B) Contexte international (suite 4)
Médicaux dont par rapport à la période Covid :
-techniques fines de manipulation du vivant à l’échelle génétique. Or les possibilités de plus en plus fines d’agir sur le vivant amènent heureusement à de nombreux « ratages » qui éveillent la conscience critique.
-« De l’École normale supérieure aux Nations unies, Jérémie Mercier a forgé son esprit critique au contact des institutions. Son constat est sans appel : la virologie, fondée sur des « bases non scientifiques » avec d'ailleurs aucune correspondance de doctorat, et la médecine moderne, « corrompue par l’industrie pharmaceutique », trahissent leur mission. Pour lui, les médecins, souvent inconscients de leur manque de rigueur scientifique, perpétuent un système dangereux. Covid, vaccins et autoguérison : la désillusion Lors de la pandémie, Jérémie a vu une « arnaque gigantesque » se déployer, des masques inutiles aux vaccins aux effets dévastateurs. Il prône une santé holistique, loin des protocoles officiels : « Le corps sait guérir, mais on lui en refuse les moyens. » Un discours qui lui vaut des ennuis avec les autorités… mais séduit un public en quête de vérité. » (Média en 4-4-2)
-prix Nobel de médecine 2023 ayant été attribué à Katalin Kariko et Drew Weissman, pour leurs travaux sur traitement injectable à ARN messager, ce qui est un scandale absolu et corruption de l’industrie pharmaceutique. En effet c'est un prix Nobel de médecine pour des apprentis sorciers grassement financés par les laboratoires pharmaceutiques et promus par les médias de masse soumis au système. Surtout que ce prix Nobel a été décerné par le Carolina Institute, qui est financé par Pfizer et par l’Institut Bill et Melinda Gates, eux-mêmes actionnaires dans Pfizer et BioNtech. Cette connexion financière entre les institutions qui attribuent le prix et les entreprises concernées soulève des doutes quant à l’indépendance de cette distinction. Cette récompense apparaît donc comme une promotion industrielle plutôt qu’une reconnaissance scientifique légitime. D'ailleurs le traitement à ARN messager récompensé par le prix Nobel n’empêche pas la contamination, ne garantit pas une protection totale contre la maladie, et nécessite également des doses répétées, ce qui remet en question son efficacité réelle.
-coût exorbitant de certains médicaments provenant de la corruption entre laboratoires, industrie pharmaceutique et responsables politiques, pourtant souvent malgré un petit coût de production parfois vendu jusqu'à mille fois plus cher. L'industrie pharmaceutique mondiale pèse aujourd'hui 1607 milliards de dollars, soit l'équivalent du PIB de la Corée du Sud ou de l'Australie. En 25 ans jusqu'à 2024, le secteur a multiplié sa valeur par quatre, avec une croissance particulièrement marquée depuis la "pandémie" de COVID-19. Dans les médias mainstream, on en arrive à dire que la maladie est incurable mais que le vaccin va nous sauver. Surtout que comme tout est fait pour empêcher les protocoles de santé publique sérieux de s’appliquer, une seule politique se met en œuvre : celle de la panique organisée. D'autant plus que le problème depuis des années est que l'industrie pharmaceutique n’a plus grand-chose à découvrir. Certains scientifiques affirment même que les grandes sociétés pharmaceutiques (recherchant en plus souvent le brevet de la création chimique plutôt que des solutions naturelles) n'ont rien compris au fonctionnement du corps humain. Or comme l'industrie pharmaceutique cherche à gagner toujours plus d’argent, elle en arrive à vendre des produits qui ont peu d’intérêt. Et elle y parvient par la corruption et le lobbying, alors que depuis des décennies, les dépenses médicales se sont continuellement accrues sans pour autant que le peuple ne bénéficie d'une amélioration généralisée des niveaux de santé. Le système médical va même jusqu'à nous amener à une dépendance envers lui dont par les effets secondaires et l'accoutumance. En clair : on ne prend aucune décision, on attend, on mobilise des milliards (la fameuse « levée de fonds ») pour la « recherche », on vend des médicaments, on teste des traitements et on promet un vaccin efficace qui n’arrive jamais. Dans le cas du SIDA, cette cavalerie court depuis 40 ans. Combien de temps va-t-elle durer pour le Covid-19 ? Tout le monde peut donc remarquer que l'industrialisation médicale n'a pas fait reculer la mort ni créer de meilleure santé, mais plutôt provoquer de la perte de liberté dans nos choix sanitaires et de la soumission au système pharmaceutique. Las, le profit a même fini par peser beaucoup plus lourd dans la balance que le soin, car une population malade ou convaincue de l’être est une manne éternelle pour ces grands groupes (Big Pharma). On a donc surmédicamenté une population frileuse, de plus en plus asphyxiée par le sacro-saint principe de précaution, une population fragilisée par toutes sortes de maladies plus ou moins imaginaires ou exagérées, ou alors carrément inguérissables, mais qui généraient des budgets de recherche pharaoniques (cancer, sida). Tout devenait un marché, une pathologie à éradiquer : la tristesse, l’ennui, l’angoisse, la peur, ces choses tout à fait naturelles que l’on peut combattre par l’information, la religion, la bonne action ou le plaisir. Oui mais l’info ou le plaisir, ça ne rapporte rien. Il fallait du médicament. Et on en a eu : les populations occidentales se sont mis à consommer tout et n’importe quoi, jusqu’à abîmer leur santé. Les gens qui ne dorment plus qu’à coups de somnifères et ne se réveillent plus qu’à coups d’excitants, ce n'est pas la santé. Beaucoup de médecins ont prescrit et prescrivent encore ce que les commerciaux (très bien payés) des sociétés du Big Pharma leur ont conseillé de vendre. Tous y gagnent, et l’homme occidental devient un malade en puissance à la recherche d’une santé parfaite qu’il ne trouvera jamais. À trop pousser le bouchon, le Big Pharma et ses commerciaux ont rebuté les populations qui ont finalement pris en charge leur santé, faisant plus confiance à leur instinct et à des médecins honnêtes qu’à des néolibéraux déguisés avec des blouses blanches ou à des politiciens prenant le pouvoir sur le choix de prescription des médecins. A ce sujet il est intéressant de lire et signer la « Déclaration des praticiens – Global summit covid – Rome » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/04/declaration-des-praticiens-global-summit-covid-rome/ Le Big Pharma tue plus que le coronavirus. Certains chiffres sont particulièrement angoissants : chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe à la suite d’effets médicamenteux qualifiés de « secondaires ». Les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies. L’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. D'ailleurs ces derniers affaiblissent aussi beaucoup les signes corporels du genre masculin ou féminin. Dans ce sens comme l'explique le Professeur Joyeux, l'industrie pharmaceutique corrompt aussi cupidement les politiciens pour obliger dangereusement la vaccination excessive de 11 vaccins aux jeunes enfants, alors que des statistiques montrent que le développement national, la prévention, la surveillance, l'endiguement, la bonne hygiène de vie et les bonnes normes sociales sont plus efficaces contre les épidémies que les vaccins. En effet quand le niveau de vie s'élève, les maladies régressent partout de la même façon, que les sujets soient vaccinés ou non. Or on ne peut consommer de la vrai prévention médicale que lorsque les comportements voulant la transmettre sont gratuits : cuisiner maison, accompagner à pieds ses enfants à l'école, partager la bonne humeur, donner généreusement, ou se coucher plus tôt avec un bon livre. Mais avec l'apparition des check up médicaux se prétendant préventifs alors que souvent mis en avant voire tendant à devenir obligatoires, une nouvelle manifestation de la financiarisation, de l'oppression et du contrôle de la médecine moderne étatique ou de multinationales est apparue. De plus cela entraîne la patient potentiel à se comporter en permanence comme un objet dont le médecin a la charge, alors que c'est exactement de cette façon qu'on se transforme en patient à vie. Or il n'y a donc pas que le médicament qui soigne miraculeusement, et il existe aussi la médecine prophétique, le naturel, le placebo, la bonne hygiène de vie dont le sport et la bonne alimentation physique, intellectuelle, et mentale. Mais le symbolisme de la médecine actuelle comme les blouses blanches reprend souvent cupidement ces rôles. Pour préserver voire augmenter le rendement de l'industrie pharmaco-chimique, l'industrie agroalimentaire appartenant généralement aux mêmes gros actionnaires crée souvent des aliments en partie toxiques, afin que cette industrie pharmaco-chimique puisse affirmer pouvoir désintoxiquer les malades. En effet comme tout cela rapporte énormément d'argent, les membres de ce système pervers assoient en plus leur pseudo sérieux sur l'achat de scientifiques médiocres voire corrompus pour signer leurs études incorrectes, alors que leurs médicaments traitent principalement les symptômes plutôt que la maladie pour pouvoir toujours en vendre. Ainsi Big Pharma (l'industrie pharmaceutique) est constamment tentée de créer des médicaments peu efficaces mais chers pour s'enrichir toujours plus. Ces études dont sur le covid sont d'ailleurs souvent d'autant plus fausses par rapport aux points suivants : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays, et lien entre l'Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé. Cette mainmise mondiale oppressive de l’industrie pharmaco-chimique sur la santé va jusqu'à en faire le premier marché mondial, c'est à dire avant ceux des armes ou du pétrole. Selon l'ONU, ce marché est donc même le plus corrompu du monde, surtout qu'il correspond en plus à la glu qui bloque toute saine action ou tout véritable progrès au niveau médical, qu’il soit scientifique ou thérapeutique. Ainsi le but final de cette industrie pharmaco-chimique ne peut qu'être de détruire l’immunité pour que les gens soient malades de tout, tout le temps. D'ailleurs pendant le Covid, l'impact sur la santé mentale, morale et physique des prétendues mesures sanitaire provenant d'obscurs comités scientifiques liés à l'industrie pharmaceutique a diminué l'immunité naturelle, sans parler des vaccins ARN qui pourraient l'avoir diminuée pour longtemps. En effet quoi de mieux pour ne plus développer l'immunité personnelle et collective des êtres humains que de les contraindre à ne plus se contacter entre eux, à ne plus s’exposer au soleil par des confinements, à ne plus se connecter à la nature qui une protection pour la santé, à ne plus respirer correctement à cause des masques (car la respiration c’est l’oxygénation du corps, l’oxygène c’est alcalin et l’alcalinité c’est anti-maladies), à développer l'hypocondrie généralisée, à augmenter les violences dans les pensionnats et les familles, à ne plus s'entretenir physiquement ni mentalement par la fermeture des salles de sport et l'interdiction des sports collectifs, et à leur faire diminuer l’espoir, la pensée positive et la méditation par l'imposition médiatique de la peur et du conseil d'éviter leur renforcement corporel par la supplémentation nutritionnelle tels que la vitamine D, la vitamine C, le zinc, les probiotiques et bien d’autres. Surtout que la peur amène de l'autosuggestion pouvant devenir auto-persuasion d'avoir le covid quelle que soit l'origine de certains symptômes. Or ajouter à cette terreur malfaisante de la distanciation sociale est réellement synonyme de maltraitance (psychologique et sanitaire) pour les enfants, d'autant plus quand ils portent des masques humiliants et étouffants à l'école augmentant les problèmes bactériologiques devant leurs bouches pendant 8 heures. Alors que quel que soit l’âge, il est donc reconnu que la médecine préventive dont à travers la bonne hygiène de vie augmente les défenses immunitaires de l'être humain : air extérieur de la nature respiré, lumière naturelle, espace vital, activité physique, cadre de vie, rythmes circadiens suivis (bon sommeil la nuit et bon dosage alimentaire et courte sieste le jour), activités scolaires ou professionnelles (perturbés par la vie en confinement), bonne alimentation, hygiène corporelle, conditions des repas, bonne humeur psychique. En effet de nombreuses études ont montré qu’une humeur dépressive (a fortiori une dépression), de même qu’une anxiété chronique ou trop de stress, diminuent les défenses immunitaires de celui qui en souffre. Or les facteurs sociaux jouent un grand rôle dans ces états psychiques, et la cohésion du groupe ainsi que la qualité des relations affectives avec l’entourage sont des éléments importants à ne pas oublier dans leur prévention ou leur traitement. Pour les plus jeunes, qui ont moins de moyens de prise de distance émotionnelle que les adultes, le port du masque, la distance sociale, les injonctions de peur, les lavages de mains répétés, les tests nasaux, les interdictions de loisirs et d'activités, et même le confinement ont donc été gravement à l’encontre des éléments favorables au développement d’une bonne immunité personnelle surtout que très liée à la bonne santé physique et psychique. Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son admirable et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, a dit que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente de leurs médicaments ». Il y a également précisé : « les médicaments et les vaccins ne doivent pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde, et vous n’aurez plus jamais (beaucoup moins) de virus en circulation, car les virus sont créés pour que des vaccins (chimiques et donc non naturels) soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits ». Concernant la lutte contre les maladies, il est pourtant unanimement reconnu que la médecine prophétique était à base de plantes et de produits naturels. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'actuelle pieuse médecine naturelle peu chère voire gratuite à base de plantes (homéopathie) est attaquée dont à travers des dénigrements par la perverse industrie pharmaceutique chimique (artificielle) lucrative. Passages résumés de l'émission « Le b.a.-ba de Béa Bach #15 – Némésis médicale : les illusions de l’entreprise médicale » écoutable à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-b-a-ba-de-Bea-Bach-15-Nemesis-medicale-les-illusions-de-l-entreprise-medicale-66304.html : « Il faut se méfier des études de l'industrie médicale, comme celle précisant que ceux qui ont une densité osseuse plus importante ont moins de fractures, alors que les habitants des pays nordiques qui consomment beaucoup de produits laitiers ont un densité osseuse plus importante mais plus fragile que les habitants d'Asie consommant beaucoup de soja. … Le médicament moderne a joué un rôle mineur voire sans effet contre les infections et les morts de maladies. Ce sont des traitements peu chers, non chimiques et souvent traditionnels liés à une bonne hygiène de vie qui ont le meilleur impact. Ce que veulent les plus dignes gens de la médecine authentique, c'est qu'il y ait moins de morts et moins de souffrance lors de la mort, et c'est aussi qu'on vive plus longtemps, avec moins d'inconfort, avec plus de mobilité, avec moins d'incapacité, avec plus d'entrain et de joie de vivre, avec moins de médicaments (en particulier pour les personnes âgées), et surtout qu'on soit autonome plus longtemps : c'est simple finalement tout le reste n'est que baratin. » Béa Bach rajoute ailleurs : « La science médicale ne veut pas en entendre parler de l'effet placebo. Pour elle grâce au placebo, le corps guérit pour de mauvaises raisons(, alors que de nombreuses maladies sont psychosomatiques et que rassurer et donc renforcer mentalement même par le placebo ne peut évidemment qu'améliorer la guérison de toute maladie). Or à cause de l’effet nocebo (mauvais effets du médicaments à cause du doute ou du rejet psychologique du patient), l’injecté se fait souffrir lui même. Décidément (avec ce système), le malade a toujours tout faux ! Ce qui manque le plus à la médecine actuelle, c’est un vrai bon sens. C’est aussi un intérêt humaniste pour le malade. Car si le but était de guérir et de réconforter, on encouragerait par tous les moyens l’effet placebo, non seulement dans les protocoles hospitaliers mis à l’honneur dans les émissions grand public, mais aussi en accompagnant réellement le malade dans une grand bienveillance (non cupide) et une grande écoute (non sectaire). Si le but était de guérir ou de soulager, on se détournerait de tout ce qui est susceptible de générer un effet nocebo, et dans le doute, on irait jusqu'à s’abstenir. Les médecins se concentreraient principalement sur l’aspect pratique de leur sacerdoce : diminuer la souffrance, supprimer les substances et les pratiques à effets secondaires, augmenter la résistance du sujets, maintenir son autonomie. La vocation médicale existe-t-elle toujours ? (Lors du Covid) Certains médecins nous ont prouvé le contraire par leur agissements ou leur absence de réaction. Ils ont montré qu’ils préféraient chercher à maintenir la cohérence de leur système de croyance plutôt que de remettre certains dogmes en question, qu’ils préfèrent disserter plutôt que soigner, qu’ils sont des techniciens appliquant des protocoles. La vaccination des enfants, injustifiable ni par la logique ni par la morale, en est l’exemple le plus douloureux. De ces médecins-là, il faut se détourner. Mais avec les médecins sérieux, les bons thérapeutes de tout horizon, les malades et les bien-portants souhaitant le rester, nous ne devons pas oublier de nous rassembler sur des valeurs qui nous conviennent. En effet d’illustres médecins ont montré l’exemple d’une praxis fondée, tant sur une éthique irréprochable, que sur des résultats thérapeutiques probants. Il s’agit d’un croisement de compétences rares, motivé par la capacité à se mettre au service des personnes qui souffrent, ni pour sa propre gloire, ni non plus pour « faire avancer la science », mais bien pour aider chacun à retrouver sainement le chemin de la santé. Il serait très intéressant de se demander aujourd’hui, qui, et sur quels critères, peut se revendiquer du titre de maître dans l’art de guérir. Car ce n’est pas le discours qui fait défaut, ce sont les moyens de l’appliquer, la réalité de la formation, la réalité de terrain, et surtout les résultats. » « En Belgique la révolte médicale commence à souffler, car des poursuites ordinales incroyablement iniques ont frappé certains de leurs praticiens, dont le seul crime fut juste de tenter d’avertir leurs pairs et leurs patients, en temps de Covid, du danger encouru par l’ensemble de leurs compatriotes. Produits pharmaceutiques inconnus à la recherche bâclée et aux publications scientifiques frauduleuses, privations de liberté inadmissibles, masquage généralisé inepte, interdiction de soigner, corruption généralisée et pour finir censure systématique des opposants à la propagande officielle toujours en cours… Voici un dépôt de plainte qui devrait faire jurisprudence. La Belgique doit immédiatement cesser d’importuner ses héros, dont certains font depuis longtemps l’admiration de tous pour se préparer à les décorer au plus vite. Cette plainte a été déposée contre l’Ordre National des Médecins pour demander la protection des requérants en tant que lanceurs d’alerte. Les requérants ont dénoncé l’obligation qui leur était imposée de promouvoir la campagne de vaccination contre le Covid-19, qui portait atteinte à des normes légales et déontologiques européennes et/ou belges. Ils ont également signalé que la campagne de vaccination entraînait une violation du secret professionnel et des règles du RGPD garantissant la protection des données personnelles. Suite à ces alertes, les requérants ont fait l’objet de poursuites disciplinaires causant de graves préjudices matériels et moraux. La plainte vise à obtenir la protection du Tribunal contre ces représailles. » (Média en 4-4-2) « Si l’on veut bien se pencher sur l’évolution de la médecine, sa praxis et ses résultats, il est difficile de conserver intacte sa foi dans les fameux progrès. Que les pratiques évoluent, soit. Que certaines pratiques soient remplacées par d’autres plus performantes, tant mieux. Si seulement c’était le cas... Dans les faits, il existe une petite donnée nommée « le marché de la santé » qui perturbe l’équation... Le libéralisme a engendré le pire : le business de la santé. Et dans ce monde de la santé : il y a les "Hippocrates", ceux qui sont intègres, et il y a les "Hypocrites", ceux qui sont à désintégrer. Appliquer à la santé et aux services sociaux les méthodes du fonctionnement du marché revient à prendre la compétitivité, le bénéfice et les intérêts des actionnaires comme moteurs de développement. La politique sociale, de l’échelon local à l’échelon national en a payé le prix. L’accessibilité de l’offre dans les régions plus pauvres ou rurales a sacrément été mise en péril, et les principes de solidarité, de qualité, et d’accessibilité n’y ont pas résisté. Qu’est devenu le droit à des soins identiques, de qualité et abordables, en toutes circonstances ? On connaît parfaitement l’impact de l’inégalité sociale sur la santé, qui se traduit par une réduction importante de l’espérance de vie. Quelles que soient les fluctuations de l’espérance de vie dans la population générale, l’inégalité sociale face à la mort demeure. En outre, la marchandisation de la santé à permis de réaliser des économies aux dépens du personnel et de la qualité. Le personnel employé dans secteur de la santé a été lui aussi victime de la rentabilité : salaires plus bas, effectifs réduits, flexibilité imposée. Le niveau de vie de ces travailleurs, tout comme le bien-être des malades, a considérablement périclité. » (Extrait de l'article « L’impasse de la médecine contemporaine » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-impasse-de-la-medecine-contemporaine-57226.html ») D'ailleurs la quasi inutilité du vaccin Covid a d'ailleurs été officiellement admise en Suisse par la plus haute autorité sanitaire qui a envoyé un courrier destiné aux professionnels. Pourtant le Serment d’Hippocrate présent sur le site du Conseil de l’Ordre demande clairement d'éviter toutes les graves dérives qui viennent d'être évoquées dans ce point. Des parties de ce serment pour aussi être utilisé dans d'autres domaines : « Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité. J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité. Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque. » Ainsi la série d'études menées dans l'ombre par un groupe de scientifiques sans visage ébranle la confiance en la recherche médicale, car les conclusions falsifiées pour discréditer des remèdes tels que l'hydroxychloroquine et l'Ivermectine sèment le doute quant à l'intégrité de ces travaux. Cette tactique sournoise ne vise qu'à servir des intérêts particuliers, notamment ceux de l'industrie pharmaceutique. Derrière ce jeu trouble se cache une série de manœuvres insidieuses. La falsification délibérée d’études pour discréditer des remèdes reconnus parmi les plus fiables de la pharmacopée s’est avérée être une stratégie récurrente. Ces actions malveillantes sont alimentées par un harcèlement constant envers les scientifiques qui remettent en question les intérêts de l’industrie pharmaceutique, perturbant ainsi leur travail et leur recherche. Les exemples ne manquent pas. Il est crucial de reconnaître que cette tromperie généralisée déforme la réalité scientifique et compromet la confiance du public envers les avancées médicales. Suite à l'Assemblée nationale ayant approuvé le 15/02/2023, la création d’un nouveau délit de « provocation à l’abandon de soins » passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros, dans le projet de loi de lutte contre les dérives sectaire, de nombreuses analyses voire de vives réactions ont été produites à ce sujet : .atteinte à la liberté d'expression et nouvelle étape vers un État totalitaire. .tendance inquiétante de restriction des libertés individuelles. .inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la possibilité pour les citoyens de remettre en question les politiques de santé publique. .similitude avec la loi Gayssot portant sur la répression de la contestation des crimes contre l’humanité qui fut perçue comme une atteinte à la liberté d’expression par des politiciens de droite. Jacques Toubon, exprimant son désaccord, déclarait : « Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire ». « Après avoir restreint la liberté de recherche pour les historiens, le gouvernement semble désormais entraver la liberté d’expression des scientifiques. Cette tendance inquiétante pourrait conduire les citoyens à devoir se fier uniquement aux décisions politiques influencées par l’industrie pharmaceutique. C’est comme si le silence autour de la loi Gayssot avait donné le feu vert pour la mise en place de l’article 4. Cela montre clairement comment restreindre la liberté d’expression peut ouvrir la porte à davantage de mesures restrictives, et souligne donc l’importance cruciale de lutter contre toutes les injustices qui restreignent la liberté d’expression. En laissant une restriction passer sans réagir, nous risquons d’ouvrir la porte à d’autres formes d’oppression et de censure. Il est essentiel de défendre activement la liberté d’expression pour préserver nos droits fondamentaux et maintenir un dialogue ouvert et démocratique dans la société. » (Média en 4-4-2) « Proposition de loi visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste, antisémite ou discriminatoire a été émise. Voilà l’intitulé d’une loi, votée en première lecture par l’Assemblée nationale et dont tous les médias et tous les politiciens devraient parler. Il s’agit d’une nouvelle loi scélérate, destinée à museler toujours plus la liberté d’expression, dont les implications sont cauchemardesques. Nous reproduisons ici le fil Twitter de Xavier Van Lierde, journaliste à Radio Courtoisie, qui décrypte l’incroyable mécanisme liberticide derrière cette loi. Je me suis infligé de regarder la séance de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen de la loi proposant de faire des propos privés jugés discriminatoires, un délit. C’est un spectacle éprouvant tant il révèle la dérive liberticide et totalitaire de notre société. C'est réellement totalitaire : Pas un député pour s’inquiéter de l’extension du délit d’opinion à la sphère privée, alors que l’abolition de la frontière entre public et privé caractérise le totalitarisme. Preuve de cette dimension totalitaire, ces délits seront instruits sur… “délation” ! On va vers le tout discriminatoire : Pour faire passer en douce ce projet totalitaire, les députés mettent en avant la hausse de l’antisémitisme. Mais la loi vise en fait tous les propos prétendument discriminatoires : par exemple, les propos relatifs à l’orientation sexuelle. Exemple concret : Un parent qui argumente en famille contre la “transition de genre” de son enfant au motif qu’un être humain ne peut changer de sexe pourra-t-il demain être poursuivi pour “propos discriminatoire” par l’association LGBT qui tient son enfant sous son emprise ? Il s'agit d'une police de la pensée : Comme les précédentes lois anti-discriminations, celle-ci ne vise pas seulement les “actes” mais les “propos”. La conséquence inévitable est l’instauration d’une “police de le pensée” chargée de traquer les propos divergents jusque dans la sphère privée. Vers une extension à tous les sujets de controverse ? Dès lors que cette intrusion dans la sphère privée sera validée, pourquoi ne s’étendrait-elle pas à d’autres sujets de controverses. Au hasard : les politiques sanitaires, les questions climatiques, géopolitiques… Conclusion : Quelles que soient ses intentions (chaque député y mettra les siennes), cette loi enclenche une effroyable mécanique liberticide et totalitaire que tous les amoureux de la pensée libre devraient combattre de toutes leurs forces. On peut (encore) rêver… (Article « Une loi liberticide et totalitaire réprimant les propos privés a été votée » de Xavier Van Lierde) « L’oligarchie dispose de deux armes pour réduire la liberté d’expression : l’accusation de fascisme, qui sert pour les médias, et l’accusation de secte, qui sert pour la justice. La première est utilisée massivement dans les médias mainstream pour maintenir le grand public dans un enclos mental qui permet à l’oligarchie de continuer à dominer, exploiter et punir. La seconde est utilisée pour transformer une personnalité ou un collectif de résistance en entreprise de soumission mentale, et parfois physique. Il est alors loisible de condamner les dérives sectaires, qui ne sont telles que par rapport à un ordre donné, celui qui assure à l’oligarchie sa domination. Or, par une inversion accusatoire que toutes les personnes lucides connaissent, c’est l’oligarchie qui fonctionne de manière sectaire, avec une dérive permanente par rapport à la démocratie et aux valeurs proclamées de la République, qu’elle viole structurellement. Elle incarne aussi objectivement le fascisme d’aujourd’hui, avec son monopole de la vérité et de la violence. Le pouvoir exécutif du Président correspond au ministère de la Vérité, le pouvoir répressif de l’Intérieur à celui de la Violence. Devant la tyrannie sanitaire établie par les gouvernements en lien avec les multinationales du Big Pharma et du Big Tech depuis 2020, ceux qui ont tenté de résister ont été qualifiés de terroristes ou de sectaires. Devant la défiance croissante de la population, qui refuse aujourd’hui massivement de se faire « vacciner », une loi, établie par la même coproduction politico-multinationale, cherche à interdire le refus de gober les médicaments et les pseudo-vaccins industriels. Le soin alternatif, l’automédication et l’indépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique sont évidemment visés derrière cette loi. Un homme symbolise la reprise en main de sa santé au détriment du Big Pharma, c’est Thierry Casasnovas. Persécuté depuis le début du covidisme pour avoir tenu un discours libre qui ne cadrait pas avec le Nouvel Ordre sanitaire, il fait aujourd’hui l’objet d’une attention toute particulière du ministère de la Violence. La presse, qui a perdu toute indépendance et toute crédibilité, appuie la violence gouvernementale par une désinformation permanente, qui la mène pourtant à la faillite. C’est pourquoi résister, même quand on a l’air de perdre, est si important : toute résistance affaiblit le Système médiatico-politique, la violence croissante de ce dernier en est la preuve. Un Système accepté par tous, c’est-à-dire solide, n’a pas besoin de la violence pour se maintenir. La violence est donc consubstantielle à la fragilité d’un Système. Depuis les Gilets jaunes, le macronisme, cette extension politique de la Banque, a montré toute sa faiblesse. Un jour, pour se maintenir, devra-t-il tuer des Français ? » (Rédaction ER) Mais « Pierre Barnérias, réalisateur de « Hold-Up », et les producteurs du film accusent l’AFP d’avoir décrété comme faux des éléments concrets, tels que l’existence d’un projet de passeport vaccinal avant la crise du Covid et l’absence de traitements préventifs efficaces. Ces affirmations, pourtant corroborées par des recherches et des témoignages d’experts, ont été systématiquement discréditées par l’agence de presse. L’AFP est également accusée de harcèlement et de destruction de réputation, notamment en décrétant comme faux des éléments véridiques. De plus, l’AFP a démenti les affirmations de Pierre Barnérias sur l’absence de traitements préventifs efficaces, alors que des experts comme Robert Kennedy Jr. ont confirmé ces allégations. Ce procès met en lumière les pratiques de désinformation et de censure de l’AFP, qui a joué un rôle clé dans la propagande autour du Covid. La campagne de presse massive contre « Hold-Up » a conduit à la censure du film sur des plateformes comme Vimeo et à la confiscation de cagnottes. Or le parquet a soulevé une exception de nullité, arguant que la plainte initiale n’aurait pas été parfaitement rédigée. Cette manœuvre, qualifiée de « gag » par l’avocat de Pierre Barnérias, a été interprétée comme une tentative de gagner du temps. La présidente du tribunal a décidé de reporter la décision au 17 octobre, laissant les parties dans l’incertitude. L’avocat de Pierre Barnérias a exprimé sa frustration face à cette décision, soulignant que des témoins clés n’ont pas été entendus. Cette affaire met en lumière les dysfonctionnements du système judiciaire et la difficulté de faire entendre des voix dissidentes. Le procès, qui devait être une occasion de débattre des pratiques de l’AFP, se transforme en une attente interminable. » (Média en 4-4-2) D'ailleurs « D’un côté, nous avons eu un ministre vendant aux Français des vaccins « sûrs et efficaces », de l’autre des scientifiques faisant de la recherche. D’un côté les intérêts économiques, de l’autre la science. Les infectiologues Christian Perronne et Didier Raoult ont conclu : les produits expérimentaux à ARNm sont inutiles et dangereux. Les laboratoires se défendent. Les procès des blouses blanches ont frappé la recherche. Didier Raoult a été interdit d’exercer pendant deux ans par l’ordre des Médecins. Christian Perronne a été démis de ses fonctions, mais… tous deux sont à la retraite. Leur condamnation arrive trop tard pour faire obstacle à leur carrière. Le grand public connaît ces deux personnalités. Cela a certainement joué en leur faveur. En revanche, lorsque des médecins peu connus ont mis en doute la parole du divin Véran, les condamnations ont été impitoyables, brisant les carrières, anéantissant les ressources. Le Dr Amine Umlil a été révoqué de ses fonctions par l’Ordre des Pharmaciens et le Dr Denis Agret vient d’être radié à vie de l’ordre des Médecins. Connus ou inconnus, tous les médecins qui ont critiqué l’efficacité et l’innocuité des produits expérimentaux à ARNm ont été traités d’antivax par les médias de milliardaires. À l’unanimité. Remettre en cause ce que des laboratoires comme Pfizer (104 condamnations, pour charlatanisme, etc., 11 155 883 623 $ d’amendes), ou AstraZeneca (32 condamnations pour escroquerie, etc, 1 539 362 457 € d’amendes) présentent comme des produits expérimentaux, mais « prometteurs », revient à s’afficher contre tous les vaccins quels qu’ils soient. En complément des insultes, des médias tentent des explications. Par exemple Le Monde, le premier bénéficiaire des aides à la presse (18,99 millions en 2023) et heureux bénéficiaire de 5,5 millions d’euros donnés par la Fondation Bil & Melinda Gates depuis 2015, c’est dire s’il est indépendant ! Comment va-t-il faire la preuve des bienfaits des « vaccins » à ARNm ? À la question : Faut-il continuer d’utiliser le vaccin d’AstraZeneca en France ? Voici la réponse du Monde en 2021 : « Au Danemark et dans une poignée d’autres pays, il [le vaccin AstraZeneca] est aujourd’hui interdit dans la lutte contre le Covid-19. Raison invoquée : ce vaccin peut entraîner des décès dus à des thromboses atypiques (des troubles hémorragiques). Ces effets secondaires étant exactement les mêmes en France, pourquoi continuons-nous de vacciner massivement la population ? La France prend-elle un risque que ne serait pas prêt à prendre le Danemark ? Non. La réponse se trouve ailleurs. Pour comprendre, il faut regarder ce qu’on appelle la balance entre les bénéfices et les risques. Et celle-ci n’est pas la même dans tous les pays. » Les effets secondaires du vaccin AstraZeneca sont les mêmes en France qu’ailleurs. Le Monde ne le met met pas en doute, mais… la balance bénéfices/ risques n’est pas la même. Allez comprendre ! à moins de compter les bénéfices en dollars ou en euros, au lieu d’avantages pour la santé… Là on comprend mieux. Pourtant la France a fini par se passer du vaccin AstraZeneca. On se demande bien pourquoi. Eh bien, aujourd’hui Le Monde nous prie de croire que « AstraZeneca retire de la vente son vaccin contre le Covid-19 pour des « raisons commerciales » » tout en ajoutant des guillemets à commerciales. Est-ce un signe d’indépendance journalistique ? En tout cas l’article ne poussera pas plus loin l’impertinence. Même indéfendables, les laboratoires restent intouchables. L’argent reste un sujet tabou en France. Dans le match qui opposait David Raoult à Goliath Pfizer, le lobby pharmaceutique a remporté la victoire par K.O. technique de son adversaire. Le terrain, bien préparé par de multiples arrosages, a été décidément favorable à Pfizer. » (Média en 4-4-2) « Le fonds de pension américain CD & R rachète le Doliprane à Sanofi pour 15 milliards d'euros. Encore un produit français qui va passer entre des mains américaines... On a l'habitude, mais là on est sur du stratégique. On manquait de paracétamol pendant le Covid. On se disait : "Ah, il faudrait vraiment relocaliser, reconquérir notre souveraineté médicale." Et dire que Manu nous expliquait ceci en juin 2023 : "Produire en France des médicaments essentiels à nos vies, voilà notre objectif." Mais en plus de cela, on apprend que Sanofi ne va pas faire que vendre Doliprane aux Américains mais tous les médicaments qui ne sont pas prescrits sous ordonnance. Donc, c’est tout ce que vous pouvez acheter que vous voyez en première rangée chez le pharmacien. Comment le gouvernement peut-il être complice de ce scandale ? Comment peut-on entretenir des groupes qui utilisent l’argent public pour orienter leur production de médicaments vers la plus grande rentabilité possible ? » (Média en 4-4-2) Ainsi les médicaments ne suffisant pas à soigner les malades pour les rendre accros prouvent que la guérison et la santé peuvent d'abord être une question de conscience et de culture générale.
-décisions politiques sanitaires basées donc sur d'obscurs comités d'experts tout de même connus pour leurs liens avec l'industrie pharmaceutique, en particulier pendant le covid. C'est à dire que la relation incestueuse de la science, des politiques et des médias a désinformé et manipulé les peuples. Face au fléau du Covid, les États développés ont étrangement réagi en décrétant des fermetures de frontières, des couvre-feux, des fermetures administratives d’entreprise, voire des confinements généralisés. D'ailleurs selon divers professeurs, il n’y avait aucune évidence que le confinement serve à quelque chose, et il a donc probablement servi à autre chose. Or quand on prend une vue d'ensemble, on se rend compte que ce confinement était une tentative ou une étape pour s'orienter vers le nouveau paradigme économique et social voulu par les mondialistes. Surtout que c’était une première dans l’Histoire : jamais auparavant pour lutter contre une épidémie, on n’avait utilisé des confinements nationaux, c’est-à-dire des confinements de populations même saines. D'autant plus que cette mesure politique s’avère avoir été très coûteuse d’un point de vue éducationnel, psychologique, médical, social et économique, et que le nombre d’arrêts cardiaques a doublé pendant le confinement, ce qui confirme la nocivité, voire la dangerosité de cette technique anti-covid. Son efficacité s'est d'ailleurs limitée étrangement à interrompre seulement la propagation de la maladie dans les familles saines durant le confinement au prix de sa diffusion dans les familles dont une personne était déjà contaminée, puisque lorsque le confinement a été levé, la propagation du virus a ainsi repris immédiatement dans les familles saines car sans immunité collective. Surtout qu'un système immunodéprimé en particulier suite à deux mois de confinement est très fragile. Et comme la plupart des gouvernements ont adopté des mesures de confinement, non pas pour lutter contre la maladie (ce qu’elles ne peuvent pas), mais pour prévenir l’engorgement de leurs hôpitaux par manque de lits tout en diminuant des lits comme en France, cela indique encore le suivi d'un plan sournois. En effet contrairement à une idée répandue, le choix n’était pas entre la saturation des hôpitaux ou le confinement, mais entre la mobilisation dont militaire voire la réquisition des cliniques privées et le confinement, ce qui confirme encore l'existence d'un plan occulte. Or certains Etats ont aussi utilisé les mesures sanitaires par peur et pour le contrôle de leur population. En effet des gouverneurs américains et des présidents d'autres pays se sont servis du confinement, du masque sanitaire, de la distanciation sociale, afin de pousser chaque citoyen à l'individualisme pour plus facilement contrôler le peuple. En effet en demandant trop de se protéger et de protéger les autres, cela finit par se protéger les uns des autres dans la division. D'ailleurs les 35 millions de personnes qui ont basculé dans la misères grave en Amérique du sud en un an, à cause des décisions gouvernementales liées au covid, ont compris qu'il ne s'agissait pas d'une question de santé publique. Alors qu'au cours du « Global COVID Summit », 17 000 médecins et scientifiques médicaux ont bravé l'interdit de s'exprimer malgré les risques pour leur carrière. Ils dénoncent la mainmise oppressive des lobbies pharmaceutiques au détriment de la santé des patients. Il s'agit donc clairement d'abus de pouvoir voire d'abus de faiblesse par l'autorité médicale. Surtout que l'oppressif système cherche sournoisement l'impossible pureté sanitaire et donc biologique totale, tel à travers le prêt de 750 milliards de la BCE synonyme d'esclavage suite au pseudo risque zéro, alors que c'est impossible car de nombreuses bactéries et microbes sont utiles à notre corps, et que le monothéisme recherche d’abord la pureté spirituelle dont de l'équité, de la solidarité et de l’interdiction de l'usure. Et le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM (Autorisation de mise sur le marché) pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et de l’industrie pharmaceutique. Ainsi c'est plutôt ceux en particulier politiques ayant validé sans autorisation de mise sur le marché ni donc contrôle suffisant les vaccins ARN pour toute une population en plus à la santé souvent différente par essence qui sont condamnables. A cette adresse https://www.youtube.com/watch?v=gGXkrhmDyl4 , il est expliqué que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés » est fausse : 1. On fait une étude fantaisiste ou truquée. 2. Les politiques s’en servent (dont en rejetant l’hydroxychloroquine). 3. On avoue l’arnaque. 4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (dont en préférant le peu efficace doliprane à l’efficace hydroxychloroquine pour ensuite participer aux bénéfices de la vente des vaccins ARN). Par les vaccins, tests, masques et pass vaccinal, la médecine ou plutôt Big Pharma a donc perversement accélérer la ruine de l'occident libre au profit de la perverse oligarchie mondialiste tyrannique, comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV, d'autant plus que de nombreux gens aiment se plaindre de maladie pour recevoir de l'attention. Surtout qu'il est apparu que la crise sanitaire due au coronavirus n'était pas majeure, et que cela concernait plutôt une gigantesque opération de mystification oligarchique au détriment économique et sanitaire des peuples, orchestrée par la propagande médiatique, l'OMS mondialiste et donc les labos de Big Pharma, afin de faire pression sur les gouvernements à coups de statistiques faussées pour masquer l’énorme crise systémique financière qui couve depuis au moins deux décennies et clairement depuis 2008 à cause de l'idéologie globaliste ploutocratique voulant monopoliser toute l'économie. Pour lutter contre ce type de détournement de la science par le conseil scientifique gouvernemental à une fin idéologique de la société et des règles sociales y étant liée, l'informationnel « conseil scientifique indépendant », composé de nombreuses personnalités dont beaucoup de professionnels de la médecine, travaille dans le sens du devoir et de la visibilité médiatique pour les gens qui ont des choses pertinentes à dire dans leur domaines de compétences respectifs puissent le faire dont avec des articles scientifiques concernant divers sujets comme le covid, les vaccins ARN, différents médicaments risqués ou tout autre sujet important. Une étude approfondie sur les effets des masques a été publiée dans Frontier’s. Il s’agit d’une collection de 2 168 ouvrages de vulgarisation compilés par divers services de santé allemands et autrichiens. Ce qui ressort de l’étude : mauvaise oxygénation, respiration compromise, confusion mentale. Mais aussi hypercapnie (accumulation de dioxyde de carbone dans le sang), augmentation de la pression artérielle et de la pression intraoculaire, asthme, acné, et par conséquent, altération du système immunitaire. Surtout qu'un système immunodéprimé en particulier suite à deux mois de confinement est très fragile. Ce sont là quelques-uns des « événements indésirables » retrouvés par les auteurs chez les porteurs de masques chirurgicaux et masques FFP2. Les auteurs ont noté que tous ces symptômes sont les mêmes que dans le Covid dit long. Et ils ont conclu en se demandant « si au lieu d’un long Covid beaucoup de symptômes avaient dépendu de l’utilisation de masques » ? Les effets secondaires des masques doivent être pesés (rapport risques-avantages) par rapport aux preuves disponibles de leur efficacité contre les transmissions virales surtout que généralement reconnue inexistante même sur les boites de masques. Une autre considération importante faite par les auteurs est qu'en l’absence de preuves empiriques solides d’efficacité, l’utilisation de la protection ne devrait pas être obligatoire, et encore moins imposée par la loi. Jean-Dominique Michel : « Un ensemble de soignants, pédopsychiatres, infirmières, virologues interviewés dans une vidéo belge disent quelque chose de très juste : on a tout réduit à la biologie. Les relations, les affects, les liens avec les autres, le sens que l’on donne à sa vie, et le système économique, tout cela est hyper déterminant pour la santé, au moins autant que la biologie. Mais on s’est concentrés uniquement sur la biologie : on a complètement effacé le reste et on n’a pas pensé aux impacts du reste en créant des réalités qui ne peuvent être qu’hyper traumatiques. C’est une des critiques du confinement et des masques. On n’a pas du tout pensé aux impacts de déshumanisation que cela allait avoir à tellement d’endroits. Surtout que dans un laboratoire P4 comme Wuhan, le port de combinaison intégrale et des sas de décontamination sont utilisés pour lutter contre un virus comme le Covid, alors à quoi sert un petit masque ? De plus comme un masque arrête les bactéries présentes dans les muqueuses humides et chaudes de la bouche, cela forme une petite étuve personnelle dans lequel les germes peuvent proliférer. (Si « Dieu, qui est omniscient », avait voulu nous protéger par là, il nous aurait pourvu de paupières de bouche et de nez. Or il n’en a rien fait. Demandons-nous pourquoi ? C'est pour l'immunité collective, rappelant bien l'importance du bon lien social.) Par conséquent il aurait fallu réunir des compétences beaucoup plus larges. Mais dans une forme d'hystérie hygiéniste amenant de la psychose dans tout et de la perte de liberté, les autorités étaient tellement dans leur panique sanitaire qu’elles s’en sont totalement remises aux médecins. Or, ce n’est pas juste aux médecins de dire comment il faut organiser une réponse sociétale à une épidémie, ou en tout cas pas sans le concours de nombreux autres ordres de compétences et de savoir. Il y a une forme de dérive totalitaire qui est en train de se mettre en œuvre, y compris dans notre pays. Que le Conseil fédéral ait cherché à obtenir du Parlement la possibilité de garder des pleins pouvoirs jusqu’en 2022, y compris en oppressant par la vaccination, constitue une transgression majeure de notre système de droit comme de notre système politique. Remarquer cela, c’est de l’éthique au sens le plus intense du terme, ça concerne même l’Habeas corpus. C’est revenir à l’époque où le Seigneur avait le droit de disposer des corps des gens. On est dans ce genre de dérive aujourd’hui, avec la pointe redoutable que, puisque c’est pour la santé, refuser revient à risquer de mettre en danger la vie des autres. On est en train de dériver vers un totalitarisme qui ne dit pas son nom, dont avec le vaccin à ARN. En effet il s'agit d'un type nouveau que l’on n’a encore jamais expérimenté sur l’être humain, avec de possibles signatures nanoparticulaires provenant de matière aimantée (superparamagnétiques) permettant à une autorité extérieure de savoir si on l’a reçu ou pas, et avec un passeport vaccinal qui permettait d’être autorisé à se déplacer ou non. D'ailleurs comment se fait-il qu’un type comme Bill Gates, qui est informaticien, se retrouve au centre de tout l’échiquier comme celui qui finance le plus les institutions de santé dans les pays et à travers le monde ? Il y a quelque chose d’anormal qu’il se retrouve dans cette position, à dicter le jeu, à avoir ses entrées à l’Élysée comme au Palais fédéral ou à la Maison-Blanche, à être le principal financeur de l’OMS, à subventionner des médias ou encore une agence d’état comme Swissmedic. La situation que nous vivons avec le coronavirus est en fait apocalyptique, dans le sens littéral (et non pas mystique) de « dévoilement » : quand les choses sont dévoilées dans leur réalité. Là on est dans une espèce de dévoilement à large échelle concernant la manière dont la gouvernance des pays a vrillé en privilégiant les intérêts privés qui tendent à l’emporter sur le bien commun, avec à l’arrière-plan du fait des groupes qui ont le vrai pouvoir comme les GAFAM, une forme de délire transhumaniste qui est en train de prendre presque irrésistiblement le pouvoir sur les systèmes sociétaux. Un professeur de neuro-marketing (branche qui étudie comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu) n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Je le vois dans l’hystérisation de beaucoup de positions, avec une forme de polarisation extrême et la perte de capacité à réfléchir et à avoir envie de discuter constructivement et calmement des choses, synonyme donc une perte de compétence dialogique et réflexive. » Le Dr Rachel Bocher chef de service en psychiatrie au CHU de Nantes précise qu'il n’y a pas de santé sans santé mentale : « La santé mentale est l’oubliée de la crise du Covid. Il y a les patients qui vont moins bien à cause de la crise, mais l’isolement social, la peur de la maladie, de la mort, du chômage, de la solitude, ont aussi des conséquences sur des populations en détresse psychologique aggravée. Et ce n’est honteusement pas pris en compte, alors que les maladies sont souvent d'origine psychosomatique. Par exemple une personne sous stress depuis longtemps (voire depuis son enfance) sécrète plus de cortisol, qui, sur le long terme, va entre autres, développer un état inflammatoire chronique du corps. (Cette origine psychosomatique mais aussi souvent comportementalment mauvaise est également souvent liée à la peur, à la dépression ou à la paranoïa, en particulier celles que développent le système actuel. Les multiples facettes du Moi toxique sont donc dangereuses. Pour tendre à être principalement en bonne santé physiologiquement et psychologiquement, il faut avoir une âme en bonne santé par la pratique religieuse et la pratique sportive. Or il ne faut pas chercher à être plus mince et plus fort par rapport à la grande concurrence néolibérale, c'est à dire ne pas chercher à être le meilleur sportif à l’américaine, qui fait devenir ignorant et tomber dans les pièges oligarchiques dont aussi par les loisirs à outrance et les heures de travail excessives et donc abrutissantes. Le muscle est une chose, l’esprit en est une autre. Et pour améliorer la société, il faut donc prioritairement se soigner psychiquement soi-même plutôt que de motiver les autres à le faire, car c'est beaucoup plus efficace pour soi et les autres par l'exemplarité. Dans ce sens, il faut atteindre la fitra pour progressivement abandonner les schémas dysfonctionnels du passé, se libérer de cette part toxique en soi et enfin s'ouvrir à la plénitude de notre bonne identité.) Ce qu’on demande aux pouvoirs publics, c’est d’agir vite et d’agir ensemble. » Selon Alexandra Henrion-Caude (généticienne de renommée mondiale, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Hôpital Necker) : « Avec le Covid19, le port du masque généralisé est devenu obligatoire pour la première fois et il y a donc une méconnaissance des conséquences psychologiques que cela peut entraîner dont une augmentation forte de la méfiance, de la confiance aveugle et donc de mauvaises réactions, surtout qu'affaiblissant la forme des travailleurs en les rendant moins efficaces au travail ainsi qu'auprès de leur proches chez eux. Elle précise aussi que le confinement, la distanciation sociale (synonyme de distension), le port du masque par les non malades, le gel hydroalcoolique détruisant des éléments antivirus des mains et la peur causée voire accentuée sont des décisions irresponsables parce qu'elles amputent une partie de notre système de défense immunitaire (et l'importance morale et psychologique des liens sociaux dont la proximité avec nos proches), car elles empêchent l'immunisation collective, alors que ça a toujours été le cas dans l'Histoire puisque l'homme est fait pour vivre en société. (Surtout que le port du masque pour tous pourrait être compris comme empêchant les personnes asymptomatiques de participer à l'immunité collective, d'autant plus qu'avec le pass sanitaire on les empêche aussi d'aller dans les lieux publics de contact.) Or les nouveaux cas de contamination ne sont pas des malades mais aussi des asymptomatiques, ce qui prouve que le terme « asymptomatique » est illégitime et synonyme de folie cherchant à perturber les populations. Surtout que la transmission asymptomatique est un mensonge et qu'un affaiblissement du système immunitaire a lieu par le stress de la peur apportée principalement par les grands médias, par la dépression du confinement, par la distanciation sociale angoissant le peuple, par la baisse d'air pur lié au port du masque, par l'interdiction des sports collectifs et la fermeture des salles de sport. (D'autant plus que tout en dévoilant le niveau immunitaire de beaucoup, les réactions immunitaires voire les problèmes immunitaires des personnes faibles ne pouvaient être qu'inattendues face deux choses inconnues : le virus augmenté Covid et la vaccin ARN.) » D'ailleurs pendant la crise sanitaire du covid, la manipulation provenait sournoisement de la fréquente alternance entre mesures liberticides dites sanitaires, récompenses à ceux qui les suivent et opérations de terreur. En effet l’oppression avait empirer, dont par des annonces contradictoires aliénantes. C'est à dire que lorsqu'un gouvernement donne des ordres et contre-ordres amenant par de l'autorité obscure une désorientation populaire jusqu'au réflexe de l'obéissance, cela peut aller jusqu'à de l'aliénation par la peur voire plutôt par la souffrance psychologique (comme la paranoïa) d'autant plus manipulable : (ExtHadith) Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous d'accomplir des bonnes œuvres car il va y avoir des périodes de troubles et de tentations telles des parties d’une nuit sombre (sans clarté mentale). » (Mouslim) Voici la logique qu'a souvent utilisé le système : a) Le message affirme quelque chose ; b) il affirme quelque chose sur sa propre affirmation ; c) ces deux affirmations s’excluent et toute critique est inacceptable. Exemple : a) Vaccinez-vous pour protéger les autres. b) Les autres doivent se vacciner pour vous protéger, même si vous l’êtes déjà. c) Après la vaccination, portez un masque, continuez les gestes barrières. Ce qui n'est pas étonnant car la domestication (ingénierie sociale) est basée sur la récompense de la friandise et la crainte de la réprimande. Et si vous essayez de vous y retrouver, vous risquez fort de tourner en rond et de terminer épuisé. Essayez donc de demander à un ordinateur de résoudre ce genre d’injonctions paradoxales. Il va devenir fou. Vous serez obligé de le débrancher. Il n’y a pas d’autre solution. Il faut donc repérer les failles de raisonnement de la propagande médiatique, car ces paradoxes nous indiquent comment et jusqu’à quel point on nous manipule.
Un professeur de neuro-marketing, qui est la branche étudiant comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu, n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale lors du covid, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Ça s'est vu à travers l’hystérisation de beaucoup de positions, leur polarisation extrême, la perte de capacité à réfléchir et le refus fréquent de discuter constructivement ou calmement des choses. C'est à dire que cela a été aussi synonyme d'une perte de compétence dialogique et réflexive. Les portes de l’asile étaient tombées, les fous étaient partout, ils se mélangeaient avec le personnel. On ne savait plus qui était fou, qui était normal, qui était le psychiatre, le schizophrène, le gestionnaire, l’infirmière, le visiteur, le ministre de la santé, le président de la république. Tout avait fusionner. Surtout que la campagne pro-vaccination divisant le peuple était bourrée de doubles contraintes et d'injonctions paradoxales, alors qu'au niveau familial un parent n'élève pas ses enfants en les montant les uns contre les autres, et qu'au niveau social le dirigeant aurait donc dû en faire de même vis a vis de son peuple. C'est d'ailleurs ce qui a réveillé beaucoup de gens, car cela leur a mis définitivement en pleine lumière que l'oligarchie perverse mondialiste était l'ennemi principal peuples. Le projet du système est donc de continuer à saturer d’informations contradictoires les populations jusqu'à la nausée, afin qu’elles ne sachent plus qui croire et que croire. Car dès lors, leur cerveaux embrumés sont prêts à recevoir n’importe quelle injonction, puisque cette dernière sera en revanche parfaitement claire et univoque : masquez-vous, confinez-vous, vaccinez-vous, diminuez le chauffage, faites du covoiturage, soutenez l'Ukraine, etc. Si le pouvoir utilise l'absurde, c'est parce qu'il déstabilise et fait peur. C'est pourquoi les gens doivent retrouver la logique, la cohérence et le sens (dont aussi du monothéisme authentique), car ils libèrent et restaurent la confiance. Le naufrage populaire actuel montre aussi que la superstition technologique prend négativement le pouvoir dans de nombreux secteurs. En effet qui influence les décisions des Etats en panique : la technologie de modélisation informatique ; qui a profité massivement du confinement : la technologie internet ; qui a entravé le traitement des malades par des médicaments existants et bon marché : la technologie pharmaceutique qui prétend créer un vaccin contre le coronavirus alors que cela na jamais été fait. Or cette privation des libertés au profit du système oligarchique et mondialiste pourrait aller jusqu'au pass carbone (ou possiblement nommé : pass vert, pass écologique, ou pass énergétique) synonyme d'une surveillance et d'un contrôle fortement accrus à travers le numérique. « L'avocat Fabrice Di Vizio exprime ses inquiétudes quant à la persistance des mesures restrictives de liberté post-Covid. Selon lui, le gouvernement va imposer de nouvelles restrictions sous prétexte de sécurité ou de lutte contre la pollution. Ce qui est le cas actuellement à Paris en raison des Jeux Olympiques... Fabrice Di Vizio explique que le Covid-19 n’a été qu’un essai pour de futures restrictions de liberté. Il cite l’exemple de la voie réservée sur le périphérique parisien, initialement prévue pour les Jeux Olympiques, mais qui pourrait être utilisée pour d’autres raisons. Il déplore le fait que les gens acceptent ces restrictions sans les remettre en question, et prédit l’arrivée prochaine du Pass carbone ou de l’euro numérique. Il nous appelle donc à défendre nos libertés en refusant de nous soumettre aux mensonges ambiants. « Et ça témoigne bien de ce que, finalement, le gouvernement peut faire ce qu’il veut quand il veut, ça ne pose aucune difficulté. Et si demain matin il y a une nouvelle flambée épidémique, il remettra en place le Pass vaccinal. Et si ce n’est pas le Pass vaccinal, ce sera le Pass carbone. Et si ce n’est pas le Pass carbone, ce sera le Pass que vous voulez, et les gens suivront. » (Média en 4-4-2) « La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » (Florence Scovel Shinn) Les vrais ravages du covid sont donc ailleurs, car même quelques dizaines de milliers de morts (et encore les chiffres sont abusivement généreux) ce n’est rien en comparaison des dégâts sociaux entraînés : suspension de salariés non vaccinés, contraintes sur les déplacements ou sur les corps, guerres intra-familiales, soupçons entre collègues, tensions entre individus dans l’espace social, dépressions, troubles anxieux généralisés, affaiblissement de l'immunité naturelle, psychotropes (légaux ou illégaux), suicides, etc. Alors que selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, les personnes ayant reçu le vaccin contre la grippe expulse six fois plus de matière virale que ceux n'étant pas vaccinés, ce qui participerait à créer des mutants, et indiquerait que les mutants covid proviennent des vaccins ARN, pouvant en plus modifier le génome des vaccinés et des enfants qu'ils mettent au monde. (Et c'est pourquoi, il est connu qu'on ne vaccine jamais en période épidémique.) Dans quelques mois il faudra faire attention aux effets indésirables à moyen et long terme qui sont déjà nombreux et de la vaccination et aux mutants résistants à la vaccination sélectionnés par les vaccins. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Alexandra Henrion-Caude sur TVLibertés » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alexandra-Henrion-Caude-sur-TVLibertes-la-video-censuree-par-YouTube-62537.html La Covid-19 est une maladie respiratoire. Elle se transmet donc a priori comme les autres maladies respiratoires : par l’air. Si c’est le cas, les seuls masques utiles doivent être hermétiques, comme des masques à gaz utilisés par les armées ou les laboratoires P4. Les masques chirurgicaux sont au contraire de fausses protection car ils n’adhèrent pas à la peau et laissent passer l’air en de nombreux endroits. Dans le cas où la Covid-19 se transmet comme toutes les autres maladies respiratoires (ce qui est a priori l’hypothèse la plus probable), la prévention doit être d’aérer les espaces fermés. Ce que l’OMS avait déclaré au début de la pandémie. Cependant, un autre problème surgit. On a installé au cours des dernières années des systèmes de climatisation dans de nombreux immeubles. Si l’air climatisé absorbe des vapeurs d’eau contaminée, toutes les autres personnes respirant cet air risquent d’être contaminées. Il faut distinguer les systèmes de climatisation qui expulsent l’air à l’extérieur de ceux qui fonctionnent en circuit fermé, diffusant éventuellement la maladie dans tout l’établissement. Les contaminations liées à une épidémie de légionellose (une infection bactérienne pulmonaire grave) lors de la convention de l’American Legion en 1976 à Philadelphie, et en 2000 à des patients de l’hôpital européen Georges Pompidou à Paris, de même que les abattoirs étant des espaces climatisés en circuit fermé et à basse température, laissent à penser que cette hypothèse devrait être prise très au sérieux. Envisager cette hypothèse, c’est envisager d’admettre que de nombreux bâtiments modernes doivent être réhabilités, comme on l’a fait avec l’hôpital Pompidou. Ce sont des budgets conséquents comparables à ceux que l’on dépense pour désamianter des immeubles. Ce qui paraît clairement exagéré vu le nombre de mort qu'il y a eu pendant le covid. Or si cela devient nécessaire, les haut-fonctionnaires politiques soumis au Big Pharma ignoreront cette question. Ils préféreront ne rien changer, agir comme d’autres États et rendre obligatoire le port du masque dont pour contrôler la population. Surtout qu'il faut remarquer que l'obligation du port du masque parfois pendant 8 heures au travail plus des heures dans les transports en commun et magasins pendant des mois, amenant de la fatigue, de la santé diminuée et des désagréments, jettera encore plus de gens et d'indécis dans la prétendue libération par le vaccin. Cela s'appelle de la fabrique d'esclavage par consentement. Extrait de la vidéo « Ce qu’il en coûte de forcer un consentement » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=0nbfz8QyjQg&t=840s : « À partir de quel moment, une pratique sadomasochiste devient-elle répréhensible ? Combien de coups de fouet avant qu’un juge s’en mêle ? Peut-on marquer au fer rouge une victime consentante ? La torturer ? L’électrocuter ? À combien de milliampères ? La perte de conscience entraîne-t-elle la perte du consentement ? Question subsidiaire : Qui donc est habilité à définir ces limites ? Je prie mes lecteurs les plus pudiques d’excuser cette entrée en matière cruelle : C’est celle qu’a choisie le professeur de droit Estelle Brosset dans un excellent papier « Le consentement en matière de santé et le droit européen » de 2013. Le consentement est un sujet qui dépasse largement la sphère strictement sanitaire et ne peut être traité en vase clos : il paraîtrait bizarre de refuser des soins, ou leur remboursement, à quelqu’un qui a refusé le vaccin contre la maladie qui le touche mais pas à un masochiste qui s’inflige des blessures volontaires. Ne faudrait-il pas dès lors faire payer son SIDA au concupiscent qui omet de se protéger ? Sans doute, ces gens ne font-ils de tort qu’à eux-mêmes mais que dire alors du chauffard accidenté par sa propre inconscience ? Faut-il soigner celui-là malgré le risque mortel qu’il fait peser sur la société ? Il faudrait encore nous pencher sur le cas des criminels, des responsables d'accident dont de voitures, des imprudents ou simplement des insouciants qui provoquent des dégâts ou font peser des risques insensés à la collectivité. Ainsi une personne non-vaccinée, faute de médecin complaisant, doit-elle payer la taxe de son pass tous les jours pour avoir le droit de se faire soigner ? Il vous est peut-être aussi pénible de lire ces lignes qu’il m’est de les écrire. Et pourtant nos droitsdelhommistes bon chic bon teint, dans leur folie, ont ouvert cette énième boîte de Pandore à l’hémicycle comme à la télé. Le Parti Radical de Gauche a même demandé le non-remboursement des soins de santé aux réfractaires, Singapour l’a déjà fait. En Autriche on a menacé de prison des non-vaccinés, alors qu'il est mondialement reconnu que les vaccins ARN ont seulement été créés pour atténuer les symptômes du covid et que ne pas se faire vacciner ne concerne donc pas un possible danger de transmission du virus. Ces gens ne sont pas à une aberration près mais puisqu’ils poussent l’obscénité jusque-là, il nous faut bien tenter de refermer cette boîte de Pandore avant que le diable n’en sorte. Or la question du consentement et plus largement du rapport entre l’individu et l’État est vieille comme Léviathan. À vrai dire, il n’y a rien de nouveau sous le soleil si ce n’est notre amnésie historique et nos lacunes en philosophie politique. Il nous faut donc remonter petit à petit à la source et prendre le temps de réfléchir un instant : À quel moment l’individu doit-il s’effacer devant le collectif ? La question est d’importance car il en va de nos politiques sanitaires mais également des questions écologiques et certainement aussi des questions financières. Je ne crois pas être hors sujet en traitant aujourd’hui, une nouvelle fois, de la question du consentement. » Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui prudemment ne veulent pas se faire vacciner, car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute. En effet la liberté impose la responsabilité. Cela signifie être libre d’agir et chacun est donc responsable de ses actes et de leurs conséquences, sur lui-même et sur autrui. Cependant depuis de nombreuses années et surtout suite à la large perte de liberté provenant de la gestion sanitaire du Covid, le système a développé la déresponsabilisation, l'infantilisation et l’obéissance aveugle à l’autorité perverse même si c'est dangereux, ou les sanctions et l'humiliation. Ceux qui refusaient les masques ont été rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs, alors qu'il n'y a même pas de consensus scientifique à ce sujet. Des milliers de gens ont vu leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer. Les vieillards étaient abandonnés. Les jeunes ont été emprisonnés dans un monde masqué et confiné. Les adultes ont été précarisés. Les gens d’une même famille ont été séparés de même que toute la société dont par les gestes barrières aussi désocialisant que déshumanisant. La réflexion populaire a été paralysée. Sa contestation, sanctionnée. Le gouvernement par « experts » et médias interposés, a poursuivi cette stratégie du choc en annonçant toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de Covid, quelle que soit la réalité des faits. Surtout que ces vagues sont même devenues des variants du covid pour éviter de dire Covid-20 ou Covid-21 et même bientôt des variants de variants. D'ailleurs pour certains qui s'illusionnent sans cesse, la raison de l'échec de la vaccination en Israël (40 % des contaminés étaient vaccinés) a été simple : avec le variant indien l’immunité collective ne fonctionne qu’avec 90 % de vaccinés. Ce niveau de vaccination étant inatteignable, le virus se propage. Malgré cela on retrouve le sempiternel « si l’Europe ne marche pas, c’est qu’il faut plus d’Europe », « si le communisme n’a pas marché, c’est qu’il fallait plus de communisme », « si le nazisme n’a pas marché, c’est qu’il... », non pardon. Le tout-vaccin est donc une très mauvaise stratégie, d’abord parce qu’elle est coûteuse (mais rentable, ceci expliquant cela), ensuite parce qu’elle est dangereuse (aucun recul nécessaire), enfin parce qu’elle ne prendra pas en charge tous les variants qui pourraient apparaître. Cela comme si la crise Covid-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple, et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Marx et le délire administratif à la française » à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/25/marx-et-le-delire-administratif-a-la-francaise/
Le philosophe Diego Fusaro explique que le système tend même à devenir un médecin décidant dictatorialement tout pour le peuple qui serait devenu un malade : « Ce nouveau mode de gouvernance reconfigure le capitalisme lui-même, par le passage d’une société libérée de toute entrave aussi bien sociétale qu’économique, à une société de contrôle total, telle une sorte d’immense hôpital dans lequel l’ancienne relation entre administrés et gouvernants est redéfinie sur la base du lien inédit entre malades et médecins. » Or le confinement a été criminel : il a empêché certains malades d'être traités, il a participé à la mort de personnes vulnérable psychologiquement, il a détruit l’économie et donc augmenté fortement l'inflation, il a produit du chômage, des faillites, de la dépression et des violences, et il a donc mis en danger la santé publique. Surtout que faire quotidiennement peur par le nombre de morts ou de contaminés d'une épidémie n'est absolument pas conforme au serment médical mais plutôt à de l'idéologie mortifère malthusienne. En effet les conséquences d’une solution ne doivent pas être pire que celles du problème auquel elle prétend répondre. C'est à dire que le remède ne doit pas être pire que le mal. Ainsi les gouvernants qui ont décidé du confinement ont analysé son bénéfice/risque de manière erronée. Leur décision n'était ni nécessaire, ni utile ni promotionnée, mais gravement destructrice d'économie. Il faut éviter de tout mettre en péril en se faisant gouverner par le virus, et chercher ce qui sert l'intérêt général, c'est à dire à ce que les mesures sanitaires soient prioritairement voire exclusivement pour les personnes faible en santé (fragiles, obèses, âgées...). Pasteur sur son lit de mort a prononcé comme un mea culpa « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». C'est à dire que c'est plus le terrain (stress, dépression, mauvaise hygiène de vie, fatigue physique, corps faible), qui crée la maladie et pas le microbe. De plus la pollution et donc les ravages de la surconsommation semblent bien plus dangereux pour la santé que le Covid-19, mais l’intérêt général disparaît au profit des règles du marché. Ainsi même si Côme dans des régions d'Afrique, il y a plus de morts dus à des virus, cela provient plus des conditions d'hygiène insuffisante, et donc de la surinfection à cause de bactéries plus répandues, mais aussi à cause du manque d’antibiotique, de carences alimentaires en particulier en vitamine, ce qui signifie que dans ce genre de cas, on peut pas définir la gravité et donc le taux réels de mortalité d'un virus. Lors du Covid, tout a été surréaliste jusqu'à faire culpabiliser les peuples concernant leur gestion de la pandémie, leurs économies affaiblies et la dette nationale. Surtout qu'une génération traumatisée devient manipulable à vie, et qu'il est clairement illégitime que la santé soit passée aux mains de technocrates qui empêchent des médecins de prescrire certains médicament comme la chloroquine. Il est intéressant de ire à ce sujet l'article « Les enfants traumatisés : Merci la stratégie anti-covid ! » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/19/les-enfants-traumatises-merci-la-strategie-anti-covid/ Un médecin de ville a critiqué fortement la politique sanitaire mise en place par le gouvernement, qui a totalement mis sur la touche les généralistes, alors qu'ils devraient au contraire être en première ligne. Il s’insurge notamment à propos de l’affirmation par les autorités de l’inefficacité de thérapeutiques qui ont pourtant fait leurs preuves. On rappellera à cette occasion que c’est cette prétendue absence d’alternative qui permet aux différents vaccins d’être mis sur le marché. Avec le port du masque obligatoire et son impact négatif sur le système immunitaire, plus le confinement, le système a tout fait pour inventer, provoquer, ou surestimer de nouvelles vagues (prouvant l'inutilité des masques et la tyrannie sanitaire) dont en grossissant leur importance et développant une situation économique et sociale catastrophique synonyme de stress. Avoir peur de la mort pour tuer la Vie, c’est l’absurdité à l’état pur, comme s'il fallait brûler par peur d'un moustique (épidémie du Covid peu mortelle) une maison (l'économie nationale). C'est une remise en cause grave du principe de proportionnalité. De plus s'arrêter de vivre à force d’avoir peur de mourir est aussi absurde, surtout qu'avec la foi, il existe des valeurs supérieures à la simple survie physique. Dans ce sens de mesures très disproportionnées, on peut aussi prendre l'exemple d'un gouvernement qui interdirait la vente de motos à cause des accidentés à moto. On peut finalement se demander si ces vagues successives, si utiles aux progrès d’un mondialisme coercitif, ne reprendront pas pour museler des peuples au propre comme au figuré et à leur faire accepter l’inacceptable. Surtout que selon le média en 4-4-2 : « Rétrospectivement, on s’aperçoit que dans quinze départements, la baisse des contaminations avait commencé avant la date où l’on pouvait espérer voir un effet du confinement. On constate en outre comme on pouvait le prévoir, que cette idée, qui a consisté in fine à entasser les gens dans les magasins et les supermarchés entre 17 et 18 heures pour contrer ce que certains élus ont appelé de façon complètement hors-sol et méprisante « l’effet apéro », n’a finalement pas eu le résultat escompté voire a été logiquement contraire. Or il s’agissait « surtout » d’enfoncer dans nos crânes de Gaulois réfractaires forcément irresponsables, que notre santé est directement proportionnelle à notre obéissance aveugle à toute décision étatique, aussi absurde soit-elle. Et Dieu sait que si le monde entier applique des mesures de restrictions anti-Covid à plus ou moins grande échelle, le monde entier qualifie pourtant la France d’Absurdistan en ce domaine. » Professeur Raoult : « Je pensais et je pense toujours que la peur est pire que le mal. Et c’est ce qu’il se passe. Il y a trop d’affolement, trop de nervosité, trop de panique. On regardera à la fin. Le poids de la mortalité à côté du poids social(, économique, psychologique et même médical par les reports d'opérations du cœur par exemple, suite au blocage de lits pour les éventuels malades du Covid à venir) va être négligeable. En revanche le poids social(, économique, psychologique et même médical) va être considérable car la peur n’a pas su être gérée (voire a été priorisée). » Concernant les paragraphes précédents, il est aussi intéressant de voir la vidéo « Les malades au service de l'agenda technologique – Le Zoom – Olivier Rey -TVL » ou comment la (défense de la, l'idolâtrie de la) vie est venue prendre la place du sacré (au service de la tyrranie oligarchique), à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=CxSA4PQehFg&list=WL&index=5&t=604s Les Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana (et aussi le médecin Louis Fouché), représentants du français digne, compétent, ayant du savoir-faire, sensé, virile, pondéré, pragmatique, intègre et réfractaire, affirment que cette organisation sanitaire basée sur le mensonge est principalement politique, économique et sociale, et donc non médicale. Ces professeurs plus l'avocat Di Vizio, la chercheuse Henrio-Caude et le médecin Fouché correspondent à la petite bourgeoisie qui commence enfin à s'associer aux gilets jaunes et qui touche donc un public plus large pour une sage révolution populaire. Ainsi il faut remercier ces personnes là, car ils aident au lieu de décourager, rassurent au lieu de terroriser, libèrent au lieu de tyranniser, renseignent au lieu de dissimuler. Ainsi « Le harcèlement et les persécutions subis par les professionnels de santé intègres, qui ont soigné leurs patients avec succès ou refusé de se prêter à des expérimentations médicales dangereuses, sont non seulement ignobles mais aussi caractéristiques du totalitarisme. Après des figures comme Amine Umlil ou le Dr Denis Agret, c'est au tour du Dr Vincent Reliquet de subir un harcèlement insensé de la part du pseudo-Ordre des médecins, de la sécurité sociale et de l'administration sociale. Le harcèlement des médecins intègres correspond à un goulag sanitaire selon Jean-Dominique Michel. Il se fait en plus au profit de l'industrie pharmaceutique. Le Dr Vincent Reliquet, ancien urgentiste et médecin en pratique privée, est l’objet d’une persécution administrative qui prend diverses formes. Il a été blâmé pour avoir mis en doute la sécurité des vaccins COVID-19, ce qui lui a valu des sanctions professionnelles et financières. Il a également été accusé de charlatanisme pour ses pratiques médicales, entraînant des amendes fiscales et des sanctions de la sécurité sociale. Ces procédés honteux détruisent des vies et parfois tuent. Le Dr Jackie Stone, qui avait mis en place un protocole de traitement efficace contre le COVID-19, a été poussée au suicide après avoir subi 27 procédures en justice et perdu son droit de pratique. Ces persécutions ont pour but de pousser les professionnels à bout, comme l’illustre le cas de Maître Reiner Fuellmich, arrêté et incarcéré de manière illégale. Face à ces persécutions, il est crucial de se soutenir les uns les autres, de se rassembler et de faire communauté dont créant des collectifs pour tenir le choc. Les professionnels de santé intègres doivent rester solidaires et continuer à lutter pour la vérité et l’éthique en santé. Le Dr Vincent Reliquet, malgré les épreuves, continue de travailler et de défendre ses convictions, appelant à la résistance et à la solidarité. » (Média en 4-4-2) On peut noter ici que le premier amendement états-unien stipule pourtant que votre discours peut seulement être limité si vous causez du tort à autrui, et que les cardiologues disant que les vaccins ont multiplié par 100 les myocardites chez les jeunes sont donc encore plus légitimes à parler publiquement puisqu'ils empêchent le tort à autrui. En tout cas tous ces professeurs expliquent qu'il s'agit en réalité de thérapie génique non maîtrisée et dont les mauvaises conséquences pourraient se voir sur des années. La thérapie génique dont ARN est une technique de biologie moléculaire qui consiste à introduire un ADN étranger dans une cellule eucaryote (voir son noyau) cultivée in-vitro, qui ira ensuite dans les cellules (voire leurs noyaux) du vacciné, et même dans celles du sperme et jusque vers la génération suivante. Ce qui prouve que ce n'est pas de la vaccination. De plus la réglementation pour autoriser un vaccin n'a pas été respectée concernant cette thérapie génie ARN. Selon le politicien russe de gauche populaire M. Kourguinian, il s’agirait même possiblement d’une arme biologique de fabrication américaine qui se renforce avec les vaccins américains. D'ailleurs le puissant variant Delta et d’autres sortes de Covid sont peut-être le résultat de son interaction avec les vaccins. Pourtant toutes les mesures liberticides entravant le développement des enfants comme l'interdiction du sport et les masques sur la respiration pendant l'école étaient déjà clairement synonyme d'une catastrophe civilisationnelle. Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage, liée aux masques. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes. Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain. « Chez des gens malades, le port du masque peut amener une hypoxie discrète qui mènera, à des niveaux d’oxygène dangereusement faibles sans toutefois que l’augmentation de dioxyde de carbone n’alerte l’organisme comme elle le ferait normalement. Dans pareil cas, le port du masque peut conduire à la mort, d’autant que le malade ne s’alertera pas de sa difficulté à respirer, pensant que c’est le masque qu’il porte qui en est la cause momentanée. En l’espèce, il ne fait qu’aggraver la (toute) maladie. Obliger les gens à porter un masque est donc criminel. » (Claude Janvier) Le masque a été le principal outil permettant de maintenir la tyrannie sanitaire car c'est le signe principal qui fait exister la pandémie illusoire et qui montre que le peuple déshumanisé est soumis au pouvoir. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Coronavirus. L’obscène. » à l'adresse https://www.mondialisation.ca/coronavirus-lobscene/5662611 Or si désormais le système ne laisse pas d’échappatoire au peuple par rapport à l'inflation, la guerre en Ukraine, la dépréciation monétaire et la crise énergétique, il sera acculé et forcé de se battre avec l’énergie du désespoir, ce qui le rend plus déterminé et plus fort. Ainsi le système corrompu a reproché illégitimement à ces professeurs dissidents d'être des optimistes au pays des pessimistes, des empiristes et des moralistes de la précaution. Selon le nouveau vocable totalement inversé de notre ère diabolique, le système a même été jusqu'à inventer des mots honteux comme « rassuristes » contre ces personnes noblement insoumises, alors que c'est le système et ses esclaves qui sont clairement « alarmistes ». Le système a aussi été jusqu'à diagnostiquer des problèmes mentaux à un docteur et l'enfermer en hôpital psychiatrique. De plus, des docteurs travaillant sournoisement pour l'industrie pharmaceutique se sont souvent énervés contre ces Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana dans des débats, alors que dans une évidente logique d’alliance bienveillante contre un mal à combattre, les débats entre médecins devraient toujours rester cordiaux. Ainsi ces professeurs ont combattu dignement contre les basses injonctions de ces docteurs esclaves du Big Pharma, car régulièrement basées sur des théories peu vérifiables ou sur des pseudo analyses s'avérant fausses ultérieurement. De même près de 250 scientifiques français, universitaires et professionnels de santé ont critiqué la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire. Ces interprétations erronées concernent en partie l'attribution de la mort par Covid à des personnes déjà gravement malades ou ayant une comorbidité, surtout que 92% des victimes ont plus de 65 ans et leur âge médian est de 85 ans alors que l'espérance de vie est de 82 ans en France. Ainsi cela prouve la malveillance des mesures sanitaires, comme le changement de critères par un passage de « morts » à « hospitalisés » puis à « contaminés » pour calculer la gravité de la deuxième vague. Ce système tyrannique a même réussi à mettre dans les têtes d'une partie du peuple que la simple circulation inévitable du virus pouvait demander des mesures restrictives, ce qui facilite le contrôle de la population dont en empêchant des manifestations importantes. Normalement un gouvernement et ses médias soumis cherchent à minimiser le nombre de morts et non à les amplifier en les exagérant ou en falsifiant les statistiques. Or étonnamment, le Covid-19 n'a pas bénéficié pas de cette jurisprudence, et sa comptabilité morbide n’a été qu’une longue accumulation spectaculaire et sans fin de cadavres sur des années, alors que le nombre de morts de ses deux premiers épisodes correspondaient à deux épisodes de grippe qui n'a d'ailleurs étrangement pas été comptabilisée chaque année. Une fois constaté que le Covid-19 a légèrement augmenté le nombre de morts chez les plus de 75 ans en moyenne, on doit s’interroger sur l’environnement qui a pu favoriser cette surmortalité. Or l’environnement de la santé en 2020 est le résultat de décennies de descentes aux enfers entre restrictions budgétaires, gestion bureaucratique, utilisation de modèles statistiques, raréfaction de l’anamnèse médicale, dépréciation du traitement individualisé, interdiction des thérapeutiques naturelles prophylactiques, etc. Mais suite aux vaccins anti-Covid, la surmortalité des 18-39 ans a particulièrement démarré à l’été 2021 et continue en 2024. Le Pr Ioannidis, à l’origine d'une étude sur l’inefficacité des mesures sanitaires, a expliqué les dangers de l’idéologie dominante dans une interview. C'est à dire que pendant le covid, la censure politique et médiatique a été intense contre les médecins dont les positions n’entreraient pas dans le discours officiel. Les médias et politiciens dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond. Mais la norme, la conformité au discours officiel s’est-elle à ce point installée comme une vérité dans l’esprit de la population ? Il semblerait que non. En effet de nombreuses voix se sont levées contre la dictature sanitaire. Les préjugés idéologiques contre le Pr Raoult, le Pr Perronne, le Dr Fouché, le Pr Montagnier, le Pr Henrion-Caude, le Pr Fourtillan et tant d’autres condamnés par la bien-pensance, ont pris de moins en moins. C’est rassurant de voir que les professionnels de santé et la population, dans une grande partie, ne se contentèrent pas de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Les médias mainstream ont eu beau beau multiplier les fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels) et les sondages douteux, le peuple y a cru de moins en moins. En effet il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, wokiste, esclavagiste, sioniste et oligarchique. Quand la facilité de la conformité devient plus désagréable que le risque de penser par soi-même, c’est signe de bonne santé mentale car synonyme d'une libération mentale. Surtout que comme le Système dispose de deux armes principales que sont la propagande et la censure allant ensemble et croissant ensemble, le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système va jusqu'à être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, il doit donc même devenir un hors-la-loi. C’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation.
