Z) Fin
La Russie prône donc toujours la formation d’une architecture de sécurité internationale renouvelée et plus stable, fondée sur la garantie de la prévisibilité et de la stabilité stratégique mondiale, ainsi que sur le respect des principes d’égalité, de sécurité indivisible et de considération mutuelle des intérêts fondamentaux des parties. Dans ce sens, le président chinois Xi Jinping vient d’offrir aux pays du Sud une alternative radicale à des décennies de diktats occidentaux, de guerres et de contraintes économiques. La « modernisation pacifique » permettra d’établir la souveraineté, l’économie et l’indépendance des États du monde en difficulté, comme le prouve la volonté de la Chine d’accélérer son indépendance technologique en matière de semi-conducteurs et d’équipements pour les produire. Selon Poutine, l’Occident collectif veut piller la Russie, asservir son peuple et créer une colonie dont les richesses peuvent être siphonnées par des bigots tyranniques et des profiteurs étrangers. Les attaques incessantes des médias contre les athlètes, les universitaires, les scientifiques, les musiciens et même les hommes d’affaires russes n’ont fait que renforcer l’idée, chez les Russes ordinaires, qu’ils sont dans la ligne de mire d’une coalition occidentale violente et hors de contrôle qui a l’intention de porter à la Russie le même coup fatal qu’à l’Irak, à la Libye, à l’Afghanistan et à d’innombrables autres nations. La montée en flèche de la cote de popularité de Poutine souligne le fait que la plupart des Russes pensent que la menace est réelle et qu’il faut se battre. Selon Big Serge, Poutine a même réalisé son projet d’annexion formelle de l’ancienne bordure orientale de l’Ukraine, tout en légitimement transformant juridiquement la guerre en une lutte existentielle. En refusant une sortie négociée du conflit à l’avantage de Moscou en mars 2022, les Américains ont prolongé et aggravé le conflit. Toutefois celui-ci a évolué dans un sens qu’ils n’avaient pas prévu, car ils avaient parié sur un écroulement économique de la Russie. Mais cela ne s’est pas produit, pas davantage que la défaite de l’armée russe sur le terrain ou la mise au ban unanime de Moscou par la communauté internationale. Pire, un nouveau système économique et financier est en train de se mettre en place, qui menace l’hégémonie politique et monétaire de Washington. Une nouvelle fois, les Américains se révèlent être de piètres stratèges et de vrais apprentis sorciers. Leur stratégie d’affaiblissement de la Russie s’est transformée en une guerre existentielle pour le maintien de leur domination sur le monde. Le piège qu’ils ont tendu pourrait bien se refermer sur eux. Ainsi la grande guerre (boucherie possiblement non mondiale) prophétisée par Jésus et Mouhamed pour ouvrir la porte au retour de Jésus pourrait apparaître lorsque l'hégémonie américano-sioniste sera trop oppressante et appauvrissante économiquement pour les populations, et sera donc rejetée massivement puis effondrée relativement. En effet de nombreux peuples du moyen orient et du monde se soulèveront pour leur survie, comme le prouve la montée du populisme dans de nombreux pays basé sur le refus de l'inégalité éoncomico-sociale, de la domination bancaire et de l'immigration de masse risquant par le métissage un grand remplacement, synonyme dans un sens de génocide des blancs similaire à celui des indiens d'Amérique du Nord, voulu pourtant par les élites occidentales. Or il faut rappeler que le christianisme et l'islam dépassent les ethnies et que la laïcité les a imiter perversement dans ce sens. Cependant il faut relever que les droits civiques laïques ont précieusement participé au changement bénéfique de certaines mentalités repliées, en habituant les hommes au mélange ethnique effaçant le racisme et diversifiant les mariages qui ont souvent été injustement trop conservateurs. En effet en étant donc impieusement trop fermé d'esprit même entre coreligionnaires par rapport à la différence physique, sociale, financière ou d'origine d'autrui, de nombreuses familles ont reproduit l'orgueil impie qu'Iblis fait de feu eut vis à vis d'Adam fait de terre, bien qu'ils soit légitime de chercher le meilleur parti pour le mariage d'un de ses enfants, mais la piété profonde et douce du futur conjoint demeure le meilleur choix. C'est à dire que cet orgueil s'écarte illégitimement de la principale valeur regardée par Dieu : celle religieuse et morale, dont l'humilité, la tolérance, la fraternité, le respect et l'amour font partie. D'ailleurs les croisements entre diverses ethnies peuvent donner beaucoup de noblesse dans le couple et les familles se respectant mutuellement et engendrent souvent des enfants aux beaux visages. Or la montée des populismes semble freiner ce métissage de l'humanité en orientant le monde vers une coopération globale des nations plutôt que vers un mondialisme financier sans frontière, surtout si les peuples arrivent à reprendre leur souveraineté en ramenant donc leur pays dans une économie patriote une bonne entente géopolitique avec le reste de la planète. De plus pour éviter leur frustration colérique et des problèmes sociaux, il faut apporter plus de respect aux migrants manipulés en les accueillant bien par exemple dans des centre régionaux de socialisation (sous peine de créer le danger d'une population frustrée), en les répartissant mieux en Europe pour empêcher la montée du racisme et les tensions menant à la guerre civile en particulier dans ses pays du Sud portes d'entrées principales de l'immigration, en les rapatriant vers leur pays d'origine dans le respect de la dignité humaine, ou pourquoi pas en recevant (seulement) les vrais pieux (comme