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F) Suite 6


« La Russie ne peut qu’être profondément consciente que la Turquie est un pays membre de l’OTAN unique en son genre, qui cherche véritablement à développer ses relations avec elle et qui s’est engagé dans un partenariat dynamique sur un large spectre, allant de l’énergie aux missiles en passant par le tourisme – et qui entretient également une relation finement équilibrée avec l’Iran, le partenaire le plus important de la Russie au Moyen Orient. Bien entendu, l’équation personnelle entre Erdogan et Vladimir Poutine a été un facteur clé, même si son éclat s’est quelque peu estompé après les récents compromis de la Turquie avec les États-Unis sur l’adhésion de la Suède à l’OTAN, ce qui constitue un sérieux revers pour les intérêts fondamentaux de la Russie dans le nord de l’Arctique, une zone de profonde préoccupation stratégique pour Moscou car c’est là que la flotte de sous-marins russes à armement nucléaire est basée. En outre, la sécurité de la mer Noire et de la Méditerranée orientale a un impact sur la présence croissante de la Russie en Afrique du Nord, dans la région du Sahel et dans l’ensemble de la République centrafricaine, qui sont riches en minerais. Après avoir réussi à placer l’Arménie dans l’orbite occidentale et à retirer la force russe de maintien de la paix au Haut-Karabakh, la prochaine phase pourrait bien être une poussée de l’OTAN pour fermer la base russe en Arménie. Par conséquent, l’influence de la Turquie en Transcaucasie pourrait changer la donne à long terme, car les rétives républiques musulmanes russes dans le Caucase du Nord sont dans la ligne de mire de l’Occident. D’une manière générale, la Turquie devient un participant indispensable au programme expéditionnaire «hors région» de l’OTAN, qui s’étend à la Transcaucasie et à la mer Caspienne, puis à l’Asie centrale et à l’Afghanistan, dans un vaste arc qui pourrait amener le système d’alliance occidental dans le voisinage étendu de l’Inde, dans un grand pivot eurasien qui renvoie à la théorie du Heartland de Mackinder : « Celui qui tient l’Europe occidentale (dont l'Ukraine) commande le Heartland (la terre centrale), celui qui tient le Heartland (la terre centrale) domine l’île mondiale, et celui qui domine l’île mondiale domine le monde. » (1904) Mackinder avait tendance à être trop eurocentrique, mais l’importance du cœur de l’Eurasie n’a non seulement pas diminué – elle abrite la plupart des ressources minérales restantes dans le monde – mais elle a peut-être même augmenté après la montée de la Chine en tant que superpuissance et son initiative des «Nouvelles routes de la soie». Sur les grandes questions régionales et internationales, la position de la Turquie s’écarte de plus en plus de celle de Washington. Ainsi, la Turquie n’a pas rejoint la coalition dirigée par les États-Unis qui affronte les Houthis en mer Rouge. Une fois encore, la Turquie a fermement condamné la frappe aérienne israélienne contre l’ambassade iranienne à Damas le 1er avril, alors que la réponse d’Ankara à la frappe aérienne iranienne contre Israël le 13 avril a tardé et s’est faite sur un ton modéré, la principale préoccupation étant la propagation potentielle du conflit israélien de Gaza dans toute la région, suivie de la crainte que l’attention internationale ne se détourne de la tragédie de Gaza. En effet, la Turquie est le seul pays de l’OTAN à avoir refusé de soutenir la déclaration commune parrainée par les États-Unis, jeudi, contre l’Iran, pour sa riposte contre Israël(, mais elle vende des armes à Israël). » (M.K. Bhadrakumar)
Or cet équilibriste Erdogan semble défendre avant tout l’intérêt de son pays, dont car en 22 ans, Erdogan a multiplié par 3 voire 4 le niveau de vie des turcs et a désendetté la Turquie par rapport au FMI, mais en ne parvenant pas à empêcher l'augmentation des écarts de richesse. Quoique sa volonté d'adhérer à l'Union Européenne est très étonnante, mais il est désormais candidat aux BRICS. En sachant que la Turquie est le premier membre de l'Otan ayant demandé une adhésion à l'OTAN dont après avoir fait une demande d'adhésion à l'UE. Or la Turquie est utile à la multipolarité au sein de l'Otan comme la Hongrie au sein de l'UE puisque pouvant opposer leur veto. En sachant que la Turquie a soutenu l’Égypte pour empêcher l'envoi des palestiniens dans le Sinaï, et qu'Erdogan a proposé un alliance des pays musulmans pour contrer l'expansionnisme d'Israël. Or par rapport à l’action militaro-diplomatique sur l’Asie centrale par différentes puissances concerne 70 millions de Musulmans avec d’importantes diasporas en Russie, l’attitude de la Turquie de Reccep Erdogan reste ambiguë du fait de ses prétentions panturques qui rivalisent avec la Russie et l’Iran et de son appartenance aux Frères musulmans qui l’opposent aux monarchies du Golfe, tout en étant à la tête d’un Etat membre de l’OTAN. La Chine se veut également une puissance régionale et même l’Inde envisage de s’implanter dans l’ancien « pré carré » russe. Or quelles que soient les intentions d'Erdogan, la Turquie joue parfois l'ancien bon rôle diplomatique de la gaulliste France neutre, quand elle équilibrait les tensions entre grande puissance, même si malgré sa soumission aux USA, à Israël et à l'OTAN l'isolant diplomatiquement à part en Occident et son suivi du mondialisme ultra-libéral l'appauvrissant, la France demeure puissante au niveau institutionnel par sa position à l'ONU et au niveau militaire puisque c'est le seul pays de l'UE à avoir la bombe, ce qui est d'ailleurs combattu par les forces occultes car la France pourrait bientôt partager sa position à l'ONU avec l'Allemagne et ses bombes nucléaires avec l'UE. Ce qui n'est pas étonnant car la position géographique de la Turquie se situe entre les arabes, les perses, les slaves et les occidentaux, mais cela peut l'amener à être opportuniste indignement. Or la diplomatie turque détient aussi un grand pragmatisme d'origine ottomane, ce qui l'empêche logiquement pour l'instant de trancher entre l'hégémonie déclinante des USA et l'hégémonie grandissante des BRICS+. D'ailleurs contrairement à l'Allemagne, la Turquie et même l'Arabie saoudite, il n'existe même pas un parti de la paix au sein de l'assemblée nationale française.
« Le président turc donne l’impression de naviguer à vue en mettant, au premier plan, l’intérêt de son pays. Il cherche à tirer un maximum d’avantages de sa position d’allié majeur et incontournable de l’OTAN sans pour autant sacrifier sa bonne relation avec Poutine, partenaire loyal. Il observe avec intérêt la bascule du monde et la conquête progressive, par les BRICS et l’OCS, de la suprématie économique, commerciale et financière mondiale, qui conduit inévitablement, à terme, à la suprématie militaire. Il se tient, très habilement, un pied dans chaque camp, position qu’il tiendra probablement le plus longtemps possible, pour en tirer un maximum d’avantages pour son pays. Si les événements à venir et l’intérêt de son pays le suggèrent ou l’exigent, La Turquie saisira toute opportunité pour changer de camp sans état d’âme. Partenaire de discussion de l’OCS depuis onze ans, elle y est prête et peut le faire du jour au lendemain. C’est ce qui fait aujourd’hui sa force. » (Général Delawarde)
Mais la police turque a arrêté des dizaines de manifestants réclamant la fin des relations commerciales entre la Turquie et Israël. Des images sont devenues virales montrant la police anti-émeute turque forçant violemment les manifestants à monter dans des fourgons à Istanbul. Des militants turcs ont même déclaré que les manifestants ont également été torturés. En public, le président turc Recep Tayyip Erdogan a sévèrement critiqué Israël comparant même le Premier ministre extrémiste du régime d'occupation, Benjamin Netanyahu, à Adolf Hitler. La Turquie continue cependant d’exporter toute une gamme de produits vers Israël, notamment des explosifs, des pièces d’avions, ainsi que des armes et des munitions, ce qui discrédite énormément Erdogan.
De plus il devient incontestable qu'eschatologiquement pour sauver l'esprit du christianisme véritable (traditionnel, solidaire, charitable), et pour montrer la voie à l'authentique monothéisme final qu'est l'islam, voire en plus pour probablement empêcher une troisième guerre mondiale, la Russie a suivi les prescriptions de l'apparition mariale à Fatima en ayant ramené l'orthodoxie en Russie (dont par le baptême de Poutine, le choix de la Russie vers le monde multipolaire à tel point que Rothschild a même qualifié Poutine de traître au nouvel ordre mondial, la nouvelle affirmation de l'existence de Dieu dans sa constitution, sa récente interdiction du mariage homosexuel et son interdiction de la promotion Lgbt), retrouvé un bon niveau économique, rapporté son rouble à l'or, réussi à être indépendante de l'occident politiquement, financièrement et donc souverainement, obtenu l'autosuffisance licite, modernisé sa grande armée tout en lui construisant une cathédrale, et atteint plus de 6000 armes nucléaires. Surtout que comme son président Poutine a été validé comme leader politique par le patriarche orthodoxe Kirill qui est évidemment contre le pervers et belliqueux schisme orthodoxe ukrainien suite à des manipulations, la Russie est clairement le dernier pays à pouvoir sauver la fin du christianisme orthodoxe mais aussi du bon christianisme en général, dont par son opposition militaire face à l'impie empire américano-wahhabo-sioniste wokiste ou/et ploutocratique effaçant toutes les religions et la justice sociale, par son territoire le plus grand au monde contenant beaucoup de ressources et par ses nombreux liens mondiaux.
