G) Suite 7
L'excellence de la noblesse liée à Dieu le Suprêmement Sage montre donc qu'un pays musulman basé sur les lois coraniques est la meilleure organisation sociale à mettre en place progressivement. En effet tout doit légitimement être soumis au Seigneur : État, économie et justice. La politique, le législatif et la religion doivent donc êtres liés. Ainsi le premier Etat sans dynastie royale (et donc la première nation puisque même les grecs démocrates avaient un roi) de la terre fondé par le Prophète (SBDSL), dans une époque où n'existait que des royaumes, était un califat synonyme d’État religieux. C'est à dire que les responsables politiques de cet État devaient sagement organiser et appliquer les lois divines, puis désigner leurs successeurs parmi les musulmans au plus haut niveau de piété après une consultation nationale. En effet il faut savoir qu'en islam le pouvoir ne doit pas être recherché, afin qu'il soit confié à des gens qui craignent sincèrement cette énorme responsabilité envers le peuple et que la laideur de sa prédation ostentatoire et souvent irrespectueuse contre les adversaires soit inexistante. Le pouvoir ne se réclame pas : il s'accepte ou se refuse. Surtout qu'un homme exemplaire qui finit par diriger pieusement le peuple triomphalement après avoir été caché comme Dieu est sublime, d'autant plus que préparer la victoire populaire en particulier morale en étant caché longtemps la rend plus glorieuse car inattendue, en particulier si c'est utile voire nécessaire pour cela. Puis, chaque jour passé au pouvoir doit être sentimentalement le même que le premier jour au niveau de la pression et de la peur de mal faire, afin de ne pas finir par se conforter dans une forme de place intouchable autosatisfaisante et peu souciante du peuple. Par conséquent il ne convient évidemment pas de nommer à un poste de direction quiconque le réclame ou le convoite en particulier inconséquemment, car généralement c'est un signe d'ambition personnelle et non pas de dévouement à l'intérêt général. A ce sujet le calife Omar (SDP) a rappelé aux hommes de pouvoirs de faire très attention à ne pas devenir orgueilleux et donc impie vis à vis de leurs subordonnés. L’envie de dominer avidement est liée à la quantité de testostérone ou au QI. Pour ce dernier, lorsqu’il en manque (comme chez les racailles des quartiers pauvres), c’est la violence de la domination physique (plus masculine). Alors que quand il y en a trop (comme dans le sionisme), c’est alors la perversion, la manipulation, le machiavélisme, la division pet donc la promotion de la guerre intersociale (plus féminine). C'est pourquoi un dirigeant doit être pacifiste, mais être prêt à ne parfois pas être non-violent en cas de légitime défense. En comprenant tout cela, on ne doit pas s'étonner que par rapport à notre époque de grande division voire de guerre au sein de la communauté musulmane, chercher le pouvoir en tant que musulman suivant une idéologie ou un islam politique erronés et/ou empirant la division devient si grave que ce la peut légitimement le conduire à un passage par l'Enfer : (ExtHadith) Selon Abd ar-Rahman Ibn Samoura (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) lui a dit : « Ô Abd ar-Rahman ibn Samura, ne réclame pas le commandement, car si tu l'obtiens sans l'avoir réclamé, tu seras soutenu. En revanche, si tu l'obtiens après l'avoir réclamé, il t'en incombera la charge sans aucun secours. » (Boukhari et Mouslim) Abou Mousa Al Ashari (SDP) rapporte : J'entrai chez le Prophète (SBDSL) en compagnie de deux de mes cousins lorsque l'un d'eux demanda : « Ô Prophète de Dieu, accorde-moi la direction d'une province que Dieu a mis sous ton commandement. » L'autre fit la même requête. Le Prophète (SBDSL) répondit : « Par Dieu, nous ne confions pas ces postes à quiconque les réclame ni à celui qui les convoite. » (Boukhari et Mouslim) Abou Dharr rapporte (SDP) : Je demandai au Prophète (SBDSL) : « Ô Prophète de Dieu, emploie-moi (pour la direction d'une province). » Le Prophète (SBDSL) me tapota l'épaule de sa main et me répondit : « Abou Dharr, tu es faible et cette fonction est un dépôt qui, le jour de la Résurrection, suscitera humiliations et regrets, sauf pour celui qui en sera digne et qui assumera pleinement sa tâche. » (Mouslim) Selon Abou Dharr (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) lui a dit : « Ô Abou Dharr, je constate en toi une certaine faiblesse et j'aime pour toi ce que j'aime pour moi-même. Ne dirige jamais, ne serait-ce que deux personnes, et ne gère point les biens d'un orphelin. » (Mouslim) Le Prophète (SBDSL) a dit : « Tout homme à qui Dieu a confié la gestion des intérêts d’un groupe, s’il meurt alors qu'il trompe ses administrés, Dieu lui interdit le Paradis. » (URA) C'est pour cela que la dévolution qui est la transmission du pouvoir à l'homme le plus pieusement sage était le moyen de transmettre le pouvoir au sein du califat islamique originel et authentique. Cela va d'ailleurs dans le sens de l’analyse du philosophe Aristote précisant l'importance de transmettre le pouvoir au meilleur homme intellectuellement, moralement et noblement. Or même par rapport au pouvoir légitime, les monothéistes véritables doivent devenir des combattants éclairés et autonomes, c'est à dire disciplinés mais libres dans leurs bonnes propositions voire initiatives, obéissants mais prêts à commander à leur tour si çà leur était demandé par les autres. Surtout que qui n’a jamais su obéir ne pourra jamais commander et que gouverner signifie parfois voire souvent gérer l'imprévisible, car la politique c'est aussi souvent des circonstances en plus que des décisions économiques ou sociales. Cependant un bon dirigeant est d'abord au service du peuple avant d'être obéi et doit donc être reconnu puis choisi pour sa piété, son intégrité, sa loyauté et sa sincérité. En effet les dirigeants sages accordent toujours la priorité au bien de leur propre peuple et de leur propre pays, et c'est pourquoi l’avenir n’appartient pas aux mondialistes mais aux patriotes, sauf donc si les pays musulmans doivent s'unir sous un califat pour sauver le monde d'une troisième guerre mondiale. Ainsi un dirigeant musulman doit avant tout être respecté voire aimé prioritairement pour sa noblesse spirituelle et par le peuple, car même s'il est affaibli, cela continue d’être le cas. Alors que s'il cherche d'abord à être craint, au premier signe de faiblesse, il sera éliminé. En effet l’autorité est fragile et peut vite se transformer en tyrannie à cause de l'orgueil, de l’avidité, de la peur ou de la colère. Le dirigeant honorable ne doit donc pas trop tirer sur la corde de son pouvoir, car s'il en arrive à utiliser la force ou encore pire la violence pour imposer au peuple, il perd de son autorité. Par conséquent un dirigeant doit utiliser le plus possible la douceur, la patience et ainsi la modération dans la politique et la géopolitique, mais doit sévir voire savoir frapper après avoir prévenu si cela devient nécessaire, ce qui est une immense responsabilité. D'ailleurs quand Abou Bakr (SDP) et Omar (SDP) devinrent les deux premiers califes, ils comprenaient si pieusement l'immense responsabilité du chef politique, qu'ils voulaient parfois être moins que rien par peur de leurs éventuelles mauvaises actions touchant le peuple et aggravant ainsi leur position lors du Jugement Dernier. Or ils ressentaient donc probablement d'abord ça par rapport à leur éprouvante, préoccupante et difficile position élevée de chef apportant moins d'humilité par rapport à autrui et d'intimité seul avec Dieu, tout en apportant plus de responsabilité lourde, bien que par une profonde piété et de très nobles décisions, cette responsabilité peut évidemment aussi se transformer en grande proximité avec Dieu. Surtout que dans ce sens, cela permet de transmettre pieusement plus de bien puisque à tout un peuple. Il faut noter que les nombreuses et diverses œuvres d'Abou Bakr synonyme d'une grande foi et d'une profonde piété ont clairement rendu légitime sa place de premier calife : Abou Hourayra (SDP) rapporte : Le Messager d'Allah (SBDSL) demanda : « Qui parmi vous jeûne aujourd'hui ? -Moi, répondit Abou Bakr (SDP). -Qui parmi vous a visité un malade aujourd'hui ? -Moi, dit-il encore. -Qui parmi vous a assisté à un enterrement aujourd'hui? -Moi, dit toujours Abou Bakr. -Qui a nourri un pauvre aujourd'hui ? -Moi, dit-il. » Marwane dit : « J'ai appris que le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Tout homme qui accomplira toutes ces bonnes oeuvres en un jour entrera au Paradis. » « Pour être un chef selon la définition classique de la philosophie politique romaine, il ne suffit pas d’avoir la potestas : le pouvoir hiérarchique ou constitutionnel de donner des ordres et le cas échéant de contraindre les subordonnés à obéir. Il y faut aussi l’auctoritas : une dimension psychologique du pouvoir, qui se garantit par une hauteur de vue reconnue, un prestige intellectuel et moral, une capacité à prendre des décisions en fonction d’un but à atteindre, du calme et de la pondération devant les épreuves de la vie et les imprévus de l’histoire. Le chef doit écouter l'avis des autres, prendre une décision, et savoir s’y tenir. Les qualités de chef ne supposent pas une compétence profonde, détaillée et universelle dans tous les domaines de la vie des nations : économie, finance internationale, diplomatie, droit social, énergie, transport, agriculture, mécanismes de financement du logement social, etc… Un chef compétent est un généraliste, qui sait suffisamment de tout pour en connaître et reconnaître l’importance, puis pour juger de la cohérence et de la pertinence des analyses qui lui sont proposées. Il doit donc savoir demander des analyses et des propositions de plan d’action. Et, pour cela il doit s’entourer d’experts, des vrais, qui allient une expertise intellectuelle et une dévotion réelle au bien commun et à l’intérêt supérieur du pays. Cependant un chef hésite logiquement souvent et c'est pourqoi il doit se concerter fréquemment avec des personnes en dehors de la mise en place du plan d'action, à défaut de savoir quel avis de quel ami ou personne de confiance intellectuelle et professionnelle il faut suivre. Il suffit d’avoir un répertoire des corrompus occidentaux qui indiquent toujours comme direction à suivre ce qui est mauvais pour le pays, qui recommandent de manière constante et obstinée la voie d’un désastre assuré et certain pour les peuples et nations. La place adéquate du chef est toujours une question d’angle, de focale. Quand un de ses conseillers ou responsables proches est incompétent, il doit sans hésitation le limoger rapidement et proposer son poste à l’un de ses subordonnés directs. Le chef dont militaire doit se placer là où il pourra envisager toute la largeur et la profondeur de son front d’engagement. Cela détermine sa capacité à voir et à anticiper les réactions globales de l’environnement ou de son adversaire. Par exemple, l’évolution des équilibres géopolitiques et géoéconomiques mondiaux ne se mesure et ne se jauge pas à l’échelle d’une année, mais d’une décennie. Les décisions de com', à chaud et irréfléchies ont toujours des effets néfastes dans le long terme. De même, le bon chef ne se laisse pas dicter son agenda par les faits divers. On ne fait pas de lois nouvelles à