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Z) Fin


« La malnutrition n’est pas seulement influencée par la pénurie de nourriture et d’eau, mais aussi par l’exposition à un stress extrême, à l'insécurité, à la peur, à la sécurité de la nourriture, à des facteurs sociaux, aux produits chimiques, aux microplastiques, aux toxines et à la surmédicalisation. Aucun pays au monde ne peut se permettre de négliger cette catastrophe sous toutes ses formes, surtout qu'elle touche principalement les enfants et les femmes en âge de procréer. À l’échelle mondiale, plus de 3 milliards de personnes n’ont pas les moyens de se nourrir sainement. Et cela va à l’encontre de ce que beaucoup de gens pensent être un problème propre aux pays à faible revenu. Comme l’a déclaré Lawrence Haddad, le coprésident du groupe d’experts indépendants du Rapport mondial sur la nutrition, « nous vivons désormais dans un monde où être malnutri est la nouvelle normalité. C’est un monde que nous devons tous revendiquer comme totalement inacceptable ». Alors que la malnutrition est le principal moteur de la maladie avec près de 50 % des décès causés par des maladies non transmissibles liées à la nutrition en 2014, seulement 50 millions de dollars de financement des donateurs ont été accordés pour lutter contre dont par des campagnes de préventions. La malnutrition sous toutes ses formes impose des coûts élevés inacceptables (directs et indirects) aux individus, aux familles et aux nations. L’impact estimé sur l’économie mondiale de la sous-alimentation chronique de 800 millions de personnes pourrait s’élever à 3 500 milliards de dollars par an, comme l’indiquait un rapport mondial sur la nutrition en 2018. Alors que les décès d’enfants, la mortalité prématurée des adultes et les maladies infectieuses et non transmissibles liées à la malnutrition sont évitables avec une nutrition adaptée. Selon diverses études sur les femmes enceintes victimes de famine, les famines ont même des effets transgénérationnels sur les enfants : syndrome métabolique, maladie cardiovasculaire, schizophrénie, insuffisance rénale, hypertension, modifications du système endocrinien et de l’expression génique prénatale dans les systèmes reproducteurs. Des rapports choquants de l’ONU et de l’OMS reconnaissent que la santé des personnes et de l’environnement est en déclin. Le monde recule dans l’élimination de la faim et de la malnutrition. Le véritable danger est que ces chiffres augmentent encore dans les mois à venir. La vérité est que les hubs d’innovation alimentaire, les appartements alimentaires (agriculture verticale), les viandes artificielles et les manipulations génétiques et mentales ne pourront pas s’attaquer à l’état déprimant auquel l’humanité est confrontée. La politique du zéro-covid a mis l’humanité en danger dans son existence. Nous devons agir maintenant pour faire baisser immédiatement les prix des denrées alimentaires et des carburants en soutenant les agriculteurs et les systèmes alimentaires efficaces pour que les aliments nutritifs guérissent les personnes les plus mal nourries (enfants et femmes en âge de procréer) de la population. Espérons un retour du principe d’Hippocrate : Que la nourriture soit ta médecine et la médecine ta nourriture. » (Extraits de l'article « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, pas de vie » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/05/pas-dagriculteurs-pas-de-nourriture-pas-de-vie/)
Il y a deux façons de voir la vie : ou bien vous regardez un être humain comme étant fait à l’image de Dieu, cela veut dire que sa vie est sacrée ; et si vous avez une vie sacrée, alors vous avez des droits humains. Or si vous avez des droits humains, ce n’est pas vos affaires ou mes affaires de décider combien de personnes devraient être sur la planète ou qui devraient vivre ou mourir.L’autre vision de la vie, l’autre système, appelons ça le système eugéniste de Darwin ou/et de Davos, mais en réalité ça remonte à très loin. C’est le système qui dit que les ultra riches et sionistes sont son sommet dominant la vie.
Ce qui inévitablement amène à trois catégories de personnes : l’Übermensch, le Mensch et l’Untermensch. Si vous appliquez ça il y a 80 ans, les Übermensch étaient les nazis qui se disaient descendants des dieux aryens ; ils estimaient que c’était leur prérogative, leur droit, de décider qui vit ou mort. Les Mensch étaient les anglo-saxons, c'est à dire les Européens qui pouvaient vivre mais en tant qu'esclaves. Et les Untermenschen, c'est à dire les Juifs, les Slaves, les handicapés, les gitans, les prisonniers politiques, ceux-là devaient devenir de la poussière. Cela ressemble à de gentilles fadaises, mais cela a tué 60 millions de personnes.
Et c’est exactement la même chose qui se passe en ce moment, sauf que ce n’est pas antisémite. En effet aujourd’hui, c’est complètement différent : il y a un groupe de personnes qui ont le sentiment d’avoir évolué à un niveau de conscience le plus élevé, et qui dans leur nouvelle intelligence, et leur nouvelle perspicacité, leur permet de déterminer des choses similaires. Or ils n'ont pas évolué, ce sont aussi de diaboliques païens. Ils sont devenus les mamzers dans la Torah (des adorateurs de Moloch). Il n’y a pas de différence.
Nous sommes dans une troisième guerre mondiale contre la malfaisance à un niveau certainement jamais vu dans l’histoire de l’humanité, puisque le ploutocratique mondialisme américano-sioniste sacrifie même des enfants par des vaccins dangereux pour eux alors qu'ils ne sont pas touchés par le covid.
De même la prétendue démocratie entourée de pays islamistes que serait Israël n'est en réalité qu'une théocratie racialiste favorisant seulement les élites prétendues juives. Surtout que l'apartheid israélien étatique contre les palestiniens est plus dur que le fut l'apartheid sud africain étatique contre les noirs. En effet l’État d’apartheid israélien est plus sadique, cruel, génocidaire, vicieux, fasciste et inhumain. Pourquoi y a-t-il eu des sanctions contre l’apartheid de l’Afrique du Sud tandis qu’aujourd’hui les gouvernements européens prennent au contraire des mesures pour criminaliser les mouvements non violents de boycott, de désinvestissement et de sanctions (BDS) qui luttent pour la liberté, la justice et l’égalité des droits du peuple palestinien souffrant actuellement de l'apartheid israélien ? D'autant plus qu'auparavant les manifestations publiques contre l’apartheid sud africain faisaient partie de la vie universitaire et le boycott était respecté et promotionné. Les médias libres occidentaux critiquant la politique d’apartheid d’Israël et du cabinet d’extrême droite sont fréquemment accusés d’antisémitisme, alors que l'Occident se prétend démocratique et les Israéliens et les juifs sont eux-mêmes nombreux à dénoncer depuis des années la chute de l’entité sioniste dans le fascisme. Dans ce sens, il est aussi important de tendre à boycotter l'oppressif, belliqueux, Lgbtiste, wokiste, sioniste et oligarchique hegemon américain. Désormais, il est tyranniquement interdit de boycotter Israël sous un ridicule prétexte de lutte contre l'antisémitisme, alors que le boycott contre la Russie est encouragée médiatiquement. Il y a trois explications à cette énigme.
Premièrement, les lobbies pro-israéliens de nombreux pays européens sont aussi efficaces que leurs homologues américains tout en étant moins voyants. Deuxièmement, il y a la culpabilité de l’Holocauste. La politique de certains pays, comme les Pays-Bas, à l’égard d’Israël, est toujours influencée par la culpabilité de ne pas avoir fait davantage pour sauver les juifs pendant la Seconde guerre mondiale. Troisièmement en rapport à ces deux première explications, et c’est le plus important, il y a la peur d’être traité d’antisémite. Mis en avant et manipulé par Israël et les lobbies israéliens ainsi que les mondialistes, le concept d’antisémitisme a oppressivement été élargi pour recouvrir non seulement la haine des juifs mais aussi la critique de l’apartheid israélien, des juifs mondialistes et du messianisme juif.
Or au sein du mondialisme selon Pierre Hillard, un affrontement idéologique aurait lieu entre l'organisation de coopération de Shanghai cherchant progressivement un mondialisme multipolaire voulu par des messianistes juifs modérés (russes) basé sur une équité des intérêts de chacun, et le monde anglo-saxon cherchant hâtivement un mondialisme unilatéral voulu par des messianistes juifs extrémistes (américains) basé sur la maîtrise de toute chose laissant des miettes aux autres et devenant logiquement le plus grand risque de troisième guerre mondiale. C'est à dire que ces deux tendances finissent tout de même par une hégémonique domination mondiale des juifs, mais qui avec l'actuel axe russo-chinois sera rapidement perdue en faveur de l'hégémonie du monothéisme authentique dont à travers le retour de Jésus.
Surtout qu'avec la fascination pour le pire se répandant au sein des peuples via la télévision, il ne serait pas étonnant que le fin des temps et donc l’avènement de l'Eden terrestre complété soient liées aux premières décennies ou au premier siècle de l'arme télévisuelle formatant les esprits, surtout vu l'actuel contexte impie, dangereux et auto-destructeur se répandant d'occident et d'Israël, mais aussi vu les bonnes armes culturelles que sont internet et le traitement de texte informatique permettant de trouver, pratiquer et répandre de grandes vérités nobles importantes voire inconnues.
« Profitant de l’effondrement de l’Union soviétique et de l’effacement russe de la scène internationale durant la décennie 1990, les États-Unis ont tiré profit de cet avantage et de ce vide géopolitique pour multiplier les guerres directes et par proxy et les révolutions colorées pour mettre en place des régimes soumis en Afrique, en Europe, au Proche-Orient, en Amérique du Sud, en Asie. Ils ont imposé le dollar comme monnaie de référence internationale et leurs institutions supranationales par lesquelles ils ont appauvris, endettés nombre de pays du monde menacés par l’appareil militaire américain qui pratique la politique moderne de la canonnière. Cette agitation militaire, cette hubris n’a pas fait perdre le sens des réalités aux stratèges américains qui gardaient à l’esprit que cette domination mondiale avait pour première condition l’empêchement de l’émergence ou la réémergence de puissances rivales.
