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G) Suite 7


Pour revenir au type de politique plus étatique comme celle de Chavez profitable au peuple, il est intéressant de prendre connaissance de la gestion actuelle de la Chine :
Concernant ce type de politique plus étatique profitable au peuple, il est intéressant de prendre connaissance de la gestion actuelle de la Chine :
Ellen Brown a écrit :
« Le néolibéralisme a sa raison d’être en Chine car le gouvernement chinois possède 80 % des banques, qui accordent des prêts avantageux aux entreprises et subventionnent les coûts de la main-d’œuvre. Les États-Unis considèrent le fait que la Chine subventionne son économie comme un avantage commercial injuste, alors que la Chine considère que la croissance planifiée à long terme est plus intelligente que les profits à court terme des actionnaires. Le modèle chinois de capitalisme contrôlé par l’État (certains l’appellent une forme de socialisme) a permis à 800 millions de personnes de sortir de la pauvreté et de constituer une classe moyenne de plus de 420 millions d’habitants, passant de 4 % en 2002 à 31 %. Les douze plus grandes entreprises chinoises du Fortune 500 sont toutes détenues et subventionnées par l’État, notamment le pétrole, l’énergie solaire, les télécommunications, l’ingénierie, les entreprises de construction, les banques et l’industrie automobile. Selon la CIA, le FMI et la Banque mondiale, la Chine a le deuxième plus grand PIB et la plus grande économie basée sur le PIB à parité de pouvoir d’achat. La manière dont la Chine répond à ces défis constitue un enjeu existentiel pour sa gouvernance. La Chine considère que la démocratie et l’économie occidentales sont imparfaites et n’essaie pas de les imiter, mais crée son propre système. La Chine est dirigée par des ingénieurs et des scientifiques, et non par des avocats et des hommes d’affaires. Ils abordent les décisions politiques par la recherche et l’expérimentation. Chaque ville et chaque district est impliqué dans une sorte d’expérimentation comprenant des zones de libre échange, la réduction de la pauvreté et la réforme de l’éducation. Il y a aussi des écoles pilotes, des villes pilotes, des hôpitaux pilotes, des marchés pilotes, tout ce qui se passe sous le soleil. La Chine entière est fondamentalement un vaste portefeuille d’expériences, avec des maires et des gouverneurs de province comme enquêteurs principaux. Dans ce système, Hong Kong pourrait être considéré comme une expérimentation (sous surveillance) du capitalisme néolibéral. Le Parti communiste chinois sait que pour rester au pouvoir, il doit rechercher des améliorations dans les domaines du social, de l’emploi et de l’environnement. Mais alors où se situe Hong Kong dans ces projets à long terme ? L’année 2047 étant la fin de l’accord avec le Royaume-Uni, les États-Unis et les puissances occidentales s’emploient à préserver leur dystopie capitaliste à Hong Kong et à dégager un consensus en vue d’un conflit à long terme avec la Chine. Le résultat de ce conflit entre systèmes économiques et politiques dépend de la capacité de la Chine à faire face à ses contradictions sociales et libérales, de la capacité des Hongkongais à s’attaquer à la source de leurs problèmes et de la capacité de l’empire américain à maintenir son dollar, ainsi que sa domination politique et militaire. Les conflits actuels à Hong Kong (et dans la plupart des pays du monde) sont ancrés dans toutes ces réalités (tant que les populations ne s'uniront pas dans les lois monothéistes dont économiques). »
Lorsqu'une firme créée par un milliardaire chinois était en train de conquérir une position monopolistique dans son pays qui avait tendance à assujettir ses partenaires à des règles exorbitantes, l’autorité chinoise régulatrice des marchés financiers considéra cette attitude comme conquérante et donc illicite par rapport à la politique antitrust du gouvernement chinois qui ne se priva donc pas de la réaffirmer à cette occasion avec pertinence. Or en Occident, nous sommes tellement accoutumés à voir les multinationales faire la pluie et le beau temps, que l’intervention de l’État est présentée comme une violation des droits de l’homme. Mais l’économie chinoise est une économie mixte où, depuis les réformes, un puissant secteur privé coexiste avec le secteur public. Outre un appétit démesuré, le PDG de cette firme Jack Ma a alors commis une deuxième erreur : il a ouvertement critiqué la politique des banques chinoises. Or en Chine, le secteur bancaire appartient majoritairement au secteur public. Il n’est pas le tiroir-caisse de ses actionnaires privés, mais l’instrument privilégié des politiques publiques. Faire le procès des banques, c’est donc porter le fer contre la politique économique du gouvernement.
Bruno Guigue : « Si les Européens étaient réalistes, ils s’apercevraient de deux choses. D’abord, ils verraient que la Chine est la locomotive de l’économie mondiale et que personne ne tirera profit d’une crise qui affecterait la Chine. Ensuite, ils comprendraient que leurs intérêts ne recoupent pas ceux des Américains. A l’égard de la Chine, les Etats-Unis ont adopté une démarche conflictuelle. Ils s’imaginent que le terrain perdu par la Chine sera immédiatement reconquis par les Etats-Unis, et qu’il faut donc la provoquer, la pousser à l’affrontement dans tous les domaines, en évitant, bien sûr, de déclencher une guerre totale. Or les Européens n’ont aucun intérêt à épouser cette démarche périlleuse : elle ne mène nulle part et contribue uniquement à accroître les dividendes de l’industrie de l’armement aux Etats-Unis. La seule politique conforme à la vocation de l’Europe, c’est donc une politique indépendante et non-alignée, de type gaulliste. Une telle politique, en promouvant la coopération avec l’Est comme avec l’Ouest, permettrait de restaurer l’équilibre mondial tout en remettant l’Europe au centre. »
Ainsi quand il est proposé une amélioration dans les relations entre divers acteurs, les musulmans ne doivent pas avoir de rancune en particulier au niveau politique et géopolitique. Or au niveau géopolitique, la méfiance ou plutôt la vigilance peuvent évidemment être de mise en cas de trahison lors d'essais précédents, alors qu'au niveau de la confiance dans une relation individuelle ou commerciale, un musulman ne doit jamais se faire piqué deux fois au même endroit selon le Prophète (SBDSL). Puis dans la perspective d'une éventuelle association ou coopération, il faudra la fonder sur les principes d'égalité (ou d'équité), de respect, de prise en considération des points de vue d'autrui et de compromis gagnant-gagnant afin d'atteindre un noble consensus comme il a déjà été vu. Personne ne doit imposer quelque chose aux autres. Lorsque les approches ne coïncident pas en tout, un travail patient et minutieux doit être réalisé afin de les rapprocher, si possible à travers des exemples passés réussis ou diverses études sérieuses. Une telle atmosphère ouverte et digne de confiance contribue à une digne et donc pieuse mise en œuvre réussie des tâches définies.
Mendès France a dit : « Les hommes (rancuniers) passent, les nécessités nationales demeurent (dont celles entre nations). »
Lord Palmerstone au XIXe siècle précise aussi dans ce sens : « Les nations n’ont pas d’amis permanents, n’ont pas d’ennemis perpétuels, seuls leurs intérêts sont permanents et perpétuels. »
Par conséquent le compromis (l’adaptation, l'arrangement) est un des aspects nobles apportant logiquement une dignité supérieure à l'homme par rapport à l'animal et à l'ange, parce que le monde animal vit naturellement dans un équilibre permanent avec la nature et que les anges ne peuvent le pratiquer puisqu'ils sont parfaits et sont dans un déterminisme de subsistance et de rôle.
Or l'homme moderne, s'il ne s'oriente pas en plus vers une pieuse modération, ressemble plus à l'avidité déshonorable d'un virus consommant toutes les ressources de son environnement, puisque selon une étude controversée nous sommes arrivés à un stade où ce que produit l'humanité sur terre ne suffit plus à ses besoins annuels, ou plutôt aux envies ou addictions de certains (en particulier les ultra riches) voire de beaucoup (partie de la population qui est matérialiste). En effet selon la controversée ONG Global Footprint Network (et le Club de Rome avec son rapport de « 1972 » sur les limites de la croissance) car possiblement financée par les mondialistes (qui occulteraient les nouvelles découvertes, le génie humain progressant, l'augmentation des rendements agricoles et bientôt la fusion nucléaire), de plus en plus tôt annuellement l’humanité puiserait de manière irréversible dans les réserves naturelles de la Terre. Nous serions actuellement à une consommation de 1.6 fois notre planète, et nous pourrions passer d'ici 2050 à la nécessité de 3 planètes. Mais cela apparaît donc encore comme un grave axe culpabilisteur mensonger permettant des manipulations massives au profit des intérêts mondialistes, bien que la modération soit religieusement importante. Surtout que le Club de Rome fondé par Rockfeller et promotionné par les médias mainstream promeut un programme planétaire de contrôle technocratique, ploutocratique et malthusianisme. Il y est d'ailleurs décrit l’effondrement de la société industrielle et la mort par famine des deux tiers de la population humaine comme bénéfiques. De toute manière cela ne peut être que parce que les élites mondialistes sont malthusianistes, sataniques ou/et avides d'argent et de pouvoir qu'elles n'hésitent pas à diminuer ou détériorés les services de santé, à exploser la dette et des coûts de l’énergie, à détruire les petites entreprises parallèlement à l’encouragement de l’uberisation, à raccourcir la retraite, à racketter les peuples, à promouvoir le Lgbtisme, le mariage homosexuels, la crainte de l'avenir en particulier aux jeunes, l'avortement et donc la baisse de la population tout en ouvrant l'immigration pour mieux contrôler la peuple, à faire baisser leur niveau de vie et leur moral tout en leur disant que c’est pour leur bien dont écologiquement, à augmenter l’inflation tous azimuts qui rapporte un max de TVA à l’État qui s’est refait une santé financière pour financer les grandes entreprises du CAC40 et laisser mourir les autres et surtout à payer son obole à la Banque (40 puis 80 milliards) qui vit grassement de notre travail grâce à l’usure. Ce sont les services publics qui souffrent, c’est-à-dire les policiers, les pompiers et les soignants. Les Français qui meurent aujourd’hui par dizaines et demain par centaines aux urgences sont clairement assassinés par les ultralibéraux. Ce projet malthusianiste (messianistement satanique) est en gestation depuis les années 1920, une fédération mondiale gérée au nom de l’eugénisme (et désormais de l'écologisme), qu’il soit de tendance communiste, oligarchique, nazi ou sioniste (avec sa volonté de troisième guerre mondiale pour cette dernière).
Cependant tout ceci permet tout de même d'estimer que retourner vers la modération du mode de vie prophétique sans trop de technologie moderne à travers des écovillages apparaît comme la possible seule solution à notre époque de mégalopoles surchargées. Surtout que cela paraît urgent dans une forme de victoire du spirituel sur le matérialisme, car ce vaste matérialisme urbain est souvent synonyme de niveau moral général se rabaissant, de système international basé sur l'usure, d'argent-dette menant à la guerre civile généralisée au minimum froide, de spéculation extrême des très riches détruisant l'économie, d'appauvrissement se répandant, de problèmes écologiques s'accroissant, d'immigration de masse se multipliant, de destruction de divers pays musulmans permettant le vol de leurs ressources, de perverses ventes d'armes occidentales entretenant le chaos, de déstabilisation du Proche-Orient amplifiant l'instabilité du monde, de grand égarement de l'humanité empirant, de terrorisme  se créant, de divers lobbies divisant, de grands médias développant un choc des civilisations, et de la fin du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) augmentant les risques d'une guerre nucléaire.
Mais les nouveaux missiles nucléaires hypersoniques russes aux trajectoires imprévisibles pouvant atteindre le territoire américain ont rendu obsolète le bouclier antimissile occidental qui se voulait être une oppression mondiale finale. Surtout que pour orienter enfin le monde vers la priorité à l'humanisme, les dernières armes défensive électroniques russes de piratage prouvant qu'en guerre il ne faut désormais plus tout miser sur la technologie associées à des missiles hypersoniques de DCA peuvent de plus en plus empêcher la guerre militaire sur de grands territoires. C'est à dire que ces nouvelles armes russes permettent une dissuasion efficace et une évolution vers un monde multipolaire, ce qui est une garantie de paix dont car neutralisant le poids en milliers de milliards de dollar de l'armée US. En particulier avec les nouveaux missiles russes hypersoniques « Orechnik » puisque étant une nouvelle arme de dissuasion importante car pouvant créer un effet de bombe atomique sans retombées radioactives lorsque ils explosent simultanément à proximité.