chaud, mal réfléchies, en trop grand nombre et au hasard de l’actualité et de l’émotion, c'est à dire sans se préoccuper de leurs contradictions et de leurs conséquences possibles à long terme. Le rôle du chef est de fixer un but à atteindre dans un délai imparti, puis donc de valider ou non les propositions qui lui sont faites. Un de ses meilleurs choix est de privilégier certains partenariats public-privé tel par rapport à la construction d'autoroutes et de centrales électriques nucléaires. Le chef consiste à garantir que les moyens et l’autorité de l’État soient au service d'un plan d’action pré-établi. Et ce malgré les réticences et les obstacles opposés par une partie de l’administration et un certains nombre de lobbies influents, patronaux ou américains. » (Extraits de l'article « Qu’est ce qu’un chef ? » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/16/quest-ce-quun-chef/) Dans la guerre entre l'occident et la Russie, chacun observera que le comportement des élites dirigeantes occidentales est stérilement beaucoup plus fébrile et hystérique, alors que le comportement de la gouvernance russe est efficacement plus calme, plus placide, plus déterminée, plus sûre et maîtresse d’elle même, de son action et de son discours. Ainsi lorsqu'un pouvoir utilise un langage vide de sens dont du « en même temps » ou oblige au crime, il devient évidemment illégitime, alors qu'un pouvoir pieusement droit utilisant l’éloquence simplement, la clarté décisionnelle et la noblesse pacifique tant que c'est possible, devient entièrement légitime. A propos de la dévolution, il apparaît clairement que pour montrer cette supériorité morale suivant la patriarcat demandé par le monothéiste authentique de transmettre le pouvoir à l'homme le plus pieusement sage (ou l'un des plus pieusement sages) de la communauté par l'homme le plus pieusement sage précédent sans obligation de lien familial, suite à son expérience d'ancien sage dirigeant pieux le désignant légitimement comme mieux placé pour choisir son successeur le plus compétent, après une consultation nationale (ou de représentants départementaux) au sein d'assemblées populaires dans chaque tribu (ou cité ayant le mérite de rechercher collectivement les meilleures idées, permettant de connaître la généralité des opinions en fonction des régions, et pouvant aussi organiser la vie localement si nécessaire en accord avec un gouverneur de région), puis après un pacte d’allégeance générale honorant le noble lien du peuple bien plus que dans les isoloirs (où chacun vote souvent plus pour lui même que pour le bien commun ou simplement pour avoir raison comme dans un jeu stupide basé sur des paris) car l'unanimité bienfaisante était recherchée sans cacher les avis de chacun, Dieu ait fait mourir en bas âge les trois fils du Prophète (SBDSL). En effet cela devait inviter la communauté voire l'humanité à s'unir dans la responsabilité et à éviter l'apparition d'une dynastie puisque ayant souvent divisé et donc corrompu les membres d'une même famille et ainsi la gestion de l’État par convoitise du pouvoir, autant que l'actuelle fréquente avidité sans compassion envers le peuple pour la présidence d'une nation. Or une dynastie élevée dans la piété et la gestion du pouvoir peut avoir un bon niveau de souveraineté, de justice et de dignité dont au niveau de la politique, de la géopolitique et de la moralité. Ainsi des décisions divines ont validé comme chef au cours de l'histoire monothéiste de l'humanité, la noblesse de position en tant que roi(-prophète parfois) tel David suivi par son fils Salomon ou Clovis, puis pour la dernière révélation la noblesse de choix (meilleure sagesse) tel pour choisir légitimement comme calife Abou Bakr et Omar dont le Prophète Mouhamed (SBDSL) a d'ailleurs dit par rapport à leur sagesse qu'ils auraient pu devenirs des Prophètes. Mais le retour du Prophète Jésus en tant que calife pourrait être dans un sens un calife roi puisque ayant un esprit parfait et la plus haute position après le Prophète Mouhamed (SBDSL), surtout que représentant l'esprit irréprochable et souverain de Dieu. Ainsi dans un califat islamique, la noblesse de choix et donc d'âme est encore clairement mis en avant légitimement par rapport à la noblesse de position (rang social des notables) ou/et donc de sang mais sans la dénigrer : (S33v40) « Mouhamed n'a jamais été le père de l'un de vos hommes, mais il est le Messager d'Allah et le dernier des Prophètes. Allah est Omniscient. » Les premiers califes, qui ont été essentiels pour préserver l'islam dans ses débuts par la préservation de la communauté musulmane unifiée juste après la mort du Prophète Mouhamed, furent donc logiquement désignés. Or les deux premiers furent désignés plus par indication du Prophète. Puis les suivants plus parfois par décision du calife précédent ou plus par la décision d'une concertation démocratique dont des conseillers proches synonyme d'un petit nombre d'élites spirituelles composé évidemment de très pieux compagnons proches du Prophète (SBDSL), mais toujours après une consultation nationale recherchant l'unanimité pour éviter la division. Ce qui prouve qu'il n'y a pas de règles précises au sujet de la dévolution même si la désignation d'un chef est essentiel. Ensuite l'organisation du gouvernement des premier califats et le choix de ses membres se fit logiquement en fonction de leur proximité du Prophète (SBDSL), de leur piété, de leur niveau de science, de leur ancienneté dans l'islam, de la date de leur hégire, de leur origine tribale liée au Prophète, puis de leur origine sociale liée aux dirigeants de La Mecque ou Médine, ce qu'il faut par conséquent encore rechercher à notre époque pour établir la hiérarchie humaine d'un Etat, même si avec le temps pour préserver sa stabilité les califats qui suivirent sont devenus plus familiaux puis des califats monarchiques. (Sur le plan juridique, l'État peut être considéré comme l'ensemble des pouvoirs d'autorité et de contrainte collective que la nation possède sur les citoyens et les individus en vue de faire prévaloir ce qu'on appelle l'intérêt général, et avec une nuance éthique le bien public ou le bien commun.) Par exemple le premier calife Abou Bakr a été légitimement choisi car il incarnait toutes ces valeurs, surtout qu'il a été évoqué dans le Coran comme compagnon du Prophète dans la caverne, qu'il a été constant dans une grande piété religieuse, cultuelle et généreuse, que le Prophète (SBDSL) lui a demandé de le remplacer dans la prière en tant qu'Imam tout le temps où il a été malade avant sa mort, qu'Abou Bakr fut le premier homme adulte à se convertir à l'islam, qu'il était de La Mecque (et son clan était pourtant le moins nombreux, le plus pauvre et le moins noble de position par rapport à l’ascendante du Prophète, à la taille de ses terres, à la proximité de sa demeure avec la Kaaba située dans le centre ville, à sa puissance militaire et à son influence) et qu'il a toujours été un ami proche du Prophète (SBDSL). Au sujet de la position sociale inférieure du clan d'Abou Bakr critiqué par Abou Sofiène un notable d'un clan supérieur socialement à La Mecque, le très savant et cousin du Prophète (SBDSL) Ali (SDP) lui dit : « Abou Sofiène! Les croyants sont des gens qui se veulent le bien et qui sont compatissants les uns avec les autres, même si leurs demeures et leurs personnes sont éloignées (ou modestes). Les hypocrites, par contre, sont des gens qui se trompent les uns les autres même si leurs demeures et leurs corps sont proches (ou leur richesses sont grandes). Nous avons prêtés serment à Abou Bakr car il en est digne. » Concernant la mise en place de Othmane au poste de troisième calif, il est rapporté : Abou Weil rapporte : Abdallah Ibn Massoud (SDP) partit de Médine à Koufa pendant huit jours quand Othmane Ibn Aaffène fut choisi calife. Il loua Allah et Le félicita puis dit : « Le chef des croyants Omar Ibn Alkhattab est mort, et nous n'avons jamais vu un jour où les gens pleuraient et se lamentaient autant que ce jour-là. Et nous, les compagnons de Mouhamed (SBDSL) nous nous sommes réunis, nous nous sommes efforcés de notre mieux pour choisir le meilleur d'entre nous qui nous surpasse tous, et nous avons prêté serment au chef des croyants Othmane Ibn Aaffème. Prêtez-lui donc serment. » Ainsi d'autant plus tant qu'il n'y a plus de califat, il n'est donc pas grave que ce soit l'émir ou la concertation d'élites morales savantes (impaire et moins de dix pour éviter la division, lutter contre l'infiltration et assurer des décisions à chaque concertation si nécessaire) ou une consultation nationale qui désignent une orientation politique ou le chef, car selon la sacralité de l'islam, l'essentiel est de ne surtout pas diviser la communauté, mais aussi de parvenir à mettre en place un dirigeant principal. Ceci comme l'a expliqué Aristote afin de préserver un régime mixte alliant la légitimité de la décision démocratique populaire (noblesse de l'élection), la légitimité de la dynastie (noblesse de position) ayant créé le pays et la légitimité des sages élites intellectuelles, (noblesse de choix) c'est à dire pour que ces groupes se limitent les uns les autres, c'est à dire pour que la démocratie ne se transforme pas en démagogie, la monarchie ne se transforme pas en tyrannie, et les élites (l'aristocratie) ne se transforment pas en ploutocratie. Il faut noter que pour préserver la dévolution, le quatrième calife Ali a cherché pieusement à transmettre avant de mourir, le pouvoir à quelqu'un en dehors de la famille proche du Prophète comme c'était le cas des trois premiers califes. Surtout que le Prophète (SBDSL) prophétisa que son petit fils Al Hasan laisserait pieusement le pouvoir pour éviter la division en le qualifiant par ailleurs de maître, probablement spirituel. En effet à cette époque en cas d'hésitation ou de division de la communauté par rapport au choix du calife, il était aussi pieusement possible voire noblement meilleur de choisir Al Hassan le petits fils du Prophète, afin d'honorer la maisonnée du Prophète à la place de Mouaawiya fils d'Abou Sofiène l'ancien chef notable de la Mecque devenu musulman. Il faut noter que si on ne regarde pas la noblesse de choix et donc de sagesse qui aurait du être la prioritaire pour désigner le nouveau calife, Mouaawiya et Al Hasan avaient la noblesse de position en tant que notables, mais qu'Al Hasan avait une noblesse de position supérieure puisque petit-fils du Prophète (SBDSL). Ainsi dont pour préserver l'importance donc essentielle de l'union dela communauté musulmane, il faut qu'elle soit prête à respecter la dévolution même si le calife (ou l'émir) désigne son successeur sans consultation, surtout qu'un hadith explique qu'il ne faut pas se rebeller tant que la prière est autorisée et pratiquée par le dirigeant. Ce qui prouve que le meilleur chemin peut avoir plusieurs portes et que la préservation de la communauté unie demeure donc bien le principal. Al Hassan en abandonnant très honorablement la lutte militaire pour le califat en faveur de la paix au sein de la communauté dit d'ailleurs à ce sujet à ce sujet : « Musulmans ! Allah vous a guidés par le premier de notre famille (Prophète Mouhamed), et a épargné (plus de) vos sangs par le dernier (lui-même). » C'est pourquoi, le Prophète (SBDSL) a bien authentiquement prophétisé