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E) Le rappel (divin du sens de la vie) : un des autres noms et sens du Coran

          En arabe le mot « homme » se dit « insan », ce qui signifie « celui qui oublie ». En effet l'homme est une créature qui oublie le divin à cause des préoccupations de la vie, de son sommeil réparateur et de l'effacement de sa mémoire mais pas de son cœur de son attestation originelle pré-existentielle (fitra) concernant la légitime seigneurie divine puisqu'aux attributs suprêmes, illimités, excellents, transcendants ou inestimables :
(S7v172) « Et quand ton Seigneur tira des reins d’Adam sa descendance et les fit témoigner sur eux-mêmes : “Ne suis-je pas votre Seigneur ?” Ils répondirent : “Mais si, nous en témoignons…”, (c'était) afin que vous ne disiez point au jour de la résurrection : “Vraiment, nous n’y avons pas fait attention (puisque la présence émotionnelle « fitra » de ce témoignage pré-existentiel qu'il faut reconnaître sur terre est dans votre cœur).” »
(S39v27) « Nous avons dans ce Coran cité pour les gens des exemples de toutes sortes (scientifiques et moraux) afin qu'ils se souviennent (et distinguent leur fitra). »
(S21v50) « Et ceci (le Coran) est un rappel béni (juste, bienveillant, pur) que Nous avons fait descendre (pour augmenter votre fitra). Allez-vous donc le renier ? »
(S39v21) « Ne vois-tu pas qu'Allah fait descendre du ciel de l'eau, puis Il l'achemine vers des sources dans la terre. Puis avec cela Il fait sortir une culture aux couleurs diverses, laquelle se fane ensuite de sorte que tu la vois jaunie, puis Il la réduit en miettes. C'est là certainement un rappel (coranique) aux (gens) doués d'intelligence (reconnaissant leur fitra). »
(S10v71) « Raconte-leur l'histoire de Noé, quand il dit à son peuple : Ô mon peuple, si mon séjour (parmi vous) et mon rappel des signes d'Allah vous pèsent trop, alors c'est en Allah que je place (entièrement) ma confiance. »
(S38v1) « Ceux qui ont mécru sont plutôt dans l'orgueil et le schisme (par rapport à leur attestation pré-existentielle présente dans leur cœur) ! »

          L'effort du rappel du divin est proposée par la nature humaine et représente un ennoblissement permettant d'obtenir une dignité maximale lorsque tous les aspects de la vie de l'homme sont liés au bon caractère, à la sage moralité et à la pieuse tradition prophétiques dès que c'est possible. Ce qui peut être facile, car tel dans un cercle vertueux, cette dernière est synonyme d'un fréquent rappel quotidien de Dieu dont à travers des invocations et des gestes accompagnant toute occupation :
(S21v10) « Nous avons assurément fait descendre vers vous un livre où se trouve votre rappel (ou votre renom, honneur, grandeur, bonne réputation). Ne comprenez-vous donc pas ? »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Laissez moi tant que moi-même je vous laisse, car ceux qui étaient avant vous ont péri (par trop de précision religieuse) à cause de leurs questions (trop nombreuses) et de leur opposition à leurs Prophètes. Quand je vous interdis quelque chose, abandonnez-le totalement, et quand je vous ordonne quelque chose, faites-en ce que vous pouvez. » (Boukhari)
Selon Ibn Omar (SDP), lorsqu'un pacte d'obéissance et de soumission était fait au Prophète (SBDSL), il ajoutait : « (Obéissez) Selon vos possibilités. » (Boukhari et Mouslim)

Commentaire : Le hadith précédent montre que pour prouver notre volonté de piété et de dignité, les interdictions (ne pas faire) en particulier envers autrui sont légitimement prioritaires et parfois plus simples à respecter que les obligations (faire), surtout qu'avec le repentir les obligations non effectuées par trop de difficulté sont plus facilement pardonnées et peuvent être rattrapées, sauf évidemment si des interdictions ont été faites sous la contrainte. Or il faut généralement pratiquer toutes les obligations pour parvenir à une noblesse de caractère suffisamment grande, fine et forte afin de réussir à arrêter certaines mauvaises habitudes.
Aïcha (SDP) rapporte : Le Prophète Mouhamed (SBDSL) a dit : « Le croyant atteint sûrement par sa bonne moralité (dont la prédication) et son affabilité le degré de celui qui jeûne toute l’année et passe toutes ses nuits à prier et à évoquer Dieu. » (Abou Dawoud)
          C'est pourquoi la lecture coranique quotidienne fait partie de la tradition prophétique, car en plus d'être un cadre légal, le Coran est aussi un profond rappel divin à l'esprit humain pour éclaircir son cœur qui détient déjà l'émotion (fitra, la flamme, la lumière) permettant de ressentir l'attestation pré-existentielle reconnaissant l'irréprochable seigneurie divine, et donc le sens des qualités, les apaisantes vérités morales, la noblesse des lois religieuses, et donc la félicité. Dans ce sens tendre à l'islam complet et donc la tradition prophétique complète est le meilleur rappel et correspond donc à la meilleure organisation journalière comme il sera revu :
(S7v35) « Ô enfants d'Adam ! Si des Messagers (choisis) parmi vous viennent pour vous exposer Mes signes, alors ceux qui acquièrent la piété et se réforment, n'auront aucune crainte et ne seront point affligés (et seront par conséquent sereinement et donc joyeusement dans une paix intérieure). »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Tout enfant connaît Allah à la naissance grâce à la fitra. Mais ce sont ses parents qui font de lui un juif, un chrétien ou un zoroastrien. » (URA)
Le Prophète Mouhamed (SBDSL) a dit : « Ô untel ! Quand tu te mets au lit dis : « Ô mon Seigneur, je me soumets à Toi et je m'en remets en toi pour toute chose. Je m'appuie sur Toi à cause de mon désir d'aller vers Toi et de ma crainte de Toi, car on ne saurait trouver d'assistance et de refuge sûr contre Toi, qu'en Toi-même. Je crois au Livre (Coran) que Tu as révélé et au Prophète (Mouhamed) que tu as envoyé. » Si tu meurs cette nuit, tu mourras dans la foi conforme à la saine nature (fitra, islam) et si tu te réveilles le matin, ce sera un bon réveil. » (URA)
Invocation prophétique : « Ô Seigneur nous voici au matin (ou au soir), et en nous se trouve la nature première (fitra) qui est l'islam, en nous la parole (d'attestation) du monothéisme. Nous sommes dans le religion de notre Prophète (SBDSL), et sur la voie de notre père Abraham qui vouait son culte exclusivement à Allah, soumis à Allah, et n'était point du nombre des associateurs. »
(S39v23) « Allah a fait descendre le plus beau des récits, un Livre dont (certains versets) se ressemblent et se répètent. Les peaux de ceux qui redoutent leur Seigneur frissonnent (à l’entendre tellement ils sont à la merci de Sa puissance ou respectent Sa grandeur inestimable, ou ressentent de l'adrénaline à le comprendre, puis leurs peaux et leurs cœurs s’apaisent (jusqu'à la sérénité) au rappel (de la noblesse) d’Allah (comme une légère brise fraîche fait par un frisson s'inquiéter, puis apprécier la chaleur, et donc vivre un moment chaleureux et une valorisation). Voilà le (livre) guide d’Allah par lequel Il guide qui Il veut (et égare ceux qui le renient). Mais quiconque Allah égare n’a point de guide. »    Commentaire : Comme les cœurs s’apaisent au rappel d’Allah jusqu’à la sérénité, c'est que c'est nécessaire au bonheur réel.
(S24v35) « Allah est la Lumière (dont science) des cieux et de la terre. Sa lumière est semblable à une niche (le corps mais plus la cage thoracique) où se trouve une lampe (la fitra, le centre du cœur). La lampe est dans un récipient de cristal (le coeur) et celui-ci ressemble à un astre de grand éclat. Son combustible (le rappel coranique) vient d’un arbre béni (Dieu) : un olivier ni oriental ni occidental dont l’huile semble éclairer sans même que le feu la touche. Lumière sur lumière (claire voyance après clairvoyance, compréhension après compréhension). Allah guide qui Il veut vers Sa lumière (la foi et comprendre et vivre le Coran, la religion et le bon sens moral de la vie). Allah propose des paraboles aux hommes et Allah est Omniscient. »
Commentaire : Cette fitra dans un récipient peut aussi être comparée à une sublime perle dans un magnifique coquillage, surtout que ce dernier peut s'ouvrir et qu'une perle étant une sphère lisse synonyme d'un absolu parfait peut représenter le ressenti de la plénitude liée à l'absolu divin aux qualités suprêmes ou excellentes. Or cette fitra peut également être comparée à l’œil : la sclérotique (blanc de l’œil) représentant la niche, l'iris représentant le récipient de cristal et la pupille noire captant toute lumière tel un trou noir représentant la lampe utilisant l'huile, piur ensuite transmettre de la bonne énergie, de la bonne matière, de la vérité, de la beauté et de la perfection, à l'image des bonnes actions. On peut aussi comparer La Mecque à la niche, la mosquée Haram au récipient de cristal et la kaaba à la fitra, surtout que la Kaaba est aussi un symbole qui unit tous les musulmans dans et vers le bien, dont par le tissu noire la recouvrant puisque synonyme de sobriété et donc de mesure dans le juste milieu comme le demande le Coran. Mais le cristal étant un récipient, la comparaison avec une lampe plus illuminée par l'huile demeure la meilleure image pour la guidée éclairée. Or il paraît aussi possible de comparer cette fitra au clitoris, le récipient au sexe féminin et la niche à l'entre-jambe, parce que quand le clitoris est utilisé, il est synonyme de forte finesse, et qu'il est caché logiquement en haut de l'appareil génital féminin comme la fitra peut s'élever au dessus du cœur jusqu'au centre du torse. C'est à dire que même inconsciemment chez un homme, sa finesse et sa hauteur participent logiquement à ressentir fortement les nobles émotions et donc à élever puissamment la perception des nobles sentiments tout en le rendant donc mature, comme le prouve l'intense orgasme atteint solidairement puis partagé amoureusement entre un homme et une femme mariés. C'est pourquoi si on reste concentré sur la fitra, elle peut même être synonyme d'une revitalisation rapide telle celle apportée par le sommeil qui permet d'ailleurs de longtemps la ressentir mais inconsciemment, puisqu'elle est réellement une divine énergie constante permettant de ressentir Dieu, Ses attributs, Ses voies du bien, et donc de la pure félicité, comme le prouve notre respiration retenue suffisamment longtemps. Il faut noter que ce verset coranique évoquant la réalité de notre cœur et de sa fitra dans son centre lorsqu'on y prête objectivement attention est une preuve de plus de l'existence de Dieu et de Son Paradis éternel.
