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L) Suite 12 (1)


Pour parvenir à leur alliance à travers le socialisme d'un super Etat totalitaire mondialiste, les milliardaires multiplient en plus les petites règles compliquées dont donc avec le Covid qui les a fait progresser et la masse qui les a beaucoup acceptées :
« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement (soumis au mondialisme) est le berger. » (Tocqueville)
La croyance à l’illusion qu’« on va tous mourir du virus » provoque l’impératif de survivre avant celui de comprendre ; le cerveau reptilien ayant la primauté sur le néo-cortex et la raison. Il n’est donc pas nécessaire que le fait scientifique soit avéré ou confirmé par le plus grand scientifique ou le Pouvoir lui-même. C'est pourquoi afin de mieux contrôler la population et d'augmenter massivement l'endettement de la France, il fallait prolonger le pass qui prolonge aussi la peur du danger sanitaire, comme bientôt les pass climatique ou/et économique. En effet cela fait enraciner cette croyance collective dans la société et provoque peu à peu un dressage des esprits par auto-conditionnement ainsi donc qu'une neutralisation générale de la réaction et de la raison. Tout ça via l’Écran. Peu importe qu’on n’ait pas de télé, car des affichages suffisent pour diffuser la Peur sur toute la ville et sur toutes les ondes, c'est à dire pourvu qu’on la voit et qu’on parle de la peur ; peu importe que ça soit en bien ou en mal, qu’on est raison ou tort.
« Le Pr Mattias Desmet enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires. Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes. Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique amplifiées par la perte de liens sociaux physiques, ce qui était déjà une perte de sens. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable qu'elle risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation. Un agent comme le coronavirus ou la Russie peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse. Grâce au Covid ou à la Russie, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés. La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas et qui sera expliqué plus tard), les gens s'estiment victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié. À l’instar de cette fable des Animaux malades de la peste, les consommateurs sevrés par ces crises orchestrée sentent qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe des non vaccinés (mais aussi des complotistes ou anti-vaccins selon les étiquettes de circonstance désignés eux aussi comme des dangers publics) fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux , et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).
(« Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme » : extrait de l'article « Pr Didier Raoult : « Quand on menace les gens de les confiner ou de ne plus les soigner, c’est de la dictature » à l'adresse https://lemediaen442.fr/pr-didier-raoult-quand-on-menace-les-gens-de-les-confiner-ou-de-ne-plus-les-soigner-cest-de-la-dictature/)
Dans ce processus sournois synonyme de bassesse, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples ont renoncé à leurs droits et libertés. Une fois cet « engoncement (ce resserrement) » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, et à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance, impliquerait nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante précédente, ce qui serait perspective psychiquement insupportable. Cela explique pourquoi les « covidistes » sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer. Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend même les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes. » (Extrait de l'article « Viol des esprits et psychose de masse » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/06/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/
Or une société malade qui a perdu ses repères (ses valeurs) crée toujours du totalitarisme, de l'injustice sociale ou des guerres. En effet généralement suite à une époque difficile, cela va créer des hommes forts qui eux-mêmes vont concevoir une société plus juste et plus faciles à vivre. Puis avec le temps, les hommes la composant vont perdre de leur vigueur et de leur vigilance. Alors ces sociétés dégénèrent et s'avachissent en raison de la faiblesse des hommes qui les constituent parce qu'ils ne rencontrent plus d'épreuves qui les fortifient. Ainsi elles sombrent dans la destruction, et c'est à nouveau l'émergence d'une époque difficile. C'est pourquoi lors des premiers califats, le djihad pieux intérieur qui est de se maîtriser religieusement et le djihad pieux extérieur qui est le combat militaire, servaient principalement à maintenir la force et la stabilité de la société.
Ainsi on ne doit pas négocier avec l'expérience totalitaire, car moins on négocie avec elle et plus vite on la fera couler, d'autant plus avec de massifs boycotts intelligents et unis, car le destin du totalitarisme est de s'autodétruire, de s'effondrer, puisqu'il est contraire à toutes les lois de la nature, de l'espèce, de l'esprit, de l'âme, de l'intelligence. Surtout qu'impopulairement car souvent par rapport à la modestie du peuple, la nomenklatura y a généralement droit à tout même à certaines interdictions imposées au peuple.
L’émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ? Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ? En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ? Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ? En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ? Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ? En quoi vivons-nous le prolongement de notre fermeture de cœur ? La charité serait-elle le remède au totalitarisme ?
Selon la psychologue clinicienne Ariane Bilheran, la meilleure solution contre le totalitarisme tyrannique synonyme de guerre auto-destructrice et contre la société du spectacle qui ne valorise plus la discipline, l'effort et l'être, mais la séduction, la consommation et l'avoir, est la charité et non la solidarité. En effet la solidarité est une chaîne qui détient l'exigence de la réciprocité et donc de l'interdépendance. Alors que la charité, très souvent pratiquée par les prophètes Jésus et Mouhamed, ne cherche qu'à donner sans condition, qu'à aider sans vouloir recevoir (à part de Dieu quand on est croyant), mais dans l'espoir que l'être ou les êtres humains aidés dont dans leurs droits soient guidés et propagent cette charité en la pratiquant.
Selon saint Thomas d’Aquin, la charité est la vertu suprême théologique (et christique, du monothéisme authentique), et c'est donc celle qui nous fait le plus grandir car elle est synonyme de miséricorde par excellence, mais elle ne doit pas amener à la pauvreté de celui qui la pratique. Elle peut aussi se voir dans l'hospitalité individuelle ou collective. Et lors d'une épidémie quand c'est possible, il est donc préférable de préserver l'amour entre humains dont par des contacts tendres, plutôt que l'amour de soi dont par la crainte des autres, surtout que Dieu contrôle même les virus et que le martyr qui doit être recherché se gagne avant tout par le secours (dont le lien) envers l'humain, la vie et la foi.
Or nous sommes arrivés à un point tel que la survie n'est plus mesurée par des critères moraux, spirituels ou humains. Le peuple a même été traité par les vaccins expérimentaux comme des bestiaux voire des cobayes sous la propriété totalitaire de l'Etat. Malheureusement, nous savons que jamais personne ne s’empare du pouvoir avec l’intention d’y renoncer. Pour certains le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin.
Suite à l'effondrement du messianisme communiste (totalitarisme d'apparence militaire) et du messianisme capitaliste libéral (totalitarisme d'apparence chic et donc plus vicieux), le pire totalitarisme est donc celui de la société libertaire d'hyper consommation, parce qu'il est organisé par une ploutocratie, et que le virtuel et l'impiété, c'est à dire le numérique, l'athéisme, le progressisme, le Lgbtisme, le féminisme, la GPA, la transsexualité, le transhumanisme, le wokisme, la cancel culture, luttent contre le réel après l'avoir follement qualifié de fascisme, alors que ce n'est que par toute cette évidente inversion des valeurs imposée que le fascisme tend à revenir mondialement à travers cette gauche sociétale ayant particulièrement formaté les jeunes générations.
Or selon Karl Marx, l'histoire d'un totalitarisme revient toujours deux fois, mais la première fois elle vient en tant que tragédie, alors que la seconde, elle revient en tant que farce. Et la plus grande menace pour un totalitarisme impie n'est pas les rebelles violents sur lesquels il pourrait construire une fausse légitimité de défense nationale contre eux, mais les sceptiques, les ironiques et les décontractés dont l'esprit fin, clairvoyant, sage et intelligent peut être contagieux. Or quand la passion ou la peur sont administrées chez le peuple comme ce le fut lors la propagande manipulante et divisante concernant le Covid, l'idéologie politicienne tyrannique prime donc sur la raison, la science et le bon sens. Ainsi malgré la démocratie liée à la république française étant le pouvoir au peuple, le système veut nous faire croire que c'est l'autorité qui a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant en plus être raccourci par une révolution.
Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'Eloge de la force avec Laurent Obertone - Le samedi politique » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=Ue9CqPFtQgo&t=192s
D'ailleurs la dictature sanitaire liée au Covid a clairement fait passé l'autorité à de l'autoritarisme, qui pourrait aller jusqu'à la tyrannie écologico-sanitairo-numérique sous de pseudos prétextes comme la pseudo lutte contre le carbone. En effet on ne peut nier qu'avec la perverse gestion de la crise sanitaire comme pour habituer les peuples aux prochaines crises et au grand reset, un totalitarisme ploutocratique s'est mis en place par les confinements, les couvre-feu, le traçage, les délations, la stigmatisation de populations, les camps, le QR code (faisant rappeler celui de Nuremberg), le passeport (covid) pour circuler sur le territoire national, le règne de la terreur par la propagande, etc. Surtout que les forces progressistes qui ont imposé cette tyrannie sanitaire et numérique ont en partie détruit l’économie productive au profit des grosses puissances financières.
