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K) Suite 11

                   
Et si des entités comme Apple, Facebook, Mozilla, Microsoft commencent à refuser à certains des applications, des recherches, des comptes, des réseaux sociaux et des sites, cette tyrannie n'aura même pas besoin de fermer internet. Par conséquent les philosophes, les penseurs, les journalistes, les juristes, les politiciens et les hommes dignes devraient lutter de toutes leurs forces, de tous leurs mots et de toutes leurs fonctions contre cette tyrannie. Or cela se fait honteusement de plus en plus rare. Reste à savoir comment les peuples, certains politiques, les juges, les policiers et les militaires vont réagir si la tyrannie mondialiste s'aggrave. De plus en cas de rachat par les mondialistes de tous les serveurs privés pour amplifier la censure ou l'isolement de dissidents, ils pourraient prétexter que les sites qu’ils hébergent ne correspondent pas à leur politique d'entreprise. Le choix des russes de créer leurs propres réseaux internet a donc été très judicieux.
Dans ce sens, la blockchain populairement bien utilisée devient de plus en plus une bonne voie de liberté pour internet, en particulier si elle est liée à des satellites appartenant à un pays ou une société privée honnêtes. Et pour lutter contre toute tyrannie qui ne tue pas les opposants, la désobéissance civile doit nécessairement être collective et pacifique par rapport aux diverses injustices, si nécessaire jusqu'à se laisser frapper par les forces de l'ordre lors d'une manifestation afin d'obtenir le soutien de l'opinion publique pour la cause recherchée. Ceci afin de commencer une nouvelle politique sur des bases inverses à la violence et à la division utilisées par le pouvoir précédent. On peut donc se servir de la force (violence) de l'adversaire... Un pouvoir autoritaire qui se raidit avoue déjà que l'autorité lui échappe, surtout que selon Aristote, la Politique est l'art de commander à des hommes libres. Il faut donc demeurer lucides, devenir réalistes et ne pas se laisser tirer vers le bas, car à travers les crises organisées, le système actuel veut nous faire sombrer dans un état dépressif permanent avec la peur et la culpabilisation, afin de mieux nous manipuler et nous dominer. C'est à dire qu'il cherche à nous empêcher de penser droit pour limiter notre volonté de justice. Cette tyrannie occidentale oligarchique synonyme du mondialisme sioniste est donc pire qu'une mafia, car c'est une perverse manipulation climatique, bancaire, terroriste, sanitaire, guerrière, énergétique, inflationniste, économique et banlieusarde. Surtout que la populaire soumission volontaire est plus forte par la sécurité médicale que par la sécurité anti-terroriste. Mais qui veut vraiment d’une autoritaire société aseptisée recherchant prétendument le risque zéro, comme ce le fut à travers les confinements ayant mis sous cloche tout un pays et ayant gelé toute activité, toute pensée et toute réaction. Alors que la vraie médecine se fait avec un cœur honnête pour les patients et pas avec la peur pour un profit inconséquent, et que si la santé préoccupait vraiment le système politique, il interdirait la cigarette, les pesticides, la malbouffe, le stress, ou tout ce qui détruit aussi beaucoup plus de vies que le Covid. Surtout qu'au début, il s'agissait d'une politique de crise sanitaire, mais que ça s'est transformé en une politique de sécurité sanitaire, puis ensuite en une politique d'Etat sécuritaire devenant une tyrannie sous prétexte sanitaire, dont par sa division du peuple.
          Pourtant afin de parvenir à une ère de paix, de prospérité, d'échange et d'harmonie, le contexte actuel demande vertueusement à regarder ce qui nous rapproche voire ce qui nous rassemble dans la dignité dont en dénonçant l'indignité, plutôt que ce qui nous différencie ou nous divise. Dans ce sens l'indigne main mise sur tout, partout et tout le temps par les oligarchies perverses apparaît de plus en plus, dont à travers une répression féroce, visible et assumée par la police, alors que cette dernière doit garantir les libertés individuelles au lieu de les réprimer. C'est à dire que la police est normalement un service public agissant pour l’intérêt général du peuple et non pour l’intérêt particulier du pouvoir en place servant le mondialisme qui profite seulement aux élites corrompues. Tout va crescendo telle une courbe exponentielle. Pied au plancher, ces élites mondialistes corrompues ne s’arrêteront plus, comme le prouve la perverse, patiente et méticuleuse destruction dissimulée des nations par la peur jusqu'à l'esclavage. Robert Kennedy Jr :
« La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur. »
« Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre : parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement. »
Quand quelqu'un comme Zemmour travaille à la guerre civile, cela signifie toujours qu'il est un agent étranger.
« Patrick Buisson, historien, homme de droite et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à l’Élysée, est décédé ce mardi 26 décembre 2023 à son domicile des Sables-d’Olonne (Vendée). Il avait 74 ans. Sa disparition survient au milieu de sujets sensibles, tels que l’islam, l’immigration, la laïcité et du conflit Israël-Palestine. Dans sa dernière apparition la plus remarquée, Patrick Buisson était invité dans « Apolline de Malherbe, le rendez-vous » sur BFMTV, le samedi 8 mai 2021. À cette occasion, l’homme avait surpris l’extrême droite, surtout le clan Zemmour, par ses prises de position sur l’islam. Dans ses propos, Buisson appelait ses amis de droite à ne pas s’engager dans une croisade contre l’islam, soulignant que le véritable problème résidait davantage dans l’immigration. Plus sur une ligne soralienne que zemmourienne, il mettait en garde contre une analyse erronée, soulignant que ceux qui se tromperaient pourraient être tenus responsables des maux futurs de la France. Selon lui, l’islam était un reflet des insuffisances et démissions de la société française. « Je dis à mes amis de droite : ne vous laissez pas enrôler dans une croisade contre l’islam. Vous faites fausse route, ce n’est pas le bon chemin, c’est une erreur magistrale que nous paierons. Le problème ce n’est pas tant l’islam que l’immigration. Il ne faut pas se tromper dans l’analyse. Ceux qui se trompent dans l’analyse seront responsables des grands malheurs qui pourraient arriver à la France dans les années à venir. » Il critiquait le recul du sacré dans la société et expliquait que le rapport à l’islam était lié à cette perte de repères spirituels. Il exprimait son respect pour les croyants et leur droit de placer la loi naturelle au-dessus de la loi républicaine. « L’islam n’est que le miroir de nos insuffisances et de nos démissions. L’islam nous renvoie à l’image de notre déclin et de notre décadence. (L'effondrement en cours de l'occident se voit d'ailleurs sur toutes les chaînes TV.) C’est ça qui nous est insupportable. Notre rapport à l’Islam est lié au recul du sacré dans notre société. Nous sommes une société où le sacré est étranger. » Patrick Buisson soulignait également ses positions sur la laïcité, suggérant que s’opposer à l’islam mais aussi au catholicisme au nom de la laïcité pouvait conduire à des tensions inutiles. Buisson dénonçait la laïcité actuelle qui, selon lui, avait remplacé l’église catholique par le wokisme. « Un catholique pense que la loi naturelle est au-dessus de la loi de la République. Ça ne me scandalise absolument pas qu’un croyant place la loi naturelle, la loi divine au-dessus de celles de la République. J’ai plus de respect pour une femme voilée que pour une lolita en string de 13 ans. J’ai plus de respect pour un musulman qui fait sa prière cinq fois par jour que pour les bobos écolos à trottinette. » » (Le média an 4-4-2)
De même la déclaration suivante de François Molins procureur de la République et figure de la lutte contre le terrorisme en France, à propos d'anciens terroristes islamiques qui sortaient de prison synonyme de transmission de peur concernant les musulmans, participe aussi grandement au risque de guerre civile par une étrange annonce prémonitoire d'attentats : « On court un risque majeur de voir sortir de prison à l’issue de leur peine des gens qui ne seront pas du tout repentis (de leurs idées terroristes), qui risquent même d’être encore plus endurcis compte tenu de leur séjour en prison. »
C'est à dire que pour éviter de recevoir la lutte verticale (peuple contre élites), le pouvoir est prêt à créer plus de problème violents intersociaux et donc horizontaux amenant une guerre civile plus ou moins froide, dont afin que le français moyen demande plus de sécurité et donc d'Etat et donc de surveillance et donc de contrôle. En effet le pouvoir profond pervers peut organiser de toute pièce des incidents interethniques ou interconfessionnels, dont en leur donnant une dimension excessive par les médias mainstream pour mettre encore plus le feu aux poudres afin de diviser fortement le peuple. Or toute personne travaillant à la guerre civile est un antipatriote voire un traître à la nation. Ainsi la possible guerre civile, tant annoncée en France par les sionistes et ressemblant donc fortement à une prophétie auto-réalisatrice surtout que liée au laisser-faire politique concernant l'immigration de masse, les terroristes isolés, et l'oppression en Palestine et au moyen Orient, ne serait pas une guerre entre les chrétiens et les musulmans, mais une guerre entre Français et Antifrançais. Cependant les apprentis sorciers de l’oligarchie peuvent la déclencher, mais ils ne pourront pas la contrôler : elle leur échappera et l'habituel retour pour arrêter les élites mondialistes et sionistes adviendra. Surtout qu'il pourrait y avoir plusieurs camps s'unissant contre le système : les hommes de bonne volonté, les patriotes, les religieux, les anti-sionistes, etc...
En effet les peuples commencent à se réveiller sous les coups de ces tensions, car c’est toujours la souffrance qui rend lucide comme le prouvent les fréquentes épreuves divines difficiles envoyées aux peuples s'égarant, jamais le confort, ce qui explique pourquoi le système fournit un confort au moins minimum aux français. Surtout que suite à des frigos commençant à être vides, les pacifiques gilets jaunes intelligemment patriotes, provenant beaucoup de couches populaires périphériques, étant significativement accompagnés de femmes souvent mères de familles, recréant la noblesse des liens collectifs ayant disparu à cause de l'individualisme matérialiste moderne et télévisuel, réveillant définitivement les valeurs morales chrétiennes, s'affirmant apolitiques, ramenant l'âme du peuple par un retour au lien social et donc spirituel, devenant sagement révolutionnaires sous une forme d'extrême centrisme pieux, rendant à nouveau la France exemplairement éclairée, et freinant voire atténuant probablement la fin des temps, identifient de plus en plus ces forces occultes promotionnées par des médias d'information privés. C'est à dire qu'intelligemment, ils ne sont donc pas tombés dans ce piège grossier et honteux d'une guerre civile interconfessionnelle ne servant que le pouvoir et les privilèges des élites corrompues du haut de la pyramide sociale, symbole représentant le plus la franc-maçonnerie.