(ExtS2v108) « Quiconque substitue la mécréance à la foi (fitra) s'égare certes du droit chemin. »
La fitra au centre de notre cœur est donc telle la lumière d'une étincelle de foi représentant l'infime point central parfait du cœur. Puis elle peut ensuite devenir une flamme bleutée par le rappel de la révélation divine descendant du ciel bleu. Surtout que cette flamme bleutée de la foi peut être celle gazeuse devenue un plasma tel un éclair dont les atomes ont été dissociés sous l'effet de la température à l'image de la foi intensifiée devenue piété profonde qui distingue clairement les éléments du meilleur chemin, alors que ce n'est pas le cas dans les trois autres états de la matière (solide, liquide et gazeux) au niveau des noyaux et noyau et les électrons. Ensuite il faut la percevoir et la ressentir souvent pour parvenir à la vivre et la transmettre tout le temps, afin de finalement la transformer en un grand feu ou une forte lumière synonymes d'une porte grandement ouverte vers Dieu. Et logiquement, ce niveau lumière atteint par le cœur devient en plus une émotion réveillant, éclaircissant, renforçant, et donc apaisant l'esprit et le corps.
Or pour connaître sur terre le plus grand apaisement, c'est à dire jusque dans le profond point infime central du cœur, il faut aussi être sain d'intention, d'esprit et de corps, suivre le mode de vie prophétique et tendre à l'amour amical intime partagé avec Dieu par tous nos nobles sentiments, œuvres religieuses et bonnes actions. Surtout qu'en s’entraînant à garder à l'esprit et donc à cœur la fitra qui est l'essence de la foi synonyme de la plénitude des qualités morales, c'est à dire en la ressentant et la visualisant constamment plus ou moins consciemment, ce suprême apaisement peut logiquement devenir un réel bonheur permanent. En effet rester souvent dans le bien ne peut qu'entretenir le cœur dans le bien (être) et donc le bonheur.  Dans ce sens, il est d'autant plus important et agréable de pratiquer, évoquer et prêcher fréquemment la noblesse du monothéisme authentique.
          Un des buts principaux sur terre est donc d'honorablement confirmer grandement par la raison, puis la soumission et la piété notre pacte pré-existentiel ayant reconnu l'irréprochable seigneurie de Dieu. C'est d'ailleurs ce que sous-entend souvent Dieu dans des versets coraniques exprimant la rupture de ce pacte que certains infidèles ont causée en coupant les liens de ce qu'Il veut garder uni et ainsi préserver, comme au niveau de notre acceptation de Lui, des relations familiales traditionnelles, des règles religieuses, du respect des administrés et des administrateurs :
(ExtS2v26/27) « Par cela (le Coran, les épreuves, les signes de Sa Création et les signes du destin), nombreux sont ceux qu'Il égare et nombreux sont ceux qu'Il guide, mais Il n'égare par cela que les pervers, qui rompent le pacte (pré-existentiel) qu'ils avaient fermement conclu avec Allah, coupent ce qu'Allah a ordonné d'unir (bonnes relations familiales et sociales), et sèment la corruption sur la terre. »
(S48v10) « Ceux qui te prêtent serment d'allégeance ne font que prêter serment à Allah (et donc ceux qui suivent la tradition prophétique suivent Allah) : la main d'Allah est au-dessus de leurs mains (comme lors d'une soumission à un chef de tribu arabe). Quiconque viole le serment (pré-existentiel), ne le viole qu'à son propre détriment, et quiconque remplit son engagement envers Allah, Il lui apportera bientôt une énorme récompense. »
(S57v8/9) « Et qu'avez-vous à ne pas croire en Allah, alors que le Messager vous appelle à croire en votre Seigneur ? Et (Allah) a déjà pris (acte) de votre engagement (pré-existentiel et terrestre) si vous êtes (sincères) dans votre foi. C'est Lui qui fait descendre sur Son serviteur des versets clairs afin qu'il vous fasse sortir des ténèbres à la lumière, et assurément Allah est Compatissant envers vous, et Très Miséricordieux. »

          Or la culture de la foi par la pratique religieuse, la piété et le bon comportement doit être fréquente pour atteindre un grand niveau. Dans ce sens, elle est comparable à un feu de bois que l'on doit fréquemment alimenter pour le faire grandir. Ainsi le feu de la foi porte bien son nom. Et il s'agit donc d'intensifier la noblesse de la lumineuse fitra jusqu'à qu'elle nous éclaire complètement, afin de tendre vers une représentation permanente de la lumineuse noblesse divine :
(ExtS2v165) « Parmi les hommes, il en est qui prennent en dehors d'Allah des égaux à Lui, en les aimant comme on aime Allah. Or les croyants sont les plus ardents (chauds) en l'amour d'Allah (ou plus ardents dans leur foi amoureuse envers Allah, en similitude avec le buisson ardent par lequel Dieu a parlé directement à Moïse et le feu de bonheur extrême pour Ibrahim tout deux liés à la valeur suprême qu'est le mode de vie prophétique). »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Tout enfant connaît Allah à la naissance grâce à la fitra. Mais ce sont ses parents qui font de lui un juif, un chrétien ou un zoroastrien. » (URA)
Abou Hourayra (SDP) a rapporté : On demanda : « Ô Envoyé de Dieu ! Quand on te voit nos cœurs s'attendrissent et on se sent parmi les gens de l'au-delà ; puis quand on te quitte, l'ici-bas nous plaît, et on sent l'odeur des femmes et des enfants. » Il répondit : « En tous les cas, si vous restiez dans l'état dans lequel vous êtes avec moi, les anges vous serreraient la main. Et si vous ne commettiez pas de péchés, ils vous rendraient visite chez vous. Dieu amènera des peuples qui commettront des péchés pour qu'Il leur pardonne. »

          Le pieux rappel fréquent augmentant la foi, c'est à dire habituant le cœur à la présence de Dieu, de Son Trône, du futur Jugement Universel, du Paradis, de l'Enfer, des sept cieux, des anges et des démons, sert aussi à ce que l'homme agisse prioritairement par rapport à ces choses invisibles, comme il a appris à réagir aux choses visibles de la vie terrestre ; dont à travers la volonté, la satisfaction, la  déception, l'espoir, la crainte, la justice, la miséricorde, la générosité, l'amour :
(ExtS2v2/3) « C'est le Livre au sujet duquel il n'y a aucun doute, c'est un guide pour les pieux qui croient à l'invisible »
(ExtS2v285) « Le Messager a cru en ce qu'on a fait descendre vers lui venant de son Seigneur, et aussi les croyants. Tous ont cru en Allah, en Ses anges, en Ses livres et en Ses Messagers (en disant) : “Nous ne faisons aucune distinction entre Ses Messagers.” »
(S4v136) « Ô les croyants ! Soyez fermes en votre foi en Dieu, en son Messager, au Livre qu’Il a fait descendre sur son Messager, et au livre qu’Il a fait descendre avant. Quiconque ne croit pas en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers et au Jour Dernier, s’égare loin dans l’égarement. »

Le Prophète (SBDSL) a dit : « La foi est de croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jugement Dernier, et à la prédestination du bien et du mal (dans les épreuves et possiblement par rapport à la mort). » (Mouslim)
Commentaire : Il faut noter qu'avec les cinq piliers de l'islam, ces composants principaux de la foi résument la simplicité de l'authentique cadre moral monothéiste.
          Ainsi comme les compagnons du Prophète (SBDSL), il faut parvenir à mettre le monde invisible devant le monde visible, c'est à dire vivre en se rappelant fréquemment Dieu, les anges, le Paradis et l'Enfer, afin que cela nous inspire à réussir notre vie matérielle et surtout spirituelle jusqu'à se rapprocher de l'ennoblissement maximal. Ces compagnons sont même parvenus à que ce leur ego et leur envie préfèrent les nobles contraintes ou difficultés comme l'activité professionnelle, les réveils matinaux, les obligations familiales, sociales, religieuses ou administratives, l'effort physique et financier de service social généreux, et toutes les religieuses œuvres et actions surérogatoires. Car particulièrement grâce aux prières, à la lecture du Coran, au mode de vie du Prophète (SBDSL), à la méditation sur la Création et à la bienfaisance sociale, ce comportement apporte logiquement un haut niveau spirituel synonyme d'intensification permanente de la foi, source de la profonde sagesse pieuse et donc de l'authentique bonheur pur. Même la plupart des prénoms musulmans sont du pieux rappel, puisqu'ils sont généralement des prénoms reprenant ceux des Prophètes, représentant des qualités morales ou exprimant la mise au service d'un attribut divin.
