T) Suite 20 (1)
« La technolâtrie est devenue l’obsession du monde entier. Nous sommes aujourd’hui les témoins impuissants de la numérisation totale du monde. La fin de la vie privée et la création d’un GULAG numérique mondial ne sont plus qu’à un pas. Aujourd’hui, des notions comme «l’homme augmenté» et la «réalité augmentée» ne ressemblent plus à un cauchemar. Et puisque tous les pays du monde exécutent le même programme commun (comme lors du Covid), j’ai appelé la nouvelle réalité internationale LA FIN DE LA GÉOPOLITIQUE CLASSIQUE. En d’autres termes, il est évident qu’il n’y a qu’un seul centre de pouvoir mondial, qui impose un modèle d’avenir unique à tous les pays. Les phénomènes qui ont englobé le monde entier ont deux noms complémentaires: TECHNOCRATIE et TRANSHUMANISME. C’est une dictature mondiale de nature luciférienne qui cherche la fin de l’homme en tant que création divine. L’agenda de la pieuvre mondialiste se résume à deux priorités: DÉPEUPLEMENT et CONTRÔLE. Et le plan général imposé partout, qui se met en place à une vitesse fulgurante, porte un nom bien connu: AGENDA 21 ou AGENDA 2030 pour le DEVELOPPEMENT DURABLE. Et puisqu’il existe UN AGENDA COMMUN pour tous les pays du monde, la multipolarité ne reste pour l’instant qu’une perspective souhaitable. » (Extraits du discours d'ancien vie premier ministre de Moldavie Iurie Rosca « LE GRAND RESET ET LA FIN DE LA GÉOPOLITIQUE CLASSIQUE » à la Conférence internationale sur la multipolarité) « Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Topfer, d’avoir noté mon intervention (ci-dessus) lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. C’est-à-dire la disparition de tout élément d’identité religieuse, civilisationnelle et culturelle collective. Il s’agit du vaste programme des élites mondialistes qui se résume à deux priorités : DÉPEUPLEMENT et CONTRÔLE. Et les moyens pour atteindre ces objectifs démoniaques sont ceux fournis par la techno-science. Il s’agit du phénomène complexe de la destruction de l’homme en tant que création divine ou, pour ceux qui ne s’associent à aucune foi religieuse, de l’homme tel qu’il a existé à travers l’histoire. Et quiconque ignore cette évidence, préférant n’en rester qu’au niveau de la dilatation de certaines rivalités, même réelles, entre divers États et groupes d’États, commet au moins une erreur de perspective. De plus, au-delà des éléments d’uniformisation du monde, mentionnés dans le texte précédent (adhésion à la politique génocidaire de l’OMS, la numérisation totale de la société, l’élimination de l’argent liquide et l’imposition de la CBDC, l’introduction des documents électroniques, l’expansion du réseau 5G et l’acceptation du plan de développement technologique 6G, l’adhésion au mythe climatique, etc.), il faut aussi rappeler la guerre totale contre l’identité sexuelle et la famille (la théorie du genre et le féminisme faisant partie des conventions de l’ONU et les politiques de l’UE, de l’OTAN, etc.). Et le fait que les pays de l’Est et du Sud n’aient pas encore atteint le niveau de dégradation de l’Occident collectif est un état de fait provisoire, car aucun régime politique ne peut mettre un terme au réseau mondial de l’Internet, ni à l’immense offensive culturelle par l’hollywoodisation du monde. Autrement dit, la guerre (conquête) culturelle dévastatrice, la rupture des codes moraux, le dynamitage des traditions et l’homogénéisation rapide du monde prennent des rythmes et des proportions colossales. Et ce type d’agression identitaire généralisée et omniprésente nous ne pouvons pas nous opposer uniquement par des moyens économiques, technologiques et militaires à la disposition d’États prétendant constituer des pôles géopolitiques indépendants. Un autre facteur qui doit être pris en compte dans nos analyses géopolitiques est le fait qu’aujourd’hui les États du monde ne représentent plus des acteurs internationaux indépendants. Il conviendrait ici de rappeler la stratégie des élites mondialistes pour désindustrialiser les pays occidentaux et transformer la Chine non seulement en « usine du monde », mais aussi en un projet pilote, un modèle de société qui s’imposerait à tous les États. Il serait bon de se rafraîchir la mémoire sur le rôle d’Henry Kissinger (sa visite de juillet 1971 à Pékin) pour mieux comprendre quels facteurs ont assuré le saut économique et technologique de la Chine. Ignorer le fait que les élites sataniques ont des stratégies de longue date, ainsi que le fait qu’elles sont essentiellement apatrides, exerçant leur domination mondiale en tant qu’entités extraterritoriales, serait une erreur regrettable. Les sociétés transnationales ont définitivement subordonné leurs États, et le facteur économique a pris le dessus sur le facteur politique. C’est une vérité connue depuis plusieurs décennies. Dans ces conditions, surestimer le rôle des hommes d’État aux postes clés est une exagération regrettable. Et si les États sont devenus des coquilles vides, manipulés par certains groupes privés, dans quelle mesure pouvons-nous ignorer un autre problème, bien connu dans la Modernité ? Il s’agit du paradigme de la démocratie qui a triomphé après la Révolution française. Dans les conditions des avancées technologiques actuelles et de l’impact des médias de masse sur l’esprit collectif, l’idéologie libérale fondée sur le parlementarisme, le pluripartisme, l’électoralisme et la religion des droits de l’homme ne représente qu’une illusion majeure cultivée par les élites mondialistes. Mais c’est précisément ce système de référence qui est considéré partout comme la seule forme d’organisation politique de la société. C’est précisément pour cette raison que tous les pays membres de l’ONU, y compris ceux qui sont qualifiés d’illibéraux, sont contraints de simuler régulièrement certains processus électoraux et d’alimenter le mythe de la souveraineté du peuple. Ainsi, même ceux qui se disent conservateurs ou communistes sont victimes des mythes fondateurs de la Révolution française. Et pourtant, le libéralisme politique qui sous-tend la démocratie de masse, assurant la domination des usuriers et des marchands, apparaît à l’heure actuelle comme une réalité obsolète. Actuellement, les techniques de contrôle de l’esprit, de façonnage du comportement et de gestion de la perception permettent au système soi-disant démocratique de fonctionner dans l’intérêt des élites satanisées. Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Le Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. Il s’agit d’entités nébuleuses comme Big Money, Big Tech, Big Pharma, Big Media avec un impact mondial dévastateur. Face à un tel tsunami aux proportions diluviennes, toute revendication d’indépendance politique et d’autonomie civilisationnelle me paraît être soit une grossière naïveté, soit un simulacre. Les réalités mentionnées ci-dessus sont largement décrites dans une multitude de livres et d’études. Mais on ne peut s’empêcher d’admettre que, pour l’instant, il n’a pas été possible d’identifier des moyens efficaces de résistance face à ces tendances extrêmement puissantes. Le paradigme libéral comme expression de la religion politique de l’Occident exposé par une brillante pléiade d’auteurs, au premier rang desquels Alain de Benoist et Alexandre Douguine, appartient au passé. La « civilisation de l’argent » elle-même qui s’est affirmée au cours des derniers siècles dans l’Occident mondialisé est sur le point de disparaître. Dans une société sans numéraire, la fonction de ces unités conventionnelles attribuées électroniquement sera radicalement différente de celle d’aujourd’hui. La théorie politique libérale a rempli sa fonction historique malheureuse, étant abandonnée à l’heure actuelle par les élites mondialistes qui l’ont utilisée pour dominer les masses, s’emparer des richesses mondiales, assujettir leurs États et concentrer tout le pouvoir politique à l’échelle mondiale. Les élites mondialistes n’ont plus besoin de ses outils théoriques ni de son expression politico-juridique et économique. Mais la mort de l’Homo oeconomicus ne détermine pas la renaissance de l’Homo hierarchicus comme expression de la tradition. Louis Dumont a tout dit à ce sujet, mais ses excellentes recherches concernent néanmoins une époque arrivée à sa fin logique. La sacralisation des dogmes du capitalisme classique, la déification d’un Adam Smith, le caractère axiomatique du darwinisme social en économie, la libre concurrence et la propriété privée appartiennent au passé, ils ne sont plus aujourd’hui qu’un simulacre ou un camouflage de la propagande. L’histoire du capitalisme comme "destruction créatrice" (Werner Sombart) termine son cycle. Aujourd’hui l’oligarchie mondialiste ou la superclasse mondiale (David Rothkopf, Michel Geofroy) s’approprie l’accomplissement complet d’une stratégie d’asservissement et de contrôle. La Ploutocratie établit une tyrannie mondiale absolue avec un autre nom – la Technocratie. Big Money assure la domination du monde grâce à Big Tech. Au triomphe de l’idéologie économique, excellemment décrit par Louis Dumont, succède le triomphe de l’idéologie technocratique. À l’heure actuelle, toute analyse géopolitique qui ferait abstraction de l’entrée en scène de l’histoire d’un nouveau phénomène – la Technocratie – est incomplète et implicitement déformante. L’auteur américain Patrick M. Wood est indispensable à la compréhension approfondie de ces réalités à l’impact mondial sans précédent dans l’histoire. Une réalité complémentaire à celle décrite ci-dessus s’appelle le transhumanisme. Klaus Schwab nous a familiarisé avec ce concept en 2016 à travers son livre « La quatrième révolution industrielle. » Or selon certains analystes, la structure de la « Quatrième révolution industrielle » sert à soutenir le contingent du néolibéralisme de la période du consensus post-Washington et remplit donc la mission de masquer le déclin progressif de l’ordre mondial globalisé avec le récit d’un « Nouveau monde merveilleux ». Schwab aurait simplement mis en scène un coup d’État idéologique en utilisant un ensemble de métaphores pour parler d’une révolution imaginée. Cette quatrième révolution industrielle selon Schwab ne serait rien d’autre qu’un mythe moderne. Le contexte social de ce monde serait donc toujours le même que celui de la quatrième révolution industrie et peu de changements seraient attendus. Et aucun pays au monde ne semble pouvoir résister à ce danger pour l’existence même de l’humanité. Au contraire, la technophilie et l’enchantement provoqués par l’émergence de