Cependant les gilets jaunes sont en réalité politiquement uni hors des partis traditionnels divisant le peuple et donnant toujours le pouvoir à ces élites. En effet il ne reste plus que le souverainisme politique qui va récupérer tous les déçus du système des partis en place. Or cela se fera principalement lorsqu'il ne restera face à l'isolée moyenne bourgeoisie française naïvement mondialiste et wokiste que le légitime bloc national souverain unissant la droite catholique portée par les actifs en dehors de la haute finance et l'islamo-gauchisme porté principalement par les jeunes socialistes conservateurs. C'est pourquoi vers une forme pieuse d'extrême centrisme socialo-national, la droite nationale chrétienne doit se rapprocher des musulmans de gauche surtout car ils reconnaissent la mission divine de Jésus et donc la création catholique de la France.
          Or par l’inversion droite des valeurs/droite de la haute finance mondialisée et gauche du travail/gauche écolo-sanitairo-sociétale, Macron, tel un faux messie, un antichrist ou/et une bête est donc un usurpateur pervers de l’extrême centrisme normalement donc national-socialiste-monothéiste bien compris. En effet l’extrême centrisme authentique correspond à la bourgeoise droite française religieuse avant tout sociale, mais s'opposant ensuite à la lutte des classes tout en permettant à chacun la liberté d'entreprendre professionnellement, scientifiquement, littérairement, artistiquement, sportivement et spirituellement. Ainsi le nationalisme (patriotisme) bien compris peut être similaire au socialisme bien compris et vice versa.
C'est pourquoi le système et sa nouvelle cancel culture continue de tendre à réécrire l'histoire des partis politiques ou des événements nationaux du passé, c'est à dire afin d'orienter les nouvelles générations vers une pensée unique favorisant les oligarchies mondialistes corrompues. Ces dernières sont souvent alliées au messianisme de la diaspora juive ultra riche, qui est parfois concurrent voire opposé au messianisme des élites israéliennes. Par exemple il y a l'aile gauche libérale pro-finance, pro-euro et pro-union européenne du judaïsme politique incarnée donc par la riche diaspora juive universellement impérialiste en visant la gouvernance mondiale dont par l'usure, qui est parfois mise en danger par le likoud israélien néoconservateur trop extrême-droitiste dont par sa violence politique anti-palestinienne, puisque cela fait logiquement monter l'antisémitisme à l'étranger, comme les immigrés devenus terroristes mettent en danger les immigrés. alors que les actions sont plus destructrices que la guerre conventionnelle et affectent donc l’ensemble de la poD'ailleurs les messianistes juifs en Israël sont dans la même analyse que le fondateur du sionisme Herzl, puisqu'ils considèrent que les antisémites du monde entier sont les alliés des juifs pour les pousser à aller en Israël afin d'agrandir sa population.pulation du pays visé. C'est à dire que ce messianisme israélien vise lui prioritairement l'impérialisme territorial par la recherche du Grand Israël hégémonique, dont en infiltrant la droite politique dissidente, populiste, souverainiste, identitaire ou extrême de différentes nations pour perversement sioniser son éventuel accès au pouvoir et défendre la politique israélienne, alors que la gauche est infiltrée par les messianistes juifs de la diaspora pour wokister (Lgbtiser) son éventuel accès au pouvoir et défendre la politique mondialiste. Or au final, un politicien ne pourra que choisir entre être un globaliste de droite néoconservatrice (sioniste) être un globaliste de gauche wokiste (Lgbtiste), dont en plus par la menace d'être traité d'antisémite. La Banque et le lobby israélien ont ainsi d’autres employés que Macron, qui pourront même pour certains continuer à gérer dans l’ombre les affaires de Rothschild et BlackRock de même que l'américano-sionisme, comme Sarkozy l’a fait à droite après 2012.
C'est pourquoi par un mécanisme simple, ces messianistes empêchent la patriotique jonction entre la gauche et la droite légitimes : il suffit d’associer injustement au fascisme voire à l'antisémitisme tout mouvement dissident, comme les gilets jaunes finirent par être traités d'antisémites à travers les médias du système oligarchique et sioniste et par être attaqués à travers ses idiots serviles ou commandés que sont les antifas représentant eux une forme réelle de fascisme. Ce qui prouve que l'accusation actuelle de fascisme, c'est du réductionnisme. Les gauchistes peuvent alors revendiquer de représenter eux seuls le peuple, après l’avoir nettoyé de ses éléments non pas les plus antisémites, mais les plus radicalement anti-oligarchiques. L’oligarchie peut alors poursuivre sa politique de destruction sociale tranquillement.
Il faut noter que la création d'une nation passe d'abord par le social, puis prioritairement par le souverainisme si nécessaire par des guerres défensives, comme lors de la propagation de l’islam puis la mise en place du califat. Ainsi un gouvernement doit évidemment privilégier la paix entre citoyens et les droits de chacun. En effet, l'ordre national n'est réel que lorsque l'intérêt général est garanti et les droits du peuple sont défendus, et non pas quand le pouvoir n'est au service que d'une poignée d'individus. C'est d'ailleurs pourquoi selon la constitution française, la révolte citoyenne pour rétablir cet ordre juste est obligatoire face à la mondialiste ploutocratie égoïste actuelle cherchant toujours machiavéliquement à diviser le peuple, appauvrir la population et diluer la nation dans le globalisme pour agrandir ses privilèges :
Article 16 de la déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. »
Article 35 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen 1793 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
L'abbé Pierre (dont il est enrichissant de connaître sa vie à travers son film) a dit des bourgeois et en particulier des ultra riches qui accumulent avidement les richesses : « Vous avez probablement plus de sang sur vos mains d’inconscients que n’en aura jamais le désespéré qui a pris des armes pour essayer de sortir de son désespoir (en particulier si il parvient quand même à changer les choses pacifiquement par de grandes manifestations par exemple) ! »
Commentaire d'un internaute : « Les gouvernements et les médias occidentaux actuels sont les instruments des gros capitalistes. Leur rôle est de nous faire peur afin de passer les lois de soumission et de répression qui serviront les gros capitalistes. Pour cela, ils utilisent l’incertitude et propagent le doute dans les esprits. Ainsi le cerveau devient paralysé et des charges émotionnelles lui sont envoyées pour le faire réagir dans la direction voulue. Sinon ils envoient des terroristes, des virus et maintenant des militaires (devant faire respecter le confinement) pour accélérer le projet de domination. Nous sommes en tyrannie. Dans la constitution il est écrit que c’est un devoir de se rebeller contre la tyrannie. Plus les mondialistes veulent régner, plus ils augmentent la tyrannie, et plus celle-ci développe la cohésion des peuples. Nous sommes beaucoup à nous rebeller, et les médias officiels font tout pour cacher cette info. Nous, le peuple, sommes les 99% (dont au moins 25 % de réveillés) face au 1 % ultra riches (détenant de 50 à 99 % des richesses). »
Concernant l'origine et donc la légitimité populaires des gilets jaunes, il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo de Michel Drac « La vraie actu (S02E05 - spéciale Gilets Jaunes) » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=7&v=0w-4i0JtlpI
D'ailleurs pour rediviser le peuple suite aux gilets jaunes, le président Macron a organisé le grand débat national par segmentations. Donc on avait un débat avec les maires ruraux, les femmes, les femmes célibataires, les jeunes, bref il s’agissait pour nos politiques publicitaires, nos panélistes politiques, de re-segmenter ce qui venait de se recomposer.
Or le soulèvement des Gilets jaunes est la lame de fond d’un mouvement qui va balayer tranquillement et irrésistiblement les élites corrompues. Ce mouvement est comparable à un tremblement de terre sociologico-politique, d’abord sociologique et ensuite politique, dû à la confrontation de deux plaques majeures : les voleuses élites françaises mondialisées face à la classe moyenne française qui a fait la richesse et la force de la France et de son État. Les événements populaires qui se poursuivent ne sont que des répliques de ce choc majeur, fondamental, et ce ne sont pas les tentatives terroristes misérables de la dominance qui y changeront quoi que ce soit. La classe moyenne n’est pas morte, elle se recompose, reconstitue sa force et s'alliera toujours plus aux gilets jaunes, comme lors des manifestations contre les mesures sanitaires, la loi sur la retraite et l'inflation. Surtout que la différence entre le combat sportif et le combat politique, c'est que dans le combat politique même si on est largement mené, la victoire est toujours possible, c'est à dire même de défaite en défaite jusqu'à la victoire.
Or aucune révolution n’a abouti sans cadres intellectuels issus de la bourgeoisie, mais l’histoire n’est donc pas terminée. Surtout que le processus d’appauvrissement de la petite bourgeoisie est déjà bien avancé, même si elle ne le sait pas encore. Son déni de la réalité la rattrapera bientôt et elle sera tirée du rêve dans lequel elle s’est enfermée mentalement : ce rêve où elle appartient au sommet de la pyramide sociale, alors qu’en terme de niveau de vie elle est plus proche des professions intermédiaires et que l'hyper classe mondialiste ne veut pas d'elle jusqu'à l'exploiter et l'appauvrir. La tyrannie sanitaire, numérique et économique accompagnant et justifiant la pulvérisation de ce qui reste de tissu économique et du code du travail essaye même de coaguler des catégories socio-professionnelles jusque-là atomisées.
C'est pourquoi l'origine des ces gilets jaunes est en plus un mélange de crise religieuse, de crise de régime, de crise socio-économique et de crise de la démocratie. Surtout que la condition indispensable de la pérennité d’un régime est qu’il soit adossé à une religion structurante lui donnant sa légitimité et facilitant donc l'union du peuple dans la fraternité et la solidarité dont face à un éventuel ennemi pervers commun. Ainsi les peuples comprennent même de plus en plus que leur véritable ennemi est la finance mondialiste, dont car elle est amorale voire immorale en brisant à l'intérieur les valeurs traditionnelles par le libertaire, en effaçant à l'extérieur les frontières nationales par le libéralisme, et en prétendant suivre une pseudo marche vers le progressisme et le modernisme.