que ce petit-fils à lui serait parmi les plus nobles hommes de la communauté musulmane. Mais avec le temps s'éloignant de la présence du Prophète (SBDSL) et de ses compagnons (SDP), et ainsi d'une haute noblesse de choix pieux, le retour prophétisé du califat au sein de la famille du Prophète à travers celui des abbassides après celui donc des omeyyades devint donc logique, car leur noblesse de position d'avoir comme ascendance la famille sacrée du Prophète (SBDSL) facilita la préservation de l'union des musulmans dont en y gardant ainsi un grand niveau de respect envers la famille du Prophète (SBDSL), de foi, de pratique religieuse, de piété, de sagesse, de dignité et de grandeur. Il est intéressant de lier le paragraphe précédent à la vidéo « Pour une monarchie sociale et corporative (en France) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-une-monarchie-sociale-et-corporative-57286.html Ainsi lorsqu'on dit que les 4 premiers Califes étaient bien guidés (orthodoxes) comme le sera aussi celui du Mahdi, ce n'est pas seulement pour leur haute piété et donc grande sagesse continuant dans un sens la prophétie, mais aussi parce que la transmission du pouvoir sans division du peuple ni succession d'héritier familial par la dévolution avait été préservée au sein du Califat authentique également dans une forme de continuité de la Prophétie : Abou Talaba (SDP) raconte : Abou Oubayda a rapporté que le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « La prophétie est maintenant parmi vous. Puis il y aura un califat sur la voie de la prophétie (quatre premiers califes dont le Prophète a d'ailleurs dit que les deux premiers aurait pu être des Prophètes), puis ce sera un royaume (commençant par le califat de la dynastie abbasside tel un califat monarchique c'est à dire une application des lois religieuses par une dynastie) et plus tard souvent une dictature (militaire ne donnant pas toujours la priorité aux règles religieuses). » Le Prophète (SBDSL) a dit : « Je vous recommande ma tradition et la tradition de mes califes orthodoxes et bien guidés après moi (dont donc du Mahdi surtout que signifiant le bien-guidé). » Le Prophète (SBDSL) a dit que le califat d'Omar (jusqu'à celui d'Ali et donc celui d'Abou Bakr précédent celui de Omar) faisait partie de la succession de la prophétie. Aboul Achaath Asganaani rapporte : Canaa avait un gouverneur nommé Thoumema Ibn Aadiy (SDP) qui avait connu le Prophète. Quand arriva l'annonce de la mort de Othmane (SDP), il pleura et dit : « C'est maintenant que la succession de la prophétie sera arrachée (en fait c'est après la mort d'Ali) et que viendra un royaume (califat devenu monarchique), puis une tyrannie ou chacun prendra ce qu'il pourra par la force (dictature militaire). » Jebir Ibn Abdallah,(SDP) rapporte : Le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Allah a élu mes compagnons parmi l'humanité entière hormis les Prophètes et les Messagers. Et il a élu pour moi quatre de mes compagnons : Abou Bakr, Omar, Othmane et Ali, qu'Allah leur donne sa miséricorde. Il en a fait mes compagnons et il y a du bien en tous mes compagnons. Il a choisi ma communauté d'entre toutes les communautés. Et il a élu quatre siècles de ma communauté : le premier siècle, le second, le troisième et le quatrième (en rapport avec le califat abbasside probablement car le califat monarchique le plus pieux. » Abderrahmene (SDP) a dit à Othmane (SDP) en prenant sa main pour se soumettre à son califat après l'avoir choisi en consultation avec les responsables du peuple : « Je te prête serment par la tradition d'Allah, la tradition de son Messager et (celle) des deux califes (bien-guidés) après lui (Abou Bakr et Omar). » D'après Houdhayfa (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « La prophétie demeurera parmi vous aussi longtemps que Dieu le voudra (le Prophète et les quatre premiers califes bien guidés dont selon le hadith suivant). Puis Dieu la reprendra lorsqu’Il voudra et elle sera remplacée par un califat (califats monarchiques des Omeyades aux Ottomans) qui suivra (imparfaitement) le chemin tracé par la prophétie, et qui demeurera aussi longtemps que Dieu le voudra. Puis Dieu le reprendra lorsqu’Il voudra et il sera remplacé par un pouvoir absolu (dictature militaire fréquente dans les pays arabes ayant été parfois nécessaire pour éviter la division des musulmans) qui demeurera aussi longtemps que Dieu le voudra (prouvant comme toujours que tout est réfléchi dans le scénario divin puisque tous ces systèmes politiques enrichissent aussi la vision et les débats de la morale devant mener au retour à l'ultime califat (bien guidé). Puis Dieu le reprendra lorsqu’Il voudra et il sera remplacé par un califat (bien guidé) qui suivra le chemin tracé par la prophétie (avec l'apparition du Mahdi et le retour de Jésus). » Et le Prophète (SBDSL) se tut (probablement car il s'agira de l'ultime Califat qui durera hégémoniquement voire mondialement jusqu'à la fin du monde). » De plus, il est probable que Dieu ait fait mourir les parents de Mouhamed (SBDSL) dans son enfance avant ses sept ans, parce qu'Il eut été certainement difficile de s'occuper en même temps d'eux dont dans leurs droits et de l'humanité, comme dans un sens Jésus n'eut pas de père ni d'enfant lors de son premier passage sur terre pour pouvoir s'occuper de l'humanité. Et il faut donc bien comprendre que préserver la dictature divine de la noblesse islamique dont à travers la dévolution au sein d'un califat authentique permet d'éviter la possible déviation de la démocratie vers l'immoralité comme lors de l'élection du nazisme en Allemagne, de conserver les bienfaisantes règles divines, et de mettre en conformité religieuse la modernisation du monde par de nouvelles lois. En effet la constitution islamique doit toujours rester la même pour éviter l'apparition de règles opposées à la bonne morale, à la loi naturelle et donc à la civilisation, tels que l'autorisation de la prostitution, des mariages homosexuels, des jeux d'argent, de l'usure, de la transsexualité et du transhumanisme, etc... Or la dictature divine est d'abord légitime pour la sagesse excellente de Dieu plutôt que pour Sa souveraineté évidente. Certains disent même qu'à travers la démocratie, on peut tromper le peuple avec des idées fausses, ce qui signifie que le peuple est faillible et donc que la noblesse supérieure de la démocratie est un mensonge. Alors que dans un pays monothéiste, un adversaire politique du système pourrait certes contester l’organisation de la société ou les décisions de certaines personnes politiques, mais il ne pourrait lutter contre son ordre religieux sacré. Or lorsqu'un gouvernement protège les faibles, autorise seulement le mariage traditionnel, stabilise l'économie par l'interdiction de l'usure et encourage la pieuse vertu plutôt que le vice impie, cela signifie qu'il est en accord avec les valeurs traditionnelles et devient incritiquables. A cause du terrorisme d'Etat particulièrement dans les démocraties actuelles dont à travers les grands médias distillant la peur du terrorisme, du climat, du sanitaire, de la guerre et de l'inflation, beaucoup d'hommes pensent même tellement bas qu’ils finissent par ne plus oser penser. Un État devrait non seulement ne pas inquiéter ses citoyens pour leurs pensées tant qu'ils ne blasphèment pas grossièrement, mais au contraire réprimer ceux qui voudraient empêcher les citoyens de penser en toute liberté. D’année en année, la liberté s’amenuise et les exceptions se multiplient. De nouveaux dogmes apparaissent en histoire, en philosophie, en génétique, en biologie, et même en religion… et tout cela au nom des droits de l’homme ! Alors que la déclaration des droits de l'homme, qui est la loi suprême depuis 1789, affirme dans son article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions » et proclame dans son article 11 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme. » Ainsi la démocratie suppose un peuple souverain, et donc un citoyen libre de donner son avis raisonnable dans le débat politique. En effet tout débat doit se faire dans le respect des personnes. Or ce n’est pas respecter les personnes que de leur imposer actuellement une pensée unique par les médias mainstream. Il ne faut pas imposer mais convaincre. Autrement le souverain n’est plus le peuple, mais celui qui fixe ce que le peuple peut dire ou penser. Un État démocratique ne doit pas empêcher de penser, mais bien au contraire encourager les citoyens à penser. Cela suppose des personnes capables de conduire une vraie réflexion même au sujet de la Shoah ou du sionisme. Or débattre de cela est devenu interdit en France. Ce qui prouve que même s'il est caché, la pouvoir profond synonyme de sionisme a perverti le pouvoir visible. Au début de la formation de cette première nation islamique que fut le califat originel, le Prophète (SBDSL) devint évidemment le chef de l’État et la religion put s’épanouir. Ce fut là que se développa la vision islamique de la paix entre tous les peuples de la terre, sans différence de foi ou de races, et que la première charte des droits et des libertés humaines vit le jour. C'est pourquoi il faut bien comprendre qu'il y a peu de différence entre une république laïque et un État divin, puisque cette charte garantissait à chaque citoyen la liberté, la sécurité et la justice, comme dans les états laïques démocratiques qui se basent sur les droits de l'homme :
1. La liberté de conscience et de culte pour les musulmans et non musulmans
2. La sécurité et la protection militaire contre n’importe quelle menace venant de l’extérieur
3. La justice dont du droit de propriété et d'entreprendre et l’abolition de tout crimes et pratiques immorales