Le passeport covid national liberticide, ayant donc possiblement préparé les peuples à celui énergétique, écologique ou vert encore plus liberticide, peut aussi être la suite liberticide concernant le déplacement commencée lors de la première guerre mondiale et continuée par les passeports et les visas : « Rien peut-être ne rend plus sensible le formidable recul qu’a subi le monde depuis la Première Guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et, de façon générale, à leurs droits. Avant 1914 … chacun allait sans passeport où il voulait sur terre et y demeurait aussi longtemps qu’il lui plaisait. » (Stefan Zweig, Le monde d’hier. Souvenirs d’un Européen, 1942)
Or à notre époque se rapprochant des dix milliards d'humains sur terre et ayant de nombreuses nations aux frontières bien définies, l’utilité de passeport pour gérer le flux de déplacement humain au niveau mondial paraît important, surtout cela n’empêche pas l'immigration illégale de beaucoup. Mais il est important de noter que par une forme d'ouverture et de liberté, il est agréable de passer des frontières sans contrôle comme dans l'union européenne.
« Pour retrouver un peu de cet ancien temps, égalité et réconciliation sont les deux choses que les majorités doivent absolument offrir aux minorités (dont les ultra riches font partie), surtout si elles veulent empêcher ces dernières de donner prise aux techniques de manipulations utilisées par les forces qui veulent transformer tout le monde en esclaves obéissants et désemparés. D'autant plus que par la subordination de la dette usurière, une caste mondialisée ultra riche et donc minoritaire cherche donc le pouvoir politique et parvient même à obtenir des infrastructures de nations, la dématérialisation de la monnaie (en futures monnaies numériques centralisées voire décentralisées gérées par les banques) et le démantèlement des services publiques (dont les moyens hospitaliers étaient déjà insuffisants avant le début du covid) en les faisant devenir payant. Ces majorités qui s’illusionnent et croient qu’elles peuvent résoudre le « problème des minorités » en les expulsant ou en les faisant disparaître ne font que se tromper elles-mêmes. En effet résoudre « simplement » le « problème des minorités » en les réprimant pousse inévitablement celles-ci directement dans la chaude étreinte des grands manipulateurs, et cela transforme ces minorités en une puissante arme contre la majorité. La défense des minorités devient d'ailleurs souvent une propagande guerrière de certaines minorités contre la majorité (l'opinion publique majoritaire) et ne correspond donc plus à de la démocratie. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » certaines minorités. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » les minorités. Surtout que le Rassemblement national dénommé avant Front national ayant été attaqué pendant 40 ans par les forces sionistes, il a finalement été dévirilisé, et une fois dévirilisé (dont jusqu'à changer de nom, qui a tout de même été sage), il a été attaqué sur sa dévirilisation par Zemmour. On saisit l’ingénierie aussi subtile que cruelle. C'est à dire que comme la nouvelle droite de Zemmour en réalité sioniste est fausse puisque étant pour L'Euro, l'Union européenne et le pass sanitaire, cela signifie qu'elle est macronienne. Ainsi ceux qui le suivent participent à éjecter les derniers véritable défenseurs de la droite authentique. L’ennemi te demande de faire la paix, de poser ton arme, puis, sans risque, t’enfonce son épée, que lui n’a pas posée. Bien entendu, cela ne signifie pas que les préoccupations et les griefs émis par ce mouvement sont sans mérite, pas du tout, ce sont leurs pseudo solutions qui sont le véritable danger.
Il n’y a qu’un seul chemin efficace pour désamorcer le potentiel explosif des minorités :
-Expliquer que la domination des élites perverses se fait donc de la manière suivante : libéralisme libertaire, appauvrissement du bas et de la classe moyenne entrepreneuriales de la société, destruction des acquis sociaux, manipulation entre minorité et majorité, racisme, division horizontale, et ainsi lutte verticale entre le peuple et le pouvoir profond évitée.
-Instruire les minorités et leur expliquer qu’elles sont manipulées
-Instruire ceux qui rejoignent les mouvements opposés aux minorités qu’ils sont aussi manipulés
-Offrir aux minorités un avenir fondé sur l’égalité et la réconciliation
-Pointer les projecteurs vers ceux qui soufflent sur les braises du conflit et essaient de tourner les minorités et les majorités les unes contre les autres afin de préserver leurs privilèges corrompus. » (Extraits de l'article « Les minorités manipulées représentent un danger majeur pour les États démocratiques » à l'adresse http://lesakerfrancophone.fr/les-minorites-manipulees-representent-un-danger-majeur-pour-les-etats-democratiques)
Tous les grands problèmes sociaux mondiaux proviennent principalement des occidentales oligarchies perverses, mondialistes, américano-sionistes, ultra-libérales, wokistes, cupides ou avides de pouvoir. D'ailleurs il faut rappeler qu'exactement 11 ans après le démembrement de l'union soviétique et le discours du président Bush Père américain sur le nouvel ordre mondial séculier à venir, les attentats du 11 septembre 2001 au World Trade Center très probablement effectués sous faux drapeau eurent lieu, ce qui permit au président Bush américain, fils du précédent de même nom, de dire qu’il fera la guerre au terrorisme, car il s'agissait d'une guerre possiblement sans fin permettant aux Etats-Unis leurs perpétuelles ventes d'arme et la préservation de leur hégémonie puisque cet empire est un complexe militaro-industriel, mais cela créa beaucoup d'immigration suite aux guerre en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie. Or s’il avait affirmé qu’il avait l’intention de livrer une bataille à l’islam, cela aurait mis en danger le projet américano-sioniste de domination du monde par l'ultra-libéralisme occidental et l'instabilité des guerres, puisqu'il aurait uni la population musulmane représentant le cinquième de l'humanité. Ainsi après avoir organisé la guerre permanente, l'oligarchie mondialiste des Etats-Unis et de l'Occident veut maintenant les pass sanitaire et énergétique permanents pour augmenter désormais la guerre du tous contre tous et la tyrannie ploutocratique internationale. Ceci prouvant qu'il est grand temps qu'un califat bien guidé et donc sagement constructeur réapparaisse à travers l'union de tous les pays musulmans, afin de purifier le monde qui en est devenu à être organisé par la création puis l'exploitation du chaos pour préserver l'empire américano-sioniste.
Surtout que par rapport à tout ce qui vient d'être évoqué, il est reconnu désormais mondialement que divers services spéciaux occidentaux instrumentalisent le terrorisme djihadiste à des fins politiques ou géopolitiques, d'autant plus que le Président Trump a admis l'origine états-unienne de Daech, comme Al-Qaïda est d'origine états-unienne. En effet cette armée terroriste avait été au départ la rébellion des anciennes armée et administration irakiennes de Saddam Hussein qui furent humiliées à travers leurs licenciements (même de nombreux petits fonctionnaires) organisés par l'envahisseur américain très probablement dans le but de déstabiliser voire disloquer définitivement cette nation. D'ailleurs c'est suite à la désorganisation de l'Irak par la guerre que Daech a conquis rapidement de vastes territoires en Irak, mais aussi beaucoup suite au soutien massif des USA, d'Israël, de la Turquie, de l’Arabie Saoudite et du Qatar envers ses centaines de milliers de terrorises takfiristes.