          La foi est un sentiment dont l'intensité augmente vite à son commencement, mais qui ensuite doit donc s'entretenir quotidiennement avec le rappel de l'adoration en particulier du mode de vie prophétique pour continuer de se développer. En revanche lors de cette deuxième phase, son intensité grandit plus lentement mais continuellement jusqu'à ressentir progressivement des niveaux de foi de plus en plus grands. Le but est donc de faire croître la foi constamment en restant dans la droiture religieuse pour atteindre le haut degré d'intimité sereine avec le Créateur et ainsi de sagesse intérieure synonyme de bonheur logique. En effet comme le début de la foi est exaltant et que le temps d'oisiveté trouble ce sentiment, ce n'est qu'avec la constance de la piété et le mode de vie prophétique complet que l'homme peut l'augmenter en permanence. Il peut aussi souvent l'entretenir en se persuadant de la réelle présence divine par le souvenir de signes scientifiques au sein de la Création, de paroles religieuses sublimes, de moments émouvants au cours d'actes cultuels, et de coïncidences qu'il a eu dans le destin. C'est à dire que tels des morceaux de métal en fusion, ces souvenirs doivent raffermir notre cœur et notre raison jusqu'à ce que la certitude de notre foi devienne tel un bloc métallique incassable. De plus même s'il lui arrive d'entendre fréquemment des enseignements religieux qu'il connaît, l'homme doit quand même les écouter attentivement, car il obtient ainsi toujours un renforcement moral, une lumineuse noblesse approfondie ou une possible interprétation supplémentaire avec l'évolution de son expérience. C'est pourquoi lorsqu'il atteint un haut niveau spirituel, il se rend vraiment compte de son apaisante et donc joyeuse dignité enrichie liée à ses pieux efforts l'améliorant, car il devient plus sensible, plus tolérant, plus bienveillant, de meilleur caractère, de meilleure moralité, de meilleur comportement, de meilleure organisation, et donc de meilleure représentation et de meilleure proximité du Seigneur :
Le Prophète (SBDSL) a dit : « J’ai été envoyé pour parfaire les caractères et les ennoblir. » (Mouslim)
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Le bon caractère (dont dans la maîtrise de l'âme au sein des qualités morales) conduit au bonheur. » (Al-Kharaytî)

L'homme devenu grandement pieux ressent et prépare donc précieusement les choses beaucoup plus souvent sereinement.
          Dans ce sens, il faut savoir que le cœur (organe roi de l'homme car décisionnel) se nourrit d'ambiance et commande au cerveau (organe ministre de l'homme) de faire exécuter des actes aux parties du corps (les sujets de l'organe roi). C'est à dire que le cœur se nourrissant par plusieurs voies : la vue, l'ouïe, la parole, la pensée, et les habitudes quotidiennes et caractérielles, lorsque l'homme reste dans les ambiances de foi et de Bien, ses actions deviennent principalement bonnes. En effet la bienfaisance nous pénètre profondément, nous guide clairement et nous utilise souvent, lorsque nous sommes habitués à rester dans les ambiances bonnes ambiances dont d'adoration, de relations familiales et d'enseignements religieux, puisque influant positivement le cœur. Alors que quand l'être humain voit, entend ou parle souvent de choses irréligieuses ou futiles, en étant donc dans de mauvaises ambiances, cela trouble évidemment sa perception, et donc sa conscience, et donc son cœur, et donc son âme par rapport à la droiture et la noblesse pieuses, souvent jusqu'à le faire atteindre l'insouciance voire la perversion, surtout donc si ce n'est pas compensé voire fortement rejeté par une participation fréquente aux bonnes ambiances :
(S18v28) « Fais preuve de patience (en restant) avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir désirant Sa face. Et que tes yeux ne se détachent point d’eux en cherchant (le faux) brillant de la vie sur terre. Et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le cœur inattentif à Notre Rappel, qui poursuit sa passion et dont le comportement est outrancier. »
(S7v201) « Ceux qui pratiquent la piété, lorsqu'une suggestion du Diable les touche se rappellent (d'Allah ou du Jour du Jugement Universel à venir), et les voilà devenus clairvoyants. »

Selon Abou Darda (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Lorsque trois hommes qui se trouvent en ville ou dans le désert n'accomplissent pas la prière en commun, Satan prend le dessus sur eux. Astreignez-vous donc à la prière en commun car le loup ne dévore du troupeau que la bête isolée. » (Abou Dawoud)
Selon Abou Said Al Khoudri (SDP), l'Envoyé de Dieu (SBDSL) a dit : « Parmi ceux qui vivaient avant vous il y avait un homme qui avait tué quatre vingt dix neuf personnes. Il demanda qui était le plus grand savant de la terre. On lui désigna un moine. Il alla le trouver, lui dit qu'il avait tué quatre vingt dix neuf personnes et lui demanda s'il restait quelque possibilité de se repentir. Le moine dit aussitôt : « Non. » Il le tua sur le coup et compléta ainsi à cent le nombre de ses victimes. Puis il alla redemander qui était l'homme le plus savant de la terre. On lui en désigna un autre. Il lui dit : « J'ai tué cent personnes. Ai-je encore quelque possibilité de me repentir ? » Il lui dit : « Oui, mais ne reste pas dans ce royaume pour éviter ce qui s'oppose à ton retour à Dieu. Va à tel pays. Là vivent des gens qui ne font qu'adorer Dieu. Adore Dieu avec eux et ne retourne plus à ton pays car c'est une terre de mal. » Il se mit donc en marche et lorsqu'il arriva à la moitié du chemin il fut atteint par la mort. Les anges de la miséricorde se disputèrent à son sujet avec les anges des tourments (les uns voulant le destiner au Paradis et les autres voulant le destiner à l'Enfer). Les anges de la miséricorde dirent : « Il est venu plein de repentir désirant de tout son cœur retourner à Dieu. » Les anges des tourments dirent : « Il n'a jamais fait de bien dans sa vie. » C'est alors qu'un ange vint à eux sous une apparence humaine. Ils le prirent comme arbitre puis il leur dit : « Mesurez la distance qui le sépare de la terre du mal et celle qui le sépare de la terre du bien. Destinez le ensuite à celle dont il est le plus proche. » Ils mesurèrent et trouvèrent qu'il était plus près de la terre qu'il voulait rejoindre et ce furent les anges de la miséricorde qui lui retirèrent son âme. » (URA)
Dans une autre version : « La cité vertueuse était plus proche d'une seule palme et c'est pourquoi il fut compté de ses habitants. »
Dans une troisième version : « Dieu (Glorifié soit-Il) inspira à la terre du mal de s'éloigner et celle du bien de se rapprocher. Puis Il dit : « Mesurez la distance qui les sépare. » Ils trouvèrent qu'il était plus proche d'une palme de la cité du bien. Aussi fut-il absout de ses péchés. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Tout vicaire (représentant de Dieu qu'est l'homme) institué par Dieu possède deux tendances intimes (aspects de l'âme) : l’une qui ordonne de faire le bien et l’incite à le faire, et l’autre qui lui ordonne de faire le mal et l’incite à le faire. Seul est préservé celui que Dieu préserve (par la clairvoyance que lui apporte sa foi et le mode de vie prophétique). »

Or le mode de vie prophétique d'adoration constante, synonyme de rappels fréquents du divin, active une sérénité joyeuse qui provoque logiquement une envie de maintien dans l'adoration permanente développant sans cesse cette sérénité joyeuse n'ayant pas de limite. C'est à dire qu'il s'agit d'un précieux cercle vertueux agréable, car pouvant donc apporter jusqu'à notre mort une interaction perpétuelle entre la sérénité joyeuse toujours grandissante et la possible adoration (piété) permanente toujours source de bonnes œuvres cultuelles et sociales. Ce qui permet évidemment de rencontrer Dieu au mieux, puisque avec un cœur sublime :
(ExtS48v4) « C’est Lui qui (a) fait descendre la quiétude (sérénité) dans les cœurs des croyants afin qu’ils ajoutent une foi à leur foi. »
(S49v7/8) « Allah vous a fait aimer la foi et l'a embellie dans vos cœurs (ainsi que les bonnes actions) et vous a fait détester la mécréance, la perversité et la désobéissance. Ceux-là sont les bien dirigés, c'est là en effet une grâce d'Allah et un bienfait (valeur suprême qu'est la pieuse dignité). Allah est Omniscient et Sage. »

C'est à dire que comme par rapport à un sport extrême, notre perception de Dieu très éclaircie par la tradition prophétique devient logiquement une forme d'adrénaline (enthousiasme, grandeur, émerveillement) apportant ensuite de la sérénité (satisfaction, paix, joie) recherchant donc cette adrénaline, dans une interaction perpétuelle synonyme d'un agréable doux juste milieu intense :
(S39v23) « Allah a fait descendre le plus beau des récits, un Livre dont (certains versets) se ressemblent et se répètent. Les peaux de ceux qui redoutent leur Seigneur frissonnent (à l’entendre tellement ils sont à la merci de Sa puissance ou respectent Sa grandeur inestimable, ou ressentent de l'adrénaline à le comprendre, puis leurs peaux et leurs cœurs s’apaisent (jusqu'à la sérénité) au rappel (de la noblesse) d’Allah (comme une légère brise fraîche fait par un frisson s'inquiéter, puis apprécier la chaleur, et donc vivre un moment chaleureux et une valorisation). Voilà le (livre) guide d’Allah par lequel Il guide qui Il veut (et égare ceux qui le renient). Mais quiconque Allah égare n’a point de guide. »
(S8v2) « Les vrais croyants sont ceux dont les cœurs frémissent quand on mentionne Allah (comme donc des feuilles au vent mais aussi comme l'eau en ébullition afin de l'habituer aussi à bouillonner de bienveillance). Et quand Ses versets leur sont récités, cela fait augmenter leur foi (leur adrénaline puis leur sérénité). Et ils placent leur confiance en leur Seigneur. »
De même l'accumulation de la science (d'abord de la noblesse morale surtout qu'aussi presque sans fin) nourrissant l'esprit (et le cœur et l'âme) voulant toujours plus de complétude personnelle interagissent mutuellement l'une sur l'autre en pouvant devenir une perpétuelle interaction.