Par conséquent il est évident que la différence principale entre une république laïque et le califat islamique est que la république laïque place injustement la souveraineté de l'Etat au-dessus de Dieu et de Ses lois, alors que le califat islamique place justement la souveraineté de Dieu et de Ses lois au-dessus de l'Etat, dont pour faciliter la marche de chacun vers Dieu. C'est à dire que dans la nation christique ou islamique, le droit religieux est supérieur au libertarisme de l'individu, dont à travers l'interdiction de l'homosexualité, de la transsexualité et du transhumanisme. Il convient tout de même de relever la volonté de politiquement correct et l'envie de bien-pensance intéressantes à notre époque malgré leurs déviations fréquentes et leur refus d'aller jusqu'au suprêmement correct bien pensé qu'est le monothéisme authentique. Surtout que selon Saint Bernard qui prêcha la seconde croisade, l'Enfer est (parfois voire souvent) pavé de bonnes intentions (égarées), ce qui peut être incarné par ces faux « politiquement correct » et « bien-pensance » du progressisme synonymes souvent de police politique utilisée par les médias, divers intellectuels et les politiciens servant la pensée unique du mondialisme ploutocratique, sioniste, apatride et wokiste. (Il faut noter que la première croisade provint en partie d'une expansion seldjoukide qui était un groupe ethnique sorti du Turkestan dont pour envahir le califat abbasside, ce qui bloqua de nombreux pèlerins chrétiens alors que l'islam l'interdit.) C'est à dire qu'avec les expressions « faire le mal en croyant ou voulant prochainement faire le bien (quand on est pas un dirigeant) » et « les bonnes intentions ne suffisent pas sans leur réalisation », il s'agit certainement des meilleures interprétations de cette analyse de saint Bernard. Surtout que de nos jours, ces expressions sont souvent synonyme de haine envers certaines nobles organisations, critiques ou idéologies. D'autant plus que cela correspond aussi à une forme de tyrannie empêchant de critiquer certaines politique perverses et poussant donc beaucoup d'êtres humains à une forme d'auto-censure dangereuse. Au sujet de la souveraineté, voici en partie des passages résumés du livre de Youssef Hindi « les mythes fondateurs du choc des civilisations » : Dans son ouvrage « Les six livres de la République », le Grand Jurisconsulte Jean Bodin (1529-1596), théoricien politique fondateur du concept moderne de souveraineté, précise en transformant perversement sa réalité après avoir pourtant affirmé logiquement que elle appartient exclusivement à Dieu, qu'elle peut s'attribuer au Roi (et donc à l'Etat) afin de renforcer le pouvoir affaibli de Henri III à son époque, et malgré donc le fait que ni le dictateur Romain, ni le César, ni l’Archonte d’Athènes (gouverneur de la cité élu par tirage au sort pour une période déterminée) ne sont véritablement détenteurs de la souveraineté. En effet historiquement, sur le plan juridique dans les mondes juif, chrétien et musulman, la notion de souveraineté authentique est seulement (d'origine et d'essence) divine, et donc religieuse, surtout car liée légitimement à la position clairement suprême et à l'omniscience irréprochablement sage du Créateur. Par conséquent aucun homme, qu’il soit empereur, gouverneur ou roi n’est souverain par lui-même même si Bodin dit du Prince qu’il est souverain, car il n’est, comme le calife, que le dépositaire du pouvoir de Dieu, auquel il est tenu de rendre compte. Il faut noter que c'est l'affaiblissement de l'Eglise catholique, ayant commencé avec la réforme protestante et conduit à des guerres entre protestants et catholiques, qui a mené à l’État moderne s'étant donc attribué illégitimement la souveraineté divine. Bodin explique en plus très étrangement qu'un roi protestant pouvait diriger le royaume catholique du France et devrait être obéi. Ce qui est encore une grosse preuve de sécularisation de sa part. Bodin ayant donc illégitimement remis en cause le principe de souveraineté divine en l'attribuant au Roi (et donc à l'Etat), cela prouve avec deux siècles d'avances l'illégitimité encore plus grande de l'article 1 de la Constitution de 1791 (issue de la Révolution de 1789) de donner la souveraineté au peuple (après qu'elle fut donnée à l'Etat), surtout qu'à la différence du Roi, la démocratie et la laïcité ne doivent même plus tendre à faire respecter les lois divines. Surtout que le socialisme tendant au communisme devient même la doctrine antisociale qui aboutit dans un très indigne matérialisme impie à faire finalement de l’État ou de la ploutocratie le maître absolu de toutes choses comme c'est de plus en prouvé de nos jours, c’est-à-dire des biens, des corps, des personnes et des âmes. Et l’Antéchrist étant le chef à l'origine de cette fausse souveraineté, de cette ploutocratique politique collectiviste pour le peuple, et de cette fraternité seulement nationale, deviendra donc logiquement la personnification de ce régime pouvant mener en Enfer ceux qui le portent ou le défendent. L'article 1 de la Constitution de 1791 précise pourtant correctement dans la première phrase qui suit avant de se tromper dans la suivante : « La Souveraineté (en réalité d'origine divine) est (effectivement) une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la Nation (par conséquent illégitimement en mettant l'Etat au-dessus de Dieu). » En ayant transféré la souveraineté de Dieu à l'Etat, Bodin fait donc partie de la condamnable origine de l'Etat moderne ayant amené le risque puis la réalisation que l'Etat se proclame le souverain ou que le souverain s'identifie à l'Etat. Ce qui signifie que le pouvoir temporel (politique) a fini par devenir impie en effaçant le pouvoir spirituel (monothéiste) dont au niveau législatif au lieu de s'associer à lui, et que cela a effectivement amené ces entités à devenir illégitimement titulaires de la souveraineté, dont particulièrement en ayant même fini par pervertir la législation divine au lieu d'en être dépositaires. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Catholicisme et islam face au laïcisme républicain - Conférence de Youssef Hindi » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=jNhUmHgOlms C'est à dire qu'en ayant dévié la souveraineté divine vers le Roi et donc l'Etat et donc en les ayant divinisé, Bodin a donc amalgamé illégitimement la souveraineté divine de l’État au roi, et a donc amené les révolutionnaires de 1789 à aussi amalgamer illégitimement dans la constitution la souveraineté de la nation mais désormais au peuple. Surtout pour préserver une société dont face à l'avide ultra libéralisme oligarchique, mondialiste et wokiste, il faut conserver la souveraineté divine et donc le monothéisme authentique synonyme de lien spirituel entre l'Etat et le peuple. Surtout que rendre très légitimement la souveraineté à Dieu dont concernant le sexe et la couleur de peau de chacun, cela éviterait les très nombreux grands égarements du wokisme embrouillant et donc épuisant beaucoup les esprits inutilement. Ainsi comme le firent les autres révolutions modernes, la Révolution française a dès l'abolition de la monarchie, tenté de mettre la main sur la souveraineté divine. Et ceci est un point important qui est, comme nous le verrons, directement lié à la laïcité. Or légitimement selon Jean Bodin, cette souveraineté dont est dépositaire le Prince, qui lui vaut le qualificatif de « souverain », lui permet « de donner foi aux sujets, et de casser ou anéantir les lois inutiles, pour en faire d'autres : ce que ne peut faire celui qui est sujet aux lois ». Ce à quoi il ajoute : « Mais quant aux lois divines et naturelles, tous les Princes de la terre y sont sujets, et il n’est pas en leur puissance d'y contrevenir, s’ils ne veulent être coupables de lèse-majesté divine (offense envers le divin), faisant guerre à Dieu, sous la grandeur duquel tous les Monarques du monde doivent faire joug (se soumettre), et baisser la tête en toute crainte et révérence. Ainsi la prétendue puissance absolue des Princes et seigneuries souveraines, ne s’étend aucunement aux lois de Dieu et de la nature (ce que ne fait pas l'Etat, la laïcité et la démocratie modernes et donc impies). » Cette analyse de ce jurisconsulte ne dit pas autre chose que ce qu’énonce le Coran : (S5v47) « Que les gens de l'Evangile jugent d'après ce qu'Allah y a fait descendre. Ceux qui ne jugent pas d'après ce qu'Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers. » Dieu étant, comme le dit l’Evangile de Jean : Bible (Apocalypse, 19:16) « Roi des rois, Seigneur des seigneurs » Dieu, duquel le Monarque souverain, comme l'écrit Jean Bodin, tient le sceptre et la puissance, et à qui Seul il doit serment. Nous donnerons ici à titre d’exemple, le serment que fit l’homme le plus puissant d’Europe, l’Empereur Charles V (1500-1558) au Pape, dans lequel il jura entre les mains de l’Archevêque de Cologne, de garder les lois de l’Empire, la bulle d’or, d’établir justice, d’obéir au Pape (le vicaire du Christ), de garder la foi catholique, de défendre les veuves, les orphelins, et les pauvres. Comme exemple de loi divine à laquelle le Prince ne peut déroger et qu’il ne peut abolir, il y a, nous dit Jean Bodin, la défense de tuer ; il ajoute : « Cette loi n’est point celle du Prince, mais reste la loi de Dieu, et de nature, à laquelle il est plus étroitement obligé que tout autre de ses sujets, et n'en peut pas être dispensé, ni par le Sénat ni par le peuple, et n'en étant toujours responsable qu'au jugement de Dieu, qui en fait information à toute rigueur (qui regarde cela prioritairement quelles que soient les conditions), comme disait Salomon. C’est pourquoi Marc Aurel (empereur romain stoïcien, 121-180) disait que les magistrats sont juges des particuliers, les Princes des Magistrats, et Dieu des Princes. »La hiérarchie juridique dans la civilisation gréco-latine, européenne et chrétienne, est sensiblement la même qu’en islam. Jean Bodin la résume ainsi très nettement : « Les contrats et testaments des particuliers ne peuvent déroger aux ordonnances de magistrats, ni les édits des magistrats aux coutumes, ni les coutumes aux lois générales d’un Prince souverain ; aussi les lois des Princes souverains ne peuvent altérer ni changer les lois de Dieu et de nature. » C'est précisément cette hiérarchie de la norme juridique que l'on retrouve dans les fondements du droit musulman ci-après en commençant par la plus haute autorité : -Le Coran (la Parole de Dieu) -La Tradition du Prophète, la sunna : paroles, actes ou approbations du Prophète (SBDSL) à partir desquels sont dégagées des lois, pour ce qui n'est pas expressément ordonné ou défendu dans le Coran -Le consensus (ceux qui pratiquent l'effort d’interprétation des textes et paroles sacrés afin de résoudre des questions de droit) -Le raisonnement analogique -Le choix préférentiel -L’intérêt général indéterminé -L’usage -La présomption de continuité -Les lois antérieures ou actuelles des autres peuples monothéistes -L’opinion du Compagnon (Le droit religieux n’est pas une fin en soi, il est un moyen en vue d’obtenir la dignité, de se rapprocher de Dieu et de préserver le bien commun. S’il est dévoyé il est de notre devoir de le signaler et d’en corriger les dérives. Surtout que s’il est parfois méritoire de souffrir patiemment une injustice individuelle, il est toujours lâche de cautionner une injustice publique. La règle la plus répandue dans le temps et l’espace est la séparation du mufti et du juge, eux-mêmes autonomes par rapport à l’émir ou au sultan, même lorsqu’ils sont nommés par eux. Elle cède cependant la place aujourd’hui, d’abord dans les États « modernistes » et « laïcs » qui ont suivi en cela l’exemple donné par les colonisateurs, à la subordination totale du mufti et du juge au gouvernement. Or on retrouve pourtant aussi ce cas de figure dans les mouvements où un religieux sans mufti se porte à la tête d’un État, comme dans ceux révolutionnaires armés récents qui se réclament de la salafiyya jihadiyya, le « salafisme djihadiste » : lancés par des chefs politiques levant le drapeau de l’islam, ils se sont dotés à la longue d’un corps de doctrine théologico-juridique erronée et prônent donc des pratiques contestées par la grande masse des oulémas des différents pays et des différentes écoles. Aux yeux de ces derniers, les avis donnés par exemple par Oussama Ben Laden et, plus récemment par Abou Bakr Al-Bagdadi, ne sauraient être considérés comme des « fatwas, lois nouvelles » licites.) Nous voyons que dans le droit islamique comme dans le droit gréco-latin et chrétien, la source ultime à laquelle nul monarque, ni souverain ni juriste ne saurait déroger ni s’opposer, est la loi divine. Or le droit se fait de moins en moins religieusement au niveau étatique mais de plus en plus perversement au niveau d'entités supranationales économiques et mondialistes. Ceci prouvant que le Droit, dont du vivre ensemble, de l'équité