C'est à dire que Daech provient de la libération américaine de commandants d'Al Qaïda et d'anciens officiers pourtant baasiste (laïques, ce qui sous-entend probablement qu'ils sont plutôt devenus des mercenaires, quoique leur désir aussi de vengeance des centaines de milliers de morts musulamsn en Irak et au Proche-Orient suite à la guerre a pu les rendre beaucoup plus djihadistes) de Saddam Hussein de la prison de Bassora, puis de leur union appuyée par de pseudos erreurs américaines de livraison aériennes d'armes (les USA ont donc au moins favorisé Daech s'ils ne sont pas complètement à son origine) et par des financements étrangers. « Contrairement à l’image que le grand public se fait du groupe, inspiré par un fondamentalisme religieux fanatique et extrême, ISIS est avant tout un groupe de tueurs à gages. À tout moment, ils agissent sur ordre d’un ensemble de donateurs internationaux, liés par des intérêts communs. Les fonds, les armes et les ordres parviennent à ses combattants de manière détournée et opaque. Il y a presque invariablement plusieurs couches entre les auteurs d’une attaque revendiquée par le groupe et ses orchestrateurs et financiers ultimes. Étant donné qu’ISIS-K se dresse actuellement contre la Chine, l’Iran et la Russie – en d’autres termes, les principaux adversaires de l’empire américain – il convient de revenir sur les origines du groupe « parent ». Apparu apparemment de nulle part il y a un peu plus d’une décennie, avant de dominer les grands titres des médias et la conscience publique occidentale pendant plusieurs années avant de disparaître à nouveau, le groupe a occupé à un moment donné de vastes pans du territoire irakien et syrien, déclarant un « État islamique », qui émettait sa propre monnaie, ses propres passeports et ses propres plaques d’immatriculation. En outre, la Grande-Bretagne a mené en parallèle des programmes secrets coûtant des millions pour former les paramilitaires de l’opposition à l’art de tuer, tout en fournissant une assistance médicale aux djihadistes blessés. Londres a également fait don de plusieurs ambulances, achetées au Qatar, à des groupes armés dans le pays. Des documents ayant fait l’objet d’une fuite indiquent que les services de renseignement britanniques jugeaient inévitablement « élevé » le risque qu’Al-Nusra, ISIS et d’autres groupes extrémistes d’Asie occidentale perdent des équipements et du personnel issus de ces efforts. Pourtant, il n’existait aucune stratégie concomitante pour contrer ce risque, et les opérations se sont poursuivies à un rythme soutenu. Presque comme si l’entraînement et l’armement d’ISIS étaient précisément le résultat souhaité par le MI6. » (Extraits de l'article « Comment la CIA et le MI6 ont créé ISIS » de Kit Klarenberg)
Ainsi cette armée fut aussi organisée par le wahhabisme de l'Arabie Saoudite soumise aux USA qui ont d'ailleurs fourni les armes en Syrie à Daech et à Al Qaida devenu en partie le Front Al-Nosra. Et le Mossad, la CIA et Daech sont donc souvent la même entité dont contre les ennemis désignés par Israël et les USA tels donc l'Irak, la Libye, la Syrie, mais aussi le Hamas, le Hezbollah, l'Iran. Ainsi l'armée irakienne fut ensuite inexpérimentée voire très affaiblie, et les conquête territoriales de Daech en furent facilitées à tel point que la capitale Bagdad faillit être prise, si la plus haute autorité religieuse d'Irak l'ayatollah Ali al-Sistani n'avait pas appelé au djihad comme résistance et si environ deux millions de personnes sunnites, chiites et chrétiens n'y avaient pas répondu. Or ces deux millions d'irakiens contre Daech ont seulement été soutenus par des armes et des généraux d'Iran. Il faut noter que depuis que Daech ne contrôle plus un territoire sur deux états, il n'est donc plus une nation mais est devenue une nébuleuse terroriste.
Général Delawarde : « ISIS (DAECH) a été et reste un outil instrumentalisé par un duo fusionnel CIA-Mossad et parfois par le trio CIA-Mossad-MI6. »
Comme depuis les années 40, la continuité du terrorisme étatique n'est donc pas surprenant, puisque à l'extérieur cela sert de corrosion contre certains Etats et à l’intérieur cela justifie de lois liberticides comme celles pour l'état d'urgence, le renseignement, la surveillance.
Tout ceci prouve encore que le terrorisme est donc principalement étatique, même quand il se sert seulement d'organisations terroristes, en particulier lorsque ces dernières ont besoins d'une grande préparation pour réussir de grands attentats comme ceux de 2001 aux USA et de 2015-2016 en France, surtout que leurs membres ont généralement un petit QI.

De même, il est unanimement reconnu que les premiers Talibans ont été soutenus par la CIA. Maria Zakharova, la porte parole du ministère des affaires étrangères russe a confirmé : « Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, sont derrière tous les groupes de type Daech, ils les ont créées. » Il faut noter qu'en 2011 la chaîne Al-Jazeera a été reprise en main par le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem ben Jaber Al Thani. Instantanément, elle s'est mise au service de l’Otan, dont elle devient le principal outil de propagande dans le monde arabe. Elle donne une vision partiale des conflits en Libye et en Syrie pour se transformer en chaîne de la Confrérie des Frères musulmans. D'ailleurs comme l'Arabie saoudite est un pion des USA, les Printemps arabes devaient servir à mettre des frères musulmans sous contrôle US au pouvoir en Égypte (ce qui a été le cas pendant un temps), Libye, puis Syrie. L’imam Youssef al-Qaradawi devient le prédicateur officiel de la chaîne. Il explique honteusement à ses auditeurs que Mahomet serait sans aucun doute aujourd’hui du côté de l’Otan. De l’occupation américaine de l’Irak, qui a eu lieu juste après la chute de Saddam Hussein, n’a apporté aucune trace de la démocratie que les Américains avaient promise au peuple irakien. Au lieu de cela, ce qui s’est produit réellement en Irak était le déchirement du pays par des conflits religieux, sectaires ou ethniques à travers la politique de diviser pour régner. Les actions terroristes sont venues hanter le pays. C’est dans ce contexte que le mouvement de résistance s’est développé pour faire face au danger qui faisait des ravages dans le pays. Quand Daech a fait son apparition en Irak, l’Ayatollah Ali Sistani, grand dignitaire des chiites irakiens, a émis un décret historique appelant le peuple à se soulever contre le groupe terroriste. Les forces populaires se sont unies à l’armée irakienne pour contrer les terroristes parrainés par l’étranger. En effet le flux de volontaires aboutit finalement à la formation des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi). Aidés et assistés par la République islamique d’Iran, les Hachd al-Chaabi se sont transformés rapidement en une entité puissante dans la lutte contre le terrorisme. Avec l’aide du général Qassem Soleimani, les Hachd al-Chaabi combattaient Daech sur plusieurs fronts, et ont libéré les grandes villes et se sont préparés pour la défaite finale de Daech. La République islamique d’Iran s’est précipitée à la rescousse des Irakiens et, une fois de plus, le général Qassem Soleimani y a donc joué le rôle central. Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. Les Américains ont essayé de revenir en Irak sous prétexte de lutter contre le terrorisme. Les choses ont pris de nouveau une tournure dramatique.
Par conséquent l’Afghanistan représentait bien aussi un endroit stratégique pour les intérêts américano-sionistes, puisque jouant donc le rôle de voies d’acheminement des hydrocarbures de l’Asie centrale, permettant l'établissement de bases militaires américaines pour contrôler la région, et participant au développement d'un ennemi mondial perpétuel qu'est le terrorisme. Le terrorisme des premiers saoudo-talibans ayant amené l'invasion de l'Afghanistan par les américains a donc effectivement facilité la manipulation mondiale au profit des USA, provoqué toujours plus leurs ventes d'armes, et permis que le terrorisme wahhabite ou takfiriste puisse ne jamais disparaître totalement par preuve que des monarchies arabes pétrolières alliées des États-Unis participent à son financement.

C'est à dire que certains spécialistes arabes et mondiaux affirment que le complexe militaro-industriel des États-Unis a manipulé le groupe Al-Qaïda pour le lier de près ou de loin aux terribles attentats du World Trade Center afin donc de pourvoir envahir divers pays musulmans pour contenir la Russie, l’Inde et la Chine, et bien sûr afin de contrôler une partie des voies d'approvisionnements en hydrocarbures entre le Proche-Orient et l'Asie, de voler leur pétrole et de vendre toujours plus d'armes. Cela fut d'autant plus possible sans l'opposition véritable de ces grandes puissances concurrentes. Mais suite au renouveau économique et militaire de la Russie puis aux nombreuses prises de territoire de la Syrie en 2015 par Daech synonyme de danger terroriste pour la Russie et de possible future annexion israélienne jusqu'au Grand Israël impie, cela prit en partie fin, surtout aussi avec la guerre en Ukraine. En effet ce temps d'attente par la Russie lui permit de finaliser certaines armes modernes comme ses DCA S-400/500, ses boucliers électromagnétiques, ses missiles hypersoniques et ses missiles pouvant détruire des satellites. Mais cela lui permit aussi essentiellement d'être assez forte économiquement pour tenir le coût de la guerre en Syrie puis d'affronter les sanctions actuelles liées à son intervention en Ukraine, et donc également la course aux armements, à leur livraison et à leur utilisation dans cette guerre face à l'union militaire de plusieurs pays qu'est l'Otan.Il faut noter que la course aux armements appauvrit les peuples et donc l'humanité, et qu'elle est à nouveau recherchée par les USA pour appauvrir la Russie comme contre l'URSS en 1980. Or suite à l'invention de la bombe atomique, la course aux armements sert en réalité seulement pour la défense, l'influence ou l'extension impériales, sous risque donc de s'effondrer économiquement, à moins de parvenir à vendre le surplus. De plus à la différence de la Syrie et de l'Ukraine, il faut comprendre que la Libye n’appartenait pas à Sa sphère de sécurité ni d'influence, comme le Proche-Orient n'appartient pas à la sphère de sécurité ni d'influence de la Chine ou de l'Inde, même si il le devient de plus en plus car c'est un centre mondial de pressions internationales.
