Imprimer

U) Suite 21


Extrait du « Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR) – Moscou, le 14 mars 2023 » à l'adresse https://strategika.fr/2023/03/29/message-de-mgr-vigano-au-congres-fondateur-du-mouvement-international-russophile-mir-moscou-le14-mars-2023/ :
« La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie. Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial. Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours, dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde. Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant. Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio. Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste. Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué. »
Le réveil des peuples est possible car « Ôter la vie d’une jeune fille (Daria Douguine) par une bombe ou tenter d’assassiner son père pour ses « crimes idéologiques » (pensées incorrectes ou idées défendant sa patrie la Russie) ne peut constituer la base d’un empire civilisé. Les médias otanistes ont sombré dans le terrorisme pur et dur, le plus grossier et le plus insupportable. Maintenant, ils vont réactiver le djihad tchétchène, le néonazisme interne, les oligarques mécontents, les loges, les Sanhédrins. Ils vont continuer à fabriquer de nouveaux Hitler, et à en juger par leur apparence, Poutine et Douguine sont déjà sur la liste. L’empire turbo-capitaliste raisonne déjà de la même manière que les antifas victimes de leur acné d’adolescents : le fascisme ne doit pas être discuté, il doit être exterminé. Biden, ainsi que son empire génocidaire n’ont plus rien d’adolescents. Leur apparence de traverser la vie en se faisant passer pour des antifas est honteux, car sachant comme nous, tout de leurs révolutions colorées, de leurs coups d’état militaires, de leurs centres de torture, de leurs expériences sociales, de leurs bombes nucléaires et biochimiques. Ils n’ont pas l’air de bons enfants idéalistes et « antifas ». C’est un empire déjà trop vieux et un ennemi de l’humanité.
Alors que tout pourrit autour de vous, défendez-vous en lisant. Et sauvez-vous en condamnant toujours la mort d’innocents. Et épargnez-vous des idées condamnables. Vous n’êtes pas obligé d’aimer la philosophie de Douguine, mais ne condamnez pas cet homme à mort pour cela. Avec des maximes aussi simples, nous sauvons l’Europe et nous nous débarrassons de l’Occident. » (Extraits de l'article « Le meurtre de Daria Douguina ou l’Holocauste de l’Europe » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/30/le-meurtre-de-daria-douguina-ou-lholocauste-de-leurope/)
Surtout qu'Alexandre Douguine ne fait que simplement défendre intelligemment, car dans un sens logiquement pacifique, l'idée qu'il faut organiser le monde en fonction des diverses ères civilisationnelles à travers l'Eurasisme conservateur et la multipolarité internationale, c'est à dire en grands espaces spirituels et traditionnels devant protéger leurs intérêts spécifiques, culturels et ethniques voire multiethniques par le dialogue, des consultations, des négociations, des compromis, des conciliations, des coopérations gagnant-gagnant ou/et de la solidarité, ce qui s'oppose à l'unipolaire américano-sioniste belliqueux, égoïstes, wokiste, mondialiste, ploutocratique et donc barbare. C'est d'ailleurs possiblement la cause ou la conséquence qui fera revenir Jésus puisque le retour d'un califat bien guidé sur les terres musulmane y est probablement lié. Sans tomber dans l’exercice toujours un peu vain de la recherche des précurseurs, il est évident que l’Eurasisme s’enracine dans un terreau intellectuel typiquement russe, inauguré par le père du slavophilisme : Alexis Khomiakov (1804-1860). Celui-ci interprète l’histoire comme la confrontation de deux principes : le principe iranien et le principe kouchite. Ces deux principes sont conçus comme recouvrant toutes les dichotomies structurelles du monde. À l’opposition iranien/kouchite correspond ainsi les oppositions liberté/déterminisme, spiritualité/matérialisme, civilisation paysanne/civilisation industrielle, autocratie/ploutocratie, orthodoxie/catholicisme et protestantisme, Orient/Occident...
« Mais nous pouvons également qualifier de totalitaire cette démocratie libérale qui prétend détenir la vérité absolue et imposer cette soi-disant vérité à n’importe qui d’autre dans le monde sans tenir compte de la particularité des différentes civilisations. Il y a donc un racisme hérité du libéralisme occidental parce qu’il identifie l’expérience culturelle historique et politique de l’Occident à une expérience universelle. Ainsi, si vous dites que l’Occident est la même chose que l’humanité et que l’humanité est sous l’Occident, qu’elle n’est pas développée, pas encore assez occidentale, il s’agit d’une approche purement raciste. Il peut s’agir d’un racisme ouvert, comme dans une forme perverse de national-socialisme basé sur la biologie, mais c’est aussi un racisme culturel auquel nous avons affaire dans le mondialisme libéral moderne. Si les Chinois pensent que ce système ou ce régime leur convient et qu’ils l’aiment, c’est à eux de décider de ne pas suivre les activistes de la société ouverte ou les partisans de la mondialisation. Il faut donc laisser les gens décider pour eux-mêmes, et c’est le principe fondamental de la démocratie réelle, si vous voulez, au niveau international. nous devons nous débarrasser de cette obsession de l’économie. C’est ainsi que nous pourrons rendre l’économie vraiment saine. Nous devons donc créer une approche logique et naturelle pour résoudre les problèmes économiques sans dogmatisme, sans cette compétition entre le socialisme et le capitalisme. Nous devons donc nous débarrasser du dogmatisme en économie et placer l’économie sous le signe du développement spirituel. Nous devons donc parler avant tout de culture plutôt que de civilisation en termes spenglériens. Notre problème n’est donc pas de nous engager dans tel ou tel dogme économique. Nous devons créer un fonctionnement dans la société, tout d’abord, basé sur la justice, la tradition, le bonheur des gens. Et tous ces éléments sont des valeurs plus morales, plus spirituelles que l’économie. Et cela ne signifie pas que nous devons ignorer l’économie. Non, nous devons ignorer le dogmatisme économique. Si l’économie de marché fonctionne dans certaines zones de la société, laissons-la faire. Si l’implication de l’État se révèle efficace, qu’il en soit ainsi. De même, s’il existe une approche communautaire dans certains groupes de population, laissons faire les communes, certaines formes de sociétés communautaires. Nous devrions donc nous débarrasser de toute forme d’orthodoxie en économie. Nous constatons que la meilleure performance économique de l’histoire du siècle dernier était précisément le mélange. Par exemple, la stratégie américaine de mercantilisme et de protectionnisme avec des marchés libres. En Europe, il s’agit d’une politique sociale, presque du socialisme avec une certaine liberté d’entreprise. L’équilibre entre l’État et le capital privé est donc en constante évolution. Il s’agit toujours d’une relation. Ce n’est pas un dogme. Nous devons donc trouver la relation qui correspond le mieux à l’expérience russe, à la société russe. Et qui nous aiderait à mieux résoudre les problèmes concrets actuels. Le principal problème pour l’Occident est d’accepter que l’Occident puisse être une province de l’humanité, et non le centre, ni la capitale. Il n’est donc qu’une partie. Il ne représente pas l’ensemble de l’humanité et la multipolarité est là pour ça. En luttant pour la multipolarité, la Russie lutte donc pour le droit des différentes civilisations de s’affirmer avec leur système de valeurs inhérent, qui peut coïncider ou non avec les valeurs occidentales. Il n’y a donc rien d’universel dans la multipolarité. Il existe une sorte d’universalisme relatif, partiel : l’universalisme chinois, l’universalisme islamique, l’universalisme eurasien russe, l’universalisme africain et latino-américain. Il n’y a donc pas qu’un seul universalisme, l’universalisme moderne occidental, mais il peut exister et coexister des civilisations qui défendent leur droit à créer leurs propres systèmes politiques, culturels et artistiques. Tel est le sens de la multiplicité, de la pluralité des civilisations et de la multipolarité. Les luttes contre cette prétention, non pas contre l’Occident en tant que tel, mais contre la prétention de l’Occident à être le modèle, à être l’exemple unique du progrès de l’histoire, de la compréhension du temps, de l’homme, de la technologie. Toute civilisation a donc son propre droit de comprendre, d’interpréter ce qu’est l’homme, ce qu’est le temps, ce qu’est Dieu, ce qu’est la mort, ce que sont le bien et le mal. C’est donc à la civilisation de décider et il n’y a pas de modèle universel unique à imposer à toutes les civilisations. Voilà ce qu’est ce combat en Ukraine. » (Extraits de l'article « Multipolarité et impérialisme russe – Entretien avec Alexandre Douguine » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/22/multipolarite-et-imperialisme-russe-entretien-avec-alexandre-douguine/)