l’Intelligence Artificielle, ainsi que la numérisation totale du monde, ont également affecté les masses comme les gouvernants. Le philosophe et théologien français d’origine roumaine, Jean Boboc, apporte une contribution fondamentale au décryptage du transhumanisme. Et toute analyse politique qui ignorerait ce phénomène d’une ampleur et d’une gravité écrasantes est partielle et donc incapable de saisir l’image globale du monde d’aujourd’hui. En ce moment historique, critique pour l’humanité, l’esprit de sacrifice et le courage des élites intellectuelles anti-Système est la condition indispensable de notre effort pour réveiller les nations. Le temps des héros frappe à la porte. L’avenir dépend de la volonté de quelques minorités qui constituent les véritables élites des nations. Nous désirons tous la naissance d’un monde meilleur. Et le chemin qui y mène passe nécessairement par la rupture des schémas et la remise en cause du libéralisme, mais aussi de la technocratie qui tend à prendre sa place. À ce moment crucial de l’histoire, une révolte majeure, mondiale, inconciliable et victorieuse des nations s’impose. Un nouveau monde ne peut être construit que sur les ruines d’un ancien monde. La génération actuelle est destinée à devenir le fossoyeur du capitalisme mondialiste, mais aussi de la technocratie démoniaque. » (Extraits de l'article de Iurie Roşca « La mort du paradigme libéral et la montée de la technocratie » ou comment sortir de l’impasse paradigmatique à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Comment-sortir-de-l-impasse-paradigmatique-72375.html#forum3176605) « Il est impossible de concevoir une dystopie totalitaire plus efficace que celle dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Une dystopie où tout le monde subit un lavage de cerveau par la propagande sans même le savoir, où tout le monde pense, agit, vote et fait ses courses exactement comme leurs dirigeants le veulent, tout en pensant qu’ils sont libres. Les gens s’inquiètent à juste titre des escalades technocratiques telles que la surveillance accrue, les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques des banques centrales, etc. Mais beaucoup imaginent à tort qu’une future dystopie technocratique créée par ces mesures serait très différente de la dystopie dans laquelle nous nous trouvons actuellement, ce qui n’est tout simplement pas le cas. Ces mesures seraient utilisées pour aider à maintenir le système actuel en place, et non pour en créer un nouveau. Les gens imaginent la dystopie totalitaire comme une sombre menace se profilant à l’horizon parce qu’ils ne comprennent pas à quel point nous sommes déjà profondément privés de liberté à l’heure actuelle. Ils pensent que nous sommes libres parce que nous pouvons choisir ce que nous achetons au supermarché et appeler le président « Brandon » (ciritiquer les politiciens), mais ce n’est pas le cas. Ils imaginent que nos dirigeants ont une grande conspiration pour créer une dystopie où ils peuvent nous forcer à faire ce qu’ils veulent, sans se rendre compte que nous sommes déjà dans une dystopie où nous faisons exactement ce qu’ils veulent. Il n’y a vraiment pas d’amélioration possible. Ils ne font que la verrouiller. Sérieusement, réfléchissez : qu’est-ce que les dirigeants de la société occidentale pourraient bien nous soutirer qu’ils n’obtiennent pas déjà ? Il n’y a pas d’opposition politique significative, pas de mouvement anti-guerre, pas de mouvement anti-capitaliste, très peu de pensée critique – ils ont le contrôle total. Tout ce que nous faisons dans cette dystopie est conçu pour faire entrer le profit dans les coffres des oligarques et le pouvoir dans les mains des impérialistes, et tous les efforts pour résister et changer ces systèmes d’entonnoir ont été écrasés avec succès par une manipulation psychologique à grande échelle. Cette dystopie totalitaire ressemble à la liberté parce qu’elle nous laisse plus ou moins faire ce que nous voulons, tout en contrôlant ce que nous voulons faire au moyen d’une manipulation à grande échelle. Ils renforcent encore cette idée en créant des systèmes dans lesquels ce que nous faisons n’a que peu ou pas d’effet significatif. Même si notre cerveau était doté d’un véritable logiciel permettant à nos dirigeants de contrôler totalement et entièrement notre esprit, les masses penseraient et se comporteraient plus ou moins de la même manière qu’à l’heure actuelle. L’arme principale de nos dirigeants totalitaires n’est pas la surveillance, les robots policiers, les cartes d’identité numériques ou les CBDC – leur arme principale est la propagande. Le système de conditionnement psychologique à grande échelle qu’ils ont créé ne ressemble à rien de ce qui a existé dans l’histoire. La capacité à détecter et à réprimer une révolution naissante est largement inférieure à la capacité à utiliser le conditionnement psychologique pour empêcher les gens de penser à se révolter. Voilà à quoi ressemble le vrai pouvoir. C’est le contrôle total. Il s’agit d’une dystopie dont les habitants s’alignent tous sur la volonté de leurs dirigeants, sans même penser qu’ils ne sont pas libres ou qu’ils devraient essayer de le devenir. Essayez de concevoir une dystopie totalitaire plus efficace que celle-ci. C’est impossible. Elle est parfaite. La propagande est le véritable mécanisme de contrôle, et c’est ce que nous allons devoir combattre si nous voulons un jour devenir libres. Le seul moyen de sortir de cette gigantesque matrice de contrôle psychologique est de montrer aux gens à quel point nous ne sommes pas libres, à quel point ils sont trompés, à quel point les choses pourraient être meilleures. Réveillez les gens aux mensonges, à la vraie nature des institutions politiques, éducatives et médiatiques conçues pour nous maintenir en esclavage, affaiblissez la confiance du public dans la machine de propagande, et alors nous aurons peut-être les prémices de la possibilité d’un véritable changement. En attendant, nous sommes enfermés. La personne que vous considérez comme un héros anti-autoritaire en dit long sur vous en tant que personne. Si je vous demande d’imaginer quelqu’un qui lutte contre le pouvoir et que vous pensez à Tank Man ou à Navalny ou à un autre personnage historique au lieu des personnes vivantes qui luttent contre la structure du pouvoir sous laquelle vous vivez réellement, cela signifie que vous avez avalé le mensonge selon lequel votre propre gouvernement et ses alliés sont bons et vertueux ici et maintenant, et que « lutter contre le pouvoir » est quelque chose qui ne peut se produire que pour de nobles raisons dans d’autres pays ou à d’autres époques de l’histoire. En réalité, la nécessité de « combattre le pouvoir » est plus grande sous l’empire centralisé des États-Unis qui règne sur tous ceux qui sont susceptibles de lire ces mots, parce que l’empire centralisé des États-Unis est la structure de pouvoir la plus meurtrière et la plus tyrannique du monde à l’heure actuelle. Ainsi, lorsque je vous demande d’imaginer une figure anti-autoritaire qui vous vient à l’esprit, si vous êtes lucide, vous n’imaginerez pas quelqu’un comme Tank Man, Navalny, Gandhi, Mandela ou MLK. Vous imaginerez quelqu’un comme Julian Assange : quelqu’un qui combat le vrai pouvoir là où il se trouve, ici et maintenant. » (Extraits de l'article « La dystopie totalitaire est déjà là » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/24/la-dystopie-totalitaire-est-deja-la/) « Les Américains ne veulent pas protester sont utiles en ce qu’elles montrent l’état dégradé de la vie quotidienne américaine, étant à la fois des raisons de protester et des raisons de ne pas le faire. Mais elles ne présentent pas la cause profonde, sur laquelle je reviendrai plus tard. Tout d’abord, les raisons invoquées par les Américains eux-mêmes. La plupart des gens ont du mal à joindre les deux bouts d’un mois à l’autre, et le système est structuré de telle sorte que la perte d’un emploi entraîne immédiatement la perte d’un logement, de l’assurance maladie et, en général, l’éjection du milieu social habituel. De nombreuses personnes sont obligées de cumuler plusieurs emplois ou de faire des heures supplémentaires, alors que les horaires de travail aux États-Unis sont conçus de manière à épuiser les forces d’une personne bien plus qu’un emploi similaire en Europe ou ailleurs. De nombreuses personnes doivent faire des trajets d’une heure pour se rendre à leur travail et en revenir, et doivent conduire elles-mêmes au lieu de faire la sieste ou de se détendre en chemin. Ils n’ont généralement droit qu’à une seule pause non rémunérée d’une demi-heure pour le déjeuner. Ils n’ont pas la possibilité de s’absenter du travail pour quelque raison que ce soit, même pour se rendre chez le médecin. De nombreux emplois ne prévoient aucun « congé maladie » pendant la période d’essai initiale de six mois. Il n’y a pas de vacances payées ni de congé de maternité ou de paternité. Les mères peuvent être licenciées pour être restées à la maison afin de s’occuper de leurs enfants malades. La liste de ces indignités semble sans fin, mais les gens n’ont pas d’autre choix que de continuer à travailler, persistant dans un état de rage permanente refoulée qui ronge peu à peu leur âme. Les gens vivent dans le stress permanent des factures impayées et craignent de tomber malades et, par conséquent, de faire faillite et de devenir sans-abri avec les membres de leur famille qui dépendent d’eux, mais ils doivent malgré tout maintenir un comportement professionnel et joyeux jusqu’à ce que la fausseté de la situation imprègne et empoisonne leur psyché. Le résultat final est que la plupart des gens sont tout simplement trop affaiblis pour sortir et protester. » (Extraits de l'article « La futilité de la protestation américaine » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/24/la-futilite-de-la-protestation-americaine/) « Les attentats du World trade center en 2001 sont un événement traumatique qui a servi d’alibi à l’Ogre mondialiste pour enclencher ouvertement sa cruelle marche destructrice dans le but d’édifier un monde uniformisé, remodelé et de conception anglo américaine. Mais force est de constater que le totalitarisme oligarchique en marche nous entraîne plus dans des dérives mortifères de tous ordres : militaire, sanitaire, économique, social, sociétal. De même, au regard de la façon dont la puissance états-unienne a pillé le fleuron industriel sensible français Alstom, via sa compagnie Général Electric, n’hésitant pas à emprisonné Frédéric Pierucci, cadre