Q) Suite 17
Lucien Cerise y explique qu'à l’instar de la fable des Animaux malades de la peste du covid, les consommateurs sevrés par cette crise sanitaire orchestrée sentaient qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe témoin des non vaccinés, complément indispensable à une stratégie ou une ingénierie sociale de triangulation, fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie, il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux. Dans ces passages d'un autre de ses articles, Lucien Cerise précise la manipulation des mondialistes ploutocratiques et sionistes : « Leur méthode : l’ « ingénierie sociale » définie comme « la modification furtive et planifiée du comportement humain ». Leur but : fabriquer le consentement à la « démolition contrôlée des structures (étatiques, nationales, locales, familiales, conjugale) préexistantes ». Une idéologie « one world », basée sur le wokisme et le métissage obligatoire, avance sous le couvert d’un bric-à-brac moralisateur pour « citoyen du monde ». Lors du covid (bourreau), le système ment aux victimes (le peuple) sur ses intentions (de sauveur), car il veut en réalité une société de surveillance totalitaire informatique et numérique. Article « Tous «pucés» ? » de Jacques henry du Réseau International : « Le beau-père japonais de mon fils a subi une petite intervention chirurgicale pour la pose d’un régulateur cardiaque qui est communément appelé un pace-maker. Il souffrait d’arythmie et ce symptôme angoissant s’auto-amplifie en raison de l’appréhension que l’arythmie provoque : constater que le cœur cesse de fonctionner durant cinq secondes. Je n’arrive pas à évaluer comment je réagirais si j’étais confronté à une telle situation. Ce régulateur cardiaque est un système très petit dont on recharge la batterie avec un petit dispositif externe comme les «smart-watches» que l’on pose sur le même type d’équipement. Ce dispositif de régulation cardiaque se connecte en Wi-Fi ou Bluetooth, je ne sais pas trop au routeur de la maison et il envoie alors des données à un central spécialisé qui les fait suivre au cardiologue traitant. Ainsi il est possible pour ce dernier d’évaluer le temps horaire ou quotidien de prise en charge du cœur par le régulateur. Le cœur du beau-père de mon fils est donc connecté ! Mon fils et son épouse ont chacun autour du poignet une montre électronique également «connectée». Elle permet d’effectuer toutes sortes d’opérations que je ne saurais décrire ici à l’exception des données enregistrées dans le but de surveiller l’état de santé. Par exemple combien de temps une personne montant à l’étage de son logement renseigne sur son état de fatigue, quelle est la longueur de ses pas quand il marche et son assiette est également enregistrée, ce qui indique un éventuel déséquilibre pathologique du squelette. Bien d’autres points de surveillance de la santé du corps sont programmés dans ce type de montre comme le rythme cardiaque et la fréquence de la respiration qui sont utiles pour se faire une idée exacte de la qualité du sommeil. Enfin un malaise vagal est détectable. À Singapour toute la population est sous surveillance médicale constante. Enfin je ne voudrais pas dire de bêtises mais j’ai constaté que ce type de montre peut recevoir un appel téléphonique et des messages, connaître la température extérieure, la vitesse et la direction du vent, bref une multitude de services utiles et moins utiles. Beaucoup de personnes de par le monde sont donc déjà «connectées» et la tendance ira en s’amplifiant dans la mesure où la collecte et le traitement de toutes les données pourront contribuer à la surveillance de l’état de santé de chaque individu. Mais il y a tout de même un gros problème dans la mise en place de ce contrôle : tout est déjà géré par des entreprises américaines dans les pays dits occidentaux, depuis la gestion des adresses IP et le traitement des données par les gigantesques ordinateurs des… GAFAM+. Le projet d’introduction d’une carte d’identité globale numérique en Europe incluant l’OMS pour les données de santé comme indiqué ci-dessus mais également pour les mouvements financiers effectués sur les compte de dépôts bancaires, le paiement des impôts, le montant des salaires et des honoraires, les dépenses de carburant ou de nourriture de luxe incompatible avec les mesures de protection du climat et bien d’autres aspects de la vie quotidienne strictement privés aujourd’hui mais à terme gérés par des entreprises privées dont par exemple Google ou Amazon qui connaissent déjà tout de nous, que nous ayons une «smart-watch» ou pas, tout ceci aboutira inévitablement à une perte de liberté. L’exemple de la Chine avec ses 1,5 milliards de citoyens serait-il adaptable à un petit pays comme la Hongrie ? La réponse est évidemment négative. Afin de protéger les libertés individuelles des citoyens, chaque gouvernement de chaque pays occidental devrait utiliser en premier lieu son propre système de «surveillance» pour s’affranchir de la domination américaine. (Il faut noter que malgré une perte de liberté, sauf si des contrôles citoyens peuvent empêcher ceux qui nous surveillent d'aller en dehors des statistiques, d'une ordonnance juridique et des urgences, la numérisation intelligente de la société liée à la Blockchain est source de justice et de sécurité supérieures.) » Infusée à haute dose par un groupe d’organisations internationales, de think tanks, d’ONG et de médias sous contrôle, cette moraline politiquement correcte conduit la multitude au vide émasculé de la vie moderne, et ses contradicteurs à la mort sociale. Les seuls types humains adaptés à ce néant post-humain selon Cerise sont « le dépressif et la frivole ». Tous les autres dissidents de la « Planète stupide » devront être reprogrammés ou éliminés. Dans ce sens, des spins doctors sous contrôle oligarchique se relaient à notre chevet pour nous persuader que le doute raisonnable, l’esprit critique (sans parler de la colère) sont hautement suspects, et que les sentiments qui les accompagnent (typiquement la haine et la défiance) doivent impérativement être neutralisés. Il ne suffit pas qu’un état de crise permanente nous soit imposé, il faut encore que ceux qui en souffrent se sentent coupables. Les stratagèmes incapacitants qui « inversent la place du bourreau et de la victime » ont en outre une fonction précise : le pirate doit neutraliser le fonctionnement normal (hiérarchisé et stéréotypé) du cerveau avant de pouvoir y implanter des représentations pathologiques et dysfonctionnelles. » Il est possible de lire l'article complet à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-temps-de-Cerise-62339.html Lucien Cerise précise qu'en réalité ses analyses ne sont que la description de choses banales. Cet analyste explique que le lien social peut être représenté par des schémas et qu'il est clairement basé sur la confiance, la méfiance et l'indifférence, et sur l'existence donc de possible bourreau (les malveillants), sauveur et victime qu'une l'ingénierie sociale, une stratégie perverse, peut transformer lorsque le bourreau (actuellement gouvernements soumis à des réseaux de pouvoir et des lobbys devenus des mafias) usurpe le sauveur (par l'oppression du confinement, du vaccin ou/et du grand reset) ou la victime, afin de manipuler ou asservir une population sans qu'elles s'en rende compte. Si le Covid instrumentalisé par les oligarchies perverses a attaqué en priorité les pays développés et émergents, c'est avant tout pour soumettre leurs économies et supprimer la liberté de commerce, et probablement voire d'abord pour ménager les oppressifs grands groupes financier privés dénoncés par les gilets jaunes et la réalité de l'hyper classe pédocriminelle révélait l'affaire Jeffrey Epstein impliquant Bill Gates. « L'arrestation de Puff Daddy, également connu sous le nom de Sean Combs ou même Diddy, marque un véritable tournant dans l'un des plus grands scandales de l'année 2024 (similaires à l'affaire Epstein). Le 16 septembre, à Manhattan, le célèbre rappeur et magnat de la musique a été arrêté et inculpé pour agression sexuelle, trafic sexuel et extorsion. Selon le parquet fédéral de Manhattan, Puff Daddy aurait utilisé son pouvoir, ses ressources et l'influence de ses entreprises pour exploiter de nombreuses personnes. Son empire musical, autrefois vu comme une réussite commerciale, est désormais décrit comme une organisation criminelle impliquée dans la traite des êtres humains et le travail forcé. Des perquisitions ont été effectuées dans ses propriétés de Miami et Los Angeles, où les forces de l'ordre ont découvert des preuves accablantes, incluant des stupéfiants et des milliers de bouteilles de lubrifiant et d’huile pour bébé, renforçant ainsi les accusations contre lui. Mais cette affaire ne se limite pas aux crimes présumés de Puff Daddy. Depuis des années, il a tissé des liens étroits avec l'élite politique américaine, et notamment avec des personnalités clés du Parti démocrate, telles que Joe Biden et Kamala Harris. En 2020, au cours de la campagne présidentielle, Puff Daddy avait publiquement exhorté Biden à choisir un colistier noir pour la vice-présidence, un appel auquel Biden a répondu en sélectionnant Kamala Harris quelques mois plus tard. Cette nomination intrigue, surtout à la lumière des rumeurs qui circulent sur une proximité entre Harris et Puff Daddy, certains affirmant qu'elle aurait participé à ses fameuses soirées privées. D'autres célébrités sont également mentionnées dans ce scandale. Jay-Z, Beyoncé, et Usher auraient été présents lors de ces soirées secrètes, appelées « freak offs », qui attirent de nombreux artistes influents. Parmi eux, le nom de Justin Bieber revient régulièrement. Propulsé sur la scène médiatique à un jeune âge par Usher et Puff Daddy, il est aujourd'hui soupçonné d'être une victime de ces événements. Le parallèle avec l'affaire Jeffrey Epstein est inévitable. Comme Epstein, Puff Daddy est une figure publique influente mêlée à un vaste réseau de trafic sexuel et d'abus de pouvoir. Les deux hommes partagent un destin similaire, risquant la prison à vie pour leurs crimes présumés. Cependant, des rumeurs circulent sur une éventuelle collaboration entre Puff Daddy et le FBI. En échange d'informations sur d'autres personnalités impliquées dans ces réseaux, il pourrait espérer réduire sa peine. Toutefois cette décision pourrait mettre sa vie en danger, tout comme ce fut le cas pour Jeffrey Epstein, mort dans des circonstances mystérieuses avant de pouvoir dévoiler ce qu'il savait. Puff Daddy pourra-t-il révéler les secrets qu'il détient sur les élites politiques et économiques, ou finira-t-il par subir le même sort qu'Epstein ? Ses liens avec des personnalités du Parti démocrate, comme Joe Biden et Kamala Harris ajoutent une dimension encore plus complexe à cette affaire. Ce scandale pourrait être la clé pour lever le voile sur des vérités cachées, non seulement dans l'industrie musicale, mais aussi dans les plus hautes sphères politiques. » (Géopolitique Profonde) La différence entre la dénonciation des affaires Weinstein, Palemade et Miller par rapport à la dénonciation des affaires Epstein et Diddy, ce n'est pas de dire que dans leurs cas nous serions condamnés, mais que dans les affaires d'Epstein et de Diddy, il s'agit de chantages synonyme de très graves ingérences étrangères, privées ou particulières, au détriment de la bonne politique et donc de la vie et du bien commun du peuple voire du monde... D'ailleurs l'affaire Epstein a permis le démantèlement du principal réseau de chantage israélien sur les élites politique, financière et artistique des USA et donc de nombreuses autres nations. Ainsi même si tous les autres principaux responsables ne sont malheureusement pas arrêtés, l'essentiel est la profonde diminution voire la fin de l'influence néfaste du réseau. L'affaire Epstein et Diddy sont possiblement des coups de Trump ayant annoncé qu'il va nettoyer les USA du mauvais pouvoir profond. A cause d'un mondialisme à outrance qui a détruit les économies, une démondialisation se met ainsi finalement en place, mais seulement pour le peuple et la classe moyenne, et toujours sans les nations, pour que l'oligarchie mondialiste reste des deux côtés de l'économie comme d'habitude pour gérer les crises (récessions) et les croissances. Or cette fois dont à travers le covid, cette oligarchie mondialiste cherche à arrêter la démocratisation de l'économie (dont elle a profité) et donc du low-coast liés au tourisme de masse prolétaire et de la moyenne bourgeoisie, car ce système leur rapporte de moins en moins d'argent, mais aussi car avec l'automatisation et le numérique, elle n'a plus besoin de la masse prolétaire pour faire tourner l'économie et cela pourrait même aller jusqu'à un génocide massif progressif dont à cause des futurs effets secondaires des vaccins déjà importants. Ainsi les seuls qui profiteront du monde ouvert d'avant seront cette oligarchie mondialiste. Surtout que cette crise du Covid associée à la crise énergétique pourrait durer longtemps, d'autant plus que même en devant lutter contre, on pourrait ne rien y faire selon le plan divin, c'est à dire s'il s'agit de laisser un plan diabolique se réaliser momentanément à des fins morales, de changement de paradigme bénéfique à l'humanité, ou/et de réveil spirituel massif. En effet le système ne peut plus nous vendre la mondialisation heureuse ou la respectabilité des élites médiatiques, politiques ou économiques par preuve des crises sanitaires, guerrière et énergétiques. Les masques tombent et la tyrannie se voit de plus en plus clairement comme lors des persécutions contre des médecins et dissidents, car dans tout plan ou affrontement, la radicalité apparaît dans les temps derniers que sont également la fin des temps selon les prophéties monothéistes. Surtout que rares sont désormais ceux, la lassitude aidant, qui se permettront encore une réflexion désobligeante devant un nez dénudé hors du masque sanitaire, même s'il persiste les attitudes inacceptables de personnes qui se transforment en petits tyrans ou grotesques chefaillons, puisque cette division populaire entre pro-masques et anti-masques a effacé gravement l'empathie et évité la lutte des classes, à tel point que pendant les confinements, 70 % des appels téléphoniques à la police ont été des délations de personnes ne respectant pas les consignes de sécurité sanitaire. « Il y a aussi ceux qui considèrent leur existence comme tellement dénuée d’intérêt ou d’excitation qu’ils ont tendance à vivre par procuration à travers les calamités et les conflits. Pour eux, l’épidémie de Covid et les confinements ont donné un sens à leur vie. Oui, c’est triste et pathétique, mais c’est ainsi que beaucoup de gens font face à l’obscurité et au manque de mérite. Ces opportunistes ne voulaient pas que la pandémie prenne fin. Ils voulaient qu’elle dure toujours, parce que si c’était le cas, ils pourraient se nourrir du changement de pouvoir de l’establishment. Ils pouvaient ramasser les restes de la table des globalistes et, comme une charogne, se régaler du cadavre de notre République. Le motif ? La vanité égoïste, c’est tout. Tout cela pourrait très bien se reproduire. Les grands tyrans et les petits tyrans sont toujours là, attendant la prochaine crise, le prochain événement de panique pour prendre le public au dépourvu. Un autre événement viral est peu probable, mais ils semblent impatients d’utiliser le changement climatique, la guerre et les troubles économiques comme le prochain grand bouton de « réinitialisation ». En fin de compte, il faudra changer radicalement la façon dont les partisans de la liberté interagissent avec les libéraux autoritaires. Il est clair que nous ne pouvons pas partager le même pays, ni la même civilisation. Nos valeurs sont fondamentalement opposées. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’une simple étincelle ne déclenche une tempête de feu. D'ailleurs la gauche politique utilise les malades mentaux comme une matraque, un outil facilement manipulable pour semer le chaos. Pendant les confinements et les restrictions, l’establishment et les médias ont attisé les feux de la paranoïa. Ils n’ont aucun pouvoir à eux seuls ; ils ont besoin de la foule déchainée comme arme pour maintenir le reste du pays dans la peur et la discipline. Ils avaient besoin d’une bonne petite Stasi, toujours en train de surveiller, toujours en train de corriger, toujours en train de crier après ceux qui ne portaient pas de masque, d’attaquer ceux qui refusaient de se faire vacciner et de se moquer de ceux qui dénonçaient les incohérences scientifiques. En retour, l’establishment donnait aux malades mentaux l’impression d’être normaux. Pendant un moment fugace, les personnes les plus instables et les plus narcissiques de la planète ont eu l’impression d’être du bon côté de l’histoire et de la rationalité. Il s’agissait d’une boucle de rétroaction parasitaire qui a failli détruire les derniers vestiges de l’Amérique. Il y a généralement deux sortes de personnes dans le monde : celles qui veulent avoir le pouvoir sur les autres et celles qui veulent simplement qu’on les laisse tranquilles. L’idéologie progressiste semble être un terreau fertile pour les « petits tyrans » : des personnes qui n’ont aucun pouvoir individuel, peu de réalisations et aucune influence à proprement parler, mais qui sont tout de même obsédées par la micro-gestion du monde qui les entoure. Ces personnes considèrent les crises et les excès des gouvernements comme une opportunité plutôt que comme une menace. » (Brandon Smith) Il apparaît donc que cette crise du covid pourrait aussi avoir cherché à détruire la morale traditionnelle (chrétiennement humaniste, dont donc en effaçant le côté compatissant des gens et en montant les gens les uns contre les autres) et à construire une tyrannie ultra numérisée et robotisée, pour faire du maximum de la population des esclaves lobotomisés par leur consentement paresseux, c’est à dire, esclaves jusque dans leurs esprits et leurs cœurs, dont à travers le télétravail faisant économiser des loyers de bureaux aux multinationales, voire les faisant transformer lucrativement en appartements à louer, et donc en centralisant encore plus l'économie au profit des très riches. D'ailleurs la crise du covid a en plus servi à préparer le peuple à l'inflation du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine favorisant encore plus le télétravail et centralisant encore plus l'économie, car les PME/PMI ne pourront tenir financièrement par rapport aux multinationales des super riches. D'autant plus que les ultra riches sont plus préservés des problèmes de l'inflation par rapport à la classe moyenne et qu'ils payent souvent peu voire pas d'impôts par rapport à eux. De plus après avoir détruit le Réel (économique, en particulier la classe moyenne) par des capitaux virtuels usuriers, les oligarchies corrompues réinvestissent dans le Réel avec des capitaux virtuels. En effet par l’hypercontrainte voire l’hyperviolence, elles ont une volonté délibérée de nuire pour accaparer un maximum de ressources. C'est pourquoi un des buts des crises sanitaire, inflationniste, énergétique, ukrainienne et banlieusarde, est de ruiner l’UE au profit des USA. La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante : « Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre. » La définition légale d’une conspiration est la suivante : « Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. » Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’une conspiration (dans les juridictions de droit commun) ou d’une entreprise criminelle commune (ECC) en vertu du droit international. Ainsi il est clair que la gestion politique du COVID-19 est un arnaque qui a été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés. Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres. En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même. Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions. Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage. Et il ne fait donc aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés. Dans les juridictions de droit commun, l’innocence est présumée, mais les preuves qu’un préjudice a été délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par la plupart des gouvernements du monde, ont clairement trouvé leur origine dans les groupes de réflexion mondialistes et les institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie peu dangereuse. Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que malgré leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre les preuves librement disponibles suggérant que la dangerosité du COVID-19 est très exagérée. Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés. « Seule certitude, les Français ont compris que le futur sera chaotique. Les inconséquences de la prétendue « stratégie » de vaccination en sont le prélude amer. Gestion sanitaire sournoise, décroissance économique, chômage en mode panique, finances de l’État et des entreprises sur le fil du rasoir, restructurations de secteurs entiers : autant de pierres d’achoppement qui mettront face à face un exécutif au bout du rouleau et une opinion publique à cran. » (Le Figaro) « Lorsque les élites (occidentales actuelles) appellent à un « choc financier », elles appellent en réalité à un étranglement dramatique du système afin qu’il ne puisse plus maintenir la population existante. Lorsqu’elles réclament une taxation et un tribut à l’échelle globale au nom de l’« égalité », elles n’essaient pas de rendre tout le monde également riche, elles veulent que tout le monde soit également pauvre. Et lorsqu’ils réclament une surveillance centralisée des nations au nom de la sauvegarde de la planète, ce qu’ils veulent vraiment, c’est une gouvernance mondiale. » (Brandon Smith) « Mon voyage en Russie m’a apporté la confirmation définitive que l’Occident libéral était un immense hôpital psychiatrique, dirigé par des fous ! Le transsexualisme, c’est-à-dire l’automutilation du corps, est l’une des formes de la psychose et est aujourd’hui enseigné aux enfants dans les écoles en Occident. Toutes les pathologies mentales et sociales sont au pouvoir en France et en Occident. Ce qui n’est pas le cas en Russie. Cela recoupe à peu près la division du monde entre capitalisme et communisme. Comment expliquer que le communisme et la société russe qui en est sortie soient en meilleure santé mentale que les sociétés qui n’ont connu que le capitalisme et le libéralisme ? Je vais tenter de l’expliquer. Transsexualité, trans-esthétique, transphobie, tous ces types de « trans » sont le désir incontrôlé par lequel le capital occidental tente de dominer le monde. Chez les Russes, la transgression en tant qu’instrument de la volonté de puissance perd son pouvoir. Car le communisme, comme le christianisme, dont la Russie est issue sur le plan civilisationnel, est ce qu’on appelle la « cinquième politique », après la tyrannie, la démocratie, l’oligarchie et la ploutocratie. L’Occident a connu les quatre : le pouvoir des dictateurs, le pouvoir des marchands, le pouvoir des démagogues et le pouvoir de la foule. Platon disait que la démocratie serait la pire des politiques car elle conduirait inévitablement à la tyrannie. C’est ce qui s’est passé avec le pluralisme occidental, qui cache les nationalismes les plus fous et les prétentions mondialistes. Derrière chaque bonbon occidental se cache un autre poison local, et derrière chaque rouge à lèvres mondial se cache du sang ethnique. Le multiculturalisme n’existe pas : il s’agit d’une manipulation mondialiste visant à justifier la perversion et le mal. Tolérer le mal, c’est trahir le véritable événement, c’est trahir le bien, c’est renier le Christ. Le communisme a, dans une certaine mesure, repris le christianisme et enseigné les mêmes choses que l’orthodoxie russe, mais sous une forme laïque : solidarité, volontarisme, collectivisme, sacrifice, amour, justice, liberté réalisée, devoir. Le monde occidental ne fait que parler de liberté, mais il n’est pas libre : il est complètement dépendant de ses désirs et de ses maîtres qui dirigent ces désirs. La Russie n’a pas voulu s’agenouiller devant la société du désir, elle est restée une société de droit et n’a donc pas besoin de la démocratie libérale occidentale. Le mondialisme néolibéral est la pire forme d’esclavage, une forme de mal rampant et transparent. Par conséquent, pour nous, Russes, nos traditions ne sont pas du tout un fondamentalisme ignorant, mais une manière de résister au monde global de l’Occident collectif. Nous sommes passés par le prémoderne, le moderne et, dans les années 90, le postmoderne. Nous avançons, non sans difficultés, non sans craintes, mais nous avançons. L’Europe, en revanche, reste dans la postmodernité par inertie, c’est-à-dire dans une société de désir effréné, un spectacle de mort recouvert de chansons douces sur le confort. Les films de Tarantino le montrent bien, comme ceux de Lynch, de Kusturica, de Stone. Il est temps pour l’Europe de dire adieu aux idoles transnationales américaines. L’Europe a été plus libre tout en restant traditionnelle. J’ai toujours aimé l’école française de philosophie : pour moi, Lacan et Badiou ne sont pas des mots vides de sens, ce sont de grands génies de la pensée. Mais aujourd’hui, l’Europe, en la personne de ses élites, s’est vendue aux mondialistes et se trahit elle-même. Cela vaut pour la droite comme pour la gauche. Les élites corrompues ne se soucient pas de la vie des gens ordinaires, elles ne se soucient pas de la justice de classe. Elles ne se soucient pas non plus des traditions nationales authentiques ; elles transforment toute culture nationale en une attraction touristique. C’est pourquoi je pense que les ailes libres de gauche et de droite de l’anti-mondialisme en Occident, si elles existent encore, devraient s’unir pour préserver la vie humaine en Occident et ne pas être accablées par le mondialisme. Merci Evgenia pour ces analyses de très haut niveau, et à bientôt ! » (Extraits de l'entretien « Lucien Cerise s’entretient avec Evgenia Bilchenko, ancienne égérie de l’EuroMaïdan » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-s-entretient-avec-Evgenia-Bilchenko-ancienne-egerie-de-l-EuroMaidan-73212.html) A moins d'être un despote éclairé, cette psychologie du pouvoir similaire à celle du sociopathe aboutit à devenir l'expression d'une paranoïa permanente cherchant toujours la conception de vaste plan de contrôle social ou/et d'une fréquente transgression voire perversion (sexuelle, morale, etc) conduisant logiquement à rechercher la tyrannie parfaite. Et c'est pourquoi pour l'instant l'actuelle tyrannie sanitaire, financière, technologique, numérique et médiatique devient la plus aboutie de l'humanité, puisque l'enfermement physique du confinement consenti crédulement par le peuple (associé au masques des enfants, aux vaccins presque obligatoires, à la distanciation sociale) a été rajouté à l'encerclement psychologique provoqué par le système de consommation, la technologie moderne et toutes les idéologies obscures tel du genre (et Lgtbtisme). Ce niveau d'encadrement carcéral est donc aussi largement supérieur à celui de l'union soviétique, surtout qu'en France par rapport aux USA les hommes n'ont pas l'accès aux armes pour créer des milices, ce qui en fait un des pays les plus sujets au génocide qui en découle et donc les plus morbides, tant que les gens ne se réveillent pas en masse. Ces ingénieries sociales s'apparentent au diable qui veut rester cacher dans l'invisible en faisant croire que lui et ses mauvaises insufflations de pensées n'existent pas, afin de souvent occuper l'être humain futilement pour lui faire perdre son temps et le dominer, jusqu'à ce qu'il perde en voyant avec un immense regret d'inutilité impie l'ange de la mort lors de son décès synonyme de possible envoie en Enfer. En effet la seconde est l'unité de mesure et de valeur la plus précieuse, car nous permettant de faire des actions bonnes, religieuses et rapprochantes de Dieu, puisque nous offrant uniquement sur terre la possibilité de dépenser pieusement avant que Dieu dépense éternellement pour Ses hôtes au Paradis. Il ne faut donc plus jouer au jeu égarant des mondialistes et retrouver le monothéisme pieux, charitable, droit, solidaire et par conséquent authentique. Or ivres du pouvoir que l’exécutif leur a donné, des officines antiracistes comme la LICRA voient sournoisement de plus en plus du racisme partout, même quand il n’y en a pas, car c’est leur raison de vivre et de recevoir des subventions financières gouvernementales, et surtout car avec certains autres lobbies, ils réussissent à avoir une influence néfaste contre la liberté d'expression ou développent la division les favorisant. En effet il est clair que l'antiracisme exacerbé crée du racisme horizontal dans les deux sens en faisant oublier la lutte verticale et donc préserver les élites perverses au pouvoir dont font partie de nombreux sionistes de l'hyper classe. C'est pourquoi la communauté juive doit se désolidariser de la LICRA, et de personnalités comme Attali et Rothschild pour mieux se faire percevoir. L'antiracisme institutionnel lié à la tyrannie sioniste par la manipulation est donc en réalité une incitation à la haine raciale entre noirs et blancs, voulue par des gens dont la détermination première est le mépris et la haine raciale, correspondant parfaitement au concept de peuple élu suprémaciste, d'autant plus car le judaïsme est basé sur le sang de la mère qui est la plus belle démonstration de racisme, alors que le christianisme et l'islam authentiques sont basés sur le sang du père, c'est à dire sur la piété du cœur quelle que soit notre origine en particulier car nous descendons tous d'Adam et Eve. Le rêve biblique dont s’inspirent les sionistes est donc perversement fondé sur la notion de « peuple élu », qui est un « racisme métaphysique ». Les pères du sionisme, majoritairement athées, ont transposé cette notion dans l’idéologie dominante de leur temps, en concurrence avec le racisme germanique. Moses Hess, qui inspira le fondateur historique du sionisme Theodor Herzl, opposait aux théories de son ami Karl Marx l’idée que les guerres de races sont plus importantes dans l’histoire que les luttes des classes, et estimait que « la race juive est une race pure » aux caractères « indélébiles ». Or comme cette situation empire malgré les leçons de l'histoire, cela s'orientera à nouveau de plus en plus vers une révolte violente contre le système. Surtout qu'il y parfois des bugs dans la matrice mondialiste : par exemple le sionisme se heurte parfois à l’antiracisme (ou au féminisme). Par conséquent il faut renvoyer dos-à-dos ces deux formes d’essentialisme. En effet ces deux formes de racisme ou d'incitation aux tensions raciales sont appelées à se détruire l’une l’autre. Or même le CRIF parle des juifs du matin au soir pour les distinguer des français ; les séparatistes parlent des noirs du matin au soir pour les distinguer des blancs ; les LGBT parlent du matin au soir des différentes orientations sexuelles pour les distinguer des hétérosexuels ; les gauchistes parlent des fascistes du matin au soir pour les distinguer des démocrates... Tous ont intérêt à ce que la nation ne se ressoude pas, car ils tirent leur pouvoir et leur pérennité de sa dislocation et de sa vente à la découpe, qu’elles soient politique, économique ou culturelle. Pour y parvenir ces minorités affichent une attitude moralisatrice contre la haine justifiant leur haine, leur colère et leur intimidation jusqu'à une lutte à mort contre la cause adverse puisque devant disparaître selon eux. Mais la manipulation qui consiste à amalgamer toute vérité, aussi déplaisante soit-elle, à de la haine, ne tient plus. « Le parti démocrate est le parti préféré des Français et des Européens ; c’est le parti dit-on du social et des minorités, le parti des écologistes et des LGBTQ et le parti surtout de la guerre à mort contre la Chine et la Russie. Quand Obama fit soi-disant tuer le Ben Laden de service, Kagan se rengorgea et se dit que l’on pouvait « démocratement » mener une guerre messianique d’extermination contre le reste du monde. Surtout avec Trump en face… Mais le parti démocrate c’est surtout celui des deux premières guerres mondiales : les USA ont vu, ils sont venus, ils ont vaincu – et comme dit Trotski ils ont commis à leur service la social-démocratie européenne pour mettre l’Europe à la portion congrue. Il semble que le parti démocrate invincible et indéboulonnable sera aussi le parti de la troisième guerre mondiale qui achèvera le vieillard débile et consentant européen. En France terre des droits de l’homme et des guerres en boucle on honore surtout le parti démocrate. Le téléphage froncé voulait dans les sondages voter à 90% pour Biden contre Trump qui lui garantissait la paix et l’énergie peu chère (mais on ne refera pas les Français). On honore la mémoire de Roosevelt (Franklin Delano), de Wilson donc ou de Kennedy. On y a déifié Obama en France, qui a démoli la Libye, peuple l’Europe de migrants, et qui a déclenché les hostilités finales contre la Russie en 2014, tout en recevant un prix Nobel à Stockholm et en déclenchant sur ordre écolo-bancaire la liquidation de nos industries. Ce parti démocrate mène le monde à sa perdition avec sa troisième guerre mondiale contre la Chine et la Russie ; il mène l’Europe à sa ruine totale et il livre l’Amérique aux hordes ethniques comme on dit, au lobby LGBTQ et à la faillite financière via la dette – le tout sur fond de hausse infinie et arrogante de la bourse. C’est lui qui peuplé de « dibbouks » (Kunstler) a créé sous Wilson (élu grâce à une division des républicains et à une participation abusive et sans doute contrôlée de Théodore Roosevelt aux élections présidentielles de 1912) la Banque Fédérale avec les Warburg, c’est lui a liquidé le libéralisme américain et renforcé et créé l’Etat moderne (voyez l’ouvrage collectif de Denton, Goldberg ou Hoppe), c’est lui qui a militarisé la nation et créé les mille bases, c’est lui a créé la Deuxième Guerre Mondiale et réduit l’Europe à la portion congrue, c’est lui qui avec Truman a créé de A à Z la guerre froide contre la Russie (génial Ralph Raico) et c’est lui qui a fait la guerre pendant dix ans au Vietnam, guerre inutile, assassine et cruelle. Mais c’est lui qui est adoré. Et ce parti en même temps qu’il veut une guerre d’extermination contre la Russie et la Chine désire remplacer la population (quelque que soit le pays qu’il contrôle en Europe) et liquider agriculture et industrie (Harris-Kerry). Et c’est normal puisque c’est le parti non pas du chaos (comme dit Kunstler) mais de la mort. L’occidental des temps de la Fin adore l’obscur, disait Guénon, alors qu’il adore la mort. Et on ne parlera pas de JFK par pitié. On répétera avec Trotski : « Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue... La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie allemande et française, que font les socialistes de toute l’Europe ? Ils s’éduquent et s’efforcent d’éduquer les masses ouvrières dans la religion de l’américanisme; autrement dit, ils font de l’américanisme, du rôle du capital américain en Europe, une nouvelle religion politique. » (Article « Les mystères de notre soumission au parti démocrate américain – Nicolas Bonnal » à l'adresse https://strategika.fr/2023/07/21/les-mysteres-de-notre-soumission-au-parti-democrate-americain-nicolas-bonnal/) Nous avons donc le devoir de ressouder le pays partout où les forces centrifuges agissent contre l’intérêt national. Le nationalisme français de réunification n’est pas attaqué pour rien depuis 50 ans maintenant : il est justement cette force intrinsèque exemplaire mondialement qui permet de cicatriser toutes les plaies, celles que le poignard des forces occultes et centrifuges lui inflige dans le dos. Le nationalisme patriotique, c’est tout simplement la réconciliation. C'est dans ce sens que le recours généralisé par Washington à des sanctions illégales comme un outil politique pour porter atteinte aux gouvernements indépendants et rivaux ainsi qu'aux hommes politiques et hommes d’affaires, a incité une large coalition de nations (Russie, chine, Iran..., BRICS, OCS) à travers le monde à « réécrire » les règles du système financier international visant à mettre fin à l'ordre dominé par les États-Unis. « Bitcoin n’est pas simplement de l’argent qu’on utilise sur Internet. C’est la première fois que nous avons un système décentralisé et sans confiance, où vous pouvez transmettre de la valeur à travers le monde sans avoir besoin d’intermédiaires. Les implications de cette rupture (invention des cryptomonnaies) sont si profondes qu’elles remettent en question la nature même de l’économie et de l’État (et peuvent amener naturellement un retour du califat bien guidé au niveau économique dont par sa transparence). C’est une innovation qui a le potentiel de changer le monde de manière aussi radicale que l’Internet lui-même l’a fait. » (Andreas M. Antonopoulos) Comme l’automobile a représenté une avancée qui a modifié de nombreux aspects de notre mode de vie qui étaient les mêmes depuis des milliers d’années, les rendant primitifs, nous pouvons nous attendre à ce que les changements qu’apporteront Bitcoin soient tout aussi significatifs. Par ailleurs les journalistes mainstream se plaignent aussi désormais de plus en plus d'être commentés en permanence sur les réseaux sociaux par des soi-disant « haineux » qui les accusent de soumission au système et de restriction de la liberté d'expression, alors qu'il s'agit beaucoup plus souvent de railleries ou de remarques judicieuses voire légitimes. Or ces journalistes mainstream qui se victimisent injustement devraient regarder ce qui se passe en France sur l’Internet concernant les