U) Suite 21
« Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total dont par l'appauvrissement général au profit d'une poignée d'ultra riches. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est même en cours : s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture. L’histoire en un coup d’œil : -La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier, font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine. -L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur ou dans des bacs muraux de la plupart des immeubles associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle. -Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard. -À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social. Dans un article publié le 27 avril sur son blog, le journaliste d’investigation Corey Lynn examine en profondeur le nouveau système alimentaire mis en place et la manière dont il est conçu pour vous contrôler en rappelant cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines : « Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Il y rappelle aussi la citation de Lynn writes : « Les mondialistes contrôlent déjà la majorité de l’argent. Ils s’empressent de convertir le système énergétique en de nouveaux systèmes dans lesquels ils ont tous investi. Ils ont pris des mesures drastiques pour contrôler l’industrie alimentaire, tout en agissant dans la plus grande discrétion. S’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture. Surtout qu'une série d’incendies étranges a détruit des usines de transformation alimentaires, de viande et d’engrais aux USA, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir. Un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a d'ailleurs en plus déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. Cet artilce précise également : « L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … L’Union Pacific impose une réduction de 20 % des transports ferroviaires, ce qui a un impact sur CF Industries Holdings, la plus grande entreprise d’engrais au monde. Vanguard, BlackRock et State Street sont les principaux actionnaires de Union Pacific, et BlackRock et Vanguard sont les trois principaux actionnaires de CF Industries Holdings. … En cartographiant certaines des plus grandes fermes verticales, on découvre les cultures, les commerces, les terrains et les milliards versés par les investisseurs et actionnaires mondialistes. Il est évident qu’il s’agit d’un plan mondial visant à contrôler tous les produits et tous les ingrédients qui entrent dans la composition de tous les produits alimentaires. ... Ce monopoly secret comme l’a noté Lynn a été mis en place au cours de nombreuses années. Lentement mais sûrement, le monopole s’est développé, à l’insu du public, ce qui a eu pour effet de rendre la nourriture à la fois plus chère et moins accessible. Aujourd’hui, alors que les dernières pièces du puzzle se mettent en place, beaucoup se rendent compte que nous avons été massivement trompés et que nous sommes désormais à la merci d’une poignée de personnes non élues dont la mégalomanie est inégalée dans l’histoire de l’humanité. La sécurité alimentaire est aussi mise à mal par la brevetabilité des aliments. La mission du FFAR est de mettre en relation les bailleurs de fonds, les chercheurs et les agriculteurs, par le biais de partenariats public-privé, afin de soutenir une recherche audacieuse répondant aux plus grands défis de l’alimentation et de l’agriculture. En réalité, cet organisme a été utilisé pour miner la sécurité alimentaire en augmentant la dépendance à l’égard des aliments génétiquement modifiés et brevetables. En avril 2019, la FFAR a lancé le Consortium Precision Indoor Plants (PIP), un partenariat public-privé de cultivateurs d’intérieur, de sélectionneurs et de sociétés de génétique ayant pour objectif commun de faire progresser le speed-breeding et de modifier les substances chimiques végétales responsables de la saveur, de la nutrition et de la valeur médicinale. Bill Gates insiste aussi sur le fait que les sécheresses et le changement climatique détruisent notre capacité à cultiver et que l’avenir consistera en un déplacement des populations vers les villes métropolitaines où l’agriculture verticale en intérieur sera nécessaire pour nourrir les gens. Si tel est le cas, pourquoi a-t-il acquis 242 000 acres de terres agricoles au cours de la dernière décennie tout en investissant simultanément dans l’agriculture verticale en intérieur ? Qu’arrivera-t-il aux agriculteurs lorsque ces fermes verticales d’intérieur, aux dimensions astronomiques, auront envahi toutes les grandes villes, auront conclu des contrats avec toutes les grandes chaînes d’épicerie et seront financées par certains des mêmes milliardaires mondialistes qui cherchent à contrôler les êtres humains dans toutes les industries à travers leur quatrième révolution industrielle ? Surtout que leur objectif ultime cherche à ce que chaque être humain et morceau de nourriture, de ressource et de produit sur cette planète soient suivis et tracés via la blockchain. Ce n’est pas une théorie, c’est leur objectif. En juillet 2021, la FDA a publié son document intitulé « New Era of Smarter Food Safety (une nouvelle ère de sécurité alimentaire intelligente) », qui prévoit l’utilisation d’une traçabilité technologique pour un système alimentaire numérique et traçable de la ferme à l’assiette grâce à la blockchain. L’identité numérique, qui permet de donner accès aux établissements, de contrôler les dépenses et de suivre les déplacements de chacun, se déploie sur de multiples fronts, dont le passeport d’identification des vaccins. A terme, on essaiera de passer à la puce, car ce sera plus facile avec le contrôle biométrique installé partout. » « Une partie de la réponse pour lutter contre ce très pervers mondialisme consiste à cultiver sa propre nourriture du mieux que l’on peut. Une autre partie consiste à soutenir les producteurs locaux en achetant leurs produits, sinon ils seront évincés. La création de coopératives locales et de jardins communautaires peut également contribuer à la sécurité alimentaire à long terme. Dans le même temps, nous devons également rejeter les solutions mondialistes telles que la viande artificielle, le bœuf génétiquement modifié, les aliments OGM. Il est temps de comprendre qu’aucune de leurs solutions n’est pas à notre avantage mais à notre détriment. Le Forum économique mondial a déclaré que d’ici 2030, vous ne posséderez plus rien. Ils le pensent vraiment. Ils nous prendront tout, y compris le droit de cultiver notre propre nourriture, si nous les laissons faire. » (Extraits de l'article « Les mondialistes prennent le contrôle du système alimentaire. Cela fait partie de leur plan pour vous contrôler. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/06/07/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/) En occident la Grande réinitialisation de l'économie mondiale a accéléré en mars 2020 et se renforce avec la guerre en Ukraine qui est la nouvelle grande narration. Avec les pénuries auxquelles nous assistons, nos dirigeants ont commencé à nous habituer au récit à la sauce soviétique. La crise des engrais azotés semble être en réalité provoquée par les compagnies qui les produisent comme BlackRock et The Vanguard Group. Comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n’est surpassé, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie, dont nous connaîtrons des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à absorber les approvisionnements des autres exportateurs. La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n’y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim. Pour plus de contrôle la Commission européenne souhaite voir les effets de serre être réduits de 55% d'ici 2030. On peut parler ici d'un suicide du système économique européen ou d'un meurtre avec préméditation. En parallèle, les banques centrales commencent la mise en place de monnaies numériques, avec la Banque des règlements internationaux (BRI) dans le rôle de chef d'orchestre. Ainsi la Grande réinitialisation a-t-elle encore besoin du dollar ? Quelle société nous prépare-t-on ? Est-ce que la numérisation de l'économie fait partie du plan divin afin de servir plus tard une sainteté économique dont à travers la blockchain et les cryptomonnaies ? En effet tout cela est si bien réglé qu'il pourrait s'agir d'un plan divin participant à obtenir un grand bien plus tard au niveau d'un nouveau paradigme. L'interprétation des 4 cavaliers de l'apocalypse déjà évoqués peuvent donc aussi être ceux de l’européisme (euromondialisme oligarchique, sioniste, pervers et messianiste), les Allemands Scholz & Leyen, le Français Macron et le Belge Michel. En effet ces 4 cavaliers de l’européisme peuvent incarner des cavaliers de l’apocalypse :- apocalypse économique, via l’inflation, l’immigration et la paupérisation, - apocalypse sanitaire, puisqu’ils poussent à la vaccination forcée, inutile, coûteuse et dangereuse de 450 millions de citoyens européens, - apocalypse liberticide, puisqu’ils préparent le passeport numérique, véritable fichage mobile des citoyens, - et enfin apocalypse tout court, puisqu’ils font tout pour pousser la Russie à bout et faire de l’Europe un champ de ruines. Concrètement, la prise de pouvoir de la bande des 4 passe par une réécriture des traités et des constitutions nationales, qu’on croyait intouchables. Mais quand il s’agit de l’européisme, tout est possible. Par exemple s’il s’était réellement préoccupé du futur et de la prospérité de l’Europe, le chancelier allemand aurait fait un discours sérieux à Prague sur comment contribuer à une résolution pacifique des relations entre l'Ukraine et la Russie. S’il s’était réellement préoccupé de la paix sociale et de la stabilité économique, il aurait fait une proposition pour calmer le marché de l’énergie. S’il s’était réellement préoccupé de la future prospérité de l’Union européenne, il aurait dû attaquer les régulations et les harmonisations toujours plus étendues avec lesquelles Bruxelles détruit nos industries depuis des décennies. Ce coup d’État dans l’État européen, cette OPA supranationale par les pires des européistes, n’a trouvé que « l’efficacité » comme argument pour avancer ses pions, et détruire ce qui restait de démocratie dans l’Union Européenne. D’élection truquée en détournement des traités, les leaders euromondialistes sont parvenus à imposer leur projet. « L’histoire du Tribunal de La Haye est symbolique. La Russie ne s’est jamais interrogée sur la nature de cette institution. En réalité, elle fait partie de la mise en œuvre du gouvernement mondial, un système politique supranational créé au-dessus des États-nations qui sont invités à céder une partie de leur souveraineté à cette structure. Cela inclut la Cour européenne