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C) Suite 3


De plus l'écologisme est devenu une autre idole du mondialisme promotionnée aussi par le faux Pape François, surtout que le mondialisme a sournoisement fait du végétal une entité juridique alors que cela aurait pu se faire pieusement, clairement et progressivement en fonction des cas, et que tout cela transforme la légitime écologie conservatrice en illégitime écologie politique de marché qualifiable de capitalisme vert. Par conséquent même si l'écologie ne peut être qu'encouragée, il faut faire attention que l'écologisme ne devienne pas un totalitarisme aveugle aux réalités économiques, aux sagesses monothéistes et au bien être de chacun. Or l'écologie intelligente et l'union humaine, sans matérialisme, est évidemment importante, surtout qu'on ne peu nier que l'activité humaine a possiblement un impact sur le climat.
La trahison du pape François au statut de vicaire du christ, à l'hétérosexualité et à l'immigration mesurée pour le profit du mondialisme est une destruction du principe de la révélation. C'est la conclusion d'un travail millénaire pervers dont à travers l'infiltration sioniste au sein du catholicisme pour que le peuple juif soit ainsi le seul peuple prêtre intermédiaire entre Dieu et le reste de l'humanité. D'ailleurs ceci est clairement confirmé par ce faux pape François ayant inauguré sur la place Saint Pierre du Vatican une sculpture (maçonnique) artistique nommée « Les anges inconscients » rappelant la barque de l'apôtre Simon Pierre et représentant une barque remplie de migrants menés par un rabbin comme le pervers mondialisme messianique veut et organise l'immigration de masse ainsi que l'orientation pour illégitimement faire du peuple juif le peuple prêtre de l'humanité dont à travers l'erroné mondialisme.
Tout cela étant encore plus teinté d'impiété avec la présence dans le Vatican d'une idole amazonienne représentant la terre mère nourricière devant laquelle des archevêque se sont inclinés. C'est pourquoi, il n'est pas étonnant que le Vatican ait accepté qu'un label du nom d' « Eglise verte » (plutôt qu'église catholique) créé par des protestants soit posé sur les églises suivant de pseudos règles écologiques.
« Alors que l'essentiel est ce qui définit qui nous sommes, d’où l’on vient et où l’on va. C’est une langue pour exprimer avec justesse le sens de nos pensées ; c’est une terre qui nous rendra l’amour et le respect qu’on lui donnera ; c’est une communauté qui partage avec nous le destin qu’on conçoit en commun d'abord au niveau local. Vivre en harmonie avec tout cela n’est pas une lubie écolo-bobo, mais un devoir, une vérité profonde, un devenir. Déracinement, frénésie et insécurité sont autant d’avatars d’un monde où la Marchandise est souveraine, où tout se doit de devenir dissolution, à partir des caractéristiques qui définissent la communauté matérialiste, qui devient marchandise à son tour ; tout y est liquidité, informité, remplacement, standardisation et rabaissement. » (Lire l'article complet « Golems et chimères à Suez » à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Golems-et-chimeres-a-Suez-63681.html)
La mise en place du nouvel ordre mondial tend donc à lutter contre les valeurs traditionnelles. Or nous pouvons considérer que nous sommes déjà dans le nouvel ordre mondial, car la plupart des gouvernements sont soumis aux multinationales,à des lobbies et aux grandes puissances financières contrôlant en plus les médias. C'est à dire que les grosses entités du privé souvent sionistes comme les participants au forum économiques de Davos qui est une organisation non gouvernementale ont la satisfaction complète d'avoir sans aucune responsabilité ni presque visibilité tout le pouvoir tyranniquement. Ainsi elles ne recherchent donc pas forcément un gouvernement mondial rapidement, mais possiblement pour commencer un gouvernement occidental qui influerait encore plus d'autres parties du monde.
En fait, le nouvel ordre mondial imposant la démocratie pouvant s'égarée en oubliant les commandements divins tente bien d'imposer progressivement pour la domination mondiale des oligarchies sionistes ou perverses, cette religion universelle noachide erronée ou mal interprétée pour les non juifs qu'est la laïcité. En effet soit cette religion universelle noachide a été perversement inventée, soit elle est désormais pervertie car elle ne devait servir qu'à civiliser les non juifs barbares de l'antiquité en les amenant progressivement vers le monothéisme authentique qu'était le mosaïsme, devant devenir le christianisme puis devenir comme depuis toujours en réalité l'islam. D'ailleurs l'erreur de l'interprétation précisant que la loi noachide est toujours réservée aux non juifs est prouvée par le mariage du Prophète Salomon (paix sur lui) avec la reine de sabbat après qu'elle se soit convertie. Et si les hommes ne se convertissaient pas, les juifs devaient effectivement probablement les faire tendre vers les valeurs monothéistes dont à travers le commerce licite.
Surtout que les Messagers Jésus et Mouhamed étant venus mettre à jour le monothéisme, certaines de ces lois noachides sont d'autant plus perverties, puisque par le Talmud fortement erroné, les non juifs sont encore perversement considérés par les juifs sionistes au même niveau que les animaux alors que n'étant plus barbares, et parce que le nouveau sens malhonnête de ces lois ne cherche même plus à orienter les non juifs exclusivement vers les valeurs monothéistes, alors que le véritable islam y invite tout le monde incontestablement. Certaines lois noachides perversement inventées, désormais corrompues ou encore bonnes sont les suivantes :
-obligation d’avoir des magistrats pour faire respecter les lois (désormais des droits de l'homme laïques souvent impies).
 -sacrilège désormais des négationnistes concernant la shoah devenue la mortifère religion imblasphémable du mondialisme américano-sioniste, très étonnamment seul événement de la longue Histoire de l'humanité dont aucun aspect de la thèse officielle ne peut être remis en cause par de la recherche historique en France alors qu'autorisée aux Etats-Unis au nom de leur premier amendement tant que cela ne prône pas la violence ou la haine, ou sacrilège de l'opposition à la laïcité démocratique du nouvel ordre mondial alors que par ce système politique une sorte d'«expertocratie» (politiques, banques et multinationales) proche d'une dictature financière des très riches assied de plus en plus son pouvoir sur le reste de l'humanité par la sournoise idée erronée que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à «ceux qui savent» (les élites oligarchiques, ploutocratie favorisant inévitablement les très riches injustement) le soin de conduire les affaires publiques. Il s'agit d'une caste ploutocratique s'appuyant sur les médias mainstream, ayant beaucoup de membres très riches et technocratique, et ayant beaucoup de membres travaillant pour l'union européenne. La vérité, c’est que nous sommes idéologiquement dominés. Les trois moyens pour qualifier ou plutôt disqualifier le peuple et surtout les dissidents sont : l’invisiblisation (on ne parle pas de nous, c’est le plus simple et cela fait de nous des fantômes politiques néantifiables), l’infériorisation (on est un ramassis d’abrutis socialement frustrés et sous-scolarisés qui ne peuvent donc prendre de décisions importantes, c’est le manipulateur portrait médiatique habituel de l’électeur moyen du FN, de l’électeur de Trump et de Trump lui-même), la diabolisation. Il faut noter que la shoah permet une sacralisation internationale du sionisme (ou du messianisme juif liés à la haute finance mondialisée) fondé sur une lecture littéraliste et erronée de l'ancien testament.
