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O) Suite 15 (1)


-prétendu souci grandement erroné du gouvernement français de vouloir protéger la sécurité du pays, car Moscou ne cesse d’affirmer qu’il n’a évidemment aucune intention d’envahir l’Europe qui est sous l'OTAN. Rien ne permet de démontrer l’expansionnisme russe dont se repaient politiciens occidentaux et médias mainstream, alors que tout indique l'expansion de l'OTAN. La Russie justifie son implication en Ukraine ainsi : préoccupée par la sécurité de ses frontières face à l’expansion de l’OTAN vers l’Est, elle se devait d’agir (voir le Communiqué de presse du Ministère russe des Affaires étrangères du 17/02/2022). Rappelons-nous en effet que des accords tacites, érigés entre les Etats-Unis et l’URSS, puis la Russie, assuraient la non expansion de l’OTAN plus à l’Est. Or, cet accord a été enfreint dès 1999, et l’expansion s’est poursuivie année après année. Qui plus est, au lendemain de la révolution de Maïdan, un réseau d’espionnage de la CIA a été mis en place le long de la frontière russe, selon un article du New York Times. Quant à l’installation de laboratoires biologiques aux frontières de la Russie pour développer des armes létales, l’ex sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques des États-Unis, Victoria Nuland, a nourri la rumeur en affirmant : « L’Ukraine possède des installations de recherche biologique. Nous craignons que … les forces russes ne cherchent à en prendre le contrôle. » Il convient d’insister sur les différents recours diplomatiques auxquels a procédé la Russie afin d’éviter toute intervention militaire en Ukraine.
-menace russe pouvant être utilisée pour la cohésion de l'UE. Or la guerre de l'UE est aussi intérieure contre les peuples, ce qui signifie que le système est dans une guerre très risquée à deux fronts, car ces peuples deviennent les alliés objectifs des russes. Surtout que cette guerre étant en grande partie religieuse, celui qui la perd sera donc considéré du côté du mal car Dieu n'aura pas été avec lui.
-Covid et Russie désignés comme bouc émissaire pour amplifier l'inflation, la guerre énergétique et la crise économique planétaire servant la monopolisation oligarchique jusqu'à la tyrannie du grand reset globaliste voulu par les membres de l'hyper classe du forum économique mondial de Davos.
-existence de 280 taxes et impôts divers en France au lieu de la seule zakat (impôt unique de l'islam) dont la valeur est 2.5% prélevé sur tout montant d'argent et toute quantité de denrées non périssables supérieurs à 3 000 euros thésaurisés pendant un an, pour que cela soit donné à l'Etat et son fonctionnement dont pour construire les routes principales, entretenir l'armée et soutenir les faibles (orphelins, veuves, handicapés, pauvres), et pour que cela incite à investir. Surtout que les multinationales sont beaucoup moins touchées par ces taxes et impôts français que les PME et les citoyens.
-industrialisation de l'agriculture et contrôle voire achat progressifs par le groupe international Mosanto de toutes les terres cultivables du monde amenant un dangereux monopole dans le secteur agricole et appauvrissant donc toujours plus les agriculteurs indépendants qui devraient s'unir pour rivaliser. Les grandes manifestations des agriculteurs en 2024 ne sont pas un phénomène allemand, mais le symptôme d’une politique mise en œuvre dans tout l’Occident pour redistribuer les terres agricoles des petits agriculteurs aux grandes entreprises. Mais ce n’est qu’une partie d’un programme beaucoup plus vaste. La suppression de l’exonération fiscale du diesel agricole a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, l’étincelle qui a allumé un feu de la protestation. Le mécontentement, qui couvait depuis longtemps contre la politique « verte » insensée et destructrice et contre la manière arrogante avec laquelle elle est imposée par l’UE et la coalition « Feux tricolores » (socialistes, libéraux et verts) au pouvoir à Berlin, a éclaté en une gigantesque vague de manifestations et de rassemblements. Dépassant le monde agricole, des chauffeurs de camion et de bus, des enseignants, des médecins, des artisans, des boulangers, des restaurateurs et d’autres personnes touchées par les différentes coupes (qui doivent notamment servir à financer les budgets de la défense et de la protection du climat) se sont joints aux manifestations. Ce mouvement des paysans allemands commence à s’étendre en Europe : l’Allemagne commence à souffrir économiquement et socialement de la politique pro-américaine, et donc anti-européenne, de l’Amérique, qui est un faux allié. Et avec la Russie, l’Europe de Leyen a un faux ennemi. Tout est inversé, aujourd’hui.
« Les revendications de Sébastien Béraud, éleveur de Haute-Loire, s’articulent autour de la nécessité de réformer le système agricole, incluant la Politique Agricole Commune (PAC), les accords de libre-échange, et les pratiques de facturation. Selon Sébastien, les subventions ne résolvent pas les problèmes réels des paysans qui demandent des prix équitables plutôt que des aides déguisées. « On essaie de monter un mouvement indépendant, parce qu’on n’a pas envie de partir avec les syndicats, parce qu’on se fait souvent trahir, et on n’a pas le temps d’arriver au bout, on a déjà été vendu. » L’homme pointe du doigt le rôle de la FNSEA, principal syndicat agricole, qu’il accuse de ne pas défendre véritablement les paysans (et dont le président appartient en plus curieusement aux seigneurs de l’agrobusiness). Il dénonce le monopole exercé par de grands groupes agroalimentaires sur les prix du lait, soulignant le manque de concurrence dans le secteur. Malgré l’existence de syndicats alternatifs, la FNSEA conserve une influence prépondérante, explique-t-il, en raison de la division des voix lors des élections. « La FNSEA, c’est un syndicat de l’agroalimentaire, de tout ce qui tourne autour de nous, des coopératives, aussi bien d’achat que de vente de produits. Donc, ils sont plus là pour défendre les paysans. Ils sont la tête de l’Europe. Ils sont là pour signer les accords de libre-échange, en fait. Ce sont nos bourreaux. (La FNSEA est donc comparable au MEDEF du monde agricole, surtout qu'elle est gérée par certains globalistes et n'a pas bougé auparavant alors que de nombreux agriculteurs modestes se pendaient, mais seulement quand les grandes exploitation ont commencé à être touchées par le système de l'UE.) » » (Le Média en 4-4-2)
Il y a donc une grande divergence chez les agriculteurs après l'appel à la suspension des blocages par la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs. Loin de faire l’unanimité, une note des RG va enfoncer le clou concernant les syndicats puisqu’une révélation du journal Le Monde annonce que la FNSEA exerçait une pression sur les pouvoirs publics pour stopper les convois. Pour être plus explicite, la FNSEA a demandé à la police d’intervenir contre les agriculteurs.
De plus il existe en France une concurrence déloyale dont par rapport au prix du coût du travail, à la taxe sur le carburant et aux normes moins nombreuses d'autres nations, surtout que c'est lié à des traités de libre-échange. Ainsi le prix de vente est fréquemment inférieur au coût de production pour les agriculteurs français et les subventions européennes devant aider à relever le niveau général des économiques européennes (au moins momentanément ou/et une année sur deux) ne suffit plus à équilibrer l'équité, car le but était en réalité au final de tout amener vers le bas au profit des industriels, des multinationales et donc des oligarques souvent mondialistes, dont en accusant les français de mal acheté et les industriels de mal commercé malgré que le système le permette.
« L'agriculture a pour objet de nourrir les gens pas de mettre en concurrence les paysans de la planète. » (José Beauvais)
En plus les agriculteurs européens viennent de voir 50 milliards leur passer sous le nez en 2023 pour aller en Ukraine et dans la poche de son proxénète l’Amérique. Car non seulement Kiev les transformera en armes (et en corruption), rallongera la guerre et les souffrances du peuple ukrainien, mais aussi subventionnera une agriculture prédatrice qui achèvera les derniers petits producteurs européens au coût de production plus cher que ceux oligarchiquement industriels ou ceux extra-européens.
« La politique de l’UE en matière agricole est claire : on dégage le petit producteur français, et on importe massivement la production venue d’Ukraine, qui ne coûte pas cher (un paysan ukrainien gagne 250 euros par mois) et qui n’est pas soumise aux normes, les fameuses normes européennes qui sont justement faites pour tuer notre agriculture. Ceux qui en savent un peu plus sur l’Europe et l’agriculture rappelleront que l’Ukraine est déjà entrée dans l’UE en douce, et qu’elle est le cheval de Troie de l’agriculture américaine. Une bonne partie des terres agricoles ukrainiennes (productrices de blé) ont été achetées par trois compagnies américaines contre l'avis des paysans et c'est Zelensky qui a forcé l'achat. Le problème profond est là. C’est pour ça que le couple Leyen-Macron est pour la guerre en Ukraine, pour la destruction de l’État ukrainien, pour la corruption, et pour l’esclavagisation de leurs peuples, surtout que le système globaliste pouvant de moins en moins piller les autres nations dont les résistants Niger, Mali et Burkina faso, il s'en prend de plus en plus aux peuples riches d'occident. Un projet tout simplement nazi, dans le genre Lebensraum, où l’UE aurait remplacé la Grande Allemagne. Les dégâts, on les voit chez nous : deux paysans se pendent chaque jour. Et tous ceux qui s’opposent à ce projet authentiquement fasciste sont traités de fascistes. » (Rédaction ER)
D'ailleurs le libre échange renforce seulement les forts, alors qu'il est inutile voire nocif dont économiquement et écologiquement quand la production nationale a atteint un grand niveau, en particulier jusqu'à pouvoir exporter après avoir était suffisante à sa population.
Par conséquent il faut retrouver la souveraineté voire une autonomie alimentaires, dont en comptant sur le soutien des citoyens pour privilégier une consommation locale.
Ces manifestations des agriculteurs, initialement observées en Allemagne, se sont transformées en un mouvement continental exprimant un mécontentement généralisé envers les politiques agricoles de l'Union européenne.