Macron avait raison, nous sommes en guerre, mais entre peuples et mondialistes oligarchiques. La guerre contre le virus a d'ailleurs été une guerre spectaculaire dans le sens où Guy Debord l’aurait analysée. C'est à dire qu'il ne faut pas chercher à lui donner crédit, mais plutôt à faire tomber ce château de carte pour que se dévoilent les véritables raisons de son existence et de sa théâtralisation. Si l’épidémie n’était pas voulue et ne cachait pas un plan pervers, les responsables politiques auraient eu un autre comportement. Surtout que pour amplifier la gravité de la crise sanitaire, il y a eu une saturation des lits de réanimation en y mettant des gens qui, normalement, n’y avaient pas droit. En effet la députée Martine Wonner a dit à l'assemblée nationale qu'elle n’avait jamais vu mettre en réanimation des patients qui ont juste besoin de 2 à 3 litres d’oxygène par jour. De même que par rapport au nombre de morts peu nombreux pendant l’épidémie, cela signifie que le système a littéralement créé la crise sanitaire afin de l’exploiter. D'ailleurs sous une forme de protection élémentaire pour la santé mais instrumentalisée, les décisions gouvernementales ont donc criminellement été mauvaises socialement, psychologiquement et économiquement. « Les masques commencent à tomber ! : Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à GlaxoSmithKline, qui possède (accidentellement) Pfizer ! Celui qui fabrique le vaccin contre le virus qui a (accidentellement) commencé au laboratoire biologique de Wuhan et qui a été (accidentellement) financé par le Dr Fauci, qui (accidentellement) fait la promotion du vaccin ! GlaxoSmithKline est (accidentellement) gérée par la division financière de Black Rock, qui gère (accidentellement) les finances de la société Open Foundation (Fondation SOROS), qui gère (accidentellement) la société française AXA! Le milliardaire Soros possède (accidentellement) la société allemande Winterthur, qui a (accidentellement) construit un laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l'allemand Allianz, qui a (accidentellement) Vanguard comme actionnaire, qui (accidentellement) est actionnaire de Black Rock, qui (accidentellement) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d'investissement mondial. Black Rock est aussi (par coïncidence) un actionnaire important de MICROSOFT, propriété du milliardaire Bill Gates, qui (par coïncidence) est un actionnaire de Pfizer (qui vous vous souvenez ? vend un vaccin miracle) et (par coïncidence) est maintenant le premier sponsor de l'OMS ! Maintenant vous comprenez comment une chauve-souris morte vendue dans un marché humide en Chine a infecté la PLANÈTE ENTIÈRE ! Les marionnettistes du Grand Reset se moquent ouvertement du monde (entier). On imagine leurs séances de brainstorming arrosées d'alcool, et leurs grands éclats de rire quand ils s'amusent à chercher le nouveau nom du variant suivant concocté pour leurs victimes. Derrière Big Pharma et ses médias se cachent Vanguard : Edmond De Rothschild, la famille Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller ; derrière Black Rock : Rothschild, Elisabeth II, Al Gore, Warren Buffett, George Soros, Carlos Slim. De la même manière que le consommateur a été trompé sur la médicalisation comme voie de bonne santé, il est probable qu’il le soit encore sur les possibilités curatives d’implants et autre processeurs connectés. Et si d’aventure nous gagnions en forme grâce à la science, il resterait toujours le marché (illégitime) de la gestion du vieillissement ou de l’immortalité. Sans surprise, la liste des produits dérivés est longue... Nous n’avons plus de temps à perdre pour devenir responsables et autonomes en matière de santé. » (Extraits de l'article « La (perverse) déification de la science à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-science-gagnera-67699.html) Surtout que le coronavirus n'est pas un virus tueur mais amplificateur de comorbidité. Et c'est plutôt le problème des perturbateurs endocriniens, venant de la mauvaise gestion environnementale comme l'utilisation des pesticides, de particules lourdes du secteur pétrochimique ou d'hormones de croissance dans l'élevage industriel se retrouvant dans l'eau, qu'il est grandement prioritaire de traiter, car souvent à l'origine de nombreuses de ces comorbidités tels les cancers (de plus en plus tôt), les diabètes type 2, l'obésité, les maladies auto-immunitaire, et diverses maladies génétiques dégénératives. Il faut savoir qu'un premier type de vaccin correspond à injecter du virus inactivé pour entraîner la réaction immunitaire contre cet éventuel futur virus activé (originel, fort). Un deuxième type de vaccin vient de la culture en laboratoire d'une protéine (recombinante) équivalente à celle portant le virus dans laquelle on introduit le gêne du vrai virus (qui détient le secret de fabrication de la vraie protéine entourant le virus), puis on les fait produire (aussi en laboratoire) dans des cellules qui sont de véritables usines à protéine virale fabriquée, puis on éclate les cellules afin de nettoyer la protéine virale puis de l'injecter dans les personnes. Le vaccin génétique ARN (Pfizer via une particule de graisse possiblement porcine voire humaine provenant de fœtus avortés servant probablement en plus à d'autres composés du vaccin : possibilité de lire à ce sujet l'article États-Unis : Big Pharma et le trafic de fœtus à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-Big-Pharma-et-le-trafic-de-foetus-65127.html) ou ADN (AstraZeneca via un adénovirus recombinant, désarmé, inoffensif de chimpanzé pouvant être avec la particule porcine précédente une interprétation de la marque de la bête évoquée dans la Bible) envoie à nos cellules une portion (partie du virus sars cov 2) du secret de fabrication de la protéine spike (portant normalement le virus qui incarne la maladie) afin de la faire produire par nos propres cellules et de faire réagir le système immunitaire contre cette partie du sars cov 2. (Pour provoquer une réponse immunitaire artificielle, des scientifiques ont même très gravement mis au point des particules synthétiques semblables au coronavirus. Ces dernières imitent les structures-clés du pathogène : la protéine « Spike », la protéine d’enveloppe et sa protéine membranaire.) Or la plupart des vaccins autorisés actuellement, comme Pfizer ou AstraZeneca, sont basés sur la protéine Spike seule, ce qui les rend moins efficaces au fil du temps car la protéine Spike du virus mute. En effet en visant et donc imitant plusieurs parties du virus originel, ces vaccins ne peuvent être résistants aux variants. De plus ces derniers vaccins posent un certain nombre de problèmes (surtout car pouvant se recombiner avec d'autres virus, devenir impuissants ainsi que le système immunitaire face à des variants ou créer dont possiblement suite à une création trop importante de protéine spike une réponse immunitaire trop forte, et pouvant donc ensuite amener à une défense immunitaire affaiblie et en baisse), comme des thromboses, des AVC, des myocardites, beaucoup de désordres du coeur, infarctus du myocarde, des attaques, des myélites transverses, des encéphalites, des méningites, des embolies majeures ou mineures, péricardites, de la tolérance réduite à l’effort. Or comme le précisent certains savants dont le vaccinologue Geert Vanden Bossche, cela peut même modifier le fonctionnement des cellules et créer des variants surtout qu'auparavant un vaccin comme contre la rougeole était en rapport avec la nature, alors la protéine spike fabriquée par le virus sars cov 2 pour faciliter son déplacement et s'introduire nuisiblement dans son hôte n'est pas créée spontanément par le corps humain. Ce qui fait que les personnes vaccinées fabriquant cette protéine sont devenus des OGM humains, et qu'ils sont la première grande partie de l'humanité à être entrée massivement dans le pervers transhumanisme mondialiste (la production de la protéine spike inexistante dans le corps humain prouve que les vaccinés sont désormais des êtres humains augmentés ou plutôt déshumanisés voire dégradés). En effet en ayant reçu un gêne qui s'ajoute à leur génome et qui va être traduit par la production de protéine (spike) à travers tout le corps dans une quantité et sur une durée indéterminées plus ou moins dangereuses en fonction de la réaction corporelle de chacun, ces humains sont devenus des OGM, alors que le virus n'infecte qu'en partie via sa protéine spike et reste parfois seulement dans le nez, ce qui est loin de l'importance vitale d'une prescription dosée. Surtout si ce virus est une construction humaine inexistante dans la nature et probablement une arme biologique créée en laboratoire, puisque divers laboratoires (dont chinois et ukrainiens) travaillaient sur l'augmentation de la charge virale (gain de fonction ou de viralité signifiant plus virulent, plus transmissible) des coronavirus. (Or par une évidente décision divine, même les maladies créées en laboratoire se répandant dans la nature changent rapidement, car elles évoluent généralement pour devenir plus infectieuses mais moins mortelles. C'est à dire que plus un virus est fort moins il contamine, et moins il est fort plus il contamine, et que la contagion massive et la mortalité massive sont donc heureusement incompatibles à cause d'un virus.) En effet un virus causant par exemple une fièvre hémorragique ne peut pas devenir une pandémie, car il est tellement fort que sa transmissibilité (sa virulence) est bloquée, puisque les gens meurent tout de suite et ne peuvent donc se déplacer.) D'autant plus que la protéine spike est donc produite désormais par les cellules des vaccinés, alors que cette protéine spike apparaît de plus en plus comme toxique pour l'organisme par sa multiplication trop importante et ses effets déchirants particulièrement des vaisseaux sanguins se voyant à travers l'augmentation de crises cardiaques, l'apparition de troubles cognitifs précoces tel presque un début d'Alzheimer puisque à partir de trentenaires, et l'affaiblissement voire la destruction ou la perversion du système immunitaire puisque suractivé à cause de l'ARN messager et laissant donc passer dans le corps des vaccinés une grande partie du reste des dangers sanitaires. Ainsi cette protéine spike va partout en pouvant donc détruire ou boucher des vaisseaux, ce qui entraîne la destruction de parties d'organes par absence de vascularisation (irrigation par des vaisseaux). Selon divers savants, les « vaccins » ARN ordonnent aussi à TOUTES les cellules de fabriquer un maximum de protéines Spike qui est la partie la plus dangereuse du virus, puis les défenses immunitaires attaquent les cellules qui contiennent du Spike. De plus il a été trouvé que quasiment toutes les pathologies du virus étaient dues principalement à la toxicité de la spike. C’est donc simple à comprendre. Les vaccinés sont donc transformés en usine pour fabriquer de la protéine spike qui est en fait une partie toxique. Ainsi les vaccins transforment les humains en usine à fabriquer une molécule toxique. Et le corps n'étant ainsi pas au courant de la protéine Spike produite massivement par lui-même et contre laquelle il doit lutter, cela amène une forme de guerre civile dans le corps, souvent synonyme logiquement de réaction auto-immunitaire excessive. De plus la majorité des Israéliens se sont fait piéger, car leurs trois doses n’ont servi à rien, si ce n’est à faciliter l’entrée du dernier variant dans leurs corps. Surtout que ces vaccins génétiques obligent donc le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active, ce qui signifie qu'ils sont en réalité un accélérateur de propagation du virus. Le professeur Perronne précise même que ce ne sont pas des vaccins mais des boosters de virus. Le texte suivant est un résumé écrit des présentations des docteurs Bhakdi et Burkhardt lors du symposium Doctors for COVID Ethics qui a été diffusé en direct par UKColumn le 10 décembre 2021 : « Une erreur fondamentale à la base du développement des vaccins Covid-19 a été de négliger la distinction fonctionnelle entre les deux grandes catégories d’anticorps que le corps produit pour se protéger des microbes pathogènes. La première catégorie (IgA sécrétoire) est produite par les cellules immunitaires (lymphocytes) qui sont situées directement sous les muqueuses qui recouvrent les voies respiratoires et intestinales. Les anticorps produits par ces lymphocytes sont sécrétés à travers et à la surface des muqueuses. Ces anticorps sont donc sur place pour rencontrer les virus transmis par l’air, et ils peuvent être en mesure d’empêcher la liaison virale et l’infection des cellules. La deuxième catégorie d’anticorps (IgG et IgA circulants) se trouve dans la circulation sanguine. Ces anticorps protègent les organes internes de l’organisme contre les agents infectieux qui tentent de se propager via la circulation sanguine. Les vaccins qui sont injectés dans le muscle – c’est-à-dire à l’intérieur du corps – n’induiront que des IgG et des IgA circulants, et non des IgA sécrétoires. De tels anticorps ne peuvent pas et ne protégeront pas efficacement les muqueuses de l’infection par le SARS-CoV-2. Par conséquent, les « percées infectieuses » actuellement observées chez les personnes vaccinées ne font que confirmer les défauts de conception fondamentaux des vaccins. Les mesures d’anticorps dans le sang ne peuvent jamais fournir d’informations sur l’état réel de l’immunité contre l’infection des voies respiratoires. L’incapacité des anticorps induits par le vaccin à prévenir les infections par coronavirus a été signalée dans des publications scientifiques récentes. Les vaccins peuvent déclencher une autodestruction. Une infection naturelle par le SARS-CoV-2 (coronavirus) reste, chez la plupart des individus, localisée aux voies respiratoires. En revanche, les vaccins amènent les cellules situées au plus profond de notre organisme à exprimer la protéine de pointe virale, ce qui n’était pas prévu par la nature. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui fera intervenir à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous constatons aujourd’hui que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, ce qui entraîne une myocardite, voire un arrêt cardiaque soudain et la mort. Comment et pourquoi de telles tragédies qui pourraient être liés à la vaccination sont restés des conjectures, faute de preuves scientifiques. Cette situation est maintenant rectifiée. L’analyse histopathologique montre des preuves claires d’une pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans plusieurs organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produise très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel. Sans aucun doute, l’injection de vaccins génétiques Covid-19 met des vies en danger de maladie et de mort. » « De plus un vaccin utilisant une seule protéine, générant de fait une immunité « étroite » contre peu d’antigènes, aura une probabilité plus forte d’induire un échappement par mutation du virus. Les vaccins ARNm peuvent donc beaucoup participer gravement à la mutation fréquente du covid, surtout que pouvant finalement devenir des mutants plus résistants en particulier face aux vaccins s'affaiblissant avec le temps plutôt qu'à l'immunité naturelle. Il faudrait donc normalement une large couverture des différentes souches du virus et un contrôle de l’échappement immunitaire par sélection de variants. C'est pourquoi des combinaisons d'anticorps monoclonaux neutralisant le virus et non concurrentes pourraient être utiles. » (Passages résumés de l'excellente interview « Ne faisons pas un remède pire que le mal : l'entretien essentiel, avec Christian Vélot » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=nLyP03Iq4-4) Ce docteur en biologie et maître de conférences en génétique moléculaire à l'université Paris-Sud 11, Christian Vélot, précise ailleurs : « Évidemment, comme c’est pour échapper au système immunitaire, plus il y a d’entraves lors de la multiplication du virus (des embûches, des anticorps), plus il va essayer de les esquiver, plus on va générer de variants. Si vous avez une population non vaccinée, le virus va circuler et les gens vont l'attraper ; alors évidemment si ça donne une maladie grave il faut faire quelque chose, mais si les gens ne sont pas fragiles, ils vont développer leur immunité naturelle. (Surtout que si ils préservent ou développent leur immunité mentale et intellectuelle (sérénité intérieure et raison posée), leur immunité physique sera plus forte, puisque toute deux s'alimentent mutuellement. C'est pourquoi à notre époque et d'autant plus face aux actuelles crises sanitaires, économique, climatique, ukrainienne, inflationniste et wokiste, la défense personnelle, familiale et sociale commence par l'immunité mentale et intellectuelle liée à la piété.) Si on a une vaccination digne de ce nom face à cette maladie grave, c’est-à-dire un vaccin qui anéantit le virus, qui le bloque, pas de problème de faire une vaccination massive, aucun problème. Mais lorsqu’on a un vaccin aussi imparfait que ceux qu’on nous propose, devrais-je dire ceux qu’on nous impose, que sont les vaccins génétiques aujourd’hui, qui ne protègent ni de la contamination ni de la contagion, donc qui laissent circuler le virus, … donc si on fait une vaccination massive avec un vaccin qui laisse circuler le virus, on se place dans des conditions d’émergence et de sélection de virus variants. Alors c'est un mensonge de dire que les personnes qui ne sont pas vaccinées sont des égoïstes qui ne pensent pas à la collectivité. » La protéine Spike peut provenir du SARS-CoV-2, mais aussi donc des vaccins ARN et ADN puisqu’ils commandent à nos cellules de la fabriquer afin d’entraîner notre organisme à neutraliser le virus qui la porte. Le Pr Perronne a même dit : « On est en train de modifier les cellules des gens. » Normalement un vaccin permet l'apparition d'anticorps devant rester dans le bras pour détruire les antigènes. Cependant cette protéine se répand dangereusement dans le corps dont dans le cerveau et le cœur. La protéine Spike est donc nocive, car elle ne reste pas dans les membranes des cellules qui font la transcription de l'ARN entré dans la cellule, c'est à dire dans l'endroit où l'ARN est traduit par le ribosome en une protéine « spike », alors qu'il était annoncé que cette protéine était la meilleure cible sur le coronavirus, puisque les anticorps vont s'accrocher à elle afin de l'empêcher de faciliter l'entrée du virus. Or la façon dont les vaccins ADN et ARN procurent réellement la protection est de la cytotoxicité (détérioration) cellulaire provenant de la création de lymphocytes T cytotoxiques. C'est à dire que ces derniers peuvent très dangereusement attaquer toutes les cellules créatrices et porteuses de la protéine Spike, surtout que cette dernière se répand donc souvent massivement dans le corps, le cerveau et le cœur en créant des problèmes comme des dégénérescences mentales et physiques, des maladies cognitives, de la psychose pouvant aller jusqu'au suicide, des incohérences mémorielles, la stérilité des ovaires, des myocardites (gonflement du cœur par conséquent contraire à l'affinement de sa sensibilité et de sa noblesse pieuses à l'image de certains êtres humains). D'autant plus qu'il s'agit d'un sacrifice de cellules par le système immunitaire qui les attaque. Ces vaccins sont donc bien clairement une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe Spike (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19) saturant et donc infectant désormais même le foie. La protéine Spike est ainsi fabriquée par nos cellules qui ont été ni plus ni moins piratées comme le vaccin ARN était entré par un mensonge pour les produire à la différence des autres vaccins qui sont reconnus pour activer le système immunitaire. Or c'est un risque non nul que cette fabrication devienne anarchique et provoque ce qui a déjà été rencontré et évoqué de nombreuses fois, c’est-à-dire des concentrations dans le cerveau, le cœur ou les gonades, entraînant des phénomènes thrombotiques graves, voire mortels, des fausses couches ou une stérilité, féminine comme masculine. Il faut noter que les multiples mauvais effets secondaires du vaccin ARN causés par Big Pharma enrichissent Big Pharma. Selon le Dr Ryan Cole, les organes touchés par les injections massives de protéines Spike sont les poumons, les reins, les ovaires, les testicules, le foi. En sachant que certains savants disent que l'ARN artificiel des vaccins pourraient même possiblement entré dans l'ADN humain. Le vaccin ADN est en réalité un adénovirus recombinant, mais c'est aussi de la technologie de thérapie génique et tout ce qui découle de la traduction de la protéine spike est identique à ce vaccin dont le ARN. Ceci indiquant que nous vivons très probablement la fin des temps. La vaccination à ARNm consistant donc à pirater le corps humain et précisément ses cellules afin qu’elles utilisent leur propre machinerie pour fabriquer la protéine S (dite protéine spike, une des quatre protéines structurelles du SARS-CoV-2) via l’information de construction que constitue le fameux brin d’ARN messager, il en ressort que la prolifération de la protéine spike dans le corps humain, s’il est parfois contenu et limité, peut dans d’autres cas se répandre dans le corps entier et faire son œuvre qui consiste à s’amarrer aux récepteurs ACE-2, entraînant une inflammation des tissus pouvant conduire à la mort. En effet à l’autopsie apparaissent souvent des lésions disséminées jamais vues, avec une forte infiltration de lymphocytes au niveau des tissus, signant des problèmes inflammatoires disséminés dans le corps, des inflammations rhumatismales, des micro-thromboses d’artères. Les micro-thromboses dans le corps entraînent des risques à moyen ou long terme. Dans le foie, la régénération est possible, mais pas dans les poumons où il existe un risque de pression dans les artères pulmonaires et donc d’insuffisance cardio-respiratoire. Quant aux myocardites constatées, souvent soignées dans un premier temps, elles ont un diagnostic à 5 ans défavorable, avec environ 50% de décès sur un tel terme, selon le Dr Ochs. Martine Gardénal, médecin homéopathe, médecin du sport, anciennement médecin de l’équipe olympique a de plus déclaré : « Il y a des sportifs qui se plaignent d’une grande fatigabilité. Une étude publiée au mois de juin — tout ça reste silencieux pour ne pas ébruiter que ces injections ont des effets secondaires — annonçait une perte de puissance et de fatigabilité qui modifiait les résultats de 40 %. C’est énorme, on perd la moitié de ses résultats. » « Une nouvelle étude révèle que la protéine Spike, initialement censée disparaître en quelques jours, persiste dans le corps de certains individus plus de 700 jours après la vaccination. Cette découverte alarmante soulève des questions cruciales sur les effets à long terme des vaccins à ARN messager. La protéine Spike, produite par les vaccins à ARNm, était supposée être éliminée rapidement par l’organisme. Cependant, des recherches publiée par l’Université de Yale montrent qu’elle peut persister bien au-delà des délais initialement annoncés. Cette persistance pourrait être liée à l’intégration de résidus d’ADN dans le génome humain, un phénomène inattendu et potentiellement dangereux. La présence prolongée de la protéine Spike dans l’organisme soulève des inquiétudes quant aux effets à long terme sur la santé. Des chercheurs ont observé que cette protéine peut pénétrer dans les noyaux cellulaires et perturber les mécanismes de réparation de l’ADN, augmentant ainsi le risque de cancers et de maladies auto-immunes. De plus, la protéine Spike est connue pour être toxique pour l’endothélium des vaisseaux sanguins, ce qui pourrait entraîner des complications cardiovasculaires. » (Média en 4-4-2 rapportant un entretien avec le Professeur Raoult) Selon aussi le Professeur Perronne, le livre de R. Kennedy « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma. Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » présente le travail d’investigation approfondie de plusieurs décennies d’un brillant avocat engagé. Il y démontre, avec toutes les preuves à l’appui, la dérive de l’industrie pharmaceutique devenue, dans beaucoup de domaines, une gigantesque machine à corrompre afin de falsifier les données scientifiques au profit d’un petit nombre. Il y dévoile une pieuvre tentaculaire qui a perverti la médecine. Tous ses propos sont sourcés avec de très nombreuses pages de références. Ce livre, dont la version anglaise est un best-seller aux USA, est inattaquable et n’a d’ailleurs suscité aucune plainte pour diffamation. Par rapport à autant de gravité sanitaire, Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, a même été jusqu'à affirmer que les pays occidentaux mènent une guerre contre toutes les religions mais également contre le code génétique de toutes les civilisations humaines dont pour la domination oligarchique. Le vaccin n'est pas venu pour soigner le covid, mais le covid a été créé pour propager le vaccin mortel. Dans ce sens, le général Igor Kirillov avait accusé Washington de créer artificiellement des crises biologiques pour dominer le monde. « Le covid est une arme biologique qui a été utilisée par les forces globalistes pour mettre sous contrôle les populations (en les rendant dépendante des grandes sociétés mondialistes et des organisations supranationales comme l'OMS et certaines banques centrales). La Russie a oscillé entre obligation vaccinale et liberté totale, sans doute parce qu’elle s’était persuadée qu’il fallait maintenir une forme de dialogue avec l’Occident. Identiquement, il y avait un mouvement de balancier entre des phases un peu idéalistes de rapprochement avec l’ouest et des phases de réalisme géopolitique. Aujourd’hui les liens de dépendance politique, économique mais aussi idéologique sont rompus. L’hégémonie culturelle de l’Occident, la pensée unique (et leur idéologie ploutocratique malthusienne) ont fait leur temps. Depuis le début de l’opération spéciale, la Russie trace sa propre route. » (Daria Douguine) Des chercheurs israéliens ont montré que le coronavirus SARS-CoV-2 provoquait des répercussions sur le système cardiaque et vasculaire en général. On imagine aisément que la vaccination à ARNm, en piratant la cellule humaine pour lui faire produire le virus, reproduit les mêmes symptômes. C'est pourquoi le taux important de remplissage des urgences américaines est moins étonnant, alors même que l’épidémie est en recul aux États-Unis. Le biologiste Clemens Arvay se demande en plus si les vaccins actuels à ARNm et à vecteur contre le SRAS-CoV-2 pourraient poser des problèmes à l’avenir en raison des anticorps qui renforcent l’infection. Une étude évaluée par des pairs et publiée dans le Journal of Infection met en garde contre les anticorps favorisant l’infection qui, selon l’étude du modèle de biologie moléculaire, sont formés en réponse à la vaccination et ont pu favoriser l’infection avec les variants Delta désormais dominants. Il préconise ainsi le principe de précaution. De plus les vaccins à ARNm covid "reprogramment" (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives, innées et particuliers, qui régulent à la baisse la voie dite TLR4, étant connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses. C'est pourquoi il est clairement possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique. Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite. Et comme les vaccin ARN peuvent donc détruire l’immunité corporelle, cela pourrait faire des dégâts incalculables, puisqu'ils vont s’étaler sur des années voire probablement sur des décennies. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise à un rythme alarmant » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/21/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/ D'ailleurs des médecins du monde entier signalent une augmentation de la famille des virus de l’herpès, ainsi que du zona, du virus du papillome mono et humain (VPH) dans les biopsies cervicales, les frottis des femmes, et des biopsies tissulaires des hommes, un système immunitaire approprié dans le corps pour garder le cancer sous contrôle. Les médecins signalent que les cancers de l’endomètre, les mélanomes invasifs et divers autres cancers ont ainsi augmenté dont apr réactivation suite à la vaccination. On prévoit déjà que l’incidence de divers cancers sera aussi importante chaque année. En outre, de nombreuses infections opportunistes secondaires qui sont souvent observées chez les patients atteints du VIH se manifestent également chez ceux qui ont reçus le vaccins ARN ou été infectés par le SARS-CoV-2, qui contiendrait d'ailleurs artificiellement une séquence du VIH suite à une manipulation en laboratoire selon le Professeur Montanier, surtout que selon cet article à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/12/les-preuves-biochimiques-et-statistiques-officielles-confirment-a-100-que-moderna-a-cree-le-covid-19/, les preuves biochimiques et statistiques officielles affirmeraient que Moderna a créé le Covid-19. Cette trace de VIH a été aussi prouvée par le gouvernement australien ayant affirmé que suite à l'injection des vaccins ARN, certaines personnes qui ont ensuite fait des tests contre le Sida ont été déclarées porteuses du VIH (pas du Sida), car ils avaient développé des anticorps contre le Sida. Or il a été aussi trouvé dans ces vaccins une séquence du paludisme, une partie du virus SV40 qui cause certains cancers humains, et de l'ADN selon le Professeur Raoult alors qu'il ne devrait donc y avoir normalement que de l'ARN. « De nouvelles preuves obtenues par US Right to Know (USRTK) renforcent encore la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 a été fabriqué en laboratoire. Les nouvelles caractéristiques trouvées dans le SRAS-CoV-2 correspondent aux paramètres de recherche présentés dans une proposition de subvention de 2018 par EcoHealth Alliance pour mener des recherches sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris. EcoHealth et l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient bien conscients du potentiel que cette recherche pourrait déclencher une pandémie humaine. Un mémo de planification contient une note indiquant : « Nous DEVONS indiquer clairement dans la proposition que notre approche ne pilotera pas l’évolution dans le mauvais sens, par exemple entraînera l’évolution d’une souche plus virulente qui deviendra ensuite pandémique. » À l’heure actuelle, la recherche sur les gains de fonction est autorisée à condition qu’elle soit menée dans le but de créer un vaccin, ce qui est une erreur logique. Nous n’avons jamais été capables de construire de manière préventive un agent pathogène qui apparaîtrait plus tard au cours de l’évolution naturelle. Nous créons de nouveaux agents pathogènes qui n’existent pas dans la nature, puis développons des vaccins contre ceux-ci. En d’autres termes, nous créons des armes biologiques et des antidotes à ces armes biologiques, et cela doit cesser. Pour que cela se produise, le public doit commencer à « faire du bruit » afin que nos élus commencent à comprendre que nous ne permettrons pas que cette question soit ignorée. Dans un article du 25 janvier 2024 du City Journal, l’écrivain scientifique, rédacteur en chef et auteur Nicholas Wade détaille de nouvelles preuves obtenues par US Right to Know (USRTK) qui renforcent encore la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 a effectivement été créé en un laboratoire. Comme l’a noté Wade, c’est la principale raison pour laquelle personne, malgré des efforts de tests massifs, n’a été en mesure de trouver le SRAS-CoV-2 chez un animal sauvage, chauve-souris ou autre. Cela n’a jamais existé dans le monde naturel, seulement en laboratoire. Les documents récemment obtenus incluent ce qui équivaut à une recette pour « assembler des virus de type SRAS à partir de six morceaux d’ADN synthétiques conçus pour constituer une séquence consensus – la forme génétiquement la plus infectieuse – de virus liés au SRAS1, le virus de chauve-souris qui a causé la maladie mineure ». épidémie de 2002 », écrit Wade. Il s’avère que le SRAS-CoV-2 a exactement cette structure en six sections. Comme l’explique Kopp, le SARS-CoV-2 fait correspondre ces paramètres de recherche au T. Il possède un site de clivage de la furine dans la protéine de pointe à la jonction S1/S2, et son génome peut être divisé en six chaînes d’ADN uniformément espacées en utilisant enzymes de restriction appelées BsaI et BsmBI. Il est peu probable que cet espacement uniforme se produise dans les génomes des virus naturels. La raison pour laquelle les scientifiques assemblent des virus à l’aide de morceaux d’ADN uniformément espacés est parce que c’est plus facile à manipuler. Cela leur permet de synthétiser chimiquement les morceaux individuels, puis de les assembler pour créer un génome complet. Cette « empreinte digitale » synthétique révélatrice trouvée dans le génome du SRAS-CoV-2, a été détaillée dans une prépublication de 2022 par Bruttel et. Al. Comme l’a noté Wade, l’essentiel est que « si votre virus a des sites de reconnaissance régulièrement espacés, il y a fort à parier qu’il a été créé dans un laboratoire ». Il s’avère que le projet de proposition DEFUSE comprenait même un bon de commande pour BsmBI – un fait souligné par Bruttel dans un message Twitter/X. Les variations génomiques du SRAS-CoV-2 se situent également dans la plage de 25 % indiquée dans la proposition, et ses domaines de liaison aux récepteurs ont été optimisés dès le départ pour les récepteurs ACE2 humains, ce qui lui a permis de se propager comme une traînée de poudre. Wade écrit : « La découverte de la nouvelle recette renforce certainement la possibilité que l’espacement régulier des sites de reconnaissance BsaI et BsmBI dans le SRAS2 soit la signature d’une origine synthétique ». En effet, Richard H. Ebright, biologiste moléculaire à l’Université Rutgers, qui avait qualifié l’article de 2022 de « remarquable… mais pas décisif », affirme désormais que les preuves contenues dans les nouveaux documents « élèvent les preuves fournies par la séquence du génome du niveau supérieur ». Remarquable similitude avec un pistolet fumant. Matt Ridley, co-auteur de « Viral : The Search for the Origin of COVID-19 » est d’accord, notant que toutes les nouvelles caractéristiques du SRAS-CoV-2 sont expliquées par les méthodes de recherche proposées détaillées dans les documents DEFUSE. « Jeu terminé. » Ridley a écrit. » (Extraits de l'article « Covid-19 est bien une création humaine » sur aimsib.org) Le virologue japonais Takayuki Miyazawa, coauteur d’une étude sur Omicron et ses sous-variants, affirme aussi que les mutations de ces virus n’ont rien de naturel et ne peuvent être le résultat que d’une manipulation intentionnelle dans le cadre d’une expérimentation. Des explications jugées tout à fait recevables par le chercheur français Jean-Marc Sabatier. Il faut noter que les variants du virus corona proviennent d'une pression immunitaire immense des vaccins ARN et de la vaccination massive empêchant l'immunité naturelle collective. Toute cette histoire correspond donc à une manipulation des peuples par la pseudo science biologique et génétique. Surtout que la chloroquine vient d'un arbre et est donc en conformité avec la médecine prophétique basée sur l'utilisation des végétaux, et qu'en réalité, le seul vaccin valable et réellement efficace est la bonne hygiène de vie renforçant notre système immunitaire. En effet de plus en plus de chercheurs affirment que c'est la mauvaise hygiène de vie liée à des pratiques immorales, un état psychique faible, la pauvreté, la pharmacologie corrompue, ou le manque de sanitaire, qui affaiblissent et effondrent le système immunitaire, et non les virus, les bactéries ou les métastases. De récentes découvertes ont montré que les protéines Spike (en particulier des vaccins ARN) enveloppent et donc cachent en réalité du graphène qui tue donc discrètement, car servant de batterie et augmentant l'irradiation provenant des antennes 4G et non du covid. En effet ce processus augmente les cancers, surtout à travers des récidives, quand une personne fragile est proche d'une de ces antennes, et encore pire lors d'un contact avec la 5G largement plus puissante dont la mise en place de cette dernière pourrait augmenter par 4 voire plus le nombre de morts. Cette 5G fut d'ailleurs étrangement expérimentée à Wuhan après les premières injections de vaccins pour la grippe contenant du graphène en 2019 (l'année avant le début de la prétendue pandémie covid) et de la microtechnologie (s'assemblant en minis routeurs qui peuvent être détectés tels des humains marqués comme les animaux et qui peuvent s'agripper au système nerveux central en créant des maladies dégénérative ou au système neuronal pouvant ainsi agir sur les réactions comportementales au niveau cognitifs suite à de l'énergie reçue via le graphène). Un article rapporte que le professeur E. Alphandery a justifié la présence de graphène dans les « vaccins » contre Covid. La nouvelle aurait pu faire l’effet d’une bombe, mais elle est passée relativement inaperçue. Un article publié dans la revue scientifique Journal of Materials Chemistry B en février 2022 révèle l’utilité de nano matériaux métalliques et d’oxyde de graphène dans les vaccins contre Covid. Toute la presse subventionnée avait qualifiée cette information de complotiste. Suite à la campagne mondiale de dénigration contre les scientifiques qui ont affirmé que les vaccins Covid regorgeaient de graphène et d’oxyde de graphène, les allégations du Pr Alphandéry n'étaient normalement donc pas choquantes. Il n’est pourtant nulle part mentionné que les vaccins contre le Covid contiennent de l’oxyde de graphène, pas davantage dans la composition des vaccins mentionnée par les fabricants que sont Moderna, Pfizer BioNtech, Johnson & Johnson et AstraZeneca. L’ANSM aurait-elle menti par omission ? « Saviez-vous qu’en 1986, les fabricants de vaccins perdaient tellement d'argent en raison de procès pour décès et blessures causés par leurs vaccins qu'ils ne pouvaient plus faire de bénéfices ? Ils ont donc demandé au gouvernement américain de les protéger de toute responsabilité et c'est ce que le Congrès US a fait… » (Robert Kennedy Jr)
L'avantage pour les mondialistes malthusiens est de dissimuler les conséquences souvent mortelles de la mise en place de l'ARN et de la 5G irradiant donc apparemment le graphène contenu dans vaccins contre la grippe et le covid injectés dans le corps et irradiant donc certaines cellules le temps que ce graphène se désagrège sur plusieurs jours voire semaines. Pour compenser l'effet d'irradiation de l'oxyde de graphène, il est possible de consommer des antioxydants comme le zinc, mais pour dégrader et neutraliser le graphène, il faut consommer des enzymes comme la myéloperoxydase que l'on trouve dans les radis violets (piquants). Il est intéressant de voir à ce sujet l'entretien « Le b.a.-ba de Béa Bach #17 – Graphène, l’inquiétante inconnue (entretien ERTV avec Ricardo Delgado) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-b-a-ba-de-Bea-Bach-17-Graphene-l-inquietante-inconnue-entretien-ERTV-avec-Ricardo-Delgado-68366.html Le Pr Alphandéry est conseiller scientifique de la Start Up Nanobactérie. Créée en 2008, elle est leader mondial dans le domaine des applications médicales des nanoparticules magnétiques synthétisées par les bactéries magnétotactiques, appelées les magnétosomes. Selon elle des nanoparticules magnétiques sont à l’origine de la réaction magnétique présentée dans des vidéos montrant des pièces, des fourchettes et même des téléphones portables aimantés au point d’inoculation. Le fact-checking nous dit pourtant que c’est un montage et qu’il n’y a pas de magnétisme. Pourtant à l’été 2021, les japonais ont retourné 1,6 millions de sérums anti Covid Moderna à cause de particules métalliques trouvées dans ces produits. Sûrement les japonais n’étaient-ils pas davantage informés de la composition des vaccins. Merci donc au Pr Alphandéry de nous avoir donné quelques confirmations, surtout que les vaccinations ont eu lieu sans le consentement libre et éclairé des patients. Ce qui est normal dans une tyrannie mais pas dans une démocratie. Et comme il est apparu que le système a beaucoup tricher avec le covid, similairement à avoir crié faussement au loup, cela entraîne donc le risque d'imprudence massive face à une éventuelle prochaine pandémie. Face à la mort, il y a trois niveaux de sécurité que nous devons évaluer : risque aigu, risque subaiguë, et risque à long terme. Or sous tous les angles d’approche du problème des vaccins ARN, on a un Risque aigu (court terme) : caillots de sang, inflammation du cœur, fausse couche, règles abondantes et déréglées ; un Risque subaiguë (moyen terme) : réaction immunitaire pathologique désastreuse ; et un Risque à long terme : des cancers, de la fertilité, augmentation des maladies auto-immunes, les maladies auto-immunes résultant d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme, c'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde. Le vaccin n'a donc jamais été apporté pour le covid. Le covid a été apporté pour le vaccin et ses énormes bénéfices. Une fois qu'on a compris çà, tout fait sens. Alors que certains, comme ce les journalistes mainstream, considèrent toute remise en question de la gestion de la pandémie et de l'efficacité des vaccins comme une attitude « anti-vax », l'eurodéputée et candidate aux législatives Virginie Joron n'hésite pas à exprimer ses inquiétudes. « J'ai été interpellée par le fait que 95 % des clauses étaient dissimulées », déclare-t-elle, défiant ainsi le consensus médiatique. Ainsi le but ultime du vaccin pourrait bien de faire baisser ultérieurement sans être inquiété la population mondiale par la continuité de l'épidémie, la stérilisation, la mort, des effets secondaires, la baisse du niveau d'accueil hospitalier, la dépression, le dysfonctionnement du système immunitaire, etc. Surtout que ce vaccin n’est étonnamment pas nécessaire, puisque personne n’en a besoin. En effet les enfants ont 99,998% de chances de survivre, et les jeunes adultes de 18 à 45 ans en ont 66,68%. D’après le CDC, une personne ayant déjà eu le covid 19 détient des anticorps naturellement induits qui ont milliard de fois plus d'efficacité que l’immunité artificiellement induite par le vaccin. Alors pourquoi faire vacciner quelqu’un avec un poison mortel qui va créer des anticorps inférieurs ou dangereux quand il a déjà des anticorps sains ? De plus lorsque la population à haut risque qui a un taux de mortalité de 7,5 % est traitée les gens dans le bon délai, c'est à dire dans les premier jours avec de l'hydroxychloroquine, de l'ivermectine ou/et du zinc, vous réduisez le taux de mortalité de 85 %. Donc, sur 600 000 Américains, 510 000 auraient pu éviter d’aller à l’hôpital et d’y mourir. En effet ces substance sont des pistes très sérieuses pour être immunisé face au covid. Donc la question suivante est aussi très logique : si il est possible de réduire le taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5%, pourquoi utiliser un poison mortel qui ne fonctionne pas, mais qui a des effets secondaires horribles ? D'autant plus qu'à cause des oppressantes mesures sanitaires qui ont été prises, des collectifs liés au secteur psychiatrique ont dénoncé en plus par rapport aux enfants l'augmentation des suicides, des divorces, des addictions, des dépressions, des isolements, du manque d'empathie puisque ne voyant pas les expressions du visage, le sourire, la tristesse, et par rapport aux nourrissons, l'accumulation de retard de langage par les nourrissons. Des professionnels pédiatriques dont en pédopsychiatrie ont aussi relevé de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation sur les enfants, lors de l'impact traumatique de la gestion sanitaire du Covid : nouvelles maltraitances dans les établissement scolaires, une condamnation de la tendresse et de l'empathie, un interdit implicite à l'altérité, une entrave au développement relationnel et psychomoteur ainsi que des retards voire des régressions dans les apprentissages dont du vocabulaire, de l'élocution, de l'articulation et de l'expression des sentiments à cause des masques, une fragilisation de l'autorité bienveillante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et une augmentation des discours paradoxaux. Tous ces problèmes ont donc en plus amener à une souffrance psychique croissante allant de troubles alimentaires à des dépressions chez les enfants et risquant d'entraîner une explosion de problèmes psychiques graves et de passages à l'acte suicidaire. Le soutien familial et de l'éducation parentale sont donc encore plus importants puisque concernant la santé mentale des enfants. Il est possible de lire l'article complet « À propos des impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/A-propos-des-impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-62231.html L'avenir de tous ces enfants devient alors compromis à cause donc du processus de développement normal altéré au delà de toute imagination. Or cet oppressant port du masque sur des années scolaires peut plus tard finir par devenir synonyme de grande bienveillance et d'une grande maturité sociales pour ces générations, si leur sensibilité important liée à ce traumatisme est bien canalisée et orientée tel vers un pieux entonnoir affinant jusqu'au meilleur Bien. Une maman s’est heurtée au devoir de neutralité des écoles mais aussi au refus de l’inspection académique (qui estime que se soucier du bien-être des enfants est « une perte de temps ») de répondre à un questionnaire sur l’impact du masque à l’école. Pourtant cela permettrait de rassurer certains parents inquiets et d’alerter d’autres trop confiant. Elle a donc décidé de mener directement une étude d’impact sur le port du masque à l’école, avec un questionnaire, auprès de 1 826 enfants. Les réponses des 1 826 enfants, du primaire au lycée, à ce questionnaire, exprimées en pourcentages, sont édifiantes mais surtout inquiétantes : Sur le plan physique : Conséquences directes du port du masque : difficultés à respirer ; essoufflement ; humidité sous le masque ; maux de tête et vertiges ; démangeaisons et irritations du visage ; difficultés pour bouger et pour jouer ; buée sur les lunettes ; fatigue et somnolence ; maladies diverses malgré le respect des règles sanitaires ; saignements de nez, nausées, malaises ; mauvaise haleine ; acné amplifiée ; lésions cutanées ; soif ; douleurs derrière les oreilles. Mais aussi, mains abîmées par les lavages répétés ; encoprésie (défécation involontaire). Sur le plan relationnel : Pénibilité du masque tout au long de la journée ; moins envie d’aller en classe ; tristesse de devoir garder les distances avec ses camarades ; moins de joie ; plus de colère ; agitation, besoin de se défouler après les cours ; peur de la punition ; nécessité de se cacher ; mentir ou désobéir pour baisser le masque ; peur de moins supporter le masque avec l’arrivée du printemps ; peur de l’avenir ; nécessité de consulter un psychologue ou un autre thérapeute ; déscolarisation temporaire ; isolement social. Mais aussi peur de la maladie peur de mourir ou de faire mourir l’autre ; angoisse ; irritabilité ; culpabilisation ; insomnie ; cauchemars ; démotivation ; dépression ; sentiment de maltraitance, de surveillance permanente, d’exclusion et de répression ; dévalorisation de soi-même ; perte de confiance dans les enseignants ; rejet de l’institution scolaire. Sur le plan cognitif : Conséquences directes du port du masque : difficulté à se concentrer, à se faire entendre à l’oral et à comprendre son correctement son professeur/instituteur ; champ de vision réduit. Mais aussi retard dans les apprentissages ; augmentation de la dysphasie. Certains enfants se sentent toutefois mieux par le sentiment d’être responsables, d’être protégé et de protéger les autres. Mais aussi par des parents plus rassurants et plus bienveillants. Suite à une blessure de guerre lui ayant apportée des séquelles d'un syndrome de stress post-traumatique après une mission de cinq mois en Afghanistan, l'ancien médecin militaire Madame Bonni a porté plainte contre le gouvernement : « Suite à mon expérience traumatique, je me permets de demander à mettre un terme aux abus du gouvernement lié au covid, car la population française subit une persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires, et par des mesures en tout sens : gestes barrière, masques déconseillés puis obligatoires, confinement à échelles variables, couvre-feu, obligation de rester chez soi en cas de symptôme, drame des Ephad (dont à travers le rivotril qui a tué de nombreuses personnes âgées dans les EPHAD lors du covid), fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants, des dancing, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mise au chômage, travail et enseignement à distance, etc. Cela se paye d'une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont source de traumatisme psychique qui auront toujours plus de conséquences : isolement, violence, burnout, dépression, intoxication médicamenteuse, usage de stupéfiants, suicide. En particulier les jeunes générations sont privées d'un accès au savoir qu'elles ne rattraperont jamais et spécialement les tout petits sont en danger parce qu'ils sont privés de phases essentielles à leur humanisation (de leur premier souffle jusqu'aux années d'apprentissage de la parole et de la socialisation dont à travers la masque inadmissible à partir de six ans). » Cette dénonciation ne correspond-t-elle pas à un génocide, qui dans l’échelle des crimes internationaux est le plus grave que l’on puisse commettre, et donc bien à une dépopulation voulue par les pervers mondialistes selon l'article 211-1 du code pénal : « Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ; soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ; mesures visant à entraver les naissances ; transfert forcé d'enfants. Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. » Convention d'Ovedio à laquelle la France est soumise : article 2 : « La primauté, l'intérêt et le bien-être de l'être humain doit prévaloir sur le seul intérêt de la société et de la science. » D'ailleurs en plus de l'augmentation des morts suite aux vaccins (myocardites et cancers), l’Europe a un problème de fertilité très probablement lié aux vaccins créant des dérèglements menstruels. La cohérence des données est stupéfiante. Partout où les données sont disponibles sur les naissances mois par mois, il manque de nombreux bébés depuis le début de l’année 2022. Tout se passe comme si les femmes avaient été rendues malades à partir de la moitié de l’année 2021, bloquant leur fertilité de manière suffisamment massive pour se répercuter dans les statistiques de naissances. En règle générale, le génocide ne signifie pas nécessairement la destruction immédiate d’une nation, sauf lorsqu’il est réalisé par des meurtres en masse de tous les membres d’une nation. Il entend plutôt signifier un plan coordonné de différentes actions visant à la destruction de fondements essentiels de la vie de groupes nationaux, dans le but d’exterminer les groupes eux-mêmes. Un tel plan aurait pour objectifs la désintégration des institutions politiques et sociales, de la culture, de la langue, des sentiments nationaux, de la religion et de la vie économique de groupes nationaux, ainsi que la suppression de la sécurité personnelle, de la liberté, de la santé, de la dignité, voire de la vie des personnes appartenant à ces groupes. Le génocide vise le groupe national en tant qu’entité, et les actions en question sont dirigées contre des individus, non pas en qualité, mais en tant que membre du groupe national, et la pensée génocidante correspond donc à un génocide de la pensée et une condamnation. Or ce sont une description et une énumération très précises de tous les maux mortels dont de la tyrannie sanitaire, financière, médiatique, économique et numérique qui touchent l’Europe de l’Ouest et la France en particulier. D'autant plus que toutes ces mesures sanitaires terroristes ont fait empirer le médiocre moderne individualisme sociétal, en le faisant devenir de l'hyper individualisme, qui est par conséquent encore plus loin de l’immunité collective. Si à cela, on rajoute des vaccins contenant des métaux lourds mauvais pour la santé ou/et contenant désormais de l'ARN pour faire des hommes des organismes métaboliquement voire génétiquement modifiés (dont dans leur reproduction) dépendant du secours de l'industrie pharmaco-chimique, c’est jackpot : une humanité totalement rendue esclave de big pharma pour sa survie et perpétuation, surtout que la partie de l'OGM apportée au corps humain des citoyens pourrait un jour appartenir à leurs concepteurs par le brevet y étant lié comme pour les aliments génétiquement modifiés. Le PDG de Pfizer a même admis que les vaccinés sont « susceptibles » d’être à inoculés semestriellement. Leurs systèmes immunitaires seraient donc désormais dépendant de l’approvisionnement constant de Big Pharma en substances ARN. Il est à noter que l'origine du vaccin prototype de Pfizer est judéo-protestante et que celui de moderna est israélo-américaine. Par conséquent il ne faut pas s'étonner qu'il soit possible que le commerce autour des problèmes climatiques puisse également amplifier ou cacher certaines vérités à des fins financières ou politiques dont à travers la prétendue lutte contre le CO2 alors qu'il est en réalité non polluant car nourrissant la biomasse (des études de la NASA ont montré que dans un mécanisme divin de survie, la végétation a augmenté partout dans le monde parce que nous stockons davantage de CO2, surtout qu'il est impossible de supprimer toutes les émissions de gaz à effet de serre, car cela impliquerait de supprimer toutes les activités humaines. Ce qui prouve que la menace du CO2 est sournoisement fabriquée pour le mondialisme oligarchique), à travers le trou qui s'est refermé qu'il y avait dans la couche d'ozone, et à travers le réchauffement climatique, comme à travers la théorie stupide de l'hominisation pourtant enseignée dès l'école ou diverses théories scientifiques aussi erronées. En effet pour toujours plus s'enrichir ou étendre leur pouvoir, des puissances supranationales (lobbies, organisations mondialistes dont OMS, multinationales industrielles dont pharmaceutique) parfois plus riches que les Etats cherchent toujours à manipuler les peuples par la corruption ou des complots comme contre la chloroquine. La revue scientifique Biomedecine et Pharmacotherapy à d’ailleurs rétracté son étude accusant l’hydroxychloroquine d’avoir fait 17.000 morts, alors que c'était une molécule pourtant utilisée sans danger depuis des décennies. Cette étude, amplement relayée par les médias pour des raisons politiques, visant à torpiller les traitements précoces et à réserver le marché à une certaine « injection expérimentale », a évidemment été rétractée sans aucun mea-culpa de la part de la presse macronienne. Le corps médical international a donc laissé le grand art de sa profession lui être retiré par des politiciens, de faux scientifiques, des laboratoires pharmaceutiques corrompus, des forces d'argent cupides et des lobbies dominateurs. En 2015, Bill Gates, l’ami du pédocriminel Epstein, avait dessiné le scénario qui ressemble étrangement à la situation actuelle, certainement plus par cynisme meurtrier que par prémonition géniale. Il faut d'ailleurs noter que les carnets d'Epstein et les membres du Forum Economique de Davos correspondent à la ploutocratie mondialiste, qui crée une culture de masse industrielle qui vise à formater les esprits, à encadrer, à contrôler et à censurer, au profit d'idéologies préservant voire favorisant cette ploutocratie, comme le wokisme, le Lgbtisme, l'écologisme, le sionisme et le transhumanisme. Une ancienne infirmière Kate Shemirani a été licencié pour ces propos concernant la désignation 060606 par Bill Gates et la possibilité de graphène dans les vaccins : « Les vaccins Covid sont sataniques. Le traitement monomoléculaire d’oxyde de graphène (magnétique, aimanté, présent dans les vaccins ARN) est un transmetteur de l'infection (et possiblement détectable par la 5G, ce qui permet une surveillance comme si une puce avait été injectée dans le corps). » D'ailleurs comme le précise le fabriquant Hitachi, la technologie des micro-puces intelligentes permet de réaliser des puces d’un dixième de millimètre voire moins, ce qui permettraient de les lier à des codes bluetooth d'autant plus avec l'apparition de la 5G, surtout que le sans contact existe désormais. De plus des microscopes ont révélé des formes de minis transistors dans le sang de nombreux vaccinés. Ainsi un fait inquiétant concernant les villes intelligentes est que tous les lampadaires sont des lampes LED, qui ont la capacité de manipuler le génome humain. L’expression des gènes peut être désactivée ou activée à l’aide de lampes LED, qui peuvent également activer l’ARNm à l’intérieur du corps humain. Les études scientifiques documentant ces faits abondent en ligne. À Rio de Janeiro, par exemple, 450 000 lampadaires sont en train d’être remplacés par des lampes LED équipées de la 5G.
Project Veritas a publié une vidéo mettant en cause un cadre de Pfizer, Jordon Trishton Walker, qui prétend que sa société explore un moyen de « faire muter » le Covid-19 via une « évolution dirigée » pour devancer le développement de futurs vaccins. Walker affirme que l’évolution dirigée est différente du gain de fonction, qui est défini comme « une mutation qui confère une activité nouvelle ou accrue à une protéine ». En d’autres termes pour toujours plus de contrôle mondialiste, cela signifie qu’un virus tel que le Covid-19 peut devenir plus puissant en fonction de la mutation/expérience scientifique réalisée sur lui. A partir de 2020 et son covid ainsi que son pass vaccinal, nous n’avons pas eu une réponse prévue en cas d’épidémie mais plutôt en matière de bioterrorisme ! Les préparatifs au plan covid sont expliqués depuis 2010 avec les différentes réunions des élites mondiales pour voir comment gérer une crise épidémique. « En Allemagne, une série de documents fuités du Robert Koch Institute (RKI, l'équivalent de notre Santé publique France) a révélé une manipulation politique massive durant la crise du Covid-19. Ces documents, initialement caviardés par le gouvernement, montrent que l'État a obligé le RKI à diffuser des informations fausses et des recommandations contraires à la science, sous prétexte d'une urgence inexistante. Les documents fuités révèlent que le RKI a été contraint de suivre des directives politiques plutôt que scientifiques. Par exemple, le RKI a été forcé de tester massivement la population, même en l’absence de risques médicaux évidents. Cette stratégie visait à maintenir l’illusion d’une pandémie en augmentant les chiffres des tests PCR positifs. Les conséquences de ces manipulations ont été désastreuses pour la santé publique. Les confinements inutiles et les campagnes de vaccination précipitées ont entraîné des préjudices physiques, psychiques et existentiels pour des millions de personnes. Les documents montrent également que les vaccins, dont l’efficacité était marginale, ont causé des effets secondaires graves, souvent sous-estimés ou ignorés par les autorités. Les documents fuités du RKI sont désormais utilisés comme preuves dans des procès en Allemagne, remettant en question la légitimité des mesures imposées pendant la pandémie. » (Média en 4-4-2) Un nouveau rapport parlementaire aux États-Unis fait des révélations explosives sur l'origine du Covid-19, mettant en lumière des échecs politiques et des dissimulations. Ce document, publié le 3 décembre 2024, atteste que le virus a une origine artificielle, provenant probablement du laboratoire de Wuhan, et critique sévèrement les politiques sanitaires mises en place. Le rapport parlementaire américain confirme ce que beaucoup de « complotistes » expliquaient depuis longtemps : le Covid-19 a une origine artificielle. Selon les conclusions du document, le virus serait issu de recherches sur les gains de fonction financées par l’administration du Dr Anthony Fauci, via une ONG très douteuse, EcoHealth Alliance. « J’invite pharmaciens, médecins et infirmiers à bien lire l’arrêt de la Cour de Justice européenne. Big Pharma et les politiques se protègent. Les poursuites seront pour les piqueurs. Les conséquences de cette bombe à retardement qu'est la vaccin ARNm auto-amplifié contre la Covid autorisé par la Commission Européenne en décembre 2024 (bien pire que la bombe à retardement qu'est le vaccin à ARN contre le coronavirus SARS-CoV-2) sont déjà visibles au Japon. Ce rapport provient de l'Enquête post-commercialisation 4e rapport intermédiaire (4 mois à compter du début des ventes) sur les effets secondaires de KOSTAIVE ®. Parmi les événements indésirables recensés au cours des quatre mois suivant la mise sur le marché de ce médicament, 365 cas sur 1067 (dont 3 décès) d’effets indésirables pour lesquels une relation causale avec ce médicament n’a pu être niée. Parmi ceux-ci, 8 cas sur 10 d’effets indésirables graves ont été recensés, tous étant des effets indésirables inconnus qui ne pouvaient être prédits sur la base des précautions d’emploi figurant dans la notice électronique. Le nombre de cas recensés augmente à mesure que la surveillance post-commercialisation progresse : - Réactions indésirables classées par principaux organes, - Troubles gastro-intestinaux Mal de dents, diarrhée, mal de dents, selles molles, selles blanches, douleurs abdominales, gêne abdominale, vomissements - Troubles généraux et anomalies au site d’administration Frissons, Sensation anormale, Douleur thoracique, Fatigue, Bouche sèche, Décès, Démangeaisons au site d’injection, Induration au site d’injection, Érythème au site d’injection, Gonflement au site d’injection, Saignement au site d’injection, Chaleur au site d’injection, Douleur au site d’injection, Fièvre, Douleur - Maladies infectieuses et parasitaires Pneumonie par aspiration, Herpès buccal, Inflammation nasopharyngée, Infection des voies urinaires, Cystite - Trouble du système hépatobiliaire Dysfonctionnement hépatique - Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Douleurs articulaires, Inconfort musculo-squelettique, Douleurs musculaires, Faiblesse musculaire, Maux de dos - Troubles du système sanguin et lymphatique Adénopathie - Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Toux, Dyspnée, Insuffisance respiratoire, Douleur oropharyngée, Gêne oropharyngée, Œdème laryngé, Toux productive, Dysphonie, Rhinorrhée, Rétention de mucosités - Troubles de l’oreille et du labyrinthe Acouphènes - Troubles cardiaques Insuffisance cardiaque à haut débit, tachycardie - Troubles du système nerveux Somnolence, Manque de sommeil, Maux de tête, Infarctus cérébral, Vertige flottant - Troubles rénaux et urinaires Hématurie - Troubles métaboliques et nutritionnels Perte d’appétit, déshydratation - Affections de la peau et des tissus sous-cutanés Acné, prurit, éruption cutanée, douleur cutanée, urticaire - Test de laboratoire Augmentation de la pression artérielle, diminution du rythme cardiaque. » (Hélène Banoun, Réseau-International) Ainsi il est clair que la gestion politique du COVID-19 est un arnaque qui a été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés. Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres. En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même. Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions. Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage. Et il ne fait donc aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés. Il apparaît donc que cette crise du covid pourrait aussi avoir cherché à détruire la morale traditionnelle (chrétiennement humaniste, dont donc en effaçant le côté compatissant des gens et en montant les gens les uns contre les autres) et à construire une tyrannie ultra numérisée et robotisée, pour faire du maximum de la population des esclaves lobotomisés par leur consentement paresseux, c’est à dire, esclaves jusque dans leurs esprits et leurs cœurs, dont à travers le télétravail faisant économiser des loyers de bureaux aux multinationales, voire les faisant transformer lucrativement en appartements à louer, et donc en centralisant encore plus l'économie au profit des très riches. D'ailleurs la crise du covid a en plus servi à préparer le peuple à l'inflation du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine favorisant encore plus le télétravail et centralisant encore plus l'économie, car les PME/PMI ne pourront tenir financièrement par rapport aux multinationales des super riches. D'autant plus que les ultra riches sont plus préservés des problèmes de l'inflation par rapport à la classe moyenne et qu'ils payent souvent peu voire pas d'impôts par rapport à eux. De plus après avoir détruit le Réel (économique, en particulier la classe moyenne) par des capitaux virtuels usuriers, les oligarchies corrompues réinvestissent dans le Réel avec des capitaux virtuels. En effet par l’hypercontrainte voire l’hyperviolence, elles ont une volonté délibérée de nuire pour accaparer un maximum de ressources. C'est pourquoi un des buts des crises sanitaire, inflationniste, énergétique, ukrainienne et banlieusarde, est de ruiner l’UE au profit des USA. Sans réveil massif, les Français ont compris que le futur peut être chaotique. Les inconséquences de la prétendue « stratégie » de vaccination en sont le prélude amer. Gestion sanitaire sournoise, décroissance économique, chômage en mode panique, finances de l’État et des entreprises sur le fil du rasoir, restructurations de secteurs entiers : autant de pierres d’achoppement qui mettront face à face un exécutif au bout du rouleau et une opinion publique à cran.
-Agence européenne des médicaments (EMA) ayant ordonné le retrait de 400 médicaments génériques, dont 72 en France, en raison de mauvaises analyses réalisées par un laboratoire indien. Cette situation met en lumière les dangers de la délocalisation et de la folie du marché, qui ont entraîné des pénuries de médicaments dans de nombreux pays. Ces médicaments génériques, dont la fabrication a été déléguée à des entreprises étrangères, posent problème quant aux études qui ont été menées par le laboratoire indien. En France, cette situation crée un problème d’autonomie en matière de santé, car le pays n’est plus en mesure de produire lui-même les médicaments dont il a besoin. Cette situation est d’autant plus grave que certains de ces médicaments sont indispensables et que des pénuries ont déjà été constatées, notamment pour l’amoxicilline, un antibiotique couramment prescrit. La logique de rendement et de profit qui prévaut dans l’industrie pharmaceutique a des conséquences désastreuses sur la santé publique, et il est urgent de repenser notre système de production et de distribution de médicaments. Thierry Meyssan : « Le projet franco-allemand du chancelier Helmut Köhl et du président François Mitterrand fut conçu durant la Guerre froide. Énoncé par le Traité de Maastricht, en 1992, il se poursuit inexorablement. L’objectif stratégique est de construire une structure supra-étatique capable de neutraliser les divergences d’intérêt entre les deux pays et de rivaliser économiquement avec les États-Unis, la Russie et la Chine. Inexorablement, les pièces du puzzle se mettent en ordre une à une comme ce fut le cas avec le Traité constitutionnel. Vu l’opposition de nombreux peuples européens à cette construction sous contrôle américain, les étapes actuelles sont ralenties, mais l’épidémie de la Covid-19 a permis aux dirigeants allemands et français d’agir à la faveur de la panique sanitaire. En effet à l’issue d’un des plus longs sommets des chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne, un plan de 750 milliards d’euros fut adopté par le Conseil européen pour faciliter la reprise économique post-Covid. Il ne sera pas financé par une dévaluation de l’euro car seuls 19 États en sont membres sur 27, mais par des emprunts de 30 ans. Suite à ce passage du rêve de puissance de l'Union Européenne avant la volonté d’indépendance des peuples, il devrait donc être sinon impossible du moins très difficile d’organiser des sorties de l’Union sur le modèle du Royaume-Uni durant les 30 prochaines années. Emmanuel Macron et Jean Castex ont accepté à la place des Français par référendum d’enchaîner le pays à l’UE pour 30 ans. » Sous prétexte de risque zéro pour préserver la vie, il a donc été pris des mesures oppressives signifiant en réalité perdre, car la vie n'est pas la survie causée par un prêt de 750 milliards d'euros. Dr Pascal Sacré : « Les pays du Nord de l'Europe n’ont pas confiné, et ils ont donc moins traumatisé, et sont restés plus humains. Ils sont la preuve supplémentaire que l’histoire Covid-19 telle qu’elle a été instaurée dans les pays liberticides et coercitifs (Belgique, France, Espagne, Canada…) est bien une fiction avec des éléments réels basé sur un faux consensus d'experts, un terrorisme d'Etat à travers les grands médias et une véritable crédulité d'une grande partie du peuple, plongeant leurs populations dans un piège psychologique redoutable. Cela nous rappelle l’opération de 2009, avec la fausse pandémie H1N1 : mêmes tactiques, mêmes complicités (médiatiques, politiques, gouvernementales), mêmes « experts », mêmes scénarios, mêmes narratives avec un accent sur la peur, la culpabilité, la précipitation et toujours la même odeur nauséabonde de cet argent omniprésent sous la forme de profits immenses à l’horizon pour l’industrie productrice de vaccins. C’est comme si l’épisode H1N1 de 2009 avait servi de répétition. Et si en 2009, l'épisode H1N1 ne put se transformer en tyrannie sanitaire, c'est parce qu'il n'existait pas encore des technologies de contrôle comme le smartphone, le QR code, la bande passante, le sans contact, la 4G, et parce qu'il y avait plus de contre-pouvoir médiatiques, scientifiques et politiques... Il faut noter que ce vol des français dont aussi à travers les arnaques en milliards d'euros du Remdesivir, de la seine propre pour les JO (quoique faire de la France une belle vitrine pour le tourisme est logique) et d'autres secteurs économiques se fait principalement en faveur du monde anglo-saxon privé et publique, et c'est pourquoi la Russie également volée a dit stop en envahissant l'Ukraine et en changeant de paradigme. Or malgré des indices évidents de corruption, d’incompétence, d’ignorance concernant des personnalités éminentes de la politique, de la science, de la médecine, beaucoup de personnes continuent d'obéir au système. Pourtant l’histoire du Covid-19 a encore clairement été une stratégie du choc jamais utilisée pour le bien des populations. La stratégie du choc psychologique est une réalité qui a été étudiée par plusieurs auteurs et chercheurs dont Naomi Klein avec son livre paru en 2007 « La Stratégie du Choc : la montée d’un capitalisme du désastre ». Selon elle le but de ce type de stratégie du choc est de réaliser une table rase pour arriver à une page blanche sur laquelle on peut reconstruire ce qu’on veut. Mais comment y parvenir à l’échelle d’une population entière ? En réduisant donc à néant suite à une ou plusieurs grosses crises, le patrimoine d’un pays ainsi que ses structures sociales et économiques pour pouvoir y construire une nouvelle société, un nouvel ordre après le chaos planifié et contrôlé. Une fois le peuple privé de ses points de repères, mis en état de choc et infantilisé, il se retrouve sans défenses et devient facilement manipulable. Ce processus peut s’appliquer suite à une grave crise sanitaire, économique ou politique, une catastrophe environnementale, un attentat, ou une guerre. » Paradoxalement, le délabrement de l’hôpital fait que l’hôpital est de plus en plus cher. Il faut regarder le coût de la santé supporté par nos impôts pour voir que ça coûte de plus en plus cher de soigner de moins en moins bien. La raison est simple. La tarification à l’acte n’a jamais eu pour but de faire que l’hôpital coûte moins cher. La tarification est construite de façon à rendre rentable certaines interventions et non rentables d’autres interventions. Elle pousse les hôpitaux à faire le tri dans les malades et les soins à proposer. Les médecins et directeurs d’hôpitaux sont très nombreux à le dénoncer. Beaucoup sont partis dégoûtés. Il y a dorénavant à la tête des grands hôpitaux français plus de financiers que de médecins. C’est la seule manière de s’adapter aux règles. Ces financiers se débrouillent pour mettre en place des services « rentables », autrement dit, « facturés très cher pour un minimum de coût, notamment un minimum de temps de soignants mobilisés ». C’est la dérive inhumaine du capitalisme : supprimer l’humain pour ne garder que le capital. L’aboutissement de ça, c’est supprimer le soignant pour le remplacer par une machine qui fera une analyse de sang et prescrira des médicaments à partir d’un algorithme. C’est clairement le chemin que nous prenons au plus grand bonheur de ceux qui détiennent le capital : quelques ultra-riches financiers. Précisons que c’est aussi débile qu’inefficace. C’est un humain qui décide des règles qui régissent l’algorithme. Il sera aussi limité que la manière dont on l’aura implémenté. Il reproduira les mêmes erreurs que son créateur. Il sera probablement fondé sur les statistiques moyennes des humains, alors que nous sommes justement tous différents. Il sera évidemment conçu pour maximiser la rentrée d’argent de celui qui vend les médicaments prescrits. Il ne faut pas se faire d’illusion sur l’objectif des financiers. Ce n’est donc pas un délabrement que nous vivons, mais bien la trajectoire d’un « projet » : la transformation des services publics en entreprises capitalistiques privées. Il s’agit bien de faire disparaître les médecins qui voient des patients, par des algorithmes qui gèrent des consultations à distance, et de ne garder au maximum que des « exécutants ». C’est ce que sont les médecins qui prescrivent des médicaments, opérations ou vaccins, sur la base de ce qui est demandé par le gouvernement plutôt que par ce qu’ils croient profondément bon pour le patient. Trop ont baissé leur garde ces dernières années en décidant d’appliquer des protocoles bien rémunérés et sans risques pour eux (pas pour le patient) plutôt que de prendre leurs responsabilités. Le métier est en train de basculer. Il y a exactement la même bascule du côté de l’enseignement et pour les mêmes raisons. On remplace les profs par des exécutants qui sont embauchés pour passer des vidéos ou des diaporamas du ministère, au lieu de mettre des moyens et d’ouvrir l’enseignement à des gens pour qui ce serait une passion. Ce n’est pas encore une majorité, mais c’est le but. Une fois ces services publics détruits, on pourra facilement les privatiser. Les transports publics, les services publics en général, les banques, les mutuelles ou l’énergie, c’est exactement la même chose aussi : automatiser, virer les humains et ne garder que des exécutants. » Le libéralisme mondialiste arrive à son paroxysme avec le Covid et la globalisation forcée qu’il porte, il s’y suicide pour essayer de passer au post-modernisme mondialiste oligarchique, faute d’avoir une autre idéologie l’obligeant à ne pas tomber dans les excès que l’on observe déjà aujourd’hui. On peut revenir sur la petite recommandation de Bourguignon, qui devrait normalement démissionner rapidement : « Je n’irais pas jusqu’à l’obligation vaccinale mais je (le) demande. Il suffit de regarder un hall de gare ou un train bondé pour savoir qu’il faut se protéger soi-même et les autres. C’est quasiment un devoir citoyen. » Que signifie cette étrange phrase ? Que les Français sont en mauvaise santé dans les gares ? Que la promiscuité des transports favorise la contamination ? Mais comment cette dame peut-elle voir que les gens se contaminent ? Et avant le covid, la promiscuité ne présentait-elle pas de problèmes ? La foule serait-elle l’ennemi de l’individu sain ? Le collectif serait-il mortifère ? Faut-il s’isoler pour survivre ? Quand on creuse un peu, on tombe inévitablement sur les principes néolibéraux de destruction du tout collectif, de toute défense immunitaire sociale, de toute solidarité humaine, exactement le programme d’Ayn Rand, la mère de l’individualisme libéral luciférien. Nous aurions pu bâtir dans la difficulté de cette crise sanitaire une société plus solidaire, plus empathique et plus unie, mais le système a fait de cette période un modèle de division, de haine et d’individualisme, ce qui signifie qu'il en est bien à l'origine. Il est temps d’en tirer les conclusions et de reprendre le cours national, qui est la seule voie permettant le développement des hommes et des sociétés. Il faut renationaliser les élites. Il s'agit d'une guerre des nerfs non perdue d'avance entre le peuple et les oligarchies perverses. Mettre en lumière le pervers pouvoir profond occulte en le dénonçant fait partie de ce qu'il y de pire pour lui et correspond donc à une des meilleures premières armes pour le vaincre. D'autre part les quatre principales raisons de la durée du Covid, liées au fait que mêmes les oligarchies perverses savent que le système va s'effondrer, semblent avoir été par ordre d’importance et de priorité : .Prétendu grand reset qui probablement sera seulement partiel afin d’endormir les peuples pour continuer de les appauvrir par cette mesure sournoise préservant le système d'usure internationale. Il s'agit d'imposer par un chemin inverse à l'affrontement, un totalitarisme consenti dont à cause de la crise du Covid, l'inflation, la crise énergétique, l'engagement climatique, la guerre en Ukraine et la guette en Palestine, c'est à dire en partant du libéralisme plutôt que du communisme. .Fin de l’argent papier. .Finir de subordonner la plupart des pays aux grosses sociétés pour que ces entreprises gouvernent presque entièrement le monde. .Enrichir l'industrie pharmaceutique avec les vaccins, voire contrôler le peuple par des passeports sanitaires, puis par un passeport écologique puis une identité numérique. « La « vaccination » est exigée comme une marque de confiance, sinon d’allégeance au régime en place. Dans les manifestations contre le « pass sanitaire », les cris de « Liberté ! » se font entendre. Cela se comprend et se justifie. Pour autant, le problème n’est pas tant celui du sacrifice d’une « liberté » abstraite et individuelle (celui-ci se justifierait sous d’autres régimes et sous d’autres cieux), mais bien plutôt qui le demande et pour quel objectif. Macron ne fait qu’accélérer les tendances destructrices de la nation déjà en cours et vient offrir aux destructeurs plus de moyens coercitifs. La décision du Conseil constitutionnel du jeudi 5 août 2021 validant la loi sur le « pass sanitaire » vient parachever un coup d’État fomenté en France de longue date. Pourtant, ne nous y trompons pas. Ce n’est ni l’« État » et encore moins l’« État français » qui est actuellement en guerre contre le peuple de France. Au contraire, on assiste à la faveur de cette crise du covid à une soumission totale de l’appareil d’État au profit d’un effacement complet (et définitif ?) de ce dernier. Le piège se referme sur le peuple français, désormais aux mains d’une oligarchie bancaire, financière, pharmaceutique, qui fait régner son pouvoir par la terreur policière, médiatique et judiciaire, et dont « Macron » est le nom en France mais qui peut s’écrire « Biden » aux États-Unis ou « Trudeau » au Canada. Crise politique, économique et sociale avant d’être sanitaire, le nombre de décès hier, puis le nombre de cas infectés, enfin celui des vaccinés aujourd’hui, sont devenus pour des raisons et dans des conditions qui restent à éclaircir (mais qui pour le moment ne changent rien à l’affaire), le nouvel étalon-mesure de la compétition géopolitique entre les blocs. Comme la course aux armements était celui de la Guerre froide. En l’état actuel du Nouvel Ordre mondial, une nation d’importance n’a d’autre choix que de se soumettre à cette nouvelle échelle des valeurs géopolitiques, sous peine de disparaître de la scène internationale et de subir opprobre, sanctions, embargo, voire à terme destruction. » (René Perriot) D'ailleurs la crise du coronavirus orchestrée presque mondialement est très probablement une épreuve de la fin des temps pour imposer l'identification numérique à l'humanité après en avoir rendu une grande partie inculte et incroyante, et donc pour la faire obéir massivement dont afin d'obliger les gens réveillés à suivre l'organisation de la majorité endormie. Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui ne veulent pas se faire vacciner car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute. Dans ce sens, la décision de la première institution juridique qu'est le Conseil Constitutionnel, cette espèce de Cour suprême à la française massivement infiltrée par les mondialistes, de valider le pass sanitaire, prouve les perverses élites oligarchiques sont aussi en Europe. Au départ, elle devait être « une arme contre la déviation du régime parlementaire », celui de la IVe République, selon les propres mots de Michel Debré, le premier ministre du général de Gaulle. Soixante ans plus tard, le régime parlementaire a disparu, il ne reste que le régime présidentiel, et le Conseil Constitutionnel n’est donc même pas une arme contre ce dernier. C’est pour cette raison que nous sommes en dictature : il n’y a plus de frein institutionnel au délire présidentiel, l’homme des puissances occultes, c’est-à-dire de la Banque, des réseaux maçonniques et de la clique mondialiste qui rassemble les tordus du réseau Epstein, le Big Pharma, le Big Tech et les fonds de pension. Toute cette armada, avec sa puissance financière incommensurable et son organisation des crises subprimes, covid, inflationniste, énergétique et ukrainienne, a lancé une attaque atomique sur la France, affaiblie depuis 20 ou 40 ans (selon qu’on est droite ou de gauche) par l’attalisme qui en ronge les institutions. Cependant si l'entre-aide et la fédération dans des groupes populaires apparaissent pour lutter contre ces crises, cela donnera une force incroyable à ces gens et les rendra finalement plus vivant qu'avant le confinement telle une bonne thérapie. Il n’est nullement besoin de tomber dans un quelconque « complotisme » pour comprendre que l'oligarchie perverse veut imposer une stérilisation et une centralisation de tout et donc la diminution des interactions sociales afin de dominer le monde. L’observation des faits, leur accumulation et la mise en perspective du sens véritable que visent ces actions impose à tout cerveau éveillé cette terrible conclusion. Surtout que l'OMS servant de plus en plus des intérêts particuliers a amené le mondialisme à fermer les frontières à des pays récalcitrants au plan de vaccination du Covid en particulier ceux refusant aussi des mesures de l'OMC servant aussi de plus en plus des intérêts particuliers. Or selon Laurent Michelon, la Chine a amélioré l'OMC par ses propres mécanismes internes pour ne plus pénaliser les pays en voie de développement, à tel point que les USA pensent à sortir de l'OMC. L’OMS n’est pas un organisme médical mais de santé. Là réside toute la nuance : elle n’a pas autorité à prendre des décisions sanitaires sinon faire des recommandations. Elle est par conséquent et inéluctablement à la merci des pressions politiques. L’OMS, en tant qu’énorme machine administrative, se caractérise par une inertie, un morcellement du travail et des méandres administratifs qui ne font que ralentir son objectif premier. L’OMS est l’organe des Nations unies qui a le plus de procédures en cours au Tribunal administratif de l’Organisation internationale du travail (ILOAT). Bien entendu, il y a en plus des dysfonctionnements et des situations beaucoup plus graves qui relèvent de comportements déplacés, d’abus de position de force, etc, et qui viennent s’ajouter au versant administratif de ce mauvais fonctionnement. On comprend alors la finalité de la crise sanitaire affaiblissant les économies nationales au profit des ultra riches : il s’agit de tuer le capitalisme, le libéralisme, le libre marché, désigné ici sous le terme de néolibéralisme. Ce programme socialiste se rapproche autant du « socialisme de marché » à la chinoise que du « capitalisme de connivence » que nous connaissons malheureusement en Occident. L’objectif, c’est l’étatisation de la société soumises au grands groupes privés, décrite comme allant de soi, et le confinement semble être une image de notre avenir. Ce qui est proposé dans ces pages n’est rien d’autre qu’un processus de violence révolutionnaire destructeur de nos libertés fondamentales. Pour synthétiser : Great Reset = Covid + réchauffement climatique + crise énergétique + guerre en Ukraine = destruction du capitalisme et de nos libertés. On comprend donc pourquoi les gouvernements (en tout cas les plus étatistes) s’acharnent à détruire l’économie par des confinements stricts, longs et répétés : cela ne relève pas de leur incompétence comme le croient les naïfs, ça fait partie du plan antéchristique, c’est le Great Reset mis en œuvre, la destruction de la petite et moyenne entreprise, l’explosion de la précarité, la mise sous dépendance (de l’État) de millions de personnes, et la restriction des libertés comme on ne l’avait jamais vu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en somme un bond incroyable de l’étatisme soumis au privé dans tous les domaines. Et avec le Covid, le pli étant pris, ça continuera avec la lutte contre la prétendue urgence du réchauffement climatique encore plus tyranniquement mondialiste. Dans l’éternel combat entre la liberté et la tyrannie, cette dernière marque incontestablement des points. Ceci sous l'excuse donc de « nous n’avons pas le choix », comme dans toutes les idéologies totalitaires. Cette « pandémie » a donc été un outil de façonnage des nouvelles mentalités et une orientation vers des Etats qui feront juste le lien entre super riches et le reste du peuple. On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée et une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée), contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma, le Big Tech et la sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement. Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique. On glisse vers une situation à la britannique, où le culte du profit, la destruction du public au profit du privé sont rois. En France, le basculement dans le totalitarisme néolibéral va tuer, c’est évident, des gens qui ne devraient pas mourir. C’est sous nos yeux, sous Macron 1er. Quand on pense aux 10 000 soignants que Véran a mis dehors car ils ne veulent pas du satané vaccin, et histoire de redresser les comptes de l’hôpital public, sous couvert de pandémie, on se dit que le cynisme est un crime. Il ne fait pas bon être fragile dans la France de Macron et ses sbires. Notre système de santé a été détruit sciemment par les politiciens corrompus qui ont ouvert la porte à tous les diables du privé. Quand on vote pour ces gens-là, on le paye très cher, dans sa chair. Or avec une relative pénurie alimentaire ou un affaiblissement de l'approvisionnement des matières premières voire une grosse crise économique, le système peut éviter d'avoir à donner des contre-ordres concernant la tyrannie sanitaire pour continuer d’apeurer le peuple, de faire disparaître les PME (l'artisanat) au profit l'industrie et ainsi de la centralisation économique, et donc de contrôler de plus en plus toutes les ressources, toutes les technologiques et tous les services, surtout que cela va empirer à cause des actes occidentaux ayant poussé la Russie à entrer en guerre contre l'Ukraine. Un retour en partie au monde d'avant pour l'élection présidentielle a cependant été possible afin de faire réélire le fils de la banque. Mais qu'en partie car une fois qu'un gouvernement a ordonné que des enfants de 6 ans portent traumatiquement des masques pendant 8 heures à l'école, c'est que le pire est dans un sens atteint et qu'il n'est pas prêt de s'arrêter. Sous prétexte de lutte contre la pandémie, nous sommes en train d’assister aux premières étapes d’une ère dirigée par les multinationales. En effet dans le silence le plus complet, la réunion du G7 au niveau des chefs d’Etat s’est tenue par visioconférence. Prétextant la nécessité d’une coalition plus forte des différents États du monde pour faire face au Covid-19 et au nom, bien sûr, de la démocratie, le G7 s’est mis d’accord sur deux points : le G7 annonce participer au programme COVAX de l’organisation GAVI ; il affirme sa ligne mondialiste avec des mesures économiques et politiques qui dépassent le cadre des Etats. Le programme COVAX, qui sera directement présidé par le GAVI (Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation), vise à favoriser et accélérer la vaccination dans le monde. Les Etats du G7, en acceptant d’y participer, lèguent leur pouvoir au GAVI pour produire et homologuer les vaccins. Cela permet à une entité privée supranationale de prendre des décisions sur la base d’un accord préalable des Etats. Le programme COVAX s’inscrit encore plus mondialement dans un partenariat plus large appelé ACT-A, puisque accepté par le G20 en avril 2020. Il es possible de lire à ce sujet l'article « Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial » à l'adresse https://strategika.fr/2021/11/06/comment-le-g20-instaure-progressivement-un-nouvel-ordre-politique-mondial/ Mis en place par l’OMS, l’ACT-A est une initiative mondiale pour lutter contre les maladies et met en lien les Etats avec l’OMS, le CEPI, le GAVI, et la fondation Bill et Melinda Gates. Etant donné que Bill Gates finance très largement les trois organisations précitées, en réalité c’est un partenariat entre les Etats et Bill Gates. Les responsables politiques disent qu'ils ont fait ce qu’ils pouvaient face à la crise du Coronavirus : ils ont juste endetté la France sur 400 ans, détruit notre système immunitaire, traumatisé à vie nos enfants, écrasé l’économie, détruit nos droits fondamentaux, volé un an et demi de notre vie, annulé des RTT pour les soignants, supprimé des lits d’hôpitaux et fait fermer un service d’urgence en pleine pandémie. Surtout que même si le rôle de l’État est de protéger le citoyen contre un danger extérieur, les non-vaccinés ne représentent un danger que pour eux-mêmes. Les sept étapes du passage de la pandémie au totalitarisme privé peuvent être résumée ainsi : L’état d’urgence immédiat ; une intense propagande ; l’imposition des tests sans réglementation ; le maintien des mesures restrictive ; l'arrivée des passeports immunitaires ; une impulsion concertée de l’OMS, de Bill Gates, de ses collaborateurs et des entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques des gouvernements et des universités ; l'orientation vers la privatisation de la santé et du contrôle des populations. « Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le pass sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner. On peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un pass sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre leurs mouvements avec cette mesure sans précédent. Tout porte à croire que les décrets qui se succèdent, comme s’ils émanaient d’une seule personne (que pourrait être le cabinet Kinsey), doivent s’inscrire dans un processus de transformation des institutions et des paradigmes de gouvernance des sociétés dans lesquelles nous nous trouvons. Une transformation d’autant plus insidieuse que, comme cela s’était produit avec le fascisme, elle se déroule sans changement dans le texte de la Constitution, subrepticement. Le modèle ainsi érodé et annulé est celui des démocraties parlementaires avec leurs droits, leurs garanties constitutionnelles. Et à leur place apparaît un paradigme de gouvernement dans lequel, au nom de la biosécurité et du contrôle, les libertés individuelles sont vouées à subir des limitations croissantes. La concentration exclusive de l’attention sur les infections et la santé, en effet, semble nous empêcher de percevoir quel est le sens de cette grande transformation qui s’opère dans la sphère politique. Et cela nous empêche de réaliser que, comme les gouvernements eux-mêmes ne se lassent pas de nous le rappeler, la sécurité et l’urgence ne sont pas des phénomènes transitoires, mais constituent la nouvelle forme de gouvernementalité. Dans cette perspective, il est plus urgent que jamais que les parlementaires considèrent la transformation politique en cours avec une extrême attention, qu’ils ne se concentrent pas uniquement sur la santé. … La transformation politique en cours est à terme vouée à vider le Parlement de ses pouvoirs, en le réduisant comme il se passe actuellement, à simplement approuver au nom de la biosécurité, des décrets qui émanent d’organisations et de personnes qui ont bien peu à voir avec le Parlement. » (Gorgio Agamben) La plupart des dirigeants même Poutine se sont soumis aux mesures liberticides du covid d'abord car c'était un possible grand danger, mais aussi car cela pourra leur resservir pour calmer leur peuple si nécessaire, comme pourraient servir les bons de rationnement par rapport à des pénuries tel un contrôle de toutes les ressources. Or M.Poutine a probablement autorisé momentanément les confinements et un pass sanitaire plus pour gérer la pandémie et la panique occidentales afin d'apaiser son opinion publique, surtout qu'il a refusé de forcer les gens à se faire vacciner car la nature du virus était obscure. Par ailleurs « Outre l’aspect mercantile des tests RT-PCR et autres, pudiquement baptisés antigéniques, ces outils sont liés à la collecte de matériel génétique et non à un quelconque diagnostic, voire en plus à un recensement déguisé. En termes plus bruts, la pandémie a été une occasion rêvée pour la collecte forcée et massive de matériel génétiques à des populations (identité génétique de chacun) non consentantes en temps normal, mais trompées sur l’usage et la destination de cette collecte. Cela explique en partie pourquoi le président Emmanuel Macron et son proche entourage ont refusé de se soumettre à un test RT-PCR ou à un test antigénique lors de son déplacement en Fédération de Russie. Ils ne sont pas les seuls. Ils savent que ces « tests » sont des moyens de collecte d’ADN à des fins non médicales. Les manipulations sur le génome humain ne sont plus un secret. L’usage sécuritaire et policier des échantillons ADN est par contre connu même si celui-ci donne lieu à des controverses. Demeurent des questions d’ordre logistique : Comment collecter des photographies faciales de milliards de personnes sans mettre en œuvre une logistique colossale ? Traquer le déplacement de ces milliards de personnes et pouvoir scanner l’empreinte digitale et l’iris de chaque individu ? Mieux son ADN ? On dispose aujourd’hui d’éléments de réponse à ces questions. L'imposition aux fabricants de smartphones d'interdire les batteries amovibles, puis par effet de tendance les impositions d'inclure des senseurs de plus en plus précis, des lecteurs généralistes d’empreinte et des technologies de reconnaissance faciale, se sont avérées autant de mesures insuffisantes. Il fallait un fermage massif et autofinancé de matériel génétique humain. C’est ce qui s'est fait depuis 2020 avec l’émergence de véritables fermiers généraux de l’ADN humain de plus de sept milliards d’individus sur un total de près de huit milliards d’habitants. Donc l'humanité s'est fait trompée par le biais de la fabrique de la peur à travers une ingénierie sociale classique, qui s'est poursuivie par la contrainte de soumettre les gens à une collecte consentie de leur matériel génétique sous un prétexte fallacieux de pseudo diagnostic. Or on ne sait toujours pas à ce jour l’usage réel qui pourra être fait de tout ce matériel génétique collecté sur l'humanité. » (Article Strategika.fr) Le pass vaccinal n’est qu’un essai du crédit à la chinoise qui s’en vient : la disparition de la monnaie liquide, la mutualisation des informations personnelles économiques et de santé au sein d’une carte électronique ou même d’une application, le flicage intégral des déplacements, la reconnaissance faciale, les chantages à l’assurance au regard de votre santé ou de votre façon de vivre, etc. D'ailleurs le chaos du soir de la finale de la ligue des champions 2022 en France a possiblement été organisé afin de justifier un accroissement de la surveillance des citoyens à travers la mise en place progressive la reconnaissance faciale. En France, on est habitués au laisser-aller calculé, afin de tenir en respect la population respectueuse des lois... C’est le principe des kapos qui font régner la violence dans les camps (nazis ou soviétiques) : en entretenant une insécurité de basse intensité, la racaille du bas sert les dessins de la racaille du haut. La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires » (qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr), les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg causées par la vaccination obligatoire. Même l’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès, en particulier concernant les atteintes au corps. Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid 19 » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible, ce qui annonce de possibles événements plus graves pour passer à un stade supérieur, comme le prouvent la crise des subprimes, le covid 20, l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine. Sinon avec l’augmentation de l’immunité dans la population et avec Omicron, il y aura beaucoup d’immunité naturelle en plus de la vaccination, et nous avancerons rapidement vers un scénario qui sera plus proche de l’endémicité et donc de la perte de contrôle par le système. Surtout qu'avec des rappels tous les quatre mois, il y aura potentiellement des problèmes de réponse immunitaire, et qu'avec l’administration continue de doses de rappels, cela entraîne évidemment la lassitude de la population. Nous en sommes donc au point où nous pouvons dire de façon acceptable que nous pouvons désormais vivre avec le virus, et où le système va effectivement continuer d'avancer son agenda par d'autres grands événements. « Or pour le système, vivre avec le virus endémique ne signifie pas de diminuer fortement les mesures liberticides et contraignantes. Un Article du Guardian explique que vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection, que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais que rien ne changera en ce qui concerne les masques ou les (soi-disant) vaccins et que tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements. Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir. Mais pourquoi assouplissent-ils le discours ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse par des révolutions populaires. Peut être ont ils aussi le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario... Or on peut suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement : des chocs environnementaux et économiques qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques, à des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage, à un chaos inflationniste, à la mise hors service ou au remplacement d’Internet, à des problèmes avec la Russie, voire à une cyber-attaque mondiale, et donc à tout ce qui pourrait accélérer leur grand reset… » (Extraits de l'article « Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/14/ce-que-signifie-vraiment-vivre-avec-le-covid-et-la-prochaine-etape-dans-le-plan-de-la-gouvernance-mondiale/) L'idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale ou toute oppression comme la russophobie fonctionnent comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes de la shoah et du Sida. Or il suffirait d’arrêter de se faire tester pour que la pyramide de Fauci s’effondre, et que les oukases des gouvernements ne puissent plus se fonder sur des pseudos statistiques affolantes. C’est l’affolement qui crée le test, le test qui crée la répression, et la répression qui crée l’affolement. C'est une machine infernale, un cercle vicieux, une boucle cybernétique folle, mais qui peut donc être arrêtée facilement si les gens ne se font plus testés. « En décembre 2021, l'OMS s’est réuni en toute urgence pour adopter le Traité pandémique, dont l’intérêt est de sortir la gouvernance des limites posées par les textes en vigueur, qui ne sont pourtant pas si contraignantes que cela, comme l’expérience le montre. Plusieurs éléments apparaissent. Il s’agit notamment de renforcer le travail sur les données génétiques, et de donner un fondement à la limitation globale des droits de l’homme, au transfert des compétences étatiques vers l’OMS, etc. L’intérêt de l’adoption d’un Traité, et non pas d’une modification du règlement sanitaire, est politique et juridique : la ratification au plus haut niveau va impliquer les décideurs politiques dans les pays, et juridiquement le Traité va entrer dans l’ordre juridique national. Ce Traité doit également être global, car il doit non seulement interagir avec les autres instruments juridiques internationaux déjà existants, mais il doit en simplifier les mécanismes et élargir leur champ d’action donc au niveau supranational. Surtout, il permet de se réapproprier la définition de la pandémie, qui va permettre de lancer ces mécanismes de gouvernance. Dans la négociation de ce Traité, les ONG et les entreprises, notamment pharmaceutiques, sont considérées, en plus des « partenaires » qualifiés de scientifiques qui font la comm covidienne, comme des sujets de premier choix. La question des conflits d’intérêt est abordée pour être immédiatement écartée, puisqu’ils détiennent des « informations » importantes... Même s’il va falloir du temps pour ratifier ce Traité, il est attendu qu’il provoque un effet politique de mobilisation dans les pays, et donc de facto, des effets avant même son entrée formelle en vigueur. Ces mécanismes s’appuient évidemment sur le principe de loyauté internationale, ce qui effectivement fonctionne très bien au niveau des élites dirigeantes, quel que soit le pays. Si la forme et la question du financement sont très développées dans le projet publié, la question du contenu est touchée de manière assez floue, car c’est bien le point le plus sensible. Si les formulations sont vagues, l’ONU donne le ton : il faut renforcer les pouvoirs de l’OMS sur les politiques nationales et sur les hommes. Sans oublier, évidemment, une hausse du financement. Dans cette nouvelle vision de la gouvernance globale, l’OMS doit être, je cite, « plus indépendante », la question étant de savoir de qui ?... Et il se trouve même des voix pour affirmer qu’un traité, c’est trop long, et qu'il faut aller encore plus vite dans le renoncement de la gouvernance nationale et du transfert des compétences. Évidemment, tel est le cas des Etats-Unis, puisque à la fin, ils sont les bénéficiaires politiques directs de ce mouvement. Ce qui en fait ressemble à une sorte de chantage : soit vous renoncer définitivement à ce qu’il vous reste de souveraineté et adoptez un traité en ce sens, soit, de toute manière, nous prendrons ces compétences. Et il n’y a aucune raison d’attendre la moindre résistance des élites gouvernantes de nombreuses nations en particulier occidentales. La crise du coronavirus a donc permis d’accélérer le mouvement de globalisation qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques n'étaient plus adaptés à la nouvelle situation. C'est à dire que le défaut de base légale était de plus en plus flagrant car l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne pouvait entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Ainsi au son du « plus jamais ça ! », comme s’il s’agissait d’une guerre sainte, mais qui est en réalité diabolique car menée contre l'humanité, l’ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique désarmant les Etats et renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » de l’OMS. Il n’est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d’Etats souverains, mais d’une étrange « sécurité » totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination qu’il faut sauver d’elles-mêmes. Puisque tant qu’il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger et devra être, pour le mieux, contrôlé au niveau supranational... » (Karine Bechet-Golovko) Aujourd’hui, il apparaît de plus en plus clairement que le peuple israélien avait été choisi (élu ?) pour servir les desseins covidémentiels de l’Oligarchie Mondiale. Et si Israël n’avait été créé que dans le but d’abriter une population qui servirait d’outil pour tous les projets hégémoniques de l’empire anglo-sioniste ? Israël s’est même enfoncé dans l’hystérisation covidémentielle.
