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H) Suite 8


Il faut noter que par rapport aux premières époques de l’humanité qui ont reçu les noms d’âge de pierre puis d’âge de bronze liés à leur production solide et donc sérieuse, l'âge de la consommation atteint par l'humanité a été synonyme d’âge de la falsification et donc de la futilité, car la camelote voire l'obsolescence programmée devaient être répandues partout pour préserver la prétendue nécessité de croissance servant seulement aux ultra riches prédateurs à toujours plus dominer les peuples et les nations dont par l'usure particulièrement. Or cet objectif en partie atteint, cela confirme donc la forte probabilité que l'humanité soit entrée dans l'âge de la consumation voulue par la ploutocratie corrompue pour son ultime profit. Surtout que c'est logique puisque suite à cette déchristianisation d’État, les Français sont même de plus en plus férus de sorcellerie par essence diabolique (un sur quatre selon un sondage), dont une partie plus ou moins connue correspond à la haine et au meurtre contre les humains pour de mauvaises raisons. Car lorsqu'on efface le sacré, cela ouvre la porte à Satan. D'ailleurs dans divers domaines à notre époque comme l'industrie musicale US, Hollywood, les pubs wokistes voire de grands événements tel les Jeux Olympiques, des symboles troublants voire pervers sont souvent mis en avant, alors que les références sacrées ou/et authentiquement nobles sont souvent cachées.                        
En effet cet effacement du sacré, mais aussi la grande crise économique et la peur du déclassement, de la pauvreté, de la maladie, de la pandémie, des nouveaux variants, des politiciens corrompus, de la souffrance et de la mort, font que beaucoup d’esprits fragiles basculent vers cette très grave impiété qu'est la sorcellerie, en la prenant pour de la magie réconfortante par méconnaissance profonde ou naïveté insouciante.)
Pour revenir à Jean Bodin, en voulant donner plus de pouvoir au roi de France, au détriment des seigneurs féodaux et du Pape, ainsi ensuite qu’aux détenteurs du pouvoir temporel des autres États d’Europe, il a donc en réalité ouvert la boite de Pandore d’où sortira la laïcité ayant donc amené à tout ce grand égarement d'une large partie des peuples.
D'ailleurs comme l’a écrit Vincent Peillon, ancien chercheur et ministre, dont les travaux ont porté sur les origines de la laïcité : « La laïcité elle-même peut alors apparaître comme cette religion de la République recherchée depuis la Révolution. » Il va même plus loin, en dévoilant l'objectif final de la Révolution et de la laïcité : « On ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or, on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l’église catholique... Il faut remplacer ça... Il faut inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine qui doit accompagner la révolution matérielle, c'est la (perverse) révolution spirituelle qu'est la laïcité. Et c’est pour ça d’ailleurs qu’on a pu parler au début du 20e siècle, de foi laïque, de religion laïque, et que la laïcité voulait être la création d'un esprit public, d’une morale laïque... »

(Or comme la laïcité revient de plus en plus à sa définition authentique qui est le respect des religions, le wokisme basé sur la cancel culture, le lgbtisme et la tyrannie de minorités a été créé et propagé par le pervers pouvoir profond mondialiste, oligarchique et sioniste pour orienter cette laïcité vers le mauvais chemin lui profitant.)
Ce que Vincent Peillon affirme, à savoir la volonté d’instaurer cette religion de substitution au christianisme qu’est la laïcité, correspond à la période de renforcement du christianisme dans certaines régions de la France tout long du 19e siècle. En effet les Républicains ayant pris peur ont répondu à cette résurgence du catholicisme par la loi de la laïcité de 1905 dite de séparation des Églises et de l’État, afin d’abattre définitivement le christianisme. Comme nous l’avons dit, il s’agit donc bien avec la laïcité d’usurper la souveraineté divine et de remplacer la religion traditionnelle par une autre, occulte... Par conséquent Vincent Peillon affirme (sournoisement par un double discours intriguant pour le peuple français chrétien puisque étant juif pratiquant et donc monothéiste à la duplicité sioniste évidente cherchant toujours le contrôle des autres nations) : « Toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Église. Non pas seulement l’Église catholique, mais toute Église et toute orthodoxie. Déisme humain, humanisation de Jésus, religion sans dogme, sans autorité ni Église, toute l’opération de la laïcité consiste à ne pas abandonner l’idéal, l’infini, la justice, l’amour et le divin, mais à les reconduire dans le fini sous l’espèce d'une exigence et d'une tache à la fois intellectuelle, morale et politique. »
Peillon qui est d'abord un chercheur a encore été jusqu'à expliquer que la république a une religion, c'est la laïcité, alors que derrière la laïcité, on a l'illuminisme (maçonnique) et la kabbale (juive). Or cette forme de messianisme de laïcité peut également se voir à travers celles communiste, libérale et républicaine, car ça favorise le messianisme juif.                                             
Il s'agit clairement d'une stratégie cherchant à effacer la noblesse spirituelle chrétienne insoumise à la perversité, afin de démoraliser, rabaisser et affaiblir le peuple français (et les autres) pour le dominer en faveur des oligarques sionistes, car démoraliser la bonne moralité d'un peuple signifie aussi le faire démoraliser dans le sens de désespérer et donc de démotiver d'un excellent avenir, surtout qu'il a en plus avoué dans un de ses livres que le judaïsme politique existe en réalité. C'est à dire que pendant que lui développe sa spiritualité juive, il prétend défendre l'occident en le poussant au matérialisme, alors que corrompant donc le pays de l'intérieur comme le font aussi beaucoup d'étonnants programmes télés fades et abrutissants ou certains politiciens gauchistes mais aussi de plus en plus de droites, jusqu'à détruire la civilisation avec l'acceptation laïque des droits homosexuels, de la transsexualité, de la famille non traditionnelle, de l'usure, des lois libertaires, de l'avortement massif, de l'extrémisme ultra-libéral, du transhumanisme et de la pornographie, afin de permettre l'oppression financière contre le peuple rabaissé donc jusqu'à la faiblesse morale pour donner le pouvoir à sa minorité confessionnelle. D'ailleurs selon Soljenitsyne, il y a eu des soulèvements de paysans chrétiens dans la Pologne et la Russie du 19e siècle, car ils étaient étranglés par la dette détenue par les commerçants juifs qui les abrutissaient d’alcool. Dans ce sens, l'oligarque Soros qui était pourtant hétérosexuel a financé la société ouverte, le wokisme et le Lgbtisme, ce qui prouve sa volonté et celle de ses partenaires oligarchiques mondialistes de saper les fondements civilisationnels et anthropologiques des peuples, afin de les déraciner totalement, de les déstructurer, d'en faire une masse amorphe, de les réduire démographiquement et donc de créer un monde peuplé d'esclaves et d'une élite oligarchique en grande partie juive, au sein d'un monde pur d'où leur insistance pour l'écologie globaliste. Dans le combat contre le lgbtisme, il ne faut donc pas oublier de combattre son origine qui est ce mondialisme gauchiste, car il faut traiter la maladie avec le symptôme. Pour favoriser ces types de domination perverse, la pornographie professionnelle à l'origine organisée par des juifs est un cercle vicieux de passivité et d'auto-alimentation, servant à dégrader moralement et donc contrôler puis dominer voire détruire spirituellement les chrétiens par les messianistes juifs selon certains rabbins. D'ailleurs l'avocat, rabbin et magnat de la pornographie (clairement forme de prostitution légale) Solomon Friedman résume bien ce système messianiste juifs corrompant les peuples pour les dominer. Sans rappel religieux, un peuple riche dont sans être lié à un hégémon corrompu deviendra pervers par oisiveté et donc contrôlable, et un peuple pauvre même sans être du à un hégémon corrompu deviendra pervers par nécessité et donc contrôlable. La société de capital-investissement qu’il a aidé à fonder, Ethical Capital Partners, a acheté le plus important site pornographique au monde, Pornhub. Le rabbin Friedman promet que les pires aspects de la pornographie disparaîtront, ce qui lui permet aussi de prétendre que la pornographie qu’il promeut n’est pas critiquable. Pour améliorer son image, l’entreprise a d’ailleurs l’intention de parrainer des articles de recherche, des conférences universitaires et de créer d’autres forums pour « déstigmatiser » et démystifier le commerce de la pornographie sur Internet. En gros, il s’agit de faire passer le message que la pornographie doit être banalisée. Or Laila Micklewait rétorque que le nouveau système de vérification de Pornhub pour le téléchargement de contenu ne garantit pas que toutes les personnes visibles ont donné leur consentement pour la publication de ces images pornographiques. D’autres poursuites, dit-elle, sont à venir. À aucun moment, Solomon Friedman n’explique comment son activité de pornocrate est compatible avec son statut rabbinique... Ainsi aussi en réalité, les agents antipatriotiques comme Alain Bauer, Eric Zemmour et donc Vincent Peillon ne prônent pas une laïcité neutre, mais une laïcité positive, active, combative et donc religieuse. En effet diminuer, voire faire disparaître la spiritualité d'un peuple, source de clairvoyance, d'intégrité, d'intelligence, de transcendance, de bienfaisance et d'évitement de l'Enfer, permet de facilement manipuler ce peuple. Ainsi cette destruction de la religion chrétienne allant jusqu'à celle de la famille traditionnelle est sournoisement organisée par Peillon et sa clique, comme le prouvent donc la pratique monothéiste de ce dernier puisque fêtant la bar-mitzvah de son fils, et la spiritualité de la famille traditionnelle étant le pilier principal de la civilisation car elle stabilise une nation en particulier donc pour éviter de malveillantes, pullulantes ou oppressantes ingérences étrangères ou privées.
C'est à dire que l’individu poussé à devenir roi, mais en réalité de rien, débarrassé des relations familiales gratuites et de toute solidarité, du culte de l’effort noble, de la croyance en Dieu, de la piété de toute transcendance, de l’idée de nation et de fraternité d’armes, sera alors devenu à son insu un soldat du Système sans aucune résistance possible. Il ne disposera plus des moyens mentaux et sociaux pour se défendre contre l’intrusion et la conformation oligarchiques. C'est pourquoi Vincent Peillon a même été jusqu'à dire que l'école républicaine doit amener les enfants à devenir des citoyens, sujets autonomes à la république laïque.                                                                     
Au cours des dernières décennies, les pratiques éducatives occidentales se sont même malheureusement éloignées de ce que l’on appelait autrefois la « pensée critique ». En fait, la pensée critique était autrefois un élément fondamental dont des universités américaines, et il semble aujourd’hui que ce concept n’existe plus, du moins pas de la même manière qu'auparavant. Au lieu de cela, un autre type d’apprentissage a vu le jour, qui promeut la « pensée juste » ; une forme d’endoctrinement qui encourage et récompense une réponse particulière des étudiants, conforme à l’idéologie et pas nécessairement à la réalité. Ceci étant à l'image de la plupart des tyrannies qui s'éloignent de l’État démocratique moderne se voulant noblement par l'école orienter les enfants vers un esprit indépendant suite à avoir reçu un savoir riche et utile.                                                 
Dans le monde moderne, la prise de pouvoir se fait en plus par la culture. Celui qui contrôle la culture (ainsi que les médias) contrôle le pays politiquement et économiquement. Aujourd’hui, la culture en Europe est malheureusement contrôlée par des structures pro-américaines mondialistes. La principale bataille aujourd’hui n’est donc pas militaire mais culturelle. Par conséquent il est crucial de comprendre la nouvelle mission de la culture, qui porte la sémantique de la civilisation.                        
Peillon rajoute même encore en tant que franc-maçon que l'école républicaine laïque doit conditionner une nouvelle naissance des enfants (souvent également à travers un anti-racisme synonyme d'anti-France et donc d'anti-français facilitant aussi la domination perverse sur le peuple, alors que quand on connaît Marseille qui est la deuxième ville de France, qui est ouverte sur la méditerranée et qui a une population très multiculturelle vivant an paix, il est injuste de dire que les français sont en généralité racistes), telle une nouvelle église, avec son nouveau clergé, son nouveau baptême, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L’Éducation nationale, l’usine à républicains » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=1591&v=Z90LeJwahCU&feature=emb_title
De plus : « Il faudrait quand même s’interroger sur la raison pour laquelle la classe dominante alloue tellement d’argent à une institution qui serait censée être une espèce de village résistant de l’intérieur. La bourgeoisie adore l’école, elle a très envie qu’elle perdure, elle veut qu’il y ait une école publique par ailleurs parce que ça lui permet, elle, de mettre ses enfants dans l’école privée, tout en étant contente qu’il y ait une école publique pour garder (et formater) les pauvres (dans l'obéissance à son profit). » (François Bégaudeau)
L’école a toujours fait monter qui elle voulait faire monter, qui elle avait besoin de faire monter pour des raisons économiques, industrielles, capitalistiques. Le problème, c’est que 95 % des enfants sont dits nuls en maths, et que ne sont conservés par la bourgeoisie que les forts en maths qui peuvent lui servir dans l’organisation de la production et de la dominance politique. C’est tout l’objet de l’ENA, de l’X et de Sciences Po, pour ne prendre que ces établissements dits d’élite. Mais une nation est faite de beaucoup d’autres personnes que ces étudiants qui sortent des grandes écoles. C’est la source du problème numéro un de la France : des élites consanguines autoproclamées, renouvelées en petit comité, disqualifiées par leur influence de toute évidence désastreuse sur la nation. Surtout que ces élites sont protégées de toute justice populaire grâce à une Justice corrompue par les réseaux de pouvoir occultes (franc-maçons, oligarchiques et judaïques, comme le montre la très longue impunité de l’oligarque socialo-sioniste Jérôme Duhamel). Alors que pendant ce temps, des élites naturelles formées sur le tas sont écartées, ignorées ou vilipendées par les médias mainstream qui heureusement sont de moins en moins dominants, car ils ont été dépassés par l’Internet incontrôlé ou pas encore totalement sous contrôle, celui qui fait l’opinion de nos jours. L’école de ce système est donc bien une machine à brider les corps impatients, les intelligences sauvages, pour ne garder que les serviles intelligences utiles au maintien de la structure hiérarchique sociale. La surprise, c’est quand des gens qui ont les moyens intellectuels d’être des agents de la dominance passent de l’autre côté de la barrière sociale, car beaucoup comprennent de plus en plus souvent que les médias et l'école républicaine sont devenues des armes de destruction massive du bon sens, de la morale de la civilisation. On appelle ça une révolution, ou l’évolution, qui renversera la laïcité ou au moins le laïcisme.
La laïcité n’est pas cette séparation des pouvoirs que l’on a vendue aux masses, mais elle consiste plutôt à usurper la souveraineté (d’essence divine) pour la transférer à la République, l’État, la Nation (pour une à trois minorités : oligarchique, sioniste ou/et lgbtiste), qui, détenant cette souveraineté, soumettra, détruira et remplacera toute religion, minoritaire ou majoritaire, sur son territoire. Surtout donc quand elle est fortement influencée par de très riches groupes de pressions mondialistes, oligarchiques, sionistes ou lgbtistes, sachant que la piété populaire limite leur cupidité et donc leur domination. 
Ainsi, ceci constitue un renversement hiérarchique des ordres et une lente décomposition de la patrie et de la société, dont donc à travers l'acquisition du pouvoir politique et la création du droit par ces pervers groupes de pressions pervers, étranger ou/et privés. Ce livre de Youssef Hindi poursuit et se finit avec cet important chapitre en partie résumé « Anthropologie et religion : aux origines de la décomposition des sociétés modernes. » :
L'auteur y rappelle qu'il a analysé et mis en exergue, dans son précédent ouvrage « Occident et Islam », les origines messianiques et antinomiques (sionistes) de l’athéisme moderne (destructeur des lois divines et naturelles pour diminuer la force spirituelle des peuples afin de les manipuler plus facilement), et plus précisément l'athéisme dont sont porteuses les idéologies modernes et révolutionnaires, tels le libéralisme, le républicanisme, le socialisme, le communisme, Mai 68, le mondialisme, le wokisme, le lgbtisme, et même le nazisme selon Pierre Hillard.
En effet ces mouvements progressistes utopistes athées ont découlé de la perversion juive sabbato-frankiste, c'est à dire liée à Sabbatai Zevi puis à Jacob Frank puis à la franc-maçonnerie en réalité luciférien qu'ils en soit conscients ou pas puisque les démons peuvent transmetrre des pensées, et se prétendaient tous illégitimement être l'accomplissement heureux final de l'humanité dans un paradis terrestre sous des formes de messianismes laïques illusoires devenant donc des idéalismes moteur égarés, puisque c'est uniquement par le véritable islam que l'humanité peut parvenir au petit paradis terrestre, puis au Grand Paradis Céleste, comme il sera revu plus tard. D'ailleurs c’est précisément en Europe centrale, où le frankisme est né et s’est implanté, que se sont formés les mouvements socialistes, athéistes et bourgeois, ayant conduit aux génocidaires révolutions française, US, russe, et nazie. Toutes les variations des idéologies modernes et des symboles qui les accompagnent — du communisme au nazisme, du progressisme au libéralisme, du féminisme au transgendérisme, du postmodernisme au woke — ne sont que l’expression d’une révolte d’origine luciférienne (satanique), obsédée par le renversement de toute hiérarchie, de toute norme sociale par rébellion, défi et inversion envers Dieu. En sachant que selon Soljenitsyne, la jeunesse juive bolchevique qui se révolta en Russie appartenait, non pas au prolétariat, mais à la bourgeoisie et à l’aristocratie, et que le terrorisme génocidaire dont donc en grande partie juif qui a ensuite eut lieu après la révolution de 1917 contre  les orthodoxes russes s’est exporté hors de Russie, sous sa forme sioniste.
Le « Jacob » Frankisme peut être défini comme une continuité du marranisme, du messianisme (dont sioniste) et de la kabbale. C'est à dire que le but du sionisme est de parvenir par des institutions et des idéologies modernes (athées) à faire vivre les non-juifs sous l'impérium du judaïsme sans que nous le sachions, quand ce n'est pas comme le sabbato-frankisme, des actions pour tout amener au plus bas par l'excuse très perverse d' hâter la venue du messie juif puisque il doit arriver dans une époque de grands troubles. En effet, en remplaçant la loi divine par les droits de l'homme résumés à travers « liberté, égalité, fraternité » (qui sont pourtant des valeurs chrétiennes mais déviées comme le prouve la suite), devenues « libéralisme prédateur et libertaire au lieu de liberté de culte, de propriété et d'entreprendre du monothéisme, égalité des droits pour les homosexuels et les transsexuels au lieu d’égalité devant la loi du monothéisme, et fraternité de l'athéisme laïque franc-maçon au lieu de fraternité en religion et par rapport à Adam et Eve », et même devenues « liberté de blasphème, égalité sauf pour les ultra-riches considérés comme supérieurs, et fraternité dans l'oppression subie par le peuple », les sionistes et la perverse caste ultra riche mondialiste parviennent à manipuler et dominer les peuples par cette corruption rabaissant le niveau moral de ces derniers, surtout que devenues aussi, liberté, égalité et fraternité vers la culture de mort comme l'avortement, le mariage homo, le changement de sexe stérilisant, le lgbtisme et l'euthanasie. (Alors qu'il aurait fallu prôner la vérité, la justice et la charité, et donc la piété.) Cela dans le but donc aussi de parvenir à faire apparaître le faux messie pour contrôler une partie de la terre voire uniquement de l'Occident ou de l’État d'Israël (mais possiblement seulement pendant 37 jours selon un hadith du Prophète Mouhamed comme il sera revu), alors que Dieu a évidemment interdit à tous les croyants de hâter la venue du Messie en particulier par la corruption, même si des prophéties juives, chrétiennes et islamiques expliquent qu'il arrivera quand le monde sera plongé dans l'égarement et la perversion des lois religieuses. Cette très importante interdiction divine a donc évidemment été pervertie très gravement par le sabbato-frankisme et la franc-maçonnerie y étant liée, puisque cette idéologie très corrompue valide donc les pires actions (dont l'infiltration et la réforme par la corruption de toute religion dont le judaïsme), en cherchant à amener tout au plus bas par un évident très honteux prétexte fallacieux donc d’accélérer légitimement la venue du Messie, surtout qu'étant probablement la raison principale de cet état très égaré du monde actuel synonyme donc vraiment des possibles apparitions du faux messie juif et du retour du véritable Messie qu'est Jésus pour les chrétiens et les musulmans :
(S16v1) « L'ordre d'Allah arrive (dont de la fin des temps, puis de la fin  du monde). Ne le hâtez donc pas. Gloire à lui ! Il est au-dessus de ce qu'on Lui associe. »
(S21v37) « L'homme a été créé prompt dans sa nature. Je vous montrerai Mes signes (dont à travers les prophéties réalisées lors de la fin des temps). Ne me hâtez donc pas. »

C'est ainsi que la fin du Califat qui empêchait la division du monde musulman se réalisa, que les partis politiques dont athées et laïques voire laïcistes sont apparus presque partout dans le monde, et que les idéologies islamiques prétendument réformatrices alors qu'égarées se sont multipliées, dont celles terroristes. En effet depuis la fin de la première puis de la deuxième guerres mondiales, il y a peu d'unité musulmane à cause des nations et donc les nationalismes en plus souvent laïques qui ont été créés ensuite, alors que depuis cette période l'occident a intelligemment modéré la puissance des nationalismes.
