R) Suite 18
Ainsi il est de notoriété publique que la capacité des États-Unis à poursuivre leur activité dépend essentiellement de leur capacité à importer des produits en échange de dollars (qu’ils peuvent donc simplement imprimer selon leurs besoins), possiblement ainsi jusqu'à détruire l'économie de certains pays. Les matières premières comme le pétrole sont évaluées en dollars. Les pays qui empruntent en dollars peuvent voir leurs remboursements s’envoler si la valeur de la monnaie américaine augmente. Les pays ayant un compte excédent utilisent leurs revenus pour acheter des bons du Trésor américain, permettant ainsi aux États-Unis de pouvoir arranger d’énormes déficits commerciaux et budgétaires. De plus les États-Unis et leurs alliés occidentaux contrôlent le Fonds monétaire international et la Banque mondiale depuis leur création en 1944, le directeur général du FMI a toujours été un Européen et le président de la Banque mondiale, un Américain. Grâce à leurs sièges permanents au Conseil de sécurité de l’ONU, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France peuvent opposer leur veto à toute initiative qui ne leur plaît pas. À eux deux, les États-Unis et l’UE peuvent empêcher les principaux pays en développement d’exercer une réelle influence au sein de l’Organisation mondiale du commerce. La raison pour laquelle ces dollars sans valeur sont toujours honorés repose sur le statut du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale liée à l'empire militaire US et ses 800 bases à travers 177 pays dans le monde. Or ce statut se réduit heureusement rapidement de nos jours même si il est toujours important, car cela fait trop longtemps que par le dollar qui est du papier et donc un tigre de papier, les Etats-Unis vivent à crédit très au dessus de leurs moyens réels sur les autres pays jusqu'à acheter une grande partie du monde, ce qui empêchait ces derniers de se développer jusqu'à la dédollarisation actuelle qui amène donc de grands changements économiques mondiaux, surtout qu'ils vivent aussi de l'usure de leur banques et que le dollar imprimé à volonté peut évidemment corrompre de nombreuses personnes... C'est similaire à l'occident qui a d’abord pillé ses colonies, puis en a fait de même ailleurs, mais avec des méthodes économiques plus sophistiquées. Et le statut du dollar en tant que monnaie de réserve a donc en plus beaucoup à voir avec le système des pétrodollars et le fait que les pays importateurs de pétrole du monde entier (à part actuellement la Russie, la Chine, l'Iran et le Venezuela) doivent obtenir ou emprunter exclusivement des dollars afin d’acheter du pétrole, tandis que les pays exportateurs de pétrole doivent exclusivement accepter le dollar comme paiement, même si cela se fait au détriment de leur économie. C'est pourquoi si le pétrodollar disparaît, le niveau de vie de l’Américain moyen sera divisé par dix. « Si le reste du monde se débarrasse de ses dollars devenus inutiles, comment financer les déficits et le niveau de vie des Américains ? Hyperinflation et banqueroute du pays seront irrémédiablement au programme. Dés lors que signifie « America’s first » pour un politique américain un tant soit peu lucide ? La préservation coûte que coûte du statut du dollar dans les échanges internationaux : les 95 milliards votés ce samedi par la Chambre des représentants en sont l’application concrète. (Or cela signifie d'abord que les Etats-Unis volent leurs propres citoyens pour financer le vol d’Israël les terres palestiniennes.) Taïwan, Israël et l’Ukraine sont les foyers d’insurrection d’un « Sud global » emmené par la Chine, la Russie et l’Iran, décidé à mettre fin à la prédominance du dollar, mais aussi au pervers droit anglo-saxon en faisant donc passer le droit authentique et donc le bien au Sud. On peut commenter sans fin la trahison d’un Mike Johnson et y voir un nouvel épisode théâtral et caricatural d’un politique qui brade ses idéaux pour de basses considérations. Cependant, cet épisode semble plus probablement confirmer la fin de l’innocence et du romantisme d’un mouvement trumpiste qui doit admettre la glaciale réalité que traverse son pays(, mais s'approche de la troisième guerre mondiale possiblement plus que le démocrate Biden actuellement au pouvoir, surtout que cela sera exacerbé par les sionistes qui en cas d'effondrement des USA ne pourront réaliser leur projet. Mais Trump ne veut aussi possiblement pas se mettre à dos le complexe militaro-industriel qui est en plus un lobby puissant, mais en revanche il veut très certainement que l'armée américaine puisse logiquement reconstituer ses stocks. Or s'il est réélu président US, Trump promet toujours de ramener la paix en Ukraine et aidera possiblement seulement au petit Israël, surtout que la situation économique des USA pourrait ne pas supporter de défendre militairement le grand Israël au milieu de peuples musulmans antisionistes. Mais son éventuelle victoire pourrait finalement ne pas changer la donne dont pour laisser Israël continuer son annexion plus rapidement et moins médiatiquement, surtout avec la pression des sionistes, du lobby militaro-industriel, du Pentagone et de tout le reste du système US et mondialistes ne voulant pas aussi lâcher l'Ukraine, d'où la victoire nécessaire de la Russie pour que la fin des temps reste régionale c'est à dire principalement au Moyen Orient). » (Ian Purdom) « Aujourd’hui encore, même après avoir vu pendant quatre ans des preuves du contraire, les partisans de Trump croient toujours qu’il va mettre fin aux guerres, assécher le marais et mener le combat contre l’État profond. Ils croient qu’il combattra l’État profond même après avoir emprisonné Assange. Ils croient qu’il mettra fin aux guerres même après avoir intensifié les agressions de style guerre froide contre la Russie, tué des dizaines de milliers de Vénézuéliens avec des sanctions créant la famine, opposé son veto aux tentatives de sauver le Yémen du génocide soutenu par les États-Unis, fomenté une guerre civile en Iran en utilisant des sanctions créant la famine et des opérations de la CIA dans le but déclaré de provoquer un changement de régime, passé à deux doigts de déclencher une guerre à grande échelle contre l’Iran en assassinant le général Qassem Soleimani, occupé les champs pétroliers syriens dans le but d’empêcher la reconstruction de la Syrie, augmenté considérablement le nombre de troupes au Moyen-Orient et ailleurs, augmenté considérablement le nombre de bombes larguées quotidiennement par l’administration précédente, tuant un nombre record de civils. Ses partisans pensent encore qu’il va assécher le marais après avoir rempli son cabinet de monstres néoconservateurs sortant du marais, comme John Bolton et Elliott Abrams. Trump est devenu le personnage central de la politique américaine autour duquel tout tourne, et que l’élection soit remportée par ceux qui le soutiennent ou par ceux qui s’opposent à lui, le statu quo impérial est assuré de rester inchangé. Alors que les Américains sont de plus en plus mécontents de la nature abusive du gouvernement de leur pays, un homme est apparu et a conduit les Démocrates et les Républicains à croire que la meilleure façon de s’en prendre à lui est de prendre une position très émotionnelle, pour lui ou contre lui (même au point de ne pas trouver la tentative d'assassinat sur Trump inacceptable). Alors qu’en réalité, qu’il gagne ou qu’il perde n’a aucune importance pour ceux qui ont le pouvoir réel. Trump aspire tout l’oxygène de la salle pour empêcher un vrai discours sur des choses réelles. Sous Biden au moins, nous avons vu une réelle opposition à des choses réelles comme les atrocités soutenues par les États-Unis à Gaza, mais sous Trump, ce furent quatre années où les deux factions politiques traditionnelles hurlèrent à propos de bêtises inventées avec l’illusion qu’elles combattaient le pouvoir. Et c’est tout ce que la politique électorale traditionnelle a toujours été dans l’empire américain : une fausse révolution, un leurre mis en scène pour le public, tous les deux ou trois ans, pour qu’il n’y en ait pas de vraie. Une cérémonie symbolique où le public fait semblant de jeter le statu quo abusif à la mer pour avoir l’impression que la bataille contre ses oppresseurs a été gagnée. Et puis leurs oppresseurs continuent de les opprimer. Tous les deux ou trois ans, le public a la possibilité de choisir entre deux laquais fiables de l’empire oligarchique, et tous les maux de cet empire sont alors imputés au vainqueur. Le public dirige alors sa colère contre le laquais plutôt que contre la structure de pouvoir réelle qui l’opprime, après quoi il organise une autre élection pour se débarrasser du scélérat une fois pour toutes. Ils s’embrassent, pleurent, célèbrent, et la machine d’oppression continue ainsi sans interruption. Ce petit groupe est la classe ploutocratique dont la machine de propagande et de corruption légalisée a une immense influence sur la politique américaine, ainsi que sur la machine de guerre impériale et les groupes d’intérêts spéciaux avec lesquels la classe ploutocratique est alliée. Il est nécessaire de former des coalitions de soutien au sein de ce groupe de pouvoir si l’on veut devenir président dans la démocratie gérée que sont les États-Unis, et aucune partie de ce groupe de pouvoir ne soutiendra un président qui ne fera pas avancer de manière fiable les intérêts de l’empire oligarchique. C’est pour cette raison que même les politiciens qui se présentent sur des plateformes relativement progressistes font eux-mêmes partie de ce leurre à révolutionnaire, à moins qu’ils n’exigent un démantèlement complet de l’oligarchie et de l’empire. Les politiciens qui se présentent aujourd’hui comme progressistes aux États-Unis n’offrent qu’une légère opposition à certains aspects de l’empire et de l’oligarchie, soutenant simplement un empire oligarchique qui fournit aux Américains des soins de santé. Puisque maintenir les Américains pauvres, occupés et soumis à la propagande est une dynamique essentielle au cœur d’un empire oligarchique mondial, cette position est absurde ; les oligarques ne veulent pas que les Américains ordinaires aient de l’argent à dépenser en dons de campagne et du temps libre pour rechercher ce qui se passe réellement dans leur monde, car ils pourraient alors se mêler des rouages de l’empire. Une structure de pouvoir construite sur l’injustice économique ne permettra jamais la justice économique. La porte d’un changement significatif en Amérique via la politique électorale a été fermée, verrouillée, condamnée, soudée et barricadée avec une tonne d’acier massif. La seule chose qui puisse mettre fin à l’oppression et à l’exploitation est la fin de l’empire oligarchique lui-même, et la seule chose qui puisse mettre fin à l’empire oligarchique est l’action directe du peuple américain : un activisme de masse, des grèves nationales et une désobéissance civile comme la nation n’en a jamais vu auparavant, en nombre suffisant pour faire tomber