français durant 2 années, nous ne pouvons plus douter des intentions concurrentielles agressives américaines, même envers des nations considérées comme ses alliées. Ainsi, il est grand temps de ne plus suivre aveuglément les USA dans leurs aventures guerrières souvent illégales et de récupérer une souveraineté nationale en quittant l’UE de même que l’OTAN bras armé de l’Ogre Sam inféodés aux USA. Surtout que l'UE, qui avait été présentée à l’origine comme porteuse de prospérité et de paix, va plonger les pays européens dans la guerre et le désastre économique, dont par preuve de l'annonce paradoxale allemande de réarmement militaire, d'autant plus inquiétante que liée à son suicide économique puisque refusant l'achat du gaz russe suite à son obéissance au pervers empire américano-sioniste mondialiste. L’effroi provoqué par cet attentat odieux de 2001 très probablement sous faux drapeau permit aussi de justifier sur le plan intérieur, un contrôle de plus en plus invasif de la population américaine, et sur le plan extérieur, un démembrement programmé de certains pays du Moyen Orient (Irak, Libye, Syrie...) pour prétendument diffuser le modèle démocratique occidental alors que pour principalement s’emparer des ressources énergétiques du pays détruit. En effet un complexe militaro-industriel rendu surpuissant par l’entretien de guerres permanentes ne peut en fin de compte que compromettre les libertés qu’il prétend pourtant protéger. Les vagues de violence terroriste que connut l’Europe à cause de ces guerres et de ces manipulations aboutissent curieusement aux mêmes conséquences : perte de libertés et accroissement de la surveillance de la population. » (Extraits de l'article « Peur, terrorisme, guerre et chaos : détruire le monde pour mieux le sauver ? » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/20/peur-terrorisme-guerre-et-chaos-detruire-le-monde-pour-mieux-le-sauver/) « La fin des 30 glorieuses coïncident avec la Loi du 3 janvier 1973 (ou loi Pompidou-Giscard-Rothschild) qui met fin à la nationalisation de la Banque de France et qui a pour conséquence « d’obliger » l’État a emprunté auprès des banques privées : la dette est née à cet instant. Depuis l’institution de l’Union Européenne (UE), c’est même devenu interdit car c’est inscrit, expressément, dans la constitution européenne. Au surplus, la fin de la convertibilité dollars-or, accords de Bretton-Woods n’était que l’hirondelle annonciatrice d’un « hold-up » qui permettra la mise en place de la dictature totale du billet vert sur le monde et de la financiarisation des économies occidentales : on produit moins en occident que l’on consomme, désormais ! C’est le système de l’Argent-Dette. Petite piqûre de rappel historique : C’est à la suite de la deuxième Guerre mondiale que sous l’impulsion du Conseil National de la Résistance (CNR) que la nationalisation de la Banque de France, et donc, la possibilité pour l’État Français à taux zéro pour les dépenses publiques (hôpitaux, infrastructures, industries, recherches…) : c’est une époque révolue, au cours de laquelle les hommes politiques servaient les intérêts supérieurs de la nation Française et non ceux des USA et de quelques banquiers tyranniques de la City de Londres et de Wall Street. Revenons en l’an de grâce de l’année 2023 où la montagne de dettes à atteint, dans le monde, la somme inhumaine de presque 1 Million de Milliards de Dollars (dettes publiques, privées, ménages, entreprises et produits dérivés…). C’est à travers cette dette mondiale qu’il faut appréhender le phénomène méconnu qui est tirée de cette règle historique : ce ne sont pas les crises économiques qui décident des guerres mais plutôt les liquidations qu’elles exigent face aux dérives monétaires du crédit et de la dette. Le dollar et l’euro sont non seulement en sursis mais que de surcroît il va forcément y avoir une accélération de la dette ; mais qu’en plus leur avenir face aux Etats « émergents » (ou plutôt le reste du monde) est plus que compromis à cause des taux d’intérêts. Par conséquent, ils sont pris entre deux feux : soit ils laissent filer la dette et donc les monnaies s’effondrent ; soit ils maîtrisent l’inflation mais les risques sont bien plus grands, puisque les acteurs économiques et les populations n’auront plus accès aux crédits (comme sous le covid-19, le remède est pire que mal). Quand la machine va s’enrayer, définitivement, le crack sera long et la récession de l’occident n’en sera plus que douloureuse. Pour Michael Hudson, chercheur et historien de l’économie à travers les âges, démontre que s’il n’y a pas à un moment donné, un effacement pur et simple de la dette, le monde contemporain sera plongé directement dans l’âge sombre. En effet, comprendre le phénomène « Clean Slate » littéralement ardoise effacée, permet d’éviter à l’humanité de passer par la case autodestruction, comme l’a toujours fait le système capitaliste en phase de crise aiguë. » (Extraits de l'article « La dette, arme de destruction massive des économies occidentales » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/25/la-dette-arme-de-destruction-massive-des-economies-occidentales/) « Si un mot peut résumer cinq ans de macronisme liberticide et chaotique, c’est transition. Transition dans tous les sens du terme : transition économique, c'est à dire d’une économie disons mixte à une économie 100 % néolibérale ; transition numérique, c’est-à-dire dématérialisation à tous les étages, on l’a vu avec l’école et le travail à la maison à cause de cette expérience folle de laboratoire que fut le confinement ; transition de l’État lui-même qui perd donc sa force, c'est à dire par sa sous-traitance de plus en plus de prérogatives à des entités privées comme Kinsey ; et enfin transition sexuelle, c'est à dire à travers l'encouragement LGBTiste à changer de sexe dès qu’on se sent mal dans sa peau, ce qui est le cas de 99 % des jeunes. Et n’oublions pas la transition énergétique, ce passage des énergies fossiles aux énergies vertes, celles du vent, du soleil, soit pas grand-chose si l’on exclut la fusion et la fission de l’atome, ce qui était une expertise en grande partie française. Depuis peu, ce transitionniste en chef nous vend la « transition démographique » avec des migrants qui pourraient remplir de nombreux villages désertés. Ce qu’il faut comprendre, c’est que cette élite mondialiste corrompue qui a mis la main sur l’État français avec la complicité des médias, de grands groupes économiques, de forces occultes déguisées en démocratie, de groupes de pression, ne veut pas détruire la France, elle veut la changer, la transitionner, dont donc en lui changeant son sexe, sa nature, sa vocation. C’est pourquoi toutes les transitions pré-citées tiennent ensemble, car elles ont la même racine, cette volonté de couper les testicule du pays pour en faire une première prostituée eunuque de l’Empire. Pourtant, aujourd’hui, avec la résistance d’une Chine et d’une Russie qui ont relevé la tête en 20 ans, même en transitionnant la France, l’Empire ne gagnera pas facilement. La France est un symbole, celui de la liberté et du catholicisme, c’est pourquoi les mondialistes oligarchiques wokistes veulent la mettre au pas. Ainsi sous l’égide de Macron, la France libre est en train de devenir l’esclave de toutes les forces les plus malignes, au vrai sens du terme, intérieures et extérieures. Elles travaillent en termites contre la France, et on peut le constater tous les jours, quand on voit par exemple « notre » production culturelle officielle. Alors le peuple français ne doit pas oublier son origine, son histoire et donc sa place dans le monde afin de retrouver sa dignité, sa piété et sa force contre l'injustice. » (Extrait de l'article « Le macronisme ? Un régime de transition(s) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-macronisme-Un-regime-de-transition-s-69619.html) D'ailleurs la décision de remontée des taux de 2022 mise en application par la Fed et par la BCE est en réalité prise en application d’une directive émanant de la Banque des Règlements internationaux et de la City, laquelle contrôle aussi la banque centrale d’Angleterre et la plupart des paradis fiscaux de la planète, plus précisément, ceux sous administration de trusts anonymes et du droit de propriété économique. Cette décision radicale de remontée des taux directeurs est un prétexte utilisé par les banquiers globalistes afin de gagner du temps. Le temps qui sera nécessaire pour permettre par de pseudos raisons (covid, guerre en Ukraine, inflation, prix de l'énergie, changement énergétique), le passage de l’ancien système financier au nouveau système financier tout entier dématérialisé, mais toujours et encore plus contrôlé par les mêmes pervers tenanciers mondialistes oligarchiques. Or l'économie industrielle avancée actuelle est un système trop délicat et trop imbriqué pour des changements dont énergétique trop rapides, car même un boulanger a besoin d’électricité et la crise alimentaire généralisée demeure donc possible, ce qui pourrait amener enfin une révolution populaire car lorsque il n'y a plus de pain en vente tout devient possible. Pour éviter cela, l’indisponibilité des avoirs bancaires, le revenu universel et la dictature se mettront très probablement en place. « Les criminels ont tendance à se vanter de leur criminalité lorsqu’ils pensent que personne ne peut rien y faire. Dans leur narcissisme, beaucoup d’entre eux ne peuvent s’empêcher de se délecter du moment et de faire savoir à tous combien ils sont « supérieurs » au reste d’entre nous, surtout qu'il ne leur reste que çà à rechercher une fois qu'ils ont tout le pouvoir et l'argent. Nous avons assisté à de nombreux moments de ce genre de la part des élitistes au sein des institutions mondialistes ces dernières années dont en particulier au plus fort de la pandémie. Si leur vision de la « démocratie » est la tyrannie médicale et l’expansion forcée du marxisme culturel, ou si leur idée de la démocratie est la coopération du gouvernement avec le monopole des entreprises et l’effacement des principes fondateurs de notre pays, alors oui, il faut effectivement être un ennemi de la « démocratie ». Les mondialistes se prélassaient vraiment dans l’éclat de leur victoire présumée. Ils pensaient qu’ils nous tenaient, nous les paysans, par la peau du cou et que leur agenda était pratiquement assuré. Mais les élites financières ont peut-être célébré leur victoire un peu trop tôt. Le programme covid a complètement échoué si l’objectif était de mettre en œuvre des