des droits de l’homme et l’UE elle-même, mais aussi la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, l’OMS, etc. La Société des Nations, puis l’ONU, (et le néolibéralisme) ont été conçues comme une étape préparatoire à l’établissement d’un gouvernement mondial. Or il s'agit du bâton du libéralisme. Parlons du libéralisme dans les relations internationales, une composante de l’idéologie libérale dans son ensemble. Les libéraux considèrent comme irréversible la loi du « progrès », dont l’essence est que le capitalisme, le marché, la démocratie libérale, l’individualisme, les LGBT, les transgenres, les migrations de masse, etc. se répandent dans l’humanité. Dans la doctrine libérale des relations internationales, le (pseudo) « progrès » signifie le passage d’États-nations souverains à des instances de pouvoir supranationales (et de la nature humaine au transhumanisme, alors qu'il devrait signifier la sécurité, le confort et l'ennoblissement religieux). Le but de ce « progrès » est l’établissement d’un gouvernement mondial. Les manuels de relations internationales l’affirment explicitement et sans équivoque. Tous les pays qui ne veulent pas du « progrès » sont, selon cette théorie, des ennemis du « progrès », des « ennemis d’une société ouverte », ils sont donc « fascistes » et doivent être jugés (au Tribunal de La Haye) et détruits (« leur infliger une défaite stratégique » – Blinken) et à la place des dirigeants souverains, on met des libéraux – de préférence des transsexuels. Telle est la position idéologique du Parti démocrate des États-Unis, de l’administration mondialiste de Biden et de la plupart des élites européennes. Toutes les forces des pays non occidentaux, qui soutiennent l’Occident collectif et les mondialistes américains, jurent également par cette idéologie. Et c’est précisément cette idéologie : radicale, rigide, totalitaire. En réalité, les patriotes, de gauche comme de droite, sont le peuple et le principal soutien de Poutine. Ils sont son soutien, ses fervents partisans, mais les libéraux au pouvoir ont toujours fait l’éloge de l’Occident et vilipendé les patriotes. Cela dure depuis 23 ans, depuis que Poutine est arrivé au pouvoir. Nous sommes logiquement arrivés au point où l’Occident encensé s’est révélé être une structure terroriste qui nous assassine, fait sauter des oléoducs, vole de l’argent, et nous, après avoir été à sa botte pendant si longtemps, nous nous sommes retrouvés dans une dépendance humiliante ; il y a 23 ans, nous aurions dû suivre la voie pour établir notre civilisation eurasienne russe. Poutine s’est concentré sur la souveraineté. On a supposé – précisément sous l’influence des libéraux – que l’Occident accepterait cette souveraineté tant que Moscou resterait dans le cadre général de la civilisation occidentale, tant qu’elle participerait à ses structures et institutions, tant qu’elle accepterait les valeurs occidentales (capitalisme, démocratie libérale, numérisation, culture de l’anéantissement, « wokisme », c’est-à-dire l’obligation de dénoncer quiconque n’est pas d’accord avec le libéralisme, LGBT). Il s’agit d’une tromperie depuis le début et cette tromperie a des individus spécifiques : le bloc libéral dans le cercle rapproché du président. Ce sont eux qui ont contribué à ce qui se passe aujourd’hui, qui ont entravé le réveil patriotique, qui ont fait tout leur possible pour séparer le président du peuple, du noyau russe, des porteurs de la conscience patriotique. L’heure est venue de régler les comptes. Ou elle est sur le point d’arriver. Je ne sais pas ce qui doit encore se passer pour que les libéraux au pouvoir soient mis au pied du mur et sévèrement remis en question. Peut-être manque-t-il quelque chose d’autre, mais en tout cas cela ne tardera pas. » (Extraits de l'article « Douguine : La limite de la patience russe » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/01/douguine-la-limite-de-la-patience-russe/) Dans ce monde post-démocratique, celui de la gouvernance privé/public et du néo-despotisme préservant les nations seulement pour leurs forces de polices principalement au service de l'oligarchie, une population affaiblie, appauvrie, en demande de sécurité sanitaire et alimentaire, et convaincue de la réalité du réchauffement climatique d’origine anthropique, serait prête à accepter sans discuter, après de longues années de fabrique du consentement, les solutions malthusiennes, ultra-libérales et transhumanistes du Forum de Davos dont en désignant le covid et la Russie comme principaux responsable des problèmes causés par cet agenda antipopulaire. Par des contraintes d’une basse matérialité hédoniste, la société post-moderne est complètement détachée des visions cohérentes et originelles du Monde. Notre époque connaît la dimension d’une anthropologie totalement différente de celle qui a déterminé le tissu conjonctif des moments historiques. Selon Gustave Lebon, l’homme dans la foule a tendance à accomplir des actions et des comportements criminels ou héroïques qu’il n’aurait jamais eu s’il agissait seul. Et cela va au-delà de toute considération logique et rationnelle. Il semble qu’à notre époque, l’individu a tendance à agir, même s’il est isolé et mène une vie déconnectée de la société dont il fait partie, comme s’il était dans la foule : il vise l’immédiat, réagit à des stimuli induits de manière primitive, et suit des mots simples et détournés savamment orchestrés par d’autres sans jamais s’ériger en élément critique capable de distinguer ce qui est pertinent et fondamental de ce qui est imposé comme essentiel par des corrompus. Il est aussi fréquent de constater que tous les journaux télévisés relatent les mêmes faits, avec des analyses souvent identiques, en utilisant même des images identiques. Cela tend par une perversité manichéenne à déterminer un horizon à l’intérieur duquel il faut prendre parti. De cette façon, l’individu accepte la logique sous-jacente souhaitée par le système en devenant consciemment ou inconsciemment une partie organique du cercle médiatique lui-même. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'Etat profond (occulte) contrôle et organise l’information. En effet il est important pour cette dimension occulte, dans laquelle coexistent la finance spéculative apatride, le crime organisé, divers lobbies, les Églises, les forces du progressisme mondialiste, humanitaire et solidaire, etc, d'être en mesure de conditionner perversement tout type de décision politique importante qui devrait pourtant découler en occident de la souveraineté populaire. Après tout, cela fait partie de la post-démocratie. En effet c'est une époque où l’opinion publique n’a droit à la citoyenneté que si elle se conforme servilement à la pensée dominante imposée par l’État profond se faisant passer médiatiquement pour juste, équitable et surtout conforme à une pensée qui se veut dominante et que l’on fait passer pour un fait naturel. Ainsi ceux qui ne se conforment pas sont de toute façon nécessaires pour assurer l’équilibre souhaité : ils sont un ennemi de l’humanité, un haineux insatiable, une cible à maintenir en vie et à frapper quand c’est nécessaire dont pour formater les endormis. Tout cela détourne l’attention de ce qui se passe gravement dans le monde : la prise de pouvoir et de contrôle total de la part des forces apatrides mondialistes dont avec de nombreux idiots utiles du peuple. « La constitution d’un ordre international qui bénéficierait en premier lieu à un milliard doré d’individus constitue l’un des objectifs stratégiques du globalisme politique. La construction par étapes d’une société eugéniste planétaire est planifiée de longue date par les acteurs les plus influents et les mieux organisés de la gouvernance mondiale. L’élite globaliste n’a de cesse depuis des décennies de tenter de réduire la croissance démographique planétaire à un niveau proche de zéro au prétexte de réduire la fameuse empreinte carbone de l’humanité. Ceci même en Europe, où les taux de natalité des populations autochtones sont négatifs depuis déjà longtemps. Quel est le point commun entre les plus riches et influents acteurs du philanthrocapitalisme contemporain : Bill Gates, George Soros, Ted Turner, Warren Buffet et Jeff Bezos ; des hommes d’influence tels que : Henry Kissinger (que Klaus Schwab considère comme son inspirateur) et David Rockefeller (1915-2017) cofondateur du club Bilderberg et de la Commission Trilatérale) ; des membres de la famille royale britannique comme le prince Philip (président émérite du WWF) et le prince Charles ; ou bien encore des militants écologistes médiatisés comme Greta Thurnberg et Paul Watson (le président de l’Ong Sea Shepherd) ? Tous partagent une idéologie commune qui guide leurs actions et leurs agendas politiques respectifs : l’idéologie de la dépopulation. Cette idéologie constitue une dimension fondamentale du projet globalitaire (globaliste et totalitaire) : le projet de réduction drastique de la population mondiale et le contrôle strict de la démographie planétaire. Cette entreprise de décroissance forcée de la population mondiale est portée par l’ensemble de l’élite globaliste et mise en place par les principaux organes de la gouvernance mondiale. D'ailleurs la politique de décroissance lancée par l'occident est en réalité une paupérisation de peuples au profit de l'oligarchie ultra riche. « Nous sommes trop nombreux » répètent sans discontinuer les médias de masse financés par l’oligarchie globaliste. Ils devraient plutôt dire « vous êtes trop nombreux », car les mêmes forces oligarchiques qui sont à l’origine des dérèglements écologiques planétaires prétendent faire de la natalité et de la démographie, la variable d’ajustement d’un système qui leur profite et qu’elles ont mis en place de longue date. Il existe clairement la généalogie profonde d’un discours, d’une idéologie et d’une pratique qui sont au cœur du projet politique globaliste. Une orientation de société qui plonge ses racines philosophiques dans l’histoire de l’eugénisme puis du transhumanisme comme vision du monde globale et unifiée du destin de l’humanité. La question de la démographie politique et du contrôle des naissances est au cœur des préoccupations et des stratégies d’hégémonie développées par le globalisme politique depuis l’origine du projet de République universelle et d’État mondial unifié. Selon la « Quatrième révolution industrielle » portée par le Forum Economique Mondial et par l’ensemble des instances non élues de la gouvernance globale, une partie importante de l’humanité devient surnuméraire, car la taille de la population planétaire qu’entend régir le globalisme politique doit être réduit par tous les moyens afin de faciliter le contrôle mondialiste. Une perspective qui éclaire les questions sanitaires et médicales telles qu’elles