le sous-entend la suite de la phrase) très honorablement chez soi comme du temps des ansars à Médine qui accueillirent les premiers musulmans persécutés à la Mecque, ce qui fut la cause de la guidée en masse de la population vers la foi par cet œuvre hautement noble, et impérativement en oubliant pas comme depuis longtemps de s'occuper aussi prioritairement des nationaux sans logis. Cependant l'affrontement de tous contre tous au sein des peuples détournant de celui contre les élites mondialistes corrompues en préservant leurs pervers privilèges sera difficile à contrer si la laïcité continue de dégrader le niveau moral des peuples. Or si l'oppression financière mondialiste aspirant tout l'argent sans compassion ni partage par l'usure et par les multinationales de plus en plus synonymes de monopole totalitaire ne s'arrête pas, cette situation dégradant toujours plus les conditions de vie des peuples, et donc leur survie, les amènera à une persévérante lutte des classes très probablement victorieuse contre l'hyper classe apatride. Surtout que ce combat avant tout spirituel devient vraiment urgent pour la liberté et la dignité des peuples, s'il est réel que selon certains de leurs textes sacrés corrompus, les sionistes mondialistes comptent déshonorablement avoir chacun 2800 esclaves non-juifs lors de l'hégémonie d'Israël, alors que les juifs ont pourtant connu la difficile servitude de l'indigne esclavage pendant 400 ans du temps des pharaons. Ce qui ne serait pas étonnant puisque certains juifs ultra-orthodoxes israéliens considèrent les non juifs moins que des chiens ou des animaux esclaves par leur foi au Talmud qui est un livre religieux impie puisque regroupant les commentaires de rabbins égarés. C'est par de telles raisons que Pierre Hillard explique que les talmudistes sont la synagogue de Satan. L'ignorance de ces textes, leur non dénonciation par les politiciens et les journalistes, l'abandon fréquent de les critiquer ou l'évitement de les proscrire par divers rabbins actuels sont source de très nombreux maux sur terre, surtout car les élites juives perverses, mondialistes ou/et sionistes fréquemment à la croyance légère voire hypocrite déclarent souvent véridiques le Talmud ou essayent de faire taire ceux qui dénoncent ces passages gravement erronés dans leur interprétation : Talmud, Kerithuth 6b, 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce sont des animaux (sauvages ou pouvant parfois êtres dressés/guidés). Talmud, Ereget Rashi Erod, 22-30 : Un goy est comme un chien. (S41v45) « Nous avons effectivement donné à Moïse le Livre. Puis, il y eut controverse (divergence) là-dessus. Et si ce n'était une parole préalable de ton Seigneur, on aurait certainement tranché entre eux (avant l'égarement des sionistes vers le faux messie à cause du Talmud). Ils sont vraiment, à son sujet (d'autant plus sans suivre le tranchement divin à travers la venue des Prophètes Jésus et Mouhamed), dans un doute troublant. » Il faut noter que les paroles talmudiques précédentes auraient pu être valables du temps où les juifs dans l'antiquité combattaient les barbares tant qu'ils n'obtenaient pas la foi authentique ou ne se civilisaient pas, et que le sens originel non corrompu du mot « goy » signifierait seulement non juif : (S5v59/60) « Dis : “Ô gens du Livre (Bible) ! Est-ce que vous nous reprochez autre chose que de croire en Allah, à ce qu'on a fait descendre vers nous (Coran), et à ce qu'on a fait descendre auparavant (Thora, Evangile) ? Mais la plupart d'entre vous sont des pervers. Dis : “Puis-je vous informer ce qu'il y a de pire en fait de rétribution auprès d'Allah ? Celui qu'Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs (possiblement seulement dans leur perception de l'apparence de leur propre tête), de même celui qui a adoré le Tagut (Diable), ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit.” » (S8v55) « Les pires bêtes auprès d'Allah sont ceux qui sont restés infidèles et qui ne croient donc point, » De plus le Prophète Jésus (paix sur lui) étant venu orienter le judaïsme au départ parfois légitimement guerrier vers l'universalisme compatissant, et les barbares n'existant plus sur terre en tant que nation, lorsque les élites et messianistes juifs impies valident ces extraits précédents du Talmud, ils créent les conditions pour qu'ils incarnent finalement ces écrits et que ces derniers se retournent par un probable combat divin et populaire contre eux aujourd'hui, mais certain à la fin des temps. Surtout qu'en continuant perversement ce judaïsme guerrier, par la corruption sournoise de lois religieuses christiques ou islamiques à travers la laïcité et par leurs alliances à des minorités impies type homosexuelle devenant leur image, pour affaiblir la spiritualité des peuples afin de les dominer plus facilement, ces sionistes incarnent une nouvelle forme de barbarie. A ce sujet le livre suivant de Youssef Hindi est important à lire pour comprendre cet égarement d'une grande partie du peuple juif vers une idéologie guerrière de domination : « Occident & Islam: Tome 2, Le paradoxe théologique du judaïsme (ou Comment Yahvé, idole guerrière et donc devenant un évident égarement satanique, usurpa la place de Dieu, par preuve qu'Isra(ël) est lié à « el » qui est la dénomination authentique de la divinité unique et donc de Dieu en araméen, hébreux et arabe) ». En effet dans ce livre, cet historien retrace les diverses influences qui ont dévoyé la bible hébraïque et fait apparaître l'ombre qu'elle a fait peser sur l'histoire de l'humanité et le danger mondial qu'elle représente désormais. L'univers mental des juifs qui étaient et sont liés à cette idole guerrière Yahvé est donc de rester