Gilad Atzmon explique : « Au contraire, le peuple doit faire la politique et raconter le passé, à mesure que nous avançons, car l’Histoire devient une aventure qui a du sens, seulement à partir du moment où nous avons revisité et révisé le passé (pour avoir l'entière vérité surtout car il n'y a que les vainqueurs qui écrivent l'Histoire. L'écrivain Balzac précise : « Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, menteuse qu'on enseigne, l'Histoire ad usum delphini (expurgée) puis l'Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse. »). Lorsque l’Histoire se transforme en un chapitre scellé et intouchable, elle est réduite à une religion. L'occident sous une très grande pression sioniste devient rapidement un endroit très sombre. La liberté d’expression est réduite à la nostalgie. De manière assez désastreuse, la plupart des partis politiques jouent un rôle clé dans cette catastrophe naissante. Il faut donc se lever face à cette chasse aux sorcières et à ce changement tyrannique au sein des sociétés, et rester à l’écoute des dernières voix qui résistent de manière permanente, surtout que malheureusement, les politiciens, les universitaires, les journalistes, et les autres artistes, s’inclinent très rapidement. Camille Desmoulins : « Les despotes maladroits se servent des baïonnettes, alors que « l’art de la tyrannie » consiste à faire la chose avec les juges (la loi). » Au lieu de commander l’oubli, le droit international actuel ordonne, sous peine de poursuites, de cultiver la mémoire des horreurs en particulier envers les peuples qui les ont commises. Il s’agit de nourrir dans le cœur des hommes la flamme de la vengeance. C’est une culture de haine qui va même jusqu'à la perplexité de voir des personnes âgées sionistes pourrir la vie des gens au lieu d’être un exemple d’amour, de pardon et de générosité. Le progressisme qu'utilise le sionisme s'appuie pourtant sur une prétendue générosité envers par exemple les Lgbt, et le sionisme s'appuie aussi sur une réparation politico-financière (n'existant que pour les juifs suite au tribunal de Nuremberg ayant en plus facilité la recréation impie de l'Etat d'Israël en 1948 non reconnue par certains pays), l'idéologie de la minorité tyrannique, la culpabilisation systématique des majorités, et la dette éternellement due et irremboursable. Ainsi la shoah est devenue une religion de haine à la différence du christianisme authentique qui est une religion d'amour. Tel est le sens caché des lois françaises Pleven ou Gayssot, qui prétendent lutter contre la haine en condamnant haineusement de blasphème le révisionnisme (impossibilité totalement injuste d'apporter des preuves contre la thèse officielle). Cependant malgré que la lutte contre l'antisémitisme sert de plus en plus à diviser une nation pour la contrôler, elle sert quand même dans un sens (selon le plan divin) à faire tenir le vivre ensemble actuel, dont en incarnant une partie de la dénonciation de la bassesse du racisme car beaucoup doivent dépolluer leur esprit d'indignes stéréotypes attribués à des ethnies, et même si l'islamophobie est répandue par une partie du système puisque utilisant souvent le lexique de la doxa islamophobe. Or si les institutions juives veulent que tout le monde comprenne l’Holocauste en termes numériques, il serait peut-être raisonnable d’attendre des Juifs qu’ils connaissent le nombre de crimes colossaux contre l’humanité perpétrés en grande partie ou partiellement par des juifs. L’historien moderne obéissant sans intégrité aux hommes politiques est investi d’une mission sacrée : souffler sur les braises pour entretenir le foyer de la guerre civile (possiblement larvée) mondiale. (Le « ni pardon ni oubli » utilisé à travers diverses minorités perverses est l’arme la plus puissante de nos maîtres avides en nous empêchant de découvrir l’autre, de peur qu’on discute, qu’on se comprenne, qu’on apprenne, qu’on se réconcilie et qu'on construise ensemble dans le bien commun. Tous les mouvements radicaux de contestation minoritaire comme les Lgbt, les antiracistes, les environnementaux, et cætera, ne sont plus des mouvements de défense mais d’agression, de division et de destruction, et sont donc devenus dangereusement fondamentalistes. En effet la jurisprudence du communautarisme victimaire qui exige des compensations donne en réalité des avantages aux minorités par rapport à celui qui est normal, qui n'a droit à rien, qui est même en dette avec elles, et qui doit donc s'excuser auprès des noirs, des juifs, des homosexuels, des femmes, parce que lui est le méchant normal ! Ce qui permet à ces minorités de retourner les accusations valables sur certains de leurs mauvais comportements. Alors que les droits des minorité non perverses doivent être reconnus mais pas au détriment de ceux de la majorité, surtout que religieusement certains dogmes et pratiques cultuelles peuvent changer, mais pas les justes règles sociales et économiques. Or la plupart des responsables politiques, la majorité silencieuse et les forces de police soumises aux mondialistes ont plus de responsabilité par rapport à cette dégénérescence de la France que les perverses minorités actives. En effet la majorité silencieuse est opprimée par la ou les perverses minorités non silencieuses agissantes. La France est devenue une dictature de sionistes ultra avec comme auxiliaires des féministes hystériques, des antiracistes militants qui sont en fait des racistes, des homosexuel prétendant se défendre contre l'homophobie alors qu'en fait on découvre derrière des réseaux pédophiles : c'est un contexte abject ! c'est un contexte horrible ! Ceux qui attendaient une fin des temps avec des orcs comme dans le film "le seigneur des anneaux" doivent comprendre qu'ils ont en réalité une apparence plus présentable : une douce tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale tyrannie grossières avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation et l'argent alors que la deuxième est  violente et visible ce qui entraîne plus de réactions d'opposition. En effet quelle que soit la conséquence de la vaccination, elle n'était que le prélude au pass sanitaire puis vaccinal, la procédure nécessaire, au marquage général de toute la population, à la surveillance voire au contrôle absolus sur le peuple par les oligarchies perverses. Alors que dans les années 90, il aurait été impensable qu'un pass soit créé pour contrôler les gens par rapport au sida.) Dès lors on peut se demander qui est le plus coupable devant le tribunal de l’Histoire, un homme recherchant la vérité pour apaiser les tensions et faciliter la paix comme le Professeur Robert Faurisson condamné par des lois visant à entretenir la haine et la guerre, ou les législateurs violant des règles morales en votant ces lois et les magistrats les appliquant sans réfléchir un minimum. »
« Finalement, la question (dont par rapport à l'existence des chambres à gaz des nazis) n’est plus tant de savoir si l’histoire est libre ou non. Il faut distinguer selon que l’histoire est brûlante ou non, c’est-à-dire actuelle ou pas, politique ou sans enjeu. Lorsque l’histoire est présente (il peut s’agir de faits récents comme des faits très lointains), l’histoire n’est jamais libre. Sauf la liberté absolue pour l’historien d’enfreindre l’interdit, à ses risques et périls. Mais il est une distinction cardinale en la matière. Certains interdits, comme celui de Créon, sont des prolongements de la guerre, tandis que d’autres, comme l’éclair de Zeus évoqué par Carl Schmitt dans un texte de 1947, sont des gages de paix. Entretien de la mémoire dans un cas, effacement de la mémoire dans l’autre. » (Maître Damien Viguier)
Ce qui irrite les gardiens de la mémoire, c’est qu’à Auschwitz avec les jeunes qui font des selfies (dont de nombreux ados israéliens) ou à Buchenwald où les promeneurs font du sport, la vie reprend ses droits, et les reprend sur la mort. La réalité serait-elle révisionniste ?  Le culte des morts est une chose, le culte de la mort – comprendre son exploitation – en est une autre. Si les livres d’Histoire ont un sens, et il y en a un beaucoup sur le sujet de la déportation, avec des niveaux très inégaux, on ne pourra pas empêcher les enfants de faire du foot dans le bloc 41, de se bécoter devant un crématoire ou de jouer au chat et à la souris, aux gendarmes et aux voleurs, voire aux SS et aux juifs derrière l’infirmerie. Pour les jeunes, le devoir de mémoire est encore un « devoir », et ça ne les intéresse pas. Et ceux qui recrachent leur leçon apprise par cœur ne valent pas mieux que les cancres. C’est la morbidité de ce culte qui le rend inadéquat et immangeable aux jeunes générations, qui ne pensent qu’à vivre et à s’amuser, pas à mourir et à se morfondre. Cultiver la mort, c’est l’histoire du rocher de Sisyphe. 
Or piégé par sa vanité et aspiré par son propre flux, les phrases du sioniste sortent parfois toutes seules et il a du mal à les contrôler. La pensée inconsciente, celle qui sous-tend le discours, a tendance à vouloir sortir du carcan du langage logique, et le sioniste dit alors tout sans s’en rendre compte tellement son ambiguïté et sa duplicité débordent. Il valide implicitement l’amalgame populiste entre « banque » et « juifs ». Ce qui n’est pas une preuve en soi, mais qui montre que les sionistes présents dans les grands médias ne sont là que pour protéger les sujets tabous. Les gardiens du Système ont fabriqué l’arme de l’antisémitisme dans ce but : ils décident de ce qui est tabou et de ce qui ne l’est pas. La définition objective d’un pouvoir religieux.
-interdiction du polythéisme (désormais en reconnaissant la démocratie des droits de l'homme laïciste comme seul système politique valable ou la volonté divine que les juifs soient le peuple prêtre de l'humanité organisant cette nouvelle société à travers cette fausse idéologie prétendant éclairer la vérité comme depuis l'époque des lumières alors que servant à rabaisser moralement les peuples pour les dominer)
-interdiction d'inceste (comme avant)
-interdiction de meurtre (comme avant).
          Or tout mouvement même religieux se liant voire se soumettant au sionisme comme l'évangélisme états-unien, le protestantisme anglais et le wahhabisme saoudien peut également être considéré comme noachide et avoir une résidence secondaire en Israël, de même que ceux qui croient en Dieu à travers la laïcité et qui ne croient donc pas authentiquement en Lui puisque Ses lois christiques ou coraniques font partie de la foi, ou ceux croyant seulement en la laïcité en la faisant devenir une fausse divinité puisque par ses lois, elle est soumise à Israël par la domination des minorités dont prioritairement des juifs.
