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M) Suite 13


De plus à cause de leur oppression, les entreprises Woke dont des GAFAM meurent lentement mais sûrement et les gauchistes ne semblent pas comprendre la situation. Ils n’admettront jamais ouvertement que la raison pour laquelle ces entreprises connaissent un déclin est due à leur position politique sectaire qui justifie l’endoctrinement forcé de tout le monde, y compris des enfants. Ils diront que c’était la Covid-19, ils diront que c’était l’inflation, ils diront que c’était la bigoterie, mais en réalité c’était toujours eux. Personne ne les aime, et les gens réalisent enfin qu’ils n’ont pas à dépenser de l’argent pour acheter des produits de gauchistes fous qu’ils n’aiment pas. En d’autres termes, le système de ces entreprises Woke est l’antithèse d’une société de liberté d’expression, un test bêta pour l’avenir de l’autoritarisme, où l’on croit pouvoir s’exprimer, mais où seules les opinions « correctes » sont autorisées à passer. Et c'est bien pour ça que ces entreprises Woke perdent de l'influence et donc de la valeur. Ainsi pour éviter la pensée unique, il devient légitime que des citoyens vérifient les vérificateurs de réseaux sociaux.
Or la censure de ces entreprises Woke va jusqu'à ne pas pouvoir critiquer des influenceuses matérialistes sous peine de condamnation judiciaire pour mise en péril d'une entreprise à cause d'un pseudo harcèlement moral, et va jusqu'à devenir de l'ingérence numérique lorsqu'elle est utilisée pour bloquer la communication de certains opposants politiques ou intellectuels dissidents dans divers pays.
« Quand on écoute Mike Benz interrogé par Tucker Carlson fin février 2024, on comprend qu’il n’y a pas un pouce de liberté dans la démocratie américaine : le pouvoir profond a verrouillé et vérolé jusqu’aux GAFAM, qu’il a contribué à créer. Les réseaux sociaux sont peut-être le siège de la liberté d’expression, mais ils sont assurément une arme de déstabilisation américaine dans le monde, à l’origine de révolutions dites orange, et une arme intérieure de contrôle, de manipulation et de désinformation. Une arme à double tranchant. Cette censure émane du légendaire complexe militaro-industriel de l’industrie de la défense et de l’establihsment de la politique étrangère à Washington. La liberté d’expression a été défendue plus que quiconque par le Pentagone, le département d’État et notre sorte d’architecture de blogs, d’ONG de la CIA, comme un moyen de soutenir les groupes dissidents dans le monde entier, afin de les aider à renverser les gouvernements autoritaires... La liberté d’expression sur Internet a permis des opérations instantanées de changement de régime afin de faciliter l’agenda du département d’État, de l’establishment de la politique étrangère. Google en est un excellent exemple : Google a été créé grâce à une subvention de la DARPA, par Larry Page et Sergey Brin, alors qu’ils étaient encore doctorants à Stanford. Ils ont obtenu leur financement dans le cadre d’un programme conjoint de la CIA et de la NSA visant à déterminer comment, je cite, « les oiseaux de même plumage se rassemblent en ligne grâce à l’agrégation des moteurs de recherche ». Un an plus tard, ils lançaient Google et devenaient rapidement des entrepreneurs militaires. Ils ont obtenu Google maps en achetant un logiciel satellite de la CIA, essentiellement, et la capacité d’utiliser la liberté d’expression sur Internet pour contourner le contrôle de l’État sur les médias, dans des endroits comme l’Asie centrale et partout dans le monde. Et c’était considéré comme un moyen de faire ce qui se faisait auparavant dans les bureaux de la CIA ou dans les ambassades, les consulats, d’une manière qui a été totalement accélérée. Et toutes les technologies de liberté d’expression sur l’Internet ont été créées à l’origine par notre État de sécurité nationale. » (Extraits de l'article ER « Internet, liberté d'expression et Pentagone »)
Dans ce sens de contrôle généralisé, le film « Ceci n’est pas un complot(isme) » lève le voile sur le discours des grands médias au service d’un programme politique de grande ampleur qui se sert de la peur pour se mettre en place. Il met en évidence la censure et le discours unilatéral proposé dans la sphère publique pour transformer la réalité : au programme, l’installation de la peur, la déformation des faits, la stigmatisation de la pensée critique et la censure systématique. Et il met aussi en évidence les liens d’intérêts entre les laboratoires, les médecins de plateaux télé et le business qu'il y eut pendant le Covid.
La tyrannie de ce système est apparue encore plus clairement quand des médicaments ou formes de traitements hors de la narration du système ont été censurée sur ces GAFAM. En effet ce n’est pas uniquement inadmissible parce qu’elle s’opère au détriment de la santé humaine et au profit de l'industrie pharmaceutique et d'un plan occulte, mais aussi parce qu’elle est le fait de pouvoirs non élus se servant en plus sournoisement de la dénonciation du complotisme. Le problème ici n’est pas de savoir si ces médicaments ou traitements sont efficaces, mais de libérer la recherche pour qu’elle puisse les étudier, les rejeter, les approuver ou/et les améliorer, comme elle aurait dû analyser très sérieusement les nouveaux vaccins ARN et leurs conséquences.
« Ce qu’ils appellent « théorie du complot » se nommait auparavant esprit critique et était considéré comme salutaire pour une démocratie. La « théorie du complot » c’est le fait de s’interroger sur la véracité des discours politiques, et se demander à qui profite le crime. » (Ariane Walter, blogueuse) Notre monde bascule dans un totalitarisme où l’État n’est plus qu’un sombre policier au service du Marché et des parasites souvent apatrides qui l’animent sur le dos des peuples. La seule chose qui justifie la censure, c’est la guerre, comme le président Français Macron a d'ailleurs annoncé « nous sommes en guerre » face au covid, alors que comme l'a évoqué Warren Buffet, il parlait de la guerre entre les ultra riches mondialistes et les peuples. Il faut donc en conclure que la France se trouve attaquée par des forces obscures depuis plusieurs décennies voire siècles. Une censure en temps de paix n’a aucun sens, sinon de renvoyer les gens à leur enfance, ou à leur infériorité sociale ou mentale. Actuellement on cherche à écarter les érudits dissidents du peuple pour qu'il n'y reste que des imbéciles. Nous sommes dans une ère de destruction totale des valeurs. Et ceci est vérifiable aussi à travers la cellule familiale que l'on cherche à diviser : le père n’a plus droit d’autorité et est ridiculisé, la femme croit être libérée mais s’enferme dans un non sens hystérique, associable et matérialiste, les enfants n’ont plus de modèles et ne se forment qu'autour de leur ego et des smartphones. Il faut rebâtir la nation mais d’abord apprendre à rebâtir une famille, car c’est la base d’une nation qui tient debout.