Or la crise du covid marque la fin à venir de l’hégémonie des États-Unis. Leur économie est en dépôt de bilan, devenue fictive et réfugiée, pour l’essentiel, dans des places offshore échappant à toute réglementation bancaire internationale. La tête de pont du capitalisme est affaiblie par une dette totale qui se situait à hauteur de plus de 92 000 milliards de dollars au mois d’août 2022 ! Plus le capital des entreprises transnationales se concentre, plus leurs centres de décisions politiques et financiers accompagnent ce mouvement, possiblement selon le plan du Reste du WEF. Les États libéraux ne sont plus que les serviteurs endettés des intérêts financiers de ces grands propriétaires privés de l’économie et de la finance. La question qui est posée aujourd’hui aux cercles impérialistes des milieux politiques de Washington est celle de leur fin de règne sur le monde qu’ils rêvaient soumis à leur diktat. Le problème est qu’ils ne peuvent accepter que leur politique et leur loi soient remises en cause et ils sont prêts à tout pour s’accrocher à leur prétention hégémonique, quitte à déclencher un nouveau conflit de haute intensité. Leurs guerres sous toutes formes possibles (culturelle, diplomatique, économique, financière, militaire, médiatique) contre l’Europe aux fins de la diviser et de la séparer de son cœur, la Fédération de Russie, pour éviter qu’elle se retrouve en une grande puissance, le soutien à des organisations extrémistes en Ukraine et en Allemagne, l’accaparement par la guerre et la subversion de richesses des peuples comme en Irak, en Yougoslavie, en Libye ou en Ukraine, témoignent de leur agressivité. Celle-ci ne peut conduire qu’à une aggravation de la situation dans laquelle ils ont déjà plongé le monde. En ce sens, nous sommes entrés dans une nouvelle période qui est celle de la fin du monde unipolaire.
Le danger est le suivant : nous avons d’un côté la Russie et la Chine qui souhaitaient un partage du monde à « l’amiable », une sorte de second Yalta sans trop d’effusion de sang, et de l’autre côté, les États-Unis qui ne veulent plus partager, qui sont devenus fous, et qui risquent de nous entrainer dans une guerre totale. La guerre qui est menée actuellement par l’Amérique contre la Russie ne se fait pas dans un cadre limité. L’objectif est de détruire complètement l’État russe. C’est une guerre d’anéantissement, une guerre totale que la Russie tente d’éviter ; d’où sa grande timidité militaire. Les autorités russes affichent leur crainte du déclenchement d’un conflit direct entre puissances nucléaires. La Russie joue sa survie, tandis que l’Amérique met en jeu son hégémonie mondiale. Vladimir Poutine l’a déjà dit clairement : si la Russie est menacée dans son existence, par un missile nucléaire, elle ripostera, et il n’y aura plus grand-chose à se partager dans ce monde.
L’histoire de longue durée nous apprend une chose, aucun empire n’est éternel. Cela a été la grande naïveté, ou plutôt le fanatisme messianique de l’Amérique que de croire qu’elle était le dernier empire. Le monde multipolaire est la coexistence de plusieurs empires ou puissances, plusieurs grandes civilisations et centres économiques qui agrègent d’autres nations. Carl Schmitt avait très tôt prévenu que l’établissement d’un État mondial était une impossibilité. « Le caractère spécifique du politique entraîne un pluralisme des États. Toute unité politique implique l’existence éventuelle d’un ennemi et donc la coexistence d’une autre unité politique. Aussi, tant que l’État en tant que tel subsistera sur cette terre, il en existera plusieurs et il ne saurait y avoir d’État universel englobant toute l’humanité et la terre entière. Le monde politique n’est pas un universum, mais, si l’on peut dire, un pluriversum. Telle est la réalité implacable à laquelle se confrontent les États-Unis.
Le seul espoir pour 2023 est que de plus en plus de personnes, y compris les membres des élites économiques, se rendent compte que ce gouvernement et la fausse opposition ruinent le pays, qu’ils n’ont aucun concept positif, mais qu’ils sont sur le point de détruire ce qui a été construit pendant des générations en termes de prospérité et de paix. » (Extraits de divers articles)
          En attendant suite à la sortie des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien (alors que cette énergie nucléaire vraiment seulement civile selon de nombreux observateurs pourrait faciliter le développement du proche et Moyen-Orient) et à leur isolationnisme participant à renforcer les unions continentales, le scénario mondialiste amène la France et l'Allemagne à s'unir pour définitivement créer le bloc Européen, comme il pousse à l'union politique ou/et commerciale des Amériques, de l'Afrique, de l'Eurasie et du Moyen Orient, si nécessaire après avoir réduit par des guerres certains pays en nations plus petites comme ce qui s'est passé pour la Yougoslavie. Surtout que cette tendance est confirmée à travers l'affrontement économique envers le monde déclenché par l'empire de Etats-Unis s'affaiblissant et à travers le risque d'une nouvelle future grande crise économique apparaissant cycliquement environ tous les 7 ans depuis trois décennies et qui sera probablement inédite dans son ampleur. En effet ces grands blocs précédant le gouvernement mondial et pouvant défavoriser les peuples aux profit de certaines oligarchies corrompues sont recherchés pour l'hégémonie financière, mondialiste et sioniste.
Or pour l'instant l'empire Israélo-américain continuera de déstabiliser le Moyen-Orient par des mercenaires ou des islamistes manipulés pour maîtriser ses importantes ressources énergétiques et aquifères devenues vitales à leur projet de domination économique mondiale. Ils pourraient même souhaiter une guerre entre sunnite et chiites pour affaiblir financièrement les deux camps afin de les contrôler ou/et les exploiter encore plus facilement. Ceci est à l'image du système cupide oligarchique qui ne veut surtout pas de l'amitié entre catholiques (chrétiens) et musulmans dont en France, car elle est la clé de la préservation de la justice économique, de la paix sociale, de la religion, de la civilisation et du sauvetage de diverses nations. Surtout que par l'assassinat du faux calife Al Baghdadi et peu de temps après du Général Soleimani (qui a souvent défendu toute population musulmane et chrétienne contre l'ennemi impérialiste oppresseur comme l'alliance américano-sioniste ou barbare comme Daech et les frères musulmans salafisés), Trump, isolationniste, souverainiste, homme d'affaires et comprenant l'état faible de l'empire américain, semble avoir voulu arrêté cet affrontement entre sunnites et chiites, ce que l'administration Biden mondialiste cherche à annuler, puisque la guerre au Yémen est peu dénoncé par l'occident. C'est pourquoi Hassan Nasrallah secrétaire général du Hezbollah au Liban, que l'occident évite en s'adressant seulement aux parlementaires du Hezbollah (politique et donc pas militaire), pourrait être la prochaine cible à éliminer, car il parle avec toutes les confessions de son pays et empêche l'exploitation du Liban par l'occident à travers son lien à l'Iran et sa résistance au mondialisme et à Israël. De plus Israël a étonnamment annoncé avoir frappé un site de drones iraniens au Yémen, encore sous le pseudo prétexte d'y avoir tué comme d'habitude « des conseillers militaires du CGRI et du Hezbollah ».
          Tout ceci confirme la thèse de Pierre Hillard sur une entente plus ou moins importantes des mondialistes des grandes puissances principalement occidentales concernant l'accomplissement du nouvel ordre mondial oligarchique lié aux messianistes juifs globalistes ou par le grand Israël allié au Kurdistan probablement mis de côté pour ce projet depuis des décennies. Surtout que les mondialistes contrôlant la grande majorité du système bancaire, dont l'oppression pourrait s'accentuer avec une nouvelle énorme crise financière, le covid, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine, veulent obtenir un gouvernement mondial, ou le grand Israël au Proche-Orient puisque principal carrefour commercial du monde à travers lequel de nouvelles grandes routes de la soie très enrichissantes sont possibles, ce qui pourrait être une interprétation de la montagne d'or liée à l'Euphrate que révélera la fin des temps. D'ailleurs il est très étonnant que la Syrie soit régulièrement frappée par des missiles israéliens sans que les médias du système ne dénoncent ces attaques ni que l'armée Syrienne ne puisse répondre militairement par crainte de troisième guerre mondiale.
Par conséquent il est très dangereux d’aborder les problèmes très complexes du Moyen-Orient et autour d'Israël si chaque protagoniste déclare se battre pour sa survie. Ainsi honorablement, il faut sérieusement chercher d'autres moyens que la guerre pour satisfaire tout le monde, afin de vraiment comprendre chacun et n’oublier personne, comme tend à le faire l'axe russo-chinois.
Cependant en contrôlant la finance mondiale, la politique de mondialisation, le véto américain à l'ONU et avec le risque du troisième guerre mondiale nucléaire, les sionistes peuvent mettre la pression sur tous, sans donc laisser le choix à quiconque comme le prouve le fréquent unilatéralisme américain laïciste, matérialiste et progressiste. Dans ce sens, ils incarnent une partie du peuple de Gog et Magog servant quand même Dieu éphémèrement malgré qu'il soit maudit, puisque éprouvant l'humanité pendant une période amèrement matérialiste pour le pousser à un retour vers une grande spiritualité. En effet cette massive oppression impie doit amener une grande partie de l'humanité à vouloir retrouver solidairement le Jardin d'Eden pour le compléter avec la religion complète amenant le cœur et l'esprit purs noblement complétés, comme le sous-entend le retour de l'excellent saint esprit de Jésus qui s’épanouira totalement en devenant musulman et récupérera les clés d'une grande partie du système économique mondialiste pour le parfaire :
(S7v183) « Et Je leur accorderai un délai, car Mon stratagème est solide ! »
Surtout que par une intention de tendre vers la sainteté spirituelle, l'humanité aura mérité de ne plus vivre cette oppression mondiale impie et de revivre la suprême bénédiction terrestre originelle du jardin d'Eden mais désormais possiblement à un niveau impérial voire jusqu'au niveau planétaire. Or Jésus n'étant pas revenu alors que la télévision internationale et l'internet mondial sont apparus, son noble retour victorieux pourrait être d'autant plus glorieux car probablement donc visible mondialement.