« Aux chars russes ont répondu les chars de la gay pride, très rapidement, puisque dès que Kharkov a été libéré, dans les jours qui ont suivi, les autorités ont organisé une gay pride. Quand la Russie recule, c’est le LGBT qui avance, et inversement. Le LGBT est le marqueur, aujourd’hui, de l’impérialisme américain, en quelque sorte, mais au-delà de ça, c’est un peu le marqueur du mondialisme. » (Lucien Cerise)
Il n'est donc pas étonnant que la Russie soit autant diabolisée par les pervers messianistes mondialistes et que nous vivons l'époque eschatologique. En effet la défaite ou/et la dislocation de la Russie serait la fin du bon christianisme et la défaite ou/et la dislocation des USA serait la fin du sionisme. Surtout que comme la Chine n'envahira très probablement pas Taiwan puisque les semi-conducteurs haut de gamme y étant fabriqués sont essentiels à la stabilité de l'économie mondiale, c'est l'Ukraine qui est donc bien le point de bascule eschatologique principal.
Il s'agit de la rupture vitale entre l’orthodoxe Nation-empire Russie et l’oligarchique Empire-mondialiste USA ; entre la Troisième Rome (puisque Moscou incarne actuellement le plus la défense des valeurs chrétiennes après Rome puis Constantinople) et le mondialisme wokiste, ploutocratique et sioniste ; et entre l'idée de la supériorité de l’Esprit sur la matière et l'idée de la supériorité de la matière sur l'esprit. Et il s'agit donc du dernier chapitre dans le grand combat entre l'égarement, la perversion, la dégradation et la perte de l'humanité organisée par Satan lors de son défi à la guidée, à la noblesse, à l'élévation et au triomphe moral de l'humanité par son ennoblissement maximal voulus par Dieu. C'est pourquoi dans ce combat suprême, l'expression la plus noble ne peut être que protégée par Dieu et donc qu'indestructible face à toute autre force. Ce qui prouve que malgré la forte guerre économique (par preuve des inédites très grandes sanctions par leur nombre et leur sens) et militaire de l'occident contre elle, la Russie appartient au dernier pieux ennemi principal impossible à abattre par son très pervers système mondialiste usurier, wokiste, sioniste, belliqueux et ploutocratique, et que nous sommes effectivement dans la fin des temps. Ainsi le Président Poutine pourrait même être lié à Khidr (pieux homme immortel dont le rôle sera expliqué plus tard) et être plus qu'une image du serviteur invincible de Dieu qu'est Dhû-l-Qarnayn cité dans le Coran ayant un rapport à deux époques uniquement, surtout que l'actuelle intervention russe a lieu en Ukraine qui paraît être une partie de la région évoquée dans cet ultime Livre Divin concernant le peuple de Gog et Magog, puisqu’il était proche d'une source boueuse étant très probablement la mer noire.
En Syrie comme dans de nombreuses autres nations, l'américano-sioniste pouvoir profond maléfique recherche la destruction de l'économie réelle (souvent publique) au profit de la financiarisation et la numérisation (souvent privées) de toute l'économie. Ainsi le parti communiste chinois possiblement précédant pourrait avoir été choisi pour essayer le crédit social (réputation des citoyens et des entreprises établie par de la surveillance et un système de points) recherché par les mondialistes. Or en tant qu'empire du milieu au niveau mondial prouvé par sa position géographique et sa muraille, la Chine semble seulement rechercher le business au niveau international, demeure protégée par des patriotes authentiques et doit gérer ses habitants qui sont plus d'un milliard. Alors que le système numérique de surveillance et de contrôle américano-sioniste recherche en plus le pouvoir oligarchique international dont aussi par la déstabilisation économique, sociale et morale d'un capitalisme prônant le wokisme, autorisant l'usure et facilitant la dérégulation financière.
Le capitalisme peut être défini par deux caractéristiques principales : la propriété privée des moyens de production et une dynamique fondée sur l'accumulation du capital productif guidée par la recherche du profit. Les économistes, les sociologues et les historiens ont adopté des perspectives différentes dans leurs analyses du capitalisme et en ont reconnu diverses formes dans la pratique. Ceux-ci incluent le capitalisme de laissez-faire, le capitalisme de marché libre, l'économie sociale de marché ou le capitalisme d'État. Les différentes formes de capitalisme présentent des degrés variables de libre marché, de propriété privée, d'obstacles à la libre concurrence et d'implication de l'État à travers les politiques sociales qui sont du ressort des politiciens et de la loi. La plupart des économies capitalistes existantes sont des économies mixtes, qui combinent des éléments de libre marché avec l'intervention de l'État, et dans de rares cas la planification économique alors qu'elle est pourtant importante. Mais comme cela a aussi été trouvé par l'histoire, il est également important qu'une économie planifiée le soit seulement en partie pour laisser la place à l'innovation de la collective intelligence populaire libre.
Le système capitaliste a connu une popularité croissante depuis la révolution industrielle et est actuellement le système économique de la plupart des pays de la planète. Or il lui est fait de plus en plus de critiques concernant notamment son immoralité (dont usure), ses mauvaises théories économiques, sa domination de l’État, l'oppression du grand capital, le partage peu équitable de la valeur ajoutée (profit), l’organisation abusive du travail, la spéculation financière improductive, le bas niveau du salaire minimum, ou encore son orientation directive des relations internationales, en résumé son manque de régulation de façon globale. L'implication du capitalisme dans de grandes questions sociétales (comme au niveau de sa participation importante au développement du libertarisme matérialiste), son impérialisme ou ses dégâts à l'environnement, font aussi l’objet de controverses. Ceci étant lié au problème de la gauche actuelle qui est devenue sociétale. e libertaire a été le moyen de détruire la gauche du travail car ce n'est en réalité que le prolongement du libéral. C'est à dire que cette dernière ne parle plus aux pauvres mais aux minorités souvent impies : elle parle plus de discrimination que d'inégalité. La gauche d’aujourd’hui, c’est la version originelle (sociale et nationale) qui a dérapé dans le sociétal (dont en se positionnant pour le mariage homosexuel) et l’antinational (en se positionnant pour l'immigration de masse), soit l’anti-gauche absolue par rapport à la légitime qui est la gauche du travail. Tous ces reproches contre la capitalisme sont bons, surtout que le véritable système économique saint même s'il est en partie basé sur la capitalisme individuel sacré au niveau des biens est logiquement celui du Coran provenant de Dieu le Suprêmement Sage Omniscient.
Particulièrement dans ces conditions, le capitalisme est logiquement combattu, notamment par les tenants du marxisme et de l'anarchisme. Ainsi que le démontre l'historien Fernand Braudel dans « La dynamique du capitalisme », le capitalisme s'est développé à partir du XVIe siècle en Europe. Avant la révolution industrielle, l'aspect du capitalisme était principalement lié au commerce, d'où le vocable « Capitalisme marchand » utilisé dans une vision marxiste, et ce jusqu'à la fin du Moyen Âge. Or après la disparition progressive et légitime du féodalisme (qui réapparaît par ce même capitalisme à travers l'organisation néoféodale mondiale des pervers oligarques du privé) car ayant donner le droit de propriété et d'entreprendre pour tous, la croissance économique s'est évidemment développée plus rapidement dans le monde occidental. En effet cette disparition a permis l'extension de cette croissance économique dans toute l'Europe au cours du 19e et du 20e siècles. Surtout qu'associé à l'amélioration des sciences, de la technique et de la pratique économique après la Renaissance, cela a été jusqu'à entraîner l'industrialisation dans la majeure partie du monde et donc la propagation du confort
de base et ainsi de la sécurité, puis du confort moderne actuel. Selon le sociologue Max Weber, l'émergence puis le développement du capitalisme au 18e siècle s'explique par l'apparition du protestantisme et notamment par la propagation des idées calvinistes. D'une part celles-ci conduisent les croyants, même riches, à un mode de vie simultanément travailleur dans le sens de vocation et ascétique au point de valider l'impie thésaurisation. (Or il s'agissait donc d'un système non hédoniste allant jusqu'à l'aliénation de vivre pour travailler plutôt que de travailler pour vivre. Ce qui a entraîné l'obsession pour l'épargne individualiste et donc la création de capitaux massifs pouvant servir d'oppression. En sachant que le matérialisme judéo-protestant laïciste et financier qui tend plus à vivre pour travailler plutôt que travailler pour vivre a écarté l'étude, l’analyse et la caritatif religieux, voire les valeurs de la famille, des loisirs, du sport et du bien être, comme le prouvent les nombreux obèses aux USA.) D'autre part, elles ont conduit à une mauvaise interprétation sur la prédestination, c'est à dire celle selon laquelle ceux qui seraient sauvés par Dieu dans l'au-delà correspondraient à ceux ayant reçu le plus de bénédictions matérielles pendant la vie terrestre et donc de réussite économique. Ce qui a aussi bien entendu puissamment encouragé perversement l'accumulation de richesses ainsi donc que le capitalisme à outrance, puisque le temps terrestre doit en partie principalement servir à dépenser par le libre-arbitre pour Dieu au mieux dont généreusement. De la Révolution française à la chute de la Révolution communiste, l'évolution des conditions juridiques, sociales et politiques (dont en France) fut importante. Ces révolutions de la fin du 18e au 20e siècles poseront un cadre juridique nouveau permettant une croissance encore plus du capitalisme avec notamment donc l'apparition de la propriété foncière possible pour tous par rapport à la féodalité (ce qui est légitime selon l'islam quand il n'y a pas d'abus ni d'excès), du marché du travail et de la propriété intellectuelle (valide au niveau de l'innovation technique mais pas au niveau des bonnes analyses philosophiques ou découvertes scientifiques, car ces dernières appartiennent à Dieu dont pour la guidée et ainsi à toute l'humanité).
Puis le capitalisme prendra donc son véritable essor avec la révolution industrielle et donc l'industrialisation de la société. Les modifications du travail et de son organisation engendrées par l'arrivée de machines entraînent alors pour la population paysanne une source d'emploi, mais en même temps une source de déqualification et donc de chômage pour les anciens travailleurs des domicile-ateliers dont par rapport à la vitesse de travail.