Surtout que comme notre Système produit de la pauvreté à grande échelle, même s’il raconte le contraire dans ses médias corrompus, la pandémie a pu principalement correspondre encore une fois à sauver seulement la Banque, le système mondialiste et ses proxies politiques corrompus.
« La "nouvelle normalité" est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire. Ce qu’ils appellent le Great Reset, c’est une rupture de civilisation. Cette « nouvelle normalité » qu’ils veulent nous imposer, et dont le Pass Sanitaire est la première étape, est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire issues de l’univers carcéral : 1) Il s’agit d’abord de généraliser le régime de la liberté conditionnelle : l’exercice de chacun de vos droits fondamentaux sera désormais conditionné par votre degré d’obéissance au système. Vos libertés les plus élémentaires seront donc modulées en fonction de votre conduite. 2) En pratique, il s’agit d’instaurer un système implicite de notation permettant de classer les citoyens selon leur degré d’obéissance et de conformité. Votre note détermine alors le nombre de libertés qui vous sont accordées, et qui pourront vous être retirées à tout moment. 3) Exemple : Les non-vaccinés sont notés 0 : libertés limitées au strict minimum. Les double-vaccinés sont notés 1 : privilèges temporaires, mais en sursis. 4) Les triple-vaccinés sont notés 2 : gain de quelques semaines de libertés supplémentaires, grâce à leur collaboration. 5) Évidemment, la responsabilité de nouvelles restrictions sera toujours attribuée aux citoyens les plus mal notés, afin d’horizontaliser la violence et le ressentiment grâce à la logique du bouc-émissaire. 6) La menace d’un reconfinement strict permet de relativiser ces restrictions. Ce processus de domestication sociale vise aussi à remplacer les formes traditionnelles de socialité par de nouveaux rapports exclusivement déterminés par l’attitude envers l’autorité. 7) Le but du Pass Sanitaire, du pass écologique du Grand Reset est de substituer aux solidarités naturelles, un régime de méfiance et de délation généralisée. 8) De telles méthodes d’ingénierie comportementale ont notamment été éprouvées dans les prisons de haute sécurité dites « Supermax » aux États-Unis, mais aussi en Chine dont le crédit social est déjà une réalité citée en exemple par nombre de responsables politiques occidentaux. 9) À terme, le Pass Sanitaire intégrera d’autres critères pour devenir une sorte de Multipass universel qui prendra en compte par exemple, votre empreinte carbone, vos attitudes politiques ou syndicales, vos habitudes de consommation, vos fréquentations, etc. 10) Ce régime de ségrégation systématique pourra être instauré par étapes, au gré des narrations de crises (dont énergétique, internet, alimentaire) déployées par les médias, et sera rendu possible par les nouvelles technologies de surveillance et de traçage : reconnaissance faciale, identité numérique, QR Code, etc. 11) Il n’y a rien de complotiste, c’est une dynamique générale déjà bien engagée. Par exemple, l’extension des ZFE (Zones à Faibles Émissions) et de la vignette Crit’Air préfigure déjà une forme de ségrégation écologique qui pourrait bientôt concerner l’ensemble du territoire. Or il s'agit d'une défaite pour l’écologie punitive puisque le RN et LFI se réjouissent de la suppression au final des ZFE. 12) Autre exemple : Google a décidé unilatéralement de booster le référencement des boutiques « LGBT Friendly » et « Black Owned » au détriment des autres. 13) Demain, les entreprises qui refuseront ces labels pourront être tout simplement déréférencées et condamnées à la mort économique. Voilà pourquoi la question du Pass Sanitaire est prioritaire. L’issue de ce combat déterminera le monde dans lequel nous vivrons demain. 14) Le choix est simple, et personne ne pourra s’y dérober : la liberté ou l’esclavage, la condition d’homme libre ou celle d’animal domestique. » (Vincent Vauclin) Avec la tyrannie sanitaire, nous n'avons certains droits qu’après avoir été vaccinés. Nous passons donc d’un « État de droit » à un « État de devoir ». Le devoir de se soumettre pour avoir des droits, c’est le principe d’une dictature. Un glissement voulu par le Système (et ses sbires) a donc eu lieu entre la sécurité sanitaire dont il se moque et la surveillance totalitaire qui est son objectif majeur dissimulé. Le covid n’est qu’un prétexte pour entrer dans cette nouvelle société qui disposera et dispose déjà d’outils de correction sociale, c’est-à-dire de soumission et de coercition. Partager notre vie entière avec un groupe privé, partenaire du gouvernement, c’est l’idée du « portefeuille d’identité numérique », sur les rails en Europe. Avec ce contrôle étouffant, la liberté disparaît. Or diverses techniques dont celle du QR code paraissent inévitables, surtout qu'une partie de la vie publique en particulier économique peut avoir une légitimité à être transparente, comme le prouve la zakat et les paiements par carte bancaire. Le plus gênant serait de se sentir toujours filmer bien qu’avec un smatphone nos déplacements sont toujours connus. Sinon il faut jeter les smartphones. Or ce système et ces informations devraient être gérés par l’Etat et l’utilisation de ces dernières devraient être sous le contrôle éthique d’organismes citoyens pour améliorer la vie et pour les transmettre à la justice si elles sont nécessaires. Concernant l'analyse de la situation politique basée sur une tyrannie sanitaire et des réponses à y apporter, il est intéressant de voir l'entretien « Jean-Dominique Michel et Philippe Bobola : crise sanitaire, crise du monde moderne » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Jean-Dominique-Michel-et-Philippe-Bobola-crise-sanitaire-crise-du-monde-moderne-66217.html Plus qu’une opération de recyclage, l’opération de sidération mondiale du Covid-19 est une extension de celle du SIDA et une accélération du processus d’exploitation oligarchique. Cela peut aussi être une politique de fuite en avant et de passage en force qui tient à l’urgence d’imposer à tout prix la société de contrôle et de surveillance généralisée à laquelle les mondialistes oligarchiques travaillent depuis plusieurs décennies : les passeports sanitaires, le traçage par smartphone et les puces à ADN n’étant que la poursuite des projets secrets des outils de l’État profond américain que sont Microsoft et IBM. C'est pourquoi ceux qui font le vaccin ou en tout cas ceux qui acceptent le passeport sanitaire sont comparables à ceux qui prenaient la carte de parti communiste sous Staline, car ils consentent à la mise en place d'une société totalitariste. Certains spécialistes précisent que tant que la micro-puce reste dans la seringue, elle est inactive, mais dès son contact avec le liquide injectable, il se produit une activation radioélectrique de la puce. C'est à dire qu'au contact du graphène, la puce s’active électriquement et émet son signal Bluetooth dont par la 5G électromagnétique ou est capté par cette dernière à travers le système nerveux électrique, générant son code de marquage. L’élimination progressive du graphène, par certains mécanismes naturels méconnus du corps, nécessiterait une réinjection régulière de graphène, d'où la volonté de pass vaccinal. Surtout que ce graphène pourrait aussi servir d'antenne et de routeur pour que le système du pouvoir profond envoie via les synapses des images ou des messages manipulant les esprits des injectés, car un souvenir se traduit par l'intervention de neurones issus de différentes zones cérébrales et assemblés en réseaux, et quand les neurones reçoivent ou envoient des messages, ils transmettent des impulsions électriques le long de l'axone. « Le pouvoir s’est emparé de la santé. La santé publique, ça a toujours été au moins deux tiers de politique et un tiers de science – maintenant, c’est probablement moins que ça. Le pouvoir s’est emparé de la santé, et donc de ce qu’il faut dire pour la santé ; et donc c’est devenu le ministère de la Vérité. Ça, c’est un premier vrai problème, mais ce ministère de la Vérité, la compétence des gens de ce ministère de la Vérité est extrêmement limitée, parce que les bons ne font pas ça. » (Professeur Raoult) Interrogé par le média The Defender, le Dr David Bell, médecin spécialiste de la santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré : « La carte de vaccination proposée reflète un effort croissant pour utiliser les outils de santé publique comme moyen de concentrer les richesses et de contrôler les populations. Elle rappelle fortement les approches adoptées dans certaines parties de l’Europe avant la Seconde Guerre mondiale et sert essentiellement un objectif similaire : exclure de la société les individus qui ne suivent pas les instructions du gouvernement. » « Nous avons assisté depuis des décennies à la Dépossession monétaire, agricole, minière, productive, industrielle, nationale, voire patrimoniale (en cours d’analyse grâce à un mixage indigeste de l’ultra capitalisme avec un ultra marxisme). Nous nous demandions à quoi pouvait bien servir toute cette captation de ressources. Puis nous avions trouvé que cela permettait le détournement des richesses et de la puissance des Etats à des intérêts privés. Nous avions appelé cet état de collectivisation des ressources au profit d’une caste, anonyme de plus est, un communisme privé, ou néo-soviétisme, etc. Plus nous poursuivons l’analyse, plus la captation de l’humain lui-même, et de son cerveau en particulier, semble faire consensus dans les sphères les plus élevées de la gouvernance mondiale mixte (public-privé). C’est pourquoi nous avons constitué ce Dossier Apocalypse 4.0 qui a vocation à évoluer ces prochains temps. Pourquoi ce nom ? Si tout le monde peut comprendre la référence à la Bible, le 4.0 peut sembler plus mystérieux pour certains. Nous travaillons à démontrer, et surtout alerter, que les temps annoncés par la Bible se présenteront avec la révolution industrielle 4.0 de Klaus Schwab où l’humain doit vivre (fusionner ?) avec robots et algorithmes, idéalement sans trop sortir de chez lui. Le principe de famille disparaîtra avec la condition et l’identité humaines. Dans ce discours qui ne rencontre AUCUNE opposition politique, intellectuelle ou journalistique officielle, Klaus Schwab parle de la révolution industrielle de 4ème génération comme médiatrice d’une renaissance humaine facilitée. Schwab exprime les desiderata des vainqueurs du coup d’Etat planétaire. Aux jeunes loups des laboratoires et de l’industrie d’exécuter les projets sans qu’aucune contrainte bioéthique ne vienne troubler leur créativité, voire leur folie. Fondée en 2016, Musk et l’équipe Neuralink ont fait, en novembre 2022,une présentation avec des mises à jour sur leur feuille de route pour connecter – et éventuellement fusionner – nos esprits avec des machines. Au vu des imposantes difficultés, Neuralink de Elon Musk s’est d’abord vu refuser l’autorisation de passer à la phase expérimentale sur l’humain, puis quelques jours de réflexion plus tard la FDA s’est ravisée, et ce malgré un grand nombre de morts chez les cobayes animaux… Problèmes évidents de surveillance massive. Or En partenariat avec le Rockefeller Neuroscience Institute (WVU RNI) de l’Université de Virginie-Occidentale, un leader mondial dans l’application de la recherche et de la technologie innovantes pour améliorer les soins cliniques, cette étude a été conçue pour enregistrer et cartographier l’activité cérébrale avec des détails sans précédent et signale une étape majeure vers la objectif de restaurer une fonction significative pour des millions de personnes souffrant de maladies et de troubles neurologiques. Le technologue et futuriste Ray Kurzweil prédit qu’au début des années 2030, nous parviendrons à mettre en réseau le néocortex humain avec le cloud via des connexions à haut débit. Les implications à court terme signifient que les personnes souffrant de troubles neurologiques tels que les lésions de la moelle épinière, l’épilepsie, la perte de vision et la perte auditive peuvent finalement restaurer les fonctions sensorielles et motrices. » (Extraits de l'article « Blackrock ou Rockfeller aux manettes de la fusion cerveau-cloud. A venir l’Internet des pensées. Apocalypse 4.0 » à l'adresse) L’observation des réseaux à l’œuvre derrière les personnalités majeures des deux « opérations » dessine sous nos yeux une architecture cohérente et distincte : d’un côté le complexe-militaro industriel américain sous pilotage oligarchique, de l’autre un pouvoir clairement communautaire installé au sein de la superstructure française principalement articulée autour des réseaux de l’INSERM et de l’institut Pasteur et des réseaux politiques. Les ramifications de ce Nouvel Ordre mondial, à la fois mondialiste, oligarchique et sioniste, sont notamment interconnectées par le Mossad israélien, comme le prouve l’emblématique affaire pédophile Epstein. Surtout que certaines associations et personnalités juives défendant la mémoire de la Shoa parlent très étrangement de complotisme à propos de la pédophilie de réseau alors que ce système est aussi oppressif et meurtrier que le nazisme, de même qu'à propos des anti-vaccins alors que toute injection forcée a été interdite au tribunal de Nuremberg. Rappelons encore une fois que les grands mécènes Bill Gates et Bill Clinton aux États-Unis, Pierre Bergé et Jack Lang (que Bernard Kouchner connaît bien) en France, sont mouillés jusqu’au cou dans cette tentaculaire affaire de chantage et de pédocriminalité. Et si le véritable remède aux « épidémies » du SIDA, du Covid-19 et de la pédocriminalité était d’ordre politique ? Après tout, le parasitisme oligarchique est un virus qui dépasse de loin le cadre de la science... C’est ici que nous devons comprendre les développements horribles en Australie et en Nouvelle-Zélande : les confinements ont été normalisés dans ces pays et les gouvernements n’ont pas eu besoin d’une réelle excuse pour les justifier. Ils annonçaient simplement qu’il y avait une poignée de cas de Covid et que les confinements devaient revenir, que les voyages et manifestations étaient interdits, et que les droits et libertés fondamentaux étaient suspendus. Cette tyrannie est d'autant plus flagrante grâce à l’expert en sécurité de l’information Ehden Biber qui a rapporté les détails de l’accord public entre les Etats et Pfizer, suite à de possible fuites facilitées par les Services de Renseignements allemands ou russes : .Interdit pour l’acheteur de résilier le contrat si un autre vaccin est achevé ou approuvé plus tôt. .Pfizer peut définir lui-même presque toutes les conditions aux limites. .Pfizer n’est pas responsable du non-respect des dates de livraison. .La non-conformité ne donne pas non plus à l’acheteur le droit d’annuler la commande de certaines quantités du produit. .L’acheteur renonce à tous les droits et recours auxquels il peut avoir droit en vertu de la loi, de l’équité ou autre, découlant de ou liés aux défaillances de Pfizer (livraisons). .Si des personnes vaccinées tombent malades à cause d’un lot défectueux, l’acheteur n’a aucun moyen de suivre (traçabilité) la dose et, si nécessaire, de retirer d’autres doses du marché. .L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et que le vaccin peut avoir des effets indésirables qui ne sont pas actuellement connus. .L’acheteur s’engage par la présente à indemniser Pfizer, BioNTech (et) leurs sociétés affiliées (…) de et contre tous les procès, réclamations, actions, demandes, pertes, dommages, responsabilités, indemnités de départ, pénalités, amendes, frais et dépenses pour défendre et tenir inoffensif. Pourtant chaque fois que vous évaluer un traitement, vous devez l’évaluer sous trois angles : Est-ce qu’il est sûr/sans danger ? Est-ce qu’il marche ? Est-ce qu’on en a besoin ? Les deux pays les plus vaccinés au monde sont les Seychelles (80%) et Israël (85%). Cependant ces deux pays ont fait face à une épidémie de variants Delta. Alors si vous avez vacciné la majorité de votre population, pourquoi faire encore face à une épidémie ? Pourquoi avoir une troisième injection de quelque chose qui n’a pas marché les deux premières fois ? Voilà pour le sujet de la sûreté. Surtout que « De nouveaux cancers agressifs et fulgurants sont apparus depuis 2021 avec la particularité d’être détectés très tard au stade 4. Certains se demandent s’ils pourraient être liés aux injections Covid. Les témoignages des pathologistes et experts révèlent des liens troublants entre la protéine Spike, les vaccins Covid et l’augmentation de ces cancers agressifs. Les effets secondaires du vaccin inquiètent, et l’accès à l’information est parfois restreint. Le Dr. Ryan Cole, pathologiste, a témoigné de cette nouvelle apparition depuis 2021 de ces turbo-cancers ou cancers agressifs. Un turbo-cancer n’est pas un terme médical, mais c’est un terme que les gens ont trouvé pour décrire la nature extrêmement agressive de ces cancers chez les vaccinés covid. Leur croissance est complètement hors norme dont en faisant parfois voire souvent passé du stade 1 au stade 4. Ils se reproduisent partout et sous forme accélérée. C’est un type de cancer très récent avec une augmentation de 30 à 40 % de cancer du sein. La protéine Spike provoque une inflammation profonde, elle active la coagulation, elle active les plaquettes et a des effets néfastes sur de nombreux gènes pour la suppression du cancer. Cette protéine Spike serait à l’origine du turbo cancer. C'est à dire que ces protéines spikes circulant dans le corps, associées à des cellules cancéreuses à multiplication rapide, contribuent à la formation de lymphomes, mettant en lumière un mécanisme potentiel de développement de cancers rapides induits par le vaccin. D'ailleurs dans une revue publiée le 5 avril sur le site Science-Direct, les chercheurs affirment que la modification, en particulier la modification de la N1-méthyl-pseudouridine, de l'ARNm provoque une suppression immunitaire qui peut contribuer au développement du cancer. Par ailleurs le Dr Naomi Wolf analyse les rapports d’autopsie. Elle nous explique le rapport d’autopsie n°56 qui apporte la preuve encore une fois d’une arme biologique. Ils ont trouvé des lésions dans tout le corps dans de très nombreux organes, rate, foie, peau, testicules, la protéine Spike est partout jusque dans l’aorte sur des décès survenus 7 jours à 6 mois après les injections. Les nanoparticules lipidiques traversent la barrière hémato-encéphalique, un changement de comportement après vaccination est dû à l’inflammation du cerveau par endommagement du cortex préfrontal, la présence de matériaux non identifiés a été trouvé dans les cadavres disséqués et a été confirmé par 8 pathologistes reconnus, des images d’extraction de caillots sanguins ne sont pas normaux, une victime a témoigné de ses explosions de lymphomes cutané. Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a expliqué qu'à l’intérieur de chaque cellule cancéreuse est retrouvé de la protéine Spike. » (Extrait de l'article « Augmentation des turbo-cancers : Les experts tirent la sonnette d’alarme. » à l'adresse https://lemediaen442.fr/augmentation-des-turbo-cancers-les-experts-tirent-la-sonnette-dalarme/)
Lors du covid, il semble qu’il n’y ait eu qu’un seul jeu en ville, celui joué par les maîtres du Covid et donc Big pharma (la plupart des médicaments sont créés par une poignée de multinationales : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments), les géants du numérique, le FMI, le tout orchestré par la fondation Rockefeller. Or Poutine n'a pas voulu se battre contre cette force extraordinaire, car il a justement pensé que la Russie pouvaient se débrouiller dans le cadre des règles qu’ils avaient fixées, ou jusqu'à que ça se tasse ou le temps que les masques tombent. Car Poutine est un dirigeant cherchant à protéger son peuple le plus honorablement possible même lors de son suivi partiel de l'OMS mondialiste pendant le Codiv ou lors de sa décision de déclencher l'intervention militaire spéciale en Ukraine. Surtout que ce n’est que sous l’état d’urgence que l’on détermine qui détient la véritable souveraineté. Le souverain qui déclare l’état d’urgence et qui prend des décisions dans ses conditions, en s’appuyant non pas tant sur la loi que sur la volonté et l’esprit. Le sujet ne naît que dans l’état d’urgence. Dans les autres cas, il s’agit d’un sujet conditionnel (soit un sujet, soit un objet), et seul l’état d’urgence met tout à sa place.
Aujourd'hui cela empire, car le système prétendument démocratique a même organisé l’affrontement et donc la division populaires entre le groupe des antis-vaccin (et antis-pass sanitaire) et des pros-vaccin (et pros-pass sanitaire), alors que ce pass sanitaire est une évidente dérive sécuritaire et totalitaire. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Qui nous attaque ? Qui ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-nous-attaque-Qui-65010.html La plupart des dirigeants s'en sont donc servi pour encourager une organisation sociale qui détournait du système oppressif en opposant bons et mauvais citoyens : gens sains, dociles, responsables et vaccinés contre toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens et de dictature contrôlant la population est présent dans quelques parties de la Chine sous forme de crédit social qui repose sur l’obéissance à la règle voire la délation. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Pro ou anti vaccin : l’avis du psychiatre Frédéric Badel » à l'adresse https://www.le-journal-catalan.com/pro-ou-anti-vaccin-lavis-du-psychiatre-frederic-badel/86849/ Or comme la lutte entre les antis-pass sanitaire et pros-pass sanitaire peut faire triompher la société traditionnelle à l'image de celle entre les minorités et la majorité et comme cela freine pour l'instant la contestation populaire de plus en plus grande, le gouvernement français est allé jusqu'à utilisé l’arme du pass sanitaire local en fonction de l'évolution épidémique dans une zone. Il s’agit dans la pratique de garder le pass sanitaire en arrière-fond permanent, afin de le réintroduire partout quand le système le souhaite pour contrôler le peuple dont face à la mise en place progressive du grand reset. Reste à voir si cette conciliation des contraires convaincra les juges.
La populaire soumission volontaire est plus forte par la sécurité médicale que par la sécurité anti-terroriste. Mais qui veut vraiment d’une autoritaire société aseptisée recherchant prétendument le risque zéro, comme ce le fut à travers les confinements ayant mis sous cloche tout un pays et ayant gelé toute activité, toute pensée et toute réaction. Alors que la vraie médecine se fait avec un cœur honnête pour les patients et pas avec la peur pour un profit inconséquent, et que si la santé préoccupait vraiment le système politique, il interdirait la cigarette, les pesticides, la malbouffe, le stress, ou tout ce qui détruit aussi beaucoup plus de vies que le Covid. Surtout qu'au début, il s'agissait d'une politique de crise sanitaire, mais que ça s'est transformé en une politique de sécurité sanitaire, puis ensuite en une politique d'Etat sécuritaire devenant une tyrannie sous prétexte sanitaire, dont par sa division du peuple. Ce qui n'est pas étonnant car le covid a été une tentative de prise de contrôle totale de l’État et de l’économie par le pouvoir profond mondialiste dont en fermant toutes les institutions et appauvrissant les PME, suite d'ailleurs au maintien de l'ouverture des frontières au début puis au confinement pour maximiser sa propagation, surtout qu'on ne jugule pas une maladie en confinant la population en bonne santé, mais en isolant les malades. Cependant la mortalité fut trop insuffisante pour réussir, au point d'attribuer la grippe et des cancers au covid. Ce qui permet de déduire que les images transmises par la Chine de Xi sur ses morts covid a permis aux peuples de se méfier désormais de la politique médicale voire de les sauver de la future pandémie orchestrée.
-« La vérité Covid éclatant partout… sauf en France. En effet alors que les États-Unis, la Slovaquie ou l’Allemagne lèvent progressivement le voile sur les dessous de la pandémie, la France de Macron campe sur une ligne unique : le secret. Une opacité dénoncée par les Patriotes, qui viennent de saisir le ministère de la Santé pour exiger la transparence. » (Média en 4-4-2)
Le médecin infectiologue Perronne fustige des essais cliniques « bâclés », une obligation vaccinale « illégale » et des effets dévastateurs sur la fertilité. Pointant du doigt l’Union européenne, qui prévoit de nouvelles usines dédiées aux ARN messagers – y compris autorépliquants –, il exige un moratoire immédiat. « On sait maintenant que ces produits sont dangereux, poursuit-il. Continuer relève de la non-assistance à population en danger. »
Guerre Ukraine-Russie :
La guerre en Ukraine amplifie le système coopératif et multipolaire de l'organisation de Shanghai pour les nations face au système unipolaire (piloté par les États-Unis) du grand reset de l'occident vassalisant, appauvrissant et diluant les nations au profit du secteur privé ultra riche. C'est à dire que les BRICS+ et l'OCS basés sur un tellurique matérialisme conservateur forment un Katechon en retenant le désordre mondial et l'inversion des valeurs, mais en ne le détruisant pas, car ce sera le rôle du nouveau califat bien guidé, puisque c'est ce dernier qui sera assez pieux pour s'en charger. Dans ces sens, le président français Charles de Gaulle a dit : « l'épée (la guerre) est l'axe de l'histoire », et le Général et Théoricien militaire Clausewitz a dit : « la guerre peut être la continuation de la politique », et l'analyste politique Pierre le Vigan a dit : « la guerre militaire peut être la suite de la guerre économique ». Il faut noter que l'organisation de coopérations de Shanghai est liée aux BRICS (le groupe de pays composé du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud et représentant donc presque la moitié de la population mondiale) dont certains pays sont parmi les mieux administrés, alors que le forum économique de Davos est lié au G7 (représentant le dixième de la population mondiale) qui sont parmi les pays les plus endettés et qui sont de plus en plus isolés sur la scène internationale, même au sein du G20. Ainsi l'intervention spéciale russe en Ukraine en 2022 aura marqué le changement d'une grande partie du monde vers le multilatéralisme. Or certains égarés occidentaux soumis à la sournoiserie du système n'arrivent même plus à appréhender le réel par rapport à Poutine, la Chine et ces BRICS, surtout que plus l'Union Européenne atlantiste se tyrannise, plus les nations la composant ont des dissensions avec elle. Pourtant la guerre en Ukraine associée à la crise du Covid est encore clairement une nouvelle accélération de l'histoire, puisque cette dernière se produit généralement après une forme de stabilité répandue, sauf que cette dernière était plus relative car elle était liée à l'hégémonie de l'empire des Etats-Unis qui a été l'un des empires les plus manipulateurs, les plus en guerres et les plus destructeurs de l'Histoire. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Alexandre Douguine : La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alexandre-Douguine-La-Russie-est-en-train-de-creer-un-champ-de-resistance-mondial-67438.html , et de lire l'article « Lecture commentée du discours de Poutine au club Valdaï » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lecture-commentee-du-discours-de-Poutine-au-club-Valdai-65985.html (S49v13) « Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez (dans la dignité par le commerce honnête, le partage culturel et le compromis raisonnable dans vos intérêts respectifs). Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur » « Avec les nouvelles adhésions, nous aurons un accroissement de population de 674 millions d’habitants qui s’ajoutent à ceux des BRICS et un rajout au PIB de 6551 milliards de dollars passant de 25% en 2022 à environ 30% du PIB mondial. Mais pour l’instant entre 2022/2023, les USA, et l’Europe y compris la Grande Bretagne, pour moins d’un milliard d’habitants accaparent, sur un PIB mondial de 100 000 milliards de dollars en 2022, environ 40% du total (voir contributions Pr A. Mebtoul – American Herald Tribune US août 2019, en anglais, l’Algérie face aux les nouveaux enjeux géostratégiques mondiaux et mars 2023 Finantial-Afrik Paris/Dakar, l’impact sur les relations internationales des BRICS). Quelle conclusion en tirer ? Il faut être réaliste, dans la pratique des relations internationales et surtout économiques, il n’existe pas de sentiments, mais que des intérêts, l’impact au sein d’une organisation d’un pays étant fonction de sa puissance économique. Avec les impacts du conflit en Ukraine, le rétablissement des relations diplomatiques entre l’Iran et l’Arabie saoudite et les nouvelles adhésions aux BRICS, nous devrions assister à une nouvelle configuration des relations internationales, loin du modèle européo-centriste, et s’orienter vers un monde multipolaire. Le président syrien Bachar al-Assad a d'ailleurs dit lors de son premier discours au sommet de la Ligue arabe depuis 12 ans, après que la Syrie soit revenue dans le giron arabe malgré l'opposition virulente des États-Unis : « Nous sommes devant une opportunité historique de réorganiser nos affaires avec le moins d'interventions étrangères. » La stratégie des BRICS est de favoriser le co-développement, se fondant sur le respect du choix souverain du système politique et économique de chaque nation et en tenant compte de son histoire et de son anthropologie culturelle. L’action des BRICS a permis de soulever des problèmes jusque-là ignorés par les pays développés dans un esprit dépassé de domination, comme le déséquilibre de l’économie mondiale. Elle permis de favoriser l’idée selon laquelle il ne peut y avoir de développement global sans le développent et de prospérité de la majorité des pays en voie de développement, proposant de créer un partenariat global fondé sur le dialogue productif par une compréhension mutuelle et une coordination des efforts entre le Nord le Sud afin de résoudre les nombreux défis de notre monde C’est pour échapper à la dépendance de l’hégémonie du dollar que les BRICS ont décidé de créer une nouvelle banque de développement à travers la contribution des banques centrales des BRICS, une partie des réserves de devises étrangères pourrait être concentrée, de même, par l’émission d’emprunts sur le marché financier international, pour servir au développement des BRICS. » (fin de l'article « Le poids des BRICS+ au sein de la nouvelle reconfiguration géostratégique mondiale » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/11/le-poids-des-brics-au-sein-de-la-nouvelle-reconfiguration-geostrategique-mondiale/) Surtout que c'est urgent car selon Thierry Meyssan : « Nous entrons dans une période de transition. Lénine disait, en 1916, que l’impérialisme était le stade suprême de la forme de capitalisme qui disparut avec les deux Guerres mondiales et la crise boursière de 1929. Le monde d’aujourd’hui est celui du capitalisme financier qui ravage une à une les économies pour le seul profit de quelques super-riches. Son stade suprême supposait la division du monde en deux : d’un côté les pays stables et mondialisés, de l’autre des régions du monde privées d’États, réduites à n’être que de simples réserves de matières premières. Ce modèle, contesté aussi bien par l'ancien président Trump aux États-Unis, les Gilets jaunes en Europe occidentale ou la Syrie agonise (heureusement) sous nos yeux(, mais moins depuis la fin de la Syrie.) »
Personne ne peut se réjouir de cette guerre civile entre peuples frères, qui ont été divisés par ces diables d’Anglo-Saxons, qui feront toujours tout pour assujettir l’Europe et l’empêcher de se lier avec la Russie, c'est à dire de Brest à Vladivostok. Mais l'égarement a toujours été combattu par Dieu même entre frères ethniques et/ou païens.
De son côté, la Russie va reconstruire un « rideau de fer » pour se protéger, et nouer des alliances avec d’autres parties du monde. La Russie est même prête à créer des bases navales en Inde, en Arabie saoudite, en Irak et en Iran. Dans le cadre de sa nouvelle doctrine navale, elle a annoncé son intention de créer de nouvelles bases navales en mer Méditerranée, dans la région Asie-Pacifique (APR), dans l’océan Indien, dans le golfe Persique, dans des zones maritimes d’intérêt vital. D'ailleurs le président russe Vladimir Poutine a signé le décret correspondant. La doctrine stipule que la course à la domination des États-Unis sur les océans constitue le principal défi pour la sécurité nationale de la Fédération de Russie. La doctrine définit les zones d’« intérêts vitaux » où les méthodes militaires peuvent être utilisées lorsque les méthodes diplomatiques ne peuvent plus être utiles. Ces zones sont directement liées au développement de l’État, servent à la protection de sa souveraineté, de son intégrité territoriale et au renforcement de la défense, et ont une incidence critique sur le développement socio-économique du pays. Elles comprennent les eaux maritimes intérieures et la mer territoriale de la Fédération de Russie, la zone économique exclusive du pays et son plateau continental comprenant le bassin arctique, ainsi que le plan d’eau de la route maritime du Nord (NSR), la mer d’Okhotsk, le secteur russe de la mer Caspienne. Poutine a donc aussi décidé d’agir contre la faction ultra libérale russe. Il a été aidé par les récentes attaques économiques de l’Occident. Les sanctions visant les oligarques russes semblaient destinées à les pousser à l’action, à les forcer à s’organiser politiquement pour exiger que Poutine accède aux demandes de l’Occident afin que leurs réserves d’argent cachées et leurs lignes de crédit occidentales ne soient pas saisies. Et comme nous pouvons le voir maintenant, la classe des affaires en Russie ressent clairement la pression résultant des sanctions occidentales et Poutine a décidé d’appliquer sa propre pression sur ces oligarques, servant effectivement d’enclume au marteau de l’Occident, car pour tenter de ruiner définitivement la Russie même l'effondrement de l'URSS après 1991, l'Occident (judaïsé et sionisé) s'est appuyé sur les oligarques russes dont beaucoup étaient juifs. « M. Chodorkovsky (Khodorkovsky Mikhaïl) était l'un des Dirty Seven (semiboyarshina) oligarques qui ont pris le contrôle de la Russie pendant le faible règne d'Eltsine. Ils étaient tous plus ou moins juifs, et leur solidarité et leur caractère destructeur ne pouvaient que rivaliser avec leur cruauté et leur cupidité. Beaucoup de mes amis considèrent les sionistes comme des prédateurs suprêmes, tandis que les Juifs sont des proies mignonnes et poilues. Ils se trompent : ces sept oligarques russes n’étaient pas des sionistes, c’étaient simplement des Juifs déterminés à tout détruire sur leur passage. Ces sept hommes ont pratiquement détruit la Russie millénaire. Ils ont paupérisé sa population, réduit son industrie en cendres, vendu les usines à la ferraille ; ils ont volé tous les avoirs des banques privées. Ils ont même ruiné la démocratie russe en bombardant le Parlement en 1993 avec les chars d’Eltsine, puis, avec l’aide de conseillers américains, en simulant la réélection du président Eltsine en 1996. Comme des sauterelles attaquant un arbre, chaque oligarque juif s'est emparé d'une branche différente : M. Berezovsky s'est attaqué à l'industrie automobile, et la Russie a arrêté de produire des voitures ; M. Gusinsky s'est emparé de la télévision et en a fait une propagande offensante ; M. Chubais a géré le plus grand transfert de richesse au monde depuis 1917. M. Chodorkovsky a repris la totalité du pétrole et du gaz russes. Partout ils volaient tout ce qu’ils pouvaient, construisaient des yachts et des palais, se moquant des Russes ordinaires par leur consommation ostentatoire. Leur règne officiel a pris fin quelque temps après 2005 lorsque M. Berezovsky a convaincu Eltsine de céder son règne au jeune M. Poutine, puis M. Poutine a dit aux oligarques de rester à l'écart de l'État, sinon. M. Chodorkovsky a ri et a déclaré qu'il se débarrasserait de Poutine. Poutine l’a mis en prison et a nationalisé la gigantesque compagnie pétrolière de l’oligarque, Lukoil. Dix ans plus tard, M. Chodorkovsky a été autorisé à partir et c'est ce qu'il a fait. Le pétrole russe est toujours entre les mains de l’État russe et reste la base de la prospérité russe. Dans une récente interview, M. Chodorkovsky a révélé à un jeune journaliste que le véritable propriétaire de Lukoil était feu Lord Rothschild , qui vient de décéder (le 24 février) à l'âge de 89 ans. Ce fut une surprise de découvrir que le vieux Juif était encore assez rapide pour empocher tout le pétrole de la Russie alors qu'il chassait les communistes impies. Nous, les Russes, avons effectivement entendu une telle rumeur au moment même où elle se produisait, mais nous ne l'avons pas prise au sérieux à l'époque. Blâmer « Rothschild », c’est comme blâmer « le peuple lézard » ; un trope antisémite. Une telle personne n’existe pas dans la vraie vie, pensais-je. Mais après la publication de la vidéo de Doodj , j'ai regardé dans les archives du Times et j'ai découvert qu'il ne s'agissait pas d'une fiction. C’était donc déjà connu à l’époque, mais moi (et d’autres) ne pouvions pas y croire à l’époque. Même aujourd’hui, nous avons tendance à ignorer les faits antisémites ainsi que les tropes antisémites qui inondent Internet. Mais c’est la raison pour laquelle les Britanniques sont si désireux de saper la Russie. Lord Rothschild est aussi britannique que le thé de 17 heures. Les Britanniques peuvent avoir un Premier ministre indien, un lord-maire pakistanais de Londres et des Ghurkhas comme troupes d’élite, mais la Banque d’Angleterre appartient aux Juifs. Les Anglais ne sont que des mineurs pour permettre à la banque mondiale de Lord Rothschild de continuer à faire des affaires. Et les Juifs sont réputés pour garder le contrôle de tout ce qui passe entre leurs griffes. Même la famille royale est devenue quasi juive : elle excise ses garçons et croit qu’ils sont les descendants du roi David. Le fait est que la perte de toutes ces fabuleuses richesses russes a irrité les oligarques. C’est pourquoi ils appellent Vladimir Poutine « le tyran sanglant », parce qu’il leur a pris le pétrole, le gaz, l’or et le blé russes qu’ils estimaient mériter. Pourtant, l’histoire montre que Poutine était un dirigeant doux : il ne s’est pas emparé des richesses des oligarques, comme il aurait pu le faire ; ils ont conservé leurs yachts, leurs palais et leurs milliards. Mais cela ne les a pas réconfortés ; ils convoitent toujours tout le porc. Comme la plupart d’entre nous, Poutine avait l’illusion que l’Angleterre et les États-Unis étaient contre l’URSS pour des raisons idéologiques. Il pensa : « Bien sûr, ils n’aiment pas le communisme, comme le ferait tout bon capitaliste. » Il pensait qu’ils seraient heureux maintenant que les Russes profitent des fruits de la propriété privée. Mais il s’avère que les Britanniques et les Américains ne se sont jamais intéressés à la théorie. Ils détestaient les communistes parce qu’ils gardaient les produits russes hors des mains avides de Lord Rothschild. Maintenant que c’est Poutine qui se tient dans la brèche, le système bancaire mondial l’a déclaré l’homme du mal. Tout ce qui s’opposait à Lord Rothschild et à ce qu’il voulait, qu’il soit communiste ou capitaliste, était naturellement vilipendé par la presse mondiale. Il est pourtant significatif que la mort de Rothschild n’ait pas affecté le courant mondial d’invectives contre Poutine et la Russie. Il n'y a pas de pause dans la guerre. La pression oligarchique continue de peser. Il se peut que les vastes propriétés de Lord Rothschild aient été transmises à ses héritiers légaux, mais une telle richesse est soumise aux plans à long terme des hommes de pouvoir mondialistes, et non aux caprices des descendants privilégiés de la famille. Pourtant, de telles rumeurs ne sont que des tropes antisémites et ne doivent pas être crues. L’objectif principal de la presse grand public semble être d’étouffer ou d’effacer des histoires qui pourraient bouleverser les accords en coulisses entre les oligarques anglais et russes, dont beaucoup sont (par coïncidence) juifs. La notion même d'un système financier mondial juif, bien qu'elle soit à la base du réseau bancaire historique de Nathan Rothschild, a été déclarée antisémite par la presse spécialisée. La sécurité des Juifs passe avant tout, et la presse désinformera avec ferveur le public dans la poursuite de cet objectif. Un tel système garantit que les gens ordinaires du monde entier, qui essaient simplement de se rendre au travail le matin, auront toujours un jour de retard et un dollar à court. Nous sommes toujours tenus dans l’ignorance concernant les machinations des oligarques mondiaux, dont beaucoup sont (par coïncidence) juifs. La vérité sur l’affaire s’échappe au compte-goutte des oligarques eux-mêmes, avec l’aide de journalistes jeunes et entreprenants comme Dood. Mais l'Angleterre n'est pas le seul refuge des financiers. La famille Rothschild possède une aile anglaise et une aile française. L’aile française est représentée par le président Macron. Les dirigeants juifs français ont nommé Emmanuel Macron président de la République, affirme un écrivain juif français bloguant sous le nom de Tsarfat (le nom hébreu de la France). Dans un article long et détaillé, Tsarfat parle de quelques juifs éminents (Alain Minc, Serge Weinberg, Jacques Attali et Bernard Mourad) se portant garants de Macron auprès de David de Rothschild. En 2011, Macron devient associé junior chez Rothschild, gagnant un salaire substantiel. Il valait chaque centime – il a trompé Le Monde, il a trompé le président Hollande, il a trompé l’État français, il a fait tout ce que Rothschild exigeait et en retour, il a obtenu la présidence de la République. Il était le nouveau roi nommé par le nouvel Abravanel. Il lui faut désormais livrer la guerre entre la chrétienté et l’islam, pour la gloire suprême d’Israël. Cette guerre future couvrira le désastre de Gaza. Si les Rothschild anglais assurent la guerre contre la Russie, les Rothschild français se chargeront de la guerre contre l’Islam. Ainsi, les financiers sont plus meurtriers que les sionistes, même s’ils jouent avec eux. Ron Unz a prouvé que ces financiers ont joué un rôle important dans l’entrée des États-Unis dans la Première et la Seconde Guerre mondiale. Je pense qu’ils sont suffisamment puissants pour nous entraîner tous dans la Troisième Guerre mondiale(, mais il faut lutter contre en espérant l’empêcher). » (Israël Adam Shamir) Nous avons maintenant Dmitri Medvedev, l’ancien président et Premier ministre, tester les eaux politiques et parler ouvertement d’un vaste programme de nationalisation économique. Prononcer de tels mots aurait été du jamais vu avant le début de l'intervention russe en Ukraine, car ce serait une violation de la détente que Poutine et la faction libérale des oligarques avaient maintenue pendant la majeure partie des deux dernières décennies. En revanche les patriotes de tous bords en Russie, qu’ils soient communistes, centristes, poutinistes ou même de nombreux nationalistes non achetés, réclament cette mesure depuis que les retombées désastreuses de la campagne de privatisation des années 90 sous l’administration Eltsine sont clairement apparues.
Extrait de l'article « Le Traité de Kiev sur la sécurité ou la constitution sous l’égide de l’OTAN et de l’UE d’une alliance militaire contre la Russie » : « à la différence des deux guerres mondiales précédentes, il s’agit actuellement d’une guerre globale entre l'Occident et l'axe russo-chinois, et non d'une guerre mondiale. En effet les guerres mondiales étaient des guerres d’États pour recouvrer ou agrandir leur souveraineté et leur puissance, alors que cette guerre globale est une guerre dirigée par des instances de gouvernance globale contre la souveraineté et la puissance étatique. Ce n’est donc pas une guerre d’États, mais une guerre contre l’État, puisqu’elle dévore autant les structures étatiques qu’elle les instrumentalise. Ensuite, à la différence des deux dernières guerres mondiales, cette fois-ci, il y a une tentative de limiter le champ de bataille principal à l’Ukraine, et dans la mesure du possible de l’étendre à la Russie. Il existe bien des sursauts dans le Haut-Karabakh ou à Taïwan, mais la logique est quelque peu différente, même si affairante. Le manque objectif d’alliés militaires de la Russie est ici utilisé par l’OTAN, pour impliquer les pays membres à travers une sorte de Traité de Kiev, doutant de la capacité militaire de la Russie de mener un combat sur un front aussi large et surtout de sa volonté politique. »
Or un objectif principal de cette guerre était aussi de causer la chute de la Russie par les sanctions. Mais il existe d’autres raisons plus profondes à cette haine des Russes. Daniel Arnoux dans ses articles avait exploré l’hypothèse d’un mobile caché suite à la révolution de 1917. Le concept est valable et l’auteur l’a brillamment développé. Toutefois, là, d’autres épisodes historiques viennent à l’esprit. Le premier est le grand jeu au 20e siècle, pour les anglo-saxons neutraliser la Russie revient à bloquer le seul acteur naturellement capable d’opérer à l’échelle de l’ensemble de l’Eurasie. Le seul pays capable de nouer des accords tant avec l’Europe qu’avec la Chine. Peu de pays peuvent se vanter d’une telle marge gamme de possibilités. En face, le monde anglo-saxon découvre face à cet océan terrestre, les limites de sa puissance navale. « Dans le cadre d’une guerre civilisationnelle, la société russe se met sur le pied de guerre, pour ne pas subir le sort de l’URSS (« piège lacédémonien ») et pour pouvoir affronter le bloc adverse dans la durée. Le challenge consiste à générer une production militaire qui alimente l’économie sans la « plomber » et sans sacrifier l’objectif de développement intérieur à long terme. C’est un défi qui n’est pas sans rapport avec le « New deal » étatsunien, qui a pu fonctionner grâce à la 2e GM. Cela nécessite que l’appareil d’Etat soit confié à des responsables civils et militaires adaptés à cette évolution. La guerre en Ukraine est un épiphénomène d’une opposition fondamentale avec l’Occident collectif, sa mainmise mondiale et sa volonté de contrôler l’Eurasie (et donc le monde, en sachant que ce qui reste à contrôler de l'Eurasie et du monde correspond désormais à la Russie, la Chine et l'Iran, car les autres nations du monde suivront ensuite plus ou mois). Cela prolonge la volonté de résister à l’insertion forcée de la Russie dans les périphériques étatsuniens, exprimée dès le fameux discours de Munich en 2008. Cette opposition militaire n’étant que la continuation de la politique, engendre un important volet économique et culturel. La réactivation des valeurs traditionnelles et conservatrices est le moyen de s’opposer au soft power corrosif et délétère de l’Occident. L’enjeu consiste à découpler la modernité et la performance technologique et économique de ce socle intellectuel et social. Il faut également cantonner le « choc de civilisation » aux deux blocs en évitant que n’apparaissent des fissures internes, ethniques religieuses et sociétales. La guerre peut s’avérer un accélérateur ou un facteur de résistance. » (Olivier Chambrin)
« Les opérations militaires en Ukraine ne sont qu’une toute petite partie d’un bras de fer mondial. C’est pas spécifiquement sur le terrain militaire en Ukraine que se gagnera la guerre. C’est le bras de fer mondial entre deux conceptions du monde, la conception des États-Unis et de l’OTAN, qui est l’hégémonie pour le côté occidental, et puis la conception de la multipolarité, qui est dirigée par la Russie, la Chine, l’Inde, les BRICS, on va dire, ou l’Organisation de coopération de Shanghai. Donc l’opération de Koursk est une opération militaire qui s’inscrit dans le petit front de l’Ukraine, qui n’est pas un front majeur dans le bras de fer qui oppose l’hégémon US et la multipolarité. Ça, il faut bien l’avoir compris. Le bras de fer, il est pas seulement militaire, il est économique aussi, et c’est de mon point de vue l’économie qui aura le dernier mot dans ce bras de fer gigantesque, qui est une véritable guerre mondiale. » (Général Delawarde)
Sur TF1 le 29 mai 2022, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a rappelé le devoir de protéger la Russie et les civils du Donbass : « Nous demandons que le régime de Kiev cesse de tuer des civils dans le Donbass comme il le fait depuis huit longues années, depuis le coup d’État en Ukraine en 2014. Mais il faut aussi dénazifier l’Ukraine, parce que les idées et les actes néo-nazis font maintenant partie de la vie en Ukraine. (Or en déclarant officiellement comme buts de guerre en Ukraine la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine, on pourrait traduire cela d’un mot de la part de la Russie : désaméricanisation.) Pendant des années, nous avons essayé de persuader l’Occident que l’Ukraine ne devait pas être entraînée dans l’Otan. Or l’Otan s’était déjà rapprochée à cinq reprises de la frontière russe, contrairement à toutes les promesses faites lorsque l’Union soviétique a disparu L’hypocrisie de l’Occident s’est parfaitement illustrée par les réactions aux décisions prises par les États-Unis et l’Otan dans des situations telles que la Yougoslavie en 1999, l’Irak en 2003 et la Libye, en 2011. Toutes ces aventures militaires ont été lancées par les États-Unis sous prétexte que ces foyers de tension représentaient une menace pour eux. Et cette menace était à plus de dix mille kilomètres des côtes américaines. Pourtant, tout le monde a suivi Washington, pour détruire d’abord la Yougoslavie, puis l’Irak, puis la Libye. Plus d’un million de civils sont morts dans ces conflits et personne n’a rien dit. Tout le monde a trouvé ça normal. Parce que le souverain du monde, les États-Unis, commandent à tous les autres pays occidentaux. En Europe, à l’exception de la guerre en Irak où la France et l’Allemagne se sont opposées aux actions injustifiées et totalement inacceptables de Washington, dans tous les autres cas, tous les pays européens ont rapidement convenu que les États-Unis avaient le droit de déclarer une menace pour leur sécurité, n’importe où dans le monde, et de faire ce qu’ils voulaient. La Russie n’a pas déclaré une menace pour sa sécurité du jour au lendemain. Elle a, pendant de nombreuses années, exhorté l’Occident à ne pas faire de l’Ukraine un pays antirusse. En d’autres termes, la menace qui pèse directement sur nos frontières, et contre laquelle nous mettons en garde depuis de nombreuses années, a été complètement ignorée. C’est pourquoi notre opération militaire était inévitable. »
Par ailleurs, les exigences de Poutine en Ukraine sont le résultat non seulement d’une victoire militaire, mais aussi morale : c’est l’OTAN et l’Amérique démocrate d’Obama qui ont exacerbé ce conflit en 2014, le tout sous l’œil amusé de Merkel et Hollande, ces euro-traîtres qui ont violé les accords de Minsk. Trump ne veut pas seulement imposer la paix, mais arrêter les dégâts pour le camp occidental, tout en fracturant l’UE et l’OTAN. L’Europe est seule, avec ses dirigeants dégradants, seule avec sa défaite morale, économique et militaire. Un désastre dont les Européens vont bientôt payer la note, ce sera une crise sans précédent. Cette UE ne se relèvera pas du piège dans lequel ses tyrans l’ont plongée. Ce sont au mieux des traîtres, au pire des criminels, qui devront être jugés.
« Pourquoi Kiev aidé par l'occident a besoin de détruire une station pétrolière internationale par un drone ? Ce n’est pas clair. Car cela conduit à des prix constamment élevés pour les ressources énergétiques sur les marchés mondiaux, ce qui n’intéresse certainement pas les consommateurs d’énergie tels que les entreprises européennes. Par ailleurs, l’administration américaine actuelle a également annoncé à plusieurs reprises qu’elle s’efforçait de stabiliser, voire de faire baisser, les prix de l’énergie. Mais des actions de ce genre sont, bien entendu, directement opposées à la réalisation des objectifs que s’est fixés l’administration américaine. Je sais qu’hier encore, les membres du consortium ont tenu une réunion sur tous ces problèmes qui sont apparus et décident eux-mêmes de la marche à suivre. Je le répète, ce n’est pas tant notre problème que celui des investisseurs étrangers et des participants étrangers au sein du PCC. Il n’y a toujours pas, de systèmes de défense aérienne, de systèmes de défense aérienne russes, dans cette installation. Et la raison est claire : parce que nous sommes partis du principe que cela ne pouvait pas être un objet d’attaque – à proprement parler, ce n’est pas un objet russe, c’est un objet d’infrastructure énergétique internationale. Les actionnaires du Caspian Pipeline Consortium incluent des sociétés américaines (je crois qu’il s’agit de Chevron), des sociétés européennes (dont Eni) et des sociétés russes (LUKOIL). » (Vladimir Poutine, Président russe)
Les buts de guerre de la Russie consistaient à récupérer les régions du Donbass, empêcher le régime kiévien de bombarder les russophones qui avaient mal voté en 2014, interdire à l’Ukraine d’intégrer l’OTAN et démilitariser l'Ukraine. Avec l'accord qui se profile entre Trump et Poutine, ces buts semblent aujourd’hui atteints à 90 %, il faudra encore attendre l’accord de paix de Riyad, si les deux parties principales y parviennent.
Et « Les provocations des zélotes russophobes US-UE à l’égard de la Russie se poursuivent, principalement suscitées par le Royaume-Uni et accessoirement par la France. Donner l’autorisation à l’Ukraine de frapper dans la profondeur du territoire russe avec les missiles britanniques et français est désormais la question du jour sans qu’on sache vraiment s’il s’agit de gesticulation de la part de l’occident otanien ou d’une proposition sérieuse. Il s’agirait, dans l’esprit des «zélotes» britanniques, suivis par les «zélites» françaises, d’amener Vladimir Poutine à sur-réagir pour obtenir une conversion de l’opinion mondiale aux thèses, aujourd’hui rejetées par la majorité planétaire, de l’Occident otanien, ou, au contraire, d’amener Vladimir Poutine à une réaction insuffisante qui pourrait être interprétée comme de la faiblesse et lui valoir des ennuis avec la fraction dure du monde politique russe. Comme d’habitude, les dirigeants britanniques et français, avec l’incommensurable bêtise et aveuglés par la rage de mauvais perdants qui les caractérise, font une erreur d’appréciation sur les potentielles réactions de Vladimir Poutine. Avec son quart de siècle d’expérience de la duplicité de son adversaire otanien, celui-ci n’en fera ni trop, ni trop peu. Il calibrera sa riposte. (Et comme on a vu que les Ukrainiens interviennent désormais en Afrique et en Syrie, chasses gardées russes, et que les Russes et les Iraniens ont d'ailleurs lancé un message très clair à Israël et aux Etats-Unis en autorisant une frappe dévastatrice d’un missile hypersonique contre un nœud logistique israélien à Jaffa en début de semaine, cela signifie que ces deux fronts sont connectés, et que le soutien inconditionnel de l’Occident à Israël malgré les atteintes aux droits humains vise lui aussi à préserver l’hégémonie occidentale dans cette région du monde. En Ukraine, la riposte russe aux attaques en profondeur contre son territoire pourrait se manifester par des dévastations accrues en Ukraine et de légitimes attaques directes contre des cibles de l’OTAN, satellites ou drones d’observation par exemple, car ces outils, dont l’Ukraine ne dispose pas, sont indispensables pour atteindre des cibles au cœur du territoire russe.) Sans doute fera-t-il en sorte de ne léser que le ou les pays de l’OTAN qui auront pris part à l’escalade, si celle-ci a lieu. Cela pourrait aller, en première étape, jusqu’à la rupture des relations diplomatiques avec les seuls États concernés, à la saisie de leurs avoirs en Russie, à la cessation totale d’échanges notamment dans les secteurs énergétiques et des matières premières stratégiques, voire même à la fourniture d’armes sophistiquées permettant, à des proxies, d’attaquer les forces britanniques et françaises partout où elles sont déployées dans le monde. (D'ailleurs le missile hypersonique du Hezbollah ayant détruit le quartier général de Tsahal et celui des yéménites d'Ansarallah ayant touché Israël sont très probablement des avertissements dans ce sens.) Malheureusement pour nos stratèges occidentaux belliqueux, pas de quoi déclencher la 3ème guerre mondiale avec ça, mais suffisant pour précipiter l’effondrement économique et celle de l’image de deux pays européens en difficultés économique et géopolitique notoires (UK et FR). » (Dominique Delawarde)
« Le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé mi-juin 2024 que la Russie serait prête à cesser les hostilités et à entamer des négociations de paix sans délai, à condition que l'Ukraine retire ses forces des quatre régions en conflit depuis 2014 et abandonne son projet d'adhésion à l'OTAN. Dans une déclaration qui semble être une dernière chance pour l’Europe, Poutine a mis en garde contre la dépendance critique, voire totale, du Vieux Continent (l'Europe) vis-à-vis des États-Unis. Selon lui, le véritable danger pour l’Europe ne vient pas de la Russie, mais de cette relation d’asservissement. Poutine a lancé un appel aux Européens, leur rappelant que s’ils souhaitent demeurer un centre de développement mondial indépendant et un pôle culturel et civilisationnel, il est essentiel d’entretenir des relations saines avec la Russie. Cela implique de se libérer de l’influence néfaste de Washington, qui se manifeste par la pression exercée sur les politiciens européens, les scandales, la surveillance et l’achat de gaz américain à un prix élevé. Le chef d’État russe a qualifié de « pure absurdité » les rumeurs selon lesquelles la Russie envisagerait une attaque contre l’Europe. Il a estimé qu’il était temps d’engager une discussion approfondie sur les garanties bilatérales et multilatérales de sécurité collective, soulignant que nous nous rapprochons dangereusement d’un point de non-retour. Poutine a sévèrement critiqué les appels à infliger une défaite stratégique à la Russie, qui détient le plus grand arsenal d’armes nucléaires au monde. Il a dénoncé l’aventurisme extrême des politiciens occidentaux, qui selon lui, ne comprennent pas l’ampleur de la menace qu’ils créent ou sont obsédés par leur propre impunité et leur propre exclusivité. Il a averti que ces deux attitudes pourraient mener à une tragédie. L’OTAN a d’ores et déjà rejeté la proposition de paix de Poutine, rendant inutile l’attente d’une réponse de la part de Zelensky, qui ne pourra plus prétendre que Vladimir Poutine refuse de négocier la paix. Il est désormais clair que l’OTAN souhaite la guerre et contrôle pleinement l'Ukraine. Les peuples doivent se libérer de l’emprise de ces bellicistes. » (Média en 4-4-2)
L’Occident a provoqué les conflits en Ukraine, au Proche-Orient et continue de mentir. En déclarant que la Russie veut attaquer l’Europe, l’Occident (l'UE) délire. Les actions des États-Unis détruisent le système de sécurité en Europe. Sans une Russie souveraine et forte, un ordre mondial durable est impossible. L’Occident détruit délibérément les normes morales et l’institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles. La Russie a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles, notre choix est partagé par la majorité des peuples du monde. Nous ne permettrons à personne de s’immiscer dans nos affaires intérieures. Il est nécessaire de former un nouveau contour de la sécurité mondiale. La Russie est prête au dialogue avec tous les pays. Le dialogue de la Russie avec l’ASEAN, l’Afrique et les pays arabes se développe de manière positive. Nous voyons de grandes perspectives dans la construction d’un vaste partenariat eurasien. L’économie russe a accusé en 2023 une croissance beaucoup plus rapide que l’économie mondiale, et a devancé les pays du G7. À court terme, la Russie intégrera le top 4 des plus grandes économies mondiales. La part des produits importés devra baisser, d’ici 2030, à 17% du PIB. De nombreux anciens monopoles et stéréotypes s’effondrent dans l’économie mondiale. Les pays des BRICS créeront 37% du PIB mondial d’ici 2028, alors que l’indicateur du G7 tombera à 28%. L’Occident scie la branche sur laquelle il est assis depuis des décennies, discréditant ses propres monnaies et son système bancaire. La Russie construira une nouvelle architecture financière mondiale sur une base technologique avancée qui ne dépendra pas d’interférence politique. Nous travaillerons avec des nations amies pour créer de nouveaux corridors logistiques et mettre en place une infrastructure financière sûre. » (Extrais du discours du président russe Poutine à l’Assemblée fédérale russe en février 2024)
« En conclusion, je suis désolé pour l’Allemagne et pour les atlantistes inconditionnels. Si le FMI, créé et dirigé par les occidentaux me dit que la Russie en croissance est en voie de dépasser l’Allemagne en récession, en PIB/PPA, et si la Banque mondiale, elle aussi créée et dirigée par les occidentaux, me dit que le dépassement a déjà eu lieu à la fin de l’année 2022, je suis bien obligé de les croire. D’ailleurs, Poutine et les médias russes ne s’en seraient pas vanté, s’ils n’avaient pas de solides raisons pour le faire. Chacun devrait commencer à comprendre que les opérations militaires entre l’occident otanien et la Russie en Ukraine ne sont que la partie émergée de l’iceberg d’un bras de fer planétaire entre le camp de l’hégémon US et celui de la multipolarité conduite par la Russie et ses amis BRICS et OCS. C’est la résilience économique et financière qui désignera le vainqueur et la dédollarisation progressive de l’économie mondiale constituera l’élément déterminant sur le résultat de ce bras de fer. Si le joueur d’échec Poutine avait voulu affaiblir économiquement et durablement l’occident en Ukraine, il ne s’y serait pas pris pas autrement qu’en prenant son temps dans la conduite de l’opération spéciale et en misant sur l’insondable bêtise et les erreurs d’appréciation de ses adversaires otaniens. Le temps joue aujourd’hui en faveur de la Russie tant sur le plan militaire, en permettant l’attrition à moindre frais de l’adversaire otano-kiévien, que sur les plans économique et financier en laissant l’occident otanien se tirer des balles dans le pied tous les mois par des sanctions «boomerang». » (Dominique Delawarde) « L’effondrement de l’URSS a enhardi les dirigeants des États-Unis et d’autres pays occidentaux, qui pensaient pouvoir détruire la Russie en la divisant. Les conseillers occidentaux ont afflué en Russie dans les années 1990, cherchant à créer le chaos dans le pays, «encourageant le séparatisme, imposant la dette et les obligations internationales». L’Occident a misé sur la stimulation du chaos et l’imposition d’un contrôle externe sur le pays. L’Occident a utilisé des leviers de pression supplémentaires sous la forme d’une avancée agressive de l’OTAN vers l’Est, d’un soutien à l’extrémisme et aux groupes religieux extrémistes, inspirant «une vague de dénigrement de l’Église orthodoxe russe et de l’Islam traditionnel», et propageant divers vices. Les réformes radicales imposées par l’Occident ont entraîné une baisse du niveau de vie dans le pays, une augmentation du chômage, la destruction de l’industrie, de l’agriculture, des transports et du système financier, ainsi que l’arrêt de la fonction essentielle du complexe industriel. Depuis que Vladimir Poutine a pris ses fonctions de président en 2000, ses principaux efforts ont porté sur la stabilisation de la vie intérieure du pays, la suppression des activités des gangs et de leurs commanditaires et le rétablissement de l’ordre constitutionnel. La base de l’État ayant toujours reposé sur trois piliers : l’unité du peuple, la foi et une forte verticalité du pouvoir. La politique du président a permis l’introduction de mécanismes systémiques efficaces de lutte contre la criminalité, grâce auxquels le nombre d’actes criminels a diminué de plus d’un tiers par rapport à 2000. Dès le début des années 2000, Poutine a vu la solution à de nombreux problèmes internationaux dans la construction d’un ordre mondial multipolaire. L’Occident tente de réécrire l’histoire, mais en Russie, elle est traitée avec soin et ne peut être oubliée. La fonction d’éducation a été rendue aux organisations éducatives russes, qui constituent l’une des pierres angulaires de la construction de l’avenir du pays. Les générations futures doivent connaître la vérité et se souvenir que c’est la Russie qui a vaincu le fascisme au prix de près de 30 millions de vies humaines, sans quoi les ennemis profiteront de l’absence de remords des Russes et continueront à détruire les monuments aux héros et à se moquer de leurs tombes. Les amendements à la constitution de 2020 ont rétabli la suprématie du droit national, consacré les normes relatives à l’indestructibilité des frontières et à l’irrévocabilité des territoires du pays. Le soutien de la majorité de la population aux propositions du président lors du référendum de 2020 a jeté les bases du développement futur de la Russie, de sa stabilité, de sa sécurité et d’une vie décente pour ses citoyens. » (Extraits du discours de Nikolaï Patrouchev le secrétaire du Conseil de sécurité russe, l’occasion de la Journée de l’unité nationale, dans lequel il a évoqué l’importance historique de la préservation de la souveraineté de notre pays dans le cadre de la longue confrontation avec l’Occident) « L’Ukraine, comme l’a souligné (le journaliste US) Tucker lui-même, n’est pas d’un intérêt vital pour les États-Unis. Elle faisait partie d’un plan brillant visant à démembrer, engloutir et dévorer la Russie, mais puisque ce plan est maintenant en lambeaux, pourquoi ne pas simplement l’oublier et retourner à la planche à dessin ? Or Mearsheimer propose de geler le conflit à perpétuité le long de la ligne de front actuelle, comme c’est le cas entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. La partie russe de l’ancienne Ukraine resterait russe et la partie ukrainienne deviendrait un protectorat américain, rejoindrait l’OTAN et accueillerait des bases militaires américaines – si l’on poursuit l’analogie avec la Corée. Ce plan est quelque peu admirable : il mettrait fin à l’effusion de sang ; il donnerait aux Russes ce que Mearsheimer pense qu’ils veulent ; et il plairait beaucoup au complexe militaro-industriel-congressionnel américain en lui donnant un autre terrain de jeu permanent à l’étranger (où multiplier des armes). Le problème de ce scénario est que ce n’est pas ce que veulent les Russes. Pourquoi accepter un cessez-le-feu quand on est sur le point de gagner ? Et pourquoi accepter une présence militaire américaine à vos frontières si votre objectif déclaré est de vous assurer que l’Ukraine est démilitarisée, dénazifiée et neutralisée ? Le plan de Mearsheimer peut sembler bon en théorie, mais ses mérites pratiques sont nuls. Surtout que les États-Unis ont toutes les raisons de réduire leurs pertes en Ukraine. En effet les Ukrainiens – ceux qui sont au pouvoir – ont pu manipuler les États-Unis pour qu’ils leur donnent des quantités ridicules d’argent et d’armes, qu’ils ont principalement utilisées pour s’enrichir tout en lançant des recrues sur les lignes de défense russes, en achetant des manoirs en Suisse et à Miami, en entassant des milliards sur des comptes offshore et ainsi de suite, parce qu’ils avaient la mainmise sur Joe Biden (Affaire Biden) et son organisation criminelle. Mais maintenant que les preuves de la criminalité de Joe Biden sont déjà disponibles et qu’elles sont progressivement rendues publiques, leur capacité à le faire chanter a disparu et il est temps de leur couper l’herbe sous le pied (surtout qu'avec le temps, la troisième guerre mondiale ne semble plus intéresser l'humanité comme on passe à un autre sujet dans les médias mainstream ou via le zapping avec la télécommande). » (Dimitry Orlov)
Trump est un homme pressé. Or il n’obtiendra pas en Ukraine les résultats espérés dans les délais qu’il s’est imprudemment fixés. On constate que même une trêve temporaire des bombardements contre les cibles énergétiques et un accord limité sur la navigation dans la mer Noire se sont révélés très difficiles à mettre en œuvre dans la pratique. A partir de là, une recrudescence de la guerre, du soutien à l’Ukraine et des sanctions économiques pour faire pression sur la Russie n’est pas du tout à exclure. Seconde hypothèse : les Etats-Unis continuent à mener des discussions bilatérales et parviennent à un accord limité à la Russie, au terme duquel ils renouent des relations diplomatiques et économiques avec elle, tout en laissant l’Ukraine continuer la guerre avec l’aide des Européens. Dans les deux cas, la guerre se poursuit. Conclusion : les Russes ne cédant pas, puisqu’il s’agit d’une menace existentielle pour eux, et les dirigeants ukrainiens et européens dépendant de la guerre pour se maintenir au pouvoir, à l’instar de Netanyahu avec sa guerre en Palestine, c’est l’évolution de la situation sur le terrain qui sera déterminante. En clair, c’est la guerre qui décidera de la paix. Si les Ukrainiens sont forcés de lâcher prise, leurs soutiens seront enfin obligés d’accepter la réalité et d’arrêter les combats aux conditions de la Russie. S’ils devaient au contraire réussir à résister grâce, par exemple, à l’envoi de troupes européennes sur le terrain, la Russie engagerait ses missiles nucléaires tactiques. Dans les deux cas, l’Europe sera perdante. A vous de choisir l’option qui vous semble la moins pire. Surtout que les dirigeants européens ont besoin de la guerre pour rester au pouvoir : le conflit – et les foucades de Donald Trump – ont lancé ou relancé la carrière des Macron, Merz, Starmer, von der Leyen, Mette Frederiksen, Donald Tusk. Ils ont trop besoin du Grand Méchant Russe, et depuis deux mois du Grand Méchant Trump, pour consolider leur pouvoir flageolant et faire oublier leur impopularité et leurs difficultés domestiques. Le 29 mars, le New York Times a publié une enquête historique exposant comment les États-Unis ont été « mêlés » dans la bataille de l’Ukraine avec la Russie « beaucoup plus intimement et largement qu’on ne l’avait compris auparavant », Washington servant presque invariablement de « colonne vertébrale aux opérations militaires ukrainiennes ». Le média est allé jusqu’à reconnaître que le conflit était une « guerre par procuration » – une réalité irréfutable jusqu’ici vigoureusement niée par le courant dominant – le qualifiant de “remake” du « Vietnam dans les années 1960, de l’Afghanistan dans les années 1980 et de la Syrie trois décennies plus tard ». Pourtant, les passages les plus marquants de l’enquête mettent en évidence le rôle majeur de Londres dans la gestion et l’orientation des actions et de la stratégie ukrainiennes – et par extension américaines – dans le conflit. Les références directes et les allusions sans ambiguïté qui émaillent le texte mènent inévitablement à la conclusion que la “guerre par procuration” est l’œuvre des Britanniques. Si le rapprochement entre Moscou et Washington réussit, il représentera l’échec le plus spectaculaire à ce jour du stratagème conjointement mis en place par la Grande-Bretagne après la Seconde Guerre mondiale pour exploiter la puissance militaire et la richesse américaines à ses propres fins.