          Lorsque vous définissez par des termes précis ce que sont le viol ou l’escroquerie, vous avertissez le violeur ou l’escroc des bornes qu’il ne doit pas franchir. Vous lui laissez donc la possibilité de jouer avec la limite. Et c'est ce que pourrait empêcher une loi cherchant à assimiler l'antisionisme à l'antisémitisme pour encore plus faciliter l'ingérence israélienne dans toute nation. Avant un antisémite était quelqu'un qui n'aimait pas les juifs, aujourd'hui c'est quelqu'un que les juifs n'aiment pas. Il faudrait donc demander aux intellectuels juifs une définition précise de l'antisémitisme afin de pouvoir savoir la limite de la critique voire si on a le droit de critiquer concernant le judaïsme et ses élites... En effet actuellement, on est soit un antisémite soit un sioniste mondialiste ou souverainiste et donc du parti unique en France, et il n’y a pas de milieu, et encore moins de juste milieu. Comme le disait le stupide GW Bush après l’attentat du Mossad sur le sol américain en 2001, vous êtes avec nous ou contre nous, vous êtes soit pro-CIA, soit de vils terroristes islamistes. Quant au terrorisme du Mossad et de la CIA, ça n’entre pas en ligne de compte, trop compliqué pour le grand public, cet enfant. C'est à dire qu'on peut blasphémer, sauf la religion juive ; on peut critiquer les gouvernements, sauf Israël ; on peut s’attaquer aux communautés, sauf la communauté juive ; on peut est contre toute politique, sauf contre le sionisme ; on peut rire de tout, sauf des juifs si on n’est pas juif ; on dit qu'une agression sur quelqu'un est de la violence, sauf sur un juif car c’est du racisme ; on peut remettre en cause n’importe qui, sauf un juif sinon c'est considéré comme antisémite.
Les militaires et policiers (et même beaucoup de juges) sont dans l'incapacité de comprendre la logique de l'adversaire (surtout d'une ingérence étrangère ou privée) car ils ont un déficit de culture générale et un manque d'imagination ; les diplomates sont souvent corrompus et manquent de courage ; et la plupart des dirigeants occidentaux sont incompétents ou indignes. En matière de politique, tout l’enjeu est de conserver le pouvoir de décider si dans tel ou tel cas on applique ou non la notion polémique. C'est à dire que les pervers partisans du système actuel corrompu font de la conservation du pouvoir leur priorité, dont en infiltrant, influençant ou/et récupérant des orientations populaires pour devenir une opposition contrôlée qui fera comme d'habitude de fausses promesses électorales afin d'ensuite continuer constamment à favoriser l'oligarchie. En effet actuellement, nous sommes dans une opposition contrôlée judéo-maçonnique synonyme d'auto-alternance pour l'oligarchie. C'est à dire entre une droite judéo-nationale sioniste et une gauche judéo-maçonique. Il s'agit donc de renouveler par les finances de nombreux milliardaires, le bail du système politique tout en feignant de s'opposer à lui. Ainsi le retour au sacré, à la religion et à Dieu des peuples ne doit pas être récupéré ou orienté par ces perverses idéologies.
Désormais donc massivement, des infiltrés dans la politique et les gouvernements s'ingèrent et soumettent les pays pour des tiers par le contrôle de l'approvisionnement, la dette, le formatage de l'éducation nationale, les théories anthropologiques de l'évolution et de l'hominisation, les médias ou une idéologie perverse :
Principe clé chez les penseurs chinois : « Le summum de la l'art de la guerre c'est de gagner sans livrer bataille, c'est de soumettre l'ennemi sans verser le sang, et même sans qu'on se rende compte qu'on lui livre bataille (sauf si cela signifie rabaisser la noblesse excellente). »
Or ce principe ne peut être valide que si c'est dans l'optique de répandre le monothéisme authentique, car si c'est utilisé perversement ce n'est plus le jeu des Echecs mais cela devient le jeu chinois « go » (et donc de l'échec au Jugement Dernier) qui a pour but d'encercler l'adversaire (société adverse) et de le priver de liberté (en particulier au niveau de la surveillance, du contrôle économique et de la religion) comme c'est clairement le cas en France et en occident actuellement à cause des mondialistes se servant du Covid, la dette, les grands médias, le progressisme enseigné à l'école, la guerre en Ukraine, etc.
Voir l'excellente vidéo : « La guerre invisible de l'Etat profond contre la France - Le Zoom - Stanislas Berton - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=kK5iH7BZrGA&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Voir aussi vidéo : « Pression Sociale et Auto-Conformisme Naturel du Mougeon ou le contrôle mental auto-induit » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=GpXuxGzAJTo&t=455s
Et lire article « Le monde entier sera-t-il un jour comme Hollywood ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-monde-entier-sera-t-il-un-jour-comme-Hollywood-63365.html
Les magistrats sont évidemment sensibles aux caps pris par les politiques mais sont de plus en plus soumis aux mondialistes, sans compter qu’ils ont eux aussi des idées politiques possiblement similaires (sans parler des ambitieux et des francs-maçons). C’est déplorable en particulier car ils oublient souvent que dans un État de droit, leur mission est précisément de veiller au respect des bornes. En effet le principe de séparation des pouvoirs devrait leur rester présent sans cesse à l’esprit, surtout qu'un État où ce principe est violé n’est qu’une tyrannie. C'est à dire qu'un État où les magistrats condamnent les gens qui s’opposent aux politiques publiques corrompues est clairement une dictature perverse. Ainsi un tyran est un dirigeant qui ne veut pas le bien commun pour le peuple alors que le dictateur peut être éclairé dans ce sens.
Or grâce à la caméra s'étant répandue via les smartphone, le pouvoir de la baïonnette (par la force, les tueries de masses voire le génocide) tend à disparaître en particulier dans les pays développés, ce qui équilibre le combat entre le peuple et la tyrannie. Pour ne pas entrer en tyrannie et pacifiquement manifester légitimement quand il le faut, le peuple doit donc absolument jauger quand des niveaux sécuritaires liberticides sont exceptionnels, deviennent des restrictions temporaires, ou demeurent une permanente généralisation autoritaire, car dans les démocraties occidentales, le respect des libertés est normalement la règle, et les restrictions, l’exception. En effet il devrait être évident pour tout citoyen d’une nation occidentale que des « pouvoirs d’urgence » sans fin peuvent facilement se transformer en une véritable dictature. Lorsque on permet aux politiciens de violer nos droits en temps de crise, ils créeront des crises pour violer nos droits. Quand on connaît l'Histoire et la ploutocratie actuelle, il n’y a aucune raison pour que cela n’arrive pas aussi à d’autres nations autrefois libres. Et cela signifie, plus que jamais, qu’il est temps de penser à un plan B.
Surtout que le système actuel sait donc créer des problèmes ou des crises tel que le covid pour le résoudre avec plus de restrictions et de mesures liberticides. En effet ce nouvel ordre mondial démocratique, laïque, progressiste, sioniste, matérialiste, bancaire, sanitaire, lobbyiste et oligarchique n'arrange rien et amplifie voire crée les problèmes. Le fait que des personnes à la rue meurent de plus en plus dans les pays développés est suffisant pour montrer la dégradation morale s'étendant à cause de cette basse politique depuis des décennies. A ce sujet lire article « Pour l’Union européenne le moment d’utiliser la force est venu » à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-l-Union-europeenne-le-moment-d-utiliser-la-force-est-venu-57628.html
Or sans doute, connaissez-vous l’histoire de la grenouille qui, dans son bocal, se laisse cuire sans réagir. Si l’on réchauffe son eau peu à peu, insensiblement, elle se laisse mollement anesthésier par la chaleur et, venu le moment crucial, n’a plus l’énergie nécessaire pour sauter et sauver sa peau.   Pour lutter contre ce système gravement corrompu, il faut savoir que le véritable islam est bien là pour confirmer les véritables judaïsme et christianisme dont à travers l'interdiction de la trinité, de l'usure et du mariage homosexuel, et n'incarne donc pas la religion noachide comme le véritable christianisme (dont le catholicisme et l'orthodoxie sont proches puisque ils sont attaqués par les sionistes pour être détruits) ayant également rappelé le noble sens spirituel authentique de l'ancien testament aux juifs dont aussi à travers le refus de l'usure : :
(S43v59) « Il (Jésus) n'était qu'un Serviteur que Nous avions comblé de bienfaits (spirituels parfaits) et que Nous avions désigné en exemple aux Enfants d'Israël. »
(S43v63-66) « Et quand Jésus apporta les preuves, il dit : “Je suis venu à vous avec la sagesse et pour vous expliquer certains de vos sujets de désaccord. Craignez Allah donc et obéissez-moi. Allah est en vérité mon Seigneur et votre Seigneur. Adorez-Le donc.” Voilà un droit chemin. Mais les factions divergèrent entre elles. Malheur donc aux injustes du châtiment d'un jour douloureux ! Attendent-ils seulement que l'Heure leur vienne à l'improviste, sans qu'ils ne s'en rendent compte ? »
(S16v43/44) « Nous n'avons envoyé, avant toi, que des hommes auxquels Nous avons fait des révélations. Demandez donc aux gens du rappel (moines, prédicateurs chrétiens) si vous ne savez pas. (Nous les avons envoyés) avec des preuves évidentes et des livres saints. Et vers toi, Nous avons fait descendre le Coran pour que tu exposes clairement aux gens ce qu'on a fait descendre pour eux et afin qu'ils réfléchissent. »
(S27v76) « Ce Coran raconte aux enfants d’Israël (et aux chrétiens) la plupart des sujets sur lesquels ils divergent, cependant qu’il est pour les croyants un guide et une miséricorde. »
(S3v23) « N'as-tu pas vu comment agissent ceux qui ont reçu une part du Livre, et qui sont maintenant invités au Livre d'Allah pour trancher leurs différends ; comment un groupe des leurs tourne le dos et s'esquive ? »
D'ailleurs pour encore prouver la véracité de l'islam, il faut noter que le monde et les religions ne s'expliquent pas uniquement à travers le comportement égaré de certains adeptes, la géopolitique, des nécessités matérielles, des idées politiques erronées ou des mauvaises interprétations religieuses, mais surtout par la logique de la noblesse spirituelle progressivement révélée aux différents messagers par Dieu depuis Adam, en passant par Abraham, Moïse, Jésus (paix sur eux), et se terminant avec Mouhamed (SBDSL) comme l'explique clairement ce site. En effet, il est cohérent que le saint esprit de Jésus soit descendu sur terre après la révélation complète de la loi tribale et nationale juive pour l'orienter vers l'universel, et que l'ultime Messager Mouhamed soit venu après le saint esprit de Jésus afin de faciliter l'acquisition de cette sainteté aux êtres humains imparfaits par nature, puisque Jésus est né saint alors que Mouhamed l'est devenu par la religion et la piété.
