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L) Suite 12


Selon Valérie Bugault, ce nouveau système pourrait être basé sur une méritocratie élective dont les candidats auront à prouver par des faits leurs efforts, leur persévérance, leur assurance et leur organisation pour le bien commun. De plus il serait aussi important d'y faire participer de grands électeurs comprenant des associations de parents d'élèves, des syndicats, des organisations humanitaires, des communautés religieuses. Puis l'élu après s'être entouré d'excellents conseillers devrait rassembler les forces politiques, économiques, sociales, associatives et religieuses mais aussi des citoyens tirés au sort, afin de les interroger sur les grands sujets et évaluer la meilleure politique d'un juste milieu dans les intérêts de tous, tout en favorisant raisonnablement les faibles en cas de désaccord ou d'équité difficile. Enfin cette nouvelle société devrait être organisée autour des trois groupement d'intérêts commercial, culturel et spirituel, eux mêmes organisés en sous groupement d'intérêts, afin de tirer vers le haut toutes ces forces et groupements, dont en élisant des représentants respectifs qui tendront à faire des passerelles entre ces secteurs, ou des revendications légitimes, voire des contre-pouvoir. Or plusieurs groupements d'intérêts peuvent se créer au sein d'un seul secteur, comme il y a une différence entre grands et petits producteurs ou entre industriels et artisans. C'est à dire que suite à d'intelligentes négociations pacifiques, il faut prendre des décisions limitant ou évidemment mieux unifiant ces secteurs pour un développement commun.
Plus de précisions sont apportées dans les vidéos « Chronique Hebdo #39 avec Valérie Bugault - Revoludroit : vers une réforme efficace des institutions » à l'adresse https://youtu.be/17u7PapyV8g et « Du système de domination au changement de paradigme - Politique & Eco avec Valérie Bugault » à l'adresse https://youtu.be/v5OaJqwobLs
Valérie Bugault dit par ailleurs que quel que soit le système politique, s'il est lié à la représentation parlementaire associée à une banque centrale indépendante, il s'agit forcément d'une ploutocratie, que nous ne devons plus valoriser la vie, l'humain et la réalité qu'au vu du rendement, en retournant vers une conception plus politique qu'économique pour retrouver des valeurs qui permettent de refaire société, de prospérer en tant qu'individu et collectivité, et que pour sortir de l'hégémonie financière, il faut arrêter de considérer la monnaie comme une marchandise, en finir avec l'anonymat des capitaux déresponsabilisant et développer la doctrine sociale de l'Eglise au 19e siècle de participation, qui est le partage du pouvoir décisionnel dans le monde capitaliste entre les improductifs patrons et les productifs salariés et donc les développeurs de l'entreprise dont concernant l'avenir des richesses créées. Or concernant l'impôt, il n'y a que l'équité de la zakat qui unira et pacifiera tout le peuple, et cela ne pourrait se faire que via une monnaie numérique nationale pourquoi pas gérée par le peuple.
De plus comme la France a donc une revanche à prendre avec l'Histoire, puisqu'elle a été une des principales nations à l'origine du droit continental et que la laïcité devenue wokiste et ainsi extrême l'a envahie en premier avant le monde au détriment de sa relation avec Dieu, elle doit donc bien revenir à l'Histoire afin d'obtenir une union populaire plus forte grâce à la mémoire (et si possible la conscience) collective(s) et une foi commune, nécessaires à la réussite du projet de réorientation sociale vers les valeurs monothéistes et naturelles incarnant la civilisation par essence.
Le président Russe Vladimir Poutine a dit : « Que l'amitié et les bons espoirs qui nous unissent tous en ce moment, continuent de nous accompagner à l'avenir, nous aident dans le travail et participent à la réalisation de nos bons objectifs communs. »
Il faut noter que depuis la révolution libérale libertaire de mai 1968 (pré-révolution de couleur), ayant mis fin à la présidence du Général de Gaulle, dernier président réellement patriote de la France, puis permis la prise de pouvoir par une élite politique provenant principalement du cercle sectaire très fermé de L'ENA depuis plusieurs générations, le nombre de chômeurs est passé de 200 mille à 6 millions, car cette élite perverse a trahi la République Française en la vendant à des actionnaires.
D'autre part pour encore plus renforcer le pouvoir national, il faut se rappeler que l'empire islamique était divisé en provinces (régions comparable à des pays) dont des gouverneurs géraient les intérêts de chacune, prouvant la nécessité de bonnes zones administratives pour faciliter leur organisation et leurs demandes parfois logiquement particulières. Et c'est pourquoi la grande importance et donc la grande valeur voire la nécessité du retour du califat islamique, dont pour urgemment stabiliser l'Afrique, le Maghreb, le Korassan, le Proche Orient, et ainsi le Monde, pourrait être basé simplement sur l'union des pays musulmans au niveau économique (dont anti-usure) et pas forcément monétaire, au niveau des dogmes religieux et pas forcément de toute la religion, au niveau du droit naturel (dont contre le mariage homosexuel, la transsexualité, et la transhumanisme) et pas forcément de tout le droit coranique, au niveau d'un système type swift (synonyme d'empire) et pas forcément de tout le système bancaire, au niveau d'une monnaie commune et pas forcément unique. En effet il est grand temps d'arrêter les caprices enfantins voire le mépris impie de la division empêchant les nations musulmanes de nouer des liens plus étroits, de renforcer leurs relations afin de promouvoir l’islam dans le monde entier, et de tendre à recréer le califat, et donc de trouver des solutions dans ces sens. Dans le sens de ce possiblement proche retour du califat, lors de sa conférence de presse, le ministre russe des Affaires étrangères a mentionné l'Iran comme l'un des cinq membres du cercle rapproché de la Russie, avec lesquels les relations sont importantes pour Moscou. « En ce qui concerne notre cercle restreint, je dois absolument mentionner ces pays du Moyen-Orient : l'Iran, la Turquie, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Qatar », telles sont les déclarations du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov lors de sa conférence de presse annuelle tenue jeudi 18 janvier, consacrée à description des réalisations de la diplomatie russe en 2023. En rappelant que par rapport aux diverses discussions avec les différentes tribus d'Arabie, le Prophète (SBDSL) accorda des particularités voire des autonomies tant que la zakat était payée et la paix préservée.
En effet les nations musulmanes doivent réinventer le califat en s'inspirant des quatre premiers califes et du califat abbasside avec Bagdad comme capitale, car ce dernier correspond à une forme d'âge d'or de l'islam, puisqu'il était florissant au niveau intérieur à travers la paix entre les sunnites, les chiites, les philosophes soufis et les quatre écoles religieuses, et au niveau extérieur par son expansion. Surtout que des cours religieux et scientifiques gratuits y étaient proposées, ce qui provoqua une grande effervescence intellectuelle, pieuse et sociale dans le monde. Il faut noter que chacun de ces califats étaient commandées par un dirigeant éclairé qui tendait à prendre en compte équitablement tout individu et tout groupe, comme chacun de ses gouverneurs de provinces. Ainsi il ne faut pas oublier de s'inspirer de ce qui est éternel et non caricatural dans le califat à réinventer, tout en faisant attention à ne pas répéter les erreurs des califats qui ont mené à la fin de cette institution sacrée puis même à la modernité progressiste en Turquie plutôt que qu'à conserver la dimension sacré de la religion, de la famille et l'individu, comme les égarés avides de pouvoir, les traditionnalistes aveugles ou la sacralisation de l'atome (du scientisme).
« Nous appelons l’ensemble du monde islamique, tous les gens sains d’esprit, à s’unir dans des efforts conjoints contre notre ennemi commun (l'Occident américano-sioniste, wokiste, belliqueux, mondialiste, transhumaniste et ploutocratique. » (président tchétchène Kadirov)
De même toutes la nations resteront probablement en grande partie les mêmes après le retour de Jésus, mais probablement souvent avec des changements politiques voire des alliances au sein d'empires.
De plus il faut éviter la dissolution de l'Etat par des organisations trop supranationales, en particulier au niveau de diverses lois commerciales, de certains traités internationaux, de la législation de l'union européenne, du système bancaire et de l'usure donnant trop de pouvoir aux multinationales et banques privées sur de nombreuses nations en rapport avec la mondialisation. En effet dans le monde politico-économique actuel, l'autorité devient plus économique que politique, car le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit. Ainsi depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est même la Fondation privée Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur. Par conséquent sans réel contre-pouvoir et souvent par le suivi aveugle de la majorité du peuple, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures souvent privées qui gèrent les crises qu’elles ont probablement souvent orchestrées pour accroître leur domination comme lors de la gestion mondiaiste du Covid par cet OMS devenu privé. Surtout que divers membres d'organisations supranationales dont aussi de l'Union Européenne déclarent tyranniquement que les peuples ne peuvent changer ces organisations ni leurs lois, synonymes de technocratie opaque, internationaliste et oligarchique. Il ne s'agit donc pas d'un combat populaire contre des défaillants ignorants, mais contre des menteurs sachants.
Pour reconstituer une forte autorité patriote, il peut donc s’avérer nécessaire de revenir à des structures locales et régionales mettant l’accent sur l’autonomie, puis de les recombiner progressivement en de plus grandes entités politiques cultivant de bilatéraux liens régionaux dont à travers des relations commerciales. Au fur et à mesure que ce processus suivra son cours, le plus grand défi partout dans le monde sera de tenir en laisse l’oligarchie transnationale n'enrichissant qu'elle même, et donc de museler ou d’écraser comme en Russie et en Chine les oligarques non coopératifs. Ensuite chacun devra développer à nouveau sa pensée jusqu’à ce qu’il puisse voir clairement et agir de manière productive. Ce ne sera pas une tâche facile pour ceux qui ont été conditionnés à penser globalement, et nous devons nous attendre à ce les élites perverses dont les ambitions mégalomaniaques ont été contrecarrées organisent un grand désordre. Et c'est dans ce sens que les crises, l'appauvrissement et le rabaissement moral des peuples de notre époque sont recherchées et organisées par ces perverses élites mégalomaniaques pour mieux les dominer. En fait dangereusement, le capitalisme des oligarchies corrompues actuelles pense d'abord à fabriquer les richesses par la production, et pense seulement après coup à la distribution des ressources par la vente selon le marché de l'offre et de la demande. En effet ce système est très défaillant, puisque les marchandises ne trouvant plus d'acheteurs à cause de leur appauvrissement organisé aussi par ces oligarchies corrompues, cela amène de la surproduction ou de la saturation des marchés synonyme de gaspillage sur fond d'épuisement des richesses naturelles, d'oppression financière, d'usure esclavagisante, de pertes de droits civiques, de stagnation salariale et de gens sans logements surtout que devenant de plus en plus chers à cause de ce contexte.
