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C) La morale correspond à la science des mots (suite 2)



Le protestantisme vient du calvinisme ayant renforcé la théologie de Luther. Ce dernier était un prêtre allemand du Nord qui prétendait pourtant parler avec le diable et vécu donc un destin très étrange, surtout qu'ayant été pro-juifs dans sa jeunesse puis anti-juifs plus tard, dans le sens qu'un homme plus ou moins égaré ou se cherchant peut même participer à créer un courant théologico-politique finissant par éprouver l'humanité en particulier avec sa transformation en calvinisme et donc en judéo-protestantisme, car le judéo-christianisme n'existe clairement pas vu le message de Jésus concernant les pharisiens, d'autant plus que Calvin a dit qu'il préférait les juifs au catholiques. En effet au départ ce prêtre souvent reclus qu'était Luther luttait plus apparemment contre les compromissions du catholicisme envers le capitalisme dont suite à avoir vu  lors de son époque, le niveau de décadence à Rome et l'expiation par l'agent trop facilitée. D'ailleurs Luther encourage le travail alors que le Calvinisme encourage l'enrichissement, mais moins sa branche devenue le puritanisme. De plus Calvin, contrairement à Luther, permettait l’usure, ce qui conduit à la juification subséquente de l’Amérique en particulier après la Seconde Guerre mondiale. Or la théologie de Luther amplifié par Calvin fut étonnamment basée sur un christianisme retournant vers l'ancien testament judaïque, c'est à dire plus sur la bible hébraïque que sur les Evangiles, afin préserver les privilèges de la bourgeoisie allemande du nord de son époque. En effet il a perversement associé la grâce divine à l'enrichissement matériel plutôt qu'à la noblesse spirituelle devant nous amener à être toujours juste et miséricordieux dès que possible comme Dieu, puisque le Coran précise dans une forme d'égalité ultime et logique que le plus noble (meilleur) des hommes est le plus pieux, ce qui signifie clairement que Dieu ne regarde pas la quantité matérielle mais la qualité spirituelle, et que nous sommes d'ailleurs de nos jours encore plus fortement dans cette lutte entre ceux recherchant la quantité et ceux recherchant la qualité. C'est à dire que le sens des révélations a été perversement orienté au profit des plus forts et de l'ordre établi corrompu, alors que la religion est un appel à la transcendance, au changement de l'ordre établi pour la justice, et à la propagation des principes de bonté, de fraternité et de dignité de l'humanité. Surtout qu'un des buts du passage sur terre étant de dépenser pour Dieu, il ne s'agit donc pas d'obtenir le plus gros capital du monde à moins d'ensuite en dépenser au moins la moitié pour les voies du bien sans oublier de payer la zakat. En sachant que le meilleure dépense pour Dieu se trouve dans le suivi de la tradition, du caractère et de la moralité prophétique et dans la bienfaisance sociale. La seule grâce supérieure à la naissance et donc dans la prédestination concerne la descendance royale dans les pays monothéistes pratiquant la monarchie, car il s'agit d'une noblesse supérieur de position. Mais comme il a été vu, même cette noblesse supérieure de position a évidemment moins de noblesse que celle de choix dont par rapport à sa responsabilité et au fait que le meilleurs des humains est le plus pieux. Le luthéranisme devenu calvinisme est d'autant plus erroné car il considère donc la prédestination dans la richesse plus bénie que la noblesse par le choix, et porte ainsi la fausse valeur supérieure de l'élection dont d'une famille pouvant en plus amené à l'impiété du racisme, et validant la stupide malédiction injuste précisant que l'enfant hérite des péchés du père comme selon l'erreur du judaïsme à ce sujet. D'ailleurs cette pseudo élection de la prédestination pour la richesse est similaire à l'élection religieuse et messianique selon les juifs, ce qui explique l'alliance de l'oligarchie occidento-israélienne. (Or les protestants ont raison de ne pas adorer les saints à la différence des catholiques, car ces saints sont en réalité des hommes dont le jugement divin n'a pas eu lieu, et il faut noter que Luther, son protestantisme et la bourgeoisie allemande de son époque  à la différence de celle française étaient conservateurs.) Le christianisme croyant illégitimement que la bénédiction divine se trouve dans la bonne prédestination au niveau des biens rend donc en plus perversement la prédation économique autorisée. (Or les protestants ont raison de ne pas adorer les saints à la différence des catholiques, car ces saints sont en réalité des hommes dont le jugement divin n'a pas eu lieu, et il faut noter que Luther, son protestantisme et la bourgeoisie allemande de son époque à la différence de celle française étaient conservateurs. Mais Luther dans son rabaissement des paysans et son élévation de la bourgeoisie revint donc en réalité à l'ancien testament inégalitaire par la croyance erronée en la grâce divine innée synonyme d'élection et d'exceptionalisme, comme le prouve l'inégalité entre les frères chez les anglo-saxons puisque seul l’aîné hérite, ce qui propagea donc perversement chez les anglo-saxons allemands, britanniques et US, l'inégalitarisme entre les peuples, ou les nations, dont jusqu'au nazisme, en particulier suite au passage du luthéranisme au calvinisme.) Le christianisme croyant illégitimement que la bénédiction divine se trouve dans la bonne prédestination au niveau des biens rend donc en plus perversement la prédation économique autorisée.
C'est à dire que l'égaré voire pervers protestantisme fut créé puis amplifié par le luthéranisme qui lui devint radicalisé par le calvinisme, ce qui apporta illégitimement et perversement l'idée de classe bourgeoise élue, comme faussement le judaïsme apporta l'idée de peuple élu, le marxisme l'idée de prolétariat élu, le nazisme l'idée de race ou d'ethnie élues, le wahhabisme l'idée de pieux élus. Calvin (dont en ayant aussi autorisé l'usure) fut donc pour la bourgeoisie ce que Marx fut pour le prolétariat, c'est à dire un fondateur voire un faux prophète messianiste, quoique avant Marx, des chrétiens sociaux dénonçaient déjà les bas salaires et mauvaises conditions de travail des ouvriers en usine. Surtout que Calvin condamna la volonté d'élévation sociale de certains cerfs ou pauvres et affirma même que les Juifs sont supérieurs aux catholiques. (Il faut noter que l'usure a amené en partie à l'esprit capitaliste et donc individualiste de même que la migration de 20 millions d'européens vers l'Amérique du Nord pour former plus tard les USA.) C'est pourquoi il peut être déduit que le nazisme est la laïcisation du judéo-protestantisme du nord de l'Allemagne, et que le nazisme (pagano-athée) Hitlérien fut donc un miroir du judaïsme, par preuve de l'idée de peuple élue et de sa volonté de domination mondiale jusqu'à un Reich ayant un rapport avec la pseudo promesse eschatologique de domination universelle juive dont par l'esclavage. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente intervention « Youssef Hindi : Les soubassements idéologiques de la géopolitique anti-russe » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=XaM1W3rofGE

Or « Martin Luther (1483-1546), un moine et théologien allemand du 16e siècle, est connu pour être à l’origine de la Réforme protestante. Les raisons de cette rupture sont multiples, mais elles peuvent être en partie évoquées à partir du voyage de Luther à Rome. En 1510, il entreprend un pèlerinage vers la capitale italienne qui le confronte à la réalité de la corruption et des excès au sein de l’Église. Il est choqué par le luxe ostentatoire, la quête effrénée du pouvoir et de la richesse, ainsi que par le comportement immoral de certains membres du clergé, y compris des évêques. Cette expérience marque profondément Luther et le pousse à remettre en question l’autorité et les pratiques de l’Église. Au-delà de la dénonciation des abus, Luther propose des solutions théologiques radicales. Il prône un retour aux sources du christianisme, un courant souvent désigné sous le terme de « restaurationnisme ». Afin d’y parvenir, le moine allemand s’appuie sur les Écritures saintes comme autorité suprême et sur la diffusion plus large de la Bible à travers l’Europe dans les langues vernaculaires (de chaque pays). En outre, il prône également le sacerdoce universel de tous les croyants, affirmant que chaque chrétien a un accès direct à Dieu et peut interpréter les Écritures par lui-même, sans nécessiter l’intermédiaire du clergé. Cette idée conduit à une valorisation accrue de la Bible et à une relecture de l’Ancien Testament, qui avait été souvent négligée et interprétée de manière allégorique par l’Église catholique. Les premiers théologiens du protestantisme, dont Martin Luther et Jean Calvin (1509-1564), n’ont cependant mentionné aucune vision eschatologique particulière incluant un retour des juifs en Palestine, que ces derniers se convertissent au christianisme ou pas. À l’instar de l’Église catholique et de l’Église orthodoxe orientale, Luther et Calvin peignaient l’Église chrétienne comme le « nouvel Israël spirituel », où l’alliance divine avec l’humanité reposait désormais exclusivement sur les épaules des croyants chrétiens, délaissant toute prérogative fondée sur les lignées ancestrales. Toutefois, dans les sinuosités de la théologie protestante, de nouvelles voix se firent entendre, exaltant l’importance de l’Ancien Testament et exhortant à reconnaître la continuité entre les Écritures hébraïques et les Évangiles, érigeant ainsi l’autorité scripturaire en pierre angulaire de la foi chrétienne. Il est en cela quelque ironie à observer que l’impulsion initiale de