De plus ces forces obscures veulent aussi que les gens réduisent leur cercle d’amis dont par la peur du Covid, afin de les empêcher d’échanger et de réfléchir ensemble à propos de grands problèmes tels que l'énorme crise financière de 2008, les taux négatifs, l'inflation, le sionisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, et les pénuries dont alimentaires et énergétiques. En effet les mesures sanitaires disproportionnées, qui étaient en plus basées sur la panique excessive par une vision de la pandémie systématiquement dramatisée dans les médias du système, ont incontestablement aussi beaucoup servi à cela. Par ces mesures perverses, on a même assisté à la destruction systématique de tout lien social non numérisé : éducation, culture, sport. Tous types de rencontres et d'interactions physiques entre les citoyens étaient rompus ou déconseillés, ce qui était synonyme de fin de l'humain. Mais il faut noter que les anciennes mesures sanitaires liberticides comme le confinement liées au covid peuvent faire mieux apprécier le temps d'avant et refaire plus revenir agréablement les familles et amis dans le partage, les sorties, les sports, les loisirs, les stades, les musées, les restaurants, les spectacles, les invitations et les discussions.
Or par du sensationnel répété pour toujours plus bloquer la raison, les grands médias du système provoquent des bombardements de chocs émotionnels entraînant de l'obsessionnel et permettant aux démons de construire des plans de manipulation ou d'égarement dans les esprits et les cœurs humains. La tentative de contrôle mental généralisé s'est vu également dans le fait qu'avant pour les médias, les complotistes étaient des chômeurs, des alcooliques, des gilets jaunes, des sous éduqués, des pauvres, alors qu'aujourd’hui pour eux, ce sont même des généticiens, des professeurs de médecine, des procureurs réveillés, des prix Nobel... Nous sommes arrivés à une époque si manipulatrice que même pour ces derniers, questionner revient à se faire accuser de remise en question de la vérité gouvernementale officielle. Cela signifie que le combat moral a passé un cap important et crucial.
Et avec l'inexorable évolution du progrès amenant à acheter de plus en plus d'objets connectés nous exposant toujours plus numériquement, la grave impudeur de la surveillance généralisée en est de plus en plus facilitée. Alors que la vie privée des gens est très sacrée malgré l'incompréhension étonnante de certains progressistes égarés qui devront rendre compte difficilement dans l'au-delà, puisque par exemple il est tellement interdit de regarder par le trou d'une serrure d'une habitation que l'on pourrait crever l’œil de l'espion pour s'en défendre selon un hadith. Pourtant sans cette surveillance impie, ces produits modernes seraient uniquement intéressants et pratiques, en particulier à travers les réseaux sociaux de plateformes vidéos apportant souvent plus de vie, de communication, de convivialité et de science que beaucoup de programmes télés. Or le système bancaire numérique et la surveillance et le big data généralisés via internet sont déjà très répandus à travers la carte bleue et la demande du numéro de téléphone privé enregistré chez un opérateur pour pouvoir s'inscrire sur les principales applications massivement utilisées par les populations (Google, FaceBook, Twitter, YouTube, etc). D'autant plus que dans le capitalisme 2.0, l’homme est un objet comme un autre : sa valeur y décroît donc honteusement lorsqu'il vieillit et devient peu actif, tandis que les objets matériels en particulier connectés et les machines industrielles qui prennent vie voient leur valeur décupler au détriment donc de l'humain, surtout quand le bien commun n'est pas recherché.
Tous ces espionnages semblent être un signe de fin des temps car faisant disparaître la liberté individuelle même chez soi, alors qu'elle est pourtant aussi prétendument sacrée dans les pays occidentaux modernes. Ainsi cette inévitable progression technologique, amenant donc une possible surveillance généralisée jusqu'à peut être bientôt d'honteuses mini puces RFID sous cutanées généralisées (possiblement sous forme de nanotechnologies injectées et pouvant donc dangereusement dévoilées les positions des militaires à une armée ennemie par la 5G) surtout qu'on peut très bien cacher une puce dans un vêtement lorsqu'il s'agit de surveiller un enfant, devrait au moins être contrôlé régulièrement par des conseils de citoyens se renouvelant fréquemment pour surveiller ceux qui nous surveillent.
Par conséquent une fois encore, on ne comprend pas très bien pourquoi le mot « audace » est parfois utilisé pour faire accepter le transhumanisme. En effet c'est en réalité un euphémisme pour vendre certaines « visions » scandaleuses comme les puces sous la peau, alors qu'il s'agit plutôt de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine. Le PDG de Pfizer a d'ailleurs présenté aux élites de Davos des pilules à micropuce WiFi pour contrôler les passagers de transport en commun lors de pandémie. Cette surveillance biologique et donc physique et donc de mouvement, souvent défendue sous prétexte de protéger la santé des personnes en particulier âgées ou les enfants des criminels, fait donc partie des modernes projets pervers qui sont toujours présentés de manière idyllique. De plus, les nanoparticules peuvent aujourd'hui pénétrer une cellule et les connaissances de la recherche privée voire militaire ainsi que leur contrôle dans ce domaine doivent dépasser largement les connaissances du grand public. Certains scientifiques, politiciens et gens veulent donc faire fusionner l'humain avec les machines, un peu comme si le téléphone portable était relié à notre cerveau. Cela ressemble à un cauchemar dystopique, alors que les gouvernements suivent et contrôlent déjà l’activité des téléphones portables. Comment vouloir qu’ils fassent de même avec notre cerveau comme s'ils surveillaient et commandaient du bétail.