Ainsi face à ce système grandement erroné, la grande utilité des référendums d'initiative citoyenne ratifiés par des centaines de milliers de gens est de permettre la gestion de ces points et même les points qui pourraient être uniquement présents ou déraisonnablement présents dans le programme d'un parti vainqueur ou vaincu, afin de les améliorer, les valider ou les annuler, tout en unifiant ainsi la population par l'intelligence d'une réelle démocratie. De plus comme le contexte de vie peut parfois être différent en fonction de certaines zones, des référendums d'initiative citoyenne pourraient également être mis en place au niveau communal, départemental ou régional. Or si un peuple et son gouvernement tendaient à suivre sincèrement les règles monothéistes authentiques, ces référendums ne seraient plus nécessaires, sauf si c'est pour mieux les établir au niveau local, départemental et régional, surtout quand il y a différents avis ou contextes.
Mais la démocratie actuelle a été presque totalement vidée de son sens, et le pouvoir se contente désormais d’entretenir maladroitement l’illusion démocratique à l’usage des masses, biberonnées dès leur naissance à la propagande. Or nous ne vivons pas dans un régime totalitaire visible, car cela se caractérise par définition à travers la confiscation du pouvoir par un parti unique, nous vivons dans un régime totalitaire invisible, car un pouvoir profond caché dont dans la plupart des grands partis ne tolère aucune forme de grande opposition organisée.
On peut noter que les principaux totalitarismes athées sont le nazisme, le communisme et le libéralisme, qui sont la fermeture, le social et l'individualisme portés à outrance par un manque de confiance en Dieu, car voulant trop sécuriser l'incertitude de l'environnement nous entourant. Cela montre aussi que trop de sécurité détruit la sécurité et que le juste milieu entre ces idées incarne la perfection du christianisme et de l'islam authentiques : (ExtS2v143) « C’est ainsi que Nous avons fait de vous la Communauté du juste milieu »
Le totalitarisme est un régime tyrannique à parti unique n’admettant aucune opposition et dans lequel l’État tend à orienter toutes les activités de la société et à en interdire certaines arbitrairement ou partialement dont au profit des autorités. Cela signifie que c'est une dictature utilisant souvent des règles indignes qui vont jusqu'à s’exercer dans toutes les sphères privée et intime, quadriller toute la société et tout le territoire, et imposer à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire. Il faut noter que la tyrannie est différente de la dictature, car cette dernière peut être éclairée.
Le totalitarisme se voit aussi à travers la censure systématique, la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales, même en dehors de la politique. La contagion délirante est aussi un signe du totalitarisme comme lors du covid. En politique, mais donc aussi en science, en médecine et en économie, le totalitarisme n'aboutit qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables comme le prouve la fin d'Hitler.
« On reconnaît un système totalitaire au fait que les criminels sont ménagés et les adversaires politiques criminalisés. » (Alexandre Soljenitsyne)
Or le totalitarisme moderne invisible auquel l'occident est confronté va plus loin encore que la simple tyrannie ou sa définition précédente, car il ne s'impose pas comme celui visible, mais s'installe tranquillement petit à petit à l'insu des gens dont par des lois de plus en plus liberticides liées aux crises climatique, financière, terroriste, sanitaire, guerrière, énergétique, inflationniste, économique et banlieusarde. Surtout que par ses médias, ce ploutocratique et sioniste système totalitaire entend désormais s’immiscer dans la sphère intime de la pensée en imposant insidieusement à tous les citoyens l’adhésion à la banalité d'une idéologie obligatoire qu'est la démocratie laïciste ultra libérale libertaire synonyme d'amoralité ou plutôt d'immoralité wokistes, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la société. En effet c'est une confirmation de plus que le principal totalitarisme authentique est celui ploutocratique sous un déguisement. C'est à dire qu'il a parfois voire souvent été déguisé dont actuellement à travers le néolibéralisme laïciste et avant à travers l'union soviétique et son oligarchie administrative, et est apparu fréquemment à travers l’Histoire dont en perdurant depuis des siècles jusqu'à nos jours. Ainsi il faut remarquer que ce totalitarisme ploutocratique déguisé est compatible avec nos institutions démocratiques, comme le multipartisme infiltré, les syndicats soumis et une presse faussement « libre », car ce totalitarisme caché ne présuppose pas la tyrannie, mais l'organise par le financement de ces domaines. C'est à dire que la tyrannie visible n’est qu’un moyen pour imposer le totalitarisme, et qu'elle peut donc être remplacée par un moyen invisible comme donc cette impie idéologie ploutocratique, wokiste et américano-sioniste dont à travers un ensemble de manipulations faisant accepter son instauration par le peuple. En effet tant que la population pense faire le bien, elle peut souvent être manipulée pour soutenir un mal immense.
Surtout donc qu'une douce (invisible) tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale (visible) tyrannie grossières avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation soumettant, alors que la deuxième est violente et évidente jusqu'à des réactions d'opposition. D'ailleurs les révolutions communiste en Russie, fasciste en Italie et national-socialiste en Allemagne qui étaient basées sur la relation des gens en dehors de la transcendance, ont en réalité une autorité moins grande qu'aujourd'hui, puisque dans l'actuel ultra-libéralisme ouvert, supranational, libertaire, inclusif et décadent, tout est divisé et donc non révolutionnaire, et correspond donc au pouvoir le plus exclusif de l'histoire. Or comme la tyrannie par la force n'est plus tenable, elle se fait donc logiquement désormais par la subversion via les médias de masse et de plus en plus via les réseaux sociaux liés au smartphone, quoique la dissidence y reste forte. Le totalitarisme soviétique militaire était donc beaucoup moins puissant que le totalitarisme progressiste, car ce dernier est habillé de façon moderne. Surtout que pour obtenir le pouvoir d'autant plus quand le peuple n'a plus droit aux armes comme sous Staline et en France, le totalitarisme ploutocratique, progressiste et sioniste n'a plus qu'à attendre que le système précédent s'effondre sous ses contradictions, à activer les réseaux oligarchiques, à prendre les lieux de pouvoir, ou à espérer un massacre de manifestants pacifiques afin d'espérer que la police ou l'armée le rejoigne comme lors des révolutions oranges. Or la violence fasciste peut même être qualifiée de surface par rapport à celle de ce totalitarisme ploutocratique, progressiste et sioniste, car elle n'avait pas attaqué en profondeur les fondamentaux anthropologiques de notre société. En effet démoraliser et donc dominer les peuples, la ploutocratique, progressiste et sioniste société de consommation est allé jusqu'à légaliser le changement de sexe par la mutilation voulue par la folle doxa Lgbt, ce qui signifie qu'on est passé du réversible à l’irréversible, c'est à dire du travestissement vestimentaire réversible au travestissement sexuel irréversible car destructeur organiquement et fertilement en stérilisant donc l'occident populaire blanc. Par conséquent, l'occident qui a inventé le progressisme perverti, transhumaniste et donc nihiliste finit logiquement par se suicider. Ce qui prouve encore qu'avec la disparition progressive de la piété, l'humanité finit par s'autodétruire, et que l'envoi au cours de l'Histoire de Prophètes rappelant les vérités monothéistes était légitime et bien synonyme de sauvetage de l'humanité, même si la destruction divine est nécessairement souvent intervenue sur certains hommes ayant refusés leur message.
La tyrannie ne prospère que grâce à une partie inhérente de la société qui l'aime secrètement et souhaite son existence. Les idiots utiles et les aberrations sociopathes sont les complices de l'oppression, motivés par la peur, la sécurité de la foule et une fausse piété. La compréhension de ces motivations est essentielle pour lutter contre la tyrannie.