réforme au sein du catholicisme, dans sa quête de retour aux sources du christianisme primitif, aboutit à une réconciliation avec le judaïsme, une foi (judéo-chrétienne) que les premiers disciples du Christ avaient reléguée aux oubliettes quinze siècles auparavant. Là où Jésus, naguère, chassa les marchands du Temple, le protestantisme, dans son élan, leur ouvrit à nouveau largement ses portes. Ce ne fut pas tant la présence de l’Ancien Testament qui éveilla l’intérêt des chrétiens envers le peuple juif et le sionisme naissant, mais bien l’adoption d’une lecture littérale des textes hébreux, rejetant ainsi les interprétations allégoriques qui avaient dominé l’herméneutique catholique pendant des siècles. Au XIXe siècle, un vent de contestation souffla sur le dogme du supersessionisme (séparation nette avec le judaïsme), jadis incontesté depuis les temps de Justin Martyr, par l’émergence du dispensationalisme (interprétation logique de l'histoire où Dieu établi progressivement son règne hégémonique sur le monde). La première école théologique, héritière des siècles passés, proclamait que l’Église chrétienne avait supplanté Israël en tant que peuple élu de Dieu, que les promesses faites à Israël dans l’Ancien Testament trouvaient désormais leur accomplissement en Jésus-Christ et dans l’Église. La seconde, émergeant avec une voix dissidente, prétendait au contraire que l’Israël antique et la nouvelle Église chrétienne étaient deux entités distinctes, chacune dotée de desseins divins propres. Si les partisans du premier courant estimaient que les bénédictions jadis promises à Israël étaient dorénavant attribuées à l’Église, reléguant Israël en tant que nation à un rôle secondaire dans le dessein de Dieu, les adeptes du second défendaient ardemment l’idée que Dieu avait des desseins spécifiques pour Israël en tant que nation, ce qui actuellement est particulièrement porté par les évangélistes US et les protestants britanniques afin de faire advenir la fin des temps et le retour de Jésus le Messie, et pour l’Église en tant que corps de croyants issus de toutes les nations. Ces évolutions théologiques, intrinsèquement liées au protestantisme, tardivement épousées par la doctrine catholique, furent accueillies comme une providence par les juifs sionistes. Ils furent à coup sûr aussi étonnés que ravis de voir leurs anciens détracteurs s’ouvrir à l’idée du rétablissement des juifs en Palestine ! Peut-être est-ce là la raison sous-jacente qui poussa les pionniers sionistes, aux premiers pas de leur entreprise en Palestine, à rechercher un dialogue privilégié avec l’Angleterre plutôt qu’avec la France. Sur ce point, l’éclairage de l’auteur Philippe Prevost s’avère éloquent : « Les sionistes tenaient absolument à ce que l’Angleterre fût la seule puissance mandataire car ils savaient qu’ils s’entendraient mieux avec une puissance protestante qu’avec la France, pays encore catholique. Ils ne voulaient surtout pas d’un double pouvoir en Palestine de peur de voir entraver leur action. » » (Fernand le Béréen)
« L’Occident a connu une première séquence historique : celle de la sécularisation (séparation de l’État et de la religion, alors que cela déstructuré la société et le politique, puisque cette dernière a toujours été basée sur la religion depuis l'antiquité, c'est à dire qu'en poussant la religion exclusivement à l'espace privé, on détruit cette dernière progressivement aussi jusque dans les cœurs, ce qui atomise puis déstabilise souvent les gens moralement et psychiquement comme le prouve l'augmentation des suicides) ; puis celle de la déchristianisation, qui a ouvert la voie aux idéologies modernes (anti-religieuses), elles-mêmes des religions laïcisées, et la présente séquence qui est la phase terminale d’écroulement de ces idéologies modernes. La disparition des idéologies modernes produit le même effet que celle des religions traditionnelles, à savoir une période de désorientation, de décadence et d’anarchie, que traverse l’Occident actuellement. Les anglo-américains n’ont pas apporté la civilisation à l’Europe, mais le libéralisme. Un libéralisme qui se couple avec une sécularisation dont la matrice est le protestantisme. La sécularisation, qui démarre avec la séparation de l’Église romaine et de l’État (suite à la guerre civile européenne entre catholiques et protestants ayant affaibli la monarchie en particulier française), au profit d’une contre-église luthérienne puis calviniste (bien plus intrusive et totalitaire que l’Église catholique), va s’étendre peu à peu aux autres domaines. En aucun cas on ne peut qualifier Martin Luther et Jean Calvin de progressistes. D’ailleurs, Luther et Calvin après lui rejettent le pouvoir de l’Église catholique pour mieux imposer leur propre église et leur propre pouvoir politico-religieux sur la société. Le calvinisme, qui est donc devenu parmi les formes les plus judaïsées du protestantisme, s’implante en Angleterre au XVIe siècle à la suite de sa rupture avec l’Église romaine. L’île accouchera aux siècles suivants du libéralisme, qui opère graduellement la grande séparation du politique, de l’économique, du religieux et de toute morale. Le libéralisme économique peut être ainsi perçu comme l’aboutissement du sécularisme protestant et la laïcisation du calvinisme lui-même, qui est la religion de la bourgeoisie, libérée de toute autorité religieuse et étatique. Or la bourgeoisie par ses compromissions a passé la main et a été remplacé par la ploutocratie de l'hyper classe, et il faut donc repuiser dans la culture révolutionnaire pour lutter contre ses mauvaises conséquences. En effet la sécularisation libérale et démocratique n’a rien à voir avec la liberté, et la séparation de l’Église et de l’État ne conduit pas à l’instauration d’un État minimaliste, mais plutôt d’un État ploutocratique totalitaire en puissance. L’histoire a finalement donné raison à Ibn Khaldûn et donné tort à Adam Smith. Le découplage de l’État et de l’économie n’a pas conduit à une séparation stricte et à une autonomisation des deux, mais à la prise de contrôle des puissances économiques et financières sur l’État. (Le droit anglo-saxo et les nations privilégiant le droit commercial sur celui civique commun a donc de plus en plus dominé la France. Ainsi l'Occident anglo-saxon, judéo-protestant, a de plus en plus dominé jusqu'à nos jours l'Occident latin, catholique.) Nos libéraux orthodoxes contemporains s’étonnent aujourd’hui de voir apparaître un capitalisme de connivence, c’est-à-dire une corruption institutionnalisée, qui n’est autre que l’aboutissement du processus enclenché par le libéralisme économique. Libéré des entraves de l’État et de toute morale religieuse, le banquier et le patron de multinationale ne se contentent pas de défendre leurs intérêts hors du champ politique ; ils investissent l’appareil d’État et l’utilise contre le bien public. L’absence d’une autorité religieuse et morale, d’un modérateur veillant au respect de la loi religieuse et de la bonne morale, a fait sauter tous les verrous de la décence en Occident. Au point que la caste politico-médiatique s’autorise à défendre, toute honte bue, des pédophiles et des assassins, et à glorifier des fauteurs de guerre comme BHL. La croyance religieuse précède historiquement l’agriculture, l’écriture, la cité et l’État. La religion structure la vie des hommes et de leur organisation politique. Les exemples égyptiens et sumériens en témoignent. À chaque cité son dieu tutélaire, et à chaque civilisation sa religion. Chez les philosophes grecs l’on peut également trouver une pensée et une morale religieuses. On peut également remonter à l’Égypte de la IIIe dynastie (2778-2723 av. J.-C.), sous l’Ancien Empire. À l’époque où ont été écrits les premiers textes de sagesse monothéiste, contenant des règles morales religieuses. Toute décadence civilisationnelle à un lien de causalité ou coïncide avec la crise religieuse. Gustave Le Bon (1841-1931) a parfaitement compris et décrit ce mécanisme historique. La religion et les valeurs morales ne sont pas de l’ordre du privé, elles sont fondamentalement publiques. » (Extraits de l'article de Youssef Hindi « La crise civilisationnelle de l’Europe à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-crise-civilisationnelle-de-l-Europe-71600.html)
Par rapport au catholicisme, c'est donc la réforme protestante qui a permis le passage au capitalisme en partie légitime dont pour le droit de propriété, celui d'investir éthiquement et celui d'entreprendre licitement qui appartient à l'adoration, mais étant devenus désormais ploutocratiquement oppressifs. Or le bourgeois français, qui a été l’épicentre du système républicain, est maintenant devenu la base du système wokiste, écologiste, mondialiste et même numérique. C'est à dire que le bourgeois catholique zombi s'est progressivement laissé détourner vers le progressisme jusqu'à d'ailleurs son pape François anti-christique comme il sera revu, et a donc tourné la page catho-chrétienne-bourgeoise. Il faut noter que l'écologie, la numérisation et la lutte pour le climat comme d'autres domaines correspondent à des besoins similaires pour les peuples, les nations et l'oligarchie mondialiste, et qu'il faut donc faire attention à ce que les peuples et des nations ne soient pas spolier par l'oligarchie mondialiste lors de leurs réalisations.
Surtout que ces dirigeants et oligarques mondialisto-ploutocratiques dont en France coûtent chère, ratent tout, sont souvent corrompus et veulent en plus éhontément nous donner des leçons, tout en se prenant totalement hors sol pour des personnages historiques ! Le culot de nos « élites » politiques illégitimement voire faussement auto-satisfaites atteint donc un niveau catastrophique.