dans une concurrence matérielle et religieuse synonyme d'un monothéisme suprémaciste et tribal comme le prouvent l’État d'Israël, au lieu d'être fraternel et mondial comme l'a demandé Jésus. Ainsi certains n'ont pu et désormais beaucoup ne peuvent adhérer au rappel de Jésus qui précisa que le véritable monothéisme est universaliste, humaniste et équitable. Yahvé incarne donc en réalité le guerrier symbole pervers de l’autorité et des intérêts des élites juives et mondiales corrompues au détriment de la moralité des peuples. Bible (Evangile de Jésus Christ selon saint Jean 8, 44) : Jésus dit (aux pharisiens vénérant Yahvé à l'origine du sionisme) : « Votre père, c’est le diable, et vous voulez vous conformer à ses désirs. Depuis le commencement, c’est un meurtrier (car ayant participé au meurtre d'Abel, le fils d'Adam) : il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il ment, il parle de son propre fond, puisqu’il est menteur, lui le père du mensonge. » Alain Escada : « Ce nouvel ordre mondial (en partie sioniste) avilit, nous animalise(, nous ensauvageonne), nous tribalise et nous individualise pour nous enlever les qualités humaines, morales, nationales et collectives nous aidant à être digne dans la relation avec notre Créateur, nos proches et la société. » Voir également son excellente vidéo « Le Réveil des Peuples et les mensonges des Etats (Alain Escada/Civitas) » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?time_continue=7480&v=W2t3ILPSugQ&feature=emb_title Jérôme Bourbon directeur du journal Rivarol : « L'agenda mondialiste utilisant entre autres l'agenda LGBT correspond à la destruction des nations (représentant principalement l'importance de l'union sociale) par celles de la famille (noyau fondamental), des identités, de la morale.... C'est une révolution anthropologique absolument considérable, inouïe et sans précédent dans l'histoire, à travers son ampleur, sa rapidité, et sa violence envers le corps social, les consciences et les individus. » Georges Bernados : « On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne (laïciste, matérialiste, progressiste, wokiste) si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. » Bernados a aussi avertit du dictatorial totalitarisme économique post-moderne américain via les technocrates et la mathématisation, l'automatisation, la robotisation, le transhumanisme et donc la déshumanisation du monde. Alain Soral : « Comme leurs ancêtres refusèrent ou trahirent l’amour du Christ, ils (les juifs et autres personnes sionistes) refusent et trahissent l’assimilation à la nation française pour soumettre la nation française à Israël. Donc oui, luttons et soyons tous unis contre la (leur) haine ! Dénonçons ces fanatiques racistes et dominateurs. Assez de la tyrannie de la (leur) minorité (dans notre démocratie donnant normalement le pouvoir à la majorité) ! De cette minorité qui, pour continuer à régner dont par le chantage à l'antisémitisme devenant de plus en plus à l'antisionisme, au pro-sionisme, ou au pro-dommage et intérêts pour la nouvelle religion qu'est la shoah (car devenue perversement la seule religion imblasphèmable puisque occultant fréquemment d'autres génocides de l'Histoire, ou même la dénonciation par exemple de la mafia juive, des escrocs juifs ou des juifs ayant participé à la shoah) souvent traitée à la télévision et dans l'éducation nationale pour y soumettre constamment le peuple dans une repentance permanente, par des condamnations de fortes amendes ou de prison éprouvant et limitant honteusement la liberté d'expression des dissidents, par une fermeture aux grands médias publics et grands réseaux sociaux privés, ou/et par des lois contre les « fake news » se rapprochant inévitablement de celles de la dictature que les politiciens, les juristes et les journalistes pointent de moins en moins du doigt), pousse à la haine (contre la majorité) toutes les minorités (puisque comme elle) derrière elle (pour être favorisée) dans une forme de dictature : féministes et Lgbtistes (contre famille traditionnelle), jeunes (contre adultes ou vieilles générations), homosexuels (contre hétérosexuels), immigrés (contre nationaux), noirs (contre blancs), juifs (contre musulmans), musulmans (contre chrétiens), ruraux (contre citadins), gilets jaunes (contre policiers), chômeurs (contre travailleurs), public (contre privé), les pro-système (contre les anti-système), et maintenant les pro-vaccins (contre les anti-vaccins), etc, afin donc de diviser jusqu'à la violence horizontale généralisée pour que les lobbys et l'hyper classe financière corrompus de la société conservent le pouvoir et augmente leurs privilèges, même si cela conduit pays au chaos (par la dévalorisation et donc l'humiliation du français moyen) ! (Le pervers système mondialiste, ploutocratique et sioniste cherche donc à tout séparer dans une super guerre civile froide, car un individu solitaire est plus fragile et donc plus facilement contrôlable.) Conformément au principe même de la démocratie, il est grand temps que le pouvoir revienne à la majorité (contre cette ingénierie sociale malfaisante de domination mondialiste, ploutocratique et sioniste par la division), aux 99 % de goïms, de gentils, méprisés et manipulés qui constituent ce pays. Ici ni peuple élu ni terre promise. Égalité et réconciliation ! » (Il est également intéressant de lire ses livres « Comprendre l'empire » et « Comprendre l'époque ».) Cette division voulue par le système pervers actuel synonyme d'une vaste compétition victimaire a même atteint la séparation entre les diverses catégories Lgbt, entre végétariens végétaliens et vegans, entre gauchistes, entre droitards. Cette division est parvenue à un tel