« Il existe une question fondamentale qui hante les pages de l’histoire et qui n’a jamais été traitée de manière satisfaisante. Il existe de nombreuses écoles de pensée sur le pourquoi et le comment de l’émergence de la tyrannie dans une société donnée et toutes ratent la cible en termes d’explications, principalement parce qu’elles laissent toutes leurs préjugés gouverner leurs conclusions et les aveugler sur les aspects plus profonds du pouvoir et de la conspiration. L’hypothèse commune en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’elles n’ont pas l’intention de tenir. Il s’agit d’une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu’il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine. Dans notre ère moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Il faut les inciter à se conformer, mais seulement cela, car il faut aussi leur faire croire que c’était LEUR idée depuis le début. Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-asservissement, la population finira par se rebeller, quelle que soit l’oppression du régime. Une tyrannie de mille ans ne peut exister que si un certain nombre de personnes sont amenées à l’applaudir, ou si elles en bénéficient directement. Et c’est là que se trouve la véritable clé du totalitarisme : il ne prospère que parce qu’une partie inhérente de toute société donnée l’aime secrètement et souhaite qu’il existe. Nous pourrions appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils ne sont pas nécessairement inconscients de ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui, et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des globalistes qui lancent des conspirations de base et cherchent à exercer de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient pas accomplir grand-chose sans l’aide de l’armée d’aberrations sociopathes qui vivent parmi nous. Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des confinements covid et de la pression pour les vaccinations forcées. Il est clair que certaines personnes sont trop préoccupées par les décisions de santé personnelle des autres. La science et les statistiques prouvent que le virus ne devrait pas être une crainte pour eux, mais ils ignorent la science. Ils ont soif du goût du pouvoir. Ils sont devenus un culte qui ignore toute logique et exige la fidélité à leur récit frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement que nous nous conformions. Et c’est ainsi que commence le conflit épique, une histoire aussi vieille que la civilisation elle-même. Il y a deux types de personnes dans ce monde : ceux qui veulent contrôler les autres, et ceux qui veulent qu’on les laisse tranquilles. Mais qu’est-ce qui motive les maniaques du contrôle ? Pourquoi sont-ils tels qu’ils sont ? Examinons quelques-unes des causes :
Le moteur de la peur : Il y a des gens qui sont motivés par le succès, le mérite, l’espoir, la prospérité, la foi, l’optimisme, l’amour et l’honneur. Et puis il y a les personnes guidées par la peur. Il existe des centaines de peurs différentes, mais seulement quelques façons de réagir à chacune d’entre elles. Les collectivistes répondent à la peur par un besoin désespéré de microgérer leur environnement ; ils croient que s’ils peuvent dicter le comportement des gens et les événements dans une certaine mesure, ils peuvent éliminer les résultats inattendus et être libérés de la peur. Le niveau d’influence que ces personnes recherchent est si loin d’elles qu’elles ne pourront jamais l’atteindre. En d’autres termes, elles ne seront jamais satisfaites tant qu’elles n’auront pas obtenu davantage. Leurs peurs les hanteront toujours, car les peurs ne peuvent être traitées de l’extérieur, mais seulement de l’intérieur. De plus, les choses qu’elles craignent tournent souvent autour de leur propre narcissisme et sont de leur propre fabrication. Elles ont peur de l’échec, mais travaillent rarement assez dur pour réussir. Elles ont peur de s’exposer, mais uniquement parce qu’elles mentent constamment. Elles craignent les conflits, mais uniquement parce qu’elles sont faibles de corps et de caractère. Elles ont peur de la mort, car elles ne croient en rien de plus grand qu’elles-mêmes. Elles revendiquent la domination de leur environnement parce qu’elles croient à tort qu’elles peuvent tromper le destin et les conséquences de leurs propres choix terribles.
La sécurité de la foule : La question de la peur s’étend à l’état d’esprit commun des totalitaires et à la façon dont ils trouvent la sécurité. L’idée de se tenir sur ses deux pieds et de défendre ses principes face à l’opposition leur est complètement étrangère. Ils évitent ces situations à tout prix et la notion de risque leur est odieuse. Ils cherchent donc plutôt à se fondre dans la foule. Cela leur permet de se sentir en sécurité dans l’obscurité tout en exerçant une force par le biais d’une action collective. Ils peuvent se sentir puissants tout en étant pitoyables et faibles. Ces personnes opèrent presque toujours par le biais de grands groupes à l’esprit unique qui punissent toute dissension dans les rangs, généralement avec des gardiens qui modèrent les motivations de la ruche. La foule elle-même est une arme, son seul but, au-delà du confort de ses adhérents, est de détruire les personnes qui n’ont pas les mêmes croyances ou valeurs que les contrôleurs. Il n’y a pas de but défensif à la foule, c’est un outil pour assassin, c’est une bombe nucléaire. Et, comme nous l’avons vu dans toutes les dictatures modernes, des bolcheviks en Russie aux fascistes en Allemagne en passant par les communistes dans la Chine de Mao, la foule totalitaire est capable d’assassiner plus de personnes que n’importe quelle arme nucléaire existante, tout cela au nom du « plus grand bien du plus grand nombre ».
Une fausse piété à la place de l’estime de soi : Tous les tyrans se croient justes dans leur cause, même lorsqu’ils savent que leurs actions sont moralement odieuses. Par exemple la secte covid soutient constamment que les personnes qui refusent les obligations, les confinements et les vaccins mettent les autres en danger, et que c’est pourquoi nous devons être « forcés » à nous soumettre. La plupart d’entre eux savent, d’après les données, que le covid n’est pas une menace, mais le récit leur donne l’occasion d’appliquer leur pouvoir par le biais d’un « jugement moral », et donc ils mentent, et ils continuent à mentir au sujet des données jusqu’à ce qu’ils pensent que le mensonge sera accepté comme une réalité. Il s’agit d’un aspect commun à la plupart des sectes et des religions fondamentalistes qui se sont égarées – l’habitude des adhérents de privilégier les mensonges aux faits et aux preuves, non pas parce qu’ils essaient de protéger leur foi, mais parce que cela leur donne la possibilité de se sentir pieux et supérieurs à ceux qu’ils sont déterminés à blesser. Ceux qui ne sont pas d’accord sont qualifiés d’hérétiques, de moins que rien, de terroristes sans foi ni loi. La foule anti-mandat est ainsi dépouillée de son humanité et est dépeinte comme démoniaque. Les personnes qui veulent rester libres deviennent des monstres, et les monstres totalitaires deviennent des héros chargés de sauver le monde. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson « les obéissants se considèrent toujours comme vertueux plutôt que lâches. »
L’amour d’une cage : J’ai l’impression de comprendre cet état d’esprit dans une certaine mesure, mais je suis toujours choqué par la façon dont les gens qui grattent pour avoir du pouvoir sur les autres semblent aussi aimer être les esclaves du système. Je ne suis pas sûr que ce soit ironique, car l’autoritarisme tient certaines de ses promesses de « sécurité » tant que les personnes impliquées sont prêtes à renoncer à tout élan de liberté. Si vous faites ce que l’on vous dit à tout moment et que vous servez le système sans faillir, il y a de bonnes chances que vous puissiez vous accrocher aux maigres nécessités de la survie. Vous vivrez une vie, mais probablement pas une vie heureuse. Pour ceux qui se surpassent et mettent de côté tout principe personnel afin d’atteindre les objectifs du système, ils peuvent même jouir d’un minimum de richesse par rapport à leurs pairs. Vous voyez, dans une société despotique, les personnes les plus dépourvues d’honneur sont celles qui sont les plus récompensées. Ils n’ont pas besoin de mérite, d’accomplissement, de compétences ou même d’intelligence ; tout ce qu’ils doivent faire, c’est vendre leur âme et faire tout ce qu’il faut pour attirer l’attention de l’oligarchie. Ils n’ont pas besoin d’être bons dans quoi que ce soit, tout ce qu’ils ont à faire c’est d’être méchants, et pour certaines personnes, c’est facile. De cette façon, le système devient une couverture confortable dans laquelle des déviants inutiles peuvent être emmaillotés. Ils s’y enveloppent et se prélassent dans sa chaleur. Ils ne sont pas concernés par la liberté, car celle-ci leur semble froide. La liberté peut être isolante et l’existence du choix est terrifiante. Lorsque tous vos choix sont faits pour vous, il n’y a jamais de doute ou de stress interne. Tout ce que vous devez faire, c’est vous réveiller chaque jour et obéir. Pour les personnes faibles et ignorantes, la soumission est un cadeau plus qu’une malédiction. Ils croient qu’une cage est faite pour être dorée, pas pour s’en échapper, et que quiconque cherche à s’échapper doit être fou ou dangereux. Si des personnes libres existent, les esclaves sont obligés de remettre en question leur propre condition et leur propre conformité, donc tout le monde doit être asservi pour éliminer tout doute de la société. L’esprit de ruche est placé au-dessus de tout.
Les rebelles et les libres : Les petits tyrans qui infiltrent l’humanité considèrent probablement les défenseurs de la liberté comme des créatures extraterrestres venues de bien au-delà des limites de leur univers. Ils n’arrivent pas à comprendre comment il est possible pour quelqu’un de défier le système, de s’opposer à la foule ou à la collectivité, même s’il est en infériorité numérique ou si le risque est élevé. Ils supposent qu’il s’agit d’une forme de folie ou d’un manque d’intelligence ; car comment quelqu’un d’intelligent pourrait-il penser avoir une chance de se défendre contre la dictature ? Les gens voulant la liberté par-dessus tout sont des individualistes par nature, mais nous nous soucions également des libertés des autres. Il existe un récit de propagande commun qui prétend que les individualistes sont « égoïstes », mais ce n’est pas du tout le cas. Il ne suffit pas que nous soyons les seuls à échapper à l’esclavage, nous ne resterons pas non plus à regarder les autres être contraints à l’esclavage. Nous sommes prêts à risquer nos vies non seulement pour nous sauver, mais aussi pour sauver les générations futures de l’autocratie. Alors que les passeports vaccinaux et les obligations continuent de s’intensifier, les totalitaires se trouveront encore plus désorientés, car chaque nouveau mécanisme de contrôle donnera un élan encore plus grand à la rébellion, et franchement, à ce stade, ce sera nous, ou eux. Ils ne cesseront pas leur quête de domination et nous ne nous y plierons pas, nous sommes donc dans une impasse. Nos deux tribus ne peuvent coexister au sein de la même société, peut-être même pas sur la même planète. La vérité est que si le volontarisme était un idéal valorisé, alors tout ce combat pourrait être évité. Si le culte collectiviste était prêt à accepter l’idée qu’il peut choisir de vivre dans un environnement hautement micro-géré, alors que d’autres peuvent choisir de vivre indépendamment, alors il n’y aurait pas de crise. Nous pourrions facilement suivre des chemins différents. Mais ce n’est pas ainsi que pensent les totalitaires : pour eux, tous les gens sont des biens meubles, nous sommes des biens à mettre au pilori et à rééduquer jusqu’à ce que nous voyions la lumière. Et si nous ne voyons pas la lumière, nous devons être éliminés et effacés. C’est pourquoi ils sont totalement responsables de la guerre qui s’annonce. Ils ne peuvent s’empêcher de s’emparer de nos gorges et de nos esprits. Ils sont accros à la suprématie. Ils vivent dans un rêve fiévreux et la seule drogue qui leur rafraîchit les veines est l’oppression totale de tous ceux qui les entourent. Je vois ce qui va se passer et ce n’est pas joli pour les deux camps, mais ce sera particulièrement horrible pour les collectivistes parce qu’ils ne peuvent pas imaginer un scénario dans lequel ils perdent. Ils sont tellement certains de leur prééminence et de la sécurité de leurs prisons auto-imposées qu’ils verront l’échec comme un fantôme, un fantôme qui ne peut pas les toucher. Il suffirait d’une poignée de défaites mineures pour les faire tomber, mais il faudrait pour cela que les défenseurs de la liberté deviennent plus organisés qu’eux.