Ainsi comme la Russie aurait pu continuer à être encerclée par des fortifications, des aérodromes et des garnisons de l’OTAN en Ukraine normalement neutre, qui auraient travaillé à sa dégradation interne, elle a logiquement décidé sa démilitarisation, surtout qu'une attaque militaire contre les russophones du Donbass se préparait. Car les Américains ne veulent pas d’une guerre mondiale, ils pensent vaincre la Russie par la pression et la menace, dont car elle est le dernier pilier chrétien, militaire et énergétique fasse à l'empire américano-sioniste et au catholicisme institutionnel devenant une hérésie. Un discours du président Poutine évoque d'ailleurs que l'Occident détruit délibérément les normes morales et l'institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles, a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles (dont le dernier en Europe), et a une population partageant dans une grande majorité ce choix de même que la grande majorité des peuples du monde.
Dans ce sens d'obligation chronologique, le début de la guerre en Ukraine organisée par les occidentaux, pour participer au grand reset ou espérer l'effondrement de la Russie, devait attendre le formatage des peuples occidentaux par la crise du covid, qui devait attendre les outils le rendant possible comme le smartphones répandus et le QR code. Selon Orwell, la guerre ne détruit pas l’adversaire, elle détruit les surplus et elle renforce le pouvoir de l’élite sur la masse affamée et abrutie, comme deux des sournois sens cachés du grand reset.
Or comme selon le plan divin la souveraineté russe est divinement d'abord basée sur la vente de gaz, cela a donc heureusement permis à la Russie de freiner l'apparition du grand Israël interdit par Dieu et à de combattre cette innovation malfaisante gravement erronée qu'est l'islamisme politique destructeur et meurtrier de masse, qui devrait d'ailleurs s'appeler simplement terrorisme plutôt que terrorisme islamique, comme on ne fait pas d'amalgame avec les autres religions et les idéologies politiques même quand elles sont terroristes. Il faut noter que comme par son intervention en Syrie, la Russie a donc aussi sauvé la Syrie, mais qu'en plus elle protège l'Iran, a autorisé la Corée du Nord à avoir la bombe atomique et supporte la Chine dont en ayant pris de front l'occident dominateur belliqueux, ces nations ne peuvent que soutenir la Russie en Ukraine.
Ainsi, nous assistons probablement à la fin de l'espoir des mondialistes de démembrer la Russie puis de dominer la Chine, malgré les difficultés des décennies précédentes. Pour le comprendre, nous devons rembobiner jusqu’en 1998, il y a 24 ans : l’économie russe était en ruine, la première guerre contre la Tchétchènie était pour l’essentiel perdue et l’Occident était occupé à piller ce qui restait de l’économie soviétique. Les sentiments séparatistes étaient même légion et le pays aurait pu s’effondrer à tout moment, réalisant ainsi le vieux rêve occidental de rayer la Russie de la carte politique. Mais l’Occident ne pouvait pas attendre et a décidé de donner un coup de grâce à la Russie en déclenchant la deuxième guerre de Tchétchénie. Et là, quelque chose a mal tourné : au lieu de l’ivrogne président Eltsine, Poutine est arrivé au pouvoir et a gagné la deuxième guerre de Tchétchénie. L’apparition de Poutine sur la scène mondiale a été une surprise totale pour l’État profond occidental, qui a alors réalisé qu’il avait besoin d’un tout nouveau plan pour détruire la Russie à coup sûr cette fois. L’objectif principal de ce nouveau plan était encore la poursuite de la domination mondiale des États-Unis, mais désormais suite au démembrement, à la dévoration et à l’engloutissement réels de leur principal adversaire géopolitique qu'est la Russie pour ensuite en finir avec la Chine. La Russie devait être contenue simultanément à l’ouest via l’Ukraine, au sud-ouest via la Syrie puis le Caucase et au sud via l’Afghanistan. Le commerce du pétrole et du gaz naturel de la Russie devait être perturbé, ses liens économiques avec l’économie mondiale rompus et sa politique perturbée par des manifestations internes.
Cette cette déstabilisation états-unienne du proche orient espère aussi au bout du compte une guerre permanente entre sunnite et chiite similaire à celle sans fin contre le terrorisme, puisque permettant aussi leur honteuses ventes d'armes indéfiniment puis donc leur exploitation des ressources des pays dans le chaos comme en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie :
Twaban (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Peu s'en faut que les nations ne se liguent contre vous à la manière de mangeurs se conviant à manger du même plat (pétrole et gaz du Moyen-Orient et Maghreb, comme donc le prouvent les guerre en Irak, Libye, Syrie, Yémen et Palestine). » L'un des compagnons demanda : « Serons-nous en minorité ce jour-là, ô Envoyé de Dieu ? » « Non, vous serez nombreux, mais (sans plus de valeur) que l'écume charriée par un torrent (car divisés), et Dieu ôtera du coeur de vos ennemis la crainte que vous leur inspiriez et Il mettra de la faiblesse dans les vôtres », répondit le Prophète (SBDSL). Un autre demanda : « De quelle nature sera cette faiblesse ? » « L'amour de ce monde et la crainte de la mort (vous faisant oublier la défense des faibles et de la morale) », finit le Prophète (SBDSL).
C'est également dans ce sens que le pouvoir profond occidental lié à divers lobbies pervers et certains de leurs services spéciaux comme la CIA organisent divers foyers de tensions dans le monde. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que le complexe militaro-industriel, wall street et le judéo-protestantisme soient les composants principaux de l'Etat profond américain et du désordre international.
Ce démoniaque pouvoir profond très nocif de l'occident souhaite donc aussi la destruction de l'islam, du catholicisme et du christianisme orthodoxe, car ces religions sont en opposition au laïcisme hyper consommateur de leur capitalisme libéral libertaire enrichissant seulement les très riches en particulier par l'usure. De plus cet internationaliste pouvoir oligarchique pervers cherche la maîtrise de divers territoires dont certains donc pour agrandir leur principale colonie qu'est Israël, devenu par rapport au monde leur capitale ou Etat leader, puisque permettant par la pseudo suprématie victimaire des juifs liée à la shoah de prétexter honteusement la belliqueuse et dominatrice politique internationale des américano-sionistes mondialistes, dans une forme donc d'instrumentalisation claire de cette shoah.
Afin d'amplifier cette orientation aux pays occidentaux lors des dernières décennies, diverses autorisations législatives furent données pour la création de chaînes d'informations privées partisanes, des groupes de réflexion ultra-libéraux subventionnés par les très riches leur permettant en plus de payer moins d'impôts apparurent, et des groupes de discussions avec des citoyens représentant la population furent organisés dont afin de plus facilement manipuler le peuple à accepter par exemple la guerre en Irak et en Syrie ou la Russophobie. Surtout que des sociétés privées type « behavioral insigts team (l'équipe d'analyse comportementale) » étudient la psychologie humaine pour modifier le comportement de la population, en particulier à travers les enfants, dont pour faire croire que l'autorité a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant être raccourci par une révolution comme il a déjà été vu. De plus avec les récentes découvertes scientifiques, les lois de plus en plus perverses amenant bientôt à valider la sélection des gênes pour le fœtus, la GPA et les utérus artificiels (mauvais pour les fœtus puisque perdant environ six mois d'éducation liée aux sensations, émotions, réactions, actions, langage et vie de la maman et de la famille mais aussi certaines vibrations du monde) voire les clonages, les élites mondialistes corrompues pourront créer des armées de serviteurs sous prétexte d'adoption, voire créer des êtres humains supérieurs qui n'hésiteront pas à faire disparaître les anciennes générations plus faibles.