          De nos jours le manque généralisé d’éducation, de culture et d'ouverture apporte souvent un désarmement intellectuel ou une fermeture religieuse ne pensant pas à la foi ou à la réalité des possibles ponts entre monothéismes. Il faut donc s'habituer à savoir penser contre soi et refuser de réfléchir systématiquement par soi-même car nous sommes inconsciemment imbibés des idées dominantes dont de pensée unique ou de contradiction irréfléchie, surtout que l'esprit de nuance est nécessaire dans toute quête (d'autant plus celle de la foi puis de la piété) en particulier donc dans un système portant une pensée unique et critiquant de complotiste toute pensée différente. Alors que les complotistes qui remarquent ou trouvent des vérités sournoises évidentes devraient être dénommés des constatistes (dignes). En effet en France et ailleurs, il est apparu la mainmise idéologique d’une intelligentsia culturelle, philosophique et laïque, devenant rapidement une dangereuse police de la pensée apportant une police politique (voir vidéo de Vincent Lapierre à https://www.youtube.com/watch?time_continue=360&v=K4xIuKl1Ppw). Elle s’est accaparée le droit de réfléchir en propageant des opinions souvent erronées mais devenant majoritaires dans divers domaines par un mimétisme inconscient des populations lié à la passivité mentale souvent d'origine télévisuelle. Elle participe aussi à faire de la France pour la première fois dans l'Histoire, le pays le plus arnaqué au monde dont en la faisant faire d'énormes efforts en particulier financiers pour des politiques qui la détruisent. Beaucoup sont tellement imbibés de chaînes d'information du système, de programmes mondialistes et de divertissements de plus en plus infantiles, qu'ils préfèrent la facile mais aussi fade passivité mentale et n'arrivent même plus à réfléchir d'autant plus grandiosement. En plus d'être souvent une boîte à insouciance pour beaucoup, la télévision est donc devenue une machine à consentement et à aliénation (il fait chaud, hydratez vous, il fait froid, couvrez vous etc...) qui conduit à réagir comme des enfants à la propagande politique, laïciste et progressiste, car les enfants ne doute pas de l’autorité et du sérieux des adultes.
Dans ce sens « le schéma vaccinal » est une expression qui permet à un tas de covidés de se trouver normaux ET intelligents. C’est toujours bien pour les ingénieurs sociaux et les spécialistes du « nudging (concept affirmant que des suggestions indirectes peuvent, sans forcer, influencer les motivations et inciter à la prise de décision des groupes et des individus) » de monter des arnaques où la victime se trouve intelligente et normale. C’est même carrément idéal pour le consentement. Or moralement, démocratiquement et même dans l'actuelle législation, le consentement doit être éclairé pour ne pas devenir manipulation d'autant plus par rapport à un vaccin. En effet être libre signifie forcément être éclairé. Surtout que quand on est blessé ou gravement malade, il est normal d'aller à l'hôpital ; mais quand on est en bonne santé, il est sagement prudent de ne pas vouloir se faire piquer même en cas d'obligation par des produits obscurs. Surtout quand ils sont vendus très chers à nos gouvernements corrompus par des multinationales appartenant à des capitalistes voraces et souvent impies, qui nous considèrent au mieux comme des vaches à traire, des cochons de payant, voire au pire en plus comme des cobayes...
Forcer le consentement, ce n'est pas neutre, voire c'est impie... Ainsi les êtres humains doivent arrêter de se servir infantilement de leur prétendue innocence liée à leur nature imparfaite pour se faciliter, et donc effacer fortement cette idée d'innocence liée à leur nature imparfaite pour la remplacer par une haute responsabilité pieuse d'adulte et cela même s'il doivent garder un enthousiasme et un émerveillement enfantins pour tout bien. Surtout que les 1 % ultra riches veulent la soumission des 99 % autres.
Les mondialistes veulent tout : notre pays, notre liberté, notre surveillance, notre argent, notre santé, nos enfants et notre âme. Les gens qui argumentent contre le droit à la disposition de son corps par rapport à des vaccins sont des totalitaristes, des tyrans et des apologistes de l’apartheid biologique et de la discrimination médicale. En effet il faut voir la vue d'ensemble politique de la propagande pour la vaccination contre le covid afin de comprendre ses sens cachés. D'ailleurs sans vue d'ensemble, on ne peut distinguer la réalité du nouvel ordre mondial étant lié à de nombreux événements : covid, vaccin, guerre en Irak, en Libye, en Syrie, en Ukraine, inflation. Le mal existent et certains ont organisé des plans diaboliques auxquels nous n'aurions même pas pensés. Même par la dette (l’usure), l’État nous ruine au profit de la Haute Banque, des assurances et des financiers internationaux. Ce sont donc nos services publics, c’est-à-dire la qualité de vie à la française, qui engraisse la finance. On pensait ce genre de pensées tyranniques finies, on découvre qu’elles ne faisaient que dormir. Il faut noter que par rapport aux croyants, ce sont les athées qui croient le plus au vaccin, comme si il s'agissait d'une épreuve devant distinguer les soumis au système corrompu se servant du prétexte de la science pour manipuler leur crédulité vers la tyrannie au début sanitaire puis économique. Et il faut donc se battre pour défendre son corps du viol chimique comme l'a fait le numéro un mondial de tennis Novak Djokovik en refusant cette substance qui peut être le contraire d'un dopage, c'est à dire une diminution des capacités physiques. Le système maçonnique a dominé les âmes en effaçant le monothéisme par la laïcité, puis les esprits en les fatiguant dans l'abrutissement par la télévision ou le travail sans culture. De plus il y est aussi parvenu en les faisant vivre dans la haine de la France par la culpabilisation de colonialisme, de racisme et d'antisémitisme (c'est à dire en simplifiant les choses par la racialisation, qui est toujours une simplification s'orientant vers un aspect identitaire au lieu d'une volonté de socialisme souverainiste). La détestation des jeunes, qu’ils soient blancs ou pas, pour leur propre patrie à cause de la culpabilisation, explique en partie leur manque de confiance en eux. Et avant la domination ploutocratique de l'économie par la crise énergétique, c'était au tour des corps à être dominés par la vaccination qui est la preuve finale d'un complot mondialiste avec cette apparition internationale du coronavirus très étonnamment souvent gérée similairement au niveau mondial.
Or lorsque l'accaparement porte sur le corps du peuple, il s'agit d'une société esclavagiste, lorsque l'accaparement porte sur la terre, il s'agit d'une société féodale, et lorsque l'accaparement porte sur le travail, il s'agit d'une société capitaliste. Mais comme la société capitaliste est en crise terminale, elle s'oriente donc vers le grand reset synonyme d’accaparement des consciences (dont par les techniques médiatiques, la manipulation politique, l'hyper normalisation et la technologie à outrance) et donc d'une sournoise société oppressive et tyrannique, similairement à la société esclavagiste par l'accaparement des corps mais par des moyens modernes. Et l'accaparement par l'abrutissement de la classe moyenne se fait plus par une prétendue normalité sociale athée.