« L’administration Trump et l’administration Biden avant elle n’ont jamais eu l’intention de s’attaquer à la cause réelle du conflit en Ukraine, à savoir l’expansion de l’OTAN jusqu’aux frontières de la Russie et tout le long de celles-ci. Cela est présenté comme si les États-Unis jouaient en quelque sorte le rôle de médiateur entre la Russie et l’Ukraine. En réalité, les États-Unis sont l’une des deux parties principales au conflit, l’autre étant la Russie, contre qui cette guerre a été provoquée. Depuis la fin de la guerre froide, les États-Unis ont investi des milliards de dollars dans l’ingérence politique en Ukraine, notamment dans des opérations de changement de régime tentées en 2004 et finalement couronnées de succès en 2014, en particulier pour motiver l'oligarchie russe dont juive voire le peuple russe à entrer dans le système mondialiste US et sioniste. À partir de 2014, l’Ukraine a été transformée en un proxy militaire des États-Unis visant spécifiquement à menacer la Fédération de Russie, tout comme la Géorgie, politiquement capturée en 2003, a été utilisée pour attaquer les forces de maintien de la paix russes en 2008. La menace croissante que cela représentait pour la sécurité de Moscou a précipité le lancement de l’opération militaire spéciale (SMO) de la Russie en février 2022 et les combats qui ont suivi et qui se poursuivent depuis lors. D'ailleurs une série d’articles publiés ces dernières années par les médias occidentaux eux-mêmes ont révélé à quel point les États-Unis avaient non seulement pris le contrôle politique de l’Ukraine, mais aussi pris le contrôle institutionnel de ses agences militaires et de renseignement, les reconfigurant pour qu’elles fonctionnent comme des extensions armées des États-Unis le long de la frontière ukrainienne avec la Russie, et même à l’intérieur de la Russie elle-même. En d’autres termes, les États-Unis entraînaient, équipaient, armaient et dirigeaient des opérations meurtrières depuis l’Ukraine vers le territoire contrôlé par la Russie (Crimée) avant que celle-ci ne lance son opération militaire spéciale (OMS) en 2022. Des agents de la CIA déployés en Ukraine pour superviser les opérations ont ensuite commencé à jouer un rôle central après le lancement de l’OMS par la Russie en 2022. Ce sont les services de renseignement américains qui ont mené bon nombre des attaques les plus réussies de l’Ukraine contre des quartiers généraux militaires russes, notamment dans le port criméen de Sébastopol, qui était sous contrôle russe avant même le renversement de l’Ukraine par les États-Unis en 2014 et la réunification de la Crimée avec la Russie qui a suivi. Un article du New York Times de mars 2025 intitulé «The Partnership : The Secret History of the War in Ukraine» (Le partenariat : l’histoire secrète de la guerre en Ukraine) expliquait que non seulement les États-Unis avaient fourni des dizaines de milliards de dollars d’équipements militaires, d’armes et de munitions, mais que l’armée américaine elle-même a joué (et continue de jouer) un rôle central dans la sélection et la frappe de cibles des deux côtés de la frontière ukraino-russe. Toutes les opérations ukrainiennes à grande échelle, notamment les offensives de Kherson et Kharkov en 2022 ainsi que l’offensive ratée de 2023, ont été planifiées, organisées et dirigées par des officiers militaires américains depuis Wiesbaden. Cela comprenait également la création de nouvelles brigades ukrainiennes, supervisée, comme l’admet le New York Times, par le lieutenant-général américain Antonio Aguto Jr. Il est également révélé que ce n’est pas l’Ukraine qui a demandé des armes à plus longue portée comme le système de missiles tactiques de l’armée (ATACMS), mais les généraux américains. Le New York Times admet en substance qu’il s’agissait d’une guerre menée par les États-Unis contre la Russie, qui se sont simplement servis de l’Ukraine comme intermédiaire. Les récentes déclarations du secrétaire d’État américain Marco Rubio ont signalé l’intention de Washington d’abandonner les efforts de paix si aucun progrès n’était réalisé entre la Russie et l’Ukraine. Aujourd’hui, le gouvernement américain tente de jouer le rôle d’un médiateur frustré qui tente de négocier la paix entre l’Ukraine et la Russie, alors qu’en réalité, il s’agit depuis le début d’une guerre entre les États-Unis et la Russie. En réalité, l’actuel secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, dans un discours prononcé le 12 février 2025, a évoqué l’envoi de «troupes européennes et non européennes» en Ukraine comme une «garantie de sécurité» qui, dans la pratique, gèlerait le conflit ou précipiterait les hostilités directes entre la Russie et l’Europe. Le secrétaire Hegseth a également indiqué à l’Europe que les prochaines étapes concernant l’Ukraine consisteraient à «donner davantage de munitions et d’équipements» à l’Ukraine, ainsi qu’à «développer votre base industrielle de défense». Ce que le secrétaire Hegseth a en réalité présenté n’était pas une directive en faveur de la paix en Ukraine, mais une nouvelle fois le gel du conflit, comme l’ont fait les États-Unis et l’Europe lors des accords de Minsk, qui leur ont permis d’étendre leurs propres bases industrielles militaires afin d’égaler ou de dépasser la production russe, et de réarmer et réorganiser les forces ukrainiennes afin de reprendre les hostilités à l’avenir, lorsque les facteurs seront favorables à Washington et non à Moscou. L’ennui prévisible du secrétaire d’État Marco Rubio à l’égard des pourparlers de paix avec la Russie signale la volonté des États-Unis de transférer entièrement la responsabilité de leur guerre par procuration à l’Europe, alors qu’ils s’orientent vers une confrontation beaucoup plus dangereuse avec l’allié de la Russie à l’est, la Chine. L’administration Trump et l’administration Biden avant elle n’ont jamais eu l’intention de s’attaquer à la cause réelle du conflit en Ukraine, à savoir l’expansion de l’OTAN jusqu’aux frontières de la Russie et le long de celles-ci, avec l’intention inévitable d’absorber la Russie elle-même. Pour cette raison, une paix véritable n’a jamais été possible, malgré la rhétorique publique et les gestes creux de l’administration Trump envers la Russie. Si l’administration Trump s’est déclarée favorable à l’expansion de l’OTAN, sa seule décision concernant spécifiquement l’OTAN a été d’exiger des membres de l’OTAN qu’ils doublent leur contribution financière à l’organisation. De son côté, la Russie a laissé la porte ouverte à des négociations honnêtes et a offert aux États-Unis de nombreuses possibilités de se retirer d’une guerre par procuration impossible à gagner et d’une confrontation indéfinie avec la Russie à l’avenir. Les États-Unis ne sont manifestement pas intéressés. Tout au long des «pourparlers de paix» avec les États-Unis, la Russie a poursuivi sa guerre d’usure contre les forces ukrainiennes, poursuivant ainsi le processus que le New York Times décrit comme le facteur central contribuant à l’échec actuel de la guerre par procuration. La véritable question qui reste en suspens est de savoir si la Russie peut poursuivre ce processus à un rythme plus rapide et plus efficace que les États-Unis et l’Europe peuvent continuer à «donner plus de munitions et d’équipements» à l’Ukraine tout en essayant d’étendre leurs «bases industrielles de défense». Seul le temps nous le dira. Comme l’a démontré la Syrie, une guerre par procuration que les États-Unis ont perdue à un moment donné peut être gelée, revisitée et finalement gagnée s’ils sont capables de surexploiter suffisamment longtemps leurs adversaires désignés, comme la Russie et l’Iran. Les États-Unis se sont déjà lancés dans un conflit armé avec le Yémen et menacent de faire la guerre contre l’Iran, forçant la Russie à prendre une fois de plus des décisions difficiles concernant l’affectation de ses ressources militaires limitées face à la capacité apparemment infinie des États-Unis à créer l’instabilité et les conflits dans le monde entier. La survie et le succès du multipolarisme dépendent de la coopération du monde multipolaire contre les tentatives américaines de réaffirmer leur primauté – non seulement par le biais de guerres directes et par procuration, mais aussi par le biais de la coercition économique et de l’ingérence politique – et de la compréhension qu’une guerre des États-Unis contre la Russie en Ukraine ou une guerre par procuration menée contre la Syrie au Moyen-Orient est, en fait, une guerre contre la montée du multipolarisme dans son ensemble et la promesse de paix et de prospérité qu’il offre. » (Brian Berletic)
La Turquie :
Il faut noter que malgré de possibles élections présidentielles truquées, des pays donc comme l’Argentine et le Brésil sont de plus en plus proches d'appartenir à ces pays noblement rebelles à ce nouvel ordre mondial corrompu. (Mais la dollarisation voulue par le nouveau président de l'Argentine en 2023, sous prétexte d'en finir avec leur monnaie « peso » car elle ne vaudrait plus rien, est mauvais signe pour cette nation, alors qu'elle a pourtant connu une grosse crise économique entre 1998 et 2002. C'est une image des USA déstabilisant les pays économiquement pour les pousser à utiliser le dollar.) Alors que c'est plus compliqué pour la Turquie d'Erdogan liée à l'Otan mais sauvée d'un coup d'Etat par la Russie. Surtout que ce denier peut donc être un faux agent double favorisant plus ou moins les USA et la Russie, ou/et être un président jouant un double jeu très dangereux pour lui puisque entre les USA et la Russie dont pour se faire réélire, ou/et être un chef voulant recréer nostalgiquement mais illégitimement le califat ottoman dont en cherchant d'abord à unir les régions turcophones, car sa nation est actuellement laïque. Or comme les réseaux de son ennemi politique Gulen sont désormais proche de la CIA et qu'ils ont encore tenté de renverser Erdogan en mai 2024 dont car il ne joue plus le jeu de l'Otan, cela semble plus montrer qu'il navigue entre deux voire trois eaux plus ou moins courageusement, mais en sachant que la Turquie ayant collaboré avec Israël pour diviser en morceaux la Syrie dont en s'appuyant aussi sur des terroristes, elle n'est donc pas honnête dans son soutien à la Palestine malgré donc sa probable volonté de recréer un califat ottoman et donc de prendre des terres du Grand Israël. D'ailleurs une deuxième tentative de coup d’État contre Erdogan qui prétend être un leader sunnite mondial en particulier donc contre Israël a eu lieu le même mois que la mort du président iranien Raïssi leader chiite mondial contre Israël et de la tentative d'assassinat contre le président du gouvernement slovaque Fico qui a validé l’intervention russe en Ukraine et peu de temps avant celle contre Trump luttant contre le mondialisme oligarchique et Lgbtiste. (Or le coup d'état manqué en Turquie y a relativement permis la mise en place d'une dictature profitant à Erdogan.) En juillet 2024, le Premier ministre géorgien Irakli Kobakhidze a révélé des informations alarmantes concernant une tentative d’assassinat contre Bidzina Ivanishvili, fondateur du parti au pouvoir « Rêve géorgien ». Selon Irakli Kobakhidze, cette attaque aurait été orchestrée par les mêmes entités responsables des attentats contre l’ancien président américain Donald Trump et le Premier ministre slovaque Robert Fico. Tout ceci prouvant l'amplification de la crise de l'ancien système global occidental dont face à la multipolarité apportée par le BRICS, même si concernant Trump, il s'agit aussi beaucoup de division interne aux USA qui pourrait y conduire à une séparation des états conservateur par rapport à ceux démocrates. Concernant cette tentative d'assassinat sur Trump, la Russie a d'ailleurs sous-entendu comme cause principale la campagne médiatique (des oligarchiques médias privés mondialistes et lgbtistes) contre Trump. Membre de l'OTAN depuis 1952 et candidat à l'entrée dans les BRICS, la Turquie se trouve donc à la croisée des chemins entre l'Occident et l'Orient. Sanctionnée par les États-Unis pour l'achat de systèmes de défense russes et sa non-participation aux sanctions contre la Russie et l'Iran, la question de son maintien dans l'OTAN se pose. « La Russie ne peut qu’être profondément consciente que la Turquie est un pays membre de l’OTAN unique en son genre, qui cherche véritablement à développer ses relations avec elle et qui s’est engagé dans un partenariat dynamique sur un large spectre, allant de l’énergie aux missiles en passant par le tourisme – et qui entretient également une relation finement équilibrée avec l’Iran, le partenaire le plus important de la Russie au Moyen Orient. Bien entendu, l’équation personnelle entre Erdogan et Vladimir Poutine a été un facteur clé, même si son éclat s’est quelque peu estompé après les récents compromis de la Turquie avec les États-Unis sur l’adhésion de la Suède à l’OTAN, ce qui constitue un sérieux revers pour les intérêts fondamentaux de la Russie dans le nord de l’Arctique, une zone de profonde préoccupation stratégique pour Moscou car c’est là que la flotte de sous-marins russes à armement nucléaire est basée. En outre, la sécurité de la mer Noire et de la Méditerranée orientale a un impact sur la présence croissante de la Russie en Afrique du Nord, dans la région du Sahel et dans l’ensemble de la République centrafricaine, qui sont riches en minerais. Après avoir réussi à placer l’Arménie dans l’orbite occidentale et à retirer la force russe de maintien de la paix au Haut-Karabakh, la prochaine phase pourrait bien être une poussée de l’OTAN pour fermer la base russe en Arménie. Par conséquent, l’influence de la Turquie en Transcaucasie pourrait changer la donne à long terme, car les rétives républiques musulmanes russes dans le Caucase du Nord sont dans la ligne de mire de l’Occident. D’une manière générale, la Turquie devient un participant indispensable au programme expéditionnaire «hors région» de l’OTAN, qui s’étend à la Transcaucasie et à la mer Caspienne, puis à l’Asie centrale et à l’Afghanistan, dans un vaste arc qui pourrait amener le système d’alliance occidental dans le voisinage étendu de l’Inde, dans un grand pivot eurasien qui renvoie à la théorie du Heartland de Mackinder : « Celui qui tient l’Europe occidentale (dont l'Ukraine) commande le Heartland (la terre centrale), celui qui tient le Heartland (la terre centrale) domine l’île mondiale, et celui qui domine l’île mondiale domine le monde. » (1904) Mackinder avait tendance à être trop eurocentrique, mais l’importance du cœur de l’Eurasie n’a non seulement pas diminué – elle abrite la plupart des ressources minérales restantes dans le monde – mais elle a peut-être même augmenté après la montée de la Chine en tant que superpuissance et son initiative des «Nouvelles routes de la soie». Sur les grandes questions régionales et internationales, la position de la Turquie s’écarte de plus en plus de celle de Washington. Ainsi, la Turquie n’a pas rejoint la coalition dirigée par les États-Unis qui affronte les Houthis en mer Rouge. Une fois encore, la Turquie a fermement condamné la frappe aérienne israélienne contre l’ambassade iranienne à Damas le 1er avril, alors que la réponse d’Ankara à la frappe aérienne iranienne contre Israël le 13 avril a tardé et s’est faite sur un ton modéré, la principale préoccupation étant la propagation potentielle du conflit israélien de Gaza dans toute la région, suivie de la crainte que l’attention internationale ne se détourne de la tragédie de Gaza. En effet, la Turquie est le seul pays de l’OTAN à avoir refusé de soutenir la déclaration commune parrainée par les États-Unis, jeudi, contre l’Iran, pour sa riposte contre Israël(, mais elle vende des armes à Israël). » (M.K. Bhadrakumar) Or cet équilibriste Erdogan semble défendre avant tout l’intérêt de son pays, dont car en 22 ans, Erdogan a multiplié par 3 voire 4 le niveau de vie des turcs et a désendetté la Turquie par rapport au FMI, mais en ne parvenant pas à empêcher l'augmentation des écarts de richesse. Quoique sa volonté d'adhérer à l'Union Européenne est très étonnante, mais il est désormais candidat aux BRICS. En sachant que la Turquie est le premier membre de l'Otan ayant demandé une adhésion à l'OTAN dont après avoir fait une demande d'adhésion à l'UE. Or la Turquie est utile à la multipolarité au sein de l'Otan comme la Hongrie au sein de l'UE puisque pouvant opposer leur veto. En sachant que la Turquie a soutenu l’Égypte pour empêcher l'envoi des palestiniens dans le Sinaï, et qu'Erdogan a proposé un alliance des pays musulmans pour contrer l'expansionnisme d'Israël. Or par rapport à l’action militaro-diplomatique sur l’Asie centrale par différentes puissances concerne 70 millions de Musulmans avec d’importantes diasporas en Russie, l’attitude de la Turquie de Reccep Erdogan reste ambiguë du fait de ses prétentions panturques qui rivalisent avec la Russie et l’Iran et de son appartenance aux Frères musulmans qui l’opposent aux monarchies du Golfe, tout en étant à la tête d’un Etat membre de l’OTAN. La Chine se veut également une puissance régionale et même l’Inde envisage de s’implanter dans l’ancien « pré carré » russe. Or quelles que soient les intentions d'Erdogan, la Turquie joue parfois l'ancien bon rôle diplomatique de la gaulliste France neutre, quand elle équilibrait les tensions entre grande puissance, même si malgré sa soumission aux USA, à Israël et à l'OTAN l'isolant diplomatiquement à part en Occident et son suivi du mondialisme ultra-libéral l'appauvrissant, la France demeure puissante au niveau institutionnel par sa position à l'ONU et au niveau militaire puisque c'est le seul pays de l'UE à avoir la bombe, ce qui est d'ailleurs combattu par les forces occultes car la France pourrait bientôt partager sa position à l'ONU avec l'Allemagne et ses bombes nucléaires avec l'UE. Ce qui n'est pas étonnant car la position géographique de la Turquie se situe entre les arabes, les perses, les slaves et les occidentaux, mais cela peut l'amener à être opportuniste indignement. Or la diplomatie turque détient aussi un grand pragmatisme d'origine ottomane, ce qui l'empêche logiquement pour l'instant de trancher entre l'hégémonie déclinante des USA et l'hégémonie grandissante des BRICS+. D'ailleurs contrairement à l'Allemagne, la Turquie et même l'Arabie saoudite, il n'existe même pas un parti de la paix au sein de l'assemblée nationale française. « Le président turc donne l’impression de naviguer à vue en mettant, au premier plan, l’intérêt de son pays. Il cherche à tirer un maximum d’avantages de sa position d’allié majeur et incontournable de l’OTAN sans pour autant sacrifier sa bonne relation avec Poutine, partenaire loyal. Il observe avec intérêt la bascule du monde et la conquête progressive, par les BRICS et l’OCS, de la suprématie économique, commerciale et financière mondiale, qui conduit inévitablement, à terme, à la suprématie militaire. Il se tient, très habilement, un pied dans chaque camp, position qu’il tiendra probablement le plus longtemps possible, pour en tirer un maximum d’avantages pour son pays. Si les événements à venir et l’intérêt de son pays le suggèrent ou l’exigent, La Turquie saisira toute opportunité pour changer de camp sans état d’âme. Partenaire de discussion de l’OCS depuis onze ans, elle y est prête et peut le faire du jour au lendemain. C’est ce qui fait aujourd’hui sa force. » (Général Delawarde) Mais la police turque a arrêté des dizaines de manifestants réclamant la fin des relations commerciales entre la Turquie et Israël. Des images sont devenues virales montrant la police anti-émeute turque forçant violemment les manifestants à monter dans des fourgons à Istanbul. Des militants turcs ont même déclaré que les manifestants ont également été torturés. En public, le président turc Recep Tayyip Erdogan a sévèrement critiqué Israël comparant même le Premier ministre extrémiste du régime d'occupation, Benjamin Netanyahu, à Adolf Hitler. La Turquie continue cependant d’exporter toute une gamme de produits vers Israël, notamment des explosifs, des pièces d’avions, ainsi que des armes et des munitions, ce qui discrédite énormément Erdogan. Le président turc Erdogan est courtisé par l'Occident et la Russie, car il a la capacité de déstabiliser les pays turcophones allant jusqu'aux portes de la Chine et étant au Sud de la Russie.
Grands changements :
En plus de servir Israël, la présence américaine en Syrie et le soutien de l'OTAN à l'Ukraine semblent clairement destinés à empêcher momentanément une nouvelle route de la soie passant par l'Iran, car pouvant être une question de survie pour les USA voire aussi pour leurs adversaires russo-chinois. Surtout qu'Israël pourrait désormais vendre son gaz à l'Europe à la place de la Russie, afin que cet empire thalassocratique américano-sioniste (aux lois mouvantes laïcistes, ultra-libérales ou wokistes comme la mer, et donc anti-christiques et donc anté-christiques) continue de dominer le monde contre d'éventuels nouveaux empires tellurocratiques (aux lois stables et donc monothéistes, naturelles ou conservatrices comme la terre) tel la Chine associée à la Russie. Dans son rapport à l'ennemi, la thalassocratie est différente à la tellurocratie, car elle n'a pas d’avant, pas d'arrière, pas de lois de la guerre, pas de limite, et se permet donc de se servir de l'arme économique dont à travers des embargos ou des sanctions détruisant d'abord les peuples avant les gouvernements, alors que les actions sont plus destructrices que la guerre conventionnelle et affectent donc l’ensemble de la population du pays visé. (Selon George Friedman, politologue et dirigeant de l’agence de renseignement « Stratfor Global intelligence », la plus influente aux USA et proche du pouvoir, la suprématie des U.S.A. repose d’abord sur le contrôle de tous les océans, alors que la réelle valeur supérieure d'un pays ou d'un empire est l'amélioration des conditions de vie des populations, comme le prouve les phrases suivantes. Selon lui, malgré cette domination maritime réputée incontestée, l’invasion des peuples et le pillage des pays ne sont pas si simples : il est impossible d’y parvenir ouvertement, directement. Voici pourquoi : « Au moment où les premières bottes touchent le sol la différence démographique est telle que nous sommes en infériorité numérique. Donc, nous n’avons pas la possibilité d’aller partout… » Mais on peut s’y prendre autrement selon une méthode bien éprouvée. Une méthode qui a fait ses preuves : diviser, désorganiser, financer les rivaux, bref, semer le chaos.) Il s'agit donc d'une vitale alliance indestructible entre la puissance commerciale et industrielle de la Chine couplée à la puissance militaire et de matière première (dont énergétiques) de la Russie, car face au glouton hégémon americano-wahhabo-sioniste égoïste synonyme d'unipolarité impie car sans compromis, comme le prouve sa volonté d'obtenir aussi toute l’Ukraine pourtant d'origine russe, et alors que la Finlande et la Suède sont déjà entrées dans l'Otan. En effet les atlantistes pourraient ne pas reconnaître juridiquement les nouvelles frontières de la Russie, car le monde global ne peut que s’agrandir, il ne peut pas reculer sauf à s’effondrer. Ainsi au nom de la domination militaire, de l’expansion du marché et des intérêts capitalistes voire aussi du projet sioniste, les USA globalistes oligarchiques placent la vie des populations non blanches au second plan par rapport au profit et au luxe, mais aussi de plus en plus celles blanches comme donc en Ukraine mais aussi dans l'UE, quoique Trump semble changer cela. Or par rapport aux routes maritimes de l'empire thalassocratique devant seulement construire des bateaux, l'empire tellurique des nouvelles routes de la soie demande des investissements financiers beaucoup plus importants pour la création d'infrastructures (voies ferrées, pont, routes), mais le temps de transport est nettement plus long par la mer que par la terre. Et c'est pourquoi le retour prophétisé d'un califat musulman bien guidé semble désormais être très proche pour sécuriser la voie terrestre de cette nouvelle route de la soie, surtout car devenant donc essentielle pour sauver puis faire triompher économiquement les vitales lois divines portées et défendues en grande partie par le droit continental russe et chinois. La relation diplomatique entre la Chine et les États-Unis est émaillée de vives tensions depuis la création de la République populaire de Chine. L’inventaire des conflits est long : ventes d’armes des États-Unis à Taïwan, guerre commerciale, guerre idéologique, pandémie, rivalités géopolitiques et militaires en Asie. Ce sont des tensions similaires à celles entre les USA et la Russie toujours voulues par les USA. Or l’Europe a le droit d’être « neutre », car géopolitiquement, elle est un pôle indépendant qui n’appartient ni à la civilisation de la mer ni à celle de la terre, ou qui peut être un lien entre les deux. En effet ce statut intermédiaire implique une certaine neutralité. Mais le pire ennemi géopolitique des Etats-Unis serait l'union de l'Europe avec la Russie (véritable union européenne mais sous la forme d’une Europe des nations, des peuples, surtout vu les langues, histoires et cultures différentes entre chaque nation, en sachant que la filiation formant en grande partie une nation est importante pour en faciliter la cohésion), d'où la crise provoquée en Ukraine. Surtout que la Russie a une économie réelle car productrice, alors que l'économie occidentale est virtuelle car basée sur la spéculation et l'usure d'une hyper classe oppressant (volant) jusqu'à la classe moyenne. C'est à dire que l'économie réelle est liée à l'industrie, au commerce et à l'immobilier, alors que l'économie fictive est liée en grande partie à des fonds d'investissement et de spéculation comme Goldman Sachs, Black Rock, Vanguard, oppressant et détruisant les nations par preuve que Goldman Sachs a ruiné la Grèce et Black Rock détient de vastes terres ukrainiennes produisant une grande partie des céréales du monde et peut donc contrôler les prix favorisant sa spéculation au détriment honteusement de nombreuses populations par des famines et de la souveraineté de certains peuples ou nations par du chantage. Encore dans une forme de néocolonialisme, l’Occident a même créé une crise énergétique mondiale afin de maintenir son influence mondiale. Derrière, se trouve encore le méga financier Black Rock. Le système proposé par les Etats-Unis est une basse concurrence commerciale à mort, alors que celui proposé par l'association Chine-Russie-Iran est une très digne coopération gagnant-gagnant et donc une co-prospérité. Ainsi l'Empire anglo-américain contrôlant le commerce mondial par les voies maritimes est donc de plus en plus en guerre contre cet eurasisme sino-russo-iranien pouvant prendre une grande partie du commerce mondial par des voies terrestres (nouvelles routes de la soie). Selon le Pentagone en novembre 2021, la Chine est désormais la première puissance navale militaire au monde et peut donc défendre la zone de sécurité et d'influence maritime chinoise. Les chantiers navals militaires chinois produisent une quantité ahurissante de sous-marins. La Chine dispose déjà de 12 sous-marins à propulsion nucléaire et de 46 au diesel. Ils sont tous progressivement équipés de missiles russes anti-navires. Cette montée en puissance contredit les règles de la géopolitique classique qui décrivent les Anglo-Saxons comme l’Empire maritime, tandis que les Russes et les Chinois contrôleraient l’Eurasie. La Chine a pu atteindre son haut niveau économique actuel car elle est depuis longtemps la manufacture (atelier) du monde, en particulier de l'occident à travers des petits prix provenant de bas salaires, ce qui participe avec l'Union européenne à égaliser financièrement la très grande majorité des peuples vers un bas. Or s'il n'y a pas de révolution populaire par rapport au great reset, cette réalité peut s'inverser d'autant plus avec les dérives mondialistes grossières de la gestion occidentale de la crise sanitaire. Ainsi en intégrant la Chine dans le marché international, les mondialistes pensaient arriver à leur fin, alors que la Chine en a profité seulement pour elle-même. Mais vu son histoire, sa position géographique et sa réalité actuelle, dire que la Chine (ou la Russie) qui est l'Empire du Milieu veut coloniser le monde, comme le répètent les Occidentaux, est aussi absurde que lui reprocher de vouloir exporter son modèle. En effet la Chine est géographiquement enclavée et n’a pas de débouchés sur des mers ouvertes qui sont en plus souvent sous contrôle américain. Cet Empire du Milieu reste en quelque sorte un zone fermée géographiquement mais très exposée économiquement à la conjoncture mondiale surtout pour ses approvisionnements, bien que comme en Russie, elle tend de plus en plus à une autonomie générale dont par une orientation vers son marché intérieur. Or la Chine devient quand même en partie expansionniste, mais seulement au niveau économique et commercial en particulier par l'investissement en Afrique puisqu'en voie de développement et par un traité de libre échange avec une partie de l'Asie. En effet alors que l'actuel impérialisme américain est principalement l'imposition de normes unilatérales au nouveau politique, économique, financier et militaire, ce n'est clairement pas le cas de la Chine, puisque de nombreux pays pourtant politiquement, idéologiquement et culturellement différents coopèrent économiquement avec elle. Et le monde a également besoin de la Russie, non pas parce qu’elle est merveilleuse, mais pour que le monde ne tombe pas sous le talon de fer du Pentagone/CIA/Wall Street/NY Times. En effet dans ce sens, la Russie est une garantie évidente de diversité. De plus l’axe Paris-Berlin-Moscou, malgré les pressions, sanctions et provocations de l’Empire anglo-saxon, se fera, car c’est une logique continentale dure et apaisante. Une Europe continentale (mise à part l’Angleterre qui est devenue la servante des USA, City mise à part car servant plutôt le mondialisme) défendue de chaque côté par des missiles franco-russes, associée à une puissance industrielle et commerciale au milieu qu'est l’Allemagne, et étant dans un partenariat économique pacifique avec la très productive Chine, c’est ça, le cauchemar de l’Amérique. Accuser la Chine et la Russie d'impérialisme alors que visant cette multipolarité est donc plutôt une grossière excuse des Etats-Unis pour conserver leur impérialisme unipolaire, car la Chine et la Russie ne s'occupent légitimement que de leur zone de sécurité, d’intérêts importants et d'influence proche, tout en cherchant seulement à commercer honnêtement avec le reste du monde. En effet la Russie et la Chine sont désormais attaquées dans une guerre commerciale voire économique à mort par des sanctions, des taxes ou des droits de douanes, et menacées en Syrie nationalement par l'éventuelle victoire du terrorisme, ou financièrement par une guerre prolongée dont en Ukraine soutenue par l'Otan alors que cette région appartient pourtant incontestablement à la zone de sécurité russe puisque limitrophe. La guerre américaine en Ukraine s’inscrit dans l’offensive mondiale de la puissance états-unienne pour stopper son déclin économique, commerciale, financier, et par conséquent politique, diplomatique, idéologique et militaire. Pourtant, l’hégémon américain a déjà perdu la guerre militaire face à la Russie, et la guerre économique, commerciale et financière qu’il livre au nouvel Empire chinois émergent. La puissance américaine déclinante est déterminée à détruire possiblement militairement ses capacités de production et ses capacités d’accumulation de capitaux qui est la finalité ultime du système économique capitaliste déclinant. L’Océanie a toujours été en guerre avec l’Eurasie. (Il faut noter qu'il est possible qu'Hitler a pu prétendre unifier légitimement le pouvoir du sang des anglo-saxons (anglais et allemands) face au pouvoir de l'or de la finance, c'est à dire unir l'empire thalassocratique (anglais) avec celui tellurique (allemand) face à la city bancaire. Or le pouvoir anglais déjà soumis à la city ne suivit pas Hitler.) C'est pourquoi des membres du G7 tentent régulièrement d’imposer leurs règles et normes aux autres pays, même si elles limitent la souveraineté et empiètent sur les intérêts nationaux. Les sociétés transnationales sont également impliquées dans ce jeu géopolitique. En effet les milliardaires de Bill Gates à George Soros utilisent souvent l’environnement à leur profit, en développant des stratégies à long terme aux niveaux national, régional, mondial et donc même supranational. C'est à dire qu'un certain nombre d’organisations internationales comme Green Peace et l'Open Society University Network qui prétendent avoir de hautes aspirations morales sont en réalité mêlées à de sordides scandales liés à des milieux politiques et économiques occidentaux cherchant à contrôler les nations dont à travers des réseaux internationaux, des sanctions, des pressions économiques voire des changements de régime. (Les accusations de corruption par les réseaux néoconservateurs en particulier actuellement contre les membres des gouvernements pro Brics, cherchent aussi à permettre l'accès au pouvoir de politiciens qui feront sortir des BRICS leur nation.) George Soros a transféré 15,2 milliards d’euros de sa fortune à l’Open Society Foundation, ce qui en fait la deuxième plus grande fondation caritative privée aux États-Unis après la Fondation Bill et Melinda Gates. Il l’a restructurée à coups de licenciements. Son fils Alexander en est aujourd’hui le vice-président. Et au bout du compte Soros dirige ainsi la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil de l’Europe, l’ONU et l’OMS. Il faut noter que la pression exercée par des embargos comme celui contre la Corée du Nord peut être utilisé dans le but de l'unir à la Corée du Sud afin de faire entrer cette Corée unie dans le marché occidental capitaliste, pour toujours plus l'agrandir par la dette, amplifier sa domination sur le monde par la prédation financière Etats-Unienne, et ainsi sortir la Corée du Nord de l'influence communiste chinoise dans une nouvelle guerre froide désormais plus économique que politique. Pour ce faire et contenir toujours plus l'axe russo-chinois, une guerre entre les deux Corées aurait même pu être organisée par les américano-sionistes, et c'est probablement pourquoi l'axe russo-chinois a autorisé que la Corée du Nord obtienne l'arme atomique. Ce qui est d'ailleurs un heureux signe supplémentaire de possible fin des temps sans troisième guerre mondiale.
Extraits de l'article « La 3ème Guerre Mondiale pour les nuls » à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/04/la-3eme-guerre-mondiale-pour-les-nuls : « Parmi les pays soumis à des pressions américano-sionistes mondialistes, on trouve la Russie, la Chine, Cuba, le Venezuela, la Libye, la Syrie, la Serbie, la Thaïlande et l’Iran, pour n’en citer que quelques-uns. D’autres pays se sont ajoutés récemment, notamment l’Inde et la Hongrie. Pour comprendre pourquoi ils ont été mis sous pression, nous devons trouver ce qu’ils ont en commun. Ce n’est pas facile, car ils sont extrêmement différents à bien des égards. Il y a des démocraties et des non-démocraties, des gouvernements conservateurs et communistes, des pays chrétiens, musulmans et bouddhistes, etc. Pourtant, nombre d’entre eux sont très clairement alliés. On peut se demander pourquoi des pays conservateurs et religieux comme la Russie ou l’Iran s’allieraient avec les communistes sans Dieu de Cuba et du Venezuela. Ce que tous ces pays ont en commun, c’est leur désir de gérer leurs propres affaires, d’être des pays indépendants. Cette situation est impardonnable aux yeux de l’Occident et doit être combattue par tous les moyens nécessaires, y compris les sanctions économiques, les révolutions de couleur et l’agression militaire pure et simple. L’Occident et son bras militaire l’OTAN ont entouré la Russie de pays hostiles et de bases militaires, armé et manipulé l’Ukraine pour l’utiliser comme un marteau contre elle, et employé des sanctions et des menaces. La même chose s’est produite et se produit encore en Asie, où la Chine est encerclée par tous les moyens disponibles. Il en va de même pour tous les indépendants mentionnés ci-dessus, dans une certaine mesure. Au cours des dix dernières années environ, la pression s’est accrue massivement sur ces pays indépendants et elle a presque atteint son paroxysme l’année précédant l’invasion russe de l’Ukraine. Au cours du premier mois de la guerre, l’ensemble du corps diplomatique occidental s’est employé à proférer des menaces contre le « reste du monde » afin d’isoler la Russie. Cela n’a pas fonctionné, ce qui a provoqué la panique dans les cercles politiques et diplomatiques aux États-Unis et en Europe. Les explications de ce qui se passe sont nombreuses et la plus courante est la lutte entre deux avenirs possibles : un monde multipolaire où il existe plusieurs centres de pouvoir dans le monde, et un monde unipolaire où l’Occident gouverne le monde. C’est correct dans une certaine mesure, mais il y a une autre raison qui explique pourquoi cela se passe maintenant et avec une urgence et une panique de l'Occident. Récemment, le gourou de la technologie néo-zélandais Kim Dotcom a tweeté un fil sur la situation de la dette aux États-Unis. Selon lui, toutes les dettes et les engagements non financés des États-Unis dépassent la valeur totale du pays, y compris les terres. Cette situation n’est pas propre aux États-Unis. La plupart des pays occidentaux ont une dette qui ne peut être remboursée qu’en vendant le pays entier et tout ce qu’il contient. En outre, la plupart des pays non occidentaux croulent sous les dettes libellées en dollars et sont pratiquement détenus par les mêmes financiers qui possèdent l’Occident. L’augmentation de la dette est à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en gage tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons déjà plus rien selon la volonté de Davos maintenant que la dette a été soustraite et vu le nombre d'énormes banques, fonds et milliardaires d'investissement. La dette est même depuis longtemps devenue inutilisable, bien au-delà de notre capacité à payer les intérêts, ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette insupportable et nous serions tous officiellement en faillite, du jour au lendemain. Les personnes qui possèdent toutes ces dettes possèdent en fait tout ce que nous pensons posséder. En Occident, nous ne possédons rien à ce stade, nous croyons seulement posséder. Mais qui sont nos véritables propriétaires ? Nous savons plus ou moins qui ils sont, car ils se réunissent chaque année au Forum économique mondial de Davos avec les élites politiques occidentales, dont ils sont également les propriétaires. Il est clair que nos propriétaires sont de plus en plus inquiets, et que leurs inquiétudes augmentent à la mesure de la pression accrue exercée par l’Occident sur le reste du monde, en particulier sur les Indépendants et sur les populations réveillées comme les gilets jaunes jusqu'à leur crever des yeux. Lors de la réunion de Davos, l’ambiance était à la fois sombre et paniquée, un peu comme la panique parmi les élites politiques occidentales lorsque l’isolement de la Russie a échoué. La panique de nos propriétaires et de leurs politiciens est compréhensible car nous sommes arrivés au bout du rouleau. Nous ne pouvons plus maintenir notre niveau de vie par l’augmentation de la dette et le parasitisme. La dette va au-delà de ce que nous possédons en garantie et nos monnaies sont sur le point de perdre toute valeur. Nous ne serons plus en mesure d’obtenir des choses gratuites du reste du monde, ni de rembourser notre dette, et encore moins de payer des intérêts sur celle-ci. L’Occident tout entier est sur le point de faire faillite et notre niveau de vie est sur le point de baisser d’un pourcentage massif. C’est ce qui a fait paniquer nos propriétaires, qui ne voient que deux scénarios : Dans le premier scénario, la plupart des pays occidentaux, et tout ce qu’ils contiennent, se déclarent en faillite et effacent la dette par un diktat, ce que les États souverains sont capables de faire. Cela effacerait également la richesse et le pouvoir politique de nos propriétaires. Dans le second scénario, nos propriétaires saisissent la garantie pendant la faillite. La garantie, c’est nous et tout ce que nous possédons. Il ne faut pas être un génie pour comprendre quel scénario a été choisi. Le plan pour le second scénario est prêt et est mis en œuvre en ce moment même. Il s’appelle « Le Grand Reset » et a été élaboré par les personnes qui se cachent derrière le Forum économique mondial. Ce plan n’est pas un secret et peut être examiné dans une certaine mesure sur le site web du WEF de Davos. Le Grand Reset est un mécanisme de saisie de toutes les garanties de la dette, ce qui inclut nos actifs, les actifs de notre ville ou municipalité, les actifs de notre État et la plupart des actifs des entreprises qui ne sont pas déjà détenus par leurs propriétaires. Ce mécanisme de saisie des actifs a plusieurs composantes, mais les plus importantes sont les quatre suivantes : -Abolition de la souveraineté : Un pays souverain (indépendant) est un pays dangereux car il peut choisir de faire défaut sur sa dette. La diminution de la souveraineté a été une priorité pour nos propriétaires et différents schémas ont été tentés comme le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement et le partenariat transpacifique. Le projet le plus abouti est sans aucun doute l’Union européenne elle-même. -Ajustement de l’économie : L’économie occidentale (et en fait l’économie mondiale) doit être ajustée à la baisse, d’un pourcentage très important. Ce réglage est nécessaire parce que l’économie occidentale est massivement falsifiée aujourd’hui et doit être ramenée à son niveau réel, qui pourrait être de la moitié de ce qu’il est maintenant, ou moins. Le ralentissement de l’économie a également pour but d’éviter un effondrement soudain qui provoquerait une agitation sociale massive, ce qui constituerait une menace pour nos propriétaires. Un démantèlement contrôlé est donc préférable à un effondrement incontrôlé. Ce démantèlement contrôlé a déjà eu lieu et se poursuit depuis un certain temps. On peut citer de nombreux exemples de ce démantèlement, notamment la politique énergétique de l’UE et des États-Unis, conçue pour saboter l’économie occidentale, et les tentatives évidentes de destruction de la demande pendant et après l’épidémie, y compris les problèmes logistiques assez bizarres qui sont soudainement sortis de nulle part. -Récolte d’actifs (vous ne posséderez rien et serez « heureux ») : Tous les actifs qui peuvent être considérés comme des garanties de notre dette privée et collective/publique seront saisis. Il s’agit d’un objectif du Grand Reset clairement énoncé, mais la manière dont elle sera mise en œuvre est moins claire. Le contrôle total des gouvernements occidentaux (et même de tous les gouvernements) semble être nécessaire à cette fin. Cette condition préalable est plus proche que l’on pourrait le penser, car la plupart des gouvernements occidentaux semblent être redevables à Davos à ce stade. Le processus sera vendu comme une restructuration sociale nécessaire en raison d’une crise économique et du réchauffement climatique et entraînera une baisse massive du niveau de vie des gens ordinaires, mais pas des élites. -Oppression : Un grand nombre de personnes n’apprécieront pas cette situation et un soulèvement est une réponse probable, même si le démantèlement se fait progressivement. Pour éviter que cela ne se produise, un mécanisme de contrôle social sera mis en place possiblement à travers la cryptomonnaie centralisée des banques centrales, qui effacera la liberté personnelle, la liberté d’expression et la vie privée. Il créera également une dépendance absolue de l’individu à l’égard de l’État. Cela doit être fait avant que le démantèlement économique puisse être achevé, sinon il y aura une révolution. Ce mécanisme est déjà mis en œuvre en Occident. Subjuguer la Russie et la Chine est une question existentielle pour nos propriétaires de Davos, car s’ils font tomber l’économie occidentale, tout le reste doit tomber aussi. Si l’économie occidentale s’effondre et qu’un grand bloc économique ne participe pas à cette chute, ce sera un désastre pour l’Occident. Le nouveau bloc acquerra un pouvoir économique massif, voire une sorte d’hégémonie unipolaire, tandis que l’Occident sombrera dans un âge sombre féodal et deviendra insignifiant. Par conséquent, le monde entier doit s’effondrer pour que le Grand Reset fonctionne. La Russie et la Chine doivent donc être subjuguées par tous les moyens, ainsi que l’Inde et d’autres nations têtues. C’est ce qui a alimenté la situation dans laquelle nous nous trouvons maintenant et qui alimentera la poursuite de la troisième guerre mondiale (possiblement seulement économique, financière, énergétique et monétaire). Les élites propriétaires occidentales font la guerre pour conserver leur richesse et leur pouvoir. Tous ceux qui résistent doivent être subjugués afin qu’ils puissent suivre l’Occident dans le grand âge sombre planifié du Grand Reset. Or la Russie et la Chine ne peuvent pas être assujetties par la faillite et leurs actifs récoltés. Elles n’ont pas beaucoup de dettes en devises occidentales, ce qui signifie que les personnes qui possèdent l’Occident par la dette ne possèdent pas la Russie ni la Chine (comme elles possèdent l’Occident et le « tiers monde » endettés) et ne peuvent pas les acquérir par la dette. La seule façon de les acquérir est de changer de régime. Leurs gouvernements doivent être affaiblis par tous les moyens, y compris par des sanctions économiques et des moyens militaires si nécessaire, d’où l’utilisation de l’Ukraine comme bélier pour la Russie et de Taïwan pour la Chine. La raison de la panique actuelle des élites occidentales est que le projet ukrainien ne se déroule pas comme prévu. Au lieu que la Russie soit saignée sur le champ de bataille, c’est l’Ukraine et l’Occident qui saignent dont énergétiquement et économiquement. Au lieu que l’économie russe s’effondre et que Poutine soit remplacé par un dirigeant compatible avec Davos, c’est l’économie de l’Occident qui s’effondre. Au lieu que la Russie soit isolée, c’est l’Occident qui l’est de plus en plus. Rien ne marche comme prévu, et pour couronner le tout, l’Europe a donné aux Russes les moyens et le motif de détruire l’économie européenne en fermant partiellement son industrie. Sans ressources russes, il n’y a pas d’industrie européenne, et sans industrie, il n’y a pas d’impôts pour payer les allocations de chômage, les retraites, tous les réfugiés, et à peu près tout ce qui maintient les sociétés européennes ensemble. Les Russes ont maintenant la capacité d’organiser un crash incontrôlé en Europe, ce qui n’est pas ce que Davos a prévu. Un crash incontrôlé pourrait voir les têtes de Davos rouler, littéralement, et cela provoque la peur et la panique dans les cercles d’élite. La seule solution pour eux est de poursuivre la troisième guerre mondiale et d’espérer que tout ira bien. Le Grand Reset de l’économie mondiale est la cause directe de cette troisième guerre mondiale, alors que faire ? De l’intérieur de l’Occident, on ne peut pas faire grand-chose. Le seul moyen est d’éliminer Davos de l’équation, mais cela n’arrivera probablement pas pour deux raisons. La première est que les grands resetteurs de Davos sont trop imbriqués dans l’économie et la politique occidentales. Davos est comme une pieuvre avec ses bras et ses ventouses à l’intérieur des cercles d’élites, des médias et du gouvernement de chaque pays. Ils sont trop bien implantés pour être facilement éliminés. La deuxième raison est que la population occidentale est trop ignorante et soumise à un lavage de cerveau. Le niveau de leur lavage de cerveau est tel qu’une grande partie d’entre eux veulent en fait devenir pauvres, bien qu’ils utilisent le mot « vert » pour « pauvre » parce que cela sonne mieux. Or il y a quelques indications qu’il pourrait y avoir des divisions au sein des élites occidentales. Certaines d’entre elles, en particulier aux États-Unis, pourraient résister au Grand Reset conçu principalement par l’Europe, mais il reste à voir si cette opposition est réelle ou efficace. En dehors de l’Occident en revanche, certaines mesures peuvent être prises et doivent être prises. Certaines de ces mesures sont drastiques et d’autres sont en cours de réalisation en ce moment même. Parmi ces mesures, on peut citer les suivantes : -Les Indépendants, menés par la Russie, la Chine et l’Inde, doivent créer un bloc pour s’isoler de l’Occident radioactif. Cet isolement ne doit pas seulement être économique, mais aussi politique et social. Leurs systèmes économiques doivent être séparés de l’Occident et rendus autonomes. Leurs cultures et leur histoire doivent être défendues contre les influences et le révisionnisme occidentaux. Ce processus semble être en cours. -Ces Indépendants doivent immédiatement interdire toutes les institutions et ONG parrainées par l’Occident dans leurs pays, qu’elles soient parrainées par des États ou des individus occidentaux. En outre, ils doivent interdire tous les médias bénéficiant d’un parrainage occidental et priver chaque école et université du parrainage et de l’influence de l’Occident. Comme Amnesty International, Human Rights Watch et d’autres organisations dites « ONG » crées par les gouvernements occidentaux, à leur tête les USA, RSF (Reporters Sans Frontières) est chargée aussi de promouvoir, en fait, le néolibéralisme américain en leur lieu et place pour mieux duper dont en afrique et en Algérie ; RSF (tout comme ces ONG) est un virus destructeur, un cheval de Troie, un moyen d’infiltration et de sape, un instrument de propagande et de subversion au service des milieux impérialistes et néocolonialistes qui la finance. C’est une organisation qui n’a jamais été « non-gouvernementale ». Elle travaille, contre financement, pour des « printanistes» occidentaux avec mission de juger les « non-occidentaux » insoumis à leurs règles en s’introduisant – par le biais d’autochtones frustrés, revanchards et sans principes- pour les déstabiliser dans le but d’y placer des dirigeants liges, dans le cadre de ce qu’il appelle « regime change ». RSF est une fraude de la CIA, financée pendant des années par le NED, puis l'USAID et aujourd'hui par l'Agence française de développement (AFD), la Commission européenne, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères ou encore de la fondation Open Society de Georges Soros. -Ils doivent quitter toutes les institutions internationales jusqu’aux Nations unies, voire même les Nations unies, car tous les organismes internationaux sont contrôlés par l’Occident. Ils doivent alors les remplacer par de nouvelles institutions au sein de leur bloc. -Ils doivent, à un moment donné, déclarer les monnaies dollar et euro non grata. Cela signifie qu’ils doivent déclarer le défaut de paiement de toutes les dettes libellées dans ces monnaies, mais pas des autres dettes. Cela viendra très probablement à un stade ultérieur, mais c’est inévitable. Cela créera une situation dans laquelle l’Occident sombrera dans les ténèbres sans entraîner les autres dans sa chute, si nous parvenons à échapper au feu nucléaire. »
« La clef de toute l’interprétation du sens historique de la période que nous vivons est simple, elle est énorme, elle crève les yeux : le Système est en crise existentielle. Le Système est en crise existentielle depuis plusieurs décennies car il a épuisé les bienfaits rajeunissants/régénérateurs de la Seconde Guerre Mondiale. Et le point le plus important de la parade des ploutocrates est : sa négation. Toute l’architecture construite par les élites repose sur une pierre angulaire qui est la negation de la crise existentielle du système. C’est le grand secret. La crise existentielle s’articule autour de la suraccumulation de capital, du besoin de profit et des inégalités. Elle rend tout ingérable (car sans zakat). Si la crise existentielle était reconnue alors le débat s’éclairerait et il prendrait la forme historique, séculaire que l’on connaît : le Jubilé, la Destruction du Capital Excédentaire, l’euthanasie du capital-boulet, dépassé, inefficace, prédateur, devenu illégitime etc. Il faut a tout prix que cela ne se sache pas, que personne ne fasse les liens. La conscience doit demeurer éclatée, kaleidoscopique, émiettée, vous ne devez voir que les arbres, surtout pas la forêt et le paysage. Il faut que cette situation de crise soit non-sue car si elle était sue et si elle parvenait à la conscience sociale, alors tout ce qui est fait par les élites prendrait son sens, tout deviendrait limpide. On peut lutter contre quelque chose qui émerge à la conscience, on ne peut lutter contre ce qui demeure enfoui, dans le non su. Le trait de génie a été de nier la crise de 2008 et de la banaliser afin de faire croire qu’elle n’était que circonstancielle. Comme si les subprimes hypothécaires de quelques centaines de milliards pouvaient faire sauter un système qui repose sur des dizaines de trillions et gère des flux de trillions de trillions ! L’affaire des subprimes a été une entourloupe, un symptôme d’un mal plus grand, terrible: les canalisations globales de la finance se sont colmatées. Et cela a commencé non aux USA mais à Londres. C’était une crise systémique, plus encore monétaire que financière, un Colossal Run sur le système lui-même. Mais chut il ne fallait pas que cela soit su. Les subprimes ont été un bouc émissaire commode pour masquer la réalité: le système du capitalisme s’est prolongé, il a survécu par la dette exponentielle en se financiarisant, mais il est au bout du rouleau, il croule sous le poids des dettes. Il s’effondre sous le fardeau de la solvabilité et de la masse de liquidités qu’il a fallu créer pour dissimuler la réalité des déséquilibres que l’on ne parvient plus à supporter. Et cela ne va faire que s’aggraver et s ‘accélérer, c’est une course de vitesse : le passage à la Monnaie Serve, Digitale ne sera pas prêt pour le jour de la Grande Crise, et puis il n’est pas sur qu’il fonctionne. Ce passage à la monnaie-fil à la patte, monnaie contrôlée, serve, est censé stabiliser la gigantesque pyramide de la finance, il vise a faire de la monnaie non un instrument de liberté individuelle, un outil de choix dans le temps et dans l’espace, un équivalent de tous les désirs, mais un instrument de domination, de surveillance, de manipulation sans limite. Cela revient a changer la nature, l’essence même de la monnaie. C’est un pari, une révolution par le Haut, au profit du Haut, par ceux qui sont devenus les tyrans. Ils jouent leur va tout dessus ! Note : l’ironie est que le sens du mot tyran a été inversé ! Dans l’Histoire les tyrans étaient du coté du peuple contre les ploutocrates et ce sont eux qui défendaient la nécessité des Jubilés pour éviter l’accumulation des fortunes et des inégalités (quand il n'y a pas de zakat, le jubilé devient essentiel car il correspond à effacer les endettements massifs stérilisant l'économie et pouvant donc la faire s'effondrer) ! La solution qui a consisté à repousser la Grande Crise par la production et l’accumulation accélérée de dettes est dans ses phases ultimes ; la crise se rapproche du Centre, tout converge vers le Centre. Le statut du dollar comme actif de réserve est en train de mourir, bientôt son statut de monnaie de transaction va être battu en brèche, la solution de l’empilement des créances et des promesses va devenir inadaptée. Et les élites qui connaissent l’Histoire le savent, elles ont des intellectuels mercenaires qui le leur expliquent. Donc il faut se préparer. Retenez bien, tout se résume à ceci ; le système est en crise existentielle, le gouffre se rapproche, c’est un grand secret ; tant que ce secret tient alors les ploutocrates peuvent proposer et imposer des solutions qui repoussent les échéances tout en masquant la réalité. Tout ce que vous voyez, ce sont des plaques qui recouvrent le grand trou, le gigantesque ravin. Le peuple est leur ennemi. » (Bruni Bertez)
« La chute de puissance continentale qui fait suite à la réforme protestante ayant affaibli à la fois l’Église romaine et le Saint-Empire romain germanique, a permis sur la longue durée l’expansion hégémonique des thalassocraties anglo-américaines, et la vassalisation de l’Europe continentale. La sortie de la scène de l’Histoire de l’Europe, comme la naissance du monde multipolaire, était perceptible par certains esprits visionnaires dès les années 1930/40. La guerre actuelle opposant Russie et OTAN en Ukraine est le résultat de cette tension entre puissances terrestre et maritime. La guerre que mène aujourd’hui la Russie est classique, au sens où elle combat là où se trouve des populations russophones dans les territoires dans l’ancien empire russe. Elle combat dans sa zone d’influence naturelle, et non pas à l’autre bout du monde. C’est une guerre du XIXe siècle, typique des puissances terrestres, comparable à celle de la Prusse qui s’est battue pour réunir (partiellement) les populations germaniques disséminées dans une partie de l’Europe. La Russie mène également une guerre de sanctuarisation de sa zone d’influence géopolitique sur laquelle empiète l’Amérique, via l’OTAN. On peut remonter à l’Antiquité pour y trouver ce type de guerre limitée pour préserver ou agrandir sa zone d’influence. Une zone d’influence qui coïncide avec la zone de sécurité, pour tracer une limite géographique au-delà de laquelle la vie de l’État lui-même est menacée. La guerre était inéluctable. Car, de deux choses l’une, soit la puissance terrestre demeure dans ses frontières et laisse venir la puissance maritime l’attaquer sur son territoire, au risque d’être acculée voire de disparaître, soit elle se projette militairement pour sanctuariser une zone d’influence plus large qui constituera une protection durable. Les États-Unis menacent la Russie près de sa frontière en utilisant les proxys ukrainiens et européens. Les Américains mènent une guerre internationale contre la Russie sans avoir à s’impliquer officiellement. L’asymétrie militaire au désavantage de la Russie est extraordinairement important. Mais l’asymétrie dans ce conflit n’est pas exclusivement militaire. La Russie mène une guerre traditionnelle, conventionnelle, limitée par nature. Nous dirons même que l’offensive russe est limitée par la nature même de la Russie. Les États-Unis mènent une guerre hors limite, c’est-à-dire une guerre dont l’espace d’action n’est plus seulement militaire, mais également civil, économique, juridique, sociétale. La guerre hors limite est une guerre totale. Et c’est bien à cette attaque totale à laquelle fait face la Russie depuis de nombreuses années. Ce qui est donc une dépense beaucoup plus grande que la Russie et donc un risque plus grand de faillite. Il est apparu le constitution de blocs géopolitiques en réaction à l’hégémonisme de la thalassocratie : Chine/Russie versus hégémon anglo-américain. L’ordre des grands espaces est advenu, c’est ce que l’on appelle le monde multipolaire constitué de grandes puissances agrégeant autour d’elles des nations qui forment des blocs géopolitiques. La séquence unipolaire ne fut qu’un bref moment durant lequel devait se reconstituer les puissances russe et chinoise. Un malentendu historique en somme. Cette courte période, d’une vingtaine années, a été interprétée par certains Américains comme la fin de l’Histoire signifiant leur hégémonie sur la planète. Ce début de XXIe siècle est non seulement celui de la multipolarité, mais aussi celui du déplacement du centre de gravité vers l’Est, vers le coeur continental du monde, au détriment des thalassocraties périphériques. Il s’agit d’un phénoménal renversement du rapport de force à l’échelle de l’Histoire et de la planète. Les plus grandes ressources énergétiques (pétrole, gaz, sans oublier les matières premières), et les plus grandes puissances économiques et militaires sont des États continentaux contrôlant de grands espaces et s’alliant à de nombreux États de l’immensité continentale africaine. Les États-Unis et le reste du monde occidental représentent 25% de la population mondiale, et ils font face au 75% restant qui sont agrégés autour des deux puissances continentales que sont la Russie et la Chine. C’est la fin de l’ère thalassocratique. Halford John Mackinder (1861-1947) mettait d’ailleurs en garde l’Empire britannique il y a plus d’un siècle face au danger que présentait la puissance terrestre russe, en ce que la puissance continentale a des chances supérieures de triompher contre la puissance maritime face à la diplomatie, même ingénieuse, de cette dernière. Les dirigeants chinois et russes, qui ont une forte conscience historique, ne commettront pas l’erreur de se séparer. D’autant plus que la double politique de contention américaine visant la Russie et la Chine, contraint ces deux pays à se souder. Le globe étant un champ de bataille où « les États se disputent la domination du monde », la guerre en Ukraine peut être interprétée comme la continuation de la politique eurasiatique de la Russie pour sécuriser le continent. C’est ce que l’on appelle traditionnellement une « pacification », à la romaine. L’on comprend donc naturellement le soutien apporté par Pékin à Moscou ; l’Empire du milieu ayant besoin, pour pérenniser ses nouvelles routes de la soie, que l’Europe et l’Asie soient pacifiées. La Russie fait donc une besogne nécessaire aux yeux de la Chine. Ce qui est frappant aujourd’hui, c’est que le réalisme géopolitique allemand a été adopté par les Russes et les Chinois. La politique euro-asiatique n’est effectivement pas un projet élaboré originellement et ponctuellement par quelques dirigeants, mais le fruit de la nécessité, de la force des choses historiques. L’alliance euro-asiatique suit un principe qui nous vient de l’Antiquité, à l’époque de la naissance de l’État romain. Lord Palmerston (1784-1865), homme politique britannique, deux fois premier ministre, avait lancé, lors d’une crise ministérielle en 1851 : quelque désagréable que puissent être maintenant nos relations avec la France, nous devons les maintenir car à l’arrière plan menace une Russie qui peut relier l’Europe et l’Asie orientale, et, seuls, nous ne pouvons pas faire face à une telle situation. Homer Lea (1876-1912), aventurier et écrivain américain, écrit un livre sur le crépuscule des Anglo-Saxons à l’époque de l’apogée de l’Empire mondial britannique. Il y dit que la fin de la domination anglaise pourrait survenir le jour où l’Allemagne, la Russie et le Japon s’allieraient. On comprend dès lors que ce ne sont pas les cerveaux de Vladimir Poutine et de Xi Jinping qui ont élaboré la politique de rapprochement sino-russe. Il s’agit d’une réaction à la géopolitique des anglo-américains qu’ils ont baptisé la « politique de l’anaconda ». Enserrement, étouffement et broyage des nations. Il s’agit d’un rapport dialectique, d’une menace qui contraint les États continentaux à former de puissants et grands espaces pour entraver la politique de l’anaconda. Aussi, l’objectif stratégique anglo-américain de séparation de l’Allemagne et de la Russie, n’est pas une nouveauté. La nouvelle route de la soie chinoise qui relie l’Est de la Chine à l’Ouest de l’Europe par voie essentiellement continentale, a ravivé une vieille peur anglo-américaine. Récemment, la domestique italienne de Washington, Giorgia Meloni, a fait sortir l’Italie de la nouvelle route de la soie chinoise. L’historien et géopolitologue étasunien Brook Adams (1848-1927) voyait dans l’éventualité d’une vaste politique ferroviaire transcontinentale avec les terminus de Port-Arthur et de Tsing-tao (deux ports dans l’Est chinois), une unité germano-russe asiatique orientale que toute tentative de blocus anglais ou de blocus américain, même conjugués, ne pourrait briser. Et nous le constatons aujourd’hui. La politique de sanctions américaines contre une Russie adossée à la Chine et aux autres grands espaces du monde multipolaire (BRICS) est vaine. Même sans l’Europe, que Washington a réussi à séparer de la Russie, l’alliance continentale eurasiatique met d’ores et déjà en échec les anglo-américains sur le plan politique, militaire et économique. La rupture russo-européenne causée par les Américains, pousse plus encore la Russie vers un autre contient, l’Afrique où les Chinois sont déjà bien implantés. Appelons cela les vases communicants de la géopolitique. Les États-Unis vivent sur les acquis géopolitiques de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Notamment le contrôle de l’Europe et du Japon. La politique continentale pour contrer l’endiguement anglo-américain doit se faire sans ces deux régions du monde, mais avec un nombre importants de grandes et moyennes puissances, dont l’Inde, l’Iran (et probablement bientôt tout le Moyen-Orient musulman), l’Indonésie, l’Afrique du Sud et le Brésil, (et possiblement des nations européennes dont si l'UE se réforme en Europe des nations, voire l'Australie liée commercialement avec la Chine). Auxquelles s’ajoute une Afrique qui bascule vers l’Est au détriment de l’Ouest. Vers quel épilogue ? Mais la force d’attraction de la masse économique continentale pourrait arracher du giron anglo-américain judéo-protestant le Japon et l’Europe, si une guerre mondiale (c’est-à-dire une confrontation directe des grandes puissances) n’advient pas avant. Car, si hier l’Amérique était une puissance économique attractive, aujourd’hui, ce qu’elle propose à ses vassaux c’est la récession, la pauvreté, le pillage de leurs industries, la guerre, l’humiliation continuelle. Les dirigeants européens sont ainsi pris en étau entre leurs maîtres de l’oligarchie occidentale qui entrainent leurs pays dans l’abîme, et leurs peuples en révolte qui s’opposent à cette politique mortifère. De son côté, la Russie attend de tirer des bénéfices de la guerre d’attrition contre l’Occident jusqu’à ce que la patience des peuples d’Europe atteigne ses limites. La pression russe exercée sur les gouvernements européens n’est pas visible mais réelle. La capacité de résistance et les ressources des Russes étant largement supérieures à celle des Occidentaux. Moscou n’a donc qu’à faire durer les hostilités et l’épuisement industriel européen jusqu’au moment où les peuples ne supporteront plus les effets économiques. Quant au Japon, il a fait montre d’un pragmatisme propre à sa culture. Tokyo a refusé de sacrifier son économie pour les besoins stratégiques étasuniens. « Les États-Unis ont rallié leurs alliés européens à l’idée de plafonner à 60 dollars le baril les achats de pétrole brut russe, mais l’un des plus proches alliés de Washington en Asie achète désormais du pétrole à des prix supérieurs à ce plafond. Le Japon a obtenu des États-Unis qu’ils acceptent cette exception, en affirmant qu’il en avait besoin pour garantir l’accès à l’énergie russe. Cette concession montre la dépendance du Japon à l’égard de la Russie pour les combustibles fossiles, ce qui, selon les analystes, a contribué à l’hésitation de Tokyo à soutenir davantage l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie. » Les Américains sont face à une situation difficile. Ils exigent une obéissance aveugle de leurs vassaux contre leurs intérêts vitaux. Trop tirer sur la corde de la soumission finirait par la casser. La situation géographique du Japon, qui est proche des deux mastodontes géopolitiques chinois et russe, peut le pousser à terme vers un rapprochement avec Pékin et Moscou pour trouver un modus vivendi. Le besoin d’hydrocarbure pour sa puissante industrie étant vitale pour le Japon, Tokyo ne peut pas se faire harakiri pour une guerre qui ne la concerne pas. La réalité des rapports de force est évidente entre une minorité démographique à l’échelle mondiale qui mène une politique économique et militaire mortifère, et des grandes puissances terrestres qui sont dans un essors économique et qui travaillent (grandement et donc avec grandeur) à la stabilisation du grand continent. » (Extraits de l'article « Blocs continentaux versus hégémonisme océanique – La dialectique géopolitique » de Youssef Hindi)
Or « Alors que les mondialistes vaincus se disputent pour savoir qui a gagné entre Trump et Poutine (Financial Times dixit), le célèbre économiste Sergey Glazyev – l’un des grands concepteurs de la géo-économie russe qui connait un indéniable succès – juge que le « triomphe de Trump met fin au fantasme de la Pax Americana » des « Conservateurs straussiens » : ils sont les esclaves de la doctrine Brzezinski, qui recherchent un changement de régime au Kremlin et le démembrement de ce qui reste de l’URSS. Sergey Glazyev – en charge de la Commission économique eurasienne et du département macroéconomique de la Russie – affirme que l’élection de Trump et la défaite de la « mafia nord-atlantiste » marquent un tournant pour le monde. Après tant de guerres idéologisées et sponsorisées par les néoconservateurs straussiens – le politologue éclairé Jeffrey Sachs a abondé dans ce sens. Selon Sergey Glazyev, le « culte de Leo Strauss – qui prêche la domination des masses ignorantes par les élites suprématistes mondialistes – “sera en déroute” lorsque la “Pax Americana cessera d’exister”. Sergey Glazyev soutient que les pragmatiques américains, tels qu’un transactionnaliste comme Trump, « reconnaissent le fait que la transition vers un nouvel ordre économique mondial est en train de prendre le pouvoir aux États-Unis » alors que « la stratégie de Brzezinski consistant à vaincre la Russie, à détruire l’Iran et à isoler la Chine n’a fait que renforcer cette dernière, qui est devenue le leader mondial ». Ce serait une grave erreur de jugement que de considérer que les néoconservateurs straussiens ont été vaincus lors de l'élection de Trump le 5 novembre, alors qu’ils ont déjà été démasqués dans leur débâcle en Ukraine avec leur pion, l’humoriste Zelensky, terrassé par le président russe Poutine. La débâcle des néoconservateurs, dont les ancêtres venaient pour la plupart de Russie, survenue le 5 novembre dernier était la conséquence de leur défaite en Ukraine. Le reste n’est que littérature bon marché. Voyons ce qui va suivre. » (Alfredo Jalife Rahme)
« Trump signifie la fin d’une époque majeure – la fin du monde moderne. Cela marque également la fin de la modernité occidentale. Le postmodernisme sert de fondement philosophique à la culture woke et au mondialisme libéral, révélant le nihilisme inhérent à la modernité occidentale. C’est le point culminant des fins, la fin de l’histoire occidentale. Trump finalise cette fin, symbolisant la fin de la fin. Cependant, la question demeure: est-il conscient de sa mission ? Peut-il initier un nouveau départ ? Le prochain sommet (haute période, hauts temps) ne peut être quelque chose de relatif, de limité ou de local. Le prochain tournant doit être une révolution conservatrice globale à l’échelle mondiale. Le prochain sommet (hauts temps, haute période) doit signifier le dépassement de la modernité, c’est-à-dire de l’individualisme occidental, de l’atomisme, du libéralisme et du capitalisme. La modernité occidentale était fondamentalement défectueuse, conduisant à une dégénérescence totale et à un désastre, culminant avec le règne de l’Antéchrist. La culture woke est la culture de l’Antéchrist. Le prochain sommet (hauts temps) ne peut être que le grand retour au Christ. Le Christ est le roi du monde. Son autorité a été temporairement usurpée par le prince de ce monde, mais le règne de Satan prend fin. Les libéraux sont considérés comme possédés par Satan et la modernité elle-même est satanique. Le prochain sommet (hauts temps) ne peut être que le grand retour au Christ. Le Christ est le roi du monde. Son autorité a été temporairement usurpée par le prince de ce monde, mais le règne de Satan prend fin. Les libéraux sont considérés comme possédés par Satan et la modernité elle-même est satanique. » (Alexandre Douguine)
« Alexander Markovics soutient que la résurgence de Trump représente une transformation révolutionnaire dans l’esprit du temps américain, portée par un nationalisme populiste-futuriste qui cherche à remplacer l’establishment libéral-mondialiste par un nouveau groupe de dirigeants forts, d’innovateurs visionnaires et de pionniers patriotes. Avec la nouvelle équipe de Trump et ses idées, nous pourrions assister à la fin de l’internationalisme libéral-mondialiste qui cherchait à imposer un libéralisme arc-en-ciel au monde. Au lieu de cela, un nouveau nationalisme américain, populiste et futuriste, émerge – un nationalisme qui donne la priorité aux intérêts de puissance des États-Unis au détriment des droits de l’homme, de la démocratie et du libéralisme. Son objectif est de rendre à l’Amérique sa grandeur, même si cela nécessite des concepts transhumanistes, futuristes ou néo-féodaux. » (extraits de l'article « L'environnement intellectuel de Donald Trump : du populisme au transhumanisme et au technoféodalisme »)
« Le monde d’aujourd’hui connaît des changements tectoniques. La possibilité de domination d’un pays ou même d’un petit groupe d’États disparaît. Le modèle de développement international fondé sur l’exploitation des ressources de la majorité mondiale au profit du bien-être du « milliard d’or » est désespérément dépassé. Il ne reflète pas les aspirations du monde entier. Un ordre mondial multipolaire plus juste est en train de naître sous nos yeux. De nouveaux centres de croissance économique et de prise de décision politique d’importance mondiale en Eurasie, dans la région Asie-Pacifique, au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique latine sont guidées avant tout par leurs propres intérêts et placent la souveraineté nationale au centre de leurs préoccupation, et c’est dans cet esprit qu’elles réalisent des progrès impressionnants dans des domaines divers et variés. La Russie, État de nature civilisatrice et première puissance eurasienne et euro-pacifique, continue ses efforts de démocratisation de la vie internationale et de formation d’une architecture de relations interétatiques fondée sur les valeurs d’une sécurité égale et indivisible, de la diversité culturelle et civilisationnelle, et offrant des chances égales de développement à tous les membres de la communauté mondiale, sans exception. L’architecture des relations interétatiques serait fondée sur les valeurs d’une sécurité égale et indivisible, de la diversité culturelle et civilisationnelle et offrirait des chances égales de développement à tous les membres de la communauté mondiale, sans exception. Comme l’a souligné le Président Vladimir Poutine dans son discours à l’Assemblée fédérale de la Fédération de Russie le 21 février 2023 : « Dans le monde moderne, il ne devrait pas y avoir de répartition entre les soi-disant « pays civilisés » et tous les autres… Il devrait y avoir un partenariat honnête qui, en principe, refuse toute exclusivité, en particulier l’exclusivité agressive. » À notre avis, tout cela est conforme à la philosophie de l’Ubuntu, qui promeut la cohésion entre les nations et les peuples. Dans ce contexte, la Russie s’est toujours prononcée en faveur du renforcement de la position du continent africain dans l’ordre mondial multipolaire. Nous poursuivrons notre soutien à nos amis africains dans leurs efforts pour jouer un rôle de plus en plus important dans la résolution des problèmes fondamentaux de notre époque. Cela s’applique aussi pleinement au processus de réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, dans le cadre duquel, selon notre conviction profonde, les intérêts légitimes des pays en développement, y compris l’Afrique, doivent être garantis avant tout. La diplomatie multilatérale ne reste pas à l’écart des tendances mondiales. Les activités d’une association telle que les Brics symbolisent une véritable multipolarité et sont un exemple de communication interétatique honnête. Au sein de cette association, des États ayant des systèmes politiques différents, des plateformes de valeurs distinctes et des politiques étrangères indépendantes coopèrent avec succès dans divers domaines. Je pense qu’il n’est pas exagéré de constater que les Brics sont une sorte de « grille » de coopération au-dessus des lignes traditionnelles Nord-Sud et Ouest-Est. Effectivement, nous avons des choses à présenter à notre public. Grâce à des efforts conjoints, les Brics sont parvenus à créer une culture du dialogue fondée sur les principes de l’égalité, du respect du choix de notre propre voie de développement et de la prise en compte des intérêts de chacun. Cela nous aide à trouver un terrain d’entente et des « solutions », même sur les problèmes les plus complexes. Aujourd’hui, le partenariat stratégique des Brics prend de l’ampleur. L’association elle-même propose au monde des initiatives créatives et tournées vers l’avenir, visant à atteindre les objectifs de développement durable, à garantir la sécurité alimentaire et énergétique, la croissance saine de l’économie mondiale, la résolution des conflits et la lutte contre le changement climatique, y compris à travers le prisme d’une transition énergétique juste. Un système étendu de mécanismes a été créé pour réaliser ces objectifs. La stratégie de partenariat économique jusqu’en 2025 est en cours de mise en œuvre et définit les points de référence de la coopération à moyen terme. La plateforme de recherche énergétique des Brics, lancée à l’initiative de la Russie, fonctionne. Le Centre des Brics pour la recherche et le développement de vaccins a été lancé pour promouvoir des réponses efficaces aux défis posés au bien-être épidémique de nos pays. Des initiatives sur l’élimination des « refuges » pour les personnes corrompus et les actifs criminels, sur le commerce et l’investissement dans le but d’un développement durable, et sur le renforcement de la coopération dans le domaine des chaînes d’approvisionnement, ont été approuvées. La stratégie des Brics en matière de sécurité alimentaire a été adoptée. Parmi les priorités inconditionnelles figurent le renforcement du potentiel de la Nouvelle banque de développement et du Fonds de réserve de change des Brics, l’amélioration des mécanismes de paiement et le renforcement du rôle des monnaies nationales dans les règlements mutuels. Il est prévu que ces aspects fassent l’objet d’une attention particulière lors du sommet des Brics à Johannesburg. » (Sergeï Lavrov, Ministre des affaires étrangères russes, au sommet des BRICS 2023)
« Tous ceux qui ont un peu d’histoire savent que le capitalisme, quand il est à bout de souffle, c’est-à-dire quand il a épuisé les peuples, les pousse les uns contre les autres. En 1914, ces derniers n’avaient pas encore tout compris, même si Jaurès les avait prévenus. Mais ça n’a pas suffi. Cela n’a pas servi de leçon à nos dirigeants, qui sont dans la droite ligne des salopards de 1914, avec ces généraux achetés par les multinationales de l’armement – théoriquement en concurrence – et les banques d’affaires qui étaient derrière. C’est bien la Banque qui fait in fine la guerre aux peuples, surtout quand ils commencent à se cabrer. Un siècle plus tard, Macron, l’employé de la Banque (et l’obligé des puissances occultes européennes que sont l'OTAN, BlackRock, l'OMS, et les multinationales US), récidive en lançant les Français – qui n’en veulent pas – dans une guerre fratricide contre les Russes. Ses déclarations en Suède, pendant que les agriculteurs se soulèvent, sont gravissimes. (Les Américains auront une fois de plus le cul au chaud pendant que les Européens s’étriperont.) Cela fait maintenant 10 ans que l’OTAN, c’est-à-dire l’armée américaine en Europe financée par les Européens, prépare ce nouveau conflit qui doit mettre à bas la puissance militaire russe, la seule à pouvoir s’opposer à la puissance militaire américaine, tout ça pour isoler les Chinois, qui devront pactiser avec les Américains. C’est-à-dire se soumettre. Pour l’instant, l’alliance Xi-Poutine tient bon, et le partenaire chinois ne commet pas d’erreur, même si l’objectif chinois n’est pas l’objectif russe : la Chine veut être à l’horizon 2050 la première puissance économique doublée d’un juge de paix international, à mettre en miroir du gendarme américain du monde qui passe son temps à sanctionner et piller les autres pays. Face aux BRICS et à la nouvelle alliance russo-chinoise, les Américains peuvent compter sur les Five eyes, ses alliés dans la surveillance qui ont fait allégeance depuis la fin de la WW2. Il s’agit de la Grande-Bretagne, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, des vassaux privilégiés, dirons-nous. Ensuite, il y a les seconds vassaux, considérés comme moins sûrs, à savoir la France, l’Allemagne, l’Italie, et même le Japon, qui redoute la nouvelle puissance militaire chinoise mais qui commerce avec sa grande sœur... Dans ce tableau qui fleure bon 1913, on a un président en roue libre qui exécute les plans de la Banque et surtout de la puissance financière anglo-américaine, qui a besoin des ressources énergétiques et minières russes pour se refaire un profit. Le profit n’est pas extensible, sauf si l’on crée un nouveau marché en écrasant un pays sous les bombes, afin de le reconstruire dans le sens du Marché. C’est ce qu’on appelle la démocratisation à l’américaine. Une Amérique qui ne peut plus maintenir sa domination qu’en détruisant le reste du monde, ses ennemis, mais aussi ses vassaux. (Mais l'armée française ayant dignement refusée de bombarder le Yémen soutenant les palestiniens, elle pourrait en faire de même.) » (Rédaction ER) La situation de crise actuelle constitue un sérieux test de résistance qui permet d’évaluer la capacité de Moscou à prendre des décisions éclairées, à faire preuve de résilience sociale, à utiliser efficacement les ressources, à adapter son modèle économique, à maintenir son système politique, à gérer les stratégies d’information et à relever les défis de la politique étrangère. D'ailleurs « Dans une Russie fuie par la frange de la classe moyenne anti-guerre, libérale et diplômée qui était en mesure de le suivre, et où le pouvoir accélère chaque jour un peu plus la militarisation des esprits, ce programme fédéral annoncé le 29 février dernier doit permettre de faire monter en compétence des personnalités qui ont déjà démontré un critère essentiel aux yeux du pouvoir : la loyauté patriotique. Quelque 44 000 questionnaires auraient été remplis pour faire partie de la première promotion, et 83 candidats retenus. Tous devaient remplir trois critères : avoir participé aux combats en Ukraine, avoir fait des études supérieures, et avoir de l’expérience « dans la gestion des personnes ». L’inauguration du programme avait notamment été marquée par des discours du chef de la diplomatie Sergueï Lavrov ou de l’ex-président Dimitri Medvedev. Aux diplômés de ce programme qui a toutes les attentions du président, le pouvoir promet en tout cas un avenir radieux dans cette Russie contemporaine guerrière. Jeudi matin, le porte-parole du Kremlin allait même jusqu’à déclarer : « À l’avenir, un participant à « l’opération spéciale » pourrait devenir président ». » (Anissa El Jabri, RFI) « Poutine commence à mettre en œuvre la stratégie qu’il avait déjà annoncée dans son discours présidentiel, à savoir la rotation des élites en utilisant du personnel qui est passé par l’Opération militaire spéciale. Il s’agit de personnes ayant une vision complètement différente des choses, qui comprennent parfaitement qui est un ami et qui est un ennemi. Contrairement à la cohorte bureaucratique actuelle issue des années 2000, du temps de Sourkov, où la frontière entre les siens et les autres était totalement floue, toute l’élite étant constituée de libéraux ouverts ou latents qui ne font que singer les changements patriotiques de la position du président. C’est précisément la « sixième colonne » dont parle Douguine, qui professe en réalité des opinions pro-occidentales en interne. Ces personnes ne peuvent pas lutter contre les libéraux, parce qu’elles sont mentalement plus proches d’eux et idéologiquement plus en phase avec leurs opinions que ce qu’elles sont obligées de dire, en suivant le cours patriotique du président. Donc, on aura beau nommer des fonctionnaires du Kremlin, on aura beau battre le même jeu, il n’y aura pas de résultat, car c’est la même cohorte libérale. D’où l’arrêt total des efforts patriotiques du président jusqu’à présent. Bien qu’il exprime des opinions patriotiques, eurasiennes et conservatrices depuis plus d’une décennie, rien ne change dans le pays. C’est précisément à cause du sabotage des élites actuelles. C’est pourquoi Poutine a décidé, à juste titre, de commencer à faire tourner ce personnel au détriment de ceux qui ont vécu la guerre et pour qui le patriotisme est une position existentielle, et non une figure de rhétorique ou un hommage à la mode, et qui sont prompts à réagir, capables de prendre des décisions et d’agir avec fermeté et efficacité. C’est de ce type de personnel dont le Président a besoin aujourd’hui. La résolution systémique des problèmes nécessite une équipe à part entière. Et les autres positions doivent disposer du même personnel. Ainsi, ils pourront tenir la tête de pont jusqu’à l’arrivée des renforts – d’autres cadres patriotes. Sinon, tout se passera comme dans le cas du gérant de magasin Kholmanskikh, que Poutine a nommé son envoyé, mais qui a été complètement écrasé par le système et n’a rien pu faire de ce qu’il a dit, parce qu’il était lié par les règles du jeu du système. Un homme seulne pourra mener une ou deux batailles seul, mais le système l’écrasera ensuite. C’est pourquoi cette tête de pont doit être consolidée, renforcée. Mais ce n’est qu’un des points où la rotation est nécessaire. De nombreuses structures clés, cruciales pour l’État, sont effrayantes à approcher. Je pense que même le président a peur de s’y rendre. C’est une structure complètement destructrice, remplie de vieux libéraux, des types de Sourkov et même du personnel d’Eltsine. Il est impossible de les faire sortir de là. En 2005, l’Union eurasienne de la jeunesse a proposé de créer une oprichnina traditionaliste pour écraser les ennemis de la Russie de l’intérieur. Les initiatives idéologiques ont été profanées, ridiculisées, rejetées avec une ironie postmoderne et balancées à la poubelle. Il a fallu 20 ans au président pour résoudre ce problème urgent. Et ce, grâce à l’opération militaire spéciale. » (Valery Korovin) « Pour les quelques personnes restantes de ma génération, il est étonnant que le mérite, qui a fait la grandeur de l’Amérique et une échelle de mobilité ascendante, ait été officiellement mis de côté pour la « diversité » dans laquelle l’avancement est basé sur la couleur de la peau, le sexe ou le genre autoproclamé et non biologique. Ceux qui ont créé cette situation déplorable se sont-ils jamais demandé comment une société médiocre non fondée sur le mérite peut être une superpuissance, une unipolaire, une hégémonie dont l’existence exceptionnelle et indispensable lui donne droit à l’hégémonie sur le monde ? La Chine, qui accueille l’essentiel de l’industrie manufacturière américaine, doit s’étonner de l’illusion américaine. La Russie, dont la puissance et l’économie ont été considérablement renforcées par les sanctions américaines aveugles, doit se demander si les États-Unis peuvent même être considérés comme un adversaire. Même l’Iran ne craint plus les États-Unis. Surtout qu'indépendamment de la réalité dans laquelle ils vivent, de nombreux Américains continuent de voter pour les démocrates. Lorsqu’un peuple vote pour sa propre destruction, il est clair que le pays est fini. C’est l’Amérique d’aujourd’hui. Les jeunes sont perdus parce qu’ils ne sont plus éduqués dans les vertus d’une société libre, car on leur fait de la propagande contre la suprématie de la race blanche. Comment réparer cela ? Comment ressusciter la liberté ? Pas dans les écoles publiques. Les départements d'« éducation » des universités forment des crétins aliénés contre leur pays. Et les écoles de droit produisent des diplômés aliénés qui considèrent la Constitution américaine comme un document raciste et des procureurs qui considèrent la loi non pas comme un bouclier du peuple, mais comme une arme à brandir contre le peuple. Tout cela est grave et vrai. Il n’y a pas de pays libre ici. » (Paul Craig Roberts) Mais Douguine croit en la victoire de l’Homme : « Nous sommes des alliés : les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays musulmans (dont le Maghreb, la Turquie et l’Iran), la Chine géante qui tente de s’élever sur la vague mondiale mais s’y oppose néanmoins et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie redevenue orthodoxe avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts. » Ça pourrait même finir en boycott mondial contre les globalistes wokistes oligarchiques, contre les américano-sionistes et contre Israël, et en déroulement pacifique d'un tapis rouge pour le retour de Jésus. Francesca Albanese (Rapporteur spécial des Nations Unies) a d'ailleurs accusé Israël de génocide et appelle à un boycott mondial. Et en 2024 des diplomates latino-américains ont exprimé leur solidarité avec les peuples palestinien et libanais. Lors d'une réunion tenue dans la capitale iranienne Téhéran, ils ont appelé à l'unité entre les nations partageant les mêmes idées. Surtout que « Le PIB israélien a chuté de 19 % au dernier trimestre 2023, et la croissance a chuté de 4 %. Sans les 17,9 milliards d’aides en argent et en armes américaines envoyés en octobre 2023, le pays serait exsangue. Fin septembre 2024, l’Amérique a débloqué une nouvelle aide de 8,7 milliards de dollars pour les génocidaires. Depuis 1959, on estime à 251 milliards de dollars actuels les fonds injectés par l’Oncle Sam dans l’entité israélienne. Dans ce paquet, on ne compte pas le coût de l’entretien de l’armée américaine qui défend Israël, que ce soit sur le terrain ou sur les mers. Les Échos citent un expert militaire israélien : « Les Américains sont obligés de recourir, par exemple, à un porte-avions dont le coût de fonctionnement est énorme, pour tenter de contrer des drones de fabrication iranienne dont le prix ne dépasse pas les 2.000 dollars ». L’entretien d’Israël coûte donc désormais très très cher à l’Amérique, très très cher aux Américains, qui ne sont pas tous riches. Cette « colonie » US au Proche-Orient est un gouffre financier, ainsi qu’un gouffre moral. Chez les génocidaires, le secteur touristique est sinistré. Les compagnies aériennes ne font plus atterrir leurs avions dans un pays à risque. Les chantiers de BTP sont à l’arrêt, tout simplement parce que la main d’œuvre est arabe. Comme l’explique un reportage d’Arte, les travailleurs, qui sont originaires de Gaza et de Cisjordanie ne sont plus autorisés à travailler en Israël. Comme dirait Soral, un pays de médecins et d’avocats n’est pas viable. Dans l’agriculture, les Asiatiques, principalement Thaïlandais, ne viennent plus. Les réservistes étant appelés sur les deux fronts de Gaza et du Liban-Sud, le pays, fondamentalement raciste, n’a plus d’esclaves pour faire tourner l’économie. Israël, en plus de massacrer ses voisins, se tire une balle dans le pied.