Tout cela confirme donc encore la nécessité urgente du retour d'un Califat bien guidé à travers l'union de tous les pays musulmans pour qu'il participe à l'assagissement du monde, surtout que défendant la religieuse loi naturelle, propageant la justice, combattant l'impiété de l'extrémisme et s'étendant sur des zones très riches en hydrocarbures et très stratégiques géopolitiquement dont vis à vis du commerce international et des nouvelles routes de la soie.
Surtout que selon l'analyste géopolitique français Bruno Guigue, le terrorisme ne s’est jamais aussi bien porté depuis que les USA prétendent le combattre, et les États souverains qui affrontent ce terrorisme pour de vrai (aujourd’hui comme hier) figuraient depuis longtemps sur la liste noire des faucons du Pentagone. Afghanistan envahi, Irak laminé, Libye pulvérisée, Soudan tronçonné, Syrie agressée, Iran sanctionné, Yémen affamé : la guerre contre la terreur est l’alibi d’une destruction méthodique des structures étatiques du « grand Moyen-Orient », pour reprendre l’expression de Michel Raimbaud. Selon Thierry Meyssan, le scénario US de la guerre entre l'Irak et le Koweït a d'abord permis d'appuyer la domination des USA au Moyen-Orient, puisque ayant finalement attaqué l'Irak dont suite à une alliance avec la plupart des pays de cette région sauf  déjà la Syrie et la Palestine, puis un changement radical de politique eut lieu car ils voulurent ensuite déstabiliser toutes les institutions politiques du grand Moyen-Orient allant de l'Afghanistan au Maroc sauf Israël voire l'Arabie, afin d'empêcher le développement de toute cette région, d'y éviter l'apparition d'une grande puissance concurrente et donc continuer de la maîtriser dont en exploitant et contrôlant ses ressources en particulier avec des proxies comme Daech et Al-Qaïda. On ne comprend pas la politique occidentale dans la région si l’on refuse d’admettre que la guerre contre la terreur était en fait une guerre pour la terreur, destinée à perpétuer le chaos dans une partie du monde aussi riche en puits de pétrole qu’en peuples récalcitrants. Contrairement au discours convenu des chancelleries occidentales sur « notre ennemi mortel, l’islamisme radical » (discours destiné aux naïfs), les terroristes coupeurs de tête n’ont jamais causé le moindre tort à l’hégémonie US (ni à Israël), qui a précisément besoin de leur nocivité pour se perpétuer. En effet à la fois mercenaires et boucs-émissaires, les djihadistes en tous genres ont fourni des hommes de mains jetables à l’empire du crime. Ainsi progressivement, les États-Unis retirent leurs troupes des conflits où elles étaient engagées et y substituent des mercenaires djihadistes sur le terrain et des sanctions économiques synonyme d'une version moderne du siège médiéval. En effet ce que les arrogants, méprisants, despotiques et tyranniques dirigeants états-uniens échouent à faire directement ou par procuration militairement, ils veulent y parvenir en affamant population, femmes et enfants. Il s'agit d'un terrorisme économique quand il n'est pas militaire. C'est à dire qu'ils imposent des embargos ou des blocus qui sont des actes de guerres et établissent des sanctions économiques même vis à vis de leurs pays alliés qui passeraient outre leur politique perverse contre diverses nations ou régions particulières du monde. Alors que les sanctions sont plus destructrices que la guerre conventionnelle et affectent l’ensemble de la population du pays visé. (Il s'agit donc de la guerre à mort de l'inégalitaire sans limite (anglo-américain, judéo-protestant et thalassocratique) car touchant donc aussi des civils, au contraire de la guerre conventionnelle de l'égalitaire raisonnable (Iran, Arabie, Russe, Chine, tellurocratie) évacuant les civils ou ne visant que des cibles militaires.) Ces actions stratégiques sont d'autant plus perverses qu'elles s'effectuent en dehors de tout droit international dans une forme de jungle animale opposée à l'humanisme qu'ils prétendent pourtant sournoisement défendre, surtout qu'elles ne sont pas dénoncées par des organisations comme l'ONU et l'OMC prétendant défendre la justice internationale, alors qu'elles sont pourtant plus graves que leur bombe nucléaire sur Hiroshima puisque 500 000 enfants irakiens en sont morts lors de l'embargo contre l'Irak à l'époque de Saddam Hussain. C'est pour ça qu'il est insupportable que la morgue moralisatrice des dirigeants occidentaux corresponde à l’écran de fumée qu’ils jettent complaisamment sur ces tas de cadavres dont ils sont responsables. C’est non seulement une insulte à l’intelligence des peuples qui les écoutent, mais surtout, et c’est de loin le plus grave, c'est une ignominie méprisante à l’égard des peuples qu’ils ont condamnés à la mort ou à la misère. Dans cette entreprise mortifère où le false flag est la règle et le bombardement aveugle le mode opératoire, de Kaboul à Bagdad, de Tripoli à Sanaa, et de Mossoul à Damas, les États-Unis battent tous les records, mais leurs supplétifs français et britannique, ces roquets de l’Empire, ne sont pas en reste dans l’exécution du crime de masse. Quel autre pays dans le monde outre ces trois-là peut se vanter d’avoir fait autant de guerres chez les autres dont par procuration, imposé autant de sanctions économiques, et déstabilisé autant de nations souveraines ? S’ils avaient une vague idée de ce qu’est le patriotisme, leurs citoyens descendraient dans la rue pour imposer la fin de cet acharnement criminel contre des populations qui ne leur ont rien fait, et dont certaines avaient même la candeur de croire aux valeurs usurpées par un Occident failli. Or suite à l'échec américain de contrôler selon la stratégie Mackinder le Heartland (environ les territoires de la Russie et proches de la Russie, ce qui montre l'importance essentielle de la Russie orthodoxe) par le contrôle du (ou d'une partie) Rimland (l’Europe et tous les territoires de l’Asie au sud de la Russie jusqu'à la l'océan indien et l'océan pacifique, en résumé les zones côtières de l'Eurasie puisque l'empire américano-sioniste est une thalassocratie) en partie avec leur influence en Afghanistan (dont toutes les guerres subies sont liées à cette volonté de contrôler le Heartland depuis que la géopolitique moderne existe, c'est à dire vers la fin du 19e siècle), Irak, Syrie, Géorgie, Ukraine et Caucase, les USA ont redéployé leurs forces selon la stratégie Spykman afin de contrôler le Rimeland (côtes de l'Eurasie) dont en cherchant à contenir la Chine.
Le professeur Michel Chossudovsky, directeur du Centre for Research on Globalization, rappelle que deux grands pays classés aujourd’hui comme ennemis des États-Unis alors qu'ils étaient pourtant leurs alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, sont ceux qui payèrent le plus haut prix en vies humaines lors de la guerre victorieuse contre l’Axe nazi-fasciste Berlin-Rome-Tokyo : environ 26 millions pour l’Union Soviétique et 20 millions pour la Chine, par rapport à un peu plus de 400 mille pour les États-Unis. Avec ce préliminaire Chossudovsky introduit sur Global Research une étude documentée par James A. Lucas sur le nombre de personnes tuées par la série ininterrompue de guerres, de coups d’État et autres opérations subversives effectués par les États-Unis de la fin de la guerre de 1945 à aujourd’hui, parfois sous de faux prétextes humanitaire ou démocratique alors que principalement pour dominer les ressources, l'économie et la politique de diverses nations du monde : nombre estimé à 20-30 millions. Les États-Unis sont intervenus militairement (directement ou en participant) dans 29 pays après la Seconde Guerre mondiale, dont certains 2/3 fois. Le mondialiste Kissinger a d'ailleurs dit qu'il faut contrôler les ressources (militairement, financièrement ou monétairement) pour contrôler les nations.