Or le masque sanitaire contre le covid telle une muselière (ou couche) correspond a déjà été une image de la marque de la bête dans l'apocalypse biblique de saint Jean, surtout que comme la marque de la Bête, il est nécessaire pour travailler et faire ses courses (donc pour acheter et vendre). Cette marque de la Bête pourrait donc aussi être incarnée par le pervers système bancaire monétaire, par le pass vaccinal lié au futur vaccin nanotechnologique de Bill Gates nommé 060606 dont le brevet est authentique, par le QR code qui sera de plus en plus demandé, et par l’éventuelle identité numérique à venir. D'ailleurs une application que France Identité demande aux cobayes de tester gratuitement est destinée à “prouver son identité”… L’essentiel est dit : nous entrons dans un monde où nous devrons prouver qui nous sommes, et où les moyens numériques permettront de le faire “en toute sécurité”. Bien évidemment, au-delà des paroles lénifiantes habituelles, France Identité ne dit rien sur les évolutions futures de cette application, notamment sur sa dérive future vers un système de crédit social à la chinoise. Mais ce n’est qu’un début qui annonce la couleur de ce qui viendra ensuite si les gens ne se tournent pas vers le monothéisme authentique : l’asservissement total de l’humanité au satanisme technocratique et transhumaniste jusqu'à la très massive spoliation ploutocratique par une marche criminelle des élites complètement égarées sur le plan affectif. La nécessité d'un implant (tel celui empêchant l'ovulation) prétendument comme seule protection contre un virus fabriqué en laboratoire pourrait même apparaître dont pour accélérer l'identité numérique et commerciale sous cutanée et donc la surveillance généralisée. Mais avec la connexion généralisée des montres, des téléphones voire des toilettes analysant nos excréments, il n'y a même pas besoin de surveillance bio-numérique des mouvements.
Bible (Apocalypse 13-18) « Et elle (la Bête) fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »
Il faut noter que comme cette marque de la bête est évoquée seulement dans l'apocalypse de saint Jean qui était une figure importante du christianisme, il n'est pas étonnant que les pays à majorité chrétienne soient le plus touchés par les oppressions de la planche à billet usurière, du pass sanitaire et de la mise en place de l'identité numérique, d'autant plus ceux soumis à l'impie laïcisme.
Dans le cadre d'un plan malthusianiste, les puces RIFD d'identité numérique et les vaccins ARN pourraient aussi en plus de servir à surveiller et oppresser en permanence la population, à rendre stérile (en particulier les populations occidentales qui y ont été le plus exposées tout en légitimant ainsi momentanément l'immigration et donc le métissage), et à avoir pouvoir de vie (dont sociale) et de mort (dont sociale), surtout qu'associé à la 5G, cela peut aggraver les comorbidités voire entraîner des problèmes de santé et amplifier les effets secondaires du vaccin.
En effet les tenants du pouvoir, qu'est la caste mondialiste ultra riche souvent sioniste liée au bancairo-technologico-pharmaco-technocratique, évoquent publiquement l'importance de la dépopulation ou la régulation de la population, et ont été les premiers bénéficiaires du crime sanitaire. D'ailleurs ce vaccin contre le covid pourrait ne pas forcément être technologique, car il pourrait avant tout d'abord servir à travers les séquences de VIH présentes étrangement dans ce virus selon le Prix Nobel de médecine Montagnier, à amplifier son aspect destructeur du système humanitaire pour baisser la population mondiale discrètement d'ici quelques années en les faisant mourir de maladies qui ne sont normalement pas incurables, et il est déjà prouvé qu'il y a une grande augmentation des myocardites et surtout de dérèglements menstruels quand ce n'est pas de stérilité. Surtout que tout virus ayant souvent des variations avec le temps, un vaccin définitif devient donc impossible et des réinjections deviennent nécessaires. D'autant plus que cela permet aux cupides laboratoires pharmaceutiques de prétendre devoir actualiser semestriellement les vaccins ARN afin d'en vendre régulièrement et de rendre les populations obéissantes aux mesures liberticides de la tyrannie sanitaire et numérique.
Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ? » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/27/covid-19-pourquoi-la-suede-na-pas-confine/
En effet le passeport sanitaire, ayant parfois été dénommé green pass pour préparer éventuellement à celui écologique, climatique, carbone ou énergétique, a vocation à devenir un passeport universel pour un Etat-entreprise unique, financier et global, soumis au secteur privé ultra riche. Le pass sanitaire associé au projet ID 2020 de l'identité numérique pourrait donc même bientôt aider des milliards de personnes sans papier à acquérir une identité numérique transnationale synonyme de pass basé sur la signature authentifiée par l’ADN et des données biométriques collectées lors d'un prélèvement salivaire, alors que l'empreinte digitale suffit largement pour faire des documents d'identification.
« Jamais l'esclavage n'est aussi bien réussi que quand l'esclave est persuadé que c'est pour son bien. » (Aristote)
« La soumission à la tyrannie sanitaire préfigure (et annonce) la dictature d’une aliénation « soft », celle d’un esclavage consenti. » (Michel Maffesoli)
Ce qui signifie que dans le futur en particulier avec tous les terrorismes d’État médiatique, climatique, Lgbtiste, financier, sécuritaire, sanitaire, économique, et actuellement plus militaire, énergétique, inflationniste et banlieusard, beaucoup vont possiblement vouloir plus de contrôle numérique voire transhumaniste pour leur sécurité, ce qui séparerait l'humanité entre ceux vivant dans ce système et ce retournant vers la nature qui survivront lorsque ce système trop complexe s'effondrera inévitablement même si cela prend des siècles, mais le destin divin avec le retour de Jésus peut très noblement orienter l'humanité vers un autre système.
Ce pass d’identité numérique fournie par les GAFAM sur la base des 10 commandements de la nouvelle religion de la technofinance cherche à ce que chacun finisse par avoir seule pièce d'identité contenant permis de conduire, carte d'identité, passeport, carte bancaire et carnet vaccinal.
(Dans « Covidisme, climat et wokisme : les nouvelles religions. Les religions postchrétiennes occidentales », Aldo Sterone examine les nouvelles idéologies qui ont émergé dans la société occidentale postchrétienne. Il explore les similitudes entre ces idéologies et les religions traditionnelles, en particulier en ce qui concerne leur capacité à façonner les croyances et les comportements des gens et discute également des implications de ces nouvelles religions pour la société et la politique.)
