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C) La morale correspond à la science des mots (suite 2)


L’athéisme rationaliste lui-même, qui est désormais devenu la norme culturelle commune des peuples d’Occident, plonge ses racines dans un ensemble d’idées et de conceptions non-rationnelles et en fait « parareligieuses ». Idées apparues dès la Renaissance de manière sous-terraine et qui commenceront de s’imposer comme l’idéologie diffuse des élites occidentales à partir des Lumières. « Lumières » dont le terme même renvoie par ailleurs à l’illuminisme et à l’ésotérisme maçonnique (luciférien, satanique). L’humanisme chrétien européen classique s’effondre ainsi intérieurement sous la poussée du transhumanisme ploutocratique porté par les élites et oligarchies occidentales techno-scientistes. Le plus grand danger actuel n'est donc pas le covid ni la guerre, mais la robotisation. Surtout que le système économique actuel tendant vers l'automatisation de tout, il devient follement une machine autosuffisante tel un cercle vicieux voire infernal, puisque plus au service des hommes voire pouvant fonctionner sans les hommes. Or cette robotisation possiblement aussi des humains commence simultanément par la glaciation du cœur et la pétrification de l'esprit dont à cause des médias du système, alors il faut réchauffer les cœurs en stimulant l'esprit de noblesse. Mais à l'origine, c'est d'abord le travail à la chaîne qui a beaucoup participé à la froide robotisation laïciste des humains au profit du système dans une forme d'esclavage.
Les perverses élites occidentales, tout en continuant de faire de l’Occident une forteresse du transhumanisme, cherchent aussi à transformer l’ensemble de l’ordre international en usant de la puissance de l’Occident politique. Or l’Occident est un mythe essentiellement amoral qui finit logiquement par tomber en disgrâce dans les trois quarts du monde dont par l'égoïsme et la prédation machiavéliques de ces laïcistes élites ploutocratiques. En effet c'est sur la manipulation de sa propre histoire et de ses souffrances qu'il a construit son mythe de maître de l’humanité. Surtout que le refus au droit d'une entité ne peut que finir par arriver quand elle refuse l'éthique, comme donc l'occident politique et aussi Israël. Cette orientation post-humaniste et post-chrétienne des élites occidentales empire d'ailleurs de plus en plus clairement avec le temps qui passe et l’éloignement progressif de la source helléno-chrétienne qui constitue la racine spirituelle de l’Occident, c'est à dire celle basée sur le monothéisme christique et la raison grecque. Divorcées spirituellement de l’héritage réel de la civilisation européenne, les élites occidentales tyranniques n'entament même plus de dialogue sérieux avec les populations dont elles ont théoriquement la charge.
Le monde inégalitaire anglo-américano-judéo-protestant a gagné la deuxième guerre mondiale et règne sur le monde depuis. Avant l'intervention russe en Ukraine, il soutenait d'ailleurs l'Allemagne protestante inégalitaire comme leader de l'union européenne favorisant les oligarchies après avoir participé à la destruction du monde égalitaire français catholique lors donc de la révolution de 1789, ce qui est logique puisque la maçonnerie a préparé le noachisme plus ou moins conscient des nombreux révolutionnaires. D'ailleurs le lien et le commerce au sein de la francophonie demeure plus logique que l'Union européenne, surtout avec l'importance actuelle de la langue française. Ainsi la francophonie facilitant les échanges peut devenir une puissance largement autosuffisante et croissante, dont via la technique métropolitaine, les nombreuses matières premières africaines de tout type, les territoires outre-mer plus ou moins indépendant, le développement mutuel et donc le soulagement de l'immigration. On peut noter ici que que lorsque la Bourgeoisie s'est séparée de la retenue du catholicisme égalitaire, elle s'est enfoncée dans la prédation économique inégalitaire, ce qui a entraîné de grave problèmes économiques et moraux au sein de la société jusqu'à nos jours. D'ailleurs la laïque gauche bourgeoise française démocrate portée par ces forces malfaisantes extérieures a ensuite massacré de très nombreux catholiques vendéens ainsi que leur famille qui tendaient vers les christianisme traditionnel charitable, et a déclaré la guerre à toute l'Europe en 1792 et après en prouvant son pervers impérialisme jusqu'à nos jours. Le système de suppression de l'Etat français par l'union européenne doit être conservé comme une preuve de la tyrannie mondialiste ploutocratique et wokiste. En effet il se fait d'abord à travers le sabotage de l'énergie (prix moyen européen obligatoire alors que coût de production inférieur en France), de l'agriculture, de la monnaie et de l'économie, et donc de tous ses moyens d'autonomie et de fonctionnement dont des services publiques, au profit des grandes multinationales globalistes occidentales visant le contrôle mondial même des USA parle supranational de l'empire de la finance en particulier anglo-saxonne, Lgbtisite, wokiste et cancel, car la nation a une réalité politique, juridique, culturelle, historique mais aussi souvent religieuse ou idéologique pouvant évoluer voire changer. D'ailleurs la BRI (Banque des règlements internationaux créée en 1930) fut la première institution supranationale, l'Union Européenne est protégée par l'OTAN et donc par les services états-uniens et britanniques thalassocratiques, et depuis que la France y a adhéré, elle a perdu son autosuffisance alimentaire et énergétique. A cause du pervers protestantisme, la véritable religion de nombreux américains est même désormais leur politique laïciste ultra libérale et leur belliqueuse géopolitique hégémonique. Ils ont même remplacé le destin divin des juifs, des chrétiens et des musulmans par leur prétendue destinée manifeste en réalité fortement impie, puisque à travers leur pseudo messianisme presque accompli qu'est la laïcité ultra libérale comme système politique mondial qui serait la fin logique de l'Histoire. C'est à dire que les intérêts de la caste du mondialisme oligarchique se servant des USA pour imposer sa tyrannie internationale sont désormais souvent au-dessus de toute nation et que la géopolitique existe ainsi de moins en moins au profit de la géoprivatisation. Cette tyrannie parvient même à proposer en France des lois comme celle de programmation militaire pouvant réquisitionner des personnes physiques et des personnes morales même pour de floues raisons de mise danger concernant les instituions, le sanitaire, l'écologie. En effet qu’il s’agisse de simples effets d’annonce pour terroriser nos populations et les désintéresser des problèmes intérieurs ou qu’il s’agisse d’une authentique folie belliciste de ceux qui nous gouvernent, dans les deux cas cette loi clairement liberticide est tyrannique. (Or la manipulation par un virus est celle pouvant le plus supprimer de les libertés.) Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Programmation militaire, réquisition : Macron prépare la guerre » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=QVOT87U3pds
Il faut noter que les USA sont donc un pseudo empire messianique par leur croyance en la destinée manifeste (calviniste, ploutocratique, spéculative, économico-fictive, ultra-libérale, wokiste et donc destructeur de l'humanité), alors que la Russie est dans la realpolitik (chrétienne, équitable, coopératrice, économico-réelle, multipolaire, naturelle et donc salvatrice de l'humanité) même si elle considère logiquement de plus en plus notre époque comme eschatologique puisque face à cet impie empire mondialiste. Ainsi pour changer les injustices mondiales et prendre part à la lutte contre l'indignité mondialiste au mieux, la réinformation populaire concernant tous ces faits devient la priorité. Dans ce sens il faut aussi rappeler que jusqu'en 1960, 95 % des bébés français étaient baptisés.
La révolution française est aussi synonyme de révolution gaïatique (impie, idolâtre et sacrificiel dont du père), car Dieu a été remplacé par la nature ou/et le laïque berger-Etat athée à la mamelle éternelle, et l'être humain est devenu le citoyen homme-dieu sans spiritualité, alors que la naissance de la France eut pourtant lieu suite au baptême du roi Clovis et donc à sa représentation du Père du ciel. Surtout que la naissance de la république eut lieu suite à la révolution sanglante et la décapitation sanglante du roi Louis XVI et donc du père de la nation, ce qui est symboliquement encore la coupure du lien entre Dieu et le peuple, puisque la colonne vertébrale du roi incarnait le tronc d'arbre reliant les racines populaires à sa tête, qui représentait l'esprit, et donc celui divin, et donc la spiritualité plutôt que le matérialisme. Cette décapitation peut donc aussi être qualifiée de baptême inversé, surtout que cela a mené à l'actuelle inversion massive des valeurs. Il faut noter que l'exécution de la famille royale russe par les révolutionnaires reprend également toute cette symbolique très gravement impie voire satanique.