« Les membres des BRICS comprennent qu’une unité, même imparfaite et versatile, vaut mieux qu’une domination étrangère arrogante et sans partage. Les BRICS+, soit les trois quarts de l’humanité accompagnent ainsi la Russie dans ce que les médias occidentaux qualifient sans rire de superbe isolement. Sans compter que le sommet de Kazan a également officialisé l’ajout de 13 nouvelles nations partenaires des BRICS, un coup de maître qui renforce encore la voix de ce bloc. Treize pays (Algérie, Biélorussie, Bolivie, Cuba, Indonésie, Kazakhstan, Malaisie, Nigeria, Thaïlande, Turquie, Ouganda, Ouzbékistan et Viêt Nam) ont été accueillis avec des promesses de coopération et de solidarité. C’est un signal clair : le monde est en train de changer, et il ne s’agit plus seulement de rassembler des pays, mais de redéfinir les règles de la gouvernance mondiale. La diversité au service de la souveraineté. Souveraineté également au cœur de l’objectif d’approfondissement de l’intégration financière, avec le développement d’un système de paiement hors dollar. À chaque nouveau sommet, des rumeurs d’une « monnaie BRICS » surgissent, un fantôme qui hante la Réserve fédérale. Mikhail Mishustin, a balancé une statistique qui en dit long : 90 % des règlements avec les « pays amis » – comprenant la Chine, la Turquie, l’Inde et l’Égypte – se font désormais en monnaies nationales. Vladimir Poutine, quant à lui, a plaidé pour l’utilisation de ces monnaies locales mais aussi pour la création d’une nouvelle monnaie de réserve avant de présenter un « billet de banque BRICS » symbolique. Une approche prudente pour la création d’une nouvelle monnaie de réserve, mettant en lumière les disparités économiques au sein des BRICS. Mais avec la Chine qui dévoile des plans pour un yuan soutenu par l’or, et la Russie qui se lance dans le commerce avec des monnaies liées à l’or, le message est clair : le monde s’éloigne lentement de l’emprise du dollar. (Or avec la proposition de la Chine d'émettre pour 40 milliards de dollars d'obligations, le dollar pourrait rester la monnaie de réserve mondiale mais en étant donc contrôlé par la Chine.) Au cours des dix dernières années, les achats d’or par les banques centrales ont littéralement explosé, éclipsant ceux des bons du Trésor américain. Les investisseurs, pris de vertige face à une dette publique qui grimpe en flèche, commencent à préférer les actifs physiques. Le rapport préparé par le ministère russe des Finances, en collaboration avec la Banque de Russie et le cabinet de conseil Yakov & Partners, révèle le projet d’un « système multidevises » pour protéger les participants des caprices de l’hégémonie américaine. Au-delà de la théorie, ces discussions se concrétisent par des propositions telles que l’utilisation de la technologie du grand livre distribué (DLT). Cette technologie liée à la blockchain va bouleverser le fonctionnement de la finance internationale et permettre aux nations BRICS de régler directement leurs déséquilibres commerciaux, sans passer par le système SWIFT. Autre projet : créer une bourse des céréales des BRICS ainsi que des centres pour le commerce de matières premières (pétrole, gaz naturel, minerais et métaux précieux) dont ces pays détiennent ensemble un quasi-monopole. Ici, les BRICS ne se contentent pas de revendiquer une place au banquet mondial : ils commencent à élaborer le menu. Nouvelles routes commerciales, systèmes de paiement alternatifs, bourse des céréales alternative, matières premières stratégiques créent un nouvel écosystème où l’Occident qui, hier encore, faisait des moulinets pour épater les banlieues d’un monde qu’il pensait être le sien, est de plus en plus marginalisé. Le bloc BRICS est encore timide, mais il se donne les moyens de ne plus suivre le scénario écrit par des maîtres arrogants. Bientôt il prendra d’assaut des institutions internationales fatiguées et vermoulues. Le fruit est mûr, prêt à tomber. » (Thodinor)
Les élections américaines approchent, Trump menace le pouvoir profond de faire la paix en 2025, Netanyahou se dépêche d’écraser et de coloniser Gaza, mais cela renforce la résistance à l’ordre israélo-américain, et plonge ces deux pays dans un isolement international dangereux. Poutine n’est pas le patron du Hamas, mais ces deux résistances simultanées à l’Empire ont un sens, celui d’une tenaille. Le monde entier regarde et attend fébrilement le résultat de cet immense conflit, comme la fin du match mondial entre le Bien et le Mal..
Thierry Meyssan précise dans un autre article : « L’arrivée à la Maison-Blanche d’un partisan du capitalisme productif (Donald Trump) avait bouleversé (pour un temps) l’ordre international au détriment des partisans du capitalisme financier. L’impérialisme, qui était jusque-là aveuglément défendu par les présidents des États-Unis au point qu’on l’identifiait avec la politique extérieure US, s’appuie désormais sur des bureaucraties (du pouvoir profond), au premier rang desquelles figurent les administrations de l’OTAN et de l’UE. Et c'est pourquoi même si avec Trump les Etats-Unis se sont retirés progressivement du moyen orient, l'axe Otano-sioniste les a remplacé de plus en plus par la Turquie et les monarchies pétrolières arabes. Donald Trump, qui a agi comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale, a été un élu très prévisible. Cependant sa capacité à changer le système a été imprévisible. Il n’a pour le moment ni été assassiné comme John Kennedy (qui voulait la prise en main de l’État sur la FED, la fin des sociétés secrètes dont de la CIA, une politique pro-arabe, l'empêchement de la bombe atomique par Israël et une enquête sur voire sa visite au centre de recherche nucléaire israélien Dimona que les israéliens faisaient passer pour une usine de dessalinisation, alors qu'il a permis de créer leur bombe atomique qui a ensuite très probablement servi de chantage pour leurs annexions dans la Palestine), ni contraint à la démission comme Richard Nixon, et a pu donc pratiquer sa politique faisant deux pas en avant, puis un en arrière. Les Occidentaux l’ont oublié, mais, en République, l’unique rôle des élus est de contrôler les administrations des États qu’ils gouvernent. Cependant, progressivement une pensée unique s’est imposée à tous, transformant les élus en hauts fonctionnaires et les États en dictatures administratives. Le conflit entre (le courageux car isolé) président Trump et les hauts fonctionnaires de ses prédécesseurs est donc une simple tentative de retour à la normale. C’est aussi un conflit titanesque comparable à celui qui opposa les deux gouvernements français durant la Seconde Guerre mondiale. » Trump mars 2023 : « Nous avions un Parti républicain dirigé par des monstres, des néo-conservateurs, des mondialistes et des imbéciles, et une lutte épique est donc en cours pour sauver les USA face à des gens qui détestent les USA. » Cependant le Président Trump avait tellement d'éléments opposés, dont au sein du Pentagone, que lui, son administration et le Parti républicain ont apparemment dû changer radicalement de politique en revenant malheureusement à la politique du Parti démocrate, du président Barack Obama et d’Hillary Clinton. C'est à dire l’impérialisme militaire occidental au service des politiques et entreprises transnationales, mais en refusant de laisser des organisations terroristes administrer des États.
Or le niveau important de diabolisation de Trump par le système montre tout de même clairement sa lutte sincère contre le pouvoir profond pervers. Les Frères Koch n'ont d'ailleurs pas soutenu la réélection de Donald Trump. En effet en libérant les Etats-Unis du contrôle de la FED, en décrédibilisant les médias, en promotionnant la famille traditionnelle, en mettant fin aux opération de chantages, en autorisant l'affaire Epstein et en qualifiant les antifas de terroristes, Trump a montré qu'il dénonçait et attaquait le nouvel ordre mondial, mais possiblement pour jouer le rôle du camp perdant ne pouvant gagner, puisqu'il n' pas été réélu. Cependant à travers en plus son redressement productif de l’Amérique (avant le Covid mondialiste), sa volonté de taxation des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), le niveau historiquement bas du chômage (avant le Covid mondialiste), le retour progressif des soldats d’Asie, la lutte sourde contre le pouvoir profond, le combat contre le capitalisme financier, le rééquilibrage des relations commerciales avec la Chine, la baisse de la tension avec la Corée du Nord, l’affaiblissement de l’OTAN, la fausse soumission à Israël et sa politique de la main tendue aux Russes (au risque de passer pour un traître à la patrie), Trump a montré un pieux patriotisme anti-impérialisme et anti-délocalisation face à la perverse oligarchie mondialiste. Surtout que lors de son dernier discours en tant que président candidat à sa propre réélection, il a été pieusement patriotique puisqu'il l'a axé en opposition à la cancel culture sur la mémoire et la consciences collectives au niveau spirituel, moral, historique et politique, car ce sont les fondements principaux d'une nation et si on ne sait pas ce qui est réel comment résister, ce qui montre que c'est recherché par le système portant la cancel culture et que les génération actuelles sont donc cruciales. En effet la cancel culture correspond à du matérialisme anéantissant, alors que la piété correspond à de la spiritualité nourrissante. D'ailleurs dans un sens follement inverse, la Finlande cherche à enlever de sa constitution toute trace de la Russie pourtant à son origine avec l'empereur de la Russie et de la Finlande Alexandre II, puisque ça lui revient à s'effacer et donc à se suicider, comme l'occident s'efface et donc se suicide en voulant disloquer la Russie puisqu'elle demeure en partie européenne, a été souvent une alliée de pays européens, a participé à détruire le nazisme en Europe et est redevenue chrétienne. Poutine a d'ailleurs précisé au Club Valdaï : « Les nazis brûlaient les livres, maintenant l’Occident (dont l'Ukraine) interdit Dostoïevski et Tchaïkovski. » Dans ce sens depuis sa création, l'organisation Frères d'Italie a placé en tête de son programme électoral l'urgence démographique et le soutien à la famille en tant que pilier économico-social et valeur de leur nation. C'est à dire que cette organisation lutte quotidiennement contre les tentatives de la gauche de leur imposer des politiques qui vont dans le sens contraire dont en affirmant que le wokisme est le summum de la liberté et en soutenant que l'immigration compensera le déclin démographique des peuples européens.
« La mention par Erdogan du jihad en réponse au conflit rappelle les croisades historiques, mais cette analogie ne capture pas entièrement l’essence de la situation actuelle. La mondialisation occidentale moderne s’est considérablement éloignée de la civilisation chrétienne, ayant rompu de nombreuses connexions avec la culture chrétienne au profit du matérialisme, de l’athéisme et de l’individualisme. Le christianisme a peu à voir avec les sciences matérielles ou le système socio-économique principalement axé sur le profit, et il n’endosse certainement pas la légalisation des déviations ou l’adoption de la pathologie comme norme, ni la propension vers une existence post-humaine, un concept promu avec enthousiasme par le philosophe post-humaniste israélien Yuval Harari. L’Occident, dans sa forme contemporaine, représente un phénomène antichrétien, dépourvu de tout lien avec les valeurs du christianisme ou l’adhésion à la croix chrétienne. Il est essentiel de reconnaître que lorsque le monde islamique entre en conflit avec l’Occident, il ne s’engage pas dans un conflit avec la civilisation du Christ, mais plutôt avec une civilisation antichrétienne, que l’on peut qualifier de civilisation de l’Antéchrist. Le massacre de civils à Gaza par Israël, observé par la communauté mondiale entière, pousse le monde islamique à mettre de côté les différences internes et à envisager une confrontation directe avec l’Occident. La question qui se pose ici est de savoir si cela pourrait conduire à l’éclatement d’une troisième guerre mondiale. Il semble très probable, et dans un sens, elle est déjà en cours. Pour que la guerre s’escalade à l’échelle mondiale, une masse critique de contradictions non résolues nécessitant une résolution militaire est impérative. Cette condition a été remplie. Les puissances occidentales ne montrent aucune inclination à abandonner volontairement leur domination, et les nouveaux pôles, les civilisations indépendantes émergentes, et les régions étendues ne souhaitent plus accepter cette dominance et la tolérer. De plus, l’échec des États-Unis et de l’Occident collectif à être les leaders de l’humanité sans abandonner des politiques qui suscitent et alimentent de nouveaux conflits et guerres a été prouvé. Dans ce contexte, si Trump, simultanément soumis et totalement influencé par le puissant lobby sioniste aux États-Unis, devait reprendre la présidence, cela pourrait potentiellement diminuer le soutien à l’Ukraine, une préoccupation cruciale pour la Russie. Cependant, il pourrait adopter une approche encore plus rigoureuse envers les musulmans et les Palestiniens, surpassant peut-être la sévérité des politiques de Biden. Le réalisme est impératif, et nous devons nous préparer à un conflit difficile, sérieux et prolongé à l’horizon. Il est important de réaliser que ce n’est pas un conflit religieux, mais plutôt une guerre d’imposteurs matérialistes et athées contre toutes les religions traditionnelles. Cela signifie que le moment de la bataille ultime pourrait être sur nous. Quelles que soient les circonstances spécifiques, un monde unipolaire est une impossibilité. Le monde sera soit multipolaire, soit inexistant. Plus la résolution de l’Occident à maintenir sa domination sera forte, plus la bataille qui s’ensuivra sera féroce, potentiellement dégénérant en une troisième guerre mondiale. La multipolarité ne se produira pas spontanément. Actuellement, il y a un processus crucial de réassemblage en cours au sein du monde islamique. Si les musulmans peuvent s’unifier contre un adversaire redoutable commun, l’émergence d’un pôle de puissance islamique devient envisageable. À mon avis, la réhabilitation de Bagdad et de son rôle pivot en Irak pourrait présenter une résolution idéale. L’Irak sert de point de convergence pour diverses grandes tendances de la civilisation islamique, y compris les Arabes, les sunnites, les chiites, les soufis, les salafistes, les Indo-Européens, les Kurdes et les Turcs. Bagdad, en particulier, a historiquement été un centre où les sciences, l’éducation religieuse, la philosophie et les mouvements spirituels prospéraient. Cependant, cette proposition reste spéculative. Néanmoins, il est évident que le monde islamique aura besoin d’une fondation unificatrice ou d’un terrain d’entente commun. Bagdad pourrait potentiellement servir de plateforme ou de point d’équilibre. Cependant, pour que cette vision se concrétise, l’Irak doit d’abord être libéré de la présence des forces américaines. Il semble que chaque pôle de puissance doit affirmer son droit à l’existence à travers le conflit. La Russie, après avoir remporté la victoire en Ukraine, deviendra un pôle entièrement souverain. De même, une fois que la question de Taiwan sera résolue, la Chine s’établira comme un pôle significatif. Le monde islamique, quant à lui, insiste sur une résolution équitable du problème palestinien. Les développements ne s’arrêteront pas là ; éventuellement, les rôles de l’Inde, de l’Afrique et de l’Amérique latine, qui sont actuellement confrontés de plus en plus aux nouvelles forces de colonisation, deviendront également significatifs. Par conséquent, tous les pôles dans le monde multipolaire devront naviguer à travers leurs défis et épreuves uniques. Par conséquent, le multipolarisme est tout à fait plausible, ce qui était le cas pour l’humanité avant l’émergence de la politique impériale mondiale occidentale à l’époque moderne. Cela n’implique pas l’établissement immédiat de la paix mondiale ; cependant, un tel système mondial multipolaire serait intrinsèquement plus juste et équilibré. Tous les conflits seraient abordés sur la base d’une position équitable et collective, dans laquelle l’humanité serait protégée contre les injustices raciales, semblables à celles observées dans l’Allemagne nazie, l’Israël contemporain ou la domination agressive de l’Occident mondial. » (Extraits de l'article d'Alexandre Douguine à l'adresse https://lemediaen442.fr/alexandre-douguine-ma-vision-du-nouvel-ordre-mondial-et-de-la-guerre-a-gaza-avec-israel/)
Vladimir Poutine : « Nous nous battons actuellement pour la liberté, pas seulement celle de la Russie mais celle du monde entier. Nous déclarons ouvertement que la dictature d’une hégémonie, maintenant visible de tous, devient obsolète. Elle est allée trop loin, et représente un danger significatif pour les autres. La majorité du monde reconnaît à présent cette réalité. Je répète, notre pays est sur le point d’établir un ordre mondial plus juste, je veux appuyer sur le fait que sans une Russie souveraine et forte, il ne peut y avoir d’ordre mondial stable et durable. » Or l'effondrement des USA, de l'Union européenne et de l'occident pourrait être la seule manière de retrouver la souveraineté française, quoique vu l'histoire, la puissance et la position de la France, le Frexit est possible comme l'a été le Brexit. Lors d’une rencontre, le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « Il faut utiliser les capacités politiques et économiques entre l’Iran et Cuba pour former une alliance et une coalition entre des pays partageant la même position contre les intimidations américaines et occidentales. »
« L’État profond russe commence lentement, trop lentement (à cause du temps administratif et de l'inertie institutionnelle) à se rebeller contre toutes les menaces faites à sa souveraineté. Les menaces militaires classiques, comme celle incarnée par l’OTAN, sont identifiées par le cerveau humain depuis des siècles. Les menaces nouvelles représentées notamment par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sont plus difficiles à percevoir et combattre. L’humain moyen a du mal à concevoir que la médecine puisse être utilisée contre les peuples à une telle échelle, et il n’est pas encore accoutumé à ce nouveau champ de bataille technocratique et bureaucratique qui se déploie seulement depuis l’expansion du secteur tertiaire au 20e siècle, mais qui a désormais tout envahi (en Occident. Or l'occident ayant donc été tertiarisé massivement, cela signifie que tout ce qui est primaire et secondaire devra être assuré par d'autres, et que le système est donc en situation de dépendance.) On ne lutte pas contre l’OTAN avec des arcs et des flèches. Pourquoi ? Parce que l’OTAN n’attaque pas avec des arcs et des flèches. Il faut nécessairement rester au contact de l’ennemi si l’on veut espérer le battre dont le dépassant technologiquement au niveau des armes ou autres secteurs non transhumanistes. Croire qu’il serait possible de gagner un conflit sans jamais aller sur le même terrain que l’ennemi apparaît comme une vue de l’esprit purement théorique, dont le principal effet consiste à déserter théoriquement, puis physiquement, le champ de bataille et à offrir la victoire à l’ennemi. Dans son conflit avec l’Occident, la Russie a bien compris qu’il ne fallait donc pas faire cette erreur consistant à s’exclure soi-même du champ de bataille technologique et économique. C’est la raison pour laquelle les mondialistes essayent d’expulser la Russie de la mondialisation contre sa volonté. Dès le 27 février 2022, seulement trois jours après le début de l’opération militaire russe en Ukraine, la finance occidentale utilisait la bombe atomique dans le champ économique et commençait à débrancher la Russie du système SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication), le système universel de transactions informatiques entre les banques du monde entier. Dans son bulletin Stratpol n°144, Xavier Moreau saluait le lancement par le Kremlin du rouble numérique, la CBDC russe (Central Bank Digital Currency, monnaie numérique de banque centrale) et s’attirait une volée de commentaires négatifs venant de gens légitimement inquiets de voir la Russie participer à la disparition de l’argent liquide. Peut-être Xavier Moreau avait-il commis une erreur : laisser entendre que la Russie avait le choix de passer, ou non, au rouble numérique. En fait, personne n’a le choix, c’est comme la course aux armements : si vous ne le faites pas, les autres le feront de toutes façons, et vous vous désarmez vous-même. Un pays qui ne développe pas sa propre monnaie numérique sera soumis à la monnaie numérique des autres pays, point à la ligne.L’Occident livre une guerre d’extermination aux Russes, sur le principe hitlérien de la « guerre totale », et les Russes le comprennent bien ainsi. La création d’un système de transactions financières numériques alternatif à SWIFT et la création de la monnaie nationale numérique idoine est donc une question de survie économique, donc de survie tout court, pour la Russie. Le lancement du rouble numérique en août 2023 avant le dollar numérique vise à occuper la place de monnaie numérique de référence avant la concurrence – pour essayer d’occuper le centre de l’échiquier – et aura pour effet collatéral, à moyen terme, de dédollariser partiellement le monde dans le champ des transactions numériques. C’est la course aux armements aussi dans le domaine de la guerre économique, et si vous ne jouez pas le jeu tel qu’il est imposé par les nouvelles technologies, vous laissez l’ennemi gagner. Vladimir Poutine ne souhaite pas sacrifier la question identitaire sur l’autel de la compétition technoscientifique. La bioéthique, la transmission aux générations futures, la protection de l’enfance ont déjà une traduction légale en Russie avec l’interdiction de la propagande LGBT et du « mariage homosexuel », qui pose ainsi des limites au transhumanisme et qui rétablit un clivage fondateur avec l’Occident et ses développements pédophiles institutionnels (cf. les standards de l’OMS pour l’éducation sexuelle des enfants dès la naissance). Quand Poutine reprend le concept de « Nouvel Ordre mondial », c’est pour en subvertir la signification donnée par le président George H. Bush au moment de la chute de l’URSS et de l’avènement du monde unipolaire dominé par les USA, ce que Francis Fukuyama avait appelé la « fin de l’Histoire ». Poutine reprend le même signifiant mais avec un signifié différent. Quel est ce nouveau signifié ? La doctrine du gouvernement russe est un matérialisme conservateur, une politique des antagonismes concrets, à la lumière de ce qui a été sélectionné par l’expérience, réalisant une sorte de synthèse de l’empirisme organisateur de Charles Maurras et du matérialisme dialectique de Karl Marx. Cette vision politique et géopolitique propose un traitement réaliste et pragmatique des interactions et interdépendances concurrentielles et conflictuelles qui écrivent l’histoire universelle, et qui se résument dans l’aphorisme d’Héraclite : « Le combat est père de toutes choses. » Quelques siècles plus tard, Nietzsche nous dira en substance que ce sont la violence et les moyens de l’augmenter ou de s’en prémunir qui écrivent l’Histoire, en tant qu’éternel retour du Bien, mais aussi du Mal. Le matérialisme conservateur est un archéo-progressisme, ni technophobe, ni technophile, ou les deux en même temps, assumant les rapports de forces matériels et physiques dans leurs propres termes, ceux de l’innovation technologique et de la course aux armements, évitant le prisme déformant de la métaphysique et de l’essentialisme, tout en restant capable de faire alliance avec les conservateurs adeptes d’une métaphysique, sur la base d’un projet commun de souveraineté technologique réfléchie, consciente des risques et gardant le contrôle critique de la science pour en limiter les impacts négatifs sur la nature humaine. Deux courbes vont se croiser : celle de l’informatisation croissante de nos vies, et celle de la baisse du quotient intellectuel des programmeurs informatiques que l’informatisation croissante de nos vies provoque, ce qui aboutira à une augmentation des erreurs humaines de programmation, donc à une multiplication des bugs et des pannes, et à un dysfonctionnement global de cette informatique devenue omniprésente dans nos vies. Encore une ou deux générations, et l’humain ne sera plus capable intellectuellement de gérer le parc informatique dans lequel il s’est lui-même enfermé. Quand l’intelligence artificielle augmente, l’intelligence réelle diminue, d’où ce phénomène dysgénique des générations X, Y ou Z qui est en train de précipiter l’Occident vers l’effondrement complet. Comme le disait Bernard Stiegler, la technoscience est un pharmakon, simultanément remède et poison, autorisant le meilleur et le pire, capable selon le dosage d’améliorer la condition humaine mais aussi de la réduire à néant. » (Extraits de Lucien Cerise – La Russie et le Great Reset)
« Quand Poutine a osé affronter directement l’OTAN en Ukraine, le 24 février 2022, il a officialisé la fin du monde unipolaire qui existe de facto depuis la réémergence de la Russie et de la Chine et l’émergence de puissances relativement importantes comme l’Inde et le Brésil. L’unipolarité, la domination exclusive du monde par les États-Unis, a été un bref moment historique qui a débuté avec l’effondrement de l’Union soviétique qui était synonyme, pour les Américains, de la disparition définitive de l’Empire et de la puissance russes. Ils pensaient que c’était « la fin de l’histoire ». C’est ce que George H. Bush a appelé « nouvel ordre mondial » le 11 septembre 1990 lors d’un message à la nation américaine. Déclaration qu’il fait quelques semaines après le début de la guerre du Golfe (2 août 1990 – 28 février 1991) lancée par les États-Unis à la tête d’une coalition de 35 pays. Cette guerre était censée montrer au monde que ce nouvel ordre avait pour maître et architecte l’Amérique, une sorte de nation-Messie qui, en vainquant l’Union soviétique, avait fait s’effondrer l’Histoire et fait entrer le monde dans l’ère messianique, à savoir l’établissement sur la terre entière de l’Éden libéral. Or, la cible choisie par les États-Unis pour faire la démonstration de leur « toute- puissance » aurait dû mettre la puce à l’oreille à tous les géopolitologues. Attaquer l’Irak, ou plus tard la Yougoslavie, n’était pas une démonstration de force mais de faiblesse. Profitant de l’effondrement de l’Union soviétique et de l’effacement russe de la scène internationale durant la décennie 1990, les États-Unis ont tiré profit de cet avantage et de ce vide géopolitique pour multiplier les guerres directes et par proxy et les révolutions colorées pour mettre en place des régimes soumis à travers le monde. L’agitation militaire de Washington n’a pas fait perdre le sens des réalités aux stratèges américains qui gardaient à l’esprit que cette domination mondiale avait pour première condition l’empêchement de l’émergence ou de la réémergence de puissances rivales. Cette stratégie a échoué, elle ne pouvait s’opposer à la marche de l’Histoire. Pourtant le fanatisme messianique des Américains a conduit une partie de la classe dirigeante états-unienne à croire encore qu’ils étaient à la tête d’un empire éternel, ou du moins qu’ils domineraient sans partage pour un nouveau siècle(, ce qui est actuellement encore moins le cas avec le monde actuel qui se met en place). Le monde multipolaire est la coexistence de plusieurs empires ou puissances, plusieurs grandes civilisations et centres économiques qui agrègent d’autres nations. La Russie n’a pas d’autre prétention que de faire partie d’une de ces grandes puissances qui se partagent actuellement le monde. Un partage du monde que les Américains refusent. C’est ce qui explique la guerre actuelle qui oppose les États-Unis à la Russie en Ukraine. L’avènement d’un gouvernement mondial est un projet essentiellement utopique et messianique, en ce sens qu’il signifie la disparition même du politique. Or, tant que le politique existe, la pluralité des États persistera. La multipolarité, c’est un monde où plusieurs États puissants exercent une influence sur leur sphère respective, sur d’autres nations petites et moyennes. Le pluralisme des États est le caractère spécifique du politique, et toute unité politique implique l’existence éventuelle d’un ennemi, et donc la coexistence d’une autre unité politique. C’est ce qu’a compris et expliqué il y a près d’un siècle Carl Schmitt à qui l’histoire a donné raison. « Aussi, tant que l’État en tant que tel subsistera sur cette terre, il en existera plusieurs et il ne saurait y avoir d’État universel englobant toute l’humanité et la terre entière. Le monde politique n’est pas un universum, mais, si l’on peut dire, un pluriversum. » » (Youssef Hindi interrogé par le journal « Rivarol »)
« Nous sommes en train de pourrir. Mais dans la pourriture, quelque chose de différent se glisse. Oswald Spengler regardait l’Europe et voyait une vieille femme, les lèvres peintes pour en cacher les fissures. Alexandre Douguine regarde le monde et voit un champ de bataille, des lignes tracées dans le sang. L’homme faustien, celui qui va au-delà, le bâtisseur de cathédrales, l’ingénieur de l’apocalypse – il a trop construit, il est allé trop loin, et maintenant il se noie dans l’océan même qu’il cherchait à conquérir. Que reste-t-il ? Une nouvelle guerre, non seulement une guerre des nations, mais une guerre au sein de l’Être lui-même. La Quatrième théorie politique ne pleure pas l’Occident comme le fit Spengler. Elle rit. Elle aiguise son couteau. Elle déclare les vieilles idéologies mortes et jette leurs cadavres dans la boue. Elle appelle à quelque chose de nouveau, quelque chose qui va au-delà du libéralisme, du communisme, du fascisme – un retour, mais pas à la tradition en tant que pièce de musée. A la tradition comme arme. Spengler savait. Il savait que les civilisations, comme les hommes, vieillissent, s’affaiblissent, s’effondrent sous leur propre poids. Mais que se passe-t-il lorsqu’un vieil homme refuse de mourir ? Regardez l’Europe: un continent au stade final de la consommation, qui siffle des slogans creux évoquant la « démocratie » et les « droits de l’homme » tandis que ses villes brûlent et que ses frontières se dissolvent. L’homme faustien, piégé dans sa propre création, incapable de s’en défaire, s’accrochant au rêve d’un progrès éternel alors qu’il est en train de s’enfoncer dans le vide. Mais Douguine ne parle pas de déclin, il parle de guerre. L’âge des Césars de Spengler, non pas comme un phénomène qui appelle une complainte, mais comme un phénomène qui réclame une prophétie. Les grands hommes reviendront, mais ils ne seront pas européens. L’Europe a oublié comment engendrer des conquérants. Les nouveaux Césars viendront d’ailleurs, de civilisations encore assez jeunes pour croire au destin. Pseudomorphose : le beau mot de Spengler pour désigner l’étouffement d’une jeune civilisation par le cadavre d’une ancienne. L’Europe a étranglé la Russie pendant des siècles, l’a forcée à porter ses propres vêtements, à parler sa langue, à prétendre être ce qu’elle n’était pas. Mais la Russie n’a jamais été faustienne. Elle n’a jamais eu besoin de l’être. La Troisième Rome attendait toujours, attendait son heure, observait l’Europe s’étriper sur l’autel de son orgueil. Et maintenant ? La pseudomorphose se lézarde, se fissure. La Russie se débarrasse de sa peau occidentale, se tourne vers ses propres racines – eurasiennes, orthodoxes, nées dans les steppes. C’est ce que comprend Douguine : la Russie est jeune. La Russie a faim. Elle ne respecte pas les règles de l’ordre ancien et moribond. Elle en construit un nouveau, l’épée à la main, là où l’Occident tenait autrefois sa cour avec un stylo et du papier, aujourd’hui noyé qu’il est dans sa propre encre. Qu’en est-il de l’Amérique ? Un colosse, oui, mais construit sur de l’air. Une expérience faustienne tardive, toute de technocratie et de rapidité, mais sans âme. La quatrième théorie politique ne s’incline pas devant elle. La vision de Douguine n’est ni américaine, ni mondialiste, ni universelle. Spengler voyait l’Amérique comme l’extension inévitable de la volonté de puissance faustienne: le capitalisme comme métaphysique, la publicité comme philosophie, la machine comme dieu. Douguine voit autre chose – un empire qui s’est oublié, qui ne sait même pas qu’il est un empire, se dévorant lui-même dans un rêve fiévreux de décadence libérale. Le César américain viendra, mais il n’héritera que de cendres. L’Europe était belle autrefois. Sa tragédie est qu’elle n’a jamais su s’arrêter. L’âme faustienne était destinée à créer, à construire, à pousser vers l’extérieur, mais il y avait toujours un prix à payer. Spengler l’a vu : l’expansion infinie, l’ambition infinie, le rêve de l’illimité – jusqu’à ce que le rêve se brise et que les bâtisseurs deviennent des squatters de leurs propres ruines. Le côté négatif de l’esprit faustien est son refus d’accepter les limites, de savoir quand mourir. C’est ainsi qu’il perdure, mécanisé, bureaucratisé, automatisé, gouverné par des hommes qui n’ont ni passé ni avenir, avec seulement le bourdonnement ennuyeux de l’administration. La postmodernité n’est qu’un autre mot pour désigner la rigidité cadavérique. Mais l’Occident a encore du pouvoir. Le cycle de Spengler n’est pas encore achevé, et même dans la décadence, il y a des moments de terrible beauté. Les derniers guerriers de l’ancien ordre – ceux qui se souviennent, qui ont encore le feu dans le sang – observent, attendent. L’ère des Césars ne sera pas douce. L’homme faustien, même dans sa chute, se déchaînera. Douguine ne croit pas à la survie de l’Occident, mais il croit en sa capacité à se battre, à se déchaîner même lorsqu’il tombe. La question est de savoir qui maniera cette rage. Les mondialistes, les gestionnaires, les lâches qui ont vendu leur héritage pour le confort ? Ou ceux qui entendent encore l’écho lointain des clochers gothiques, les hymnes de la bataille, le rugissement de quelque chose de primitif et d’oublié ? La multipolarité n’est pas seulement une réalité politique. Il s’agit d’un changement métaphysique. Spengler y a fait allusion, Douguine le proclame. L’ère d’une civilisation dominant toutes les autres est révolue. L’homme faustien voulait le monde entier, mais le monde ne veut plus de lui. La Chine s’élève, indemne, sans être affectée par la maladie de l’Occident. L’Islam se souvient. L’Inde se réveille. La Russie rugit. Ce monde n’est pas celui des valeurs universelles, des droits de l’homme, de la démocratie au sens occidental du terme. C’est un monde de civilisations, de destin, de volonté. L’Occident faustien n’est plus qu’un acteur de plus sur la scène, il n’en est plus le metteur en scène. Et pourtant, certains ne l’acceptent pas. Les fantômes de l’empire persistent. Le vieux monde s’accroche à ses mythes, refusant de voir que le vent a déjà tourné. L’OTAN s’étend, les sanctions s’empilent de plus en plus haut, une tour de dépit fragile qui s’effondre en même temps qu’elle s’élève, mais rien de tout cela n’arrête le lent effritement. Les dirigeants européens sont des somnambules. Le monde qu’ils gouvernent est une fiction. Spengler les a vus venir – la classe bureaucratique, les gratte-papiers, les employés de bureau chargés d’une civilisation mourante. Ils confondent leur position avec le pouvoir. Le vrai pouvoir est ailleurs, il se déplace vers l’est, vers le sud, vers ceux qui croient encore en quelque chose de plus grand que la croissance économique et les cadres juridiques. Douguine et Spengler ne s’opposent donc pas. Ils sont les pendants d’une même vision : la mort de l’ancien et la naissance du nouveau. Spengler a fait son deuil. Douguine ne le fait pas. Il se prépare. La quatrième théorie politique ne cherche pas à faire revivre l’Occident. Elle cherche à le remplacer. Par quoi ? Cela n’est pas clair, mais la clarté, c’est pour le temps de paix. L’heure est à la bataille, à la guerre, non seulement dans les rues de l’Ukraine, de Gaza ou du prochain front, mais aussi dans l’esprit, dans l’âme, dans le tissu même de la civilisation. Nous sommes en train de pourrir. Mais dans cette pourriture, quelque chose de différent se glisse. L’Occident est en train de mourir, mais il ne meurt pas tranquillement. Il se déchaîne, il lutte, il refuse d’accepter son destin. Spengler nous dit que c’est inévitable. Douguine nous dit de choisir un camp. » (Bref essai de Constantin von Hoffmeister sur Alexandre Douguine et Oswald Spengler)
« Entre la grande expropriation des ressources publiques de la crise des subprimes (2008-2011) et la grande expropriation des ressources publiques de la crise du Covid (2020-2022), une dizaine d’années se sont écoulées. Aujourd’hui, et ce n’est que trois ans plus tard, nous passons à une troisième expropriation colossale au nom de l’urgence guerrière. Le résultat de ce glissement est transparent et très clair. Des piliers sociaux fondamentaux comme le système de santé et le système des pensions seront écrasés. Pour parer le coup, une grande partie de l’épargne privée restante sera drainée des citoyens vers des actifs autres (assurances privées, pensions privées, etc.). L’immobilier privé, là où, comme en Italie, il est encore important, deviendra d’abord le collatéral nécessaire à la mise en place des financements indispensables pour répondre aux besoins incontournables (santé, études des enfants, survie hors de la sphère productive). La dernière étape sera bien sûr la soustraction même des biens immobiliers, qui deviendront au contraire le collatéral pour le déboursement de prêts rémunérés par les groupes financiers. À la fin du processus, les citoyens endettés de diverses manières seront en fait enchaînés, même s’ils sont formellement libres : conditionnés et soumis au chantage à chaque étape. Fin du processus ? Jamais ! L’endettement économique irréversible sera la nouvelle forme de coercition. Il ne s’agit plus des modèles désuets de soumission violente, d’esclavage, mais d’un système propre, contractuellement sans exception, et pourtant bien plus rigoureux et détaillé que toute relation serviteur-maître du passé. Qu’il soit alors décidé d’envoyer les débiteurs/coupables (Schuld) pour être la chair fraîche de la guerre ou le rouage à vie d’une multinationale, ce seront des détails. C’est l’avenir qui frappe à la porte, et les espaces où il est encore possible de réagir – s’il y en a encore – se referment rapidement. » (Andrea Zhok)
Il faut noter qu'en plus une concurrence acharnée entre deux lignes ferroviaires (et entre des pipelines) devant relier la mer rouge à la méditerranée est en plus actuellement en cours, puisque allant jusqu'à la destruction de tronçons et le meurtre de personnes y participant : il s'agit de celle ayant pour départ l'Iran reliant la Syrie et de celle ayant pour départ l'Arabie Saoudite reliant Israël, possiblement liées aux nouvelles routes de la soie. De même à cause de la fonte des glaces du Pôle Nord, un autre sujet de tension mondiale semble se profiler à l'horizon concernant les probables futures nouvelles routes maritimes passant par cette zone, puisqu'elles pourraient représenter 20 % du commerce mondial. Cependant jadis, l’antique route de la soie apportait en Europe des produits inconnus, tandis que les actuelles routes acheminent les mêmes produits que ceux fabriqués en Europe, mais beaucoup moins chers. C'est pourquoi suite au coronavirus n'ayant pas seulement été un mal en détruisant une partie de l'économie mondiale, mais aussi un bien en révélant l'importance du localisme face au mondialisme tout en annonçant le post modernisme matérialiste qui devra être défini pour savoir qui l'établira espérons pour le mieux, surtout que la rationalité des états et du modernisme passe à la rationalité plus ou moins réelle et généralement fausse de messianismes (comme celui des USA, d'Israël, de l'UE, de la Russie, du monde musulman, de la Chine, de l'Inde), le Président Trump voulait empêcher ces nouvelles routes de la soie et réindustrialiser l'Europe. En effet le président Donald Trump tentait de remettre la Chine dans sa propre zone d'influence, alors que la Chine cherche à repousser les USA hors de cette zone dont de Taïwan. Pour cela, il aurait pu plus compter sur ses « alliés » dont les sociétés sont déjà dévastées par de bons produits chinois à bas prix. Dans ce contexte, contrairement à une idée reçue, la Chine pourrait renoncer aux routes de la soie pour des motifs géostratégiques dont la récupération de Taïwan quel que soit le montant de ses investissements. Elle l’a déjà fait par le passé. Mais si selon le plan divin pour le développement des pays pauvres, la Chine doit continuer la mise en place des infrastructures des nouvelles routes de la soie dont donc à travers de nombreux pays musulmans, il apparaît que le califat islamique devra d'autant plus réapparaître pour protéger ces voies de divers terrorismes. Surtout que comme le pont construit par la Russie sur le détroit de Kertch est destiné aux voies de transport ferroviaire reliant l’Europe occidentale et orientale au bassin de la mer Caspienne, au Kazakhstan et à la Chine, il fait donc partie intégrante du projet eurasiatique en lien avec l’initiative chinoise « la ceinture et la route (nouvelles routes de la soie) », ce qui confirme que la Russie est pour ces nouvelles routes de la soie incarnant l'empire traditionnel tellurocratique face à l'empire wokiste thalassocratique. Ainsi le Covid, l'attaque contre la Syrie et la guerre en Ukraine peuvent avoir été aussi utilisés pour essayer de contenir puis disloquer la Russie voire aussi la Chine. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article « Trump, Poutine, Xi Jinping, Boris Johnson et Mohammed ben Salmane : Un autre Ordre Mondial imprévu émerge (avec l'espoir que l'humanité se préparent en parallèle à recevoir le retour du Prophète Jésus au mieux) » à l'adresse https://lesakerfrancophone.fr/un-autre-ordre-mondial-imprevu-emerge
« La lutte finale est maintenant engagée : soit une planète régie par une seule puissance hégémonique (ou une seule idéologie universaliste), soit un monde articulé entre plusieurs pôles de puissance et de civilisation, des « grands espaces » correspondant aux grandes régions du monde, dirigés pour chacun d’eux par le pays qui est le plus à même d’exercer son influence dans l’aire civilisationnelle à laquelle il appartient. Mais rien ne sera possible aussi longtemps qu’on s’obstinera à croire que le monde est d’abord peuplé par des individus, alors qu’il est d’abord partagé entre des peuples, des langues, des nations, des aires civilisationnelles différentes, ayant leurs ambitions et leurs principes propres. Le nouveau Nomos de la Terre exige que ces grandes aires civilisationnelles tiennent compte en priorité de leur identité, c’est-à-dire de leur histoire, et s’abstiennent d’intervenir dans les autres aires pour y appliquer des valeurs pseudo-universelles qui en réalité leur sont propres. Les « États civilisationnels » ou le chaos ! (En sachant que l'UE voulant une protection nucléaire commune peut encore tendre vers l'un ou l'autre.) » (Alain de Benoist)
« L’élite a de plus en plus de mal à imposer ses légendes et autres narratifs. Le changement, c’est l’avènement du Net qui marque la fin de la distance médiatique entre l’élite et le peuple, distance qui était autrefois insurmontable. On ne pouvait pas contrer un discours à la télé, un article de journal, à moins d’écrire au journal ou d’appeler la télé... Sur X, on peut, d’homme à homme, contrer un discours officiel, contester une information tronquée. Cette proximité électronique a tout changé, elle a rabaissé l’élite au niveau du peuple et remonté le peuple au niveau de l’élite. C’est pour cela que l’élite médiatique fuit X comme la peste : c’est un aveu de défaite, c’est-à-dire de mensonge. Et une nouvelle élite médiatique, plus adaptée, plus efficace, plus explicative, a pris sa place. Il y a grand remplacement. Devant cet état de fait, l’élite médiatico-politique française a choisi d’augmenter le mensonge – c’est une méthode – et la répression. On remarque que ces deux options sont parfaitement corrélées. Cette stratégie de la tension n’a aucun avenir, elle est vouée à l’échec, elle est surtout le signe d’un pouvoir aux abois. Qui peut toujours renverser la table, c’est l’option Samson. On appelle ça la guerre. » (Rédac ER)
Surtout que par rapport à tout ce qui vient d'être évoqué, il est reconnu désormais mondialement que divers services spéciaux occidentaux instrumentalisent le terrorisme djihadiste à des fins politiques ou géopolitiques, d'autant plus que le Président Trump a admis l'origine états-unienne de Daech, comme Al-Qaïda est d'origine états-unienne. En effet cette armée terroriste avait été au départ la rébellion des anciennes armée et administration irakiennes de Saddam Hussein qui furent humiliées à travers leurs licenciements (même de nombreux petits fonctionnaires) organisés par l'envahisseur américain très probablement dans le but de déstabiliser voire disloquer définitivement cette nation. D'ailleurs c'est suite à la désorganisation de l'Irak par la guerre que Daech a conquis rapidement de vastes territoires en Irak, mais aussi beaucoup suite au soutien massif des USA, d'Israël, de la Turquie, de l’Arabie Saoudite et du Qatar envers ses centaines de milliers de terrorises takfiristes. C'est à dire que Daech provient de la libération américaine de commandants d'Al Qaïda et d'anciens officiers pourtant baasiste (laïques, ce qui sous-entend probablement qu'ils sont plutôt devenus des mercenaires, quoique leur désir aussi de vengeance des centaines de milliers de morts musulmans en Irak et au Proche-Orient suite à la guerre a pu les rendre beaucoup plus djihadistes) de Saddam Hussein de la prison de Bassora, puis de leur union appuyée par de pseudos erreurs américaines de livraison aériennes d'armes (les USA ont donc au moins favorisé Daech s'ils ne sont pas complètement à son origine) et par des financements étrangers. Et il y a eu pendant un temps un retrait précipité des troupes américaines, laissant le pays dans le chaos et favorisant l’émergence de l’État islamique. D'ailleurs Trump et même Hillary Clinton lors d'un procès ont reconnu la création américaine de Daech. Israël a aussi rejoint ses alliés en Turquie et dans le monde occidental pour financer des groupes islamistes sunnites en Syrie dans les années 2010 afin d'affaiblir le Hezbollah, comme l' a confirmé le chef d'état-major des forces de défense israéliennes, le lieutenant-général Gadi Eisenkot en 2019. « Contrairement à l’image que le grand public se fait du groupe, inspiré par un fondamentalisme religieux fanatique et extrême, ISIS est avant tout un groupe de tueurs à gages. À tout moment, ils agissent sur ordre d’un ensemble de donateurs internationaux, liés par des intérêts communs. Les fonds, les armes et les ordres parviennent à ses combattants de manière détournée et opaque. Il y a presque invariablement plusieurs couches entre les auteurs d’une attaque revendiquée par le groupe et ses orchestrateurs et financiers ultimes. Étant donné qu’ISIS-K se dresse actuellement contre la Chine, l’Iran et la Russie – en d’autres termes, les principaux adversaires de l’empire américain – il convient de revenir sur les origines du groupe « parent ». Apparu apparemment de nulle part il y a un peu plus d’une décennie, avant de dominer les grands titres des médias et la conscience publique occidentale pendant plusieurs années avant de disparaître à nouveau, le groupe a occupé à un moment donné de vastes pans du territoire irakien et syrien, déclarant un « État islamique », qui émettait sa propre monnaie, ses propres passeports et ses propres plaques d’immatriculation. En outre, la Grande-Bretagne a mené en parallèle des programmes secrets coûtant des millions pour former les paramilitaires de l’opposition à l’art de tuer, tout en fournissant une assistance médicale aux djihadistes blessés. Londres a également fait don de plusieurs ambulances, achetées au Qatar, à des groupes armés dans le pays. Des documents ayant fait l’objet d’une fuite indiquent que les services de renseignement britanniques jugeaient inévitablement « élevé » le risque qu’Al-Nusra, ISIS et d’autres groupes extrémistes d’Asie occidentale perdent des équipements et du personnel issus de ces efforts. Pourtant, il n’existait aucune stratégie concomitante pour contrer ce risque, et les opérations se sont poursuivies à un rythme soutenu. Presque comme si l’entraînement et l’armement d’ISIS étaient précisément le résultat souhaité par le MI6. » (Extraits de l'article « Comment la CIA et le MI6 ont créé ISIS » de Kit Klarenberg) Ainsi cette armée fut aussi organisée par le wahhabisme de l'Arabie Saoudite soumise aux USA qui ont d'ailleurs fourni les armes en Syrie à Daech et à Al Qaida devenu en partie le Front Al-Nosra. Et le Mossad, la CIA et Daech sont donc souvent la même entité dont contre les ennemis désignés par Israël et les USA tels donc l'Irak, la Libye, la Syrie, mais aussi le Hamas, le Hezbollah, l'Iran. Ainsi l'armée irakienne fut ensuite inexpérimentée voire très affaiblie, et les conquête territoriales de Daech en furent facilitées à tel point que la capitale Bagdad faillit être prise, si la plus haute autorité religieuse d'Irak l'ayatollah Ali al-Sistani n'avait pas appelé au djihad comme résistance et si environ deux millions de personnes sunnites, chiites et chrétiens n'y avaient pas répondu. Or ces deux millions d'irakiens contre Daech ont seulement été soutenus par des armes et des généraux d'Iran. Il faut noter que depuis que Daech ne contrôle plus un territoire sur deux états, il n'est donc plus une nation mais est devenue une nébuleuse terroriste. Général Delawarde : « ISIS (DAECH) a été et reste un outil instrumentalisé par un duo fusionnel CIA-Mossad et parfois par le trio CIA-Mossad-MI6. » Comme depuis les années 40, la continuité du terrorisme étatique n'est donc pas surprenant, puisque à l'extérieur cela sert de corrosion contre certains Etats et à l’intérieur cela justifie de lois liberticides comme celles pour l'état d'urgence, le renseignement, la surveillance. Tout ceci prouve encore que le terrorisme est donc principalement étatique, même quand il se sert seulement d'organisations terroristes, en particulier lorsque ces dernières ont besoins d'une grande préparation pour réussir de grands attentats comme ceux de 2001 aux USA et de 2015-2016 en France, surtout que leurs membres ont généralement un petit QI. De même, il est unanimement reconnu que les premiers Talibans ont été soutenus par la CIA. Maria Zakharova, la porte parole du ministère des affaires étrangères russe a confirmé : « Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, sont derrière tous les groupes de type Daech, ils les ont créées. » Il faut noter qu'en 2011 la chaîne Al-Jazeera a été reprise en main par le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem ben Jaber Al Thani. Instantanément, elle s'est mise au service de l’Otan, dont elle devient le principal outil de propagande dans le monde arabe. Elle donne une vision partiale des conflits en Libye et en Syrie pour se transformer en chaîne de la Confrérie des Frères musulmans. D'ailleurs comme l'Arabie saoudite est un pion des USA, les Printemps arabes devaient servir à mettre des frères musulmans sous contrôle US au pouvoir en Égypte (ce qui a été le cas pendant un temps), Libye, puis Syrie. L’imam Youssef al-Qaradawi devient le prédicateur officiel de la chaîne. Il explique honteusement à ses auditeurs que Mahomet serait sans aucun doute aujourd’hui du côté de l’Otan. De l’occupation américaine de l’Irak, qui a eu lieu juste après la chute de Saddam Hussein, n’a apporté aucune trace de la démocratie que les Américains avaient promise au peuple irakien. Au lieu de cela, ce qui s’est produit réellement en Irak était le déchirement du pays par des conflits religieux, sectaires ou ethniques à travers la politique de diviser pour régner. Les actions terroristes sont venues hanter le pays. C’est dans ce contexte que le mouvement de résistance s’est développé pour faire face au danger qui faisait des ravages dans le pays. Quand Daech a fait son apparition en Irak, l’Ayatollah Ali Sistani, grand dignitaire des chiites irakiens, a émis un décret historique appelant le peuple à se soulever contre le groupe terroriste. Les forces populaires se sont unies à l’armée irakienne pour contrer les terroristes parrainés par l’étranger. En effet le flux de volontaires aboutit finalement à la formation des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi). Aidés et assistés par la République islamique d’Iran, les Hachd al-Chaabi se sont transformés rapidement en une entité puissante dans la lutte contre le terrorisme. Avec l’aide du général Qassem Soleimani, les Hachd al-Chaabi combattaient Daech sur plusieurs fronts, et ont libéré les grandes villes et se sont préparés pour la défaite finale de Daech. La République islamique d’Iran s’est précipitée à la rescousse des Irakiens et, une fois de plus, le général Qassem Soleimani y a donc joué le rôle central. Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. Les Américains ont essayé de revenir en Irak sous prétexte de lutter contre le terrorisme. Les choses ont pris de nouveau une tournure dramatique. Par conséquent l’Afghanistan représentait bien aussi un endroit stratégique pour les intérêts américano-sionistes, puisque jouant donc le rôle de voies d’acheminement des hydrocarbures de l’Asie centrale, permettant l'établissement de bases militaires américaines pour contrôler la région, et participant au développement d'un ennemi mondial perpétuel qu'est le terrorisme. Le terrorisme des premiers saoudo-talibans ayant amené l'invasion de l'Afghanistan par les américains a donc effectivement facilité la manipulation mondiale au profit des USA, provoqué toujours plus leurs ventes d'armes, et permis que le terrorisme wahhabite ou takfiriste puisse ne jamais disparaître totalement par preuve que des monarchies arabes pétrolières alliées des États-Unis participent à son financement. C'est à dire que certains spécialistes arabes et mondiaux affirment que le complexe militaro-industriel des États-Unis a manipulé le groupe Al-Qaïda pour le lier de près ou de loin aux terribles attentats du World Trade Center afin donc de pourvoir envahir divers pays musulmans pour contenir la Russie, l’Inde et la Chine, et bien sûr afin de contrôler une partie des voies d'approvisionnements en hydrocarbures entre le Proche-Orient et l'Asie, de voler leur pétrole et de vendre toujours plus d'armes. Cela fut d'autant plus possible sans l'opposition véritable de ces grandes puissances concurrentes. Mais suite au renouveau économique et militaire de la Russie puis aux nombreuses prises de territoire de la Syrie en 2015 par Daech synonyme de danger terroriste pour la Russie et de possible future annexion israélienne jusqu'au Grand Israël impie, cela prit en partie fin, surtout aussi avec la guerre en Ukraine. En effet ce temps d'attente par la Russie lui permit de finaliser certaines armes modernes comme ses DCA S-400/500, ses boucliers électromagnétiques, ses missiles hypersoniques et ses missiles pouvant détruire des satellites. Mais cela lui permit aussi essentiellement d'être assez forte économiquement pour tenir le coût de la guerre en Syrie puis d'affronter les sanctions actuelles liées à son intervention en Ukraine, et donc également la course aux armements, à leur livraison et à leur utilisation dans cette guerre face à l'union militaire de plusieurs pays qu'est l'Otan. Il faut noter que la course aux armements appauvrit les peuples et donc l'humanité, et qu'elle est à nouveau recherchée par les USA pour appauvrir la Russie comme contre l'URSS en 1980. Or suite à l'invention de la bombe atomique, la course aux armements sert en réalité seulement pour la défense, l'influence ou l'extension impériales, sous risque donc de s'effondrer économiquement, à moins de parvenir à vendre le surplus. De plus à la différence de la Syrie et de l'Ukraine, il faut comprendre que la Libye n’appartenait pas à Sa sphère de sécurité ni d'influence, comme le Proche-Orient n'appartient pas à la sphère de sécurité ni d'influence de la Chine ou de l'Inde, même si il le devient de plus en plus car c'est un centre mondial de pressions internationales. Ainsi comme la Russie aurait pu continuer à être encerclée par des fortifications, des aérodromes et des garnisons de l’OTAN en Ukraine normalement neutre, qui auraient travaillé à sa dégradation interne, elle a logiquement décidé sa démilitarisation, surtout qu'une attaque militaire contre les russophones du Donbass se préparait. Car les Américains ne veulent pas d’une guerre mondiale, ils pensent vaincre la Russie par la pression et la menace, dont car elle est le dernier pilier chrétien, militaire et énergétique fasse à l'empire américano-sioniste et au catholicisme institutionnel devenant une hérésie. Un discours du président Poutine évoque d'ailleurs que l'Occident détruit délibérément les normes morales et l'institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles (fondamentales), a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles (dont le dernier en Europe), et a une population partageant dans une grande majorité ce choix de même que la grande majorité des peuples du monde. Dans ce sens d'obligation chronologique, le début de la guerre en Ukraine organisée par les occidentaux, pour participer au grand reset ou espérer l'effondrement de la Russie, devait attendre le formatage des peuples occidentaux par la crise du covid, qui devait attendre les outils le rendant possible comme le smartphones répandus et le QR code. Selon Orwell, la guerre ne détruit pas l’adversaire, elle détruit les surplus et elle renforce le pouvoir de l’élite sur la masse affamée et abrutie, comme deux des sournois sens cachés du grand reset. Or comme selon le plan divin la souveraineté russe est divinement d'abord basée sur la vente de gaz, cela a donc heureusement permis à la Russie de freiner l'apparition du grand Israël interdit par Dieu et à de combattre cette innovation malfaisante gravement erronée qu'est l'islamisme politique destructeur et meurtrier de masse, qui devrait d'ailleurs s'appeler simplement terrorisme plutôt que terrorisme islamique, comme on ne fait pas d'amalgame avec les autres religions et les idéologies politiques même quand elles sont terroristes. Il faut noter que comme par son intervention en Syrie, la Russie avait donc aussi sauvé la Syrie, mais qu'en plus elle protège l'Iran, a autorisé la Corée du Nord à avoir la bombe atomique et supporte la Chine dont en ayant pris de front l'occident dominateur belliqueux, ces nations ne peuvent que soutenir la Russie en Ukraine. D'ailleurs la guerre en Ukraine devait servir à faire soulever tous les peuples non orthodoxes de la Russie pour la disloquer en sous pays facilement contrôlables, mais ces peuples comprirent au final l'importance essentielle de l'alliance avec la Russie contre l'Occident wokiste, lgbtiste, oligarchique et sioniste. Ainsi, nous assistons probablement à la fin de l'espoir des mondialistes de démembrer la Russie puis de dominer la Chine, malgré les difficultés des décennies précédentes. Pour le comprendre, nous devons rembobiner jusqu’en 1998, il y a 24 ans : l’économie russe était en ruine, la première guerre contre la Tchétchènie était pour l’essentiel perdue et l’Occident était occupé à piller ce qui restait de l’économie soviétique. Les sentiments séparatistes étaient même légion et le pays aurait pu s’effondrer à tout moment, réalisant ainsi le vieux rêve occidental de rayer la Russie de la carte politique. Mais l’Occident ne pouvait pas attendre et a décidé de donner un coup de grâce à la Russie en déclenchant la deuxième guerre de Tchétchénie. Et là, quelque chose a mal tourné : au lieu de l’ivrogne président Eltsine, Poutine est arrivé au pouvoir et a gagné la deuxième guerre de Tchétchénie. L’apparition de Poutine sur la scène mondiale a été une surprise totale pour l’État profond occidental, qui a alors réalisé qu’il avait besoin d’un tout nouveau plan pour détruire la Russie à coup sûr cette fois. L’objectif principal de ce nouveau plan était encore la poursuite de la domination mondiale des États-Unis, mais désormais suite au démembrement, à la dévoration et à l’engloutissement réels de leur principal adversaire géopolitique qu'est la Russie pour ensuite en finir avec la Chine. La Russie devait être contenue simultanément à l’ouest via l’Ukraine, au sud-ouest via la Syrie puis le Caucase et au sud via l’Afghanistan. Le commerce du pétrole et du gaz naturel de la Russie devait être perturbé, ses liens économiques avec l’économie mondiale rompus et sa politique perturbée par des manifestations internes. Cette déstabilisation états-unienne du Proche-Orient espère aussi au bout du compte une guerre permanente entre sunnite et chiite similaire à celle sans fin contre le terrorisme, puisque permettant aussi leur honteuses ventes d'armes indéfiniment puis donc leur exploitation des ressources des pays dans le chaos comme en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie, en sachant que lorsque les USA dominent une nations, ils l'obligent à acheter leurs armes pour entretenir leur puissance hégémonique basée économiquement beaucoup sur leur complexe militaro-industriel : Twaban (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Peu s'en faut que les nations ne se liguent contre vous à la manière de mangeurs se conviant à manger du même plat (pétrole et gaz du Moyen-Orient et Maghreb, comme le prouvent les guerre en Irak, Libye, Syrie et Palestine). » L'un des compagnons demanda : « Serons-nous en minorité ce jour-là, ô Envoyé de Dieu ? » « Non, vous serez nombreux, mais (sans plus de valeur) que l'écume charriée par un torrent (car divisés), et Dieu ôtera du cœur de vos ennemis la crainte que vous leur inspiriez et Il mettra de la faiblesse dans les vôtres », répondit le Prophète (SBDSL). Un autre demanda : « De quelle nature sera cette faiblesse ? » « L'amour de ce monde et la crainte de la mort (vous faisant oublier la défense des faibles, de la noblesse morale et de l'honneur du martyre) », finit le Prophète (SBDSL). Commentaire : Le hadith précédent semble montrer aussi qu'à la fin des temps, la piété et l'union des musulmans et pays musulmans par essence bénie seront logiquement nécessaires pour faire triompher la cause divine, même si cela provient du risque de destruction voire de la destruction du Moyen-Orient. C'est également dans ce sens que le pouvoir profond occidental lié à divers lobbies pervers et certains de leurs services spéciaux comme la CIA organisent divers foyers de tensions dans le monde. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que le complexe militaro-industriel, wall street et le judéo-protestantisme soient les composants principaux de l'Etat profond américain et du désordre international. Ce démoniaque pouvoir profond très nocif de l'occident souhaite donc aussi la destruction de l'islam, du catholicisme et du christianisme orthodoxe, car ces religions sont en opposition au laïcisme hyper consommateur de leur capitalisme libéral libertaire enrichissant seulement les très riches en particulier par l'usure. De plus cet internationaliste pouvoir oligarchique pervers cherche la maîtrise de divers territoires dont certains donc pour agrandir leur principale colonie qu'est Israël, devenu par rapport au monde leur capitale ou État leader, puisque permettant par la pseudo suprématie victimaire des juifs liée à la shoah de prétexter honteusement la belliqueuse et dominatrice politique internationale des américano-sionistes mondialistes, dans une forme donc d'instrumentalisation claire de cette shoah.
