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Q) Suite 17


-problème posé par le fait que les hauts fonctionnaires sortent tous d'une seule école qui est L'ISP (ayant remplacé l'ENA), car ayant donc la main mise sur la France alors que pourtant ça ne marche pas politiquement, socialement et économiquement depuis plusieurs décennies.
-nombreux policiers hautement gradés présents chez les francs-maçons. Ainsi on ne peut même pas parler de collusion ou d’interpénétration, mais plutôt affirmer que les grandes loges sont des succursales du renseignement.
-privatisation des services publiques dont à travers des cliniques privées, des armées privées et même des firmes privées pouvant déjà arrêter des personnes n'ayant pas payé des amendes.
-armées, unités de renseignement et services spéciaux appartenant donc souvent à plusieurs entreprises privées. Dans un rapport exclusif, le magazine américain Newsweek fait la lumière sur une armée américaine secrète qui compte près de 60 000 personnes. Ces dizaines de milliers de personnes font partie d’un vaste programme baptisé « Réduction de signature » (signature reduction). Cette force soutenue par quelque 130 entreprises privées, ainsi que des dizaines d’organisations gouvernementales peu connues est chargée de tout un éventail de missions. Il est possible de lire l'article complet à l'adresse https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202105171045614037-les-usa-auraient-mis-en-place-une-force-clandestine-de-quelque-60000-hommes/
-lors du dernier sommet du G7 fin juin 2022, choix des dirigeants occidentaux de confier au Canada et à la Carnegie Endowment for International Peace le soin de combattre la propagande russe sur la question ukrainienne. En effet ce recours à une fondation américaine de droit privé pour conduire une mission politiquement aussi sensible étonne. Il s’explique simplement par les liens privilégiés que cette officine entretient avec la CIA et avec le Deep State américain, lequel a trouvé ici un moyen commode de mettre les médias occidentaux sous tutelle. En effet selon les chiffres fournis par le rapport, Facebook et l’Open Society Foundation de George Soros lui ont donné entre 1 et 2 millions de dollars, comme la Fondation Gates, comme Microsoft, comme Google, comme les gouvernement américain, britannique, norvégien, japonais, suédois, allemand, canadien, indien, palestinien et taïwanais. La Carnegie Endowment est en plus dirigée par des éminences démocrates, et son Président jusqu’en 2021, est même devenu directeur de la CIA grâce à l’ancien vice-président d’Obama, devenu entre-temps Président des Etats-Unis. Mais bien entendu, la Carnegie Endowment est présenté comme un think-tank indépendant et non-partisan... On comprend ici que la Carnegie Endowment n’a pas été choisie par hasard par le G7 pour mener la guerre contre la propagande russe, ou plutôt la propagande contre la Russie. Il s’agit d’une structure souple, agile, et parfaitement sous contrôle de l’aile démocrate du Deep State, ce qui n’est probablement pas le cas du Global Engagement Center créé en 2017 pour assumer cette mission, puisque étant délibérément torpillé par les démocrates. En outre, l’ancien président de la Carnegie Endowment peut facilement mobiliser celle-ci pour la charger des missions que la CIA peine à exécuter, faute d’un savoir-faire éprouvé. C’est la conception américaine du soft power : les missions de service public, même lorsqu’elles sont régaliennes, sont confiées à des organismes extérieurs et opaques, dont l’intérêt premier est d’échapper au contrôle du Sénat et de permettre des opérations « spéciales » qu’une démocratie ne peut d’ordinaire se permettre. Le soft power d’un pays repose aussi principalement sur quatre sources : la culture, la qualité économique (dont force économique), les valeurs politiques et la politique étrangère. Dans la pratique, la Carnegie Endowment prône une gouvernance mondiale où les USA et la Chine joueraient un rôle leader en coopérant pour défendre la paix. Or une certitude se dégage : la stratégie de l’Occident est aujourd’hui en réalité incertaine, car il existe un pôle au sein du gouvernement profond qui préconise une lutte à mort contre la Russie en prenant soin de l’isoler de la Chine. Cette évolution par rapport à la doctrine Kissinger est probablement en cours d’évolution. En effet les Américains, trop sûrs d’eux et de leur domination éternelle, n’ont pas vu qu’ils ne pourraient pas toujours tenir sur tous les fronts à la fois dont de l’Europe de l’est, du proche orient et de la mer de Chine. Ils ont d'ailleurs lâché l'Afghanistan et une partie du Proche-Orient dont en laissant en partie Israël se débrouiller avec ses voisins.
-technocrates dirigeants des instituts de recherche à la place de scientifiques.
-esprit de recherche et d'innovation freiné par un conformisme intellectuel dont dès l'éducation nationale et par la rigueur académique. Il est d'ailleurs intéressant de regarder différentes expériences sur le conformisme (comme l'expérience Milgram) pouvant apparaître ou être utilisé perversement dans tous les secteurs d'activités même au niveau du contrôle social par des gouvernements corrompus. D'ailleurs la liberté académique est presque totalement restreinte en rapport avec le wokisme.
« J’ai beaucoup de liberté parce que je suis prix Nobel. Et comme je suis en plus à la retraite, je ne dépends plus de l’université ni de l’institut Pasteur, et je m’exprime donc vraiment sans aucune contrainte, ni pression. Mais je considère que je suis un privilégié parce que beaucoup de mes jeunes collègues n’ont pas cette liberté car ils sont dans un système qui les oblige, pour maintenir leur position, à accepter sinon des mensonges, au moins des mensonges par omission. » (Pr Luc Montagnier)
-cursus académique (et enseignement scolaire) ne servant donc généralement pas à augmenter le niveau de savoir des gens mais leur niveau de conformité, tout empêchant donc la pensée critique (en particulier contre le progressisme woke) qui était pourtant autrefois un élément fondamental des universités américaines.
-FMI imposant à de nombreuses nations endettées comme conditions de prêts, des réajustements structurels défavorables aux peuples au profit de la caste mondialisée ultra riche (grosses banques, grands gestionnaires de fonds d'actifs massifs, multinationales, GAFAM, complexe militaro-industriel) sous forme de chantage économique et d'austérité.
-pouvoir économique d'abord financier contrôlant donc presque totalement le pouvoir politique. Surtout que si l’État finit par ne plus pouvoir rembourser de dette, il ne pourra plus payer ses fonctionnaires et devra se vendre à la découpe. Ainsi le projet de nos gouvernants est-il réellement de réduire la dette qui nous rend esclave de leur système ?
-les agences de notation, les banques spéculatives, les organisations supranationales et les grandes multinationales dirigeant donc aussi l'économie de nombreux pays au détriment de leur pouvoir politique et des volontés populaires, et mettant en péril la société puisque elles rachètent fréquemment des secteurs publics dans une période où tout s'automatise avec internet et où le besoin de payer des personnes physiques devient ainsi moins important. En effet pour cupidement gagner toujours plus de bénéfices, elles réinvestissent peu dans la qualité de ces services publics essentiels à la société, puisque n'ayant souvent pas de compte à rendre à l’État et au peuple. Surtout que la qualité et les emplois de ces services publics sont aussi diminués à travers la diminution des régions par un regroupement au niveau administratif.
Dans ce sens, il n'est pas étonnant que ce système espère parvenir à dominer le monde par des monopoles privés sous forme de consortiums politiques. Or ces monopoles ou oligopoles (très peu de vendeurs pour beaucoup d'acheteur) n'ayant pas de concurrence et recherchant généralement le profit maximum pour une poignée d'actionnaires ultra-riches, elles organisent l'augmentation des prix tout en diminuant la qualité, ce qui prouve que la privatisation à outrance est très nocive pour une nation. A ce sujet il est intéressant de voir l'excellente vidéo « CE QU'ON NE VOUS DIT JAMAIS SUR l'ÉTAT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=oqn5K89L7d8&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Pour comprendre le monde actuel qui perd ses repères à travers l'oubli de sa religion, de la famille traditionnelle, de ses valeurs, de sa politique, de son économie, de sa souveraineté et de son histoire au profit des multinationales privées, il suffit de savoir que par manque d'argent une station de métro de Rio est désormais appelé Coca-cola. Surtout qu'en plus, les grandes multinationales sont souvent honteusement exonérées d'impôts, dont jusqu'à mille milliards d'Euros en Europe, par la corruption ou par un chantage aux nombreux emplois qu'elles fournissent pourtant de moins en moins, puisque se servant de plus en plus de pots-de-vin, de l'automatisation pour la production, de la délocalisation pour la fabrication, de la main d’œuvre étrangère pour baisser les salaires et de comptes sur internet pour les services, alors qu'ils leur arrivent souvent de licencier des employés malgré souvent d'énormes bénéfices qui devraient en plus être taxés d'au moins 5 % pour la justice sociale, voire des aides gouvernementales comme lors de la crise sanitaire et de celle des subprimes. En effet en automatisant voire robotisant de plus en plus les services et l'industrie, en confiant la fabrication à des usines dans des pays du tiers-monde où le prix de la main d’œuvre est bas et l'utilisation d'enfant est fréquente, ces multinationales font diminuer l'emploi en occident et rendent les riches de plus en plus riches et les pauvres et la classe moyenne entrepreneuriales de plus en plus pauvres. Par conséquent un a un, les acquis des siècles de lutte politique et syndicale, rebaptisés « privilèges », « avantages » ou « anomalies » par les ultra-libéraux oligarques mondialiste sans honneur, sont joyeusement sabrés par cette nouvelle élite affairiste internationale décomplexée.