La conclusion est la suivante : les systèmes tyranniques sont planifiés par des groupes et des gouvernements élitistes et ce sont eux qui profitent le plus de la destruction des libertés publiques. Il s’agit bel et bien d’une conspiration, et le confinement en réponse à la pandémie et le recours forcé aux vaccins ne font pas exception. Cependant, les systèmes tyranniques ne pourraient pas être viables sans l’aide d’un plus grand contingent psychopathe de la population, et ces personnes se rassemblent pour que des choses terribles se produisent. C’est comme s’ils entendaient un sifflet à chien silencieux lorsque le totalitarisme s’élève, ou qu’ils sentaient le sang des victimes innocentes dans l’air. Appelez-les gauchistes, collectivistes, appelez-les comme vous voulez, mais sachez que les globalistes ne sont pas notre seule préoccupation. Il y a un mur de pions égocentriques et avides de pouvoir sur le chemin, et ils veulent tous les morceaux qu’ils peuvent obtenir de la table des puissants. Ils ne sont pas inconscients, ils n’ont pas été trompés pour faire les choses qu’ils font. Ce sont des gens tristes et pathétiques, mais leurs ambitions sont toujours dangereuses, et ils continueront à sortir du bois au fur et à mesure que l’agenda de la secte Covid et mondialiste progresse. » (Brandon Smith, article traduit par lesakerfrancophone.fr)

« La « démocratie totalitaire » est un type de démocratie par laquelle un pouvoir instaure une société totalitaire. Le terme de « démocratie totalitaire » est utilisé pour la première fois par Bertrand de Jouvenel, c’est le titre du chapitre XIV de son livre Du Pouvoir (1945). Il rappelle que « le Pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n’est donc qu’une fiction et c’est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. » Jouvenel indique aussi quela compétition des partis « machinisés » aboutit à la dictature d’un parti, c’est-à-dire d’une équipe, succédant à une équipe précédente qui, par sa propre vision totalitaire de la démocratie, laisse à celle qui lui succède un État très étendu. La dictature y est bien pire que dans les monarchies d’autrefois, car le pouvoir faussement démocratique y est bien plus absolu. En effet dans ce système progressivement totalitarisé, un homme, une équipe, disposent de ressources immenses accumulées dans l’arsenal du Pouvoir, c'est à dire de nombreux de leviers étendus entassés successivement. Il n’existe dans la Société aucune contre-force capable d’arrêter le Pouvoir. Qui donc les a détruits, ces corps puissants sur lesquels les monarques de jadis n’osaient point porter la main ? (Et le califat authentique apparaît donc encore comme le meilleur système politique). … On bute alors sur Huxley : « La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude. » On verra si, au bout du rouleau sur le plan moral et financier, cette démocratie totalitaire occidentale (aussi folle que celle athénienne au 4e siècle, voyez là aussi mes textes) peut encore perdurer. » (Nicolas Bonnal, pour Strategika.fr)
Comme dans les totalitarismes du 20e siècle, les gouvernements occidentaux brandissent des ennemis de l’intérieur : Gilets jaunes, truckers, complotistes, antivax, prorusses, survivalistes, autonomistes, etc.
Ce qui s'est très gravement joué à Ottawa suite à la grande grève des camionneurs au niveau du gel des comptes bancaires de manifestants a été décisif, comme ce qui s'est joué dans le gel des comptes et la saisie des biens de riches russes et de certains Etats, et dans la fermeture des chaînes RT et Sputnik par rapport à la guerre en Ukraine. De même la fiabilité des Etats-Unis comme partenaire financier ne peut plus être espérée. En effet depuis qu'ils ont cherché artificiellement à ce que la Russie face un défaut de paiement, tout pays qui ne leur serait pas suffisamment vassalisé pourrait également subir ces attaques. Ce sont des méthodes de mafieux. Et le système financier global actuel n’est qu’un instrument de cette mafia qui a remplacé de nombreux états dont donc en occident mais aussi suite à l'effondrement de l'URSS.
C'est à dire que si les mondialistes parviennent à imposer le contrôle bancaire, la censure et de multiples entorses au droit de propriété comme ils le font avec les russes à l'image des nazis envers les juifs, ils parviendront à imposer l’agenda totalitaire de contrôle social et économique de la tyrannie davossienne. La chaîne d’infos RT France a d'ailleurs été liquidée sur décision de l’Union européenne davossienne, incarnée par la commissaire politique corrompue Ursula von der Leyen (soumise aux lobbies et à l'OTAN), qui se comporte donc en autocrate alors que même pas élue. Et personne, dans la presse française, n’a hurlé contre ce viol de souveraineté, cette censure abjecte et ces blocages de comptes bancaires. C'est pourquoi une décentralisée blockchain populaire nationale semble vraiment devenir une priorité. Surtout qu'une blockchain décentralisée peut aussi empêcher la censure informationnelle.
Il faut savoir que le contrôle totalitaire d'une nation peut partiellement se faire en trois phase : japonisation des banques centrales (comme désormais l'UE et les USA), soviétisation des économies par la dette (l'Etat se rend propriétaire de tous les outils de productions et de toute l'économie, et envoie les fiche de paie), et enfin libanisation de l'économie (effondrement de la monnaie et de l'économie, puis rachat de nombreux secteurs publiques par les grands fonds privés ou étrangers). D'ailleurs le libanais Nasrallah a dit dans ce sens : « Le prix de la capitulation au Liban signifiait l’hégémonie politique et économique d’Israël sur notre pays. » C'est une image du grand reset et du messianisme juif erroné basés sur le ploutocratique mondialisme américano-sioniste.
De plus la suspension de grandes banques russes du système Swift réalise ce que de nombreux pays envisageaient comme possibilité extrême ; celle d’une instrumentalisation politique totalitaire du système de paiement international basé au Luxembourg. Les banques américaines et européennes ont créé le système SWIFT pour garder le contrôle des flux monétaires et empêcher les institutions financières indépendants à les concurrencer. Or ni les États-Unis, et encore moins l’UE, ne contrôlent directement le système SWIFT, même s’ils exercent une influence significative sur son organe directeur, qui est en théorie assujetti à la loi belge. Le système est la propriété conjointe de plus de 2 000 banques et institutions financières, sous la supervision de la Banque nationale de Belgique, en partenariat avec les principales banques centrales du monde, la Réserve fédérale américaine et la Banque d’Angleterre. Pourtant tous ont laissé l’administration américaine prendre le contrôle du système SWIFT et s’en servir comme arme en radiant de ce système bancaire toute personne ou tout gouvernement prétendument hostiles, de façon à paralyser les économies de ces pays et souvent aux dépens même de l'Europe. C'est la mentalité kamikaze à laquelle fait allusion le président russe, une mentalité que l'Occident a si souvent reproché aux Orientaux. Or cela a précieusement provoqué la mise en place de solutions alternatives multipolaires par la Russie et la Chine. Cependant ce SWIFT, qui un système international de télécommunication bancaire, aurait dû normalement être en dehors de toute forme de politique. C'est un scandale absolu, car même pendant la deuxième guerre mondiale les gouverneurs de toutes les banques centrales continuaient de travailler avec l'Allemagne nazie. Ce qui révèle encore la réalité du mondialisme oligarchique et sioniste depuis des siècles. Or depuis qu'en plus de l'échange d'information, l'échange de valeur via internet est apparu à travers la cryptomonnaie et la blockchain, la fin des systèmes oppresseurs type swift est proche.
