B) Contexte international (suite 3)
Moraux :
-ministre de l’éducation voulant que nos enfants se projettent dans le métier qu’ils veulent faire dès la maternelle… Ce genre de préoccupation n’a rien à faire dans l’esprit d’un enfant de 4 ou même 6 ans ! En effet à cet âge là capacité de concentration est courte et il a très peu de connaissances et d'expérience pour établir son intelligence, son potentiel ou sa valeur. C'est un sujet politique encore hallucinant alors qu'il y a des sujets tellement urgents. Il faut impérativement laisser aux enfants l’espace et le temps d’être des enfants. L’éducation soit disant affective qui est en réalité une éducation sexuelle dont on veut cacher le nom s’accompagne en plus de la théorie du genre qui perturbe de très nombreux jeunes. A cela s’ajoute la pression “professionnelle” et notamment de Parcoursup qui est une horreur et une effroyable violence psychologique infligées par l’État à nos adolescents et à leurs parents. Si l’on met la pression à nos enfants dès la maternelle nous allons amplifier la souffrance et la détresse mentale de nos enfants. Dès la classe de 6ème on demande aux enfants de travailler leur orientation… et à 12 ans ils subissent des consignes complètement délirantes et outrancières du ministère de inéducation nationale. On leur demande quel sera son métier, quelle formation il envisage et quelles sont les étapes qu’il souhaite mettre en œuvre pour y arriver… C'est une forme de perversité et de violence psychologique induite. Imaginez que l’on mette cette pression sur un adulte, c’est déjà difficilement gérable, mais un enfant c’est la torture psychologique assurée. Alors qu'en rajoutant les épreuves du masque, des gestes barrières et donc de la peur à l'école, cela signifie qu'il faut plutôt prendre grand soin du développement de ces enfants.
-diverses émissions de TV anciennes remises à la télé pour former chaque génération avec ce qui égare le plus.
-« Jeux Olympiques de Paris 2024 s'annonçant comme les plus médiatisés et les plus politisés depuis la fin de la guerre froide. Mais la politique et les conflits ont toujours été au cœur des Jeux, malgré le principe de neutralité politique fondamental du Comité International Olympique (CIO). Depuis les premiers Jeux Olympiques modernes en 1896, la politique a toujours été présente. Le créateur des Jeux, Pierre de Coubertin, avait pour objectif de séparer le sport de la politique, mais il a lui-même politisé le sport en interdisant aux femmes de participer et en limitant la participation aux pays occidentaux. Des pays ont été exclus des JO pour des raisons géopolitiques, comme l’Allemagne et le Japon après les guerres mondiales. Les athlètes ont également utilisé les Jeux pour faire valoir leurs droits et leurs causes, comme l’Irlandais Peter O’Connor en 1906 et les athlètes noirs américains Tommie Smith et John Carlos en 1968. Les Jeux ont également été récupérés et instrumentalisés par des États à des fins politiques, comme l’Allemagne nazie en 1936 et les États-Unis et l’URSS pendant la guerre froide. (1924, Paris ; l’interdiction de l’Allemagne après la Première Guerre mondiale est maintenue, mais l’Autriche, la Bulgarie, la Turquie et la Hongrie sont autorisées à y participer. 1948, Londres ; l’Allemagne et le Japon sont interdits de participation toujours en raison de la Seconde Guerre mondiale. 1964, Tokyo ; l’Afrique du Sud est interdite de participation par le Comité international olympique (CIO) en raison de son régime d’apartheid oppressif.) Aujourd’hui, les Jeux sont toujours un terrain de jeu politique. La Russie et la Biélorussie sont exclus des JO 2024, et des appels à bannir Israël en raison du conflit à Gaza sont lancés. (En effet, le CIO ne devrait-il pas se demander s’il est approprié qu’un régime condamné par la Cour internationale de justice pour de graves violations puisse concourir sans d’abord s’acquitter de ses obligations internationales ? Surtout qu'en 2023, le CIO avait suspendu totalement la Russie en raison de la guerre en Ukraine. Mais cette année, Israël, qui a tué plus de 400 athlètes palestiniens dans la bande de Gaza, a été autorisé à participer aux Jeux... De même, la FIFA a assassiné l'âme du football en blanchissant le génocide à Gaza.) Le CIO maintient son principe de neutralité politique, mais il est de plus en plus contesté. » Surtout que Tristan Edelman explique que les Jeux Olympiques servent de prétexte pour le pouvoir afin d’asseoir sa puissance. À l’instar des châteaux et cathédrales de l’Ancien Régime, les événements sportifs et culturels sont récupérés pour glorifier le pouvoir en place, surtout que ce sont souvent les pays riches en particulier occidentaux ou dominés par l'occident qui les organisent comme la coupe du monde de football.
-« pédocriminalité en France n’étant pas l’affaire de quelques individus isolés, mais d’un système verrouillé par des intouchables. Dans son livre "La Pédocratie à la française", le journaliste Jacques Thomet, ancien rédacteur en chef à l'AFP, révèle dix ans d’enquête sur des scandales étouffés, des complicités judiciaires et une omerta médiatique persistante. Entre circulaires ordonnant la destruction de plaintes et expertises biaisées, Jacques Thomet expose une justice qui sacrifie les victimes. Les chiffres sont accablants : seulement 3 % des viols sur mineurs aboutissent à une condamnation. Pire, des enfants sont parfois placés chez leur agresseur, sous couvert de « syndrome d’aliénation parentale », une théorie inventée par un criminel américain. De Matzneff à Epstein, en passant par des figures politiques et intellectuelles, Jacques Thomet dresse un tableau noir des complicités. Malgré les preuves, les grands médias ignorent son travail, préférant l’indifférence au scandale. « C’est une chape de plomb », dénonce-t-il, évoquant des rituels sordides et des réseaux protégés au plus haut niveau. Si Jacques Thomet se dit « optimiste », il alerte sur l’urgence d’agir : suicides de victimes, mères « désenfantées » et budgets pharaoniques de l’Aide Sociale à l’Enfance (10 milliards d’euros) illustrent un système à bout de souffle. Son prochain livre, « Une Rafle française », promet de nouvelles révélations. » (Média en 4-4-2)
-outrage des JO 2024 aux peuples en particulier les enfants à travers la planète dans une propagande de la laideur et de la perversion éhontées dont à travers une sorte de suprémacisme Lgbt pilotée par les élites sataniques. L'olympisme est devenu une vitrine du mondialisme oligarchico-sionisto-Lgbt, comme le prouve la grosse lesbienne juive queer ayant parodié anti-christiquement Jésus dans la Cène perversement revisitée lors de la cérémonie d'ouverture des JO 2024. Surtout que le plat de résistance était Dionysos qui est le dieu grec de la décadence dont sexuelle symbolisée d'ailleurs par les travestis et transexuels autour de lui et donc la violation des limites morales, en sachant que briser le moi (par ce lgbtisme) et les limites morales brise le surmoi et l'absence de conscience morale et donc de saint esprit divin amènent à la bête (de l'événement prophétisé par Macron) comme Dionysos, qui pas sa transgression sans limite représente en plus l'Antéchrist et Satan. D'ailleurs certaines personnes ayant participé à cette perverse parodie de la Cène ont auparavant fait des photos imitant l'apparence Satan. Alors qu'il y aurait eu tellement de choses noblement unifiantes à saluer mondialement pour cette cérémonie des JO 2024, qu'il aurait du être impossible de dénigrer les nobles Jésus et ses apôtres. Pas besoin de chercher des rituels sataniques avec des croix enflammées et des triples 6, tout réside dans la lutte acharnée contre les valeurs helléno-chrétiennes et donc pour la destruction des âmes. Luc Ferry : « Il allait y avoir une véritable religion dionysiaque avec des bacchanales, des dionysies qui sont organisées en l’honneur du dieu et qui sont des fêtes de la folie, de l’ivresse, où en pratique elles ont vraiment existé, des formes de sexualité et de sadisme absolument débridées, on écartèle des petits animaux vivants, et même des enfants vivants, et donc c’est le dieu encore une fois de la folie, de la fête, mais de la fête pas sympathique, de l’orgie jusque dans ses perversions les plus effroyables. » En France, le folklore satanique des JO montre que le satanisme et le pédosatanisme de réseau économico-politique n'est pas que du folklore surtout avec en plus l'éducation à la sexualité. « Pourquoi les gens qui sont au pouvoir promeuvent une idéologie transgressive de masse, alors que la transgression de masse est le synonyme en réalité du chaos social(, si ce n'est pour l'éprouver, le rabaisser ou/et le dominer) ?! » (Soral) Or ce qui est le plus grave, c'est que même si tout n'est pas tout vrai, on ne parle plus de Dieu, de Ses Prophètes et de Ses voies du bien, mais principalement du mal possible. « C'est à dire que la retenue est la distinction entre l'humain et l'animal comme le chien défèque et s’accouple n'importe où. En effet la retenue développe le surmoi (éducation, bien commun, intérêt général social, conscience morale, foi, piété), alors que le moi est dans un sens inférieurement le principe de réalité personnelle (identité, besoin, développement) et que le çà est le principe de plaisir (en particulier bestial) dans un sens inférieurement le plus bas. Le moi est donc le lieu du combat et donc du choix humain entre le çà et le surmoi, entre les pulsions sauvages animales et la noblesse morale. Et la fin du moi associée à fin de la culture normative du surmoi dont en détruisant le sens du corps (homosexualité, transsexualité, pédophilie) fait triompher le ça par la création d'une culture du relâchement du surmoi dont face au christianisme et l'islam, ce qui est d'ailleurs le sens de cette Cène perversement revisitée. (Lors de ce moment le dévoilement de Dionysos caché sous un couvre plat pourrait ainsi même être une annonce prochaine du dévoilement de la bête qu'est l'Antichrist ou Antéchrist, en sachant que Dionysos comme Baphomet et l'Antichrist lèvent toutes les barrières morales et ensaugavent donc le monde.) » (Alexis Cossette) En sachant que Dionysos est donc une fausse divinité tel l'antéchrist se prétendra divin et un polythéisme (idolâtrie) vers lequel Satan cherche à pousser les hommes depuis son expulsion du Jardin d'Eden par Dieu. D'ailleurs le CIO s'est senti obligé de présenter ses excuses au monde entier dans ce sens, car même si de nombreux peuples dont celui français sont en grande partie devenus anti-cléricaux, ils ne sont pas anti-christiques, car le figure de Jésus est encore considérée comme positive et sacrée. Depuis le Comité Olympique International a même supprimé tout replay de la cérémonie d’ouverture de ces Jeux Olympiques Paris 2024 de sa chaîne YouTube. C’est dire le scandale suscité par cette soirée ! « (Lors de la cérémonie d'ouverture des JO,) La liste des provocations diverses à l’encontre du patrimoine catholique confirme si besoin était la nécrose culturelle de la République, qui ne vit que de la haine à l’encontre de l’Eglise, et de la chrétienté française. (Suite aux faibles condamnations de nombreux évêques,) Combien d’épisodes sinistres de lâcheté épiscopale publique faudra-t-il comptabiliser pour que les fidèles de bonne volonté cessent de confondre la médiocrité avec la mesure, la trahison avec la prudence, la complaisance morbide avec l’esprit de paix. Le sport, et l’olympisme en particulier, exige une discipline méritoire par rapport à soi-même, certes, mais les performances pures et les récompenses subséquentes sont sans effet probant quant au salut des âmes (en particulier quand on ne respecte pas la religion des autres). » (Philippe de Labriolle) Mais qu’est ce qui est le plus choquant au juste : le sacrilège fait au Christianisme ou l’allégeance affichée au lgbtisme, au satanisme et aux traditions occultes ? Cette soirée du 26 juillet 2024 n’a en aucun cas célébré les Jeux Olympiques. C'est pourquoi les ukrainiens devraient comprendre l'erreur de leur combat pour rejoindre voire défendre l'occident contre la Russie en plus redevenue orthodoxe. En sachant que cette cérémonie d'ouverture a été aussi la glorification de ce qu'il y a de pire dans la révolution comme la tête coupée de la reine Marie-Antoinette. Il s’agit donc de Jeux oligarchiques, c’est-à-dire financés par le peuple pour la promotion d’une élite moralement tordue voire franc-maçonne ou satanique. Et encore, quand on écrit élite, il s’agit évidemment de tout sauf d’une élite, puisque personne de sensé ne la respecte, que personne ne veut se sacrifier pour elle, et que tout le monde veut la voir dégager au plus vite. Cette élite polluée ne tient que par la coercition, l’injustice et les médias. Mais elle est déjà dans les poubelles de notre histoire. Concernant cette cérémonie d'ouverture de JO Mgr Vigano a écrit : « Satan ne sait rien faire d’autre que ruiner la perfection créatrice de Dieu, se montrant comme l’auteur envieux de toute contrefaçon. Satan ne crée rien : il ne fait que tout ruiner. Il n’invente pas : il falsifie. Et ses adeptes ne sont pas différents : ils humilient la féminité de la femme pour effacer la maternité qui rappelle la Vierge Mère ; ils émasculent la virilité de l’homme pour lui arracher l’image de la paternité de Dieu ; ils corrompent les petits pour tuer en eux l’innocence et en faire les victimes du wokeisme le plus abject. l’exhibition arrogante du laid et de l’obscène, mais aussi en raison de la subversion infernale du Bien et du Mal, de la revendication insensée de pouvoir blasphémer et profaner tout, même ce qui est le plus sacré, au nom d’une idéologie de mort, de laideur et de mensonge qui défie le Christ. (Satan n'invente rien mais ne fait qu'inverser la dignité de la création de Dieu vers l'indignité ou l'indignité vers une pseudo dignité.) La tolérance ne peut être l’alibi de la destruction systématique de la société chrétienne, une société à laquelle s’identifient des milliards de personnes honnêtes et jusqu’à présent silencieuses. Cette usurpation doit cesser ! Et elle doit cesser non seulement parce qu’elle blesse la sensibilité des croyants, mais parce qu’elle offense la Majesté de Dieu. Satan n’a pas les droits de Dieu, le mal ne peut être mis sur le même plan que le Bien, ni le mensonge équivaloir à la Vérité. C’est sur cela que repose notre civilisation, une civilisation que certains voudraient enterrer sous les décombres physiques et moraux d’un monde en ruine. Il doit être clair que la patience et la tolérance des fidèles et des citoyens sont épuisées, qu’il n’est plus temps de « déplorer » mais d’agir, même et surtout lorsque les autorités civiles et religieuses sont complices de la trahison. Il est donc nécessaire que les chrétiens s’organisent dans le monde entier avec des actions concrètes, d’abord et avant tout avec un boycott des Jeux Olympiques et de tous leurs sponsors. Il est également nécessaire que les entreprises non soumises au mondialisme résilient leurs contrats de sponsoring, et que les délégations et les athlètes individuels se retirent des Jeux, qui ont été inaugurés sous les pires auspices. Nous devons attendre et exiger que les responsables de ce harcèlement intolérable soient tenus pour responsables de leurs actions, ainsi que de la corruption qui accompagne également cet événement. Enfin, le décorateur homosexuel qui a donné naissance à ce spectacle blasphématoire et vulgaire doit rembourser les frais que Macron a facturés aux contribuables français. J’exhorte les catholiques à faire réparation par la prière, le jeûne et la pénitence pour les outrages perpétrés contre Notre Seigneur Jésus-Christ et contre notre sainte Religion. Et que le recours confiant de ceux qui sont bons devant le Trône du Très-Haut ne soit pas dissocié d’un réveil général des consciences, afin que le Roi des rois règne à nouveau sur les nations, les sociétés, les familles et l’Église. » Lettre de la noblesse française au président de la République : « Monsieur le président de la République, Au nom de tous les membres de l’Association d’entraide de la Noblesse française et de leurs familles, ainsi qu’au nom des centaines de milliers de Français chérissant le souvenir et l’existence de l’aristocratie de notre pays, je m’adresse à vous pour exprimer ce que beaucoup de Français, présents sur tout le territoire, ressentent. Nous avons découvert avec beaucoup de peine et de surprise, le 26 juillet 2024 au soir, l’un des tableaux de l’Ouverture des Jeux Olympiques : aux fenêtres d’un Palais de la Cité rouge sang, des Marie-Antoinette ou d’autres femmes nobles, décapitées, chantaient l’air révolutionnaire Ah ! ça ira, tandis qu’un navire portant une femme radieuse, levant le poing, passait sur la Seine. Il nous a paru consternant qu’en France, dans le pays de l’Égalité, où la peine de mort a été abolie il y a quarante-trois ans, un comité artistique trouve valable d’évoquer si crument et si joyeusement toutes les exécutions massives perpétrées notamment contre l’aristocratie. Le chant Ah ! ça ira fait expressément référence, dans sa reprise, à la pendaison des aristocrates associant cette purge à la venue des beaux jours. Était-ce vraiment, plus de deux cents ans après, le message de fraternité qui devait être délivré en cette cérémonie ? Qu’aurait dit le baron Pierre de Coubertin, à l’initiative de la renaissance des Jeux Olympiques, en 1896, devant ce tableau ? À l’évidence, il est particulièrement paradoxal et malvenu de crier « les aristocrates on les pendra », durant l’ouverture d’une manifestation mondiale recréée par un aristocrate. Un autre paradoxe nous a interpellé : dans un pays qui fait tant pour promouvoir les droits des femmes, est-il bien normal de présenter si positivement la décapitation d’une femme (d'autant plus dans un système rejetant la peine de mort et condamnant grandement la décapitation de Samuel Paty) ? Le Palais de la Cité, où la justice est rendue depuis dix-huit siècles, se prêtait-il vraiment à cette représentation d’exécutions injustes et arbitraires ? La grandeur de la justice française aurait pu être célébrée mais nous avons juste jeté des têtes coupées à la face du monde. On pourrait à juste titre, s’interroger encore : les souverains Felipe d’Espagne, Frederik de Danemark, Willem-Alexander des Pays-Bas, Philippe de Belgique, Henri de Luxembourg et Albert de Monaco ont-ils vraiment pu goûter cette référence à l’exécution d’une reine européenne, leur lointaine parente pour la plupart ? Sont-ce là l’accueil et le respect que nous réservons aujourd’hui à nos invités ? Les résultats ne se sont pas faits attendre : tandis que nos membres exprimaient leur stupéfaction sur les réseaux sociaux, de nombreux utilisateurs ont déversé sur eux injures et menaces de mort. Des propos abjects et des insultes déshumanisantes ont démontré le caractère profondément raciste de cette haine qu’il faut qualifier d’aristophobe. À cet égard, nous étions déjà avertis, subissant régulièrement, de la part même des services publics, des vexations, des remarques déplacées sur nos noms de famille, des allusions irrespectueuses et des menaces à peine voilées associées au souvenir révolutionnaire. Aujourd’hui, à cause de l’impunité de ces discriminations et à cause de cette scène qui a célébré l’extermination des aristocrates, les vexations se sont changées en appels au meurtre, publiés sans aucun scrupule sur les réseaux sociaux. En conséquence, nous demandons que la loi française qui garantit la sécurité à tous les citoyens, indépendamment de leur origine, mette fin à cette impunité. Cette cérémonie devait, selon les mots de Thomas Jolly, « rassembler ». Les meurtres sont-ils de nature à rassembler ? Leur évocation festive était-elle respectueuse de la minorité que nous représentons ? Nous, Français d’ascendance aristocratique, sommes citoyens de la République française. Alors que nous représentons une grande force culturelle, patrimoniale et économique, on nous a traité comme si nous n’existions plus, comme si la Terreur avait achevé son œuvre sinistre. Nous sommes-nous fourvoyés quand nous avons pensé qu’aristocratie et République pouvaient s’entendre et coexister ? Pourtant, de la République romaine à la République des Provinces-Unies des Pays-Bas, en passant par les républiques italiennes médiévales, les aristocraties européennes ont vécu dans de nombreuses républiques, les ont bien servies et le font toujours. Nous sommes les héritiers d’une condition qui ne dépend pas d’une réalité matérielle mais de la transmission d’un patrimoine culturel et de la conformité à un idéal de vie. Tout comme nos ancêtres européens, nos familles ont rendu d’immenses services au pays sans se préoccuper de savoir si un roi ou président était à sa tête. Notre capitale a été libérée de l’occupant nazi par le général Leclerc de Hauteclocque. À chaque législature, des femmes et des hommes politiques issus de l’aristocratie sont élus par le peuple français pour les représenter à l’Assemblée nationale. Le 14 juillet 2023, vous avez eu en face de vous Odile de Vasselot, l’une des dernières résistantes en vie, élevée à la dignité de grand officier de l’ordre national du mérite en 2024 et promue commandeur de la Légion d’honneur en 2021. Cette Légion d’honneur, vous l’avez aussi donnée à Henri d’Anselme en 2023 pour sa courageuse intervention durant l’attentat d’Annecy. Pourquoi, en dépit de cela, l’origine aristocratique suffit-elle pour qu’en France, en 2024, une personne soit haïe et qu’on appelle à son meurtre ? Monsieur le président de la République, que faut-il de plus pour que cesse cette haine fondée sur le mythe d’une oppression systémique passée dont les prétendus crimes ont depuis longtemps été dénoncés comme immensément exagérés, voire imaginés dans une intention malveillante, par les historiens de tous partis ? Pourquoi, malgré tous les services rendus, faire comme si la mémoire de la Terreur n’existait pas dans nos familles ? Devons-nous désormais dire à nos enfants que la République nous rejette, n’assume pas notre défense et qu’en France, l’aristophobie est licite ? Le 26 juillet 2024, notre pays a donné au monde entier un spectacle signifiant qu’il est fier d’avoir assassiné ses aristocrates. Que dire aux Français d’origine aristocratique qui ont placé leur confiance en la République ? Nous ne pouvons croire que vous ayez approuvé cette terrifiante mise en scène. C’est pourquoi, Monsieur le président de la République, nous vous faisons part de notre profonde indignation, afin que vous fassiez en sorte que disparaissent toutes les expressions de haine envers nous, ainsi que tous les mensonges et l’impunité qui contribuent à la nourrir. Ce n’est que lorsque que notre pays aura pansé la plaie créée par la Terreur révolutionnaire, infligée dès 1793, alors que l’encre de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen était à peine sèche, qu’une véritable paix sociale pourra être recherchée. Tant que ce travail n’est pas fait, des extrémistes continueront de rêver de couper la tête de leurs dirigeants, pour le plus grand malheur de notre pays. Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le président de la République, l’expression de ma très haute considération. Comte de Sèze Président de l’A.N.F. »
-conflit triangulé dont ces exemples : « Les violences à Plymouth ont éclaté peu après une veillée en mémoire de jeunes victimes de l’attaque de Southport. Depuis lors, des foules en colère ont attaqué des hôtels hébergeant des demandeurs d’asile et des mosquées. Ces actes violents sont alimentés par de fausses rumeurs visant à diviser la société et à monter les communautés les unes contre les autres. Ces rumeurs prétendaient que le suspect de l’attaque était un demandeur d’asile musulman, alors qu’en réalité, le meurtrier de l’attaque de Southport, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, originaire de Cardiff et né d’un couple rwandais chrétien (Alphonse Rudakubana et Laetitia Muzayire), a été inculpé la semaine dernière. Son identité a été révélée après la levée des restrictions par le juge. On peut penser, connaissant la puissance du lobby sioniste au Royaume-Uni, que la concomitance entre les émeutes raciales, les manifs pro-Palestine et le génocide à Gaza n’est pas le fait du hasard. Sans oublier le remplacement de Corbyn par Starmer... Un des leaders du soulèvement des white trash britanniques s’appelle Tommy Robinson, que certains accusent déjà d’appartenir au Mossad. Le responsable des troubles civils au Royaume-Uni est le sioniste Tommy Robinson, qui est un agent du Mossad. Même si le meurtre des enfants a été perpétré par une personne qui n'est ni musulmane, ni immigrée illégale, mais originaire du Royaume-Uni et d'origine rwandaise. Tommy Robinson, qui est profondément infiltré dans la population conservatrice du Royaume-Uni et diffuse constamment une idéologie pro-israélienne, a profité de ce moment d'amertume pour transformer les manifestations anti-migrants en manifestations racistes et anti-islamiques à l'aide des réseaux sociaux. Tommy Robinson voyage constamment et réside à Tel Aviv. De là à dire que les émeutes anti-islam sont téléguidées par Israël au moment où son image est déplorable dans le monde entier... Encouragées par les antifas et les médias qui attisent la haine contre les Britanniques de souche, des bandes armées arabo-musulmanes s’en prennent en ce moment à des pubs ou des familles anglaises boivent un verre tranquille. Les pogroms anti Blancs se poursuivent pendant que le pouvoir gauchiste ordonne à la police de rester l’arme au pied et de protéger les racailles par antiracisme. Nous voici dans le chaos annoncé par Lucien Cerise, avec un conflit triangulé de toute beauté : « on » monte les racisés contre les racistes, ou les coloured contre les Blancs, puis les racistes contre les racisés, et on tire les marrons du feu. C’est vieux comme le monde biblique mais ça semble encore fonctionner. Là-dessus, le Premier ministre semble prendre fait et cause pour les immigrés, ce qui n’est pas forcément exact, même si les images diffusées par le camp identitaire montrent des racailles impunies et des Blancs contenus par les forces de l’ordre. Attention aux images, donc. On soulignera ici que les travaillistes (LFI de là-bas) se sont débarrassés, sous pression du lobby sioniste, de leur légendaire leader Jeremy Corbyn, pour le remplacer par un Keir Starmer beaucoup plus israélo-compatible. Ainsi, de vraies causes comme la colère du prolo blanc contre l’invasion migratoire (les migrants n’habitent pas dans les beaux quartiers, ils y travaillent, au mieux), colère assimilée à du racisme alors qu’il s’agit d’une résistance culturelle et d’une peur existentielle, sont agitées par le lobby israélien pour instrumentaliser le prolo blanc et lui faire faire le sale boulot de ratonnade, au moment où ça arrange Israël. Plus grossièrement, le pouvoir profond a foutu les migrants dans les pattes des pauvres blancs, pour contrôler un nationalisme qui pouvait le gêner, et il leur demande maintenant de faire le ménage sur le modèle israélien avec les Palestiniens. Étrangement, on assiste à une palestinisation des pauvres, qu’ils soient blancs ou pas, en France comme en Angleterre. » (Rédac ER) « Toute la problématique de la révolte est là : contre d’autres pauvres ou contre l’oligarchie (sioniste), qui se sert de la misère étrangère comme moyen de répression et de contrôle social ? Il y a les émeutiers sincères qui foncent tête baissée dans le piège tendu par l’oligarchie, même s’ils pensent se défendre contre l’invasion migratoire, décidée par cette même oligarchie, et puis il y a les antifascistes aux ordres de cette même oligarchie, mais sans le savoir. Il faudra encore du temps pour que les victimes du conflit triangulé, à savoir l’extrême droite et l’extrême gauche, qui s’affrontent en permanence, comprennent qui mène le jeu, et pourquoi. En France, les salaires ont reculé en 40 ans, tiens, depuis l’avènement du socialisme, celui de Mitterrand, puis de Mélenchon, qui a été longtemps le patron de Ruffin. Qu’a fait la gauche à part collaborer ? C’est pourquoi de plus en plus de Français ou d’Anglais d’en bas se tournent vers l’extrême droite, et c’est pourquoi l’oligarchie est en train de mettre cette dernière au pas. Alors, quelle est la solution, si en plus le pouvoir contrôle les urnes, au sens propre et au sens figuré ? Il reste l’émeute, mais même l’émeute peut être sous contrôle. Alors on n’a plus que la conscience, et sa contagion, un travail lent mais sûr de conscience révolutionnaire sans lequel rien ne sera possible. Il faut le reconnaître, le niveau de conscience politique atteint dans nos contrées n’est pas encore suffisant pour renverser l’injustice. » (Rédac ER) Le système montre toujours les effets comme l'islamisme ou la délinquance (contre lesquels l'administration devrait payer des abonnements sportifs aux jeunes défavorisés), mais pas les causes d'origine politique ou occultes comme les décisions gouvernementales ayant validé l'immigration de masse favorisant en plus l'hyper classe par la main d’œuvre par chère du marché noir. C'est à dire que contre l'intérêt général, certains lobbies correspondant souvent au sommet de la pyramide sociale cherchent à occuper les populations fréquemment dans des oppositions pendant qu'ils les volent ou les dépossèdent de leur droits ou devoirs, sans donc qu'ils ne s'en rendent compte. Par la manipulation, l’ingénierie sociale peut aussi correspondre à étendre une idéologie à forcer un projet, ou à exploiter perversement les projections psycho-émotionnelles donc de la trilogie bourreau/victime/sauveur décrit dans l'article suivant concernant l'utilisation perverse du coronavirus « Entretien avec Lucien Cerise : "Face au biopouvoir, nous n’avons pas le capital économique. Mais nous avons le capital humain" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Lucien-Cerise-Face-au-biopouvoir-nous-n-avons-pas-le-capital-economique-Mais-nous-59323.html Lucien Cerise y explique qu'à l’instar de la fable des Animaux malades de la peste du covid, les consommateurs sevrés par cette crise sanitaire orchestrée sentaient qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe témoin des non vaccinés, complément indispensable à une stratégie ou une ingénierie sociale de triangulation, fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie, il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux. Si le Covid instrumentalisé par les oligarchies perverses a attaqué en priorité les pays développés et émergents, c'est avant tout pour soumettre leurs économies, voire d'abord pour ménager les oppressifs grands groupes financier privés dénoncés par les gilets jaunes et la réalité de l'hyper classe pédocriminelle révélée par l'affaire Jeffrey Epstein impliquant Bill Gates synonyme de profonde ingérence mondialiste, oligarchique et sioniste au sein de nombreux pays. « L'arrestation de Puff Daddy, également connu sous le nom de Sean Combs ou même Diddy, marque un véritable tournant dans l'un des plus grands scandales de l'année 2024 (similaires à l'affaire Epstein). Le 16 septembre, à Manhattan, le célèbre rappeur et magnat de la musique a été arrêté et inculpé pour agression sexuelle, trafic sexuel et extorsion. Selon le parquet fédéral de Manhattan, Puff Daddy aurait utilisé son pouvoir, ses ressources et l'influence de ses entreprises pour exploiter de nombreuses personnes. Son empire musical, autrefois vu comme une réussite commerciale, est désormais décrit comme une organisation criminelle impliquée dans la traite des êtres humains et le travail forcé. Des perquisitions ont été effectuées dans ses propriétés de Miami et Los Angeles, où les forces de l'ordre ont découvert des preuves accablantes, incluant des stupéfiants et des milliers de bouteilles de lubrifiant et d’huile pour bébé, renforçant ainsi les accusations contre lui. Mais cette affaire ne se limite pas aux crimes présumés de Puff Daddy. Depuis des années, il a tissé des liens étroits avec l'élite politique américaine, et notamment avec des personnalités clés du Parti démocrate, telles que Joe Biden et Kamala Harris. En 2020, au cours de la campagne présidentielle, Puff Daddy avait publiquement exhorté Biden à choisir un colistier noir pour la vice-présidence, un appel auquel Biden a répondu en sélectionnant Kamala Harris quelques mois plus tard. Cette nomination intrigue, surtout à la lumière des rumeurs qui circulent sur une proximité entre Harris et Puff Daddy, certains affirmant qu'elle aurait participé à ses fameuses soirées privées. D'autres célébrités sont également mentionnées dans ce scandale. Jay-Z, Beyoncé, et Usher auraient été présents lors de ces soirées secrètes, appelées « freak offs », qui attirent de nombreux artistes influents. Parmi eux, le nom de Justin Bieber revient régulièrement. Propulsé sur la scène médiatique à un jeune âge par Usher et Puff Daddy, il est aujourd'hui soupçonné d'être une victime de ces événements. Le parallèle avec l'affaire Jeffrey Epstein est inévitable. Comme Epstein, Puff Daddy est une figure publique influente mêlée à un vaste réseau de trafic sexuel et d'abus de pouvoir. Les deux hommes partagent un destin similaire, risquant la prison à vie pour leurs crimes présumés. Cependant, des rumeurs circulent sur une éventuelle collaboration entre Puff Daddy et le FBI. En échange d'informations sur d'autres personnalités impliquées dans ces réseaux, il pourrait espérer réduire sa peine. Toutefois cette décision pourrait mettre sa vie en danger, tout comme ce fut le cas pour Jeffrey Epstein, mort dans des circonstances mystérieuses avant de pouvoir dévoiler ce qu'il savait. Puff Daddy pourra-t-il révéler les secrets qu'il détient sur les élites politiques et économiques, ou finira-t-il par subir le même sort qu'Epstein ? Ses liens avec des personnalités du Parti démocrate, comme Joe Biden et Kamala Harris ajoutent une dimension encore plus complexe à cette affaire. Ce scandale pourrait être la clé pour lever le voile sur des vérités cachées, non seulement dans l'industrie musicale, mais aussi dans les plus hautes sphères politiques. » (Géopolitique Profonde) La différence entre la dénonciation des affaires Weinstein, Palemade et Miller par rapport à la dénonciation des affaires Epstein et Diddy, ce n'est pas de dire que dans leurs cas nous serions condamnés, mais que dans les affaires d'Epstein et de Diddy, il s'agit de chantages synonyme de très graves ingérences étrangères, privées ou particulières, au détriment de la bonne politique et donc de la vie et du bien commun du peuple voire du monde... D'ailleurs l'affaire Epstein a permis le démantèlement du principal réseau de chantage israélien sur les élites politique, financière et artistique des USA et donc de nombreuses autres nations. Ainsi même si tous les autres principaux responsables ne sont malheureusement pas arrêtés, l'essentiel est la profonde diminution voire la fin de l'influence néfaste du réseau. L'affaire Epstein et Diddy sont possiblement des coups de Trump ayant annoncé qu'il va nettoyer les USA du mauvais pouvoir profond.