Par conséquent les mesures liberticides liées à la gestion sanitaire du covid dont l'obligation vaccinale et le pass de contrôle correspondent à la dernière limite à ne pas céder pour ne pas perdre définitivement dans une forme d'esclavage total tout ce qui nous appartient, dont même notre esprit par la paranoïa. Surtout que l'obligation vaccinale est interdite, car le code civil et le code de la santé publique précisent qu'on ne peut pas porter atteinte à l’intégrité de notre corps, et car nous sommes évidemment maîtres de décider ou pas du traitement qui pourrait nous être infligé.
La science n’a pas de morale, pas d’éthique, pas de sentiment de bien ou de mal. C’est un outil. Ce sont les hommes qui décident comment l'utiliser. La science ne vous dirait pas quoi faire. La science n’est pas une église, elle n’est pas censée guider les gens ; ce sont les gens qui doivent guider la science. Les gens comprennent ce qui est bon et ce qui est mauvais, ce qui est bien et ce qui est mal. Ce n’est pas le cas de la science. Quiconque parle au nom de la science est un imposteur, comme un prêtre qui parle au nom d’une idole. À une différence près : Dieu peut parler aux gens, peut-être, parfois, alors que la science ne peut pas parler. Elle n’a ni voix ni esprit.
« La science est cette figure d’autorité à qui l’on doit « demander ». La mission est de la plus haute importance : « protéger l’humanité des maladies (et des dangers) », rien de moins. La tournure impérative, qui permet de faire passer un ordre pour un conseil, est une manière d’entériner une adhésion – supposée spontanée – au narratif. Sauf que – comme on dit – l’humanité n’est pas un organisme. Souhaiter protéger l’humanité, c’est souhaiter protéger chacun des membres qui la compose, sans en perdre en route. Or on ne peut partir du postulat que tout le monde est à la même enseigne. Les riches et les pauvres, les biens nourris et les affamés, les citoyens libres et les habitants de zones de conflits, n’aurons pas à souffrir du même degré d’atteinte de leur capital santé. Sur ce registre, il vaudrait mieux demander à madame Justice sociale plutôt que madame la Science. Ou a monsieur Budget à la fin du mois. Le recours à la science permet ainsi de circonscrire la santé au seul domaine de compétences techniques ou des avancées de la recherche, en excluant tout autre déterminant. « Demander à la science » permet ainsi d’éclipser le politique.
Or en réalité, la Science n’a ni bras ni jambes, ni essence guidante. Elle observe le monde pour en tirer des lois générales. Elle établit des liens entre des séries de faits, des relations entre les phénomènes. Or, si les lois physiques sont connues et acquises, le vivant n’y obéit pas. Ce qui n’est pas acquis, ce qui reste aléatoire, c’est l’efficacité des traitements.
« On ne passe pas le meilleur de nous, de notre argent, de nos richesses et de notre science pour améliorer l’homme, pour le rendre plus humain, alors que ça lui donnerait à nouveau une forme de joie et d’optimisme supérieurs, et donc l'envie de créer une planète apaisée. Parce que nous avons les moyens de nous apaiser. Or c’est tout le contraire qui se passe. » (Jean Lassalle)
D’autre part, même en imaginant que l’on puisse parler de l’humanité comme d’un seul corps, il est tout autant irréaliste de penser lui éviter les maladies. Ou le stress. Ou les peines de cœur. (Ou les catastrophes naturelles). Car la seule chose que l’on ne puisse pas faire pour nos proches, c’est bien de leur éviter de mourir ou de souffrir. En revanche, il est tout à fait possible de mettre en place un système de soin performant, peu cher, local et accessible, avec par exemple les médecins généralistes en première ligne à qui on laisse la possibilité de faire leur travail. Dans ces conditions, on peut soigner, réduire les souffrances, améliorer le confort de vie. Or pour cela, nous n’avons pas besoin de progrès scientifiques. Sans vouloir reparler de molécules peu chères qui soignent, tout est déjà bien accessible.
En réalité, les maladies n’existent pas sans nous. Car la santé est un processus, un état qui s’améliore ou se détériore en permanence en fonction de nombreux facteurs. D’un point de vue hygiéniste, nous fabriquons notre santé et notre maladie tous les jours. Nous avons bien sûr une certaine marge de manœuvre pour mener une vie saine et contribuer à notre santé. Mais le point de vue s’élargit forcément pour inclure des strates où nous perdons la main : une situation financière fragilisée par une longue période de chômage, une panique collective créant de l’insécurité, une période de guerre...
          Or une grande majorité parmi les peuples vit souvent sous l’emprise de conditionnements et d’automatismes sans Dieu, en devenant un homme athée de la masse, fanatique, obsessionnel, sectaire et radicalisé, tel un programme d’ordinateur incapable de se corriger et répétant les mêmes erreurs en boucle. Ces personnes ne peuvent donc qu'effleurer le sens de l'existence en survolant superficiellement la vie laïquement et en se soumettant profondément au mondialisme malgré la haute grandeur de la morale religieuse. Car le cœur doit être préparé pieusement (et donc entraîné noblement) pour supporter la grandeur (le lourd poids noble) de la foi en Dieu le Très Haut devant apporter évidement un grand cœur synonyme de grandeur d'âme synonyme de bon esprit et donc de bonne personne.
          C'est pourquoi on n’entend jamais la parole des gens ordinaires, ceux qui n’ont pas fait de grandes études ou qui vivent simplement. Pourtant ces personnes lambda sont des gens normaux, de bon sens, avec une bonne dose de lucidité, celle qu’on contracte quand on est aux prises avec le réel et pas à donner ou recevoir des leçons via des plateaux TV. En effet cette lucidité populaire est loin du hors-sol des dirigeants médiatico-politiques corrompus, générateurs d’extorsions, de conflits d'intérêts, de mensonges et de catastrophes. Notre système est tellement méritocratique qu'une de cette population se refuse à donner son avis quand on ne l'empêche pas de parler dans les médias dominants. Heureusement contre cela, internet offre un vaste champ d’expression et de réflexion. Les chaînes éducatives, scientifiques, philosophiques, politiques ou religieuse sont légion, et donnent agréablement accès au savoir en dehors de toute rigueur académique ou violence symbolique.
          A notre époque, avec cet outil internet, l’éducation moderne, l'ensemble des médias et les flux migratoires, les différentes religions du monde sont donc présentes dans notre culture. Malheureusement le plus souvent, les journalistes rappellent principalement les mauvais actes de certains adeptes, mais surtout du catholicisme et de l'islam par conséquent de manière intrigante. Une petite parenthèse mérite d'être ouverte à ce sujet. Il faut reconnaître que notre quotidien est souvent calme, puisque sans télévision nationale ou mondiale les grands malheurs et les morts dans notre environnement proche semblent généralement assez rares, quoi que les conflits sont de plus en plus nombreux sur terre pour un certain temps.
L'être humain doit ainsi profiter de ce doux aspect de la vie, en cherchant évidemment comment il peut agir pour toujours accompagner notre monde dans le mieux, car ce n'est pas à l'univers (Création) de s'adapter à nous, mais à nous de s'adapter à lui en tendant vers une parfaite gestion des qualités morales exclusivement. C'est à dire que sans s'attarder sur l'ambiance morose provoquée par les journalistes avides de choquant, de malheurs et de souffrances dont de faits divers, tel un culte du pire auquel beaucoup de téléspectateurs et journalistes succombent, l'homme peut confirmer la beauté de l'univers de même que l'excellence de ses épreuves par un digne comportement en particulier envers toute l'humanité, à l'image de la symbiose entre une fleur fournissant le sucre à une abeille et cette abeille lui apportant le pollen. En effet, le monde n'attend plus que nous pour que nous soyons en harmonie avec lui. C'est à dire que nous pouvons créer autant de noblesse et de beauté que celles qui font avancer le monde :
(S20v2-4) « Nous n'avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux, si ce n'est qu'un Rappel pour celui qui redoute (Allah), (et comme) une révélation émanant de Celui qui a créé la terre et les cieux sublimes. »
(S18v7) « Nous avons placé ce qu'il y a sur la terre pour l'embellir, afin d'éprouver (les hommes pour savoir s'ils vivent et partagent pieusement et ainsi dignement et conformément cet embellissement ou s'ils sont cupides et ainsi indigne et non conforme vers cet embellissement, et donc pour connaître) qui d'entre eux sont les meilleurs dans leurs actions. »
C'est à dire qu'avec la vision religieuse affirmant l'excellence des épreuves de la vie et par les qualités morales de sagesse, de bienveillance et de bienfaisance permanentes, nous pouvons ne voir que des solutions voire que du bien dans ce monde, et plus de problèmes.