Concernant ces analyses sur le capital, on peut les conclure en précisant que l'islam, avec sa zakat correspondant au seul impôt religieux valide et prélevant 2.5 % sur toute somme ou denrée non périssable thésaurisée pendant un an d'un montant supérieur à 3 000 euros, est aussi la meilleure manière de gérer l'économico-social par un Etat.
Dans ce sens il faut rappeler qu'actuellement pour qu'un pays parvienne à une politique religieuse parfaite guidant un maximum de gens, il devra généralement passer par des étapes imparfaites, mais préservant la paix sociale, et donc le bien commun de base, et donc le bonheur, et donc la liberté de culte permettant de douces prédications nobles incarnant le meilleur moyen de réussite. En effet les compromis intelligents puisque pacifiquement rassembleurs du Prophète (SBDSL) avec les diverses tribus d'Arabie de son époque prouvent que l'adaptation est parfois voire souvent le summum et donc la perfection de l'intelligence même si elle valide un nécessaire passage par l'imperfection dans divers cas, dont pour éviter une rupture trop brutale synonyme de chaos. D'ailleurs par l'organisation progressive de sa révélation, de son établissement et de sa domination dans ce sens, l'islam montre qu'il est accommodant et donc suprêmement digne, c'est à dire synonyme d'une noblesse excellente à travers des phases ou des compromis momentanés et donc de l'adaptation. Ainsi avant la création du premier État sans dynastie royale de l'Histoire qu'a été le Califat islamique originel puisque basé sur la dévolution vers le plus sage (ou l'un des plus sages) des hommes quelle que soit sa lignée et que même la Grèce antique démocrate avait un roi, le Prophète (SBDSL) eut des discussions privées avec les diverses tribus d'Arabie pour sagement établir un consensus national basé sur certains fondamentaux religieux, malgré diverses applications partielles des lois divines à différents groupes, diverses personnes ou certaines régions, afin de les unir et donc les renforcer sans violence tout en montrant sa volonté d'humanisme et d'universalisme. On peut aussi voir cette haute intelligence dans la Russie de 2022, car c'est une fédération constituée de 89 entités (les « sujets de la Fédération ») disposant d'une autonomie politique et économique variable. Son découpage territorial tient entre autres même compte de la présence de minorités, ce qui permet positivement à un président comme Kadirov de pouvoir dénoncer les dysfonctionnements graves de certains officiers militaires russes pour éviter au pouvoir central des complications à cause de l'armée.
Dans le but de trouver un accord unanime évidemment utile et pacifiante faisant ainsi sortir toute relation humaine, nationale et internationale vers le haut, il faut donc chercher par le dialogue, des consultations, des négociations, des compromis, des conciliations, des coopérations gagnant-gagnant, des partenariats ou/et de la solidarité visant à tirer leur quintessence qu'est le juste milieu entre les divers intérêts. Surtout que par des compromis et de l'équité, l'homme est obligé de tendre à gérer au mieux une situation populaire provenant du passé, comme une intervention US militaire ou la révolution de 1789, tout en cherchant le projet politique le plus noble. Dans le sens géopolitique, il est donc aussi important de chercher sérieusement la meilleure équité entre nations, en particulier dans la relation d'une grande envers une petite, mais aussi d'une petite envers une grande, c'est à dire tendre à composer au mieux. Surtout que réussir à établir des relations mutuellement respectueuses, fondées sur le bénéfice mutuel et sur la confiance mutuelle, facilite évidemment la discussion lors des moments les plus critiques. Dans ce sens comme nous vivons actuellement par la volonté divine dans un monde multiculturel et multiconfessionnel où le califat a disparu et les bombes nucléaires existent, il paraît évident que le djihad religieux militaire n'est plus demandé tant que ça ne sera pas seulement pour défendre le califat réapparu pacifiquement et devant comprendre la Mecque ainsi que Médine. En effet il paraît évident de devoir plutôt rechercher la discussion intelligente pour unir les pays musulmans dans un califat bien guidé, dont afin qu'il s'allie avec les pays chrétiens non cupides et trouve des compromis sages avec voire des avantages raisonnables envers les nations athées ou polythéistes afin de les guider au monothéiste. Or le djihad militaire dans un sens religieux peut être valide quand il s'agit de défendre une nation contre l'impie, voleur et destructeur empire américano-wahbbo-sioniste wokiste et ploutocratique. La sécurité de tout même au niveau d'un peuple, de sa nation et de la géopolitique est la première condition de la sécurité de chacun. Par conséquent il faut assurer que les intérêts économiques et sécuritaires essentiels de chacun soient pris en considération. C'est à dire qu'il faut organiser un ordre basé sur les principes de bien commun, de bien-être général et d'humanisme, jusqu'à créer un fond pour le bien-être national sous toutes ses formes comme le fait très noblement la Russie chez elle. Dans ce sens la glorieuse intelligence d'une diplomatie sage entre divers groupes en désaccord est prioritaire, car la dignité ne peut que préférer la paix, l'équilibre et ainsi l'harmonie entre les différentes revendications des différents camps dont par des discussions, des compromis, des accords gagnant-gagnant ou/et des règles momentanées ou permanentes. La diplomatie, c'est d'abord être un bon orateur, et donc avoir une parole maîtrisée, de l'humour, de la répartie, un esprit vif, de la noblesse, de la subtilité, de la finesse, de l'élégance, une culture générale riche, et c'est aussi savoir se taire quand il le faut :
(S49v13) « Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez (dans la dignité par le commerce honnête, le partage culturel et le compromis raisonnable dans vos intérêts respectifs). Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur. »
Commentaire : Il faut comprendre que l'Esprit Saint qui est descendu sur les apôtres incarne aussi l'importance de l'unité ou au moins de la paix synonymes de prédication chrétienne et même islamique originelle, surtout que possiblement à travers un apprentissage au cours du rêve du sommeil qu'il leur a fait rappeler, il a en plus transmis à chacun la compréhension de la langue du pays qu'il allait prêcher, ce qui prouve qu'il faut respecter la culture des autres personnes, ethnies ou nations.
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Le fort n’est pas celui qui terrasse les gens dans la lutte, mais le fort est celui qui reste maître de lui-même dans sa colère. » (URA)
Citation d'Isaac Asimov : « La violence est le dernier refuge de l'incompétence(, mais dans certains cas de la justice, car comme l'a dit le Général et Théoricien militaire Clausewitz, la guerre peut être la continuation de la politique -mais il faut la tenir financièrement et humainement-). »
Or selon Viktor Orbán « C’est un cliché de dire que la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. Il est important d’ajouter que la guerre est la continuation de la politique sous un angle différent. Ainsi, la guerre, dans son implacabilité, nous amène à un nouveau point de vue, à un point de vue élevé. Et de là, elle nous donne une perspective complètement différente, jusqu’alors inconnue. Nous nous trouvons dans un nouvel environnement et dans un nouveau champ de forces concentré. Dans cette pure réalité, les idéologies perdent leur pouvoir, les tours de passe-passe statistiques perdent leur pouvoir, les distorsions médiatiques et la dissimulation tactique des politiciens perdent leur pouvoir. »
D'autant plus que ces conciliations au niveau national et international pour atteindre une profitable osmose dans nos diversités enrichissantes sont parfois nécessaires à la survie d'un peuple, d'une région, ou d'une nation voire de l'humanité, en particulier à travers le commerce ou le savoir-faire de chacun.
Par conséquent si l'ONU dans son objectif d'amélioration des relati
ons internationales et de la situation mondiale ne s’ingère pas dans les règles de chaque nation Souveraine et ne viole pas ses propres règles du droit international, elle est une chose positive, dont aussi lorsqu'elle participe à pacifier une région avec les casques bleus. Car les instruments éternels de la paix sont le dialogue, la diplomatie et la confiance mutuelle. Surtout que l'ONU n'est pas le lieu de la démocratie mais du consensus... Et cela même si l'état profond des USA cherche souvent à corrompre les hommes politiques et riches de tout pays pour son propre intérêt en régnant par la division ou l'oppression qualifiables de sataniques, par preuve que les élites de nombreux pays convertissent leur argent en dollar et le place aux Etats-unis plutôt que dans le développement de leur pays, et par preuve qu'ils leur vendent même des parties de leur pays au détriment de leur peuple.