sont instrumentées depuis l’émergence du Covid-19 mais en fait depuis bien plus longtemps. Or il existe des fractures internes au sein de l’oligarchie globaliste entre des forces géoéconomiques qui relèvent d’un transhumanisme de « droite », libéral et productiviste, face à un transhumanisme « de gauche » collectiviste et dénataliste. Certains décideurs parmi les plus influents comme Elon Musk tirent ainsi la sonnette d’alarme sur les risques d’effondrement systémique que font courir à brève échéance la dépopulation et la dénatalité endémique pour les fragiles équilibres économiques et géopolitiques contemporains. » (Pierre-Antoine Plaquevent) D’après l’Evangile selon Jean, où figure une mention du « nombre de la Bête », 4 cavaliers annoncent donc l’Apocalypse (aussi appelée Révélation de Jésus-Christ). Un premier cheval est monté par l’Antéchrist avec la maladie et la guerre, et le troisième cavalier sur un cheval noir annonce la famine. « Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre » raconte la Bible. Pour une élite aux prétentions eschatologiques et démiurgiques, cela peut faire aussi sens, quitte à l’inverser. Dans une convergence des agendas de l’OTAN, des USA, de l’UE, du Sionisme, de Davos et des GAFAM, le Nouvel Ordre mondial américano-européen s'attaque à la santé (avec son « vaccin »), au jardin (avec ses graines OGM), à l'hypersurveillance via les nouvelles technologique, à la domination politique (par la guerre wokiste contre l'orthodoxie russe), à la domination économique internationale (par la haute finance de Wall-Street et les grosses multinationales), à la domination monétaire (par le dollar) et aux contrôles des ressources mondiales (par ses déstabilisations du Proche-Orient et de la Libye). Il menace la planète entière avec ses armes qu'il vend pour régler les problèmes qu'il a créés. Deux conceptions du monde peuvent coexister, mais le Nouvel Ordre mondial n'en est plus là. À présent, avec Soros aux manettes, il veut la disparition de l'autre quel qu'il soit. Les enjeux économiques et géopolitiques sont très souvent les deux facettes d’une même pièce servant d'abord l'idéologie mondialiste plutôt que les nations ou les peuples. C'est pourquoi divers peuples dont celui français sont entre l'élite et la bourgeoisie covidiste (de droite et de gauche) aimant le pass sanitaire citoyen, le probable pass écologique (ou/et climatique) à venir et la hiérarchie par la puissance de l'argent plutôt que par le travail et le mérite. D'ailleurs lors de la conférence des ambassadeurs de France, le 1er septembre 2022, le président Macron semble suivre à la lettre le programme de Klaus Schwab afin d’amorcer la Grande Réinitialisation déjà bien entamée par le Covid. Et comment mettre en place un Pass Climatique ? En passant par des mesures de rationnement sous couvert de flambée du pétrole, de pénurie de gaz et d’électricité. Le hasard fait encore bien les choses puisque l’Ukraine est l’alibi idéal des pénuries en tous genres... Le titre d'un livre de Mulllins « L’Ordre Mondial » renvoie à la pyramide de pouvoir construite autour des banques d’investissement, dont la plupart sont d’origine juive (Rothschild, Warburg, Lehman, Seligman, Oppenheimer, Schiff, Goldman). D’autres membres majeurs de la cabale sont Rockefeller, Morgan, Peabody et Harriman. La richesse de ces familles fut placée dans des fondations exonérées d’impôts afin d’être protégée et de financer les objectifs du nouvel Ordre Mondial américano-sioniste oligarchique. Ces fondations donnèrent des bourses à des individus pour que ces derniers lancent des think tanks tels que le Brookings Institute, le Hoover Institute, la Heritage Foundation, le Cato Institute, le Council on Foreign Relations, le American Enterprise Institute, etc. Mullins montre comment ces organisations produisent, grâce à la présence de leurs membres sur plusieurs conseils d’administration à la fois, de l’ingénierie sociale dans le but de préparer la société à l’avènement d’un gouvernement mondial. Ainsi les think tanks états-uniens ne sont souvent plus tant des centres de recherche que des lobbys vendus au plus offrant. En effet le général John Allen, ancien envoyé spécial du président Barack Obama pour la coalition contre Daech, a démissionné de la présidence de la Brookings Institution à la suite d’une perquisition du FBI. Il lui est reproché d’avoir secrètement fait du lobbying pour le compte du Qatar durant la crise qui opposa l’émirat à l’Arabie saoudite en 2017. Le sous-titre du livre de Mullins « Nos dirigeants secrets : une étude de l’hégémonie du parasitisme » est développé à la fin du livre et sert en fait de métaphore au rôle que jouent les dirigeants de l’Ordre Mondial dans la société. Ces parasites sont les familles de banquiers qui n’obtiennent pas leurs richesses grâce à la production de biens ou de services dont les gens ont besoin, mais en créant de l’argent à partir de rien à travers une charte de monopole gouvernemental leur permettant ensuite d’exiger que des intérêts soient payés sur leurs billets de banque. Il est clair que les interventions du FMI ont pour but d’amener le gouvernement ukrainien à s’engager dans les politiques économiques, fiscales et sociales dictées par l’agenda mondialiste, à commencer par l’« indépendance » de la Banque centrale ukrainienne vis-à-vis du gouvernement : c'est même un euphémisme par rapport à comment le FMI demande cela aux nations. Les milliardaires ukrainiens en kippa sont ceux qui vendent l’Ukraine à l’Occident corrompu et corrupteur, troquant leur propre richesse contre l’asservissement de leurs compatriotes aux usuriers qui s’emparent du monde, partout avec les mêmes systèmes impitoyables et immoraux. Hier, ils réduisaient les salaires des travailleurs d’Athènes et de Thessalonique, aujourd’hui, ils ont tout simplement élargi leurs horizons à l’ensemble de l’Europe, où la population assiste, encore incrédule, à la mise en place d’une dictature sanitaire, puis énergétique, puis numérique, puis climatique. Extraits de l'article « La Suisse a offert à Klaus Schwab le statut d’Organisation internationale. Une révolution antidémocratique. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/23/la-suisse-a-offert-a-klaus-schwab-le-statut-dorganisation-internationale-une-revolution-antidemocratique/ : « Or le prétendu dérèglement climatique mène au dérèglement économique et à la décroissance et ce qui s’ensuit : chute des productions agricoles et industrielles, chômage massif, cherté des produits alimentaires, paupérisation, famines, révoltes, répression, migrations massives, guerres civiles, soit la litanie des mondialistes de Davos, dans l’ordre ou le désordre. Le changement climatique cache donc le projet qui marche très bien avec la baisse de population voulue par ces mondialistes oligarchiques induite par les pandémies plus ou moins naturelles. (Surtout que le passage du réchauffement climatique contredit au dérèglement climatique est encore plus sournois, car le climat est un dérèglement en soi (qu'on ne peut pas prévoir plus de 3 jours et on parle de prévisions à trente ans) et en même temps une régulation (couverture nuageuse se créant par trop de chaleur, plante se multipliant par trop de C02). D'autant plus qu'avec la politique verte y étant généralement associée soudain, ce qui était abondant devient rare et doc plus chère encore au profit de l'oligarchie mondialiste.) Nous sommes à la croisée des chemins dont le Forum économique de Davos est un acteur privé ayant reçu par la suisse un statut presque étatique d'organisation internationale. « Le fascisme devrait plutôt être appelé corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’Etat et des pouvoirs des marchés. » (Mussolini) Les modèles monétaires, financiers, économiques, fonciers, éducatifs, ou culturels de l’ancien monde sont en voie de liquidation. Les richesses associées ont néanmoins été captées par une oligarchie privée et corporatisée, qui se rend maîtresse de tous les leviers. Parallèlement à cela, elle tente d’unifier la planète sous des prétextes messianiques, auxquels sont rattachés de prétendus programmes de développement. Pour l’heure, nous avons pu constater que le concept générait plutôt une décrépitude de l’humanité et de la planète, alors que la micro-élite dotée de seigneuriage que sont les mondialistes oligarchiques bénéficie d’une prospérité inédite historiquement. Tout dépend donc de quel côté on se place pour évaluer l’écart entre les résultats promis et ceux observés. Les programmes mis en place sont porteurs d’un marquant succès parfait pour les uns, et d’un drame tout aussi prégnant pour le reste des vivants (animaux et planète inclus). Une élite assez large, couvrant de nombreux secteurs, a participé à l’élaboration du projet. Et ce projet unique est concrétisé dans l’Agenda 2030 qui vise la transformation du monde sous le prétexte de développement durable jusqu’en 2019, puis au travers de « l’opportunité » offerte par le Covid, et actuellement par le suicide occidental soutenant la cause ukrainienne représentée par le héros national Zelenski. En effet une constitution universelle pour un état global privatisé et financiarisé est lié à l'agenda 2030. Plus récemment, Jim Rickards expliquait comment le système a réussi à formater les mentalités des politiciens pour les faire adhérer à l’impensable. Cela fait des années que nous avons tous compris que les dirigeants politiques faussement labellisés droite-gauche, internationaliste ou nationaliste, poursuivent en réalité le même agenda. Et pour cause, ils ont été pratiquement tous formés dans les mêmes académies, ou ont subi des formations au sein des fondations du genre Rockfeller, American-French (ou Swiss) Foundation, celle des young global leaders du WEF (Forum économique mondial), etc. Ils ont été nourris au même lait maternel qui mène aux postes-clés. Qu’ils soient convaincus ou pas de la cohérence de pseudo modèles scientifiques ou économiques recouverts de jargons dédiés aux initiés, ils savent qu’ils doivent filer droit une fois nommés si nécessaire suite à du chantage criminel. Quand un homme politique vous parle de démocratie de marché, il se moque de son électorat. Il n’y a pas de démocratie qui donne le pouvoir aux peuples dans un système dominé par le marché. Cela est particulièrement un non-sens lorsque quelques entreprises ont la main mise sur tous les leviers du marché et que les PME sont en train de couler. Pourquoi et comment ce système donnerait-il du pouvoir politique à des populations qui n’ont pas voix au chapitre économique de base ? La démocratie de marché porte dans son appellation même l’absurdité de mots irréconciliables. » « Dans ce sens (tyrannique), comment les leaders mondiaux corrompus auraient-ils pu, sans le prétexte de la guerre en Ukraine, justifier l’augmentation