« Poutine a affirmé que la technologie occidentale « n’a aucune chance » contre cette arme redoutable : « Qu’ils identifient une cible, disons à Kiev, qu’ils y concentrent toutes leurs forces de défense aérienne et de défense antimissile. Nous frapperons là avec l’Oreshnik. Et nous verrons ce qui se passera. C’est intéressant. Je pense que ce sera utile à la fois pour nous et pour les Américains. » Le 28 novembre, Poutine avait annoncé le lancement de la production en série des missiles Oreshnik. Il avait détaillé les capacités impressionnantes de ces missiles hypersoniques : « Il est composé de dizaines d’ogives auto-dispersées qui attaquent une cible à une vitesse de Mach 10, soit environ trois kilomètres par seconde. La chaleur dégagée atteint une température de 5 000 à 6 000 degrés, plus qu’à la surface du Soleil. Tout ce qui se trouve à l’épicentre de l’explosion est réduit en poussière. » (Média 4-4-2)
D'ailleurs « Jusqu’à présent, presque personne en Occident ne comprend pleinement le système d’arme Oreshnik que vient de démontrer la Russie. Chapeau à Ted Postol, Scott Ritter et Brian Berletic, les trois seules personnes que j’ai trouvées jusqu’à présent qui comprennent parfaitement cela. J’ai fait le calcul de l’énergie cinétique des sous-munitions (en utilisant des estimations de masse), et j’ai étudié ce qui est connu publiquement à propos de ces armes jusqu’à présent. Ma conclusion ? L’OTAN est finie. L’Occident n’a aucune idée de ce qui vient de les frapper. Le système d’arme Oreshnik de la Russie est un échec et mat pour l’OTAN et les États-Unis. Tous les porte-avions américains peuvent être détruits en quelques minutes. Toutes les bases militaires américaines, tous les bunkers souterrains, tous les sites de lancement d’ICBM, les chantiers navals, etc., peuvent être détruits avec de l’énergie cinétique NON NUCLÉAIRE via l’Oreshnik. Il n’existe aucun traité actif (à ma connaissance) interdisant ce système d’arme, et il ne détruit pas les infrastructures environnantes ni les masses de civils. C’est une arme chirurgicale dévastatrice et imparable qui fait tomber du ciel des éclairs métalliques comme le marteau de Thor ou les comètes de Dieu. Personne n’a de défense contre elle, et la portée de ces armes, une fois montées sur des propulseurs intercontinentaux, est mondiale. L’Occident doit maintenant soit reculer, soit passer au nucléaire. Ils choisiront probablement de passer au nucléaire par désespoir, soyez prévenus. La Russie vient de changer le cours de la guerre et d’atteindre la domination mondiale. PERSONNE dans la presse occidentale n’en a la moindre idée. Ils sont trop stupides, trop woke ou trop arrogants pour se rendre compte de ce qui vient de se passer. C’est comme jouer aux échecs avec Poutine et penser que vous pourriez être compétitif, puis soudainement la reine de Poutine déclenche un lance-flammes sur l’échiquier et fait griller toutes vos pièces, les mettant à feu. Vous pensiez que vous jouiez aux «échecs», mais Poutine jouait à un autre jeu appelé «lance-flammes». C’est une affaire aussi importante. » (Health Ranger)
« La technologie des missiles hypersoniques permettait déjà à la Russie de disposer d’un niveau intermédiaire de dissuasion conventionnelle avant l’emploi du nucléaire. En effet bien avant l’“Orechnik”, la Russie avait déjà mis en œuvre des missiles hypersoniques, comme le “Kinjal”. La nouveauté de l’“Orechnik” réside dans sa portée intermédiaire, allant de cinq cents à cinq mille kilomètres. L’utilisation de l’“Orechnik” a montré qu’un seul missile pouvait neutraliser une vaste zone. Dans ce cas précis, c’est une ancienne zone industrielle soviétique, autrefois productrice de missiles balistiques, qui a été visée. La Russie a ainsi prouvé à la planète entière qu’elle possède un outil de dissuasion non nucléaire intermédiaire. Je le répète : pour moi, ce n’était pas une surprise, je le savais déjà depuis six ans. Mais je crois qu’avec l’emploi de l’“Orechnik”, le monde entier en a pris pleinement conscience. Vladimir Poutine a cloué le cercueil du doute à ce sujet. « Je pense que nous voyons déjà les conséquences de l’usage de l’“Orechnik”. Emmanuel Macron s’est rendu en Pologne, où le président polonais a clairement fait comprendre qu’il n’était plus question d’envoyer des troupes terrestres polonaises en Ukraine. Nous constatons donc dès à présent les résultats : les pays européens ne comptent pas engager leurs forces en Ukraine, en dépit des déclarations inconsidérées de M. Macron. Ils ne le feront pas, d’autant plus qu’ils savent que les États-Unis ne prendront aucun engagement supplémentaire et vont même réduire leurs livraisons d’armes à l’Ukraine. Selon Régis Chamagne, le conflit en Ukraine ne prendra fin qu’aux conditions posées par la Russie, dont les principales sont la démilitarisation et la « dénazification » de l’Ukraine. L’officier français n’exclut pas que la Russie obtienne de nouveaux territoires dans le cadre de ce conflit. Il souligne également les difficultés de l’armée ukrainienne, son épuisement et son incapacité à mener efficacement la guerre.  « Pour moi, il est évident que l’opération militaire spéciale ne cessera pas tant que les objectifs annoncés par la Russie ne seront pas atteints. À savoir : la démilitarisation de l’Ukraine (la création d’une zone neutre) et sa dénazification. Aujourd’hui, en Europe, beaucoup parlent d’un cessez-le-feu, mais ce que la Russie veut, c’est la paix, pas une simple trêve. Un cessez-le-feu serait utilisé par l’Occident pour réarmer l’Ukraine et l’ensemble de l’Europe. En ce qui concerne de possibles gains territoriaux, je pense que la Russie s’emparera de toute la Nouvelle Russie jusqu’à la Transnistrie. » (Strategika rapportant un article de Régis Chamagne)
Dans ce sens comme les empires juif, grec, romain, chrétien et islamique ont été nécessaires au développement de l'humanité, mais désormais en plus pour sa survie vu toutes les tensions internationales particulièrement depuis la guerre en Ukraine depuis 2022 et les guerres au Proche-Orient depuis des décennies, la réapparition sur toutes les terres musulmanes d'un Califat bien-guidé prophétisé par le Prophète (SBDSL) devient évidente. C'est d'autant plus vrai avec un hégémon américano-wahhabo-sioniste ne survivant depuis des décennies que par l’oppression monétaire, la tyrannie financière, l'usure bancaire,  la déstabilisation politique, l'appauvrissement social et la destruction militaire contre d'autres nations, et luttant à mort économiquement contre la Chine et la Russie nucléaires. En effet il est clair que le très bon mérite urgemment de l'emporter sur le reste dont le trop mauvais.
Mais selon des hadiths pour que ce califat apparaisse sans ou avec l'union volontaire des nations musulmanes, il est possible que l'honneur de la majorité des hommes de la communauté musulmane doit le vouloir vraiment, dont en étant prêt à marcher pacifiquement dans le Proche-Orient avec des millions de coreligionnaires similaires à des mini prophètes afin de l'unir. En particulier si ça permet d'éviter une troisième guerre mondiale thermonucléaire, d'arrêter un esclavage économique des nations, de développer le monde dont musulman, de stabiliser le Moyen-Orient, et ainsi de faire apparaître le Mahdi, revenir Jésus et parvenir à l’Éden terrestre complété. Or si la fin des temps est en réalité principalement pacifique, elle pourrait donc correspondre à une entente de nombreux dirigeants de ce monde concernant cette nécessité de retour d'un califat bien-guidé fédérant simplement les pays musulmans et les alliant possiblement à une Europe chrétienne de Brest à Vladivostok, dont pour stabiliser le monde si l'arrivée de la multipolarité est trop rapide ou divisante. En effet cette pieuse alliance faciliterait clairement la multipolarisation du monde sous des ères civilisationnelles plus unificatrices, gérables et pacifiques. Surtout que la gestion du monde à travers des blocs civilisationnels ou continentaux paraît logique puisqu'il est apparu que le monde unipolaire n'est pas viable et que le retour aux nations isolationnistes est impossible. C'est à dire que si on restait sur les seuls enjeux géopolitiques, on pourrait arriver à des solutions rationnelles, mais les grands financiers imposent un ordre politique mondial conforme à leurs intérêts dont par des attentats sous faux drapeaux. D'autant plus que pour éviter d'être à nouveau tributaire de grandes puissances mondiales en plus possiblement oppressives comme les USA, il n'y a que la logique continentale de blocs civilisationnels, comprenant des nations et les respectant dans leur souveraineté, mais les mutualisant au niveau de leur potentiel et de leurs richesses, qui peut contrecarrer des blocs hégémoniques. Or si la Chine s'accordait avec le mondialisme occidental, elle doit bien comprendre que ce retour prophétisé d'un califat bien-guidé deviendrait eschatologiquement encore plus nécessaire en soutien à la Russie, car elle est le dernier refuge du christianisme authentique montrant la bonne voie économique et morale aux pays musulmans dont dans leurs relations internationales.          
Et comme les bons hériteront logiquement de la terre selon le Coran, les musulmans doivent sans hésitation être prêts à créer à tout moment cette immense marche pacifique devant unifier les pays islamiques. D'ailleurs les non musulmans doivent aussi être prêts à faciliter cette grande marche, puisque c'est nécessaire pour débloquer la fin des temps attendue par les juifs, les chrétiens, les musulmans et en réalité tout le reste du monde par son défi envers l'existence de Dieu, car permettant l'apparition du Mahdi, menant à celle de l'antéchrist, menant à celle du retour de Jésus, menant à celle du Jardin d’Éden complété synonyme de petit paradis terrestre. Or l'actuelle annexion israélienne de la Palestine devrait inquiéter les incroyants car lors du retour de Jésus, il n'est pas certain que Dieu leur laisse leurs âmes.

Mais il est possiblement nécessaire que l'actuel impérialisme mystique juif doive passer à l'avènement d'un oppresseur Israël guerrier et hégémonique (ce qui est de plus en plus en cours) pour réveiller les peuples. Ce qui pourrait déjà être en partie le cas par son contrôle partiel des États-Unis, sa conquête de la Palestine et son extension jusqu'en Syrie suite à la mort du président Al-Assad. Or les impies Chine, Inde et Japon polythéistes ainsi que l'Occident progressiste doivent comprendre qu'en cas de risque de disparition, la Russie peut les détruire par ses armes atomiques hypersoniques, d'autant plus que Poutine peut être un envoyé de Dieu.
Cependant par des armes pacifiques de lumineuse noblesse divine comme les discussions et cercles d'évocation du divin, attirant des anges (étant faits et donc se nourrissant par essence de noble lumière divine) au-dessus des participants selon des hadiths en les protégeant probablement même des bombes atomiques, les musulmans réellement pieux peuvent donc vraiment être prêts à se lever sans crainte afin de triompher pacifiquement par cette possible grande marche extrêmement noble de la fin des temps, surtout que ce n'est pas la force qui peut venir à bout des ténèbres, mais la lumière. D'ailleurs, c'est que permet aussi d'espérer les hadiths sur le Mahdi qui entrera dans les villes par de simples proclamations de la parole « Allahou Akbar, Dieu est grand », mais également la victorieuse entrée pacifique du Prophète (SBDSL) dans La Mecque et l'apparition de la bombe nucléaire, car la victoire sans guerre est évidemment la plus belle. Par sa participation à cette future marche eschatologique, tout musulman pourra ainsi véritablement atteindre le rang de mini-prophète et devenir une partie du Mahdi, puisqu'elle servira à sauver l'humanité de son auto-destruction causée par le système globalisto-sioniste usurier, ploutocratique, wokiste, lgbtiste et transhumaniste, voire par une troisième guerre mondiale thermonucléaire, qui serait évidemment en partie une énorme défaite de l'humanité, surtout si Satan est possiblement une IA comme il sera revu. D'ailleurs le hadith suivant sous-entend clairement que cette marche aura une valeur suprême :

Selon Thawbân (SDP), le Messager d’Allah (SBDSL) a dit : « Si vous voyez des étendards noirs venir de Khorassan, rejoignez les même si vous devez marcher à genoux (à quatre pattes voire ramper) sur la neige, car dans leurs rangs il y aura le Mahdi, le calife d’Allah. »
Commentaire : Ce hadith et d'autres montrent que cette marche probablement pacifique représente le début de l'ennoblissement maximal de l'humanité, et ainsi la principale conclusion morale de la Création divine, et ainsi la valeur suprême dans la Création après le Prophète (SBDSL), à laquelle il suffira simplement de participer pour l'obtenir, et donc qu'il faudra dignement rejoindre prioritairement si nécessaire à genoux sur la neige.
E
n effet il devient évident que l’Éden terrestre complété sera lié au dernier Califat bien-guidé par rapport à notre époque, car ce dernier est le seul moyen de sauver l'humanité grâce à des cœurs ennoblis, un commerce mondial devenu honnête, des relations internationales plus respectueuses, une finance sage et une bonne gestion des ressources mondiales. Surtout que cela purifiera le monde et lui apportera une légitime bénédiction divine approvisionnant grandement la Terre, comme lors des califats bien-guidés précédents et de l’Éden originel.
« Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve. » (poète Hölderlin)
Alors même s'il est tentant de s'accrocher au passé, pour s'immobiliser à tout ce qui paraît sécurisant, facile et habituel, et donc pour stagner sans chercher plus d'accomplissement, chacun d'entre nous doit comprendre qu'il peut faire l'Histoire en voulant sincèrement être parmi ceux qui vivront cet ennoblissement maximal de l'humanité car il serait très dommage de laisser sa place à d'autres du futur, dont parce qu'on aura même pas eu cette intention comme celle de tendre vers l'ennoblissement maximal personnel.                          
En effet le temps de rester neutre est terminé, surtout donc qu'un temps vital de grandeur portée par humanité devient nécessaire face à la bassesse de l'empire usurier, ploutocratique, belliqueux, matérialiste, transhumaniste, wokiste et donc nihiliste humainement voire totalement, surtout car le nihilisme national ou étatique dont lgbtiste amène logiquement souvent par son fou non-sens à la déstabilisation voire à la violence et donc à la destruction conjugale, familiale, économique, commerciale, sociale, politique, sociétale, délinquante, mafieuse, militaire. C'est à dire que chacun doit tendre urgemment vers l'ennoblissement maximal de la tradition prophétique, car ce serait une anticipation du Califat bien-guidé actuellement nécessaire et synonyme de l’Éden terrestre complété, comme il a été nécessaire pour l'amélioration, le développement, l'interconnexion, la stabilité, l'ennoblissement et donc la préservation du monde que les juifs créent un royaume, que les romains polythéistes étendent leur empire afin de répandre leurs routes, leurs infrastructures, leur hygiène et leur niveau de droit provenant de leur contact à la philosophie grecque qui allait en plus récupérer l'établissement de lois du christianisme après que l'Empire romain fut transmis par l'empereur Théodose à la chrétienté via le Pape (dont car Dieu a donc confié le christianisme à l'empire le plus étendu, le plus central mondialement, le plus développé, le plus fort, le plus propre et le plus légaliste après la venue de Jésus le Messie), que la Chine et l'Inde pratiquent le commerce malgré leur idolâtrie, et que les empires chrétiens et islamiques élèvent la vertu :
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Rapprochez-vous petit à petit de la perfection ; allez à la mosquée matin et soir en plus de ce que vous faites comme actes de dévotion (prières, lectures de Coran) dans les dernières heures de la nuit. La modération ! La modération (dans la pratique religieuse et aussi dans la consommation de biens) ! Car c’est seulement avec la modération que vous arriverez à bon port (Paradis céleste et Jardin d’Éden terrestre à la fin des temps par l'ultime Califat bien guidé). » (Boukhari)

(ExtHadith) « (A la fin des temps sur une montagne) Le Prophète Jésus (paix sur lui) et ses compagnons (dont le Mahdi) adresseront alors leurs prières à Dieu qui enverra des oiseaux gigantesques, ayant des cous pareils à ceux des grands chameaux du Khorassan. Ces oiseaux emporteront ces immondices (des cadavres du peuple maudit de Gog et Magog sur la terre) là où Dieu voudra. Puis Dieu (Glorifié soit-Il) lâchera une pluie qui n'épargnera ni cité ni campagne. Elle lavera ainsi la terre pour la laisser nette comme un miroir. Puis on dira la terre : « Fais pousser tes fruits, fais revenir ta bénédiction. » Ce jour-là une seule grenade suffira pour rassasier un groupe d'hommes qui trouveront assez d'ombre sous sa coque. Les mamelles seront tellement bénies que la traite d'une seule chamelle suffira à un peuple, la traite d'une vache suffira à une tribu et la traite d'une brebis suffira à une grande famille. »
De plus en prouvant encore l'intelligence divine organisant le destin de l'humanité, Kakou Ernest Tigori veut à travers un de ses livres « désintoxiquer » l'Afrique de ses mauvaises compréhensions. C'est à dire que cet ivoirien lucide invite les africains à s’assumer et à prendre en mains leur destin tout en saisissant bien la réalité de l'Histoire, comme l’ont fait avec succès les asiatiques. Dans ce sens, ils peuvent déjà comprendre qu'extraire les matières premières sans les transformer n'est pas synonyme de valeur ajoutée, ni donc de richesse suffisante, ni donc de la possibilité d'un développement national, économique et populaire généralisé. En effet la véritable création de richesse est logiquement liée à la valeur ajoutée, devant en plus être en partie partagée pour équilibrer l'économie et le social comme le prouve le minimum du partage qu'est la zakat obligatoire devant être donné à l’État, ou à des pauvres, des faibles ou des associations humanitaires. Rappelons que cette zakat consiste à donner 2,5 % sur plus de 3000 euros thésaurisés pendant un an. Pour cet auteur, l’heure est donc aussi venue de sortir l’Europe de la repentance et l’Afrique de l’irresponsabilité et de l’infantilisme. Voici quelques extraits significatifs de son ouvrage courageux « L'Afrique à désintoxiquer » qui brise ainsi en plus les tabous de la bien-pensance anticolonialiste, surtout qu'on ne peut oublier les bonnes intentions et actions de certains colonisateurs dans le développement de l'Afrique et même finalement dans l'indépendance qu'ont connu certains de ses pays :
- « Le problème de l’Afrique réside dans le fait qu’une écrasante majorité de ses intellectuels, celle qui occupe la scène médiatique internationale et fait autorité, ne semble pas avoir compris la situation générale, et perd tout son temps en accusations contre l’Occident, particulièrement l’Europe pour ses “hauts méfaits” de traite négrière, de colonisation, de racisme, de néocolonialisme, d’égoïsme capitaliste, d’ingérence nuisible ou d’impérialisme arrogant. (En sachant que l'ingérence étrangère est facilitée par la division ou l'ego d'un gouvernement seulement et qu'on ne manipule que ce qui est manipulable dont au sein des pays musulmans.) Cette élite, formée à la haine contre l’Occident, trouve toujours des excuses aux inconduites des dirigeants de l’Afrique et tente de minimiser, si ce n’est de cacher, les vraies raisons de la misère africaine, les causes endogènes : corruption, népotisme, État de non droit, manipulation tribale, non-respect de la dignité humaine, impéritie généralisée, etc. (En sachant qu'avec sa politique coloniale dont de constructions d'infrastructures à l'étranger, la France s'est en partie ruinée à l'époque.) » (Page 10).