Dans ce sens, il faut savoir que les évolutions faites en dollars/PPA (parité pouvoir d’achat) sur une courte période de 6 mois en 2022 sont toutes en défaveur des occidentaux et en faveur de leurs challengers eurasiatiques (y compris en faveur de la Russie). En clair, même le FMI est obligé de constater que les équilibres mondiaux sont en cours de bascule et que ce mouvement de bascule s’accélère. On peut débattre de tout sauf des chiffres. Si l’OTAN a vu 2 pays (Suède et Finlande) poser leur candidature pour rejoindre l’OTAN, pas moins de quinze pays ont exprimé leur intérêt pour rejoindre l’OCS. En clair, les pays membres de l’OCS vont creuser l’écart en PIB/PPA par rapport aux pays de l’OTAN sous le double effet d’un différentiel de croissance qui leur est favorable et des nombreuses demandes d’adhésion. La guerre en Ukraine qui affecte durement les économies occidentales et plus particulièrement européennes, et qui semble au contraire favoriser les économies des pays des BRICS et de l'OCS en particulier celle de la Russie, précipite donc la recomposition des grands équilibres économiques mondiaux au profit des BRICS et de l’OCS. La disparition de l’Union Soviétique laissait les États-Unis seuls maître du jeu, ouvrant la voie à un monde monopolaire sous l’hégémonie de ces derniers. Le trio États-Unis, OTAN et dollar leur a d'ailleurs permis cette domination quasiment sans partage. Comme le disait de Gaulle : « La situation de monopole est la meilleure, surtout pour celui qui le détient... » Mais Les décennies suivantes furent marquées par une politique étrangère américaine de plus en plus belliqueuse et de moins en moins diplomatique. Et dans la même période, le reste du monde ne restait pas figé. En 1970, la population occidentale représentait 25% de la population mondiale pour un PIB de 90% du total. Aujourd’hui, les chiffres sont tombés à 12% (Japon compris) et 40% pour le PIB. Cette évolution de la démographie et de l’activité économique est incontournable et influence la géopolitique mondiale. On ne peut, avec de tels chiffres, imposer un monde monopolaire qui serait dirigé par un pays (USA) dont la population ne représente que 4% de la population totale. De plus, peut-on encore parler d’un bloc occidental alors qu’on assiste à une main-mise des États-Unis sur l’Union Européenne via l’OTAN, ramenant les membres de cette dernière à l’état de vassaux ? Aujourd’hui, le dollar qui jouissait d’un quasi-monopole pour les échanges internationaux, n’est plus utilisé que pour 50% d’entre eux. Et cela n’est pas sans conséquence pour l’économie américaine. La FED, pour tenter d’enrayer l’inflation, augmente ses taux, ce qui affaiblit l’euro car la BCE, compte-tenu de l’endettement des pays de la zone euro, ne peut pas suivre ces augmentations. Les prix à l’importation de la zone euro augmentent considérablement, ce qui génère plus d’inflation et de perte du pouvoir d’achat. Pourtant, on continue comme si de rien n’était. Le temps travaille donc pour la Russie et l'OCS et contre l’Occident, alors que dans les années 1990 des efforts déployés par les États-Unis et l’OTAN ont tenté d’émietter la Russie. Ils y seraient probablement parvenus si Vladimir Poutine n’était pas arrivé au pouvoir en 2000. La puissance économique des pays BRICS et OCS progressant plus vite que celle des pays occidentaux, les budgets de défense suivront et l’écart se creusera désormais au profit de ces pays. Tout peut aller très vite d’autant qu’un élargissement de ces deux grandes organisations est à l’ordre du jour et qu’un effondrement économique de l’occident global n’est pas à exclure. Cette guerre OTAN-Russie ne peut, en aucun cas être gagnée par l’OTAN. Elle n’est d'ailleurs pas prête à la faire autrement qu’en paroles ou en communiqués. Après trente années de désinvestissement, l’OTAN n’a ni les personnels, ni les matériels, ni les munitions, ni les réserves, ni la disponibilité technique opérationnelle, ni l’entraînement, ni le soutien suffisant des populations, ni la résilience économique et sociale, pour entreprendre et gagner une guerre de haute intensité contre la Russie et ses très puissants soutiens. La Russie peut donc prendre son temps car le temps va jouer en sa faveur en précipitant l’occident global dans des difficultés économiques et sociales et dans de fortes divisions, voire dans un effondrement des gouvernances en place et des révolutions. Ainsi les gilets jaunes, l’alternance politique en Suède et en Italie, la chute de deux premiers ministres britanniques, sont des signes de crise et de déclin qui va frapper l’occident tout entier. Dans ce processus de « syrianisation » de l'Europe, les bases militaires américaines pourraient devenir des centres idéaux pour régimenter et/ou « former » des escouades d'émigrés d'Europe de l'Est, dont la seule opportunité d'emploi, en dehors du commerce de la drogue et du trafic d'organes, sera de devenir des mercenaires impériaux, combattant tout centre de désobéissance civile émergeant dans une UE appauvrie. Il va sans dire que cette nouvelle armée modèle sera faussement sanctionnée par l'eurocratie de Bruxelles qui n'est que le bras de relations publiques de l'OTAN. Une UE désindustrialisée et empêtrée dans plusieurs couches d'intra-guerre toxiques, où l'OTAN jouera donc son rôle éprouvé de Robocop, est le scénario Mad Max parfait juxtaposé à ce qui serait, du moins dans les rêveries des straussiens/néo-conservateurs américains, un îlot de prospérité : l'économie américaine, destination idéale pour les capitaux mondiaux, y compris donc les capitaux européens. Surtout que l'Empire va « perdre » son projet favori, l'Ukraine. En effet selon la doctrine juridique constitutionnelle classique, un Etat n’est pas qu’un territoire et une population, mais exige l’existence d’un système juridique en général efficace et une autonomie dans la prise de décision politique. Ces deux éléments permettent la souveraineté de l’Etat, qui est une condition essentielle à l’existence d’un territoire peuplé et organisé en qualité d’Etat, ce qui n'est plus le cas pour l'Ukraine. De plus le régime de Kiev ne peut plus remplir de manière indépendante ses obligations sociales envers ses citoyens, ni payer les salaires et les pensions. Le système financier du pays est détruit, et il doit en plus remboursé 100 milliards de dollars de dette, alors que les taux d’intérêt sur les prêts augmentent de jour en jour. Ainsi l’Ukraine a déjà perdu, en particulier sa capacité d’exister en tant qu’État, et devrait par conséquent être partagée. Mais les USA n'accepteront jamais de perdre le « jardin » européen à travers une alliance Paris-Berlin-Moscou, d'où les sanctions communes de l'Occident contre la Russie.
Suite aux référendums d’adhésion à la Russie dans les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk ainsi que dans les régions de Kherson et Zaporijia, une cérémonie de signature d’accords organisée à Moscou a eu lieu et le président russe s’y est exprimé.
Voici la transcription du discours révolutionnaire du président Poutine : « La dictature des élites occidentales, c’est la religion inversée, c'est le satanisme pur et simple » :
« Chers citoyens de Russie, citoyens des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, habitants des régions de Zaporijia et de Kherson, députés de la Douma d’État et sénateurs de la Fédération de Russie !
Vous le savez, des référendums ont eu lieu dans les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, dans les régions de Zaporijia et de Kherson. Leurs résultats ont été résumés, les résultats sont connus. Les gens ont fait leur choix, un choix clair. Aujourd’hui, nous signons des accords sur l’admission de la République populaire de Donetsk, de la République populaire de Lougansk, de la région de Zaporijia et de la région de Kherson en Russie. Je suis sûr que l’Assemblée fédérale soutiendra les lois constitutionnelles sur l’adoption et la formation en Russie de quatre nouvelles régions, quatre nouvelles entités de la Fédération de Russie, car c’est la volonté de millions de personnes. Et cela, bien sûr, est leur droit, leur droit inaliénable, qui est inscrit dans le premier article de la charte des Nations unies, qui stipule clairement le principe de l’égalité des droits et de l’autodétermination des peuples. Je le répète : c’est un droit inaliénable du peuple, il repose sur l’unité historique, au nom de laquelle les générations de nos ancêtres ont gagné, ceux qui, depuis les origines de l’ancienne Russie pendant des siècles, ont créé et défendu la Russie. Ici, à Novorossia, Rumyantsev, Suvorov et Ouchakov se sont battus, Catherine II et Potemkine ont fondé de nouvelles villes. Ici, nos grands-pères et arrière-grands-pères sont morts pendant la Grande Guerre patriotique. Nous nous souviendrons toujours des héros du « printemps russe », de ceux qui n’ont pas accepté le coup d’État néonazi en Ukraine en 2014, tous ceux qui sont morts pour le droit de parler leur langue natale, de préserver leur culture, leurs traditions, leur religion, leur droit à la vie. Ce sont les guerriers du Donbass, les martyrs de « Odessa Khatyn », les victimes d’attentats terroristes inhumains organisés par le régime de Kiev. Ce sont des volontaires et des miliciens, ce sont des civils, des enfants, des femmes, des personnes âgées, des Russes, des Ukrainiens, des personnes de diverses nationalités. C’est le vrai chef du peuple de Donetsk Alexander Zakharchenko, ce sont les commandants militaires Arsen Pavlov et Vladimir Zhoga, Olga Kochura et Alexei Mozgovoy, c’est le procureur de la République de Lougansk Sergey Gorenko. C’est le parachutiste Nurmagomed Gadzhimagomedov et tous nos soldats et officiers qui sont morts de la mort des braves pendant l’opération militaire spéciale. Ce sont des héros. (Applaudissements.) Des héros de la Grande Russie. Et je vous demande d’honorer leur mémoire par une minute de silence. Derrière le choix de millions d’habitants des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, dans les régions de Zaporijia et de Kherson se trouve notre destin commun et une histoire millénaire. Les gens ont transmis ce lien spirituel à leurs enfants et petits-enfants. Malgré toutes les épreuves, ils ont porté à travers les années leur amour pour la Russie. Et personne ne peut détruire ce sentiment en nous. C’est pourquoi les générations plus âgées et les jeunes nés après la tragédie de l’effondrement de l’Union soviétique, ont voté pour notre unité, pour notre avenir commun. En 1991, à Belovezhskaya Pushcha, sans demander la volonté des citoyens ordinaires, les représentants des élites du parti d’alors ont décidé de disloquer l’URSS, et les gens se sont soudainement retrouvés coupés de leur patrie. Cela a déchiré, démembré notre communauté populaire, et cela s’est transformé