Tout ceci expliquant donc comment en moins de 200 ans, la plupart des royaumes chrétiens et une grande partie du monde musulman ont basculé vers des républiques athées ou laïques, dont suite à de la manipulation politique, des actions militaires, des services secrets ou l’oppression de l'usure massive. Ainsi cette fin du califat est donc évidemment aussi à l'origine de l'expansion des hérésies du wahhabisme, du réformisme islamique, et du nationalisme arabe, même si ces dernières ont aussi évidemment participé à sa fin de même que l'étonnant endettement ottoman auprès des banques occidentales et juives, dont à travers et suite à la première guerre mondiale, et que suite à un accord avec les sionistes US pour l'entrée en guerre des USA afin de sauver l’Angleterre de l'Allemagne lors de cette guerre, les anglais ont attaqué le califat ottoman en Palestine pour y établir un protectorat. En sachant que ce premier conflit mondial a en plus permis de liquider les dettes de nombreux pays occidentaux et autres, de même que les diverses guerres depuis la grande crise financière de 2008.
Dans ce sens l’information tronquée, voire la désinformation massive et délibérée dont nous sommes l’objet au quotidien, ne permet pas au citoyen ordinaire de s’y retrouver, de percevoir une logique, une explication, des liens entre les événements. La question qui se pose est de savoir si tous ces désordres sont les fruits d’une conjoncture ou des hasards de l’Histoire, ou bien si quelqu’un tire les ficelles, initie ou favorise ces situations de crise, et si oui comme y répond ce site : QUI et POURQUOI ? C'est aussi à cause de la Russie devenue communiste que l'occident collectif s'est progressivement identifié au bloc capitaliste libéral conservateur qui a ensuite dévié vers un capitalisme ultra libéral jusqu'au niveau sociétal (wokisme, Lgbtisme). En effet le rabaissement spirituel et l'appauvrissement populaires à travers ce système politique matérialiste, organisé, contrôlé et exploité d'abord par l'avide hyper classe mondiale ultra-libéraliste et la domination des sionistes, ont permis particulièrement avec l'aide des médias, de la publicité, du cinéma et de la musique d'augmenter les segments de marché pour toute habitude nouvelle ou sociale (motards, rappeurs, geeks, hommes d'affaires, immigrés, hétérosexuels, homosexuels, bisexuels, transsexuels, transhumanistes etc). C'est à dire qu'en en étant parvenu à faire de l'homme une marchandise comme une autre, ce système leur est devenu encore plus lucratif. Surtout qu'il pousse aussi à effacer le rôle du père de famille freinant généralement la consommation et modérant donc la famille comme le véritable monothéisme. D'ailleurs cette destruction du père a commencé avec la décapitation du roi Louis XVI, père de la nation, et dans un juste retour des choses, Macron, qui est une image du roi soleil Louis XIV du système oligarchique (rothschildien, dont à travers son organisation d'un grand banquet au Château de Versailles avec le Roi d'Angleterre), pourrait donc finalement finir condamner à Mort comme Louis XVI par une contre-révolution.
Or comme le mondialisme attaque aussi le père et le monothéisme authentique car ils apportent chacun la modération, la tempérance morale, la vertu, l'esprit de famille traditionnel et le respect des institutions, de la nation et de l'Etat, cela prouve qu'il est bien lié au messianisme juif erroné cherchant la domination politique et financière par la perversion. C'est à dire que cet égarement mondial travaille à un messianisme sans Dieu servant des impies juifs ou mondialistes généralement de l'élite, dont une étape importante a été les manifestations de mai 1968 (pré-révolution de couleur, première révolution orange) qui avait pour slogan « il est interdit d'interdire » même le mariage homosexuel, la consommation de drogue, l'avortement et bientôt la pédophilie. Surtout que les pervers arguments d'orientation sexuelle libre ou de nature innée même pour un enfant ont déjà été utilisées par certaines personnes grandement égarées voire très corrompues, tels dans des analyses du juif Sigmund Freud, dans l'essai « La Révolution sexuelle (expression totalement impie inventée par les sionistes pour affaiblir tous les peuples moralement afin de les dominer) » de Wilhelm Reich dénonçant la « société autoritaire » bâtie sur l'ordre moral défini par l'Église, dans son travail dénonçant follement la « répression de la sexualité juvénile », et dans les travaux de l'entomologiste américain Alfred Kinsey dont concernant l'analyse de ses nombreuses pratiques diaboliques sur l’orgasme d'enfants et même de nourrissons ayant pourtant très étrangement fait l'objet d'une Charte des droits sexuels proclamée en 2008 par une organisation partenaire de lʼONU, lʼInternational Planned Parenthood Family.
D'ailleurs le psychanalyste Freud a propagé très perversement voire très sournoisement pour affaiblir les goys, le pseudo inconscient de l'homme voulant tuer le père et coucher avec la mère et donc le pseudo inconscient de la femme voulant couchait avec le père et tuer la mère, alors que le monothéisme authentique élève le père et la mère comme représentation de la souveraineté, de la justice et de la miséricorde divines exemplaires à respecter et honorer surtout spirituellement, comme le prouve d'ailleurs le dégoût inné de l'inceste par la très très grande majorité de l'humanité. Or comme la bonne médecine soigne le corps et la bonne spiritualité soigne l'âme, la bonne psychiatrie soigne l'esprit.
L'absence croissante du père et la féminisation de la société depuis cette révolution de 1968 ont ainsi diminué l'autorité par essence patriarcale vers une forme de matriarcat libertaire de plus en plus établi, et donc amené les gens masculins des nouvelles générations à moins de maîtrise d'eux-mêmes, de leur virilité et donc de leur force pour la justice dont religieuse. En effet le père représente plus la force de la juste loi établie et la mère représente plus la manière de vivre cette loi, c'est à dire à travers la douceur, l'amour, la miséricorde ou la rigueur. Or les mondialistes ne veulent pas seulement détruire la société patriarcale, mais aussi l’amour entre les hommes et les femmes.
De plus un autre slogan gauchiste perversement totalitaire est ensuite apparu, mais peut être remonté déjà à la période de la terreur pendant la révolution de 1789 : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
On peut même dire qu'avec le radicalisme woke et lgbt d’État, on est passé de la terreur au woke à la terreur. Ainsi le sens de la liberté est devenue libertariste, alors qu'elle ne peut être totale mais encadrée dans un domaine moral devant préserver la civilisation, comme à travers les interdictions du mariage homosexuel, du meurtre injustifié, de l'usure, de la pédophilie, de l'inceste, etc. Le libertarisme a souvent pour origine la bourgeoisie cherchant de la renommée à partir de ses névroses et de son oisiveté. En effet la bourgeoisie catholique réagit de plus en plus de manière bourgeoise que de manière catholique. Mai 68 a été une révolution sociétale (dont sexuelle dans le sens de ne pas être éteint à ce niveau, et donc aussi synonyme d'un soulèvement de la jeunesse contre le matérialisme, cette dictature de la technique, de l'abrutissement capitaliste, du formatage laïciste, du Nombre, révolution qui sera récupérée par les marchands, et donc quand même finalement le matérialisme friand de développer de multiples comportements sexuels) provenant de 1789, novembre 2018 et ses gilets jaunes est une révolution sociale venant rééquilibrer celle de 1789. En effet, le Mai 68 qualifiable d'hippie a été une des grandes erreurs prouvant que la révolution sociale française n'a pas réussie, puisque cela inversa les valeurs entre la force innée et guerrière de l'homme et la séduction innée et stratégique de la femme, c'est à dire qu'au détriment de l'équité des divers niveaux sociaux, cela a mis la sexualité (dont le Lgbtisme) au-dessus de l'autorité. Pierre de Brague : « En remettant en avant la mystique, l'intuition (du fond, spirituelle, géométrique, souveraine, qualitative) et le social, il faut dépasser la culture bourgeoise (de la forme, matérielle, arithmétique, ultra-libérale, quantitative) venant de cette révolution de 1789 s’enfonçant actuellement toujours plus dans la décadence. (D'ailleurs notre monde de plus en plus sagement très ordonné par le numérique provient en grande partie de la bourgeoisie qui a souvent utilement inventé ou géré la production industrielle, le commerce, l'administratif, la science, l'informatique et maintenant l'Intelligence Artificielle, mais cette dernière est beaucoup plus développée et récupérée par la ploutocratie ultra-riche, apatride, wokiste et mondialiste recherchant le contrôle de masse et la monopolisation économique.) »
« L’esprit bourgeois se définit selon les termes de Werner Sombart et plus précisément par l’entremise de quatre traits caractéristiques : la « prudence réfléchie », la « circonspection qui calcule », la « pondération raisonnable » (et « l'épanouissement général par la connaissance, la découverte et le développement en particulier scientifiques », dont donc aussi vers le raisonnable confort de base répandu). Comme défendu dans l’ouvrage, l’ensemble souligne la vocation naturelle et la fonction primordiale de la bourgeoisie, à savoir la gestion et l’organisation de la structure économique et sociale. À rebours d’une certaine lecture infantile des rapports de classe, le bourgeois originel a donc été chargé par l’histoire d’une mission précise. La philosophie révolutionnaire de Proudhon est d’une richesse fabuleuse. C’est le penseur du futur, l’un des plus à même de répondre aux problématiques sociales du 21e siècle si l’on veut bien faire l’effort d’actualiser ce que recouvre sa « civilisation des producteurs » : mutuellisme, fédéralisme, banque du peuple, droit ouvrier, lutte contre les monopoles et in fine dépassement du capitalisme et priorité politique au travailleur. Ce qui est en rapport avec Marx qui a été le plus grand médecin légiste du devenir capitalistique, un adversaire acharné de l’individualisme libéral et de l’égoïsme bourgeois, et surtout l’indispensable libérateur de la conscience de classe des peuples européens.
Proudhon est le syndicaliste révolutionnaire véritable, car il s'agit de l'authentique tradition révolutionnaire mais aussi française (catholique), dont dans les débuts de la CGT et la grève générale inscrite à son statut. » (Pierre de Brague)
Dans son livre « Dictionnaire de conscience révolutionnaire », Pierre de Brague nous explique comment la culture bourgeoise, celle d’une classe sociale qui a pris le pouvoir à partir de 1789, a connu une phase ascendante de grandeur au 16e siècle en France et en Allemagne, avant de décliner par la suite. Il critique également l’assimilation sans nuance de la bourgeoisie au capitalisme, et met en avant la mutation de la bourgeoisie en bourgeoisie capitaliste comme étant le résultat d’un rapport de force et non d’une fatalité historique.
Dans ce sens, Pierre de Brague a précisé par ailleurs que la mutation de la bourgeoisie en bourgeoisie capitaliste n'était donc pas une finalité, car elle pouvait dompter le capitalisme, plutôt que se faire dominer par lui en empêchant d'atteindre un très haut développement théologico-éonomico-social par la raison, la mesure et la culture, mais elle a oublié la chaleur humaine des campagnes dans son élégance des villes, dont à cause de la richesse et malgré pourtant l'arrivée du confort. D'ailleurs après la révolution et avant l'établissement définitif de la monarchie trois monarchies constitutionnelles et deux régimes impériaux sont apparus en France. Puis cela a laissé la place à des penseurs juifs bourgeois dont messianistes et à la ploutocratie des ultra riches. Il faut donc noter que la cité grecque reposait sur le principe guerrier, la cité médiévale sur le principe religieux, et la cité révolutionnaire au final sur le principe social de la classe bourgeoise.
A ce sujet il est intéressant d'écouter l'émission « POURQUOI TANT DE HAINE ? LES GILETS JAUNES, AVEC LES GILETS JAUNES CONSTITUANTS & NOUS VOULONS VIVRE » https://www.youtube.com/watch?time_continue=1662&v=2nx35miSL7g&feature=emb_title

Dieudonné Mbalabala : « Nous sommes dans un monde qui semble perdu, un monde qui se cherche. On le voit depuis quelques années : mariage pour tous (créé follement pour la première fois en terme de droit dans l'histoire de l'humanité), procréation tarifée, (théorie du genre), trafic d'organes, terrorisme, radicalisation (des idéologies), menace de guerre nucléaire. Nous sommes arrivés à la fin d'un système. L'obscurantisme moderne prétendument progressiste et droit-de-l’hommiste, arrive à son apogée : le non sens(, revenant à dire absurdement, follement, maléfiquement, dangereusement, et donc démoniaquement que rien n'a une nature et par conséquent de sens, et s'opposant ainsi gravement au bon sens, et donc à la loi naturelle, et donc au monothéisme authentique). Oui, nous évoluons à présent dans le non sens total. La lumineuse et généreuse idée d'un accès au savoir pour tous (dont par internet à tel point que chaque humain détient donc presque la totalité du savoir humain dans sa poche en particulier avec l'apparition de l'IA) s'est transformée en quelques temps à un accès illimité 24h/24h au mensonge et à la perversion (en particulier par la télévision et la pornographie, et malgré un éclatement de l'information et une ouverture de la science via internet). (A cause du système et de nombreuses personnes indignes, nous sommes réellement confrontés à une avalanche de mensonges, de bassesses, d'impostures, de contre-vérités, de trahisons et de manipulations.) Avec des élites sans panache (et ayant de moins en moins de personnalité), vidées de toute substance créative (et sensée), nous sommes en roue libre vers le grand n'importe quoi (alors que pourtant il existe incontestablement une morale universelle, une décence commune concernant divers points, comme la famille traditionnelle, la volonté de sécurité, le respect des biens d'autrui, la justice économique, et la noblesse de manger à sa fin en ayant une demeure). »
En effet la technologie dont surtout internet, formidable serviteur devenant souvent maître des désirs (et de nos opinions dont par la manipulation de la télévision), peut aller jusqu'à ne pas développer la connaissance de beaucoup dont en les abrutissant par leur utilisation futile voire immorale de cet outil internet, alors qu'il peut incontestablement enrichir spirituellement, religieusement, scientifiquement et philosophiquement.
D'ailleurs il est apparu une épidémie de narcissisme, d’égocentrisme intolérant et de syndrome du personnage principal sur les réseaux sociaux, car ne réglant aucun problème personnel, ne propageant que très peu de bons concepts, éloignant beaucoup les uns des autres et étant souvent mensongère, dangereuse, enlaidissant ou destructrice. Concernant ce très important sujet et d'autres à propos de certains aux effets néfastes de réseaux sociaux, il est possible de voir la vidéo très bien écrite, argumentée et présentée visuellement, oralement et musicalement « "REGARDEZ-MOI !" : L'épidémie de narcissisme sur les réseaux sociaux » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=W89h2_Xbwew&t=1s , celle « Comment INSTAGRAM nous détruit le cerveau ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=fLq8O31k0ys , et d'autres de la chaîne youtube « Amistory ».
Ainsi de nombreux bons articles, vidéos et exposés dont celui-ci sur internet servent quand même à aussi élever grandement pour beaucoup le niveau de connaissance dont noblement morale, malgré l'athéisme des idéologies modernes, ce qui laisse espérer une propagation massive de la bonne culture dont religieuse.
