitime de chercher le meilleur parti pour le mariage d'un de ses enfants, mais la piété profonde et douce du futur conjoint demeure le meilleur choix. C'est à dire que cet orgueil s'écarte illégitimement de la principale valeur regardée par Dieu : celle religieuse et morale, dont l'humilité, la tolérance, la fraternité, le respect et l'amour font partie. D'ailleurs les croisements entre diverses ethnies peuvent donner beaucoup de noblesse dans le couple et les familles se respectant mutuellement et engendrent souvent des enfants aux beaux visages.
Or la montée des populismes semble freiner ce métissage de l'humanité en orientant le monde vers une coopération globale des nations plutôt que vers un mondialisme financier sans frontière, surtout si les peuples arrivent à reprendre leur souveraineté en ramenant donc leur pays dans une économie patriote une bonne entente géopolitique avec le reste de la planète.
De plus pour éviter leur frustration colérique et des problèmes sociaux, il faut apporter plus de respect aux migrants manipulés en les accueillant bien par exemple dans des centre régionaux de socialisation (sous peine de créer le danger d'une population frustrée), en les répartissant mieux en Europe pour empêcher la montée du racisme et les tensions menant à la guerre civile en particulier dans ses pays du Sud portes d'entrées principales de l'immigration, en les rapatriant vers leur pays d'origine dans le respect de la dignité humaine, ou pourquoi pas en recevant (seulement) les vrais pieux (comme le sous-entend la suite de la phrase) très honorablement chez soi comme du temps des ansars à Médine qui accueillirent les premiers musulmans persécutés à la Mecque, ce qui fut la cause de la guidée en masse de la population vers la foi par cet œuvre hautement noble, et impérativement en oubliant pas comme depuis longtemps de s'occuper aussi prioritairement des nationaux sans logis.
Cependant l'affrontement de tous contre tous au sein des peuples détournant de celui contre les élites mondialistes corrompues en préservant leurs pervers privilèges sera difficile à contrer si la laïcité continue de dégrader le niveau moral des peuples. Or si l'oppression financière mondialiste aspirant tout l'argent sans compassion ni partage par l'usure et par les multinationales de plus en plus synonymes de monopole totalitaire ne s'arrête pas, cette situation dégradant toujours plus les conditions de vie des peuples, et donc leur survie, les amènera à une persévérante lutte des classes très probablement victorieuse contre l'hyper classe apatride.
Surtout que ce combat avant tout spirituel devient vraiment urgent pour la liberté et la dignité des peuples, s'il est réel que selon certains de leurs textes sacrés corrompus, les sionistes mondialistes comptent déshonorablement avoir chacun 2800 esclaves non-juifs lors de l'hégémonie d'Israël, alors que les juifs ont pourtant connu la difficile servitude de l'indigne esclavage pendant 400 ans du temps des pharaons.
Ce qui ne serait pas étonnant puisque certains juifs ultra-orthodoxes israéliens considèrent les non juifs moins que des chiens ou des animaux esclaves par leur foi au Talmud qui est un livre religieux impie puisque regroupant les commentaires de rabbins égarés. C'est par de telles raisons que Pierre Hillard explique que les talmudistes sont la synagogue de Satan.
L'ignorance de ces textes, leur non dénonciation par les politiciens et les journalistes, l'abandon fréquent de les critiquer ou l'évitement de les proscrire par divers rabbins actuels sont source de très nombreux maux sur terre, surtout car les élites juives perverses, mondialistes ou/et sionistes fréquemment à la croyance légère voire hypocrite déclarent souvent véridiques le Talmud ou essayent de faire taire ceux qui dénoncent ces passages gravement erronés dans leur interprétation :
Talmud, Kerithuth 6b, 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce sont des animaux (sauvages ou pouvant parfois êtres dressés/guidés).
Talmud, Ereget Rashi Erod, 22-30 : Un goy est comme un chien.