en une catastrophe nationale. Comme après la révolution, les frontières des républiques fédérées ont été arbitrairement tracées. Les derniers dirigeants de l’Union soviétique, contrairement au vote de la majorité, ont ruiné notre grand pays, mettant le peuple devant le fait accompli. J’admets qu’ils n’ont pas bien compris ce qu’ils faisaient et quelles conséquences finales cela entraînerait inévitablement. Mais cela n’a plus d’importance. Il n’y a plus d’Union soviétique, nous ne pouvons revenir en arrière. La Russie d’aujourd’hui n’en a plus besoin, nous ne nous battons pas pour cela. Mais il n’y a rien de plus fort que la détermination de millions de personnes qui, par leur culture, leur foi, leurs traditions, leur langue, se considèrent comme faisant partie de la Russie, dont les ancêtres ont vécu dans un même État pendant des siècles. Il n’y a rien de plus fort que la détermination de ce peuple à retourner dans sa vraie patrie historique. Pendant huit longues années, les habitants du Donbass ont été soumis au génocide, aux bombardements et au blocus. À Kherson et à Zaporijia, on a essayé de leur inculquer criminellement la haine de la Russie, de tout ce qui est russe. Maintenant, pendant les référendums, le régime de Kiev a menacé de mort les enseignants, les femmes qui travaillaient dans les commissions électorales, a intimidé par la répression des millions de personnes venues exprimer leur volonté. Mais les habitants du Donbass, de Zaporijia et de Kherson n’ont pas été découragés d’avoir leur mot à dire. Je voudrais que les autorités de Kiev et leurs vrais maîtres occidentaux m’entendent, afin que tout le monde s’en souvienne : les habitants de Lougansk et de Donetsk, de Kherson et de Zaporijia deviennent nos citoyens pour toujours. (Applaudissements.) Nous appelons le régime de Kiev à cesser immédiatement le feu, toutes les hostilités, la guerre qu’il a déclenchée en 2014, et à revenir à la table des négociations. Nous y sommes prêts, cela a été dit plus d’une fois. Mais nous n’évoquerons pas le choix des habitants de Donetsk, Lougansk, Zaporijia et Kherson, il a été fait, la Russie ne le trahira pas. Et les autorités de Kiev actuelles doivent respecter ce libre-arbitre du peuple. C’est le seul chemin vers la paix. Nous protégerons notre terre avec toutes les forces et tous les moyens à notre disposition et ferons tout pour assurer la sécurité de notre peuple. C’est la grande mission de libération de notre peuple. Nous allons certainement reconstruire les villes et villages détruits, les logements, les écoles, les hôpitaux, les théâtres et les musées, restaurer et développer les entreprises industrielles, les usines, les infrastructures, la sécurité sociale, les retraites, les systèmes de santé et d’éducation. Bien entendu, nous travaillerons à l’amélioration du niveau de sécurité. Ensemble, nous veillerons à ce que les citoyens des nouvelles régions ressentent le soutien de tout le peuple de la Russie, de tout le pays, de toutes les républiques et régions de notre vaste patrie. Chers amis, collègues ! Aujourd’hui, je veux m’adresser aux soldats et aux officiers qui participent à l’opération militaire spéciale, aux soldats du Donbass et de la Novorossie, à ceux qui, après le décret de mobilisation partielle, rejoignent les rangs des forces armées, pour accomplir leur devoir patriotique, à ceux qui, à l’appel de leur cœur, se présentent aux bureaux d’inscription et d’enrôlement militaires. Je voudrais me tourner vers leurs parents, épouses et enfants, pour leur dire pour quoi notre peuple se bat, quel est l’ennemi, qui jette le monde dans de nouvelles guerres et crimes, tirant leurs profits de cette tragédie sanglante. Nos compatriotes, nos frères et sœurs d’Ukraine (la partie native de notre peuple uni) ont vu de leurs propres yeux ce que les cercles dirigeants du soi-disant Occident préparent pour toute l’humanité. Ici, en fait, ils ont jeté leur masque, ont montré leur véritable nature. Après l’effondrement de l’Union soviétique, l’Occident a décidé que le monde, nous tous, devions à jamais subir ses diktats. Puis, en 1991, l’Occident s’attendait à ce que la Russie ne se remette pas de tels chocs et s’effondre d’elle-même. Et cela est presque arrivé : nous nous souvenons des terribles années 90, avec la faim, le froid et sans espoir. Mais la Russie a résisté, s’est relancée renforcée, a repris sa place légitime dans le monde. En même temps, l’Occident a cherché et continue de chercher à nous frapper, à affaiblir et détruire la Russie, et ce dont ils ont toujours rêvé, à diviser notre État, à dresser les peuples les uns contre les autres, à les condamner à la pauvreté et l’extinction. Ils sont simplement hantés par le fait qu’il existe un si grand et immense pays dans le monde tel que le nôtre, avec son territoire, ses richesses naturelles, ses ressources, avec un peuple qui ne sait pas vivre selon les ordres de l’étranger et ne le fera jamais. L’Occident est prêt à tout pour maintenir un système néocolonial qui lui permet de parasiter, en fait, de piller le monde grâce à la puissance du dollar et des diktats technologiques, de percevoir un véritable tribut de l’humanité, pour extraire la principale source de prospérité non méritée, la rente de l’hégémonie. Le maintien de cette rente est leur motivation clé, authentique et totalement intéressée. C’est pourquoi la désouverainisation totale est dans leur intérêt. D’où leur agression envers les États indépendants, envers les valeurs traditionnelles et les cultures d’origine, les tentatives de saper les processus internationaux et d’intégration échappant à leur contrôle, les nouvelles devises mondiales et les centres de développement technologique. Il est essentiel pour eux que tous les pays abandonnent leur souveraineté au profit des États-Unis. Les élites dirigeantes de certains États acceptent volontairement de le faire, pour devenir vassales ; d’autres sont corrompues, intimidées. Et si cela ne fonctionne pas, ils détruisent des États entiers, laissant derrière eux des catastrophes humanitaires, des ruines, des millions de destins humains détruits et mutilés, des enclaves terroristes, des zones d’effondrement social, des protectorats, des colonies et des semi-colonies. Peu importe, pourvu qu’ils en tirent profit. Je tiens à le souligner une fois de plus : c’est précisément dans la cupidité, dans l’intention de préserver son pouvoir illimité, que résident les véritables raisons de la guerre hybride que « l’Occident collectif » mène contre la Russie. Ils ne nous souhaitent pas la liberté, mais ils veulent nous voir comme une colonie. Ils ne veulent pas une coopération équitable, mais nous piller. Ils ne veulent pas nous voir comme une société libre, mais comme une foule d’esclaves sans âme. Pour eux, notre pensée et notre philosophie représentent une menace directe, c’est pourquoi ils portent atteinte à nos philosophes. Notre culture et notre art sont un danger pour eux, c’est pourquoi ils essaient de les interdire. Notre développement et notre prospérité sont également une menace pour eux : la concurrence s’intensifie. Ils n’ont pas du tout besoin de la Russie, c’est nous qui en avons besoin. Je voudrais vous rappeler que des prétentions à la domination mondiale dans le passé ont été brisées plus d’une fois par le courage et la détermination de notre peuple. La Russie restera toujours la Russie. Nous continuerons à défendre à la fois nos valeurs et notre Patrie. L’Occident compte sur l’impunité pour s’en tirer. Les accords dans le domaine de la sécurité stratégique partent à la poubelle ; les accords conclus au plus haut niveau politique sont déclarés caducs ; les promesses fermes de ne pas étendre l’Otan à l’Est, auxquelles nos anciens dirigeants ont cru, se sont transformées en mensonge ; les traités sur la défense antimissile et les missiles à portée intermédiaire et courte ont été unilatéralement rompus sous de faux prétextes. Tout ce que nous entendons de toutes parts, c’est que l’Occident défend l’ordre fondé sur des règles. D’où viennent-elles ? Qui a vu ces règles ? Qui les a acceptées ? Écoutez, ce n’est qu’une véritable aberration, une pure tromperie, des normes doubles ou déjà triples ! C’est vraiment conçu pour des imbéciles. La Russie est une grande puissance millénaire, un pays-civilisation, et ne vivra pas selon de telles règles fausses. C’est le soi-disant Occident qui a piétiné le principe de l’inviolabilité des frontières, et maintenant il décide à sa guise qui a le droit à l’autodétermination et qui n’en est pas digne. Pourquoi ils décident ainsi, et qui leur a donné ce droit, ce n’est pas clair. Ils se le sont accordé eux-mêmes. C’est pourquoi le choix des habitants de Crimée, de Sébastopol, de Donetsk, de Lougansk, de Zaporijia et de Kherson provoque la haine en eux. L’Occident n’a aucun droit moral de donner son avis, même de parler de la liberté de la démocratie. Il ne l’a jamais eu ! Les élites occidentales ne nient pas seulement la souveraineté nationale et le droit international. Leur hégémonie a un caractère prononcé de totalitarisme, de despotisme et d’apartheid. Ils divisent effrontément le monde en leurs vassaux, entre pays soi-disant civilisés et tous les autres, qui, selon le plan des racistes occidentaux d’aujourd’hui, devraient s’ajouter à la liste des barbares et des sauvages. Les fausses étiquettes (« pays voyou », « régime autoritaire ») sont déjà prêtes, elles stigmatisent des peuples et des États entiers, et il n’y a là rien de nouveau : les élites occidentales restent telles qu’elles étaient : colonialistes. Elles discriminent, divisent les peuples en première et secondes catégories. Nous n’avons jamais accepté et n’accepterons jamais un tel nationalisme politique et un tel racisme. Et qu’est-ce que la russophobie, sinon du racisme, qui se répand actuellement dans le monde entier ? Qu’est-ce, sinon du racisme et une pseudo conviction péremptoire de l’Occident que sa civilisation et sa culture néolibérale sont un modèle incontestable pour le monde entier ? « Ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous. » Cela sonne étrangement. Même la repentance pour leurs propres crimes historiques est déplacée par les élites occidentales vers tout le monde, exigeant à la fois des citoyens de leurs pays et d’autres peuples de s’excuser de ce avec quoi ils n’ont rien à voir du tout, dont par exemple les conquêtes de la période de la colonisation. Il convient de rappeler à l’Occident qu’il a commencé sa politique coloniale au Moyen Âge, puis par la traite mondiale des esclaves, le génocide des tribus indiennes en Amérique, le pillage de l’Inde, de l’Afrique, les guerres de l’Angleterre et de la France contre la Chine, à la suite de quoi elle a été contrainte de céder Hong-Kong et ses ports par lesquels l’opium