Y) Suite 25
« Le mode de consommation télévisuel et médiatique permet en réalité de dissoudre complètement la famille tout en sauvegardant l’apparence d’une vie de famille intime, voire en s’adaptant à son rythme. Le fait est qu’elle est bel et bien dissoute : car ce qui règne désormais à la maison grâce à la télévision, c’est le monde extérieur (réel ou fictif) qu’elle y diffuse tel un fantôme. Il y règne sans partage, au point d’ôter toute valeur à la réalité du foyer et de la rendre elle désormais fantomatique non seulement au niveau de la réalité des quatre murs et du mobilier, mais aussi de la vie commune. Quand le lointain se rapproche trop, c’est le proche qui s’éloigne ou devient confus. Quand le fantôme devient réel, c’est le réel qui devient fantomatique. Le vrai foyer s’est maintenant dégradé et a été ravalé au rang de « container » : sa fonction n’est plus que de contenir l’écran du monde extérieur. Or le monde extérieur, c’est le virus, et il va tout conditionner : je suis l’alpha et l’omicron, le principe et la Fin de votre monde. Le livre de Gunther Anders est riche et long. On ne va se concentrer que sur cette seule question de la destruction de la famille, à l’heure où les parents (comme les profs) détruisent, vaccinent et masquent leurs enfants, sauf une poignée de louves. Il précise dans son livre : « La télévision a liquidé le peu de vie communautaire et d’atmosphère familiale qui subsistait dans les pays les plus standardisés. » Rappelons que ce sont les pays les plus riches (les plus standardisés) qui se sont jetés sur les vaccins. Certains aiment citer l’occident et sa civilisation, ils sont servis... Etre un occidental moyen signifie être un riche et vieux consommateur, et un téléphage abruti, strictement rien d’autre. L’homme libre n’est jamais occidental. Le moyen âge se référait à l’orient comme le psalmiste. Sans même que cela déclenche un conflit entre le royaume du foyer et celui des fantômes, sans même que ce conflit ait besoin d’éclater, le royaume des fantômes a gagné dès l’instant où l’appareil a fait son entrée dans la maison : il est venu, il a fait voir et il a vaincu. Dès que la pluie des images commence à tomber sur les murailles de cette forteresse qu’est la famille, ses murs deviennent transparents et le ciment qui unit les membres de la famille s’effrite : la vie de famille est détruite. ... La télé a aussi marqué la Fin du christianisme (Cène/Table). Ce qui ne veut donc pas dire que la télévision est maintenant devenue le centre de la famille. Au contraire. Ce que l’appareil représente et incarne, c’est précisément le décentrement de la famille, son excentration. Il est la négation de la table familiale. » (Extraits de l'article « Gunther Anders et le virus de la télévision ») Dans son ouvrage « Le totem de l'État de droit », l'avocat Ghislain Benhessa démontre comment nous sommes passés du « droit de l'Etat » à la primauté du droit sur l'Etat. C'est à dire que jamais défini, étendu sans discontinuer par les juges, l'Etat de droit est devenu un véritable totem. C'est aussi pour çà que le droit à outrance a progressivement occultés les devoirs authentiques, ceux monothéistes, dont familiaux. Ce concept a connu une véritable ascension après la seconde guerre mondiale sous l'influence des démocraties libérales et de l'idéologie des droits de l'homme pour détruire la nation au profit de l'individu roi devenu follement ultra libéral libertaire. La preuve, l'Union européenne, laboratoire du mondialisme, l'a placé au cœur de son logiciel pour coiffer son impérialisme. Par une épreuve de force devenant de plus en plus nécessaire pour un retour à la souveraineté, il faut donc se libérer de cette Etat de droit qui est devenu la première entrave qui nous empêche de nous défendre, surtout qu'il y a eu un vide juridique dans lequel se trouvait la France lors l'instauration de l'Etat d'urgence dit sanitaire qui n'a rien de constitutionnel et qui a plongé la population dans un état de sidération totale. Etat de sidération créé par l'establishment en vue d'accélérer la désintégration de la France et d'accélérer l'intégration européenne, laboratoire des élites apatrides pour établir un gouvernement mondial qui plongera les populations occidentales dans l'esclavage. « Guerre totale contre Dieu. Comment répondons-nous ? Par l’alliance (voire l'amour) avec Dieu. Toute la dynamique de la vie internationale des dernières décennies porte la marque frappante de Satan… La guerre totale menée actuellement contre l’humanité n’est pas le fait de « psychopathes », comme tentent de nous en convaincre certains dissidents du camp altermondialiste. Ces cercles occultes ne sont pas autonomes. Ils ont fait leur choix, ils ont choisi leur maître (Satan, Lucifer). C’est maintenant à notre tour de le faire. Le processus radicalement dirigé contre l’homme – le mondialisme – ne peut être compris dans toute sa profondeur et sa complexité que d’un point de vue religieux. L’assaut final des forces lucifériennes contre l’humanité a pris une ampleur sans précédent maintenant pour deux raisons principales. La première. Le bannissement de Dieu de l’esprit collectif des masses a triomphé. Deuxième. Les acquis de la techno-science, induits par les forces infernales de certains « scientifiques » diabolisés, permettent l’exercice d’un contrôle total sur les masses mondiales par un très petit groupe de personnes. L’action subversive du serpent biblique contre l’homme ne s’est pas arrêtée un instant depuis la tentation d’Eve au Paradis jusqu’à aujourd’hui. En Occident, cela s’est manifesté à travers la Réforme, la Renaissance, le Siècle des Lumières, la Révolution française. Ainsi l’effondrement de la Modernité a tracé une ligne de dégradation continue de l’humanité. Scientisme, Technolâtrie, Progressisme, Transformisme, Anthropocentrisme ne sont que quelques noms de cette maladie spirituelle mortelle. Et si l’on croyait que l’homme, la nature et la société pouvaient être refaçonnés à l’infini, nous sommes aujourd’hui arrivés au stade terminal de la diabolisation du monde. Elle se manifeste par la désagrégation définitive de l’harmonie et de l’équilibre dans le monde. L’agression contre l’humanité, lancée avec une force dévastatrice, prend des formes telles que la liquidation de la famille, l’anéantissement de la maternité, le meurtre rituel des bébés à naître, le féminisme, la théorie du genre, la légalisation de la sodomie, la pédocriminalité, la sexualisation des enfants. L’enchaînement des procédés de déshumanisation du monde et d’assassinats des masses anesthésiées par la télévision, Internet et la culture de masse inclut nécessairement le mythe du vaccinisme et le mythe du climatisme. Les messagers du monde infernal, regroupés dans des organisations de type occulte ou visible, prêchent la fin de l’homme normal par la fusion du biologique et du technologique dans le corps humain. L’homme augmenté, imprégné de nanoparticules et de puces, est la « nouvelle normalité » vers laquelle les satanistes nous poussent. Gestion de la perception, modélisation du comportement, contrôle de l’esprit, modification de la mémoire, numérisation complète de la société et de l’homme – c’est déjà la réalité cauchemardesque dans laquelle nous sommes poussés. L’accélération vertigineuse des rythmes d’atteinte de la phase terminale de l’humanité a acquis deux noms complémentaires, présentés comme des réalisations supérieures destinées à fonder une ère de béatitude généralisée : Technocratie et Transhumanisme. La rapidité avec laquelle le programme diabolique des mondialistes est mis en œuvre est si rapide, et les conséquences de ces actions si désastreuses, que l’établissement du Nouvel Ordre Mondial devient une réalité quotidienne. L’impasse dans laquelle este arrivée l’humanité face à ces dangers mortels est due à l’aveuglement spirituel induit par les milieux maçonniques d’abord en Europe occidentale, et aujourd’hui dans le monde entier contaminé par la maladie mortelle de l’occidentalisation. La matrice dans laquelle nous sommes plongés depuis des centaines d’années n’a été rien de plus que la phase de préparation de l’assaut final contre l’humanité, qui se déroule avec une force volcanique. On pourrait appeler ce piège intellectuel « matérialisme » ou « libéralisme » et on ne se tromperait pas. Mais le nom correct pour l’état du monde aujourd’hui est le rejet de Dieu. Le diable savait comment travailler discrètement pour renverser la vision religieuse du monde. Aujourd’hui, l’homme considère son manque de foi comme une question de choix personnel. Il n’assume pas le rôle déshonorant d’un objet de manipulation par des forces extérieures à son propre esprit, de nature spirituelle. Nos exercices intellectuels puérils sur la restauration de l’État de droit, de la souveraineté populaire, de la démocratie, des droits de l’homme, etc. c’est une occasion d’amusement spécial pour le diable. Il a su nous échapper des regards, nous faire croire à notre propre autonomie. Restant captif du paradigme matérialiste qui induit l’autosuffisance humaine, sans référence à Dieu comme créateur du monde et à Satan comme son destructeur, notre lutte pour la survie est vouée à l’échec. Nous ne pouvons pas nous sauver de la catastrophe terminale qui roule sur nous à une vitesse croissante soit par la culture, soit par la science, soit par les méthodes de lutte politique offertes par l’État libéral. La chance de survie du monde dans les conditions de cette agression d’une immense puissance destructrice ne réside pas seulement dans l’effort de réinformation, dans le courage civique et dans le démasquage des plans de l’élite mondialiste. La force dévastatrice de cette agression ne réside pas seulement dans la concentration des ressources économiques, politiques, technologiques et militaires qui leur permettent d’avoir une domination totale sur le monde. Elle a un pacte avec le diable. Autrement dit, nos forces sont inégales. Ils se sont alliés à l’esprit des ténèbres, et nous restons seuls, c’est-à-dire une proie sûre pour eux. Par conséquent, pour avoir