(S41v45) « Nous avons effectivement donné à Moïse le Livre. Puis, il y eut controverse (divergence) là-dessus. Et si ce n'était une parole préalable de ton Seigneur, on aurait certainement tranché entre eux (avant l'égarement des sionistes vers le faux messie à cause du Talmud). Ils sont vraiment, à son sujet (d'autant plus sans suivre le tranchement divin à travers la venue des Prophètes Jésus et Mouhamed), dans un doute troublant. »
Il faut noter que les paroles talmudiques précédentes auraient pu être valables du temps où les juifs dans l'antiquité combattaient les barbares tant qu'ils n'obtenaient pas la foi authentique ou ne se civilisaient pas, et que le sens originel non corrompu du mot « goy » signifierait seulement non juif :
(S5v59/60) « Dis : “Ô gens du Livre (Bible) ! Est-ce que vous nous reprochez autre chose que de croire en Allah, à ce qu'on a fait descendre vers nous (Coran), et à ce qu'on a fait descendre auparavant (Thora, Evangile) ? Mais la plupart d'entre vous sont des pervers. Dis : “Puis-je vous informer ce qu'il y a de pire en fait de rétribution auprès d'Allah ? Celui qu'Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs (possiblement seulement dans leur perception de l'apparence de leur propre tête), de même celui qui a adoré le Tagut (Diable), ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit.” »
(S8v55) « Les pires bêtes auprès d'Allah sont ceux qui sont restés infidèles et qui ne croient donc point, »

De plus le Prophète Jésus (paix sur lui) étant venu orienter le judaïsme au départ parfois légitimement guerrier vers l'universalisme compatissant, et les barbares n'existant plus sur terre en tant que nation, lorsque les élites et messianistes juifs impies valident ces extraits précédents du Talmud, ils créent les conditions pour qu'ils incarnent finalement ces écrits et que ces derniers se retournent par un probable combat divin et populaire contre eux aujourd'hui, mais certain à la fin des temps.
Surtout qu'en continuant perversement ce judaïsme guerrier, par la corruption sournoise de lois religieuses christiques ou islamiques à travers la laïcité et par leurs alliances à des minorités impies type homosexuelle devenant leur image, pour affaiblir la spiritualité des peuples afin de les dominer plus facilement, ces sionistes incarnent une nouvelle forme de barbarie.
A ce sujet le livre suivant de Youssef Hindi est important à lire pour comprendre cet égarement d'une grande partie du peuple juif vers une idéologie guerrière de domination : « Occident & Islam: Tome 2, Le paradoxe théologique du judaïsme (ou Comment Yahvé, idole guerrière et donc devenant un évident égarement satanique, usurpa la place de Dieu, par preuve qu'Isra(ël) est lié à « el » qui est la dénomination authentique de la divinité unique et donc de Dieu en araméen, hébreux et arabe) ». En effet dans ce livre, cet historien retrace les diverses influences qui ont dévoyé la bible hébraïque et fait apparaître l'ombre qu'elle a fait peser sur l'histoire de l'humanité et le danger mondial qu'elle représente désormais. L'univers mental des juifs qui étaient et sont liés à cette idole guerrière Yahvé est donc de rester dans une concurrence matérielle et religieuse synonyme d'un monothéisme suprémaciste et tribal comme le prouvent l’État d'Israël, au lieu d'être fraternel et mondial comme l'a demandé Jésus. Ainsi certains n'ont pu et désormais beaucoup ne peuvent adhérer au rappel de Jésus qui précisa que le véritable monothéisme est universaliste, humaniste et équitable. Yahvé incarne donc en réalité le guerrier symbole pervers de l’autorité et des intérêts des élites juives et mondiales corrompues au détriment de la moralité des peuples.
Bible (Evangile de Jésus Christ selon saint Jean 8, 44) : Jésus dit (aux pharisiens vénérant Yahvé à l'origine du sionisme) : « Votre père, c’est le diable, et vous voulez vous conformer à ses désirs. Depuis le commencement, c’est un meurtrier (car ayant participé au meurtre d'Abel, le fils d'Adam) : il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il ment, il parle de son propre fond, puisqu’il est menteur, lui le père du mensonge. »
Alain Escada : « Ce nouvel ordre mondial (en partie sioniste) avilit, nous animalise(, nous ensauvageonne), nous tribalise et nous individualise pour nous enlever les qualités humaines, morales, nationales et collectives nous aidant à être digne dans la relation avec notre Créateur, nos proches et la société. » Voir également son excellente vidéo « Le Réveil des Peuples et les mensonges des Etats (Alain Escada/Civitas) » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?time_continue=7480&v=W2t3ILPSugQ&feature=emb_title
Jérôme Bourbon directeur du journal Rivarol : « L'agenda mondialiste utilisant entre autres l'agenda LGBT correspond à la destruction des nations (représentant principalement l'importance de l'union sociale) par celles de la famille (noyau fondamental), des identités, de la morale.... C'est une révolution anthropologique absolument considérable, inouïe et sans précédent dans l'histoire, à travers son ampleur, sa rapidité, et sa violence envers le corps social, les consciences et les individus. »

Georges Bernados : « On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne (laïciste, matérialiste, progressiste, wokiste) si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. »
Bernados a aussi avertit du dictatorial totalitarisme économique post-moderne américain via les technocrates et la mathématisation, l'automatisation, la robotisation, le transhumanisme et donc la déshumanisation du monde.