« C’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. » (Albert Camus, L’homme révolté, La Pléïade, p. 528-529)
« Depuis 1750 la France a péché contre l’esprit. Tout y a été abaissé : les institutions et même leurs pauvres contraires. Si on a abattu la monarchie on n’a pas élevé le peuple, si on a avili l’aristocratie on n’a pas décanté la bourgeoisie, si on a ravalé le clergé on n’a pas défendu les professeurs contre l’insipide vanité et on les a loués dans leur inénarrable vacuité ! La fraternité n’a pas remplacé la charité, l’égalité n’a profité qu’à l’argent, quant à la liberté ce ne fut que la basse licence de dire tout de façon que rien ne tirât plus à conséquence. Nous avons vécu dans un monde ignominieux de normaliens et de maçons, de banquiers et de politiciens, de journalistes et de cabots, de pédérastes et de drogués, de savants sans boussole spirituelle et d’artistes seulement sensationnels, de Juifs, de militaires et de curés destitués. » (Drieu la Rochelle)
La France est passée du monothéisme poussant à la responsabilité et à la loi naturelle, au retour de l'idolâtrie envers la déesse nature cherchant par l'Etat laïque, ploutocratique et sioniste à nous surveiller pour notre bien, à nous infantiliser pour notre sécurité et à nous tracer pour notre survie. C'est à dire que ce système pousse à l'immaturité, car cette dernière empêche de penser et d'agir sérieusement, surtout quand elle est liée au consumérisme et à l'inculture. D'ailleurs le jeunisme en politique de plus en plus mis en avant permet un contrôle plus facile, car il est sans expérience et peu aguerri contre la soumission au système. Or la république est laïque mais la France demeure catholique (christianisme charitable et universaliste) et c'est pourquoi elle est tant attaquée surtout qu'elle a été longtemps un phare de ce christianisme. En effet pour les forces occultes mondialistes et sionistes, pervertir la France depuis des siècles catholique et universaliste en un pilier de la ploutocratie wokiste et internationaliste est une stratégie logique. Par conséquent c’est flatteur pour la France d’être le (un) point névralgique de la guerre siono-mondialiste contre les peuples, car cela signifie que la France a ce petit quelque chose d’essentiel qui doit être détruit par le monarque diabolique du Nouvel Ordre mondial. Ce nouvel ordre mondial voulu par les perverses élites occidentales est aussi un nouvel ordre moral wokiste (inversion ou fin des valeurs), ploutocratique, écologiste intégriste, et sioniste. Et ce nouvel ordre mondial apparaît désormais de plus en plus comme la fin de l’ordre planétaire basé sur les règles du droit international, dont afin d'établir un monde sans nation comme tend à le faire l'Union Européenne, alors que les BRICS qui sont un espace de développement économique commun cherchent à améliorer ce droit international, et Poutine a même qualifié le LGBTisme de « satanique » et donc de « décadent », ainsi que les élites occidentales. C'est à dire que pieusement, Poutine a clairement et même eschatologiquement désigné l'ennemi : les élites anglo-saxonnes, tout en laissant Israël bombarder la Syrie pour montrer qu'il est le dernier pays arabe honorablement en guerre contre Israël. D'ailleurs après la deuxième guerre mondiale, les anglo-saxons voulaient imposer leur droit plutôt que le droit international qui a finalement vu le jour. Si Poutine présente un danger pour la France selon le système, ce n’est donc pas pour son peuple, mais bien pour ses élites médiatico-politiques, soumises au diktat israélo-américain et/ou mondialistes. L’ancien président russe Dmitri Medvedev verse également dans le vocabulaire mystique dont concernant la désatanisation de l'Ukraine en ayant décrit l’invasion de l’Ukraine par Moscou comme « un conflit sacré avec Satan. Dans ce sens il aussi dit : « Le but est d'arrêter le souverain suprême de l'Enfer, quel que soit le nom qu'il utilise : Satan, Lucifer ou Iblis. » Karl Haushofer préconisait l’alliance des puissances continentales, afin de constituer de grands blocs en capacité de faire échec à la stratégie des thalassocraties anglo-américaines. Et c’est ce que cherche à mettre en œuvre Poutine et XI. Ainsi la Russie et la Chine ne voulant pas d'une structure supranationale politique mais seulement d'une structure internationale économique, cela prouve que ces nations ne recherchent pas un gouvernement mondial et ne sont pas mondialistes.
          Or par rapport à l'Angleterre ou aux USA, la laïcité française est même devenue laïcisme voire wokisme, alors que la laïcité ne doit donc concerner l'Etat qu'au niveau des services publics, mais pas au niveau de l'espace public dont par rapport aux opinions et signes religieux ne troublant pas l'ordre public tels le voile islamique, la croix chrétienne, la kippa juive et la toge bouddhiste, comme ce fut le cas la plupart du temps au sein des différents empires de l'Histoire, et en sachant que Jésus n'aurait certainement pas interdit ces signes et tenues, sauf possiblement ceux impudiques. Surtout qu'un débat comme sur le voile islamique ne fait qu'augmenter les extrêmes religieux et politiques, et que la laïcité est d'abord une loi de liberté avant d'être d'interdiction, en particulier quand il s'agit de vêtements non impudiques ou ne couvrant pas les visages. Or l'impudicité est une valeur républicaine car la pudeur est une valeur religieuse.
          De plus l'hyper démocratie laïciste égalitariste avilit jusqu'à la disparition de la hiérarchie pourtant synonyme d'ordre bénéfique (à part parfois dans des domaines comme celui de la recherche scientifique), puisque cela va jusque dans le secteur de l'enseignement, de la sécurité, et même de la famille. Surtout que ce qu’il y a d'autant plus pervers avec la démocratie actuelle par rapport à celle originel de la Grèce antique, c’est que l’on peut y cacher une dictature mondialiste, perverse et sioniste en toute légalité, dont à travers le financement important nécessaire à tous les partis et la falsification du vote par correspondance. En effet à travers la Ve République qui est un régime de type semi-présidentiel et à travers les fréquents états d'urgence et donc d'exception amenant souvent des lois pérennes, la France est de moins en moins une démocratie, car à Athènes, le pouvoir était entre les mains de l’assemblée, et à Rome, le Sénat régnait. Rappelons que les mêmes mots désignent rarement les mêmes réalités selon les lieux et les époques. La guerre pour la démocratie permet même la dictature. Etienne Chouard affirme que lorsque les élus et les représentants rédigent les constitutions, ils les d'abord pour les protéger eux-mêmes. Ils établissent leur propre puissance en tant que représentants, tout en nous rendant impuissants en tant que citoyens. Cela entraîne une impuissance politique générale que tout le monde déplore : « Un citoyen digne de ce nom est constituant sinon ce n’est pas un citoyen, c’est un électeur. Un électeur c’est un enfant politique alors qu’un citoyen c’est un adulte politique, c’est quelqu’un qui est souverain avec les autres citoyens. Pour l’instant les règles de notre représentation font que nos représentants décident tout et nous rien. Ils ne sont pas nos serviteurs. Ils sont nos maîtres. » Enfin, la réalité et les limites du bien et du mal, du vrai et du faux, de la liberté et de l'esclavage, des devoirs et des libertés ne peuvent être définies par la démocratie, car ces valeurs ont leur essence propre, ce qui prouve que comme pour les mathématiques et la physique, il existe une transcendance et donc une intelligence supérieure à leur origine.
« Accorder le droit de vote à des personnes qui n’ont pas de bases solides en la matière revient à lâcher sur autoroute des adolescents amateur de jeux vidéos de course automobile (surtout qu'on ne devrait pas voter pour quelqu'un avec qui on n'est pas entièrement d'accord et totalement confiant, sauf si c'est pour un Bien qui semble très important). Les gens qui ne connaissent de la vie politique que ce que leur en disent les médias n’ont en général que peu de connaissance de l’histoire, aucune notion de philosophie politique, une compréhension très limitée des principaux mécanismes économiques et surtout une vision essentiellement émotionnelle des événements. La vision du monde change en fonction de ces connaissances. Nos choix politiques peuvent n’être déterminés que par nos intérêts ou ce que nous croyons être nos intérêts. La connaissance, elle, est un processus d’amélioration continu qui modifie sans cesse notre vision du monde, et accessoirement nos choix politiques. Sur cette base il faut apprendre à rechercher de l’information de qualité, être capable de relativiser les informations qui nous plaisent, ne pas rejeter irrévocablement celles qui nous perturbent, ne pas se soumettre aux sirènes et facilités de la propagande, et exercer un véritable esprit critique fondé sur de solides connaissances théoriques fertilisées par notre expérience et l’observation de la vie politique. Ce n est pas l’avidité des riches qui détruit la démocratie, mais l’absence de citoyens véritables en nombre suffisant pour créer un rapport de force. Un citoyen capable d’effectuer tranquillement des réflexions simples ne se laisse pas prendre. Il écoute les spécialistes compétents, comprend les arguments cohérents et ne se laisse pas prendre au jeu des autorités politiques et de leurs spécialistes de plateau télé. Un peuple correctement éduqué ne se laisse pas prendre à une propagande qui ne se crédibilise que par la répétition, l’hystérie, le jeu sur l’émotionnel. Que manque t-il aux peuples pour reprendre leur destin en mains ? La connaissance. La compréhension des choses. D’où l’importance pour le pouvoir de contrôler l’accès à la connaissance, à contrôler les esprits par l’imposition constante d’une fausse connaissance, l’information. Qui dit confort dit conformisme. Il est tellement plus facile, sécurisant, de se conformer à la norme, qu’elle quelle soit, que de faire l’effort d’exister par soi-même. Gageons que le déclin du quotient intellectuel dans les pays occidentaux ne provient pas des classes populaires. Celles-ci souffrent terriblement des politiques libérales menées depuis le début des années quatre-vingt. La souffrance ouvre les yeux, à défaut de faire ouvrir des livres, encore que le bas peuple se cultive plus politiquement que la majorité des gens des classes moyennes. (Or l'ancienne secrétaire adjointe au Logement et au Développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, dénonce que ce n’est pas une récession que nous vivons en 2022, c’est une guerre pour détruire les classes moyennes.) Ce sont ceux qui ne souffrent pas encore assez et qui refusent de s’intéresser à la politique qui font le jeu du pouvoir. La plupart des gens ne vivent pas. Ils ne font que subir leur vie. Ils réagissent aux événements, anticipent peu, et probablement pas du tout en ce qui concerne un domaine qui ne leur apparaît pas comme essentiel à leurs vies. » (Extraits de l'article « Réflexions sur la citoyenneté au travers de l’élection du 10 avril » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/17/reflexions-sur-la-citoyennete-au-travers-de-lelection-du-10-avril/)
Il est possible de voir aussi à ce sujet l'excellente vidéo « Alain Soral – De la politique (2009) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alain-Soral-De-la-politique-2009-67919.html
         Or il faut admettre que cette idée laïque d'inviter à dépasser dans la dignité les barrières communautaires par la citoyenneté et donc par la supériorité de la nation demeure intéressante, sauf qu'il faut y associer la volonté de bienveillance pieuse, car sans transcendance elle serait trop plate (puisque sans transcendance) pour élever les foules vers une noblesse stabilisatrice suffisante et encore moins maximale. C'est ce qui se passe actuellement en Russie avec son retour à l'Orthodoxie d'Etat et ce qui est l'essence du califat islamique originel facilitant en plus certaines règles aux non musulmans comme l'allégement de l'impôt social. D'ailleurs l'idée de Robespierre de reconnaître Dieu dans la constitution d'unir le peuple par la citoyenneté, les lois naturelles et bienveillantes, et l'interdiction de pratiques immorales ressemble aussi clairement au Califat islamique originel.        Pour comprendre ce principe de vraie et fausse laïcité et même de légitime ou illégitime laïcité, il faut remonter à l’Antiquité, qui est une période pendant laquelle la religion, la politique et le droit étaient intimement liés et unis, puis se sont séparés en partie. Ensuite même si Jésus était aussi un précurseur, lorsqu'il fit la distinction entre le le pouvoir religieux et pouvoir politique lors de sa célèbre réponse éclairée aux pharisiens « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », il faut comprendre que c'était dans le cas où un peuple croyant voire pieux est dominé par un autre peuple, mais que dans le cas ou un peuple croyant voire pieux détient le pouvoir, il faut évidemment lié le politique et le religieux au moins au niveau du droit, au minimum selon les grands principes religieux qui sont éternels et la base juridique devant définir tout le droit. Ce qui prouve clairement qu'il est possible de vivre même en tant que population musulmane sous la dominance d'un pouvoir non musulman, en particulier si la prédication est pacifiquement pratiquée. Dans ce sens on peut remarquer que le calife incarne le pouvoir politique (temporel) et religieux (spirituel), alors qu'en attendant la révélation de l’islam qui correspond à la révélation complète, Jésus représentant plus le divin a donc laissé la place à l'humain vers le politique dont pour que logiquement il établisse progressivement la perfection du spirituel dans l'organisation de la société par donc un ennoblissement, dont pour y instaurer l'équité et relativement le bonheur avant celui absolu du Paradis, et parce que la politique est par nature changeante comme par rapport au progrès scientifique ou à l'apparition de nouvelles catégories sociales. Puis donc la révélation complète qu'est l'islam a permis d'unir définitivement l'humain dans le politique (temporel) et le religieux (spirituel) à travers le califat devant choisir le meilleur (le plus sage) homme sans dynastie à la différence des rois juifs, et en étant ainsi particulièrement légitime pour cela, puisque donc dans un rang de valeur prophétique qui sont les meilleurs des hommes comme d'ailleurs les quatre premiers califes, quelques rois-prophètes juifs (dont David et Salomon) et évidemment que le Prophète (SBDSL). De plus les droits (laïques) de l'Homme donnant les mêmes droits aux humains quelle que soit leur couleur existe aussi déjà en islam. Or la laïcité qui cherche normalement la tolérance et le bien-vivre ne devrait pas actuellement ridiculement mesuré la longueur d'une robe ou enlever un voile sous menace de ne plus transmettre l'importance essentielle du savoir, ou empêché une mère voilée d'accompagner les sorties scolaires au risque de les annuler.