-« Il y a aussi ceux qui considèrent leur existence comme tellement dénuée d’intérêt ou d’excitation qu’ils ont tendance à vivre par procuration à travers les calamités et les conflits. Pour eux, l’épidémie de Covid et les confinements ont donné un sens à leur vie. Oui, c’est triste et pathétique, mais c’est ainsi que beaucoup de gens font face à l’obscurité et au manque de mérite. Ces opportunistes ne voulaient pas que la pandémie prenne fin. Ils voulaient qu’elle dure toujours, parce que si c’était le cas, ils pourraient se nourrir du changement de pouvoir de l’establishment. Ils pouvaient ramasser les restes de la table des globalistes et, comme une charogne, se régaler du cadavre de notre République. Le motif ? La vanité égoïste, c’est tout. Tout cela pourrait très bien se reproduire. Les grands tyrans et les petits tyrans sont toujours là, attendant la prochaine crise, le prochain événement de panique pour prendre le public au dépourvu. Un autre événement viral est peu probable, mais ils semblent impatients d’utiliser le changement climatique, la guerre et les troubles économiques comme le prochain grand bouton de « réinitialisation ». En fin de compte, il faudra changer radicalement la façon dont les partisans de la liberté interagissent avec les libéraux autoritaires. Il est clair que nous ne pouvons pas partager le même pays, ni la même civilisation. Nos valeurs sont fondamentalement opposées. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’une simple étincelle ne déclenche une tempête de feu. D'ailleurs la gauche politique utilise les malades mentaux comme une matraque, un outil facilement manipulable pour semer le chaos. Pendant les confinements et les restrictions, l’establishment et les médias ont attisé les feux de la paranoïa. Ils n’ont aucun pouvoir à eux seuls ; ils ont besoin de la foule déchainée comme arme pour maintenir le reste du pays dans la peur et la discipline. Ils avaient besoin d’une bonne petite Stasi, toujours en train de surveiller, toujours en train de corriger, toujours en train de crier après ceux qui ne portaient pas de masque, d’attaquer ceux qui refusaient de se faire vacciner et de se moquer de ceux qui dénonçaient les incohérences scientifiques. En retour, l’establishment donnait aux malades mentaux l’impression d’être normaux. Pendant un moment fugace, les personnes les plus instables et les plus narcissiques de la planète ont eu l’impression d’être du bon côté de l’histoire et de la rationalité. Il s’agissait d’une boucle de rétroaction parasitaire qui a failli détruire les derniers vestiges de l’Amérique. Il y a généralement deux sortes de personnes dans le monde : celles qui veulent avoir le pouvoir sur les autres et celles qui veulent simplement qu’on les laisse tranquilles. L’idéologie progressiste semble être un terreau fertile pour les « petits tyrans » : des personnes qui n’ont aucun pouvoir individuel, peu de réalisations et aucune influence à proprement parler, mais qui sont tout de même obsédées par la micro-gestion du monde qui les entoure. Ces personnes considèrent les crises et les excès des gouvernements comme une opportunité plutôt que comme une menace. » (Brandon Smith)
-organisation Mondiale de la Santé (OMS) venant d'annoncer la finalisation de son "Traité pandémique", un document qui pourrait bien changer radicalement notre rapport aux libertés fondamentales. Derrière le jargon technocratique se cache une entreprise de contrôle sanitaire mondial sans précédent.
-déforestation de la forêt amazonienne, un des poumons de la terre, faisant gravement disparaître de multiples propriétés biologiques inconnues pouvant créer d'importants médicaments inédits.
-dérégulation du climat suite à un trou dans la couche d'ozone causé par un essai de bombe nucléaire dans l’atmosphère par les USA, ce qui serait une explication ou une excuse des chemtrails (épandages nocifs considérés comme une théorie du complot), qui sont des traînées blanches créées par le passage des avions en vol et composées d'agents chimiques ou biologiques délibérément répandus en haute altitude par diverses agences gouvernementales pour des raisons dissimulées au grand public. Or l'encensement des nuages est connue depuis longtemps du public.
-photos publicitaires améliorées informatiquement de femmes et d'hommes frustrant les jeunes gens et les personnes âgées en particulier les femmes.
-spectacle de l'eurovision 2024 clairement satanique.
-loi contre le narcotrafic, votée en première lecture le 1er avril à l’Assemblée, ne remet pas en question les infractions : 80 % continueront à toucher les consommateurs et 9 % les réseaux criminels.
-publicités très matérialistes.
-Chine venant de démolir le mythe du luxe avec une efficacité redoutable. Désormais, même les plus crédules savent qu’un sac à main ne vaut pas plus qu’un sandwich. L’industrie du luxe, ce chef-d’œuvre d’escroquerie élitiste, repose sur une hiérarchie de dupes. L'idiot extrême s’épuise à payer 30 000 € un bout de cuir, l'idiot moyen se croit malin avec sa copie à 650 €, tandis que l'idiot super intelligent récupère le même objet pour 1,50 € en sortie d’usine. La seule différence ? L’épaisseur du portefeuille, et celle du crâne. Quant au quatrième idiot, celui qui se promène sans sac, il rit devant ce cirque où les riches exploitent les pauvres, qui s’en réjouissent. La morale ? Le vrai luxe, c’est d’échapper à la connerie.
-algorithmes(rythme) envoyant des notifications fréquentes sur les smartphones pour voler l'attention des gens dont pour la publicité, c'est à dire en les perturbant tout en les rendant addictes. Mais les algorithmes et leurs notifications, conçus donc pour capter notre attention le plus souvent possible, entraîner au final logiquement une perte d’attention, de la nervosité et de l’irritabilité.
-de nombreux parents imitant trop leurs enfants adolescents pour être à la mode et faire plus jeune dans une forme évidente d'adulescence.
-par le rôle dévoyé de la femme étant une des conséquences de l'individualisme, néoféminisme féminisant à outrance la société dont à divers niveaux comme la généralisation de l'incapacité à maîtriser ses émotions, des achats compulsifs, du matérialisme protecteur, du manque de spiritualité, du manque de politique, du manque de la force physique, et de la fragilité, et amenant finalement en plus paradoxalement voire sournoisement au féminisme masculinisant et oppressant, c'est à dire au triomphe du masculinisme par les femmes. Or les errances du féminisme ont entre temps amené en plus la grave dérive LGBTQ+. C'est pourquoi il faut être anthropologiquement encore plus ferme qu'avant dans la défense du respect entre homme et femme naturels, car elles sont des créateurs essentielles, solides, saines et droites. Surtout qu'avec donc les lesbiennes masculanisées, mais aussi les transsexuels hommes devenu femmes, le sport ouvert à tous dont aux transsexuels hommes devenus femmes dans les catégories « femmes » les faisant remporter toutes les épreuves, et le « meetoo » homosexuel faisant oublier celui des femmes, on peut en plus dire que nous sommes après la fin du féminisme. Ainsi le Lgbtisme provenant du féminisme a donc effacé les femmes, et l'aboutissement du féminisme efface donc les femmes, et ainsi la famille traditionnelle. « On retiendra que cinquante ans de propagande féministe ont réussi à retourner la tête de millions de femmes fragiles, qui croient non seulement que les hommes sont leur ennemi, mais aussi qu’elles ont du pouvoir. Alors qu’elles ne sont que les idiotes utiles du néolibéralisme qui se sert d’elles pour détruire le travail (comprendre la lutte sociale au niveau économique écartée donc par la lutte sociétale des féministes à outrance amenant celle Lgbt), la famille et la patrie. (Mais beaucoup d'hommes ont été remis dans un meilleur chemin par une femme voulant une relation plus respectueuse ou amoureuse.) » (Rédac ER) Or des influenceuses même relativement féministes n'hésitent pas à redevenir des soumises comme les temps d'avant, mais indignement par choix, puisqu'elles recherchent des hommes riches sur internet. « Avec les idéologies féministes et Lgbt, être aujourd'hui une femme équilibrée au sens traditionnel, c'est à dire dont l'esprit est en accord avec son corps lui intimant presque l'ordre de faire des enfants, devient difficile par schizophrénie. En effet avec les injonctions contradictoires entre ce qu'exige le corps, ce que ressent la psychologie et ce qu'impose l'idéologie d'Etat actuelle, c'est à dire le biologico-organique (corps), le psychologico-affectif (psychologie) et l'économico-social (le culturel), être une femme authentique est compliquée. Ce qui entraîne des problèmes comme la nervosité féminine, la durabilité du couple, l'éducation des enfants, leur orientation d'identité sexuelle, surtout que l'homme est désigné comme l'ennemi car prétendument malfaisant pour son pseudo statut patriarcal et machiste, dans une forme de folie collective politique. Par conséquent dans cette période, un homme relativement équilibré à l'ancienne en ayant conscience de ce qu'il est, de son corps et de sa sexualité, et donc de sa non déconstruction, et voulant faire couple avec une femme dont pour avoir des enfants éduqués et donc non dépressifs, suicidaires ni transitionants (ce qui est la même chose à terme), devra chercher sa femme dans des milieux protégés comme la périphérie nationale ou la Russie et le Maghreb. » (Alain Soral) « Les rapports humains sont désormais une source potentielle de revenus ; les hommes, de vulgaires distributeurs de billets ; les sentiments, inutiles, voire, dérangeants ; le calcul, minable ; et le résultat, terrible. C’est l’ultralibéralisme appliqué aux rapports hommes-femmes, ou filles-garçons, vu le degré d’immaturité. Le féminisme, qui se justifie et qui justifie tout – même l’injustice ! – par la violence présupposée des hommes, donne alors le droit de tuer, moralement ou physiquement. Le féminisme a fourni à la femme une arme, son sexe, qui lui permet de jouer avec ses faveurs et d’obtenir des faveurs. Le féminisme autorise et encourage les femmes à se servir de cette arme contre les hommes. L’amour et les sentiments s’effacent alors pour laisser place à des rapports de pouvoir, avec un système de chantage récompense-punition. La manipulation du désir du mâle faisait partie du jeu de l’amour, elle est aujourd’hui érigée en système de domination destructeur de l’amour, du couple, et de la famille. Sur les réseaux sociaux et dans la rue, les filles qui ont compris ce programme se changent en putes, non pas pour faire couple ou trouver l’amour, la fin (trouver l’homme idéal) justifiant les moyens (la séduction), mais pour ferrer le pigeon idéal qui leur donnera tout sans rien exiger en retour. Obtenir le maximum de faveurs en donnant le minimum de son sexe. Dans ce schéma, le pigeon idéal c’est le garçon solvable gentil, timide, sans expérience, prêt à tout pour plaire à sa pseudo-princesse (Camille faisait du cheval), qui va utiliser ses charmes comme une araignée sa toile. C’est ce qui est arrivé à ce pauvre Théo Decouchant (tué par sa compagne qui es cette fille), la mouche confiante qui finira dévorée par l’araignée. La pétasse est bien un monstre, malade de cette perversion narcissique qui est la conséquence du féminisme sur les jeunes filles fragiles, ou déstructurées. Les enfants sordides de la crise économique, de la crise des valeurs et de la tentation capitaliste du profit rapide. Camille, qui aurait voulu être belle et riche, n’était qu’un pauvre boudin sans âme : il ne lui restait plus que son sexe et sa haine pour se hisser socialement d’un petit cran. Là, elle va chuter lourdement, dévisser de plusieurs crans. On comprend que le féminisme est la branche sexuée du libéralisme et qu’il est aussi destructeur pour les hommes que pour les femmes. Camille est le produit de la promotion des antivaleurs – les valeurs antichrétiennes – par les médias et le politique, tous deux sous influence de forces occultes. La cérémonie d’ouverture des JO a donné le ton et envoyé un message universel, bien capté par les perdants du jeu social : n’importe qui a droit au plaisir, quelles qu’en soient les conséquences sur les autres, dans le pur esprit du marquis de Sade. « Je chie sur les autres » est la devise de cette nouvelle espèce (in)humaine. Les autres ne sont que les objets de mon plaisir, perdant leur statut de sujet, d’égal à respecter. Profiter de la faiblesse des hommes : c’est tout bonnement une culture du viol que le féminisme promeut et ne veut pas voir. Dans l’esprit des filles fragilisées par une éducation défaillante et une instruction minimaliste, cette culture a pourtant des conséquence directes, violentes, ignobles. En vérité, depuis que le divorce est devenu une loi (féministe), de nombreux pères s’occupent des enfants, font les courses, la cuisine et le ménage, et le font sans se plaindre, tout en bossant (dur) à côté, alors que les femmes nous font croire que ça leur fait 3 boulots en même temps (dont 2 non payés) et que c’est l’horreur. Les hommes divorcés découvrent que les femmes ont exagéré leur souffrance. De l’autre côté de ce féminisme égoïste (mais le féminisme est un égoïsme), il y a des femmes qui s’épanouissent dans la vie de couple et de famille, tout ce qu’abhorrent les gauchistes : pour ces dernières, c’est le lieu de la tyrannie patriarcale et de l’esclavage féminin, alors que bosser sous les ordres d’un patron dominateur par essence, ça, c’est pas grave. Au bout du compte, dur choix pour les femmes d’aujourd’hui en âge de procréer : épouse idéale astreinte à l’amour d’un homme et de ses enfants, ou femme superficielle alcoolisée avec un travail synonyme de racket et une psychanalyse interminable qui s’achève par une euthanasie salvatrice ? » (Rédac ER) Concernant la destruction même donc des femmes liée au wokisme, au féminisme et à la cancel culture mondialiste, il est important de voir cette vidéo https://x.com/DefiantLs/status/1831043352898506986 « Aujourd’hui, les féministes ont pris le pouvoir dans le champ du quotidien, et notre société est devenue bancale, paranoïaque, hystérique. Les mondialistes, eux, ont mis la main sur les nations occidentales et ont prouvé qu’ils étaient des criminels à une échelle inédite. » (Rédac ER) En sachant qu'à notre époque où les femmes sont de plus en plus hautement diplômées, l'hypergamie qui est une phénomène naturelle chez les femmes car les femmes sont logiquement attirées par les hommes ayant un statut plus élevé que le leur comme une infirmière épouse son supérieur médecin, devient un grand problème, dont car il n'y a que très peu d'hommes plus diplômés qu'elles, et donc moins de mariages. Surtout qu'en plus à notre époque où les partenaires ont été souvent nombreux pour les femmes, les hommes recherchent d'abord des femmes chastes. Le peuple doit donc revenir au réel et donc au conservatisme face au monde du mensonge du mondialisme progressiste, surtout pour les femmes car elles en sont plus influencées et les hommes en deviennent généralement réactionnaires. En effet comme le prouvent de nombreux mariages basés sur la piété même en cas de femme gagnant plus la vie que leur mari, cela facilitera de parvenir à la vie familiale équilibrée et à la production de nombreux enfants, ce que le mondialisme veut détruire. Le féminisme couplé à la crise – ces deux enfants du néolibéralisme –, ça donne la prostitution des mineures. La pauvreté matérielle (et morale), la publicité du bonheur, l’envie de consommer, d’acheter, de s’entourer d’objets, c’est chose trop forte pour les âmes fragiles, qui vendent leur intimité. Pas leur corps ou leur cul, puisque ça, c’est incessible (cédé), comme les droits d’auteur. Non, ce qui se vend, et se perd presque définitivement, c’est l’âme. Après le passage de tant d’hommes, frustrés par le même néolibéralisme individualiste tueur-vendeur d’amour, tu n’as plus que des corps sans âme, sans profondeur, sans grandeur. Après ça, le discours féministe de libération de la Femme, qui s’est fait avoir en profondeur par le néolibéralisme, prend une tournure tragi-comique. Certaines ne sont pas assez lucides pour comprendre le piège, et continuent leur masterclass gaucho-embourgeoisée alors que tout s’écroule autour d’elles, même leur corps devenus anorexiques, sales ou gros. Les féministes, qui courent après l’égalité salariale, ont perdu : les femmes ont pris les jobs mal payés, comme les migrants. Ce sont les migrantes de l’intérieur. Un petit salaire ne suffit pas pour vivre seule malgré la grande promesse de la presse de libération pleine de pubs pour les produits de jeunesse et de beauté. Les femmes ont perdu les hommes et il ne reste que le sexe, c’est triste et con.
-infantilisation à outrance de la société, comme ne pas faire du sport car demandant trop d'effort, ne pas être très hygiénique, ne pas s'occuper de sa santé dont par la prise de drogue ou la mauvaise nourriture, homme adulte jouant aux jeux vidéo, femme adulte aimant fortement les vêtements telles des poupées, homme recherchant sa mère chez sa future femme voire sa femme, femme recherchant son père chez son futur mari voire son mari, hommes et femmes s'habillant comme des adolescents, apolitisation (en dehors des élections et pour les associations caritatives), suffisance minimale au niveau de l’intelligence, voire de la réussite matérielle et donc de la bienfaisance sociale, peu de limites dans certains cas (par exemple temps de jeux vidéos ou nombres de vêtements), impatience développée à cause de la vitesse technologique (dont grâce au smartphone contenant courriers e-mail, contacts téléphoniques, GPS, paiement numérique), impulsivité, absence de diverses vertus authentiques et donc affranchissement du réel dont via le wokisme et la cancel culture. Cela est lié à la tertiarisation de la société et peut donc entraîner à la régression de son développement, puisque les secteurs primaire (agricole) et secondaire (industriel) sont délaissés dans une forme d'effondrement du monde matériel synonyme d'apocalypse, car toute la civilisation et même la vie humaine sur terre ont commencé par la production matérielle. « L'éducation traditionnelle est de transformer les enfants en adultes. Dans cette perspective l’enfance est vue comme un ensemble de défauts – impatience, égoïsme, narcissisme, violence, incontinence émotionnelle, irresponsabilité, incompétence, etc. – que l’éducation a pour mission de corriger, notamment par la transmission d’un ensemble de savoirs et de préceptes moraux. En ce sens, l’éducation traditionnelle vise à éliminer l’enfance en chaque enfant. Mais il faut remarquer une dimension essentielle : cette vision de l’enfance comme le lieu de la faiblesse et de l’hétéronomie est justement ce qui pousse les sociétés traditionnelles à protéger les enfants. À l’inverse, en considérant les enfants comme les égaux des adultes, les sociétés occidentales progressistes les exposent à des violences contre lesquelles ils sont incapables de se défendre. C’est cette idéologie absolument mortifère qui pousse certains « adultes », par exemple, à encourager leur enfant à changer de sexe. Dans une société saine, ces parents seraient inculpés pour maltraitance et abus de faiblesse ; dans les sociétés occidentales, ils reçoivent désormais l’aval et les applaudissements du pouvoir. La transcendance en général éloigne de l’enfance. Elle invite à sortir de sa minuscule sphère individuelle et à considérer l’humanité comme une partie seulement du monde, et non comme sa totalité. C’est déjà en soi une invitation à l’humilité, qui s’oppose au nombrilisme infantile. L’enfance est notre premier rapport au monde, et elle ne disparaît jamais entièrement. Toute notre vie, nous luttons contre les réflexes infantiles qui menacent en permanence de reprendre la main sur notre volonté. La civilisation consiste justement à compenser cette pente naturelle en mettant en place des structures collectives capables de nous obliger à sortir de l’enfance. Dès lors que vous détruisez ces structures collectives qui nous tirent vers le haut, l’humanité redescend la pente et beaucoup d’individus, que plus rien n’oblige à sortir de l’égoïsme, du narcissisme et du parasitisme, ne parviennent plus à s’affranchir de leur enfance. La logique marchande du Capital sape en permanence les structures collectives pourvoyeuses de civilisation. Elle a en effet cette capacité déprimante de transformer toutes les activités humaines en échanges commerciaux. Il ne reste plus dès lors à l’individu qu’à explorer deux puits sans fond, qui feront désormais office pour lui de « sens de la vie » : la recherche de la jouissance d’une part, et celle de la puissance d’autre part. Il s’agit de deux ressorts centraux de la pulsion de consommation. Pour comprendre le mécanisme qui nous pousse à nous ranger à l’avis des experts, il faut comprendre le rapport au monde de l’enfance. Un enfant n’a pas les capacités cognitives pour poser un problème, définir précisément des termes, faire se confronter des idées en apparence contradictoires, les mettre en rapport et accoucher d’une synthèse complexe et riche qui puisse expliquer les phénomènes qu’il observe. Pour réduire la complexité du monde à un niveau qui lui soit accessible, il cherche donc non pas à le synthétiser mais à le simplifier. Pour cela, outre le fait qu’il ignore des pans entiers de la réalité, il a notamment recours à de l’intelligence par délégation : puisqu’il n’est pas capable de comprendre lui-même le monde, il délègue cette tâche à quelqu’un d’autre – un tuteur, en quelque sorte. Ainsi son monde devient plus simple, car sa réflexion peut désormais se limiter au choix des experts derrière lesquels se ranger. Beaucoup d’adultes réfléchissent encore comme des enfants dans la mesure où ils cherchent à se ranger derrière telle ou telle figure d’autorité, et ce dans beaucoup de domaines. Plutôt que de s’obliger à écouter tout le monde pour construire ensuite leur propre vision du monde, ils préfèrent éliminer une partie du réel et des analyses possibles en classant certaines personnes, par exemple, dans la catégorie « charlatans ». Ce faisant, ils s’épargnent la peine du travail intellectuel de synthèse, qui est inconfortable car il oblige à accepter une période d’incertitude déstabilisante. Mais n’oublions pas non plus la dimension sociale de ce genre de choix : un expert incarne toujours un certain système de valeurs ainsi qu’une certaine position sociale, et à travers lui, c’est aussi cela qui est validé par ceux qui lui délèguent l’explication du monde. Le règne de l’infantilisation entraîne des comportements hystériques dès qu’un élément vient remettre en cause les certitudes de la majorité. Ce refus de l’autre et de la contradiction est devenu la marque d’une morale progressiste juvénile. Le refus de la contradiction est l’extension intellectuelle de la volonté plus générale d’éliminer toute contrainte, qui est effectivement un trait caractéristique de l’enfance. Il y a en Occident une tendance générale à l’élimination pure et simple de ce qui peut contredire le modèle progressiste dominant. Il ne faut pas se leurrer sur la portée du phénomène : elle est beaucoup plus grande qu’on ne l’imagine au premier abord. Le rejet de la contradiction n’est pas circonscrit à une communauté de « gauchistes ». Imbue d’elle-même, cette population « progressiste » se considère comme moralement supérieure à deux autres groupes : à ses propres ancêtres d’une part, et au reste du monde d’autre part. Ce sentiment de supériorité se traduit par un enfermement intellectuel presque total, qui l’empêche de s’intéresser à la fois à la Tradition et aux autres modèles civilisationnels. Les conséquences de la prise du pouvoir par cette idéologie en Occident sont catastrophiques : elle nous pousse à attaquer tout ce qui ne nous ressemble pas et nous entraîne donc tout simplement vers la guerre. Une guerre dont je souhaite à titre personnel que nous la perdions, et vite, tel un enfant arrogant giflé par un adulte à bout de patience. Les tentatives du progressisme de transformer l’histoire à son avantage sont autant d’aveux de son incapacité à accepter la réalité du passé. La cancel culture est, au final, une entreprise de destruction de tout ce qui nous sert d’appui pour sortir de l’enfance. » (Thomas Boussion) Thomas Boussion précise donc que les causes de cette infantilisation programmée et souhaitée, en pointant du doigt le gauchisme comme principal vecteur de ce phénomène, et en affirmant que l'individualisation de la société participe aussi à son infantilisation et vice-versa. D'ailleurs c'est l'atomisation de la société par le système qui participe beaucoup à faire consommer le peuple car ne lui restant plus que ça, surtout sa partie gauchiste n'ayant plus de tradition ni donc de passé et d'identité, ce qui fait de ce système est un ennemi principal. D'autant plus que l'infantilisation amenant souvent à ne pas vouloir d'enfants correspond ainsi en plus à de la dépopulation, que l'infantilisation comme donc les enfants se désintéresse de la science et de la culture générale en préférant l'insouciance du pain et des jeux jusqu'à créer une idiocratie facilement manipulable, que l'infantilisation préfère la déresponsabilité du salariat généralisé au détriment de la force économique et donc politique populaire, et que la corrélation entre individualisation et infantilisation occidentales affaiblit en plus les autres peuples la prenant par erreur comme exemple puisque correspondant à une pseudo large liberté moderne et permet donc de les dominer, dont en évitant que leurs populations se portent massivement volontaires dans leurs armées respectives en tant que patriotes inconditionnels. « Je comprends enfin de quoi les réactions débiles et hystériques de la masse à chaque événement ou sujet clivant sont le nom : celui de « l’immaturité » intellectuelle et politique. L’immaturité intellectuelle et politique est le mal occidental. Se faire traiter de « nazi », facho », truc-phobe, « nauséabond », etc, n’est autre que le signe d’une « infantilisation des esprits », telle que l’exprime brillamment Thomas Boussion dans son implacable essai. Ces esprits, souvent de gauche (le gauchisme est parfaitement défini dans ces pages) ont un rapport infantile au monde et aux événements en ce qu’ils ne supportent ni la contrainte ni la contradiction. Ils préfèrent l’insulte ou l’évitement, au débat constructif adulte et à la mise en perspective historique et dialectique. D’où le dialogue de sourds qui s’installe entre « conservateurs », tenants de la transmission de la Tradition (impliquant autorité, hiérarchie et discrimination) dotés d’une solide colonne vertébrale spirituelle, et progressistes du XXIe siècle, mondialistes mous et marionnettes idéologiques qui rejettent le passé et la nature. Un passé crânement jugé, qui incarne forcément la « faute morale », l’injustice et l’inégalité pour les têtes gavées des discours « républicains » hérités des « Lumières ». Avec des raccourcis pratiques et absurdes résumés par l’auteur d’une formule lapidaire et brillante : « L’histoire prouverait que l’autorité est la première marche d’un escalier qui mène aux chambres à gaz. » « Les catégories traditionnelles révulsent le gauchiste. » En bloc est rejeté, apparaissant comme contraires au « progrès », tout ce qui est : père, mère, vieux, blanc, homme/femme. On le voit avec la propulsion de béjaunes à la tête des États occidentaux, à la promotion de l’avortement, aux délires « intersectionnels » et à la « non-binarité », etc. Il faut saccager tout socle solide qui nous a été transmis par les siècles, et la Nature n’a plus rien à nous enseigner. Le gauchisme est donc une forme de nihilisme qui refuse tout ce qui l’oblige à grandir, tout ce qui incarne l’autorité, qui n’est pas « bienveillant » selon sa mièvre définition, afin de rester dans son confortable « safe space » infantile. Or, Thomas Boussion nous explique bien que grandir, devenir adulte, demande de détruire en soi l’enfance et fait de facto souffrir. Je me souviens de la formule qui disait « il faut souffrir pour être belle », formule qui ferait bondir les « féministes » actuelles qui refusent toute douleur, quand bien même elle serait la voie vers un mieux, un plus beau et permettrait l’évolution. Société de l’hyperindividualisme forcené, du nombrilisme acharné. Les gauchistes exigent que la société s’adapte à eux et non l’inverse. Ils refusent tout effort pour se faire au « moule » collectif et ont une vision essentialiste et binaire de système politique et de l’histoire. Si tu n’es pas avec eux, tu es contre eux. « La doxa infantile divise le monde en deux catégories : les "dictatures" et les "démocraties". » Accouchent de cette infantilisation des esprits plusieurs phénomènes symptomatiques de cette incapacité à grandir, de ce refus des contraintes et de la souffrance initiatique, typiques de l’Occident « déspiritualisé » : la « communication non violente », les « safe spaces », etc. Naît alors un monde manichéen qui n’a que peu de rapport avec la vérité et la réalité : d’un côté les « gentils démocrates » occidentaux, de l’autre les « méchants dictateurs » et leurs régimes « autoritaires ». Avec pour nouveau dieu la « science » érigée comme nouvelle croyance, nouvelle foi moderne à laquelle se soumettre aveuglément. Par ailleurs, la « droite et la gauche » ne permettent plus vraiment d’offrir une grille de lecture pertinente (excellents chapitres en la matière). Thomas Boussion souligne que la vision historique de ces esprits se cantonne essentiellement au XXe siècle, ce qui empêche toute profondeur historique dans l’analyse. Il devient donc difficile de « construire collectivement » avec des individus qui sont sans mémoire ancienne, ne font que « consommer individuellement » et ne sont que des rebelles de salon, manipulés et manipulables. Mais derrière cette tendance grandissante de l’infantilisation des esprits se cache en vérité la bataille entre le Capital et la Tradition, le premier cherchant à écraser l’autre, seule capable de menacer son déroulement (non son existence, hélas). Ainsi vivons-nous actuellement sous le règne médiatique de « l’adulte-enfant occidental », un individu bas du front qui rejette la Russie, embrasse Zelensky, applaudit les drag queens, vomit le catholicisme, trouve Bill Gates et Zuckerberg géniaux, le « vaccin » sûr et efficace, qu’il faut lutter contre le « patriarcat » avec l’écriture inclusive, etc. Le temps est long quand on fait face à des êtres qui ont délégué toute leur réflexion et leur esprit critique à des tiers « de confiance » comme l’État, les institutions, les médias, les représentants de la « science » (autorisée)… Excellent essai qui permet de jeter une lumière crue sur tous les phénomènes et tendances politiques, culturels et sociétaux observables actuellement. Afin de chercher comment lutter. Mais la route est longue ! « L’enfance, en tant que rapport au monde, sert objectivement les intérêts du Capital (…) parce qu’elle s’attaque aux structures traditionnelles existantes (linguistiques, familiales, religieuses) et empêche la Tradition de lutter contre la "pente naturelle" de la marchandisation du monde ; parce qu’elle maintient les individus dans un essentialisme intellectuel qui les empêche d’identifier les forces politiques réelles en présence, ce qui les rend incapables d’identifier les véritables alliés et leur véritable ennemi. » (Anaïs le Faucheux concernant la sortie du livre « L’Immaturité permanente » de Thomas Boussion aux éditions Kontre Kulture)
-euro-mondialisme affirmant faussement qu'il y a eu une ingérence russe dans les élections en Roumanie pour empêcher un candidat de se présenter.
-bobos défendant les immigrés mais en se mélangeant pas avec eux ni leur laissant les mêmes chances.
-fraude au RSA représentant 1,5 milliard par an, le double de cette somme n’est pas versé à des personnes pourtant éligibles ! En face, la fraude fiscale pèse 80 à 100 milliards par an, et il est plus facile de refuser sa subsistance à une personne, de poursuivre un petit employeur ou un indépendant que d'attaquer une grosse entreprise ou une personne très riche.
-impie agenda pédo-LGBT de l'ONU. Mais les pays occidentaux arrogants portant cet agenda ont été dépassés par les États membres en développement à New York 21 avril 2023. En effet l’Union européenne et les Etats-Unis ont été diplomatiquement dépassés par les pays attachés aux traditions lors de la Commission des Nations Unies sur la population et le développement. Car l’UE et l’ONU voulaient imposer l’idéologie sexuelle pour les enfants dans une résolution sur l’éducation. Cette tentative a échoué grâce aux tactiques intelligentes d’un groupe africain uni et de délégués d’autres régions du monde.
-personnes préférant jouer à des jeux vidéos de cuisinier sans saveurs plutôt que de cuisiner des bons repas aux multiples saveurs.
-jeunes passés du numérique au réel, en ayant recours à des opérations de chirurgie esthétique pour ressembler à des filtres de smartphone. Il s'agit de motivations réelles qui sont en plus loin d’être superficielles pour ces personnes, et relèvent bien souvent du trouble psychologique. C’est ce qu’on appelle la Dysmorphophobie Snapchat.
-hystérisation de la société suite à son orientation excessive vers l'émotionnel dont de la jouissance matérialiste prioritaire et à sa féminisation à outrance étant une des conséquences de l'individualisme. Cette hystérisation et cette féminisation de la société a même atteint les élites politiques (et médiatiques) occidentales, alors les élites politiques russes et chinoises sont plus des mâles alpha attendant que celles occidentales se calment afin de pouvoir retrouver un dialogue cohérent et sensé.
-Maurice Signolet, quarante ans de carrière dans la police nationale, de la PJ au rang de commissaire divisionnaire. n’ayant plus rien à prouver, dressant un constat glaçant dans un ouvrage coup de poing et sans langue de bois : la police française, minée par la bureaucratie, les réformes idéologiques et l’abandon politique, est désormais incapable de protéger les citoyens. Réorganisations absurdes, syndicats tout-puissants, pression judiciaire asymétrique, impunité des délinquants et répression de la dissidence : pour lui, l’État a trahi son contrat de protection.
-écologistes français, ces chantres autoproclamés de la planète, brillant une fois de plus par leur silence coupable alors que Trump impose des tarifs douaniers pour relocaliser l’industrie américaine en réduisant ainsi les émissions de CO₂. La gauche préfère même jouer l'état de choc...