« L’Occident semble ne faire qu’un, mais ce n’est que la surface apparente de la réalité. Il y a bien un alignement des dirigeants européens sur la politique extérieure des États-Unis, mais l’Occident n’existe pas en tant que civilisation une. L’intégration de l’Europe au « grand espace » (grossraum) des États-Unis est la conséquence ultime de profondes transformations qui ont eu lieu à partir du 16e siècle : la réforme protestante, l’affaiblissement de l’Église catholique romaine, la sécularisation, la transformation de l’Angleterre calviniste en hêgemôn planétaire, et les deux guerres mondiales qui ont mis sous la tutelle de Washington l’Europe de l’Ouest. L’anglo-sphère ne s’est toutefois jamais confondue avec l’Europe continentale. Les États-Unis, n’étant pas un empire au sens traditionnel, ne considèrent pas le Vieux Continent comme un prolongement de leur nation. Les pays européens ne sont pas non plus des vassaux au sens classique du terme. L’Amérique est un hêgemôn inégalitaire, contrairement à l’empire romain qui considérait les peuples comme égaux. Les États-Unis ne se comportent pas comme un empire envers ses vassaux, dans un rapport mutuellement profitable. Ils dévorent leurs esclaves européens, comme Kronos mange ses enfants, de peur que l’un d’entre eux ne les supplante, ou, du moins, ne s’émancipe. Washington préfère sacrifier les pays d’Europe, brûler ses propres vaisseaux, plutôt que de les voir se rapprocher de la Russie, quitte à s’affaiblir lui-même. L’Occident n’est donc pas « collectif ». Outre les différences anthropologiques et culturelles, il est traversé par une grave fracture depuis plusieurs décennies qui s’est mue en guerre civile. L’ultralibéralisme anglo-américain et judéo-protestant a détruit le tissu industriel des sociétés occidentales et les a fracturées géographiquement, culturellement, économiquement et sociologiquement. La bourgeoisie des grandes villes, sur lesquelles s’appuient les classes dirigeantes, ont fait sécession d’avec les catégories populaires de la périphérie. Mais la lutte dépasse de loin celle des classes. Elle met face à face la Haute finance et l’économie réelle, la spéculation et la production, le fictif et le réel. C’est une guerre existentielle qui, en s’accentuant, agrège au noyau dur populaire les classes moyennes menacées de disparition. Le capitalisme productiviste n’est plus, il a changé de nature. Il est aujourd’hui sacrificiel, il consume les sociétés et les peuples occidentaux. C’est une véritable guerre d’extermination à petit feu que mène les tenants de ce néo-capitalisme dans un Occident gravement atteint par l’athéisme, terreau du nihilisme. Toutefois, le suicide n’est pas collectif. Les mouvements de révolte qui se multiplient sont la preuve que l’instinct de survie et de conservation des peuples occidentaux n’a pas disparu. Ainsi, l’oligarchie et la caste dirigeante de l’Ouest mènent une double guerre : contre leurs propres peuples en révolte et contre la Russie. C’est plus qu’une guerre civile mondiale, c’est un pan-polemos. Une guerre interétatique, intra-étatique, socio-économique, biologique, religieuse, existentielle. C’est une guerre contre la vie, une guerre contre la création, une guerre contre la Loi naturelle. La guerre civile mondiale et le pan-polemos ont été répandus par les États-Unis qui ont instauré l’état d’exception permanent en Occident et violent systématiquement le droit international. Dans ce contexte anomique, la violation de la Loi naturelle est devenue la règle. L’autorisation du mariage homosexuel, de l’inceste, du changement de sexe des adultes et des enfants, fait de l’Occident le foyer de l’antinomisme, pour parler en termes théologico-juridiques. C’est un mouvement entropique, dont l’épicentre est l’anglo-sphère judéo-protestante qui détruit toutes les sociétés où s’impose son hégémonie. Les révoltes populaires en Occident, et la contre-attaque russe en Ukraine contre l’OTAN, doivent ainsi être interprétées comme des réactions néguentropiques face aux forces entropiques. Le nomos (la loi) contre l’antinomisme, l’ordre contre le chaos nihiliste. La Russie se bat, comme les peuples occidentaux, pour son existence, pour repousser le Mal et l’expulser de son propre corps. Elle mène une guerre extérieure, par les armes, et une lutte intérieure, spirituelle. Plus la guerre extérieure s’intensifie et plus la Russie se radicalise, au sens latin ; elle tente d’extirper les virus tenaces du progressisme. Dans cette guerre civile mondiale, dans ce pan-polemos, les peuples européens et la Russie sont des alliés objectifs face à ceux qui se sont désignés comme leur ennemi commun. L’avènement de la multipolarité ne se réduit pas à un nouveau partage du monde et la fin de l’hégémonisme planétaire des États-Unis. La guerre Russie/OTAN en Ukraine n’est pas exclusivement matérielle, et les révoltes populaires en Occident ne sont pas circonscrites à une lutte socio-économique. La coïncidence historique de ces différents phénomènes n’est pas fortuite. L’identification de l’ennemi auquel résistent les peuples européens, la Russie, les pays d’Afrique, la Chine, doit nous faire méditer sur la nature de ce combat global. Le projet politique totalitaire de l’ennemi, ses méthodes et son caractère nihiliste, placent le pan-polemos qui nous est imposée sur le terrain eschatologique. Les dirigeants américains, qu’ils soient croyants ou athées, considèrent les États-Unis comme une nation messianique dont la politique est toujours justifiée, au sens religieux, même si elle doit conduire le monde à l’Armageddon. Le danger, dans un futur plus ou moins proche, est la confrontation directe des puissances nucléaires sur le territoire européen, contre la volonté des peuples enfermées dans des structures supranationales étasuniennes. À ce stade, les Européens n’ont pas encore trouvé leurs champions, leurs véritables représentants capables de reprendre les rênes des États amputés de leur souveraineté politique. L’espoir est dans la rapide délégitimation des dirigeants européens avec l’accélération de l’Histoire. Dans ce contexte, la Russie tient un rôle important. La guerre d’attrition qu’elle est en train de remporter face à l’OTAN peut à terme précipiter la chute de plusieurs gouvernements européens voire celui des USA, surtout si cette guerre devient chaude avec l'OTAN. En effet il est impossible à l'Occident de fournir suffisamment de matériels et munitions militaires et donc gagner une guerre d'attrition engagée contre une grande puissance industrielle et militaire comme la Russie qui produit du matériel plus fiable à un coût infiniment moindre. Tout ceci précipitant ainsi la guerre civile occidentale vers son dénouement. Il est donc nécessaire que la Russie ne se coupe pas totalement de l’Europe et préserve voire construise des ponts avec la société civile où se trouvent les véritables élites et d’où émergeront les futurs dirigeants. La multipolarité doit se bâtir avec les peuples, et par-delà les pouvoirs politiques si nécessaire. » (Discours du géopoliticien Youssef Hindi « la guerre civile occidentale dans le monde multipolaire » à la conférence internationale sur la multipolarité)