La laïcité antique correspondait à sortir le politique du religieux, alors qu'aujourd'hui elle sert à sortir le religieux du politique, et en plus ce n'est même plus une séparation mais une opposition. Ainsi quand on est un vrai républicain, il ne doit y avoir aucun corps intermédiaire entre le citoyen et la communauté nationale. Par conséquent aucun politicien ne devrait défiler pour une communauté, en particulier contre une autre, ce qui n'est souvent pas le cas, comme lors de la manif contre l'antisémitisme (en réalité pour Israël car suite à la guerre entre Israël et la Palestine) et non le racisme en général. Israël n'est même pas pieusement juif par sa religion (puisqu'il s'y trouve beaucoup d'athées juifs), mais donc honteusement par son suprématisme (racial, puisque être juif est lié essentiellement au sang de la mère). En effet la fraternité authentique ne se trouve donc logiquement pas dans la citoyenneté ni dans la patrie mais dans le monothéisme véritable. Surtout qu'aucune neutralité n'existant en politique, la prétendue neutralité de la laïcité est clairement fictive, d'autant plus qu'elle est venue pour écarter le catholicisme, le christianisme ou l'islam des États, afin d'y favoriser le sionisme, le capitalisme financier carnassier devenu en plus numérique et donc désormais la surveillance voire le contrôle massifs, puisque la reproduction et la propagation élargies de ce système ne peut plus se faire sans ces technologies. D'ailleurs le sionisme à la différence du judaïsme et encore plus du Mosaïsme correspond principalement à la recherche du pouvoir et de l'argent par de perverses élites juives dans le monde et en Palestine.
La révolution française marqua donc finalement l’apparition de l’homme citoyen aveugle, car dominé par les forces de l’idée dont en pensant que la raison humaine même sans piété pourrait prétendument exceller. Puis il apparut logiquement des constitutions égarées puis perverses, surtout qu'il n'est pas étonnant que la raison sans Dieu se soit orientée de plus en plus vers l'actuel matérialisme à outrance dont au niveau individuel et politique.
          A notre époque de laïcisme pervers et donc de nécessité à un retour moral, une marche en arrière vers sa laïcité modérée originelle, dans une forme de douce contre-révolution progressive et donc en souplesse comme sous la Russie de Poutine, devient ainsi nécessaire en France, c'est à dire dans un retour à son cœur spirituel comme la Russie. Or pour se réconcilier avec le religion, l'état devra passer par une réforme téhologico-politico-juridique. Il s'agit de propager une école politique contre-révolutionnaire sans forcément jusqu'au retour à une monarchie mais au moins à une république chrétienne, d'ailleurs comme en Russie. En effet en suivant le chemin inverse de la régression religieuse depuis la révolution française ayant commencé l'effacement du catholicisme charitable jusqu'à presque sa disparition de nos jours, reconnaître Dieu dans la constitution comme selon Robespierre et Poutine peut être considéré comme un premier pas incontournable vers l'importance de plus de piété chez le peuple, les institutions nationales et la recherche scientifique, surtout que cela préserve le monde de la nocive corruption. D'ailleurs la Russie est un modèle de société qui pourrait plaire aux occidentaux par rapport à des pays comme la Chine et l'Arabie saoudite. Selon Jacques Cheminade, la France et les français doivent être des bâtisseurs de nation, en permettant à chaque être humain au niveau national et international de développer ses pouvoirs créateurs et ses capacités à connaître, comprendre et intervenir dans les affaires publiques, caritatives, sociales et politiques. Être français, c’est donc être humaniste dans le sens anti-oligarchique et traditionnel, c’est-à-dire être centré sur les besoins de nos frères humains dominés et pas sur ceux de nos ennemis dominants, comme le firent les musulmans de l'époque de la révélation. Or la domination en soi n’est pas négative, si elle est éclairée avec des buts nobles et équitables. Ce retour à l'ordre moral christique authentique devient même essentiel, car le laïcisme devenu une tyrannie wokiste proclame un libéralisme libertaire sans limite, sans transcendance et donc sans Dieu, transhumaniste, et donc dans un désordre amoral logiquement destructeur dont par une addiction croissante au matériel profitant aux appétits les plus vils et aux idéologies les plus perverses. En effet cette fausse religion occulte qu'est le laïcisme (dont car certains se servent de la laïcité comme de l'anticléricalisme ou les confondent) fait oublier les véritables valeurs monothéistes voire les inverse souvent, ce qui ouvre la porte aux manipulations maléfiques en tout genre et donc au malheur, au mal-être et au chaos. D'ailleurs avant 1789, la nécessité de chacun à travers sa communauté en Dieu était source d'épanouissement personnel et de bonheur, mais avec la diminution du sentiment de ce lien après la révolution, des maux comme la dépression, l'augmentation du taux de suicide et l'addiction de toute sorte sont logiquement apparus.
Ainsi le laïcisme est aussi synonyme d'athéisme corrompu. En effet alors que le digne aristocratie authentique cherchaient à faire monter les meilleurs socialement par le mérite, l'indigne république antinomique fait monter au pouvoir des criminels individualistes, avides et tribaux. On en est même arrivé à un système archaïque puisque on autorise le massacre d'innocents par l'IVG et on sauve les coupables par le fin de la peine de mort. Et c'est pourquoi il n'est pas étonnant qu'une grande partie du peuple soit égarée tel par une secte (franc-maçonne), puisque ayant progressivement accepté ou ignoré les injustices graves de ce système, dont jusqu'à acceptant l'agenda (grandes lignes) mondialiste du grand reset à venir synonyme de la liquidation des structures nationales par l'économie numérique centralisée via l'UE. Cette mise en place du grand reset semble attendre la crise du capital (de la dette) à venir qui doit suivre celle technologique de 2000 et celle financière de 2008, afin de voler la démocratie par la tyrannie des banques que seules le nouveau système russo-chinois et les blockchains décentralisées liée à des cryptomonnaies peuvent arrêter, sans avoir à supprimer le cash si il est échangeable contre l'or. (Or cette grosse crise internationale des subprimes de 2008 pourrait plutôt indiquer que l'occident a perdu ou perdra aussi finalement la guerre froide, dont car il s'est écarté du christianisme authentique et même de la démocratie d’inspiration socialiste, qui exige plus de progrès, plus de répartition des richesses et plus de paix sociale.) Le ploutocratique agenda mondialiste du grand reset est résumé à cette adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Derriere-le-Covid-19-l-agenda-mondialiste-du-Great-Reset-61504.html
Mais le grand reset est également en rapport avec l'agenda 2030 porté par l'ONU, et donc lié à toutes les nations, qui l'applique plus ou moins.
« (De plus) Le grand reset sera probablement lié à l'endettement des états, une inflation grave, une grande perte d'emplois dû à la technologie, un fort chômage à plus de 25 %, et donc à un effondrement économique global (qui serait plus facile avec la dislocation de la Russie voire impossible sans cela). Or la banqueroute de l'Etat français annoncée par l'économiste Bernard Monot, pourrait être la principale cause qui fera advenir cette Grand bascule qu'est le grand reset (géo)politique si les Français n'ouvrent pas les yeux, c'est à dire l'avènement de cette nouvelle organisation politique planétaire fondée sur les ruines des nations adviendra. L'agenda principal pour mettre en place ce nouveau paradigme à l'autorité ploutocratique (qui sera composée d'entités déjà créées comme le Forum économique de Davos (incarnant l'organisation du programme politique oligarchique mondialiste), les grandes multinationales occidentales, le FMI, l'OMC, l'OMS, la commission européenne, la BCE) est : acte 1, appauvrissement des nations détourné des décisions politiques par le coronalibi, le climatlibi et l'ukrainolibi, acte 2, la banqueroute proprement-dite, acte 3, la surveillance et le contrôle des populations pour éviter une révolution populaire, acte 4, tentative de mettre en place un gouvernement mondial (occidental pour commencer) facilitée par cette surveillance. Un programme écrit noir sur blanc sur le site du Forum de Davos... Or Davos peut dans un sens être déjà considéré comme un gouvernement mondial (mais non officiel), car son agenda est suivi par les politiciens de beaucoup de pays puisque étant souvent des youngs global leaders (jeunes dirigeants pour la globalité, pour le mondialisme) et ayant participé à mettre sous pression leur pays respectifs par l'endettement massif. (Or à notre époque un pays en dette peut aussi corresponde à une économie relativement importante dont par rapport à un pays modeste voire pauvre économiquement même s'il est sans dette. En tout cas ces derniers demeurent plus pieux, sauf s'ils s'occupent moins de leurs faibles et du bon développement général.) D'ailleurs la pandémie devait être le début officiel du Nouvel Ordre Mondial via de nouvelles mesures politiques liées à la 4e révolution industrielle liée au numérique, au contrôle oligarchique et au transhumanisme, comme le pass sanitaire aurait dû être perpétuel sans les grandes manifestations qui eurent lieu contre lui. Surtout que ce WEF de Davos est porté par la force du Pentagone et correspond donc à une grande partie du réseau américano-sionisto-mondialiste dont avec aussi la finance internationaliste, des services de renseignement, les services spéciaux type CIA et le médias dominants (subventionnés). L’arme la plus puissante pour menacer voire contrôler l’existence d’un pays ou d’un régime n'est pas l’arme nucléaire, c'est la panique continue de ses habitants face à l’avenir, la guerre civile et leur méfiance totale envers les autorités en place. La crise énergétique signifie qu'il faudra payer beaucoup plus cher le chauffage, le carburant, l’électricité. C'est synonyme d'un impôt énergétique qui s’abat sournoisement en prétextant la faute à Poutine, alors que cela n’a rien à voir puisqu’il s’agit de décisions 100 % françaises, ou plutôt néolibérales. Or c'est par ses actions insensées que l’Occident s’est jeté dans une crise énergétique si grave, probablement aussi afin que la pandémie soit facilement et amicalement oubliée, et pour continuer la plan mondialiste de soumission de la France et de contrôle des français qui propage l'insoumission. Certains (toujours les mêmes idiots utiles) ne verront donc qu’une simple coïncidence dans le fait qu’on nous prépare déjà à de prochaines coupures des réseaux mobiles qui sont actuellement les plateformes préférées (et de loin) d’échange d’information et de partage sur les réseaux sociaux. Compte-tenu de la consommation relativement modérée des équipements de ces réseaux, on se demande un peu pourquoi le téléphone mobile devrait tomber en premier en cas de pénurie d’électricité… À moins de considérer qu’il s’agit ici de préparer les esprits à un contrôle non de l’énergie (ou pas essentiellement) mais plutôt de l’information.