          Ainsi suite à une excessive gourmandise stupide du système oligarchique dans une époque intéressante de nouvelle grammaire sociale, politique et sociétale, puisque se découvrant chaque jour par l'apparition des réseaux sociaux et de nombreux moyens vidéos tels les smartphones rendant la société irréversiblement plus horizontale et juste, le pouvoir profond avide est désormais beaucoup plus calculateur, car il est sous pression et a subi un gros impact de retour au réel provenant de ces Français en gilets jaunes (synonymes d'urgence) représentant la rare union du prolétariat (salariés, ouvriers) et de la classe moyenne (petits patrons). D'ailleurs grâce à la caméra s'étant répandue via les smartphone filmant en direct sur les réseaux sociaux, le pouvoir de la baïonnette (par la force, les tueries de masses voire le génocide) tend à disparaître au niveau politique et géopolitique en particulier dans les pays développés, ce qui équilibre le combat entre le peuple et la tyrannie. C'est à dire que nous sommes même arrivés à une époque où celui qui tire avec une arme à feu le premier est mort politiquement. A cause des réseaux sociaux, la chaîne d'information continue CNN des USA est même passé de 450 000 téléspectateurs quotidien à 45 000 en 2023. Habituellement divisé par les élites, mais tendant actuellement vers la quintessence de ses convergences, le peuple vient de dire « Non » à la prospérité exclusive pour les très riches par une austérité pour le reste, au démantèlement de l’État providence, aux privatisations, aux guerres à l’étranger, à l’immigration de masse, bref, à toutes les plaies qui tombent sur l'Occident depuis une trentaine d’années. Or même en étant dans une dystopie, il faut parvenir pieusement à ce que ça n'atteigne pas notre joie de vivre et notre lutte pieuse, car ce qui est important c'est ce qu'on aura vécu de grand, de beau et de fort. Ils ont dit « Non » à la dystopie. La dystopie est une forme de société au bonheur inaccessible, telle une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie, que de nombreux films de science-fiction souvent hollywoodiens ont traité au service de la mondialiste ploutocratie corrompue actuelle, puisque cherchant à habituer l'humanité à ce que ce type de système advienne au profit de cette hyper classe perverse. La France actuelle est clairement une dystopie puisque nous sommes libres de manifester mais on nous éborgnera ou gèlera vos comptes, de ne pas nous faire vacciner mais on nous isolera, de nous exprimer dans les médias en tant que dissident mais on nous rabaissera, d’ouvrir une bibliothèque mais on nous demandera pourquoi vous vendez certains livres, de construire une petite entreprise mais on nous oppressera, de créer un parti religieux mais on nous dissoudra. Dans ce sens dystopique, les forces du système tentent désespérément de bloquer le renouvellement de la culture humaine en l’orientant vers une forme de techno-utopie qui est en fait une prison matérielle pour la liberté cognitive et spirituelle de l’homme. C'est un monde qui est toujours plus basé sur les énergies négatives même par inversion ou détournement des valeurs pour faire oublier l'âme bonne et donc heureuse de chacun. Or même en vivant dans une dystopie, il faut parvenir pieusement à ce que ça n'atteigne pas notre joie de vivre et notre lutte pieuse, car ce qui est important c'est ce qu'on aura vécu de grand, de beau et de fort. Les gilets jaunes ont donc dit « Non » à la dystopie apportée par la globaliste et oppressante caste politico-médiatico-économique actuelle, et « Oui » à leurs aspirations sincères et légitimes pour un monde plus juste, car chaque peuple crée son propre chemin vers son idéal collectif et capitalise ses expériences souvent imprévisibles sur ce chemin. En particulier par internet, la lumière du peuple servant la vérité a ainsi pu dénoncer le mensonge, la corruption et la perversité se propageant par des forces occultes, des réseaux d'influence et des lobbies. surtout que la vérité est universelle. Le glas a sonné, c’est la fin : les banquiers ne continueront plus de nous serrer la vis, tout en se reposant sur leurs double menton.
Or pour triompher les gilets jaunes doivent impérativement encourager les forces de l'ordre (ainsi que les professions importantes comme les médecins, les pompiers, les avocats, les camionneurs, les distributeurs d'énergie) à les rejoindre plutôt que de les accabler, afin de les diviser entre pro-manifestants et anti-manifestants comme le pouvoir profond tend toujours à diviser le peuple. Surtout que les forces de l'ordre doivent avant tout être des gardiens de la paix, même si ces gardiens de la paix sont donc depuis quelques temps devenus des forces de l'ordre ou plutôt désordre oligarchiques. Cependant étant donné la violence policière ayant crevé des yeux et arraché des mains, et donc la soumission des forces de l'ordre au système, le round 2 des gilets jaunes doit se faire en dehors de la force ou de la violence dont des policiers armés, c'est à dire de manière pacifique dont à travers la sortie du système par l'éveil du peuple sur les réseaux sociaux (mais le mieux est de le faire via une web radio privée créée par des résistants), par le boycott en particulier des médias, par le suivi des dissidents authentiques, par l'union des petits patrons, par la technologie blockchain et par les cryptomonnaies décentralisées. En effet parmi les meilleures actions non-violentes, c’est bien le boycott par rapport à la plupart des politiciens actuels, aux grand médias, aux entreprises mondialistes, aux membres de la ploutocratie, aux programmes TV abrutissants. Surtout que la plupart des programmes TV sont faits pour ramollir le cerveau au profit de la pub, comme la Pub le fait aussi pour les infos de la propagande. Quand on regarde un écran, on ne fabrique pas d’images, elles sont préfabriquées. Quand on lit, on crée des images mentales qui pénètrent au fond de l’âme. L’âme raffole des phrases, elle s’en délecte, et d'ailleurs une grande partie de la spiritualité ne peut être que phrase dont concernant l’invisible que sont par exemple les attributs divins, les qualités morales, le Paradis, l'Enfer, les anges, le monde de la tombe, le Jugement Dernier. Lire ou regarder, c’est la différence entre faire la haute gastronomie et la fast-food.
          Mais par rapport aux gilets jaunes, les manifestations contre le pass sanitaire, l'inflation et la réforme de retraites ayant été plus grandes, plus fortes, plus unies (pas de backblock), plus multi-catégories sociales, plus remplies de femmes et plus pacifique, c'est un très bon signe dans ce sens. De plus à travers la convergence de la manif pour tous, de la manif des gilets jaunes, de la manif contre le pass sanitaire, de la manif contre l'inflation et de la manif contre la réforme de retraites, il s'agit d'une très importante convergence des gens de bon sens, des gens pour le bien commun et des gens monothéistes. Mais à part ces manifestations légitimes et malgré la paupérisation ainsi que la tyranisation mondialiste de la France, une grande partie du peuple ne se mobilisent que pour des absurdités : le changement climatique, la cause LGBTQ, le lexique prétendument trop masculin. Or pour désormais mieux faire avancer les revendications populaires, il est très important de ne plus manifester mais de créer des sit-in (assises), car c'est le meilleur moyen de s'organiser comme l'ont prouvé les gilets jaunes en prenant les ronds-points pour y faire des discours, y discuter, se rapprocher et donc s'y organiser concrètement, et donc pour les faire devenir les meilleurs médias. Mais afin de s'organiser pour le bien commun sans ce type d'assise, manifester en groupe dehors est évidemment meilleur que de manifester seul devant un ordinateur, surtout que des groupes se sont formés et des couples se sont même mariés à travers ce genre de bonne cause.
          Cependant la neutralisation des mouvements populaires par le gauchisme est fréquente dont à travers les casseurs antifas, l'accusation de nazisme par les médias et des manifestations séparées divisantes : les Français d’un côté, les gauchistes de l’autre. C'est une manière de scinder la force populaire dès le départ, afin d’éviter son unité qui pourrait mener à un changement de paradigme favorisant le bien commun et plus la ploutocratie seulement. Autrement dit, le gauchisme mondialiste dénationalise les mouvements populaires, ce qui est la fonction organique du trotskisme, ce plus sûr allié de la Banque à gauche. Dans ce sens, la peur à cause de prétendus complotistes équivaut aussi à la peur de désigner les vrais coupables des crises et donc du grand basculement de la France dans le camp néolibéral mondialiste, le camp de la Banque, dont Macron est le serviteur.
          Or avec le progressisme wokiste, transsexualiste, mondialiste, ploutocratique et américano-sioniste qui ne peut plus durer, car il est majoritairement rejeté par chaque peuple dont aussi à cause du génocide des palestiniens et des difficulté à battre des milices à Gaza, nous assistons à la fin d'une époque résumant la fin du siècle juif, la fin de l'époque moderne ayant commencé avec la réforme protestante, la fin de la révolution française débutée en 1789, la fin de la période ayant commencé par l'hégémonie américaine après la deuxième guerre mondiale et la fin de la période ayant commencé avec la chute de l'URSS. D'ailleurs, cela se voit à travers le retour de la Russie à l'orthodoxie chrétienne ainsi qu'à un bon niveau de vie économique et donc souverain au niveau géopolitique, politique et social. Et cela se voit également à travers l’orientation de la Chine conservatrice vers la multipolarité internationale. Ainsi même si comme le dit Karl Marx une étape de chaos doit souvent être nécessaire pour un saut qualitatif sociétal, le processus révolutionnaire lancé contre l'actuel ordre féodal oligarchique semble bien déjà irrésistible, comme l’élimination du vieil ordre féodal qui encadrait voire interdisait les libertés d'entreprendre, de propriété et de déménagement, était en place des années avant la Révolution de 1789.
          Cependant le passage du saut qualitatif du mondialisme par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique dure et mute, c'est à dire qu'à travers diverses étapes, çà passe d’un état à un autre du système capitaliste. En effet cela mène progressivement à un monopole tyrannique du capital financier qui marque la fin du capitalisme entrepreneurial et libéral. Et comme les peuples et de plus en plus de pays résistent, cela explique pourquoi le système se débat et le combat des classes s'est intensifié. Mais l’impérialisme a épuisé tout son carburant. C'est pourquoi après avoir démantelé les États-nations, il détruit maintenant la démocratie politique et apprend la nouvelle musique militaire aux peuples. Et pour détruire complètement la démocratie, il faut aussi détruire son fondement : la classe moyenne entrepreneuriale, car elle est la base nécessaire à la démocratie politique et la principale classe révolutionnaire. Par sa mue informatique, le capital a pu retrouver une deuxième peau, mais c’est la peau d’un serpent venimeux : les GAFAM. Ce post-capitalisme numérique wokiste porte le totalitarisme comme la nuée porte l’orage. 