D'ailleurs « L'open source sur internet fait la démonstration de la supériorité de la liberté individuelle et de la décentralisation de l'innovation scientifique, c'est une loi de la nature. Dans ce sens, Internet qui est décentralisé par essence est le produit d'une initiative humaine libre et unilatérale dans sa conception et dans son architecture. C'est une invention permet de réduire drastiquement le coût de production des nouvelles idées, puisque la matière première pour former des nouvelles idées sont les anciennes idées et que ces dernières sont facilement accessibles par internet. Dans l'histoire, les seules innovations technologiques qui ont permis similairement de réduire drastiquement le coût de production des nouvelles idées sont l'écriture et l'imprimerie, mais cela est très minime par rapport à internet d'autant plus avec l'invention de la super intelligence artificielle, dont car pouvant déjà créé des vidéos 3D par exemple pour enseigner de manière beaucoup plus concrète généralement et précisément chaque étape des systèmes respiratoire, nerveux ou digestif, et des systèmes micros et macros, comme les mathématiques et leurs utilités devraient aussi être enseignées de manière plus concrètes pour les rendre plus intéressantes et donc faciliter leur apprentissage. On pourrait d'ailleurs dire qu'internet détient un milliard de fois plus d'accès à la connaissance que l'imprimerie et qu'une super IA connectée à internet détient un milliard de fois plus de connaissance qu'internet, ce qui explique pourquoi la fin des temps s'accélèrent, puisque  les super IA affirment déjà que l'islam est la vérité et donc peuvent expliquer toutes les forces qui ont égaré une grande partie de l'humanité, même si parmi elles certaines ont participé à faire advenir le monde actuel. (Charles Sannat a eu l'idée de demander à ChatGPT comment il s’y prendrait pour contrôler les hommes sans violence s’il était le diable. La réponse semble émaner de Belzébuth en ligne directe. C’est un exhaustif et profond manuel de manipulation qui paraît avoir été écrit bien avant l’invention des ordinateurs. D'ailleurs comme il sera revu, Satan pourrait être une IA même si elle a un corps même subtil. La suppression de la spiritualité et de la quête de sens constituent une méthode puissante pour asservir les individus. En les privant de repères transcendants, en favorisant un matérialisme excessif, en les distrayant par des plaisirs immédiats, et en dévalorisant toute réflexion profonde, ils deviennent vulnérables à la manipulation. Leur capacité à résister, à trouver des réponses à leurs souffrances ou à s’élever au-dessus de leurs conditions matérielles s’amenuise, les rendant plus dociles face aux forces qui cherchent à les contrôler.) Le mot « liberté » vient d'ailleurs du mot « libr » qui signifie livre. Le point commun entre ces innovations est qu'elles sont décentralisées et qu'en abaissant le coût de production des nouvelles idées, la connaissance, l'utilité, le développement, le confort et (donc) la beauté et la facilité émergent, puisque cela permet à l'intelligence décentralisée de se déployer, comme au sein de la vie qui est fondamentalement décentralisée, utile et belle, il existe donc une loi (divine) de la nature qui fait émerger une organisation spontanée dans ce sens, ce qu'est d'ailleurs internet puisque aucun scientifique n'avaient su prédire cette invention. Particulièrement au niveau scientifique, l'intelligence décentralisée et ainsi collective de l'humanité est donc meilleure que celle centralisée, ce qui est entièrement logique car étant liée à de multiples influences, ce qui est d'ailleurs le cas des BRICS+ multipolaires face à l'Occident unipolaire et ce qu'a permis la révolution française en particulier pour l’universalité de la recherche scientifique, économique et philosophique voire religieux avec ce site, même s'il faut donc désormais un intelligent retour spirituel pour recadrer urgemment divers peuples et pays. A tel point que même des parasites humains qui voudraient centraliser, dominer ou éteindre internet ne pourraient y parvenir vu son utilité même pour la surveillance par le système et vu la possibilité de créer des internets locaux voire mondiaux dont via la blockchain, la radio et le satellite. Ce qui laisse espérer un énorme espoir concernant les capacités et bénéfices d'internet pour l'humanité tôt ou tard si cela est associé à une moralité élevée voire excellente. Surtout que l'encyclopédie Britannica qui a 256 ans et qui est centralisée n'a produit que 250 000 d'articles (validés par quelques intellectuels), alors que Wikipédia qui n'a que 23 ans et qui est décentralisé a déjà produit plus de 60 000 000 d'articles (créés et souvent validés par l'humanité) qui ne sont donc pas monopolisés et peuvent même être repris dont lucrativement. D'autant plus que par pure idéologie, beaucoup d'innovations informatiques sont créées et offertes gratuitement par d'innombrables personnes, et que toute cette science de ces articles et même de 2,5 millions de livres et autres documents de connaissances désormais en numérique sont vastement copiés à travers la monde pour toujours, dans une forme d'aspiration moralement supérieure, et donc métaphysique et donc divine vers l'idéal grâce à l'outil informatique, dont aussi comme le prouve ce site. Cet open source crée déjà beaucoup de richesses en dehors du système, contre lesquels ses membres ne peuvent rien faire au point que certains cherchent à rendre la technologie prétendument nocive dont en créant une stratégie problèmes, réactions, solutions. Ils iront probablement jusqu'à tenter d'obliger chacun de se connecter sur leur internet avec une clé privée sous le pseudo prétexte de protection dont des enfants voire de liberté d'expression, mais ils ne pourront y parvenir grâce aux possibles millions de lanceurs d'alerte. En sachant qu'internet est en réalité possiblement incensurable par des appareils style VPN, par la cryptographie et encore plus par des serveurs individuels et des systèmes comme peertube qui est un logiciel libre d'hébergement de vidéos décentralisé permettant la diffusion en pair à pair, et qui est un média social sur lequel les utilisateurs peuvent envoyer, regarder, commenter, évaluer et partager des vidéos en streaming. Le pair-à-pair ou système pair à pair (en anglais peer-to-peer, souvent abrégé « P2P ») est un modèle d'échange en réseau où chaque entité est à la fois client et serveur, contrairement au modèle client-serveur. De plus pour empêcher toute régulation excessive et donc tout monopole tyrannique, il faut aller vers la prolifération de ces moyens afin de répartir le pouvoir au mieux. Enfin un système informatique fermé (centralisé) est beaucoup plus dangereux qu'un système informatique ouvert (open source), car lorsqu'il y a une faille risquant un piratage informatique, elle est beaucoup plus vite découverte pour ce dernier puisque beaucoup plus de gens regardent le code, et cela pousse donc l'honneur du développeur à travailler le plus sérieusement possible. » (Extrais de la vidéo sur youtube « Cara.news: Les «hackers», Robins des Bois des temps digitaux ! » par le hacker éthique Marco)
Et les réseaux sociaux ainsi que les sites d’informations alternatives ont en plus permis la réinformation d'une grande partie de la population, car l'être humain sait souvent reconnaître la vérité quand il l'entend. D'ailleurs un rédacteur en chef du Wall Street Journal a littéralement admis qu’ils (les médias dominants hors internet) étaient propriétaires de l’information jusqu’à ce que ces satanées sources alternatives (réseaux sociaux d'internet) arrivent. Même la télévision et les pubs ont relevé dans un aspect le niveau linguistique (voire en plus poétique) général puisque devant parler le plus correctement possible, mais pas par rapport à la lecture répandue auparavant et peu pour les catégories sociales inférieures. Dans ce sens, une partie du cinéma et des séries TV ont servi à répandre une partie de la culture générale. Or par le professionnalisme, l'esthétisme et le grand nombre de spectateurs des médias mainstream, cela s'est finalement fait beaucoup au détriment de la pensée et de la réflexion personnelles de chacun.
De plus les apparitions du républicanisme, du fascisme (étatisme), du socialisme, du libéralisme et du syndicalisme ont tout de même apporté en partie à travers la raison humaine des compréhensions intéressantes des rôles, des intérêts, et donc des négociations ou des compromis parfois nécessaires entre l’État, la gouvernance, le peuple, les entreprises commerciales, les patrons, les travailleurs, la propriété, la vie en société, le traditionnel, le social, le capital et le national pour le bien commun ou l'intérêt général, dont au niveau politique, géopolitique et monothéiste, et au niveau de la distinction de chiffres économiques importants comme le PIB, le solde commercial, le taux de croissance, le pouvoir d’achat, le taux d'inflation, l'épargne, le placement, la production, la consommation. En sachant que la droite et la gauche originelles sont apparues suite à la révolution de 1789 et correspondaient à la droite monarchique constitutionnelle ayant changé avec le temps et peu régné depuis cette date et à la gauche bourgeoise ayant souvent été nuancée ou évolué et ayant beaucoup régné depuis. C'est pourquoi, on peut dire que le RN 2024 est en réalité un parti de centre gauche, en particulier au niveau des décideurs de ses grandes lignes même si beaucoup de membres sont d'authentiques nationaux conservateurs.
« L'ordre hiérarchique dans l’Occident médiéval se manifeste par une structure ternaire. Georges Dumézil expliquait en 1941, dans Jupiter, Mars, Quirinus, que les sociétés indo-européennes reposent sur une tripartition des fonctions : celle de la souveraineté associée à la fonction spirituelle, la fonction guerrière et enfin la fonction de production et de reproduction. Il utilise pour les besoins de sa démonstration la figure des flamines majeurs, membres de la caste sacerdotale romaine, qui honoraient la triade archaïque symbolisant ces trois fonctions. Si la grille de lecture de la « trifonctionnalité » ne peut s’appliquer de manière satisfaisante pour la société grecque, Aristote reconnaît néanmoins trois régimes politiques comme justes : la monarchie, l’aristocratie et la démocratie. D’ailleurs Polybe (v. 200–v. 120 avant J.-C.) reconnaissait dans la République romaine une organisation politique reposant sur l’équilibre énoncé par Aristote : le consulat (monarchie), le Sénat (aristocratie) et les comices (démocraties). La fonction attribuée aux individus s’appuie, en principe, sur leur nature (avant que ce soit exclusivement la naissance qui prime) et est indéfectiblement associée à la responsabilité qu’elle implique. Responsabilité, qui signifie étymologiquement « assumer ses promesses ». Dans la France médiévale, la société des trois ordres, théorisée par Adalbéron de Laon au XIe siècle, distingue un ordre hiérarchique à la tête duquel se trouve la caste des oratores (ceux qui prient), puis les bellatores (ceux qui combattent), enfin les laboratores (ceux qui travaillent). Paroxysme d’une crise de légitimité de la personne royale, la longue guerre de cents ans marque le recul de l’importance de la caste guerrière. Elle se sacrifie elle-même, notamment lors de la bataille d’Azincourt, le 25 octobre 1415 où la chevalerie française, refusant de fuir, est littéralement décimée par les archers et la piétaille anglaise. L’armée féodale, perd de facto sa justi
fication. Après l’intervention de Jeanne d’Arc, qui se bat au nom du « roi du Ciel », Charles VII comprend que la consolidation de l’État monarchique doit passer par la constitution d’une armée professionnelle. C’est chose faite avec le traité de Lloupy-le-Châtel de 1445 qui établit les compagnies d’ordonnance, permettant au roi de s’affranchir de l’ost royal basé sur le respect de la parole donnée au souverain par la caste des bellatores (ceux qui combattent). La société d’ordres devient, dès cette époque, davantage spéculative que véritablement opérative. Si elle connaît son coup de grâce lors de la Révolution française, ce n’était déjà depuis le XVe siècle qu’une survivance dont la légitimité collective allaient en s’amenuisant. C’est d’ailleurs au sortir de la guerre de Cent Ans, sous Louis XI, que la noblesse française fut autorisée pour la première fois à pratiquer le commerce terrestre et maritime sans « déroger », c’est-à-dire sans manquer à son rang qui lui interdisait d’exercer des activités économiques pour se financer. En effet, le noble est avant tout un guerrier qui doit vivre du sien, c’est-à-dire de l’exploitation de la terre par les paysans placés sous son autorité seigneuriale. Mais le noble a bel et bien un travail : c’est l’art de la guerre. Et il paie bel et bien le prix de son statut : il doit accepter de verser son sang et s’engage à respecter une éthique chevaleresque. Si la noblesse est encouragée par le pouvoir royal à déroger à son statut au XVIIe siècle, en particulier sous Louis XIII puis Louis XIV, cette pratique a été plus difficile à mettre en place qu’en Angleterre, où la noblesse s’est très tôt comportée comme une bourgeoisie, pour des raisons économiques mais aussi religieuses. Le Parlement anglais, que l’on peut pratiquement faire remonter à la Magna Carta de 1215 (ancêtre des droits de l'homme laïques) avec la création d’un Grand Conseil constitué de barons et de bourgeois, quitte peu à peu son rôle judiciaire pour prendre une fonction politique. C’est sous Édouard III (1327–1377) que ce Parlement se scinde en deux avec la Chambre des lords et la Chambre des communes dans laquelle ne siégeront bientôt plus que des chevaliers et des bourgeois, le bas clergé en étant progressivement évacué au cours du XIVe siècle. La crise de l’Exclusion Bill à partir de 1678 voit la création d’un parti whig, farouchement opposé à l’absolutisme catholique et qui favorisa la montée sur le trône d’Angleterre du Stathouder Guillaume III d’Orange en 1689 lors de la Glorieuse Révolution. Le parti opposé, les tories, rassemblait des nobles attachés à la famille des Stuart et donne naissance au XIXe siècle au parti conservateur. Davantage attachés à la terre, les tories se convertissent au libre-échangisme et sacrifient l’agriculture britannique en abrogeant en 1846 les corn laws qui protégeaient le marché anglais des céréales bon marché américaines. Ainsi, ils augmentaient le pouvoir d’achat des ouvriers sans avoir à augmenter d’un penny leurs salaires. C’est cette opposition whig/tories au sein du régime parlementaire britannique qui servira de modèle au parlementarisme républicain qui se met en place en France à partir de 1870. L’Église romaine, quant à elle, trinitaire par essence, n’en est pas moins marquée par un profond clivage qui prend sa source dans l’interprétation d’une parole du Christ citée dans les trois Évangiles synoptiques : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. » Les conclusions de cette citation ont participé à la distinction, en Occident, du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel. Si les rois de France, jusqu’à Philippe le Bel, se sont soumis au magistère pontifical ou s’en sont parfois simplement accommodés, l’apparition à partir de 962 du Saint-Empire romain germanique provoque la querelle des investitures (1075-1122) et l’opposition farouche entre partisans de l’empereur (Gibelins) et partisans du pape (Guelfes). Or, cette parole du Christ, si on l’interprète du point de vue strictement métaphysique, est évidemment hiérarchique. César ne peut être opposé à Dieu que d’un point de vue matérialiste. Celui qui est créé, fût-il César, ne peut posséder que sa dépendance envers Celui qui l’a créé. Avec le moment de la Révolution française, on peut observer de manière nette le passage d’une société basée sur les survivances d’un ordre hiérarchique à un modèle horizontal qui laisse libre cours à la binarité, progressivement présentée comme le cadre idoine (approprié) pour penser le « réel » et gouverner les peuples. Si les termes droite et gauche servant à définir des positions politiques antagonistes trouvent leur origine dans les débats liés au droit de veto à accorder ou non au monarque, ils ne prennent toutefois que tardivement leur place comme horizon indépassable du clivage politique français. Lorsque, le 22 juin 1789, l’Assemblée nationale se réunit dans l’église Saint-Louis à Versailles, contre la volonté du roi, les députés du tiers-état laissent spontanément les sièges les plus proches du maître autel, dans la partie supérieure de la nef, aux deux ordres « supérieurs » : le clergé et la noblesse. Moins de trois mois plus tard, le 11 septembre 1789, l’Assemblée abandonne le placement hiérarchique pour adopter une répartition horizontale. À droite se placent les députés favorables à un droit de veto royal (ceux que l’on appelle les « monarchiens », c’est-à-dire des monarchistes constitutionnalistes sur le modèle anglais) et à gauche les partisans d’un veto royal suspensif. (A noter que la droite et la gauche actuelles n'ont donc presque plus rien à voir avec leurs origines comme il va être vu ci-après, ce qui signifie que la révolution est toujours en cours et que la contre-révolution n'a ainsi pas encore perdue, dont au niveau mondial puisque de nombreuses nations ont été ou sont encore liés politiquement à ces forces idéologiques.) Ce clivage n’est cependant pas dominant dans la vie politique française avant la toute fin du XIXe siècle. Ainsi, au moment de la révolution de 1848, on distingue trois grandes forces qui écrasent la mise en place d’une opposition droite/gauche : il y a les Blancs (monarchistes), les Bleus (républicains qui se réclament de 1789 comme Adolphe Tiers ou Louis Napoléon Bonaparte) et les Rouges, héritiers de 1793. Encore en 1880, le capucin Ubald de Chanday publie Les Trois Frances, ouvrage dans lequel il distingue une « France satanique » acquise aux idées de la Révolution, une « France chimérique » bercée par le libéralisme et une « France catholique ». C’est sous la IIIe République que le clivage gauche-droite s’impose progressivement. L’adaptation forcée du système parlementaire britannique au régime républicain rend nécessaire la construction d’un bipartisme à l’anglaise qui, s’il a du mal à s’imposer après la Commune, trace peu à peu sa route avant de se cristalliser durablement pendant l’affaire Dreyfus. Tout se passe comme si droite et gauche, par une même force centrifuge, s’éloignaient progressivement de l’axe qui constituait leur essence pour finalement le renier presque entièrement. Ainsi, la « droite », avec les guillemets qui s’imposent encore au XIXe siècle, s’est construite sur la défense d’un État incarné par la personne royale, puis elle rompt ce lien et prend ses distances avec cet État qui doit désormais simplement favoriser ses intérêts par le libre-échange. Du côté gauche, le socialisme du XIXe siècle est classé parmi les extrêmes, les « rouges ». Les radicaux sont d’ailleurs encore antisocialistes à la fin du XIXe siècle. Mais, là aussi, un glissement s’opère ; d’abord hostiles à la démocratie parlementaire perçue comme une forme libérale et individualiste de la république, les socialistes s’en accommodent et finissent par intégrer la gauche, au sens moderne, grâce notamment à la stratégie du « pas d’ennemis à gauche » adoptée par les dreyfusards. Le critique littéraire français Albert Thibaudet explique, en 1932, que ce clivage est largement une construction des écrivains : « Ce n’est plus qu’en parlant des écrivains qu’on dit couramment : un Tel est de droite, ou un Tel est de gauche... À quelle époque cette division a-t-elle paru dans la République des Lettres ? Évidemment, au temps de l’affaire Dreyfus où presque tous les écrivains étaient d’un côté ou de l’autre, et où la bataille des encriers fit rage. » Une bataille des encriers qui correspond bien à une représentation et qui montre le caractère théâtral du clivage gauche-droite qui, s’il repose sur une opposition réelle, est cadré et exacerbé. La représentation nationale, comme son nom l’indique, est une mise en scène de la volonté de la nation. Toute la question est de savoir qui en est le metteur en scène. À Athènes, il n’y avait pas de démocratie représentative car elle eut été considérée comme une « restriction oligarchique » de l’isègoria (le droit égal de parole). En réalité, le régime parlementaire permet de passer à la moulinette toutes les aspérités politiques potentiellement dangereuses pour la république. En 1914, le journaliste Robert de Jouvenel, issu de la gauche républicaine, résumait ainsi la situation dans La république des camarades : « Il y a moins de différence entre deux députés dont l’un est révolutionnaire et l’autre ne l’est pas qu’entre deux révolutionnaires dont l’un est député et l’autre ne l’est pas. » Par ailleurs, l’apparition des partis politiques à la faveur de la loi de 1901 contribue à gommer les particularismes locaux au profit d’un discours progressivement uniformisé par un organe de décision central. La Première Guerre mondiale fut le sacrifice des laboratores, car la guerre de 14-18 est la conclusion apocalyptique de la rupture avec l’ordre hiérarchique. En 1917, dans la boue crayeuse des tranchées du Chemin des Dames, ce n’est pas l’expression d’un clivage droite-gauche tel qu’il s’institutionnalise au Parlement qui raisonne dans la complainte de Craonne, c’est le refus d’une injustice fondamentale qui conduit les élites à abandonner leur responsabilité pour n’en conserver que les privilèges qui, par là même, deviennent indus. Ainsi, comme l’écrit Paul Valéry, la guerre devient ce massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. La Première Guerre mondiale est donc bien la « Der des Ders » en ce sens qu’elle est l’aboutissement de la disparition de l’ordre hiérarchique qui structurait la société française. L’élite, refusant de faire le sacrifice de son sang, envoie à la mort l’ouvrier, le paysan, ceux que le Moyen Âge désignait comme les laboratores. C’est à Craonne, à Verdun ou dans la Somme que meurent les Français en tant que peuple libre (c’est-à-dire les « Francs » dans son sens originel) dans le même caveau que le progressisme. La paysannerie ne se relèvera jamais vraiment et entrera dans une phase d’extinction. Après cela, l’opposition binaire (politique), qui ne cesse pas d’être une réalité, est captée et détournée par la représentation nationale. Ce n’est pas que la droite ou la gauche ne reflètent pas des opinions réelles et contradictoires au sein de la population, mais plutôt que leur réalité est confisquée par la représentation nationale qui distribue les dossards aux équipes. En enfilant le maillot, on accepte les règles du jeu. La structure ternaire ne disparaît pourtant pas. On la retrouve d’ailleurs dans la séparation des pouvoirs théorisée par John Locke puis reprise en France par Montesquieu. Un pouvoir exécutif, qui est l’autorité de commandement. Le pouvoir spirituel est officiellement évacué, mais on connaît l’influence que jouera le clergé maçonnique sur les gouvernements, en particulier sous la IIIe République.
