B) Contexte international (suite 2)
Le président iranien Raïssi a souligné que la poursuite de la bataille du peuple musulman de la Palestine contre Israël et le soutien constant et ferme du monde musulman conduiraient à la libération de la Palestine, de la ville occupée de Qods et de la mosquée Al-Aqsa. « Prétendre que la branche armée de plusieurs dizaines de milliers de combattants d’un mouvement de libération – le Hamas – légitimé par le vote de plus d’un million d’électeurs – les Palestiniens de Gaza – est un mouvement terroriste est un mensonge et une stupidité politique. Dès lors, accuser ce mouvement d’actes de terrorisme, quand il ne peut s’agir que de crimes de guerre, est tout aussi stupide et mensonger. Comme il est tout aussi stupide et mensonger d’accuser ceux qui soutiennent cette lutte de libération légitime en vertu du droit international d’apologie du terrorisme. Ou alors faut-il qualifier aussi toute la politique israélienne et ceux qui la soutiennent depuis 1948 d’apologie du terrorisme ? » (Alain Soral) « Lorsque vendredi dernier à Dublin un émigré musulman d’Algérie a poignardé une famille irlandaise et incité à un pogrom anti-musulman, nous avons finalement trouvé la pièce manquante de ce puzzle. J’attendais « la suite de l’histoire », et elle a été dévoilée à un moment crucial du drame – au moment même où Dublin manifestait en masse contre le meurtre brutal des enfants de Gaza, juste au moment où le parlement irlandais menaçait d’expulser l’ambassadeur d’Israël, au moment même où les rapports faisant état d’antisémitisme atteignaient de nouveaux sommets. Il n’est pas difficile de trouver un réfugié musulman à l’esprit perturbé, de lui tendre un couteau et de le pousser dehors pour qu’il se déchaîne sur des passants. S’il n’existait pas, alors les juifs devraient le créer. Les golems musulmans jouent la partition avec panache. Sirhan Sirhan, Palestinien 5chrétien, dit Wikipédia, purge une condamnation à perpète (depuis 55 ans) dans une prison américaine pour l’assassinat présumé de Robert Kennedy (le frère de JFK), même si le fils de RFK, Robert Kennedy Jr, est convaincu de son innocence. La plupart des gens comprennent que Sirhan a été piégé par une cabale internationale de marchands de récits qualifiés. Pratiquement personne au monde ne croit que Sirhan a commis le meurtre, et pourtant nos récits en mode wiki entretiennent toujours la fiction comme si aucune « théorie du complot » ne pouvait résister à un rapport officiel. Depuis 55 ans, ils maintiennent les faits dans une sorte de brouillard, certains faits sont admis et pourtant niés à la fois, en toute plausibilité. Comparées à de tels stratagèmes impériaux, les attaques au couteau à Dublin [ou à Paris] relèvent des spectacles d’amateur. Il est bon de garder à l’esprit que les juifs n’ont peur ni des nationalistes ni des nazis. Plus le nazi est proche du sommet, plus il montre ouvertement son amour pour Israël. Les nationalistes Donald Trump et Georgia Meloni adorent Israël. (Et d'autres dirigeants ont été élus comme elle en surfant sur la vague populiste de la droite Trumpiste, mais trahissent leur pays en faveur du mondialisme oligarchique ou d'Israël.) Les racistes blancs défendent Israël ou partagent leur théorie raciale avec la communauté juive. Les sionistes chrétiens ont intégré le culte de l’État d’Israël dans leur religion. Si les juifs semblent combattre les racistes et les nationalistes, c’est uniquement pour qu’on ne les oublie pas dans l’actualité. Il faut d’abord comprimer le ressort vers l’arrière, de sorte que lorsqu’on le relâche, le percuteur projette la balle sur la trajectoire voulue. Si la balle fait des dégâts, le juif est innocent. Les juifs russes n’ont pas hésité à soutenir le nationaliste Navalny lorsque ses marches russes ont ébranlé Moscou. Les juifs sont généralement des nationalistes extrémistes, les rabbins luttant pour maintenir le peuple [juif] séparé des goyim et intact dans ses ghettos. Les hitlériens toléraient les juifs nazis et leur permettaient d’avoir leur propre drapeau et leur propre hymne. Les sionistes hongrois comme Rudolf Kasztner ont collaboré avec les nazis pour transporter uniquement les « meilleurs » juifs en Palestine. Depuis longtemps, les juifs pratiquent la dialectique comme stratégie de guerre. Au 19e siècle, ils ont dirigé le mouvement ouvrier et l’enrichissement capitaliste en même temps. GK Chesterton a dépeint un révolutionnaire juif de mèche avec un capitaliste juif. Aujourd’hui, un juif partisan de l’immigration musulmane est de mèche avec les sionistes qui expulsent les musulmans de leurs terres ancestrales et avec les nazis qui soulèvent les foules contre les musulmans. Voici donc enfin le but des prétendues erreurs tactiques de nos petits amis très occupés. Un engrenage bien huilé. Alors qu’un incendie de puits de pétrole, on l’éteint avec du TNT, ils ont bien chauffé leurs brigades néonazies et leur ont ensuite livré une flopée de musulmans indésirables. Tandis que les autorités lutteront pour éteindre l’incendie, la population commencera à se rendre compte que le cas de Gaza ressemble à ceux de Dublin et d’Amsterdam. À ce moment-là, toute supériorité morale sera anéantie et le peuple se retrouvera dans ce brouillard de guerre qui nous est si familier. L’indignation du peuple s’éteindra d’elle-même, la Palestine sera mécaniquement débarrassée de ses autochtones et les propriétés en bord de mer de Gaza pourront être ouvertement revendiquées par des juifs nationalistes et racialement purs. Même les juifs les plus progressistes comme Benny Morris ont exprimé leur regret que tous les Palestiniens n’aient pas été expulsés en 1948. » (Extraits de l'article « Gaza et l’immigration musulmane en Europe » d'Israël Adam Shamir) « Ce jour (attaque du Hamas du 7 octobre 2023) résume mille ans d’attaques par les monstres occidentaux sur l’Orient. Ce jour, les sionistes ne l’oublieront jamais, il est marqué par la résistance pour sauver son existence, il est pour tous les arabes et pour tous les peuples libres du monde. Je le documente pour l’Histoire, comme une photo instantanée et comme le reflet de notre époque. C’est l’image de l’Occident qui trompe, qui ment. Un Occident agressif qui ne voit que d’un seul œil. Occident qui aime le théâtre et le cinéma et qui tue les Palestiniens comme s’il jouait dans une pièce de théâtre ou dans un film. Cet Occident se réveille le samedi 7 octobre 2023, effrayé, terrifié, ne croit pas et ne veut pas croire en ce qu’il voit. Il a vu sa proie lui échapper des mains, une proie qu’il a rendue exsangue par mille ans de conflits en vue de le soumettre, le voler et l’anéantir. Oui, les Palestiniens se sont libérés de son joug en ce grand jour. Le jour du tsunami d’Al-Aqsa, ils se sont libérés de leur bourreau, ils l’ont désarçonné et obligé à aboyer d’urgence à travers les médias occidentaux pour déclarer la guerre. Je vis en Europe depuis quarante ans, et durant cette période j’ai suivi attentivement les guerres contre l’Afghanistan, la Libye, l’Irak et la Syrie. J’ai observé le travail du monstre sioniste occidental qui apparaissait à travers les médias, pour téléguider tous ces féroces conflits armés ; mais la guerre contre le peuple palestinien atteint un tel sommet que l’on peut la qualifier de génocide. Les meilleurs « spécialistes et experts » de toutes les guerres militaires, médiatiques et psychologiques sont sur les écrans de télévision jour et nuit ; le mal sort de leur bouche et de leurs yeux, ils déversent leur colère contre la résistance palestinienne qui s’est rebellée contre eux et a brisé leur arrogance. Je n’ai jamais vu de ma vie un tel monstre et son immense capacité à mentir et à tromper. Et surtout ils ont su inventé comment la résistance a décapité les enfants en Palestine comme s’ils en avaient été témoins ! Tout est légitime pour eux pourvu qu’ils reprennent leur emprise sur les richesses du peuple palestinien et sur celles de tous les pays arabes. Sans doute Emmanuel Macron, imposé par l’état profond à la tête de la France, est celui qui dirige ce Satan, il coordonne son travail avec les leaders du mal dans le monde : les USA et leurs alliés : les autres puissances siono-occidentales. Ils se coordonnent entre eux, tout comme ils l’ont fait en 1095 quand ils ont commencé leurs guerres de croisade contre l’Orient (la Croix innocente n’étant qu’un prétexte), pour commettre le pire crime de l’histoire en massacrant et embrochant des enfants en dévorant leur corps à Antioch et Maarat Al-Noman. Tant de crimes enregistrés dans le livre de l’Histoire en Égypte, en Algérie, en Syrie et en Irak, vivent toujours dans leur mémoire. Ces crimes représentent pour eux comme un véritable réservoir d’expériences que leur facilitent l’occupation et le pillage du peuple d’Orient sans aucune barrière morale, alors qu’ils répètent jour et nuit : « Liberté …. Égalité …. Fraternité ». Ô Héros de Palestine, je m’incline devant vous et ceux qui sont avec vous parce que vous avez ramené votre Nation sur la scène de l’Histoire. » (Extraits de l'article « Des mots pour l’histoire – Adnan Azzam » à l'adresse https://lemediaen442.fr/des-mots-pour-lhistoire-adnan-azzam/) « La réalité de la guerre Hamas-Israël provient de crimes qui entraînent des crimes – des crimes qui ont précédé des crimes. L’acharnement à faire dire «terrorisme» ne satisfait que des besoins passionnels – et aucune exigence intellectuelle. En réalité, «terrorisme» et «crimes de guerre» sont deux catégories qui ne cessent de passer l’une dans l’autre, et ne dessinent aucune antinomie stable. Hiroshima est, à la lettre, conforme à la définition ONU du terrorisme : tuer des civils qui ne sont pas directement parties à des hostilités pour intimider une population ou contraindre un gouvernement à accomplir un certain acte. A-t-on entendu parler de terrorisme pour la bombe d’Hiroshima ? Mais pour ceux qui, dans la situation présente, en ont fait un point d’abjuration, «terrorisme» a une irremplaçable vertu : donner une violence pour dépourvue de sens. Et de causes. Violence pure, venue de nulle part, qui n’appelle rigoureusement aucune autre action que l’extirpation, éventuellement dans la forme relevée de la croisade : le choc des civilisations, l’axe du Bien, à laquelle il n’y a aucune question à poser. Surtout donc : ne pas comprendre. Ce qui demande un effort d’ailleurs, car l’évidence est massive et, avoir les yeux ouverts suffit – pour comprendre. Un peuple entier est martyrisé par une occupation, ça fait bientôt 80 ans que ça dure. On les enferme, on les parque à les rendre fous, on les affame, on les tue, et il n’est plus une voix officielle pour en dire un mot. 200 morts depuis dix mois : pas un mot – entendre : qui se comparerait, même de loin, aux mots donnés aux Israéliens. Des témoignages vidéos à profusion des crimes israéliens encore frais : pas un mot. Des marches palestiniennes pacifiques à la frontière, 2018, 200 morts : pas un mot. Des snipers font des cartons sur les rotules, 42 en une après-midi, pas mal : mais pas un mot – si : «l’armée la plus morale du monde». D’anciens militaires de l’armée la plus morale du monde expriment le dégoût, l’inhumanité de ce qu’on leur a fait faire aux Palestiniens : pas un mot. À chacune des abominations du Hamas ce week-end, on en opposerait tant et plus commises par les militaires ou les colons – à peine quelques rides à la surface de l’eau. Les tragédies israéliennes sont incarnées en témoignages poignants, les tragédies palestiniennes sont agglomérées en statistiques. En parlant de statistique : on voudrait connaître la proportion des hommes du Hamas passés à l’attaque ce week-end qui ont tenu dans leurs mains les cadavres de leurs proches, des corps de bébés désarticulés, pour qui la vie n’a plus aucun sens – sinon la vengeance. Non pas «terrorisme» : le métal en fusion de la vengeance coulé dans la lutte armée. L’éternel moteur de la guerre. Et de ses atrocités. En tout cas voilà le sentiment d’injustice qui soude le groupe. Une vie qui ne vaut pas une autre vie : il n’y a pas de plus haute injustice. Il faut être épais pour ne pas parvenir à se représenter ça – à la limite, même pas par humaine compréhension : par simple prévoyance stratégique. Qu’un martyre collectif soit ainsi renvoyé à l’inexistence, que les vies arabes se voient dénier toute valeur, et que ceci puisse rester indéfiniment sans suite, c’était une illusion de colonisateur. Maintenant le fait le plus frappant : tout l’Occident officiel communie dans cette illusion. En France, à un degré étonnant. Le bloc bourgeois français est plus israélien que les Israéliens : il refuse qu’on dise «apartheid» alors que des officiels israéliens le disent, il refuse de dire «État raciste» alors qu’une partie de la gauche israélienne le dit, et qu’elle dit même parfois bien davantage, il refuse de dire la responsabilité écrasante du gouvernement israélien alors qu’Haaretz le dit, il refuse de dire la politique continûment mortifère des gouvernements israéliens alors qu’une kyrielle d’officiers supérieurs israéliens le disent, il refuse de dire «crimes de guerre» pour le Hamas alors que l’ONU et le droit international le disent. Gideon Levy : «Israël ne peut pas emprisonner deux millions de Palestiniens sans en payer le prix cruel». (« L’opinion publique israélienne craint (que sa population se divise et que) la guerre ne soit perdue sur deux ou plusieurs fronts, en ne parvenant pas à libérer ou à faire relâcher les prisonniers (une soixantaine d’entre eux ont déjà été tués lors de raids israéliens) et en ne démantelant pas les capacités du mouvement Hamas et du Résistance palestinienne. Pire encore, un grand nombre de soldats seront tués, peut-être par centaines. Contrairement au non-plan israélien, suite au coup militaire douloureux lancé contre Israël le matin du 7 octobre, le plan du Hamas et de la résistance semble clair : Israël devra arrêter la guerre, procéder à un échange global de prisonniers et lever le siège de Gaza. La résistance mène une guerre d’usure contre l’armée israélienne, lui infligeant des pertes quotidiennes toujours croissantes, et semble préparée à une longue guerre visant à éroder les éléments de la puissance israélienne. Le temps ne joue pas en faveur d’Israël, qui perdra davantage d’argent, d’hommes et de légitimité, sa crise interne s’aggravant et les pressions et les doutes qui l’entourent augmentant, avec la possibilité d’une explosion de la situation au niveau régional, surtout que pour se sortir de l'isolement géostratégique dans lequel ils se sont mis par leur génocide ou pour éviter une très grande humiliation à Gaza dont en ne pouvant y mettre un gouvernement palestinien soumis comme le Fatah, Israël pourrait pousser à un embrasement régional voire mondial recherché en plus par les israéliens messianiques. Au contraire, le temps joue en faveur de la résistance palestinienne, qui estime que toutes ces pressions militaires et politiques internes et externes finiront par amener Israël à céder et à accepter ses conditions. Dans ce cas, la guerre se terminerait non seulement par la défaite de Netanyahu, mais aussi par la défaite du gouvernement d’extrême droite et de son programme raciste. La société israélienne rejette de plus en plus la politique de ce gouvernement à tous les niveaux, et la guerre a prouvé qu’elle ne peut pas imposer la reddition au peuple palestinien malgré les drames causés par les crimes israéliens à Gaza, dont les répercussions ont rendu la communauté internationale méfiante et encline à rejeter les récits israéliens. (C'est pourquoi) Netanyahu a utilisé la référence à Amalek (ancien ennemi prétendument barbare) à plusieurs reprises pour motiver l’armée israélienne dans sa guerre contre Gaza. Netanyahu accumule les pertes sur tous les fronts, essayant d’effacer le « Samedi noir », ignorant que son leadership ne jouit pas d’une acceptation populaire, et faisant semblant de ne pas remarquer l’armée israélienne brisée, l’économie érodée, la réputation internationale fragilisée, le front intérieur désintégré et l’importance militaire quotidienne des pertes, outre la condamnation de ses crimes par les Nations unies. » (Site « plumenclume)) Daniel Levy, ancien diplomate israélien à une journaliste de la BBC qui lui dit que les Israéliens sur le point d’annihiler Gaza «se défendent» : «Vous pouvez vraiment dire une chose pareille sans ciller ? Ce genre de mensonges ?» Le bloc bourgeois : «Israël ne fait que se défendre». Il dit «Terreur» quand les Russes coupent toute ressource à l’Ukraine, il ne dit rien quand Israël coupe toute ressource à Gaza. Le bloc bourgeois vit un flash d’identification que rien ne peut désarmer. Crise après crise, la dynamique pré-fasciste ne cesse de prendre consistance et de s’approfondir. Le terme en a été donné par Meyer Habib député français d’extrême-droite israélienne : «Le RN est entré dans le camp républicain». Les moments de vérité recèlent toujours quelque avantage : nous savons désormais en quoi consiste le camp républicain. C’est le camp qui interdit le dissensus, qui interdit l’expression publique, qui interdit les manifestations, qui impose l’unanimité ou le silence, et qui fait menacer par ses nervis policiers tous ceux et toutes celles qui seraient tentés de continuer à faire de la politique autour de la question israélo-palestinienne. C’est le camp qui fait faire des signalements par des institutions universitaires à l’encontre de communiqués de syndicats étudiants, qui envisage tranquillement de poursuivre des organisations comme le NPA ou Révolution permanente, qui doit sans doute déjà penser secrètement à des dissolutions. C’est bien davantage qu’un spasme en fait. Par définition, un spasme finit par relaxer. Ici, ça cristallise : une phase précipite. Et pas n’importe laquelle : catalyse totalitaire. «Totalitaire» est la catégorie qui s’impose pour toute entreprise politique de production d’une unanimité sous contrainte. L’intimidation, le forçage à l’alignement, la désignation à la vindicte, la déformation systématique, la réduction au monstrueux de toute opinion divergente en sont les opérations de premier rang. Viennent ensuite l’interdiction et la pénalisation. Témoigner du soutien au peuple palestinien est devenu un délit. Arborer un drapeau palestinien est passible de 135€ d’amende – on cherche en vain une base légale présentable. (Dans ce sens il est très étonnant que les manifestations pro-israéliennes autorisent les drapeaux français à défiler avec ceux israéliens, alors que dans la manifestations pro-palestiniennes des antifas, ces derniers empêchent paradoxalement les drapeaux français à défiler avec ceux palestiniens, puisque tels les fascistes sionistes et telle une manipulation favorisant les intérêts d'Israël et se mettant à dos des millions de français susceptibles de soutenir la Palestine.) «Free Palestine» est un graffiti antisémite – dixit CNews, devenu arbitre des élégances en cette matière, signes de temps renversés où d’actuelles collusions avec des antisémites distribuent les accusations d’antisémitisme, et d’anciennes collusions avec le nazisme celles de nazisme. Sous l’approbation silencieuse du reste du champ politique et médiatique. Dans les couloirs de toute la galaxie Bolloré, on ne doit plus en finir de se tenir les côtes de rire, pendant qu’à LREM, à France Inter et sur tous les C Trucmuche de France 5, on prend la chose au tout premier degré. Le camp républicain, c’est le camp qui suspend la politique, les libertés et les droits fondamentaux, le camp soudé dans le racisme anti-Arabe et dans le mépris des vies non-blanches. Le monde arabe, et pas seulement lui, observe tout cela, et tout cela se grave dans la mémoire de ses peuples. Quand la némésis reviendra, car elle reviendra, les dirigeants occidentaux, interloqués et bras ballants, de nouveau ne comprendront rien. » (Extraits de l'article « Catalyse totalitaire » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/22/catalyse-totalitaire/) « Suite au génocide d'Israël contre Gaza, où sont les antifas ? Depuis Gracchus Babeuf, le combat du plus faible contre le plus fort et la révolte des oppressés contre leurs oppresseurs sont des lignes de mire de l’activisme d’extrême gauche. Ainsi Depuis l’avènement de l’impérialisme américain au sortir de la Seconde Guerre mondiale, tous les communistes révolutionnaires d’Europe occidentale furent consubstantiellement pro-palestiniens. Aujourd’hui pourtant, en 2023, les antifas allemands de l’Antifaschistische Aktion gonflent les rangs des manifestations anti-AfD, mais sont absents des manifestations pro-palestiniennes. Ils tiennent donc la pancarte de tête dans des manifs sponsorisées par le système néolibéral qu’ils prétendent combattre, et boycottent des manifs interdites par ce même système. En France, il ne reste plus que l’antiracisme, sur lequel la communauté de lumière a le monopole (Shoah oblige) et donc les pleins pouvoirs. Emballé, c’est pesé. Grâce à l’expert des chronographes Julien Dray, on passe de la gauche au gauchisme, de Jean Jaurès à BHL, d’Action directe au Betar, et de Free Palestine à Am Yisrael Chai. » (Rédaction ER) « Il est consternant que la majorité de braves gens ne s’occupe, bien trop souvent, que de leur pré-carré au mépris de ce qui se passe aux quatre coins de la planète. Pourtant, on ne peut pas comprendre la politique intérieure de la France si on ne s’intéresse pas à la politique internationale. Faire face à la destruction est difficile pour tout un chacun. Le point de bascule apparaît quand, à force de bourrage de crâne et de propagande médiatique de guerre, le citoyen lambda se met à haïr son voisin et se déclare prêt à guerroyer. Le passé récent est là pour nous le rappeler. En 1914, les Français sont partis la fleur au fusil pour aller bouffer du « Boche ou du pur contre l’impur ». La grande boucherie qui s’en est suivi en a fait déchanter plus d’un. Les minorités au pouvoir dans beaucoup de pays obéissent à une oligarchie financière mondiale apatride qui se frotte les mains. Encore plus de guerre, c’est encore plus d’armes vendues, et encore plus de bénéfices engrangés. Comme écrivait Paul Valéry : « La guerre, c’est (souvent) le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas. »… « Toutes les guerres depuis des siècles ont été des guerres de luxe, c’est-à-dire des guerres dont l’idée génératrice était purement imaginaire, formée par quelques-uns et non par un besoin réel de la majorité, – et dont les bénéfices n’ont été qu’à une minorité – ; ces quelques-uns n’étant pas tous du peuple vainqueur »… « Les guerres modernes, sont des luttes de minorités effectuées par leurs majorités qui n’en ont ni les raisons ni les avantages. Les idées ou sentiments des uns, la vie des autres. »… « Je vais vous expliquer ce que c’est que la guerre. Deux « nations » – deux mythes -, etc. Mais en réalité des millions de gens qui s’ignorent entre eux dans chacune, au même ou presque même degré qu’ils s’ignorent sans l’une et l’autre quantité mêlées. Mêlez ces gens, – alors à un signal (par qui, pour quoi donné, et pourquoi obéi ?) – et tous ces gens-là entrent en transe d’obéissance et n’en est qu’un sur 100 000, dans l’un et l’autre camp, qui ne soit pas dans son fond bouleversé, accablé, ruiné, ahuri, etc. » « Par qui, pour quoi donné, et pourquoi obéi ? » Nous avons la réponse à cette question que se posait Paul Valéry. La majorité au pouvoir dans beaucoup de pays ne dénoncera jamais les véritables commanditaires des guerres, car elle obéit aveuglément à des maîtres fous. Dénoncer les crimes de guerre est nécessaire, peu importe le camp. Mais au-delà de cela, il est temps de réaliser que bien trop souvent, ceux qui nous gouvernent ne nous veut pas du bien. » (Extraits de l'article « Dormez en paix braves gens, un génocide est en cours ! » à l'adresse https://strategika.fr/2023/10/21/dormez-en-paix-braves-gens-un-genocide-est-en-cours/) « Le représentant permanent de la Russie au Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies Vassili Nebenzia a clairement indiqué qu’Israël, en tant que puissance occupante, n’a pas «le droit à l’autodéfense», ce qui a été confirmé par une décision consultative de la Cour internationale de justice des Nations unies datant de 2004. Tout en soulignant que Moscou reconnaît le droit d’Israël à assurer sa sécurité, Nebenzia a insisté sur le fait que ce droit «ne pourrait être pleinement garanti que dans le cas d’une résolution équitable du problème palestinien basée sur les résolutions reconnues du Conseil de sécurité de l’ONU». Les faits montrent qu’Israël ne respecte aucune résolution du Conseil de sécurité des Nations unies sur la Palestine. Lavrov a réitéré les priorités de Moscou déjà soulignées par Poutine et Nebenzia : un cessez-le-feu urgent, des couloirs humanitaires et un retour à la table des négociations pour «un État palestinien indépendant, tel qu’envisagé par le Conseil de sécurité de l’ONU dans les frontières de 1967, qui coexisterait dans la paix et la sécurité avec Israël». Lavrov a souligné une fois de plus que plusieurs tactiques de diversion américano-israéliennes sont employées «dans le but de retarder (voire d’enterrer) la décision du Conseil de sécurité de l’ONU de créer un État palestinien». Cela implique, selon le ministre des Affaires étrangères russe, de condamner les Palestiniens «à une existence éternelle sans droits. Cela ne garantira ni la paix ni la sécurité dans la région et ne fera qu’aggraver le conflit. Et vous ne serez pas en mesure de l’approfondir. Les prochains «raisins de la colère» seront semés et pousseront rapidement». L’analyse de Lavrov, autant que celle de Poutine, converge avec celle de Khamenei et de Nasrallah : «Il ne s’agit pas de Gaza, mais du conflit israélo-palestinien. L’État de Palestine fait partie intégrante de cette solution». La Russie sème les graines pour exercer le rôle de médiateur de confiance pour toutes les parties en Israël/Palestine – un rôle totalement inadapté pour l’hégémon, surtout après l’approbation tacite de l’actuel nettoyage ethnique israélien de Gaza. Tout est là, clairement formulé par Lavrov : «Il sera fondamentalement important pour nous de connaître l’opinion unanime du monde arabe». Ce message vise spécifiquement les régimes sunnites vassalisés par Washington. Ensuite, lorsqu’ils se seront ressaisis, «nous soutiendrons la solution arabe à cette question très difficile». La solution la moins mauvaise à ce jour est l’Initiative de Paix arabe de 2002, à laquelle ont souscrit tous les pays, des terres d’islam à la Russie, l’Iran et la Chine : un État palestinien indépendant, ramené aux frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale. Le problème est de savoir comment convaincre le sionisme incontrôlable de faire marche arrière. Les faits impératifs sur le terrain devraient notamment consister à couper le cordon ombilical militarisé/sécurisé Washington-Tel Aviv – et à expulser du spectre géopolitique la matrice sioniste chrétienne néoconservatrice des États-Unis, qui se trouve être profondément enracinée dans les silos de l’État profond. Ces deux impératifs sont impossibles à réaliser – à court, moyen et même long terme. » (Extraits de l'article « Le pivot public de la Russie vers la Palestine » à l'adresse https://strategika.fr/2023/11/11/le-pivot-public-de-la-russie-vers-la-palestine/) « Lorsque l’on chasse un peuple (palestinien) de sa terre et que l’on s’y installe (en tant qu’État d'Israël), on s’expose à la violence. Je dirai que cela fait partie du contrat. Faire passer cette attaque pour un pogrom permet de rappeler aux Occidentaux « les heures les plus sombres de l’histoire » et de justifier ainsi le massacre de masse en cours et l’épuration ethnique que projette Israël depuis longtemps contre les Palestiniens. Les témoins de la création du foyer national juif devenu l’État d’Israël n’ont pas su voir, dont à cause de son socialisme et de l'inculture religieuse répandue, son essence religieuse et sa dimension pourtant évidemment eschatologique. Et depuis une dizaine d’années, les gouvernements successifs sont ouvertement religieux, orthodoxes et messianistes. L’objectif affiché est la destruction de la mosquée al-Aqsa, la construction du Troisième Temple et l’extension des frontières d’Israël du Nil à l’Euphrate. (Or il existe un avis qu'Israël ne détruise pas l'esplanade des mosquées en la contenant dont possiblement avec une église dans l'enceinte du temple tel un syncrétisme juif supérieur, ou en construisant une synagogue et une église sur cette esplanade, voire en annonçant que ce troisième temple peut servir de lieu de prière à tout juif, chrétien et musulman, ce qui finirait par confirmer prétendument la fausse croyance que le peuple juif est le peuple prêtre pour les humains. Cela ressemblerait à la « Maison de la famille abrahamique » d'Abu Dhabi qui est un complexe interconfessionnel voire œcuménique en réalité impie même si joliment rapprochant, car accueillant les fidèles des trois religions juive, chrétienne et musulmane aux heures de prière, alors que la différence est un aspect principal des religions même s'il faut entretenir de bons liens et chercher des points communs. Mais pour que la fin des temps se réalise, ce sera très probablement la destruction de la Mosquée al-Aqsa qui unira les musulmans car elle est le troisième lieu saint de l'islam, alors que le génocide des palestiniens aurait dû déjà soulevé le monde musulman, quoique dans un sens à la différence son rang n'est pas sacré. En sachant que le début de la grande victoire de cette union ne sera accordée seulement à la communauté du Mahdi devant montrer le retour de Jésus, et que la stabilité de chaque nation pourrait aussi dépendre du message du Mahdi face à notre époque matérialiste et insouciante en particulier à cause de l'internet trop utilisé pour le divertissement.) C’était le projet de départ, et ce avant même la création du foyer national juif. Théodore Herzl, qui était athée, a écrit en 1904 que les frontières du futur État d’Israël s’étendront « du fleuve d’Égypte à l’Euphrate ». Le Rabbi Fischmann, membre de l’Agence juive pour la Palestine, a déclaré dans son témoignage au Comité spécial d’investigation de l’ONU du 9 juillet 1947 : « La Terre promise s’étend du fleuve d’Égypte à l’Euphrate. Elle inclut une partie de la Syrie et du Liban. » Entre 1967 (la guerre de Six Jours) et 2012, environ 35 % de la population chrétienne palestinienne a (en plus) immigré, en raison de la détérioration économique et sociale, l’occupation israélienne, avec les points de contrôle militaire et le mur de séparation, ce qui fait en tout une expulsion de plus de 800 000 palestiniens. L’attaque du Hamas est un moyen de sabotage de la normalisation israélo-saoudienne (et plus largement des accords d’Abraham) et l’officialisation du nouveau rapport de force proche-oriental face à un Israël affaibli, isolé militairement et diplomatiquement. C’est donc le meilleur moment pour l’Iran et ses alliés de régler leurs comptes avec Tel-Aviv. Ce basculement du rapport de force proche-oriental est la miniaturisation d’un nouveau rapport de force mondial. Le fait que la Russie ait osé affronter militairement, industriellement et économiquement les forces de l’OTAN a été l’officialisation du monde multipolaire. La planète entière est témoin de cet affrontement direct contre l’ex-puissance unipolaire et hégémonique. Il est désormais possible d’affronter l’Occident anglo-américain, d’y survivre et possiblement de gagner. Ce basculement mondial a entraîné le basculement proche-oriental en cours. La fausse surenchère de victimisation concernant des bébés prétendument décapités ressemble à de la propagande de guerre qui nous rappelle les couveuses du Koweït, la maternité de Kharkov et le massacre de Boutcha, et bien d’autres médiamensonges, pour reprendre le néologisme de Michel Collon. L’embrasement régional, et même mondial, est dans l’intérêt d’Israël, dont la stratégie consiste, depuis de nombreuses décennies, à se débarrasser des États autour de lui qui empêchent son expansion territoriale. Je l’ai dit, la mission des groupes terroristes au Proche-Orient consistait à terminer le travail de destruction des États qu’ont commencé les Américains. Mais la résistance de la Syrie et du Hezbollah sont toujours là, et l’Iran est plus puissant que jamais. Par conséquent, l’État hébreu provoque le chaos pour contraindre les États-Unis à se réinvestir militairement dans la région pour s'en débarrasser. » (Youssef Hindi) « Les dirigeants iraniens estiment qu’une défaite écrasante du Hezbollah entraînerait des conséquences négatives pour leur propre sécurité nationale. L’existence du groupe libanais assurait jusqu’alors une dissuasion pour l’Iran et son programme nucléaire, en tant que première ligne de confrontation et atout de chantage de la part de Téhéran envers Israël et les États-Unis. La milice a également joué un rôle dans le soutien technique et logistique aux milices soutenues par l’Iran en Irak et des houthistes au Yémen. Le Hezbollah a également contribué à sauver le régime d’Assad dans les premières années de la révolution contre lui, surtout entre 2012 et 2015. Téhéran considère donc que la déroute du Hezbollah présenterait un risque pour sa sécurité nationale et, en particulier, pour son programme nucléaire face à Israël. C’est la raison pour laquelle la poursuite d’un soutien au Hezbollah via la frontière syro-libanaise s’avère une priorité stratégique, quel qu’en soit le coût. Un coût qui inquiète surtout Bachar al-Assad, dont les yeux sont rivés sur Israël. Côté israélien, deux dossiers sont prioritaires sur le théâtre syrien. Le premier concerne la frontière syro-libanaise et le second les milices soutenues par l’Iran en Syrie. Ces préoccupations pourraient devenir plus intenses compte tenu du refus de Téhéran et du Hezbollah d’accepter la défaite et de faire des concessions incitant le gouvernement israélien à mettre un terme à son opération militaire au Liban. Tel-Aviv est toutefois conscient de la difficulté à poursuivre son offensive à court terme, après l’élection présidentielle américaine, malgré la réélection de Donald Trump. D’où la décision de s’en prendre à la porosité de la frontière syro-libanaise, comme en témoigne la récente déclaration du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou : « Nous allons couper le pipeline d’oxygène du Hezbollah qui relie l’Iran à la Syrie. » (Et c'est ce qui s'est passé suite au départ de Bachar al-Assad.) Depuis le début de l’opération contre le Hezbollah, l’aviation israélienne a mené des dizaines de frappes aériennes ciblant les points de passage officiels, ou non, au niveau de la frontière syro-libanaise. Fort de ce constat, Israël a averti Assad de la nécessité de prendre la décision de fermer ces frontières. Mais ce dernier n’a pas encore répondu à cet avertissement, et pour cause. Lors d’une visite surprise à Moscou en juillet 2023, Bachar al-Assad a rencontré le président russe Vladimir Poutine, qui lui a indiqué que la situation régionale se dégradait et que la Syrie était directement concernée. Or la Russie, malgré la guerre en Ukraine et la coopération stratégique avec Téhéran, entretient toujours des relations étroites avec Israël. Les Russes distinguaient leurs intérêts dans ce pays de ceux de Téhéran, avec pour priorité le maintien du régime syrien, et la préservation de leurs bases militaires sur la côte syrienne, leur unique débouché sur la mer Méditerranée. Ce qu'ils ont finalement perdu. (Mais tout cela aurait été vite réglé avec l'union des pays musulmans actuellement divisés dans une forme évidente d'impiété.) » (French PressTV) « Fin février 2023 la Maison Blanche, a déclaré aux journalistes à Washington que les États-Unis ne voulaient pas « d’un deuxième front » à la frontière nord d’Israël. « Nous allons poursuivre nos conversations avec nos homologues israéliens, ainsi qu'avec nos homologues libanais, pour ne pas laisser les tensions là-bas déborder au point où elles approfondissent et élargissent réellement le conflit d'une manière qui pourrait atténuer les tensions et toute forme de pression sur le Hamas », a déclaré le conseiller à la défense et ancien contre-amiral US John Kirby. (Ainsi la grande majorité du monde semble avoir compris de devoir limiter Israël à la Palestine pour éviter la troisième guerre mondiale, dont donc les USA qui refusent que Tsahal ouvre un front contre le Hezbollah, mais l'UE et certains dirigeants européens y poussent très dangereusement de plus en en plus.) La triste réalité pour le régime israélien est que le Hezbollah n’a pas été dissuadé, même une seconde, et que la promesse qu’il a faite au peuple de Gaza dès le premier jour n’a pas été rompue. Les opérations réussies de la Résistance ont contraint le régime de Tel-Aviv à se soumettre à une évacuation à grande échelle de la zone occupée du nord et à admettre qu'une zone militaire soit établie là où les colons vivaient et travaillaient autrefois. Les zones occupées du nord sont principalement agricoles, avec des sites touristiques et des colons denses avec de petites entreprises. Ainsi, la chute soudaine, inattendue et imprévue de la population a secoué l’économie. En novembre 2023, la Banque d'Israël a estimé que l'absence au travail de 144 000 colons évacués, dont environ 40 % ont fui vers le nord, « avait coûté à l'économie israélienne environ 590 millions de shekels, soit 158 millions de dollars, chaque semaine ». La Résistance décoloniale du Hezbollah ne se contente pas de détruire les cibles sionistes et de forcer les colons à fuir, elle ravage l’économie sioniste. » (France Press TV) « L’Iran pour autant continue de faire preuve de patience stratégique, en soutenant ses alliés régionaux, qui font preuve d’efficacité avec des dépenses incomparablement inférieures à celles de l’axe Washington-Londres-Tel-Aviv. Et « Si l’ennemi envisage de mener une guerre contre le Liban, nous combattrons sans retenue, sans règles, sans limites et sans restrictions » a même affirmé Seyyed Hassan Nasrallah, secrétaire général du mouvement de la Résistance islamique libanaise, Hezbollah. De nouvelles sanctions éventuelles de la minorité mondiale occidentale contre l’Iran n’y changeront également rien car la nation perse étant l’un des deux pays, avec la Russie, les plus visés par ces sanctions unilatérales illégales – a parfaitement démontré être en mesure à pouvoir les surmonter. Et ce avant même les nouvelles opportunités qui se sont offertes à Téhéran via le renforcement encore plus important des liens avec Moscou et Beijing, l’adhésion officielle aux BRICS, la normalisation des relations avec l’Arabie saoudite, la dédollarisation en cours et les nouveaux grands projets dans l’espace eurasiatique. C’est précisément cela qui gêne tellement l’axe otanesque occidental et tous les nostalgiques d’une ère révolue. N’étant plus capables de dicter leur loi sauvage au monde entier, ils se rendent compte également que le temps joue en faveur des partisans de l’ordre mondial multipolaire contemporain. Et ce – sur tous les fronts. De-facto cette impuissance enrage les anglo-étasuniens qui espèrent à travers leurs crimes pousser l’adversaire à la faute. Sauf qu’ils doivent garder en mémoire que seule une agression directe contre le territoire iranien poussera Téhéran à riposter beaucoup plus fermement que ce n’est le cas aujourd’hui, avec toutes les conséquences aussi bien pour les dizaines de milliers de militaires US présents dans la région, de même qu’en ce qui concerne l’existence ultérieure du régime israélien. Une chose est sûre – le chaos, qui constitue la base même des régimes étasunien et britannique, se retourne contre ses instigateurs. Ceci étant dit – les flammes qu’ils reçoivent en retour déjà aujourd’hui sont loin de représenter le véritable potentiel de riposte qui peut frapper les pires criminels de l’histoire de l’humanité. » (Mikhail Gamandiy-Egorov) « En Janvier 2024, le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a lancé une série de missiles balistiques vers un centre d'espionnage israélien dans la région du Kurdistan irakien, tout en frappant également des cibles liées aux terroristes de Daech dans le nord de la Syrie. L’Iran ne peut pas permettre la présence de bases sionistes en Irak, tant matériellement que politiquement. Le même raisonnement explique aussi les tensions entre Téhéran et Bakou dues à la présence de bases sionistes en Azerbaïdjan. Il est également essentiel de souligner un élément souvent négligé dans les analyses de la région, notamment celles axées sur la réponse iranienne. Ces attaques soulignent la volonté totale de l’Iran et des autres membres de l’Axe de la Résistance de contrer les complots américano-sionistes dont en appelant aussi à un boycott envers Israël de tous les pays musulmans du monde ainsi que le maximum d'autres nations. Cela ne signifie pas que l’Axe de la Résistance en général et la République islamique en particulier recherchent une escalade, mais cela indique qu’ils sont entièrement prêts et préparés à une telle éventualité. Il est intéressant de noter que les analyses qui soutiennent que les attaques iraniennes représentent « une escalade du conflit » ne prennent pas en compte le fait que c'est l'action conjointe des États-Unis et d'Israël, avec le soutien du Royaume-Uni, qui a placé la région dans la tourmente actuelle. De plus, ils ne comprennent peut-être pas que la réponse de l’Iran, comme celle des autres membres de l’Axe de la Résistance, est nécessaire pour garantir la paix et la stabilité dans la région, sans ingérence extérieure. Dans le même temps, il est important de noter que la défense de la souveraineté et de l’autonomie de l’Iran est politiquement liée à la défense et à l’autonomie de groupes de résistance comme Ansarallah au Yémen ou le Hezbollah au Liban. C’est précisément ce lien politique qui explique et façonne l’Axe de la Résistance. (Mais cette souveraineté de l'Iran est aussi liée à la souveraineté de la Russie et de la Chine (et des BRICS, dont les monarchies pétrolières arabes qui n'autoriseront pas les USA à se servir de leurs bases dans leurs nations respectives pour attaquer l'Iran, car au risque d'être déstabilisées, divisées et donc aussi détruits, en particulier par rapport à la possible guerre régionale) ne peuvent voir l'Iran perdre son influence au Moyen Orient, car le stabilisant par sa lutte contre Israël, Al Qaida et Daech, et donc évitant à ces deux derniers groupes d'attaquer la Tchétchénie et donc la Russie par le Sud, ou la région chinoise des ouïghours par l'Ouest. En sachant que l'axe stratégique de l'arc de la résistance liée à l'Iran étant la meilleure protection contre Daech et Israël dont aussi pour l'Iran et le Moyen-Orient, la pseudo volonté de l'Iran d’échanger cela contre le nucléaire civil correspond donc évidemment à une fausse rumeur.) » (PressTV)