Si l’on cherche à saisir l’ontologie d’une culture ou d’une civilisation, nous sommes naturellement conduits à rechercher le noyau spirituel qui la fonde. Car il n’existe pas de peuples, de nations, de culture ni d’États qui ne soient structurés par un noyau spirituel même sécularisé. Il faut noter que la sécularisation est différente de la laïcité, car malgré la séparation du pouvoir politique et religieux, l’État et la nation gardent un fort aspect religieux comme aux USA, puisque le président des USA jure sur la Bible lors de son intronisation, ses politiciens prétendent que leur nation porte une destinée manifeste et la majorité de la population est protestante ou évangélique, même si leurs lois sont souvent perversement et donc étonnamment voire follement une progressive inversion des valeurs monothéistes qui est la pire arme du Diable, puisque la plupart des cœurs ne peuvent supporter trop de mal dont la violence, la contrainte, la brutalité et la cruauté font partie. Or les USA pourrait même être la nation monothéiste la plus hypocrite du monde, puisque portant, finançant, propageant et étant à l'origine du progressisme wokiste, alors que Dieu est inscrit sur tous leurs billets. Le wokisme signifiant « éveillé » appartient également à l’inversion des valeurs traditionnelles puisqu'il s'agit d'être éveillé en grande partie à l'impiété, dont suite à la cancel culture (culture de l'effacement fou car à outrance par rapport à l'inégalité, l’iniquité voire la différence) allant jusqu'à effacer la vertu authentique, comme le prouve par exemple l'apparition de la prédation et la jalousie au sein de l'entreprise, allant jusqu'à se satisfaire stupidement qu'un collègue perde un client de cents millions d'euros. D'ailleurs pour parvenir à cette grave situation, la belle civilisation européenne a été complètement détruite par cette idéologie wokiste particulièrement développée aux États-Unis, dont car comme ils n'ont pas une aussi longue et riche histoire que les France, l'Italie et la Russie, les mondialistes US cherchent donc à l’éradiquer comme ils ont tenté d’éradiquer l’histoire de l’Irak, de l’Afghanistan, de la Syrie. Le wokisme lié donc par essence à la cancel culture a donc aussi pour but d'atteindre l'égalitarisme irréfléchi plutôt qu'équité raisonnable. Et cette déviation et donc aussi inversion très impies des valeurs va jusqu'à celle de l'ordre naturel et donc divin, dont en cherchant à modifier l'ADN, le génome, les légumes (OGM), le climat, le genre (Lgbtisme), le sexe (Transsexualité), Ainsi ce pseudo grand réveil qu'est le wokisme est sans surprise lié au grand reset pour le profit de l'argent et du pouvoir par l'oligarchie, en particulier via le transhumanisme auquel la contradiction est de plus en plus éviter voire rabaisser dans les chaînes TV. Et on peut aussi dire que la pseudo-liberté LGBT sert à masquer la tyrannie économique au profit du grand reset, mais qui est en réalité moins pour l'argent puisque d'abord pour le contrôle oligarchique. En sachant que le grand reset correspond même au paradigme post-moderniste voulu par l'oligarchie mondialiste et sioniste pour faire suite la fin de l'époque de la modernité, et que d'autres paradigmes post-modernistes sont possibles ou proposés par des nations, des peuples ou des intellectuels.
Dans ce sens Macron a dit : « On est en train de réinventer un modèle (oligarchique). C’est plus dur de réinventer quand tout n’a pas été détruit (dont afin ensuite de privatiser tout ce qui est social comme le système médical et ses hôpitaux). »
De nombreux problèmes et graves dangers sont donc apparus avec l'individualisme toujours plus promu et développé par le libéralisme progressiste et wokiste. Surtout que cela a fait sortir beaucoup de gens de toute idée d'identité collective unifiant les individus parfois par ce qui les transcende, comme Dieu, l’Église catholique, l'Empire, l’État, la nation, le genre (non genré), et donc même l'humain (dont aussi via le transhumanisme), et que cela a donc propagé les laïcs, les athées, les matérialistes, les progressistes, les wokistes et les Lgbtistes. Certains considéraient pourtant que le triomphe du libéralisme sur le fascisme puis le communisme correspond à la fin de l'histoire. Or même si ce n'est absolument pas le cas selon les prophéties monothéistes sur la fin des temps et le retour de Jésus, ça aurait pu effectivement être la fin de l'Histoire, mais pas seulement symboliquement car aussi au niveau de l'humanité. En effet le libéralisme ancien (classique) cherchait à conjuguer la liberté individuelle avec la liberté des autres dont via des consensus, des compromis et la démocratie donnant le pouvoir à la majorité, alors que le nouveau libéralisme est le règne des minorités qui ne correspond plus à la promotion de la liberté individuelle mais à l'obligation d'éveil vers la défense exclusive des minorités, même perverses et donc folles, dont donc celles niant Dieu, l’Église catholique, l'Empire, l’État, la nation, le genre (non genré), et donc même l'humain (dont aussi via le transhumanisme). Il s'agit donc même de se libérer de l'individualité et de la démocratie donnant le pouvoir à la majorité sous le pseudo prétexte de son totalitarisme. Ce devoir d'être progressiste (être un libéral de gauche) se fait aussi sous le pseudo prétexte de devoir être moderne, alors que c'est plutôt de devoir devenir post-moderne, dans le sens de post-humain, d'humain-optionnel ou d'artificiel (dont IA), et donc dans une forme de libéralisme devenu totalitaire, alors qu'il était au départ contre toute prescription. Ce qui demeure pourtant logique en particulier sans l'encadrement théologique et donc religieux ni l'honnêteté scientifique de la loi naturelle, et car certains considèrent le progrès même du corps humain comme sans fin. D'ailleurs ce libéralisme devenu totalitaire va jusqu'à interdire des livres philosophiques ne prônant ni la guerre ni la haine. Sans le grand scénario divin jusqu'à la fin des temps, l'Homme qui est un animal rationnel aurait pu donc finir par disparaître en étant dépassé par ses idées et créations impies comme le libéralisme de même donc que par son grandissement de la science matérialiste dont via de nombreux films souvent dystopiques ou politiquement orientés vers le mondialisme oligarchique, plutôt qu'atteindre l'avenir traditionnel brillant et prospère au niveau familial, économique, technologique et environnemental par son grandissement de la piété et de la religion dont via les réseaux sociaux et les médias en général. Il faut rappeler que c'est le judéo-protestantisme qui a conduit au libéralisme et donc à l'individualisme (synonyme de post-catholicisme voire en réalité de post-christianisme, mais aussi logiquement de plus plus de satanisme dont souvent symboliquement), dont par la croyance en la bénédiction divine à travers la grâce plutôt qu'évidemment pour le choix noble et pieux, puis par le darwinisme qui correspond au catéchisme laïc et donc au transhumanisme.
En particulier à notre époque de la modernité, l'occident cultive aussi des valeurs basées sataniquement sur la fluctuation ou la liquidité qui sont par essence éphémères et non des valeurs basées divinement sur les vertus qui sont par essence permanentes.
Car une fois qu’un système rejette métaphysiquement et catégoriquement la logique, la raison et la documentation historique, ce système finira par embrasser le satanisme, d’une manière ou d’une autre. Ainsi selon l'Ambassade d’Israël, Washington, D.C. et le département d’État américain, les chrétiens sionistes des USA ont en plus participé à donner 280 MILLIARDS DE DOLLARS DE CONTRIBUABLES AMÉRICAINS depuis 1948 dans une opération de nettoyage ethnique et d’occupation américano-israélienne. L’historien protestant Donald M. Lewis souligne que : « Le sentiment d’appartenance britannique des évangéliques était en train d’être redéfini avec l’ajout du philosémitisme et du sionisme chrétien comme nouvelles couches de l’identité britannique. La Grande-Bretagne, en tant qu’«Israël protestant», devait protéger et défendre «Israël selon la chair» contre son ancien ennemi persécuteur, le catholicisme romain.» Cela signifie que de nombreux évangéliques sont beaucoup plus imprégnés des valeurs du «œil pour œil» ou des Philistins frappants, qu’ils ne le sont du Sermon sur la Montagne où Jésus vante les vertus du rétablissement de la paix, de la noblesse morale, du pardon et de l’amour du prochain même de l'ennemi.
L’athéisme rationaliste lui-même, qui est désormais devenu la norme culturelle commune des peuples d’Occident, plonge ses racines dans un ensemble d’idées et de conceptions non-rationnelles et en fait « parareligieuses ». Idées apparues dès la Renaissance de manière sous-terraine et qui commenceront de s’imposer comme l’idéologie diffuse des élites occidentales à partir des Lumières. « Lumières » dont le terme même renvoie par ailleurs à l’illuminisme et à l’ésotérisme maçonnique (luciférien, satanique). L’humanisme chrétien européen classique s’effondre ainsi intérieurement sous la poussée du transhumanisme ploutocratique porté par les élites et oligarchies occidentales techno-scientistes. Le plus grand danger actuel n'est donc pas le covid ni la guerre, mais la robotisation. Surtout que le système économique actuel tendant vers l'automatisation de tout, il devient follement une machine autosuffisante tel un cercle vicieux voire infernal, puisque plus au service des hommes voire pouvant fonctionner sans les hommes. Or cette robotisation possiblement aussi des humains commence simultanément par la glaciation du cœur et la pétrification de l'esprit dont à cause des médias du système, alors il faut réchauffer les cœurs en stimulant l'esprit de noblesse. Mais à l'origine, c'est d'abord le travail à la chaîne qui a beaucoup participé à la froide robotisation laïciste des humains au profit du système dans une forme d'esclavage.
Les perverses élites occidentales, tout en continuant de faire de l’Occident une forteresse du transhumanisme, cherchent aussi à transformer l’ensemble de l’ordre international en usant de la puissance de l’Occident politique. Or l’Occident est un mythe essentiellement amoral qui finit logiquement par tomber en disgrâce dans les trois quarts du monde dont par l'égoïsme et la prédation machiavéliques de ces laïcistes élites ploutocratiques. En effet c'est sur la manipulation de sa propre histoire et de ses souffrances qu'il a construit son mythe de maître de l’humanité. Surtout que le refus au droit d'une entité ne peut que finir par arriver quand elle refuse l'éthique, comme donc l'occident politique et aussi Israël. Cette orientation post-humaniste et post-chrétienne des élites occidentales empire d'ailleurs de plus en plus clairement avec le temps qui passe et l’éloignement progressif de la source helléno-chrétienne qui constitue la racine spirituelle de l’Occident, c'est à dire celle basée sur le monothéisme christique et la raison grecque. Divorcées spirituellement de l’héritage réel de la civilisation européenne, les élites occidentales tyranniques n'entament même plus de dialogue sérieux avec les populations dont elles ont théoriquement la charge.
Le monde inégalitaire anglo-américano-judéo-protestant a gagné la deuxième guerre mondiale et règne sur le monde depuis. Avant l'intervention russe en Ukraine, il soutenait d'ailleurs l'Allemagne protestante inégalitaire comme leader de l'union européenne favorisant les oligarchies après avoir participé à la destruction du monde égalitaire français catholique lors donc de la révolution de 1789, ce qui est logique puisque la maçonnerie a préparé le noachisme plus ou moins conscient des nombreux révolutionnaires. D'ailleurs le lien et le commerce au sein de la francophonie demeure plus logique que l'Union européenne, surtout avec l'importance actuelle de la langue française. Ainsi la francophonie facilitant les échanges peut devenir une puissance largement autosuffisante et croissante, dont via la technique métropolitaine, les nombreuses matières premières africaines de tout type, les territoires outre-mer plus ou moins indépendant, le développement mutuel et donc le soulagement de l'immigration. On peut noter ici que lorsque la Bourgeoisie s'est séparée de la retenue du catholicisme égalitaire, elle s'est enfoncée dans la prédation économique inégalitaire, ce qui a entraîné de grave problèmes économiques et moraux au sein de la société jusqu'à nos jours.