vertigineuse du prix du gaz et du carburant, forçant le processus d’une transition « écologique » imposée d’en haut pour l’appauvrissement contrôlé des masses ? Comment auraient-ils pu faire digérer aux peuples du monde occidental l’instauration de la tyrannie du Nouvel Ordre mondial, alors que la farce de la pandémie se dénouait, mettant en lumière le crime contre l’humanité commis par BigPharma ? Et tandis que l’UE et les chefs de gouvernement accusent la Russie de la catastrophe imminente dont alimentaire, les élites occidentales démontrent qu’elles veulent aussi détruire l’agriculture, pour appliquer à l’échelle mondiale les horreurs de l’Holodomor. (Les Américains ont aussi repris les slogans de l’Holodomor à l’échelle mondiale, accusant la Russie de provoquer une crise alimentaire dans le monde. Alors que dans le même temps, les Occidentaux eux-mêmes bloquent les livraisons étrangères de céréales et d’engrais russes, et se livrent au pillage et à la vente des réserves ukrainiennes aux pays les plus pauvres à un prix exorbitant et à des conditions léonines, à l’instar de leurs ancêtres colonisateurs. Ainsi la technique actuelle de créer des pénuries pour attribuer l'inflation au covid et à la Russie sert d'abord à parvenir au projet néocolonialiste du grand reset, ce qui est un projet qui prouve que finalement les mondialistes ne veulent logiquement pas de la troisième guerre mondiale.) Or l’Holodomor n’est pas un crime russe mais un crime bolchévique ordonné par le Géorgien Staline et mis en œuvre en Ukraine par un Polonais, Stanislav Kossior. Cette Grande famine ne fut pas un génocide car le peuple ukrainien venait à peine d’être créé par Staline, mais un populicide exercé contre les paysans en tant que classe sociale. L’URSS des années 1930 avait besoin de devises, et l’exportation des céréales ukrainiennes devait servir à financer le programme d’industrialisation et de militarisation accéléré engagé par Staline, qui aura son importance 10 ans plus tard, lors du conflit avec l’Allemagne nazie. Un conflit dans lequel les nationalistes ukrainiens ont largement collaboré avec l’occupant... S’ensuivra donc au début des années 1930 un soulèvement des paysans d’Ukraine, entretenu par les ultranationalistes locaux, soulèvement qui sera maté par une répression au-delà du féroce. L’Holodomor était donc une frappe dirigée contre la contre-révolution, pour reprendre la terminologie de l’époque, en même temps qu’une nécessité économique, dictée par la situation financière extrêmement fragile de l’édifice soviétique, et fragilisée par les empires occidentaux, à l’affût de la moindre faiblesse, comme celle d’une maigre récolte. D’autre part, dans de nombreux pays dont l’Italie, la privatisation des cours d’eau, qui sont un bien public inaliénable, est théorisée au profit des multinationales et dans le but de contrôler et de limiter les activités agricoles. Le gouvernement pro-atlantiste de Kiev ne s’était pas comporté différemment : pendant huit ans, la Crimée avait été privée de l’eau du Dniepr pour empêcher l’irrigation des champs et affamer la population. Aujourd’hui, à la lumière des sanctions imposées à la Russie et de l’énorme réduction des approvisionnements en céréales, on peut comprendre les énormes investissements de Bill Gates dans l’agriculture, suivant la même logique impitoyable de profit gigantesque et de contrôle économique que la vaccination mondiale liée au Covid et au grand reset. Ainsi les ukrainiens devraient réfléchir à deux fois avant d’invoquer l’intervention de l’OTAN ou de l’UE, en supposant qu’il s’agisse vraiment d’eux aux commandes et non de leurs dirigeants corrompus aidés par des mercenaires racistes et des groupes néonazis à la solde des oligarques. Car si on leur promet la liberté face à l’envahisseur, avec lequel ils partagent pourtant l'héritage culturel et religieux commun d’avoir fait partie de la Grande Russie, en réalité, on prépare cyniquement leur effacement définitif par leur soumission au Great Reset qui envisage tout sauf la protection de leur identité, de leur souveraineté et de leurs frontières. Que les ukrainiens regardent ce qui est arrivé aux pays de l’Union européenne : le mirage de la prospérité et de la sécurité est démoli par la contemplation des décombres laissées par l’euro et les lobbies de Bruxelles : des nations envahies par des immigrants illégaux qui alimentent le crime et la prostitution ; des nations dont le tissu social a été détruit par des idéologies politiquement correctes ; des nations qui ont été sciemment conduites à la faillite par des politiques économiques et fiscales irréfléchies ; des nations qui ont été conduites à la misère par l’annulation de la protection de l’emploi et de la sécurité sociale ; des nations qui ont été privées d’avenir par la destruction de la famille et la corruption morale et intellectuelle des nouvelles générations. Ce qui avait été des nations prospères et indépendantes, diverses dans leurs spécificités ethniques, linguistiques, culturelles et religieuses, s’est transformé en une masse informe de personnes sans idéaux, sans espoir, sans foi, sans même la force de réagir aux abus et aux crimes de ceux qui les gouvernent. Une masse de clients des multinationales, d’esclaves du système de contrôle généralisé imposé avec la farce pandémique, même face à l’évidence de la fraude. Une masse de personnes sans identité, marquées au code QR comme des animaux dans une ferme intensive, comme les produits d’un immense centre commercial. Si tel a été le résultat de la renonciation à leur souveraineté pour tous, sans exception, les États qui se sont confiés à la colossale escroquerie de l’UE, pourquoi l’Ukraine devrait-elle faire exception ? » (Extraits de l'article « Mgr Viganò : la Russie et l’Ukraine sont "utilisées pour permettre à l’élite mondialiste de mener à bien son plan criminel" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Mgr-Vigano-la-Russie-et-l-Ukraine-sont-utilisees-pour-permettre-a-l-elite-mondialiste-de-mener-a-67556.html) Il est intéressant d lire à ce sujet l'article « La guerre en Ukraine fait-elle partie de la grande réinitialisation ? - Strategika » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/15/la-guerre-en-ukraine-fait-elle-partie-de-la-grande-reinitialisation/ Extraits de l'article « La 3ème Guerre Mondiale pour les nuls » à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/04/la-3eme-guerre-mondiale-pour-les-nuls : « Parmi les pays soumis à des pressions américano-sionistes mondialistes, on trouve la Russie, la Chine, Cuba, le Venezuela, la Libye, la Syrie, la Serbie, la Thaïlande et l’Iran, pour n’en citer que quelques-uns. D’autres pays se sont ajoutés récemment, notamment l’Inde et la Hongrie. Pour comprendre pourquoi ils ont été mis sous pression, nous devons trouver ce qu’ils ont en commun. Ce n’est pas facile, car ils sont extrêmement différents à bien des égards. Il y a des démocraties et des non-démocraties, des gouvernements conservateurs et communistes, des pays chrétiens, musulmans et bouddhistes, etc. Pourtant, nombre d’entre eux sont très clairement alliés. On peut se demander pourquoi des pays conservateurs et religieux comme la Russie ou l’Iran s’allieraient avec les communistes sans Dieu de Cuba et du Venezuela. Ce que tous ces pays ont en commun, c’est leur désir de gérer leurs propres affaires, d’être des pays indépendants. Cette situation est impardonnable aux yeux de l’Occident et doit être combattue par tous les moyens nécessaires, y compris les sanctions économiques, les révolutions de couleur et l’agression militaire pure et simple. L’Occident et son bras militaire l’OTAN ont entouré la Russie de pays hostiles et de bases militaires, armé et manipulé l’Ukraine pour l’utiliser comme un marteau contre elle, et employé des sanctions et des menaces. La même chose s’est produite et se produit encore en Asie, où la Chine est encerclée par tous les moyens disponibles. Il en va de même pour tous les indépendants mentionnés ci-dessus, dans une certaine mesure. Au cours des dix dernières années environ, la pression s’est accrue massivement sur ces pays indépendants et elle a presque atteint son paroxysme l’année précédant l’invasion russe de l’Ukraine. Au cours du premier mois de la guerre, l’ensemble du corps diplomatique occidental s’est employé à proférer des menaces contre le « reste du monde » afin d’isoler la Russie. Cela n’a pas fonctionné, ce qui a provoqué la panique dans les cercles politiques et diplomatiques aux États-Unis et en Europe. Les explications de ce qui se passe sont nombreuses et la plus courante est la lutte entre deux avenirs possibles : un monde multipolaire où il existe plusieurs centres de pouvoir dans le monde, et un monde unipolaire où l’Occident gouverne le monde. C’est correct dans une certaine mesure, mais il y a une autre raison qui explique pourquoi cela se passe maintenant et avec une urgence et une panique de l'Occident. Récemment, le gourou de la technologie néo-zélandais Kim Dotcom a tweeté un fil sur la situation de la dette aux États-Unis. Selon lui, toutes les dettes et les engagements non financés des États-Unis dépassent la valeur totale du pays, y compris les terres. Cette situation n’est pas propre aux États-Unis. La plupart des pays occidentaux ont une dette qui ne peut être remboursée qu’en vendant le pays entier et tout ce qu’il contient. En outre, la plupart des pays non occidentaux croulent sous les dettes libellées en dollars et sont pratiquement détenus par les mêmes financiers qui possèdent l’Occident. L’augmentation de la dette est à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en gage tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons déjà plus rien selon la volonté de Davos maintenant que la dette a été soustraite et vu le nombre d'énormes banques, fonds et milliardaires d'investissement. La dette est même depuis longtemps devenue inutilisable, bien au-delà de notre capacité à payer les intérêts, ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette insupportable et nous serions tous officiellement en faillite, du jour au lendemain. Les personnes qui possèdent toutes ces dettes possèdent en fait tout ce que nous pensons posséder. En Occident, nous ne possédons rien à ce stade, nous croyons seulement posséder. Mais qui sont nos véritables propriétaires ? Nous savons plus ou moins qui ils sont, car ils se réunissent chaque année au Forum économique mondial de Davos avec les élites politiques occidentales, dont ils sont également les propriétaires. Il est clair que nos propriétaires sont de plus en plus inquiets, et que leurs inquiétudes augmentent à la mesure de la pression accrue exercée par l’Occident sur le reste du monde, en particulier sur les Indépendants et sur les populations réveillées comme les gilets jaunes