Dans le sens des plateaux TV qui condamnaient tous les propos supportant les palestiniens dans une forme de terrorisme intellectuel au cours des semaines suivant les attaques du Hamas, Marine Tondelier, la secrétaire nationale d'EELV a vivement regrettée la décision du ministre de l'Intérieur interdisant les manifestations en faveur de la Palestine. Elle souligne que cette mesure semble confondre le soutien au peuple palestinien avec un soutien politique au Hamas. C'est comparable aux lois liberticides des USA après les attentats du 11 Septembre 2001. D'ailleurs la France est critiquée mondialement pour avoir criminalisé le soutien public à la Palestine. Après des militants ont défié l’interdiction à Paris, cela a même donné lieu à des scènes choquantes d’arrestations massives. Encore une fois comme lors du Covid suite aux gilets jaunes, s'il n'y a pas de réunion populaire, il n'y a pas de Révolution. Or des jeunes, des facs, des manifs, de l’antisionisme, tous les ingrédients sont réunis pour faire le tacos pimenté 2024, un Mai 68 antisioniste. Même les étudiants de Sciences Po et de la Sorbonne, qui d’habitude se tirent la bourre sur les résultats et le classement, sont unis dans la défense de la Palestine. Et ça, le système médiatico-politique l’a en horreur. Quand les jeunes manifestaient contre le climat, pendant les samedis de Gilets jaunes, histoire de mettre des pares-feux au vrai mouvement social, toute la socio-culture applaudissait. Les Gilets jaunes étaient les méchants, les fans de Greta les gentils. Aujourd’hui, curieusement, les mêmes étudiants, ou presque, sont devenus les ennemis du régime. Alors qu'en 2006, ce sont les sionistes qui expulsaient des gens comme Soral de Science Po, en 2024 ce sont les jeunes de science Po qui rejettent le sionisme. Les sionistes français commencent à entrevoir la fin d’une idylle. Chez nous, les journalistes ont beau salir le mouvement, rien n’arrête les jeunes, même pas les critiques et la désinformation. L’air de rien, les campus français sont en train de flamber. Les jeunes, qui sont généralement la pointe avancée du Système, consommateurs et dépolitisés, anti-lutte sociale inquiétant le système et pro-lutte sociétale renforçant le système, sont devenus moins contrôlables. Évidemment, la droite va hurler à la manipulation trotskyste des lycées et des facs, mais c’est de bonne guerre : ça constitue l’une des forces de l’extrême gauche, aujourd’hui mélenchoniste. Oui, les LFI ne se gênent pas pour allumer des feux à gauche et à gauche, histoire de mettre la pression sur un gouvernement totalement acquis au lobby juif, c’est-à-dire au Grand Israël. Et qui dit Grand Israël dit génocide des Palestiniens, ou au minimum épuration ethnique. C’est vrai que la jeunesse ne fait pas dans la dentelle : quand elle a trouvé un axe de lutte, elle s’y engouffre avec virulence, même quand il s'agit du rapport de forces sociales, 99 % de non-sionistes ou d’anti-sionistes contre les 1 % de sionistes. Comme par un effet karma, les sionistes qui veulent virer les Palestiniens de chez eux sont en train de sentir qu’ils sont moins désirés dans le système. Le génocide en cours à Gaza a donc des répercussions inattendues en France, cette caisse de résonance humaniste mondiale. Le sionisme sanglant au Proche-Orient se transforme en résistance opiniâtre ici. Le gouvernement et les médias, ainsi que la Justice (franc-maçonne), ont beau criminaliser le soutien à la Palestine, c’est de pire en pire pour eux. Ce n’est visiblement pas la bonne méthode. Mieux, dans les médias mainstream eux-mêmes, des étudiants, avec un toupet pas possible, se foutant complètement de se faire traiter d’antisémites, donnent des leçons aux propagandistes. On dirait que la ligne de la Résistance & de la Réinformation est en train de rassembler de plus en plus de monde. Aux USA, tout est parti de l’université new-yorkaise de Columbia, qui forme pourtant les cadres du Système américain. Preuve que quelque chose est en train de glisser au pays de l’Oncle Sam, qu’on pouvait jusque-là rebaptiser Oncle Samuel. Or comme l'épuration ethnique des palestiniens par Netanyahou menace les juifs d'Israël mais aussi ceux du monde entier, puisqu'ils sont associés à Israël qui est le pays du judaïsme dont car naturalisant seulement les juifs, il y a aussi une grosse opposition entre la diaspora juive modérément sioniste et les juifs israéliens du Likoud ultra sioniste. Ainsi ces occupations universitaires prolongées plutôt que des manifestations ou des sittings ne gênant pas l'espace public peuvent aussi servir à alimenter un chaos qui exaspèrent les étudiants non militants, qui irritent les témoins d’un spectacle de violence et de chaos, et qui justifie ensuite le tour de vis par les autorités en faveur de la sacro-sainte sécurité. On arrive alors au nœud gordien – ou plutôt sorossien (puisque Soros appartient à la diaspora juive modérément sioniste) car pouvant en être à l'origine : la censure des idées en général et la répression de tout ce qui sera qualifié de près ou de loin d’antisémitisme. D'ailleurs pendant les manifestations BLM, il n'y a pas eu de d'arrestation ni même de tabassage, de gazage, ou de dénonciation du système malgré que des commissariats ont été incendiés, alors que ces manifestations pro-palestiniennes pacifiques ont été condamnées par le système. Ce qui prouve que toute manifestation pacifique pour la justice, le bien, la noblesse et le religieux est bonne et valable. D'ailleurs le directeur anti-manifestations pro-palestiniennes d'une université dans le pays de la liberté que sont les USA a du finalement démissionné suite à la pression des parents des élèves. Or « Le campus de l'Université de Toronto est-il en train de devenir un territoire occupé ? La présence de groupes de sécurité sionistes, tels que Magen Herut Canada, fait écho aux tactiques brutales des gardes-frontières israéliens. Ils font maintenant la loi face aux étudiants ! Aaron Hadida, fondateur de Magen Herut Canada, se disant « activiste sioniste et israélien », justifie la présence de ces patrouilles en affirmant qu’elles visent à « maintenir l’ordre et assurer la sécurité de la communauté juive ». Cependant, ce discours de protection cache mal la réalité d’une occupation délibérée. Vêtus de chemises noires marquées « Équipe de surveillance », Hadida et ses partisans se sont positionnés en pleine collaboration avec la police de Toronto, renforçant ainsi un climat de tension et d’intimidation sur le campus. Sur les réseaux sociaux, la journaliste Samira Mohyeddin n’a pas tardé à dénoncer cette situation. « Ce groupe d’autodéfense pro-israélien a-t-il obtenu l’autorisation de l’Université de Toronto pour être sur le campus ? C’est très intimidant pour vos étudiants et votre corps enseignant », a-t-elle écrit, qualifiant Magen Herut Canada de « justiciers », un terme qui reflète bien l’inquiétude grandissante face à ce qui ressemble à une occupation du territoire universitaire. La journaliste rappelle également sur son compte Instagram la présence de La Ligue de défense juive (JDL) qui est une organisation sur la liste des terroristes du FBI : « Ils n’ont rien à faire sur le campus de l’Université de Toronto. Il y a des groupes de justiciers sionistes organisés qui errent à nouveau sur le campus de l’Université de Toronto aujourd’hui. » En parallèle, une autre équipe de sécurité, JForce Security Inc., est également active sur place, offrant des services similaires, allant des patrouilles de quartier aux enquêtes privées. Cette multiplication de forces de sécurité privées sur le campus inquiète les parents d’étudiants quant à la véritable nature de leur mission et au message menaçant qu’elles envoient à la jeunesse étudiante pro-palestinienne. Il est crucial de s’interroger sur l’impact de telles actions sur la communauté universitaire et sur les conséquences potentielles de cette militarisation des espaces académiques. Dans un contexte où la violence et l’intimidation sont devenues monnaie courante dans les territoires palestiniens occupés, l’apparition de ces groupes de sécurité pro-israéliens au cœur de l’Université de Toronto semble faire écho à une forme d’occupation moderne, qui devrait susciter une vigilance et une condamnation sans équivoque. » (Média en 4-4-2) Mais « Cette fois-ci, la manifestation (pro-palestinienne) n’est plus bucolique, comme du temps de Grand-papa. Car en sortant le slogan « ce n'est pas une guerre mais un génocide », c’est donc très politiquement engagé. Selon Edward Luce dans le Financial Times, les dirigeants des institutions américaines sont pris à la gorge par les manifestations (pro-palestiniennes) sur les campus. L’angoisse est en grande partie liée au pouvoir incontestable de l’AIPAC et du RJC de faire – ou de défaire – les candidats au Congrès. Il a rajouté : « À quel moment l’antisionisme devient-il de l’antisémitisme ? La frontière est floue. Mais la plupart des gens – à l’exception des responsables, apparemment – peuvent faire la différence entre une protestation légitime et un appel à la violence ». Les pros gouvernement israélien utilise en plus l’inversion accusatoire. C'est à dire que ce sont donc les Israéliens qui répondent à une attaque de la résistance armée palestinienne (le Hamas) par un génocide, multipliant les 7 Octobre par 230, et qui veulent qu’on les plaigne. L'agresseur hurle qu'on l'égorge, c'est fréquent. On peut appeler les assaillants du 7 Octobre terroristes ou pas terroristes, ça ne change rien à l’affaire. On peut aussi appeler terroriste la politique israélienne depuis le début de la colonisation, puisqu’elle viole en permanence le droit international en assassinant des leaders politiques de la résistance palestinienne et en persécutant tout un peuple sur sa terre. Le soutien à Israël est la clé de voûte de la doctrine diplomatique et militaire américaine, par suite européenne et donc française : donc normalement pas touche à Israël, sous peine d’être taxé d’antisémitisme voire de terroriste. (François Burgat, une personnalité connue pour son simple plaidoyer en faveur de Gaza, a été arrêté, mardi 10 juillet 2024, pour apologie du terrorisme, selon son avocat. L’OJE (Organisation Juive Européenne) a déposé une plainte contre Burgat, un expert du monde arabe et de l'islamophobie, pour une republication sur X le 2 janvier, a déclaré son avocat Rafik Chekkat. François Burgat, 76 ans, a été relâché « en début d’après-midi », a précisé le parquet d’Aix-en-Provence. Sur X, M. Chekkat a qualifié son arrestation de « scandaleuse ». Il s'agit donc de faire tyranniquement taire les voix critiques à l'égard d'Israël.) Beniamyn Netanyau ne s’en prive pas et qualifie d’antisémites tous les chefs d’État qui ne soutiennent pas sa politique expansionniste. Or les étudiants américains et français montrent qu’ils ne craignent plus cette manipulation culpabilisatrice. Cette révolte étudiante sème la panique parmi les régisseurs de la Pensée Unique et leurs relais politiciens. Le verrou sémantique « antisémite » est en train de sauter. Restent trois questions que nous nous posons : • Ces étudiants gâtés rentreront-ils dans le rang comme leurs grands-parents ? Si tel n’est pas le cas, nous assistons alors à un bouleversement complet du paradigme occidental dont les répercussions historiques peuvent être profondes. • S’il est indéniable que ce mouvement vient des États-Unis, comment est-il né dans ce pays si bien tenu par l’État Profond ? Surtout que les possibles futurs dirigeants des USA et de la France sont peut être parmi eux puisque les plus grandes universités sont aussi concernées. • Ce mouvement s’est développé en France avec le concours actif de LFI. Mais jusqu’où La France dite Insoumise sera-t-elle le relais de ce mouvement né outre-Atlantique ? » (Extraits de l'article « Sciences Po, Sorbonne : le revers sévère de la Police de la Pensée » de Georges Gourdin) Selon certains commentateurs pervers, la guerre à Gaza opposerait de prétendus néoconservateurs américano-sionistes du wokisme (libéral-libertaire) contre la barbarie, alors qu'en réalité elle oppose des conservateurs palestiniens des valeurs traditionnelles (monothéistes) contre de grands impies très proches de la barbarie. Alors qu'en Occident (en particulier en France) au niveau des médias mainstream et de divers politiciens malhonnêtes, il y a parfois voire souvent une présentation du faux clivage entre droite nationale sioniste supportant Israël et islamo-gauchisme associé donc aux Lgbt supportant les palestiniens. D'ailleurs le pacte divin demande de ne défendre que ce qui est absolument vrai pur et noble comme la défense palestinienne contre Israël. Ce qui n'est pas de l'essentialisme car le Coran évoque la possibilité de faire de la cohabitation voire des alliances avec des chrétiens authentiques dont via de grands principes communs mais pas avec le LGBT qui en plus d'être une grande impiété est une idéologie de mort. Car, il y a donc aussi trop de différence essentielles et pas de différences secondaires dans le rapport à la vie, puisque le LGBT est idéologie mortifère. En effet on ne peut évidemment pas combattre le sionisme avec Sodome et Gomorrhe ni avec l'immigration massive, dont aussi car les palestiniens sont contre le Lgbtisme et sont les premiers concernés par un grand remplacement, puisqu'ils en subissent un par les israéliens, leur épuration ethnique, leurs annexions et leur système politique privilégiant les juifs dans une forme claire d’apartheid. Surtout que certains commentateurs vont jusqu’à dire que la cause palestinienne correspond au wokisme de la géopolitique. « S’il est normal qu’un Occidental soutienne l’antisionisme oriental sous certaines conditions, en revanche, on voit mal comment un Occidental normal pourrait soutenir l’antisionisme anti-occidental, à moins de tomber dans l’ethno-masochisme. C’est pourtant cette autocritique radicale et suicidaire que l’antisionisme anti-occidental et woke exige des Occidentaux. En symétrie inversée, les pro-israéliens nous demandent de soutenir Israël sans conditions également, au motif que nous serions dans une guerre de civilisation avec l’Islam et que l’État hébreu serait le poste avancé de l’Occident chez les barbares. Ces deux sortes de chantage affectif ont une fonction de radicalisation et de fanatisation. En effet, pour le couple sionisme/antisionisme, le clivage fondateur sionisme/antisionisme n’est pas géopolitique, c’est une question de principe et de valeurs absolues, une question morale. « Soit vous êtes avec moi, soit vous êtes contre moi. » Face à cette hystérie du couple sionisme/antisionisme, sachons garder la tête froide, rester lucide et rationnel(, dont en se rappelant que le judaïsme, le christianisme et l'islam considère Israël comme un état interdit et donc impie). » (Lucien Cerise) Lucien Cerise distingue deux formes d’antisionisme : l’antisionisme oriental et l’antisionisme occidental. L’antisionisme oriental, incarné par des pays comme l’Iran ou des organisations comme le Hezbollah, est avant tout une réaction à l’impérialisme israélien et américain. En revanche, l’antisionisme occidental, souvent associé à des mouvements de gauche et libertaires, est profondément anti-occidental. Ce dernier, en plus de soutenir la cause palestinienne, milite pour des idéologies radicales qui visent à déstabiliser et à affaiblir les sociétés occidentales. Ce mouvement, soutenu par des réseaux mondialistes et des fondations milliardaires, utilise des stratégies de radicalisation pour diviser et affaiblir les sociétés occidentales. Il faut donc être pro-palestinien jusqu'au bout, surtout que cette alliance avec le Lgbtisme peut limiter ou discréditer cette défense musulmane des palestiniens jusqu'à la division, dont en plus avec l’encadrement des juifs de gauche par le contrôle, puisqu'ils sont souvent à l'origine de ces mouvements gauchistes, même si le gauchisme est anti-dictatures machiste, raciste et colonialiste. Un homme s’opposant à la présence de groupes wokistes au sein d'une manifestation pro-palestinienne a fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux. Il a exprimé son désaccord avec la mouvance LGBTQI+ et rejeté leur soutien à la cause palestinienne, allant jusqu’à les qualifier de malades mentaux : « Eux ne manifestent pas avec nous, vous ne comprenez pas ou quoi ? C’est comme ça qu’ils s’imposent aux gens. Ils viennent, ils soutiennent la cause palestinienne, après quand on va avoir la cause des homos, faudra aller les soutenir aussi (…). Ils ont qu’à soutenir leurs zizis eux-mêmes. Ils sont malades, c’est des malades mentaux (…). Vous ne comprenez pas ou quoi ? C’est un monde de trans qu’ils veulent, de la transition partout, à l’école, dans les rues(…). Nous, on va se débrouiller tout seul. Nous, on ne viendra pas vous soutenir, parce que nous, on est contre ce que vous faites, dont aussi le transhumanisme, tout ça, on n'en veut pas (…). Ils veulent nous infiltrer en disant : on vous soutient. On ne veut pas de votre soutien. » Pour avoir la voie des musulmans et des catholiques traditionalistes, un parti de gauche doit donc rester au niveau du social et non du sociétal : Selon un enseignement chrétien, le saint esprit Jésus (paix sur lui) a dit : « De Moi, il (Satan) n’obtient rien, sur Moi il n’a aucune prise. » Commentaire : Ce qui veut dire que Jésus ne travaille pas avec Satan (dans une équipe, une entreprise ou une politique corrompues), qu'il ne commerce pas avec lui (avec les malhonnêtes), et qu'il ne combat pas à ses côtés (même pour des raisons personnelles, politiques ou géopolitiques dont le Lgbtisme et l'Etat d'Israël). Or l’extrême gauche, créature politique du lobby juif, s'est donc retournée contre son créateur. De ce point de vue, le sacrifice des Palestiniens n’aura pas été vain. Gaza a été la goutte d’eau. Plus rien ne sera comme avant. Et pas qu’en France. Dans les médias mainstream, il se propage même de plus en plus de légitimer la destruction d'immeubles à Gaza même s'ils contiennent des innocents ou des otages comme bouliers humains, car il existerait un impératif supérieur à détruire le Hamas. Même militer pour la fin du massacre des palestiniens par Tsahal est perversement associé à de la haine antisémite par tout sioniste, alors que c'est Israël qui est antisémite, car il génocide des sémites arabes palestiniens, en plus souvent à travers des juifs ashkénazes et donc non descendants d'hébreux sémites. Or ces destructions massives peuvent plutôt préparer la future reconstruction des quartiers pour qu'ils soient facilement surveillables par Israël, voire préparer la reconstruction pour de nouveaux colons ou rendre invivable Gaza et donc inévitable le départ des gazaouis. Ceux de l’extrême droite comme Zemmour et Rieu qui sont contre le grand remplacement des français en France, doivent aussi être contre le grand remplacement des palestiniens en Palestine par les israéliens, mais ce n'est très étrangement pas le cas, ce qui prouve leur soumission au sionisme et donc à Israël. Cette partialité dans le monde médiatico-politique va jusqu'à soumettre par des questions telle « condamnez vous le Hamas ? ». « Sur la chaîne prosioniste Cnews, Gil Taïeb a demandé aux gouvernants français de se positionner « clairement » : « Vous êtes du côté d’Israel, ou vous êtes contre ? Vous êtes pour la démocratie, ou vous êtes contre ? » Non, ce n’est pas clair. Il aurait fallu présenter ce choix ainsi : « Vous êtes du côté d’Israel ou du côté des Palestiniens ? Vous êtes pour la barbarie ou contre ? Vous êtes pour l’amour de la vie ou contre ? Or qui assassine des civils à défaut des résistants ? C’est bien son armée qui a tué plus de 34 000 Palestiniens en majorité des femmes et des enfants et en a blessé plus de 77 000. Qui a détruit les édifices sanitaires, éducatifs, religieux, diplomatiques, etc ? Un vétéran qui a participé aux expulsions des Palestiniens durant la 1ère Nakba, explique avec regrets ce qui leur a été fait. Il a déballé ainsi sa vérité : « De tous les villages palestiniens aucun n’a combattu…ils n’avaient pas d’armes…ils ne pensaient pas partir sans revenir…la terre n’était pas vide comme ils me racontaient quand j’étais petit…c’est la 1ère fois depuis des millénaires que des villages entiers disparaissent de la sorte…on a tiré sur eux, alors ils ont fui à Gaza…on est rentré dans les villages pour les chasser…c’était des villages paisibles et pacifiques…Ils méritaient de rester sur leurs terres comme ils l’ont fait depuis 5000 ans. Ça fait partie des choses immondes que nous avons fait ! Chez nous ils disent qu’on ne les a pas chassé…et tout ça à cause de l’idéologie sioniste. » Le monde sait que c’est le lobby sioniste qui dicte en partie la politique extérieure occidentale. Tout doit s’ordonner en fonction des intérêts du Grand Capital financier en coordination avec les objectifs sionistes, y compris la rhétorique politique. En Palestine, c’est le « Hamas l’agresseur sauvage », en Ukraine « c’est la Russie ». Israël doit être présenté comme un « Etat de droit et humaniste qui se défend » peu importe les preuves de son nazisme ! Pour se faire, tous les moyens de persuasion sont engagés pour plébisciter son discours. À côté du Parlement européen, il existe un parlement juif européen ; une étape incontournable avant toute prise de décision ! En leur octroyant un statut d’impunité, les Anglo-américains et leurs suivistes les ont rendus arrogants, avides, intangible, leur permettant de commettre des actes inconcevables; une contrefaçon du nazisme. Avec ce privilège, ils leur ont montré que leur sentiment de «victime» ne les empêche pas d’être tout aussi abject qu’eux ! Est-il raisonnable de laisser faire disparaître le peuple palestinien dans son propre pays afin de satisfaire les lubies de colonisateurs fripouilles, génocidaires et voleurs; qui piétinent l’ONU et les lois internationales ? Tout cela en échange d’une surveillance des réserves énergétiques de la région ? Le sionisme est une contrefaçon, une idéologie cryptique du nazisme ! » (Extraits de l'article « « L’amour de la vie » des sionistes ? » de Amar Djerrad) Selon Acrimed, la couverture médiatique du conflit israélo-palestinien est marquée par une dépolitisation de l’information. Les médias se concentrent sur les aspects spectaculaires et émotionnels de la violence, au détriment de l’analyse politique et historique du conflit. Les causes profondes du conflit, telles que l’occupation israélienne, la colonisation et le blocus de Gaza, sont souvent passées sous silence. De plus, les médias ont tendance à présenter les Palestiniens comme des terroristes et les Israéliens comme des victimes, sans tenir compte des violations des droits de l’homme commises par les deux parties. Enfin, les médias ont tendance à relayer la propagande de l’armée israélienne, sans vérifier les informations et sans donner la parole aux Palestiniens. Face à ce constat, Acrimed appelle à un traitement médiatique plus responsable et plus équilibré du conflit israélo-palestinien. Ainsi il ne faut pas s'étonner que certains voire beaucoup affirment (comme Dieu, le Prophète Mouhamed et Jésus le Messie) que la fin de l'Etat d'Israël est essentielle pour éviter que l'immense gravité de son mal continue de se propager sur terre. Surtout que les massacres sur Gazza ne donnent pas une haute image des Israéliens ni de leur pseudo degré de civilisation supérieur aux Arabes. Pire, ces images alimentent l’antisémitisme, dont à cause de la barbarie de Tsahal. C'est comparable aux représailles illégales des USA après les attentats du 11 Septembre 2001, puisqu'en dehors des cadres du droit international et humanitaire pour leurs intérêts. En effet quelque chose d’analogue est en train de se passer aujourd’hui en Israël, dont pour s’emparer des territoires palestiniens et possiblement pour amorcer une réaction en chaîne de guerres dans un Moyen-Orient où les États-Unis, Israël et les puissances européennes perdent du terrain, dont à cause de la propagation de la multipolarité et de la dédollarisation massive au niveau mondial. Or cette guerre Hamas-Israël rééquilibre la pression par rapport à l'axe otano-occidental suite à sa déstabilisation de l'Irak, de la Syrie, de l'Ukraine et du Haut-Karabagh. Evangile de Jésus Christ selon saint Mathieu 24, 6-8) « (Jésus dit :) Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres (à la fin des temps liée au modernisme) : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent (pour que le Mahdi puisse délivrer son message totalement, que ce soit une épreuve distinguant les pieux et que la Terre parviennent à l'Eden terrestre complété qui sera la noble et glorieuse victoire ultime de Dieu et de l'humanité pieuse). Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs (devant amener à cet Eden terrestre complété). » Surtout que lors de la guerre du Kippour qui opposa, du 6 au 24 octobre 1973, Israël à une alliance menée par l'Égypte, la Syrie et la plupart des états arabes, la guerre cessa seulement grâce à un cessez-le-feu imposé par le Conseil de Sécurité de l'ONU sur les pressions des États-Unis et de l'Union soviétique, et qu'il n’y a pas d’URSS. Personne, même s’il le voulait, ne peut dire aux Juifs et aux Arabes de se taire. Le président iranien Ebrahim Raïssi a déclaré que les partisans d'Israël, y compris les États-Unis, sont complices de tous ses crimes contre le peuple palestinien. Mais une grande partie des musulmans a aussi une responsabilité aussi car ils ne pratiquent plus la prédication. Le Royaume appelle également la communauté internationale à assumer ses responsabilités et à soutenir un processus de paix crédible visant à établir deux États pour garantir la sécurité et la paix dans la région. De manière similaire, l’État du Qatar s’est déclaré gravement préoccupé par l’évolution de la situation dans la bande de Gaza. Le ministère des Affaires étrangères qatari appelle toutes les parties à faire preuve de retenue et à mettre fin à l’escalade. Cependant, le Qatar tient Israël comme seul responsable de l’escalade actuelle. Le Qatar estime que les incursions répétées d’Israël dans la mosquée Al-Aqsa, sous la protection de la police israélienne, ont inévitablement contribué à cette situation tendue. Le ministère qatari souligne la nécessité urgente d’obliger Israël à respecter le droit international, les résolutions de l’ONU et les droits historiques des Palestiniens. L’impact de la d’Al-Aqsa sur la normalisation des relations entre les pays arabes et Israël pourrait être significatif. Eviter aux peuples et aux gouvernements musulmans de s'égarer et de se diviser à cause d'Israël correspond d'ailleurs à une des raisons principales de la cause palestinienne. On peut d'ailleurs dire qu'il est étonnant et triste que ce soit seulement l'anti-sionisme dont pour la cause palestinienne et Al Aqsa qui permettent aux pays musulmans de demeurer relativement unis, telle une boussole leur rappelant le principal mal contre lequel ils doivent lutter ensemble. Le ministre des Affaires étrangères a déclaré : « De l’aveu de certains responsables occidentaux, la Tempête d’Al-Aqsa a prouvé que la Palestine est vivante et que la question palestinienne ne se terminera pas avec la normalisation des relations de certains pays avec le régime sioniste (avant leur probable reconnaissance de Jérusalem comme capitale juive). » La tempête d’Al-Aqsa fait référence aux affrontements violents qui ont eu lieu à Qods-Est, en particulier autour de l’esplanade de la mosquée Al-Aqsa, l’un des sites les plus saints de l’islam. Ces affrontements ont suscité une vive indignation dans le monde arabe et ont entraîné une escalade des tensions entre Israël et les Palestiniens. Dans ce contexte, il est possible que la normalisation des relations entre les pays arabes et Israël deviennent pieusement impossibles. Certains pays arabes qui avaient précédemment établi des relations diplomatiques avec Israël, comme les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Soudan, pourraient même être confrontés à des pressions internes pour reconsidérer ces accords. En effet les gouvernements arabes pourraient être contraints de prendre position en faveur des Palestiniens pour apaiser leur opinion publique. D’autre part, certains pays arabes qui n’ont pas encore normalisé leurs relations avec Israël, comme l’Arabie saoudite et le Qatar, pourraient s’interroger sur la poursuite des négociations dans ce contexte tendu. Ils pourraient juger nécessaire de soutenir les Palestiniens et de condamner les actions d’Israël puis annuler la normalisation. Surtout que « “Le sixième article du statut de Rome stipule que le génocide est l’extermination d’une population. C’est ce qui se passe actuellement à Gaza, sur terre comme dans le ciel, où Israël lance des roquettes. Et ce n’est qu’un des critères du génocide. Il y en a d’autres. Par exemple, la destruction des infrastructures civiles liées à la vie des citoyens. Nous pouvons retenir la destruction de l’infrastructure sociale à Gaza par les forces israéliennes. La privation de l’accès des civils à l’énergie, à la nourriture et aux médicaments aggravant les souffrances des habitants de Gaza en particulier lors d'opérations chirurgicales a été observée à Gaza. Parallèlement, nous entendons les déclarations des responsables israéliens selon lesquelles les Palestiniens sont des animaux qui doivent être traités comme des animaux. Le député franco-israélien Meyer Habib parle même abjectement de la population palestinienne comme un cancer. En outre, nous entendons les propositions des dirigeants israéliens concernant le déplacement des Palestiniens en Égypte. Toutes ces actions constituent une violation du droit international.”M. Devers note les doubles standards des institutions juridiques occidentales, qui changent leurs principes en fonction du contexte politique. Selon un juriste bien connu, la Cour Pénale Internationale fait preuve d’un parti pris sans précédent en prenant des décisions politisées à l’encontre du président russe tout en ignorant les actions d’Israël dans la bande de Gaza. “Nous avons fourni à la Cour Pénale Internationale suffisamment de preuves des activités criminelles d’Israël. À un moment donné, la CPI a eu besoin de beaucoup moins de temps et d’arguments pour délivrer un mandat d’arrêt au président russe Vladimir Poutine. Le mandat a été délivré très rapidement et il n’y a pas eu de débat particulier sur la question. L’accusation qui lui a été portée est l’organisation de l’adoption illégale d’enfants ukrainiens par des citoyens russes. Mais dans le cas de Gaza, nous ne traitons pas “d’adoption illégale”, mais du meurtre de plus de cinq mille enfants !” En outre, les organisations internationales et non gouvernementales doivent être admises sur les lieux du conflit pour pouvoir enregistrer les crimes de guerre en temps voulu et établir toutes les bases factuelles nécessaires à cette fin. Le génocide est un crime de masse, il s’agit de 12 000 morts. Israël déclare qu’il a l’intention de couper l’électricité – et il coupe l’électricité. Le gouvernement israélien détruit des maisons, forçant des centaines de milliers de Palestiniens à se déplacer dans la bande de Gaza et les laissant de fait dans la rue.” En ce qui concerne les ennemis politiques de l’Occident, le verdict est rendu immédiatement. Il a fallu 48 heures à la Cour Pénale Internationale pour condamner Poutine ou Kadhafi, mais rien de tel n’a été lancé contre Netanyahu. Et le fait qu’Israël n’ait pas ratifié le statut ne change rien. La décision est la prérogative de la cour. La CPI doit envoyer un mandat d’arrêt au nom de Netanyahu, du ministre de la défense et des autres politiciens israéliens responsables de la tragédie de Gaza. Et même si Israël ne rend pas justice à ces personnes, ils ne pourront pas se déplacer à l’étranger. En outre, ce mécanisme nous permettra de traduire en justice les États-Unis, qui ont financé cette guerre en fournissant à Israël 14 milliards de dollars d’armes”. » (Extraits de l'article « Selon le droit international, ce qui se passe à Gaza est un génocide » de l'avocat français Gilles Devers) « Israël, l’État juif, est le psychopathe parmi les nations. Il agit envers les autres nations de la même manière qu’un psychopathe agit envers ses semblables. (…) La psychopathie collective d’Israël n’est pas génétique, elle est culturelle (…) elle vient en fin de compte du dieu jaloux inventé par les Lévites pour contrôler quelques tribus affamées lancées contre la Palestine il y a environ trois mille ans. Par son acte de naissance, Israël est la nation du dieu psychopathe. » (Laurent Guyénot) Lors d'une conversation téléphonique avec le ministre syrien des Affaires étrangères et des expatriés, Faisal Mekdad, le haut conseiller du Leader de la Révolution, Ali Akbar Velayati a fait remarquer : « Ceux qui croient pouvoir résoudre leurs problèmes par une soi-disant normalisation des liens avec les sionistes et une rupture des relations avec les nations musulmanes de la région devraient tirer les leçons des événements récents et se rendre compte qu’ils mettent sérieusement en danger la sécurité de la région( et du monde, ce qui pourrait en plus être lié aux divers problèmes socio-économiques voire financiero-nationaux de la région et du monde, au réveil des peuples se généralisant avec les réseaux sociaux malgré les divers attentats islamiques, et au renforcement dictatorial de l'état par Netanyahou. En effet la coalition de Benjamin Netanyahou, qui comprend des suprémacistes juifs, a changé en août 2023 les lois fondamentales d’Israël, qui est un État sans Constitution. Selon l’avis des observateurs, notamment de la presse États-unienne, le gouvernement a même procédé à un «coup d’État» en supprimant l’indépendance de la Justice. Son fanatisme religieux reconnu de tous depuis longtemps a même annoncé réalisé la prophétie d'Isaïe (écrite en réalité en partie par des rabbins sataniques) qui est la domination du royaume d’Israël sur le monde, ce qui rappelle que son élection prouve que la population israélienne a une base religieuse fanatique et messianique. « Trois jours avant ce discours, Netanyahou avait déclaré à son peuple : « Nous réaliserons la prophétie d’Isaïe. » Vous croyez peut-être qu’Isaïe évoque une époque où toutes les nations « briseront leurs épées pour en faire des socs de charrue » (Isaïe 2:4). Mais retournez à votre Bible et lisez la prophétie en entier pour comprendre ce que Netanyahou veut dire. C’est le gouvernement mondial de Jérusalem que prophétise Isaïe : « De Sion viendra la Loi et de Jérusalem la parole de Yahvé », de sorte que Yahvé « jugera entre les nations, il sera l’arbitre de peuples nombreux » (2:3-4). C’est le vampirisme d’Israël : « Vous vous nourrirez des richesses des nations, vous les supplanterez dans leur gloire » (61:5-6). C’est l’asservissement des peuples : « Les royaumes qui ne te servent pas périront, et leurs peuples seront exterminés. » (60:12) » (Laurent Guyénot) Pourtant le livre d'Isaïe dans la bible hébraïque détient une grande partie dont cette prophétie qui ne provient pas de ce dernier, mais de scribes égarés voire sataniques ayant rédigé la version tardive du Deutéronome (Thora) et aussi de ce livre d'Isaïe, après l'exil à Babylone. Mais des manifestations monstres ont d'ailleurs secoué Israël depuis plusieurs mois. Israël ne pouvait donc survivre qu’en acceptant d’unifier sa classe dirigeante, c'est ce qu'a permis l'attaque du Hamas et la censure militaire qui a suivi. Elle est si forte que la ministre de l’Information, Distel Atbaryan, démissionne en pleine guerre). L’attaque brutale d’Israël d’un côté et la résistance déterminée des Palestiniens de l’autre ont montré que le front de la Résistance est un sujet de grande importance et qu’il constitue en réalité le seul moyen de s’opposer et de vaincre les sionistes et leurs alliés. » Velayati a aussi noté que la forte solidarité des Palestiniens avec la Syrie, associée au mouvement de résistance libanais du Hezbollah, représente la puissance croissante de l'axe de la Résistance dans les équations régionales et confirme le fait que la résistance continuera d'être le seul moyen pour remporter la victoire finale sur l’ennemi. L’Iran appelle le monde entier à prendre conscience du fait que l’accumulation de l’oppression et de l’injustice à l’égard de la nation palestinienne opprimée, la poursuite des insultes envers les femmes et les prisonniers palestiniens, et la profanation de la mosquée Al-Aqsa ne dureront pas éternellement. On peut donc dire que l'attaque du Hamas du 23, c'est de la résistance et même de la légitime défense palestiniennes face à un terrorisme d’état d’Israël depuis plus de 75 ans.