Démographiques :
-suite à tous les points énumérés précédemment et donc à toutes les preuves précédentes, idéologie de dénatalisation, de dépopulation ou plutôt de stabilisation de la démographie planétaire transcendant les clivages politiques de l'hyper classe corrompue et constituant l’essence du projet de domination des élites mondialistes depuis plusieurs générations, dont à travers les cigarettes, l'alcool, la malbouffe, les produits cancérigènes, l'avortement, les campagnes de stérilisation cachées dans des vaccins, le virus Covid, les masques, le confinement, les vaccins ARN, les ventes d'armes aux gangs US. Surtout qu'actuellement avec le gros système financier, l'automatisation, internet et l'intelligence artificielle, il n'y a presque plus besoin d'entrepreneurs ni d'ouvriers pour faire tourner des usines. Réduire le nombre d’humains n'est pas un complotisme, mais une claire préoccupation partagée publiquement par Bill Gates, Warren Buffett, David Rockefeller, Eli Broad, George Soros, Ted Turner, Oprah, Michael Bloomberg et autres milliardaires, car ils ont maintes fois exprimé leur crainte de la surpopulation. A ce sujet il est intéressant de lire l'article « Pass sanitaire, biopolitique et apartheid social : quelles perspectives ? Franceschino Guicciardini » à l'adresse https://strategika.fr/2021/08/03/pass-sanitaire-biopolitique-et-apartheid-social-quelles-perspectives-franceschino-guicciardini/ D'autant plus qu'Henry Kissinger,que Klaus Schwab considère comme son inspirateur, a théorisé dès les années 70 la manière dont l’impérialisme globaliste doit utiliser les questions démographiques afin de maintenir son hégémonie géostratégique. Pour eux, l'humanité est perçue et présentée comme un tout dans lequel les différences politiques et identitaires doivent disparaître afin d’être fondues en un corps politique unique à travers la laïcité libérale voire le laïcisme mondialiste. Un corps politique mondial dirigé par une gouvernance globale principalement lié au privé et qui doit être réduit de plusieurs milliards d’habitants avant 2050. Ainsi en réalité « Le projet de dépopulation constitue l’un des objectifs stratégiques de la gouvernance mondiale depuis longtemps. Afin de réaliser son idéal collectiviste-oligarchique (collectiviste économiquement et oligarchique politiquement), l’hyper-classe globaliste travaille de longue date à réduire la démographie des classes moyennes et populaires partout dans le monde, mais d’abord et en premier lieu en Occident, cela à l’horizon 2030 - 2050. Ce qui est logique car la construction d’un gouvernement mondial post-national et d’un collectivisme mondialisé implique la formation d’un corps politique mondial restreint. Une humanité trop nombreuse est de fait plus dur à contrôler dans son ensemble pour une minorité politique aussi bien organisée et habile soit-elle. Camouflés par le catastrophisme climatique et une narration écologiste dévoyée, les appels à une réduction drastique de la population mondiale sont constants depuis des décennies au sein de groupes d’influence comme l’Optimum Population Trust (aujourd’hui Population Matters). » (P.A Plaquevent) Or même sans volonté ni organisation de dépopulation provenant des élites perverses, le covid pourrait être le signe d'une future dépopulation massive, dont pour la préservation de la nature et car les laxistes impies comme les athées laïcistes et les extrémistes impies comme les wahhabites ne semblent pas avoir le niveau spirituel pour vivre l'Eden terrestre complété. D'ailleurs un hadith explique que les arabes vont mourir d'une peste si le mal triomphe. C'est à dire que par exemple à travers la fonte des glaces possiblement causée par l'inconséquence ou l'avidité et donc l'impiété de nombreux hommes, de très anciens virus pourraient s'échapper, puisque la planète pourrait avoir reçu divinement cette apparente défense nécessaire, surtout que 75 % de la biodiversité mondiale a disparu en un demi siècle ainsi qu'un nombre très élevé d'abeilles essentielles à la pollinisation et donc au cycle alimentaire. Or nous sommes pourtant à une époque où la technologique associée au localisme moderne peut étendre grandement les surfaces d'habitations, diminuer ainsi la densité des population, faire retrouver les valeurs naturelles, permettre de préserver le confort et amener une moyenne de deux voire trois enfants par couple pour stabiliser la démographie de l'humanité. En effet si la population mondiale était répandue de manière équilibrée dans le monde, même le chiffre de 10 milliards d'humains sur terre ne serait pas synonyme de surpopulation. Surtout que selon l'ONU la population mondiale pourrait stagner à ce niveau puis baisser et que les quasiment 3 milliards de chinois et d'indiens représentant presque la moitie de l’humanité vivent sur une petite surface des continents de la Terre. D'autant plus que même s'il y a une augmentation de l'espérance de vie, il y a une chute du nombre de naissance au sein de très nombreuses nations à cause de notre époque laïciste, consumériste et donc individualiste. En sachant que selon Elon Musk, 2,1 enfants par couple est le seuil de stabilité démographique pour une nation et donc l'humanité. Et c'est pourquoi le grand remplacement par l'immigration peut être nécessaire si les naissances sont insuffisantes pour maintenir la société. Mais dans des pays comme la Malaisie qui par rapport au nombre d'habitants a le plus d'enfants à la rue avec tous les dangers que cela comporte pour eux, il paraît logique de réfléchir à une politique noble de diminution de la démographie à travers la contraception au moins par rapport à ceux faisant plus de 5 enfants et de centres d'accueil publics et privés. Or c'est la contraception associée au développement qui amène une population à s’équilibrer vers deux à trois enfants par couple. « L’idée selon laquelle la population mondiale doit être limitée afin de subvenir aux besoins de la population existante est vivement contestée, et les études sur la capacité de la Terre varient considérablement dans leurs estimations. Alors que 20 études affirment qu’elle est de 8 milliards d’habitants ou moins (la population mondiale actuelle est d’environ 8 milliards), 14 études estiment la capacité de la planète à deux fois ce chiffre, soit 16 milliards, et 18 autres études augmentent considérablement ce chiffre, sept d’entre elles estimant que la Terre peut supporter jusqu’à 64 milliards d’habitants En outre, le récent rapport des Nations unies n’aborde pas du tout l’effondrement de la population que les démographes prévoient après 2100 et qui aura un effet dévastateur sur les économies et probablement sur la qualité de vie. Il n’aborde pas non plus la question de la moralité du désir d’un monde moins peuplé. Dean Spears, économiste au Centre de recherche sur la population de l’Université du Texas, a noté que « si le taux de fécondité mondial était le même qu’aux États-Unis aujourd’hui », soit environ 1,66 naissance par femme, « la population mondiale passerait d’un pic d’environ 10 milliards à moins de 2 milliards environ 300 ans plus tard, sur peut-être 10 générations (dont à cause du confort technologique). Et si la taille des familles restait réduite, le déclin se poursuivrait ». Les Nations unies ont déclaré que les prévisions de réduction de la population constituent un « signe d’espoir » pour la planète, sans aborder la question de l’effondrement démographique généralisé, dont certains démographes affirment que le monde ne se remettra pas. Le déclin de la population entraînera toute une série d’effets néfastes pour la société, notamment une diminution des services de base et des infrastructures, le chômage, un recul de l’innovation, des soins de fin de vie insuffisants pour les personnes âgées. Même le Forum économique mondial (WEF) a admis que les effets de l’effondrement de la population seront « graves ». Les prédictions catastrophiques sur l’état du monde en l’an 2000 faites par le Club de Rome mondialiste sur la base d’idées de surpopulation n’étaient pas seulement à côté de la plaque, mais elles étaient l’inverse de ce qui s’est passé en réalité. Ces fausses prédictions étaient fondées sur la loi de la population de Thomas Malthus, une idée citée par Charles Darwin, qui stipule que l’augmentation de la population va dépasser la production alimentaire. Selon Erle C. Ellis, spécialiste de l’environnement, l’histoire montre que les populations ont toujours été maintenues à un niveau « bien supérieur à ce qu’un calcul strictement malthusien aurait prédit », grâce à la technologie. Ellis soutient qu’« il n’est pas nécessaire d’utiliser davantage de terres pour assurer la subsistance de l’humanité » en raison des technologies existantes. » (Extraits de l'article de Michel Janva « Plus de la moitié des pays du monde ont aujourd’hui un taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement »)
-chiffres de l’INC pour l’année 2023 indiquant une chute de près de 6,6 % du nombre de naissances par rapport à 2022. Cette baisse est encore plus marquée si on la compare à l’année 2010, atteignant environ 20 %. En 2023, moins de 700 000 bébés sont nés en France. Cette baisse de la natalité provient principalement du changement de paradigme politique, de la dévalorisation wokiste de la famille, et de l’impact de la fertilité souvent produite à cause de produits encouragés par l’industrie pharmaceutique, dont certains ont en plus été rendus presque obligatoires par le gouvernement pour lutter contre une soi-disant « pandémie » de covid.
-À Saint-Ouen, les parents d’élèves ayant été priés de voter… non pas pour l’expulsion des dealers installés près de l’école maternelle, mais pour choisir la date du déménagement de l’établissement. Avril ou septembre ? Telle fut l’unique "question démocratique" posée par le maire PS Karim Bouamrane, visiblement plus prompt à déplacer des salles de classe qu’à déloger les trafiquants.
Géopolitiques :
-Hitler étant venu au pouvoir parce que la grande bourgeoisie l’a décidé. Ce ne sont pas des fables. Or il ne faut pas confondre, la « bourgeoisie » avec cette« grande bourgeoisie d’affaires ». « Une petite élite de banquiers, intellectuels et industriels bien loin des préoccupations d’un médecin, d’un ingénieur, d’un patron de PME ou d’un notaire. C’est bien cette grande bourgeoisie d’affaires en grande partie américaine et juive qui a porté Hitler au pouvoir. Il suffit de rappeler le Cercle Keppler des industriels et banquiers pro-Hitler et l’Industrielleneingabe (la pétition des industriels) que Wilhelm Keppler aidé de Hjalmar Schaft fit signer en 1932 à 20 grands banquiers et patrons, et demandant au président Hindenburg de nommer Hitler chancelier. Bien sûr l’argent de Wall Street et les grands industriels et banquiers allemands ne se seraient pas tournés vers les nazis si la population n’avait été exaspérée par les crises à répétition des années 1920 dont pas la planche billet folle des banquiers et l'oppression anglo-américano française. Il n’y a qu’à se baisser pour observer l’enchaînement presque mécanique des appétits et intérêts qui a conduit à la Seconde Guerre mondiale. Et cette petite musique résonne à nouveau. À nouveau, les puissances financières et affairistes se sont mondialisées et concentrées dans un nombre incroyablement faible de mains. À nouveau elles sont acculées par des populations exaspérées. Non, la grande démocratie libérale mondialisée N’est PAS la barrière au fascisme comme le prétendent les incultes, et les serviteurs et tenants du pouvoir en place. Nous nous fourvoyons dans une direction qui a déjà mené une fois à la catastrophe. Dans des périodes aussi troublées, il n’y a pas d’autre solution que de repartir de la vérité des faits, aussi durs soient-ils, de l’honnêteté. Oui la grande bourgeoisie d’affaires allemande, européenne et américaine a joué un rôle prédominant dans la montée du Nazisme et oui nous sommes à un moment où nous ferions bien de nous rappeler cette partie de notre histoire au risque d’avoir à la revivre. De nombreux intervenants dans les grands médias du système sont le révélateur de la stratégie d’enfumage du pouvoir qui n’est plus qu’une somme d’intérêts particuliers. Or ce pouvoir est aujourd’hui aux abois et réagit par des lois d’exceptions. Vous me direz que je suis bien loin d’une chronique économique ou financière, mais nous vivons une époque où les banquiers se mêlent de politique plus que de raison et moi je me mêle de banquiers. Et comment vous dire autrement que la prudence est plus que jamais de mise. » (Extraits de l'article « Quand les banquiers se mêlent de politique | Investisseur Sans costume » à l'adresse https://www.investisseur-sans-costume.com/quand-les-banquiers-se-melent-de-politique/)
-capitalisme informatisé, supranational, abusif, oppressif et parasitaire qui déstabilise voire détruit dont par les automatisées industries et la cupide finance mondialiste spéculative, le capitalisme entrepreneurial de la moyenne bourgeoisie et de l'économie réelle de nombreuses nations, et donc les métiers de la production, et donc les peuples, et donc la vie humaine, et donc la géopolitique, et donc le monde. En effet le capitalisme financier apatride s'oppose en réalité au capitalisme entrepreneurial familial. En sachant que les professions liées aux bars, aux restaurants, aux boîtes de nuit, aux hôtels et aux casinos ne sont pas prioritaires. Ainsi il faut bien comprendre que dans l'excellente civilisation divine de l'islam, l'économie nécessite logiquement les sages règles essentielles apportées par le Coran pour garder un équilibre vital au même niveau que les sciences naturelles ou les sciences physiques, et que généralement quand elle est juste, elle influe souvent favorablement sur la politique et la géopolitique, même si c'est avant tout les idées pieuses ou impies qui sont le moteur de l'Histoire (mais souvent tempérées par les rapports de force et les conditions de vie dont matérielle et sécuritaire) comme le prouve Youssef Hindi dans ses livres. Ainsi par rapport à Bertrand Badi affirmant concernant l'analyse géopolitique (athée) que deux visions s'opposent : l'une qui dit que c'est le rapport de force biologique et économique, l'autre qui dit que c'est le rapport de force culturel et symbolique (dont religieuse), c'est beaucoup plus la deuxième qui est exacte. C'est à dire que l'Histoire n'est pas principalement la résultante d'un rapport de production ou d'opposition simple entre prolétariat et bourgeoisie ni donc une mécanique auto-entraînée, mais plutôt un rapport de croyances comme du temps de l'empire romain, chrétien ou musulman, quoiqu'il est arrivé évidemment que l'économie fasse une partie de l'Histoire. En effet il existe aussi parfois une dictature du réel dont concernant la nécessité d’approvisionnements en énergie, en matières premières ou en aliments dont à l'étranger. Cependant actuellement l'évolution historique provient donc d'abord d'idées religieuses perverties, en particulier de celle croyant que le peuple juif serait son propre (faux) messie, dont l'esprit pourrait être le sionisme, la sacralité pourrait être la lutte contre l'antisémitisme (au point qu'on parle désormais plus d'antisémitisme et de lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme que de Dieu et Sa cause christique sacrée), corps pourrait être la réapparition de l'Etat d'Israël interdite par Dieu et le système pourrait être le financier mondialisme laïciste oligarchique diminuant la piété noblement insoumise et inspirante en autorisant usure, mariage homosexuel, changement de sexe, jeux d'argent, pornographie, etc. De même la république franc-maçonne lié au messianisme oligarchique, juif et supranational veut que les peuples deviennent des républicains laïcistes et apatrides et donc une sorte de messie collectif (à l'image des dérives donc du peuple juif mais aussi du prolétariat dans le Marxisme sauf que dans une forme entièrement universaliste) pour faire advenir les temps messianiques. Différents Think-tank dans le monde comme le CFR et le club Bibelberg sont les principaux centre de décisions pour les intérêts de cette oligarchie mondialisto-financière cherchant une sioniste pax cosmopolitica pour remplacer l'actuelle pax americana. « Chez Nexus, Étienne Chouard, ancien professeur de droit et d’économie à l'origine de la proposition du Référendum d’Initiative Citoyenne lors de l'épisode des gilets jaunes, nous explique qu’aujourd’hui nous devons voir les causes du problème et non ses conséquences. Nous devons comprendre cette potentialité à ce qu’il y ait des tyrans dans notre système politique afin d’en corriger sa constitution : « Nous sommes dans une démission du processus constituant. Nous sommes trop infantilisés par l’élection. » « Les néolibéraux détruisent les services publics, les systèmes d’entraides et assistances depuis la fin des années 70 en travestissant leur actes en mettant les mots à l’envers avec régression = réforme ou plan de licenciement = plan de sauvegarde de l’emploi. La réforme des retraites est une escroquerie langagière, réforme veut dire amélioration et là, on a à faire à une régression, une agression sociale. Une bonne constitution doit faire peur au pouvoir. Les gens qui sont au pouvoir sont dangereux, si on ne le voit pas avec les retraites ou les guerres, on ne le verra jamais. » « Nous avons en France la constitution la plus tyrannique. Chez nous le parlement a été rationalisé par le coup d’état de 1958. Le contrepouvoir du parlement dans la 5e république est factice. Depuis 1958 les parlementaires sont appelés des godillots. » « On laisse les riches acheter les médias qui ces derniers deviennent des pourchasseurs de complotistes ! C’est complètement mis à l’envers ! » « La constitution et ses textes sont les plans de notre prison politique et, dans cette constitution, il n’y a pas le peuple ! Ce n’est pas aux hommes du pouvoir d’écrire les règles du pouvoir ! » « 1789, c’est le début du capitalisme par le prise de pouvoir des marchands. Avant, ils n’avaient pas la possibilité de légiférer. Aujourd’hui, ils ont pris le contrôle de la monnaie, des armées, etc. » Sur la guerre au sens large, Étienne Chouard nous dit : « La guerre est intimement liée aux gens de pouvoirs apatrides qui sont aux commandes politiques. Il faudrait : . Pas de guerre sans référendum . Ceux qui la veulent vont la faire, et au front . Tous les 6 mois on revote et vous verrez qu’on aura plus de guerre si tous les pays appliquent cette constitution » « Nous devons devenir des adultes politiques. La monnaie, les services publics comme l’eau, les écoles, les mairies, etc, nous devons nous en occuper. Le chômage est une construction politique, c’est un outil d’oppression pour faire peur. » » (Le Média en 4-4-2) Or le plan du faux messie peut plus correspondre actuellement au national sionisme prétendant revenir dans des nations non juives à la société traditionnellement chrétienne, alors qu'il servira le sionisme une fois au pouvoir dont en participant à la division du peuple. Mais lorsque ces impostures seront reconnues massivement, cela peut tout de même participer à faire revenir la véritable tradition monothéiste christique. Surtout qu'en ne croyant pas aux récompenses célestes, en ayant muté en une politique déguisée d'athéisme globaliste tout de même messianique puisque afin d'arriver ensuite à une théocratie en Israël, et en essayant de diluer l'humanité dans une irréalité basée sur une stupide rébellion impie dont à travers la défense du contre-nature wokiste par opposition à la raison et au verbe représentant le naturel, l'historique, l'intelligence et la piété, ce judaïsme là est extrêmement égaré et donc facilement condamnable. (S98v6) « Les infidèles parmi les gens du Livre ainsi que les associateurs iront au feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement. De toute la création, ce sont eux les pires. » Les juifs américains ou français (les deux gros bataillons de la diaspora) qui ont voulu il y a trois ans faire leur migration (aliyah) en Israël pour découvrir ce prétendu plus beau pays du monde en sont pour leurs frais : cette entité née par la force et la ruse en 1948, qui était déjà une dictature militaire tournée contre les Arabes de l’extérieur et les Palestiniens de l’intérieur, est devenue en deux ans à peine une dictature pour ses propres citoyens, malgré les lois racistes et raciales qui avantagent les juifs sur les Arabes. Là-bas, c’est Vichy tous les jours, avec la piqûre désormais en plus. Et là-bas comme chez nous, la dictature des élites perverses avance en parallèle du progressisme, c’est-à-dire des injonctions calculées de la tribu mondialiste. Et on ne parle même pas du terrorisme préventif, de la corruption endémique au sommet de l’État, des viols successifs du droit international, du wokisme, comme chez nous. Pourtant il y a un siècle, le sionisme était de gauche, et de gauche pure, c'est à dire sociale et non sociétale. Mais après sa transformation par le talmudisme, il est aujourd’hui une dictature militaire en Israël couplée à un wokisme mondialiste qui fait croire sournoisement aux minorités à l’égalité, et à la majorité à la démocratie. Les avancées micro-communautaires ne sont en fait que les petits espaces de « liberté » accordés par la dictature à ses soutiens idéologiques. Comme dans le mondialisme occidental, la progressiste lutte folle et donc impie des perverses élites israéliennes et celles occidentales contre l'intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence que par choix, cherche donc à maléfiquement transcender les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres et de toute chose pour faire advenir de faux temps messianiques, puisque étant gravement ou plutôt perversement et diaboliquement basés sur la croyance qu'ils seront modernes dont à travers l’idéologie libérale laïciste, c'est à dire comme aussi selon la marxisme messianique, sans lois monothéistes voire morales ou naturelles et donc sans lois comme dans le jardin d'Eden originel. Ce qui est stupide ou naïf voire satanique, surtout vu le niveau de développement de la science dont religieuse, philosophique et scientifique. Ainsi la dictature légale peut être le contraire de l'actuelle tyrannie anomique (sans lois : Lgbtsime, usure, wokisme), qui provient pour beaucoup du scientisme ayant basculé vers l'athéisme, dont ayant déshumanisé l'homme et mécanisé le vivant. « Pour les Européens, l’Amérique était une terre vierge juridiquement. Il n’y avait de droit que celui qu’ils y importaient. Le droit tel qu’il existait sur le continent européen n’avait pas cours en Amérique. Les princes et les peuples européens « s’étaient mis d’accord pour considérer que dans certains espaces l’opposition entre droit et non-droit n’existait pas ». Et cela s’est traduit par la non application, sur le sol américain, du droit européen. Le calviniste Isaac de La Peyrère (1594-1676) avança même l’hypothèse que les premiers habitants de l’Amérique seraient les descendants d’une humanité antérieure à Adam. L’autre idée, fondamentalement religieuse aussi, est celle d’absence de loi dans ce monde à la fois nouveau et primitif. Absence de loi dans ce « jardin d’Éden », puisque la loi (connaissance du bien et du mal) n’existait pas avant le premier péché ; et absence de loi dans le monde nouveau correspondant à l’ère messianique, où la loi est levée puisque « le lion et l’agneau paîtront ensemble » d’après l’eschatologie biblique. » (Youssef Hindi) C'est à dire que ces messianistes égarés voire diaboliques veulent abolir toutes les règles dont pour atteindre l'immortalité par la science dans une interprétation donc corrompue du sens religieux du retour promis à l'Eden terrestre mais complété, où il n'était interdit que de manger d'un fruit. D'ailleurs la laïcité ultra libérale, oligarchique et inégalitaire des USA et de l'Occident euro-atlantiste se répandant au niveau mondial était pour certains la fin de l'Histoire, en particulier après l’effondrement de l'URSS. Or évidemment, l'Eden terrestre complété réapparaîtra complété seulement par une élévation morale de l'humanité suivant les authentiques lois monothéistes entièrement révélées ainsi que le caractère, la moralité, le comportement et la tradition prophétiques, et donc l'ennoblissement maximal, et certainement pas par la laïciste disparition légiférée de la loi naturelle divine et monothéiste qui autoriserait transsexualité, mariage homosexuel, ploutocratisme, et même transhumanisme numérique qui pourrait être une purification physique par le métal et une élévation intellectuelle par l’électricité alors que déshumanisant. Les USA allant dans ce sens sont donc anomiques (sans lois) voire antinomiques et ainsi antichristiques. Il est intéressant de lire à ce sujet le très bon article « COVIDisme, sécuritarisme et racialisme : armes d’auto-aliénation » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/COVIDisme-securitarisme-et-racialisme-armes-d-auto-alienation-60201.html En effet, il est absolument certain que c'est par le respect général des intelligents commandements divins que la parfaite paix bénie du Jardin d'Eden reviendra sur terre et pas par le suivi général d'un fou libertarisme humain. Dans ce sens comme il a déjà été vu, les pays occidentaux doivent comprendre intelligemment que pour leur propre pérennité et celle de l’Afrique, ils devraient plutôt développer ce continent plutôt que de baser leur économie à le piller, puisque il finira par ne plus rien rester, ce qui détruira aussi les bases de cette économie occidentale, qui s'effondrera comme tous les empires de l'Histoire, alors que de nouveaux consommateurs des produits occidentaux entretiendraient leur économie. En effet comme la plupart des choses, les empires ont une naissance, une croissance, une dégénérescence et une mort, mais parfois une résurrection comme le futur retour du califat bien guidé qui sera en plus complété. D'ailleurs comme l'effondrement systémique d'un empire est aussi lié à son expansion excessive s'éloignant toujours plus de son centre, cela pourrait expliquer pourquoi les États-Unis se retirent de diverses parties du monde, surtout qu'il est de plus en plus temps que leur économique hégémonie destructrice laisse la place à un système apportant la stabilité que pourrait incarner le retour prophétisé d'un califat bien-guidé lié à la multipolarité mondiale. En effet les lois islamiques concernant l'économie ayant été établies par le Sage Seigneur Omniscient, cela correspond clairement à un théorème mathématique où la moindre erreur dans cette équation posera de gros problèmes tôt ou tard telle une construction mal montée finira par s'écrouler, comme l'annoncent et le représentent la crise financière de 2008 ayant appauvri des millions de gens et tous les problèmes économiques, financiers et monétaires mondiaux actuels. C'est à dire que par opposition au corrompu système économique international imposé par les Etats-unis, le divin système économique du califat islamique apporterait évidemment une meilleure stabilité mondiale par sa justice, son équité, ses valeurs naturelles, son harmonie, son interdiction de l'usure et son impôt social (zakat) prélevé sur l'argent thésaurisé afin d'éviter que le système financier pourrisse comme l'eau stagnant et ne circulant pas pourrie. En effet il s'agit d'un système ne pouvant qu'éviter les grandes crises économiques du capitalisme de plus en plus instable par un libéralisme libertaire à outrance, une hyper consommation que de moins en moins de personnes arrivent à suivre et une amplification des écarts de richesse, n'avantageant que les intérêts des ultra riches. Surtout que selon Aristote et le monothéisme, l'économie est une branche de la morale et doit être surdéterminée par les valeurs transcendantes, et sa place devient donc une succursale de la morale devant aussi logiquement faire tendre l’humanité à une noble gestion empathique des autres. Ainsi l'économie doit être sous contrôle de la morale et donc du politique. Cependant l'économie a illégitimement et donc perversement pris le dessus sur le politique, dont à travers les mathématiques (appartenant prétendument au monde scientifique) qui pourtant la servait auparavant, alors que l'économie correspond à des rapports de force humains : production, consommation, entre-aide, création de richesse, domination ou parasitisme.