« Une civilisation n'est détruite par l'extérieur que si elle est rongée de l'intérieur » (Kémi Séba)
« La théorisation du mode de recrutement et de traitement d'une source humaine, aussi appelée agent, a conduit grâce à l'analyse comportementale à identifier différents « leviers » manipulatoires pour l'inciter à fournir le renseignement auquel il a accès (les mêmes considérations pouvant s'appliquer aux agents d'influence). Ces leviers sont très divers, les principaux étant résumés dans des acronymes mnémotechniques plus ou moins approximatifs : SANSOUCIS (solitude, argent, nouveauté, sexe, orgueil, utilité, contrainte, idéologie, suffisance), processus RASCLS de Robert Cialdini. Le plus connu est l'acronyme MICE (« souris » au pluriel), principe posé par les services de renseignement britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale : Money (argent), Idéology (idéologie, intérêt tels passe-droits, faveurs sexuelles), Coercion, Compromise ou Constrain (coercition, compromission ou contrainte tels chantage, menaces, kompromat, torture, etc), Ego (ego, vanité, désir de se mettre en avant). L'acronyme est souvent traduit en français comme VICE (Vénal, Idéologie, Compromission, Ego). » (Wikipédia)
En effet depuis le début de son expansion sur terre, ce genre de situations appartient à la base des épreuves de certains hommes corrompus envers l'humanité autorisée par Dieu pour établir la valeur des âmes. En effet cela permet de voir si la division déshonorable d'un peuple, d'une communauté, d'un groupe, d'un gouvernement ou d'une personne au profit d’États étrangers, ou d’intérêts particuliers, personnels, non nationaux ou non religieux, perd face à l'honneur de l'union dans la paix, le bon sens, le bien commun et le monothéisme. Or comme le montrent de nombreux exemples dans l'Histoire, le fait d’œuvrer exclusivement pour des intérêts autres que ceux de son pays ne peut mener qu’au chaos :
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Vos meilleurs guides (gouverneurs) sont ceux que vous aimez et qui vous aiment, ceux que vous bénissez et qui vous bénissent. Vos plus mauvais guides sont ceux que vous détestez et qui vous détestent, ceux que vous maudissez et qui vous maudissent. » Awf (un compagnon du Prophète) dit : « Nous dîmes : « Ô Messager de Dieu ! Devons-nous nous rebeller contre eux ? » Il dit : « Non, tant qu’ils assurent parmi vous l’office de la prière (en groupe). Non, tant qu’ils assurent parmi vous l’office de la prière (en groupe). » (Mouslim)
Selon Ibn Masoud (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Après moi se produiront des événements que vous désavouerez. » Ils dirent : « Que nous ordonnes-tu, Prophète de Dieu ? » Le Prophète (SBDSL) répondit : « Remplissez vos obligations et demandez à Dieu ce qui vous revient de droit. » (Boukhari)
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Tout homme à qui Dieu a confié la gestion des intérêts d’un groupe, s’il meurt alors qu’il trompe ses administrés, Dieu lui interdit le Paradis. » (URA)

Passage de la résolution 26-25 de ONU du 24 octobre 1970 :  « Aucun état ni groupes d'états n'a le droit d'intervenir directement ou indirectement pour quelques raisons que ce soit dans les affaires intérieures ou extérieures d'un autre état. En conséquence non seulement l'intervention armée mais aussi toute autre forme d'ingérence ou toute menace dirigée contre la personnalité d'un autre état ou contre ses éléments politiques, économiques et culturels sont contraire au droit international. Tous les états doivent aussi s'abstenir d'organiser, d'aider, de fomenter, de financer, d'encourager ou de tolérer des activités armées subversives ou terroristes destinées à changer par la violence, le régime d'un autre état ainsi que d'intervenir dans les luttes intestines d'un autre état. »
Il est sage de rappeler les grands succès de l’ONU :
-le droit international ayant en partie préservé la paix
-le Programme alimentaire mondial (PAM), qui a quand même eu le prix Nobel il y a deux ans
-le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef)
-le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD)
-l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)
-l’Organisation mondiale de la santé (OMS), contrairement à ce qu’on a pu dire pendant la crise du Covid.
C’est ce qu’avait voulu l'ancien secrétaire général de l'ONU Kofi Annan dans son discours du millénaire lorsqu’il avait annoncé ses Objectifs millénaires pour le développement (OMD), repris par son successeur sous la forme des ODD, Objectifs de développement durable.
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, l'ONU a aussi probablement été plusieurs fois utile et donc importante pour éviter la troisième guerre mondiale dont par le droit international. Et cela même si actuellement, l'occident condamne illégitimement l'intervention spéciale russe dans le donbass, puisqu'elle se passe dans sa zone (sphère) d'influence qui doit être respectée, surtout qu'elle a patienté et fait des propositions pendant huit ans avant de protéger militairement une population russophone et russophile ayant refusé le coup d’état de Maiden :
« Le projet néoconservateur est d'étendre l'OTAN pour encercler hostilement la Russie. La guerre en Ukraine a commencé en 2014 lorsque les agences américaines ont renversé le gouvernement démocratiquement élu en Ukraine et installé un gouvernement pro-occidental, qui a lancé cette guerre contre les russes ethniques en Ukraine. En réalité la petite Ukraine est un pion dans une lutte géopolitique initiée par les ambitions des néoconservateurs US pour l'hégémonie mondiale US, dont jusqu'à retirer unilatéralement les deux traités d'armes nucléaires intermédiaires avec la Russie et ensuite installer très hostilement des missiles nucléaires prêts à l'emploi nucléaires en Roumanie et en Pologne, alors que la Russie a plusieurs fois proposé une sortie pacifique de la guerre en Ukraine dont via les accords de Minsk. » (Robert Kennedy Jr, ancien membre du parti démocrate, appelé téléphoniquement par le républicain Trump pour dialoguer, alors qu'éviter par la démocrate Harris)
D'autant plus
que l'occident ne dit rien contre ses propres interventions destructrices en particulier américaines dans le monde qui sont principalement comparables à des blessures qui ne se referment pas. C'est à dire que les interventions de l'occident dont à travers l'Otan n'ont jamais apporté la paix, ni la réussite économique ou sociale comme lors de ses interventions en Yougoslavie, Afghanistan Irak, Libye, Syrie, Yémen. On perd à servir l’Amérique, car n'hésitant pas à pratiquer le terrorisme d’État sous forme militaire jusqu'à la destruction, ou sous forme déstabilisante jusqu'aux révolutions de couleur et aux coups d’État : les Vietnamiens, les Coréens et donc les Irakiens, les Libyens, les Syriens, et les Yéménites le savent dans leur chair. Il faut noter que la raison réelle de la guerre occidentale contre la Yougoslavie fut son refus d'adhérer à l'Union européenne, que celle contre l'Irak de Saddam Hussein eut lieu car ce il voulait faire payer en euro son pétrole et plus en dollar, et que celle contre la Libye de Khadafi fut décidée car il voulait créer le dinar-or comme monnaie unique en Afrique. Il s’apprêtait même à piloter avec le directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, une monnaie commune à plusieurs États africains. Les États africains pauvres soutenus économiquement par la Libye se sont effondrés, et d’abord le Mali. Quant aux raisons réelles des guerres atlantistes (occidentales) contre la Corée, le Vietnam, l'Angola et l'Afghanistan, c'était pour y apporter le capitalisme mais surtout pour commencer à endiguer la Russie et la Chine. Il s'agissait de guerres occidentales par proxy comme actuellement en Ukraine, mais à l'époque pour lutter contre l'URSS. (En sachant que l'Afrique est devenu un lieu supplémentaire de guerre par proxy entre les USA et la Russie comme le prouve celle entre les djihadistes du sahel financés par les USA et l'AES (Mali-Burkina-Niger) soutenu par la Russie.)
D'ailleurs dont dans ses interventions récentes, les Etats-Unis et la CIA ont encore plus largement dérogé au droit international dont en soutenant des groupes terroristes en Syrie et en Ukraine.
Ministre chinois des Affaires étrangères : « Les États-Unis ont cherché à renverser plus de 50 gouvernements étrangers, se sont ingérés de manière flagrante dans les élections d'au moins 30 pays et ont tenté d'assassiner plus de 50 dirigeants étrangers. »
La CIA est en plus une organisation relativement autonome avec ses propres financements et sa propre politique par rapport aux USA. Nous voyons même maintenant le Mali saisir l’ONU en accusant la France de soutenir le terrorisme, puisque le développement des groupes djihadistes serait organisé par les services secrets français, surtout que les difficultés actuelles du Mali proviennent en grande partie de l’intervention illégale de l’OTAN en Libye. C'est à dire que comme les États-Unis pour rester au Moyen-Orient se servent de Daech, les Français étaient au Mali à la fois les pompiers (armée) et les pyromanes (services secrets soutenant les djihadistes) pour rester au Mali. Certes, ils retirent progressivement leur armée, mais au même moment, ils préparent avec Washington une guerre plus vaste au Sahel.
Pendant ce temps, la Russie intervient donc en Ukraine, les tensions montent à Taïwan, l'Iran est pour l'Arménie, le conflit israélo-palestinien est relancé, etc. C'est à dire que l’hégémonie américaine se termine. Surtout que l'Empire américain est aussi attaqué de l'intérieur dont depuis les faux attentats islamiques de 2001 à New York. En effet certains sionistes veulent passer à la pax judaïca qui aura lieu selon eux suite à l'effondrement des USA et de leur fausse pax americana vu leurs nombres de guerres hybrides voire militaires. Or comme pour tout empire, l'effondrement prend du temps.