Le Leader Ali Khamenei a expliqué : « Quand l’oppression et le crime dépassent les bornes et que la barbarie et la cruauté atteignent leur paroxysme, il faut s’attendre à la tempête. L’acte courageux et le dévouement des Palestiniens ont été une réponse aux crimes de l’ennemi usurpateur qui se poursuivent depuis des années et qui se sont intensifiés ces derniers mois. Et l’actuel régime usurpateur en place en est le responsable. Maintenant que l’ennemi méchant et cruel a reçu une gifle, il fait semblant d’être opprimé. D'autres l'aident également. Les médias mainstream l'aident. Cette politique de se faire passer pour « opprimé » est à 100% fausse. Parce que les combattants palestiniens ont pu sortir du siège de Gaza, s'en débarrasser et atteindre les centres militaires et civils des sionistes, lui (le régime sioniste) est-il opprimé ? Il est tout sauf une victime, ce régime usurpateur. Il est cruel, il est agresseur, il est ignorant, mais il n'est pas opprimé. Personne ne peut faire de ce monstre diabolique « un opprimé ». » Communiqué du NPA (Nouveau Parti anticapitaliste) concernant l'attaque du Hamas le 23 octobre 2023 : « Depuis ce matin, une vaste offensive a été lancée depuis Gaza par le Hamas en territoire « israélien ». Il s’agit d’une offensive sans précédent qui a pris de court la direction militaire israélienne. En plus des roquettes tirées sur plusieurs postes militaires, certaines colonies autour de Gaza ont été acquises aux résistants. Gaza est sous blocus depuis 15 ans et connaît depuis une situation humanitaire dramatique, cela sans compter les humiliations, les morts et les bombardements. Longtemps cantonnés aux actualités autour du cycle provocations - roquettes - bombardements et appels à la « désescalade » des « deux côtés », les Palestiniens étaient dépeints comme passifs, toujours dans la survie. La stratégie israélienne, appelée la « tondeuse à gazon », consiste en réalité à éliminer physiquement et régulièrement des nouvelles générations de militants et d’opposants à l’occupation, dans un cycle de répétition interminable. Cette fois-ci, l’offensive est du côté de la résistance. En effet, avec un gouvernement israélien ouvertement d’extrême droite prêt à toutes les annexions et crimes de guerre, les dernières provocations sur l’esplanade des mosquées, ça ne peut plus durer ! Le Hamas appelle les palestiniens à se soulever dans tous les territoires et à lutter contre l’occupation. Les manifestations pour la démocratie en Israël (qui devaient avoir lieu ce samedi) ont été annulées par leur organisateurs pour soutenir l’armée d’occupation. Il est trop tôt pour connaître l’issue de cette offensive. A cette heure, il est évidemment à craindre que l’armée israélienne se permette les pires exactions et représailles, cela avec la bénédiction de la communauté internationale occidentale. Le NPA ne se joint pas à la litanie des appels à la prétendue « désescalade ». En effet, la guerre contre les Palestiniens dure depuis 75 ans, et la gauche devrait se rappeler de la nécessaire solidarité avec les luttes de résistances contre l’oppression et l’occupation. Le NPA rappelle son soutien aux Palestiniens et aux moyens de luttes qu’ils et elles ont choisi pour résister. Nous lançons un appel à l’organisation rapide de mobilisations de soutien au peuple palestinien. Nous soutenons l’exigence de sanctions internationales contre les crimes de guerre et d’apartheid d’Israël, celles-ci étant encore plus nécessaires aujourd’hui face à la violence et la haine de la classe dirigeante actuelle en Israël. Enfin nous rappelons que c’est bien l’absence de sanctions et plus généralement l’occupation, l’extension de la colonisation et l’apartheid, qui sont responsables de cette situation(, ce qui signifie que tous les soumis à et les défenseurs d'Israël supportent le fascisme). Aujourd’hui comme hier, nous sommes toutes et tous palestiniens. Intifada ! » « Bertrand Badie est un universitaire français spécialiste des relations internationales, qui a fait l’essentiel de sa carrière (enseignement et recherche) à Sciences Po. Interrogé sur LCI le jour de l’offensive du Hamas, par une journaliste qui fait ici son travail, il dénote grandement face à l’explosion de commentaires sans la moindre nuance et au degré d’analyse proche de zéro. Il est vrai que le propos est le plus souvent non pas d’expliquer et donc de prendre du recul, mais au contraire de nous plonger dans l’émotionnel. Rien de cela ici : « On a pas soigné la souffrance palestinienne depuis des décennies et des décennies, elle rebondit aujourd’hui, elle risque effectivement de connaître un nouveau choc, à travers la manière dont Israël va réagir ; peut-être s’éteindra-t-elle après-demain, mais elle renaîtra tant qu’on aura pas résolu ce problème. Que font ceux qui ont été prompts à condamner, et à juste raison dès lors qu’il s’agit d’actes commis contre les populations civiles, qu’ont-ils fait pour contribuer à la solution du drame palestinien ? Ce drame, encore une fois, il a trois quarts de siècle d’existence. La plupart des Palestiniens n’ont jamais vu ni connu la paix. Quelles ont été les initiatives de l’Union européenne en la matière ? La dernière initiative, c’est 1999, la déclaration de Berlin de l’Union européenne, qui appelait à une solution et qui proposait un certain nombre de pistes. Mais concrètement, où s’est opérée véritablement la pression sur les protagonistes pour arriver à une solution ? On a parié, la communauté internationale tout entière, à Moscou comme à Washington, à Pékin comme à Paris, on a parié sur l’extinction progressive de ce conflit, sous l’effet du désespoir. Ceci ne marche pas. Nous sommes dans un siècle où la conscience sociale l’emporte sur le jeu politique, où le social est proactif et le politique est réactif. De même, il y a eu quand même, depuis janvier 2023, 250 Palestiniens qui ont été tués, qui n’étaient pas tous des terroristes, qui étaient aussi des femmes et des enfants : la communauté internationale a été muette. Journaliste : on paye aussi cette lâcheté ? Mais bien sûr. On paye le fait qu’on arrive pas à concevoir qu’un homme vaut un homme ; qu’un humain vaut un humain. Et que la peine, la douleur d’une famille palestinienne, elle est identique à la peine et à la douleur d’une famille israélienne. Et le sentiment que l’on a dans la région, c’est qu’il y a une inégalité de traitement et une certaine indifférence par rapport aux causes du mal. » » (Extraits de l'article « Offensive du Hamas : Bertrand Badie sauve l’honneur du monde académique » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Offensive-du-Hamas-Bertrand-Badie-sauve-l-honneur-du-monde-academique-73814.html) Comme à Gazza, ce sont des musulmans et des chrétiens qui sont bombardés par Israël, et à Jérusalem, ce sont des musulmans et des chrétiens qui son humiliés par des israéliens, il ne s'agit pas du monde judéo-chrétien contre les musulmans, mais plutôt du monde islamo-chrétien martyrisé par la judaïsme politique. Il faut noter que la crise à Gazza permet de détourner l'attention de la défaite otanesque en Ukraine, mais aussi d'équilibrer la pression géographiquement par rapport à la Syrie, au Haut-Karabagh et à l'Ukraine. Mais la guerre en Ukraine de même que la crainte de l'escalade régionale au Moyen-Orient permettent aussi de détourner l'attention de l'annexion israélienne de la Palestine. En sachant que la justification de la colonisation israélienne se fait toujours via la diabolisation d'un ennemi et la guerre nécessaire contre lui. La mission iranienne auprès des Nations unies affirme dans un communiqué que l'opération Tempête d'Al-Aqsa constitue une « légitime défense » contre des décennies d'occupation israélienne, rejetant les allégations selon lesquelles Téhéran aurait joué un rôle dans l'opération militaire à grande échelle contre le régime de Tel-Aviv : « Il convient que le monde entier reconnaisse le droit inaliénable des Palestiniens à l'autodétermination, ce qui nécessite l'organisation d'un référendum national avec la participation de l'ensemble du peuple palestinien », ajoute le communiqué, avant d’indiquer que cela nécessite la pleine restauration et la protection desdits droits, de façon à assurer l'établissement de la souveraineté palestinienne sur l'ensemble de la Palestine. » En sachant que si Israël honore ses vivants, l'islam honore ses morts en martyrs, et donc la tempête d'Al-Aqsa contre l'oppression et les nombreux crimes israéliens contre les palestiniens ne peut être mauvaise. « Le président iranien Ebrahim Raïssi a condamné les accords de normalisation conclus par certains pays arabes avec le régime israélien, soulignant que la libération de Qods occupée est la principale question du monde musulman. Raïssi a fait cette remarque dans un discours prononcé dimanche 1er octobre 2023 à la cérémonie d'ouverture de la 37e Conférence internationale de l'unité islamique dans la capitale iranienne, Téhéran. « Devenir uni ne signifie pas seulement l'unité des religions ou de la géographie, cela signifie plutôt exprimer la cohésion et la solidarité pour sauvegarder les intérêts de l’Oumma islamique », a-t-il déclaré. Le président iranien a décrit l’unité des musulmans dans leur adhésion au Saint Coran et au Prophète Mohammad (PSL) comme le secret de leur victoire à travers l’histoire. Recourir aux étrangers et réaliser leurs souhaits est une mesure « régressive », a-t-il ajouté. « La libération de Qods et de la Palestine est la question la plus importante de l'unité de l’Oumma islamique », a déclaré Raïssi. Il a en outre souligné que les tentatives de normalisation des relations avec le régime sioniste sont considérées comme une « mesure rétrograde » pour tout gouvernement, car c’est ce que veulent les étrangers. « La manière d’affronter l’ennemi ne passe pas par le compromis et la capitulation, mais par la résistance et la résilience », a-t-il souligné. « L’option de la reddition et du compromis n’est en aucun cas sur la table ; la résistance et la résilience contre l’ennemi ont porté leurs fruits et elles forceront l’ennemi à battre en retraite. » Il a qualifié la conférence internationale sur l’unité islamique à Téhéran d’événement « antisioniste et anti-hégémonie », ajoutant que « la stratégie d’unité d’aujourd’hui peut fortifier l’Oumma islamique contre l’ennemi, et la cohésion [fonctionne] contre sa guerre hybride. » Raïssi a également appelé à une consolidation accrue de l’unité de l’Oumma islamique face aux menaces posées par les groupes terroristes takfiristes. « Les crimes horribles des groupes takfiristes perpétrés dans les mosquées et les centres religieux, les explosions au Pakistan, en Afghanistan, les massacres de personnes ainsi que les crimes commis par les États-Unis et les sbires du régime sioniste dans divers pays islamiques, nécessitent la promotion de l'unité au sein de l’Oumma islamique, pour faire face aux takfiristes », a-t-il ajouté. Le président iranien a appelé les érudits et penseurs musulmans à se préparer à assumer un rôle important dans le nouvel ordre mondial en promouvant la cohésion, l’unité et la proximité des religions. « Les musulmans et le monde islamique doivent s'établir dans le nouvel ordre, perturber l'ordre injuste actuel et créer un ordre mondial juste », a-t-il déclaré, soulignant que l’Oumma islamique jouera un rôle clé dans l'ordre mondial émergent. Raïssi a déclaré que les actes sacrilèges tels que la profanation du Saint Coran, les insultes au Prophète, les crimes odieux commis par les groupes terroristes takfiristes, les accords de normalisation avec le régime d’occupation israélien ainsi que les campagnes médiatiques menées par les ennemis sont tous destinés à dissuader l’Oumma islamique d’avancer droit vers ses objectifs. « L’ennemi a l’intention de décevoir l’Oumma islamique quant à l’avenir en propageant l’idée que seul tout ce qu’il veut et souhaite se produira, mais l’Oumma islamique a déjoué tous ces complots », a ajouté le président iranien. Il a aussi précisé que la seule réponse pour la cause palestinienne luttant contre l'oppression israélienne est l’unité inter-musulmane. » (Extraits d'un article de French Press Tv) « L'Ayatollah Khamenei a abordé la question à l'occasion de la Semaine de l'unité islamique 2023, appelant les dirigeants et les hommes politiques des pays islamiques ainsi que les experts et les élites du monde islamique à réfléchir à la question suivante : qui est l'ennemi de l'unité des pays islamiques et à qui L'unité des musulmans nuit-elle en empêchant plus précisément leur ingérence et leur pillage de nos ressources ? Le Leader a appelé les pays islamiques d’Asie de l’Ouest et d’Afrique du Nord à s’unir pour empêcher le vol, la coercition et l’ingérence américains : « L'Amérique frappe politiquement et économiquement les pays de la région, vole le pétrole syrien, protège et maintient dans ses camps, le cruel, le barbare et le sanguinaire Daech afin qu'elle puisse ramener le groupe sur le terrain chaque fois que cela est nécessaire et afin qu’elle s'immisce dans les affaires des pays de la région. Cependant, si tout le monde est uni et si l’Iran, l’Irak, la Syrie, le Liban, l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Jordanie et les pays du golfe Persique adoptent une politique unique sur les questions fondamentales et générales, les puissances tyranniques ne pourront pas et n’oseront pas s’immiscer dans leurs affaires intérieures et dans leur politique étrangère. » L'Ayatollah Khamenei a aussi affirmé : « Comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, nous n'encourageons personne à la guerre et à l'action militaire et, nous évitons nous-même de recourir à la guerre. C'est pourquoi l'invitation à serrer les rangs et à s'unir vise à empêcher le bellicisme de l'Amérique car, c’est bien elle qui déclenche des guerres et même toutes les guerres. » Plus loin dans ses propos, le Leader de la Révolution islamique a réprimandé les pays cherchant à normaliser leurs relations avec Israël, déclarant que « le régime sioniste est périssable ». De plus il a dit : « La position définitive de la République islamique est que les gouvernements qui font le pari de la normalisation avec le régime sioniste qu’ils prennent pour modèle pour eux-mêmes perdront au final et cette perte les attend (pour sûr). Ils font une erreur et, comme le disent les Européens, ils misent sur le mauvais cheval. L’Ayatollah Khamenei a en plus précisé que la situation politique actuelle en Israël n’est pas de nature à encourager un quelconque rapprochement avec ce régime et que les pays candidats à la normalisation « ne devraient pas commettre cette erreur ». Il a par ailleurs dit : « Aujourd’hui, le mouvement palestinien est plus en forme que jamais, depuis ces 70 voire 80 dernières années et la jeunesse palestinienne et le mouvement anti-usurpation, anti-oppression et antisioniste sont plus joyeux, plus vivants et plus prêts que jamais, comme vous vous même le constater. Et si Dieu le veut, ce mouvement portera ses fruits, et comme le regretté imam (Khomeini) a décrit le régime usurpateur comme un cancer, si Dieu le veut, ce cancer sera éradiqué par le peuple palestinien et par les forces de résistance de toute la région. » Enfin l'Ayatollah Khamenei a rappelé aussi qu'Israël avait toujours été malveillant envers les pays musulmans : « Le régime sioniste est plein de haine et de colère, non seulement envers nous, mais aussi envers les autres pays. Ce n’est pas comme si le régime sioniste était satisfait des pays lointains. Les Sionistes détestent également l’Égypte, l’Irak et la Syrie ; Pourquoi ? Parce que leur objectif était du Nil à l’Euphrate et parce que cela ne s’est pas produit. Ces pays (musulmans et non voisins du régime) ne l’ont pas autorisé pour différentes raisons. » (Extraits d'un article de French Press Tv) Lors d'un appel téléphonique avec le ministre omanais des Affaires étrangères, Sayyid Badr Albusaidi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a appelé les pays musulmans à se mobiliser en faveur du peuple palestinien dans sa lutte contre le régime israélien : « Dans les circonstances actuelles, le peuple (palestinien) de la bande de Gaza occupée et de Cisjordanie a plus que jamais besoin du soutien des pays musulmans. » Il a ajouté que l'Iran et Oman ont toujours soutenu le peuple palestinien face à l'ennemi israélien. « Le président russe Vladimir Poutine a rappelé, lors des négociations avec le Premier ministre irakien Mohammed al-Sudani. de la nécessité de résoudre la question de la création d’un État palestinien souverain. Il a souligné que les actions de Washington, qui tentait de monopoliser la colonisation au Moyen-Orient, ne prenaient pas en compte les « intérêts fondamentaux du peuple palestinien ». « Je veux parler avant tout de la nécessité de mettre en œuvre les décisions du Conseil de sécurité de l’ONU sur la création d’un État palestinien souverain et indépendant », a expliqué le président russe. Il est important de noter que la déclaration de Vladimir Poutine va dans le sens d’une solution diplomatique pour le conflit israélo-palestinien. La création d’un État palestinien souverain est depuis longtemps un point de discussion crucial pour la paix au Moyen-Orient. Cette position russe suggère que la prise en compte des droits et des intérêts des Palestiniens est essentielle pour parvenir à une résolution durable du conflit. Rappelons que le président russe avait rencontré Abbas le 24 juin dernier, au cours d’une conversation téléphonique à l’initiative du président de l’État de Palestine. Lors de cette rencontre, la Russie avait réitéré sa position de principe en faveur d’une solution juste et durable au conflit palestino-israélien, fondée sur le cadre juridique international existant. Le président Poutine avait insisté sur « le soutien indéfectible de la Russie au peuple palestinien dans la réalisation de ses aspirations à la liberté et à l’indépendance, avec l’établissement d’un État indépendant ayant Jérusalem-Est comme capitale. Cette réaffirmation témoigne de l’engagement continu de la Russie envers la paix au Moyen-Orient et la réalisation de l’objectif fondamental d’un État palestinien souverain, une aspiration partagée par de nombreuses parties prenantes de la région. » (Le média en 4-4-2 ) L’opération à grande échelle lancée par les groupes de résistance palestiniens contre Israël suscite de nombreuses réactions à travers le monde. L’Afrique réagit aux récents événements mettant en lumière les diverses positions prises par les pays du continent. La majorité des États africains sont historiquement des partisans du peuple palestinien. Des pays comme la Tunisie, l’Algérie, le Sénégal ou encore l’Afrique du Sud affirment leur soutien inconditionnel aux Palestiniens. Lors d'un appel téléphonique avec le ministre omanais des Affaires étrangères, Sayyid Badr Albusaidi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a appelé les pays musulmans à se mobiliser en faveur du peuple palestinien dans sa lutte contre le régime israélien : « Dans les circonstances actuelles, le peuple (palestinien) de la bande de Gaza occupée et de Cisjordanie a plus que jamais besoin du soutien des pays musulmans. » Il a ajouté que l'Iran et Oman ont toujours soutenu le peuple palestinien face à l'ennemi israélien. De plus il a logiquement et donc pieusement dit : « La Tempête d’Al-Aqsa est une réaction naturelle et légitime aux mesures criminelles et extrémistes d’Israël. » « Le conflit a débuté en réaction à une offensive militaire du groupe palestinien Hamas dans les territoires israéliens. Le Hamas a lancé l’opération Al-Aqsa Flood en réponse à la prise de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem-Est occupée et à la violence croissante des colons israéliens contre les Palestiniens. En réaction, les forces israéliennes ont lancé une campagne militaire soutenue contre Gaza, déclenchant une spirale de violence qui a touché les civils des deux côtés. Les pertes civiles et les dégâts causés par les frappes aériennes (atténuant le sens de bombardements) mettent en évidence l’urgence de mettre fin à ce conflit. Et pour ajouter à l’atrocité, Israël interdit l’accès à la nourriture, à l’eau et aux fournitures essentielles pour les familles de Gaza. Cette escalade sanglante soulève des questions sur la nécessité d’une médiation internationale pour parvenir à un cessez-le-feu et mettre fin à la souffrance des civils. La communauté internationale est maintenant confrontée à un choix crucial : rester silencieuse face aux pertes civiles continues ou s’engager de manière significative pour mettre fin à ce conflit dévastateur. Le respect des droits de l’homme et de la vie humaine doit toujours prévaloir, quelle que soit la situation. » (Le Média en 4-4-2) Or comme les USA et l’Egypte discutent du passage des civils de Gazza (2=500 000 déjà déplacés, presque un dixième de la population), ça peut donc effectivement vite devenir une épuration ethnique de Gazza et la récupération de tout ce territoire... Surtout que si comme annoncé par Netahyahou, Israël annexe la bande de gaza, beaucoup de palestiniens la fuiront. Et si c’est le cas, çà montrera qu’il est possible de payer et laisser passer des mercenaires sous faux drapeau pour annexer aussi la Cisjordanie, le Liban, voire d'autres territoires... Le leader du mouvement yéménite Ansarallah a exprimé sa surprise quant à l’issue du sommet qui était censé représenter tous les musulmans, mais qui n’a abouti qu’à une simple déclaration accompagnée d’une revendication verbale sur ce qui se passe en Palestine. « Est-ce là la capacité des 57 pays islamiques, représentants de plus d’un milliard de musulmans, à se contenter d’une déclaration qui ne porte qu’un appel verbal ? », s’est-il demandé. « Face à la tragédie majeure dont souffre le peuple palestinien depuis plus de 70 ans, plus d’un milliard de musulmans ont adopté une position limitée et faible », a-t-il déploré. « Les régimes arabes perdent leur sérieux et n’ont pas la volonté d’agir sérieusement envers Gaza », a-t-il ajouté. Il est important de voir à ce sujet l'entretien « C’est parti mon qui-QUI ?! #17 – Comprendre le conflit israélo-palestinien (car le système cherche à gommer l'Histoire pour en inventer une autre) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/C-est-parti-mon-qui-QUI-17-Comprendre-le-conflit-israelo-palestinien-73819.html Il faut d'ailleurs rappeler que la Palestine n'est aucunement la terre originelle des juifs mais la terre promise à condition qu'ils ne dégénèrent pas. Surtout que Dieu les expulsa deux fois en encadrant le destin géopolitique, et il y eut au cours de l'Histoire en Palestine, une domination perse, puis grecque, puis romaine, puis byzantine, et enfin musulmane pendant des siècles. La vertu de certains grands moments historiques est de permettre de faire le tri entre les personnes que l’on suit habituellement, soit sur les réseaux sociaux soit dans divers médias, voire parmi les simples personnes de son entourage. Les Gilets jaunes avaient déjà pas mal écrémé, le covid avait ensuite permis un véritable nettoyage des soumis et des conformistes, l’Ukraine achevant ce travail de sélection. Mais Gaza est encore plus efficace en ce qu’il demande, en particulier de la part des français en particuliers d'extrême droite, de faire la distinction entre immigration sur le sol national d’une part et, d’autre part, les Arabes – et musulmans – de Palestine, de même que la distinction entre l’inoffensif juif du quotidien et les très dangereuses élites sataniques du judaïsme politique et sioniste dont car n'hésitant pas à génocider Gaza, à s'associer avec les néo-nazis en Ukraine et Daech en Syrie, ou à se servir sournoisement de la mort de leur propre peuple comme lors de la Shoah, du covid et de la guerre contre le Hamas. D'ailleurs selon les médias israéliens, l'armée israélienne a imposé de nouvelles restrictions sur la publication concernant les statistiques sur ses blessés au sein des hôpitaux, comme elle doit cachée au moins deux tiers de ses morts : les jeunes soldats israéliens, poussés par le démentiel Netanyahou, lui-même entraîné par d'exaltés rabbins gravement égarés, se font tirer comme des lapins dans les ruines de Gaza-City. « Or depuis le 7 octobre chaque groupe de résistance affilié à l’axe de la Résistance actuellement impliquée dans l’opération contre le régime israélien se prépare à un changement du statu quo qui a traditionnellement propulsé les intérêts américains dans la région, leur donnant le dessus sur les autres intérêts. Ce changement vise à garantir que la sécurité de la région appartient à sa population et qu’elle se libère de l’hégémonie américaine. Ce statu quo a contraint la région à choisir entre accepter l’hégémonie totale des États-Unis (qui se traduit à travers la guerre, l'embargo ou l'oppression financière et monétaire par la destruction puis le vol de nations sans que les USA soient touchés sur le sol) ou faire face à la famine politico- économique (Irak, Syrie, Liban, Yémen). Voir la fin de l’influence américaine est donc dans l’intérêt national de chaque groupe de résistance affilié à l’axe de la Résistance, d’une manière ou d’une autre une sécurité complète dans la région est improbable avec la présence de l’entité illégitime à ses frontières. Les efforts de l'armée yéménite sont réputés être très sophistiqués et précis, évitant tous les navires non occidentaux. Les principales compagnies maritimes ont dû suspendre leurs opérations dans la mer Rouge, étant contraintes d’emprunter de nouvelles routes plus longues, et les États-Unis se sont efforcés de faire pression sur l’Arabie saoudite pour qu’elle évite un accord de paix avec le Yémen tant que le problème persiste. Pendant ce temps, le commerce non occidental à travers la mer Rouge est florissant, car les pétroliers non occidentaux transiteraient apparemment à un rythme plus élevé que la moyenne. En quelques semaines seulement, le Yémen a posé une nouvelle équation aux conséquences mondiales (dont par sa pauvreté résistant quand même exemplairement face à l'hégémon américano-sioniste de papier), et a poussé les États-Unis d’une position de domination à celle de défense, devant réagir et succomber aux exigences de la Résistance, tout en résistant aux changements de pouvoir dans la région. (Les Houthis, invoquant l’obligation légale des autres d’intervenir contre les auteurs d’actes génocidaires, ont réagi à la crise de Gaza selon ce qu’ils pensent être juste en vertu du droit international.) Les paroles et les actions d’Ansarallah du Yémen ont clairement montré que considérer les opérations de la Résistance simplement comme une lutte contre Israël revient à minimiser l'importance de l’Opération de Tempête d'Al-Aqsa et à ne pas saisir pleinement la réalité de l'entité sioniste, à savoir que sa survie dépend entièrement du soutien occidental. Une attaque contre l’entité sioniste doit donc être considérée comme une attaque plus large contre ses maîtres américains. Le Yémen l’a souligné non seulement en arrêtant les pétroliers liés à Israël, mais aussi en profitant de l’occasion pour remettre activement en question la légitimité de la présence américaine dans la région. Les États-Unis savaient bien avant que la Résistance palestinienne dirigée par le Hamas ne lance la Tempête d'Al-Aqsa que leurs tentatives visant à déstabiliser les membres clés de l’axe de la Résistance afin de conserver leur monopole sur la région avaient finalement échoué à cause de multiples changements dans la région qui ont réussi à accélérer l’émergence d’un nouveau monde multipolaire. Cela inclut l’échec de la guerre de propagande culturelle contre l’Iran, le déploiement des BRICS, les nouvelles alliances stratégiques comme celles entre Chine/Iran/Arabie saoudite, et la création potentielle d’un nouveau corridor économique de transport rival qui concurrencerait légitimement le traditionnel monopole américain maritime dans ce domaine au profit de la Russie et de la Chine. L’entité sioniste est passée du statut de base militaire solide et fiable pour les États-Unis à celui de force de réserve régionale que l’Occident peut utiliser lorsqu’il cherche à attiser les tensions dans la région. Pourtant, à mesure que ces changements continuent de s’éloigner de la faveur occidentale, le rôle fonctionnel de l’entité sioniste perd de son importance. Malgré les tentatives visant à présenter l’axe de la Résistance comme inféodé à l’Iran, les différentes approches de chaque membre ont porté leurs fruits dans cette lutte contre l’occupation et la domination. Ce que les analystes occidentaux ont eu du mal à comprendre, c’est que malgré leurs méthodes différentes, les groupes de l'axe de la résistance se sont tous finalement alignés et motivés par un seul objectif qui est de mettre fin à la présence et à l’influence américaines dans la région. Les opérations actuelles de la Résistance contre l’entité sioniste, qui en sont une manifestation clé, sont simplement une continuation inévitable de ce processus. Le 7 octobre était une étape nécessaire pour en finir avec la présence américaine dans la région. Le déclin et la chute de l’entité sioniste ont contraint les États-Unis à reconsidérer cette présence, tant dans sa nature que dans son étendue, et jouent donc un rôle essentiel dans le changement du visage de la région, d’un visage étouffant sous la pression de l’hégémonie américaine, à celui qui est désaméricanisé, autosuffisant et libre. » (Extraits de l'article « « Asie de l’Ouest désaméricanisée » : comment les événements du 7 octobre ont façonné le nouveau visage de la région » de FrechPressTV) « D’un seul coup, Ansarullah du Yémen a mis en échec l’Occident et son ordre fondé sur des règles. Oui, un pion peut imposer un mat sismique. C’est ce qui se passe actuellement sur le plan géopolitique. Les effets en cascade d’un seul coup sur l’échiquier – le blocus stupéfiant et soigneusement ciblé de la mer Rouge par Ansarullah du Yémen – vont bien au-delà du transport maritime mondial, des chaînes d’approvisionnement et de la guerre des corridors économiques. Sans parler de la réduction de la projection de force de l’US Navy, tant louée, qui n’a plus lieu d’être. Le mouvement de résistance du Yémen, Ansarullah, a clairement fait savoir que tout navire affilié à Israël ou destiné à Israël serait intercepté. Alors que l’Occident s’en émeut et s’imagine être une cible, le reste du monde comprend parfaitement que tous les autres navires sont libres de passer. Seul l’hégémon est perturbé par ce défi à son «ordre fondé sur des règles». Il s’indigne que des navires occidentaux livrant de l’énergie ou des marchandises à Israël, qui viole la loi, puissent être entravés, et que la chaîne d’approvisionnement ait été interrompue et plongée dans une crise profonde. Or la cible principale visée est l’économie israélienne, qui est déjà fortement exsangue. Ce blocus est d'ailleurs très performant, dont car coûteux et douloureux pour Israël. Une seule action yéménite s’avère plus efficace qu’un torrent de sanctions impériales. C’est la possibilité alléchante que cette action unique se transforme en un changement de paradigme – sans retour – qui ajoute à l’apoplexie de l’Hégémon. D’autant plus que l’humiliation impériale est profondément ancrée dans le changement de paradigme. (Surtout que la puissance anglo-américaine repose depuis plus de deux siècles sur la marine, et que le Yémen faible économiquement réussit à fermer la Méditerranée à l’océan Indien pour porter atteinte aux intérêts occidentaux. L’implication du Yémen n’est pas quelque chose qui peut être arrêté – ils ne sont pas comme le Japon en 1853 lorsque quelques canonnières arrivent et les transforment pour toujours en singes occidentaux. Après tout, ils ont déjà résisté aux bombes américaines – larguées par Al Saoud – depuis plus d’une décennie. Dans ce sens et après l'inédite guerre économique occidentale très dure espérant disloquer la Russie par de très grandes et nombreuses sanctions, alors que les sanctions économiques sont clairement illégitime selon l'ONU et donc le droit international) Le président russe Vladimir Poutine, sur le ton de la confidence, envoie désormais un message sans équivoque : Oubliez le canal de Suez. La voie à suivre est la route maritime du Nord – que les Chinois, dans le cadre du partenariat stratégique Russie-Chine, appellent la route de la soie arctique. Pour les Européens médusés, les Russes ont détaillé trois options : Premièrement, naviguer 15 000 milles autour du cap de Bonne-Espérance, (alors que le covid a déjà fait beaucoup augmenter les coûts de transport maritime commercial, ce qui correspond donc à une légitime gosse contre-sanction contre les USA, l'Occident et Israël, qui sont largement devant, les premiers pratiquants de grosses sanctions économiques dans le monde, quoique si les USA n'interviennent pas plus contre AnsarAllah, ce n'est pas seulement pour éviter d'entrer en guerre directe contre eux, c'est aussi car grâce à cette perturbation et cette augmentation du coût du trafic maritime, ils vendent actuellement plus de pétrole à l'UE). Deuxièmement, utiliser la route maritime du Nord, moins chère et plus rapide. Troisièmement, envoyer la cargaison par les chemins de fer russes. (D'ailleurs pour encore plus lutter contre la guerre économique de l'Occident, l'Afrique du sud pourrait même bloquer cette route sous un prétexte des manœuvres militaires conjointes avec la Russie, et grâce à un accord avec la Russie, la Chine pourrait donc passer par la route maritime du Nord afin de livrer l'Europe. Et les nouvelles routes chinoises de la soie terrestres trouvent d'autant plus leur bon sens.) Rosatom, qui supervise la route maritime du Nord, a souligné que les navires sans certification glace peuvent désormais naviguer pendant l’été et l’automne, et qu’il sera bientôt possible de naviguer toute l’année avec l’aide d’une flotte de brise-glaces nucléaires. Tout cela est la conséquence directe de la seule action du Yémen. Quelle sera la prochaine étape ? L’entrée du Yémen dans les BRICS+ lors du sommet de Kazan fin 2024, sous la présidence russe ? La nouvelle architecture sera encadrée au Moyen-Orient. L’armada menée par les États-Unis pour l’Opération Protection du Génocide, qui s’est effondrée avant même d’avoir vu le jour, a peut-être été mise sur pied pour «avertir l’Iran», en plus de faire peur à Ansarullah. Tout comme les Houthis, Téhéran n’est guère intimidé car, comme le dit succinctement Alastair Crooke, analyste au Moyen-Orient : «Sykes-Picot est mort». Il s’agit d’un changement radical sur l’échiquier. Cela signifie que ce sont les puissances du Moyen-Orient, et non la marine américaine, qui vont désormais définir la nouvelle architecture régionale. Il en découle un corollaire ineffable : ces onze forces opérationnelles de porte-avions américains sont, à toutes fins utiles, sans valeur. Au Moyen-Orient, tout le monde sait que les missiles d’Ansarullah sont capables de frapper les champs pétroliers saoudiens et émiratis et de les mettre hors service. Il n’est donc pas étonnant que Riyad et Abou Dhabi n’acceptent jamais de faire partie d’une force maritime dirigée par les États-Unis pour défier la résistance yéménite. Sur le front de l’énergie, Moscou et Téhéran n’ont même pas besoin de penser – du moins pas encore – à utiliser l’option «nucléaire» ou à couper potentiellement au moins 25%, voire plus, de l’approvisionnement mondial en pétrole. Comme le décrit succinctement un analyste du golfe Persique, «cela ferait irrémédiablement imploser le système financier international». Si les néo-conservateurs straussiens du Beltway sont vraiment déstabilisés par le changement de paradigme et agissent en désespoir de cause pour «donner une leçon» à l’Iran, un blocus combiné Ormuz-Bab al-Mandeb pourrait faire grimper en flèche le prix du pétrole à au moins 500 dollars le baril, ce qui déclencherait l’implosion du marché des produits dérivés, d’une valeur de 618 000 milliards de dollars, et ferait s’effondrer l’ensemble du système bancaire international. Mao Zedong avait raison : les États-Unis sont peut-être un tigre de papier. Mais Poutine est bien plus prudent, froid et calculateur. Avec le président russe, tout est question de réponse asymétrique, au moment précis où personne ne s’y attend. Cela nous amène à la principale hypothèse de travail susceptible d’expliquer le jeu d’ombres masquant le seul mouvement d’Ansarullah sur l’échiquier. Lorsque le journaliste d’investigation Sy (Seymour) Hersh, lauréat du prix Pulitzer, a démontré comment l’équipe Biden avait fait sauter les pipelines Nord Stream, la Russie n’a pas réagi à ce qui était, en fait, un acte de terrorisme contre Gazprom, contre l’Allemagne, contre l’UE et contre un certain nombre d’entreprises européennes. Pourtant, le Yémen (ou plutôt la partie houthi AnsarAllah ayant pieusement fait de grands sacrifices pendant dix ans et étant donc largement plus responsable de cette grande résistance intelligente que Poutine), avec un simple blocus, met le transport maritime mondial sens dessus dessous. D'ailleurs le port israélien d'Eilat a déclaré faillite suite aux opérations des Forces armées yéménites. Qu’est-ce qui est le plus vulnérable ? Les réseaux physiques de l’approvisionnement énergétique mondial (Pipelineistan) ou la thalassocratie, c’est-à-dire les États qui tirent leur puissance de leur suprématie navale ? La Russie privilégie le Pipelineistan : voir, par exemple, les Nord Streams et Force de Sibérie 1 et 2. Mais les États-Unis, l’hégémon, se sont toujours appuyés sur leur puissance thalassocratique, héritière de «Britannia règne sur les mers». Eh bien, ce n’est plus le cas. Et, étonnamment, pour y parvenir, il n’a même pas fallu recourir à l’option «nucléaire», le blocus du détroit d’Ormuz. Bien sûr, nous n’aurons pas de preuve irréfutable. Mais il est fascinant de penser que l’action unique du Yémen a pu être coordonnée au plus haut niveau entre trois membres des BRICS – la Russie, la Chine et l’Iran, le nouvel «axe du mal» des néoconservateurs – et deux autres membres des BRICS+, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, deux puissances énergétiques. En d’autres termes, «si vous le faites, nous vous soutiendrons». Rien de tout cela, bien sûr, n’enlève à la pureté yéménite : leur défense de la Palestine est un devoir sacré. L’impérialisme occidental, puis le turbo-capitalisme, ont toujours été obsédés par l’idée de s’emparer du Yémen, un processus qu’Isa Blumi, dans son splendide livre «Destroying Yemen», décrit comme «dépouillant nécessairement les Yéménites de leur rôle historique de moteur économique, culturel, spirituel et politique d’une grande partie du monde de l’océan Indien». Mais le Yémen est invincible et, comme le dit un proverbe local, «mortel» (Yemen Fataakah). Faisant partie de l’axe de la résistance, Ansarullah du Yémen est désormais un acteur clé dans un drame complexe à l’échelle de l’Eurasie qui redéfinit la connectivité du Heartland ; et aux côtés de l’Initiative Ceinture et Route (BRI) de la Chine, du Corridor international de transport nord-sud (INSTC) dirigé par l’Inde, l’Iran et la Russie, et de la nouvelle Route maritime du Nord de la Russie, comprend également le contrôle des points d’étranglement stratégiques autour des mers méditerranéennes et de la péninsule arabique. Il s’agit là d’un tout autre paradigme de connectivité commerciale, qui réduit en miettes le contrôle colonial et néocolonial occidental de l’Afro-Eurasie. Oui, les BRICS+ soutiennent le Yémen qui, d’un seul geste, a placé la pax americana devant la mère de toutes les embûches géopolitiques. » (Extraits de l'article de Pepe Escobar « Comment le Yémen a tout changé ») Fin de l'article « Du 11 septembre au 7 octobre : la fausse «Guerre contre le Terrorisme» s’effondre » de Pepe Escobar : « Le tour de force stratégique de Soleimani, qui a consisté à mettre en place et à coordonner l’Axe de la résistance contre Israël et les États-Unis, a nécessité des années de préparation. En Irak, par exemple, les UMP (union puis parti politique d'Irak) ont été propulsées au premier rang de la résistance parce que l’armée irakienne – entraînée et contrôlée par les États-Unis – ne pouvait tout simplement pas combattre ISIS. Les UMP ont été créées après une fatwa du grand ayatollah Sistani en juin 2014 – lorsque ISIS a commencé son saccage irakien – en implorant «tous les citoyens irakiens» de «défendre le pays, son peuple, l’honneur de ses citoyens et ses sites sacrés». Plusieurs UMP ont été soutenues par la Force Qods de Soleimani – qui, ironiquement, pour le reste de la décennie, serait invariablement qualifiée par Washington de maître «terroriste». Parallèlement, le gouvernement irakien a accueilli un centre de renseignement anti-ISIS à Bagdad, dirigé par la Russie. Le mérite de la défaite d’ISIS en Irak revenait principalement à l’UMP, complétée par son aide à Damas via l’intégration d’unités de l’UMP dans l’armée arabe syrienne. Voilà ce qu’était une véritable guerre contre le terrorisme, et non cette construction américaine mal nommée «Guerre contre le Terrorisme». Mieux encore, la réponse de l’Asie occidentale à la terreur était et reste non sectaire. Téhéran soutient la Syrie laïque et pluraliste et la Palestine sunnite ; le Liban se caractérise par une alliance entre le Hezbollah et les chrétiens ; les UMP d’Irak se caractérisent par une alliance entre les sunnites, les chiites et les chrétiens. Diviser pour régner ne s’applique tout simplement pas à une stratégie de lutte contre le terrorisme d’origine intérieure. Ce qui s’est passé le 7 octobre 2023 a propulsé l’éthique des forces de résistance régionales à un tout autre niveau. D’un seul coup, il a détruit le mythe de l’invincibilité militaire israélienne et sa primauté tant vantée en matière de surveillance et de renseignement. Alors même que l’horrible génocide de Gaza se poursuit sans relâche (avec peut-être jusqu’à 200 000 morts civils, selon The Lancet), l’économie israélienne est en train d’être éviscérée. Le blocus stratégique du Bab al-Mandeb et de la mer Rouge imposé par le Yémen à tout navire lié ou destiné à Israël est un coup de maître en termes d’efficacité et de simplicité. Non seulement il a déjà mis en faillite le port stratégique israélien d’Eilat, mais en prime, il a offert une humiliation spectaculaire à l’hégémon thalassocratique, les Yéménites ayant de facto vaincu l’US Navy. (Novembre 2024, l'économie israélienne a vu 40 000 entreprises faire faillite et près d'un million d'Israéliens quitter le pays, depuis le 7 octobre 2023.) En moins d’un an, les stratégies concertées de l’Axe de la Résistance ont enterré six pieds sous terre la fausse guerre contre le terrorisme et son cortège de milliards de dollars. Autant Israël a profité des événements après le 11 septembre, autant les actions de Tel-Aviv après le 7 octobre ont rapidement accéléré son démantèlement. Aujourd’hui, alors que la Majorité mondiale condamne massivement le génocide israélien à Gaza, l’État d’occupation fait figure de paria, entachant ses alliés et révélant chaque jour l’hypocrisie de l’Hégémon. Pour l’Hégémon, la situation est encore plus alarmante. Rappelons l’avertissement lancé en 1997 par le Dr Zbigniew Brzezinski, «Grand échiquier» : «Il est impératif qu’aucun challenger eurasien n’émerge capable de dominer l’Eurasie et donc de défier également les États-Unis». En fin de compte, tout le bruit et la fureur combinés du 11 septembre, de la Guerre contre le Terrorisme, de la Longue Guerre, de l’Opération Ceci et Cela pendant deux décennies, se sont métastasés en exactement ce que «Zbig» craignait. Ce n’est pas seulement un simple «challenger» qui a émergé, mais un véritable partenariat stratégique entre la Russie et la Chine qui donne un nouveau ton à l’Eurasie. Soudain, Washington a oublié le terrorisme. Ce sont elles les véritables «ennemis», désormais considérées comme les deux premières «menaces stratégiques» des États-Unis. Il ne s’agit pas d’Al-Qaïda et de ses nombreuses incarnations, une invention fragile de la CIA, réhabilitée et aseptisée au cours de la décennie précédente sous la forme de ces mythiques «rebelles modérés» en Syrie. Ce qui est encore plus étrange, c’est que la Guerre contre le Terrorisme, conceptuellement absurde, forgée par les néoconservateurs immédiatement après le 11 septembre, se transforme maintenant en une guerre du (mes italiques) terrorisme, incarnant la tentative désespérée de la CIA et du MI6 de «faire face à l’agression russe» en Ukraine. Et cela ne peut que se métastaser dans le marais de la sinophobie, car ces mêmes agences de renseignement occidentales considèrent la montée en puissance de la Chine comme «le plus grand défi géopolitique et de renseignement» du XXIe siècle. La Guerre contre le Terrorisme a été démystifiée ; elle est maintenant morte. » De plus la capacité des Houthis à échapper aux coûteuses défenses aériennes a surpris les USA. Ils s’inquiètent déjà des coûts élevés que leur causent les Houthis. Un missile à 2 millions de dollars contre un drone à 2/3 000 dollars ? Même s’ils interceptent tous les missiles et drones, ils seront perdants ! Exemple : 100 projectiles, coûtant 2/300 mille dollars, à détruire par 100 missiles coûtant 200 millions de dollars ? Sans compter la gestion des navires de guerre, avec les risques d’en perdre ! « Cela devient rapidement un problème, car le plus grand bénéfice, même si nous abattons leurs missiles et drones, est en leur faveur », a déclaré Mick Mulroy, ancien responsable et officier de la CIA.
La présence US au Moyen-Orient a toujours été dans le but de contrôler le pétrole et d'encercler l'extrême Orient, puisqu'il ne resterait ainsi principalement que l'Asie de l'Est à dominer par l'Occident. En effet le reste du monde est sous domination US via dont via son dollar, son système bancaire international Swift, ses très nombreuses bases militaires et son système économico-politique. C'est à dire que dans la partie d’échec qui se jouait entre Moscou et Washington à l’époque de la bipolarité de la guerre froide, le Moyen-Orient était la périphérie d’une géopolitique qui avait son centre de gravité en Europe, théâtre principal de l’affrontement Est-Ouest, tandis qu’aujourd’hui il est devenu le pivot du Grand Jeu mondial. D'ailleurs le conflit israélo-palestinien demeure toujours l’épicentre d’antagonismes irrésolus : -l’antagonisme séculaire Orient/Occident, enraciné dans des intérêts et des perceptions multiples, -l’opposition géopolitique et culturelle Nord/Sud ou dominants /dominés, colonisateurs /colonisés, -et enfin l’hostilité millénaire de trois mondes, juif, chrétien, musulman et désormais judéo-chrétien occidental, oligarchique, néoconservateur, mondialiste, et sioniste. Ainsi par rapport à tout cela et particulièrement avec la Pakistan en partie américain, l'Iran ressemble à l'Ukraine dont au niveau de sa forme et de son enfoncement dans le Proche-Orient et le Moyen-Orient voire l'Extrême-Orient, comme l'Ukraine s'enfonce dans l'Eurpe et la Russie (l'Asie). L’élargissement du conflit Hamas-Israël pourrait donc être la mèche du « grand embrasement » Orient-Occident. C'est pourquoi avec les bombardements US et UK sur le Yémen, la guerre Israël-Hamas semble s'orienter de plus en plus vers une guerre occident-axe de la résistance (Hezbollah, Yémen, Irak, Syrie, Iran). « Heureusement, et l’on ne tarda pas à s’en apercevoir, la coalition anti-syrienne vassalisée par Washington n’était qu’un tigre de papier. Car de nombreuses nations ont rejeté ce nouvel avatar du néocolonialisme occidental repeint aux couleurs de la démocratie et des droits de l’homme. À tout bien tout honneur, la première à le faire fut la nation iranienne. Solidarité iranienne et intervention russe ont été les deux piliers auxquels l’État syrien avait pu s’adosser pour faire face à la déferlante du mercenariat takfiriste. La contribution chinoise à la défense de la souveraineté syrienne, jusqu’à présent, s’est montrée beaucoup plus discrète, mais elle a fait preuve d’une grande constance. Plus profondes qu’on ne le pense, les relations entre Pékin et Damas ne datent pas d’hier, dont en 2010 la Chine devient le premier fournisseur de la Syrie, avec 7 % du total. Pays en développement dont le potentiel est considérable, carrefour stratégique des itinéraires pétroliers et gaziers, la Syrie a naturellement vocation à coopérer avec cette grande puissance asiatique au pacifisme assumé, qui n’a jamais transigé avec les principes dont elle se réclame. Les responsables chinois n’ont eu de cesse de le rappeler. La Chine soutient résolument la Syrie dans la sauvegarde de sa souveraineté nationale et de son intégrité territoriale, dans l’amélioration des conditions de vie de sa population, dans ses efforts pour rejeter les sanctions unilatérales et atténuer les difficultés humanitaires. La Chine s’oppose fermement à toute tentative d’imposer un changement de régime en Syrie, et elle soutient résolument ce pays dans sa lutte contre toutes les forces terroristes. Bref, la Chine n’est pas l’Occident. Du côté chinois, respect scrupuleux de la souveraineté des États et de la loi internationale ; refus de toute ingérence et insistance sur la nécessité d’une solution syrienne à la crise syrienne ; souci primordial pour le sort des populations civiles et urgence de la reconstruction ; engagement au côté de l’État syrien dans la lutte contre l’extrémisme. Du côté occidental, mépris absolu pour la loi internationale et ingérence systématique dans les affaires intérieures syriennes ; indifférence au sort des populations prises en otage par des sanctions économiques criminelles ; hypocrisie de la lutte contre le terrorisme et connivence avec les organisations extrémistes. S’imaginant qu’ils allaient provoquer sa chute à la faveur des soi-disant « printemps arabes », les dirigeants occidentaux ont feint d’ignorer la légitimité dont jouissait le gouvernement syrien. Ils pensaient que l’armée régulière se déliterait sous l’effet de désertions en masse qui n’eurent jamais lieu pendant 13 ans jusqu'à la chute de Assad. Aveuglés par leur lecture orientaliste de la société syrienne, ils la croyaient dominée par la minorité alaouite. Ils faisaient mine de croire à la légende d’un peuple héroïque dressé contre un despote aux abois, alors que la légitimité du président Assad se trouvait confortée, au contraire, par sa détermination à lutter contre les ennemis de la Syrie. Tandis que la myopie volontaire du regard occidental sur la Syrie pulvérisait tous les records, les Chinois comprenaient la véritable nature des rapports de forces. En Occident, l’imagination propagandiste réduisait au silence le simple bon sens. En Chine, le bon sens disait à ses dirigeants qu’un État qui résiste avec succès à une tentative de déstabilisation d’une telle ampleur n’est pas près de s’écrouler. Les Russes ont fait le même raisonnement, et ils sont intervenus militairement pour aider leur allié arabe. » Avec l’effondrement de la Syrie, trois projets géopolitiques différents s’affrontent désormais plus directement, sans plus aucun tampon : la Turquie, Israël et l’Iran. En sachan tqu'il y a aussi l'axe de la résistance en partie iranienne. En conclusion, les trois projets continueront à s’affronter en Syrie et en Irak, avec des alliances tactiques qui peuvent changer en fonction des opportunités. Dans un contexte, nous pouvons voir – dans un rôle anti-Assad et anti-Iran – les Turcs et les Israéliens unis, mais dans d’autres, la situation peut changer complètement. Par exemple, la relation entre les Kurdes de Syrie et d’Irak et les trois protagonistes du soulèvement arabe est très difficile à déchiffrer. Les Israéliens, les Turcs et les Iraniens ont tous des amis et des ennemis potentiels parmi les Kurdes. Par exemple, s’il est vrai que les Kurdes syriens et irakiens sont en contact avec les sionistes, l’Iran exerce également une réelle influence, notamment parmi les Kurdes irakiens; et il n’est pas exclu que, dans un rôle anti-turc, cette collaboration intermittente s’étende à l’est de l’Euphrate en Syrie, une zone que les Iraniens connaissent bien en raison de la guerre contre ISIS dans les régions voisines. (Ali Reza Jalali)
L'orientation vers le monde multipolaire :
Idéalement, l’Europe pourrait être l’un des nombreux partenaires économiques de la Russie dans l’Initiative de Grande Eurasie. La renaissance de lignes de démarcation militarisées sur le continent européen rend les Européens excessivement dépendants des États-Unis et la Russie devient trop dépendante de la Chine. Il y a donc de fortes incitations systémiques à rétablir une certaine connectivité économique entre les Européens et les Russes après la guerre d’Ukraine, même si ce sera dans un format plus eurasien car l’Initiative de Grande Europe ne pourra plus être relancée.