degré qu'il n'y a plus deux personnes qui se parlent sans qu'elles soient rapidement divisée. L’antisémitisme actuel, ce n’est que ça : la volonté de maintenir les communautés séparées, si possible par un mur de haine, ou alors un mur tout court. Mais on ne peut pas vivre éternellement sur la haine, cela finit toujours mal, c’est le Christ qui le dit. Afin de garder le pouvoir, le système compte même encore plus perversement sur la fracture vaccinés/non vaccinés pour que les premiers fassent pression sur les seconds, histoire de transformer les vaccinés en policiers de la pensée, et de la santé. Les rapports individuels sont atteints et ce donc jusque dans le couple et la famille. Toutes les relations gratuites doivent être brisées sous prétexte de libération de l’individu qui est censé être tout, mais qui n’est vraiment rien sans les autres, à commencer rien sans les parents ou les tuteurs. A cause de l'inquisition ou plutôt de la gestapo sioniste, mondialiste et ploutocratique, petit à petit on dissout groupes politiques et relations sociales, on ferme associations et sites internet, on clôt salles de spectacle et conférences, on réprime les gilets jaunes et les leaders dissidents, on interdit de penser, de réfléchir et des livres, on oblige les vaccins, on prive le droit à la vie, on ruine agriculture et paysans, on taxe ou impose les retraités, les petits patron, et les familles, on paupérise le peuple, on détruit ou enlève les croix et les églises, on transforme ou révise la langue française et l'histoire de France, on empoisonne comme Mosanto, Syngenta et la malbouffe, on assujettit parents et enfants, etc... Comment cela se nomme, si ce n'est pas « dictature (sioniste, mondialiste et ploutocratique) » ? Or Ynet cite le rapport de Kaufman : « (De plus en plus) Les juifs sont identifiés aux puissants oppresseurs blancs, tout comme l’État d’Israël (oppressant les palestiniens par des politiciens blancs ashkénazes). » Ynet se demande : « Puis-je être blanc, juif, libéral et démocrate ? ». Kaufman répond : « Bien sûr que vous pouvez l’être, mais certains de vos droits sont "plutôt révoqués". Vous pouvez être un allié dans les luttes sociales, mais vous ne pouvez pas être au centre de la question ». Ce que Kaufman nous dit ici, c’est que vous pouvez être un « juif » et un « gauchiste », mais que votre rôle d’opposition contrôlée pourrait avoir pris fin. Ynet souligne qu’« il est important de se rappeler que les juifs ont progressé dans la société américaine par le biais de l’establishment, et que c’est une part importante de l’influence des juifs sur les États-Unis ; or le mouvement progressiste est très anti-establishment. Par conséquent, la conclusion est clairement que les juifs font partie des blancs oppresseurs. Bien sûr, le tableau réel est plus complexe, mais cette division binaire met les juifs dans certaines cases. » L'interdiction législative de l’antisionisme ne fera jamais disparaître les idées antisionistes. Ce n’est pas en faisant des lois contre des idées que les idées changent, bien au contraire, c’est toujours le bon sens qui l’emporte. Surtout que la perversion sioniste mondialiste apparaît de plus en plus nettement, car pour leur agenda messianique erroné devant dominer les nations, chassant les palestiniens de leurs terres et pouvant passer par une troisième guerre mondiale entre chrétiens et musulmans, ou entre sunnites et chiites ou entre Occident et Chine-Russie, les sionistes n'hésitent pas à honteusement supporter des groupes qu'ils considèrent pourtant comme leurs pires ennemis tels les nazis en Ukraine ou les islamistes en Syrie. « L’invasion de l’Ukraine par la Russie et la guerre qui s’en est suivie occupent le devant de la scène internationale, reléguant en coulisse la quasi-totalité du monde non européen. Un observateur naïf pourrait se réjouir, au vu de la vigueur des réactions occidentales à cette agression, que progresse le droit international, et donc le respect de la souveraineté dans ce qu’elle a d’inattaquable, à savoir l’intégrité territoriale qu’est censée protéger la Charte des Nations unies. La Cour pénale internationale (CPI) a d’ailleurs dépêché, avec une inhabituelle célérité, une équipe de 42 enquêteurs afin de collecter les éléments de preuves de crimes de guerre. Qu’il déplace quelque peu son regard vers le Moyen-Orient, et notre observateur sera vite déçu, voire choqué. Ce qui vaut, à juste titre réprobation, disgrâce et contre-attaques multiples dans le cas de la Russie n’attire, au mieux, que molles protestations de forme dans le cas d’Israël. Ici, l’invasion, la dépossession et l’annexion ne conduisent pas à des sanctions. L’occupation militaire, la colonisation de territoires occupés, et le crime de guerre au quotidien et au ralenti, n’ont fait l’objet que de timides démarches de la part de la CPI. Ici, les mots qui fâchent sont évités par les gouvernements occidentaux au profit de formulations usées jusqu’à en devenir anachroniques : face aux exactions de l’armée israélienne et des colons qu’elle protège, on fait mine de s’inquiéter de la mise en danger d’un « processus de paix » mort et enterré depuis plus de vingt ans, et on ânonne son souhait d’une « solution à deux États » qui est une invocation rituelle desséchée, puis l’on passe à autre chose. » (Rony Brauman, Le Monde) « Dans la modernité, en raison de la notion de progrès, nous avons tendance à écarter de nombreuses idées du passé, estimant qu’elles sont dépassées pour notre époque. Ainsi, nous considérons que les écrits et les avertissements du passé ne sont plus valables dans le présent ou ne conservent plus qu’une leçon anecdotique. Pour la stratégie, en revanche, le passé est une source