Le monde paysan, qui pèse encore 300 000 exploitations (contre 900 000 en 1992), est un monde disparate qui s'est donc centralisé vers les plus riches sans beaucoup perdre le niveau d'exploitation nationale agricole quoique 40 % de la consommation alimentaire en France provient de l'importation (ce qui permet la paix sociale à travers des bas prix vu que les bas salaires stagnent depuis des décennies, et donc aussi menace alimentairement le peuple en cas d'arrêt de cette importation puisque contrôlée principalement par les ultra-riches, alors que la France pourrait normalement nourrir 500 millions de personnes à elle seule, et qu'avec l'Europe, elle pourrait donc profiter au niveau de ses ventes agricoles du développement de l'Afrique au climat souvent compliqué et qui aura toujours plus besoin de se nourrir), mais où les petits luttent donc toujours plus pour leur survie dans un monde en voie d’ultralibéralisation dont via l'Union Européenne. En effet à l’origine de leurs problèmes, sauf pour ceux qui touchent des subventions de la PAC, se trouve l’Union européenne. Certains profitent de l’Europe, d’autres pas. Alors que la France était le deuxième exportateur mondial au niveau agricole, elle est même passée maintenant en dessous du cinquième rang. Ceux qui en profitent le plus sont généralement les grands propriétaires terriens synonyme d'industriels agricoles, puisque les subventions européennes sont proportionnelles à cela. On découvre que l’Ukraine, via ses produits à très bas coût (le salaire moyen de l’agriculteur ukrainien est de 200 euros !), est déjà entrée dans l’UE, et va accélérer la disparition de la petite paysannerie française.
La révolte agricole en France est donc aussi un appel à l’action contre les seigneurs de l’agrobusiness. Les agriculteurs sont encouragés à résister contre les seigneurs agricoles, les monopoles industriels, les lobbys et les politiques qui les exploitent. La nécessité de construire une agriculture française durable et transmissible de génération en génération devient ainsi importante. Dans ce sens, il est important de créer des fermes et des épiceries solidaires.
Max du « Média en 4-4-2 » déplore la superficialité des débats autour du soutien aux agriculteurs, appelant à une réflexion approfondie sur les enjeux fondamentaux du modèle agricole. Il critique le recours massif aux pesticides et aux produits chimiques, pointant du doigt les conséquences désastreuses sur l’environnement et la santé publique. Il précise : « En 2024, on n’est pas capable d’avoir un modèle agricole qui produise de la nourriture de qualité, pour qu’on soit en bonne santé, qui protège la santé des agriculteurs et leur activité économiquement. En plus de ça, cela détruit l’environnement, et pire que tout, cela engraisse les industriels, les grands groupes, sur le dos de ceux qui s'épuisent à se lever à 5h du matin pour aller traire leurs vaches, pour aller dans les champs, faire tout leur métier que personne n’a envie de faire. »
Mais « Le haut des agriculteurs, ce sont les militants de la FNSEA, ce syndicat proche du gouvernement de droite et dont les membres éminents profitent des prébendes de l’Union européenne. En bas il y a la petite paysannerie, celle qui est étranglée par l’industrie agroalimentaire, la grande distribution et les normes européennes, quasi strangulatoires Les agriculteurs en colère luttent donc, à l’instar des Gilets jaunes, pour leur survie. Pour certains, il s’agit d’une survie économique, sociale, physique même ; pour les autres, de la survie de méthodes de production dont l’oligarchie ne veut plus. Si l’on se réfère au mouvement des Gilets jaunes, massif, populaire et trans-courants au départ, puis gauchisé et neutralisé à l’arrivée, on remarque que le mouvement paysan de 2024 y ressemble mais avec les éléments politiques et chronologiques dans un autre ordre : droitisé et contrôlé au départ, il dérape à l’arrivée. Si la grève n’a été déclenchée par la FNSEA, c’est elle qui négocie avec Attal-Macron, ce qui permet au gouvernement de se poser en pacificateur social à l’écoute des paysans. « Jean-Jacques Le Moel, producteur de lait bio, exprime son indignation face aux propositions de Gabriel Attal, dénonçant une déconnexion totale des politiques vis-à-vis des réalités agricoles. Selon Jean-Jacques, les initiatives actuelles répondent à un agenda 2030 axé sur la réduction des émissions de carbone, mettant ainsi en danger la survie des paysans. Jean-Jacques Le Moel critique vivement les objectifs de diminution des émissions de carbone d’ici 2030 et 2050, soulignant l’importance du carbone dans la photosynthèse et la production d’oxygène. Selon lui, les politiques sacrifient délibérément les agriculteurs au profit de cet agenda, laissant les paysans « crever ». Il met en lumière l’hypocrisie entourant l’Agenda 2030 de l’ONU, qui, selon lui, conduit à une décroissance générale (seulement en partie puisque en faveur de la centralisation oligarchique de l'économie occidentale puis mondiale. C'est pourquoi l'énergie devient la priorité des priorités pour contrer ce révolutionnaire mondialisme oligarchico-écologiste, comme le prouvent l'affaiblissement de la France à cause de la coercition de l'UE contre EDF (qui pourrait vite redevenir un très bon pilier de l'économie française et même de l'Europe par une nouvelle mise en valeur  de son parc nucléaire dont en sortant en plus du système de l'UE), et la désindustrialisation de l'Allemagne à cause de la destruction des sanctions contre la Russie et de la destruction des gazoducs Nord-Stream 2.) » (Le Média en 4-4-2)
Or, comme souvent, la base déborde l’organisation oligarchique, et c’est ce qu’on peut voir avec l’incendie de la préfecture d’Agen. Le ministre de l'intérieur Darmanin, par un non-interventionnisme très inhabituel, prouve que la Macronie va résoudre le problème par le haut, les choses étant peut-être même arrangées depuis le départ. Cela donnera à Attal l’imprimatur social dont il a besoin pour les 2 ans qui viennent et qui mènent à l’échéance 2027. Tout cela se passe au-dessus de la vraie souffrance paysanne, qui va encore voir ses effectifs et revenus diminuer, sous la pression de l’oligarchie européiste, dont Macron est l’un des piliers. Les blocages de routes ne sont pas factices, la menace sur Rungis et Paris avec ses 3 jours de vivres n’est pas factice, mais tout laisse à penser que le petit Attal va en sortir grandi : les ingénieurs sociaux lui ont concocté une Gilets jaunes sur mesure, contrôlée partiellement de l’intérieur et de l’extérieur. Sarkozy, en octobre 2005, avait lui aussi, avec son équipe de conseillers, provoqué et organisé l’incendie des banlieues pour l’éteindre (difficilement, quand même) et finir en vainqueur de l’ordre et de la sécurité à la présidentielle 2007. (D'ailleurs quand un politicien dit qu'il va arranger les choses en supprimant ou baissant une taxe que le système a créée ou augmentée comme c'est la cas avec Attal, il y a vraiment de quoi se poser des questions à ce sujet et sur le véritable sens d'une bonne décision en faveur du peuple. Surtout qu'aller dans le sens du social n'a pas eu lieu pour les gilets jaunes et les retraites. Or cette préparation oligarchique peut aussi être synonyme dela peur du peuple. Le pouvoir, qui craint l’émeute comme la peste, n’a pas oublié – les traumas se transmettent – l’affaire de Montredon-des-Corbières. C’est l’historien Mickael Wilmart qui nous la remet en mémoire dans un thread. Cela explique peut-être pourquoi les forces de l’ordre n’osent pas trop tabasser les paysans. La vraie colère populaire est la hantise des gouvernants, mais surtout des mauvais gouvernants, qui réagissent par la panique et par une répression d’autant plus féroce qu’ils sont généralement lâches. Car les élites mondialistes ont tenté d’annihiler les paysans locaux. En effet rien de plus éloigné du producteur sédentaire que l'oligarchique nomade parasite apatride... Or « Quand l’agriculture était en honneur, il n’y avait ni misère ni oisiveté, et il y avait beaucoup moins de vices. » (Jean-Jacques Rousseau). « Et justement, le vice, c’est l’essence même de ces élites. Il est temps de se réveiller, car on obtiendra rien de cette bande de psychopathes incestueux, drogués, partousards et libertins. Mettez tous les vices que vous voulez, ils les possèdent tous. » (Arthur Sapaudia)) Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas, dans ce soulèvement général, un vrai soulèvement, mais ce dernier, sincère, non contrôlé, est voué à l’échec. S’il n’est pas contrôlé par les organisateurs du mouvement, il sert leurs desseins, car les révoltés sont comme des chiens fous tenus, sans le savoir, en laisse. Leur violence, qui donne sa crédibilité au mouvement et leur force aux revendications, sert de fer de lance aux organisateurs. La politique est impitoyable. Tout cela n’empêche pas un vrai débat autour de l’agriculture française, sa survie dans le libéralisme européiste, son poids politique par rapport à l’écologie, et sa lutte des classes interne. Un débat qui génère quelques règlements de comptes. » (Rédaction ER)
« Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. A l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. (Et dans ce sens) comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). (C'est à dire que) la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. (Ace sujet) Jean-François Auzolle dénonce la PAC, la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… » (Média en 4-4-2)
Certains agriculteurs manifestent pour la forme, sachant que leur syndicat a déjà obtenu des avantages (que le grand public ne saura pas), d’autres pour leur survie.
Trop de normes bureaucratiques, revenus trop bas, inflation, concurrence des produits étrangers, flambée des prix du carburant : la litanie des revendications se retrouve donc dans la plupart des pays confrontés au mécontentement agricole. Cependant selon la vidéo « Les paysans trahis une fois de plus par le syndicat » la chaîne youtube « Philippe est dans le pré », le problème principal des agriculteurs en France est que les marges de l'industrie agroalimentaire et des grandes surfaces ne sont pas encadrées via un code tel celui de la route avec les quatre centrales d'achat(, c'est à dire cette industrie et la grande distribution se gavent sur les dos des agriculteurs). De plus Philippe évoque l'importance de changer la fiscalité en prélevant l'impôt sur le salaire des paysans touchant en moyenne entre 500 et 1200 euros, et non sur le bénéfice de l'entreprise qui n'est pas un revenu réel. Il précise aussi que l’État doit mettre un terme à l'imposition sur les droits de succession de terres agricoles, car ce sont des investissements lourds non rentables, puisque ils dégagent pas plus de 2% de bénéfices alors que nourrissant la population, tandis que l'industrie en dégage autour de 20% et les services au-delà de 25 %. Enfin il propose d’arrêter le libre-échange pour aller vers un échange basé sur la coopération, car sinon cela a un très mauvais impact sur l’économie, les emplois et la souveraineté. Par conséquent, Philippe conclue qu'il faut arrêter la diversion avec les écolos, les normes et les GNR, puis refondre un modèle basé sur une meilleure répartition de la valeur entre producteurs et acheteurs de l'industrie agro-alimentaire.