jusqu'à leur crever des yeux. Lors de la réunion de Davos, l’ambiance était à la fois sombre et paniquée, un peu comme la panique parmi les élites politiques occidentales lorsque l’isolement de la Russie a échoué. La panique de nos propriétaires et de leurs politiciens est compréhensible car nous sommes arrivés au bout du rouleau. Nous ne pouvons plus maintenir notre niveau de vie par l’augmentation de la dette et le parasitisme. La dette va au-delà de ce que nous possédons en garantie et nos monnaies sont sur le point de perdre toute valeur. Nous ne serons plus en mesure d’obtenir des choses gratuites du reste du monde, ni de rembourser notre dette, et encore moins de payer des intérêts sur celle-ci. L’Occident tout entier est sur le point de faire faillite et notre niveau de vie est sur le point de baisser d’un pourcentage massif. C’est ce qui a fait paniquer nos propriétaires, qui ne voient que deux scénarios : Dans le premier scénario, la plupart des pays occidentaux, et tout ce qu’ils contiennent, se déclarent en faillite et effacent la dette par un diktat, ce que les États souverains sont capables de faire. Cela effacerait également la richesse et le pouvoir politique de nos propriétaires. Dans le second scénario, nos propriétaires saisissent la garantie pendant la faillite. La garantie, c’est nous et tout ce que nous possédons. Il ne faut pas être un génie pour comprendre quel scénario a été choisi. Le plan pour le second scénario est prêt et est mis en œuvre en ce moment même. Il s’appelle « Le Grand Reset » et a été élaboré par les personnes qui se cachent derrière le Forum économique mondial. Ce plan n’est pas un secret et peut être examiné dans une certaine mesure sur le site web du WEF de Davos. Le Grand Reset est un mécanisme de saisie de toutes les garanties de la dette, ce qui inclut nos actifs, les actifs de notre ville ou municipalité, les actifs de notre État et la plupart des actifs des entreprises qui ne sont pas déjà détenus par leurs propriétaires. Ce mécanisme de saisie des actifs a plusieurs composantes, mais les plus importantes sont les quatre suivantes : -Abolition de la souveraineté : Un pays souverain (indépendant) est un pays dangereux car il peut choisir de faire défaut sur sa dette. La diminution de la souveraineté a été une priorité pour nos propriétaires et différents schémas ont été tentés comme le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement et le partenariat transpacifique. Le projet le plus abouti est sans aucun doute l’Union européenne elle-même. -Ajustement de l’économie : L’économie occidentale (et en fait l’économie mondiale) doit être ajustée à la baisse, d’un pourcentage très important. Ce réglage est nécessaire parce que l’économie occidentale est massivement falsifiée aujourd’hui et doit être ramenée à son niveau réel, qui pourrait être de la moitié de ce qu’il est maintenant, ou moins. Le ralentissement de l’économie a également pour but d’éviter un effondrement soudain qui provoquerait une agitation sociale massive, ce qui constituerait une menace pour nos propriétaires. Un démantèlement contrôlé est donc préférable à un effondrement incontrôlé. Ce démantèlement contrôlé a déjà eu lieu et se poursuit depuis un certain temps. On peut citer de nombreux exemples de ce démantèlement, notamment la politique énergétique de l’UE et des États-Unis, conçue pour saboter l’économie occidentale, et les tentatives évidentes de destruction de la demande pendant et après l’épidémie, y compris les problèmes logistiques assez bizarres qui sont soudainement sortis de nulle part. -Récolte d’actifs (vous ne posséderez rien et serez « heureux ») : Tous les actifs qui peuvent être considérés comme des garanties de notre dette privée et collective/publique seront saisis. Il s’agit d’un objectif du Grand Reset clairement énoncé, mais la manière dont elle sera mise en œuvre est moins claire. Le contrôle total des gouvernements occidentaux (et même de tous les gouvernements) semble être nécessaire à cette fin. Cette condition préalable est plus proche que l’on pourrait le penser, car la plupart des gouvernements occidentaux semblent être redevables à Davos à ce stade. Le processus sera vendu comme une restructuration sociale nécessaire en raison d’une crise économique et du réchauffement climatique et entraînera une baisse massive du niveau de vie des gens ordinaires, mais pas des élites. -Oppression : Un grand nombre de personnes n’apprécieront pas cette situation et un soulèvement est une réponse probable, même si le démantèlement se fait progressivement. Pour éviter que cela ne se produise, un mécanisme de contrôle social sera mis en place possiblement à travers la cryptomonnaie centralisée des banques centrales, qui effacera la liberté personnelle, la liberté d’expression et la vie privée. Il créera également une dépendance absolue de l’individu à l’égard de l’État. Cela doit être fait avant que le démantèlement économique puisse être achevé, sinon il y aura une révolution. Ce mécanisme est déjà mis en œuvre en Occident. Subjuguer la Russie et la Chine est une question existentielle pour nos propriétaires de Davos, car s’ils font tomber l’économie occidentale, tout le reste doit tomber aussi. Si l’économie occidentale s’effondre et qu’un grand bloc économique ne participe pas à cette chute, ce sera un désastre pour l’Occident. Le nouveau bloc acquerra un pouvoir économique massif, voire une sorte d’hégémonie unipolaire, tandis que l’Occident sombrera dans un âge sombre féodal et deviendra insignifiant. Par conséquent, le monde entier doit s’effondrer pour que le Grand Reset fonctionne. La Russie et la Chine doivent donc être subjuguées par tous les moyens, ainsi que l’Inde et d’autres nations têtues. C’est ce qui a alimenté la situation dans laquelle nous nous trouvons maintenant et qui alimentera la poursuite de la troisième guerre mondiale (possiblement seulement économique, financière, énergétique et monétaire). Les élites propriétaires occidentales font la guerre pour conserver leur richesse et leur pouvoir. Tous ceux qui résistent doivent être subjugués afin qu’ils puissent suivre l’Occident dans le grand âge sombre planifié du Grand Reset. Or la Russie et la Chine ne peuvent pas être assujetties par la faillite et leurs actifs récoltés. Elles n’ont pas beaucoup de dettes en devises occidentales, ce qui signifie que les personnes qui possèdent l’Occident par la dette ne possèdent pas la Russie ni la Chine (comme elles possèdent l’Occident et le « tiers monde » endettés) et ne peuvent pas les acquérir par la dette. La seule façon de les acquérir est de changer de régime. Leurs gouvernements doivent être affaiblis par tous les moyens, y compris par des sanctions économiques et des moyens militaires si nécessaire, d’où l’utilisation de l’Ukraine comme bélier pour la Russie et de Taïwan pour la Chine. La raison de la panique actuelle des élites occidentales est que le projet ukrainien ne se déroule pas comme prévu. Au lieu que la Russie soit saignée sur le champ de bataille, c’est l’Ukraine et l’Occident qui saignent dont énergétiquement et économiquement. Au lieu que l’économie russe s’effondre et que Poutine soit remplacé par un dirigeant compatible avec Davos, c’est l’économie de l’Occident qui s’effondre. Au lieu que la Russie soit isolée, c’est l’Occident qui l’est de plus en plus. Rien ne marche comme prévu, et pour couronner le tout, l’Europe a donné aux Russes les moyens et le motif de détruire l’économie européenne en fermant partiellement son industrie. Sans ressources russes, il n’y a pas d’industrie européenne, et sans industrie, il n’y a pas d’impôts pour payer les allocations de chômage, les retraites, tous les réfugiés, et à peu près tout ce qui maintient les sociétés européennes ensemble. Les Russes ont maintenant la capacité d’organiser un crash incontrôlé en Europe, ce qui n’est pas ce que Davos a prévu. Un crash incontrôlé pourrait voir les têtes de Davos rouler, littéralement, et cela provoque la peur et la panique dans les cercles d’élite. La seule solution pour eux est de poursuivre la troisième guerre mondiale et d’espérer que tout ira bien. Le Grand Reset de l’économie mondiale est la cause directe de cette troisième guerre mondiale, alors que faire ? De l’intérieur de l’Occident, on ne peut pas faire grand-chose. Le seul moyen est d’éliminer Davos de l’équation, mais cela n’arrivera probablement pas pour deux raisons. La première est que les grands resetteurs de Davos sont trop imbriqués dans l’économie et la politique occidentales. Davos est comme une pieuvre avec ses bras et ses ventouses à l’intérieur des cercles d’élites, des médias et du gouvernement de chaque pays. Ils sont trop bien implantés pour être facilement éliminés. La deuxième raison est que la population occidentale est trop ignorante et soumise à un lavage de cerveau. Le niveau de leur lavage de cerveau est tel qu’une grande partie d’entre eux veulent en fait devenir pauvres, bien qu’ils utilisent le mot « vert » pour « pauvre » parce que cela sonne mieux. Or il y a quelques indications qu’il pourrait y avoir des divisions au sein des élites occidentales. Certaines d’entre elles, en particulier aux États-Unis, pourraient résister au Grand Reset conçu principalement par l’Europe, mais il reste à voir si cette opposition est réelle ou efficace. En dehors de l’Occident en revanche, certaines mesures peuvent être prises et doivent être prises. Certaines de ces mesures sont drastiques et d’autres sont en cours de réalisation en ce moment même. Parmi ces mesures, on peut citer les suivantes : -Les Indépendants, menés par la Russie, la Chine et l’Inde, doivent créer un bloc pour s’isoler de l’Occident radioactif. Cet isolement ne doit pas seulement être économique, mais aussi politique et social. Leurs systèmes économiques doivent être séparés de l’Occident et rendus autonomes. Leurs cultures et leur histoire doivent être défendues contre les influences et le révisionnisme occidentaux. Ce processus semble être en cours. -Ces Indépendants doivent immédiatement interdire toutes les institutions et ONG parrainées par l’Occident dans leurs pays, qu’elles soient parrainées par des États ou des individus occidentaux. En outre, ils doivent interdire tous les médias bénéficiant d’un parrainage occidental et priver chaque école et université du parrainage et de l’influence de l’Occident. (Comme Amnesty International, Human Rights Watch et d’autres organisations dites « ONG » crées par les gouvernements occidentaux, à leur tête les USA, RSF (Reporters Sans Frontières) est chargée aussi de promouvoir, en fait, le néolibéralisme américain en leur lieu et place pour mieux duper dont en afrique et en Algérie ; RSF (tout comme ces ONG) est un virus destructeur, un cheval de Troie, un moyen d’infiltration et de sape, un instrument