journalistes non mainstream qui subissent toutes les pressions oligarchiques possibles. En effet le combat contre l'oppression des internautes est un enjeu crucial pour la liberté d’expression, surtout que ce sont les journalistes mainstream qui trouvent normal de ne pas accorder la parole à ces « mauvais » journalistes (dissidents) après avoir liés leurs analyses à tous les maux listés par la dominance : racisme, antisémitisme, antiféminisme, antimaçonnisme, anti-LGBTisme, anti-mondialisme, complotisme ; toutes ces fausses accusations destinées à bloquer la pensée et le débat. C’est là que l’on comprend toute l’importance étymologique du format, c’est-à-dire de l’obligation de se soumettre au catéchisme dominant que sont les tentacules (piliers) du mondialisme à connaître : féminisme, antiracisme, sionisme, antichristianisme, homosexualisme, mercantilisme, immigrationnisme, égalitarisme au lieu d'équitarisme, individualisme. Celles-ci pèsent sur l’intelligence, l’honnêteté, la droiture, la foi et la piété. Ce sont alors les journalistes mainstream qui se comportent comme une armée de trolls (internautes considérés comme générant des polémiques contre ceux qui font honnêtement leur travail), alors que sur internet le véritable journalisme libre du peuple avec des moyens rudimentaires mais l’esprit collé aux intérêts du peuple est devenu l'information authentique, ce que les journalistes mainstream ont perdus de vue depuis longtemps, attachés qu’ils sont à leur niche oligarchique. C’est le syndrome de l’occidental pétri de bons sentiments qui s’émeut pour le clandestin miséreux qui entre en France mais qui ne voit pas le SDF national qui crève sous ses yeux dans la rue, dans SA rue, et qui ne dénonce pas les persécutions envers les journalistes non mainstream à la fois économique (pas d'argent, pas d’aides, pas de subventions publiques à la différence d'eux, multiples ennuis bancaires), juridique (pressions, menaces et procès en cascade) et médiatique (zéro invitation sur le service public audiovisuel pourtant garant du pluralisme des idées). Même les journalistes de gauche (suivant désormais seulement celle sociétale) n'en parlent jamais. Ils ne parlent que pour défendre les pseudo victimes (minorités) et en oubliant la majorité, et se mettent ainsi au service des médias de l'oligarchie privée, tous ces organes de propagande divisant le peuple et servant les intérêts de la Politique, de la Banque, de la Finance corrompues, etc... L'ingénierie sociale existant depuis plusieurs siècles et étant toujours utilisée par les élites mondialistes très riches pour conserver leurs privilèges provient de la magie noire et des milieux kabbalistiques. Selon Kevin Barrett : « Le pouvoir tribal juif a « hypnotisé le monde » de diverses manières, bien avant que l’État-nation moderne (ou plutôt la colonie de squatters génocidaires) appelé « Israël » ait été fondé en 1948. L’hypnose littérale, bien sûr, consiste à induire un état de transe au cours duquel le sujet hypnotisé devient hautement influençable. L’hypnotiseur peut non seulement susciter d’étonnantes prouesses d’obéissance automatique, mais aussi implanter dans l’esprit du sujet des suggestions post-hypnotiques (ou traumatiques) qui peuvent influer sur son comportement ultérieur, voire même le contrôler entièrement, comme pour le pseudo assassin de J.F.Kennedy, Lee Harvey Oswald. Or cette accusation contre Oswald pourrait être un détournement d'attention afin d'échanger les grosses enquêtes nationales contre la mafia sicilienne, les sionistes, la CIA et les mondialistes, avec la petite contre les communistes américains et russes. Surtout qu'un mafieux juifs l'a tué et donc empêché d'être jugé. « Pourquoi la CIA voudrait-elle tuer Kennedy, de toute façon ? Pourquoi ne pas simplement lui faire perdre les élections de 1964 ? La CIA avait sûrement les moyens de le faire, si son contrôle sur les médias était aussi grand qu’on nous le dit. La CIA avait-elle un besoin urgent et impératif de tuer Kennedy, qui ne pouvait pas attendre un an de plus ? Non. Au cours de l’année de campagne qui commençait, Kennedy n’allait pas faire quoi que ce soit qui puisse donner à ses ennemis une raison de l’accuser d’apaiser les communistes. Quoi qu’il en soit, le scénario le plus probable, à mon avis, est qu’Angleton ait été encouragé ou convaincu, directement ou indirectement par ses « amis » du Mossad et par Johnson, d’organiser l’embuscade de Dallas, ou d’y contribuer, avec peut-être, l’aide de Hunt et de quelques exilés cubains, sans oublier les services secrets (même si la participation de ces derniers au crime a plutôt été supervisée par Johnson). Pourquoi Israël avait-elle besoin de détourner une opération de la CIA, plutôt que mener sa propre opération indépendamment ? Tout simplement, comme je l’ai dit, parce qu’Israël avait besoin que la CIA soit si profondément compromise que l’ensemble du gouvernement américain soit tenu de garder le secret sur toute cette affaire. Ils avaient besoin de la CIA non pas tant pour préparer la scène de l’attentat que pour la nettoyer ensuite et dissimuler leur crime. Ils avaient également besoin de preuves de l’implication de la CIA en tant que limited hangout (une technique de propagande) pour inciter les sceptiques dans cette direction – une stratégie qui a connu un tel succès que la théorie de la CIA est désormais mainstream. Ce scénario est similaire à celui que j’ai théorisé pour le 11 Septembre (ici), et je crois qu’il s’agit d’un principe opérationnel favoris des Israéliens. » (Laurent Guyénot) Au cours des 2 500 dernières années par l'ésotérisme occulte, une élite tribale juive intergénérationnelle a perfectionné les moyens de court-circuiter les facultés rationnelles de leurs victimes (à commencer par les juifs n’appartenant pas à l’élite) tout en leur inculquant des croyances et des comportements irrationnels qui apportent richesse et pouvoir à cette même élite. Beaucoup de leurs techniques de contrôle moderne rappellent l’hypnotisme voire sont synonyme d'un envoûtement par la télévision de la foule en particulier envers les personnes sans piété ni protection spirituelle religieuse. Cette voix de l’élite cognitive juive, se faisant passer pour la voix de Dieu, exerçait et exerce toujours le même genre d’autorité charismatique et irrationnelle sur ses victimes que la voix de l’hypnotiseur sur ses sujets hypnotisés. Les premières victimes de cette « hypnose » étaient des juifs n’appartenant donc pas à l’élite. Mis en transe par le récit puissant de l’élite cognitive, ils se sont soumis à l’autorité de leurs prêtres, rabbins et scribes de la même manière qu’un sujet hypnotisé se soumet à l’hypnotiseur. L’élite tribale juive a créé « un peuple qui demeure séparé » en isolant leurs sujets, en encourageant l’endogamie et en les forçant par la terreur à s’isoler des goyims au lieu de les inviter au monothéisme. Or à travers la gestion de la crise sanitaire du covid, l’élite mondialiste se prétendant juive traite aussi le peuple israélien comme de vulgaires goyim. » Comme le montre aussi Laurent Guyénot, l’élite cognitive juive a hypnotisé une grande partie du monde en lui faisant croire que leur dieu tribal Yahvé, représentant de l’autorité et des intérêts de cette même élite, était le Seigneur et le Créateur de l’univers entier. L’équivoque délibérément entretenue par l’ancienne élite juive entre le chauvinisme tribal de Yahvé et sa prétention à l’universel, n’est pas sans rapport avec la présentation équivoque de la judéité par l’élite juive d’aujourd’hui, tantôt comme religion, tantôt comme ethnie (selon la version qui sert le mieux l’intérêt de l’élite juive en fonction des circonstances). Les juifs et les goyims qui ne font pas partie de l’élite acceptent ces contradictions avec la même passivité que des sujets hypnotisés acceptent les ordres d’un maître hypnotiseur. Surtout qu'avec les écrans numériques souvent synonyme de divertissements massifs hypnotiques, le conditionnement de la population est encore plus facile. D'autant plus que des spécialistes ont constaté un affaiblissement de la mémoire parmi les jeunes générations : phénomène qu’on a voulu expliquer par différentes raisons bizarres et secondaires, mais dont la vraie cause est la modification de l’atmosphère générale (TV, appels téléphoniques futiles, zapping internet) laquelle semble provoquer une véritable altération de la structure psychique. Et c’était avant le smartphone. La déchéance de la mémoire a pour Evola des conséquences ontologiques. (Selon le neuroscientifique Michel Desmurget et son livre « Faites-les lire ! Pour en finir avec le crétin digital », la lecture (de récit, de romans et de textes religieux) est le seul antidote face à l’abêtissement dû aux écrans. En effet ce type de lecture est le principe essentiel de la construction des intelligences de l'enfance. Surtout que la lecture oblige plus à se concentrer sur le sens, car l'esprit doit en plus décrypter les mots et devient donc beaucoup plus restreint à s'évader ailleurs. Il est important de voir à ce sujet l'entretien : « Michel Desmurget - Le Grand Témoin - 20/09/2023 » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=vtwDuNJWnos) D'autant encore plus que par diverses publicités dont souvent à travers leurs ridicules intonations utilisées, par les chaînes d'information de plus en plus moralisatrice dans le progressisme ou par diverses autres causes comme la télé-réalité, l'infantilisation voire l'abrutissement et donc le rabaissement intellectuel et donc la soumission des peuples par le système s'amplifient. D'autant encore plus que l'abrutissement médiatique dans des sujets futiles se répandant donc, cela diminue le champ lexical (le vocabulaire) de nombreux gens en les faisant donc arrêter de penser, puisque lorsqu'on a pas les mots, il est impossible d'articuler des idées même si leur conception est bonne. Cette infantilisation de la société se perçoit clairement dans diverses publicités, mesures sanitaires et campagnes télévisuelles de prévention tout de même importantes. L'apprentissage et le développement de la connaissance sont un processus critique actif et un combat permanent contre l’éternelle paresse et les facilités du divertissement dans lesquels le système cherche à nous faire sombrer, que ce soient les sociétés commerciales pour nous vendre leur camelote ou les gouvernements pour nous asservir et nous contrôler. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Comment s'est-on fait prendre au piège ? Ingénierie sociale et manipulation des foules » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=584&v=m5QgeTxaTXE&feature=emb_title Le but poursuivi par une certaine élite juive visant à soumettre le monde par l’hypnose était déjà apparent vers 1 500 ap JC, lorsque le sionisme messianique d’Isaac Abarbanel a tracé le plan pour la création de l’État d’Israël plus de quatre siècles plus tard, et pour la guerre apocalyptique entre musulmans et chrétiens que cela déclencherait. Pour comprendre la signification du projet d'Abarbanel, nous devons nous rappeler que la pensée messianique juive ayant rejeté Jésus comme le Messie attend toujours la venue du Messie, mais en le considérant faussement comme un roi et un chef de guerre qui mènera les juifs à un triomphe militaire ou financier sur toutes les autres tribus (les goyims) et instituera 1 000 ans de pax judaïca, alors que ces 1 000 ans évoquent le possible règne de Jésus à son retour. Le début de cette pax judaïca de l'élite juive pourrait être le grand reset synonyme de fin du capitalisme libéral, car aussi fin de la pax americana ayant commencé en 1918 suite à un accord pour sauver l'Angleterre ou 1945 suite au dollar ayant hégémoniquement remplacé la Livre Sterling, mais ayant été en réalité le plus souvent en guerre, et aussi fin du dollar en tant que statut de monnaie de réserve mondiale. Or cette pax judaïca ne durera ou est en train de durer que 20 ans, car ces 1 000 ans concerne donc le possible temps de règne de Jésus à son retour. Car la pax américana suivi par la pax judaïca correspondant à la mise en place tyrannique du pervers voire satanique nouvel ordre mondialiste, wokiste, sioniste et ploutocratique de l'antichrist est probablement en train de se finir avec le retour de la Russie orthodoxe. Il est intéressant de voir à ce sujet l'article « Met Gala 2021 : une démonstration publique d’occultisme et de sociopathie élitaire » prouvant que le monde de la mode est devenu la diabolique matrice toxique de la dictature écologiste, woke, sioniste et ploutocratique à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/21/met-gala-2021-une-demonstration-publique-doccultisme-et-de-sociopathie-elitaire/ Abarbanel fut donc une figure clé du tournant hérétique et satanique du millénarisme juif, puisque marquant la transition de l’orthodoxie juive traditionnelle selon laquelle Dieu seul instituerait l’âge messianique sans aide humaine, à la doctrine sioniste selon laquelle les juifs devaient « forcer la main de Dieu » en reprenant Jérusalem et conquérant le monde eux-mêmes, au moyen s’il le faut de magie noire kabbalistique, de complots énormes, de gros mensonges, de meurtres de masse, d'armes de guerre, d’usure également comme arme de guerre, de chantages par la pédophilie et d’autres abominations. Aujourd’hui, Naturei Karta et d’autres juifs traditionnels véritablement orthodoxes considèrent légitimement le sionisme comme une hérésie satanique. Mais la plupart des communautés juives du monde et les populations dont ils dominent les médias ont été hypnotisées, afin de mordre dans cette pomme empoisonnée de sionisme en pensant qu’il s’agit d’une pomme fraîche et délicieuse. Arbanarel a recommandé aux juifs de retourner en masse en Terre sainte et d’orchestrer une guerre apocalyptique entre chrétiens et musulmans. Après que les chrétiens et les musulmans auront fini de se détruire, Abarbanel prophétisa que les juifs, sous le commandement de leur Messie, régneraient sur le monde depuis Jérusalem. Plus d’un siècle après qu’Abarbanel ait jeté les bases du Choc des Civilisations, la pré-incarnation du faux-messie juif qu'est Sabbatai Zevi, dont la carrière a connu son apogée en 1666, a donné naissance à la première vague de sionisme politique et populaire en persuadant un grand nombre de juifs d’émigrer en Terre sainte. La pensée de Zevi a été reprise au siècle suivant par Jacob Frank (1726-1791) qui a codifié la folie de Zevi dans la doctrine de la « purification par la transgression » pour hâter la venue du Messie puisque devant apparaître dans une époque de troubles dont moraux et ainsi plus seulement avec des actes de dévotions : la notion donc selon laquelle les individus et les communautés devraient « religieusement » commettre des crimes sexuels, des grandes corruptions et d’autres abominations. Ainsi le sionisme est à inscrire dans ce mouvement visant à hâter les temps messianiques puisque c’est le Messie qui devait ramener les juifs en Terre sainte. Des rumeurs de magie noire kabbalistique, de sacrifices humains et de pratiques sexuelles bizarres ont entaché les Frankistes, qui selon des intellectuels juifs tels que le journaliste d’investigation Barry Chamish, le rabbin Marvin Antelman ou d'autres intellectuels, étaient à la fois à l’origine de la monnaie fiduciaire libérale des Rothschild, du communisme et même du nazisme. Pris ensemble, le capitalisme des Rothschild puis des USA (libéralisme impie et donc athée) et le communisme marxiste puis de la Russie (hyper socialisme athée et donc impie), provenant donc tous deux de juifs et ayant permis la recréation impie de l'Etat d'Israël suite au nazisme, forment donc une sorte de double-coup dialectique athée hégélien au service du projet plus vaste qu'est le millénarisme juif matérialiste sécularisé. Ainsi alors même qu’elles « hypnotisaient le monde » en ayant participé aux massacres du peuple juif lors de la shoah et en le divisant en camps capitaliste et communiste, les élites juives hérétiques préparaient le terrain pour le sionisme, et selon le plan Abarbanel pour la guerre apocalyptique ultime entre chrétiens et musulmans devant mener à la tyrannie planétaire du Messie juif (Antichrist, Antéchrist, Faux Messie). Bible (Esaïe 49:17) « Tes destructeurs et tes bourreaux sortent de toi (peuple d'Israël). » La plupart des juifs ont tendance à appliquer cette observation divine aux dissidents juifs, mais l’histoire juive peut au contraire suggérer que ce sont les élites dirigeantes juives politiques, intellectuelles ou/et religieuses, qui ont souvent conduit leur peuple sur les chemins les plus désastreux et les plus tragiques. D'ailleurs le président d'Israël et celui de Pfizer ont déclaré qu'Israël était le laboratoire de l'occident pour lutter contre le covid, alors que c'était pour trouver comment pérenniser la crise sanitaire dans un niveau maîtrisable permettant de changer de paradigme. Bien que la prophétie attribuée à Albert Pike à la fin du 19e siècle sur les trois guerres mondiales orchestrées par la franc-maçonnerie et le sionisme soit peut-être apocryphe, la forte implication de l’élite franco-juive dans la Première et la Seconde Guerre mondiale et dans le choc des civilisations a été décrite de manière convaincante dans les quatre derniers chapitres du livre de Guyénot, From Yahweh to Zion. Ainsi le plan visant à entraîner la civilisation laïque post-chrétienne dans une guerre mondiale contre la civilisation musulmane, déclenché le 11 septembre 2001, est en quelque sorte une affaire de la famille Netanyahou réalisant le projet d'Arbanarel. Le journaliste Ron Unz a dit que c’est le Mossad qui a commis les attentats du 11 septembre 2001, mais Israël Shamir reste réticent à accorder autant de crédit au Mossad seul, car il a du être lié à la CIA, aux évangélistes pro-Israël, ou/et aux wahhabites. Selon Shamir : « Celui qui a commis l’attaque du 11 septembre 2001 a fait preuve d’audace et a apporté beaucoup de plaisir au monde abusé par les États-Unis. La grande majorité de l’humanité a apprécié de voir ses agresseurs frappés au cœur. Oui, la conséquence du 11 Septembre, la « guerre contre la terreur », a été horrible, mais les mêmes coupables de celle-ci auraient pu la déclencher avec un prétexte moins spectaculaire, ou sans prétexte aucun ?... Certes, l’histoire officielle du 11 Septembre est invraisemblable, mais pas plus invraisemblable que celle du Covid-19... » Voici ce qu'il écrivait en 2001 : « Comme les 4 cavaliers de l’Apocalypse, les kamikazes inconnus ont foncé dans leurs vaisseaux géants sur les deux symboles visibles de la domination mondiale américaine, Wall Street et le Pentagone. Ils ont disparu dans les flammes et la fumée, et nous ne savons pas encore de qui il s’agissait. Il pourrait s’agir de n’importe qui : des nationalistes américains, des communistes américains, des chrétiens fondamentalistes américains, des anarchistes américains, parmi tous ceux qui rejettent