« Il y a plusieurs raisons à la crise actuelle des agriculteurs, mais une revient comme un mantra : l’Union européenne et la « hyène » Leyen. Pas seulement pour les normes à la con, mais surtout pour la porte ouverte aux importations massives des grands pays exportateurs (Brésil, Argentine, Ukraine), importations à bas coût et de basse qualité qui tuent les producteurs français. Sur le plateau de CNEWS, l’éleveur Béraud, dont le TikTok cartonne, balance la sauce à la gueule de tout le monde : journalistes flippés et traîtres politiques : « Je voudrais rebondir sur les accords de Mercosur que vous nous dites, OK, mais y a pas que ça. Y a eu les accords de Nouvelle-Zélande qui vont faire importer du lait alors qu’on sait pas quoi faire du lait français ! (...) Y a trois jours c’était les accords avec le Chili, tous les jours on dirait qu’ils nous provoquent, mais ils veulent vraiment le chaos ! » « Il y a 2 morts par jour, 50 exploitations qui disparaissent tous les jours, on peut plus, monsieur. On est à 300 euros, les députés ils ont pris 300 euros d’augmentation, les sénateurs 700, on se fout de notre gueule, ils nous poussent à bout ! » « Tous les jours il y a des accords de libre-échange, donc la seule solution, moi j’en vois pas d’autre, les mesurettes ils arriveront jamais à calmer la détresse des agriculteurs, ils n’y arriveront pas ! La seule solution, en plus c’est nous les éleveurs qu’on est tributaires de cette folie de von der Leyen, cette hyène, mais elle est complètement folle cette femme, signer des accords de libre-échange toutes les semaines, pour faire entrer quoi ? De la viande alors qu’on sait pas quoi en faire de la viande en France, la nôtre elle part en Chine et on fait entrer de la viande aux hormones, nous on fait du label limousine, charolais, Aubrac, on fait rentrer de la viande aux hormones défiant toute concurrence d’Argentine... » « Ils veulent faire disparaître l’élevage pour nous mettre leur farine d’insectes, leurs steaks cellulaires avec l’intelligence artificielle, ils vont multiplier les cellules-souches dans des entrepôts où il y aura un bilan carbone soi-disant très bon parce qu’ils auront un impact au sol très faible ! (...) Ils veulent vous faire manger des choses que vous avez pas envie parce qu’ils veulent vous nourrir à pas cher parce que demain, le consommateur français n’aura plus un rond pour pouvoir se nourrir... »   Conclusion : les paysans français n’ont rien à attendre du pouvoir, des mesurettes d’Attal ou des promesses de Macron, un exécutif qui est inféodé à la Commission européenne, qui elle-même travaille pour l’ennemi, c’est-à-dire le mondialisme destructeur des productions nationales.  Nous sommes bien en guerre, mais pas contre les Russes. » (Rédaction ER)
Les antifascistes, dans leur lutte supposée contre l’oppression, ne devraient pas se comporter en agents de la censure et de l’intimidation. Leur action aveugle ne fait que discréditer leurs revendications et porter atteinte à la liberté d’expression. Il est également nécessaire de rappeler les paroles de Lionel Jospin, qui soulignait qu’au cours des années du mitterrandisme, la France n’a jamais été confrontée à une menace fasciste réelle. Trop souvent, le discours antifasciste est galvaudé et utilisé à des fins politiques sans lien avec la réalité du contexte. Rappelons-nous également qu’il y a un an, des antifas agressaient à Lyon « Les Masques blancs » en mettant à la poubelle les portraits des victimes du vaccin et ne participant à dénoncer l'oppression liberticide des mesures sanitaires lors du covid, voire en accusant ce mouvement apolitique d'antisémites, similairement au fascisme des chaînes TV du système comme BFM TV. Il faut en finir avec cette arnaque de ces antifas.
« La Macronie a poussé sa caricature du libéralisme jusqu’au bout : l’exécutif français est désormais officiellement une caste baignée dans l’entre-soi. Plus que le symptôme d’une déconnexion, c’est la preuve d’une séparation. Une séparation voulue par cette élite parisienne de technocrates pour laquelle le travailleur français est une variable d’ajustement à contenir et à « redresser ». La réforme des retraites avait acté la rupture institutionnelle, la récente loi sur l’immigration censurée par le Conseil d’État dans le dos de la représentation citoyenne la confirme. En 2024, le Parlement n’a plus de raison d’être ; sauf qu’il reste trois ans de gouvernance à la Macronie, c’est-à-dire trois ans de réformes à imposer à la France périphérique donc autant de 49.3 et de passages en force. Seule (sans le soutien des parisiens), la révolte du secteur primaire ne suffira sûrement pas à faire chuter le régime en place et donc à changer les choses, si tant est que ce soit son objectif ; rejointe par d’autres actifs essorés par la gestion rothschildienne dans une perspective de défense légitime des intérêts des travailleurs, la perspective s’élargit.  C’est là où cet outil historique des syndicalistes révolutionnaires de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qu’est la grève générale fait figure de déterminant. Utilisée en réaction à l’usage de la force étatique légale par la bourgeoisie, elle permit aux prolétaires de l’époque d’éviter toute compromission politique et interdisait toute corruption par la « paix sociale ». Quoi qu’il en soit, les dés sont jetés depuis longtemps pour la Macronie : son destin est de devenir officiellement un État policier chargé de taxer toujours plus les Français sans leur garantir aucun service et aucune qualité de vie réelle en contrepartie. Et pour achever sa mutation, cet État sera obligé de toucher d’une manière ou d’une autre à la Constitution, ce qui, dans le contexte décrit ci-dessus, équivaudra à convoquer un Congrès revanchard et politiquement… assiégé !  La révolution est souvent une question de timing, au-delà des divisions de principe… Il faut pousser. » (Extraits de l'article « Du siège de Paris à la grève générale ? » de Pierre de Brague à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Du-siege-de-Paris-a-la-greve-generale-74868.html)
N’ayant gagné que quelques miettes, sans avoir pu remettre en cause tout un système de taxes, de normes, de concurrences déloyales mais aussi le poids écrasant de l’Europe, les petits ou faibles  agriculteurs sont pour l'instant abandonnés par ceux-là même qui ont juré sur les plateaux de télévision les avoir compris et prendre en compte leurs revendications. Mais si les paysans échouent à Rungis, les barrages continuent en France et des centrales de logistique de la grande distribution restent bloquées ou devraient l’être bientôt. On verra si le gouvernement et le système les déconsidéreront dont en les arrêtant possiblement pour les pousser à vouloir stopper leur profession par désespoir au traités de libre-échange augmentant cupidement les bénéfices et donc au profit de l'industrie agro-alimentaire centralisant avidement l'économie.
Cette crise agricole a donc soulevé des questions plus larges sur l’avenir de l’agriculture française et européenne, et sur la nécessité de repenser notre modèle alimentaire pour plus de durabilité et de justice sociale.
Or sans surprise suite à cette manifestations des agriculteurs par rapport aux traîtres dirigeants mondialistes et ploutocratiques, rien n'a été fait sur la fiscalité ni sur les prix devant être à hauteur des coûts de production ni donc sur la rémunération des petits agriculteurs ainsi que sur le manque annuel de 50 000 à 80 00 euros sur un an par de nombreuses exploitations agricoles, ni donc concernant les 700 suicides d'agriculteurs annuellement.
Il faut noter qu'en France, l'importation alimentaire représente 40% de la consommation, ce qui rapproche de devenir dépendant d'autres pays géo-stratégiquement comme du Brésil, de la Nouvelle-Zélande et d'Australie. D'ailleurs douze pays sont tellement exportateurs que la France peut descendre jusqu'à 80 % pourcent et toujours fonctionner.
Le groupe cupide et dominateur Mosanto dépose même d'abjects brevets de créations alimentaires, puisqu'il est honteux de breveter le vivant par la modification génétique de divers fruits ou légumes, dont afin que les agriculteurs locaux voulant continuer de travailler après la perte de leurs terres au profit de Mosanto doivent toujours plus acheter leurs semences ne se renouvellant pas et leur insecticide les appauvrissant toujours plus car le besoin d'insecticide augmente chaque année suite à l'étrange adaptation des insectes. Et si l'industrie pharmaceutique pousse les Etats à être contre la médecine naturelle, c'est justement parce qu'on ne peut pas breveter une plante. D'ailleurs la loi contre le sectarisme peut servir à empêcher les voix dissidentes même scientifiquement sanitaires, jusqu' à l'abjecte autorisation la dénonciation suite discussion privée, digne de la gestapo. Dans ce sens, la tendance lourde du transhumanisme et de l’ingénierie sociale consiste en plus à le placer le vivant entièrement sous contrôle informatique.
Ce système de vente de semences stériles OGM devant être protégées par toujours plus de produits chimiques devient donc souvent encore plus perversement du monopole. Surtout qu'inévitablement, cela est fréquemment validé par des gouvernements de pays pauvres se maintenant donc dans le sous-développement et la dépendance alimentaire, d'autant plus quand on veut faire de l'Afrique un continent à l'énergie verte possiblement insuffisante. Or ces dangereux OGM dont car protégés par des pesticides dangereux pourraient en plus servir à accélérer la dépopulation, surtout qu'ils ont toujours subi peu de contrôles sanitaires dont sur les effets à long terme.
Mais l'organisation « Semences sans frontière » et l'entreprise Kokopelli luttent honorablement contre cela en soutenant des projets de culture vivrières par des semences reproductibles commercialisés voire offertes et des conseils donnés dont sur la réalité de l'agriculture, la gestion d'une culture et le meilleur rendement en nutriment. Il est possible de voir à ce sujet la vidéo « Documentaire : Kokopelli, un monde en semence » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uqGLFxrydEU&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1
Des multinationales très perverses veulent donc même centraliser pour leur profit oppressif la production décentralisée et gratuite de la nature, comme le prouve le raisin OGM sans pépin de Mosanto, c'est à dire en stérilisant la nature et l'occident pour créer des marchés contrôlables par un monopole. Le capital permettant la centralisation monopolistique dans des États autoritaires, ou pauvres ou prétendument libres et démocratiques s'oppose ainsi en réalité au libéralisme bien compris, c'est à dire à celui décentralisé. De plus dans de nombreux cas, comme lorsque les brevets génétiques de Mosanto donnent des plantes plus fortes, cela correspond en réalité au bout de trois ans à une grande perte de revenus pour les agriculteurs, puisqu'il y a un besoin en eau grandement supérieur pour les irriguer, en plus donc du non renouvellement des graines qu'il faut par conséquent leur racheter et d'une utilisation de glyphosate dans leurs herbicides toujours plus nécessaires détruisant en outre gravement toute autre plants naturelle comestible. En Inde les conséquences néfastes de cette agriculture ont été vastes.