de propagande et de subversion au service des milieux impérialistes et néocolonialistes qui la finance. C’est une organisation qui n’a jamais été « non-gouvernementale ». Elle travaille, contre financement, pour des « printanistes» occidentaux avec mission de juger les « non-occidentaux » insoumis à leurs règles en s’introduisant – par le biais d’autochtones frustrés, revanchards et sans principes- pour les déstabiliser dans le but d’y placer des dirigeants liges, dans le cadre de ce qu’il appelle « regime change ».) -Ils doivent quitter toutes les institutions internationales jusqu’aux Nations unies, voire même les Nations unies, car tous les organismes internationaux sont contrôlés par l’Occident. Ils doivent alors les remplacer par de nouvelles institutions au sein de leur bloc. -Ils doivent, à un moment donné, déclarer les monnaies dollar et euro non grata. Cela signifie qu’ils doivent déclarer le défaut de paiement de toutes les dettes libellées dans ces monnaies, mais pas des autres dettes. Cela viendra très probablement à un stade ultérieur, mais c’est inévitable. Cela créera une situation dans laquelle l’Occident sombrera dans les ténèbres sans entraîner les autres dans sa chute, si nous parvenons à échapper au feu nucléaire. » « L’eschatologie est une des dimensions fondamentales de la géopolitique mondiale contemporaine. (C'est à dire qu'il faut connaître l'eschatologie pour comprendre l'origine et le fonctionnement pervers du monde actuel.) Un géopolitologue ne peut plus écarter de ses analyses l’aspect eschatologique des relations internationales, dès lors que les dirigeants des deux plus grandes puissances nucléaires au monde que sont la Russie et les USA mettent au cœur de leurs discours « l’Apocalypse », le « martyr » menant au « Paradis », « Satan » et « l’Antéchrist ». Selon la Russie, les révolutions de couleur ont commencé dans l’espace post-soviétique, en commençant par l’Ukraine, et ont été parrainées par l’OTAN pour renverser les régimes favorables à la Russie. Mais la nouveauté depuis la révolution de l’Euromaïdan, pilotée par Washington en 2014 et plus encore avec la guerre en Ukraine qui en est la conséquence, c’est le basculement eschatologique du discours des plus hauts dirigeants russes. Pourtant Vladimir Poutine et les hauts dirigeants visibles de l’appareil d’État russe sont des rationnels, froids et pragmatiques ; pragmatisme qui se manifeste tant dans leurs discours que dans la politique extérieure réaliste de la Russie. Aucun signe de fanatisme religieux ou idéologique n’apparaît dans leur comportement ou leur vision des relations internationales. Mais force est de constater que face à l’agressivité des Occidentaux, leur irrationnalisme géopolitique pour ne pas dire leur fanatisme messianique et l’évolution des sociétés de l’Ouest qui, du point de vue de Moscou, est une dégénérescence et une décadence complète, les dirigeants russes adoptent depuis quelques années un discours aux accents de plus en plus religieux. C’est une sorte de dialectique : l’empire judéo-protestant, que l’on appellera désormais « antichristique », contraint les dirigeants russes à réaffirmer leur christianisme. Si l’on étudie sous l’angle de l’histoire des civilisations l’époque contemporaine, à savoir les 19e et 20e siècles, il est possible de conclure que l’affrontement actuel entre la Russie et l’Occident est un choc des civilisations, un choc entre modernisme (progressiste impie) et tradition (pieuse), le modernisme étant représenté et mené par l’Occident avec à sa tête avant-gardiste d’abord l’Empire britannique puis les États-Unis. Par souci de rigueur, il faut distinguer l’Europe continentale et le monde thalassocratique anglo-américain. En effet on assimile aujourd’hui beaucoup plus l’Occident à la fabrication idéologique qu’est le pseudo judéo-christianisme (car il faut plutôt parler de judéo-protestantisme calviniste opposé au catholicisme) renvoyant plus au monde anglo-saxon qu’à l’Europe latine et germanique. Sinon la communauté de valeurs judéo-chrétienne est en réalité fausse, puisque les peuples d'Occident ont en grande partie perdu ses valeurs religieuses ou restent sur des valeurs christiques. Ce que l’on appelle aujourd’hui « l’Occident » n’est pas une construction seulement idéologique, car aussi politique à travers l’Union européenne et son pendant géostratégique et à travers le bras armé des États-Unis qu'est l’OTAN. Cet Occident a été subverti par la réforme protestante, et par l’Angleterre qui a connu une expansion économique et géopolitique poussée en avant par cette réforme devenue un messianisme judéo-protestant ayant aussi accompagné et suivi la révolution d’Olivier Cromwell (1599-1658). L’empire anglo-américain est donc cet ensemble idéologique, politique et géopolitique qui a absorbé peu à peu le Vieux continent catholique, gréco-latin et germanique, et qui, au tournant du 20e siècle, ne peut déjà plus être qualifié de chrétien. Le modernisme matérialiste et les révolutions issues de la matrice du messianisme judéo-protestant qui l’ont promu ont envahi et progressivement désagrégé l’Europe catholique. Ce mouvement d’incorporation de l’humanité tout entière en une grande société unique s’accompagne d’un autre mouvement visant à intégrer toutes les religions traditionnelles pour les soumettre à une seule dans le cadre de l’ONU des religions : il s'agit du Congrès mondial des religions. Il y a un net parallèle entre la subversion de l’Ancien Régime, la Révolution française et l’histoire de la fin de l’Empire ottoman, tant sur le plan idéologique que sur ceux des méthodes et des réseaux à l’œuvre. C’est au milieu du 19e siècle, et plus précisément à partir des années 1860, que les réseaux maçonniques se mettent en branle au cœur de l’Empire ottoman : des lettrés, des proches du Sultan, des hauts fonctionnaires parmi lesquels des ministres, entrent massivement dans des loges maçonniques, notamment celle française « L’union d’Orient » dont la période d’activité correspond à la décennie la plus libérale de l’histoire politique et sociale de cet Empire (1863-1874). Ces hommes, pour la plupart, jouent un rôle dans l’introduction du libéralisme dans l’Empire ottoman. L’implantation de la Franc-Maçonnerie est si importante à l’époque en Turquie que le sultan Murad V, qui ne règne que quelques mois en 1876 avant d’être déposé par Abdulhamid II, était lui-même membre d’une loge maçonnique. Les Jeunes Turcs, qui ont renversé le pouvoir ottoman et aboli le Califat en 1924, créent le 14 juillet 1889 (une date choisie pour marquer la filiation avec la Révolution française de 1789) un mouvement politique, le Comité Union et Progrès, qu’ils organisent sur le modèle de la loge maçonnique du Grand Orient de France. L’évincement de la scène historique des empires chrétiens et musulmans, du Saint Siège et du Califat, ont permis, non seulement la création de l’État d’Israël, mais également l’expansion du chaos, de la destruction de pays entiers et du désordre économique, sociale et sociétale. Les idéologies modernes antichristiques produites par le monde judéo-protestant avait auparavant pu se répandre sur le globe après donc la chute du Califat et de la chrétienté européenne. Les développements géopolitiques de ces deux dernières décennies s'étant radicalisé contre la Russie ont fait de la Russie (et de l'Eurasisme) un Katechon qui contient les forces du désordre ; c’est à dire une puissance qui s’oppose à l’Empire antichristique qui a désormais désigné Moscou comme principal ennemi. En effet l’Empire russe redevenu orthodoxe face à l'impie laïcisme progressiste incarne désormais l'ennemi ontologique, l'adversaire géopolitique, l'antagoniste tellurocratique qui retient l’avènement de l’Antéchrist ayant pour support géopolitique la thalassocratie anglo-américaine, judéo-protestante, wokiste et oligarchique. C'est à dire que les forces thalassocratiques correspondent à l'empire antichristiques (antéchristique) et que les forces tellurocratiques correspondent à l'empire du Katechon. Ainsi il apparaît que plus ce Katechon retient le projet de l'Antéchrist (dont possiblement principalement par une forme de realpolitik spécifique en plus à la Russie), plus il l'affaiblit. A ce sujet voir l'excellent entretien : « Youssef Hindi /Rachid Achachi : Géopolitique de l'Apocalypse » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=OvNka0EeILo&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ La Russie n’est toutefois pas pour l'instant un Katechon au sens classique ; même si les mains tendues de Poutine rejetées et l'assassinat terroriste ukrainien de Daria Douguine par l'occident ont légitimé la radicalisation (retour aux racines) de ce président et des russes. Surtout que l'Occident est aller jusqu'à vomir agressivement ses lois antichristiques aux portes de la Russie (en Ukraine), en plus en les liant à de la russophobie hystérique, primaire et souvent dangereusement belliqueuse au sein de certains groupes en particulier néonazis. Elle n’est pas l’Imperium Romanum chrétien idéal et médiéval. C’est un Etat moderne qui est traversé par des contradictions internes, et qui a été en partie infesté, comme tous les pays du mondes, par l’idéologie du progrès, dont le transhumanisme. (Cependant la Russie orthodoxe dernier pilier mondial d'un bon christianisme national mène aujourd’hui un dur combat pour son avenir, repoussant l’agression des néo-nazis et de leurs maîtres. D'ailleurs pratiquement toute la machine militaire, économique et informationnelle de l’Occident est dirigée contre elle. La Russie lutte pour la vie et la sécurité de son peuple, pour sa souveraineté et son indépendance. Pour le droit d’être et de rester la Russie – un État avec une histoire millénaire. Ce qui se passe n’est pas un ultimatum au ministère de la défense. C’est un défi lancé à l’État, et contre ce défi, il est nécessaire de rassembler tout le monde autour de leur leader national : militaires, forces de sécurité, gouverneurs, population civile, mais aussi toutes les forces extérieurs souveraines, conservatrices ou/et monothéistes. En effet face à l'égrégore mondial des forces du mal, les forces de la Lumière doivent devenir un égrégore puissant via la mobilisation d’un maximum d’humains impliqués, afin de remporter la victoire.) Au milieu du 19e siècle émerge la doctrine de l’« Exceptionnalisme américain », promu notamment par l’influent sociologue Talcott Parsons (1902-1979). Plus grand-chose ne sépare l’Amérique du peuple juif, si ce n’est les moyens de réaliser l’empire mondial. Au lendemain de la chute de l’Union Soviétique, les États-Unis pensaient en avoir terminé avec la Russie, car l’URSS était en définitive (surtout à partir de l’époque stalinienne) un accaparement communiste de l’Empire des tsars orhthodoxes. Débarrassé de cet opposant