D'ailleurs la laïque gauche bourgeoise française démocrate portée par ces forces malfaisantes extérieures (étrangères) et intérieures (franc-maçonnerie) a ensuite massacré des centaines de milliers de catholiques en particulier vendéens ainsi que leur famille qui tendaient donc vers les christianisme traditionnel charitable, c'est à dire dans une forme de génocide contre son propre peuple pour la première fois de l'histoire, et a déclaré la guerre à toute l'Europe en 1792 et après en prouvant son pervers impérialisme jusqu'à nos jours. Le système de suppression de l'Etat français par l'union européenne doit être conservé comme une preuve de la tyrannie mondialiste ploutocratique et wokiste. En effet il se fait d'abord à travers le sabotage de l'énergie (prix moyen européen obligatoire alors que coût de production inférieur en France), de l'agriculture, de la monnaie et de l'économie, et donc de tous ses moyens d'autonomie et de fonctionnement dont des services publiques, au profit des grandes multinationales globalistes occidentales visant le contrôle mondial même des USA parle supranational de l'empire de la finance en particulier anglo-saxonne, Lgbtisite, wokiste et cancel, car la nation a une réalité politique, juridique, culturelle, historique mais aussi souvent religieuse ou idéologique pouvant évoluer voire changer. D'ailleurs la BRI (Banque des règlements internationaux créée en 1930) fut la première institution supranationale, l'Union Européenne est protégée par l'OTAN et donc par les services états-uniens et britanniques thalassocratiques, et depuis que la France y a adhéré, elle a perdu son autosuffisance alimentaire et énergétique. A cause du pervers protestantisme, la véritable religion de nombreux américains est même désormais leur politique laïciste ultra libérale et leur belliqueuse géopolitique hégémonique. Ils ont même remplacé le destin divin des juifs, des chrétiens et des musulmans par leur prétendue destinée manifeste en réalité fortement impie, puisque à travers leur pseudo messianisme presque accompli qu'est la laïcité ultra libérale comme système politique mondial qui serait la fin logique de l'Histoire. C'est à dire que les intérêts de la caste du mondialisme oligarchique se servant des USA pour imposer sa tyrannie internationale sont désormais souvent au-dessus de toute nation et que la géopolitique existe ainsi de moins en moins au profit de la géoprivatisation. Cette tyrannie parvient même à proposer en France des lois comme celle de programmation militaire pouvant réquisitionner des personnes physiques et des personnes morales même pour de floues raisons de mise danger concernant les instituions, le sanitaire, l'écologie. En effet qu’il s’agisse de simples effets d’annonce pour terroriser nos populations et les désintéresser des problèmes intérieurs ou qu’il s’agisse d’une authentique folie belliciste de ceux qui nous gouvernent, dans les deux cas cette loi clairement liberticide est tyrannique. (Or la manipulation par un virus est celle pouvant le plus supprimer de les libertés.) Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Programmation militaire, réquisition : Macron prépare la guerre » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=QVOT87U3pds
Il faut noter que les USA sont donc un pseudo empire messianique par leur croyance en la destinée manifeste (calviniste, ploutocratique, spéculative, économico-fictive, ultra-libérale, wokiste et donc destructeur de l'humanité), alors que la Russie est dans la realpolitik (chrétienne, équitable, coopératrice, économico-réelle, multipolaire, naturelle et donc salvatrice de l'humanité) même si elle considère logiquement de plus en plus notre époque comme eschatologique puisque face à cet impie empire mondialiste. Ainsi pour changer les injustices mondiales et prendre part à la lutte contre l'indignité mondialiste au mieux, la réinformation populaire concernant tous ces faits devient la priorité. Dans ce sens il faut aussi rappeler que jusqu'en 1960, 95 % des bébés français étaient baptisés.
La révolution française est aussi synonyme de révolution gaïatique (impie, idolâtre et sacrificiel dont du père), car Dieu a été remplacé par la nature ou/et le laïque berger-Etat athée à la mamelle éternelle, et l'être humain est devenu le citoyen homme-dieu sans spiritualité, alors que la naissance de la France eut pourtant lieu suite au baptême du roi Clovis et donc à sa représentation du Père du ciel. Surtout que la naissance de la république eut lieu suite à la révolution sanglante et la décapitation sanglante du roi Louis XVI et donc du père de la nation, ce qui est symboliquement encore la coupure du lien entre Dieu et le peuple, puisque la colonne vertébrale du roi incarnait le tronc d'arbre reliant les racines populaires à sa tête, qui représentait l'esprit, et donc celui divin, et donc la spiritualité plutôt que le matérialisme. Cette décapitation peut donc aussi être qualifiée de baptême inversé, surtout que cela a mené à l'actuelle inversion massive des valeurs.
D'ailleurs au moment de la déchristianisation de la France lors de cette révolution laïque de 1789 faisant suite à la déchristianisation des élites françaises, la France a perdu son rang de première puissance mondiale dont en perdant les USA et le combat contre l'Angleterre, comme l'avait prophétisé l'évêque saint Rémi, qui fit l'acte de naissance de la France catholique en baptisant Clovis, lorsqu'il dit que tant que la France reste fidèle à la foi romaine et à sa vocation, elle sera couronnée de succès et victorieuse et dès qu'elle se détournera, elle perdra tout et entrera en décadence, ce qui est d'ailleurs encore plus le cas aujourd'hui. Il faut noter que l'exécution de la famille royale russe par les révolutionnaires reprend également toute cette symbolique très gravement impie voire satanique. C'est à dire donc couper le lien entre le ciel et la terre car le roi chrétien est le lieutenant du christ afin que les forces spirituelles, positives vertueuses accompagnent l'épanouissement d'une société, comme l'a d'ailleurs prouvé la France en étant le première puissance mondiale jusqu'à 1789.
« C’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. » (Albert Camus, L’homme révolté, La Pléïade, p. 528-529)
« Depuis 1750 la France a péché contre l’esprit. Tout y a été abaissé : les institutions et même leurs pauvres contraires. Si on a abattu la monarchie on n’a pas élevé le peuple, si on a avili l’aristocratie on n’a pas décanté la bourgeoisie, si on a ravalé le clergé on n’a pas défendu les professeurs contre l’insipide vanité et on les a loués dans leur inénarrable vacuité ! La fraternité n’a pas remplacé la charité, l’égalité n’a profité qu’à l’argent, quant à la liberté ce ne fut que la basse licence de dire tout de façon que rien ne tirât plus à conséquence. Nous avons vécu dans un monde ignominieux de normaliens et de maçons, de banquiers et de politiciens, de journalistes et de cabots, de pédérastes et de drogués, de savants sans boussole spirituelle et d’artistes seulement sensationnels, de Juifs, de militaires et de curés destitués. » (Drieu la Rochelle)
La France est passée du monothéisme poussant à la responsabilité et à la loi naturelle, au retour de l'idolâtrie envers la déesse nature cherchant par l'Etat laïque, ploutocratique et sioniste à nous surveiller pour notre bien, à nous infantiliser pour notre sécurité et à nous tracer pour notre survie. C'est à dire que ce système pousse à l'immaturité, car cette dernière empêche de penser et d'agir sérieusement, surtout quand elle est liée au consumérisme et à l'inculture. D'ailleurs le jeunisme en politique de plus en plus mis en avant permet un contrôle plus facile, car il est sans expérience et peu aguerri contre la soumission au système. Or la république est laïque mais la France demeure catholique (christianisme charitable et universaliste) et c'est pourquoi elle est tant attaquée surtout qu'elle a été longtemps un phare de ce christianisme. En effet pour les forces occultes mondialistes et sionistes, pervertir la France depuis des siècles catholique et universaliste en un pilier de la ploutocratie wokiste et internationaliste est une stratégie logique. Par conséquent c’est flatteur pour la France d’être le (un) point névralgique de la guerre siono-mondialiste contre les peuples, car cela signifie que la France a ce petit quelque chose d’essentiel qui doit être détruit par le monarque diabolique du Nouvel Ordre mondial. Ce nouvel ordre mondial voulu par les perverses élites occidentales est aussi un nouvel ordre moral wokiste (inversion ou fin des valeurs), ploutocratique, écologiste intégriste, et sioniste. Et ce nouvel ordre mondial apparaît désormais de plus en plus comme la fin de l’ordre planétaire basé sur les règles du droit international, dont afin d'établir un monde sans nation comme tend à le faire l'Union Européenne, alors que les BRICS qui sont un espace de développement économique commun cherchent à améliorer ce droit international, et Poutine a même qualifié le LGBTisme de « satanique » et donc de « décadent », ainsi que les élites occidentales.
Poutine a de même dit que l’Occident (élites politiques) se vautre aussi dans le « satanisme pur et simple ». Dans ce sens il a aussi dit :
« Les élites occidentales deviennent folles et il n’y a pas de remède ! »
« L'Occident (ses élites) rejette les principes moraux et toute identité traditionnelle, qu'elle soit nationale, culturelle, religieuse ou même sexuelle... On mène des politiques mettant sur un pied d'égalité les familles nombreuses et les familles homoparentales, la foi en Dieu et la foi en Satan.. »
« (En cas de guerre nucléaire) L'agresseur doit comprendre que le châtiment est inévitable, qu'il sera détruit. Et nous, en tant que victimes d'une agression, en tant que martyrs, nous irons au Paradis. Eux (les agresseurs), ils crèveront tout simplement, ils n'auront même pas eu le temps de se repentir. »
Vladimir Poutine a également estimé que l'Occident n'a « aucun droit de parler de démocratie et des droits des peuples ». Dans ces territoires protestataires, « au lieu de la démocratie en Occident, il y a la pression et l'exploitation », « au lieu de la liberté, il y a l'esclavagisme », a assuré le dirigeant.  « Racistes », les élites occidentales ont été accusées de « diviser les peuples » et de « répandre la russophobie dans le monde ». Quant aux opposants à « l'hégémonie occidentale », qui porte « les traits d'un satanisme explicite », ils sont automatiquement considérés « comme ennemis », a-t-il jugé et encore rappelé.