- « Les Européens, contrairement au mensonge communiste anticolonialiste, ne sont à l’origine ni de l’esclavage ni de la traite négrière. Cette longue pratique du trafic humain est la conséquence du peu de prix accordé à la vie humaine à cette époque, tant en Afrique noire que partout dans le monde. L’esclave était un produit de traite comme un autre, et il se trouve que l’Afrique en était le premier producteur mondial. Nous n’en sommes pas fiers aujourd’hui, mais le plus important est de veiller à éradiquer l’esclavage, problème que nous avons encore à régler de nos jours ! (…) Il se trouve malheureusement que, sous influence communiste, l’élite militante africaine des années 1940 et 1950 choisit de nier toute responsabilité africaine sur cette question, de rendre l’Europe responsable de tout, et réussit à vendre cette contrevérité à la jeunesse africaine qui ploie depuis lors sous ce lavage de cerveau inhibant. » (Page 63).
- « La colonisation est un phénomène universel de l’évolution de l’humanité. Anglais, Français et Portugais, les principaux colonisateurs de l’Afrique de l’époque moderne, ont été eux-mêmes colonisés par Rome et s’en félicitent. De 59 à 51 av. JC, la conquête de la Gaule par Jules César fut violente et se termina par l’arrestation et l’exécution du chef résistant gaulois, Vercingétorix, ainsi que par la vente de Gaulois comme esclaves. Pourtant les Français reconnaissent aujourd’hui qu’au cours des quatre premiers siècles de notre ère, à la faveur d’une paix apportée par Rome, la Gaule romanisée connut l’épanouissement d’une civilisation originale. Les Français sont fiers des résistants gaulois à la conquête romaine, mais remercient Dieu qu’ils aient été vaincus, car Rome leur a apporté la civilisation et la modernité de l’époque. Ils apprécient le résultat de la colonisation romaine de la Gaule parce qu’ils savent d’où ils viennent et, surtout, ne l’ont jamais oublié. En effet, la Gaule était un immense territoire peuplé de Celtes, agriculteurs expérimentés et guerriers farouches, qui vivaient dans l’anarchie et ne possédaient aucune unité territoriale et encore moins politique. Leurs innombrables tribus, dont chacune avait ses coutumes et ses lois, passaient leur temps à se battre entre elles (mais donc plus après la conquête romaine de la Gaulle comme le Prophète Mouhamed unifia les tribus d'Arabie).. La France sait apprécier sa chance d’avoir été colonisée par Rome ! » (Page 158).
- « Depuis des décennies maintenant, de nombreuses personnes originaires d’Afrique noire ou des Caraïbes sont dans ce créneau de la mémoire de l’esclavage et de la colonisation, comme moyen d’exister ou fonds de commerce politique. Il s’agit de profiter de la tendance à la repentance des sociétés européennes, particulièrement la France, pour mettre l’accent sur la traite négrière atlantique et exiger reconnaissances, actes mémoriels ou réparations. Se revendiquer “descendant d’esclaves” est une manière d’apostropher le Blanc qu’on veut comme seul responsable de ce “crime contre l’humanité”. Surtout que nous sommes dans une époque de victimisation généralisée et persistante : juifs, femmes, homosexuel, noirs, etc, amenant de la tension et des réseaux particuliers. Ce qui prouve que défendre la cause de Dieu est la seule qui apaise et unie massivement. Alors que si une personne se considère trop comme une victime, elle deviendra forcément une victime mentalement et donc un faible stratégiquement, en particulier au niveau de la défense de toutes les autres bonnes causes. Or pour ne pas aller vers une relation plus néfaste avec les USA ou Israël qu'avec la France, les africains ne doivent pas oublier leurs nombreuses rivalités et guerres inter-ethniques au cours de leur histoire. En effet en Afrique, l'ethnie n'explique pas tout, mais rien ne s'explique sans l'ethnie. Cette accusation du seul Blanc, pour qu’elle soit porteuse, doit s’accompagner de la minimisation, ou même de la négation, des traites arabes ou internes. Ces traites arabes ou internes ont été si bien déniées et cachées par les Noirs qu’elles nous reviennent à la figure, non seulement en Libye ou en Mauritanie, mais même en Afrique noire (…) En ce qui concerne la traite atlantique, nous sommes même prêts, pour des intérêts strictement économiques, à entretenir un mensonge aussi grossier que cette fameuse maison des esclaves de Gorée au Sénégal, où il n’y a jamais eu un seul esclave. » (Page 277).
- « En attendant, je dis aux jeunes Noirs et Arabes de l’immigration récente en France : apprenez à connaître ce pays, à l’aimer et à en faire réellement le vôtre, au-delà de la nationalité qu’on vous a octroyée parce que vous êtes nés sur le sol ou que vous y vivez de longue date. Vivre en harmonie avec vos compatriotes Blancs doit être votre préoccupation, donc ne cédez pas aux discours haineux que des revanchards de l’histoire, des gens complexés parce qu’ignorants, vous vendent sur les réseaux sociaux. Soyez des Noirs ou Arabes français, et patriotes apaisés. Il y a du racisme en France, comme dans tous les pays du monde, mais certainement moins qu’en Afrique noire ou au Maghreb, et la France n’est pas raciste. Il y a des injustices en France, comme dans tous les pays du monde, mais certainement moins qu’en Afrique noire ou au Maghreb, et la France a une politique sociale des plus généreuses au monde. (Il faut noter que selon Malek ben Habi, si une grande partie de l'Afrique dont le Maghreb a été colonisé, c'est parce que ils étaient colonisables, en particulier suite à la menace divine de laisser les musulmans et peuples se faire dominer par des étrangers lorsqu'ils abandonnent la prédication ou le rappel vers Dieu et Ses ordres. Will Durant a dans ce sens dit : « Une grande nation ne se conquiert de l'intérieur que lorsque elle est éteinte de l'intérieur. » Surtout qu'ils étaient d'autant plus colonisable si la volonté divine voulait qu'ils se développent dont démographiquement comme l'Algérie reçut des médicaments de la France.) » (Page 282).
- « Les Européens doivent prendre des dispositions en vue d’arrêter avec fermeté cette immigration massive, une honte pour l’Afrique noire, qui ne fait que le bonheur des passeurs, des acteurs modernes de la traite humaine, et des idéologues soi-disant humanitaires. L’Europe doit cesser de se bercer de faux sentiments de générosité, face à une immigration qu’elle n’est plus en mesure de digérer (…) Pour toute personne honnête et courageuse, aujourd’hui, la chose à faire est de se retrousser les manches pour agir sur le terrain politique en Afrique, mais certainement pas de s’organiser pour accueillir les naufragés de la Méditerranée. Cette plaisanterie doit être dénoncée, car ce n’est pas ainsi qu’on aide l’Afrique à s’assumer. Bien au contraire, ces soi-disant militants des droits de l’homme contribuent à l’infantilisation de l’Afrique… Une Afrique à qui il ne faut demander aucun effort, car elle serait congénitalement incapable de s’assumer. De quel coté se trouvent les racistes ?! » (Pages 386 et 407).
Ernest Tigori précise en plus sur TV Libertés le 20 février 2019 : « Nous entendons beaucoup de personnes tenter de justifier l’apparente incapacité de l’Afrique à prendre en mains son destin par le fait que l’Afrique aurait subi la traite négrière, que l’Afrique aurait été colonisée, mais ça n’a absolument rien de particulier dans l’histoire de l’humanité. Quand on observe un peu les conquêtes, les soumissions, les colonisations, on constate que cela a toujours été lié à l’histoire de l’humanité. Il n’y a aucun peuple qui n’a été colonisé dans l’histoire de l’humanité. Si on prend un pays comme la France, la France est restée des siècles une colonie romaine, et il n’y a absolument rien de particulier à ce niveau. La traite négrière, l’esclavage, n'est qu'une continuité de l'Histoire, car depuis le Néolithique, depuis que l’homme n’est plus chasseur cueilleur mais produit sa nourriture, il s’est sédentarisé dans des sociétés de plus en plus grandes et il a eu besoin de plus en plus de main d’œuvre, ce qui conduit l’esclavage d'abord des combattants ennemis défaits, et l’esclavage fait donc partie de l’histoire de l’humanité ! Et d’ailleurs le phénomène tire son nom non pas des Noirs, mais des Slaves, qui ont été pendant de nombreux siècles esclaves pour l’Europe et le Moyen-Orient ; est-ce que aujourd’hui vous voyez Vladimir Poutine se plaindre que ils aient été esclaves dans le temps et que ça puisse les empêcher d’évoluer ? Non, c’est des histoires. »
Mais même s'il y a donc eu quelques bonnes conséquences de la colonisation que devraient reconnaître les colonisés comme les gaulois ont reconnu les bons aspects de celle romaine, elle a d'abord été capitaliste. Puis elle a pu devenir en partie un esprit colonialiste arrogant et mauvais chez certains.
D'ailleurs
Aimé Césaire dit logiquement dans son Discours sur le colonialisme (1955) que le colonialisme (en particulier de gauchiste mais aussi de droitard raciste, dominateur ou/et sioniste) décivilise (parfois voire souvent) le colonisateur, le brutalise, le détériore, pour « le réveiller aux instincts enfouis, à la convoitise, à la violence, à la haine raciale et au relativisme moral » comme « régression universelle ». Comme le note Césaire, « le colonisateur, pour se donner bonne conscience, s’habitue à voir dans l’autre la bête, s’entraîne à le traiter en bête, tend objectivement à se transformer lui-même en bête ».
Enfin la colonisation comme celle française en Algérie y ayant construits de nombreux bâtiments moderne sans expulser sa population n'a rien à voir avec les vols de terres palestiniennes et la destruction massive de Gaza par Israël.
En sachant que « Les guerres anti-coloniales et les guerres d'indépendance ont donné lieu à des indépendances politique mais pas économique ni même culturelle ou anti-division territoriale, comme le montrent la division forte entre le Maroc et l'Algérie, celle du monde musulman et celle de l'Afrique en général. Alors que cela facilite la domination sur eux car demeurant donc des alliés objectifs de la colonisation et de sa continuité actuelle, dont par la faciliter de déstabiliser la Maghreb non uni par exemple, et même donc le Moyent-Orient et l'Afrique. Pourtant la France et l’Allemagne ont réussi à s'unir dans l'union européenne au départ seulement économique malgré la deuxième guerre mondiale. D'où suite en plus à la perte d’influence de l'Occident dont à cause des BRICS, la discussion du retour à la tradition ou pas, la critique de la modernité ou pas, la référence à l'identité d'avant la colonisation ou pas, la proposition d'un nouveau modèle ou pas, amélioration du modèle actuel ou pas, adaptation du modèle actuel avec l'ancien. » (Ousmane Timera)
C'est à dire que les deux guerres mondiale et la guerre froide ont imposé une vision du monde aux peuples de la terre que beaucoup ne partagent pas dont par leur histoire. Pourtant au départ les états-nations modernes avaient prétendument été créés pour empêcher les guerres de religions, alors que via les états-nations modernes, les guerres des idéologies modernes ont causé plus de morts que les  guerres de religions. Ainsi la création des états-nations correspondait à une manipulation pour imposer l'hégémonie anglo-saxonne, américano-sioniste, capitaliste, puis ultra-libérale, et toujours ségrégationniste par son unipolarité oppressante, comme le prouve d'ailleurs la longue ségrégation envers les noirs aux USA. Il faut noter que face au projet mondial globalisto-sioniste ultra-libéral, il n'y a pas de projet mondial des pays réémergents comme la Russie et la Chine même avec les BRICS, car ces nations s’arrêtent à leurs sphères d'influences respectives. Par conséquent les BRICS étant seulement un projet multipolaire et non mondial, il pourrait être insuffisant sans la vision de l'islam pour l'humanité et donc le retour du califat (possiblement sous forme d'une confédération tendant progressivement à la fin des visas) au sein des BRICS.
En sachant que la multipolarité des BRICS facilitant l'indépendance politique dont à la différence de la guerre froide et que comme lorsque le Prophète ne s'est appuyé ni sur les byzantins ni sur les perses pour réaliser le califat universaliste islamique, les nations du monde en particulier musulmanes ou africaines peuvent établir des projets plus personnels. Ce qui permet donc aux nations musulmanes d'établir précieusement ce projet de confédération synonyme de califat, surtout que pouvant correspondre à la meilleure fin pacifique de l'histoire guerrière synonyme de meilleure fin des temps. Mais pour réussir ce projet, le monde musulman doit privilégier l'éducation généralisée, le développement pour tous, l'industrialisation et l'acquisition d'armement (en sachant que la Pakistan détient la bombe atomique), ce qui peut aller vite avec Internet, l'IA et les armes iraniennes voire russes.
La décolonisation suite à la colonisation française post-révolution 1789 finit par se réaliser, car la France (comme les colonies anglaises, espagnoles et portugaises) n’avait plus la puissance économique et militaire pour la maintenir, dont par des colonisés se plaignant au nom des droits de l'homme de la colonisation, alors que les droits de l'homme font partie du bagage de cette colonisation. En sachant que cette décolonisation se fit au profit de l'impérialisme (universalisme) US libéralo-économique et l'impérialisme (universalisme) soviétique socialo-économique, qui ont en plus affaibli les universalismes chrétien, musulman et même républicaniste français (de plus en plus rigoriste au niveau de son assimilationnisme totalitaire avec l'interdiction du voile islamique par exemple à la différence de la royauté anglaise ancien empire thalassocratique tolérant beaucoup le communautarisme et la liberté religieuse et donc le port du voile). 