les dieux jumeaux du dollar et du MI6, qui détestent la bourse et les interventions à l’étranger, qui rêvent d’une Amérique pour les Américains, qui ne veulent pas soutenir la volonté de domination mondiale. Il pourrait aussi s’agir d’Amérindiens qui retournent à Manhattan ou d’Afro-Américains qui n’ont toujours pas reçu de compensation pour l’esclavage. Il peut s’agir d’étrangers de pratiquement toutes les origines, car Wall Street et le Pentagone ont ruiné la vie de tant de gens dans le monde entier. Les Allemands se souviennent de l’holocauste de Dresde, avec ses centaines de milliers de réfugiés pacifiques incinérés par l’armée de l’air américaine. Les Japonais n’oublieront pas l’holocauste nucléaire d’Hiroshima. Le monde arabe ressent encore l’holocauste rampant de l’Irak et de la Palestine. Les Russes et les Européens de l’Est ressentent la honte de Belgrade vengée. Les Latino-Américains pensent aux invasions américaines du Panama et de Grenade, au Nicaragua détruit et à la Colombie défoliée. Les Asiatiques comptent leurs morts de la guerre de Corée, de la guerre du Vietnam, des bombardements du Cambodge et des opérations de la CIA au Laos, par millions. Même un présentateur de télévision russe pro-américain n’a pu s’empêcher de dire que « maintenant, les Américains commencent à comprendre les sentiments de Bagdad et de Belgrade ». Les cavaliers de l’Apocalypse, ce peut être n’importe qui ayant perdu sa maison au profit de la banque, ayant été écarté de son travail et mis au chômage de façon permanente, ayant été déclaré « Untermensch » par le nouveau Herrenvolk. Il peut s’agir de Russes, de Malaisiens, de Mexicains, d’Indonésiens, de Pakistanais, de Congolais, de Brésiliens, de Vietnamiens, car leur économie a été détruite par Wall Street et le Pentagone. Ils pourraient être vous et moi, car ils sont tout le monde. Leur identité n’a aucune importance car leur message est plus important que leur personnalité, et leur message se lit haut et fort dans le choix des cibles. Si j’étais musulman, je préférerais attribuer le 11 Septembre à des héros musulmans plutôt qu’à des escrocs juifs. Il s’agit essentiellement de savoir si vous approuvez l’exploit en question. Si vous l’approuvez, ou du moins le tolérez, vous pouvez dire qu’il a été commis par des musulmans intrépides. Si vous ne l’approuvez pas, vous pouvez penser qu’il a été commis par des agents du Mossad qui, de toute façon, font toutes sortes de choses horribles. La vérité, c’est important, mais la narration autour de celle-ci, c’est précieux. » Pour revenir à la question de l’hypnose, il est évident que les élites juives ont joué un rôle important dans la découverte et la manipulation de l’esprit inconscient comme le prouve perversement Freud. Par cela, les élites juives cherchent à faire reconnaître le peuple juif comme le plus opprimé de l'Histoire afin de bénéficier de cette position même malhonnêtement. Et pour que les goys comprennent bien le message, ces élites juives ont utilisé leur extraordinaires richesses, leur quasi monopole sur les masses médias, leur influence politique massive et leur censure des points de vue alternatifs. La découverte de l’inconscient par Sigmund Freud a été transformée en arme par son neveu Edward Bernays et aussi instrumentalisée dans les « relations publiques », afin de manipuler directement l’inconscient des peuples dans un processus rappelant l’hypnose de masse, comme donc à travers la victimisation éternelle du peuple juif suite à la shoah et ainsi à son instrumentalisation par le chantage à l'antisémitisme entretenus par les grands médias pour faire passer le mondialisme wokiste, sioniste et ploutocratique. En effet même pour les français agacés par ce contexte, le système est devenu un oligarchique libéralisme-libertaire autoritaire puisque oppressant de plus en plus la droite des valeurs et la gauche du travail par manipulation médiatique presque jusqu'à l'accusation de sécessionnisme voire de terrorisme, surtout si c'est associé à l'antisionisme, à l’anti-judaïsme ou à l'anti-élites juives (incarnant toutes les élites de la superstructure du système et augmentant toujours plus son pouvoir dont par ce procédé), et évidemment à l'antisémitisme. « L’image des Juifs en tant que victimes en est la pierre angulaire. Elle élève les Juifs au rang de peuple saint: tous les autres peuples sont invités à se repentir et à ne jamais oublier leur culpabilité. Désormais, toute allusion à l’antisémitisme, sans parler des tentatives directes de révision du statut sacré des Juifs et de la métaphysique de l’Holocauste, est punissable. Or les politiciens sionistes de droite abandonnent le référent à l’Holocauste, car le capital moral des victimes de celui-ci est maintenant complètement épuisé. En effet comme Netanyahou a détruit Gaza, massacrant sans pitié des centaines de milliers de civils, puis attaqué le Liban, tuant tous les dirigeants du Hezbollah. puis échangé de tirs de roquettes avec l’Iran et ayant fait des préparatifs actifs de guerre contre ce pays dont des attaques contre des installations nucléaires, puis ayant envahi ce qui restait du plateau du Golan et ayant effectué des attaques contre la Syrie, Israël affiche désormais sa puissance, sa grandeur et sa cruauté actuelles, presque comme si nous étions revenus à l’Ancien Testament(, mais seulement car l'axe de la résistance musulman ne frappe pas massivement Israël pour éviter une troisième guerre mondiale, empêcher une destruction trop massive du Moyen-Orient, et attendre la bénédiction des pays musulmans unis et donc l'avénement du Mahdi). Aujourd’hui, les Juifs ne sont plus pris en pitié, mais craints, haïs, détestés ou admirés et, dans tous les cas, considérés comme une force puissante et impitoyable. L’identité juive a donc hangé. Elle n’est plus symbole d’humiliation et de souffrance, mais synonyme de domination et de triomphe. Il n’est plus nécessaire de penser depuis Auschwitz. Il faut maintenant penser à partir de Gaza. La tradition juive elle-même parle de deux Machia’h, celui qui souffre (Ben Yusef) et celui qui est victorieux (Ben David). Après l’holocauste européen, l’accent a été mis sur le Machia’h souffrant, la victime. Aujourd’hui, cette Gestalt est remplacée par le Machia’h victorieux, celui qui attaque, celui qui triomphe. C’est particulièrement évident en Israël même. Mais il est clair que cela ne s’arrêtera pas là. Il y a un changement d’archétype messianique parmi tous les Juifs du monde. » (Alexandre Douguine) Or cette vie permanente en rapport à la mort la perpétue voire l'industrialise et empêche les juifs de devenir un peuple normal dont en restant dans le passé plutôt que de vivre le présent et organiser le bon futur mondial. Le chantage à l'antisémitisme, la terreur à l’holocauste et l'oppression cherchant à faire condamner pour apologie du terrorisme même ceux qui ont simplement exprimé leur soutien aux palestiniens permettent aussi de justifier des guerres dont contre les palestiniens. Dans une interview accordée à Amy Goodman de Democracy Now le 14 aout 2002, Shulamit Aloni, ancienne ministre de l’Éducation d’Israël, a d'ailleurs déclaré que l’antisémitisme était utilisé comme un moyen de faire taire les critiques en occident et ainsi justifier les exactions contre les Palestiniens : « L’antisémitisme est une combine. En Europe, lorsque quelqu’un critique Israël, on lui sort l’Holocauste. Quand c’est aux États-Unis que les gens critiquent Israël, alors ils sont accusés d’antisémitisme. Il est bien plus facile d’accuser ceux qui critiquent certains actes du gouvernement israélien d’antisémitisme, d’invoquer l’Holocauste et la souffrance du peuple juif. Cela justifie tout ce que nous faisons aux Palestiniens. » La souffrance entretenue des juifs leur fait oublier celle des autres surtout en tant que peuple prétendument élu alors qu'il ne l'est plus. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « [Documentaire] Defamation » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=loNPmYUUzFs
Or un aspect de la victimisation correspond à une partie de la haine. En effet la victimisation des juifs donne la lutte contre l’anti-sémitisme et donc la haine envers toute personne critique de l'Etat d'Israël. La victimisation des femmes donne le féminisme et donc la haine contre toute personne revendiquant la famille traditionnelle. La victimisation des homosexuels devient la lutte et donc la haine envers toute personne valorisant l'hétérosexualité. La victimisation des colonisés donne la lutte contre le racisme et donc la haine envers toute personne recherchant le patriotisme. Or telle l'ingérence Etats-unienne à travers le monde par leur puissance politique, monétaire, financière et militaire, en déstabilisant divers partis politiques à travers le monde par l'accusation d'antisémitisme appuyée par les grands médias et l’emprise du judéo-sionisme sur les structures politiques ainsi que sur les esprits du monde occidental, connaît un rejet par de nombreux pays. Ceci explique pourquoi les organisations et intellectuels juifs sionistes de droite s’appuient ces dernières années en Occident sur le prétendu philosémitisme national de droite pour contrer l'antisionisme social de gauche. « La liberté d’expression est plus forte que la censure, parce que la raison est plus forte que le mensonge. Le mensonge, avec toutes les polices du monde, ne peut tenir éternellement : il s’effrite avec le temps, le temps tue le mensonge. Le temps serait-il raison (et antisioniste ) ? (Oui!) Sur le conflit IP, la tension est montée depuis le 7 Octobre entre les gardiens du dogme – pour qui les Israéliens sont des démocrates et les Palestiniens des terroristes – et les gauchistes qui retrouvent leurs fondamentaux, l’humanisme et l’anti-impérialisme. À noter que même si cette gauche est anticléricale, sur le papier, son humanisme descend tout droit du Christ, et sa raison de la Grèce ancienne. Cette gauche qui ne veut plus se taire devant l’injustice majeure se retrouve mise au ban, comme elle a mis au ban la droite nationale depuis 40 ans. Une droite nationale qui s’est rangée sous le drapeau israélien au moment où tout basculait. Un calcul historiquement perdant, alors qu’il fallait tenir encore un peu. Le programme de redressement national aurait dû prôner le retour de la voix de la France, à l’extérieur comme à l’intérieur : devant la folie destructrice israélo-américaine, et devant la meute médiatique inféodée à cette puissance. Au lieu de quoi, le RN d’aujourd’hui aboie avec les Américains et les Israéliens, qui sont mis au ban des nations (regardez les derniers votes à l’ONU, qui servent au moins à quantifier le rapport de forces). Quelle erreur de timing ! Les médias subventionnés coulent idéologiquement en direct devant tout le monde. Sur les Gilets jaunes, l’injection, les retraites, l’inflation, la corruption, le conflit IP, ils ont toujours pris le parti de l’oligarchie, celui de la répression et de la désinformation, et ils couleront avec. Les gifles ont endurci l’opposition, qui n’a plus rien à perdre. Le peuple est aux abois, il se demande comment il va finir le mois, et on lui demande de chanter chaque jour, en versant si possible une larme, l’hymne israélo-américain. Surréaliste. » (Rédaction ER) Bernays s’est servi des travaux de son oncle sur la psychanalyse et des théories psychanalytiques de Freud pour mettre en place des mécanismes de manipulation de l’opinion. Ils s’articulent ainsi comme la base de ses concepts à l’aide des dispositifs sociaux pour faire entrer le désir humain dans la logique marchande. Certes, d’autres avant lui comme les Sophistes de la Grèce Antique ou Machiavel durant la Renaissance italienne avaient expérimenté des techniques de manipulation de l’opinion publique. Mais Edward Bernays se joue des codes de la démocratie. Plus que cela, il la méprise et l’associe au chaos. Selon lui, les citoyens sont incapables de tenir leur rôle comme ils le devraient idéalement car ils ne sont pas assez ou mal informés. Bernays estime qu’un gouvernement invisible constitué de minorités agissantes devrait fabriquer du consentement à l’aide des outils de propagande pour aiguiller le peuple dans ses choix. Dans son travail, concevant des stratégies de communication, il a combiné les idées de Gustave Le Bon et Wilfred Trotter, ainsi qu'utilisé la psychologie des masses et les idées psychanalytiques de Sigmund Freud. Bernays a commencé une sorte de révolution en combinant les idées traditionnelles de l’agent de presse avec les technologies de la psychologie et de la sociologie, créant ce que les théoriciens appellent aujourd’hui les relations publiques modernes. Il a activement utilisé des idées de psychanalyse dans le but de maximiser les effets commerciaux, et tout cela dans le but de promouvoir divers services et produits. Gustave Le Bon (1841-1931) est un personnage important dans la conceptualisation des masses, ses travaux sont encore utilisés. Il a fréquenté la faculté de médecine de Paris mais n’a pas eu son diplôme. Il a été un anti-colonialisme et a dénoncé le concept de race. Afin de les comprendre, il s’est intéressée à l’influence du déterminisme social et sociologique pour expliquer des comportements sociaux humains, en s’appuyant aussi à la théorie de la dégénérescence de Bénédict Morel. Il a exposé ses thèses, en 1895, en publiant un livre sur ce sujet « psychologie des foules ». Ce livre précise que le comportement d’individus réunis n’est pas le même que lorsque les individus raisonnent de manière isolée. Il explique ainsi les comportements irraisonnés des foules. Ces études ont aidé aussi à conceptualiser les politiques du maintien de l’ordre français. Gustave Lebon avait classé et nommé les masses de la manière suivante : les foules dites criminelles ; les jurés de cour d’assises ; les foules électorales ; et les assemblées parlementaires. Les dénominations ont changé, maintenant on les dénominations sont : électorat, public, audience, consommateur etc.., mais les mobiles, les mécanismes et les facteurs d’influence et de manipulation des foules restent les mêmes. Gustave Le Bon a aussi nommé et étudié «le leader » en énumérant trois moyens d’action : l’affirmation, la répétition et la contagion. De nos jours, avec des mouvements populaires comme les gilets jaunes, on choisit ou on met en avant un chef de file avec ces techniques et il devient un agent d’influence et peut être un agent d’influence que ce soit voulu, à leur initiative ou poussé, et influencé. Wilfried Trotter (1872-1939) était un chirurgien anglais, un pionnier de la neurochirurgie. Il était également connu pour ses études sur la psychologie sociale, notamment pour son concept de l’instinct de troupeau, qu’il a d’abord décrit dans deux articles publiés en 1908, et plus tard dans son célèbre ouvrage populaire « Instincts of the Herd in Peace and War », un classique précoce de la psychologie des foule. Trotter a soutenu que la grégaire était un instinct chez l’homme tout comme les ruches, les troupeaux de moutons et les meutes de loups qu’il a étudié. Wilfried Trotter a rencontré à plusieurs reprises Sigmoud Freud car il apprécié ses travaux. Edward Bernays est ainsi devenu le père du lobbyisme, le maître dans l’art de manipuler l’opinion que ce soit à des fins politiques ou publicitaires. En réalité, les contributions de Bernays (et de Freud) n’étaient pas originales. En effet, elles doivent plutôt être considérées comme des versions modernes des techniques de contrôle de l’esprit vieilles de plusieurs siècles basées sur la « magie » kabbalistique, telles que décrites dans « Eros and Magic in the Renaissance » de Ioan Couliano. Il faut noter que la révélation de ces secrets kabbalistiques par Couliano lui a peut-être coûté la vie, puisqu'il a été assassiné dans des toilettes de l’Université de Chicago, cette Mecque des néoconservateurs, c'est à dire des gens prétendant défendre le judaïsme alors que servant à les faire dominer le monde d'abord par la laïcité matérialiste, l'utilisation de puissances (nations) étrangères et la déstabilisation mondiale liée à Israël. Ce qui n'est pas rejeté par les israéliens attendant la resacralisation officielle d'Israël. « Si l’on est en droit de considérer les néoconservateurs comme sionistes, c’est surtout en constatant que leurs choix en politique étrangère ont toujours coïncidé parfaitement avec l’intérêt d’Israël (tel qu’ils le conçoivent), au point de susciter de légitimes questions sur leur loyauté première. L’intérêt d’Israël est depuis toujours compris comme dépendant de deux choses : l’immigration des juifs d’Europe de l’Est et le soutien financier des juifs de l’Ouest (américains et, dans une moindre mesure, européens). Jusqu’en 1967, l’intérêt national fait pencher Israël vers l’Union Soviétique, tandis que le soutien des juifs américains reste réservé. L’orientation socialiste et collectiviste du Parti travailliste, fondateur et majoritaire, l’y enclint, mais ses bonnes relations avec l’URSS d’alors s’expliquent surtout par le fait que l’immigration massive des juifs n’est possible que par le bon vouloir du Kremlin. Durant les trois années suivant le départ des Britanniques (1948), qui avaient jusque-là limité l’immigration par égard pour la population arabe, 200 000 juifs polonais réfugiés en URSS sont autorisés à s’installer en Palestine, tandis que d’autres affluent de Roumanie, Hongrie et Bulgarie. Mais la guerre des Six Jours marque un tournant : en 1967, Moscou proteste contre l’annexion par Israël de nouveaux territoires en rompant ses relations diplomatiques avec Tel-Aviv et en stoppant soudain l’émigration de ses citoyens juifs, qui s’était pourtant accélérée dans les mois précédents. C’est à partir de cette date que Commentary devient, selon le mot de Benjamin Balint, « le magazine polémique qui a transformé la gauche juive en une droite néoconservatrice ». Dès lors, les néoconservateurs prennent en effet conscience que la survie d’Israël — et si possible son expansion territoriale — dépend de l’aide et de la protection militaire états-unienne, et simultanément que le besoin en immigration ne pourra être comblé que par la chute du communisme. Ces deux objectifs convergent vers le besoin de renforcer la puissance militaire des États-Unis. C’est la raison pour laquelle, écrit Irving Kristol dans la revue de l’American Jewish Congress en 1973, il faut combattre la proposition de George McGovern de réduire le budget militaire de 30 % : « C’est planter un couteau dans le cœur d’Israël. Les juifs n’aiment pas les gros budgets militaires, mais il est maintenant dans l’intérêts des juifs d’avoir un grand et puissant appareil militaire aux États-Unis. Les juifs américains qui se préoccupent de la survie de l’État d’Israël doivent dire ‘non, nous ne voulons pas réduire le budget militaire, il est important de garder un gros budget militaire, afin de pouvoir défendre Israël » Avec la fin de la Guerre froide, l’intérêt