une chance de survie, puis de victoire, nous avons également besoin d’une alliance qui nous rendra plus forts face aux ennemis de l’humanité. Et cela ne peut être qu’avec Dieu. Seul le créateur du monde et de l’homme est plus puissant que sa créature, le premier révolutionnaire qui est Lucifer. Notre Dieu, notre sauveur, le Dieu tout-puissant nous attend. Il nous regarde avec pitié comme des orphelins sans défense devant une meute de loups. La guerre totale menée actuellement contre l’humanité n’est pas le fait de « psychopathes », comme tentent de nous en convaincre certains dissidents du camp altermondialiste. Ces cercles occultes ne sont pas autonomes. Ils ont fait leur choix, ils ont choisi leur maître. C’est maintenant à notre tour de le faire. Jusqu’à ce qu’il soit trop tard. S’il n’est pas trop tard. » (extraits de l'article « Guerre totale contre Dieu. Comment répondons-nous ? – Iurie Rosca » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/07/guerre-totale-contre-dieu-comment-repondons-nous-iurie-rosca/) « La France est persécutée sur le plan économique, ethnique et culturel par le mondialisme de la désindustrialisation, de l’immigrationnisme et de la sous-culture américaine… Cette idéologie anti-française promue et imposée depuis 40 ans par nos propres élites ; élites inversées, illégitimes et parasitaires qui, comme les racailles d’en bas aujourd’hui en action dans nos rues, sont aussi passées au pillage de notre économie productive, notamment par l’affaire Alstom… Les manipulations vont du gang Traoré au président de la République – stipendiés d’ailleurs par la même puissance bancaire – en passant par une gauche qui a choisi depuis les années gauchisme ses héros chez les délinquants – de la racaille ethnique aux black blocs petits bourgeois bien blancs – pour tenter de faire oublier son abandon des travailleurs… Cette merde néo-libérale et communautaire ne vient fondamentalement ni du Maghreb, ni d’Afrique, ni de l’islam – religion d’ordre et de morale qui conduit au respect de l’autorité ailleurs – mais de cette Amérique du Grand Capital et de la segmentation raciale, sexuelle, générationnelle, qui donne aujourd’hui le délire woke, cancel et LGBT. Cette idéologie totalitaire, pseudo-progressiste et anti-traditionnelle, imposée par le mondialisme qui détruit peu à peu la France, son économie, sa culture et son vivre-ensemble depuis Mai 68… L’heure est au CNR, à un nouveau Comité national de la Résistance de tous les patriotes qui doivent impérativement mettre de côté leurs egos, leurs stratégies de boutique et leurs différences de détails, pour s’engager sur une plateforme commune, dans un combat commun pour sauver la France, comme du temps où l’union sacrée s’imposait pour chasser l’occupant et les collabos ! C'est un travail préalable et nécessaire à une Libération qui devra s’allier aussi, comme par le passé, aux puissances extérieures qui mènent ce même combat contre le mondialisme et pour la Civilisation, notamment (comme la Russie) en Ukraine… Voilà ma conclusion, la seule valable tant l’heure est grave : union sacrée de tous les patriotes pour défendre notre France, celle de la communauté majoritaire opprimée ; sauver la France martyrisée au bord de l’implosion sous la tenaille mortifère des racailles d’en bas et des racailles d’en haut, tous parfaitement identifiés. Courage, union et action ! » (extraits de l'appel national Alain Soral, président d’Égalité & Réconciliation, le 1er juillet 2023) Le Conseil national de la Résistance réuni pour la première fois le 27 mai 1943 au 48, rue du Four dans le VIe arrondissement de Paris, était composé de représentants des mouvements de Résistance (Libération-nord et sud, Combat, Franc-Tireur, OCM, Front national, Ceux de la Libération et Ceux de la Résistance) des partis politiques (PCF, SFIO, Parti radical-socialiste, Parti démocrate populaire, Fédération républicaine, Alliance démocratique) et des confédérations syndicales (CGT et CFTC). Les lieux de vie principaux des ultra riches apatrides sont les grandes nations occidentales, et c'est aussi beaucoup pour ça qu'elles ont été principalement touchées par la dictature sanitaire. Or quand la France sera libérée de la tyrannie mondialiste, nos enfants étudieront et comprendront donc utilement à l’école la monstrueuse occupation des années 2020 avec ses dizaines de milliers de morts, le désastre de la dictature sanitaire sur l’économie, la fracturation programmée du pays, l’apartheid entre vaccinés prisonniers et non-vaccinés dans le maquis, la répression des Gilets jaunes, des antipass et des antivax, le contrôle mental et social via les algorithmes, la corruption absolue du clan gouvernemental, la mainmise du Big Pharma sur la santé publique, l’influence du Big Tech sur l’information et les mentalités, de nombreux traîtres à la nation, les va-t-en guerre en Ukraine. Pour l'instant comme il n’y a absolument rien d’alarmant à part le niveau de propagande, il est possible que les mondialistes veuillent se sauver en imposant une dictature internationale dont la capitale serait Jérusalem. Surtout que le système oligarchique international lutte clairement contre toute résistance à sa politique de répression économique cachée derrière le principe de précaution sanitaire, politique et financier. D'ailleurs c'est d'autant plus grave que le national sionisme se rapproche dangereusement de plus en plus de la prise du pouvoir dans de nombreux pays. Extraits du texte « Non au national-sionisme » : « -Parce que le premier « grand remplacement » fut d’abord celui qui s’est opéré partout dans les médias... -Parce que pas de « grand remplacement » sans grand remplaceur... -Parce que la communauté juive de gauche est la principale responsable de l’immigration de masse et la communauté juive de droite est la principale responsable de la radicalisation communautaire divisante... -Parce que les racailles ne sont pas les enfants de l’islam mais de SOS Racisme... -Parce que ceux qui nous poussent aujourd’hui à la guerre civile sont les mêmes qui ont détruit le Liban et la Yougoslavie... -Parce qu’un patriote authentique doit tout faire pour éviter la guerre civile ! -Parce que le « terrorisme islamique » est une création américano-saoudienne supervisée par Israël, dont pour détruire en premier lieu les nations arabo-musulmanes... -Parce que les crises migratoires actuelles sont aussi la conséquence des guerres pour Israël... -Parce que Netanyahou et Goldnadel ne sont pas l’alternative à George Soros... -Parce qu’Israël n’est pas un rempart contre l’immigration mais un État d’immigrés-colons... -Parce que le sionisme est un nationalisme pour les juifs, mais un antinationalisme pour tous les autres... -Parce qu’Israël n’est pas un rempart contre le terrorisme mais un État terroriste qui prospère sur l’insécurité et le mépris du droit international... -Parce que la « terre promise » au sens messianique juif, ce n’est pas seulement Israël mais toute la Terre... -Parce qu’un patriote chrétien digne de ce nom ne peut avoir aucune admiration pour une armée qui tire sur des femmes et des enfants, poussés à la misère et au désespoir, après leur avoir volé leur terre... -Parce que les premiers arabes à s’opposer au projet sioniste étaient des Palestiniens chrétiens, avant la création de comités islamo-chrétiens refusant l’expropriation de leur terre... -Parce que le « judéo-christianisme » est une escroquerie théologique et un mensonge historique ! -Parce que dès la naissance du christianisme les tenants du judaïsme ont persécuté le Christ et ses disciples... -Parce que les juifs considèrent le Christ comme un faux prophète et un sorcier (Sanhédrin 43a) et la Vierge Marie comme une prostituée (Sanhédrin 106a)... -Parce que la laïcité est une escroquerie maçonnique et que derrière la loge se tient la synagogue... -Parce qu’en France ce ne sont pas les musulmans qui attaquent le catholicisme mais les laïcards dont sionistes... -Parce qu’Attali ne nous aura pas non plus avec son nouveau national-mondialisme ! -Parce que nous ne sommes pas obligés de choisir entre Christine Angot et Élisabeth Lévy, entre LGBT et LDJ, entre Tel Aviv et Jérusalem ! -Parce que la crise sociale actuelle nous vient de la politique de la dette exercée par Wall Street et pas de la Mecque ni de la Bande de Gaza... -Parce que la question raciale doit toujours s’articuler avec la question sociale... -Parce que la minorité des racailles et des djihadistes ne doit pas nous faire oublier l’immense majorité des OS1 et des OS2 qui bossent au côté des autres ouvriers français sur les chaînes de montage... -Parce que nous sommes les nationalistes français authentiques et légitimes... » C'est pourquoi l'Europe politique et économique actuelle incarne le plus le mondialisme sioniste, surtout qu'il existe étonnamment un parlement communautariste juif européen non médiatisé dans les mêmes locaux que le parlement européen de Bruxelles qui influence très probablement ce dernier dont à travers des organismes privés, alors que s'il était musulman tous les regards et mauvaises critiques seraient portés sur lui. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Omerta médiatique : Le parlement Juif Européen » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=1VzROerPJrE En effet il est très étonnant qu'un Parlement juif existe au sein du Parlement européen. Qu’est-ce donc que les Israéliens font dans le pré carré Européen ? Cette question ne vient pas du fait que le Parlement européen doit être réservé aux pays de ce continent, mais parce que l’intrusion d’intérêts extra-européens pose sérieusement problème. D'ailleurs il est aussi très étonnant qu'Israël qui s'étend dans une région sémite participe aux championnats de sport européens. Dans ce sens il faut noter que certains juifs pervers cherchent à créer en France un parlement sioniste similaire et lié à des entités comme le CRIF. Lorsque l’entité israélienne s'ingère dans la politique profonde, ça mérite un carton jaune voire rouge. Il faut noter qu'avec le CRIF les principaux organisations proches du pouvoir et l'influençant fortement sont « Le club Le Siècle » et « La French American Foundation (FAF) ». Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Qui gouverne la France ? » à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/02/qui-gouverne-la-france/ Or cette ingérence d'Israël, des USA et du Privé en France se fait d'abord à travers une forme d'opposition contrôlée comparable à celle des syndicats et des partis politiques pour effacer l'authentique sentiment patriote français. C'est à dire qu'ils récupèrent puis dévient les idées politiques populaires et patriotes pour obtenir le pouvoir, et ensuite trahir ces idées en obéissant au système mondialiste de l'hyper classe corrompue. Et les sionistes et les mondialistes parviennent donc ainsi à mettre des personnes à eux dans les principales entités politique, institutionnelle, ou autre. Par exemple les élites sionistes sont passées en 20 ans de l'antiracisme multiculturaliste de gauche pro-immigrés et anti-français considéré à l'époque comme congénitalement fasciste (correspondant toujours à une forme d'opposition contrôlée de gauche, par des hommes comme Michel Onfray en plus possible cheval de Troie du national-sionisme ou Bernard Henri Lévy, face à l'authentique esprit français national, catholique et social), à l'islamophobie rabique immanente pro-Israël contre la réconciliation sociale dans une sorte de national sionisme (correspondant toujours à une autre forme d'opposition contrôlée de droite, par des hommes comme Eric Zemmour, face donc aussi à l'authentique esprit français national, catholique et social) basé sur les non nationaux authentiques et s'incorporant dans un nouveau national globalisme et donc plus dans un mondialisme sans nation, c'est à dire à travers par exemple un passage de l'union européenne à une Europe des nations liée fortement à l'américano-sionisme. Dans ce sens l'anti-racisme de gauche est passé à l'anti-islam (considéré comme fasciste par Onfray), puis à l'écologie par le regret moral des bobos préférant finalement une cause neutre et donc facile plutôt que raciste envers l'islam et donc les musulmans. En effet on a eu le rebelle sans cause (James Dean, La Fureur de vivre), on a désormais beaucoup de causes sans une once de rébellion. Chacun y va de sa lutte, ou d’un ensemble de critiques convenues dans lesquelles ne transpire plus aucune révolte sincère. Et lorsqu’on n’est pas dans la pure posture – en général destinée à accompagner la vente d’un nouveau produit, disque, livre, etc. – on reste à la surface des choses. Soit par bêtise (le niveau s’étant effondré depuis 40 ans), soit par lâcheté (la puissance centrifuge du moindre dérapage pousse à les éviter tous). Encore dans le sens de l'opposition contrôlée, Goldnadel est le contrôleur d'opposition politique qui va traiter les personnalités influentes de la droite, Bercoff est le contrôleur d'opposition médiatique qui va ouvrir le micro aux personnalités qui contestent le discours officiel de la doxa tout en faisant jusqu'à trois cent mille personnes et Hanouna est le contrôleur d'opposition populaire avec des audiences parfois à plus de deux millions de téléspectateurs. Il est intéressant d'écouter à ce sujet la vidéo « Émission Faits & Documents — Les contrôleurs d’opposition : Goldnadel, Bercoff, Hanouna » à l'adresse https://youtu.be/QcTEr7DrPl0 Dans ce sens, le journaliste, écrivain et réalisateur franco-algérien Sifaoui est clairement mandaté et soutenu par l’Intérieur, via la secondante de Darmanin Marlène Schiappa, pour islamiser les peurs françaises, qui sont majoritairement économiques et sociales : la paupérisation programmée via l’inflation et le chômage, la destruction du soin en particulier et des services publics en général, la répression de la contestation et de la liberté d’expression, la surveillance généralisée, la soumission aux ordres délétères de l’européisme et du mondialisme, l’immigration de masse, la perspective de la guerre. « La profanation effrontée des saintetés de l’islam au nom de la liberté d'expression et de pensée a été scandaleusement normalisée dans les sociétés occidentales. Plus récemment, nous en avons été témoins à Stockholm et à La Haye, où le Saint Coran a été profané en plein jour et, comme toujours, les pays occidentaux sont non seulement restés des spectateurs muets, mais en sont devenus les pom-pom girls. Le 23 janvier, Edwin Wagensveld, homme politique néerlandais d'extrême droite, provocateur et leader du groupe islamophobe Pegida, a arraché des pages du Coran à La Haye, la capitale administrative des Pays-Bas. Deux jours plus tôt, dans un autre acte de provocation, le politicien d'extrême droite Rasmus Paludan, un double ressortissant danois-suédois, connu pour son extrémisme anti-islamique, avait brûlé une copie du Coran devant l'ambassade de Turquie à Stockholm sous la protection de la police et avec la permission des autorités. Une semaine plus tard, Paludan a répété l'acte, incendiant un exemplaire du livre islamique vénéré devant une mosquée au Danemark, toujours sous le couvert de la police. Naturellement, cela a déclenché la colère, l'indignation et la condamnation dans le monde entier, en particulier dans les pays à majorité musulmane. Malgré la demande légitime d'une action en justice contre de telles provocations qui blessent les sentiments de 1,4 milliard de musulmans à travers le monde, les gouvernements occidentaux n'ont rien fait d'autre que de publier des déclarations pour sauver la face. Leur inaction et leur indifférence sont passées sous le couvert de la liberté de parole et d'expression, ce qui leur donne le droit d'insulter effrontément l'islam et les musulmans et de s'en tirer comme il se doit. Les crimes de haine anti-musulmans visent principalement à provoquer et à blesser les communautés musulmanes. Dans des cas récents, les gouvernements en question ont non seulement refusé de criminaliser les actes, mais les ont également autorisés et ont fourni une protection. Les médias occidentaux ont également gardé le silence, sauf pour les reportages sur les réactions du monde musulman. Leur couverture était principalement axée sur l'impact potentiel de cet incident sur la candidature ambitieuse de la Suède à l'adhésion à l'OTAN. Cela indique à quel point les valeurs religieuses islamiques sont compromises dans la sécularisation rapide des sociétés occidentales. Fait intéressant, certains pays occidentaux ont des législations sur le blasphème conçues pour protéger les croyances religieuses et empêcher la violation de ces croyances. Le blasphème est défini comme l'acte de parler d'une manière qui montre l'irrévérence pour Dieu ou les saintetés sacrées. Dans certains pays européens, c'est un crime punissable. Les sanctions vont des amendes aux peines de prison. Cependant, en 2017, le Danemark a abrogé sa loi sur le blasphème et les dernières lois suédoises contre le blasphème ont été annulées dans les années 70. Elle a été remplacée par une nouvelle loi appelée « agitation contre un groupe spécifique de personnes » qui ne protège pas les religions mais leurs pratiquants. Les Pays-Bas, la France, la Grèce, l'Angleterre, le Pays de Galles, l'Islande, l'Irlande, la Norvège et l'Écosse font également partie des pays qui ont abrogé la loi. Certains autres pays européens comme l'Allemagne envisagent également de prendre une mesure similaire. En fait, même dans les pays où la loi est promulguée, elle ne s'étend pas nécessairement à toutes les insultes contre les religions et à la profanation du Saint Coran. Malheureusement, la dépénalisation de ces crimes haineux et le mépris continu des insultes contre l'islam et de la profanation de son caractère sacré, ostensiblement pour défendre la liberté d'expression, ne manqueront pas d'entraîner l'islamophobie et des crimes liés à l'islamophobie, voire des meurtres. En juillet 2021, le Conseil national des musulmans canadiens (NCCM) a annoncé que le Canada avait connu plus de massacres motivés par l'islamophobie au cours des cinq dernières années que tout autre pays du Groupe des Sept (G7). En janvier 2017, la fusillade de la mosquée de Québec a fait six morts parmi les fidèles et 19 blessés. Ce fut l'un des meurtres de masse les plus meurtriers de l'histoire du Canada. En août 2022, une série de meurtres d'hommes musulmans au Nouveau-Mexique dans l'État américain du Nouveau-Mexique a envoyé des ondes de choc dans les communautés musulmanes à travers le pays. Alors que les pays européens prennent des mesures pour dépénaliser le blasphème et encourager l'islamophobie et l'anti-islamisme, leur position sur l'antisémitisme reste claire. La négation de l'Holocauste est une infraction pénale dans de nombreux États membres de l'UE, dont l'Allemagne, la Grèce, la France et les Pays-Bas, entre autres. Dans certains pays européens, la négation de l'Holocauste est passible de mois à des années d'emprisonnement. En avril 2021, le ministre suédois de la Justice, Morgan Johansson, a déclaré qu'il croyait fermement que la négation de l'Holocauste devrait être rendue illégale dans son pays, annonçant que le gouvernement avait créé une commission parlementaire pour examiner la question plus en détail. Selon la même norme, les dessinateurs, rédacteurs et éditeurs du magazine "satirique" français Charlie Hebdo qui ont pris l'habitude de se moquer des personnalités et des saintetés islamiques devraient également être détenus et jugés. Mais malheureusement, les préjugés contre les musulmans ont été essentiellement normalisés et les doubles standards occidentaux à cet égard ne font qu'alimenter les flammes de l'islamophobie. » (Maryam Qarehgozlou, journaliste basée à Téhéran qui a largement couvert l'environnement, la santé, la technologie et les affaires du Moyen-Orient depuis 2015) Surtout que Zemmour et Onfray (dont l'opposition contrôlée peut être plus incarnée par le franc-maçon anticatholique Mélenchon) n'ayant pas dénoncé la tyrannie sanitaire et ne s’étant pas opposés à la vaccination obligatoire des soignants ou au pass, cela en dit long sur leurs prétendus courage et