Qu’y a-t-il de commun entre l’Économie de marché, la technologie numérique, la sexologie et l’invention du pass sanitaire ? Les trois se parent des vêtements de la Science pour nous ôter nos libertés. Tout cela devient d'autant plus clair puisque comme la secte satanique (démoniaque, franc-maçonne, oligarchique, sioniste) a subverti les trois religions du livre en particulier par le sabbato-frankisme, elle a aussi subverti le médecine et d'autres secteurs scientifiques. Elle a pris aussi le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel, mais aussi du militaro-industriel, de la finance internationaliste, de la politique occidentale et de toute la technologie numérique de surveillance et de contrôle.
Ainsi il n'est pas étonnant que Bill Gates ait investi massivement et donc explicitement dans toutes les technologies de dressage de la population : les machines à compter les votes, les machines à injecter la pensée officielle dans l'opinion composées par les médias, le numérique, les vaccins, l'OMS et même l'ONU. En effet ces investissements massifs décryptent clairement notre époque.
Il ne faut d'autant pas accepter cette surveillance généralisée, car le choix de refuser la marque de la bête par piété correspond à une des épreuves principales de la fin des temps, même si les conséquences de son refus marginalisera en partie.
Cette technologie étant tellement envahissante que cela pourrait annoncer le retour de Jésus pour la purifier c'est à dire en limitant sagement son utilisation entre le bien commun, la liberté individuelle et la vie privée. En effet toute chose doit être gérée ou utilisée avec un juste milieu. De plus comme il est logique d'inverser le mensonge pour trouver la vérité, alors il faut inverser les aspects du transhumanisme pour trouver les aspects de l'humanisme authentique.
La vidéo « Le plan de Bill Gates pour nous vacciner de force » de la chaîne youtube Planète 360 précise que la technique du tiers de confiance, qui pourrait être utilisée pour parvenir à la ploutocratie mondiale par le numérique et l'écologisme à outrance, a été développée aux États-Unis dans les années 1920 par Edward Bernays, neveu de Freud et « inventeur » du lobbying dont il détaille le premier les techniques dans son livre « Propaganda ». D'ailleurs c’est justement dans les années 1920 que ces techniques ont été développées et appliquées notamment pour les fabricants de cigarettes afin de faire fumer les femmes, car elles représentaient possiblement la moitié du marché. Pour cela, il a suffi de donner des cigarettes à des personnes bien exposées médiatiquement, de financer les causes des suffragettes et féministes, de faire défiler ces dernières la cigarette à la bouche dans leurs manifestations, et de répéter l’opération avec les vedettes de cinéma et les héroïnes incarnant aviatrices, aventurières et autres. Ensuite en répétant l’opération avec des sportifs et après la Seconde Guerre mondiale en mettant en scène des médecins vantant les mérites d’une marque de cigarette, vous avez toute l’obscénité de cette technique dont nous payons encore un prix terrible avec 8 millions de morts annuels un siècle après.
Mais Bill Gates ne peut pas jouer avec nos « structures de confiance » impunément, car il ne peut les souiller et les détourner à son profit sans apporter le chaos comme celui qui s’installe toujours plus aux États-Unis, surtout que le chaos mène à la guerre civile et finalement à la guerre conventionnelle. Et quand nous en serons-là, les centaines de milliards de l'hyperclasse américaine ne leur seront plus d’aucune utilité, car ils s’effondreront d’eux-mêmes, comme l’URSS s’est effondrée sur elle-même quand les apparatchiks ont fini par être dégoûtés d’eux-mêmes. Ou alors le peuple peut aussi leur dire NON et reprendre sa liberté. Suite à cette analyse, il est donc important d'orienter ces tiers de confiance pour développer des projets nobles au niveau économique, spirituel et social dans une région ou un pays.
Ainsi il n'est pas étonnant que la muselière physique du masque soit apparue au moment où la muselière mentale de la censure se répandait contre les dissidents jusqu'à de la prison voire l’hôpital psychiatrique même en France, alors que cette nation est pourtant le pays des Droits de l'Homme et de la liberté d'expression. C'est également logique puisque le masque est une évidente impersonalisation uniformiste jusque vers une pensée unique oligarchiquement conformiste. De même le confinement est tel l'enfermement d'animaux domestiques dans leur enclos. À l’invention de l’imprimerie, de nombreux auteurs contestèrent les a priori de leur époque. Il fallut quatre siècles de combats pour que l’Occident finisse par garantir la liberté d’expression. Cependant avec l’invention d’Internet et comme la qualité d’auteur se démocratisa, la liberté d’expression y a été de plus en plus remise en question par le système actuel. La censure revient donc en force alors que le but de l'être humain est de trouver les meilleures analyses sur la vie et de les partager. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « L’arbitraire et la censure sont de retour en Occident » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-arbitraire-et-la-censure-sont-de-retour-en-Occident-62340.html
Cependant à cause d'hommes vantant excessivement de belles idées comme la liberté et l'égalité, la liberté à l'origine de l'idéologie libérale propagée par les lumières est devenue progressivement la loi du plus fort, et l'égalitarisme perverti plutôt que l'équité a finalement débouché sur une laïciste société inégalitaire car favorisant finalement beaucoup certaines minorités en plus souvent perverses dont les LGBT, les sionistes, les financiers internationalistes et les oligarques.