pédagogique inépuisable. L’œil militaire avisé y trouve des vérités utiles pour l’art de la guerre ou l'art de la politique. (Or il ne faut pas regarder le présent avec les yeux du passé, mais le passé avec les yeux du présent, sauf bien sûr si l’on veut se condamner soi-même, comme beaucoup d’autres, à vivre un éternel retour. Car le futur ne se devine pas de façon linéaire, mais sur un mode cyclique, et dans une quasi non-superposition des situations du passé au présent.) L’histoire n’est donc pas une chose morte, mais une réalité en mouvement qui se répète de différentes manières. Bien démêler le présent du passé peut mener à la victoire (même au niveau politique en regardant donc ce qui a réussi dans la dignité). Dans ces termes, il existe de nombreux écrits exemplaires qui traversent le terrain commun de la pensée stratégique. Nous pouvons citer les plus célèbres, comme « Vom Kriege » de Clausewitz ou « L’art de la guerre » du Chinois Sun Tzu. Mais les citations et réflexions favorites de l’académie militaire se trouvent dans « Le Prince de Niccolò » de Machiavel écrit au 16ème siècle. L’une des premières leçons que Machiavel nous a enseignées dans son livre est la suivante : « Toujours, même si vous avez une très forte armée, vous avez besoin de la faveur des habitants lorsque vous entrez dans une région. » Le roi Louis XII de France, mentionne Machiavel, a envahi Milan et a été rapidement expulsé parce qu’il n’avait pas gagné la faveur des habitants. Ils ont été trompés par le nouveau prince, qui n’a pas répondu à leurs attentes et les a déçus. Ainsi il ne suffit pas de conquérir un territoire et de s’attirer les faveurs de la population. Il faut aussi faire participer ce peuple à la vie politique. En outre, Machiavel mentionne que si le peuple n’était pas habitué à la liberté et était maltraité, il est facile de retourner le peuple contre son ancien régime si on lui accorde la liberté et si on le respecte dans ses coutumes. Machiavel fait également l’éloge des capitaines romains, car ils étaient des maîtres de la prudence et de l’anticipation. Grâce à ces compétences, ils ont anticipé les événements et les ont traités avant qu’ils ne deviennent irrémédiables. Le temps, dit-il en plus, « apporte le bon et le mauvais » ; c’est pourquoi il n’est pas conseillé de l’attendre les bras croisés. D’un point de vue militaire, Machiavel précise que : « les armées mercenaires ne sont bonnes qu’en temps de paix et que les armées auxiliaires sont toujours nuisibles : car si l’on perd, on est rejeté, et si l’on gagne, on est prisonnier. » Face à ce genre de situation un chef et une nation doivent toujours avoir mettre en avant leur force militaire et leur affirmation de supériorité morale. De plus, une vertu machiavélienne est d’être un grand dissimulateur pour faire douter les ennemis extérieurs comme intérieurs. Dans ce sens Poutine a toujours été entouré d’intrigues, de tsarisme, de positions contradictoires, tendant souvent à favoriser les diktats de la puissance mondiale libérale à laquelle il est maintenant censé s’opposer. En fin de compte, l’important est d’être aimé dans son propre État, et c’est le cas selon les sondages. La Russie dénote une grande force et une grande tranquillité chez elle grâce à la mentalité de son peuple et à la sécurité de ses dirigeants. Le gouvernement, quant à lui, gère les tensions par la force ou la politique. Nous ne devons pas négliger le halo religieux qui imprègne l’ensemble de la nation. La Russie prétend dépoussiérer ses prouesses historiques contre le nazisme et ressuscite un mort qui est loin d’être analogue. En plus de se défendre contre les intentions conquérantes de l’OTAN, elle lutte contre un nazisme ukrainien bizarre, qui est soutenu par le pouvoir libéral et par un président juif. Ainsi, et avec le mysticisme chrétien orthodoxe russe, Poutine impose un messianisme qui répond à une norme machiavélienne consistant à toujours opérer ou feindre une religiosité exemplaire. L’écriture de Machiavel est un travail d’ingénierie politique, mais elle possède également des principes ontologiques. Il s’agit d’un traité sur l’harmonie des forces, celles que tout prince doit opérer de telle sorte que, en plus d’être un roi, il soit aussi un souverain. Et comme le pouvoir est en mouvement, même si vous le possédez, vous pouvez toujours le perdre. Poutine a entamé une grande bataille, composée de batailles plus petites mais tout aussi importantes. Seul l’avenir nous dira si la prévoyance et la prudence de ce président font l’objet d’un scénario prémédité, ou si au contraire au fur et à mesure qu’émergeront des pressions et d’autres agents désireux de s’emparer du pouvoir, il pourra continuer à maintenir l’impassibilité qui est la vertu de tout grand seigneur et gagner sans avoir (beaucoup) à combattre comme le conseil Sun Tzu. » (Extraits de l'article « Poutine, un leader machiavélien » à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/28/poutine-un-leader-machiavelien/) « Ce 24 juillet 2022, la guerre en Ukraine est entrée dans son sixième mois. Désormais guerre par procuration, non déclarée, entre l'Otan et la Russie, elle est devenue une guerre globale par son impact sur l’économie mondiale, sur les marchés de l'énergie et de l'alimentaire notamment. Le sort de centaines de millions d êtres humains en est directement impacté : sans conteste, il s'agit de la plus grave crise mondiale depuis 1945, car annonciatrice d'une nouvelle ère infiniment plus périlleuse dans les rapports de force sur la planète. En à peine six mois de guerre, les rapports de force qui autrefois étaient latents ont émergé, la tectonique géopolitique mondiale a bougé, les grandes nations ont dû