national d’Israël change à nouveau. L’objectif prioritaire n’est plus la chute du communisme (à cause donc de la fin de l'acceptation de l'émigration juive vers Israël par l'URSS suite à la guerre d’annexion de six jours), mais l’affaiblissement des ennemis d’Israël. Les néoconservateurs vivent leur seconde conversion, de l’anticommunisme à l’islamophobie. La démonstration de la duplicité des néoconservateurs repose sur la coïncidence entre la fondation du PNAC en 1996 et la publication par le think-tank israélien Institute for Advanced Strategic and Political Studies, d’un rapport intitulé Une rupture propre : une nouvelle stratégie pour sécuriser le royaume (d’Israël). Le rapport, adressé au Premier ministre nouvellement élu Benjamin Netanyahou, l’invite « à mobiliser toutes les énergies possibles pour la reconstruction du sionisme », ce qui suppose de rompre avec le processus d’Oslo, c’est-à-dire abandonner la politique « paix contre terre » de restitution des territoires occupés, et réaffirmer le droit d’Israël sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza. « Notre revendication de la terre — à laquelle nous nous sommes accrochés par un espoir de 2000 ans — est légitime et noble. Seule l’acceptation inconditionnelle par les Arabes de nos droits, en particulier dans leur dimension territoriale, « la paix pour la paix », est une base solide pour l’avenir. » Les auteurs de Rupture nette engagent donc le Premier ministre israélien à adopter une politique d’annexion territoriale contraire non seulement à la position officielle des États-Unis et des Nations Unies depuis toujours, mais contraire également au discours officiel d’Israël. Alors même qu’il signe en septembre 1999 la « Feuille de route » devant aboutir à un État palestinien et poursuit dans cette voie au sommet de Camp David en juillet 2000, Netanyahou suit les conseils de Rupture nette et travaille secrètement à saboter ce processus. Netanyahou a alors pour ministre des Affaires étrangères Ariel Sharon, qui qualifie ouvertement les Accords d’Oslo de « suicide national » et se prononce pour les « frontières bibliques », c’est-à-dire un Grand Israël ne laissant aucune terre aux Palestiniens : « Tout le monde doit se précipiter et s’emparer de toutes les collines qu’il peut pour élargir les colonies parce que tout ce que nous prendrons maintenant restera à nous » déclare-t-il le 15 novembre 1998. En 1999, Sharon succède à Netanyahou, qui devient à son tour ministre des Affaires étrangères. Le 28 mars 2001, la diplomatie internationale a placé la paix au Proche Orient à portée de main : 22 nations réunies à Beyrouth sous l’égide de la Ligue Arabe s’engagent à reconnaître Israël sous condition d’application de la Résolution 242. Mais le jour suivant, l’armée israélienne envahit Ramallah et assiège Yaser Arafat dans son QG, au mépris des protestations de la communauté internationale. Six mois plus tard, le 11-Septembre enterrera définitivement le processus de paix. Au-delà de cette politique locale, Rupture nette présente un plan permettant à Israël de « modeler son environnement stratégique , » en commençant par « retirer Saddam Hussein du pouvoir en Irak », puis en affaiblissant la Syrie et le Liban, et finalement l’Iran. (D'ailleurs c'est le Mossad qui a menti concernant la présence d'armes de destruction massive en Irak et c'est Israël qui a poussé les USA et l'Otan à la guerre en Libye et Syrie sous le pseudo prétexte de pacifier les risques régionaux, comme ils continuent de le faire vis à vis de l'Iran.) Ce que recommande Rupture nette pour l’Irak, par exemple, n’est nullement la démocratie mais la restauration d’une monarchie pro-occidentale. Il faut entraîner les USA à faire la guerre aux ennemis d’Israël, et pour cela convaincre les États-uniens que les ennemis d’Israël sont leurs ennemis. De surcroît, il faut que les États-uniens croient que ces ennemis détestent leur pays pour ce qu’il incarne (la démocratie, la liberté, etc.), et non en raison de son soutien à Israël, alors que telle est bien en réalité la principale cause du ressentiment contre les États-unis dans le monde musulman. (Après le 11 septembre,) L’un des buts évidents est de faire passer, aux yeux des États-uniens, l’oppression contre les Palestiniens (l’Irak, le Liban, la Syrie, l'Iran, etc) pour une lutte contre le terrorisme islamique (ou des dictateurs). » (Extraits de l'article « Le triple jeu des néoconservateurs – Laurent Guyenot » à l'adresse https://strategika.fr/2023/08/06/le-triple-jeu-des-neoconservateurs/) L’hypnose est basée sur la répétition : vous regardez la montre qui se balance d’avant en arrière, d’avant en arrière, d’avant en arrière, ou la cuillère qui tourne, tourne, tourne autour de la tasse, et vous entrez en transe hypnotique. Lewis Carroll résume admirablement l’équivalent verbal de ce type de répétition hypnotique : « Ce que je vous dis trois fois est vrai. » C’est pourquoi les téléspectateurs du 11 septembre 2001, stupéfiés à coup d’images traumatiques, ont subi des centaines de rediffusions d’avions pénétrant dans des bâtiments, d’avions pénétrant dans des bâtiments, d’avions pénétrant dans des bâtiments, puis de bâtiments explosant en nuages pyroclastiques, de bâtiments explosant en nuages pyroclastiques, de bâtiments explosant en nuages pyroclastiques, tandis qu’un défilé sans fin de têtes parlantes scandait « Pearl Harbor, Pearl Harbor, Pearl Harbor » et « Ben Laden, Ben Laden, Ben Laden ». En faisant concentrer sur une seule chose (un son régulier ou une image), l'hypnose peut faire passer des injonctions subliminales que l'on pourrait éventuellement refusé sans cela, comme aussi lors du covid et son « un bon citoyen est un citoyen vacciné, un bon citoyen est un citoyen vacciné, un bon citoyen est un citoyen vacciné ». Surtout que tout traumatisme en particulier massif comme les attentats du 11 septembre 2001 et la crise du Covid rend manipulables beaucoup de gens voire presque des populations entières, car il suffit d'alimenter ce traumatisme par des idées ou des affirmations. On ne peut imaginer un exemple plus honteux d’opération d’hypnose de masse, en particulier car il s'agit d'une attaque sous faux drapeau ou de connivence, et ces événements permettent l’enchaînement de long narratif politico-médiatique comme par rapport à l'Ukraine et la Palestine. Et si autant de gens se vaccinent, c’est que le monde est encore victime d’une énorme hypnose collective. Ce que l’on observe avec l’hypnose de masse, c’est qu’une grande partie de la population est totalement incapable de traiter de nouvelles données et faits scientifiques démontrant qu’elle a été induite en erreur sur l’efficacité et les effets nocifs de l’utilisation obligatoire du masque, des enfermements et des vaccins génétiques qui obligent le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active. C'est pourquoi il faut aussi faire attention aux cartes météorologiques alarmant les populations avec uniquement du rouge de plus en plus foncé en fonction de la chaleur, afin d’éviter de se faire manipuler par d’éventuelles futures mesures liberticides en faveur du climat concernant nos déplacements, voyages et dépenses énergétiques. On a l’impression que si un ministre ou un président disait aujourd’hui aux foules « on vous a bien arnaqués », la majorité des gens ne réagirait pas, ne comprendrait même pas ce message pourtant très primaire. C’est pourtant ce qu’il se passe, comme cela s'est passé avec les USA ayant admis être parti en guerre en Irak par erreur car qu'il n'y avait pas d'armes de destructions massives. Quand ce sont les réprouvés, les mal-pensants, les résistants qui le disent, cela ne passe naturellement pas, ça provoque une réaction de défense naturelle. Quand ce sont des oligarques, ça ne peut pas être compris, car cela crée un bug entre la croyance en l’autorité et la parole officielle. Un oligarque ne peut pas mentir, sinon tout s’effondre, le monde s’écroule, pour beaucoup de gens dont les soumis confiants et les soumis inconsciemment. « L'hypnose, une technique ancienne et mystérieuse, continue de fasciner et d'intriguer les scientifiques et le grand public. Utilisée dans divers domaines, de la médecine à la manipulation mentale, elle soulève des questions sur son efficacité et ses dangers potentiels. A travers un livre de Vance Packard, Arthur Sapaudia nous propose de plonger dans l'univers de l'hypnose pour découvrir ses applications modernes et ses implications éthiques. Extraits de Vance Packard, L’homme remodelé, chapitre X, Le contrôle du comportement par les nouveaux hypnotechniciens (1977) : « Un des plus anciens mystères de l’humanité est en passe d’être utilisé massivement en vue d’induire les gens à se comporter d’une manière différente de la normale. Je veux parler de l’hypnotisme. Il est employé par les policiers, les publicitaires, les médecins, les éducateurs, les juges d’instruction, les entraineurs sportifs, les psychothérapeutes et les militaires. Nombre de ces utilisateurs ont suivi des cours intensifs et sont eux-mêmes des praticiens. Plus fréquemment ils ont entendu quelques conférences sur le sujet et recourent aux services d’hypnotiseurs professionnels. Le pourquoi et le comment de l’hypnotisme ne sont pas encore parfaitement compris. Mais le fait qu’il soit efficace dans un grand nombre de situations (pas toutes) n’est pratiquement plus mis en doute par les scientifiques. (Ce qui est logique puisque la signification de « l'homme » en arabe selon le Coran est « celui qui oublie » et qui doit pieusement choisir de faire l'effort de se rappeler et donc de répéter noblement le bon sens de la vie, et ce processus peut donc être sagement ou perversement utilisé.) Je connais 11 associations, nationales ou internationales, qui œuvrent en vue d’une utilisation sérieuse de l’hypnose. Le recrutement est généralement limité aux personnes réellement qualifiées. Il existe deux centres internationaux, un à Milan, en Italie, l’autre à Upsal en Suède. De nombreuses universités américaines organisent des cours sur l’hypnotisme. C’est là une promotion considérable pour un art sentant le soufre et qui, il y a encore peu de temps, était abandonné aux amuseurs et aux charlatans. L’origine de l’hypnotisme se perd dans la nuit des temps. Beaucoup de peuples primitifs tombaient dans une sorte d’hypnose au cours des cérémonies prolongées où l’on battait les tambours et où l’on psalmodiait des chants à l’infini. Les hypnotiseurs ont coutume de dire aux sujets qu’ils vont dormir. En fait, ils ne dorment pas. Il s’agit d’une transe éveillée. Les ondes cérébrales ne sont pas celles de quelqu’un qui dort mais plutôt celles d’une personne particulièrement détendue. L’hypnose véritable suppose don cette transe. Le sujet devient docile parce qu’il a été persuadé de réduire considérablement son activité cérébrale organisée. Les apports des cinq sens sont également sérieusement limités. La conscience est étroitement centrée sur la voix de l’hypnotiseur. Dans une large mesure, le moi du sujet tombe sous le contrôle de l’hypnotiseur. Une personne prédisposée à l’hypnose éprouve, sous hypnose, un fort désir de plaire à l’hypnotiseur. Erich Fromm, qui est spécialiste du comportement à l’université de Chicago, estime que 10% d’entre nous sommes fortement hypnotisables, 10% fort peu susceptibles de l’être, le reste se situant dans une zone intermédiaire. (Il s'agit généralement du niveau de volonté profonde de croire en l'hypnotiseur et donc d'un abandon en lui, ce qui peut se faire à son insu comme un médecin demandant à son patient de se détendre de plus en plus comme une technique pour faciliter son affrontement de ses problèmes dan le futur. D'ailleurs il est dit fréquemment que personne ne peut être hypnotisé contre son gré. D’un point de vue technique, c’est vrai. Mais un individu réfractaire à l'hypnose au sein un groupe d’individus ouvert à l'hypnose devient influencé par ce groupe.) Des études ont été menées pour permettre aux astronautes de se tirer d’affaire et de continuer à être actifs dans des cas de chaleur ou de froid extrêmes. Des étudiants furent hypnotisés, puis placés dans des boxes surchauffés. Après quoi, on leur dit de s’employer activement à l’accomplissement d’une tâche donnée. Ils apprirent ainsi à rester en activité une heure durant par des températures de 60°. En se penchant sur cette étude, le psychologue Perry London trouva significatif le fait que, dans ce cas de résistance aux températures extrêmes, tout ne se passe pas seulement dans la tête. Les résultats semblaient indiquer que l’hypnose affecte les fonctions corporelles. En l’occurrence, elle contribuait à diminuer les effets débilitants des températures glaciales sur les battements du cœur et à éviter les tremblements. Dans une étude sur la résistance à la douleur, financée par les Instituts nationaux pour la santé, l’hypnose surclassa le valium et l’aspirine et fit légèrement mieux que la morphine et l’acupuncture. L’hypnose est fréquemment utilisée pour atténuer les douleurs de l’enfantement. Dans un petit nombre de cas, elle a permis de pratiquer des césariennes sans recourir à l’anesthésie. Une autre dimension de l’hypnose, dangereuse potentiellement, concerne la capacité qu’a un hypnotiseur expert d’’influer sur les actes d’une personne après que la transe hypnotique a pris fin. Dans la pratique, la suggestion post-hypnotique est utilisée principalement par les thérapeutes pour faciliter au sujet la réalisation de ce qu’il a déjà envie de faire. Par exemple, rester calme à l’occasion d’un oral inquiétant, s’offrir une bonne nuit de sommeil, etc. L’injonction donnée durant la transe fait office de renforcement et produit un réflexe conditionné au futur. Certains de ces renforcements, paraît-il, ont duré des mois. Mais chez les sujets moyens l’effet du renforcement se dissipe en quelques jours. Sur un signal donné, certaines personnes profondément hypnotisées semblent pouvoir régresser jusqu’à se comporter et parler comme un enfant de cinq ans. Il n’est pas nécessaire que l’hypnotiseur se trouve dans la même pièce que le sujet. En fait, il peut être à des kilomètres de là. Un des instruments de l’hypnotisme à distance est la télévision. Il y a quelques années, à la radio anglaise, un hypnotiseur a hypnotisé par mégarde une partie de ses auditeurs. Après les réactions de fureur qui y firent suite, toute démonstration hypnotique fut interdite à la radio et à la télévision britanniques. Aux États-Unis, l’Association nationale des diffuseurs de radio et de télévision (qui représente la majorité des diffuseurs) a émis la même interdiction. Mais le danger demeure d’une utilisation incontrôlée et perverse. Or il y a un bon sens de l'hypnose quand les médecins s'en servent pour aider à arrêter une drogue même si par la pratique religieuse et la piét est beaucoup plus honorable, ou pour rendre supportable des douleur de maladies incurables cancers ou de l’arthrite, mais à condition d'annoncer auparavant de le faire en Dieu. Dans ce bon sens aux États-Unis actuellement, la police se sert de l’hypnose, mais avec précaution et uniquement sur les suspects n°1 des affaires criminelles. La défense pourrait en effet se saisir de la chose lors du procès et en tirer argument. Par ailleurs, si les suspects savent que l’on va pratiquer l’hypnose sur eux, ils résistent le plus souvent, à moins qu’on ne les ait amenés à accepter l’idée de la nécessité d’une « relaxation progressive ». Au cours de ces dernières années, les services de police ont témoigné d’un intérêt considérable pour l’hypnose considérée comme un outil d’investigation. Elle est utilisée pour aider les témoins, les victimes ou les policiers, à se rappeler avec précision ce qui s’est passé. Or pendant au moins vingt ans, la C.I.A. a testé et utilisé de nombreux modes de contrôle du comportement. L’hypnose, manifestement, en faisait partie, en combinaison parfois avec des drogues. Le livre de Donald Bain, « The Control of Candy Jones » retrace la manière, dont, théoriquement, la C.I.A. aurait allié drogues et hypnose. Herbert Spiegel a écrit une préface favorable à ce livre. La belle Candy Jones, un ancien mannequin qui est actuellement une célébrité de la radio, semble avoir été utilisée, sans le savoir, comme messager de la C.I.A. dans divers pays et durant de nombreuses années. Spiegel la classe au rang des personnes exceptionnellement hypnotisables, à tel point qu’elle entre en transe hypnotique, sans s’en apercevoir, sur un simple signal, comme le clignotement d’une lumière. Et ses transes peuvent être intenses au point de provoquer l’amnésie. Le psychologue G. H. Eastabrooks a révélé qu’il s’est occupé de la formation de nombreux messagers de ce type durant la Deuxième Guerre mondiale. Après avoir contacté le colonel Brown, en Orient ou ailleurs, le messager demandait le message qu’il supposait être venu chercher. Le colonel Brown le lui donnait puis l’hypnotisait après avoir dit « La lune est claire ». Une fois hypnotisé, le messager révélait l’information secrète et recevait la réponse secrète dont la suggestion post-hypnotique lui était tout souvenir. » (Extraits de l'article « « L’Homme remodelé » de Vance Packard : L’hypnose, une technique ancestrale aux usages modernes » à l'adresse https://lemediaen442.fr/lhomme-remodele-de-vance-packard-lhypnose-une-technique-ancestrale-aux-usages-modernes/) Bien souvent le véritable objectif de la transe hypnotique n’est pas ce qui se passe pendant la session d’hypnotisme, mais les changements futurs de comportement induits par la suggestion post-hypnotique : le fumeur arrête de fumer, la personne grosse perd du poids ou le sujet de MK-Ultra tire avec une arme à feu sur Robert Kennedy, sans la moindre idée de ce qu’il fait ou pourquoi, parfois après avoir aussi subi un lavage de cerveau synonyme de programmation mentale avec le LSD. En effet avec l'association d'une puissante drogue extrêmement abrutissante et très hallucinogène, de la torture, du viol, de la privation (sommeil, nourriture, bonne température), de la répétition extrême, de l'hypnose (dont par rapport au somnambulisme étant déjà une dissociation, provenant d'intenses tensions psychologiques et émotionnelles, et permettant en plus possiblement de déjà suggérer des idées pour la vie éveillée), et donc d'un ou des traumatismes profonds que l'on peut apaiser à une ou des conditions et donc manipuler, on peut généralement manipuler et programmer l'esprit sans qu'il s'en rende compte ensuite, dont car l'esprit a tendance à occulter les énormes traumatismes ou l'esprit du cobaye crée souvent des personnalités différentes en lui, tout ceci amenant donc à un envoûtement en particulier quand c'est lié à de la sorcellerie (magie noire) et donc à des djinns sataniques... D'ailleurs il est évident qu'en créant chez l'esprit une personne autant d'étourdissement pas ces souffrances et cette drogue très forte, on peut y implanter des souvenirs de