          Or le mal qui ronge la France et par voie de conséquence son système de protection sociale est plus profond et plus complexe, car il correspond à l’aboutissement d’une longue dégénérescence du mode de gouvernance, en l’occurrence le régime démocratique placé sous l’empire d’une idéologie sociale-libérale-libertaire synonyme d'un consumérisme compulsif, de perte des valeurs et de domination par les mondialistes oligarchiques et sionistes. Il s'agit d'une décomposition sociétale due au premier chef à la déficience qualitative, morale et intellectuelle des politiciens composant nos modernes classes dirigeantes et à au pervers quatrième pouvoir qui est celui médiatique étant devenu le premier par la télé et les réseaux sociaux censurés, ce qui est absolument dramatique pour une démocratie. La tiers-mondisation du pays, l’abaissement constant du niveau scolaire (nivellement par le bas sous couvert d’égalitarisme) et la déspiritualisation d’une grande partie de la population convertie donc à un compulsif hédonisme matérialiste et libertaire par le pouvoir profond corrompu ne sont évidemment pas étranger au déclin général. Surtout que le quatrième pouvoir que sont donc les chaînes d'infos et médias mainstream et qui est normalement un contre-pouvoir devient volontairement de plus en plus superficiel voire progressiste en particulier sur l'actualité, afin d'abaisser le niveau intellectuel et noblement insoumis du peuple. C'est pourquoi un sixième pouvoir « citoyen » (puisque les GAFAM censeurs sont le cinquième) synonyme d'un réel contre-pouvoir devient nécessaire afin de faire retrouver l'équilibre et l'équité à la société. David Van Hemelryck insiste sur le fait que le peuple français doit être le premier contre-pouvoir dans une démocratie, même s'il est donc actuellement le sixième pouvoir. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Médias mainstream : les archétypes du libéralisme-libertaire » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=349&v=cFW_ctclqcA 
Surtout que les grands médias privés vivant en partie des subventions et donc du peuple, mais aussi actuellement même les médias publics, ne cochent plus les cases de la charte du service public qui consiste à ne pas prendre parti et à donner la parole à toutes les tendances politiques qui existent en France. C’est la mission théorique du service public. Or la télévision publique est même devenue une propagande du privé déguisée. Il s’agit tout simplement d’un abus de confiance doublé d’une extorsion. Cette perversion de l’intérêt public est tellement entré dans les mœurs que plus grand-monde ne s’en affecte aujourd’hui, sauf bien sûr les tendances politiques dissidentes qui sont maintenues dans l’obscurité médiatique ou dénoncées par le système comme étant dangereuses pour la « démocratie ». Ainsi il s’agit clairement d’un fascisme réel qui dénonce un fascisme imaginaire. C'est pourquoi les lâches agents du pouvoir profond préfèrent rester dans l’ombre. On les comprend : à force de vouloir réprimer le souverainisme patriotique dans les pays où ils vivent, les choses pourraient mal finir pour eux. Dans la France de 2021, où le pouvoir en panique ne sait plus quoi inventer pour garder la main malgré la multiplication des frappes répressives et la densification de la propagande, le lien entre élite et peuple est brisé. Et ça semble définitif. Surtout que le jugement moral manipulant le peuple devient la norme, dont pour éviter de faire comprendre les circonstances géopolitiques comme par rapport à l'intervention russe en Ukraine ou pour bloquer la parole à des scientifiques préconisant des mesures plus légères comme lors du covid. Ainsi le pouvoir profond a mis le pouvoir visible dans l’impasse avec ses injonctions liberticides et irréalisables. Les contraintes imposées par le lobby sioniste et la franc-maçonnerie ne sont ni le fictif pouvoir visible de droite ni le fictif pouvoir visible de gauche, car le pouvoir réel est caché : c'est celui du Mondialisme, de l’Argent, de la finance internationaliste, de la Dette, du wokisme, des multinationales, des lobbies, du Big Tech, du Big Pharma et de la violence sociale. Le pouvoir visible, coincé entre l’oligarchie et le peuple, deux forces aux intérêts totalement divergents, est logiquement devenu schizophrène, ce que tout le monde peut voir chaque jour. Traduction : tous ceux qui soutiennent la politique de répression du pouvoir, qu’il soit profond ou visible, prennent le risque de se retrouver un jour violemment rejetés. L’Histoire nous apprend que lors des phases d’hypertensions politiques, les juges et responsables politiques corrompus peuvent très vite se retrouver sur le banc des accusés.
          Mais pour l'instant ce système tient par ses médias mainstream, car ils sont très rarement de l’honnêteté intellectuelle et principalement de la trahison sociale, du contrôle oligarchique, de la perverse propagande lobbyiste, de l’agressivité sioniste, des délires évidents, de la fausse pugnacité d’un Jean-Jacques Bourdin, des limites conceptuelles, de la platitude soporifique, de la soumission au système, de la courtisanerie grotesque, de la fière sottise, de l’obsession délatrice, de la morale perversement réformée, de la souplesse d’échine, ou de la pseudo façade révolutionnaire de divers intervenants du politiquement correct.
De toute façon à notre époque, beaucoup de choses qu'on nous raconte sont fréquemment fausses, même dès l'enfance comme la théorie de l'hominisation, et de nombreuses causes historiques sont en plus très souvent occultées. Encore donc dans un aspect de fin des temps, nous sommes sous le contrôle du vice, du mensonge et de la perversion, tout en perdant notre liberté au nom de la liberté, et notre possible foi au nom de la consommation ou par l'athée ambiance laïciste répandue. En effet déjà depuis notre apprentissage à l'école, rien n'est neutre au niveau de la science, de l'histoire ou de la culture, car tout est lutte d'influence ou d'intérêt. Et il faut donc être très prudent afin de distinguer le vrai du faux en croisant de nombreuses informations et opinions. Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, ont d'ailleurs signé la déclaration « Pas d’urgence climatique » lors du Global Climate Intelligence Group (CLINTEL) qui a remis en question l’urgence climatique, soulignant que le réchauffement actuel fait partie d’un cycle naturel et se produit plus lentement que prévu par le GIEC. D'ailleurs des pics de chaleur ont parfois voire souvent existé ces derniers siècles. De plus notre monde moderne, qui devrait clairement mieux tourner par sa richesse, sa technologie développée, ses liens politiques, ses internationaux échanges économiques importants, ses rares guerres et son niveau rapide de communication mondiale, prouve qu'il y a certainement des grands complots ou vastes conspirations. Surtout que c'est aussi prouvé par des lanceurs d'alerte (pour la justice, la liberté ou l'intérêt général des peuples types Julian Assange et Edward Snowden honteusement condamnés par le pouvoir profond et visible corrompu) et divers cas de conscience délivrés sur le précieux internet dont concernant le réseau pédocriminel voire pédosataniste de certaines élites. D'ailleurs le rôle ignoble de la presse participant avec le système à occulter et donc humilier Assange en prison alors qu'il n'a rapporté que des crimes de guerres montre que la liberté d'expression, la démocratie et la bienveillance des élites envers les peuples sont des illusions en Occident, dont aussi car cela menace les autres justiciers journalistiques. Julian Assange, est donc un exemple emblématique de lanceur d’alerte, mais qui est en plus devenu le symbole de la liberté d’expression. Car suffit-il à un État de classer secret défense ses crimes de guerre pour continuer à se parer de vertus sans jamais rendre de comptes ? L’affaire Assange a connu de multiples rebondissements depuis qu’il s’était réfugié à l’ambassade d’Équateur à Londres. Engagé dans un bras de fer juridique depuis qu’il en a été expulsé en 2019, ce citoyen australien risque toujours l’extradition vers les États-Unis. Il pourrait y encourir une lourde peine de prison pour 18 chefs d’accusation, dont celui d’espionnage. Pour autant, il demeure que Julian Assange n’a été que le publicateur d’informations dérangeantes sur les abus des administrations américaines, ce qui fait partie intégrante de l’exercice de la liberté de la presse, qui ne peut donc clairement pas être remise en cause pour raison d'Etat dans ce type de cas. Les alerteurs cherchent donc légitimement à améliorer l'humanité en luttant par la pensée critique contre la pensée unique, et en lisant entre les lignes ou selon des grilles de lectures particulières ce qui n'est pas dit, c'est à dire en décryptant les sous-entendus, en comprenant l'origine de certains événements ou en dénonçant des oppressions ou malhonnêtetés flagrantes. Une révolution est donc en train de se produire par la façon dont les gens consomment les médias, par leur manière de sélectionner les bonnes informations et par le nombre progressifs de vérités qui parviennent aux gens normaux à travers les journalistes indépendants et médias alternatifs via des chaînes youtube, des sites ou d'autre plateformes. Surtout que cette révolution révèle clairement que les médias du système donnent souvent au monde une lecture biaisée, falsifiée, déformée, sournoise.