Or suite au réveil des peuples et au risque de chaos généralisé, tout cela pourrait finalement servir à un nécessaire changement d'outil paradigmatique purificateur de l'économie mondiale dont à travers la blockchain décentralisée, la cryptomonnaie décentralisée, et le revenu minimum universel. En effet par rapport au manque de compréhension, de connaissance, de volonté, de préparation et d'organisation populaires devant pourtant actuellement changer nécessairement de paradigme pour l'amélioration voire la préservation de la paix sociale, il semblerait que cela ne puisse commencer que par la continuité du plan occulte des élites mondialistes corrompues, c'est à dire afin que ces outils modernes de ce nouveau système servent ensuite honnêtement l'Eden terrestre complété. Ça serait encore un énième voire ultime mal pour un bien dans le scénario divin de la Création.
Tout cela est difficile à comprendre car le Capital déjà obèse ne cesse pourtant d’enfler vertigineusement. Les fortunes indécentes et inutiles vomissent en cascades des comptes en banque des oligarques parasitaires souvent apatrides du CAC 40 (Bourse) complètement déconnecté de l'économie réelle et la détruisant.
Ici on peut se demander quand un pays a été définitivement mis en esclavage au profit d'intérêts privés ou d'organisations supranationales comme l'Union Européenne. D'abord, il faut bien sûr lui supprimer sa monnaie (chose faite), obtenir la gestion de ses banques (chose faite), lui voler sa Bourse (chose faite), et au final lui détruire toute imprimerie high-tech (comme c'est le cas pour l’usine Arjowiggins de Crèvecœur en Seine et Marne) qui lui permettrait de fabriquer de nouveaux billets de banque nationaux si par malheur (du point de vue de tous les idolâtres européistes ou mondialistes), il lui venait la mauvaise idée de reprendre son indépendance.
Les ultra-riches mondialistes sont tellement avides que souvent par manque de foi, les infirmières se suicident, les policiers se suicident, les paysans se suicident, les profs se suicident, les cheminots se suicident, les chômeurs se suicident, et les étudiants se suicident. Il est possible de voir à ce sujet l'article « Décadence de l’Occident Par qui et pour qui ? » à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Decadence-de-l-Occident-57132.html
C'est pourquoi le Covid-19, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine sont utilisés à détourner l'attention de cette réalité. Ils sont invoqués tour à tour pour légitimer les dépressions, les suicides, la crise économique. Tout est bon pour éviter de pointer du doigt les décisions politiques désastreuses et le néolibéralisme wokiste qui sont la véritable cause de ces victimes collatérales.
De même les réflexions sur les processus mondiaux ou nationaux au niveau climatique, politique, économique, sur lesquels nous n’avons pas ou peu d’influence, servent à éclipser le plus important. Comment prier correctement ? Comment construire une relation avec Dieu ? Comment ne pas juger et espérer la guidée pour tous ? Tout d’abord, nous devons chercher des réponses à ces questions, car c’est ce que nous pouvons influencer.
Or pour pouvoir devenir très riches afin de dépenser pieusement dans le bien commun plus que les très riches impies dans le mal privé, comme ce sera probablement le cas pour certains à la proche fin des temps afin de combattre l'injustice voire sauver l'humanité, il faut devenir une élite morale religieuse parfois suite à des épreuves particulières difficiles, à un grand cœur obtenu par une noble éducation, à un suivi fréquent de la tradition prophétique, à un rapprochement profond de Dieu, ou/et à une prédication inconditionnelle à travers le bonne parole et de nombreuses bonnes actions.
-les états démocratiques déficitaires ou hommes politiques ne parvenant jamais à équilibrer les comptes de leur budget, ne pouvant donc plus ni gouverner ni faire campagne sans grossir ses dettes auprès des banques privées et des grandes sociétés d'investissement, et ne pouvant donc les supprimer, et se faisant donc acheter ou se soumettant à elles par leur influence, mais aussi aux multinationales, aux actionnaires et à leur oppression mondiale, comme le prouve la crise financière de 2008 dont le système bancaire a été sauvé par les contribuables, après avoir pourtant fait perdre l'emploi et leur vie stable à des millions de citoyens dont à travers la perte de maisons. Comme s'il devait y avoir forcément des gagnants et des perdants, alors qu'avec plus de modestie, de compassion, de modération et de sagesse, nous pourrions tous vivre dans une harmonieuse coexistence.
Ainsi, on n'attend évidemment pas des grandes banques qu'elles misent sur la faillite de pays, de populations ou de grandes entreprises comme beaucoup le font actuellement, mais qu'elles financent dans l'économie réelle les investissements durables et rentables non pas pour satisfaire les marchés ou la finance casino, mais pour le bien commun, l'écologie et donc la satisfaction des peuples. Surtout que l'économie réelle étant basée sur des mois voire des années, il est encore plus honteux que par rapport à la période suivant la fin de la deuxième guerre mondiale, dans laquelle un actionnaire devait conserver en moyenne une action cinq ans à travers une nécessaire honnêteté d'investissement dans un projet entrepreneurial, désormais ce temps moyen de conservation, par une loi totalement incompréhensible ayant autorisé le trading à haute fréquence, soit possiblement passé à une minute puis jusqu'à la conservation folle d'une simple micro seconde gérée par des algorithmes. Ce qui prouve nettement le déplorable basculement dans la cupidité au détriment de la réussite commune et dans la priorité pour l'argent sur l'humain. Ceci prouvant aussi encore que pour de plus gros bénéfices des grands actionnaires, la privatisation n'a pas pour essence d'améliorer la société, les services publics et les entreprises étatiques, puisqu'elle cherchera à baisser toujours plus lucrativement le nombre d'employés, le coût de l’entretien, et donc la qualité en général.
Encore dans le domaine de cette finance casino, les marchés financiers (Bourses) ne remplissent plus leur rôle, car ils ne sont plus des marchés où les entreprises vont trouver de l’argent pour financer des activités saines à long terme, puisqu'ils sont désormais des instruments de pari et de jeu d'argent en plus trafiqués avec le trading à haute fréquence. Il est donc urgent de revenir à une finance basée sur le réel. Surtout qu'en ajoutant à la finance casino l'immigration de masse, les salaires et retraites stagnent voire baissent inévitablement.
Et quand les contribuables doivent en plus assurer les faillites des grandes banques privées n'hésitant pas à miser sur notre faillite ou celle de pays, c'est à dire sans aucun risque pour elles sous prétexte qu'elles sont trop importantes à la société pour disparaître (Banques Too Big To Fail, Trop Grosses Pour Echouer car supportant prétendument vitalement un pays puisque n'existant plus de banque nationale ni seulement de dépôt), et donc en devenant une tyrannie totalitaire, le monde tourne vraiment à l'envers puisque faisant évaporer la justice et ainsi matérialiser la possibilité de conflit. D'autant plus donc qu'uniquement les pertes de ces grandes banques sont socialisées (mutualisées, nationalisées) comme lors de la grave crise financière des subprimes de 2008, alors que leurs gains sont privatisés. Ainsi comme il n'y a plus de risque qui justifie le profit dans le capitalisme, cela signifie la fin du capitalisme actuel, comme le prouvent l'utilisation de la crise du Covid, l'inflation et la guerre en Ukraine servant le projet du grand reset du forum économique de Davos qui veut terminer la centralisation de toute l'économie vers les ultra riches mondialistes et sionistes. Surtout que les faillites des petites et moyennes banques, l'apparition des banques centrales et l'euro numérique à venir annoncent une amplification de la centralisation financière et un changement des banques traditionnelles même too big to fail. En effet le but caché des monnaies numériques créées, régies et centralisées par les banques centrales privées est de leur donner un grand contrôle. D'ailleurs l'établissement de l'Euro numérique pourrait être en partie momentanément synonyme de réussite du grand reset mondialiste.
Ceci signifiant qu'en plus avec le rachat de nombreuses obligations aux banques et de nombreuses actions aux entreprises dont multinationales par les banques centrales comme la BCE, il s'agit bien d'une socialisation et donc d'une supranationalisation de l'économie internationale synonyme de tyrannie oligarchique mondialiste, surtout donc quand c'est une banque centrale utilisée par plusieurs pays comme la BCE. Il faut noter que l'étape suivante du nouvel ordre mondial lors des prochains cracks financiers sera probablement le rachat entier des dettes nationales par des puissances étrangères ou privées.