Or si ce bon changement de paradigme n'arrive pas progressivement dont possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie éthiques décentralisées ou/et la multipolarité des BRICS+, le système financier américain étant basé sur de mauvaises règles économiques (planches à billets massives baissant fortement la valeur du dollar, usure, trading à haute fréquence, spéculation immorale), dont la plupart des pays dépendent par le pétrodollar, s’effondrera donc inexorablement en les entraînant avec lui. Ce qui pourrait provoquer un chaos économico-social presque planétaire bien plus grave que la crise de 1929 ou celle de 2008, surtout que le statut de réserve mondiale du dollar (monnaie la plus utilisée dans la majorité des échanges commerciaux dans le monde) signifie que les dollars sont susceptibles d’être détenus massivement à l’étranger dans des banques et des entreprises étrangères pour être utilisés dans le commerce mondial. La fin du dollar comme monnaie internationale sera d'ailleurs par exemple probablement la fin de l'Union Européenne, car les USA chercheront des actifs pour maintenir leur monnaie, jusqu'à prélever l'argent publique voire particulier de l'UE, puisque les multinationales liées à l'UE ont une grande partie de leur bilan en dollar. D'ailleurs suite à l'oppression économique, financière, monétaire ou/et miliaire des USA envers une nation, tout ambassadeur américain commence par aller voir le gouverneur de la banque centrale locale pour lui demander d'acheter des bons du trésors américain en dollar et donc de la dette américaine. D'ailleurs Guy de la Fortelle partage l’idée de Charles Gave selon laquelle les pertes accumulées par les banques centrales et les États pourraient déjà les amener à prélever directement de l’argent sur les comptes bancaires des citoyens. Il faut noter que cette monnaie de réserve mondiale est irréligieuse car elle est basée sur l'usure, puisqu'il faut que les USA émette de la dette pour que les autres pays en achète. Surtout que la force du dollar était fondée pendant les dernières décennies sur la fiabilité et le caractère protecteur de la superpuissance américaine au niveau économique et militaire, alors que maintenant, elle est fondée sur les sanctions, l'extraterritorialité, le chantage, les embargos. Il y a donc un processus logique de reprise d'autonomie par les nations en particulier via ces BRICS+. Après avoir vu comment la monnaie américaine, par étapes successives, avait réussi à s’emparer du monopole des échanges internationaux, notamment ceux du pétrole, les banquiers internationaux ont méthodiquement poursuivi leur conquête du monde. Après avoir anéanti les monnaies du tiers-monde et de certains pays « émergents », porté un coup fatal à la monnaie japonaise, tenté de détruire l’euro en germe avant de l’utiliser pour écarter l‘Allemagne de la Russie après l’écroulement de l’URSS et la réunification allemande, ces banquiers se sont attaqués aux monnaies asiatiques. Du coté de l’extrême-orient, l’axe financier City-Wall street, après s’être attaqué au Japon, qui devenait un rival dangereux, a continué à couper les têtes qui dépassaient. En ligne de mire, les pays du Sud Est asiatique qui avaient, depuis 1970, connu un développement économique important, résultant d’une mobilisation de l’épargne très importante. Des investissements sans précédent dans ces pays permirent de mettre en valeur leurs ressources respectives. Cela eut pour effet une régression de la pauvreté et une augmentation du niveau d’éducation de leurs habitants. La rupture avec le consensus de Washington de 1989 devint alors évidente car la doctrine, essentiellement néo-libérale, qu’il prônait ne pouvait que renforcer l’emprise des banquiers internationaux sur l’économie de ces pays, qui auraient dû faire faire appel à eux pour se développer, au prix d’un endettement exponentiel. Ces dettes, contractées en dollars devaient être remboursées dans cette monnaie et toute dépréciation des monnaies de ces pays ne faisait qu’accroître leur dépendance. En outre, cela permettait aux banquiers internationaux de les obliger à se constituer d’importantes réserves en dollars, ce qui supposait d’imprimer encore davantage de billets américains et donc d'en inonder la planète afin de la dominer en grande partie pour que le dollar devienne essentiel ainsi donc que les USA. Les banquiers sont passés à l’attaque en déclenchant une véritable guerre des monnaies dont le but était de déprécier le plus possible ces monnaies nationales. Mais la résistance monétaire a déjà commencé non seulement au sein des Etats en conflit direct avec USA et leur dollar, mais aussi dans des Etats non en conflit avec eux, à commencer par les pays du Sud-Est asiatiques qui veulent créer leur propre fonds monétaire. La Thaïlande avait essayé par exemple de se mesurer aux banquiers internationaux mais avait perdu, car elle avait fait appel au FMI et perdit ainsi toute autorité pour décider des mesures économiques à prendre face à la dépréciation de sa monnaie, laquelle se traduisait par une nouvelle augmentation de la dette devenue insoutenable. Hongbing Song résume la situation dans le livre « La guerre des monnaies » : « La deuxième raison de la défaite financière de la Thaïlande vient de ce qu’elle n’avait aucune conscience des risques. Surtout, elle n’était pas préparée psychologiquement à la guerre que l’énorme puissance se mouvant au cœur de l’axe Londres/Wall street allait mener contre elle sans jamais la déclarer. Les autres dirigeants asiatiques n’étaient pas mieux préparéset répétèrent les mêmes erreurs que celles qui conduisirent à la double défaite financière de la Thaïlande, se trompant sur la direction prise par l’ennemi et livrant ainsi leurs pays aux pirates financiers et au FMI. Les loups solitaires suivent chacun leur propre logique, mais quand ils chassent en meute, ils appliquent le principe de la division du travail. Très vite, Soros, accompagné de Citibank, Goldman Sachs et d’autres grands groupes bancaires, coordonnèrent leurs actions prédatrices. Les « proies » blessées qui gisaient à terre se laissèrent achever par le FMI dans une vente aux enchères qui fit saliver les entreprises européennes et américaines. Ces banques ont appliqué le principe de la « vente par appartements » et réalisèrent des gains phénoménaux. Le Japon proposa alors de créer un fonds monétaire asiatique, qui ne servirait qu’aux pays d’Asie lorsque ceux-ci auraient des difficultés financières. Évidemment, la finance « mondialisée » mit tout en œuvre pour détruire ce projet : « Nous pensons que l’institution appropriée pour s’occuper d’un problème comme celui-ci doit être trans-régionale et internationale, plutôt qu’une (institution) régionale nouvellement créée, parce que le problème à lui-même des ramifications qui vont bien au-delà des frontières de cette région » déclarait Strobe Talbott, Secrétaire adjoint du Département d’État américain. Le vice-secrétaire d’État au Trésor américain, Laurence Summers, passa immédiatement à l’action en évoquant que ce fonds asiatique encouragerait les pays dans leur laxisme budgétaire. Bref, la finance mondiale mit tout en œuvre pour garder son emprise dominante sur la planète. Plusieurs pays, dont le Japon, rentrèrent dans le rang en faisant amende honorable, mais certains ne s’y résignèrent pas. Ce fut le cas de la Malaisie, dont le Premier Ministre Mahatir Bin Mohamad, laissa éclater sa colère en posant les bonnes questions : « Qui sont ces banquiers qui peuvent mettre à la disposition de leurs clients des milliers de milliards de dollars ? Quelle est la ressource en capital de ces banques ? Combien d’argent a-t-il été investi dans celles-ci et par qui ? Comment ces banques peuvent-elles devenir plus riches que la plupart des pays dans le monde ? » Ce premier ministre s’attaquait au principe même de la création du dollar en tant qu’argent-dette, mais les peuples du monde n’étaient pas préparés à écouter ce discours, pourtant plein de bon sens. Après le Japon, la Thaïlande et la Malaisie, vint le tour de la Corée du Sud. Bien qu’alliée depuis toujours aux USA, les financiers internationaux ne lui firent aucun cadeau et, bien au contraire, les conditions exigées par le FMI furent particulièrement sévères. Mais, trop, c’était trop et le gouvernement sud-coréen rejeta en bloc le diktat du FMI et refusa la faillite de ses entreprises et de son système bancaire. La crise financière fut surmontée au printemps 1998 et la balance commerciale se redressa vite. Ils comprirent alors que l’économie devait être dirigée uniquement au niveau national, ce qui fut fait. Le prix à payer par le peuple coréen fut lourd, mais les axes choisis par les gouvernants étaient bons et, en 2010, l’économie sud-coréenne occupait le quinzième rang mondial. Les autres pays d’Asie suivirent la même voie et l’ensemble du continent put ainsi échapper à la mainmise des banquiers internationaux. D’autant plus que les systèmes financiers chinois et indiens n’avaient pu être pénétrés par eux en raison de leurs protections nationales. Cette victoire financière remportée en Asie aurait dû agir comme un voyant d’alarme pour les financiers mondialistes. D’autant plus que la crise des « subprimes » allait souffler un vent de panique sur le système bancaire occidental dès 2007. Dès lors, c’est tout le système dollar qui était fragilisé. Certains monétaristes avaient déjà identifié les deux types de monnaies et l’avaient résumé en « monnaie-dette » et monnaie « non-endettée ». La première est émise contre une dette, c’est-à-dire une promesse de remboursement futur, mais n’a pas de valeur économique. Elle est souvent appelée monnaie fiduciaire, ou monnaie de confiance. La seconde représente une valeur, souvent une quantité de masse d’un métal précieux (or ou argent par exemple) et est appelée monnaie désendettée. Au début, le dollar était une monnaie indexée sur l’or, donc désendettée. C'est à partir de la création de la FED que les « mauvais dollars » apparurent. La FED fut créée en 1913 pour financer la guerre l’année suivante... Hongbing Song écrit (page 323) : « A partir de 1913, les « dollars de mauvaise qualité » expulsèrent petit à petit les « dollars de bonne qualité » d’or et d’argent des réserves intégrales. Les banquiers internationaux qui voulaient créer un système financier mondial monopolistique de réserves fractionnaires atteignirent leur objectif et parvinrent même à exclure le gouvernement du domaine d’émission de la monnaie. Ils firent leur possible pour diaboliser l’or et l’argent, et dans les années 60, ils réussirent à abolir le dollar-argent. En 1971, ils mirent fin à ce qu’il restait de la relation entre l’or et le dollar. Dés lors, le système des réserves fractionnaires avait bouclé la boucle du monopole. » « Le fait que les pays asiatiques aient pu se soustraire à l’emprise de cette finance mondiale a montré qu’on pouvait parfaitement vivre sans être soumis à cette servitude. Longtemps considérée comme une monnaie incontournable pour les échanges commerciaux internationaux, le dollar a progressivement perdu de son éclat. De plus, cette extra-territorialité du droit américain liée à l’emploi du dollar semble se retourner aujourd’hui contre lui. De même que l’épidémie de COVID a mis en lumière les dangers d’un mondialisme qui retirait toute autonomie de production aux pays ayant cru qu’ils pouvaient renoncer à leur industrie, les événements géopolitiques actuels montre que les peuples ont de la mémoire. Beaucoup se souviennent de ce qu’ils ont de ce qu’ils ont vécu, notamment en Asie, sous la tutelle de la finance internationale et le règne du dollar. Mais l’Afrique et l’Amérique du Sud sont dans le même cas, et cela commence à faire beaucoup. Ils comprennent que les tensions actuelles vont bien au delà d’une simple dispute territoriale et que ce qui est en jeu est un bouleversement complet de la géopolitique planétaire. La réflexion des pays asiatiques qui voulaient créer leur propre fonds de soutien en s’exonérant de la tutelle du dollar a continué son chemin. Cette réflexion s’est nourrie de l’évolution de la situation économique mondiale et de nombreux indices montrent qu’ils étudient la mise en service d’une nouvelle monnaie de réserve internationale qu’ils utiliseraient pour leurs transactions. Il semblerait également que d’autres pays, parmi lesquels figure la Russie soient partie-prenante dans cette nouvelle monnaie. Contrairement au dollar, l’hypothèse que cette monnaie soit de type « désendettée » semble probable. Mais il paraît également plausible, voire probable, que cette « régionalisation » fasse tache d’huile et s’étende aux autres continents, qui deviendraient alors des espaces autonomes les uns par rapport aux autres. Cela risque de sonner le glas du dollar, du moins à son monopole en tant que monnaie de réserve internationale. La question qui émerge alors est celle de l’acceptation ou non de cette situation par la finance mondialiste, qui pourrait être tentée, comme certains joueurs de poker, de jouer le tout pour le tout… » (Fin de l'article « Le billet vert vient de perdre encore du terrain là où il attendait le moins » à l'adresse https://french.presstv.ir/Detail/2022/08/14/687360/Dollar-) Dans ce sens, cet article « Ascension et chute de l’argent-dette » produit par lecourrierdesstrateges.fr le 19 juillet 202 anticipe également que la fin du dollar est proche : « Sans remonter trop loin dans le temps, la « monnaie » ainsi nommée car les deniers romains étaient frappés dans le temple de Junon (Moneta en latin), permettait l’échange de denrées ou de services qui, pendant longtemps, avaient fait l’objet du troc. Sans remonter aux origines préhistoriques de la monnaie, voici une brève histoire de celle-ci qui porte sur son évolution et comment ceux qui dirigent aujourd’hui le monde ont réussi à en prendre le contrôle, en généralisant l’émission de « fausse monnaie ». Le passage de l’or au papier pris un certains temps. Depuis le moyen-âge, les pièces d’or et d’argent s’étaient généralisées, probablement parce que les métaux précieux étaient rares et surtout non sensibles à la corrosion tout en étant très ductiles. Une évolution intéressante s’était produite au fil du temps sous forme d’une pratique devenue courante exercée par les orfèvres, qui faisaient commerce de l’or. Les rues n’étant pas sûres et les habitations non plus, leurs clients avaient pris l’habitude de laisser l’or qui leur appartenait dans leurs coffres et d’obtenir un « certificat de possession d’or » qu’ils donnaient en contre-partie lorsqu’ils réalisaient des achats. Ces certificats étaient de moins en moins échangés contre de l’or par les vendeurs qui prirent l’habitude d’en faire un moyen de paiement pour leurs propres achats. Ainsi naquirent, vers la fin du dix-septième siècle, les billets de banque, prolongements logiques de ces certificats. Toutefois, la contre-valeur de ces billets de banque s’exprimait par une certaine quantité d’un métal donné, généralement de l’argent pour les faibles valeurs et de l’or au-delà. Ces billets gardaient encore leur convertibilité en or, c’est à dire que la banque qui les émettait pouvait les échanger contre leur valeur en or. En théorie, la totalité des billets émis devait être couverte par le stock d’or de la banque. En réalité, les banquiers, dignes héritiers des orfèvres, avaient depuis longtemps réalisé que seule une faible part de ce stock partait vers l’extérieur. Ils prirent ainsi quelques libertés et imprimèrent un peu plus de billets qu’ils n’avaient d’or en réserve. Ainsi naquît le système des « réserves fractionnaires ». Puis le passage de la Banque d’Angleterre à la Réserve Fédérale eut lieu. La révolution anglaise de 1688, renforçant les pouvoirs du Parlement, empêchait Guillaume d’Orange de lever l’impôt comme il le souhaitait pour financer ses guerres. D’origine allemande, il fit appels à des compatriotes banquiers pour venir à son secours. Ceux-ci acceptèrent à la condition qu’ils créent leur propre banque qui s’appellerait la « Banque d’Angleterre ». Elle lui prêterait les sommes dont il avait besoin et, en échange, obtint le droit d’émettre pour un certain montant des billets supplémentaires. Naturellement, tout ce qui était prêté au Trône faisait l’objet de paiement d’intérêts. Cette banque fut créée en 1694 et servit de modèles à toutes les banques centrales suivantes. A l’époque, la norme pour la monnaie était d’être adossée à l’or et à l’argent. La Banque ne France fut créée en 1800 et l’unité monétaire était le « Franc-or » connu sous le nom de « Napoléon » pièce frappée à son effigie. Cette monnaie a gardé une valeur constante jusqu’en août 1914, date à laquelle elle perdit sa convertibilité en or car la Banque de France, comme les autres banques centrales des pays belligérants, devaient financer la guerre par le crédit et donc la « planche à billets » ainsi que par l’emprunt. C’est la création de la Réserve Fédérale en décembre 1913 qui, conjointement à la Banque d’Angleterre, a permis une autre partie de ces financements, notamment parce que les emprunts qu’elles consentaient à leurs pays respectifs étaient garantis par l’impôt payé par les contribuables et ceci figurait dans la loi qui établissait ce système de banques. En France, cet impôt ne fut payé qu’à partir de 1916. La Réserve Fédérale est une victoire des banquiers internationaux. Après plus d’un siècle de guerre incessante entre les tenants d’une banque centrale « indépendante » et ceux qui voulaient que la constitution américaine soit respectée en donnant au peuple américain le contrôle exclusif de sa monnaie et les banquiers internationaux, qui voulaient reprendre l’exclusivité de ce contrôle. On prête à Mayer Amshel Bauer (fondateur de la lignée des Rothschild) la phrase : « Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois ». Même apocryphe, cette phrase explique parfaitement le pouvoir exorbitant que détiennent ceux qui contrôlent l’émission de la monnaie. Convaincre le peuple américain de se laisser ainsi berner n’a pas été chose facile et de nombreux ouvrages font le récit des différentes étapes. On retiendra simplement qu’il a fallu plusieurs tentatives pour imposer cette banque centrale ainsi qu’une crise financière orchestrée en 1907, une réunion secrète à l’île Jekill fin 1910, un changement de Président en janvier1913 et une longue bagarre au Congrès pour aboutir à l’adoption (sans majorité ) du Federal Reserve Act le 23 décembre 1913 à 23 heures 30. Cependant, cette prise de contrôle de la monnaie américaine n’était que partielle, car le dollar restait lié au cours de l’or par le « Gold Exchange Standard » qui limitait la quantité de billets émise. Les banquiers qui possédaient la FED s’employèrent à faire disparaître cette ultime barrière qui allaient leur permettre de créer sans limite de la monnaie à partir de rien et sans contre-partie économique, ce qui correspond assez bien à la définition de la fausse monnaie. Ceci fut réalisé le 15 août 1971, par le discours de Nixon à la Maison Blanche. Il ouvrait ainsi une nouvelle ère, qui perdure encore mais dont plusieurs économistes prédisent la fin prochaine. » D'ailleurs dans ce sens gravement impie, le dollar et l’Euro sont en plus souvent utilisés comme un instrument de sanction et de chantage allant jusqu’à déposséder les états et leurs citoyens de leurs avoirs ou de leurs biens inscrits sur leur territoire. Cette oppression va même, paradoxalement, jusqu’à renier leur principe cardinal, berceau du libéralisme, qui est le marché, en s’évertuant à vouloir imposer au vendeur russe un prix plafond de son énergie pour l’empêcher de réaliser des « superprofits », suite à la forte augmentation des prix qui est pourtant une conséquence de leurs sanctions synonyme de justice divine. En raison des liens de la dette, la plupart des pays du monde seront en plus entraîner dans la chute du système dollar. Pour le moment le dollar a cessé d’être la seule devise dominante. Or il est sécurisé que sur sa propre dette, sur rien d’autre. Alors que l’euro, lui, est sécurisé par le niveau économique élevé d’une vingtaine de pays, sans compter les économies des pays de l’Europe orientale, de l’Europe centrale et du Nord. Mais l'UE était une économie puissante tant qu'elle se nourrissait du fort potentiel des ressources russes. En face, la devise américaine, c’est une bulle de savon. Ainsi il est de notoriété publique que la capacité des États-Unis à poursuivre leur activité dépend essentiellement de leur capacité à importer des produits en échange de dollars (qu’ils peuvent donc simplement imprimer selon leurs besoins), possiblement ainsi jusqu'à détruire l'économie de certains pays. Les matières premières comme le pétrole sont évaluées en dollars. Les pays qui empruntent en dollars peuvent voir leurs remboursements s’envoler si la valeur de la monnaie américaine augmente. Les pays ayant un compte excédent utilisent leurs revenus pour acheter des bons du Trésor américain, permettant ainsi aux États-Unis de pouvoir arranger d’énormes déficits commerciaux et budgétaires. De plus les États-Unis et leurs alliés occidentaux contrôlent le Fonds monétaire international et la Banque mondiale depuis leur création en 1944, le directeur général du FMI a toujours été un Européen et le président de la Banque mondiale, un Américain. Grâce à leurs sièges permanents au Conseil de sécurité de l’ONU, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France peuvent opposer leur veto à toute initiative qui ne leur plaît pas. À eux deux, les États-Unis et l’UE peuvent empêcher les principaux pays en développement d’exercer une réelle influence au sein de l’Organisation mondiale du commerce. La raison pour laquelle ces dollars sans valeur sont toujours honorés repose sur le statut du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale liée à l'empire militaire US et ses 800 bases à travers 177 pays dans le monde. Or ce statut se réduit heureusement rapidement de nos jours même si il est toujours important, car cela fait trop longtemps que par le dollar qui est du papier et donc un tigre de papier, les Etats-Unis vivent à crédit très au dessus de leurs moyens réels sur les autres pays jusqu'à acheter une grande partie du monde, ce qui empêchait ces derniers de se développer jusqu'à la dédollarisation actuelle qui amène donc de grands changements économiques mondiaux, surtout qu'ils vivent aussi de l'usure de leur banques et que le dollar imprimé à volonté peut évidemment corrompre de nombreuses personnes, que leur balance commerciale extraordinairement déficitaire leurs permet de faire chanter tout le monde ou presque, en particulier l’Europe déjà ruinés et les pays dans le même cas... D'autant plus que comme les USA produisent le dollar ex-nihilo et que les autres nations lui vendaient leur pétrole, le dollar permet donc d'avoir du pétrole gratuit telle une arnaque, en particulier car les USA n'autorisent que le dollar chez eux, alors que certaines nations étrangères l'acceptent telle une monnaie forte. C'est similaire à l'occident qui a d’abord pillé ses colonies, puis en a fait de même ailleurs, mais avec des méthodes économiques plus sophistiquées. Et le statut du dollar en tant que monnaie de réserve a donc en plus beaucoup à voir avec le système des pétrodollars et le fait que les pays importateurs de pétrole du monde entier (à part actuellement la Russie, la Chine, l'Iran et le Venezuela) doivent obtenir ou emprunter exclusivement des dollars afin d’acheter du pétrole, tandis que les pays exportateurs de pétrole doivent exclusivement accepter le dollar comme paiement, même si cela se fait au détriment de leur économie. C'est pourquoi si le pétrodollar disparaît, le niveau de vie de l’Américain moyen sera divisé par dix.
« Si le reste du monde se débarrasse de ses dollars devenus inutiles, comment financer les déficits et le niveau de vie des Américains ? Hyperinflation et banqueroute du pays seront irrémédiablement au programme. Dés lors que signifie « America’s first » pour un politique américain un tant soit peu lucide ? La préservation coûte que coûte du statut du dollar dans les échanges internationaux : les 95 milliards votés ce samedi par la Chambre des représentants en sont l’application concrète. (Or cela signifie d'abord que les Etats-Unis volent leurs propres citoyens pour financer le vol d’Israël les terres palestiniennes.) Taïwan, Israël et l’Ukraine sont les foyers d’insurrection d’un « Sud global » emmené par la Chine, la Russie et l’Iran, décidé à mettre fin à la prédominance du dollar, mais aussi au pervers droit anglo-saxon en faisant donc passer le droit authentique et donc le bien au Sud. On peut commenter sans fin la trahison d’un Mike Johnson et y voir un nouvel épisode théâtral et caricatural d’un politique qui brade ses idéaux pour de basses considérations. Cependant, cet épisode semble plus probablement confirmer la fin de l’innocence et du romantisme d’un mouvement trumpiste qui doit admettre la glaciale réalité que traverse son pays (, mais s'approche de la troisième guerre mondiale possiblement plus que le démocrate Biden actuellement au pouvoir, surtout que cela sera exacerbé par les sionistes qui en cas d'effondrement des USA ne pourront réaliser leur projet. Mais Trump ne veut aussi possiblement pas se mettre à dos le complexe militaro-industriel qui est en plus un lobby puissant, mais en revanche il veut très certainement que l'armée américaine puisse logiquement reconstituer ses stocks. Or s'il est réélu président US, Trump promet toujours de ramener la paix en Ukraine et aidera possiblement seulement au petit Israël, surtout que la situation économique des USA pourrait ne pas supporter de défendre militairement le grand Israël au milieu de peuples musulmans antisionistes. Mais son éventuelle victoire pourrait finalement ne pas changer la donne dont pour laisser Israël continuer son annexion plus rapidement et moins médiatiquement, surtout avec la pression des sionistes, du lobby militaro-industriel, du Pentagone et de tout le reste du système US et mondialistes ne voulant pas aussi lâcher l'Ukraine, d'où la victoire nécessaire de la Russie pour que la fin des temps reste régionale c'est à dire principalement au Moyen Orient). » (Ian Purdom) « Aujourd’hui encore, même après avoir vu pendant quatre ans des preuves du contraire, les partisans de Trump croient toujours qu’il va mettre fin aux guerres, assécher le marais et mener le combat contre l’État profond. Ils croient qu’il combattra l’État profond même après avoir emprisonné Assange. Ils croient qu’il mettra fin aux guerres même après avoir intensifié les agressions de style guerre froide contre la Russie, tué des dizaines de milliers de Vénézuéliens avec des sanctions créant la famine, opposé son veto aux tentatives de sauver le Yémen du génocide soutenu par les États-Unis, fomenté une guerre civile en Iran en utilisant des sanctions créant la famine et des opérations de la CIA dans le but déclaré de provoquer un changement de régime, passé à deux doigts de déclencher une guerre à grande échelle contre l’Iran en assassinant le général Qassem Soleimani, occupé les champs pétroliers syriens dans le but d’empêcher la reconstruction de la Syrie, augmenté considérablement le nombre de troupes au Moyen-Orient et ailleurs, augmenté considérablement le nombre de bombes larguées quotidiennement par l’administration précédente, tuant un nombre record de civils. Ses partisans pensent encore qu’il va assécher le marais après avoir rempli son cabinet de monstres néoconservateurs sortant du marais, comme John Bolton et Elliott Abrams. Trump est devenu le personnage central de la politique américaine autour duquel tout tourne, et que l’élection soit remportée par ceux qui le soutiennent ou par ceux qui s’opposent à lui, le statu quo impérial est assuré de rester inchangé. Alors que les Américains sont de plus en plus mécontents de la nature abusive du gouvernement de leur pays, un homme est apparu et a conduit les Démocrates et les Républicains à croire que la meilleure façon de s’en prendre à lui est de prendre une position très émotionnelle, pour lui ou contre lui (même au point de ne pas trouver la tentative d'assassinat sur Trump inacceptable). Alors qu’en réalité, qu’il gagne ou qu’il perde n’a aucune importance pour ceux qui ont le pouvoir réel. Trump aspire tout l’oxygène de la salle pour empêcher un vrai discours sur des choses réelles. Sous Biden au moins, nous avons vu une réelle opposition à des choses réelles comme les atrocités soutenues par les États-Unis à Gaza, mais sous Trump, ce furent quatre années où les deux factions politiques traditionnelles hurlèrent à propos de bêtises inventées avec l’illusion qu’elles combattaient le pouvoir. Et c’est tout ce que la politique électorale traditionnelle a toujours été dans l’empire américain : une fausse révolution, un leurre mis en scène pour le public, tous les deux ou trois ans, pour qu’il n’y en ait pas de vraie. Une cérémonie symbolique où le public fait semblant de jeter le statu quo abusif à la mer pour avoir l’impression que la bataille contre ses oppresseurs a été gagnée. Et puis leurs oppresseurs continuent de les opprimer. Tous les deux ou trois ans, le public a la possibilité de choisir entre deux laquais fiables de l’empire oligarchique, et tous les maux de cet empire sont alors imputés au vainqueur. Le public dirige alors sa colère contre le laquais plutôt que contre la structure de pouvoir réelle qui l’opprime, après quoi il organise une autre élection pour se débarrasser du scélérat une fois pour toutes. Ils s’embrassent, pleurent, célèbrent, et la machine d’oppression continue ainsi sans interruption. Ce petit groupe est la classe ploutocratique dont la machine de propagande et de corruption légalisée a une immense influence sur la politique américaine, ainsi que sur la machine de guerre impériale et les groupes d’intérêts spéciaux avec lesquels la classe ploutocratique est alliée. Il est nécessaire de former des coalitions de soutien au sein de ce groupe de pouvoir si l’on veut devenir président dans la démocratie gérée que sont les États-Unis, et aucune partie de ce groupe de pouvoir ne soutiendra un président qui ne fera pas avancer de manière fiable les intérêts de l’empire oligarchique. C’est pour cette raison que même les politiciens qui se présentent sur des plateformes relativement progressistes font eux-mêmes partie de ce leurre à révolutionnaire, à moins qu’ils n’exigent un démantèlement complet de l’oligarchie et de l’empire. Les politiciens qui se présentent aujourd’hui comme progressistes aux États-Unis n’offrent qu’une légère opposition à certains aspects de l’empire et de l’oligarchie, soutenant simplement un empire oligarchique qui fournit aux Américains des soins de santé. Puisque maintenir les Américains pauvres, occupés et soumis à la propagande est une dynamique essentielle au cœur d’un empire oligarchique mondial, cette position est absurde ; les oligarques ne veulent pas que les Américains ordinaires aient de l’argent à dépenser en dons de campagne et du temps libre pour rechercher ce qui se passe réellement dans leur monde, car ils pourraient alors se mêler des rouages de l’empire. Une structure de pouvoir construite sur l’injustice économique ne permettra jamais la justice économique. La porte d’un changement significatif en Amérique via la politique électorale a été fermée, verrouillée, condamnée, soudée et barricadée avec une tonne d’acier massif. La seule chose qui puisse mettre fin à l’oppression et à l’exploitation est la fin de l’empire oligarchique lui-même, et la seule chose qui puisse mettre fin à l’empire oligarchique est l’action directe du peuple américain : un activisme de masse, des grèves nationales et une désobéissance civile comme la nation n’en a jamais vu auparavant, en nombre suffisant pour faire tomber les institutions ploutocratiques qui maintiennent le statu quo. Le problème est que cela n’arrivera jamais tant que les Américains seront convaincus avec succès par la propagande de se contenter de leurs fausses et illusoires révolutions. Il y a zéro pour cent de chance que cette politique électorale mène à la fin de l’empire, mais un effort concerté de sensibilisation de la part de ceux qui comprennent ce qui se passe pourrait bien y parvenir. Tout changement positif dans le comportement humain est toujours précédé d’une prise de conscience accrue, qu’il s’agisse de la prise de conscience des conséquences de sa dépendance conduisant à la sobriété ou de la prise de conscience accrue des injustices du racisme conduisant à des lois de justice raciale. Faire prendre conscience aux gens que les médias de masse nous mentent sur la réalité, les sensibiliser aux horreurs de la guerre, aux dynamiques sous-jacentes de l’injustice économique qui écrase les Américains, peut conduire à une réaction en chaîne qui voit la collectivité utiliser le pouvoir de son nombre pour se débarrasser des chaînes de l’oppression aussi facilement que l’on enlève un lourd manteau par une chaude journée. Ce qu’il faut, c’est que les gens s’éveillent à la vérité. Un empire entier est construit sur des paupières closes. (Et on va d'ailleurs voir si Trump élu, il y a un grand bon changement pour le peuple ou plus aucun espoir pour les USA à part leur dislocation puisque il sera difficile de faire plus virilement révolutionnaire que Trump.) » (Caitlin Johnstone) Or comme tout empire ayant toujours plus agrandi son influence militaire, ce plan d'aide peut accélérer l'effondrement des USA, surtout s'il ne s'oriente donc pas bientôt vers l’isolationnisme modéré (non interventionniste, mondialisation modérée), plutôt que l'interventionnisme. Mais selon Ivan Mikhailovitch Frakov : « Il est de bon ton en Russie dans certains milieux d’imaginer que la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis sera une bonne affaire pour la Russie. Une dangereuse illusion, tout simplement. D’abord la victoire de Trump est tout sauf certaine, il est même prévisible qu’il sera battu par la probable candidate Harris ou par tout autre candidat désigné par les “démocrates”. De la même manière qu’il a été battu par Biden. Trucage ou pas, la question n’est pas là, tout simplement les “démocrates” ne peuvent pas perdre. Mais même si Trump était élu… Souvenons-nous déjà que c’est durant son premier mandat de 2017 à 2021 que les ukrainiens ont intensifié les massacres de civils au Donbass, ce qui a amené l’intervention de la Russie quelques mois plus tard. Il aurait été facile à Trump de faire cesser tout ça simplement en coupant l’approvisionnement en armes et en argent à l’Ukraine. Mais la réalité est que le but des Etats-Unis depuis la chute de l’Union Soviétique est de faire main basse sur la Russie et ses richesses. Tous les présidents ont la même feuille de route, seuls quelques détails dans la manière d’atteindre leur but ne les séparent. Et pour ceci l’Ukraine est la plateforme idéale. » Cependant selon la rédac ER « De l’autre côté de l’Atlantique, il n’y a pas une droite face à une gauche, mais deux droites : l’une populaire, antiwoke et isolationniste, l’autre élitaire, woke et interventionniste, les deux étant plus ou moins sionistes selon les circonstances. Objectivement, malgré ses défauts, Trump est plus proche du diptyque « gauche du travail et droite des valeurs » que tous les autres candidats, là-bas et ici. » Dans un discours enflammé, la députée trumpiste Marjorie Taylor Greene a dénoncé les souffrances quotidiennes des Américains, qui peinent à joindre les deux bouts et à payer leur alimentation ou leur essence. Selon elle, les États-Unis devraient exiger la paix plutôt que de financer les guerres sanglantes du complexe militaro-industriel, qui se nourrissent des cadavres en Ukraine. Surtout que parallèlement à ces fonds de 95 milliards, le Congrès a pris la décision radicale de la possibilité de la confiscation des actifs russes pour qu’ils servent à payer la guerre en Ukraine, alors que c’est du vol flagrant comme l'a déclaré le président de la Douma Viacheslav Volodine, et qui selon les autorités russes ouvre la voie à une réponse symétrique. Ceci devrait faire réfléchir les pays européens. Et, étrangement, ils réfléchissent encore lorsqu’il s’agit d’argent. Environ 280 milliards d’actifs russes sont à ce jour gelés à l’étranger. Sur cette somme, seulement 5 à 6 milliards se trouvent aux États-Unis. L’impact y sera donc limité. En revanche, 210 milliards sont gelés en Europe. Si les pays européens suivent la voie américaine, et c’est bien ce qui est recherché par les États-Unis, certes les Américains verront leurs investissements couverts, mais les pays européens, eux, s’écrouleront. Les conséquences financières, et politiques, seront colossales. C’est bien la raison pour laquelle, pour l’instant, ils hésitent encore à faire le grand saut, malgré des pressions américaines de plus en plus fortes. Dans la logique américaine, les pays européens prenant le gros de la réaction russe, libèreraient les États-Unis d’une grande partie des représailles et les actifs russes spoliés formellement par les Européens financeront in fine l’industrie militaire américaine, c’est-à-dire l’économie américaine. Les Européens seront encore une fois les dindons de la farce. « Les BRICS pourraient tenter de créer une nouvelle monnaie de réserve constituée d’un panier pondéré de leurs monnaies. (Or) Cela n’est pas nécessaire et pourrait entraîner des tensions entre les membres des BRICS en raison de différends sur les parts de chaque monnaie dans le panier. Une monnaie de réserve n’est plus nécessaire. Une monnaie de réserve était nécessaire à la fin de la Seconde Guerre mondiale, car les autres économies industrialisées étaient détruites. Comme les États-Unis étaient la seule économie intacte, le rôle est revenu au dollar américain. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Les banques centrales peuvent conserver leurs réserves sous la forme des devises de leurs partenaires commerciaux. Ce que cela signifie pour Washington, c’est que les États-Unis vont commencer à avoir des problèmes de financement pour leurs importants déficits budgétaires et commerciaux. Tant que le dollar était la monnaie mondiale, les banques centrales étrangères gardaient leurs réserves dans la dette du Trésor américain. À mesure que les déficits budgétaires et commerciaux des États-Unis augmentaient, les réserves du système bancaire mondial augmentaient également. La situation est en train de changer. Si une douzaine de pays représentant environ la moitié de la population mondiale et 40 à 45 % du PIB mondial cessent d’utiliser le dollar, le marché des banques centrales étrangères pour la dette américaine se contracte considérablement. Ayant délocalisé leur production, les États-Unis sont désormais dépendants des importations. La diminution de l’utilisation du dollar signifie une diminution de l’offre de clients pour la dette américaine, ce qui signifie une pression sur la valeur d’échange du dollar et la perspective d’une hausse de l’inflation due à la hausse des prix des importations. » (Paul Craig Roberts, économiste américain) Des pays exportateurs de pétrole ont tenté à trois reprises de cesser de vendre leur pétrole contre des dollars : l’Irak, la Libye et dernièrement la Russie. Nous savons ce qui est arrivé à l’Irak et à la Libye : ils ont été bombardés jusqu’à annihilation. Mais une telle option n’est pas possible à l’égard de la Russie ayant l'arme nucléaire, le missile hypersonique, la meilleure armée du monde, une autonomie économique, des ressources énergétiques importantes et une alliance avec la Chine, même lorsqu’en plus elle annonce s'éloigner du dollar comme monnaie de réserve et dans le commerce international pour s'orienter avec ses partenaires vers un système de relations internationales hors de la zone ou du système dollar. À en juger par la façon dont une réunion de Genève a résonné dans toute l’Europe, les effets de ce changement se font fait beaucoup sentir. La russophobie coûtait déjà cher : ceux qui s’y adonnent ne parviennent pas à obtenir la remise pour client fidèle. Les Européens de l’Est qui pensaient avoir un brillant avenir en jouant les chiens de poche russophobes de l’Oncle Sam ont tiré cette leçon d’eux-mêmes de la manière la plus dure et la plus douloureuse qui soit. Dans ce sens, la partie de l'Ukraine russophobe n’a même pas été un sujet de discussion lors du sommet de Genève. Conformément à l’adage d’Oscar Wilde selon lequel « il n’y a qu’une seule chose dans la vie qui soit pire que de parler d’elle, c’est de ne pas en parler ». De plus avec Nord Stream 2 ayant été terminé, il n'est donc pas étonnant que les USA aient organisé la guerre en Ukraine et la destruction des ces gazoducs synonyme de gaz peu cher. Cependant il est très étonnant que ce plus gros problème économique car énergétique pour l'Europe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale ait été déplateformée des télévisons et radios mainstream. Par la création des tensions jusqu'à la guerre dans l'est de l'Ukraine et à Gaza, l'empire américano-sioniste cherchait à mettre toujours plus de sanctions contre la Russie afin d'affaiblir son économie comme par la guerre en Syrie et en Azerbaïdjan, mais aussi à préserver des présidents comme Macron, continuer la guerre hybride mondiale de l'occident atlantiste anglo-saxon et favoriser principalement les Etats-Unis. D'ailleurs concernant le laboratoire expérimental qu'est Gaza, on peut désormais parler de guerre de 5e génération, puisque des drônes-sniper avec reconnaissance faciale y ont été déployé de même que des drones-suicide associé à l'IA, ce qui signifie que des machines peuvent désormais tuer toute forme de vie dans un territoire donné (possiblement jusqu'au Grand Israël), et que l'humanité est encore proche d'un grand danger. Il n’est donc pas utopique d’imaginer un avenir dans lequel des légions de drones, dirigées par un seul opérateur, s’affrontent sur le champ de bataille. Des drones de reconnaissance, d’attaque, kamikaze et de soutien utilisés simultanément pour accomplir différentes tâches, comme c’est déjà le cas sur les champs de bataille en Ukraine. La réduction du nombre de soldats en première ligne permettrait de diminuer considérablement le risque de pertes humaines. En outre, la vitesse et la précision des drones assureraient une plus grande efficacité des attaques et un risque moindre de causer des dommages collatéraux. Toutefois, ce scénario soulève également d’importantes questions d’éthique et de responsabilité. La déshumanisation de la guerre pourrait conduire à un abaissement du seuil de conflit, et donc à un recours accru à la force. En outre, la réduction, voire l’absence, de contrôle humain direct sur les drones pourrait rendre difficile l’attribution de la responsabilité des éventuels dommages collatéraux. Si, à première vue, l’idée de centaines de drones tournoyant autour du champ de bataille, dirigés par un seul legatus legionis, peut sembler relever de la science-fiction, le développement rapide de la technologie en fait une réalité de plus en plus imminente. Or les armes EMP pourrait régler facilement le problème. Mais le premier porte-drone qui est chinois prouve actuellement leurs avantages stratégiques, car les drones ne sont pas chers, sont équipés d’explosifs performants, et sont une arme redoutable par leur capacité de saturation donc de faible coût, et ainsi un outil idéal d’attrition (d’usure) des armées occidentales très technologiques. La guerre hybride signifie qu'elle est totale et sans limite comme contre la Russie, la Palestine et toute nation insoumise. C'est à dire qu'elle se bat à tous les niveaux, dont manipulant des gouvernements, orientant des armées publiques, utilisant des armées privées de mercenaires par procuration, militarisant des civils comme à travers des milices ou des médias privés, se servant de sanctions économiques, et bloquant de nombreux journalistes indépendants ou médias alternatifs. Dans ce sens, le sacrifice de l'Ukraine a poussé les européens à rejeter fortement la Russie de l'Europe au profit des Etats-unis et de l'OTAN revalorisés. Surtout que la mise en service du gazoduc russe Nord Stream 2 en lien avec l'Europe n'ayant pu être établi suite à son sabotage et que l'augmentation du prix de l'énergie qui en a suivi rendant compétitif le gaz de schiste et gaz liquéfié américains, permet au camp americano-wahhabo-sioniste d'espérer vendre son gaz à l'Europe. D'autant plus que cette ressource pourrait devenir la source d'énergie principale du 21e siècle dont possiblement selon un hadith, si ce n'est pas le nucléaire modernisé et plus propre qui le devient. En effet les milliardaires de la tech s’emparent silencieusement de l’énergie atomique pour alimenter leurs projets d’intelligence artificielle. (En sachant qu'il existe une guerre similaire de l'impérialisme US contre le nucléaire civil français en Europe, dont car fournissant des réacteurs nucléaires à divers pays d'Europe de l'Est.) Or l'ouverture du gazoduc Nord Stream 2 baisserait instantanément le prix du gaz, calmerait les tensions et tendrait voire parviendrait à la fin de la guerre. Voici un extrait édifiant d’un article du site mondialisation.ca datant de novembre 2012 en partie sur la guerre en Syrie, article qui prend une nouvelle couleur lorsqu’on le met en perspective avec le conflit russo-européen de 2022 : « De plus en plus tout porte à croire que le gaz est le vrai fond du problème de la guerre contre la Syrie. C’est à partir de fuites émanant d’un géant pétrolier occidental que le quotidien Al-Akhbar a obtenu des informations fiables sur les détails d’un projet qatari soutenu par les États-Unis, et concernant la construction d’un nouveau gazoduc qui transporterait le gaz du Qatar vers l’Europe via la région syrienne de Homs. Cette ville et sa région sont donc le « nœud » ou le « cœur géographique » de ce projet qui, du même coup, offrirait des avantages stratégiques à la Turquie et à Israël dans l’équation du commerce gazier mondial. Ce nouveau gazoduc devrait emprunter une « voie terrestre » qui démarre du Qatar, traverse le territoire saoudien, puis le territoire jordanien en évitant ainsi le territoire irakien, pour arriver en territoire syrien et plus précisément à Homs (voire aussi en Israël afin d'y faire partir une portion sous-marine vers l'Europe pour éviter que trop de nations prennent des droits de passage). À partir de Homs le gazoduc devrait bifurquer dans trois directions : Lattaquié sur la côte syrienne, Tripoli au nord du Liban (ou en Israël donc), Turquie. Le but principal de ce projet est d’acheminer le gaz qatari et israélien vers le continent européen pour le distribuer à toute l’Europe, avec un triple objectif. Le premier : casser le monopole gazier russe en Europe. Le second : libérer la Turquie de sa dépendance du gaz iranien. Le troisième : donner à Israël une chance d’exporter son gaz vers l’Europe par voie terrestre et au moindre coût. ... Toujours selon les mêmes sources, la Russie aurait informé le Liban qu’elle ne sera pas d’accord avec ce dernier projet d’exploitation du gaz méditerranéen avant d’obtenir des garanties de l’Occident lui attestant qu’il ne chercherait pas à changer le « régime » en Syrie ; exigence qui ne serait nullement incompatible avec la poursuite des travaux de prospection gazière par des sociétés russes dans le secteur (syrien ou libanais). Ceci, parce que ces sociétés ne doivent pas s’absenter au moment du boom gazier méditerranéen ; sans oublier que l’Iran, l’Irak, et la Syrie ont un projet commun partant de leurs propres territoires. Il consiste tout simplement à ce qu’un gazoduc iranien, traverse l’Irak pour arriver à Homs, avant de bifurquer vers Lattaquié et Tripoli… » Depuis l'intervention spéciale de la Russie en Ukraine, les USA sont même de retour à Raqqa et Israël tire encore plus de missiles vers la Syrie. D'ailleurs le vendredi 27 mai 2022 Sergueï Lavrov a déclaré lors d'une réunion avec des responsables de régions russes : « L'Occident a annoncé une guerre totale contre nous, contre le monde entier russe. ... On peut dire avec certitude que cette situation est avec nous pour longtemps. » Comme il a déjà été vu, la guerre en Ukraine entretenue par l'Occident cherchait aussi à enliser la Russie dans une guerre supplémentaire à celle de Syrie dont car étant les grosses premières guerres russes depuis celle en Afghanistan où beaucoup de soldats russes combattent au sol et pour lui mettre encore plus de grandes sanctions, afin de finir par la dominer financièrement dont pour la faire quitter la Syrie au profit des sionistes voulant le grand Israël (c'est ce qui est d'ailleurs arrivé) et dans l'espoir que cette déstabilisation de la Russie y provoque un changement de régime favorable à l'occident voire une fragmentation territoriale, surtout que la Russie est un des dernier pays à pouvoir empêcher l'empire occidentale américano-wahhabo-sioniste de triompher. D'ailleurs il faut comprendre que la Russie d'après l'URSS et d'avant Poutine correspondait en grande partie à ce que l'Occident politique voulait d'elle, puisqu'elle était exploitée ou plutôt volée par les libéraux. Et sans poutine et avec la destruction du proche Orient, il serait rester la Chine à dominer quoiqu'elle aurait pu vite se soumettre et donc faire aussi voler dont à cause de position d'empire du milieu et de son pacifisme. C'est pourquoi le rôle de l’État Hébreu dans les diverses crises aux frontières de la Russie n'est pas étonnant, en particulier donc en Syrie, en Ukraine et en Azerbaïdjan. Pour l’axe de la Résistance irano-libano-syrano-irakien, la guerre Ukraine/Russie demeure une reproduction à la lettre près du complot anti-Syrie de 2011 qui oppose en réalité les USA-OTAN à la Russie, c'est à dire le mondialisme face au souverainisme, l'impie et oligarchique laïcisme progressiste face au pieux et populaire monothéisme chrétien. Effectivement, cela continue clairement d'avoir en ligne de mire la Russie elle-même, sa cohésion nationale, son économie, son armée, sa sécurité, voire son intégrité territoriale. Résumons nous : les intérêts russes ont commencé à être menacés par les séparatismes tchétchène (BHL a accouru), syrien (BHL a accouru), libyen (BHL a accouru), géorgien, kazakh, ukrainien (BHL a accouru), et azerbaïdjanais dont certains comme ce dernier sont liés à une volonté d'expansion turque. Dans ce sens, la souveraineté de la France considère comme inacceptables que les DOM, la Nouvelle Calédonie, la Corse, la Savoie, la Provence, le Pays Basque, la Bretagne et l'Alsace soient indépendantes, tandis que par son soutien comme celui des USA et de l'UE à l'Ukraine et à l'expansion de l'OTAN vers l'Est, elle menace la souveraineté des républiques Russes ou russophones. En effet tout alliance alliance militaire de nations à la frontière d'une nation est un grand danger pour cette dernière et la stabilité régionale voire planétaire, comme l'a prouvé l'origine de la première guerre mondiale et celle donc en Ukraine. Ce qui n'est pas étonnant car la France républicaine qui a en réalité été principalement soumise aux Anglo-Saxons ne pouvait qu'emboîter leur pas anti-russe. Mais quels idiots sont ces Macron, Biden Scholz et Leyen, surtout que vouloir mettre des missiles nucléaires en Ukraine à quatre minutes de Moscou est synonyme de pistolet sur la tempe de la Russie dont dan une lutte d'influence. D'autant plus que par son affaiblissement géopolitique et une grosse inflation, l’Europe paye aujourd’hui le prix de son alignement sur l’axe américano-sioniste, le prix de sa faiblesse politique, le prix de sa soumission au mondialisme, le prix de ses élites corrompues, et que la France et l'Allemagne sont déjà en économie de guerre alors qu'elles ne l'ont pas déclarée. Le conflit ukrainien a même désormais passé au profit des USA la laisse énergétique à la France, à l'Allemagne et à l'Union Européenne, après leur avoir passés les laisses monétaire, militaire, juridique et technologique : le post impérialisme européen est finalement l'impérialisme américain. Ainsi la cible des sanctions européennes contre la Russie, voulues, demandées voire organisées par les USA, pourrait en plus être le couple franco-allemand dont principalement l’économie allemande. En effet, il n’y a pas de gagnants en UE dans la guerre des sanctions avec la Russie voulue par les États-Unis. Or la dramatisation politicienne de l’économie de guerre en Europe dont suite à l'élection de Trump est une tentative de détourner l’attention des problèmes interne. David Baverez appelle à une réévaluation des priorités européennes, notamment en matière de défense et de production, pour éviter de devenir dépendant des États-Unis et de la Chine. Surtout que dans l’affaire ukrainienne, la France et l’Allemagne sont donc en train de tout perdre même si les Allemands tentent de poursuivre leurs achats de gaz russe. Le succès de l'économie allemande a été attaqué, car celui-ci était fondé sur une triple dépendance : à l'égard des Etats- Unis qui assumaient les coûts de sa défense, de la Russie qui fournissait à son industrie un gaz bon marché et de la Chine qui était à la fois sous-traitante, consommatrice et investisseuse. A l'image de la guerre Iran/Irak ayant affaibli ces nations avec la satisfaction américaine, l'idée des américains pourrait être de détruire les camps européen et russe, pour ensuite arriver sur les ruines comme lors de la première et la deuxième guerre mondiale, afin de profiter des matières premières et énergétiques, de s'ingérer dans la politique, le financier, l'économique et le militaire, et d'espérer leurs éclatements en pays plus petits au sein d'une organisation mondialiste supranationale, comme depuis la fin de la deuxième guerre mondiale puisque selon l'ONU il y avait 51 états dans le monde en 1945, puis c'est passé à 180 en 1990 et à 195 en 2024, même si actuellement, il n'y a que quatre grands états qui sont à l'origine des événements principaux dans le monde et les autres ne font que les suivre plus ou moins : USA, Russie, Chine et Israël. D'ailleurs l'effondrement de l'industrie allemande et donc d'une grande partie de l'économie européenne a lieu à cause de la destruction des gazoducs Nord-Stream II par les ukrainiens, les USA ou /et l'Angleterre. Surtout que cela permettrait aux Etats-Unis de voir s’éloigner leur terreur géopolitique cardinale : l’alliance germano-russe possiblement tournée vers la Chine, et qu'ils n'auraient plus ensuite qu'à s'occuper de la Chine, à reconstruire l'Europe, à piller les ressources naturelles russes et donc à asseoir définitivement leur hégémonie sur toute la Terre. Alors pourquoi l’Europe devrait se battre pour des intérêts US en Ukraine ?!! Ainsi le duo anglo-américain pousse donc bien très probablement l’Europe au suicide, et conjointement à l’affaiblissement des deux blocs russe et européen, dont car sans eux, la Chine ne tiendra pas longtemps seule face la prédation hégémonique ou plutôt totalitaire. Rappelons que, du point de vue américain, ce qui était « épatant » dans la deuxième guerre mondiale, c’est que l’Allemagne et la Russie se massacraient mutuellement. Or pour l'empire américano-sioniste, la guerre en Ukraine est aussi un terrain d’entraînement de l'Otan et de ses armes, tout en étant une étude de celles russes. De toute façon, l’Europe est en faillite économiquement, politiquement, éthiquement et spirituellement. Et avec le prix du gaz augmentant fortement voire avec des pénuries en Allemagne, cela permettrait en plus aux USA de se réindustrialiser, car les grands industriels allemands immigreraient vers eux, sauf s'ils comprenaient que le prix de l'énergie est beaucoup plus intéressant en Russie. Or comme l'Allemagne est le premier fournisseur industriel des machines outils à l'industrie de la Chine, les USA pourraient préférer l'effondrement de l'Allemagne dont à cause de l'augmentation du prix du gaz, afin donc d'affaiblir la Chine. En 2023, il ne s’agit plus de projet de société contre projet de société, de capitalisme contre communisme, mais de la vassalisation économico-énergético-militaire terminale de l’Europe, et de victoire définitive du laïque système néolibéral post moderniste occidental en Eurasie, voire aussi au Moyen Orient. Pour ce qui concerne la France, depuis toujours, l’Amérique essaye de nous faire haïr par le monde entier, car elle ne partage pas : ni les richesses ni l’admiration. La France, qui était autrefois respectée dans le monde, est devenue, sous l’égide du couple Sarkozy-Macron, une pauvre petite Amérique, haïe de l’Afrique, de l’Asie et de ses anciens grands partenaires historiques, la Chine et la Russie. Depuis 1945, en effet, la grande Allemagne est devenue un satellite de l’Empire américain. Et aujourd’hui, 82 ans après l’opération Barbarossa, elle entre à nouveau en guerre – via l’OTAN – contre la Sainte Russie, sous la pression d’une Amérique qui a détruit le cordon ombilical énergétique et essaie de détruire celui spirituel entre les deux grandes nations. Avant Lénine, à la fin du XIXe siècle, le socialisme français radical infuse la société russe, nourrissant les élans révolutionnaires. Depuis Poutine, c’est la Russie qui inspire les Français (patriotes) avec sa vision du monde... gaulliste ! Si les Français et les Russes ont été alliés pendant les deux guerres mondiales, ensuite, les Anglo-Américains ont à nouveau relancé leur jeu séparatiste. En attendant l’Europe se saigne déjà pour l’Amérique. Alors jusqu’où se saignera-t-elle pour des intérêts qui ne sont pas les siens ? Les Européens naïfs ont cru aux discours de « leur » présidente corrompue Ursula von der Leyen et de ses prédécesseurs, qui soutenaient en substance que l’UE était synonyme de paix, de démocratie et de croissance, alors qu'elle a été créé en partie à travers de descendants de nazis et même d'anciens nazis récupérés par l'occident pour leur pseudo importance intellectuelle, comme le premier président de la commission européenne Walters Hallstein était juriste pour la parti nazi d'Hitler et Hans Spiedel l'ancien un Général Allemand dans l’armée nazie pendant la deuxième guerre mondiale est devenu le commandant en chef des forces terrestres de l'Otan pour le « Centre Europe », les juifs doivent bien comprendre cela et donc que beaucoup de leurs élites sont perverses ou ont été infiltrées comme ça l'est aussi en partie pour le christianisme et l'islam. En effet nous Européens sommes aujourd’hui en guerre, en tyrannie et en décroissance. Sous prétexte d’écologie, on nous prépare à une violente décroissance, un futur sinistre où l’on disposera de moins d’énergie, de moins d’eau, de moins de nourriture, de moins de vie en somme. Pour cela, il faut faire comprendre aux masses humaines qu’elles sont responsables de la dégradation de la Terre et du climat. Et pour mieux les préparer à l’acceptation de leur propre disparition, rien de mieux que le chômage endémique (vous ne servez à rien), la dépression (vous êtes perdus), la perte de sens (il n’y a plus de Dieu), et les drogues (on oublie tout). Pour prétendument lutter contre le CO2 et avancer donc vers la décroissance, il a même été demandé à la quatrième région agricole d’Italie d’arrêter de produire. Ainsi ce rabaissement de l'Europe semble pouvoir aussi servir au cas où le mondialisme occidental ne triomphe pas et donc afin qu'elle s'effondre avant les Etats-Unis pour que ces derniers puissent s'adapter à ce nouveau paradigme. Et cette guerre de l’OTAN contre la Russie en Ukraine pourrait en plus être le moyen d'asphyxier économiquement la Chine (qui a d'ailleurs probablement pour cela anticiper le développement de son marché intérieur), c'est à dire en brisant une partie des routes de la soie, et donc en la coupant ou la tenant aussi éloignée de l’Europe comme la Russie. En effet la grande Amérique paraît savoir qu’elle a perdu la guerre contre le monde, surtout qu'acculée devant la montée de la puissance combinée sino-russe, qui est l'association de l’atelier du monde couplé à une importante et moderne puissance militaire et nucléaire qui possède les premières ressources minières et énergétiques du monde, elle n’a toujours plus que le chaos pour survivre même en l’installant encore en Europe via les sanctions contre la Russie. Or cela peut donc être finalement tout l'Occident qui s'effondre à cause de la guerre en Ukraine : Sapir, Todd et même Kissigner le savent : les PIB des pays occidentaux sont remarquables quantitativement, mais sont trompeurs qualitativement. Le secteur des services, qui pèse pour 80 % dans le PIB américain et français, compte peu en période de crise, quand on passe d’une économie de paix à une économie de guerre. La Russie, avec son secteur industriel pur de 25 %, réussit mieux la transition. L’Allemagne a la même proportion industrielle de 25 %, mais elle pèche du côté de l’énergie, dont les Russes ne manquent pas. Par conséquent, la vision occidentale d’une Russie économiquement et donc militairement faible parce qu’elle ne pèserait que 3,3 % dans le PIB mondial est une erreur : en vérité, la Russie pèse plus du double, et plus encore en cas de guerre, car elle dispose du combo énergie-production en plus de son lien à la Chine.
Ainsi l’objectif géostratégique central des États-Unis en Europe pourrait donc être finalement celui-ci : consolider, par un partenariat transatlantique plus authentique après un effondrement de l'Euro, la tête de pont états-unienne sur le continent eurasien, afin qu’une Europe américano-atlantiste puisse devenir un tremplin plus viable pour projeter en Eurasie l’ordre international mondialiste. En effet pour eux l’Eurasie et l’Asie centrale seront atlantiques ou ne le seront pas. Dans ce sens dont au détriment de la stabilité du monde, les mondialistes états-uniens cherchent même à évincer dangereusement la Chine des chaînes logistiques régionales et mondiales. Or cet énorme plan de Washington cherchant à vassaliser définitivement l'Allemagne, la France et la commission européenne de Bruxelles est très risqué, car cela conduirait à l’effondrement de la division du travail établie en Asie du Sud-Est, ce qui exacerberait la hausse des prix mondiaux et pourrait provoquer une crise dans des secteurs économiques entiers des pays développés, y compris les États-Unis. C'est à dire que malgré cela, le mondialisme espère tenir assez pour réussir ce plan. Ainsi l’effondrement des États-Unis, de l'Allemagne, de la France, de l'Union européenne et d'une grande partie du monde sont toutes recherchées par la bande mondialiste de Davos et la plupart des sionistes afin d'espérer passer à un stade supérieur de mondialisation ploutocratique. C'est d'ailleurs pourquoi en 20 ans, les Français ont subi trois chocs pétroliers si l’on peut dire. Le premier, c’est le passage à l’euro, avec une hausse des prix qui ne sera jamais compensée par la hausse des salaires. Le deuxième, c’est la crise financière de 2008. Et le troisième, c’est le pack écologisme-covidisme-ukrainisme, qui autorise toutes les répressions économiques, autrement dit le racket des ménages et des PME. Et on ne parle même pas des dépenses de santé qui augmentent, des mutuelles qui resserrent leurs contrats, et des assureurs qui durcissent par tous les moyens même les plus tordus leurs remboursements. De tous côtés, les ménages et les PME sont attaqués. La vraie guerre est là, et elle ne fait que commencer. Le Maire, Attal, Macron, Dussopt et compagnie mentent car ils n’ont pas le choix : la Banque, leur employeur, les presse de détruire le système social français, pour le remplacer par un système asocial à l’américaine. En effet cette politique de destruction ou de mise au pas de la France, devenue de plus en plus lisible, évidente et explosive, n’est donc pas le fruit du hasard ou d’idiots. C’est un projet, un projet de soumission totale de le France, dont la culture, l’histoire et l’esprit, ne cadrent pas avec les principes amoraux inhumains de l’Empire anglo-saxon, qui sont la prédation, la domination, l’uniformisation. Et au bout du compte, l’extermination. Combien de temps ce mensonge tiendra-t-il ? C’est toute la question, et la seule question politique du moment. Il est loin le discours d’Attali qui promettait en 1996 la paix, le plein-emploi et la croissance à 500 millions d’Européens grâce à l'UE... Or la guerre est proche, l’euro-chômage dépasse celui des années 30 et la décroissance productive est programmée. La Syrie et l’Ukraine sont deux champs de bataille à mettre en perspective générale par rapport aux grandes oppositions géopolitiques du monde, car l’affrontement des volontés y a précédé la bataille d’acier. La guerre peut être conventionnelle ou nucléaire, régionale ou à l’échelle mondiale. L’enjeu, c’est la domination globale des États-Unis sur tous les plans, ce que la Russie comprend en affirmant que l’affrontement en Ukraine peut être le début de la troisième guerre mondiale si son existence est encore plus menacée. Or la guerre en Ukraine peut aussi incarner la crise terminale du pervers nouvel ordre mondial puisque reflétant la cancel culture américaine contre le conservatisme russe chrétien associé au conservatisme chinois. Car l'occident est désormais moins puissant que le reste du monde économiquement. Ce qui pourrait être voulu par l'élite financière apatride messianique sioniste afin de pousser l’hémisphère nord blanc et chrétien (USA, Russie et Europe) à s'autodétruire financièrement, ou économiquement, voire nucléairement. D'ailleurs malgré que le soutien militaire aux nouvelles républiques indépendantes Donetsk et Lougansk aurait été suffisant pour les protéger de l'armée ukrainienne, si la Russie a envahi d'autres grandes régions, c'est probablement parce que cela aurait pu inciter le reste de l'Ukraine à entrer dans l'OTAN tel suite à un signe de faiblesse russe... Or comme de toute manière 150 000 hommes de l'armée Ukrainienne s'étaient réunis devant le Donbass et s'apprêtaient à y intervenir pour faire un nettoyage ethnique, alors que 900 000 citoyens russes y habitaient et que la Russie avait reconnu l'indépendance de ces territoires selon le droit international, cela a obligé le Kremlin à encercler cette armée, surtout que l'Ukraine était proche de créer sa propre bombe atomique probablement sale (voire d'installer des missiles nucléaires dans le Donbass par l'OTAN, c'est à dire à deux minutes de Moscou alors que la Pologne est à dix minutes) et avait un programme biologique militaire financé par les États-Unis. D'autant plus que le territoire de l’ancienne Ukraine, culturellement majoritairement russe, religieusement majoritairement orthodoxe, linguistiquement majoritairement russophone, historiquement majoritairement partie intégrante de la Russie, est un morceau originel de la Russie. Alors que la fédération de Russie se renforce et que l’Occident intolérant se rapproche de son propre effondrement de même que l'Ukraine intolérante, il est d'ailleurs naturel que la Russie commence à rassembler ses brebis égarées et ses fils prodigues dont donc russophiles ukrainiens, surtout que le démembrement de la Russie (division en plus petits états) après celui de l'URSS est recherché par l'occident oligarchique. Surtout que selon le ministre des affaires étrangères Sergueï Lavrov, le régime de Kiev avait délibérément interdit de parler russe dans l’est de l’Ukraine, et s'était donc déjà clairement engagé dans le racisme et l’inimitié avec la Russie. Le reproche fait à la Russie par les occidentaux concernant le non respect du droit international et de la souveraineté des États est donc honteux, surtout que la Russie a suivi le droit international et que l’Ukraine fait partie de sa zone de sécurité, et que par des guerres ou des déstabilisations politiques, l'Occident ne les a très souvent pas respectés ces dernières décennies dont en Yougoslavie, Irak, Libye, Syrie, Afrique et Amérique du Sud. Il faut en plus distinguer ceux qui ont déclenché la guerre en Ukraine de ceux qui l’ont rendue inévitable et comprendre donc que la destruction des installations militaires ukrainiennes et la démilitarisation de toute l'Ukraine était devenue logique, car certains protagonistes allaient y chercher une guerre d'usure et donc coûteuse pour la Russie. Surtout que cette démilitarisation de l'Ukraine correspond aussi probablement au début éncessaire de la démilitarisation de la dangereuse finance internationaliste jusqu'à sa neutralité. En effet contre le progressiste mondialisme satanique ploutocratique, la guerre comme nécessité et comme une chance pour la survie du monde était devenue inévitable. Il est intéressant de voir à ce sujet l'article « La City et Wall Street jouent le sort du monde en Ukraine » à l'adresse https://lemediaen442.fr/la-city-et-wall-street-jouent-le-sort-du-monde-en-ukraine/ , et l'entretien « Russie, OTAN, Ukraine : La guerre à nos portes – Romain Bessonnet dans le Samedi Politique » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=fnXrgGie0AU Mais on peut même parler de libération de l'Ukraine au moins de l'Est puisque tenue par des bataillons néonazis et des straussiens. Le Philosophe juif Leo Strauss dont de nombreux adeptes sont des hauts responsables de l'Ukraine avait affirmé indispensable pour le peuple juif d’instaurer lui-même une dictature mondiale pour échapper à une « nouvelle Shoah ». Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Vladimir Poutine déclare la guerre aux (juifs) Straussiens » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Vladimir-Poutine-declare-la-guerre-aux-Straussiens-67423.html La réponse à la question de savoir pourquoi la Russie a attendu si longtemps pour envahir l'Ukraine depuis le coup d'Etat de Maidan de 2014 qui a continuellement bombardé les populations de l'est de son pays, c'est qu’elle n’était pas prête : l’économie russe n’avait pas encore été blindée contre toutes les sanctions possibles ; elle devait être indépendante d'une dette usurière ; son autonomie alimentaire devait être certaine ; toutes les méthodes diplomatiques pour résoudre le problème n’avaient pas été essayées ; ses nouvelles armes n'avaient pas encore été testés ; son armée n’était pas encore prête à gérer simultanément cette guerre avec celle en Syrie ; et le droit international de reconnaissance des états du Donbass et de Lougansk de légitime défense n'était pas encore activé. Or la crise en Ukraine pourrait aussi s'agir d'un scénario plus ou moins arrangé pour renforcer le globalisme occidental dont à travers une expansion de l'OTAN et de l'UE, stabiliser la nation ukrainienne en faillite à cause d'une énorme corruption, changer du sujet de l'oppressive gestion condamnable du covid, trouver un bouc émissaire pour l'inflation liée au poison de la planche à billet et possiblement faire grandir la Russie et donc le globalisme eurasien (ou seulement asiatique) mais d'abord dans le but d’agrandir le globalisme occidental avec ce renforcement de l'UE, de l'OTAN et de l'Occident mondialiste. En effet le conflit en Ukraine est plus ou moins accepté par l'Occident et/ou la Russie probablement aussi car il s'y trouvait trop de corruption déstabilisant son système national et menaçant donc l'ordre international. D'ailleurs vu le niveau économique et financier du Liban, sa reprise en main par l'axe américano-sioniste guerrier est possiblement un scénario accepté similairement, sauf que c'est dans un sens contraire, puisque Israël appartient au camp du mal et la Russie appartient au camp du bien. Ce qui signifierait qu'il existe des règles dans l'évolution du scénario géopolitique. C'est à dire que quand une nation est trop corrompue ou/et désunie, elle finit par se faire dominer par l'axe américano-sioniste et donc le camp du Mal, et lorsqu'une région comme le Donbass reste pieusement unie, elle finit par entrer dans le camp du Bien. Dans ce sens la Moldavie est entrée dans l'UE et la Géorgie est devenue pro-russe, dont car cette dernière comme toutes les autres anciennes républiques soviétiques limitrophes de la Russie l'anti-modèle qu'est devenu la révolution de Maiden et ses conséquences jusqu'à la guerre en Ukraine et ses pseudos valeurs LGBT. (En sachant que des tensions croissantes en Géorgie ont été signalées, avec des groupes antigouvernementaux cherchant à s’organiser en groupes de résistance contre les forces de l’ordre. Cette fois, ce n'est pas nationalistes d'extrême droite comme en Ukraine, mais des individus ressemblant à des Black Blocs d'extrême gauche, souvent vus dans les manifestations en Europe occidentale, ont affirmé leur intention de s’organiser en groupes de résistance. Cette situation laisse présager une possible escalade des manifestations et une tentative de révolution de couleur, similaire au Maidan ukrainien.) Et en sachant que sinon, lorsque des pays comme le Liban qui était bord du gouffre économique est détruit par Israël ou l'Ukraine très corrompue économiquement et donc aussi au bord du gouffre est en partie détruite par la Russie, cela permet généralement ensuite de relancer son économie, surtout si la corruption s'arrête. Après avoir déclaré le mardi 6 septembre 2022 qu’à cause des importantes livraisons vers l’Ukraine, les stocks de matériel militaire des pays de l’Union européenne étaient à un niveau « très bas », le chef de la diplomatie européenne a d'ailleurs conseillé aux 27 États membres de procéder à des achats groupés de matériels militaires, ce qui est une forme de début d'Europe de la défense. Or cela peut être un leurre puisque le Traité de Lisbonne a attribué la défense européenne à l'Otan et donc aux Etats-Unis, ce qui est très étonnant puisque le centre de décision sur ce qui se passe en Europe est ainsi non européen. Il pourrait donc s'agir d'un nouveau partage du monde plus ou moins entendus. C'est en tout cas ce qu'il faut espérer comme le plus probable car le moins pire militairement et donc le mieux pacifiquement même si une guerre économique à mort est actuellement aussi très probablement en cours dont pour parvenir au grand reset voulu par les mondialistes oligarchiques, et surtout car cela pourrait annoncer le retour proche de Jésus sans troisième guerre mondiale. En effet le sacrifice de l’Ukraine telle une pièce d’échec pourrait aussi être voulu par les mondialistes pour mensongèrement attribuer à la Russie, les conséquences du libéralisme corrompu volant la souveraineté des Etats, l'affaiblissement économique généralisé suite à la gestion néfaste du covid, la raison principale de l'inflation que les banques centrales et de nombreux gouvernements ont créé dont particulièrement par les planches à billets, la préservation de l'Europe dans l'influence américaine, le sacrifice des populations pour les marchés financiers, la prétendue nécessité de continuer massivement la perverse planche à billet, la justification de l’effondrement économique, et donc l’orientation inexorable vers le grand reset, sinon la future régularisation des bourses gravement déconnectées gravement du monde réel. Or la forte inflation liée à la crise du covid grandement amplifiée par la guerre en Ukraine provient aussi avant tout des sanctions occidentales. Accusé Poutine de tout facilite aussi l'entrée dans une économie de guerre, alors qu'il s'agit d'une étonnante décision politique française ou européenne, puisque les USA entretiennent eux toujours des liens avec la Russie pour le pétrole, le blé et la station spatiale internationale. « Surtout que cette invasion russe sert à renforcer le protectorat des USA sur l'UE et donc à en faire un débouché commercial encore plus important pour leurs armes et leur médiocre gaz de schiste liquide. Pour triompher, se maintenir voire s'effondrer en dernier, les USA sont prêts à se battre jusqu'au dernier ukrainien mais aussi européen. Le sacrifice des européens sera le prix à payer pour que les USA les défendent : étonnant... » (Chaîne youytube « Trouble fait ») Or le Great Reset pourrait arriver au moment de l'effondrement de l'UE suite à une hyper inflation. Les responsables gouvernementaux parlent de « pic » pour l’inflation. Mais celle-ci durera tant que ses causes sont toujours présentes : les planches à billets massives de la banque centrale pour financer les déficits budgétaires des nations (qui ne diminuent pas), la transition énergétique qui renchérit le prix de l’électricité (dont à cause du coût des éoliennes que l’on continue d’installer), les sanctions irréfléchies prises contre la Russie (s’imposer un blocus, c’est original), les pénuries (gaz, pétrole, semi-conducteurs), et désormais la baisse du cours de l’Euro. En face, la timide remontée des taux d’intérêt initiée par la BCE ne pèse pas bien lourd. En effet l'efficace première mesure d’exception pour fixer les prix en cas d'hyperinflation ou risque de guerre est la taxation des profits des grandes entreprises afin de financer les dépenses additionnelles prévues pour mettre en place un fonds de protection de la baisse des charges domestiques et un fonds de défense nationale qui sont deux éléments clefs. C'est d'ailleurs ce que Viktor Orbán a fait après avoir expliqué que dans les circonstances actuelles (guerre en Ukraine et inflation des produits de première nécessité dont alimentaires et énergétiques), la hausse des taux bancaires et des prix proposés par les multinationales leur permettaient des marges plus élevées. Il faut noter que la Russie a une économie réelle car productrice, alors que l'économie occidentale est virtuelle car basée sur la spéculation et l'usure d'une hyper classe volant jusqu'à la classe moyenne. C'est pourquoi en plus des sanctions depuis 2014 qui ont poussé la Russie à un saut qualitatif nationaliste dont par la construction de machines outils agricoles et un système bancaire propres, elle représente logiquement l'exemplaire fer de lance noble des pays voulant préserver leur souveraineté et donc leur liberté et leur dignité face au pervers mondialisme.