-injuste vente à la découpe des fleurons de l’industrie aux multinationales apatrides. Or si un pays ne possède ni les matières premières de base, ni les usines, ni le marché, c’est-à-dire ni la production, ni la transformation, ni les clients, une industrie finit logiquement par se délocaliser en se rapprochant vers un ou plusieurs de ces éléments. Sauf qu'avec le mondialisme, c'est plutôt souvent cupidement organisé dans des pays pauvres pour gagner plus d'argent sur l'heure travaillée. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente intervention suivante concernant la perte de souveraineté énergétique de la France alors qu'elle était leader de la production d'électricité en Europe : « Souveraineté énergétique de la France : "Il faut se réveiller", enjoint Arnaud Montebourg » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=Ca3FdfOM5-8
-productions, transformations et même standards de téléconseillers organisés donc dans des pays pauvres prenant en plus le travail des nationaux.
-algorithme(rythme) envoyant des notifications fréquentes sur les smartphones pour voler l'attention des gens dont pour la publicité, en les perturbant ainsi tout en les rendant addicts.
-lien entre Haute Finance mondialisée, industrie militaire, atlantisme (appartenance à l’OTAN sous commandement des USA) dominant de nombreux pays. Cela correspond à la profonde modification des sociétés occidentales, où désormais les richesses ne sont plus réparties équitablement, mais échoient principalement à un groupuscule de multimilliardaires transnationaux. Cette évolution, si elle persiste, marquera la fin de la démocratie parlementaire. Dans ce nouveau système politique, les « techniciens » ont plus de pouvoir que les « politiciens », comme le démontre clairement le curriculum de Mario Draghi l'ancien premier ministre de l'Italie qui auparavant est passé de directeur exécutif de la Banque mondiale à Washington, à directeur du ministère du Trésor à Rome où il a été l’artisan des privatisations des plus grandes entreprises publiques italiennes, à vice-président de celle privée étas-unienne Goldman Sachs (une des plus grandes banques d’affaire du monde), à gouverneur de la Banca d’Italia et à président de la Banque centrale européenne (BCE). L'italien Draghi qui résume donc nettement le basculement du monde occidental dans la tyrannie est en plus un des protagonistes du Groupe des Trente, qui est une puissante organisation internationale de financiers créée en 1978 par la fondation Rockefeller avec siège à Washington.
-invocation des libertés (dont de sécurité) pour y mettre fin par exemple à travers le blocage de biens russes et le gel des comptes en banques de manifestants contre les mesures covid comme au Canada, preuve d'une continuité tyrannique pire que la tyrannie bancaire suite à la crise des subprimes de 2008.
-important montant d'argent des nations donné à des organisations supranationales privées mondialistes d'ultra riches comme le GAVI (« l’alliance du vaccin) dont l’origine et le contrôle sont en réalité liés à la Fondation Sanitaire Bill-et-Melinda-Gates, alors que cela n’a pourtant donc aucune légitimité populaire ni même démocratique. Ainsi on assiste à la mise en place d’un gigantesque système de corruption, comme toujours sous le prétexte de l’urgence dont donc médicale.
-cabinets de conseil privés comme celui appelé McKinsey lié au gigantesque fond de pensions Black Rock et donc à la finance internationaliste dans une forme de lobby (dont les membres passent donc du privé à la politique publique et inversement) gérant les nations occidentales par des conseils en plus très lucratif à leurs gouvernements, ce qui pourrait être une image voire la réalité d'un gouvernement mondial de l'occident, surtout suite la suppression du corps diplomatique français dont la fonction pourrait en plus aussi être confiée à Mc Kinsey. Surtout que ce cabinet à base anglo-saxonne est lié au système du pacte de corruption entre les puissances de l’argent et le système politico-médiatique. D'ailleurs que fait un cabinet de conseil privé dans le Conseils de défense (dont lors de la crise sanitaire) d’une République une et indivisible ? La réponse gouvernementale est simple : expertise. D'autant plus que la pieuvre McKinsey est reliée aux plus grandes multinationales de la planète, du Big Pharma au Big Tech, qui ont toutes engrangé de gigantesques profits éhontés sur la politique sanitaire internationale lors du Covid. En effet alors que cette politique sanitaire internationale fut un désastre pour les peuples, elle fut très juteuse pour elles. Et par exemple concernant la relation avec l'Afrique, la vision idéologique des nouveaux politiciens français n'a plus une intelligente vision de terrain comme avant, car elle s'établissait sur les réalités africaines dont (géo)politico-ethniques. On s'adresse même en plus désormais dans un honteux manque de retenu au souverain dune monarchie millénaire comme à un PDG dune grosse société. Le frivole et le privé remplace donc le sérieux et la profondeur dont des honorables organisations publiques formant excellemment les diplomates. Il s'agit donc ici de montrer parmi les principaux ennemis de l’humanité dont à travers ce conflit d’intérêt, doublé du délit d’initiés, qui est incontestable : la branche « Conseil » de McKinsey a dicté une politique unique dans près de 65 pays occidentaux visant à enrichir l'autre branche « Fonds d’investissement », dont en vidant les comptes publics et en anéantissant économiquement beaucoup de PME/PMI et de citoyens de plusieurs pays et donc favorisant aussi le grand reset, comme lors de la crise des subprimes, du covid, de l'inflation, de la crise énergétique et de la guerre en Ukraine. Les sociétés de conseils, et en particulier McKinsey, sont au centre du monde de l’industrie et de la finance américains Tous leurs fameux conseils ont les mêmes finalités dont d’enrichir ces entreprises américaines grâce aux impôts des Français, de maintenir au pouvoir l'oppression oligarchique ou/et de privilégier certaines minorités ou idéologies. D'ailleurs, ce que l’on appelle maintenant « l’affaire McKinsey » dégage des fumets particulièrement malodorants, à base de soupçons de corruption, de connivences, de conflits d’intérêts, de fraudes fiscales, de faux témoignages, et autres perversités qui donnent avec insistance à la France une image d’une république bananière. Or on en ressort encore plus stupéfait avec la lecture du rapport de la commission d’enquête du Sénat, puisque ayant révélé le volume invraisemblable des achats étatiques de ces missions externes, leurs fréquentes inutilités sournoises, et le montant vertigineux de leurs rémunérations. Dans une démocratie normale, une commission sénatoriale ou parlementaire aurait convoqué le président en exercice pour lui demander des comptes sur cette stupéfiante pénétration privée et mondialiste au cœur de l’État, et l’aurait démis de ses fonctions, le temps de l’innocenter ou de l’accuser. Le cabinet international McKinsey et Company de conseil en stratégie dont le siège est situé à New York City est même le pivot central qui a permis la globalisation des multinationales qui comptent, l’agencification et la corporatisation des administrations publiques. Et là où se trouve McKinsey se trouvent les banquiers d’affaires de la City et de Wall Street. McKinsey est donc l’entreprise-clef qui a permis d’abord l’atomisation des entités publiques et entreprises privées nationales, puis l’intégration de leurs processus d’activités au niveau mondial. Grâce à cette restructuration puissante, systématique et planétaire, les PIB nationaux ont été vidés, les substances des entreprises riches nationales ont été vampirisées, et les gouvernements n’ont plus de pouvoir sur les structures étatiques devenues indépendantes. De plus, ce cabinet a travaillé pour stimuler les ventes de l’analgésique OxyContin ayant tué 450 000 personnes, a participé à la descente aux enfers de la banque volante que fut Swissair, correspond probablement à l'origine du pass sanitaire, et est main dans la main avec Pfizer. Ce qui prouve donc qu'il y a bien un axe Pfizer-Kinsey-Macron ou Pfizer-Kinsey-France, mais sans l’accord des Français. Tout ceci se passe au-dessus de nos têtes, et ce n'est pas avoir l’esprit mal tourné ni être complotiste que d'aller chercher ces graves infos qui révèlent clairement l’hydre mondialiste. Or il ne s’agit que de l’une des têtes de cette hydre perverse. Car nous avons aussi le Big Bank (avec ses grandes institutions financières tot big to fail tels les grosses banques centrales et privées et les grands fonds de pension types Vanguard et BlackRock), le Big Pharma (Pfizer, Moderna et compagnie, devenus célèbres depuis le plan covidiste), le Big Tech (dit aussi GAFAM), et bien sûr le Big Business (incarné par le CAC40 en France). Mais il ne faut pas oublier les plus grosses entreprises multinationales, ni l’industrie du numérique, de la santé, de l'argent, ni les services de renseignement, de police et de défense, qui protègent tout cela, plutôt que les peuples. C’est à peu près ça, aujourd’hui, l’oligarchie. Un ensemble de puissances dont les intérêts se croisent forcément. Partout se tissent des liens forts entre ces géants, qui se partagent le gâteau du monde. On dirait presque un Yalta économique (partage du monde) entre Big Tech, Big Bank, Big Business (et encore, ces trois là peuvent se caser simplement dans Big Bank, vu les liens importants entre grosses banques, grands gestionnaires d'actifs, multinationales et gouvernements occidentaux corrompus), Big Brother (dans lequel on case le renseignement, la police, la répression gouvernementale) et le Big Pharma (étant le dernier arrivé dans ce carré de tête et ayant servi de déclencheur au basculement dans le monde d’Après suite à son plan pandémique). Ainsi il faut être sûr que toutes ces têtes de l’hydre sont prêtes à nous manger tout cru. Les scandales derrière Kinsey (Enron, opiacés), Google (censure, CIA), Pfizer (effets secondaires, corruption) le prouvent nettement, mais sont honteusement effacés par le Big Média, qui n’entre même pas en tant que tête dans l’hydre puisque ce sont seulement des larbins nécessaires au fonctionnement de la domination planétaire de cette hydre mondialiste. Or si l’on veut 7 têtes à cette hydre pour des raisons symboliques, on rajoutera ce Big Média (médias mainstream, Hollywood, Netflix, etc), qui est un haut-parleur unique disant la même chose du matin au soir, d'une chaîne TV à un autre, d’un pays à l’autre, afin d'enfoncer la propagande wokisto-mondialisto-sionisto-ploutocratique dans la tête de l'humanité. Il est intéressant de lire à ce sujet le bon article « Santé, finances... c’est McKinsey qui gouverne » à l'adresse https://lemediaen442.fr/sante-finances-cest-mckinsey-qui-gouverne/
-aides financières gouvernementales sous conditions administratives complexes cassant en réalité ceux qui produisent, notamment des indépendants, car ils sont tenus par ces « aides ». On les rend dépendants, soumis. Même chose en Afrique quand les agricultures locales ont été tuées par le riz subventionné américain. C'est à dire qu'on retrouve toujours les mêmes principes du mauvais capitalisme partout. On parle du mauvais capitalisme parce qu’il y a un bon capitalisme, celui qui est cadré par un État fort, pas à travers le système actuel où le tissu productif est détruit par un État faible à la solde de ses véritables ennemis, la véritable 5e colonne, les néolibéraux américano-sioniste, qu'on peut même associé aux néoconservateurs américains dans ce type de cas.