La monnaie :
« Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, depuis les accords de Bretton Woods ; 22 juillet 1944, la FED – La Réserve fédérale des États-Unis – gère la quantité d’or de l’Occident. Comme la masse monétaire se réduit perpétuellement du fait du Gulf Stream, il faut perpétuellement la recréditer, comment ? Les banques font la cavalcade, ce pas de charge des chevaux de l’armée napoléonienne. La cavalcade dans le jargon de la finance c’est l’acte de payer un crédit en prenant un autre crédit, qui sera financé par un autre crédit. C’est-à-dire que la fortune des banques consiste en quantité de… crédits. Les banques ne possèdent que des dettes, et avec ces dettes, impriment des billets qui représentent de la valeur. Ce qui permet d’exporter de la monnaie et de recevoir des marchandises en retour. Cela a donné à l’Occident une énorme puissance financière et lui a permis de fonctionner comme un parasite de l’économie mondiale. Ce mécanisme d’augmentation de la dette arrive à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en débit tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons plus rien, maintenant que la dette a été soustraite. La dette est depuis longtemps devenue inutilisable – bien au-delà de notre capacité à payer des intérêts – ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette irréparable et nous ferions tous officiellement faillite en un jour. Nous sommes en 15 août 1971, Nixon met fin au régime de Bretton Woods, tout le monde sait cela. Nixon signe l’arrêt de mort de Bretton Woods. La monnaie mondiale peut et doit être fabriquée en abondance, ce qui sape la confiance dans le dollar. Mais le dollar, pour recréer de la confiance, s’appuie sur le mécanisme du pacte du Quincy, soit la rencontre du 14 février 1945 du roi Saoud et de Roosevelt. Le pacte mentionne la protection de l’Arabie Saoudite par la force militaire US en contrepartie de quoi, le royaume Saoud s’engage à vendre son pétrole uniquement en dollars. Ce pacte est fondamental car il contient l’équilibre du monde. En effet, acheter son énergie en dollars est une garantie que le dollar sera toujours demandé, donc toujours valable. Par extension, les US et leur armée ont forcé le monde à tout négocier en dollars, se garantissant le fait que le dollar soit toujours demandé. Les États-Unis s’installent dans la position de débiteurs à l’égard du reste du monde, et laissent les autres pays les financer en accumulant des dollars, concrètement c’est une position de prédateur, ou de parasite. Obama a poussé le bouchon jusqu’à imposer l’extra-territorialité de la loi américaine. C’est-à-dire quiconque utilise le dollar se trouve sous la loi américaine. Loi toute relative sur qui celle-ci s’exerce. Ce sont les fameuses règles du Nouvel Ordre mondial. « Le monde a besoin de règles » chantonnent toutes les marionnettes du pouvoir, ces règles ne sont que les ordres des dominants. Ceci permet aux banques américaines – car la Fed appartient à un petit conglomérat de banques privées – de mettre le monde en coupe réglée. D’asservir le monde, c’est le plan. Toutes les nations refusant de se soumettre sont détruites, alimentant le militaro-indus US. Double bénéfice. Par ailleurs les USA prennent bien soin de diviser, diviser pour mieux régner, tout groupe de nations qui pourrait faire bloc pour résister. Triple bénéfice. Seulement voilà. Voila, tout le monde n’est pas d’accord. Tout le monde n’est pas d’accord pour être asservi et un petit groupe de nations, les BRICS, refusent d’utiliser le dollar comme monnaie de réserve et d’échanges. Ce qui est une façon de refuser de payer le déficit américain, dit autrement, les Américains vivent au-dessus de leurs moyens et font payer au monde leurs déficit. Oui mais voilà, la boite de Pandore est ouverte, car quelques nations refusent de se soumettre, alors, plus aucun pays ne va vouloir se soumettre, notamment tous les pays producteurs de ressources. Tous les pays producteurs de pétrole, de gaz, d’énergie, l’OPEP, Organisation des pays exportateurs de pétrole, refusent de soutenir le déficit US. Le beau Salmane, dirigeant de l’Arabie saoudite rejoint les BRICS, faisant la bascule de la majorité du pouvoir mondial. « Les ressources valent plus que la finance » dit Poutine. Et que va-t-il arriver ? Eh bien l’économie dollar, c’est-à-dire l’économie occidentale s’effondre, comme s’est effondré l’URSS trente ans plus tôt. À moins que l’armée US force les BRICS à se dissoudre. Pour cela le pouvoir américain utilise une pratique vielle comme le monde, l’art de la guerre de Sun Tzu disant : toutes les armées du monde ont une faiblesse, leur général. La CIA, Davos, placent des pions à eux aux commandes des pays vassaux, c’est le cas en Europe, Allemagne, France, etc. Quand le pays ne leur appartient pas, la CIA organise un coup d’État, Chili, révolution de couleur, etc. C’est le cas de l’Ukraine où Barbara Nuland prend le pouvoir en 2014. L’empire US utilisant ce proxy, cherche à détruire la Russie, qui comme nous l’avons vu, provoque l’effondrement de l’exorbitant avantage de la monnaie américaine en vendant son gaz en roubles et non en dollars. Les Américains savent bien qu’il sera impossible de vaincre la Russie, mais espèrent que la guerre déstabilisera le pouvoir russe : « Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe ». Conclusion : l’Occident est au bord du gouffre, pris dans une dynamique vertigineuse. Soit il déstabilise le Russe, soit il trouve un pays producteur de ressources qui vend en dollars (l’Occident qui s’accapare le gaz de Gaza (si sa réserve est réellement suffisante)), soit il s’effondre. Voici pourquoi la guerre (probablement en plus pour casser dont au Yémen le rapprochement Arabie-Iran et celui de ces deux dernières nations avec les BRICS afin de préserver le prétro-dollar). » (Extraits de l'article « Pourquoi Macron veut-il tellement pousser le monde à la guerre ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pourquoi-Macron-veut-il-tellement-pousser-le-monde-a-la-guerre-74900.html)
Au sujet de l'énorme oppression du dollar voici l'excellent article « Dollar. Rappel historique des étapes de la domination de la planche à billets sur les nations » de Jean Goychman : « Après avoir réussi à imposer l’argent-dette aux États-Unis, ce qui constituait une étape majeure, les banquiers s’attaquèrent ensuite à l’internationalisation du dollar. Les accords de « Bretton Woods » en juillet 1944, en furent le théâtre. Le financement des deux guerres mondiales avait eu pour conséquences que seul le dollar était encore convertible en or, toutes les autres monnaies ayant dû abandonner cette parité depuis le début de la guerre de 14. Il apparaissait alors comme le mieux placé pour jouer ce rôle de « monnaie de réserve » nécessaire aux échanges commerciaux internationaux qui ne pouvaient que se développer une fois la guerre terminée. Or un obstacle majeur apparaît : le dollar était la monnaie américaine. Le problème venait du fait que le dollar était la monnaie domestique américaine et, en tant que telle, ne pouvait être émise que par la Réserve Fédérale. La quantité de monnaie en circulation allait devoir couvrir, en plus de ce qui était nécessaire à l’économie américaine, tous les besoins des échanges commerciaux internationaux. De plus, pour quitter les États-Unis vers l’international, la seule façon pour exporter ces dollars était de réaliser des importations. Cela impliquait structurellement un déséquilibre de la balance commerciale américaine, car les importations devaient être plus importantes que les exportations. Enfin, l’augmentation de la masse monétaire américaine ne pouvait se faire qu’en augmentant les réserves d’or de la FED. Ce sont ces questions qui furent débattues entre Keynes (représentant le Royaume-Uni) et Dexter-White, pour les États-Unis en juillet 1944. Keynes avait une proposition, qui consistait à créer une monnaie spécifique, le « Bankor » qui ne serait pas la monnaie d’un pays et qui serait alignée sur le cours de l’or, comme son nom l’indiquait. Évidemment cette proposition ne fut pas retenue par les banquiers internationaux car elle aurait condamné tout leur plan, qui était d’instaurer une monnaie mondiale dirigée par eux. Malgré tous ses inconvénients, dénoncés par l’économiste Robert Triffin, la toute puissance des banquiers et la convertibilité-or pesèrent de tout leur poids et le dollar devint monnaie de réserve internationale. C’est en 1965 que le Général de Gaulle tel un cactus, brossant un large tableau des relations internationales, dénonça la toute puissance du dollar et y vit une cause de déséquilibre profond qui ne pouvait que s’accentuer. Conseillé par Jacques Rueff, qui fut avec Maurice Allais la source de la stratégie gaullienne, il parfaitement identifié le point faible du montage, qui était la convertibilité-or du dollar. Il organise le retour en France de l’or français encore détenu par la FED et, dès les finances assainies, échange les dollars détenus par la Banque de France contre de l’or suivant le principe de convertibilité. Il s’en suivit une période d’incertitude, notamment sur la quantité d’or effectivement entreposée à Fort Knox, qui devint ainsi un des secrets les mieux gardés de l’Histoire. Au début des années 70, l’Allemagne voulut suivre le même chemin, mais c’en était trop pour la FED qui demanda à Richard Nixon de mettre un terme à la convertibilité-or du dollar. L’étape décisive pour y parvenir fut le discours de Richard Nixon. En effet ce fut fait le 15 août 1971 par le « discours de la Maison Blanche » dans lequel Nixon mit officiellement fin au « gold exchange standard » On fit passer cela pour une défaite de l’Amérique, qui devait « brûler ce qu’elle avait adoré », en partie justifiée par la guerre du Vietnam qui nécessitait des sommes considérables, bien-sûr pour le bien de l’Humanité. Mais en réalité c’était une victoire par KO des banquiers internationaux. Certes, on pouvait considérer que les accords de Bretton-Woods avaient vécu, mais le plus important était le maintien du dollar dans son rôle de monnaie mondiale. C'est à dire que le standar or, ou étalon-or, était un système monétaire licite dans lequel l'unité de compte ou étalon monétaire correspondait à un poids fixe d'or, et que sa suppression a été la principale cause de la dégradation économique mondiale actuelle. A partir de ce moment, plus rien ne s’opposait à l’utilisation sans limite de la planche à billets américaine. Et cela se fit sentir très rapidement dans le commerce mondial. Ainsi l’irrésistible ascension du dollar survenue. Voici ce qu’écrivait Hongbing Song dans le livre prophétique « La guerre des monnaies » page 273 : « De 1949 à 1970, le prix du pétrole était resté stable à 1,9 dollar du baril. Il augmenta progressivement à 3 dollars du baril. Le 16 octobre 1973, peu après le déclenchement de la guerre (du Kippour) l’OPEP augmenta le prix du pétrole de 70%, qui passa à 5,11 dollars le baril. Le 1er janvier 1974, il doubla à nouveau pour atteindre 11.65 dollars. Entre la réunion du Bilderberg de mai 1973 et janvier 1974, le prix du baril avait été multiplié par quatre ». Comment en était-on arrivé là ? Vous vous souvenez qu’en septembre 1972, durant les Jeux Olympiques de Munich, le pavillon des israéliens avait été attaqué par des terroristes palestiniens du groupe « Septembre noir » qui ont assassiné 11 athlètes. La réponse d’Israël ne s'est pas faite attendre et le 09 septembre, des avions israéliens attaquent les bases de l’OLP en Syrie et au Liban faisant environ 200 victimes. Toute cette période est marquée par une tension très vive entre Israël et le pays arabes et a été mise à profit par les émissaires de l’Etat profond américain au premier rang desquels on retrouve Henry Kissinger et Zbibnew Brzezinski. La stratégie qui allait mener à la guerre du Kippour a été mise au point, d’après le livre « la guerre des monnaies » a été définie lors de la réunion de Bilderberg en mai 1973 : « Cinq mois avant le déclenchement de la guerre du Kippour, s’est tenue la réunion annuelle du Bilderberg, à Saltsjöbaden, en Suède, réunissant 80 personnalités du monde de la finance, des affaires et de la politique auxquels venaient s’ajouter quatre représentants de la presse du courant dominant. Le lieu qui avait été choisi pour cette réunion n’est pas anodin puisque Saltsjöbaden n’est autre que la station balnéaire insulaire de la famille banquière suédoise Wallenberg. L’un des sujets abordés fut de trouver un remède à la faiblesse du dollar qui avait perdu son statut de monnaie convertible en or et redonner confiance dans la devise américaine pour reprendre le contrôle sur le champ de bataille monétaire et financier. L’objectif de cette réunion secrète n’était pas de prévenir le choc pétrolier attendu, mais plutôt de planifier la façon de gérer l’inondation très prochaine des « pétrodollars », un processus que le ministre des Affaires étrangères Kissinger appellera plus tard « recyclage des flots de pétrodollars » (p 270). On comprend alors beaucoup mieux la véritable raison du choc pétrolier de 1973. Il ne s’agissait pas, comme l’ont dit tous les médias « mainstream » de l’époque, de faire prendre conscience aux abrutis que nous sommes que le pétrole était une denrée qui allait rapidement se raréfier, donc qui ne pouvait qu’augmenter, mais bel et bien d’augmenter la masse des dollars qui allaient servir aux transactions internationales du pétrole. Pour cela, il fallait tenir d’une main ferme l’OPEP, véritable robinet réglant le débit mondial du pétrole. Ce fut le rôle de Kissinger et de Brzezinski auprès du royaume d’Arabie Saoudite. Bien sûr, dès que les prix du pétrole commencèrent à grimper, la FED augmenta ses taux d’intérêt et la grosse machine à fabriquer de l’argent à partir de rien s’était mise en route et n’allait plus s’arrêter. »
Eustace Mullins qui a été formé par Ezra Pound le formateur de quatre prix Nobel, a dénoncé avec une précision chirurgicale le pouvoir à la fois démesuré et criminel de la Banque : « Lorsque je l’ai rencontré, Ezra avait quatre protégés qui avaient reçu le prix Nobel. Il m’a pris sous son aile et a entrepris de me former. Il m’a donné pour mission d’aller à la bibliothèque du Congrès pour y faire des recherches sur le système de la Réserve fédérale. J’avais un don pour la recherche et j’y ai découvert toute l’histoire du système de la Réserve fédérale qui est la plus grande escroquerie jamais commise dans l’histoire : un groupe de banquiers privés a conspiré de manière criminelle pour s’emparer de la monnaie et du crédit aux États-Unis. C’est ce qu’ils ont fait en 1913. Ils ont fait voter le projet de la Réserve fédérale par le Parti démocrate à Washington, D.C. Il a été adopté par le Congrès. Cette loi a remis à des banques privées la totalité de la monnaie du crédit aux États-Unis, ce qui n’était pas rien ! Elles ont gardé ce droit depuis en l’érigeant en monopole, de sorte que les actions des banques de la Réserve fédérale ne puissent jamais être échangées sur le marché. Seulement au sein d’une même famille ou si une société achète la banque qui les détient. Depuis 1914, il est impossible d’acheter une action de la Réserve fédérale sur le marché et ça en fait un monopole. C’est ce qu’ils ont : un monopole ! Ils sont totalement protégés contre la prise de contrôle du système de la Réserve fédérale par quiconque. John D. Rockefeller était à l’époque l’un de ses plus gros actionnaires. Il a fait placer ses actions sous la fondation Rockefeller de sorte qu’elles ne puissent jamais être achetées ou vendues. Elles sont en sécurité pour toujours. Les autres actionnaires qui ont pris le contrôle avec lui en 1914 sont la famille Schiff et la famille Warburg. Bien sûr, ces fortunes de famille existent toujours, ainsi que leurs participations majoritaires dans le capital de la Réserve fédérale et des diverses banques de la Réserve fédérale. » Mullins frappe au cœur du système criminel américain Mullins plonge son analyse encore plus loin dans les racines de ce pouvoir profond qu’on appelle Réserve fédérale : elle est au centre de la politique monétaire américaine, de sa géopolitique agressive et des guerres qui ont embrasé le 20e siècle. « Elle n’est pas plus “fédérale” que la société Federal Express. Et elle n’a pas de “réserves”. Elle n’a pas besoin de réserves car elle imprime sa propre monnaie. Si vous imprimez votre propre monnaie, à quoi bon ? Il suffit de mettre en marche l’imprimante et de créer 10 milliards de dollars ! Enfin, ce n’est pas un “système”. On l’appelle le “système de la Réserve fédérale” mais il n’est pas fédéral, il n’a pas de réserves et ce n’est pas un système. Je suis le seul au monde à l’avoir défini, dans mes travaux, comme un syndicat du crime. Et c’est ce qu’il est : un syndicat du crime ! Comme la mafia, qui est une de ses filiales. Ainsi que la CIA et tous les syndicats du crime qui dépendent du système de la Réserve fédérale. Une banque centrale est un groupe de banquiers qui exercent un contrôle total sur l’économie d’un pays. Ils impriment leur propre monnaie, autant qu’ils veulent, et elle finit par ne plus rien valoir... par la spéculation... Une banque centrale est conçue pour la spéculation. Le système de la Fed a été mis en place uniquement pour la spéculation. Son créateur fut Paul Warburg, associé chez Kuhn, Loeb & Co. à New York, qui, soit dit en passant, a financé la révolution communiste, la révolution hitlérienne, et l’entrée du Japon dans la Seconde Guerre mondiale… » Mullins démasque le sionisme derrière la politique américaine. « Israël contrôle totalement les États-Unis. Ariel Sharon, le président d’Israël, a déclaré publiquement à de multiples reprises – c’est très rarement relayé par la presse – que “les États-Unis feront tout ce que nous leur dirons”. Pas “leur demanderons” mais “leur dirons” ! Lorsque le sionisme a été proposé pour la première fois au début des années 1920... Pendant la Première Guerre mondiale, ils ont obtenu la déclaration Balfour en faveur d’un “foyer national pour le peuple juif” et cette déclaration a été imposée au Parlement britannique par Lord Rothschild. Ce n’était pas une bonne affaire, et personne dans le monde ne voulait d’un foyer national pour les Juifs. Surtout pas les Juifs ! Ils vivaient déjà très bien en tant que peuple nomade dans le monde entier et ils n’avaient pas vraiment envie d’être confinés à un seul pays. Ce qui, bien sûr, n’a jamais été le cas. C’est ainsi que la plupart des Juifs notoires – y compris Jacob Schiff de Kuhn, Loeb & Company, qui avait financé la révolution bolchevique en Russie... Jacob Schiff, de 1920 à 1926, était un antisioniste très franc. Il pensait qu’il serait suicidaire pour le peuple juif d’avoir un foyer national, auquel il devrait bien sûr être fidèle, par opposition à la liberté dont il jouissait, qui consistait à être citoyen de toutes les nations du monde, ce qui était idéal pour leurs projets. » (Article « Qui dirige nos dirigeants ? L’Ordre mondial d’Eustace Mullins à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-dirige-nos-dirigeants-L-Ordre-mondial-d-Eustace-Mullins-73958.html) Dans ce sens, il faut savoir que les évolutions faites en dollars/PPA (parité pouvoir d’achat) sur une courte période de 6 mois en 2022 sont toutes en défaveur des occidentaux et en faveur de leurs challengers eurasiatiques (y compris en faveur de la Russie). En clair, même le FMI est obligé de constater que les équilibres mondiaux sont en cours de bascule et que ce mouvement de bascule s’accélère. On peut débattre de tout sauf des chiffres. Si l’OTAN a vu 2 pays (Suède et Finlande) poser leur candidature pour rejoindre l’OTAN, pas moins de quinze pays ont exprimé leur intérêt pour rejoindre l’OCS. En clair, les pays membres de l’OCS vont creuser l’écart en PIB/PPA par rapport aux pays de l’OTAN sous le double effet d’un différentiel de croissance qui leur est favorable et des nombreuses demandes d’adhésion. La guerre en Ukraine qui affecte durement les économies occidentales et plus particulièrement européennes, et qui semble au contraire favoriser les économies des pays des BRICS et de l'OCS en particulier celle de la Russie, précipite donc la recomposition des grands équilibres économiques mondiaux au profit des BRICS et de l’OCS. La disparition de l’Union Soviétique laissait les États-Unis seuls maître du jeu, ouvrant la voie à un monde monopolaire sous l’hégémonie de ces derniers. Le trio États-Unis, OTAN et dollar leur a d'ailleurs permis cette domination quasiment sans partage. Comme le disait de Gaulle : « La situation de monopole est la meilleure, surtout pour celui qui le détient... » Mais Les décennies suivantes furent marquées par une politique étrangère américaine de plus en plus belliqueuse et de moins en moins diplomatique. Et dans la même période, le reste du monde ne restait pas figé. En 1970, la population occidentale représentait 25% de la population mondiale pour un PIB de 90% du total. Aujourd’hui, les chiffres sont tombés à 12% (Japon compris) et 40% pour le PIB. Cette évolution de la démographie et de l’activité économique est incontournable et influence la géopolitique mondiale. On ne peut, avec de tels chiffres, imposer un monde monopolaire qui serait dirigé par un pays (USA) dont la population ne représente que 4% de la population totale. De plus, peut-on encore parler d’un bloc occidental alors qu’on assiste à une main-mise des États-Unis sur l’Union Européenne via l’OTAN, ramenant les membres de cette dernière à l’état de vassaux ? Aujourd’hui, le dollar qui jouissait d’un quasi-monopole pour les échanges internationaux, n’est plus utilisé que pour 50% d’entre eux. Et cela n’est pas sans conséquence pour l’économie américaine. La FED, pour tenter d’enrayer l’inflation, augmente ses taux, ce qui affaiblit l’euro car la BCE, compte-tenu de l’endettement des pays de la zone euro, ne peut pas suivre ces augmentations. Les prix à l’importation de la zone euro augmentent considérablement, ce qui génère plus d’inflation et de perte du pouvoir d’achat. Pourtant, on continue comme si de rien n’était. Le temps travaille donc pour la Russie et l'OCS et contre l’Occident, alors que dans les années 1990 des efforts déployés par les États-Unis et l’OTAN ont tenté d’émietter la Russie. Ils y seraient probablement parvenus si Vladimir Poutine n’était pas arrivé au pouvoir en 2000. La puissance économique des pays BRICS et OCS progressant plus vite que celle des pays occidentaux, les budgets de défense suivront et l’écart se creusera désormais au profit de ces pays. Tout peut aller très vite d’autant qu’un élargissement de ces deux grandes organisations est à l’ordre du jour et qu’un effondrement économique de l’occident global n’est pas à exclure. Cette guerre OTAN-Russie ne peut, en aucun cas être gagnée par l’OTAN. Elle n’est d'ailleurs pas prête à la faire autrement qu’en paroles ou en communiqués. Après trente années de désinvestissement, l’OTAN n’a ni les personnels, ni les matériels, ni les munitions, ni les réserves, ni la disponibilité technique opérationnelle, ni l’entraînement, ni le soutien suffisant des populations, ni la résilience économique et sociale, pour entreprendre et gagner une guerre de haute intensité contre la Russie et ses très puissants soutiens. La Russie peut donc prendre son temps car le temps va jouer en sa faveur en précipitant l’occident global dans des difficultés économiques et sociales et dans de fortes divisions, voire dans un effondrement des gouvernances en place et des révolutions. Ainsi les gilets jaunes, l’alternance politique en Suède et en Italie, la chute de deux premiers ministres britanniques, sont des signes de crise et de déclin qui va frapper l’occident tout entier. Dans ce processus de « syrianisation » de l'Europe, les bases militaires américaines pourraient devenir des centres idéaux pour régimenter et/ou « former » des escouades d'émigrés d'Europe de l'Est, dont la seule opportunité d'emploi, en dehors du commerce de la drogue et du trafic d'organes, sera de devenir des mercenaires impériaux, combattant tout centre de désobéissance civile émergeant dans une UE appauvrie. Il va sans dire que cette nouvelle armée modèle sera faussement sanctionnée par l'eurocratie de Bruxelles qui n'est que le bras de relations publiques de l'OTAN. Une UE désindustrialisée et empêtrée dans plusieurs couches d'intra-guerre toxiques, où l'OTAN jouera donc son rôle éprouvé de Robocop, est le scénario Mad Max parfait juxtaposé à ce qui serait, du moins dans les rêveries des straussiens/néo-conservateurs américains, un îlot de prospérité : l'économie américaine, destination idéale pour les capitaux mondiaux, y compris donc les capitaux européens. Surtout que l'Empire va « perdre » son projet favori, l'Ukraine. En effet selon la doctrine juridique constitutionnelle classique, un Etat n’est pas qu’un territoire et une population, mais exige l’existence d’un système juridique en général efficace et une autonomie dans la prise de décision politique. Ces deux éléments permettent la souveraineté de l’Etat, qui est une condition essentielle à l’existence d’un territoire peuplé et organisé en qualité d’Etat, ce qui n'est plus le cas pour l'Ukraine. De plus le régime de Kiev ne peut plus remplir de manière indépendante ses obligations sociales envers ses citoyens, ni payer les salaires et les pensions. Le système financier du pays est détruit, et il doit en plus remboursé 100 milliards de dollars de dette, alors que les taux d’intérêt sur les prêts augmentent de jour en jour. Ainsi l’Ukraine a déjà perdu, en particulier sa capacité d’exister en tant qu’État, et devrait par conséquent être partagée. Mais les USA n'accepteront jamais de perdre le « jardin » européen à travers une alliance Paris-Berlin-Moscou, d'où les sanctions communes de l'Occident contre la Russie.
« Selon Vyacheslav Volodin, voici les cinq raisons pour lesquelles le dollar perd de plus en plus du terrain : 1. Le dollar n’est pas soutenu par des biens et des ressources réelles. Après le retrait des États-Unis des accords de Bretton Woods, le dollar n’est plus lié à l’or. La presse à imprimer américaine n’est freinée par rien. D’où l’énorme dette nationale américaine et l’inflation record de Biden. 2. Le dollar étant utilisé comme un instrument de lutte politique dont à travers des sanctions illégales tels que les restrictions de paiement et le vol des réserves de change, cela n’ajoute pas à la confiance des autres nations dans la sécurité de leur argent. 3. Des changements de nature géopolitique sont en cours comme le modèle unipolaire devient dépassé. En effet comme il y a une demande de multipolarité dans le monde, une alternative au dollar en est une conséquence. La croissance des règlements mutuels en devises nationales en est la preuve. 4. La réticence de Washington à admettre ses propres erreurs et à y remédier. 5. La nature cyclique de l’histoire montre une régularité : chaque monnaie mondiale a sa propre période d’environ 100 ans. Le real portugais a été remplacé par le real espagnol. Puis vinrent le florin néerlandais, le franc français, la livre sterling et le dollar américain. Ce dernier sera également remplacé par une nouvelle. Aujourd’hui, nous pouvons dire que ce ne sera probablement pas par l’euro, car il perd de plus en plus du terrain même s'il aurait pu servir aux oligarques mondialistes comme empire succédant à celui américain. Il s'agira plutôt des monnaies des États à économie souveraine. La question de la vitesse reste ouverte, mais il est évident que le processus de dé dollarisation dans le monde a commencé et qu’il ne peut être arrêté. » (Source : Politikus)
« Les pressions économiques et politiques croissantes poussent le monde à un changement progressif vers un système plus multipolaire, avec un rôle plus important pour d'autres monnaies telles que le yuan chinois et d'autres. La dédollarisation est alors motivée par plusieurs facteurs. Tout d'abord, les déficits budgétaires et commerciaux croissants des États-Unis ont conduit à une inflation de la masse monétaire, ce qui a réduit la confiance des investisseurs dans le dollar américain en tant que réserve de valeur. De plus, les sanctions économiques et les guerres commerciales imposées ici et là par les États-Unis ont également créé une incertitude quant à l'utilisation du dollar pour les transactions internationales. Il existe des mesures que les pays africains peuvent prendre pour faire face à certains risques et tirer parti des opportunités qu’offre la dédollarisation. La première étape pour les pays africains est de commencer à diversifier leur portefeuille de devises. Ils doivent être prêts à renforcer leurs échanges commerciaux avec d'autres partenaires commerciaux, en particulier ceux qui utilisent des devises autres que le dollar américain. Cela peut inclure la Chine, la Russie, le Japon, l’Iran et d'autres pays asiatiques ou ceux de l’Amérique latine qui ont des économies en croissance rapide et des marchés de plus en plus importants. Le renforcement du système bancaire et financier local s’impose. Les banques africaines devraient étendre leurs capacités de négociation dans d'autres devises et offrir des options de financement alternatif pour les entreprises qui ont besoin de se protéger contre les fluctuations des taux de change. Enfin, les gouvernements africains doivent travailler ensemble pour renforcer leur position dans le système monétaire mondial. Les pays africains peuvent travailler à la création d'une monnaie unique africaine qui peut être utilisée pour les transactions commerciales internationales, ce qui pourrait aider à réduire les risques liés aux fluctuations des taux de change. Il y a certes plusieurs défis à surmonter, mais le jeu en vaut la chandelle. Ce tour d’horizon permet d’aborder la nécessité et l’urgence pour les pays africains de diversifier leurs réserves de change. L’or reste un actif financier important qui peut jouer un rôle déterminant dans les stratégies et politiques monétaires. Nous évoquons ici quelques raisons pour lesquelles les banques centrales africaines devraient considérer l'or comme un investissement attractif. Les fluctuations de devises que l’Afrique utilise ont un impact important sur la valeur des réserves de change détenues par les banques centrales africaines. L'or est souvent considéré comme un actif refuge car il a tendance à conserver sa valeur lorsque les autres actifs, comme les devises, sont volatils. En général, les banques centrales africaines détiennent des réserves de change en dollars américains ou en euros. L'or offre une diversification supplémentaire qui peut aider à réduire les risques liés à une exposition excessive à une seule devise ou à un seul marché. L'or est cet actif qui a conservé sa valeur pendant des milliers d'années. Il a été utilisé comme réserve de valeur depuis l'Antiquité. Les banques centrales africaines pourraient donc considérer l'or comme un investissement à long terme qui aiderait à protéger la valeur de leurs réserves de change sur le long terme. La détention d'or peut renforcer la crédibilité d'une banque centrale, en lui permettant de diversifier ses réserves de change et de mieux faire face aux turbulences économiques et financières. Avec l'inévitable dédollarisation en cours un peu partout dans le monde, il serait bien indiqué que les banques centrales africaines accroissent également leurs réserves d'or. Constituer des réserves d'or reste une nécessité pour les pays africains et cela doit s’effectuer avec prudence en se basant sur une analyse rigoureuse des avantages et des risques. Elles fourniraient meilleure une protection contre l'inflation et la dévaluation des devises, ce qui peut aider à stabiliser les économies des pays africains. C’est bien évidemment un processus qui peut prendre du temps, mais il existe plusieurs moyens pour les banques centrales africaines de le faire rapidement. Les banques centrales africaines pourraient, par exemple, acheter de l'or sur le marché international mais cette option, bien que relativement simple et rapide, peut être coûteuse en fonction des fluctuations du prix de l'or et des coûts logistiques. L’option qui semble viable est sans doute de recourir aux ressources aurifères locales. Pourquoi nos banques centrales ne rachètent-elles pas la production artisanale ou n’achètent-elles pas les actions dans des sociétés minières d'or ? Cela garantirait des revenus aux artisans et opérateurs comme une incitation des Gouvernements aux acteurs locaux. Il est déjà possible de transiger avec un bon nombre de pays en payant en lingots d'or, alors les banques centrales africaines devraient également être en mesure de stocker et de protéger cet or en toute sécurité. Pour résister aux chocs liés à la dédollarisation, les monnaies africaines devraient déjà commencer à renforcer leur stabilité et leur crédibilité en mettant en place des politiques économiques solides. Les banques centrales africaines devraient s’efforcer à maintenir une inflation basse et stable pour renforcer la confiance dans leur monnaie. Cela peut être réalisé grâce à des politiques monétaires efficaces telles que la régulation de l'offre de monnaie et le taux d'intérêt. Les gouvernements africains pourraient promouvoir le développement économique en encourageant les investissements et en créant un environnement favorable aux PME. Les réserves de change adéquates sont indiquées pour faire face à la volatilité des marchés des changes. Ils peuvent le faire en achetant d’autres devises étrangères telles que le yuan chinois. Les pays africains pourraient davantage promouvoir l'intégration économique régionale et faciliter les échanges commerciaux. Ce levier peut aider à renforcer la stabilité des monnaies africaines en créant des économies plus fortes et plus diversifiées. C’est à ce prix que les monnaies africaines pourraient résister à la dédollarisation en renforçant leur stabilité économique et en mettant en place des politiques efficaces pour gérer la volatilité des marchés des changes et protéger les monnaies africaines contre les chocs externes. Il est vrai que la dollarisation peut limiter la capacité des économies africaines à financer leur propre développement en limitant leur capacité à contrôler leur politique monétaire et à utiliser des instruments de politique économique tels que les taux d'intérêt et les taux de change pour stimuler la croissance économique et l'investissement. Dans ce sens, la dollarisation peut être considérée comme un facteur qui contribue au sous-développement économique dans certaines régions du monde. L’épineux problème des réserves de change restera toujours la faiblesse de la production locale (politique d'industrialisation) par substitution aux importations. L’absence de production locale est un facteur important qui retarde le développement économique en Afrique subsaharienne et dans d'autres régions du monde. Les réserves de change ne servent souvent qu'à importer plus, principalement les denrées alimentaires. La sous-valorisation systémique des potentiels est une des contraintes structurelles majeures. Aussi longtemps que l'Afrique n'aura pas un bon bilan budgétaire (dépenses publiques), des réserves de change consistantes, une économie diversifiée et une véritable industrie compétitive, mais le point principal est une union des pays africains, une monnaie unique pour toute l’Afrique, il sera très difficile d'afficher une stabilité des économies et surtout une indépendance réelle de ces économies. » (Article de French Press Tv)
Selon l'économiste et ministre russe Glazyev, un système de paiement en dehors de SWIFT peut être mis en place par le biais d’un réseau de monnaies numériques gérées par l’État – à ne pas confondre avec les cryptomonnaies soutenues uniquement par des spéculateurs privés. Glazyev défend également avec force l’adoption du rouble numérique. Il affirme que c’est le moyen de suivre les transactions de la blockchain et d’empêcher l’utilisation non intentionnelle des fonds, comme le détournement vers les marchés spéculatifs. Dans ce sens, l'intéressant article suivant fait même penser qu'un excellent nouveau système économique mondial est possible, dont en le basant éventuellement sur un stable-coin (monnaie stable, token stable) ou des stable-coins liés à l'or et à l'argent, voire en plus à la valeur en bourse des métaux précieux, de l'énergie, des pierres précieuses, des matières premières et des matières alimentaires principales, dans une forme de valeur moyenne d'un panier moyen de biens possiblement associé à un panier de monnaies : « Vers un nouveau système financier mondial ? Entretien avec Sergei Glazyev, économiste et ministre russe » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Vers-un-nouveau-systeme-financier-mondial-Entretien-avec-Sergei-Glazyev-economiste-et-ministre-68004.html « Glazyev explique que son idée principale a été élaborée il y a longtemps. L’idée de base est qu’une nouvelle monnaie devrait d’abord être introduite sur la base d’une loi internationale, signée par les pays intéressés par la production de cette nouvelle monnaie. Pas par le biais d’une sorte de conférence, comme celle de Bretton Woods, qui n’a aucune légitimité. Dans un premier temps, tous les pays ne seront pas inclus. Les pays des BRICS suffiront – plus l’OCS. En Russie, nous avons déjà notre propre SWIFT – le SPFS. Nous avons notre système de change, nous avons des relations de correspondance entre les banques, des consultations entre les banques centrales, nous sommes complètement autosuffisants». Tout cela conduit à l’adoption d’une nouvelle monnaie internationale : «Nous n’avons pas vraiment besoin de nous étendre à grande échelle. Les BRICS suffisent. L’idée de la monnaie, c’est qu’il y a deux paniers : le premier, ce sont les monnaies nationales de tous les pays impliqués dans le processus, comme le DTS, mais avec des critères plus clairs, plus compréhensibles. Le deuxième panier est celui des matières premières. Si vous avez deux paniers, et que nous créons la nouvelle monnaie comme un indice de matières premières et de monnaies nationales, et que nous avons un mécanisme pour les réserves, selon le modèle mathématique qui sera très stable. Stable et pratique». Ensuite, c’est la faisabilité qui compte : «L’introduction de cette monnaie en tant qu’instrument de transaction ne serait pas trop difficile. Avec une bonne infrastructure et l’approbation de toutes les banques centrales, c’est aux entreprises d’utiliser cette monnaie. Elle devrait être sous forme numérique, ce qui signifie qu’elle peut être utilisée sans le système bancaire, et qu’elle sera au moins dix fois moins chère que les transactions actuelles effectuées par l’intermédiaire des banques et des bureaux de change. Si les banques centrales introduisent des monnaies nationales numériques et autorisent leur utilisation dans le commerce international, c’est aussi un bon modèle. Dans ce cas, les échanges de cryptomonnaies peuvent facilement équilibrer les paiements – et c’est un mécanisme très bon marché. Ce qu’il faut, c’est un accord des banques centrales pour permettre à une certaine quantité de monnaies nationales sous forme numérique de participer aux transactions internationales». Ici, dans la CEE, nous étudions l’idée d’un marché commun des changes. Nous avons déjà préparé un projet, avec quelques expériences. La première étape est la création d’un réseau d’information, d’échanges dans différents pays. Cette expérience a été plutôt réussie. La deuxième étape consistera à mettre en place une communication en ligne entre les bourses, et enfin nous passerons à un mécanisme commun de formation des prix, que nous ouvrirons à tous les autres pays. Le principal problème est que les principaux producteurs de matières premières, en premier lieu les compagnies pétrolières, n’aiment pas passer par les bourses. Il faut donc une décision politique pour s’assurer qu’au moins la moitié de la production de matières premières passe par les bourses. Un mécanisme où l’offre et la demande s’équilibrent. Pour l’instant, le prix du pétrole sur les marchés étrangers est «secret». C’est une sorte de pensée de l’époque coloniale. Comment tricher ? Nous devons créer une législation pour ouvrir toutes ces informations au public». Les gens ont été éduqués dans le paradigme de l’équilibre financier, totalement libertaire. Ils ne se soucient pas que les prix soient manipulés par les spéculateurs, ils ne se soucient pas de la volatilité des monnaies nationales, ils pensent que c’est naturel (…) C’est une sorte de secte religieuse. Les sectes religieuses ne créent pas d’innovation». En réalité, les problèmes sont profonds et ne cessent de s’aggraver : «Le problème, ce sont nos régulateurs, éduqués par le FMI, et le deuxième problème, c’est la corruption. Si vous négociez le pétrole et le gaz en dollars, une grande partie des bénéfices est volée, il y a beaucoup de sociétés intermédiaires qui manipulent les prix. Les prix ne sont que la première étape. Le prix du gaz naturel lors de la première transaction est environ 10 fois inférieur à la demande finale. Il existe des barrières institutionnelles. La majorité des pays n’autorisent pas nos entreprises à vendre du pétrole et du gaz au client final. Par exemple, il n’est pas possible de vendre du gaz aux ménages. Néanmoins, même sur le marché ouvert, très compétitif, nous avons des intermédiaires entre le producteur et le consommateur – au moins la moitié des revenus sont soustraits au contrôle du gouvernement. Ils ne paient pas d’impôts». Pourtant, des solutions rapides existent : «Lorsque nous avons été sanctionnés il y a deux ans, le transfert du dollar américain et de l’euro vers les monnaies nationales n’a pris que quelques mois. C’était très rapide». (Or commercer et donc obtenir en partie les monnaies de pays étrangers obligent à y investir avec à travers étapes financières d'un cahier blanc et partager les bénéfices pendant au moins dix ans, si la monnaie n'est pas échangeable contre de l'or.) En ce qui concerne les investissements, Glazyev souligne le succès du commerce localisé, mais les flux de capitaux ne sont toujours pas au rendez-vous : «Les banques centrales ne font pas leur travail. Le taux de change entre le rouble et le renminbi fonctionne bien. Mais l’échange rouble-roupie ne fonctionne pas. Les banques qui conservent ces roupies, qui ont beaucoup d’argent, accumulent des taux d’intérêt sur ces roupies et peuvent jouer avec. Je ne sais pas qui est responsable de cette situation, notre banque centrale ou la banque centrale indienne». La principale conclusion des sérieux avertissements de Glazyev est qu’il appartiendrait à la NDB – sous l’impulsion des dirigeants des BRICS – d’organiser une conférence d’experts mondiaux et de l’ouvrir à la discussion publique. Glazyev a évoqué la métaphore d’un vélo qui continue de rouler – alors pourquoi inventer un nouveau vélo ? Eh bien, le temps – multipolaire – est venu pour un nouveau vélo hypersonique. » (Extraits de l'article La route de la dédollarisation est semée d’embûches : Entretien avec Sergei Glazyev)
Le problème principal est donc le contrôle de la création monétaire. Nous avons besoin d’un contrôle citoyen sur ce point. D'ailleurs la création monétaire étant normalement un devoir régalien car pour qu'un état et donc un peuple soit souverain, il doit disposer de quatre pouvoir : battre monnaie, faire les lois, rendre la justice et décider de la paix et de la guerre. Mais cette création monétaire est désormais contrôlée perversement par le privé, cela prouve qu'elle pourrait se faire à travers la a décentralisation d'une cryptomonnaie populaire contrôlée par l'Etat voire par une organisation supranationale, ou la centralisation d'une cryptomonnaie étatique stable contrôlée par quelques comités populaires régionaux se renouvelant. En sachant que pour l'impôt, il faudrait lier ces cryptomonnaies à des cryptomonnaies spécifiques comme pour les salaires et à des valises cryptos attachées à une banque nationale, et que pour les achats à l'étranger, il faudrait aussi créer une cryptomonnaie spécifique en vue d'éventuelles taxes protectionnistes. Mais le mieux pour la vie privée et la liberté de chaque citoyen, c'est que l’état ne puisse avoir accès au compte déclaré de chaque citoyen qu'une fois par an pour calculer la zakat grâce à une clé cryptée privée individuelle non étatique pour chaque citoyen. Cette idée de monnaie populaire est parfois discutée à Bâle afin de lutter contre la grande oppression de la Banque des règlements internationaux qui s'y trouve : la « banque des banques centrales ». Suite à des réunions de plusieurs groupes d'experts, la World Freedom Alliance a même décidé de l’inclure dans sa charte des droits de l’homme en tant que « liberté économique hors des systèmes de crédit coercitifs et exploitants ». Or « La monnaie numérique de banque centrale permet d’être plus indépendant de l’industrie du crédit et de la dette, qui est le monopole des banques commerciales et de la finance. Cette monnaie permet de se libérer du chantage au « too big to fail ». Les crises seront alors mieux amorties. Cette monnaie « libre de dettes » pourra aussi subventionner les citoyens et l’État sans les endetter, sans avoir non plus à passer par le canal des marchés financiers. L’avantage ou le désavantage de la monnaie numérique de banque centrale est la traçabilité et la transparence qu’elle offre. Les adeptes de l’argent noir, du crime, et de l’évasion fiscale, sont évidemment contre cette monnaie centralisée qui facilite leur traçabilité par les autorités compétentes. L’avantage pour l’État est de profiter de la transparence offerte pour optimiser les entrées fiscales. Le danger est qu’il abuse de ce pouvoir : sans intermédiaires entre le pouvoir centralisé et les citoyens, l’État est plus facilement en mesure de profiter de son pouvoir. Un autre danger de cette monnaie centrale numérique tient dans le fait que les décisions de sa création sont, comme aujourd’hui, entre les mains de banquiers centraux qui se disent indépendants, en théorie, des intérêts du pouvoir ou de ceux de la finance. Dans les faits, la création de la monnaie centrale dépend donc de décisions humaines qui peuvent être influencées par le pouvoir ou par des lobbys financiers puissants. Les citoyens n’ont aucun contrôle sur les politiques monétaires menées. Rien n’empêche donc que la création monétaire puisse déraper et ruiner la confiance en la monnaie. Pourtant, techniquement, il serait possible de mettre en place un protocole monétaire décidé démocratiquement, où la quantité de monnaie créée est décidée en amont, ainsi que le taux de la « fonte », et le seuil à partir duquel la monnaie est taxée pour éviter la thésaurisation. Tous ces paramètres devraient être en accord avec des objectifs de justice sociale et de croissance économique respectueuse des équilibres humains et écologiques. Ce protocole pourrait être rectifié ou amélioré de temps à autre selon les besoins. Pour rendre ce système le plus démocratique possible, les nouveaux critères devraient être votés par les citoyens. Mais les banquiers centraux ne sont pas prêts à perdre leur pouvoir de création monétaire. Pour cette raison, des citoyens ont perdu tout espoir de récupérer ce pouvoir par la voie démocratique, et préfèrent opter pour des monnaies numériques reposant sur des protocoles monétaires décentralisés, comme le Bitcoin, ou dans une moindre mesure l‘Ether. Depuis la crise de 2008, les cryptomonnaies séduisent de plus en plus une frange de la population qui veut reprendre le contrôle sur le pouvoir monétaire. Comme toute révolution technologique, l’écosystème des cryptomonnaies attire vers lui toutes sortes de comportements spéculatifs. Cependant, il faut séparer la spéculation de la technologie, et c’est cette dernière qui attire notre attention ici. Aucune monnaie ne peut s’imposer sans cette dimension de l’ordre de la foi. Cette confiance dans la monnaie peut être imposée de force par un tyran, ou par la loi lorsqu’on a affaire à une démocratie, ou par la puissance de la technologie dans le cas du Bitcoin. Une avancée ou un simple retour dans le passé monétaire ? D’aucuns peuvent penser que le Bitcoin est une avancée technologique inédite dans l’histoire de la monnaie. Mais à y regarder de plus près, le Bitcoin est très proche, du point de vue des caractéristiques, de la monnaie-or, dont en ayant une valeur intrinsèque puisque c'est un très compliqué code mathématique infalsifiable et indestructible grâce à sa blockchain. En effet il est aussi en quantité limitée, 21 millions d’unités de Bitcoin à comparer au cube de 21 ou 22 mètres d’arête qui pourrait contenir tout l’or extrait sur Terre depuis la nuit des temps. Le Bitcoin existe par lui-même une fois extrait, comme l’or. Les deux monnaies, le Bitcoin et l’or, sont donc libres de dettes, dans le sens où elles ne sont pas créées lors de l’octroi d’une dette comme c’est le cas aujourd’hui de la monnaie-dette que nous utilisons. Ainsi, si toutes les dettes du monde étaient remboursées, le nombre d’unités de Bitcoin ne bougerait pas, contrairement à la monnaie que nous utilisons aujourd’hui qui disparaitrait. Si le Bitcoin venait à être utilisé, comme l’or le fut après les accords de Bretton Woods en 1944, c’est-à-dire dans le cadre des échanges de différences des balances commerciales entre les États, alors nous serions replongés dans une ère où la quantité de monnaie serait limitée, et où la croissance économique aurait des limites officielles. Le Bitcoin comme monnaie internationale ? Nous sommes pour le moment loin de l’adoption du Bitcoin comme monnaie d’échange entre les États. Pour cela, il faudrait que la guerre qui oppose le dollar (et son vassal l’euro) et le yuan (et son allié le rouble), tourne à l’avantage du bloc sino-russe. S’il fallait faire de la géopolitique fiction, il faudrait que les BRICS, principalement contrôlés par la Chine et la Russie, soient rejoints par de nouveaux États prêts à en découdre avec l’hégémonie du dollar. Si, par exemple, les pays de l’OPEP décidaient d’échanger leur pétrole contre du Bitcoin, alors le Bitcoin pourrait devenir hégémonique. À cause de la taille de plus en plus conséquente des blocs à insérer dans le registre, la vitesse de transaction est relativement lente et le nombre de transactions en Bitcoin est limité à peu près à 10 par seconde. Un chiffre à comparer aux 25 000 transactions par seconde que permet le système de paiements électroniques actuel. Ces limites du Bitcoin sont trop contraignantes pour que cette cryptomonnaie puisse être utilisée dans les échanges quotidiens de tous les citoyens du monde. Les « crypto-ingénieurs » cherchent depuis de nombreuses années une solution pour accélérer la vitesse de transaction et pour se libérer de la contrainte du nombre de transactions par seconde. Ils avancent depuis quelque temps l’idée d’un protocole secondaire (layer 2) qui est construit au-dessus du système de blockchain existant. Mais aucune solution trouvée jusqu’à là n’est optimale. Le Bitcoin pourrait servir plutôt comme monnaie de compensation entre les États, ou dans les marchés des matières premières entre pays producteurs et les multinationales. Les limites citées plus haut ne sont plus contraignantes dans ce cas de figure. Le Bitcoin agirait alors comme l’or pouvait agir au 19e et 20e siècle. (Or le Bitcoin a été légalisé en Russie dont dans ses règlements internationaux et probablement même aux USA bientôt.) De plus, le principal intérêt du Bitcoin par rapport à l’or est son caractère immatériel, pouvant être déplacé d’une banque centrale à une autre par un simple clic sur un clavier d’ordinateur. Vers un Bretton Woods 2.0 ? Même dans le cas où une monnaie décentralisée telle que le Bitcoin supplanterait la monnaie-dette, ou comblerait le vide laissé par la monnaie-dette en qui plus personne n’aurait confiance, nous reviendrons dans une configuration d’un passé pas si lointain, lorsque la « banking school » (monnaie-dette émise par les banques commerciales) faisait la guerre à la « currency principal » (monnaie-métal). Cette guerre monétaire, initiée au XIXe siècle, a mené à un compromis international à la sortie de la Deuxième Guerre mondiale, lorsque les États-Unis ont pu imposer au monde le dollar grâce à leur réserve d’or accumulée avec le temps dans leurs coffres (les États-Unis possédaient un tiers des réserves d’or des banques centrales en 1945). La différence ici serait de taille. Qui est Satoshi Nakamoto, celui qui possèderait à lui seul entre 1 et 2 millions des unités de Bitcoin en circulation (entre 5 % et 10 % du total) ? Est-ce une personne encore en vie, une organisation, les services secrets d’un État ? Nul ne peut répondre à cette question avec certitude, si ce n’est en faisant parler son intuition. L’autre défaut du Bitcoin est le fait que c’est une monnaie dure qui est facilement thésaurisable. Étant en quantité limitée et ne s’oxydant pas, le Bitcoin comme l’or favorisent l’oisiveté monétaire : quand ces monnaies sont adoptées, rien n’oblige les possédants à les dépenser ou à les investir dans le circuit économique, comme c’est le cas avec les monnaies-dette pour éviter l’érosion liée à l’inflation. Or, une monnaie thésaurisable finit au cours du temps par se concentrer sur quelques possédants, avant de tuer toute vigueur économique comme ce fut le cas pendant le Moyen-Age avec l’adoption de la monnaie-or. Un système monétaire hybride possible ? Rien n’empêche, dans l’état des choses, que nous nous dirigions vers un système monétaire à deux niveaux, avec l’utilisation des monnaies numériques de banques centrales au niveau des citoyens, et un protocole monétaire acéphale au niveau international. Les premiers serviraient aux échanges économiques au niveau des ménages, des entreprises, et de l’État (pour collecter les impôts et financer le budget). La monnaie internationale acéphale servirait comme devise de référence internationale, comme ce fut le cas avec l’or au XIXe et XXe siècle. Le rôle des banques commerciales serait alors de faire circuler la monnaie centrale dans l’économie réelle, des agents qui veulent investir leurs unités pour faire fructifier leur épargne ou pour éviter la taxe de la banque centrale au-delà du seuil autorisé évoqué plus haut. Les banques commerciales ne créeraient plus la monnaie, mais la feraient circuler tout simplement. Elles ne prendraient plus des intérêts, mais des frais qui rémunéreraient leur intermédiation entre les agents économiques. Le risque systémique ne serait alors plus porté par les banques commerciales, donc in fine par l’État et les citoyens, mais par les investisseurs qui prennent à la fois le risque et les profits la plupart du temps, et les pertes quand il y en a. Nul ne serait obligé d’investir son épargne dans des activités à risque. Il suffirait de garder son épargne sur son compte auprès de la banque centrale, quitte à payer une taxe sur le solde dépassant le seuil autorisé (la fameuse fonte). Pour que ce système soit juste, il faudrait que le fruit de cette taxe serve aux dépenses de l’État dans le cadre de son action sociale. L’excès d’épargne ne serait plus pénalisé par l’inflation qui est un impôt caché payé par les pauvres et les travailleurs, mais pénalisé par une taxe qui reviendrait aux plus démunis. Pour que le système soit encore plus équilibré, la création monétaire ne doit surtout pas générer de l’inflation pour éviter toute double peine à ceux qui mettent leur épargne dans leur compte de banque centrale pour éviter tout risque. Pour cela, la monnaie de banque centrale doit avoir une croissance modérée, en rapport avec une croissance soutenable pour l’humain et la planète. Enfin, il ne resterait plus qu’à décider à qui reviendrait la monnaie créée annuellement par la banque centrale. Cette monnaie pourrait être distribuée équitablement entre tous les citoyens (idée de dividende social). Mais il serait encore plus intelligent de distribuer cette création monétaire à l’État avec un objectif double : libérer l’État des marchés financiers, et libérer les classes moyennes d’une part du poids de l’impôt. Étant donné que la charge de la dette représente, en 2022, presque 2 % du PIB, que le déficit budgétaire avoisine 3 % du PIB, et que la masse monétaire est du même ordre de grandeur que le PIB, décidons une bonne fois pour toutes d’octroyer annuellement à l’État 3 % de la masse monétaire grâce à une création ex nihilo (à partir de rien). Pour que cette monnaie soit encore plus citoyenne, on pourrait imaginer un protocole qui permettrait à chaque citoyen de mettre à disposition un pourcentage de ses ressources informatiques pour valider les transactions. En somme, chaque citoyen « minerait » passivement la monnaie, et serait un garant de la décentralisation partielle de celle-ci. Au niveau international, un protocole monétaire acéphale et dont la quantité de monnaie ne croit pas (tel le Bitcoin) finirait tôt ou tard par être concentré sur une puissance, comme ce fut le cas à la fin de la Deuxième Guerre mondiale avec les États-Unis. Nous serions alors amenés à subir un nouveau Bretton Woods 2.0, avec tous les abus de confiance monétaires que cela comprend. Il reste à penser à une sorte de fonte sur cette monnaie internationale acéphale, dont le fruit serait distribué équitablement entre les citoyens du monde, monnaie que chaque citoyen pourrait décider d’échanger avec son État contre l’équivalent de la monnaie numérique de banque centrale locale. Utopie ou réalité ? Après la crise de 2008, qui aurait pu penser que les banques centrales allaient créer autant de monnaie (multiplication par 7 de leurs bilans) en un peu plus d’une décennie ? Si un économiste de l’époque l’avait prédit, on l’aurait sûrement traité de fou, ou de peu sérieux. Aujourd’hui, le système-dette est au bord de l’effondrement. Et c’est lorsque l’humanité est face au mur qu’une idée jugée d’abord utopique finit par s’imposer d’elle-même face à la gravité des événements. Plus rien n’empêche la mise en place d’une monnaie centrale numérique citoyenne, au service de la justice, dans le respect de la dignité humaine et des équilibres écologiques. Pour cela, il faut une poignée d’hommes et de femmes qui comprennent les enjeux monétaires, et qui aient le courage d’imposer grâce aux outils démocratiques et technologiques le retour sous le giron citoyen du pouvoir de création monétaire ! Si nous laissons les geeks prendre le contrôle du monde avec leurs monnaies non étatiques, ou si nous laissons les banquiers centraux continuer de décider seuls des règles monétaires, il est probable que nous ayons à subir dans un futur proche des moments douloureux tant du point de vue social qu’écologique.» (Extraits de l'article « Contrer les dérives de la finance : la monnaie centrale numérique – Anice Lajnef » à l'adresse https://strategika.fr/2024/05/17/contrer-les-derives-de-la-finance-la-monnaie-centrale-numerique-anice-lajnef/)
« L’usure est une logique financière qui permet à quelques hommes de faire du temps un commerce comme un autre : le temps peut se vendre ou s’acheter, comme n’importe quelle vulgaire denrée. Cette logique financière favorise le riche sur le pauvre, et permet de concentrer les richesses sur une caste après quelques générations. La domination financière de cette caste se mue en domination sociale. Le caractère exponentiel de l’usure fait qu’à partir d’un moment, les concentrations de richesse s’accélèrent et la demande de croissance devient insoutenable. Dans l’histoire, les corps lâches sous la pression de cette machine infernale et des pandémies servent parfois de fusible pour ralentir la cadence ; les écarts de richesse et le besoin effréné de croissance conduit souvent au chaos social, à des guerres civiles ou des guerres expansionnistes. Pour toutes ces raisons, nos sages des anciens temps ont dénoncé l’usure. Le plus célèbre d’entre eux étant Aristote. Les trois religions monothéistes dans leurs Livres originels ont formellement interdit l’usure, jusqu’au 12e siècle où certains hommes de religion décident de lever l’interdit. La tentation de dominer le monde est trop forte. Des exégètes juifs vers le 12 siècle vont définitivement statuer sur la licéité de l’usure, puis au 16e siècle Calvin en fera de même. Il est excommunié par l’Eglise catholique et se réfugie dans le protestantisme. En étant les premiers religieux à avoir rendu légal l’usure, et en profitant du caractère exponentiel de l’usure, le monde judéo protestant prend une avance sur les autres Nations. D’ailleurs, les premières banques centrales naissent dans le monde protestant dès la fin du 17e siècle. Jusqu’à aujourd’hui, ce n’est pas pour rien que les plus grandes places financières sont des places protestantes (Genève, Londres, New-York) et les plus grandes banques sont originellement fondées par des familles protestantes ou juives (JP Morgan, Goldman Sachs, etc.). Il faut attendre le 18e siècle en France, pour que les physiocrates, des économistes ultralibéraux défient à la fois l’Etat et l’Eglise catholique, en exigeant la libre circulation des marchandises, la non-intervention de l’Etat, et la légalisation sans limite de l’usure. Ce sont d’ailleurs ces idées libérales qui vont entraîner la France dans un endettement insoutenable, menant à l’embrasement populaire de la Révolution française. D’ailleurs, une des premières lois votées par l’assemblée constituante est la libération totale du taux d’usure. Dans la foulée, en 1800, des banquiers finissent par convaincre Napoléon de créer la Banque de France, une banque privée au service d’intérêts privés (dont l’Empereur et ses proches en deviennent actionnaires). Le 19ème siècle voit les usuriers prendre le dessus sur les classes laborieuses et sur les peuples d’ici et d’ailleurs. C’est naturellement à cette époque que les idées de Proudhon et de Marx tentent de résister à la domination totale des forces de l’argent. L’usure ne fut pas seulement un moyen d’accumuler des richesses et de dominer les classes laborieuses, elle fut aussi un moyen de coloniser les contrées du monde les moins financiarisées, d’Afrique et d’Amérique du Sud. Dans ce 19e siècle, les travailleurs européens exploités et les peuples du monde colonisés ont un bourreau commun : l’usurier protestant, l’usurier juif, l’usurier matérialiste, l’usurier tout simplement... Cette convergence des luttes, nous en sommes témoins aujourd’hui encore. Cette alliance de circonstance de l’ouvrier et de la victime de l’impérialisme occidental ne plaît pas à l’ordre dominant. La Tunisie en 1881, l’Égypte en 1882, le Maroc en 1912, sont colonisés par la France et le Royaume-Uni, non pas au son du canon, mais par l’arme mortelle de la dette avec intérêts ! La banque ottomane, qui n’a d’ottomane que le nom, est créée en 1856 par des banquiers français et britanniques et s’installe dans le quartier de Galata à Constantinople. Véritable Cheval de Troie, cette banque finance les guerres ottomanes coûteuses financièrement et humainement, et joue le rôle de banque centrale. Affaibli militairement par les nationalismes arabes, le colonialisme franco-britannique, les guerres contre les Russes et les Européens au nord, l’Empire ottoman est aussi affaibli financièrement par un système usuraire l’étouffant sous les dettes. L’empire est peu à peu dépecé, notamment en 1916 lors des accords franco-britanniques de Sykes-Picot qui se partagent le Moyen-Orient. La dette colossale et les divisions fomentées au sein même de l’Empire ottoman par les deux empires colonialistes français et britannique, finiront par mettre fin au dernier empire censé réunir le monde musulman, pour la première fois depuis le VIIème siècle. Une année après les accords franco-britanniques de Sykes-Picot, la Grande Bretagne mandataire en Palestine, par l’intermédiaire de Lord Balfour, ministre britannique des Affaires étrangères, annonce que son gouvernement soutient l’établissement d’un « foyer national juif » en Palestine. Cette déclaration Balfour n’est pas à l’attention du "Dear Lord Rothschild" par hasard. Si cette lettre s’adresse à un membre de la famille Rothschild, c’est en partie parce que la famille a financé le Royaume-Uni lors de la Première Guerre mondiale et a participé par son influence politique et économique à l’effort de guerre en faveur de l’Empire britannique. C’est aussi la branche française de la famille Rothschild qui dès le 19e siècle, forte de son activité usuraire, achète des terres en Palestine alors sous contrôle ottoman, et finance dans la foulée le projet sioniste de Herzl. En effet les premières colonies juives qui apparurent en 1860 en Palestine furent françaises et se firent sous l'égide des Rothschild. En résumé, l’Empire ottoman a ouvert la porte de l’usure en acceptant l’établissement de la mal nommée Banque Ottomane. Dans le même temps, le monde musulman s’est divisé à cause des nationalismes arabes nourris par les empires franco-britanniques, et il a été affaibli aussi par la colonisation de plusieurs contrées musulmanes « mordues » par le poison de l’usure. Usure et division, voilà les deux cancers ayant mené à la chute de l’Empire ottoman et à la perte de la Palestine par le monde musulman. Usure et division, voilà les deux armes qui ont permis au monde judéo-chrétien de conquérir la Palestine, et de laisser une blessure béante au sein d’un monde musulman désuni. Si la cause palestinienne fait réagir autant, c’est que les causes historiques sont complexes et clivantes. Le conflit israélo-palestinien est le fruit de l’usure, de la colonisation, de la division du monde musulman, de l’antisémitisme européen, et de la barbarie nazie. Voilà pourquoi ce conflit réveille dans notre inconscient collectif un passé douloureux. Ce conflit divise le monde en deux sans laisser de place à l’indifférence : d’un côté, les hommes et les femmes qui s’accommodent de l’usure et des conquêtes impérialistes, de la hiérarchisation sociale et des races ; de l’autre, les hommes et les femmes qui s’inscrivent contre la domination des peuples, contre la domination des usuriers sur les classes laborieuses, contre les suprémacistes et les impérialistes. Ces deux mondes sont-ils réconciliables ? À vous d’en juger. Nous ne vivons pas un choc des civilisations, ni un choc des religions. Nous vivons un choc entre le monde usuraire et les peuples du monde qui en sont victimes et tentent de lui résister... » (Article d'Anice Lajnef « Usure, division, et Palestine » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Usure-division-et-Palestine-74125.html)
Nombreux problèmes :
Les gros problèmes suivants énumérés sont autant de preuves supplémentaires du très grave car très dangereux désordre mondial anormal qui se passe actuellement et qui sert mystérieusement à de rares lobbyistes, mondialistes, wokistes, oligarques, sionistes et messianistes loin d'être humanistes.