Ainsi « L’ère du dollar est en voie de disparition. Ironiquement ce sont les Européens et les Américains qui ont attiré de façon idiote l’attention du reste du monde sur cette situation. Croyant qu’ils détenaient une arme de dissuasion massive avec SWIFT, ils l’ont utilisée contre la Russie, pensant aider l’Ukraine à résister aux demandes de son voisin et accessoirement montrer que l’OTAN était plus qu’une alliance militaire. L’idée était que cela suffirait à faire plier Moscou et à faire peur à Pékin.  Les conseillers financiers de nos gouvernements occidentaux avaient oublié, par arrogance, il n’y a pas de doute là-dessus, un détail d’importance. Dès 2014, la Russie et la Chine avaient tranquillement travaillé à la mise en place de deux plateformes équivalentes à SWIFT et cela sans faire appel aux fabricants de logiciels ayant un quasi-monopole aux Etats-Unis et en Europe (je pense ici à Microsoft mais aussi Alphabet et Amazon). En Chine, SWIFT s’appelle SPFS, en Russie CIPS. On a vu le résultat. Le rouble qui devait sauter parce que les sept plus grandes banques russes avaient été exclues le 2 mars 2022 du système SWIFT, ce qui devait paralyser toute l’économie russe, n’a pas sombré.  L’arme de destruction massive s’avéra un pétard mouillé. Si on ajoute le gel illégal des réserves souveraines russes qui sabordent toutes les règles de swap dont vit le milieu financier international (y compris les états), l’Occident vient de saborder les deux piliers du système monétaire sur lequel il gérait sa dette. C’est ce qu’on appelle se tirer une balle dans le pied. Les conséquences sont multiples dans plusieurs domaines. Les pays producteurs de pétrole de la péninsule arabique n’ont pas appliqué les sanctions visant la Russie. La prétention américaine à fixer les “règles du jeu” du monde est désormais ouvertement contestée. On dit tout haut ce qu’on pensait tout bas, chacun à sa façon. Medvedev, ancien président et premier ministre de Russie, actuellement le nº2 du conseil de sécurité du pays (Poutine est le président de ce conseil), pense que “Le monde unipolaire, c’est fini. Ça ne reviendra pas. Vous ne pouvez pas geler les avoirs d’autres pays, porter atteinte à la propriété en saisissant des entreprises et des biens, et garder la confiance des autres. C’est utopique. La confiance dans une monnaie de réserve a disparu, comme la rosée le matin et nous verrons l’émergence de nouvelles formes de transaction monétaire. Qu’ils le veulent ou non, les Etats-Unis et l’Europe vont devoir s’adapter à un nouvel ordre monétaire où les pays qui ont une économie avancée, des finances publiques saines et un système monétaire fiable seront les décideurs. C’est un nouveau monde qui s’ouvre où ceux qui impriment du papier pour couvrir leur déficit ne seront plus écoutés. Nous voyons déjà les prémisses de tout cela.”  Le président chinois Xi est d’accord : “Beaucoup de gens sont conscients que la situation actuelle (des sanctions) pourrait détruire des décennies de coopération économique. Si la situation continue à se détériorer, il faudra des dizaines d’années pour réparer les dommages causés”. Alors quel est l’avenir ? La Chine reste très attachée au cadre des Nations-Unies, mais elle est consciente de la faiblesse de l’institution à qui certains prédisent l’avenir de la Société des Nations car elle est attaquée par ceux mêmes qui prétendent la défendre. Pour un ancien des services spéciaux suisses, le colonel Jacques Baud, il est clair qu’“Aujourd’hui, les pays occidentaux interviennent dans les affaires intérieures russes et chinoises au nom de “valeurs”, qu’ils ne respectent pas eux-mêmes “. » (Extraits de l'article « La fin du G7 » de Serge Berthier)
De même précieusement, la confiance des autres pays dans le système juridique et bancaire occidental, qui ne défend donc plus comme auparavant absolument le droit de propriété dans une forme de totalitarisme, a aussi logiquement pris fin. C'est à dire que ces pays en dehors de l'occident se débarrassent de leurs dollars et euros, ce qui pourrait en plus participer précieusement à empêcher la troisième guerre mondiale. Une grande partie des peuples occidentaux n'ont aussi plus confiance aux médias et politiciens du système, tellement leur propagande est grossière et leur censure est évidente, et l'internet libre dénonce ce totalitarisme. Alors que l’Allemagne n'est pas en guerre avec la Russie en Ukraine, il est même interdit d'avoir une opinion en arborant la lettre « Z » soutenant l'action russe en Ukraine ! Tous les médias russes s’adressant à un public occidental ont été interdits par les « démocraties » à partir du 24 février 2022, c’est-à-dire à partir pourtant de l’application par l’armée russe de la résolution 2202 du Conseil de sécurité demandant le respect du cessez-le-feu. Désormais en Allemagne, partager l’interprétation russe et même citer cette résolution internationale est honteusement assimilé à de la « propagande ».
Après le vol des subprimes, les révolutions oranges, la participation à des guerres, l’état d’urgence, les gilets borgnes, le covid, le gel des comptes bancaires, la fermeture de chaînes de télévisions, les confiscations de biens étrangers, le « démocratique » système wokisto-oligarchiquo-atlantisto-sioniste passe au pénal pour imposer sa tyrannie totalitaire.
Or il n’est pas naturel que l’homme renonce à sa liberté. Mais quatre branches de fabrique du consentement existent :
1. L’habitude : un accident tragique, dont les effets vont s’amplifier, va rendre nécessaire de vivre avec moins de liberté. Cela peut durer au point d’oublier le monde d’avant.
2. La manipulation : engourdir le peuple par les jeux, l’alcool…
3. Le profit et la complicité de la partie de la population la plus instruite : pour elle le pain et les jeux ne suffisent pas. Il lui faut le plaisir de dominer ses semblables. Sa micro domination et les bénéfices qu’elle en tire lui font oublier son statut de dominée. Ainsi elle ne remet pas en question le système.
4. La condamnation morale de quiconque oserait penser autrement.
À cette théorie ne manquent plus que les exemples pratiques : bien-pensance, confinement, vaccins, crise Ukrainienne.
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. » (Serge Carfantan)
Le commandement des anciens despotismes était : « Tu ne dois pas. » Le commandement des anciens totalitaires était : « Tu dois. » Notre commandement totalitaire est celle de l'hypnose qui correspond à faire de la parole d'autrui notre réalité : « Tu es Charlie (ou autre : tu es le vaccin, tu es ukrainien ; ceux qui pour éviter de réfléchir finissent par traiter les autres de complotistes même envers des humoristes). »
Le totalitarisme numérique à la devanture verte dans lequel veut nous faire entrer le grand reset de Davos est une numérisation du monde en valeur et donc une transformation des éléments de la nature gratuits en possibles actifs, même l'eau, les aliments OGM, les rivières et leurs dénominations.
Résister au totalitarisme n'est pas d'abord d'élever mais déjà de garder sa capacité de discernement et de jugement intacte. Car si vous critiquez le gouvernement, vous êtes un complotiste, si vous pensez autrement, vous êtes un cerveau malade, si vous dites la vérité, vous êtes un antisémite, si vous aimez votre patrie, vous êtes un fasciste, si vous vous défendez face à l’agression, vous êtes un fou, encore des preuves de l'inversion des valeurs du système. Surtout que par la puissance télévisuelle actuelle des grands médias, l'être humain ressemble de plus en plus à un robot, et devient de plus en plus prévisible dans ses réactions, de plus en plus plat dans ses dimensions, de plus en plus vide dans son intérieur.
« La formation du totalitarisme est souvent insidieuse dans la mesure où elle est presque toujours vendue au public comme « humanitaire » ; une solution pour le plus grand bien du plus grand nombre. Mais au-delà de cela, les tyrans vont également exploiter les idéaux de la population cible et utiliser ces principes contre elle. Nos idéaux de liberté ne sont pas nécessairement applicables universellement en tout temps et en toutes circonstances ; nous devons poser certaines limites afin d’empêcher l’oligarchie d’utiliser le libéralisme comme un outil pour s’implanter. Cette bataille pour l’équilibre est le drame déterminant de toutes les sociétés qui s’efforcent d’être libres. Cela peut sembler hypocrite, et l’anarchiste typique et certains libertariens peuvent rejeter complètement l’idée qu’il devrait y avoir des limites à ce que les gens (ou les entreprises) peuvent faire, surtout lorsqu’il s’agit de leur propriété privée. Mais à quel moment les droits de propriété privée empiètent-ils sur les droits des autres ? Est-ce tout simplement noir ou blanc ? Tout est-il permis ? Et que se passe-t-il si une foule de petites entreprises dans un endroit donné décident d’appliquer des mandats écrasant la liberté en même temps que les grandes entreprises ? Et si elles étaient toutes manipulées par des incitations ou des pressions gouvernementales ? Et si les gouvernements n’avaient pas besoin de mettre en œuvre le totalitarisme directement au début parce que les entreprises le font pour eux ? La dynamique de la propriété privée change-t-elle dans ce cas ? … Beaucoup de gens ne semblent pas comprendre qu’il existe différents types de monopoles dont nous devons nous préoccuper. Les monopoles dans les médias sociaux et les communications en sont un exemple, mais qu’en est-il des monopoles d’idéologie en général ? Vous pouvez avoir une centaine de petites entreprises et de grandes surfaces dans une communauté, mais si elles décident toutes d’appliquer collectivement les mandats covid, ou si elles sont toutes contraintes d’appliquer les mandats covid, alors tout choix a été supprimé du marché. C’est un monopole idéologique qui est tout aussi dangereux que n’importe quel monopole d’entreprise.
En fin de compte, dans le sillage des contrôles covid et de la censure massive en ligne, il est temps pour ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté d’avoir une discussion franche sur la question de savoir où se situe la limite des droits des entreprises. Le problème a pris de l’ampleur il y a quelques années, lorsque les grandes entreprises technologiques qui contrôlent la majorité des sites de médias sociaux ont décidé qu’elles allaient commencer à cibler activement les utilisateurs conservateurs par des interdictions sous de faux prétextes puis une censure pure et simple. Les tyrans de la médecine ont créé ce qu’ils pensent être une impasse pour les conservateurs : si nous nous opposons à ce que les entreprises soient autorisées à demander aux clients et aux employés des passeports de vaccination, nous violons l’un de nos principes fondamentaux : le principe de la propriété privée. Mais est-ce vraiment le cas ? Comme indiqué plus haut, les monopoles sont destructeurs de la liberté. J’irais même jusqu’à dire qu’ils sont intrinsèquement mauvais dans la mesure où ils ne conduisent jamais qu’à l’asservissement du public. De plus, les monopoles idéologiques peuvent être légalisés, ou même créés artificiellement grâce à la couleur de la loi. Les confinements n’ont jamais été votés par un corps législatif et n’ont jamais été votés par le public, ils ont été prononcées comme des édits venus d’en haut, sans aucun contrôle ni équilibre des pouvoirs. Les passeports vaccinaux ont été mis en œuvre de la même manière. » (Extraits de l'article de Brandon Smith « Passeport vaccinal : les droits des entreprises sont-ils plus importants que la liberté individuelle ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Passeport-vaccinal-les-droits-des-entreprises-sont-ils-plus-importants-que-la-liberte-individuelle-64879.html)
Après la guerre contre le covid, Emmanuel Macron repart même encore en guerre en aidant l'Ukraine face à la Russie, sauf qu'il y a un grand changement : la soumission volontaire est devenue la sobriété volontaire. Ne cherchons pas la différence, car il n'y en a pas même si la sobriété pieuse existe. Selon la technique éprouvée par McKinsey de manipulation des masses, voici le nouveau plan en quatre parties dévoilé en avant-première par le président. Sa méthode n'est plus celle du quoi qu'il en coûte » mais celle du « pas tout d'un coup », meilleur moyen pour faire accepter en douceur l'inacceptable. D'abord 1. la sobriété volontaire sans contrainte ; ensuite 2. la sobriété avec plus de contraintes ; 3. le rationnement avec des coupures. La quatrième partie du plan sera une surprise. On la découvrira en tant voulu. Lorsqu'on sera en dictature ? Lorsque le CNR macronien aura remplacé définitivement l'Assemblée nationale ?