les institutions ploutocratiques qui maintiennent le statu quo. Le problème est que cela n’arrivera jamais tant que les Américains seront convaincus avec succès par la propagande de se contenter de leurs fausses et illusoires révolutions. Il y a zéro pour cent de chance que cette politique électorale mène à la fin de l’empire, mais un effort concerté de sensibilisation de la part de ceux qui comprennent ce qui se passe pourrait bien y parvenir. Tout changement positif dans le comportement humain est toujours précédé d’une prise de conscience accrue, qu’il s’agisse de la prise de conscience des conséquences de sa dépendance conduisant à la sobriété ou de la prise de conscience accrue des injustices du racisme conduisant à des lois de justice raciale. Faire prendre conscience aux gens que les médias de masse nous mentent sur la réalité, les sensibiliser aux horreurs de la guerre, aux dynamiques sous-jacentes de l’injustice économique qui écrase les Américains, peut conduire à une réaction en chaîne qui voit la collectivité utiliser le pouvoir de son nombre pour se débarrasser des chaînes de l’oppression aussi facilement que l’on enlève un lourd manteau par une chaude journée. Ce qu’il faut, c’est que les gens s’éveillent à la vérité. Un empire entier est construit sur des paupières closes. (Et on va d'ailleurs voir si Trump élu, il y a un grand bon changement pour le peuple ou plus aucun espoir pour les USA à part leur dislocation puisque il sera difficile de faire plus virilement révolutionnaire que Trump.) » (Caitlin Johnstone) Or comme tout empire ayant toujours plus agrandi son influence militaire, ce plan d'aide peut accélérer l'effondrement des USA, surtout s'il ne s'oriente donc pas bientôt vers l’isolationnisme plutôt que l'interventionnisme. Mais selon Ivan Mikhailovitch Frakov : « Il est de bon ton en Russie dans certains milieux d’imaginer que la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis sera une bonne affaire pour la Russie. Une dangereuse illusion, tout simplement. D’abord la victoire de Trump est tout sauf certaine, il est même prévisible qu’il sera battu par la probable candidate Harris ou par tout autre candidat désigné par les “démocrates”. De la même manière qu’il a été battu par Biden. Trucage ou pas, la question n’est pas là, tout simplement les “démocrates” ne peuvent pas perdre. Mais même si Trump était élu… Souvenons-nous déjà que c’est durant son premier mandat de 2017 à 2021 que les ukrainiens ont intensifié les massacres de civils au Donbass, ce qui a amené l’intervention de la Russie quelques mois plus tard. Il aurait été facile à Trump de faire cesser tout ça simplement en coupant l’approvisionnement en armes et en argent à l’Ukraine. Mais la réalité est que le but des Etats-Unis depuis la chute de l’Union Soviétique est de faire main basse sur la Russie et ses richesses. Tous les présidents ont la même feuille de route, seuls quelques détails dans la manière d’atteindre leur but ne les séparent. Et pour ceci l’Ukraine est la plateforme idéale. » Cependant selon la rédac ER « De l’autre côté de l’Atlantique, il n’y a pas une droite face à une gauche, mais deux droites : l’une populaire, antiwoke et isolationniste, l’autre élitaire, woke et interventionniste, les deux étant plus ou moins sionistes selon les circonstances. Objectivement, malgré ses défauts, Trump est plus proche du diptyque « gauche du travail et droite des valeurs » que tous les autres candidats, là-bas et ici. » Dans un discours enflammé, la députée trumpiste Marjorie Taylor Greene a dénoncé les souffrances quotidiennes des Américains, qui peinent à joindre les deux bouts et à payer leur alimentation ou leur essence. Selon elle, les États-Unis devraient exiger la paix plutôt que de financer les guerres sanglantes du complexe militaro-industriel, qui se nourrissent des cadavres en Ukraine. Surtout que parallèlement à ces fonds de 95 milliards, le Congrès a pris la décision radicale de la possibilité de la confiscation des actifs russes pour qu’ils servent à payer la guerre en Ukraine, alors que c’est du vol flagrant comme l'a déclaré le président de la Douma Viacheslav Volodine, et qui selon les autorités russes ouvre la voie à une réponse symétrique. Ceci devrait faire réfléchir les pays européens. Et, étrangement, ils réfléchissent encore lorsqu’il s’agit d’argent. Environ 280 milliards d’actifs russes sont à ce jour gelés à l’étranger. Sur cette somme, seulement 5 à 6 milliards se trouvent aux États-Unis. L’impact y sera donc limité. En revanche, 210 milliards sont gelés en Europe. Si les pays européens suivent la voie américaine, et c’est bien ce qui est recherché par les États-Unis, certes les Américains verront leurs investissements couverts, mais les pays européens, eux, s’écrouleront. Les conséquences financières, et politiques, seront colossales. C’est bien la raison pour laquelle, pour l’instant, ils hésitent encore à faire le grand saut, malgré des pressions américaines de plus en plus fortes. Dans la logique américaine, les pays européens prenant le gros de la réaction russe, libèreraient les États-Unis d’une grande partie des représailles et les actifs russes spoliés formellement par les Européens financeront in fine l’industrie militaire américaine, c’est-à-dire l’économie américaine. Les Européens seront encore une fois les dindons de la farce. « Les BRICS pourraient tenter de créer une nouvelle monnaie de réserve constituée d’un panier pondéré de leurs monnaies. (Or) Cela n’est pas nécessaire et pourrait entraîner des tensions entre les membres des BRICS en raison de différends sur les parts de chaque monnaie dans le panier. Une monnaie de réserve n’est plus nécessaire. Une monnaie de réserve était nécessaire à la fin de la Seconde Guerre mondiale, car les autres économies industrialisées étaient détruites. Comme les États-Unis étaient la seule économie intacte, le rôle est revenu au dollar américain. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Les banques centrales peuvent conserver leurs réserves sous la forme des devises de leurs partenaires commerciaux. Ce que cela signifie pour Washington, c’est que les États-Unis vont commencer à avoir des problèmes de financement pour leurs importants déficits budgétaires et commerciaux. Tant que le dollar était la monnaie mondiale, les banques centrales étrangères gardaient leurs réserves dans la dette du Trésor américain. À mesure que les déficits budgétaires et commerciaux des États-Unis augmentaient, les réserves du système bancaire mondial augmentaient également. La situation est en train de changer. Si une douzaine de pays représentant environ la moitié de la population mondiale et 40 à 45 % du PIB mondial cessent d’utiliser le dollar, le marché des banques centrales étrangères pour la dette américaine se contracte considérablement. Ayant délocalisé leur production, les États-Unis sont désormais dépendants des importations. La diminution de l’utilisation du dollar signifie une diminution de l’offre de clients pour la dette américaine, ce qui signifie une pression sur la valeur d’échange du dollar et la perspective d’une hausse de l’inflation due à la hausse des prix des importations. » (Paul Craig Roberts, économiste américain) Des pays exportateurs de pétrole ont tenté à trois reprises de cesser de vendre leur pétrole contre des dollars : l’Irak, la Libye et dernièrement la Russie. Nous savons ce qui est arrivé à l’Irak et à la Libye : ils ont été bombardés jusqu’à annihilation. Mais une telle option n’est pas possible à l’égard de la Russie ayant l'arme nucléaire, le missile hypersonique, la meilleure armée du monde, une autonomie économique, des ressources énergétiques importantes et une alliance avec la Chine, même lorsqu’en plus elle annonce s'éloigner du dollar comme monnaie de réserve et dans le commerce international pour s'orienter avec ses partenaires vers un système de relations internationales hors de la zone ou du système dollar. À en juger par la façon dont une réunion de Genève a résonné dans toute l’Europe, les effets de ce changement se font fait beaucoup sentir. La russophobie coûtait déjà cher : ceux qui s’y adonnent ne parviennent pas à obtenir la remise pour client fidèle. Les Européens de l’Est qui pensaient avoir un brillant avenir en jouant les chiens de poche russophobes de l’Oncle Sam ont tiré cette leçon d’eux-mêmes de la manière la plus dure et la plus douloureuse qui soit. Dans ce sens, la partie de l'Ukraine russophobe n’a même pas été un sujet de discussion lors du sommet de Genève. Conformément à l’adage d’Oscar Wilde selon lequel « il n’y a qu’une seule chose dans la vie qui soit pire que de parler d’elle, c’est de ne pas en parler ». De plus avec Nord Stream 2 ayant été terminé, il n'est donc pas étonnant que les USA aient organisé la guerre en Ukraine et la destruction des ces gazoducs synonyme de gaz peu cher. Cependant il est très étonnant que ce plus gros problème économique car énergétique pour l'Europe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale ait été déplateformée des télévisons et radios mainstream. Par la création des tensions jusqu'à la guerre dans l'est de l'Ukraine et à Gaza, l'empire américano-sioniste cherchait à mettre toujours plus de sanctions contre la Russie afin d'affaiblir son économie comme par la guerre en Syrie et en Azerbaïdjan, mais aussi à préserver des présidents comme Macron, continuer la guerre hybride mondiale de l'occident atlantiste anglo-saxon et favoriser principalement les Etats-Unis. D'ailleurs concernant le laboratoire expérimental qu'est Gaza, on peut désormais parler de guerre de 5e génération, puisque des drônes-sniper avec reconnaissance faciale y ont été déployé de même que des drones-suicide associé à l'IA, ce qui signifie que des machines peuvent désormais tuer toute forme de vie dans un territoire donné (possiblement jusqu'au Grand Israël), et que l'humanité est encore proche d'un grand danger. Il n’est donc pas utopique d’imaginer un avenir dans lequel des légions de drones, dirigées par un seul opérateur, s’affrontent sur le champ de bataille. Des drones de reconnaissance, d’attaque, kamikaze et de soutien utilisés simultanément pour accomplir différentes tâches, comme c’est déjà le cas sur les champs de bataille en Ukraine. La réduction du nombre de soldats en première ligne permettrait de diminuer considérablement le risque de pertes humaines. En outre, la vitesse et la précision des drones assureraient une plus grande efficacité des attaques et un risque moindre de causer des dommages collatéraux. Toutefois, ce scénario soulève également d’importantes questions d’éthique et de responsabilité. La déshumanisation de la guerre pourrait conduire à un abaissement du seuil de conflit, et donc à un recours accru à la force. En outre, la réduction, voire l’absence, de contrôle humain direct sur les drones pourrait rendre difficile l’attribution de la responsabilité des éventuels dommages collatéraux. Si, à première vue, l’idée de centaines de drones