          Or donc malencontreusement, il est à constater dont que par la perversité médiatique et politique, l'adoration monothéiste se perd par crainte, dégoût ou désintérêt, alors que pourtant nous sommes dans une période idolâtrant des célébrités, la richesse, le matérialisme, la science, la technologie, la nature, des sectes types franc-maçonne ou scientologue, les mouvements politiques athées, ou le polythéisme type hindou. Ainsi avant de se forger une opinion, chaque personne devrait d'abord étudier sérieusement les diverses spiritualités et s'informer clairement sur la réalité des forces visibles et cachées en présence dans le monde, de même que sur celle des forces lumineuses et occultes, afin d'éviter les mauvais préjugés et les plausibles manipulations.
Pour prendre un exemple, dans la guerre au terrorisme ou à la pauvreté décrétée par certains pays, où la désinformation atteint des sommets inégalés par les médias mainstream soumis aux politiques et oligarchies cupides sous une forme ressemblant dangereusement de plus en plus à un média unique dictatorial, puisque appartenant à environ dix milliardaires influençant inévitablement l'information transmise et apportant d'évidents problèmes moraux et démocratiques, nous ne pouvons oublier le double jeu de ces tenants de l’État qui ont armé des « rebelles » et affaibli le gouvernement et les peuples de diverses nations pour faire exploiter leurs ressources naturelles par les multinationales occidentales, ou/et continuer l'hégémonie de l'empire occidental politiquement par la laïcité et financièrement par la dette, ou plutôt l'hégémonie du pouvoir impérial oligarchique. Surtout que les milliardaires sont généralement copains entre eux et n’ont pas besoin de se consulter pour dire la même chose, et que leur possession des grands médias leur sert seulement donc pour leur influence car ne rapportant pas d'argent. On peut en plus qualifier ce système de « cartel de la presse subventionnée et des médias du système », car de moins en moins de gens la lient, ou de « médias de la désinformation généralisée », car faisant de très rares excuses alors qu'ils ont souvent tort puisque mentant fréquemment. En effet l’idéologie des différents journaux et des grandes chaînes mainstream correspond souvent en tous points à la ligne mondialiste, celle qui défend les intérêts de l’Empire et de son outil militaire l’OTAN (deuxième nom du Pentagone), de même que ses larbins que sont l’Union européenne et les gouvernements occidentaux alignés dont aussi par leur soumission à l'oligarchie internationale perverse. La militarisation de l'information (de la communication) fait donc aujourd'hui partie de la diplomatie internationale et de la stratégie diplomatique des pays occidentaux. Les chaînes d'infos mainstream créent même des campagnes médiatiques pour ensuite permettre au pouvoir de prétendre s'appuyer sur l'opinion publique lors de ses décisions. La fonction ultime des médias occidentaux apparaît de manière éclatante en période de guerre, quand BFM TV se met à soutenir les islamistes modérés ou les nazis ukrainiens dont on cache soigneusement les tatouages éloquents de croix gammées et qui sont présentés comme de simples patriotes, victimes de la « menace russe ». BFM, on le sait, est une chaîne mondialiste, c’est-à-dire à idéologie libérale-libertaire ou, pour reprendre la théorie soralienne, de droite du travail (financier et parasitaire) plutôt que des valeurs et de gauche des valeurs (sociétales) plutôt que du travail et du social, soit l’esclavage et le porno pour être directs.
Tout cela participe à ce que le laïque système international d'usure parvienne tôt ou tard à ses fins avec tous les pays utilisant ou se laissant dominer par les monnaies dette crées ex-nihilo (à travers de pervers crédits bancaires usuriers basés sur la vague promesse d'un remboursement futur) dont le dollar et l'euro, en particulier à travers la bourse et par les multinationales. C'est à dire que comme pour la crise des subprimes, lorsque certaines banques endettent par plusieurs crédits une personne, un couple, une famille, une ville ou un pays, puis que d'autres rachètent leur crédits en un seul crédit lorsqu'ils sont en difficulté, cela devient très oppressifs pour les peuples et la société puisque ils s'orientent vers à toujours plus de prêts, ce qui est synonymes d'asservissement. Et dans ce système comme seuls les très riches corrompus peuvent avoir une valeur économique grandement négative, il n'y a donc que les super escrocs, agents de la finance apatride, qui peuvent aller à moins l’infini car c'est le but de l’agenda politique sous-jacent dicté par la Banque too Big to fail (système bancaire oppressivement trop impliquée et donc nécessaire économiquement pour faire faillite tant que les valses de cryptomonnaies décentralisées et donc populaires ne se sont pas généralisées). La dette, c’est comme les amendes, ça n’affecte que les pauvres, car derrière les ultra riches (dont les énormes fonds d'investissement apatrides tel Vanguard et Black Rock) contrôlant de grande parties de l'économie et corrompant divers responsables politiques, il y a ceux qui impriment bassement l’argent ex-nihilo en roue libre par la planche à billets comme la BCE, c'est à dire sans que la création monétaire soit sagement basée sur l'économie réelle (or, devises, titres, production, contreparties diverses) et donc en s'accaparant perversement la richesse populaire par les intérêts, et donc le monde de la finance et donc l'influence politique.
Ces occupants apatrides, c’est la clique mondialiste antifrançaise qui a mis la main sur l’État, et qui s’en sert pour déprotéger les Français, briser leur moral, détruire leurs services publics, les asservir et les punir économiquement (dette, inflation, fisc, chômage).
Le problème principal est donc le contrôle de la création monétaire. Nous avons besoin d’un contrôle citoyen sur ce point. D'ailleurs la création monétaire étant normalement un devoir régalien mais qui est désormais contrôlé perversement par le privé, cela prouve qu'elle pourrait être confiée au peuple par la décentralisation d'une cryptomonnaie stable contrôlée par quelques comités populaires régionaux se renouvelant. Cette idée de monnaie populaire est parfois discutée à Bâle, pour lutter contre la Banque des règlements internationaux qui s'y trouve, la « banque des banques centrales ». Des réunion avec plusieurs groupes et experts autour de cette question et la World Freedom Alliance ont même décidé de l’inclure dans sa charte des droits de l’homme en tant que « liberté économique hors des systèmes de crédit coercitifs et exploitants ».
Or quand JF Kennedy a essayé de changer le système actuel et de rendre le contrôle de la création monétaire aux mains du Congrès en signant l’Executive Order 11110, il a été assassiné peu de temps après avant d'y parvenir. Et c'est pourquoi l'Etat profond états-uniens (complexe militaro-industriel bancaire lié à la CIA ou au FBI) peut être à l'origine de son assassinat, même si comme dans d'autres affaires similaires dans le monde, des services spéciaux ont pu se servir d'une mafia comme relais, surtout que l'assassin Jack Ruby du prétendu assassin Lee Harvey Oswald de Kennedy était lié à la mafia juive (khazar).
Concernant les autres raisons de son assassinat, l'excellent entretien « La mort de Kennedy marque un tournant majeur dans l’histoire des États-Unis et du monde : entretien avec Laurent Guyénot » peut être lu à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-mort-de-Kennedy-marque-un-tournant-majeur-dans-l-histoire-des-Etats-Unis-et-du-monde-entretien-66992.html      Cependant ce pervers pouvoir profond américain semble plus dirigé par la finance internationaliste de Wall-Street et de la City qui a donc fait une sorte putsch dans le monde anglo-saxon principalement incarné par les USA et la Grande Bretagne. Cette finance internationaliste vampirise les États dont en soumettant ou déstabilisant leurs dirigeants et en ayant progressivement la main mise sur leurs services publiques, surtout quand ces dirigeants ne la laissent pas d'abord vampiriser leurs peuples.
Même l'énorme dette US provient de cette vampirisation anti-populaire, puisque elles composée par les dettes des ménages, des étudiants, des entreprises, des États de l’union, des institutions locales de tous niveaux, des institutions financières et enfin la dette fédérale. Le rythme d’augmentation de la dette fédérale était encore de 3 milliards de dollars par jour en mai 2019 : il a été, en moyenne, de 9 milliards de dollars par jour sur les 16 derniers mois suivant le début de la crise du covid. Les étrangers ne se bousculant plus vraiment pour être créanciers des USA, c’est donc la planche à billet US qui accélère considérablement le rythme… Et en cas de crash, ce sont donc les citoyens US moyens qui en subiront directement les plus lourdes conséquences, car la caste mondialisée ultra riche détient souvent son argent dans les paradis ou plutôt enfers fiscaux, ce qui prouve l'organisation diabolique de ce système.