Extraits de l'excellent article « Les mondialistes vont avoir besoin d’un virus plus létal... au fur et à mesure que la fraude économique sera exposée » consultable à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-mondialistes-vont-avoir-besoin-d-un-virus-plus-letal-63053.html :
« Le vieux mantra « Too big to fail » est un mensonge. Rien n’est trop grand pour faire faillite, et cela inclut l’économie américaine et le dollar. Il suffit d’un seul instant, voire d’une simple révélation que le système du schéma de Ponzi est non pas imparable mais insoutenable. Sans une croissance tangible du secteur manufacturier et une classe moyenne forte, une économie ne peut pas survivre longtemps. Un système en perte de vitesse basé sur des « produits financiers » illusoires et une comptabilité créative est condamné à s’effondrer à terme. Il a suffi que le FMI critique les politiques qu’il avait initialement approuvées et annonce qu’il supprimait l’aide financière, et l’enfer s’est déchaîné en Argentine. L’idée que le système est une fraude, mais fonctionne, a disparu. En effet le monde sait maintenant qu’il s’agit d’une fraude dysfonctionnelle et que l’effondrement ne saurait être très loin. En outre, la collusion entre les banques, les fonds spéculatifs et les grandes entreprises technologiques a été révélée de manière flagrante. Ces relations sont censées rester cachées dans l’éther. Elles sont évidentes pour toute personne ayant des connaissances et un sens financier, mais elles ne sont pas censées être dévoilées au grand jour. Certains pourraient dire que l’establishment a été forcé de se démasquer (avec le Covid) suite à l’action d’activistes. Peut-être. Mais lorsque les criminels commencent à admettre ouvertement leurs crimes, c’est probablement parce qu’ils pensent qu’il est trop tard pour que quiconque puisse faire quoi que ce soit. Le fait est que les banquiers et les mondialistes ont des moyens pour éviter d’assumer la responsabilité des catastrophes qu’ils provoquent. En effet lorsqu’une escroquerie éclate, ils ont toujours des boucs émissaires pour porter le chapeau. Surtout qu'avec le temps, cela a créé une dynamique viciée dans laquelle les élites financières qui ont construit l’économie comme une bombe à retardement sont traitées comme des victimes ou des héros, et les personnes qui disent la vérité sur les fraudes sont traitées comme des méchants et des criminels. Les activistes des marchés boursiers et les guérilleros des marchés de l’argent sont-ils responsables de toute crise qui pourrait éclater dans un avenir proche ? Non, bien sûr que non, mais ils auraient pu être quand même blâmés. En effet si le krach s'était produit lors de la présidence de Trump, les investisseurs militants auraient pu être blâmés, Trump aurait pu être blâmé, et les conservateurs et les militants de la liberté aurait pu être blâmés. Mais si le Big Krach se produit avec les mondialistes aux commandes, ils seront légitimement les seuls à être blâmés. »
Cette dernière analyse rejoint celle de Youssef Hindi ayant dit qu'il vaut mieux que Macron et la Banque soient au pouvoir quand l'effondrement économique arrivera. Par conséquent le vol de la présidence à Trump pourrait aussi être un mal pour un bien organisé par Dieu.
De plus cette finance visible profitant de ce système corrompu représente seulement 0.01 % de la population, alors que les autres 99.99 % invisibles en subissent les mauvaises conséquences, et que l'inverse serait déjà totalement injuste. Tout cela étant aussi gravement injuste et bas que la plupart des journalistes qui cachent ces vérités et participent donc au mensonge, à la corruption, à la manipulation, à la division et au chaos, alors qu'ils sont pourtant souvent subventionnés par l'Etat et donc les contribuables.
A ce sujet il paraît très étonnant que les politiciens ayant très mal géré l'Etat ne soient pas écartés définitivement du pouvoir, et qu'on demande toujours au peuple de payer ou de vivre moins bien pour réparer leurs erreurs. Ainsi ceux qui ne sont pas contre tout ce système corrompu, en se satisfaisant donc d'être des esclaves soumis à ce pervers pouvoir des banques, des oligarchies, des mondialistes, des wokistes, des sionistes et de divers lobbies, plutôt qu'à l'irréprochable sagesse divine, reconnaîtront au Jour du Jugement Dernier leur valeur inférieure à celle des déchets. Il est est intéressant de lire à ce sujet l'article « La domination bancaire en cinq étapes » à l'adresse suivante http://lesakerfrancophone.fr/les-5-etapes-de-la-domination-mondiale
-assemblées nationales ne représentant plus majoritairement le peuple sur certains sujets, à cause d'un système d'élection représentative divisant le peuple plus que le liant, et des députés ou présidents étant souvent commandés par leur partis politiques ou des groupes de pressions, votant certaines lois souvent par des absences, ou validant certaines politiques nationales ou internationales que seuls des référendums devraient valider. Les franc-maçons représentent même 40% des parlementaires alors qu'ils sont 0,34 % des électeurs.
-grands gestionnaires de fonds privés massifs type Blackrock et Vanguard (aussi de plus en plus too big to fail de même donc que les nations hébergeant leur siège social) s'occupant encore sous une forme de mondialisme privé des retraites de certaines nations et contrôlant même les banques centrales en gérant environ un tiers du capital d'investissement mondial. Et derrière Big Pharma, il y a aussi Black Rock et Vanguard, ce qui prouve le totalitarisme de la haute finance internationale. Surtout que cela est en plus associé au totalitarisme du Big Tech qui ne paye pas d’impôts chez nous et se fait un profit massif sur la numérisation de l’économie, c’est-à-dire par sa destruction de l’économie productive et réelle en faveur d’une économie virtuelle de services. De plus honteusement avec internet et les réseaux sociaux, ce Big Tech partage lucrativement avec les gouvernements corrompus, les données tirées de la surveillance de tout citoyen dont de récalcitrants à ce totalitarisme bancaire, sanitaire, financier, économique, mondialiste, wokiste, sioniste et ploutocratique.
-grand reset financier recherché prétendument pour effacer les dettes, alors qu'elle seront seulement diminuées avec la condition honteuse que le pouvoir des ultra riches mondialistes augmente beaucoup dont au niveau supranational, même au détriment des autres.
Alors qu’en temps normal il suffit d’une petite proposition de loi (liberticide ou antipopulaire) sur un sujet mineur pour déclencher les foudres des syndicats, le soulèvement des partis, les hurlements des députés et les pétitions des people, et que là la France plonge dans les profondeurs d’une crise économico-sociale sans précédent amenant à ce grand reset, l’opposition officielle regarde ailleurs. C’est tellement surréaliste qu’on a du mal à y croire. Rares sont les personnalités politico-médiatiques qui osent dire tout simplement aux Français, en état de sidération durable, ce qu’il se passe vraiment : on bascule dans la tyrannie mondialiste d’une collusion entre multinationales, institutions mondialistes ou européistes et gouvernements corrompus. Ces derniers étaient depuis des années secoués par l’insoumission des peuples dont les gilets jaunes, des peuples régénérés et regonflés politiquement par les échanges horizontaux structurants sur l’Internet, qu’ils ont fini par opter pour le pire : détruire la démocratie (ou ce qu’il en restait) par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, afin de diminuer la contestation, imposer leurs décisions sataniques, appauvrir le pays pour conserver leur pouvoir, étouffer la liberté d’expression pour garder la main sur la parole publique, et actionner la répression à la moindre demande de justice. Avant que ces potentats ne finissent dans les poubelles ou les fosses de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû sortir (mais ils ne sont que le salaire de l’ignorance et de la crédulité des peuples), il faudra résister en bloc, échanger sous les radars et organiser la défense. Dans la guerre désormais ouverte entre une oligarchie déchaînée et les peuple, les français disposent de plusieurs armes :
.le nombre : la plupart des Français vaccinés ne l’ont pas fait pour des raisons sanitaires ou parce qu’ils croyaient à la propagande politico-médicale, mais bien parce qu’ils voulaient continuer à vivre normalement ;
.les réseaux sociaux : même s’ils sont soumis à une censure inégalée, ils sont acquis à la résistance ;
.la rue : les manifestations maintiennent la pression et entretiennent le sens du collectif ;
.le travail de conscientisation politique et d'amélioration religieuse.
C'est important car comme Jean-Paul Brighelli l'a dit : « Le Covid est la maladie qu’attendait le post-libéralisme. Un prétexte pour restructurer complètement l’économie capitaliste. »
En effet il ne s'agit pas d'une remise à zéro de l’économie pour de meilleurs conditions de travail ou de vie, c’est un anéantissement des forces économiques dites traditionnelles pour laisser la place à la néo ou post économie, celle qui satisfait la Banque et le pouvoir profond. Le système veut répandre cela comme une transition vers une nouvelle normalité basée entre la crise financière, le Covid, le vaccin, l'inflation, la sionisme, le wokisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, l'effondrement économique et l'acceptation des peuples. La même chose s’est opérée aux États-Unis au début du 20e siècle quand l’organisation traditionnelle économique, basée sur des cellules de production familiales, a dû laisser la place, par la force et par la publicité (du pseudo bonheur vanté par les magazines), au grand esclavage du travail industriel, qui a fait sortir le fier artisan de chez lui pour le transformer en ouvrier éteint contrôlable par le salariat, cet esclavage rémunéré. Stuart Ewen a décrit ce processus de destruction à la fois sociale, économique et humaine, ce premier Grand Reset de l’époque dite moderne, dans son ouvrage « La Société de l’indécence ». Mais comme cela a au final facilité le progrès scientifique et donc amené le confort, cela n'a donc rien à voir avec la tyrannie oligarchique en plus possiblement populicide du grand reset. De plus ce futur grand reset serait prétendument aussi un changement de paradigme vers un monde numérisé beaucoup plus écologique et moins consommateur dont d'énergie, alors que la demande en pétrole revient fortement et le prix du gaz permettant de ne pas avoir froid l'hiver augmente.
Pour s'établir en faveur de la tyrannie du big money, ce grand reset se sert du big tech, du big brother, du big data, du big market, du big buisness, du big bank, du big pharma et du big média.