honnêteté populaires. Ainsi toutes ces oppositions contrôlées par des juifs ou des sionistes monopolisent le débat et empêche de parler des vrais problèmes qui sont sociaux, économiques, politiques, moraux et religieux. De plus en finançant les partis politiques dans de nombreux pays et pour leurs propres intérêts, les très riches permettent donc aussi souvent à des agents mondialistes ou/et sionistes d'infiltrer tous les partis politiques, afin de créer ou maintenir encore sous leur pouvoir diverses autres oppositions contrôlées ou orientation politiques populaires. De même de ridicules amalgames comme les expressions « islamo-gauchisme » ou « national-socialisme nazi » arrivent à égarer. Le concept d’islamo-gauchisme sert aujourd’hui à dynamiter ce qui reste de la vraie gauche : ceux qui soutenaient encore la Palestine, critiquaient la politique israélienne, défendaient les musulmans, dénonçaient le pouvoir du CRIF, s’opposaient à la tyrannie du néolibéralisme, refusaient les diktats de Bruxelles. Et le concept de national-socialisme associé à nazi sert à le faire craindre, alors qu'il s'agit actuellement d'un souverainisme social (antimondialiste). En effet en expurgeant la composante raciste du national-socialisme, cette théorie politique est rendue « sûre » et ses aspects positifs peuvent être pris en considération. C'est à dire que pour manipuler à son avantage les français ou leurs nouveaux courants idéologiques, le pouvoir profond est donc passé du socialo-sionisme immigrationniste (faussement et sournoisement antiraciste et surtout bancairo-oligarchico-mondialiste) au national-sionisme islamophobe (sécuritaire), voire préserve ces deux oppositions horizontale pour faire oublier la lutte verticale bas/peuple contre haut/oligarchie. Surtout que ces deux idéologies sionistes encore un peu unie cherche à contrer par un désordre économique, social, public, éducatif, sécuritaire, sanitaire et sexuel, le national populisme, conservateur, catholique ou/et antimondialiste montant partout par le bas de la société. D'autant plus qu'il existe aussi une opposition contrôlée entre le sionisme judéo-islamique et le sionisme judéo-chrétien servant la stratégie du choc des civilisations. En effet cela sert aussi à entretenir une guerre civile larvée préservant les élites au pouvoir, à travers le détournement vers l'islam de la colère légitime de nombreux français appauvris par le système. Mais fort heureusement, l'Histoire prouve que le peuple français est avant tout dans une lutte des classes contre l'hyper classe mondialiste et sioniste (comme le montrent les gilets jaunes), et non ethnoconfessionnelle. Cependant le peuple français doit être prudent pour éviter une guerre civile car il est donc entre le marteau du national sionisme (islamophobe et xénophobe) et l'enclume de l'anti-racisme sioniste (immigrationniste, LGBTiste et mondialiste). De plus pour faciliter cette main mise sur les plus grands partis politiques nationaux, les sionistes se servent aussi de variables d'ajustement à travers l'utilisation de tiers dans des partis supplémentaires divisant encore plus les votes du peuple. De même les « islamistes » divisant la société sont les créatures des francs-maçons, des mondialistes, des sionistes et de leurs affidés dont wahhabites comme l'Arabie Saoudite. Nous sommes dans un système totalitaire créant de multiples oppositions contrôlées par des ingénieries sociales. C’est à dire que c'est un système de domination qui produit ses propres ennemis afin de neutraliser l’émergence d’ennemis authentiques autonomes. Antifas, anti-capitalistes, alter-mondialiste, national-sionisme, tous ces mouvements appartiennent à l’opposition contrôlée et c’est pour cette raison qu’ils ne s’attaquent jamais au pouvoir réel qui est socialo-sioniste mondialiste. Ainsi il faut faire attention à une autre ingénierie sociale sur internet : des trolls peuvent accuser faussement d'opposition contrôlée certaines personnes de bonne volonté s'organisant sérieusement face à ce système. L'opposition contrôlée ou l'orientation des tendances populaires se font encore en faisant de la gauche un islamo-gauchisme LGBTiste permettant d'oublier la lutte des prolétaires et favorisant donc l'oligarchie. Les musulmans français en votant pour cette gauche et les catholiques bourgeois en votant pour Macron aussi Lgbtiste votent donc perversement pour leur intérêt de classe (sociale) et contre leurs spiritualités puisque ces musulmans et catholiques devraient voter pour une droite nationale religieuse. Or des millions de Français ont compris qu’en obéissant à la fracture droite/gauche établie par les forces occultes, aucun changement n’était possible, et que tout discours établi sur cette fracture était un discours de complicité insidieuse avec le Système qui se retrouve aujourd’hui dans une impasse. Le PS est mort, LFI rétrécit. En effet le PS est en état de mort cérébrale, ce qui prouve un basculement populaire à droite. La faute à un parti qui ne croit plus en lui-même, qui a accepté la domination du Marché en 1983 (soit la trahison de la classe ouvrière, qui le lui fera payer en votant extrême droite) et qui en est mort. Le Système en profite pour grossir les rangs de la nouvelle impasse : l’écologie qui rafle la mise avec l’appui des forces des médias mondialistes et du Marché de la haute finance internationaliste qui n’est pas contre, puisque des deux côtés on parle déproduction, chômage de masse et revenu universel. Tous ces collabos du Système disent la même chose : nous pouvons devenir présidents. Et c’est tout à fait possible puisque la gauche sociale et l’écologie anti-impérialiste ont donc été laminées par le Système pour construire une gauche gentillette, factice, compatible avec la Banque ! Par cette très grande perturbation, synonyme de grande division ou d'effacement du sentiment national français, de l'homme blanc, de l'hétérosexuel et de la famille traditionnelle, cela pousse le peuple à s'amuser, à jouir, à danser et à se critiquer mutuellement, et donc à ne pas se cultiver ni à se spiritualiser, et cela évite qu'il retrouve une noblesse insoumise afin que ces élites mondialistes et sionistes préservent plus facilement leur domination oligarchique et politique. En effet la société wokiste au service du mondialisme et du sionisme n'apporte qu'obsession de l’accumulation des richesses, mise en scène perpétuelle de soi, fuite des angoisses via la fête ou le voyage, tout en détruisant la tradition nationale chrétienne. Une nouvelle géographie du conflit de classe est donc apparue : il y a en haut la tyrannique classe financière déracinée des grands seigneurs nomades ou transnationaux de la spéculation, comme Georges Soros, et en bas les nouveaux « esclaves », pour citer Hegel, les masses nationales populaires devant se libérer. Dans cette classe opprimée, convergent l’ancien prolétariat décrit par Marx ainsi que la moyenne bourgeoisie entrepreneuriale. Aujourd’hui le capitalisme, c’est donc devenu l’aristocratie financière qui vit de ses rentes spéculatives et de ses fraudes légalisées comme celle très néfaste des subprimes aux États-Unis. (Il est possible de voir à ce sujet l'excellent film « The Big Short : Le Casse du siècle » de Adam McKay). Par conséquent ses membres doivent être plus dénoncés que les chômeurs peu payés à rien faire, puisqu'ils sont beaucoup payés à détruire l'économie. Comme l'avait vu Chateaubriand, toute aristocratie connaît souvent trois âges successifs : « l'âge des supériorités, l'âge des privilèges et l'âge des vanités ; sortie du premier, elle dégénère dans le second et s'éteint dans le troisième. » Dans son dernier ouvrage « Populophobie - Pourquoi il faut remplacer la classe dirigeante française », le politologue Guillaume Bigot compare la France d'aujourd'hui à celle de 1789 : « Le roi s'appuie sur une noblesse de robe (la haute fonction publique) et d'épée (les capitalistes de l'hyper classe). Un néoclergé médiatique et culturel prie pour la construction européenne, les migrants et la sauvegarde du climat. Formant l'immense base de cette échelle matérielle et symbolique, un tiers état salarié pâtit de la mondialisation... A quand la nouvelle Révolution du peuple ? » A l'aide d'une alternance de nationalisme xénophobe et de mondialisme immigrationniste, voire en plus avec l'aide de l'augmentation de fragmentations des territoires en plus petites zones basées sur les ethnies et les confessions, et de la multiplication d'organisations supranationales type union européenne, les riches mondialistes et sionistes cherchent donc à éviter cette lutte des classes apportée par le nouveau populisme. Ils continueront d'essayer par un illusoire récent progressisme à outrance, c'est à dire toujours plus libéral libertaire ou plus contenu, de défier, détourner et dominer la légitimité du protectionnisme, du souverainisme, du bon repli identitaire, du retour au véritable monothéisme et de l'étatisation de l’économie pour une meilleure stabilité nationale et de meilleurs services publiques par et pour le peuples. Surtout que cette démocratie progressiste et consumériste fabrique des émasculés, des soumis ou des psychopathes facilement dominables, comme toute politique ou spiritualité athées. Pierre Hillard confirme que ces sionistes et oligarques ultra riches cherchent par le mondialisme supranational ou international, à créer une humanité indifférenciée (transgenrée, théorie du genre), métissée (sans race ou ethnie ou couleur bien que dans la nature tout se transforme et que le monothéisme est au-dessus de ces considérations par son origine que sont Adam et Eve), consommatrice (esclave) et déracinée (immigrée, nomade, délocalisée en fonction des aléas de la production économique) en quelques étapes, le tout plongé dans une mystique transhumaniste glorifiant l’homme-Dieu (une élite, pas le peuple) interconnecté au numérique (intelligence artificielle et biotechnologie électronique). Cela afin qu'ensuite ils puissent effacer les Etats et créer des blocs continentaux pour les fusionner dans une région monde en commençant par les traités commerciaux supranationaux suivants : Traité transatlantique, Accord Transpacifique, Union européenne, Union Africaine, Union des nation sud-américaines, et possiblement l'Organisation de coopération de Shanghai si le monde unipolaire triomphe. Cette perverse organisation mondiale cherche à ce que l'humanité soit au service d'une élite mondialiste sioniste ultra riche différente d'elle, puisque ses membres prônent la différence supérieure de leur race ne pouvant se métisser et devant vivre en Israël ou au service de cet Etat corrompu, par preuve de ses récentes lois favorisant les juifs en opposition au califat islamique qui demandait pieusement un impôt moins important aux non musulmans. Or pour parvenir à ce nouveau paradigme les organisations mondialiste et sioniste ne suivent parfois pas la même stratégie. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Troisième Forum de Chisinau » à l'adresse https://strategika.fr/2015/03/19/toisieme-forum-de-chisinau/ En effet il existe par exemple au sein des élites une faction des juifs néoconservateurs pro grand Israël divergeant un peu de celle des juifs mondialistes pro république planétaire, dégénérée, transhumaniste et virtuelle (métaréalité du métaverse). Il y a donc une élite juive voulant dominer le monde par le contrôle des nations (droite identitaire américano-sioniste) et une élite juive voulant dominer le monde par le mondialisme (gauchiste, progressiste, wokiste). C'est à dire que comme nous sommes dans un contexte où il y a une révolution technologique, numérique et robotique, le réel est de plus en plus anxiogène (terrorisme, virus, pass sanitaire, problème climatique), et donc une envie de se réfugier dans le monde virtuel augmente. Il s'agit d'un contexte que l'oligarchie veut mettre à son profit dont en prétendant qu'il faut baisser le niveau de vie général car tout le monde ne peut avoir celui de la bourgeoisie américaine, voire baisser la trop nombreuse population mondiale, tout en contrôlant tout, dont en rendant inerte les peuples, en particulier en les mettant en dehors du monde réel à travers une utilisation excessive du métaverse. Surtout que les activités effectuées dans ce métaverse pourraient être surveillées par les administrateurs de la plateforme, ce qui aurait le potentiel de réduire considérablement la confidentialité de tous les utilisateurs de la plateforme. Il faut noter que la guerre wokiste contre la réalité dont en prônant l'autorisation de la transsexualité est similaire en partie au métaverse virtuel puisque l'identité sexuelle de l'avatar de chacun peut y être changée. L’intégration de tous les aspects de sa vie avec le métaverse cadrerait avec la vision du WEF (Forum économique mondial) d’un avenir sans vie privée. L’assimilation de ces activités quotidiennes dans le World Wide Web via le Métaverse soulève également la question de savoir si tout discours, parole, écrit et avis prononcés alors qu’il est branché au Métaverse peut être réglementé par ses administrateurs. Un tel pouvoir réglementaire sans précédent ressemblerait à celui d’un gouvernement mondial, qui est un objectif explicite du Forum économique mondial. Le méta-président des affaires mondiales et ancien vice-Premier ministre britannique Nick Clegg a confirmé mercredi le rôle de leadership du WEF dans le Metaverse. En effet un de ses twitts précise que le WEF jouera un rôle de leadership en informant les meilleures pratiques et les principes de gouvernance dans le Metaverse. Le WEF a même expliqué que son initiative se concentrera également sur la création de valeur économique et sociétale dans le Métaverse, ce qui implique sa propre économie parallèle de biens et services virtuels. Une telle économie pourrait prendre plus d’importance par rapport au monde réel dont si la vision du WEF d’abolition de la propriété privée s'y concrétise et pas dans le Métaverse. Face à tout ce désordre mondial anormal qui se passe actuellement et qui sert mystérieusement à de rares lobbyistes loin d'être humanistes, il faut impérativement dénoncer rapidement la mise en place du Nouvel Ordre Mondial corrompu des mondialistes et des sionistes synonyme de tyrannie à l’échelle mondiale, surtout que progressant de nos jours encore plus vite sous prétexte médical, économique, inflationniste, énergétique, guerrier et banlieusard. Par conséquent il est important de dévoiler point par point tous les éléments de cette mascarade mondiale satanique : dépopulation ou réduction importantes de la population mondiale ; esclavagisation des survivants de cet holocauste planétaire ; pandémies ; inflation ; guerre ; destruction méthodique des économies du monde ; numérisation totale ; suppression de l’argent liquide ; Agenda 21 et Agenda 2030 ; développement durable ; Club de Rome et limites de croissance , rapport 2010 de la Fondation Rockefeller ; projets de Bill Gates et Klaus Schwab (Great Reset) ; Organisation mondiale de la santé et GAVI ; nanoparticules ; 5G ; cyber pandémie ; urgence climatique (mythe du réchauffement climatique et armes climatiques) ; traces chimiques ; agenda du transhumanisme ; puces ; programmation prédictive ; développement de l'IA ; contrôle sur l’esprit humain ; ingénierie sociale ; etc. Il s'agit d'informations s’appuyant sur une multitude de sources internationales d’une crédibilité maximale. Le principal catalyseur de l’exploitation et de la victimisation de vastes populations est le fait que nombre d’entre elles ne parviennent pas à se faire à l’idée d’une conspiration organisée par des monstres humains. Ils refusent de reconnaître l’existence du mal qui se trouve juste devant eux, ce qui permet au mal de s'établir et se répandre sans opposition pendant de longues périodes. Cependant, il y a toujours un moment où les psychopathes poussent les mauvaises personnes trop loin. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, et c’est à ce moment-là qu’ils se retrouvent au bout d’un nœud coulant ou dans la ligne de mire du canon d’une arme. Lorsqu’il s’agit d’organisations de psychopathes, le même moment finit par arriver, il faut simplement plus de temps pour que le public comprenne que c’est nécessaire. Les globalistes vont essayer d’appliquer l’agenda 2030 et la tyrannie du passeport numérique dont écologique quoi qu’il arrive. Ils ne peuvent pas arrêter le processus qu’ils ont mis en marche. Les événements totalitaire en Australie et en Nouvelle-Zélande pendant le Covid ont montré que leur addiction à la tyrannie est insatiable et qu’elle exige qu’ils poursuivent un contrôle croissant quel qu’en soit le coût. Ils le disent d'ailleurs clairement, surtout que c'est un plan diabolique. Or les événements en Afghanistan montrent qu’un tel contrôle est presque impossible à maintenir sur une population armée et que, du moins aux États-Unis, ils finiront par perdre grandement. En effet le fait est que gagner a toujours été impossible en Afghanistan. L’establishment le savait il y a vingt ans lorsqu’il a envoyé les premières troupes américaines. Ils n’avaient pas besoin de saboter la mission américaine en Afghanistan, car perdre en Afghanistan était de toute façon inévitable. De même s’ils utilisent des tactiques de terreur absolue, ils perdront aussi toujours aux USA tant que les Américains continueront à se battre avec les armes à feu, même si les lois de l’usure prévalent toujours et car la supériorité technologique ne signifie rien. Pour résumer, le combat est déjà gagné, mais la lutte ne fait que commencer. Surtout que Biden a plusieurs crises à cacher : (1) le pic pétrolier, (2) la dévaluation du dollar, (3) la montée en puissance de la Chine et de la Russie, (4) la fin du monde unipolaire, (5) la destruction de la base industrielle des États-Unis. C’est grâce au sabotage du Nord Stream que les États-Unis développent leur industrie, vendent leur pétrole, et continuent à creuser leurs déficits. Le problème est la dégradation des infrastructures, et l’échec inévitable d’un système basé sur la finance. L’occupation d’une nation entière afin de réduire une insurrection importante et d’imposer un changement culturel est un effort qui doit désormais être accompli rapidement ou pas du tout. Le coût financier est écrasant, le coût humain est stupéfiant et la quantité de ressources nécessaires pour maintenir la subjugation est exponentielle. En vérité, plus une occupation se prolonge sans l’élimination totale de l’insurrection, moins elle a de chances de réussir. Le problème est que pour éliminer complètement l’insurrection, il faudrait anéantir la majeure partie de la population en utilisant des tactiques grotesques, qui ne font qu’inspirer davantage d’insurrection. C’est un peu ce qui s'est passait au Proche-Orient, où toutes les communautés pouvaient vivre en harmonie, jusqu’à ce que l’axe américano-israélien mette fin à la paix dans la région. Certains esprits retors vont même jusqu’à imaginer que les autorités sionistes basées en Palestine occupée ont jeté de l’huile sur le feu inter-communautaire en agitant des factions indépendantistes, comme dans le Maghreb des années 60 lors des indépendances africaines, afin de pousser les juifs nord-africains à émigrer en Israël. Même chose dans l’URSS des années 70-80, quand Israël salivait sur l’apport démographique alléchant de plus d’un million de juifs dans ses territoires... Cependant la démocratie américano-sioniste comme la plupart des ingérences étrangères ont fini par quitter l'Afghanistan comme des voleurs... En effet tout pays occupé finit toujours par être récupéré par ses habitants naturels, historiques. Cette leçon devrait résonner aux oreilles des militaires au pouvoir à Tel-Aviv et aux mondialistes dans les nations européennes. La solution militaro-policière n’en est pas une, elle n’est pas durable, et envenime chaque jour le conflit. L’histoire du monde nous apprend que la justice finit par vaincre, même si ça met du temps. C’est pour ça qu’en France il faut avoir la foi que Dieu sortira les américano-sionistes et mondialistes du pouvoir. Et les résistants l’ont par définition, pas