Poutine accuse aussi l’Occident de pervertir ses enfants avec la pédophilie comme norme et donc de détruire les familles, les identités culturelles et nationales. « Regardez ce qu’ils font à leur propre peuple », a-t-il déclaré, dénonçant les élites occidentales qu’il qualifie de « pédophiles sataniques » et de « folles ». De plus le président russe critique la déformation des faits historiques et les attaques contre la culture et l’Église orthodoxe russe, ainsi que d’autres religions. Enfin il Il souligne que, selon les religions du monde entier, la famille est définie comme l’union d’un homme et d’une femme, une vision qu’il estime être attaquée par les politiques néolibérales.
Au point que dans un décret révolutionnaire, le président Vladimir Poutine a annoncé pour septembre 2024 l'ouverture des frontières de la Russie à ceux qui fuient les politiques néolibérales et les idéologies qu'il juge destructrices pour une nation, dont en offrant une « une aide humanitaire » aux personnes fuyant cette oligarchique dictature LGBT mondialiste. Ce geste, visant à offrir un refuge aux patriotes déterminés à défendre les valeurs morales et spirituelles traditionnelles, marque un tournant significatif dans la politique migratoire du pays, dont car visant aussi à faciliter l’accueil de ces individus en supprimant les barrières bureaucratiques habituelles, telles que les tests de langue et les examens d’histoire. En effet les étrangers pourront solliciter un permis de séjour temporaire (RVP) hors quota, sans justifier de la connaissance de la langue russe, de l’histoire du pays ou des principes fondamentaux de sa législation, au motif du rejet de l’idéologie, contraire aux valeurs traditionnelles, imposée par leurs pays d’origine. Désormais, les citoyens répondant aux critères fixés en application du décret se verront délivrer des visas privés ordinaires pour une période de trois mois sans avoir à répondre à ces conditions. Pour cela, ils devront envoyer une déclaration écrite indiquant leurs raisons à la mission diplomatique ou au bureau consulaire russe présents dans leur pays. Ainsi le ministère des Affaires étrangères russe se prépare à délivrer des visas à des citoyens étrangers ou apatrides qui rejettent les politiques néolibérales et les idéologies qu’ils estiment donc aussi nuisibles à leurs pays, tout en répondant positivement à la volonté de Moscou d’accueillir les « personnes partageant les valeurs spirituelles et morales traditionnelles (monothéistes authentiques) russes ». Cette initiative de Poutine s’inscrit dans une stratégie plus large visant à identifier et à dénoncer les nations qui propagent des idéologies pernicieuses. Vladimir Poutine a donné un mois pour assurer l’application du décret et a chargé le ministère des Affaires étrangères de déterminer une liste d’États répondant à l’appellation de « valeurs néolibérales ». Cette liste sera ensuite approuvée par le gouvernement. En ouvrant ses portes à ceux qui fuient ces politiques, la Russie se positionne comme un refuge pour les défenseurs des valeurs traditionnelles.
Cette ouverture aux réfugiés "anthropo-logiques" (et donc par un visa idéologique, sociétal, pieux ou/et anti-lgbtiste) en Russie est une annonce étonnante mais qui était en même temps prévisible pour tout croyant et dissident. Espérons que c’est seulement une bonne nouvelle, et pas la dernière chance pour l’Occident dégénéré (principalement incarné par les USA, le Canada, la Grande Bretagne, la France, le Nouvelle Zélande, l'Australie, et de plus en plus l'UE en particulier les pays scandinaves, et l'Amérique du Sud), dont possiblement lors d’une guerre nucléaire, si insuffisamment de gens prennent ce début de double nationalité russe. D’ailleurs le mainstream n’ébruite pas ce sujet... car le système pourrait s’écrouler... Alors que les très nombreux flux économiques de ces visas idéologiques ne peuvent être que synonyme d'une excellente santé pour l'économie nationale russe surtout que donc liés à des personnes honorant la loi naturelle, telle l'eau ne stagnant pas et donc telle une rivière. D'autant plus que la population russe ayant son nombre de naissance diminuant comme en occident, sa démographie risque de diminuer beaucoup sans immigration, en particulier avec la guerre en Ukraine.
C'est à dire que pieusement, Poutine a clairement et même eschatologiquement désigné l'ennemi : les élites anglo-saxonnes, tout en laissant Israël bombarder la Syrie pour montrer qu'il est le dernier pays arabe honorablement en guerre contre Israël. D'ailleurs après la deuxième guerre mondiale, les anglo-saxons voulaient imposer leur droit plutôt que le droit international qui a finalement vu le jour. Si Poutine présente un danger pour la France selon le système, ce n’est donc pas pour son peuple, mais bien pour ses élites médiatico-politiques, soumises au diktat israélo-américain et/ou mondialistes. L’ancien président russe Dmitri Medvedev verse également dans le vocabulaire mystique dont concernant la désatanisation de l'Ukraine en ayant décrit l’invasion de l’Ukraine par Moscou comme « un conflit sacré avec Satan. Dans ce sens il aussi dit : « Le but est d'arrêter le souverain suprême de l'Enfer, quel que soit le nom qu'il utilise : Satan, Lucifer ou Iblis. » Le sénateur russe Alexeï Pouchkov : « Nous ne sommes pas en conflit avec les peuples de l’Europe, mais avec leurs dirigeants. » Karl Haushofer préconisait l’alliance des puissances continentales, afin de constituer de grands blocs en capacité de faire échec à la stratégie des thalassocraties anglo-américaines. Et c’est ce que cherche à mettre en œuvre Poutine et XI. Ainsi la Russie et la Chine ne voulant pas d'une structure supranationale politique mais seulement d'une structure internationale économique, cela prouve que ces nations ne recherchent pas un gouvernement mondial et ne sont pas mondialistes.
Or par rapport à l'Angleterre ou aux USA, la laïcité française est même devenue laïcisme voire wokisme, alors que la laïcité ne doit donc concerner l'Etat qu'au niveau des services publics, mais pas au niveau de l'espace public dont par rapport aux opinions et signes religieux ne troublant pas l'ordre public tels le voile islamique, la croix chrétienne, la kippa juive et la toge bouddhiste, comme ce fut le cas la plupart du temps au sein des différents empires de l'Histoire, et en sachant que Jésus n'aurait certainement pas interdit ces signes et tenues, sauf possiblement ceux impudiques. Surtout qu'un débat comme sur le voile islamique ne fait qu'augmenter les extrêmes religieux et politiques, et que la laïcité est d'abord une loi de liberté avant d'être d'interdiction, en particulier quand il s'agit de vêtements non impudiques ou ne couvrant pas les visages. Or l'impudicité est une valeur républicaine car la pudeur est une valeur religieuse.
De plus l'hyper démocratie laïciste égalitariste avilit jusqu'à la disparition de la hiérarchie pourtant synonyme d'ordre bénéfique (à part parfois dans des domaines comme celui de la recherche scientifique), puisque cela va jusque dans le secteur de l'enseignement, de la sécurité, et même de la famille. Surtout que ce qu’il y a d'autant plus pervers avec la démocratie actuelle par rapport à celle originel de la Grèce antique, c’est que l’on peut y cacher une dictature mondialiste, perverse et sioniste en toute légalité, dont à travers le financement important nécessaire à tous les partis et la falsification du vote par correspondance ou procuration de moins en moins vérifiable. En effet à travers la Ve République qui est un régime de type semi-présidentiel et à travers les fréquents états d'urgence et donc d'exception amenant souvent des lois pérennes, la France est de moins en moins une démocratie, car à Athènes, le pouvoir était entre les mains de l’assemblée, et à Rome, le Sénat régnait. Rappelons que les mêmes mots désignent rarement les mêmes réalités selon les lieux et les époques. La guerre pour la démocratie permet même la dictature. Etienne Chouard affirme que lorsque les élus et les représentants rédigent les constitutions, ils les d'abord pour les protéger eux-mêmes. Ils établissent leur propre puissance en tant que représentants, tout en nous rendant impuissants en tant que citoyens. Cela entraîne une impuissance politique générale que tout le monde déplore : « Un citoyen digne de ce nom est constituant sinon ce n’est pas un citoyen, c’est un électeur. Un électeur c’est un enfant politique alors qu’un citoyen c’est un adulte politique, c’est quelqu’un qui est souverain avec les autres citoyens. Pour l’instant les règles de notre représentation font que nos représentants décident tout et nous rien. Ils ne sont pas nos serviteurs. Ils sont nos maîtres. » Enfin, la réalité et les limites du bien et du mal, du vrai et du faux, de la liberté et de l'esclavage, des devoirs et des libertés ne peuvent être définies par la démocratie, car ces valeurs ont leur essence propre, ce qui prouve que comme pour les mathématiques et la physique, il existe une transcendance et donc une intelligence supérieure à leur origine.
« Accorder le droit de vote à des personnes qui n’ont pas de bases solides en la matière revient à lâcher sur autoroute des adolescents amateur de jeux vidéos de course automobile (surtout qu'on ne devrait pas voter pour quelqu'un avec qui on n'est pas entièrement d'accord et totalement confiant, sauf si c'est pour un Bien qui semble très important). Les gens qui ne connaissent de la vie politique que ce que leur en disent les médias n’ont en général que peu de connaissance de l’histoire, aucune notion de philosophie politique, une compréhension très limitée des principaux mécanismes économiques et surtout une vision essentiellement émotionnelle des événements. La vision du monde change en fonction de ces connaissances. Nos choix politiques peuvent n’être déterminés que par nos intérêts ou ce que nous croyons être nos intérêts. La connaissance, elle, est un processus d’amélioration continu qui modifie sans cesse notre vision du monde, et accessoirement nos choix politiques. Sur cette base il faut apprendre à rechercher de l’information de qualité, être capable de relativiser les informations qui nous plaisent, ne pas rejeter irrévocablement celles qui nous perturbent, ne pas se soumettre aux sirènes et facilités de la propagande, et exercer un véritable esprit critique fondé sur de solides connaissances théoriques fertilisées par notre expérience et l’observation de la vie politique. En sachant que l'influence, la planification, l'ingénierie sociale, le piratage mental vers le consentement, ont remplacé la propagande devenue mal connotée aux USA par rapport à l'URSS.