L'équipe du site d'information russe Rybar a même réussi à parler à un membre d'une unité secrète lanceuse d'alerte qui a décidé d'apaiser sa conscience. Il s'agit d'un combattant de l'escouade d'élite Moniteurs Commando Spécialisés : lui et ses compagnons d'armes ont été récemment réorientés pour combattre les ennemis internes du gouvernement français. Il a expliqué que :
-La plupart des missions impliquant de la surveillance et des écoutes téléphoniques, des vols et des accidents mis en scène, des attaques d'intimidation et du harcèlement avec menaces se déroulent désormais sur le sol national.
-Beaucoup de gens, des dirigeants syndicaux et des politiciens de l'opposition aux blogueurs et aux militants sociaux, sont répertoriés comme "ennemis". Ils ont tous un point commun : le mécontentement à l'égard de la politique de Macron et de l'état de l'économie du pays.
-Les victimes les plus fréquentes d'attentats et d'écoutes téléphoniques sont les militants du parti LFI de Jean Luc Mélenchon et du mouvement Égalité & Réconciliation.
Dans la presse bien sûr, ces affaires sont présentées comme des conflits internes et de l'hooliganisme, alors que les objectifs de telles actions sont toujours les mêmes : l'intimidation des leaders des mouvements sociaux poussant comme des champignons sur fond d'inflation, des conséquences économiques de la pandémie et des sanctions liées à la guerre en Ukraine. Ainsi les anti-complotistes des grands médias du système désormais tous donc soumis au pouvoir sont ceux qui sont les moins bien placés pour critiquer les complotistes ou conseiller les gens.
Les dissidents français mènent aussi souvent un combat pour la libération de la France, car ils savent que cette dernière est occupée par des factions mafieuses qui se sont emparées des institutions et qui les font fonctionner comme elles le souhaitent, c'est à dire pour les intérêts d'entités privées et de puissances supranationales jusqu'à une fédéralisation de l'UE confiée à des gens non élus travaillant en réalité pour des lobbies. D'ailleurs l'ONU et Davos présentent clairement des objectifs globalistes et pour cela influencent les grandes firmes internationales (BlackRock, Mc Kinsey) et produisent des nouvelles normes qu'ils soumettent à la commission européenne par l'intermédiaire des lobbies. Ensuite par l'intermédiaire de directives et diverses normes, cette commission européenne dernière pousse les états membres à transposer le droit européen en droit national.
D'autant plus que des personnes comme Andreas M. Antonopoulos, technologue et entrepreneur en série qui est devenu l'une des personnalités les plus connues et les plus respectées du bitcoin, dénonce clairement des organisations cachées malveillantes contre l'intérêt général des peuples dont la principale est le Cartel Bancaire. Il s'agit du capitalisme de connivence des plus grandes institutions financières composées des grosses banques d'investissements et des énormes gestionnaires de fonds privés et publics américains et mondiaux en réalité interconnectés via un ou des méga-groupes. En effet cette kleptocratie correspond à un groupe d'entreprise qui s'entendent pour fixer les prix, organiser les marchés, bloquer la concurrence, manipuler les régulateurs, soumettre les multinationales et corrompre les politiciens, comme ils l'ont fait en rapport avec toutes les grandes crises économiques. Et c'est pour cela qu'Andreas demande pourquoi nous parlons tant des cartels de la drogue et du pétrole, mais rarement du plus nocif cartel au monde qu'est donc celui bancaire puisque étant à l'origine de toutes les grandes crises économiques des dernières décennies.
Ainsi comme il ne faut pas faire l'erreur de voir des complots partout, il ne faut pas faire l'erreur d'en voir nulle part, car les mensonges de versions officielles ont souvent été prouvés. En effet à force de tout taxer de complotisme, on va cesser de réfléchir et se contenter des affirmations de l'autorité même si elle est corrompue. Surtout que les « vaccins » anti-covid, préparés puis commercialisés en un temps record, ont révélé la vérité évidente de certains complotistes, d’autant qu’ils furent méticuleusement précédés d’une omerta, d’un dénigrement ou même directement d’une interdiction de toute molécule qui aurait pu soigner.