tournoyant autour du champ de bataille, dirigés par un seul legatus legionis, peut sembler relever de la science-fiction, le développement rapide de la technologie en fait une réalité de plus en plus imminente. Or les armes EMP pourrait régler facilement le problème. Mais le premier porte-drone qui est chinois prouve actuellement leurs avantages stratégiques, car les drones ne sont pas chers, sont équipés d’explosifs performants, et sont une arme redoutable par leur capacité de saturation donc de faible coût, et ainsi un outil idéal d’attrition (d’usure) des armées occidentales très technologiques. La guerre hybride signifie qu'elle est totale et sans limite comme contre la Russie, la Palestine et toute nation insoumise. C'est à dire qu'elle se bat à tous les niveaux, dont manipulant des gouvernements, orientant des armées publiques, utilisant des armées privées de mercenaires par procuration, militarisant des civils comme à travers des milices ou des médias privés, se servant de sanctions économiques, et bloquant de nombreux journalistes indépendants ou médias alternatifs. Dans ce sens, le sacrifice de l'Ukraine a poussé les européens à rejeter fortement la Russie de l'Europe au profit des Etats-unis et de l'OTAN revalorisés. Surtout que la mise en service du gazoduc russe Nord Stream 2 en lien avec l'Europe n'ayant pu être établi suite à son sabotage et que l'augmentation du prix de l'énergie qui en a suivi rendant compétitif le gaz de schiste et gaz liquéfié américains, permet au camp americano-wahhabo-sioniste d'espérer vendre son gaz à l'Europe. D'autant plus que cette ressource pourrait devenir la source d'énergie principale du 21e siècle dont possiblement selon un hadith, si ce n'est pas le nucléaire modernisé et plus propre qui le devient. (En sachant qu'il existe une guerre similaire de l'impérialisme US contre le nucléaire civil français en Europe, dont car fournissant des réacteurs nucléaires à divers pays d'Europe de l'Est.) Or l'ouverture du gazoduc Nord Stream 2 baisserait instantanément le prix du gaz, calmerait les tensions et tendrait voire parviendrait à la fin de la guerre. Voici un extrait édifiant d’un article du site mondialisation.ca datant de novembre 2012 en partie sur la guerre en Syrie, article qui prend une nouvelle couleur lorsqu’on le met en perspective avec le conflit russo-européen de 2022 : « De plus en plus tout porte à croire que le gaz est le vrai fond du problème de la guerre contre la Syrie. C’est à partir de fuites émanant d’un géant pétrolier occidental que le quotidien Al-Akhbar a obtenu des informations fiables sur les détails d’un projet qatari soutenu par les États-Unis, et concernant la construction d’un nouveau gazoduc qui transporterait le gaz du Qatar vers l’Europe via la région syrienne de Homs. Cette ville et sa région sont donc le « nœud » ou le « cœur géographique » de ce projet qui, du même coup, offrirait des avantages stratégiques à la Turquie et à Israël dans l’équation du commerce gazier mondial. Ce nouveau gazoduc devrait emprunter une « voie terrestre » qui démarre du Qatar, traverse le territoire saoudien, puis le territoire jordanien en évitant ainsi le territoire irakien, pour arriver en territoire syrien et plus précisément à Homs (voire aussi en Israël afin d'y faire partir une portion sous-marine vers l'Europe pour éviter que trop de nations prennent des droits de passage). À partir de Homs le gazoduc devrait bifurquer dans trois directions : Lattaquié sur la côte syrienne, Tripoli au nord du Liban (ou en Israël donc), Turquie. Le but principal de ce projet est d’acheminer le gaz qatari et israélien vers le continent européen pour le distribuer à toute l’Europe, avec un triple objectif. Le premier : casser le monopole gazier russe en Europe. Le second : libérer la Turquie de sa dépendance du gaz iranien. Le troisième : donner à Israël une chance d’exporter son gaz vers l’Europe par voie terrestre et au moindre coût. ... Toujours selon les mêmes sources, la Russie aurait informé le Liban qu’elle ne sera pas d’accord avec ce dernier projet d’exploitation du gaz méditerranéen avant d’obtenir des garanties de l’Occident lui attestant qu’il ne chercherait pas à changer le « régime » en Syrie ; exigence qui ne serait nullement incompatible avec la poursuite des travaux de prospection gazière par des sociétés russes dans le secteur (syrien ou libanais). Ceci, parce que ces sociétés ne doivent pas s’absenter au moment du boom gazier méditerranéen ; sans oublier que l’Iran, l’Irak, et la Syrie ont un projet commun partant de leurs propres territoires. Il consiste tout simplement à ce qu’un gazoduc iranien, traverse l’Irak pour arriver à Homs, avant de bifurquer vers Lattaquié et Tripoli… » Depuis l'intervention spéciale de la Russie en Ukraine, les USA sont même de retour à Raqqa et Israël tire encore plus de missiles vers la Syrie. D'ailleurs le vendredi 27 mai 2022 Sergueï Lavrov a déclaré lors d'une réunion avec des responsables de régions russes : « L'Occident a annoncé une guerre totale contre nous, contre le monde entier russe. ... On peut dire avec certitude que cette situation est avec nous pour longtemps. » Comme il a déjà été vu, la guerre en Ukraine entretenue par l'Occident cherche aussi à enliser la Russie dans une guerre supplémentaire à celle de Syrie dont car étant les grosses premières guerres russes depuis celle en Afghanistan où beaucoup de soldats russes combattent au sol et pour lui mettre encore plus de grandes sanctions, afin de finir par la dominer financièrement dont pour la faire quitter la Syrie au profit des sionistes voulant le grand Israël et dans l'espoir que cette déstabilisation de la Russie y provoque un changement de régime favorable à l'occident voire une dislocation territoriale, surtout que la Russie est le dernier pays à pouvoir empêcher l'empire occidentale américano-wahhabo-sioniste de triompher. D'ailleurs il faut comprendre que la Russie d'après l'URSS et d'avant Poutine correspondait en grande partie à ce que l'Occident politique voulait d'elle, puisqu'elle était exploitée ou plutôt volée par les libéraux. Et sans poutine et avec la destruction du proche Orient, il serait rester la Chine à dominer quoiqu'elle aurait pu vite se soumettre et donc faire aussi voler dont à cause de position d'empire du milieu et de son pacifisme. C'est pourquoi le rôle de l’État Hébreu dans les diverses crises aux frontières de la Russie n'est pas étonnant, en particulier donc en Syrie, en Ukraine et en Azerbaïdjan. Pour l’axe de la Résistance irano-libano-syrano-irakien, la guerre Ukraine/Russie demeure une reproduction à la lettre près du complot anti-Syrie de 2011 qui oppose en réalité les USA-OTAN à la Russie, c'est à dire le mondialisme face au souverainisme, l'impie et oligarchique laïcisme progressiste face au pieux et populaire monothéisme chrétien. Effectivement, cela continue clairement d'avoir en ligne de mire la Russie elle-même, sa cohésion nationale, son économie, son armée, sa sécurité, voire son intégrité territoriale. Résumons nous : les intérêts russes ont commencé à être menacés par les séparatismes tchétchène (BHL a accouru), syrien (BHL a accouru), libyen (BHL a accouru), géorgien, kazakh, ukrainien (BHL a accouru), et azerbaïdjanais dont certains comme ce dernier sont liés à une volonté d'expansion turque. Dans ce sens, la souveraineté de la France considère comme inacceptables que les DOM, la Nouvelle Calédonie, la Corse, la Savoie, la Provence, le Pays Basque, la Bretagne et l'Alsace soient indépendantes, tandis que par son soutien comme celui des USA et de l'UE à l'Ukraine et à l'expansion de l'OTAN vers l'Est, elle menace la souveraineté des républiques Russes ou russophones. En effet tout alliance alliance militaire de nations à la frontière d'une nation est un grand danger pour cette dernière et la stabilité régionale voire planétaire, comme l'a prouvé l'origine de la première guerre mondiale et celle donc en Ukraine. Ce qui n'est pas étonnant car la France républicaine qui a en réalité été principalement soumise aux Anglo-Saxons ne pouvait qu'emboîter leur pas anti-russe. Mais quels idiots sont ces Macron, Biden Scholz et Leyen, surtout que vouloir mettre des missiles nucléaires en Ukraine à quatre minutes de Moscou est synonyme de pistolet sur la tempe de la Russie dont dan une lutte d'influence. D'autant plus que par son affaiblissement géopolitique et une grosse inflation, l’Europe paye aujourd’hui le prix de son alignement sur l’axe américano-sioniste, le prix de sa faiblesse politique, le prix de sa soumission au mondialisme, le prix de ses élites corrompues, et que la France et l'Allemagne sont déjà en économie de guerre alors qu'elles ne l'ont pas déclarée. Le conflit ukrainien a même désormais passé au profit des USA la laisse énergétique à la France, à l'Allemagne et à l'Union Européenne, après leur avoir passés les laisses monétaire, militaire, juridique et technologique : le post impérialisme européen est finalement l'impérialisme américain. Ainsi la cible des sanctions européennes contre la Russie, voulues, demandées voire organisées par les USA, pourrait en plus être le couple franco-allemand dont principalement l’économie allemande. En effet, il n’y a pas de gagnants en UE dans la guerre des sanctions avec la Russie voulue par les États-Unis. Dans l’affaire ukrainienne, la France et l’Allemagne sont en train de tout perdre au profit de l’Empire américano-sioniste, même si les Allemands tentent de poursuivre leurs achats de gaz russe. Le succès de l'économie allemande a été attaqué, car celui-ci était fondé sur une triple dépendance : à l'égard des Etats- Unis qui assumaient les coûts de sa défense, de la Russie qui fournissait à son industrie un gaz bon marché et de la Chine qui était à la fois sous-traitante, consommatrice et investisseuse. A l'image de la guerre Iran/Irak ayant affaibli ces nations avec la satisfaction américaine, l'idée des américains pourrait être de détruire les camps européen et russe, pour ensuite arriver sur les ruines comme lors de la première et la deuxième guerre mondiale, afin de profiter des matières premières et énergétiques, de s'ingérer dans la politique, le financier, l'économique et le militaire, et d'espérer leurs éclatements en pays plus petits au sein d'une organisation mondialiste supranationale, comme depuis la fin de la deuxième guerre mondiale puisque selon l'ONU il y avait 51 états dans le monde en 1945, puis c'est passé à 180 en 1990 et à 195 en 2024, même si actuellement, il n'y a que quatre grands états qui sont à l'origine des événements principaux dans le monde et les autres ne font que les suivre plus ou moins : USA, Russie, Chine et Israël. Surtout que cela permettrait aux Etats-Unis de voir s’éloigner leur terreur géopolitique cardinale : l’alliance germano-russe possiblement tournée vers la Chine, et qu'ils n'auraient plus ensuite qu'à s'occuper de la Chine, à reconstruire l'Europe, à piller les ressources naturelles russes et donc à asseoir définitivement