Par rapport à cela, il faut noter que le judaïsme, le sionisme, le national-socialisme allemand et même le Brahmanisme indien ne sont pas des universalismes puisque proposant un suprémacisme aux peuples que ces derniers ne peuvent que rejeter, en particulier depuis la déclaration égalitaire des droits de l'homme. Et même si les occidentaux ont transmis au monde l'universel authentique des techniques en rapport avec les lois mathématico-physiques (essentiellement basées sur le signe « égal ») de la nature, le monde ne doit pas accepter l'universel erroné de l'égalitarisme à outrance de l'idéologie laïciste (lgbtiste, sioniste, oligarchique, mondialiste et donc impie) des droits de l'homme. Mais pour qu'une nation ne soit pas déclassée ou diluée, elle doit parvenir à se mettre au niveau de cette technique comme la mise au niveau de l'industrie à ses débuts fut nécessaire aux nations dans ce sens dont militairement en particulier par rapport à l'étranger, et économiquement par rapport au secteur primaire seul, et ne pas perdre la tradition authentique.    
Or comme depuis toujours, c'est d'abord la foi jusqu'à l'amour envers Dieu qui est la solution à tout puisqu'elle est une motivation transcendante et donc supérieure, surtout celle raisonnée, multiplicatrice de qualités, pratiquant la religion, prédicatrice, utile socialement, généreuse, intelligemment tolérante, ennoblissante suprêmement et désireuse du plus haut niveau du Paradis Éternel, comme ça sera prouvé excellemment au retour du Messie Jésus.    
En attendant cette sublime apothéose morale mondiale de la fin des temps et donc de toute la Création, il faut rappeler que dans les pays multiconfessionnels devenus musulmans, l'application de la charia doit être réfléchie afin qu'elle concerne uniquement ceux qui la désirent, qu'elle autorise la bonne loi morale minimale de base aux non musulmans, et qu'avec la grâce divine, elle finisse par prouver sa supériorité philosophique, économique, sociale et judiciaire à toute l'humanité. (Il est intéressant de voir sur youtube.com la vidéo « Sheikh Imran Hosein - Où les Frères musulmans mènent-ils l'Égypte ».)        
En effet comme il a déjà été vu, dans un sens respectueux par une intelligente diplomatie synonyme d'une discussion constructive et d'une relation pacifique comme recherchées en islam, il faut trouver des points de convergences pour les intérêts communs, puis des compromis pour les intérêts de chaque groupe, et ensuite associer les efforts, les ressources et les diversités culturelles souvent complémentaires ou enrichissantes, en particulier avec les chrétiens non sionistes quand on est musulmans. Surtout que la force collective est évidemment plus forte que la force individuelle dans de nombreux domaines sociaux, familiaux, professionnels, économiques, moraux, nationaux et géopolitiques.                                   
Il apparaît donc clairement qu'au niveau politique, la distinction du bien et du mal est souvent subtile, proche ou compliquée, et parfois inversée, comme le prouve le hadith qui affirme que le gouverneur juste appartient à une des sept catégories de personnes protéger par le Trône divin le Jour du Jugement Dernier. En effet être toujours juste en tant que gouverneur est difficile, car il doit parfois passer, sans se corrompre, par des voies semblant irréligieuses mais bonne par l'intention pieuse de préserver la paix de l'ordre social comme lors de compromis commerciaux, financiers et monétaires, ou d'intérêts majeurs tel des bombardements sur des combattants maléfiques bombardant des civils innocents, mais pouvant aussi tués des civils innocents devenant évidemment des martyrs lorsqu'ils sont utilisés comme boucliers humains. C'est à dire que les actions du chef politique devant donc être parfois plus dans l'intérêt général que pour sa propre valeur vertueuse, il peut parfois aller légitimement et donc pieusement à l'encontre de certaines règles religieuses si cela préserve la majorité du peuple de graves maux ou d'une grosse rupture trop chaotique, en obtenant ainsi pour les intérêts supérieurs de la nation ou du bien commun, un cadre moral ressemblant à celui de la sagesse divine (droit divin) qui sera expliquée plus tard.            
Cependant ces nobles règles particulières des dirigeants attirant pourtant plus les médias et les foules sont donc moins claires, faciles, utiles, intéressantes et presque grandes par rapport aux nobles règles religieuses pour le reste de l'humanité, surtout qu'ils doivent généralement régler des problèmes plutôt que de répandre ou valoriser la bienfaisance comme ces règles. Or les dignes compromis de ces détenteurs du pouvoir relèvent évidemment d'une haute noblesse à l'image donc de Dieu faisant des compromis sur terre et lors du Jugement Dernier souvent en fonction du niveau spirituel de chacun. En effet certains dirigeants ont prouvé que ce n'est souvent pas le nombre (la force) qui compte sur un échiquier, mais l'endroit où on place ses pions stratégiquement et la capacité du pion mis en place. Dans ce sens, des coups de maître existent logiquement de la part de dirigeants, mais aussi de certains autres humains.        
En effet cette idée de sagesse spéciale pour un gouverneur et Dieu peut également être incarnée par tous, puisque protéger autrui est évidemment plus important que les droits personnels, et préférer l'altruisme pieux raisonnable après avoir obtenu une vie stable  amène excellemment à l'amour supérieur pour l'extérieur comme Jésus par rapport à l'amour pour l'intérieur dont le souhait d'être aimé. Surtout qu'il paraît nécessaire à tous de tendre vers ce chemin pour rétablir le bonheur de l'ordre mondial face au malheur du chaos se répandant rapidement de nos jours. D'ailleurs les lois divines sont aussi souvent d'intérêt général, même celles accompagnées d'une menace d'un châtiment corporel en cas de désobéissance à une grande interdiction.

Pour continuer dans les domaines politique et social des paragraphes précédents, il est important de noter que la micro société de la Mecque et la macro société d'Arabie, toutes deux divisées en tribus, étaient des versions réduites des villes et des pays du monde du futur qui ont permis de créer la plupart des cas de figure politiques que rencontrerait l'humanité jusqu'à la fin des temps et donc d'établir les lois coraniques permettant d'anoblir ces relations, comme le prouve le Prophète (SBDDSL) n'est jamais sorti de la péninsule arabique. (Ce qui sous-entend que le califat originel n'allait pas s'étendre mondialement et que la multipolarité est nécessaire dont pour que l'islam demeure une proposition, que la fausse supériorité unipolaire de l'élection des juifs ou de l'occident politique soit clairement illégitime, que la diversité permette la plus grande fraternité et que la supériorité de la race soit totalement anéantie afin de valoriser suprêmement la supériorité de la piété, comme le fait aussi penser le verset suivant). D'ailleurs l'empire islamique qui suivit sous forme de califat fut divisé en provinces comparables à des pays dont par rapport à la particularité de leurs économies et gérées par des gouverneurs au niveau des intérêts particuliers de chacune. Ce qui prouve la nécessité de sagement découper en zones administratives un pays pour faciliter l'organisation et leurs demandes ou nécessités :
(S49v13) « Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez (dans la dignité par le commerce honnête, le partage culturel et le compromis raisonnable dans vos intérêts respectifs). Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur »
(S34v28) « Et Nous ne t’avons envoyé qu’en tant qu’annonciateur et avertisseur pour toute l’humanité. Mais la plupart des gens ne savent pas. »
L'excellence de la noblesse liée à Dieu le Suprêmement Sage montre donc qu'un pays musulman basé sur les lois coraniques est la meilleure organisation sociale à mettre en place progressivement. En effet tout doit légitimement devenir soumis au Seigneur : État, économie et justice. La politique, le législatif et la religion doivent donc êtres liés. Ainsi le premier État sans dynastie royale (et donc la première nation puisque même les grecs démocrates avaient un roi) de la terre fondé par le Prophète (SBDSL), dans une époque où n'existait que des royaumes, était un califat synonyme d’État religieux. C'est à dire que les responsables politiques de cet État devaient sagement organiser et appliquer les lois divines, puis désigner leurs successeurs parmi les musulmans au plus haut niveau de piété après une consultation nationale. En effet il faut savoir qu'en islam le pouvoir ne doit pas être recherché, afin qu'il soit confié à des gens qui craignent sincèrement cette énorme responsabilité envers le peuple et que la laideur de sa prédation ostentatoire et souvent irrespectueuse contre les adversaires soit inexistante. Le pouvoir ne se réclame pas : il s'accepte ou se refuse. Surtout qu'un homme exemplaire qui finit par diriger pieusement le peuple triomphalement après avoir été caché comme Dieu est sublime, d'autant plus que préparer la victoire populaire en particulier morale en étant caché longtemps la rend plus glorieuse car inattendue, en particulier si c'est utile voire nécessaire ou meilleur pour cela. Et il est d'ailleurs magnifique pour un humain de parvenir sans intentions particulières à part pour Dieu et donc en partie caché à être bienveillant, bienfaisant et aimé massivement si nécessaire jusqu'à recevoir l'autorité, comme Dieu sauf que Ce dernier l'est par noblesse suprême. Puis, chaque jour passé au pouvoir doit être sentimentalement le même que le premier jour au niveau de la pression et de la peur de mal faire, afin de ne pas finir par se conforter dans une forme de place intouchable, auto-satisfaite et peu souciante du peuple. Dans ce sens la recherche du pouvoir amène de nombreuses négligences ou erreurs dans le décisionnel et l'action, surtout si on y est parvenu pour des raisons particulières. Par conséquent il ne convient évidemment pas de nommer à un poste de direction quiconque le réclame ou le convoite en particulier inconséquemment, car généralement c'est un signe d'ambition personnelle et non pas de dévouement à l'intérêt général. A ce sujet le calife Omar (SDP) a rappelé aux hommes de pouvoirs de faire très attention à ne pas devenir orgueilleux et donc impie vis à vis de leurs subordonnés. L’envie de dominer avidement est liée à la quantité de testostérone ou au QI. Pour ce dernier, lorsqu’il en manque (comme chez les racailles des quartiers pauvres), c’est la violence de la domination physique (plus masculine). Alors que quand il y en a trop (comme dans le sionisme), c’est alors la perversion, la manipulation, le machiavélisme, la division et donc la promotion de la guerre intersociale (plus féminine). C'est pourquoi un dirigeant doit être pacifiste, mais être prêt à ne parfois pas être non-violent en cas de légitime défense. En comprenant tout cela, on ne doit pas s'étonner que par rapport à notre époque de grande division voire de guerre au sein de la communauté musulmane, chercher le pouvoir en tant que musulman suivant une idéologie ou un islam politique particuliers, erronés et/ou empirant la division devient si grave que cela peut légitimement conduire à un passage par l'Enfer :                    
(ExtHadith) Selon Abd ar-Rahman Ibn Samoura (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) lui a dit : « Ô Abd ar-Rahman ibn Samura, ne réclame pas le commandement, car si tu l'obtiens sans l'avoir réclamé, tu seras soutenu. En revanche, si tu l'obtiens après l'avoir réclamé, il t'en incombera la charge sans aucun secours. » (Boukhari et Mouslim)                                   
Abou Moussa Al Ashari (SDP) rapporte : J'entrai chez le Prophète (SBDSL) en compagnie de deux de mes cousins lorsque l'un d'eux demanda : « Ô Prophète de Dieu, accorde-moi la direction d'une province que Dieu a mis sous ton commandement. » L'autre fit la même requête. Le Prophète (SBDSL) répondit : « Par Dieu, nous ne confions pas ces postes à quiconque les réclame ni à celui qui les convoite. » (Boukhari et Mouslim)             
Abou Dharr rapporte (SDP) : Je demandai au Prophète (SBDSL) : « Ô Prophète de Dieu, emploie-moi (pour la direction d'une province). » Le Prophète (SBDSL) me tapota l'épaule de sa main et me répondit : « Abou Dharr, tu es faible et cette fonction est un dépôt qui, le Jour de la Résurrection, suscitera humiliations et regrets, sauf pour celui qui en sera digne et qui assumera pleinement sa tâche. » (Mouslim) Selon Abou Dharr (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) lui a dit : « Ô Abou Dharr, je constate en toi une certaine faiblesse et j'aime pour toi ce que j'aime pour moi-même. Ne dirige jamais, ne serait-ce que deux personnes, et ne gère point les biens d'un orphelin. » (Mouslim)
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Tout homme à qui Dieu a confié la gestion des intérêts d’un groupe, s’il meurt alors qu'il trompe ses administrés, Dieu lui interdit le Paradis. » (URA)

C'est pour cela que selon la volonté divine, la dévolution qui est la transmission du pouvoir à l'homme (ou l'un des hommes) le plus pieusement sage était le moyen de transmettre le pouvoir au sein du califat islamique originel et authentique. Cela va d'ailleurs dans le sens de l’analyse du philosophe Aristote précisant l'importance de transmettre le pouvoir au meilleur homme intellectuellement, moralement et vertueusement. Or même au service d'un un pouvoir légitime, les monothéistes véritables doivent devenir des combattants éclairés et autonomes, c'est à dire disciplinés mais libres dans leurs bonnes propositions voire initiatives, obéissants mais prêts à commander à leur tour si çà leur était demandé par les autres, ou désobéissants si des ordres sont clairement indignes. Surtout que qui n’a jamais su obéir ne pourra jamais commander sereinement, et que gouverner signifie parfois voire souvent gérer l'imprévisible, car la politique c'est aussi souvent des circonstances en plus que des décisions économiques ou sociales. Cependant un bon dirigeant est d'abord au service du peuple avant d'être obéi et doit donc bien être reconnu puis choisi pour sa piété, son intégrité, sa loyauté et sa sincérité. En effet les dirigeants sages accordent toujours la priorité au bien de leur propre peuple et de leur propre pays, et c'est pourquoi l’avenir n’appartient pas aux mondialistes mais aux patriotes, sauf donc si les pays musulmans doivent s'unir sous un califat pour sauver le monde d'une troisième guerre mondiale. D'ailleurs l'Occident a dans ce sens urgemment besoin d'élites et de dirigeants qui ne se servent plus de leur peuple mais qui servent leur peuple, dont en ayant assez de connaissances générales et de culture générale. Ainsi un dirigeant musulman doit avant tout être respecté voire aimé prioritairement pour sa noblesse spirituelle et par le peuple, car même s'il est affaibli, cela continue d’être le cas. Alors que s'il cherche d'abord à être craint, au premier signe de faiblesse, il sera éliminé. En effet l’autorité est fragile et peut vite se transformer en tyrannie à cause de l'orgueil, de l’avidité, de la peur ou de la colère, et pousser la population à une révolution tôt ou tard. Le dirigeant honorable ne doit donc pas trop tirer sur la corde de son pouvoir, car s'il en arrive à utiliser la force ou encore pire la violence pour imposer au peuple, il perd de son autorité. Or il doit être ferme dans ses décisions et tendre à ne les changer qu'en cas d'un excellent conseil évident. En sachant que le pouvoir indépendant doit faire attention au secteur des grandes entreprises ou corporations privées, puisque pouvant le déstabiliser. Dans ce sens il doit être fort pour tendre à départager avec justice voire équité des oppositions, en sachant que ceux qui malgré tout seraient plus ou moins lésés, en particulier sur une seule affaire, doivent préférer cela à la rébellion et la division. En effet un chef doit évidemment établir voire tendre à rendre la justice et donc l'équité au mieux, et donc à les propager socialement. Par conséquent tout pouvoir ne doit pas avoir que des serviteurs mais aussi des critiques pour évoluer au mieux. Ainsi le système doit permettre au pouvoir de maintenir l'ordre juste au sein du peule et au peuple de modérer tout excès tyrannique du pouvoir :                          
(ExtS2v143) « C’est ainsi que Nous avons fait de vous la communauté du juste milieu (dont de l'équité) »