personnalités multiples et donc des personnalités multiples. Surtout que le registre émotionnel donne accès à l'inconscient humain en permettant d'y implanter des idées, des désirs, des normes et des peurs, puisque le cœur est la principal source d'action, d'habitude ou de craintes même fantasmées. D'autant plus que l'inconscient chez l'être humain peut faire faire ou faire dire des choses, sans savoir pourquoi. Car l’inconscient, lui, sait. Il a sa logique. Et parfois, cet inconscient affleure donc dans le monde conscient. D'ailleurs avant ma conversion à l'islam, lors d'un simple délire oxygène (grandes respirations répétées puis bloquées) pour rigoler stupidement avec deux amis alors que j'étais simplement alcoolisé, je me suis légèrement évanoui et la peur de mon cœur a poussé mon cerveau à créer l'image des visages de mes parents très inquiets me ranimant alors qu'au fur et à mesure de mon retour à la réalité ces visages devenaient ceux de mes deux amis riant bêtement. De plus le somnambulisme violent et même meurtrier existent. Tout ceci a donc très probablement permis de cacher certains commanditaires très criminels dans l'Histoire, (sauf lors du Jugement Dernier)... En sachant qu'à diverses fins très perverses, les personnes officiellement en avis de recherche et celles très isolées (sans famille, ni amis, ni travail) sont évidemment les plus susceptibles d'être victimes de l'organisation MK-Ultra. Et il y aurait d'ailleurs encore plus de 10 000 disparitions d'enfants annuellement en France. Le LSD est une drogue terriblement forte dans ses effets physiques et ses hallucinations, puisque arrivant dans un sens à faire pénétrer la conscience encore éveillée dans l'imagination du sommeil à l'image d'un mirage (surtout que dans un sens comme le mirage, il s'agit aussi de la formation d'une image par la pensée liée à la chaleur et donc à la vision trouble qu'on a horizontalement juste au-dessus d'un feu), et donc faisant croire que tout provient de l'esprit, et donc amenant à perdre la foi, et donc provoquant momentanément des dégâts qualifiables de bombe atomique spirituelle, et donc étant une possible représentation du faux messie ou/et de la Bête de la fin des temps. D'ailleurs le LSD est un produit ionique positivement électrifié tel par le feu (dont lumière solaire et donc possiblement comme une possession par Satan puisque ce dernier est fait de feu) et donc négativement électrifié pour le cerveau, et donc les yeux et donc l'esprit, c'est à dire que c'est un acide et donc une substance mise en solution aqueuse (d'où la prise par des timbres imbibés) et libérant ainsi un ion positif (cation) ou des ions positifs (un ou des protons voire un ou des atomes chargés positivement) en plus hydrogène H+ (le feu consommant de l'hydrogène ne produit pas de C02) dans ce cas, contrairement à la base car elle est une substance qui mise en solution aqueuse (comme le MDMA se mélangeant avec la salive) produit un ion négatif (anion) ou des positif (anion) ou des ions positifs (un ou des protons voire un ou des atomes chargés négativement) et devient donc un produit ionique négativement électrifié tel par les bons ultra-violets (dont lumière noire, feu orienté vers le bien comme au Paradis et pour le Prophète Abraham) et donc dans un sens positivement pour le cerveau, et donc les yeux et donc l'esprit. Le LSD a d'ailleurs participé à la généralisation de l'abrutissement, et donc l'impiété, et donc la baisse de foi, et donc la révolution sexuelle, et donc de la pertes des valeurs et donc de la propagation du satanisme plus ou moins caché. « C’est en creusant ces dossiers de réseaux pédocriminels, que l’on découvre certains témoignages troublants concernant des pratiques de viols en réunion avec tortures pouvant aller jusqu’au meurtre. Il semble s’agir de réunions très bien organisées et planifiées, lors desquelles toutes les lois morales seraient évacuées au profit d’une libération des pires pulsions qui soient ; tel un verrou qui saute durant une soirée, au grand détriment des victimes subissant les abominations. Au premier abord, ce sont des récits inimaginables et le déni prend rapidement le dessus : on referme le dossier. C’est la multiplication de ces témoignages et leur ressemblance, cela à l’échelle internationale, qui finit par interpeller… L’existence de ce que l’on nomme « abus rituels » ou « sévices rituels », parfois associés au satanisme de par le cadre et la forme des rites ou cérémonies, devient alors une triste évidence. L’étude de l’affaire Dutroux, notamment des dossiers X, permet d’avoir un aperçu de ce que sont ces pratiques hautement criminelles : les dépositions et procès-verbaux enregistrés et archivés par la police, rendus publics par Wikileaks, sont à faire vomir. Le journaliste belge Xavier Rossey ayant enquêté sur l’affaire Dutroux écrira : « On peut dire qu’il y a deux types de pédocriminalité : le « simple » pédophile et le pédocriminel pervers avec ce côté rituel. Lorsqu’on enquête dans ce genre de dossiers, il faut aussi voir le côté occulte des choses, les assassinats rituels. Il est clair que ce sont des dossiers souvent discrédités et qui sont tellement horribles qu’on ne veut pas aller plus loin. Pour beaucoup, ces abus rituels sont inconcevables (…) On a essayé de faire passer Dutroux pour un pédophile, ce qu’il n’est pas (…) on est ici dans le cadre des abus rituels pédophiles. » L’horreur de ces dossiers est évidemment un frein pour le grand public, un repoussoir ne facilitant pas la reconnaissance des victimes. Le déni est massif, pourtant dans son guide national pour la protection de l’enfance, le site officiel du gouvernement Écossais diffuse de l’information concernant cette forme de pédocriminalité que sont les abus rituels. Nous pouvons y lire cette définition : « L’abus rituel peut être défini comme des agressions sexuelles, physiques et psychologiques, d’une manière organisée, systématique et durant une longue période de temps. Cela implique l’utilisation de rituels, avec ou sans système de croyance et généralement avec plusieurs agresseurs. Les abus rituels commencent généralement durant la petite enfance et impliquent l’utilisation de modèles d’apprentissage et de développement visant à renforcer les abus et à réduire au silence les victimes (ndlr: contrôle mental). » « L'avocat de Marc Dutroux, Xavier Magnée, a accepté de revenir sur cette affaire, 20 ans après le procès. Dans une interview pour Kairos, il se penche sur les zones d'ombre de cette affaire qui a bouleversé la Belgique et choqué le monde entier. Il évoque notamment l'existence de réseaux pédophiles et de complicités au sein de la police et de la justice. Lors du procès, Xavier Magnée a dénoncé les dysfonctionnements de l’enquête et les complicités au sein de la police et de la justice. Il a notamment évoqué l’existence de réseaux pédophiles et de complicités au sein de la police et de la justice. Selon lui, Dutroux n’était pas un prédateur isolé, mais plutôt un maillon d’une chaîne plus large. Il a également critiqué la décision de classer sans suite le dossier bis, qui contenait des éléments importants pour comprendre l’affaire dans son ensemble. Xavier Magnée a également évoqué les pressions subies par les parents des victimes, qui avaient besoin d’une condamnation de Dutroux. Il a cependant souligné que le jury avait craqué de ce côté-là, car on cherchait surtout à punir un coupable évident, sans chercher à comprendre les réseaux et les complicités qui avaient permis à Dutroux d’agir en toute impunité pendant des années. L’ancien avocat décrit le dossier Dutroux comme une affaire de délire dans un monde de paumés et de combinards, où la police et les enquêteurs de tous bords étaient impliqués, et où les principes policiers de l’infiltration ont été utilisés pour excuser les principes du milieu et des forces de l’ordre qui l’ont infiltré. Il ajoute que l’enquête elle-même a ressemblé au crime dont elle se mêlait. » (Média en 4-4-2) La franc-maçonnerie est en quelque sorte une maison mère ; subdivisée en une multitude d’écoles ésotériques, dites à « Mystères », dont certaines baignent dans l’occultisme le plus noir. C’est une sorte de poupée gigogne cloisonnant les adeptes dans diverses strates hermétiques, une imperméabilité stricte sauf affinités bien décelées…. Réseau maçonnique et pédocriminalité de réseau sembleraient effectivement intimement liés. De par mes recherches, j’ai pu au fil des années archiver de nombreux témoignages de victimes et de thérapeutes décrivant ce que l’on pourrait appeler des « sévices rituels maçonniques » visant à fractionner l’esprit de l’enfant ; c’est à dire à créer des états dissociatifs par la multiplication de traumatismes extrêmes. Beaucoup de survivants de ces réseaux ont en effet développé un trouble dissociatif de l’identité (une personnalité multiple). J’écris dans mon livre MK que « Ce principe « d’initiation » par les traumatismes et les états dissociatifs est le point commun de toutes les structures fraternelles lucifériennes ou satanistes, pour lesquelles l’initiation durant la petite enfance est le meilleur moyen d’obtenir un adulte loyal, fidèle, qui respectera parfaitement la loi du silence tout en perpétuant l’obscure tradition où toute notion de Bien ou de Mal a été gommée dans un relativisme absolu. Les rituels comprenant des actes pervers et immoraux, notamment pédocriminels, permettent également d’établir un chantage au silence sur les personnes qui y ont pris part. Cela permet de créer des liens « fraternels », d’autant plus forts lorsqu’un sacrifice humain, un crime rituel, a été commis en groupe. Les adeptes qui plongent dans cette violence addictive se sentent connectés entre eux par un secret qu’il est strictement impossible de révéler à l’extérieur, c’est un ciment malsain qui soude les membres entres eux et qui leur donne un sentiment de supériorité sur la masse humaine profane. » « Le psychanalyste américain Lloyd deMause s’est largement intéressé au sujet des dérives sectaires sur les enfants et notamment à la question du pédo-satanisme. Selon lui, la seule manière de donner un sens à certains éléments rapportés dans les témoignages d’abus rituels serait de considérer qu’il s’agit de faire revivre symboliquement et même physiquement le traumatisme de la naissance ; dans une sorte de « reconstitution traumatique ». On y retrouve le confinement dans des ventres symbolique (cages, boîtes, cercueils, mais aussi des ventres organiques réels), la pendaison la tête en bas qui reproduit la sensation qu’éprouve le fœtus dans le ventre de sa mère. La submersion de la tête dans l’eau lors des tortures reproduit l’expérience du liquide amniotique tandis que la suffocation reproduit l’anoxie que tous les bébés vivent lors de l’accouchement. La victime est forcée de boire du sang et de l’urine, tout comme le foetus boit du sang placentaire et baigne dans son urine. Les rituels sont souvent effectués dans des tunnels ou des caves, des lieux souterrains sombres et humides symbolisant le confinement du canal vaginal ou du ventre de la terre mère. Certains de ces rituels semblent effectivement créer une sorte de « résurrection initiatique ». Le passage par une mort et une renaissance symbolique via des rites traumatiques est une constante dans les religions antiques dites à Mystères, mais aussi dans certaines traditions chamaniques. Ces cultes à Mystères étaient particulièrement présents dans le bassin Méditerranéen, les Mystères égyptiens d’Isis et Osiris, les Mystères d’Éleusis, de Mithras, d’Attis et Adonis, mais aussi le culte à Bacchus (Dionysos) étant les plus connus. Il ne fait aucun doute que certaines pratiques de ces cultes antiques se perpétuent encore de nos jours via des sociétés secrètes formant une sorte de religion ésotérique, gnostique, réservée au petit nombre. Le fondateur de l’église de Satan, Anton Lavey, a affirmé que la cérémonie de la renaissance, qui se passe dans un grand cercueil, est une chose commune à la plupart des rituels de loges. Nous retrouvons cette cérémonie du cercueil dans les rites de la célèbre société secrète Skull & Bones où l’initié meurt au monde pour renaître dans l’Ordre… L’ultime « initiation » étant de provoquer chez le candidat une expérience de mort imminente avec une sortie astrale ; c’est à dire un état dissociatif extrême propulsant l’âme de l’initié dans une autre dimension et se terminant par la réintégration de celle-ci dans le corps physique, symbolisant une nouvelle naissance, ou renaissance initiatique. Ce phénomène de décorporation est très souvent rapporté par les victimes de viols, elles affirment qu’elles n’étaient plus dans leur corps physique mais voyaient la scène de l’extérieur avec une totale anesthésie. L’initiation d’enfants par des rituels hautement traumatiques semble quelque chose d’impensable, d’irréaliste, mais prenons conscience que pour certaines sectes, apprendre à souffrir mais aussi apprendre à faire souffrir fait partie des rites de passage. Le but est de provoquer une transcendance de la conscience, un état spirituel extatique reposant ni plus ni moins sur cette « Loi de la Dissociation », un profond état dissociatif déclenché par les drogues, la douleur et diverses privations. Les traumatismes ont toujours été considérés au cours de l’histoire comme un moyen de créer des états modifiés de conscience et d’ouvrir les portes vers le monde des esprits, les occultistes contemporains ne s’en privent évidemment pas… y compris sur leurs propres enfants. Selon le psychologue américain James Randall Noblitt, les pratiques de contrôle de l’esprit ou programmation mentale ont anciennement débutées lorsque des groupes ont détecté que l’application de rituels traumatiques pouvaient produire ces états dissociatifs allant jusqu’à fractionner la personnalité de l’individu en plusieurs alter, isolés les uns des autres par des murs amnésiques. Ces personnalités alter pouvant former un véritable système hiérarchique interne programmable. C’est ce que l’on nomme aujourd’hui le contrôle mental basé sur les traumatismes, la programmation d’esclaves dissociés. Le MK-Ultra, aujourd’hui historiquement et médiatiquement bien référencé, n’est que la mise en application, de manière scientifique et militaire, d’antiques pratiques païennes et ésotériques. Notons ici qu’un certain nombre de médecins impliqués dans les expérimentations du MK-Ultra étaient des francs-maçons de haut degrés, citons le Dr Sydney Gottlieb, le Dr Georges Estabrooks ou encore le Dr Ewen Cameron. Notre société occidentale moderne en grande partie coupée de ses racines spirituelles, biberonnée à la laïcité et au consumérisme, aura grand mal à comprendre et accepter la dure réalité de ces pratiques sectaires ultra violentes. D’autant plus lorsque le monde médiatique et politique use de la stratégie de l’édredon pour ne surtout pas alerter et informer à ce propos… Pourtant les sectes initiatiques basées sur la loi du secret ne datent pas d’hier, l’anthropologue et universitaire américain Brian Hayden a étudié les sociétés secrètes primitives remontant aux temps préhistoriques. Dans son livre « The Power of Ritual in Prehistory », il décrit l’utilisation de techniques « psycho-spirituelles » lors de « rituels extatiques » (loi de la dissociation), permettant de forger de puissants liens entre les membres du culte. On y retrouve les sévères épreuves physiques, la privation sensorielle, le sacrifice humain mais aussi la notion de violation volontaire des tabous comme la consommation de chair humaine. Selon lui, ces sociétés secrètes primitives ont marqué un tournant décisif dans l’évolution des religions en provoquant une division entre culte populaire et culte élitiste, entre religion exotérique et religion ésotérique. L’égyptologue franc-maçon Jan Assmann parle également de « Religio Duplex », ou religion à deux visages, pour qualifier ces cultes à Mystères ayant une face exotérique destinée à la masse non-initiée et une face ésotérique destinée aux élites. Brian Hayden affirme que des enfants aussi jeunes que quatre à six ans, parfois même encore plus jeunes, pouvaient devenir membres de ces cultes et donc subir les rites initiatiques. Notons ici que le musicologue Carl de Nys affirme que Wolfgang Amadeus Mozart, dont la famille baignait dans les milieux maçonniques, a fréquenté les illuminés de Bavière (illuminati) dès son plus jeune âge. Se basant sur les correspondances de la famille, il rapporte que le petit Mozart participait à des réunions nocturnes organisées au fond d’une grotte nommée le « trou des sorcières », située dans le parc d’Aigen à Salzburg, et dont l’entrée était à l’époque flanquée de deux colonnes soutenant un Sphinx ailé, symbole des Mystères de Isis… Dès l’époque romaine, cette grotte aurait servi aux adeptes de Mithras et d’Astarte pour on ne sait trop quelles pratiques initiatiques. Que subissait le petit Mozart lors de ces cérémonies illuminati ? La participation des enfants aux rituels initiatiques a également été rapportée par Ross Nichols (spécialiste du druidisme et de la mythologie celtique) dans son livre « The Book of Druidry », où il écrit que les druides « plongeaient ou cuisaient l’enfant dans le feu mystique ». Ce feu mystique, ou flamboiement de lumière, étant une métaphore symbolisant le profond état dissociatif résultant des épreuves initiatiques traumatiques. Les druides étaient effectivement adeptes des rituels visant à transcender la douleur et la peur pour en ressortir nés de nouveau. Il est difficile pour un profane d’établir une hiérarchie ou une échelle de dangerosité concernant les groupes occultes, qui sont par définition secrets et malicieusement organisés ; généralement imbriqués les uns dans les autres avec un cloisonnement étanche. Leur dépravation extrême, allant jusqu’à faire couler le sang dans des crimes rituels, identifie et relie ces sectes par une idéologie commune. Celle de faire sauter tous les tabous et verrous de la morale dans une sorte de catharsis. Cela rappelle fortement les antiques Bacchanales, le culte à Bacchus ou « Mystères de Dionysos », fonctionnant avec des grades initiatiques, et dont les origines remonteraient, selon le franc-maçon Jacques-Antoine Dulaure, au culte phallique d’Osiris de l’ancienne Égypte. Dans le livre « Le monde grec antique », Marie- Claire Amouretti écrit à propos de ce culte à Mystères : « Dionysos apparaît comme le dieu libérateur, Dieu du vin et du désir débridé. C’est tout le cadre civique et familial qui craque à l’occasion de ces fêtes (…) L’ivresse physique et la liberté sexuelle expriment un besoin profond de se libérer d’un système civique, moral et familial. » Nous lisons également dans le livre « Dionysos mis à mort » de Marcel Détienne : « Les fidèles de Dionysos s’ensauvagent et se conduisent comme des bêtes féroces (…) Le Dionysisme permet d’échapper à la condition humaine en s’évadant dans la bestialité par le bas, du côté des