(« La cours des comptes a tiré la première la sonnette d’alarme. Le déficit budgétaire de l’État pour l’année en cours dérape dangereusement pour s’établir à un niveau bien au-dessus des 4,9 % annoncés par le gouvernement. L’INSEE confirme dans la foulée, ce sera officiellement 5,5 %. Le gouvernement tremble de nouveau devant les agences de notations qui font peser la menace d’une énième dégradation de la note de la France. Il n’en faut pas plus pour que le petit théâtre médiatique se mette en branle et nous rejoue une énième fois la pièce de la France en faillite qui, en mauvais père de famille, dépense plus qu’elle ne gagne. Les explications et préconisations des experts autoproclamés sont les mêmes depuis quarante ans mais rien n’y fait, ce fameux « mur de la dette » ne cesse de croître et nous menace de la faillite. Pour le péquin moyen, c’est incompréhensible. Comment dépense-t-on autant d’argent alors que tous les services publics élémentaires se dégradent à vue d’œil ? Et la France n’est-elle pas la championne des prélèvements obligatoires et des impôts ? Mais où va l’argent ? Dans tout ce brouhaha, difficile de comprendre. Cependant, un argument mis en avant et répété sans cesse par la caste doit nous mettre la puce à l’oreille : la France n’a pas connu un budget à l’équilibre depuis 1974. Comment se fait-il que pendant la période qui court de l’après-guerre au milieu des années soixante-dix, nous avons connu un excédent budgétaire annuel et quasiment pas de dette ? Paradoxal quand on sait que ce fut une période faste en termes de dépenses et d’investissements, ayant pour conséquence une élévation spectaculaire du niveau de vie couplée à une modernisation sans précédent du pays. Les fameuses Trente Glorieuses. Au sortir de la guerre, la France est pourtant exsangue, tout est à reconstruire et les finances sont à sec. Invitée aux banquets des vainqueurs un peu par hasard, elle n’a pas connu la saigné de 14-18 et sa population pleine d’espoir et dynamique a de l’énergie à revendre. La question, dès lors, est la suivante : comment amorcer la pompe pour mettre en marche cette force de travail qui ne demande qu’à s’épanouir ? À défaut d’avoir de l’argent la France hérite du régime de Vichy des outils de financement de l’économie qui laissent les coudés franches à l’État en l’affranchissant de la finance privée. Le cadre théorique concernant la question monétaire était bien différent à l’époque. L’argent que possède un État n’était pas considéré comme une ressource finie, possession de tiers auprès desquels l’État doit emprunter. C’est au contraire une conception totalement juridique. Par la loi, l’État s’arroge le monopole de l’émission de monnaie et rend son utilisation obligatoire pour tout échange sur son territoire au détriment de tous les autres : devises étrangères, or ou argent métal. Les taxes et impôts prélevés sur ses administrés, entreprises comme ménages, renforcent ce rôle central en garantissant son utilisation par les agents économiques privés. Dans ces conditions, la monnaie n’est pas une dette que l’État rembourse à des agents extérieurs contre intérêts. C’est un bien public à disposition de l’économie, un support pour permettre les échanges en son sein. Et plus un moteur est gros, plus il consomme d’huile pour fonctionner. Il en va de même de l’économie d’un État avec sa monnaie : plus il connaît de transactions, plus il lui faut de monnaie pour y répondre. Sous la houlette d’un groupe de hauts fonctionnaires brillants et soucieux de l’intérêt général, un mécanisme génial de financement de l’État et de l’économie va voir le jour. On lui donnera le nom de « circuit du Trésor ».  L’État, via le Trésor, émet de la monnaie qu’il investit dans l’économie par des politiques de grands travaux ou via ses différentes agences et grandes entreprises publics. Mais l’État n’est pas qu’investisseur, il est aussi banquier. Banques commerciales, grandes entreprises, organismes sociaux ont un compte au Trésor, ils sont tenus d’y placer leurs liquidités. On les appelle les « correspondants du Trésor ». L’État centralise ainsi une énorme masse monétaire, un « dépôt à vue », qu’il peut mobiliser également pour financer l’économie. Une telle politique génère de d’inflation mais celle-ci reste bien inférieure à la croissance économique qu’elle génère. En outre, la centralisation des comptes offre un outil de politique monétaire redoutable. En exigeant de ses correspondants des seuils minimaux d’immobilisation de leur trésorerie, il influe directement sur la masse de monnaie en circulation. Seuils qui évoluent selon les circonstances : plus l’inflation est forte, plus les montants demandés sont élevés et inversement. L’État peut offrir un rendement aux dépôts laissés au Trésor mais il en décide seul du taux selon les circonstances. Le monde à l’envers ! C’est à cette période que naissent des agences et instituts permettant un pilotage précis et performant de l’économie. L’INSEE ou le commissariat au plan en sont les meilleurs exemples. Cette architecture monétaire va permettre la reconstruction de la France, garantir sa modernisation et son indépendance et assurer des services publics de grandes qualités. Tout cela avec une dette inexistante. Sous la houlette du général de Gaulle, la France va connaître une période faste et heureuse : les fameuses Trente Glorieuses. » (Article « Dette : le débat interdit. (Partie 1) Le circuit du Trésor : quand l’État faisait la loi » de Ian Purdom))
Une crise alimentaire et énergétique associée à l'inflation détruisent principalement un pays comme l'a montré le Sri Lanka. Or cette dernière a eu plus lieu à cause d'une promesse présidentiel ayant arrêté les engrais et pesticides synthétiques. C'est pourquoi il faut faire attention que cela ne le devienne pas une révolution orange encore manipulée comme il sera expliqué plus tard, même si avec les révolutions oranges beaucoup de pays ont compris qu’ils avaient intérêt à surveiller les mouvements subversifs. En effet le Sri Lanka est un carrefour et une plaque tournante des corridors maritimes de l’Asie et donc de la Chine avec ses routes de la soie vers l’Afrique, le Proche et le Moyen Orient, l’Europe et au delà. 50% du trafic pétrolier et 75% du trafic international des containers passent près de ses côtes. Outre ses infrastructures portuaires parmi les plus modernes et les plus importantes au monde comme celle d’Hambantota construites par la Chine, le Sri Lanka dispose du plus grand port en eau profonde de l’Asie du Sud Est : Trincomalee.
L’impérialisme US et les anciennes ou plutôt actuelles puissances coloniales ne peuvent être indifférentes et ignorer la place originale de ce pays dans la région, quoi que leur politique a toujours été perversement que les autres nations ne seraient pas civilisées si elles ne les suivaient pas. Cela n’est pas sans expliquer l’acharnement mis ces vingt dernières années pour déstabiliser le Sri Lanka, le diviser, contribuer directement à des changements de régime et remettre en selle les forces de l’oligarchie locale dépendante de Londres, Bruxelles et Washington. La dette sri-lankaise appartient à 90% aux pays occidentaux et à leurs institutions financières. Leur objectif commun étant de conduire le mouvement populaire dans une impasse en faveur donc des oligarques pro-occident.
Ces événements ne sauraient être isolés de ceux qui sont liés à la crise ukrainienne, au climat de russophobie et de divagations antichinoises dans lequel nous baignons, alors que la Chine qui a beaucoup contribué dans le passé au développement des infrastructures du Sri Lanka(Ports, Aéroports, routes, etc..) s’est engagée à continuer d'apporter sans condition son soutien politique, économique et financier au Sri Lanka. Cela est fait pour diminuer l'influence de plus en plus grande des BRICS qui doivent donc faire attention à toute nation en particulier stratégique comme le prouve cette crise sri-lankaise. Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), sont un groupe de pays (tendant à s'élargir) qui s'est créé telle une affaire de circonstances fasse à une affaire d'idées qu'est l'occident tyranniquement hégémonique lié à l'OTAN. C'est à dire que par rapport aux populations pro-occidentales, il faut logiquement de la géopolitique mondialiste, conservatrice et multipolaire, face à la géopolitique mondialiste, américano-wokisto-sioniste et unipolaire. De manière générale, les BRICS plaident pour une refondation des organisations internationales comme le Conseil de Sécurité de l'ONU et les organisations de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale) afin qu'elles reflètent mieux l'émergence des nouvelles puissances et le caractère multipolaire du monde au 21e siècle, surtout qu'il se propage au niveau mondial, une lassitude du statu quo international économico-militaro financier actuel en grande partie perverti par les USA. Or les BRICS ne sont pas un groupe de pays monolithique ayant tous les mêmes intérêts. Ils peuvent converger, un peu, beaucoup ou passionnément, tous ensemble ou par groupe en fonction des sujets. Par exemple pour diviser les BRICS, des pays comme la Pologne préfèrent laisser à l’Inde s’approprier une part du gâteau des échanges commerciaux qui était auparavant réservée à la Chine. En effet pour Varsovie, l’alliance sino-russe est perçue sous un jour très différent suite à février 2022. L’accord Orlen-ArcelorMittal n’est qu’une étape dans ce processus. Or il marque en même temps un jalon dans l’évolution des relations économiques entre la Pologne et l’Inde, ce qui peut tenter l'Inde à quitter les BRICS pour concurrencer la Chine, mais qui pour l'instant fait encore développer les BRICS. Il pourrait aussi tout à fait y avoir création d’une monnaie BRICS mais possiblement sans l’Inde, l’Afrique du Sud et ni le Brésil attachés au dollar. En effet cette monnaie pourrait par exemple n’être lancée que par la Russie et la Chine et les autres pourraient l’utiliser sans en faire officiellement partie.