Dimitry Orlof : « Comme d’autres techniques américaines de changement de régime, qu’elles soient militaires ou financières, la méthodologie de la révolution colorée (guerre hybride) n’est plus en mesure de produire les résultats escomptés, c’est-à-dire le renversement de l’autorité légitime et l’installation d’un gouvernement fantoche. (En sachant que le changement de régime plus ou moins favorable aux USA voire à l'Occident par rapport à un précédent très défavorable peut aussi se faire suite à un assassinat parfois déguisé en accident, suicide ou faux drapeau.) Mais tout comme les autres techniques, elle est encore capable de faire des victimes. À ce jour, l’establishment de Washington a complètement perdu la main, tant sur le plan national qu’international. Les guerres commerciales ont été perdues ; les guerres de sanctions sont devenues des objets tournés en ridicule ; les menaces d’escalade militaire se sont révélées creuses. Tout le système financier américain est un homme mort qui marche encore. Que peuvent donc espérer les Washingtoniens ? Eh bien, ils peuvent toujours utiliser la méthodologie de la révolution colorée pour fomenter une révolte futile et inutile et, ce faisant, ruiner de nombreuses jeunes vies(, affaiblir diverses économies et par cela dominer divers Etats). »
« La contribution du docteur Ahmed Bensaada dans le domaine des révolutions dites «colorées» et des guerres cognitives se distingue par son analyse, pertinente et documentée, de cette problématique et surtout par sa manière pédagogique de transmettre le message aux citoyens des nations concernées, les sensibilisant ainsi aux diverses formes de propagande, de manipulation et de subversion. Sa participation étant largement diffusée, nous avons jugé utile de présenter au public d’autres contributions, en complément, dans le même domaine des guerres cognitives pour qu’il s’informe davantage sur ces nouvelles formes de guerres insidieuses plus destructrices, car elles visent à influencer les comportements des individus par l’exploitation abusive des sciences humaines et des neurosciences. Nous avons sélectionné cet article qui analyse les outils cybernétiques pour contrôler le domaine humain ; la doctrine de la guerre cognitive de l’OTAN ; la gestion des trois camps de la conscience. « (Comme son nom l'indique,) La guerre cognitive est une violence psychologique constante qui est exercée sur les populations à des fins de contrôle et de manipulation absolus. Elle est viol(ence) de nos cerveaux, de nos esprits, de notre conscience et à terme de nos vies et de nos existences physiques et sociales. Il y a une guerre pour la conquête de nos cerveaux, la connaissance et l’information en sont les champs de bataille. Nous devons en être pleinement conscients si nous voulons réussir à changer quoi que ce soit. La guerre cognitive provient du concept militaire du «domaine humain» défini par Curthoys comme étant «toutes choses se rapportant aux aspects opérationnels socio-économiques, partenariats, cognitifs et culturels, impliquant l’engagement et l’influence». Comme l’explique aussi du Cluzel, si les cinq domaines principaux (terre, air, mer, espace et cyberespace) peuvent donner des victoires tactiques et opérationnelles, «seul le domaine humain peut amener la victoire totale finale», c’est à dire sur la population elle-même. Quand des infos, des sections de commentaires, des recommandations de contenu, etc, sont manipulés de manière algorithmique dans les réseaux sociaux, le sens de la réalité d’un individu peut être sévèrement déformé. L’IA peut être utilisée pour mettre les utilisateurs d’un média social dans des silos, où on leur fournit une information qui confirme leur vision du monde. Des groupes différents de gens font une expérience différente de la réalité sociale et la société se divise, incapable de s’unir contre les technocrates qui ne font que rechercher le contrôle social total.  À cause de l’échelle à laquelle ces manipulations cognitives se situent, il peut apparaître que nous ayons à faire à une manipulation de masse similaire à la propagande du XXe siècle. L’OTAN par exemple, affirme que parce que la guerre cognitive est «faite pour modifier les perceptions de la réalité, la manipulation de la société entière est devenue la norme, la connaissance humaine devenant un monde critique de champ de bataille». Mais en pratique, la manipulation de «la société entière» se fait une personne à la fois et non pas par messagerie de masse. Une autre caractéristique distinctive de la manipulation cognitive, comparée avec la propagande traditionnelle, est qu’il ne s’agit pas d’imposer des idées ou des attitudes particulières, mais plutôt de modifier la connaissance et le comportement, par exemple «en influençant le processus par lequel nous parvenons à des idées, des vues, des croyances, des choix et des attitudes» (van Hamelen). En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’influencer ce que nous pensons, mais comment nous pensons. La guerre cognitive peut aussi être utilisé à des fins de gestion de la perception des choses. En ligne avec la promotion du DARPA (Agence pour les Projets de Recherche Avancée de La Défense / Pentagone agence de recherche haute technologie), des «narratifs stratégiques» et des techniques de gestion de la perception remontant au moins au 11 septembre 2001, il apparaît y avoir au moins trois champs, camps d’attention quand on parle du contrôle du narratif «COVID-19». Le premier camp est le narratif officiel, comme épousé par tout ce qui est «de masse» et conventionnel ; ceci est fondé sur de gros mensonges, mais est pourtant cru par une majorité décroissante, susceptible de succomber au pouvoir de la propagande. Le second camp est pour ceux qui ont des doutes sur le camp 1, mais qui sont confrontés à un bataillon de faux dissidents dont le rôle est de s’assurer que le débat critique et la discussion n’aillent jamais au-delà de certains paramètres, dans ce cas précis, un paradigme de santé pharmaceutico-médical public. Les faux héros sont reconnaissables par le grand nombre de leurs suiveurs, leur habilité et capacité à survivre et prospérer sur les plateformes de masse, la quantité improbable de contenu qu’ils émettent tout en volant autour du monde d’un événement à un autre, la promotion croisée qu’ils font avec les autres, leur ostracisation par ceux du champ 3 et leur refus de regarder à des preuves clefs de manière sérieuse (voir le refus de Project Veritas de couvrir les contenus de problèmes sur le «vaccin COVID-19»). Le camp 3 est celui de la vérité. Il attire les plus sérieux chercheurs de vérité, dont la portée sur les plateformes de masse est sévèrement restreinte. Le camp 3 est un endroit encore plus difficile à aller intellectuellement et psychologiquement que le camp 2, parce que cela demande une volonté d’acier pour demeurer sur la voie de la vérité, de la recherche toujours plus rigoureuse, de la volonté  d’endurer des sacrifices personnels et la capacité de faire face à ce qui se joue réellement dans le monde. » (David A. Hugues) » (Amar Djerrad)
Le processus d'une révolution colorée est de faire monter la température avec des attaques contre la police, puis de la rafraîchir avec des filles vêtues de blanc distribuant des fleurs dont dans les fusils des policiers et posant avec ces mêmes policiers. C’est la carotte et le bâton. Alors que face à des manifestations légitimes comme celle des gilets jaunes, les néolibéraux ne pratiquent que la force. En effet les dénigrements, les éborgnements des gilets jaunes par des flash ball montrant que le peuple a clairement un problème avec le système, le refus de la parole dissidente, l'utilisation perverse du Covid, le trucage d'élections comme aux USA, en France ou au Brésil, et la crise en Ukraine prouvent l'actuel radicalisation autoritaire du néolibéralisme mondialiste porté par les médias mainstream. Or ce qui fait la force d'un système de gouvernance, c'est sa souplesse et sa capacité à intégrer l'opposition, à la digérer et à la dépasser, mais le système globaliste va désormais dans les sens contraires. Cependant face à cette perte de pouvoir, les nouvelles forces saines doivent être intellectuelle, politique et économique.
Ainsi les révolutions de couleur ne sont pas condamnées à réussir, puisqu'elles ont échoué dans de nombreux pays. C'est pourquoi il ne faut pas tomber dans le discours anti-policiers dans l'espoir qu'ils rejoignent légitimement le peuple. Surtout que les policiers doivent normalement défendre en priorité le peuple, dont face à un pouvoir profond malfaisant qui joue sur la peur, le chaos et in fine la répression pour conserver et amplifier les privilèges des élites mondialistes corrompues.
Surtout que le pervers système financier occidental et dans un sens mondial basé sur l'usure et la spéculation est devenu un avion sans pilote tellement les masses d'argent colossales et les liens économiques planétaires sont importants, ce qui pourrait correspondre à une interprétation de l’œil unique du faux messie, et qu'il faut donc lutter contre les principaux axes de cette course folle ou/et de ce faux messie : mondialisme, argent dette, progressisme (laïcisme, Lgbtisme, wokisme), paupérisation du peuple, diminution territoriale et division populaire.
Pour évoquer un noble exemple intéressant, dans sa vision d’un continent sud américain libre de toute domination états-unienne afin d'obtenir des résultats économiques favorables au(x) peuple(s), Hugo Chavez imprégné sagement de catholicisme a décidé de faire la guerre aux mondialistes élites économiques de son pays en nationalisant les puits de pétrole appartenant aux géants américains Exxon Mobil et Conoco Phillips.
De plus comme du temps des rois en France avant la révolution, il a instauré le contrôle des prix pour que les produits de première nécessité soient abordables. De plus il a mis en place la gratuité de l’éducation et des soins de santé, ainsi que le droit constitutionnel à un logement, comme devraient le faire tous les pays du monde tout en encadrant le prix des loyers surtout avant qu'ils n'atteignent le prix exorbitant d'un salaire minimum (SMIC, dont trois fois le montant pour y prétendre est souvent demandé comme salaire) tel qu'en France.
Sa politique a également diminué le taux de pauvreté, puisqu'il est passé de 48,6% en 2002 à 29,5% en 2011.
Son gouvernement, en coopération avec Cuba, a aussi initié le programme d’alphabétisation le plus ambitieux de tous les temps, dont le succès a été reconnu en 2005 par l’UNESCO. L’organisme de l’ONU était allé jusqu’à déclarer que l’analphabétisme avait été éradiqué au Venezuela.
Cuba a également joué un rôle important dans la création de cliniques dans tout le pays afin de participer à l'accès aux soins gratuits pour tous les plus démunis.
Par tout cela disparaissant de plus en plus dans les sociétés libérales prétendues modernes, il est clair qu'Hugo Chavez restera vainqueur dans sa lutte contre les très riches insouciants au profit des faibles pauvres souffrants, et que son billet d'entrée pour le Paradis doit certainement être entre ses mains dans sa tombe.