Alain Soral : « Comme leurs ancêtres refusèrent ou trahirent l’amour du Christ, ils (les juifs et autres personnes sionistes) refusent et trahissent l’assimilation à la nation française pour soumettre la nation française à Israël. Donc oui, luttons et soyons tous unis contre la (leur) haine ! Dénonçons ces fanatiques racistes et dominateurs. Assez de la tyrannie de la (leur) minorité (dans notre démocratie donnant normalement le pouvoir à la majorité) ! De cette minorité qui, pour continuer à régner dont par le chantage à l'antisémitisme devenant de plus en plus à l'antisionisme, au pro-sionisme, ou au pro-dommage et intérêts pour la nouvelle religion qu'est la shoah (car devenue perversement la seule religion imblasphèmable puisque occultant fréquemment d'autres génocides de l'Histoire, ou même la dénonciation par exemple de la mafia juive, des escrocs juifs ou des juifs ayant participé à la shoah) souvent traitée à la télévision et dans l'éducation nationale pour y soumettre constamment le peuple dans une repentance permanente, par des condamnations de fortes amendes ou de prison éprouvant et limitant honteusement la liberté d'expression des dissidents, par une fermeture aux grands médias publics et grands réseaux sociaux privés, ou/et par des lois contre les « fake news » se rapprochant inévitablement de celles de la dictature que les politiciens, les juristes et les journalistes pointent de moins en moins du doigt), pousse à la haine (contre la majorité) toutes les minorités (puisque comme elle) derrière elle (pour être favorisée) dans une forme de dictature : féministes et Lgbtistes (contre famille traditionnelle), jeunes (contre adultes ou vieilles générations), homosexuels (contre hétérosexuels), immigrés (contre nationaux), noirs (contre blancs), juifs (contre musulmans), musulmans (contre chrétiens), ruraux (contre citadins), gilets jaunes (contre policiers), chômeurs (contre travailleurs), public (contre privé), les pro-système (contre les anti-système), et maintenant les pro-vaccins (contre les anti-vaccins), etc, afin donc de diviser jusqu'à la violence horizontale généralisée pour que les lobbys et l'hyper classe financière  corrompus de la société conservent le pouvoir et augmente leurs privilèges, même si cela conduit pays au chaos (par la dévalorisation et donc l'humiliation du français moyen) ! (Le pervers système mondialiste, ploutocratique et sioniste cherche donc à tout séparer dans une super guerre civile froide, car un individu solitaire est plus fragile et donc plus facilement contrôlable.) Conformément au principe même de la démocratie, il est grand temps que le pouvoir revienne à la majorité (contre cette ingénierie sociale malfaisante de domination mondialiste, ploutocratique et sioniste par la division), aux 99 % de goïms, de gentils, méprisés et manipulés qui constituent ce pays. Ici ni peuple élu ni terre promise. Égalité et réconciliation ! » (Il est également intéressant de lire ses livres « Comprendre l'empire » et « Comprendre l'époque ».)
          Cette division voulue par le système pervers actuel synonyme d'une vaste compétition victimaire a même atteint la séparation entre les diverses catégories Lgbt, entre végétariens végétaliens et vegans, entre gauchistes, entre droitards. Cette division est parvenue à un tel degré qu'il n'y a plus deux personnes qui se parlent sans qu'elles soient rapidement divisée. L’antisémitisme actuel, ce n’est que ça : la volonté de maintenir les communautés séparées, si possible par un mur de haine, ou alors un mur tout court. Mais on ne peut pas vivre éternellement sur la haine, cela finit toujours mal, c’est le Christ qui le dit. Afin de garder le pouvoir, le système compte même encore plus perversement sur la fracture vaccinés/non vaccinés pour que les premiers fassent pression sur les seconds, histoire de transformer les vaccinés en policiers de la pensée, et de la santé.
          Les rapports individuels sont atteints et ce donc jusque dans le couple et la famille. Toutes les relations gratuites doivent être brisées sous prétexte de libération de l’individu qui est censé être tout, mais qui n’est vraiment rien sans les autres, à commencer rien sans les parents ou les tuteurs.
A cause de l'inquisition ou plutôt de la gestapo sioniste, mondialiste et ploutocratique, petit à petit on dissout groupes politiques et relations sociales, on ferme associations et sites internet, on clôt salles de spectacle et conférences, on réprime les gilets jaunes et les leaders dissidents, on interdit de penser, de réfléchir et des livres, on oblige les vaccins, on prive le droit à la vie, on ruine agriculture et paysans, on taxe ou impose les retraités, les petits patron, et les familles, on paupérise le peuple, on détruit ou enlève les croix et les églises, on transforme ou révise la langue française et l'histoire de France, on empoisonne comme Mosanto, Syngenta et la malbouffe, on assujettit parents et enfants, etc... Comment cela se nomme, si ce n'est pas « dictature (sioniste, mondialiste et ploutocratique) » ?