(« Relisons (des extraits de) ce qu’a dit Vladimir Poutine dans son discours important de Sotchi le 24 octobre 2014, sur le thème « Ordre mondial : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? » :
« Aujourd’hui, le monde est plein de contradictions. Nous devons être francs en nous demandant mutuellement si nous avons un filet de sécurité fiable et bien en place. Malheureusement, il n’y a aucune garantie et aucune certitude que le système actuel de sécurité mondiale et régionale soit en mesure de nous protéger des bouleversements. Ce système a été sérieusement affaibli, fragmenté et déformé. Les organisations internationales et régionales de coopération politique, économique, et culturelle traversent également des temps difficiles.
Oui, un grand nombre des mécanismes actuels visant à assurer l’ordre mondial ont été créés il y a très longtemps, y compris et surtout dans la période suivant immédiatement la Seconde Guerre mondiale. Permettez-moi de souligner que la solidité du système créé à l’époque reposait non seulement sur l’équilibre des forces et les droits des pays vainqueurs, mais aussi sur le fait que les « pères fondateurs » de ce système se respectaient mutuellement, n’essayaient pas de mettre la pression sur les autres, mais tentaient de parvenir à des accords.
L’essentiel est que ce système doit se développer, et malgré ses diverses lacunes, il doit au moins être capable de maintenir les problèmes mondiaux actuels dans certaines limites et de réguler l’intensité de la concurrence naturelle entre les nations.
Je suis convaincu que nous ne pouvons pas prendre ce mécanisme de freins et contrepoids que nous avons construit au cours des dernières décennies, parfois avec les plus grands efforts et difficultés, et tout simplement le détruire sans rien reconstruire à sa place. Sinon, nous serions laissés sans instruments autres que la force brute. »)
Or rien n'est inéluctable au niveau économique et social si on favorise d'abord sa propre nation avant de s'orienter vers les autres nations, car tout est une question de bonne gestion politique ferme.En effet on sait comment rétablir l'autorité, l'atteinte à la pudeur, l'outrage aux bonnes mœurs, surtout qu'étant des lois existant toujours.
Il est clair que Poutine estime indispensable d’avoir un «système de sécurité mondiale et régionale» qui serve de «filet de sécurité fiable et bien en place». Il a besoin d’«organisations internationales et régionales de coopération politique, économique, et culturelle», et la seule chose qu’il déplore est leur affaiblissement. Bref, il prône un Ordre Mondial, avec ou sans majuscule. On comprend qu’il pense en tout premier lieu à l’ONU, avec son Assemblée générale et son Conseil de sécurité. Il n’y a pas de langue de bois dans ce discours : Poutine ne minimise pas l’état d’impuissance dans lequel est tombé l’ONU. Cela donne d’autant plus de poids à son appel à sauver l’ONU.
Malgré ses défauts et ses défaillances, l’ONU reste un rempart, ou tout au moins un obstacle, à l’unilatéralisme impérial de la nation qui possède près de la moitié des armes du monde, et des bases militaires sur tous les continents. En attendant que Jésus revienne avec ses anges (au Vatican ?), nous avons besoin de l’ONU.
La doctrine officielle sous Bush fils en 2001, défend la nécessité de la guerre préventive « afin de décourager des compétiteurs potentiels d’aspirer à un rôle régional ou global plus grand ».Voilà le Nouvel Ordre Mondial que souhaitent les néoconservateurs (dont le vrai nom est «crypto-sionistes») ; c’est le contraire que celui que prônaient les conservateurs authentiques qui avaient soufflé à George Bush Sr. son discours du 6 mars 1991, pour limiter les dégâts de la première Guerre du Golfe. La vraie question est bien celle que posait Vladimir Poutine en 2014 : « Ordre mondial : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? » » (Extraits de l'article « Qui veut la mort de l’ONU ? – Laurent Guyénot » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/25/qui-veut-la-mort-de-lonu-laurent-guyenot/)
L'attitude arrogante des USA est fondée, avant tout, sur la croyance d’être une nation supérieure élue par Dieu pour gouverner le monde à tout jamais – les lois sont écrites pour les nations inférieures. Croyance, qui est aussi profonde que l’ignorance non seulement de l’histoire peu enviable de tous les empires du passé, mais également de sa propre histoire. L’ignorance qui lui fait oublier l’humilité pouvant rappeler la réalité historique : les seules capacités et aptitudes possédées par les Etats-Unis d’Amérique ont été, cela fait seulement 200 ans, de faire pousser le coton par des esclaves et de perpétrer les massacres à grande échelle des populations indigènes du continent et du monde, afin de voler leurs terres et ressources.
« Le camp occidental ne dispose plus du poids économique qu’il avait encore, il y a 23 ans et qui lui permettait de dominer de la tête et des épaules l’économie et la finance mondiale. D’autant que l’opération de dédollarisation des échanges mondiaux initiée par la Russie et mise en oeuvre par la totalité des pays BRICS n’a pas encore produit ses premiers résultats. Un nombre croissant de pays se rallient jour après jour aux échanges hors dollars pour échapper aux pressions, voire aux sanctions et à l’extraterritorialité du droit états-unien, attachée à l’emploi du dollar dans les transactions. Cette dédollarisation qui ne fait que commencer pourrait avoir des effets d’une ampleur inédite sur l’économie mondiale, boostant les économies s’affranchissant du dollar et précipitant le déclin des États qui s’accrochent aux « règles », désormais obsolètes, du passé. Le déclassement de l’occident prendra sans doute quelques années, mais il est désormais inéluctable et irréversible. La guerre en Ukraine, survenant après la phase aiguë de la crise Covid, aura précipité les choses. L’opération spéciale aura pleinement joué son rôle en obtenant, par l’économie, plus que par la force des armes, un affaiblissement durable de la coalition occidentale et de l’ idéologie néoconservatrice et mondialiste de sa gouvernance. » (Extraits de l'article « Économie mondiale: bras de fer BRICS-OTAN en données chiffrées » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/17/economie-mondiale-bras-de-fer-brics-otan-en-donnees-chiffrees/)
Pour autant le peuple sait faire preuve d’une grande intelligence collective face aux épreuves. Il l’a montré dans le passé ! Tôt ou tard il retrouvera la voie qui lui permettra de nouvelles avancées sociales et politiques. Surtout que le projet du grand reset se transforme de plus en plus en grand réveil. . Alors bien sûr, tous les jeunes et moins jeunes ne sont pas méfiants sur les intentions des adultes en charge de la direction de la société et de la communication de masse. Beaucoup tombent dans les pièges tendus, et on ne peut pas les en blâmer : pour beaucoup il a fallu aussi des années pour les déterminer, les neutraliser et les dénoncer afin éviter que d’autres ne tombent dedans. Beaucoup d'ailleurs n'ont pas lu de livre ni recouper des informations et sont donc seulement de paresseux croyants soumis au système, aux vaccin ARN, au réchauffement climatique, aux méchants russes, aux gentils israéliens, etc...
La recherche d’alternatives et l’aspiration à une nouvelle architecture mondiale fondée sur un monde multipolaire, le multilatéralisme, la non ingérence, la non intervention et le respect de la souveraineté sont en effet à l’ordre du jour. C’est à dire tout à la fois la charte des Nations-Unies, les principes de Bandung et ce que l’on retrouve dans cette formule de Xi Jiping en faveur d’une “communauté de destin”. D’une certaine manière la radicalisation des événements au Sri Lanka peuvent réserver des retournements de situation inattendus.
Au fond le système capitaliste et de domination impérialiste est devenue anachronique incapable qu’il est de répondre aux défis qui sont ceux de l’humanité toute entière. Il doit céder la place. Voici venir le temps des révolutions, les vraies celles qui doivent être conduites à leurs termes par les peuples à travers la solidarité et un internationalisme de notre temps. » (Jean Pierre Page)
« La majeure partie de la planète a déjà compris, toute seule, ce qui est ou n’est pas « démocratique » dans le langage américain : ceux qui suivent les dictats américains sont démocratiques ; ceux qui souhaitent suivre leurs propres conseils sont antidémocratiques. C’est tout ce qu’il y a à faire : les démocrates sont obéissants tandis que les désobéissants sont des dictateurs qui doivent être renversés. Ce schéma étant de toute évidence égoïste et idiot, le cercle d’obéissance ne cesse de se rétrécir et ne comprend plus que les pays de l’UE et de l’OTAN, plus les pays anglo-saxons et quelques colonies et dépendances éparpillées. Et même ce cercle est maintenant visiblement en train de s’effilocher sur les bords.
Le spectre déclinant de l’unité occidentale (dont en faveur l'UE) est donc clair, en particulier par rapport à l’argent et aux armes donné massivement aux voleurs ukrainiens (sans se préoccuper de leur destination), à l’imposition des sanctions autodestructrices à la Russie (sans se préoccuper de savoir avec quoi son propre peuple chauffera ses maisons ou fera pousser sa nourriture) ou à la division au sein de l'Otan. (Il s'agit d'une lutte entre le monde unipolaire vassalisant les nations aux USA et le monde multipolaire mettant à égalité les nations.)