obligations et des restrictions de longue date en Amérique du Nord et en Europe. Si vous voulez savoir à quoi aurait ressemblé le succès des mondialistes, il suffit d’examiner la Chine avec ses cycles de confinement sans fin et ses passeports vaccinaux numériques. Les élites voulaient ce résultat pour l’Occident et ils ne l’ont pas obtenu. Elles ont failli, car des millions d’Américains, de Canadiens et d’Européens ont tenu bon et le coût pour nous forcer à nous conformer aurait été trop élevé car synonyme d'une révolution massive. Or un réveil des peuples face aux menaces mondialistes est en cours, et les mondialistes ne peuvent pas l’arrêter. La peur qu’ils éprouvent est palpable. Ainsi la Banque des règlements internationaux, la banque centrale des banques centrales et l’institution qui rédige les initiatives de politique globale pour toutes les autres banques membres, a appelé à plus de hausses de taux, ce qui prouve que les mondialistes souhaitent un crash et créent des conditions d’instabilité. Ils ont installé les dominos à l’avance et ont maintenant décidé de les faire tomber. Il s’agit probablement d’un dispositif de sécurité, d’un déclencheur de panique au cas où ils n’obtiendraient pas le contrôle qu’ils voulaient de la pandémie de covid. Ils accuseront la Russie, la Chine, les conservateurs, n’importe quoi et n’importe qui d’autre qu’eux-mêmes pour tenter de détourner encore l’attention du public des actions bancaires internationales qui ont créé les conditions de ce crash en premier lieu. Nous ne pouvons pas les laisser faire. Quoi qu’il arrive ensuite, il est essentiel que les gens se souviennent qui nous a vraiment fait ça et qui doit être puni. Ils vont essayer d’exploiter cette peur pour obtenir une gouvernance encore plus centralisée et modifier les fondements mêmes de notre société tout en étouffant ce qui reste de nos libertés. » (Brandon Smith) La majorité des gens ne croit plus au Système, car il a trop menti (les politiciens corrompus), pillé (la haute finance qui tue le travail), violé (Epstein et son réseau pédocriminel), tué (le Pentagone et son émanation OTAN). L’idée du système est de faire croire à une puissance supérieure inaccessible, totalitaire, qui nous surveille depuis longtemps, et qui a des moyens technologiques hors de portée du Terrien moyen. Ceci afin que ce pouvoir totalitaire et fou réussisse à travers son agenda mondialiste et cabalistique, c'est à dire à travers une désintégration à la fois démographique (avortement en roue libre, immigration folle, dénatalité, vaccin, etc), culturelle (anéantissement et effacement de tout passé culturel et spirituel) et économique (car l'économie n’importe plus depuis que la bourse monte comme un folle sans elle). C’est ainsi que Peugeot pèse en bourse 0.5% d’Apple (vous avez bien lu). L’économie matérielle est bien sûr aussi liquidée au nom du climat et de Dame Greta, de Davos et des oligarques américains. On ne garde comme source de richesse que l’inflation folle des valorisations boursières de certaines sociétés (celles technologiques et de luxe par exemple) et l’inflation des services financiers et des valeurs immobilières (Paris vaut dix fois plus au mètre qu’il y a une génération). Cela prépare aussi mentalement les peuples à mourir dans des guerres tels les ukrainiens pour ces maîtres. Le monde parfait des mondialistes serait tyranniquement celui où tout serait sous contrôle des Etats, des multi-nationales, de Big Tech, des assureurs, des banquiers, des trusts agro-alimentaires, de Monsanto et de Big Pharma, et où tout serait donc uniformisé, homogénéisé et aseptisé à outrance en leur faveur. « La dynamique globaliste d’interdépendance est un désastre en attente, et c’est en train de se produire. Sans exploitation décentralisée des matières premières, sans fabrication locale, sans produits d’origine locale, sans production alimentaire locale et sans réseaux commerciaux intégrés localement, il ne peut y avoir de véritable stabilité. Il suffit d’un ou deux événements de crise pour que le système implose et que la capacité de l’économie à répondre à la demande publique stagne. Le système ne s’arrête pas complètement, mais il se ratatine et se dégrade lentement. Le programme de « Grand Reset » du WEF, du FMI, de la BRI et d’autres organisations globalistes nécessite une déstabilisation étendue de l’ordre existant. En d’autres termes, ils ont besoin d’une démolition contrôlée de certains piliers de l’économie. Pour effrayer le public et lui faire accepter de nouveaux modèles collectivistes et autoritaires tels que l’« économie partagée » (où vous ne posséderez rien et en serez heureux), ils ont besoin d’un désastre important et semi-chaotique. Il faudrait que les gens soient menacés par la perte de la certitude de l’approvisionnement. Car ce niveau d’incertitude appelle des solutions, et les globalistes seront évidemment encore là pour proposer leurs objectifs préétablis et sauver la situation désastreuse qu'ils auront à nouveau provoquée. En général, l’inflation et les pénuries conduisent à un contrôle des prix, à un rationnement gouvernemental, à une aide gouvernementale assortie de conditions, et finalement à la nationalisation ou à la privatisation centralisée à outrance de toute la production. La redistribution sera le mot d’ordre. » (Brandon Smith) Comme l’aura relevé le très fin Éric Verhaeghe, suite au problème climatique, au covid, à l'inflation, à la crise en Ukraine et à la guerre énergétique, les banques centrales pourraient également mettre à profit un scénario de « cyberattaques » et donc un blackout pour introduire leurs fameuses monnaies numériques centralisées. On notera à toutes fins utiles que la Banque de Russie participe activement aux exercices Cyberpolygon, avec comme objectif assumé d’introduire un rouble numérique intégralement traçable et donc surveillable mais possiblement dignement. Il est également de fait que la BCE présente son « euro numérique » comme une solution de secours pour les paiements électroniques si les services bancaires ne sont plus disponibles à cause d'une cyberattaque. Commentant les sombres prédictions du WEF concernant une éventuelle cyberattaque à grande échelle, Hinchliffe a estimé que « les mondialistes non élus profiteront de chaque crise pour exercer leur influence sur les politiciens, les chefs d’entreprise et la société civile ». « Peu importe si la crise a à voir avec la cybersécurité, le changement climatique, la pauvreté ou une pandémie mondiale (chaque solution proposée par le WEF appelle à des collaborations public-privé) une fusion plus étroite de l’entreprise et de l’État », a écrit Hinchliffe. Et surtout un renforcement de mesures totalitaires. Surtout que concernant une cyber attaque massive, il précise que les gouvernements n’auraient pas besoin d’identifier de façon certaine l’auteur de la cyber-attraque avant de riposter, mais simplement de présumer qui en est l’auteur, ce qui est la porte ouverte à toutes les manipulations comme pour le covid et l'inflation attribuée faussement à la Russie. Extraits de l'article « Stratégie du choc et ingénierie de la soumission : vers un « blackout » programmé au service du Reset ? » de Vincent Held à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/01/strategie-du-choc-et-ingenierie-de-la-soumission-vers-un-blackout-programme-au-service-du-reset/ : « Pour expliciter la notion de « stratégie du choc », Naomi Klein commence par décrire la méthodologie des célèbres expériences de contrôle mental que la CIA avait élaborées à partir des années 1950 : la torture ou l’interrogatoire coercitif comme l’appelle la CIA est un ensemble de techniques conçues pour plonger les prisonniers dans un état de choc et de désorientation grave afin de les forcer à faire des concessions contre leur gré. La logique de la méthode est exposée dans deux manuels de l’agence qui ont été déclassifiés à la fin des années 1990. On y explique que la façon de vaincre les résistances des « récalcitrants » consiste à provoquer une fracture violente entre le prisonnier et sa capacité à comprendre le monde qui l’entoure. L’essentiel étant de faire en sorte que le prisonnier prenne peur au point de perdre toute capacité à penser de façon rationnelle et à protéger sa personne et ses intérêts. Plongé dans un état d’apathie et de paralysie psychologique, la personne concernée devient alors une page blanche ouverte à toutes les suggestions. C’est le point de frappe idéal pour le bourreau, le moment où le sujet est le plus susceptible de coopérer. Pour Naomi Klein, des techniques de fabrication du consentement basées sur cette approche ont depuis lors été constamment appliquées à grande échelle, c'est à dire à des populations entières aux quatre coins du monde. Les séances d’électrochocs infligées aux cobayes souvent non volontaires de la CIA deviennent ainsi une allégorie de la manière dont les maîtres du jeu politique imposent leurs choix à des populations entières, c'est à dire en exploitant délibérément des situations traumatisantes comme lors des attentats du 11 septembre. Or les attentats terroristes provoquèrent un choc différent de ceux qu’on imaginait dans les pages du manuel d’interrogatoire de la CIA, mais leurs effets furent remarquablement similaires : profonde confusion, peur et angoisse extrêmes, régression collective. À l’image d’un interrogateur qui s’érige en figure paternelle, l’administration Bush ne tarda pas à exploiter cette peur pour camper le rôle du parent protecteur, prêt à défendre par tous les moyens la patrie et ses enfants prétendument vulnérables. Dans idéal, il faut que le choc psychologique et la peur qui paralysent la volonté des populations et les renvoie à l’état d’enfants dépendants s’accompagnent de mesures d’isolement physique et social. Car la privation de stimuli provoque une régression en empêchant le sujet d’avoir des contacts avec le monde extérieur, ce qui l’oblige à se replier sur lui-même. Puis par la présence de stimuli bien dosés pendant l’interrogatoire, le sujet qui était en régression finit par voir l’interrogateur comme une figure paternelle. Il nous faut ici remarquer que cette privation de stimuli qui mène à la régression psychologique du sujet n’est pas sans évoquer l’effet des mesures de confinement (lockdown en anglais pouvant signifier une régression par enferment) qui ont été imposées à des milliards d’individus de par le monde. A l’origine au 19e siècle, le terme lock-down désignait une cheville utilisée pour tenir ensemble les poutres d’un radeau. Ce n’est que dans