Afin d'amplifier cette orientation aux pays occidentaux lors des dernières décennies, diverses autorisations législatives furent données pour la création de chaînes d'informations privées partisanes, des groupes de réflexion ultra-libéraux subventionnés par les très riches leur permettant en plus de payer moins d'impôts apparurent, et des groupes de discussions avec des citoyens représentant la population furent organisés dont afin de plus facilement manipuler le peuple à accepter par exemple la guerre en Irak et en Syrie ou la Russophobie. Surtout que des sociétés privées type « behavioral insigts team (l'équipe d'analyse comportementale) » étudient la psychologie humaine pour modifier le comportement de la population, en particulier à travers les enfants, dont pour faire croire que l'autorité a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant être raccourci par une révolution comme il a déjà été vu. De plus avec les récentes découvertes scientifiques, les lois de plus en plus perverses amenant bientôt à valider la sélection des gênes pour le fœtus, la GPA et les utérus artificiels (mauvais pour les fœtus puisque perdant environ six mois d'éducation liée aux sensations, émotions, réactions, actions et langage et vie de la maman et de la famille mais aussi certaines vibrations du monde) voire les clonages, les élites mondialistes corrompues pourront créer des armées de serviteurs sous prétexte d'adoption, voire créer des êtres humains supérieurs qui n'hésiteront pas à faire disparaître les anciennes générations plus faibles. Tout cela confirme donc encore la nécessité urgente du retour d'un Califat bien guidé à travers l'union de tous les pays musulmans pour qu'il participe à l'assagissement du monde, surtout que défendant la religieuse loi naturelle, propageant la justice, combattant l'impiété de l'extrémisme et s'étendant sur des zones très riches en hydrocarbures et très stratégiques géopolitiquement dont vis à vis du commerce international et des nouvelles routes de la soie de même que la nouvelle route des indes, surtout que ces nouvelles routes sont des projets qui reposent logiquement sur la paix dans le monde, car en cas de zones de conflits guerriers nombreux, le commerce n'est plus une priorité. Surtout que selon l'analyste géopolitique français Bruno Guigue, le terrorisme ne s’est jamais aussi bien porté depuis que les USA prétendent le combattre, et les États souverains qui affrontent ce terrorisme pour de vrai (aujourd’hui comme hier) figuraient depuis longtemps sur la liste noire des faucons du Pentagone. Afghanistan envahi, Irak laminé, Libye pulvérisée, Soudan tronçonné, Syrie agressée, Iran sanctionné, Yémen affamé : la guerre contre la terreur est l’alibi d’une destruction méthodique des structures étatiques du « grand Moyen-Orient », pour reprendre l’expression de Michel Raimbaud. Selon Thierry Meyssan, le scénario US de la guerre entre l'Irak et le Koweït a d'abord permis d'appuyer la domination des USA au Moyen-Orient, puisque ayant finalement attaqué l'Irak dont suite à une alliance avec la plupart des pays de cette région sauf déjà la Syrie et la Palestine, puis un changement radical de politique eut lieu car ils voulurent ensuite déstabiliser toutes les institutions politiques du grand Moyen-Orient allant de l'Afghanistan au Maroc sauf Israël voire l'Arabie, afin d'empêcher le développement de toute cette région, d'y éviter l'apparition d'une grande puissance concurrente et donc continuer de la maîtriser dont en exploitant et contrôlant ses ressources en particulier avec des proxies comme Daech et Al-Qaïda. On ne comprend pas la politique occidentale dans la région si l’on refuse d’admettre que la guerre contre la terreur était en fait une guerre pour la terreur, destinée à perpétuer le chaos dans une partie du monde aussi riche en puits de pétrole qu’en peuples récalcitrants. Contrairement au discours convenu des chancelleries occidentales sur « notre ennemi mortel, l’islamisme radical » (discours destiné aux naïfs), les terroristes coupeurs de tête n’ont jamais causé le moindre tort à l’hégémonie US (ni à Israël), qui a précisément besoin de leur nocivité pour se perpétuer. En effet à la fois mercenaires et boucs-émissaires, les djihadistes en tous genres ont fourni des hommes de mains jetables à l’empire du crime. Ainsi progressivement, les États-Unis retirent leurs troupes des conflits où elles étaient engagées et y substituent des mercenaires djihadistes sur le terrain et des sanctions économiques synonyme d'une version moderne du siège médiéval. En effet ce que les arrogants, méprisants, despotiques et tyranniques dirigeants états-uniens échouent à faire directement ou par procuration militairement, ils veulent y parvenir en affamant population, femmes et enfants. Il s'agit d'un terrorisme économique quand il n'est pas militaire. C'est à dire qu'ils imposent des embargos ou des blocus qui sont des actes de guerres et établissent des sanctions économiques même vis à vis de leurs pays alliés qui passeraient outre leur politique perverse contre diverses nations ou régions particulières du monde. Alors que les sanctions sont plus destructrices que la guerre conventionnelle et affectent l’ensemble de la population du pays visé. A l'époque moderne, la thalassocratie s'est fait aussi beaucoup par les airs comme le prouve le nom de l'avion présidentiel US « Air Force One » représentant l'empire thalassocratique US et son arsenal militaire plus grand que celui du reste du monde dont donc particulièrement par son armée de l'air et ses nombreux porte-avions, sauf qu'avec les missiles hypersoniques c’est moins vrai. (Il s'agit donc de la guerre à mort de l'inégalitaire sans limite (anglo-américain, judéo-protestant et thalassocratique) car touchant donc aussi des civils, au contraire de la guerre conventionnelle de l'égalitaire raisonnable (Iran, Arabie, Russe, Chine, tellurocratie) évacuant les civils ou ne visant que des cibles militaires.) Ces actions stratégiques sont d'autant plus perverses qu'elles s'effectuent en dehors de tout droit international dans une forme de jungle animale opposée à l'humanisme qu'ils prétendent pourtant sournoisement défendre, surtout qu'elles ne sont pas dénoncées par des organisations comme l'ONU et l'OMC prétendant défendre la justice internationale, alors qu'elles sont pourtant plus graves que leur bombe nucléaire sur Hiroshima puisque 500 000 enfants irakiens en sont morts lors de l'embargo contre l'Irak à l'époque de Saddam Hussain. C'est pour ça qu'il est insupportable que la morgue moralisatrice des dirigeants occidentaux corresponde à l’écran de fumée qu’ils jettent complaisamment sur ces tas de cadavres dont ils sont responsables. C’est non seulement une insulte à l’intelligence des peuples qui les écoutent, mais surtout, et c’est de loin le plus grave, c'est une ignominie méprisante à l’égard des peuples qu’ils ont condamnés à la mort ou à la misère. Dans cette entreprise mortifère où le false flag est la règle et le bombardement aveugle le mode opératoire, de Kaboul à Bagdad, de Tripoli à Sanaa, et de Mossoul à Damas, les États-Unis battent tous les records, mais leurs supplétifs français et britannique, ces roquets de l’Empire, ne sont pas en reste dans l’exécution du crime de masse. Quel autre pays dans le monde outre ces trois-là peut se vanter d’avoir fait autant de guerres chez les autres dont par procuration, imposé autant de sanctions économiques, et déstabilisé autant de nations souveraines ? S’ils avaient une vague idée de ce qu’est le patriotisme, leurs citoyens descendraient dans la rue pour imposer la fin de cet acharnement criminel contre des populations qui ne leur ont rien fait, et dont certaines avaient même la candeur de croire aux valeurs usurpées par un Occident failli. Or suite à l'échec américain de contrôler selon la stratégie Mackinder le Heartland (environ les territoires de la Russie et proches de la Russie, ce qui montre l'importance essentielle de la Russie orthodoxe) par le contrôle du (ou d'une partie) Rimland (l’Europe et tous les territoires de l’Asie au sud de la Russie jusqu'à la l'océan indien et l'océan pacifique, en résumé les zones côtières de l'Eurasie puisque l'empire américano-sioniste est une thalassocratie) en partie avec leur influence en Afghanistan (dont toutes les guerres subies sont liées à cette volonté de contrôler le Heartland depuis que la géopolitique moderne existe, c'est à dire vers la fin du 19e siècle), Irak, Syrie, Géorgie, Ukraine et Caucase, les USA ont redéployé leurs forces selon la stratégie Spykman afin de contrôler le Rimland (côtes de l'Eurasie) dont en cherchant à contenir la Chine. Or l'axe russo-chinois dont à travers le BRICS et l'OCS (organisation de coopération de Shanghai) pourrait au final éjecter la puissance anglo-américaine du Rimland, c'est à à dire du littoral du Heartland (Asie voire Eurasie). Le professeur Michel Chossudovsky, directeur du Centre for Research on Globalization, rappelle que deux grands pays classés aujourd’hui comme ennemis des États-Unis alors qu'ils étaient pourtant leurs alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, sont ceux qui payèrent le plus haut prix en vies humaines lors de la guerre victorieuse contre l’Axe nazi-fasciste Berlin-Rome-Tokyo : environ 26 millions pour l’Union Soviétique (dont 7 millions de slaves morts dans les camps de concentration nazis) et 20 millions pour la Chine, par rapport à un peu plus de 400 mille pour les États-Unis. Avec ce préliminaire Chossudovsky introduit sur Global Research une étude documentée par James A. Lucas sur le nombre de personnes tuées par la série ininterrompue de guerres, de coups d’État et autres opérations subversives effectués par les États-Unis de la fin de la guerre de 1945 à aujourd’hui, parfois sous de faux prétextes humanitaire ou démocratique alors que principalement pour dominer les ressources, l'économie et la politique de diverses nations du monde : nombre estimé à 20-30 millions. Les États-Unis sont intervenus militairement (directement ou en participant) dans 29 pays après la Seconde Guerre mondiale, dont certains 2/3 fois. Le mondialiste Kissinger a d'ailleurs dit qu'il faut contrôler les ressources (militairement, financièrement ou monétairement) pour contrôler les nations. Ce nombre correspond au double environ des morts de la Première Guerre mondiale dont on a pourtant célébré à Paris le centenaire avec un « Forum de la paix », et qui fut la première guerre à échelle industrielle synonyme d'augmentation de la violence internationale puisque liée donc à l'apparition de l'industrie jusqu'à celles des arme, alors qu'aujourd’hui, la guerre devient plus électronique et technologique, comme quand il s'agit d'entraver ou hacker les drones, véhicules et bâtiments ennemis. (Comme le souligne Todd, «la guerre moderne sans industrie est un oxymore». C'est pourquoi la production d'armes par la Russie industrialisée et en avance technologique domine sur le terrain ukrainien l'Occident en grande partie désindustrialisé.) Ce qui explique aussi pourquoi avec ses usines, ses machines, le travail à la chaîne, la forte augmentation de la différence dans les revenus et ses guerres, l'ère industrielle amena une violence sociale beaucoup plus importante qu'avant, et qui montre que le prétendu positivisme supérieur de la raison et de la technique sans Dieu depuis 1789, s'est arrêté brutalement en 1914, tout en dépassant le nombre de morts dans ses guerres entre les idéologies athées, laïques ou démocrates, par rapport aux nombres de morts dans les guerres de religions. Ainsi il paraît logique de retourner vers les règles christiques, surtout qu'avec la découverte de la très mystérieuse physique quantique, le rationalisme athée qui était lié à la science basée sur les causes et effets ne peut que retourner retourne vers l'idée de la foi et de la science spirituelle. Or en plus de ce nombre de morts, il y a les blessés qui souvent se retrouvent infirmes : certains experts calculent que pour chaque personne morte en guerre, 10 autres sont blessées. Ceci signifie que les blessés provoqués par les guerres étasuniennes se montent à des centaines de millions. À cette estimation dans l’étude s’ajoute un nombre non quantifié de morts, probablement de centaines de millions, provoqués depuis 1945 jusqu’à maintenant par les effets indirects des guerres : famines, épidémies, migrations forcées, esclavagisme, exploitation, dégâts environnementaux, soustraction de ressources dont alimentaires et énergétiques pour couvrir les dépenses militaires. L’étude rapporte également les guerres et les coups d’État effectués par les États-Unis dans plus de 30 pays asiatiques, africains, européens et latino-américains. Elle révèle que les forces militaires USA sont directement responsables de 10 à 15 millions de morts provoqués par leurs plus grandes guerres : celles de Corée et du Vietnam, et les deux contre l’Irak. De plus elle précise qu'entre 10 et 14 autres millions de morts ont été provoqués à travers les guerres de forces alliées, armées, entraînées et commandées par les USA, en Afghanistan, Angola, Congo, Soudan, Guatemala et d’autres pays. Le coup d’État le plus sanglant fut organisé en 1965 en Indonésie par la CIA, organe étatique des USA prétendument défenseur de la démocratie et du Bien : elle fournît aux escadrons de la mort indonésiens la liste des 5 000 premiers communistes et autres à tuer. Le nombre des gens assassinés à cause des USA y est estimé entre 0,5 et 3 millions. « Les politiques américaines sont basées sur la menace ! L’esprit des dirigeants américains est forgé dans le bluff, l’arrogance, l’égocentrisme, la cupidité et l’insolence! Leurs guerres sont toujours légitimes. En Ukraine, c’est la faute à la Russie; au Moyen-Orient, c’est l’Iran et pour toutes les autres, ils trouvent un alibi. Ils nient les causes et le principe selon lequel tout ce qui est construit sur l’illégalité est illégal. L’absurde politique hégémonique anglo-américaine est claire. Que font-ils en Irak, en Syrie et ailleurs? Ils annoncent des «lignes rouges» tout en exacerbant les situations pour justifier une intervention qui entraîne des ripostes, suivies de représailles ‘‘limitées’’, disent-ils. Ils usent de tous les stratagèmes pour provoquer en déniant aux victimes le droit de se défendre! Ils bluffent pour réussir sans coût. Ils voudraient bien frapper l’Iran, mais c’est dangereux, pour l’existence d’Israël et pour leurs intérêts dans la région. Ils organisent des ‘dissidences’ (El Qaida, Daech etc.) contre des pays pour les déstabiliser, mais quand une faction, se retourne contre eux, ils décident de la classer « terroriste » en aidant ces mêmes pays à les combattre ! Ce que les Anglais ont fait en Afrique et ailleurs, les Néerlandais en Afrique du Sud, les Allemands en Namibie et les Français en Afrique, les États-Unis partout, avec l’esclavage, la colonisation suivie de massacres, est identique à ce que font les sionistes. Soutenir Israël n’est autre qu’une attitude conforme à leur tempérament raciste! La 1ère et la 2ème guerre mondiale, pour citer les plus visibles entre Européens, ne sont que l’aboutissement de leur inhumanité. Les sionistes d’Israël, n’ont fait que montrer une énième fois au monde qu’ils ne sont qu’une entité bizarre, indécente, génocidaire et qu’ils doivent payer, un jour, leurs méfaits. Qui aurait pensé qu’un pays, ayant précisément subi l’apartheid, brise un tabou en accusant «l’armée la plus morale» de génocide envers un peuple en déposant une plainte auprès d’une juridiction internationale, même vue comme douteuse à l’image de l’ONU et ses satellites, pour avoir cédé à l’instrumentalisation, surtout anglo-américaine. Le rôle des anglo-américains au sein des organisations «internationales» est crucial pour leur hégémonie. Presque tout se manigance à travers elles, même les ‘‘véto’’ sont ignorés. Ces organisations ne sont plus qu’un alibi sans effet sur l’équilibre mondial et les préventions des conflits. Elles sont devenues un instrument de domination. Prenons la CIJ qui est d’actualité. Le monde sait que la plainte contre Israël va au mieux donner un résultat équivoque. La décision finale sur les allégations de génocide, pourrait sinon prendre des années ! Cette affaire va rester, toutefois, une grave accusation qu’ils porteront à vie, une tache indélébile, même par conjecture, mais que le monde voit comme des faits avérés! Or lors d’un bref discours, Netanyahou «fils de la lumière contre les fils des ténèbres», ne compte pas se plier aux décisions de la CIJ. Il l’annonce ainsi : «Personne ne nous arrêtera, ni La Haye, ni l’axe du mal, ni personne d’autre». Dans cette région, les USA ont toujours misé sur Israël en y associant leurs intérêts. Les réactions démoniaques d’Israël au ‘‘7 octobre’’ ont anéanti ce mythe d’invincibilité et de bonne moralité de Tsahal, mettant à nu son véritable visage diabolique. Une étincelle a suffi pour voir qu’Israël n’était qu’un ballon gonflé au gaz toxique. Une légion étrangère permanente en terre arabe, comme les légions arabes, temporaires, représentées par les Frères Musulmans, Al Qaida, EI, Daech… au service de leur «Nouvel Ordre Mondial». Les voilà avec plusieurs fers aux feux : en Ukraine, en Palestine, en Syrie, en Irak, au Liban, au Yémen, à Taiwan et probablement d’autres pays dans l’expectative, en plus de leurs problèmes intérieurs. La politique américaine n’a jamais été raisonnable, ni rationnelle ! Elle est toujours basée sur la négation, la prédation et la domination. Qui s’y rapproche d’elle, quelle que soit sa bonne volonté, il s’y pique gravement ! On ne cherche pas du miel du ‘derrière’ d’un frelon ! Son sophisme et son nihilisme sont incompatibles avec la raison et la morale. Imposer, par les menaces et les guerres, son ‘‘format’’ au reste du monde en portant à son paroxysme le ressentiment et la vengeance ne peut mener qu’aux catastrophes. «Avec le nihilisme, pas de discussion possible; car le nihiliste logique doute que son interlocuteur existe et il n’est pas bien sûr d’exister lui-même» (V. Hugo). » (Extraits de l'article « Absurdités anglo-américaines au milieu du génocide des Palestiniens » d'Amar Djerrad)
Ainsi quand on prend du recul et qu’on observe la démocratie, cette dernière a rasé Dresde, Nantes, Berlin, Nagasaki (ville chrétienne) et Hiroshima (ville chrétienne), bombardé la Serbie, la Croatie, l’Irak, la Libye et la Syrie. Ce qui est étonnant, c’est que cette démocratie laïciste est encore considérée comme supérieure moralement. Ainsi de nos jours, les intérêts américano-sionistes dans leurs opérations militaires sont toujours perversement d’ordre financier, politique et hégémonique. Depuis le début de 21e siècle, le contrôle des hydrocarbures, l'ingérence dans la politique étrangère, l'usure endettant les nations, le dollar oppressant les économies, la laïcité affaiblissant le niveau moral des gens et la vente d'armes détruisant des villes sont encore la priorité pour tenir leur domination par le chaos chez les autres. L'occident est malade de la perversité et la violence, intérieures et extérieures, mais aussi malade tout court, malade de son système social défaillant : l’élimination des plus faibles est inscrite dans le logiciel néolibéral lié à l'impie darwinisme associant perversement la sélection naturelle à la société humaine et étant donc aussi nazi par essence. Macron, Trudeau, Lagarde ou Leyen ne sont en théorie pas des nazis, ce sont même des soi-disant antinazis. Sauf que leur politique est une politique de ségrégation sociale, de répression violente, de peurs administrées et donc de tensions nationales plus que raciale, au profit exclusif du suprémacisme élitaire allié au wokisme ploutocratique qui doivent ainsi être renvoyés dos à dos, car ce sont donc les deux faces d’une même pièce pire que le nazisme, truquée et fabriquée pour séparer les gens afin de dominer les peuples. Encore un coup du Diable. De plus pour le profit des avides et perverses oligarchies très riches, les terrorismes climatique, bancaire, religieux, lgtbiste, sanitaire, guerrier et inflationniste servent également à dévier la colère des peuples face à la mise en place de lois antisociales, sécuritaires et asservissantes économiquement. Or elles prennent aussi particulièrement le pouvoir sur les états par leur corruption de politiciens et par des organisations ou lois commerciales supranationales avec des traités internationaux. En effet cela participe à leur domination dont par l'argent et surtout par le dollar créé ex-nihilo au sein de la FED, Ainsi cela semble impossible à combattre économiquement tant que les nations restent dans le système de cet empire impie, surtout sans une union de tous les vrais musulmans, chrétiens et peuples honnêtes dans un système financier d'investissement licite pourquoi pas avec des blockchains, des cryptomonnaies et des monnaies fiat numériques basées sur une charte digne voire monothéiste. C'est à dire qu'avec les banques centrales privées créant ex-nihilo des lignes de comptes et donc de l'argent sans rien produire et devant en plus êtres remboursés avec des intérêts par les peuples, rien que cette réalité devrait être cause de révolution. D'ailleurs si l'Iran, l'ancienne Syrie et la Corée du Nord appartiennent aux pays les plus opprimés mondialement, c'est parce qu'ils n'ont pas de banques centrales appartenant aux Rothschild. Surtout que si rien n'est fait dans ce sens pour diminuer l'étendue de la domination impie de l'empire américano-sioniste, la situation mondiale évoluera inévitablement vers l'apparition d'un système presque planétaire de l'antéchrist basé sur le mondialisme économique, une monnaie unique, le laïcisme, le wokisme, l'usure, la dette, le pouvoir des banques privées, et des sommes astronomiques d'argent thésaurisé dans les Paradis fiscaux. C'est à dire que le pouvoir planétaire serait géré par un consortium du privé, possiblement sous forme d'énormes conglomérats nationaux ou/et multinationaux d’oligarques par secteur ou multi-secteurs économiques comme le prouvent déjà les énormes conglomérats de fonds d'investissement que sont Black Rock et Vanguard. « Les puissances financières, telles que les fonds d’investissement BlackRock et Vanguard, contrôlent en grande partie l’économie mondiale et ont une influence considérable sur les décisions politiques. En ce qui concerne Emmanuel Macron, Claude Janvier affirme que le président français est conseillé par des personnes liées à ces puissances financières, ainsi que par des réseaux d’influence tels que le groupe Bilderberg et la Commission trilatérale. Ces réseaux rassemblent des personnalités politiques, économiques et médiatiques influentes, qui œuvrent ensemble pour promouvoir leurs intérêts communs. Ainsi, pour Claude Janvier, Macron est loin d’être un dirigeant indépendant et souverain, mais plutôt une marionnette aux mains de ces puissances financières et de ces réseaux d’influence. Le conflit russo-ukrainien, qu’il préfère qualifier de conflit russo-otanien via l’Ukraine, a mis en lumière la position de chef de guerre d’Emmanuel Macron. Depuis le début de l’opération spéciale de la Russie en Ukraine, le président français s’est positionné en soutien indéfectible de l’Ukraine, allant jusqu’à demander au gouvernement de faire une déclaration relative à l’accord bilatéral conclu avec ce pays. Claude Janvier souligne que cette situation est d’autant plus surprenante que la France n’a jamais autant dépensé pour soutenir une guerre, alors que les retraites et le SMIC ne sont pas valorisés. De plus, l’envoi de troupes au sol en Ukraine n’est pas exclu par Emmanuel Macron, une position qui a fait bondir certains responsables politiques, mais qui semble tout de même faire consensus au sein de l’UE et des États-Unis. Claude Janvier dénonce l’influence des puissances financières colossales sur les dirigeants du monde et la situation en Ukraine, qui soutient des groupements néonazis et un héros national pro-nazi. Selon lui, les intérêts économiques et politiques passent au-dessus des idéaux humains, et l’opposition politique est contrôlée, voire achetée. Seuls les groupuscules souverainistes et prônant la sortie de l’Europe et de la finance internationale s’opposent réellement à cette situation. » (Article Média en 4-4-2) Ainsi, ce système occidental mondialiste appartient à très peu d'humains en plus anonymes par la juridiction actuelle et cristalliserait le pouvoir politique, tout en facilitant l'accaparement excessif contraire à la civilisation et en se rapprochant donc d'un monopole injuste comme c'est déjà le cas, c'est à dire sous formes d'énormes fusions multiples ou de multinationales gestionnaires d'énormément d'actifs type donc Blackrock et Vanguard, telles des supers structures économiques internationales tendant vers le chantage du supranational sur la souveraineté des pays. Cette dystopie est presque déjà en cours puisque l’individu moyen tend de plus en plus à travailler que pour survivre, plutôt qu'afin de accumuler des richesses pour développer l’avenir. A Hong Kong, territoire indépendant où la moitié des sièges à la législature doivent représenter des intérêts commerciaux, c'est déjà le cas puisque les intérêts des entreprises privées « font la Loi ». Les grandes banques et transnationales privées pourraient même racheter tous les Etats dont occidentaux prochainement en faillite en les unissant dans une gouvernance globale, en faisant de leur PDG des ministres permanents et en transformant les présidents nationaux en députés mondiaux, possiblement par une organisation internationale basée en Israël similaire à l'assemblée de Union européenne. Hong Kong est un centre financier majeur mais également un foyer non moins important de délinquance financière, ce qui prouve encore la nécessité de blockchains décentralisées mais surveillées par l'Etat ou centralisées mais surveillées par des comités populaires synonyme de totale transparence purifiant l'économie et donc le monde. Entre 2013 et 2017 à Hong Kong, le nombre de transactions suspectes signalées aux forces de l’ordre est passé de 32 907 à 92 115. Pourtant malgré cette preuve d'augmentation de la corruption, il y a eu une baisse des poursuites puisqu'elles sont passées d’un maximum de 167 en 2014 à 103 en 2017, dont avec une seule personne condamnée à plus de six ans de prison. C'est pourquoi un chef d’État doit être en dehors du privé et du peuple pour gérer au mieux dans un juste milieu les intérêts de chacun dont de l’État, afin d'empêcher la corruption. Selon les prédictions du blogueur américain Jared Brock dans son billet du 16 novembre 2021 sur le portail d’opinion libéral Medium, au moins une centaine sinon plus de nouveaux États apparaîtront au cours des cent prochaines années. Cela proviendra probablement de la fragmentation de grands pays très endettés. Même si cette dernière thèse fait écho à l’idée de Klaus Schwab de concentrer les pouvoirs du gouvernement mondial dans les sociétés transnationales, l’idée de Brock la contredit essentiellement : ce sont les États qui resteront les détenteurs de la souveraineté mais en étant dépendantes de ces sociétés transnationales. Or les dirigeants étant généralement élus après une campagne politique financée par des banques et entreprises supranationales, cela reviendrait au même. Ainsi une énorme société d'investissements comme BlackRock domine peu à peu les états et devient probablement inarrêtable par son poids planétaire de risque systémique, puisque gérant quotidiennement 18 mille milliards de dollars d'actifs mondialement (montant proche de la production annuelle des Etats-Unis) avec leur intelligence artificielle « Aladdin ». Ce logiciel beaucoup plus développé qu'un algorithme effectue 200 millions de calculs quotidiens sans aucune intervention humaine afin de conseiller des placements, parvient apparemment à reconnaître utilement les titres toxiques et peut donc vérifier l’état de grandes banques mondiales, la stabilité d'une entreprise dont multinationale et les projets économiques sérieux dans une forme de noblesse s'il est donc sagement utilisé. Cependant cette société n'hésite pas à engager d'anciens responsables politiques, à prôner la wokisme dont sous forme de menace aux entreprises neutre concernant cela et à investir bassement dans l'armement, dans la sécurité de fonds de retraites alors qu'appartenant normalement aux États et dans des secteurs comme l'énergie verte pour leur image alors qu'ayant des parts dans des sociétés polluantes. De plus cet algorithme recherchant d'abord le rendement, et donc l'argent et donc la cupidité avant l'humain, prouve aussi la perversité de cette entreprise et celle de l'évolution du système commercial et financier dont aussi à travers le trading à haute fréquence pouvant faire détenir une action seulement une micro seconde. BlackRock appartient aux trois plus gros fonds d'investissement états-uniens, actionnaires majoritaires dans 90 % des 500 plus grandes entreprises de leur pays. La propriété commune amenant à des monopoles injustes est donc la règle immorale et non l'exception, surtout que des contre expertises malhonnêtes défendent cette domination dangereuse pour les pays puisque spéculant aussi sur les faibles. En effet généralement par des fusions, des énormes sociétés parviennent presque à des monopoles (capitalisme de copinage, dictature économique) et peuvent ainsi cupidement contrôler les prix d'un marché (même de denrées et produits de première nécessité) ou de loyers, et même donc appauvrir les peuples. Mais heureusement des populismes bien compris se réveillent de plus en plus à travers le monde, car ils savent que leur problème principal devient donc l'ascendant de l'avide finance internationaliste sur la démocratie nationale. Ceci est confirmé par le milliardaire américain Warren Buffet ayant déclaré : « Il existe bel et bien une guerre des classes, mais c'est ma classe, la classe des (très) riches qui fait la guerre et c'est nous qui la gagnons. » L’État, sous l’impulsion de l’occupant néolibéral, ce ver dans le fruit de la nation, s’affaiblit donc pour la majorité des Français. Il perd son caractère protecteur, tout en devenant de plus en plus répressif. Dans le monde animal, hormis le moment de la prédation, c’est la bête blessée qui est la plus dangereuse. La violence d’État, illustrée par la sauvage répression des Gilets jaunes et celle toute fraîche des anti-retraites à 64 ans, n’a pas de limite. Les dominants sont décomplexés, ils envoient des éléments policiers ultraviolents frapper et humilier des innocents. L’État-providence a disparu, il ne reste plus que l’État-violence. La clique néolibérale rothschildienne (Pompidou, Balladur, Sarkozy, Macron, tous sont passés par la grande maison) a transformé l’État en ennemi du peuple, qui a perdu toute souveraineté. Le peuple n’est plus associé d’aucune façon au pouvoir. Et quand le peuple remet cet État-là en cause, alors il est accusé de s’en prendre à la démocratie. Le piège est parfait : l’opposant est transformé en ennemi (d’État), et se retrouve automatiquement fascisé. Même fonctionnement chez les sionistes qui, dès lors qu’ils sont critiqués idéologiquement, sortent le bouclier de l’antisémitisme. La démocratie est devenue le bouclier de l’occupant, qui détient le monopole de la parole, de la vérité, de la finance et de la violence. Les gens réveillés subissent une triple attaque par la grande masse des ignorants, l’armée des manipulés et la poignée de manipulateurs. Pourtant en Europe, la fortune des milliardaires a augmenté de 14 % pendant la crise sanitaire de 2020. Oxfam révèle que les « sept premiers milliardaires français possèdent plus que les 30 % les plus pauvres ». Avec la crise du Covid, la France, par son endettement extérieur, a injecté beaucoup d’argent dans les marchés. L’augmentation des Bourses profitant aux actionnaires très riches est tout simplement l’évolution de la quantité d’argent et du volume de dépenses dans l’économie. Dans ce sens, la guerre et l'inflation sont la continuation de la dette par d’autres moyens. L’indice boursier actuel suit donc en réalité l’évolution de la masse monétaire. Nous sommes dans un système corrompu (lié au banques, à la finance et au grand patronat) qui favorise donc beaucoup et exclusivement le développement des très riches au détriment de la souveraineté nationale. D'ailleurs les français ont 15 000 milliards d’épargne, et cet argent qui dort, l’oligarchie financière a très envie de l'emprunter,et pas sûr de la rembourser. Mais nos dirigeants ne paieront jamais la dette, elle est trop utile pour la Banque, qui vit grassement dessus. Accessoirement, l’argent de l’épargne nationale permettra, sous couvert d’investissements dans l’industrie de l’armement, de payer la facture de la dette à la Banque, soit bientôt 100 milliards par an. Et d’ici 2030, comme le propose Macron, ça va être explosif, plus de 500 milliards ! Or un système ne fonctionne que si l’ensemble des décideurs partagent les mêmes intérêts. Ainsi ce ne peut plus être le cas depuis la globalisation favorisant aussi beaucoup les très riches, c’est-à-dire depuis la délocalisation industrielle vers l’Asie, des lois économiques supranationales et la disparition des classes moyennes qu’elle a provoquée en occident. Fritz R. Glunk, éditeur allemand de Die Gazette précise : « Ces "forces de l'ombre (très riches)" se composent de représentants de groupements industriels et économiques. Elles établissent entre elles des règles en vigueur à travers le monde qui ont pratiquement force de loi. Les parlements en prennent note sans les discuter ni prendre de décisions. » Selon ce dernier, la raison d'être de ces groupes et de leur influence de l'ombre, dont l'opinion publique ne se doute même pas, sont argumentées par la thèse selon laquelle les problèmes universels qu'ils traitent sont devenus si complexes que seuls des experts, et non les élus du peuple, peuvent s'en occuper. Les spécialistes relèvent qu'il s'agit là d'une sorte d'«expertocratie» qui assied son pouvoir sur l'idée erronée, perverse et humiliante, que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à « ceux qui savent », c'est à dire les élites oligarchiques mondialistes, le soin de conduire les affaires publiques. Or une ploutocratie servira toujours principalement les intérêts des très riches. Ainsi la période révolutionnaire que nous vivons est originale en ce sens que c’est le pouvoir qui s’en prend visiblement au peuple, et pas l’inverse. On avait l’habitude que le néolibéralisme s’attaque aux acquis dont sociaux du CNR (Conseil National de Résistance, duquel provient EDF, AGF, Sécurité sociale, ce qui prouve qu'il a recherché l'équilibre entre le national, le libéral et le social) avec l’axe des vendus Fabius-Sarkozy-Hollande-Macron, mais le pouvoir avançait masqué, en prétextant que c'était lié à la mondialisation plutôt qu'à leurs actions. Petite remarque : le Conseil national de la refondation établi sous Macron, ou CNR, c’est le moyen vicieux de remplacer par le vol de ce terme ce bon vieux Conseil national de la résistance, le vrai CNR, qui a construit ces fameux services publics au service de tous les Français, que la bande à Macron & Kinsey est en train de détruire aujourd’hui par ce pervers homonyme humiliant, et donc d'empêcher la (contre-)révolution populaire. Il faut noter que selon l'avis intéressant du gendarme François Dubois, le CNR devrait être composé de ceux qui veulent le Frexit, les valeurs traditionnelles (ou naturelles), l'équilibre géopolitique multipolaire, le patriotisme, un projet national commun pour tous les français. D'ailleurs comme lors du comité national de la résistance face aux allemands, il n'y avait momentanément plus de divisions comme les royalistes ou les communistes, car tous furent d'abord patriotes, il faut la même attitude contre les actuels traîtres à la nation. Rien n’est anodin en Dystopie, surtout quand elle est basée sur l'inversion des valeurs. C'est pourquoi le projet de comité de salut du peuple (CSP) lié au capitaine Juving-Brunet est aussi intéressant, de même que les assemblées constituantes communales d'Etienne Chouard, le parti politique de Francis Lalanne, le Mouvement Politique Citoyen de Philippe Murer cherchant à fédérer les souverainistes, améliorer la société française par des propositions de citoyens et permettre le RIC, et les possibles futurs assises de la résistance de Richard Boutry et Maître Carlo Alberto Brusa. En sachant que c'est d'abord les rapports de force et le réel qui nous sauveront, puis éventuellement le droit, et que la monarchie parlementaire et le califat parlementaire semblent le mieux à notre époque, dont en autorisant le chef politique à trancher dans certains cas comme une majorité trop faible, même en cas de république chrétienne ou république musulmane et donc de président élu. Puis une guerre de cinquième génération se servant d'aide extérieure (possiblement russe, ou même américaine multipolaire quoique les USA ont toujours été dominateurs) devrait avoir lieu pour financer un contre-pouvoir organisé, solide et puissant, qui devra ensuite évidemment prendre sa propre voie. Aujourd’hui, les attaques sont directes, sous la ceinture, vicieuses, violentes, voulues. Et tous les jours, les têtes des violeurs de la Liberté et de la Patrie s’affichent dans des médias de plus en plus honnis. Surtout qu'avec la crise des subprimes, les gilets jaunes éborgnés, la crise du Covid et la fraude gigantesque contre la victoire de Trump lors des élections présidentielles de 2020 au vu et au su de tous tel un réel coup d’État, le pouvoir profond corrompu ne se cache vraiment plus. On est en plein bras de fer et ce n'est pas près de se terminer. En effet par exemple les Français résistants ne sont pas près de lâcher tant l’anti-France les a exploité. Comme beaucoup de sociétés médiatiques sur internet ayant censuré de nombreux utilisateurs, Bill Gates a même suggéré l’utilisation de l’intelligence artificielle pour censurer en temps réel les commentaires publiés en ligne. Or comme semble l'avoir montré « Télégram », les interdictions se font aussi probablement désormais à cause de lois locales, puisque ce réseau social a fermé en France des chaînes traitant de la Russie, l’Ukraine et la Palestine, alors que cette nation et toute l'Union Européenne se prétendent démocratiques et défenseuses de la liberté d'expression : « Ces actions draconiennes pourraient être liées à la récente directive de l’Union européenne, la DSA, visant à réglementer le contenu en ligne. Si tel est le cas, cela soulève des préoccupations sérieuses quant à l’avenir de la diversité médiatique et de la liberté de la presse dans l’espace numérique européen. Parmi les chaînes touchées, nombre d’entre elles traitaient des sujets sensibles tels que la Russie, l’Ukraine et la Palestine. La liste des chaînes touchées continue de s’allonger, laissant entrevoir une tendance inquiétante. Dans ce contexte, les défenseurs de la liberté d’expression et les militants des droits numériques appellent à une vigilance accrue. La censure rampante sur les plate-formes en ligne ne doit pas être ignorée ou minimisée. Elle représente une menace sérieuse pour les valeurs démocratiques fondamentales et nécessite une réponse collective et déterminée. » (Média en 4-4-2) « La France veut même forcer Telegram et Signal à installer des portes dérobées pour accéder aux messages chiffrés. Face à cette exigence, les deux géants menacent de quitter le territoire. Le préfet de police Laurent Nuñez réclame un accès aux communications cryptées, invoquant la lutte contre le crime organisé. Mais Pavel Durov, patron de Telegram, et Signal, refusent de compromettre la sécurité de leurs utilisateurs, brandissant la menace d’un départ. Un débat explosif qui oppose protection nationale et droit à la vie privée, tandis que l’Europe semble s’enliser dans une surveillance généralisée. La question reste : jusqu’où l’État peut-il aller sans sacrifier nos libertés fondamentales ? (Alors qu'on ouvre pourtant pas le courrier écrit.) » (Média en 4-4-2) Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a dévoilé en août 2024 avec regret que son entreprise, Facebook, avait été soumise à des pressions répétées de la part du gouvernement américain pour censurer certains contenus liés à la pandémie de Covid-19. Cette révélation, contenue dans une lettre adressée à Jim Jordan, président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, a provoqué une onde de choc dans le paysage médiatique et politique. Mark Zuckerberg révèle que Facebook a été incité par le gouvernement à restreindre certains contenus liés au Covid-19. Les républicains considèrent cette révélation comme une victoire pour la liberté d'expression. Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions le fait que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plateformes internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public. Il est pourtant interdit à la CIA de cibler le public américain. Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignements espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses. Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire et totalitariste. Et cette très diversifiée guerre cognitive se fait souvent au profit du mondialisme corrompu d'ultra riches et des versions officielles souvent fausses de ses gouvernements et donc Etats occidentaux, alors que ces réseaux sociaux se prétendent démocrates et privés. De plus ces réseaux sociaux peuvent aussi être comparés aux grands médias du système qui sont passés de chercheur et diffuseur d'informations à fabricants d'informations puis à faiseurs d'opinions. En effet les services d’espionnage et de manipulation numérique ne se contentent même plus de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents, puisqu'ils diffusent aussi de plus en plus de la propagande dans certains groupes de la population. Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais elles peuvent clairement se faire par de faux comptes ou par des trolls. Tout le monde a entendu parler des robots ou « bots » qui viennent donner une dimension industrielle à « l’astroturfing », c’est-à-dire la simulation d’un mouvement d’opinion spontané afin d’entraîner les peuples dans des directions qu’ils ne prendraient pas d’eux-mêmes. Les bots et les fakes peuvent donc être utilisés pour amplifier des messages ou des idées, en créant l’illusion d’un soutien populaire ou d’un consensus. Ces Bots peuvent aussi servir à décrédibiliser des idées, des analyses et des outils de dissidents, mais aussi de sujets importants, et donc en même temps pousser à la fin de l'anonymat sur les réseaux sociaux, ce qui irait à contre-sens de la liberté originelle d'internet par rapport au système actuel souvent basé sur le mensonge et la manipulation, puisque pouvant ensuite mener à une tyrannie. Ils peuvent donc également être utilisés pour discréditer des individus ou des groupes en diffusant de fausses informations à leur sujet. Il faut être conscient de ces tactiques et se rappeler que les gouvernements peuvent également utiliser des tactiques de désinformation pour influencer l’opinion publique. Il est donc important d'être vigilant et de faire preuve de discernement dans la consommation d’informations. L'affaire NewsGuard, qui a récemment éclaté grâce à l'intervention d'Elon Musk, soulève encore des questions cruciales sur la relation entre l'Union européenne et l'État profond américain, ainsi que sur la censure en ligne et ses implications pour nos libertés. « Elon Musk a déclaré en juillet 2024 : « La Commission européenne a proposé X un accord secret et illégal : si nous censurions discrètement les discours sans en parler à personne, ils ne nous imposeraient pas d’amende. Les autres plateformes ont accepté cet accord. X ne l’a pas fait. » Avec plus de 112 millions d’utilisateurs actifs mensuels en Europe, X occupe une place centrale dans le débat public et la diffusion de l’information en temps réel. Cette accusation met gravement en cause l’intégrité et la transparence des institutions européennes. Elle soulève également des questions cruciales sur la liberté d’expression et la censure dans l’espace numérique. La censure non divulguée porte atteinte au débat public et aux fondements de nos démocraties. Des procédures légales sont actuellement en cours contre X pour non-respect des réglementations numériques, avec des sanctions potentielles à la clé. Musk a ouvert un débat essentiel sur la transparence et la responsabilité des médias sociaux et des institutions régulatrices. Les accords de censure secrets révèlent une dérive inquiétante vers un contrôle total de l’information, manipulant l’opinion publique, influençant la politique et menaçant la liberté d’information et notre démocratie. De l’UE du chantage à l’UE de la censure, il n’y a qu’un pas. Le Digital Services Act (DSA) était censé protéger les consommateurs européens, mais il semblerait qu’il soit en train de les sanctionner. » (Média en 4-4-2) Suite à une nouvelle tentative de Thierry Breton de brider la liberté d’expression sur X en août 2024, le réseau social d’Elon Musk. ce PDG de X a déclaré : « La Commission européenne fait preuve de condescendance à l’égard des citoyens des pays européens, en suggérant qu’ils sont incapables d’écouter une conversation et d’en tirer leurs propres conclusions ! (Zuckerberg a d'ailleurs aussi mis fin au fac-cheking sur Meta.) » « Elon Musk a joué un rôle clé dans la fermeture du Global Engagement Center (GEC), une agence fédérale américaine créée pour lutter contre la désinformation étrangère. Cette fermeture, due à un manque de financement, a été saluée par les républicains et critiquée par les démocrates. Elon Musk avait accusé cette agence de censure et de surveillance des citoyens américains, ce qui a contribué à sa dissolution. Le PDG de Tesla et SpaceX a également montré son soutien à des mouvements politiques en Europe qui prônent la sortie de l’Union européenne. Il a rencontré Nigel Farage, figure emblématique du Brexit, et a promis un soutien financier à son parti. De plus, il a exprimé son soutien à l’AFD en Allemagne, un parti qui milite pour le « Dexit ». Ces actions ont suscité des réactions vives, notamment de la part de l’ancien commissaire européen Thierry Breton, qui a accusé Musk d’ingérence étrangère. (Surtout car si ce parti d’extrême droite AFD passe dans l'Allemagne anciennement nazie, cela signera clairement la fin fin du mondialisme gauchiste, wokiste, lgbtiste, oligarchique, européiste et sioniste.) » (Média en 4-42) « Récemment, lors des élections présidentielles en Roumanie, le candidat outsider Călin Georgescu – un patriote opposé aux idéologies LGBT, au wokisme et au mondialisme – a remporté le premier tour. Cela n’a pas été apprécié par l’UE et le système mondialiste. Que s’est-il passé alors ? L’UE a annulé les résultats. Des fonctionnaires comme Thierry Breton ont ouvertement déclaré qu’ils annuleraient tout résultat d’élection démocratique qu’ils désapprouveraient. La même rhétorique est maintenant appliquée en Allemagne, où Alternative pour l’Allemagne (AfD), un parti conservateur-populiste, est en tête des sondages En revanche, la démocratie russe, ou plus exactement la « monarchie populaire » russe, reflète le désir de notre peuple de donner du pouvoir à notre dirigeant historique. Il s’agit là d’une véritable démocratie – l’expression d’un peuple pour renforcer son État et accorder la liberté à son dirigeant. Je privilégie la démocratie populaire. Elon Musk a récemment décrit le type de démocratie qu’il envisage pour Mars, en disant qu’elle serait directe – les dirigeants étant choisis par ceux qui les connaissent personnellement. C’est un modèle fantastique, semblable au système du zemstvo dans l’histoire de la Russie. Mais la démocratie représentative, infiltrée par des intérêts financiers et des pouvoirs invisibles, n’est plus la démocratie au sens propre. Par exemple, lorsque Musk a supprimé la censure libérale sévère sur X (anciennement Twitter), les libéraux en Europe ont immédiatement demandé son interdiction en raison de l’absence d’une telle censure ! Ces mêmes libéraux, qui crient à la démocratie, prônent maintenant l’interdiction des plateformes qui permettent la liberté d’expression. Le terme « démocratie » est devenu tellement vide de sens qu’il est souvent préférable de l’éviter et de se concentrer sur des concepts plus sérieux. Le monde est déjà devenu fou dans le pire sens du terme. Les choses ne peuvent que s’améliorer à partir de maintenant. » (A. Douguine) Depuis la réélection de Leyen, l’européiste corrompue jusqu’à l’os dont le rôle consiste à soumettre l’UE aux multinationales américaines et aux intérêts de l’OTAN, rien d’étonnant à ce que dans une forme claire de totalitarisme les instances dirigeantes des 27 aient besoin de liquider l’information horizontale non filtrée entre les citoyens européens, et les médias non alignés par la même occasion. Pour que le crime politique soit parfait, il faut éliminer tous les témoins et lanceurs d’alerte potentiels. Florian Philippot a montré en détail ce qu'est NewsGuard, son lien étroit avec l'État profond américain, son rôle dans l'application du règlement de censure DSA de l'Union européenne et l'intervention d'Elon Musk dans cette affaire. Il est essentiel de comprendre ces enjeux pour préserver nos libertés d'expression et de débat. La propagande à l’ancienne existe toujours, on l’observe bien dans nos « chers » media, mais elle est relativement artisanale et inoffensive par rapport à ces nouvelles techniques, car beaucoup plus visible. C'est donc aussi pourquoi de nombreux comptes de réseaux sociaux ont aussi été créés et gérés par de l'intelligence artificielle pour influencer invisiblement les populations, alors il faut bien faire la part des choses et croiser les informations et recouper nos opinions. Ces réseaux deviennent même aussi souvent des juges au service de la politique d'une compagnie privée. Or les règles privées de la communauté de nombreuses applications, en particulier des GAFAM, servent en réalité en occident les élites politiques, les puissances d'argents, les oligarques, les lobbies et le pouvoir profond au détriment des peuples, sans parler de la possibilité de censurer honteusement certaines applications par opposition complète aux règles commerciales car autorisant désormais légitimement la dénonciation des pervers mondialisme, wokisme et sionisme, et sans parler de l'intégration éventuelle de Google aux institutions et à l'armée Israélienne. D'autant plus que par leurs jugements, de plus en plus de tribunaux judiciaires se positionnent dans la défense néo-libérale du plus fort devant la pluralité de la pensée, pourtant fondamentale dans la recherche de la vérité. Alors que selon FranceSoir : « le droit à la liberté d’expression d’un éditeur n’est pas supérieur au droit à la liberté d’une plate forme d’édicter des règles ». L’héritier de ce prestigieux quotidien issu de la Résistance, a même perdu début septembre son procès contre le tentaculaire groupe Google. Le journal avait saisi la justice et réclamait un dédommagement de 1,5 million d’euros, car pour avoir diffusé des informations n’allant pas dans le sens de la doxa chère à la multinationale américaine, il s’était vu coupé de publicité et de référencement dans son service d’actualités. Dès février 2021, Google Actualité avait d’abord retiré de son référencement plusieurs dizaines de milliers d’articles de ce quotidien aujourd’hui dématérialisé. Ensuite en mars, Google avait fermé du jour au lendemain la chaîne YouTube de FranceSoir, alors en pleine expansion, et qui comptabilisait déjà 275 000 abonnés. Le site d’information aurait ainsi perdu 60 % de son audience. En septembre, Google en avait remis une dernière couche en coupant l’accès du site à son réseau publicitaire, le privant ainsi d’une partie très importante de ses revenus. Par son refus de condamner Google à dédommager FranceSoir, c’est donc une nouvelle trahison de la justice française en faveur des multinationales américaines contre la liberté de la presse et le devoir d’informer. Mais il faut garder espoir, car une loi texane sur les médias sociaux qui leur interdit la censure fondée sur le point de vue politique, a été votée et a été confirmée par la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit. Surtout que depuis le rachat de Twitter par Elon Musk, la liberté d'expression semble donc revenir légitimement en force. Dans ce sens le temps s’accélère, car il n’y a pas une semaine sans que des dizaines d’événements importants à relater et à mettre en perspective n’adviennent en particulier à notre époque. Événements souvent absents des canaux d’informations télévisuels, d’où l’importance du rôle de X (nouveau sigle de Twitter) dans la contre-propagande. De plus, contrairement aux chaînes d’infos, on y retrouve du beau monde ! Des intellectuels qu’on ne risque pas de retrouver face à des politiques sur les plateaux télé… Donc contrairement aux réseaux sociaux de Meta (Facebook et Instagram) et à la télévision, X reste l’espace de liberté incontournable pour le grand public. Ainsi tout va très vite, car les mensonges, la propagande, la compréhension minimale sur ce qu’il se passe, les rapports de force en présence, les attentats sous faux drapeau et autres couardises sont révélés par des spécialistes de plus en plus rapidement. « Beaucoup d’agents du Système, effrayés par la liberté d’expression, c’est-à-dire la possibilité de réponse collective à leur propagande, ont quitté le RS de Musk, et des grandes entreprises y ont retiré leurs annonces. Cela n’a pas affecté le multimilliardaire, qui a développé une version payante et a ouvert la porte aux petites et moyennes entreprises. La société aurait perdu, selon la presse économique, 70 % de sa valeur sous Musk. Pour les ingénieurs sociaux qui pensaient avoir le monopole de l’information ou de la désinformation avec le combo GAFAM-médias mainstream, X est un caillou dans la chaussure. Et les autorités européistes ne savent pas comment couper le robinet tout en évitant de passer pour liberticides, alors que la liberté d’expression est inscrite dans l’ADN de l’UE... En France, la Macronie n’a pas ces scrupules, et laisse les organisations communautaires minoritaires transformer toute critique de leur politique agressive en tentative de discrimination ou en « haine ». Hors X, il est difficile de porter et de défendre une parole de vérité, ou tout simplement de bon sens. » (Rédaction ER) « L’Angleterre a pourtant montré la voie, dès le 17e siècle, en garantissant, par “l’habeas corpus”, qu’un entrepreneur ne serait pas soumis à l’arbitraire d’un pouvoir judiciaire manipulé soit par le pouvoir royal soit par des créanciers peu scrupuleux. Seule la confiance dans la sécurité juridique régnant sur un territoire donné (c’est le premier objectif de la souveraineté!) permet le développement de l’entrepreneuriat, du système bancaire, des investissements. En arrêtant Durov, Macron tue la poule aux œufs d’or. Il se comporte comme tous ces hauts fonctionnaires américains ou européens qui organisent la confiscation des (intérêts des) actifs russes et qui sont en train de détruire, en retour, la confiance internationale que l’on pouvait avoir dans le dollar ou dans l’euro. D’une manière générale, le capitalisme occidental actuel est fondé sur la connivence entre la haute fonction publique, l’armée et les acteurs d’un secteur privé de moins en moins entrepreneurial. Il se nourrit largement des besoins en surveillance, contrôle, censure etc... Le capitalisme occidental est en train de se détruire lui-même, évoluant vers ce que j’appelle “fascisme gris”. On voit qu’aux Etats-Unis un certain nombre d’acteurs de la vie publique et d’entrepreneurs essaient de résister à la logique du fascisme gris. C’est le moment que choisit Macron pour, lui, s’en prendre à Pavel Durov. » (Edouard Husson) Pourtant « Or Durov et russe, et Telegram (contrairement à l’autre création de Durov, VK) a son siège administratif à Dubaï, précisément pour éviter l’ingérence du gouvernement, ce qui permet une plus grande liberté dans les communications. (Alors plutôt que d'arrêter cet homme ils n'ont qu'à fermer son réseau social en France.) Voilà, et maintenant s’il vous plaît, chers progressistes européens, chers libéraux, chers combattants infatigables pour la démocratie et de la liberté, mettez-nous de bonne humeur une fois de plus, expliquez-nous comment : (a) il n’y a pas de censure en Europe ; b) il est nécessaire de défendre les valeurs européennes par les armes contre les horribles autocraties de l’Est ; c) il est impératif de défendre les droits de l’homme (comme l’article 19 de la DUDH : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression pour chercher, recevoir et répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit »). » (Andrea Zhok) « L’arrestation de Pavel Durov à Paris pourrait révéler une lutte féroce pour la domination des réseaux sociaux. D'ailleurs il y a des pressions croissantes exercées par les gouvernements, illustrées par les récentes déclarations de Mark Zuckerberg sur les tentatives de l’administration Biden pour influencer les contenus de Facebook. C'est pourquoi le rôle devient d’Elon Musk dans la politique américaine de plus en plus déterminant, notamment à travers son soutien controversé à Donald Trump. Les géants du web sont devenus des armes de pouvoir, convoitées par les forces politiques du monde entier. » (Momotchi) « L’Europe n’a pas de réseaux sociaux. D’où les menaces incessantes contre Twitter/X et le néo-Orwellien Digital Services Act sur la responsabilité des plateformes en termes de contenu, qui s’applique à toutes, et pas seulement à Telegram. L’UE et la France veulent en masse ce que la puissance hégémonique possède déjà : l’accès à tout, ici et maintenant, sans aucun document légal. La question est maintenant de savoir s’ils l’obtiendront en faisant pression sur Pavel Durov. Rien ne prouve qu’il possède les clés de chiffrement de Telegram. Nikolai Durov, le frère ultra-discret de Pavel, est le principal architecte de génie de Telegram : maître en mathématiques, deux doctorats, médailles d’or à l’Olympiade internationale de mathématiques. Les Français préféreraient conclure un accord – d’où l’interrogatoire prolongé : mais cela impliquerait de briser Pavel afin qu’il influence Nikolaï pour qu’il remette les fameuses clés. Comme on pouvait s’y attendre, l’interrogatoire de Durov se déroule sans aucune transparence. La France est une société atrocement secrète, encline au silence absolu sur les sujets graves, à une lenteur éprouvante, ponctuée de rares déclarations officielles. Tout est affaire de procédure – et la bureaucratie est abrutissante. Pourtant, la bureaucratie française a peut-être donné un indice précieux sur ce qui la dérange vraiment. Elle ne peut tout simplement pas accepter que quiconque utilise – ou fournisse – les moyens de «brouiller les pistes» en termes de transactions financières, de contournement de la censure et de la surveillance. Cela pourrait donc aller bien au-delà de l’obsession d’obtenir tout ou partie des clés de chiffrement de Telegram. L’appareil bureaucratique français veut faire feu de tout bois pour supprimer toute possibilité de contournement – tout en conservant le pouvoir de punir qui que ce soit. Si la saga se poursuit, aboutissant à un procès et finalement à une condamnation à 20 ans de prison, cela signifie que Durov ne sera pas brisé face à l’appareil bureaucratique, et qu’il restera toujours «un complice». C’est peu probable. Bye bye aux paillettes et au glamour illimités, en échange d’une baguette de pain rassis dans une prison française ? Deux autres questions inévitables. Pourquoi maintenant ? Parce que l’UE en a cruellement besoin. Et qui en profite ? Les principaux candidats sont l’«esprit de corps» de la bureaucratie française ultra-réglementée et ses connexions oligarchiques franco-européennes. L’envie est également un facteur. Durov est russe, étranger, et Telegram, qui compte un milliard d’utilisateurs dans le monde, est un succès retentissant. » (Pepe Escobar) « Pavel Durov, en acceptant un passeport français, s’est retrouvé pris au piège d’un régime qu’il croyait être la clé de la liberté. Xavier Moreau compare la situation actuelle à la Révolution française, qu’il décrit comme le premier génocide et l’oppression systématique des classes populaires (en particulier contre les vendéens comme la crise Covid, la paupérisation du peuple et la centralisation ploutocratique de l'économie) : La France est devenue une matrice de la dictature, copiée par tous les régimes totalitaires jusqu’à nos jours. L’analyste souligne également que l’arrestation de Durov pourrait ouvrir les yeux des Russes sur la réalité de la Révolution française, souvent idéalisée. Il critique la gauche française, qu’il accuse de sous-traiter la censure à des entreprises privées, et mentionne les tentatives de censure de sa propre chaîne YouTube. » (Média en 4-4-2) Cependant ne pas mettre en place de systèmes d’intervention pour modérer les échanges alors que c'est possible par rapport au courrier par la poste tend logiquement à être de la complicité avec une multitude de crimes (terrorisme, drogue, fraude, blanchiment d’argent, recel, contenu pédophile). D'ailleurs suite à son arrestation en France, Pavel Durov a reconnu les défis liés à l’établissement du bon équilibre entre la vie privée et la sécurité. Il a expliqué que Telegram doit concilier les lois sur la vie privée avec les exigences des forces de l’ordre, et les lois locales avec les lois de l’UE. La plateforme doit également prendre en compte les limitations technologiques et veiller à ce que ses processus soient cohérents à l’échelle mondiale, tout en évitant les abus dans les pays où l’État de droit est faible. Mais il faut faire attention que cette affaire Durov ne soit pas une manipulation pour que les gens ne se méfient pas, car Telegram n'est pas une messagerie cryptée en dehors du secret tchat en peer to peer qui concerne seulement deux utilisateurs, quoiqu'il y aurait des efforts de l’entité sioniste pour supprimer la liberté d’expression sur cette plateforme de messagerie... Or Durov en remet une couche sur X et balance le nom du chef de la DGSE comme le contact en France qui lui aurait demandé des censurer les voix des conservateurs en Roumanie. En sachant que Signal est mieux que Telegram car c'est crypté et le fournisseur à internet ne peut donc lire les messages, mais c'est centralisé et pas open source et donc surveillable, à la différence de ELEMENT.IO. « D'ailleurs suite à avoir mis discrètement à jour ses conditions générales « pour des raisons de sécurité », la nouvelle politique de Twitter lui permet désormais de pouvoir récolter VOS informations « biométriques », notamment les données d’empreintes digitales, de reconnaissance faciale et de suivi oculaire. En effet la nouvelle politique, qui décrit son intérêt pour la biométrie des utilisateurs comme « à des fins de sûreté de sécurité et d'identification, et de vidage des comptes inauthentiques des bots », ajoute également l'intention de la plateforme de récupérer des données sur les antécédents professionnels des utilisateurs, leur formation et « leurs activités de recherche d'emploi ». La nouvelle politique a également révélé les plans de X pour collecter les antécédents professionnels et éducatifs des utilisateurs. Après la mise à jour, Musk a annoncé que X permettrait bientôt aux utilisateurs de passer des appels vidéo et audio. La plate-forme de médias sociaux anciennement connue sous le nom de Twitter peut désormais récolter vos données biométriques et votre ADN. Une nouvelle mise à jour discrètement ajoutée à la politique de confidentialité de la plate-forme indique que X est désormais autorisé à collecter les empreintes digitales, les scans rétiniens, la reconnaissance vocale et faciale et les modèles de frappe de ses utilisateurs. La mise à jour signifierait que toute personne utilisant la vérification des empreintes digitales pour se connecter à l’application depuis son téléphone, publiant des selfies ou des vidéos sur la plate-forme ou exprimant son opinion sur X « espaces » pourrait voir ses données biométriques uniques cataloguées par l’entreprise. Depuis plus d’une décennie, les grandes entreprises technologiques ont attisé la controverse et préoccupé les défenseurs de la vie privée avec leur intérêt persistant pour la collecte des données biométriques de leurs clients. TikTok, par exemple, s'est autorisée à collecter les « empreintes faciales et vocales » des utilisateurs avec une mise à jour de sa politique de confidentialité en 2021. La société mère de Facebook, Meta, a même annoncé son intention de mettre définitivement un terme à son système de reconnaissance faciale, qui identifie automatiquement les utilisateurs, ainsi que leurs amis et leur famille, sur des photos depuis plus d'une décennie. » (Extraits traduits de l'article à l'adresse https://strategika.fr/2024/03/06/twitter-can-now-harvest-your-biometric-information-including-fingerprint-face-recognition-and-eye-tracking-data-as-musks-site-quietly-updates-its-tcs-for-safety-purposes/) Il faut noter que le rachat de réseaux sociaux comme Twitter peut montrer que la moitié des comptes supportant Biden et Macron sont des faux, ce qui serait une indication sur le vol de leur élections. Or Guy de la Fortelle précise que la réelle liberté, même dans un réseau social comme Twitter racheté par Musk, serait qu'il devienne un bien commun voire donc publique, car pour l'instant il appartient encore à un ultra riche ayant des liens et des intérêts convergents avec d'autres ultra riches. « Suite à une plainte collective contre la censure lors du covid remontée jusqu'à la cour suprême, la maison blanche a carrément amené les arguments suivants : la pandémie covid nous a donné le droit de violer la constitution et nous a montré que dans des cas d'urgence l'autorité doit censuré même des discours véridiques, même de la science solide, même de l’expertise réelle dès lors que cela rencontrait un impératif de sécurité aux yeux de l'administration elle-même. En d'autres termes, la maison demande à la cour suprême de les laisser magouiller, truander et violer la constitution lorsque nous considérons que cela s'impose. Ce qui a été appuyé par le New York Times. De plus sur 6500 saisies devant le conseil d'Etat en France concernant le covid, il n'y a eu que 2 suites. Cela veut dire tout simplement que quand il faut aller chercher la justice dans le rôle de l'Etat joue à l'encontre du citoyen, vous 'avez pas de justice. On a combattu un virus à travers la destruction de quasiment tous les 17 articles de la Déclaration des droits de l'homme. Du jamais vu dans l'histoire. On a été capable d'utiliser tous les moyens possibles et coercitifs pour mettre fin à notre liberté, au nom d'un autre droit qu'on appelle la santé. Au nom d'un droit, on tue tous les autres droits essentiels de l'être humain. La garantie des droits et la séparation des pouvoirs n'étant pas assurées, la France n'a donc plus de constitution, ce qui signifie aussi qu'un coup d'Etat a déjà eu lieu. » (Extraits d'une de Jean-Dominique Michel) De plus à cause de leur oppression, les entreprises Woke dont des GAFAM meurent lentement mais sûrement et les gauchistes ne semblent pas comprendre la situation. Ils n’admettront jamais ouvertement que la raison pour laquelle ces entreprises connaissent un déclin est due à leur position politique sectaire qui justifie l’endoctrinement forcé de tout le monde, y compris des enfants. Ils diront que c’était la Covid-19, ils diront que c’était l’inflation, ils diront que c’était la bigoterie, mais en réalité c’était toujours eux. Personne ne les aime, et les gens réalisent enfin qu’ils n’ont pas à dépenser de l’argent pour acheter des produits de gauchistes fous qu’ils n’aiment pas. En d’autres termes, le système de ces entreprises Woke est l’antithèse d’une société de liberté d’expression, un test bêta pour l’avenir de l’autoritarisme, où l’on croit pouvoir s’exprimer, mais où seules les opinions « correctes » sont autorisées à passer. Et c'est bien pour ça que ces entreprises Woke perdent de l'influence et donc de la valeur. Ainsi pour éviter la pensée unique, il devient légitime que des citoyens vérifient les vérificateurs de réseaux sociaux. Or la censure de ces entreprises Woke va jusqu'à ne pas pouvoir critiquer des influenceuses matérialistes sous peine de condamnation judiciaire pour mise en péril d'une entreprise à cause d'un pseudo harcèlement moral, et va jusqu'à devenir de l'ingérence numérique lorsqu'elle est utilisée pour bloquer la communication de certains opposants politiques ou intellectuels dissidents dans divers pays. « Quand on écoute Mike Benz interrogé par Tucker Carlson fin février 2024, on comprend qu’il n’y a pas un pouce de liberté dans la démocratie américaine : le pouvoir profond a verrouillé et vérolé jusqu’aux GAFAM, qu’il a contribué à créer. Les réseaux sociaux sont peut-être le siège de la liberté d’expression, mais ils sont assurément une arme de déstabilisation américaine dans le monde, à l’origine de révolutions dites orange, et une arme intérieure de contrôle, de manipulation et de désinformation. Une arme à double tranchant. Cette censure émane du légendaire complexe militaro-industriel de l’industrie de la défense et de l’establihsment de la politique étrangère à Washington. La liberté d’expression a été défendue plus que quiconque par le Pentagone, le département d’État et notre sorte d’architecture de blogs, d’ONG de la CIA, comme un moyen de soutenir les groupes dissidents dans le monde entier, afin de les aider à renverser les gouvernements autoritaires... La liberté d’expression sur Internet a permis des opérations instantanées de changement de régime afin de faciliter l’agenda du département d’État, de l’establishment de la politique étrangère. Google en est un excellent exemple : Google a été créé grâce à une subvention de la DARPA, par Larry Page et Sergey Brin, alors qu’ils étaient encore doctorants à Stanford. Ils ont obtenu leur financement dans le cadre d’un programme conjoint de la CIA et de la NSA visant à déterminer comment, je cite, « les oiseaux de même plumage se rassemblent en ligne grâce à l’agrégation des moteurs de recherche ». Un an plus tard, ils lançaient Google et devenaient rapidement des entrepreneurs militaires. Ils ont obtenu Google maps en achetant un logiciel satellite de la CIA, essentiellement, et la capacité d’utiliser la liberté d’expression sur Internet pour contourner le contrôle de l’État sur les médias, dans des endroits comme l’Asie centrale et partout dans le monde. Et c’était considéré comme un moyen de faire ce qui se faisait auparavant dans les bureaux de la CIA ou dans les ambassades, les consulats, d’une manière qui a été totalement accélérée. Et toutes les technologies de liberté d’expression sur l’Internet ont été créées à l’origine par notre État de sécurité nationale. » (Extraits de l'article ER « Internet, liberté d'expression et Pentagone ») Dans ce sens de contrôle généralisé, le film « Ceci n’est pas un complot(isme) » lève le voile sur le discours des grands médias au service d’un programme politique de grande ampleur qui se sert de la peur pour se mettre en place. Il met en évidence la censure et le discours unilatéral proposé dans la sphère publique pour transformer la réalité : au programme, l’installation de la peur, la déformation des faits, la stigmatisation de la pensée critique et la censure systématique. Et il met aussi en évidence les liens d’intérêts entre les laboratoires, les médecins de plateaux télé et le business qu'il y eut pendant le Covid. La tyrannie de ce système est apparue encore plus clairement quand des médicaments ou formes de traitements hors de la narration du système ont été censurée sur ces GAFAM. En effet ce n’est pas uniquement inadmissible parce qu’elle s’opère au détriment de la santé humaine et au profit de l'industrie pharmaceutique et d'un plan occulte, mais aussi parce qu’elle est le fait de pouvoirs non élus se servant en plus sournoisement de la dénonciation du complotisme. Le problème ici n’est pas de savoir si ces médicaments ou traitements sont efficaces, mais de libérer la recherche pour qu’elle puisse les étudier, les rejeter, les approuver ou/et les améliorer, comme elle aurait dû analyser très sérieusement les nouveaux vaccins ARN et leurs conséquences. « Ce qu’ils appellent « théorie du complot » se nommait auparavant esprit critique et était considéré comme salutaire pour une démocratie. La « théorie du complot » c’est le fait de s’interroger sur la véracité des discours politiques, et se demander à qui profite le crime. » (Ariane Walter, blogueuse) Notre monde bascule dans un totalitarisme où l’État n’est plus qu’un sombre policier au service du Marché et des parasites souvent apatrides qui l’animent sur le dos des peuples. La seule chose qui justifie la censure, c’est la guerre, comme le président Français Macron a d'ailleurs annoncé « nous sommes en guerre » face au covid, alors que comme l'a évoqué Warren Buffet, il parlait de la guerre entre les ultra riches mondialistes et les peuples. Il faut donc en conclure que la France se trouve attaquée par des forces obscures depuis plusieurs décennies voire siècles. Une censure en temps de paix n’a aucun sens, sinon de renvoyer les gens à leur enfance, ou à leur infériorité sociale ou mentale. Actuellement on cherche à écarter les érudits dissidents du peuple pour qu'il n'y reste que des imbéciles. Nous sommes dans une ère de destruction totale des valeurs. Et ceci est vérifiable aussi à travers la cellule familiale que l'on cherche à diviser : le père n’a plus droit d’autorité et est ridiculisé, la femme croit être libérée mais s’enferme dans un non sens hystérique, associable et matérialiste, les enfants n’ont plus de modèles et ne se forment qu'autour de leur ego et des smartphones. Il faut rebâtir la nation mais d’abord apprendre à rebâtir une famille, car c’est la base d’une nation qui tient debout. De plus ces forces obscures veulent aussi que les gens réduisent leur cercle d’amis dont par la peur du Covid, afin de les empêcher d’échanger et de réfléchir ensemble à propos de grands problèmes tels que l'énorme crise financière de 2008, les taux négatifs, l'inflation, le sionisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, et les pénuries dont alimentaires et énergétiques. En effet les mesures sanitaires disproportionnées, qui étaient en plus basées sur la panique excessive par une vision de la pandémie systématiquement dramatisée dans les médias du système, ont incontestablement aussi beaucoup servi à cela. Par ces mesures perverses, on a même assisté à la destruction systématique de tout lien social non numérisé : éducation, culture, sport. Tous types de rencontres et d'interactions physiques entre les citoyens étaient rompus ou déconseillés, ce qui était synonyme de fin de l'humain. Mais il faut noter que les anciennes mesures sanitaires liberticides comme le confinement liées au covid peuvent faire mieux apprécier le temps d'avant et refaire plus revenir agréablement les familles et amis dans le partage, les sorties, les sports, les loisirs, les stades, les musées, les restaurants, les spectacles, les invitations et les discussions. « Il y a 25 ans, l’oligarchie tenait 100 % des médias, et les peuples n’avaient pas droit à la parole, sauf pendant les élections, où leur vocabulaire était réduit à noir ou blanc, zéro ou un. Et encore, on sait aujourd’hui que tout ou presque était trafiqué, du moins trucable, afin que l’oligarchie en place conserve son pouvoir, quel que soit son habillage. Depuis l’avènement du Net, les peuples se sont emparés de la communication horizontale qui s’est affranchie du filtre (vertical) oligarchique. Cela a duré un temps, le temps que le pouvoir profond réagisse, et veuille mettre un filtre (horizontal) entre les gens, et surtout, entre les nouveaux prophètes et les peuples. C’est toujours la même musique, depuis 2 000 ans : les prophètes, qui sont la voix et la conscience des peuples, sont embastillées ou exécutés. Le pouvoir les remplace par des faux prophètes, qu’on appelle hommes politiques. En 2024, l’Union européenne glisse dans la tyrannie, d’abord discrètement, puis, devant la résistance des peuples, de plus en plus ouvertement : la tyrannie européiste ne se cache plus. La liberté d’expression de RT, Sputnik, Telegram et Signal est dans le viseur de l’UE. L’entité européiste dysfonctionne, car n’ayant que le mot libertés à la bouche et de plus en plus la matraque liberticide dans les mains. On vit dans un monde étrange, qui doit désorienter la grande masse du public, qui ne comprend plus rien. Car la majorité des civils ont des valeurs, comme le respect de l’honnêteté, de la famille, du travail et de la patrie, alors que les oligarchies en place sont principalement dans la ruse contre ces valeurs. Le monde est en train de changer, et à grande vitesse. La répression frappe fort, mais ses coups réveillent les consciences. C’est une course de vitesse, une course à la mort, entre la répression oligarchique et le réveil des peuples. Nous y sommes. » (Rédac ER)
Et avec l'inexorable évolution du progrès amenant à acheter de plus en plus d'objets connectés nous exposant toujours plus numériquement, la grave impudeur de la surveillance généralisée en est de plus en plus facilitée. Alors que la vie privée des gens est très sacrée malgré l'incompréhension étonnante de certains progressistes égarés qui devront rendre compte difficilement dans l'au-delà, puisque par exemple il est tellement interdit de regarder par le trou d'une serrure d'une habitation que l'on pourrait crever l’œil de l'espion pour s'en défendre selon un hadith. Pourtant sans cette surveillance impie, ces produits modernes seraient uniquement intéressants et pratiques, en particulier à travers les réseaux sociaux de plateformes vidéos apportant souvent plus de vie, de communication, de convivialité et de science que beaucoup de programmes télés. Or le système bancaire numérique et la surveillance et le big data généralisés via internet sont déjà très répandus à travers la carte bleue et la demande du numéro de téléphone privé enregistré chez un opérateur pour pouvoir s'inscrire sur les principales applications massivement utilisées par les populations (Google, FaceBook, Twitter, YouTube, etc). D'autant plus que dans le capitalisme 2.0, l’homme est un objet comme un autre : sa valeur y décroît donc honteusement lorsqu'il vieillit et devient peu actif, tandis que les objets matériels en particulier connectés et les machines industrielles qui prennent vie voient leur valeur décupler au détriment donc de l'humain, surtout quand le bien commun n'est pas recherché. Tous ces espionnages semblent être un signe de fin des temps car faisant disparaître la liberté individuelle même chez soi, alors qu'elle est pourtant aussi prétendument sacrée dans les pays occidentaux modernes. Ainsi cette inévitable progression technologique, amenant donc une possible surveillance généralisée jusqu'à peut être bientôt d'honteuses mini puces RFID sous cutanées généralisées (possiblement sous forme de nanotechnologies injectées et pouvant donc dangereusement dévoilées les positions des militaires à une armée ennemie par la 5G) surtout qu'on peut très bien cacher une puce dans un vêtement lorsqu'il s'agit de surveiller un enfant, devrait au moins être contrôlé régulièrement par des conseils de citoyens se renouvelant fréquemment pour surveiller ceux qui nous surveillent. Or « Sur Public Sénat dans l’émission Conversation d’avenirs, face à la journaliste Stéphanie Bonvicini, Jacques Attali, dans une vidéo du 8 novembre 2008, nous dévoilait le projet de ses copains avec la puce RFID (radio-identification). Une phrase a particulièrement attiré notre attention concernant le consentement éclairé des êtres humains. Une notion rejetée d’un revers de la main par l’homme de l’ombre des présidents depuis Mitterrand : « On peut imaginer que chaque individu accepte volontairement ou sans le savoir, une puce en lui qui contiendrait toute une série d’informations le concernant. (D'où l'inquiétude concernant les vaccins ARN...) » » (Rédac ER) D'ailleurs dans la démocratie authentique qui est celle basée sur le tirage pour éviter que le peuple soit opprimé, il devrait y avoir des chambres de contrôle citoyen des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, de la police, des juges (dont pour éviter que les juges ne soient plus jugés par des juges mais par le peuple), des journalistes, des parlementaires, de la monnaie, etc. Surtout que faire tourner annuellement ou au moins régulièrement par tirage au sort les responsables d'institutions permet d'éviter la corruption, les abus de pouvoir et l'oppression politique. Par conséquent une fois encore, on ne comprend pas très bien pourquoi le mot « audace » est parfois utilisé pour faire accepter le transhumanisme. En effet c'est en réalité un euphémisme pour vendre certaines « visions » scandaleuses comme les puces sous la peau, alors qu'il s'agit plutôt de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine. Le PDG de Pfizer a d'ailleurs présenté aux élites de Davos des pilules à micropuce WiFi pour contrôler les passagers de transport en commun lors de pandémie. Cette surveillance biologique et donc physique et donc de mouvement, souvent défendue sous prétexte de protéger la santé des personnes en particulier âgées ou les enfants des criminels, fait donc partie des modernes projets pervers qui sont toujours présentés de manière idyllique. De plus, les nanoparticules peuvent aujourd'hui pénétrer une cellule et les connaissances de la recherche privée voire militaire ainsi que leur contrôle dans ce domaine doivent dépasser largement les connaissances du grand public. Certains scientifiques, politiciens et gens veulent donc faire fusionner l'humain avec les machines, un peu comme si le téléphone portable était relié à notre cerveau. Cela ressemble à un cauchemar dystopique, alors que les gouvernements suivent et contrôlent déjà l’activité des téléphones portables. Comment vouloir qu’ils fassent de même avec notre cerveau comme s'ils surveillaient et commandaient du bétail. Or le masque sanitaire contre le covid telle une muselière (ou couche) correspond a déjà été une image de la marque de la bête dans l'apocalypse biblique de saint Jean, surtout que comme la marque de la Bête, il est nécessaire pour travailler et faire ses courses (donc pour acheter et vendre). Cette marque de la Bête pourrait donc aussi être incarnée par le pervers système bancaire monétaire, par le pass vaccinal lié au futur vaccin nanotechnologique de Bill Gates nommé 060606 dont le brevet est authentique, par le QR code qui sera de plus en plus demandé, et par l’éventuelle identité numérique à venir. D'ailleurs une application que France Identité demande aux cobayes de tester gratuitement est destinée à “prouver son identité”… L’essentiel est dit : nous entrons dans un monde où nous devrons prouver qui nous sommes, et où les moyens numériques permettront de le faire “en toute sécurité”. Bien évidemment, au-delà des paroles lénifiantes habituelles, France Identité ne dit rien sur les évolutions futures de cette application, notamment sur sa dérive future vers un système de crédit social à la chinoise. Mais ce n’est qu’un début qui annonce la couleur de ce qui viendra ensuite si les gens ne se tournent pas vers le monothéisme authentique : l’asservissement total de l’humanité au satanisme technocratique et transhumaniste jusqu'à la très massive spoliation ploutocratique par une marche criminelle des élites complètement égarées sur le plan affectif. La nécessité d'un implant (tel celui empêchant l'ovulation) prétendument comme seule protection contre un virus fabriqué en laboratoire pourrait même apparaître dont pour accélérer l'identité numérique et commerciale sous cutanée et donc la surveillance généralisée. Mais avec la connexion généralisée des montres, des téléphones voire des toilettes analysant nos excréments, il n'y a même pas besoin de surveillance bio-numérique des mouvements. Bible (Apocalypse 13-18) « Et elle (la Bête) fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. » Il faut noter que comme cette marque de la bête est évoquée seulement dans l'apocalypse de saint Jean qui était une figure importante du christianisme, il n'est pas étonnant que les pays à majorité chrétienne soient le plus touchés par les oppressions de la planche à billet usurière, du pass sanitaire et de la mise en place de l'identité numérique, d'autant plus ceux soumis à l'impie laïcisme. Dans le cadre d'un plan malthusianiste, les puces RIFD d'identité numérique et les vaccins ARN pourraient aussi en plus de servir à surveiller et oppresser en permanence la population, à rendre stérile (en particulier les populations occidentales qui y ont été le plus exposées tout en légitimant ainsi momentanément l'immigration et donc le métissage), et à avoir pouvoir de vie (dont sociale) et de mort (dont sociale), surtout qu'associé à la 5G, cela peut aggraver les comorbidités voire entraîner des problèmes de santé et amplifier les effets secondaires du vaccin. En effet les tenants du pouvoir, qu'est la caste mondialiste ultra riche souvent sioniste liée au bancairo-technologico-pharmaco-technocratique, évoquent publiquement l'importance de la dépopulation ou la régulation de la population, et ont été les premiers bénéficiaires du crime sanitaire. D'ailleurs ce vaccin contre le covid pourrait ne pas forcément être technologique, car il pourrait avant tout d'abord servir à travers les séquences de VIH présentes étrangement dans ce virus selon le Prix Nobel de médecine Montagnier, à amplifier son aspect destructeur du système humanitaire pour baisser la population mondiale discrètement d'ici quelques années en les faisant mourir de maladies qui ne sont normalement pas incurables, et il est déjà prouvé qu'il y a une grande augmentation des myocardites et surtout de dérèglements menstruels quand ce n'est pas de stérilité. Surtout que tout virus ayant souvent des variations avec le temps, un vaccin définitif devient donc impossible et des réinjections deviennent nécessaires. D'autant plus que cela permet aux cupides laboratoires pharmaceutiques de prétendre devoir actualiser semestriellement les vaccins ARN afin d'en vendre régulièrement et de rendre les populations obéissantes aux mesures liberticides de la tyrannie sanitaire et numérique. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ? » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/27/covid-19-pourquoi-la-suede-na-pas-confine/ En effet le passeport sanitaire, ayant parfois été dénommé green pass pour préparer éventuellement à celui écologique, climatique, carbone ou énergétique, a vocation à devenir un passeport universel pour un Etat-entreprise unique, financier et global, soumis au secteur privé ultra riche. Le pass sanitaire associé au projet ID 2020 de l'identité numérique pourrait donc même bientôt aider des milliards de personnes sans papier à acquérir une identité numérique transnationale synonyme de pass basé sur la signature authentifiée par l’ADN et des données biométriques collectées lors d'un prélèvement salivaire, alors que l'empreinte digitale suffit largement pour faire des documents d'identification et que pour finaliser des achats la reconnaissance palmaire permet désormais d'identifier des clients après qu'ils aient préalablement enregistrer le schéma veineux de leur main via une borne prévue à cet effet puis associer ces données à leur carte bancaire... Et c'est pourquoi les mondialistes voulaient vraiment l'établissement définitif du green pass. Ainsi toujours sous l'apparence d'un bien comme pour la proposition de mettre une puce sous la peau de votre enfant en cas d'enlèvement, le système cherche constamment à plus nous surveiller et donc nous contrôler par notre consentement : « Jamais l'esclavage n'est aussi bien réussi que quand l'esclave est persuadé que c'est pour son bien. » (Aristote) « La soumission à la tyrannie sanitaire préfigure (et annonce) la dictature d’une aliénation « soft », celle d’un esclavage consenti. » (Michel Maffesoli) Ce qui signifie que dans le futur en particulier avec tous les terrorismes d’État médiatique, climatique, lgtbiste, financier, sécuritaire, sanitaire, économique, et actuellement plus militaire, énergétique, inflationniste et banlieusard, beaucoup vont possiblement vouloir plus de contrôle numérique voire transhumaniste pour leur sécurité, ce qui séparerait l'humanité entre ceux vivant dans ce système et ce retournant vers la nature qui survivront lorsque ce système trop complexe s'effondrera inévitablement même si cela prend des siècles, mais le destin divin avec le retour de Jésus peut très noblement orienter l'humanité vers un autre système. Ce pass d’identité numérique fournie par les GAFAM sur la base des 10 commandements de la nouvelle religion de la technofinance cherche à ce que chacun finisse par avoir seule pièce d'identité contenant permis de conduire, carte d'identité, passeport, carte bancaire et carnet vaccinal. (Dans « Covidisme, climat et wokisme : les nouvelles religions. Les religions postchrétiennes occidentales », Aldo Sterone examine les nouvelles idéologies qui ont émergé dans la société occidentale postchrétienne. Il explore les similitudes entre ces idéologies et les religions traditionnelles, en particulier en ce qui concerne leur capacité à façonner les croyances et les comportements des gens et discute également des implications de ces nouvelles religions pour la société et la politique.) Qu’y a-t-il de commun entre l’Économie de marché, la technologie numérique, la sexologie et l’invention du pass sanitaire ? Les trois se parent des vêtements de la Science pour nous ôter nos libertés. Tout cela devient d'autant plus clair puisque comme la secte satanique (démoniaque, franc-maçonne, oligarchique, sioniste) a subverti les trois religions du livre en particulier par le sabbato-frankisme, elle a aussi subverti le médecine et d'autres secteurs scientifiques. Elle a pris aussi le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel, mais aussi du militaro-industriel, de la finance internationaliste, de la politique occidentale et de toute la technologie numérique de surveillance et de contrôle. Ainsi il n'est pas étonnant que Bill Gates ait investi massivement et donc explicitement dans toutes les technologies de dressage de la population : les machines à compter les votes, les machines à injecter la pensée officielle dans l'opinion composées par les médias, le numérique, les vaccins, l'OMS et même l'ONU. En effet ces investissements massifs décryptent clairement notre époque. Il ne faut d'autant pas accepter cette surveillance généralisée, car le choix de refuser la marque de la bête par piété correspond à une des épreuves principales de la fin des temps, même si les conséquences de son refus marginalisera en partie. Cette technologie étant tellement envahissante que cela pourrait annoncer le retour de Jésus pour la purifier c'est à dire en limitant sagement son utilisation entre le bien commun, la liberté individuelle et la vie privée. En effet toute chose doit être gérée ou utilisée avec un juste milieu. De plus comme il est logique d'inverser le mensonge pour trouver la vérité, alors il faut inverser les aspects du transhumanisme pour trouver les aspects de l'humanisme authentique. La vidéo « Le plan de Bill Gates pour nous vacciner de force » de la chaîne youtube Planète 360 précise que la technique du tiers de confiance, qui pourrait être utilisée pour parvenir à la ploutocratie mondiale par le numérique et l'écologisme à outrance, a été développée aux États-Unis dans les années 1920 par Edward Bernays, neveu de Freud et « inventeur » du lobbying dont il détaille le premier les techniques dans son livre « Propaganda ». D'ailleurs c’est justement dans les années 1920 que ces techniques ont été développées et appliquées notamment pour les fabricants de cigarettes afin de faire fumer les femmes, car elles représentaient possiblement la moitié du marché. Pour cela, il a suffi de donner des cigarettes à des personnes bien exposées médiatiquement, de financer les causes des suffragettes et féministes, de faire défiler ces dernières la cigarette à la bouche dans leurs manifestations, et de répéter l’opération avec les vedettes de cinéma et les héroïnes incarnant aviatrices, aventurières et autres. Ensuite en répétant l’opération avec des sportifs et après la Seconde Guerre mondiale en mettant en scène des médecins vantant les mérites d’une marque de cigarette, vous avez toute l’obscénité de cette technique dont nous payons encore un prix terrible avec 8 millions de morts annuels un siècle après. Mais Bill Gates ne peut pas jouer avec nos « structures de confiance » impunément, car il ne peut les souiller et les détourner à son profit sans apporter le chaos comme celui qui s’installe toujours plus aux États-Unis, surtout que le chaos mène à la guerre civile et finalement à la guerre conventionnelle. Et quand nous en serons-là, les centaines de milliards de l'hyperclasse américaine ne leur seront plus d’aucune utilité, car ils s’effondreront d’eux-mêmes, comme l’URSS s’est effondrée sur elle-même quand les apparatchiks ont fini par être dégoûtés d’eux-mêmes. Ou alors le peuple peut aussi leur dire NON et reprendre sa liberté. Suite à cette analyse, il est donc important d'orienter ces tiers de confiance pour développer des projets nobles au niveau économique, spirituel et social dans une région ou un pays.