et du bien commun en fonction du pouvoir, des compétences et des capacités, est toujours basé sur une philosophie, même celui erroné venant du progressisme ou autres fausses idéologies. Avec le covid, nous avons même vécu de facto sous un régime anomique, c'est à dire sans loi, au sens où le pouvoir politique n'a plus respecté la loi ni la morale dont elle est censé découler. Dans cet État d’exception ou d'urgence, la loi d'un tyran peut être la seule appliquée et non plus la loi commune. L’abolition de la loi commune annonce l’établissement d’une nouvelle loi possiblement tyrannique, dont nous avons de plus en plus d’exemples graves à travers l'instauration de la ploutocratie mondialiste, sioniste et wokiste. Cette réalité historique et juridique concernant l'importance de préserver la loi commune monothéiste est ainsi énoncée par Jean Bodin : « Il faut que la loi du Prince soit faite au modèle de la loi de Dieu. » L’ancien juge du Caire, inspecteur des tribunaux et professeur à la faculté de droit du Caire, Abd al-Wahhab Khallaf (1888-1956), dit en substance précisément la même chose que Jean Bodin, dans l'introduction de son ouvrage « Les fondements du droit musulman » : « Tous les spécialistes des sciences religieuses musulmanes (oulama), par-delà les divergences d'écoles, s'accordent sur le fait que l'ensemble des dires et actes humains, qu’ils soient relatifs aux pratiques rituelles ou aux relations sociales, qu’ils relèvent du domaine pénal ou du statut personnel, qu'ils se rapportent à quelque type de contrat ou à quelque comportement que ce soit, sont soumis à des prescriptions définies par la Loi islamique. (Ceci prouve la possibilité de l'intention d'adoration permanente à travers la tradition prophétique musulmane complète, et donc d'ennoblissement maximal personnel, et donc de meilleure valeur, c'est à dire par le respect constant du cadre légal monothéiste dont se rapprochent logiquement les plus pieux en augmentant toujours plus leur foi, et donc leur piété, donc leur suivi religieux, et donc leur ennoblissement, et donc leur valeur, et donc leur digne rapprochement de Dieu : (ExtS49v13) « Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur ») La plupart de ces prescriptions sont donc mentionnées dans le Coran et la sunna (la tradition prophétique). Les autres ne sont pas mentionnées explicitement dans les Textes, mais peuvent être déduites par un interprète du Coran et de la sunna s'appuyant sur des indications et des preuves qui lui permettent de dégager des lois. Ici par conséquent, on peut se demander si la laïcité est une séparation des pouvoirs ou/et une usurpation de la souveraineté divine ? Or la laïcité, présentée comme étant le principe de séparation du religieux et du politique et donc comme la neutralité axiologique (des valeurs) de l’État, doit finalement se redéfinir, car sans valeur et donc sans droit n'existent point de légitimité ni donc de souveraineté. En effet comme l'a démontré le philosophe Jean-Claude Michéa, la neutralité axiologique de l’État est impossible. A la suite de Jean Bodin qui théorisa donc une forme de souveraineté illégitime, les Révolutionnaires, les pseudo philosophes des Lumières dont Jean-Jacques Rousseau et la République se sont donc servi de ce concept erroné pour transférer la souveraineté divine à la Nation, c'est à dire prétendument au « peuple ». A ce moment là, la Nation ou la République ne seront donc plus comme le roi ou le calife seulement dépositaires, mais titulaires de la souveraineté (dont législative à travers donc l'impie laïcité) en lieu et place de Dieu. Et à partir de là, la souveraineté, et par suite le droit, ne sont plus d’essence divine ; les lois émises ne se fondent plus sur les lois naturelles ; le spirituel et le temporel sont déliés ; la religion traditionnelle est confinée dans un espace virtuel dit privé. Autant dire qu’elle est dès lors vouée à disparaître peu à peu en étant remplacée par du matérialisme, des idéologies voire des superstitions. Devenant ignorant du bonheur réel, car ayant oublié la sublimité divine dont dans la Création et ayant été formé à la survie, l'être humain se perd, puisque désormais centré sur l'avoir amoral plutôt que sur l'être moral. Ceci aura pour conséquence que les docteurs de la foi s’occuperont seulement des questions cultuelles et plus politiques, et que la foi se résumera à un corpus de rites. Or comme Jean Bodin l’a bien démontré, toute norme juridique doit se référer à une norme qui lui est supérieure, et ainsi de suite jusqu’à la norme ultime qui n’est autre que la loi divine et naturelle. Par son caractère normatif, la souveraineté dans une société doit donc faire les lois qui ne peuvent contredire les lois divines et naturelles. Par conséquent il ne peut évidemment pas y avoir de séparation des pouvoirs, car le pouvoir politique, temporel, découle du pouvoir religieux, spirituel, par un mouvement descendant. Et qu’on (dont la laïcité) le veuille ou non, la loi n’est pas indifférente à la morale (aux valeurs), elle ne saurait s’en distinguer, contrairement à ce qu’ont toujours affirmé les libéraux (libertaires) et les juristes occidentaux actuels défendant l’idée de la neutralité axiologique de l’État, c’est-à-dire d'une position de l'Etat qui se situerait au-dessus de toutes considérations morales, en particulier pour le commerce ou la finance... Comme l’a souligné le spécialiste du droit constitutionnel Olivier Camy, le principal apport de Jean Bodin (après avoir attribué la souveraineté au Roi) est un apport dangereux qui consiste (finalement lors de la Révolution française) à associer Souveraineté et République (ou État), en affirmant (illégitimement) que la Souveraineté donne sa puissance, son être à la République. En effet il appartient alors aux organes humains d’État imparfaits de nature d'exercer cette autorité quasi surnaturelle puisque à l'origine divine. Dans son « Traité des Seigneuries » de1608, Charles Loyseau, sera encore plus étatiste en définissant la souveraineté comme « la propre seigneurie de l’État ». Le risque devient alors grand que l’Etat se proclame le souverain divin comme le souverain s’est identifié à l’Etat (autorité) divin(e). C'est ce qui va se passer très vite. En transformant les réalités, les juristes ne tarderont pas à parler d’État souverain similairement au roi qui aura dit : « L’État, c’est moi » (Formule apocryphe de Louis XIV). Après avoir exposé les contradictions dans les termes et les paradoxes des variantes de la théorie moderne concernant la souveraineté tout en refusant d’identifier concrètement le souverain (Dieu Le Créateur), Olivier Camy conclut en affirmant que les théories du droit divin de la suzeraineté nationale sont les plus pertinentes (par rapport donc à la souveraineté divine, étatique ou populaire). Or l'identification illégitime de la souveraineté à un Etat, une personne, un peuple (même sioniste) ou donc même à une nation revient en définitive à tous les diviniser irréligieusement telles des idoles, au même titre que certains rois, empereurs et pharaons souvent polythéistes prétendaient perversement incarner la divinité sur terre. La conclusion est donc évidente : les concepts modernes de nation, de laïcité et de république souveraines renvoient à des régimes de types païens antiques, avec une différence : le souverain détenteur du pouvoir divin n’est pas identifié, il est incarné par l’État et ses institutions, en particulier par le parlement, le sénat et la présidence. (C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l’Occident déchristianisé est en train de revenir au système sacrificiel païen par le sacrifice économique et populaire. En effet comme les Aztèques tuaient annuellement des milliers de personne pour une pseudo préservation de l'équilibre du monde, l'occident sacrifie les jeunes et les anciens, et mêmes des enfants qui pour la première fois dans l'Histoire se suicident suite aux perverses mesures liberticides liées à la crise sanitaire du covid, au wokisme, à l'inflation et à la guerre en Ukraine. Dans un tournant civilisationnel, Youssef Hindi explique ainsi que nous passons de la société de consommation à la société de consumation, comme le montre d'ailleurs l’organisation du plan ultime mondialiste malthusien plus ou moins publiquement avoué par les élites mais sournoisement caché par les médias dominants à travers la stérilisation et le génocide synonyme de sacrifices massifs dont par l'avortement, le Covid, les effets secondaires des vaccins ARN (dont troubles du cycle menstruel de nombreuses femmes, myocardite, récidive de cancers), l'inflation et les pénuries (alimentaires, énergétiques, et de matières premières). D'ailleurs la début de cette réalité sacrificielle peut être incarnée par la décapitation de Louis XVI, et une de ses grandes étapes est donc le droit à l'avortement qui est une mesure révélant la médiocrité d'une nation puisque la proposant plus aux femmes en détresse qu'un profond soutien moral, économique, matériel et religieux. Tout cela est d'autant plus réel, puisque par la modernité automatisée, la ploutocratie mondialiste peut désormais se passer de nombreux ouvriers. Ainsi une société composée seulement des trois catégories oligarchique, policière et scientifique, pourrait désormais être le paradigme suivant souhaité par la ploutocratie internationale, ce qui expliquerait la confirmation de leur basse volonté de dépopulation généralisée. Il faut noter que par rapport aux premières époques de l’humanité qui ont reçu les noms d’âge de pierre puis d’âge de bronze liés à leur production solide et donc sérieuse, l'âge de la consommation atteint par l'humanité a été synonyme d’âge de la falsification et donc de la futilité, car la camelote voire l'obsolescence programmée devaient être répandues partout pour préserver la pseudo nécessité de croissance servant seulement aux ultra riches prédateurs à toujours plus dominer les peuples et les nations par l'usure. Or cet objectif en partie atteint, cela confirme donc la forte probabilité que l'humanité soit entrée dans l'âge de la consumation voulue la ploutocratie corrompue pour son ultime profit. Surtout que c'est logique puisque suite à cette déchristianisation d’État, les Français sont même de plus en plus férus de sorcellerie par essence diabolique (un sur quatre selon un sondage), dont une partie plus ou moins connue correspond à la haine et au meurtre contre les humains. Car lorsqu'on efface le sacré, cela ouvre la porte à Satan. En effet cet effacement du sacré, mais aussi la grande crise économique et la peur du déclassement, de la pauvreté, de la maladie, de la pandémie, des nouveaux variants, des politiciens corrompus, de la souffrance et de la mort, font que beaucoup d’esprits fragiles basculent vers cette très grave impiété qu'est la sorcellerie, en la prenant pour de la magie réconfortante par méconnaissance profonde ou naïveté insouciante.) Jean Bodin, en voulant donner plus de pouvoir au roi de France, au détriment des seigneurs féodaux et par rapport au Pape ainsi qu’aux détenteurs du pouvoir temporel des autres États d’Europe, a donc en réalité ouvert la boite de Pandore d’où sortira la laïcité ayant amené au grand égarement d'une large partie du peuple. D'ailleurs comme l’a écrit Vincent Peillon, ancien chercheur et ministre, dont les travaux ont