les années 1970 que le terme lockdown a commencé à être utilisé pour signifier un état de confinement prolongé dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques. De fait, ces véritables mesures d’incarcération à domicile auront eu pour principal effet observable d’empêcher les personnes concernées d’avoir des contacts avec le monde extérieur, et ce parfois de nombreuses semaines durant comme en France en 2020. Couplé à la désorientation causée par la peur d’une épidémie aussi redoutable en apparence que mystérieuse en réalité, cet isolement et cette claustration arbitrairement imposés ont ainsi causé des dégâts psychologiques fort bien documentés. En novembre 2020, le ministre de la Santé français constatait une explosion des syndromes dépressifs et autres états anxieux parmi ses administrés. Une évolution causée particulièrement par le confinement, d’après ses propres dires. Or c’est bien lui qui avait présidé audit confinement quelques mois auparavant. En résumé, c’est en apeurant et brutalisant les populations, puis en adoptant une attitude protectrice, qu’on les convainc de coopérer à des politiques qui vont directement à l’encontre de leurs propres intérêts, et même de leur simple bien-être physique et mental. En leur offrant ponctuellement des marques de compréhension, voire même de compassion, ainsi qu’une porte de sortie de crise dont à travers le pseudo vaccin sauveur, la figure tutélaire qui préside aux sévices se transforme encore comme par enchantement en une figure paternelle. Ce système soumet la population en disant que si tout le monde joue le jeu, tout se passera bien, mais que dans le cas contraire, on peut retourner à la case torture. Les manuels d’interrogatoire de la CIA nous fournissent ainsi une clé de compréhension décoiffante pour expliquer le but véritable des confinements sanitaires qui auront été mis en œuvre avec tant de zèle sur tous les continents. Il est ainsi parfaitement envisageable que ces quarantaines généralisées souvent imposées avec impitoyablement aient en réalité participé à une véritable ingénierie de la soumission. D'ailleurs les très nombreuses personnes traumatisées par les rigueurs du confinement se trouvèrent dès lors très vulnérables aux suggestions du pouvoir politique en particulier en matière vaccinale. Or avec la fin de la crise sanitaire, quel choc suffisamment brutal administré à la population de plus en plus récalcitrante, afin de la convaincre de tendre à nouveau les bras au système ? En tout état de cause, force est de constater que le scénario effrayant de coupures d’électricité prolongées, d'interruptions de services critiques, de pénuries et de guerre en Ukraine, auquel Schwab consacre tant de soin, se prêterait particulièrement bien à une stratégie du choc inédit par sa puissance afin de faire advenir le grand reset mondialiste. En effet le traumatisme général causé par la violence d'un tel événement pourrait pousser des populations entières à accepter un univers de surveillance, de pénuries, de rationnements et de taxation éco-citoyenne contrôlé par les mondialistes ploutocratiques. » « Aujourd’hui, nous constatons que le communisme chinois et le libéralisme mondialiste ont fusionné au Forum économique mondial de Davos en menaçant le monde entier. Or la défaite de l’État profond lors de la prochaine élection par les forces saines au sein des États-Unis d’Amérique dont Trump serait la prémisse d’une coexistence pacifique des nations, sans qu’il y ait une nation qui se considère supérieure et légitimée à soumettre les autres. Le problème fondamental en Italie (comme aux USA) est que les gouvernements que nous avons eus, depuis la monarchie savoyarde, ont été entièrement manœuvrés par la franc-maçonnerie, décidant des réformes, déclarant les guerres, traçant les frontières et stipulant les traités toujours et uniquement sur les ordres des Loges. Des parlementaires maçonniques notoires, des ministres francs-maçons, des professeurs d’université maçonniques, des francs-maçons primaires, des officiers supérieurs maçonniques, des éditeurs francs-maçons et des évêques francs-maçons ont obéi au serment d’allégeance à la Grande Loge et trahi les intérêts de la Nation italienne. Aujourd’hui, la franc-maçonnerie se sert de son bras séculier, le Forum de Davos, qui établit l’ordre du jour des Nations unies, de l’Organisation mondiale de la santé, de l’Union européenne, des diverses fondations « philanthropiques », des partis politiques et de l’église bergoglienne. Il n’est pas nécessaire de parler de théories de la conspiration, car il suffit d’écouter ce que le principal architecte du Grand Reset, Klaus Schwab, a déclaré le 23 mai alors qu’il s’exprimait au Forum de Davos : « L’avenir ne se construit pas tout seul : c’est nous (du Forum économique mondial) qui allons construire l’avenir. Nous avons les moyens d’imposer le monde que nous voulons. Et nous pouvons le faire en agissant comme une partie prenante dans les communautés et en collaborant les uns avec les autres. » La crise ukrainienne fait également partie de ce plan : « Avec le bon récit, nous utiliserons la guerre pour vous rendre vert. » Le conseiller de Schwab, Yuval Noah Harari (qui résume tel un faux messie juif tous les « talents » de l’intellectuel woke en tant qu’Israélien, homosexuel, militant végétalien des droits des animaux, anti-Poutine et anti-Russie, ainsi que farouchement contre Trump) est allé jusqu’à déclarer sans vergogne : « Dans dix ans, tout le monde aura un implant cérébral et une vie éternelle dans le domaine numérique. Google et Microsoft décideront quel livre nous devons lire, qui épouser, où travailler et pour qui voter. » Harari est l’auteur de divers essais, dont « Sapiens », « Des animaux aux dieux », « Une brève histoire de l’humanité : Homo Deus » (2011), « Une brève histoire du futur » (2015). C’est le délire absurde de l’homme transhumain qui pense pouvoir vaincre la mort et se transformer en dieu. Dans ce sens, il n'est pas étonnant que les oligarques occidentaux se considèrent comme des élus et soient alliés aux oligarques juifs et israéliens dans leur guerre contre les peuples pour la domination mondiale. Ainsi le moment est venu pour les Italiens de commencer à décider de leur avenir sans qu’il soit dicté par de véritables traîtres, et pour que les traîtres soient jugés pour ce qu’ils sont des conspirateurs criminels en les excluant à jamais de la politique et de toute possibilité d’interférer dans la vie du pays. Que les magistrats et les policiers se souviennent que très bientôt ceux qui ont soutenu ce régime dictatorial seront considérés comme des collaborateurs et condamnés comme tels. Un sursaut de dignité et d’honneur de leur part dès maintenant serait encore crédible. Attention : ceux qui nient Dieu comme Créateur et Rédempteur ne le font pas pour permettre à ceux qui ne sont pas chrétiens de pratiquer leur religion, mais plutôt pour empêcher ceux qui sont chrétiens de façonner la société selon les principes de la doctrine sociale et du bien commun. Derrière tout cela, il y a des gens qui détestent Notre Seigneur. La faute de l’Occident est d’avoir cru les mensonges de la Révolution (qui était aussi une Grande Réinitialisation) de s’être laissé entraîner dans un tourbillon de rébellion et d’apostasie, de violence et de mort (qui a d'ailleurs commencé par la décapitation d'un roi par guillotine). Le mondialisme est la métastase de toutes les erreurs modernes, que seule l’Église (depuis ses débuts) a su condamner avec clairvoyance. Et en effet si le mondialisme a connu une accélération, nous le devons précisément au fait que depuis Vatican II, la hiérarchie s’est transformée d’ennemi juré de la conspiration maçonnique en son allié zélé. Or un des projets de la franc-maçonnerie est la dépopulation, et c'est pourquoi cela procède dans cette direction avec l’avortement, l’euthanasie, les pandémies, les sérums expérimentaux, les guerres, les famines et l’homosexualité de masse. Qui les a nommés « cavaliers de l’Apocalypse » ? Un des piliers de la lutte est la préservation de la famille traditionnelle. Car la famille, c’est la tradition, l’identité, la foi, l’aide et le soutien mutuels, la transmission des principes et des valeurs. Famille signifie père et mère, chacun avec son rôle spécifique, irremplaçable et non interchangeable, aussi bien dans la relation mutuelle entre les époux que dans l’éducation des enfants, ainsi qu’envers la communauté. Famille signifie religion vécue, religion qui se communique à travers les petits gestes, les bonnes habitudes, la formation de la conscience et du sens moral. Vous comprenez bien que frapper la famille conduit indéfectiblement à la dissolution du corps social, qui par nature est incapable de remplacer le rôle de la famille. C’est ainsi que nous avons : le divorce, l’avortement, le « mariage » homosexuel, l’adoption d’enfants par des célibataires ou des couples irréguliers (ou illégitimes), la déchéance de l’autorité parentale pour des raisons idéologiques, l’élimination des grands-parents et de la parenté de la vie domestique, les conditions de travail des mères qui ne leur permettent pas d’accomplir les tâches familiales, la pénalisation des femmes mariées ou ayant des enfants lorsqu’elles cherchent un emploi, l’endoctrinement des enfants dès l’école primaire. Dans ce domaine aussi, une action courageuse et déterminée est nécessaire pour la défense de la famille naturelle et pour la protection des droits des parents dans l’éducation de leurs enfants, qui ne sont pas la propriété de l’Etat. » (Extraits de l'excellent entretien « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’Etat mondial » avec Monseigneur Vigano à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/09/la-franc-maconnerie-utilise-loms-et-l-eglise-bergoglienne-pour-faire-avancer-son-coup-detat-mondial-par-monseigne/) Mgr Viganò précise ailleurs : « L’Eglise profonde est à l’Eglise catholique ce que l’Etat profond est à l’Etat : les deux sont la version corrompue et pervertie de leur propre institution car infiltrée et tenue en otage par des impies. Les membres de l’Eglise profonde sont d’autant plus inconnus que leur pouvoir est grand : les personnalités publiques sont presque toujours des marionnettes dociles envers ceux qui tirent les ficelles. Biden et Bergoglio sont les hommes de paille de l’idéologie qui les unit : un mélange de collectivisme maoïste, de libéralisme maçonnique et d’œcuménisme conciliaire, avec des clins d’œil à l’idéologie du genre et aux instances LGBTQ. Dans l’ordre