-narratif donc contre la Russie appauvrissant et centralisant encore plus économiquement la France en particulier suite au covid, va probablement durer plus longtemps et aggraver plus fortement que celui du covid surtout si il est saupoudré de ce dernier. Avec ces sauts qualitatifs importants fréquents et généraux, il est clair que les temps s'accélèrent comme prophétisé, et que la grand reset peut arriver plus rapidement que vers 2030. Reste à savoir si les nobles orientations géo-économique proposées par l'axe russo-chinois l'empêcheront et triompheront. L’astuce occidentale va donc être de poutiniser l’inflation ne profitant qu'aux ultra riches, la centralisation de l'économie et la paupérisation qui figurent entre les lignes dans le programme de la Banque, qui mange sur notre dos, et qui a d’ailleurs commencé à dévorer notre dos. La Banque actuelle est cannibale, elle se moque que nous vivions bien ou mal, du moment qu’elle augmente ses profits, dont par l'usure. Pourtant en France pendant le covid, les grandes fortunes ont engrangé 236 milliards, ce qui correspond quasiment à ce que l’État réclame aux français pour ses aides et prêts bancaires de 2020, alors qu'ils avaient été empêchés de travailler. De plus comme l'intervention russe en Ukraine provient d'une expansion très abusive de l'OTAN, de perversions économiques mondiales très importantes, d'institutions internationales très corrompues, de messianismes religieux très pervers, et d'une hégémonie américano-sioniste très affaiblie, c'est bien probablement un grand pas de plus effectuer dans la fin des temps. Surtout qu'il y a actuellement en Ukraine un très dangereux lien énormément manipulateur entre sionisme et nazisme, car similairement à la deuxième guerre mondiale lorsque Hitler fut financé en grande partie par la finance sioniste et oligarchique anglo-saxonne, puisque le Président Ukrainien Zelinski est juif et certains de ses bataillons sont nazis. L'organisation de la guerre par procuration et la destruction morale des peuples par un messianisme immoral (laïciste, mondialiste, oligarchique, sioniste, wokiste, indigne, vulgaire, transhumaniste, impie) synonyme de fin de l'humanité continuent de pire en pire. Comme le gouvernement ukrainien ne propose pas de trêve ni de négociation à cause des USA, le président Poutine a apparemment seulement le choix entre : .entrer massivement mais prudemment dans Kiev, c'est à dire si possible seulement par quelques petites vagues au cas où il y aurait une bombe atomique, et seulement si la guerre devait se prolonger. .se satisfaire de l'Est et du Sud de l'Ukraine sans Kiev, bien qu'avec le temps cela pourrait changer si aucun accord de paix partageant l'Ukraine n'est trouvé, surtout que l'Ukraine non libérée (en particulier les régions russophobes de l'Ouest de l'Ukraine pouvant créer de la résistance civile et souvent contrôlées par de grands groupes néo-nazis) pourrait continuer de bombarder les populations civiles libérées, et que cela est plus que probable suite à huit ans de bombardements sur sa propre population civile depuis 2014 et suite au lâche assassinat immonde de Daria Douguine, un leader brillant, orthodoxe et reconnu de la jeune génération de conservateurs russes, remarquable journaliste, politologue, chercheur en philosophie antique, et fille aimante de son célèbre père le philosophe Alexandre Douguine. En effet c'est un flagrant signe d’indignité et d’impuissance dans les zones de combats en Ukraine, surtout qu'elle n'était pas une militaire mais une journaliste indépendante qui devait donc être considérée comme innocente. Ainsi ceux et celles (dont des journalistes mainstream) qui se sont réjouis de son assassinat ne peuvent être que des diables. C’est une preuve de l'agonie de l'empire américano-sioniste et donc du système occidental impie ainsi que des mondialistes affairistes le composant principalement. Il sait très bien qu’il en répondra, mais dans une haine satanique frénétique, il essaie de rendre la chose aussi douloureuse que possible. Tuer le plus cher, le plus pur, le plus sincère, le plus russe. Et cette fois, il a réussi. Il s'agit d' « un crime ignoble et cruel a mis fin à la vie de Daria Douguine, une personne brillante et talentueuse avec un vrai cœur russe : gentil, aimant, sympathique et ouvert », a déclaré Poutine dans un message à la famille de Daria publié par le Kremlin. Or grâce au très digne espoir d'Alexandre Douguine que le martyr de sa fille soit source d'une profonde force noble et pieuse pour les russes en particulier les militaires (et espérons-le pour tous les combattants du Bien dans le monde), et comme selon un enseignement religieux les pages du destin dont dans le bien comme dans le mal que nous recevons sont désormais sèches auprès de Dieu, cela pourrait être l'interprétation principale de ce très douloureux et très triste événement. C'est à dire que le forces du Bien sont les plus nobles, les plus pieuses, les plus fortes et donc les meilleures quand elles vivent et agissent avec le filament ultra sensible présent dans le très fin et très profond centre du cœur que la mort de Daria a incontestablement révélé ou touché. Les forces du bien ont donc passé un cap important, surtout que si cet attentat fait de l'Ukraine un État terroriste pour la Russie, le droit international au niveau de la guerre disparaît ainsi donc que d'éventuelles négociations pour un armistice, ce qui signifie que sur le plan juridico-militaire l'objectif peut désormais être l'élimination du régime ukrainien. Et comme cet assassinat odieux incarne presque le meurtre de la pureté, de la gentillesse, de la douceur, de la grâce, de l'intelligence, de la finesse, de la simplicité, de la vaillance, de l'enthousiasme et de l'enjouement de la mère jeune de Jésus, mais aussi son martyr, il faut prier pour que cela apporte au monde aussi beaucoup de bienfaisance, de volonté de justice, de foi, de dignité, de piété, d'effort et de combat que les sacrifices de Jésus qui était un homme, mais également beaucoup de vérité dont concernant les importantes réalités métapolitiques, multipolaires et eschatologiques actuelles à connaître en particulier par rapport au rôle de la Russie dans le monde contre l'impie globalisme. Surtout que ce sont des raisons pour lesquelles elle a été assassinée, d'autant plus qu'étant jeune elle jouait un rôle dans le réveil des jeunes générations de plusieurs nations. Daria était donc une pieuse orthodoxe construisant notre temps qui a été assassinée par les impies forces détruisant notre monde. Daria recevra donc très probablement la Satisfaction divine, le martyr et donc le plus haut niveau du Paradis pour cela, c'est à dire la plus haute récompense. Et comme le réveil mondial contre la mal s'amplifiait déjà auparavant, son martyr pourrait donc faire passer les militaires russes et les forces mondiales du bien à un stade ultime de certitude, de volonté et de bravoure pour la foi, la justice, la meilleure noblesse, la charité et le monothéisme. Concernant l’assassinat de Daria Douguine, il est aussi intéressant de lire l'excellent article « Que l’optimisme eschatologique de Daria Douguine continue de nous guider – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/06/que-loptimisme-eschatologique-de-daria-douguine-continue-de-nous-guider-pierre-antoine-plaquevent/ En effet selon cet article, Daria était aussi solaire et irradiait donc naturellement ceux qui la côtoyaient de son être intérieur, de sa foi, de sa piété, de sa culture et de son agréable personnalité positive, joyeuse et fraîche. Cela ne pouvait que générer une jalousie diabolique dans les rangs du Malin et chez certaines sorcières à son service. Quelle leçon pour toute la sorcellerie du féminisme mondialiste ! En revenant à la géopolitique et à ce choix possible de Poutine, la Russie pourrait donc se satisfaire de l'Ukraine utile (Sud et Est), car il est clair que ces zones sont russophiles alors que le reste est sauvage ou/et ukronazi. Ce qui donnerait l'Ouest à l'Union Européenne ou/et à l'Otan possiblement en l'intégrant dans la Pologne. Or comme l'Ukraine est fortement corrompue, il ne serait pas étonnant que même dans ces régions, les anti-corruptions de mêmes que les corrompus changent de vestes en devenant des pro-russes. En effet après avoir laissé des corrompus participer à un système politique comme celui de l'Ukraine, il ne faut pas s'étonner que ces corrompus trahissent ce système dès qu'il rencontre de gros problèmes, surtout que mentir sciemment pour une mauvaise cause apporte la compréhension qu'on ne peut pas mourir en martyr pour elle. .réussir de bonnes négociations avec l'Ukraine, mais elle paraissent désormais inutiles, car la propagande anti-russe y restera à jamais, et la disparition de l'Ukraine par une totale conquête territoriale russe ou un partage avec la Pologne devient donc nécessaire, quoique cette dernière solution signifierait l'entrée de l'Ukraine dans l'Otan, ce qui parait trop dangereux, puisque si les ukrainiens continuaient ensuite de bombarder la Russie, cela conduirait à une guerre probablement nucléaire entre l'Otan et la Russie. Le Ministre des affaites étrangères russes Lavrov est d'ailleurs arrivé à New York pour une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies portant sur l’Ukraine et la tête de Zelensky en donnant un dernier avertissement pour résoudre le problème ukrainien aux conditions de Moscou avant la grande offensive russe, car «il est encore temps». Même s’il semble en rester très peu. Bien évidemment, Sergueï Lavrov n’a pas parlé directement de l’offensive décisive de l’armée russe en Ukraine qui ne saurait tarder. Cependant, la réunion à laquelle il participait a été organisée à la demande de la Russie et devait clairement servir à exprimer devant les membres de l’ONU la position définitive de Moscou sur l’Ukraine destinée aux incendiaires occidentaux. Lavrov a ainsi indiqué au monde entier qu’il y avait deux raisons existentielles pour lesquelles Moscou ne pouvait arrêter l’opération militaire spéciale avant d’avoir atteint ses objectifs. Parce que «si cette opération devait subitement cesser, alors le régime de Kiev panserait ses blessures puis reprendrait sa course à l’extermination de tout ce qui est russe et de l’identité russe présente sur cette terre depuis des siècles, à la fois culturelle, historique et religieuse». C’est un premier point. Deuxièmement, le régime de Zelensky ferait toujours plus la promotion d’un nationalisme total étranger à la majorité de la population ukrainienne, réprimerait la dissidence, renforcerait la dictature, et les occidentaux «continueraient à regarder ce qui se passe en fermant les yeux et à se taire en guise d’approbation», car ils ont besoin de ce type artificiel d’Ukraine pour lutter contre la Russie. .s'arrêter donc au Dniepr si c'est validé par un accord de neutralité et de démilitarisation de l'Ukraine avec l'interdiction de partis nazis. En effet si l’Ukraine se démilitarise réellement, la Russie pourrait alors parvenir à un accord permettant à une force de paix voire à l’OTAN d’entrer en Ukraine en sécurité jusqu’au Dniepr. Surtout que les territoires russes du Donbass jusqu'au Dniepr ont voté pour élire Poutine et donc confirmer leur rattachement voulu à la Russie, et que l'Ukraine garderait donc un accès à la mer noire dont via la région d'Odessa. En sachant que cette possibilité et donc la fin de la guerre seraient certaines si les pays occidentaux et l'OTAN arrêtaient de fournir des armes à l’Ukraine. D'ailleurs l’effondrement complet de la capacité de combat ukrainienne serait une solution possible de terminer la guerre, car cela s’accompagnera presque certainement de l’effondrement de l’architecture politique qui repose exclusivement sur ces capacités militaires – et non sur une quelconque légitimité politique. Ce que Moscou ne peut pas prévoir, c’est comment et sous quelle forme ce démantèlement pourrait se produire. Il faut espérer que cela soit repris par un gouvernement pro-russe. D'ailleurs suite aux États-Unis qui ont humilié Zelensky mondialement, le mouvement d’extrême droite antirusse né en Ukraine en 2014 a pris fin. .Vu l'espoir du Sud global sur la multipolarité de l'axe russo-chinois et la perte d'influence russe en Syrie, si l'Ukraine n'est pas totalement démilitarisée, il vaut mieux la conquérir jusqu'à Odessa voire plus et affaiblir l'Occident par des dépenses militaires, surtout que la Russie pourrait ainsi faire passer son gaz vers l'Europe via la Roumanie. En effet suite à la chute de Bachar al-Assad en particulier suite aux grosses sanctions économiques occidentales, la Russie devrait récupérer toute l'Ukraine au moins donc jusqu'à Odessa, afin de redonner une grande confiance aux pays du Sud Global, dont car elle sera ensuite libre et avait pourtant auparavant réussi à maintenir la Syrie jusqu'à l'abandon des généraux même avec sa guerre en Ukraine, d'où l'importance pour ces pays du Sud Global de s'unir pour contourner de futures grosses sanctions éventuelles comme en Syrie, motiver pieusement leurs troupes et de préparer des militaires à récupérer la place des généraux fuyant. .prendre toute l'Ukraine pour éviter une escalade de troisième guerre mondiale nucléaire dont suite à des frappes ukrainiennes sur des civils avec des missiles occidentaux. Surtout que selon la nouvelle doctrine militaire, suite à l'approbation pour que l’Ukraine utilise des missiles à longue portée, Moscou peut légitimement riposter par le tir de missiles nucléaires contre l'Ukraine, mais aussi contre les bases militaires des pays permettant les tirs longue portée de l'Ukraine. Or « Je tiens à souligner une fois de plus que l’utilisation de telles armes (missiles à longue portée vers le territoire russe) par l’ennemi n’est pas en mesure d’affecter le déroulement des opérations de combat dans la zone de l’opération militaire spéciale. Nos troupes progressent avec succès sur toute la ligne de contact combatif. Toutes les tâches que nous nous fixons seront accomplies. » (Vladimir Poutine, Président de Russie) .si des missiles occidentaux sont trop nombreux vers la Russie, des forces militaires occidentales vont soutenir au sol l'armée ukrainienne ou si certaines de leur piste de décollage permettent à des avions ukrainiens d'aller tuer des soldats russes, tout en voulant préserver le combat au sein du territoire ukrainien dont le Donbass, mais en recherchant au final l'entrée de l’Ukraine dans l'Otan en cas de victoire ou en bombardant des territoires russes, la Russie pourrait après avoir effectué une frappe nucléaire tactique en Ukraine sur un site militaire comme l’île au serpent voire en Europe sur un site vide tel un coup de semonce devant faire prendre conscience sérieusement des énormes risques d'une escalade, régler le problème en rasant nucléairement une petite ville voire des grandes villes d'Ukraine de l'ouest, pour éviter la troisième guerre mondiale (et finir donc quand même par démilitariser, neutraliser et dénazifier l'Ukraine, en sachant que selon les accords de Minsk initiaux, il devait en plus ne plus exister de complexe militaro-industriel, ni de blindés, ni d'Otan, ni de forces armés étrangères en Ukraine), sauf si cela est empêché par les combats et trop nombreux morts d'armées occidentales comme ceux français (surtout que le nombre de soldats de l'armée professionnelle française est insuffisant et donc que la conscription de quiconque pourrait advenir dont des jeunes), voire par un ou des missiles russes frappant la France après que des forces militaires françaises aient frappé les forces russes, voire donc par la Russie ayant réussi à retourner l'opinion publique occidentale contre leurs gouvernements. L'ambassadeur russe à Londres a d'ailleurs annoncé qu’il a été dit à l’ambassadeur britannique que l’utilisation de missiles anglais contre la Russie conduirait désormais la Russie à se réserver le droit de riposte sur des installations militaires britanniques au Royaume-Uni même et dans le monde, ce qui serait encore plus légitime en livrant des armes à des pays tiers pour frapper les intérêts occidentaux. De plus les F16 étant des avions à double casquette (bombes conventionnelles et bombes nucléaires) et, par conséquent, si l’un d’eux intervient dans le ciel ukrainien, la Russie a dit qu'elle tapera sur sa base où se trouvent les aménagements pour le nucléaire, qu’elle se trouve en Roumanie ou en Pologne. .récupérer la Novarussia et conserver la neutralité de l'Ukraine tout en lui demandant donc un changement de régime si un accord n'est pas trouvé. Surtout qu'avec l'invasion du territoire russe à Koursk par les ukrainiens, cela devient de plus en plus possible, quoique cette invasion a servi à multiplier par deux le nombre de volontaires russes, ce qui va à l'encontre de l'espoir ukrainien de déstabiliser la Russie par cette invasion, alors que si les ukrainiens et occidentaux n'étaient pas entrés dans la wokisme dont une de ses particularités est la déconsidération de l'histoire, ils auraient su que ce n'était jamais arrivé en Russie. .et si la Russie est envahie sur son territoire, Poutine peut utiliser la dissuasion nucléaire. Surtout que la destruction des infrastructures électriques ukrainiennes par l'armée russe désormais est un avertissement similaire à l'attaque d'une bombe nucléaire, afin de montrer le sérieux de Poutine concernant sa possibilité d'utiliser l'arme nucléaire pour protéger la Russie et le monde du mondialiste empire americano-wahhabo-sioniste, d'autant plus que possiblement par ordre divin, car la Russie ne peut perdre cette guerre ou plutôt cet empire impie ne peut triompher selon le scénario divin pour l'humanité. « A ce jour, les atlantistes ont subi une double défaite contre la Russie. Militairement, après avoir fait violemment reculer la Russie dans les premiers mois de cette phase active de la guerre, la Russie a tout d’abord stabilisé le front et avance, lentement mais sûrement. Idéologiquement, la déglobalisation, encore impensable fin 2021, s’installe dans le pays et force les élites globalistes russes encore au pouvoir soit à s’adapter, soit à faire profil bas. L’intérêt pour l’Ukraine n’a pas changé et son importance dans le jeu géopolitique entre le monde global et la Russie n’a pas baissé miraculeusement. C’est toujours l’angle d’attaque pour frapper la Russie au cœur. C’est toujours le conflit primaire, car la Russie présente un danger existentiel et civilisationnel pour le monde global, à la différence de la Chine qui n’est qu’un concurrent commercial. Et c’est bien pour cela que Trump annonce un appel téléphonique rapide avec Poutine, et c’est bien pour cela qu’il ne cesse de parler de négociations, sans rien préciser de concret par ailleurs, pour faire monter et l’intérêt et l’attente. La Russie en aura-t-elle le courage politique et se donnera-t-elle les moyens militaires de sa paix durable ? En tout cas, ce n’est pas Trump, qui va lui offrir sur un plateau. Alors comment régler la question ukrainienne aujourd’hui ? La reconnaissance juridique des nouvelles frontières de la Russie, qui est déjà en soi irréaliste pour l’Occident, laisse de toute manière ouverte la question du reste du territoire. Comment garantir qu’il ne soit pas réarmé (et qu'il soit dénazifié) ? Comment garantir la présence d’un gouvernement politique, qui ne soit pas une marionnette atlantiste et qui ne soit pas dirigé ensuite vers la Russie ? La Russie a le choix de négocier maintenant et de se battre pour les miettes, que Trump voudra bien lui laisser, ou de remporter une victoire militaire et d’établir de faire signer leur capitulation aux armées atlantistes. Ce n’est pas tout à fait la même « paix », qui en ressortira, ni pour la Russie, ni pour le monde. Car dans le premier cas, la globalisation continuera à exister, donc le danger sera toujours présent et le combat reprendra. Dans le second cas, nous pourrons établir un nouvel ordre international, qui ne soit pas celui de la globalisation. » (Karine Bechet-Golovko) Or c'est la résilience économique et sociale des deux partis en conflit qui pourrait désigner le vainqueur. Mais selon Xavier Moreau, la Russie a déjà gagné la guerre en Ukraine, car elle a su défendre ses intérêts stratégiques dans la région. Or il explique que l’Ukraine a été utilisée comme un pion par les États-Unis et l’OTAN dans leur stratégie contre la Russie, et que Moscou a réagi en conséquence pour protéger sa sécurité nationale. « À l’époque de la guerre froide, une équation complexe s’est dessinée. Les puissances occidentales, tels des funambules au-dessus du précipice, ont choisi la prudence plutôt que l’audace. Leurs pas hésitants, guidés par une conscience aiguë du danger, les ont maintenues en équilibre précaire. Nul « esprit de défaite » ne les a paralysées, mais plutôt une inflexible lucidité. Car entrer en guerre ouverte avec Moscou, c’était risquer l’embrasement généralisé, la conflagration nucléaire, l’anéantissement mutuel. Les heures les plus sombres de la guerre froide ont vu les protagonistes se défier, se jauger, mais jamais franchir la ligne rouge(, ce qui paraît beaucoup moins clair aujourd'hui). Les pacifistes, jadis porteurs de l’étendard de la paix, sont même désormais insultés, affublés des étiquettes de « lâches », de « poutinistes » ou de « pétainistes » (par le médiatico-politique). Ironie cruelle, ces épithètes proviennent de ceux-là mêmes qui, tels des architectes de l’obscurité, érigent en France un régime de plus en plus totalitaire et orwellien tout en cautionnant les dérives bandéristes du régime de Kiev. Surtout que ce sont les grands corrompus qui veulent la guerre aujourd'hui, et la guerre mondiale, afin d'enfouir leurs énormes méfaits sous un énorme méfait mondial. Les gens respectables condamnent donc naturellement le génocide en cours en Palestine, quand les non-respectables tentent, sans succès, de nazifier le mouvement pour la paix. Avec ces derniers, on est chez Orwell. Dans la presse française, on est pris en étau entre les injonctions du pouvoir profond et du pouvoir visible – c’est-à-dire le combo CRIF-Macron – et la rue, cette France chrétienne qui ne supporte pas que le fort écrase le faible et en plus accuse le faible de tous les maux. « On l’a vu avec Trump : les pacifistes sont toujours considérés comme des nazis. Celui qui veut l’humanité cuite au nucléaire (péril chinois, russe, arabo-iranien, nord-coréen, etc.) est le héros humanitaire et démocrate et nobélisable. En ordonnant à Sarkozy de détruire la Libye riche de pétrole et antisioniste plus pour le camp américano-sioniste, BHL précisait qu’il le faisait parce qu’il détestait la guerre. Toute ressemblance avec la novlangue, etc. Après la guerre Céline se désignera comme pacifiste. Mais les pacifistes sont alors les nazis, comme Charles Lindbergh et les partisans d’America First en Amérique (Hitchcock les accuse de nazis les pacifistes ricains : voyez mon livre). John T. Flynn reprochera à Lindbergh sa bourde du 11 septembre (tiens, tiens, c’est le jour du honni discours de Des Moines !) lorsque Lindbergh accuse le gouvernement américain, les Anglais mais aussi les Juifs de pousser à la guerre. C’était la fin pour les pacifistes américains, et ils seraient nazifiés ad vitam. Depuis lors toutes les interventions militaires sont jugées favorablement et célébrées en Amérique. C’est le Truman (Harry) chaud qui commence ! Raser et bombarder le monde au nom de la lutte contre la barbarie. Sinon on est nazi. Évidemment on pourrait dire que l’on se paie de mots et qu’on n’ira pas loin. Le grand scénariste Dalton Trumbo était opposé à l’intervention contre l’Allemagne jusqu’au 22 juin 41. Il était communiste, et il croyait au pacte germano-soviétique. Il dit aussi dans une autre lettre notre écrivain : « Je n’ai jamais été nazi. Je suis un pacifiste et c’est tout. J’ai été antisémite par pacifisme. » Cela suffit à diaboliser le pacifisme. D’où les guerres à mort à venir contre la Chine ou la Russie etc. Trump devra faire guerre ou il sera tué et remplacé : par amour de la paix. L’économiste-philosophe-historien-pacifiste juif libertarien Murray Rothbard souligne cette infamie avec le sourire. Mais c’est hélas somme ça. C’est parce qu’on adore la paix partout qu’on veut la guerre, la guerre universelle. Il faut faire un monde sûr pour la démocratie dit le couillon Wilson qui brise l’Europe et crée en 1918 le soviétisme et les conditions du nazisme. Mais rien ne les arrêtera. (Surtout que quand un pacifiste n’est pas traité de nazi, il est traité de lâche. Mais il faut espérer que les peuples contiendront les gouvernements.) » (Extraits de l'article « Céline et la malédiction du pacifisme – Nicolas Bonnal ») Dans ce paysage où la pensée unique s’impose, où les raisonnements binaires se multiplient, la population française a déjà été malmenée lors de l’épisode COVID. Les confinements, les restrictions, les discriminations et les incertitudes ont laissé des cicatrices profondes. Alors que les vents de la guerre se lèvent à l’horizon, il ne fait désormais nul doute que ce caractère totalitaire s’accentuera, tel un étau se resserrant sur notre liberté et notre dignité. Quand les temps se durcissent, les mots se font lames et les discours se muent en armes. Tandis que les tambours de la guerre résonnent, la France retient son souffle, se demandant si elle sera emportée par la tempête ou si elle saura résister. » (François Dubois) Il s'agit donc d'une situation où la troisième guerre mondiale peut se déclarer avec une grosse étincelle, pouvant même être un attentat sous faux drapeau dont de messianistes très égarés, mais heureusement pour le moment les dirigeants des grandes nations comprennent l'immense indignité d'une guerre nucléaire. Ainsi il se dégage trois options aux réalités extraodinaires : grosse amplification rapide du globalisme messianiste jusqu'au grand reset, changement de paradigme mondial vers le multipolaire voire l'Eden terrestre complété, ou troisième guerre mondiale messianiste à cause des milliards d’aides militaires se débloquant pour l’Ukraine, de la dangereuse immense lutte économique inédite actuellement, d'un combat idéologique semblant à mort, des médias soufflant sur le feu et de l’annonce de Poutine qu’il ira jusqu’au bout pour défendre son pays. Poutine a d'ailleurs dénoncé : « L'Occident n'a pas besoin d'un pays comme la Russie, c'est pourquoi ils ont soutenu la cinquième colonne (sioniste, ultra libérale, Lgbtiste, mondialiste ou/et oligarchique), le séparatisme et le terrorisme en Russie. » « La cinquième colonne et le régime des réformateurs libéraux russes des années 1990 sont synonymes. Ce pouvoir de l’oligarchie russe lié aux États-Unis est devenu une cinquième colonne lorsque Vladimir Poutine a accédé à la présidence et qu’il a redonné à l’État sa centralité et récupéré ce qui lui a été volé par des oligarques souvent d’origine juive. Cette cinquième colonne se divise en deux catégories, selon Douguine : une cinquième colonne qui s’oppose ouvertement à Poutine, notamment par des manifestations de rue ; et une autre, sournoise, composée d’oligarques, de politiciens, de fonctionnaires, d’analystes, d’experts, de dirigeants communautaires, de propriétaires de médias qui ont trouvé le moyen, même en étant atlantistes et même radicalement anti-Poutine, de rester dans le régime politique, après l’arrivée de Poutine et sa politique patriotique. La seconde catégorie, qui est autour de Poutine, qui le soutient, et que Poutine maintient en place, est la plus dangereuse, car elle accompagne ses actions dans le sens des intérêts atlantistes, et parfois même sabote ses réformes et ses mesures patriotiques visant à renforcer la souveraineté russe. » (Youssef Hindi interrogé par le journal « Rivarol ») Ainsi Poutine a déploré que l'Occident ne cherche pas seulement à frapper l'économie russe, mais voulait également créer la sédition et le chaos en Russie. De plus il a déclaré : « On dit que nous avons déclenché la guerre dans le Donbass, mais ce n'est pas le cas. Cette guerre a été déclenchée par l'Occident, qui a soutenu (à notre frontière) le coup d'État armé illégal en Ukraine en 2014, puis le génocide des habitants (russophones) du Donbass. » Dans ce sens Biden a même déclaré que les Russes voulaient le modèle intelligemment neutre de la Finlande pour l'Europe, mais qu'ils ont donc finalement eu le modèle OTAN, surtout que du matériel militaire s'installant un peu partout dans les pays de l'OTAN européens est déjà en cours. Un occidental embargo économique presque total contre la Russie, la fermeture des espaces aériens avec elle, une censure de temps de guerre, une forte propagande de guerre, la rupture imminente des relations diplomatiques, la tentative de vol des réserves d’or de la Russie, l'appel à la création d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine, la remise en cause par la Turquie atlantiste de la Convention de Montreux et la pression de l'OTAN, sont d'ailleurs toutes des actions éminemment anti-russes poussant vers une escalade irréversible des tensions, genre une troisième Guerre mondiale dans l'espoir que comme la Seconde et dans sa suite, ce soit la mise au pas voire la dislocation de la Russie, l'enterrement vivant de l’Europe chrétienne et la réussite du projet mondialiste, oligarchique et sioniste. Comme il a déjà été vu, si la guerre en Ukraine a eu lieu, c'est aussi très probablement car l'hégémonie américaine voulait empêcher les routes modernes de la soie pour lutter contre l'hégémonie chinoise. C'est à dire que la hideuse séparation du mur de Berlin au siècle dernier se reforme à Kiev, mais de manière plus grande. En effet cette fois par le sang des ukrainiens qui en est donc le prix à payer, le rideau de fer tente d'avoir les dimensions d’une Grande Muraille de Fer de 3 500 km allant du golf de Finlande au golf persique pour endiguer l'eurasisme. (En sachant qu'il faut le lier à la ceinture supérieure du Rimland dans laquelle il y a des crises comme en Ukraine, Haut-Karabakh et Xinjiang, coupant le lien entre Europe, Russie, Chine et Iran. Comme ces régions en crise, le Moyen-Orient se trouve sur la bordure de l’ensemble russo-chinois dont les Etats-Unis cherchent l’encerclement, car les projets de grands développements eurasiatiques s’y multiplient et entrent en concurrence avec les USA, provoquant des points de tension. Seule la perspective d’une destruction nucléaire mutuelle freine encore l’escalade meurtrière entre l'Occident et l'Eurasie. Entre les deux mais aussi entre la droite conservatrice lourdement et très négativement sioniste et la gauche pro-palestinienne lourdement et très négativement lgbtiste, la France n’offre plus de troisième voie et se retrouve coincée entre le communautarisme d'une part et des élites vendues au millénarisme globaliste d'autre part. Pour en sortir, elle devra renouer avec sa souveraineté stratégique et rejoindre le concert des puissances réalistes, celles qui placent l’État et le politique au centre de la nation et du système des relations internationales.) Or ce rideau est une catastrophe européenne, mais pas américaine. C'est à dire que cette guerre économique de l’OTAN contre la Russie en Ukraine pourrait bien être aussi un moyen d’essayer d'asphyxier la Chine économiquement en brisant donc une partie des routes de la soie, particulièrement en coupant celles permettant de la tenir éloignée de l’Europe de même que pour la Russie. Il est intéressant de voir à ce sujet l'intéressante vidéo « S'élève la Grande Muraille de Fer » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=26k0GwC9924&list=WL&index=3 Cette nouvelle muraille immense se voit d'autant plus en scrutant les événements dans des pays autour de la Russie : Moldavie, Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan, Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Finlande et Suède. En effet les États-Unis et Israël veulent faire perdre l'influence de la Russie particulièrement dans ces pays limitrophes avec elle, dont en les déstabilisant et en imprimant quelques centaines de millions de dollars pour soudoyer et corrompre leurs élites. Dans ce sens, on peut encore évoquer la campagne médiatique menée par Israël sur la guerre d'Ukraine, qui incite ouvertement à la haine envers la Russie. Par conséquent, le rôle du régime sioniste au côté de Kiev et de Washington au détriment de la Russie ne fait plus de doute. Surtout que le régime d’Israël voulait atteindre les limites du Grand Israël et donc impérativement sortir la Russie de Syrie, et c'est ce qui est arrivé. Lors de la cruciale année 2022, la guerre principale de l’Empire américano-sioniste unipolaire s'est donc révélée sur trois fronts contre le monde non-aligné, à savoir la Russie, la Chine et l’Iran multipolaires ayant de nombreux liens économiques internationaux. C'est pourquoi un nombre croissant de pays ne suit plus aveuglément les Américains mise à part logiquement l’Union Européenne corrompue. Même les pétromonarchies du Golfe diversifient leurs dépendances sécuritaires, dont auprès de la Russie, après avoir essayé d'obtenir le parapluie nucléaire israélien... Le 21 mars 2022, le président Biden ne s’est pas caché de cette lutte d'influence planétaire. En effet devant un parterre de chefs d’entreprises, il a déclaré : « C’est le moment où les choses changent. Il va y avoir un Nouvel Ordre mondial et nous devons le diriger. Et nous devons unir le reste du monde libre pour le faire. » C'est à dire que lors de cette réunion trimestrielle des PDG de la Business Roundtable, un lobby des dirigeants des grandes entreprises américaines dont font partie General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan, Bank of America, Boeing, FedEx, Exxon Mobil, Johnson & Johnson, Joe Biden a annoncé vouloir diriger le nouvel ordre mondial comme s'il ne cachait plus son objectif et motiver les troupes. Ce nouvel ordre pourrait couper le monde en deux blocs hermétiques, c'est à dire via une coupure telle que nous n’en avons jamais connue, sans comparaison possible avec le rideau de fer de la Guerre froide. Ce n'est pas étonnant car l'économie casino qui est déployée depuis des décennies par l'occident ne pouvait mener qu'à cette grande crise mondiale. Or si les nouvelles routes de la soie sont devenues essentielles pour la stabilité et donc le développement voire la survie du monde, mais que des zones de conflit les empêchent dont à cause de l'empire américano-wahhabo-sioniste, il apparaît encore une fois que la réapparition d'un Califat islamique bien guidé est nécessaire dont clairement vu sa positon géographique. L’évolution du conflit en Ukraine est très significative, car donc deux mondes s’y opposent : le monde des pays souverains porté par la Russie et la Chine, et celui de la globalisation écrasée par l’Atlantisme voulant empêcher l’Europe de se rapprocher de la Russie et de la Chine. Même si les armes grondent sur le territoire ukrainien, c'est bien un conflit mondial, car l’existence et la disparition de l’un de ces deux mondes est en jeu, comme le prouve donc la réaction très violente de l’Occident dont à travers son blocus financier et économique contre la Russie. C'est à dire que même selon la Maison Blanche, la Russie est désormais un paria de la globalisation économique et financière. Ce qui prouve que c’est bien un combat pour la globalisation qui se mène, surtout suite à la tentative d’isolement géographique avec la fermeture du Ciel de l’UE et d’autres pays à la Russie, aux sanctions politiques contre les dirigeants russes qui bloquent le fonctionnement d'organisations supranationales comme l’ONU, à l’isolement de la Russie par rapport aux grandes manifestations sportives dont avec l'interdiction de son drapeau, quand elle y participe, au blocage de la diffusion des médias russes dans le monde libre, etc. Dans ce combat de géants, l’Ukraine n’est donc effectivement pas l’enjeu principal, même si elle est une vitrine résumant le combat général et qu'elle a été son détonateur. En effet, c'est un détonateur travaillé depuis des années qui a fini par révéler clairement l'oppressif système géopolitique américano-sioniste unipolaire et donc totalitaire à travers l'oubli wokiste, mondialiste et ploutocratique, puisque ayant montré qu'il refuse l'existence d'un grand pays exemplaire comme la Russie préservant son histoire, ses richesses, ses traditions, sa culture, son autonomie économique et son orthodoxie chrétienne, et donc une grande partie de l'Histoire de l’humanité. Selon l’analyse politique de Christof Lehmann d'il y a plus de dix ans : « Des collègues américains du Pentagone m’ont dit, sans équivoque, que les États-Unis et le Royaume-Uni ne permettraient jamais que les relations entre l’Europe et l’Union soviétique (la Russie) se développent au point de remettre en question la primauté et l’hégémonie politiques, économiques ou militaires des États-Unis et du Royaume-Uni sur le continent européen. Un tel développement sera empêché par tous les moyens nécessaires, c'est à dire jusqu'à provoquer une guerre en Europe centrale s'il le faut. » Voilà, c’est écrit noir sur blanc. Washington ne va pas se laisser faire ni jouer le mort pendant que de nouveaux centres de pouvoir se développent sur la planète. Ce n’est pas ce qui va se passer. Les États-Unis vont identifier les nations qui pourraient leur causer des problèmes et faire tout ce qu’ils peuvent pour les écraser. C’est ainsi que fonctionnent les empires. Ils n’attendent pas qu’on les fasse tomber de leur piédestal. Ils prennent le taureau par les cornes et agissent de manière préventive. Le secrétaire adjoint à la Défense des USA Paul Wolfowitz a d'ailleurs articulé les rouages de la politique étrangère des États-Unis comme suit : « Notre premier objectif est d’empêcher la réémergence d’un nouveau rival, sur le territoire de l’ancienne Union soviétique ou ailleurs, qui représente une menace de l’ordre de celle que représentait autrefois l’Union soviétique. Il s’agit d’une considération dominante qui sous-tend la nouvelle stratégie de défense régionale et qui exige que nous nous efforcions d’empêcher toute puissance hostile de dominer une région dont les ressources seraient, sous un contrôle consolidé, suffisantes pour générer une puissance mondiale. » Cela correspond à la doctrine fondamentale qui guide la politique étrangère des États-Unis, c'est à dire identifier les menaces potentielles à l’hégémonie des États-Unis, puis les anéantir sans pitié.