          Et quand par toute cette divine éducation, le cœur atteint la pureté de la bienveillance permanente, l'homme n'a plus qu'à gérer les nobles émotions et donc sentiments synonyme de guidée de son esprit et de son corps vers le meilleur caractère, la meilleure moralité et le meilleur comportement, et ainsi vers une personnalité entièrement bonne :
(ExtHadith) Le Prophète (SBDSL) a dit : « Sachez que dans le corps humain, il y a une bouchée de viande. Quand cette bouchée est bonne, tout le corps est bon, et quand elle est devenue mauvaise, tout le corps le devient. Sachez que cette bouchée est le cœur. » (URA)
(Evangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 23:14,23,25,26) : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous dévorez les maisons des veuves, et que vous faites pour l'apparence de longues prières ; à cause de cela, vous serez jugés plus sévèrement. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous payez la dîme de la menthe, de l'aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : c'est là ce qu'il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat (cœur ostentatoire et cupide), et qu'au dedans ils (vos cœurs) sont pleins de rapine et d'intempérance. Pharisien aveugle ! Nettoie premièrement l'intérieur de la coupe et du plat, afin que l'extérieur aussi devienne net.… »
          Or comme le cœur se nourrit d'ambiances, s'il n'existe pas d'ambiance de foi et de Bien autour de nous, il faut noblement proposer des cercles d'enseignement religieux, de service social, de sciences, et d'évocation d'Allah, puis tendre à construire une mosquée comme cela a souvent été dignement fait par nos précieux anciens dans de nombreux quartiers de France :
Selon Abou Darda (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Lorsque trois hommes qui se trouvent en ville ou dans le désert n'accomplissent pas la prière en commun, Satan prend le dessus sur eux. Astreignez-vous donc à la prière en commun car le loup ne dévore du troupeau que la bête isolée. » (Abou Dawoud)
Omar Ibn Al Khatabb (SDP) a dit : « Combattez le faux (des mauvais actes et de l'égarement de la société, ainsi que la négativité des médisantes informations en particulier journalistiques) en ne l'évoquant pas, et faites vivre le vrai (des bons actes et des enseignements religieux, ainsi que la joie des bonnes nouvelles) en l'évoquant, car une chose dont on parle prouve qu'elle existe (et se propage). »
Ainsi même après une juste critique concernant du négatif moralement ou contextuellement, il faut au moins toujours terminer par un peu de positif, d'espoir, de motivation, de sagesse ou de bonne stratégie, afin d'éviter tout défaitisme. C'est à dire que même si on est pessimiste dans l'analyse, il faut être optimiste dans l'action. Surtout que les gens qui regardent fréquemment le verre à moitié vide dans une situation sans y rechercher au moins un bien, c'est que leur tête et leur cœur en sont également vide. D'autant plus que parler de ce qui est vrai, bon, optimiste ou utile correspond plus à la raison, alors que ne parler que de ce qui est faux, mauvais, pessimiste ou inutile est proche de la folie. De même il ne faut pas entrer dans le jeu des personnes négatives ou pessimistes, en restant pieux, positif, optimiste, ouvert, bienveillant, bienfaisant, souriant et rapprochant, en particulier à leur égard et prioritairement envers nos proches. Pour faciliter cet excellent comportement, il ne faut pas oublier la bonne énergie continue existant dans notre amour éternel pour Dieu, nos parents, notre conjoint, nos enfants, notre famille, nos voisins et l'humanité.
Cependant selon Lucien Cerise, il faut lutter entre l'ouverture sociale internationale à outrance insistant sur le mal du racisme d'une petite partie de la population nationale pour gagner et la fermeture sociale nationale à outrance se servant du mal du racisme pour gagner. C'est à dire qu'il trouver le juste milieu entre ces deux excès, puisqu'on ne peut vivre avec la porte ouverte ou fermée en permanence, ou trop ouverte ou trop fermée, même malgré une mondialisation irréversible au niveau de l'économie et des réseaux sociaux. En effet, comme dans le carde légal religieux cherchant le juste milieu dans toute chose, il faut éviter les extrêmes. Par exemple aucun pays ne peut accueillir un milliard de chinois immigrés, alors que certains pays ont parfois besoin d'immigration pour maintenir leur démographie ou des emplois vitaux à la nation. D'ailleurs la proportion d'immigration entre un cinquième et un tiers de la population est unique à la France voire à l'Histoire, ce qui est une situation que l’Algérie, le Mali, le Japon, à l'Arabie Saoudite, le Mexique, l'Argentine, la Chine, la Russie, etc, n'auraient pas accepté. Ainsi il ne peut y avoir de compassion (charité) sans raison, ni de raison sans compassion (charité). Il s'agit donc de trouver le juste milieu entre compassion, intelligence et virilité. Sinon cela donne l'actuelle technocratie ploutocratique, mondialiste et totalitaire. En fonction des situations et à l'image de tout système biologique ne pouvant fonctionner en ouverture ou fermeture inconditionnelle, divers degrés d'ouverture ou de fermeture peuvent ainsi être positifs, tels donc dans le libéralisme, l'interdépendance et l'union, ou dans le protectionnisme, l'autonomie et la souveraineté. En effet de même que la vie ou la liberté, l'économie suppose une limite par un certain degré de fermeture comme par exemple par rapport aux frontières, à l'image de l'épiderme pour la vie ou des autres dans notre liberté. Dans ce sens, lorsque le nationalisme bien compris devient légitime, il incarne l'importance des limites et des frontières à l'image de l'islam. Ainsi le nationalisme bien compris peut être une bonne réponse à l'impérialisme mal compris si ce dernier ne se réveille pas. Cependant pour le califat originel ayant uni plusieurs nations, c'était différent, puisqu'il était basé sur les parfaites lois divines, bien qu'il fut divisé en région et que la richesse des différentes cultures ethniques ayant adopté l'islam a été importante au niveau de la morale, de la tolérance et de la science.
Or par une énorme industrialisation capitaliste, l'homogénéisation extrême des sociétés opposée dans un sens aussi à la grande biodiversité naturelle standardise les formes de vie, de pensée, d'identité et de culture, en aboutissant à un déni maladif du réel et à une autodestruction, en particulier par des lois antinaturelles et irréligieuses destructrices de civilisation comme le mariage homosexuel, la transsexualité et l'usure, que de nombreux peuples acceptent mollement sans rébellion par une adhésion émotionnelle irréfléchie.
A ce sujet, il est intéressant d'écouter la chronique de Maître Viguier « Le confusionnisme » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=455&v=-B7rucXmufw&feature=emb_title
Il y évoque quelques exemples où la confusion est souvent entretenue dans des catégories, dans la négation de la réalité des frontières, et dans l'artifice. C'est à dire qu'il y explique que c’est la même logique de chaos et de confusion qui est à l’œuvre dans des domaines aussi différents que la distinction entre adulte et enfant, le contrôle des frontières ou la lutte contre l’homophobie.
Dans ce sens une forme de l'extrême gauche dangereusement sociétale et une forme de l'extrême droite dangereusement financière se ressemblent dans l'indignité au niveau de leur programme et de leur idéologie, puisque cherchant le libertaire à outrance pour le premier et le libéralisme à outrance pour le deuxième, tous deux synonymes d'hyper consommation, d'homosexualisme, de marchandisation des corps (dont par la GPA et la prostitution) et de l'enfant (par les lois l'ayant honteusement fait devenir un bien dont à travers la GPA), de liberté sexuelle (correspondant à de la prostitution voire la pédophilie légales), de transsexualité, de fin des frontières.
Ainsi le soutien au mouvement des droits civiques a remplacé les dix commandements dans l'esprit des américains comme source d'orientation morale. Or la déviance est constante. Cela signifie que pour chaque précepte de la loi morale traditionnelle que vous soustrayez à votre cadre légal christique, vous devez ajouter en guise de compensation un précepte de l'ordre du politiquement correct mondialiste devenu donc anti-naturel comme l'acceptation du mariage homosexuel, de l'avortement, de la transsexualité, de l'usure, des jeux d'argent, etc.