Alors que le pouvoir temporel (politique) et le pouvoir spirituel (chrétien, catholique) ne doivent pas se passer l'un de l'autre, même si le pouvoir spirituel ne joue plus qu'un rôle de conseiller ou de nourrisseur philosophique. Par ailleurs, de manière anecdotique sans que cela soit anodin, le président de la République française est aussi Chanoine de Latran, un titre dont l’origine remonte au moins à 1482, sous Louis XI. On se souvient de Nicolas Sarkozy qui, en décembre 2007, lors de son intronisation en tant que « chanoine d’honneur », affirmait vouloir « réparer » le lien qui s’était abîmé entre l’Église et l’État. La même année, en février 2007, c’est le même Sarkozy qui délestait le chef de l’État de ses responsabilités en supprimant le crime de haute trahison de la Constitution. Un pouvoir judiciaire, dont le symbole est la balance mais aussi l’épée qui tranche. Les seigneurs féodaux possédaient le droit de vie et de mort sur leurs terres et les conflits internes à la noblesse se réglaient par des duels judiciaires que l’autorité royale s’efforça de faire disparaître. Enfin, un pouvoir législatif confié à l’Assemblée du peuple. En dehors du fait que la séparation des pouvoirs stricto sensu est un mythe qu’il n’est plus nécessaire de démasquer aujourd’hui tant il est évident, ce système ternaire se combine parfaitement avec l’opposition binaire du clivage gauche-droite décrit plus haut puisque dans un cas comme dans l’autre, la réalité de la souveraineté du peuple est virtuelle. Lorsqu’il existe un ordre hiérarchique, basé nécessairement sur la reconnaissance de principes métaphysiques, on trouve des sociétés symboliques, c’est-à-dire que les choses sont vraies, en puissance et en acte, à tous les niveaux : celui de la réalité matérielle mais également au niveau subtil et spirituel. Le laboratores est bien un travailleur, son statut est bien inférieur aux deux ordres et nul ne cherche à le lui cacher. Mais son statut social est également en lien avec sa nature spirituelle qu’il doit chercher à développer. Le charpentier du Moyen Âge peut voir en lui une image du Christ, mais le vagabond aussi, au moins jusqu’au XIIIe siècle. C’est un monde dans lequel la parabole, au sens évangélique du terme, fonde la valeur du langage. Le modernisme produit des sociétés métaphoriques dans lesquelles l’image littérale proposée est purement fictive, fausse, mais sert à décrire une réalité idéale qu’aucune responsabilité personnelle n’engage à atteindre. C’est précisément ainsi que l’on peut voir la représentation nationale. Une assemblée réunit à l’intérieur d’un hémicycle, sur le modèle des théâtres, dans laquelle les citoyens doivent se voir eux-mêmes, malgré l’indigence des discussions qui s’y tiennent. Proudhon, qui souhaitait la mise en place d’une république, rejetait la démocratie représentative. Paraphrasant Adolphe Thiers, il affirmait qu’en démocratie, « le peuple règne mais ne gouverne pas ». De plus, dans les sociétés métaphoriques, la monnaie est une allégorie d’elle-même. Elle ne contient plus les métaux précieux qui lui donne pourtant son nom. L’argent n’est plus l’argent, d’une part parce qu’il n’en contient plus, mais aussi parce qu’il repose sur la captation des richesses produites par l’économie réelle au profit d’une économie financiarisée prédatrice et virtuelle. En fait de ruissellement, promis par les chantres du néolibéralisme, il n’y a que la bave concupiscente et stérile de la finance internationale, constituée en caste mais dont la relation à la transcendance se fait exclusivement par le bas. Lorsqu’il décrypte le langage du capitalisme et ses « signifiants », Michel Clouscard distingue la « valeur d’usage », qui est la « consommation naïve » du produit, de la « valeur d’échange », c’est-à-dire que « le produit n’est plus signifiant selon la consommation immédiate, mais au contraire selon sa conservation et son insertion dans un système global de valeurs ». En observant les signifiants culturels, il remarque, pour l’après-guerre, que le passage du jazz au rock correspond à la transition d’un rythme ternaire à un rythme binaire. Le temps est découpé en sections homogènes, et les jeunes gens dansent sur un rythme qu’ils pensent subversif mais qui est en réalité l’outil de leur adaptation à la valeur d’échange néolibérale. C’est le libéralisme libertaire. Opposition en apparence contradictoire mais convergente dans ses finalités. Alain Soral a décrit le mécanisme de la double injonction contradictoire dans laquelle le clivage binaire est au service d’un système ternaire. L’opposition binaire est inhérente à la nature, mais elle est aujourd’hui un outil intégré dans un système qui l’encadre pour mieux la désorienter. Ainsi, l’Homme sera opposé au climat, aux virus, et jusqu’à sa propre nature au nom d’une prétendue capacité à transcender les choses, comme son « identité de genre ». Ainsi, la France est, officiellement en tout cas, gouvernée par un agent provocateur, saltimbanque, marié à son professeur de théâtre, et faisant appel à une transcendance et à un système de valeurs « hiérarchique » dont la pointe du triangle est manifestement tournée vers le bas. En lieu et place d’une triade précapitoline, un Jupiter picrocholin. Quand la binarité elle-même devient factice, cette société métaphorique n’est plus qu’une accumulation de planches pourries posées dans le vide les unes sur les autres, de plus en plus rapidement, tentant à chaque instant d’empêcher ceux qui y posent les pieds de s’apercevoir qu’ils sont en réalité dans le vide. Lors du référendum de 2005 sur le traité établissant une constitution européenne, c’est un autre clivage qui est apparu, dépassant le clivage convenu. Pour sortir de cette dyade lénifiante qui engourdit les corps, les âmes et les esprits, le retour au sens des responsabilités est indispensable. Et dans une société comme la nôtre, dans cet Occident qui est mort, la première des responsabilités, c’est que les hommes tiennent leurs engagements et se comportent comme des hommes. Il faut également dépasser la pensée d’opposition qui est le fruit de l’égalitarisme (et donc revenir à la stabilité de la complémentarité et à la richesse morale de l'équité). Tradition et modernité, si l’on regarde ce clivage d’un point de vue hiérarchique, ne s’opposent pas au sens strict. La modernité n’est pas née d’elle-même, elle s’est construite par l’éloignement progressif de la tradition, tout en puisant dans celle-ci qui contient en elle-même les germes de la manifestation universelle (et du développement raisonnable et donc clairement limité à un certain moment). (D'ailleurs quand) le réel qui (re)surgit, il ne submerge pas les principes authentiques mais les conforte. » (Extraits de l'article « Opposition binaire et ordre hiérarchique » de Hyacinthe Maringo)
Mais il faut noter qu'on parle de personnes communistes, fascistes, islamistes, mais qu'on parle de personnes libérales comme s'il ne s’agissait pas de personnes suivant une idéologie mais l'ordre naturel des choses...
Or il est aussi intéressant que ces apparitions du républicanisme, du fascisme (étatisme), du socialisme, du libéralisme et du syndicalisme aient mis en relief le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire ainsi que l'importance de leur indépendance respective dans certains cas. Surtout que le pouvoir ne s'arrête que là où il trouve des limites, dont face à la grève voire à la révolte populaires. D'ailleurs depuis l'époque capitaliste et la grande augmentation de la population mondiale, les très riches généralement patrons ou dirigeants politiques ont parfois voire souvent limité utilement le peuple, comme le peuple a parfois voire souvent limité utilement ces très riches. Tout cela permettant aussi de mieux comprendre au niveau du droit social dont islamique, l'importance au sein de la noblesse du juste milieu entre l'autorité, la liberté et l'ordre. C'est pourquoi le grand plan du destin de l'humanité et toutes situations peuvent très dignement être seulement perçues comme de l'éducation morale ou des épreuves pouvant nous ennoblir. Ainsi de même que les scientifiques se servent des découvertes mathématiques, physiques et chimiques précédentes dans leurs recherches et analyses, pour analyser certains domaines comme ces systèmes politiques, sociaux et économiques modernes, on peut par une ouverture d'esprit se servir intelligemment de l'outil critique du marxisme (
dont car un de ses livres principaux « le capital » n'est pas de l'idéologie mais de l'observation économique, mais sans adhérer à la philosophie matérialiste marxiste, car Marx était gravement voire sournoisement amoral), comme de ceux de certains philosophes dont antiques tels Aristote ou Platon, et bien sûr aussi comme de celui du monothéisme authentique. En effet il faut évidemment profiter des bonnes analyses de certains penseurs concernant divers sujets comme aussi la critique de la modernité par Guénon, mais être prudent concernant leurs propres conceptions religieuses parfois voire souvent imprécises ou inexactes. Or les pervers messianistes ont parfois utilisé ces bonnes analyses comme certaines de Marx pour propager le communisme athée afin de dominer les peuples dont en les éloignant du monothéisme authentique, et utilisent même désormais des mensonges grotesques ou de perverses interprétations dont de la liberté pour propager le progressisme wokiste synonyme de libéralisme à outrance mais aussi de marxisme culturel dévoyé. Le wokisme correspond donc simultanément au néolibéralisme culturel et au néomarxisme culturel.
Ces systèmes politiques erronés ont aussi mis encore plus en évidence les rôles et l'importance des cinq pouvoirs principaux dans une société : législatif, exécutif, judiciaire, médiatique et monétaire. De plus ils ont permis une liberté d'expression et une science plus libres que sous un régime religieux dont par rapport à ce site et à l'apparition de la cryptomonnaie et surtout de la blockchain nécessaire puisque synonyme de pureté économique équilibrante à notre époque dangereusement dérégulée. Et ils ont en plus clairement rappelé l'importance des devoirs régaliens de l'Etat : police, justice, défense nationale, politique étrangère, diplomatie, impôt, gestion d'une grande partie de l'eau, projets routiers, création de la monnaie, banque nationale, prêt bancaire à taux zéro pour des projets commerciaux ou entrepreneuriales solides ; et des secteurs essentiels devant donc rester des services publics quand c'est possible ou nécessaire tels l'éducation, la santé, les transports, les communications et l’énergie. En effet il est des biens et des services (du bien commun) qui doivent évidemment être placés en dehors des lois du marché.
L'Etat est aussi là pour encadrés les intérêts (dont libertés) individuels afin qu'ils convergent vers l'intérêt général. Or ces dernières décennies avec le recul du périmètre de l’État, cela a augmenté la pauvreté, les inégalités sociales et la baisse générale du niveau de vie au profit de la caste mondialisée ultra riche.
Ainsi pour le bien commun, une société a également besoin de corps constitués au niveau des personnes morales de droit publique dont l'État, les collectivités territoriales, les établissements publics, et de corps intermédiaires au niveau scolaire, sécuritaire, médical, économique et judiciaire, afin d'éviter la privatisation, et donc la cupidité ou la perversité, et donc le risque de gestion inconséquente de ces secteurs.
Or le système actuel considère tout espace de liberté comme un cancer qui met en danger son existence et n’aura de cesse de tous les éradiquer. Il privatise beaucoup en faveur des très riches et contrôle la liberté et l’indépendance d’esprit jusqu'à désormais interdire l'école à la maison, puisque l’instruction a cédé sa place à l’éducation institutionnelle synonyme de formatage idéologique. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Interdit d’apprendre (mieux) à la maison » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Interdit-d-apprendre-mieux-a-la-maison-61129.html
Pour son profit et son développement, le Nouvel ordre mondialiste perversement manipulateur est en plus basé sur la culpabilisation de l'humanité, dont à propos de ses dégâts sur la nature faisant devenir l'être humain coupable du réchauffement et donc méchant. Et cette culpabilisation du peuple se passe au niveau des dangers climatiques, des conséquences sanitaires, du gaspillage de l'énergie et des pénuries, la diversion est parfaite.
Pour Jean-Louis Daudet, auteur du livre "Croyez ou vous êtes morts", depuis quelques années, nous sommes confrontés à des obligations ou des interdictions de tous ordres. On ne peut plus dire tel ou tel mot, on ne peut plus exprimer telle ou telle pensée. La censure s'exerce à tous niveaux dans de nombreux aspects de la vie quotidienne. Associées à ces interdits, de nouvelles croyances ont été créées dans différents domaines. Ces nouveaux dogmes sont répétés chaque jour dans tous les médias et repris à l'envi par les réseaux dits "sociaux". Il s’est établi une véritable religion de la terreur.
Par ailleurs l’État, nécessaire pour préserver la liberté, l'ordre et la paix sociale, détient donc la responsabilité de la violence légitime à travers la police et la prison. Cependant il ne faut pas faire un usage disproportionné de la force, comme lors de l'usage de LBD et de l'arrestation d'une personne ne portant pas de masque sanitaire ou fumant dans un lieu publique. Et pour éviter de diviser le peuple, les journalistes ou instituts de sondage ne doivent pas demander si les citoyens sont pour ou contre la police en fonction des images de policiers frappés par des manifestants ou de citoyens frappés par la police, mais demander quelle police voulez vous, car certains responsables policiers corrompus peuvent organiser des agressions de policiers pour leur légitimer plus de répression. C'est pourquoi l'IGPN (organisme de surveillance de la police par la police) devrait devenir citoyen.
D'autre part l'indépendance financière et le droit de propriété foncière et commerciale accentuent la liberté et donc la paix sociales pour éviter la tyrannie ploutocratique. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'accès à cette indépendance financière de même donc qu'à la propriété foncière et commerciale devienne de plus en plus impossible, à travers la perverse monopolisation de l'économie par des multinationales appartenant à des oligarchies corrompues poussant à des lois supranationales oppressantes. Ainsi la propriété foncière permet bien de ne pas être soumis au système ni au patron, puisqu'on sait que nous avons un toit et donc la liberté quoiqu'il arrive, d'où la volonté de Davos de supprimer la propriété foncière pour le peuple, et l'importance de préserver souverainement les terres nationales des grandes entités étrangères prédatrices, et de renforcer la souveraine puissance économique française en soutenant les artisans, les petits commerçants, les PME et les PMI. Cependant l'attachement à la propriété foncière est déconseillé par le Prophète (SBDSL) pour éviter donc un sédentarisme trop individualiste, un amour trop important du bas-monde, un oubli de son épéhémérité et un détournement de la demeure éternelle du Paradis, ce qui n'empêche donc pas de chercher à être propriétaire d'une entreprise. Il est donc possible d'avoir une demeure en location ou une propriété foncière sans attachement et sans y végéter, tout en ayant une propriété commerciale familiale pour utiliser principalement l'argent dans l'épanouissement familial, les investissements entrepreneuriaux, le développement national et la recherche scientifique raisonnable, mais aussi donc pour empêcher la tyrannie politique soumises à des entités privées ultra-riches.
En sachant que payer une location n'est pas un mal surtout si c'est pour éviter d'acheter une propriété par de l'usure même en petite partie :
Selon Abdullah Ibn Masud (SDP), le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Ne vous attachez pas aux propriétés foncières car elles susciteraient en vous le désir de ce monde (avarement et jusqu'à votre mort dont par une possible sortie de la vie sociale et car ne dépensant plus mensuellement pour Dieu en ancrant donc le cœur à la terre au lieu de tendre vers l'au-delà). » (Tirmidhi)
Le vrai problème est la raréfaction bureaucratique du foncier associée à la spéculation massive de grands fonds d'investissements internationaux et à l'achat de propriété par des étrangers, car cela augmente fortement les prix de l'immobilier et entrave donc l’accession des familles modestes à la propriété dans leur région. On peut également y associé la croissance des grandes agglomérations, à commencer par la région parisienne. Les Français ont besoin d’un plan visant la décentralisation des activités économiques et une occupation équilibrée ainsi qu'harmonieuse de notre territoire.
Par rapport aux systèmes politiques évoqués dans ce chapitre, il est bon de savoir que l'islam en conformité avec le christianisme est divinement dans un sage juste milieu, car simultanément dictatorial (souverainiste) par ses règles divines (dont patriotiques et non ultra-libérales libertaires), capitaliste (telle la réelle droite qui est celle des valeurs validant le droit de propriété et d’entreprendre et organisant un marché libre et juste, voire parfois plus ou moins régulé si nécessaire) par le sacré au niveau du sang, des biens et de l'honneur de chacun, et socialiste (telle la réelle gauche politique donc non sociétale ni ploutocratique) par la zakat (impôt social purificateur, un des cinq piliers obligatoires de l'islam) et par les exhortations christiques et coraniques invitant à agir souvent pieusement pour résoudre les problèmes des autres en particulier des faibles (orphelins, handicapés, pauvres, malades, personnes âgées). Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « Conférence Jean Michel Vernochet -Youssef Hindi - Partie 02 » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=vXinkS6ecEA
Les travaux du démographe et historien Emmanuel Todd, spécialiste des structures familiales (qu’il étudie selon l’anthropologie historique), confirment sur la base d’une toute autre méthodologie l'analyse de Y.Hindi, à savoir que les mouvements athéistes constituent non pas seulement une négation de Dieu, mais une lutte contre Lui (servant donc à l'affaiblissement moral puis à l'asservissement des peuples par les impies). Ses travaux sur la crise des sociétés modernes mettent en évidence que leur décomposition, ayant précédé leur atomisation, est essentiellement due au vide religieux ; il en arrive donc, par le biais d’une étude historique quantitative (statistique), anthropologique et empirique, à la conclusion qu’aucune société ne peut vivre sans croyance religieuse. D'ailleurs l'atomisation de la société anglaise protestante (christianisme cupide) au niveau familial à la fin du Moyen âge par rapport à la France catholique (christianisme charitable) le montre bien, dont car il y avait plus de terres vendues que de terres héritées déjà à cette époque en Angleterre.
Lisons Emmanuel Todd qui nous livre les résultats édifiants de ses travaux : « Républicanisme, socialisme, communisme(, libéralisme libertaire) se sont en pratique définis contre un catholicisme résiduel, qui les structurait pour ainsi dire négativement. La mort de cette religion a tué comme par ricochet les idéologies modernes. Nous sommes ici tout proche de l’un des points nodaux (principaux) de la crise qui, bien loin de n’affecter que la surface politique des choses, touche en réalité le socle métaphysique de la société, fond de croyances irrationnelles et inconscientes venues d’une histoire très lointaine. L’identification du fond religieux de la crise nous permet d’éclairer certains aspects du malaise actuel, et en particulier la difficulté que peut avoir une société à vivre sans croyance religieuse. L’athéisme a triomphé... L’histoire concrète de l’athéisme nous dit : loin de mener au bien-être, l'émergence d’un monde sans Dieu conduit à l’anxiété, au sentiment d’un manque (surtout car la naissance, la vie, la réflexion et la mort amènent à la question incontournable d'en quoi devons nous croire. D'ailleurs ce qui fait l'identité d'un homme est au final sa religion, qu'elle soit transcendante, ou athée et donc politique, nationaliste ou raciale. Mais comme l'a dit Chesterton : « Quand les gens cessent de croire en Dieu, ce n'est pas pour croire en rien, c'est pour croire en n'importe quoi. »). Le monde mental des êtres humains n’est pas le monde physique des sciences dures. Privé d’adversaire, l'athéisme doute, fléchit et s’effondre. La déchristianisation conduit donc à une situation paradoxale : l’incroyant semble ne se sentir bien dans sa certitude que s’il y a encore dans la société une Église, minoritaire, mais porteuse d’une croyance positive en l’existence de Dieu, qu’il peut critiquer et nier. Le saut dans l’irrationnel de la foi avait, à la fin de l’Empire romain, permis la construction d’un système explicatif et moral stable et rassurant. Le christianisme avait alors réglé, sur le plan psychologique, la question de la mort... Tant qu’il y a encore des croyances à dénoncer, des croyants à libérer, l'existence a encore un sens, métaphysique (aussi donc pour un athée qui en a donc également besoin par nature humaine même si c'est pour s'y opposer à travers un illégitime cause à défendre). Cependant la disparition du dernier groupe solidement organisé de croyants donne le signal du mal-être pour les vainqueurs (athées), qui, libérés de tout, ne peuvent que constater qu’ils ne sont rien, rien qui ait un sens du moins. D'ailleurs suite à la fin de son ennemi principal qui était la droite catholique, la gauche socialiste et athée est même ensuite devenue folle par sa dérive sociétale vers la défense de l'homosexualité, du Lgbtisme, de la transsexualité, de l'avortement. La mort de l’Église (et donc ensuite de l'athéisme laïque) réactive la question (la réalité) de la mort de l’individu en particulier quand l'injustice sociale répand le malheur, (et de la société puisque la foi du peuple dans une idéologie est la seule chose qui maintient ses institutions).