-selon l'avocat François Taquet dans son livre « URSSAF : un cancer français », tous les ans dans les PME, 90% des contrôles opérés par les agents des URSSAF donnant lieu à un redressement. Et cela en vertu de lois de plus en plus incompréhensibles, de méthodes malhonnêtes et d'un pouvoir absolu : celui de sanctionner sans même passer devant le juge tout en favorisant les grandes entreprises. Résultat, les Unions de recouvrement de la Sécurité sociale et des allocations familiales captent chaque année plus de 500 milliards d'euros, soit six fois les recettes de l'impôt sur le revenu. Pour François Taquet, les URSSAF se sont donc développées tel un cancer, puisque échappant progressivement à tout contrôle...
-renversement de pouvoir du politique vers le médiatique suite à l’animateur Cyril Hanouna ayant insulté le jeune député LFI Louis Boyard de « merde ». Un député de la République pèse moins qu’un animateur télé, quel que soit le résultat du procès en diffamation intenté. On parle ici bien sûr du pouvoir politique visible, pas du pouvoir profond qui lui est inaltérable, puisqu’il n’est pas élu et se transmet par cooptation communautaire et/ou réseautaire.
-diversification grandement exagérée des institutions dont médicales ainsi que de leurs niveaux hiérarchiques faisant passer la démocratie à une bureaucratie type soviétique et utilisant l'argent publique pour payer ce très nombreux personnel étant donc souvent de trop et ayant sournoisement souvent des liens.
-décisions politiques sanitaires basées donc sur d'obscurs comités d'experts tout de même connus pour leurs liens avec l'industrie pharmaceutique, en particulier pendant le covid. C'est à dire que la relation incestueuse de la science, des politiques et des médias a désinformé et manipulé les peuples. Alors qu'au cours du « Global COVID Summit », 17 000 médecins et scientifiques médicaux ont bravé l'interdit de s'exprimer malgré les risques pour leur carrière. Ils dénoncent la mainmise oppressive des lobbies pharmaceutiques au détriment de la santé des patients. Surtout que l'oppressif système cherche sournoisement l'impossible pureté sanitaire et donc biologique totale, tel à travers le prêt de 750 milliards de la BCE synonyme d'esclavage suite au pseudo risque zéro, alors que c'est impossible car de nombreuses bactéries et microbes sont utiles à notre corps, et que le monothéisme recherche d’abord la pureté spirituelle dont de l'équité, de la solidarité et de l’interdiction de l'usure. Et le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM (Autorisation de mise sur le marché) pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et de l’industrie pharmaceutique. Ainsi c'est plutôt ceux en particulier politiques ayant validé sans autorisation de mise sur le marché ni donc contrôle suffisant les vaccins ARN pour toute une population en plus à la santé souvent différente par essence qui sont condamnables.
A cette adresse https://www.youtube.com/watch?v=gGXkrhmDyl4 , il est expliqué que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés » est fausse : 1. On fait une étude fantaisiste ou truquée. 2. Les politiques s’en servent (dont en rejetant l’hydroxychloroquine). 3. On avoue l’arnaque. 4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (dont en préférant le peu efficace doliprane à l’efficace hydroxychloroquine pour ensuite participer aux bénéfices de la vente des vaccins ARN).
Par les vaccins, tests, masques et pass vaccinal, la médecine ou plutôt Big Pharma a donc perversement accélérer la ruine de l'occident libre au profit de la perverse oligarchie mondialiste tyrannique, comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV, d'autant plus que de nombreux gens aiment se plaindre de maladie pour recevoir de l'attention.
Surtout qu'il est apparu que la crise sanitaire due au coronavirus n'était pas majeure, et que cela concernait plutôt une gigantesque opération de mystification oligarchique au détriment économique et sanitaire des peuples, orchestrée par la propagande médiatique, l'OMS mondialiste et donc les labos de Big Pharma, afin de faire pression sur les gouvernements à coups de statistiques faussées pour masquer l’énorme crise systémique financière qui couve depuis au moins deux décennies et clairement depuis 2008 à cause de l'idéologie globaliste ploutocratique voulant monopoliser toute l'économie.
Pour lutter contre ce type de détournement de la science par le conseil scientifique gouvernemental à une fin idéologique de la société et des règles sociales y étant liée, l'informationnel « conseil scientifique indépendant », composé de nombreuses personnalités dont beaucoup de professionnels de la médecine, travaille dans le sens du devoir et de la visibilité médiatique pour les gens qui ont des choses pertinentes à dire dans leur domaines de compétences respectifs puissent le faire dont avec des articles scientifiques concernant divers sujets comme le covid, les vaccins ARN, différents médicaments risqués ou tout autre sujet important.
Une étude approfondie sur les effets des masques a été publiée dans Frontier’s. Il s’agit d’une collection de 2 168 ouvrages de vulgarisation compilés par divers services de santé allemands et autrichiens. Ce qui ressort de l’étude : mauvaise oxygénation, respiration compromise, confusion mentale. Mais aussi hypercapnie (accumulation de dioxyde de carbone dans le sang), augmentation de la pression artérielle et de la pression intraoculaire, asthme, acné, et par conséquent, altération du système immunitaire. Ce sont là quelques-uns des « événements indésirables » retrouvés par les auteurs chez les porteurs de masques chirurgicaux et masques FFP2. Les auteurs ont noté que tous ces symptômes sont les mêmes que dans le Covid dit long. Et ils ont conclu en se demandant « si au lieu d’un long Covid beaucoup de symptômes avaient dépendu de l’utilisation de masques » ? Les effets secondaires des masques doivent être pesés (rapport risques-avantages) par rapport aux preuves disponibles de leur efficacité contre les transmissions virales surtout que généralement reconnue inexistante même sur les boites de masques. Une autre considération importante faite par les auteurs est qu'en l’absence de preuves empiriques solides d’efficacité, l’utilisation de la protection ne devrait pas être obligatoire, et encore moins imposée par la loi.
Jean-Dominique Michel : « Un ensemble de soignants, pédopsychiatres, infirmières, virologues interviewés dans une vidéo belge disent quelque chose de très juste : on a tout réduit à la biologie. Les relations, les affects, les liens avec les autres, le sens que l’on donne à sa vie, et le système économique, tout cela est hyper déterminant pour la santé, au moins autant que la biologie. Mais on s’est concentrés uniquement sur la biologie : on a complètement effacé le reste et on n’a pas pensé aux impacts du reste en créant des réalités qui ne peuvent être qu’hyper traumatiques. C’est une des critiques du confinement et des masques. On n’a pas du tout pensé aux impacts de déshumanisation que cela allait avoir à tellement d’endroits. Surtout que dans un laboratoire P4 comme Wuhan, le port de combinaison intégrale et des sas de décontamination sont utilisés pour lutter contre un virus comme le Covid, alors à quoi sert un petit masque ? De plus comme un masque arrête les bactéries présentes dans les muqueuses humides et chaudes de la bouche, cela forme une petite étuve personnelle dans lequel les germes peuvent proliférer. (Si « Dieu, qui est omniscient », avait voulu nous protéger par là, il nous aurait pourvu de paupières de bouche et de nez.. Or il n’en a rien fait. Demandons-nous pourquoi ? C'est pour l'immunité collective, rappelant bien l'importance du bon lien social.) Par conséquent il aurait fallu réunir des compétences beaucoup plus larges. Mais dans une forme d'hystérie hygiéniste amenant de la psychose dans tout et de la perte de liberté, les autorités étaient tellement dans leur panique sanitaire qu’elles s’en sont totalement remises aux médecins. Or, ce n’est pas juste aux médecins de dire comment il faut organiser une réponse sociétale à une épidémie, ou en tout cas pas sans le concours de nombreux autres ordres de compétences et de savoir. Il y a une forme de dérive totalitaire qui est en train de se mettre en œuvre, y compris dans notre pays. Que le Conseil fédéral ait cherché à obtenir du Parlement la possibilité de garder des pleins pouvoirs jusqu’en 2022, y compris en oppressant par la vaccination, constitue une transgression majeure de notre système de droit comme de notre système politique.
Remarquer cela, c’est de l’éthique au sens le plus intense du terme, ça concerne même l’Habeas corpus. C’est revenir à l’époque où le Seigneur avait le droit de disposer des corps des gens. On est dans ce genre de dérive aujourd’hui, avec la pointe redoutable que, puisque c’est pour la santé, refuser revient à risquer de mettre en danger la vie des autres. On est en train de dériver vers un totalitarisme qui ne dit pas son nom, dont avec le vaccin à ARN. En effet il s'agit d'un type nouveau que l’on n’a encore jamais expérimenté sur l’être humain, avec de possibles signatures nanoparticulaires provenant de matière aimantée (superparamagnétiques) permettant à une autorité extérieure de savoir si on l’a reçu ou pas, et avec un passeport vaccinal qui permettait d’être autorisé à se déplacer ou non. D'ailleurs comment se fait-il qu’un type comme Bill Gates, qui est informaticien, se retrouve au centre de tout l’échiquier comme celui qui finance le plus les institutions de santé dans les pays et à travers le monde ? Il y a quelque chose d’anormal qu’il se retrouve dans cette position, à dicter le jeu, à avoir ses entrées à l’Élysée comme au Palais fédéral ou à la Maison-Blanche, à être le principal financeur de l’OMS, à subventionner des médias ou encore une agence d’état comme Swissmedic. La situation que nous vivons avec le coronavirus est en fait apocalyptique, dans le sens littéral (et non pas mystique) de « dévoilement » : quand les choses sont dévoilées dans leur réalité. Là on est dans une espèce de dévoilement à large échelle concernant la manière dont la gouvernance des pays a vrillé en privilégiant les intérêts privés qui tendent à l’emporter sur le bien commun, avec à l’arrière-plan du fait des groupes qui ont le vrai pouvoir comme les GAFAM, une forme de délire transhumaniste qui est en train de prendre presque irrésistiblement le pouvoir sur les systèmes sociétaux. Un professeur de neuro-marketing (branche qui étudie comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu) n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Je le vois dans l’hystérisation de beaucoup de positions, avec une forme de polarisation extrême et la perte de capacité à réfléchir et à avoir envie de discuter constructivement et calmement des choses, synonyme donc une perte de compétence dialogique et réflexive. »
Le Dr Rachel Bocher chef de service en psychiatrie au CHU de Nantes précise qu'il n’y a pas de santé sans santé mentale : « La santé mentale est l’oubliée de la crise du Covid. Il y a les patients qui vont moins bien à cause de la crise, mais l’isolement social, la peur de la maladie, de la mort, du chômage, de la solitude, ont aussi des conséquences sur des populations en détresse psychologique aggravée. Et ce n’est honteusement pas pris en compte, alors que les maladies sont souvent d'origine psychosomatique. Par exemple une personne sous stress depuis longtemps (voire depuis son enfance) sécrète plus de cortisol, qui, sur le long terme, va entre autres, développer un état inflammatoire chronique du corps. Les multiples facettes du Moi toxique sont donc dangereuses. Pour tendre à être principalement en bonne santé physiologiquement et psychologiquement, il faut avoir une âme en bonne santé par la pratique religieuse et la pratique sportive. Et pour améliorer la société, il faut donc prioritairement se soigner psychiquement soi-même plutôt que de motiver les autres à le faire, car c'est beaucoup plus efficace pour soi et les autres par l'exemplarité.