Pour sauver une grande partie de l'humanité de son autodestruction ou de son envoi en Enfer, puisqu'elle ne peut accéder à la discussion raisonnable puis théologique par cette tyrannique émotion mondialiste imposée parfois à l'aide de persuasions honteuses telle une programmation mentale, dont à travers la mise en boucle de photos d'enfants désœuvrés ou morts montrées dans des chaînes d'information folles, nous sommes arrivés à une époque où il est obligatoire de manipuler les gens manipulés à l'aide d'une sorte de contre piratage des consciences piratées (ayant subi un lavage de cerveau).
D’après Noumân Ibn Bachir (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « L’image de celui qui ne reconnaît pas les interdits de Dieu, les transgresse, ou cherche à les abolir, et l’image de celui qui les évite et invite les autres à les éviter, est celle d’un groupe de gens qui ont tiré au sort pour donner à chacun d’eux sa place dans un bateau. A certains revint le pont et à d’autres la soute. Ceux qui logeaient dans la soute étaient obligés de passer par le pont pour puiser l’eau (de la rivière). Ils dirent : « Si nous faisions un trou dans la partie qui nous revient, nous cesserons de déranger ceux qui sont au dessus de nous. » Si les passagers du pont les laissaient faire, ils périraient tous, mais s'ils les en empêchent, ils auront tous la vie sauve (ceci prouvant l'importance de prêcher (voire combattre) pour empêcher la propagation du mal des impies synonyme d'égarement puis d'autodestruction de l'humanité). » (Boukhari et Mouslim)
De plus l'affrontement direct avec le système étant impossible puisque les gens en sont imbibés et qu'on ne peut combattre le pouvoir sur son terrain car le préservant, il faut intelligemment dévoiler ses contradictions. En effet dans cette guerre spirituelle, il faut stratégiquement utiliser la rétroactivité, par exemple en se servant des bonnes lois du système contre lui-même quand il les enfreint, en retournant les propos comme de ceux qui évoquent la possibilité de garder sans fin les masques liés au covid 19, en dénonçant ses lois injustes, en rappelant son oppression financière, en rendant dépendant de lui ses adversaires comme le fait la Russie actuellement, et en renvoyant donc les mauvaises conséquences des sanctions économiques à ceux qui les créent. Or dans cette lutte comme l'a fait le Prophète (SBDSL), il est aussi important d'utiliser le commerce contre le système pour le changer par et en faveur du peuple devenu pieux et donc de l'humanité, c'est à dire en le démodant intelligemment. Surtout que lorsque le pouvoir pervers est authentiquement accusé de mentir en permanence dont en se contre-disant pour déstabiliser le peuple, il est reconnu par tous comme menteur, et il sera rejeté comme donc lors de la victoire de l'islam vers la fin de l'époque de la révélation coranique. Dans ce sens montrant la contradiction du système, on peut aussi clairement dénoncer le mensonge de la démocratie quand elle est soumise au tyrannique pouvoir profond de très riches corrompus et de lobbys pervers contrôlant les médias, formant les politiciens et amenant donc des lois ultra-libérales-libertaires en leur faveur malgré leurs conséquences destructrices de civilisation. Ce qui prouve qu'un roi, un dictateur ou un président à vie peuvent être largement plus sages et donc légitimes qu'un homme élu. Il s'agit de preuves par l'absurde de la corruption d'un système.
Et il faut donc arrêter de voir ou parler de ce qui nous sépare pour voir et parler de ce qui nous rassemble, car lutter contre ce qui nous sépare préserve l'ennemi, alors que lutter pour notre union le fait disparaître :
(S16v92-95) « Et ne faites pas (ne perdez pas votre union protectrice) comme celle qui défaisait brin par brin sa quenouille (tige tenant le textile) après l'avoir solidement filée (en vêtement), en prenant vos serments comme moyen de vous tromper les uns les autres, du fait que (vous avez trouvé) une communauté plus forte et plus nombreuse que l'autre. Allah ne fait par là que vous éprouvez. Et certes, Il vous montrera clairement au Jour de la Résurrection ce sur quoi vous vous opposiez. Si Allah avait voulu, Il aurait certes fait de vous une seule communauté. Mais Il laisse s'égarer qui Il veut et guide qui Il veut. Et vous serez certes, interrogés sur ce que vous faisiez. Et (c'est pourquoi) ne prenez pas vos serments comme moyen de vous tromper les uns les autres, sinon (vos) pas glisseront après avoir été fermes, et vous goûterez le malheur pour avoir barré le sentier d'Allah. Et vous subirez un châtiment terrible. Et ne vendez pas à vil prix le pacte d'Allah. Ce qui se trouve auprès d'Allah est meilleur pour vous, si vous saviez ! »
(S11v118) « Et si ton Seigneur avait voulu, Il aurait fait des gens une seule communauté . Or, ils ne cessent d'être en désaccord (entre eux devenant des sectes séparées) »

D'ailleurs il faut noter qu'en moins de trois jours, suite à la décision du Prophète (SBDSL) d'attacher à la mosquée un infidèle ennemi ayant été arrêté, l'agréable ambiance d'union de ce lieu avait même réussi à convaincre ce prisonnier de se convertir à la bienveillance unifiante de l'islam au moment où il fut libéré par le Prophète (SBDSL). En effet en créant cette bonne ambiance religieuse similaire à une ruche vibrant d'apaisantes bonnes œuvres cultuelles et sociales, cela peut bouleverser les cœurs de ceux qui la ressentent et les amener à vouloir sincèrement changer tout le négatif de leur personnalité en suivant agréablement Dieu. C'est à dire que les hommes étant des pôles énergétiques et magnétiques, ils doivent logiquement propager des bonnes ondes afin de vivre au mieux. Pour maximiser l'accès des cœurs à la foi, il faut donc créer pieusement des bonnes ondes, c'est à dire des énergies sociales bienfaisantes, positives, unifiantes, constructives et donc heureuses avec notre famille, nos proches, nos coreligionnaires, nos voisins et tout être humain, mais aussi afin de ne pas se faire dominer par les ondes négatives de l'athéisme, et donc de l'impiété, et donc du désespoir, et donc de la division, et donc du chaos, et donc du malheur. Surtout que la communauté musulmane a reçu la responsabilité de l'entretien de la foi dans la société depuis la mort de l'ultime Prophète (SBDSL) et que chacune de nos actions agit sur le monde au minimum par les vibrations saines ou malsaines de nos cœurs. D'autant plus que si la théorie du chaos (effet papillon) suivante est vrai, la simple vibration d'un cœur provenant d'une très mauvaise pensée peut se propager dans le monde en particulier si cela entraîne aussi une mauvaise action de son auteur : « (Dans des conditions très particulières de flux d'énergies) un battement d'ailes d'un papillon au Brésil pourrait provoquer une tempête au Texas (ou ailleurs dans le futur). » Il est donc urgent de désapprendre les négatives réactions empressées, médisantes, menaçantes ou violentes, c'est à dire de tendre à détruire toute négativité en soi pour atteindre dans une forme de grâce divine la parfaite harmonie, dont en se recentrant pour mieux ressentir le monde et le Bien. Quelles que soient les situations, il ne faut donc pas avoir de pensées ou de visions négatives mais positives par la piété. Dans ce sens malgré certaines difficultés, oppositions ou imperfections de la vie en société, il faut sentir ressentir et apprécier les moments de vie parfaits.
Pour préserver nos cœur en permanence dans les agréables valeurs nobles, il faut aussi principalement garder les souvenirs des bons et agréables moments partagés avec nos proches, et dès que c'est possible effacer définitivement de notre mémoire leurs fautes après les avoir pardonnées, de même qu'il faut savoir se pardonner à soi même pour tendre à avancer au mieux.
Même l'humeur individuelle dégage des ondes surtout quand cela s'exprime à travers des gestes ou intonations particulières, et c'est pourquoi le bon caractère propage aussi la bonne ambiance. Or l'humeur collective existe également, et c'est pourquoi le confinement généralisé pendant le covid a dégagé pour l'ensemble de la population des ondes, et donc une ambiance, et donc un ressenti d'enfermement (même lors des rares moments passés à l'extérieur des maisons), plus forts que ce qu'aurait ressenti une personne confinée seule. Par conséquent la bonne humeur individuelle et collective dans la piété doit être recherchée, car l'agréable vie noble en Dieu est plus forte quand elle est devenue une ambiance partagée.
Pour expliquer l'importance des bonnes ambiances, il faut comprendre que les souvenirs des moments vécus au cours d'une journée peuvent provoquer des échos dans notre esprit telle une musique dans la tête car dans le cœur, et entraîner des actions. Ainsi le meilleur écho que nous puissions avoir dans notre esprit est celui du pieux rappel, puisque le cœur qui reste en contact avec Dieu tend vers le chemin le plus illuminé noblement. A ce propos, on ne peut nier qu'il existe un contraste évident entre la lumière du visage d'un homme apaisé qui prie un peu toutes les nuits et les ténèbres du visage d'un homme perturbé qui boit beaucoup d'alcool tous les jours. En effet le niveau de foi, d'assagissement, de lumineuse noblesse et donc de bien-être s'établit logiquement en fonction du temps passé pieusement dans les bonnes actions cultuelles et sociales :
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Le bon caractère (sainteté de l'esprit et du cœur par la piété et les qualités) conduit au bonheur (félicité). » (Al-Kharaytî)
C'est pourquoi la lecture du Coran est aussi un médicament, car c'est une guérison spirituelle pour les cœurs instables, anxieux, stressés, dépressifs, froids, durs, névrosés, ambiguës ou pervers, pouvant provoquer de mauvaises réactions physiques comme des marques rouges, des boutons, des troubles corporels, diverses maladies dont mentales, et des troubles obsessionnels compulsifs, par le manque d'apaisants rappels du divin synonyme d'apports essentiels de foi. En effet comme en répétant un geste nocif pour le dos, l'homme peut avoir une hernie discale, une mauvaise habitude répétée même mentalement ou émotionnellement peut occasionner des dysfonctionnements corporels ou d'insensées réactions incontrôlées possiblement indignes.