porté sur les origines de la laïcité : « La laïcité elle-même peut alors apparaître comme cette religion de la République recherchée depuis la Révolution. » Il va même plus loin, en dévoilant l'objectif final de la Révolution et de la laïcité : « On ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or, on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l’église catholique... Il faut remplacer ça... Il faut inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine qui doit accompagner la révolution matérielle, c'est la (perverse) révolution spirituelle qu'est la laïcité. Et c’est pour ça d’ailleurs qu’on a pu parler au début du 20e siècle, de foi laïque, de religion laïque, et que la laïcité voulait être la création d'un esprit public, d’une morale laïque... » Ce que Vincent Peillon affirme, à savoir la volonté d’instaurer cette religion de substitution au christianisme qu’est la laïcité, correspond à la période de renforcement du christianisme dans certaines régions de la France tout long du 19e siècle. En effet les Républicains ayant pris peur ont répondu à cette résurgence du catholicisme par la loi de la laïcité de 1905 dite de séparation des Églises et de l’État, afin d’abattre définitivement le christianisme. Comme nous l’avons dit, il s’agit donc bien avec la laïcité d’usurper la souveraineté divine et de remplacer la religion traditionnelle par une autre, occulte... Par conséquent Vincent Peillon affirme (sournoisement par un double discours intriguant pour le peuple français chrétien puisque étant juif pratiquant et donc monothéiste à la duplicité sioniste évidente) : « Toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Église. Non pas seulement l’Église catholique, mais toute Église et toute orthodoxie. Déisme humain, humanisation de Jésus, religion sans dogme, sans autorité ni Église, toute l’opération de la laïcité consiste à ne pas abandonner l’idéal, l’infini, la justice, l’amour et le divin, mais à les reconduire dans le fini sous l’espèce d'une exigence et d'une tache à la fois intellectuelle, morale et politique. » Il s'agit clairement d'une stratégie cherchant à effacer la noblesse spirituelle chrétienne insoumise à la perversité, afin de démoraliser, rabaisser et affaiblir le peuple français (et les autres) pour le dominer en faveur des oligarques sionistes, surtout qu'il a en plus avoué dans un de ses livres que le judaïsme politique existe en réalité. C'est à dire que pendant que lui développe sa spiritualité juive, il prétend défendre l'occident, alors que corrompant donc le pays de l'intérieur comme le font aussi beaucoup d'étonnants programmes télés fades et abrutissants ou certains politiciens tel Geert Wilders le leader du Parti Néerlandais pour la liberté, jusqu'à détruire la civilisation avec l'acceptation laïque des droits homosexuels, de la transsexualité, du mariage non traditionnel, de l'usure, des lois libertaires, de l'extrémisme ultra-libéral, du transhumanisme et de la pornographie, afin de permettre l'oppression financière contre le peuple rabaissé donc jusqu'à la faiblesse morale pour donner le pouvoir à sa minorité confessionnelle. Dans ce sens, la pornographie professionnelle à l'origine organisée par des juifs est un cercle vicieux de passivité et d'auto-alimentation. D'ailleurs l'avocat, rabbin et magnat de la pornographie Solomon Friedman résume bien ce système messianiste juifs corrompant les peuples pour les dominer. La société de capital-investissement qu’il a aidé à fonder, Ethical Capital Partners, a acheté le plus important site pornographique au monde, Pornhub. Le rabbin Friedman promet que les pires aspects de la pornographie disparaîtront, ce qui lui permet aussi de prétendre que la pornographie qu’il promeut n’est pas critiquable. Pour améliorer son image, l’entreprise a d’ailleurs l’intention de parrainer des articles de recherche, des conférences universitaires et de créer d’autres forums pour « déstigmatiser » et démystifier le commerce de la pornographie sur Internet. En gros, il s’agit de faire passer le message que la pornographie doit être banalisée. Or Laila Micklewait rétorque que le nouveau système de vérification de Pornhub pour le téléchargement de contenu ne garantit pas que toutes les personnes visibles ont donné leur consentement pour la publication de ces images pornographiques. D’autres poursuites, dit-elle, sont à venir. À aucun moment, Solomon Friedman n’explique comment son activité de pornocrate est compatible avec son statut rabbinique. Ainsi aussi en réalité, les agents antipatriotique comme Alain Bauer, Eric Zemmour et donc Vincent Peillon ne prônent pas une laïcité neutre, mais une laïcité positive, active, combative et donc religieuse. En effet diminuer, voire faire disparaître la spiritualité des autres, source de clairvoyance, d'intégrité, d'intelligence, de transcendance, de bienfaisance et d'évitement de l'Enfer, permet de facilement manipuler le peuple. Ainsi cette destruction de la religion chrétienne allant jusqu'à celle de la famille traditionnelle est sournoisement organisée par Peillon et sa clique, comme le prouvent la pratique monothéiste de ce dernier puisque fêtant la bar-mitzvah de son fils et la spiritualité de la famille traditionnelle étant le pilier principal de la civilisation car elle stabilise une nation en particulier donc pour éviter de malveillantes, pullulantes ou oppressantes ingérences étrangères ou privées. C'est à dire que l’individu poussé à devenir roi, mais en réalité de rien, débarrassé des relations familiales gratuites et de toute solidarité, du travail pénible et du culte de l’effort, de la croyance en Dieu et de toute transcendance, de l’idée de nation et de fraternité d’armes, sera alors devenu à son insu un soldat du Système sans aucune résistance possible. Il ne disposera plus des moyens mentaux et sociaux de se défendre contre l’intrusion et la conformation oligarchiques. C'est pourquoi Vincent Peillon a même été jusqu'à dire que l'école républicaine doit amener les enfants à devenir des citoyens, sujets autonomes à la république laïque. Au cours des dernières décennies, les pratiques éducatives occidentales se sont même malheureusement éloignées de ce que l’on appelait autrefois la « pensée critique ». En fait, la pensée critique était autrefois un élément fondamental dont des universités américaines et il semble aujourd’hui que ce concept n’existe plus, du moins pas de la manière qu'auparavant. Au lieu de cela, un autre type d’apprentissage a vu le jour, qui promeut la « pensée juste » ; une forme d’endoctrinement qui encourage et récompense une réponse particulière des étudiants, conforme à l’idéologie et pas nécessairement à la réalité. Ceci étant à l'image de la plupart des dictatures qui s'éloignent de l’État démocratique moderne prétendant par l'école orienter les enfants vers un esprit indépendant suite à avoir reçu un savoir riche et utile. Dans le monde moderne, la prise de pouvoir se fait en plus par la culture. Celui qui contrôle la culture (ainsi que les médias) contrôle le pays politiquement et économiquement. Aujourd’hui, la culture en Europe est malheureusement contrôlée par des structures pro-américaines mondialistes. La principale bataille aujourd’hui n’est pas tant militaire que culturelle. Il est donc crucial de comprendre la nouvelle mission de la culture, qui porte la sémantique de la civilisation. Peillon dira encore en tant que franc-maçon que l'école républicaine laïque doit conditionner une nouvelle naissance des enfants (souvent également à travers un anti-racisme synonyme d'anti-France et donc d'anti-français facilitant aussi la domination perverse sur le peuple), telle une nouvelle église, avec son nouveau clergé, son nouveau baptême, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L’Éducation nationale, l’usine à républicains » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=1591&v=Z90LeJwahCU&feature=emb_title De plus : « Il faudrait quand même s’interroger sur la raison pour laquelle la classe dominante alloue tellement d’argent à une institution qui serait censée être une espèce de village résistant de l’intérieur. La bourgeoisie adore l’école, elle a très envie qu’elle perdure, elle veut qu’il y ait une école publique par ailleurs parce que ça lui permet, elle, de mettre ses enfants dans l’école privée, tout en étant contente qu’il y ait une école publique pour garder les pauvres. » (François Bégaudeau) L’école a toujours fait monter qui elle voulait faire monter, qui elle avait besoin de faire monter pour des raisons économiques, industrielles, capitalistiques. Le problème, c’est que 95 % des enfants sont dits nuls en maths, et que ne sont conservés par la bourgeoisie que les forts en maths qui peuvent lui servir dans l’organisation de la production et de la dominance politique. C’est tout l’objet de l’ENA, de l’X et de Sciences Po, pour ne prendre que ces établissements dits d’élite. Mais une nation est faite de beaucoup d’autres personnes que ces étudiants qui sortent des grandes écoles. C’est la source du problème numéro un de la France : des élites consanguines autoproclamées, renouvelées en petit comité, disqualifiées par leur influence de toute évidence désastreuse sur la nation. Surtout que ces élites sont protégées de toute justice populaire grâce à une Justice corrompue par les réseaux de pouvoir occultes (voir la très longue impunité de l’oligarque socialo-sioniste Jérôme Duhamel), pendant que des élites naturelles formées sur le tas sont écartées, ignorées ou vilipendées par les médias mainstream qui ne sont plus dominants, car ils ont été dépassés par l’Internet incontrôlé ou pas encore totalement sous contrôle, celui qui fait l’opinion. L’école est bien une machine à brider les corps impatients, les intelligences sauvages, pour ne garder que les serviles intelligences utiles au maintien de la structure hiérarchique sociale. La surprise, c’est quand des gens qui ont les moyens intellectuels d’être des agents de la dominance passent de l’autre côté de la barrière sociale. On appelle ça une révolution, ou l’évolution, qui renversera la laïcité ou au moins le laïcisme. La laïcité n’est pas cette séparation des pouvoirs que l’on a vendue aux masses, mais elle consiste à usurper la souveraineté (d’essence divine) pour la transférer à la République, l’État, la Nation, qui, détenant cette souveraineté, soumettra, détruira et remplacera toute religion, minoritaire ou majoritaire, sur son territoire, en particulier quand elle est fortement influencée par de très riches groupes de pressions mondialistes, oligarchiques, wokistes ou sionistes, sachant que la piété populaire limite leur cupidité et donc leur domination. Ceci constitue donc un renversement hiérarchique des ordres et une lente décomposition de la patrie et de la société, dont à travers l'acquisition du pouvoir politique et la création du droit par ces pervers groupes de pressions pervers, étranger ou/et privés. Ce livre de Youssef Hindi poursuit et se finit avec cet important chapitre en partie résumé « Anthropologie et religion : aux origines de la décomposition des sociétés modernes. » : L'auteur y rappelle qu'il a analysé et mis en exergue, dans son précédent ouvrage « Occident et Islam », les origines messianiques et antinomiques (sionistes) de l’athéisme moderne (destructeur des lois divines et