géopolitique, les idéologues américains ont cru que c’était la fin de l’Histoire, dont à travers l’idée que la la laïcisation du monde correspondait à l'avènement des temps messianiques succédant donc à l’effondrement de l’Histoire dont religieuse. Une ère nouvelle qui est à la fois une restauration de l’Eden perdu et l’instauration d’une utopie n'ayant jamais existé, et qui en plus de la laïcité, était du point de vue américain aussi le libéralisme sous égide étasunien imposé sur chaque kilomètre carré de la planète. Un libéralisme né en Angleterre, originellement philosophique, politique et économique, qui envahira la sphère sociétale. L’esprit thalassocratique finira par liquéfier jusqu’à la société elle-même et son noyau, c'est à dire la famille avec l’idéologie LGBT tout droit sorti des cerveaux de théoriciens juifs et protestants du monde anglo-américain. Cette société liquide promue par les puissances géopolitiques maritimes se voit confrontée à la résistance des tellurocraties, enracinées dans la tradition familiale ; et ce, malgré l’influence partielle mais importante, via la bourgeoisie, de ce libéralisme liquéfiant, totalitaire et englobant. Il s’agit là d’une guerre eschatologique opposant une force du désordre, entropique, liquide, et une puissance géopolitique de la terre qui tente de maintenir l’ordre. La puissance thalassocratique totalitaire et libérale correspond en tout point à l’Antéchrist dans son rôle de destructeur de la création de Dieu. L’avènement de l’Antéchrist est retenue par une force que Saint Paul appelle donc dans son Épître aux Thessaloniciens le Katechon, et qui a été identifié au départ par les Pères de l’Église comme étant Rome, l’Imperium Romanum et sa prolongation chrétienne. Or l’absorption géopolitique et idéologique de l’Europe continentale et chrétienne par les anglo-américains n’a été possible qu’après la disparition de l’Empire romain chrétien d’Europe. On peut estimer que le Saint-Empire romain germanique en a été la continuité jusqu’à sa disparition au début du 19e siècle ; alors qu’il n’était plus que l’ombre de lui-même suite à la révolution protestante. Ainsi il est communément admis que la seconde Rome était Byzance, et que son héritière est depuis le 16e siècle, Moscou, la Troisième Rome. Je pense pour ma part qu’il peut y avoir plusieurs Katechon, plusieurs puissances maintenant un ordre, une stabilité et un équilibre dans le monde. Après la parenthèse communiste, la renaissance de l’Empire russe orthodoxe dans ses anciennes frontières, peut être identifié comme un Katechon géopolitique, c’est-à-dire la puissance historique qui empêche de facto, par sa seule existence, l’établissement d’un désordre mondial antichristique, autrement appelé l’empire américain judéo-protestant et libéral. Notre séquence historique à tout d’eschatologique, en ce que la guerre actuelle est potentiellement nucléaire, définitive. La dialectique historique opposant la terre (empire tellurocratique) et la mer (empire thalassocratique) depuis l’Antiquité, est donc peut-être une vaste dialectique où s’opposent des paires d'éléments : l’eau et la terre, le liquide et le solide, l’éphémère et le pérenne, l’empire et l’hégêmôn, la civilisation moderne et celle traditionnelle, l’entropie et la néguentropie, les puissances antichristiques et les Katechon, l’Antéchrist et le Christ , Satan et Dieu. » (Youssef Hindi) Or « L’opposition entre l’Occident et la Russie n’est pas exclusivement géopolitique, elle est civilisationnelle, elle oppose deux modèles : celui de la société fondée sur la loi naturelle et celui qui dégénère. C’est un antagonisme entre un monde voulant conserver l’essentiel des valeurs traditionnelles et un autre qui promeut leur inversion systématique. C’est la guerre entre un occident athéiste qui se suicide, et une Russie renaissante qui refuse le modèle de société mortifère que cherche à lui imposer l’oligarchie occidentale, et dont la Russie a subit les conséquences dans les années 1990. Le libéralisme économique avait alors menée le pays au bord de l’abîme où se trouve aujourd’hui les Européens. Cette guerre russo-occidentale est donc pluridimensionnelle car elle a plusieurs facettes et degrés. En effet cette guerre ne se résume pas à l’opposition entre deux cultures différentes, car elle est en plus le point culminant historique d’un antagonisme anthropologique, géographique, élémentaire, religieux, idéologique, eschatologique et même juridique. Par conséquent la théorie du choc des civilisations, telle que présentée au grand public par les néoconservateurs et leurs réseaux, visait à diaboliser perversement les sphères culturelles politiques des ennemis de l’Amérique puisque même celles christiques et ainsi justifier leur destruction à court ou moyen termes. Cette divergence entre l’Occident et la Russie est à situer dans le clivage fondamental modernisme/tradition, progressisme/conservatisme. L'occidental libéralisme économique, sauvage et individualiste n’a pu perdurer qu’une décennie en Russie, car la structure anthropologique communautaire et autoritaire, incarnée par l’étatisme continental et la famille traditionnelle, a rapidement repris le dessus et stabilisé le pays. Un coup d’œil sur le globe terrestre fait apparaître la différence géographique entre la Russie et l’Angleterre. Leur distinction géographique est aussi nette que celle de leur anthropologie respective. Le peuple russe vit dans la terre du milieu eurasiatique ; les Anglais sur une île excentrée, ne faisant pas véritablement partie du Vieux Continent : England is of Europe, not in Europe. De la terre de Russie est sortie la puissance tellurique, le Béhémoth, l’Empire continental, et de l’île anglaise, le Léviathan, l’Empire maritime. Tout oppose ces deux empires et tout les destinait à s’affronter, dans la mesure où la puissance anglo-américaine, contrairement à la Russie, est en essence sans limite (c’est la Russie qui fixe la limite, en Syrie comme en Ukraine), parce que maritime, tandis que l’État russe qui est terrestre, est par définition limité et limitateur. Leur confrontation était inéluctable, car l’impérialisme maritime global vise à tout submerger, envahir et détruire. Ce n’est pas le droit international qui arrête le Léviathan (lié au sens de sauvagerie), c’est le Béhémoth (lié au sens apprivoiser). La révolution anglaise et internationale de ce passage de la terre à la mer, cette transformation en empire thalassocratique, se font au 16e siècle, le siècle de la réforme protestante et de l’adoption par l’Angleterre du calvinisme. Une religion taillée sur mesure pour la bourgeoisie, pour un empire libéral et commercial. Le monde de la mer, sans frontière, est un monde de l’indistinction. C’est un espace liquide, mobile, instable, tantôt calme, tantôt agitée. Il est en cela diamétralement opposé au monde de la terre, celui de la frontière naturelle ou artificielle, de la limite, de la distinction, de la stabilité, de l’ordre et donc du droit. Nous le constatons dans le rapport des États-Unis au droit international. Ils le bafouent systématiquement, ils outrepassent les règles, ils ne respectent pas leurs engagements, qu’ils soient écrits ou oraux. Quant aux promesses, notamment celle faite à la Russie sur l’OTAN qui ne devait pas s'étendre d’un pouce après la décomposition de l’URSS, nous avons vu ce qu’ils en ont fait : ils l’ont oubliée. Sans parler de leurs alliés et vassaux qu’ils abandonnent dans les moments les plus dangereux. Vladimir Poutine a choisi soigneusement ses mots lorsqu’il a qualifié l’Amérique d’« empire du mensonge », la Russie ayant été dupée à plusieurs reprises par les États-Unis. La raison en est que les Russes prennent très au sérieux le droit international, car ils sont issus de la terre, ils ont une culture de l’étatisme continental. Alors que Les États-Unis, étant héritiers de l’île Angleterre et étant une grande partie dans la grande île Amérique du Nord, sont portés par les flots du relativisme. Ils ont un rapport singulier à la vérité. C’est en substance ce que disait l’écrivain, officier et explorateur anglais Walter Raleigh (1552-1618) qui a vécu l’époque de la transformation de l’Angleterre en empire des mers : « Qui domine la mer domine le commerce mondial ; qui domine le commerce mondial possède tous les trésors du monde, et le monde tout court. » « La guerre sur mer, par contre, repose sur l’idée qu’il faut atteindre le commerce et l’économie de l’adversaire. Dès lors, l’ennemi, ce n’est plus seulement l’adversaire en armes, mais tout ressortissant de la nation adverse et même, finalement, tout individu ou État neutre qui commerce avec l’ennemi ou entretient des relations économiques avec lui. La guerre terrestre tend à l’affrontement décisif en rase campagne. La guerre marine n’exclut pas le combat naval, mais ses méthodes privilégiées sont le pilonnage et le blocus des côtes ennemies et la captures de navires de commerce ennemis et neutres selon le droit de prise. Par essence, ces moyens privilégiés de la guerre sur mer sont dirigés aussi bien contre les combattants que contre les non-combattants. Un blocus, par exemple, frappe sans distinction toute la population du territoire visé : militaires, civils, hommes, femmes, enfants, vieillards. » Ce texte, écrit en 1942, et qui présente les pratiques guerrières des puissances maritimes, est un portrait-robot des États-Unis. Nous l’avons vu avec les embargos frappant les peuples cubain, irakien, iranien et bien d’autres pays. L’Amérique et ses alliés qui ont adopté les pratiques thalassocratiques, y compris la France (la France de Mitterrand a participé à la guerre du Golfe et celle de Sarkozy à la guerre de Libye), ont écrasé les populations et les infrastructures civiles sous les bombes en Irak, en Libye, en Serbie... Alors que la Russie en Ukraine fait la distinction entre les civils et les militaires et se garde de raser les villes avec des tapis de bombes comme le font les anglo-américains. Les puissances anglo-américaines, judéo-protestantes et maritimes, l’Angleterre et les États-Unis, sont les vecteurs de la globalisation économique, du consumérisme individualiste, de la société liquide sans frontière ni attache, du capitalisme libéral financier sauvage étendu par le système de libre-échange... Ils ont imposé tout cela au monde. De tout cela, le judéo-protestantisme a été le moteur. Et la Russie, dont pourtant l’anthropologie, la religion et la structure politique sont continentales, a été aussi frappée dans la décennie 1990 par ce libéralisme judéo-protestant qui promeut aujourd’hui le LGBTisme. Mais depuis l’arrivée de Poutine au pouvoir, et donc du retour de l’étatisme continental, la Russie se tient à l’écart du système de libre-échange anglo-américain. La Russie n’a pas mis son peuple au service des multinationales