choisir un camp (ou une prudente neutralité), de nouvelles alliances ont surgi, le monde se restructure autour du conflit en Ukraine qui a tout changé. L’Amérique a voulu exercer son leadership sur le monde, comme avant, à coups de dollars et de bombardements, mais nous ne sommes plus le 26 décembre 1991, date de la dislocation de l’URSS. Trente ans après, la Russie a restauré sa puissance, la Chine est devenue surpuissante, et ces nouveaux grands ont naturellement de grandes ambitions (pourtant multipolaires), qui contrecarrent les plans de domination et de dislocation du monde des néoconservateurs, cette faction qui tient le pouvoir profond américain, qui a eu entre autres la peau de Trump en 2020. Cela sonne la fin de l'inintelligence occidentale au niveau économique : endettement massif, désindustrialisation, immigration à outrance, ploutocratique wokisme mondialiste. Au début de la guerre, la propagande occidentale, à l’image de celle qu’on a subie lors du conflit entre la Serbie et l’OTAN (1998-1999) et lors du covid, ne souffrait aucune contestation dans nos médias. Le médiatique était aligné sur le politique. Aujourd’hui, des voix se font entendre, qui ne sont pas celles des prétendus « complotistes », signe d’une résistance nouvelle au cœur d’une France prisonnière de l’OTAN. Des généraux, d’anciens ministres (Védrine), des journalistes affûtés en géopolitique, ont prévenu que le soutien à Zelensky et à son régime pourri présentait à terme un risque. Maintenant, on parle de coupures d’électricité en hiver, de pénuries de nourriture, de récession brutale, pour ne parler que de la France. L’Allemagne, qui a besoin du marché chinois et du gaz russe pour entretenir sa puissance économique de premier exportateur mondial, est au bord du précipice, faisant même dire à des politiciens antirusses que le risque est devenu trop grand. Le sacrifice pour l’OTAN, et donc l’Oncle Sam, est total pour le couple franco-allemand. La balance bénéfice-risque penche complètement du côté du risque, avec zéro bénéfice à la clé. Français et Allemands sont piégés par le contrat léonin signé (par des dirigeants corrompus) avec l’OTAN, qui les enchaîne à la politique extérieure de l’Amérique, qui elle ne prend aucun risque. Le conflit aura au moins révélé que la France et l’Allemagne, ainsi que l’Union européenne, si elles veulent survivre, devront se désarrimer de l’OTAN et de la politique mortifère de l’Amérique. Chez nous, la politique suicidaire d’un Macron provoque des montées de lucidité et de courage politique. Mélenchon a ainsi carrément soutenu la politique taïwanaise de la Chine. Macron, qui était l’homme de la Banque, est désormais aussi celui des Américains. À l’image de Zelensky qui détruit son pays en le vendant aux forces mondialistes, Macron détruit sciemment le sien. » (Rédaction ER) Or en occident, l’ingénierie sociale est la méthode par laquelle on pénètre un système (mental ou social) sans effraction, sans violence mais par abus de confiance, pour en prendre le contrôle furtivement ; on fait donc s’ouvrir le système librement en endormant sa méfiance, c'est le moment de l’hameçonnage, pour ensuite l’infiltrer sans résistance et le détruire de l’intérieur en amplifiant ses contradictions internes latentes pour le fragmenter, c'est le moment du conflit triangulé, permettant à un des trois angles de manipuler les deux autres pour les dominer voire en plus les exploiter. Le triangle rappelle son utilisation par le Diable à travers les pyramides païennes égyptiennes et la pyramide franc-maçonne. Ainsi le système montre toujours les effets comme l'islamisme ou la délinquance (contre lesquels l'administration devrait payer des abonnements sportifs aux jeunes défavorisés), mais pas les causes d'origine politique ou occultes comme les décisions gouvernementales ayant validé l'immigration de masse favorisant en plus l'hyperclasse par la main d’œuvre par chère du marché noir, sur l'ordre de sociétés secrètes. C'est à dire que contre l'intérêt général, certains lobbies correspondant souvent au sommet de la pyramide sociale cherchent à occuper les populations fréquemment dans des oppositions pendant qu'ils les volent ou les dépossèdent de leur droits ou devoirs, sans donc qu'ils ne s'en rendent compte. Par la manipulation, l’ingénierie sociale peut aussi correspondre à étendre une idéologie à forcer un projet, ou à exploiter perversement les projections psycho-émotionnelles de la trilogie bourreau/victime/sauveur décrit dans l'article suivant concernant l'utilisation perverse du coronavirus « Entretien avec Lucien Cerise : "Face au biopouvoir, nous n’avons pas le capital économique. Mais nous avons le capital humain" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Lucien-Cerise-Face-au-biopouvoir-nous-n-avons-pas-le-capital-economique-Mais-nous-59323.html Lucien Cerise y explique qu'à l’instar de la fable des Animaux malades de la peste du covid, les consommateurs sevrés par cette crise sanitaire orchestrée sentaient qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe témoin des non vaccinés, complément indispensable à une stratégie ou une ingénierie sociale de triangulation, fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie, il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux. Dans ces passages d'un autre de ses articles, Lucien Cerise précise la manipulation des mondialistes ploutocratiques et sionistes : « Leur méthode : l’ « ingénierie sociale » définie comme « la modification furtive et planifiée du comportement humain ». Leur but : fabriquer le consentement à la « démolition contrôlée des structures (étatiques, nationales, locales, familiales, conjugale) préexistantes ». Une idéologie « one