Concernant les personnes ayant un trouble obsessionnel compulsif, elle peuvent guérir en comprenant que la foi apaisante par le rappel est similaire à rester toujours dans le bien être extrême  d'après un tic nerveux. En effet en ressentant le cœur décontracté par la foi, l'esprit peut vraiment ressentir décontracté toutes les autres parties du corps et le destin. Quand le cœur est tranquille, l'esprit est tranquille, et donc le corps aussi :
(S13v27-29) « Ceux qui ont mécru disent : “Pourquoi n'a-t-on pas descendu sur lui (Mohamed) un miracle venant de son Seigneur ? ” Dis : “En vérité, Allah égare qui Il veut et Il guide vers Lui celui qui se repent, ceux qui ont cru, et dont les cœurs se tranquillisent à l'évocation d'Allah”. N'est-ce point par l'évocation d'Allah que se tranquillisent les cœurs ? Ceux qui croient et font de bonnes œuvres, auront le plus grand bien (celui du coeur) et aussi le plus bon retour (propagation de la dignité et rétribution par le Paradis). »
De même un cœur stressé ou dépressif par le manque de canalisation pieuse amène ces informations négatives au cerveau, et donc à l'esprit qui peut logiquement les transmettre au corps à travers des réactions inadéquates. Dans ce sens, la piété qui est en grande partie synonyme du très fin centre du cœur réservé pour Dieu permet aussi de canaliser et donc doser une qualité pour éviter qu'elle provoque des problèmes, comme un amour excessif envers un proche peut entraîner diverses réactions déraisonnables :
(ExtS49v13) « Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah est le plus pieux. »
A ce sujet il apparaît que les émotions représentent le plus la vie, car elles sont les principales énergies intérieures ressenties par notre cœur et donc notre corps, notre cerveau et notre esprit par opposition à la mort humaine synonyme de néant énergétique. Ainsi la plupart des gens recherchent la vie des émotions comme les spectateurs de sports professionnels ou de films, que ce soit de l'enthousiasme, de l'exploit, du suspense, de l'amour, de la sérénité, etc. Or sans donc le centre du cœur pieusement réservé pour la douceur intense de la foi en Dieu, les émotions peuvent logiquement devenir une addiction provoquant des troubles du comportement comme chez les malades bipolaires ou amenant à l'alcoolisme car synonyme d'une émotion permanente par son ivresse constante. En effet ces personnes succombent souvent follement au changement d'humeur et aux pulsions excessives dont d'achat ou de consommation, puisqu'elles usent avidement et donc rapidement la vitalité de chaque nouvelle émotion, plutôt que de les vivre avec l'énergie constante de la foi. C'est à dire le Seigneur Absolu est une concrète source illimitée de puissance, de vie, de noblesse, d'intelligence, d'optimisme, de grandeur, d'amour, de sérénité et de joie dont nous n'avons qu'à profiter en nous concentrons souvent sur Lui, puisque comblant totalement notre soif d'idéal, en particulier quand c'est ressenti avec la vibrante fitra résumant tous les aspects de cette excellente source divine et étant une bonne fourchette de sérénité joyeuse (comprise entre la douce et émouvante foi constante et la pieuse tradition prophétique complète) et pouvant même guérir les bipolaires et les drogués réellement. D'ailleurs il a été vu et il sera revu que la fitra au centre du cœur synonyme de grande foi est une constante et intense énergie bonne et même excellente réellement inépuisable, telle une petite sphère immobile vibrant en permanence comme un bruit blanc. Et afin de vivre au mieux cette fitra dont évitant ainsi la bipolarité mais aussi la fatigue mentales, cardiaques, sociales et corporelles, il est important d'augmenter notre ressenti de cette fitra par la prière quotidienne permettant la plénitude spirituelle, par le jeûne régulier permettant la plénitude émotionnelle, par l’aumône raisonnable permettant la plénitude sociale et par le sport fréquent permettant la plénitude corporelle, dont car le sport tend les muscles, ce que ressent le cerveau et donc le cœur qui est aussi un muscle et donc le garde actif puis en plus serein lors du retour au repos complet :
(S17v43) « Dis : Pureté à Lui ! Il est plus haut et infiniment au-dessus de ce qu'ils disent (dont en puissance) ! »
(S89v27) « (Dieu dira aux pieux :) “Ô toi, âme apaisée (signifiant que c'est par sa complétude liée à l'acquisition de toutes les qualités morales que l'âme atteint la fitra et donc la véritable sérénité et donc la douce félicité terrestre avant l'intense sérénité et donc la profonde félicité du Paradis), retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agréée, entre donc parmi Mes serviteurs, et entre dans Mon Paradis.” »

Dans ce sens par Son rappel dans le Coran, Dieu utilise une variation fréquente des pieux sujets et donc des pieuses émotions, car ces énergies émotionnelles dévoilent évidemment le cœur puis l'intense foi de la fitra.
C'est pourquoi la France ayant perdue sa transcendance est frappée d’une dépression généralisée, comme Santé Publique France l'a documenté et chiffré de façon assez précise. Ainsi, dans son baromètre annuel sur la “prévalence des pensées suicidaires et tentatives de suicide chez les 18-85 ans en France” en 2023, l’organisme public dresse un portrait accablant des pensées suicidaires chez les jeunes, et spécialement chez les jeunes femmes. Entre la France de l’hyperconsommation, du vide spirituel et de la normalité “égalitaire”, d’un côté, et le désespoir de la jeunesse, de l’autre, le pays ferait bien de s’interroger sur le malaise.
Ainsi vivre sans évoquer Dieu même un minimum ressemble à de la folie, surtout que les belles paroles nobles sont telles des grandes montagnes stabilisant la croûte terrestre du cœur. Chaque personne doit donc dompter ses émotions par la foi en la source éternelle de tout bien qu'est Dieu, puisque son rappel et sa réalité sont une réelle énergie permanente nourrissant son âme avec la position divine absolue, l'énergie divine sans fin, l'excellente moralité divine et la vie divine illimité du Paradis. Surtout que cela efface donc totalement l'angoissante idée erronée d'extinction définitive personnelle lors de la mort. C'est à dire que le ressenti réel de Dieu particulièrement à travers la concrète énergie constante de l'excellente fitra donne véritablement à l'homme le vitalisant sentiment d'immortalité authentique de son esprit et de son âme malgré la mortalité de son corps.
Et il ne faut donc pas tomber dans la passion matérialiste, sensationnelle ou émotionnelle, ni dans la soumission cherchant à plaire inconséquemment à d'indignes personnes supérieures hiérarchiquement, ni dans la volonté de célébrité ostentatoire dont narcissique présente dans l’âme bestiale. Or les réseaux sociaux amènent de plus en plus de gens à cette basse célébrité ostentatoire souvent synonyme d'une stupide ivresse fière devenant progressivement inanité dépressive, en particulier lorsque la célébrité est prioritairement recherchée, faible ou basée sur du superficiel.
Une grande partie du bon fonctionnement corporel humain est principalement psychosomatique, ou en tout cas souvent au minimum, un croisement entre le psycho (mentale et physique) et le somatique (danger de l'environnement). Par exemple une personne sous stress depuis longtemps (voire depuis son enfance) sécrète plus de cortisol, qui, sur le long terme, va entre autres, développer un état inflammatoire chronique du corps. Les multiples facettes du Moi toxique sont donc dangereuses. Alors il faut atteindre la fitra pour progressivement abandonner les schémas dysfonctionnels du passé, se libérer de cette part toxique en soi et enfin s'ouvrir à la plénitude de notre bonne identité. Et selon un juste proverbe indien, tout, que ce soit les vues, sons, goûts, odeurs, aliments, sensations, émotions, sentiments, pensées et habitudes, est bonne et enrichissante ou mauvaise et dégradante nourriture pour l'être humain. Ainsi croire que Dieu révèle religieusement le meilleur chemin et qu'Il contrôle tout dont donc notre santé apporte une sérénité pouvant logiquement empêcher de nombreuses maladies provenant du stress, de l'angoisse ou de la dépression, en particulier si c'est accompagné par un jeûne régulier et de la culture religieuse ainsi que générale. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Que se passe-t-il lorsque vous jeûnez ? » à l'adresse https://odysee.com/@ERTV:1/Que-se-passe-t-il-lorsque-vous-je%C3%BBnez:0
Or dans notre époque aux nombreux films d'horreur fréquemment regardés et aux chaînes d'information passant souvent en boucle des malheurs, le masochisme d'aimer se faire terroriser et donc contrôler tel à travers le syndrome de Stockholm s'est répandu. D'ailleurs la soumission de beaucoup à la tyrannie sanitaire en est la preuve. La peur sans la piété est une des émotions les plus intenses et donc les plus vitalisantes, mais elle est déséquilibrante, malheureuse et avilissante d'autant plus quand elle provient de perverses images choquantes, violentes, tyranniques ou diaboliques. Le syndrome de Stockholm est également comparable aux nègres de maison, car ils aimaient leur servitude par manque de culture ou d'instruction. Tout ceci nous rappelle combien Étienne de la Boétie avait visé juste il y a déjà plusieurs siècles : « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » Pour renforcer ce type de gens faible moralement, il est souvent possible de diagnostiquer leurs problèmes psychologiques en faisant attention à ce qu’ils pratiquent trop dans leur vie, ou évoquent de façon répétitive et compulsive dans une conversation. Il s’agit généralement de choses ardemment désirées, que l'on peut sagement détourner, amoindrir ou apaiser dont vers la piété ou le pardon quand elles ont été identifiées.