Or Ynet cite le rapport de Kaufman : « (De plus en plus) Les juifs sont identifiés aux puissants oppresseurs blancs, tout comme l’État d’Israël (oppressant les palestiniens par des politiciens blancs ashkénazes). » Ynet se demande : « Puis-je être blanc, juif, libéral et démocrate ? ». Kaufman répond : « Bien sûr que vous pouvez l’être, mais certains de vos droits sont "plutôt révoqués". Vous pouvez être un allié dans les luttes sociales, mais vous ne pouvez pas être au centre de la question ». Ce que Kaufman nous dit ici, c’est que vous pouvez être un « juif » et un « gauchiste », mais que votre rôle d’opposition contrôlée pourrait avoir pris fin. Ynet souligne qu’« il est important de se rappeler que les juifs ont progressé dans la société américaine par le biais de l’establishment, et que c’est une part importante de l’influence des juifs sur les États-Unis ; or le mouvement progressiste est très anti-establishment. Par conséquent, la conclusion est clairement que les juifs font partie des blancs oppresseurs. Bien sûr, le tableau réel est plus complexe, mais cette division binaire met les juifs dans certaines cases. » L'interdiction législative de l’antisionisme ne fera jamais disparaître les idées antisionistes. Ce n’est pas en faisant des lois contre des idées que les idées changent, bien au contraire, c’est toujours le bon sens qui l’emporte. Surtout que la perversion sioniste mondialiste apparaît de plus en plus nettement, car pour leur agenda messianique erroné devant dominer les nations, chassant les palestiniens de leurs terres et pouvant passer par une troisième guerre mondiale entre chrétiens et musulmans, ou entre sunnites et chiites ou entre Occident et Chine-Russie, les sionistes n'hésitent pas à honteusement supporter des groupes qu'ils considèrent pourtant comme leurs pires ennemis tels les nazis en Ukraine ou les islamistes en Syrie.
« L’invasion de l’Ukraine par la Russie et la guerre qui s’en est suivie occupent le devant de la scène internationale, reléguant en coulisse la quasi-totalité du monde non européen. Un observateur naïf pourrait se réjouir, au vu de la vigueur des réactions occidentales à cette agression, que progresse le droit international, et donc le respect de la souveraineté dans ce qu’elle a d’inattaquable, à savoir l’intégrité territoriale qu’est censée protéger la Charte des Nations unies.
La Cour pénale internationale (CPI) a d’ailleurs dépêché, avec une inhabituelle célérité, une équipe de 42 enquêteurs afin de collecter les éléments de preuves de crimes de guerre. Qu’il déplace quelque peu son regard vers le Moyen-Orient, et notre observateur sera vite déçu, voire choqué. Ce qui vaut, à juste titre réprobation, disgrâce et contre-attaques multiples dans le cas de la Russie n’attire, au mieux, que molles protestations de forme dans le cas d’Israël. Ici, l’invasion, la dépossession et l’annexion ne conduisent pas à des sanctions. L’occupation militaire, la colonisation de territoires occupés, et le crime de guerre au quotidien et au ralenti, n’ont fait l’objet que de timides démarches de la part de la CPI. Ici, les mots qui fâchent sont évités par les gouvernements occidentaux au profit de formulations usées jusqu’à en devenir anachroniques : face aux exactions de l’armée israélienne et des colons qu’elle protège, on fait mine de s’inquiéter de la mise en danger d’un « processus de paix » mort et enterré depuis plus de vingt ans, et on ânonne son souhait d’une « solution à deux États » qui est une invocation rituelle desséchée, puis l’on passe à autre chose. » (Rony Brauman, Le Monde)
« Dans la modernité, en raison de la notion de progrès, nous avons tendance à écarter de nombreuses idées du passé, estimant qu’elles sont dépassées pour notre époque. Ainsi, nous considérons que les écrits et les avertissements du passé ne sont plus valables dans le présent ou ne conservent plus qu’une leçon anecdotique. Pour la stratégie, en revanche, le passé est une source pédagogique inépuisable. L’œil militaire avisé y trouve des vérités utiles pour l’art de la guerre ou l'art de la politique. (Or il ne faut pas regarder le présent avec les yeux du passé, mais le passé avec les yeux du présent, sauf bien sûr si l’on veut se condamner soi-même, comme beaucoup d’autres, à vivre un éternel retour. Car le futur ne se devine pas de façon linéaire, mais sur un mode cyclique, et dans une quasi non-superposition des situations du passé au présent.) L’histoire n’est donc pas une chose morte, mais une réalité en mouvement qui se répète de différentes manières. Bien démêler le présent du passé peut mener à la victoire (même au niveau politique en regardant donc ce qui a réussi dans la dignité). Dans ces termes, il existe de nombreux écrits exemplaires qui traversent le terrain commun de la pensée stratégique. Nous pouvons citer les plus célèbres, comme « Vom Kriege » de Clausewitz ou « L’art de la guerre » du Chinois Sun Tzu. Mais les citations et réflexions favorites de l’académie