En effet la caste mondialiste est basée sur une l'infrastructure que sont les GAFAMS qui produisent une super structure qu'est la bataille culturelle des narratifs dont via des manipulations sociales psychologiques. C'est à dire que le Capital mondialiste a engendré un monde où les manipulations politico-financiaro-médiatiques atteignent désormais une complexité largement supérieure à la capacité critique moyenne de la population. Cette large manipulation se fait en plus souvent dans un changement progressif de notre perception de la normalité et de la vertu traditionnelle ou bien comprise, dont via du ludique, du politique et du cinématographique qui donne confiance et donc hypnotise, tout en faisant croire que nous entendons ce que nous voulons par une déviation du sens des valeurs et par une propagation d'éléments de langages propres au système. Ce n'est pas l’avidité des riches qui détruit la démocratie, mais l’absence de citoyens véritables en nombre suffisant pour créer un rapport de force. Un citoyen capable d’effectuer tranquillement des réflexions simples ne se laisse pas prendre. Il écoute les spécialistes compétents, comprend les arguments cohérents et ne se laisse pas prendre au jeu des autorités politiques et de leurs spécialistes de plateau télé. Un peuple correctement éduqué ne se laisse pas prendre à une propagande qui ne se crédibilise que par la répétition, l’hystérie, le jeu sur l’émotionnel. Que manque t-il aux peuples pour reprendre leur destin en mains ? La connaissance. La compréhension des choses. D’où l’importance pour le pouvoir de contrôler l’accès à la connaissance, à contrôler les esprits par l’imposition constante d’une fausse connaissance, l’information. Qui dit confort dit (risque de) conformisme. Il est tellement plus facile, sécurisant, de se conformer à la norme, qu’elle quelle soit, que de faire l’effort d’exister par soi-même. Gageons que le déclin du quotient intellectuel dans les pays occidentaux ne provient pas des classes populaires. Celles-ci souffrent terriblement des politiques libérales menées depuis le début des années quatre-vingt. La souffrance ouvre les yeux, à défaut de faire ouvrir des livres, encore que le bas peuple se cultive plus politiquement que la majorité des gens des classes moyennes. (Or l'ancienne secrétaire adjointe au Logement et au Développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, dénonce que ce n’est pas une récession que nous vivons en 2022, c’est une guerre pour détruire les classes moyennes.) Ce sont ceux qui ne souffrent pas encore assez et qui refusent de s’intéresser à la politique qui font le jeu du pouvoir. La plupart des gens ne vivent pas. Ils ne font que subir leur vie. Ils réagissent aux événements, anticipent peu, et probablement pas du tout en ce qui concerne un domaine qui ne leur apparaît pas comme essentiel à leurs vies. » (Extraits de l'article « Réflexions sur la citoyenneté au travers de l’élection du 10 avril » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/17/reflexions-sur-la-citoyennete-au-travers-de-lelection-du-10-avril/)
Il est possible de voir aussi à ce sujet l'excellente vidéo « Alain Soral – De la politique (2009) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alain-Soral-De-la-politique-2009-67919.html
Or il faut admettre que cette idée laïque d'inviter à dépasser dans la dignité les barrières communautaires par la citoyenneté et donc par la supériorité de la nation demeure intéressante, sauf qu'il faut y associer la volonté de bienveillance pieuse, car sans transcendance elle serait trop plate (puisque sans transcendance) pour élever les foules vers une noblesse stabilisatrice suffisante et encore moins maximale. C'est ce qui se passe actuellement en Russie avec son retour à l'Orthodoxie d'Etat et ce qui est l'essence du califat islamique originel facilitant en plus certaines règles aux non musulmans comme l'allégement de l'impôt social. D'ailleurs l'idée de Robespierre de reconnaître Dieu dans la constitution d'unir le peuple par la citoyenneté, les lois naturelles et bienveillantes, et l'interdiction de pratiques immorales ressemble aussi clairement au Califat islamique originel.
Pour comprendre ce principe de vraie et fausse laïcité et même de légitime ou illégitime laïcité, il faut remonter à l’Antiquité, qui est une période pendant laquelle la religion, la politique et le droit étaient intimement liés et unis, puis se sont séparés en partie. Ensuite même si Jésus était aussi un précurseur, lorsqu'il fit la distinction entre le le pouvoir religieux et pouvoir politique lors de sa célèbre réponse éclairée aux pharisiens « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », il faut comprendre que c'était dans le cas où un peuple croyant voire pieux est dominé par un autre peuple, mais que dans le cas ou un peuple croyant voire pieux détient le pouvoir, il faut évidemment lié le politique et le religieux au moins au niveau du droit, au minimum selon les grands principes religieux qui sont éternels et la base juridique devant définir tout le droit. Ce qui prouve clairement qu'il est possible de vivre même en tant que population musulmane sous la dominance d'un pouvoir non musulman, en particulier si la prédication est pacifiquement pratiquée.
Ainsi il est possible de continuer de travailler dans une administration où le voile est interdit, si on le met dans sa vie privée, de même que la zakat doit être payée même s'il existe un impôt ou d'autres taxes sur le revenus, puisque ces derniers n'empêchent pas la thésaurisation et donc la stérilité de l'économie. Dans ce sens on peut remarquer que le calife incarne le pouvoir politique (temporel) et religieux (spirituel), alors qu'en attendant la révélation de l’islam qui correspond à la révélation complète, Jésus représentant plus le divin a donc laissé la place à l'humain vers le politique dont pour que logiquement il établisse progressivement la perfection du spirituel dans l'organisation de la société par donc un ennoblissement, dont pour y instaurer l'équité et relativement le bonheur avant celui absolu du Paradis, et parce que la politique est par nature changeante comme par rapport au progrès scientifique ou à l'apparition de nouvelles catégories sociales. Puis donc la révélation complète qu'est l'islam a permis d'unir définitivement l'humain dans le politique (temporel) et le religieux (spirituel) à travers le califat devant choisir le meilleur (le plus sage) homme sans dynastie à la différence des rois juifs, et en étant ainsi particulièrement légitime pour cela, puisque donc dans un rang de valeur prophétique qui sont les meilleurs des hommes comme d'ailleurs les quatre premiers califes, quelques rois-prophètes juifs (dont David et Salomon) et évidemment que le Prophète (SBDSL). De plus les droits (laïques) de l'Homme donnant les mêmes droits aux humains quelle que soit leur couleur existe aussi déjà en islam. Or la laïcité qui cherche normalement la tolérance et le bien-vivre ne devrait pas actuellement ridiculement mesuré la longueur d'une robe ou enlever un voile sous menace de ne plus transmettre l'importance essentielle du savoir, ou empêché une mère voilée d'accompagner les sorties scolaires au risque de les annuler.
La laïcité antique correspondait à sortir le politique du religieux, alors qu'aujourd'hui elle sert à sortir le religieux du politique, et en plus ce n'est même plus une séparation mais une opposition. Ainsi quand on est un vrai républicain, il ne doit y avoir aucun corps intermédiaire entre le citoyen et la communauté nationale. Par conséquent aucun politicien ne devrait défiler pour une communauté, en particulier contre une autre, ce qui n'est souvent pas le cas, comme lors de la manif contre l'antisémitisme (en réalité pour Israël car suite à la guerre entre Israël et la Palestine) et non le racisme en général. Israël n'est même pas pieusement juif par sa religion (puisqu'il s'y trouve beaucoup d'athées juifs,
dont car le judaïsme des pseudos lumières au cours de la Haskala provenant aussi en partie du sabbato-frankisme a permis sa réformation ou son athéisme pour faciliter aux juifs la vie européenne dont via le socialisme,
en sachant que ce judaïsme rabbinique est probablement issu du judaïsme pharisien après la destruction du second Temple en 70 ap J-C, puis s'est structuré au IIe au VIe siècle de l'ère chrétienne, date à partir de laquelle il fut reconnu comme la norme du judaïsme, avant de devenir ce judaïsme réformé au XVIIIe siècle dans une forme de cancel culture dont concernant la destruction du temple et ensuite l'interdiction divine de la recréation de l'Etat d'Israël avant l’avènement du Messie, et c'est pourquoi il ne faut pas confondre les hébreux du mosaïsme (devenus en grande partie chrétiens puis musulmans) et les juifs du judaïsme dont ceux ashkénazes, ce que ne font pas les élites sionistes et anglo-saxonnes), mais donc honteusement par son suprématisme (racial, puisque être juif est lié essentiellement au sang de la mère). En effet la fraternité authentique ne se trouve donc logiquement pas dans la citoyenneté ni dans la patrie mais dans le monothéisme véritable. Surtout qu'aucune neutralité n'existant en politique, la prétendue neutralité de la laïcité est clairement fictive, d'autant plus qu'elle est venue pour écarter le catholicisme, le christianisme ou l'islam des États, afin d'y favoriser le sionisme, le capitalisme financier carnassier devenu en plus numérique et donc désormais la surveillance voire le contrôle massifs, puisque la reproduction et la propagation élargies de ce système ne peut plus se faire sans ces technologies. D'ailleurs le sionisme à la différence du judaïsme et encore plus du Mosaïsme correspond principalement à la recherche du pouvoir et de l'argent par de perverses élites juives dans le monde et en Palestine. Selon l'intelligente analyse d'Alain Soral, la fondation du judaïsme (stoppant complètement le Mosaïsme authentique) est post-chrétienne, puisque talmudiste, qui est la haine du Christ, la mort du Christ et le refus du Christ comme Messie saint, universaliste et aimant l'humanité.