world », basée sur le wokisme et le métissage obligatoire, avance sous le couvert d’un bric-à-brac moralisateur pour « citoyen du monde ». Lors du covid (bourreau), le système ment aux victimes (le peuple) sur ses intentions (de sauveur), car il veut en réalité une société de surveillance totalitaire informatique et numérique. Infusée à haute dose par un groupe d’organisations internationales, de think tanks, d’ONG et de médias sous contrôle, cette moraline politiquement correcte conduit la multitude au vide émasculé de la vie moderne, et ses contradicteurs à la mort sociale. Les seuls types humains adaptés à ce néant post-humain selon Cerise sont « le dépressif et la frivole ». Tous les autres dissidents de la « Planète stupide » devront être reprogrammés ou éliminés. Dans ce sens, des spins doctors sous contrôle oligarchique se relaient à notre chevet pour nous persuader que le doute raisonnable, l’esprit critique (sans parler de la colère) sont hautement suspects, et que les sentiments qui les accompagnent (typiquement la haine et la défiance) doivent impérativement être neutralisés. Il ne suffit pas qu’un état de crise permanente nous soit imposé, il faut encore que ceux qui en souffrent se sentent coupables. Les stratagèmes incapacitants qui « inversent la place du bourreau et de la victime » ont en outre une fonction précise : le pirate doit neutraliser le fonctionnement normal (hiérarchisé et stéréotypé) du cerveau avant de pouvoir y implanter des représentations pathologiques et dysfonctionnelles. » Lire l'article complet à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-temps-de-Cerise-62339.html Lucien Cerise précise qu'en réalité ses analyses ne sont que la description de choses banales. Cet analyste explique que le lien social peut être représenté par des schémas et qu'il est clairement basé sur la confiance, la méfiance et l'indifférence, et sur l'existence donc de possible bourreau (les malveillants), sauveur et victime qu'une l'ingénierie sociale, une stratégie perverse, peut transformer lorsque le bourreau (actuellement gouvernements soumis à des réseaux de pouvoir et des lobbys devenus des mafias) usurpe le sauveur (par l'oppression du confinement, du vaccin ou/et du grand reset) ou la victime, afin de manipuler ou asservir une population sans qu'elles s'en rende compte. Selon les propos du mondialiste oligarchique Klaus Schwab le fondateur du « Forum économique mondial de Davos », on peut même comprendre que par les grandes crises s'enchaînant, une ingénierie sociale perverse veut amener l'humanité à une fusion du biologique et du numérique, afin ce que les travailleurs êtres humains se fassent remplacer par des machines ou des robots et que les peuples deviennent plus surveillable voire contrôlable par plus de numérique en particulier pour empêcher les révolutions populaires dangereuses contre les privilèges des perverses oligarchies. A moins d'être un despote éclairé, cette psychologie du pouvoir similaire à celle du sociopathe aboutit à devenir l'expression d'une paranoïa permanente cherchant toujours la conception de vaste plan de contrôle social ou/et d'une fréquente transgression voire perversion (sexuelle, morale, etc) conduisant logiquement à rechercher la tyrannie parfaite. Et c'est pourquoi pour l'instant l'actuelle tyrannie sanitaire, financière, technologique, numérique et médiatique devient la plus aboutie de l'humanité, puisque l'enfermement physique du confinement consenti crédulement par le peuple (associé au masques des enfants, aux vaccins presque obligatoires, à la distanciation sociale) a été rajouté à l'encerclement psychologique provoqué par le système de consommation, la technologie moderne et toutes les idéologies obscures tel du genre (et Lgtbtisme). Ce niveau d'encadrement carcéral est donc aussi largement supérieur à celui de l'union soviétique, surtout qu'en France par rapport aux USA les hommes n'ont pas l'accès aux armes pour créer des milices, ce qui en fait un des pays les plus sujets au génocide qui en découle et donc les plus morbides, tant que les gens ne se réveillent pas en masse. Ces ingénieries sociales s'apparentent au diable qui veut rester cacher dans l'invisible en faisant croire que lui et ses mauvaises insufflations de pensées n'existent pas, afin de souvent occuper l'être humain futilement pour lui faire perdre son temps et le dominer, jusqu'à ce qu'il perde en voyant avec un immense regret d'inutilité impie l'ange de la mort lors de son décès synonyme de possible envoie en Enfer. En effet la seconde est l'unité de mesure et de valeur la plus précieuse, car nous permettant de faire des actions bonnes, religieuses et rapprochantes de Dieu, puisque nous offrant uniquement sur terre la possibilité de dépenser pieusement avant que Dieu dépense éternellement pour Ses hôtes au Paradis. Il ne faut donc plus jouer au jeu égarant des mondialistes et retrouver le monothéisme pieux, charitable, droit, solidaire et par conséquent authentique. Or ivres du pouvoir que l’exécutif leur a donné, des officines antiracistes comme la LICRA voient sournoisement de plus en plus du racisme partout, même quand il n’y en a pas, car c’est leur raison de vivre et de recevoir des subventions financières gouvernementales, et surtout car avec certains autres lobbies, ils réussissent à avoir une influence néfaste contre la liberté d'expression ou développent la division les favorisant. En effet il est clair que l'antiracisme exacerbé crée du racisme horizontal dans les deux sens en faisant oublier la lutte verticale et donc préserver les élites perverses au pouvoir dont font partie de nombreux sionistes de l'hyper classe. C'est pourquoi la communauté juive doit se