animaux. » Le juge Roche a également décrit comment cette « Loi de la Dissociation » était mise en application durant ces bacchanales modernes, voici ce qu’a rapporté son fils : « Il est question pour libérer l’esprit, d’éteindre le corps. Pour éteindre le corps sans mourir, on va le saturer de sensations, de plaisir et de douleur, qui sont procurées par ces « soirées » le tout exalté par les drogues, jusqu’à ce que les capteurs sensoriels disjonctent, et alors là, lorsque vos capteurs sensoriels disjonctent, et bien c’est le nirvana, c’est l’ascension spirituelle. » Voilà donc quelques pistes pouvant aider à intégrer le fait que des groupes puissent se livrer aux pires pratiques bestiales lors de cérémonies pseudo-religieuses, de type paganisme polythéiste, dont l’idéologie se résumerait à la doctrine luciférienne « Fais ce que tu voudras sera le tout de la loi. », l’ultime abomination « libératrice » étant la pédocriminalité et le meurtre rituel. La survivante Caryn Stardancer, co-fondatrice du groupe d’entraide Survivorship, a affirmé dans un témoignage avoir été victime d’une secte Dionysiaque panthéiste, un polythéisme vouant un culte à la fertilité. Elle décrit une organisation structurée telle une poupée russe initiatique : « La progression au sein du culte se faisait en fonction de votre capacité d’adaptation, vous ne saurez peut-être jamais qu’il existe un groupe plus grand, englobant, celui auquel vous appartenez (…) L’exploitation des enfants, dressés pour le sexe, visait à les utiliser pour les photographier, ou filmer, avec des adultes dans un but de chantage (…) Cette secte Dionysiaque m’a appris qu’une des plus anciennes lois adoptées contre les abus rituels à Rome, à l’époque pré-chrétienne, a été faite contre ces mêmes sectes Dionysiaques qui étaient encore en activité durant les années 40 et 50, et qui le sont probablement encore aujourd’hui ! La raison pour laquelle des lois ont été érigées à leur encontre était qu’à l’époque on savait que leurs rituels intégraient des orgies sexuelles, des flagellations, des viols rituels sur des femmes et des enfants. » Le trouble dissociatif de l’identité (TDI) est un point commun chez beaucoup de victimes d’abus rituels ou d’inceste prolongé durant toute l’enfance. En effet se créer une autre voire plusieurs personnalités peut servir à s'évader d'une situation ou d'un souvenir trop douloureux ou/et malheureux. En voici une courte mais nécessaire définition pour le lecteur : Le TDI est la conséquence de traumatismes extrêmes vécus durant la petite enfance, une dissociation de la personnalité se produisant généralement avant l’âge de 6 ans. Le TDI, précédemment nommé trouble de personnalité multiple, est un type de trouble dissociatif caractérisé par au minimum deux identités alternantes (appelées alters, états autonomes ou identités du moi), mais aussi par des épisodes récurrents de trous de mémoire, un marqueur fort indiquant la présence de murs amnésiques séparant les différentes personnalités alter prenant successivement le contrôle du corps physique. Le TDI est un vaste sujet qui nécessite une étude plus approfondie. J’y consacre une grande partie de mon livre MK avec une approche, dirons-nous métaphysique, car touchant aux questions de « fragments d’âmes » et de « possessions » (vous pouvez trouver ici un chapitre entier consacré au sujet). Le TDI peut se développer de manière incontrôlée et « anarchique » chez un enfant subissant notamment l’inceste ou bien être volontairement provoqué, alimenté et canalisé dans le cadre d’une programmation mentale avec protocoles traumatiques. Cette « science occulte » consistant à provoquer, maîtriser et exploiter le TDI a été observée au fil des années par de nombreux thérapeutes comme par exemple Michaela Huber en Allemagne. Ce sont des pratiques sectaires pédocriminelles utilisant cette fonction naturelle de l’être humain qu’est la dissociation, cela à des fins d’esclavage mental. Il s’agit de briser la psyché de l’enfant pour créer des personnalités alter dans un système interne très bien structuré. Ces identités seront programmées puis exploitées sur le long terme. C’est une des fonctions des abus rituels dits « sataniques ». En effet, nous observons que le TDI est devenu un phénomène de mode depuis plusieurs années. Comme je le faisais déjà remarquer dès 2016 dans mon livre MK, le TDI a tout d’abord été propulsé dans la sphère publique et profane par plusieurs stars mondialement connues telles que Lady Gaga, Beyoncé ou encore Nicki Minaj, se vantant d’être fractionnées en plusieurs personnalités alter. J’observais alors comment cette culture des « personnalités multiples » était transmise au public, au monde profane, lors de performances grandiloquentes ou d’interviews télévisuelles touchant des millions de personnes… rendant ainsi glamour et tendance les personnalités fractionnées par les traumatismes. Autrement dit, il s’agit d’infuser une sous-culture ultra-violente dans la culture populaire sous la forme d’un divertissement. Inconsciemment, la jeune génération associe donc cet occultisme vulgarisé et simplifié à quelque chose de positif, à une mode, à un modèle à suivre ; mais c’est également une forme de désensibilisation aux pires pratiques criminelles commises sur cette terre. Aujourd’hui, nous pouvons constater que la mode du TDI a littéralement explosé, notamment dans les sphères LGBT avec l’apparition d’une « Culture Plurielle » ouvrant grand la porte à une vague d’autodiagnostics ; phénomène qualifié d’épidémie par certains psychiatres. Nous constatons qu’une frange de l’extrême gauche Woke s’est emparée de la question du TDI, qu’elle est en train d’étouffer par la mise en place de cette vaste culture dite « Plurielle » ouverte à toute forme de « multiplicité » dans une confusion généralisée. Il en résulte une épidémie de faux TDI dont la source est plus narcissique que traumatique. Cette appropriation du TDI à des fins d’identification personnelle et de tendance culturelle déviante est non seulement nuisible à la crédibilité du trouble, mais aussi et avant tout à la santé et au bien-être des personnes qui en souffrent réellement. Des « influenceuses » sont devenues en quelque sorte des spécialistes autoproclamées du TDI, se déclarant elles-mêmes multiples… et souvent « sorcières » pour compléter le tableau ! Les médias de masse se sont également emparés du sujet et le TDI est aujourd’hui largement popularisé, mais surtout édulcoré quant à ses réels tenants et aboutissants. De fait, nous n’entendons jamais parler du dangereux potentiel d’esclavage mental de ces personnes fractionnées : les alter isolés par des murs amnésiques pouvant être programmés. Car c’est là l’envers du décor glamour et narcissique actuellement véhiculé sur les réseaux sociaux. Le point positif de cette médiatisation du TDI est le fait qu’il est aujourd’hui reconnu et validé, même si la controverse reste toujours aussi virulente au sein du milieu médical/psychiatrique. Cet effet de mode, médiatiquement boosté, ayant entraîné une véritable explosion d’autodiagnotics est je pense un contrefeu masquant les victimes et survivants réellement dissociés ; car malgré la médiatisation du TDI, jamais le sujet des abus rituels pédocriminels n’est abordé alors que ces deux phénomènes sont intimement liés. J’emploie le terme « d’effet de mode dérivatif » dans le sens où la véritable nature du TDI et son fonctionnement complexe, pourraient être en quelque sorte « dilués » dans cette vague de vulgarisation outrancière allant jusqu’à l’idéalisation d’un mode de vie multiple et gender-fluid (fluidité de genre que l’on retrouve dans le TDI lorsque les personnalités alter d’une même personne peuvent avoir un genre différent). Lorsque la « multiplicité d’identité » devient finalement quelque chose de « cool et tendance », nous arrivons en effet, et malheureusement, à la dilution massive d’un trouble qui mériterait amplement d’être étudié en profondeur ; car relevant non pas seulement de la psychologie mais aussi de la parapsychologie et de la démonologie… clé du contrôle mental basé sur les traumatismes et boîte de Pandore de certaines sectes au pouvoir… J’aimerais terminer par une anecdote médiatique très révélatrice sur les conséquences de cette popularisation malsaine et outrancière du TDI. Je suis tombé il y a quelques mois sur l’extrait d’une rubrique consacrée au BDSM (sado-masochisme), une émission régulièrement diffusée sur la radio NRJ à heures de grande écoute… L’animatrice de la rubrique, la « coach BDSM Déborah », affirme avoir un TDI avec notamment une personnalité alter d’enfant. Cette femme raconte alors sur un ton badin et benêt, encouragée par l’animateur de radio surexcité, que son alter enfant, Lia, aurait émergée en pleine séance de « bondage au cellophane » pratiquée en groupe… Dans le studio, tout le monde est hilare et trouve cela évidemment super original et so hype ! Le monde luciférien est sous nos yeux grands fermés ; et bien voilà un exemple typique avec cette vulgaire « coach BDSM » racontant aux adolescents qu’elle est fractionnée en plusieurs identités, qu’elle est une « esclave » soumise à un « maître », et que sa personnalité alter enfant Lia participe malgré elle à des séances de sado-masochisme en groupe ! Ou lorsque la sous-culture MK relevant de l’occultisme imprègne petit à petit le monde profane dégénéré devenu ultra poreux aux immondices des caves… Omnia Veritas a publié en 2020 mon deuxième livre « Franc-maçonnerie et Schizophrénie : comprendre les arcanes du pouvoir », une synthèse du livre MK focalisée sur la question des sociétés secrètes. Ce dernier ouvrage devait à l’origine s’intituler « Dr Jekyll & Mr Hyde » en référence à la double personnalité dissociée des bourreaux pratiquant les sévices rituels et la programmation MK. Des individus généralement eux-mêmes fractionnés dès l’enfance, avec un alter de façade respectable tandis que sommeille en eux l’abjecte bête. De la même manière, nous retrouvons ce schéma dans la franc-maçonnerie avec sa façade publique discrète faisant l’éloge d’un humanisme bienveillant et philanthropique tandis que le secret couvre les pires pratiques immorales voir criminelles. La survivante australienne Lynn Brunet, victime de son père franc-maçon et rosicrucien, décrit cette dualité en ces termes : « Je suis aujourd’hui amenée à comprendre les principes qu’il y a derrière ces pratiques « magiques » séculaires, qui divisent le psychisme de ces hommes en deux : d’une part des citoyens et des hommes dévoués, et de l’autre, la plus puérile, absurde et cruelle créature humaine. » La perte de sens et de spiritualité est une forme de chute dans le matérialisme entraînant inéluctablement un déclin de civilisation. Cette société s’élève matériellement (technologiquement) d’une manière exponentielle tout en régressant drastiquement sur le plan spirituel et moral. Le progressisme scientifique et idéologique ad vitam aeternam n’est pas viable lorsque ceux-là mêmes qui le programment en privé puis le prônent en public, ont tout fait en parallèle pour couper l’homme de Dieu. Sans cette connexion divine avec son Créateur, l’homme ne s’élève pas mais il déchoit et tombe sous le contrôle du Serpent. Hors, à l’heure actuelle, ce sont les loges adeptes du Serpent qui mènent le bal sous nos latitudes. Le bal du progressisme à tout prix est un enfer pavé de bonnes intentions, « ils parlent comme des anges mais pensent comme des assassins », pour reprendre l’expression d’Arnaud Upinski. Le peuple a été volontairement et très progressivement déraciné et déspiritualisé. Victime d’une véritable ingénierie sociale l’ayant affaibli sur plusieurs générations, il est aujourd’hui mené par le bout du nez par ceux que j’appelle les sorciers-contrôleurs ; lucifériens adorateurs du Serpent, ennemis du Christ et de Son peuple. Les lucifériens ont toujours cherché à subvertir et bouleverser les valeurs traditionnelles (fondamentales), en particulier tout ce qui émane du Christianisme. Étant donné que le chaos est leur terrain de jeu favori pour asseoir leur domination, ils le provoquent et misent sur le manque de discernement des populations pour avancer leur sempiternel agenda révolutionnaire… La Révolution a commencé au Ciel, avec la révolte d’un ange, Lucifer, elle se perpétue ici-bas encore de nos jours. La guerre est spirituelle ; d’où la subversion première consistant à isoler l’homme du Christ, tout en proposant aux plus assoiffés de spiritualité la soupe théosophique qu’est le « New Age » ou luciférisme 2.0 ; consistant en un occultisme vulgarisé mais qui n’en est pas moins nocif. Nous observons aujourd’hui une popularisation de la « sorcellerie pour tout.e.s » via les mouvements néo-féministes et autres influenceuses Wicca mais aussi la presse à grand tirage qui ne se prive pas de promouvoir les pratiques ésotériques sous couvert de « développement personnel » et de « bien-être ». Une grande partie de l’industrie musicale injecte quant à elle inlassablement la symbolique occulte dans ses productions à l’esthétique toujours plus décadente et morbide. Elle inverse les codes moraux et crée une véritable mode du satanisme qui imprègne ainsi petit à petit la culture populaire. Notre libre arbitre choisit délibérément de consommer la soupe du diable, car sucrée à souhait… Le monde luciférien est sous nos yeux grands fermés et la grande majorité des humains s’y complait tout comme une grenouille barbotant dans une marmite sur le feu… L’athéisme combiné au consumérisme est la porte ouverte à la médiocrité, au cynisme et à l’orgueil, créant trop souvent cette mentalité mondaine assumée et encouragée par les programmes de divertissements abrutissants. Cet état d’esprit typique, propre à notre société urbanisée, est évidemment un frein à la divulgation des dossiers de pédo-satanisme, alors tournés en dérision et considérés comme du risible complotisme… Effectivement, les notions de « satanisme », de « rituels », de « sacrifices », de « transe dissociative » ou « d’amnésies traumatiques », pourront sembler irréelles, fantaisistes et non crédibles pour certains individus, ricanant alors devant un domaine qui dépasse ce logiciel intellectuel bridé mais ultra répandu. Le manque de temps et surtout de courage ne permettront généralement pas de faire les recherches nécessaires à un début de compréhension du sujet. Ces PNJ iront même jusqu’à s’offusquer de cette « nauséabonde chasse aux sorcières » sous les applaudissements des factcheckers ricaneurs ! Bien heureusement, cette chute sociétale de plus en plus marquée, accompagnée d’une avalanche de révélations sur le véritable profil de cette oligarchie, produit également un réveil massif d’individus qui, dirons-nous, par la découverte du Mal se tournent finalement vers le Bien ; pour résumer de manière un peu simpliste et manichéenne. En réalité la question des réseaux pédocriminels est tellement prise au sérieux par les médias de masse qu’ils en sont terrifiés, à tel point qu’une véritable omerta est mise en place. Cette loi du silence passe effectivement par la sempiternelle théorie du « prédateur isolé »… Toute autre explication d’un dossier de pédocriminalité pouvant mener l’opinion publique à comprendre qu’il existe effectivement un fonctionnement en réseau, pire encore, une protection institutionnelle des abominations, est systématiquement ridiculisée et qualifiée de « théorie du complot »… d’extrême droite s’il vous plaît ! Cet épouvantail poussiéreux ne fait plus le poids face aux évidences et le public est aujourd’hui bien plus apte à comprendre la réalité des choses qu’il n’y a encore quelques années. Preuve en est, « l’expert en complotisme » Tristan Mendès France vient de valider publiquement l’existence des réseaux pédocriminels, déplaçant ainsi son curseur face à l’inexorable et triste réalité des choses. Existe-t-il des journalistes d’investigation intègres enquêtant à l’heure actuelle sur ces réseaux de l’horreur ? Je n’en ai aucune idée. Il faut l’espérer mais la France est verrouillée, en particulier dans le domaine du journalisme. Cela dit, je ne désespère pas et suis intimement convaincu que cela finira par exploser ici-même en France. Continuons à travailler à notre petit niveau pour enquêter et informer avec ou sans carte de presse ! J’invite les lecteurs à visionner l’intégrale de la série « Noyau Dur » qui fait partie d’une trilogie récapitulant mon travail audiovisuel sur Youtube et formant une sorte de synthèse. Les deux autres vidéos sont « TDI & MK : La Rétrospective », visant à expliquer les mécanismes du contrôle mental basé sur les traumatismes, et « Franc-Maçonnerie La Fin du Silence » compilant plus de quatre heures de témoignages de victimes et thérapeutes ; une vidéo qui dépasse aujourd’hui les 159k vues. Des contenus plutôt accablants qui devraient interpeller les plus sceptiques, particulièrement les francs-maçons des loges bleues. Je travaille également sur un « petit manuel contre-révolutionnaire », qui sera sûrement publié en ligne courant 2024. Je conclurai en reprenant les dernières phrases du livre MK : « Pour faire face à ces générations qui perpétuent coûte que coûte l’adoration de l’ange déchu, représentant l’infra-humain sanctifié par Lucifer, et donc possédant une force d’ordre surnaturelle ; sanctifions nous en Jésus-Christ pour également remettre notre vie à une Force d’opposition indispensable dans un tel combat. Même dans cette époque semblant des plus obscures, Dieu nous donne en permanence la connaissance et la sagesse pour pouvoir justement s’opposer et faire le contrepoids face à l’abomination Babylonienne. » » (Extraits de l'article « Dévoiler l’Inconcevable : Entretien exclusif avec Alexandre Lebreton » du Média en 4-4-2) « Dans nos médias mainstream saturés de messages simples et orientés, par exemple « les antivax sont dangereux », ou « les Français sont antisémites », sinon « les LFI sont la branche militaire du Hamas français », quoique, là, ça demande un peu de reconstruction cérébrale, ou encore « le CRIF est sympa », « BHL a (presque toujours) raison », « Glucksmann sera le prochain président », « la France se tiendra toujours aux côtés d’Israël », « la sécurité d’Israël est notre priorité », « le Hamas et le Hezbollah sont des organisations terroristes », on baigne tous dans un océan de messages aussi simples que faux (des bloqueurs ou des destructeurs de pensée), car la réalité est toujours plus complexe, voire carrément inverse (dont puisque la France est humaniste et d'origine catholique), d’ici à ce qu’on dise que la France entière est sous programme MK-Ultra... » (Rédac ER) Voici l'article « Dix astuces pour transformer un homme en mouton » du Média en 4-4-2 : « Macron a utilisé le bâton contre les Gilets Jaunes, la carotte pour les moutons (le privilège de pouvoir aller au café avec un pass). Après des débats parlementaires (carotte) totalement inutiles, Élisabeth Borne démolit la démocratie à coups de 49-3 (le bâton). Mais nous restons en démocratie tant que les Français y croient. Par quels moyens est-il possible de faire croire au père Noël ? Voici les techniques de manipulation de masse telles que le linguiste américain Noam Chomsky les a analysées dans « La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie » : La recette utilise dix ingrédients que tout cabinet de conseil qui se respecte utilise à foison. 