Dans ce sens, il faut atteindre la fitra pour progressivement abandonner les schémas dysfonctionnels du passé, se libérer de cette part toxique en soi et enfin s'ouvrir à la plénitude de notre bonne identité.) Ce qu’on demande aux pouvoirs publics, c’est d’agir vite et d’agir ensemble. »
Selon Alexandra Henrion-Caude (généticienne de renommée mondiale, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Hôpital Necker) :
« Avec le Covid19, le port du masque généralisé est devenu obligatoire pour la première fois et il y a donc une méconnaissance des conséquences psychologiques que cela peut entraîner dont une augmentation forte de la méfiance, de la confiance aveugle et donc de mauvaises réactions, surtout qu'affaiblissant la forme des travailleurs en les rendant moins efficaces au travail ainsi qu'auprès de leur proches chez eux. Elle précise aussi que le confinement, la distanciation sociale (synonyme de distension), le port du masque par les non malades, le gel hydroalcoolique détruisant des éléments antivirus des mains et la peur causée voire accentuée sont des décisions irresponsables parce qu'elles amputent une partie de notre système de défense immunitaire (et l'importance morale et psychologique des liens sociaux dont la proximité avec nos proches), car elles empêchent l'immunisation collective, alors que ça a toujours été le cas dans l'Histoire puisque l'homme est fait pour vivre en société. (Surtout que le port du masque pour tous pourrait être compris comme empêchant les personnes asymptomatiques de participer à l'immunité collective, d'autant plus qu'avec le pass sanitaire on les empêche aussi d'aller dans les lieux publics de contact.) Or les nouveaux cas de contamination ne sont pas des malades mais aussi des asymptomatiques, ce qui prouve que le terme « asymptomatique » est illégitime et synonyme de folie cherchant à perturber les populations. Surtout que la transmission asymptomatique est un mensonge et qu'un affaiblissement du système immunitaire a lieu par le stress de la peur apportée principalement par les grands médias, par la dépression du confinement, par la distanciation sociale angoissant le peuple, par la baisse d'air pur lié au port du masque, par l'interdiction des sports collectifs et la fermeture des salles sport. (D'autant plus que tout en dévoilant le niveau immunitaire de beaucoup, les réactions immunitaires voire les problèmes immunitaires des personnes faibles ne pouvaient être qu'inattendues face deux choses inconnues : le virus augmenté Covid et la vaccin ARN.) »
D'ailleurs pendant la crise sanitaire du covid, la manipulation provenait sournoisement de la fréquente alternance entre mesures liberticides dites sanitaires, récompenses à ceux qui les suivent et opérations de terreur. En effet l’oppression avait empirer, dont par des annonces contradictoires aliénantes. C'est à dire que lorsqu'un gouvernement donne des ordres et contre-ordres amenant par de l'autorité obscure une désorientation populaire jusqu'au réflexe de l'obéissance, cela peut aller jusqu'à de l'aliénation par la peur voire plutôt par la souffrance psychologique (comme la paranoïa) d'autant plus manipulable :
(ExtHadith) Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous d'accomplir des bonnes œuvres car il va y avoir des périodes de troubles et de tentations telles des parties d’une nuit sombre (sans clarté mentale). » (Mouslim)
Voici la logique qu'a souvent utilisé le système : a) Le message affirme quelque chose ; b) il affirme quelque chose sur sa propre affirmation ; c) ces deux affirmations s’excluent et toute critique est inacceptable. Exemple : a) Vaccinez-vous pour protéger les autres. b) Les autres doivent se vacciner pour vous protéger, même si vous l’êtes déjà. c) Après la vaccination, portez un masque, continuez les gestes barrières. Ce qui n'est pas étonnant car la domestication (ingénierie sociale) est basée sur la récompense de la friandise et la crainte de la réprimande. Et si vous essayez de vous y retrouver, vous risquez fort de tourner en rond et de terminer épuisé. Essayez donc de demander à un ordinateur de résoudre ce genre d’injonctions paradoxales. Il va devenir fou. Vous serez obligé de le débrancher. Il n’y a pas d’autre solution. Il faut donc repérer les failles de raisonnement de la propagande médiatique, car ces paradoxes nous indiquent comment et jusqu’à quel point on nous manipule.
Un professeur de neuro-marketing, qui est la branche étudiant comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu, n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale lors du covid, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Ça s'est vu à travers l’hystérisation de beaucoup de positions, leur polarisation extrême, la perte de capacité à réfléchir et le refus fréquent de discuter constructivement ou calmement des choses. C'est à dire que cela a été aussi synonyme d'une perte de compétence dialogique et réflexive. Les portes de l’asile étaient tombées, les fous étaient partout, ils se mélangeaient avec le personnel. On ne savait plus qui était fou, qui était normal, qui était le psychiatre, le schizophrène, le gestionnaire, l’infirmière, le visiteur, le ministre de la santé, le président de la république. Tout avait fusionner. Surtout que la campagne pro-vaccination divisant le peuple était bourrée de doubles contraintes et d'injonctions paradoxales, alors qu'au niveau familial un parent n'élève pas ses enfants en les montant les uns contre les autres, et qu'au niveau social le dirigeant aurait donc dû en faire de même vis a vis de son peuple. C'est d'ailleurs ce qui a réveillé beaucoup de gens, car cela leur a mis définitivement en pleine lumière que l'oligarchie perverse mondialiste était l'ennemi principal peuples.
Le projet du système est donc de continuer à saturer d’informations contradictoires les populations jusqu'à la nausée, afin qu’elles ne sachent plus qui croire et que croire. Car dès lors, leur cerveaux embrumés sont prêts à recevoir n’importe quelle injonction, puisque cette dernière sera en revanche parfaitement claire et univoque : masquez-vous, confinez-vous, vaccinez-vous, diminuez le chauffage, faites du covoiturage, soutenez l'Ukraine, etc. Si le pouvoir utilise l'absurde, c'est parce qu'il déstabilise et fait peur. C'est pourquoi les gens doivent retrouver la logique, la cohérence et le sens (dont aussi du monothéisme authentique), car ils libèrent et restaurent la confiance. Le naufrage populaire actuel montre aussi que la superstition technologique prend négativement le pouvoir dans de nombreux secteurs. En effet qui influence les décisions des Etats en panique : la technologie de modélisation informatique ; qui a profité massivement du confinement : la technologie internet ; qui a entravé le traitement des malades par des médicaments existants et bon marché : la technologie pharmaceutique qui prétend créer un vaccin contre le coronavirus alors que cela na jamais été fait. Or cette privation des libertés au profit du système oligarchique et mondialiste pourrait aller jusqu'au pass carbone (ou possiblement nommé : pass vert, pass écologique, ou pass énergétique) synonyme d'une surveillance et d'un contrôle fortement accrus à travers le numérique.
« La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » (Florence Scovel Shinn)
Les vrais ravages du covid sont donc ailleurs, car même quelques dizaines de milliers de morts (et encore les chiffres sont abusivement généreux) ce n’est rien en comparaison des dégâts sociaux entraînés : suspension de salariés non vaccinés, contraintes sur les déplacements ou sur les corps, guerres intra-familiales, soupçons entre collègues, tensions entre individus dans l’espace social, dépressions, troubles anxieux généralisés, affaiblissement de l'immunité naturelle, psychotropes (légaux ou illégaux), suicides, etc.
Alors que selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, les personnes ayant reçu le vaccin contre la grippe expulse six fois plus de matière virale que ceux n'étant pas vaccinés, ce qui participerait à créer des mutants, et indiquerait que les mutants covid proviennent des vaccins ARN, pouvant en plus modifier le génome des vaccinés et des enfants qu'ils mettent au monde. (Et c'est pourquoi, il est connu qu'on ne vaccine jamais en période épidémique.) Dans quelques mois il faudra faire attention aux effets indésirables à moyen et long terme qui sont déjà nombreux et de la vaccination et aux mutants résistants à la vaccination sélectionnés par les vaccins. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Alexandra Henrion-Caude sur TVLibertés » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alexandra-Henrion-Caude-sur-TVLibertes-la-video-censuree-par-YouTube-62537.html
La Covid-19 est une maladie respiratoire. Elle se transmet donc a priori comme les autres maladies respiratoires : par l’air. Si c’est le cas, les seuls masques utiles doivent être hermétiques, comme des masques à gaz utilisés par les armées ou les laboratoires P4. Les masques chirurgicaux sont au contraire de fausses protection car ils n’adhèrent pas à la peau et laissent passer l’air en de nombreux endroits. Dans le cas où la Covid-19 se transmet comme toutes les autres maladies respiratoires (ce qui est a priori l’hypothèse la plus probable), la prévention doit être d’aérer les espaces fermés. Ce que l’OMS avait déclaré au début de la pandémie. Cependant, un autre problème surgit. On a installé au cours des dernières années des systèmes de climatisation dans de nombreux immeubles. Si l’air climatisé absorbe des vapeurs d’eau contaminée, toutes les autres personnes respirant cet air risquent d’être contaminées. Il faut distinguer les systèmes de climatisation qui expulsent l’air à l’extérieur de ceux qui fonctionnent en circuit fermé, diffusant éventuellement la maladie dans tout l’établissement. Les contaminations liées à une épidémie de légionellose (une infection bactérienne pulmonaire grave) lors de la convention de l’American Legion en 1976 à Philadelphie, et en 2000 à des patients de l’hôpital européen Georges Pompidou à Paris, de même que les abattoirs étant des espaces climatisés en circuit fermé et à basse température, laissent à penser que cette hypothèse devrait être prise très au sérieux. Envisager cette hypothèse, c’est envisager d’admettre que de nombreux bâtiments modernes doivent être réhabilités, comme on l’a fait avec l’hôpital Pompidou. Ce sont des budgets conséquents comparables à ceux que l’on dépense pour désamianter des immeubles. Ce qui paraît clairement exagéré vu le nombre de mort qu'il y a eu pendant le covid.