Ainsi il n'est pas étonnant que la muselière physique du masque soit apparue au moment où la muselière mentale de la censure se répandait contre les dissidents jusqu'à de la prison voire l’hôpital psychiatrique même en France, alors que cette nation est pourtant le pays des Droits de l'Homme et de la liberté d'expression. C'est également logique puisque le masque est une évidente impersonalisation uniformiste jusque vers une pensée unique oligarchiquement conformiste. De même le confinement est tel l'enfermement d'animaux domestiques dans leur enclos. À l’invention de l’imprimerie, de nombreux auteurs contestèrent les a priori de leur époque. Il fallut quatre siècles de combats pour que l’Occident finisse par garantir la liberté d’expression. Cependant avec l’invention d’Internet et comme la qualité d’auteur se démocratisa, la liberté d’expression y a été de plus en plus remise en question par le système actuel. La censure revient donc en force alors que le but de l'être humain est de trouver les meilleures analyses sur la vie et de les partager. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « L’arbitraire et la censure sont de retour en Occident » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-arbitraire-et-la-censure-sont-de-retour-en-Occident-62340.html Or le mal qui ronge la France et par voie de conséquence son système de protection sociale est plus profond et plus complexe, car il correspond à l’aboutissement d’une longue dégénérescence du mode de gouvernance, en l’occurrence le régime démocratique placé sous l’empire d’une idéologie sociale-libérale-libertaire synonyme d'un consumérisme compulsif, de perte des valeurs et de domination par les mondialistes oligarchiques et sionistes. Il s'agit d'une décomposition sociétale due au premier chef à la déficience qualitative, morale et intellectuelle des politiciens composant nos modernes classes dirigeantes et à au pervers quatrième pouvoir qui est celui médiatique étant devenu le premier par la télé et les réseaux sociaux censurés, ce qui est absolument dramatique pour une démocratie. La tiers-mondisation du pays, l’abaissement constant du niveau scolaire (nivellement par le bas sous couvert d’égalitarisme) et la déspiritualisation d’une grande partie de la population convertie donc à un compulsif hédonisme matérialiste et libertaire par le pouvoir profond corrompu ne sont évidemment pas étranger au déclin général. Surtout que le quatrième pouvoir que sont donc les chaînes d'infos et médias mainstream et qui est normalement un contre-pouvoir devient volontairement de plus en plus superficiel voire progressiste en particulier sur l'actualité, afin d'abaisser le niveau intellectuel et noblement insoumis du peuple. C'est pourquoi un sixième pouvoir « citoyen » (puisque les GAFAM censeurs sont le cinquième) synonyme d'un réel contre-pouvoir devient nécessaire afin de faire retrouver l'équilibre et l'équité à la société. David Van Hemelryck insiste sur le fait que le peuple français doit être le premier contre-pouvoir dans une démocratie, même s'il est donc actuellement le sixième pouvoir. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Médias mainstream : les archétypes du libéralisme-libertaire » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=349&v=cFW_ctclqcA Surtout que les grands médias privés vivant en partie des subventions et donc du peuple, mais aussi actuellement même les médias publics, ne cochent plus les cases de la charte du service public qui consiste à ne pas prendre parti et à donner la parole à toutes les tendances politiques qui existent en France. C’est la mission théorique du service public. Or la télévision publique est même devenue une propagande du privé déguisée. Il s’agit tout simplement d’un abus de confiance doublé d’une extorsion. Cette perversion de l’intérêt public est tellement entré dans les mœurs que plus grand-monde ne s’en affecte aujourd’hui, sauf bien sûr les tendances politiques dissidentes qui sont maintenues dans l’obscurité médiatique ou dénoncées par le système comme étant dangereuses pour la « démocratie ». Ainsi il s’agit clairement d’un fascisme réel qui dénonce un fascisme imaginaire. C'est pourquoi les lâches agents du pouvoir profond préfèrent rester dans l’ombre. On les comprend : à force de vouloir réprimer le souverainisme patriotique dans les pays où ils vivent, les choses pourraient mal finir pour eux. Dans la France de 2021, où le pouvoir en panique ne sait plus quoi inventer pour garder la main malgré la multiplication des frappes répressives et la densification de la propagande, le lien entre élite et peuple est brisé. Et ça semble définitif. Surtout que le jugement moral manipulant le peuple devient la norme, dont pour éviter de faire comprendre les circonstances géopolitiques comme par rapport à l'intervention russe en Ukraine ou pour bloquer la parole à des scientifiques préconisant des mesures plus légères comme lors du covid. Ainsi le pouvoir profond a mis le pouvoir visible dans l’impasse avec ses injonctions liberticides et irréalisables. Les contraintes imposées par le lobby sioniste et la franc-maçonnerie ne sont ni le fictif pouvoir visible de droite ni le fictif pouvoir visible de gauche, car le pouvoir réel est caché : c'est celui du Mondialisme, de l’Argent, de la finance internationaliste, de la Dette, du wokisme, des multinationales, des lobbies, du Big Tech, du Big Pharma et de la violence sociale. « Le pouvoir visible du système est en première ligne, c’est lui qui prend tous les coups populaires en cas de rigueur, de crise, de répression. D’ailleurs, il ne sert aujourd’hui presque qu'à ça iniquement : prendre les coups à la place du pouvoir non visible dit profond du système. D’où l’idée de génie du « casting » de Macron par les forces occultes : détestable au possible, méprisant, enfant gâté, égocentrique, vantard, girouette, lâche, bref, tout ce que le peuple déteste. Cet être venu de nulle part, immature et pervers, imbu de sa piètre personne, a été placé sur le trône de France – ne vous leurrez pas, on a toujours eu un roi, mais la plupart du temps médiocre, car choisi par des salopards – pour imposer les pires décisions, attiser la colère et l’attirer à lui. Ensuite, tout n’est plus qu’une question de garde prétorienne, de bonne police et de justice aux ordres. Il suffit de faire la chasse aux opposants et aux résistants qui voudraient s’en prendre à cette effigie, qui joue parfaitement son rôle de papier tue-mouches. Il est très difficile d’accéder au pouvoir profond : là, pas de gifle possible en public, les marionnettistes ne se vantent pas, ne sortent pas au cinéma, ne défilent théoriquement pas à la télé, et surtout ne sont jamais ni ministres ni présidents : trop risqué. Cependant, une chose les perd, la vanité. Un jour ou l’autre, ils ont besoin de sortir de leur tanière et de dire qu’ils ont fait le président, qu’ils peuvent en faire un autre si le dernier en date leur déplaît. On dit qu’ils font et défont les présidents. Et le vote, là-dedans ? Une pièce de théâtre au final truqué. » (Rédac ER) Le pouvoir visible, coincé entre l’oligarchie et le peuple, deux forces aux intérêts totalement divergents, est logiquement devenu schizophrène, ce que tout le monde peut voir chaque jour. Traduction : tous ceux qui soutiennent la politique de répression du pouvoir, qu’il soit profond ou visible, prennent le risque de se retrouver un jour violemment rejetés. L’Histoire nous apprend que lors des phases d’hypertensions politiques, les juges et responsables politiques corrompus peuvent très vite se retrouver sur le banc des accusés. Mais pour l'instant ce système tient par ses médias mainstream, car ils sont très rarement de l’honnêteté intellectuelle et principalement de la trahison sociale, du contrôle oligarchique, de la perverse propagande lobbyiste, de l’agressivité sioniste, des délires évidents, de la fausse pugnacité d’un Jean-Jacques Bourdin, des limites conceptuelles, de la platitude soporifique, de la soumission au système, de la courtisanerie grotesque, de la fière sottise, de l’obsession délatrice, de la morale perversement réformée, de la souplesse d’échine, ou de la pseudo façade révolutionnaire de divers intervenants du politiquement correct. De toute façon à notre époque, beaucoup de choses qu'on nous raconte sont fréquemment fausses, même dès l'enfance comme la théorie de l'hominisation, et de nombreuses causes historiques sont en plus très souvent occultées. D'ailleurs traiter divers sujets devant des gens sans culture, c’est abuser de leur ignorance pour leur imposer des idées qu’ils transformeront en croyances puisque étant dans l’incapacité de les critiquer et de les vérifier. Est-ce cela qu’on appelle émanciper les esprits ? Ce serait plutôt les asservir dont par la politique et la pseudo science même si elle est académique comme donc la théorie de l'hominisation ou du genre. Encore donc dans un aspect de fin des temps, nous sommes sous le contrôle du vice, du mensonge et de la perversion, tout en perdant notre liberté au nom de la liberté, et notre possible foi au nom de la consommation ou par l'athée ambiance laïciste répandue. En effet déjà depuis notre apprentissage à l'école, rien n'est neutre au niveau de la science, de l'histoire ou de la culture, car tout est lutte d'influence ou d'intérêt. Et il faut donc être très prudent afin de distinguer le vrai du faux en croisant de nombreuses informations et opinions. Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, ont d'ailleurs signé la déclaration « Pas d’urgence climatique » lors du Global Climate Intelligence Group (CLINTEL) qui a remis en question l’urgence climatique, soulignant que le réchauffement actuel fait partie d’un cycle naturel et se produit plus lentement que prévu par le GIEC. D'ailleurs des pics de chaleur ont parfois voire souvent existé ces derniers siècles. De plus notre monde moderne, qui devrait clairement mieux tourner par sa richesse, sa technologie développée, ses liens politiques, ses internationaux échanges économiques importants, ses rares guerres (quoique l'augmentation des guerres et les risques de guerres remenacent de plus en plus la sécurité et plombent l'économie internationales) et son niveau rapide de communication mondiale, prouve qu'il y a certainement des grands complots ou vastes conspirations. Surtout que c'est aussi prouvé par des lanceurs d'alerte (pour la justice, la liberté ou l'intérêt général des peuples types Julian Assange et Edward Snowden honteusement condamnés par le pouvoir profond et visible corrompu) et divers cas de conscience délivrés sur le précieux internet dont concernant le réseau pédocriminel voire pédosataniste de certaines élites, en sachant qu'il ne faut pas confondre le petit satanisme folklorique comme celui d'Aleister Crowley et le grand satanisme du pédosataniste pouvoir sioniste, oligarchique et lgbtiste, même si les deux sont dans un sens aussi indignes. Et pour être considérés faisant partie du satanisme opérationnel, les responsables de ces réseaux ont juste besoin de chantage suite à des pratiques criminelles exigées et filmées, même si certains sont satanistes et pas les autres. D'ailleurs le rôle ignoble de la presse participant avec le système à occulter et donc humilier Assange en prison pendant des années alors qu'il n'a rapporté que des crimes de guerres montre que la liberté d'expression, la démocratie et la bienveillance des élites envers les peuples sont des illusions en Occident, dont aussi car cela menace les autres justiciers journalistiques. Julian Assange, est donc un exemple emblématique de lanceur d’alerte, mais qui est en plus devenu le symbole de la liberté d’expression. Car suffit-il à un État de classer secret défense ses crimes de guerre pour continuer à se parer de vertus sans jamais rendre de comptes ? L’affaire Assange a connu de multiples rebondissements depuis qu’il s’était réfugié à l’ambassade d’Équateur à Londres. Engagé dans un bras de fer juridique depuis qu’il en a été expulsé en 2019, ce citoyen australien risque toujours l’extradition vers les États-Unis. Il aurait pu y encourir une lourde peine de prison pour 18 chefs d’accusation, dont celui d’espionnage. Pour autant, il demeure que Julian Assange n’a été que le publicateur d’informations dérangeantes sur les abus des administrations américaines, ce qui fait partie intégrante de l’exercice de la liberté de la presse, qui ne peut donc clairement pas être remise en cause pour raison d'Etat dans ce type de cas. Assange a eu12 ans de privation de liberté (2012-2024) pour avoir révélé la vérité sur les agissements indignes des États-Unis dans le monde. Et les néoconservateurs osent reprocher aux russes de museler l'opposition.« Après 12 ans de détention, dont 5 ans dans une prison britannique, Julian Assange est enfin un homme libre, mais le véritable gagnant, ce sont les États-Unis, car Assange a été contraint d'accepter un accord de chantage en échange de la liberté. Le fondateur et lanceur d'alerte de WikiLeaks est rentré en Australie mercredi après avoir plaidé coupable à l'un des chefs d'accusation devant un tribunal américain, selon un accord de plaidoyer convenu à l'avance. Il n'est pas rentré chez lui en tant qu'innocent acquitté des charges retenues contre lui, mais en tant que criminel condamné après avoir purgé une peine de prison valable pour avoir dénoncé les crimes de guerre américains au monde. Les défenseurs des droits de l'homme, y compris son avocat, ont averti que le cas d'Assange créait un dangereux précédent dans lequel les journalistes et les lanceurs d'alerte qui rapportent des informations classifiées dans l'intérêt public aux États-Unis seraient accusés d'espionnage. Le fait qu’une accusation d’espionnage sur 18 ait été invoquée et qu’Assange ait été contraint de plaider coupable, selon des militants, soulève de grandes questions sur la liberté de la presse aux États-Unis. « Le danger était de passer le reste de sa vie dans une prison à sécurité maximale aux États-Unis. Il s'agit donc de coercition. Julian Assange n'a rien fait de mal. Julian Assange a dénoncé les crimes de guerre américains », a soutenu Craig Murray, ancien diplomate britannique et son ami. L’accord de plaidoyer n’aura pas l’effet de précédent d’une décision de justice, mais il pèsera toujours sur la tête des journalistes chargés de la sécurité nationale pendant des années (à moins d'aller en Russie) », a déclaré Seth Stern, directeur du plaidoyer pour la Freedom of the Press Foundation (FPF). » (France Press TV) Suite à sa sortie de prison Julian Assange a évoqué le rapport révolutionnaire de la PACE sur les enlèvements de la CIA en Europe, révélant l’existence de centres de détention secrets et de méthodes d’enlèvement illégales opérées par la CIA sur le sol européen. Il a souligné que ces pratiques constituent une violation des droits de l’homme et du droit international. Dans ce sens il a appelé à une prise de conscience urgente pour préserver la liberté d’expression et la quête de la vérité, et il a insisté sur l’importance de la vigilance et de l’engagement de tous pour veiller à ce que la lumière de la liberté ne s’éteigne jamais, en déclarant : « La liberté d’expression et tout ce qui en découle se trouve à un carrefour sombre. Je crains que, à moins que des institutions comme la PACE ne prennent conscience de la gravité de la situation, il ne sera trop tard. Engageons-nous tous à faire notre part pour veiller à ce que la lumière de la liberté ne s’éteigne jamais, que la quête de la vérité perdure et que les voix des nombreux ne soient pas réduites au silence par les intérêts de quelques-uns. »
Par rapport à ces forces gauchisto-mondialistes et à diverses autres qui luttent perversement contre le statu quo géopolitique mondial actuel depuis des positions très diverses en prétendant combattre des néo-fascismes dont l'islamisme, il existe au Proche-Orient un risque réel d’implosion qui peut finir par le défigurer, puis d'explosion mondiale par les différentes alliances internationales en présence dans cette région, comme l'ont prophétisé divers textes religieux judaïques, chrétiens et islamiques en parlant du rapport entre la ville de Damas (capitale de l'actuelle Syrie en guerre) et la fin des temps. Le géopolitologue Youssef Hindi l'a d'ailleurs évoqué en précisant que l'actualité de la Syrie, surtout depuis qu'elle est tombée, de même que d'autres zones au Moyen-Orient menaçantes mondialement par de dangereuses alliances et tensions, ne peut être qu'un point de basculement (pivot) géopolitique régional, puis mondial qui clarifiera de façon nette les alliances et les deux camps voire plus qui s'affrontent : c'est à dire celui de l'oligarchique, wokiste, belliqueux et dominateur mondialisme occidental américano-sioniste unipolaire et celui du populaire, conservateur, pacifique et coopérateur souverainisme eurasiatique multipolaire, et celui du Grand Israël. D'autant plus par son parallèle avec la guerre en Ukraine, avec l'avènement hégémonique de l'Eurasisme multipolaire, la guerre Hamas-Israël, et la relation réussie ou écartée entre l'Iran et l'Arabie saoudite, ce qui pourrait vraiment conduire Israël à envahir gaza puis à pousser les USA à entrer en guerre afin de casser l'intéressant rapprochement Arabie-Iran (même si l'Arabie demeure un vassal des USA) suite à leurs adhésions aux BRICS, à la guerre avec les Houtis (AnsarAllah) du Yémen, et au retour de leur relation diplomatique grâce à la Chine. Alors que la Chine a toujours laissé auparavant le Moyen-Orient à l'hégémonie US, mais désormais elle sait que la déstabilisation de la Syrie facilitée par ses communautés multi-confessionnelles désunies finira par la disloquer comme l'a prouvé le départ de Bachar al-Assad synonyme désormais d'évolution historique presque quotidienne régionalement voire mondialement. Surtout que pour ses nouvelles routes de la soie et le corridor énergétique du Moyen Orient dont elle profite, il faut un continent pacifié, ce que ne veulent pas les USA, en cherchant à diviser russes, chinois et musulmans, dont par le soft power du cinéma et des médias, tout en sachant que l'«India-Middle East-Europe Economic Corridor (nouvelle route des Indes) » pourrait être important pour concurrencer le monopole des nouvelles routes de la soie vers l'Europe et l'Afrique. La défaite de Daech et donc du Qatar et de l'Arabie saoudite a effectivement participé à faire échouer leur normalisation avec Israël et à les rapprocher de l'Iran avec la médiation de la Chine voulant comme la Russie stabiliser le Moyen-Orient pour les nouvelles routes de la soie. Mais avec la victoire des islamistes d'HTS en Syrie dont suite à un embargo occidental massif, les BRICS+ vont devoir confirmer leur lien pour ne pas tomber à leur tour. En comprenant qu'Israël convergent avec l'hégémonisme US est la nation la plus déstabilisatrice de cette région, puisque son projet final est la grand Israël et donc la guerre jusque là, surtout qu'Israël a besoin d'un ennemi extérieur (Syrie, Liban) et intérieur (palestiniens) pour lier les différents communautés juives particulières venues du monde entier et ne formant donc pas une nation naturellement. Il n'est donc pas étonnant que ceux qui poussent les USA, l’OTAN, l’UE et l’Ukraine à la guerre contre la Russie sont encore l'establishment néoconservateur et mondialiste occidental et les médias qu'ils financent. Car ils cherchent donc à conserver un système économique et financier qui leur a profité. Surtout que les USA sont tenter amplifier l’extraterritorialité de leur droit pervers (en partie fondé sur le dollar), puisqu'il leur permet de dominer le monde par l’économie, la finance et la menace de sanctions permanentes, voire par l’utilisation de la force. Ils essayent aussi d’étendre et de renforcer toujours plus le contrôle US sur les ressources naturelles mondiales et l’hégémonie US sur les gouvernances et sur les peuples. Il s'agit de l'application de la doctrine néoconservatrice clairement exposée dans le document : Rebuilding Americas Defense. Pour y parvenir les néoconservateurs utilisent tout une panoplie de moyens qui vont du système transnational des sayanim et du mossad, au contrôle des télévisions de nombreux pays, en passant par la corruption des élites, par la puissance des organisations supranationales, par la haute finance dominant l’économie des nations, par les GAFAM, par les laboratoires pharmaceutiques, par tous les médias et par des ONG. Ainsi sans contredire l'avis de Youssef Hindi affirmant que les idées sont le moteur de l'Histoire (mais souvent tempérées par les rapports de force et les conditions de vie dont matérielle et sécuritaire), il apparaît qu'un destin mondial inévitable s'est aussi souvent dessiné, dont à travers des circonstances particulières comme l'évolution de la connaissance humaine et la confrontation des intérêts internationaux, financiers, nationaux, populaires ou idéologiques. Or une grande partie de l'histoire moderne depuis 1945 est liée au veto de l'ONU ou au respect ou au non respect des résolutions de l'ONU. Par conséquent l'Histoire authentique donne des clefs de compréhension du présent et du futur. C'est pourquoi la plupart des grands événements de la Création et de notre vie ont logiquement souvent été prédestinés divinement comme épreuves. (S21v35) « Toute âme doit goûter la mort. Nous vous éprouverons par le mal et par le bien (à titre) de tentation (pour vous proposer les qualités morales). Et c'est à Nous que vous serez ramenés. » (S67v1/2) « Béni soit celui dans la main de qui est la royauté, et Il est Omnipotent. Celui qui a créé la mort et la vie afin de vous éprouver (et de savoir) qui de vous est le meilleur en œuvre (interprétation possible selon la subtilité divine : aura compris puis tendu vers l'ennoblissement maximal qui est la valeur suprême), et c'est Lui le Puissant, le Pardonneur. » C'est à dire qu'au delà des considérations économiques et matérialistes, et de l'évolution du niveau moral et scientifique général des peuples, (que les élites perverses et sociétés secrètes ont souvent égaré en leur faveur et leur projet,) il y a au-dessus de cela une structure religieuse de la géopolitique et de la politique, et donc de la théopolitique ou de la métapolitique, à prendre en compte pour comprendre un certain nombre de phénomène historiques, politiques et géopolitiques. D'ailleurs les problèmes de déconstructions de l'individu, de la famille et de la nation ont pour origine métapolitique les USA oligarchico-sionisto-wokistes. Cette déconstruction est aussi un business dont de nombreux corrompus profitent, puisque par exemple la transsexualité, l'homosexualité et la GPA sont de nouveaux marchés lucratifs. En fait c'est le système tout entier via ses médias collabos qui diaboliquement pousse très dangereusement à la destruction de la différence homme-femme, puisqu'elle est fondamentale pour la civilisation et donc la société. Or il existe donc aussi souvent une dictature du réel concernant la nécessité d’approvisionnements en aliments, énergies et matières premières, dont à l'étranger. Ainsi à notre époque de grandes tensions internationales, une combinaison de tous ces facteurs laisse présager un avenir instable sur le court ou moyen terme dont au Moyen-Orient Orient, en Ukraine et donc dans le monde, surtout que des processus de paix peuvent facilement être interrompus comme en Syrie par des attaques chimiques ou des bombardements sous faux drapeaux, alors qu'une forme de statu quo mondial géopolitique soit pourtant compris par la plupart des grands acteurs. La guerre en Syrie, même si elle se calmait ou s'arrêtait et particulièrement se perdait, pourrait être un des derniers avertissements avant la fin des temps, en particulier à cause des crises financières mondiales cycliques s'amplifiant. Surtout que certains événements de l'Histoire sont des images de la fin proche des temps, que suite à la très grave précédente de 2008 absolument rien n'a été réglé voire a été aggravé par les banquiers centraux et que la souillante entité sioniste (Palestine occupée) est avide de domination territoriale et géopolitique de même que l’oligarchique messianisme juif mondialiste. Cependant grâce à l'aide de la Russie, l'évolution des événements en Syrie n'allait pas dans le sens des volontés d'Israël ni des messianistes juifs mondialistes et prouvait donc qu'ils ne sont pas aussi puissants qu'on veut nous le faire croire. Mais la persévérante indignité de l'hégémon américano-sioniste déstabilisant des nations, créant la guerre, imposant de graves sanctions économiques et soutenant des takfiristes a aussi réussi à faire tomber la Syrie, car les pays musulmans sont honteusement restés désunis, ce qui peut correspondre à l'ouverture d'une boite de pandore qui permettra l’avènement du Grand Israël, alors qu'il aurait été plus noble mais moins grandiose de triompher à la fin des temps seulement avec le petit Israël sur toute la Palestine et avec le retour d'un califat bien guidé sous forme d'une confédération. Et c'est aussi pourquoi les néoconservateurs américains et les mondialistes occidentaux, et donc les messianistes oligarchiques et juifs, ont provoqué la guerre en Ukraine dans l'espoir d'y faire enliser la Russie, dont économiquement comme lors de sa guerre en Afghanistan afin qu'elle quitte la Syrie au profit des sionistes. Cette guerre entre l'occident wokiste et la Russie conservatrice étant le dernier bastion du christianisme est par conséquent eschatologique, dont car cela va jusqu'au niveau étatique et national. Surtout que de plus en plus, elle se confirme comme une guerre d'usure (d'attrition) à mort, c'est à dire jusqu'à la domination via des pénuries d'hommes, d'armes, d'argent, de logistique, de munitions, d'énergie, d'économie, de monnaie. En effet vu les inédites énormes sanctions vastes possiblement inarrêtables et les grands moyens militaires engagés par les deux camps, c'est seulement la détermination et la résistance patriotique des peuples qui semblent pouvoir faire triompher ce combat mondial ultime, c'est à dire suite à une bonne révolution populaire en Occident ou une mauvaise en Russie. Mais l'Ukraine pourrait être une impasse générale en particulier pour l'occident, car on ne peut pas faire une guerre existentielle par procuration et de façon localisée, quoique l'effondrement de l'URSS a été en grande partie causée par sa guerre en Afghanistan. Or pour faire effondrer la Russie, récupérer les terres cultivables ukrainiennes (mais aussi celles contenant des richesses minérales ou du lithium pour l’escroquerie de la «décarbonisation») et faire baisser la population mondiale, le camp occidental anti-russe, oligarchique et malthusianiste peut vouloir faire durer la guerre afin d'y augmenter les morts. D'ailleurs cette guerre d'usure dont en hommes, en armes et en argent apparaît de plus en plus aussi aussi au Moyen-Orient entre les USA impies et la résistance musulmane anti-impérialisme américano-sioniste. Or l’attentat au Crocus City Hall de Moscou ayant tué 143 spectateurs pourrait plutôt signifier que l'Occident souhaite que la Russie accélère sa victoire pour faire des économies vu la situation financière occidentale. Mais Macron ayant dit que la défaite de la Russie étant une question existentielle, en réalité pour le système occidental, ploutocratique et sioniste, cet attentant serait donc une des nombreuses armes de la guerre hybride cherchant la division et donc l'implosion du peuple russe voire étant une punition contre ce dernier puisque ayant voté massivement pour Poutine, ce qui leur permet de comprendre désormais clairement que c'est bien aussi une bataille existentielle que mène la Russie en Ukraine, et donc que la guerre en Ukraine est beaucoup plus la volonté oligarchique mais aussi sioniste de faire tomber la Russie que de récupérer l'Ukraine via l'UE puis l'Otan, surtout que l'occident aurait pu y parvenir en laissant pourrir la situation après le Maidan et que la Russie gène beaucoup l'hégémon américano-sioniste au Moyen-Orient. La Russie et le monde multipolaire ont donc probablement compris la grande importance de défaire l'OTAN et les USA militairement, économiquement et donc idéologiquement, car on ne peut plus leur faire confiance vu leur gestion du monde en tant que superpuissance lors des dernières décennies. (Or les empires des USA et d'URSS ont pendant un temps tout même stabiliser en partie le monde, dont en évitant une troisième guerre mondiale par la dissuasion nucléaire et en amenant un juste milieu entre libéralisme et socialisme, mais actuellement la possession de cette arme par une poignée de pays est source d’instabilité, alors que sa possession par la majorité des pays du monde serait une garantie de paix internationale totale. En sachant que l’arme nucléaire a été confié à l'humanité comme l’arme ultime, car si elle est employée, nous pouvons au minimum détruire notre écosystème voire celui planétaire, c’est-à-dire l’équilibre naturel qui nous permet de vivre, même si la guerre nucléaire ne concerne principalement que l'hémisphère nord.) D'autant plus que la troisième guerre mondiale nucléaire semblant impossible, cela paraît le meilleur moyen pour la douce victoire progressive du Bien et donc des valeurs conservatrices, pacifistes et équitables du monothéisme authentique et du monde multipolaire via leurs ressources énergétiques et leur force économique, sur le Mal et donc sur le laïcisme wokiste, belliqueux et ploutocratique de la démocratie occidentale et de l'empire américano-sioniste unipolaire via leur complexe militaro-industriel et leurs multinationales monopolisantes. Surtout qu'au bout d'un moment, les guerres sont souvent devenues trop chères pour beaucoup de belligérants. D'ailleurs la politique d’usure pratiquée par la Russie est en train d’éroder son ennemi principal anglo-saxon. Les notions occidentales d’accords de paix ne sont que la preuve que, comme un boxeur qui a reçu un coup écrasant, il cherche une trêve pour se rétablir. Il serait très étrange que la Russie cède à ce stade, et elle continuera certainement à poursuivre son plan, lentement mais sûrement, car elle ne peut donc accélérer l’effondrement anglo-saxon au risque d'une guerre nucléaire. L'Occident a de plus en plus de mal à approvisionner l'Ukraine en armes et en munitions. Fin 2022 seuls quelques pays sont en mesure de fournir une assistance militaire à Kiev. Le New York Times a écrit un article à ce sujet. Selon le journal américain, les deux tiers des pays de l'OTAN ont presque complètement tari leur potentiel militaire et ne sont plus en mesure de fournir des armes et des munitions à l'Ukraine. Grosso modo, 20 pays de l'OTAN sont « épuisés militairement », et les dix autres persistent à fournir à Kiev des armes pour affronter la Russie. La Pologne et les trois républiques baltes ont été citées parmi les plus « épuisées ». Et les principaux sponsors sont toujours les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, l'Italie et les Pays-Bas, sauf que l'Europe semble de moins en moins avoir d'armes et les USA ralentissent les livraisons au risque de s'effondrer trop vite économiquement. Cependant, ces mêmes pays ont aussi des problèmes. Ces problèmes viennent du fait que l'Occident n'était absolument pas préparé à ce qui se passe en Ukraine. Même au sein de l'OTAN, les autorités ont reconnu que la quantité d'artillerie utilisée en Ukraine est « stupéfiante ». En Afghanistan, les États-Unis tiraient 300 obus par jour, ce qui était considéré comme beaucoup, mais comme le terrain sur lequel se déroule le conflit ukrainien n'a pas été pris en compte, une journée de combat en Ukraine équivaut à un mois d'hostilités en Afghanistan, a annoncé l'Alliance, sans parler des armes fournies puis revendues au marché noir. Or la production militaire russe est supérieure face à 50 pays de l'Otan et de l'Occident, et ce sans compter la future possible aide chinoise ou nord coréenne. Ainsi le sage choix russe de guerre d'usure possiblement donc à mort plutôt que de guerre éclaire qu'elle pouvait effectuée prouve la volonté russe de triompher sans troisième guerre mondiale, malgré que ce soit une lutte existentielle entre la Russie et l'Occident. En effet en choisissant une guerre d’usure, la Russie multipolaire a décidé d’user les pays du Bloc Altantico-Occidental (BAO) unipolaire, sur les plans militaire, économique, et bientôt culturel. Il faut noter que ce monde multipolaire est basé sur le droit international et que ce monde unipolaire est basé sur le viol du droit international pourtant prétendument mis en avant par ce dernier, et qu'en cas d’effondrement économique occidental, cela entraînerait celui de la belliqueuse OTAN. De plus cet affrontement cherche à faire tomber le dollar qui est basé sur la faiblesse de création de richesses fictives dont par la spéculation, grâce à la paire rouble/yuan qui est basé sur la force de création de richesses réelles dont par l'extraction de ressources énergétiques et la production industrielle. C'est à dire qu'il est urgent de stopper la perversité de ce monde unipolaire américano-sioniste fondé sur un impérialisme égoïste favorisant la haute finance privée internationaliste, pour aller vers l'équité d'un monde multipolaire eurasiatique fondé sur le pouvoir économique de grandes entreprises étatiques et privées servant les peuples et faisant probablement partie de l'éden terrestre complété après la fin des temps. Le Kremlin a même déclaré que l'Occident était un partenaire toxique pour l'économie russe. La guerre en Ukraine est donc en réalité une guerre des USA, du dollar, de la thalassocratie et du mondialisme ploutocratique, wokiste et sioniste contre le pôle de résistance mondial, sédentaire, continental, conservateur et eurasiatique. En effet le statu quo mondial qui était basé sur le maintien de la Syrie et sur une opposition économique et militaire entre l'occident et la Chine, la Russie, la Syrie, l'Iran et le Venezuela pouvait durer jusqu'à l'effondrement des Etats-Unis, de la Chine ou de la Russie, jusqu'à la troisième guerre mondiale, jusqu'à l'hégémonie sioniste par la technocratie privée de la big finance, du big pharma et du big tech, ou/et jusqu'à l'apparition du Mahdi. Ce statu quo avait d'ailleurs rendu inévitable pour les puissants pays indépendants et oppressés de se dresser contre les systèmes de domination mondiale et de jouer un rôle actif dans le bon avenir du système international. Dans ce sens, l’Iran s’est imposé comme l’une des puissances régionales les plus importantes pouvant jouer un rôle décisif dans ces équations. Mais depuis que la Syrie est tombée, les cartes sont en partie rebattue, l'unité des BRICS devient encore plus essentielle, et il faut laisser la situation en Syrie évoluée pour ensuite décider d'une stratégie. La technique américaine de déstabilisation voire de destruction des pays, qui finit souvent par se retourner contre elle, arrive donc logiquement à sa fin. En attendant, son industrie de l’armement tourne plus que celle de la reconstruction, ses exportations d'armes reprennent, et ses autres matériels militaires déclassés sont envoyés aux belligérants du camp du Bien dont font partie l'Ukraine, les rebelles de Syrie, l'Arabie Saoudite. Les pays, ou plutôt les dirigeants corrompus de ces pays, qui ont accepté de collaborer avec l’Empire, connaissent pourtant le risque qu'ils retournent à l’âge de pierre, mais ils doivent avoir une porte de sortie dorée à l'étranger, comme souvent. L’Ukraine a donc été l’occasion (et non la cause) de la grande rupture des relations entre Moscou et Washington. En effet dans l’esprit des stratèges de Washington, l’Ukraine constituait une occasion unique de justifier l’imposition de sanctions paralysantes pour espérer mettre un terme aux ambitions supposées de Poutine en Europe et au-delà. En outre, il s'agissait donc de rompre irrémédiablement les liens de plus en plus étroits entre la Russie et les États européens. C'est à dire qu'à travers une ligne de sang ukrainien, les USA cherchent à créer un nouveau rideau de fer divisant le continent européen. Si la Russie s'épuisait économiquement, cette réalité géostratégique permettrait en plus à l’Occident de consacrer toute son énergie pour faire face à la Chine. Tout ce que les États-Unis ont fait vis-à-vis de l’Ukraine au cours de l’année 2022 a été dicté par cet objectif primordial. Ces scénarios optimistes avaient en commun l’espoir que le partenariat sino-russe naissant serait fatalement affaibli, ce qui ferait pencher la balance en faveur des États-Unis dans la bataille à venir avec la Chine pour la suprématie mondiale, surtout si suite à l'effondrement du rouble et à des protestations populaires massives du peuple russe, Poutine avait dû démissionner. Or c'est plutôt le contraire qui est arrivé. Ainsi l’Occident est confronté à un dilemme : la guerre totale comme alternative à la paix aux conditions de Poutine, c'est à dire avec la fin des sanctions. Il est intéressant de voir à ce sujet la bonne vidéo « [Ukraine] L’échec comique des sanctions occidentales contre la Russie. » concernant la situation économique de la Russie face à la guerre économique occidentale à l'adresse https://youtu.be/3EDUc7A8QEg Malgré la haute finance à outrance déséquilibrant l'économie mondiale, les manipulations politiques déstabilisant le droit international et les diverses guerres divisant des nations, on constate que la fin des temps est vraiment entre les mains de Dieu. Ceci est d'autant plus prouvé par l'apparition de la bombe atomique empêchant la troisième guerre mondiale, par des peuples type anglais ayant freiné la gouvernance mondiale par le Brexit et par certains dirigeants intelligents recherchant un monde multipolaire synonyme d'ordre international juste et pacifique profitable à tous. En effet la situation géopolitique en constante évolution s’oriente de plus en plus vers un nouvel ordre mondial multipolaire anti-mondialiste, qui s’oppose au nouvel ordre mondial unipolaire mondialiste de la Grande Réinitialisation, des oligarchies financières, des messianistes juifs égarés et du pouvoir profond international caché. Le monde multipolaire correspond à un système équilibrant les intérêts et respectant la souveraineté des nations, alors que le monde unipolaire correspond à un système faisant des États des vassaux devant favoriser l'hégémonie états-unienne dans tous les domaines. Le monde multipolaire correspond donc à une forme d'union anti-impérialisme américano-sioniste que devraient logiquement rallier les pays du monde souvent oppressés comme l'attendent les BRICS, afin de propager massivement la dignité de l'équilibre, plutôt qu'un avide empire impie engloutissant tout sans partage ni donc compassion à l'image de certaines multinationales. En effet le glouton système économique occidental actuel étant basé sur l'usure et la dette généralement irremboursable appelant obligatoirement d’autres emprunts pour pouvoir être remboursés, l’endettement global de l’économie n’a pas vocation à être résorbé, puisque son expansion sans limite vers une domination mondiale est le gage de sa survie, mais simultanément un risque évident de guerre civile généralisée, voire de guerre mondiale militarisée avec les derniers pays ne s'y étant pas encore soumis. D'ailleurs pour maintenir la valeur du dollar suite à d'innombrables planches à billets et la dédollarisation du monde, l'annexion militaire de zones pétrolières par les USA comme en Irak, Libye et Syrie est devenu nécessaire. On peut même noter que l'économie réelle américaine a été détruite par le libre échange, l'économie fictive et par la haute finance dont la banque Rothschild, que les USA mais aussi la banque Rothschild doivent ainsi ensuite pomper des ressources ailleurs tels des parasites, et qu'il s'agit donc d'une autodestruction permanente devant effectivement se propager pour survire, ce qui valide la comparaison avec le glouton. (D'ailleurs c'est dans ce sens que la néolibérale oligarchie ploutocratique apatride mondialiste recherche le marché commun planétaire pour qu'il n'y ait plus de droits de douanes ni de taxes comme le prouvent les nombreux traités de libre-échange occidentaux.) C'est pourquoi pour cet Occident globaliste, son premier très grand repli que fut la perte de la Crimée est inacceptable, et l'a poussé à provoquer la guerre en Ukraine dans l'espoir de faire effondrer économiquement la Russie. Et comme la Russie a compris tout cela, elle pourrait donc tendre récupérer l'Abkhazie et l’Ossétie entièrement suite à leurs demandes, voire la totalité de l'Ukraine, en particulier suite à l'attentat au Crocus City Hall de Moscou. Ces guerres ne seraient pas étonnantes puisque un des piliers fondamentaux de la paix est le développement mutuel, ce qui n'est pas du tout le cas avec cet hégémon américano-sioniste. Le néolibéralisme états-unien est tellement totalitaire qu'il dirige inexorablement l'Occident vers le grand reset au profit donc du pouvoir privé, alors que le juste milieu du protectionnisme libéral national a montré qu'il était meilleur économiquement et souverainement. Et c'est d'ailleurs pourquoi de plus en plus de médias et de nations occidentaux ne font plus l’amalgame entre protectionnisme-nationalisme-extrémisme-nazisme. Surtout car cela se fait même au prix de provoquer des guerres dont pour faire amener la Finlande et la Suède dans l'OTAN suite à la guerre en Ukraine. Cependant si l’OTAN s'agrandit avec ces deux pays, pas moins de 15 pays ont exprimé leur intérêt de rejoindre l’OCS, 5 ont exprimé leur intérêt de rejoindre les BRICS et de nombreux pays africains se sont alliés militairement la Russie. Ces pays ont donc aussi compris l'importance de la transition vers un nouveau système économique mondial multipolaire pouvant être fondé sur une nouvelle monnaie d’échange synthétique plutôt que sur l'oppressif dollar. En effet comme le propose l'axe russo-chinois, cette nouvelle monnaie serait plus juste en étant basé sur un indice des monnaies des pays participants à cette organisation et en étant adossée à l'or ou au prix de l'énergie. D'ailleurs un token or et un token argent basés exactement sur des stocks réels pourraient également servir chez les particuliers. En effet le problème de l’or est qu’il est difficile à stocker et transférer, un problème qui pourrait donc trouver sa réponse dans la blockchain. L’un des moyens d’y parvenir est le secteur privé, probablement même avant le gouvernement, par le biais de la blockchain. Ce qu’il faut, c’est qu’une blockchain soit utilisée pour donner des jetons à de l’or réel, en offrant tous les avantages promis par la blockchain sans renoncer à la valeur réelle offerte par l’or. Surtout qu'une autre monnaie fiduciaire ne peut remplacer le dollar comme monnaie de réserve, si c'est pour que cette monnaie soutienne aussi les autres monnaies, car il n’y a en fin de compte rien de concret qui soutienne le système. La monnaie internationale basée sur ce panier de devises peut seulement être une monnaie de change pour commercer et non une étape pour créer une gouvernance mondiale. En sachant qu'il est absurde de créer une monnaie commune entre pays riches et peu développés comme l'Euro, alors qu'il est logique de créer une monnaie à travers un panier de devise pour qu'elle devienne une unité de compte, surtout qu'une monnaie nationale peut favoriser les exportations ou les importations, alors qu'une monnaie commune l'empêche. De plus on peut élargir le panier de devises sous-jacent en y ajoutant une vingtaine de produits de base négociés en bourse. Une unité monétaire basée sur un tel panier élargi a été modélisée mathématiquement et a démontré un haut degré de résilience et de stabilité. « (En effet) Il faut une une émancipation économique et monétaire, face à une oligarchie financière mondiale qui a fait de la monnaie fictive un instrument de tyrannie là où elle doit être un instrument au service d’une idée nationale. » Il est intéressant de voir à ce sujet l'importante vidéo « Hjalmar Schacht, le magicien de la monnaie » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=Sk7dd45faEw&t=515s Cette orientation des pays vers un monde multipolaire semble même dépasser largement ces 15 pays, puisque seulement environ 40 pays pour la plupart appartenant en plus à l'occident sur 193 ont refusé les sanctions anti-russes. Suite à la défaite en Syrie, en Ukraine et possiblement en Palestine, l'admiration même occidentale envers les plus forts qu'était l'empire américano-sioniste s'effondre. Ainsi la Russie a adopté le principe de la diversification. On la présente accro à l’Europe mais en 2021 elle a vendu du pétrole à 36 pays, situés sur tous les continents. Sans doute Bruxelles aurait dû se renseigner avant de penser que le talon d’Achille de ce pays était son pétrole et son gaz. En 2021, la Chine était le premier acheteur de pétrole russe avec 70,1 millions de tonnes de pétrole russe (soit 30,6% du total exporté par le pays). Il y a plein de signaux indicateurs nous disant que, sans la Chine à bord, sanctionner la Russie ne fait que détruire la croissance européenne. Nous avons l’exemple que ça ne marche jamais. Ainsi l’Iran, le pays le plus sanctionné avec la Corée du Nord, alors qu’on essaie de l’étrangler depuis Washington, Londres et Paris, a vu la Chine investir massivement dans les développements que l’Occident avait abandonnés. La chancelière allemande Angela Merkel a d'ailleurs déclaré à ce sujet que les sanctions adoptées par l’UE contre la Russie étaient avant tout nécessaires pour unifier l’Union européenne (vassale des USA) et éviter son effondrement. Or aussi parce qu’ils ne pouvaient pas imaginer que l’Ukraine perdrait, les experts occidentaux ne voyaient pas qu’elle était en train de perdre. Ils n’ont pas compris qu’à partir du moment où la majorité mondiale non occidentale refusait d’accepter les sanctions américaines contre la Russie, tout était effectivement terminé. En dehors des pays riches et développés d’Amérique du Nord, d’Europe, du Japon et d’Australie, il existe peu de pays fortement alignés sur les États-Unis, et les seules économies émergentes notables ayant un penchant vers Washington sont l’Inde et le Vietnam. En revanche, la majeure partie de l’Afrique est considérée comme étant alignée ou penchée vers la Chine, tout comme la majeure partie de l’Asie et une partie importante de l’Amérique du Sud. Le Haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères de l’UE commente la fin de l’hégémonie de l’Occident : « En 1990, le G7 représentait 67% du PIB mondial ; aujourd’hui, cette part est tombée en dessous de 40%. En 1990, la part de la Chine dans le PIB mondial était de 1,6%, aujourd’hui elle s’élève à 18%. » Et comme l'occident représente seulement 11% de la population mondiale et les USA seulement 4%, et comme la plupart des pays de l’UE ont même augmenté leurs exportations de marchandises vers la Russie en juin 2022, la mise en place progressive du monde multipolaire paraît inévitable. Ainsi la défaite de l'Otan défendant le monde unipolaire américano-sioniste en Ukraine serait un signe de la victoire du monde multipolaire russo-chinois, dont car cela convaincrait de nombreux pays de le rejoindre. Or « Ce sont les sanctions économiques de Washington contre la Russie, le vol des réserves de la banque centrale russe et le vol de l’or du Venezuela, et non le conflit en Ukraine, qui ont transformé le dollar américain en arme et ont entraîné un réalignement mondial. » (Paul Craig Roberts, économiste américain) Kémi Séba : « Hier 2 blocs (s’affrontaient) : le capitalisme contre le communisme. Aujourd’hui encore 2 blocs (s’affrontent) : l’Hégémonie Occidentale contre ceux qui lui résistent. » La stratégie des sanctions contre la Russie semblait très bien ficelée. Sauf pour un « détail » : il fallait qu’une majorité de pays joue le jeu. C’est là que le bât a donc blessé. La plus grande faiblesse des sanctions, constate « The Economist », est que plus d’une centaine de pays, qui représentent 40% du PIB mondial, n’ont pas suivi les Etats-Unis et l’Europe, et n’imposent pas d’embargo complet ni même partiel à la Russie. La grande idée des gouvernements occidentaux pour gagner la guerre en Ukraine était ensuite de soutenir l’effort de guerre Ukrainien, tout en coupant leurs économies à la Russie. Le différentiel ainsi créé devait empêcher Poutine de poursuivre son « opération spéciale ». Or seules les sanctions sur l’énergie russe en particulier le gaz avaient vraiment le potentiel pour vaincre la Russie en quelques mois et pour plusieurs années, mais c'était sans compter sur les grands accords énergétiques entre la Russie et la Chine qui ont clairement empêché cela, surtout que la Chine est composée par environ 1,5 milliard d'habitants. D'autant plus qu'avec le bénéfice supplémentaire pour la Russie de ces très nombreux pays n'ayant pas suivi servilement les sanctions de l'empire americano-sioniste occidentale, la guerre a en plus opportunément commencé après que la Russie se soit totalement purgée d’une dette pourtant abyssale dans les années 90, et en pleine période d’immenses doutes économiques en Occident, sans doute à l’aube d’une crise économique majeure capable de faire vaciller les empires les plus déclinants. La transparence de Poutine a aussi servi à recevoir l'importance du respect de beaucoup de chefs d'Etat, car il dit ce qu'il fait et il fait ce qu'il dit, ce qui fait réorienter géopolitiquement ces dirigeants qui attendaient parfois cette digne occasion depuis longtemps. L’empire américano-sioniste perd donc à son propre jeu.
Dans cette guerre des mondes qui s’impose peu à peu à l’est de l’Europe, les motivations principalement financières pour les États-Unis se confrontent à celles véritablement civilisationnelles du plus grand pays et du plus grand continent du monde. Surtout que la Russie appuyée par la Chine avait très probablement anticipé le piège du bourbier tendu par l’oncle Sam pour finalement s’en servir en misant sur le fait que l’énorme fardeau du soutien politique, économique et militaire à l'Ukraine allait créer de la faillite et donc des divisions dans ce qu’il reste de l’empire américain : États américains, Commonwealth et Union européenne. Suite à l'indifférence de la plupart des nations non occidentale concernant les sanctions contre la Russie, ce modèle unipolaire est en tout état de cause plus que jamais restreint. Par conséquent s'il ne revient pas à la raison en abandonnant sa volonté de domination mondiale, il pourrait s’effondrer durablement, ce qui rabattrait du même coup considérablement les cartes du Nouvel Ordre mondial à venir et faciliterait grandement la mise en place du monde multipolaire pouvant être basé sur de grandes ères civilisationnelles partiellement continentales. Et cela même si la Russie se retrouve de plus en plus dans une guerre par procuration finalement à part entière avec l’OTAN, car face à une force militaire de type OTAN, soutenue logistiquement par l’OTAN, entraînée par l’OTAN, dotée de renseignements de l’OTAN, utilisant des armes de l'OTAN, se servant des satellites de l'OTAN et travaillant en harmonie avec les planificateurs militaires de l’OTAN. Car la plupart des pays n’ont donc pas le désir de mettre en œuvre la politique occidentale. Et cela, il faut le dire, c’est la mauvaise surprise pour les mondialistes occidentaux. Des pays aussi importants que la Chine, l’Inde, la Turquie, le Brésil, et même l’Arabie saoudite, font tout l’inverse en poursuivant leur coopération avec la Russie. Ainsi la Russie a évidemment perdu la guerre de communication dans les médias occidentaux soumis au pouvoir profond mondialiste mais pas dans le reste du monde. En effet la plupart des pays émergents soutiennent la Russie dans sa géo-économie multipolaire face aux pervers politiciens des pays développés occidentaux suivant toujours leur géopolitique hégémonique unipolaire, laïciste, belliciste, ploutocratique et américano-sioniste. Ainsi les autres pays hésitants vont probablement de plus en plus s'allier au projet russo-chinois et renverser l'occident, et ce groupe de pays pourrait donc être composé au final de la Russie, de la Chine, de l'Inde, de l'Indonésie, et de une grande partie du moyen orient, de l'Afrique, de l'Amérique du sud et de l'Asie. Or le covid a participé à la continuité gloutonne du système d'usure de la finance internationaliste vers le grand reset occidental, puisque de nombreuses entreprises et nations ont dû emprunter massivement pour subsister suite au confinement mondial. Ce qui a été par exemple prouvé par la normalisation avec Israël des Emirats suite à une baisse forte du prix du pétrole et du tourisme liée au covid et du Maroc suite à une baisse forte du tourisme aussi liée au covid. En effet la finance occidentale est tel un trou noir absorbant et détruisant sans cesse l’économie réelle au profit de l’économie fictive, alors il faut évidemment la contrer. Surtout que pour cette domination financière et donc politique, le système social et donc anti-oligarchique de la France est prioritairement attaqué dont à travers l'abaissement du niveau culturel et l'empêchement de la restauration de sa souveraineté : le peuple craintif fait semblant de croire les sadiques qui défilent dans les médias mainstream pour y déverser leurs menaces apocalyptiques ; les lois les plus abjectes sont votées par un Système qui ne cache même plus son ignoble tyrannie sous un jour démocratique ; le niveau scolaire s’effondre au milieu d’une gauche qui trahit tout le monde et qui disparaît par des affaires pédocriminelles. Ainsi l'élite occidentale est très probablement pédocriminelle, au sens propre et au sens figuré. En effet les vraies affaires de pédophilie nous amènent à penser que le mondialisme, à la tête désormais de la France et des États-Unis, cherche à continuer de créer un Sodome et Gomorrhe universel à travers un dérèglement de tous les sens pour les pervertir vers les interdits. Ceux qui se retiennent, restent lucides et ne tombent pas dans le piège tendu, sont les vrais résistants et réussissent l’examen de la tentation comme Jésus dans le désert. C'est pourquoi heureusement pour l'instant dont grâce enfin à des pays donc comme la Russie, la Chine et l'Iran, la tendance vers donc un monde multipolaire solidaire et conservateur face au monde unipolaire états-unien égoïste et pervers semble se confirmer, par preuve de la transformation du G8 en G7. Dans ce sens le développement du tiers monde est certainement préférable même pour les pays riches, puisque son pillage perpétuel y fera finalement disparaître tout définitivement, alors que son développement créera de nouveaux clients pour les grandes multinationales. Selon Bruno Guigue, le développement d'un pays est forcément lié à un Etat fort, socialiste, souverain et encadré par des organismes de contrôle éthique au niveau des particuliers, des entreprises et des pouvoirs publics, même s'il se sert d'une partie du ou sert en partie le technocratique système économique et technologique occidental, comme l'ont prouvé la Chine et la Corée du Sud. Il est intéressant de voir à ce sujet l'entretien « La Chine est-elle socialiste ? Entretien avec Bruno Guigue » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=V9RYfLgiBu8&t=1663s Cependant certains journalistes déclarent qu'il persiste encore un courant politique consternant aux Etats-Unis. Celui-ci, mis en place par le Pentagone et la CIA, poursuit sans fin le plan Rumsfeld-Cebrowski du chaos constructeur par la guerre, l'ingérence, la corruption de politiciens, la déstabilisation politique ou l'appauvrissement économique en particulier envers les pays émergents ou ayant beaucoup de matières premières, minières ou énergétiques. En effet nous avons pu constater que la guerre d’Afghanistan, qui devait durer jusqu’à la fuite d’Oussama ben Laden, a duré pendant 20 ans ; que celle d’Irak, qui devait durer jusqu’à la chute du président Saddam Hussein, dure depuis 17 ans ; que celle de Libye, qui devait durer jusqu’à la chute du Guide Mouamar Kadhafi, dure depuis plus de 10 ans ; que celle de Syrie, qui devait durer jusqu’à la chute du président Bachar al-Assad, va durer. Cette doctrine Cebrowski cherche donc la destruction étatique de pays riches en ressources énergétiques afin de les contrôler par le pentagone et donc les USA. Et ils y sont particulièrement arrivés avec la chute de Bachar al-Assad en Syrie et le chaos politique qui en a résulté. En outre, nous avons vu Al-Qaïda, historiquement créé par la CIA, et Daech, historiquement créé par l’ambassadeur américain John Negroponte, commettre des crimes contre l’Humanité allant tous dans le sens annoncé par le colonel Ralph Peters américain qui a fait une propective éhontée de redéfinition des frontières au Moyen-Orient. Et il est connu que ces organisations terroristes sont toujours financées, armées et encadrées par la Grande Bretagne, les Etats-unis et la France. Il s'agirait même possiblement d'une entente de nations développées voulant préserver leur statu quo de leur domination sur les pays du tiers monde ou en voie de développement. Surtout que ce plan Rumsfeld-Cebrowski cherche en plus à adapter les missions des armées US à une nouvelle forme de capitalisme donnant le primat à la Finance sur l’Économie. C'est à dire que le monde doit être divisé en deux. D’un côté, les États stables intégrés à la globalisation dont auparavant possiblement la Russie et la Chine en plus de ceux de l'occident ; de l’autre une vaste zone d’exploitation des matières premières. C’est pourquoi ce plan cherche à affaiblir voire idéalement à anéantir les structures étatiques des pays de cette zone, et à empêcher leur résurgence par tous les moyens. Ce « chaos constructeur », selon l’expression de Condoleeza Rice, ne doit pas être confondu avec le concept rabbinique homonyme. Il ne s’agit pas de détruire un ordre mauvais pour en reconstruire un meilleur, mais de détruite toute forme d’organisation humaine afin d’empêcher toute forme de résistance et de permettre aux transnationales d’exploiter cette zone sans contrainte militaire ni même politique. Il s’agit donc bien d’un projet colonial au sens anglo-saxon du terme, à ne pas confondre avec une colonisation de peuplement. Or de nombreuses élites aux Etats-unis comprennent que la fuite en avant impérialiste, financière et guerrière de l’Amérique la conduirait à sa perte, en tant qu'économie mais aussi en tant que nation. Mais face à eux, il y a l’État profond impérialiste, les (faucons) néo-conservateurs pro-israéliens associés aux mesianistes oligarchies globalistes, qui ont conduit l’armée américaine dans un certain nombre de guerres notamment dans le monde musulman, afin de continuer cette gestion totalement corrompue et appauvrissante de la planète dont via l'immigration massive en résultant et le maintien du chaos dans de nombreuses régions, au seul profit d’Israël et des mondialistes, et au détriment des autres dont des États-Unis. Ces perverses élites occidentales vont même jusqu'à pleurnicher chaudement d’un côté comme dans les luttes contre l'homophobie et l'antisémitisme, puis bombardent froidement dont des civils de l’autre. Ainsi encore une fois, cela prouve que la sagesse prophétique se répandant est le seul moyen d'améliorer le monde par sa propagation d'effets positifs : (S5v64-66) « Et les juifs (corrompus) disent : “La main d'Allah est fermée !” Que leurs propres mains soient fermées, et maudits soient-ils pour l'avoir dit. Au contraire, Ses deux mains sont largement ouvertes. Il distribue Ses dons comme Il veut. Et certes, ce qui a été descendu vers toi de la part de ton Seigneur va faire beaucoup croître parmi eux la rébellion et la mécréance. Nous avons jeté parmi eux l'inimitié et la haine jusqu'au Jour de la Résurrection. Toutes les fois qu'ils allument un feu pour la guerre (en particulier de la troisième guerre mondiale), Allah l'éteint. Et ils s'efforcent de semer le désordre sur la terre, alors qu'Allah n'aime pas les semeurs de désordre. Si les gens du Livre avaient la foi et la piété, Nous leur aurions certainement effacé leurs méfaits et les aurions certainement introduits dans les Jardins du délice. S'ils avaient appliqué la Thora et l'Evangile et ce qui est descendu sur eux de la part de leur Seigneur (comme biens licites), ils auraient certainement joui de ce qui est au-dessus d'eux et de ce qui est sous leurs pieds. » (S49v13) « Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez (dans la dignité par le commerce honnête, le partage culturel et le compromis raisonnable dans vos intérêts respectifs). Le plus noble d’entre vous auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur. » On peut donc rappeler que les États modernes laïcistes, ploutocratiques, sionistes et mondialistes américain et israélien possiblement de l'Antéchrist étant très loin de la laïcité modérée espérée par Robespierre qui voulait conserver la reconnaissance de Dieu par l'Etat lors de la révolution française de 1789, dont car autorisant perversement même le culte satanique par la très impie liberté religieuse excessive, cherche à déboucher sur l'hégémonie du Grand d'Israël ou d'un gouvernement mondial à Jérusalem, suite à une domination par une large corruption morale et une vaste perversion intellectuelle, économique, politique et géopolitique, à travers l'inculture de masse, la perte des valeurs traditionnelles, l'internationaliste oppression financière usurière et la perte de souveraineté des nations voire leur destruction par la guerre ou le terrorisme. En effet alors que les premiers Califat bien guidés se propageaient à travers le monde par l'attirance de ses lois vertueuses, cet empire occidental impie cherche à s'imposer au monde entier par le vice. En décembre dernier 2023, un américain a décapité la figure caparaçonnée placée dans le bâtiment du capitole de l’Iowa par le Temple satanique et a jeté le crâne de chèvre qui lui servait de tête dans une poubelle. Il a déclatré : « Il s'agit juste d'un crâne de chèvre cornu, représentant le Baphomet satanique, avec une cape et un pentagramme rouge sang exposés dans le Capitole de l’État de l’Iowa. Rien de plus normal à Noël, dans les bâtiments gouvernementaux n’est-ce pas ? » Cassidy a aussi déclaré qu’il avait agi pour « éveiller les chrétiens aux actes anti-chrétiens promus par notre gouvernement ». Cependant au lieu de l’inculper simplement de dommages à la propriété ou de vandalisme, le Des Moines Register rapporte que les procureurs du comté de Polk ont inculpé le vétéran de délit criminel au troisième degré, arguant que l’acte était « en violation des droits individuels » en vertu de la loi de l’Iowa sur les crimes de haine.
Donald Trump, le Gorbatchev américain qui démantèle l’empire – Thierry Meyssan Donald Trump bouscule, choque, mais agit. Loin des polémiques, son bilan révèle une entreprise inédite : saper les fondements de l’impérialisme étasunien. Thierry Meyssan y voit même une "décolonisation" en marche. En licenciant des milliers d’agents fédéraux, en réduisant les budgets militaires et diplomatiques, Trump s’attaque aux instruments du pouvoir global américain. Ses détracteurs crient au chaos, ses soutiens saluent une révolution. Reste une question : ce déconstructeur imprévisible prépare-t-il un nouveau système… ou simplement un vide ? Avant, on parlait de l’axe israélo-américain, qui bat aujourd’hui de l’aile puisqu’on ne sait pas trop si Trump est un chrétien antisémite ou ultrasioniste, le blondin donnant des gages des deux côtés. Plus précisément, il a une politique de vitrine très sionarde, et une politique de coulisses qui l’est beaucoup moins, s’appuyant sur l’Arabie saoudite et l’Iran pour rééquilibrer les forces au Proche-Orient. Sans cela, c’est le Grand Israël, le bombardement de Natanz, une déflagration mondiale avec l’Ours et le Tigre qui ne seront pas d’accord. Et allez vous battre contre un ours et un tigre en même temps... Certes, vous êtes un aigle – ou un faucon –, vous pouvez faire mal du ciel, mais vous ne pourrez jamais vous poser, c’est-à-dire gagner la guerre au sol. Et si tu ne gagnes pas au sol, tu ne gagnes rien, car les frontières et les pays ne sont pas dans les airs.
« La facture finale de l'empire mondialiste américain est arrivée à échéance. Voilà pour la promesse de Trump et l'assèchement du Marais. Le percepteur chargé de l'entretien du Marais arrive ! Pour faire avancer ce plan brillant, Trump a formulé cinq exigences clés à l’égard de ses victimes... ou plutôt de ses clients des biens publics mondiaux américains : 1. Les pays peuvent accepter des droits de douane sur leurs exportations vers les États-Unis sans représailles, fournissant ainsi des revenus au Trésor américain pour financer la fourniture de biens publics. 2. Ils peuvent mettre fin aux pratiques commerciales déloyales et nuisibles en ouvrant leurs marchés et en achetant davantage aux États-Unis. 3. Ils peuvent augmenter les dépenses de défense et les achats d’armes aux États-Unis, en achetant davantage de produits fabriqués aux États-Unis. 4. Ils peuvent investir et installer des usines en Amérique. 5. Ils pourraient simplement écrire des chèques au Trésor américain pour nous aider à financer les biens publics mondiaux. En bref, Trump, connu pour avoir connu la faillite et escroqué à plusieurs reprises les créanciers de la Trump Organization en tant que promoteur immobilier, tente la plus grande répression de l'histoire, malgré les protestations virulentes de nombreux créanciers étrangers des États-Unis, City de Londres en tête. Ce plan de génie digne d'un méchant de James Bond a-t-il fonctionné et fonctionnera-t-il ? » (Stanislav Krapivnik)
Autrefois, avant que l’ingénierie sociale ne crée les zombies technocratiques, leurs crimes avaient un nom : l’usure. Et avec en plus l'orientation vers une écologie commune suite au changement climatique, l'orientation vers une finance commune suite au covid et l'orientation vers le militaire commun suite à la guerre en Ukraine, cela apporte un risque plus grand de révolution face à l'union européenne puisque sans volonté des peuples européens. Surtout qu'il ne peut y avoir en même temps de souveraineté de l'Union Européenne et de souveraineté d'un pays européen, et que le gouvernement a même été jusqu'à criminaliser la pauvreté. Aujourd’hui, la légitime contestation sociale est donc évidemment criminalisée. Que reste-t-il alors aux pauvres pour s’en sortir, pour changer leur situation ou pour changer de régime, alors que la voie démocratique est bouchée, la justice appartient aux forces bourgeoises, le pouvoir politique est hors de portée, la police qui devait protéger le peuple protège une oligarchie qui est devenue folle, le système électoral est complètement tordu et la liberté d’expression est décapitée, si ce n'est la révolution. Le peuple tend d'ailleurs désormais à la révolution. Et pourquoi d'autant plus cela ? Parce que depuis 30 ans, les salaires ne font que baisser, et que ce sont en premier lieu les pauvres qui ressentent cette strangulation et qui se sont levés en premier en tant que gilets jaunes évoquant les dangers socio-économiques, un jour d’octobre 2018. Et parce que aujourd’hui, c’est au tour de la classe moyenne, qui n’a pas encore admis la violence de l’offensive oligarchique, de comprendre sa douleur. Pour ce qui concerne la violence sociale cachée, progressive, sournoise, les mal-comprenants de droite et de gauche doivent savoir qu'un fonctionnaire qui touchait 1000 euros en 2010 ne reçoit aujourd’hui que l’équivalent de 820,40 euros. Et tout ça avec 20 % de pouvoir d’achat en moins en une décennie seulement. C’est pour bien saisir la strangulation du peuple par l’oligarchie et le glissement de la classe moyenne vers la couche démunie de la population. Par tout cela on comprend maintenant pourquoi les lois dites « antiterroristes » ont été faites, et pourquoi, rétroactivement, les grands attentats ont pu avoir lieu en 2015 et 2016, sous Manuel Valls, l’homme des forces obscures. Il s’agissait de détourner la grogne sociale vers les musulmans, et en même temps, de durcir la législation antiterroriste, devenue finalement antisociale. En réalité, le terrorisme est oligarchique et il est dirigé, via des proxies plus ou moins manipulés, contre le peuple. Car l’ennemi dans ce Système, c’est le peuple, pas l’islamiste. Il y a le danger réel, celui d’un renversement de régime, et le danger fabriqué. En général, quand un pays est bloqué de l’intérieur, la solution vient de l’extérieur (comme aussi les conséquences du covid et de la crise en Ukraine). Ce n’est pas un vœu pieux, c’est une des leçons de l’Histoire. Ceux qui ne sont pas d’accord avec cet ordre des choses s’appellent donc bien des révolutionnaires : ils veulent renverser l’ancien régime et en mettre un nouveau à la place, avec en général des petits aux commandes à la place des grands. Or une révolution n'arrivera que lorsque les grands patrons (une partie de la Haute bourgeoisie) vivant de l'économie réelle, les classes moyennes, les PME et le petit peuple auront des intérêts commun, et c'est ce qui est en train d'arriver avec le covid, la guerre en Ukraine, l'inflation massive et leur ennemi commun qui est principalement le Forum économique de Davos. Le renversement de Draghi en Italie est une bonne nouvelle pour les révolutionnaires, car le renversement de cet initié de Davos est l’un des tournants les plus importants de 2022. En effet cela signifie que les mondialistes ont maintenant perdu le contrôle d'un des pays les plus importants d’Europe. C’est un des piliers sur lequel l’avenir de l’humanité pourrait finalement reposer de même que sur la géopolitique russe. Surtout que l'implosion de ce capitalisme financier, dont le cœur de l'empire sont les États-Unis, l'Angleterre et l'Europe, est logiquement en cours, car ce système est un centre qui exploite une périphérie et qui est une démocratie de marché ayant pour but de standardiser l'ensemble de la planète et des peuples dont à travers l'ultra libéralisme wokiste, afin qu'on retrouve partout les mêmes franchises, les mêmes marques, les mêmes modes de consommation, les mêmes modes de pensées. En effet toute uniformisation valable en dehors du cadre légal islamique (ou christique) est synonyme d'indignité et de mort. C'est à dire que cela apporte aux gros capitalistes des coûts de productions de plus en plus réduits et donc des marges bénéficiaires de plus en plus importantes, au détriment de la diversité des peuples et des nations. En effet cet écrasement des groupements de nations, des nations, des souverainetés, des familles et des solidarités transversales jusqu'à atomiser l'individu, a pour seul but de faire travailler ce dernier au service de la matrice uniquement en échange de points de jouissance matérialiste pouvant heureusement devenir par la grâce de Dieu de l’écœurement du cœur ayant besoin de piété pour être apaisé. Dans l'ordre mondial occidental wokiste, l'existence sociale se situe donc seulement dans sa capacité à jouir, dont par un oubli total et permanent de toute forme de réflexion sur pourquoi nous sommes sur terre, pour quel rôle nous sommes dévolus, et quel sens voulons nous donner à notre vie. En effet tous ces sujets essentiels étant grandement exclus du débat médiatico-politique, les individus ont très souvent comme seul horizon la consommation, le consumérisme. « Ce que la pandémie et la crise ukrainienne ont fait remonter à la surface, c’est la réalité géopolitique latente qui s’est accumulée au fil des décennies, à savoir que le Sud global rejette les politiques de néo-mercantalisme poursuivies par l’Occident sous le couvert de «l’internationalisme libéral». L’Occident poursuit un ordre international hiérarchisé. Nul autre que le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, l’a récemment laissé échapper dans un moment d’imprudence avec une touche de connotation raciste lorsqu’il a déclaré depuis une plate-forme publique que « l’Europe est un jardin ». Le reste du monde est une jungle, et la jungle pourrait envahir le jardin. Pour le moment, cependant, le rapprochement saoudo-iranien aura certainement des retombées positives sur les efforts en vue d’un règlement négocié au Yémen et en Syrie ainsi que sur la situation politique au Liban. Le communiqué conjoint souligne que l’Arabie saoudite et l’Iran ont l’intention de relancer l’Accord général de coopération de 1998 dans les domaines de l’économie, du commerce, de l’investissement, de la technologie, de la science, de la culture, des sports et de la jeunesse. La pointe des sanctions américaines réside dans les restrictions imposées au commerce pétrolier de l’Iran et à l’accès aux banques occidentales. Il est tout à fait concevable qu’un retour de bâton soit sur le point de commencer alors que la Russie, l’Iran et l’Arabie saoudite, les trois principaux pays producteurs de pétrole/gaz, commencent à accélérer leur recherche de mécanismes de paiement contournant le dollar américain. La Chine discute déjà d’un tel arrangement avec l’Arabie saoudite et l’Iran. Les transactions commerciales et économiques sino-russes tentent d’éviter le dollar américain pour les paiements. Il est bien entendu que toute érosion significative du statut du dollar en tant que « monnaie mondiale » non seulement signifiera la mort de l’économie américaine, mais paralysera la capacité des États-Unis à mener des « guerres éternelles » à l’étranger et à imposer leur hégémonie mondiale. L’essentiel est que la réconciliation entre l’Arabie saoudite et l’Iran était également un précurseur à leur entrée aux BRICS. Certes, il existe déjà une entente russo-chinoise sur ce point. L’adhésion aux BRICS de l’Arabie saoudite et de l’Iran a réinitialisé radicalement la dynamique du pouvoir dans le système international. » (Extraits de l'article « L’accord de normalisation des relations diplomatiques entre l’Arabie saoudite et l’Iran est un événement historique » à l'adresse https://strategika.fr/2023/03/23/laccord-de-normalisation-des-relations-diplomatiques-entre-larabie-saoudite-et-liran-est-un-evenement-historique/) Or l'Empire atlantiste du mensonge et du Mal ainsi que ses dirigeants, assis avec arrogance sur les ruines de l’ancien Occident libre et maintenant déterminé à asservir le monde entier dans des réseaux d’usure, de tromperie et de terreur, ne comprennent que les actes. Ainsi il est plus que temps de faire le ménage dans ce cloaque pseudo-scientifique et de supprimer un bon nombre d’organisations mondiales qui ne font que le jeu de l’oligarchie mondiale financière apatride. Surtout qu'un changement de paradigme devient nécessaire car l'actuel est en rapport avec la sortie de la deuxième guerre mondiale, c'est à dire avec une période où il n'y avait pas de chômage et où la potentialité de développement liée à la reconstruction était importante. Fin du très bon article « "L’Ukraine est le laboratoire du mondialisme" : entretien avec Lucien Cerise » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-Ukraine-est-le-laboratoire-du-mondialisme-entretien-avec-Lucien-Cerise-67512.html : « Afin de rétablir un minimum de clarté, il faut définir où passe maintenant le clivage fondateur en géopolitique. Comme le défend Alexandre Douguine, le clivage anti-russe/pro-russe recoupe largement le clivage atlantisme/eurasisme. Ce clivage fondateur est indifférent aux systèmes d’idées et aux identités. Il y a une extrême droite anti-russe/atlantiste et une extrême-droite pro-russe/eurasiste. Idem pour l’extrême gauche et pour les systèmes politico-religieux comme l’islam, car il y a des musulmans pro-russes et d’autres anti-russes, ou pour le sionisme, car il y a des sionistes anti-russes mais aussi des sionistes pro-russes. En résumé, le trait psychologique qui distingue les deux côtés du clivage est le suivant : les pro-russes eurasistes réfléchissent avant d’agir, ils sont dans la realpolitik, quand les anti-russes atlantistes agissent d’abord, et réfléchissent ensuite, ce qui les conduit vers des postures idéologiques. Les oligarques et les groupes de combat néo-Gladio anti-russes/atlantistes vont appliquer la « doctrine Kitson » pour mettre l’Europe à feu et à sang, et accuser la Russie. » A ce sujet il est possible d'écouter la bonne émission « Pourquoi tant de haine ? #46 – Les (gladios) mouvements néo-nazis ukrainiens (avec Lucien Cerise) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pourquoi-tant-de-haine-46-Les-mouvements-neo-nazis-ukrainiens-avec-Lucien-Cerise-67544.html A l’extrémité ouest de l’Eurasie, la thalassocratie américaine a certes neutralisé, conquis et soumis politiquement et militairement la péninsule européenne, achevant un processus qui a commencé avec le Débarquement. Ou, si l’on veut, avec la création de la Federal Reserve Bank et le déclenchement de la Première Guerre mondiale pour contrecarrer l’Allemagne, puissance continentale et «rising challenger» du Royaume-Uni. Mais à l’Est, l’Empire ne semble pas avoir les moyens de soumettre à la fois les géants russe et chinois, auxquels il faut ajouter d’autres pays non-alignés comme le Brésil. Sommé de prendre partie dans le conflit ukrainien, le Pakistan a ainsi rétorqué qu’ils n’étaient « pas les esclaves des Occidentaux ». Reconstruire un système international, après une épreuve de force majeure, est le défi ultime de l’art de gouverner. Ainsi, évaluer la signification des tendances en cours, signifie pour l’Europe, réévaluer la notion d’équilibre des forces et réduire significativement la rhétorique des valeurs, que les Occidentaux ont cherché à promouvoir, avec ambiguïté, depuis la fin du colonialisme. Défaillants sur le premier point (logique de puissance), les Européens semblent l’être aussi sur le deuxième, car la rhétorique des valeurs se situe aux deux niveaux de l’ordre international, celui de la défense des principes universels, valables pour tous, et celui de la pluralité des histoires et des cultures régionales, ainsi que des diverses formes de régimes politiques. Une attitude différente ou opposée, marquerait une volonté d’assimilation forcée ou un dictat de légitimité, porteurs de conflits. Surtout que normalement, l'oppression est par essence impossible dans une relation internationale. À long terme, cela ne change rien pour l’Occident mondialiste, cet empire du mensonge dont par le médiatico-politique et du chaos en particulier par les guerres et déstabilisations états-uniennes, et il va donc continuer à s’enfoncer pour finalement disparaître totalement. Surtout que les régimes qui finissent par mentir ou/et par être dérangés mentalement s'écroulent comme l'a prouvé l'URSS. C'est à dire qu'une société basée principalement sur le mensonge (en particulier quand les plus grands menteurs sont dans les institutions) est une société gravement malade religieusement et psychiquement, et donc très en danger, car mentir peut être synonyme de crime possiblement mortel quand cela concerne la médecine, la technologie, l'économie...
A cause d'un mondialisme à outrance qui a détruit les économies, une démondialisation se met ainsi finalement en place, mais seulement pour le peuple et la classe moyenne, et toujours sans les nations, pour que l'oligarchie mondialiste reste des deux côtés de l'économie comme d'habitude pour gérer les crises (récessions) et les croissances. Or cette fois dont à travers le covid, cette oligarchie mondialiste cherche à arrêter la démocratisation de l'économie (dont elle a profité) et donc du low-coast liés au tourisme de masse prolétaire et de la moyenne bourgeoisie, car ce système leur rapporte de moins en moins d'argent, mais aussi car avec l'automatisation et le numérique, elle n'a plus besoin de la masse prolétaire pour faire tourner l'économie et cela pourrait même aller jusqu'à un génocide massif progressif dont à cause des futurs effets secondaires des vaccins déjà importants. Ainsi les seuls qui profiteront du monde ouvert d'avant seront cette oligarchie mondialiste. Surtout que cette crise du Covid associée à la crise énergétique pourrait durer longtemps, d'autant plus que même en devant lutter contre, on pourrait ne rien y faire selon le plan divin, c'est à dire s'il s'agit de laisser un plan diabolique se réaliser momentanément à des fins morales, de changement de paradigme bénéfique à l'humanité, ou/et de réveil spirituel massif. En effet le système ne peut plus nous vendre la mondialisation heureuse ou la respectabilité des élites médiatiques, politiques ou économiques par preuve des crises sanitaires, guerrière et énergétiques. Les masques tombent et la tyrannie se voit de plus en plus clairement comme lors des persécutions contre des médecins et dissidents, car dans tout plan ou affrontement, la radicalité apparaît dans les temps derniers que sont également la fin des temps selon les prophéties monothéistes. Surtout que rares sont désormais ceux, la lassitude aidant, qui se permettront encore une réflexion désobligeante devant un nez dénudé hors du masque sanitaire, même s'il persiste les attitudes inacceptables de personnes qui se transforment en petits tyrans ou grotesques chefaillons, puisque cette division populaire entre pro-masques et anti-masques a effacé gravement l'empathie et évité la lutte des classes, à tel point que pendant les confinements, 70 % des appels téléphoniques à la police ont été des délations de personnes ne respectant pas les consignes de sécurité sanitaire.
Voici ce qu'Israël Shamir écrivait en 2001 : « Comme les 4 cavaliers de l’Apocalypse, les kamikazes inconnus ont foncé dans leurs vaisseaux géants sur les deux symboles visibles de la domination mondiale américaine, Wall Street et le Pentagone. Ils ont disparu dans les flammes et la fumée, et nous ne savons pas encore de qui il s’agissait. Il pourrait s’agir de n’importe qui : des nationalistes américains, des communistes américains, des chrétiens fondamentalistes américains, des anarchistes américains, parmi tous ceux qui rejettent les dieux jumeaux du dollar et du MI6, qui détestent la bourse et les interventions à l’étranger, qui rêvent d’une Amérique pour les Américains, qui ne veulent pas soutenir la volonté de domination mondiale. Il pourrait aussi s’agir d’Amérindiens qui retournent à Manhattan ou d’Afro-Américains qui n’ont toujours pas reçu de compensation pour l’esclavage. Il peut s’agir d’étrangers de pratiquement toutes les origines, car Wall Street et le Pentagone ont ruiné la vie de tant de gens dans le monde entier. Les Allemands se souviennent de l’holocauste de Dresde, avec ses centaines de milliers de réfugiés pacifiques incinérés par l’armée de l’air américaine. Les Japonais n’oublieront pas l’holocauste nucléaire d’Hiroshima. Le monde arabe ressent encore l’holocauste rampant de l’Irak et de la Palestine. Les Russes et les Européens de l’Est ressentent la honte de Belgrade vengée. Les Latino-Américains pensent aux invasions américaines du Panama et de Grenade, au Nicaragua détruit et à la Colombie défoliée. Les Asiatiques comptent leurs morts de la guerre de Corée, de la guerre du Vietnam, des bombardements du Cambodge et des opérations de la CIA au Laos, par millions. Même un présentateur de télévision russe pro-américain n’a pu s’empêcher de dire que « maintenant, les Américains commencent à comprendre les sentiments de Bagdad et de Belgrade ». Les cavaliers de l’Apocalypse, ce peut être n’importe qui ayant perdu sa maison au profit de la banque, ayant été écarté de son travail et mis au chômage de façon permanente, ayant été déclaré « Untermensch » par le nouveau Herrenvolk. Il peut s’agir de Russes, de Malaisiens, de Mexicains, d’Indonésiens, de Pakistanais, de Congolais, de Brésiliens, de Vietnamiens, car leur économie a été détruite par Wall Street et le Pentagone. Ils pourraient être vous et moi, car ils sont tout le monde. Leur identité n’a aucune importance car leur message est plus important que leur personnalité, et leur message se lit haut et fort dans le choix des cibles. Si j’étais musulman, je préférerais attribuer le 11 Septembre à des héros musulmans plutôt qu’à des escrocs juifs. Il s’agit essentiellement de savoir si vous approuvez l’exploit en question. Si vous l’approuvez, ou du moins le tolérez, vous pouvez dire qu’il a été commis par des musulmans intrépides. Si vous ne l’approuvez pas, vous pouvez penser qu’il a été commis par des agents du Mossad qui, de toute façon, font toutes sortes de choses horribles. La vérité, c’est important, mais la narration autour de celle-ci, c’est précieux. »
« La démondialisation n’est plus un tabou. Parmi tant d’arrêts et de départs, d’annonces, d’espoirs, de craintes, le fait de la guerre commerciale nous offre le grand thème de la fin d’un cycle, celui de la mondialisation, et de son dépassement réel. Tout doit être repensé et discuté, et pas seulement sur la base des actions de Trump. Les initiatives du président américain ne doivent en effet pas être considérées comme la cause des tensions sur les marchés, dans la finance et dans les relations commerciales entre les Etats, mais plutôt comme l’effet d’une crise plus profonde et plus subtile, qui dure depuis des années et qui a maintenant éclaté comme un furoncle arrivé à maturité. Certains signes étaient déjà apparus ces dernières années, suite à la dégradation des chaînes d’approvisionnement mondiales pendant l’urgence Covid, à la concurrence pour les matières premières et au reshoring, c’est-à-dire au retour de la production industrielle dans les pays d’origine des entreprises. Les fortunes progressistes d’une mondialisation sans si ni mais s’estompent aujourd’hui. Tout comme l’illusion de la « fin de l’Histoire », élaborée en 1989 par Francis Fukuyama au lendemain de la chute du mur de Berlin, au point d’imaginer un monde pleinement pacifié et « intégré », sous le manteau de la révolution technologique, du triomphe du capitalisme et du nouvel ordre libéral-démocratique. Comme l’a souligné Aldo Di Lello (« L’essor et le déclin de la mondialisation », dans AA.VV. « Sovranismo- Le radici e il progetto », Giubilei Regnani 2019) « la mondialisation ne découle pas tant de processus économiques que de choix politiques, dans le sens où elle est le résultat d’une extraordinaire accumulation de pouvoir rendue possible par la complaisance des gouvernements et des parlements d’Europe et d’Amérique ». Avec pour résultat – en pratique – de polariser la richesse (à l’intérieur et entre les États), de construire de véritables monopoles de production (concentrés dans les pays dits émergents, grâce aussi à une main d’œuvre à bas coût), de démanteler les classes moyennes (favorisant l’expansion de nouvelles formes de précarité et de prolétarisation). Les accélérations de Trump sur les tarifs douaniers s’inscrivent dans ce contexte. En définitive, la volonté n'est pas tant (ou pas seulement) d'envisager une possible issue (par rapport à un déficit américain d'environ 1200 milliards de dollars et donc à la nécessité de « lever des fonds ») mais surtout de favoriser les entreprises qui produisent aux États-Unis, en incitant au retour de la production sur le territoire national. Le fait certain – à la lumière de ces indications sommaires – est que nous nous trouvons dans un avenir inattendu, qui change les perspectives. Le jeu reste encore à jouer. C’est la grande tâche de la culture, des institutions représentatives, du monde du travail. Le défi du futur se joue ici. En être conscient est le premier pas, mais il faut garder à l’esprit, face à la fin du mondialisme idéologique, la nécessité d’un nouveau finalisme politique, social et culturel, qui ne peut que surgir d’une série de questions « fondamentales ». À quel modèle socio-économique se référer maintenant que les anciennes références ont disparu ? Avec quelle vision géopolitique ? Où regarder ? Travailler pour quelles alliances ? On pense aux analyses provocatrices mais lucides de Guillaume Faye, jeune représentant de la Nouvelle Droite . Dans la première moitié des années 1980, dans Contre l'économisme , il préfigurait déjà une économie non plus dans un cadre planétaire et/ou national, mais sous-continental, organisée en espaces homogènes d'un point de vue historique et culturel ; avec une Europe technologiquement avancée, dans un système de marché intra-européen soumis aux principes de surplus, de « création monétaire directe », d’autarcie des grands espaces ; avec « un État qui ne soit ni totalitaire, ni mercantile, ni paternaliste, ni socialisateur, qui laisse pleinement « courir » les forces créatrices du marché, mais en leur assignant des limites bien définies, bref un État qui ne crée pas l'économie, mais la dirige et qui la dirige politiquement et juridiquement, mais non plus économiquement et socialement ». Au centre se trouve l’idée d’un système dans lequel les individus se sentent mobilisés par des objectifs politiques, nationaux, collectifs, « lyriques », etc. Du marxisme – disait Faye – je retiens l’idée de planification, du libéralisme je retiens l’idée de marché (qui ne lui appartient cependant pas exclusivement). « Provocations » d’un jeune intellectuel transgressif en dehors des schémas actuels d’hier et d’aujourd’hui ? Peut-être, mais dans un climat de stagnation idéale et de planification (avec des gouvernements obligés d'activer des interventions « provisoires » plutôt que d'imaginer des changements d'époque), l'espoir est que le temps des rediscussions « globales » arrive enfin, adéquates à l'écart d'époque et marquées par un « pragmatisme intelligent » capable de se mesurer sans scrupules aux nouveaux scénarios internationaux. Dans le remaniement des cartes de la mondialisation, sous la pression du protagonisme américain, reconnaître que l’Europe représente aujourd’hui la zone la plus faible et la plus exposée aux vents de la crise signifie aller au-delà des controverses contingentes et des interventions à court terme. Prendre conscience du nouvel ordre mondial et de la complexité des défis qui se présentent : géopolitiques et productifs, énergétiques et financiers, commerciaux et militaires. Notre destin se joue ici. En être conscient est la première étape pour activer les contre-mesures nécessaires, évitant ainsi d’être submergé par une crise qui s’annonce dramatique. Stimuler les débats (et les lectures insolites de la réalité) en rompant enfin avec les schématismes du vieux mondialisme est une première étape essentielle pour commencer à construire de nouvelles structures politiques et économico-sociales pour un monde qui doit être entièrement repensé, capable de relever les défis du changement. » (Article « Le crépuscule du globalisme et de l'écriture de nouveaux équilibres » de Mario Bozzi Sentieri)
Ce n’est pas la Russie qui a ouvert les hostilités, mais bien un appareil occidental déterminé à affaiblir Moscou coûte que coûte. En Syrie, même scénario. Sous le nom de code Timber Sycamore, la CIA a dirigé l’une des plus vastes opérations clandestines depuis la guerre froide. Officiellement pour soutenir des rebelles « modérés », Washington et ses alliés ont en réalité armé des factions islamistes proches d’al-Qaïda et de l’État islamique. Une vérité choquante, soigneusement occultée dans les grands médias, mais documentée par des années d’enquête.
Il y a trois possibilités d'orientation du monde : la démondialisation heureuse jusqu'au niveau régional de grands espaces voire d'ères civilisationnelles, le mondialisme néoconservateur militairement belliqueux des USA et d'Israël, et le mondialisme oligarchique, numérique, supranational, wokiste, sanitaire, écologiste et collectiviste dans la paupérisation voire la grande diminution démographique des peuples.
« Bien que le monde ait clairement cessé d’être unipolaire, les États-Unis s’efforcent de maintenir leurs instruments de contrôle. De plus, si, auparavant, cela se faisait de manière voilée (le concept de leadership mondial et de multilatéralisme sous Barack Obama), Donald Trump a décidé d’agir de manière agressive, provoquant un grand émoi avec ses déclarations sur le Groenland, le Canada, le Canal de Panama et même l’OTAN, affaiblissant ainsi les liens du partenariat transatlantique. Ce faisant, certaines structures globalistes ont également été attaquées: les États-Unis se sont retirés de l’OMS, ne reconnaissent pas la Cour pénale internationale de La Haye (et la Hongrie s’était retirée de l’institution la veille) et ont également suspendu le financement de l’OMC et d’autres organisations internationales dans le cadre de leurs inspections. Ces actions sont également directement liées à la multipolarité croissante qui, malgré les turbulences géopolitiques, prend de l’ampleur. Cependant, en même temps, certaines institutions de la domination mondiale occidentale, telles que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, continuent de fonctionner. Au-delà de cela, les États-Unis essaient de renforcer les liens bilatéraux, avec leur nette domination, sur un pays partenaire, qui devient ainsi un satellite de Washington. Existe-t-il une opportunité de résister à l’hégémon en déclin et de former un agenda international propre et de nouvelles règles ? En fin de compte, l’expérience historique et la nouvelle situation indiquent que, malgré le fait que les États-Unis restent la puissance militaire la plus forte et aient des avantages financiers sous la forme d’une monnaie de réserve imprimée par la Réserve fédérale, ces opportunités existent et commencent à être activement utilisées. Des cas individuels, comme la résistance de la Corée du Nord, ainsi que la confrontation avec Cuba, le Venezuela, le Nicaragua et l’Iran, démontrent qu’il existe une forte volonté politique. Cependant, tout le monde ne l’a pas, et de nombreux États moyens et petits préfèrent suivre le courant dominant. Par conséquent, la question principale est la formation d’une tendance dominante. Plus précisément, la poursuite de la formation de la multipolarité. L’anticolonialisme, le renforcement de la souveraineté, le développement technologique et la coopération internationale honnête sont les principaux critères du club BRICS, qui s’étend et suscite l’intérêt dans le monde entier, tant dans le Sud Global que dans l’Est Global (ce dernier terme est relativement nouveau, mais reflète une approche plus large de l’ordre mondial polycentrique). Cependant, si les BRICS se sont formés selon des paramètres liés à la croissance économique, il existe d’autres associations qui adhèrent aux critères mentionnés pour la formation de la multipolarité. Un exemple d’une telle association intergouvernementale est le groupe G-77, fondé en 1964, qui est le plus grand groupe international d’États reconnu par les Nations Unies. Actuellement, il comprend plus de 130 pays. Bien que son centre administratif soit à New York, puisque le siège de l’ONU s’y trouve, géographiquement, la grande majorité des pays membres du G-77 se trouvent dans l’hémisphère sud. Il existe également un format G-77+ Chine, ainsi que le projet Sud-Sud au sein du groupe. Bien que le monde ait clairement cessé d’être unipolaire, les États-Unis s’efforcent de maintenir leurs instruments de contrôle. De plus, si, auparavant, cela se faisait de manière voilée (le concept de leadership mondial et de multilatéralisme sous Barack Obama), Donald Trump a décidé d’agir de manière agressive, provoquant un grand émoi avec ses déclarations sur le Groenland, le Canada, le Canal de Panama et même l’OTAN, affaiblissant ainsi les liens du partenariat transatlantique. Ce faisant, certaines structures globalistes ont également été attaquées: les États-Unis se sont retirés de l’OMS, ne reconnaissent pas la Cour pénale internationale de La Haye (et la Hongrie s’était retirée de l’institution la veille) et ont également suspendu le financement de l’OMC et d’autres organisations internationales dans le cadre de leurs inspections. Ces actions sont également directement liées à la multipolarité croissante qui, malgré les turbulences géopolitiques, prend de l’ampleur. Cependant, en même temps, certaines institutions de la domination mondiale occidentale, telles que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, continuent de fonctionner. Au-delà de cela, les États-Unis essaient de renforcer les liens bilatéraux, avec leur nette domination, sur un pays partenaire, qui devient ainsi un satellite de Washington. Existe-t-il une opportunité de résister à l’hégémon en déclin et de former un agenda international propre et de nouvelles règles ? En fin de compte, l’expérience historique et la nouvelle situation indiquent que, malgré le fait que les États-Unis restent la puissance militaire la plus forte et aient des avantages financiers sous la forme d’une monnaie de réserve imprimée par la Réserve fédérale, ces opportunités existent et commencent à être activement utilisées. Des cas individuels, comme la résistance de la Corée du Nord, ainsi que la confrontation avec Cuba, le Venezuela, le Nicaragua et l’Iran, démontrent qu’il existe une forte volonté politique. Cependant, tout le monde ne l’a pas, et de nombreux États moyens et petits préfèrent suivre le courant dominant. Par conséquent, la question principale est la formation d’une tendance dominante. Plus précisément, la poursuite de la formation de la multipolarité. L’anticolonialisme, le renforcement de la souveraineté, le développement technologique et la coopération internationale honnête sont les principaux critères du club BRICS, qui s’étend et suscite l’intérêt dans le monde entier, tant dans le Sud Global que dans l’Est Global (ce dernier terme est relativement nouveau, mais reflète une approche plus large de l’ordre mondial polycentrique). Cependant, si les BRICS se sont formés selon des paramètres liés à la croissance économique, il existe d’autres associations qui adhèrent aux critères mentionnés pour la formation de la multipolarité. Un exemple d’une telle association intergouvernementale est le groupe G-77, fondé en 1964, qui est le plus grand groupe international d’États reconnu par les Nations Unies. Actuellement, il comprend plus de 130 pays. Bien que son centre administratif soit à New York, puisque le siège de l’ONU s’y trouve, géographiquement, la grande majorité des pays membres du G-77 se trouvent dans l’hémisphère sud. Il existe également un format G-77+ Chine, ainsi que le projet Sud-Sud au sein du groupe. » (Leonid Savin)
Trump veut : - Paix en Ukraine - Des tarifs qui protègent les emplois américains - Plus de financement des guerres étrangères L’État profond veut : - Guerre sans fin - Accords fantômes - Aucune surveillance Et ils utiliseront le Pakistan, l’Ukraine ou quiconque d’autre qui fera avancer leurs intérêts.