La révolution française marqua donc finalement l’apparition de l’homme citoyen aveugle, car dominé par les forces de l’idée dont en pensant que la raison humaine même sans piété pourrait prétendument exceller. Puis il apparut logiquement des constitutions égarées puis perverses, surtout qu'il n'est pas étonnant que la raison sans Dieu se soit orientée de plus en plus vers l'actuel matérialisme à outrance dont au niveau individuel et politique.
A notre époque de laïcisme pervers et donc de nécessité à un retour moral, une marche en arrière vers sa laïcité modérée originelle, dans une forme de douce contre-révolution progressive et donc en souplesse comme sous la Russie de Poutine, devient ainsi nécessaire en France, c'est à dire dans un retour à son cœur spirituel comme la Russie, en sachant que comme pour la France catholique (christianisme de rite romain) qui provient du baptême de Clovis, la Russie orthodoxe (christianisme de rite byzantin) provient aussi d'un baptême qui est celui du prince Vladimir premier en 988.
En sachant qu'en ayant sortie la Russie de l’abîme, Poutine est légitime comme dirigeant mais aussi comme tsar (monarque, roi), puisque étant désigné et acclamé par l'enthousiasme populaire tel que c'est arrivé souvent dans l'histoire dont pour des empereurs romains et byzantins.
Or pour se réconcilier avec le religion, l'état devra passer par une réforme téhologico-politico-juridique. Il s'agit de propager une école politique contre-révolutionnaire sans forcément jusqu'au retour à une monarchie mais au moins à une république chrétienne, d'ailleurs comme en Russie. En effet en suivant le chemin inverse de la régression religieuse depuis la révolution française ayant commencé l'effacement du catholicisme charitable jusqu'à presque sa disparition de nos jours, reconnaître Dieu dans la constitution comme selon Robespierre et Poutine peut être considéré comme un premier pas incontournable vers l'importance de plus de piété chez le peuple, les institutions nationales et la recherche scientifique, surtout que cela préserve le monde de la nocive corruption. D'ailleurs la Russie est un modèle de société qui pourrait plaire aux occidentaux par rapport à des pays comme la Chine et l'Arabie saoudite. Surtout que la Russie reconnaît et donc est en partie soumise à Dieu mais sans idéologie officielle à part la loi naturelle puisque le mariage homosexuel et la propagande Lgbt y sont interdits (à la différence de l'UE les encourageant voire les exigeant), même si Poutine demande la bénédiction orthodoxe suite à son investiture présidentielle.
Selon Jacques Cheminade, la France et les français doivent être des bâtisseurs de nation, en permettant à chaque être humain au niveau national et international de développer ses pouvoirs créateurs et ses capacités à connaître, comprendre et intervenir dans les affaires publiques, caritatives, sociales et politiques. Être français, c’est donc être humaniste dans le sens anti-oligarchique et traditionnel, c’est-à-dire être centré sur les besoins de nos frères humains dominés et pas sur ceux de nos ennemis dominants, comme le firent les musulmans de l'époque de la révélation. Or la domination en soi n’est pas négative, si elle est éclairée avec des buts nobles et équitables. Ce retour à l'ordre moral christique authentique devient même essentiel, car le laïcisme devenu une tyrannie wokiste proclame un libéralisme libertaire sans limite, sans transcendance et donc sans Dieu, transhumaniste, et donc dans un désordre amoral logiquement destructeur dont par une addiction croissante au matériel profitant aux appétits les plus vils et aux idéologies les plus perverses. En effet cette fausse religion occulte qu'est le laïcisme (dont car certains se servent de la laïcité comme de l'anticléricalisme ou les confondent) fait oublier les véritables valeurs monothéistes voire les inverse souvent, ce qui ouvre la porte aux manipulations maléfiques en tout genre et donc au malheur, au mal-être et au chaos. D'ailleurs avant 1789, la nécessité de chacun à travers sa communauté en Dieu était source d'épanouissement personnel et de bonheur, mais avec la diminution du sentiment de ce lien après la révolution, des maux comme la dépression, l'augmentation du taux de suicide et l'addiction de toute sorte sont logiquement apparus.
Ainsi le laïcisme est aussi synonyme d'athéisme corrompu. En effet alors que le digne aristocratie authentique cherchaient à faire monter les meilleurs socialement par le mérite, l'indigne république antinomique fait monter au pouvoir des criminels individualistes, avides et tribaux. On en est même arrivé à un système archaïque puisque on autorise le massacre d'innocents par l'IVG et on sauve les coupables par le fin de la peine de mort. Et c'est pourquoi il n'est pas étonnant qu'une grande partie du peuple soit égarée tel par une secte (franc-maçonne), puisque ayant progressivement accepté ou ignoré les injustices graves de ce système, dont jusqu'à acceptant l'agenda (grandes lignes) mondialiste du grand reset à venir synonyme de la liquidation des structures nationales par l'économie numérique centralisée via l'UE. Cette mise en place du grand reset semble attendre la crise du capital (de la dette) à venir qui doit suivre celle technologique de 2000 et celle financière de 2008, afin de voler la démocratie par la tyrannie des banques que seules le nouveau système russo-chinois et les blockchains décentralisées liée à des cryptomonnaies peuvent arrêter, sans avoir à supprimer le cash si il est échangeable contre l'or.
(Or cette grosse crise internationale des subprimes de 2008 pourrait plutôt indiquer que l'occident a perdu ou perdra aussi finalement la guerre froide mais qui est devenue glaciale et donc encore plus dangereuse puisque la Russie est revenue à l’orthodoxie et que l'occident n'entretient presque plus de contact avec elle, dont car il s'est écarté du christianisme authentique et même de la démocratie d’inspiration socialiste, qui exige plus de progrès, plus de répartition des richesses et plus de paix sociale.) Le ploutocratique agenda mondialiste du grand reset est résumé à cette adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Derriere-le-Covid-19-l-agenda-mondialiste-du-Great-Reset-61504.html
Cependant le grand reset est également en rapport avec l'agenda 2030 porté par l'ONU, et donc lié à toutes les nations, qui l'applique plus ou moins.
« (De plus) Le grand reset sera probablement lié à l'endettement des états, une inflation grave, une grande perte d'emplois dû à la technologie, un fort chômage à plus de 25 %, et donc à un effondrement économique global (qui serait plus facile avec la dislocation de la Russie voire impossible sans cela). Or la banqueroute de l'Etat français annoncée par l'économiste Bernard Monot, pourrait être la principale cause qui fera advenir cette Grand bascule qu'est le grand reset (géo)politique si les Français n'ouvrent pas les yeux, c'est à dire l'avènement de cette nouvelle organisation politique planétaire fondée sur les ruines des nations adviendra. L'agenda principal pour mettre en place ce nouveau paradigme à l'autorité ploutocratique (qui sera composée d'entités déjà créées comme le Forum économique de Davos (incarnant l'organisation du programme politique oligarchique mondialiste), les grandes multinationales occidentales, le FMI, l'OMC, l'OMS, la commission européenne, la BCE) est : acte 1, appauvrissement des nations détourné des décisions politiques par le coronalibi, le climatlibi et l'ukrainolibi, acte 2, la banqueroute proprement-dite, acte 3, la surveillance et le contrôle des populations pour éviter une révolution populaire, acte 4, tentative de mettre en place un gouvernement mondial (occidental pour commencer) facilitée par cette surveillance. Un programme écrit noir sur blanc sur le site du Forum de Davos... En sachant que Larry Fink président-directeur général de Black Rock, Christine Lagarde onzième directeur général du FMI et désormais Présidente de la Banque centrale européenne, Leyen présidente de la Commission européenne, sont des membres du comité direction de Davos. Or Davos peut dans un sens être déjà considéré comme un gouvernement mondial (mais non officiel), car son agenda est aussi suivi par les politiciens de beaucoup de pays puisque étant souvent des youngs global leaders (jeunes dirigeants pour la globalité, pour le mondialisme) et ayant participé à mettre sous pression leur pays respectifs par l'endettement massif. (Mais à notre époque un pays en dette peut aussi corresponde à une économie relativement importante dont par rapport à un pays modeste voire pauvre économiquement même s'il est sans dette. En tout cas ces derniers demeurent plus pieux, sauf s'ils s'occupent moins de leurs faibles et du bon développement général.) D'ailleurs la pandémie devait être le début officiel du Nouvel Ordre Mondial via de nouvelles mesures politiques liées à la 4e révolution industrielle liée au numérique, au contrôle oligarchique et au transhumanisme, comme le pass sanitaire aurait dû être perpétuel sans les grandes manifestations qui eurent lieu contre lui. Surtout que ce WEF de Davos est porté par la force du Pentagone et correspond donc à une grande partie du réseau américano-sionisto-mondialiste dont avec aussi la finance internationaliste, des services de renseignement, les services spéciaux type CIA et le médias dominants (subventionnés). L’arme la plus puissante pour menacer voire contrôler l’existence d’un pays ou d’un régime n'est pas l’arme nucléaire, c'est la panique continue de ses habitants face à l’avenir, la guerre civile et leur méfiance totale envers les autorités en place.
D'ailleurs en France les sionistes et la gauche bourgeoise qui sont au pouvoir cherche à se maintenir coût que coût contre les peuples, dont jusqu'à la guerre civile voire mondiale. La crise énergétique signifie qu'il faudra payer beaucoup plus cher le chauffage, le carburant, l’électricité. C'est synonyme d'un impôt énergétique qui s’abat sournoisement en prétextant la faute à Poutine, alors que cela n’a rien à voir puisqu’il s’agit de décisions 100 % françaises, ou plutôt néolibérales. Or c'est par ses actions insensées que l’Occident s’est jeté dans une crise énergétique si grave, probablement aussi afin que la pandémie soit facilement et amicalement oubliée, et pour continuer la plan mondialiste de soumission de la France et de contrôle des français qui propage l'insoumission. Certains (toujours les mêmes idiots utiles) ne verront donc qu’une simple coïncidence dans le fait qu’on nous prépare déjà à de prochaines coupures des réseaux mobiles qui sont actuellement les plateformes préférées (et de loin) d’échange d’information et de partage sur les réseaux sociaux. Compte-tenu de la consommation relativement modérée des équipements de ces réseaux, on se demande un peu pourquoi le téléphone mobile devrait tomber en premier en cas de pénurie d’électricité… À moins de considérer qu’il s’agit ici de préparer les esprits à un contrôle non de l’énergie (ou pas essentiellement) mais plutôt de l’information.