leur hégémonie sur toute la Terre. Ainsi le duo anglo-américain pousse donc bien très probablement l’Europe au suicide, et conjointement à l’affaiblissement des deux blocs russe et européen, dont car sans eux, la Chine ne tiendra pas longtemps seule face la prédation hégémonique ou plutôt totalitaire. Rappelons que, du point de vue américain, ce qui était « épatant » dans la deuxième guerre mondiale, c’est que l’Allemagne et la Russie se massacraient mutuellement. Or pour l'empire américano-sioniste, la guerre en Ukraine est aussi un terrain d’entraînement de l'Otan et de ses armes, tout en étant une étude de celles russes. De toute façon, l’Europe est déjà en faillite économiquement, politiquement, éthiquement et spirituellement. Et avec le prix du gaz augmentant fortement voire avec des pénuries en Allemagne, cela permettrait en plus aux USA de se réindustrialiser, car les grands industriels allemands immigreraient vers eux, sauf s'ils comprenaient que le prix de l'énergie est beaucoup plus intéressant en Russie. Or comme l'Allemagne est le premier fournisseur industriel des machines outils à l'industrie de la Chine, les USA pourraient préférer l'effondrement de l'Allemagne dont à cause de l'augmentation du prix du gaz, afin donc d'affaiblir la Chine. En 2023, il ne s’agit plus de projet de société contre projet de société, de capitalisme contre communisme, mais de la vassalisation économico-énergético-militaire terminale de l’Europe, et de victoire définitive du laïque système néolibéral post moderniste occidental en Eurasie, voire aussi au Moyen Orient. Pour ce qui concerne la France, depuis toujours, l’Amérique essaye de nous faire haïr par le monde entier, car elle ne partage pas : ni les richesses ni l’admiration. La France, qui était autrefois respectée dans le monde, est devenue, sous l’égide du couple Sarkozy-Macron, une pauvre petite Amérique, haïe de l’Afrique, de l’Asie et de ses anciens grands partenaires historiques, la Chine et la Russie. Depuis 1945, en effet, la grande Allemagne est devenue un satellite de l’Empire américain. Et aujourd’hui, 82 ans après l’opération Barbarossa, elle entre à nouveau en guerre – via l’OTAN – contre la Sainte Russie, sous la pression d’une Amérique qui a détruit le cordon ombilical énergétique et essaie de détruire celui spirituel entre les deux grandes nations. Avant Lénine, à la fin du XIXe siècle, le socialisme français radical infuse la société russe, nourrissant les élans révolutionnaires. Depuis Poutine, c’est la Russie qui inspire les Français (patriotes) avec sa vision du monde... gaulliste ! Si les Français et les Russes ont été alliés pendant les deux guerres mondiales, ensuite, les Anglo-Américains ont à nouveau relancé leur jeu séparatiste. En attendant l’Europe se saigne déjà pour l’Amérique. Alors jusqu’où se saignera-t-elle pour des intérêts qui ne sont pas les siens ? Les Européens naïfs ont cru aux discours de « leur » présidente corrompue Ursula von der Leyen et de ses prédécesseurs, qui soutenaient en substance que l’UE était synonyme de paix, de démocratie et de croissance, alors qu'elle a été créé en partie à travers de descendants de nazis et même d'anciens nazis récupérés par l'occident pour leur pseudo importance intellectuelle, comme le premier président de la commission européenne Walters Hallstein était juriste pour la parti nazi d'Hitler et Hans Spiedel l'ancien un Général Allemand dans l’armée nazie pendant la deuxième guerre mondiale est devenu le commandant en chef des forces terrestres de l'Otan pour le « Centre Europe », les juifs doivent bien comprendre cela et donc que beaucoup de leurs élites sont perverses ou ont été infiltrées comme ça l'est aussi en partie pour le christianisme et l'islam. En effet nous Européens sommes aujourd’hui en guerre, en tyrannie et en décroissance. Sous prétexte d’écologie, on nous prépare à une violente décroissance, un futur sinistre où l’on disposera de moins d’énergie, de moins d’eau, de moins de nourriture, de moins de vie en somme. Pour cela, il faut faire comprendre aux masses humaines qu’elles sont responsables de la dégradation de la Terre et du climat. Et pour mieux les préparer à l’acceptation de leur propre disparition, rien de mieux que le chômage endémique (vous ne servez à rien), la dépression (vous êtes perdus), la perte de sens (il n’y a plus de Dieu), et les drogues (on oublie tout). Pour prétendument lutter contre le CO2 et avancer donc vers la décroissance, il a même été demandé à la quatrième région agricole d’Italie d’arrêter de produire. Ainsi ce rabaissement de l'Europe semble pouvoir aussi servir au cas où le mondialisme occidental ne triomphe pas et donc afin qu'elle s'effondre avant les Etats-Unis pour que ces derniers puissent s'adapter à ce nouveau paradigme. Et cette guerre de l’OTAN contre la Russie en Ukraine pourrait en plus être le moyen d'asphyxier économiquement la Chine (qui a d'ailleurs probablement pour cela anticiper le développement de son marché intérieur), c'est à dire en brisant une partie des routes de la soie, et donc en la coupant ou la tenant aussi éloignée de l’Europe comme la Russie. En effet la grande Amérique paraît savoir qu’elle a perdu la guerre contre le monde, surtout qu'acculée devant la montée de la puissance combinée sino-russe, qui est l'association de l’atelier du monde couplé à une importante et moderne puissance militaire et nucléaire qui possède les premières ressources minières et énergétiques du monde, elle n’a toujours plus que le chaos pour survivre même en l’installant encore en Europe via les sanctions contre la Russie. Or cela peut donc être finalement tout l'Occident qui s'effondre à cause de la guerre en Ukraine : Sapir, Todd et même Kissigner le savent : les PIB des pays occidentaux sont remarquables quantitativement, mais sont trompeurs qualitativement. Le secteur des services, qui pèse pour 80 % dans le PIB américain et français, compte peu en période de crise, quand on passe d’une économie de paix à une économie de guerre. La Russie, avec son secteur industriel pur de 25 %, réussit mieux la transition. L’Allemagne a la même proportion industrielle de 25 %, mais elle pèche du côté de l’énergie, dont les Russes ne manquent pas. Par conséquent, la vision occidentale d’une Russie économiquement et donc militairement faible parce qu’elle ne pèserait que 3,3 % dans le PIB mondial est une erreur : en vérité, la Russie pèse plus du double, et plus encore en cas de guerre, car elle dispose du combo énergie-production en plus de son lien à la Chine. Ainsi l’objectif géostratégique central des États-Unis en Europe pourrait donc être finalement celui-ci : consolider, par un partenariat transatlantique plus authentique après un effondrement de l'Euro, la tête de pont états-unienne sur le continent eurasien, afin qu’une Europe américano-atlantiste puisse devenir un tremplin plus viable pour projeter en Eurasie l’ordre international mondialiste. En effet pour eux l’Eurasie et l’Asie centrale seront atlantiques ou ne le seront pas. Dans ce sens dont au détriment de la stabilité du monde, les mondialistes états-uniens cherchent même à évincer dangereusement la Chine des chaînes logistiques régionales et mondiales. Or cet énorme plan de Washington cherchant à vassaliser définitivement l'Allemagne, la France et la commission européenne de Bruxelles est très risqué, car cela conduirait à l’effondrement de la division du travail établie en Asie du Sud-Est, ce qui exacerberait la hausse des prix mondiaux et pourrait provoquer une crise dans des secteurs économiques entiers des pays développés, y compris les États-Unis. C'est à dire que malgré cela, le mondialisme espère tenir assez pour réussir ce plan. Ainsi l’effondrement des États-Unis, de l'Allemagne, de la France, de l'Union européenne et d'une grande partie du monde sont toutes recherchées par la bande mondialiste de Davos et la plupart des sionistes afin d'espérer passer à un stade supérieur de mondialisation ploutocratique. C'est d'ailleurs pourquoi en 20 ans, les Français ont subi trois chocs pétroliers si l’on peut dire. Le premier, c’est le passage à l’euro, avec une hausse des prix qui ne sera jamais compensée par la hausse des salaires. Le deuxième, c’est la crise financière de 2008. Et le troisième, c’est le pack écologisme-covidisme-ukrainisme, qui autorise toutes les répressions économiques, autrement dit le racket des ménages et des PME. Et on ne parle même pas des dépenses de santé qui augmentent, des mutuelles qui resserrent leurs contrats, et des assureurs qui durcissent par tous les moyens même les plus tordus leurs remboursements. De tous côtés, les ménages et les PME sont attaqués. La vraie guerre est là, et elle ne fait que commencer. Le Maire, Attal, Macron, Dussopt et compagnie mentent car ils n’ont pas le choix : la Banque, leur employeur, les presse de détruire le système social français, pour le remplacer par un système asocial à l’américaine. En effet cette politique de destruction ou de mise au pas de la France, devenue de plus en plus lisible, évidente et explosive, n’est donc pas le fruit du hasard ou d’idiots. C’est un projet, un projet de soumission totale de le France, dont la culture, l’histoire et l’esprit, ne cadrent pas avec les principes amoraux inhumains de l’Empire anglo-saxon, qui sont la prédation, la domination, l’uniformisation. Et au bout du compte, l’extermination. Combien de temps ce mensonge tiendra-t-il ? C’est toute la question, et la seule question politique du moment. Il est loin le discours d’Attali qui promettait en 1996 la paix, le plein-emploi et la croissance à 500 millions d’Européens grâce à l'UE... Or la guerre est proche, l’euro-chômage dépasse celui des années 30 et la décroissance productive est programmée. La Syrie et l’Ukraine sont deux champs de bataille à mettre en perspective générale par rapport aux grandes oppositions géopolitiques du monde, car l’affrontement des volontés y a précédé la bataille d’acier. La guerre peut être conventionnelle ou nucléaire, régionale ou à l’échelle mondiale. L’enjeu, c’est la domination globale des États-Unis sur tous les plans, ce que la Russie comprend en affirmant que l’affrontement en Ukraine peut être le début de la troisième guerre mondiale si son existence est encore plus menacée. Or la guerre en Ukraine peut aussi incarner la crise terminale du pervers nouvel ordre mondial puisque reflétant la cancel culture américaine contre le conservatisme russe chrétien associé au conservatisme chinois. Car l'occident est désormais moins puissant que le reste du monde économiquement. Ce qui pourrait être voulu par l'élite financière apatride messianique sioniste afin de pousser l’hémisphère nord blanc et chrétien (USA, Russie et Europe) à s'autodétruire financièrement, ou économiquement, voire nucléairement. D'ailleurs malgré que le soutien militaire aux nouvelles républiques indépendantes Donetsk et Lougansk aurait été suffisant pour les protéger de l'armée ukrainienne, si la Russie a envahi