« Que la paix soit sur vous tous. Commençons par le commencement, j’adresse mes profondes salutations à mes camarades de lutte Alexandre Douguine, et sa fille (décédée). Nous menons un combat vous le savez, sur le continent africain, dans la diaspora africaine, visant à permettre aux populations africaines de trouver leur autodétermination, de trouver leur ultime souveraineté. Nos aïeuls ont lutté contre le colonialisme, puis contre le néocolonialisme, et nous rencontrons aujourd’hui en ce début de 20e siècle, l’ultime forme du colonialisme. La forme la plus prédatrice, la forme la plus criminel, la forme la plus génocidaire, parce que c’est une forme génocidaire culturellement, spirituellement, politiquement, économiquement. Cette ultime forme du colonialisme, c’est le globalisme néolibéral sur le terrain économique et sur le terrain sociétal. Et c’est ce qui fait que nous nous retrouvons aujourd’hui à marcher aux côtés de tous ceux qui luttent contre ce globalisme qui est une pieuvre, un cancer qui veut tous nous asphyxier. Quelles que soient nos couleurs de peau, quels que soient nos origines, quels que soient nos peuples, nous sommes tous confronter aux diverses tentacules de cette pieuvre (mondialiste) qui veut nous uniformiser dans le cadre du gouvernement mondial qu’ils veulent essayer d’instaurer. Ce qui nous permettra de nous lever, ce qui nous permettra de nous libérer, ça sera l’unité des divers peuples enraciné, inséré profondément dans leur identité. Et cette pieuvre-là, tant que nous n’aurons pas fini avec cette dernière, elle n’asphyxiera pas que nous, elle asphyxiera tous les peuples de l’humanité, dans leur ensemble. Soyons organisé, soyons connecté, comprenons les enjeux. Comprenons que ce qui se passe matériellement est lié à ce qui se passe sur le terrain de l’immatériel. Comprenons que ce n’est pas une bataille simplement de l’Est contre l’Ouest, ou du Nord contre le Sud. C’est une bataille du Bien contre le Mal. C’est une bataille du déracinement contre les peuples enracinés, c’est une bataille de la foi en l’immatériel contre la foi au matérialisme, c’est une bataille de l’équilibre contre le déséquilibre, c’est une bataille de la justice contre l’injustice. L’Afrique sera le centre de gravité de ce combat. C’est le centre déjà de cette guerre des mondes. Il y a l’Ukraine dont on parle beaucoup, mais l’ultime centre de ce combat global, c’est le continent africain, matrice de l’humanité, et qui sera le tombeau de l’hégémonie mondialiste. En l’honneur de nos ancêtres, et par foi au créateur qui n’engendre pas et qui n’a pas été engendré. Que la paix soit sur vous tous. » (Extraits de l'intervention du leader africain Kémi Séba « Le globalisme néolibéral: ultime forme du colonialisme » lors de la première conférence mondiale sur la multipolarité)

Le terrorisme oligarchique en quatre phases, 2015-2016 pour la version djihadiste, 2018-2019 pour la version policière contre les Gilets jaunes 2020-2021 pour la version sanitaire contre le peuple entier, 2022 pour la version guerrière et alimentaire en Ukraine, nous a appris une chose : le satanisme avance toujours masqué derrière le progressisme, la démocratie, le principe de précaution. Les Français vivent sous une série de catastrophes qui les stressent ou les dépriment, faisant toujours baisser leur immunité, c’est-à-dire leur résistance physiologique et psychique à l’agression. Ça plus l’injection, les masques et l’inflation, l'immunité physique est aussi attaquée. Ce système néolibéral condamne aussi des régions entières par l’extrême violence prédatrice de sa logique financière, et par l’insécurité de basse voire moyenne intensité que cela provoque. Encore un lien entre la racaille d'en bas et la racaille d'en haut.
« L’abandon des objectifs démocratiques et leurs remplacements par les méthodes de gouvernance inspirée du business font des politiciens des ennemis et non des souverains. Les peuples sont de la matière a travailler. Toutes les crises auxquelles nous assistons depuis trois décennies montre que l'État ne travaille plus pour nous servir ni pour protéger notre patrimoine, nos institutions, notre culture et notre mode de vie communs. Dans le passé, c’étaient les rois et les États-nations qui craignaient la révolution du peuple, les esclaves. Maintenant c’est l’État lui-même qui fomente la révolution, de l’intérieur. La pourriture est au noyau, au cœur. En revanche, c’est le peuple, nous le peuple, qui voulons que le pays, la culture et le patrimoine soient sauvés et qui doivent donc résister de toutes nos forces à la révolution parrainée par l’État. S’il semble insensé que 30 millions de voitures à essence et diesel pourraient être remplacées par des alternatives électriques alimentées par une infrastructure inexistante, c’est parce que l’explication la plus simple est que peu d’entre nous sont censés avoir de voitures électriques ou autres, même si c'est pour l'instant encore aussi un nouveau marché dont par rapport aux pièces particulières. Or si la création d'énergie est suffisante en particulier sur une autoroute, la voiture électrique ayant deux batteries afin que chacune recharge l'autre devient très intéressante, en sachant qu'en ville,  cette voiture devra être hybride comme il en existe déjà, afin que l'essence produise l'énergie manquante si c'est nécessaire.
(En effet la voiture électrique généralisée paraît de plus en plus impossible dont à cause du prix et du difficile recyclage des batteries, du temps de chargement et du nombre de stations de charge et de caisses enregistreuses de charge à mettre en place. Ce qui signifierait donc bien dont aussi à cause de l'inflation de l'essence pour les moteurs thermiques, que les pseudos écologistes élite mondialiste et l’UE sont en train de condamner la mobilité des pauvres pour de pseudos motifs dont le réchauffement climatique qui est un leurre, mais aussi possiblement en train d'affaiblir les pays producteurs de pétrole insoumis, ou en train de créer un scénario pour faire baisser le prix du pétrole pour s'enrichir encore et toujours plus en réinvestissant dedans, afin ensuite de le faire monter puis donc d'amplifier leur monopolisation de l'économie.
« Dans une interview accordée aux Échos, Emmanuel Macron avait exprimé son objectif d'atteindre 100% de véhicules électriques ou hybrides d'ici 2035. Toutefois, pour François-Xavier Pietri, cette marche forcée vers l'électrique est une folie. Il pointe du doigt les conséquences sociales et économiques de ce bouleversement, soulignant que les véritables dégâts se trouvent non pas chez les constructeurs, mais dans l'écosystème environnant, notamment les petites et moyennes entreprises et les garagistes. Selon ce journaliste, le processus de production des voitures électriques présente des défis importants. L’assemblage des batteries, par exemple, entraîne des conséquences tant sociales qu’écologiques. Le cas du cobalt est édifiant puisque 80% de la production provient du Congo, le quatrième pays le plus pauvre au monde. Les organisations non gouvernementales (ONG) dénoncent les conditions de travail des enfants, rémunérés seulement 1 dollar par jour.  Outre le cobalt, le lithium est également source de préoccupations. La fabrication d’une tonne de liquide lithium nécessite pas moins de un million de litres d’eau, tandis que la production d’une batterie nécessite une consommation d’eau équivalente à celle de 500 personnes pendant un an. Emmanuel Macron a fait part de son intention de développer les mines de lithium en France, mais François-Xavier Pietri est catégorique : « c’est une mission impossible. » Il souligne les contraintes écologiques liées à l’exploitation minière et à la consommation massive d’eau, notamment dans un contexte de sécheresse préoccupant dans le pays. Selon lui, les défis environnementaux inhérents à cette transition rendent difficile l’atteinte de ces objectifs à court terme. » (Média en 4-4-2))
La transition vers les voitures électriques nous prive (en plus) de notre liberté, de
 notre autonomie individuelle et de notre capacité à décider librement de nos déplacements. Si vous vous demandez pourquoi aux États-Unis et ici en Grande-Bretagne, nous tournons le dos à la fracturation hydraulique et à d’autres sources d’énergie sous nos pieds et sous
nos mers environnantes, c’est parce que l’intention est que nous, en Occident, devrions avoir beaucoup moins d’énergie disponible pour nous en tant que gens ordinaires qu’auparavant. L’intention n’est pas de passer au vert. L’intention est que nous devrions nous en passer. Dans le cadre de la révolution mondialiste du grand reset, les États élaborent des plans pour empêcher toute protestation ou dissidence. (De même) Le soi-disant projet de loi sur la sécurité en ligne n’est rien de moins qu’une toute nouvelle façon d’assurer la censure et le silence de quiconque contesterait l’entrave de nos droits et libertés, notre rassemblement comme du bétail vers un esclavage numérique dans lequel chacune de nos transactions financières, chaque communication, chaque mouvement, chaque réunion, chaque mot, peut être surveillé en temps réel et aussi jugé par rapport à un code de conduite rédigé par des personnes que nous ne voyons pas et ne pouvons pas connaître. Nous risquons d’être jugés par rapport à des normes établies pour restreindre tous les aspects de notre être, et chaque fois que cela conviendra à l’État, nous serons jugés insuffisants et punis en conséquence. Dans son premier sermon à la synagogue, Jésus a dit à la congrégation qu’il était venu apporter une annulation de la dette de la table rase , ce qu’il a appelé l’Année du Seigneur. Ceci, l’annulation d’une dette autrement impayable envers Rome et les Romains, était la base de son message d’espoir aux opprimés. Le gâchis économique dans lequel nous nous trouvons actuellement n’est pas la faute de nous, le petit peuple, mais des banques et de leur imprudence ruineuse à la poursuite de profits obscènes. En 2008, ils ont dû annuler leurs erreurs, c'est à dire leurs dettes, avec l’aide de sommes exorbitantes de l’argent des contribuables. Cependant, ces mêmes banques ne veulent pas faire la même chose pour nous. Loin de là. Les banquiers et le reste de l’élite super-riche veulent esclavagiser ceux qui sont endettés. Lorsque cela se produira, l’élite riche possédera tout, et nous ne posséderons rien. Ainsi la grande réinitialisation que les élites ont en tête ne sera certainement pas un jubilé pour le peuple, une annulation inconditionnelle de toute dette. Ils ont besoin que nous leur soyons redevables, afin qu’ils nous possèdent. Les banquiers disent toujours que les dettes doivent toujours être payées sinon ce sera le chaos. C’est le moment de se réveiller et de comprendre qu’il ne faut pas faire confiance au système ni à l'Etat. » (Extraits de l'article de Neil Oliver « Si vous admettez que les gouvernements occidentaux considèrent que les citoyens sont leurs ennemis alors tout devient clair. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/06/09/si-vous-admettez-que-les-gouvernements-occidentaux-considerent-que-les-citoyens-sont-leurs-ennemis-alors-tout-devient-clair/)
« Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total dont par l'appauvrissement général au profit d'une poignée d'ultra riches. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est même en cours : s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture. L’histoire en un coup d’œil :
-La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier, font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine. -L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur ou dans des bacs muraux de la plupart des immeubles associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle.
-Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard.
-À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social.
Dans un article publié le 27 avril sur son blog, le journaliste d’investigation Corey Lynn examine en profondeur le nouveau système alimentaire mis en place et la manière dont il est conçu pour vous contrôler en rappelant cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines : « Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Il y rappelle aussi la citation de Lynn writes : « Les mondialistes contrôlent déjà la majorité de l’argent. Ils s’empressent de convertir le système énergétique en de nouveaux systèmes dans lesquels ils ont tous investi. Ils ont pris des mesures drastiques pour contrôler l’industrie alimentaire, tout en agissant dans la plus grande discrétion. S’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture. Surtout qu'une série d’incendies étranges a détruit des usines de transformation alimentaires, de viande et d’engrais aux USA, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir. Un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a d'ailleurs en plus déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. Cet artilce précise également : « L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … L’Union Pacific impose une réduction de 20 % des transports ferroviaires, ce qui a un impact sur CF Industries Holdings, la plus grande entreprise d’engrais au monde. Vanguard, BlackRock et State Street sont les principaux actionnaires de Union Pacific, et BlackRock et Vanguard sont les trois principaux actionnaires de CF Industries Holdings. … En cartographiant certaines des plus grandes fermes verticales, on découvre les cultures, les commerces, les terrains et les milliards versés par les investisseurs et actionnaires mondialistes. Il est évident qu’il s’agit d’un plan mondial visant à contrôler tous les produits et tous les ingrédients qui entrent dans la composition de tous les produits alimentaires. ... Ce monopoly secret comme l’a noté Lynn a été mis en place au cours de nombreuses années. Lentement mais sûrement, le monopole s’est développé, à l’insu du public, ce qui a eu pour effet de rendre la nourriture à la fois plus chère et moins accessible. Aujourd’hui, alors que les dernières pièces du puzzle se mettent en place, beaucoup se rendent compte que nous avons été massivement trompés et que nous sommes désormais à la merci d’une poignée de personnes non élues dont la mégalomanie est inégalée dans l’histoire de l’humanité. La sécurité alimentaire est aussi mise à mal par la brevetabilité des aliments. La mission du FFAR est de mettre en relation les bailleurs de fonds, les chercheurs et les agriculteurs, par le biais de partenariats public-privé, afin de soutenir une recherche audacieuse répondant aux plus grands défis de l’alimentation et de l’agriculture. En réalité, cet organisme a été utilisé pour miner la sécurité alimentaire en augmentant la dépendance à l’égard des aliments génétiquement modifiés et brevetables. En avril 2019, la FFAR a lancé le Consortium Precision Indoor Plants (PIP), un partenariat public-privé de cultivateurs d’intérieur, de sélectionneurs et de sociétés de génétique ayant pour objectif commun de faire progresser le speed-breeding et de modifier les substances chimiques végétales responsables de la saveur, de la nutrition et de la valeur médicinale. Bill Gates insiste aussi sur le fait que les sécheresses et le changement climatique détruisent notre capacité à cultiver et que l’avenir consistera en un déplacement des populations vers les villes métropolitaines où l’agriculture verticale en intérieur sera nécessaire pour nourrir les gens. Si tel est le cas, pourquoi a-t-il acquis 242 000 acres de terres agricoles au cours de la dernière décennie tout en investissant simultanément dans l’agriculture verticale en intérieur ? Qu’arrivera-t-il aux agriculteurs lorsque ces fermes verticales d’intérieur, aux dimensions astronomiques, auront envahi toutes les grandes villes, auront conclu des contrats avec toutes les grandes chaînes d’épicerie et seront financées par certains des mêmes milliardaires mondialistes qui cherchent à contrôler les êtres humains dans toutes les industries à travers leur quatrième révolution industrielle ? Surtout que leur objectif ultime cherche à ce que chaque être humain et morceau de nourriture, de ressource et de produit sur cette planète soient suivis et tracés via la blockchain. Ce n’est pas une théorie, c’est leur objectif. En juillet 2021, la FDA a publié son document intitulé « New Era of Smarter Food Safety (une nouvelle ère de sécurité alimentaire intelligente) », qui prévoit l’utilisation d’une traçabilité technologique pour un système alimentaire numérique et traçable de la ferme à l’assiette grâce à la blockchain. L’identité numérique, qui permet de donner accès aux établissements, de contrôler les dépenses et de suivre les déplacements de chacun, se déploie sur de multiples fronts, dont le passeport d’identification des vaccins. A terme, on essaiera de passer à la puce, car ce sera plus facile avec le contrôle biométrique installé partout. »
« Une partie de la réponse pour lutter contre ce très pervers mondialisme consiste à cultiver sa propre nourriture du mieux que l’on peut. Une autre partie consiste à soutenir les producteurs locaux en achetant leurs produits, sinon ils seront évincés. La création de coopératives locales et de jardins communautaires peut également contribuer à la sécurité alimentaire à long terme. Dans le même temps, nous devons également rejeter les solutions mondialistes telles que la viande artificielle, le bœuf génétiquement modifié, les aliments OGM. Il est temps de comprendre qu’aucune de leurs solutions n’est pas à notre avantage mais à notre détriment. Le Forum économique mondial a déclaré que d’ici 2030, vous ne posséderez plus rien. Ils le pensent vraiment. Ils nous prendront tout, y compris le droit de cultiver notre propre nourriture, si nous les laissons faire. » (Extraits de l'article « Les mondialistes prennent le contrôle du système alimentaire. Cela fait partie de leur plan pour vous contrôler. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/06/07/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/)
En occident la Grande réinitialisation de l'économie mondiale a accéléré en mars 2020 et se renforce avec la guerre en Ukraine qui est la nouvelle grande narration. Avec les pénuries auxquelles nous assistons, nos dirigeants ont commencé à nous habituer au récit à la sauce soviétique. La crise des engrais azotés semble être en réalité provoquée par les compagnies qui les produisent comme BlackRock et The Vanguard Group.
Comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n’est surpassé, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie, dont nous connaîtrons des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à absorber les approvisionnements des autres exportateurs. La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n’y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.
Pour plus de contrôle la Commission européenne souhaite voir les effets de serre être réduits de 55% d'ici 2030. On peut parler ici d'un suicide du système économique européen ou d'un meurtre avec préméditation. En parallèle, les banques centrales commencent la mise en place de monnaies numériques, avec la Banque des règlements internationaux (BRI) dans le rôle de chef d'orchestre. Ainsi la Grande réinitialisation a-t-elle encore besoin du dollar ? Quelle société nous prépare-t-on ? Est-ce que la numérisation de l'économie fait partie du plan divin afin de servir plus tard une sainteté économique dont à travers la blockchain et les cryptomonnaies ? En effet tout cela est si bien réglé qu'il pourrait s'agir d'un plan divin participant à obtenir un grand bien plus tard au niveau d'un nouveau paradigme.
L'interprétation des 4 cavaliers de l'apocalypse déjà évoqués peuvent donc aussi être ceux de l’européisme (euromondialisme oligarchique, sioniste, pervers et messianiste), les Allemands Scholz & Leyen, le Français Macron et le Belge Michel. En effet ces 4 cavaliers de l’européisme peuvent incarner des cavaliers de l’apocalypse :- apocalypse économique, via l’inflation, l’immigration et la paupérisation,
- apocalypse sanitaire, puisqu’ils poussent à la vaccination forcée, inutile, coûteuse et dangereuse de 450 millions de citoyens européens,
- apocalypse liberticide, puisqu’ils préparent le passeport numérique, véritable fichage mobile des citoyens,
- et enfin apocalypse tout court, puisqu’ils font tout pour pousser la Russie à bout et faire de l’Europe un champ de ruines.
Concrètement, la prise de pouvoir de la bande des 4 passe par une réécriture des traités et des constitutions nationales, qu’on croyait intouchables. Mais quand il s’agit de l’européisme, tout est possible. Par exemple s’il s’était réellement préoccupé du futur et de la prospérité de l’Europe, le chancelier allemand aurait fait un discours sérieux à Prague sur comment contribuer à une résolution pacifique des relations entre l'Ukraine et la Russie. S’il s’était réellement préoccupé de la paix sociale et de la stabilité économique, il aurait fait une proposition pour calmer le marché de l’énergie. S’il s’était réellement préoccupé de la future prospérité de l’Union européenne, il aurait dû attaquer les régulations et les harmonisations toujours plus étendues avec lesquelles Bruxelles détruit nos industries depuis des décennies. Ce coup d’État dans l’État européen, cette OPA supranationale par les pires des européistes, n’a trouvé que « l’efficacité » comme argument pour avancer ses pions, et détruire ce qui restait de démocratie dans l’Union Européenne. D’élection truquée en détournement des traités, les leaders euromondialistes sont parvenus à imposer leur projet.
« L’histoire du Tribunal de La Haye est symbolique. La Russie ne s’est jamais interrogée sur la nature de cette institution. En réalité, elle fait partie de la mise en œuvre du gouvernement mondial, un système politique supranational créé au-dessus des États-nations qui sont invités à céder une partie de leur souveraineté à cette structure. Cela inclut la Cour européenne des droits de l’homme et l’UE elle-même, mais aussi la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, l’OMS, etc. La Société des Nations, puis l’ONU, (et le néolibéralisme) ont été conçues comme une étape préparatoire à l’établissement d’un gouvernement mondial. Or il s'agit du bâton du libéralisme. Parlons du libéralisme dans les relations internationales, une composante de l’idéologie libérale dans son ensemble. Les libéraux considèrent comme irréversible la loi du « progrès », dont l’essence est que le capitalisme, le marché, la démocratie libérale, l’individualisme, les LGBT, les transgenres, les migrations de masse, etc. se répandent dans l’humanité. Dans la doctrine libérale des relations internationales, le (pseudo) « progrès » signifie le passage d’États-nations souverains à des instances de pouvoir supranationales (et de la nature humaine au transhumanisme, alors qu'il devrait signifier la sécurité, le confort et l'ennoblissement religieux). Le but de ce « progrès » est l’établissement d’un gouvernement mondial. Les manuels de relations internationales l’affirment explicitement et sans équivoque. Tous les pays qui ne veulent pas du « progrès » sont, selon cette théorie, des ennemis du « progrès », des « ennemis d’une société ouverte », ils sont donc « fascistes » et doivent être jugés (au Tribunal de La Haye) et détruits (« leur infliger une défaite stratégique » – Blinken) et à la place des dirigeants souverains, on met des libéraux – de préférence des transsexuels. Telle est la position idéologique du Parti démocrate des États-Unis, de l’administration mondialiste de Biden et de la plupart des élites européennes. Toutes les forces des pays non occidentaux, qui soutiennent l’Occident collectif et les mondialistes américains, jurent également par cette idéologie. Et c’est précisément cette idéologie : radicale, rigide, totalitaire. En réalité, les patriotes, de gauche comme de droite, sont le peuple et le principal soutien de Poutine. Ils sont son soutien, ses fervents partisans, mais les libéraux au pouvoir ont toujours fait l’éloge de l’Occident et vilipendé les patriotes. Cela dure depuis 23 ans, depuis que Poutine est arrivé au pouvoir. Nous sommes logiquement arrivés au point où l’Occident encensé s’est révélé être une structure terroriste qui nous assassine, fait sauter des oléoducs, vole de l’argent, et nous, après avoir été à sa botte pendant si longtemps, nous nous sommes retrouvés dans une dépendance humiliante ; il y a 23 ans, nous aurions dû suivre la voie pour établir notre civilisation eurasienne russe. Poutine s’est concentré sur la souveraineté. On a supposé – précisément sous l’influence des libéraux – que l’Occident accepterait cette souveraineté tant que Moscou resterait dans le cadre général de la civilisation occidentale, tant qu’elle participerait à ses structures et institutions, tant qu’elle accepterait les valeurs occidentales (capitalisme, démocratie libérale, numérisation, culture de l’anéantissement, « wokisme », c’est-à-dire l’obligation de dénoncer quiconque n’est pas d’accord avec le libéralisme, LGBT). Il s’agit d’une tromperie depuis le début et cette tromperie a des individus spécifiques : le bloc libéral dans le cercle rapproché du président. Ce sont eux qui ont contribué à ce qui se passe aujourd’hui, qui ont entravé le réveil patriotique, qui ont fait tout leur possible pour séparer le président du peuple, du noyau russe, des porteurs de la conscience patriotique. L’heure est venue de régler les comptes. Ou elle est sur le point d’arriver. Je ne sais pas ce qui doit encore se passer pour que les libéraux au pouvoir soient mis au pied du mur et sévèrement remis en question. Peut-être manque-t-il quelque chose d’autre, mais en tout cas cela ne tardera pas. » (Extraits de l'article « Douguine : La limite de la patience russe » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/01/douguine-la-limite-de-la-patience-russe/)
Dans ce monde post-démocratique, celui de la gouvernance privé/public et du néo-despotisme préservant les nations seulement pour leurs forces de polices principalement au service de l'oligarchie, une population affaiblie, appauvrie, en demande de sécurité sanitaire et alimentaire, et convaincue de la réalité du réchauffement climatique d’origine anthropique, serait prête à accepter sans discuter, après de longues années de fabrique du consentement, les solutions malthusiennes, ultra-libérales et transhumanistes du Forum de Davos dont en désignant le covid et la Russie comme principaux responsable des problèmes causés par cet agenda antipopulaire. Par des contraintes d’une basse matérialité hédoniste, la société post-moderne est complètement détachée des visions cohérentes et originelles du Monde. L'intérêt pour la technologie a pris la place de celui pour le monde. Notre époque connaît la dimension d’une anthropologie totalement différente de celle qui a déterminé le tissu conjonctif des moments historiques. Selon Gustave Lebon, l’homme dans la foule a tendance à accomplir des actions et des comportements criminels ou héroïques qu’il n’aurait jamais eu s’il agissait seul. Et cela va au-delà de toute considération logique et rationnelle. Il semble qu’à notre époque, l’individu a tendance à agir, même s’il est isolé et mène une vie déconnectée de la société dont il fait partie, comme s’il était dans la foule : il vise l’immédiat, réagit à des stimuli induits de manière primitive, et suit des mots simples et détournés savamment orchestrés par d’autres sans jamais s’ériger en élément critique capable de distinguer ce qui est pertinent et fondamental de ce qui est imposé comme essentiel par des corrompus. Il est aussi fréquent de constater que tous les journaux télévisés relatent les mêmes faits, avec des analyses souvent identiques, en utilisant même des images identiques. Cela tend par une perversité manichéenne à déterminer un horizon à l’intérieur duquel il faut prendre parti. De cette façon, l’individu accepte la logique sous-jacente souhaitée par le système en devenant consciemment ou inconsciemment une partie organique du cercle médiatique lui-même. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'Etat profond (occulte) contrôle et organise l’information. En effet il est important pour cette dimension occulte, dans laquelle coexistent la finance spéculative apatride, le crime organisé, divers lobbies, les Églises, les forces du progressisme mondialiste, humanitaire et solidaire, etc, d'être en mesure de conditionner perversement tout type de décision politique importante qui devrait pourtant découler en occident de la souveraineté populaire. Après tout, cela fait partie de la post-démocratie. En effet c'est une époque où l’opinion publique n’a droit à la citoyenneté que si elle se conforme servilement à la pensée dominante imposée par l’État profond se faisant passer médiatiquement pour juste, équitable et surtout conforme à une pensée qui se veut dominante et que l’on fait passer pour un fait naturel. Ainsi ceux qui ne se conforment pas sont de toute façon nécessaires pour assurer l’équilibre souhaité : ils sont un ennemi de l’humanité, un haineux insatiable, une cible à maintenir en vie et à frapper quand c’est nécessaire dont pour formater les endormis. Tout cela détourne l’attention de ce qui se passe gravement dans le monde : la prise de pouvoir et de contrôle total de la part des forces apatrides mondialistes dont avec de nombreux idiots utiles du peuple.
« La constitution d’un ordre international qui bénéficierait en premier lieu à un milliard doré d’individus constitue l’un des objectifs stratégiques du globalisme politique. La construction par étapes d’une société eugéniste planétaire est planifiée de longue date par les acteurs les plus influents et les mieux organisés de la gouvernance mondiale. L’élite globaliste n’a de cesse depuis des décennies de tenter de réduire la croissance démographique planétaire à un niveau proche de zéro au prétexte de réduire la fameuse empreinte carbone de l’humanité. Ceci même en Europe, où les taux de natalité des populations autochtones sont négatifs depuis déjà longtemps. Quel est le point commun entre les plus riches et influents acteurs du philanthrocapitalisme contemporain : Bill Gates, George Soros, Ted Turner, Warren Buffet et Jeff Bezos ; des hommes d’influence tels que : Henry Kissinger (que Klaus Schwab considère comme son inspirateur) et David Rockefeller (1915-2017) cofondateur du club Bilderberg et de la Commission Trilatérale) ; des membres de la famille royale britannique comme le prince Philip (président émérite du WWF) et le prince Charles ; ou bien encore des militants écologistes médiatisés comme Greta Thurnberg et Paul Watson (le président de l’Ong Sea Shepherd) ? Tous partagent une idéologie commune qui guide leurs actions et leurs agendas politiques respectifs : l’idéologie de la dépopulation. Cette idéologie constitue une dimension fondamentale du projet globalitaire (globaliste et totalitaire) : le projet de réduction drastique de la population mondiale et le contrôle strict de la démographie planétaire. Cette entreprise de décroissance forcée de la population mondiale est portée par l’ensemble de l’élite globaliste et mise en place par les principaux organes de la gouvernance mondiale. Or cette pseudo décroissance nécessaire à la post-modernité pourrait encore être une stratégie de l'oligarchie mondialiste afin de gagner toujours plus d'argent dont en investissant dans les produits prétendant y parvenir comme les voitures électriques, puis en alternant finalement à jamais cette  décroissance avec de la croissance, dont en rétablissant les voitures à essence. D'ailleurs la politique de décroissance lancée par l'occident est en réalité une paupérisation de peuples au profit de l'oligarchie ultra riche. « Nous sommes trop nombreux » répètent sans discontinuer les médias de masse financés par l’oligarchie globaliste. Ils devraient plutôt dire « vous êtes trop nombreux », car les mêmes forces oligarchiques qui sont à l’origine des dérèglements écologiques planétaires prétendent faire de la natalité et de la démographie, la variable d’ajustement d’un système qui leur profite et qu’elles ont mis en place de longue date. Il existe clairement la généalogie profonde d’un discours, d’une idéologie et d’une pratique qui sont au cœur du projet politique globaliste. Une orientation de société qui plonge ses racines philosophiques dans l’histoire de l’eugénisme puis du transhumanisme comme vision du monde globale et unifiée du destin de l’humanité. Pour les oligarques globalistes, le paradigme de la post-modernité doit être que toute nation deviendra un hôtel, que le monde sera cosmopolite et que la société sera ouverte mondialement en particulier au niveau des frontières, de l'économie et de la finance, à part pour Israël qui devra rester la seule nation accueillant un gouvernement selon des messianistes juifs. La question de la démographie politique et du contrôle des naissances est au cœur des préoccupations et des stratégies d’hégémonie développées par le globalisme politique depuis l’origine du projet de République universelle et d’État mondial unifié. Selon la « Quatrième révolution industrielle » portée par le Forum Economique Mondial et par l’ensemble des instances non élues de la gouvernance globale, une partie importante de l’humanité devient surnuméraire, car la taille de la population planétaire qu’entend régir le globalisme politique doit être réduit par tous les moyens afin de faciliter le contrôle mondialiste. Une perspective qui éclaire les questions sanitaires et médicales telles qu’elles sont instrumentées depuis l’émergence du Covid-19 mais en fait depuis bien plus longtemps. Or il existe des fractures internes au sein de l’oligarchie globaliste entre des forces géoéconomiques qui relèvent d’un transhumanisme de « droite », libéral et productiviste, face à un transhumanisme « de gauche » collectiviste et dénataliste. Certains décideurs parmi les plus influents comme Elon Musk tirent ainsi la sonnette d’alarme sur les risques d’effondrement systémique que font courir à brève échéance la dépopulation et la dénatalité endémique pour les fragiles équilibres économiques et géopolitiques contemporains. » (Pierre-Antoine Plaquevent)
D’après l’Evangile selon Jean, où figure une mention du « nombre de la Bête », 4 cavaliers annoncent donc l’Apocalypse (aussi appelée Révélation de Jésus-Christ). Un premier cheval est monté par l’Antéchrist avec la maladie et la guerre, et le troisième cavalier sur un cheval noir annonce la famine. « Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre » raconte la Bible. Pour une élite aux prétentions eschatologiques et démiurgiques, cela peut faire aussi sens, quitte à l’inverser. Dans une convergence des agendas de l’OTAN, des USA, de l’UE, du Sionisme, de Davos et des GAFAM, le Nouvel Ordre mondial américano-européen s'attaque à la santé (avec son « vaccin »), au jardin (avec ses graines OGM), à l'hypersurveillance via les nouvelles technologique, à la domination politique (par la guerre wokiste contre l'orthodoxie russe), à la domination économique internationale (par la haute finance de Wall-Street et les grosses multinationales), à la domination monétaire (par le dollar) et aux contrôles des ressources mondiales (par ses déstabilisations du Proche-Orient et de la Libye). Il menace la planète entière avec ses armes qu'il vend pour régler les problèmes qu'il a créés. Deux conceptions du monde peuvent coexister, mais le Nouvel Ordre mondial n'en est plus là. À présent, avec Soros aux manettes, il veut la disparition de l'autre quel qu'il soit. Les enjeux économiques et géopolitiques sont très souvent les deux facettes d’une même pièce servant d'abord l'idéologie mondialiste plutôt que les nations ou les peuples. C'est pourquoi divers peuples dont celui français sont entre l'élite et la bourgeoisie covidiste (de droite et de gauche) aimant le pass sanitaire citoyen, le probable pass écologique (ou/et climatique) à venir et la hiérarchie par la puissance de l'argent plutôt que par le travail et le mérite. D'ailleurs lors de la conférence des ambassadeurs de France, le 1er septembre 2022, le président Macron semble suivre à la lettre le programme de Klaus Schwab afin d’amorcer la Grande Réinitialisation déjà bien entamée par le Covid. Et comment mettre en place un Pass Climatique ? En passant par des mesures de rationnement sous couvert de flambée du pétrole, de pénurie de gaz et d’électricité. Le hasard fait encore bien les choses puisque l’Ukraine est l’alibi idéal des pénuries en tous genres...