Or si cela devient nécessaire, les haut-fonctionnaires politiques soumis au Big Pharma ignoreront cette question. Ils préféreront ne rien changer, agir comme d’autres États et rendre obligatoire le port du masque dont pour contrôler la population. Surtout qu'il faut remarquer que l'obligation du port du masque parfois pendant 8 heures au travail plus des heures dans les transports en commun et magasins pendant des mois, amenant de la fatigue, de la santé diminuée et des désagréments, jettera encore plus de gens et d'indécis dans la prétendue libération par le vaccin. Cela s'appelle de la fabrique d'esclavage par consentement.
Extrait de la vidéo « Ce qu’il en coûte de forcer un consentement » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=0nbfz8QyjQg&t=840s :
« À partir de quel moment, une pratique sadomasochiste devient-elle répréhensible ? Combien de coups de fouet avant qu’un juge s’en mêle ? Peut-on marquer au fer rouge une victime consentante ? La torturer ? L’électrocuter ? À combien de milliampères ? La perte de conscience entraîne-t-elle la perte du consentement ? Question subsidiaire : Qui donc est habilité à définir ces limites ? Je prie mes lecteurs les plus pudiques d’excuser cette entrée en matière cruelle : C’est celle qu’a choisie le professeur de droit Estelle Brosset dans un excellent papier « Le consentement en matière de santé et le droit européen » de 2013.
Le consentement est un sujet qui dépasse largement la sphère strictement sanitaire et ne peut être traité en vase clos : il paraîtrait bizarre de refuser des soins, ou leur remboursement, à quelqu’un qui a refusé le vaccin contre la maladie qui le touche mais pas à un masochiste qui s’inflige des blessures volontaires. Ne faudrait-il pas dès lors faire payer son SIDA au concupiscent qui omet de se protéger ?
Sans doute, ces gens ne font-ils de tort qu’à eux-mêmes mais que dire alors du chauffard accidenté par sa propre inconscience ? Faut-il soigner celui-là malgré le risque mortel qu’il fait peser sur la société ? Il faudrait encore nous pencher sur le cas des criminels, des responsables d'accident dont de voitures, des imprudents ou simplement des insouciants qui provoquent des dégâts ou font peser des risques insensés à la collectivité. Ainsi une personne non-vaccinée, faute de médecin complaisant, doit-elle payer la taxe de son pass tous les jours pour avoir le droit de se faire soigner ? Il vous est peut-être aussi pénible de lire ces lignes qu’il m’est de les écrire.
Et pourtant nos droitsdelhommistes bon chic bon teint, dans leur folie, ont ouvert cette énième boîte de Pandore à l’hémicycle comme à la télé. Le Parti Radical de Gauche a même demandé le non-remboursement des soins de santé aux réfractaires, Singapour l’a déjà fait. En Autriche on a menacé de prison des non-vaccinés, alors qu'il est mondialement reconnu que les vaccins ARN ont seulement été créés pour atténuer les symptômes du covid et que ne pas se faire vacciner ne concerne donc pas un possible danger de transmission du virus.
Ces gens ne sont pas à une aberration près mais puisqu’ils poussent l’obscénité jusque-là, il nous faut bien tenter de refermer cette boîte de Pandore avant que le diable n’en sorte. Or la question du consentement et plus largement du rapport entre l’individu et l’État est vieille comme Léviathan. À vrai dire, il n’y a rien de nouveau sous le soleil si ce n’est notre amnésie historique et nos lacunes en philosophie politique.
Il nous faut donc remonter petit à petit à la source et prendre le temps de réfléchir un instant : À quel moment l’individu doit-il s’effacer devant le collectif ? La question est d’importance car il en va de nos politiques sanitaires mais également des questions écologiques et certainement aussi des questions financières. Je ne crois pas être hors sujet en traitant aujourd’hui, une nouvelle fois, de la question du consentement. »
Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui prudemment ne veulent pas se faire vacciner, car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute. En effet la liberté impose la responsabilité. Cela signifie être libre d’agir et chacun est donc responsable de ses actes et de leurs conséquences, sur lui-même et sur autrui. Cependant depuis de nombreuses années et surtout suite à la large perte de liberté provenant de la gestion sanitaire du Covid, le système a développé la déresponsabilisation, l'infantilisation et l’obéissance aveugle à l’autorité perverse même si c'est dangereux, ou les sanctions et l'humiliation.
Ceux qui refusaient les masques ont été rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs, alors qu'il n'y a même pas de consensus scientifique à ce sujet. Des milliers de gens ont vu leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer. Les vieillards étaient abandonnés. Les jeunes ont été emprisonnés dans un monde masqué et confiné. Les adultes ont été précarisés. Les gens d’une même famille ont été séparés de même que toute la société dont par les gestes barrières aussi désocialisant que déshumanisant. La réflexion populaire a été paralysée. Sa contestation, sanctionnée. Le gouvernement par « experts » et médias interposés, a poursuivi cette stratégie du choc en annonçant toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de Covid, quelle que soit la réalité des faits. Surtout que ces vagues sont même devenues des variants du covid pour éviter de dire Covid-20 ou Covid-21 et même bientôt des variants de variants. D'ailleurs pour certains qui s'illusionnent sans cesse, la raison de l'échec de la vaccination en Israël (40 % des contaminés étaient vaccinés) a été simple : avec le variant indien l’immunité collective ne fonctionne qu’avec 90 % de vaccinés. Ce niveau de vaccination étant inatteignable, le virus se propage. Malgré cela on retrouve le sempiternel « si l’Europe ne marche pas, c’est qu’il faut plus d’Europe », « si le communisme n’a pas marché, c’est qu’il fallait plus de communisme », « si le nazisme n’a pas marché, c’est qu’il... », non pardon. Le tout-vaccin est donc une très mauvaise stratégie, d’abord parce qu’elle est coûteuse (mais rentable, ceci expliquant cela), ensuite parce qu’elle est dangereuse (aucun recul nécessaire), enfin parce qu’elle ne prendra pas en charge tous les variants qui pourraient apparaître. Cela comme si la crise Covid-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple, et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Marx et le délire administratif à la française » à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/25/marx-et-le-delire-administratif-a-la-francaise/
Le philosophe Diego Fusaro explique que le système tend même à devenir un médecin décidant dictatorialement tout pour le peuple qui serait devenu un malade : « Ce nouveau mode de gouvernance reconfigure le capitalisme lui-même, par le passage d’une société libérée de toute entrave aussi bien sociétale qu’économique, à une société de contrôle total, telle une sorte d’immense hôpital dans lequel l’ancienne relation entre administrés et gouvernants est redéfinie sur la base du lien inédit entre malades et médecins. »
Or le confinement a été criminel : il a empêché certains malades d'être traités, il a participé à la mort de personnes vulnérable psychologiquement, il a détruit l’économie et donc augmenté fortement l'inflation, il a produit du chômage, des faillites, de la dépression et des violences, et il a donc mis en danger la santé publique. Surtout que faire quotidiennement peur par le nombre de morts ou de contaminés d'une épidémie n'est absolument pas conforme au serment médical mais plutôt à de l'idéologie mortifère malthusienne. En effet les conséquences d’une solution ne doivent pas être pire que celles du problème auquel elle prétend répondre. C'est à dire que le remède ne doit pas être pire que le mal. Ainsi les gouvernants qui ont décidé du confinement ont analysé son bénéfice/risque de manière erronée. Leur décision n'était ni nécessaire, ni utile ni promotionnée, mais gravement destructrice d'économie. Il faut éviter de tout mettre en péril en se faisant gouverner par le virus, et chercher ce qui sert l'intérêt général, c'est à dire à ce que les mesures sanitaires soient prioritairement voire exclusivement pour les personnes faible en santé (fragiles, obèses, âgées...). Pasteur sur son lit de mort a prononcé comme un mea culpa « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». C'est à dire que c'est le terrain (stress, dépression, mauvaise hygiène de vie, fatigue physique, corps faible), qui crée la maladie et pas le microbe.
De plus la pollution et donc les ravages de la surconsommation semblent bien plus dangereux pour la santé que le Covid-19, mais l’intérêt général disparaît au profit des règles du marché.
Lors du Covid, tout a été surréaliste jusqu'à faire culpabiliser les peuples concernant leur gestion de la pandémie, leurs économies affaiblies et la dette nationale. Surtout qu'une génération traumatisée devient manipulable à vie, et qu'il est clairement illégitime que la santé soit passée aux mains de technocrates qui empêchent des médecins de prescrire certains médicament comme la chloroquine.
Il est intéressant de ire à ce sujet l'article « Les enfants traumatisés : Merci la stratégie anti-covid ! » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/19/les-enfants-traumatises-merci-la-strategie-anti-covid/
Un médecin de ville a critiqué fortement la politique sanitaire mise en place par le gouvernement, qui a totalement mis sur la touche les généralistes, alors qu'ils devraient au contraire être en première ligne. Il s’insurge notamment à propos de l’affirmation par les autorités de l’inefficacité de thérapeutiques qui ont pourtant fait leurs preuves. On rappellera à cette occasion que c’est cette prétendue absence d’alternative qui permet aux différents vaccins d’être mis sur le marché.
Avec le port du masque obligatoire et son impact négatif sur le système immunitaire, plus le confinement, le système a tout fait pour inventer, provoquer, ou surestimer de nouvelles vagues (prouvant l'inutilité des masques et la tyrannie sanitaire) dont en grossissant leur importance et développant une situation économique et sociale catastrophique synonyme de stress. Avoir peur de la mort pour tuer la Vie, c’est l’absurdité à l’état pur, comme s'il fallait brûler par peur d'un moustique (épidémie du Covid peu mortelle) une maison (l'économie nationale). C'est une remise en cause grave du principe de proportionnalité. De plus s'arrêter de vivre à force d’avoir peur de mourir est aussi absurde, surtout qu'avec la foi, il existe des valeurs supérieures à la simple survie physique. Dans ce sens de mesures très disproportionnées, on peut aussi prendre l'exemple d'un gouvernement qui interdirait la vente de motos à cause des accidentés à moto. On peut finalement se demander si ces vagues successives, si utiles aux progrès d’un mondialisme coercitif, ne reprendront pas pour museler des peuples au propre comme au figuré et à leur faire accepter l’inacceptable.