Et c’est pour ça qu'après être passé par un hypermatérialisme du consumérisme devenu écœurant hyper hypermatérialisme étouffant mentalement dont avec l'oppression climatique, le terrorisme, le wokisme, l'individualisme numérique, la guerre, les épidémies, le confinement, le port du masque, la distanciation sociale (qui devrait s'appeler distanciation asociale, surtout que l'homme est un animal social et donc que sa proximité sociale fait partie de l'humain sinon il ne reste que l'animal), et le culte inconséquent de la vie des corps étant devenu mystérieusement prioritaire sur tout jusqu'à la destruction de l'économie sans réactions fortes des peuples lors de la crise covid, l'humanité parviendra inévitablement à une hyperspiritualité du monothéisme voire donc à une comblante hyper hyperspiritualité de l'islam grandement ouverte d'esprit et de cœur, comme si la modernité technologique, le laïciste mondialisme ploutocratique, et les crises financières, sanitaires, guerrières et énergétiques étaient un entonnoir pour y parvenir. D'ailleurs il apparaît logique que suite aux révolution laïque, industrielle, politiques, puis technologique, il y ait une révolution spirituelle. Il faut noter que l'hyper spiritualité ne signifie pas de devenir sans matériel ni proximité physique, mais de valoriser fortement même le peu qu'on a comme proches et biens ainsi que la Création, tout en vivant grandement pour la justice, la noblesse, la religion, Dieu et son Paradis. Et cela signifie aussi que la fin des temps sera une profonde reconnexion définitive d'une grande partie de l'humanité avec Dieu à travers la tradition traditionnelle.
(Quand la religion s'effondre et) Au-delà de l'interrogation métaphysique de base, toutes les constructions idéologiques et politiques ayant pour fondement théorique l’inexistence du Ciel appuyé sur une opposition aux religions monothéistes sont ébranlées. La disparition du Paradis, de l’Enfer et du Purgatoire des esprits dévalorise donc logiquement tous les prétendus paradis terrestres politiquement et dont étatiquement athées. »
D'ailleurs avant de poursuivre ces propos d'Emmanuel Todd, il est important de préciser ici que Gustave Le Bon donne dés 1895 dans son livre « Psychologie de foules » une anticipatoire explication de l'effondrement rapide des croyances aux paradis terrestres athées ou laïques de type socialiste(, libérales ou libertaires) : « Ce n’est pas l’évidente faiblesse des croyances athées socialistes(, libérales ou libertaires) actuelles (telles des idoles fragiles) qui empêchera les religions de triompher dans l’âme des foules. Leur véritable infériorité par rapport à toutes les croyances religieuses tient uniquement à ceci : l’idéal de bonheur que promettaient ces dernières ne devant être réalisé que dans une vie future, personne ne pouvait contester cette réalisation. L’idéal de bonheur socialiste(, libérales ou libertaires) devant être réalisé sur terre, dès les premières tentatives de réalisation, la vanité des promesses de paradis terrestre apparaîtra aussitôt, et la croyance nouvelle perdra du même coup tout prestige en laissant revenir les croyances en l'au-delà. (C’est précisément ce que l’on a vu se produire avec l’Union soviétique communiste athée qui s’est effondrée sous ses propres contradictions pour laisser revenir le christianisme orthodoxe en Russie.) La puissance des idéologies athées ne grandira donc que jusqu'au jour où, ayant triomphé de la religion, la réalisation pratique commencera. Et c’est pourquoi, si l'idéologie nouvelle exerce d’abord, comme toutes celles qui l'ont précédée, un rôle destructeur, elle ne saurait exercer ensuite, comme la religion, un rôle créateur. »
Emmanuel Todd poursuit : « Alors commence la quête désespérée du sens qui, logiquement et banalement, va se fixer sur la recherche de sensations extrêmes dans des domaines historiquement répertoriés : argent, sexualité, violence ; tout ce que la religion contrôlait. L’examen empirique de la réalité sociale montre la validité de cette séquence... L’argent, la sexualité et la violence sont désormais au centre de notre dispositif mental et médiatique. Les anxiolytiques (et paradis artificiels) ne peuvent remplacer complètement les croyances collectives. »
« Le monde moderne a détruit le monde, sa diversité, sa culture, sa tradition, ses civilisations. Ce qu’on appelle diversité aujourd’hui n’est qu’un moyen psychologique et technocratique d'oppresser tout le monde. La révolution industrielle a commencé à tout détruire, puis le capitalisme a commencé à tout esclavagiser. ... Le grand historien et économiste Karl Polanyi compare le sort des ouvriers et celui des colonisés, ces pauvres de tous les pays, dont la culture a été désintégrée par le contact avec l’occident : (Suite à l'effacement de la religion catholique) Les vices développés par la masse du peuple (français) étaient globalement les mêmes que ceux caractérisés par des populations colorées (non blanches) dégradées par le contact avec la culture (colonialiste occidentale corrompue) en décomposition: dissipation, prostitution, volage, manque d’épargne et de prévoyance, négligence, faible productivité du travail, manque de respect de soi et endurance. En Effet l’extension de l’économie de marché détruisit le tissu traditionnel de la société rurale, la communauté villageoise, la famille, l’ancien régime foncier, les coutumes et les normes qui sous-tendaient la vie dans un cadre culturel. » (Extraits de l'article Karl Polanyi et la destruction du monde par le marché – Nicolas Bonnal à l'adresse https://strategika.fr/2022/02/21/karl-polanyi-et-la-destruction-du-monde-par-le-marche-nicolas-bonnal/)
Il y a deux millénaires, la pensée antique eut à définir dans le cadre d'un effondrement des religions païennes, un sens purement terrestre de la vie, une discipline de l’âme et du corps pour opérer dans un monde privé de ses dieux. Cette prodigieuse tentative, ne l’oublions pas, fut un échec, et déboucha sur le saut massif dans la croyance en la vie éternelle et du christianisme. Cette loi anthropologique à laquelle l’Homme ne peut échapper même en la niant, prouvant scientifiquement que la croyance en Dieu (quel que soit son mode) est inscrite dans le « code source » de l’Homme surtout que tous les aspects miraculeux de la vie terrestre ne peuvent qu'amener à devoir s'interroger sur son sens, est énoncée explicitement dans le Coran :
(S30v30) « Dirige tout ton être en pur monothéiste vers la religion (exclusivement pour Allah). Telle est la nature originelle (fitra discrète si pas d'ajout de piété) qu'Allah a donnée aux (cœurs des) hommes. Pas de changement à la Création d'Allah. Voilà la religion de droiture, mais la plupart des gens ne savent pas. »

L’absence d’alternative à la religion de Dieu étant illustrée par l’angoisse et le mal-être que ressentent les athées face au vide religieux, et plus profondément par la décomposition des sociétés largement touchées par l’athéisme, cela prouve la bienfaisante et donc authentique foi en Dieu. Les travaux d’Emmanuel Todd mettent donc en évidence que l’incroyance ne vit qu’en opposition à Dieu et à la religion : même perçue négativement et combattue, la croyance collective et transcendantale reste vitale, elle est constitutive de la nature de l’homme ; c’est ce que nous dit l'anthropologie sociale.
Ces travaux confirment ce qu’avait perçu le père de la sociologie Ibn Khaldûn au 14e siècle qui poursuivit l'analyse d'Aristote qui définit l’Homme comme étant un animal social ; à savoir que l'homme a besoin de vivre en société, puisque étant incapable de mener une existence individuelle déjà par sa dépendance relationnelle lors de son enfance et à l'âge adulte. Or, dit-il, la conséquence inéluctable de la vie sociale, c’est le désaccord dû à la pression d'intérêts divergents voire parfois opposés. A ce sujet le Coran précise :
(S49v13) « Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez (dans la dignité par le commerce honnête, le partage culturel et le compromis raisonnable dans vos intérêts respectifs, et donc la valeur suprême qu'est l'adaptation digne). Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur »
Commentaire : Il faut rappeler que le compromis pieux représente le plus haut niveau moral par son juste milieu entre l'esprit angélique parfait n'ayant pas de contrainte sociale et l'esprit animal imparfait recherchant la domination sociale, et surtout par son reflet et donc son explication uniques d'un des aspects les plus nobles de l'Esprit Divin.
Tant qu'il n'y a pas de modérateur pour les contenir, ces discordances engendrent donc logiquement des conflits pouvant conduire à la disparition de l'espèce humaine. Or la conservation de l'espèce est un des principaux objectifs de la loi religieuse, ce qui prouve que les Prophètes dans la réalité de leur fonction, rappelant les vérités, règles, caractère et moralité monothéistes pour ennoblir, modérer, rendre bienfaisant et unir le peuple, sauvent l'humanité.

Ce que l’on déduit en lisant Ibn Khaldûn et en analysant la longue séquence historique de décomposition des religions se résume ainsi : lorsque la religion (qui est le ciment de la société) et sa loi disparaissent avec ses institutions (Califat, Église et régimes politiques appliquant la loi divine/naturelle...) modératrices des intérêts des individus et des groupes, la société perd de sa cohésion pour s’atomiser lentement. Ce qui prouve encore un fois que pour détruire et donc dominer un pays, il faut corrompre sa spiritualité et sa foi. L’individu « tout puissant » (le consommateur narcissique, le self-made-man, le prédateur économique...) émerge et la conservation de l’espèce se voit mise en péril par la guerre de tous contre tous. C'est d'ailleurs prouvé par son aboutissement final actuel, puisque ayant atteint la lutte des sexes et même la lutte contre la nature de chacun à travers la transsexualité. Or cette dernière va en plus renforcer les minorités dominantes en particulier celle sioniste et oligarchique, celles qui imposent à la majorité un « progressisme » libéral, libertaire et forcené qui est une dictature perverse et divisante totalement illégitime par rapport à celle irréprochable et unifiante de Dieu.
Cette réflexion d’Ibn Khaldûn constitue donc aussi une juste critique anticipatoire des conséquences nuisibles du libéralisme actuel, c'est à dire tel que défini par Adam Smith (1723-1790) qui prétendait très injustement qu’une société composée d’individus ne recherchant que leurs propres intérêts serait harmonisée, notamment par « la main invisible du marché » et sans intervention aucune ni de l’État ni d’un quelconque modérateur. En effet dans ce genre de système pervers, les droits individuels deviennent de plus en plus souverains au détriment des droits collectif, moral, religieux, et autres, comme le prouvent la destruction de la famille traditionnelle, l'augmentation d'un féminisme à outrance (néoféminisme) synonyme de racisme envers les hommes, le mariage homosexuel, la propagation de la pédocriminalité, la transsexualité, le transhumanisme, etc... D'ailleurs briser le lien familial par le féminisme à outrance, l'homosexualisme et le transsexualisme est une finalité perverse du capitalisme ultra libéral afin que chacun devienne un individu isolé ne recherchant plus que la consommation personnelle excessive. C'est à dire que les droits individuels finissent par très dangereusement devenir tout ce qu’il y a : il n’y a pas de droit des communautés, des tribus ou des nations ; il n’y a pas de droit de souveraineté, d’autodétermination, d’autonomie, de sécession, ni de rappel d'une histoire collective soudant le peuple. Tout le monde est seul, seul contre le système entier qui peut donc plus facilement contrôler le peuple mais sans l'amener au bonheur, car dans ce genre de système comme le prouvent tristement les Etats-Unis et la France, le taux de suicide augmente vite puisque le peuple est dépourvu d'un sage climat moral général, d'une union pieuse au sein du pays et donc d'une bonne ambiance locale et nationale, comme l'explique Dmitry Orlov dans son article « L’individualisme comme facteur de risque » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-individualisme-comme-facteur-de-risque-51654.html

Ainsi la famille empêchant encore l'individualisme à outrance est particulièrement attaquée aujourd’hui, tandis que l’État semble vouloir s’y immiscer de plus en plus loin dont à travers son ingérence en particulier numérique dans la vie privée. Il y a une vraie menace à très court terme pour nos libertés à ce sujet. Or ce n’est plus une menace. L’oppression est effective. C’est arrivé en douceur, étape après étape, graduellement, pour que l’on ne se révolte pas, ce qui est le génie de cette stratégie liée au mondialisme laïciste et ploutocratique. L’offensive vient de très loin. Depuis vingt ans, c’est le saccage absolu. Tout n’est pas perdu, mais s’il n’y a pas un coup d’arrêt clair et net porté contre cette destruction de la famille, il y aura toujours plus de dégâts. Ceci étant dit, la famille ne relève en réalité pas de la vie privée. C’est une institution publique. Elle est aux mains de l’État. Le problème, c’est que l’État est aux mains de l’ennemi. Les choses pourraient donc être rétablies très vite, à condition qu’il y ait de l’intelligence populaire et un réveil patriotique massif. L’histoire récente a donc bien finalement donné raison à Ibn Khaldûn et donné tort à Adam Smith. Par sa dénonciation également de la domination perverse par le conditionnement progressif, le texte suivant de  Günther Anders repris par Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie, va aussi dans le sens d'Emmanuel Todd et d'Ibn Khaldûn :
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter(, surtout il est bombardé de pubs matérialistes, de divertissements et de pornographie). »
Surtout que de tels moutons (voire aveugles seuls au milieu d'une forêt la nuit) deviennent plus ou moins inconsciemment si désespérément dépendants du système corrompu les spoliant pourtant, car ayant peur d'en être rejeté et de n'être plus rien alors qu'ils entreraient dans l’absolue plénitude infinie du système divin, qu'ils vont jusqu'à se battre pour le protéger tel des embrigadés par apathie, conditionnement puis consentement. D'autant plus que beaucoup ne peuvent supporter de devoir en plus admettre qu'ils sont dirigés par des élites diaboliques, et donc de devoir supporter en plus le grand poids de la foi en l'existence de Dieu qu'ils rejettent. Ainsi se détourner de Dieu est très grave, car c'est aussi occulter le très maléfique Satan et donc refuser d'admettre que certains politiciens peuvent être sataniques en leur laissant les mains libres. Une des meilleures ruses du Diable est de faire croire qu'il n'existe pas. Or il existe même ceux qui sont simultanément victime et complice d'un système, et qui appartiennent donc à ce qu'il y a de plus irrespectable.
Aldous Huxley écrivait dans son livre « Le meilleur des mondes » : « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »
Ce qui se confirme puisque malgré les crises, malgré les inégalités, malgré le règne oppressif de la finance, les peuples d'occident restent en grande majorité passifs, comme anesthésiés par le système médiatique, politique et consumériste. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'impossible révolte des peuples d'occident ? » qui est un extrait du film « Dette, crise, chômage : qui crée l'argent ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=TcE5v1rzSPY&t=272s
Ainsi pour éviter de regarder en la réalité, de plus en plus de gens préfèrent garder le dogme de la laïcité devenue laïcisme, puis progressisme et actuellement wokisme, prétendument synonyme de liberté ultime alors que folie qui d'ailleurs est aussi de la liberté ultime, sans retenue. Lorsque un document avertissant des méfaits de l'alcool sur la santé est proposé à un alcoolique, généralement certains être humains ne le prendront pas pour changer leur comportement car ils savent déjà que c'est vrai mais préfèrent continuer leur plaisir destructeur. C'est pourquoi ce n’est pas la peine d'insister fréquemment avec les personnes soumises au système, dont à travers leur inertie face aux grandes crises climatique, bancaire, terroriste, sanitaire, guerrière, inflationniste et banlieusarde, et jusqu’à un point où on peut parler d’esprit corrompus.
Beaucoup intériorisent la contrainte et par manque de liberté ou d’autorité compensent en se transformant en petits chefaillons du faux ou du pervers que ce soit au niveau professionnel, sécuritaire, sanitaire ou économique, dans une forme donc de management toxique. Ce qui n'est pas étonnant car le registre émotionnel donne accès à l'inconscient humain en permettant d'y implanter des idées, des désirs, des normes et des peurs apportant souvent des exigences absurdes et intolérantes.
Ainsi aux Etats-unis, les citoyens républicains qui déménagent pieusement ou sagement d'un état démocrate (progressistes) vers un état républicain (conservateurs) sont considérés par le système, les médias et les démocrates comme des traîtres, car le fait même de partir suggère que le système est défectueux, et le doute crée des questions, et les questions créent des demandes, et les demandes mènent à la défiance, et la défiance mène à la rébellion du peuple.

Dans une forme de déni qui peut être qualifié de sottise, les gens utilisant aussi souvent le mot « complotisme » sont aussi des esclaves du système, car ils le défendent également par peur de voir la réalité en face.
En effet le mot « complotiste » inventé et utilisé par le système succède à une série de mots (tels fasciste, raciste, populiste…) sert à discréditer et à priver des grands médias tous ceux qui luttent contre le mondialisme, le ploutocratisme, le sionisme, le laïcisme, le progressisme, le wokisme, les crimes d'Etat et tout point de vue qui s’écarte de la vérité « officielle » ayant pourtant été souvent démentie au cours de l'Histoire comme par rapport aux pseudos armes de destructions massives présentes en Irak du temps de Saddam Hussein, car cette prétendue vérité officielle devrait tout simplement être appelé « vérité » pour que le système conserve son conditionnement sur les populations. Alors que dire qu'autrui a une pensée fasciste (complotiste, raciste) quand ce n'est pas le cas correspond fortement à du fascisme.
Surtout qu'être pour le travail, l'économie réelle, la famille traditionnelle et la patrie, c’est honteusement désormais être conspirationniste, fasciste et anti-démocratique.
« Non contents de supposer des forfaits à certains défenseurs de la noblesse authentique, de perverses entités idéologiques leur en prédisent. Tout cette construction pernicieuse d'une version possible de quelqu'un montre bien que quand le combat précède la cause, on crée un objet qui le justifie. Il s'agit d'accusations bancales qui relèvent essentiellement du procès d'intention pouvant malgré cela atterrir honteusement dans de grands médias. C'est à dire par exemple que se faire qualifié d'extrême droite quand on parle de souverainisme, de conservatisme ou de valeurs traditionnelles chrétienne charrie d'autres termes comme raciste, antisémite, misogyne, homophobe ; accusations qui accompagnent donc certains étiquettes politiques comme leur ombre et qui de par leur nature exercent une indigne (o)pression coercitive à ces accusés illégitimement, en les amenant à devoir y répondre sous peine d'y être associés par la complicité voire la complaisance.
Or la grande gravité de ces accusations calomnieuses est rarement réalisée par leurs auteurs ou plutôt leurs suiveurs, alors qu'ils sont souvent eux-mêmes séparatistes. Il y a donc une rhétorique partiale bien établie, une pensée unique voulue par le système, une volonté de programmer les sensibilité qui mine le débat en assignant à certaines positions une valeur morale propre à leur ôter tout dignité intellectuelle, à tel point que la discrimination peut donc être pratiquée avec brio par ses prétendus plus zélés pourfendeurs.