Ainsi toutes les longues crises économico-sociales sont d'abord le seul moyen d'affaiblir les grandes économies et donc nations car cela détruit leurs mécanismes de défense, afin de les faire accepter plus facilement l'agenda du grand reset unipolaire mondialiste dont avec les petites qui suivront servilement, sauf si ces grandes et petites nations s'orientent vers la multipolarité proposée par l'axe russo-chinois. Et comme ce grand reset, qui est un renforcement déguisé du système mondialiste actuel, devra se faire en rapport avec les aspirations populaires, les crises entretenues et donc prolongées comme celles du Covid (occidentale), de l'inflation et de la guerre en Ukraine sont aussi des ingénieries sociales servant à fatiguer les peuples pour diminuer ces aspirations. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'ARNAQUE du Grand Reset » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ&t=328s
Extrait de l'interview de Lucien Cerise à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-Nous-allons-entrer-dans-le-royaume-de-la-deglingue-definitive-et-de-l-effondrement-62824.html :
« Une ingénierie sociale et une fabrique de l’opinion sont clairement en cours avec la grande réinitialisation de l'économie et de nos cerveaux par le système. Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Son action est le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution. En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. Or pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus. Ce que l’on appelle le « risque » est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Selon Ellen Brown c’est ce cercle de représentants des banques centrales des G7 et de Black Rock qui se voit plusieurs fois en semaine à New York qui serait responsable de l’application et de l’extension du confinement Covid et des mesures Covid. Cela s’est passé presque simultanément dans un très grand nombre de pays qui sont sous tutelle des G7 à partir de mars 2020. Donc les explications sociologiques et psychologiques sont intéressantes, mais il faut aussi regarder les conditions économiques et financières qui sont déterminantes. Et arrêtons de trop exagérer l’importance de Davos. Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif. De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire. … Le monde peut donc sombrer dans l’inintelligence artificielle pouvant avoir de bugs ou être trafiquée et le stade terminal de l’idiocratie si les pieux ne s’approprient pas la blockhain et la cryptomonnaie décentralisée synonyme de perfection économique. Surtout qu'avec le covid, le mondialisme supranational ploutocratique peut désigner l’abolition de toute régulation commerciale d'une nation possiblement jusqu'à l'interdiction de la liberté d'entreprendre. »
Or avec l’aide des Big Data et des nouvelles technologies, l’OTAN entend même modifier non pas ce que pensent les individus mais leur manière de penser, et ainsi faire de tout un chacun une arme.  De même les mondialistes du forum de Davos vont se servir du Big Data pour tenter d’arriver à leur fin comme le prouve cette citation de la revue « The Economiste » qui est lié au Rothschild : « les données sont plus précieuses que le pétrole. » Dans l'essai « Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle » issu d’un think tank, l’OTAN dresse les contours d’un virage stratégique majeur qu’elle s’apprête à effectuer. Jusqu’à présent, l’organisation transatlantique définissait cinq domaines opérationnels pour ses activités militaires, à savoir : la terre, la mer, les air, l’espace et le cyber-espace. Mais pour les têtes pensantes de cette alliance, les conflits présents et à venir ne seront plus seulement « cinétiques », c’est à dire cantonnés au mouvement et à la destruction physique, mais se situeront (et se gagneront) ailleurs.
D'ailleurs la technocratique corporatocratie occidentale des oligarques provient de l'expansion du réseau des ONG et des médias qui a déjà assuré la colonisation d'une grande partie de l’esprit collectif même des anciens peuples captifs de l’Empire soviétique. La « thérapie de choc », l’instauration du régime de libre-échange, l’imposition de prêts exorbitants, la privatisation de masse et la libéralisation des prix ont quant à elles assuré la colonisation économique. Le diktat des vainqueurs de la Guerre Froide après l'effondrement de l'Union Soviétique a imposé le paradigme libéral comme une idéologie unique à caractère axiomatique ayant généralement produit l’uniformisation et la vassalisation du spectre politique dont dans l'espace ex-communiste. L’imposition de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce, à l’Union européenne ou/et à l’OTAN ont achevé le processus de soumission de la plupart de ces pays ex-communistes. La crise des subrprimes, le Covid, les mesures sanitaires, l'inflation, la crise énergétique et la guerre en Ukraine ont elles servi à faire souffrir les peuples occidentaux en particulier européens pour leur faire accepter plus facilement le grand reset, cette utopique convergence ploutocratique d'intérêts d'oligarques pervers au niveau occidental voire mondial. Ce qui prouve que ce sont les pays parmi les plus riches qui sont principalement visés, surtout aussi car leurs peuples sont potentiellement les plus capables de se rebeller et d'empêcher le grand reset mondialiste une fois réveillés ou/et plus soumis.
Cependant les élites perverses organisant le grand reset lié au progressisme et au mondialisme pensent follement ou veulent faire croire sataniquement que l'Histoire humaine est une évolution illimitée, puisque son but final serait de fusionner notre identité physique, digitale et biologique, dans une forme de transhumanisme numérisé n'ayant pas de limite jusqu'à la robotisation des hommes, et signant donc la fin de la nature humaine.
« L'humanité est passé par quatre époques : une époque où le monde vivait sans machine, puis avec des machines, puis avec des machines remplaçant l'homme, puis l'homme devenant (dangereusement) une machine (transhumaniste, en sachant que des microprocesseur ont déjà été installés dans une boîte crânienne). » (Virilio)
C'est pourquoi tout humain en particulier monothéiste doit dénoncer toute cette perverse idéologie mondialiste transhumaniste, surtout qu'elle sera entièrement contrôlée par les oligarchies corrompues.
-plutôt que d'augmenter la rémunération minimale de l'heure travaillée des salariés et de baisser les charges des PME leur permettant un meilleur développement, État imposant sévèrement la classe moyenne entrepreneuriale et contrôlant au goutte à goutte les aides sociales dans une forme d'hyper étatisme avantageant excessivement les multinationales surtout que moins imposées.
-capitalisme informatisé, supranational, abusif, oppressif et parasitaire qui déstabilise voire détruit dont par les automatisées industries et la cupide finance mondialiste spéculative, le capitalisme entrepreneurial de la moyenne bourgeoisie et de l'économie réelle de nombreuses nations, et donc les métiers de la production, et donc les peuples, et donc la vie humaine, et donc la géopolitique, et donc le monde. En effet le capitalisme financier apatride s'oppose en réalité au capitalisme entrepreneurial familial.
Ainsi il faut bien comprendre que dans l'excellente civilisation divine de l'islam, l'économie nécessite logiquement les sages règles essentielles apportées par le Coran pour garder un équilibre vital au même niveau que les sciences naturelles ou les sciences physiques, et que généralement quand elle est juste, elle influe souvent favorablement sur la politique et la géopolitique, même si c'est avant tout les idées pieuses ou impies qui sont le moteur de l'Histoire (lié aussi aux rapports de force) comme le prouve Youssef Hindi dans ses livres. L'Histoire n'est pas principalement la résultante d'un rapport de production ou d'opposition simple entre prolétariat et bourgeoisie ni donc une mécanique auto-entraînée, mais plutôt un rapport de croyances comme du temps de l'empire romain, chrétien ou musulman, quoiqu'il est arrivé évidemment que l'économie fasse une partie de l'Histoire. En effet il existe aussi parfois une dictature du réel dont concernant la nécessité d’approvisionnements en énergie, en matières premières ou en aliments dont à l'étranger.
Cependant actuellement l'évolution historique provient donc d'abord d'idées religieuses perverties, en particulier de celle croyant que le peuple juif serait son propre (faux) messie, dont l'esprit pourrait être le sionisme, la sacralité pourrait être la lutte contre l'antisémitisme (au point qu'on parle désormais plus d'antisémitisme et de lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme que de Dieu et Sa cause christique sacrée), corps pourrait être la réapparition de l'Etat d'Israël interdite par Dieu et le système pourrait être le financier mondialisme laïciste oligarchique diminuant la piété noblement insoumise et inspirante en autorisant usure, mariage homosexuel, changement de sexe, jeux d'argent, pornographie, etc.
De même la république franc-maçonne lié au messianisme oligarchique, juif et supranational veut que les peuples deviennent des républicains laïcistes et apatrides et donc une sorte de messie collectif (à l'image des dérives donc du peuple juif mais aussi du prolétariat dans le Marxisme sauf que dans une forme entièrement universaliste) pour faire advenir les temps messianiques. Différents Think-tank dans le monde comme le CFR et le club Bibelberg sont les principaux centre de décisions pour les intérêts de cette oligarchie mondialisto-financière cherchant une sioniste pax cosmopolitica pour remplacer l'actuelle pax americana.