Ce nombre correspond au double environ des morts de la Première Guerre mondiale dont on a pourtant célébré à Paris le centenaire avec un « Forum de la paix », et qui fut la première guerre à échelle industrielle synonyme d'augmentation de la violence internationale puisque liée donc à l'apparition de l'industrie jusqu'à celles des arme, alors qu'aujourd’hui, la guerre devient plus électronique et technologique, comme quand il s'agit d'entraver ou hacker les drones, véhicules et bâtiments ennemis. (Comme le souligne Todd, «la guerre moderne sans industrie est un oxymore». C'est pourquoi la production d'armes par la Russie industrialisée et en avance technologique domine sur le terrain ukrainien l'Occident en grande partie désindustrialisé.) Ce qui explique aussi pourquoi avec ses usines, ses machines, le travail à la chaîne, la forte augmentation de la différence dans les revenus et ses guerres, l'ère industrielle amena une violence sociale beaucoup plus importante qu'avant, et qui montre que le prétendu positivisme supérieur de la raison et de la technique sans Dieu depuis 1789, s'est arrêté brutalement en 1914, tout en dépassant le nombre de morts dans ses guerres entre les idéologies athées, laïques ou démocrates, par rapport aux nombres de morts dans les guerres de religions. Ainsi il paraît logique de retourner vers les règles christiques, surtout qu'avec la découverte de la très mystérieuse physique quantique, le rationalisme athée qui était lié à la science basée sur les causes et effets ne peut que retourner retourne vers l'idée de la foi et de la science spirituelle.
Or en plus de ce nombre de morts, il y a les blessés qui souvent se retrouvent infirmes : certains experts calculent que pour chaque personne morte en guerre, 10 autres sont blessées. Ceci signifie que les blessés provoqués par les guerres étasuniennes se montent à des centaines de millions. À cette estimation dans l’étude s’ajoute un nombre non quantifié de morts, probablement de centaines de millions, provoqués depuis 1945 jusqu’à maintenant par les effets indirects des guerres : famines, épidémies, migrations forcées, esclavagisme, exploitation, dégâts environnementaux, soustraction de ressources dont alimentaires et énergétiques pour couvrir les dépenses militaires. L’étude rapporte également les guerres et les coups d’État effectués par les États-Unis dans plus de 30 pays asiatiques, africains, européens et latino-américains. Elle révèle que les forces militaires USA sont directement responsables de 10 à 15 millions de morts provoqués par leurs plus grandes guerres : celles de Corée et du Vietnam, et les deux contre l’Irak. De plus elle précise qu'entre 10 et 14 autres millions de morts ont été provoqués à travers les guerres de forces alliées, armées, entraînées et commandées par les USA, en Afghanistan, Angola, Congo, Soudan, Guatemala et d’autres pays. Le coup d’État le plus sanglant fut organisé en 1965 en Indonésie par la CIA, organe étatique des USA prétendument défenseur de la démocratie et du Bien : elle fournît aux escadrons de la mort indonésiens la liste des 5 000 premiers communistes et autres à tuer. Le nombre des gens assassinés à cause des USA y est estimé entre 0,5 et 3 millions.
« Les politiques américaines sont basées sur la menace ! L’esprit des dirigeants américains est forgé dans le bluff, l’arrogance, l’égocentrisme, la cupidité et l’insolence! Leurs guerres sont toujours légitimes. En Ukraine, c’est la faute à la Russie; au Moyen-Orient, c’est l’Iran et pour toutes les autres, ils trouvent un alibi. Ils nient les causes et le principe selon lequel tout ce qui est construit sur l’illégalité est illégal. L’absurde politique hégémonique anglo-américaine est claire. Que font-ils en Irak, en Syrie et ailleurs? Ils annoncent des «lignes rouges» tout en exacerbant les situations pour justifier une intervention qui entraîne des ripostes, suivies de représailles ‘‘limitées’’, disent-ils. Ils usent de tous les stratagèmes pour provoquer en déniant aux victimes le droit de se défendre! Ils bluffent pour réussir sans coût. Ils voudraient bien frapper l’Iran, mais c’est dangereux, pour l’existence d’Israël et pour leurs intérêts dans la région. Ils organisent des ‘dissidences’ (El Qaida, Daech etc.) contre des pays pour les déstabiliser, mais quand une faction, se retourne contre eux, ils décident de la classer « terroriste » en aidant ces mêmes pays à les combattre ! Ce que les Anglais ont fait en Afrique et ailleurs, les Néerlandais en Afrique du Sud, les Allemands en Namibie et les Français en Afrique, les États-Unis partout, avec l’esclavage, la colonisation suivie de massacres, est identique à ce que font les sionistes. Soutenir Israël n’est autre qu’une attitude conforme à leur tempérament raciste! La 1ère et la 2ème guerre mondiale, pour citer les plus visibles entre Européens, ne sont que l’aboutissement de leur inhumanité. Les sionistes d’Israël, n’ont fait que montrer une énième fois au monde qu’ils ne sont qu’une entité bizarre, indécente, génocidaire et qu’ils doivent payer, un jour, leurs méfaits. Qui aurait pensé qu’un pays, ayant précisément subi l’apartheid, brise un tabou en accusant «l’armée la plus morale» de génocide envers un peuple en déposant une plainte auprès d’une juridiction internationale, même vue comme douteuse à l’image de l’ONU et ses satellites, pour avoir cédé à l’instrumentalisation, surtout anglo-américaine. Le rôle des anglo-américains au sein des organisations «internationales» est crucial pour leur hégémonie. Presque tout se manigance à travers elles, même les ‘‘véto’’ sont ignorés. Ces organisations ne sont plus qu’un alibi sans effet sur l’équilibre mondial et les préventions des conflits. Elles sont devenues un instrument de domination. Prenons la CIJ qui est d’actualité. Le monde sait que la plainte contre Israël va au mieux donner un résultat équivoque. La décision finale sur les allégations de génocide, pourrait sinon prendre des années ! Cette affaire va rester, toutefois, une grave accusation qu’ils porteront à vie, une tache indélébile, même par conjecture, mais que le monde voit comme des faits avérés! Or lors d’un bref discours, Netanyahou «fils de la lumière contre les fils des ténèbres», ne compte pas se plier aux décisions de la CIJ. Il l’annonce ainsi : «Personne ne nous arrêtera, ni La Haye, ni l’axe du mal, ni personne d’autre». Dans cette région, les USA ont toujours misé sur Israël en y associant leurs intérêts. Les réactions démoniaques d’Israël au ‘‘7 octobre’’ ont anéanti ce mythe d’invincibilité et de bonne moralité de Tsahal, mettant à nu son véritable visage diabolique. Une étincelle a suffi pour voir qu’Israël n’était qu’un ballon gonflé au gaz toxique. Une légion étrangère permanente en terre arabe, comme les légions arabes, temporaires, représentées par les Frères Musulmans, Al Qaida, EI, Daech… au service de leur «Nouvel Ordre Mondial». Les voilà avec plusieurs fers aux feux : en Ukraine, en Palestine, en Syrie, en Irak, au Liban, au Yémen, à Taiwan et probablement d’autres pays dans l’expectative, en plus de leurs problèmes intérieurs. La politique américaine n’a jamais été raisonnable, ni rationnelle ! Elle est toujours basée sur la négation, la prédation et la domination. Qui s’y rapproche d’elle, quelle que soit sa bonne volonté, il s’y pique gravement ! On ne cherche pas du miel du ‘derrière’ d’un frelon ! Son sophisme et son nihilisme sont incompatibles avec la raison et la morale. Imposer, par les menaces et les guerres, son ‘‘format’’ au reste du monde en portant à son paroxysme le ressentiment et la vengeance ne peut mener qu’aux catastrophes. «Avec le nihilisme, pas de discussion possible; car le nihiliste logique doute que son interlocuteur existe et il n’est pas bien sûr d’exister lui-même» (V. Hugo). » (Extraits de l'article « Absurdités anglo-américaines au milieu du génocide des Palestiniens » d'Amar Djerrad)
Ainsi quand on prend du recul et qu’on observe la démocratie, cette dernière a rasé Dresde, Nantes, Berlin, Nagasaki (ville chrétienne) et Hiroshima (ville chrétienne), bombardé la Serbie, la Croatie, l’Irak, la Libye et la Syrie. Ce qui est étonnant, c’est que cette démocratie laïciste est encore considérée comme supérieure moralement
Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence depuis leur création en 1776, c’est à dire 222 années sur les 239 années de leur existence. Le pays n’a donc été en paix que 21 ans depuis sa création en 1776... Il a participé à 40 guerres depuis 1945. Cela apporte une évidence de plus en plus partagée provenant du bon sens élémentaire : un pays en guerre incessante partout dans le monde, et cela depuis 170 ans, ne peut plus faire croire qu’il dispense la paix, le bien et la démocratie ! La quasi totalité de leur histoire n’est bâtie que sur la spoliation et le génocide, qu’elles soient directes ou par procuration.