A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « LE MEURTRE DE L'ESPRIT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=4BWY7gbw-Tk , et de lire les excellents articles « Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » – Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/31/dr-robert-malone-psychose-de-formation-de-masse-covid-19-pourquoi-tant-de-gens-croient-au-mensonge-du-vaccin/ , « Que faire ? Désobéir à l’apartheid biopolitique et bâtir la cité chrétienne – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/01/que-faire-desobeir-a-lapartheid-biopolitique-et-batir-la-cite-chretienne-pierre-antoine-plaquevent/ , « Psychopathologie du totalitarisme » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/30/psychopathologie-du-totalitarisme/ , et « Contre la société de surveillance : la conception européenne de la liberté » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/05/contre-la-societe-de-surveillance-la-conception-europeenne-de-la-liberte/
« Tous les éleveurs savent bien comment on dresse les bêtes. Les gouvernements devenus les gestionnaires du « parc humain » usent de toutes les techniques à leur disposition pour dresser le cheptel humain. La dynamique dans laquelle nous sommes engagés est très exactement celle du totalitarisme, si l’on veut bien admettre que le totalitarisme peut exister sans camps de concentration ni fours crématoires, instruments archaïques que la technologie moderne peut aisément remplacer. Il n’y a donc aucune « servitude volontaire » (mais il y a particulièrement la servitude « volontaire » par la peur utilisée par le système). La crainte, appuyée sur la puissance de l’imagination(, de la télévision et du confort même modeste) suffit pour expliquer l’apparente passivité des individus. Ils peuvent même aimer leur tyran par désir d’en être aimés. Tout cela s’appuie sur des structures archaïques, tant du point de vue de chaque individu que du point de vue de l’histoire de l’humanité. « On retrouve le besoin du père, c’est-à-dire le besoin de protecteur qui nous garantit à la fois contre les éléments extérieurs, contre les autres et aussi contre soi-même. Il s’agit de ne pas être abandonné, de ne pas être livré à soi-même, donc de s’abandonner à d’autres. » (Croyance et soumission, p. 188) Le problème devient dramatique quand celui à qui l’on s’est abandonné n’a rien d’une figure « paternelle », même en faisant des efforts d’imagination, et quand la survie élémentaire apparaît comme l’enjeu immédiat. C’est généralement dans ce genre de situation que sortent les piques et que les carcans qui nous emprisonnent sont brisés. » (Denis Collin)
Les idéologies totalitaires ont toujours ignoré la science, contrairement aux oligarques du Forum de Davos qui en ont fait leur cheval de bataille pendant le covid pour justifier la suppression de nos libertés de manière autoritaire, ce qui de manière inédite a été particulièrement facilitée à travers la formidable machine de guerre moderne du système dont de ses très influents médias en particulier télévisuels. Ces restrictions ont d'abord été liées au terrorisme, puis la cause virale a été prétextée pour les imposer, et le système pourrait même aller encore plus loin dans ce sens jusqu'à se servir des problèmes du climat, de la guerre en Ukraine, de l'inflation et des pénuries, dont il est pourtant responsable.
Un système de surveillance de masse se cache donc derrière tout ce techno-solutionnisme que l’on veut nous vendre, en particulier aussi à travers un euro numérique centralisé.
Le 12 mars 2024, lors d’une audition au Sénat, la ministre de la Culture Rachida Dati déclarait attendre les conclusions des États généraux de l’information dans l’éventualité d’une révision de la loi de 1986. La liberté d’expression que nos lois protègent en France risque d’être remise en question par l’introduction de la JTI de RSF. L’ONG, censée défendre la liberté de la presse et le respect des droits de l’homme, pourrait en devenir le premier fossoyeur quand ses certificateurs deviendront les nouveaux commissaires politiques du régime. Le nouveau nom de ce ministère de l’Information serait alors la « certification de l’information ». Comme à son habitude, le sens des mots est inversé par le gouvernement. Pour défendre la liberté de la presse, on veut en réalité la limiter ; pour garantir le pluralisme des médias, on veut censurer les opinions ; au nom de l’objectivité et de la non-politisation de l’information, on veut donner la certification des médias à des certificateurs extérieurs, tout autant (si ce n’est plus) subjectifs et politisés. Par un tour de passe passe, ce serait la fin définitive de l’indépendance des médias par rapport au pouvoir politique. Un pas supplémentaire vient d’être franchi dans la surveillance de notre utilisation d’internet. A la demande du gouvernement des Etats-Unis, un juge a ordonné à YouTube de fournir les noms, adresses, numéros de téléphone et activités des utilisateurs de comptes YouTube, ainsi que les adresses IP, de tous ceux qui ont visionné certaines vidéos sélectionnées. Bien sûr, on vous dira que c’est dans un contexte très particulier relatif à une enquête criminelle fédérale (concernant un vendeur de Bitcoins soupçonné de blanchiment d’argent). Mais les faits sont là : Google, la société mère de YouTube, a été contrainte de livrer les données de dizaines de milliers d’utilisateurs (on parle de vidéos vues plus de 30 000 fois). Et demain avec la criminalisation de la pensée ? Si on considère la criminalisation de la pensée qui se propage largement en Occident, comment ne pas craindre qu’à l’avenir de telles mesures soient prises concernant les spectateurs de vidéos dites “complotistes”, “d’ultra-droite”, “anti-vax” ou encore “russophiles”. Rappelons que la république française a renforcé cette année son arsenal répressif, permettant même de poursuivre devant les tribunaux ceux qui contesteront le discours officiel en matière de santé et de remèdes ou encore de condamner ceux qui auraient tenu des propos “discriminatoires” dans un cadre privé. Des groupes de défense des droits civiques ont exprimé leur inquiétude, affirmant que de telles ordonnances menacent de transformer des spectateurs innocents de YouTube en suspects criminels. Notons que les personnes qui regardent des vidéos sans être connectées à un compte ne sont pas à l’abri, puisque le gouvernement des Etats-Unis a également demandé l’adresse IP des spectateurs des vidéos incriminées. Albert Fox-Cahn, directeur exécutif du Surveillance Technology Oversight Project, s’inquiète aussi de ce qu’on appelle « les mandats de géofence », qui obligent Google à fournir des données sur tous les utilisateurs se trouvant à proximité d’un lieu de crime. « Ce que nous regardons en ligne peut révéler des informations très sensibles sur nous – nos convictions politiques, nos passions, nos croyances religieuses, et bien plus encore », a déclaré John Davisson, conseiller principal au Electronic Privacy Information Center (Centre d’information sur la vie privée électronique). Et il a aussi dit : « Il est normal de s’attendre à ce que les forces de l’ordre n’aient pas accès à ces informations sans motif valable. Cette ordonnance renverse cette hypothèse. »
« Ne pas se soucier du droit à la vie privée parce que l’on n’a rien à cacher, c’est comme ne pas se soucier de la liberté d’expression parce que l’on n’a rien à dire. Nous devons refuser les systèmes d’identité numérique (et de monnaies) centralisés, et le bitcoin apporte une nouvelle fois une solution élégante. »  (Edward Snowden)
Or le transhumanisme auquel les pervers oligarques veulent en plus accéder et la dégradation de la santé qu'ils provoquent aux moins riches dont par la vente de cigarette, le covid, de mauvais vaccins, de la malbouffe et des produits alimentaires pas assez purs correspond en plus au système d'esclavage le plus oppressif, totalitaire et destructeur de l'humanité dans l'histoire, surtout que nombreux meurent avant ou dans le début de leur retraite.
Et cela même si le tyrannie climatique, bancaire, sanitaire, numérique, inflationiste et économique correspond à un calme totalitarisme sournois servant les plus riches en particulier lors du covid, car ce fut à travers de la torture psychologique devenant des traumatismes dont envers les enfants : masques, confinements, pass sanitaire, censures, mise en avant de la peur du climat, du terrorisme, des virus, de la Russie, des pénuries. Alors que les vraies et donc nobles élites doivent normalement servir le collectif.
Vincent Pavan, enseignant-chercheur en mathématiques à l’Université Aix-Marseille, qui est à l’origine de panneaux en ville relayant des chiffres des risques liés à la vaccination, a même été suspendu. Participant au célèbre (et salutaire) collectif Réinfo-Covid, il était déjà sur la sellette pour son opposition au port du masque et en général aux mesures inutiles et liberticides prises lors de la crise sanitaire. La goutte d’eau des panneaux publicitaires fit déborder le vase de l’intolérance universitaire pourtant protégée par la loi : sa liberté d’expression a donc été sanctionnée sans appel. Un scandale de plus dans une tyrannie ordinaire. L’indifférence du troupeau impie, matérialiste et démocratique ayant le confort de base mène au fascisme laïciste, affairiste et politique.
Tocqueville : « l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre ; mais elle est en même temps une des plus restreintes et des moins dangereuses. »
          Pour parvenir à leur alliance à travers le socialisme d'un super Etat totalitaire mondialiste, les milliardaires multiplient en plus les petites règles compliquées dont donc avec le Covid qui les a fait progresser et la masse qui les a beaucoup acceptées :
« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement (soumis au mondialisme) est le berger. » (Tocqueville)
La croyance à l’illusion qu’« on va tous mourir du virus » provoque l’impératif de survivre avant celui de comprendre ; le cerveau reptilien ayant la primauté sur le néo-cortex et la raison. Il n’est donc pas nécessaire que le fait scientifique soit avéré ou confirmé par le plus grand scientifique ou le Pouvoir lui-même. C'est pourquoi afin de mieux contrôler la population et d'augmenter massivement l'endettement de la France, il fallait prolonger le pass qui prolonge aussi la peur du danger sanitaire, comme bientôt les pass climatique ou/et économique. En effet cela fait enraciner cette croyance collective dans la société et provoque peu à peu un dressage des esprits par auto-conditionnement ainsi donc qu'une neutralisation générale de la réaction et de la raison. Tout ça via l’Écran. Peu importe qu’on n’ait pas de télé, car des affichages suffisent pour diffuser la Peur sur toute la ville et sur toutes les ondes, c'est à dire pourvu qu’on la voit et qu’on parle de la peur ; peu importe que ça soit en bien ou en mal, qu’on est raison ou tort.