d'autres grandes régions, c'est probablement parce que cela aurait pu inciter le reste de l'Ukraine à entrer dans l'OTAN tel suite à un signe de faiblesse russe... Or comme de toute manière 150 000 hommes de l'armée Ukrainienne s'étaient réunis devant le Donbass et s'apprêtaient à y intervenir pour faire un nettoyage ethnique, alors que 900 000 citoyens russes y habitaient et que la Russie avait reconnu l'indépendance de ces territoires selon le droit international, cela a obligé le Kremlin à encercler cette armée, surtout que l'Ukraine était proche de créer sa propre bombe atomique probablement sale (voire d'installer des missiles nucléaires dans le Donbass par l'OTAN, c'est à dire à deux minutes de Moscou alors que la Pologne est à dix minutes) et avait un programme biologique militaire financé par les États-Unis. D'autant plus que le territoire de l’ancienne Ukraine, culturellement majoritairement russe, religieusement majoritairement orthodoxe, linguistiquement majoritairement russophone, historiquement majoritairement partie intégrante de la Russie, est un morceau originel de la Russie. Alors que la fédération de Russie se renforce et que l’Occident intolérant se rapproche de son propre effondrement de même que l'Ukraine intolérante, il est d'ailleurs naturel que la Russie commence à rassembler ses brebis égarées et ses fils prodigues dont donc russophiles ukrainiens, surtout que le démembrement de la Russie (division en plus petits états) après celui de l'URSS est recherché par l'occident oligarchique. Surtout que selon le ministre des affaires étrangères Sergueï Lavrov, le régime de Kiev avait délibérément interdit de parler russe dans l’est de l’Ukraine, et s'était donc déjà clairement engagé dans le racisme et l’inimitié avec la Russie. Le reproche fait à la Russie par les occidentaux concernant le non respect du droit international et de la souveraineté des États est donc honteux, surtout que la Russie a suivi le droit international et que l’Ukraine fait partie de sa zone de sécurité, et que par des guerres ou des déstabilisations politiques, l'Occident ne les a très souvent pas respectés ces dernières décennies dont en Yougoslavie, Irak, Libye, Syrie, Afrique et Amérique du Sud. Il faut en plus distinguer ceux qui ont déclenché la guerre en Ukraine de ceux qui l’ont rendue inévitable et comprendre donc que la destruction des installations militaires ukrainiennes et la démilitarisation de toute l'Ukraine était devenue logique, car certains protagonistes allaient y chercher une guerre d'usure et donc coûteuse pour la Russie. Surtout que cette démilitarisation de l'Ukraine correspond aussi probablement au début éncessaire de la démilitarisation de la dangereuse finance internationaliste jusqu'à sa neutralité. En effet contre le progressiste mondialisme satanique ploutocratique, la guerre comme nécessité et comme une chance pour la survie du monde était devenue inévitable. Il est intéressant de voir à ce sujet l'article « La City et Wall Street jouent le sort du monde en Ukraine » à l'adresse https://lemediaen442.fr/la-city-et-wall-street-jouent-le-sort-du-monde-en-ukraine/ , et l'entretien « Russie, OTAN, Ukraine : La guerre à nos portes – Romain Bessonnet dans le Samedi Politique » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=fnXrgGie0AU Mais on peut même parler de libération de l'Ukraine au moins de l'Est puisque tenue par des bataillons néonazis et des straussiens. Le Philosophe juif Leo Strauss dont de nombreux adeptes sont des hauts responsables de l'Ukraine avait affirmé indispensable pour le peuple juif d’instaurer lui-même une dictature mondiale pour échapper à une « nouvelle Shoah ». Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Vladimir Poutine déclare la guerre aux (juifs) Straussiens » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Vladimir-Poutine-declare-la-guerre-aux-Straussiens-67423.html La réponse à la question de savoir pourquoi la Russie a attendu si longtemps pour envahir l'Ukraine depuis le coup d'Etat de Maidan de 2014 qui a continuellement bombardé les populations de l'est de son pays, c'est qu’elle n’était pas prête : l’économie russe n’avait pas encore été blindée contre toutes les sanctions possibles ; elle devait être indépendante d'une dette usurière ; son autonomie alimentaire devait être certaine ; toutes les méthodes diplomatiques pour résoudre le problème n’avaient pas été essayées ; ses nouvelles armes n'avaient pas encore été testés ; son armée n’était pas encore prête à gérer simultanément cette guerre avec celle en Syrie ; et le droit international de reconnaissance des états du Donbass et de Lougansk de légitime défense n'était pas encore activé. Or la crise en Ukraine pourrait aussi s'agir d'un scénario plus ou moins arrangé pour renforcer le globalisme occidental dont à travers une expansion de l'OTAN et de l'UE, stabiliser la nation ukrainienne en faillite à cause d'une énorme corruption, changer du sujet de l'oppressive gestion condamnable du covid, trouver un bouc émissaire pour l'inflation liée au poison de la planche à billet et possiblement faire grandir la Russie et donc le globalisme eurasien (ou seulement asiatique) mais d'abord dans le but d’agrandir le globalisme occidental avec ce renforcement de l'UE, de l'OTAN et de l'Occident mondialiste. En effet le conflit en Ukraine est plus ou moins accepté par l'Occident et/ou la Russie probablement aussi car il s'y trouvait trop de corruption déstabilisant son système national et menaçant donc l'ordre international. Après avoir déclaré le mardi 6 septembre 2022 qu’à cause des importantes livraisons vers l’Ukraine, les stocks de matériel militaire des pays de l’Union européenne étaient à un niveau « très bas », le chef de la diplomatie européenne a d'ailleurs conseillé aux 27 États membres de procéder à des achats groupés de matériels militaires, ce qui est une forme de début d'Europe de la défense. Or cela peut être un leurre puisque le Traité de Lisbonne a attribué la défense européenne à l'Otan et donc aux Etats-Unis, ce qui est très étonnant puisque le centre de décision sur ce qui se passe en Europe est ainsi non européen. Il pourrait donc s'agir d'un nouveau partage du monde plus ou moins entendus. C'est en tout cas ce qu'il faut espérer comme le plus probable car le moins pire militairement et donc le mieux pacifiquement même si une guerre économique à mort est actuellement aussi très probablement en cours dont pour parvenir au grand reset voulu par les mondialistes oligarchiques, et surtout car cela pourrait annoncer le retour proche de Jésus sans troisième guerre mondiale. En effet le sacrifice de l’Ukraine telle une pièce d’échec pourrait aussi être voulu par les mondialistes pour mensongèrement attribuer à la Russie, les conséquences du libéralisme corrompu volant la souveraineté des Etats, l'affaiblissement économique généralisé suite à la gestion néfaste du covid, la raison principale de l'inflation que les banques centrales et de nombreux gouvernements ont créé dont particulièrement par les planches à billets, la préservation de l'Europe dans l'influence américaine, le sacrifice des populations pour les marchés financiers, la prétendue nécessité de continuer massivement la perverse planche à billet, la justification de l’effondrement économique, et donc l’orientation inexorable vers le grand reset, sinon la future régularisation des bourses gravement déconnectées gravement du monde réel. Or la forte inflation liée à la crise du covid grandement amplifiée par la guerre en Ukraine provient aussi avant tout des sanctions occidentales. Accusé Poutine de tout facilite aussi l'entrée dans une économie de guerre, alors qu'il s'agit d'une étonnante décision politique française ou européenne, puisque les USA entretiennent eux toujours des liens avec la Russie pour le pétrole, le blé et la station spatiale internationale. « Surtout que cette invasion russe sert à renforcer le protectorat des USA sur l'UE et donc à en faire un débouché commercial encore plus important pour leurs armes et leur médiocre gaz de schiste liquide. Pour triompher, se maintenir voire s'effondrer en dernier, les USA sont prêts à se battre jusqu'au dernier ukrainien mais aussi européen. Le sacrifice des européens sera le prix à payer pour que les USA les défendent : étonnant... » (Chaîne youytube « Trouble fait ») Or le Great Reset pourrait arriver au moment de l'effondrement de l'UE suite à une hyper inflation. Les responsables gouvernementaux parlent de « pic » pour l’inflation. Mais celle-ci durera tant que ses causes sont toujours présentes : les planches à billets massives de la banque centrale pour financer les déficits budgétaires des nations (qui ne diminuent pas), la transition énergétique qui renchérit le prix de l’électricité (dont à cause du coût des éoliennes que l’on continue d’installer), les sanctions irréfléchies prises contre la Russie (s’imposer un blocus, c’est original), les pénuries (gaz, pétrole, semi-conducteurs), et désormais la baisse du cours de l’Euro. En face, la timide remontée des taux d’intérêt initiée par la BCE ne pèse pas bien lourd. En effet l'efficace première mesure d’exception pour fixer les prix en cas d'hyperinflation ou risque de guerre est la taxation des profits des grandes entreprises afin de financer les dépenses additionnelles prévues pour mettre en place un fonds de protection de la baisse des charges domestiques et un fonds de défense nationale qui sont deux éléments clefs. C'est d'ailleurs ce que Viktor Orbán a fait après avoir expliqué que dans les circonstances actuelles (guerre en Ukraine et inflation des produits de première nécessité dont alimentaires et énergétiques), la hausse des taux bancaires et des prix proposés par les multinationales leur permettaient des marges plus élevées. Il faut noter que la Russie a une économie réelle car productrice, alors que l'économie occidentale est virtuelle car basée sur la spéculation et l'usure d'une hyper classe volant jusqu'à la classe moyenne. C'est pourquoi en plus des sanctions depuis 2014 qui ont poussé la Russie à un saut qualitatif nationaliste dont par la construction de machines outils agricoles et un système bancaire propres, elle représente logiquement l'exemplaire fer de lance noble des pays voulant préserver leur souveraineté et donc leur liberté et leur dignité face au pervers mondialisme. -narratif donc contre la Russie appauvrissant et centralisant encore plus économiquement la France en particulier suite au covid, va probablement durer plus longtemps et aggraver plus fortement que celui du covid surtout si il est saupoudré de ce dernier. Avec ces sauts qualitatifs importants fréquents et généraux, il est clair que les temps s'accélèrent comme prophétisé, et que la grand reset peut arriver plus rapidement que vers 2030. Reste à savoir si les nobles orientations géo-économique proposées par l'axe russo-chinois l'empêcheront et triompheront. L’astuce occidentale va donc être de poutiniser l’inflation ne profitant