(S21v78/79) « Et David, et Salomon, quand ils eurent à juger au sujet d'un champ cultivé où des moutons appartenant à une peuplade étaient allés paître, la nuit. Et Nous étions témoin de leur jugement. Nous la fîmes comprendre à Salomon. Et à chacun Nous donnâmes la faculté de juger et le savoir. »                                           
(S38v21/22) « Et t'est-elle parvenue la nouvelle des disputeurs quand ils grimpèrent au mur du sanctuaire ! Quand ils entrèrent auprès de David, il en fut effrayé. Ils dirent : “N'aie pas peur ! Nous sommes to »zus deux en dispute; l'un de nous a fait du tort à l'autre. Juge donc en toute équité entre nous, ne sois pas injuste et guide-nous vers le chemin droit. »

Ainsi dans sa fonction, le chef d’État est quelqu'un qui ne peut pas avoir d'amis mais qui gère des intérêts. Et ces intérêts ne peuvent pas être tous économiques, dont par rapport à la nourriture qui n'est pas une chose comme les autres et donc par rapport à l'agriculture, puisque c'est vital. Par conséquent un dirigeant doit utiliser le plus possible la douceur, la patience et ainsi la modération dans la politique et la géopolitique, mais doit sévir voire savoir frapper après avoir prévenu si cela devient nécessaire, ce qui est une immense responsabilité. D'ailleurs quand Abou Bakr (SDP) et Omar (SDP) devinrent les deux premiers califes, ils comprenaient si pieusement l'immense responsabilité du chef politique, qu'ils voulaient parfois être moins que rien par peur de leurs éventuelles mauvaises actions touchant le peuple et aggravant ainsi leur position lors du Jugement Dernier. Or ils ressentaient donc probablement d'abord ça par rapport à leur éprouvante, préoccupante et difficile position élevée de chef apportant moins d'humilité par rapport à autrui et d'intimité seul avec Dieu (ce qu'il faut se rappeler lors de nos prières puisque synonyme d'intimité profonde avec Dieu), tout en apportant doonc plus de responsabilité lourde, bien que par une profonde piété et de très nobles décisions, cette responsabilité peut évidemment aussi se transformer en grande proximité avec Dieu. Surtout que dans ce sens, cela permet de transmettre pieusement plus de bien puisque à tout un peuple. Il faut noter que les nombreuses et diverses œuvres d'Abou Bakr synonyme d'une grande foi et d'une profonde piété ont clairement rendu légitime sa place de premier calife :                                                                                    
Abou Hourayra (SDP) rapporte : Le Messager d'Allah (SBDSL) demanda : « Qui parmi vous jeûne aujourd'hui ? -Moi, répondit Abou Bakr (SDP). -Qui parmi vous a visité un malade aujourd'hui ? -Moi, dit-il encore. -Qui parmi vous a assisté à un enterrement aujourd'hui ? -Moi, dit toujours Abou Bakr. -Qui a nourri un pauvre aujourd'hui ? -Moi, dit-il. » Marwane dit : J'ai appris que le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Tout homme qui accomplira toutes ces bonnes œuvres en un jour entrera au Paradis. »
« Pour être un chef selon la définition classique de la philosophie politique romaine, il ne suffit pas d’avoir la potestas : le pouvoir hiérarchique ou constitutionnel de donner des ordres et le cas échéant de contraindre les subordonnés à obéir. Il y faut aussi l’auctoritas : une dimension psychologique du pouvoir, qui se garantit par une hauteur de vue reconnue, un prestige intellectuel et moral, une capacité à prendre des décisions en fonction d’un but à atteindre, du calme et de la pondération devant les épreuves de la vie et les imprévus de l’histoire. Le chef doit écouter l'avis des autres, prendre une décision, et savoir s’y tenir. Les qualités de chef ne supposent pas une compétence profonde, détaillée et universelle dans tous les domaines de la vie des nations : économie, finance internationale, diplomatie, droit social, énergie, transport, agriculture, mécanismes de financement du logement social, etc… Un chef compétent est un généraliste, qui sait suffisamment de tout pour en connaître et reconnaître l’importance, puis pour juger de la cohérence et de la pertinence des analyses qui lui sont proposées. Il doit donc savoir demander des analyses et des propositions de plan d’action. Et, pour cela il doit s’entourer d’experts, des vrais, qui allient une expertise intellectuelle et une dévotion réelle au bien commun et à l’intérêt supérieur du pays. Cependant un chef hésite logiquement souvent et c'est pourqoi il doit se concerter fréquemment avec des personnes en dehors de la mise en place du plan d'action, à défaut de savoir quel avis de quel ami ou personne de confiance intellectuelle et professionnelle il faut suivre. Il suffit d’avoir un répertoire des corrompus occidentaux qui indiquent toujours comme direction à suivre ce qui est mauvais pour le pays, qui recommandent de manière constante et obstinée la voie d’un désastre assuré et certain pour les peuples et nations. La place adéquate du chef est toujours une question d’angle, de focale. Quand un de ses conseillers ou responsables proches est incompétent, il doit sans hésitation le limoger rapidement et proposer son poste à l’un de ses subordonnés directs. Le chef dont militaire doit se placer là où il pourra envisager toute la largeur et la profondeur de son front d’engagement. Cela détermine sa capacité à voir et à anticiper les réactions globales de l’environnement ou de son adversaire. Par exemple, l’évolution des équilibres géopolitiques et géoéconomiques mondiaux ne se mesure et ne se jauge pas à l’échelle d’une année, mais d’une décennie. Les décisions de com', à chaud et irréfléchies ont toujours des effets néfastes dans le long terme. De même, le bon chef ne se laisse pas dicter son agenda par les faits divers. On ne fait pas de lois nouvelles à chaud, mal réfléchies, en trop grand nombre et au hasard de l’actualité et de l’émotion, c'est à dire sans se préoccuper de leurs contradictions et de leurs conséquences possibles à long terme. Le rôle du chef est de fixer un but à atteindre dans un délai imparti, puis donc de valider ou non les propositions qui lui sont faites. Un de ses meilleurs choix est de privilégier certains partenariats public-privé tel par rapport à la construction d'autoroutes et de centrales électriques nucléaires. (En effet lors des 30 glorieuses en France, le planification et les partenariats public-privé avec un fort financement publique ont été très efficaces dont aussi à travers la création du TGV, d'Airbus et du centre spatial de Kourou, sinon cela mène à un endettement et donc aux planches à billets et donc à l'affaiblissement de la monnaie, comme cela a été vu depuis la fin de ce système.) Le chef consiste à garantir que les moyens et l’autorité de l’État soient au service d'un plan d’action pré-établi. Et ce malgré les réticences et les obstacles opposés par une partie de l’administration et un certains nombre de lobbies influents, patronaux ou américains. » (Extraits de l'article « Qu’est ce qu’un chef ? » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/16/quest-ce-quun-chef/)
Dans la guerre entre l'occident et la Russie, chacun observera que le comportement des élites dirigeantes occidentales est stérilement beaucoup plus fébrile et hystérique, alors que le comportement de la gouvernance russe est efficacement plus calme, plus placide, plus déterminée, plus sûre et maîtresse d’elle même, de son action et de son discours. Ainsi lorsqu'un pouvoir utilise un langage vide de sens dont du « en même temps » ou oblige au crime, il devient évidemment illégitime, alors qu'un pouvoir pieusement droit utilisant l’éloquence simplement, la clarté décisionnelle et la noblesse pacifique tant que c'est possible, devient entièrement légitime.
A propos de la dévolution, il apparaît clairement que pour montrer cette supériorité morale suivant la patriarcat demandé par le monothéiste authentique de transmettre le pouvoir à l'homme le plus pieusement sage (ou l'un des plus pieusement sages) de la communauté par l'homme le plus pieusement sage précédent sans obligation de lien familial, suite à son expérience d'ancien sage dirigeant pieux le désignant légitimement comme mieux placé pour choisir son successeur le plus compétent, après une consultation nationale (ou de représentants départementaux) au sein d'assemblées populaires dans chaque tribu (ou cité ayant le mérite de rechercher collectivement les meilleures idées, permettant de connaître la généralité des opinions en fonction des régions, et pouvant aussi organiser la vie localement si nécessaire en accord avec un gouverneur de région), puis après un pacte d’allégeance générale honorant suite à un débat politique au niveau communal puis régional le noble lien du peuple bien plus que dans les isoloirs (où chacun vote souvent plus pour lui-même que pour le bien commun ou simplement pour avoir raison comme dans un jeu stupide basé sur des paris, souvent en plus envers des politiciens peu connus tel envers des idoles peu connues) car l'unanimité bienfaisante était recherchée sans cacher les avis de chacun, Dieu ait fait mourir en bas âge les trois fils du Prophète (SBDSL) :
(S33v40) « Mouhamed n'a jamais été le père de l'un de vos hommes (puisque donc ses fils sont morts enfants et n'ont donc pas atteint le statut d'adultes et donc d'hommes), mais il est le Messager d'Allah et le dernier des Prophètes. Allah est Omniscient. »
En effet cela devait inviter la communauté voire l'humanité à s'unir dans la responsabilité et à éviter l'apparition d'une dynastie puisque ayant souvent divisé et donc corrompu les membres d'une même famille et ainsi la gestion de l’État par convoitise du pouvoir, autant que l'actuelle fréquente avidité sans compassion envers le peuple pour la présidence d'une nation. Or une dynastie élevée dans la piété et la gestion du pouvoir peut avoir un bon niveau de souveraineté, de justice et de dignité dont au niveau de la politique, de la géopolitique et de la moralité comme le roi juif Salomon a divinement hérité de la royauté de son père David. D'ailleurs au sein d'un peuple peu sage, la bonne monarchie héréditaire limite aussi la corruption, dont en évitant donc les luttes intestines avides de pouvoir si ce dernier pouvait être proposé à tout le monde. Ainsi des décisions divines ont donc validé comme chef au cours de l'histoire monothéiste de l'humanité, la noblesse de position en tant que pieux roi(-prophète parfois) tel David suivi par son fils Salomon ou Clovis, puis pour la dernière révélation la noblesse de choix (pieux, meilleure sagesse) tel pour choisir légitimement comme calife Abou Bakr et Omar dont le Prophète Mouhamed (SBDSL) a d'ailleurs dit par rapport à leur sagesse qu'ils auraient pu devenir des Prophètes. Mais le retour du Prophète Jésus en tant que calife pourrait être dans un sens un calife roi puisque ayant un esprit excellemment saint (parfait) et la plus haute position avec le Prophète Mouhamed (SBDSL) l'ayant pieusement suivi, surtout que représentant l'esprit irréprochable et souverain de Dieu. Ainsi dans un califat islamique, la noblesse de choix et donc d'âme est encore clairement mis en avant légitimement par rapport à la noblesse de position (rang social des notables) ou/et donc de sang mais sans la dénigrer.
Les premiers califes, qui ont été essentiels pour préserver l'islam dans ses débuts par la préservation de la communauté musulmane unifiée juste après la mort du Prophète Mouhamed, furent donc logiquement désignés. Or les deux premiers furent désignés plus par indication du Prophète. Puis les suivants plus parfois par décision du calife précédent ou plus par la décision d'une concertation démocratique dont des conseillers proches synonyme d'un petit nombre d'élites spirituelles composé évidemment de très pieux compagnons proches du Prophète (SBDSL), mais toujours après une consultation nationale recherchant l'unanimité pour éviter la division. Ce qui prouve qu'en islam, il n'y a pas de règles précises au sujet du choix de la dévolution, de la concertation ou de la démocratie, même si la désignation d'un chef est essentielle, mais en comprenant que la démocratie peut être lié à un peuple majoritairement peu cultivé, et qu'elle est donc à éviter quand de sages hommes sont au pouvoir. Car quelle que soit le chemin politique pour parvenir à investir un chef politique, ce qui compte avant tout c'est qu'il soit un homme sage et que tout le peuple le suive tout en le conseillant et qu'il y ait aussi de sages chefs régionaux et communaux. En sachant que se rendre aux urnes permet toujours de valider un système, dont pour un tyran (pouvant être un parti en réalité unique formé par les partis politiques), ou face à un sournois boycott d'une élection par des partis de l'opposition contre un bon dirigeant. Ensuite l'organisation du gouvernement des premier califats et le choix de ses membres se firent logiquement en fonction de leur proximité du Prophète (SBDSL), de leur piété, de leur niveau de science, de leur ancienneté dans l'islam, de la date de leur hégire, de leur origine tribale liée au Prophète, puis de leur origine sociale liée aux dirigeants de La Mecque ou Médine, ce qu'il faut par conséquent encore rechercher à notre époque pour établir la hiérarchie humaine d'un État, même si avec le temps pour préserver sa stabilité les califats qui suivirent sont devenus plus familiaux puis des califats monarchiques. En sachant que sur le plan juridique, l'État peut être considéré comme l'ensemble des pouvoirs d'autorité et de contrainte collective que la nation possède sur les citoyens et les individus en vue de faire prévaloir ce qu'on appelle l'intérêt général, et avec une nuance éthique le bien public ou le bien commun. Par exemple le premier calife Abou Bakr a été légitimement choisi car il incarnait toutes ces valeurs, surtout qu'il a été évoqué dans le Coran comme compagnon du Prophète dans la caverne, qu'il a été constant dans une grande piété religieuse, cultuelle et généreuse, que le Prophète (SBDSL) lui a demandé de le remplacer dans la prière en tant qu'Imam tout le temps où il a été malade avant sa mort, qu'Abou Bakr fut le premier homme adulte à se convertir à l'islam, qu'il était de La Mecque (et son clan était pourtant le moins nombreux, le plus pauvre et le moins noble de position par rapport à celle ascendance du Prophète, à la taille de ses terres, à la proximité de sa demeure avec la Kaaba située dans le centre ville, à sa puissance militaire et à son influence) et qu'il a toujours été un ami proche du Prophète (SBDSL).            
Au sujet de la position sociale inférieure du clan d'Abou Bakr critiqué par Abou Sofiène un notable d'un clan supérieur socialement à La Mecque, le très savant et cousin du Prophète (SBDSL) Ali (SDP) lui dit : « Abou Sofiène ! Les croyants sont des gens qui se veulent le bien et qui sont compatissants les uns avec les autres, même si leurs demeures et leurs personnes sont éloignées (ou modestes). Les hypocrites, par contre, sont des gens qui se trompent les uns les autres même si leurs demeures et leurs corps sont proches (ou leur richesses sont grandes). Nous avons prêtés serment à Abou Bakr car il en est digne. »
Concernant la mise en place de Othmane au poste de troisième calife bien-guidé, Abou Weil rapporte : Abdallah Ibn Massoud (SDP) partit de Médine à Koufa pendant huit jours quand Othmane Ibn Aaffène fut choisi calife. Il loua Allah et Le félicita puis dit : « Le chef des croyants Omar Ibn Alkhattab est mort, et nous n'avons jamais vu un jour où les gens pleuraient et se lamentaient autant que ce jour-là. Et nous, les compagnons de Mouhamed (SBDSL, qui étaient aussi ceux composant la concertation d'Omar) nous nous sommes réunis, nous nous sommes efforcés de notre mieux pour choisir le meilleur d'entre nous qui nous surpasse tous, et nous avons prêté serment au chef des croyants Othmane Ibn Aaffème (dont car il était le plus doux, le plus aimant et le plus dépensier en l'islam). Prêtez-lui donc serment. »                                  
Ainsi d'autant plus tant qu'il n'y a plus de califat, il n'est donc pas grave que ce soit l'émir ou la concertation de pieuses élites morales savantes (impaire et moins de dix pour éviter la division, lutter contre l'infiltration et assurer des décisions à chaque concertation si nécessaire) ou une consultation nationale qui désignent une orientation politique ou le chef, car selon la sacralité de l'islam, l'essentiel est de ne surtout pas diviser la communauté, mais aussi de parvenir à mettre en place un bon dirigeant principal.