occidentales, comme l’a fait la Chine. La religion judéo-protestante et le messianisme des Pères pèlerins, qui se considéraient comme un peuple élu, entrent en confrontation directe avec la culture chrétienne égalitaire russe. Les dirigeants russes, à commencer par Vladimir Poutine, critiquent régulièrement cet exceptionnalisme américain (lié au sionisme d'où l'américano-sionisme) ; cette idée selon laquelle le peuple américain, en fait ses élites, est l’élu parmi les nations et dont la destinée manifeste est de nous imposer à tous son modèle, fût-ce par le bombardement atomique comme au Japon. (Cette pseudo destinée manifeste permet aux USA d'être manichéen dont travers le pouvoir d'être policier et juge, c'est a dire en pouvant déclarer un gouvernement et sa nation comme un ennemi a détruire. Ils sont même aller jusqu'à qualifier Saddam Hussein d'antéchrist, ce qui en dit long sur leur vision de la politique.) Ainsi cet impérialisme américano-sioniste, inégalitaire et envahissant ne pouvait finalement qu’entrer dans une guerre violente avec la puissance continentale orthodoxe, qui, si elle ne joue pas son rôle de limitateur, condamnera le monde à subir une tyrannie anglo-américaine judéo-protestante plus infernale que jamais. » (Extraits de l'article de Youssef Hindi « Russie et Occident : un choc pluridimensionnel » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Russie-et-Occident-un-choc-pluridimensionnel-69828.html#nb13) « Le 24 février 2022, les troupes russes envahissent l’Ukraine. Une opération spéciale qui correspond, en réalité, à une réactivation du rapport de force entre la puissance occidentale – regroupée sous la bannière de l’OTAN étasunienne – et la puissance eurasiatique historique russe. Cette opposition n’est pas nouvelle. Alexis de Tocqueville avait bien saisi dès 1835 la destinée de ces deux grands pays : « Leur point de départ est différent, leurs voies sont diverses ; néanmoins, chacun d’eux semble appelé par un dessein secret de la Providence à tenir un jour dans ses mains les destinées de la moitié du monde ». Tocqueville avait surtout compris la nature de leur opposition : « Pour atteindre son but (l’Américain) s’en repose sur l’intérêt personnel, et laisse agir sans les diriger la force et la raison des individus. – Le Russe concentre en quelque sorte dans un homme toute la puissance de la société, – l’un a pour principal moyen d’action la liberté, l’autre la servitude. » L’histoire du 20e siècle nous a montré ce que des confrontations à l’échelle planétaire peuvent produire. Dans le cadre d’une mondialisation des échanges et d’un ordre international à construire, des antagonismes anthropologiques fondamentaux se cristallisent et se font face. Aujourd’hui, les dérives de l’individualisme occidental butent sur le rejet de ses propositions de civilisation globale par une bonne partie de la planète qui n’a plus comme horizon ultime les turpitudes de l’Occident. Emmanuel Todd a pu établir quatre grands rapports sociaux structurant les relations parents-enfants et les relations enfants-enfants guidées par les parents. Les différents degrés de liberté, d’autorité, d’égalité et d’inégalité entre les membres de la famille constituent des systèmes sociaux familiaux qui inculquent aux nouveaux-nés leurs premières expériences sociales. L’hypothèse familiale envisage l’influence structurante des relations sociales familiales dans la construction des rapports sociaux des enfants. Il s’avère que le système familial communautaire russe développe des valeurs sociales antagonistes au système familial nucléaire absolu anglo-saxon. La famille communautaire russe entretient un rapport d’autorité parents-enfants et un rapport d’égalité enfants-enfants. Au sein de la famille nucléaire absolue anglo-saxonne, l’éducation familiale dresse pour ainsi dire les individus à leur émancipation individuelle rapide et une indifférence à l’égalité. L’anthropologue britannique Alan Macfarlane, en étudiant les relations familiales anglaises dans le passé en remontant jusqu’au 13e siècle, souligne l’indépendance précoce des enfants À l’échelle de la planète, la famille nucléaire anglo-saxonne et française est minoritaire alors que la famille communautaire de type russe est majoritaire, fortement présente en Chine, en Inde et dans le monde arabo-musulman. Au fait anthropologique de l’individualisme occidental vient s’ajouter un individualisme procédural qui concrétise progressivement dans le droit, la défense puis la priorité des libertés individuelles. Une nation qui ne demande à son gouvernement que le maintien de l’ordre principalement pour sa jouissance est déjà esclave au fond du cœur ; elle est esclave de son bien-être, et l’homme qui doit l’enchaîner peut paraître. D’une classe sociale bourgeoise très active, mais minoritaire au 19e siècle, l’Occident produit depuis 1945, une véritable bourgeoisie de masse qui, dans chacun de ses pays, occupe les places sociales les plus influentes et remporte par leur nombre les batailles électorales. Cette conjugaison d’individualismes portée aujourd’hui par un si grand nombre de personnes est inédite dans l’histoire Une société qui distribue les places selon son mérite, crée les conditions d’une légitimation des réussites individuelles à l’école puis dans la vie économique et sociale. Dans le même temps, elle attribue à la seule responsabilité individuelle les échecs. Les « gagnants » du système méritocratique « méritent » leur position du fait de leurs efforts, de leurs talents et des sacrifices consentis pendant leur scolarité puis pour leur carrière professionnelle. Ils sont convaincus de devoir leur réussite qu’à eux-mêmes. En décrivant ce manque évident d’humilité, Michael Sandel nous parle d’un véritable hubris méritocratique. Le monde occidental est plongé dans un individualisme augmenté, hors limite, créant des bulles d’illusions et conduisant à la démesure, à la « décivilisation ». Le monde nous regarde, se détourne, et une bonne partie de la planète nous rejette, c’est la défaite de l’individualisme occidental. Ils ne se reconnaissent pas dans l’individu matérialiste, imbus de lui-même, qui décide de ses propres fins sans tenir compte du bien commun de la communauté à laquelle il appartient, sans tenir compte du vivant autour de lui. Cet individualisme hors limite court à notre perte, car l’Occident est mis en minorité. La guerre russo-ukrainienne est l’occasion d’un grand remodelage géopolitique ou l’on voit la contestation de l’ordre international s’organiser et dont les BRICS sont la tête de pont. La dérive individualiste occidentale crée également de grands troubles au sein même de ses pays. Les révoltes populaires et la perte de repères des populations immigrées occidentales se font entendre à juste titre, validant par ailleurs la prophétie dystopique de Michael Young. Le monde est trop vaste pour concevoir l’unité anthropologique de l’espèce humaine. La planète a besoin de multipolarité, de limites, de respect, de démondialisation. Après deux guerres mondiales, une guerre froide et une nouvelle entrée dans un conflit potentiellement mondial, il est grand temps d’accepter la diversité anthropologique du monde. Face à cette réalité que les Occidentaux ne veulent pas voir, un sérieux examen de conscience doit être entrepris pour comprendre et remédier à notre hubris individualiste, sans tarder. » (Extraits de l'article « La défaite de l’individualisme occidental » à l'adresse https://strategika.fr/2023/09/25/la-defaite-de-lindividualisme-occidental/) « Pour nous les russes, il n'y a pas de peuple inamicaux ni en Occident ni en Orient. Comme la grande majorité des gens sur cette planète, nous voulons voir l'avenir paisible, libre et stable. Nous considérons que toute idéologie de suprématie par sa nature est répugnant, criminelle et mortifère. Mais les élites occidentales globalistes pensent toujours à leur caractère exceptionnel. Ils sèment la discorde entre les peuples et le nations. Ils provoquent des conflits, des coûts et le nationalisme agressif (dont celui néo-nazi). Ils nient les valeurs traditionnelles familiales qui fondent un humain. Ils font tout pour continuer à dicter aux peuples leur volontés, leurs règles, leurs droits. Mais en fait c'est un système d'oppression et de violence. Ils ont oublié ce qu'ont fait les nazis et qui a héroïquement écrasé ce mal global au prix de dizaines de millions de morts. Ils vont à l'encontre du droit et donc de la sécurité internationaux établis après la deuxième guerre mondiale. Ils veulent détruire les centres souverains du développement. Ils se croient tout permis et cela mène assurément toujours à une tragédie. Et c'est ça la raison de la catastrophe du peuple ukrainien qui sont devenus otages du coup d'état. C'est un régime criminel à Kiev dont les maîtres corrompus sont en occident. » (Vladimir Poutine) « Or la Russie n'est pas encore le Katechon géopolitique complet( comme le sera le retour du califat bien-guidé), car elle a adhéré, certes temporairement, à la politique et au discours covidistes occidentaux, et a accepté la théorie du réchauffement climatique. Le transhumanisme est pour l’instant autorisé en Russie où l’on l’influence de la Silicon Valley a produit ses effets. L’augmentation du corps humain est déjà mise en pratique en Russie. Toutefois, ce développement du transhumanisme inquiète Vladimir Poutine qui s’interroge : « La révolution technologique, les percées spectaculaires dans les domaines de l’intelligence artificielle, de l’électronique, des communications, de la génétique, de la bio-ingénierie et de la médecine offrent d’immenses possibilités, mais elles soulèvent également des questions philosophiques, morales et spirituelles, que seuls les auteurs de science-fiction ont posées récemment. Que se passera-t-il lorsque la technologie dépassera la capacité de réflexion de l’homme ? Où se situe la limite de l’ingérence dans l’organisme humain après laquelle l’homme cesse d’être lui-même et se transforme en une autre essence ? Quelles sont les limites éthiques d’un monde dans lequel les possibilités de la science et de la technologie sont devenues pratiquement illimitées, et qu’est-ce que cela signifiera pour chacun d’entre nous, pour nos descendants, même nos descendants immédiats, nos enfants et petits-enfants ? » L'impiété du transhumanisme et de la modification de la nature déjà en cours sont d'ailleurs dénoncés dans ce passage du Coran et doit donc être arrêtée urgemment sous peine de châtiment massif : « Dieu l’a maudit (Satan), car il a dit : ‘‘Puissé-je prélever sur Tes adorateurs une part allouée, les égarer, leur donner de faux espoirs, leur commander et ils échancreront les oreilles du troupeau ; oui, leur ordonner, et ils (en particulier Gog et Magog) modifieront (falayughayyirunna) la création de Dieu ! »
|