Politiques :
-assemblées nationales ne représentant plus majoritairement le peuple sur certains sujets, à cause d'un système d'élection représentative divisant le peuple plus que le liant, et des députés ou présidents étant souvent commandés par leur partis politiques ou des groupes de pressions, votant certaines lois souvent par des absences, ou validant certaines politiques nationales ou internationales que seuls des référendums devraient valider. Les franc-maçons représentent même 40% des parlementaires alors qu'ils sont 0,34 % des électeurs. Les franc-maçons e leurs idées ont donc participé à élaborer la doctrine révolutionnaire puis les lois validant l'avortement, la crémation, le mariage homosexuel, le lgbtisme et l'euthanasie, alors qu'ils représentent 0.34 % des Français et pourtant 30 à 40 % de l'assemblée nationale, et votent donc pour 99.6 % des français. Par conséquent, ce système est clairement anti-démocratique surtout que seulement qu'au sein de la franc-maçonnerie, seuls les maîtres des degrés supérieurs décident et connaissent le sens réel des symboles maçonniques ainsi que sa véritable finalité. En sachant qu'il y avait déjà 30 % de conventionnels et constituants après 1789, alors que leurs idées politiques ont donc été sous-tendues jusqu'à nos jour par la doctrine ésotérique de la franc-maçonnerie en particulier du Rite écossais Ancien et Accepté.
-les trois grandes agences de notation, S&P, Moody’s et Fitch, se montrant particulièrement influentes lors des élections d'une nation et s'ingérant donc souvent dans la vie politique des nations.
-les états démocratiques déficitaires ou hommes politiques ne parvenant jamais à équilibrer les comptes de leur budget, ne pouvant donc plus ni gouverner ni faire campagne sans grossir ses dettes auprès des banques privées et des grandes sociétés d'investissement, et ne pouvant donc les supprimer, et se faisant donc acheter ou se soumettant à elles par leur influence, mais aussi aux multinationales, aux actionnaires et à leur oppression mondiale, comme le prouve la crise financière de 2008 dont le système bancaire a été sauvé par les contribuables, après avoir pourtant fait perdre l'emploi et leur vie stable à des millions de citoyens dont à travers la perte de maisons. Comme s'il devait y avoir forcément des gagnants et des perdants, alors qu'avec plus de modestie, de compassion, de modération et de sagesse, nous pourrions tous vivre dans une harmonieuse coexistence. Ainsi, on n'attend évidemment pas des grandes banques qu'elles misent sur la faillite de pays, de populations ou de grandes entreprises comme beaucoup le font actuellement, mais qu'elles financent dans l'économie réelle les investissements durables et rentables non pas pour satisfaire les marchés ou la finance casino, mais pour le bien commun, l'écologie et donc la satisfaction des peuples. D'ailleurs le mouvement pacifique « Occupy Wall-Street » de 2011 a désigné les banques, les banquiers et la la haute finance comme responsables pour 2008, et contesté les abus du capitalisme financier. Mais le cas Kerviel a encore montré que l'hyerclasse dit aux européens que certaines banques sont too big to fail et qu'en cas de leur faillite, ce sont donc les pays et ainsi les contribuables qui paieront tels des esclaves. Surtout que l'économie réelle étant basée sur des mois voire des années, il est encore plus honteux que par rapport à la période suivant la fin de la deuxième guerre mondiale, dans laquelle un actionnaire devait conserver en moyenne une action cinq ans à travers une nécessaire honnêteté d'investissement dans un projet entrepreneurial, désormais ce temps moyen de conservation, par une loi totalement incompréhensible ayant autorisé le trading à haute fréquence, soit possiblement passé à une minute puis jusqu'à la conservation folle d'une simple micro seconde gérée par des algorithmes. Ce qui prouve nettement le déplorable basculement dans la cupidité au détriment de la réussite commune et dans la priorité pour l'argent sur l'humain. Ceci prouvant aussi encore que pour de plus gros bénéfices des grands actionnaires, la privatisation n'a pas pour essence d'améliorer la société, les services publics et les entreprises étatiques, puisqu'elle cherchera à baisser toujours plus lucrativement le nombre d'employés, le coût de l’entretien, et donc la qualité en général. Encore dans le domaine de cette finance casino, les marchés financiers (Bourses) ne remplissent plus leur rôle, car ils ne sont plus des marchés où les entreprises vont trouver de l’argent pour financer des activités saines à long terme, puisqu'ils sont désormais des instruments de pari et de jeu d'argent en plus trafiqués avec le trading à haute fréquence. Il est donc urgent de revenir à une finance basée sur le réel. Surtout qu'en ajoutant à la finance casino l'immigration de masse, les salaires et retraites stagnent voire baissent inévitablement. Et quand les contribuables doivent en plus assurer les faillites des grandes banques privées n'hésitant pas à miser sur notre faillite ou celle de pays, c'est à dire sans aucun risque pour elles sous prétexte qu'elles sont trop importantes à la société pour disparaître (Banques Too Big To Fail, Trop Grosses Pour Echouer car supportant prétendument vitalement un pays puisque n'existant plus de banque nationale ni seulement de dépôt), et donc en devenant une tyrannie totalitaire, le monde tourne vraiment à l'envers puisque faisant évaporer la justice et ainsi matérialiser la possibilité de conflit. D'autant plus donc qu'uniquement les pertes de ces grandes banques sont socialisées (mutualisées, nationalisées) comme lors de la grave crise financière des subprimes de 2008, alors que leurs gains sont privatisés. Ainsi comme il n'y a plus de risque qui justifie le profit dans le capitalisme, cela signifie la fin du capitalisme actuel, comme le prouvent l'utilisation de la crise du Covid, l'inflation et la guerre en Ukraine servant le projet du grand reset du forum économique de Davos qui veut terminer la centralisation de toute l'économie vers les ultra riches mondialistes et sionistes. Surtout que les faillites des petites et moyennes banques, l'apparition des banques centrales et l'euro numérique à venir annoncent une amplification de la centralisation financière et un changement des banques traditionnelles même too big to fail. En effet le but caché des monnaies numériques créées, régies et centralisées par les banques centrales privées est de leur donner un grand contrôle. D'ailleurs l'établissement de l'Euro numérique pourrait être en partie momentanément synonyme de réussite du grand reset mondialiste. Ceci signifiant qu'en plus avec le rachat de nombreuses obligations aux banques et de nombreuses actions aux entreprises dont multinationales par les banques centrales comme la BCE, il s'agit bien d'une socialisation et donc d'une supranationalisation de l'économie internationale synonyme de tyrannie oligarchique mondialiste, surtout donc quand c'est une banque centrale utilisée par plusieurs pays comme la BCE. Il faut noter que l'étape suivante du nouvel ordre mondial lors des prochains cracks financiers sera probablement le rachat entier des dettes nationales par des puissances étrangères ou privées. Extraits de l'excellent article « Les mondialistes vont avoir besoin d’un virus plus létal... au fur et à mesure que la fraude économique sera exposée » consultable à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-mondialistes-vont-avoir-besoin-d-un-virus-plus-letal-63053.html : « Le vieux mantra « Too big to fail » est un mensonge. Rien n’est trop grand pour faire faillite, et cela inclut l’économie américaine et le dollar. Il suffit d’un seul instant, voire d’une simple révélation que le système du schéma de Ponzi est non pas imparable mais insoutenable. Sans une croissance tangible du secteur manufacturier et une classe moyenne forte, une économie ne peut pas survivre longtemps. Un système en perte de vitesse basé sur des « produits financiers » illusoires et une comptabilité créative est condamné à s’effondrer à terme. Il a suffi que le FMI critique les politiques qu’il avait initialement approuvées et annonce qu’il supprimait l’aide financière, et l’enfer s’est déchaîné en Argentine. L’idée que le système est une fraude, mais fonctionne, a disparu. En effet le monde sait maintenant qu’il s’agit d’une fraude dysfonctionnelle et que l’effondrement ne saurait être très loin. En outre, la collusion entre les banques, les fonds spéculatifs et les grandes entreprises technologiques a été révélée de manière flagrante. Ces relations sont censées rester cachées dans l’éther. Elles sont évidentes pour toute personne ayant des connaissances et un sens financier, mais elles ne sont pas censées être dévoilées au grand jour. Certains pourraient dire que l’establishment a été forcé de se démasquer (avec le Covid) suite à l’action d’activistes. Peut-être. Mais lorsque les criminels commencent à admettre ouvertement leurs crimes, c’est probablement parce qu’ils pensent qu’il est trop tard pour que quiconque puisse faire quoi que ce soit. Le fait est que les banquiers et les mondialistes ont des moyens pour éviter d’assumer la responsabilité des catastrophes qu’ils provoquent. En effet lorsqu’une escroquerie éclate, ils ont toujours des boucs émissaires pour porter le chapeau. Surtout qu'avec le temps, cela a créé une dynamique viciée dans laquelle les élites financières qui ont construit l’économie comme une bombe à retardement sont traitées comme des victimes ou des héros, et les personnes qui disent la vérité sur les fraudes sont traitées comme des méchants et des criminels. Les activistes des marchés boursiers et les guérilleros des marchés de l’argent sont-ils responsables de toute crise qui pourrait éclater dans un avenir proche ? Non, bien sûr que non, mais ils auraient pu être quand même blâmés. En effet si le krach s'était produit lors de la présidence de Trump, les investisseurs militants auraient pu être blâmés, Trump aurait pu être blâmé, et les conservateurs et les militants de la liberté aurait pu être blâmés. Mais si le Big Krach se produit avec les mondialistes aux commandes, ils seront légitimement les seuls à être blâmés. » Cette dernière analyse rejoint celle de Youssef Hindi ayant dit qu'il vaut mieux que Macron et la Banque soient au pouvoir quand l'effondrement économique arrivera. Par conséquent le vol de la présidence à Trump pourrait aussi être un mal pour un bien organisé par Dieu. De plus cette finance visible profitant de ce système corrompu représente seulement 0.01 % de la population, alors que les autres 99.99 % invisibles en subissent les mauvaises conséquences, et que l'inverse serait déjà totalement injuste. Tout cela étant aussi gravement injuste et bas que la plupart des journalistes qui cachent ces vérités et participent donc au mensonge, à la corruption, à la manipulation, à la division et au chaos, alors qu'ils sont pourtant souvent subventionnés par l'Etat et donc les contribuables. A ce sujet il paraît très étonnant que les politiciens ayant très mal géré l'Etat ne soient pas écartés définitivement du pouvoir, et qu'on demande toujours au peuple de payer ou de vivre moins bien pour réparer leurs erreurs. Ainsi ceux qui ne sont pas contre tout ce système corrompu, en se satisfaisant donc d'être des esclaves soumis à ce pervers pouvoir des banques, des oligarchies, des mondialistes, des wokistes, des sionistes et de divers lobbies, plutôt qu'à l'irréprochable sagesse divine, reconnaîtront au Jour du Jugement Dernier leur valeur inférieure à celle des déchets. Il est est intéressant de lire à ce sujet l'article « La domination bancaire en cinq étapes » à l'adresse suivante http://lesakerfrancophone.fr/les-5-etapes-de-la-domination-mondiale
-les agences de notation, les banques spéculatives, les organisations supranationales et les grandes multinationales dirigeant donc aussi l'économie de nombreux pays au détriment de leur pouvoir politique et des volontés populaires, et mettant en péril la société puisque elles rachètent fréquemment des secteurs publics dans une période où tout s'automatise avec internet et où le besoin de payer des personnes physiques devient ainsi moins important. En effet pour cupidement gagner toujours plus de bénéfices, elles réinvestissent peu dans la qualité de ces services publics essentiels à la société, puisque n'ayant souvent pas de compte à rendre à l’État et au peuple. Surtout que la qualité et les emplois de ces services publics sont aussi diminués à travers la diminution des régions par un regroupement au niveau administratif. Dans ce sens, il n'est pas étonnant que ce système espère parvenir à dominer le monde par des monopoles privés sous forme de consortiums politiques. Or ces monopoles ou oligopoles (très peu de vendeurs pour beaucoup d'acheteur) n'ayant pas de concurrence et recherchant généralement le profit maximum pour une poignée d'actionnaires ultra-riches, elles organisent l'augmentation des prix tout en diminuant la qualité, ce qui prouve que la privatisation à outrance est très nocive pour une nation. A ce sujet il est intéressant de voir l'excellente vidéo « CE QU'ON NE VOUS DIT JAMAIS SUR l'ÉTAT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=oqn5K89L7d8&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ Pour comprendre le monde actuel qui perd ses repères à travers l'oubli de sa religion, de la famille traditionnelle, de ses valeurs, de sa politique, de son économie, de sa souveraineté et de son histoire au profit des multinationales privées, il suffit de savoir que par manque d'argent une station de métro de Rio est désormais appelé Coca-cola. Surtout qu'en plus, les grandes multinationales sont souvent honteusement exonérées d'impôts, dont jusqu'à mille milliards d'Euros en Europe, par la corruption ou par un chantage aux nombreux emplois qu'elles fournissent pourtant de moins en moins, puisque se servant de plus en plus de pots-de-vin, de l'automatisation pour la production, de la délocalisation pour la fabrication, de la main d’œuvre étrangère pour baisser les salaires et de comptes sur internet pour les services, alors qu'ils leur arrivent souvent de licencier des employés malgré souvent d'énormes bénéfices qui devraient en plus être taxés d'au moins 5 % pour la justice sociale, voire des aides gouvernementales comme lors de la crise sanitaire et de celle des subprimes. En effet en automatisant voire robotisant de plus en plus les services et l'industrie, en confiant la fabrication à des usines dans des pays du tiers-monde où le prix de la main d’œuvre est bas et l'utilisation d'enfant est fréquente, ces multinationales font diminuer l'emploi en occident et rendent les riches de plus en plus riches et les pauvres et la classe moyenne entrepreneuriales de plus en plus pauvres. Par conséquent un a un, les acquis des siècles de lutte politique et syndicale, rebaptisés « privilèges », « avantages » ou « anomalies » par les ultra-libéraux oligarques mondialiste sans honneur, sont joyeusement sabrés par cette nouvelle élite affairiste internationale décomplexée. Or suite au réveil des peuples et au risque de chaos généralisé, tout cela pourrait finalement servir à un nécessaire changement d'outil paradigmatique purificateur de l'économie mondiale dont à travers la blockchain décentralisée, la cryptomonnaie décentralisée, et le revenu minimum universel. En effet par rapport au manque de compréhension, de connaissance, de volonté, de préparation et d'organisation populaires devant pourtant actuellement changer nécessairement de paradigme pour l'amélioration voire la préservation de la paix sociale, il semblerait que cela ne puisse commencer que par la continuité du plan occulte des élites mondialistes corrompues, c'est à dire afin que ces outils modernes de ce nouveau système servent ensuite honnêtement l'Eden terrestre complété. Ça serait encore un énième voire ultime mal pour un bien dans le scénario divin de la Création. Tout cela est difficile à comprendre car le Capital déjà obèse ne cesse pourtant d’enfler vertigineusement. Les fortunes indécentes et inutiles vomissent en cascades des comptes en banque des oligarques parasitaires souvent apatrides du CAC 40 (Bourse) complètement déconnecté de l'économie réelle et la détruisant. Ici on peut se demander quand un pays a été définitivement mis en esclavage au profit d'intérêts privés ou d'organisations supranationales comme l'Union Européenne. D'abord, il faut bien sûr lui supprimer sa monnaie (chose faite), obtenir la gestion de ses banques (chose faite), lui voler sa Bourse (chose faite), et au final lui détruire toute imprimerie high-tech (comme c'est le cas pour l’usine Arjowiggins de Crèvecœur en Seine et Marne) qui lui permettrait de fabriquer de nouveaux billets de banque nationaux si par malheur (du point de vue de tous les idolâtres européistes ou mondialistes), il lui venait la mauvaise idée de reprendre son indépendance. Les ultra-riches mondialistes sont tellement avides que souvent par manque de foi, les infirmières se suicident, les policiers se suicident, les paysans se suicident, les profs se suicident, les cheminots se suicident, les chômeurs se suicident, et les étudiants se suicident. Il est possible de voir à ce sujet l'article « Décadence de l’Occident Par qui et pour qui ? » à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Decadence-de-l-Occident-57132.html C'est pourquoi le Covid-19, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine sont utilisés à détourner l'attention de cette réalité. Ils sont invoqués tour à tour pour légitimer les dépressions, les suicides, la crise économique. Tout est bon pour éviter de pointer du doigt les décisions politiques désastreuses et le néolibéralisme wokiste qui sont la véritable cause de ces victimes collatérales. De même les réflexions sur les processus mondiaux ou nationaux au niveau climatique, politique, économique, sur lesquels nous n’avons pas ou peu d’influence, servent à éclipser le plus important. Comment prier correctement ? Comment construire une relation avec Dieu ? Comment ne pas juger et espérer la guidée pour tous ? Tout d’abord, nous devons chercher des réponses à ces questions, car c’est ce que nous pouvons influencer. Or pour pouvoir devenir très riches afin de dépenser pieusement dans le bien commun plus que les très riches impies dans le mal privé, comme ce sera probablement le cas pour certains à la proche fin des temps afin de combattre l'injustice voire sauver l'humanité, il faut devenir une élite morale religieuse parfois suite à des épreuves particulières difficiles, à un grand cœur obtenu par une noble éducation, à un suivi fréquent de la tradition prophétique, à un rapprochement profond de Dieu, ou/et à une prédication inconditionnelle à travers le bonne parole et de nombreuses bonnes actions.
-au sein des nations développées occidentales esprit politique souvent anti-industriel et anti-scientifique pour le profit des multinationales produisant dans des pays pauvres. En effet la vérité scientifique ne prime plus, c’est le « consensus » qui prime ; et un consensus (en plus souvent prétendu ou incomplet), ça s’achète ou se gagne dont par l'argent ou la manipulation... Détournée par le marketing et la propagande, la recherche scientifique n'arrive pas à trouver sa place dans les médias. La politique, elle, s'inspire largement de ces deux techniques, car les procédés sont les mêmes pour la vente d'un produit et la vente d'un consensus. Le nazi Joseph Goebbels du troisième Reich a dit : « À force de répétitions et à l’aide d’une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible de prouver qu’un carré est en fait un cercle. » Plus récemment, Luc Dupont, professeur à l’Université d’Ottawa explique : « Mener une campagne publicitaire, cela signifie frapper sur le même clou pendant des semaines, voire des mois. » Il affirme même que ce type de manipulation existait déjà à l'époque de Napoléon. D'ailleurs pour nous soyons guidés régulièrement dans la noblesse, le Coran évoque l'importance du rappel de Dieu dont à travers la tradition prophétique.
-problème posé par le fait que les hauts fonctionnaires sortent tous d'une seule école qui est L'ISP (ayant remplacé l'ENA), car ayant donc la main mise sur la France alors que pourtant ça ne marche pas politiquement, socialement et économiquement depuis plusieurs décennies.
-privatisation des services publiques dont à travers des cliniques privées, des armées privées et même des firmes privées pouvant déjà arrêter des personnes n'ayant pas payé des amendes. Le mondialisme à la domination entièrement privée n'est pas impossible puisque « la compagnie anglaise des indes orientales » créée en 1600 (et qui était une union d'entreprises ayant construit un empire marchand de comptoirs et d'escales sur le littoral de l'océan Indien dans une économie du privilège dont en étant exemptée de taxes et en ayant le monopole exclusif du commerce oriental pendant 50 ans) puis sa grande armée privée étaient plus forte que n'importe quelle nation et ayant permis l'empire britannique. D'ailleurs grâce à elles du 16e au 19e siècle, cela a permis aux États européens de démultiplier leurs échanges maritimes avec l'Asie et de se placer au centre de l'économie mondiale, car elles transportaient les richesses produites sur tous les continents, et multipliaient les échanges de marchandises et d'hommes.
-nombreux policiers hautement gradés présents chez les francs-maçons. Ainsi on ne peut même pas parler de collusion ou d’interpénétration, mais plutôt affirmer que les grandes loges sont des succursales du renseignement.
-armées, unités de renseignement et services spéciaux appartenant donc souvent à plusieurs entreprises privées. Dans un rapport exclusif, le magazine américain Newsweek fait la lumière sur une armée américaine secrète qui compte près de 60 000 personnes. Ces dizaines de milliers de personnes font partie d’un vaste programme baptisé « Réduction de signature » (signature reduction). Cette force soutenue par quelque 130 entreprises privées, ainsi que des dizaines d’organisations gouvernementales peu connues est chargée de tout un éventail de missions. Il est possible de lire l'article complet à l'adresse https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202105171045614037-les-usa-auraient-mis-en-place-une-force-clandestine-de-quelque-60000-hommes/
-technocrates dirigeants des instituts de recherche à la place de scientifiques.
-cursus académique (et enseignement scolaire) ne servant donc généralement pas à augmenter le niveau de savoir des gens mais leur niveau de conformité, tout empêchant donc la pensée critique (en particulier contre le progressisme woke) qui était pourtant autrefois un élément fondamental des universités américaines.
-esprit de recherche et d'innovation freiné par un conformisme intellectuel dont dès l'éducation nationale et par la rigueur académique. Il est d'ailleurs intéressant de regarder différentes expériences sur le conformisme (comme l'expérience Milgram) pouvant apparaître ou être utilisé perversement dans tous les secteurs d'activités même au niveau du contrôle social par des gouvernements corrompus. D'ailleurs la liberté académique est presque totalement restreinte en rapport avec le wokisme, et en réalité tous les éléments composant la nation sont de plus en plus encadrés culturellement par le système dans une forme de pensée unique. « J’ai beaucoup de liberté parce que je suis prix Nobel. Et comme je suis en plus à la retraite, je ne dépends plus de l’université ni de l’institut Pasteur, et je m’exprime donc vraiment sans aucune contrainte, ni pression. Mais je considère que je suis un privilégié parce que beaucoup de mes jeunes collègues n’ont pas cette liberté car ils sont dans un système qui les oblige, pour maintenir leur position, à accepter sinon des mensonges, au moins des mensonges par omission. » (Pr Luc Montagnier)
-en Gironde 90 départs de feu quasi en même temps lors de l'été 2022, prouvant que cela provenait d'une organisation et non de pyromanes isolés. C'est comme les centaines d'entreprises agro-alimentaire qui ont brûlé en quelques semaines aux USA, ce qui a grandement favorisé la centralisation de ce secteur économique... En effet cette multiplication des départs de feu, alimentée par les médias et la psychose ambiante permet d'orienter l'opinion publique vers le terrorisme climatique et les mesures politiques favorisant l'oligarchie en vue du grand reset. Cette technique ressemble férocement aux départs de feux sociaux dans les banlieues françaises d'immigrées en octobre 2005, sous le protectorat du ministre de l'intérieur Nicolas Sarkozy, puisque cela lui profitera par la grande peur des bourgeois l'ayant élu président en 2007, c'est à dire après avoir choisi d'être le candidat grand pompier national contre le feu banlieusard (relire la théorie du triangle avec le sauveur, le bourreau et la victime). Cette ingénierie sociale qui consistait à faire monter les tensions, quitte à les provoquer, a donc fonctionné à merveille pour cet agent américano-sioniste. Ainsi à notre époque encore plus corrompue, ce type d'ingénierie sociale est de plus en plus utilisé dans de nombreux secteurs politiques. « Or dans le cas des feux en Gironde, si l’incendie volontaire était compris comme un acte de grève par des français à des postes stratégiques, cela pourrait transformer le grand reset en grande révolution populaire. En effet si ces feux proviennent de pompiers congédiés pour non vaccination, syndiqués ou très remontés contre la politique gouvernementale et le corps des officiers, alors tout le système saute. C'est à dire que dans ces conditions, allumer un feu, non seulement cela fait du bien aux sapeurs pompiers qui se sont engagés pour combattre le feu et qui en ont marre de ramasser des SDF ivres ou des pendus victimes du néolibéralisme, mais en plus cela fait avancer leurs revendications syndicales, puisque en évoquant obligatoirement ce sujet les médias du système rappelleraient inévitablement la réalité des sous-effectifs et mettraient mécaniquement, par l’effet de masse populaire (c'est à dire involontairement alors qu’ils sont inféodés au pouvoir visible), la pression sur le gouvernement qui s'en retrouverait coincé. C’est le principe de la grève dans les usines ou les services publics : mettre la pression sur les dirigeants économiques ou responsables politiques, qui en l’occurrence sont très liés. Dans ce cas, l’acte (criminel) d’allumer un feu fait prendre conscience au grand public et aux médias du système délétère qui rend le travail des pompiers de plus en plus difficile. On peut donc dire que la politique de désorganisation extrêmement risquée de la sécurité civile a pour résultat la série d'incontrôlables incendies volontaires (ou involontaires) qui font péter le système de gestion informatique mondialiste qui tient sur la loi des non-séries et sur au moins un minimum de contrôle. Une théorie pas tirée par les cheveux : des pompiers nous l’ont chuchotée à demi-mot. Allumer un feu, c’est accentuer la faiblesse du système, la multiplication des incendies en série ayant le même effet qu’une grève nationale. Il y a donc des pyromanes « politiques » parmi les pompiers, c’est-à-dire des « attentats » contre l’oligarchie terroriste de l’Intérieur et de la Défense soumis anti-patriotiquement au mondialisme, puisque les pompiers sont avant tout des soldats, mais du feu. » (Rédaction ER)
-grande perte de souveraineté nationale par rapport aux créanciers de la dette. Grossièrement, on peut dire que la Banque de France en détient 20 %, les compagnies d’assurance et établissements de crédit 20 autres %, les étrangers plus de 50 %, le reste étant détenu par des Français. Sauf que les détenteurs particuliers n’ont aucun poids dans la conduite économique. Les fonds souverains, donc d’États, et les fonds de pension, donc privés, ont la main sur une grande partie de notre dette. En gros, les Chinois, les Qataris, les Émiratis et BlackRock (qui détient environ 5 % du CAC 40) pourraient influencer la politique économique de la France. C’est pourquoi Macron déroule le tapis rouge à Larry Fink, PDG de BlackRock. Le géant financier possédait, en 2018, 32 milliards sur notre dette, mais avec un vrai levier d’influence, contrairement aux particuliers français. Détenir des obligations ne vous donne aucun droit sur la politique du pays !
-démocratie occidentale correspondant en réalité au pouvoir de l'argent et de l'usure, et se transformant donc en une mort de la démocratie par la tyrannie financière, monétaire et bancaire privée qui détient la création monétaire à travers par exemple la FED des Etats-Unis et la Banque centrale de l'Union européenne, et qui cherche l'hégémonie mondiale. Ceci avait été expliqué et annoncé depuis longtemps par l'américain Ezra Pound, au point qu'il fut enfermé au pays de la liberté que sont les USA en hôpital psychiatrique pendant dix ans tel en union soviétique, car dérangeant trop le spectre politique, de la droite à la gauche, du fascisme à l'antifascisme, tous entièrement soumis au système bancaire usurier de la finance internationaliste. De plus après avoir exposé la tyrannie internationale de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis, (dont car un groupe de banquiers privés de haut vol aurait conspiré et rédigé, pour servir perfidement ses propres intérêts, les statuts de la Réserve fédérale, puis aurait réussi à faire adopter ce document comme loi par le Congrès américain,) Eustace Mullins a montré, en éclairant preuves à l’appui ce type d'infiltration totalitaire, la prise de contrôle similaire par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire, cette mainmise sur des parties importantes de l'Etat a été encore permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes. Le système des banques centrales privées prend ainsi clairement le pouvoir sur les nations et le politique. En effet il y a une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien social. Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financières et monétaires planétaires, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont finalement concentrés entre les mains de peu de personnes. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est donc dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement. Surtout que par ses planches à billets, la politique des banques centrales privées de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la perverse haute finance privée de l’argent frais à profusion, ainsi que des garanties d'États et de l’économie réelle. Partant de ce constat concernant l'oppression économique bancaire du privé, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus donc fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus ! Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « De l'Etat profond au gouvernement mondial - Politique & Eco n°291 avec Valérie Bugault - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=AVZiNDMKOjk&list=WL&index=6 Selon la juriste Valérie Bugault, les institutions françaises n’existent plus et l’Etat est mort, car nous sommes dirigés par des puissances financières apatrides. Il est possible de voir à ce sujet la vidéo « Trahison des institutions : la mort de l'Etat ? - Politique & Eco n°313 avec Valérie Bugault - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=sm4DJyZ_R7M Ce scandale démocratique est d'autant plus évident lorsqu'on connaît son fonctionnement corrompu très bien expliqué dans cette vidéo « FR 0:15 / 16:12 Aubry, Mélenchon, Le Pen : faux votes, vrais scandales ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=W8FWThds--s
-toute structure politique solide défaite à cause de l'ultra-libéralisme, amenant Haïti à végéter dans l’anarchie, au sein de laquelle les gangs mafieux se développent en profitant donc du désordre historiquement organisé par les mafieux d’en haut. L’anarchie, ici, est bien un concept oligarchique, et le mondialisme est donc bien une mafia d'en haut amenant à une société aussi gangrenée par les mafieux d'en bas.
-conseil constitutionnel pouvant empêcher des lois voulues par le peuple et votées par l'assemblée nationale.
-écologie à outrance pour rendre vertueux l'effondrement économique au profit des ultra riches.
-désignation de la classe moyenne, cœur de la nation, comme ennemi par l'ancien préfet Lallement proche de l'Etat et pouvoir oligarchiques, ce qui signifie que la guerre civile a déjà commencée en France. D'ailleurs le président Macron incarnant le plus l’État et le pouvoir oligarchiques a dit clairement quelques temps après les gilets jaunes : nous sommes en guerre.
-sous prétexte de protéger les enfants et de lutter contre la pornographie en ligne, la loi SREN adoptée au Sénat prévoit des amendes allant jusqu’à 3 750 euros et un an d’emprisonnement pour « outrage en ligne ». Cette loi crée un délit d’outrage en ligne flou et arbitraire. Les propos pouvant être jugés offensants ou aboutissant à une situation hostile pourront désormais être passibles de peines de prison. Mais qu’est-ce qu’un propos offensant ? Tout peut être considéré comme tel, et cette loi laisse une grande place à l’interprétation. Cette loi comprend également la fin de l’anonymat en ligne, alors même qu’il n’existe pas réellement d’anonymat sur internet, mais plutôt un pseudonymat. Cette mesure n’a jamais été clairement expliquée et suscite de nombreuses interrogations. Après l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires et les nombreuses lois liberticides adoptées récemment, la liberté d’expression est en train d’être étouffée en France et en Europe. « Le gouvernement a même annoncé des sanctions contre les journalistes et les sites d’information qui remettent en cause la vérité officielle. Cette annonce de la France est une atteinte grave à la liberté d’expression et à la liberté de la presse. Les journalistes ont pour mission d’informer le public et de relayer les différentes opinions, même celles qui dérangent. En voulant sanctionner les journalistes et les médias qui diffusent des informations considérées comme de la désinformation, la France bafoue les principes fondamentaux de la démocratie. Cette décision est d’autant plus scandaleuse que la France se positionne comme un défenseur des droits de l’homme et de la liberté d’expression dans le monde. En réalité, elle cherche à museler les opinions qui ne vont pas dans son sens et à contrôler l’information. Coïncidence troublante : l’annonce des sanctions françaises contre les journalistes intervient au même moment que l’ouverture d’une enquête russe sur des actes terroristes internationaux soutenus par les États-Unis, l’Ukraine, l’Allemagne, la France et Chypre. Cette coïncidence soulève des questions sur les motivations réelles de la France à vouloir sanctionner les journalistes et les sites d’information qui remettent en cause la vérité officielle. Il est essentiel que les journalistes puissent continuer à exercer leur métier en toute indépendance et sans crainte de sanctions. La liberté d’expression et la liberté de la presse sont des piliers fondamentaux de notre démocratie, et il est inacceptable que la France cherche à les restreindre sous prétexte de lutter contre la désinformation. » (Média en 4-4-2)
-censure sur les réseaux sociaux sous le pseudo prétexte de lutte contre l'ingérence étrangère voire la désinformation. Une pétition a même été lancée pour mettre en garde contre la création d’un ministère de la censure en France, qui romprait avec près de 80 ans de liberté d’expression. En effet l’État est en train de développer une machine de censure et de surveillance des citoyens via son agence VIGINUM qui peut suivre toute la vie numérique de quelqu'un. Si rien n’est fait, les médias indépendants seront bientôt empêchés d’informer le public sur des sujets sensibles et les citoyens seront fichés pour leurs opinions « incorrectes » exprimées sur les réseaux sociaux.