          Or comme Paris dicte la mode, les révolutions françaises ont souvent défini le futur de l’humanité, et il faut donc se réjouir du réveil anti-mondialisme de ce peuple. En 1789, les Parisiens insurgés avaient enterré l’Ancien Régime, proclamé l’avènement de la démocratie, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. En 1848 les mêmes déclenchaient le printemps des nations, la grande révolution pan-européenne. En 1871, la Commune de Paris est devenue l’avant-garde de toutes les révolutions socialistes. Ainsi la Révolution de 1789 vantée partout dans les écoles, alors qu'à cette période le maire Pétion de la commune de Paris qui a récupéré toute la force publique nationale a été élu par 4,5 % la population parisienne à travers donc une fausse démocratie puisque suite à une élection provenant seulement de 12 000 votants sur 200 000 inscrits (comme le prouvent aussi les 700 000 votants sur 7 millions d’inscrits sur 28 million de français ayant participé à élire les premiers députés soit 2,5 % de la population du pays, puis par fermeture de Paris et la distance de trajet pour atteindre Paris lorsqu'un député venait de province, la création de la république au détriment de douze siècle de royauté avec 25% des députés soit 0.6% de la population française), n'est pas similaire pas à celle la Commune de 1871, car la première était en réalité la victoire écrasante de la bourgeoisie sur le peuple, avec tout ce que ça sous-entend de mépris, de séparatisme social, et de violence, alors que la deuxième était une intelligente et légitime revendication ouvrière. Les guerres mondiales, le bain de sang de Verdun et l’occupation nazie avaient maintenu le peuple français en mode survie, et la révolution suivante a traîné jusqu’en 1968. Et voilà qu’en 2018, la France périphérique (les gilets jaunes) a mis un point final au projet néolibéral radical de mise en esclavage de l’humanité. Les Américains peuvent en prendre de la graine : l’immigration, c’est un bon sujet de propagande de la droite états-unienne, mais ce n’est pas cela qui amènera de grands changements sociaux aux USA. Bien sûr, les gilets jaunes s’opposent aussi à la migration de masse et veulent y mettre un terme, mais ils équilibrent cette revendication avec une autre : stop au pillage de l’Afrique et oui à l’investissement pour son développement. Effectivement, l’Afrique va de mal en pis parce qu’elle est toujours exploitée par les pays développés. La balance des paiements entre l’Afrique et la France penche du côté de la France, et c'est la principale raison de la migration africaine vers la France. Les Africains suivent leur argent, c’est tout. Si les populistes US devaient adopter une revendication semblable, ils devraient équilibrer leurs envies de murs en appelant les firmes US à cesser de pomper leurs plus-values dans les veines de l’Amérique latine. Noam Chomsky l’a parfaitement expliqué : les centre-américains ne se précipiteraient pas aux USA si les USA ne cherchaient pas à déstabiliser leurs pays uniquement pour le profit. Honduras, Guatemala, El Salvador : autant de pays mis en coupe réglée par les US, et autant de vagues de réfugiés pour cogner à leur porte. Ceci vaut pour l’Europe comme pour les MENA, les États du Moyen-Orient et du Maghreb. Si les Européens n’avaient pas bombardé la Libye et miné la Syrie, si les USA n’avaient pas envahi l’Afghanistan et l’Irak, il n’y aurait pas de réfugiés ni d’immigration légale ou illégale. Ainsi les peuples qui ont élu des dirigeants occidentaux partis en guerre doivent comprendre qu'attaquer une nation apporte forcément des réfugiés dans le pays qui l'attaque et la détruit, et que le bénéfice de ces invasions va aux riches, tandis que ce sont les classes moyennes qui en font les frais. Et les terroristes doivent comprendre que les présidents élus en Occident sont souvent mal élus, puisque par exemple Macron est le président français le plus mal élu de l'histoire.
En Russie, les bobos votent « tout sauf Poutine ». La masse, elle, vote pour le pouvoir en place – Poutine et Russie unie –, qui gouverne en faveur du peuple. Ce qu’en Occident on dénonce comme n’étant pas une démocratie. En France, le pouvoir est soutenu par une minorité et il dirige contre la majorité : On a un président qui est élu avec 25 % au premier tour et 50 % d’abstention ; en Russie, nous, on a un président qui est élu avec 75 % au premier tour et 50 % d’abstention. Allez cherchez quel est le modèle le plus cohérent.
Or il est vrai que tous les grands partis, qu’ils soient nommément de droite ou de gauche, que ce soit à Paris, à Berlin ou à Londres, ont agi étrangement en suivant simultanément le même agenda mondialiste, américano-sioniste, néolibéral, belliqueux, anti-social et anti-national.
C'est pourquoi par une démocratie participative voire un démocratie directe momentanée, ce mouvement des gilets jaunes peut finaliser une belle synthèse politique entre libéralisme, socialisme et royalisme (ou présidence religieuse), c'est à dire entre marché économique juste (et donc pieux dont à travers un capitalisme plus de production que financier), gauche (pieuse) du travail et du social (dont avec une forme de zakat), et droite (pieuse) des valeurs (dont à travers l’État souverain monothéiste), contre monopole financier (étant impie), gauche sociétale wokiste (étant impie) et laïcisme supranational (étant impie). En résumé il s'agirait d'une conclusion amenant à un système proche du Califat islamique.
Quelles que soient les acteurs de la France des Gilets jaunes, l’avenir nous dira si le sérieux l’emporte sur le frivole, le fond sur la forme, le vrai sur le spectaculaire. Surtout que avons atteint un monde où il existe souvent un professionnalisme de la forme (apparence, expression) au détriment du professionnalisme du fond (sujets, vérité) comme le prouvent les médias de masse. En tout cas ce mouvement aura révélé dans une grande clarté le pire de l'humanité qu'est le politico-médiatico-financier corrompu et le meilleure de l'humanité qu'est le peuple soudé pour le Bien. Ce qui annonçe probablement la proximité de la fin des temps, puisque l'évidence du chemin honorable apparaît donc de plus en plus nettement.
Suite à cela, le Système cherche à récupérer l'orientation du changement de paradigme voulu par le peuple pour continuer de garder la main. En effet la ligne nationale-sioniste, opposée à la précédente socialo-universelo-sioniste, permettrait de dévier la contestation sociale de la colère du peuple vers une guerre civile raciale ou ethno-confessionnelle sous couvert de défense des « valeurs », plutôt qu'une lutte des classes pouvant réellement renverser la ploutocratie mondiale actuelle. Surtout que la métamorphose de la lutte des classes met de plus en plus aux prises producteurs et expropriateurs. C'est à dire que pour garder l'influence politique des très riches mondialistes, les élites globalistes essayeraient d'organiser une guerre civile en France et ailleurs comme il a été vu, mais pour espérer déclencher un coup d'Etat qui permettrait à un militaire atlantiste de prendre le pouvoir dans un prétexte sécuritaire. Cela afin donc d'éviter une victoire populaire dans une lutte des classes, alors qu'il est pourtant impératif que par de progressives réformes structurelles nécessaires à la société, le peuple parvienne à empêcher l’oligarchie mondialiste de continuer sa domination, car sa prédation usurière gravement inégalitaire est inévitablement esclavagisante puis destructrice du peuple, de même que sa cancel culture wokiste...
         Or si le pervers pouvoir profond planétaire cherche quand même le contrôle total voire la montée des tensions à notre époque moderne jusqu'au chaos, cela prouve qu'il suit en réalité le plan démoniaque de pourrissement des âmes jusqu'en Enfer dans une image de fin des temps. Ainsi tout en sauvant le monde, le peuple doit rester uni au maximum dans la solidarité et la charité pour sauver leurs âmes et les policiers doivent donc les rejoindre pour sauver les leurs.
Lucien Cerise a expliqué malgré au final sa grave erreur politique de soutenir les sionistes faussement identitaires français car largement plus pro-israélien et pro-américain voire pro-mondialisme de l'UE :
« La convergence des populismes et des Gilets jaunes démontre que le peuple est encore capable de réagir de manière autonome quand il est menacé dans sa survie. Cette preuve d’un fort instinct de conservation inquiète particulièrement le pouvoir, qui essaye de diaboliser la vitalité des Gilets jaunes et de leurs soutiens politiques en les qualifiant d’extrême droite, comme si cela faisait encore peur aujourd’hui, ou en accusant telle puissance étrangère d’en tirer les ficelles, sur le principe des révolutions colorées que les gouvernements occidentaux ont pourtant souvent désiré, voire appuyé, pour y placer des pantins à la tête de leur pays. En effet l’oligarchie a essayé plusieurs tactiques, qui ont toutes échoué : cogner sur les manifestants en crevant les yeux de certains pour qu’ils aient peur de manifester ; aider les casseurs d'extrême gauche manipulés (prouvant que ces faux antifas puisque servant le fascisme financier sont utiles au système surtout que rarement condamné fortement) pour donner une mauvaise image du mouvement ; gagner du temps avec le « grand débat », en espérant que le mouvement s’essouffle ; diaboliser les Gilets jaunes avec des accusations d’antisémitisme ou d’homophobie auxquelles personne ne croit.