militaire se trouvent dans « Le Prince de Niccolò » de Machiavel écrit au 16ème siècle. L’une des premières leçons que Machiavel nous a enseignées dans son livre est la suivante : « Toujours, même si vous avez une très forte armée, vous avez besoin de la faveur des habitants lorsque vous entrez dans une région. » Le roi Louis XII de France, mentionne Machiavel, a envahi Milan et a été rapidement expulsé parce qu’il n’avait pas gagné la faveur des habitants. Ils ont été trompés par le nouveau prince, qui n’a pas répondu à leurs attentes et les a déçus. Ainsi il ne suffit pas de conquérir un territoire et de s’attirer les faveurs de la population. Il faut aussi faire participer ce peuple à la vie politique. En outre, Machiavel mentionne que si le peuple n’était pas habitué à la liberté et était maltraité, il est facile de retourner le peuple contre son ancien régime si on lui accorde la liberté et si on le respecte dans ses coutumes. Machiavel fait également l’éloge des capitaines romains, car ils étaient des maîtres de la prudence et de l’anticipation. Grâce à ces compétences, ils ont anticipé les événements et les ont traités avant qu’ils ne deviennent irrémédiables. Le temps, dit-il en plus, « apporte le bon et le mauvais » ; c’est pourquoi il n’est pas conseillé de l’attendre les bras croisés. D’un point de vue militaire, Machiavel précise que : « les armées mercenaires ne sont bonnes qu’en temps de paix et que les armées auxiliaires sont toujours nuisibles : car si l’on perd, on est rejeté, et si l’on gagne, on est prisonnier. » Face à ce genre de situation un chef et une nation doivent toujours avoir mettre en avant leur force militaire et leur affirmation de supériorité morale. De plus, une vertu machiavélienne est d’être un grand dissimulateur pour faire douter les ennemis extérieurs comme intérieurs. Dans ce sens Poutine a toujours été entouré d’intrigues, de tsarisme, de positions contradictoires, tendant souvent à favoriser les diktats de la puissance mondiale libérale à laquelle il est maintenant censé s’opposer. En fin de compte, l’important est d’être aimé dans son propre État, et c’est le cas selon les sondages. La Russie dénote une grande force et une grande tranquillité chez elle grâce à la mentalité de son peuple et à la sécurité de ses dirigeants. Le gouvernement, quant à lui, gère les tensions par la force ou la politique. Nous ne devons pas négliger le halo religieux qui imprègne l’ensemble de la nation. La Russie prétend dépoussiérer ses prouesses historiques contre le nazisme et ressuscite un mort qui est loin d’être analogue. En plus de se défendre contre les intentions conquérantes de l’OTAN, elle lutte contre un nazisme ukrainien bizarre, qui est soutenu par le pouvoir libéral et par un président juif. Ainsi, et avec le mysticisme chrétien orthodoxe russe, Poutine impose un messianisme qui répond à une norme machiavélienne consistant à toujours opérer ou feindre une religiosité exemplaire. L’écriture de Machiavel est un travail d’ingénierie politique, mais elle possède également des principes ontologiques. Il s’agit d’un traité sur l’harmonie des forces, celles que tout prince doit opérer de telle sorte que, en plus d’être un roi, il soit aussi un souverain. Et comme le pouvoir est en mouvement, même si vous le possédez, vous pouvez toujours le perdre. Poutine a entamé une grande bataille, composée de batailles plus petites mais tout aussi importantes. Seul l’avenir nous dira si la prévoyance et la prudence de ce président font l’objet d’un scénario prémédité, ou si au contraire au fur et à mesure qu’émergeront des pressions et d’autres agents désireux de s’emparer du pouvoir, il pourra continuer à maintenir l’impassibilité qui est la vertu de tout grand seigneur et gagner sans avoir (beaucoup) à combattre comme le conseil Sun Tzu. » (Extraits de l'article « Poutine, un leader machiavélien » à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/28/poutine-un-leader-machiavelien/)
« Ce 24 juillet 2022, la guerre en Ukraine est entrée dans son sixième mois. Désormais guerre par procuration, non déclarée, entre l'Otan et la Russie, elle est devenue une guerre globale par son impact sur l’économie mondiale, sur les marchés de l'énergie et de l'alimentaire notamment. Le sort de centaines de millions d êtres humains en est directement impacté : sans conteste, il s'agit de la plus grave crise mondiale depuis 1945, car annonciatrice d'une nouvelle ère infiniment plus périlleuse dans les rapports de force sur la planète. En à peine six mois de guerre, les rapports de force qui autrefois étaient latents ont émergé, la tectonique géopolitique mondiale a bougé, les grandes nations ont dû choisir un camp (ou une prudente neutralité), de nouvelles alliances ont surgi, le monde se restructure autour du conflit en Ukraine qui a tout changé. L’Amérique a voulu exercer son leadership sur le monde, comme avant, à coups de dollars et de bombardements, mais nous ne sommes plus le 26 décembre 