Le titre d'un livre de Mulllins « L’Ordre Mondial » renvoie à la pyramide de pouvoir construite autour des banques d’investissement, dont la plupart sont d’origine juive (Rothschild, Warburg, Lehman, Seligman, Oppenheimer, Schiff, Goldman). D’autres membres majeurs de la cabale sont Rockefeller, Morgan, Peabody et Harriman. La richesse de ces familles fut placée dans des fondations exonérées d’impôts afin d’être protégée et de financer les objectifs du nouvel Ordre Mondial américano-sioniste oligarchique. Ces fondations donnèrent des bourses à des individus pour que ces derniers lancent des think tanks tels que le Brookings Institute, le Hoover Institute, la Heritage Foundation, le Cato Institute, le Council on Foreign Relations, le American Enterprise Institute, etc. Mullins montre comment ces organisations produisent, grâce à la présence de leurs membres sur plusieurs conseils d’administration à la fois, de l’ingénierie sociale dans le but de préparer la société à l’avènement d’un gouvernement mondial.
Ainsi les think tanks états-uniens ne sont souvent plus tant des centres de recherche que des lobbys vendus au plus offrant. En effet le général John Allen, ancien envoyé spécial du président Barack Obama pour la coalition contre Daech, a démissionné de la présidence de la Brookings Institution à la suite d’une perquisition du FBI. Il lui est reproché d’avoir secrètement fait du lobbying pour le compte du Qatar durant la crise qui opposa l’émirat à l’Arabie saoudite en 2017.
Le sous-titre du livre de Mullins « Nos dirigeants secrets : une étude de l’hégémonie du parasitisme » est développé à la fin du livre et sert en fait de métaphore au rôle que jouent les dirigeants de l’Ordre Mondial dans la société. Ces parasites sont les familles de banquiers qui n’obtiennent pas leurs richesses grâce à la production de biens ou de services dont les gens ont besoin, mais en créant de l’argent à partir de rien à travers une charte de monopole gouvernemental leur permettant ensuite d’exiger que des intérêts soient payés sur leurs billets de banque.
Il est clair que les interventions du FMI ont pour but d’amener le gouvernement ukrainien à s’engager dans les politiques économiques, fiscales et sociales dictées par l’agenda mondialiste, à commencer par l’« indépendance » de la Banque centrale ukrainienne vis-à-vis du gouvernement : c'est même un euphémisme par rapport à comment le FMI demande cela aux nations.
Les milliardaires ukrainiens en kippa sont ceux qui vendent l’Ukraine à l’Occident corrompu et corrupteur, troquant leur propre richesse contre l’asservissement de leurs compatriotes aux usuriers qui s’emparent du monde, partout avec les mêmes systèmes impitoyables et immoraux. Hier, ils réduisaient les salaires des travailleurs d’Athènes et de Thessalonique, aujourd’hui, ils ont tout simplement élargi leurs horizons à l’ensemble de l’Europe, où la population assiste, encore incrédule, à la mise en place d’une dictature sanitaire, puis énergétique, puis numérique, puis climatique.
Extraits de l'article « La Suisse a offert à Klaus Schwab le statut d’Organisation internationale. Une révolution antidémocratique. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/23/la-suisse-a-offert-a-klaus-schwab-le-statut-dorganisation-internationale-une-revolution-antidemocratique/ :
« Or le prétendu dérèglement climatique mène au dérèglement économique et à la décroissance et ce qui s’ensuit : chute des productions agricoles et industrielles, chômage massif, cherté des produits alimentaires, paupérisation, famines, révoltes, répression, migrations massives, guerres civiles, soit la litanie des mondialistes de Davos, dans l’ordre ou le désordre. Le changement climatique cache donc le projet qui marche très bien avec la baisse de population voulue par ces mondialistes oligarchiques induite par les pandémies plus ou moins naturelles. (Surtout que le passage du réchauffement climatique contredit au dérèglement climatique est encore plus sournois, car le climat est un dérèglement en soi (qu'on ne peut pas prévoir plus de 3 jours et on parle de prévisions à trente ans) et en même temps une régulation (couverture nuageuse se créant par trop de chaleur, plante se multipliant par trop de C02). D'autant plus qu'avec la politique verte y étant généralement associée soudain, ce qui était abondant devient rare et doc plus chère encore au profit de l'oligarchie mondialiste.) Nous sommes à la croisée des chemins dont le Forum économique de Davos est un acteur privé ayant reçu par la suisse un statut presque étatique d'organisation internationale.
« Le fascisme devrait plutôt être appelé corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’Etat et des pouvoirs des marchés. » (Mussolini)
« (Avant l'empêchement d'une librairie courageuse ayant des titres dissidents en Suisse prétendument démocrate), on savait déjà qu’avec la condamnation à de la prison ferme prononcée à l’encontre du président d’E&R, la Suisse s’enfonçait doucement dans une dictature molle, une dictature de juges, devenant ainsi un régime totalitaire semblable à la France. Celui-ci condamne en effet tout crime d’arrière-pensée, tout délit d’opinion ; bref la meute médiatique chasse tout ce qui pense mal. Cela semble confirmé par le déchaînement médiatique subit par cette association.
Rappelons les paroles de Maurice Bardèche : L’esprit messianique se démasque à la fin : il dit clairement son nouvel évangile. Toutes les cités sont suspectes. Elles ne sont en réalité que les dépositaires du pouvoir. Leur pouvoir temporel n’est plus qu’un pouvoir d’administration. Les patries ne sont plus maintenant que les gérantes d’une immense société anonyme. On leur laisse un certain pouvoir de réglementation : ainsi est circonscrit et défini leur domaine, mais sur l’essentiel elles sont dépossédées. (…) On leur retire tout pouvoir sur les consciences. Le spirituel est confisqué au profit d’une instance supérieure internationale. C’est elle qui dit le juste, c’est elle qui est la conscience du monde. Les patries sont déposées. (…) les Etats ne seront plus que les arrondissements administratifs d’un seul Empire. » (Rédaction ER)
Les modèles monétaires, financiers, économiques, fonciers, éducatifs, ou culturels de l’ancien monde sont en voie de liquidation. Les richesses associées ont néanmoins été captées par une oligarchie privée et corporatisée, qui se rend maîtresse de tous les leviers. Parallèlement à cela, elle tente d’unifier la planète sous des prétextes messianiques, auxquels sont rattachés de prétendus programmes de développement. Pour l’heure, nous avons pu constater que le concept générait plutôt une décrépitude de l’humanité et de la planète, alors que la micro-élite dotée de seigneuriage que sont les mondialistes oligarchiques bénéficie d’une prospérité inédite historiquement. Tout dépend donc de quel côté on se place pour évaluer l’écart entre les résultats promis et ceux observés. Les programmes mis en place sont porteurs d’un marquant succès parfait pour les uns, et d’un drame tout aussi prégnant pour le reste des vivants (animaux et planète inclus). Une élite assez large, couvrant de nombreux secteurs, a participé à l’élaboration du projet. Et ce projet unique est concrétisé dans l’Agenda 2030 qui vise la transformation du monde sous le prétexte de développement durable jusqu’en 2019, puis au travers de « l’opportunité » offerte par le Covid, et actuellement par le suicide occidental soutenant la cause ukrainienne représentée par le héros national Zelenski.