Concernant les Gauche très différentes actuelles dont celle de Chavez, il est intéressant de lire ces extraits de l'article « Le gauchisme, stade suprême de l’impérialisme » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-gauchisme-stade-supreme-de-l-imperialisme-66175.html :
« L’effondrement de l’Union soviétique a-t-il sonné le glas du communisme ? Ceux qui ont prononcé son oraison funèbre ont peut-être pris leurs désirs pour des réalités. Contrairement à ce qu’ils croyaient, le socialisme réel n’a pas disparu corps et biens. Que le drapeau rouge ne flotte plus sur le Kremlin ne signifie pas son extinction sur la planète. Un milliard et demi de Chinois vivent sous la direction d’un parti communiste qui ne manifeste aucun signe d’essoufflement. Le Viêt Nam socialiste se porte plutôt bien. En Russie, le parti communiste demeure la première force d’opposition. Les communistes dirigent le Népal et l’État indien du Kerala. Malgré le blocus impérialiste, les Cubains poursuivent la construction du socialisme. Les communistes ont remporté des succès électoraux au Chili et en Autriche. Dire que le communisme n’a laissé qu’un mauvais souvenir et appartient à un passé révolu, c’est commettre une double erreur d’analyse. Car non seulement il a contribué au mieux-être d’un quart de l’humanité, mais rien n’indique qu’il ait dit son dernier mot. Il n’est pas plus condamné par son passé qu’il est privé d’avenir. Il peut inscrire à son actif le combat victorieux contre le nazisme, une contribution décisive à la chute du colonialisme et une résistance opiniâtre à l’impérialisme. Ce triple succès suffit à lui donner des lettres de noblesse révolutionnaire. Mais son passé, c’est aussi la longue série des avancées sociales, les millions de vie arrachées à la misère, à l’analphabétisme et aux épidémies. Le communisme, c’est un effort titanesque pour sortir les masses de l’ignorance et de la dépendance qu’elle sécrète. Séjournant en URSS en 1925, le pédagogue Célestin Freinet exprime « sa surprise et son émerveillement, surtout si l’on songe dans quelles conditions ont été réalisés ces immenses progrès ». Les pédagogues russes, écrit-il, ont « trouvé dans leur dévouement à la cause du peuple et dans l’activité révolutionnaire des clartés suffisantes pour non seulement hausser leur pédagogie au niveau de la pédagogie occidentale, mais pour dépasser aussi, et de beaucoup, nos timides essais ». Aucune autre force politique n’aurait pu sortir de l’ornière du sous-développement les pays arriérés, coloniaux et semi-coloniaux dont les communistes ont reçu la responsabilité au 20e siècle. Que serait la Russie si elle était restée entre les mains de Nicolas II ou d’Alexandre Kerenski ? Que serait la Chine si elle n’avait échappé à Chiang Kai-chek et à sa clique de féodaux ? Où en serait Cuba si elle était demeurée entre les griffes de l’impérialisme et de ses mercenaires locaux ? La révolution communiste, partout, fut la réponse des masses prolétarisées à la crise paroxystique de sociétés vermoulues, sur fond d’arriération économique et de retard culturel. Si cette révolution a eu lieu, c’est parce qu’elle répondait aux urgences de l’heure. En Russie, en Chine et ailleurs, elle a été le fruit d’un mouvement profond de la société, d’un mûrissement des conditions objectives. Mais sans le parti, sans une organisation centralisée et disciplinée, une telle issue révolutionnaire était impossible. En l’absence de la direction incarnée par les communistes, sur quelle avant-garde auraient pu compter les masses ? Et faute d’alternative, à quel désespoir aurait conduit l’avortement des promesses révolutionnaires ? Que les formes du combat pour le socialisme ne soient plus les mêmes ne change rien à l’affaire. Ce combat est toujours d’actualité. Les pays capitalistes développés sont en crise, et la seule solution à cette crise est la formation d’un bloc opposé au bloc bourgeois. La Chine, le Viêt Nam, le Laos, la Syrie, le Kerala, le Népal, la Bolivie, le Venezuela et le Nicaragua construisent un socialisme original. Se prétendre communiste tout en jetant un regard dédaigneux sur ces réalisations concrètes est dérisoire. C’est ce que font, pourtant, les innombrables chapelles du gauchisme occidental. Le travail quotidien des médecins cubains, des instituteurs vénézuéliens et des infirmières nicaraguayennes, à leurs yeux, n’accède pas à la dignité de la révolution mondiale. Pour ces vestales du feu sacré, de telles réalisations sont beaucoup trop modestes pour susciter l’enthousiasme des lendemains qui chantent. Gardiens intransigeants de la pureté révolutionnaire, les gauchistes adorent distribuer des cartons rouges à ceux qui construisent le socialisme. Faute d’agir à domicile, ils jugent ce que font les autres. Et le pire, c’est qu’ils appliquent les critères d’appréciation de l’idéologie bourgeoise. Lorsque la révolution cubaine a chassé Batista, les gauchistes ont inventé le slogan : « Cuba si, Fidel no ». Par ce mot d’ordre ridicule, ils prétendaient défendre la révolution tout en condamnant la « dictature castriste ». Mais qu’est-ce que la révolution cubaine sans le castrisme ? Et comment engager le pays sur la voie du socialisme autrement qu’en jugulant une opposition soutenue par l’impérialisme ? Cette offensive idéologique contre Fidel Castro ne traduisait pas seulement une indifférence aux conditions de la lutte menée par le peuple cubain. Elle cautionnait aussi les tentatives de renversement du pouvoir révolutionnaire. On ne saurait mieux dire. Mais la réalité de l’ingérence impérialiste et la nocivité de ses mensonges passent sous les écrans-radar de la gauche radicale occidentale. Elle s’acharne d’autant plus contre les États socialistes qu’elle est d’une innocuité totale à l’égard des États capitalistes. Impuissante et marginalisée à domicile, elle exhale son ressentiment contre le socialisme réel. Incapable de comprendre l’importance de la question nationale, elle regarde de haut l’anti-impérialisme légué par les nationalismes révolutionnaires du Tiers Monde et le mouvement communiste international. Elle est indignée (ou gênée) lorsque le chef de la droite vénézuélienne, formé aux USA par les néo-conservateurs pour éliminer le chavisme, est mis sous les verrous pour avoir tenté un coup d’État. Lorsque le Parti socialiste uni du Venezuela (PSUV) connaît des difficultés électorales, elle hurle avec les loups impérialistes et s’empresse de dénoncer ses prétendues « dérives ». Elle feint d’ignorer que la rupture des approvisionnements a été provoquée par une bourgeoisie importatrice qui trafique avec les dollars et organise la paralysie des réseaux de distribution en espérant saper la légitimité du président Maduro. Indifférente aux mouvements de fond, cette gauche se contente de participer à l’agitation de surface. À croire que pour elle, la politique n’est pas un champ de forces, mais un théâtre d’ombres. Rien d’étonnant, dès lors, à ce qu’elle passe à côté des leçons administrées par les tentatives de déstabilisation qui frappent sans relâche la révolution bolivarienne. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme « alternance », c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses. Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local « compradore » qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. À peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Venezuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su (ou pu) bâtir un modèle alternatif. Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que le Venezuela n’est pas Cuba. Et si le Venezuela s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait sans doute pas de nervis à Caracas. La crise qui sévit dans le pays a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au cœur de son « arrière-cour » sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste. Bien sûr, la révolution bolivarienne n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîne avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Une néo-bourgeoisie a profité de sa proximité avec le pouvoir pour capter des prébendes et conforter des privilèges. Pire encore, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Mais peu importe. La révolution bolivarienne n’aurait de révolution que le nom, elle ne pourrait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère de ses adversaires. Lorsqu’elle s’indigne des victimes (présumées) de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche occidentale oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973. La leçon a été oubliée par la gauche embourgeoisée des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, le refus des recettes néo-libérales, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des États souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes du projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer. Une révolution périt rarement d’un excès de communisme, et beaucoup plus souvent de son incapacité à y conduire. Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953) ni Mobutu à Lumumba (1961) ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte. Autant d’enjeux auxquels la gauche occidentale feint de ne rien comprendre. Pseudo-internationaliste, elle refuse de voir que le respect de la souveraineté des États n’est pas une question accessoire et qu’elle est la revendication majeure des peuples face aux prétentions hégémoniques d’un Occident vassalisé par Washington. Elle feint d’ignorer que l’idéologie des droits de l’homme sert de paravent à un interventionnisme occidental qui s’intéresse surtout aux hydrocarbures et aux richesses minières. Elle milite pour les minorités opprimées à travers le monde en omettant de se demander pourquoi les unes sont plus visibles que les autres. Elle préfère les Kurdes syriens aux Syriens tout court parce qu’ils sont minoritaires, sans voir que cette préférence sert leur instrumentalisation par Washington et cautionne un démembrement de la Syrie conforme au projet néo-conservateur. Ce qui est d'autant plus logique car la Syrie est le denier pouvoir arabe étatique engagé dans la guerre contre Israël. D'ailleurs la Syrie est fortement déstabilisée au Nord Ouest à travers les takfiristes protégés par la Turquie, à l'Est à travers donc les kurdes soutenus par les USA et au Sud à travers l'occupation du Golan par Tsahal. On cherchera longtemps, dans la littérature de gauche occidentale, des articles expliquant pourquoi à Cuba, malgré le blocus, le taux de mortalité infantile est inférieur à celui des États-Unis, l’espérance de vie est celle d’un pays développé, l’alphabétisation est de 98 % et il y a 48 % de femmes à l’Assemblée du pouvoir populaire. On n’y lira jamais, pourquoi le Kerala, cet État de 34 millions d’habitants dirigé par les communistes et leurs alliés depuis les années cinquante, a l’indice de développement humain de loin le plus élevé de l’Union indienne, et pour quelle raison les femmes y jouent un rôle social et politique de premier plan. Car les expérience de transformation sociale menées loin des projecteurs dans des contrées exotiques n’intéressent guère ces progressistes fascinés par l’écume télévisuelle. Dopée à la moraline, intoxiquée par le formalisme petit-bourgeois, la gauche occidentale signe des pétitions et lance des anathèmes contre des chefs d’État qui ont la fâcheuse manie de défendre la souveraineté de leur pays. Ce manichéisme lui ôte la pénible tâche d’analyser chaque situation concrète et de regarder plus loin que le bout de son nez. Elle fait comme si le monde était un, homogène, traversé par les mêmes idées, comme si toutes les sociétés obéissaient aux mêmes principes anthropologiques, évoluaient selon les mêmes rythmes. Elle confond volontiers le droit des peuples à s’autodéterminer et le devoir des États de se conformer aux réquisits d’un Occident qui s’érige en juge suprême. Dans le drame syrien, ce tropisme néo-colonial a poussé l’extrême-gauche occidentale à se fourvoyer de manière pathétique. Pratiquant le déni de réalité, elle a avalé avec gourmandise la version mensongère des médias occidentaux. Elle s’est fiée à des sources douteuses dont elle a répété en boucle les chiffres invérifiables et les affirmations gratuites. Bonne fille, elle a accrédité la narration ridicule du boucher-de-Damas-qui-massacre-son-peuple. Elle a gobé cul sec le false-flag de l’attaque chimique comme si elle ingurgitait une vulgaire fiole onusienne de M. Powell. Elle est tombée dans le panneau d’une propagande humanitaire à deux vitesses qui fait le tri, sans vergogne, entre les bonnes et les mauvaises victimes. Cet aveuglement stupéfiant, la gauche française le doit d’abord à son indécrottable posture morale. Une grille de lecture manichéenne a anesthésié son esprit critique, elle l’a coupée du monde réel. Voulant absolument identifier des bons (rebelles) et des méchants (Assad), elle s’est interdit de comprendre un processus qui se déroule ailleurs que dans le ciel des idées. Quand on désigne les protagonistes d’une situation historique en utilisant des catégories comme le bien et le mal, on donne congé à toute rationalité. On peut certes avoir des préférences, mais lorsque ces préférences inhibent la pensée critique, ce ne sont plus des préférences, ce sont des inhibitions mentales. La deuxième raison de cet aveuglement tient à un déficit abyssal d’analyse politique. Cette gauche radicale n’a pas voulu voir que le rapport de forces, en Syrie, n’était pas celui qu’elle croyait. Elle a reconstruit le récit des événements à sa guise pour donner corps au fantasme d’une révolution arabe généralisée qui balaierait le régime de Damas comme elle avait balayé les autres, méconnaissant ce qui faisait précisément la singularité de la situation syrienne. De même elle s'appuie encore actuellement sur l'immoralité, puisqu'elle soutient le régime de Kiev associé à des néonazis contre la Russie.