est entré pour l'affaiblir et la dominer. D'ailleurs l'invention du Kosovo devenu une plaque tournante de l'héroïne en Europe en est encore un signe. Ce qu’ils ont fait, c’est imposer la drogue à des nations entières, exterminer délibérément des groupes ethniques entiers pour la terre et les ressources, organiser une véritable chasse à l’homme comme des animaux. Ceci est contraire à la nature même de l’homme, dont font partie la vérité, la liberté et la justice. Et nous, nous sommes fiers qu’au 20e siècle, notre pays ait dirigé le mouvement anticolonial, qui a ouvert des possibilités à de nombreux peuples du monde de se développer afin de réduire la pauvreté et les inégalités, de vaincre la faim et la maladie. Je souligne que l’une des raisons de la russophobie séculaire, de la haine non dissimulée de ces élites occidentales envers la Russie est précisément que nous ne nous sommes pas laissé piller pendant la période des conquêtes coloniales, nous avons forcé les Européens à commercer pour un bénéfice mutuel. Cela a été réalisé par la création d’un État centralisé fort en Russie, qui s’est développé et s’est renforcé en s’appuyant sur les grandes valeurs morales de l’orthodoxie, de l’islam, du judaïsme et du bouddhisme, sur la culture russe et la parole russe ouverte à tous. On sait que des plans d’interventions en Russie ont été élaborés à plusieurs reprises. Ils ont essayé d’utiliser le temps des troubles au début du 17e siècle et la période de bouleversements après 1917. Ils ont échoué. L’Occident a néanmoins réussi à s’emparer des richesses de la Russie à la fin du 20e siècle, lorsque l’État a été détruit. Ils nous qualifiaient d’amis et partenaires, mais, en fait, ils nous ont traités comme une colonie ; des milliards de dollars ont été détournés du pays dans le cadre de divers stratagèmes. Nous nous souvenons tous de tout, nous n’avons rien oublié. Et ces jours-ci, les habitants de Donetsk et de Louhansk, de Kherson et de Zaporijia se sont prononcés en faveur de la restauration de notre unité historique. Merci ! Les pays occidentaux répètent depuis des siècles qu’ils apportent la liberté et la démocratie aux autres peuples. Tout est exactement le contraire : au lieu de la démocratie, c’est l’exploitation ; au lieu de la liberté, l’esclavage et la violence. L’ordre mondial unipolaire est intrinsèquement antidémocratique et non libre, il est trompeur et totalement hypocrite. Les États-Unis sont le seul pays au monde à avoir utilisé deux fois l’arme nucléaire, en plus sur des civils, en détruisant les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki. Soit dit en passant, ils ont créé un précédent. Permettez-moi également de vous rappeler que les États-Unis, avec les Britanniques, ont réduit en ruine Dresde, Hambourg, Cologne et de nombreuses autres villes allemandes sans aucune nécessité militaire pendant la Seconde Guerre mondiale. Et cela a été fait de façon ostentatoire, sans aucune, je le répète, nécessité militaire. Il n’y avait qu’un seul but, tout comme dans le cas des bombardements nucléaires au Japon : intimider à la fois notre pays et le monde entier. Les États-Unis ont laissé une trace terrible dans la mémoire des peuples de Corée et du Vietnam avec des bombardements barbares en « tapis », l’utilisation du napalm et des armes chimiques. Jusqu’à présent, ils occupent de fait l’Allemagne, le Japon, la République de Corée et d’autres pays, tout en les qualifiant cyniquement d’alliés égaux. Écoutez, je me demande de quel genre d’alliance il s’agit. Le monde entier sait que les dirigeants de ces pays sont surveillés. Chez les dirigeants de ces États sont installés des appareils d’écoute non seulement dans les bureaux, mais aussi dans les locaux résidentiels. C’est vraiment regrettable. C’est une honte à la fois pour ceux qui font cela et pour ceux qui, comme des esclaves, acceptent silencieusement et docilement cette grossièreté. Ils appellent Solidarité euro-atlantique les ordres et les menaces à l’adresse de leurs vassaux. Ils appellent le développement des armes biologiques, les expériences sur des êtres humains, y compris en Ukraine, de la recherche médicale noble. Ce sont leur politique destructrice, leurs guerres et leurs vols qui ont provoqué les actuels flux massifs migratoires. Des millions de personnes souffrent de privations, d’abus, des milliers meurent en essayant de rejoindre l’Europe. Maintenant, ils exportent du pain d’Ukraine. Où va-t-il sous prétexte « d'assurer la sécurité alimentaire des pays les plus pauvres du monde » ? Où va-t-il ? Tout va dans ces mêmes pays européens. Seulement 5 % sont allés aux pays les plus pauvres. Encore une fois, il s’agit d’une escroquerie et d'une véritable tromperie. L’élite américaine, en fait, utilise la tragédie de ces populations pour affaiblir leurs concurrents et détruire les États-nations. Cela s’applique aussi à l’Europe et à l’identité de la France, de l’Italie, de l’Espagne et d’autres pays avec une histoire séculaire. Washington exige de plus en plus de sanctions contre la Russie, et la plupart des politiciens européens s’y plient docilement. Ils comprennent clairement que les États-Unis, poussant l’Union européenne à renoncer complètement à l’énergie et aux ressources russes, conduisent pratiquement à la désindustrialisation de l’Europe, à la prise de contrôle complète du marché européen. Ces élites européennes comprennent tout, mais préfèrent servir les intérêts des autres. Ce n’est plus de la servilité, mais une trahison directe de leurs peuples. Mais que Dieu bénisse ces peuples, c’est leur affaire. Les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons: ils sont passés au sabotage (incroyable mais vrai) après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux du Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, et ils ont donc en fait commencé à détruire les infrastructures énergétiques de l’Europe. C’est clair pour tout le monde que ceux qui en profitent, sont les responsables. Le diktat américain est basé sur la force brutale. Parfois, il est magnifiquement emballé, parfois il est sans emballage, mais l’essence reste la même. D’où le déploiement et l’entretien de centaines de bases militaires dans les quatre coins du monde, l’expansion de l’Otan, les tentatives de mettre en place de nouvelles alliances militaires telles qu’Aukus (Australie, les Etats-Unis et le Royaume-Uni) et autres. Un travail actif est également en cours pour créer un lien militaro-politique entre Washington, Séoul et Tokyo. Tous les pays qui possèdent ou aspirent à une véritable souveraineté stratégique et qui sont capables de contester l’hégémonie occidentale, sont automatiquement déclarés ennemis. C’est sur ces principes que sont construites les doctrines militaires des États-Unis et de l’Otan, n’exigeant rien de moins qu’une domination totale. Les élites occidentales présentent leurs plans néocoloniaux avec la même hypocrisie, avec la même faux-semblant de paix ; elles parlent d’une sorte d’endiguement, et un mot aussi évasif migre d’une stratégie à l’autre, alors que cela signifie une seule chose : saper tous les centres de développement souverains. On a déjà entendu parler du confinement de la Russie, de la Chine, de l’Iran. Je crois que d’autres pays d’Asie, d’Amérique latine, d’Afrique, du Moyen-Orient, ainsi que les partenaires et alliés actuels des États-Unis, sont les suivants (quand ils n'ont pas déjà connu cela). Nous savons tout ce qu’ils n’aiment pas, ils imposent également des sanctions à leurs alliés ; d’abord contre une banque, puis contre une autre ; tantôt contre une entreprise, tantôt contre une autre. C’est la même pratique, et elle va se développer. Ils ciblent tout le monde, y compris nos voisins les plus proches, les pays de la CEI (Communauté des États indépendants). Dans le même temps, l’Occident prend depuis très longtemps ses rêves pour la réalité. Ainsi, en lançant une guerre éclair de sanctions contre la Russie, ils ont cru qu’une fois de plus ils pourraient dresser le monde entier selon leurs ordres. Mais, en fin de compte, une perspective aussi réjouissante est loin d’attirer tout le monde, sauf des masochistes politiques complets et des admirateurs d’autres formes non traditionnelles de relations internationales. La plupart des États refusent de s’incliner et choisissent une voie raisonnable de coopération avec la Russie. L’Occident ne s’attendait manifestement pas à une telle résistance de leur part. Il s’est habitué à agir selon son schéma, à tout prendre avec impudence, chantage, corruption, intimidation, et à se convaincre que ces méthodes fonctionneront pour toujours, comme dans le passé. Une telle outrecuidance est le produit direct non seulement du concept notoire de sa propre exception (même si cela reste bien sût tout simplement surprenant) mais aussi d’une véritable famine d’information en Occident. Ils ont noyé la vérité dans un océan de mythes, d’illusions et de falsifications, utilisant une propagande extrêmement agressive, mentant effrontément, comme Goebbels. Plus le mensonge est gros, plus vite on y croit. C’est ainsi qu’ils agissent, selon ce principe. Mais les gens ne peuvent pas être nourris avec des dollars et des euros imprimés. Impossible de se nourrir avec ces bouts de papier, et impossible de chauffer un foyer avec la capitalisation virtuelle et gonflée des réseaux sociaux occidentaux. Tout ce dont je parle est important, mais ce qui vient d’être dit est particulièrement important : vous ne pouvez nourrir personne avec du papier-monnaie, vous avez besoin de nourriture, et vous ne réchaufferez personne non plus avec ces capitalisations gonflées, des hydrocarbures sont nécessaires. Par conséquent, les politiciens de toute l'Europe doivent convaincre leurs concitoyens de manger moins, de se laver moins souvent et de s’habiller plus chaudement à la maison. Et ceux qui commencent à poser de simples questions justes, comme « pourquoi en est-il ainsi ? », sont immédiatement déclarés ennemis, extrémistes et radicaux. Ils accusent la Russie, en disant qu'elle est la source de tous vos ennuis. Ils mentent à nouveau. Qu’est-ce que je veux souligner ? Il y a tout lieu de croire que les élites occidentales ne vont pas chercher des solutions constructives à la crise alimentaire et énergétique mondiale, qui a surgi par leur faute, précisément par leur faute, à la suite de nombreuses années de leur politique, bien avant notre opération militaire spéciale en Ukraine, dans le Donbass. Alors que parmi les solutions sont d' obtenir la paix en Ukraine, de retrouver le prix bon marché du gaz russe, de ne plus payer l’énergie (dont pétrole, hydrocarbures) importée en dollar, d'arrêter les subvention à l'union européenne (ce qui réglerait déjà le problème des retraites) et de s'orienter vers l'autosuffisance.