« Chez Nexus, Étienne Chouard, ancien professeur de droit et d’économie à l'origine de la proposition du Référendum d’Initiative Citoyenne lors de l'épisode des gilets jaunes, nous explique qu’aujourd’hui nous devons voir les causes du problème et non ses conséquences. Nous devons comprendre cette potentialité à ce qu’il y ait des tyrans dans notre système politique afin d’en corriger sa constitution :
« Nous sommes dans une démission du processus constituant. Nous sommes trop infantilisés par l’élection. »
« Les néolibéraux détruisent les services publics, les systèmes d’entraides et assistances depuis la fin des années 70 en travestissant leur actes en mettant les mots à l’envers avec régression = réforme ou plan de licenciement = plan de sauvegarde de l’emploi. La réforme des retraites est une escroquerie langagière, réforme veut dire amélioration et là, on a à faire à une régression, une agression sociale. Une bonne constitution doit faire peur au pouvoir. Les gens qui sont au pouvoir sont dangereux, si on ne le voit pas avec les retraites ou les guerres, on ne le verra jamais. »
« Nous avons en France la constitution la plus tyrannique. Chez nous le parlement a été rationalisé par le coup d’état de 1958. Le contrepouvoir du parlement dans la 5e république est factice. Depuis 1958 les parlementaires sont appelés des godillots. »
« On laisse les riches acheter les médias qui ces derniers deviennent des pourchasseurs de complotistes ! C’est complètement mis à l’envers ! » « La constitution et ses textes sont les plans de notre prison politique et, dans cette constitution, il n’y a pas le peuple ! Ce n’est pas aux hommes du pouvoir d’écrire les règles du pouvoir ! »
« 1789, c’est le début du capitalisme par le prise de pouvoir des marchands. Avant, ils n’avaient pas la possibilité de légiférer. Aujourd’hui, ils ont pris le contrôle de la monnaie, des armées, etc. »
Sur la guerre au sens large, Étienne Chouard nous dit :
« La guerre est intimement liée aux gens de pouvoirs apatrides qui sont aux commandes politiques. Il faudrait :
. Pas de guerre sans référendum . Ceux qui la veulent vont la faire, et au front
. Tous les 6 mois on revote et vous verrez qu’on aura plus de guerre si tous les pays appliquent cette constitution »
« Nous devons devenir des adultes politiques. La monnaie, les services publics comme l’eau, les écoles, les mairies, etc, nous devons nous en occuper. Le chômage est une construction politique, c’est un outil d’oppression pour faire peur. » » (Le Média en 4-4-2)
Or le plan du faux messie peut plus correspondre actuellement au national sionisme prétendant revenir dans des nations non juives à la société traditionnellement chrétienne, alors qu'il servira le sionisme une fois au pouvoir dont en participant à la division du peuple. Mais lorsque ces impostures seront reconnues massivement, cela peut tout de même participer à faire revenir la véritable tradition monothéiste christique. Surtout qu'en ne croyant pas aux récompenses célestes, en ayant muté en une politique déguisée d'athéisme globaliste tout de même messianique puisque afin d'arriver ensuite à une théocratie en Israël, et en essayant de diluer l'humanité dans une irréalité basée sur une stupide rébellion impie dont à travers la défense du contre-nature wokiste par opposition à la raison et au verbe représentant le naturel, l'historique, l'intelligence et la piété, ce judaïsme là est extrêmement égaré et donc facilement condamnable.
(S98v6) « Les infidèles parmi les gens du Livre ainsi que les associateurs iront au feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement. De toute la création, ce sont eux les pires. »
Les juifs américains ou français (les deux gros bataillons de la diaspora) qui ont voulu il y a trois ans faire leur migration (aliyah) en Israël pour découvrir ce prétendu plus beau pays du monde en sont pour leurs frais : cette entité née par la force et la ruse en 1948, qui était déjà une dictature militaire tournée contre les Arabes de l’extérieur et les Palestiniens de l’intérieur, est devenue en deux ans à peine une dictature pour ses propres citoyens, malgré les lois racistes et raciales qui avantagent les juifs sur les Arabes. Là-bas, c’est Vichy tous les jours, avec la piqûre désormais en plus. Et là-bas comme chez nous, la dictature des élites perverses avance en parallèle du progressisme, c’est-à-dire des injonctions calculées de la tribu mondialiste. Et on ne parle même pas du terrorisme préventif, de la corruption endémique au sommet de l’État, des viols successifs du droit international, du wokisme, comme chez nous. Pourtant il y a un siècle, le sionisme était de gauche, et de gauche pure, c'est à dire sociale et non sociétale. Mais après sa transformation par le talmudisme, il est aujourd’hui une dictature militaire en Israël couplée à un wokisme mondialiste qui fait croire sournoisement aux minorités à l’égalité, et à la majorité à la démocratie. Les avancées micro-communautaires ne sont en fait que les petits espaces de « liberté » accordés par la dictature à ses soutiens idéologiques.
Comme dans le mondialisme occidental, la progressiste lutte folle et donc impie des perverses élites israéliennes contre l'intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence que par choix, cherche donc à maléfiquement transcender les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres et de toute chose pour faire advenir de faux temps messianiques, puisque étant gravement ou plutôt perversement et diaboliquement basés sur la croyance qu'ils seront modernes dont à travers l’idéologie libérale laïciste, c'est à dire sans lois morales naturelles ou monothéistes et donc sans lois comme dans le jardin d'Eden originel.
« Pour les Européens, l’Amérique était une terre vierge juridiquement. Il n’y avait de droit que celui qu’ils y importaient. Le droit tel qu’il existait sur le continent européen n’avait pas cours en Amérique. Les princes et les peuples européens « s’étaient mis d’accord pour considérer que dans certains espaces l’opposition entre droit et non-droit n’existait pas ». Et cela s’est traduit par la non application, sur le sol américain, du droit européen. Le calviniste Isaac de La Peyrère (1594-1676) avança même l’hypothèse que les premiers habitants de l’Amérique seraient les descendants d’une humanité antérieure à Adam. L’autre idée, fondamentalement religieuse aussi, est celle d’absence de loi dans ce monde à la fois nouveau et primitif. Absence de loi dans ce « jardin d’Éden », puisque la loi (connaissance du bien et du mal) n’existait pas avant le premier péché ; et absence de loi dans le monde nouveau correspondant à l’ère messianique, où la loi est levée puisque « le lion et l’agneau paîtront ensemble » d’après l’eschatologie biblique. » (Youssef Hindi)
C'est à dire que ces messianistes égarés voire diaboliques veulent abolir toutes les règles dont pour atteindre l'immortalité par la science dans une interprétation donc corrompue du sens religieux du retour promis à l'Eden terrestre mais complété, où il n'était interdit que de manger d'un fruit. D'ailleurs la laïcité ultra libérale, oligarchique et inégalitaire des USA et de l'Occident euro-atlantiste se répandant au niveau mondial était pour certains la fin de l'Histoire, en particulier après l’effondrement de l'URSS. Or évidemment, l'Eden terrestre complété réapparaîtra complété seulement par une élévation morale de l'humanité suivant les authentiques lois monothéistes entièrement révélées ainsi que le caractère, la moralité, le comportement et la tradition prophétiques, et donc l'ennoblissement maximal, et certainement pas par la laïciste disparition légiférée de la loi naturelle divine et monothéiste qui autoriserait transsexualité, mariage homosexuel, ploutocratisme, et même transhumanisme numérique qui pourrait être une purification physique par le métal et une élévation intellectuelle par l’électricité alors que déshumanisant. Les USA allant dans ce sens sont donc anomiques (sans lois) voire antinomiques et ainsi antichristiques. Il est intéressant de lire à ce sujet le très bon article « COVIDisme, sécuritarisme et racialisme : armes d’auto-aliénation » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/COVIDisme-securitarisme-et-racialisme-armes-d-auto-alienation-60201.html
En effet, il est absolument certain que c'est par le respect général des intelligents commandements divins que la parfaite paix bénie du Jardin d'Eden reviendra sur terre et pas par le suivi général d'un fou libertarisme humain. Dans ce sens comme il a déjà été vu, les pays occidentaux doivent comprendre intelligemment que pour leur propre pérennité et celle de l’Afrique, ils devraient plutôt développer ce continent plutôt que de baser leur économie à le piller, puisque il finira par ne plus rien rester, ce qui détruira aussi les bases de cette économie occidentale, qui s'effondrera comme tous les empires de l'Histoire, alors que de nouveaux consommateurs des produits occidentaux entretiendraient leur économie. En effet comme la plupart des choses, les empires ont une naissance, une croissance, une dégénérescence et une mort, mais parfois une résurrection comme le futur retour du califat bien guidé qui sera en plus complété.
D'ailleurs comme l'effondrement systémique d'un empire est aussi lié à son expansion excessive s'éloignant toujours plus de son centre, cela pourrait expliquer pourquoi les États-Unis se retirent de diverses parties du monde, surtout qu'il est de plus en plus temps que leur économique hégémonie destructrice laisse la place à un système apportant la stabilité que pourrait incarner le retour prophétisé d'un califat bien-guidé lié à la multipolarité mondiale.
En effet les lois islamiques concernant l'économie ayant été établies par le Sage Seigneur Omniscient, cela correspond clairement à un théorème mathématique où la moindre erreur dans cette équation posera de gros problèmes tôt ou tard telle une construction mal montée finira par s'écrouler, comme l'annoncent et le représentent la crise financière de 2008 ayant appauvri des millions de gens et tous les problèmes économiques, financiers et monétaires mondiaux actuels.
C'est à dire que par opposition au corrompu système économique international imposé par les Etats-unis, le divin système économique du califat islamique apporterait évidemment une meilleure stabilité mondiale par sa justice, son équité, ses valeurs naturelles, son harmonie, son interdiction de l'usure et son impôt social (zakat) prélevé sur l'argent thésaurisé afin d'éviter que le système financier pourrisse comme l'eau stagnant et ne circulant pas pourrie. En effet il s'agit d'un système ne pouvant qu'éviter les grandes crises économiques du capitalisme de plus en plus instable par un libéralisme libertaire à outrance, une hyper consommation que de moins en moins de personnes arrivent à suivre et une amplification des inégalités économiques n'avantageant que les intérêts des ultra riches.