Or la capacité des États-Unis à commander le monde entier est terminée, malgré des décennies passées à vouloir en faire toujours plus sa succursale. Le monde unipolaire est mort ; le monde n’est pas encore multipolaire, il est pour l'instant non-polaire. Personne ne se soucie particulièrement de définir précisément l’un ou l’autre de ces nouveaux pôles. Les pays ne se trouvent plus le long d’un spectre ou même sur une carte : ils sont dans un maillage multidimensionnel.» (Dmitry Orlov)
« Le conflit entre l’Occident et la Russie remonte à plus de mille ans, et prend racine dans l’histoire et la géopolitique. Le Grand Schisme d’Orient en 1054 a marqué le début de cette rivalité, séparant l’Église orthodoxe de l’Église de Rome et affaiblissant le pouvoir des papes et des souverains affiliés à l’Église romaine. Au fil des siècles, d’autres acteurs sont venus s’ajouter au jeu, notamment l’expansionnisme germanique vers l’Est, incarné par Hitler avec l’Opération Barbarossa en 1941. L’impérialisme britannique a également joué un rôle majeur, cherchant à encercler l’Empire tsariste.  Aujourd’hui, le conflit entre l’Occident et la Russie a évolué, avec de nouveaux acteurs tels que les États-Unis et Israël. L’Occident s’identifie au bloc capitaliste libéral, tandis que la Russie est vue comme le pilier du bloc eurasiatique. La Russie continue de poser des limites à l’expansionnisme occidental et donc de respecter l'importance des limites tel un père, en rappelant notamment les échecs de Napoléon et d’Hitler dans leurs tentatives d’invasion. L’idée de partage de la Russie, formulée par des intellectuels ukrainiens comme Youriï Lipa en 1941, refait surface dans les débats contemporains. Certains groupes, soutenus par des acteurs de l’état profond anglo-américain et peut-être même par George Soros, cherchent à affaiblir la Russie en encourageant les revendications nationales et régionales au sein de la Fédération de Russie. Ces initiatives ont conduit à la création d’un forum appelé « Forum des Peuples Libres de la Post-Russie », qui se réunit régulièrement pour discuter de l’éclatement territorial de la Russie. Les réunions ont eu lieu dans diverses villes européennes, américaines et japonaises, et sont financées par des acteurs externes. Il est crucial de surveiller de près ces développements, car ils pourraient avoir des implications significatives sur la stabilité de la région et les relations internationales. L’Occident doit être conscient des idéologies suprémacistes et expansionnistes qui animent certains groupes ukrainiens et veiller à ne pas les soutenir tacitement. La Russie et l’Ukraine partagent une histoire complexe et des relations tendues, mais la solution aux conflits régionaux ne réside pas dans l’encouragement de mouvements radicaux. Au lieu de cela, une approche diplomatique et la recherche de solutions pacifiques sont essentielles pour favoriser la stabilité et la coopération dans la région. Il est impératif que l’Occident s’engage dans un dialogue constructif avec toutes les parties concernées pour résoudre les différends régionaux et promouvoir la paix. Ignorer ou soutenir des groupes extrémistes ne fera que compliquer davantage la situation déjà fragile en Europe de l’Est. » (Intervention « L’Occident collectif rêve de l’éclatement territorial de la Russie » de Lucien Cerise résumé par le média en 4-4-2)
« Vaincre la Russie en exterminant son (propre) peuple apparaît de plus en plus comme le grand pari de l'union européenne(, surtout
que certains messianistes juifs prédisent et recherchent la destruction de l'Europe et y participe pour que leur messie arrive comme il sera vu).
On a donc le retour du vaccin obligatoire, des confinements, des pénuries et la grande suppression de l’électricité car il est bon disent nos médias aux ordres (jusqu’où iront nos génocidaires journalistes si dignes de nos génocidaires élites ?) de protéger le climat ou la terre ou Gaïa ou je ne sais quoi. La guerre contre la Russie a servi depuis le début comme je l’ai dit à nous préparer au grand reset et à la coupure d’énergie si nécessaire pour mettre fin au réchauffement climatique – c’est-à-dire à la vie humaine qui va avec. Ces sanctions étant autodestructrices, elles ont donc pour but principal d’imposer le reset. Les règles nouvelle normalité voulue par les mondialistes organisant ce grand reset synonyme de mise en esclavage comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée et une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée), contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma (l'industrie pharmaceutique), le Big Tech et la sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement. Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique. On glisse vers une situation à la britannique, où le culte du profit, la destruction du public au profit du privé sont rois. Or avec une relative pénurie alimentaire ou un affaiblissement de l'approvisionnement des matières premières voire une grosse crise économique, le système peut éviter d'avoir à donner des contre-ordres concernant la tyrannie sanitaire pour continuer d’apeurer le peuple, de faire disparaître les PME (l'artisanat) au profit de l'industrie massive et donc de la centralisation économique, et ainsi de contrôler de plus en plus toutes les ressources, toutes les technologiques et tous les services, surtout que cela va empirer à cause des actes occidentaux ayant poussé la Russie à entrer en guerre contre l'Ukraine.
En cas de coupure totale de courant (ce qui est le seul moyen avéré de protéger la planète des éruptions solaires), 90% de la population disparaîtrait en occident.
Mais tout cela nous est imposé par les élites et par Davos et tout cela est basé sur la guerre contre la Russie. Or on ne la gagne pas et cela se sait maintenant en haut lieu et en bas lieu mais tout le monde s’en fout ou presque. L’objectif de la guerre contre la Russie est de nous faire crever, pas de reprendre la Crimée (on en est incapables de toute manière, mais c’est un autre problème).
Orwell a bien dit qu’une guerre ingagnable est une guerre bonne pour l’élite qui ruine la population et qui aplatit le niveau de vie donc la capacité de réagir. (« Quand la CIA infiltrait la culture » est un documentaire de Hans-Rüdiger Minow, 2006 qui explique que dans l’après-guerre, les services secrets américains ont lancé une vaste opération d’infiltration des milieux européens de la culture. Ils se sont servis de personnalités comme Hannah Arendt, Heinrich Böll, Leonard Bernstein, George Orwell et Jackson Pollock comme armes de guerre froide. Pendant la Guerre froide, la CIA a consacré plusieurs millions de dollars du plan Marshall afin de manipuler artistes et intellectuels de gauche, qu’elle essaie de soustraire à l’influence marxiste et de gagner à la cause américaine. (Or sans son ouvrage « Les origines du plan Marshall » Annie Lacroix-Riz démonte les rouages de ce plan qui déjà en lui-même fera de l'Europe une colonie américaine. La Charte de l’Atlantique, les accords Blum-Byrnes, le système de Bretton Woods forment le prologue du Plan Marshall. Ils ont été extorqués par les Etats-Unis à une Europe en guerre. Ces accords léonins enchaîneront l'Europe à l'atlantisme jusqu'à aujourd'hui. Ils sont l'aboutissement d'un plan américain de conquête du monde élaboré à la fin du dix-neuvième siècle.) Un organisme, le Congrès pour la liberté de la culture, dont le siège se trouve à Paris, et quelques fondations servent de couverture. Ils soutiennent en particulier l’art non figuratif. Beaucoup d’écrivains travaillèrent pour la CIA et en profitèrent, consciemment ou inconsciemment. Actuellement, les intellectuels sur papier n’ont plus guère d’influence. Les médias ont pris la relève. Avec ou sans CIA ?)
Mais concluons : le malthusianisme obtus est la philosophie de base de nos maîtres anglo-saxons. Le pauvre (99% de la population) n’a pas été « invité au banquet de la nature », il doit donc crever, dût-on comme Macron lui couper le courant qu’on gardera pour les efforts zélés de Zelenski.
(D'ailleurs les dirigeants européens avaient dit : "On lance un embargo sur le pétrole/gaz, on va détruire l'économie russe." Puis Poutine a fermé les robinets. Et les dirigeants européens disent désormais : "Poutine refuse de nous vendre du pétrole et du gaz ! Il se sert de l'énergie comme une arme économique contre nous.")
C’est Poutine qui guette une révolution européenne : et si elle n’avait pas lieu ? » (Nicolas Bonnal)
Début de l’article « La stratégie du Kremlin pour provoquer l’effondrement de l’Occident » à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/11/la-strategie-du-kremlin-pour-provoquer-leffondrement-de-loccident/ :
« Vous vous étonnez que la Russie ne riposte pas vigoureusement aux diverses attaques présentées comme « substantielles » par les occidentaux ? Sabotage des pipelines Nord-Stream2, assassinat de Daria Dugina, attaque hier du pont de Crimée ? Vous vous étonnez que la Russie ait d’elle-même stoppé en mars dernier l’offensive de Kiev alors qu’il était évident pour tout le monde qu’elle pouvait prendre la capitale sans problème puisque l’Ukraine n’avait à ce moment aucune aide occidentale ? Vous vous étonnez que la Russie n’utilise pas la totalité de la gamme de ses armes? Plusieurs fois j’ai lu par exemple l’étonnement que les chars Armata ne soient pas au combat. Vous vous étonnez que la Russie ait appelé 300.000 réservistes alors même qu’elle n’a envoyé en Ukraine qu’environ 15% de ses forces militaires d’engagés ? Vous vous étonnez que la Russie n’ait pas encore liquidé Zelenski? Nous *savons* ou il se trouve quasiment en permanence et il serait facile d’envoyer une dizaine de missiles dans le lieu de sa présence. Il n’y a pourtant rien d’étonnant à ceci si on se rappelle les interventions de Vladimir Poutine où il explique les raisons de l’opération militaire en Ukraine. La raison est un combat contre non pas l’Ukraine en elle-même, mais contre le système occidental actuel qui, pour assouvir ses objectifs d’hégémonie mondiale, doit détruire la Russie. L’Ukraine est le terrain où se joue ce combat, rien de plus. Que se passerait-il aujourd’hui si nos forces avaient pris Kiev en mars ? Que se passerait-il aujourd’hui si nous avions déployé toutes nos forces pour prendre la totalité de l’Ukraine ? La Russie se serait agrandie, avec de nouvelles frontières. Et rien d’autre n’aurait changé, les pays occidentaux continueraient leur diktat mondial en distribuant menaces et sanctions ! QUI est la victime du sabotage du Nord-Stream2 ? Les pays d’Europe. La conséquence sera un effondrement économique grandiose dans les mois voire les semaines à venir, et nous l’espérons des révoltes dans ces pays contre les gouvernements en place. »
A ce sujet également, voici des extraits de l'article « Et si l’objectif russe n’était pas de vaincre l’Ukraine, mais de vaincre l’Occident ? par Dominique Delawarde » à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/12/et-si-lobjectif-russe-netait-pas-de-vaincre-lukraine-mais-de-vaincre-loccident-par-dominique-delawarde/ :
« Dès le début de l’opération en Ukraine, j’ai commencé à me poser de nombreuses questions sur ses buts, ses objectifs et son résultat final. Les actions de notre armée et de nos autorités ont clairement indiqué que la Russie ne s’efforçait pas d’achever rapidement l’opération. Voyez comme c’est étrange : Retrait volontaire des troupes près de Kiev ; Refus de la prise d’initiative ; Arrêt des opérations offensives et passage en défensif ; Négociations délibérément dénuées de sens ; Étranges échanges de prisonniers ; Frappes quasi-exclusivement contre des cibles militaires ; Refus catégorique d’endommager les infrastructures stratégiques “civiles” ; Référendums organisés à la hâte ; Refus d’attaquer les QG et centres de décision ennemis. Et il existe de nombreuses autres bizarreries qui ne sont pas typiques des actions d’une équipe qui a l’intention de remporter une victoire rapide et décisive (notamment : pas d’attaque contre la DCA, contre les voies d’approvisionnement etc). Dans le bras de fer OTAN-Russie qui se déroule sur le théâtre ukrainien, il y aura un vainqueur et un vaincu en fin de partie. Et c’est bien le degré de résilience économique et sociale de chacune des parties en conflit qui désignera le vainqueur. Pour moi, le temps joue aujourd’hui en faveur de la Russie qui n’a donc aucun intérêt à précipiter les choses et qui ne prend d’ailleurs aucune mesure dans ce sens, d’autant que les gestions européenne et US suicidaires de ce conflit, par des sanctions boomerang, risque fort de provoquer, à court terme, un profond déclin voire un effondrement économique occidental durable tout à fait comparable dans son ampleur et dans ses conséquences à celui que l’ex-URSS a connu en 1990. Si après un hiver douloureux, une inflation à deux chiffres entraînant une baisse importante du pouvoir d’achat et du niveau de vie en occident, des faillites d’entreprises et des troubles sociaux qui ne peuvent que s’y multiplier, un effondrement partiel ou total de leur économie, les gouvernances des pays membres de l’OTAN réalisent qu’elles n’ont d’autres choix que d’accepter de nouvelles règles, celles du monde multipolaire tel qu’il se dessine aujourd’hui, alors seulement la Russie aura gagné la partie. On ne le répétera jamais assez, l’enjeu du bras de fer OTAN-Russie dépasse largement les frontières de l’Ukraine. Pour la Russie et les États qui la soutiennent, il s’agit de neutraliser une fois pour toute l’hégémon « US-OTAN-dollar » et de revoir le fonctionnement des organismes qui lui sont plus ou moins associés et/ou soumis (FMI, OMC, et même ONU). »

          C'est pourquoi après que le corrompu système oligarchique ait créé un énorme problème économique au niveau mondial en vantant et portant sournoisement la croissance illimitée alors que nous vivons sur une planète limitée, le grand reset du système ne peut que mentir lorsqu'il prétend y répondre correctement pour le bien de tous... Surtout que la domination de l'Ukraine par l'occident faisait partie du projet du grand reset et que la guerre avec la Russie était dans les plans, car dans le calcul mondialiste, la Russie devait s'effondrer économiquement puis donc se morceler comme la Yougoslavie qui commença par subir la première révolution colorée, ce qui aurait fait que la Chine aurait suivi et que le pervers mondialisme ploutocratique aurait triomphé.