qu'aux ultra riches, la centralisation de l'économie et la paupérisation qui figurent entre les lignes dans le programme de la Banque, qui mange sur notre dos, et qui a d’ailleurs commencé à dévorer notre dos. La Banque actuelle est cannibale, elle se moque que nous vivions bien ou mal, du moment qu’elle augmente ses profits, dont par l'usure. Pourtant en France pendant le covid, les grandes fortunes ont engrangé 236 milliards, ce qui correspond quasiment à ce que l’État réclame aux français pour ses aides et prêts bancaires de 2020, alors qu'ils avaient été empêchés de travailler.. De plus comme l'intervention russe en Ukraine provient d'une expansion très abusive de l'OTAN, de perversions économiques mondiales très importantes, d'institutions internationales très corrompues, de messianismes religieux très pervers, et d'une hégémonie américano-sioniste très affaiblie, c'est bien probablement un grand pas de plus effectuer dans la fin des temps. Surtout qu'il y a actuellement en Ukraine un très dangereux lien énormément manipulateur entre sionisme et nazisme, car similairement à la deuxième guerre mondiale lorsque Hitler fut financé en grande partie par la finance sioniste et oligarchique anglo-saxonne, puisque le Président Ukrainien Zelinski est juif et certains de ses bataillons sont nazis. L'organisation de la guerre par procuration et la destruction morale des peuples par un messianisme immoral (laïciste, mondialiste, oligarchique, sioniste, wokiste, indigne, vulgaire, transhumaniste, impie) synonyme de fin de l'humanité continuent de pire en pire. Comme le gouvernement ukrainien ne propose pas de trêve ni de négociation à cause des USA, le président Poutine a apparemment seulement le choix entre : .entrer massivement mais prudemment dans Kiev, c'est à dire si possible seulement par quelques petites vagues au cas où il y aurait une bombe atomique, et seulement si la guerre devait se prolonger. .se satisfaire de l'Est et du Sud de l'Ukraine sans Kiev, bien qu'avec le temps cela pourrait changer si aucun accord de paix partageant l'Ukraine n'est trouvé, surtout que l'Ukraine non libérée (en particulier les régions russophobes de l'Ouest de l'Ukraine pouvant créer de la résistance civile et souvent contrôlées par de grands groupes néo-nazis) pourrait continuer de bombarder les populations civiles libérées, et que cela est plus que probable suite à huit ans de bombardements sur sa propre population civile depuis 2014 et suite au lâche assassinat immonde de Daria Douguine, un leader brillant, orthodoxe et reconnu de la jeune génération de conservateurs russes, remarquable journaliste, politologue, chercheur en philosophie antique, et fille aimante de son célèbre père le philosophe Alexandre Douguine. En effet c'est un flagrant signe d’indignité et d’impuissance dans les zones de combats en Ukraine, surtout qu'elle n'était pas une militaire mais une journaliste indépendante qui devait donc être considérée comme innocente. Ainsi ceux et celles (dont des journalistes mainstream) qui se sont réjouis de son assassinat ne peuvent être que des diables. C’est une preuve de l'agonie de l'empire américano-sioniste et donc du système occidental impie ainsi que des mondialistes affairistes le composant principalement. Il sait très bien qu’il en répondra, mais dans une haine satanique frénétique, il essaie de rendre la chose aussi douloureuse que possible. Tuer le plus cher, le plus pur, le plus sincère, le plus russe. Et cette fois, il a réussi. Il s'agit d' « un crime ignoble et cruel a mis fin à la vie de Daria Douguine, une personne brillante et talentueuse avec un vrai cœur russe : gentil, aimant, sympathique et ouvert », a déclaré Poutine dans un message à la famille de Daria publié par le Kremlin. Or grâce au très digne espoir d'Alexandre Douguine que le martyr de sa fille soit source d'une profonde force noble et pieuse pour les russes en particulier les militaires (et espérons-le pour tous les combattants du Bien dans le monde), et comme selon un enseignement religieux les pages du destin dont dans le bien comme dans le mal que nous recevons sont désormais sèches auprès de Dieu, cela pourrait être l'interprétation principale de ce très douloureux et très triste événement. C'est à dire que le forces du Bien sont les plus nobles, les plus pieuses, les plus fortes et donc les meilleures quand elles vivent et agissent avec le filament ultra sensible présent dans le très fin et très profond centre du cœur que la mort de Daria a incontestablement révélé ou touché. Les forces du bien ont donc passé un cap important, surtout que si cet attentat fait de l'Ukraine un État terroriste pour la Russie, le droit international au niveau de la guerre disparaît ainsi donc que d'éventuelles négociations pour un armistice, ce qui signifie que sur le plan juridico-militaire l'objectif peut désormais être l'élimination du régime ukrainien. Et comme cet assassinat odieux incarne presque le meurtre de la pureté, de la gentillesse, de la douceur, de la grâce, de l'intelligence, de la finesse, de la simplicité, de la vaillance, de l'enthousiasme et de l'enjouement de la mère jeune de Jésus, mais aussi son martyr, il faut prier pour que cela apporte au monde aussi beaucoup de bienfaisance, de volonté de justice, de foi, de dignité, de piété, d'effort et de combat que les sacrifices de Jésus qui était un homme, mais également beaucoup de vérité dont concernant les importantes réalités métapolitiques, multipolaires et eschatologiques actuelles à connaître en particulier par rapport au rôle de la Russie dans le monde contre l'impie globalisme. Surtout que ce sont des raisons pour lesquelles elle a été assassinée, d'autant plus qu'étant jeune elle jouait un rôle dans le réveil des jeunes générations de plusieurs nations. Daria était donc une pieuse orthodoxe construisant notre temps qui a été assassinée par les impies forces détruisant notre monde. Daria recevra donc très probablement la Satisfaction divine, le martyr et donc le plus haut niveau du Paradis pour cela, c'est à dire la plus haute récompense. Et comme le réveil mondial contre la mal s'amplifiait déjà auparavant, son martyr pourrait donc faire passer les militaires russes et les forces mondiales du bien à un stade ultime de certitude, de volonté et de bravoure pour la foi, la justice, la meilleure noblesse, la charité et le monothéisme. Concernant l’assassinat de Daria Douguine, il est aussi intéressant de lire l'excellent article « Que l’optimisme eschatologique de Daria Douguine continue de nous guider – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/06/que-loptimisme-eschatologique-de-daria-douguine-continue-de-nous-guider-pierre-antoine-plaquevent/ En effet selon cet article, Daria était aussi solaire et irradiait donc naturellement ceux qui la côtoyaient de son être intérieur, de sa foi, de sa piété, de sa culture et de son agréable personnalité positive, joyeuse et fraîche. Cela ne pouvait que générer une jalousie diabolique dans les rangs du Malin et chez certaines sorcières à son service. Quelle leçon pour toute la sorcellerie du féminisme mondialiste ! En revenant à la géopolitique et à ce choix possible de Poutine, la Russie pourrait donc se satisfaire de l'Ukraine utile (Sud et Est), car il est clair que ces zones sont russophiles alors que le reste est sauvage ou/et ukronazi. Ce qui donnerait l'Ouest à l'Union Européenne ou/et à l'Otan possiblement en l'intégrant dans la Pologne. Or comme l'Ukraine est fortement corrompue, il ne serait pas étonnant que même dans ces régions, les anti-corruptions de mêmes que les corrompus changent de vestes en devenant des pro-russes. En effet après avoir laissé des corrompus participer à un système politique comme celui de l'Ukraine, il ne faut pas s'étonner que ces corrompus trahissent ce système dès qu'il rencontre de gros problèmes, surtout que mentir sciemment pour une mauvaise cause apporte la compréhension qu'on ne peut pas mourir en martyr pour elle. .réussir de bonnes négociations avec l'Ukraine, mais elle paraissent désormais inutiles, car la propagande anti-russe y restera à jamais, et la disparition de l'Ukraine par une totale conquête territoriale russe ou un partage avec la Pologne devient donc nécessaire, quoique cette dernière solution signifierait l'entrée de l'Ukraine dans l'Otan, ce qui parait trop dangereux, puisque si les ukrainiens continuaient ensuite de bombarder la Russie, cela conduirait à une guerre probablement nucléaire entre l'Otan et la Russie. Le Ministre des affaites étrangères russes Lavrov est d'ailleurs arrivé à New York pour une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies portant sur l’Ukraine et la tête de Zelensky en donnant un dernier avertissement pour résoudre le problème ukrainien aux conditions de Moscou avant la grande offensive russe, car «il est encore temps». Même s’il semble en rester très peu. Bien évidemment, Sergueï Lavrov n’a pas parlé directement de l’offensive décisive de l’armée russe en Ukraine qui ne saurait tarder. Cependant, la réunion à laquelle il participait a été organisée à la demande de la Russie et devait clairement servir à exprimer devant les membres de l’ONU la position définitive de Moscou sur l’Ukraine destinée aux incendiaires occidentaux. Lavrov a ainsi indiqué au monde entier qu’il y avait deux raisons existentielles pour lesquelles Moscou ne pouvait arrêter l’opération militaire spéciale avant d’avoir atteint ses objectifs. Parce que «si cette opération devait subitement cesser, alors le régime de Kiev panserait ses blessures puis reprendrait sa course à l’extermination de tout ce qui est russe et de l’identité russe présente sur cette terre depuis des siècles, à la fois culturelle, historique et religieuse». C’est un premier point. Deuxièmement, le régime de Zelensky ferait toujours plus la promotion d’un nationalisme total étranger à la majorité de la population ukrainienne, réprimerait la dissidence, renforcerait la dictature, et les occidentaux «continueraient à regarder ce qui se passe en fermant les yeux et à se taire en guise d’approbation», car ils ont besoin de ce type artificiel d’Ukraine pour lutter contre la Russie. .s'arrêter donc au Dniepr si c'est validé par un accord de neutralité et de démilitarisation de l'Ukraine avec l'interdiction de partis nazis. Surtout que les territoires russes du Donbass jusqu'au Dniepr ont voté pour élire Poutine et donc confirmer leur rattachement voulu à la Russie, et que l'Ukraine garderait donc un accès à la mer noire dont via la région d'Odessa. En sachant que cette possibilité et donc la fin de la guerre seraient certaines si les pays occidentaux et l'OTAN arrêtaient de fournir des armes à l’Ukraine. D'ailleurs l’effondrement complet de la capacité de combat ukrainienne serait une solution possible de terminer la guerre, car cela s’accompagnera presque certainement de l’effondrement de l’architecture politique qui repose exclusivement sur ces capacités militaires – et non sur une quelconque légitimité