Dans un futur où l'intelligence artificielle et les robots remplacent 90% des emplois, trois scénarios sont possibles pour l'humanité : le néo-féodalisme technologique où 1% détient tout, la propriété distribuée avec un dividende universel, ou l'abondance totale où tout devient gratuit (les deux derniers allant dans le sens possible de l’Éden terrestre complété).
Solutions possibles :
« Il est nécessaire de comprendre l’opération frauduleuse de Bergoglio : il veut porter à un autre niveau l’affrontement qui oppose l’église profonde immigrationniste et woke à l’Administration Trump, en “dogmatisant” – pour ainsi dire – l’accueil des clandestins et forçant ainsi les Catholiques américains à considérer Trump comme un ennemi de l’Église Catholique. Bref, selon le modus operandi qui le distingue, Bergoglio tente de se créer un adversaire pour priver le Président Trump du soutien de l’électorat catholique. Cette opération malhonnête sert aussi à remettre au centre du débat politique et social américain un Épiscopat largement discrédité en raison des scandales sexuels et financiers qui l’ont jusqu’à présent vu totalement inféodé à l’establishment du parti démocrate. Le véritable affrontement se situe entre le conservatisme politique – trumpien – auquel la majorité des Américains, y compris les Catholiques, s’identifient et l’ultra-progressisme de l’église profonde bergoglienne. Les Catholiques américains, cependant, ont compris la supercherie !! Alors que Bergoglio, pour obéir à ses maîtres mondialistes, lance des anathèmes à ceux qui “construisent des murs”, le Président Trump a annoncé – entre autres mesures que nous saluons avec une profonde satisfaction – le retour des États-Unis dans la Déclaration de consensus de Genève qui défend le droit à la vie de tous, réaffirme l’importance de la famille et affirme qu’il n’y a pas de “droit” international à l’avortement. Il est consternant de voir comment les appels de Bergoglio sur la « dignité infinie de tous » excluent obstinément les enfants sans défense, massacrés par l’avortement, les victimes de prédation d’organes et de mutilations pour la soi-disant transition de genre, les mères utilisées comme marchandises pour la maternité de substitution, les jeunes corrompus par les perversions woke, les masses de mineurs qui alimentent le racket de la prostitution ou finissent dans un manoir de Beverly Hills pour satisfaire les exécrables dépravations de l’élite pédophile. Ce délire woke typique de l’église bergoglienne est encore plus grave face au silence des Évêques sur le scandale d’un Président comme Joe Biden, très corrompu, autoproclamé “catholique”, qui promeut l’avortement jusqu’au moment de la naissance et qui malgré cela est sacrilégement admis à la Communion. Nous ne pouvons pas oublier que le contexte historique de l’après-guerre était très différent de celui d’aujourd’hui, tout d’abord parce que l’Église Catholique n’était pas – et n’aurait jamais pu être – alliée et complice de la Franc-Maçonnerie, mais protectrice ferme et courageuse des pauvres et des faibles ; et deuxièmement, parce qu’aujourd’hui, l’attaque contre notre civilisation est beaucoup plus violente et ouverte qu’elle ne l’était à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, nous découvrons que l’ensemble du système médiatique mondial était financé par l’USAID et d’autres agences gouvernementales. Ce qui émerge aux États-Unis après l’investiture du Président Trump n’est que la partie émergée de l’iceberg d’un vaste système subversif qui implique tous les États occidentaux. Il ne s’agit pas de cas isolés de corruption, mais d’une occupation que la Gauche mondialiste considère indispensable pour accéder au pouvoir et, une fois approprié, l’utiliser pour l’établissement d’un régime totalitaire. Et ce qui est paradoxal et en même temps inouï, c’est que l’état profond prétend même faire payer à ses victimes, à nous tous, les coûts de ce projet infernal, en utilisant l’argent des contribuables pour nous confiner, nous priver de liberté, nous exterminer avec des guerres, des famines, des pandémies et des vaccins. Les perverses élites mondialistes y parviennent à travers des situations de crise permanente qui légitiment le pouvoir de déroger aux lois de droit commun. Si l’on veut créer une urgence comme prétexte pour légitimer la cession de souveraineté aux lobbies privés, il faut que ceux qui font fonctionner la machine institutionnelle et médiatique aient un intérêt direct à promouvoir la crise, même s’ils savent parfaitement qu’il s’agit d’une fraude. Gouvernements, politiciens, journalistes, magistrats, médecins, enseignants, forces de l’ordre, acteurs et chanteurs, intellectuels et influencer, évêques, prêtres et même « le pape » : tous dépendent de la façon dont ils collaborent avec l’état profond. Ils sont payés comme mercenaires, et comme mercenaires, ils n’ont d’autre maître que l’argent, le succès, le pouvoir ; et ceux qui leur permettent d’avoir cet argent, ce pouvoir. Au sommet de la pyramide mondialiste infernale qui fait usage de ces mercenaires, on trouve le délire luciférien de ceux qui veulent faire le Mal, contre Dieu et contre l’homme, pour remplacer Dieu par Satan et l’homme par l’humanoïde androgyne. Ce réseau mondial de corruption a servi – et sert encore en partie, en particulier en Europe – à modifier la dynamique sociale de manière criminelle et frauduleuse. Une telle ingérence indue et sans précédent ne peut pas être simplement constatée : elle doit être éradiquée et punie, car elle est à l’origine d’une crise provoquée et planifiée à laquelle il est autrement impossible d’échapper. Et quand je dis « éradiquée et punie », je me réfère principalement aux responsables, à ceux qui se sont rendus coupables d’une trahison à l’origine de la décadence morale, sociale, économique qui nous est imposée par la force. Il n’est plus possible de tolérer que Soros, Gate, Schwab, Obama, les Clinton, les Biden, Bergoglio et ses acolytes, et d’autres conspirateurs continuent de faire rage contre l’humanité entière qui ne sait pas qu’elle est l’objet d’une expérience diabolique d’ingénierie sociale visant à son extermination physique et morale. Si le Président Trump coupe la tête du Léviathan, comme il est déjà en train de faire, nous ne pourrons qu’être heureux et enfin pousser un soupir de soulagement. L’Administration Trump est bien consciente de deux choses. La première : il existe un pouvoir supranational subversif qui constitue une menace concrète pour la souveraineté des Nations et pour toute l’humanité. La seconde : il y a un groupe de personnes et d’entreprises qui soutiennent ce pouvoir parce qu’il en tire un avantage en termes de pouvoir et d’argent. Couper les fonds aux complices du système criminel mondialiste et de son pouvoir profond signifie priver l’élite de l’instrument de contrôle et de propagande. Même Judas n’aurait pas trahi le Christ sans avoir reçu les trente deniers du Sanhédrin : sans le pretium sanguinis, l’incitation au crime est également perdue, et avec elle le chantage de ceux qui auraient dû le commettre. Une excellente manœuvre, donc, qui a déjà des répercussions importantes dans le monde entier, avec l’interruption du financement de l’USAID. Les paroles des cardinaux et des évêques américains contre la réduction des dons aux soi-disant agences d’aide sociale de l’Église Catholique sont imprégnées d’hypocrisie et de mensonge. Ils viennent de personnages qui n’ont pas dit un mot, une syllabe contre les politiques sur l’avortement, le genre, la maternité de substitution, l’euthanasie, l’homosexualité, des Administrations précédentes entre les mains des Démocrates, alors qu’ils ne se réveillent de leur vile torpeur que lorsqu’un frein est mis à l’immigration illégale, pour laquelle l’église profonde reçoit des milliards. La dépendance économique de l’institution est aussi rendue possible par la corruption et le chantage de ses dirigeants, car si l’Église Catholique était gouvernée par de bons pasteurs incorruptibles et non soumis au chantage, ils n’accepteraient jamais de l’asservir aux intérêts d’un pouvoir ouvertement hostile au Christ, ni ne se laisseraient acheter par soif d’argent ou par ambition de carrière. C’est pourquoi il est indispensable que l’institution à corrompre soit à son tour gouvernée par des gens corrompus ; et cela s’applique indifféremment aux domaines civil et ecclésial. Pour le confirmer, il suffit de rappeler l’effet dissuasif qu’a eu la menace de révoquer un milliard de dollars de financement de l’Ukraine – rapportée par Joe Biden lui-même – pour stopper l’enquête du procureur général sur son fils Hunter. Il s’agit d’un réseau institutionnel – manœuvré par l’état profond anglo-américain – qui, pendant des décennies, a secrètement payé des milliers et des milliers d’organisations, d’associations, de journalistes, de politiciens et d’autres personnalités publiques pour mentir sans vergogne à des milliards de personnes, créant un récit déformé afin d’inciter la population à accepter, sous la menace de catastrophes et d’urgences imminentes, ce qu’elle n’aurait jamais accepté dans des conditions normales. La prostitution morale de ce genre de personnages ne recule devant rien, s’il y a de l’argent en jeu : aux États-Unis, il y a plus de 150 cliniques “catholiques” qui pratiquent des chirurgies de transition de genre (mutilations génitales) financées par le gouvernement, et Dieu seul sait combien d’argent les hôpitaux catholiques ont pris pendant la farce psychopandémique, pour tuer des patients avec des thérapies létales, ou pour inoculer un sérum génique mortel ou gravement invalidant. En revanche, pour chaque “vaccin” administré, il y avait une prime qui encourageait et légitimait toute aberration : et c’était le cas partout, avec un seul script sous une seule direction. Inutile de dire que ces activités n’ont rien de catholique, et que l’apostolat, la prédication, l’instruction religieuse, le soin des âmes et la célébration des Sacrements sont les moindres préoccupations de ces marchands du temple. » (Résumé de l'entretien de Fabien Laurent avec Mgr Viganò : « Les catholiques américains en première ligne contre le mondialisme (car ils ont commis sa supercherie))
« Alexandre Douguine explore le potentiel d’une alliance tripolaire entre le MAGA, le MEGA et le MRGA pour résister au libéralisme mondialiste. L’UE, dirigée par les mondialistes libéraux d’extrême gauche, est clairement hostile aux États-Unis de Trump. Mais le mouvement MEGA (« Make Europe Great Again ») relève d’une tendance plus délicate. Reconnaissant envers les États-Unis pour s’être libérés de la dictature mondialiste, le mouvement MEGA ne peut pas être un simple outil obéissant aux Américains. Où est la grandeur ? Certainement pas dans la soumission totale. MEGA ne peut donc pas être inconditionnellement pro-américain. Lorsque Steve Bannon est venu en Europe en 2017 pour tenter de soutenir le populisme de droite, il a découvert que la droite européenne (la Nouvelle Droite en premier lieu) était bien différente de ce qu’il présumait. Elle est gaulliste, sociale, anticapitaliste et anti-américaine. MEGA partage avec MAGA le rejet de DEI (« Diversity, Equity, Inclusiveness »), du wokisme, du libéralisme, du globalisme. Bien sûr, mais les valeurs traditionnelles de la vieille Europe diffèrent considérablement des valeurs traditionnelles du Nouveau Monde – initialement colonie de culture protestante anglo-saxonne, suffisamment éloignée de l’anglicanisme pour ne pas parler de la distance qui la sépare de l’Europe du Sud catholique. L’Europe en tant que continent n’est pas une simple prolongation des États-Unis, comme pourrait le croire le MAGA. Le mondialisme libéral de gauche n’est pas la seule source d’hostilité virtuelle à l’Amérique de Trump. Je propose une triple alliance contre le mondialisme: MAGA + MEGA + MRGA (« Make Russia Great Again », pour l’Empire russe, l’Eurasie). Ces trois univers ont des points communs et en même temps des différences. Mais il y a un ennemi commun – les mondialistes libéraux de gauche, le wokisme, le Swamp, Soros. Les trois univers ont un ennemi intérieur – les élites libérales de gauche sont le principal obstacle pour Trump, pour le populisme européen et pour la Russie également (l’héritage d’Eltsine). Il est facile de prévoir quelle stratégie ces élites adopteront. Les élites libérales aux États-Unis, en Europe et en Russie essaieront d’opposer les États-Unis à l’Europe et à la Russie, l’Europe aux États-Unis et à la Russie. La Russie à MAGA et MEGA. Elles joueront sur les différences et les gestes impérialistes maladroits de chaque pôle, inévitables avec la montée du patriotisme post-libéral. Les États-Unis, l’Europe et la Russie ne sont pas des ennemis absolus les uns des autres. L’élite mondialiste libérale de gauche est l’ennemie absolue des États-Unis, de l’Europe et de la Russie. Et cette élite libérale mondialiste tente d’opposer chacun d’entre nous à l’autre en travaillant de l’intérieur. Divide et impera. MAGA – MEGA – MRGA. Ecoumène tripolaire chrétien. Ni unis, ni hostiles, ni divisés. Coexistence dynamique. » (Article strategika.fr)
« Les mécontents, ce sont les gauchistes de tous les pays, à la fois désunis et frappés de stupeur devant l’offensive antiwoke, antiguerre, anti-UE. Personne ici ne dit que Trump va changer la vie des Français, nous vivons encore sous un régime mondialiste répressif. Mais la donne a changé, et ce sont désormais les euromondialistes qui sont en minorité dans le monde. L’Asie, l’Afrique et l’Amérique ne veulent plus de leurs leçons de morale hypocrites, de leur corruption, de leur tyrannie absurde et mortifère. Les Rochebin, les Reichstadt, les BHL, les Macron, les Cymes sont pris en étau entre un peuple français qu’ils ont méprisé et un peuple américain qui a eu la ressource de se débarrasser de son régime pourri. Pour le coup, on prie pour qu’il y ait contagion. » (Rédac ER)
« 2025 sera une année de bouleversements géopolitiques. Les États-Unis pourraient bien tenter de maintenir un monde unipolaire face à la vague de multipolarité. Les grandes capitales du Sud devront désormais contenir l’aventurisme de l’État profond américain et de ses vassaux. Que feront les pays du Sud et leurs principaux représentants – Pékin, Moscou, Brasilia, Delhi, Ankara, Téhéran – pour renforcer la tendance à la multipolarité ? Les BRICS, avec l’ajout récent de l’Indonésie comme membre à part entière et du Nigeria comme membre partenaire, seront à l’avant-garde de cette bataille d’influence entre un Occident belliqueux et moraliste et un Sud pacifiste et pragmatique. Les membres des BRICS devront travailler dur sur le champ de bataille médiatique pour désamorcer l’idée selon laquelle il s’agirait d’un mouvement positionné « contre l’Occident », mais plutôt d’une alternative à un ordre international déficient, ouvert à tous les États souverains qui partagent les idéaux de multipolarité : quelques États forts qui stabiliseront politiquement et enrichiront économiquement les régions qui les entourent, et interagiront avec les autres centres de pouvoir régionaux du monde. C'est ce qu'envisageait Carl Schmitt dans son livre fondateur Le Nomos de la Terre, écrit pendant la Seconde Guerre mondiale : une partition de la planète en Grossraüme régionaux (grand espace, sphères d'influence) centrés autour de centres puissants qui contrôlent leur espace. La réunion de l'OCS de cette année sera un exercice de coordination indispensable entre les membres de l'OCS, suite aux développements en Ukraine sous l'administration Donald Trump, pour empêcher toute tentative de rompre le partenariat stratégique entre les deux superpuissances eurasiennes, la Chine et la Russie. Le passage à la multipolarité est devenu urgent, car les institutions de Bretton Woods, et l’ONU en particulier, ont montré leurs lacunes dans chaque conflit à travers le monde au cours des vingt dernières années, et leur inadéquation croissante à la promotion et à l’entretien de la paix et de la prospérité. En 2025, il faut s’attendre à ce que la situation s’aggrave avant de s’améliorer. Leur réticence à se réformer, à devenir plus représentatifs des évolutions de l’ordre mondial et à accueillir l’émergence de nouvelles puissances, fait de la multipolarité une nécessité pour plus de 7 milliards de personnes qui ne font pas partie du milliard d’or occidental. » (Article « La multipolarité, une nécessité pour favoriser la paix et la prospérité » de Laurent Michelon)
« L’histoire autour de l’émission par la Chine d’obligations souveraines libellées en dollars américains en Arabie saoudite génère un énorme buzz en Chine et pourrait potentiellement être extrêmement importante. Je soupçonne fortement qu’il s’agit d’un message adressé à la prochaine administration Trump. Laissez-moi vous expliquer ce qui semble se passer. À première vue, ce n’est pas un fait marquant : la Chine a émis 2 milliards de dollars d’obligations souveraines libellées en dollars américains en Arabie saoudite, ce qui signifie que les investisseurs ont prêté des dollars américains au gouvernement chinois qui s’est engagé à les rembourser. C’est ce qu’est une obligation. Jusqu’ici, c’est relativement ennuyeux. Le premier aspect intéressant est que les obligations ont été sursouscrites de près de 20 fois (ce qui signifie une demande de plus de 40 milliards de dollars pour 2 milliards de dollars d’obligations), ce qui est bien plus que la demande habituelle pour les obligations souveraines en dollars américains. En général, les enchères de titres du Trésor américain connaissent un taux de sursouscrite compris entre 2 et 3 fois, ce qui semble donc particulièrement intéressant pour la dette chinoise libellée en dollars. Le deuxième aspect intéressant est que le taux d’intérêt sur les obligations était remarquablement proche des taux du Trésor américain (seulement 1 à 3 points de base plus élevés, soit 0,01 à 0,03%), ce qui signifie que la Chine est désormais en mesure d’emprunter de l’argent – en dollars américains (!) – à pratiquement le même taux que le gouvernement américain lui-même. Ce n’est le cas pour aucun autre pays au monde. À titre de référence, les pays ayant les notes de crédit les plus élevées (AAA) paient généralement au moins 10 à 20 points de base de plus que les bons du Trésor américain dans les rares cas où ils émettent des obligations en USD. Le troisième aspect intéressant est le lieu même de cette vente d’obligations : l’Arabie saoudite. C’est inhabituel, car les obligations souveraines sont généralement émises dans les grands centres financiers, et non à Riyad. Le choix de l’Arabie saoudite et le fait que les Saoudiens aient accepté cette offre sont particulièrement significatifs compte tenu de son rôle historique dans le système mondial du dollar, le système dit du «pétrodollar», que je n’ai pas besoin d’expliquer… En émettant des obligations en dollars en Arabie saoudite, qui concurrencent directement les bons du Trésor américain et obtiennent essentiellement le même taux d’intérêt, la Chine démontre qu’elle peut fonctionner comme un gestionnaire alternatif de liquidités en dollars au cœur même du système du pétrodollar. Pour l’Arabie saoudite, qui détient des centaines de milliards de dollars de réserves, cela crée une nouvelle option pour investir ses dollars : elle peut les investir auprès du gouvernement chinois plutôt qu’auprès du gouvernement américain. Bon, tout cela est intéressant, mais ce n’est pas la raison principale pour laquelle les réseaux sociaux chinois sont en effervescence. La raison en est qu’ils postulent qu’il s’agit d’un essai de la part de la Chine pour démontrer aux États-Unis qu’elle peut utiliser efficacement sa propre monnaie contre eux, avec des conséquences potentiellement dramatiques. Comment ? Tout d’abord, réfléchissez-y bien, imaginez si la Chine intensifie ses opérations et, au lieu d’émettre des obligations d’une valeur de 2 milliards de dollars, elle commence à en émettre des dizaines ou des centaines de milliards. Pour les États-Unis, cela signifie que la Chine serait en concurrence avec le Trésor américain sur le marché mondial du dollar. Au lieu que des pays comme l’Arabie saoudite recyclent automatiquement leurs dollars en obligations du Trésor américain, ils pourraient les investir dans des obligations chinoises en dollars qui rapportent le même taux. Cela créerait un système parallèle du dollar dans lequel la Chine, et non les États-Unis, contrôlerait une partie du flux de dollars. Les États-Unis continueraient d’imprimer les dollars, mais la Chine en déciderait de plus en plus. Essayez d’imaginer… Un autre aspect crucial est que chaque dollar investi dans des obligations chinoises au lieu de bons du Trésor américain est un dollar de moins qui contribue à financer les dépenses du gouvernement américain. À l’heure où les États-Unis accusent des déficits massifs et doivent constamment vendre des bons du Trésor pour se financer, l’émergence de la Chine comme un émetteur d’obligations en dollars concurrent capable d’égaler les taux du Trésor pourrait poser d’immenses problèmes de financement au gouvernement américain. Cela pourrait effectivement mettre fin au soi-disant «privilège exorbitant» des États-Unis. Mais attendez, vous vous demandez peut-être à quoi sert le fait que la Chine ait autant de dollars ? Ne se déplace-t-elle pas le problème à elle-même : elle aussi doit trouver un endroit où investir tous ces dollars, n’est-ce pas ? Vous avez raison, la dernière chose dont la Chine a besoin, c’est de plus de dollars américains : en 2023, elle a enregistré un excédent commercial en dollars américains de 823,2 milliards de dollars, et pour 2024, il devrait être de 940 milliards de dollars. La Chine est déjà complètement inondée de dollars. Mais c’est là que réside toute la beauté de l’initiative Belt & Road. Sur les 193 pays du monde, 152 font partie de la BRI. Et une caractéristique très commune à beaucoup de ces pays est qu’ils ont des dettes en dollars américains, envers le gouvernement américain ou d’autres créanciers occidentaux. C’est là que la stratégie chinoise pourrait devenir vraiment astucieuse. La Chine pourrait utiliser ses dollars américains pour aider les pays de la Ceinture et de la Route à rembourser leurs dettes en dollars auprès des créanciers occidentaux. Mais voici la clé : en échange de l’aide apportée à ces pays pour régler leurs dettes en dollars, la Chine pourrait s’arranger pour être remboursée en yuans, en ressources stratégiques ou par le biais d’autres accords bilatéraux. Cela créerait un triple avantage pour la Chine : elle se débarrasserait de son excès de dollars, elle aiderait ses pays partenaires à échapper à la dépendance au dollar et elle approfondirait l’intégration économique de ces pays avec la Chine plutôt qu’avec les États-Unis. Pour les pays de la BRI, cela est attrayant car ils peuvent échapper au piège de la dette libellée en dollars (et à la menace de sanctions financières américaines) et obtenir probablement de meilleures conditions avec la Chine, ce qui favorisera leur développement. En effet, cela reviendrait à placer la Chine comme un intermédiaire au cœur du système du dollar, où les dollars finissent toujours par revenir aux États-Unis – simplement par un chemin qui renforce l’influence chinoise plutôt qu’américaine et qui sape progressivement la capacité des États-Unis à se financer (avec toutes les conséquences que cela entraîne sur l’inflation, etc.). À ce stade, vous vous dites probablement : «Allez, la Chine n’a aucune chance de faire ça, le gouvernement américain a sûrement des outils à sa disposition pour empêcher cela». Et la réponse, étonnamment, est qu’il n’y a pas grand-chose que les États-Unis puissent faire sans les affaiblir d’une manière ou d’une autre. La réponse la plus évidente serait de menacer de sanctions des pays comme l’Arabie saoudite ou des institutions qui achètent des obligations chinoises en dollars. Mais cela démontrerait une fois de plus que les actifs en dollars ne sont pas réellement à l’abri de l’ingérence politique américaine, ce qui encouragerait encore plus les pays à se diversifier, aggravant ainsi le problème. La force du dollar vient en partie des effets de réseau – tout le monde l’utilise parce que tout le monde l’utilise – mais comme nous l’avons vu avec la Russie, les sanctions créent un moment de coordination pour que les pays s’éloignent ensemble, ce qui affaiblit ces effets de réseau. Une autre option serait que la Réserve fédérale augmente les taux d’intérêt pour rendre les bons du Trésor américain plus attractifs. Mais cela serait contre-productif : cela augmenterait les coûts d’emprunt du gouvernement américain à un moment où il est déjà aux prises avec des déficits massifs, ce qui pourrait déclencher une récession. Et la Chine, bénéficiant de taux similaires à ceux des États-Unis, pourrait tout simplement s’aligner sur toute augmentation de taux. Les États-Unis pourraient aussi opter pour l’option nucléaire consistant à restreindre la capacité de la Chine à compenser les transactions en dollars, mais cela aurait pour effet de fragmenter immédiatement le système financier mondial, ce qui saperait le rôle du dollar comme monnaie de réserve mondiale, exactement ce que les Etats-Unis veulent éviter. Et la Chine étant le partenaire commercial le plus important de l’immense majorité des pays du monde, rien n’est moins sûr que les Etats-Unis sortiraient vainqueurs de ce jeu… En bref, cela ressemble à une sorte de Tai Chi «quatre onces déplaçant mille livres» de la part de la Chine, utilisant une force minimale pour rediriger la force du dollar d’une manière qui profite à la Chine. Comme je l’ai écrit au début, à ce stade, il s’agit probablement simplement d’un message de la Chine à la future administration Trump : «nous pouvons le faire, alors réfléchissez bien à toutes les mauvaises choses que vous avez en tête pour nous…» La beauté de cette démarche réside dans son élégance stratégique : elle ne coûte presque rien à la Chine pour faire une démonstration, mais force Washington à envisager des possibilités très inconfortables.. » (Arnaud Bertrand) Dans ce sens Vladimir Poutine a répondu aux menaces douanières de Donald Trump envers les BRICS, dénonçant un dollar affaibli par des années de tensions politiques. Selon Poutine, l’utilisation du dollar comme outil de pression mondiale accélère la recherche d’alternatives monétaires, marquant le déclin de son hégémonie. Suite à la première élection de Donald Trump, deux pouvoirs se sont faits face aux États-Unis : d’un côté, un président populiste guidé par le principe de « l’Amérique d’abord ! », et de l’autre côté, « l’État profond », qui privilégie l’accumulation de profits pour les élites corrompues mondialistes au détriment des intérêts du pays. Tout patriote se retrouve donc dans le message suivant, car c'est un principe évident qui devrait être suivi par tout le monde et par toute élite politique qui se respecte : « Mon pays avant tout ! ». L’élection de Trump n’était pas prévu en 2016. D'ailleurs, il s’en ait pris ensuite au pouvoir détenu par la Cabale : medias, Big Pharma, complexe industriel militaro (diminution des guerres), BlackLivesMatter, pro-masques, pro-confinement, pro-avortement, réseaux pédocriminels, et même GAFAM convoqués juste avant l’élection présidentielle suivante. Or suite à la fraude ayant volé cette élection à Trump, les prétendus démocratiques Etats-Unis sont désormais officiellement une tyrannie dirigée par la mondialiste et apatride hyper classe possédante du privée et de l'étranger. Ce qui ne profite désormais plus en même temps aux patriotes, car seulement à la domination de cette caste d’élus. C'est pourquoi il faut toujours lutter ensemble pour préserver nos traditions, nos cultures et nos religions, pour conserver notre souveraineté nationale, pour protéger nos économies nationales face aux attaques du capitalisme mondialisé, pour contrecarrer l’invasion de nos pays par des vagues de migrants clandestins, et pour cesser d’inonder les pays de requins spéculateurs capitalistes. L’issue de cette confrontation historique dépend de notre solidarité. Iurie Roşca dit à ce sujet en paraphrasant une célèbre citation marxiste : « Populistes de tous les pays, unissez-vous ! » Suite à sa réélection, plan excellent du Président Trump de démantèlement total de l’État Profond et de récupération définitive de la démocratie US de la corruption de Washington -rétablissement plus ferme de l'autorité du président pour éliminer agressivement les bureaucrates voyous -démanteler tout l'establishment néoconservateur mondialiste qui entraîne perpétuellement les USA dans des guerres sans fin, en prétendant lutter pour la liberté et le démocratie à l'étranger, alors qu'ils nous transforment en un pays du tiers-monde et une dictature du tiers-monde. Le département d'Etat, la bureaucratie de la défense, les services de renseignement, et tout le reste sont à revoir complètement et à reconstituer pour stopper les étatistes profonds et donner la priorité à l'Amérique. -terminer le processus que nous avons commencé sous mon administration de réévaluer fondamentalement le but et la mission de l'Otan. -empêcher l'abolition de nos frontières nationales, l'échec de la police dans nos villes, la destruction de droit de l'intérieur, l'effondrement de la famille nucléaire et de la fertilité surtout aux taux actuels que personne ne peut croire, et la volonté des marxistes que les USA deviennent une nation impie par son adoration de la race, du sexe et de l'environnement. -arrêter la dépendance à la Chine et d'autres pays étrangers à cause des mondialistes cupides traîtres à la nation qui ont été à la tête des USA au détriment du niveau de vie de leurs concitoyens, tout en créant des ennemis à l'étranger pour garder distraits les américains des ravages qu'ils causent à l'intérieur plus graves que la Russie et la Chine auraient pu l'espérer. -écarter cet establishment malade et corrompu par la destitution. -nettoyage de tous les acteurs corrompus dans la sécurité nationale et l'appareil de renseignement même s'ils sont nombreux dont en les remplaçant tous si nécessaire -révision de tous les ministères et agences qui ont été armés afin que les bureaucrates ou les ennemis politique de gauche sans visage ne puissent plus jamais cibler et persécuter les conservateurs et les chrétiens, en particulier car ils sont parvenus à le faire à un niveau incroyable -réforme totale des tribunaux FISA qui sont si corrompus que les juges ne semblent pas se soucier quand on leur ment dans les demandes de mandat. Tant de juges ont vu tant de demandes qu'ils savent qu'elles étaient érronées, ou du moins qui aurait du le savoir. Ils ne font ensuite rien alors qu'on leur a menti. -établissement d'une commission de vérité et de réconciliation pour exposer les canulars et les abus de pouvoir qui on déchiré les USA, et donc pour déclassifier et publier tous les documents sur l'espionnage de l'Etat, la censure et la corruption, et il y en a eu beaucoup -répression majeure contre les fuites gouvernementales qui conspirent avec les fausses nouvelles pour tisser délibérément de faux récits et pour subvertir le gouvernement et la démocratie, dans la mesure du possible par des plaintes -indépendance totale de chaque bureau d'inspecteur général, dont en les séparant physiquement des départements qu'ils supervisent afin qu'ils ne deviennent pas les protecteurs de l'Etat profond -demande au congrès d'établir un système d'audit indépendant pour surveiller continuellement nos agences de renseignements pour s'assurer qu'elles n'espionnent pas les citoyens, ne mènent pas de campagnes de désinformation contre le peuple américain et n'espionnent pas la campagne de quelqu'un -poursuite de l'effort lancé pour déplacer des parties de la bureaucratie fédérale tentaculaire (jusqu'à 100 000 postes remplacés par de vrais patriotes) vers de nouveaux endroits en dehors du marais de Washington -travailler à interdire aux bureaucrates fédéraux de prendre des emplois dans les entreprises avec lesquelles ils ont traitaient et (qu'ils) réglementaient auparavant, car une telle exposition publique ne peut pas continuer, surtout que c'est permanent avec Big Pharma -amendement constitutionnel pour limiter les mandats des membres du congrès -rétablissement donc d'un gouvernement contrôlé par le peuple et pour le peuple. De plus et probablement pas enfin, le président Trump va LICENCIER tous les fonctionnaires ou agents du FBI, de la CIA, du DHS, du CDC, etc., qui ont forcé les grandes entreprises technologiques à censurer la vérité sur l'élection de 2020 et le Covid. Il révoquera également les habilitations de sécurité des 51 responsables du renseignement qui ont qualifié l'ordinateur portable de Hunter Biden de désinformation russe. Vivement la même chose en France et ailleurs.
À la tête du DOGE (pour Department of Government Efficiency), Musk devient en plus littéralement l’élément central d’une entreprise de réforme globale de l’Amérique. Organe de contrôle para- gouvernemental inédit, le DOGE place Musk au sommet de l’appareil d’État américain et lui confère un pouvoir politique extraordinaire : ayant droit théorique de vie ou de mort sur chacune des agences fédérales, le multimilliardaire sera le « nettoyeur » de Trump... Sous couvert de faire des économies et de retrouver plus de liberté, la purge autoritaire de la bureaucratie états-unienne s’annonce sévère.
Alors que pour la France on pourrait commencer par des référendums sur la sortie de l'OTAN et de l'UE et donc un retour au Franc, la réduction drastique de la bureaucratie, la création d'un service national de la comptabilité, la mise en place d'un service d'escompte publique au service des TPE et PME, la création d'un ministère contre la corruption, la création d'une banque nationale, la dissolution du CRIF, du lobby LGBT, du lobby mondialistes et du cartel bancaire. D'ailleurs le lien et le commerce au sein de la francophonie demeure plus logique que l'Union européenne, surtout avec l'importance actuelle de la langue française. Ainsi la francophonie facilitant les échanges peut devenir une puissance largement autosuffisante et croissante, dont via la technique métropolitaine, les nombreuses matières premières africaines de tout type, les territoires outre-mer plus ou moins indépendant, le développement mutuel et donc le soulagement de l'immigration. Dans ce sens « La maxime fondamentale de la politique étrangère française telle que Richelieu et de Gaulle l’ont illustrée au plus haut point, c’est de ne jamais engager la France dans une guerre pour des raisons religieuses ou idéologiques. Et ceci pour une raison évidente : la religion ou l’idéologie, quand elles sont invoquées pour justifier une guerre, ne sont jamais que le masque d’appétits de puissance. La guerre du Proche-Orient nous en donne une illustration éclatante. Tous ceux en France qui expliquaient qu’il fallait soutenir Israël, après le 7 octobre, dans son combat « contre l’Islam », se retrouvent à devoir justifier la convergence israélo-turque pour installer des anciens de Daech et d’Al-Qaïda au pouvoir en Syrie. Allons plus loin, ce qui se passe en Syrie, est une convergence quasi-parfaite entre trois fondamentalismes religieux – le sionisme évangéliste américain, le projet de Grand Israël et les recyclés de Daech. (D'ailleurs Netanyahou a fourni des armes à des milices salafistes – pourtant proches de Daech – afin d’affaiblir le Hamas.) Avec un Erdogan en embuscade qui joue sur tous les tableaux. Je recommande à cet égard le livre récent « Israël et la guerre mondiale des religions » de Youssef Hindi et Pierre-Antoine Plaquevent que j’ai eu l’honneur de préfacer. La question ne se pose même pas : la France n’a rien à faire au côté de ces puissances destructrices. Notre place est aux côtés de la Russie, de la Chine et de l’Iran pour réimposer l’équilibre des puissances et la paix au Proche-Orient. Notre rôle devrait même être celui de l’empêcheur de tourner en rond : pour construire une coalition mondiale qui oblige, au besoin, en menaçant d’employer la force, Israël à mettre fin au génocide de Gaza. Ce serait une politique digne de Richelieu et du Général de Gaulle, ces constructeurs de la puissance française ; une politique pouvant gagner l’assentiment des héritiers de Jean Jaurès (relisez ses plaidoyers vibrants pour que la France aille au secours des Arméniens massacrés dans les années 1890). Une politique qui referait de notre pays le « soldat de l’humanité », comme disait Clemenceau. » (Edouard Husson)
« La guerre par procuration de l’OTAN en Ukraine contre la Russie est le catalyseur qui divise le monde en deux sphères opposées, aux philosophies économiques incompatibles. La Chine, le pays qui connaît la croissance la plus rapide, traite l’argent et le crédit comme un service public alloué par le gouvernement au lieu de laisser le privilège monopolistique de la création de crédit être privatisé par les banques, ce qui les amène à remplacer le gouvernement en tant que planificateur économique et social. Cette indépendance monétaire, qui repose sur sa propre création monétaire domestique au lieu d’emprunter des dollars électroniques américains, et qui libelle le commerce et les investissements étrangers dans sa propre monnaie plutôt qu’en dollars, est considérée comme une menace existentielle pour le contrôle de l’Amérique sur l’économie mondiale. La doctrine néolibérale américaine appelle à la fin de l’histoire en « libérant » les classes riches d’un gouvernement suffisamment fort pour empêcher la polarisation de la richesse, le déclin et la chute finale. Imposer des sanctions commerciales et financières contre la Russie, l’Iran, le Venezuela et d’autres pays qui résistent à la diplomatie américaine, et finalement une confrontation militaire, voilà comment l’Amérique entend « répandre la démocratie » avec l’OTAN, de l’Ukraine à la mer de Chine. L’Occident, dans son itération néolibérale américaine, semble répéter le schéma du déclin et de la chute de Rome. La concentration des richesses dans les mains du « un pour cent » a toujours été la trajectoire de la civilisation occidentale. C’est le résultat de l’antiquité classique qui a pris une mauvaise voie lorsque la Grèce et Rome ont permis la croissance inexorable de la dette, conduisant à l’expropriation d’une grande partie des citoyens et les réduisant à être les esclaves d’une oligarchie de créanciers propriétaires des terres. C’est la dynamique inscrite dans l’ADN de ce qu’on appelle l’Occident et sa « sécurité des contrats » sans aucune surveillance gouvernementale dans l’intérêt public. En supprimant la prospérité chez soi, cette dynamique exige de tendre constamment la main pour extraire une affluence économique (littéralement un « afflux ») aux dépens des colonies ou des pays débiteurs. Les États-Unis, par le biais de leur nouvelle guerre froide, visent précisément à obtenir un tel tribut économique des autres pays. Le conflit à venir durera peut-être vingt ans et déterminera le type de système politique et économique que le monde aura. L’enjeu ne se limite pas à l’hégémonie américaine et à son contrôle dollarisé de la finance internationale et de la création monétaire. Sur le plan politique, ce qui est en cause, c’est l’idée de « démocratie » qui est devenue un euphémisme pour une oligarchie financière agressive cherchant à s’imposer dans le monde entier par un contrôle financier, économique et politique prédateur, soutenu par la force militaire. Comme j’ai cherché à le souligner, le contrôle oligarchique du gouvernement a été la caractéristique distinctive de la civilisation occidentale depuis l’antiquité classique. Et la clé de ce contrôle a été l’opposition à un gouvernement fort ; c’est-à-dire un gouvernement civil suffisamment fort pour empêcher une oligarchie de créanciers d’émerger et de monopoliser le contrôle des terres et des richesses, se transformant en une aristocratie héréditaire, une classe de rentiers vivant des loyers fonciers, des intérêts et des privilèges de monopole qui réduisent la population à l’austérité. L’ordre unipolaire centré sur les États-Unis, qui espérait « mettre fin à l’histoire », reflétait une dynamique économique et politique fondamentale, caractéristique de la civilisation occidentale depuis que la Grèce et la Rome classiques ont emprunté une voie différente de celle de la matrice proche-orientale au cours du premier millénaire avant Jésus-Christ. Pour éviter d’être emportés dans le tourbillon de la destruction économique qui engloutit actuellement l’Occident, les pays du noyau eurasien en pleine croissance développent de nouvelles institutions économiques fondées sur une philosophie sociale et économique alternative. La Chine étant l’économie la plus importante de la région et celle qui connaît la croissance la plus rapide, ses politiques socialistes sont susceptibles d’avoir une influence sur l’élaboration de ce nouveau système financier et commercial non occidental. Au lieu de privatiser les infrastructures économiques de base pour créer des fortunes privées par l’extraction de rentes monopolistiques, la Chine les garde dans le domaine public. Son grand avantage par rapport à l’Occident est qu’elle traite l’argent et le crédit comme un service public, qui doit être alloué par le gouvernement au lieu de laisser les banques privées créer du crédit, avec une dette qui s’accumule sans que la production ne soit développée pour augmenter le niveau de vie. La Chine maintient également la santé et l’éducation, les transports et les communications dans les mains du public, afin de les fournir comme des droits de l’homme fondamentaux. La politique socialiste de la Chine est à bien des égards un retour aux idées fondamentales de résilience qui caractérisaient la plupart des civilisations avant la Grèce et la Rome classiques. Elle a créé un État suffisamment fort pour résister à l’émergence d’une oligarchie financière qui prendrait le contrôle de la terre et des actifs générateurs de rente. En revanche, les économies occidentales d’aujourd’hui répètent précisément ce mouvement oligarchique qui a polarisé et détruit les économies de la Grèce classique et de Rome, les États-Unis servant d’analogue moderne à Rome. » (Michael Hudson) « Exclure l’UE de la table des négociations face aux « empires » Russe aujourd’hui et Chinois demain ayant gagné face à la guerre hybride de l'Occident pour les faire s'effondrer, et donc de la discussion sur le futur du monde, parait être l’un des principaux objectifs d’aujourd’hui de l’administration Trump sur la scène européenne. Surtout que le président américain élu n’oublie guère un autre élément-clé qui est en train de guider sa politique internationale vis-à-vis de l’Union Européenne : la quasi-intégralité des chefs d’états européens se sont ouvertement positionnés auparavant en tant que pro-démocrates américains et, de facto, ennemis de Trump et de tout ce qu’il représente. Ainsi l’affaiblissement de ses adversaires européens politiques par la question de défense, combiné au soutien ouvert à son principal allié conservateur sur le vieux continent qui est le président hongrois Victor Orban, vise au renversement progressif de la classe politique gauchiste hostile actuellement au pouvoir dans l’UE et à la formation d’une nouvelle qui suivra les pas de la politique hongroise vis-à-vis de la politique et des intérêts de l’administration républicaine Outre-Atlantique. » (Oleg Nesterenko) Par conséquent il faut contribuer à renverser la gauchiste ploutocratie mondialiste apatride actuelle, à reconstruire les États-nations et à harmoniser les relations internationales de manière à ce qu’elles servent les intérêts de tous les peuples, dont à travers l'expérience des peuples de l’ex-URSS ayant énormément appris en participant au démantèlement de l’ancien régime totalitaire. En effet particulièrement par rapport au capitalisme, personne n’aurait pu prévoir qu'après la fin de l'URSS communiste, le jour viendrait où des peuples auraient à revivre la nécessité du « triomphe de la souveraineté des nations », et où nous aurions à refaire la décolonisation de peuples captifs victimes d’une corporatocratie mondialisée et technocratique ayant anéanti la souveraineté de tous les pays et provoqué des dégâts sociaux et économiques considérables. A l'image de la chute passée de l’URSS et de la chute en cours de l'hégémonie des USA, la chute du nouvel empire miniature et totalitaire de l’Union européenne wokiste, mondialiste et ploutocratique devient tout autant nécessaire, car le besoin de sa fin se fait urgemment sentir. « Il y a une guerre, menée par la finance apatride, l’économie fictive, contre l’économie réelle. Une guerre dans laquelle la Haute finance utilise l’arme et la religion de l’écologisme pour justifier la destruction de l’industrie, du commerce, de l’agriculture et des hommes. C’est une guerre qui transcendent les frontières géographiques de l’Occident, une guerre qui fait rage au sein même de l’hêgemôn étasunien. Mais il y a là une intrication d’une guerre géo-économique inter-étatique États-Unis/Europe de cette guerre civile intra-étatique entre le monde de la finance et ses affidés dans un camp, et toutes les composantes de l’économie réelle, de l’ouvrier au grand patron d’industrie, dans l'autre. Toutes deux sont basées sur la prédation comme modèle économique. C’est une nouvelle configuration socio-politique qui dessine les contours d’une lutte des classes inédites, puisque transversale. Transversale car elle divise le sommet de la pyramide oligarchique, entre les tenants de l’économie réelle et ceux qui la détruisent, les maîtres de l’économie fictive (virtuelle). Or il n'y a pour l'instant que le président Trump représentant l'économie réelle qui incarne cette lutte transversale en occident face à l'économie virtuelle de la finance internationaliste. D'ailleurs le patronat allemand a effectué un virage à 180 degrés en allant à Pékin. C'est ce qui s'appelle choisir la realpolitik plutôt que l'idéologie. Ce sont eux, les représentants de la Haute finance, qui ramènent dans le même camp salariés, petits patrons et grands patrons pour cette lutte de classes inédite. En les désignant comme ennemis, elle les contraint à s’allier ou à périr. En les attaquant simultanément, les financiers se désignent comme les ennemis communs de l’écrasante majorité de la société et de l'humanité. Tout cela abolit ainsi précieusement les divisions entre catégories socio-professionnelles qui se jalousent pour des « avantages » dérisoires, car cette double guerre est donc menée aux peuples, aux entreprises et aux États. Or comme ce sont des guerres qui ne sont pas déclarées, cela rend plus difficile l’identification de l’origine de l’offensive et donc de la désignation de l’ennemi. Et c'est pourquoi beaucoup ne comprennent pas ce qu'il se passe » (Strategika.fr)
« Le néo-conservatisme pro-américain est contre l’AFD et l’Europe réelle. C’est la lutte pour l’orientation géostratégique de l’Europe, en particulier des parties de l’Europe qui, en raison de leur histoire, de leurs conditions économiques et de leur situation géographique, ont besoin d’une bonne entente avec la Russie et l’accepteraient – si elles y étaient autorisées. L'Alternative pour l'Allemagne (AFD) est un parti politique allemand de droite populiste. L'AfD est connu pour son opposition à l'Union européenne et à l'immigration en Allemagne. La CPAC défend des positions pro-américaines, anti-russes et anti-chinoises. Elle défend les revendications de la « seule puissance mondiale » et travaille à l’intégration de l’Europe et de l’Amérique du Sud dans un bloc de puissance contre les blocs émergents qui non seulement aspirent à un ordre mondial multipolaire, mais qui vont certainement le provoquer : la Russie et la Chine. (Ce qui amènerait à deux blocs divisant le monde : d'un côté donc l'Amérique du nord, l'Europe et l'Amérique du sud (sans Venezuela ni Brésil voire d'autres pays), et de l'autre l'Asie, l'Afrique et l'Océanie (sans l'Australie ni la Nouvelle-Zélande voire d'autres pays), avec le Moyen Orient au milieu voire en grande partie avec ce dernier bloc et en petite partie avec le premier.) Il est frappant et important de voir ici la liste des hommes politiques, des publicistes et des gestionnaires de projets qu’Orban a réunis à Budapest pour la CPAC. Outre les représentants de tous les États européens, petits et grands, des porte-parole des États-Unis et d’Israël ont été invités, des membres du Congrès de plusieurs États américains, ainsi que le président de l’Union conservatrice américaine, Matt Schlapp, et Amichai Chikli, le ministre des Affaires israéliennes de la diaspora. On peut dire qu’Orbán a rassemblé à Budapest les forces conservatrices européennes qui pourraient former un groupe parlementaire commun au cours de la prochaine législature – un groupe parlementaire vraiment grand, complet et puissant. L’opposition conservatrice de la droite allemande, l’AfD, ne participerait pas à ce groupe. L’opposition française, quant à elle, serait autorisée à y participer si elle rompait d’abord avec l’AfD. C’est ce qu’a fait Mme Le Pen, alors que l'AfD et le SPD qui sont les partis de la paix ont triomphé puisqu'ils ont fini deuxième et troisième aux élections européennes 2024 en Allemagne, et que le RN est soumis à l'OTAN belliciste en Ukraine. Pourquoi l’a-t-elle fait ? Elle peut ainsi participer à un projet anti-allemand qui pourrait se transformer en un projet anti-français si ces deux nations européennes de premier plan ne coupaient pas complètement leurs contacts historiques avec la Russie. Les petits Etats alignés entre l’Allemagne et la Russie profitent résolument de ce nouveau rideau de fer. Ils forment un bloc, soutenu par les Etats-Unis, et situé entre la Russie et l’Allemagne; et profitent au maximum de la faiblesse politique et de la force économique résiduelle de l’Allemagne. Ils ne renonceront jamais volontairement à ce transfert venu d’Allemagne et dépassent ainsi l’Allemagne sur le plan politique, au détriment de l’Allemagne. Il s’agit du fait qu’une puissante branche conservatrice de la droite américaine s’est formée en Europe, qui veut et va marquer l’Europe des droites conservatrices – aux dépens de l’Allemagne et avec la participation de l’irrédentisme conservateur allemand. De telles considérations ne sont pas des hypothèses tirées par les cheveux. Si l’on fait le bilan de la fuite des entreprises allemandes, du savoir-faire allemand, des capitaux allemands, de la richesse nationale allemande et de la main-d’œuvre allemande la mieux formée, notamment vers les États-Unis, on se trouve face à une catastrophe nationale. Ceux qui se souviennent que nous avions préparé une marge de manœuvre énergétique par le biais des pipelines, une marge de manœuvre adaptée à la situation centrale de l’Allemagne et à ses besoins, savent ce que signifie, sur le plan géostratégique, le fait d’être désormais entièrement dépendant de l’Occident sur le plan énergétique. (En sachant qu'en Allemagne, BSW semble être un parti hybride mêlant des valeurs sociales conservatrices et une approche socialiste de l’économie. Bien qu’il s’agisse d’une première en Allemagne, le phénomène n’est pas nouveau sur le vieux continent Avant les élections européennes, les experts ont découvert que le vote pour BSW pourrait séduire certains électeurs de l’AfD dans la mesure où il se présente comme une véritable alternative, pouvant attirer ceux qui traduisent leur « désespoir » en votant l’AfD. Il s’agit donc ici d’un report de voix qui semble dépasser le clivage traditionnel gauche-droite, ce qui signifie qu'en Allemagne, entre extrême gauche et extrême droite, il n’y a qu’un pas... Et en sachant que comme le gouvernement de coalition allemand s’est effondré suite aux tensions liées à la poursuite de l’aide militaire et financière à la guerre en Ukraine et au génocide perpétré par Israël en Asie de l'Ouest, les partis anti-guerre pourraient désormais changer le paysage politique allemand lors des prochaines élections.) » (Götz Kubitschek)
« Dans le passé, les élites progressistes n'étaient généralement pas menacées par les campagnes des anciens partis de centre et de centre-droit parce que ces groupes ont longtemps été gérés par de faux conservateurs sans intention de perturber la déviation de la fenêtre Overton vers la gauche radicale. Mais bien sûr, les temps ont changé. L'opposition légitime à l'extrême-gauche se lève sous la forme de partis politiques luttant pour des frontières sûres et des initiatives de lutte contre la corruption, et les progressistes sont furieux. Ils ont eu un avant-goût d'un pouvoir presque total, et bien qu'ils prétendent être les saints patrons de la démocratie, ils adoptent ouvertement des idéaux autoritaires afin de garder ce pouvoir. Aux États-Unis, l'extrême-gauche poursuit une guerre de propagande et abuse du système juridique depuis des années comme moyen d'empêcher les conservateurs de revenir au gouvernement. Les tactiques de loi utilisées contre Donald Trump étaient sans précédent, mais ont finalement échoué. En Europe, cependant, les gauchistes connaissent un plus grand succès. En Allemagne, l'établissement tente d'interdire le parti de plus en plus performant de l'AfD au motif qu'il représente un « retour au fascisme ». Plus de 100 législateurs ont soutenu la résolution, bien qu'il ne soit pas clair si un vote sera effectué. L'AfD est le deuxième parti le plus populaire en Allemagne et a récemment présenté un candidat pour le chancelier lors des prochaines élections de février. Tous les autres partis politiques en Allemagne sont des variations du spectre progressif. Les gauchistes disent que si l'AfD acquiert un pouvoir gouvernemental significatif, ils refuseront de travailler avec eux, préférant laisser le gouvernement allemand dans un état de vide plutôt que d'accepter la volonté des électeurs. Il convient de noter que le gouvernement de coalition de l’Allemagne s’effondre déjà et que le pays est en crise. En France, le succès croissant de Marine Le Pen et de son Parti du Rassemblement national a été accueilli avec une dérision extrême par les élites progressistes. L'establishment sous Emmanuel Macron s'est engagé dans la chicanerie politique après que le Rassemblement national a remporté le premier tour des élections françaises. Les centristes ont établi une coalition avec les radicaux de gauche comme moyen d'empêcher l'aile droite de prendre le pouvoir. Cette décision était techniquement légale, mais considérée par beaucoup comme un effort immoral pour empêcher les électeurs français conservateurs de se faire entendre. Les élites tentent également d'utiliser la loi contre Le Pen, évoquant des accusations d'utilisation abusive des fonds de l'UE dans l'intention de s'assurer qu'elle ne peut pas se présenter aux élections de 2026. D'ailleurs suite à cela « En condamnant Marine Le Pen à l'inéligibilité, le Système a gagné grâce à l’arbitre, c’est-à-dire une forme de dictature des juges. Qui eux-mêmes sont liés, via les loges, au pouvoir profond. La magistrature française incarne de manière éclatante la dépendance du juridique au politique, ou leur imbrication. Il n’y a pas de deuxième, de troisième ou de quatrième pouvoir, on le serine ici à « Égalité et Réconciliation » : en France, tout est lié, entremêlé, consanguin. (Rédac ER) « (Avec l'inéligibilité de Marine Le Pen) Le pouvoir profond est content, les Français sont encore en zizanie, c’est l’essentiel. L’union sacrée, c’est ce qu’il redoute et qui ne doit pas advenir. Jacques Attali avait prévenu, en 2018 : « L’alliance de l’extrême gauche, de l’extrême droite, et des réseaux sociaux reflète le sentiment croissant de l’illégitimité de l’élite. Elle forme un triangle des fous qui menacera l’existence même de la démocratie. » La citation est correcte jusqu’au dernier mot, qui est mauvais : il faut le remplacer par « l’élite » ou « l’oligarchie », et là tout s’éclaire. La démocratie n’est absolument pas menacée, elle est même garantie par l’alliance des populistes, qui font aujourd’hui 66 % des voix (quand le scrutin n’est pas trafiqué), soit les deux tiers des Français chers à Giscard, la vraie majorité. Où l’on comprend que dans la bouche des oligarques et de leurs larbins, la démocratie est le déguisement de la tyrannie. L’oligarchie en fin de règne et de race n’a pas fini de nous pourrir la vie, mais c’est réciproque. Un jour, il faudra bien que les corps constitués, et surtout la justice, la police et l’armée se retournent contre cette minorité satanique qui s’est enfermée derrière ses murs rouges et veut emporter le pays dans sa tombe. » (Rédac ER) Comme en Allemagne, il convient de noter que la coalition même qui a été mise en place pour maintenir l'aile droite hors du gouvernement s'est maintenant effondrée sous un vote de défiance du Premier ministre Barnier et la France est actuellement en crise. En Grande-Bretagne, il n'y a pas de parti de droite pour représenter les intérêts publics. Le régime progressiste/mondialiste actuel a violé l'esprit du vote du Brexit et a ouvert les frontières du pays à l'immigration du tiers monde. Les résultats ont été désastreux. Le gouvernement et les médias britanniques passent maintenant la plupart de leur temps à essayer de cacher la pointe des crimes violents commis par les migrants en Europe et au Royaume-Uni. Sans représentation, la population britannique est descendue dans la rue pour protester. En réponse, les gauchistes ont réprimé la liberté d'expression, arrêtant les gens qui critiquent l'immigration ouverte en ligne. La démocratie est complètement morte en Grande-Bretagne. En Roumanie, la Cour constitutionnelle a pour la première fois annulé les résultats d'une élection présidentielle parce qu'un candidat de la « droite » a remporté de façon inattendue le premier tour. Le gouvernement affirme que Calin Georgescu a reçu un coup de pouce en ligne sur son compte TikTok de sources russes, ce qui représente une « distorsion du vote ». Le tribunal n'a pas produit de preuve concrète à l'appui de cette affirmation, et il n'a pas non plus expliqué à quel point le trafic russe sur le compte TikTok de Georgescu se traduit par des votes roumains. Les tribunaux déterminent maintenant s'ils engageront des poursuites pénales contre Georgescu. Après tout, ils ne peuvent pas organiser une autre élection uniquement pour que le candidat gagne à nouveau et prouve que les accusations russes sont un canular. Les procureurs font une descente dans ses partisans de campagne apparents à la recherche d'une preuve d'ingérence dans les élections. Georgescu dit qu'il n'a jamais eu de liens avec la Russie ou toute autre entité étrangère; il a qualifié la Cour constitutionnelle de Roumanie de «tribunal de mafia» participant à un coup d'État contre le peuple roumain. Encore une fois, c'est la mort complète de la démocratie alors que la gauche politique la promeut. L'explosion de l'enthousiasme public pour les mouvements de droite en Europe avec des politiques légitimement conservatrices (parmi les plus jeunes en particulier) a prouvé que la dérive vers la gauche n'est pas ce que la population veut; elle n'a jamais été. Cependant, l’establishment progressiste a jugé ce changement d’opinion publique inacceptable – ils ont décidé de faire tout pour conserver le pouvoir, même si cela signifie abandonner les processus démocratiques mêmes qu’ils prétendent défendre. » (Article de Tyler Durden « La démocratie est morte : un coup d'accord contre les mouvements à droite est en cours en Europe ») La dérive totalitaire, l'état d'exception, le lgbtisme, l'individualisme, l'avortement, l'écologisme à outrance, l’abolition de la peine de mort, le mariage homosexuel, la GPA, etc, s'étant mis en place sur quelques décennies (depuis la chute du général De Gaulle et Mai 68 qui a prôné qu'il est interdit d'interdire) et provenant du vide religieux, la solution ne peut être qu'une réponse théologico-politique basée sur la loi naturelle. Face à l’extravagance de l’Occident pour maintenir son hégémonie et l’étendre aussi loin que possible, la résistance contre la coercition basée sur l’humanité et la spiritualité doit être mise à l’ordre du jour. En effet avec un plus grand nombre d’activistes pendant la période de transition du système international, nous pouvons espérer l’avènement d’un système multipolaire basé sur une approche pacifique et coopérative plus juste pour assurer pleinement la sécurité. D'ailleurs depuis le 07 octobre 2023, aucune coalition d’Etats ne s’est constituée pour mobiliser les Nations Unies et arrêter les massacres en cours en Palestine. Cela n’a pas empêché des millions de personnes, dans le monde, de protester : manifestations dans des centaines de villes ou sur les campus des universités ; boycotts d’entreprises ; œuvres artistiques ; initiatives humanitaires : la conscience universelle se réveille. En mars 1964, en visite au Mexique, le général de Gaulle s’adressant aux intellectuels de l’Université de Mexico envoya ce message au monde que l’actualité tragique rend encore plus essentiel : « En effet, par-dessus les distances qui se rétrécissent, les idéologies qui s’atténuent, les politiques qui s’essoufflent, et à moins que l’humanité s’anéantisse elle-même un jour dans de monstrueuses destructions, le fait qui dominera le futur c’est l’unité de notre univers ; une cause, celle de l’homme ; une nécessité, celle du progrès mondial, et, par conséquent, de l’aide à tous les pays qui le souhaitent pour leur développement ; un devoir, celui de la paix, sont, pour notre espèce, les conditions mêmes de sa vie. » « Les grands blocs civilisationnels se pensent à travers les grands espaces qui, souvent, vont au-delà des frontières politiques du pays initiateur. Ces «grossraum», pour reprendre l’expression utilisée par Carl Schmitt, sont rendus possibles grâce à des dénominateurs culturels et civilisationnels communs donnant lieu, quand la volonté politique est là, à des dynamiques de convergences qui, tout en respectant la souveraineté de chaque État de ce grand espace, font des frontières non pas des barrières, mais des passerelles économiques, culturelles et humaines. Et dans le monde de demain plus que celui d’aujourd’hui, seuls les grands blocs compteront. Ainsi, la Chine cherche à consolider l’immense espace eurasiatique à travers sa nouvelle route de la soie, qui vise aussi à contourner l’hégémonie américaine sur les océans. Grâce à sa diplomatie multivectorielle, l’Inde cherche à développer avec les États-Unis un projet rival à celui de la Chine, à travers une route commerciale qui partirait de l’Inde pour aboutir à la Méditerranée, en passant par les Émirats arabes unis, l’Arabie Saoudite et Israël. Et la Turquie cherche, à travers des accords de libre-échange, à établir un bloc économique turcophone soudé par une identité culturelle commune. Qu’en est-il du Maroc ? Chez nous, dès que vous parlez d’un bloc ou d’un projet maghrébin qui partage, n’en déplaise aux haineux, un même fond anthropologique et culturel, vous vous faites taxer de «khawatisme», voire de trahison. Pourtant, depuis le début du règne du roi Mohammed VI, et ce, avant même certaines grandes puissances, le Maroc a compris la nécessité de créer et de consolider de grands blocs économiques, et à terme géopolitiques. On peut citer à titre d’exemple : – La signature en 2021 avec la Chine, d’une convention portant sur le plan de mise en œuvre conjointe de « l’initiative de la ceinture et de la route », appelé plus communément les « nouvelles routes de la soie ». – Et le projet royal annoncé en 2023, qui vise à permettre à 4 pays enclavés du Sahel d’accéder à l’océan Atlantique à travers les infrastructures routières et portuaires du Maroc. Mais encore plus proche de nous, on peut citer l’approche diplomatique adoptée par le Maroc vis-à-vis du voisin algérien. À savoir la politique de la main tendue (comme aussi à travers le non refus d'accès aussi à l'océan atlantique pour l'Algérie), dont les résultats éventuels ne dépendent que de la capacité du pouvoir algérien à sortir du déni et de sa paranoïa vis-à-vis du Maroc, et la distinction opérée dans tous les discours du roi Mohammed VI entre l’État et le peuple algérien, toujours qualifié de peuple frère. « Sur la longue durée, l’antagonisme finira par s’estomper, au profit des dénominateurs communs les plus immuables : la géographie et la culture. Car jusqu’à présent, nous n’avons jamais vu un pays déménager. » » (Rachid Achachi) Guillaume Bigot précise : « Quand un pouvoir (mondialiste) donne des ordres qui ne sont pas exécutés (comme le confinement, le port du masque, la baisse de la consommation d'énergie, l'interdiction de la critique du sionisme), il dévoile que son pouvoir repose sur le consentement et que si les gens refusent d’obéir, il perd son pouvoir. Le gouvernement se met en danger en donnant des instructions qui sont peu fondées ou difficiles à justifier. L’autorité publique se retrouve abîmée par l’État lui-même. » Ici il est important de noter qu'un secteur économique se fédérant et agissant collectivement peut aussi avoir un grand impact sur le réveil d'une nation et sur sa politique, surtout que pouvant unir le peuple vers la révolution. De même l'association de nations vers la multipolarité peut réveiller les peuples.
« Honte aux otaniens intégristes responsables de cette boucherie. Je ne le dirai jamais assez, nous subissons un odieux lavage de cerveau depuis trente mois. Tout le narratif otanien n’est que mensonge et tromperie pour justifier cette guerre qui ne sert que les intérêts des Américains, lesquels rêvent de dépecer la Russie pour s’emparer de ses immenses richesses géologiques, estimées à plus de 50 000 milliards de dollars, soit plusieurs décennies de PIB russe. Ceux qui s’imaginent que l’Occident défend le droit international et vole au secours du peuple ukrainien agressé par l’Ours russe sont aussi naïfs que des perdreaux de l’année. Washington et ses valets ont en réalité décidé de sacrifier le peuple ukrainien, qui est en train de disparaître dans le chaudron du Donbass, à raison de 2 à 3 000 soldats mis hors de combat chaque jour. Un massacre assumé et financé par l’Occident, qui ferme les yeux sur les centaines de millions de l’aide otanienne détournés par le régime corrompu de Kiev. Tant que Zelensky accepte de sacrifier son armée ou du moins ce qu’il en reste, le camp du Bien continue de payer, en se drapant dans le manteau de la vertu. Les tentatives de négociations ont été sciemment torpillées et la paix n’est pas à l’ordre du jour. L’aide occidentale dépasse largement les 200 milliards de dollars, ce qui commence à faire cher pour une guerre perdue d’avance. Quant au bilan humain, je vais y venir. Les causes historiques de cette tragédie remontent à 1990, les Anglo-Saxons, “vainqueurs de la guerre froide”, n’ayant jamais accepté que la Fédération de Russie adhère un jour à l’UE et constitue ainsi une puissance économique et militaire colossale, possédant des cerveaux de premier plan et des ressources énergétiques à profusion. Une perspective insupportable pour Washington. 35 ans après la chute du Mur de Berlin, l’Europe est devenue une colonie des États-Unis, qui imposent leur loi dans tous les domaines, militaire, économique, culturel, sans oublier leurs délires sociétaux qui détruisent peu à peu la civilisation occidentale. Un bilan humain apocalyptique soigneusement occulté par les médias : voici les chiffres que donne l’historien Marc Legrand concernant les pertes des deux camps au 24 août 2024. Ils sont issus de sources croisées confidentielles tout à fait fiables. Pertes totales depuis le 24 février 2022 : “Estimations des pertes militaires (24/08) – RUSSIE : 44 700 tués, 115 300 blessés (dont graves : 15 %) ; UKRAINE : 585 000 tués, 620 000 blessés (dont graves : 67 %) + 6 400 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US.” On notera que le taux de blessés graves est beaucoup plus faible côté russe que côté ukrainien. Ceci est dû aux moyens sanitaires conséquents et à la rapidité d’intervention des secours côté russe. Beaucoup de blessés ukrainiens ne sont pas secourus à temps. Au total, ce sont donc 1,2 million de soldats ukrainiens qui ont été mis hors de combat. On imagine le nombre ahurissant de veuves et d’orphelins qui paient le prix fort de cet odieux acharnement otanien. Aucun média ne vous dira la vérité, à savoir que Poutine n’avait qu’une exigence : faire respecter les accords de Minsk pour protéger les populations russes du Donbass et éviter la guerre. Mais les faucons du Pentagone lui ont ri au nez en promettant la victoire aux Ukrainiens. Ces crétins de va-t-en-guerre n’ont oublié qu’un détail : pendant que l’Occident récoltait les dividendes de la paix depuis 1990, Poutine reconstruisait son armée depuis l’an 2000, pour en faire un outil de combat inégalé. Dans la course aux armements du futur, les Russes sont largement en tête. Citez moi un seul pays autre que la Russie, capable de résister à une cinquantaine de nations qui lui font la guerre et tentent de torpiller son économie par tous les moyens. Je n’en connais aucun. L’Otan finira vaincue et humiliée, une fois de plus. Il est grand temps de stopper l’hécatombe. Et la France de Macron ne sortira pas grandie de cette tragédie. » (Jacques Guillemain Riposte Laïque)
« Les implications de la géopolitique judéo-messianique sont vastes. Au Moyen-Orient, par exemple, le soutien inébranlable des États-Unis à Israël est souvent cité comme un facteur clé du conflit israélo-palestinien. Ce soutien-influence à la fois par des intérêts stratégiques et des idéologies religieuses, a contribué à une situation où la paix reste insaisissable, et où les droits et aspirations des Palestiniens sont souvent marginalisés. Au-delà du Moyen-Orient, les effets d’entraînement de cette idéologie se manifestent dans les tensions géopolitiques plus larges qui surgissent lorsque des nations se perçoivent comme agissant sous un mandat divin. Cela peut conduire à un manque de volonté de compromis, à une dépendance excessive à l’égard des solutions militaires, et à un mépris pour les normes et institutions internationales. Dans ce contexte, les conflits ne sont pas simplement des différends territoriaux ou politiques ; ils deviennent des batailles pour la suprématie idéologique et l’accomplissement de prétendus objectifs divins. Pour ceux qui critiquent la géopolitique judéo-messianique, cette idéologie n’est pas seulement un facteur de conflit mondial – elle en est l’une des causes profondes. En promouvant une vision du monde élitiste où les intérêts de quelques-uns sont placés au-dessus de ceux de la majorité, ce système de croyances exacerbe les tensions, alimente les divisions, et sape les possibilités de résolution pacifique. Il crée un environnement où les conflits sont évités comme inévitables, voire nécessaires, dans la poursuite d’un objectif supérieur, ordonné par Dieu. Cette approche de la géopolitique est perçue comme fondamentalement en contradiction avec les principes d’égalité, de justice et de respect mutuel essentiels à la paix mondiale. En encadrant les actions géopolitiques en termes de prophétie religieuse et d’accomplissement messianique, elle risque d’aliéner de larges segments de la population mondiale qui ne partagent pas ces croyances et qui considèrent de telles actions comme une forme d’impérialisme ou d’extrémisme religieux. Si le monde veut dépasser les conflits alimentés par la géopolitique judéo-messianique, il doit y avoir un changement d’attitude envers les idéologies qui privilégient les quelques-uns au détriment de la majorité. Cela signifie repenser la manière dont les nations, en particulier les puissances comme les Etats-Unis et Israël, s’engagent avec le monde. Il faut reconnaître que la paix et la stabilité ne peuvent être atteintes par la poursuite d’objectifs étroits et égoïstes justifiés par des croyances religieuses ou idéologiques. Au lieu de cela, il doit y avoir un engagement en faveur d’une forme de géopolitique plus inclusive et équitable – une géopolitique qui valorise les droits et les aspirations de tous les peuples, qui cherche à résoudre les conflits par le dialogue et la diplomatie plutôt que par la force, et qui est guidé par des principes de justice et de respect pour tous (comme tend d'ailleurs à le faire la multipolarité proposée par la Russie et la Chine). Ce n’est qu’en dépassant l’élitisme de la géopolitique judéo-messianique que le monde peut espérer aborder les causes profondes des conflits et construire un ordre mondial plus pacifique et juste. Il est essentiel de dénoncer les récits discursifs qui sous-tendent cette idéologie afin de la déconstruire en tant que pensée. En exposant les mécanismes par lesquels la géopolitique judéo-messianique perpétue un élitisme au détriment du bien-être global, nous pouvons commencer à démanteler cette vision du monde. Seule une critique lucide et courageuse de ces discours permettra d’affaiblir leur prise sur les politiques internationales, ouvrant ainsi la voie à des approches plus inclusives et justes pour la résolution des conflits mondiaux. » (Extrais de l'article « Les racines des conflits mondiaux : la géopolitique judéo-messianique » de Khaled Boulaziz) « (La Russie va) Vers l’avènement de la quatrième théorie politique. En fait, nous, Russes, avons changé d’idéologie pour la troisième fois en 35 ans. Jusqu’au début des années 90, la société était soumise à la dictature du marxisme-léninisme. Elle était obligatoire et (bien que formellement seulement) tout était construit sur cette base – la politique, l’économie, la science, l’éducation, le droit. En général, tout. Au début des années 90, il y a eu un coup d’État idéologique. Les libéraux occidentalistes (les « réformateurs ») ont pris le pouvoir. Une dictature idéologique libérale a été instaurée. Désormais, tout – la politique, l’économie, la science, l’éducation, le droit – a commencé à être remodelé selon les normes libérales occidentales. Le libéralisme était désormais considéré comme la seule vraie doctrine. Lorsqu’il est arrivé au pouvoir, Poutine n’a pas aboli la dictature idéologique des libéraux dans un premier temps, mais a exigé de prendre en compte la souveraineté de l’État (lequel demeurait libéral, occidentalisé). Nous sommes restés dans le paradigme du libéralisme, mais en mettant l’accent sur la souveraineté. Sourkov l’a appelé « démocratie souveraine ». Le diktat idéologique du libéralisme a persisté. Les libéraux purs ont réagi à la politique de souveraineté de Poutine de deux manières: certains, directement, avec l’argent de l’Occident libéral et à l’instigation des services de sécurité occidentaux, ont commencé à protester (c’était la cinquième colonne), tandis que d’autres n’ont pas osé discuter avec Poutine, l’ont imité, se sont cachés et ont commencé à saboter discrètement mais compulsivement la politique de souveraineté (c’est ce que je nomme la sixième colonne, les Sislibs). Avec le début de l’Opération militaire spéciale (OMS), la dispersion finale de la cinquième colonne a eu lieu et les purges contre la sixième ont commencé. Certains Sislibs (Tchoubaïs, etc.) ont paniqué et se sont réfugiés en Israël et à Londres. Les plus malins se terrent plus profondément. Mais le véritable bouleversement idéologique n’a commencé que maintenant. Lorsqu’il est devenu clair que la Crimée était à nous pour toujours, comme les vieilles terres récupérées, que la guerre se poursuivait jusqu’à la Victoire et que l’OMS n’était pas un échec technique dans les relations avec l’Occident libéral, comme on avait pu le penser auparavant, mais constituait une rupture irréversible. La dictature de l’idéologie libérale a alors pris fin. La transition du communisme au libéralisme a été facile, parce que les méthodologies, les instructions et les manuels pouvaient être obtenus à l’Ouest. Non seulement gratuitement, mais aussi contre rémunération – au bénéfice de la CIA, du département d’État et de Soros. La transition du libéralisme à l’idéologie russe est plus difficile. Il est impossible de revenir au communisme (où, soit dit en passant, on ne nous appelle pas) ou à la monarchie orthodoxe (où l’on ne vous appelle pas de manière intrusive, mais où tout le monde a déjà oublié ce que cela signifiait). Les bénévoles sont formidables, mais ils ne constituent pas une idéologie. Il n’existe pas de méthodologies, d’instructions et de manuels pour la troisième idéologie russe en advenance. Une chose est claire: ce ne sera ni le communisme ni le libéralisme. Mais ce ne sera pas non plus le fascisme – nous combattons le fascisme en Ukraine. Nous devons donc faire revivre quelque chose de pré-occidental, d’enraciné, qui est la base même de l’identité russe, mais en le projetant de manière innovante et créative dans l’avenir. Une sorte de futurisme impérial patriotique russe. Les valeurs traditionnelles (fondamentales), l’éducation historique, la marche en avant vers le monde multipolaire, la thèse de la Russie en tant qu’État-civilisation constituent les éléments les plus importants à approfondir et à diffuser à cet égard. Il ne s’agit en aucun cas de communisme, de libéralisme ou de fascisme. C’est, en fait, la quatrième théorie politique. C’est la transformation idéologique qui se déroule actuellement. Une libération radicale qui est rupture avec la dictature libérale. Mais sans tomber dans le piège du communisme ou du nationalisme (du fascisme). Après tout, ces « -ismes » sont également des doctrines politiques occidentales de l’ère moderne européenne. Elles ne sont pas russes, ni dans la forme ni dans le sens. Et il est nécessaire d’avoir recours à la Russie. Aujourd’hui, nous avons besoin que d’éléments russes. Ce virage est inévitable et ne dépend pas de l’arbitraire des autorités ou de certains groupes idéologiques. La Russie souveraine doit avoir une idéologie souveraine. Et celle-ci ne sera pas discutée, elle sera approuvée comme les premiers décrets des bolcheviks ou la privatisation des années 1990. » (Alexandre Douguine)
Ainsi « L’ère du dollar est en voie de disparition. Ironiquement ce sont les Européens et les Américains qui ont attiré de façon idiote l’attention du reste du monde sur cette situation. Croyant qu’ils détenaient une arme de dissuasion massive avec SWIFT, ils l’ont utilisée contre la Russie, pensant aider l’Ukraine à résister aux demandes de son voisin et accessoirement montrer que l’OTAN était plus qu’une alliance militaire. L’idée était que cela suffirait à faire plier Moscou et à faire peur à Pékin. Les conseillers financiers de nos gouvernements occidentaux avaient oublié, par arrogance, il n’y a pas de doute là-dessus, un détail d’importance. Dès 2014, la Russie et la Chine avaient tranquillement travaillé à la mise en place de deux plateformes équivalentes à SWIFT et cela sans faire appel aux fabricants de logiciels ayant un quasi-monopole aux Etats-Unis et en Europe (je pense ici à Microsoft mais aussi Alphabet et Amazon). En Chine, SWIFT s’appelle SPFS, en Russie CIPS. On a vu le résultat. Le rouble qui devait sauter parce que les sept plus grandes banques russes avaient été exclues le 2 mars 2022 du système SWIFT, ce qui devait paralyser toute l’économie russe, n’a pas sombré. L’arme de destruction massive s’avéra un pétard mouillé. Si on ajoute le gel illégal des réserves souveraines russes qui sabordent toutes les règles de swap dont vit le milieu financier international (y compris les états), l’Occident vient de saborder les deux piliers du système monétaire sur lequel il gérait sa dette. C’est ce qu’on appelle se tirer une balle dans le pied. Les conséquences sont multiples dans plusieurs domaines. Les pays producteurs de pétrole de la péninsule arabique n’ont pas appliqué les sanctions visant la Russie. La prétention américaine à fixer les “règles du jeu” du monde est désormais ouvertement contestée. On dit tout haut ce qu’on pensait tout bas, chacun à sa façon. Medvedev, ancien président et premier ministre de Russie, actuellement le nº2 du conseil de sécurité du pays (Poutine est le président de ce conseil), pense que “Le monde unipolaire, c’est fini. Ça ne reviendra pas. Vous ne pouvez pas geler les avoirs d’autres pays, porter atteinte à la propriété en saisissant des entreprises et des biens, et garder la confiance des autres. C’est utopique. La confiance dans une monnaie de réserve a disparu, comme la rosée le matin et nous verrons l’émergence de nouvelles formes de transaction monétaire. Qu’ils le veulent ou non, les Etats-Unis et l’Europe vont devoir s’adapter à un nouvel ordre monétaire où les pays qui ont une économie avancée, des finances publiques saines et un système monétaire fiable seront les décideurs. C’est un nouveau monde qui s’ouvre où ceux qui impriment du papier pour couvrir leur déficit ne seront plus écoutés. Nous voyons déjà les prémisses de tout cela.” Le président chinois Xi est d’accord : “Beaucoup de gens sont conscients que la situation actuelle (des sanctions) pourrait détruire des décennies de coopération économique. Si la situation continue à se détériorer, il faudra des dizaines d’années pour réparer les dommages causés”. Alors quel est l’avenir ? La Chine reste très attachée au cadre des Nations-Unies, mais elle est consciente de la faiblesse de l’institution à qui certains prédisent l’avenir de la Société des Nations car elle est attaquée par ceux mêmes qui prétendent la défendre. Pour un ancien des services spéciaux suisses, le colonel Jacques Baud, il est clair qu’“Aujourd’hui, les pays occidentaux interviennent dans les affaires intérieures russes et chinoises au nom de “valeurs”, qu’ils ne respectent pas eux-mêmes “. » (Extraits de l'article « La fin du G7 » de Serge Berthier) L’achèvement des travaux d’intégration du système de paiement russe Mir et du système de paiement iranien Shetab et ont également signé un accord sur la fourniture de liquidités aux monnaies nationales pour les transactions commerciales. Selon le directeur de la Banque centrale d’Iran, à partir du 22 août, les Iraniens pourront retirer des roubles avec des cartes à puce Shetab dans tous les distributeurs automatiques de billets russes. Il est prévu qu’au cours des prochaines étapes du projet, les Russes puissent utiliser les cartes Mir en Iran et que les propriétaires de Shetab puissent régler leurs achats dans les magasins russes avec des cartes bancaires iraniennes. La carte de paiement russe Mir est acceptée dans 12 pays. Outre la Russie, elle fonctionne sans restriction en Abkhazie, au Belarus, à Cuba et en Ossétie du Sud. L’Égypte, l’Iran, l’île Maurice et le Myanmar prévoient de mettre Mir en service. Six autres pays sont prêts à engager un dialogue sur son utilisation.
De même précieusement, la confiance des autres pays dans le système juridique et bancaire occidental, qui ne défend donc plus comme auparavant absolument le droit de propriété dans une forme de totalitarisme, a aussi logiquement pris fin. C'est à dire que ces pays en dehors de l'occident se débarrassent de leurs dollars et euros, ce qui pourrait en plus participer précieusement à empêcher la troisième guerre mondiale. Une grande partie des peuples occidentaux n'ont aussi plus confiance aux médias et politiciens du système, tellement leur propagande est grossière et leur censure est évidente, et l'internet libre dénonce ce totalitarisme. Alors que l’Allemagne n'est pas en guerre avec la Russie en Ukraine, il est même interdit d'avoir une opinion en arborant la lettre « Z » soutenant l'action russe en Ukraine ! Tous les médias russes s’adressant à un public occidental ont été interdits par les « démocraties » à partir du 24 février 2022, c’est-à-dire à partir pourtant de l’application par l’armée russe de la résolution 2202 du Conseil de sécurité demandant le respect du cessez-le-feu. Désormais en Allemagne, partager l’interprétation russe et même citer cette résolution internationale est honteusement assimilé à de la « propagande ».
« La France veut même forcer Telegram et Signal à installer des portes dérobées pour accéder aux messages chiffrés. Face à cette exigence, les deux géants menacent de quitter le territoire. Le préfet de police Laurent Nuñez réclame un accès aux communications cryptées, invoquant la lutte contre le crime organisé. Mais Pavel Durov, patron de Telegram, et Signal, refusent de compromettre la sécurité de leurs utilisateurs, brandissant la menace d’un départ. Un débat explosif qui oppose protection nationale et droit à la vie privée, tandis que l’Europe semble s’enliser dans une surveillance généralisée. La question reste : jusqu’où l’État peut-il aller sans sacrifier nos libertés fondamentales ? (Alors qu'on ouvre pourtant pas le courrier écrit.) » (Média en 4-4-2)
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