Ainsi il est apparu une mafieuse aristocratie financière (voire des mafieuses féodalités financières), synonyme d'autoritarisme immoral par une monarchique économie monopolistique, puisque bafouant la démocratie et les droits des peuples par une basse prédation constante des richesses et avide de la domination du monde. Elle s'appuie sur l'ultra libéralisme mondialiste apportant l'indifférenciation des valeurs, la négation de la différence des sexes, le mépris de la différence des âges, et le mépris de la différence des cultures et donc des ethnies. C'est à dire que par une forme cachée de guerre hybride basée sur un ultra libéralisme libertaire, anti monothéiste, hyper consommateur avilissant, financièrement oppressant, professionnellement usant et immigrationniste de masse, ces ultra riches corrompus cherchent par ces perversions à éteindre toute défense immunitaire populaire à leur domination, puisque effaçant sa meilleure arme qui est la piété noblement insoumise à la corruption. Il faut noter que cette guerre hybride peut ensuite être associée à la guerre sans contact comme les Etats-unis ont provoqué un putsh suite à une révolution de couleur en Ukraine, ont pratiqué des guerres par procuration, ou ont bombardé avec constance des hôpitaux, des ponts, un train, deux bus, un pont de village un jour de marché, de nombreuses de maisons, des casernes, des raffineries et des civils, dans l’intention de mettre la Serbie à genoux dont pour faire changer ses dirigeants par une manipulation du potentiel contestataire populaire possiblement par des ONG sournoise. Ces cas de fortunes colossales impies sont les symptômes de l’état de santé réelle de notre système et prouvent qu'il est effectivement bâti sur de l’artifice pervers à de nombreux étages. De plus avec l’Agence américaine pour les projets de recherche avancée de défense (DARPA), ce nouveau type de guerre oligarchique s'oriente vers le concept de « guerre mosaïque » (mosaic warfare) dont le but est de multiplier des attaques de différentes nature (politiques, informatiques, économiques, médiatiques, financières, immigrationnistes) qui séparément seraient peu décisives, mais qui, combinées et déployées simultanément ou successivement, ont pour but d’épuiser et de submerger les défenses adverses des nations et des peuples.
Or le cynisme politique de ce système occidental ose même très effrontément se couvrir de compassion à travers le wokisme. En effet peut-on croire un seul instant à la volonté farouche de ces élites de lutter contre le terrorisme et la pauvreté, qu’ils soutiennent en pratique à l’extérieur (à l'étranger) pour leur propre compte, et qui à l’intérieur (dans leur propre nation), leur a permis de raffermir leur pouvoir, de favoriser certains lobbies, de diviser la population, de tenir leur peuple en respect malgré leur nocivité, et de le surveiller du matin au soir par des lois sur le renseignement restreignant toujours plus les libertés, afin de criminaliser « préventivement » la réponse sociale, forcément violente, à leur politique souvent ultra libérale ? Il y a là un conflit d’extensions (qui va de soi par ses malhonnêtes buts convergents de domination), comme on dit en informatique, c'est à dire que cette situation prouve d'elle-même sa duperie.
Notre système médiatico-politique devenu partial, lobbyiste et corrompu est par conséquent très gravement défaillant. Il s'agit d'une lobbycratie (composé par exemple avec les lobbies sioniste, franc-maçon, bancaire, commercialo-mondialiste, Lgbt, pharmaceutique, des armes, etc, favorisant perversement leurs intérêts particuliers au lieu du bien commun et convergeant donc souvent dont au détriment de la moralité populaire) malgré parfois ou plutôt rarement des affrontements entre ces divers lobbies devenus des mafias. Lire à ce sujet l'article « De la Révolution française au Covid, Petite histoire de manipulation du peuple. Partie 3 (L’essor de l’ingénierie sociale particulièrement pour développer le consumérisme) » à l'adresse https://lemediaen442.fr/de-la-revolution-francaise-au-covid-petite-histoire-de-manipulation-du-peuple-partie-3/
Il faut noter que les mafias se développent quand il y a peu (ou de moins en moins) de culture, de services publics et de méritocratie authentique répandus au sein de la société, ce qui correspond au contexte actuel.
Ainsi les fonctionnaires et services publiques doivent incarner l'intérêt général et non finalement des intérêts particuliers comme lors aussi du nazisme ou du communisme, qui furent tout deux du socialisme totalitaire que le libéralisme américano-sioniste a organisé puis vaincu. Et à notre époque, les membres de nos bureaucraties doivent comprendre que tôt ou tard ils n'échapperont pas non plus aux poursuites.
La désinformation et les mensonges du système sont d'autant plus dangereux car pour survivre, il doit sans cesse « éliminer (écarter) » des grands médias dominants ceux qui ont décrypté son illégitimité. Parmi les désinformations les plus condamnables sont l’occultation ou le mensonge par omission empêchant la justice. La désinformation sur le terrorisme peut aussi être vue à travers son attribution perverse par des politiciens israéliens à la résistance palestinienne luttant pourtant légitimement à l’oppression, à la colonisation et aux tueries de l’État raciste israélien. Pour parvenir à autant de manipulation par ce gros niveau de propagande sournoise, ce système a donc d'abord acheté les personnes politiques puis les grands médias. Car cela lui permet d'interdire l'antenne à certains dissidents ou de se servir par leurs journalistes de la technique de noyade d’un invité contradicteur par de nombreuses questions rapides parfois sans rapport mais souvent suite à des coupures de paroles pour le discréditer, ce qui est qualifiable de terrorisme intellectuel envers tous ceux qui ne correspondent pas au socle idéologique et envers la plus dangereuse des armes pour une tyrannie qui est la vérité ainsi que la promotion de l'amitié dans le bien commun. Cette très basse technique de faire perdre les repères intellectuels d'une personne se voit également à travers les nombreuses infos, les nombreux nouveaux mots, les nombreux ordres et contre-ordres et même des discours paradoxaux pour sidérer puis noyer le citoyen, sa logique et sa raison, comme ce le fut particulièrement le cas lors de la perverse gestion sanitaire face au covid, et c'est pourquoi l'éventuel meilleur futur médical du groupe témoin des non-vaccinés est craint par le système. En effet tout état d'urgence permanent associé à de fréquentes nouvelles mesures votées et mises en place rapidement empêche la réflexion prenant par essence du temps, ce qui bloque ainsi tyranniquement diverses analyses et certaines nuances dans le débat. De même l'enchaînement des crises du covid, de l'inflation, de l'énergie, de coupures déstabilise le peuple, alors que stabilité est importante pour la sérénité, le développement et la Clairvoyance humains. De plus le transsexualisme et la théorie du genre participent aussi à embrouiller la raison, puisque ils représentent clairement la fusion-confusion du système cherchant à faire perdre tout repère et à développer perversement tout humain pour le soumettre plus facilement. La succession de mensonges et de vérités assénés par le gouvernement décourage également la réflexion.
Les médias et les hommes politiques dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront aussi toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond.
Dans ce sens oppressif, ce harcèlement par des questions rapides de tout opposant au système sert aussi à casser sa dynamique et sa cohérence, surtout quand elles sont associées à des questions se détournant des sujets concernés et des informations dissidentes importantes pour le faire manquer de temps ou chercher à le décrédibiliser voire le culpabiliser.
« Et comme à l’heure actuelle, de nombreuses alternatives aux médias traditionnels apportent la visibilité nécessaire à certains groupes dissidents, nos gouvernants ont, à cet effet, mis en œuvre des stratégies adaptées pour détruire ces derniers. Il s’agit ici de décrédibiliser les individus qui les composent afin de les stigmatiser. Certaines techniques d’ingénierie sociale aboutissent à une horizontalisation du conflit. C'est à dire que les victimes de la narration officielle deviennent alors oppresseurs et la gouvernance n’a plus qu’à observer. Ce qui a pour effet d’entraver les mécanismes de construction des groupes, et de contribuer à communautariser les mouvements dissidents pour mieux les stigmatiser. Dans ce sens tyrannique, la gouvernance peut également produire et soutenir ses propres communautés contrôlées qui sèmeront le chaos et la terreur de façon spectaculaire afin d’être amalgamées avec les réels contestataires, ôtant à ces derniers la possibilité de se constituer en corps social. Les mouvements antifas d’extrême gauche entrent dans cette catégorie. Nous empêcher de nous fédérer pour nous exprimer est l’un des objectifs principaux d’une gouvernance non démocratique. Par ailleurs, le travail de sape qui consiste à isoler les individus ne date pas d’hier, car pour faire disparaître un groupe, il faut effacer la personnalité de l’individu. Dans un monde de plus en plus porté sur la virtualisation, la prééminence du « moi » et la quête d’admiration, il devient de plus en plus facile de briser les effets de la dynamique de groupe. Enfin, l’augmentation souhaitée et contrôlée de la précarité sociale, économique et intellectuelle constitue le terreau propice à une société individualiste, rendue docile à souhait par sa propre incapacité à s’inscrire dans une action collective. À l’avenir, si nous demeurons illusionnés, nous accepterons l’inacceptable sans même en avoir conscience, c’est orwellien. Ainsi le « tout sécuritaire », le « tout sanitaire » ou le « tout environnemental » sont les outils utiles de la gouvernance à la construction d’un régime totalitaire de contrôle permanent sous couvert de bienveillance. Ce détournement machiavélique de la bienveillance relève évidemment la stratégie du pompier pyromane. » (Passage de l'article de François Dubois « Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale » à l'adresse https://lemediaen442.fr/francois-dubois-macron-est-anime-par-un-ideal-messianique-en-lien-avec-la-gouvernance-mondiale/)
De plus, des tactiques tendent vers un effet de distraction par la diffusion de nouvelles non pertinentes, ou idiotes (événements de la famille royale britannique, ragots, etc.), ou annonciatrices de peur et de malaise (racisme généralisé, résurgences imaginaires du fascisme, homophobies diverses, persécution des migrants, etc), car cela permet aussi la dissimulation de bonnes critiques contre le système.