Ceci comme l'a expliqué Aristote, pour préserver si possible un régime mixte alliant la légitimité de la décision démocratique populaire (noblesse de l'élection), la légitimité de la dynastie (noblesse de position) ayant créé le pays et la légitimité des sages élites intellectuelles ou du chef pieux (noblesse de choix), pour que ces groupes se limitent les uns les autres, et pour que la démocratie ne se transforme pas en démagogie, la monarchie ne se transforme pas en tyrannie, et les élites (l'aristocratie) ne se transforment pas en ploutocratie.

Il faut noter que pour préserver la dévolution, le quatrième calife Ali a cherché pieusement à transmettre avant de mourir, le pouvoir à quelqu'un en dehors de la famille proche du Prophète comme c'était le cas des trois premiers califes. Surtout que le Prophète (SBDSL) prophétisa que son petit fils Al Hassan laisserait pieusement le pouvoir pour éviter la division en le qualifiant par ailleurs de maître, probablement spirituel. En effet à cette époque en cas d'hésitation ou de division de la communauté par rapport au choix du calife, il était aussi noblement possible voire pieusement meilleur de choisir Al Hassan le petits fils du Prophète, afin d'honorer la maisonnée du Prophète à la place de Mouaawiya fils d'Abou Sofiène l'ancien chef notable de la Mecque devenu musulman. Il faut noter que si on ne regarde pas la noblesse de choix et donc de sagesse qui aurait du être la prioritaire pour désigner le nouveau calife, Mouaawiya et Al Hassan avaient la noblesse de position en tant que notables, mais qu'Al Hassan avait une noblesse de position supérieure puisque petit-fils du Prophète (SBDSL). Ainsi dont pour préserver l'importance donc essentielle de l'union de la communauté musulmane, il faut qu'elle soit prête à respecter la dévolution même si le calife (ou l'émir) désigne son successeur sans consultation, surtout qu'un hadith explique qu'il ne faut pas se rebeller tant que la prière est autorisée et pratiquée par le dirigeant. Ce qui prouve que le meilleur chemin peut avoir plusieurs portes et que la préservation de la communauté unie demeure donc bien le principal. Al Hassan en abandonnant très honorablement la lutte militaire pour le califat en faveur de la paix au sein de la communauté a d'ailleurs dit à ce sujet : « Musulmans ! Allah vous a guidés par le premier de notre famille (Prophète Mouhamed), et a épargné (plus de) vos sangs par le dernier (lui-même). »
C'est pourquoi le Prophète (SBDSL) a bien authentiquement prophétisé que ce petit-fils à lui serait parmi les plus nobles hommes de la communauté musulmane. Mais avec le temps s'éloignant de la présence du Prophète (SBDSL) et de ses compagnons (SDP), et ainsi d'une haute noblesse de choix pieux, le retour prophétisé du califat au sein de la famille du Prophète à travers celui monarchique des abbassides après celui donc monarchique des omeyyades devint donc logique, car leur noblesse de position d'avoir comme ascendance un lien avec la famille sacrée du Prophète (SBDSL) facilita la préservation de l'union des musulmans, dont en y gardant ainsi un grand niveau de respect envers la famille du Prophète (SBDSL), de foi, de pratique religieuse, de piété, de sagesse, de dignité, de bienfaisance et de grandeur.
Il est intéressant de lier le paragraphe précédent à la vidéo « Pour une monarchie sociale et corporative (en France) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-une-monarchie-sociale-et-corporative-57286.html
Ainsi il fallait donc appartenir aux descendants de Qoraych (désignation de l'ensemble des tribus de la Mecque à l'époque de la révélation coranique par rapport aux autres d'Arabie) pour être calife lors des califats omeyyade et abbasside si un calife n'avait pas de fils. Mais dans un sens plus légitime, pas dans celui ottoman car la piété est supérieure en valeur à à la tribu, à l’ethnie et à la noblesse de position, dont puisque ce califat ottoman a été au début comme une renaissance du monde musulman. Le rayonnement civilisationnel et culturel du monde musulman commença plus avec celui abbasside que celui omeyyade, car celui abbasside a été principalement basé sur la science partagée et développée au niveau multi-ethnique et même multi-confessionnel, alors que celui omeyyade a été plus basé sur la conquête militaire.                            
Ainsi lorsqu'on dit que les 4 premiers Califes étaient bien-guidés (orthodoxes) comme le sera aussi celui du Mahdi, ce n'est pas seulement pour leur haute piété et donc grande sagesse continuant dans un sens la prophétie, mais aussi parce que la transmission du pouvoir sans division du peuple ni succession d'héritier familial par la dévolution avait été préservée au sein du Califat authentique également dans une forme de continuité de la Prophétie :                                                                                       
Abou Talaba (SDP) raconte : Abou Oubayda a rapporté que le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « La prophétie est maintenant parmi vous. Puis il y aura un califat sur la voie de la prophétie (quatre premiers califes dont le Prophète a d'ailleurs dit que les deux premiers aurait pu être des Prophètes), puis ce sera un royaume (commençant par le califat de la dynastie abbasside tel un califat monarchique c'est à dire une application des lois religieuses par une dynastie) et plus tard souvent une dictature (militaire ne donnant pas toujours la priorité aux règles religieuses mais préservant un minimum d'union musulmane). »                                                   
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Je vous recommande ma tradition et la tradition (nouveaux compromis ou nouvelles adaptations dont de la loi par rapport à l'évolution de l'Histoire) de mes califes orthodoxes et bien-guidés après moi (dont donc du Mahdi surtout que signifiant le bien-guidé). »                                                                                                
Le Prophète (SBDSL) a dit que le califat d'Omar (jusqu'à celui d'Ali et donc celui d'Abou Bakr précédent celui de Omar) faisait partie de la succession de la prophétie.                        
Aboul Achaath Asganaani rapporte : Canaa avait un gouverneur nommé Thoumema Ibn Aadiy (SDP) qui avait connu le Prophète. Quand arriva l'annonce de la mort de Othmane (SDP), il pleura et dit : « C'est maintenant que la succession de la prophétie sera arrachée (en fait c'est après la mort d'Ali) et que viendra un royaume (califat devenu monarchique), puis une tyrannie ou chacun prendra ce qu'il pourra par la force (dictature militaire). »     
Jebir Ibn Abdallah (SDP) rapporte : Le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Allah a élu mes compagnons parmi l'humanité entière hormis les Prophètes et les Messagers. Et il a élu pour moi quatre de mes compagnons : Abou Bakr, Omar, Othmane et Ali (SDP). Il en a fait mes compagnons et il y a du bien en tous mes compagnons. Il a choisi ma communauté d'entre toutes les communautés. Et il a élu quatre siècles de ma communauté : le premier siècle, le second, le troisième et le quatrième (après l'hégire, correspondant donc aux califats orthodoxes des quatre premiers califes, puis des califats omeyyade et abbasside).
Abderrahmene (SDP) a dit à Othmane (SDP) en prenant sa main pour se soumettre à son califat en la faisant passer sous la sienne après l'avoir choisi en consultation avec les responsables du peuple : « Je te prête serment par la tradition d'Allah, la tradition de son Messager et (celle) des deux califes (bien-guidés) après lui (Abou Bakr et Omar). »
D'après Houdhayfa (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « La prophétie (de Mouhamed et donc son califat prothétique) demeurera parmi vous aussi longtemps que Dieu le voudra. Puis Dieu la reprendra, et lorsque Il voudra, elle sera remplacée par un califat (bien-guidé, des quatre premiers califes, voire aussi les califats omeyyade puis abbasside dont selon le hadith suivant et un précédent) qui suivra (bien) le chemin tracé par la prophétie, et qui demeurera aussi longtemps que Dieu le voudra. Puis Dieu le reprendra lorsque Il voudra et il sera remplacé par un pouvoir absolu (califats monarchiques dont probablement ceux omeyyade et abbasside puis ottoman, puis royaums et dictatures militaires fréquents dans les pays arabes ayant été souvent nécessaires pour éviter la division des musulmans) qui demeurera aussi longtemps que Dieu le voudra (prouvant comme toujours que tout est réfléchi dans le scénario divin, puisque tous ces systèmes politiques enrichissent aussi la morale devant mener au retour nécessaire de l'ultime califat bien-guidé selon la suite). Puis Dieu le reprendra lorsque Il voudra et il sera remplacé par un califat (bien-guidé) qui suivra (bien) le chemin tracé par la prophétie (avec l'apparition du Mahdi et le retour de Jésus). » Et le Prophète (SBDSL) se tut (probablement car il s'agira noblement de l'ultime Califat qui durera hégémoniquement voire mondialement jusqu'à la fin du monde). »
De plus, Dieu a probablement aussi fait mourir les parents de Mouhamed (SBDSL) dans son enfance avant ses sept ans, parce qu'Il eut été certainement difficile de s'occuper en même temps d'eux dont dans leurs droits et de l'humanité, comme dans un sens Jésus n'eut pas de père ni d'enfant lors de son premier passage sur terre pour pouvoir s'occuper de l'humanité. Et il faut donc bien comprendre que préserver l'excellente dictature divine qu'est la noblesse islamique dont à travers la dévolution au sein d'un califat authentique permet d'éviter la possible déviation de la démocratie vers l'immoralité comme lors de l'élection du nazisme en Allemagne, de conserver les bienfaisantes règles divines, et de mettre en conformité religieuse la modernisation du monde par de nouvelles lois. En effet la constitution islamique doit toujours rester la même pour éviter l'apparition de règles opposées à la bonne morale, à la loi naturelle et donc à la civilisation, tels que l'autorisation de la prostitution, des mariages homosexuels, des jeux d'argent, de l'usure, de la transsexualité et du transhumanisme, etc... Or l'excellente dictature divine qu'est la noblesse islamique est donc d'abord légitime pour la sagesse irréprochable de Dieu plutôt que pour Sa souveraineté évidente.                         
Certains disent même qu'à travers la démocratie, on peut tromper le peuple avec des idées fausses, ce qui signifie que le peuple est faillible et donc que la noblesse supérieure de la démocratie est un mensonge, sauf si dans un pays musulman, elle cherche à appliquer au mieux le Coran, ou dans un pays chrétien, elle cherche à appliquer au mieux l’Évangile. En effet dans un pays monothéiste, un adversaire politique du système pourrait certes contester l’organisation de la société ou les décisions de certaines personnes politiques, mais il ne pourrait lutter contre son ordre religieux sacré. Or lorsqu'un gouvernement monothéiste protège les faibles, autorise seulement le mariage traditionnel, établit la justice sociale, stabilise l'économie dont par l'interdiction de l'usure et encourage la pieuse vertu plutôt que le vice impie, cela signifie qu'il est en accord avec les valeurs traditionnelles et devient incritiquable, ce qui est le mieux pour le renforcement de le noble unité d'un pays.                        
Mais à cause du terrorisme d’État particulièrement dans les démocraties actuelles dont à travers les médias grand public distillant la peur du terrorisme, du climat, du sanitaire, de la guerre et de l'inflation, beaucoup d'hommes pensent même tellement bas qu’ils finissent par ne plus oser penser. Un État devrait non seulement ne pas inquiéter ses citoyens pour leurs pensées tant qu'ils ne blasphèment pas grossièrement ni n'incite clairement à la violence, mais au contraire réprimer ceux qui voudraient empêcher les citoyens de penser en toute liberté, en particulier religieusement, philosophiquement, scientifiquement, moralement, historiquement, politiquement.
Au début de la formation de cette première nation que fut le califat originel islamique, le Prophète (SBDSL) devint évidemment le chef de l’État et la religion put s’épanouir. Ce fut là que se développa la vision islamique de la paix possible entre tous les peuples de la terre au nom de Dieu, sans différence de peau ni de race, et que la première charte des droits et des libertés humaines vit le jour. C'est pourquoi il faut bien comprendre qu'il y a peu de différence entre une république laïque et un État divin, puisque cette charte garantissait à chaque citoyen la liberté, la sécurité et la justice, comme dans les états laïques démocratiques qui se basent sur les droits de l'homme :


1. La liberté de conscience et de culte pour les musulmans et non musulmans

2. La sécurité et la protection militaire contre n’importe quelle menace venant de l’extérieur

3. La justice dont du droit d'expression, de propriété et d'entreprendre et l’abolition de tous les crimes et pratiques immorales

Par conséquent il est évident que la différence principale entre une république laïque et le califat islamique est que la république laïque place injustement la souveraineté de l’État au-dessus de Dieu et de Ses lois, alors que le califat islamique place justement la souveraineté de Dieu et de Ses lois au-dessus de l’État, dont pour faciliter la marche de chacun vers Dieu et le meilleur chemin. C'est à dire que dans la nation christique ou islamique, le droit religieux voire collectif est légitimement supérieur au libertarisme de l'individu, dont à travers l'interdiction de l'homosexualité, de la transsexualité et du transhumanisme.                                           
Il convient tout de même de relever la volonté de politiquement correct et l'envie de bien-pensance intéressantes à notre époque malgré leurs mauvaises déviations fréquentes et leur refus d'aller jusqu'au suprêmement correct et donc à d’excellemment bien pensé qu'est le monothéisme authentique. En effet les médias et intellectuels du système mondialiste endorment la vigilance des peuples et les rendent plus vulnérables à ses assauts dont donc par l'impie politiquement correct et la perverse bien-pensance comme le prouve leur défense du lgbtisme, surtout que devenus anti-liberté d'expression concernant divers sujets importants, dont par la démagogie, la repentance et la défense de minorités corrompues. Cela va jusqu'à faire perdre à beaucoup tout esprit de critique profonde et de résistance brave. Le système pousse même chacun et donc le peuple à ne pas s'aimer soi-même et aimer seulement les élites. C'est à dire que selon Saint Bernard, l'Enfer est (parfois voire souvent) pavé de bonnes intentions (égarées), ce qui est incarné par ces faux « politiquement correct » et « bien-pensance » du progressisme, synonymes souvent de police politique utilisée par les médias, divers intellectuels et les politiciens servant la pensée unique du mondialisme ploutocratique, sioniste, apatride, wokiste et lgbtiste. C'est à dire qu'avec les expressions « faire le mal en croyant ou voulant prochainement faire le bien » et « les bonnes intentions ne suffisent pas sans leur réalisation », il s'agit certainement des meilleures interprétations de cette analyse de saint Bernard. Surtout que de nos jours, ces expressions sont souvent synonyme de haine envers certaines nobles organisations, critiques ou idéologies. D'autant plus que cela correspond aussi à une forme de tyrannie empêchant de critiquer certaines politique perverses et poussant donc beaucoup d'êtres humains à une forme d'auto-censure dangereuse.    