naturel, l’Etat a pour but la bonne gouvernance et le bien commun des citoyens : les traîtres de l’Etat profond en ont fait l’ennemi des honnêtes gens et le complice des criminels. Dans l’ordre surnaturel, l’Eglise a pour but le gouvernement des fidèles et la sanctification des âmes : les traîtres de l’Eglise profonde condamnent ceux qui préservent la Foi et la Morale et louent publiquement les hérétiques, les sodomites, les avorteurs, les usuriers, les meurtriers et les criminels. Mais que cela soit clair : si dans les projets délirants de ceux-ci il y a la destruction de l’Etat et de l’Eglise moyennant la démolition ou la corruption de ceux qui détiennent l’autorité dans l’un et dans l’autre, nous savons bien que si une nation, une culture, une langue, une civilisation peuvent aussi disparaître, dans le cas de la Sainte Eglise, la promesse de Notre Seigneur reste valable pour toujours : portæ inferi non prævalebunt adversus eam (et les portes de l’enfer ne prévaudront pas sur elle). Nous ne devons pas penser que les événements terrestres de l’Eglise doivent être jugés selon des paramètres purement humains, mais plutôt avoir la certitude que le Seigneur protégera son Eglise ut pupillam oculi (comme la prunelle de l’œil). L’objection à ceux qui soutiennent la théorie du complot mondial est légitime et compréhensible, parce que chacun de nous a justement été éduqué à un système partagé de valeurs et de principes que nous tenons toujours pour acquis : que le fils doit faire confiance au père ; que l’élève peut faire confiance à l’enseignant ; que le patient peut compter sur le médecin pour être soigné ; que ceux qui voient un droit violé peuvent obtenir justice d’un tribunal impartial ; que les nécessiteux peuvent espérer dans la compassion et la charité des autres ; que le citoyen a en ses dirigeants ses gardiens et protecteurs ; que les fidèles peuvent écouter avec confiance la voix des Pasteurs, comme si c’était la voix même du Christ ; que le lecteur n’est pas trompé par les agents de l’information ; que le client ne doit pas craindre d’être trompé par le commerçant, ou empoisonné par le restaurateur. Dans ce système, l’autorité du père, de l’enseignant, du médecin, du juge, du dirigeant, se réfère à l’autorité de Dieu, qui est Père, Maître, Juge et Roi. Il est évident que l’œuvre de dissolution de la société chrétienne (qui a commencé par la décapitation du roi et donc du père de la nation et donc du patriarcat légitimé par Dieu le Père dont selon le « au nom du père » chrétien désignant Dieu) est motivée par la haine inextinguible de Satan contre le Christ. Alors que se passe-t-il si, avec un travail constant de plus de deux cents ans, l’ennemi infiltre les écoles, les tribunaux, les institutions, les séminaires, les entreprises et les syndicats, et conquiert progressivement le sommet, prenant des ordres du même groupe de pouvoir qui commande tout le monde, qui fait chanter ou récompense tout le monde ? Face à l’évidence d’une telle subversion, nous ne devons pas fermer les yeux parce que cela semble incroyable de ne pas l’avoir remarqué auparavant, mais plutôt avoir le courage de reconnaître que beaucoup trop de nos silences ont permis au conseiller municipal corrompu, au curé vicieux, au soldat malhonnête, à l’assistant ignorant, au médecin sans scrupules, à l’employé apathique de devenir parlementaire, évêque, général, professeur, ministre et de s’être ainsi rendu sensible au chantage. En fin de compte, peu commandent, et les nombreux qui obéissent le font principalement par conformisme ou pour cacher des mesquineries. Mais ces quelques-uns, et nous le savons par les données qu’ils diffusent eux-mêmes, ont vraiment un pouvoir exorbitant, qui augmente avec chaque nouvel adepte nommé à la tête des institutions. Ce n’est pas impossible, au contraire : c’est extrêmement simple, si l’on considère qui possède les médias, qui finance les partis politiques, qui parraine les institutions internationales, qui donne les rapports de fiabilité aux budgets des nations. Ce sont toujours les mêmes, dirigés par quelques fonds d’investissement et un nombre encore plus restreint de représentants de la haute finance usuraire. Les noms sont ceux-là, et on les connaît. » L'analyste des cycles financiers et géopolitiques Martin Armstrong a dit : « Les mondialistes font pression pour la tiède guerre civile généralisée voire chaude mondiale militairement mais en pensant la garder conventionnelle, comme le prouvent les médias dominants affirmant que l'Occident n'est pas en guerre contre la Russie, alors que seuls des occidentaux savent comment utiliser certaines armes envoyées en Ukraine qui bombardent les forces et le territoire russes. (En effet à cause d'une société violemment anarchique ou d'une guerre mondiale nucléaire, ils ne sont sûrement pas prêt à perdre leur vie luxueuse en allant dans des bunkers des années, surtout tout peut vite y dégénérer. Dans ce sens ils doivent donc éviter que la France s'effondre car çà pourrait être un des derniers bastions du mondialisme.) C'est à dire qu'ils pensent que suite à l'appauvrissement et la chaos généralisés, ils pourront créer un nouveau système monétaire. En effet suite à l'effondrement de la Russie voire aussi des USA, de la Chine et de l'UE, les Nations Unies pourraient ensuite apparaître comme le chevalier blanc et le pacificateur. C'est à dire qu'ils veulent un autre Bretton Woods, car lorsque vous pouvez redessiner toutes les monnaies, vous effacez toute la dette. C’est ce qui est à l’ordre du jour. Il n’y a aucun moyen pour eux de s’en sortir autrement que par un défaut de paiement. S’ils font défaut, ils s’inquiètent de voir des millions de personnes prendre d’assaut les parlements d’Europe et des USA. C’est vraiment une énorme crise financière à laquelle nous sommes confrontés. Ils ont emprunté année après année depuis la Seconde Guerre mondiale sans avoir l’intention de rembourser au bout d'un certain temps. » Or nombreux sont ceux qui pronostiquent une guerre mondiale. Effectivement, quelques groupes s’y préparent. Mais les États sont raisonnables et, dans les faits, envisagent plutôt une séparation à l’amiable, une division du monde en deux mondes différents, l’un unipolaire et l’autre multipolaire. Peut-être assistons-nous en réalité à un troisième scénario : l’« Empire américain » ne se débat pas dans le piège de Thucydide, il s’effondre comme son ex-rival soviétique est mort. Les « straussiens » états-uniens, les « nationalistes intégraux » ukrainiens, les « sionistes révisionnistes » israéliens et les « militaristes » japonais appellent de leurs vœux une guerre généralisée. Ils sont bien seuls et ce ne sont pas des mouvements de masse. Extrait du « Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR) – Moscou, le 14 mars 2023 » à l'adresse https://strategika.fr/2023/03/29/message-de-mgr-vigano-au-congres-fondateur-du-mouvement-international-russophile-mir-moscou-le14-mars-2023/ : « La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie. Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial. Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours, dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde. Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant. Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio. Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste. Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué. » Le réveil des peuples est possible car « Ôter la vie d’une jeune fille (Daria Douguine) par une bombe ou tenter d’assassiner son père pour ses « crimes idéologiques » (pensées incorrectes ou idées défendant sa patrie la Russie) ne peut constituer la base d’un empire civilisé. Les médias otanistes ont sombré dans le terrorisme pur et dur, le plus grossier et le plus insupportable. Maintenant, ils vont réactiver le djihad tchétchène, le néonazisme interne, les oligarques mécontents, les loges, les Sanhédrins. Ils vont continuer à fabriquer de nouveaux Hitler, et à en juger par leur apparence, Poutine et Douguine sont déjà sur la liste. L’empire turbo-capitaliste raisonne déjà de la même manière que les antifas victimes de leur acné d’adolescents : le fascisme ne doit pas être discuté, il doit être exterminé. Biden, ainsi que son empire génocidaire n’ont plus rien d’adolescents. Leur apparence de traverser la vie en se faisant passer pour des antifas est honteux, car sachant comme nous, tout de leurs révolutions colorées, de leurs coups d’état militaires, de leurs centres de torture, de leurs expériences sociales, de leurs bombes nucléaires et biochimiques. Ils n’ont pas l’air de bons enfants idéalistes et « antifas ». C’est un empire déjà trop vieux et un ennemi de l’humanité. Alors que tout pourrit autour de vous, défendez-vous en lisant. Et sauvez-vous en condamnant toujours la mort d’innocents. Et épargnez-vous des idées condamnables. Vous n’êtes pas obligé d’aimer la philosophie de Douguine, mais ne condamnez pas cet homme à mort pour cela. Avec des maximes aussi simples, nous sauvons l’Europe et nous nous débarrassons de l’Occident. » (Extraits de l'article « Le meurtre de Daria Douguina ou l’Holocauste de l’Europe » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/30/le-meurtre-de-daria-douguina-ou-lholocauste-de-leurope/) Surtout qu'Alexandre Douguine ne fait que simplement défendre intelligemment, car dans un sens logiquement pacifique, l'idée qu'il faut organiser le monde en fonction des diverses ères civilisationnelles à travers l'Eurasisme conservateur et la multipolarité internationale, c'est à dire en grands espaces spirituels et traditionnels devant protéger leurs intérêts spécifiques, culturels et ethniques voire multiethniques par le dialogue, des consultations, des négociations, des compromis, des conciliations, des coopérations gagnant-gagnant ou/et de la solidarité, ce qui s'oppose à l'unipolaire américano-sioniste belliqueux, égoïstes, wokiste, mondialiste, ploutocratique et donc barbare. C'est d'ailleurs possiblement la cause ou la conséquence qui fera revenir Jésus puisque le retour d'un califat bien guidé sur les terres musulmane y est probablement lié. Sans tomber dans l’exercice toujours un peu vain de la recherche des précurseurs, il est évident que l’Eurasisme s’enracine dans un terreau intellectuel typiquement russe, inauguré par le père du slavophilisme : Alexis Khomiakov (1804-1860). Celui-ci interprète l’histoire comme la confrontation de deux principes : le principe iranien et le principe kouchite. Ces deux principes sont conçus comme recouvrant toutes