Un des nombreux travers de la presse mainstream, c’est aussi de minimiser les événements importants, et de maximiser les événements futiles voire affaiblir les mouvements populaires par des rumeurs. C’est le temps qui finit par renverser ces perspectives.
Sinon certaines analyses populaires correctes peuvent même sans aucun scrupule être censurées ou considérées comme des fake news.
Surtout que via ces médias dominants honteusement soumis, le système ose en plus promotionner la loi sur les fake news apportant de la méfiance du peuple envers toute nouvelle idée et donc pensée, surtout que même s'il est juste de prévenir les gens des mauvaises influences, il faut d'abord se méfier de ceux qui disent de nous méfier, en particulier quand ils se victimisent alors qu'ils sont loin d'être irréprochables mais plutôt source principale de mensonge. Pourtant il est intéressant de lire à ce sujet la charte de Munich de 1971 concernant le journalisme à l'adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich
La fake news est devenue le moyen de décrédibiliser toute information qui viendrait contredire la version médiatique. En effet après la crise des subprimes, les critiques des journalistes mainstream ont été si fortes contre le système que les oligarchies ont décidé de racheter tous les grands médias. Les médias mainstream ne font donc plus de l’information impartiale mais bien de la propagande du système égaré voire corrompu, surtout que ce sont principalement eux qui se servent de fake news comme propagande du système. Les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent donc facilement, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société spectacle a une mémoire de plus en plus courte.
Le Système dispose de deux armes, la propagande et la censure, qui vont ensemble, et qui croissent ensemble : le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système doit être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, il doit devenir un hors-la-loi. C’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, qui d’ailleurs est déjà en cours, mais contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation. Or en plus de la propagande et de la censure très honteuses, le système a même en place le fact-checking.
En effet les médias mainstream ont inventé les journalistes fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels). De plus au lieu de vérifier les informations, ces pseudos journalistes fact-checkeurs ciblent des personnalités désignées et harcèlent de vrais journalistes sans même recouper les propos de ces derniers. Mais de plus en plus de gens ne croient plus en ces fact-checkeurs ,i aux sondages ni aux mensonges du gouvernement. Ils ne se contentent plus de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Et ils ont raison car il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, wokiste, esclavagiste, oligarchique et ploutocratique.
Selon Jean-Yves Le Gallou, la société occidentale peut être facilement qualifiée de "société de propagande" (dont par les fake news donc). Il développe cette pensée et son expertise en rappelant qu’une société où la propagande est massive constitue le premier déterminant du contrôle du comportement social. Et sur cette base, l’auteur examine le goulag mental imposé aux Européens et propose d’y résister, en prônant un plan audacieux en trois parties concrètes : dissidence, rébellion et sécession.
Jacques Baud, colonel de l'Etat major, ancien membre des renseignements suisses et spécialiste du renseignement et du terrorisme définit l'expression « Fake news » :
« Il s'agit de toutes les informations qui sont partielles, quelquefois biaisées, quelquefois des rumeurs, qui sont devenues des informations sur lesquelles on se base pour juger les activités ou la situation internationale. On a fait avec de vraies rumeurs de fausses nouvelles, et cela biaise notre perception du monde. Bien souvent ce sont des Etats qui cherchent à expliquer ou excuser leur action internationale en masquant une partie de la vérité, occultant une partie de la réalité, afin de diffuser uniquement la partie qu'ils veulent bien communiquer. »
En effet quels sont les faits qui permettent d'affirmer que l'Etat islamique cherche à créer une guerre civile en France ; que le président syrien Bachar al-Assad a utilisé des armes chimiques (; que Saddam Hussein avait des armes de destructions massives ; Mouammar Kadhafi tuait son peuple avec des engins militaires) ; que Vladimir Poutine tente de déstabiliser nos démocraties ; que le terrorisme a frappé la France, non pas pour ce qu'elle fait, mais pour ce qu'elle est ; que le génocide au Darfour a fait 400 000 victimes ? Littéralement aucun, mais ces affirmations suffisent à asseoir la politique étrangère des pays occidentaux. Dans son ouvrage "Gouverner par les fake news", Jacques Baud passe ainsi en revue les principaux conflits contemporains, que les pays occidentaux ont orchestré et géré à coups de fake news, ces trente dernières années. Pour obtenir encore plus de discernement dans ce contexte de fake news, voir également l'excellente vidéo « Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien [IDRISS ABERKANE] » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=M8W-9_40m98&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Surtout que le système sait que l'expérience Milgram a prouvé que la grande majorité des gens obéissent aveuglément à ce qu'ils considèrent comme une autorité, ce que les médias mainstream deviennent faussement de plus en plus pour eux. Le mensonge est devenu si institutionnel que la République s’est séparée en deux mondes : ceux qui gouvernent et mentent, ceux qui obéissent et subissent le mensonge. Certes, le mensonge a toujours fait partie de la politique. Mais, le temps aidant, la démocratie déclinant, le mensonge politique est devenu une industrie, une organisation à part entière, un mode de gouvernement structuré par des officines qui ne laissent plus aucune place à l’amateurisme et remplacent la vérité par une « narration ».
Jérome le Filiatre du journal libération reconnaît que les médias ont majoritairement renoncé à être un contre-pouvoir (quatrième pouvoir devenu le premier et qualifiable de sournois parti camouflé des médias oligarchiques par sa propagande massive souvent sournoise alors que devant encadrer celui législatif, exécutif et judiciaire, surtout qu'un cinquième pouvoir apparaissant avec les GAFAM commence à censurer politiquement ses utilisateurs) critique de tous les ordres établis. C'est à dire que par des intérêts commun avec divers grands capitalistes libéraux-libertaires, ils ont pu devenir un pouvoir n'informant plus, mais formant la mentalité des populations vers ce système gravement progressiste. Lorsque des journaux déficitaires sont rachetés (même par des oligarques dissidents au système), ce n'est pas pour gagner de l'argent mais de l'influence dont en pouvant faire des enquêtes devenant des articles rabaissant des ennemis. En effet les grands médias appartenant aux ultra riches, ils peuvent faire accélérer voire dicter des enquêtes à la police envers quiconque ne suit pas le pouvoir profond.
En mettant uniquement la souffrance en avant, les médias érigent même un mur infranchissable pour le vrai travail d’investigation, aux yeux du grand public bien entendu, car cela ne nous empêche pas de douter, de réfléchir, de travailler. C'est pourquoi la presse actuelle se vautre dans le sang, dans l’exhibition, dans les larmes, avec un sadisme confondant. Partager la souffrance annuellement pendant des décennies des victimes ne sert à rien pour ceux qui ont survécu, les témoins et les proches : l’empathie ne leur enlèvera pas un gramme de douleur, car la douleur nous ramène à notre peau, à notre individualité, à notre solitude devant la mort, alors que les morts, eux, ne souffrent plus. Les médias qui collaborent avec le Système disposent donc de plusieurs instruments pour ne pas dire ou ne pas chercher la vérité : la diversion, la minimisation, l’indifférence, l’oubli, le mensonge par omission, le mensonge direct, et depuis ce procès, le poignantisme. Et pour éviter une grande prise de conscience populaire en Occident sur certains sujets comme la guerre au Yémen, il sont très rarement évoqués dans les médias dominants. Car comme le dit l'expression : « loin des yeux, loin du cœur ».
Il est également fréquent de constater que tous les journaux télévisés relatent les mêmes nouvelles, avec des analyses souvent identiques, et en utilisant même les mêmes images, car cela tend par une perversité manichéenne à déterminer un horizon à l’intérieur duquel il faut prendre parti au risque de devenir un bouc émissaire. En effet ceux qui ne se conforment pas sont utilisés pour assurer l’équilibre du système : ils sont un ennemi de l’humanité, un haineux insatiable, une cible à maintenir en vie et à frapper souvent pour orienter l'opinion publique soumise.