les occupants. Or les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez le tyran de Syracuse Denys où une femme prie pour que le tyran en place reste au pouvoir, car elle a compris que le tyran suivant est toujours pire. C’est maintenant que cela va empirer avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens. Ils ont été obsédés par la propagation du vaccin ARN. Il doit bien y avoir une raison. On peut alors se rappeler rappelé le soma de Huxley. Selon le roman d'anticiption d'Adous Huxley « Le meilleur des mondes », le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’Etat (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. La ration de soma quotidienne était une garantie contre l’inquiétude personnelle, l’agitation sociale et la propagation d’idées subversives. Karl Marx déclarait maladroitement que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple, comme de nos jours, l'alcool, la cigarette, les drogues, la télévision, les jeux vidéos, les séries, le cinéma et les loisirs à outrance sont l'opium du peuple(, mais aussi d'ailleurs de plus en plus désormais les médicaments opioïdes, pouvant entraîner l'addiction jusqu'à la mort, comme chez les chômeur ou les SDF en particulier aux USA, dont selon la volonté de dépopulation des élites mondialistes, par preuve qu'il y a eu dans cette nation plus de 500 000 morts liés à cette addiction, tout de même aussi dus en partie au manque de piété des consommateurs). Comme la religion, le soma (ressemblant au mot « sommeil » dans lequel on rêve) avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui a produit des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut donc en dire autant de l’alcool euphorisant classique, qui selon les termes du psalmiste « réjouit le cœur de l’homme ». Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de ce type d'anticipation dystopique d'Huxsley, et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces forces impersonnelles sont en train de rendre le monde peu sûr pour les démocraties, et peu hospitalier pour la liberté individuelle. Extraits de l'article « L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté, Pas la Démocratie ou le Gouvernement International » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/28/lantidote-a-la-tyrannie-est-la-liberte-pas-la-democratie-ou-le-gouvernement-international/ : « Le langage politique manipule le débat politique. En se définissant comme « pro-vie », les anti-avortement opèrent une manipulation sémantique qui fige les partisans de l’avortement en « pro-mort ». En se proclamant « pro-choix », les partisans de l’avortement placent leurs opposants dans le camp des « anti-choix ». Qui veut être « pro-mort » ou « anti-choix » ? Telle est la nature de la politique. Les mots sont des armes : habilement maniés, ils façonnent nos esprits pour le combat. Quand les dirigeants occidentaux parlent beaucoup de démocratie et oublient les droits individuels, quand ils vantent les vertus des institutions internationales et diabolisent le nationalisme comme xénophobe et dangereux, il faut se rendre à l’évidence : la souveraineté nationale et les droits naturels inviolables sont la cible d’attaques directes dans tout l’Occident. … La démocratie ne garantit pas qu’une société fonctionne de manière noble et juste. Dans une démocratie de cent citoyens qui fonctionne correctement, cinquante et un d’entre eux peuvent priver les quarante-neuf autres de leur droit de propriété, de leur liberté et même de leur vie. ... (Et encore en démocratie) Quand les droits naturels individuels sont considérés comme des « cadeaux » du gouvernement, ils disparaissent rapidement chaque fois que ce gouvernement le juge opportun. Il est de plus en plus courant de voir les droits individuels attaqués en raison de leur caractère « égoïste » ou parce que contraires au « bien commun ». L’Etat de droit n’empêche pas la tyrannie quand ce qui est injuste a été adopté de manière démocratique (alors que le califat originel respecter par essence les droits sacrés individuels au niveau du sang, des biens et de l'honneur tout en les orientant vers le bien commun dont par la zakat). Si une minorité électorale est vulnérable aux caprices de la majorité, alors un gouvernement démocratique apparaîtra à cette minorité comme extrêmement autoritaire. Et si votre vie, votre liberté ou vos biens sont en jeu, vous pourriez très bien préférer le jugement d’un dictateur bienveillant aux exigences d’une foule vengeresse, mais « démocratique ». Le contraire de la tyrannie n’est pas la démocratie, mais la liberté et les droits individuels. Comment s’étonner que les dirigeants occidentaux rendent hommage à la démocratie et très peu aux libertés individuelles (même si le laïcisme wokiste et LGBTiste s'est construit sur elles) ? La civilisation occidentale devrait se souvenir que de dures batailles ont été menées en faveur de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du libre-arbitre. Tout avancement de la liberté humaine devrait être célébré comme un triomphe de la raison et de la rationalité sur les systèmes de pouvoir féodaux et leurs contrôles autoritaires. Toute société « libre » se distingue des régimes autoritaires par une protection sans faille des droits de l’homme qu’elle considère comme inviolables et qui existent indépendamment de la loi statutaire. Pourtant, la liberté et les droits individuels sont rarement mentionnés. Les dirigeants politiques chérissent plutôt les « vertus » de la démocratie et rien d’autre. Ce tour de passe-passe linguistique prive les citoyens occidentaux de leur patrimoine le plus précieux. … La rhétorique vaudou utilisée par les dirigeants politiques occidentaux pour remplacer la « liberté individuelle » par de vagues notions de « démocratie », a fait émerger une sorcellerie similaire pour remplacer la souveraineté nationale par des formes internationales de gouvernement. L’Union européenne, les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé sont des structures institutionnelles créées pour affaiblir le vote individuel des citoyens d’une nation en cédant des pouvoirs nationaux autrefois souverains à des non-citoyens. N’est-il pas étrange que les dirigeants occidentaux vantent la démocratie contre l’autoritarisme au moment même où ils diminuent le pouvoir de leurs électeurs au profit d’institutions étrangères ? Les nations « démocratiques » ne devraient-elles pas décider de leur propre destin ? Les nations qui transfèrent leur autorité à l’UE, l’ONU ou l’OMS, peuvent-elles toujours affirmer qu’elles jouissent de gouvernements démocratiques ? « Nationalisme » est devenu un mot désobligeant, comme si tout ce qui est fait dans l’intérêt d’une nation en particulier était intrinsèquement suspect. Les citoyens qui expriment leur patriotisme en s’affirmant fiers de leur culture et de leur histoire nationale sont aujourd’hui réprimandés comme des culs terreux ou les adhérents d’une secte. Les mouvements politiques qui défendent l’autodétermination nationale (comme la coalition MAGA du président Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni) sont tournés en dérision, considérés comme « fascistes » ou « néo-nazis ». Même au sortir d’élections démocratiques, les vainqueurs sont néanmoins qualifiés de « menaces » pour la démocratie. Pourquoi des gouvernements internationaux plus grands et plus larges seraient-ils plus vertueux et moins corrompus que leurs homologues nationaux ? Il est aussi absurde de magnifier les institutions internationales au détriment des gouvernements nationaux, que de faire l’éloge de la démocratie sans tenir compte des libertés et des droits individuels. Il est plus facile de garder à l’œil un politicien local que d’exiger des comptes d’un fonctionnaire éloigné à Washington. DC, New York, Bruxelles ou Genève. Pourtant, les organismes internationaux jouissent aujourd’hui d’un immense respect, alors que les organismes nationaux sont traités avec mépris. C’est comme si la souveraineté nationale avait été démolie parce qu’on ne peut pas faire confiance aux votes des nations démocratiques pour servir les intérêts internationaux. Quand les dirigeants occidentaux reprennent les éléments de langage du Forum économique mondial de Davos, ils ne prennent pas leurs ordres de marche auprès de leurs électeurs. S’en remettre à des organisations non élues, non transparentes et non responsables semble une façon plutôt étrange de lutter contre l’autoritarisme. Lorsque les populations nationales se voient refuser l’autodétermination et que les libertés individuelles sont considérées comme des privilèges et non comme des droits, la tyrannie n’est jamais loin. Des manipulations de langage ne changeront pas cette puissante vérité. Elles retarderont les règlements de compte politiques, mais ils n’en seront que plus explosifs le jour où ils auront lieu. » Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la prétendue surpopulation crée une situation telle qu'une dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable selon la caste mondialisée ultra riche. Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, seront bien sûr gravement désavantagés, puisque dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même en tant que producteurs indépendants : les Gros les auront dévorés. A mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans cette tyrannie, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État financier, c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant les ordres des ultra riches modnialistes. Dans une démocratie capitaliste comme les U.S.A., elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé l’Elite du Pouvoir. De manière plus locale, l’acharnement de la Miviludes et de son conseil d’orientation contre une personnalité influente comme Thierry Casasnovas dans le domaine de la santé et du bien-être, est une excellente illustration de l’ambition totalitaire du régime républicain, qui entend contrôler tous les aspects de la vie des Français, de la naissance à la tombe : c’est exclusivement de ses prêtres que doit émaner la bonne parole, toute voix autonome et divergente devant être bannie ou pourchassée et écrasée sans états d’âme. La bride qui relie le cerveau du citoyen consommateur à l’État doit être solide et constamment tenue serrée, dans tous les domaines de la vie et de l’activité humaine, et ne saurait être parasitée par aucune autre forme d’influence. En cela nous commençons à entrevoir que cet État s’inscrit de manière de plus en plus ouverte dans une démarche globale d’embrigadement sectaire de toute la population. Dans ce sens on peut remarquer que depuis bientôt 60 ans, avec le départ du général de Gaulle, ce qu’on pouvait encore appeler sans ambiguïté l’État français n’a jamais cessé de perdre en autonomie et en souveraineté, pour se réduire aux apparences d’une coquille vide, avec la délégation de son pouvoir à l’Europe de Bruxelles, l’OTAN, la Banque centrale européenne et l’euro, avec la politique de régionalisation, l’ouverture de plus en plus large à l’immigration de masse, l’abandon progressif de tout ce qui s’apparente à la richissime culture française originelle, et avec la délégation aux grands médias privés et pseudo publics de toute la production et la diffusion des informations, des divertissements, du lancement des fatwas, de la remise des récompenses et du magistère de la morale établissant ce qui est bien et ce qui est mal et persécutant ou récompensant en conséquence. Mais nous avons bien vu qu’il ne fallait pas confondre l’État français avec « l’État républicain », et qu’à mesure qu’on dépouillait le peuple français de sa souveraineté, l’État républicain s’est vu adjoindre avec le temps le concours de forces considérables qui lui permettent d’exercer sur les âmes et les corps un pouvoir dont les tant décriés souverains des temps jadis (jusqu’à Louis XIV lui-même !) n’auraient jamais rêvé disposer : les médias privés, les GAFAM, les communautés organisées, une justice aux ordres devenue inquisitoriale à force d’infiltration et de noyautage par des magistrats pervers, véreux ou lâches : il existe bien une souveraineté forte qui s’exprime, qui ne la sent pas ? Mais c’est une souveraineté contre nature, comme si ce qu’on pourrait comparer au « cerveau » de la France avait été complètement colonisé et perverti par un parasite qui unirait à présent tout ce qui reste des fonctions régaliennes pour travailler au dépérissement final du « corps », en promouvant tous les agents pathogènes et en traquant et éliminant tous les lymphocytes destinés à la défense immunitaire, tout en lui tenant du matin au soir un discours obsédant qui pourrait se résumer à « C’est pour ton bien… c’est pour ton bien… ». Les Français anti-UE et anti-OTAN ont organisé le 8 octobre 2022, une mobilisation dans le quartier de Montparnasse à Paris, place du 18 juin 1940. Le choix de ce lieu était sémantiquement très important, car c’est la date de l'appel historique du Général de Gaulle aux Français à s’unir dans l’action pour libérer la France contre les envahisseurs. Parmi les motivations de ce rassemblement, les organisateurs ont évoqué sur Twitter : l’opposition au « bellicisme » de l’OTAN, au « sabordage de l’économie » par l’exécutif et aux « restrictions énergétiques et sanitaires ». Ce dernier motif fait écho au plan de sobriété controversé récemment présenté par le gouvernement, dans le contexte de crise énergétique. De plus peu importe leur couleur politique, ce sont de plus en plus d'européens qui nagent à contre courant leur gouvernement ou l'UE, quitte à se placer sous le mot « Résistance ». « Rendez-vous national de la résistance », c'est sous cet intitulé qualifiable de parti « souverainiste » que s'est réunie cette manifestation. Mais l'expression « Résistance anti Empire » peut-il avoir un jour une réelle signification en Europe ? La guerre contre la Russie fomentée depuis plusieurs années par l’axe US/Israël/OTAN par Ukraine interposée, impacte clairement les pays d’Europe. Malgré la propagande menée par les acteurs de la sphère politico-médiatique occidentale pour convaincre les Européens du bien-fondé de cette guerre, les Européens, peu habitués à ressentir directement les effets des guerres habituellement menées régulièrement à des milliers de kilomètres de leurs frontières par leurs gouvernements ont beaucoup de mal à comprendre les décisions de leurs responsables. Mais ces derniers se moquent de ces avis et de ces principes pourtant démocratiques, alors qu'ils donnent des leçons démocratiques à toute la planète et surtout aux Etats du Moyen Orient. Ainsi il est fréquent de tomber sur un ras-le-bol allant jusqu’à appeler à la désobéissance civile, la grève générale, voire à la révolution. D’aucuns rétorqueront que les « Gilets jaunes » ont commencé à en mener une et pourtant il n’en est rien, dans la mesure où le mouvement a fini par s’étioler face au déploiement impitoyable des forces de répression mises en service par le pouvoir et ses relais, aux divisions politiques, et aux intérêts particuliers qui en ont tiré quelque maigre bénéfice, 100 € supplémentaires mensuels ici, 200 € là, ou quelques primes pour les mieux lotis. Ce n’est évidement pas avec de telles friandises que se gagne une révolution digne de ce nom. Mais la Résistance est-elle viable dans les sociétés européennes, une Résistance version palestinienne par exemple ? S’il y a des différences flagrantes entre l'Europe et la société palestinienne, il y en a aussi des moins évidentes. La société palestinienne fait face à une occupation des plus brutales depuis près de 75 ans. Et tout le monde voit et connaît l’agresseur, malgré ses tentatives éhontées de se faire passer pour la victime dans cette inversion accusatoire devenue très à la mode depuis. Personne n’est dupe, et la juste cause palestinienne a traversé frontières, montagnes et océans, et touché le cœur et la raison du plus grand nombre. Il n’est que nos pantins politico-médiatiques qui sont aux abonnés absents et continuent à soutenir un gouvernement criminel, sans se soucier pour le coup, de leur habituel mantra des « droits de l’Homme », qui en réalité est incomplet. Il eût plutôt fallu dire : les « droits de l’Homme blanc ». Ces sinistres individus qui ont perdu tout honneur savent que pour réussir dans leur carrière, ils ne peuvent mordre la main perverse qui les nourrit. Or en Europe, les gens sont aussi attaqués et occupés, mais de manière sournoise. Les attaques ne se font pas de front, avec la brutalité de la soldatesque israélienne. Elles se font par la bande, sont feutrées, enrobées, par multinationales interposées, par intérêts privés au détriment d’intérêts publics, par détricotage méthodique des acquis sociaux arrachés de longue lutte par nos aînés, par travail de sape incessant auquel s’activent les lobbies pour imposer leurs contrats et leurs normes à coups de cadeaux, primes, promesses diverses faites à tous ceux qui dans les couloirs des appareils d’État, jouissent du droit décisionnel de dire oui ou non aux prébendes qui leur sont offertes en échange des signatures attendues. Le problème majeur rencontré pour espérer une révolution de la population contre les appareils d’État, et de manière plus large contre les autorités politiques européennes, se vérifie dans l’incapacité des populations à se fédérer et à s’unir dans la lutte à mener pour renverser cet ordre inique et impersonnel qui finit par ne plus représenter que cette caste nuisible. Mais la société palestinienne échappe à ce genre de défaillance. C'est une société civile qui est vivante, pleine de dynamisme, d’initiatives. Après les multiples tentatives échouées de la détruire tout au long des décennies d’occupation sioniste, la société palestinienne s’est organisée et réinventée à travers un réseau d’ONG que la majorité de citoyens occidentaux n’imagine même pas. À tous les niveaux les Palestiniens se sont arrangés pour trouver des solutions aux multiples manques et difficultés provoqués par ce régime colonial qui tente de les priver de tout, pour se soutenir, pour s’épauler, en toutes circonstances. En France, voilà 40 ans que défilent dans les médias, des petits fascistes se faisant passer pour des modernistes aux idées larges, tout en utilisant le foulard pour masquer les vrais problèmes de société et leur racisme nauséeux. On peut le voir encore avec la tentative de révolution colorée en Iran à cause du voile, comme par hasard, au moment de trouver possiblement un accord sur la question nucléaire, et au moment où les drones iraniens supplantent la technologie otanesque en Syrie, en Irak, au Yémen et en Ukraine (ce qui contrarie considérablement le régime sioniste). Ce sont les agents de la CIA et du Mossad qui cherchent à déstabiliser la société civile iranienne par l’exploitation de la question du voile des femmes. Ces gens et leurs relais sont des imposteurs professionnels, qu’il faudrait écarter une fois pour toutes. Et le minable petit coup de gueule des chanteuses et actrices qui se coupent une mèche de cheveux est affligeant de bêtise et d’hypocrisie. Où sont-elles quand il s’agit des Palestiniennes abattues froidement dans la rue devant leurs enfants, ou détenues dans de sordides prisons ? Où sont-elles quand l’armée « la plus morale du monde » les laisse accoucher seules et sans aide, bloquées à quelque check-point devant les rires salaces de petits imbéciles forts de leur uniforme ? Tout cela n’est que piteuse mise en scène, et ces idiotes (in)utiles ne prennent pas le moindre risque (sauf d'aller en Enfer) mais sont récupérées par le système qui au passage, leur offre leur petite pub. En Palestine, dans le moindre village qui se fait envahir la nuit par la courageuse armée sioniste suréquipée pour enlever quelque gamin lanceur de pierres, la population réagit de manière unanime. Elle se soude, s’organise et manifeste collectivement. Elle n’a pas peur d’affronter avec ses maigres moyens, les balles et les grenades lacrymogènes de l’armée coloniale israélienne dans un bord de la méditerranée représentant clairement l'impie empire colonialiste, mondialiste, thalassocratique, laïciste, wokiste et