Cette implosion-explosion yougoslave a aussi engendré pour la première fois un effet détonnant, régional et virtuellement mondial, en raison de l’implication des puissances globales attirées par le vide à remplir, suite à l'effondrement de l'URSS et donc à la transition fréquente du système politique socialiste à celui nationaliste.
          Mais ce n'est pour l'instant clairement pas le cas. Le président Poutine a clairement identifié les véritables responsables des problèmes de l’Europe et des États-Unis, et donc les enemis du monde : une classe d’oligarques qui se sentent autorisés à diriger le planète. Poutine, Khadirov et leurs gouvernements relèvent donc enfin louablement le niveau des élites blanches et donc de l'homme blanc auprès du monde.
Poutine est même allé jusqu'à préciser véridiquement que ces élites et leur système wokiste sont sataniques, ce qui correspond clairement à une grande épreuve de fin des temps, et amène donc à dénoncer et à lutter contre toute la corruption du système occidental que ce soit au niveau géopolitique, militaire, politique, mondialiste, économique, financier, monétaire, social, éducationnel, sociétal, etc. D'ailleurs lors de sa première intronisation en tant que président de la Russie, il a mis fin radicalement au pillage de son pays par des oligarques non patriotes qui eut lieu de 1991 à 1999. Ainsi lors d'un discours il a expliqué que l’ancien ordre mondial unipolaire était mort et expliqué comment l’Occident se suicidait pour répondre aux souhaits de la bande du Forum Economique Mondial de Davos. C'est à dire que les organisateurs du grand reset ont compris les limites de leur pseudo utopie. Pourtant ces perverses élites oligarchiques, mondialisées et apatrides contrôlant de nombreux gouvernement continuent d’œuvrer à l'effondrement de leur propre système, car comme il ne les favorise plus, ils veulent le détruire pour en reconstruire un qui leur est encore plus favorable. Il faut noter qu'il y a actuellement une baisse de la valorisation de l'ensemble des classes d'actifs au même moment tel un crack de tout : actions, obligations, cryptomonnaies, matières premières dont alimentaires et énergétiques, métaux précieux, immobilier, entreprises technologiques. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « Great Reset : Des pénuries organisées à la famine - Politique & Eco n°345 avec Marc Gabriel Draghi » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=G02pWD1-jtk&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Les causes du plus grand crack financier sont en réalité simples. En effet quand les banques ont inscrit dans leur bilan des biens qui ont connu des prix en forte baisse, elles vont donc accuser une perte, ce qui crée logiquement souvent un effet boule de neige. Surtout que quand les banques affichent des pertes, elles doivent renforcer leurs fonds propres en recherchant toujours plus d'argent et limitant grandement les prêts pour éviter la solvabilité et donc garder l'équilibre du système financier. C'est à dire que tout cela provoque un affaiblissement des banques, et donc un danger pour le système bancaire européen, et même des faillites bancaires risquant un effondrement du système bancaire par leurs logiques propagations, et ainsi une nationalisation des comptes bancaires qui ne sont garantis qu'à hauteur d'une valeur 100000 euros. Surtout que la crise obligataire pourrait déjà faire imploser le système financier et mettre l'économie mondiale à terre, puisque avec l'élévation de taux d'intérêts sur une longue durée, les grosses institutions financières sont fragilisées, car elles perdent beaucoup d'argent suite à la baisse de valeur de leurs obligations. D'ailleurs l'augmentation des taux amène même les pays qui empruntent à devoir finalement  payer les intérêts de la dette comme premier poste de dépense de l’État avant l'éducation ou la défense, ce qui y entraîne une inquisition fiscale, voire une disparition de l'économie capitaliste au niveau de l'occident mais aussi d'une grande partie du monde. Ce qui mènerait probablement à la censure d'internet et à l'obligation d'ouvrir ses portes sous prétexte de lutte contre les punaises de lit, et donc à un totalitarisme de l'oligarchie mondialiste pour contrôler les populations insoumises et résistantes. Mais tout peuple peut reprendre son bon destin en main à tout moment.
« « Nous exhortons tous les pays du monde à ne pas acheter à la Russie les céréales volées en Ukraine, nous les exhortons à vérifier leur origine », a ainsi déclaré Peter Stano, porte-parole des Affaires étrangères de la Commission européenne, signe d’une certaine nervosité à Bruxelles. Car, sur le terrain, l’armée russe est en train de gagner la guerre. A terme, c’est non seulement le Donbass, déjà pratiquement libéré du joug de Kiev, mais tout le territoire au sud d’une ligne Odessa-Kharkov qui pourrait rejoindre le monde russe auquel il avait toujours appartenu. Derrière l’armée, le rouble, les administrations et les entreprises russes chargées de la reconstruction suivent déjà. La République de Donetsk a affirmé que son intégration comme sujet de la Fédération de Russie était déjà en cours. A terme, Kiev serait hors-jeu et la Russie contrôlerait l’Ukraine utile, non seulement industrielle, mais aussi maritime et agricole. Cette Novorossiya, nouvelle Russie, produit 50% du blé ukrainien. L’Occident s’opposera-t-il à son exportation pour des motifs idéologiques ? «Ils essaient de limiter l’exportation de nos engrais et les prix ont grimpé. Ça n’a rien à voir avec nous. C’est le résultat de leurs erreurs commises depuis longtemps», a expliqué Vladimir Poutine. « C’est aux Occidentaux de décider maintenant », avait déjà résumé Sergueï Lavrov. (Surtout que le blocage des ports de la mer noire à l'ouest par des mines marines, les blocages bancaires et la destructions de voies ferrées en partie par les Ukrainiens sont des décisions atlantistes ayant augmenté fortement les prix du blé et des engrais.) » (Alexandre Keller, pour Strategika)
« Bien entendu, nous rejetons fermement les accusations de la ministre française, qui sont dépourvues de tout bon sens et de toute preuve(, concernant la pseudo instrumentalisation de la faim comme arme de guerre par la Russie). Pour le reste, nous ne pouvons que répéter ce que nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises. Comme le disent les Français eux-mêmes, les faits sont têtus. Il est évident pour tout observateur objectif que l’Initiative céréalière de la mer Noire a servi les intérêts des grandes entreprises américaines et européennes sous une couverture humanitaire. Au cours de sa réalisation, seuls 3% des 33 millions de tonnes de céréales ont été acheminés vers les pays les plus pauvres. De son côté, la Russie, qui détient 20% du marché mondial du blé, en a exporté 60 millions de tonnes l’année dernière. C’est donc notre pays qui contribue de manière significative à assurer la sécurité alimentaire mondiale. Notre pays continue de fournir des produits agricoles et des engrais aux marchés mondiaux, malgré les sanctions unilatérales illégales adoptées par les Occidentaux, qui auraient dû être levées conformément au second accord d’Istanbul – le mémorandum Russie-ONU sur la normalisation des exportations de produits agricoles nationaux. » (Commentaire de Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères)
« En ce qui concerne l’Ukraine, une partie considérable des volumes exportés de céréales proviennent des terres agricoles appartenant non pas aux ukrainiens, mais… bien à des géants occidentaux de l’agro-industrie. En mars 2020, sous l’influence des lobbies occidentaux auprès du FMI, l’Ukraine a adopté la loi autorisant à racheter les terres agricoles par des entreprises étrangères, ce qui était interdit auparavant. Ceci était la condition du FMI – l’organisation contrôlée par les « atlantistes » – pour que l’Ukraine accède à la nouvelle ligne de crédit du Fond. Depuis ce méfait désastreux accompli par les élites politiques actuelles ukrainiennes contre les intérêts nationaux de l’Ukraine, seulement en 3 ans suivant son adoption, près de 40% des terres cultivables du pays sont devenues la propriété d’acteurs économiques étrangers. La prise de contrôle de l’agriculture ukrainienne, principalement par des puissances occidentales, était d’autant plus facile, que si les prix à l’achat d’un hectare de terre arable en Union Européenne varie en moyenne de 4 à 70.000 USD, le même hectare en Ukraine leur revenait seulement à 1-2.500 dollars, en sachant que la qualité générale de la terre cultivable ukrainienne est sensiblement meilleure que celle européenne. Aujourd’hui, plus de 52% des terres cultivables ukrainiennes, soit 17 millions d’hectares, appartiennent seulement à 3 entreprises : les américains Cargill et DuPont et l’allemand Bayer (dont les terres en Ukraine ont été acquises par l’américain Monsanto, société acquise, ensuite, par l’allemand). Et ils ne sont pas les seuls nouveaux propriétaires étrangers heureux des sols ukrainiens : toute une série d’autres géants de second rang sont également présents dans le pays. Tout ceci étant évidemment facilité par les centaines de milliers de morts ukrainiens qui appartiennent aussi souvent à des ethnies que les bandéristes ne veulent plus, comme ils voulaient faire une épuration ethnique voire un génocide dans le Donbass, ce qui a donc entraîné la légitime opération spéciale russe. La très corrompue classe politique actuellement installée à Kiev a fait le nécessaire pour qu’à moyen/long terme la quasi-intégralité des terres arables du pays n’appartiennent plus aux ukrainiens. Si l’ouverture totale du marché européen a été tout-à-fait bénéfique à de grands groupes-négociants en céréales et à de hauts fonctionnaires européens qui les représentent d’une manière évidente, cela n’a pas été le cas des agriculteurs des pays-producteurs de céréales frontaliers de l’Ukraine. (Or ces achats de terre massifs pourraient servir d'option de repli aux ashkenaze israéliens, en particulier suite à la mort de millions d’ukrainiens, à la volonté de vengeance des ashkénazes contre les ukronazis de la deuxième guerre mondiale, et à l'ancien royaume khazar juif dans cette région, sauf si en cas d'épuration ethnique à Gaza et en Cisjordanie, cela permettrait l'arrivée de nouveaux juifs.) » (Extraits de l'article « « L’ACCORD CEREALIER » : LES SOMMETS DU CYNISME » à l'adresse https://strategika.fr/category/actualite/)