naturelles pour diminuer la force spirituelle des peuples afin de les manipuler plus facilement), et plus précisément l'athéisme dont sont porteuses les idéologies modernes et révolutionnaires, tels le libéralisme, le républicanisme, le socialisme, le communisme, Mai 68, le mondialisme et même le nazisme selon Pierre Hillard. En effet ces mouvements progressistes utopistes athées ont découlé de la perversion juive sabbato-frankiste, c'est à dire liée à Sabbatai Zevi puis à Jacob Frank, et se prétendaient tous illégitimement être l'accomplissement heureux final de l'humanité dans un paradis terrestre sous des formes de messianismes laïques illusoires devenant donc des idéalismes moteur égarés, puisque c'est uniquement par le véritable islam que l'humanité peut parvenir au petit paradis terrestre, puis au Grand Paradis Céleste, comme il sera revu plus tard. Le « Jacob » Frankisme peut être défini comme une continuité du marranisme, du messianisme et de la kabbale. C'est à dire que le but du sionisme est de parvenir par des institutions et des idéologies modernes (athées) à faire vivre les non-juifs sous l'impérium du judaïsme sans que nous le sachions. En effet, en remplaçant la loi divine par les droits de l'homme résumé à travers « liberté, égalité, fraternité », devenus « libéralisme prédateur et libertaire au lieu de liberté de culte, de propriété et d'entreprendre du monothéisme, égalité des droits pour les homosexuels et les transsexuels au lieu d’égalité devant la loi du monothéisme, et fraternité de l'athéisme laïque franc-maçon au lieu de fraternité en religion et par rapport à Adam et Eve » et devenus « liberté de blasphème, égalité sauf pour les ultra-riches, et fraternité dans l'oppression subie par le peuple », les sionistes et la perverse caste ultra riche mondialiste parviennent à manipuler et dominer les peuples par cette corruption rabaissant le niveau moral de ces derniers. Cela dans le but de parvenir à faire apparaître le faux messie pour contrôler une partie de la terre (mais seulement pendant 37 jours selon le Prophète Mouhamed), alors que Dieu a évidemment interdit à tous les croyants de ne pas hâter la venue du Messie en particulier par la corruption, même si des prophéties juives, chrétiennes et islamiques expliquent qu'il arrivera quand le monde sera plongé dans l'égarement et la perversion des lois religieuses. Cette très importante interdiction divine a donc évidemment été pervertie très gravement par le sabbato-frankisme, puisque cette idéologie très corrompue valide les pires actions en cherchant à amener tout au plus bas par un évident très honteux prétexte fallacieux donc d’accélérer légitimement la venue du Messie : (S16v1) « L'ordre d'Allah arrive. Ne le hâtez donc pas. Gloire à lui ! Il est au-dessus de ce qu'on Lui associe. ») De plus avec la fin du Califat dans le monde musulman qui empêchait la division, les partis politiques dont athées sont apparus presque partout dans le monde et les idéologies islamiques prétendument réformatrices authentiquement alors que gravement égarées se sont multipliées, dont celles terroristes. Ceci expliquant donc comment en moins de 200 ans, la plupart des royaumes chrétiens et une grande partie du monde musulman ont basculé vers des républiques athées ou laïques, dont suite à des actions militaires, des services secrets ou l’oppression de l'usure massive. Puis le rabaissement spirituel et l'appauvrissement populaires à travers ce système politique matérialiste, organisé, contrôlé et exploité d'abord par l'avide hyper classe mondiale ultra-libéraliste et la domination des sionistes, ont permis particulièrement avec l'aide des médias, de la publicité, du cinéma et de la musique d'augmenter les segments de marché pour toute habitude nouvelle ou sociale (motards, rappeurs, geeks, hommes d'affaires, immigrés, hétérosexuels, homosexuels, bisexuels, transsexuels, transhumanistes etc). C'est à dire qu'en en étant parvenu à faire de l'homme une marchandise comme une autre, ce système leur est devenu encore plus lucratif. Surtout qu'il pousse aussi à effacer le rôle du père de famille freinant généralement la consommation et modérant donc la famille comme le véritable monothéisme. D'ailleurs cette destruction du père a commencé avec la décapitation du roi Louis XVI, père de la nation. Or comme le mondialisme attaque aussi le père et le monothéisme authentique car ils apportent chacun la modération, la tempérance morale, la vertu, l'esprit de famille traditionnel et le respect des institutions, de la nation et de l'Etat, cela prouve qu'il est bien lié au messianisme juif erroné cherchant la domination politique et financière par la perversion. C'est à dire que cet égarement mondial travaille à un messianisme sans Dieu servant des impies juifs ou mondialistes généralement de l'élite, dont une étape importante a été les manifestations de mai 1968 (pré-révolution de couleur) qui avait pour slogan « il est interdit d'interdire » même le mariage homosexuel, la consommation de drogue, l'avortement et bientôt la pédophilie. Surtout que les pervers arguments d'orientation sexuelle libre ou de nature innée même pour un enfant ont déjà été utilisées par certaines personnes grandement égarées voire très corrompues, tels dans des analyses du juif Sigmund Freud, dans l'essai « La Révolution sexuelle (expression totalement impie inventée par les sionistes pour affaiblir tous les peuples moralement afin de les dominer) » de Wilhelm Reich dénonçant la « société autoritaire » bâtie sur l'ordre moral défini par l'Église, dans son travail dénonçant follement la « répression de la sexualité juvénile », et dans les travaux de l'entomologiste américain Alfred Kinsey dont concernant l'analyse de ses nombreuses pratiques diaboliques sur l’orgasme d'enfants et même de nourrissons ayant pourtant très étrangement fait l'objet d'une Charte des droits sexuels proclamée en 2008 par une organisation partenaire de lʼONU, lʼInternational Planned Parenthood Family. L'absence croissante du père et la féminisation de la société depuis cette révolution de 1968 ont ainsi diminué l'autorité par essence patriarcale vers une forme de matriarcat libertaire de plus en plus établi, et donc amené les gens masculins des nouvelles générations à moins de maîtrise d'eux-mêmes, de leur virilité et donc de leur force pour la justice dont religieuse. En effet le père représente plus la force de la juste loi établie et la mère représente plus la manière de vivre cette loi, c'est à dire à travers la douceur, l'amour, la miséricorde ou la rigueur. Or les mondialistes ne veulent pas seulement détruire la société patriarcale, mais aussi l’amour entre les hommes et les femmes. De plus un autre slogan perversement totalitaire est ensuite apparu : « Pas de liberté contre les ennemis de la liberté ». Ainsi le sens de la liberté est devenue libertariste, alors qu'elle ne peut être totale mais encadrée dans un domaine moral devant préserver la civilisation, comme à travers les interdictions du mariage homosexuel, du meurtre injustifié, de l'usure, de la pédophilie, de l'inceste, etc. Le libertarisme a souvent pour origine la bourgeoisie cherchant de la renommée à partir de ses névroses et de son oisiveté. En effet la bourgeoisie catholique réagit de plus en plus de manière bourgeoise que de manière catholique. Mai 68 a été une révolution sociétale provenant de 1789, novembre 2018 et ses gilets jaunes est une révolution sociale venant rééquilibrer celle de 1789. Pierre de Brague : « En remettant en avant la mystique, l'intuition (du fond, spirituelle, géométrique, souveraine, qualitative) et le social, il faut dépasser la culture bourgeoise (de la forme, matérielle, arithmétique, ultra-libérale, quantitative) venant de cette révolution de 1789 s’enfonçant actuellement toujours plus dans la décadence. » A ce sujet il est intéressant d'écouter l'émission « POURQUOI TANT DE HAINE ? LES GILETS JAUNES, AVEC LES GILETS JAUNES CONSTITUANTS & NOUS VOULONS VIVRE » https://www.youtube.com/watch?time_continue=1662&v=2nx35miSL7g&feature=emb_title Dieudonné Mbalabala : « Nous sommes dans un monde qui semble perdu, un monde qui se cherche. On le voit depuis quelques années : mariage pour tous (créé follement pour la première fois en terme de droit dans l'histoire de l'humanité), procréation tarifée, (théorie du genre), trafic d'organes, terrorisme, radicalisation (des idéologies), menace de guerre nucléaire. Nous sommes arrivés à la fin d'un système. L'obscurantisme moderne prétendument progressiste et droit-de-l’hommiste, arrive à son apogée : le non sens(, revenant à dire absurdement, follement, maléfiquement, dangereusement, et donc démoniaquement que rien n'a une nature et par conséquent de sens, et s'opposant ainsi gravement au bon sens, et donc à la loi naturelle, et donc au monothéisme authentique). Oui, nous évoluons à présent dans le non sens total. La lumineuse et généreuse idée d'un accès au savoir pour tous (dont par internet) s'est transformée en quelques temps à un accès illimité 24h/24h au mensonge et à la perversion (en particulier par la télévision et la pornographie, et malgré un éclatement de l'information et une ouverture de la science via internet). (A cause du système et de nombreuses personnes indignes, nous sommes réellement confrontés à une avalanche de mensonges, de bassesses, d'impostures, de contre-vérités, de trahisons et de manipulations.) Avec des élites sans panache, vidées de toute substance créative (et sensée), nous sommes en roue libre vers le grand n'importe quoi (alors que pourtant il existe incontestablement une morale universelle, une décence commune concernant divers points, comme la famille traditionnelle, la volonté de sécurité, le respect des biens d'autrui, la justice économique, et la noblesse de manger à sa fin en ayant une demeure). » En effet la technologie dont surtout internet, formidable serviteur devenant souvent maître des désirs (et de nos opinions dont par la manipulation de la télévision), peut aller jusqu'à ne pas développer la connaissance de beaucoup dont en les abrutissant par leur utilisation futile voire immorale de cet outil internet, alors qu'il peut incontestablement enrichir spirituellement, religieusement, scientifiquement et philosophiquement. Or de nombreux bons articles, vidéos et exposés sur internet servent quand même a élevé grandement le niveau de connaissance aussi de beaucoup malgré l'athéisme des idéologies modernes. Et les réseaux sociaux ainsi que les sites d’informations alternatives ont en plus permis la réinformation d'une grande partie de la population, car l'être humain sait souvent reconnaître la vérité quand il l'entend. Même la télévision et les pubs ont relevé dans un aspect le niveau linguistique (voire en plus poétique) général puisque devant parler le plus correctement possible, mais pas par rapport à la lecture répandue auparavant et peu pour les catégories sociales inférieures. De plus les apparitions du républicanisme, du fascisme (étatisme), du socialisme et du libéralisme ont tout de même apporté en partie à travers la raison humaine des compréhensions intéressantes du rôle, des intérêts, et donc des négociations ou des compromis parfois nécessaires entre l’État, la gouvernance, le peuple, les entreprises commerciales, les patrons, les travailleurs, la propriété, la vie en