Surtout que selon le média en 4-4-2 : « Rétrospectivement, on s’aperçoit que dans quinze départements, la baisse des contaminations avait commencé avant la date où l’on pouvait espérer voir un effet du confinement. On constate en outre comme on pouvait le prévoir, que cette idée, qui a consisté in fine à entasser les gens dans les magasins et les supermarchés entre 17 et 18 heures pour contrer ce que certains élus ont appelé de façon complètement hors-sol et méprisante « l’effet apéro », n’a finalement pas eu le résultat escompté voire a été logiquement contraire. Or il s’agissait « surtout » d’enfoncer dans nos crânes de Gaulois réfractaires forcément irresponsables, que notre santé est directement proportionnelle à notre obéissance aveugle à toute décision étatique, aussi absurde soit-elle. Et Dieu sait que si le monde entier applique des mesures de restrictions anti-Covid à plus ou moins grande échelle, le monde entier qualifie pourtant la France d’Absurdistan en ce domaine. »
Professeur Raoult : « Je pensais et je pense toujours que la peur est pire que le mal. Et c’est ce qu’il se passe. Il y a trop d’affolement, trop de nervosité, trop de panique. On regardera à la fin. Le poids de la mortalité à côté du poids social(, économique, psychologique et même médical par les reports d'opérations du cœur par exemple, suite au blocage de lits pour les éventuels malades du Covid à venir) va être négligeable. En revanche le poids social(, économique, psychologique et même médical) va être considérable car la peur n’a pas su être gérée (voire a été priorisée). »
Concernant les paragraphes précédents, il est aussi intéressant de voir la vidéo « Les malades au service de l'agenda technologique – Le Zoom – Olivier Rey -TVL » ou comment la (défense de la, l'idolâtrie de la) vie est venue prendre la place du sacré (au service de la tyrranie oligarchique), à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=CxSA4PQehFg&list=WL&index=5&t=604s
Les Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana (et aussi le médecin Louis Fouché), représentants du français digne, compétent, ayant du savoir-faire, sensé, virile, pondéré, pragmatique, intègre et réfractaire, affirment que cette organisation sanitaire basée sur le mensonge est principalement politique, économique et sociale, et donc non médicale. Ces professeurs plus l'avocat Di Vizio, la chercheuse Henrio-Caude et le médecin Fouché correspondent à la petite bourgeoisie qui commence enfin à s'associer aux gilets jaunes et qui touche donc un public plus large pour une sage révolution populaire. Ainsi il faut remercier ces personnes là, car ils aident au lieu de décourager, rassurent au lieu de terroriser, libèrent au lieu de tyranniser, renseignent au lieu de dissimuler. On peut noter ici que le premier amendement états-unien stipule pourtant que votre discours peut seulement être limité si vous causez du tort à autrui, et que les cardiologues disant que les vaccins ont multiplié par 100 les myocardites chez les jeunes sont donc encore plus légitimes à parler publiquement puisqu'ils empêchent le tort à autrui. En tout cas tous ces professeurs expliquent qu'il s'agit en réalité de thérapie génique non maîtrisée et dont les mauvaises conséquences pourraient se voir sur des années. La thérapie génique dont ARN est une technique de biologie moléculaire qui consiste à introduire un ADN étranger dans une cellule eucaryote (voir son noyau) cultivée in-vitro, qui ira ensuite dans les cellules (voire leurs noyaux) du vacciné, et même dans celles du sperme et jusque vers la génération suivante. Ce qui prouve que ce n'est pas de la vaccination. De plus la réglementation pour autoriser un vaccin n'a pas été respectée concernant cette thérapie génie ARN.
Selon le politicien russe de gauche populaire M. Kourguinian, il s’agirait même possiblement d’une arme biologique de fabrication américaine qui se renforce avec les vaccins américains. D'ailleurs le puissant variant Delta et d’autres sortes de Covid sont peut-être le résultat de son interaction avec les vaccins.
Pourtant toutes les mesures liberticides entravant le développement des enfants comme l'interdiction du sport et les masques sur la respiration pendant l'école étaient déjà clairement synonyme d'une catastrophe civilisationnelle. Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage, liée aux masques. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes. Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain.
« Chez des gens malades, le port du masque peut amener une hypoxie discrète qui mènera, à des niveaux d’oxygène dangereusement faibles sans toutefois que l’augmentation de dioxyde de carbone n’alerte l’organisme comme elle le ferait normalement. Dans pareil cas, le port du masque peut conduire à la mort, d’autant que le malade ne s’alertera pas de sa difficulté à respirer, pensant que c’est le masque qu’il porte qui en est la cause momentanée. En l’espèce, il ne fait qu’aggraver la (toute) maladie. Obliger les gens à porter un masque est donc criminel. » (Claude Janvier)
Le masque a été le principal outil permettant de maintenir la tyrannie sanitaire car c'est le signe principal qui fait exister la pandémie illusoire et qui montre que le peuple déshumanisé est soumis au pouvoir. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Coronavirus. L’obscène. » à l'adresse https://www.mondialisation.ca/coronavirus-lobscene/5662611
Or si désormais le système ne laisse pas d’échappatoire au peuple par rapport à l'inflation, la guerre en Ukraine, la dépréciation monétaire et la crise énergétique, il sera acculé et forcé de se battre avec l’énergie du désespoir, ce qui le rend plus déterminé et plus fort.
Ainsi le système corrompu a reproché illégitimement à ces professeurs dissidents d'être des optimistes au pays des pessimistes, des empiristes et des moralistes de la précaution. Selon le nouveau vocable totalement inversé de notre ère diabolique, le système a même été jusqu'à inventer des mots honteux comme « rassuristes » contre ces personnes noblement insoumises. Le système a aussi été jusqu'à diagnostiquer des problèmes mentaux à un docteur et l'enfermer en hôpital psychiatrique.
De plus, des docteurs travaillant sournoisement pour l'industrie pharmaceutique se sont souvent énervés contre ces Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana dans des débats, alors que dans une évidente logique d’alliance bienveillante contre un mal à combattre, les débats entre médecins devraient toujours rester cordiaux. Ainsi ces professeurs ont combattu dignement contre les basses injonctions de ces docteurs esclaves du Big Pharma, car régulièrement basées sur des théories peu vérifiables ou sur des pseudo analyses s'avérant fausses ultérieurement.
De même près de 250 scientifiques français, universitaires et professionnels de santé ont critiqué la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire. Ces interprétations erronées concernent en partie l'attribution de la mort par Covid à des personnes déjà gravement malades ou ayant une comorbidité, surtout que 92% des victimes ont plus de 65 ans et leur âge médian est de 85 ans alors que l'espérance de vie est de 82 ans en France. Ainsi cela prouve la malveillance des mesures sanitaires, comme le changement de critères par un passage de « morts » à « hospitalisés » puis à « contaminés » pour calculer la gravité de la deuxième vague. Ce système tyrannique a même réussi à mettre dans les têtes d'une partie du peuple que la simple circulation inévitable du virus pouvait demander des mesures restrictives, ce qui facilite le contrôle de la population dont en empêchant des manifestations importantes. Normalement un gouvernement et ses médias soumis cherchent à minimiser le nombre de morts et non à les amplifier en les exagérant ou en falsifiant les statistiques. Or étonnamment, le Covid-19 n'a pas bénéficié pas de cette jurisprudence, et sa comptabilité morbide n’a été qu’une longue accumulation spectaculaire et sans fin de cadavres sur des années, alors que le nombre de morts de ses deux premiers épisodes correspondaient à deux épisodes de grippe qui n'a d'ailleurs étrangement pas été comptabilisée chaque année. Une fois constaté que le Covid-19 a légèrement augmenté le nombre de morts chez les plus de 75 ans en moyenne, on doit s’interroger sur l’environnement qui a pu favoriser cette surmortalité. Or l’environnement de la santé en 2020 est le résultat de décennies de descentes aux enfers entre restrictions budgétaires, gestion bureaucratique, utilisation de modèles statistiques, raréfaction de l’anamnèse médicale, dépréciation du traitement individualisé, interdiction des thérapeutiques naturelles prophylactiques, etc.
Le Pr Ioannidis, à l’origine d'une étude sur l’inefficacité des mesures sanitaires, a expliqué les dangers de l’idéologie dominante dans une interview. C'est à dire que pendant le covid, la censure politique et médiatique a été intense contre les médecins dont les positions n’entreraient pas dans le discours officiel. Les médias et politiciens dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond. Mais la norme, la conformité au discours officiel s’est-elle à ce point installée comme une vérité dans l’esprit de la population ? Il semblerait que non. En effet de nombreuses voix se sont levées contre la dictature sanitaire. Les préjugés idéologiques contre le Pr Raoult, le Pr Perronne, le Dr Fouché, le Pr Montagnier, le Pr Henrion-Caude, le Pr Fourtillan et tant d’autres condamnés par la bien-pensance, ont pris de moins en moins. C’est rassurant de voir que les professionnels de santé et la population, dans une grande partie, ne se contentèrent pas de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Les médias mainstream ont eu beau beau multiplier les fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels) et les sondages douteux, le peuple y a cru de moins en moins. En effet il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, wokiste, esclavagiste, sioniste et oligarchique. Quand la facilité de la conformité devient plus désagréable que le risque de penser par soi-même, c’est signe de bonne santé mentale car synonyme d'une libération mentale.
Surtout que comme le Système dispose de deux armes principales que sont la propagande et la censure allant ensemble et croissant ensemble, le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système va jusqu'à être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, il doit donc même devenir un hors-la-loi. C’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation.
Macron avait raison, nous sommes en guerre, mais entre peuples et mondialistes oligarchiques. La guerre contre le virus a d'ailleurs été une guerre spectaculaire dans le sens où Guy Debord l’aurait analysée. C'est à dire qu'il ne faut pas chercher à lui donner crédit, mais plutôt à faire tomber ce château de carte pour que se dévoilent les véritables raisons de son existence et de sa théâtralisation. Si l’épidémie n’était pas voulue et ne cachait pas un plan pervers, les responsables politiques auraient eu un autre comportement. Surtout que pour amplifier la gravité de la crise sanitaire, il y a eu une saturation des lits de réanimation en y mettant des gens qui, normalement, n’y avaient pas droit. En effet la députée Martine Wonner a dit à l'assemblée nationale qu'elle n’avait jamais vu mettre en réanimation des patients qui ont juste besoin de 2 à 3 litres d’oxygène par jour. De même que par rapport au nombre de morts peu nombreux pendant l’épidémie, cela signifie que le système a littéralement créé la crise sanitaire afin de l’exploiter.