désolidariser de la LICRA, et de personnalités comme Attali et Rothschild pour mieux se faire percevoir. L'antiracisme institutionnel lié à la tyrannie sioniste par la manipulation est donc en réalité une incitation à la haine raciale entre noirs et blancs, voulue par des gens dont la détermination première est le mépris et la haine raciale, correspondant parfaitement au concept de peuple élu suprémaciste, d'autant plus car le judaïsme est basé sur le sang de la mère qui est la plus belle démonstration de racisme, alors que le christianisme et l'islam authentiques sont basés sur le sang du père, c'est à dire sur la piété du cœur quelle que soit notre origine en particulier car nous descendons tous d'Adam et Eve. Or comme cette situation empire malgré les leçons de l'histoire, cela s'orientera à nouveau de plus en plus vers une révolte violente contre le système. Surtout qu'il y parfois des bugs dans la matrice mondialiste : par exemple le sionisme se heurte parfois à l’antiracisme (ou au féminisme). Par conséquent il faut renvoyer dos-à-dos ces deux formes d’essentialisme. En effet ces deux formes de racisme ou d'incitation aux tensions raciales sont appelées à se détruire l’une l’autre. Or même le CRIF parle des juifs du matin au soir pour les distinguer des français ; les séparatistes parlent des noirs du matin au soir pour les distinguer des blancs ; les LGBT parlent du matin au soir de l'homophobie pour les distinguer des hétérosexuels ; les gauchistes parlent des fascistes du matin au soir pour les distinguer des démocrates... Tous ont intérêt à ce que la nation ne se ressoude pas, car ils tirent leur pouvoir et leur pérennité de sa dislocation et de sa vente à la découpe, qu’elles soient politique, économique ou culturelle. Pour y parvenir ces minorités affichent une attitude moralisatrice contre la haine justifiant leur haine, leur colère et leur intimidation jusqu'à une lutte à mort contre la cause adverse puisque devant disparaître selon eux. Nous avons donc le devoir de ressouder le pays partout où les forces centrifuges agissent contre l’intérêt national. Le nationalisme français de réunification n’est pas attaqué pour rien depuis 50 ans maintenant : il est justement cette force intrinsèque exemplaire mondialement qui permet de cicatriser toutes les plaies, celles que le poignard des forces occultes et centrifuges lui inflige dans le dos. Le nationalisme patriotique, c’est tout simplement la réconciliation. A ce sujet, il faut noter que les journalistes mainstream se plaignent aussi désormais de plus en plus d'être commentés en permanence sur les réseaux sociaux par des soi-disant « haineux » qui les accusent de soumission au système et de restriction de la liberté d'expression, alors qu'il s'agit beaucoup plus souvent de railleries ou de remarques judicieuses voire légitimes. Or ces journalistes mainstream qui se victimisent injustement devraient regarder ce qui se passe en France sur l’Internet concernant les journalistes non mainstream qui subissent toutes les pressions oligarchiques possibles. En effet le combat contre l'oppression des internautes est un enjeu crucial pour la liberté d’expression, surtout que ce sont les journalistes mainstream qui trouvent normal de ne pas accorder la parole à ces « mauvais » journalistes (dissidents) après avoir liés leurs analyses à tous les maux listés par la dominance : racisme, antisémitisme, antiféminisme, antimaçonnisme, anti-LGBTisme, anti-mondialisme, complotisme ; toutes ces fausses accusations destinées à bloquer la pensée et le débat. C’est là que l’on comprend toute l’importance étymologique du format, c’est-à-dire de l’obligation de se soumettre au catéchisme dominant que sont les tentacules (piliers) du mondialisme à connaître : féminisme, antiracisme, sionisme, antichristianisme, homosexualisme, mercantilisme, immigrationnisme, égalitarisme au lieu d'équitarisme, individualisme. Celles-ci pèsent sur l’intelligence, l’honnêteté, la droiture, la foi et la piété. Ce sont alors les journalistes mainstream qui se comportent comme une armée de trolls (internautes considérés comme générant des polémiques contre ceux qui font honnêtement leur travail), alors que sur internet le véritable journalisme libre du peuple avec des moyens rudimentaires mais l’esprit collé aux intérêts du peuple est devenu l'information authentique, ce que les journalistes mainstream ont perdus de vue depuis longtemps, attachés qu’ils sont à leur niche oligarchique. C’est le syndrome de l’occidental pétri de bons sentiments qui s’émeut pour le clandestin miséreux qui entre en France mais qui ne voit pas le SDF national qui crève sous ses yeux dans la rue, dans SA rue, et qui ne dénonce pas les persécutions envers les journalistes non mainstream à la fois économique (pas d'argent, pas d’aides, pas de subventions publiques à la différence d'eux, multiples ennuis bancaires), juridique (pressions, menaces et procès en cascade) et médiatique (zéro invitation sur le service public audiovisuel pourtant garant du pluralisme des idées). Même les journalistes de gauche (suivant désormais seulement celle sociétale) n'en parlent jamais. Ils ne parlent que pour défendre les pseudo victimes (minorités) et en oubliant la majorité, et se mettent ainsi au service des médias de l'oligarchie privée, tous ces organes de propagande divisant le peuple et servant les intérêts de la Politique, de la Banque, de la Finance corrompues, etc... L'ingénierie sociale existant depuis plusieurs siècles et étant toujours utilisée par les élites mondialistes très riches pour conserver leurs privilèges provient de la magie noire et des milieux kabbalistiques.
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