société, et le capital pour le bien commun ou l'intérêt général, dont au niveau politique, géopolitique et monothéiste, et au niveau de la distinction de chiffres économiques importants comme le PIB, le solde commercial, le taux de croissance, le pouvoir d’achat, le taux d'inflation, l'épargne, le placement, la production, la consommation. Or il faut noter qu'on parle de personnes communistes, fascistes, islamistes, mais qu'on parle de personnes libérales comme s'il ne s’agissait pas de personnes suivant une idéologie mais l'ordre naturel des choses... De même il est intéressant que cela ait mis en relief le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire ainsi que la possibilité de leur indépendance respective dans certains cas. Surtout que le pouvoir ne s'arrête que là où il trouve des limites, dont face à la grève voire à la révolte populaires. Tout cela permettant aussi de mieux comprendre au niveau du droit social dont islamique, l'importance au sein de la noblesse du juste milieu entre l'autorité, la liberté et l'ordre. C'est pourquoi le grand plan du destin de l'humanité et toutes situations peuvent très dignement être seulement perçues comme de l'éducation morale ou des épreuves pouvant nous ennoblir. Ainsi de même que les scientifiques se servent des découvertes mathématiques, physiques et chimiques précédentes dans leurs recherches et analyses, pour analyser certains domaines comme ces systèmes politiques, sociaux et économiques modernes, on peut par une ouverture d'esprit se servir intelligemment de l'outil critique du marxisme (sans adhérer à la philosophie matérialiste marxiste, car Marx était gravement voire sournoisement amoral), comme de ceux de certains philosophes dont antiques tels Aristote ou Platon, et bien sûr aussi comme de celui du monothéisme authentique. Or les pervers messianistes ont parfois utilisé ces bonnes analyses comme certaines de Marx pour propager le communisme athée afin de dominer les peuples dont en les éloignant du monothéisme authentique, et utilisent même désormais des mensonges grotesques ou de perverses interprétations dont de la liberté pour propager le progressisme wokiste synonyme de libéralisme à outrance mais aussi de marxisme culturel dévoyé. Ces systèmes politiques erronés ont aussi mis encore plus en évidence les rôles et l'importance des cinq pouvoirs principaux dans une société : législatif, exécutif, judiciaire, médiatique et monétaire. De plus ils ont permis une liberté d'expression et une science plus libres que sous un régime religieux dont par rapport à ce site et à l'apparition de la cryptomonnaie et surtout de la blockchain nécessaire puisque synonyme de pureté économique équilibrante à notre époque dangereusement dérégulée. Et ils ont en plus clairement rappelé l'importance des devoirs régaliens de l'Etat : police, justice, défense nationale, politique étrangère, diplomatie, impôt, gestion d'une grande partie de l'eau, projets routiers, création de la monnaie, banque nationale, prêt bancaire à taux zéro pour des projets commerciaux ou entrepreneuriales solides ; et des secteurs essentiels devant donc rester des services publics quand c'est possible ou nécessaire tels l'éducation, la santé, les transports, les communications et l’énergie. En effet il est des biens et des services (du bien commun) qui doivent évidemment être placés en dehors des lois du marché. L'Etat est aussi là pour encadrés les intérêts (dont libertés) individuels afin qu'ils convergent vers l'intérêt général. Or ces dernières décennies avec le recul du périmètre de l’État, cela a augmenté la pauvreté, les inégalités et la baisse générale du niveau de vie au profit de la caste mondialisée ultra riche. Ainsi pour le bien commun, une société a également besoin de corps constitués au niveau des personnes morales de droit publique dont l'État, les collectivités territoriales, les établissements publics, et de corps intermédiaires au niveau scolaire, sécuritaire, médical, économique et judiciaire, afin d'éviter la privatisation, et donc la cupidité ou la perversité, et donc le risque de gestion inconséquente de ces secteurs. Or le système actuel considère tout espace de liberté comme un cancer qui met en danger son existence et n’aura de cesse de tous les éradiquer. Il privatise beaucoup en faveur des très riches et contrôle la liberté et l’indépendance d’esprit jusqu'à désormais interdire l'école à la maison, puisque l’instruction a cédé sa place à l’éducation institutionnelle synonyme de formatage idéologique. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Interdit d’apprendre (mieux) à la maison » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Interdit-d-apprendre-mieux-a-la-maison-61129.html Pour son profit et son développement, le Nouvel ordre mondialiste perversement manipulateur est en plus basé sur la culpabilisation de l'humanité, dont à propos de ses dégâts sur la nature faisant devenir l'être humain coupable du réchauffement et donc méchant. Et cette culpabilisation du peuple se passe au niveau des dangers climatiques, des conséquences sanitaires, du gaspillage de l'énergie et des pénuries, la diversion est parfaite. Pour Jean-Louis Daudet, auteur du livre "Croyez ou vous êtes morts", depuis quelques années, nous sommes confrontés à des obligations ou des interdictions de tous ordres. On ne peut plus dire tel ou tel mot, on ne peut plus exprimer telle ou telle pensée. La censure s'exerce à tous niveaux dans de nombreux aspects de la vie quotidienne. Associées à ces interdits, de nouvelles croyances ont été créées dans différents domaines. Ces nouveaux dogmes sont répétés chaque jour dans tous les médias et repris à l'envi par les réseaux dits "sociaux". Il s’est établi une véritable religion de la terreur. Par ailleurs l’État, nécessaire pour préserver la liberté, l'ordre et la paix sociale, détient donc la responsabilité de la violence légitime à travers la police et la prison. Cependant il ne faut pas faire un usage disproportionné de la force, comme lors de l'usage de LBD et de l'arrestation d'une personne ne portant pas de masque sanitaire ou fumant dans un lieu publique. Et pour éviter de diviser le peuple, les journalistes ou instituts de sondage ne doivent pas demander si les citoyens sont pour ou contre la police en fonction des images de policiers frappés par des manifestants ou de citoyens frappés par la police, mais demander quelle police voulez vous, car certains responsables policiers corrompus peuvent organiser des agressions de policiers pour leur légitimer plus de répression. C'est pourquoi l'IGPN (organisme de surveillance de la police par la police) devrait devenir citoyen. D'autre part l'indépendance financière et le droit de propriété foncière et commerciale accentuent la liberté et donc la paix sociales pour éviter la tyrannie ploutocratique. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'accès à cette indépendance financière de même donc qu'à la propriété foncière et commerciale devienne de plus en plus impossible, à travers la perverse monopolisation de l'économie par des multinationales appartenant à des oligarchies corrompues poussant à des lois supranationales oppressantes. Cependant l'attachement à la propriété foncière est déconseillé par le Prophète (SBDSL) pour éviter donc un sédentarisme trop individualiste, un amour trop important du bas-monde, un oubli de son épéhémérité et un détournement de la demeure éternelle du Paradis, ce qui n'empêche donc pas de chercher à être propriétaire d'une entreprise. Il est donc possible d'avoir une demeure en location ou une propriété foncière sans attachement et sans y végéter, tout en ayant une propriété commerciale familiale pour utiliser principalement l'argent dans l'épanouissement familial, les investissements entrepreneuriaux, le développement national et la recherche scientifique raisonnable, mais aussi donc pour empêcher la tyrannie politique soumises à des entités privées ultra-riches. En sachant que payer une location n'est pas un mal surtout si c'est pour éviter d'acheter une propriété par de l'usure même en petite partie : Selon Abdullah Ibn Masud (SDP), le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Ne vous attachez pas aux propriétés foncières car elles susciteraient en vous le désir de ce monde (avarement et jusqu'à votre mort dont par une possible sortie de la vie sociale et car ne dépensant plus mensuellement pour Dieu en ancrant donc le cœur à la terre au lieu de tendre vers l'au-delà). » (Tirmidhi) Le vrai problème est la raréfaction bureaucratique du foncier associée à la spéculation massive de grands fonds d'investissements internationaux et à l'achat de propriété par des étrangers, car cela augmente fortement les prix de l'immobilier et entrave donc l’accession des familles modestes à la propriété dans leur région. On peut également y associé la croissance des grandes agglomérations, à commencer par la région parisienne. Les Français ont besoin d’un plan visant la décentralisation des activités économiques et une occupation équilibrée ainsi qu'harmonieuse de notre territoire. Par rapport aux systèmes politiques évoqués dans ce chapitre, il est bon de savoir que l'islam en conformité avec le christianisme est divinement dans un sage juste milieu, car simultanément dictatorial par ses règles divines (dont patriotiques et non ultra-libérales libertaires), capitaliste (telle la réelle droite qui est celle des valeurs validant le droit de propriété et d’entreprendre et organisant un marché libre et juste, voire parfois plus ou moins régulé si nécessaire) par le sacré au niveau du sang, des biens et de l'honneur de chacun, et socialiste (telle la réelle gauche politique donc non sociétale ni ploutocratique) par la zakat (impôt social purificateur, un des cinq piliers obligatoires de l'islam) et par les exhortations christiques et coraniques invitant à agir souvent pieusement pour résoudre les problèmes des autres en particulier des faibles (orphelins, handicapés, pauvres, malades, personnes âgées). Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « Conférence Jean Michel Vernochet -Youssef Hindi - Partie 02 » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=vXinkS6ecEA Les travaux du démographe et historien Emmanuel Todd, spécialiste des structures familiales (qu’il étudie selon l’anthropologie historique), confirment sur la base d’une toute autre méthodologie l'analyse de Y.Hindi, à savoir que les mouvements athéistes constituent non pas seulement une négation de Dieu, mais une lutte contre Lui (servant donc à l'affaiblissement moral puis à l'asservissement des peuples par les impies). Ses travaux sur la crise des sociétés modernes mettent en évidence que leur décomposition, ayant précédé leur atomisation, est essentiellement due au vide religieux ; il en arrive donc, par le biais d’une étude historique quantitative (statistique), anthropologique et empirique, à la conclusion qu’aucune société ne peut vivre sans croyance religieuse. D'ailleurs l'atomisation de la société anglaise protestante (christianisme cupide) au niveau familial à la fin du Moyen âge par rapport à la France catholique (christianisme charitable) le montre bien, dont car il y avait plus de terres vendues que de terres héritées déjà à cette époque en Angleterre.
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