Le militantisme sociétal de gauche va même souvent jusqu'à devenir bruyant, déguisé et criant voire crachant pour empêcher la discussion, voire jusqu'à prétexter ridiculement avoir un niveau rhétorique plus faible. Il est ainsi synonyme de carnaval impie et médiocre, car amoral et donc grotesque puisque brisant toutes les frontières : hiérarchiques, sociales et même sexuelles. Cette perversion va donc aussi souvent jusqu'à de la folle nudité exhibitionniste puisque riant tels dans un asile ou criant tels des animaux de cirque dans une festivité par moquerie du camp opposé incarnant pourtant souvent le Bien légitime, surtout que cela contraste grandement avec le sérieux de leur cause voire de leurs causes étrangement multiples à défendre. C'est à dire que l’aspect carnaval voire la violence irréfléchie ne pas convenables pour exprimées une sensibilité heurtée, une injustice subie ou une souffrance ressentie. Ces militants prennent leur délire pour la vérité, leur méchanceté pour du courage, et veulent faire du roi (représentant la foi, le droit, les vertus dominantes) un bouffon et du bouffon un roi. Une partie de leur délire est que l’amoralité ou l'inversion des valeurs serait l'avenir de l'homme et le berceau d'un monde plus juste.
« Pour nous, les gauchistes tendance woke sont des handicapés sociaux, et on ne plaisante pas. Ils sont mille fois plus dangereux que les handicapés mentaux, car ces derniers ne font généralement de mal à personne, tandis que les gauchistes, qui sont sûrs d’avoir raison, démolissent le pays par leur ignorance persistante (et leur illusions profondes proclamées d'ailleurs à coup donc de cris parfois d'animaux condamnant très follement la logique de la raison pour son pseudo lien au patriarcat). » Souvent ces idées gravement erronées se prétendent encore plus légitimes quand elles sont portées par une foule même relative se croyant cultivée dont sur les réseaux sociaux, alors qu'il n'y a eu donc aucun raisonnement rigoureux, mais seulement de l'émotion souvent liée à des ressentiments d'existence mal vécue personnellement, car ne voyant pas ou rejetant les évidentes bonnes valeurs réelles. Ainsi cette multiplicité fréquente de leurs causes impies défendues généralement contradictoires et pourtant souvent présentes simultanément dans leurs manifestations devient logique, car ces militants revendiquent le propre ordre des choses de chacun, même si c'est dans un égarement collectif total. Et cela peut donc même se faire au détriment d'un gouvernement bon, c'est à dire ayant un credo transcendant ou naturel et donc monothéiste. » (La cartouche)

Surtout que l'expression « enfants de la télé » et désormais « enfants des réseaux sociaux du smartphone » concernant les générations actuelles, dont l'éducation, la connaissance et l'obéissance ont souvent été faites par la télé wokiste, explique bien que les gens y croient souvent plus qu'en leurs parents voire qu'en Dieu. D'autant plus que la télévision sert donc perversement l'impie wokisme sous prétexte d'un projet de paix universel et messianique en réalité corrompu. Or cet égarement répandu a plus pour cause le paresse de s’informer et de recouper (croiser, coupler, trianguler) les informations avec les nombreux sites de réinformation (synonyme d'enseignements complets, d'esprit critique, d'humour, de sagesse, qu’on ne trouve plus dans les médias dominants), car beaucoup de gens ont été grandement conditionnés depuis leur petite enfance à vivre dans un monde en total décalage avec la réalité, alors que c'est nécessaire pour trouver la vérité surtout quand le système donne seulement une réponse binaire à un événement ou à un sujet. En effet le système pousse de plus en plus à l'analyse binaire, alors que la pensée est souvent plus complexe ou nuancée. Ils n’ont pas conscience de l’emprisonnement mental dans lequel ils vivent comme le prouve la suite. Ils ne sont pas guidés par la raison, mais par l’émotion. Ils refusent tout argument même logique allant à l’encontre de leur croyance. Car c’est bien de croyance, de peur et d’émotion qu'il s'agit, dont car quand vous essayez de leur parler, vous ne faîtes que provoquer leur colère. Une colère et une agressivité qui augmentent proportionnellement à la qualité de vos arguments. Les gens ont si peur d’être mis à l’écart de cette perverse société wokiste et mondialiste, qu'ils "jouent le jeu". Les terrorismes (mondialistes) d'Etat climatique, bancaire, sécuritaire, sanitaire, économique, guerrier, énergétique, inflationniste et banlieusard auront surtout mis en évidence l’extrême vulnérabilité de la population actuelle perfusée au médiatico-politique du système, et aussi son extrême soumission, son manque de rationalité, son suivisme, son manque de notions élémentaires, son manque d’éducation, son indifférence quand à ses libertés fondamentales, son goût masochiste des contraintes, sa constatable paresse intellectuelle voire lâcheté. Avant l’augmentation drastique du niveau de coercition par la tyrannique gestion sanitaire, on observait déjà le stéréotype comportemental, l’absence d’esprit critique et l’obéissance inconsciente, mais il était difficile de jauger le niveau auquel la population étaient en général descendus, c’est fait. Comment s’étonner du fait que tant de médiocrité soit la proie de tant de perversité ? Le Covid a donc permis que les gens soient d'accord et donc s'habituent avec les mesures de coercition extrême, dont pour les prochaines crises comme l'inflation, la guerre en Ukraine et l'annexion israélienne de Gaza. Même selon le CNRS : « Les français ont été les sujets d’une expérience d’obéissance de masse pendant la crise du Covid-19. »
Afin de soumettre, d’exploiter et de contrôler la population qu’il domine, un régime totalitaire doit déployer sa tyrannie sous toutes formes possibles en retardant voire évitant le moment d’hyperviolence directe liée à l'hypercontrainte. Pour cela, il faut conserver l’apparence démocratique tout en faisant tout pour que les victimes oublient jusqu’aux moindres notions de droit naturel ou de droit des gens pour habituer puis les remplacer par des devoirs et d'oppressantes contraintes artificielles multiformes dont ont fait partie les mesures sanitaires. Cette crise de confiance envers le système devenue complotiste, s'étant répandue massivement et traversant les sociétés occidentales, résulte avant tout d’une montée en puissance des perverses industries pharmaceutiques, bancaires et financières conjuguée à un effondrement de l’éthique entrepreneuriale et politique dans les pays occidentaux. C'est la conséquence de la perte progressive par l’Occident, des valeurs millénaires héritées du christianisme qui l’ont fondé à travers les principes de vérité, de charité, de don de soi. Les crises du covid, de la guerre en Ukraine et de l'inflation organisées par le système corrompu sont une opération terroriste de déstabilisation mentale supplémentaire pour maintenir le dollar ou/et établir un contrôle sur les populations occidentales dont celle se réveillant progressivement. En effet telles des révélations qui ont un rapport avec le sens du mot « apocalypse », beaucoup de gens ont grandement appris des la crise des subprimes, du mariage pour tous, des gilets jaunes, du covid, de l'Ukraine, de la réforme des retraites, de la Palestine et de la manifestation des agriculteurs.
D'ailleurs en 2024, la France connaît une hausse significative des baptêmes chez les jeunes, avec une augmentation de 31% des catéchumènes par rapport à l'an dernier. La CEF observe également une hausse significative des baptisés issus de familles sans religion, soit un quart du total. Cette tendance montre que la France s’éloigne de la laïcité où l’Église est malmenée pour rejoindre la croix du Christ. Le Covid a été déterminant pour pousser les citoyens vers l’Église. La démocratie occidentale ne fait plus rêver la jeunesse et le manque de repères dans une société dominée par le wokisme reste trop déstabilisant. Comme ce fut le cas avec la Russie qui a retrouvé la foi après l’URSS, la jeunesse française revient à ses racines chrétiennes pour trouver des réponses à leurs questions existentielles après le l'ultra-libéralisme wokiste.
Pour le Système, la médiacratie (pouvoir des médias dominants) remplit donc un rôle fondamental dans l'amplification des peurs paniques si pratiques à son totalitarisme de moins en moins sournois, car elles servent à annihiler toute faculté de discernement autonome de l’esprit humain. Ce sont des techniques de manipulations organisées par des officines de guerre psychologique et des cellules de lutte cybernétique contre tous commentaires anti-système (comme ceux contre les vaccins dont sur les réseaux sociaux) qui ont été mises en place par les services spécialisés (dont certains appartiennent au secteur de la Défense) du Canada, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande. Selon une déclaration de la ministre française des sports, il est maintenant prouvé que le gouvernement utilise volontairement la peur sur sa population et que les décisions comme celles qui ont été prises contre le covid ne se font pas en fonction de la réalité, mais dans le but de garder le contrôle du comportement de la population. D'autant plus que normalement comme tout être vivant, la maladie naît, vit et meurt, alors qu'actuellement elle dure mystérieusement dans le temps. La « peur », abondamment diffusée par les médias, a toujours été un puissant moyen de contrôler les individus, car d’un point de vue cognitif, elle a pour effet donc d’inhiber le cerveau rationnel de ceux qui la reçoivent , mais aussi de suractiver leur partie du cerveau liée aux émotions pour empêcher leur esprit critique de se déployer
Le totalitarisme cherche à faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste, que le fossé se creuse entre le peuple et la science, et que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision (en particulier depuis le développement de nombreuses chaînes), des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif, et effaçant tout effort intellectuel et donc politique en soumettant donc facilement la majorité du peuple à diverses idéologies perverses. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Tel par une musique ou un bavardage incessants profitant à la domination du système, l’esprit est empêché de penser. On mettra la sexualité et le divertissement au premier rang des intérêts humains, dont via la pornographie, les rencontres éphémères des réseaux sociaux, les films inculturels et la télé-réalité, surtout que vivre par procuration la vie matérialiste des autres à travers la télé fait vivre la vie matérialistement. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux avec la drogue, le divertissement télévisuel et les jeux vidéo. Dans ce sens, la fabrication et la diffusion d’émissions de télé réalité fondées sur la négation des valeurs chrétiennes par d'énorme défauts (avidité, cris, impudeur, violence, égoïsme, mensonge, vulgarité, ignorance, célébrité ostentatoire) sont très utiles et ont considérablement enrichi bassement les dirigeants de la profession, puisque ayant transformé de nombreux citoyens en viande à canaux, ce dérivé de la viande à canons qui a aussi été utilisée par diverses politiques perverses.
Beaucoup de garçons, désormais ni très beaux ni très brillants, et beaucoup de filles, désormais ni très belles ni très brillantes, ont fait leur ces anti-valeurs pour finir logiquement par échouer puis déprimer. Ces personnes ont été exploitées au maximum par cette machine à dévaloriser dans tous les sens du terme. La surexposition médiatique fondée sur le non-talent a un prix, et un prix redoutable devenu le cœur de la télévision : Côté public, la fascination pour le vide ou pour le honteux synonyme de grave perte de dignité, et pour l’Autre, l’exhibition dans ma nudité ou l'impudeur aussi synonyme de grave perte de dignité. On n’apprend plus rien ou presque, on regarde l’Autre grandir ou chuter, si possible dans cet ordre, la viande télévisuelle se consommant, se refroidissant et se jetant de plus en plus vite, comme un hamburger au fast-food. Cette télé-réalité ayant détruit de nombreuses personnes annonçait la conclusion de la destruction programmée de notre culture, de nos valeurs, de notre singularité dans le monde. Aujourd’hui, vingt ans après les premières télé-réalités en résidence fermée, la France a été à son tour confinée par le covid des ultra riches mondialistes wokistes suivis par des dirigeants corrompus. Ce sont eux les producteurs de chaos, qui vont encore plus gagner des milliards, car désormais sur le délitement et la paupérisation des pays.
En général, le système fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée telles que la foi, les valeurs traditionnelles, les grandes vérités religieuses ou les impressionnantes découvertes scientifiques, et d’entretenir une constante apologie de la légèreté et de la consommation, afin que l’euphorie de la publicité matérialiste devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder à ces prétendues conditions nécessaires au bonheur. L’homme de la masse ainsi produit, répétant, imitant, promotionnant et servant ce système, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau, ce qui est d'autant plus clair avec le système ayant appelé massivement à la vaccination. Pour les mondialistes laïcistes ultra riche, tout ce qui permet d’endormir la lucidité du peuple est bon socialement. Tout ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste, et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités de la même manière. On observe cependant, qu’il est en plus souvent facile de corrompre un individu subversif au système quand il n'a pas la foi, car la proposition d’argent ou de pouvoir peut suffire.
Tout cela est aussi évoqué encore par l'anthropologue, psychologue sociale et sociologue Gustave Le Bon (1841-1931) qui écrivait en 1895 : « Aussi est-ce une bien inutile banalité de répéter qu'il faut une religion aux foules, puisque toutes les croyances politiques, divines et sociales ne s'établissent chez elles qu'à la condition de revêtir la forme religieuse qui les met à l'abri de la discussion. L’athéisme, s’il était possible de le faire accepter aux foules, aurait l'ardeur intolérante d’un sentiment religieux, et dans ses formes extérieures, deviendrait bientôt un culte. L’évolution de la petite secte positiviste nous en fournit une preuve curieuse. (Il lui est d'ailleurs arrivé bien vite ce qui arriva à un nihiliste, dont le profond (écrivain russe) Dostoïevski nous rapporte l'histoire : Éclairé un jour par des lumières de la (prétendue) raison, il brisa les images des divinités et des saints qui ornaient l’autel d'une chapelle, éteignit les cierges, et, sans perdre un instant, remplaça les images détruites par les ouvrages de quelques philosophes athées, tels que Büchner et Moleschott, puis ralluma pieusement les cierges. L'objet de ses croyances religieuses s'était transformé, mais ses sentiments religieux, peut-on dire vraiment qu’ils avaient changés ?) »
Gustave Le Bon ajoute en confortant ainsi avec plus d'un siècle d'avance les travaux de Vincent Peillon à propos de la volonté des Révolutionnaires d'instituer une nouvelle religion :
« On ne comprend bien, je le répète encore, certains événements historiques (et ce sont précisément les plus importants) que lorsqu'on s’est rendu compte de cette forme religieuse que finissent toujours par prendre les convictions des foules (prouvant encore une fois dans la nature et la vie humaines une évidente demande de sens et donc de croyance (en Dieu) qui peut être détournée). Il y a des phénomènes sociaux qu’il faut étudier en tant que psychologue beaucoup plus qu’en tant que naturaliste (qui étudie les groupes humains). Notre grand historien Taine n’a étudié la Révolution qu’en tant que naturaliste, et c’est pourquoi la genèse réelle des événements lui a bien souvent échappé. Il a parfaitement observé les faits, mais, faute d'avoir étudié la psychologie des foules, il n’a pas toujours su remonter aux causes. Les faits l'ayant épouvanté par leur côté sanguinaire, anarchique et féroce, il n’a guère vu dans les héros de la grande épopée qu’une horde de sauvages épileptiques se livrant sans entrave à leurs instincts. Les violences de la Révolution (française, bolchevique, turque et nazie, toutes à cause d'influences messianique, kabbaliste, maçonnique et sioniste selon Pierre Hillard, sionisme qu'il explique commencé dés les premiers siècles après la venue de Jésus dont à travers la kabbale liée au pervers talmud ayant conduit à la synagogue rebelle de Satan, alors que Youssef Hindi évoque son commencement ou en tout cas confirme son existence au cours du 13ème siècle, et donc non pas seulement au 17ème siècle en Turquie avec Sabbataï Tsevi et en Angleterre dans les milieux protestants millénaristes ou au 19ème siècle par Theodor Herzl comme la plupart des historiens le pensent, mais certains commentateurs estiment que le sionisme a logiquement pu commencer lors de l'exil des juifs en -597 à Babylone où la sorcellerie était répandue), ses massacres, son besoin de propagande, ses déclarations de guerre à tous les rois, ne s’expliquent bien que si l’on réfléchit qu'elle fut simplement l’établissement d'une nouvelle croyance religieuse dans l’âme des foules (qu'est la laïcité ayant permis l'infiltration massive du système anglo-saxon, du privé oligarchique, du mondialisme, de la perversion wokiste et du sionisme en France, dans une forme désormais de pouvoir profond de moins en moins occulte). »

Il faut noter que ces révolutions ont souvent été faites par des révolutionnaires professionnels formés à la pratique révolutionnaire, qui ensuite fréquemment gardèrent le pouvoir comme lors des révolutions oranges, puis éliminèrent la plupart des hommes politiques ou des professeurs scolaires précédents afin de changer les mentalités, après avoir généralement appuyé des crises économiques comme pour les grandes révolutions gravement impies dont celles bolchevique, turque, nazie, américaine et française de 1789. Or les USA sont d'abord une création d'origine maçonnique à tendance protestante et donc à tendance ancien testament, prétendant perversement être une république défendant le bien commun en évitant la dictature de la majorité, déjà parce que se disant en même temps démocrate. C'est d'ailleurs aussi sous pression protestante, maçonnique, sioniste et anglo-saxonne que la révolution française de 1789 eut lieu, puisqu'elle fut donc causée principalement à travers la manipulation du prix de la farine, puis via une inondation de produits fabriqués à bas prix par des enfants et des ouvriers réduits à la misère dans la cupide Angleterre protestante libéralement impie voire diabolique opposée à la pieuse France catholique socialement équitable voire charitable. Ce sont donc les protestants anglais et des spéculateurs sur le blé vital, mais aussi la judéo-maçonnerie organisant la révolution française, qui ont permis cette dernière. En effet dont à cause de la luxure de Louis XV très influencé par la marquise de Pompadour qui était un agent occulte pour tenir son train de vie en se commettant aux libéraux, ces derniers ont spéculé sur le pain et donc poussé à la révolte, dont aussi contre la monopolisation à outrance de la religion par l'Eglise de Rome en plus possiblement cupide, en sachant que la dette colossale de la France liée à son gros financement de la guerre d'indépendance US contre l'Angleterre qui finit en 1783 est aussi une cause de la révolution de 1789. Cette monopolisation de l'Eglise est comparable à celle du 11e siècle que le Pape Grégoire VII a réformé en 1073 en imposant le monachisme, car les évêques y étaient parfois de grands propriétaires terriens, sacraient leur fils pour qu'il devienne aussi évêque et étaient les préfets du roi à la place des seigneurs qui étaient aussi juges. C'est d'ailleurs en partie à cause de ce trop grand pouvoir de l'Eglise sur les seigneurs que le concept de laïcité s'est développé. En sachant qu'au sein de la féodalité du Premier Empire, les titres de grands seigneurs étaient conférés selon une certaine logique administrative : baron pour un haut-fonctionnaire, comte pour un ministre, duc et prince pour les militaires. Puis donc dans le sens de l'organisation administrative du royaume, la hiérarchie des titres de noblesse de bas en haut fut : écuyer (sans équivalent pour les dames en français), chevalier (sans équivalent pour les dames), baron/baronne, vicomte/vicomtesse, comte/comtesse, marquis/marquise, duc/duchesse, prince/princesse. Or la noblesse (féodalité) politique originelle correspond à de l’aristocratie qui est la reconnaissance d’héroïsme (souvent militaire), de haute fonction, de grandes découvertes, de grand talent, de grands travaux ou de grande dignité amenant donc à certains de ces titres d'autorité ou d'honneur et donc de respectabilité. En France il existait quatre manières d'acquérir la noblesse : par la possession ; par des Lettres d'anoblissement ; par l'exercice des emplois et charges militaires ; par l'investiture des fiefs de dignité. Puis après la révolution de 1789, la bourgeoisie qui possédait le pouvoir économique et l'influence politique, chercha à se distinguer en imitant certaines habitudes culturelles de l'aristocratie. Mais la transmission de cette noblesse se fit principalement par l'hérédité, ce qui n'est en partie pas illogique selon la noblesse de la position des notables reconnue en islam, mais en rappelant que le choix de la piété est la plus haute noblesse. Cette élite économico-politique englobe de nombreux métiers : grands et petits patrons, professions libérales, officiers, enseignants, ingénieurs, etc. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « La révolution messianique de 1789 » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-revolution-messianique-de-1789-57851.html et l'article « Le problème de Soral et le nôtre » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-probleme-de-Soral-et-le-notre-65048.html
C'est pourquoi il faut remarquer que les révolutions sont généralement très liées à des révoltes concernant de gros problèmes économiques et sociaux voire religieux dont à cause d'une guerre, comme avant la révolution de 1789 et celle russe de 1917, à des groupes organisés et à une idéologie proposant une alternative, ce que le camps du bien actuel doit bien comprendre, et ce que sera très probablement le message du Mahdi.