Les hommes étant des créatures faibles physiquement, parfois fatiguées psychologiquement par le poids de la vie (décès de proches, vieillesse, possibles maladies ou handicaps, mort future), tentées ici-bas par la recherche du dangereux plaisir sans limite d'origine paradisiaque lié à leur âme bestiale, invitées à s'ennoblir lourdement puisque à l'image du Créateur, et éprouvées par la peur du manque de subsistance, de sécurité et de confort, il devrait être facile de pardonner la plupart des erreurs de nos proches en espérant qu'ils s'améliorent par la piété en particulier car Dieu est le seul Juge.
Surtout que le jugement appartenant donc au Seigneur, l'homme doit aussi profiter de cette vérité pour apaiser son cœur pleinement, puisqu'il peut ressentir ce monde sans avoir à juger. Ainsi même quand c'est un mal qui lui arrive, il doit seulement juger sereinement selon les parfaites lois coraniques du Seigneur Omniscient, et évite donc de devoir difficilement estimer divers dilemmes moraux ou des sanctions qui pourraient être injustement disproportionnées dans le sens sévère ou laxiste. Cependant le pardon est fortement conseillé ou doit être au minimum accompagné avec le jugement, afin que le cœur soit apaisé en évitant noblement les sentiments d'une blessante vengeance ou d'une basse haine, finalement similaire à ce que l'on reproche au coupable et pouvant provoquer la possible mort du bien en nous. De même il est important de se pardonner à soi même ses erreurs du passé pour réussir par l'optimisme les nobles objectifs du futur, et en sachant que pour parvenir plus facilement à cet (auto)pardon apaisant, il faut éviter de trop s'aimer soi-même ou de se croire parfait. En effet le dégoût, le pessimisme et la rancœur détériorent le bien-être et les relations avec les proches, ou entraînent la violence amenant à la violence (comme le mal engendre le mal et s'en nourrit), et provoquent donc des souffrances psychologiques ou physiques répandant la peine, la douleur, la déception ou le malheur.
Or des personnes trop rationnelles concernant l'environnement et donc submergées de logique hors sentiments peuvent gérer incorrectement la subtilité des relations sociales à cause de leur faible niveau émotionnel.
Le syndrome d'asperger est un trouble du spectre de l'autisme qui rend compliqué de savoir ce que les autres ressentent et de communiquer. Il s'agit dune grande connaissance et d'une hyper rationalité ne s'adaptant pas aux possibles sentiments des autres. Cela empêche donc d'interpréter les émotions des gens, les intonations, les expressions : tout ce qui est naturel pour les autres dans ce sens est compliqué pour un autiste, surtout qu'en plus il n'a pas ou ne comprend pas ses propres émotions. Mais quand elles lui sont expliquées, il semble pouvoir en saisir le sens. Ainsi un autiste ne comprend donc pas ces règles sociales, ne sait pas ce qu'il peut dire ou non à voix haute, ne sait pas comment réagir aux blagues et ne comprend pas que les gens ont des limites. D'ailleurs on peut constater que les personnes atteintes de la trisomie 21, qui a en partie comme conséquence une déficience intellectuelle légère à modérée et donc un QI bas, sont souvent très expressives dans leurs émotions ou sentiments et ont donc un QE très voire trop haut.
Dans l’enseignent moral divin, ce handicap mental valorise et donc rend plus beau le bienfait divin de la compassion et de la compréhension des sentiments chez les autres. Cependant, cela montre aussi que les non autistes ayant un petit quotient émotionnel ont un manque considérable de piété voire une maladie du cœur tels l'insensibilité, l'indifférence, l'orgueil, le mépris. En effet un très grand QI se rapprochant de la raison ferme(ée) de l'autisme, une vaste connaissance apportant de l'orgueil, ou un caractère dur pouvant provenir de ne pas avoir reçu assez d'affection pendant la jeunesse, peuvent parfois apporter des émotions trop faibles (insensibilité, manque d'empathie, manque de subtilité) ou trop fortes (hypersensibilité incontrôlée, colère, manque de subtilité), entraînant des actions sentimentales trop faibles ou trop fortes synonymes de comportements anormaux, comme la maladresse relationnelle, la dépression, le stress, la rudesse, la violence. Ce qui prouve encore que le cœur est l'organe roi car dirigeant le comportement. C'est à dire que les relations sociales nécessitent souvent d'être gérées avec les raisons du cœur que la raison ignore, et donc avec la raison de la balance du cœur pesant sagement le contexte, comme par rapport à un proche évitant certains gestes affectueux dans diverses situations ou par rapport à un enfant gardant secrètes certaines informations délicates. Dans ce sens les personnes insensibles ou dures et ayant donc un petit quotient émotionnel doivent être gérées avec une intelligente compassion quand elles sont ignorantes ou font semblant d'être ignorantes de leur faiblesse voire de leur méconnaissance sentimentales, et avec une douce compassion lorsqu'elles les ont reconnues.Il faut donc par la foi trouver le juste milieu entre QI (quotient intellectuel, culture générale, raison scientifique et philosophique) et QE (quotient/intelligence émotionnel, moralité, caractère, intuition, raison subtile et empathique) pour vivre pleinement l'existence, gérer au mieux nos proches et ennoblir excellemment notre nature. C'est à dire par exemple afin que personne ne s'enferme qu'à étudier en oubliant les relations sociales et la construction d'une vie familiale. En effet les relations amoureuse, conjugale, familiale ou sociale ont besoin d'un QE élevé car elles sont fréquemment plus compliquées que la rationnelle logique parfaite ou notre autogestion sentimentale, en particulier dans le rapport aux enfants ou à la femme qui est la plus imparfaite des créatures conscientes, puisque souvent plus impulsive dont lors des menstrues ou d'une grossesse déclenchant en plus des hormones. Ce QE élevé est aussi important dans notre rapport à la compassion, à la douceur, à la patience, au courage, à la justice, à la miséricorde, à l'adaptation, au pardon ou à la grandeur, souvent nécessaires pour gérer au mieux les colères parfois irrationnelles ou incompréhensibles des autres et pour éviter la division de la polémique parfois même quand on a raison.
Au sujet de la différence et de l’importance du QI et du QE, la psychologue Yoanna Micoud aborde un sujet délicat : la relation entre l'instruction (QI) et la susceptibilité à la propagande liée au (QE). Selon elle, il est important de distinguer l'intelligence de l'instruction de la république, car l'intelligence se décline en plusieurs formes, y compris l'intelligence émotionnelle. Yoanna Micoud soulève le paradoxe de personnes très instruites et intelligentes qui se retrouvent piégées dans ces mécanismes toxiques. Selon elle, ces personnes ont peut-être acquis une grande quantité d’informations et de connaissances, mais elles ont peut-être perdu le contact avec leur système émotionnel et leur intuition, qui sont des formes d’intelligence plus profondes. « Dans la société actuelle, une tendance malheureuse persiste, selon laquelle les personnes instruites sont considérées comme plus intelligentes. » La psychologue recommande de ne pas apprendre à nos enfants à obéir aveuglément, mais plutôt à écouter leur propre intuition tout en respectant les limites raisonnables. Enfin, le QE élevé sert évidemment à diminuer la colère, dominer la peur, refuser l'humiliation impie, et apprécier grandement la foi en Dieu qui est d'ailleurs au-delà du rationnel comme le prouve le mur de Planck :
Le Prophète Mouhamed (SBDSL) a dit : « Le croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère. Les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes (donc par le cœur plus que par la raison parfois). » (Tirmidhi)
D'après Abou Umâma al-Bahili (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Je garantie une maison dans la périphérie du Paradis à celui qui délaisse la polémique même si il a raison, une maison au milieu du Paradis à celui qui délaisse le mensonge même si il plaisante, et une maison en haut du Paradis à celui qui améliore son comportement. » (Abou Dawoud)
Commentaire : Ce hadith montre encore clairement que les qualités spirituelles d'abord au niveau personnel et pour la préservation du lien social sont la valeur suprême.
Or quand le quotient émotionnel n'est pas maîtrisé dont suite à un mauvais caractère ou un confinement, il peut se traduire par de la colère, de la psychose, de la paranoïa et de la violence. Et quand il n'y a plus de surmoi ni d'autorité dans ce sens, il apparaît un effondrement psychique, comportemental, social, économique et politique. Surtout que car le surmoi gère nos besoins, nos envies, les exigences du monde extérieur et la volonté d'auto-destruction liée à notre mortalité.
Ainsi il faut que le QI et surtout le QE soient élevés pour que le QP (quotient pieux) soit le plus élevé. Par ailleurs une certaine irrationalité de l'amour envers le conjoint et sa réussite professionnelle peut plus ou moins pieusement effacer la rationalité de la réussite professionnelle personnelle. Cependant l'irrationalité impie dans l'amour peut faire passer injustement la jalousie avant la raison, même s'il le Prophète (SBDSL) a revendiqué être légitimement jaloux dans certains cas.