1991, date de la dislocation de l’URSS. Trente ans après, la Russie a restauré sa puissance, la Chine est devenue surpuissante, et ces nouveaux grands ont naturellement de grandes ambitions (pourtant multipolaires), qui contrecarrent les plans de domination et de dislocation du monde des néoconservateurs, cette faction qui tient le pouvoir profond américain, qui a eu entre autres la peau de Trump en 2020. Cela sonne la fin de l'inintelligence occidentale au niveau économique : endettement massif, désindustrialisation, immigration à outrance, ploutocratique wokisme mondialiste. Au début de la guerre, la propagande occidentale, à l’image de celle qu’on a subie lors du conflit entre la Serbie et l’OTAN (1998-1999) et lors du covid, ne souffrait aucune contestation dans nos médias. Le médiatique était aligné sur le politique. Aujourd’hui, des voix se font entendre, qui ne sont pas celles des prétendus « complotistes », signe d’une résistance nouvelle au cœur d’une France prisonnière de l’OTAN. Des généraux, d’anciens ministres (Védrine), des journalistes affûtés en géopolitique, ont prévenu que le soutien à Zelensky et à son régime pourri présentait à terme un risque. Maintenant, on parle de coupures d’électricité en hiver, de pénuries de nourriture, de récession brutale, pour ne parler que de la France. L’Allemagne, qui a besoin du marché chinois et du gaz russe pour entretenir sa puissance économique de premier exportateur mondial, est au bord du précipice, faisant même dire à des politiciens antirusses que le risque est devenu trop grand. Le sacrifice pour l’OTAN, et donc l’Oncle Sam, est total pour le couple franco-allemand. La balance bénéfice-risque penche complètement du côté du risque, avec zéro bénéfice à la clé. Français et Allemands sont piégés par le contrat léonin signé (par des dirigeants corrompus) avec l’OTAN, qui les enchaîne à la politique extérieure de l’Amérique, qui elle ne prend aucun risque. Le conflit aura au moins révélé que la France et l’Allemagne, ainsi que l’Union européenne, si elles veulent survivre, devront se désarrimer de l’OTAN et de la politique mortifère de l’Amérique. Chez nous, la politique suicidaire d’un Macron provoque des montées de lucidité et de courage politique. Mélenchon a ainsi carrément soutenu la politique taïwanaise de la Chine. Macron, qui était l’homme de la Banque, est désormais aussi celui des Américains. À l’image de Zelensky qui détruit son pays en le vendant aux forces mondialistes, Macron détruit sciemment le sien. » (Rédaction ER)
Or en occident, l’ingénierie sociale est la méthode par laquelle on pénètre un système (mental ou social) sans effraction, sans violence mais par abus de confiance, pour en prendre le contrôle furtivement ; on fait donc s’ouvrir le système librement en endormant sa méfiance, c'est le moment de l’hameçonnage, pour ensuite l’infiltrer sans résistance et le détruire de l’intérieur en amplifiant ses contradictions internes latentes pour le fragmenter, c'est le moment du conflit triangulé, permettant à un des trois angles de manipuler les deux autres pour les dominer voire en plus les exploiter. Le triangle rappelle son utilisation par le Diable à travers les pyramides païennes égyptiennes et la pyramide franc-maçonne. Ainsi le système montre toujours les effets comme l'islamisme ou la délinquance (contre lesquels l'administration devrait payer des abonnements sportifs aux jeunes défavorisés), mais pas les causes d'origine politique ou occultes comme les décisions gouvernementales ayant validé l'immigration de masse favorisant en plus l'hyperclasse par la main d’œuvre par chère du marché noir, sur l'ordre de sociétés secrètes.
          C'est à dire que contre l'intérêt général, certains lobbies correspondant souvent au sommet de la pyramide sociale cherchent à occuper les populations fréquemment dans des oppositions pendant qu'ils les volent ou les dépossèdent de leur droits ou devoirs, sans donc qu'ils ne s'en rendent compte. Par la manipulation, l’ingénierie sociale peut aussi correspondre à étendre une idéologie  à forcer un projet, ou à exploiter perversement les projections psycho-émotionnelles de la trilogie bourreau/victime/sauveur décrit dans l'article suivant concernant l'utilisation perverse du coronavirus « Entretien avec Lucien Cerise : "Face au biopouvoir, nous n’avons pas le capital économique. Mais nous avons le capital humain" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Lucien-Cerise-Face-au-biopouvoir-nous-n-avons-pas-le-capital-economique-Mais-nous-59323.html
Lucien Cerise y explique qu'à l’instar de la fable des Animaux malades de la peste du covid, les consommateurs sevrés par cette crise sanitaire orchestrée sentaient qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe témoin des non vaccinés, complément indispensable à une stratégie ou une ingénierie sociale de triangulation, fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie, il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux.