Or comme ces élites ultra riches n’entendent pas résoudre les problèmes d’injustice et d’inégalité, on peut craindre qu’ils soient prêts à utiliser d’autres recettes oppressives qui leur sont familières. Et, ici, il convient de rappeler que l’Occident est sorti des contradictions du début du 20e siècle par la Première Guerre mondiale. Les profits de la Seconde Guerre mondiale ont permis aux États-Unis de surmonter enfin les conséquences de la Grande Dépression, de devenir la plus grande économie du monde, et d’imposer à la planète la puissance du dollar comme monnaie de réserve mondiale. Et la crise tardive des années 80 du siècle dernier, l’Occident l’a largement surmontée en s’appropriant l’héritage et les ressources de l’Union soviétique qui s’effondrait. C’est un fait. Maintenant, pour s’extirper d’un autre enchevêtrement de contradictions, il leur faut démanteler la Russie, et à tout prix les autres États qui choisissent la voie souveraine de développement, afin d'être en mesure de piller davantage la richesse d’autres nations et de colmater à ce prix leurs brèches. Si cela ne se produit pas, je ne peux pas exclure qu’ils vont tenter de provoquer l’effondrement de tout le système sur lequel tout le blâme peut être reporté, ou Dieu nous en préserve, décider d’utiliser la formule de croissance économique par la guerre. La Russie comprend sa responsabilité envers la communauté mondiale et fera tout pour ramener ces têtes brûlées à la raison. Il est clair que le modèle néocolonial actuel est finalement voué à l’échec. Mais je répète que ses vrais propriétaires s’accrocheront à lui jusqu’au bout. Ils n’ont tout simplement rien à offrir au monde, si ce n’est la préservation du même système de vols et de racket. En fait, ils se moquent du droit naturel de milliards de personnes, de la majeure partie de l’humanité, à la liberté et à la justice, à déterminer par eux-mêmes leur propre avenir. Maintenant, ils sont passés à un déni radical des normes morales, de la religion et de la famille. Répondons à quelques questions très simples. J’aimerais revenir sur ce que j’ai déjà dit, je veux m’adresser à tous les citoyens du pays et pas seulement aux collègues qui sont dans la salle : voulons-nous avoir, ici, dans notre pays, en Russie, au lieu de maman et papa, un « parent numéro un », « numéro deux », « numéro trois » (ils sont complètement fous là-bas) ? Voulons-nous vraiment, dans nos écoles dès la primaire, que des perversions, qui conduisent à la dégradation et à l’extinction, soient imposées aux enfants ? Qu’on leur fasse croire qu’il existerait d’autres genres que les femmes et les hommes, qu’on leur propose une opération de changement de sexe ? Voulons-nous vraiment cela pour notre pays et nos enfants ? Pour nous, tout cela est inacceptable, nous avons un avenir différent, notre propre avenir. Je le répète, la dictature des élites occidentales est dirigée contre toutes les sociétés, y compris les peuples des pays occidentaux eux-mêmes. C’est un défi pour tout le monde. Un tel déni complet de l’homme, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles, la suppression de la liberté acquiert les traits d’une « religion inversée », un satanisme pur et simple. Dans le Sermon sur la montagne, Jésus-Christ, dénonçant les faux prophètes, dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Et ces fruits empoisonnés sont déjà évidents pour les gens ; pas seulement dans notre pays, dans tous les pays, y compris pour de nombreuses personnes en Occident. Le monde est entré dans une période de transformations révolutionnaires, elles sont de nature fondamentale.
De nouveaux pôles de développement se forment, ils représentent la majorité de la communauté mondiale et sont prêts non seulement à déclarer leurs intérêts, mais aussi à les protéger. Ils voient la multipolarité comme une opportunité de renforcer leur souveraineté, d’acquérir une véritable liberté et une perspective historique, et d'avoir droit à une autonomie indépendante et créative, au développement original et à un processus harmonieux.
Les relations internationales que Beijing et Moscou promeuvent sont fondées sur le respect mutuel et non plus sur l’affrontement. À la division et aux guerres occidentales, ils opposent les échanges, le commerce et la collaboration comme prouvent l'intéressante réconciliation de l'Iran et l'Arabie saoudite de même que le retour des États arabes à Damas et la possible réconciliation de la Syrie et la Turquie. Surtout que comme lors de la guerre Iran/Irak, les occidentaux veulent la destruction de tous ces pays. Or la normalisation syro-turque est encore dans une impasse, car Ankara refuse toujours de retirer ses troupes du nord deOr la normalisation syro-turque est encore dans une impasse, car Ankara refuse toujours de retirer ses troupes du nord de la Syrie et illégitimement se demande même pourquoi il devrait le faire, quoique empêcher à accès à la mer aux kurdes paraît important si la Syrie ne peut s'en charger.
Le rapprochement entre Téhéran, Riyad et Abu Dhabi se fait sous l’égide de la Chine, dans la continuité d’une politique qui vise à assurer la sécurité de son fameux « collier de perles », tout en continuant d’affirmer son influence diplomatique grandissante au Moyen-Orient, et en sachant que cette région renferme plus de la moitié des réserves pétrolières de la planète. Or ce rapprochement provient d'abord de la confiance en Poutine qui sauvé les présidents El Assad de la guerre et Erdogan d'un coup d'Etat, car Poutine allié à la Chine est ainsi devenu crédible pour le président Mohammed Ben Salmane et les chefs de nombreux pays en particulier africains. Cette réconciliation « réduit les Accords d’Abraham à néant » et aura comme conséquence la remise sur la table du plan de paix saoudien de 2002, « la terre contre la paix ». Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a même clairement indiqué que les priorités de Riyad étaient une nouvelle relation, dynamisée et négociée par la Chine, avec l’Iran, la Turquie et la Syrie après son retour au sein de la Ligue arabe. Surtout que Riyad et son partenaire émirati de l’IMEC partagent avec la Chine d’immenses intérêts en matière d’échanges, de commerce et d’énergie.L’autre pays que prend à contre-pied le rapprochement irano-saoudien, c’est le Maroc. Contrairement à l’Algérie qui a adopté une position de neutralité, le pays maghrébin a clairement choisi son camp ces dernières années en normalisant avec Israël en 2020, deux ans après avoir rompu ses relations avec l’Iran. Car dans sa stratégie pour imposer sa colonisation du Sahara occidental, le Maroc a joué sur les tensions des pays du Golfe, Israël et les Occidentaux d’un côté, et l’Iran de l’autre. Mais la clairvoyance commence à revenir au Maroc.
Partout dans le monde, y compris en Europe et aux États-Unis, nous avons de nombreuses personnes partageant les mêmes idées, et nous ressentons, nous voyons leur soutien. Un mouvement de libération anticolonial contre l’hégémonie unipolaire se développe déjà au sein des pays et des sociétés les plus diverses. Sa conscience ne fera que grandir. C’est cette force qui déterminera la future réalité géopolitique. Chers amis ! Aujourd’hui, nous nous battons pour une voie juste et libre, d’abord pour nous-mêmes, pour la Russie, pour que le diktat et le despotisme restent à jamais dans le passé. Je suis convaincu que les pays et les peuples comprennent qu’une politique fondée sur l’exception de quiconque, sur la suppression des autres cultures et peuples, est intrinsèquement criminelle, que nous devons tourner cette page honteuse. L’effondrement de l’hégémonie occidentale qui a commencé est irréversible. Et je le répète encore : ce ne sera plus comme avant. Le champ de bataille auquel le destin et l’histoire nous ont appelés est le champ de bataille de notre peuple, de la grande Russie historique. Pour la grande Russie historique, pour les générations futures, pour nos enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants. Nous devons les protéger de l’esclavage, des expériences monstrueuses qui visent à paralyser leurs esprits et leurs âmes. Aujourd’hui, nous nous battons pour qu’il ne vienne à l’esprit de personne que la Russie, notre peuple, notre langue, notre culture puissent être effacés de l’histoire. Aujourd’hui, nous avons besoin de consolider toute la société, et cette cohésion ne peut être fondée que sur la souveraineté, la liberté, la création et la justice. Nos valeurs sont l’humanité, la miséricorde et la compassion. Et je veux terminer mon discours par les mots du vrai patriote Ivan Alexandrovitch Ilyin : « Et si je considère la Russie comme ma patrie, cela signifie que j’aime, contemple et pense en russe, chante et parle en russe ; que je crois en la force du peuple russe et accepte son destin historique avec mon instinct et ma volonté. Son esprit est mon esprit ; son destin est mon destin ; sa souffrance est ma douleur ; son ascension est ma joie... » Derrière ces mots se cache un grand choix spirituel qui, pendant plus de mille ans d’État russe, a été suivi par de nombreuses générations de nos ancêtres. Aujourd’hui, nous faisons ce choix, les citoyens des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, les habitants des régions de Zaporozjie et de Kherson ont fait ce choix. Ils ont fait le choix d’être avec leur peuple, d’être avec la Patrie, de vivre son destin, de gagner avec elle. Derrière nous c’est la vérité, derrière nous c’est la Russie ! »
Le président Vladimir Poutine de la Fédération de Russie a en plus précisé lors de la signature des traités d’adhésion à la Russie des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et des régions de Zaporozhye et de Kherson :
« Je tiens à souligner à nouveau que leur insatiabilité et leur détermination à préserver leur domination sans entrave sont les véritables causes de la guerre hybride que l’Occident collectif mène contre la Russie. Ils ne veulent pas que nous soyons libres ; ils veulent que nous soyons une colonie. Ils ne veulent pas d’une coopération égale ; ils veulent piller. Ils ne veulent pas nous voir comme une société libre, mais comme une masse d’esclaves sans âme. Je voudrais vous rappeler que par le passé, les ambitions de domination mondiale se sont à plusieurs reprises brisées contre le courage et la résilience de notre peuple. La Russie sera toujours la Russie. Nous continuerons à défendre nos valeurs et notre patrie. … Nous n’avons jamais accepté et n’accepterons jamais un tel nationalisme politique et un tel racisme. Si ce n’est du racisme, qu’est-ce que la russophobie qui se répand dans le monde ? Qu’est-ce que, si ce n’est du racisme, la conviction dogmatique de l’Occident que sa civilisation et sa culture néolibérale sont un modèle indiscutable à suivre pour le monde entier ? … Aujourd’hui, nous nous battons pour qu’il ne vienne à l’idée de personne que la Russie, notre peuple, notre langue ou notre culture puissent être effacés de l’histoire. Aujourd’hui, nous avons besoin d’une société unie, et cette unification ne peut être fondée que sur la souveraineté, la liberté, la création et la justice. Nos valeurs sont l’humanité, la miséricorde et la compassion. »
Concernant cette excellente vision du monde de Poutine, il est aussi important de lire son discours au club de Valdaï à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/29/discours-du-president-russe-vladimir-poutine-lors-du-forum-du-club-valdai/, dont voici des extraits :