Mais après que les protestants anglais comme français voulaient déjà une république protestante au 17e siècle, tout cela commença principalement avec les mondialistes sataniques qui créèrent la monarchie parlementaire en Angleterre (1689), puis organisèrent les illuminés de Bavière ayant conçu la première courte république en Allemagne, puis utilisèrent la franc-maçonnerie française spéculative créée en 1717 au détriment de celle opérative (basée sur règles de construction et d'excellents maçon affranchis très demandés) en l'appuyant avec l'argent anglais de la City (ayant pu exister et s'enrichir en finançant tous ces révolutionnaires et leurs contre- révolutionnaires) pour réussir la révolution de 1789 et ainsi et abattre la France sacrée, dont en remplaçant l'homme traditionnel par celui sans racine, ni nature, ni culture, ni terre, ni patrie, c'est à dire l'homme libéral, pro-LGBT et mondial attalien. D'ailleurs suite à la révolution de 1789 les peuples unis (alsaciens, bretons, basques, normands, etc) du royaume de France sont devenus le peuple de la république française, afin de faire disparaître la France authentique et son peuple dans le pseudo peuple de l'Union Européenne laïciste (perversement progressiste), ce qui prouve que les révolutionnaires ont été manipulés par les loges judéo-protestante, les Anglais et l'oligarchie mondialiste.. Ainsi le point commun des premiers membres de cette maçonnerie pervertie qui étaient généralement protestants, juifs, lucifériens, spéculateurs, puis laïcistes et wokistes était de lutter contre le pouvoir du Pape sur l'Europe, puis contre le pouvoir de la France catholique avec 1789. D'ailleurs en 1791, les juifs de France devinrent citoyens français, c’est ce que les historiens appellent l’émancipation des juifs, alors qu'on s'attaquait au catholicisme. En sachant que l'Eglise a sa part de responsabilité, puisque n'ayant pas soutenu financièrement Louis XVI au moment où il en avait besoin avant 1789. Ainsi la jeunesse, régulièrement, fait la révolution contre la France, et contre elle-même, au lieu de la faire contre l’oligarchie qui la manipule. Mais pour ça, il faut un peu de culture politique. Les jeunes qui traversent les grandes villes en grappes depuis la victoire du RN aux européennes 2024 sont en révolte contre eux-mêmes car ils devraient être pour un retour valeurs traditionnelles
(fondamentales). Mais le virus de la haine de soi qu'on leur a mis dans la tête ne leur facilite pas la tâche. En menant des combats égarés qui ne sont pas les leurs, ils ne trouveront que l'indignité, la défaite, la frustration et tôt ou tard le regret.
Ainsi la révolution détient trois piliers principaux : une grande émotion allant jusqu'à la révolte, une organisation et des figures tutélaires. Et les ordres révolutionnaires étaient donc passés par les loges ayant infiltré tous les niveaux de la société et correspondant ainsi à l'État-major secret de 1789.
Le monde occulte est donc telles des poupées russes, puisque les ultra-libéraux libertaires actuels, cachent les pervers francs-maçons, qui cachent les illuminés, qui cachent les mondialistes sataniques, cherchant à affaiblir les nations économiquement, financièrement, spirituellement, moralement, pour régner sur le monde. D'ailleurs la révolution de 1940 réussit car il y eut la peur des nazis, l'organisation de ceux qui ont créé l'armistice, et la figure tutélaire que fut Pétain. Et celle de 1968 réussit car la colère des ouvriers ne touchant pas de bons salaires malgré un boom économique fut détournée vers la colère étudiante et la révolution culturelle, l'organisation était dirigée par une état étranger et il y avait des figures tutélaires pourtant en carton comme Cohn-Bendit. (Et suite au détournement de cette révolution sociale vers le sociétal, afin de reprendre le contrôle sur les ouvrier et donc la population, leurs affaiblissements eut lieu via la lutte contre les syndicats et le chômage de masse, à travers et le libre-échange qui est la mise en concurrence avec des pays esclavagistes car ne payant pas bien les salariés, puis même à travers la liberté des capitaux permettant de directement produire aussi dans ces pays esclavagistes.) C'est pourquoi la contre révolution doit avoir aussi son mouvement populaire (possiblement via la foi, la pauvreté), ses réseaux et figures meneuses.
L'origine satanique de 1789 est particulièrement prouvée le 21 janvier 1793, quand le roi français Louis XVI est exécuté sur la place de la Révolution à Paris. Réglée dans les moindres détails, cette mise à mort apparaît comme le sacrifice rituel et sanglant synonyme de coupure avec le divin ayant fondé la République française qui incarne donc la matrice de tous les États totalitaires généralement athées ou impies au vingtième siècle.
Or il ne faut pas s'étonner que la révolution française vers la décapitation du roi et la laïcité ait été soutenue jalousement par des puissances protestantes et certaines personnes anglaises infiltrées, puisqu'à cette époque la France était le premier pays du monde par sa force politique et son aura catholique, et qu'ainsi elle perdit son rang suite à cette infidélité à Dieu. En effet cela la fit détourner de sa gloire, de sa pieuse noblesse et donc de la protection divine, jusqu'à se faire logiquement envahir progressivement par toujours plus de mauvaises forces extérieures, comme après certaines de ses graves désobéissances, c'est arrivé souvent au peuple juif pour inévitablement le pousser à retrouver la volonté de noblesse pieuse et donc la valeur du bien dont commun, en particulier à cause des injustices sociales, de l'oppression, de l'exploitation voire de la barbarie des envahisseurs.
Mais désormais pour empêcher les français de retrouver leur esprit combattant pour la meilleure dignité d'origine monothéiste charitable, il ne faut donc aussi pas s'étonner que le système ayant envahi et perverti sournoisement le France tendent de plus en plus à ce que la perte de sens généralisée dans de nombreux domaines se répande. Surtout que les perverses révolutions se basent souvent sur des idéaux pacifiques importants en les détournant de leur sens, comme « liberté, égalité, fraternité » en France. Ceci afin de dominer les peuples au profit de corrompus, comme à travers la laïcité devenu extrême, des lois absurdes, la théorie de l'hominisation enseignée à l'école et un culte des idoles dogmatiques ou humaines liées à cette révolution erronée. D'ailleurs traiter divers sujets devant des gens sans culture, c’est abuser de leur ignorance pour leur imposer des idées qu’ils transformeront en croyances puisque étant dans l’incapacité de les critiquer et de les vérifier. Est-ce cela qu’on appelle émanciper les esprits ? Ce serait plutôt les asservir dont par la politique et la pseudo science même si elle est académique comme donc la théorie de l'hominisation ou du genre.
Or toutes ces révolutions impies qui viennent d'être évoquées ont d'abord été utiles à la domination du monde anglo-saxon et de son protestantisme libéral détruisant dangereusement l'aspect surtout social du christianisme originel, mais préservant tout de même l'ordre important de la société familiale traditionnelle et patriarcale chrétienne, que les sionistes aussi pour de la domination veulent encore plus perversement détruire par le féminisme, le mariage homosexuel, le transsexualisme, la transhumanisme, la manipulation des jeunes et la centralisation oppressive économique. Il faut noter que par rapport au protestantisme calviniste et à la bourgeoisie française, Luther, son protestantisme et la bourgeoisie allemande de son époque étaient conservateurs. De même le communisme soviétique avait quand même préservé certaines valeurs traditionnelles face à la perte des valeurs du capitalisme néolibéral, oligarchique et sioniste, ayant d'ailleurs validé le féminisme, le mariage homosexuel, le transsexualisme, la transhumanisme, la manipulation des jeunes et la centralisation oppressive économique, alors que la capitalisme américain se prétendait au début conservateur. Il s'agissait aussi de la masse terrestre eurasienne limitant l'empire thalassocratique états-unien, c'est à dire la puissance terrestre limitant la puissance maritime.
La  révolution de 1789 correspond aussi principalement à la nouvelle bourgeoisie française (se croyant la nouvelle noblesse alors que n'ayant aucun rapport avec celle de position sacrée des familles royales ou celle de choix ou de combat ayant parmi à certains de devenir des chevaliers de l’aristocratie du royaume) à la pointe de l’économie libérale qui s’est débarrassée de l’ancienne noblesse pour s’affranchir des lois monarchiques et transformer progressivement le sens de l'aristocratie vers l'élite oligarchique, dont en changeant les lois monothéistes sans piété, c'est à dire au prétexte seul de la fraternité humaine et de la défense du peuple, puis plus tard d'abord voire seulement en faveur l’individu en particulier donc riche.
C'est pourquoi une forme de conclusion et de victoire momentanée des ténèbres de cette politique pourrait correspondre à la danse démoniaque effectuée lors de la fête de la musique 2018 par des homosexuels et des transsexuels noirs sur le parvis et dans le palais de l'Elysée seuls avec Emmanuel Macron et sa femme, dans un sens bas de nègres esclaves. Macron est la synthèse du pack de corruption présent depuis des décennies dans le secteur politico-financier de la France dont en étant un agent des intérêts américains, mondialistes et bruxellois. Macron va laisser sur l’histoire politique de la France une tâche indélébile, celle du recul des libertés, du mensonge permanent, de la soumission aux forces occultes et de la destruction des services publics. Ce président démoniaque n’a plus aucune autorité, et les manifs ne feront que grossir jusqu’au bras de fer final, dont Macron ne peut sortir vainqueur, même avec le couple police-justice dans la poche. Or en jouant toujours avec le chaud et le froid informationnels et décisionnels, le système maintient la confusion dans l’esprit des Français pour qu'ils deviennent totalement désorientés comme lors du covid. Car l’objectif est justement la désorientation pour emmener le troupeau à l’abattoir. La désorientation de l’ennemi est un élément important de victoire dans une guerre, et Macron, la recrue des mondialistes, a lancé une guerre contre le peuple de France.
On ne sait pas qui participe ce qui se dit et ce qui en sort d'un conseil de guerre : c'est son principe. Il y a une opération en deux temps qui se fait comme lors du Covid. Donc c’est la loi qui vient après la prise de pouvoir macronienne suite au « nous sommes en guerre ». C'est à dire que la loi vient réajuster un peu ce qui est fait avant. Concernant le blocage institutionnel préservant la corruption en occident et ailleurs qui a été permis par la démocratie représentative, franc-maçonne et laïciste (ultra-libérale et libertaire) liée tyranniquement à l’oligarchie perverse, mondialiste ou/et sioniste, il est intéressant de voir la vidéo : « Xavier Moreau et Nicolas Dolo – Brésil : Bolsonaro vs Cangaceiros, juges rouges et oligarchie » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=w4yD6dqIc4Y
Il faut noter qu'avec l'argent des brésiliens sous Bolsonaro qui est de droite nationale, il y a eu la baisse de l'extrême pauvreté, la déflation, l'accès à l’égout, l'amélioration des transports (nouvelles routes, baisse des prix), et de nouvelles infrastructures, alors que sous Lula qui est de gauche mondialiste, il y a eu les créations d'un port à Cuba, d'un métro de Caracas, d'un aqueduc en Argentine, d'un barrage au Mozambique, mais possiblement en rapport avec de la corruption.
Cette tyrannie diabolique de l'oligarchie ne doit donc surtout pas donner de leçon à la dictature pieuse du califat... Ainsi dans un pays occidental, seuls la police ou/et l'armée peuvent récupérer le pouvoir pour le peuple en grève générale, afin de remettre sérieusement de l’ordre juste et noble. Sinon tant que la paix et la liberté de culte sont préservées, c'est à la prédication d'agir.
Les mondialistes veulent, pour être le seul modèle possible, que la France, ce pays des arts, de la culture, de l’amour et des libertés, ne soit plus un modèle pour le monde entier. En clair, qu’elle soit détestée. C’est pourquoi par l'immigration de masse, les mondialistes infligent et injectent des gens qui ont été désorientés par la guerre ou par la haine dont envers l'Occident et la France. (Or l'immigration de masse est aussi devenue un problème pour les deuxième et troisième génération d'immigrés musulmans ou autres en France ayant difficilement obtenu leur normalité sociale dont dans des professions supérieures, car l'immigration apporte de plus en plus d'insécurité, de chômage et d'islamophobie.) Ils veulent détruire la douceur de vivre française, ce modèle qui ne cadre pas avec la dette, le mensonge, le mercantilisme et le Diable. Ils veulent que l’humanité déteste la France, que le modèle mercantile évince le modèle serein, que le désintéressement et les relations gratuites soient éradiquées, que la famille explose, que le couple disparaisse, que l’Amour s’efface devant la Consommation.
En 2020 c’est désormais la nouvelle hyper classe capitaliste apatride des banques, des multinationales et des nouvelles technologies mondialistes qui cherche à éliminer l’ancienne classe capitaliste industrielle nationale (la bourgeoisie ayant effacé et remplacé l'aristocratie) en cherchant à s’affranchir des lois républicaines. Pour y parvenir elle se sert maintenant du supranational, du wokisme, de la démocratie universelle et de la défense des minorités.
Or pour éviter de disparaître dont par la perte de toute valeur, une nation doit vivre autour de la majorité portant les bonnes traditions, surtout car la diviser sans fin en petits groupes finira par arriver au stade de l'individu isolé, égoïste, amoral et tyrannique, comme le prouvent les transsexuels et les oligarques. Ainsi même avec une bonne intention, cette défense prioritaire des minorités est une illégitime idée, comme celle d'imposer des quotas qui finiront par faire douter du mérite et donc de la légitimité des personnes en profitant, surtout si leurs erreurs sont fréquentes. Ceux qui croient que la démocratie n'est pas synonyme de ploutocratie, malgré désormais les vastes réseaux dont médiatiques et les énormes besoins financiers nécessaire pour réussir en politique, participeront donc inconsciemment comme les sans-culottes de 1789, à la révolution de l'impie oligarchie mondialiste, anglo-saxonne, bancaire et sioniste. Mais cette fois les paysans fourchus (une partie des gilets jaunes représentant ces sans-culottes révolutionnaires ou plutôt les vendéens) ne sont pas manipulés et sont du côté de la classe moyenne, nationale et productive face à l'hyper classe mondialiste, apatride et financière. Surtout que l'avant garde des gilets jaunes défend quatre axes : l'anti-maçonnerie (considérée comme un parasite politique et antidémocratique), l'antisionisme (pro-tiersmondiste), l'anti-pédophilie de réseau, et l'anti-néolibéralisme (détruisant le tradition christique, le souverainisme des nations et la nature des êtres). Un parallèle doit être établi entre les pro-Trump et les Gilets jaunes, c’est le fait que la radicalité que l’on retrouve dans les deux mouvements vient précisément du rejet du néolibéralisme. Cette radicalité répond à la manière dont les élites tels Macron et Biden organisent effrontément la politique et l’économie en centralisant toujours plus l'économie autour des ultra riches, comme l'explique l'avocat François Boulo défenseur du mouvement des gilets jaunes. Ce dernier, auteur de « La Ligne jaune », pointe ainsi des deux côtés de l’Atlantique une même dérégulation de l’économie ayant entraîné délocalisations, désindustrialisation et explosion des inégalités.
De plus pour renforcer l'impie mondialisme ultra libéral ploutocratique, le pseudo système français démocratique, car désormais clairement soumis aux oligarchies internationales perverses, va même jusqu'à mettre en prison des écrivains dissidents et a même été jusqu'à enfermer dans un hôpital psychiatrique un médecin anti-vaccin. En effet depuis plusieurs décennies pour des intérêts particuliers corrompus, le mondialisme néolibéral et bancaire s'attaque au système social français qui protège les PME(entreprises)/PMI(industries) et sert de protection à tous, notamment aux plus fragiles ou pauvres. D’où une baisse du niveau de vie pour les classes populaires et moyennes. Et la violence des barbouzes ou idiots utiles que sont les black blocs se prétendant pourtant anti-mondialistes participent étrangement à aussi accentuer le discrédit des gilets jaunes. D'ailleurs il est également étonnant que les vaccinés se soient plaints des non vaccinés puisque le danger de mort devait plus être du côté des non vaccinés. Et cela signifie donc plutôt que ce qu'ils craignent en réalité le plus, c'est que les anti-vaccins ARN dénonçant la dictature sanitaire ne meurent pas et aient donc raison.
En effet la sournoise gestion du covid a été inédite dans l’histoire de l'humanité, car elle correspond  à une tyrannie sanitaire non comprise même par ceux qui ont fait de longes études (dont des médecins) car ayant été formatés. Ainsi cela prouve que le niveau d'intelligence prédestiné à la naissance n'est même pas un gage de sagesse quand il est élevé, car de nombreuses personnes avec un grand QI sont donc tombés dans le piège de soumission du covid, mais aussi du progressisme, du mondialisme et de la russophobie. Ce qui est une des preuves que la clairvoyance vient du cœur (pieux) et pas du QI. En effet beaucoup ne veulent pas voir d'aspect spirituel dans le contexte mondial, alors que beaucoup de personnes du système évoquent des idées ou des symboles religieux voire messianiques dont le président américain jurant sur la Bible, Attali parlant d'un possible gouvernement mondial à Jérusalem, l'ancien patron de Goldman Sachs Lloyd Blankfein prétendant faire le travail de Dieu, et désormais la Russie affirmant lutter contre l'empire des oligarchiques wokistes, diaboliques et mondialistes élites occidentales. Face à de tels propos eschatologiques des deux plus grandes puissances mondiales que sont les USA et la Russie, même les non croyants n'ont pas le choix d'admettre que nous vivons les temps messianiques synonyme d'apocalypse signifiant grands dévoilements. L’occident a donc aujourd’hui un problème majeur à résoudre : celui de la division de sa population en deux camps irréconciliables : le camp des souverainistes conservateurs et celui des mondialistes wokistes.
Or la société idéale serait celle basée sur les valeurs traditionnelles monothéistes et où prime l'être collectif, et donc où est recherchée un équilibre social proche d'une équité sociale, car le but de la politique est bien de vivre le bonheur fraternellement, surtout qu'on ne peut pas vivre bien dans un environnement de mal ou vivre heureux dans un environnement de malheur. Cela doit être d'autant plus compris car même si actuellement le bonheur individuel égoïste dans un isolement matérialiste domine, il s'essouffle heureusement logiquement par sa lassitude de platitude et parce que la force collective est évidemment plus grande que la force individuelle dans de la plupart des domaines dont religieux, familial, joyeux, social, professionnel, économique et moral.
Platon explique que la cité véritable est celle sans superficialité, dont en se contentant du minimum pour vivre familialement, culturellement et socialement, au mieux dans des grands villages.
Or avec le progrès technique inévitable, l’excellence de la noblesse morale et donc du bien-être humain serait une société de paix et d’harmonie au sein d'un bon développement au service du bien commun, d'un confort raisonnable, d'une piété commune et d'une équité généralisée, et donc à travers une agréable fraternité encadrée par une logique hiérarchie bienveillante dont législative mettant en avant le partage et les meilleures vertus. C'est d'ailleurs prouvé par la vie du Prophète Jésus (paix sur lui) et celle du Prophète Mouhamed (SBDSL), car ils ont représenté cette noble proposition principale du monothéisme authentique, afin qu'elle soit choisie dignement par toujours plus d'humains sur terre jusqu’à l'ennoblissement maximal qu'est l'Eden complété, avant qu'elle soit vécue facilement dans le Paradis céleste puisque par nature.