politique. Ce que Moscou ne peut pas prévoir, c’est comment et sous quelle forme ce démantèlement pourrait se produire. Il faut espérer que cela soit repris par un gouvernement pro-russe. .prendre toute l'Ukraine pour éviter une escalade de troisième guerre mondiale nucléaire dont suite à des frappes ukrainiennes sur des civils avec des missiles occidentaux. .si des missiles occidentaux sont trop nombreux vers la Russie, des forces militaires occidentales vont soutenir au sol l'armée ukrainienne ou si certaines de leur piste de décollage permettent à des avions ukrainiens d'aller tuer des soldats russes, tout en voulant préserver le combat au sein du territoire ukrainien dont le Donbass, mais en recherchant au final l'entrée de l’Ukraine dans l'Otan en cas de victoire ou en bombardant des territoires russes, la Russie pourrait après avoir effectué une frappe nucléaire tactique en Ukraine sur un site militaire comme l’île au serpent voire en Europe sur un site vide tel un coup de semonce devant faire prendre conscience sérieusement des énormes risques d'une escalade, régler le problème en rasant nucléairement une petite ville voire des grandes villes d'Ukraine de l'ouest, pour éviter la troisième guerre mondiale (et finir donc quand même par démilitariser, neutraliser et dénazifier l'Ukraine), sauf si cela est empêché par les combats et trop nombreux morts d'armées occidentales comme ceux français (surtout que le nombre de soldats de l'armée professionnelle française est insuffisant et donc que la conscription de quiconque pourrait advenir dont des jeunes), voire par un ou des missiles russes frappant la France après que des forces militaires françaises aient frappé les forces russes, voire donc par la Russie ayant réussi à retourner l'opinion publique occidentale contre leurs gouvernements. L'ambassadeur russe à Londres a d'ailleurs annoncé qu’il a été dit à l’ambassadeur britannique que l’utilisation de missiles anglais contre la Russie conduirait désormais la Russie à se réserver le droit de riposte sur des installations militaires britanniques au Royaume-Uni même et dans le monde. ce qui serait encore plus légitime en livrant des armes à des pays tiers pour frapper les intérêts occidentaux. De plus les F16 étant des avions à double casquette (bombes conventionnelles et bombes nucléaires) et, par conséquent, si l’un d’eux intervient dans le ciel ukrainien, la Russie a dit qu'elle tapera sur sa base où se trouvent les aménagements pour le nucléaire, qu’elle se trouve en Roumanie ou en Pologne. .récupérer la Novarussia et conserver la neutralité de l'Ukraine tout en lui demandant donc un changement de régime si un accord n'est pas trouvé. Surtout qu'avec l'invasion du territoire russe à Koursk par les ukrainiens, cela devient de plus en plus possible, quoique cette invasion a servi à multiplier par deux le nombre de volontaires russes, ce qui va à l'encontre de l'espoir ukrainien de déstabiliser la Russie par cette invasion, alors que si les ukrainiens et occidentaux n'étaient pas entrés dans la wokisme dont une de ses particularités est la déconsidération de l'histoire, ils auraient su que ce n'était jamais arrivé en Russie. .et si la Russie est envahie sur son territoire, Poutine peut utiliser la dissuasion nucléaire. Surtout que la destruction des infrastructures électriques ukrainiennes par l'armée russe désormais est un avertissement similaire à l'attaque d'une bombe nucléaire, afin de montrer le sérieux de Poutine concernant sa possibilité d'utiliser l'arme nucléaire pour protéger la Russie et le monde du mondialiste empire americano-wahhabo-sioniste, d'autant plus que possiblement par ordre divin, car la Russie ne peut perdre cette guerre ou plutôt cet empire impie ne peut triompher selon le scénario divin pour l'humanité. Mais selon Xavier Moreau, la Russie a déjà gagné la guerre en Ukraine, car elle a su défendre ses intérêts stratégiques dans la région. Or il explique que l’Ukraine a été utilisée comme un pion par les États-Unis et l’OTAN dans leur stratégie contre la Russie, et que Moscou a réagi en conséquence pour protéger sa sécurité nationale. « À l’époque de la guerre froide, une équation complexe s’est dessinée. Les puissances occidentales, tels des funambules au-dessus du précipice, ont choisi la prudence plutôt que l’audace. Leurs pas hésitants, guidés par une conscience aiguë du danger, les ont maintenues en équilibre précaire. Nul « esprit de défaite » ne les a paralysées, mais plutôt une inflexible lucidité. Car entrer en guerre ouverte avec Moscou, c’était risquer l’embrasement généralisé, la conflagration nucléaire, l’anéantissement mutuel. Les heures les plus sombres de la guerre froide ont vu les protagonistes se défier, se jauger, mais jamais franchir la ligne rouge(, ce qui paraît beaucoup moins clair aujourd'hui). Les pacifistes, jadis porteurs de l’étendard de la paix, sont même désormais insultés, affublés des étiquettes de « lâches », de « poutinistes » ou de « pétainistes » (par le médiatico-politique). Ironie cruelle, ces épithètes proviennent de ceux-là mêmes qui, tels des architectes de l’obscurité, érigent en France un régime de plus en plus totalitaire et orwellien tout en cautionnant les dérives bandéristes du régime de Kiev. Surtout que ce sont les grands corrompus qui veulent la guerre aujourd'hui, et la guerre mondiale, afin d'enfouir leurs énormes méfaits sous un énorme méfait mondial. Les gens respectables condamnent donc naturellement le génocide en cours en Palestine, quand les non-respectables tentent, sans succès, de nazifier le mouvement pour la paix. Avec ces derniers, on est chez Orwell. Dans la presse française, on est pris en étau entre les injonctions du pouvoir profond et du pouvoir visible – c’est-à-dire le combo CRIF-Macron – et la rue, cette France chrétienne qui ne supporte pas que le fort écrase le faible et en plus accuse le faible de tous les maux. « On l’a vu avec Trump : les pacifistes sont toujours considérés comme des nazis. Celui qui veut l’humanité cuite au nucléaire (péril chinois, russe, arabo-iranien, nord-coréen, etc.) est le héros humanitaire et démocrate et nobélisable. En ordonnant à Sarkozy de détruire la Libye riche de pétrole et antisioniste plus pour le camp américano-sioniste, BHL précisait qu’il le faisait parce qu’il détestait la guerre. Toute ressemblance avec la novlangue, etc. Après la guerre Céline se désignera comme pacifiste. Mais les pacifistes sont alors les nazis, comme Charles Lindbergh et les partisans d’America First en Amérique (Hitchcock les accuse de nazis les pacifistes ricains : voyez mon livre). John T. Flynn reprochera à Lindbergh sa bourde du 11 septembre (tiens, tiens, c’est le jour du honni discours de Des Moines !) lorsque Lindbergh accuse le gouvernement américain, les Anglais mais aussi les Juifs de pousser à la guerre. C’était la fin pour les pacifistes américains, et ils seraient nazifiés ad vitam. Depuis lors toutes les interventions militaires sont jugées favorablement et célébrées en Amérique. C’est le Truman (Harry) chaud qui commence ! Raser et bombarder le monde au nom de la lutte contre la barbarie. Sinon on est nazi. Évidemment on pourrait dire que l’on se paie de mots et qu’on n’ira pas loin. Le grand scénariste Dalton Trumbo était opposé à l’intervention contre l’Allemagne jusqu’au 22 juin 41. Il était communiste, et il croyait au pacte germano-soviétique. Il dit aussi dans une autre lettre notre écrivain : « Je n’ai jamais été nazi. Je suis un pacifiste et c’est tout. J’ai été antisémite par pacifisme. » Cela suffit à diaboliser le pacifisme. D’où les guerres à mort à venir contre la Chine ou la Russie etc. Trump devra faire guerre ou il sera tué et remplacé : par amour de la paix. L’économiste-philosophe-historien-pacifiste juif libertarien Murray Rothbard souligne cette infamie avec le sourire. Mais c’est hélas somme ça. C’est parce qu’on adore la paix partout qu’on veut la guerre, la guerre universelle. Il faut faire un monde sûr pour la démocratie dit le couillon Wilson qui brise l’Europe et crée en 1918 le soviétisme et les conditions du nazisme. Mais rien ne les arrêtera. (Surtout que quand un pacifiste n’est pas traité de nazi, il est traité de lâche. Mais il faut espérer que les peuples contiendront les gouvernements.) » (Extraits de l'article « Céline et la malédiction du pacifisme – Nicolas Bonnal ») Dans ce paysage où la pensée unique s’impose, où les raisonnements binaires se multiplient, la population française a déjà été malmenée lors de l’épisode COVID. Les confinements, les restrictions, les discriminations et les incertitudes ont laissé des cicatrices profondes. Alors que les vents de la guerre se lèvent à l’horizon, il ne fait désormais nul doute que ce caractère totalitaire s’accentuera, tel un étau se resserrant sur notre liberté et notre dignité. Quand les temps se durcissent, les mots se font lames et les discours se muent en armes. Tandis que les tambours de la guerre résonnent, la France retient son souffle, se demandant si elle sera emportée par la tempête ou si elle saura résister. » (François Dubois) Il s'agit donc d'une situation où la troisième guerre mondiale peut se déclarer avec une grosse étincelle, pouvant même être un attentat sous faux drapeau dont de messianistes très égarés, mais heureusement pour le moment les dirigeants des grandes nations comprennent l'immense indignité d'une guerre nucléaire. Ainsi il se dégage trois options aux réalités extraodinaires : grosse amplification rapide du globalisme messianiste jusqu'au grand reset, changement de paradigme mondial vers le multipolaire voire l'Eden terrestre complété, ou troisième guerre mondiale messianiste à cause des milliards d’aides militaires se débloquant pour l’Ukraine, de la dangereuse immense lutte économique inédite actuellement, d'un combat idéologique semblant à mort, des médias soufflant sur le feu et de l’annonce de Poutine qu’il ira jusqu’au bout pour défendre son pays. Poutine a d'ailleurs dénoncé : « L'Occident n'a pas besoin d'un pays comme la Russie, c'est pourquoi ils ont soutenu la cinquième colonne (sioniste, ultra libérale, Lgbtiste, mondialiste ou/et oligarchique), le séparatisme et le terrorisme en Russie. » « La cinquième colonne et le régime des réformateurs libéraux russes des années 1990 sont synonymes. Ce pouvoir de l’oligarchie russe lié aux États-Unis est devenu une cinquième colonne lorsque Vladimir Poutine a accédé à la présidence et qu’il a redonné à l’État sa centralité et récupéré ce qui lui a été volé par des oligarques souvent d’origine juive. Cette cinquième colonne se divise en deux catégories, selon Douguine : une cinquième colonne qui s’oppose ouvertement à Poutine, notamment par des manifestations de rue ; et une autre, sournoise, composée d’oligarques, de politiciens, de fonctionnaires, d’analystes, d’experts, de dirigeants communautaires, de propriétaires de médias qui ont trouvé le moyen, même en étant atlantistes et même radicalement anti-Poutine, de rester dans le régime