« La période historique de domination sans partage de l’Occident touche à sa fin. Le monde unipolaire appartient au passé. La décennie qui s’ouvre est peut-être la plus dangereuse, la plus imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il tente désespérément de le faire et la plupart des nations du monde ne sont plus disposées à le supporter. La situation est quelque peu révolutionnaire : les classes supérieures ne peuvent plus et les classes inférieures ne veulent plus vivre ainsi. Le modèle occidental de mondialisation, néocolonial par essence, était également fondé perversement sur l’unification, sur le monopole financier et technologique, sur l’effacement de toutes les différences. Cette oppression de l'Occident est encore évidente quand il vend des médicaments ou des semences de cultures vivrières à d’autres pays, en ordonnant de tuer leurs produits pharmaceutiques et leurs élevages nationaux. En fait dans la pratique, tout peut se résumer à cela : s’il fournit des machines et des équipements, il détruit l’industrie mécanique locale. Lorsque j’étais Premier ministre, je l’ai compris : dès que vous ouvrez le marché pour un certain groupe de produits, c’est fini, le producteur local « coule », et il lui est presque impossible de relever la tête. C’est ainsi que se construisent les relations avec cet empire américano-sioniste. C’est ainsi que les marchés et les ressources sont accaparés, que les pays sont privés de leur potentiel technologique et scientifique. Ce n’est pas un progrès, mais un asservissement, la réduction des économies à un niveau primitif. Le développement technologique ne doit pas exacerber les inégalités mondiales, mais les réduire. Le développement doit se faire dans le cadre du dialogue des civilisations, sur la base de valeurs spirituelles et morales. Je suis convaincu seul le libre développement des pays et des peuples peut s’opposer à la dictature, que seul l’amour envers l’être humain comme envers le Créateur peut s’opposer à la dégradation des individus, et que seule la complexité épanouie des cultures et des traditions peut s’opposer à l’uniformisation et aux interdits primitifs. (Surtout que suite à la grande uniformasition du covid, l’uniformisation en France des vêtements à l’école en plus sans genre, c’est à dire avec des pantalons pour tout le monde, ne sent pas bon, en particulier pour des raisons laïcistes. Or ça apporterait plus d’élégance, de discipline et de fraternité aux scolarisés et d’économie aux parents... Et ça n’empêcherait pas de remettre le voile à la sortie de l’école pour les musulmanes comme actuellement. C’est un choix compliqué. En attendant et suite à la peur concernant le climat, le terrorisme, le covid (et donc les gens, les voisins), la subsistance (inflation, prix de l’essence et de l’énergie), la loi naturelle (pseudo fascisme envers les Lgbt) et la guerre en Ukraine, ça sert aussi en plus désormais à avoir peur du choix vestimentaire (trop long, pas assez long) voire même de la pudeur. Bientôt la peur concernant les petites cuillères, les tabourets, les feuilles des arbres, la respiration de l’oxygène (ah non c’est déjà la cas avec le covid) ?... Mais ce sujet permet aussi d'éviter ceux économiques dont l'inflation et le manque de professeurs en général et de classes pour des enfants handicapés.) La signification du moment historique d’aujourd’hui est précisément que devant toutes les civilisations, tous les États et toutes leurs associations d’intégration, il existe des possibilités effectives de développement propre, démocratique et original. Et surtout, nous croyons que le nouvel ordre mondial doit être fondé sur le droit et la loi, et être libre, particulier et juste. C’est ainsi que la Russie a traditionnellement mis en œuvre sa politique technologique étrangère et sa géopolitique intérieure. Par exemple, en construisant des centrales nucléaires dans d’autres États, nous y créons simultanément des centres de compétence, nous formons du personnel national, nous créons une industrie, et nous ne nous contentons donc pas de construire une entreprise : nous créons une industrie entière. En fait, nous donnons à d’autres pays la possibilité de réaliser une véritable percée dans leur développement scientifique et technologique, de réduire les inégalités et d’amener leur secteur énergétique à un nouveau niveau d’efficacité et de respect de l’environnement. Aujourd’hui, les nouveaux centres de développement mondial possèdent déjà des technologies et des développements scientifiques uniques dans toute une série de domaines et, dans de nombreux secteurs, peuvent concurrencer avec succès les entreprises multinationales occidentales. Il est évident que nous avons un intérêt commun, tout à fait pragmatique, pour un échange scientifique et technologique équitable et ouvert. Ensemble, chacun en profitera davantage que séparément. Les bénéfices devraient revenir à la majorité, et non à des sociétés individuelles super riches. Permettez-moi de le souligner une fois de plus : la souveraineté, le développement autonome ne signifient en aucun cas l’isolement, l’autarcie, mais au contraire, cela implique une coopération active et mutuellement bénéfique sur des principes justes et équitables. Si la mondialisation libérale est la dépersonnalisation et l’imposition du modèle occidental au monde entier, l’intégration est au contraire le déblocage du potentiel de chaque civilisation au profit de l’ensemble, au profit de tous. Si le mondialisme est un diktat unipolaire, c’est à cela que tout se résume en fin de compte : l’intégration au multipolaire est le développement conjoint de stratégies communes bénéfiques pour tous. Dans ce contexte, la Russie estime qu’il est important de lancer activement des mécanismes de création de grands espaces fondés sur l’interaction de pays voisins dont l’économie, le système social, la base de ressources et les infrastructures se complètent. Ces vastes espaces constituent par essence la base d’un ordre mondial multipolaire, une base économique. De leur dialogue naît la véritable unité de l’humanité, qui est beaucoup plus complexe, diverse et multidimensionnelle que dans les idées simplistes de certains idéologues occidentaux. L’unité du genre humain ne se construit pas par le « fais comme moi », « sois comme nous ». Elle est formée en tenant compte des et en se fondant sur les opinions de tous, dans le respect de l’identité de chaque société et nation. C’est le principe sur lequel une interaction à long terme dans un monde multipolaire peut se développer. À cet égard, nous devrions peut-être aussi réfléchir à la manière dont la structure des Nations unies, y compris son Conseil de sécurité, pourrait refléter davantage la diversité des régions du monde. Après tout, le monde de demain dépendra beaucoup plus de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine qu’on ne le croit aujourd’hui, et une telle augmentation de leur influence est sans aucun doute positive. Le futur ordre mondial prend forme sous nos yeux. Et dans cet ordre mondial, nous devons écouter tout le monde, tenir compte de tous les points de vue, de toutes les nations, de toutes les sociétés, de toutes les cultures, et de tous les systèmes de visions du monde, d’idées et de croyances religieuses, sans imposer une seule vérité à quiconque, et seulement sur cette base, en comprenant notre responsabilité vis-à-vis du destin (le destin des peuples, de la planète) et en construisant une symphonie de la civilisation humaine. »
La Russie prône donc toujours la formation d’une architecture de sécurité internationale renouvelée et plus stable, fondée sur la garantie de la prévisibilité et de la stabilité stratégique mondiale, ainsi que sur le respect des principes d’égalité, de sécurité indivisible et de considération mutuelle des intérêts fondamentaux des parties.
Dans ce sens, le président chinois Xi Jinping vient d’offrir aux pays du Sud une alternative radicale à des décennies de diktats occidentaux, de guerres et de contraintes économiques. La « modernisation pacifique » permettra d’établir la souveraineté, l’économie et l’indépendance des États du monde en difficulté, comme le prouve la volonté de la Chine d’accélérer son indépendance technologique en matière de semi-conducteurs et d’équipements pour les produire.
Selon Poutine, l’Occident collectif veut piller la Russie, asservir son peuple et créer une colonie dont les richesses peuvent être siphonnées par des bigots tyranniques et des profiteurs étrangers. Les attaques incessantes des médias contre les athlètes, les universitaires, les scientifiques, les musiciens et même les hommes d’affaires russes n’ont fait que renforcer l’idée, chez les Russes ordinaires, qu’ils sont dans la ligne de mire d’une coalition occidentale violente et hors de contrôle qui a l’intention de porter à la Russie le même coup fatal qu’à l’Irak, à la Libye, à l’Afghanistan et à d’innombrables autres nations. La montée en flèche de la cote de popularité de Poutine souligne le fait que la plupart des Russes pensent que la menace est réelle et qu’il faut se battre. Selon Big Serge, Poutine a même réalisé son projet d’annexion formelle de l’ancienne bordure orientale de l’Ukraine, tout en légitimement transformant juridiquement la guerre en une lutte existentielle.
Alors que le journaliste Blumenthal a souligné que les véritables « vainqueurs » sont les principaux sous-traitants américains de la défense et leurs appendices comme les cabinets de lobbying néoconservateurs de la rue K Street à Washington D.C., qui est célèbre pour abriter de nombreux cabinets de lobbying et de consultants politiques, et que ces derniers ainsi que l’administration Biden, opèrent avec une vision plus large, celle de faire de l’Ukraine le « grand Israël » de l’Europe : « Nous entendons par là un État de guerre « spartiate » militarisé en permanence, qui est continuellement financé et équipé par Washington, et qui détient les dernières avancées technologiques occidentales en matière de défense. Cependant, pour que cet État de guerre puisse exister, la démocratie dans le pays doit être graduellement affaiblie, tout comme cela s’est produit depuis longtemps en Israël, notamment en ce qui concerne l’oppression des Palestiniens et des dissidents politiques israéliens. Malgré cela, les promoteurs de technologies de défense du complexe militaro-industriel continueront de « gagner », peu importe le niveau de sacrifices imposé à la société ukrainienne et à son peuple. »
En refusant une sortie négociée du conflit à l’avantage de Moscou en mars 2022, les Américains ont prolongé et aggravé le conflit. Toutefois celui-ci a évolué dans un sens qu’ils n’avaient pas prévu, car ils avaient parié sur un écroulement économique de la Russie. Mais cela ne s’est pas produit, pas davantage que la défaite de l’armée russe sur le terrain ou la mise au ban unanime de Moscou par la communauté internationale. Pire, un nouveau système économique et financier est en train de se mettre en place, qui menace l’hégémonie politique et monétaire de Washington. Une nouvelle fois, les Américains se révèlent être de piètres stratèges et de vrais apprentis sorciers. Leur stratégie d’affaiblissement de la Russie s’est transformée en une guerre existentielle pour le maintien de leur domination sur le monde. Le piège qu’ils ont tendu pourrait bien se refermer sur eux. La continuité de la guerre en Ukraine dépend avant tout de l’état d’esprit de la population ukrainienne, car dans ce combat, elle est le carburant d’un État terroriste dont par son travail et son absence de destruction de biens publiques dont de chemins de fer. En effet si les ukrainiens déclarent que "ça suffit, je ne m’en soucie plus, je vais tuer des officiers militaires de recrutement militaire qui envoient à la boucherie", et que ces personnes s’avèrent être au moins 30%, dans ce cas, il sera difficile d’utiliser ce pays pour faire la guerre à la Fédération de Russie. Et c'est pourquoi l'Otan se préoccupe beaucoup de l'opinion publique ukrainienne afin de la manipuler, car elle est peu inclinée vers la guerre.