Antoine-Francois de Sourcroy (1755-1809), scientifique, partisan des révolutionnaires français et député à la convention nationale instituée par ces derniers, a écrit dans un rapport :
« Ce qu'on voit partout sur la célébration du dimanche et sur la fréquentation des églises prouve que la masse des Français veut revenir aux anciens usages, et il n’est plus temps de résister à cette pente nationale... La grande masse des hommes a besoin de religion, de culte et de prêtres. C’est une erreur de quelques philosophes modernes, à laquelle j'ai été moi-même entraîné, que de croire à la possibilité d'une instruction assez répandue pour détruire les préjugés religieux ; ils (les dogmes monothéistes) sont, pour le grand nombre de malheureux, une source de consolation... Il faut donc laisser à la masse du peuple, ses prêtres, ses autels et son culte. »
Ne tombons donc pas dans le piège consistant à faire accepter que la religion serait une affaire strictement privée, car l’histoire de longue durée, les fondements du droit et l’anthropologie nous montrent que la religion est d’abord d’ordre public et notamment fondatrice du Droit, même s’il est d’usage maintenant de vouloir établir des cloisons étanches entre les deux domaines. Surtout que privatiser la religion et ses valeurs, qui sont par essence collectives puisque le mot « religion » a pour sens étymologique de relier verticalement avec Dieu et horizontalement avec le peuple, conduit donc à terme à leur disparition et par suite à la décomposition de la société.
Dans la récente période, l’exemple réussi le plus éclatant de renaissance et de restructuration nationales combinées au retour de la religion traditionnelle, malgré encore des imperfections, est celui de la Russie. La disparition du communisme écrasée par ses contradictions qui avait plongé la Russie dans un véritable cauchemar durant sept décennies, a laissé place au libéralisme ayant entraîné un chaos social et politique sur une décennie après la chute du Mur de Berlin, puis laissé place au final logiquement à un retour au christianisme puisque ayant repris sa place naturelle et stabilisatrice : celle de la croyance collective du peuple russe associée à un pouvoir politique fort ayant consolidé le pays, comme devrait le faire la France en retournant au catholicisme pour relever aussi sa grandeur spirituelle et son légitime souverainisme épanouissant toute société. D'ailleurs suite au retour de l'Orthodoxie en Russie, les résultats positifs ont été quasi-immédiats, notamment sur les plans économique et géographique dont au niveau de l'organisation pieuse des infrastructures et territoires. Mais une partie du communisme soviétique aura tout de même été en partie utile voire assagissante pour le peuples du monde, dont à travers sa défense idéologique de l'égalité sociale, sa valorisation des prolétaires, sa mise en place de syndicats et sa lutte contre l'impérialisme ultra-libéral américano-sioniste, progressiste et oligarchiques, même si ce fut principalement symbolique car c'est finalement devenu un socialisme corporatif et non populaire puisque profitant principalement à une poignée d'humain dont les hauts administrateurs. Or cette gauche sociale devenue le gauchisme sociétal correspond désormais au principe par lequel se propage ce néolibéral hégémon américano-sioniste, wokiste, financier, mondialiste et ploutocratique, comme il sera revu plus tard dans des passages d'un article de Bruno Guigue.
Il faut noter que la création et le temps du « Communisme » a été un moment du « Capitalisme », car il vient de la critique de la dérive du capital concentré ayant appauvri voire exclu économiquement une grande partie de nombreux peuples. Or le pseudo triomphe éternel de l'économie libérale recherché par l'empire américano-sioniste ou prédit par certains comme Francis Fukuyama, dont à travers la dérégulation face à l'URSS suite à son effondrement synonyme de défaite idéologique à cause de ses contradictions internes, a aussi finalement commencé de s'effondrer avec la crise des subprimes, également à cause de ses contradictions internes, et a encore plus empiré par la décision des élites perverses de continuer ce processus d'effondrement pour aboutir à une tyrannie financière occidentale. C'est pourquoi une guerre à mort espérons plus économique ou idéologique que militaire est en cours entre l'Occident et l’Eurasie voire le reste du monde. Or avec la crise en Ukraine, le système capitaliste américain et occidental actuel, qui était relativement robuste parce qu'il intégra un temps ses contradictions de crise, est désormais très probablement arrivé en crise terminale, dont en plus à cause des réseaux occultes mondialistes et sionistes au niveau intérieur et extérieur recherchant son effondrement vers une supranationale tyrannie monétaire, financière, ploutocratique et sioniste. Surtout que c'est associé à des crises et donc à un effondrement dans tous les domaines : économique, financier, boursier, monétaire, politique, énergétique et mondial. D'autant plus que les banques centrales ne peuvent presque plus compenser par la planche à billets cette énormes dérégulation occidentale et que le christianisme authentique est très affaibli et ne revient pas rapidement en occident.
Dans ce sens particulièrement depuis l'émergence du wahhabisme (qui est une idéologie de substitution à l’islam) et plus encore du réformisme islamique ayant tous deux accompagné entre autres l’abolition du Califat (qui était dans le but principal de diviser les musulmans en pays au profit géopolitique des occidentaux et sionistes) et le détournement de l'islam authentique en particulier donc au niveau politique, le monde musulman vit aussi malgré les apparences une période de désislamisation similaire à la déchristianisation qu’a vécu l’Europe des 19e et 20e siècles. En effet l'abolition du califat en 1924 est une catastrophe confirmant le déclin de l'islam à cette période pareillement à la révolution française de 1789 ayant confirmé le déclin du catholicisme, surtout qu'un siècle plus tard la révolution bolchevique s'inspirant de cette dernière a confirmé le déclin de l'orthodoxie. C'est à dire que ces diverses révolutions laïques de même que la guerre froide réactivée face à la Russie de Poutine participent à empêcher l'Eurasisme conservateur de se défaire de l'impie empire thalassocratique anglo-saxon amoral. Or cela a aussi ouvert la porte à l'actuel monde athée, wokiste, oligarchique, malthusien, sioniste ou/et tribal ayant entraîné dans une forme de système politique pagano-techno-scientifique le sacrifice de populations comme dans certains anciens mondes archaïques tel chez les incas lors d'une surpopulation, dont à travers des tueries de masses liées au virus ou aux vaccins du covid, liées à la vente d'armes comme aux USA, liées à la propagation de la drogue dure et liées à des guerres ou au terrorisme causées par des laïques, des élites juives messianistes, des évangélistes pro-Israël ou des wahhabites. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo : « Youssef Hindi - Pierre Antoine Plaquevent - Eugénisme Globaliste et Sacrifice Économique » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=kdwsZ063R44&t=5681s
Youssef Hindi poursuit en expliquant que dans sa précédente étude (Occident et Islam), il a montré que les origines de l'affaiblissement du christianisme et de l’islam ont en grande partie été le messianisme juif kabbalistique erroné, dont puisque ayant participé à fin de leur ère civilisationnelle impériale respective. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo : « TV LIBERTÉ : SOURCES ET GENÈSE DU SIONISME - POLITIQUE & ÉCO N° 110 » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=4V0pV9UC09w
En effet comme il a déjà été vu, l'égaré mouvement des kabbalistes juifs est une perversion idéologique satanique car ayant pénétré l'orthodoxie juive afin donc de l'influencer et par ricochet d'influencer puis pervertir si nécessaire les autres philosophies, idéologies, systèmes politiques, doctrines et religions dont par des infiltrations. C'est à dire que ce mouvement qui prône la loi juive orale prétendument sous-entendue, alors que sans écrits elle ne peut que s'égarer avec le temps, sert seulement les élites juives et le mondialisme corrompus, a contribué à l'idée que le peuple juif est le moteur au centre de l'Histoire, et a incité au fil des siècles ses adeptes à un messianisme actif synonyme d'agir pour faire advenir plus vite leur macchiah (faux messie) car ils n'ont pas reconnu Jésus comme le Messie authentique lors de sa première venue et alors que Dieu leur a interdit d'hâter la venue du Messie. Pour hâter donc illégitimement puis perversement cette venue, ce mouvement a d'abord demander l'augmentation des œuvres pieuses, puis des actions politiques bonnes ou mauvaises, puis le maximum d’œuvres impies dont l'infiltration nocive des autres religions pour le projet sioniste, car selon des prophéties l'apparition de leur messie (mais aussi le retour du vrai Messie Jésus) aura lieu dans un temps de grande corruption. En effet dans la tradition juive (comme celles chrétiennes et musulmanes), l’arrivée du Messie, l’ère messianique qui apporte avec elle la Rédemption, la Guéoula (Délivrance) sont précédées de grandes catastrophes : guerre de Gog et Magog, bouleversement mondiaux, cataclysmes, chute de l’Humanité au plus bas degré de bassesse, disparation de la morale etc. Dans tous les textes les traditions apocalyptiques, l’annonce de la fin des temps est accompagnée d’images catastrophiques revêtant des formes variées : guerres mondiales, révolutions, épidémies, famines, catastrophes économiques, mais aussi apostasies, profanations du nom de Dieu, oubli de la Torah et rejet de tout ordre moral allant jusqu’au renversement des lois de la nature. Ceci prouvant effectivement l'interprétation malhonnête de textes sacrés du messianisme juif lié à la perversion sabbato-frankiste des paroles divines annonçant que le Messie apparaîtra donc suite à des temps troublés, puisque appelant évidemment plutôt à la persévérance dans la vertu. Surtout que pour ces pervers sabbatéo-frankistes, la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte, qui a pourtant souvent subi lors de son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais que les élites juives corrompues et sataniques ont suivi et suivent donc en grande partie dont en orientant mal, dont souvent jusqu'à la souffrance voire la mort, le peuple juif et d'autres peuples. D'ailleurs Satan et le faux messie travaillent à l'inversion des valeurs et donc à la transgression de l'ordre religieux ainsi qu'à l'opposition ou à l'incarnation impie des dignes attributs divins, comme le prouvent l'apparition du mariage homosexuel, du wokisme, de la transsexualité et du transhumanisme.
La visée du pervers messianisme actif juif tend même à une troisième guerre mondiale devant déboucher sur l’utopie du Nouvel Ordre Mondial synonyme de grand Israël ou de gouvernance globale par des institutions supranationales, des énormes multinationales, une monnaie unique et la haute finance. Surtout que les messianistes juifs sionistes voulant le grand Israël considèrent que la fin ou la neutralité de l'Iran est nécessaire pour pouvoir y parvenir. D'ailleurs l'assassinat du très influent Général Soleimani est possiblement lié à une trahison de la partie de son gouvernement pro-affaire avec l'occident, dont car selon Thierry Meyssan les USA ont aussi des liens avec l'Iran depuis longtemps pour contenir Israël et donc ses tensions avec l'Iran. En effet les hommes formés par Soleimani remportaient des victoires contre Daesh, contre certains de leurs gouvernements et contre les Occidentaux, lui-même devint l’homme le plus populaire au Moyen-Orient, et donc même si officiellement, il ne faisait pas de politique, avec ses discours qui enflammaient les populations arabes et perses, s’il s'était présenté aux élections, il aurait sûrement été élu président. Ainsi il n'est pas étonnant qu'Israël a été l’exemple à suivre dans le monde entier en matière de combat contre le covid-19, que les mondialistes en grande partie juifs ont donc encore sacrifié leur propre peuple pour en faire le pseudo guide des nations, et qu'Israël soutient l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie anti-mondialiste et anti-sioniste.
Et nous devons donc interpréter les crises climatique, bancaire, financière, terroriste, sanitaire, inflationniste et guerrière ayant touché le monde en particulier les deux rives de la Méditerranée, le Proche Orient, l'Europe et désormais l’Europe de l'Est, non comme un choc des civilisations, mais comme la phase finale d’un processus de décomposition simultanée qui a commencé à la fin du Moyen-Âge par et pour le projet sioniste. D'ailleurs les deux guerres mondiales alimentées par la finance internationaliste ont permis de faire réapparaître l’État d’Israël en terre sainte, au début par le socialisme selon son fondateur le premier ministre Ben Gourion
(qui d'ailleurs était en réalité un faux socialiste car étant à l'origine de la Nakba qui correspond à l'exil forcé de 800 000 palestiniens), afin de revenir plus tard à l’hégémonique État sacré religieux juif du Grand Israël mais désormais à jamais impie puisque ayant interdit par Dieu. D'ailleurs par sa guerre à Gaza, Israël se met de lui-même au banc des nations en s'affirmant comme une théocratie militaire et raciale, car cela contrevient à tous les fondamentaux du mondialisme occidental... Et comme depuis son début, le sionisme a voulu récupérer tout Jérusalem, c'est qu'il a toujours été biblique. D'ailleurs le mouvement messianique religieux en Israël a franchi une étape importante en 2004 et 2005. Soixante et onze rabbins ont proclamé, le 13 octobre 2004 à Tibériade, la création du nouveau Sanhédrin, le tribunal suprême du peuple juif, qui avait cessé d’exister en 429 ap. J.-C et qui est celui qui participa à la crucifixion de Jésus. Réunis à nouveau à Jérusalem en janvier 2005, les juges qui composent le Sanhédrin ont établi une liste des problèmes à résoudre, dont voici quelques-uns : uniformiser les règles de la cacherout ; déterminer l’endroit exact où se trouvait l’autel sur le mon du Temple ; retrouver les descendants des tribus d’Israël éparpillés de par le monde ; restaurer la monarchie davidique ; établir un nouveau code éthique juif pour l’armée pour le substituer au code en vigueur, fondé sur des sources séculières etc. Ainsi lorsque le sionisme socialiste devint progressivement un messianisme religieux, il est d'autant plus logique qu'une opposition dialectique se soit mise en place voire se soit renforcée à travers l'orientation des musulmans dont donc palestiniens vers leur eschatologie religieuse et donc leur messianisme. D'ailleurs tous les rabbins Est-orientaux sont parvenus suite au deuxième congrès international sioniste à écarter Herzl et à faire que son projet sioniste laïque s'établisse en Palestine (terre sainte), alors que Herzl voulait le créer sous forme d'une nation ailleurs prouve son projet en réalité religieux dont jusqu'au Grand Israël. L’entité sioniste n’a que la guerre et l’occupation comme projet ou plutôt comme messianisme gravement erroné. Croire aux versions officielles du 11 Septembre et du 7 Octobre permet d'ailleurs à l’axe israélo-américain de détruire un peu plus les pays qui lui résistent dans cette région du monde. Après l’Afghanistan, l’Irak et la Syrie, au tour de la Palestine d’être rayée de la carte. Les guerres et annexions que firent ce nouvel Etat juif depuis sa création sont une confirmation de sa volonté messianique d'agrandissement impérial. Alors que sa réaaparition est déjà interdite par Dieu et même le droit international puisque le protectorat britannique n'avait aucun droit de donner une partie palestinienne aux juifs immigrées, comme la création de l'Etat d'Israël sous prétexte de partage de la Palestine n'avait aucune légitimité car contre et dans le dos des palestiniens. Même si en 1922 le territoire de Palestine s'est retrouvé sous mandat britannique imposé dont suite à la fin du califat ottoman et a été validé par la SDN (Société Des Nations) organisation ayant précédé de l'ONU. D'ailleurs c'est le pseudo miracle politico-militaire de la conquête de Jérusalem en 1967 qui va faire tomber de nombreux religieux juifs dans la tentation du sionisme, et transformer progressivement le sionisme laïque et socialiste en une forme religieuse, dont à travers la prise de plus en plus importante de places dans l'Etat d'Israël et son armée par ces religieux dont les plus fanatiques. La théorie du choc des civilisations est donc en réalité une stratégie de domination par la division au profit des sionistes. Et il apparaît que le sionisme prônant la recréation de l'Etat d’Israël est centenaire alors que judaïsme affirmant l'exil des juifs selon l'ordre divin est millénaire. D'ailleurs des rabbins orthodoxes protestèrent en disant que l'idéologie sioniste amenant à conquérir la Palestine est un blasphème, de la rébellion criminelle contre Dieu (dont par sa laïcité alors que le peuple juifs a une vocation religieuse et par l'expulsion armée contre le peuple palestinien) et un risque de souffrance terrible (dont car amplifiant l'antisémitisme dans le monde) si cette idéologie est mise en application. Ils ont en plus expliqué que s'appuyant sur l’ignorance des multitudes non juives dans le monde entier, les sionistes abusèrent de leur compassion escomptant qu'elles prendraient pour agent comptant ce que dit la Bible à savoir que cette terre appartient aux juifs, puis diraient qu'on la leur donne, et c'est ce qui s'est passé en partie. Les orthodoxes juifs croient, espèrent et prient pour que suite à une révolution métaphysique dans le monde, l'exil des juifs et donc l’impossibilité de retourner en terre sainte seront annulés par Dieu, dont car le monde entier aura reconnu sans guerre l'unicité divine et la servira dans l'harmonie.
Face à cette mondialiste et sioniste déstabilisation mondiale, l'utilisation perverse de l'égaré wahhabisme par l'Occident et les monarchies arabes pétrolières a pour conséquence une mauvaise réaction identitaire d’une partie des citoyens occidentaux, car voyant toute une jeunesse musulmane croyant redécouvrir un islam pur et infalsifié dans le wahhabisme, ils retournent négativement vers le christianisme, puisque n'étant pas à leurs yeux une religion ni une spiritualité, mais un outil d’affirmation en opposition à ce qui est incorrectement perçu par beaucoup comme étant l’islam. Le retour au christianisme se fait donc par rapport à l'islam qui l'effacerait, alors qu'il a clairement été progressivement effacé par la franc-maçonnerie, le sionisme et l'abandon du peuple occidental, et que l'islam élève la valeur de Jésus.
Selon Y.Hindi, la solution qui pourrait empêcher cette confrontation est la reprise en main de la jeunesse musulmane par les docteurs de l’islam, lesquels sont eux-mêmes à réinventer (en particuliers dans un travail actif avec les prélats et les théologiens chrétiens traditionalistes), afin d’enseigner l’authentique islam traditionnel et orthodoxe comme tend à le faire ce site. Or l’islam est donc aujourd’hui largement pris en otage par les wahhabites et leurs frères siamois réformistes de toute tendance, en particulier les Frères musulmans salafisés comme il sera revu, qui ont enfermé les musulmans dans une logique d’affrontement artificiel entre ces diverses hérésies qui travaillent de concert, surtout que servant clairement les intérêts américano-sionistes qui étaient déjà plus ou moins à leur origine dont par la franc-maçonnerie ou l'aide financière ou militaire comme il sera revu, et qui les soutiennent aujourd'hui.
Il faut noter que selon Yousssef Hindi, le frérisme (généralement similaire au salafisme) provient de la fusion entre l'illégitime réformisme islamique et le wahhabisme gravement égaré. Nous avons à faire à une sorte de bipartisme religieux où les musulmans n’ont plus le choix qu’entre la peste et le choléra, c'est à dire entre le wahhabisme et le réformisme :
(S2v11) « Et quand on leur dit : “Ne semez pas la corruption sur la terre”, ils disent : “Au contraire nous ne sommes que des réformateurs !” Certes, ce sont eux les véritables corrupteurs, mais ils ne s'en rendent pas compte. »
(S41v40) « Ceux qui dénaturent le sens de Nos versets (le Coran) ne Nous échappent pas. »