En fait, c’est une idiocratie totalitaire qui s’installe en France. Le modèle appliqué est celui d’Israël, cet État volontairement instable et « défaillant », car il a besoin de maintenir une tension permanente autour de lui pour se trouver une raison d’être. Israël est un régime hybride aux frontières et limites floues ou plutôt à la réalité schizophrénique, car militariste et suprémaciste mais tolérant envers les perversité de la gay pride, du mariage homosexuel et de la transsexualité, nationaliste alors que singulièrement contre les autochtones, et même prétendument théocratique alors que pourtant donc ultra libéral libertaire. Ainsi Israël n'est pas une démocratie mais plutôt une théocratie sans piété ni souvent foi, dont donc dans le sens d'être perversement pendant un temps son propre messie (collectif, voire Dieu lui-même dans une forme d'hybris extrême provenant de leur anthropomorphisme concernant Dieu dont en l'ayant comme il sera revu perversement associé à l'idole Yahvé auquel ils ont illusoirement attribué des regrets et même une femme du nom d'« Ashera » ; chez les chrétiens, Dieu (et son sens paternel) s'est  faussement fait homme, chez les juifs, Dieu (ou seulement sa pseudo partie féminine qu'est Ashera) s'est faussement fait peuple), jusqu'à ce qu'Israël devienne une monarchie religieuse avec l’avènement de leur faux messie qui est l'antéchrist. Israël brisant donc les limites naturelles, il n'est pas étonnant qu'il dépasse les frontières par la colonisation, mais aussi qu'il en paye le prix comme l'attaque du Hamas. D'ailleurs la gay pride est devenue une épreuve de soumission aux pays alignés sur l'occident, puisque l'autorisation du Lgbtisme dans une société est un marqueur principal de l'impérialisme américano-sioniste et au-delà de ça du mondialisme, sauf que ces gay pride étant diaboliques, il ne s'agit plus ici plus de politique même bassement oppressante, mais encore plus gravement de survie et de salut de l'homme ici-bas et dans l’au-delà. (Quand les pays sont trop anti-Lgbt comme l'Arabie Saoudite, la fête diabolique d'Halloween autorisée remplace la gay pride). Israël incarne donc parfaitement la postmodernité et ses contradictions insolubles prouvant son évidente perversité gravement condamnée par Dieu, puisque mélangeant fortement sacré et corruption, ce qui explique encore pourquoi Dieu avait interdit la recréation de cet Etat. En effet à cause de cet Etat, un néofascisme décadent s’implante partout, mélange de LGBT et de « menace terroriste (dont climatique, sanitaire, inflationniste, énergétique) » pour nous faire basculer dans un univers concentrationnaire parsemés de barbelés et de checkpoints, dont à travers le pass sanitaire (possiblement occidental voire mondial bientôt), le pass vert et la suppression de l’argent liquide qui nous rendra encore plus esclaves par les banques centrales si une blockchain décentralisée n'est pas créée.
(Surtout que de plus en plus de banques facturent le dépôt d'argent, alors qu'auparavant elles donnait des intérêts pour cela, et menacent d'enquête ceux retirant plus de 500 euros en liquide de leur compte, avec comme excuse honteuse de lutte contre le terrorisme d'autant plus qu'il devient étrangement utile dans ce cas. Or même dans une société acceptant des cryptomonnaies pouvant correspondre à de pures actions financières modernes quand ce ne sont pas un stable coin, l'argent liquide (qui doit être basé sur une valeur intrinsèque, ou représenter la richesse du pays selon sa quantité en circulation afin d'éviter les planches à billets destructrice d'économie, ou être adossé au prix de l'or ou l'argent et échangeable contre eux pour être licite) peut continuer à être utilisé pour faciliter les transactions du quotidien. D'autant plus que selon Charles Gave : « L'or (l'argent, les métaux précieux, le pétrole, le gaz, le riz, les dattes) c'est de la monnaie, le reste (monnaie fiduciaire) c'est du crédit (en particulier au niveau international). »
Mais avec la volonté du gouvernement de Netanyahou de lier le pouvoir judiciaire à celui exécutif, Israël devient de plus en plus monarchique, ce qui va faire fuir de nombreux libéraux israéliens du pays si ce gouvernement y parvient, d'autant plus s'il annexe en plus toute la Palestine y compris donc Jérusalem entièrement.
De même sous un pseudo prétexte de lutte contre le terrorisme pour la sécurité publique et la sûreté de l'Etat alors que pour la domination du messianisme juif et oligarchique, le système tend à valider la fin de la liberté d'expression (dans les médias du système et de plus en plus sur internet), du cash, de la liberté de la presse et de l'autorisation des manifestations, et à débuter le fichage totale de la population (activité sur les réseaux sociaux, comportements et habitudes de vie, opinion politique, conviction philosophique ou religieuse, appartenance syndicale, orientation sexuelle, etc).
Or l’histoire de France, les fondamentaux de la politique française, sa position géographique, sa culture et sa religion traditionnelle qu'est le catholicisme sont incompatibles avec Israël et le judaïsme politique synonyme du projet ploutocratique des élites oligarchiques, juives, perverses et wokistes, pas plus qu’ils ne le sont avec l’impérialisme anglo-américain protestant, laïciste, oligarchique et sioniste. C’est ce qu’avait compris et exprimé le général de Gaulle et Jacques Bainville avant lui.
Selon l'article de Youssef Hindi « Des temps bibliques au judéo-nazisme », les origines et fondements du judaïsme politique sont principalement matérialistes, sournoisement politiques et basés sur de prétendues promesses de domination impériale et universelle. Concernant le judaïsme politique d'aujourd’hui en Occident, cet article précise qu'il est basé sur l’extrême droite européenne antisémite réorientée par le lobby pro-israélien, sur le lobby pro-israélien qui importe le néo-conservatisme en Europe, sur l’Union européenne et le complexe militaro-industriel américano-sioniste, sur l'islamophobie malgré la soumission à lui des monarchies pétrolières, sur la pénétration des réseaux pro-israéliens dans les institutions de l’Union européenne, sur les réseaux israéliens et chrétiens sionistes en Europe, et sur l'Union européenne, Israël et les nazis ukrainiens. Au fur et à mesure que la France s’enfonce dans des alliances contre-nature avec les États-Unis et Israël, et qu’elle transfert sa souveraineté à l’Union européenne, elle sort donc de l’Histoire. La France ne peut que disparaître si elle continue d’accepter d’être dirigée par un personnel politique inféodé à l’Amérique, au lobby judéo-sioniste et aux puissances d’argent. Or le destin de la France, pays millénaire, est plutôt de renouer avec la longue durée de la droite souverainiste authentique, et avec une politique continentale eurasiatique et méditerranéenne ; et non pas de prendre pour exemple Israël qui est un petit État ethnique fabriqué de toutes pièces il y a quelques décennies.)
Ainsi pour éviter de prendre par la force des parties des institutions sur tout le territoire afin de récupérer le pouvoir en démocratie, et plutôt opter pour une victoire plus douce avec l'intention d'une progressive réforme totale du système par des assemblées communales et des référendums citoyens, l’union de l’ensemble des patriotes est possible sous plusieurs conditions :
1) savoir discipliner son ego, car les sources de division sont essentiellement d’origine psychologique.
2) structurer cette union dans des organisations de masse et des organisations d’avant-garde.
3) ne pas confondre le rôle des organisations de masse populaire, qui doivent s’adapter à la moyenne pour conquérir la majorité du peuple, avec celui des organisations d’avant-garde qui servent de brise-glace par une minorité active, Dans ce sens s'éloignant d'un vital juste milieu politique, il faut bien comprendre que par l'ouverture des frontières, la délocalisation des industries ou l'immigration massive, l’hyper-socialisme et l’hyper-libéralisme se ressemblent, appauvrissent tout le monde sauf les élites très riches, et ne relèvent donc pas du tout le niveau économique général des catégories sociales pauvres ou bourgeoisement artisanales et entrepreneuriales, alors que certains disent mensongèrement le contraire en affirmant qu'il n'existe qu'un ruissellement économique du haut vers le bas, puisque depuis toujours le ruissellement se fait nettement du bas vers le haut, et encore plus de nos jours avec le système ploutocratique clairement corrompu.
Les marxistes cultivaient une avant-garde et trois types d’organisations de masse : le syndicat, la coopérative, le parti politique. C’est en appliquant cette méthode qu’ils ont infusé dans la société et pris le pouvoir dans de larges régions du monde, preuve que ça marche. Il ne faut donc pas mépriser et abandonner le champ des partis politiques conventionnels sous prétexte qu’ils ne sont pas intelligents. En effet, leur rôle est de viser la quantité, pas la qualité. On ne gagne pas avec des groupuscules, surtout désargentés. Quand on n’a pas les millions, il faut être des millions ! C’est la cohésion compacte d’un troupeau nombreux qui protège les herbivores contre les prédateurs. Isolés, ils sont des proies faciles. (Mais à notre époque, le champs politique est tellement corrompu ou infiltré, qu'il est préférable de créer un parti avec les élus locaux réellement patriotes, laïquement modérés et authentiquement nationalistes.) »
Or les partis politiques ne proposant que deux, trois ou quatre candidats éligibles en nombre de voix et étant donc plus facilement infiltrable ou soumis au pouvoir financier et donc médiatique, surtout que la création puis la vie d'un parti politique sont très coûteuses et que les apparitions télévisuelles très importantes pour s'adresser à de très nombreux électeurs, un retournement des forces policières voire militaires contre le système paraît nécessaire pour que les patriotes puissent changer complémentent les choses.
Suite donc à une révolution par les urnes, par la force ou par des organisations populaires dans chaque commune et région, la juriste Valérie Bugault propose ensuite de fonder la France sur les groupements d'intérêts au niveau professionnels, culturels et spirituels, comme il sera revu.
Surtout que les slogans d'un parti politique aujourd'hui ne devraient être que : « Nous neutraliserons les GAFAM et nous leur interdirons de censurer, nous neutraliserons Black Rock et le Big Pharma (qui sont corrélés) et nous leur interdirons de nous donner des ordres, nous interdirons la franc-maçonnerie et nous leur interdirons de comploter, nous dénoncerons la partialité des médias, et nous oublierons le progressisme wokiste et nous reviendrons aux valeurs traditionnelles (monothéistes). »
D'ailleurs les petits candidats nouveaux portant ces revendications, provenant d'organisation populaire et n'appartenant à aucun partis ne sont souvent plus invités dans les médias, ce qui prouve le mensonge de la démocratie actuelle. De plus en démocratie, comme les partis politiques peuvent s'écarter de la vérité (noblesse, piété authentiques) pour récupérer des électeurs, cela prouve qu'ils ne sont que dans gestion de la passion (émotion) amorale des foules pour la quantité et pas dans la gestion de la raison éthique des individus pour la qualité, le vrai, le juste, le noble, le beau et le bien dont commun. Or en dehors d'une lâcheté en termes de convictions, la politique peut aussi être une stratégie anti-coups ou/et une hypocrisie de circonstance. Car s'il s'agit de suivre une stratégie non perdante pour sortir de l'atlantisme dont suite à la connaissance du vainqueur entre la Russie de Poutine et l’Amérique de Biden possiblement après les élections américaines ou la fin de la guerre en Ukraine, cela devient noblement légitime.