-interdiction du voile dans le sport en France étant «discriminatoire et devant être annulée » selon l'ONU.
-78 % des membres du conseil constitutionnel français nommés par le président de la république. En sachant que ce constitutionnel français a souvent été présidé par des juifs.
-pour lutter contre l'intelligence collective populaire souvent essentielle pour la justice, système corrompu prétendant que la libéralisation des réseaux sociaux par Musk met en danger la démocratie.
-spectre des partis politique du système en France allant seulement de la droite conservatrice pro-Israël (en particulier pour les catholiques) à la gauche sociétale pro-Lgbt (en particulier pour les musulmans).
-campagnes politiques des candidats français faisant moins de 5% n'étant pas remboursées ni ne donnant lieu à un député, alors qu'en Allemagne avec 1% on devient député.
-situation en France particulièrement tendue fin 2024 selon Jean-Dominique Michel rapportant que des rafles ont été organisées, visant une trentaine de personnes considérées comme « dissidents ». Parmi eux, des figures comme Bertrand Scholler et Aurélien Poirson-Atlan, alias Zoé Sagan, ont été arrêtés. Ces actions répressives montrent une escalade dans la lutte contre ceux qui remettent en question le narratif officiel. La confiance dans les institutions politiques et médiatiques est en chute libre. En France, des personnalités comme Juan Branco, avocat et figure de la dissidence, sont persécutées par l’appareil d’État.
-constitution US ne déclarant en réalité pas que le pouvoir appartient au peuple (mais à l’oligarchie) ni même que l'esclavage a été aboli.
-sous prétexte de sécurité, volonté politique de possibilité d'allumage à distance des micros et web cam des ordinateurs et smartphones, ce qui prouve que c'est possible et probablement souvent fait.
-régulation de l’Internet pointant son gros nez et provenant des forces occultes qui constituent le pouvoir profond, ces minorités agissantes qui persécutent la majorité des Français pour leur propres intérêts, qu’ils confondent évidemment avec ceux de l’État. C’est tordu, mais c’est comme ça : la liberté, c’est leur liberté. Pas la nôtre. Vu ce qu’il en reste... Seule la propagande macronnienne (c’est-à-dire européiste, mondialiste, progressiste) sera autorisée ! On va tout droit vers un monopole de l’information, et un chaos généralisé. Bonne chance aux députés Renaissance qui vont se coltiner la colère des Français dans leur circonscription.
-accusation d'extrême droite et donc de patriotisme mauvais voire d'antisémitisme contre tous ceux qui remettent en cause divers narratifs mondialistes ou américano-sionistes comme le problème climatique, la pandémie, les gilets jaunes, la concurrence déloyale, l'inflation, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine. En sachant que ces deux guerres permettent la diversion face aux énormes problèmes intérieurs que Macron rencontre et qui ne cessent de se multiplier (agriculteurs, déficit budgétaire, crise économique, élections européennes, etc.). De mauvaises langues avancent qu’un durcissement du conflit est pour lui le seul moyen d’assurer sa survie politique jusqu’à la fin du quinquennat, lui permettant de poursuivre sa politique insensée du « quoi qu’il en coûte » – et donc de creuser la dette française – distribuant à tout va afin d’éviter une explosion sociale. Si tel était le cas, force serait de constater qu’il ne ferait là que copier la pratique américaine qui consiste à créer des crises internationales pour résoudre les problèmes internes.
-accusation d'antisémitisme en cas de défense des palestiniens même après leurs 30 000 morts en prétendant mensongèrement que la Hamas visait les juifs lors de son attaque du 7 octobre 2023, alors qu'il se bat contre un Etat.
-changement de camp en termes d’identification politique socio-économique de la part de la gauche et de la droite. Or ce n’est pas seulement une transition politique, c’était en fait un changement métaphysique et existentiel. En l’état actuel des choses, les progressistes/de gauche/libéraux sont liés aux grandes machineries technologiques, aux médias grand public et à Wall Street, tandis que la droite s’est transformée en un mouvement populiste tenté par la pensée révolutionnaire (pour le retour à la justice sociale et économique ainsi qu'aux valeurs traditionnelles). En effet ce changement provenant de la pression mondialiste cherche à faire adhérer l'humanité à l'orthodoxie idéologique de la gauche sociétale radicale ayant commencé par le politiquement correct, continué jusqu'à la transsexualité, amené la tyrannie technologique, détruit les valeurs sociales authentiques et donc effacé la civilisation traditionnelle, en permettant à la ploutocratie internationaliste de dominer les peuples et les nations, ce qui entraîne de plus en plus une révolte des peuples contre tout cela. Il est intéressant de lire à ce sujet « Le Great Reset peut être stoppé : analyse du blocage d’Ottawa par les camions de la liberté » à l'adresse https://strategika.fr/2022/02/01/le-great-reset-peut-etre-bloque-analyse-du-blocage-en-cours-dottawa-au-canada/
-détournement hyper simpliste de l’attention du peuple des sujets politiques importants et de leurs réussites. C'est à dire que si le peuple a au moins du gaz, de l’électricité, ou de l’eau, voire bientôt de l’oxygène cet hiver, ce sera une victoire, même sans le pouvoir d’achat relevé, ni la baisse du prix l’énergie, ni une réindustrialisation, ni le chômage diminué, ni les PME/PMI préservées, ni la fin de la vente à la découpe de la nation. En effet tout cela sert à la centralisation toujours plus grande de l’économie vers le grand reset de la haute finance.
-incohérence grave de l'Union Européenne de mettre en libre échange des pays n'ayant pas un niveau économique similaire d'autant plus sans normes sociales et environnementales communes. De plus selon Jean-Bernard Lévy PDG d'EDF, il n'y aurait pas de hausse des prix de l'énergie en France s'ils n'étaient pas indexés via l'Union européenne sur ceux du marché mondial, alors qu'EDF-GDF nationalisé était source de beaucoup d'énergie à bon marché et synonyme d'indépendance nationale énergétique, et que ce problème associé à la fermeture des réacteurs nucléaires et à la raréfaction du gaz russe à cause des sanctions pourrait pourtant paralyser les entreprises et empêcher les Français d’avoir du chauffage l'hiver. « Nous restons la proie d’un système ubuesque et incontrôlable du marché de l'électricité, créé pour produire de la volatilité pour des spéculateurs, alors que 90% des coûts de production de notre électricité sont stables et prévisibles. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, ce n’est qu’une question de temps avant la réédition d’un nouveau désastre à 100 milliards d’euro ! Le marché actuel de l’électricité, notamment le système de l’ARENH (Accès Régulé à l’Énergie Nucléaire Historique), est critiqué pour sa volatilité et son inefficacité. Ce système permet aux fournisseurs alternatifs d’acheter de l’électricité nucléaire à un prix fixe de 42 € par MWh, mais les prix sur les marchés de gros peuvent varier considérablement, entraînant des hausses spectaculaires des factures pour les consommateurs. Des fournisseurs alternatifs, comme Ohm Énergie, ont été sanctionnés pour des abus de ce système. Ils ont gonflé leurs portefeuilles clients pour obtenir des quotas d’électricité nucléaire à bas prix, puis ont augmenté les prix pour se débarrasser de ces clients et revendre l’électricité à des prix plus élevés sur le marché de gros. Ces pratiques ont contribué à la hausse des prix et à l’instabilité du marché. Bruno Lemaire promet une baisse des tarifs de l’électricité en 2025, en raison de la chute des prix sur les marchés de gros. Cependant, cette baisse est conjoncturelle et ne résout pas les problèmes structurels du marché. De plus, la hausse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) pourrait compenser cette baisse, laissant les consommateurs avec des factures toujours élevées. » (Média en 4-4-2)
-putsch de la finance par une fabrique de la panique et par le vol des comptes publics particulièrement depuis le covid 19 et la guerre en Ukraine.
-Vendredi 4 avril, les élus nantais s’apprêtant à valider leur énième « plan climat », présenté comme une « bifurcation écologique » indispensable. Traduction : une nouvelle série de 98 mesures aussi coûteuses qu’inapplicables, destinées à réduire de 46 % les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Un chiffre magique, sorti d’un chapeau vert, pour justifier toujours plus de restrictions et de taxes.
-élection de 2022 ayant montré : à Macron les jeunes et retraités, et à Marine les productifs. Ainsi désormais, la corporation est accolée à l’extrême droite. C’est la loi en régime socialo-sioniste néolibéral : tout ce qui conteste est gazé, fascisé, nazifié.
-certification de certains médecins et bientôt d'autres professionnels par youtube pour prétendument lutter contre la désinformation, alors qu'ouvrant la porte à la pensée unique favorisant la ploutocratie mondialiste.
-seulement 3% des plaintes pour viol et pédophilie prises
-sanctions françaises contre la Russie prises sans le consentement du parlement. Selon le ministre russe des affaires étrangères Sergueï Lavrov, les nombreuses sanctions et menaces contre la Russie prouvent la lutte de l’Occident pour la suprématie réellement mondiale. Il a également souligné que la Russie et la Chine ne cherchaient pas à saper le pouvoir américain, mais plutôt à établir un nouvel ordre mondial plus juste et équitable.
-politiciens accusant les pauvres et les faibles pour masquer leur corruption.
-voraces hommes politiques et haut-fonctionnaires passant plus de temps à gagner de l'argent qu'à défendre les intérêts du peuple. En effet, de nombreux politiciens de plus en plus carriéristes disent aux gens ce qu'ils veulent entendre, s'adaptent à leur audience, et se drapent dans de beaux discours. Ils font de beaux discours sur la paix, l'Europe, la puissance, la défense des valeurs, le laïcisme, la lutte contre le terrorisme, alors que dans les faits, tout cela ne leur apportant pas forcément de reconnaissance populaire leur importe peu par rapport aux intérêts de leur maîtres que sont la commission européenne, les oligarques finançant les campagnes, les grandes entreprises leur promettant du travail plus tard, ou les syndicats de police protégeant leur mandat.
-culpabilisation du peuple par le gouvernement dont concernant la propagation du covid les éventuelles pénuries d'électricité, alors que cela provient des décisions gouvernementales et pas du comportement ni de la (sur)consommation de la population.
-délire législatif développé pendant deux ou trois générations, habituant l’opinion à considérer les règles et les notions fondamentales comme indéfiniment modifiables, pour créer la situation la plus avantageuse au despote. (Jouvennel)
-parlement ne servant plus à rien, même avec une majorité anti-gouvernementale, car le 49-3 mondialiste empêche tout débat, notamment sur les retraites, comme le décret présidentiel américain. Il faut vraiment être idiot ou malhonnête pour croire à cette démocratie. D'ailleurs « Gilles Raveaud rappelle l’existence de fonds de réserve pour les retraites, notamment celui mis en place par Lionel Jospin, doté de plus de 30 milliards d’euros. En ajoutant les réserves des systèmes de retraite complémentaire, le total atteint environ 150 milliards d’euros. Ces chiffres, souvent ignorés, montrent que le financement des retraites n’est pas aussi problématique qu’on pourrait le croire… L’économiste évoque également la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES), créée en 1996 et financée par la CRDS. En 2024, la CADES aura fini de rembourser la dette de la Sécurité sociale et dégagera au minimum 24 milliards d’euros. Selon Jean-Louis Rey, président de la CADES, « aucun gouvernement n’a eu à arbitrer une telle manne ». Gilles Raveaud conclut que, contrairement aux idées reçues, il n’y a pas de problème de financement des retraites. Même Nicolas Doze est d’accord ! » (Média en 4-4-2) -fusion des banques d’affaires (de marché) et des banques de dépôts, alors qu'elles devraient être séparées.
-finance internationaliste et multinationale prédatrices même socialement qui sont devenues maître de l'économie au détriment du politique.
-invention de l'expression « marché du travail » ayant fait des hommes des objets.
-d'ailleurs double ou triple emplois de plus en plus nécessaires dont pour rembourser des crédits suite à un licenciements. Certains disent même : « Je fais quoi de ma vie ? Je travaille, je paye mes factures, et je fais rien d’autre. »
-niveau de consommation déterminant ton rang social, et plus le niveau de production, comme le prouvent les traders et certains influenceurs largement mieux payés mensuellement que certains métiers ayant une productivité vitale socialement comme les boulangers ou ayant demandé de longues années d'études comme les médecins.
-fort chômage dans divers métiers à cause des salaires trop bas pour pouvoir se loger suffisamment prêt vu le prix des locations d'appartements. En sachant que pour les oligarques le chômage n'est pas un problème, car les chômeurs sont prêts à travailler pour moins d'argent et ferment plus leur bouche que lors d'une société à plein emploi dans laquelle ils peuvent critiquer et quitter facilement un employeur indigne et s'occuper plus facilement et légitimement de politique.
-chômage de masse et charges sociales élevées surtout pour les employeurs des petites et moyennes entreprises voulus par les élites pour amplifier la centralisation économique. En effet cela permet à de rares lobbies, divers politiciens, différents oligarques et certaines multinationales de neutraliser par la distribution d'une subsistance minimale de survie et non de vie, d'éventuelles oppositions radicales assez financées pour gêner le système. C'est comparable à la mise au pas de la population par des vitesses routières de plus en plus basses, de nombreux radars automatiques la volant toujours plus, des pass (sanitaire et bientôt de déplacement ou de dépense énergétique voire alimentaire), ou diverses nouvelles taxes comme celle contre le carbone. Cependant pour supporter ce contrôle malhonnête des choses, les êtres humains peuvent se rappeler que le Prophète (SBDSL) a choisi une vie très modeste comme Jésus, que les radars routiers peuvent amener la patience, que les limitations énergétiques étatiques peuvent apporter une légitime ou pieuse sobriété, que les trop nombreuses restrictions gouvernementales actuelles peuvent amener une habitude d'obéissance envers les règles religieuses ou la vertu, et qu'en cas d'obtention d'une grande richesse, certains seraient dangereusement submergés par la peur d'échouer dans la gestion perturbante de tant d'argent, comme le prouve la déstabilisation psychologique de divers gagnants du loto ou l'envie d'excès présent dans notre âme bestiale expliquée dans les versets suivants : (S42v27) « Si Allah attribuait Ses dons avec largesse à (tous) Ses serviteurs, ils commettraient des abus sur la terre. Alors, Il fait descendre avec mesure ce qu’il veut. Il connaît parfaitement Ses serviteurs et est Clairvoyant. » (ExtS5v32) « En effet Nos Messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre. »
-mondialisme permettant aux multinationales des pratiques fiscales douteuses comme celle de faire apparaître leurs bénéfices dans un pays où la fiscalité est moins importante que chez elles et celle de profiter des lacunes du droit du travail dans certains pays. Il s'agit en plus d'un système dont les autres mafieux profitent aussi, puisqu'ils créent de nombreux comptes par exemple chez Uber Eats ou Deliveroo, afin d'exploiter des sans papier, c'est à dire en les faisant travailler pour eux mais en les payant moins chers. Et tout cela amène encore plus gravement au niveau économico-social à une concurrence déloyale et donc illégale, puisque même leur reconnaissance faciale demandée pour travailler peut être faite à distance.
-exclusivité de 500 parrainages d'élus pour participer à l'élection présidentielle alors que le parrainage de 100 000 citoyens pourraient également le permettre dans une réelle démocratie. Alors que ces 500 parrainages est clairement une oppression mafieuse, d'autant plus que les élus votant ne sont plus anonymes.
-assouplissement de la législation sur les licenciements.
-centralisation de plus en plus de données privées par les GAFAM et le futur crédit social voire passeport numérique.
-taux d'imposition sur les bénéfices de seulement 8 % pour diverses multinationales contre 20 % pour des entreprises traditionnelles.
-TVA payée sur les produits nationaux mais pas sur certaines importations à cause du mondialisme. En sachant que la TVA étant payée par tout le monde, elle est donc une forme d'impôt universel identique et donc inéquitable par rapport à la zakat se basant sur le niveau de richesse.
-décret concernant le manque d'eau en France alors qu'il y en a en réalité largement assez. C’est la technique préférée des néolibéraux : menacer, privatiser, stocker, créer la pénurie, spéculer et augmenter les prix, sur le modèle de la moutarde de 2022.
-manque de beaucoup de logements sociaux pour baisser les très hauts prix des logements locatifs privés. Par conséquent s'il n'y a pas par ailleurs de blocage des loyers au moins à la moitié du SMIC, il ne reste que les logements à 10 000 euros d'Elon Musk comme solution.
-les indices de développement et de bonheur pour les populations très rarement mis en avant dans la politique et l'économie, surtout qu'ils sont souvent liés au niveau de vie. Dans ce sens les taux de suicide, d'homicide et de mortalité infantile sont des indicateurs concernant la stabilité, la paix, le calme, voire en plus le développement, le bonheur ou/et la spiritualité d’une société.
-laxiste démocratie laïciste et libertarienne laissant des immigrés sans papier toxicomanes pourrir un quartier, alors que laisser la liberté à des toxicomanes ou des alcooliques SDF est comparable à laisser la liberté à des enfants voire des nourrissons de rue, et il faut donc les mettre dans des centres fermés les aidant et les guidant comparables à des orphelinats. En sachant que la politique d'immigration de la France a pourtant coûté en 2023 près de 54 milliards selon l'étude réalisée par le spécialiste des migrations Jean-Paul Gourévitch, que ce genre de situation où des immigrés arrivants choisissent la toxicomanie dans les rues et proches des bas à sable pousse les immigrés des premières générations à voter contre l'immigration, et que les immigrés récents donc sans papier rejoignant des mafias peuvent être plus facilement éliminés puisque leur disparition n'amène pas à des avis de recherche. « En métropole, le nombre de clandestins augmente d’année en année, on les voit traîner dans les rues, comme des Aliens dans une autre dimension, il n’y a pas d’échange possible, on se demande ce qu’ils font là, et eux aussi. Si on ne peut les renvoyer chez eux, il va falloir se parler, et vite, ou les mettre au travail. Sinon on va finir par se retrouver face à face, dans une guerre qui arrangera encore l’oligarchie. Car tout est fait pour nous rendre racistes et nous israéliser, c’est-à-dire faire de la France une société séparatiste avec des citoyens et des esclaves, donc forcément policière. Attention au Spartacus qui va venir, Rome s’en souvient encore. » (Rédac ER)
-multinationales ayant des représentations au cœur même des institutions européennes dont les bureaucrates sont des non-élus.
-frexit ne servant à rien, car il faut d'abord remplacer toute la classe politique et beaucoup de mentalités dont de ceux voulant garder l'Euro comme monnaie. En sachant que le Frexit peut ne pas se faire via l'article 50 de la constitution européenne, mais aussi tout simplement en dénonçant le traité.
-« En 2024, American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) se vantant une fois de plus ouvertement du succès de son opération d’influence étrangère consistant à payer nos représentants pour promouvoir les intérêts d’Israël. Le groupe de lobbying a publié mercredi une vidéo dans laquelle il se vante d’avoir « soutenu 362 candidats et gagné dans toutes les primaires où un candidat était en lice ». « Nous avons aidé nos amis à gagner et nous avons battu 11 candidats anti-israéliens », ont-ils ajouté. M. Massie a déclaré l’année dernière que l’AIPAC devrait s’enregistrer en tant qu’agent étranger en vertu de la loi sur l’enregistrement des agents étrangers (Foreign Agents Registration Act). L’AIPAC a dépensé plus de 300 000 dollars pour attaquer Massie lors de cette élection, mais il a tout de même été réélu. » (Rédac ER)
-liberté d'enseignement donc bafouée, notamment par la loi "confortant le respect des principes de la République" qui remet en cause la primauté éducative des parents, ou encore par la loi Gatel qui a durcit les conditions d'ouvertures des écoles libres.
-selon un haut expert juridique iranien, Occident utilisant la propagande de haine religieuse à travers des magasines satiriques comme un outil pour fomenter la violence, l'extrémisme et le terrorisme dans d'autres pays.
-accusation de terrorisme concernant certains combattants réels de la liberté déjà du temps des colonies.
-complexité, lenteur et détournement du système exécutif et judiciaire favorisant souvent les riches, les responsables politiques, les multinationales et certains lobbies, en étant soumis aux médias puisque ces derniers provoquent souvent et donc étonnamment l'ouverture d'enquêtes de police, et incitent souvent à une mondialisation ultra libérale libertaire les avantageant tous.
-règlements administratifs trop compliqués, coercitifs ou longs pour ouvrir une entreprise au profit des multinationales, comme l'a remarqué Macron.
-deux poids, deux mesures donc encore plus inacceptable concernant la possibilité de caricaturer le catholicisme et l'islam et pas le judaïsme, et alimentant un sentiment croissant d’injustice parmi les croyants catholiques et musulmans.
-déstructuration moderniste et matérialiste des couleurs intérieures de Notre-Dame de Paris lors de sa réparation suite à un incendie.
-loi (mondialiste) de lutte contre le séparatisme d'abord par rapport à l'islam mais servant en réalité à contrer toute nouveauté politique populaire dont en pouvant accuser de complotistes et donc diaboliser ceux qui ne sont pas d'accord avec le gouvernement dont particulièrement les patriotes et pouvant changer la constitution par des lois d'exceptions devenant pérennes dans une forme de totalitarisme. De plus cela sert aussi d'empêcher tyranniquement l'école à la maison pour garder les nouvelles génération dans la laïciste et wokiste république française, c'est à dire en obligeant les enfants de recevoir la propagande franc-maçonne par leur scolarité. Ainsi cela peut permettre de faire taire toute contestation comme celle des anti-vaccins ARN ou des pro-russes. Surtout que cette loi anti-séparatisme concerne aussi toutes les religions, les mouvements politiques, les manifestations rebelles, ce qui prouve clairement son orientation idéologique, anti-démocratique et donc totalitaire. Or ce n'est pas étonnant puisque le laïcisme est devenu la religion impie de la république comme Youssef Hindi le prouve dans son livre « la mystique de la laïcité ». On est passé de la loi contre la déradicalisation à celle contre le séparatisme, et ça finit par associer le terrorisme au complotisme dont en plus par le raccourci honteux que le terrorisme international se sert du complotisme pour recruter, alors que Daech n'aime pas non plus le complotisme des djihadistes se demandant qui contrôle cette organisation terroriste. Bientôt ça ira peut être jusqu'à la psychiatrisation de l'esprit critique et de la pensée dissidente, surtout que la judiciarisation de médecins anti-vaccins a déjà eu lieu de même que l'invitation à la délation lors du covid. Enfin « Franck Tapiro, publicitaire et gérant de la société Hémisphère Droit a eu une dangereuse idée démoniaque : créer une "armée citoyenne de défense de la diaspora juive" en France, avec l'aide du ministre israélien de la Diaspora, Avichai Chikli On nous fait la guerre, il faut répondre par la guerre. » C’est en ces termes que Franck Tapiro — connu récemment pour sa fréquentation du bois de Boulogne —, a justifié son projet de création d’une armée citoyenne de défense de la diaspora juive en France. Cette annonce, en direct sur Radio J, a de quoi surprendre et inquiéter. En effet, il est légitime de se demander où cette initiative nous mènera et quelles en seront les conséquences. De plus, il est étonnant que cette déclaration n’ait pas suscité de réaction de la part des autorités françaises. Est-il possible que quiconque puisse créer une armée en France sans en référer aux autorités compétentes ? l est également important de souligner que des personnes prônant la paix ont été convoquées pour « apologie du terrorisme », alors que Franck Tapiro peut annoncer tranquillement son intention de créer une armée citoyenne de défense de la diaspora juive en France. Cette situation pose la question de savoir qui sont les véritables « malades » dans notre société. Aucun responsable politique n’a pour l’heure condamné ou s’est exprimé sur la création de cette milice. Cette absence de réaction est préoccupante et soulève des questions quant à l’égalité de traitement de tous les citoyens devant la loi. Il est légitime de se demander si la loi séparatisme ne s’applique pas de la même manière à tous les citoyens français. Enfin, il est important de rappeler que cette milice, si elle venait à être créée, servirait les intérêts d’Israël, un régime d’apartheid. Il est donc légitime de se demander quand cessera l’impunité des apologistes du génocide. Quelle serait la réaction des autorités françaises si des suprémacistes blancs annonçaient la création d’une milice armée similaire ? » (Média en 4-4-2)
-renversement de pouvoir du politique vers le médiatique suite à l’animateur Cyril Hanouna ayant insulté le jeune député LFI Louis Boyard de « merde ». Un député de la République pèse moins qu’un animateur télé, quel que soit le résultat du procès en diffamation intenté. On parle ici bien sûr du pouvoir politique visible, pas du pouvoir profond qui lui est inaltérable, puisqu’il n’est pas élu et se transmet par cooptation communautaire et/ou réseautaire.
-diversification grandement exagérée des institutions dont médicales ainsi que de leurs niveaux hiérarchiques faisant passer la démocratie à une bureaucratie type soviétique et utilisant l'argent publique pour payer ce très nombreux personnel étant donc souvent de trop et ayant sournoisement souvent des liens. -lien entre Haute Finance mondialisée, industrie militaire, atlantisme (appartenance à l’OTAN sous commandement des USA) dominant de nombreux pays. Cela correspond à la profonde modification des sociétés occidentales, où désormais les richesses ne sont plus réparties équitablement, mais échoient principalement à un groupuscule de multimilliardaires transnationaux. Cette évolution, si elle persiste, marquera la fin de la démocratie parlementaire. Dans ce nouveau système politique, les « techniciens » ont plus de pouvoir que les « politiciens », comme le démontre clairement le curriculum de Mario Draghi l'ancien premier ministre de l'Italie qui auparavant est passé de directeur exécutif de la Banque mondiale à Washington, à directeur du ministère du Trésor à Rome où il a été l’artisan des privatisations des plus grandes entreprises publiques italiennes, à vice-président de celle privée étas-unienne Goldman Sachs (une des plus grandes banques d’affaire du monde), à gouverneur de la Banca d’Italia et à président de la Banque centrale européenne (BCE). L'italien Draghi qui résume donc nettement le basculement du monde occidental dans la tyrannie est en plus un des protagonistes du Groupe des Trente, qui est une puissante organisation internationale de financiers créée en 1978 par la fondation Rockefeller avec siège à Washington.
-invocation des libertés (dont de sécurité) pour y mettre fin par exemple à travers le blocage de biens russes et le gel des comptes en banques de manifestants contre les mesures covid comme au Canada, preuve d'une continuité tyrannique pire que la tyrannie bancaire suite à la crise des subprimes de 2008.
-important montant d'argent des nations donné à des organisations supranationales privées mondialistes d'ultra riches comme le GAVI (« l’alliance du vaccin) dont l’origine et le contrôle sont en réalité liés à la Fondation Sanitaire Bill-et-Melinda-Gates, alors que cela n’a pourtant donc aucune légitimité populaire ni même démocratique. Ainsi on assiste à la mise en place d’un gigantesque système de corruption, comme toujours sous le prétexte de l’urgence dont donc médicale.
-cabinets de conseil privés comme celui appelé McKinsey lié au gigantesque fond de pensions Black Rock et donc à la finance internationaliste dans une forme de lobby (dont les membres passent donc du privé à la politique publique et inversement) gérant les nations occidentales par des conseils en plus très lucratif à leurs gouvernements, ce qui pourrait être une image voire la réalité d'un gouvernement mondial de l'occident, surtout suite la suppression du corps diplomatique français dont la fonction pourrait en plus aussi être confiée à Mc Kinsey. Surtout que ce cabinet à base anglo-saxonne est lié au système du pacte de corruption entre les puissances de l’argent et le système politico-médiatique. D'ailleurs que fait un cabinet de conseil privé dans le Conseils de défense (dont lors de la crise sanitaire) d’une République une et indivisible ? La réponse gouvernementale est simple : expertise. D'autant plus que la pieuvre McKinsey est reliée aux plus grandes multinationales de la planète, du Big Pharma au Big Tech, qui ont toutes engrangé de gigantesques profits éhontés sur la politique sanitaire internationale lors du Covid. En effet alors que cette politique sanitaire internationale fut un désastre pour les peuples, elle fut très juteuse pour elles. Et par exemple concernant la relation avec l'Afrique, la vision idéologique des nouveaux politiciens français n'a plus une intelligente vision de terrain comme avant, car elle s'établissait sur les réalités africaines dont (géo)politico-ethniques. On s'adresse même en plus désormais dans un honteux manque de retenu au souverain dune monarchie millénaire comme à un PDG dune grosse société. Le frivole et le privé remplace donc le sérieux et la profondeur dont des honorables organisations publiques formant excellemment les diplomates. Il s'agit donc ici de montrer parmi les principaux ennemis de l’humanité dont à travers ce conflit d’intérêt, doublé du délit d’initiés, qui est incontestable : la branche « Conseil » de McKinsey a dicté une politique unique dans près de 65 pays occidentaux visant à enrichir l'autre branche « Fonds d’investissement », dont en vidant les comptes publics et en anéantissant économiquement beaucoup de PME/PMI et de citoyens de plusieurs pays et donc favorisant aussi le grand reset, comme lors de la crise des subprimes, du covid, de l'inflation, de la crise énergétique et de la guerre en Ukraine. Les sociétés de conseils, et en particulier McKinsey, sont au centre du monde de l’industrie et de la finance américains Tous leurs fameux conseils ont les mêmes finalités dont d’enrichir ces entreprises américaines grâce aux impôts des Français, de maintenir au pouvoir l'oppression oligarchique ou/et de privilégier certaines minorités ou idéologies. D'ailleurs, ce que l’on appelle maintenant « l’affaire McKinsey » dégage des fumets particulièrement malodorants, à base de soupçons de corruption, de connivences, de conflits d’intérêts, de fraudes fiscales, de faux témoignages, et autres perversités qui donnent avec insistance à la France une image d’une république bananière. Or on en ressort encore plus stupéfait avec la lecture du rapport de la commission d’enquête du Sénat, puisque ayant révélé le volume invraisemblable des achats étatiques de ces missions externes, leurs fréquentes inutilités sournoises, et le montant vertigineux de leurs rémunérations. Dans une démocratie normale, une commission sénatoriale ou parlementaire aurait convoqué le président en exercice pour lui demander des comptes sur cette stupéfiante pénétration privée et mondialiste au cœur de l’État, et l’aurait démis de ses fonctions, le temps de l’innocenter ou de l’accuser. Le cabinet international McKinsey et Company de conseil en stratégie dont le siège est situé à New York City est même le pivot central qui a permis la globalisation des multinationales qui comptent, l’agencification et la corporatisation des administrations publiques. Et là où se trouve McKinsey se trouvent les banquiers d’affaires de la City et de Wall Street. McKinsey est donc l’entreprise-clef qui a permis d’abord l’atomisation des entités publiques et entreprises privées nationales, puis l’intégration de leurs processus d’activités au niveau mondial. Grâce à cette restructuration puissante, systématique et planétaire, les PIB nationaux ont été vidés, les substances des entreprises riches nationales ont été vampirisées, et les gouvernements n’ont plus de pouvoir sur les structures étatiques devenues indépendantes. De plus, ce cabinet a travaillé pour stimuler les ventes de l’analgésique OxyContin ayant tué 450 000 personnes, a participé à la descente aux enfers de la banque volante que fut Swissair, correspond probablement à l'origine du pass sanitaire, et est main dans la main avec Pfizer. Ce qui prouve donc qu'il y a bien un axe Pfizer-Kinsey-Macron ou Pfizer-Kinsey-France, mais sans l’accord des Français. Tout ceci se passe au-dessus de nos têtes, et ce n'est pas avoir l’esprit mal tourné ni être complotiste que d'aller chercher ces graves infos qui révèlent clairement l’hydre mondialiste. Or il ne s’agit que de l’une des têtes de cette hydre perverse. Car nous avons aussi le Big Bank (avec ses grandes institutions financières tot big to fail tels les grosses banques centrales et privées et les grands fonds de pension types Vanguard et BlackRock), le Big Pharma (Pfizer, Moderna et compagnie, devenus célèbres depuis le plan covidiste), le Big Tech (dit aussi GAFAM), et bien sûr le Big Business (incarné par le CAC40 en France). Mais il ne faut pas oublier les plus grosses entreprises multinationales, ni l’industrie du numérique, de la santé, de l'argent, ni les services de renseignement, de police et de défense, qui protègent tout cela, plutôt que les peuples. C’est à peu près ça, aujourd’hui, l’oligarchie. Un ensemble de puissances dont les intérêts se croisent forcément. Partout se tissent des liens forts entre ces géants, qui se partagent le gâteau du monde. On dirait presque un Yalta économique (partage du monde) entre Big Tech, Big Bank, Big Business (et encore, ces trois là peuvent se caser simplement dans Big Bank, vu les liens importants entre grosses banques, grands gestionnaires d'actifs, multinationales et gouvernements occidentaux corrompus), Big Brother (dans lequel on case le renseignement, la police, la répression gouvernementale) et le Big Pharma (étant le dernier arrivé dans ce carré de tête et ayant servi de déclencheur au basculement dans le monde d’Après suite à son plan pandémique). Ainsi il faut être sûr que toutes ces têtes de l’hydre sont prêtes à nous manger tout cru. Les scandales derrière Kinsey (Enron, opiacés), Google (censure, CIA), Pfizer (effets secondaires, corruption) le prouvent nettement, mais sont honteusement effacés par le Big Média, qui n’entre même pas en tant que tête dans l’hydre puisque ce sont seulement des larbins nécessaires au fonctionnement de la domination planétaire de cette hydre mondialiste. Or si l’on veut 7 têtes à cette hydre pour des raisons symboliques, on rajoutera ce Big Média (médias mainstream, Hollywood, Netflix, etc), qui est un haut-parleur unique disant la même chose du matin au soir, d'une chaîne TV à un autre, d’un pays à l’autre, afin d'enfoncer la propagande wokisto-mondialisto-sionisto-ploutocratique dans la tête de l'humanité. Il est intéressant de lire à ce sujet le bon article « Santé, finances... c’est McKinsey qui gouverne » à l'adresse https://lemediaen442.fr/sante-finances-cest-mckinsey-qui-gouverne/
-suspension (levée) et non abolition (suppression) des mesures liberticides sanitaires, en plus non dénoncée par les médias, la justice et les comités sanitaires, ce qui prouvent le naufrage de ces institutions. Les grands médias sont même devenus honteusement des lanceurs d'injonctions formatant et infantilisant le peuple pour cacher la tyrannie oligarchique du système. Or avec le nouveau narratif du système concernant la guerre entre la Russie et l'Ukraine, la levée est passée à suppression probablement temporaire.
-déplorable désignation par la système de la droite patriote dont anti-avortement d' « ultra » voire de « nazi », alors que correspondant à la gauche républicaine des années 80.
-prétendu souci grandement erroné du gouvernement français de vouloir protéger la sécurité du pays, car Moscou ne cesse d’affirmer qu’il n’a évidemment aucune intention d’envahir l’Europe qui est sous l'OTAN. Rien ne permet de démontrer l’expansionnisme russe dont se repaient politiciens occidentaux et médias mainstream, alors que tout indique l'expansion de l'OTAN. La Russie justifie son implication en Ukraine ainsi : préoccupée par la sécurité de ses frontières face à l’expansion de l’OTAN vers l’Est, elle se devait d’agir (voir le Communiqué de presse du Ministère russe des Affaires étrangères du 17/02/2022). Rappelons-nous en effet que des accords tacites, érigés entre les Etats-Unis et l’URSS, puis la Russie, assuraient la non expansion de l’OTAN plus à l’Est. Or, cet accord a été enfreint dès 1999, et l’expansion s’est poursuivie année après année. Qui plus est, au lendemain de la révolution de Maïdan, un réseau d’espionnage de la CIA a été mis en place le long de la frontière russe, selon un article du New York Times. Quant à l’installation de laboratoires biologiques aux frontières de la Russie pour développer des armes létales, l’ex sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques des États-Unis, Victoria Nuland, a nourri la rumeur en affirmant : « L’Ukraine possède des installations de recherche biologique. Nous craignons que … les forces russes ne cherchent à en prendre le contrôle. » Il convient d’insister sur les différents recours diplomatiques auxquels a procédé la Russie afin d’éviter toute intervention militaire en Ukraine.
-menace russe pouvant être utilisée pour la cohésion de l'UE. Or la guerre de l'UE est aussi intérieure contre les peuples, ce qui signifie que le système est dans une guerre très risquée à deux fronts, car ces peuples deviennent les alliés objectifs des russes. Surtout que cette guerre étant en grande partie religieuse, celui qui la perd sera donc considéré du côté du mal car Dieu n'aura pas été avec lui.
-Covid et Russie désignés comme bouc émissaire pour amplifier l'inflation, la guerre énergétique et la crise économique planétaire servant la monopolisation oligarchique jusqu'à la tyrannie du grand reset globaliste voulu par les membres de l'hyper classe du forum économique mondial de Davos. -obligation désormais de passer par un médiateur payant avant d’aller au tribunal prétendument ou volontairement surchargé. Or le médiateur devant être payé par le plaignant coûte dans les 3 000 euros, et c’est lui qui décide si l’affaire mérite d’être présentée au tribunal. Ceci prouvant que même la justice étatique a été accaparée par les très riches.
-tyrannie financière déréglant les marchés ou les bourses, spéculation à outrance dont par le trading à haute fréquence ne préservant plus aussi un marché libre et équitable ni un système économique humain juste, et finance internationaliste soudoyant de nombreux politiciens pour favoriser les gains du privé souvent transnational au détriment de l’intérêt publique national. En effet la république est sous le contrôle de lobbies et d'occultes réseaux d'influence qui n'obéissent en réalité qu'à la haute finance mondialisée par la malhonnêteté de grands fonds d'investissements, des banques, de multinationales, des médias dominants et de nombreux politiciens. Même les institutions finissent par être détournées de leurs objectifs suite à la pression de ces lobbies dont ceux des assurances, des banques, du secteur pharmaceutique et du sujet climatique. Pour une question d'équilibre et de lutte contre l’oppression, il paraît donc souvent nécessaire de créer des bons lobbies opposés au lobbies pervers, comme celui des climato-septiques contre les climato-urgentistes aux USA ou celui des catholiques ou/et des musulmans qui devrait se créer contre le sionistes en France. Au sujet de cette disparition du vital marché libre et équitable au détriment des peuples, par des formes corrompues de monopoles ou de protections au service de certaines multinationales servant la cupidité, l'oppression et l'avidité financières des élites mondialistes perverses, l'article « La guerre psychologique derrière l’effondrement économique » est intéressant à lire à l'adresse http://lesakerfrancophone.fr/la-guerre-psychologique-derriere-leffondrement-economique Or il faut noter qu'un actif doit avoir une valeur utilitaire, c'est à dire qu'il doit reposer sur un sous-jacent créateur de richesse éthique (concrète, or, biens, connaissance, développement) protégeant la dignité humaine et l'intégrité physique. Ainsi la spéculation inconséquente doit être interdite, mais l'investissement dont dans le productif doit être encouragé, surtout que ça atténue la lutte des classes. La lutte des classes provient à l'origine de l'opposition entre les prophètes juifs souvent pauvres au service du peuple modeste et la domination perverse des élites juives riches très peu nombreuses de leur communauté, dont les rabbins. Car cette domination sur le reste de la population se faisait par l'usure ou la spéculation souvent jusqu'à son appauvrissement généralisé voire jusqu'à l'esclavage. Ainsi par le rappel prophétique évoquant pieusement la justice, les paysans menaçaient les élites d’arrêter de travailler voire finissaient par s'enfuir, en entraînant donc la destruction de la société si leurs dettes n'étaient pas effacées. Ce dernier cas de figure était au final rare, car aucun riche n'étant prêt à aller jusqu'à la disparition de la société, la dette était donc annulée et les justes règles religieuses économico-sociales étaient restaurées. Ceci prouve que pour éviter le chaos, il faut grandement combattre la dette publique. Sinon donc chaque nation deviendra un gigantesque marché privé amenant une mondialiste ploutocratie corrompue puis destructrice, dont après que les services publiques par essence au service du bien commun aient été détruits par la privatisation. Surtout que cela entraînerait possiblement un gouvernement mondial privé corrompu puisque favorisant seulement les ultra-riches comme le prouve notre époque. En effet la perverse oligarchie internationale actuelle ne nous asservit pas que par le système bancaire, la technologie, la théorie du genre ou les problèmes sanitaires, mais principalement par l'argent qui a toujours été un gros moyen de pression sur des nations dans l'histoire de l'humanité. Or comme il a été vu, ce monopole de contrôle privé, qui pourrait devenir un système plus ou moins mondial, sera peut être récupéré au final par Jésus lors de son retour pour gérer le monde ou une partie du monde parfaitement : (S7v182/183) « Ceux qui traitent de mensonges Nos enseignements, Nous allons les conduire graduellement vers leur perte par des voies qu’ils ignorent. Et Je leur accorderai un délai, car Mon stratagème est solide (jusqu'à même pouvoir récupérer les efforts que les oligarchies perverses ne voulaient s'offrir qu'à elles-mêmes, surtout que l'histoire a prouvé que c'est souvent selon le niveau de science révélé divinement à certains qu'elle a évolué) ! » Ainsi plutôt que de suivre cette sagesse très nécessaire d'annulation des dettes pour protéger la société, cette pratique de la spéculation et de l'usure est arrivée dans un cercle vicieux infernal à un niveau tellement grave, qu'elle parvient désormais à appauvrir un pays, pour ensuite investir dans la guerre causée par cet appauvrissement, et enfin encore plus s'enrichir indéfiniment en participant perpétuellement à sa reconstruction, pour à nouveau l'appauvrir, et recauser une guerre, quand ce n'est pas pour préserver le chaos afin de voler ses matières premières. Par conséquent, seuls les peuples honnêtes réveillés peuvent lutter contre cette injustice mondiale se généralisant, dont en récupérant, possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie étatiques décentralisées, le pouvoir face à ce corrompu système politique, financier et monétaire international. Ce qui prouve comme de tout temps, le nécessaire rôle prophétique populaire face à ce système totalement perverti amenant à l'hégémonie de l'empire américano-sioniste nocive mondialement : (S13v11) « En vérité, Allah ne modifie point l'état d'un peuple (par un chef sage apparaissant par exemple), tant qu'ils (ses individus) ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes (déjà au niveau de leur rejet du système en place et de leur volonté de changement, en prouvant ainsi que la société ne s'améliore pas principalement par le haut de la pyramide sociale ni par la force). »
-pouvoir économique mondial de plus en plus pris par les grands fonds d'investissement, les grosses banques et les multinationales aux mains d'oligarques tous actionnaires les uns des autres, puisque influençant fortement l'orientation financière et donc politique de la planète. D'ailleurs la finance internationaliste a souvent profité voire organisé des crises économiques et des ventes d'armes lors de guerres, afin de racheter des biens bas prix à leurs fins, encore une image du mondialisme privé des pervers ultra-riches. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Eustace Mullins en 2000 : Les banques centrales sont un danger pour la santé » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Eustace-Mullins-en-2000-Les-banques-centrales-sont-un-danger-pour-la-sante-67680.html
-grandes entreprises dominatrices de la plupart des secteurs économiques appartenant souvent donc aux mêmes actionnaires et nuisant gravement à la pluralité des origines sociales humaines ou à l'évolution de beaucoup d'être humain et donc à de possibles excellents projets nouveaux, puisque supprimant les PME (artisanat) au profit de l'industrie et ainsi de la centralisation économique, et donc monopolisant, et donc détruisant l'importante concurrence des travailleurs compétents qui ont été empêchés de réussir dans leur première entreprise.