Surtout que selon Aristote et le monothéisme, l'économie est une branche de la morale et doit être surdéterminée par les valeurs transcendantes, et sa place devient donc une succursale de la morale devant aussi logiquement faire tendre l’humanité à une noble gestion empathique des autres. Ainsi l'économie doit être sous contrôle de la morale et donc du politique. Cependant l'économie a illégitimement et donc perversement pris le dessus sur le politique, dont à travers les mathématiques (appartenant prétendument au monde scientifique) qui pourtant la servait auparavant, alors que l'économie correspond à des rapports de force humains : production, consommation, entre-aide, création de richesse, domination ou parasitisme.
Or si ce bon changement de paradigme n'arrive pas progressivement dont possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie éthiques décentralisées, le système financier américain étant basé sur de mauvaises règles économiques (planches à billets massives baissant fortement la valeur du dollar, usure, trading à haute fréquence, spéculation immorale), dont la plupart des pays dépendent par le pétrodollar, s’effondrera donc inexorablement en les entraînant avec lui. Ce qui pourrait provoquer un chaos économico-social presque planétaire bien plus grave que la crise de 1929 ou celle de 2008, surtout que le statut de réserve mondiale du dollar (monnaie la plus utilisée dans la majorité des échanges commerciaux dans le monde) signifie que les dollars sont susceptibles d’être détenus massivement à l’étranger dans des banques et des entreprises étrangères pour être utilisés dans le commerce mondial. La fin du dollar comme monnaie internationale sera d'ailleurs par exemple probablement la fin de l'Union Européenne, car les USA chercheront des actifs pour maintenir leur monnaie, jusqu'à prélever l'argent publique voire particulier de l'UE, puisque les multinationales liées à l'UE ont une grande partie de leur bilan en dollar. D'ailleurs suite à l'oppression économique, financière, monétaire ou/et miliaire des USA envers une nation, tout ambassadeur américain commence par aller voir le gouverneur de la banque centrale locale pour lui demander d'acheter des bons du trésors américain en dollar et donc de la dette américaine. D'ailleurs Guy de la Fortelle partage l’idée de Charles Gave selon laquelle les pertes accumulées par les banques centrales et les États pourraient déjà les amener à prélever directement de l’argent sur les comptes bancaires des citoyens. Il faut noter que cette monnaie de réserve mondiale est irréligieuse car elle est basée sur l'usure, puisqu'il faut que les USA émette de la dette pour que les autres pays en achète. Surtout que la force du dollar était fondée pendant les dernières décennies sur la fiabilité et le caractère protecteur de la superpuissance américaine au niveau économique et militaire, alors que maintenant, elle est fondée sur les sanctions, l'extraterritorialité, le chantage, les embargos. Il y a donc un processus logique de reprise d'autonomie par les nations en particulier via ces BRICS+.
Après avoir vu comment la monnaie américaine, par étapes successives, avait réussi à s’emparer du monopole des échanges internationaux, notamment ceux du pétrole, les banquiers internationaux ont méthodiquement poursuivi leur conquête du monde. Après avoir anéanti les monnaies du tiers-monde et de certains pays « émergents », porté un coup fatal à la monnaie japonaise, tenté de détruire l’euro en germe avant de l’utiliser pour écarter l ‘Allemagne de la Russie après l’écroulement de l’URSS et la réunification allemande, ces banquiers se sont attaqués aux monnaies asiatiques. Du coté de l’extrême-orient, l’axe financier City-Wall street, après s’être attaqué au Japon, qui devenait un rival dangereux, a continué à couper les têtes qui dépassaient. En ligne de mire, les pays du Sud Est asiatique qui avaient, depuis 1970, connu un développement économique important, résultant d’une mobilisation de l’épargne très importante. Des investissements sans précédent dans ces pays permirent de mettre en valeur leurs ressources respectives. Cela eut pour effet une régression de la pauvreté et une augmentation du niveau d’éducation de leurs habitants.
La rupture avec le consensus de Washington de 1989 devint alors évidente car la doctrine, essentiellement néo-libérale, qu’il prônait ne pouvait que renforcer l’emprise des banquiers internationaux sur l’économie de ces pays, qui auraient dû faire faire appel à eux pour se développer, au prix d’un endettement exponentiel. Ces dettes, contractées en dollars devaient être remboursées dans cette monnaie et toute dépréciation des monnaies de ces pays ne faisait qu’accroître leur dépendance. En outre, cela permettait aux banquiers internationaux de les obliger à se constituer d’importantes réserves en dollars, ce qui supposait d’imprimer encore davantage de billets américains et donc d'en inonder la planète afin de la dominer en grande partie pour que le dollar devienne essentiel ainsi donc que les USA. Les banquiers sont passés à l’attaque en déclenchant une véritable guerre des monnaies dont le but était de déprécier le plus possible ces monnaies nationales.
Mais la résistance monétaire a déjà commencé non seulement au sein des Etats en conflit direct avec USA et leur dollar, mais aussi dans des Etats non en conflit avec eux, à commencer par les pays du Sud-Est asiatiques qui veulent créer leur propre fonds monétaire. La Thaïlande avait essayé par exemple de se mesurer aux banquiers internationaux mais avait perdu, car elle avait fait appel au FMI et perdit ainsi toute autorité pour décider des mesures économiques à prendre face à la dépréciation de sa monnaie, laquelle se traduisait par une nouvelle augmentation de la dette devenue insoutenable.
Hongbing Song résume la situation dans le livre « La guerre des monnaies » :
« La deuxième raison de la défaite financière de la Thaïlande vient de ce qu’elle n’avait aucune conscience des risques. Surtout, elle n’était pas préparée psychologiquement à la guerre que l’énorme puissance se mouvant au cœur de l’axe Londres/Wall street allait mener contre elle sans jamais la déclarer. Les autres dirigeants asiatiques n’étaient pas mieux préparéset répétèrent les mêmes erreurs que celles qui conduisirent à la double défaite financière de la Thaïlande, se trompant sur la direction prise par l’ennemi et livrant ainsi leurs pays aux pirates financiers et au FMI. Les loups solitaires suivent chacun leur propre logique, mais quand ils chassent en meute, ils appliquent le principe de la division du travail. Très vite, Soros, accompagné de Citibank, Goldman Sachs et d’autres grands groupes bancaires, coordonnèrent leurs actions prédatrices. Les « proies » blessées qui gisaient à terre se laissèrent achever par le FMI dans une vente aux enchères qui fit saliver les entreprises européennes et américaines.
Ces banques ont appliqué le principe de la « vente par appartements » et réalisèrent des gains phénoménaux. Le Japon proposa alors de créer un fonds monétaire asiatique, qui ne servirait qu’aux pays d’Asie lorsque ceux-ci auraient des difficultés financières. Évidemment, la finance « mondialisée » mit tout en œuvre pour détruire ce projet : « Nous pensons que l’institution appropriée pour s’occuper d’un problème comme celui-ci doit être trans-régionale et internationale, plutôt qu’une (institution) régionale nouvellement créée, parce que le problème à lui-même des ramifications qui vont bien au-delà des frontières de cette région » déclarait Strobe Talbott, Secrétaire adjoint du Département d’État américain. Le vice-secrétaire d’État au Trésor américain, Laurence Summers, passa immédiatement à l’action en évoquant que ce fonds asiatique encouragerait les pays dans leur laxisme budgétaire. Bref, la finance mondiale mit tout en œuvre pour garder son emprise dominante sur la planète. Plusieurs pays, dont le Japon, rentrèrent dans le rang en faisant amende honorable, mais certains ne s’y résignèrent pas. Ce fut le cas de la Malaisie, dont le Premier Ministre Mahatir Bin Mohamad, laissa éclater sa colère en posant les bonnes questions : « Qui sont ces banquiers qui peuvent mettre à la disposition de leurs clients des milliers de milliards de dollars ? Quelle est la ressource en capital de ces banques ? Combien d’argent a-t-il été investi dans celles-ci et par qui ? Comment ces banques peuvent-elles devenir plus riches que la plupart des pays dans le monde ? »
Ce premier ministre s’attaquait au principe même de la création du dollar en tant qu’argent-dette, mais les peuples du monde n’étaient pas préparés à écouter ce discours, pourtant plein de bon sens. Après le Japon, la Thaïlande et la Malaisie, vint le tour de la Corée du Sud. Bien qu’alliée depuis toujours aux USA, les financiers internationaux ne lui firent aucun cadeau et, bien au contraire, les conditions exigées par le FMI furent particulièrement sévères. Mais, trop, c’était trop et le gouvernement sud-coréen rejeta en bloc le diktat du FMI et refusa la faillite de ses entreprises et de son système bancaire. La crise financière fut surmontée au printemps 1998 et la balance commerciale se redressa vite. Ils comprirent alors que l’économie devait être dirigée uniquement au niveau national, ce qui fut fait. Le prix à payer par le peuple coréen fut lourd, mais les axes choisis par les gouvernants étaient bons et, en 2010, l’économie sud-coréenne occupait le quinzième rang mondial. Les autres pays d’Asie suivirent la même voie et l’ensemble du continent put ainsi échapper à la mainmise des banquiers internationaux. D’autant plus que les systèmes financiers chinois et indiens n’avaient pu être pénétrés par eux en raison de leurs protections nationales. Cette victoire financière remportée en Asie aurait dû agir comme un voyant d’alarme pour les financiers mondialistes. D’autant plus que la crise des « subprimes » allait souffler un vent de panique sur le système bancaire occidental dès 2007. Dès lors, c’est tout le système dollar qui était fragilisé.