Le lobby sioniste français n'a pas voulu « tuer » le PS : il a seulement voulu en plus le sioniser. Il a mis la main sur la gauche française il y a 40 ans, qui était initialement socialo-communiste (voir le congrès de Tours il y a un siècle), c’est-à-dire très sociale et encore un peu nationale, pour en faire une gauche siono-compatible, néosocialiste, c’est-à-dire débarrassée de son communisme anti-impérialiste. Le PS a pris le pouvoir en 1981, ce fut le règne du socialo-sionisme, mais cela a fini par tuer la « nouvelle gauche », qui n’était qu’une gauche libéralisée (voir Fabius et sa rigueur, l’autre nom du libéralisme économique, en 1984). En 40 ans, Macron a succédé à Fabius, la Banque est toujours aux commandes, et le socialo-sionisme parti unique et idéologie d’État.
Les gauchistes (du sociétal) utilisent l'anti-fascisme jusqu’à l’éclatement, tant ils ont besoin de ce vieil argument pour se justifier, pour justifier leurs mensonges, leurs arnaques, leur fonction dans la hiérarchie sociale, et donc leur soumission à l’ordre dominant qui est celui du néolibéralisme mondialisé profitant avant tout aux ultra riches. Ils vont même jusqu'à faire du gauchisme un totalitarisme dont à travers les Black Block terroristes.
De plus la gauche française (comme le capitalisme selon Marx) finira par s’écrouler victime de ses propres contradictions, à savoir la mise en place simultanée d’une société libertaire LGBT+ et d’une société diversitaire composée de populations africaines ou moyen-orientales très peu tolérantes vis-à-vis de la première.
Ceux qui se vantent de connaître leurs classiques auraient dû appliquer la formule par laquelle Lénine définissait le marxisme : « L’analyse concrète d’une situation concrète ». Au lieu de se plier à cet exercice d’humilité devant le réel, l’extrême gauche occidentale a cru voir ce qu’elle avait envie de voir. Abusée par sa propre rhétorique, elle misait sur une vague révolutionnaire emportant tout sur son passage, comme en Tunisie et en Égypte. Mauvaise pioche. Privée d’une base sociale consistante dans le pays, la glorieuse « révolution syrienne » n’était pas au rendez-vous. Véritable farce sanglante, une invasion de desperados a pris sa place. La nature ayant horreur du vide, cette invasion du berceau de la civilisation par des hordes de décérébrés a tenu lieu, dans l’imaginaire gauchiste, de révolution prolétarienne. La mouvance trotskiste n’a pas voulu voir que les rassemblements populaires les plus imposants, en 2011,
étaient en faveur de Bachar al-Assad, surtout que ce dernier protège les chrétiens d'orient et même les musulmans non pratiquants à la différence des takfiristes. Elle a écarté avec dédain la position du parti communiste syrien, lequel s’est rangé au côté du gouvernement pour défendre la nation syrienne contre ses agresseurs. Poussant le déni de réalité jusqu’aux frontières de l’absurde, ce gauchisme s’est déclaré solidaire, jusqu’au bout, d’une « révolution syrienne » qui n’existait que dans son imagination. … Incapable de comprendre ce qui se passe sur place, l’extrême gauche française est victime d’un théâtre d’ombres dont elle a écrit le scénario imaginaire. Faute d’entendre ce que lui disaient les marxistes du cru, elle a joué à la révolution par procuration sans voir que cette révolution n’existait que dans ses rêves. Comme il fallait préserver le mythe d’une opposition démocratique et non-violente, le récit des événements fut purgé de ce qui pouvait en altérer la pureté. La violence des allumés du wahhabisme fut masquée par un déluge de propagande. Preuve factuelle d’un terrorisme qui était le vrai visage de cette révolution-bidon, ce déchaînement de haine fut effacé des écrans-radar. De même, cette gauche bien-pensante a hypocritement détourné le regard lorsque les feux de la guerre civile furent attisés par une avalanche de dollars en provenance des pétromonarchies. Pire encore, elle a fermé les yeux sur la perversité de puissances occidentales qui ont misé sur l’aggravation du conflit en encourageant la militarisation de l’opposition, tandis qu’une presse aux ordres prophétisait avec délices la chute imminente du « régime syrien ». Sans vergogne, cette gauche a calqué sa lecture partiale du conflit sur l’agenda otanien du « changement de régime » exigé par les néo-conservateurs. En effet l'OTAN est un instrument de la politique étrangère des États-Unis. Alors qu’elle se dit anticolonialiste, elle s’est laissé enrôler par un impérialisme décidé à provoquer le chaos dans l’un des rares pays arabes à ne pas avoir transigé avec l’occupant sioniste. L’histoire retiendra que la gauche radicale a servi de supplétif à l’OTAN dans la tentative de destruction d’un État souverain sous le prétexte fallacieux des droits de l’homme. Il est vrai que la mouvance trotskiste n’est jamais à court d’arguments. … On aimerait connaître ces « définitions » de l’impérialisme (américano-sioniste lié au gauchisme par rapport à un prétendu impérialisme russe), mais on n’en saura pas plus. Or la Russie n’envahit aucun territoire étranger, elle n’inflige aucun embargo, elle ne pratique aucun régime change chez les autres. Le budget militaire russe représente 8 % de celui de l’OTAN. La Russie a quatre bases militaires à l’étranger quand les États-Unis en ont 725. Le retour de la Crimée dans le giron russe n’est pas plus choquant que l’appartenance d’Hawaï aux États-Unis ou de Mayotte à la France. » (Bruno Guigue)
Il est aussi intéressant de voir à ce sujet l'interview en rapport avec l'oeuvre : Le livre noir de la gauche (bourgeoise, du capital et sociétale et non du travail, du social de l'anti-mondialisme) française : « De tout temps, la gauche française est bourgeoise et antisociale - Le Zoom - Xavier Moreau - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=GGiBNMXYJY0&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1
Pour avoir un bon commentaire de ce livre et le lien entre républicanisme messianique, gauchisme et protestantisme prônant perversement l'élection élitaire comme l'ancien testament et des valeurs inversées, il est possible de voir la vidéo de Youssef Hindi « "Le livre noir de la gauche française" de Xavier MOREAU » à l'adresse suivante https://www.youtube.com/watch?v=f9GUcU8YLnI&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Il faut noter que la gauche française dont parle Xavier Moreau correspond au gauchisme dont colonial
(étant allé jusqu'à être par exemple à l'origine de la guerre d'Algérie) et sociétal de la gauche bourgeoise qui est différente de la gauche sociale, car cette dernière après avoir défendu les ouvriers et pris le pouvoir ne leur tire pas dessus comme lors de la semaine sanglante de 1871 et les gilets jaunes 2018. En sachant que les positions politiques du RN 2024 indiquent qu'il est en réalité un parti de centre gauche, en particulier au niveau des décideurs de ses grandes lignes même si beaucoup de ses membres sont d'authentiques nationaux conservateurs.
Xavier Moreau est revenu sur le concept de gauche française, qu’il définit comme étant les deux courants régicides de la Révolution : les Girondins et les Montagnards (ou Jacobins). Il explique que ces deux courants ont une ambition de transformer le monde en créant un être nouveau, mais qu’ils ont des méthodes différentes. Les Montagnards se concentrent sur la transformation de l’intérieur du pays, tandis que les Girondins ambitionnent de répandre leurs valeurs dans toute l’Europe, voire dans le monde entier, par la colonisation. Xavier Moreau estime que la gauche française a mis en place un système répressif qui continue encore aujourd’hui, en particulier à l’encontre des Gilets jaunes et des paysans. Il souligne que toutes les branches de la gauche se revendiquent de la Révolution française, de Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par Emmanuel Macron. Il dénonce le fanatisme de la gauche française, qui cherche à exporter ses valeurs révolutionnaires à l’étranger, en particulier en Ukraine.