La franc-maçonnerie portant la ploutocratie progressiste s’est infiltrée dans tous les rouages démocratiques : les deux chambres, la justice, la police, les ministères. Tout cela par complot, cooptation, préférence à l’embauche et ruse. La République idéale est donc morte depuis longtemps.
Les différentes composantes du pouvoir sont organisées en strates, strates dont les degrés d’implication varient largement. Plus on s’éloigne du centre du pouvoir, moins l’intérêt est grand et plus l’assentiment devient un enjeu. Or la police est le point nodal de cette structure puisque se maintenant en grande partie par elle. Les mondialistes du système corrompu s'y appuient dessus autant que sur les crises qu'ils organisent. Le paradoxe du globalisme ultra-libéral voulant ainsi aussi effacer les frontières est donc qu'il a besoin de certains pouvoirs régaliens de l’État comme la police et l'armée pour contrôler les individus. C'est pourquoi un État soumis au globalisme est en réalité totalitaire et faible. Par conséquent pour retrouver un Etat équitable et fort, il faut rendre sa souveraineté à Dieu et donc à la nation dont en retrouvant la création de monnaie, la loi naturelle, une banque nationale, l'indépendance médiatique et le contrôle sur son économie, sa finance et sa justice, si nécessaire par une dictature éclairée. En effet la dictature légale peut être le contraire de l'actuelle tyrannie anomique (sans lois : Lgbtsime, usure, wokisme).
Extraits de l'article « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 » sur « Le Saker Francophone » : « Le hasard, comme le disait Einstein, « c’est Dieu qui se promène incognito », et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine. Or c'est peut-être certainement le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or. Mais ce n'est certainement pas le cas dans le domaine des affaires politiques, de l’ingénierie sociale, du contrôle des populations et évidemment des crises financière, des guerres voire des pandémies, car Dieu n’y est (généralement) pour rien. L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont ou ne proviennent bien souvent rien d’autres que de zones d’incertitudes, de risques, d'organisations ou/et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent la finance, des lobbies, les réseaux, les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont souvent déclenchées à des fins précises et aux moments voulus. Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus, un ralentissement économique, un confinement des populations, une guerre géopolitique, une crise énergétique, et des pénuries dont alimentaires, l’homme est partout. Il pense à tout (ce qu'il y a de pire). Des recherches pour prétendument transformer des insectes en cyborgs afin qu’ils modifient génétiquement des plantes pour augmenter leur rendement sont même effectuées officiellement, alors qu'officieusement selon la revue Science, en 2018, il pourrait s’agir de l’inverse : stériliser les cultures des pays ennemis et y provoquer des famines afin de les soumettre par la dette et y implanter des bases militaires. Surtout que ces insectes cyborgs en particulier volants peuvent déjà être des caméras minuscules et donc surveiller des populations. Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de terrorisme médiatique, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes, l’homme pense vraiment à tout. Pour conditionner une grande partie du peuple jusqu'aux sentiments, la fabrique du consentement par le conditionnement vous répétera une idée jusqu’à ce que vous la répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, comme ils ont répandus le refus de visiter les grands-parents pendant la longue période du covid. (Concernant la prostration d'une grande partie du peuple français et des autres peuples il est intéressant de lire l'article « Pourquoi le Français va réélire Macron à hauteur de 60% – Nicolas Bonnal avec Edouard Drumont. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/21/pourquoi-le-francais-va-reelire-macron-a-hauteur-de-60-nicolas-bonnal-avec-edouard-drumont/)
De même la stratégie de domination de la corporatocratie atlantiste correspond à façonner l’esprit collectif. C'est à dire qu'après 30 ans de sélection, de scolarisation et d’organisation dans une toile d’araignée qui couvre l’ensemble de la société dont à travers les médias et des sociétés secrètes, les centres de commandement occidentaux parviennent extrêmement facilement à générer des partis et des gouvernements dociles comme la plupart aujourd’hui. Etienne de la Boétie dans son discours de la servitude volontaire précise : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a pas seulement perdu sa liberté mais bien gagné sa servitude. » L'Homme d'Etat Nazi Joseph Goebbels disait : « Un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge, mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité (même au niveau scientifique comme la théorie de l'évolution) ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui s'est passé politiquement autour du covid, et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier (prix Nobel de Médecine) a dit que nous vivons dans un monde de fou.
« Environ 6000 chaînes de télévision dans le monde appellent à tout moment les experts pour étudier avec eux des événements complexes ou prévoir un avenir meilleur. Ils sont consultés à tout moment : lorsqu’il y a un attentat, une nouvelle petite menace, un problème global concernant le climat, la croissance, la dette et bien sûr maintenant le football et l’art. Récemment, un excellent écrivain, M. John Freed, qui se trouve être l’expert d’un expert, a révélé dans son livre que ces experts se trompent souvent, qu’ils sont souvent dangereux et qu’ils sont surestimés et trop consultés. Pensez aux données suivantes fournies par le livre de M. Freed : Il commence par écrire qu’environ deux tiers des résultats publiés dans les meilleures revues médicales sont réfutés en l’espace de quelques années. Et c’est encore pire ! Pas moins de 90 % des connaissances médicales des médecins se sont révélées substantiellement ou complètement erronées. Il y a une chance sur douze que le diagnostic d’un médecin soit si erroné qu’il cause un préjudice important au patient. Et il n’y a pas que la médecine. Les économistes ont constaté que toutes les études publiées dans les revues économiques sont susceptibles d’être erronées. John Freed affirme ensuite que l’interprétation des experts peut empêcher des actions politiques : « Lorsqu’on nous donne l’avis d’un expert, nous perdons en fait notre capacité à prendre nos propres décisions. Le cerveau s’arrête un peu face à l’avis d’un expert. Lorsque nous entendons un expert, nous renonçons à notre propre jugement. » Je pense qu’il a partiellement tort ; à cause des experts, nous prenons souvent de mauvaises décisions. Plus c’est faux, mieux c’est ! Par exemple, nous décidons d’aider Wall Street, les banques et les fonds spéculatifs afin de ruiner les nations américaines et européennes, puis nous décidons de réduire les aides sociales. Par exemple, nous décidons d’attaquer l’Irak, de bombarder la Libye, de déstabiliser l’Égypte et d’atomiser l’Iran. L’expert est là pour dissiper le doute. L’expert néocon doit être engagé contre tous les ennemis occidentaux — ou supposés tels — avec son mélange post-moderne de messianisme et de jargon scientifique.  Bien sûr, M. Freed confirme et prouve que « les experts éditent et donc manipulent les données ». Cette expression me rappelle la périphrase du Dr Reich, ancien secrétaire au travail de l’administration Clinton : les manipulateurs de symboles. Ces personnes sont les nouvelles professions nées avec la dictature de l’informatique et la nouvelle société de contrôle. Leur expertise altère et manipule continuellement la réalité. Comment faire la différence avec un film de terreur hollywoodien et une scène d’attentat à la bombe surcommentée comme à Boston ? Demandez à un expert ! L’immédiateté et l’irréfutabilité sont les caractéristiques de la vérité qui nous parvient par le biais des ordinateurs : oui, il y a un réchauffement global ; oui, Saddam Hussein possède des armes de destruction massive ; oui, la crise est terminée grâce à l’assouplissement quantitatif de la Fed ; oui, il y a assez de pétrole de schiste pour mille ans et plus dans le Colorado. Un point très important souligné par Freed est le suivant : nous sommes noyés sous des flux d’informations et de nouvelles qui altèrent notre compréhension ou produisent une désensibilisation. » (Extraits de l'article « Comment les experts occidentaux peuvent être une arme de destruction massive » de Nicolas Bonnal)
En réalité, les gouvernements créent de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle les jugements entre en contradiction les uns avec les autres et amènent à des situations de blocages et d’égarement. Nombreux sont ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes qu'ils n’auraient sûrement pas acceptées si leur raison fonctionnait normalement. Le fait de porter un masque entretient un climat de terreur qui repose sur une menace invisible te imperceptible. Ce qui amplifie les angoisses, le stress et impacte directement le système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Or la peur n'empêche pas de mourir, elle n'empêche donc que de vivre (heureux, bien, au mieux). D'ailleurs par rapport à avant l'époque moderne où même les enfants mourraient souvent, cette peur et ce rejet de la mort et donc de Dieu est une inquiétante chose nouvelle vu les décisions absurdes que les gens acceptent, mais peu étonnante vu notre époque laïciste et wokiste de cancel culture.
L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme, le virus ou les pénuries, et les français l’ont accepté. Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens, et lorsqu’ils sont biaisés, apeurés ou plus tout à fait fonctionnels, c’est tous nos repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons alors dans une position d’extrême vulnérabilité voire de perdition, comme des baleines dépourvus de leur système d’écholocation. Puis nous perdons confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent, et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité. C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons aveuglément tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice. »
Ainsi la tyrannie financière mondiale recherchée par les élites globalistes perverses, synonyme de totalitarisme bancaire, oligarchique et sioniste prenant le pouvoir progressivement, doit être impérativement combattue, car elle mènera inévitablement à la dette asservissante synonyme d'esclavage moderne envers les peuples puis à la dépopulation ou/et au chaos. Par conséquent un retour profond du social et donc un sérieux changement d'idéologie politique doivent avoir lieu par par les faibles et honnêtes gens contre les riches corrompus puis par le peuple contre les autorités perverses. C'est à dire que sans réaction populaire forte, ce système tiendra tout par la dette et détiendra donc le pouvoir au détriment des politiciens, des peuples, des PME productrices et de la santé en général.