Certains monétaristes avaient déjà identifié les deux types de monnaies et l’avaient résumé en « monnaie-dette » et monnaie « non-endettée ». La première est émise contre une dette, c’est-à-dire une promesse de remboursement futur, mais n’a pas de valeur économique. Elle est souvent appelée monnaie fiduciaire, ou monnaie de confiance. La seconde représente une valeur, souvent une quantité de masse d’un métal précieux (or ou argent par exemple) et est appelée monnaie désendettée. Au début, le dollar était une monnaie indexée sur l’or, donc désendettée. C'est à partir de la création de la FED que les « mauvais dollars » apparurent. La FED fut créée en 1913 pour financer la guerre l’année suivante...
Hongbing Song écrit (page 323) : « A partir de 1913, les « dollars de mauvaise qualité » expulsèrent petit à petit les « dollars de bonne qualité » d’or et d’argent des réserves intégrales. Les banquiers internationaux qui voulaient créer un système financier mondial monopolistique de réserves fractionnaires atteignirent leur objectif et parvinrent même à exclure le gouvernement du domaine d’émission de la monnaie. Ils firent leur possible pour diaboliser l’or et l’argent, et dans les années 60, ils réussirent à abolir le dollar-argent. En 1971, ils mirent fin à ce qu’il restait de la relation entre l’or et le dollar. Dés lors, le système des réserves fractionnaires avait bouclé la boucle du monopole. »
« Le fait que les pays asiatiques aient pu se soustraire à l’emprise de cette finance mondiale a montré qu’on pouvait parfaitement vivre sans être soumis à cette servitude. Longtemps considérée comme une monnaie incontournable pour les échanges commerciaux internationaux, le dollar a progressivement perdu de son éclat. De plus, cette extra-territorialité du droit américain liée à l’emploi du dollar semble se retourner aujourd’hui contre lui. De même que l’épidémie de COVID a mis en lumière les dangers d’un mondialisme qui retirait toute autonomie de production aux pays ayant cru qu’ils pouvaient renoncer à leur industrie, les événements géopolitiques actuels montre que les peuples ont de la mémoire. Beaucoup se souviennent de ce qu’ils ont  de ce qu’ils ont vécu, notamment en Asie, sous la tutelle de la finance internationale et le règne du dollar. Mais l’Afrique et l’Amérique du Sud sont dans le même cas, et cela commence à faire beaucoup. Ils comprennent que les tensions actuelles vont bien au delà d’une simple dispute territoriale et que ce qui est en jeu est un bouleversement complet de la géopolitique planétaire. La réflexion des pays asiatiques qui voulaient créer leur propre fonds de soutien en s’exonérant de la tutelle du dollar a continué son chemin. Cette réflexion s’est nourrie de l’évolution de la situation économique mondiale et de nombreux indices montrent qu’ils étudient la mise en service d’une nouvelle monnaie de réserve internationale qu’ils utiliseraient pour leurs transactions.  Il semblerait également que d’autres pays, parmi lesquels figure la Russie soient partie-prenante dans cette nouvelle monnaie. Contrairement au dollar, l’hypothèse que cette monnaie soit de type « désendettée » semble probable. Mais il paraît également plausible, voire probable, que cette « régionalisation » fasse tache d’huile et s’étende aux autres continents, qui deviendraient alors des espaces autonomes les uns par rapport aux autres. Cela risque de sonner le glas du dollar, du moins à son monopole en tant que monnaie de réserve internationale. La question qui émerge alors est celle de l’acceptation ou non de cette situation par la finance mondialiste, qui pourrait être tentée, comme certains joueurs de poker, de jouer le tout pour le tout… » (Fin de l'article « Le billet vert vient de perdre encore du terrain là où il attendait le moins » à l'adresse https://french.presstv.ir/Detail/2022/08/14/687360/Dollar-)
Dans ce sens, cet article « Ascension et chute de l’argent-dette » produit par lecourrierdesstrateges.fr le 19 juillet 202 anticipe également que la fin du dollar est proche :
« Sans remonter trop loin dans le temps, la « monnaie » ainsi nommée car les deniers romains étaient frappés dans le temple de Junon (Moneta en latin), permettait l’échange de denrées ou de services qui, pendant longtemps, avaient fait l’objet du troc. Sans remonter aux origines préhistoriques de la monnaie, voici une brève histoire de celle-ci qui porte sur son évolution et comment ceux qui dirigent aujourd’hui le monde ont réussi à en prendre le contrôle, en généralisant l’émission de « fausse monnaie ». Le passage de l’or au papier pris un certains temps. Depuis le moyen-âge, les pièces d’or et d’argent s’étaient généralisées, probablement parce que les métaux précieux étaient rares et surtout non sensibles à la corrosion tout en étant très ductiles. Une évolution intéressante s’était produite au fil du temps sous forme d’une pratique devenue courante exercée par les orfèvres, qui faisaient commerce de l’or. Les rues n’étant pas sûres et les habitations non plus, leurs clients avaient pris l’habitude de laisser l’or qui leur appartenait dans leurs coffres et d’obtenir un « certificat de possession d’or » qu’ils donnaient en contre-partie lorsqu’ils réalisaient des achats.  Ces certificats étaient de moins en moins échangés contre de l’or par les vendeurs qui prirent l’habitude d’en faire un moyen de paiement pour leurs propres achats.  Ainsi naquirent, vers la fin du dix-septième siècle, les billets de banque, prolongements logiques de ces certificats. Toutefois, la contre-valeur de ces billets de banque s’exprimait par une certaine quantité d’un métal donné, généralement de l’argent pour les faibles valeurs et de l’or au-delà.  Ces billets gardaient encore leur convertibilité en or, c’est à dire que la banque qui les émettait pouvait les échanger contre leur valeur en or.  En théorie, la totalité des billets émis devait être couverte par le stock d’or de la banque. En réalité, les banquiers, dignes héritiers des orfèvres, avaient depuis longtemps réalisé que seule une faible part de ce stock partait vers l’extérieur. Ils prirent ainsi quelques libertés et imprimèrent un peu plus de billets qu’ils n’avaient d’or en réserve. Ainsi naquît le système des « réserves fractionnaires ». Puis le passage de la Banque d’Angleterre à la Réserve Fédérale eut lieu. La révolution anglaise de 1688, renforçant les pouvoirs du Parlement, empêchait Guillaume d’Orange de lever l’impôt comme il le souhaitait pour financer ses guerres. D’origine allemande, il fit appels à des compatriotes banquiers pour venir à son secours. Ceux-ci acceptèrent à la condition qu’ils créent leur propre banque qui s’appellerait la « Banque d’Angleterre ».  Elle lui prêterait les sommes dont il avait besoin et, en échange, obtint le droit d’émettre pour un certain montant des billets supplémentaires. Naturellement, tout ce qui était prêté au Trône faisait l’objet de paiement d’intérêts. Cette banque fut créée en 1694 et servit de modèles à toutes les banques centrales suivantes. A l’époque, la norme pour la monnaie était d’être adossée à l’or et à l’argent. La Banque ne France fut créée en 1800 et l’unité monétaire était le « Franc-or » connu sous le nom de « Napoléon » pièce frappée à son effigie. Cette monnaie a gardé une valeur constante jusqu’en août 1914, date à laquelle elle perdit sa convertibilité en or car la Banque de France, comme les autres banques centrales des pays belligérants, devaient financer la guerre par le crédit et donc la « planche à billets » ainsi que par l’emprunt. C’est la création de la Réserve Fédérale en décembre 1913 qui, conjointement à la Banque d’Angleterre, a permis une autre partie de ces financements, notamment parce que les emprunts qu’elles consentaient à leurs pays respectifs étaient garantis par l’impôt payé par les contribuables et ceci figurait dans la loi qui établissait ce système de banques. En France, cet impôt ne fut payé qu’à partir de 1916. La Réserve Fédérale est une victoire des banquiers internationaux. Après plus d’un siècle de guerre incessante entre les tenants d’une banque centrale « indépendante » et ceux qui voulaient que la constitution américaine soit respectée en donnant au peuple américain le contrôle exclusif de sa monnaie et les banquiers internationaux, qui voulaient reprendre l’exclusivité de ce contrôle. On prête à Mayer Amshel Bauer (fondateur de la lignée des Rothschild) la phrase : « Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois ». Même apocryphe, cette phrase explique parfaitement le pouvoir exorbitant que détiennent ceux qui contrôlent l’émission de la monnaie. Convaincre le peuple américain de se laisser ainsi berner n’a pas été chose facile et de nombreux ouvrages font le récit des différentes étapes.  On retiendra simplement qu’il a fallu plusieurs tentatives pour imposer cette banque centrale ainsi qu’une crise financière orchestrée en 1907, une réunion secrète à l’île Jekill fin 1910, un changement de Président en janvier1913 et une longue bagarre au Congrès pour aboutir à l’adoption (sans majorité ) du Federal Reserve Act le 23 décembre 1913 à 23 heures 30. Cependant, cette prise de contrôle de la monnaie américaine n’était que partielle, car le dollar restait lié au cours de l’or par le « Gold Exchange Standard » qui limitait la quantité de billets émise. Les banquiers qui possédaient la FED s’employèrent à faire disparaître cette ultime barrière qui allaient leur permettre de créer sans limite de la monnaie à partir de rien et sans contre-partie économique, ce qui correspond assez bien à la définition de la fausse monnaie. Ceci fut réalisé le 15 août 1971, par le discours de  Nixon à la Maison Blanche. Il ouvrait ainsi une nouvelle ère, qui perdure encore mais dont plusieurs économistes prédisent la fin prochaine. »
D'ailleurs dans ce sens gravement impie, le dollar et l’Euro sont en plus souvent utilisés comme un instrument de sanction et de chantage allant jusqu’à déposséder les états et leurs citoyens de leurs avoirs ou de leurs biens inscrits sur leur territoire. Cette oppression va même, paradoxalement, jusqu’à renier leur principe cardinal, berceau du libéralisme, qui est le marché, en s’évertuant à vouloir imposer au vendeur russe un prix plafond de son énergie pour l’empêcher de réaliser des « superprofits », suite à la forte augmentation des prix qui est pourtant une conséquence de leurs sanctions synonyme de justice divine. En raison des liens de la dette, la plupart des pays du monde seront en plus entraîner dans la chute du système dollar. Pour le moment le dollar a cessé d’être la seule devise dominante. Or il est sécurisé que sur sa propre dette, sur rien d’autre. Alors que l’euro, lui, est sécurisé par le niveau économique élevé d’une vingtaine de pays, sans compter les économies des pays de l’Europe orientale, de l’Europe centrale et du Nord. Mais l'UE était une économie puissante tant qu'elle se nourrissait du fort potentiel des ressources russes. En face, la devise américaine, c’est une bulle de savon.