Eux et les sionistes tuent, détruisent, sont racistes, pleurnichent des lois mémorielles (car qui contrôle la mémoire, contrôle la pensée), s’approprient des terres en excluant les autochtones, s’ingèrent dans la politiques des autres pays du monde, et manipulent les autres états, dont en organisant des infractions économiques et financières, usant de trafic d’influence, s'appuyant sur des oligarques traîtres, se servant de mafia et utilisant des escroqueries en bande organisée. Ces gens, consciemment corrompus complètement, et par conséquent très coupables criminellement, sont extrêmement nocifs mondialement, et donc en grand danger de rétribution légitime par l'Enfer pour leurs décisions infernales.
Ainsi de nos jours, les intérêts américano-sionistes dans leurs opérations militaires sont toujours perversement d’ordre financier, politique et hégémonique. Depuis le début de 21e siècle, le contrôle des hydrocarbures, l'ingérence dans la politique étrangère, l'usure endettant les nations, le dollar oppressant les économies, la laïcité affaiblissant le niveau moral des gens et la vente d'armes détruisant des villes sont encore la priorité pour tenir leur domination par le chaos chez les autres. L'occident est malade de la perversité et la violence, intérieures et extérieures, mais aussi malade tout court, malade de son système social défaillant : l’élimination des plus faibles est inscrite dans le logiciel néolibéral lié à l'impie darwinisme associant perversement la sélection naturelle à la société humaine et étant donc aussi nazi par essence. Macron, Trudeau, Lagarde ou Leyen ne sont en théorie pas des nazis, ce sont même des soi-disant antinazis. Sauf que leur politique est une politique de ségrégation sociale, de répression violente, de peurs administrées et donc de tensions nationales plus que raciale, au profit exclusif du suprémacisme élitaire allié au wokisme ploutocratique qui doivent ainsi être renvoyés dos à dos, car ce sont donc les deux faces d’une même pièce pire que le nazisme, truquée et fabriquée pour séparer les gens afin de dominer les peuples. Encore un coup du Diable.
De plus pour le profit des avides et perverses oligarchies très riches, les terrorismes climatique, bancaire, religieux, sanitaire, guerrier et inflationniste servent également à dévier la colère des peuples face à la mise en place de lois antisociales, sécuritaires et asservissantes économiquement. Or elles prennent aussi particulièrement le pouvoir sur les états par leur corruption de politiciens et par des organisations ou lois commerciales supranationales avec des traités internationaux. En effet cela participe à leur domination dont par l'argent et surtout par le dollar créé ex-nihilo au sein de la FED, Ainsi cela semble impossible à combattre économiquement tant que les nations restent dans le système de cet empire impie, surtout sans une union de tous les vrais musulmans, chrétiens et peuples honnêtes dans un système financier d'investissement licite pourquoi pas avec des blockchains, des cryptomonnaies et des monnaies fiat numériques basées sur une charte digne voire monothéiste. C'est à dire qu'avec les banques centrales privées créant ex-nihilo des lignes de comptes et donc de l'argent sans rien produire et devant en plus êtres remboursés avec des intérêts par les peuples, rien que cette réalité devrait être cause de révolution. D'ailleurs si l'Iran, la Syrie et la Corée du Nord appartiennent aux pays les plus opprimés mondialement, c'est parce qu'ils n'ont pas de banques centrales appartenant aux Rothschild.
Surtout que si rien n'est fait dans ce sens pour diminuer l'étendue de la domination impie de l'empire américano-sioniste, la situation mondiale évoluera inévitablement vers l'apparition d'un système presque planétaire de l'antéchrist basé sur le mondialisme économique, une monnaie unique, le laïcisme, le wokisme, l'usure, la dette, le pouvoir des banques privées, et des sommes astronomiques d'argent thésaurisé dans les Paradis fiscaux. C'est à dire que le pouvoir planétaire serait géré par un consortium du privé, possiblement sous forme d'énormes conglomérats nationaux ou/et multinationaux d’oligarques par secteur ou multi-secteurs économiques comme le prouvent déjà les énormes conglomérats de fonds d'investissement que sont Black Rock et Vanguard.
« Les puissances financières, telles que les fonds d’investissement BlackRock et Vanguard, contrôlent en grande partie l’économie mondiale et ont une influence considérable sur les décisions politiques. En ce qui concerne Emmanuel Macron, Claude Janvier affirme que le président français est conseillé par des personnes liées à ces puissances financières, ainsi que par des réseaux d’influence tels que le groupe Bilderberg et la Commission trilatérale. Ces réseaux rassemblent des personnalités politiques, économiques et médiatiques influentes, qui œuvrent ensemble pour promouvoir leurs intérêts communs. Ainsi, pour Claude Janvier, Macron est loin d’être un dirigeant indépendant et souverain, mais plutôt une marionnette aux mains de ces puissances financières et de ces réseaux d’influence. Le conflit russo-ukrainien, qu’il préfère qualifier de conflit russo-otanien via l’Ukraine, a mis en lumière la position de chef de guerre d’Emmanuel Macron. Depuis le début de l’opération spéciale de la Russie en Ukraine, le président français s’est positionné en soutien indéfectible de l’Ukraine, allant jusqu’à demander au gouvernement de faire une déclaration relative à l’accord bilatéral conclu avec ce pays. Claude Janvier souligne que cette situation est d’autant plus surprenante que la France n’a jamais autant dépensé pour soutenir une guerre, alors que les retraites et le SMIC ne sont pas valorisés. De plus, l’envoi de troupes au sol en Ukraine n’est pas exclu par Emmanuel Macron, une position qui a fait bondir certains responsables politiques, mais qui semble tout de même faire consensus au sein de l’UE et des États-Unis. Claude Janvier dénonce l’influence des puissances financières colossales sur les dirigeants du monde et la situation en Ukraine, qui soutient des groupements néonazis et un héros national pro-nazi. Selon lui, les intérêts économiques et politiques passent au-dessus des idéaux humains, et l’opposition politique est contrôlée, voire achetée. Seuls les groupuscules souverainistes et prônant la sortie de l’Europe et de la finance internationale s’opposent réellement à cette situation. » (Article Média en 4-4-2)
Ainsi, ce système occidental mondialiste appartient à très peu d'humains en plus anonymes par la juridiction actuelle et cristalliserait le pouvoir politique, tout en facilitant l'accaparement excessif contraire à la civilisation et en se rapprochant donc d'un monopole injuste comme c'est déjà le cas, c'est à dire sous formes d'énormes fusions multiples ou de multinationales gestionnaires d'énormément d'actifs type donc Blackrock et Vanguard, telles des supers structures économiques internationales tendant vers le chantage du supranational sur la souveraineté des pays. Cette dystopie est presque déjà en cours puisque l’individu moyen tend de plus en plus à travailler que pour survivre, plutôt qu'afin de accumuler des richesses pour développer l’avenir. A Hong Kong, territoire indépendant où la moitié des sièges à la législature doivent représenter des intérêts commerciaux, c'est déjà le cas puisque les intérêts des entreprises privées « font la Loi ». Les grandes banques et transnationales privées pourraient même racheter tous les Etats dont occidentaux prochainement en faillite en les unissant dans une gouvernance globale, en faisant de leur PDG des ministres permanents et en transformant les présidents nationaux en députés mondiaux, possiblement par une organisation internationale basée en Israël similaire à l'assemblée de Union européenne.
Or si ce système est plus gouverné par Satan que par le faux messie juif, il tendra plutôt en réalité à la fin de la civilisation dont par l’extrémisme progressiste et transhumaniste voire par une troisième guerre mondiale nucléaire, surtout si l'énorme corruption financière dans le monde ne s'arrête pas.
Mais si cette destruction par la guerre ultime est refusée par l'humanité qui sont les seules créatures existant matériellement, l'humain peut être effacé via l'impiété du wokisme, du transsexualisme et du transhumanisme, tel un génocide.
Hong Kong est un centre financier majeur mais également un foyer non moins important de délinquance financière, ce qui prouve encore la nécessité de blockchains décentralisées mais surveillées par l'Etat ou centralisées mais surveillées par des comités populaires synonyme de totale transparence purifiant l'économie et donc le monde. Entre 2013 et 2017 à Hong Kong, le nombre de transactions suspectes signalées aux forces de l’ordre est passé de 32 907 à 92 115. Pourtant malgré cette preuve d'augmentation de la corruption, il y a eu une baisse des poursuites puisqu'elles sont passées d’un maximum de 167 en 2014 à 103 en 2017, dont avec une seule personne condamnée à plus de six ans de prison. C'est pourquoi un chef d’État doit être en dehors du privé et du peuple pour gérer au mieux dans un juste milieu les intérêts de chacun dont de l’État, afin d'empêcher la corruption.