ploutocratique. Elle monte au front. Elle proteste haut et fort. Elle est prête à se faire embarquer et passer des mois et parfois des années en prison, s’il le faut. Elle est prête à tous les sacrifices, y compris la démolition de leur toit, ainsi que des grèves de la faim menées jusqu’à la limite de la mort. Et cela, depuis près de 75 ans, et après avoir essuyé quantité d’assassinats, de crimes de guerre et de pertes d’êtres chers sous des bombardements sans retenue de la puissance occupante. Et sans parler du silence général des médias occidentaux, ni des trahisons des gouvernements de pays frères. S’il ne fallait que se couper une mèche de cheveux pour nourrir et gagner une révolte... Et c’est cette solidarité-là que l’ennemi sioniste (soutenu par les États dits démocratiques) tente par tous les moyens de briser, dressant les partis du Fatah contre celui du FPLP ou du Hamas contre le Jihad islamique. Diviser, fracturer, opposer les uns contre les autres, toujours, pour régner, contrôler et asservir. Et malgré ici et là quelques réels problèmes au niveau des cadres, la population reste solidaire dans sa lutte contre l’ennemi commun depuis plus de sept décennies, ce qui représente trois générations. Si une révolution commence d’abord dans le cœur et les tripes qui hurlent à l’injustice, elle se construit et s’organise dans la tête. Elle a ses hauts et ses bas. Elle a ses résistants et ses collabos. Elle a ses héros et ses traîtres. Aucun pays n’échappe à cela, et là n’est pas la question. Dans les têtes, il faut la détermination. Il faut sans arrêt se rappeler les objectifs et tenter de ne pas en dévier. Il faut se rencontrer, échanger, partager ses réflexions, se soutenir dans les doutes et les épreuves. Il faut quelque prudence aussi. Savoir sur qui compter et de qui se méfier. Il faut de la vigilance, de la discrétion, et bien sûr, un certain courage sinon un courage certain. Mais toujours, toujours une sourde détermination que rien ni personne ne peut entamer, malgré le chaos, nouveau nom de code des opérations de déstabilisation. Quand les populations occidentales auront goûté aux manques et aux privations, et pour certaines d’entre elles, peut-être touché le fond, quand elles se rendront compte et réaliseront qu’elles sont occupées et asservies par les armes maquillées de la finance internationale qui leur ont lobotomisé les neurones, elles finiront peut-être par avoir la lucidité de s’organiser afin de renverser cet ordre mafieux qui gangrène leurs vies jusque dans les moindres détails du quotidien. Elles pourront alors se rappeler et prendre exemple sur la résistance palestinienne opiniâtre, prête à tous les sacrifices, de même que sur celle afghane. « Lettre ouverte à nos chers amis Talibans (qui ne sont plus wahhabites) » de Maître Damien Viguier : « Chers amis, Je ne vous cache pas que c’est avec une joie immense que nous avons appris que vous aviez remporté la victoire dans cette bataille contre le Grand Satan. Depuis vingt ans nous étions morts d’inquiétude et ne nous relâchions pas dans nos prières. Dieu les a exaucées. Dieu merci. Certes, ce n’est pas terminé et il faut rester vigilant. Mais ce qui est rassurant c’est que vous êtes entourés de puissants alliés : Pakistan, Russie, Chine, Iran. Je voudrais vous dire la honte particulière que nous avons en France d’avoir pour ministres et pour chefs de l’État des personnages aussi ridicules que ce monsieur Le Drian. Ce dernier s’est montré d’une arrogance comique en vous imposant cinq conditions à respecter pour qu’il vous fasse l’honneur de vous reconnaître ! Ce serait seulement comique si ça n’avait pas l’aspect sinistre d’une déclaration de guerre totale. Il vous demande de permettre que « ceux qui ont peur » de vous puissent quitter l’Afghanistan : moyen de vous priver d’une partie de vos forces, comme ils l’ont fait pour la Syrie. Il vous accuse d’accueillir des terroristes : inversion accusatoire, quand on sait comment la France héberge et nourrit le terrorisme. Le comble, c’est qu’il vous demande d’accueillir l’aide humanitaire, alors que vous venez de parvenir à chasser de votre territoire ces prédateurs et ces rapaces, et qu’il ose encore, vraiment comme s’il vous dominait, vous demander de constituer « un gouvernement de transition » : on croit rêver ! De transition vers quoi et avec qui ? Mais je voudrais surtout insister sur la dernière de ses cinq requêtes, celle qui concerne « les droits des femmes ». C’est la plus importante. Il s’agit d’un message envoyé aux Occidentaux pour les convaincre que vous seriez d’irréductibles ennemis du genre humain. Mais les populations occidentales elles-mêmes ne voient pas ce que cette formule signifie. Le droit est mon domaine. Je cultive depuis près d’un demi-siècle cette discipline difficile, dont il est dit dans la tradition en Occident qu’une vie entière ne suffit pas à s’en rendre maître. Personnellement, lorsque j’entends « droits des femmes », je sors mon Manurhin. Voici pourquoi je ne vous fais pas la liste exhaustive des droits des femmes, mais seulement, en forme de code, de quelques éléments qui viennent naturellement à l’esprit : Petit code des droits des femmes : - Article 1. Droit des femmes… de tuer l’enfant qui sommeille en leur sein : ils ont nommé ça dépénalisation de l’avortement. C’était perfide. Aujourd’hui ils parlent ouvertement du droit à l’avortement. Un droit exercé par la femme seule, quel que soit son âge, sous l’influence insistante de militants fanatiques. Ils considèrent que l’embryon humain, c’est le corps de la femme ! - Article 2. Droit des femmes… d’éteindre dans leur ventre toute capacité procréative : ils nomment ça droit à la contraception libre et gratuite. Ils revendiquent pour les femmes seules la maîtrise de la procréation et y voient une merveilleuse révolution anthropologique. - Article 3. Droit des femmes… de divorcer librement, c’est-à-dire de répudier leur mari ad nutum (d’un froncement des sourcils). - Article 4. Droit des femmes… à une sexualité libre, même si elles sont mariées, c’est-à-dire dépénalisation de l’adultère et droit de tromper son mari à volonté. - Article 5. Droit des femmes… de faire éloigner du domicile le conjoint violent, physiquement ou même moralement, ou qui se livre à du harcèlement moral. Autrement dit possibilité de chasser manu militari le mari de sa maison, pour un oui ou pour un non. - Article 6. Droit des femmes… de refuser tout commerce avec le mari. Il peut être condamné pour viol ou pour harcèlement sexuel s’il insiste. - Article 7. Droit des femmes… de se défendre contre le mari par le meurtre et l’assassinat. L’opinion publique est systématiquement mobilisée contre les juges qui condamnent les meurtrières. Nos présidents les gracient et nos jurés les acquittent ou ne les condamnent que symboliquement. - Article 8. Droit des femmes… sur les enfants, à qui elles peuvent transmettre leur nom. - Article 9. Droit des femmes… de priver les enfants de leur père. Par le rapt lors de la séparation et par la procédure de divorce. Par contre le mari doit payer une rançon (sans pour autant retrouver ses enfants). - Article 10. Droit des femmes… de vivre avec un homme sans être mariées. C’est la reconnaissance des droits de la concubine. - Article 11. Droit des femmes… de se marier avec qui elles veulent, sans l’accord de leurs parents. - Article 12. Droit des femmes… de se livrer à la débauche, dès le plus jeune âge, y compris contre rémunération en tant que « travailleuses du sexe ». Avec, pour les partenaires masculins, le risque imprescriptible d’être accusés un jour de viol. Il suffit que la séductrice prétende qu’elle était dissociée, ou sous emprise, ce qui invalide rétroactivement son consentement. - Article 17. Droit des femmes… d’hériter entièrement de leur défunt mari, même si elles ne sont pas leurs parentes et contre ses parents à lui. - Article 18. Droit des femmes… de devenir ou de se sentir homme. Et d’être reconnues comme telles. D’épouser une femme, d’avoir des enfants entre elles, sans père. C’est ce qu’ils entendent en prononçant de leurs langues fourchues les mots droits-des-femmes. Pour choquant que cela soit, c’est indéniable. Ces droits brisent nos sociétés occidentales comme ils prétendent briser les vôtres. Aussi croyons-nous pouvoir au nom de la tradition d’Occident vous dire toute notre sollicitude. Puissiez-vous tenir et par votre exemple jeter chez nous les germes d’un monde restauré. Très cordialement, » On dirait qu’entre tous les fous mondialistes, il y a une sorte de compétition à qui serait le plus fou. On a trouvé le plus fou : le Premier ministre australien, qui confine 400 000 personnes pour UN cas de covid delta. Cela montre clairement aux vaccinés que la raison et le but de la répression ne sont pas sanitaires, mais bien politiques : les gouvernements, qui avaient perdu la main sur les gens depuis l’avènement du Net, ne sont plus là pour faire le bien, mais le mal. Le pass a aussi achevé un 7e art qui agonisait depuis longtemps déjà. Bilan des courses : la démocratie (franc-maçonne) est morte, bon débarras ; le cinéma est mort, fin des navets progressistes ; le travail est mort, vive la révolution ! Les communistes (socialistes excessifs) actuels veulent voler les autres par l’intermédiaire du gouvernement et en revendiquant le statut de groupe de victimes. Ils travaillent main dans la main avec les politiciens et les oligarques des multinationales qu’ils disent mépriser. Les gouvernements et les entreprises le font parce qu’ils peuvent utiliser la foule marxiste comme une arme sociale pour faire peur à leurs adversaires idéologiques (les conservateurs), et ils le font parce qu’ils peuvent se nourrir des restes de la table des grands en utilisant le gouvernement pour les redistribuer de force dans leurs propres poches. C’est une sorte de gagnant-gagnant, du moins pendant un certain temps. Finalement lorsqu’ils ne sont plus utiles, ceux d’en bas sont cloués au mur, envoyés au goulag ou abandonné à la mort de faim comme lors de l'Holodomor.
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