« Le Pr Mattias Desmet enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires. Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes. Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique amplifiées par la perte de liens sociaux physiques, ce qui était déjà une perte de sens. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable qu'elle risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation. Un agent comme le coronavirus ou la Russie peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse. Grâce au Covid ou à la Russie, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés. La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas et qui sera expliqué plus tard), les gens s'estiment victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié. À l’instar de cette fable des Animaux malades de la peste, les consommateurs sevrés par ces crises orchestrée sentent qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe des non vaccinés (mais aussi des complotistes ou anti-vaccins selon les étiquettes de circonstance désignés eux aussi comme des dangers publics) fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux , et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).
(« Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme » : extrait de l'article « Pr Didier Raoult : « Quand on menace les gens de les confiner ou de ne plus les soigner, c’est de la dictature » à l'adresse https://lemediaen442.fr/pr-didier-raoult-quand-on-menace-les-gens-de-les-confiner-ou-de-ne-plus-les-soigner-cest-de-la-dictature/)
Dans ce processus sournois synonyme de bassesse, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples ont renoncé à leurs droits et libertés. Une fois cet « engoncement (ce resserrement) » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, et à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance, impliquerait nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante précédente, ce qui serait perspective psychiquement insupportable. Cela explique pourquoi les « covidistes » sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer. Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend même les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes. » (Extrait de l'article « Viol des esprits et psychose de masse » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/06/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/
Or une société malade qui a perdu ses repères (ses valeurs) crée toujours du totalitarisme, de l'injustice sociale ou des guerres. En effet généralement suite à une époque difficile, cela va créer des hommes forts qui eux-mêmes vont concevoir une société plus juste et plus faciles à vivre. Puis avec le temps, les hommes la composant vont perdre de leur vigueur et de leur vigilance. Alors ces sociétés dégénèrent et s'avachissent en raison de la faiblesse des hommes qui les constituent parce qu'ils ne rencontrent plus d'épreuves qui les fortifient. Ainsi elles sombrent dans la destruction, et c'est à nouveau l'émergence d'une époque difficile. C'est pourquoi lors des premiers califats, le djihad pieux intérieur qui est de se maîtriser religieusement et le djihad pieux extérieur qui est le combat militaire, servaient principalement à maintenir la force et la stabilité de la société.
Ainsi on ne doit pas négocier avec l'expérience totalitaire, car moins on négocie avec elle et plus vite on la fera couler, d'autant plus avec de massifs boycotts intelligents et unis, car le destin du totalitarisme est de s'autodétruire, de s'effondrer, puisqu'il est contraire à toutes les lois de la nature, de l'espèce, de l'esprit, de l'âme, de l'intelligence. Surtout qu'impopulairement car souvent par rapport à la modestie du peuple, la nomenklatura y a généralement droit à tout même à certaines interdictions imposées au peuple.
L’émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ? Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ? En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ? Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ? En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ? Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ? En quoi vivons-nous le prolongement de notre fermeture de cœur ? La charité serait-elle le remède au totalitarisme ?
Selon la psychologue clinicienne Ariane Bilheran, la meilleure solution contre le totalitarisme tyrannique synonyme de guerre auto-destructrice et contre la société du spectacle qui ne valorise plus la discipline, l'effort et l'être, mais la séduction, la consommation et l'avoir, est la charité et non la solidarité. En effet la solidarité est une chaîne qui détient l'exigence de la réciprocité et donc de l'interdépendance. Alors que la charité, très souvent pratiquée par les prophètes Jésus et Mouhamed, ne cherche qu'à donner sans condition, qu'à aider sans vouloir recevoir (à part de Dieu quand on est croyant), mais dans l'espoir que l'être ou les êtres humains aidés dont dans leurs droits soient guidés et propagent cette charité en la pratiquant.
Selon saint Thomas d’Aquin, la charité est la vertu suprême théologique (et christique, du monothéisme authentique), et c'est donc celle qui nous fait le plus grandir car elle est synonyme de miséricorde par excellence, mais elle ne doit pas amener à la pauvreté de celui qui la pratique. Elle peut aussi se voir dans l'hospitalité individuelle ou collective. Et lors d'une épidémie quand c'est possible, il est donc préférable de préserver l'amour entre humains dont par des contacts tendres, plutôt que l'amour de soi dont par la crainte des autres, surtout que Dieu contrôle même les virus et que le martyr qui doit être recherché se gagne avant tout par le secours (dont le lien) envers l'humain, la vie et la foi.
Or nous sommes arrivés à un point tel que la survie n'est plus mesurée par des critères moraux, spirituels ou humains. Le peuple a même été traité par les vaccins expérimentaux comme des bestiaux voire des cobayes sous la propriété totalitaire de l'Etat. Malheureusement, nous savons que jamais personne ne s’empare du pouvoir avec l’intention d’y renoncer. Pour certains le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin.
Suite à l'effondrement du messianisme communiste (totalitarisme d'apparence militaire) et du messianisme capitaliste libéral (totalitarisme d'apparence chic et donc plus vicieux), le pire totalitarisme est donc celui de la société libertaire d'hyper consommation, parce qu'il est organisé par une ploutocratie, et que le virtuel et l'impiété, c'est à dire le numérique, l'athéisme, le progressisme, le Lgbtisme, le féminisme, la GPA, la transsexualité, le transhumanisme, le wokisme, la cancel culture, luttent contre le réel après l'avoir follement qualifié de fascisme, alors que ce n'est que par toute cette évidente inversion des valeurs imposée que le fascisme tend à revenir mondialement à travers cette gauche sociétale ayant particulièrement formaté les jeunes générations.
Or selon Karl Marx, l'histoire d'un totalitarisme revient toujours deux fois, mais la première fois elle vient en tant que tragédie, alors que la seconde, elle revient en tant que farce. Et la plus grande menace pour un totalitarisme impie n'est pas les rebelles violents sur lesquels il pourrait construire une fausse légitimité de défense nationale contre eux, mais les sceptiques, les ironiques et les décontractés dont l'esprit fin, clairvoyant, sage et intelligent peut être contagieux. Or quand la passion ou la peur sont administrées chez le peuple comme ce le fut lors la propagande manipulante et divisante concernant le Covid, l'idéologie politicienne tyrannique prime donc sur la raison, la science et le bon sens. Ainsi malgré la démocratie liée à la république française étant le pouvoir au peuple, le système veut nous faire croire que c'est l'autorité qui a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant en plus être raccourci par une révolution.
Il est intéressant de voir à ce sujet  la vidéo « L'Eloge de la force avec Laurent Obertone - Le samedi politique » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=Ue9CqPFtQgo&t=192s
D'ailleurs la dictature sanitaire liée au Covid a clairement fait passé l'autorité à de l'autoritarisme, qui pourrait aller jusqu'à la tyrannie écologico-sanitairo-numérique sous de pseudos prétextes comme la pseudo lutte contre le carbone. En effet on ne peut nier qu'avec la perverse gestion de la crise sanitaire comme pour habituer les peuples aux prochaines crises et au grand reset, un totalitarisme ploutocratique s'est mis en place par les confinements, les couvre-feu, le traçage, les délations, la stigmatisation de populations, les camps, le QR code (faisant rappeler celui de Nuremberg), le passeport (covid) pour circuler sur le territoire national, le règne de la terreur par la propagande, etc. Surtout que les forces progressistes qui ont imposé cette tyrannie sanitaire et numérique ont en partie détruit l’économie productive au profit des grosses puissances financières.
Le passeport covid national liberticide, ayant donc possiblement préparé les peuples à celui énergétique, écologique ou vert encore plus liberticide, peut aussi être la suite liberticide concernant le déplacement commencée lors de la première guerre mondiale et continuée par les passeports et les visas : « Rien peut-être ne rend plus sensible le formidable recul qu’a subi le monde depuis la Première Guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et, de façon générale, à leurs droits. Avant 1914 … chacun allait sans passeport où il voulait sur terre et y demeurait aussi longtemps qu’il lui plaisait. » (Stefan Zweig, Le monde d’hier. Souvenirs d’un Européen, 1942)
Or à notre époque se rapprochant des dix milliards d'humains sur terre et ayant de nombreuses nations aux frontières bien définies, l’utilité de passeport pour gérer le flux de déplacement humain au niveau mondial paraît important, surtout cela n’empêche pas l'immigration illégale de beaucoup. Mais il est important de noter que par une forme d'ouverture et de liberté, il est agréable de passer des frontières sans contrôle comme dans l'union européenne.
« Pour retrouver un peu de cet ancien temps, égalité et réconciliation sont les deux choses que les majorités doivent absolument offrir aux minorités (dont les ultra riches font partie), surtout si elles veulent empêcher ces dernières de donner prise aux techniques de manipulations utilisées par les forces qui veulent transformer tout le monde en esclaves obéissants et désemparés. D'autant plus que par la subordination de la dette usurière, une caste mondialisée ultra riche et donc minoritaire cherche donc le pouvoir politique et parvient même à obtenir des infrastructures de nations, la dématérialisation de la monnaie (en futures monnaies numériques centralisées voire décentralisées gérées par les banques) et le démantèlement des services publiques (dont les moyens hospitaliers étaient déjà insuffisants avant le début du covid) en les faisant devenir payant. Ces majorités qui s’illusionnent et croient qu’elles peuvent résoudre le « problème des minorités » en les expulsant ou en les faisant disparaître ne font que se tromper elles-mêmes. En effet résoudre « simplement » le « problème des minorités » en les réprimant pousse inévitablement celles-ci directement dans la chaude étreinte des grands manipulateurs, et cela transforme ces minorités en une puissante arme contre la majorité. La défense des minorités devient d'ailleurs souvent une propagande guerrière de certaines minorités contre la majorité (l'opinion publique majoritaire) et ne correspond donc plus à de la démocratie. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » certaines minorités. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » les minorités. Surtout que le Rassemblement national dénommé avant Front national ayant été attaqué pendant 40 ans par les forces sionistes, il a finalement été dévirilisé, et une fois dévirilisé (dont jusqu'à changer de nom, qui a tout de même été sage), il a été attaqué sur sa dévirilisation par Zemmour. On saisit l’ingénierie aussi subtile que cruelle. C'est à dire que comme la nouvelle droite de Zemmour en réalité sioniste est fausse puisque étant pour L'Euro, l'Union européenne et le pass sanitaire, cela signifie qu'elle est macronienne. Ainsi ceux qui le suivent participent à éjecter les derniers véritable défenseurs de la droite authentique. L’ennemi te demande de faire la paix, de poser ton arme, puis, sans risque, t’enfonce son épée, que lui n’a pas posée. Bien entendu, cela ne signifie pas que les préoccupations et les griefs émis par ce mouvement sont sans mérite, pas du tout, ce sont leurs pseudo solutions qui sont le véritable danger.