          Ainsi la grande guerre (boucherie possiblement non mondiale) prophétisée par Jésus et Mouhamed pour ouvrir la porte au retour de Jésus pourrait apparaître lorsque l'hégémonie américano-sioniste sera trop oppressante et appauvrissante économiquement pour les populations, et sera donc rejetée massivement puis effondrée relativement. En effet de nombreux peuples du Moyen-Orient et du monde se soulèveront pour leur survie, comme le prouve la montée du populisme dans de nombreux pays basé sur le refus de l'inégalité éoncomico-sociale, de la domination bancaire et de l'immigration de masse risquant par le métissage un grand remplacement, synonyme dans un sens de génocide des blancs similaire à celui des indiens d'Amérique du Nord, voulu pourtant par les élites occidentales. D'ailleurs le grand remplacement était auparavant nié, alors que désormais il est de plus en plus considéré qu'on ne peut plus revenir en arrière. Or à notre époque très multiculturelle en France ne pouvant donc apparemment pas revenir en arrière selon très probablement aussi la volonté divine, il faut rappeler que la Rome antique multiculturelle était pacifiée, et que le christianisme et l'islam dépassent les ethnies, mais que la laïcité les a imiter perversement dans ce sens. Cependant il faut relever que les droits civiques laïques ont précieusement participé au changement bénéfique de certaines mentalités repliées, en habituant les hommes au mélange ethnique effaçant le racisme et diversifiant les mariages qui ont souvent été injustement trop conservateurs. En effet en étant donc impieusement trop fermé d'esprit même entre coreligionnaires par rapport à la différence physique, sociale, financière ou d'origine, de nombreuses familles ont reproduit l'orgueil impie qu'Iblis fait de feu eut vis à vis d'Adam fait de terre. Ainsi le métissage représentant un mariage éloigné de la consanguinité, renforçant la descendance au niveau immunitaire et donnant souvent naissance à des enfants beaux appartient à l'islam le plus sagement ouvert. Ce qui prouve que le rapprochement au sein de l'islam entre différences est vraiment bon voire préférable. Or il est légitime de chercher le meilleur parti pour le mariage d'un de ses enfants, mais la piété profonde et douce du futur conjoint demeure le meilleur choix. C'est à dire que cet orgueil s'écarte illégitimement de la principale valeur regardée par Dieu : celle religieuse et morale, dont l'humilité, la tolérance, la fraternité, le respect, la bienfaisance et l'amour font partie. D'ailleurs les croisements entre diverses ethnies monothéistes peuvent donner beaucoup de dignité dans le couple et les familles se respectant mutuellement. C'est pourquoi pour la meilleure réussite pratique dans ce cas, il est important que le couple marié et leurs enfants connaissent la langue et l'histoire de chaque conjoint, dont de son pays d'origine quand il y a de grandes attaches.
          Or la montée des populismes semble freiner ce métissage de l'humanité en orientant le monde vers une coopération globale des nations plutôt que vers un mondialisme financier sans frontière, surtout si les peuples arrivent à reprendre leur souveraineté en ramenant donc leur pays dans une économie patriote une bonne entente géopolitique avec le reste de la planète.
De plus pour éviter leur frustration colérique et des problèmes sociaux, il faut apporter plus de respect aux migrants manipulés en les accueillant bien par exemple dans des centre régionaux de socialisation (sous peine de créer le danger d'une population frustrée), en les répartissant mieux en Europe pour empêcher la montée du racisme et les tensions menant à la guerre civile en particulier dans ses pays du Sud portes d'entrées principales de l'immigration, en les rapatriant vers leur pays d'origine dans le respect de la dignité humaine, ou pourquoi pas en recevant les vrais pieux très honorablement chez soi comme du temps des ansars à Médine qui accueillirent les premiers musulmans persécutés à la Mecque, ce qui fut la cause de la guidée en masse de la population vers la foi par cet œuvre hautement noble, et impérativement en oubliant pas comme depuis longtemps de s'occuper aussi prioritairement des nationaux sans logis. Surtout que concentrer trop d’immigrés dans une terre de subventions comme dans l'ancien bassin minier de Roubaix et Tourcoing, c’est créer des problèmes sociaux et politiques insurmontables. Or ça revient à faire monter conjointement LFI et le RN, ce qui place le bloc bourgeois du centre, celui de Macron, dans un étau puissant. Au bout d’un moment, l’ingénierie sociale néolib montre ses limites. Le trimaran politique français, formé d’un bloc bourgeois flanqué des deux populismes, et surtout séparant les deux populismes (rendus irréconciliables par le pouvoir des loges), n’a rien fait avancer pour un peuple qui souffre du néolibéralisme depuis 40 ans. Ce trimaran permet de scinder la colère, de la maintenir dans les marges et de marginaliser la majorité de la population, c’est-à-dire les classes populaire et moyenne. Ce système ne peut pas tenir avec de telles tensions, sauf si la répression augmente encore d’un cran. C’est pourquoi les hommes forts du bloc bourgeois depuis 20 ans sont les ministres de l’Intérieur (Sarko, Valls, Cazeneuve, Nunez derrière le piètre Castaner, Darmanin), qui prennent leurs ordres directement du pouvoir profond. Concrètement, Macron embauche 10 000 Forces de l'ordre pour les années à venir, alors qu’il a lourdé 15 000 infirmières. Plutôt que de lutter contre la pauvreté, qui est son effet secondaire, le bloc bourgeois lutte contre les pauvres.
          Ainsi l'affrontement de tous contre tous au sein des peuples, détournant de celui contre les élites mondialistes corrompues tout en préservant leurs pervers privilèges, sera difficile encore plus difficile à contrer si le laïcisme wokiste continue d’effacer la religion et donc de dégrader le niveau moral des peuples. Or si l'oppression financière mondialiste aspirant tout l'argent sans compassion ni partage par l'usure et par les multinationales de plus en plus synonymes de monopole totalitaire ne s'arrête pas, cette situation dégradant toujours plus les conditions de vie des peuples, et donc leur survie, les amènera à une persévérante lutte des classes très probablement victorieuse contre l'hyper classe apatride.
Surtout que ce combat avant tout spirituel devient vraiment urgent pour la liberté et la dignité des peuples, s'il est réel que selon certains de leurs textes sacrés corrompus, les sionistes mondialistes comptent déshonorablement avoir chacun 2800 esclaves non-juifs lors de l'hégémonie d'Israël, alors que les juifs ont pourtant connu la difficile servitude de l'indigne esclavage des pharaons pendant 400 ans.
Ce qui ne serait pas étonnant puisque certains juifs ultra-orthodoxes israéliens considèrent les non juifs moins que des chiens ou des animaux esclaves par leur foi au Talmud qui est un livre religieux impie puisque regroupant les commentaires de rabbins égarés voire diaboliques. C'est par de telles raisons que Pierre Hillard explique que les talmudistes sont la synagogue de Satan.
Du point de vue talmudique seuls les juifs sont humains car possédants deux âmes, c'est à dire une animale et une spirituelle, alors les goyims (non juifs) ne possèdent que celle animale ? De cette logique tordue, les seules crimes contre l’humanité ne peuvent que concerner les humains-juifs, les animaux-palestiniens ne sont en rien concernés par ce concept unilatéral.
L'ignorance de ces textes, leur non dénonciation par les politiciens et les journalistes, l'abandon fréquent de les critiquer ou l'évitement de les proscrire par divers rabbins actuels sont source de très nombreux maux sur terre, surtout car les élites juives perverses, mondialistes ou/et sionistes fréquemment à la croyance légère voire hypocrite déclarent souvent véridiques le Talmud ou essayent de faire taire ceux qui dénoncent ces passages gravement erronés dans leur interprétation :
Talmud, Ereget Rashi Erod, 22-30 : Un goy est comme un chien.
Talmud, Kerithuth 6b, 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce sont des animaux (sauvages ou pouvant parfois êtres dressés/guidés).
« Yahvé, ton Dieu, marche lui-même devant toi ; c’est lui qui anéantira ces peuples devant toi pour que tu les dépossèdes. Josué sera ton guide, comme Yahvé l’a déclaré. Et le Seigneur les traitera comme il a traité Sihôn et Og, roi des Amorréens, et leur pays, qu’il a condamné à la ruine. Il mettra ces peuples à votre merci ; et vous procéderez à leur égard, en tout, selon l’ordre que je vous ai donné » (Bible Hébraïque, Deutéronome 32:3-5).
« Et l’on appliqua l’anathème à tout ce qui était dans la ville ; hommes et femmes, enfants et vieillards, jusqu’aux bœufs, aux brebis et aux ânes, tout périt par l’épée. » (Bible Hébraïque, Josué 6:21)
« Et les gens d’Aï furent enveloppés par Israël de toutes parts. Israël les battit, sans leur laisser un survivant ni un fuyard. » (Bible Hébraïque, Josué 8:22)
« Josué battit tout le pays, la montagne, le midi, la plaine et les coteaux, et il en battit tous les rois ; il ne laissa échapper personne, et il extermina tout ce qui respirait, comme l’avait ordonné Yahvé, le Dieud’Israël. » (Bible Hébraïque, Josué 10:40)
(S41v45) « Nous avons effectivement donné à Moïse le Livre. Puis, il y eut controverse (divergence) là-dessus. Et si ce n'était une parole préalable de ton Seigneur, on aurait certainement tranché entre eux (avant l'égarement des sionistes vers le faux messie à cause du Talmud). Ils sont vraiment, à son sujet (d'autant plus sans suivre le tranchement divin à travers la venue des Prophètes Jésus et Mouhamed), dans un doute troublant. »
Il faut noter que les paroles talmudiques précédentes auraient pu être valables du temps où les juifs dans l'antiquité combattaient les barbares tant qu'ils n'obtenaient pas la foi authentique ou ne se civilisaient pas, et que le sens originel non corrompu du mot « goy » signifierait seulement non juif.  Mais avec la venue de Jésus le Messie, les juifs sont encore moins les seuls descendants honorables et véritables d'Adam, car toute l'humanité actuelle l'est aussi :
(S8v55) « Les pires bêtes auprès d'Allah sont ceux qui sont restés infidèles et qui ne croient donc point, »
(S5v59/60) « Dis : “Ô gens du Livre (Bible) ! Est-ce que vous nous reprochez autre chose que de croire en Allah, à ce qu'on a fait descendre vers nous (Coran), et à ce qu'on a fait descendre auparavant (Thora, Evangile) ? Mais la plupart d'entre vous sont des pervers. Dis : “Puis-je vous informer ce qu'il y a de pire en fait de rétribution auprès d'Allah ? Celui qu'Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs (possiblement seulement dans leur perception de l'apparence de leur propre tête), de même celui qui a adoré le Tagut (Diable), ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit.” »