Au sujet de la souveraineté, voici en partie des passages résumés du livre de Youssef Hindi « les mythes fondateurs du choc des civilisations » :
Dans son ouvrage « Les six livres de la République », le Grand Jurisconsulte Jean Bodin (1529-1596), théoricien politique fondateur du concept moderne de souveraineté, précise en transformant perversement sa réalité après avoir pourtant affirmé logiquement qu'elle appartient exclusivement à Dieu, qu'elle peut s'attribuer au Roi (et donc à l’État) afin de renforcer le pouvoir affaibli de Henri III à son époque, et malgré donc le fait que ni le dictateur Romain, ni le César, ni l’Archonte d’Athènes (gouverneur de la cité élu par tirage au sort pour une période déterminée) ne sont véritablement détenteurs de la souveraineté. En effet historiquement, sur le plan juridique dans les mondes juif, chrétien et musulman, la notion de souveraineté authentique est seulement (d'origine et d'essence) divine, et donc religieuse, surtout car liée légitimement à la position clairement suprême et irréprochablement sage du Créateur.
Par conséquent aucun homme, qu’il soit empereur, gouverneur ou roi n’est souverain par lui-même même si donc inexactement sur ce point, Bodin dit du Prince qu’il est souverain, car il n’est, comme le calife, que le dépositaire du pouvoir de Dieu, auquel il est tenu de rendre compte.          
Il faut noter que c'est l'affaiblissement de l’Église catholique, ayant commencé avec la réforme protestante et conduit à des guerres entre protestants et catholiques, qui a mené à l’État moderne s'étant donc attribué illégitimement la souveraineté divine.
Bodin explique en plus très étrangement qu'un roi protestant pouvait diriger le royaume catholique du France et devrait être obéi. Ce qui est encore une grosse preuve de sécularisation de sa part. Bodin ayant donc illégitimement remis en cause le principe de souveraineté divine en l'attribuant au Roi (et donc à l’État), cela prouve avec deux siècles d'avances l'illégitimité encore plus grande de l'article 1 de la Constitution de 1791 (issue de la Révolution de 1789) de donner la souveraineté au peuple (après qu'elle fut donc donnée à l’État), surtout qu'à la différence du Roi, sa laïcité et donc sa démocratie ne doivent même plus tendre à faire respecter pleinement les lois divines. D'autant plus que le socialisme tendant au communisme devient même la doctrine antisociale qui aboutit dans un très indigne matérialisme impie à faire finalement de l’État ou de la ploutocratie le maître absolu de toutes choses comme c'est de plus en prouvé de nos jours par le mondialisme, c’est-à-dire des biens, des corps, des personnes et des âmes. Et l’Antéchrist étant le chef suivant Satan à l'origine de cette fausse souveraineté, de cette ploutocratique politique collectiviste pour le peuple et ultra-capitaliste (ultra-libéraliste) pour les oligarques et grands acteurs financiers et économiques, et de cette fraternité seulement nationale, deviendra donc logiquement la personnification de ce régime pouvant mener en Enfer ceux qui le portent ou le défendent.
L'article 1 de la Constitution de 1791 précise pourtant correctement dans la première phrase qui suit avant de se tromper dans la suivante : « La Souveraineté (en réalité d'origine divine) est (effectivement) une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la Nation (par conséquent illégitimement en mettant l’État au-dessus de Dieu). »                                
En ayant transféré la souveraineté de Dieu à l’État, Bodin fait donc partie de la condamnable origine de l’État moderne ayant amené le risque puis la réalisation que l’État se proclame le souverain ou que le souverain s'identifie à l’État. Ce qui signifie que le pouvoir temporel (politique) a fini par devenir impie en effaçant le pouvoir spirituel (monothéiste) dont au niveau législatif, au lieu de s'associer à lui, et que cela a effectivement amené ces entités à devenir illégitimement titulaires de la souveraineté, dont particulièrement en ayant même fini par pervertir la législation divine au lieu d'en être dépositaires dont à travers la légalisation du lgbtisme. D'ailleurs comme ce qui s'est passé en Europe, aux USA et dans de nombreux autres pays quand l’État a pris la place de Dieu, la démocratie moderne s'approche même d'une tyrannie perverse, technocratique, oligarchique, totalitaire et mondiale, à travers une société basée sur le contrôle massif sous la sournoise excuse de vivre le libertarisme en sécurité. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Catholicisme et islam face au laïcisme républicain - Conférence de Youssef Hindi » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=jNhUmHgOlms                                                
Or en Occident particulièrement dans l'UE, d’année en année la liberté s’amenuise et les exceptions se multiplient. Alors que la déclaration des droits de l'homme, qui est la loi suprême depuis 1789, affirme dans son article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions » et proclame dans son article 11 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme. » Le système corrompu fait ainsi apparaître à son profit de nouveaux dogmes erronés en histoire, en philosophie, en morale, en génétique, en biologie, et même en religion… et tout cela au nom des droits de l’homme !
Ainsi la démocratie suppose un peuple souverain, et donc un citoyen libre de donner son avis raisonnable dans le débat politique. En effet tout débat doit se faire dans le respect des personnes. Or ce n’est pas respecter les personnes que de leur imposer actuellement une pensée unique par les médias mainstream. Il ne faut pas imposer mais convaincre. Autrement le souverain n’est plus le peuple, mais celui qui fixe ce que le peuple peut dire ou penser. Un État démocratique ne doit pas empêcher de penser, mais bien au contraire encourager les citoyens à penser dont religieusement, philosophiquement, scientifiquement, moralement, historiquement, politiquement. Cela suppose des personnes capables de conduire une vraie réflexion même au sujet de la Shoah ou du sionisme. Or débattre de cela est devenu interdit en France. Ce qui prouve que même s'il est caché, la pouvoir profond en grande partie synonyme de sionisme a perverti le pouvoir visible.
C'est à dire qu'en ayant dévié la souveraineté divine vers le Roi et donc l'Etat et donc en les ayant divinisé, Bodin a donc amalgamé illégitimement la souveraineté divine de l’État au roi, et a donc amené les révolutionnaires de 1789 à aussi amalgamer illégitimement dans la constitution la souveraineté de la nation mais désormais au peuple qui n'est pas parfait et surtout donc très infiltrable. Surtout que pour préserver la noblesse d'une société dont face à l'avide ultra libéralisme oligarchique, mondialiste, sioniste et wokiste, il faut conserver la souveraineté divine et donc le monothéisme authentique synonyme de noble lien spirituel entre l’État et le peuple. D'autant plus que rendre légitimement la souveraineté à Dieu dont concernant le sexe et la couleur de peau de chacun, cela éviterait les grands égarements du racisme, du wokisme et du lgtbisme embrouillant et donc épuisant beaucoup les esprits inutilement.
Et pour rendre la souveraineté à Dieu, il faut donc remettre en conformité la loi par rapport à Lui, et ainsi prioritairement réinscrire dans le constitution la loi naturelle (ou divine puisque similaire) pour poser un cadre qui empêche d'éventuels nouveaux psychopathes arrivant au pouvoir de réémettre des lois qui détruisent la famille. Surtout que comme l’État d’exception n'existait pas lors du Moyen-âge puisque la loi de Dieu est incontournable, le chef de l’État moderne dont par sa souveraineté donc illégitime a donc beaucoup plus de pouvoir que le roi du Moyen-âge, puisqu'il peut émettre des lois sans soumission à celle divine et donc celle naturelle, mais au profit d'intérêts particuliers souvent financiers ou mondialistes voire sataniques.
Ainsi comme le firent aussi les autres révolutions modernes suivantes, la Révolution française a, dès l'abolition de la monarchie, tenté de mettre la main sur la souveraineté divine. Et ceci est un point important qui est, comme nous le verrons, directement lié à la laïcité. D'ailleurs selon Jean Bodin illégitimement, cette souveraineté dont est dépositaire le Prince, qui lui vaut le qualificatif de « souverain », lui permet « de donner foi aux sujets, et de casser ou anéantir les lois inutiles, pour en faire d'autres : ce que ne peut faire celui qui est sujet aux lois (de Dieu) ». Alors qu'il ajoute pourtant ensuite légitimement : « Mais quant aux lois divines et naturelles, tous les Princes de la terre y sont sujets, et il n’est pas en leur puissance d'y contrevenir, s’ils ne veulent être coupables de lèse-majesté divine (offense envers le divin), faisant guerre à Dieu, sous la grandeur duquel tous les Monarques du monde doivent faire joug (se soumettre), et baisser la tête en toute crainte et révérence. » Ainsi la prétendue puissance absolue des Princes et seigneuries souveraines, ne s’étend en réalité aucunement aux lois de Dieu et de la nature (ce que ne fait pas l’État, la laïcité et la démocratie modernes et donc impies).
Cette analyse de ce jurisconsulte ne dit pas autre chose que ce qu’énonce le Coran :
(S5v47) « Que les gens de l’Évangile jugent d'après ce qu'Allah y a fait descendre. Ceux qui ne jugent pas d'après ce qu'Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers. »
Dieu étant, comme le dit l’Évangile de Jean : Bible (Apocalypse, 19:16) « (Dieu) Roi des rois, Seigneur des seigneurs »
Dieu, duquel le Monarque souverain, comme l'écrit Jean Bodin, tient le sceptre et la puissance, et à qui Seul il doit serment.
Nous donnerons ici à titre d’exemple, le serment que fit l’homme le plus puissant d’Europe, l’Empereur Charles V (1500-1558) au Pape, dans lequel il jura entre les mains de l’Archevêque de Cologne, de garder les lois de l’Empire (la bulle d’or, qui est un code juridique), d’établir justice, d’obéir au Pape (le vicaire du Christ), de préserver la foi catholique, et de défendre les veuves, les orphelins, et les pauvres.

Comme exemple de loi divine à laquelle le Prince ne peut déroger et qu’il ne peut abolir, il y a, nous dit Jean Bodin, la défense de tuer ; il ajoute :
« Cette loi n’est point celle du Prince, mais reste la loi de Dieu, et de nature, à laquelle il est plus étroitement obligé que tout autre de ses sujets, et n'en peut pas être dispensé, ni par le Sénat ni par le peuple, et n'en étant toujours responsable qu'au jugement de Dieu, qui en fait information à toute rigueur (qui regarde cela prioritairement quelles que soient les conditions), comme disait Salomon. C’est pourquoi Marc Aurel (empereur romain stoïcien, 121-180) disait que les magistrats sont juges des particuliers, les Princes des Magistrats, et Dieu des Princes. »La hiérarchie juridique dans la civilisation gréco-latine, européenne et chrétienne, est sensiblement la même qu’en islam. Jean Bodin la résume ainsi très nettement : « Les contrats et testaments des particuliers ne peuvent déroger aux ordonnances de magistrats, ni les édits des magistrats aux coutumes, ni les coutumes aux lois générales d’un Prince souverain ; aussi les lois des Princes souverains ne peuvent altérer ni changer les lois de Dieu et de nature. »
C'est précisément cette hiérarchie de la norme juridique que l'on retrouve dans les fondements du droit musulman ci-après en commençant par la plus haute autorité :
-Le Coran (la Parole de Dieu)
-La Tradition du Prophète, la sunna : paroles, actes ou approbations du Prophète (SBDSL) à partir desquels sont dégagées des lois, pour ce qui n'est pas expressément ordonné ou défendu dans le Coran
-Le consensus (ceux qui pratiquent l'effort d’interprétation des textes et paroles sacrés afin de résoudre des questions de droit)
-Le raisonnement analogique
(particulièrement utilisé dans ce site)
-Le choix préférentiel
-L’intérêt général indéterminé
-L’usage
-La présomption de continuité
-Les lois antérieures ou actuelles des autres peuples monothéistes
-L’opinion du Compagnon
Le droit religieux n’est pas une fin en soi, il est un moyen en vue d’obtenir la dignité, de se rapprocher de Dieu et de préserver le bien commun. S’il est dévoyé il est de notre devoir de le signaler et d’en corriger les dérives, en comprenant que lorsque le droit abolit perversement par exemple la différence entre l'homme et la femme sous prétexte d'égalité plutôt que d'équité, cela conduit au mariage homosexuel. Surtout que s’il est parfois méritoire de souffrir patiemment une injustice individuelle, il est toujours lâche de cautionner une injustice publique. La règle la plus répandue dans le temps et l’espace est la séparation du mufti (jurisconsulte en islam) et du juge, eux-mêmes autonomes par rapport à l’émir ou au sultan, même lorsqu’ils sont nommés par eux. Elle cède cependant la place aujourd’hui, d’abord dans les États « modernistes » et « laïcs » qui ont suivi en cela l’exemple donné par les colonisateurs, à la subordination totale du mufti et du juge au gouvernement. En effet avec un prisme idéologique comme le wokisme, le système dicte le bon et le mauvais en légiférant le droit même au delà de la morale et donc possiblement jusqu'au totalitarisme par la prééminence du droit positif et l'effacement de l'individu et du droit naturel, comme l'a souvent prouvé l'histoire. C'est à dire que suite à une doxa se répandant même par une minorité perverse, cette dernière fera tout pour légiférer autour afin de la protéger et donc de faire taire les dissidents, dont en plus par le monopole légitime de la violence d’État. Or on retrouve pourtant aussi ce cas de figure dans les mouvements où un religieux sans mufti se porte à la tête d’un État, comme ceux révolutionnaires armés récents qui se réclament de la salafiyya jihadiyya, le « salafisme djihadiste » : lancés par des chefs politiques levant le drapeau de l’islam, ils se sont dotés à la longue d’un corps de doctrine théologico-juridique erronée et prônent donc des pratiques contestées par la grande masse des oulémas des différents pays et des différentes écoles. Aux yeux de ces derniers, les avis donnés par exemple par Oussama Ben Laden, et plus récemment par Abou Bakr Al-Bagdadi, ne sauraient être considérés comme des « fatwas, lois nouvelles » licites.                   