Ainsi il est de notoriété publique que la capacité des États-Unis à poursuivre leur activité dépend essentiellement de leur capacité à importer des produits en échange de dollars (qu’ils peuvent donc simplement imprimer selon leurs besoins), possiblement ainsi jusqu'à détruire l'économie de certains pays. Les matières premières comme le pétrole sont évaluées en dollars. Les pays qui empruntent en dollars peuvent voir leurs remboursements s’envoler si la valeur de la monnaie américaine augmente. Les pays ayant un compte excédent utilisent leurs revenus pour acheter des bons du Trésor américain, permettant ainsi aux États-Unis de pouvoir arranger d’énormes déficits commerciaux et budgétaires. De plus les États-Unis et leurs alliés occidentaux contrôlent le Fonds monétaire international et la Banque mondiale depuis leur création en 1944, le directeur général du FMI a toujours été un Européen et le président de la Banque mondiale, un Américain. Grâce à leurs sièges permanents au Conseil de sécurité de l’ONU, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France peuvent opposer leur veto à toute initiative qui ne leur plaît pas. À eux deux, les États-Unis et l’UE peuvent empêcher les principaux pays en développement d’exercer une réelle influence au sein de l’Organisation mondiale du commerce. La raison pour laquelle ces dollars sans valeur sont toujours honorés repose sur le statut du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale liée à l'empire militaire US et ses 800 bases à travers 177 pays dans le monde. Or ce statut se réduit heureusement rapidement de nos jours même si il est toujours important, car cela fait trop longtemps que par le dollar, les Etats-Unis vivent à crédit très au dessus de leurs moyens réels sur les autres pays, surtout qu'ils vivent aussi de l'usure de leur banques et que le dollar imprimé à volonté peut évidemment corrompre de nombreuses personnes... C'est similaire à l'occident qui a d’abord pillé ses colonies, puis en a fait de même ailleurs, mais avec des méthodes économiques plus sophistiquées. Et le statut du dollar en tant que monnaie de réserve a donc en plus beaucoup à voir avec le système des pétrodollars et le fait que les pays importateurs de pétrole du monde entier (à part actuellement la Russie, la Chine, l'Iran et le Venezuela) doivent obtenir ou emprunter exclusivement des dollars afin d’acheter du pétrole, tandis que les pays exportateurs de pétrole doivent exclusivement accepter le dollar comme paiement, même si cela se fait au détriment de leur économie. C'est pourquoi si le pétrodollar disparaît, le niveau de vie de l’Américain moyen sera divisé par dix.
« Si le reste du monde se débarrasse de ses dollars devenus inutiles, comment financer les déficits et le niveau de vie des Américains ? Hyperinflation et banqueroute du pays seront irrémédiablement au programme. Dés lors que signifie « America’s first » pour un politique américain un tant soit peu lucide ? La préservation coûte que coûte du statut du dollar dans les échanges internationaux : les 95 milliards votés ce samedi par la Chambre des représentants en sont l’application concrète. (Or cela signifie d'abord que les Etats-Unis volent leurs propres citoyens pour financer le vol d’Israël les terres palestiniennes.) Taïwan, Israël et l’Ukraine sont les foyers d’insurrection d’un « Sud global » emmené par la Chine, la Russie et l’Iran, décidé à mettre fin à la prédominance du dollar. On peut commenter sans fin la trahison d’un Mike Johnson et y voir un nouvel épisode théâtral et caricatural d’un politique qui brade ses idéaux pour de basses considérations. Cependant, cet épisode semble plus probablement confirmer la fin de l’innocence et du romantisme d’un mouvement trumpiste qui doit admettre la glaciale réalité que traverse son pays(, mais s'approche de la troisième guerre mondiale possiblement plus que le démocrate Biden actuellement au pouvoir, surtout que cela sera exacerbé par les sionistes qui en cas d'effondrement des USA ne pourront réaliser leur projet). » (Ian Purdom)
Or comme tout empire ayant toujours plus agrandi son influence militaire, ce plan d'aide peut accélérer l'effondrement des USA, surtout s'il ne s'oriente donc pas bientôt vers l’isolationnisme plutôt que l'interventionnisme. Dans un discours enflammé, la députée trumpiste Marjorie Taylor Greene a dénoncé les souffrances quotidiennes des Américains, qui peinent à joindre les deux bouts et à payer leur alimentation ou leur essence. Selon elle, les États-Unis devraient exiger la paix plutôt que de financer les guerres sanglantes du complexe militaro-industriel, qui se nourrissent des cadavres en Ukraine. Surtout que parallèlement à ces fonds de 95 milliards, le Congrès a pris la décision radicale de la possibilité de la confiscation des actifs russes pour qu’ils servent à payer la guerre en Ukraine, alors que c’est du vol flagrant comme l'a déclaré le président de la Douma Viacheslav Volodine, et qui selon les autorités russes ouvre la voie à une réponse symétrique. Ceci devrait faire réfléchir les pays européens. Et, étrangement, ils réfléchissent encore lorsqu’il s’agit d’argent. Environ 280 milliards d’actifs russes sont à ce jour gelés à l’étranger. Sur cette somme, seulement 5 à 6 milliards se trouvent aux États-Unis. L’impact y sera donc limité. En revanche, 210 milliards sont gelés en Europe. Si les pays européens suivent la voie américaine, et c’est bien ce qui est recherché par les États-Unis, certes les Américains verront leurs investissements couverts, mais les pays européens, eux, s’écrouleront. Les conséquences financières, et politiques, seront colossales. C’est bien la raison pour laquelle, pour l’instant, ils hésitent encore à faire le grand saut, malgré des pressions américaines de plus en plus fortes. Dans la logique américaine, les pays européens prenant le gros de la réaction russe, libèreraient les États-Unis d’une grande partie des représailles et les actifs russes spoliés formellement par les Européens financeront in fine l’industrie militaire américaine, c’est-à-dire l’économie américaine. Les Européens seront encore une fois les dindons de la farce.
« Les BRICS pourraient tenter de créer une nouvelle monnaie de réserve constituée d’un panier pondéré de leurs monnaies. (Or) Cela n’est pas nécessaire et pourrait entraîner des tensions entre les membres des BRICS en raison de différends sur les parts de chaque monnaie dans le panier. Une monnaie de réserve n’est plus nécessaire. Une monnaie de réserve était nécessaire à la fin de la Seconde Guerre mondiale, car les autres économies industrialisées étaient détruites. Comme les États-Unis étaient la seule économie intacte, le rôle est revenu au dollar américain. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Les banques centrales peuvent conserver leurs réserves sous la forme des devises de leurs partenaires commerciaux. Ce que cela signifie pour Washington, c’est que les États-Unis vont commencer à avoir des problèmes de financement pour leurs importants déficits budgétaires et commerciaux. Tant que le dollar était la monnaie mondiale, les banques centrales étrangères gardaient leurs réserves dans la dette du Trésor américain. À mesure que les déficits budgétaires et commerciaux des États-Unis augmentaient, les réserves du système bancaire mondial augmentaient également. La situation est en train de changer. Si une douzaine de pays représentant environ la moitié de la population mondiale et 40 à 45 % du PIB mondial cessent d’utiliser le dollar, le marché des banques centrales étrangères pour la dette américaine se contracte considérablement. Ayant délocalisé leur production, les États-Unis sont désormais dépendants des importations. La diminution de l’utilisation du dollar signifie une diminution de l’offre de clients pour la dette américaine, ce qui signifie une pression sur la valeur d’échange du dollar et la perspective d’une hausse de l’inflation due à la hausse des prix des importations. » (Paul Craig Roberts, économiste américain)