Article de Gilad Atzmon « La façade démocratique » : « Le jour de l’élection (états-unienne de 2020), d’innombrables commentateurs progressistes et libéraux dans tous les grands médias ont été assez stupides pour admettre que la bataille en jeu ne portait pas vraiment sur « Trump ou Biden » mais sur l’American way, et pour ainsi dire sur l’avenir, dont du discours public et de la vie publique aux États-Unis. Les progressistes et les libéraux étaient suffisamment confiants pour croire qu’avec près de 100 millions de bulletins de vote remis avant le jour des élections, les Américains avaient déjà donné un spectacle sans précédent de rejet de tout ce qui peut ressembler, même légèrement, à des « valeurs conservatrices ». Ils étaient convaincus que l’Amérique avait déjà fait son choix. Pour eux, je dois supposer que l’élection n’était qu’une formalité et que la bataille était déjà gagnée. Mais quelques heures plus tard, il est apparu que les enquêteurs les avaient une nouvelle fois complètement trompés. Les partisans de Trump ont refusé de s’évaporer. Ils se sont considérablement développés et se sont même étendus démographiquement dans certains territoires électoraux « inattendus » traditionnellement associés et acquis à la politique démocratique. La signification évidente de cette élection est que l’Amérique, comme la plupart des autres États occidentaux, est divisée en deux sociétés opposées qui ont très peu en commun. Ce qui est bien plus inquiétant, c’est le fait que les deux côtés de la division ne peuvent pas se tolérer l’un l’autre. Autant la gauche, les progressistes et les libéraux sont convaincus de la validité absolue de leur mode de pensée, au point qu’ils insistent pour les imposer par des mesures autoritaires et tyranniques, au moins autant de personnes n’y croient pas, n’embrayent nullement, ou/et rejettent farouchement ces valeurs. De nombreux Américains n’acceptent pas le schéma identitaire. Beaucoup d’Américains ne sont pas du tout convaincus que le genre ne soit pas binaire. Je suppose que le plus décevant et le plus inquiétant pour le Comité National Démocrate est le fait que des membres de « minorités diverses », comme les appellent les démocrates, ont changé de camp. Ils sont devenus de fervents partisans de Trump. Regardez par exemple le groupe fusionnel cubain qui chantait « Je vais voter pour Donald Trump. Ce qui est très facile à expliquer, car le Parti démocrate propose aux Noirs, aux homosexuels, aux Latinos et aux « minorités diverses » d’être marginalisés à jamais dans un amalgame d’« Autres unis » et pas d'américains unis. Alors que le GOP « Great Old Party, Le Génial Parti Expérimenté (républicain) » offre à ces personnes une intégration immédiate dans le royaume américain en tant que personnes ordinaires. Il suffit de se procurer une casquette de baseball rouge et de se joindre à son prochain rassemblement local. C’est cette unité existentielle la plus fondamentale qui était si vive jadis dans le discours révolutionnaire de gauche, mais qui s’est finalement matérialisée seulement sous la forme d’un tsunami populiste pour une résistance politique de droite. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, le Parti républicain est devenu le parti de la classe ouvrière américaine, car ce sont des gens qui se définissent par leur adhésion aux valeurs familiales, à l’église et au travail, et qui se considèrent comme les « Américains ». Le Parti démocrate, qui prétendait être la voix de ces travailleurs, s’est progressivement transformé en un conglomérat urbain identitaire de la gauche sociétale impie, c'est en un collectif de personnes croyant au à la construction personnelle ou sociale même contre-nature. Il s'agit de personnes qui insistent pour que quiconque puisse pouvoir se définir et s’identifier à n'importe quoi en ne pensant donc pas prioritairement à êtres unis par la patrie. Ces gens veulent être considérés même illégitimement « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant qu'objet », « en tant que juif ». Nous avons pratiquement appris à nous battre les uns contre les autres au lieu de nous unir en un seul peuple. Au lieu d’éliminer les différences, nous avons construit de nouveaux murs de ghetto en soulignant et en célébrant chaque ligne de démarcation possible (blanc/noir, homme/femme, hétérosexuel/Lgbtq, etc.). Au lieu d’identifier Wall Street, la propagande médiatique et les géants de la technologie comme notre ennemi mondial féroce, ils sont en fait devenus les catalyseurs et les fournisseurs d’argent dans une guerre qui est souvent contre nous-mêmes. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, la gauche a fini par adopter l’aspect idéologique hitlérien le plus encombrant et le plus problématique : contrairement au fascisme italien qui adhérait au concept de « socialisme du peuple italien », ou au premier nazisme qui défendait l’idée de « l’égalité des germanophones », Hitler a insisté sur le « socialisme pour une seule race ». Hitler affirmait que la politique des gens est intrinsèque à leur classement biologique. Contrairement à la pensée traditionnelle de la gauche inclusive, axée sur les classes, la gauche contemporaine pousse les gens à s’identifier politiquement en termes biologique, c'est à dire « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant que juif (car c'est d'abord une ethnie alors que les ashkénazes n'y appartiennent pas et que les chrétiens et les musulmans sont dans leurs confessions respectives par le choix) », etc.. Alors que le GOP se rapproche de plus en plus d’une politique de classe universelle (nationale). Le matin du 3 novembre, la presse libérale était prête à annoncer que la philosophie du « en tant que » avait gagné. Mais dans l’état actuel des choses, cette bataille entre le peuple des « en tant que tel » et les « Américains » pourrait dégénérer en un véritable conflit violent, car il n’y a personne en Amérique ou ailleurs qui sache comment unir la population dans un simple concept de peuple. Encore une fois, ce n’est pas vraiment un phénomène américain. La même division et l’absence d’une perspective d’unification politique sont actuellement apparentes dans tous les États occidentaux. Pour comprendre la politique des identités et son impact désastreux sur la société contemporaine, lisez donc mon ouvrage Being in Time... Trump ou Biden, la question n’est pas là. Il s’agit de l’opposition entre urbain et rural. Il s’agit d’un débat entre mondialistes et nationalistes. Il s’agit de Cosmopolitains contre Patriotes. (Il s'agit du capitalisme spéculatif contre le capitalisme productif. Il s'agit de la droite des valeurs contre la gauche sociétale.) Il s’agit de Tribal contre Universel. Il ne s’agit pas de démocrates contre républicains. Il s’agit des minorités contre les américains. Il s’agit des « en tant que tels » contre le peuple authentique. Il s’agit d’une « grande réinitialisation » contre un désir de grandeur. Il s’agit de Jérusalem contre Athènes. Nous sommes en train de revivre les derniers jours de la république de Weimar (pouvant amener à un quatrième Reich, possiblement celui de l'antéchrist). »
Les conservateurs et les modérés n’ont presque plus rien en commun avec la gauchisme politique ; les conservateurs veulent la liberté d’expression, le droit à l’autodéfense, le droit à des informations honnêtes et exactes, l’autonomie, la liberté économique, des frontières sûres et un petit gouvernement. Les gauchistes soutiennent la censure de masse, le désarmement, les fermetures d’entreprises, les mandats de verrouillage, les frontières ouvertes, la centralisation, l’État-nounou et la tyrannie. Il est peut-être temps de nous séparer, de construire les sociétés que nous voulons loin les uns des autres et de voir qui sera le plus épanoui.
Extrait de l'article « Élections de 2020 aux États-Unis : de la théorie du complot au fait de complot » de Andrew Korybko − Le 12 février 2021 − Source Oriental Review :
« Le magazine Time a reconnu dans un article que ce que l’auteur appelle lui-même une « conspiration », lancée par une « cabale bien connectée de gens puissants », « a fait en sorte que des États changent de système et de lois électoraux » et « ont réussi à faire pression sur les sociétés de médias sociaux », parmi d’autres actions visant à abattre Trump « démocratiquement ». La révélation de ces éléments constitue une tentative des Démocrates d’infléchir leur puissance narrative d’après-scrutin à l’encontre de leurs opposants, et de provoquer les plus instables d’entre eux à sur-réagir de manière violente, d’une manière qui pourrait être exploitée pour justifier leurs accusations et la phase suivante de leur « conspiration ». Après avoir réussi à ourdir ce que Nebojsa Malic, du journal RT, décrit à raison comme une révolution de couleur, et à remporter ce que l’auteur du présent article a décrit par le passé comme la guerre hybride terroriste contre l’Amérique, ils sont assez ivres de pouvoir pour passer à pleine vitesse et sans hésitation à l’étape suivante dans la poursuite de cet objectif. Les Démocrates ont pris la décision délibérée de faire arborer fièrement par l’un de leurs organes de communication les plus visibles ce qu’ils décrivent eux-mêmes comme une « conspiration » quant à une « cabale bien connectée de gens puissants » ourdie contre Trump. Cette action a été menée pour humilier et démoraliser leurs opposants politiques, et sans doute pour provoquer les éléments les plus instables et à risque, comme les plus radicaux pratiquants du culte QAnon, à une surréaction à base d’actions violentes, qui pourrait donc par la suite être exploitée comme justification de la phase suivante de leur « conspiration ». Plusieurs messages ont été envoyés : les Démocrates ont réussi à prendre le contrôle de toutes les institutions, et les utilisent désormais comme armes servant à supprimer politiquement leurs opposants, en pratiquant le « deux poids, deux mesures » ; cette révélation était bien connue depuis longtemps par toutes les parties, mais n’a été reconnue publiquement par les coupables que pour des raisons de calendrier stratégique ; et nul ne pourra jamais plus prendre pour argent comptant les affirmations des Démocrates et de leurs mandataires (institutions y comprises). En vérité, au moment où s’est refermée une guerre hybride contre les États-Unis, une autre ne fait que commencer. »
Ce type de guerre hybride parvient à l'affaiblissement puis donc à la soumission d'une nation au profit des puissances privées d'argent, à travers la promotion de l'athéisme, l'abrutissement télévisuel, le divertissement excessif de plus en plus infantile, le matérialisme, le progressisme, la destruction de la famille, la malbouffe, la pornographie, la suppression du service militaire qui apportait de la discipline, la démocratie perverse, l'immigration de masse, la privatisation à outrance, la fin de sa propre création monétaire, la disparition de ses frontières, l'endettement par l'usure, la désindustrialisation, la stagnation des salaires alors que tout augmente en particulier l'énergie et les loyers, la destruction de la classe moyenne et de la moyenne bourgeoisie, l'inflation, la disparition des acquis sociaux, la guerre, et les mesures sanitaires diminuant l’immunité collective et créant des problèmes psychologiques. En effet c’est l’élite globaliste oligarchique perverse qui porte les coups les plus durs à son ennemi que sont les peuples, on le voit avec la politique du 49-3, la stérilisation des Assemblées, la privatisation de l’exécutif, la mainmise sur les médias, la corruption endémique, la surpuissance de la Banque, la délocalisation, l'immigration de masse, le blocage des salaires, la hausse des loyers, les taxes nouvelles, l'éborgnement des gilets jaunes, l'oppression covidiste, les faveurs privilégiées envers l'Ukraine et Israël.