-divers faux philanthopes milliardaires (tels Georges Soros et Bill Gates) investissant mensongèrement dans le tiers monde et manipulant les nations au profit des très riches, des mondialistes, des sionistes, du Lgbtisme ou de divers projets politiques ou idéologiques déshonorables. En effet tel des loups déguisés en agneau, ils utilisent entre autres les droits de l'Homme, le Caritatif ou l’Écologie pour faire avancer un agenda de contrôle des ressources et des peuples, dont évidemment par la corruption de membres des fonctions publique et politique. D'ailleurs tel son nom l'indique, l'Open Society Fondation de Soros (réseau de fondations créé en 1979 prétendant promouvoir la gouvernance démocratique, les Droits de l'Homme, et des pseudos réformes importantes au niveau économique, social et légal, alors que participant en réalité à la centralisation économique oligarchique par le rabaissement moral lié au wokisme) ne se cache pas de distribuer des milliards pour faire triompher ses idées perverses : financement de mouvements ou associations pour l'avortement, pour l'euthanasie ou pour le Lgbt. Aucunes nouvelles lois impies n'arrivent par hasard. Surtout car la corruption fonctionne encore mieux quand avant d'être financière et personnelle, elle est intellectuelle et morale à travers le wokisme aveuglant spirituellement le peuple, et se propage dans les responsables et les organes principaux de la société. D'ailleurs l'Open Society de George Soros se distingue par le fait que douze de ses collaborateurs sont devenus juges à la Cour Européenne Des droits de l'Homme située à Strasbourg, et par le fait qu’elle finance six autres ONG souvent mises en cause dans des affaires de corruption. La présence massive de juges issus d’un même réseau d’ONG témoigne de l’oppressive emprise car donc impartiale de grandes fondations privées sur le système européen de protection des Droits de l’Homme. En effet la CEDH est possiblement corrompue, puisque elle-même a admis ses liens avec l’Open Society de Soros. Surtout que l’idéologie des Droits de l’Homme n’est que la face visible de l’opération de destruction mondialiste des nations. C'est à dire que fréquemment, des ONG, fondations et organisations caritatives sont engagées dans une ingénierie sociale, puisqu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. Quand ce type de projet réussit, cela équivaut à un contournement extrême de la démocratie, car cela provient souvent de l'utilisation de leur argent pour orienter des idéologies, manipuler des groupes, voire gagner des élections, en amplifiant certaines voix et en taisant les autres. Surtout quand cela sert donc les perverses élites mondialistes concentrant toutes les richesses. D'ailleurs l'organisation Black Lives Mater financée aussi par Georges Soros est un mouvement de riches blancs de gauche qui s'attaquent à d'autres blancs plus pauvres qui n'ont rien à se reprocher à part d'être souverainistes puisqu'en plus ils sont généralement non racistes. Ainsi ces riches blancs de gauche augmentent leur domination financière et politique en se servant des noirs comme armes, ce qui rend ce mouvement comparable au final à du suprémacisme blanc. Dans ce sens pour changer certains régimes désobéissants, le dominateur système américano-sioniste cherche de moins en moins l'intimidation militaire ou l'assassinat de responsables politique, mais plus la révolution colorée, surtout que cela modèle une grande partie du peuple. Or il faut savoir parfois attendre patiemment et pacifiquement, car ces pervers ingénieurs sociaux vont ensuite souvent trop loin par fatuité, c'est à dire jusqu'à perdre la partie.
-syndicats recevant des millions de subventions de l'État et de l'UE, et étant donc fortement influencés par ces derniers.
-grandes sociétés privées qui s'enrichissent en asphyxiant l’économie française, en pervertissant le rôle de l'Etat et en dérégulant le marché libre et équitable, par le biais de la finance internationaliste, d'associations à but non lucratif, de politiciens corrompus et des syndicats laxistes pouvant être condamnés pour haute trahison dont donc pour le profit de l'oligarchie mondialiste au détriment de leur peuples et de leur nation. En effet ceci est par exemple prouvé par le fait que la sécurité sociale est un pool d’assureurs privés qui mutualisent un risque et possèdent donc la totalité du marché de la santé, alors que la juste politique européenne de la concurrence interdit aux entreprises de s’entendre pour fixer des prix ou se partager les marchés, d’abuser d’une position dominante sur un marché, d'exclure des concurrents potentiels, ou de fusionner si cette opération permet de contrôler le marché tel un monopole. Tout personne morale ou physique trahissant les intérêts de son pays pour soi ou autrui est condamnable de haute trahison et donc de peine de mort, surtout quand çà a été fréquent.
-Faux experts économiques qui disent toujours sur les plateaux TV que tout ira mieux avec le temps, alors qu'ils naviguent à vue, ou sont incompétents voire corrompus, et que tout empire toujours. Ils suivent l'idéologie des théories économiques dites classiques, alors qu'elles sont responsables du chômage de masse en favorisant les ultra-riches. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « [Présidentielle 2022] – Faut-il punir les chômeurs pour le chômage ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uNXAlL26mus&list=WL&index=4
-capitalisation et donc vente au privé des retraites, et annulation de leur équité pour une confusion injuste d'égalité devenant inégalité, puisque les régimes spéciaux pour la retraite sont en rapport avec la difficulté ou l'espérance de vie des divers métiers. Cette recherche de l'égalité absolue aveugle provient du pseudo progressisme servant le mondialisme oppressif, alors qu'elle est donc absurde par rapport à l'équité et va même jusqu'à créer diverses inégalités comme lorsque des transsexuels hommes devenues femmes participent aux épreuves ou compétitions sportives féminines en les gagnant toutes. La droite politique authentique, c’est l’égalité des chances. La gauche politique actuelle, c’est l’égalité du résultat, ce qui n’existe pas dans le monde réel. Or nous sommes même dans un fou monde occidental, car il promeut donc injustement l'égalité au détriment de l'équité, alors que c'est seulement l'équité (c'est à dire la justice réfléchie, morale et donc authentique synonyme de meilleure noblesse puisque non mathématique) qui réalise le bien commun, révèle la véritable raison apaisante, réconforte les âmes, guérit les blessures psychologiques, assure la stabilité interne de chacun, et nous pousse donc tous à rationaliser le dialogue et l’action collective dans la bienveillance optimale pour surmonter tout problème important et toute crise dangereuse : (ExtS16v90) « Certes, Allah commande l'équité, » « La société laïciste est devenue suprêmement impie par sa déchéance, dont car le stupide progressisme ultra égalitaire en tout partout, se prétendant de raison et humaniste, se croit à son apogée. Ce qui prouve qu'il s'agit bien que nous vivons une époque de chaos voire d'apocalypse (révélation), puisque dans une contradiction maximale. Or inévitablement par plus ou moins de violence, notre époque s'orientera soit vers une société numérique progressiste déshumanisée dont suite à l'abrutissement des dernières décennies et donc à la soumission des peuples, soit vers une société retournant à l'équité pieuse authentique suite à une exaspération populaire massive. Ainsi actuellement, deux chemins d’égalité sont en concurrence et en lutte. Il s'agit du combat suprême au sein d’une même modernité : celui du dieu mathématique, maçonnique et kabbaliste et celui de la fraternité réelle du Dieu d’amour. Dit autrement encore : le règne menteur de l’égalité formelle, face au règne moral de la fraternité réelle (à travers l'équité) ; le pouvoir des nombres ou l’amour. ... Ainsi la modernité égalitaire perverse a en plus durablement chassé du monde le principe aristocratique, alors que le réel impose partout une évidence hiérarchique, que ce soit dans le monde animal, celui de la culture ou de l’entreprise... Dans notre monde, cette contradiction entre aspiration à l’égalité, synonyme de justice, et impératif hiérarchique, a été humainement résolue par la proposition du Christ, sa « loi naturelle » au sein de laquelle la nécessité hiérarchique est tempérée, moralisée par le souci de l’autre, et basée sur la compassion, comme le sous-entend sa parole : « aimer vous les uns les autres ». Ce chemin d’égalité, qui est tout autre que l’égalité formelle (illégitime) issue de révolution et de la raison mathématique et qui conduit au pouvoir technocratique, puise son origine dans la double composante de l’intelligence humaine, affective et cognitive. Ainsi c’est logiquement de l’effacement de cette dimension de l’intelligence et du message du Christ que provient notre descente vers ce monde froidement mathématique et technocratique qui semble de plus en plus dominé par le diable. ... Pourtant la France originelle avait inventé un processus égalitaire légitime (car synonyme d'équité) basé sur sa double culture grecque et chrétienne, la logique d’Aristote et la charité du Christ qui fondent l’humanisme français, nos valeurs helléno-chrétiennes. … « L’inégalité au nom de l’égalité ! » est un coup de génie qui embrasse toute l’époque, car telle la suprême arnaque sortie de la tête même du diable. (En effet c'est finalement d'abord l'inégalité économique qui apparaît au profit des privilèges de la super classe, comme le prouvent les prêts étudiants US exorbitants. Et cette inversion des valeurs dont donc de l'égalité va jusqu'à empirer vers toujours plus de folie et donc d'impiété, en particulier à travers la transsexualité, le transhumanisme, le mariage pour tous.) Nous avons donc en tant que français helléno-chrétiens authentiques, dans ce combat à mener contre la bête, la froide bête mathématique et technocratique judéo-anglo-saxonne du tout puissant Marché, un rôle fondamental d’opposant historique à jouer. Surtout que la France étant aussi la fille aînée de l’Église, le mère des révolutions et la patrie du cœur et des idées, elle peut donc être en première ligne une fois encore pour y jouer son rôle et y tenir son rang ! … En effet même si pour ce rôle, la France est logiquement au cœur de l'enjeu de la domination satanique du monde, elle détient aussi une grande énergie par ses intellectuels dissidents de diverses origines et donc une des meilleurs opportunités par son histoire pour trouver le chemin du triomphe ultime de la vérité et des peuples. » (Alain Soral) « La Révolution française peut être définie comme la bourgeoisie qui a pris le pouvoir au nom de la Raison égalitaire, l’axiomatique des droits de l’homme… Mais ce pouvoir bourgeois pris au nom de l’égalité formelle, conduit très vite, dans le réel, à la nouvelle inégalité sociale du monde bourgeois. Et la bourgeoisie, progressivement, se voit d’abord contrainte d’expliquer cette inégalité par la Raison, puis d’abandonner une Raison intenable qui, de plus en plus, vient contredire sa propre domination. Ainsi, historiquement, la bourgeoisie est d’abord la classe de la conquête du pouvoir par la Raison égalitaire pour devenir, in fine, la classe de la destruction de cette même Raison pour se maintenir au pouvoir. D’abord l’égalitarisme formel des droits de l’homme, puis l’égalitarisme mensonger de la démocratie parlementaire et enfin l’égalitarisme fou du LGBTIsme et de l’animalisme ! Après la promesse puis le mensonge, le chaos ! La modernité (et l'égalité à outrance) a durablement chassé du monde le principe aristocratique. L’inégalité (en particulier l'inéquité) règne donc en douce, honteuse et menteuse, tandis que le réel impose partout une évidence hiérarchique, que ce soit dans le monde animal, celui de la culture ou de l’entreprise… Dans notre monde, cette contradiction entre aspiration à l’égalité, synonyme de justice, et impératif hiérarchique a été humainement résolu par la proposition du Christ, sa « loi naturelle » où la nécessité hiérarchique est tempérée, moralisée par le souci de l’autre, la compassion, le « aimez-vous les uns les autres ». Dans le livre, je démontre que ce chemin d’égalité, qui est tout autre que l’égalité formelle issu de la Raison mathématique et qui conduit au pouvoir technocratique, puise son origine dans la double composante de l’intelligence humaine, affective et cognitive, et que c’est de l’effacement de cette dimension de l’intelligence et du message du Christ que provient notre descente vers ce monde qui semble de plus en plus dominé par le diable… Sans renier Marx, je me retrouve donc radicalement chrétien en passant par le thomisme et Piaget ! L’homme, qui a été chassé du jardin d’Éden parce qu’il a mordu la pomme qui est le fruit de l’arbre de connaissance, a pu ainsi développer ses potentialités de puissance par la maîtrise des mathématiques appliquées. Mais s’il oublie, dans ce processus de puissance, le souci de l’autre, il va à sa propre destruction collective. C’est là que l’on comprend que la parole d’amour du Christ est aussi la Raison incarnée, le Logos… » (Alain Soral) Il est aussi intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Comprendre l'époque – Entretien avec Alain Soral » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Comprendre-l-Epoque-visionnez-la-version-integrale-et-illustree-de-l-entretien-d-Alain-Soral-avec-66049.html La mathématisation du monde devenue amorale en particulier au niveau économique et financier sert donc désormais seulement la domination des pervers mondialistes ultra riches. En effet cette pseudo nécessité de mathématisation de l'économie et donc de la politique sert seulement la forte oppression de l'hyper classe globaliste dans la lutte des classes. Alors que l'économie n'est pas une science mathématique basée sur des théorèmes mais une science sociale logique comme le prouve le Coran et son système économique. Pourtant elle est devenue une idéologie et donc une croyance pour certains économistes, et ils ont donc tout faux. D'ailleurs le système dette pour augmenter la croissance ne fonctionne plus, puisque la dette mondiale augmente plus rapidement que le PIB mondial, et un changement de paradigme est donc nécessaire, surtout que le remboursement de cette dette montée désormais à 400 % est impossible. Ceci est lié au grand danger de la rapidité inédite dans l'histoire de la concentration des richesses dans peu de mains. D'autant plus qu'on ne peut plus faire croire qu'un groupe d'individus très égoïstes va finalement générer le bien-être pour une société. En effet les mathématiques via les innombrables chiffres économiques, statistiques et prospectifs sont devenues un outil de manipulation et de contrôle, mais en réalité jusqu'à l'autodestruction à cause de l'hypercentralisme oligarchique et globaliste, puisque ce système finit même par se manger lui-même dont par les planches à billets nombreuses, la vaste dérégularisation et la globalisme massif. Surtout qu'avec l'idéologie wokiste, cette démocratie tend à devenir une dictature parfaite via l'IA ou le transhumanisme pour compenser les erreurs humaines voire remplacer l'homme, dont aussi afin de sauver la planète et plus l'humanité. Ainsi « Il faut faire descendre l’intelligence dans le cœur. Les membre de l'occident politique ont fermé leur cœur, ils sont dans le rationalisme insensible et inéquitable, car au final follement égalitaire. L’orgueil humain fait qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de nous exposer leurs croyances, leur “religion”. Cela rejoint la question spirituelle car à un moment il faudra choisir. Cela n’est plus une question d’intelligence, c’est un choix spirituel, du cœur. » (Pierre-Antoine Plaquevent) Surtout que l’égalitarisme actuel devenu un totalitarisme égalitariste correspond en plus au culte impie de l’indifférencié au niveau naturel, familial, ethnique et national (arasement de toute les différences même sexuelles à travers la possible transsexualité), car ces deux premiers niveaux sont évidemment anti-monothéisme authentique et les deux derniers appartiennent au monothéisme authentique seulement en cas d'union pieuse au sein d'un califat ou d'un empire chrétien. Or pour gérer au mieux l'équité qui est la véritable égalité, le monothéisme authentique est logiquement et donc dignement hiérarchique dans l'indépendance, afin que le dirigeant politique soit le plus libre de jugement pour rechercher la meilleure noblesse dont donc dans des intérêts divergents en fonction du contexte. De plus le véritable égalitarisme serait normalement de donner les mêmes chances de réussir dont en vivant dès la naissance dans un bon domicile, un bon environnement et avec des moyens compensant les handicaps au moins physiques, ce qui est loin d'être le cas dans le pseudo système égalitariste occidental actuel, et ce qui prouve que l'égalitarisme parfait est impossible, et que l'équité est bien le meilleur chemin. Surtout que dans une conclusion contraire à sa prétention originelle, tout ce projet de l'égalitarisme a fini par faire de la démocratie un système contrôlé par la minorité oligarchique mondialiste, dominatrice, amorale, et donc inégalitaire, puisque n'hésitant pas pour son profit à restreindre voire effacer la religion, la liberté et même le peuple, comme le prouvent les manipulations ayant amené la franc-maçonnerie, la Révolution française, Mai 68, la crise de subprimes, le covid, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Syrie et la guerre en Ukraine. Il est intéressant d'écouter à ce sujet la fin de la vidéo de Youssef Hindi « "Comprendre l'époque" d'Alain Soral - Commentaire » à partir de la minuté 48 et 6 seconde à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=mB6tr6S6nuc En sachant que les deux grands empires qui ont gagné la deuxième guerre mondiale ont été tout deux basés sur un principe égalitaire différent même si tous deux ont fini par comprendre comme le républicanisme égalitariste que l'existence de classes sociales est inévitable : l'égalité du marché pour les USA, et l'égalité de classe sociale pour l'URSS. Or la laïcité égalitaire et antiraciste (gauchiste) est d'abord en réalité au service du judaïsme et de l'oligarchie inégalitaires (suprémacistes) se servant d'un discours de valeurs mensonger et manipulateur dont de défenses des minorités en particulier perverses comme les Lgbt. Dans ce sens pour garder le pouvoir, ce système a intérêt de faire baisser la conscience politique du peuple dont donc par le lgbtisme, mais aussi le contrôle de l'information en particulier des médias grand public, la pornographie, la dévalorisation du sacré, le féminisme, l'immigration massive de jeunes incultes, l'éducation à la sexualité, etc. C'est pourquoi le gauchiste voulant l'égalité et donc l'équité authentique doit donc sortir du gauchisme. Ce pseudo égalitarisme favorisant en réalité les ultra riches et le judaïsme politique est devenue la seule idée politico-médiatique autour duquel tournent le monde occidental et une grande partie de ses peuples. C'est donc un système de domination inégalitaire qui avance sous le masque de l'égalité. Ce qui n'est pas étonnant car le tyrannique égalitarisme à outrance est porté par le pervers américano-sionisme unipolaire et donc totalitaire par essence. Ainsi la vraie liberté ne peut être liée qu'à un monde multipolaire dont car permettant le choix de l'exil, ce qui est une des possibles raisons pour laquelle le califat ne fut pas mondial. Le modernisme égalitariste occidental actuel ne prenant pas en compte le contexte, il peut même devenir un danger massivement mortel, comme si nous donnions les mêmes outils à un étudiant en médecine et à un professeur de médecine en diminuant les nombres de personnes soignées, plutôt que de donner plus d'outils à ce professeur de médecine afin que plus de personnes soient soignées. Comme souvent afin d'égarer les humains dont à travers cet égalitarisme impie, le Diable peut utiliser un chemin de lumière pour pousser les hommes à se servir à outrance de certaines bonnes valeurs. Ce mal illicite est comparable dans le cadre légal religieux à l'excès de consommation d'un besoin comme quand quelqu'un mange trop de nourriture licite. De plus la hiérarchie et la qualité des choses (nature divine des choses) s'oublient progressivement car notre époque ultra libérale amène désormais souvent principalement à voir et donc privilégier la quantité plutôt que la qualité par exemples à travers la mesure de la température faisant oublier la qualité (nature) de la glace et celle du feu établies par Dieu, à travers le bas intérêt financier des opérations de changement de sexe, et à travers la gloutonne économie moderne n'hésitant pas à s'enrichir avec la quantité au détriment de la qualité comme le prouvent les restaurants MC Donalds. En effet comme selon l’idéologie libérale, la recherche du gain est nécessaire pour toute économie capitaliste si elle veut prospérer, elle doit aller au-delà de ses besoins même concernant des territoires géopolitiques, à la différence du califat s’accommodant de la stagnation grâce à ces divines et donc excellentes lois divines. Il faut donc plutôt au moins s'engager pour la qualité en même temps que la quantité. Ainsi plutôt que de tendre vers l'égalitarisme formel et donc fou et donc impie du progressisme wokiste, il faut bien revenir à l'égalitarisme réel et donc juste et donc pieux de l'équité authentique, dont donc par une nécessaire et ainsi respectable hiérarchie noblement indépendante. En effet cette dernière tendra à la meilleure équité dans la plupart des domaines par sa logique défense des valeurs supérieures tels la vision collective, le bien commun, l'intérêt général, les particularités de toute entité, le respect pour autrui et le partage.
-loi totalitaire validant l'écoute téléphonique, en sachant que le système peut écouter les conversations via les Box Tv, les télécommandes de Box, et les consoles de jeux vidéos ainsi que tous les appareils avec un micro connectées.
-FMI dont l'actionnariat sont des Etats qui participent donc à un système d’usure international au niveau publique, plutôt que de participer à de l'investissement si ce n'est pas de prêter sans intérêts progressivement en fonction de l'évolution d'un projet dont infrastructurel.
-centralisation de l'union européenne de plus en plus par la dette puisque gérer de plus en plus par la BCE collectivement. Surtout que paradoxalement depuis le Brexit, la centralisation au sein de l’Union Européenne s’est accélérée. Chaque crise est utilisée à cet effet dont le coronavirus et désormais la guerre en Ukraine. Jean Monnet l'avait perversement prédit. D'ailleurs au niveau mondial, chaque crise inventée dont de nombreuses guerres, famines et effondrements financiers, est une histoire de couverture d’un crime ou d’une prise de pouvoir mondialiste de plus grande envergure. De plus, l’Union Européenne attaque ses propres membres lorsque ceux-ci sont considérés comme déviant de ce mécanisme de centralisation s'appuyant en partie sur l'immigration massive et le Lgbtisme. De nombreux Français (mais toujours minoritaires) ont fini par comprendre, forcés et contraints par la réalité qu’ils subissent, que l’Union européenne n’est pas un beau projet au service des peuples d’Europe, mais au contraire une entreprise d’asservissement des peuples et de destruction des nations européennes, et ce, au bénéfice de la communauté financière et mondialiste, prédatrice, cynique, perverse et même sadique qui contrôle la City et Wall Street et par conséquent Londres et Washington. « De nombreux Français ont finalement vu et compris que : • l’Union Européenne, ça n’est ni le plein emploi, ni la prospérité, ni la solidarité, mais au contraire, c’est les délocalisations, la concurrence sans entrave avec des pays dont les salaires (entre autres) sont 4 ou 5 fois plus bas, c’est le chômage, l’appauvrissement et c’est les retraites à 65 ans… en attendant 67 ans et même 70 ans. • l’Union européenne, c’est un levier, d’abord idéologique, puis réglementaire (dans l’ordre) pour amener et forcer la population à accepter les privatisations (= le pillage de la richesse nationale), le démantèlement des services publics et les pires escroqueries comme, par exemple, le prix « européen » de l’électricité, l’escroquerie des prétendues subventions « européennes » ou de la PAC (Politique Agricole Commune). • l’Union européenne, ça n’est ni la démocratie, ni la transparence, ni une protection contre la corruption puisque c’est l’exact inverse comme l’ont montré les récentes règles liberticides « européennes » et les nombreux scandales de corruption liés à la Commission de Bruxelles ou au parlement européen (« Qatargate », etc), et notamment le plus retentissant, celui des dizaines de milliards d’euros de prétendus « vaccins », Pfizer et autres, commandés par texto et dans le dos de la population par une présidente de la Commission européenne non élue et sans aucun droit de le faire. • l’Union européenne, ça n’a jamais été fait pour être un contrepoids face aux États-Unis, mais au contraire, ça a été pensé et construit pour aliéner les pays européens (à commencer par la France) dans un ensemble totalement hétéroclite et disparate où chaque pays abandonne sa souveraineté et obéit à des règles et des directives qui sont élaborées à Washington et Londres et qui nuisent à ses intérêts les plus fondamentaux (surtout la France, encore une fois…). • l’Union européenne, ça n’est pas la paix, puisque c’est aussi obligatoirement (par les traités) l’OTAN, et c’est donc la guerre contre à peu près tout le monde sur terre… qui n’accepte pas d’être une colonie américaine ou anglo-saxonne. Toutes ces évidences, de plus en plus de Français ont fini par les intégrer, des ouvriers des usines délocalisées devenus chômeurs aux agriculteurs, en passant par les employés des services publics en cours de démantèlement, les bientôt futurs retraités, les simples consommateurs qui paient leur facture d’électricité, etc. Et on voudrait nous faire croire que malgré ça, en 2024, il n’y aurait toujours que 1 % des électeurs qui envisagent de voter pour une liste prônant le Frexit et la sortie de l’OTAN ? C’est impossible. Mais du coup, on peut se poser la question de savoir pourquoi les instituts de sondages (appartenant tous au domaine privé et à des représentants de la mafia européiste et mondialiste) prendraient le risque de minorer à ce point les intentions de vote en faveur du Frexit alors que le verdict des urnes finira bien par tomber au soir des élections en les contredisant de façon cinglante (et en les faisant apparaître pour les manipulateurs qu’ils sont). À moins, évidemment, que les dirigeants de ces instituts de sondages sachent à l’avance et avec l’absolue certitude que les résultats publiés au soir de ces élections européennes ne viendront jamais contredire leurs prévisions… » (Éric Boizet)
-BCE (dont le bilan correspond très étonnamment à 80 % du PIB européen) appauvrissant les banques par les taux négatifs afin de les racheter facilement lors de leur faillite tel un pyromane pompier, et créant des centaines de milliards d'euros lors de crises comme celles des subprimes ou celle sanitaire pour ne pas sauver des vies mais pour maintenir le système financier tout enrichissant des monopolistiques intérêts oligarchiques au détriment des contribuables.
-BCE s'associant à la supranationalisation des moyens de productions et étant liée à la monopolisation des grosses multinationales privées dont des services publiques. C'est pourquoi il faut dissoudre (se réapproprier) les banques selon la loi française en leur enlevant leurs capacités juridiques voire commerciales, afin de les nationaliser, récupérer les 12 500 milliards qu'elles ont spoliés (accaparés dont par l'usure) sur le travail des français depuis des décennies, annuler les dettes, prêter sans intérêt qu'au producteur d'emplois et de richesse, reconstruire les services publiques, relever grandement le salaire minimum et ramener le niveau de la France sur le podium des grandes puissances mondiales. Surtout que la France ayant un climat tempéré, une position géographique importante, un bon développement économique, de nombreux prix Nobel une armée et la bombe atomique, elle a vraiment tous les moyens pour réussir face à des ingérences étrangères comme celles des USA, de l'Angleterre ou d'Israël, ou celles privées comme la BCE, le FMI, Black Rock ou les GAFAM, ou celles militaires comme l'OTAN. Et il faut donc y croire, car c'est entièrement possible. En sachant que cela devient très urgent puisque selon Claude Janvier concernant l’État profond américain : « Les États-Unis pillent l’Europe depuis 1917 (dont via la haute finance, les multinationales et les pseudo cabinets de conseil tel Mc Kinsey). » Selon Mélenchon, la Banque centrale européenne doit même annuler la part de la dette de la France qu’elle a dans ses coffres. C’est la seule voie pour relancer notre économie. Il ne faut pas des économies de plus mais des dépenses supplémentaires. Pour l’hôpital, l’école, et tous les services publics.
-travailleurs détachés (venant de l'étranger) précaires par centaines pour désolidariser les ouvriers dans leurs légitimes revendications, surtout que ces travailleurs détachés proviennent de sous-traitants comme dans les chantiers navals de Saint-Nazaire.
-robotisation à outrance entraînant le chômage de masse, car pour les robots : pas de salaire, pas de vacances ni de week-end, pas d'arrêt maladie ni de congé maternité, pas d’horaire de travail limité ni de pause même la nuit (travail 24/7 sauf le temps de recharge si impossible de les garder branchés), pas de syndicalisme ni de grève ni de prud’homme. En sommes que du bénéfice pour les patrons privilégiant l'argent à l'humain, le matérialisme à Dieu, alors que l'argent doit demeurer un outil au service de l'homme même s'il travaille peu et non l'inverse jusqu'à la déshumaniser dont donc via la robotisation. La technique et la technologie sont un outil, que les humains doivent utiliser noblement au risque de s'anéantir. Or « Cette maladie de la civilisation occidentale nommée "la modernité" est une inversion du rapport entre les moyens et les fins. Dans la perspective occidentale, les moyens sont devenus une fin : la science et la technologie ne sont plus adaptées à l'environnement ; elles ne sont plus au service de l'homme. Tout au contraire, l'homme et son environnement sont subordonnés au développement autonome (ou à outrance technologiquement). » (Roger Garaudy)
-robotisation des forces de l’ordre (robots chiens et drones automatiques possiblement sous forme de moustiques) pour surveiller et oppresser la population, tout en enlevant donc l'élément moral du policier humain afin que cela soit soumis inconditionnellement au système ploutocratique et sioniste. -politique des caméras de rue prétendant sécuriser, alors que surveillant d'abord le peuple et amenant en réalité au résultat suivant : un gouffre budgétaire des contribuables au profit des sociétés privées, plus de PV pour les habitants, une délinquance qui s’adapte aux angles morts, et des caméras-piétons. Ce qui veut dire que ces caméras servent bien d'abord à filmer voire ficher les manifestants ou les quidams avec le consentement de la loi. Or ça n’empêchera même pas les tabassages et les gazages, puisqu’un policier a le droit de se défendre contre la violence des manifestants pouvant être instrumentée par des actions sous faux drapeau, même quand il s’agit de familles avec femmes et enfants.
Médiatiques :
-inféodation sordide de la presse aux puissances d’argent, qui tiennent les banques centrales, les vaccins, leurs effets secondaires, les politiques migratoires provocantes et aberrantes, le wokisme et l’agenda antisexuel (qui est un agenda malthusien ou pour mieux dire encore génocidaire).
-banques ayant racheté les médias de masse en 2008, et ayant donc pris le contrôle de la démocratie.
-une fois de plus, comme en 2016, médias et sondages s'étant honteusement trompés grandement.
-médias occidentaux imposant stupidement voire vendument la pseudo-justice morale du sionisme porté par des juifs ashkénazes européen de l'est alors que contre les vrais descendants des hébreux que sont les palestiniens, et que donc totalement dysfonctionnel historiquement, religieusement et étatiquement.
-divers sujets ou actes choquants évoqués médiatiquement par avance dans une forme de communication subliminale pour préparer le peuple à accepter plus facilement des mesures gouvernementales liberticides.
-chroniqueurs de plateaux TV (donnant leur avis et venant souvent du monde du spectacle) sélectionnés d'abord pour leur profil (âge, origine, poids) et non donc pour leur connaissances profondes des dossiers traités, afin de formater l'opinion publiques souvent en participant à l'abrutissement généralisé comme la plupart des grands médias ou en accusant sans argument de complotismes certains avis. C'est pourquoi la connaissance est la meilleure arme des peuples pour lutter contre le système actuel, car un peuple éclairé n'est pas manipulable dont en choisissant l'espoir, la défense du droit du travail et l'organisation pour le bien commun, plutôt que le désespoir, la soumission au capital ultra riche et la désorganisation face aux intérêts particuliers dont oligarchiques.
-« Journalistes sachant que Biden était sénile depuis le début mais qu’ils l’ont couvert en prétendant que toute affirmation à cet effet était de la « propagande russe » et/ou une « théorie du complot », tout cela parce qu’ils approuvaient profondément que les démocrates installent à la Maison Blanche un prête-nom littéral que l’élite libérale-mondialiste pouvait contrôler. C’était un changement rafraîchissant par rapport à Trump, beaucoup trop indépendant à leur goût malgré ses capitulations occasionnelles, et cela a également rassuré les alliés de l’Amérique qui ne l’aimaient pas non plus. Ce pays est dirigé par un réseau obscur d’élites transnationales et nationales unies par leur idéologie libérale-mondialiste radicale. Biden a été choisi comme candidat des Démocrates en 2020 précisément parce qu’il était déjà sénile et donc totalement contrôlable. Ce parti, qui est le visage public du réseau d’élite susmentionné, voulait quelqu’un qui ferait tout ce qu’il exigeait sur les fronts de la politique intérieure et étrangère. En particulier, ils cherchaient à transformer l’Amérique en un enfer libéral-mondialiste tout en renforçant l’endiguement de la Russie par l’OTAN en Ukraine, afin de conclure leur nouvel ordre mondial unipolaire. La seconde politique s’est retournée contre eux après le début de l’opération spéciale. Toute reconnaissance du fait qu’ils étaient au courant dévoilerait leur rôle dans le coup d’État de facto de 2020, le dernier en date de l’élite après ceux de 2001, 1974 et 1963. À l’époque, le 11 septembre a été exploité comme prétexte pour porter l’État de sécurité nationale à son niveau supérieur, tandis que la démission de Nixon face au scandale du Watergate de la CIA visait à écarter un leader visionnaire véritablement indépendant et populaire. Quant à l’assassinat de Kennedy, nombreux sont ceux qui pensent qu’il visait à empêcher son retrait prévu du Viêt Nam. Le dernier coup d’État de l’élite visait à donner un coup de fouet à la trajectoire libérale-mondialiste préexistante des États-Unis après que Trump l’a partiellement entravée avec ses politiques plus conservatrices-nationalistes. Ce qui a nécessité de provoquer une guerre par procuration avec la Russie afin d’unifier l’Occident autour de cette cause. Les dommages ont déjà été causés et beaucoup sont irréparables, mais le retour au pouvoir de Trump serait meilleur pour les Américains et le reste du monde, c’est pourquoi l’élite s’y oppose catégoriquement. » (Extraits de l'article « Ne laissez pas l’élite s’en tirer en prétendant qu’elle ne savait pas que Biden était sénile » de Tyler Durden) Or Macron, hué dans les rues de son propre pays, saqué dans les urnes, et Biden, littéralement à la casse avec sa bouillie mentale, représentent un Occident malade, à bout de course et de souffle.
-patrons de la presse publique et patrons de la télé publique qui devraient plutôt être élus, grands médias qui ne devraient être détenus au maximum qu'à 25 % (voire être mis en coopérative) tout en ayant un permis à point par rapport à la charte de Munich, et petits médias moins soumis au compromis et donc à la perte de radicalité qui devraient être plus défendus.
-journalistes manquant à leur devoir de neutralité ou d'objectivité.
-éditorialistes (chroniqueurs incarnant la propagande gouvernementale, wokiste, ploutocratique sioniste ou/et mondialiste) et journalistes confondus.
-grosse alternative médiatique comme le dailywire manquante.
-d'anciens espions israéliens occupant des postes importants chez Google, Facebook et Microsoft plus grandes portes d'internet pour espionner les populations.
-Conspiracy Watch étant une officine de propagande qui déploie son activité de désinformation et de manipulation de l'opinion aux frais du contribuable et de David de Rothschild, tout en invoquant la mémoire des déportés. Ce qui est un gros problème... « On notera que la réalité du pouvoir en France est aujourd’hui clairement détenue par le petit gang de milliardaires qui contrôlent non seulement les médias mainstream mais aussi les organismes dits de «fast checking» en charge, moyennant subventions, de décrédibiliser toute opinion dissidente en distribuant des anathèmes. La caricature de ce genre d’officine est le site dit «Conspiracy Watch». Créé par un jeune sayan quarantenaire, ambitieux, (encore un) très engagé au service du sionisme israélien et du mondialisme néoconservateur états-unien, au point de choisir un nom anglo-saxon pour son site. Rémunéré par la Fondation pour la mémoire de la Shoah pour son travail, soutenu par Bernard-Henri Lévy, largement subventionné par l’État Français pour promouvoir la seule vérité officielle en décrédibilisant la moindre dissidence, ce site décerne des diplômes de complotistes à tous ceux qui ne pensent pas comme le courant mainstream et les milliardaires mondialistes qui le contrôlent. Le seul avantage de ce site est qu’il affiche clairement ses allégeances qui crèvent les yeux. Rudy Reichstadt a trouvé le bon filon et les bons maîtres mais il pousse le bouchon tellement loin qu’il en perd toute crédibilité. Du haut de ses quarante ans, ce jeune homme qui n’avait pas 20 ans en l’an 2000 et ne connaît, in fine, pas grand-chose à la vie et à l’histoire qu’il n’a pas vécue, se permet de s’attaquer à des gens autrement mieux «câblés» et titrés que lui. Alain Juillet, Caroline Galactéros, Eric Dénecé, Jacque Hogard, Henry Roure, Anne Laure Bonnel, Pierre Emmanuel Thomann, Thierry Mariani mais aussi le journal Valeurs actuelles, TV libertés, et France Soir évidemment sont, entre autres, ses cibles de prédilection. S’il devait y avoir «un changement de régime» en France dans les années qui viennent, soit pacifique, soit de nature révolutionnaire, il est clair que le nettoyage des écuries d’Augias devrait être entrepris, tant au plan politique qu’au plan médiatique et que l’avenir professionnel du sayan Rudy Reichstadt serait alors évidemment compromis … Mais ce serait une autre histoire …. » (Général Delawarde)
Monétaires :
-euro comme donc la désindustrialisation empêchant la France de réduire son déficit budgétaire par l'impossibilité de dévaluer cette monnaie et donc relancer une grosse croissance afin de se désendetter massivement dont par un meilleur rapport économique au niveau des importations et exportations, ce qui amène au retour nécessaire du franc à la même valeur que l'euro et donc à la sortie de l'UE.
-Euro empêchant aux pays faibles de dévaluer leur monnaie pour être plus compétitifs.
-création ex-nihilo par la banque centrale européenne de centaines de milliards d'euros donnés sans réel contrôle aux banques privées et donc aux riches chaque année.
-puissances d’argent tenant les banques centrales.