Nous voyons que dans le droit islamique comme dans le droit gréco-latin et chrétien, la source ultime à laquelle nul monarque, ni souverain ni juriste ne saurait déroger ni s’opposer, est la loi divine. Or le droit se fait de moins en moins religieusement au niveau étatique, et de plus en plus perversement au niveau d'entités supranationales économiques et mondialistes. Ceci prouvant que le Droit, dont du vivre ensemble, de l'équité et du bien commun en fonction du pouvoir, des compétences et des capacités, est toujours basé sur une philosophie, même celui mauvais venant du progressisme ou autres idéologies erronées. En sachant que le droit établissant la loi correspond à celui qui a la capacité de le faire appliquer, dont de plus en plus par la richesse voire toujours par la force, surtout qu'en France beaucoup de lois découlent de la révolution française et le massacre des vendéens a été perpétré dans ce sens. Avec le covid, nous avons même vécu de facto sous un régime anomique, c'est à dire sans loi, au sens où le pouvoir politique n'a plus respecté la loi ni la morale dont elle est censé découler. Dans cet État d’exception ou d'urgence, la loi d'un tyran peut illégitimement être la seule appliquée et non plus la loi commune. En effet l’abolition de la loi commune annonce l’établissement d’une nouvelle loi possiblement tyrannique, dont nous avons de plus en plus d’exemples graves à travers le renforcement de la ploutocratie mondialiste, sioniste, wokiste et lgbtsite, en particulier au sein de l'UE. C'est à dire que par le laïcisme judaïque, ploutocratique et lgbtiste, la loi a été modifiée, détournée et pervertie jusqu'au droit moderne, qui n’incarne souvent plus la justice authentique ni même la laïcité du début de la révolution de 1789. C'est pourquoi moralement, la justice et l’équité authentiques doivent rester l'unique loi, la meilleure noblesse ou/et le plus grand conseil. Cette réalité historique et juridique concernant l'importance de préserver la loi commune monothéiste est ainsi correctement énoncée par Jean Bodin : « Il faut que la loi du Prince soit faite au modèle de la loi de Dieu. » L’ancien juge du Caire, inspecteur des tribunaux et professeur à la faculté de droit du Caire, Abd al-Wahhab Khallaf (1888-1956), dit en substance précisément la même chose que Jean Bodin, dans l'introduction de son ouvrage « Les fondements du droit musulman » : « Tous les spécialistes des sciences religieuses musulmanes (oulama), par-delà les divergences d'écoles, s'accordent sur le fait que l'ensemble des dires et actes humains, qu’ils soient relatifs aux pratiques rituelles ou aux relations sociales, qu’ils relèvent du domaine pénal ou du statut personnel, qu'ils se rapportent à quelque type de contrat ou à quelque comportement que ce soit, sont soumis à des prescriptions définies par la Loi islamique. » (Ceci prouve la possibilité de l'intention d'adoration permanente à travers la tradition prophétique musulmane complète, et donc d'ennoblissement maximal personnel, et donc de meilleure valeur, c'est à dire par le respect constant du cadre légal monothéiste dont se rapprochent logiquement les plus pieux en augmentant toujours plus leur foi, et donc leur piété, et donc leur suivi religieux, et donc leur ennoblissement, et donc leur valeur, et donc leur digne rapprochement vers Dieu : (ExtS49v13) « Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur »)
La plupart de ces prescriptions sont donc mentionnées dans le Coran et la sunna (la tradition prophétique). Les autres ne sont pas mentionnées explicitement dans les Textes, mais peuvent être déduites par un interprète du Coran et de la sunna s'appuyant sur des indications et des preuves qui lui permettent de dégager des lois, mais aussi sur la raison et le syllogisme.
Ici par conséquent, on peut se demander si la laïcité est une séparation des pouvoirs ou/et une usurpation de la souveraineté divine ? Or la laïcité, présentée comme étant le principe de séparation du religieux et du politique et donc comme la neutralité axiologique (des valeurs) de l’État, doit finalement se redéfinir, car sans valeur et donc sans droit n'existent point de réalité ni donc de légitimité ni donc de souveraineté. En effet comme l'a démontré le philosophe Jean-Claude Michéa, la neutralité axiologique de l’État est impossible.
A la suite de Jean Bodin qui théorisa donc une forme de souveraineté illégitime, les Révolutionnaires que sont les prétendus philosophes des Lumières dont Jean-Jacques Rousseau puis la République se sont donc servi de ce concept erroné pour transférer la souveraineté divine à la Nation, c'est à dire prétendument au « peuple ».
A ce moment là, la Nation ou la République n'étaient donc plus comme le roi ou le calife seulement dépositaires, mais titulaires de la souveraineté (dont législative à travers donc l'irréligieuse laïcité) en lieu et place de Dieu. Et à partir de là, la souveraineté, et par suite le droit, ne sont plus d’essence divine ; les lois émises ne se fondent plus sur les lois naturelles ; le spirituel et le temporel sont déliés ; la religion traditionnelle est confinée dans un espace virtuel dit privé. Autant dire qu’elle est dès lors vouée à disparaître peu à peu en étant remplacée par du matérialisme, des idéologies erronées voire des superstitions. Suite à la révolution française, même parmi ses grands acteurs en apparence rationnels, quand les gens perdirent leur religion traditionnelle, ils tombèrent dans des religions archaïques, comme la croyance aux esprits, puis l’idolâtrie dont envers le peuple ou l'état, et enfin l'athéisme. Devenant ignorant du bonheur réel, car ayant oublié la sublimité divine dont dans la Création et ayant été formé à la survie, l'être humain se perd, surtout qu'étant désormais en plus centré sur l'avoir amoral et donc nihiliste plutôt que sur l'être moral et donc existentiel. Ceci aura pour conséquence que les docteurs de la foi s’occuperont seulement des questions cultuelles et plus politiques, et que la foi se résumera à un corpus de rites.
Or comme Jean Bodin l’a bien démontré, toute norme juridique doit se référer à une norme qui lui est supérieure, et ainsi de suite jusqu’à la norme ultime qui n’est autre que la loi divine et naturelle. Par son caractère normatif, la souveraineté dans une société doit donc faire les lois qui ne peuvent contredire les lois divines et naturelles. Par conséquent il ne peut évidemment pas y avoir de séparation des pouvoirs, car le pouvoir politique, temporel, découle du pouvoir religieux, spirituel, par un mouvement descendant. Et qu’on (dont la laïcité) le veuille ou non, la loi n’est pas indifférente à la morale (aux valeurs), elle ne saurait s’en distinguer, contrairement à ce qu’ont toujours affirmé les libéraux (libertaires) et les juristes occidentaux actuels défendant l’idée de la neutralité axiologique de l’État, c’est-à-dire d'une position de l’État qui se situerait au-dessus de toutes considérations morales, en particulier pour le commerce ou la finance...
Comme l’a souligné le spécialiste du droit constitutionnel Olivier Camy, le principal apport de Jean Bodin (après avoir attribué illégitimement la souveraineté au Roi malgré l'autorité logique de ce dernier en tant que vicaire de Dieu) est un apport dangereux qui consiste (finalement lors de la Révolution française) à associer Souveraineté et République (ou État), en affirmant (donc illégitimement) que la Souveraineté donne sa puissance, son être à la République. En effet il appartient alors aux organes humains d’État imparfaits de nature d'exercer cette autorité quasi surnaturelle puisque à l'origine et l'exclusivité normalement divine. Dans son « Traité des Seigneuries » de1608, Charles Loyseau, sera encore plus étatiste en définissant la souveraineté comme « la propre seigneurie de l’État ».                                                           
Le risque devient alors grand que l’État se proclame le souverain divin comme le souverain s’est identifié à l’État (autorité) divin(e). C'est ce qui va se passer très vite. En transformant les réalités, les juristes ne tarderont pas à parler d’État souverain similairement au roi qui aura dit : « L’État, c’est moi », qui est la formule apocryphe de Louis XIV.
Après avoir exposé les contradictions dans les termes et les paradoxes des variantes de la théorie moderne concernant la souveraineté tout en refusant d’identifier concrètement le souverain (Dieu Le Créateur), Olivier Camy conclut en affirmant que les théories du droit divin de la suzeraineté nationale sont les plus pertinentes (par rapport donc à la souveraineté divine, étatique ou populaire). Or l'identification illégitime de la souveraineté à un État, une personne, un peuple (même sioniste) ou donc même à une nation revient en définitive à tous les diviniser irréligieusement telles des idoles, au même titre que certains rois, empereurs et pharaons souvent polythéistes prétendaient perversement incarner la divinité sur terre.
La conclusion est donc évidente : les concepts modernes de nation, de laïcité et de république souveraines renvoient à des régimes de types païens antiques, avec une différence : le souverain détenteur du pouvoir divin n’est pas identifié, il est incarné par l’État et ses institutions, en particulier par le parlement, le sénat et la présidence.
(C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l’Occident déchristianisé est en train de revenir au système sacrificiel païen par le sacrifice économique et populaire. En effet comme les Aztèques tuaient annuellement des milliers de personne pour une imaginaire préservation de l'équilibre du monde, l'occident sacrifie les jeunes et les anciens, et mêmes des enfants qui pour la première fois dans l'Histoire se suicident suite aux perverses mesures liberticides liées aux crises financières, au covid, au sionisme, au wokisme, au lgtbisme, à l'inflation, à la guerre en Ukraine et à la guerre en Palestine. Dans un tournant civilisationnel, Youssef Hindi explique ainsi que nous passons de la société de consommation à la société de consumation. Dans le sens que la post modernité mauvaise peut correspondre à la modernité se consommant elle-même puisque ayant atteint son apogée et recherchant pourtant une évolution dans un sens impossible, mais aussi possiblement dans le sens qu'il a été essayé d'obtenir la Great reset via le covid en sacrifiant la crise du monde moderne vers la révolution oligarchique postmoderne. Comme le montre d'ailleurs l’organisation du plan ultime mondialiste malthusien plus ou moins publiquement avoué par les élites mais sournoisement caché par les médias dominants à travers la stérilisation et le génocide synonyme de sacrifices massifs dont par l'avortement, le Covid, les effets secondaires des vaccins ARN (dont troubles du cycle menstruel de nombreuses femmes, myocardite, récidive de cancers, système immunitaire déréglé, etc, ce qui prouve que les multiples complications suite au vaccin ARN causées par Big Pharma enrichissent Big Pharma), l'inflation, les guerres, les pénuries (alimentaires, énergétiques, et de matières premières) et bientôt l'euthanasie. A notre époque désormais très moderne, le Grand Reset pourrait ainsi correspondre à éliminer des milliards d'être humains dont via la malbouffe, l'obésité, l'alcool, la cigarette, les produits cancérigènes, le stress, les arrêts cardiaques, des pandémies, des mauvais, vaccins, des guerres civiles, des guerres militaires, la pauvreté, le lgbtisme, le mariage homosexuels, la crainte de l'avenir en particulier aux jeunes, l'avortement et donc bientôt l'euthanasie, afin que les ultra riches aient toute la Terre seulement pour eux en étant servis par l'IA à travers des robots puisque n'ayant ainsi plus besoin de beaucoup d'ouvriers humains. Surtout qu'auparavant déjà « L'humain moderne est idiot, dégénéré (souvent à cause des microplastiques et addictifs), névrotique et pré-cancéreux, comme le fait montrer la propagation du QI faible, de l'obésité, de la stérilité, des maladies chroniques, des cancers, de l'immunité s'affaiblissant, de la dépression et de l'espérance de vie diminuant, et il faut donc lutter contre tout cela. » (Fabien Moine)
Le début de cette réalité sacrificielle peut être incarnée par la décapitation de Louis XVI. Et une de ses grandes étapes est donc le droit à l'avortement qui est une mesure révélant la médiocrité d'une nation puisque la proposant plus aux femmes en détresse qu'un profond soutien humain, moral, économique, matériel et religieux.
Tout cela est d'autant plus réel, puisque par la modernité automatisée, la ploutocratie mondialiste en particulier malthusienne peut donc désormais se passer de nombreux ouvriers, mais pas de l'immigration afin de préserver certains jobs non robotisables tels les livreurs uber auto-entrepreneurs exploités car mal payés et sans syndicat, quoique les ultra riches ne mangent pas via uber car ils ont des cuisiniers à eux et que l'IA pourrait remplacer même tout livreur bientôt par des voitures ou des camions et déjà aux USA par des drones pour des petits colis. Surtout que beaucoup de personnes savaient que l'organisation sociale de la société industrielle allait devenir inadaptée à la société informatique. En sachant que la Machine et le capitalisme ont commencé à prendre beaucoup le travail de l'Homme et sa valeur salariale déjà lors de la première révolution industrielle dont à travers la machine à vapeur. Dans ce sens les très pervers mondialistes ultra-riches même aux USA veulent voir le Smic de chaque pays au plus bas afin de ramener toute heure travaillée sur terre similairement voire identiquement au paiement le plus bas possible en leur faveur au niveau économique, financier et donc politique et autoritaire, puisque nous sommes dans une mondialisme ploutocratique. Or il s'agit aussi en réalité d'amener tout produit au prix le moins cher mondialement par des accords de libre-échange et l'heure travaillée la moins chère afin que ces oligarques mondialistes fassent des marges maximales dont via l'UE, qui prétendait pourtant tendre à élever le niveau des peuples plus pauvres vers celui des plus riches. D'ailleurs en 2024, le Smic en Roumanie n'était encore que de 387 euros par rapport à 1300 euros en France, et l'inflation en France tend vers le pouvoir d'achat roumain. C'est à dire qu'acheter au prix le plus bas divers produits et matières premières hors occident voire dans des pays occidentaux plus pauvres comme la Pologne et la Roumanie, correspond à exploiter les pays pauvres pour les oligarques occidentaux car ces derniers y entretiennent la pauvreté, afin donc de revendre beaucoup plus chers ces produits en occident pour plus de marges. Ce qui correspond donc aussi à exploiter les nations occidentales puisque le chômage y augmente logiquement et les gens ne s'y révoltent pas encore par ce pouvoir d'achat nocif les faisant encore survivre moyennement. Ainsi pour les pervers mondialistes ultra-riches, une grande partie de la population va effectivement très vite devenir inutile puis indésirable. Or même sans la technologie moderne, le système néolibéral par essence cupide et donc non musulman pousse à l'immigration afin de faire stagner les salaires. Pour lutter contre ce malthusianisme oligarchique voulant indignement diminuer ces prétendues populations inutiles, il est donc important de faire des enfants, dont aussi car ils sont la résistance de demain que cette oligarchie ne souhaite donc pas. En sachant que le sournois catastrophisme écologique participe au pessimisme généralisé, et donc à la baisse de la démographie, et donc au malthusianisme voire à la fin de l'humanité voulue par Satan. La réalité augmentée, l’IA, les monnaies numériques, l’automatisation, la robotisation, toutes ces nouvelles technologies s’articulent, s’imbriquent et s’assemblent pour former une gigantesque toile d’araignée qui va encadrer chaque aspect de nos vies, mais elle demeurent des outils qui peuvent servir le bien commun et non les malthusianistes. Or au Forum économique mondial, ils ont déjà trouvé un nom pour ça, pour notre peur de disparaître face à une technologie rendant l’humain obsolète. Une sorte de « grand grand-remplacement » du grand remplacement immigrationniste. D'ailleurs le nombre de 500 millions d'être humains devant être atteint selon la franc-maçonnerie et son Georgia Guidestones appelées aussi le « Stonehenge américain » (qui était un monument de grandes plaques en granite érigé le 22 mars 1980 près d'Elberton en Géorgie et détruit mystérieusement le 6 juillet 2022) pourrait leur suffire pour faire tourner le monde post-moderne. Dans ce sens, la grande distribution qui a fait disparaître les petits commerces et artisans est en train de terminer sa métamorphose en particulier via internet, c'est à dire que la grande distribution avec du personnel passe à la grande distribution sans personnel. Ainsi une société composée seulement des trois catégories oligarchique, policière et scientifique, pourrait désormais être le paradigme suivant le modernisme, puisque souhaité par la ploutocratie internationaliste, ce qui expliquerait la confirmation de leur basse volonté de dépopulation généralisée.
Surtout qu'entre la tentation du sexe facile via Tinder, la pilule et l’avortement remboursés, l’homosexualisation forcée de la population, sans oublier la mégacrise économico-sociale, la stérilisation mentale due au féminisme et la stérilisation physique due au faux vaccin, les jeunes couples qui veulent faire un enfant (par amour, parce que là on ne compte plus en faire plus de 3 pour les allocs, ça devient insensé) sont aujourd’hui d’authentiques héros nationaux, presque nationalistes.