Or la lutte contre tout ce plan maléfique demande donc une intelligente victoire impérative du bien, dont pour éviter une possible guerre civile ou une troisième guerre mondiales, puisque c'est ce qu'entraîne inexorablement son pilier principal qui est la massive usure financière internationale. Heureusement que l'espoir dans ce sens est de mise en particulier à notre probable époque de fin des temps, car à travers l'Histoire c'est souvent le camp le moins pire qui a triomphé (bien que cela a parfois servi à atteindre une autre phase du pervers mondialisme), voire dans quelques cas le plus bon.
Dans ce sens les gilets jaunes voulant redonné le pouvoir au peuple ont laissé une très bonne trace indélébile en France et dans la mémoire de son peuple dont par leurs manifs massives sur les Champs-Élysées. En effet plutôt que de laisser au pouvoir les élites corrompues favorisant les riches, cela permettrait de beaucoup mieux gérer l'Etat avec des référendums d'initiative citoyenne comme en Suisse, par le droit des peuples de disposer d'eux-mêmes. Ceci prouvant au passage le sommet de l'absurdité de qualifier le mouvement populaire des gilets jaunes comme fasciste et antisémite, alors que c'est dans l'actuelle ploutocratie que l'autorité est très éloignée du peuple et apparaît plus comme fasciste au contraire de la démocratie directe des référendums populaires voulue par les gilets jaunes momentanément. Surtout que le bas de la pyramide sociale ayant une meilleure conception du bien commun que le haut aura une gestion beaucoup plus utile pour le peuple de centaines de milliards d'euros du budget de l'Etat souvent gaspillés ou servant des intérêts privés. Cependant après cette possible future défaite du pouvoir profond, ces référendums populaires devront être protégés de certaines mauvaises influences privées, extérieures ou de pays étrangers par un pouvoir fort comme un général patriote momentanément, un nouveau roi ou un président à vie suite à un conseil national de résistance puis de transition, car il gouvernera sincèrement pour les intérêts du peuple par exemple à travers la réindustrialisation, le retour à une banque nationale, la récupération de la création monétaire et une autonomie alimentaire. Surtout que la royauté lié au catholicisme a tenu mille ans en France, alors que la révolution française a amené douze changement de régime, donc la royauté doit évidemment être restaurée car  il s'agit du système le plus stable, mais il faut lier cela avec une assemblée orientant en partie la mise en place des lois christiques et la liberté conservant évidemment la possibilité d'entreprendre. Le président de la République ne peut avoir d’avis sur tout, mais il doit avoir les meilleurs conseillers et penser les affaires étrangères et la Défense, la Police et la Justice (qui quand elle devient politique n'est plus la Justice), la Monnaie et les Impôts. C’est ce que l’on appelle les fonctions régaliennes. Actuellement, un dirigeant souverainiste devrait déjà repenser cet ensemble pour rétablir le contrat social, dont car les inégalités de patrimoine se sont considérablement accrues.
          En effet au cours des dernières décennies, les classes moyennes ont fondu comme neige au soleil et une hyper classe sociale est apparue en prenant le pouvoir tyranniquement sur de nombreuses nations, puis s’est révélée à beaucoup à travers les éborgnements de nombreux manifestants Gilets jaunes.
L’homme le plus riche de France dispose même d’une fortune égale à ce qu’un smicard ne parvient pas à gagner brut en un million et demi d’années. Cet écart astronomique renvoie le pays à une organisation médiévale et rend impossible tout fonctionnement démocratique. Aucun des derniers candidats élus n’a présenté de vision juste du pays dont à travers d'intelligentes mesures sectorielles. Privée d’un président digne de ce nom depuis 20 ans voire plus malgré une élection tous les cinq ans, la France est à la dérive. C'est pourquoi il faut bien un dirigeant politique souverainiste dans la durée, car cela permet de fixer des projets plus longs et donc des objectifs nouveaux jusqu'à pouvoir même repenser l’architecture du système. Ce temps pourrait être au minimum de 15 ans voire plus, sauf si un RIC stoppe ses fonctions suites à de fréquentes ou trop graves malhonnêtetés anti-patriotiques.
          Ainsi il est clair que l'Union Européenne pourrait alors plus favorablement tendre vers une Europe des nations (confédération européenne). Et si le patriotisme triomphe, chaque nation devra quitter la législation européenne mais préserver son utile marché commun, si nécessaire en conservant une monnaie commune après avoir rétablie les monnaies nationales échangeables contre de l'or (comme le demande le christianisme et l'islam) et en imposant des droits de douanes pour préserver les entreprises d'un pays. En effet le souverainisme dont d'un hégémon est lié à une monnaie reposant sur un actif concret, comme le dollar US oppressif est indexé et donc porté par le pétrole et de plus en plus seulement par la menace des porte-avions américains depuis qu'il n'est plus reposé sur l'or (représentant l'hégémonique puissance financière états-uniennes basée sur la confiance au complexe militaro-industriel américain et faisant vivre les industries des pays ainsi donc que leurs économies) et la Livre sterling oppressive était indexée sur le diamant (représentant l'ancien empire colonial anglais thalassocratique basé sur une flotte militaire supérieure en particulier navale contrôlant les principales voies commerciales maritimes). Ainsi il paraît logique de baser la monnaie sur la ressource la plus répandue, la plus utile et la plus chère du moment économiquement, puis possiblement la baser sur la prochaine. Ainsi la monnaie basée sur un panier de répandues ressources assez chères principales économiquement semble aussi logiques.
          C'est à dire que face à cette oppression dont aussi du privé par la BCE, le plus prioritaire est bien pour l'instant de reprendre le pouvoir de la création monétaire au niveau national, mais aussi pour se protéger du joug de la dette encore pire que l'abomination de l'usure selon les Prophètes Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL), car provenant de prêts à intérêts sans argent au départ, puisque créés ex-nihilo par les ordinateurs des banques. En effet la véritable création de richesse est logiquement liée à la valeur ajoutée, devant en plus être équitablement partagée pour équilibrer l'économie et le social. Dans ce sens, le minimum du partage pour un entrepreneur individuel correspond à la zakat obligatoire  (2,5% sur plus de 3000 euros thésaurisés pendant un an) devant être donnée à l'Etat, ou à des pauvres, des faibles ou des associations humanitaires. A cette priorité absolue, il faut donc rajouter momentanément la nécessaire sortie de l'union européenne tant que cette dernière sera soumise à l'OTAN, car tel un dangereux virus, cette organisation répand l’agressivité pour avoir encore une raison d'être. Surtout que les pays la formant devront suivre honteusement la fin du droit international acté par les Etats-Unis lors de leur remise en cause de la résolution de l'ONU comme concernant leur position sur le Golan de la Syrie et leur soutien au Général Haftar en Lybie contre un gouvernement d'union nationale créé par l'ONU. De plus en restant dans l'OTAN, tout pays deviendra par conséquent coresponsable des perverses guerres économiques ou militaires des Etats-unis ne profitant qu'à eux, comme celles contre la Biélorussie, la Birmanie, le Burundi, la Corée du Nord (et Chine), la Fédération de Russie, l’Irak, le Liban, la Libye, le Nicaragua, la République arabe syrienne, la République bolivarienne du Venezuela, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, la République islamique d’Iran, la Serbie, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud, l’Ukraine, le Yémen et le Zimbabwe. C’est une carte fort précise des conflits ou changements politiques conduits ces dernières années par le Pentagone assisté du département US du Trésor pour continuer toujours plus d'imposer le dollar, sauf que de plus en plus de pays se dédollarisent à travers la multipolarité proposée par l'axe sino-russe. Mais l'hégémonie du dollar demeure forte par sa liquidité répandue à travers le monde. A ce sujet il est intéressant de lire l'article «  Multilatéralisme ou droit international ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Multilateralisme-ou-droit-international-57298.html
Concernant l'arrivée d'un régime fort en France et pour parvenir assurément et rapidement à toutes ces nécessités nationales dont donc un rétablissement d'une banque nationale, l'effacement de la dette et un retour aux valeurs chrétiennes, il est impossible de changer quoi que soit tant qu'un pouvoir autoritaire et incorruptible ne sera pas mis en place, pourquoi pas donc en commençant après la prochaine grande crise financière mondiale avec un militaire patriote comme le fut le Général de Gaulle, bien qu'il est inquiétant que de nos jours un général est souvent plus une personne politique en plus souvent atlantiste qu'un militaire patriote.
Ensuite le retour en France de la nation vers plus de souveraineté monothéiste pourrait se faire à travers une monarchie intelligemment pieuse ou modérément laïque, c'est à dire dans une forme de remontée chronologique de l'histoire de France en reconnaissant la loi naturelle, la présence du Créateur et un roi, un général ou un président à vie comme nouveau lieutenant de Dieu pouvant donc quand même être changé par un référendum national. Surtout qu'une perverse aristocratie financière sous forme de féodalités financières à combattre est actuellement au pouvoir en occident contre les peuples et qu'une lettre du quai d'Orsay envoyée à l’Élysée s’inquiète de l'orientation excessive de la France vers Israël et les USA, d'autant plus que certains de ses membres savent que le grand danger de ce réseautage américano-sioniste va même jusque dans leur ministère. En effet ceux qui pensent que l’Ancien Régime appartient au passé se trompent. Il y a toujours des seigneurs et des gueux, la seule différence, c’est que les gueux ne le savent pas, ou ne veulent pas le savoir. C’est tout l’art de la propagande contemporaine que de faire croire aux gueux qu’ils sont libres, voire qu’ils sont des seigneurs ! Or les seigneurs d’antan avaient souvent plus de classe, et pas seulement sociale, car d'abord au niveau de la noblesse pieuse et même au niveau de la noblesse de position. Dans ce sens il faudra trouver des accords entre croyants et incroyants pourquoi pas en les faisant se rejoindre sur la similitude entre diverses règles religieuses et lois naturelles comme par exemple à travers les interdictions du mariage homosexuel, de la transsexualité et de l'usure puisque étant les principales causes de destruction civilisationnelle et même humaine. Cela pourrait aussi être accompagné par l'élection régulière d'un premier ministre par le peuple, pourquoi pas par un scrutin à jugement majoritaire. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo : « (Gilets Jaunes) Vers la démocratie et la fin de la mondialisation ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=yohtcidvaHM