Dans ces passages d'un autre de ses articles, Lucien Cerise précise la manipulation des mondialistes ploutocratiques et sionistes :
« Leur méthode : l’ « ingénierie sociale » définie comme « la modification furtive et planifiée du comportement humain ».
Leur but : fabriquer le consentement à la « démolition contrôlée des structures (étatiques, nationales, locales, familiales, conjugale) préexistantes ».
Une idéologie « one world », basée sur le wokisme et le métissage obligatoire, avance sous le couvert d’un bric-à-brac moralisateur pour « citoyen du monde ».
Lors du covid (bourreau), le système ment aux victimes (le peuple) sur ses intentions (de sauveur), car il veut en réalité une société de surveillance totalitaire informatique et numérique.
Infusée à haute dose par un groupe d’organisations internationales, de think tanks, d’ONG et de médias sous contrôle, cette moraline politiquement correcte conduit la multitude au vide émasculé de la vie moderne, et ses contradicteurs à la mort sociale. Les seuls types humains adaptés à ce néant post-humain selon Cerise sont « le dépressif et la frivole ».
Tous les autres dissidents de la « Planète stupide » devront être reprogrammés ou éliminés. Dans ce sens, des spins doctors sous contrôle oligarchique se relaient à notre chevet pour nous persuader que le doute raisonnable, l’esprit critique (sans parler de la colère) sont hautement suspects, et que les sentiments qui les accompagnent (typiquement la haine et la défiance) doivent impérativement être neutralisés. Il ne suffit pas qu’un état de crise permanente nous soit imposé, il faut encore que ceux qui en souffrent se sentent coupables. 
Les stratagèmes incapacitants qui « inversent la place du bourreau et de la victime » ont en outre une fonction précise : le pirate doit neutraliser le fonctionnement normal (hiérarchisé et stéréotypé) du cerveau avant de pouvoir y implanter des représentations pathologiques et dysfonctionnelles. » Lire l'article complet à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-temps-de-Cerise-62339.html
          Lucien Cerise précise qu'en réalité ses analyses ne sont que la description de choses banales. Cet analyste explique que le lien social peut être représenté par des schémas et qu'il est clairement basé sur la confiance, la méfiance et l'indifférence, et sur l'existence donc de possible bourreau (les malveillants), sauveur et victime qu'une l'ingénierie sociale, une stratégie perverse, peut transformer lorsque le bourreau (actuellement gouvernements soumis à des réseaux de pouvoir et des lobbys devenus des mafias) usurpe le sauveur (par l'oppression du confinement, du vaccin ou/et du grand reset) ou la victime, afin de manipuler ou asservir une population sans qu'elles s'en rende compte.
Selon les propos du mondialiste oligarchique Klaus Schwab le fondateur du « Forum économique mondial de Davos », on  peut même comprendre que par les grandes crises s'enchaînant, une ingénierie sociale perverse veut amener l'humanité à une fusion du biologique et du numérique, afin ce que les travailleurs êtres humains se fassent remplacer par des machines ou des robots et que les peuples deviennent plus surveillable voire contrôlable par plus de numérique en particulier pour empêcher les révolutions populaires dangereuses contre les privilèges des perverses oligarchies.
          A moins d'être un despote éclairé, cette psychologie du pouvoir similaire à celle du sociopathe aboutit à devenir l'expression d'une paranoïa permanente cherchant toujours la conception de vaste plan de contrôle social ou/et d'une fréquente transgression voire perversion (sexuelle, morale, etc) conduisant logiquement à rechercher la tyrannie parfaite.
          Et c'est pourquoi pour l'instant l'actuelle tyrannie sanitaire, financière, technologique, numérique et médiatique devient la plus aboutie de l'humanité, puisque l'enfermement physique du confinement consenti crédulement par le peuple (associé au masques des enfants, aux vaccins presque obligatoires, à la distanciation sociale) a été rajouté à l'encerclement psychologique provoqué par le système de consommation, la technologie moderne et toutes les idéologies obscures tel du genre (et Lgtbtisme). Ce niveau d'encadrement carcéral est donc aussi largement supérieur à celui de l'union soviétique, surtout qu'en France par rapport aux USA les hommes n'ont pas l'accès aux armes pour créer des milices, ce qui en fait un des pays les plus sujets au génocide qui en découle et donc les plus morbides, tant que les gens ne se réveillent pas en masse.