(« La cours des comptes a tiré la première la sonnette d’alarme. Le déficit budgétaire de l’État pour l’année en cours dérape dangereusement pour s’établir à un niveau bien au-dessus des 4,9 % annoncés par le gouvernement. L’INSEE confirme dans la foulée, ce sera officiellement 5,5 %. Le gouvernement tremble de nouveau devant les agences de notations qui font peser la menace d’une énième dégradation de la note de la France. Il n’en faut pas plus pour que le petit théâtre médiatique se mette en branle et nous rejoue une énième fois la pièce de la France en faillite qui, en mauvais père de famille, dépense plus qu’elle ne gagne. Les explications et préconisations des experts autoproclamés sont les mêmes depuis quarante ans mais rien n’y fait, ce fameux « mur de la dette » ne cesse de croître et nous menace de la faillite. Pour le péquin moyen, c’est incompréhensible. Comment dépense-t-on autant d’argent alors que tous les services publics élémentaires se dégradent à vue d’œil ? Et la France n’est-elle pas la championne des prélèvements obligatoires et des impôts ? Mais où va l’argent ? Dans tout ce brouhaha, difficile de comprendre. Cependant, un argument mis en avant et répété sans cesse par la caste doit nous mettre la puce à l’oreille : la France n’a pas connu un budget à l’équilibre depuis 1974. Comment se fait-il que pendant la période qui court de l’après-guerre au milieu des années soixante-dix, nous avons connu un excédent budgétaire annuel et quasiment pas de dette ? Paradoxal quand on sait que ce fut une période faste en termes de dépenses et d’investissements, ayant pour conséquence une élévation spectaculaire du niveau de vie couplée à une modernisation sans précédent du pays. Les fameuses Trente Glorieuses. Au sortir de la guerre, la France est pourtant exsangue, tout est à reconstruire et les finances sont à sec. Invitée aux banquets des vainqueurs un peu par hasard, elle n’a pas connu la saigné de 14-18 et sa population pleine d’espoir et dynamique a de l’énergie à revendre. La question, dès lors, est la suivante : comment amorcer la pompe pour mettre en marche cette force de travail qui ne demande qu’à s’épanouir ? À défaut d’avoir de l’argent la France hérite du régime de Vichy des outils de financement de l’économie qui laissent les coudés franches à l’État en l’affranchissant de la finance privée. Le cadre théorique concernant la question monétaire était bien différent à l’époque. L’argent que possède un État n’était pas considéré comme une ressource finie, possession de tiers auprès desquels l’État doit emprunter. C’est au contraire une conception totalement juridique. Par la loi, l’État s’arroge le monopole de l’émission de monnaie et rend son utilisation obligatoire pour tout échange sur son territoire au détriment de tous les autres : devises étrangères, or ou argent métal. Les taxes et impôts prélevés sur ses administrés, entreprises comme ménages, renforcent ce rôle central en garantissant son utilisation par les agents économiques privés. Dans ces conditions, la monnaie n’est pas une dette que l’État rembourse à des agents extérieurs contre intérêts. C’est un bien public à disposition de l’économie, un support pour permettre les échanges en son sein. Et plus un moteur est gros, plus il consomme d’huile pour fonctionner. Il en va de même de l’économie d’un État avec sa monnaie : plus il connaît de transactions, plus il lui faut de monnaie pour y répondre. Sous la houlette d’un groupe de hauts fonctionnaires brillants et soucieux de l’intérêt général, un mécanisme génial de financement de l’État et de l’économie va voir le jour. On lui donnera le nom de « circuit du Trésor ».  L’État, via le Trésor, émet de la monnaie qu’il investit dans l’économie par des politiques de grands travaux ou via ses différentes agences et grandes entreprises publics. Mais l’État n’est pas qu’investisseur, il est aussi banquier. Banques commerciales, grandes entreprises, organismes sociaux ont un compte au Trésor, ils sont tenus d’y placer leurs liquidités. On les appelle les « correspondants du Trésor ». L’État centralise ainsi une énorme masse monétaire, un « dépôt à vue », qu’il peut mobiliser également pour financer l’économie. Une telle politique génère de d’inflation mais celle-ci reste bien inférieure à la croissance économique qu’elle génère. En outre, la centralisation des comptes offre un outil de politique monétaire redoutable. En exigeant de ses correspondants des seuils minimaux d’immobilisation de leur trésorerie, il influe directement sur la masse de monnaie en circulation. Seuils qui évoluent selon les circonstances : plus l’inflation est forte, plus les montants demandés sont élevés et inversement. L’État peut offrir un rendement aux dépôts laissés au Trésor mais il en décide seul du taux selon les circonstances. Le monde à l’envers ! C’est à cette période que naissent des agences et instituts permettant un pilotage précis et performant de l’économie. L’INSEE ou le commissariat au plan en sont les meilleurs exemples. Cette architecture monétaire va permettre la reconstruction de la France, garantir sa modernisation et son indépendance et assurer des services publics de grandes qualités. Tout cela avec une dette inexistante. Sous la houlette du général de Gaulle, la France va connaître une période faste et heureuse : les fameuses Trente Glorieuses. » (Article « Dette : le débat interdit. (Partie 1) Le circuit du Trésor : quand l’État faisait la loi » de Ian Purdom))
Une crise alimentaire et énergétique associée à l'inflation détruisent principalement un pays comme l'a montré le Sri Lanka. Or cette dernière a eu plus lieu à cause d'une promesse présidentiel ayant arrêté les engrais et pesticides synthétiques. C'est pourquoi il faut faire attention que cela ne le devienne pas une révolution orange encore manipulée comme il sera expliqué plus tard, même si avec les révolutions oranges beaucoup de pays ont compris qu’ils avaient intérêt à surveiller les mouvements subversifs. En effet le Sri Lanka est un carrefour et une plaque tournante des corridors maritimes de l’Asie et donc de la Chine avec ses routes de la soie vers l’Afrique, le Proche et le Moyen Orient, l’Europe et au delà. 50% du trafic pétrolier et 75% du trafic international des containers passent près de ses côtes. Outre ses infrastructures portuaires parmi les plus modernes et les plus importantes au monde comme celle d’Hambantota construites par la Chine, le Sri Lanka dispose du plus grand port en eau profonde de l’Asie du Sud Est : Trincomalee.
L’impérialisme US et les anciennes ou plutôt actuelles puissances coloniales ne peuvent être indifférentes et ignorer la place originale de ce pays dans la région, quoi que leur politique a toujours été perversement que les autres nations ne seraient pas civilisées si elles ne les suivaient pas. Cela n’est pas sans expliquer l’acharnement mis ces vingt dernières années pour déstabiliser le Sri Lanka, le diviser, contribuer directement à des changements de régime et remettre en selle les forces de l’oligarchie locale dépendante de Londres, Bruxelles et Washington. La dette sri-lankaise appartient à 90% aux pays occidentaux et à leurs institutions financières. Leur objectif commun étant de conduire le mouvement populaire dans une impasse en faveur donc des oligarques pro-occident.
Ces événements ne sauraient être isolés de ceux qui sont liés à la crise ukrainienne, au climat de russophobie et de divagations antichinoises dans lequel nous baignons, alors que la Chine qui a beaucoup contribué dans le passé au développement des infrastructures du Sri Lanka(Ports, Aéroports, routes, etc..) s’est engagée à continuer d'apporter sans condition son soutien politique, économique et financier au Sri Lanka. Cela est fait pour diminuer l'influence de plus en plus grande des BRICS qui doivent donc faire attention à toute nation en particulier stratégique comme le prouve cette crise sri-lankaise.
liée à la volonté de contrôle du rimland par les anglo-américain.  D'ailleurs comme l’effondrement des investissements étrangers vers l’Inde et leur forte baisse vers la Chine, ainsi qu’un contexte économique et géopolitique volatil amènent les deux mastodontes démographiques et économiques d’Asie à retrouver le chemin de la collaboration, ainsi que de resserrer les rangs avec leurs autres partenaires eurasiatiques : Russie, Bangladesh, pays membres de l’ASEAN, il n’en a pas plus fallu à l’hégémon anglo-américain pour déstabiliser de nouveau le Rimland eurasiatique, en déclenchant à la hâte une révolution de couleur au Bangladesh. D'ailleurs cette révolution orange au Bangladesh a eu raison du vilain régime de Sheikh Hasina, rendue responsable de la sanglante répression des émeutes étudiantes qui auraient fait 450 morts. Le pouvoir bangladais a été pris au piège, et aujourd’hui c’est Yunus, l’homme des Américains mondialistes, qui « conseille » le gouvernement provisoire.
« Ce cas du Bangladesh montre que l’intégration progressive de l’ASEAN – et de l’Asie du Sud – dans la matrice SCO/EAEU/BRICS/BRI est plus urgente que jamais. Selon Lavrov, l’ASEAN prête déjà attention à la volonté de Poutine de construire un système de sécurité unifié à l’échelle de l’Eurasie. A l'issue de la  session ASEAN-Russie  au sommet est-asiatique au Laos, M. Lavrov a déclaré que l'ASEAN « a montré son intérêt pour l'initiative du président Poutine, que j'ai déjà mentionnée, sur la formation d'un système de sécurité eurasien qui serait indivisible et égalitaire ».  La route sera longue et semée d’embûches. Mais si les « RIC » des BRICS (Russie-Inde-Chine) parviennent à se ressaisir géopolitiquement et à renouveler de facto le fameux  triangle de Primakov , la possibilité de nouvelles révolutions colorées déstabilisant plusieurs nœuds de l’Asie de l’Est s’évanouira avec le temps. » (Pepe Escobar)