les dichotomies structurelles du monde. À l’opposition iranien/kouchite correspond ainsi les oppositions liberté/déterminisme, spiritualité/matérialisme, civilisation paysanne/civilisation industrielle, autocratie/ploutocratie, orthodoxie/catholicisme et protestantisme, Orient/Occident... « Mais nous pouvons également qualifier de totalitaire cette démocratie libérale qui prétend détenir la vérité absolue et imposer cette soi-disant vérité à n’importe qui d’autre dans le monde sans tenir compte de la particularité des différentes civilisations. Il y a donc un racisme hérité du libéralisme occidental parce qu’il identifie l’expérience culturelle historique et politique de l’Occident à une expérience universelle. Ainsi, si vous dites que l’Occident est la même chose que l’humanité et que l’humanité est sous l’Occident, qu’elle n’est pas développée, pas encore assez occidentale, il s’agit d’une approche purement raciste. Il peut s’agir d’un racisme ouvert, comme dans une forme perverse de national-socialisme basé sur la biologie, mais c’est aussi un racisme culturel auquel nous avons affaire dans le mondialisme libéral moderne. Si les Chinois pensent que ce système ou ce régime leur convient et qu’ils l’aiment, c’est à eux de décider de ne pas suivre les activistes de la société ouverte ou les partisans de la mondialisation. Il faut donc laisser les gens décider pour eux-mêmes, et c’est le principe fondamental de la démocratie réelle, si vous voulez, au niveau international. nous devons nous débarrasser de cette obsession de l’économie. C’est ainsi que nous pourrons rendre l’économie vraiment saine. Nous devons donc créer une approche logique et naturelle pour résoudre les problèmes économiques sans dogmatisme, sans cette compétition entre le socialisme et le capitalisme. Nous devons donc nous débarrasser du dogmatisme en économie et placer l’économie sous le signe du développement spirituel. Nous devons donc parler avant tout de culture plutôt que de civilisation en termes spenglériens. Notre problème n’est donc pas de nous engager dans tel ou tel dogme économique. Nous devons créer un fonctionnement dans la société, tout d’abord, basé sur la justice, la tradition, le bonheur des gens. Et tous ces éléments sont des valeurs plus morales, plus spirituelles que l’économie. Et cela ne signifie pas que nous devons ignorer l’économie. Non, nous devons ignorer le dogmatisme économique. Si l’économie de marché fonctionne dans certaines zones de la société, laissons-la faire. Si l’implication de l’État se révèle efficace, qu’il en soit ainsi. De même, s’il existe une approche communautaire dans certains groupes de population, laissons faire les communes, certaines formes de sociétés communautaires. Nous devrions donc nous débarrasser de toute forme d’orthodoxie en économie. Nous constatons que la meilleure performance économique de l’histoire du siècle dernier était précisément le mélange. Par exemple, la stratégie américaine de mercantilisme et de protectionnisme avec des marchés libres. En Europe, il s’agit d’une politique sociale, presque du socialisme avec une certaine liberté d’entreprise. L’équilibre entre l’État et le capital privé est donc en constante évolution. Il s’agit toujours d’une relation. Ce n’est pas un dogme. Nous devons donc trouver la relation qui correspond le mieux à l’expérience russe, à la société russe. Et qui nous aiderait à mieux résoudre les problèmes concrets actuels. Le principal problème pour l’Occident est d’accepter que l’Occident puisse être une province de l’humanité, et non le centre, ni la capitale. Il n’est donc qu’une partie. Il ne représente pas l’ensemble de l’humanité et la multipolarité est là pour ça. En luttant pour la multipolarité, la Russie lutte donc pour le droit des différentes civilisations de s’affirmer avec leur système de valeurs inhérent, qui peut coïncider ou non avec les valeurs occidentales. Il n’y a donc rien d’universel dans la multipolarité. Il existe une sorte d’universalisme relatif, partiel : l’universalisme chinois, l’universalisme islamique, l’universalisme eurasien russe, l’universalisme africain et latino-américain. Il n’y a donc pas qu’un seul universalisme, l’universalisme moderne occidental, mais il peut exister et coexister des civilisations qui défendent leur droit à créer leurs propres systèmes politiques, culturels et artistiques. Tel est le sens de la multiplicité, de la pluralité des civilisations et de la multipolarité. Les luttes contre cette prétention, non pas contre l’Occident en tant que tel, mais contre la prétention de l’Occident à être le modèle, à être l’exemple unique du progrès de l’histoire, de la compréhension du temps, de l’homme, de la technologie. Toute civilisation a donc son propre droit de comprendre, d’interpréter ce qu’est l’homme, ce qu’est le temps, ce qu’est Dieu, ce qu’est la mort, ce que sont le bien et le mal. C’est donc à la civilisation de décider et il n’y a pas de modèle universel unique à imposer à toutes les civilisations. Voilà ce qu’est ce combat en Ukraine. » (Extraits de l'article « Multipolarité et impérialisme russe – Entretien avec Alexandre Douguine » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/22/multipolarite-et-imperialisme-russe-entretien-avec-alexandre-douguine/) « L’Occident semble ne faire qu’un, mais ce n’est que la surface apparente de la réalité. Il y a bien un alignement des dirigeants européens sur la politique extérieure des États-Unis, mais l’Occident n’existe pas en tant que civilisation une. L’intégration de l’Europe au « grand espace » (grossraum) des États-Unis est la conséquence ultime de profondes transformations qui ont eu lieu à partir du 16e siècle : la réforme protestante, l’affaiblissement de l’Église catholique romaine, la sécularisation, la transformation de l’Angleterre calviniste en hêgemôn planétaire, et les deux guerres mondiales qui ont mis sous la tutelle de Washington l’Europe de l’Ouest. L’anglo-sphère ne s’est toutefois jamais confondue avec l’Europe continentale. Les États-Unis, n’étant pas un empire au sens traditionnel, ne considèrent pas le Vieux Continent comme un prolongement de leur nation. Les pays européens ne sont pas non plus des vassaux au sens classique du terme. L’Amérique est un hêgemôn inégalitaire, contrairement à l’empire romain qui considérait les peuples comme égaux. Les États-Unis ne se comportent pas comme un empire envers ses vassaux, dans un rapport mutuellement profitable. Ils dévorent leurs esclaves européens, comme Kronos mange ses enfants, de peur que l’un d’entre eux ne les supplante, ou, du moins, ne s’émancipe. Washington préfère sacrifier les pays d’Europe, brûler ses propres vaisseaux, plutôt que de les voir se rapprocher de la Russie, quitte à s’affaiblir lui-même. L’Occident n’est donc pas « collectif ». Outre les différences anthropologiques et culturelles, il est traversé par une grave fracture depuis plusieurs décennies qui s’est mue en guerre civile. L’ultralibéralisme anglo-américain et judéo-protestant a détruit le tissu industriel des sociétés occidentales et les a fracturées géographiquement, culturellement, économiquement et sociologiquement. La bourgeoisie des grandes villes, sur lesquelles s’appuient les classes dirigeantes, ont fait sécession d’avec les catégories populaires de la périphérie. Mais la lutte dépasse de loin celle des classes. Elle met face à face la Haute finance et l’économie réelle, la spéculation et la production, le fictif et le réel. C’est une guerre existentielle qui, en s’accentuant, agrège au noyau dur populaire les classes moyennes menacées de disparition. Le capitalisme productiviste n’est plus, il a changé de nature. Il est aujourd’hui sacrificiel, il consume les sociétés et les peuples occidentaux. C’est une véritable guerre d’extermination à petit feu que mène les tenants de ce néo-capitalisme dans un Occident gravement atteint par l’athéisme, terreau du nihilisme. Toutefois, le suicide n’est pas collectif. Les mouvements de révolte qui se multiplient sont la preuve que l’instinct de survie et de conservation des peuples occidentaux n’a pas disparu. Ainsi, l’oligarchie et la caste dirigeante de l’Ouest mènent une double guerre : contre leurs propres peuples en révolte et contre la Russie. C’est plus qu’une guerre civile mondiale, c’est un pan-polemos. Une guerre interétatique, intra-étatique, socio-économique, biologique, religieuse, existentielle. C’est une guerre contre la vie, une guerre contre la création, une guerre contre la Loi naturelle. La guerre civile mondiale et le pan-polemos ont été répandus par les États-Unis qui ont instauré l’état d’exception permanent en Occident et violent systématiquement le droit international. Dans ce contexte anomique, la violation de la Loi naturelle est devenue la règle. L’autorisation du mariage homosexuel, de l’inceste, du changement de sexe des adultes et des enfants, fait de l’Occident le foyer de l’antinomisme, pour parler en termes théologico-juridiques. C’est un mouvement entropique, dont l’épicentre est l’anglo-sphère judéo-protestante qui détruit toutes les sociétés où s’impose son hégémonie. Les révoltes populaires en Occident, et la contre-attaque russe en Ukraine contre l’OTAN, doivent ainsi être interprétées comme des réactions néguentropiques face aux forces entropiques. Le nomos (la loi) contre l’antinomisme, l’ordre contre le chaos nihiliste. La Russie se bat, comme les peuples occidentaux, pour son existence, pour repousser le Mal et l’expulser de son propre corps. Elle mène une guerre extérieure, par les armes, et une lutte intérieure, spirituelle. Plus la guerre extérieure s’intensifie et plus la Russie se radicalise, au sens latin ; elle tente d’extirper les virus tenaces du progressisme. Dans cette guerre civile mondiale, dans ce pan-polemos, les peuples européens et la Russie sont des alliés objectifs face à ceux qui se sont désignés comme leur ennemi commun. L’avènement de la multipolarité ne se réduit pas à un nouveau partage du monde et la fin de l’hégémonisme planétaire des États-Unis. La guerre Russie/OTAN en Ukraine n’est pas exclusivement matérielle, et les révoltes populaires en Occident ne sont pas circonscrites à une lutte socio-économique. La coïncidence historique de ces différents phénomènes n’est pas fortuite. L’identification de l’ennemi auquel résistent les peuples européens, la Russie, les pays d’Afrique, la Chine, doit nous faire méditer sur la nature de ce combat global. Le projet politique totalitaire de l’ennemi, ses méthodes et son caractère nihiliste, placent