-grand reset financier recherché prétendument pour effacer les dettes, alors qu'elle seront seulement diminuées avec la condition honteuse que le pouvoir des ultra riches mondialistes augmente beaucoup dont au niveau supranational, même au détriment des autres. Alors qu’en temps normal il suffit d’une petite proposition de loi (liberticide ou antipopulaire) sur un sujet mineur pour déclencher les foudres des syndicats, le soulèvement des partis, les hurlements des députés et les pétitions des people, et que là la France plonge dans les profondeurs d’une crise économico-sociale sans précédent amenant à ce grand reset, l’opposition officielle regarde ailleurs. C’est tellement surréaliste qu’on a du mal à y croire. Rares sont les personnalités politico-médiatiques qui osent dire tout simplement aux Français, en état de sidération durable, ce qu’il se passe vraiment : on bascule dans la tyrannie mondialiste d’une collusion entre multinationales, institutions mondialistes ou européistes et gouvernements corrompus. Ces derniers étaient depuis des années secoués par l’insoumission des peuples dont les gilets jaunes, des peuples régénérés et regonflés politiquement par les échanges horizontaux structurants sur l’Internet, qu’ils ont fini par opter pour le pire : détruire la démocratie (ou ce qu’il en restait) par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, afin de diminuer la contestation, imposer leurs décisions sataniques, appauvrir le pays pour conserver leur pouvoir, étouffer la liberté d’expression pour garder la main sur la parole publique, et actionner la répression à la moindre demande de justice. Avant que ces potentats ne finissent dans les poubelles ou les fosses de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû sortir (mais ils ne sont que le salaire de l’ignorance et de la crédulité des peuples), il faudra résister en bloc, échanger sous les radars et organiser la défense. Dans la guerre désormais ouverte entre une oligarchie déchaînée et les peuple, les français disposent de plusieurs armes : .le nombre : la plupart des Français vaccinés ne l’ont pas fait pour des raisons sanitaires ou parce qu’ils croyaient à la propagande politico-médicale, mais bien parce qu’ils voulaient continuer à vivre normalement ; .les réseaux sociaux : même s’ils sont soumis à une censure inégalée, ils sont acquis à la résistance ; .la rue : les manifestations maintiennent la pression et entretiennent le sens du collectif ; .le travail de conscientisation politique et d'amélioration religieuse. C'est important car comme Jean-Paul Brighelli l'a dit : « Le Covid est la maladie qu’attendait le post-libéralisme. Un prétexte pour restructurer complètement l’économie capitaliste. » En effet il ne s'agit pas d'une remise à zéro de l’économie pour de meilleurs conditions de travail ou de vie, c’est un anéantissement des forces économiques dites traditionnelles pour laisser la place à la néo ou post économie, celle qui satisfait la Banque et le pouvoir profond. Le système veut répandre cela comme une transition vers une nouvelle normalité basée entre la crise financière, le Covid, le vaccin, l'inflation, la sionisme, le wokisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, l'effondrement économique et l'acceptation des peuples. La même chose s’est opérée aux États-Unis au début du 20e siècle quand l’organisation traditionnelle économique, basée sur des cellules de production familiales, a dû laisser la place, par la force et par la publicité (du pseudo bonheur vanté par les magazines), au grand esclavage du travail industriel, qui a fait sortir le fier artisan de chez lui pour le transformer en ouvrier éteint contrôlable par le salariat, cet esclavage rémunéré. Stuart Ewen a décrit ce processus de destruction à la fois sociale, économique et humaine, ce premier Grand Reset de l’époque dite moderne, dans son ouvrage « La Société de l’indécence ». Mais comme cela a au final facilité le progrès scientifique et donc amené le confort, cela n'a donc rien à voir avec la tyrannie oligarchique en plus possiblement populicide du grand reset. De plus ce futur grand reset serait prétendument aussi un changement de paradigme vers un monde numérisé beaucoup plus écologique et moins consommateur dont d'énergie, alors que la demande en pétrole revient fortement et le prix du gaz permettant de ne pas avoir froid l'hiver augmente. Pour s'établir en faveur de la tyrannie du big money, ce grand reset se sert du big tech, du big brother, du big data, du big market, du big buisness, du big bank, du big pharma et du big média. Ainsi toutes les longues crises économico-sociales sont d'abord le seul moyen d'affaiblir les grandes économies et donc nations car cela détruit leurs mécanismes de défense, afin de les faire accepter plus facilement l'agenda du grand reset unipolaire mondialiste dont avec les petites qui suivront servilement, sauf si ces grandes et petites nations s'orientent vers la multipolarité proposée par l'axe russo-chinois. Et comme ce grand reset, qui est un renforcement déguisé du système mondialiste actuel, devra se faire en rapport avec les aspirations populaires, les crises entretenues et donc prolongées comme celles du Covid (occidentale), de l'inflation et de la guerre en Ukraine sont aussi des ingénieries sociales servant à fatiguer les peuples pour diminuer ces aspirations. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'ARNAQUE du Grand Reset » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ&t=328s Extrait de l'interview de Lucien Cerise à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-Nous-allons-entrer-dans-le-royaume-de-la-deglingue-definitive-et-de-l-effondrement-62824.html : « Une ingénierie sociale et une fabrique de l’opinion sont clairement en cours avec la grande réinitialisation de l'économie et de nos cerveaux par le système. Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Son action est le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution. (Dans ce sens, la tyrannie masquée crée le chaos car le peuple réclame toujours l'ordre et donc son autorité, au moins le temps que cette manipulation se révèle clairement, et le pouvoir oligarchique qui est contre les français divise ces derniers pour que lui ne se soit pas considéré comme leur ennemi principal.) En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. Or pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus. Ce que l’on appelle le « risque » est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Selon Ellen Brown c’est ce cercle de représentants des banques centrales des G7 et de Black Rock qui se voit plusieurs fois en semaine à New York qui serait responsable de l’application et de l’extension du confinement Covid et des mesures Covid. Cela s’est passé presque simultanément dans un très grand nombre de pays qui sont sous tutelle des G7 à partir de mars 2020. Donc les explications sociologiques et psychologiques sont intéressantes, mais il faut aussi regarder les conditions économiques et financières qui sont déterminantes. Et arrêtons de trop exagérer l’importance de Davos. Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif. De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire. … Le monde peut donc sombrer dans l’inintelligence artificielle pouvant avoir de bugs ou être trafiquée et le stade terminal de l’idiocratie si les pieux ne s’approprient pas la blockhain et la cryptomonnaie décentralisée synonyme de perfection économique. Surtout qu'avec le covid, le mondialisme supranational ploutocratique peut désigner l’abolition de toute régulation commerciale d'une nation possiblement jusqu'à l'interdiction de la liberté d'entreprendre. » Or avec l’aide des Big Data et des nouvelles technologies, l’OTAN entend même modifier non pas ce que pensent les individus mais leur manière de penser, et ainsi faire de tout un chacun une arme. De même les mondialistes du forum de Davos vont se servir du Big Data pour tenter d’arriver à leur fin comme le prouve cette citation de la revue « The Economiste » qui est lié au Rothschild : « les données sont plus précieuses que le pétrole. » Or comme le Big Bata prouve que l'information est une richesse et les réseaux sociaux la maîtrise de plus en plus, cela signifie que les américano-sionistes et mondialistes la perdent et qu'ils n'ont plus que l'argent comme avantage, et sont donc affaiblis. Dans l'essai « Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle » issu d’un think tank, l’OTAN dresse les contours d’un virage stratégique majeur qu’elle s’apprête à effectuer. Jusqu’à présent, l’organisation transatlantique définissait cinq domaines opérationnels pour ses activités militaires, à savoir : la terre, la mer, les air, l’espace et le cyber-espace. Mais pour les têtes pensantes de cette alliance, les conflits présents et à venir ne seront plus seulement « cinétiques », c’est à dire cantonnés au mouvement et à la destruction physique, mais se situeront (et se gagneront) ailleurs. D'ailleurs la technocratique corporatocratie occidentale des oligarques provient de l'expansion du réseau des ONG et des médias qui a déjà assuré la colonisation d'une grande partie de l’esprit collectif même des anciens peuples captifs de l’Empire soviétique. La « thérapie de choc », l’instauration du régime de libre-échange, l’imposition de prêts exorbitants, la privatisation de masse et la libéralisation des prix ont quant à elles assuré la colonisation économique. Le diktat des vainqueurs de la Guerre Froide après l'effondrement de l'Union Soviétique a imposé le paradigme libéral comme une idéologie unique à caractère axiomatique ayant généralement produit l’uniformisation et la vassalisation du spectre politique dont dans l'espace ex-communiste. L’imposition de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce, à l’Union européenne ou/et à l’OTAN ont achevé le processus de soumission de la plupart de ces pays ex-communistes. La crise des subrprimes, le Covid, les mesures sanitaires, l'inflation, la crise énergétique et la guerre en Ukraine ont elles servi à faire souffrir les peuples occidentaux en particulier européens pour leur faire accepter plus facilement le grand reset, cette utopique convergence ploutocratique d'intérêts d'oligarques pervers au niveau occidental voire mondial. Ce qui prouve que ce sont les pays parmi les plus riches qui sont principalement visés, surtout aussi car leurs peuples sont potentiellement les plus capables de se rebeller et d'empêcher le grand reset mondialiste une fois réveillés ou/et plus soumis. Et vu tout ce qu'aujourd'hui il y a à prendre en compte comme l'évolution scientifique, humaine, religieuse, économique, énergétique et autre, le futur est de moins en moins contrôlable par des think tanks à la différence de Dieu L'Omniscient. Cependant les élites perverses organisant le grand reset lié au progressisme et au mondialisme pensent follement ou veulent faire croire sataniquement que l'Histoire humaine est une évolution illimitée, puisque son but final serait de fusionner notre identité physique, digitale et biologique, dans une forme de transhumanisme numérisé n'ayant pas de limite jusqu'à la robotisation des hommes, et signant donc la fin de la nature humaine. « L'humanité est passé par quatre époques : une époque où le monde vivait sans machine, puis avec des machines, puis avec des machines remplaçant l'homme, puis l'homme devenant (dangereusement) une machine (transhumaniste, en sachant que des microprocesseur ont déjà été installés dans une boîte crânienne). » (Virilio) C'est pourquoi tout humain en particulier monothéiste doit dénoncer toute cette perverse idéologie mondialiste transhumaniste, surtout qu'elle sera entièrement contrôlée par les oligarchies corrompues.
-néolibéralisme, étant de la régression sociale et historique, puisqu’on efface un bon siècle de victoires populaires – chèrement acquises – contre la Banque. Et là, on ne parle pas des banques de dépôt, même si elles ne sont pas toutes innocentes (voir l’affaire Clearstream), mais des banques d’affaires qui gagnent gros sur la revente des meilleurs morceaux de la France au plus offrant (BlackRock). Et tant pis pour les effets secondaires de cette politique, à savoir la casse sociale : c’est l’État qui gère le merdier, avec de plus en plus de flics, forcément. C’est pour ça que la Banque ne peut pas être patriote : elle est par essence mondialiste, transfrontalière. Les nations, pour elle, sont un obstacle majeur. Il faut soit les soumettre, soit les détruire, au cas où elles n’accepteraient pas son pouvoir. La paupérisation que les Français subissent actuellement, c’est le pendant du profit de la Banque vivant de l'endettement : crise des subprimes, quoiqu'il en coûte Covid, sanctions rétroactives contre la Russie, aide financière à l'Ukraine, etc... Pour prétendument se désendetter, l'État revend même le patrimoine français. Mais qui détient la dette ? À qui profite le crime ? L’ultralibéralisme détruit l’État protecteur des plus faibles au profit des plus forts, des plus riches dont étrangers, même s'ils payent vraiment la taxe foncière. Pour entretenir la "crise sanitaire" en France, les tests PCR et antigéniques ont été une arme redoutable. Leur coût exponentiel a atteint des proportions astronomiques, dépassant les 8,8 milliards d'euros. Pendant ce temps, le coût de construction d'un hôpital est estimé à environ 300 millions d'euros... Ces chiffres révèlent un dysfonctionnement majeur (voire volontaire) dans les priorités gouvernementales, mettant en lumière une gestion chaotique de la crise par le président Emmanuel Macron et son administration. Il est temps de remettre en question les choix politiques et de demander des comptes sur la manière dont les fonds publics sont dépensés.
-démocratie US s'étant construite sur le génocide des amérindiens, participant au génocide des palestiniens et ayant détruit l’Afghanistan, l'Irak, la Libye et la Syrie. En sachant que se la guerre était légitime pour répandre la démocratie, la guerre pour défendre l'ordre de Dieu est encore plus légitime, quoique l'idée de démocratie était importante à propager pour responsabiliser le peuple et éviter les tyrans grossiers, en particulier dans les pays arabes et musulmans.
-en temps de paix autant qu’en temps de guerre, la domination occidentale sur le reste du monde, autant que celle des États-Unis sur leurs alliés, passant par l’instrumentalisation du droit. Ainsi, les tribunaux internationaux ne cherchent aucunement à rendre la justice, mais à confirmer l’ordre du monde et à châtier ceux qui le contestent. Le droit états-unien et le droit européen (extraterritoriaux) servent aussi à contraindre le reste du monde à respecter les politiques de Washington et de Bruxelles.
-lors du dernier sommet du G7 fin juin 2022, choix des dirigeants occidentaux de confier au Canada et à la Carnegie Endowment for International Peace le soin de combattre la propagande russe sur la question ukrainienne. En effet ce recours à une fondation américaine de droit privé pour conduire une mission politiquement aussi sensible étonne. Il s’explique simplement par les liens privilégiés que cette officine entretient avec la CIA et avec le Deep State américain, lequel a trouvé ici un moyen commode de mettre les médias occidentaux sous tutelle. En effet selon les chiffres fournis par le rapport, Facebook et l’Open Society Foundation de George Soros lui ont donné entre 1 et 2 millions de dollars, comme la Fondation Gates, comme Microsoft, comme Google, comme les gouvernement américain, britannique, norvégien, japonais, suédois, allemand, canadien, indien, palestinien et taïwanais. La Carnegie Endowment est en plus dirigée par des éminences démocrates, et son Président jusqu’en 2021, est même devenu directeur de la CIA grâce à l’ancien vice-président d’Obama, devenu entre-temps Président des Etats-Unis. Mais bien entendu, la Carnegie Endowment est présenté comme un think-tank indépendant et non-partisan... On comprend ici que la Carnegie Endowment n’a pas été choisie par hasard par le G7 pour mener la guerre contre la propagande russe, ou plutôt la propagande contre la Russie. Il s’agit d’une structure souple, agile, et parfaitement sous contrôle de l’aile démocrate du Deep State, ce qui n’est probablement pas le cas du Global Engagement Center créé en 2017 pour assumer cette mission, puisque étant délibérément torpillé par les démocrates. En outre, l’ancien président de la Carnegie Endowment peut facilement mobiliser celle-ci pour la charger des missions que la CIA peine à exécuter, faute d’un savoir-faire éprouvé. C’est la conception américaine du soft power : les missions de service public, même lorsqu’elles sont régaliennes, sont confiées à des organismes extérieurs et opaques, dont l’intérêt premier est d’échapper au contrôle du Sénat et de permettre des opérations « spéciales » qu’une démocratie ne peut d’ordinaire se permettre. Le soft power d’un pays repose aussi principalement sur quatre sources : la culture, la qualité économique (dont force économique), les valeurs politiques et la politique étrangère. Or pour diviser la coopération entre la Russie, la Chine et le monde arabo-musulman au profit de l'Occident, les USA utilisent plus le soft power du cinéma et des médias. Par conséquent il est important d'y répondre en partie de la même manière dont pour permettre à travers des chaînes TV des dialogues entre intellectuels et politiciens de divers pays et peuples synonymes de fenêtres sur leurs caractéristiques en faisant attention en ne pas diviser mais coopérer, mais en sachant qu'il est impossible battre celui US, que chaque peuple a sa culture à tolérer voire respecter et à prendre en compte dans le monde multipolaire, et que face à l'hegemon américano-sioniste il vaut mieux privilégier le hard power économique comme la Chine voire militaire comme la Russie, tout en étant ouvert au tourisme quand c'est possible pour faire mentir le soft power mensonger et manipulateur US. Dans la pratique, la Carnegie Endowment prône une gouvernance mondiale où les USA et la Chine joueraient un rôle leader en coopérant pour défendre la paix. Or une certitude se dégage : la stratégie de l’Occident est aujourd’hui en réalité incertaine, car il existe un pôle au sein du gouvernement profond qui préconise une lutte à mort contre la Russie en prenant soin de l’isoler de la Chine. Cette évolution par rapport à la doctrine Kissinger est probablement en cours d’évolution. En effet les Américains, trop sûrs d’eux et de leur domination éternelle, n’ont pas vu qu’ils ne pourraient pas toujours tenir sur tous les fronts à la fois dont de l’Europe de l’est, du proche orient et de la mer de Chine. Ils ont d'ailleurs lâché l'Afghanistan et une partie du Proche-Orient dont en laissant en partie Israël se débrouiller avec ses voisins.
-États-Unis bafouant le droit international en voulant confisquer les avoirs russes pour financer l’Ukraine, ce qui serait un dangereux précédent dont car légitimement la Russie y répondrait proportionnellement. D'ailleurs Maria Zakharova prévient dans ce sens que la réponse de la Russie à l’utilisation des avoirs gelés pour l’Ukraine sera extrêmement préjudiciable pour Bruxelles. Elle affirme que la Russie dispose de suffisamment de biens et de fonds européens, laissant entendre que l’Europe devra d’abord payer le prix de ses « folies » avec son propre portefeuille. Or l’Union européenne a annoncé en septembre 2024 un prêt de 35 milliards d’euros à Kiev financé par les avoirs gelés russes.
Il ne fait aucun doute que le projet du G7 de s’approprier l’argent russe dans les banques occidentales était déjà assez mauvaise, mais en utiliser les intérêts pour financer les besoins de l’Ukraine est, pour le moins, un acte de brigandage. Les États-Unis ont tout à gagner si le gel actuel des relations entre la Russie et l’Europe atteint un point de non-retour, car l’Europe est sûre de supporter le poids des représailles de Moscou. Si le G7 adopte une telle mesure, il affaiblira le système financier mondial. En violant effrontément le droit international, le G7 créera un précédent qui sapera la confiance dans les institutions européennes. Il sera intéressant de voir comment les dirigeants du G7 expliqueront aux pays «d’ouverture», issus en grande partie des BRICS, que la Russie est une exception et qu’une telle pratique ne sera pas un jour utilisée contre l’Inde, la Turquie, l’Arabie saoudite ou tout autre État.
-selon Marc Touati, 150 milliards d’argent public dilapidés dans les ODAC (organismes divers, administration centrale). Touati est un libéral, certes, mais il appuie là où ça fait mal à la république très privatisée des détourneurs d’argent public. Il ne cite pas tous les parasites – des personnes morales – qui tètent le sein du Trésor public, mais en réalité, la bête immonde, elle est là : dans cet arrosage et ce partage d’argent public, c’est-à-dire du fric des Français productifs, entre copains et coquins.
-France créant la monnaie de 15 pays africains et oppressant donc ces pays souvent jusqu'à l'appauvrissement pour bénéficier massivement de l'exploitation de leurs ressources, puisque les crédits (principal moyen de développement) accordés à ces pays sont seulement validés par la France voire l'Union Européenne dans une forme d'esclavage à cause de ce pervers privilège de création monétaire étranger, et sont souvent usuriers, insuffisants, ou en partie volés par la corruption politique africaine.
-Banque ayant conseillé la Grèce tout en pariant contre elle.
-agents d'influence (généralement des oligarques mondialistes) en faveur de l'étranger contre son propre pays souvent pour des intérêts personnels même en Russie dont lors du covid.
-crises des subprimes de 2008, Covid et grave augmentation du prix de l'énergie à cause de l'UE pour l'électricité et de la guerre provoquée par l'Ukraine pour le gaz amenant, en particulier à travers une grosse inflation et de nombreux licenciements et fermetures d'entreprises, une grande crise voire une profonde domination économiques et donc politiques sur la France et d'autres nations.
-dumping qui est une pratique consistant à vendre sur les marchés extérieurs à des prix inférieurs à ceux du marché national, ou même inférieurs au prix de revient, et qui est au cœur des tensions économiques actuelles. En effet la Chine, en particulier, utilise cette stratégie pour inonder les marchés mondiaux de produits à des prix imbattables, mettant en péril les industries locales. Cette pratique, bien que critiquée, reste redoutablement efficace. La Chine, considérée comme l’atelier du monde, produit une multitude de biens à des coûts extrêmement bas. Cette capacité de production massive et bon marché est due à plusieurs facteurs, notamment les subventions gouvernementales, les faibles coûts de main-d’œuvre, et des normes environnementales moins strictes. Cette stratégie permet à la Chine de dominer divers secteurs, allant des jouets électroniques aux panneaux solaires. Le dumping chinois a des répercussions majeures sur les économies locales. En Europe et aux États-Unis, de nombreuses industries ont été décimées par la concurrence chinoise. Par exemple, l’industrie textile américaine a vu ses activités divisées par deux depuis la fin des années 90. En France, des entreprises emblématiques comme Thomson et Seb ont dû se réinventer ou céder face à la montée en puissance des produits chinois. Face à cette menace, plusieurs pays ont mis en place des mesures protectionnistes. Les États-Unis ont augmenté les droits de douane sur les produits chinois, tandis que l’Union européenne a également relevé ses tarifs. Ces mesures visent à compenser les prix bas et à protéger les industries locales. Cependant, ces actions ne sont souvent qu’un pansement temporaire. Pour contrer durablement le quasi-monopole chinois, il est crucial de réduire la dépendance aux produits chinois.
-ministre européiste Colonna, aligné sur les Américains, menaçant le Niger, sans se rendre compte qu’il outrepasse les lois internationales avec son ingérence dans les affaires intérieures d’un autre pays. Il est étonnant de remarquer que de plus ou moins loin, le retour du souverainisme en Afrique (Mali, Burkina Faso, Niger, etc) fait suite à la guerre en Libye. D'ailleurs finalement, les États-Unis ont formellement qualifié la prise de pouvoir des militaires au Niger cet été de « coup d’État » et annoncé, en conséquence, la suppression de quelque 500 millions de dollars d’aide économique. Or le Niger a appris à être résilient puisque l’héritage de la France de 100 ans de domination (néo)coloniale sur le Niger correspond à fournir 10% de l’électricité française par de l’uranium de pays africain, tandis que 85% de la population nigérienne n’a pas accès à l’électricité. Jusqu’ici les maîtres chanteurs oppressifs que sont les USA croyaient pouvoir se faire une place au Niger après le départ de la France et de ses institutions de ce pays, mais les choses ne se sont pas passées comme le prévoyait l’administration américaine. Les États-Unis ont conclu qu’un coup d’État militaire avait eu lieu au Niger. Conformément à l’article 7008 de la loi de crédits annuelle du département d’État, les États-Unis suspendent la plupart de leurs aides au gouvernement du Niger après avoir temporairement suspendu certains programmes d’aide étrangère au gouvernement du Niger, totalisant près de 200 millions de dollars. Or après l'AES (Alliance des Etats du Sahel : Niger-Mali-Burkina Faso s'émancipant vers la souveraineté totale grâce à la Russie), le rêve des États-Unis d’Afrique se dessine. Et il serait donc étonnant que les pays musulmans ne s'unissent pas dans une fédération synonyme de califat, alors que les USA, l'URSS (devenue en partie la Russie), l'UE, la Russie, et possiblement bientôt l'Afrique y soient parvenus. En effet à travers le monde, il y a un changement de paradigmes africain (contre le néocolonialisme occidental, culturel, économique, philosophique), européo-centriste, droite- gauche (contre Lgbt et wokisme) : les peuples reviennent à des réalités et à l'ordre naturel suite à avoir été occultés par l'universalisme idéologique laïciste (coup d'état républicain) pendant des années, qui refuse même les référendums, car il sait que le peuple va gifler son système. C'est un prolongement voire une similitude avec les changements de la guerre civilisationnelle en Ukraine, que souhaitent évidemment gagner la Russie, mais aussi l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du sud, car leurs valeurs naturelles sont similaires à celles de la Russie et en opposition à celles inversées de l'Occident Politique : c'est la civilisation coca-cola et Lgbt contre la civilisation des icônes et de la vertu, mais aussi la fin de l'ordre solide établi après 1945 dont grâce au droit international sérieux.
-Zelenski avec son alliance aux néonazis ukrainiens suprémacistes et Nethanyahou avec son parti Likoudnik suprémaciste juif étant les principaux risque de troisième guerre mondiale, alors qu'étant donc tous deux basés sur une radicale vision inégalitaire, raciale et illusoirement hégémonique puisque à une époque d'armes nucléaires. Pour régler ces problèmes, Poutine pourrait laisser les israéliens qui le veulent abandonner la Palestine pour recréer une Khazarie vers Odessa, puisque les ashkénazes sont issues de cette région, mais en la démilitarisant comme l'Ukraine.
-possibilité de fusion entre l'Otan et de l'UE pour plus de coercition mondialiste dans le futur.
-Banque ne voulant pas renoncer à (ni même diminuer, ou échelonner plus largement) ses intérêts sur la dette, et étant prête à démolir les services publics, le patrimoine de ceux qui n’en ont pas, pour conserver son argent mal gagné dont car provenant de prêts créés ex-nihilo. -refus de nettoyer l'influence des entreprises massives (dont multinationales et banquières) sur les gouvernements, et la capture des agences de réglementations par ces entreprises.
-principe écologiste de la raréfaction des ressources ravissant les mondialistes ultra riches puisque pour eux, rareté signifie hausse des prix à leur profit et exclusivité à pouvoir se les payer toutes. D'ailleurs la COP 29 (Conférence sur les changements climatique 2029), qui se déroulait en Azerbaïdjan, a pris une tournure inattendue dans ce type d'arnaque écologique. En effet les délégations africaines et asiatiques ont décidé de quitter le sommet en raison de propos jugés inacceptables de la part des pays occidentaux, car ces derniers, en particulier ceux européens, ont proposé une redistribution de la richesse mondiale via des quotas carbone. C'est à dire que cette proposition visait à limiter la production économique des pays pauvres au profit des pays riches. Les délégations africaines et asiatiques ont jugé ces propos inacceptables, estimant qu’elles étaient victimes d’une injustice flagrante.
-Union européenne étant l'imposition de lois sociales et sociétale aux nations leur permettre de rester dans le marché européen des ultra riches. Il faut donc sortir de l’Eurosystème et de la Banque centrale européenne pour sauver la France authentique ou au moins raisonnablement monothéiste.
-cause de nombreuses pertes d'emplois et faillites à cause de l'obéissance aux règles stupides du marché européen et aux lois quasi religieuses de la Commission Européenne tels le prix de l’électricité à cause du marché européen de l'électricité ayant limité EDF, le devoir de payer pour certifier qu'un produit est produit en France, et l'absence fréquent de droits de douanes. Isabelle Nimal, boulangère en Dordogne, paye sa facture d'électricité auprès d'un fournisseur espagnol 10 fois moins cher qu'auprès d'EDF. Mais l'énergie qu'elle utilise est produite en France ! EDF produit une électricité à bas coût qu'elle est obligée de revendre à des fournisseurs européens, lesquels fournisseurs revendent l'énergie sur le marché français pour moins cher qu'EDF ! C'est par le truchement du marché européen de l'énergie que cette situation kafkaïenne se produit !
-commission européenne voulant regrouper les dettes des pays européens dans une forme encore plus supranationale donc esclavagisée et tyrannique. Pour l'économiste Tom Benoît, la souveraineté nationale et la liberté des médias sont essentielles pour garantir la stabilité économique et financière. Cet économiste explique que la crise de l’Euro est insidieuse et que l’élite européenne pousse à une dette à l’échelle européenne. Il critique la politique de Michel Barnier, qui, selon lui, ne fait que perpétuer un système de surendettement sans proposer de véritables solutions. Il souligne l’importance de réaliser un audit complet sur l’origine exacte de la dette extérieure du pays pour comprendre où va l’argent. Tom Benoît souligne que la mondialisation atteint son paroxysme, avec des échanges mondialisés et une économie locale territoriale protégée de plus en plus rare. Il critique le néolibéralisme, qui a conduit à une oppression accrue et à une destruction des nations, des cultures et des modes de vie traditionnels. Selon lui, le système actuel est plus puissant que jamais, malgré les crises récurrentes.
-multinationales dont banques pouvant faire apparaître leurs bénéfices où elles veulent, c'est à dire dans les territoires où les impôts sont faibles voire inexistants, ce qui ne les fait pas participer au développement des pays. Dans ce sens pour retrouver la souveraineté nationale, il est impératif de contrôler la monnaie en recréant le Franc et de détruire la banque centrale indépendante, car c'est évidemment l'état qui doit contrôler et administrer l'espace financier, alors qu'actuellement c'est le privé parfois derrière un état étranger qui s'en occupe. Il est donc important de changer de grands acteurs financiers. Surtout que sinon les grande entités financières corrompues perdurent même sans les états au point de sécuriser des ports avec des milices privées quand un pays est déstabilisé par la guerre civile, dont à cause de mercenaires payés par ces entités pour former des groupes djihadistes.
-Europe et donc France se réveillant avec la gueule de bois après l'élection de Trump, en ayant tout misé sur les démocrates, c’est-à-dire la guerre, le woke, le vaccin, la finance internationaliste et le mondialisme. Ce qu’il faut, pour tenir tête à l’Amérique et à la Chine, c’est tout simplement des Trump européens et une Europe des nations. Surtout que vu la large victoire de Trump lors de sa réélection, cela signifie que le républicanisme trumpiste va durer longtemps aux USA et que la guerre civile est écartée. En sachant que cette réélection de Trump dont par Robert Kennedy, Elon Musk et même le système comme le Grand Capital était logique car cela correspond à la fin d'un cycle qui était celui du mondialisme oligarchique wokiste, surtout face à la création des BRICS et donc au risque même pour les très riches états-uniens de ne plus rien gagner, de même qu'au risque de guerre civile ou au risque de fin des Etats-Unis suite à une cessions d’états. Et dans ce sens c'est pour le mieux, d'autant plus que Trump correspond au véritable social, puisque sa politique est basée sur la production réelle des entreprises, les valeurs traditionnelles (fondamentales) et la culture générale, alors qu'Harris correspond à la perversion du sociétal, puisque sa politique allait être basée encore sur la production fictive de la finance, le wokisme lgbtisme et la culture du spectacle abrutissant. Mais Harris était aussi la candidate de l'empire US, alors que Trump était le candidat de la nation US, ce qui n'a rien avoir. En sachant qu'Hollywood correspond à de la création de richesse par la fiction, alors que Trump correspond à la création de richesse par le réel. Il faut noter qu'Harris d'origine indienne aurait pu être une figure diplomatique de premier ordre pour tendre vers un commerce pacifique international et multipolaire dont par rapport aux BRICS et via le futur rôle possiblement important de l'Inde en particulier pour concurrencer la Chine, surtout elle avait pris en compte le conservatisme des électeurs de Trump en cas de grand score de ce dernier malgré sa défaite. Mais pour le sud global en particulier suite à la trahison du noir Obama dont car ayant voulu installé la gay pride même en Afrique, le chef crédible et légitime des USA demeurait Trump comme Poutine pour la Russie, surtout que face au wokisme la question sociétale devenait de plus en plus urgente dont en Europe, et que pour l'UE l'oppressante tutelle US devait s’arrêter. En sachant que le mépris des électeurs de Trump par le système médiatico-politique, au point de devenir une forme de racisme autorisé puisque de gauche, a été leur principal carburant électoral jusqu'à un grand écart entre républicains et démocrate, et que le système à notre époque très médiatique dont aux niveaux des analyses de la politique a rapidement confirmé son élection. Or c’est d’abord une superbe, précieuse et très intéressante victoire des réseaux sociaux contre le système médiatico-polique occidental wokiste et lgbtiste ! Le message politique de Donald Trump après sa victoire est clair : il s’agit de la reprise de contrôle du pays par les Américains dans la grandeur. En effet cette réélection de Trump marque la fin du mondialisme hégémonique US au profit de l'isolationnisme national US, la victoire du protectionnisme par rapport au libre-échange, la fin de l'immigration illégale massive, la maîtrise sur le pouvoir profond, la fin de la déconnexion des élites et l'establishment, la victoire du patriotisme et de la souveraineté nationale, l'affaiblissement de l'Otan, la fin du Mondialisme par le wokisme lgbtiste et par le bellicisme dans ce sens, le refus de la dilution du patriotisme et de l'identité naturelle et traditionnelle par le wokisme, la fin du cauchemar orwellien qu'est le gauchisme woke internationaliste, la paix par rapport aux faucons dont en Ukraine, la justice contre la corruption, la fin de l'oppression de Big Pahrama et de l'OMS, l'affaiblissement du néoféminisme car une femme n'est toujours pas arrivé au pouvoir aux USA (les nombreuses célébrités du monde du spectacle ayant supporté Harris n’auront servi qu’à une chose : rassurer ou conforter son public cible, car cela a aussi fait fuir les derniers indécis qui attendaient du sérieux ; et c'est aussi parce que les femmes sont plus émotionnelles que les hommes et qu'elles font donc souvent de la politique comme ça, à la Hidalgo ou à la Kamala, qu'elles deviennent rarement voire qu'elles ne doivent jamais devenir dirigeantes en particulier des plus puissantes nations. En sachant que si Harris étaient passée, elle n'aurait été liée à un pouvoir profond de femme mais plutôt soumise à un pouvoir profond d'hommes blancs anglo-saxons de plus de 50 ans, que les femmes suivent souvent plus leur mari que l'inverse, qu'une addition de minorités en plus souvent incompréhensibles voire délirantes et terrifiantes ne fait pas la majorité ni une nation même en mettant le féminisme plus en avant, que le combat sociétal concernant l'avortement, le sexe, la race, les gros et l'âge ne correspond évidement pas à un programme politique dont puisque la base vitale d'une nation ne peut être que la famille traditionnelle, que sa défense d'un monde lgbtiste ne pouvant clairement pas maintenir le monde était voué à l'échec dont à cause de l'hystérie fréquente des personnes Lbgt, que Trump accompagné sa femme Melania élégante, distinguée et catholique s'est adressé aux citoyens par rapport à la question économique, sécuritaire, libertaire et industrielle, dont à travers la fin de la bien-pensance wokiste ou inclusive, tel le représentant de l'énergie vitale du peuple ayant en plus finalement par exaspération fait unité contre ce wokisme et cette perverse inclusivité, que la marginalité de masse ne peut évidemment pas non plus faire société, et que les gauchistes wokistes et lgbtistes qui critiquent encore le bon réveil des peuples du monde vers les valeurs traditionnelles suite à la très large victoire de Trump sont en réalité tels des fous isolés dans leur camisole de force et leur chambre individuelle au sein d'un hôpital psychiatrique), la fin de la mauvaise santé (avec R. Kennedy), le retour à la liberté d'expression plus grande (avec E. Musk), l’affaiblissement de l'UE, la fin du déclin occidental, et donc le triomphe des nouveaux médias et réseaux sociaux sur les médias traditionnels. Dans ce sens le duo de choc Musk et Ramaswamy a même été choisi pour un gouvernement plus léger, agile et efficace. En effet Donald Trump a nommé Elon Musk à la tête d’un ministère inédit dédié à l’efficacité gouvernementale, surnommé « Doge ». Ce duo audacieux, Musk et Ramaswamy, a aussi pour mission de réduire la bureaucratie fédérale et d’économiser 2 000 milliards de dollars, avec pour objectif un gouvernement plus léger d’ici 2026. Et le richissime propriétaire de X et patron de Space X et Tesla, soutien inconditionnel de Trump pendant la campagne, a donc été désigné par le président élu des États-Unis à la tête de ce ministère nouvellement créé, pour « démanteler la bureaucratie gouvernementale, sabrer les régulations excessives, couper dans les dépenses inutiles, et restructurer les agences fédérales », a déclaré le président élu dans un communiqué. Sur X, Guillaume Kasbarian a commenté, en anglais : « Félicitations pour avoir accepté ce super défi @elonmusk ! J’ai hâte de partager avec vous les meilleures pratiques pour lutter contre l’excès de bureaucratie, réduire la paperasse, et repenser les organisations publiques pour améliorer l’efficacité des agents publics. » Les réactions aux remerciements adressés par M. Kasbarian ont rapidement afflué. « On pensait que le trumpisme en France se limitait à l’extrême droite. Pour la députée « insoumise » Gabrielle Cathala ce message annonce « le programme de Kasbarian : privatiser, enterrer les services publics, démanteler l’État au profit des plus fortunés ». « La Macronie sombre chaque jour un peu plus dans la collusion avec l’extrême droite autoritaire et violente », s’inquiète la députée du Val-d’Oise. Ensuite cette victoire signe – enfin ! – la défaite du camp néo-conservateur et des bellicistes qui empoisonnent la politique américaine depuis des décennies avec leur interventionnisme militaire, leurs invasions, leurs ingérences incessantes dans les affaires des autres Etats. Ceux qui ont organisé le coup d’Etat de Maidan en Ukraine en 2014, les Victoria Nuland, Robert Kagan, Hunter Biden, le fils du président impliqué dans la corruption du groupe gazier ukrainien Burisma, John Bolton et le pire d’entre eux, Antony Blinken, véritable va-t-en-guerre déguisé en diplomate, s’en trouveront pour leurs frais. Le pouvoir de nuisance de cette très influente clique va s’en trouver fortement réduit. C’est une bonne nouvelle pour la démocratie aux Etats-Unis mais aussi hors des Etats-Unis.