          Ces ingénieries sociales s'apparentent au diable qui veut rester cacher dans l'invisible en faisant croire que lui et ses mauvaises insufflations de pensées n'existent pas, afin de souvent occuper l'être humain futilement pour lui faire perdre son temps et le dominer, jusqu'à ce qu'il perde en voyant avec un immense regret d'inutilité impie l'ange de la mort lors de son décès synonyme de possible envoie en Enfer. En effet la seconde est l'unité de mesure et de valeur la plus précieuse, car nous permettant de faire des actions bonnes, religieuses et rapprochantes de Dieu, puisque nous offrant uniquement sur terre la possibilité de dépenser pieusement avant que Dieu dépense éternellement pour Ses hôtes au Paradis. Il ne faut donc plus jouer au jeu égarant des mondialistes et retrouver le monothéisme pieux, charitable, droit, solidaire et par conséquent authentique.
          Or ivres du pouvoir que l’exécutif leur a donné, des officines antiracistes comme la LICRA voient sournoisement de plus en plus du racisme partout, même quand il n’y en a pas, car c’est leur raison de vivre et de recevoir des subventions financières gouvernementales, et surtout car avec certains autres lobbies, ils réussissent à avoir une influence néfaste contre la liberté d'expression ou développent la division les favorisant. En effet il est clair que l'antiracisme exacerbé crée du racisme horizontal dans les deux sens en faisant oublier la lutte verticale et donc préserver les élites perverses au pouvoir dont font partie de nombreux sionistes de l'hyper classe. C'est pourquoi la communauté juive doit se désolidariser de la LICRA, et de personnalités comme Attali et Rothschild pour mieux se faire percevoir.
L'antiracisme institutionnel lié à la tyrannie sioniste par la manipulation est donc en réalité une incitation à la haine raciale entre noirs et blancs, voulue par des gens dont la détermination première est le mépris et la haine raciale, correspondant parfaitement au concept de peuple élu suprémaciste, d'autant plus car le judaïsme est basé sur le sang de la mère qui est la plus belle démonstration de racisme, alors que le christianisme et l'islam authentiques sont basés sur le sang du père, c'est à dire sur la piété du cœur quelle que soit notre origine en particulier car nous descendons tous d'Adam et Eve. Or comme cette situation empire malgré les leçons de l'histoire, cela s'orientera à nouveau de plus en plus vers une révolte violente contre le système. Surtout qu'il y parfois des bugs dans la matrice mondialiste : par exemple le sionisme se heurte parfois à l’antiracisme (ou au féminisme). Par conséquent il faut renvoyer dos-à-dos ces deux formes d’essentialisme. En effet ces deux formes de racisme ou d'incitation aux tensions raciales sont appelées à se détruire l’une l’autre.
Or même le CRIF parle des juifs du matin au soir pour les distinguer des français ; les séparatistes parlent des noirs du matin au soir pour les distinguer des blancs ; les LGBT parlent du matin au soir de l'homophobie pour les distinguer des hétérosexuels ; les gauchistes parlent des fascistes du matin au soir pour les distinguer des démocrates... Tous ont intérêt à ce que la nation ne se ressoude pas, car ils tirent leur pouvoir et leur pérennité de sa dislocation et de sa vente à la découpe, qu’elles soient politique, économique ou culturelle. Pour y parvenir ces minorités affichent une attitude moralisatrice contre la haine justifiant leur haine, leur colère et leur intimidation jusqu'à une lutte à mort contre la cause adverse puisque devant disparaître selon eux.
          Nous avons donc le devoir de ressouder le pays partout où les forces centrifuges agissent contre l’intérêt national. Le nationalisme français de réunification n’est pas attaqué pour rien depuis 50 ans maintenant : il est justement cette force intrinsèque exemplaire mondialement qui permet de cicatriser toutes les plaies, celles que le poignard des forces occultes et centrifuges lui inflige dans le dos. Le nationalisme patriotique, c’est tout simplement la réconciliation.
          A ce sujet, il faut noter que les journalistes mainstream se plaignent aussi désormais de plus en plus d'être commentés en permanence sur les réseaux sociaux par des soi-disant « haineux » qui les accusent de soumission au système et de restriction de la liberté d'expression, alors qu'il s'agit beaucoup plus souvent de railleries ou de remarques judicieuses voire légitimes. Or ces journalistes mainstream qui se victimisent injustement devraient regarder ce qui se passe en France sur l’Internet concernant les journalistes non mainstream qui subissent toutes les pressions oligarchiques possibles. En effet le combat contre l'oppression des internautes est un enjeu crucial pour la liberté d’expression, surtout que ce sont les journalistes mainstream qui trouvent normal de ne pas accorder la parole à ces « mauvais » journalistes (dissidents) après avoir liés leurs analyses à tous les maux listés par la dominance : racisme, antisémitisme, antiféminisme, antimaçonnisme, anti-LGBTisme, anti-mondialisme, complotisme ; toutes ces fausses accusations destinées à bloquer la pensée et le débat.