Il n’y a qu’un seul chemin efficace pour désamorcer le potentiel explosif des minorités :
-Expliquer que la domination des élites perverses se fait donc de la manière suivante : libéralisme libertaire, appauvrissement du bas et de la classe moyenne entrepreneuriales de la société, destruction des acquis sociaux, manipulation entre minorité et majorité, racisme, division horizontale, et ainsi lutte verticale entre le peuple et le pouvoir profond évitée.
-Instruire les minorités et leur expliquer qu’elles sont manipulées
-Instruire ceux qui rejoignent les mouvements opposés aux minorités qu’ils sont aussi manipulés
-Offrir aux minorités un avenir fondé sur l’égalité et la réconciliation
-Pointer les projecteurs vers ceux qui soufflent sur les braises du conflit et essaient de tourner les minorités et les majorités les unes contre les autres afin de préserver leurs privilèges corrompus. » (Extraits de l'article « Les minorités manipulées représentent un danger majeur pour les États démocratiques » à l'adresse http://lesakerfrancophone.fr/les-minorites-manipulees-representent-un-danger-majeur-pour-les-etats-democratiques)
          Tous les grands problèmes sociaux mondiaux proviennent principalement des occidentales oligarchies perverses, mondialistes, américano-sionistes, ultra-libérales, wokistes, cupides ou avides de pouvoir. D'ailleurs il faut rappeler qu'exactement 11 ans après le démembrement de l'union soviétique et le discours du président Bush Père américain sur le nouvel ordre mondial séculier à venir, les attentats du 11 septembre 2001 au World Trade Center très probablement effectués sous faux drapeau eurent lieu, ce qui permit au président Bush américain, fils du précédent de même nom, de dire qu’il fera la guerre au terrorisme, car il s'agissait d'une guerre possiblement sans fin permettant aux Etats-Unis leurs perpétuelles ventes d'arme et la préservation de leur hégémonie puisque cet empire est un complexe militaro-industriel, mais cela créa beaucoup d'immigration suite aux guerre en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie. Or s’il avait affirmé qu’il avait l’intention de livrer une bataille à l’islam, cela aurait mis en danger le projet américano-sioniste de domination du monde par l'ultra-libéralisme occidental et l'instabilité des guerres, puisqu'il aurait uni la population musulmane représentant le cinquième de l'humanité. Ainsi après avoir organisé la guerre permanente, l'oligarchie mondialiste des Etats-Unis et de l'Occident veut maintenant les pass sanitaire et énergétique permanents pour augmenter désormais la guerre du tous contre tous et la tyrannie ploutocratique internationale. Ceci prouvant qu'il est grand temps qu'un califat bien guidé et donc sagement constructeur réapparaisse à travers l'union de tous les pays musulmans, afin de purifier le monde qui en est devenu à être organisé par la création puis l'exploitation du chaos pour préserver l'empire américano-sioniste.
Surtout que par rapport à tout ce qui vient d'être évoqué, il est reconnu désormais mondialement que divers services spéciaux occidentaux instrumentalisent le terrorisme djihadiste à des fins politiques ou géopolitiques, d'autant plus que le Président Trump a admis l'origine états-unienne de Daech, comme Al-Qaïda est d'origine états-unienne. En effet cette armée terroriste avait été au départ la rébellion des anciennes armée et administration irakiennes de Saddam Hussein qui furent humiliées à travers leurs licenciements (même de nombreux petits fonctionnaires) organisés par l'envahisseur américain très probablement dans le but de déstabiliser voire disloquer définitivement cette nation. D'ailleurs c'est suite à la désorganisation de l'Irak par la guerre que Daech a conquis rapidement de vastes territoires en Irak, mais aussi beaucoup suite au soutien massif des USA, d'Israël, de la Turquie, de l’Arabie Saoudite et du Qatar envers ses centaines de milliers de terrorises takfiristes.
C'est à dire que Daech provient de la libération américaine de commandants d'Al Qaïda et d'anciens officiers pourtant baasiste (laïques, ce qui sous-entend probablement qu'ils sont plutôt devenus des mercenaires) de Saddam Hussein de la prison de Bassora, puis de leur union appuyée par de pseudos erreurs américaines de livraison aériennes d'armes (les USA ont donc au moins favorisé Daech s'ils ne sont pas complètement à son origine) et par des financements étrangers. Ainsi cette armée fut aussi organisée par le wahhabisme de l'Arabie Saoudite soumise aux USA qui ont d'ailleurs fourni les armes en Syrie à Daech et à Al Qaida devenu en partie le Front Al-Nosra. Et le Mossad, la CIA et Daech sont donc souvent la même entité dont contre les ennemis désignés par Israël et les USA tels donc l'Irak, la Libye, la Syrie, mais aussi le Hamas, le Hezbollah, l'Iran. Il faut noter que depuis que Daech ne contrôle plus un territoire sur deux états, il n'est donc plus une nation mais est devenue une nébuleuse terroriste.                                           Général Delawarde : « ISIS (DAECH) a été et reste un outil instrumentalisé par un duo fusionnel CIA-Mossad et parfois par le trio CIA-Mossad-MI6. »
Comme depuis les années 40, la continuité du terrorisme étatique n'est donc pas surprenant, puisque à l'extérieur cela sert de corrosion contre certains Etats et à l’intérieur cela justifie de lois liberticides comme celles pour l'état d'urgence, le renseignement, la surveillance.
Tout ceci prouve encore que le terrorisme est donc principalement étatique, même quand il se sert seulement d'organisations terroristes, en particulier lorsque ces dernières ont besoins d'une grande préparation pour réussir de grands attentats comme ceux de 2001 aux USA et de 2015-2016 en France, surtout que leurs membres ont généralement un petit QI.
De même, il est unanimement reconnu que les premiers Talibans ont été soutenus par la CIA. Maria Zakharova, la porte parole du ministère des affaires étrangères russe a confirmé : « Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, sont derrière tous les groupes de type Daech, ils les ont créées. » Il faut noter qu'en 2011 la chaîne Al-Jazeera a été reprise en main par le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem ben Jaber Al Thani. Instantanément, elle s'est mise au service de l’Otan, dont elle devient le principal outil de propagande dans le monde arabe. Elle donne une vision partiale des conflits en Libye et en Syrie pour se transformer en chaîne de la Confrérie des Frères musulmans. D'ailleurs comme l'Arabie saoudite est un pion des USA, les Printemps arabes devaient servir à mettre des frères musulmans sous contrôle US au pouvoir en Égypte (ce qui a été le cas pendant un temps), Libye, puis Syrie. L’imam Youssef al-Qaradawi devient le prédicateur officiel de la chaîne. Il explique honteusement à ses auditeurs que Mahomet serait sans aucun doute aujourd’hui du côté de l’Otan. De l’occupation américaine de l’Irak, qui a eu lieu juste après la chute de Saddam Hussein, n’a apporté aucune trace de la démocratie que les Américains avaient promise au peuple irakien. Au lieu de cela, ce qui s’est produit réellement en Irak était le déchirement du pays par des conflits religieux, sectaires ou ethniques à travers la politique de diviser pour régner. Les actions terroristes sont venues hanter le pays. C’est dans ce contexte que le mouvement de résistance s’est développé pour faire face au danger qui faisait des ravages dans le pays. Quand Daech a fait son apparition en Irak, l’Ayatollah Ali Sistani, grand dignitaire des chiites irakiens, a émis un décret historique appelant le peuple à se soulever contre le groupe terroriste. Les forces populaires se sont unies à l’armée irakienne pour contrer les terroristes parrainés par l’étranger. En effet le flux de volontaires aboutit finalement à la formation des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi). Aidés et assistés par la République islamique d’Iran, les Hachd al-Chaabi se sont transformés rapidement en une entité puissante dans la lutte contre le terrorisme. Avec l’aide du général Qassem Soleimani, les Hachd al-Chaabi combattaient Daech sur plusieurs fronts, et ont libéré les grandes villes et se sont préparés pour la défaite finale de Daech. La République islamique d’Iran s’est précipitée à la rescousse des Irakiens et, une fois de plus, le général Qassem Soleimani y a donc joué le rôle central. Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. Les Américains ont essayé de revenir en Irak sous prétexte de lutter contre le terrorisme. Les choses ont pris de nouveau une tournure dramatique.
Par conséquent l’Afghanistan représentait bien aussi un endroit stratégique pour les intérêts américano-sionistes, puisque jouant donc le rôle de voies d’acheminement des hydrocarbures de l’Asie centrale, permettant l'établissement de bases militaires américaines pour contrôler la région, et participant au développement d'un ennemi mondial perpétuel qu'est le terrorisme. Le terrorisme des premiers saoudo-talibans ayant amené l'invasion de l'Afghanistan par les américains a donc effectivement facilité la manipulation mondiale au profit des USA, provoqué toujours plus leurs ventes d'armes, et permis que le terrorisme wahhabite ou takfiriste puisse ne jamais disparaître totalement par preuve que des monarchies arabes pétrolières alliées des États-Unis participent à son financement.