En effet une constitution universelle pour un état global privatisé et financiarisé est lié à l'agenda 2030. Plus récemment, Jim Rickards expliquait comment le système a réussi à formater les mentalités des politiciens pour les faire adhérer à l’impensable. Cela fait des années que nous avons tous compris que les dirigeants politiques faussement labellisés droite-gauche, internationaliste ou nationaliste, poursuivent en réalité le même agenda. Et pour cause, ils ont été pratiquement tous formés dans les mêmes académies, ou ont subi des formations au sein des fondations du genre Rockfeller, American-French (ou Swiss) Foundation, celle des young global leaders du WEF (Forum économique mondial), etc. Ils ont été nourris au même lait maternel qui mène aux postes-clés. Qu’ils soient convaincus ou pas de la cohérence de pseudo modèles scientifiques ou économiques recouverts de jargons dédiés aux initiés, ils savent qu’ils doivent filer droit une fois nommés si nécessaire suite à du chantage criminel. Quand un homme politique vous parle de démocratie de marché, il se moque de son électorat. Il n’y a pas de démocratie qui donne le pouvoir aux peuples dans un système dominé par le marché. Cela est particulièrement un non-sens lorsque quelques entreprises ont la main mise sur tous les leviers du marché et que les PME sont en train de couler. Pourquoi et comment ce système donnerait-il du pouvoir politique à des populations qui n’ont pas voix au chapitre économique de base ? La démocratie de marché porte dans son appellation même l’absurdité de mots irréconciliables. »

« Dans ce sens (tyrannique), comment les leaders mondiaux corrompus auraient-ils pu, sans le prétexte de la guerre en Ukraine, justifier l’augmentation vertigineuse du prix du gaz et du carburant, forçant le processus d’une transition « écologique » imposée d’en haut pour l’appauvrissement contrôlé des masses ? Comment auraient-ils pu faire digérer aux peuples du monde occidental l’instauration de la tyrannie du Nouvel Ordre mondial, alors que la farce de la pandémie se dénouait, mettant en lumière le crime contre l’humanité commis par BigPharma ? Et tandis que l’UE et les chefs de gouvernement accusent la Russie de la catastrophe imminente dont alimentaire, les élites occidentales démontrent qu’elles veulent aussi détruire l’agriculture, pour appliquer à l’échelle mondiale les horreurs de l’Holodomor. (Les Américains ont aussi repris les slogans de l’Holodomor à l’échelle mondiale, accusant la Russie de provoquer une crise alimentaire dans le monde. Alors que dans le même temps, les Occidentaux eux-mêmes bloquent les livraisons étrangères de céréales et d’engrais russes, et se livrent au pillage et à la vente des réserves ukrainiennes aux pays les plus pauvres à un prix exorbitant et à des conditions léonines, à l’instar de leurs ancêtres colonisateurs. Ainsi la technique actuelle de créer des pénuries pour attribuer l'inflation au covid et à la Russie sert d'abord à parvenir au projet néocolonialiste du grand reset, ce qui est un projet qui prouve que finalement les mondialistes ne veulent logiquement pas de la troisième guerre mondiale.) Or l’Holodomor n’est pas un crime russe mais un crime bolchévique ordonné par le Géorgien Staline et mis en œuvre en Ukraine par un Polonais, Stanislav Kossior. Cette Grande famine ne fut pas un génocide car le peuple ukrainien venait à peine d’être créé par Staline, mais un populicide exercé contre les paysans en tant que classe sociale. L’URSS des années 1930 avait besoin de devises, et l’exportation des céréales ukrainiennes devait servir à financer le programme d’industrialisation et de militarisation accéléré engagé par Staline, qui aura son importance 10 ans plus tard, lors du conflit avec l’Allemagne nazie. Un conflit dans lequel les nationalistes ukrainiens ont largement collaboré avec l’occupant... S’ensuivra donc au début des années 1930 un soulèvement des paysans d’Ukraine, entretenu par les ultranationalistes locaux, soulèvement qui sera maté par une répression au-delà du féroce. L’Holodomor était donc une frappe dirigée contre la contre-révolution, pour reprendre la terminologie de l’époque, en même temps qu’une nécessité économique, dictée par la situation financière extrêmement fragile de l’édifice soviétique, et fragilisée par les empires occidentaux, à l’affût de la moindre faiblesse, comme celle d’une maigre récolte.
D’autre part, dans de nombreux pays dont l’Italie, la privatisation des cours d’eau, qui sont un bien public inaliénable, est théorisée au profit des multinationales et dans le but de contrôler et de limiter les activités agricoles. Le gouvernement pro-atlantiste de Kiev ne s’était pas comporté différemment : pendant huit ans, la Crimée avait été privée de l’eau du Dniepr pour empêcher l’irrigation des champs et affamer la population. Aujourd’hui, à la lumière des sanctions imposées à la Russie et de l’énorme réduction des approvisionnements en céréales, on peut comprendre les énormes investissements de Bill Gates dans l’agriculture, suivant la même logique impitoyable de profit gigantesque et de contrôle économique que la vaccination mondiale liée au Covid et au grand reset. Ainsi les ukrainiens devraient réfléchir à deux fois avant d’invoquer l’intervention de l’OTAN ou de l’UE, en supposant qu’il s’agisse vraiment d’eux aux commandes et non de leurs dirigeants corrompus aidés par des mercenaires racistes et des groupes néonazis à la solde des oligarques. Car si on leur promet la liberté face à l’envahisseur, avec lequel ils partagent pourtant l'héritage culturel et religieux commun d’avoir fait partie de la Grande Russie, en réalité, on prépare cyniquement leur effacement définitif par leur soumission au Great Reset qui envisage tout sauf la protection de leur identité, de leur souveraineté et de leurs frontières. Que les ukrainiens regardent ce qui est arrivé aux pays de l’Union européenne : le mirage de la prospérité et de la sécurité est démoli par la contemplation des décombres laissées par l’euro et les lobbies de Bruxelles : des nations envahies par des immigrants illégaux qui alimentent le crime et la prostitution ; des nations dont le tissu social a été détruit par des idéologies politiquement correctes ; des nations qui ont été sciemment conduites à la faillite par des politiques économiques et fiscales irréfléchies ; des nations qui ont été conduites à la misère par l’annulation de la protection de l’emploi et de la sécurité sociale ; des nations qui ont été privées d’avenir par la destruction de la famille et la corruption morale et intellectuelle des nouvelles générations.
Ce qui avait été des nations prospères et indépendantes, diverses dans leurs spécificités ethniques, linguistiques, culturelles et religieuses, s’est transformé en une masse informe de personnes sans idéaux, sans espoir, sans foi, sans même la force de réagir aux abus et aux crimes de ceux qui les gouvernent. Une masse de clients des multinationales, d’esclaves du système de contrôle généralisé imposé avec la farce pandémique, même face à l’évidence de la fraude. Une masse de personnes sans identité, marquées au code QR comme des animaux dans une ferme intensive, comme les produits d’un immense centre commercial. Si tel a été le résultat de la renonciation à leur souveraineté pour tous, sans exception, les États qui se sont confiés à la colossale escroquerie de l’UE, pourquoi l’Ukraine devrait-elle faire exception ? » (Extraits de l'article « Mgr Viganò : la Russie et l’Ukraine sont "utilisées pour permettre à l’élite mondialiste de mener à bien son plan criminel" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Mgr-Vigano-la-Russie-et-l-Ukraine-sont-utilisees-pour-permettre-a-l-elite-mondialiste-de-mener-a-67556.html)
Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « La guerre en Ukraine fait-elle partie de la grande réinitialisation ? - Strategika » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/15/la-guerre-en-ukraine-fait-elle-partie-de-la-grande-reinitialisation/