-forum de Chisinau, édition 2023, intitulé « Agenda 21 de l’ONU et Great Reset. La chute du libéralisme à la technocratie et au transhumanisme » ayant été massivement organisé. Nous sommes différents en ce qui concerne l’ethnicité et la citoyenneté, en termes d’appartenance religieuse ou non religieuse, en tant que vision sur des aspects particuliers de la situation internationale d’aujourd’hui. Mais nous sommes unis dans notre lutte métapolitique contre la tyrannie mondialiste qui pousse le monde dans une réalité génocidaire et l’esclavage des survivants dans une prison mondiale dystopique.
-sur les 100 milliards qu'envoie les USA annuellement à Israël, 100 millions revenant via le lobby juif AIPAC pour arroser et donc influencer le vote des politiciens US. -en Allemagne, députés ayant adopté une résolution contre l’antisémitisme liant honteusement la protection des juifs à la défense d’Israël. -ultra libéralisme qui empêcherait la plupart des nations à être concurrentes économiquement avec la Chine surpeuplée même en renonçant à tous leurs droits sociaux, tout comme en boxe on ne demanderait pas à un poids plume de monter sur le ring face à un poids lourd.
-cartels mexicains transformant des produits chimiques fournis par des laboratoires chinois en opioïdes synthétiques pour les introduire aux États-Unis. La production et la distribution de cette drogue mortelle ont suscité de vives inquiétudes à l’échelle internationale. En effet, le Fentanyl est responsable de la mort de dizaines de milliers d’Américains chaque année. Malgré les appels à la Chine pour qu’elle réprime les réseaux de production de produits chimiques précurseurs, la coopération entre les États-Unis, la Chine et le Mexique en matière de lutte contre la drogue reste minimale. Ce qui montre que les élites mondialistes malthusianistes travaillent avec le pires mafias. D'ailleurs McKinsey & Company, l’entreprise de conseil en gestion de renommée mondiale — celle qui a organisé la politique vaccinale du gouvernement français —, a joué un rôle significatif dans la promotion de cette drogue. McKinsey a conseillé des fabricants d’opioïdes tels que Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson et Mallinckrodt sur la manière d’augmenter leurs ventes, malgré l’indignation publique croissante face à l’épidémie d’opioïdes. Pour ne rien arranger aux suspicions, l’équipe de recherche de l’Université du Montana qui travaille sur le vaccin contre le Fentanyl est dirigée par Jay Evans. Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que Jay Evans a passé 15 ans chez GSK (GlaxoSmithKline), une grande entreprise pharmaceutique qui a fabriqué et distribué du Fentanyl. Cette connexion entre Evans et GSK soulève des questions sur les intérêts de la recherche pour lutter contre les effets dévastateurs du Fentanyl. Ce serait une façon de gagner sur tous les tableaux pour GSK. C'est pourquoi même si pour les 700 000 décès d’overdose de Fentanyl, McKinsey a versé une amende de 650 millions de dollars pour éviter un procès, ça arrange en réalité l'oligarchique système désormais malthusianiste puisque avec la robotisation et l'IA les ouvriers ne sont presque plus nécessaires, surtout que si tous ces mort ont acheté plus de 1000 euros chacun de Fentanyl, MacKinsey n'a pas perdu d'argent. -presse ukrainienne affirmant que ce sont les occidentaux (dont très étonnamment la commission européenne car se disant pacifique) qui en réalité empêchent les négociations de paix avec la Russie, probablement car sinon l'Ukraine ne recevra plus subventions et s'effondrera grandement.
-alors que des pressions avaient été effectuées par l'occident envers la Russie concernant la protection des pays les plus pauvres, Vladimir Poutine a déclaré : « Dans le cadre du Programme alimentaire mondial des Nations unies, qui vise précisément à aider les pays les plus nécessiteux, seuls deux navires ont été chargés. Je répète : seulement 2 sur 87. Ce ne sont que 3 %, qui ont été envoyés aux pays en développement (car les autres ont été volés par les européens). Je veux dire que de nombreux pays européens ont agi comme des colonialistes au cours des décennies et des siècles précédents. Ils continuent d’agir de la même manière aujourd’hui. Une fois de plus, ils ont simplement trompé les pays en développement et continuent de les leurrer (malgré un risque de famine massive répandue dont aussi en ayant détruit un oléoduc d'ammoniac très important car servant à la minéralisation massive d'engrais). »
-comme on le voit avec la crise du gaz russe et la hausse des produits pétroliers, État stratège devenu une illusion au profit du mondialisme. Surtout qu'en imprimant seulement des euros, l'UE, a une production virtuelle, alors qu'en exploitant ses ressources de matières premières, la Russie a une production réelle.
-USA se servant des autres nations dont de leurs alliés exclusivement comme des outils pour leur propres objectifs, même si cela doit aller jusqu'à l'affaiblissement économique voire la destruction militaire de ces nations.
-nombreux scandales entourant l’aide humanitaire. Les chiffres donnent le tournis ! Par exemple : sur les 28 milliards de dollars d’aide humanitaire collectés durant les six premières années de guerre (soit presque l’équivalent de 200 dollars par an pour chaque habitant), 32 000 tonnes de blé américain ont été détruites car impropres à la consommation, 3 000 tonnes de nourriture ont été contaminée et balancée en 2019 et début 2020 alors que 80% des enfants étaient en besoin urgent d’aide humanitaire... Ainsi malgré que le marketing fonctionne très bien puisque les aides abondent, pourquoi le Yémen reste t-il plongé dans cette grave crise humanitaire ? Romain Molina précise : C’est une excellente question que beaucoup d’activistes, économistes et humanitaires yéménites ont posée depuis des années. Avec autant d’aide humanitaire, comment expliquer qu’il n’y a pas de progrès et que, pis encore, le Yémen s’enfonce peu à peu dans une crise humanitaire sans précédent ? Bien entendu, l’aide humanitaire ne peut résoudre une situation totalement, surtout en temps de guerre, et les complications sont nombreuses. Il serait bien trop facile de rejeter la simple faute sur les agences onusiennes, mais de nombreux soucis existent qui impactent directement l’aide promise aux Yéménites. Nous avons documenté des cas de nourriture avariée, pourrie, les milliers de tonnes de nourriture jetée à cause d’un stockage permissif ou de dates de péremption passées... Il y a un consensus, du nord au sud, sur l’incapacité des agences onusiennes à gérer correctement les flux alimentaires, notamment World Food Program, dont certains produits, au lieu d’être donnés à la population, se retrouvaient même au marché noir. Nous avons aussi obtenu des documents internes à WFP sur les sommes réservées au Yémen : c’était le plus gros programme de donation, mais de très loin ; on est sur des milliards. Pour au final, quoi ? Alors, évidemment, les seigneurs de guerre et autres personnes avides au niveau local en profitent. Il y a aussi des soucis de stockage, peu d’entrepôts permettant de garder les aliments en bonne condition, sans compter les aléas de la guerre, les retards au port quand les marchandises arrivent. Cependant, après avoir discuté avec beaucoup de gens dans ce milieu, une question arrive : est-ce que le programme de WFP est réellement adapté pour aider les gens ? Est-ce que ces donations, par milliards, ne seraient pas plus utiles si elles étaient injectées aussi dans l’économie locale, a fortiori d’un pays comme le Yémen disposant de terres agricoles ? Est-ce que faire tout ce chemin et avoir autant de coût logistique est utile ? La plupart des donations termine ici : transport, logistique, frais, salaires gargantuesques des expatriés, etc. Et le pire, dans cette histoire, c’est qu’il y a une caisse noire – on en est sûr, mais on est seulement à 95 % sur la personne en bénéficiant principalement à l’ONU, donc nous continuons d’amasser des preuves ! On va refaire des spots marketing montrant des enfants chétifs, avec la peau sur les os, pour dire « le Yémen souffre de famine » afin d’inciter les donations. Mais qu’est-ce qui est réellement fait avec ces donations ? Et comment expliquer que Martin Griffiths, ancien envoyé spécial de l’ONU au Yémen, ait pu bénéficier d’une promotion comme chef de l’humanitaire de l’ONU avec un tel bilan et un tel gaspillage ?
-USA pouvant agrandir sans fin leur endettement puisque ce sont eux qui impriment le dollar et l'impose par les armes, mais en corrélation avec le risque de grandes dévaluation monétaire ou inflation économique.
-compétition ligue des champions de foot participant à une ascendance qualitative de l’Angleterre, de l’Espagne, de l’Allemagne, de l'Italie et de la France et donc de l'Europe de l'Ouest sur l'Europe de l'Est voire sur le monde, alors qu'il s'agit principalement d'une question d'argent.
-construction européenne qui a été faite dans le dos des peuples des années 50 jusqu'à Masstricht, ayant été initiées par deux individus proches des Etats-Unis, Robert Schuman et Jean Monnet qui étaient rétribués par la CIA, plus personne ne le nie.
-Union européenne que ne lâchera pas ou orientera Davos, car elle est devenue, suite à la fin des tarifs douaniers extérieurs communs, une annexe du marché planétaire de masse mondialiste, puis via la commission européenne, une intégration économique dans le privé sans État car organisé autour de bureaucrates non élus plus synonyme de PDG et de gourous, alors que c'était au départ une coopération de nations qui aurait mieux fait de devenir une confédération. L’un des signes les plus frappants de l’antichristianisme de l’Union européenne est que sa Constitution ne commémore pas les racines chrétiennes de l’Europe, comme l’ont relevé les papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Cela n'évoque que les traditions gréco-romaines et des Lumières, mais pas du christianisme. Étienne Chouard explique que le Parlement européen est colégislateur avec le Conseil, qui est composé de membres de l’exécutif au niveau national. Cette situation va à l’encontre du principe de séparation des pouvoirs, qui protège les libertés publiques en affaiblissant et en contrôlant les pouvoirs pour qu’ils se fassent peur les uns les autres et nous protègent contre les abus de pouvoir. Le Conseil est donc composé de membres qui, quand ils prennent le train pour se déplacer dans les institutions européennes, enfilent un costume de législateur, alors qu’ils font partie des exécutifs qui contrôlent la police et l’armée. Il souligne que le pouvoir exécutif est le pouvoir le plus dangereux, car il détient la force armée, et qu’il doit être le plus astreint et le plus surveillé. Cependant, dans les institutions européennes, le pouvoir exécutif s’est arrogé le droit d’écrire les constitutions, ce qui est une aberration, car la Constitution devrait être écrite par les représentés pour protéger leurs libertés contre les abus de pouvoir. Étienne Chouard rappelle que le contrat social d’une Constitution se fait entre les représentés, à un moment où il n’y a pas encore de représentants, et qu’il est important de décider si nous voulons des représentants qui seront nos serviteurs ou nos maîtres. Il est également important de décider de la durée et de la nature de leur mandat, ainsi que de la manière dont ils seront désignés, élus ou tirés au sort.
-Union européenne centralisant le pouvoir au service de la haute finance et des multinationales, et donc du privé. Cette UE, massivement infiltrée par les tentacules de l'oligarque George Soros, est qualifiée à juste titre de système le plus corrompu au monde par le Premier ministre hongrois Viktor Orbàn. Il faut noter que l'Hongrie d'Orbàn est souvent critiquée négativement par la commission européenne alors qu'il a été élu à plus de 55 %, ce qui est grandement plus légitime que 30 000 fonctionnaires et 27 commissaires que personne n'a élu et dont beaucoup ne sont pas connus. De plus les directives de la commission européennes sont toujours plus lourdes, contraignantes, formalistes et uniformisantes, ce qui entravent la compétitivité économique sur la scène mondiale. Or dans tous les domaines qui ne sont pas de compétences européennes, la commission européenne a trouvé un biais que sont l'Etat de droit et les valeurs (sans jamais les définir très clairement mais étant de plus en plus laïcistes, wokistes et donc perverses) permettant d'intervenir dans les politiques internes de tous les Etats membres. C'est pourquoi de plus en plus d’États veulent désormais s'orienter vers une Europe des nations (dont aussi vu les langues, histoires et cultures différentes entre chaque nation, en sachant que la filiation formant en grande partie une nation est importante pour en faciliter la cohésion) plutôt que de continuer à faire de l'union européenne un État centralisé bruxellois. « Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial. Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des USA, revoyez votre copie. Washington, leur a demandé d’y aller doucement avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ». Ça devrait éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que par exemple l’Iran, la Syrie et le Venezuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder. Quand vous vous faites abîmé les sinus par un test RT-PCR, savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Et bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates. Souriez, vous êtes tracés. La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » (au cas où vous perdriez le nord) afin de traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets. Bientôt, vous serez l’heureux propriétaire d’un portefeuille d’identité numérique européen, couplé avec votre passe vaccinal, avec votre photo d’identité cachée dans votre QR code. Il s'agit d'une prétendue identité fiable et sécurisée pour tous les Européens, alors que servant d'abord la surveillance généraliésé. Le Grand Reset écrit par Klaus Schwab explique les plans de l’oligarchie mondiale. L’un d’entre eux décrit qu’il ne subsistera, dans peu de temps, que 3 ou 4 grands groupes agro-alimentaires et ses franchises mondiales. Le certificat Covid, puis écologique puis identitaire est en cours, car le portefeuille d’identité numérique à été voté à l’unanimité en 2021 au sein de l’UE, peu importe le parti politique. Que va donc contenir votre E-wallet ou portefeuille électronique ? Tout : carte d’identité (la nouvelle CI française est écrite en anglais), permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale. Un des article phare du fondement de l’UE est la liberté de circulation. Mais comme lors du covid, tout pourrait être balayé d’un revers de la main. Bienvenu dans un crédit social à la Chinoise, sauce européenne, avec la bénédiction de l’oncle Sam. 25 % de la population en Europe ne possède pas de smartphone. Ceux-là ne pourront bientôt plus bouger, à moins de s’en procurer un. Et si une personne n’a pas de passe vaccinal et refuse la pass écologique et le portefeuille électronique ? Elle ne sera rien, n’aura droit à rien, et ne pourra franchir aucune frontière, puisqu’elle n’aura pas d’identité. L’identité numérique est vendue comme un service qui ne sera pas obligatoire :« ne cherchez plus vos papiers dans vos poches, à la place, exhibez votre E-wallet dans votre smartphone ». Très subtil. Personne n’y sera obligé, sauf que dans les faits, il sera obligatoire, à moins de vivre dans son coin, retiré de tout, en cultivant ses endives. Et encore... Facultatif demain, obligatoire après demain. Prochaine étape, la puce sous la peau. Encore mieux que le smartphone. Cerise sur le gâteau, votre E-wallet sera géré par des sociétés privées. Toutes vos pathologies, vos penchants, votre bon ou mauvais cholestérol seront à la vue des assurances, des banques, et des institutions. Pratique, car vous saurez pourquoi votre assurance a subitement majoré vos échéances ou pourquoi votre banquier vous refuse un prêt. Un oppressif futur s’ouvre devant chacun de nous. Tout, absolument tout, sera contrôlé. Y compris le tri de vos déchets. La taxonomie verte est aussi sur les rails au sein de l’UE. Vous triez bien, un bon point, vous vous trompez, un mauvais point. Pendant ce temps-là, les grands pollueurs continueront de pourrir la planète sans être inquiétés. » (Article relayé par strategika.fr)
-droites souverainistes omettant gravement le spirituel car il est déterminant et ne s'unissant pas dont car 40 000 adhérents à 100 euros représente 4 millions d'euros. En sachant que cet argent fourni par les adhérents participe aussi à diviser tout le champs politique en nombreux partis.
-capitalisme financier spéculatif détruisant le capitalisme industriel ou productif.
-différents millénarismes, messianismes (sionisme, destinée manifeste US, mondialisme supranational, etc) rendant difficile la rationalisation des rapports entre grandes puissances et autres nations.
-guerre mondiale perpétuelle contre les nations ennemis de la société ouverte planétaire et donc de l'accomplissement total de la démocratie libérale, sous le pseudo prétexte d'une guerre juste contre les dirigeants et nations autoritaires, dans une forme de guerre perpétuelle comme corollaire de la paix perpétuelle.
-accords d'Abraham cherchant à légitimer injustement l'existence de l'Etat d'Israël actuel interdit par Dieu, tout en divisant les nations musulmanes, mais aussi les populations contre leur gouvernement normalisateur.
-France n’étant pas Macron, France n'étant pas Netanyahou, car la France c’est autre chose, c’est l’indépendance, la paix et la raison, et France vendant pourtant des armes en douce à Israël, qui ne tue presque que des civils, parce que c’est plus facile que des combattants, et parce que ce pouvoir religieux bourré de haine est devenu fou. -disparition de la France bientôt actée. En effet la commission des Affaires constitutionnelles (AFCO) au parlement européen vient de voter un projet de réforme des Traités européens qui transformerait officiellement l’UE en un État, en effaçant donc la France et les pays européens.
-commission européenne et BCE appartenant toutes deux au domaine du privé et étant donc synonyme d'un début de gouvernement mondial du privé ou/et du supranational, surtout qu'inféodées aux puissantes multinationales, à l'OTAN ou/et à l’atlantisme, ce qui signifie antinationales, d'autant plus si la création de l'Euro numérique est confiée à Amazon, encore sous prétexte de prendre sagement un tiers de confiance indépendant des États. D'ailleurs les multinationales reversent très peu d’impôts aux nations qu’elles ratissent, et la BCE détient 30 % de la dette de l'Italie. De plus Mme von der Leyen a méprisé et menacé de sanctions l’Italie, si le peuple ne votait pas correctement le dimanche 18/09/2022 pour un président pro-union européenne. Un projet de révision des traités européens a été approuvé par les députés européens mercredi 22 novembre. C’est une décision qui est passée un peu inaperçue ces derniers jours compte tenu de l’intensité de l’actualité. Le Parlement européen a approuvé, cette semaine, un rapport pour réviser les traités européens et a adopté la résolution qui l’accompagnait. Ce rapport a été dénoncé par la cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, sur France Inter, jeudi 23 novembre. Selon elle, ce rapport dépouille en réalité les Nations de l’intégralité quasiment de leur souveraineté. Il transformerait Ursula von der Leyen, présidente de la Commission, en présidente de l’Union européenne. Les commissaires ne seraient plus choisis par les États, mais par ce soi-disant président. Il s’attribue les pouvoirs en matière de santé, de fiscalité, d’immigration, etc. C’est évidemment inadmissible. Et même sans demander leur avis aux peuples européens comme avant de choisir le camp du Big Pharma privé lors du Covid, l’oligarchie européiste et donc supranationale de Bruxelles a choisi de s'associer à Zelensky, alors que lui est pourtant ultra nationaliste. Mais c'est seulement en apparence, car ce juif est évidemment prêt à rejoindre l'union européenne et l'OTAN. La présidente de la Commission européenne Mme von der Leyen, en grosse soumise du Pentagone, montre ainsi qu'elle veut la guerre en ayant déclaré « pas de cessez-le-feu, pas d’apaisement », alors que c'est normalement aux députés français ou au peuple de la valider souverainement. Ce qui fait illégitimement passer l'Union Européenne, normalement basée uniquement sur une économie et quelques règles politiques communes, à une Europe de la défense, d'autant plus avec la commission européenne demandant, achetant et organisant la livraison massive d'armes à l'Ukraine avec l'argent des cotisations de ses nations membres, mais surtout avec la probable fédéralisation proche de l'UE. On peut rappeler que depuis Maastricht, de fausses élites nous ont vendu l’Europe comme une garantie de croissance, d’emploi, de démocratie et de paix. Or nous sommes aujourd’hui en décroissance, en chômage de masse prêt à exploser, en tyrannie de la commission européenne et en guerre. Surtout donc qu'avec cette question militaire en plus, les pays européens ont encore plus de mal à tenir leur économie, leurs prix, et leur paix sociale. Il semble que ce Nouvel Ordre mondial si cher au président américain (Joe Biden annonce vouloir diriger le nouvel ordre mondial avec General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan...) passe avant la vie des Ukrainiens, des Russes et des Occidentaux qui paient la facture des sanctions. C’est là où la stratégie de l’enlisement de la Russie dans le conflit montre ses limites : les conséquences sociales de la guerre peuvent finalement faire sauter les régimes dits démocratiques alors que mondialistes des pays européens, plutôt que le régime de la Russie dit autocratique alors que patriotique. Or les centaines de milliards d'euros pour l'Ukraine servent aussi aux USA puisque l'Ukraine leur achète des armes au détriment de la dette des français, des leurs hôpitaux, de leurs écoles et donc même de leur industrie de l'armement, mais aussi des autres nations, comme si les USA avaient besoin de financement pour survivre. D'ailleurs la vente de leur GNL à l'Europe suite à la destruction des gazoducs Nord Stream 2 et la vente de leurs armes (qui a augmenté au niveau mondial de 58% sur 2023) aussi à l'Europe par rapport à la situation en Ukraine participent également à les entretenir. Depuis la défense russe en Ukraine, l’industrie de la défense américaine a en effet enregistré une augmentation spectaculaire 17,5 % dans l’industrie de l’armement jusqu'à début 2024. Or cela pourrait aussi être encore un vol pour le secteur privé oligarchique et une volonté des membres de l'Otan de maintenir leurs emplois payés au sein de cette organisation militaire internationale. Surtout que l’aide à l’Ukraine se fait à fonds perdu puisque Kiev sera incapable de rembourser quoi que ce soit, compte tenu de la déliquescence du pays. L’Iran a critiqué le nouveau secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) pour avoir « bizarrement » défini l’agenda de la nouvelle administration américaine, lui conseillant plutôt de répondre de l’insécurité mondiale croissante due aux politiques de certains États membres de l’alliance militaire occidentale. « Le nouveau secrétaire général de l’OTAN, qui prétend avoir une bonne relation avec le président américain élu, insiste bizarrement pour fixer l’ordre du jour de la prochaine administration américaine », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un message publié, ce jeudi 5 décembre, sur son compte X. Il a ajouté que la prescription du nouveau chef de l’OTAN, Mark Rutte, ne vise qu’à provoquer davantage de « militantisme » en dressant un tableau « polarisé » de la politique mondiale, qui est « loin d’être bénin et responsable ». Dans ce droit fil, le porte-parole de la diplomatie iranienne a souligné que les « politiques égocentriques et totalitaires » de certains membres de l’OTAN ont conduit à l’insécurité croissante qui sévit dans le monde, y compris en Europe. Le secrétaire général de l’OTAN « devrait se sentir responsable de répondre » à l’insécurité croissante à travers le monde, a indiqué Baghaï.
-UE soumise à la banque centrale, soumise à la banque des banques, soumis au FMI, soumis à Bidelberg (qui est une émanation du grand capital), soumis à certains lobbies, soumis à l’oligarchie mondialiste.
-article du Figaro en 2024 ayant fait croire que Giorgia Meloni aurait réduit de 65% le nombre d'immigrants depuis le début de l'année en Italie. Bien que l'article précise qu'il s'agit du nombre de migrants illégaux, de nombreux lecteurs sont passés à côté de cette nuance ô combien importante. Si les français élisent Le Pen, Bardella, Maréchal ou Zemmour, les électeurs français découvriront que ceux-ci font comme Meloni : obéissant aux ordres de l’Union Européenne qu’ils refusent de quitter, ils augmenteront plus le nombre de migrants légaux favorisant l'oligarchie capitaliste mondialiste par la baisse du coût du travail qu’ils ne diminueront le nombre de migrants illégaux. -selon Youssef Hindi dont via des documents, réel lobbying israélien au sein des institutions européennes et dans les partis et les états européens pour pousser l'occident vers un pro-sionisme. -Mme von der Leyen accusant le président Poutine élu démocratiquement d’autocrate, alors quelle est l'autocrate de la commission européenne subventionnée par les cotisations des pays de l'UE. Surtout qu'elle a donc décidé d'acheter des armes pour l'Ukraine sans consultation avec le parlement européen auparavant, ce qui montre la réalité du futur gouvernement mondial voulu par les mondialistes, certains lobbys, la finance internationaliste et diverses multinationales. Pourtant Leyen Pro-vax en plus donc pro-guerre, pro-migrants a étonnamment été reconduite pour un second mandat en juin 2024 par les dirigeants des 27.
Dans le cas d’une deuxième administration Trump, la situation change. L’expulsion des migrants illégaux sera la question principale et les gauchistes américains essaieront de l’empêcher. Ils considèrent les migrants comme la clé de leur royaume, le moyen de « détruire le capitalisme » et d’introduire le socialisme selon le plan oligarchique de Davos. L’expulsion des clandestins les ramènerait des décennies en arrière. Les gauchistes se révolteront (possiblement jusqu'à la guerre civile) plutôt que de perdre.
-éminents spécialistes occidentaux de l’analyse de l’information, de la psychologie et de la géopolitique travaillant dans les services de sécurité ukrainiens avant, après et pour la guerre.
-sur un petit territoire français en Palestine, gendarmes français mis ne prison par des policiers israéliens, alors que le lobby juif et l’État israélien demandent un soutien indéfectible à la France depuis des décennies.
-silence très coupable dont de Marine Le Pen, Bardella, Zemmour et Rioufol, face ces agressions envers des gendarmes français par Israël. Pourquoi les politiques français, notamment ceux de droite et d'extrême droite, sont-ils restés silencieux face à l'agression violente de deux gendarmes français par la police israélienne à Jérusalem ? Ce silence inquiétant révèle-t-il une priorité géopolitique au détriment de la défense des forces de l'ordre françaises ?
-choix même de la dénomination de « l’État d’Israël », lors de son autoproclamation par son armée le 14 mai 1948, visant à ne pas choisir entre « République d’Israël » voulue par les juifs laïques et celui de « Royaume d’Israël » choisi par les juifs religieux, en sachant que nous assistons à une évolution vers une théocratie assumée à « Jérusalem ».
-interdiction à 90 % des chrétiens de célébrer pâques 2025 dans certains lieux de cultes à Jérusalem. On cherche encore les traces du fameux judéo-christianisme dont l’extrême-droite nous rebat les oreilles.
-Emmanuel Macron pris en tenaille entre les historiques réseaux libanais et les récents réseaux israéliens, et autorisant pourtant Netanyahou à venir sur son territoire dans une forme de lâche soumission, puisque la France est à l'origine de du droit international et de sa CPI ayant demandé son arrestation pour génocide.
-alors que dans d’autres pays les crimes israéliens sont dénoncés quotidiennement, chez nous, ils produisent la gêne d’un pan entier du Système, qui est de fait complice ou corrompu par l’israélisme. Ce génocide agit donc comme un révélateur et un accusateur des soumis à l'ingérence étrangère. -supporter israéliens de foot brûlant les drapeaux néerlandais et palestiniens en Hollande, sifflant pendant l'hommage aux victimes en Espagne, appelant à la mort des Arabes et au génocide des enfants, puis se faisant logiquement tabasser, et pourtant de nombreux médias occidentaux en particulier français dénonçant de l'antisémitisme. Voilà comment fonctionne le Mossad : attiser la haine, attendre une réponse et ressortir la Shoah pour parvenir à un objectif indigne. En effet cet incident à Amsterdam est clairement un cas d’école de propagande déguisée. En sachant que les médias et l’État français, soutenant les massacres en Palestine, utilise cette affaire pour détourner l’attention et diviser l’opinion publique. « La justice, pour une raison X ou Y, prend souvent le parti des plaignants communautaires juifs, mais le génocide en cours en Israël a tout changé : à un moment donné, comme dans les grands procès d’assises, la vox populi compte, fait masse. Une justice qui penche trop vers l’injustice rend les gens dingues, eux qui souffrent déjà de l’injustice sociale due au poids de l’oligarchie. Un poids que l’on retrouve dans les médias menteurs, dans la ponction fiscale devenue racket, et dans la répression tous azimuts de la parole publique : il y a des gens qui vont en prison pour avoir dénoncé les crimes israéliens. Si la justice penche trop du côté de l’oligarchie, en prenant à chaque fois la défense des membres de ce nouvel Ancien Régime, la colère populaire ne peut que monter et se faire savoir. Aux États-Unis, les injustices du Système ont remis Trump en selle. L’oligarchie, c’est le pouvoir des très peu sur les beaucoup. Ça ne peut objectivement pas durer, (surtout en démocratie)l’histoire nous l’apprend. Ceux qui détiennent ce pouvoir, qui va avec les moyens répressifs, qu’ils soient policier, judiciaire ou médiatique, ne peuvent pas tenir longtemps contre une écrasante majorité. » (Rédac ER)
-Non respect de la charte de non prolifération des armes atomiques à l'étranger comme celle états-unienne en Italie et en Allemagne, et bouclier anti-missiles dont nucléaires pouvant devenir offensif même si il est devenu obsolète par l'invention russes des missiles hypersoniques dont nucléaires. Il faut noter que la prolifération des armes nucléaires augmente évidemment le risque et donc l'insécurité mondiale. Or ces boucliers anti-missiles autour de la Russie, de l’Iran et et de la Chine appartiennent aussi souvent aux très nombreuses bases militaires oppressives et menaçantes US, dont car pouvant envahir ces pays de plusieurs endroits à proximité. Concernant d'autres importants problèmes de notre époques bien expliqués et intelligemment solutionnés en proposition, il est intéressant de voir la vidéo « Comprendre Macron pour le combattre - Le Zoom - Pierre Le Vigan - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=z7eHjvuVQhY Ainsi comme le prouve l'énumération de tous les problèmes précédents, une oligarchie oppressive s'est accaparée à travers des siècles tout ce qui est vital et parfois divinement gratuit pour l’homme afin d'en faire commerce pour leur propres profits : entreprises d'eau, d’énergie, d’agroalimentaire, de santé, de location de terrain, de construction, d'autoroute, et de communication. C'est à dire qu'il s'agit d'une gouvernance mondiale par le lobbying de milliardaires, leur confiscation de la démocratie, et donc leur détournement du bien commun en faveur de leurs intérêts particuliers. Surtout que les multinationales dont le capital est par essence pratiquement insaisissable puisque se trouvant dans divers pays et la cryptomonnaie centralisée se développant deviennent des acteurs majeurs du mondialisme dans le monde économique dont en imposant des lois comme le prouvent les contrats supranationaux et l'Union Européenne favorisant les très riches entreprises et les très grandes banques too big to fail. De même en cas de grande crise économique mondiale, les banques centrales privées rachetant les titres de la dette publique des pays voire des actions de multinationales peuvent décider de s'approprier définitivement la plupart des biens du monde pour prétendument gérer au mieux les peuples. Les plus grosses multinationales comme les GAFAM parviennent même à obtenir le pouvoir des Etats démocratiques dont par la censure qu'ils peuvent mettre en place contre laquelle personne ne peut rien puisque ce sont des entreprises privées. Or toute cette mise en place d'une gouvernance mondiale a de grands atouts, car le socialisme et le libéralisme sur lesquels la plupart des pays sont basés recherchent souvent le mondialisme de manières différentes ou proviennent à leur origine d'une idée mondialiste. D'ailleurs selon Martin Peltier, les 3 révolutions s'appuyant sur une idée de mondialisme en utilisant le drapeau arc en ciel, que sont la lutte contre le climat, le LGBT et le vivre ensemble sud-africain, servent avec l'aide de la haute finance ultra-libérale à subvertir plus ou moins consciemment le monde traditionnel qui est celui des nations, de la famille et des religions.
|