Selon Xavier Moreau, la gauche a instauré la terreur et la guerre en Europe suite à la Révolution française. Il fait un parallèle entre les élections législatives de 1795 en France et la situation politique actuelle. Il rappelle que la Révolution française, loin d'apporter la liberté, a instauré la dictature et le totalitarisme, et que la gauche française est née dans la terreur et le génocide. Les élections de 1795, truquées par la gauche pour conserver le pouvoir, ont provoqué une insurrection légitime des monarchistes, que Napoléon a réprimée dans le sang. De plus il explique que la Révolution française a été une révolution bourgeoise, qui a transféré les privilèges vers la gauche bourgeoise, qui tient encore le pouvoir aujourd’hui. La révolution n’a pas apporté l’élection, qui existait déjà sous l’Ancien Régime, mais a instauré la dictature et le totalitarisme. La gauche française est née dans la terreur, avec le premier génocide de l’histoire et la guerre contre l’Europe, et est la matrice de tous les génocides qui ont suivi.
Selon lui encore, l’élite bourgeoise mondialiste socialiste a viré le Général, réalisé mai 68 et n’a plus lâché le pouvoir depuis les années Giscard et Mitterrand.
Dans ce sens « La guerre est un moment charnière depuis que le capitalisme est devenu impérialisme et monopole. Le vote des crédits de guerre par la social-démocratie allemande et européenne en 1914 l’a placée pour toujours du côté de l’État et du capital, entraînant un profond changement dans le concept de classe. La tendance contemporaine à l’alliance entre libéraux et fascistes, que nous avons vue à l’œuvre au 20ème siècle et qui est réapparue sous nos yeux ces dernières années, a été remise en cause en France par ce que les luttes de ces dernières années ont réussi à sédimenter. Mais la situation est loin d’être résolue : Macron, qui reste président de la République, veut continuer à mener jusqu’au bout l’expropriation des salaires, des revenus et des services, le génocide, la guerre ; Hollande et le Parti socialiste sont déjà prêts à poignarder le programme du Nouveau Front populaire ; le Rassemblement national a augmenté sa force parlementaire. Bref, la France est un pays divisé. Dans cette situation, les mouvements sociaux joueront un rôle décisif : seule une lutte de classe pressante pourra construire les rapports de force qui sont aujourd’hui dans la balance et faire avancer La France Insoumise.  » (Maurizio Lazzarato)

Selon ces extraits de l'article « États-Unis : comment l’establishment se sert de la "grève (manifestation) d’octobre" pour cacher la résistance (manifestation) de masse aux vaccins obligatoires » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-comment-l-establishment-se-sert-de-la-greve-d-octobre-pour-cacher-la-resistance-de-masse-66214.html , le gauchisme est même une des principales armes des mondialistes (et c'est même la principale origine belliqueuse de leur système au niveau national et international comme il a été vu et sera revu) :
« Le Striketober (littéralement « Grève d’octobre ») : pourtant martelé sans cesse depuis un mois, la majorité des Américains en parle rarement. Peut-être un signe de plus de l’influence déclinante des grands médias... Ce à quoi nous sommes confrontés régulièrement, en revanche, ce sont les pénuries constantes de main-d’œuvre dans de multiples secteurs de l’économie, ainsi que les perturbations croissantes de la chaîne d’approvisionnement et les hausses stagflationnistes des prix de détail. La notion médiatique de « reprise du pouvoir par la main-d’œuvre » est un récit de fond qu’ils s’efforcent toujours de planter dans le subconscient du public, tandis que la majorité des gens essaient de s’adapter à des préoccupations plus sérieuses. Cela dit, l’establishment ne se soucie pas vraiment de savoir si la propagande s’installe, mais seulement d’avoir une couverture utile pour l’effondrement très réel de l’économie américaine. C’est une sorte de perversion vicieuse de la stratégie du fake it until you make it. ... Striketober, comme BLM, Antifa et de nombreux autres mouvements gauchistes ou freudo-marxistes, a été créé de toutes pièces par une combinaison de battage médiatique et de financement de fondations globalistes. Il est important de reconnaître d’abord qu’aucune de ces organisations gauchistes n’aurait jamais vu le jour sans le soutien généreux d’institutions comme la Fondation Ford et la Fondation Open Society de George Soros. BLM, par exemple, a été fondé par des leaders ouvertement « marxistes » et a démarré grâce à des millions de dollars de financement de la Fondation Ford et de la Fondation Open Society.  De nombreux « syndicats de travailleurs » impliqués dans divers éléments du Striktober bénéficient également d’un financement direct ou indirect de fondations mondialistes. La Food Chain Workers Alliance, par exemple, reçoit des fonds de la Fondation Ford, et la National Domestic Workers Foundation reçoit beaucoup d’argent de la Fondation Ford, de la Fondation Open Society et de la Fondation Rockefeller. ... Comme je l’ai dit à maintes reprises dans le passé, toutes les personnes malveillantes sont du côté de la « gauche ». Toutes les élites milliardaires et les entreprises qu’ils prétendent haïr les alimentent en argent sans fin. Les grèves ouvrières de « gauche » n’existent que parce que les globalistes veulent qu’elles existent.  Bien sûr, les grèves gauchistes sont en fait un problème minime. En fait, je soupçonne qu’il s’agit d’une mise en scène délibérément fabriquée pour masquer les véritables grèves parmi les conservateurs à propos des obligations de vaccination du fait de la pandémie de Covid-19. Laissez-moi vous expliquer... (D'autres) grèves et manifestations très médiatisées commencent à éclipser la couverture médiatique des véritables coupables de la crise du travail, à savoir l’administration Biden et les gouvernements des États démocrates qui promulguent des obligations universelles, des contrôles de vaccins et des stimulus Covid. Les travailleurs peuvent avoir l’impression d’être maltraités, mais ce ne sont pas leurs chèques de salaire qui sont attaqués ou leurs managers qui leur font des avances sexuelles. Ce sont des préoccupations mineures comparées au problème plus important qui se pose : leurs libertés civiles individuelles. Comme indiqué, il y a deux facteurs majeurs dans la pénurie de travailleurs : les obligations de vaccination de Biden et les programmes de relance de l’État et du gouvernement fédéral qui paient les gens plus cher pour rester à la maison qu’ils ne le feraient au travail. Ce sont les raisons de la pénurie de travailleurs et toute personne qui prétend le contraire est ignorante ou a un programme. ...  Les chèques fédéraux Covid ne sont pas encore terminés. Contrairement à la croyance populaire, l’argent continue de couler à travers divers programmes, y compris les programmes de crédit pour les enfants. De même, la plupart des États continuent à verser des aides financières au titre du Covid en plus des allocations de chômage existantes. C’est essentiellement le revenu de base universel et ce n’est pas fini, loin de là. Les entreprises ne trouvent pas assez de main-d’œuvre parce que le gouvernement a soudoyé des millions de travailleurs pour qu’ils restent chez eux. Les gauchistes n’aiment pas aborder ce problème parce qu’il entre en conflit avec leur fantasme de Striketober, alors ils nient son existence. L’establishment est bien conscient que ces actions déstabilisent le marché du travail et je crois que l’objectif est de détruire spécifiquement le secteur des petites entreprises. Les petites entreprises ne peuvent pas concurrencer les sociétés soutenues par des milliers de milliards de dollars de stimulus de la banque centrale. Elles n’ont pas les moyens de doubler les salaires des travailleurs non qualifiés ou d’offrir de grosses primes à la signature. Elles n’ont pas non plus les ressources nécessaires pour contrôler leurs propres employés et clients afin de s’assurer que ces derniers respectent les passeports vaccinaux et les piqûres de rappel. D’ici un an, les solides fondations des petites entreprises américaines ne seront plus qu’une coquille vide. ...  Avec la mort des petites entreprises, tout ce qui restera sera des conglomérats internationaux qui appliqueront les obligations et menaceront les gens de pauvreté et de famine s’ils refusent le vaccin. Toutes les autres alternatives légales seront supprimées et c’est exactement ce que veulent les élites. Sans les petites entreprises défiantes, il n’y a plus de place pour travailler ou faire du shopping sans le passeport vaccinal. Les monopoles d’entreprise sont l’outil que les gouvernements utilisent pour contourner les protections constitutionnelles des individus. Mais à mesure que ce processus se déroule, la résistance grandit. Et, comme on dit, la résistance ne sera pas télévisée. Si les protestations et les grèves de masse sont attribuées aux conservateurs et aux patriotes qui s’opposent aux obligations, alors tous les autres « esclaves » pourraient réaliser qu’ils sont en fait légion. Ce serait mauvais pour les globalistes et leur programme de Grand Reset. Ils tentent donc de coopter les protestations contre les vaccins et de réécrire l’histoire en temps réel en créant un faux mouvement ouvrier par le biais de la Striketober. Et non, cela ne se terminera pas en octobre, les médias vont promouvoir cette idée à partir de maintenant. De cette façon, la résistance devient alambiquée et confuse et les grands médias peuvent dire que le grand nombre de travailleurs en grève sont en fait du côté de la « gauche » politique qui combat la « machine capitaliste », et non des conservateurs et des patriotes du côté de la vérité et de la liberté. Il y a trois choses dont les autoritaires Covid ont le plus peur : que les groupes de la Liberté reconnaissent leur véritable nombre, que ces mêmes groupes s’organisent au niveau local et étatique dans tout le pays, et que tout s'oriente vers la perte du récit dominant selon lequel ils sont les « gentils » et que nous sommes les « méchants insurgés ». La grève du travail n’est qu’une autre tentative désespérée des élites du pouvoir pour gérer l’image face à une opposition inattendue. Leurs efforts pour terroriser les gens qui refusent de devenir des cobayes pour un cocktail d’ARNm à peine testé se retournent contre eux. Les grèves des travailleurs dues à la vaccination forcée finiront par déboucher sur des actes de rébellion plus importants contre le système. Et, à chaque escalade de la résistance, l’establishment mettra à rude épreuve les cerveaux de ses faibles groupes de réflexion en essayant de créer de nouveaux récits pour masquer ce qui se passe réellement (dont leur orientation importante vers le grand reset). » (Brandon Smith)