politique, après l’arrivée de Poutine et sa politique patriotique. La seconde catégorie, qui est autour de Poutine, qui le soutient, et que Poutine maintient en place, est la plus dangereuse, car elle accompagne ses actions dans le sens des intérêts atlantistes, et parfois même sabote ses réformes et ses mesures patriotiques visant à renforcer la souveraineté russe. » (Youssef Hindi interrogé par le journal « Rivarol ») Ainsi Poutine a déploré que l'Occident ne cherche pas seulement à frapper l'économie russe, mais voulait également créer la sédition et le chaos en Russie. De plus il a déclaré : « On dit que nous avons déclenché la guerre dans le Donbass, mais ce n'est pas le cas. Cette guerre a été déclenchée par l'Occident, qui a soutenu (à notre frontière) le coup d'État armé illégal en Ukraine en 2014, puis le génocide des habitants (russophones) du Donbass. » Dans ce sens Biden a même déclaré que les Russes voulaient le modèle intelligemment neutre de la Finlande pour l'Europe, mais qu'ils ont donc finalement eu le modèle OTAN, surtout que du matériel militaire s'installant un peu partout dans les pays de l'OTAN européens est déjà en cours. Un occidental embargo économique presque total contre la Russie, la fermeture des espaces aériens avec elle, une censure de temps de guerre, une forte propagande de guerre, la rupture imminente des relations diplomatiques, la tentative de vol des réserves d’or de la Russie, l'appel à la création d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine, la remise en cause par la Turquie atlantiste de la Convention de Montreux et la pression de l'OTAN, sont d'ailleurs toutes des actions éminemment anti-russes poussant vers une escalade irréversible des tensions, genre une troisième Guerre mondiale dans l'espoir que comme la Seconde et dans sa suite, ce soit la mise au pas voire la dislocation de la Russie, l'enterrement vivant de l’Europe chrétienne et la réussite du projet mondialiste, oligarchique et sioniste. Comme il a déjà été vu, si la guerre en Ukraine a eu lieu, c'est aussi très probablement car l'hégémonie américaine voulait empêcher les routes modernes de la soie pour lutter contre l'hégémonie chinoise. C'est à dire que la hideuse séparation du mur de Berlin au siècle dernier se reforme à Kiev, mais de manière plus grande. En effet cette fois par le sang des ukrainiens qui en est donc le prix à payer, le rideau de fer tente d'avoir les dimensions d’une Grande Muraille de Fer de 3 500 km allant du golf de Finlande au golf persique pour endiguer l'eurasisme. (En sachant qu'il faut le lier à la ceinture supérieure du Rimland dans laquelle il y a des crises comme en Ukraine, Haut-Karabakh et Xinjiang, coupant le lien entre Europe, Russie, Chine et Iran. Comme ces régions en crise, le Moyen-Orient se trouve sur la bordure de l’ensemble russo-chinois dont les Etats-Unis cherchent l’encerclement, car les projets de grands développements eurasiatiques s’y multiplient et entrent en concurrence avec les USA, provoquant des points de tension. Seule la perspective d’une destruction nucléaire mutuelle freine encore l’escalade meurtrière entre l'Occident et l'Eurasie. Entre les deux, la France n’offre plus de troisième voie et se retrouve coincée entre le communautarisme d'une part et des élites vendues au millénarisme globaliste d'autre part. Pour en sortir, elle devra renouer avec sa souveraineté stratégique et rejoindre le concert des puissances réalistes, celles qui placent l’État et le politique au centre de la nation et du système des relations internationales.) Or ce rideau est une catastrophe européenne, mais pas américaine. C'est à dire que cette guerre économique de l’OTAN contre la Russie en Ukraine pourrait bien être aussi un moyen d’essayer d'asphyxier la Chine économiquement en brisant donc une partie des routes de la soie, particulièrement en coupant celles permettant de la tenir éloignée de l’Europe de même que pour la Russie. Il est intéressant de voir à ce sujet l'intéressante vidéo « S'élève la Grande Muraille de Fer » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=26k0GwC9924&list=WL&index=3 Cette nouvelle muraille immense se voit d'autant plus en scrutant les événements dans des pays autour de la Russie : Moldavie, Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan, Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Finlande et Suède. En effet les États-Unis et Israël veulent faire perdre l'influence de la Russie particulièrement dans ces pays limitrophes avec elle, dont en les déstabilisant et en imprimant quelques centaines de millions de dollars pour soudoyer et corrompre leurs élites. Dans ce sens, on peut encore évoquer la campagne médiatique menée par Israël sur la guerre d'Ukraine, qui incite ouvertement à la haine envers la Russie. Par conséquent, le rôle du régime sioniste au côté de Kiev et de Washington au détriment de la Russie ne fait plus de doute. Surtout que le régime d’Israël veut atteindre les limites du Grand Israël et veut donc impérativement sortir la Russie de Syrie. Lors de la cruciale année 2022, la guerre principale de l’Empire américano-sioniste unipolaire s'est donc révélée sur trois fronts contre le monde non-aligné, à savoir la Russie, la Chine et l’Iran multipolaires ayant de nombreux liens économiques internationaux. C'est pourquoi un nombre croissant de pays ne suit plus aveuglément les Américains mise à part logiquement l’Union Européenne corrompue. Même les pétromonarchies du Golfe diversifient leurs dépendances sécuritaires, dont auprès de la Russie, après avoir essayé d'obtenir le parapluie nucléaire israélien... Le 21 mars 2022, le président Biden ne s’est pas caché de cette lutte d'influence planétaire. En effet devant un parterre de chefs d’entreprises, il a déclaré : « C’est le moment où les choses changent. Il va y avoir un Nouvel Ordre mondial et nous devons le diriger. Et nous devons unir le reste du monde libre pour le faire. » C'est à dire que lors de cette réunion trimestrielle des PDG de la Business Roundtable, un lobby des dirigeants des grandes entreprises américaines dont font partie General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan, Bank of America, Boeing, FedEx, Exxon Mobil, Johnson & Johnson, Joe Biden a annoncé vouloir diriger le nouvel ordre mondial comme s'il ne cachait plus son objectif et motiver les troupes. Ce nouvel ordre pourrait couper le monde en deux blocs hermétiques, c'est à dire via une coupure telle que nous n’en avons jamais connue, sans comparaison possible avec le rideau de fer de la Guerre froide. Ce n'est pas étonnant car l'économie casino qui est déployée depuis des décennies par l'occident ne pouvait mener qu'à cette grande crise mondiale. Or si les nouvelles routes de la soie sont devenues essentielles pour la stabilité et donc le développement voire la survie du monde, mais que des zones de conflit les empêchent dont à cause de l'empire américano-wahhabo-sioniste, il apparaît encore une fois que la réapparition d'un Califat islamique bien guidé est nécessaire dont clairement vu sa positon géographique. L’évolution du conflit en Ukraine est très significative, car donc deux mondes s’y opposent : le monde des pays souverains porté par la Russie et la Chine, et celui de la globalisation écrasée par l’Atlantisme voulant empêcher l’Europe de se rapprocher de la Russie et de la Chine. Même si les armes grondent sur le territoire ukrainien, c'est bien un conflit mondial, car l’existence et la disparition de l’un de ces deux mondes est en jeu, comme le prouve donc la réaction très violente de l’Occident dont à travers son blocus financier et économique contre la Russie. C'est à dire que même selon la Maison Blanche, la Russie est désormais un paria de la globalisation économique et financière. Ce qui prouve que c’est bien un combat pour la globalisation qui se mène, surtout suite à la tentative d’isolement géographique avec la fermeture du Ciel de l’UE et d’autres pays à la Russie, aux sanctions politiques contre les dirigeants russes qui bloquent le fonctionnement d'organisations supranationales comme l’ONU, à l’isolement de la Russie par rapport aux grandes manifestations sportives dont avec l'interdiction de son drapeau, quand elle y participe, au blocage de la diffusion des médias russes dans le monde libre, etc. Dans ce combat de géants, l’Ukraine n’est donc effectivement pas l’enjeu principal, même si elle est une vitrine résumant le combat général et qu'elle a été son détonateur. En effet, c'est un détonateur travaillé depuis des années qui a fini par révéler clairement l'oppressif système géopolitique américano-sioniste unipolaire et donc totalitaire à travers l'oubli wokiste, mondialiste et ploutocratique, puisque ayant montré qu'il refuse l'existence d'un grand pays exemplaire comme la Russie préservant son histoire, ses richesses, ses traditions, sa culture, son autonomie économique et son orthodoxie chrétienne, et donc une grande partie de l'Histoire de l’humanité. Selon l’analyse politique de Christof Lehmann d'il y a plus de dix ans : « Des collègues américains du Pentagone m’ont dit, sans équivoque, que les États-Unis et le Royaume-Uni ne permettraient jamais que les relations entre l’Europe et l’Union soviétique (la Russie) se développent au point de remettre en question la primauté et l’hégémonie politiques, économiques ou militaires des États-Unis et du Royaume-Uni sur le continent européen. Un tel développement sera empêché par tous les moyens nécessaires, c'est à dire jusqu'à provoquer une guerre en Europe centrale s'il le faut. » Voilà, c’est écrit noir sur blanc. Washington ne va pas se laisser faire ni jouer le mort pendant que de nouveaux centres de pouvoir se développent sur la planète. Ce n’est pas ce qui va se passer. Les États-Unis vont identifier les nations qui pourraient leur causer des problèmes et faire tout ce qu’ils peuvent pour les écraser. C’est ainsi que fonctionnent les empires. Ils n’attendent pas qu’on les fasse tomber de leur piédestal. Ils prennent le taureau par les cornes et agissent de manière préventive. Le secrétaire adjoint à la Défense des USA Paul Wolfowitz a d'ailleurs articulé les rouages de la politique étrangère des États-Unis comme suit : « Notre premier objectif est d’empêcher la réémergence d’un nouveau rival, sur le territoire de l’ancienne Union soviétique ou ailleurs, qui représente une menace de l’ordre de celle que représentait autrefois l’Union soviétique. Il s’agit d’une considération dominante qui sous-tend la nouvelle stratégie de défense régionale et qui exige que nous nous efforcions d’empêcher toute puissance hostile de dominer une région dont les ressources seraient, sous un contrôle consolidé, suffisantes pour générer une puissance mondiale. » Cela correspond à la doctrine fondamentale qui guide la politique étrangère des États-Unis, c'est à dire identifier les menaces potentielles à l’hégémonie des États-Unis, puis les anéantir sans pitié.
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