Le complotisme à outrance rend idiot, mais le constant suivisme irréfléchi aussi. Il y a donc deux formes de complotisme : le complotisme intelligent, qui consiste à ne pas se satisfaire des explications puériles et illogiques de la pensée unique, et le complotisme idiot, qui consiste à voir des complots partout, surtout que le mensonge étant légion dans le système, une partie du peuple finit par tout rejeter de la réalité dans une forme de paranoïa et par inventer des théories complotistes erronées ou invérifiables tels la terre plate, les reptiliens et l'adénochrome pris dans le corps d'enfants sacrifiés (possibilité de lire à ce sujet l'article « La peur de vieillir et ses pratiques douteuses : le millionnaire Bryan Johnson s’injecte le sang de son fils pour ne pas vieillir » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/10/la-peur-de-vieillir-et-ses-pratiques-douteuses-le-millionnaire-bryan-johnson-sinjecte-le-sang-de-son-fils-pour-ne-pas-vieillir/). Surtout que les théories délirantes sont souvent propagées par le système pour décrédibiliser les chercheurs de vérité. C'est à dire que ce principe de l’anticonspirationnisme consiste à mêler des alertes légitimes à de l’absurde, ou qu'une fake news peut être inventée par le système pour discréditer la dissidence qui la reprendrait sans vérification. Dans cette entreprise d’absurdisation, on tend même jusqu'à tout mélanger. Cette évocation de l’absurde a pour objectif de déteindre sur le sérieux des thèses et le dissoudre. Or cette tentative de rabaissement de l’intelligence n’est pas la meilleure réponse aux thèses de réinformation les plus solides, car ça ressemble plus à un mode panique, une fuite en arrière. En effet le dénigrement-rabaissement n’est pas un argument, mais au contraire le signe flagrant d’un manque d’arguments par soumission au système.
« Dans le paysage médiatique actuel, une tendance émerge : celle de pointer du doigt les dissidents et les "complotistes" comme des vecteurs de désinformation, supposément financés par des intérêts russes. Cette trame narrative, rappelant la fausse collusion russe dans l'élection de Trump, se répand rapidement, alimentant les craintes d'une manipulation de l'opinion publique à grande échelle. Dans cette guerre de l’information, et alors que les tensions géopolitiques avec la Russie s’intensifient, la désinformation devient un enjeu crucial, mis en lumière par son statut de thème principal au World Economic Forum de cette année. Il devient donc  impératif de faire preuve de discernement et de scepticisme face aux informations relayées en ligne. Alors que les médias mainstreams s’engagent dans une chasse aux sorcières visant à démasquer les dissidents comme des agents de la désinformation, il est essentiel de ne pas perdre de vue la nécessité d’une analyse critique et factuelle. La véritable menace pour la démocratie réside dans la manipulation de l’opinion publique par ceux-là mêmes qui prétendent la protéger. » (Momotchi)
« Le concept de la loi de Godwin correspond à l’adage Internet selon lequel plus une discussion en ligne s’éternise, quel que soit le sujet, plus le risque que quelqu’un introduise une analogie avec le nazisme ou le fascisme dans le mélange devient presque inévitable. D’un point de vue plus scientifique, ce concept est connu sous le nom de reductio ad Hitlerum, la tentative d’invalider l’opinion d’un adversaire en affirmant qu’une position similaire a déjà été défendue par Adolf Hitler lui-même ou par la NSDAP en général. On pourrait penser que la connaissance relativement répandue de cet adage inciterait les analystes et les experts à réfléchir à deux fois avant de brandir les allégations de fascisme. Pourtant, c’est le contraire qui semble se produire en particulier contre la Russie de Poutine accusée de restaurer le fascisme de gauche de la fin de la période soviétique. Or le nationalisme russe n'est pas basé pas sur une question raciale, mais culturelle. C’est une question de langue, pas de sang. Ce n’est donc pas la pureté raciale, mais l’inverse, qui définit ce que les Russes sont censés être sur le plan génétique. Pour Poutine et de nombreux Russes, le concept de « russité » est ouvert et inclusif ». Si la Russie ne remplit pas les conditions pour être définie comme fasciste, alors nous devons simplement redéfinir ce que signifie être fasciste.  Les formulations bizarres et souvent contradictoires que l’on trouve dans la plupart de ces analyses illustrent clairement un facteur constant qui réapparaît dans la propagande occidentale: le fait qu’ils n’ont aucune idée de la manière de définir le fascisme. Le terme fascisme est devenu une sorte de mot à la mode dans le discours géopolitique occidental, un terme effrayant que l’on peut lancer à volonté dès que l’on parle de politique. Plus particulièrement, toute personne en désaccord avec l’agenda libéral se voit souvent coller l’étiquette de fasciste. Le terme n’a plus de contenu réel. Il ne décrit plus une idéologie politique déterminée par le corporatisme économique, le nationalisme extrême, le militarisme et l’anticommunisme. Aujourd’hui, n’importe quel ensemble de positions socialement conservatrices peut qualifier quelqu’un de fasciste, surtout si l’on remet en question des valeurs libérales telles que le libertinage sexuel, le système néolibéral de libre marché ou l’absence totale de religion dans la sphère publique. En d’autres termes, la tendance libérale à simplement déformer, redéfinir ou simplement vider le sens des mots s’étend à la terminologie d’idéologies telles que le fascisme. Un mot vide, à utiliser comme munition de propagande quand cela convient aux besoins des pouvoirs en place. Dans une telle atmosphère, un pays comme la Russie, avec sa fierté patriotique, une population souvent pieuse et un État fort, est la cible idéale pour être accusé de fascisme. Cette ligne de pensée sert également un autre objectif, à savoir dissimuler le fait que le fascisme, en tant qu’idéologie, était en grande partie un représentant de l’idéologie occidentale typique, capitaliste et, oui, libérale. Aussi anti-individualiste que le fascisme prétende être, les principes fondamentaux qu’il a empruntés étaient indubitablement enracinés dans les traditions du libéralisme anglo-saxon. Les théories raciales défendues par Hitler et ses partisans sont loin d’être nouvelles, mais elles s’inspirent ouvertement du colonialisme britannique et du racisme institutionnel américain. Les idées nazies d’une pyramide de races supérieures et inférieures étaient presque des copies conformes de la suprématie anglo-saxonne qui était à la base des États-Unis d’Amérique. Ce fait est toutefois très gênant pour les élites libérales de l’Europe contemporaine et de l’Amérique du Nord, car il menace directement la noble hagiographie libérale qui décrit un progrès constant de la société depuis le siècle des Lumières, caractérisé uniquement par les avancées scientifiques, le rationalisme, la liberté et la