Pour la caste ultra riche qui nous dirige, la crise du Covid et la guerre en Ukraine ont été l’occasion rêvée d’imposer à l’humanité entière une forte accélération dans l’avènement de ce Great Reset piloté par les Etats-unis, mais cela a permis aussi aux peuples de se rapprocher en fonction du niveaux des âmes. En attendant l'occident peut ne pas s’ennuyer à faire formellement entrer l’Ukraine comme pays dans l’Union européenne quand on peut tranquillement laisser la Pologne s’emparer d'une grande partie du territoire. De plus le groupe de pression qu'est l'union européenne oligarchique veut même probablement parvenir à un coup d'état contre la France suite à cette crise ukrainienne dont en achetant son armée et finir de l'endetter à mort. Ce n'est pas étonnant quand on connaît l'immonde analyse de Jean Monnet (un des pères fondateurs de la Communauté européenne, mais aussi de nombreux mondialistes oligarchiques et sionistes) : « L'Europe se fera dans les crises et elle sera la somme des solutions apportés à ces crises. » Or étrangement, peu de solutions bonnes sont trouvées. En effet où en sera l'économie dans six mois, dans un an, dans deux ans, dans dix ans ? En temps de paix, nous avons déjà eu la monstruosité arbitraire de l’extraterritorialité du droit américain, puisque pouvant empêcher les alliés des USA de commercer avec un pays non soumis. En temps de guerre en Ukraine, un temps qui justifie tout, où s’arrêteront les exigences de nos « protecteurs » surtout vu leurs manipulations de la guerre contre le covid ? Il s'agit d'un processus synonyme de ruine programmée et consentante de l’Europe pour la vendre bradée à la découpe aux États-Unis, comme le prouve l'attentat contre le gazoduc Nord Stream 2 sans plainte en particulier de l'Allemagne. L’ingénierie sociale ayant fait d’immense progrès en un siècle, la manipulation des foules est terriblement efficace, et les peuples envoûtés semblent laisser aux 1 % les plus puissants du monde le soin de les exploiter ainsi que leur descendance.
Signification de l'expression « ingénierie sociale » : Par rapport à la la manipulation, l'ingénierie sociale vise le changement durable à travers le formatage caché des esprits. Il s'agit de décrire un objet ou une interaction puis de l'utiliser via un détournement de sens le plus occultement possible. C'est synonyme d'un hameçonnage qui est généralement de faire sournoisement croire à une réalité pour arriver à un but autre, comme un poisson croit qu'il va manger le ver au bout d'un hameçon, alors que c'est lui qui va être mangé. Actuellement, l’ingénierie sociale mondialiste tend à répandre le wokisme, le transhumanisme, l'écologisme et le ploutocratisme. Depuis la deuxième guerre mondiale et avant avec Hitler, l'origine psychologique de l'agissement d'un être humain a été totalement décortiqué au niveau individuel et collectif. Et le peuple peut ainsi se faire manipuler par les médias dont par l'orientation de son être à travers donc l'émotionnel transmis particulièrement à travers certaines publicités et informations télévisuelles. Ce qui est logique, car l'émotionnel est souvent ce qui fait le plus agir un individu.
          Le Great Reset consiste à déconstruire le social et le sociétal pour construire une ploutocratie supranationale dont en ouvrant de nouveaux marchés économiques pervers, puisque la tradition monothéiste les limites car elle rejette la transsexualité, l'homophobie, la famille non traditionnelle, les idéologies matérialistes, le transhumanisme, l'extravagance et le mondialisme. Or la gauche sociétale sur laquelle ce dernier s'appuie n'assume pas. Alors on change les mots. Par exemple, on remplace le mot « détruire » (la nature humaine à travers le transhumanisme, la famille traditionnelle à travers le mariage homosexuel, les frontières à travers les entités supranationales) par « déconstruire ». D'ailleurs c'est d'abord via le glissement de la question sociale par la gauche vers la question sociétale que cela a sournoisement commencé, c'est à dire de la grande question économique vers celle sexuelle inutile. Or ce fut la suite du glissement de la gauche idéaliste (ou sociale) vers la gauche (i)réaliste (libérale). Le libertaire n'a pas été le prolongement de la gauche socialiste (marxiste), mais le moyen de la détruire de l'intérieur. Et dans un sens tout de même utile pour le système, cette gauche sociétale permet ainsi dans une forme d'alliance de faire avancer le libéralisme-libertaire sous couvert de gauchisme. Le libertaire a été orienté au service de la propagation du libéral, c'est à dire que le Lgbtisme est la gauche (sociétale) du capital (par preuve qu'elle n'est pas attaquée et même promotionnée par le système dont en plus par Davos, alors que se prétendant révolutionnaire contre le capitalisme patriarcal), et que la finance internationaliste est sa droite. Cette gauche wokiste, cancel, permet au libéralisme de triompher du sérieux de gauche. La droite des valeurs représente plus la justice mais actuellement elle l'est souvent dans l'impiété laïciste et la gauche des valeurs représente plus l'amour (la miséricorde) mais actuellement elle l'est plus dans l'impiété laïciste, ce qui prouve l'importance de la piété et de la raison pour être dans la noblesse authentique et éviter la division par le jugement de valeurs incorrectes ou les opinions inexactes concernant les sens réels de la science et de la philosophie, dont aussi à cause ou au service d'une idéologie erronée. On pourrait également dire que la droite authentique correspond à la tradition, à la foi, et à la pureté de la vérité originelle et de la juste hiérarchie, alors que la gauche authentique correspond à la raison, à la modernité et à l'espoir espoir du meilleur futur.
          Ainsi les analyses de ce site concernant l'évolution de la France dans l'Histoire des derniers siècles peuvent protéger les générations futures, comme l'époque de la révélation en Arabie nous guide par son exemplarité.
Dans ce sens il faut remarquer les immenses bénéfices qu'ont gagné divers groupes tel que Amazon, Google et Facebook lors de la crise sanitaire du coronavirus : les maîtres du capital demeurent les maîtres dans la croissance comme dans la crise, voire amplifient leur pouvoir. D'autant plus que la volonté de croissance du Capitalisme sert d'abord à maintenir le système de la haute finance mondialisée basé sur l'argent dette dominateur, synonyme de pervers crédits bancaires informatiques usuriers esclavagisant basés sur la vague promesse d'un remboursement futur. Le mode de production capitaliste se soucie pas de la santé humaine. Toute la comédie du covid est une fable ridicule. Le But est de discipliner, de réduire, intellectuellement et physiquement, d’installer la pire tyrannie. En effet si rien n'encadre le Great reset amenant à ce que le privé ultra riche prenne le pouvoir sur les nations, le contrat social sera remplacé par la loi du marché actuellement perversement dérégulée et profitant donc principalement aux ultra riches corrompus. La ploutocratie favorisera toujours les riches, alors qu'un régime indépendant sera plus juste envers toutes les catégories sociales, comme l'ont prouvé les rois qui contrôlaient le prix du pain pour les petites gens, et même la démocratie pourrait donc injustement favoriser sans équité le peuple au détriment des patrons et donc être moins bonne que le chef pieux à l'autorité suprême, quoique pendant un temps il est préférable que les bonnes règles sociétales principales et importantes soient votées par référendum. Or avec la révolution bourgeoise de 1789, ce juste prix de la morale est devenu le faux juste prix de l'offre et de la demande concernant les produits de bases pour survivre. En croyant à la loi du marché plutôt qu'à la piété, la royauté finit par être écartée par cette loi du marché, et donc par les mathématiques et la bourgeoisie. Par conséquent il faut un juste milieu entre l'autorité (souveraineté) pieuse et la loi du marché en particulier donc concernant les produis de premières nécessités. Et il ne faut donc pas se servir de l'esprit sans le cœur.
          Or il suffit au peuple français de vouloir retourner à la laïcité modérée pour retrouver les racines monothéistes de la France, une sincère solidarité nationale, les véritables valeurs morales, des mesures protectionnistes, une purification économique et un air de liberté religieuse pour chacun. Surtout que la France qui brillait naguère par sa diplomatie, sa politique étrangère et sa position de non alignée est désormais à la remorque des Etats-Unis, de l’OTAN, et de l’UE : c'est une vassalisation qui nuit aux Français, aux Ukrainiens et à beaucoup d'autres parties du monde.