1. La distraction : Afin de manipuler les gens, l’une des armes les plus puissantes est la distraction. Déplacer votre attention vers des nouvelles moins importantes ou insignifiantes vous permet en fait de détourner votre intérêt de questions beaucoup plus vitales qui, dans ce cas, passent en arrière-plan. Exemples : LGBT, corrida, IVG, migrants, racisme, Ukraine, foot, mais jamais : répartition des richesses, prise de décision par les citoyens, indépendance industrielle et politique, corruption. 2. Problème et solution : Montrer un certain thème comme un problème vous permet de créer une solution souvent impopulaire et qui a déjà été décidée a priori. Aggraver un service public pour pouvoir proposer sa privatisation. Des exemples ? Hôpitaux, écoles, SNCF, RATP, Poste, etc. 3. Gradualité : Dans certains cas, pour manipuler les masses, il est nécessaire de le faire progressivement. Dans le cas de l’élimination de certains droits fondamentaux, par exemple, il est préférable de les éliminer à petites doses afin de ne pas provoquer de protestations des citoyens. Par exemple, les retraites trois mois plus tard chaque année, c’est indolore et c’est pour notre bien. 4. Différer : Dans ce cas, une certaine réforme intervient, garantissant qu’à court terme, bien que négative pour les citoyens, elle sera positive pour tous. De cette façon, les gens sont moins susceptibles de protester, en attendant les avantages. Quand il s’avère que ces avantages étaient faux, il sera déjà trop tard et les gens auront pris l’habitude de changer. Exemples : masques, pass assis, debout, couché, cas asymptomatique, contact, signalé, diesel ou électricité, ça dépend du moment. Ainsi le covid recule et la planète sera sauvée ! 5. Infantiliser le public : Dans les publicités et les discours politiques, les gens ont souvent tendance à parler aux auditeurs comme s’ils étaient des demeurés. De cette façon, le sens critique est éliminé. Exemples : signez vous-même votre autorisation de sortie d’une heure. Faites cuire les nouilles à 19 heures. Fermez les fenêtres, ouvrez les fenêtres, etc. 6.Utiliser les émotions : Les messages qui tentent de manipuler la masse n’invitent pas à la réflexion mais, au contraire, sont basés sur des émotions. Actuellement la peur du covid qui, cette année, c’est pratiquement sûr, va tuer Papi et Mamie dans l’obscurité totale due aux coupures d’électricité, est largement utilisée. Et ça marche ! 7. Garder le public ignorant : Un public ignorant est le meilleur allié de la manipulation de masse. Pour cette raison, la détérioration du système éducatif est une arme très puissante pour contrôler les citoyens. Quoi de mieux que des écoliers muselés et qu’une école qui ferme ses portes dès qu’il y a un « cas contact » ou une pénurie d’électricité ? 8. Un public consentant : Les médias rivalisent de vulgarité et de médiocrité. Il suffit d’appuyer sur un bouton de télécommande et c’est souvent n'importe quoi. 9. Renforcer le sentiment de culpabilité : Cette stratégie de manipulation de masse a tendance à faire croire aux gens que tous leurs problèmes viennent d’eux-mêmes. Au lieu de se rebeller contre le système, les citoyens penseront donc qu’ils sont directement responsables de ce qui se passe. Eh oui ! Ce ne sont pas les sanctions contre la Russie qui réduisent nos approvisionnements en gaz et pétrole, mais notre gaspillage énergétique. Fini le temps de l’abondance ! Les millions de chômeurs sont un peu responsables, non ? 10. Connaître l’être humain : Les cabinets sont de bon conseil : crever les yeux et arracher les mains ne suffit pas à faire accepter l’inacceptable. Leurs moyens de manipulation ne sont pas compliqués, ils sont de l’ordre du marketing, d’une grosse entourloupe commerciale. Cela dit, ils ne sont pas loin du sadisme, puisqu’il s’agit de transformer l’humain en objet, le vivant en rouage d’un système et les victimes en complices. Connaître l’être humain pour mieux le détruire, tel est l’apport des cabinets de conseil qui ont coûté un milliard à la collectivité. » L’opération d’hypnose de masse du 11 Septembre, analysée avec l’aide de Douglas Rushkoff (un utopiste juif) comme exemple classique de coercition, avait pour but de faire de l’islamophobie la principale suggestion post-hypnotique, afin de la mettre au service d’un Choc des civilisations dont le principal bénéficiaire serait le sionisme. Surtout que le racisme antimusulman est actuellement de rigueur, mais le simple humour sur les juifs et même sur les sionistes est interdit, et vaut toutes les relégations, toutes les répressions. Pourtant il y avait un humour même à Auschwitz et au Goulag. La loi est simple : plus la vie est dure, plus l’humour est nécessaire. Les populations oppressées ont besoin de ce contrepoids. Or ceux qui nous rendent la vie dure aujourd’hui veulent en plus nous amputer l’humour ! Ça devient dangereux pour le système... Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Déconstruire l’islamophobie » du sakerfrancophone à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Deconstruire-l-islamophobie-57337.html Et « Dans l’ère covidienne en France, l’hypnotiseur est le pouvoir, à savoir l’État, l’appareil médiatico-politique et ses relais aux ordres de l’oligarchie, et l’hypnotisé est le peuple français. (Mais cette état de sidération traumatique s'estompe avec le temps). » (Extrait de l'article « Tyrannie sanitaire et folie collective – Youssef Hindi » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/09/tyrannie-sanitaire-et-folie-collective/) Le journal « NZZ am Sonntag » a rapporté les déclarations d’Ueli Maurer ex-conseiller fédéral suisse au sujet de la gestion de la pandémie lors d’une interview à Hoch2.tv, fin décembre 2023 : « La pandémie était une hypnose de masse » et une « hystérie sciemment attisée » (en faveur de Big Pharma, et donc de l'OMS et donc des mondialistes oligarchiques et sionistes). De plus en plus de voix raisonnables, de personnalités unanimement connues et largement reconnues, tant au plan national qu’international, se font aujourd’hui entendre tant sur le conflit israélo-palestinien que sur le conflit ukrainien, voire sur la crise Covid, en prenant parfois le risque de subir les foudres de l’oligarchie financière mondiale, largement sionisée, et des autorités gouvernementales et médias qu’elle contrôle, quasiment tous sous influence des lobbies pro-Israël. Ces voix de plus en plus nombreuses et de plus en plus puissantes viennent de tous les pays et de toutes les communautés, juive comprise. Ce ne sont pas les «Nouveaux Justes» qui manquent au sein de cette communauté aujourd’hui en crise. Lorsque quelqu’un comme Ilhan Omar (qui a subi un traumatisme horrible à la suite du plan sioniste déclenché par le 11 Septembre, visant à détruire « sept pays en cinq ans » selon la vidéo de l'ancien général des armées Wesley Clark, dont son pays natal la Somalie) voit les puissants États-Unis, une nation de 300 millions d’habitants, travailler avec obéissance pour le petit Israël comme une sorte de golem zombie (humain robotisé, esclavagisé plus ou moins consciemment), on comprend pourquoi le mot « hypnose » est entré dans son esprit et sur son compte Twitter. Ainsi qu'il a été montré, sa métaphore de l’hypnose est à la fois éclairante et appropriée, surtout que les médias et l'industrie du cinéma qu'est Hollywood y participent incontestablement comme à travers le monde. En effet à travers des films d'anticipation, cette industrie cinématographique permet même de PREPARER les peuples à diverses évolutions mondiales servant les intérêts des oligarchies corrompues. Ces films dévoilent même des réalités de l'actuel mondialisme technologiste, transhumaniste, wokiste, oligarchiques et sionistes sans que les populations de ne réveillent, ce qui prouve leur aveuglement. De plus à travers de nombreux clips, séries et films, d'évidents messages subliminaux sataniques même envers les jeunes augmentent sans arrêt. D'ailleurs il est désormais clair que cette hypnose de masse a pour but final d'établir le mondialisme ploutocratique impie : « « Ils sont les machinistes de l’univers. Qui se révolte contre eux parle contre les dieux »… Bardèche ne croyait pas si bien dire, le petit maître à penser de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari n’a-t-il pas commis un opuscule titré Homo Deus. Ce cuistre s’imagine en effet que nous serons bientôt, après le mariage de l’homme et de la machine, comme des dieux ? Difficile d’être plus prétentieusement mégalomaniaque. Bref, ces gens se prennent pour des petits démiurges appartenant à une caste sacerdotale ayant pour mission de « réparer le monde » – tikkoun olam – alors que leur seul génie est celui de la destruction, de la trahison et du mensonge. Lénine promit « la Paix et la Terre » mais omit de dire qu’il s’agissait seulement du sol à labourer et en aucun cas des moissons et des récoltes qui furent derechef confisquées… S’ensuivit la famine de 1921/1922 la guerre civile étant alors close, répétition avant l’Holodomor de 1932/33 et leurs affreux cortèges de tragédies cannibales. « Welcome to 2030, I own nothing, have no privacy and life has never been better » (« Bienvenue en 2030, je ne possède rien, je n’ai pas d’intimité et la vie n’a jamais été plus belle ») nous déclarait le 12 novembre 2016 la claudette Ida Auken, députée danoise, membre éminent du Forum économique mondial… » (Jean-Michel Vernochet) En conclusion, une précision va de soi : il est évident que les élites juives ne sont pas les seules personnes impliquées dans le secteur de l’hypnose de masse. « En espérant que nous n’arrivions pas à la fin du monde (c’est-à-dire à la catastrophe nucléaire), nous sommes certainement à la fin d’un monde, la fin de la sphère publique, d’un système d’organisation du monde, de structures conceptuelles. La notion de sphère publique – nous le savons depuis Mill et Tocqueville jusqu’à Habermas et Arendt – est fondamentale pour la notion de démocratie, puisque la démocratie suppose une opinion publique informée, critique, capable de discernement. Ce qui a rendu possible cette forme de gouvernement, ce sont les « corps intermédiaires » (partis, associations, etc.) qui sont la condition de possibilité d’un décryptage critique et pluriel, et sans pluralisme des informations et des interprétations, il n’y a pas de sphère publique. Un processus entamé depuis longtemps, mis en évidence par de nombreux penseurs de manière différenciée – de Baudrillard à Byung-Chul Han – montre que cette notion de sphère publique s’est effondrée. En effet, nous sommes passés d’une partitocratie malmenée à une médiocratie : les médias nous font vivre dans la réalité qu’ils construisent. Ils ont ainsi construit la figure du héros Zelensky, et ils ont également construit le nationalisme ukrainien, qui ne se serait pas développé sous la forme que nous lui connaissons aujourd’hui sans les médias. La télévision ne représente pas la réalité, elle la produit, elle la fait advenir, et pas seulement parce qu’elle la falsifie (elle le fait aussi), mais parce qu’elle transforme un modèle en réalité. Le modèle était : la construction du nationalisme ukrainien, la construction de la figure du héros. Les images, la narration ont fait du modèle une réalité. Mais de la manière dont ils l’ont construit, ils peuvent le détruire en deux jours : il leur suffit de commencer à transmettre d’autres images, d’autres informations, par exemple, il leur suffit de répandre la rumeur selon laquelle en Ukraine, les États-Unis, avec l’accord de Zelensky, possédaient des laboratoires d’armes biologiques, une nouvelle qui circule dans les médias. Il leur suffit de diffuser des nouvelles bouleversantes : le mythe de la lutte de la liberté contre la barbarie s’effondrerait, le récit changerait, et le changement de récit changerait l’expérience. Les médias peuvent faire advenir la réalité qu’ils souhaitent. Maduro était donc le dictateur, et en un instant, il devient un interlocuteur, des sanctions contre Maduro à l’achat de pétrole auprès de lui. Dans peu de temps, s’il le souhaite, il se fera le chantre de la liberté. Le public médiatisé n’a plus de mémoire culturelle et communicationnelle (Assman) : il vit dans l’instant, il oublie dans l’instant. Les médias ne construisent pas une histoire, mais une série d’instants fragmentés. Ce qui n’est pas sans signification dans la « vraie réalité ». Une sphère publique qui n’a plus d’influence sur les décideurs cesse d’exister, nous le savons depuis Locke, qui avait saisi le pouvoir d’interdiction de la sphère publique, pouvoir qui a cessé d’exister. Et c’est pour cela que la modernité est terminée. Il est désormais clair que tout se joue dans la sphère médiatique. Nous ne sommes pas seulement passés du gouvernement économique au gouvernement de la société, comme le souligne également Foucault à juste titre : nous sommes passés du gouvernement de la société au gouvernement de l’opinion. Et nous paierons cher cette classe (médiatico-)politique inepte, sans aucun sens de la mesure, qui parle comme un ivrogne au bar, sans penser que – s’il n’y a pas de guerre nucléaire – il faudra rétablir les relations. » (Extraits de l'article « La guerre en Europe, la fin de la sphère publique. La fin d’un monde » à l'adresse https://strategika.fr/2023/09/20/la-guerre-en-europe-la-fin-de-la-sphere-publique-la-fin-dun-monde/) « Avant, les hommes de science po ne disaient pas tout, mais c’était pour le bien du peuple. On mentait par omission, mais il y avait une certaine morale, disons un code d’honneur. Les journalistes ne mentaient pas, ils relayaient, car ils étaient choisis pour leur « sérieux ». En revanche, Macron, Trudeau, Leyen, Biden, ça a la langue fourchue. C’est aussi parce que la démocratie n’existe pas, qu’il s’agit d’une tyrannie déguisée, et que le discours politique doit en permanence cacher cette dure vérité aux naïfs. Le pouvoir doit faire croire aux naïfs que ce sont eux qui décident, ce qui est du plus grand comique. Le mensonge n’est que la conséquence logique de cet état de fait. D’où notre proposition : le mensonge est consubstantiel à la tyrannie démocratique. Aujourd’hui, et c’est le problème numéro un des « démocrates » occidentaux, il est plus difficile de mentir, ou de ne pas dire la vérité. Le mensonge, surtout s’il est grossier, est débunké sur les RS, de manière quasi simultanée : les désinformateurs de l’oligarchie sont attendus au tournant. Heureusement pour les hommes po, les journalistes mainstream mentent aussi. C’est dans leur intérêt : les médias mainstream étant en perdition, ils ont besoin de l’argent de l’État, d’où le combo soudé « homme po-journaliste ». Cependant, chaque nouveau mensonge qui s’ajoute à la pile de mensonges agrandit la fracture entre le combo et le peuple. On a lu chez un journaliste mainstream que le peuple ou le concept de peuple n’existait pas, donc voici notre définition : est peuple tout ce qui n’appartient pas au système médiatico-politique, ce qui inclut évidemment des piliers économiques. » (Extraits de l'article « La démocratie, c’est le mensonge » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-democratie-c-est-le-mensonge-73617.html) Tous les gouvernements et toutes les entreprises hypnotisent leurs sujets et leur personnel pour obtenir d’eux une obéissance loyale dont évidemment par la télévision. Toute religion implique un degré d’hypnose de masse ; et le mysticisme (la piété), le cœur de la religion, implique un certain degré d’auto-hypnose. Et même les parents hypnotisent régulièrement leurs enfants pour les endormir par des histoires répétitives. Une partie de tout cela est normal et sain, comme le prouve le Coran en nous invitant au rappel religieux fréquent de Dieu et de ses voies du Bien. Mais ce qu'il faut comprendre, c’est que d'abord pour leur profit puis pour leur messianisme erroné, les élites juives (sataniques) ont eu un succès inhabituel dans l’utilisation de la manipulation hypnotique de masse, ce qui signifie que cela a été utilisé excessivement et massivement dont par les grands médias télévisuels du système amoral et abrutissant. Parmi ces stratégies, les idiotes et instrumentalisées minorités agissantes sont comme des enfants mal élevés : ça casse et ça salit tout, c’est jamais content, ça gémit, ça geint, ça pleurniche, c'est rancunier, ça réclame, ça fait des caprices, ça parle mal, ça veut dominer, ça divise, et ça finit par se prendre des claques par le réel, si les parents ne le font pas avant. En sachant le prolongement de ces pleurniches en particulier celles arabe et noire prolongent celle juive, toutes au détriment de l'universalisme christique. Surtout que la fin de ces pleurniches stopperait aussi la pleurniche des lgbt et des féministes. D'autant plus que toute minorité exigeant le respect et insistant lourdement sur la discrimination dont elle ferait l’objet finit toujours par lorgner vers le tiroir-caisse, c’est-à-dire nos poches. Toute pleurniche est le préalable à une demande de réparation, sur le fameux modèle de on est là pour réparer le monde. Or toutes ces oppositions créées ou entretenues empêchent d'abord un mouvement social de grande ampleur. C'est le principe premier de l’oligarchique ingénierie (anti)sociale, néocapitaliste, mondialiste, néoconservatrice et sioniste : créer donc un mouvement sociétal car étant antisocial. Par conséquent il ne faut plus parler de minorités agissantes car faisant croire à un rétablissement de la justice pour de pauvres victimes, mais plutôt de minorités tyranniques servant à faire adhérer une partie de la majorité à leurs objectifs qui profitent en réalité d'abord aux mondialistes oligarchiques. Ces minorités sont d'ailleurs comparables et liées à la minorité occidentale voulant imposer son ploutocratique système colonial au monde. C'est pourquoi après avoir réussi à acheter et donc gérer les grands médias afin de contrôler l'information propagée et donc d'orienter une grande partie de l'opinion publique en leur faveur, ces mondialistes élites très riches, souvent cupides ou défendant des intérêts particuliers cachés par définition opposés au bien commun, sont généralement à l'origine du financement des associations de ces idiotes minorités manipulées.
Et vu tout ce qu'aujourd'hui il y a à prendre en compte comme l'évolution scientifique, humaine, religieuse, économique, énergétique et autre, le futur est de moins en moins contrôlable par des think tanks à la différence de Dieu L'Omniscient.
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