Il arrive aussi que certaines personnes trop rationnelles ou trop irrationnelles voient avant tout le matériel comme condition du bonheur, en oubliant que les cœurs ont besoin de sentiments contrôlés, de bienveillance élevée, de romantisme dosé et de spiritualité posée pour être totalement comblés.
De plus comme quand on aime au niveau social en particulier son conjoint, il faut être prêt à payer le prix de la douleur de possibles insatisfactions ou d'une éventuelle séparation, cela explique pourquoi certains ne recherchent pas l'amour profondément. Or le réel amour puissant apaisé, qui est celui maîtrisé en Dieu et Ses attributs excellents, suprêmes, illimités et transcendants tel celui du Messie Jésus, apporte une grande maturité sans déception, car la volonté de bien pour la personne aimée dépasse réellement notre attente de son amour pour nous.
Ainsi pour tendre pieusement vers l'excellence, il faut responsablement être à la hauteur, se rendre fort, ou devenir équilibré sur le plan affectif au niveau familial et social, tout en gérant sa vie raisonnablement. Et il ne faut donc pas fuir certaines choses possiblement décevantes ou effrayantes qu'on ne peut pas résoudre seul, comme l'espoir de se faire aimer de la personne que l'on aime au moins tant que son refus ou l'impossibilité ne sont pas clairs, ou comme une nécessité capitale dans le destin telle une activité professionnelle tant qu'elle n'apparaît pas comme illicite. Le ressenti mesuré et noble qu'apporte la foi doit aussi amener pieusement au tact que les enfants, les femmes, les proches, les voisins, toute personne, Dieu, et donc la meilleure noblesse attendent :
Le Prophète Mouhamed (SBDSL) a dit : « Le croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère. Les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes (donc par le cœur plus que par la raison parfois). » (Tirmidhi)
D'autre part l'islam explique que les défauts, c'est à dire les mauvais sentiments apparaissant à cause du refus d'écouter la pieuse pureté originelle du cœur, sont des maladies déréglant le bon comportement et pouvant être guéries par les pratiques religieuses, comme les maladies déréglant le bon fonctionnement originel du corps peuvent être guéries par la médecine.
Il faut noter que ces maladies du cœur sont des oppositions aux qualités spirituelles divines comme l'avidité est contraire à la générosité, l'avarice au partage, l'impatience à la patience et la brutalité à la douceur, ou correspondent à la recherche perverse de certains attributs divins généralement interdits à l'homme comme l'orgueil, le pouvoir et la domination.
Les mauvais sentiments correspondant donc à des maladies du cœur proviennent principalement de l'âme bestiale (ego, nefs) indomptée et peuvent ainsi être évitées à travers le contrôle pieux de l'âme bestiale par l'âme spirituelle (humble, rouh) développée religieusement. Et lorsque l'ego est sérieusement dompté par les qualités morales, cela apporte une force de loup défendant facilement les faibles, la justice, la noblesse et la religion, ou pouvant devenir un grand détachement pieux, hâtif, pardonneur et oublieur par rapport à des bassesses de créatures envers nous :
(S54v3) « et (parfois les impies) suivent leurs propres impulsions (c'est à dire les maladies du cœur dont la cupidité, l'avarice et la malhonnêteté, liées exclusivement à l'ego indompté de notre âme bestiale, car les qualités du cœur ne sont possibles que par Dieu) »
Bible (Evangile de Jésus Christ selon saint Marc, 7:21-23) : « Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres, les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.… »
Bible (Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc, 5:31/32) : « Jésus, prenant la parole, leur dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien (spirituellement) qui ont besoin de médecin, mais les malades (en réalité tous ceux n'ayant pas une grande piété)... »
Bible (Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 3:8-10 et 45/46) : « Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur (terrestre, Jésus), lui dit : Voici, Seigneur (terrestre, Jésus), je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et si j'ai fait tort de quelque chose à quelqu'un, je lui rends le quadruple. Jésus lui dit : Le salut est entré aujourd'hui dans cette maison, parce que celui-ci est aussi un fils d'Abraham, car le Fils de l'homme (Jésus) est venu chercher et sauver ce qui était perdu. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils (spirituel) dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé (guéri) par lui..... Il entra dans le temple, et il se mit à chasser ceux qui vendaient, leur disant : Il est écrit : Ma maison sera une maison de prière. Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. »
Dans ce sens les lectures des paroles sacrées, la tradition religieuse et les œuvres cultuelles apportent guidée morale, apaisement, belles exhortations, avertissements, sagesse et récits sur la vie des Prophètes qui sont autant d'exemples incitant et donc amenant à la rectitude du cœur. En effet le cœur finira par désirer ce qui lui est profitable et par fuir ce qui lui nuit : il aimera la droiture et détestera l'égarement après avoir préféré l'égarement et détesté la droiture. Et même si parfois une pratique de la religion comme jeûner semble difficile, il est possible de s'y habituer progressivement en faisant ce que l'on peut pour commencer. En effet, il faut comprendre que comme un médecin doit parfois faire une douloureuse piqûre pour guérir notre corps, la pratique religieuse peut parfois être difficile pour guérir le cœur. L'islam fait donc disparaître les maladies et donc défauts sentimentaux du cœur éteignant la volonté de sagesse jusqu'à ce que le cœur s'assainisse et que cette volonté de sagesse s'intensifie. Le cœur sera alors revenu à la saine nature selon laquelle il a été créé, comme le corps revient à son état naturel après la guérison d'une maladie.
Le cœur étant dans un sens le fond de l'esprit bienveillant doit donc se nourrir de la pureté de la foi, du Coran, des hadiths, des œuvres cultuelles, du mode de vie prophétique, du cadre légal religieux, des qualités spirituelles et des bonnes œuvres sociales pour se développer et se renforcer, de la même façon que le corps se nourrit de la pureté de l'air, des aliments licites, du sport et de l'hygiène pour se développer et se renforcer.
La purification du cœur est également similaire au développement d'un enfant, puisque le cœur a besoin d'être éduqué vers une bonne gestion des nobles sentiments afin de se développer jusqu'à atteindre sa maturité bienveillante, comme l'enfant a besoin d'être éduqué vers une bonne gestion des nobles valeurs afin de se développer jusqu'à atteindre la maturité d'un adulte sociable.
Par conséquent il faut bien donner au cœur les occupations qui lui sont meilleures et lui interdire tout ce qui peut lui nuire, car à l'exemple du corps et des plantes qui ne se développent que si on les nourrit avec des aliments purs et qu'on leur interdit ce qui leur est néfaste, le cœur a besoin de se nourrir correctement. C'est pourquoi délaisser les turpitudes purifie le cœur en faisant prospérer les bonnes œuvres, comme l'abandon des choses toxiques purifie le corps en faisant prospérer les effets de la santé et comme l'arrachage des mauvaises herbes purifie un champ en faisant prospérer les cultures. En effet quand le cœur parvient à se défaire complètement des turpitudes, comme le corps peut se défaire de l'excédent de poids, il retrouve alors précieusement sa force naturelle et son sage équilibre, car elles sont les qualités le faisant vivre le plus noblement puisque l'amenant à servir au mieux. Dans ce sens le cœur doit aussi se repentir sincèrement des péchés, afin de se les faire pardonner et donc devenir entièrement purifié. C'est à dire qu'en se défaisant de ce mélange qui réunissait les mauvaises et les bonnes actions, comme un agriculteur enlève les mauvaises herbes d'un champs, le cœur retrouve la clarté, la puissance et la volonté de ne pratiquer que des bonnes œuvres à l'image d'un champs nettoyé faisant pousser beaucoup de bons fruits :
(S14v24-26) « N'as-tu pas vu comment Allah propose en parabole une bonne parole pareille à un bel arbre dont la racine est ferme et la ramure s'élançant dans le ciel ? Il donne à tout instant ses fruits par la grâce de son Seigneur (en provenant de la piété). Allah propose ses paraboles à l'intention des gens afin qu'ils s'exhortent. Et une mauvaise parole est pareille à un mauvais arbre déraciné de la surface de la terre et qui n'a point de stabilité. »
Bible (Evangile de Jésus-Christ selon saint Mathieu, 7:15-20) : « Or soyez en garde contre les faux prophètes qui viennent à vous en habits de brebis, mais qui au dedans sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on du raisin sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Ainsi tout bon arbre produit de bons fruits, mais l'arbre mauvais produit de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, ni arbre mauvais produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bon fruit est coupé et jeté au feu. Ainsi vous les reconnaîtrez à leurs fruits. »
(S24v21) « Et n’eussent été la grâce d’ Allah envers vous et Sa miséricorde, nul d’entre vous n’aurait jamais été pur. Mais Allah purifie qui Il veut (par les règles religieuses dont le repentir, les ablutions et les cinq piliers). Et Allah est Audient et Omniscient. »
(S2v21) « Ô hommes ! Adorez votre Seigneur, qui vous a créé vous et ceux qui vous ont précédé. Ainsi atteindrez-vous à la piété. »
(S3v92) « Vous n'atteindrez (une réelle partie de la) piété que si vous faites largesses de ce que vous chérissez. Tout ce dont vous faites largesses, Allah le sait certainement bien. »
(S2v183) « Ô les croyants ! On vous a prescrit le jeûne (as-siyam) comme on l’a prescrit à ceux d’avant vous, ainsi atteindrez vous la piété »