le pan-polemos qui nous est imposée sur le terrain eschatologique. Les dirigeants américains, qu’ils soient croyants ou athées, considèrent les États-Unis comme une nation messianique dont la politique est toujours justifiée, au sens religieux, même si elle doit conduire le monde à l’Armageddon. Le danger, dans un futur plus ou moins proche, est la confrontation directe des puissances nucléaires sur le territoire européen, contre la volonté des peuples enfermées dans des structures supranationales étasuniennes. À ce stade, les Européens n’ont pas encore trouvé leurs champions, leurs véritables représentants capables de reprendre les rênes des États amputés de leur souveraineté politique. L’espoir est dans la rapide délégitimation des dirigeants européens avec l’accélération de l’Histoire. Dans ce contexte, la Russie tient un rôle important. La guerre d’attrition qu’elle est en train de remporter face à l’OTAN peut à terme précipiter la chute de plusieurs gouvernements européens. Précipitant ainsi la guerre civile occidentale vers son dénouement. Il est donc nécessaire que la Russie ne se coupe pas totalement de l’Europe et construise des ponts avec la société civile où se trouvent les véritables élites et d’où émergeront les futurs dirigeants. La multipolarité doit se bâtir avec les peuples, et par-delà les pouvoirs politiques si nécessaire. » (Discours du géopoliticien Youssef Hindi « la guerre civile occidentale dans le monde multipolaire » à la conférence internationale sur la multipolarité) « Que la paix soit sur vous tous. Commençons par le commencement, j’adresse mes profondes salutations à mes camarades de lutte Alexandre Douguine, et sa fille (décédée). Nous menons un combat vous le savez, sur le continent africain, dans la diaspora africaine, visant à permettre aux populations africaines de trouver leur autodétermination, de trouver leur ultime souveraineté. Nos aïeuls ont lutté contre le colonialisme, puis contre le néocolonialisme, et nous rencontrons aujourd’hui en ce début de 20e siècle, l’ultime forme du colonialisme. La forme la plus prédatrice, la forme la plus criminel, la forme la plus génocidaire, parce que c’est une forme génocidaire culturellement, spirituellement, politiquement, économiquement. Cette ultime forme du colonialisme, c’est le globalisme néolibéral sur le terrain économique et sur le terrain sociétal. Et c’est ce qui fait que nous nous retrouvons aujourd’hui à marcher aux côtés de tous ceux qui luttent contre ce globalisme qui est une pieuvre, un cancer qui veut tous nous asphyxier. Quelles que soient nos couleurs de peau, quels que soient nos origines, quels que soient nos peuples, nous sommes tous confronter aux diverses tentacules de cette pieuvre (mondialiste) qui veut nous uniformiser dans le cadre du gouvernement mondial qu’ils veulent essayer d’instaurer. Ce qui nous permettra de nous lever, ce qui nous permettra de nous libérer, ça sera l’unité des divers peuples enraciné, inséré profondément dans leur identité. Et cette pieuvre-là, tant que nous n’aurons pas fini avec cette dernière, elle n’asphyxiera pas que nous, elle asphyxiera tous les peuples de l’humanité, dans leur ensemble. Soyons organisé, soyons connecté, comprenons les enjeux. Comprenons que ce qui se passe matériellement est lié à ce qui se passe sur le terrain de l’immatériel. Comprenons que ce n’est pas une bataille simplement de l’Est contre l’Ouest, ou du Nord contre le Sud. C’est une bataille du Bien contre le Mal. C’est une bataille du déracinement contre les peuples enracinés, c’est une bataille de la foi en l’immatériel contre la foi au matérialisme, c’est une bataille de l’équilibre contre le déséquilibre, c’est une bataille de la justice contre l’injustice. L’Afrique sera le centre de gravité de ce combat. C’est le centre déjà de cette guerre des mondes. Il y a l’Ukraine dont on parle beaucoup, mais l’ultime centre de ce combat global, c’est le continent africain, matrice de l’humanité, et qui sera le tombeau de l’hégémonie mondialiste. En l’honneur de nos ancêtres, et par foi au créateur qui n’engendre pas et qui n’a pas été engendré. Que la paix soit sur vous tous. » (Extraits de l'intervention du leader africain Kémi Séba « Le globalisme néolibéral: ultime forme du colonialisme » lors de la première conférence mondiale sur la multipolarité) Le terrorisme oligarchique en quatre phases, 2015-2016 pour la version djihadiste, 2018-2019 pour la version policière contre les Gilets jaunes 2020-2021 pour la version sanitaire contre le peuple entier, 2022 pour la version guerrière et alimentaire en Ukraine, nous a appris une chose : le satanisme avance toujours masqué derrière le progressisme, la démocratie, le principe de précaution. Les Français vivent sous une série de catastrophes qui les stressent ou les dépriment, faisant toujours baisser leur immunité, c’est-à-dire leur résistance physiologique et psychique à l’agression. Ça plus l’injection, les masques et l’inflation, l'immunité physique est aussi attaquée. Ce système néolibéral condamne aussi des régions entières par l’extrême violence prédatrice de sa logique financière, et par l’insécurité de basse voire moyenne intensité que cela provoque. Encore un lien entre la racaille d'en bas et la racaille d'en haut. « L’abandon des objectifs démocratiques et leurs remplacements par les méthodes de gouvernance inspirée du business font des politiciens des ennemis et non des souverains. Les peuples sont de la matière a travailler. Toutes les crises auxquelles nous assistons depuis trois décennies montre que l'État ne travaille plus pour nous servir ni pour protéger notre patrimoine, nos institutions, notre culture et notre mode de vie communs. Dans le passé, c’étaient les rois et les États-nations qui craignaient la révolution du peuple, les esclaves. Maintenant c’est l’État lui-même qui fomente la révolution, de l’intérieur. La pourriture est au noyau, au cœur. En revanche, c’est le peuple, nous le peuple, qui voulons que le pays, la culture et le patrimoine soient sauvés et qui doivent donc résister de toutes nos forces à la révolution parrainée par l’État. S’il semble insensé que 30 millions de voitures à essence et diesel pourraient être remplacées par des alternatives électriques alimentées par une infrastructure inexistante, c’est parce que l’explication la plus simple est que peu d’entre nous sont censés avoir de voitures électriques ou autres, même si c'est pour l'instant encore aussi un nouveau marché dont par rapport aux pièces particulières. (En effet la voiture électrique généralisée paraît de plus en plus impossible dont à cause du prix et du difficile recyclage des batteries, du temps de chargement et du nombre de stations de charge et de caisses enregistreuses de charge à mettre en place. Ce qui signifierait donc bien dont aussi à cause de l'inflation de l'essence pour les moteurs thermiques, que l'élite mondialiste et l’UE sont en train de condamner la mobilité des pauvres pour de pseudos motifs dont le réchauffement climatique qui est un leurre, mais aussi possiblement en train d'affaiblir les pays producteurs de pétrole insoumis, ou en train de créer un scénario pour faire baisser la prix du pétrole afin de s'enrichir toujours plus en réinvestsant dedans pour le faire monter.) La transition vers les voitures électriques nous prive de notre liberté, notre autonomie individuelle, de notre capacité à décider librement de nos déplacements. Si vous vous demandez pourquoi aux États-Unis et ici en Grande-Bretagne, nous tournons le dos à la fracturation hydraulique et à d’autres sources d’énergie sous nos pieds et sous nos mers environnantes, c’est parce que l’intention est que nous, en Occident, devrions avoir beaucoup moins d’énergie disponible pour nous en tant que gens ordinaires qu’auparavant. L’intention n’est pas de passer au vert. L’intention est que nous devrions nous en passer. Dans le cadre de la révolution mondialiste du grand reset, les États élaborent des plans pour empêcher toute protestation ou dissidence. (De même) Le soi-disant projet de loi sur la sécurité en ligne n’est rien de moins qu’une toute nouvelle façon d’assurer la censure et le silence de quiconque contesterait l’entrave de nos droits et libertés, notre rassemblement comme du bétail vers un esclavage numérique dans lequel chacune de nos transactions financières, chaque communication, chaque mouvement, chaque réunion, chaque mot, peut être surveillé en temps réel et aussi jugé par rapport à un code de conduite rédigé par des personnes que nous ne voyons pas et ne pouvons pas connaître. Nous risquons d’être jugés par rapport à des normes établies pour restreindre tous les aspects de notre être, et chaque fois que cela conviendra à l’État, nous serons jugés insuffisants et punis en conséquence. Dans son premier sermon à la synagogue, Jésus a dit à la congrégation qu’il était venu apporter une annulation de la dette de la table rase , ce qu’il a appelé l’Année du Seigneur. Ceci, l’annulation d’une dette autrement impayable envers Rome et les Romains, était la base de son message d’espoir aux opprimés. Le gâchis économique dans lequel nous nous trouvons actuellement n’est pas la faute de nous, le petit peuple, mais des banques et de leur imprudence ruineuse à la poursuite de profits obscènes. En 2008, ils ont dû annuler leurs erreurs, c'est à dire leurs dettes, avec l’aide de sommes exorbitantes de l’argent des contribuables. Cependant, ces mêmes banques ne veulent pas faire la même chose pour nous. Loin de là. Les banquiers et le reste de l’élite super-riche veulent esclavagiser ceux qui sont endettés. Lorsque cela se produira, l’élite riche possédera tout, et nous ne posséderons rien. Ainsi la grande réinitialisation que les élites ont en tête ne sera certainement pas un jubilé pour le peuple, une annulation inconditionnelle de toute dette. Ils ont besoin que nous leur soyons redevables, afin qu’ils nous possèdent. Les banquiers disent toujours que les dettes doivent toujours être payées sinon ce sera le chaos. C’est le moment de se réveiller et de comprendre qu’il ne faut pas faire confiance au système ni à l'Etat. » (Extraits de l'article de Neil Oliver « Si vous admettez que les gouvernements occidentaux considèrent que les citoyens sont leurs ennemis alors tout devient clair. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/06/09/si-vous-admettez-que-les-gouvernements-occidentaux-considerent-que-les-citoyens-sont-leurs-ennemis-alors-tout-devient-clair/)
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