Selon les prédictions du blogueur américain Jared Brock dans son billet du 16 novembre 2021 sur le portail d’opinion libéral Medium, au moins une centaine sinon plus de nouveaux États apparaîtront au cours des cent prochaines années. Cela proviendra probablement de la fragmentation de grands pays très endettés. Même si cette dernière thèse fait écho à l’idée de Klaus Schwab de concentrer les pouvoirs du gouvernement mondial dans les sociétés transnationales, l’idée de Brock la contredit essentiellement : ce sont les États qui resteront les détenteurs de la souveraineté mais en étant dépendantes de ces sociétés transnationales. Or les dirigeants étant généralement élus après une campagne politique financée par des banques et entreprises supranationales, cela reviendrait au même.
Ainsi une énorme société d'investissements comme BlackRock domine peu à peu les états et devient probablement inarrêtable par son poids planétaire de risque systémique, puisque gérant quotidiennement 18 mille milliards de dollars d'actifs mondialement (montant proche de la production annuelle des Etats-Unis) avec leur intelligence artificielle « Aladdin ». Ce logiciel beaucoup plus développé qu'un algorithme effectue 200 millions de calculs quotidiens sans aucune intervention humaine afin de conseiller des placements, parvient apparemment à reconnaître utilement les titres toxiques et peut donc vérifier l’état de grandes banques mondiales, la stabilité d'une entreprise dont multinationale et les projets économiques sérieux dans une forme de noblesse s'il est donc sagement utilisé. Cependant cette société n'hésite pas à engager d'anciens responsables politiques, à prôner la wokisme dont sous forme de menace aux entreprises neutre concernant cela et à investir bassement dans l'armement, dans la sécurité de fonds de retraites alors qu'appartenant normalement aux États et dans des secteurs comme l'énergie verte pour leur image alors qu'ayant des parts dans des sociétés polluantes. De plus cet algorithme recherchant d'abord le rendement, et donc l'argent et donc la cupidité avant l'humain, prouve aussi la perversité de cette entreprise et celle de l'évolution du système commercial et financier dont aussi à travers le trading à haute fréquence pouvant faire détenir une action seulement une micro seconde.
BlackRock appartient aux trois plus gros fonds d'investissement états-uniens, actionnaires majoritaires dans 90 % des 500 plus grandes entreprises de leur pays. La propriété commune amenant à des monopoles injustes est donc la règle immorale et non l'exception, surtout que des contre expertises malhonnêtes défendent cette domination dangereuse pour les pays puisque spéculant aussi sur les faibles. En effet généralement par des fusions, des énormes sociétés parviennent presque à des monopoles (capitalisme de copinage, dictature économique) et peuvent ainsi cupidement contrôler les prix d'un marché (même de denrées et produits de première nécessité) ou de loyers, et même donc appauvrir les peuples. Mais heureusement des populismes bien compris se réveillent de plus en plus à travers le monde, car ils savent que leur problème principal devient donc l'ascendant de l'avide finance internationaliste sur la démocratie nationale.
Ceci est confirmé par le milliardaire américain Warren Buffet ayant déclaré : « Il existe bel et bien une guerre des classes, mais c'est ma classe, la classe des (très) riches qui fait la guerre et c'est nous qui la gagnons. »
L’État, sous l’impulsion de l’occupant néolibéral, ce ver dans le fruit de la nation, s’affaiblit donc pour la majorité des Français. Il perd son caractère protecteur, tout en devenant de plus en plus répressif. Dans le monde animal, hormis le moment de la prédation, c’est la bête blessée qui est la plus dangereuse. La violence d’État, illustrée par la sauvage répression des Gilets jaunes et celle toute fraîche des anti-retraites à 64 ans, n’a pas de limite. Les dominants sont décomplexés, ils envoient des éléments policiers ultraviolents frapper et humilier des innocents. L’État-providence a disparu, il ne reste plus que l’État-violence. La clique néolibérale rothschildienne (Pompidou, Balladur, Sarkozy, Macron, tous sont passés par la grande maison) a transformé l’État en ennemi du peuple, qui a perdu toute souveraineté. Le peuple n’est plus associé d’aucune façon au pouvoir. Et quand le peuple remet cet État-là en cause, alors il est accusé de s’en prendre à la démocratie. Le piège est parfait : l’opposant est transformé en ennemi (d’État), et se retrouve automatiquement fascisé. Même fonctionnement chez les sionistes qui, dès lors qu’ils sont critiqués idéologiquement, sortent le bouclier de l’antisémitisme. La démocratie est devenue le bouclier de l’occupant, qui détient le monopole de la parole, de la vérité, de la finance et de la violence.
C'est pour ça qu'il y a eu réveil des peuples comme aux Etats-Unis par preuve de l'élection de Trump, en Angleterre par preuve du vote pour le Brexit, en Italie par preuve de l'élection d'un gouvernement souverainiste et donc en France par preuve des grandes manifestations des gilets jaunes.
Cependant cette déclaration de Buffet est en partie validée par le fait que 1% de la population au niveau mondial détient gravement de 50 à 99 % des richesses par endroit, surtout que qu'elle sont souvent mises dans des paradis fiscaux apparus étrangement, puisque détruisant l'économie mondiale des peuples par l'argent thésaurisé (sans imposition et inutilisé) qui ne circule pas dont à cause de malhonnêtes sociétés écrans. Pour lutter contre les Paradis fiscaux une des premières mesures serait d'interdire toute transaction commerciale avec les trusts anonymes. Il est intéressant de voir à ce sujet le film « The Laundromat : L'Affaire des Panama Papers » de Steven Soderbergh.
Selon le collectif « Anonymous » :
« Il y a les 1% qui contrôlent le monde (voire 1% de ces 1%, c'est à dire les 0,1 %, voire les 0,01%),
les 4% qui ne sont que des marionnettes corrompues,
les 90% qui sont endormis ou vivent le syndrome de Stockholm,
et les 5% qui savent et essayent de réveiller les 90%. Mais les 1% ne veulent pas que les 5% réveillent les autres. »
En effet les gens réveillés subissent une triple attaque par la grande masse des ignorants, l’armée des manipulés et la poignée de manipulateurs.
Pourtant en Europe, la fortune des milliardaires a augmenté de 14 % pendant la crise sanitaire de 2020. Oxfam révèle que les « sept premiers milliardaires français possèdent plus que les 30 % les plus pauvres ». Avec la crise du Covid, la France, par son endettement extérieur, a injecté beaucoup d’argent dans les marchés. L’augmentation des Bourses profitant aux actionnaires très riches est tout simplement l’évolution de la quantité d’argent et du volume de dépenses dans l’économie. Dans ce sens, la guerre et l'inflation sont la continuation de la dette par d’autres moyens. L’indice boursier actuel suit donc en réalité l’évolution de la masse monétaire. Nous sommes dans un système corrompu (lié au banques, à la finance et au grand patronat) qui favorise donc beaucoup et exclusivement le développement des très riches.
Or un système ne fonctionne que si l’ensemble des décideurs partagent les mêmes intérêts. Ainsi ce ne peut plus être le cas depuis la globalisation favorisant aussi beaucoup les très riches, c’est-à-dire depuis la délocalisation industrielle vers l’Asie, des lois économiques supranationales et la disparition des classes moyennes qu’elle a provoquée en occident.
Fritz R. Glunk, éditeur allemand de Die Gazette précise : « Ces "forces de l'ombre (très riches)" se composent de représentants de groupements industriels et économiques. Elles établissent entre elles des règles en vigueur à travers le monde qui ont pratiquement force de loi. Les parlements en prennent note sans les discuter ni prendre de décisions. »
Selon ce dernier, la raison d'être de ces groupes et de leur influence de l'ombre, dont l'opinion publique ne se doute même pas, sont argumentées par la thèse selon laquelle les problèmes universels qu'ils traitent sont devenus si complexes que seuls des experts, et non les élus du peuple, peuvent s'en occuper. Les spécialistes relèvent qu'il s'agit là d'une sorte d'«expertocratie» qui assied son pouvoir sur l'idée erronée, perverse et humiliante, que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à « ceux qui savent », c'est à dire les élites oligarchiques mondialistes, le soin de conduire les affaires publiques. Or une ploutocratie servira toujours principalement les intérêts des très riches.