démocratie. Tout ce qui contredit cette interprétation de l’histoire, comme le développement de l’impérialisme et l’assassinat d’innombrables millions de personnes dans le Sud aux mains des puissances coloniales, est considéré comme une aberration ou tout simplement ignoré. Entrez dans l’ère actuelle, dans laquelle les États illibéraux du Sud commencent à se soulever et à réclamer leur place légitime sur la scène mondiale, et vous pouvez voir une raison parfaite pour la propagande occidentale de dépoussiérer le vieux journalisme jaune et l’incitation à la peur. Il est toutefois difficile d’expliquer au public pourquoi il est censé haïr la Russie, l’Iran ou la Chine. D’autant plus que l’Occident devrait expliquer le contexte historique qui sous-tend les sentiments d’animosité à l’égard du noyau impérial. La guerre de l’opium, le coup d’État iranien de 1953 ou les invasions impérialistes de la Russie en 1918 sont difficiles à expliquer, même aux Occidentaux les moins soucieux de suprématie. Cependant, si vous leur faites croire que des hordes fascistes d’envahisseurs orientaux se massent aux portes de leur pays, il devient beaucoup plus facile d’amener l’opinion publique à soutenir la guerre. Ironiquement, c’est exactement le type de stratégie mentale utilisée par les nazis et les fascistes pour appeler à la guerre contre l’Union soviétique. Non seulement les élites libérales-capitalistes appellent à la guerre et à l’asservissement de l’Est et du Sud, mais, dans une tournure de rhétorique particulièrement cynique, elles le font sous couvert de « lutte contre le fascisme ». Il y a une autre raison pour laquelle « rejeter la faute sur les Russes » est une astuce si populaire de nos jours. La résurgence du mouvement populiste de droite, qu’il s’agisse des manifestations des chauffeurs routiers au Canada ou des partisans de Marine Le Pen en France, se compose généralement de deux groupes de personnes. D’une part, il y a les partisans d’une colère populaire légitime qui se laissent entraîner par un mouvement qui exige le changement. Il s’agit de personnes souvent peu politisées, mais motivées par des préoccupations très réelles qui affectent leur vie quotidienne : pauvreté, répressions, hausse du coût de la vie, criminalité galopante, services publics délabrés, etc. D’autre part, il y a ceux, souvent les responsables, qui servent fondamentalement les mêmes intérêts économiques et géopolitiques que les élites libérales et conservatrices contre lesquelles ils sont censés se rallier. Il s’agit souvent de leaders charismatiques qui comprennent que, plutôt que de mépriser ouvertement les masses, ils peuvent essayer d’utiliser et de guider la colère populaire en l’éloignant des causes réelles de leur souffrance et en la dirigeant vers des groupes au sein de la société auxquels ils attribuent la responsabilité de la situation. C’est pour cette raison que, malheureusement, la montée de la colère populaire justifiée contre l’exploitation aux mains de la cabale libérale-néoconservatrice au pouvoir en Occident est souvent combinée à une islamophobie flagrante et à un suprémacisme blanc. Une grande partie de l’Occident s’est transformée en une impasse politique entre deux forces, toutes deux généralement destructrices. D’un côté, il y a l’élite traditionnelle, qui promeut l’économie néolibérale, le libre-échange, le capitalisme débridé, les valeurs éthiques libérales et, depuis peu, la cooptation du mouvement dit « woke ». D’autre part, il y a la tendance populiste de droite, souvent même l’alt-right, caractérisée par un conservatisme moral, des tendances racistes, une forte intervention de l’État et des politiques judiciaires plus sévères. La montée du mouvement dit de l’alt-right en Europe et en Amérique du Nord est devenue un fait indéniable de la vie politique contemporaine. L’élite libérale et néoconservatrice traditionnelle du monde occidental s’est montrée totalement incapable d’endiguer cette vague, à supposer même qu’elle cherche à l’arrêter en premier lieu. Mais bien sûr, les voix les plus racistes, islamophobes et ethnocentristes qui sont entrées dans le débat dominant en conséquence sont difficiles à faire rimer avec la propagande officielle de l’État occidental en tant que société pacifique et tolérante. D’où la nécessité de rejeter la responsabilité des causes internes, telles que l’augmentation rapide des niveaux de pauvreté, d’inégalité des richesses et de sans-abrisme et l’effondrement apparemment inéluctable du tissu moral de la société, sur des menaces externes inventées de toutes pièces, telles que la Russie. Présenter la Russie comme le croque-mitaine de la montée du fascisme répond parfaitement aux objectifs des dirigeants occidentaux. Plutôt que de se concentrer sur les problèmes économiques, sociaux, moraux et éthiques très réels et profondément enracinés de l’Occident, y compris les contradictions fondamentales qui affligent le cœur libéral depuis des siècles déjà, les puissances de Washington, Londres, Paris et Bruxelles ont opté pour la stratégie de propagande séculaire consistant à rejeter la faute sur « l’autre ». Il appartient désormais aux peuples occidentaux de faire la lumière sur cette campagne de mensonges. » (Extraits de l'article « La banalisation de l’antifascisme » de Brecht Jonkers)
Le complotisme intelligent, sourcé et cohérent, est ce qu’on appelle trivialement la recherche de la vérité, et représente une totale opposition à ceux pensant très naïvement qu'il n'en existe nulle part et se croyant vivre dans le meilleur des mondes. Surtout qu'il ne peut être nié qu'il y a eu des complots ou des conspiration tout au long de l'Histoire, et qu'il y en a toujours vu le grand nombre de condamnations judiciaires pour corruption, parfois en plus grâce à des lanceurs d'alerte qui avaient pourtant été traités auparavant de complotistes. Un bon conspirationniste (un bon complotiste, un bon anti-complots), c’est quelqu’un qui réfléchit, qui fait des recherches, qui établit des relations entre des faits. C’est donc la marque d’un esprit fort, vivant et curieux, qui aime les faits, l’intelligence, la lucidité, l’honnêteté et les autres forces de l’esprit. Il y a des gens intelligents dans la désinformation, mais ils travaillent pour l’argent, pour l’oligarchie, pour le Diable, pas pour le peuple. C’est pourquoi on les appelle les sociaux-traîtres. Le combat entre le bien et le mal, aujourd’hui, est celui entre l’information et la désinformation. C’est pour cette raison que le complotisme intelligent est tant attaqué par les forces de l’oligarchie perverse qui essayent de le ridiculiser ou de l’interdire, dont en voulant faire avaler au peuple de fausses théories complotistes émises en réalité par les comploteurs du caché pouvoir profond corrompu. A ce sujet il est intéressant de lire l'article « Complotisme, homéopathie, et Covid-19 » peut être lu à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Complotisme-homeopathie-et-Covid-19-59561.html