-illicite monnaie papier car trop imprimée, n'ayant pas de valeur intrinsèque, devant normalement être basée sur l'or et ne représentant pas honnêtement les richesses réelles du pays. Ce qui sera probablement encore plus le cas pour les futures monnaies numériques centralisées qui verront le jour en facilitant la soumission des Etats aux banques centrales privées voire aux multinationales oligarchiques mondialistes, à moins qu'elles soient décentralisées, établies sur la création de richesse, adossées à l'or et représentatives de l'économie réelle. Ainsi même si elles sont centralisées au départ, il est possible que cela permette finalement à la technologie blockchain et à une cryptomonnaie populaire décentralisée synonymes de perfection économique de se développer et donc à l'humanité de pouvoir changer de paradigme en bien. Car comme tout outil que sont d'ailleurs l'environnement et l'argent, il est certain que la blockchain et la cryptomonnaie peuvent être utilisées sagement ou perversement. De même pour parfaire certaines situations, le QR code peut être utilisé quand il est sécurisé par une signature numérique. En effet en cryptographie, on peut signer et vérifier un document pour permettre de garantir qu’une personne ou un organisme l’a créé et que personne ne l’a pas modifiée. C'est à dire que l’organisme possède une clé numérique secrète pour le signer, et qu'ensuite une autre clé publique accessible à tous permet de vérifier la signature. En effet personne ne peut donc créer un QR code conforme sans avoir la clé secrète de signature et ensuite n’importe qui peut le vérifier en utilisant la clé de vérification. Ainsi par exemple, cette technologie paraît légitimement utile pour la validation de la présence authentique d'un candidat à un examen (pouvant être liée à une photo ou même à une emprunte digitale puisque nos smartphones s'en occupe déjà), d'une carte de cantine scolaire ou professionnelle, d'un voyageur utilisant une compagnie de transport, du billet d'un supporter, d'un citoyen recevant une aide gouvernementale, d'un malade recevant une indemnité de la sécurité sociale ou d'une personne devant récupérer un colis. Le QR code peut également être bien utilisé dans divers autres cas dont en devenant un lien pratique vers un site internet, un anti-vol et un raccourci anti-perte vers les papiers d'un véhicule loué. (Or il faut évidemment faire attention aux dérives totalitaires du QR code comme celles qui ont eu lieu lors du Covid. Par exemple pour accéder à la « zone anti-terroriste » de Gérald Darmanin lors des JO 2024 en France, il vous faudra votre saint QR code. Oui, même si vous êtes riverain et que vous voulez juste rentrer chez vous pour regarder les JO à la télé. Pas de QR code, pas de maison, c’est la nouvelle devise de Paris ! Et attention, pour louer un appartement sur une plateforme internet ou aller au restaurant, il faudra aussi avoir votre précieux QR code.) De plus les certificats numériques peuvent être sécurisant au niveau de la propriété ou d'une vente. En effet par exemple le NFT (Non Fongible Token) signifiant jeton non fongible correspond à une donnée valorisée composée d'un type de jeton cryptographique qui représente un objet, auquel est rattachée une identité numérique. Cette donnée est stockée et authentifiée grâce à un protocole de chaîne de blocs, qui lui accorde par là-même sa première valeur. Dans ce sens, une solution aux arnaques deepfake dans les environnements d’entreprise est d’équiper chaque employé d’une paire de clés cryptées, suite à avoir signé les clés publiques lors de réunions en personne. Ainsi plus tard, dans les communications en visioconférence à distance, ces clés signées pourraient être utilisées pour authentifier les parties au sein d'une réunion, particulièrement avant d'y valider le virement demandé de grosses sommes d'argent par un responsable. De plus pour éviter les fakes lors d'une acceptation de contrat numériquement par la reconnaissance faciale ou l’emprunte digitale, la blockchain est la meilleure solution. Le possible nouveau paradigme populaire pour le bien commun à venir basé sur cette évolution de la technologie devra donc créer un système de protection dont par la transparence de la blockchain qui veillera à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des personnes liés à de particuliers intérêts commerciaux avec des multinationales ou de grosses banques spéculatives. En effet la blockchain peut correspondre à la principale purification de l’économie dont par une monnaie limitée, la corruption impossible grâce à des valises anonymes (sauf pour l'impôt ou la justice) d'une monnaie traçable, toute transaction enregistrée même vers les paradis fiscaux, un système électoral infalsifiable (puisque chacun pourra consulter son vote et compter les votes affichés seulement avec des codes de numéros représentant chaque électeur) et donc un marché clairement libre et équitable. Cependant cela se fera donc au profit d’une surveillance augmentée mais pas tant que ça, puisque nos revenus par l’impôt et nos achats sur internet et avec une carte bleue peuvent être déjà utilisés par le Big Data ou les services de renseignements, et surtout si donc l'identité de chaque personne située derrière un code synonyme d'anonymat ne serait consultable que pour l'impôt ou la justice. D'autant plus que la vie publique peut religieusement être transparente, ce qui n'est pas le cas de la vie privée. Or il n’est pas interdit que pour le bien commun des hommes soient ultra riches dont en centralisant les ressources à travers de rares énormes sociétés, s'ils payent annuellement comme tous les autres citoyens l'impôt zakat de 2.5% sur leur argent thésaurisé au dessus de 3000 euros et sont raisonnables dans leurs prix de vente. Surtout que cet impôt zakat est en réalité le seul impôt valable et peut largement financer les dépenses publiques dont des infrastructures nationales et du revenu universel pour les pauvres, en particulier donc par la blockchain mais aussi l'IA permettant l'automatisation d'une grande partie de l'économie. D'autant plus que selon certains spécialistes et politiciens, 20% de la population suffirait à faire tourner un pays développé comme la France, et 20% de l'humanité pourrait même suffire à faire tourner le monde en étant donc logiquement mieux payés que ceux qui touchent le revenu universel qui pourrait être un des aspects de l'Eden terrestre complété. En sachant qu'il est logique d'améliorer ses conditions de vie en tendant à peu travailler pour se libérer pieusement du travail, d'autant plus que les grands capitaux et les grosses forces de l'argent travaillent très peu en particulier physiquement d'où la lutte des classes, et qu'avant l'homme ne travaillait que pour cueillir. Ce qui pourrait être une des autres raisons principales pour laquelle les impies mondialistes oligarchiques recherchent la dépopulation. Concernant les monnaies électroniques indépendantes car décentralisées comme le bitcoin, elles semblent donc par le pieux commerce licite d'abord pouvoir redonner actuellement le pouvoir au honnêtes gens, car encore un fois l'argent est avant tout un moyen, un outil, une énergie et un flux pour agir en bien ou en mal. En effet dans un sens, l'argent est immatériel et même spirituel par essence surtout de nos jours, puisqu'il peut servir à orienter la force divine, mais il peut en revanche servir par opposition à renforcer la force du Diable, comme l'argent envoyé par la diaspora du Liban au Hezbollah renforce cette organisation face à l'argent envoyé à Israël. Un autre exemple est l'argent envoyé à une association caritative qui renforce cette dernière contre l'argent dépensé dans une guerre. Or comme l'argent ne peut pas tout acheter, il ne doit pas être un but. En effet il faut l'utiliser pour l'épanouissement personnel et collectif, c'est à dire en écrivant noblement l'Histoire face à la crise systémique du capitalisme financier ayant promotionné des lubies afin de faire de l'être humain un simple consommateur à la recherche de l'assouvissement de ses pulsions égotiques. Ce qui crée finalement des êtres frustrés car correspondant à la volonté de remplir un seau troué puisque les plaisirs matériels et physiques ne peuvent être satisfaits qu'aux Paradis. C'est à dire que ces êtres sont en réalité dans un vide existentiel synonyme de souffrance cherchant d'ailleurs souvent à être compensée par des cachets ou autre drogues, alors que c'est par la piété, la bienfaisance et la fraternité heureuses que l'on en guérit : (S61v4) « Allah aime ceux qui combattent dans Son chemin (pour Ses voies du bien) en rang serré pareils à un édifice (aux murs) renforcé. » Cependant même une cryptomonnaie privée comme le bitcoin peut aussi malheureusement attirer vers sa nouvelle technologie les grands acteurs pervers du dollar. En effet les Rothschild se mettent à créer leur propre cryptomonnaie voire achètent beaucoup de bitcoins pour juguler (influencer) cette monnaie, et la banque Goldman Sachs rachète des compagnies stratégiques détenant de nombreux bitcoins pour juguler aussi cette monnaie. Il faut que les peuples régulent l'économie contre cela, et c'est ce que les cryptomonnaies type « Zynecoin » et la blockchain type « Wethio » pourraient réaliser, tout en développant l'Afrique très noblement par de nombreux projets économiques bons (à la grande différence du Bitcoin qui porte principalement l'aspect monétaire) dont l'investissement est ouvert facilement à toute l'humanité. En sachant que même si le bitcoin est une création US, toutes les cryptomonnaies du monde ne le sont pas. Ce possible investissement de l'humanité en Afrique peut en plus se faire avec l'intention d'une forme de réconciliation avec les africains et les africains entre eux à travers un développement commun gagnant-gagnant de ce continent, surtout que cela pourrait être la seule manière d'y parvenir. Or pour cette réussite, il paraît important qu'un grand nombre de particuliers y participent, mais raisonnablement dont avec pas plus de 500 euros d'investissement dans le zynecoin, afin de sagement réinvestir la moitié des grands bénéfices quand on en fait dans les nombreux autres projets économiques y étant liés. Dans ce sens, ceux investissant seulement dans le Bitcoin (qui est une cryptomonnaie non basée sur un projet économique à la différence d'autres cryptomonnaies comme le zynecoin) plutôt que par exemple dans la pierre (immobilier) ou le végétal (agriculture) doivent comprendre qu'ils laissent ces marchés se monopoliser par l’oligarchie, mais aussi supportent principalement le dollar puisque toutes les cryptomonnaies décentralisées sont très liées au stable coin USDT (sorte de dollar numérique faisant référence de valeur de base). D'ailleurs Trump est passé de l’opposition au Cryptodollar à l’engagement de faire des États-Unis la « capitale mondiale des cryptomonnaies ». En effet Donald Trump a été clair sur le fait qu’il allait favoriser et soutenir le développement du Bitcoin, notamment pour qu’il soit complètement reconnu comme une monnaie à part entière. Ce qui pourrait quand même être bénéfique pour faire advenir le noble paradigme basé sur la blockchain et les crytpomonnaies d'investissement. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Chaos économique et revenu universel, ou monnaie libre ? - Poléco n°292 avec Benoit Lavenier – TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=k1nHbBmJseE Surtout qu'il serait nettement préférable que comme révolution, ces nouvelles technologies que sont la blockchain et la cryptomonnaie, permettant de redonner progressivement et donc pacifiquement le pouvoir aux peuples et aux petites et moyennes entreprises honnêtes, remplacent un éventuel triomphe d'une future révolution populaire violente. Et ce qui est très intéressant, c'est que si un jour cette honnête nouvelle monnaie du peuple devait être détournée du bien commun, il suffirait d’en créer une autre et de réinviter les honnêtes gens à l’utiliser. Ça paraît simple comme ça et pourtant ça pourrait bien être ce qui bloque voire efface le plus les grands oppresseurs financiers. Une compétition entre les bonnes cryptomonnaies privées décentralisées du peuple et les mauvaises cryptomonnaies privées centralisées des banques centrales pourrait donc avoir lieu à travers leur noble utilité, leur valeur, leur efficacité et leur nombre d'utilisateurs. Or les cryptomonnaies privées décentralisées ne seront probablement jamais des stable coins, car cela sera sûrement réservé aux monnaies des États dont il faut espérer qu'elles seront devenues nationales et étant plus lié à des banques centrales. Or quand le bitcoin atteindra une taille critique ou grand nombre d'utilisateurs, il pourrait devenir un stable coin. Il faut rappeler qu'un stable coin est une monnaie stable évitant la spéculation et donc les dépréciations ou augmentations trop fortes. C'est à dire que même si il y a des risques pour les petits porteurs investisseurs du privé de se faire manger par de gros porteurs avides du privé pouvant influencer le cours de certains actifs, il existe aussi la possibilité comme on l'a vu dans l'affaire « GameStop » que pleins de petits poissons (union massive de petits porteurs, petits actionnaires) ensemble peuvent faire trembler le grand requin (union des peu nombreux grands porteurs et grands actionnaires avides détenant le plus de technologie, d'information et d'argent pour investir, ce qui a été une superbe réponse dans la lutte face à l'indignité de la vente à découvert pariant sur les faillite d'entreprises, dont car ça a poussé les fonds d'investissement de Wall Streeet à réduire leur position à découvert. Surtout que plus les échanges avec une cryptomonnaie sont importants, plus la confiance en elle est grande et plus son prix s’élève logiquement, et que ce sont les transactions qui génèrent la création des unités d'une cryptomonnaie monnaie décentralisée, alors que la création de valeur échappe à la logique de la création des unités d'une monnaie centralisée par une banque centrale dont par la folle planche à billets. En effet si un très grand nombre d'utilisateurs utilisaient une honnête cryptomonnaie vraiment décentralisée, stable et échangeable contre de l'or ou l'argent, des États ne pourraient que l'accepter voire s'y soumettre, et c'est pourquoi des États tendent à ce genre de cryptomonnaie au niveau étatique. D'autant plus que plus il y aura de particuliers et d'entreprises qui utiliseront une cryptomonnaie décentralisée, plus il sera difficile de la manipuler à la hausse comme à la baisse, surtout quand son nombre est limité. Idéalement, la quantité de monnaie en circulation dans un pays devrait représenter la somme de toutes ses ressources de valeur tout en y étant indexée : la force de travail de la population, les infrastructures, la technologie, les terres cultivables, le tourisme, les brevets, les réserves de métaux précieux et pierres précieuses. A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « De la nécessité de repenser la monnaie avec Valérie Bugault » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=zUXMsLWwCjg , et de lire article « Mais où est le loup ? » à l'adresse suivante https://www.levilainpetitcanard.be/mais-ou-est-le-loup/ La monnaie a en partie une réalité abstraite et symbolique qui sert principalement à organiser l'orientation idéologique et confiante d'une société ou d'un paradigme international, surtout quand une monnaie papier ou déjà informatiquement virtuelle ne détient pas de valeur intrinsèque comme l'or. En effet tout système monétaire tient sur la confiance dont tant que la bourse se maintient et que l'inflation n'amène pas une guerre civile, une révolution ou une grève générale faisant retirer fortement les investisseurs d'une nation ou d'une union de nations. De même que par une langue, un système politique et économique peut donc être porté principalement par une monnaie, comme le prouvent l'euro portant l'oligarchique union économique européenne oppressive, laïciste, progressiste, mondialiste, wokiste, sioniste, ploutocratique et donc impie, ou le dollar portant l'oligarchique empire américano-sioniste belliqueux, laïciste, progressiste, mondialiste, wokiste, sioniste, ploutocratique et donc impie. Toutes les guerres US sont d'ailleurs des guerres du tyrannique (pétro)dollar contre les autres monnaies, contre les autres pays, contre les autres nationalismes ou contre les autres idéologies. D'ailleurs dans la guerre en Ukraine, des enjeux monétaires colossaux sont en plus liés à la bataille énergétique dont principalement entre le pétrodollar et le panier monétaire multipolaire des BRICS. En effet l'aspect probablement le plus important de la monnaie est que lorsque celle d'un pays s'effondre, ce pays perd généralement sa souveraineté d'abord au niveau économique. Alors que ce panier de monnaie lié au rouble renforcé par le gaz porte le début du changement de paradigme noblement opposé à l'euro et au dollar ! Après la première guerre mondiale en Allemagne, la seule solution consiste dès l’automne 1923 à refonder la monnaie sur la richesse véritable. C’est ce qu’on appelle le Rentenmark créé par le docteur économique Hjalmar Schacht. Une monnaie qui ne serait plus en elle-même garante du pouvoir d’achat, mais qui représenterait la vraie richesse, les usines, les champs, les banques allemandes, gagés sur le pouvoir de l’Allemagne, cette extraordinaires machine à créer de la richesse. Cette histoire nous rappelle donc que les limites à la création monétaires sont doubles : elle dépendent des autres usagers de la monnaie à l’intérieur du pays et à l’extérieur, mais elles dépendent aussi de la capacité à toujours relier la monnaie à la richesse réelle. Ce que dit cet universitaire au doctorat économique à propos de l’Allemagne de 1923 a résonné aux oreilles des Français de 2021 soumis à la BCE. En effet le covidisme qui a été une agression mondialiste programmée contre les peuples, leurs économies et leurs richesses, puisqu'il s’agissait en réalité d'un putsch oligarchique voire d’un vulgaire braquage universel oligarchique sur la plupart des richesses du monde, a eu l’effet d’une guerre atomique en termes de destruction de valeur. Pour résumer, la politique de madame Lagarde présidente de la BCE depuis 2019 a eu quatre conséquences : .elle a accéléré les hausse de prix et la baisse de pouvoir d’achat en Europe ; .elle a entretenu l’exubérance folle sur les marchés financiers ; .elle a créé des tensions fortes en Allemagne ; .elle a accentué les risques pour la stabilité financière dans le monde. La reconstruction après la destruction, c’est évidemment l’objectif des puissances mondialistes (Big Pharma, Big Tech, Big Buisness, Big Bank) dont de fonds de pension et de gros gestionnaires d'actifs qui sont déjà plus puissants que des États. Depuis la fin du covid, la BCE faisant croire aux peuples européens qu’elle soutient l’activité, est au contraire en train de détruire la production (dont sous le prétexte de l’écologie) et le pouvoir d’achat (là sous aucun prétexte, mais toujours au profit des oligarques mondialistes). En 2008, ce sont principalement les banques qui avaient été sauvées par le plan Sarkozy ; en 2021, les centaines de milliards injectés dans l’économie à cause du covid et reliés à aucune activité réelle (bien au contraire puisque l'économie a longtemps été grandement ralentie), vont faire l’effet d’une bombe. Tout le monde peut déjà voir que les prix ont grimpé. C'est pourquoi comme il sera revu, la juriste Valérie Bugault propose de réorganiser la société en groupe d'intérêts bien compris similaires aux grands électeurs américains pour retrouver de la politique authentique face au monopole du groupe de la haute finance mondialisée et d'aller au-delà du clivage entre libéralisme et communisme empêchant toute discussion. Ce qui paraît logique car la démocratie ne peut pas inclure principalement seulement le peuple, car beaucoup de gens sont incultes et donc manipulables. D'ailleurs le mouvement politique « Action française » précise que le système actuel est enfermé entre la dictature de la majorité absolue et l'anarchie de la lutte des partis, toutes deux synonyme de fracture entre le pays réel et le pays légal. C'est à dire que le peuple doit s'associer à trois groupements d’intérêts principaux synonyme de contre-pouvoirs même entre eux et lors des élections : celui commercial, celui non commercial dont fait partie le développement de la communauté (instruction, sport, culture, art), et celui spirituel (ayant aussi des contre-pouvoirs dans ce groupement par les divers avis des différentes religions). Il faudrait aussi rajouter à l'assemblée nationale un grand nombre de représentants des métiers, des familles, des régions et des classes sociales, afin qu'ils défendent l'intérêt national sur un long terme. Surtout qu'associer à un chef d'état élu à vie (au moins 15 sauf suite à un référendum s'il trahit la nation), ce changement ne serait pas compliqué car les prérogatives actuelles du chef de l'état dans la cinquième république conviendrait parfaitement à une monarchie française ou à un président élu sur le long terme voire à vie tant qu'il défend bien les intérêts nationaux. Pour revenir à la monnaie, celle-ci incarne une énergie intelligemment utilisée puisque normalement synonyme de valeur d'un bien, d'un déplacement ou d'un travail, et donc de valeur intrinsèque, et représente donc la vie car elle est un échange similaire à l'interaction entre l'oxygène des arbres et le dioxyde de carbone des hommes. La monnaie incarne aussi les actions de donner, recevoir et rendre. Or de nos jours l'argent est créé ex-nihilo pour la première fois dans l'histoire de l'humanité (c'est à dire depuis la fin des accords Bretton woods et surtout suite à la création de l'Euro et des planches à billets) sur de la richesse future (travail, entreprise, vente, promesse de remboursement avec intérêt) qui de plus en plus ne se réalise pas. C'est à dire que le dollar de l'empire américano-sioniste n'ayant plus été échangeable contre de l'or depuis la fin des accords Bretton woods, il est devenu la monnaie d'échange internationale et les États-Unis produisant le dollar à volonté ont donc pu acheter une grande partie du monde et de nombreux politiciens étrangers par la corruption, puisque le dollar s’est ensuite répandu massivement au niveau international. Par conséquent, il s'agit d un pouvoir hégémonique très corrompu, et les fabricants du privé de monnaie des grandes nations ou des organisations supranationales comme l'Euro ont donc également un grand pouvoir. Afin de toujours avoir plus de contrôle dont désormais jusqu'à la fin de l'argent papier centralisé par le passage à la monnaie numérique centralisée, le système monétaire de l'union oligarchico-sionisto-bancairo-anglosaxonne est sournoisement passé progressivement depuis des siècles à travers la city et wall street criminels du bimétallisme (or et argent) au standard or unique, au système de change or (contre billets papiers nationaux), aux accords d'échanges flottants, et au pétrodollar. En effet ce système veut désormais mettre en place la monnaie numérique des banques centrales mondialiste du privé synonyme d'oppression et de pouvoir mondialistes. La fin de ces accords de Bretton Woods ont donc amené un avantage déloyal en faveur des Etats unis. Pourtant auparavant le fond économique international régula en partie ce système basé sur l'or, puisque les monnaies étaient indexées sur le dollar avant qu'elles soient échangeables contre de l'or, ce qui permettait tout de même aux USA l'avantage de dévaluer leur dollar pour être toujours plus compétitifs. Or suite à différents facteurs ayant affaiblis leur économie, les Etats-Unis finirent donc par en sortir unilatéralement encore plus favorablement en tout cas jusqu'à nos jours, car le dollar n'était plus échangeable contre de l'or. Cette sortie des accords de Bretton Woods a été un des principaux piliers du mondialisme, puisque cela signifiait l'apparition d'une grave dérégulation financière, de la planche à billets à outrance et surtout de la marchandisations des monnaies nationales suite à la fin de leur taux de change (valeur) fixe. En effet la marchandisation des monnaies amena la possibilité d'affaiblir certaines nations, puis de prendre leur contrôle par d'autres nations ou par certaines entités privées supranationales, et même de gagner de l'argent en pariant contre leur dévaluation comme lorsque le hedge fund de Soros a gagné 1 milliard de livres sterling en pariant sur la dévaluation de la devise anglaise et sa sortie du mécanisme de change européen. « Les accords de Bretton Woods ont clairement dessiné en 1944 le monde de l’Après Seconde Guerre mondiale en faisant du dollar américain la monnaie de référence pour tous les échanges internationaux, avec la mise en place de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International. Les accords multipartites qui viennent de se nouer entre les BRICS et au-delà modifient donc l’ordre mondial monétaire de façon majeure, dans l’indifférence suspecte d’à peu près tout le monde occidental. On peut s’en étonner puisque ceci signifie de façon assez claire une perte de suprématie pour le dollar américain. En effet, jusqu’à présent certains échanges commerciaux internationaux étaient réglés en dollars américains : la vente de matières premières, le prix du baril ou le prix de l’or. Les règlements interbancaires entre nations étaient donc très majoritairement réglés en dollars, ce qui imposa que des masses considérables de billets verts devaient être conservés dans la plupart des banques centrales des pays de la planète. Pour ces pays, l’utilisation du dollar n’a pas que des avantages. La monnaie américaine donne à l’Oncle Sam une très grande capacité d’influence dans le monde : qui utilise le dollar doit en respecter les moindres contraintes, notamment celles imposées par la politique étrangère américaine, car qui ne les respecte pas peut donc se retrouver coupé des échanges internationaux ou voir ses réserves bloquées. Ce fut le cas de nombreuses fois pour différents pays. Leurs tentatives de sortie du « système dollar » se traduisirent même parfois par des changements brutaux de régime. Quant à l’interdiction d’utiliser le dollar, elle a longtemps signifié un effondrement de l’économie concernée. Cette position dominante du dollar lui permit aussi de diluer son inflation en la répartissant à échelle planétaire, ce qui était perversement pratique. Surtout que l’impression de billets n’avait jusqu’à présent pas d’impact réel pour l’économie américaine, et que les problèmes afférents au dollar étaient rejetés sur le reste du monde. Normalement dans le plan mondialiste, tout est prévu pour qu'ensuite un nouvel ordre mondial taillé au cordeau apparaisse. C'est à dire que la pandémie plus l'inflation et la guerre en Ukraine doivent générer des piscines olympiques de dettes faramineuses, qui doivent à leur tour largement inciter les gouvernements en pleine banqueroute à effacer ces dettes par le truchement d’une inédite monnaie mondiale numérique centralisée. Et dans ce nouvel ordre mondial, c'est très simple : l’Occident mènera la danse, les humains seront tous contrôlés par cette monnaie et tout ira bien (seulement pour les élites mondialistes en particulier occidentales) sur le principe « Vous ne serez bien sûr plus propriétaire de rien, mais vous serez heureux (ou sinon, tant pis) », comme l’explique calmement un Forum Économique Mondial toujours aussi relax dans son projet de collectivisme oligarchique international synonyme de soviétisme 2.0 ou de (néo)libéralisme 2.0. Heureusement, avec le nouveau monde unipolaire proposé par l'axe sino-russe, ce « Nouvel Ordre Mondial de l'Occident unipolaire » ne semble pas prendre la direction envisagée par nos fines élites. En effet il est difficile d’imposer une monnaie unique dans un monde qui n’est pas unipolaire, surtout que de plus en plus de nations s’éloignent vigoureusement d’un dollar devenu une arme financière (weaponized currency) et donc des USA. Surtout qu'il est aussi difficile de pousser les monnaies numériques de Banques centrales alors que le bitcoin et les cryptomonnaies indépendantes continuent d’attirer l’attention et d’offrir une alternative de plus en plus crédible aux monnaies fiat qui démontrent chaque jour un peu plus les dangers qu’elles comportent dont par la planche à billets très à outrance. Eh oui, il est difficile de rendre l’utopie collectiviste mondialiste attrayante dans un contexte de plus en plus mouvant où la concurrence apparaît et ne semble pas vouloir se laisser faire, comme il est difficile de vendre des CBDC (monnaies numériques de banques centrales) dans un monde qui ne veut pas se plier au diktats de moins en moins cachés d’une petite élite prétendument éco-consciente alors que voulant diminuer l'empreinte carbone principale, c'est à dire l'humanité... Si un nouvel ordre mondial est en train de se mettre en place, ce n’est décidément pas celui que cette élite avait prévu. » (Extraits de l'article « Tiens, un imprévu dans le Nouvel Ordre Mondial » de contrepoints.org à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/25/tiens-un-imprevu-dans-le-nouvel-ordre-mondial/) Or l'argent est malheureusement l'actuel principal carburant du monde et la pensée principale de beaucoup de gens, surtout car il est souvent mis en avant dans notre société et n’a ni odeur ni valeur humaines. C’est une relation sociale aliénatoire incontrôlable qui a vampirisé le monde et le dévore. C'est ce que beaucoup appelle le triomphe de Satan ! Selon Jésus, on ne peut servir en même temps deux maîtres : Dieu et Mammon qui le culte idolâtre et donc diabolique de l'argent, des biens et du matérialisme, c'est à dire de l'avoir avant, voire sans l'être. Et Jésus est d'ailleurs d'abord venu pour aimer et rappeler d'aimer principalement l'être. Mais nous vivons une époque où l’avoir et le paraître dominent le monde et l’asservissent, à tel point qu'avec les réseaux sociaux, souvent les gens ne choisissent plus les activités qu'ils aiment vraiment mais celles qui seront le plus appréciées par les followers proches comme inconnus. En effet la désincarnation de l’être, la disparition de l’être, se font au profit de l'avoir pour créer des gens qui vivent dans le paraître, ce qui conduit à la réification et au transhumanisme. L'être, le véridique, l'honnête et le réel doivent donc se réveiller. Sinon cette apparence se superposera à la réalité, et l’homme ne sera plus en contact avec la vérité de son être d'origine divine, et le châtiment divin tombera pour éviter la propagation de son mal. Et on ne peut évidemment pas non plus servir Jésus et le Lgbtisme, ni la France et l'UE, etc... Dans les nations corrompues et christicides qui sont celles occidentales, donc dans les démoncraties, le Beau, le Vrai, le Juste, le Bien ne sont plus des vertus mais des handicaps. Dans ces pays la trinité, c’est devenu l'association de Mamon, Belzebuth et Asmodée : l’Argent, l’Injustice et la Luxure. Or le plus important c’est Mamon, car c’est lui qui finance les deux autres : la tyrannie et la débauche. Mais lorsque nos élites satanisées constateront que le résultat final de leur politique, c’est la chute inexorable de leurs recettes fiscales, ils brûleront ce qu’ils ont adoré. Cependant ce n'est pas l’outil « argent » qui pose problème, mais ses modalités décidées par des hommes peu scrupuleux. Et tout cela rend schizophrène car on est forcé de subsister avec le système du mauvais maître, tout en vivant pour l'excellent Vrai et en tendant donc vers une grande sagesse pieuse nécessairement adaptative à notre époque, et donc subtile, et donc profonde, et donc intelligente, et donc méritante. Or comme selon l'ultime révélation qu'est l'islam, on ne peut plus vivre seulement d’amour et d’eau fraîche en ermite puisque cette religion a été envoyé à toute l'humanité et est donc en partie essentiellement sociale, on doit souvent se résoudre au salariat, surtout car la possibilité d'entreprendre devient très difficile par rapport aux crises actuelles (subprimes, covid, inflation, pénuries, Ukraine, énergie) et aux faveurs accordées aux multinationales. Par conséquent on se retrouve avec des pays de plus en plus dénaturés et composés d’individus aliénés au Marché ainsi qu'à la finance internationaliste, surtout que travaillant donc fréquemment par obligation vitale en rapport avec les marchands du Temple. Beaucoup s’y dirigeant sans foi ni donc piété ne courent plus qu’après l’argent et oublient tout le reste. Voilà l'égarement contre lequel nous devons lutter pieusement. D'ailleurs suite à la crise en Ukraine incarnant très probablement un affrontement ultime entre l'économie de l'occident et l'économie de l'Eurasie, la pieuse Russie paie désormais courageusement sa modeste dette en rouble. C'est la première fois depuis les avènements du régime de Bretton Woods et du prétrodollar qu'un pays utilise et réussit une approche de règlement de la dette autre que le dollar et qu'il vend son énergie dans sa monnaie nationale. Et cela s'est donc trouvé payant et victorieux car la Russie a tenu face aux sanctions, surtout que çà a conduit les économistes de nombreux gouvernements à croire en sa supériorité, surtout qu'elle est associée à la Chine. Dont aussi par sa souveraineté financière, alimentaire et donc politique, le système économique russe a très dignement brisé l'oppression mondialiste américano-sioniste en démantelant toute la structure du système international de la dette et en détruisant ainsi le régime monétaire de Bretton Woods, de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international. Surtout que désormais en repurifiant progressivement le monde, le rouble, portant actuellement l'orthodoxie russe, est religieusement convertible en or et donc béni. Ce qui apporte à la Russie encore plus de confiance de la part de nombreuses nations. D'autant plus que les matières premières énergétiques russes étant obligatoirement achetables en rouble, cela lui donne une excellente notoriété supplémentaire, que pendant ce temps une grande partie du monde se sépare du dollar portant le laïcisme wokiste, et que l'Union européenne portant aussi le laïcisme wokiste se tire même une balle dans le pieds en ne pouvant plus acheter une grande partie de son énergie en euros à cause de la juste rétroactivité de leurs injustes sanctions contre la Russie. La respectable Russie propose même une nouvelle norme internationale pour le négoce de l'or : le Moscow World Standard (MWS). En effet le MWS souhaite s'imposer comme une alternative à la London Bullion Market Association (LBMA), une organisation régulièrement critiquée de manipuler le marché des métaux précieux. Selon le ministère russe des Finances, cette nouvelle structure internationale indépendante est nécessaire pour « normaliser le fonctionnement du secteur des métaux précieux » et sa création est « d'une importance capitale ». Sur la base de ce nouveau marché, le Kremlin entend faire progresser le système d'échanges bilatéraux en monnaies nationales, qui exclut spécifiquement le dollar, l'euro et la livre sterling. Car payer en monnaie nationale empêche l'oppression monétaire du dollar ou de toute autre monnaie. D'ailleurs un discours du président russe Poutine précise que la Russie construira une nouvelle architecture financière mondiale sur une base technologique avancée qui ne dépendra pas d'interférence politique. Dans ce sens, il devient donc possible qu'une monnaie électronique honnête se répande sans usure et en étant adossée ou échangeable à l'or même s'il s'agit de millième de centimes pour un once d'or. Surtout qu'étant donné le nombre d'humains et d'échanges sur terre, l'or ne peut logiquement plus servir dans des transactions manuelles, mais seulement entre États, à moins de créer un token or et un token argent basés sur une réelle quantité d'or et d'argent voire de toute matière ayant une valeur équivalente, car c'est évidemment prioritaire puisque ces monnaies sont indiquées dans le Coran. En effet, l'or est la monnaie du capital, alors que l'argent est la monnaie du travail et de la circulation. Ainsi une monnaie électronique honnête stable de haute valeur pourrait devenir tel de l'or numérique (digital), c'est à dire telle une valeur refuge ou d'épargne. Cependant pour l'instant c'est plutôt synonyme de réserve de valeur mais devenant progressivement un moyen d'échange qui est autre sens possible de la monnaie avec l'unité de compte. Ensuite cette monnaie pourra être dérivé vers un stable coin adossé à la valeur de l'or, ou/et possiblement au prix moyen des matières premières alimentaires, énergétiques et des métaux précieux échangés dans les bourses mondiales, ou/et à un panier de monnaies pour les échanges internationaux. En effet il s'agit de diluer sa volatilité dont sans oublier de l'orienter vers les qualités de l'or qui sont la quantité limitée, la croissance limitée, la non déflation et la valeur stable ou progressivement croissante, car la croissance sans fin même doucement de l'humanité et de son économie paraît inévitable. Surtout que le Bitcoin a été en partie récupéré par le veau d'or par preuve qu'il est de plus en plus indexer au Nasdac, et qu'en tant qu'actif, il faut donc plutôt s'orienter vers le zynecoin qui conserve la pureté de la vision initiale du Bitcoin. En effet il est urgent de purifier l'économie par ce type de monnaie à la valeur intrinsèque puisque synonyme de code mathématique numérique, et aussi car les unités de ce type de monnaie sont limitées et empêchent donc les graves dangers économiques et idéologiques de la planche à billet, de l'inflation et de l'oppression monétaire. Dans l'histoire de la monnaie, la monnaie n'a été nationale que depuis une courte période. Avant on utilisait de l'or et ce n'était pas spécialement national, car on en trouvait un peu partout. Mais comme on ne pouvait pas émettre ou créer de l'or, on a donc perdu cette caractéristique principale et fondamentale, à savoir la rareté de la monnaie. La moitié des dollars en circulation en 2021 n'existaient pas en 2020, alors qu'il n'y a clairement pas eu un doublement de la valeur créé par la planète en un an, ce qui prouve la grande perte de valeur du dollar et donc son grand danger. Or les pays peuvent revenir à une monnaie nationale plus stable pourquoi pas en créant leurs propres stablecoin numériques liés à des blockchains populaires contrôlée par les Etats ou à des blockchains étatiques contrôlées par les peuples, si nécessaire en interdisant seulement les stablecoins privés non spéculatifs. Car la cryptomonnaie d'investissement honnête sert d'abord à remplacer l'actionnariat prédateur en protégeant et donc purifiant le développement d'un projet économique et d'un pays, c'est à dire en préservant leur souveraineté face à la haute finance privée, de même que le droit intellectuel ou de propriété d'un inventeur ou d'un entrepreneur. Cela serait comparable à un écosystème stable, surtout grâce à une technologie plus essentielle que la crytpomonnaie pour un noble changement qu'est la blockchain transparente, ayant de multiples applications et pouvant même purifier les banques de leur très grave oppression particulièrement prouvée lors de la crise financière de 2008, en les faisant être le lien d'échange entre les monnaies nationales et les cryptomonnaies d'investissement basées sur de bons projets. Ainsi le cryptomonnaie spéculative sera anecdotique par rapport à la révolution Blockchain et l'utilité des cryptomonnaies d'investissement. Il faut noter que sans besoin vital, il n'est pas sage de trader une crytomonnaie portant un noble projet sur plusieurs années, puisque cela amène une fréquente volonté de baisse du prix pour racheter après avoir vendu plus haut et ainsi de non réussite du projet pour gagner de l'argent dans l'immédiat plutôt que de patienter, à l'image des algorithmes cupides du trading à haute fréquence par essence donc déshumanisé dont en préférant donc le profit au développement humain réussi, surtout que ne conservant souvent des actions que des micro secondes à la différence du succès des pieuses entreprises commerciales humaines prenant généralement des années. Mais il semble de plus en plus clair que les monnaies fiat vont devenir des monnaies numériques centralisées possiblement oppressives des banques centrales du privé. Or ces monnaies centralisées possiblement oppressives s'écartant donc de l'éthique monothéiste, les populations les éviteront probablement beaucoup à part pour payer un service public ou un impôt, c'est à dire en préférant placés une partie de leurs avoirs sur des cryptomonnaies et blockchains décentralisées éthiques voire monothéistes pour plus de liberté et de dignité, ce qui est un doux moyen de changer le monde très positivement. Ainsi suite au communisme n'ayant pas réussi et au capitalisme en train de s'effondrer, une très digne troisième voie est désormais possible à travers la blockchain décentralisée, la crytomonnaie décentralisée sans usure et les technologies modernes. Cette troisième voie est aussi celle de la mesure, de l’exactitude, de la vérité, de la justice, de l'éthique, de l'esthétique, du bien, du pur, du noble, du vrai, du beau et du monothéisme authentique. C'est à dire que ce nouveau monde incarnera un nouveau modèle plus en adéquation voire une excellence par rapport à la vie en société, à la transmission des valeurs véritables et à la loi naturelle, possiblement synonyme d'Eden terrestre complété. Blockchain : Il s'agit enregistrant précieusement et mondialement toute opération ou savoir de manière sécurisée, anonyme, décentralisée, infalsifiable et transparente, et permettant de créer, garder et transmettre de la valeur financière sans les banques et donc plus seulement de l'information, et pouvant donc créer un monde alternatif hors de contrôle des puissants lobby nocifs et des malhonnêtetés commerciales, bancaires ou politiques, synonymes de corruption et d'oppression massives. En effet une honnête blockchain populaire contre le système corrompu correspondrait à une grande ronde autour de la forêt amazonienne pour empêcher sa destruction, et donc à une seule âme et un seul corps nobles aimés de Dieu qu'est d'ailleurs l'origine et la réalité de l'humanité provenant d'Adam : Selon An-Nomân Ibn Bashir (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « L'image des croyants (ou des frères en humanité contre l'oppression) dans l'amour, la miséricorde et l'affection qu'ils se portent, est comparable à celle d'un même corps : lorsqu'un membre se plaint de quelque douleur, c'est l'ensemble du corps qui en pâtit par l'insomnie et la fièvre. » (Boukhari et Mouslim) A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « QU'EST-CE QUE LA BLOCKCHAIN WETHIO ? » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=_A7gSXVPQuY Les petites entreprises et les inventeurs individuels ne disposent souvent pas des investissements et des capitaux nécessaires pour traduire leurs intentions en produits et services de base à grande échelle ou pour les monétiser sur des marchés connexes. Au contraire, ils créent souvent des prototypes, espérant trouver d’autres développeurs pour fabriquer et commercialiser leurs inventions et récupérer leur investissement en recherche et développement en concédant des licences d’exploitation de leurs inventions à ces développeurs. Et cela est vrai non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour d’autres pays, dont la Russie. Or avec la blockchain, une cryptomonnaie, un cahier des charges et un contrat de déblocage de fonds progressifs en rapport avec l'évolution du projet, l'entrepreneuriat deviendra beaucoup plus juste et simple dont en préservant la propriété intellectuelle. Ce système moderne inédit correspond à l'incubateur numérique anti scam Mister Z (visant à tokeniser en cryptomonnaie le génie humain, par son intelligente demande d'établir un livre blanc synonyme d'étapes à suivre et donc d'une feuille de route pour débloquer les fonds progressivement) du projet zynecoin dans lequel une idée vaut 1, ceux la finançant valent 10 et l'équipe travaillant vaut 100. Cet incubateur permet au porteur de projet de création d'une entreprise innovante de préciser son idée, d'évaluer la pertinence de son projet et de catalyser des ressources propres, et c'est pourquoi cet incubateur est un accélérateur de projets économiques tout en étant un contrôleur anti faux projets. Enfin par rapport à l'actionnariat qui généralement n'est ouvert que lorsqu'une entreprise est suffisamment grosse et connue en profitant nettement plus aux riches, ce système est en quelque sorte la mise en actionnariat rapide voire immédiate par et pour le peuple concernant des projets économiques.
-Paul Warburg étant un oligarque juif allemand qui a émigré aux États-Unis où il a contribué à créer la Réserve Fédérale.
-irréligieuse usure préservant et développant les inégalités entre pauvres et riches, puisque cela ne partage pas la valeur ajoutée car l'argent est aspiré dans un seul sens et ne circule donc pas équitablement (en particulier sans la zakat), ce qui fait que la répartition des richesses ne se produit effectivement pas dans une forme d'oppression et de mise en esclavage indigne, surtout vu l’évidente dignité de prêter sans intérêt. Surtout que cela entraîne donc le monde vers une perverse centralisation (concentration) des ressources, des richesses et des capitaux dans de rares monopoles qui influent fortement la politique dont en imposant l'impie idéologie ultra-libérale, libertaire, mondialiste, sioniste et ploutocratique. D'autant plus donc que prêter dignement sans intérêts étant par essence aussi pure et charitable que l'eau, si le prêt est conditionné avec des intérêts dans la forme d'une bonne action devenant mauvaise puisque dépourvue de gratuité charitable pour Dieu par un intérêt financier synonyme de profit personnel, c'est comme si l'eau était mélangée à du poison ou de l'urine. En remplaçant le mot « usure » par « prêt à intérêt » les usuriers ont donc perversement, et donc indignement et donc bassement gagné la guerre des mots. Surtout que dans l'usure, il est absurde et donc dangereux que l'argent soient simultanément acteur (joueur) et juge (arbitre), car il ne peut être simultanément la mesure de la valeur des biens et être un bien. L'économie ne peut donc être que celle de l'épargne, dont pour éviter d'accélérer et donc perturber follement le temps car il appartient à Dieu le Créateur et l'Organisateur de la Création, puisque l'usure est par définition une avance sur le temps et donc un vol du temps, à cause de l'impiété (défaut) du banquier mais aussi de l'impatience (défaut) du demandeur. Aïcha (SDP) rapporte : Le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Allah enrichit celui (le pieux) qui est économe. » Ainsi cela devrait plutôt s'appeler louer de l'argent sauf que dans le monothéisme authentique l'argent ne se loue pas. Par conséquent il s'agit d'un sens mauvais devant bien s'appeler l'oppression indigne, surtout que c'est plus néfaste que l'usure d'avant, car la richesse permettant cette usure est désormais créée ex-nihilo par de simples lignes de compte (écritures comptables synonyme d'appuyer sur un bouton) désormais informatiques synonyme d'un produit immatériel très perversement inventé car corrompant énormément l'économie. En effet aucun garde-fou sérieux ne s’oppose à la logique folle de cet argent-dette dominant voire corrompant la plupart des nations et c'est aussi pour ça qu'il est clairement interdit dans le christianisme et l'islam, et qu'il faut un changement progressif vers un système stable pour éviter une rupture trop forte et donc chaotique, dont par l'établissement puis l'orientation progressifs vers un bon voire un excellent paradigme alternatif. Il est très intéressant de voir à ce sujet l'entretien "Argent-dette, inflation, usure : Quelle alternative? (Partie I)" à l'adresse https://youtu.be/Q8CsUEbM-04 Régis Chamagne : « La raison d’être d’une monnaie-dette, ce sont les intérêts (pervers) de la dette, tandis que la raison d’être d’une monnaie libre, c’est (le développement de chaque) l’être humain. » L'usure est donc aussi l'art impie de s'enrichir avec l'argent des autres sans travailler. De plus les intérêts ne correspondant à aucune énergie humaine ni donc valeur mais à de la dette montant vite, pour freiner l'augmentation inexorable de cette dette et par conséquent l'inflation et l'arrivée du chaos, cela amène à la mise en esclavage des peuples à travers le mondialisme, l'augmentation des prix, l'immigration de masse, le chômage, la stagnation ou la baisse des salaires, et même la paupérisation des classes moyennes. A ce sujet il est intéressant d'écouter l'émission « Pourquoi tant de haine ? #26 – Comprendre la monnaie : de simple moyen d’échange à outil de domination » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=dhxxNtibVtM&feature=emb_title En effet pour prendre le pouvoir sur le politique défendant normalement le bien commun, la chaîne d'usure du mondialisme privé amène très nuisiblement à la dette, et donc à l'oppression, et donc à l'esclavage, et donc à l'appauvrissement généralisé, et donc souvent à la démoralisation du peuple dont jusqu'à l'alcoolisme, au vol, à la prostitution ou au suicide, voire à la guerre civile ou internationale, comme ce fut le cas en Allemagne entre les deux guerres mondiales et c'est le cas aujourd'hui puisque deux salaires voire trois minimaux aux États-Unis permettent juste de survivre : (S30v37-39) « N'ont-ils pas vu qu'Allah dispense Ses dons ou les restreint à qui Il veut ? Il y a en cela des preuves pour des gens qui croient. Donne donc au proche parent son dû, ainsi qu'au pauvre, et au voyageur en détresse. Cela est meilleur pour ceux qui recherchent la face d'Allah (par Sa satisfaction), et ce sont eux qui réussissent. Tout ce que vous donnerez à usure pour augmenter vos biens au dépens des biens d'autrui ne les accroît pas auprès d'Allah, mais ce que vous donnez comme Zakat, tout en cherchant la Face d'Allah (par Sa satisfaction)... Ceux-là verront (leurs récompenses) multipliées. » (ExtS59v7) « afin que cela (le butin, l'économie) ne circule pas parmi les seuls riches d'entre vous » (S2v276) « Allah anéantit l'intérêt usuraire et fait fructifier les aumônes. Et Allah n'aime pas le mécréant pécheur. » (S2v278/279) « Ô les croyants ! Craignez Allah et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire si vous êtes croyants. Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part d'Allah et de Son Messager (signifiant pas de pardon divin ni de miséricorde du Prophète Mouhamed et vengeance divine pour ceux n'arrêtant pas ce péché et ne se repentant pas). Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne léserez personne, et vous ne serez point lésés. » Il faut noter que les pseudos banques islamiques, faisant des crédits en achetant un bien pour quelqu'un afin de lui revendre plus cher à travers une obligation de remboursement total, ne sont pas charia compatible dont car cela est comparable à de l'usure et de l'esclavagisme. Alors que les banques, faisant des crédits en achetant un bien pour quelqu'un afin de lui revendre plus cher sans obligation de remboursement total s'il s’appauvrit mais avec perte du bien si les mensualités ne sont plus remboursées tel dans le leasing, sont charia compatible car synonyme de location/achat n'esclavagisant pas. En effet le principal problème du prêt à intérêt est l'esclavagisation en cas de remboursement difficile, puisque les intérêts augmentent avec le temps. De plus le prêt à intérêt à son Etat le temps de la construction d'un projet économique national et d'une infrastructure nationale semble autorisé puisque cela demeure un risque si l'Etat fait faillite.
Économiques :
-stérilisation de l'économie lorsque l'argent est thésaurisé, dont particulièrement dans les paradis fiscaux suite à des évasions voire de l’optimisation fiscales facilitées, et n'est donc pas soumis à l'impôt social islamique « zakat » de 2.5% par an prouvant l'importance de faire circuler l'argent pour éviter que l'économie pourrisse comme l'eau par stagnation et aussi donc l'invitation d'investir dans l'économie. Surtout que le capitalisme étant basé sur la consommation, lorsque des hommes comme Georges Soros gagnent jusqu'à 4 milliards par an qu'ils ne peuvent sérieusement pas dépenser au cours de l'année suivante, ils les captent en réalité dangereusement à l'économie réelle par la bassesse donc de ne pas payer la zakat annuelle, d'autant plus si ensuite ils les investissent encore plus bassement dans d'ignobles spéculations à des fins perverses, puisque souvent au détriment de la stabilité politique et économique de pays par lesquels ils se sont souvent enrichis dont parfois à travers des paris honteux sur la dévaluation de leur monnaie. Ce qui prouve encore plus le danger du système économique international actuel. Toujours plus grave dans ce sens, 97 % des investissements des très riches ne sont pas utilisés dans l'économie réelle, mais dans la spéculation n'enrichissant donc qu'eux mêmes au détriment du reste de la population et parfois des entreprises voire des nations. Par conséquent le système moderne court un grand risque d'implosion ou d'explosion, en particulier car cette boulimie de richesse est synonyme d'énormes problèmes sociaux, puisque 40 % de la population mondiale essayent de survivre avec 2 euros par jour. Surtout qu'en plus que de parier très bassement sur la monnaie ou la faillite d'un pays, de plus en plus d'acteurs parient aussi sur des faillites de sociétés en prenant lors d'investissements pour elles, plusieurs assurances financières sous forme de Credit default swap (CDS étant en même temps des actifs) qui ont été à l'origine de la plus grande crise financière de l'histoire qui est celle de 2008, car il s'agissait d'innombrables assurances qui n'avaient pas assez de fonds pour sauver des sociétés ou des crédits. Or des traitements pour lutter contre tous ces dangers existent : placement de l'homme au centre de l'économie, certification de l'utilité des produits financiers, séparation des banques de dépôts et d'investissements (ce qui exposerait ces dernières tout de même à l'oppression spéculative), reprise du pouvoir de la création monétaire pour se protéger du joug de la dette encore pire que l'abomination de l'usure selon Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL) car parvenant donc à créer des intérêts sans argent au départ, création d'une Banque nationale, régulation des fonds spéculatifs, correction des rémunérations et primes de départ surdimensionnées même en cas de mauvais bilan, forte réduction de l'endettement des banques systémiques, introduction d'une micro-taxe sur tous les paiements électroniques (différent de la taxe Tobin) surtout que 0.5% suffirait à supprimer les impôts et les taxes autres que la zakat et que la bienfaisance dans ce sens ne peut être que valide, révision de l'enseignement de l'économie et de la finance. Il est très intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « La crise permanente - Marc Chesney » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=jK3A5wat6Bk Dans la Bible Mathieu 21, Jésus expulse les marchands du temple car ils manipulaient la monnaie et pratiquaient la perversité. En effet les changeurs qui opéraient l’échange des monnaies étrangères contre celle du pays, créèrent illégitimement des didrachmes avec lesquelles il fallait payer un tribut du temple, et le bruit qui se faisait dans cette enceinte ainsi que les fraudes et les délits qui s’y commettaient dont la prostitution, profanaient aussi le saint lieu et troublaient là dévotion des fidèles. Jésus fut donc un noble mouvement généreux et de générosité chassant pieusement les marchands du temple, c'est à dire le matérialisme, l'usure, la cupidité, la perversité et la corruption, dont particulièrement des pseudos représentants de Dieu. C'est pourquoi dans la langue arabe le base du mot « généreux » (karim) peut être utilisée en tant que « noble » ou « digne » (akram). A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « Victoria Grant, canadienne de 12 ans, nous explique l'escroquerie bancaire de l'argent-dette » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=100&v=Wkv9ZYfk7fs
-plutôt que d'augmenter la rémunération minimale de l'heure travaillée des salariés et de baisser les charges des PME leur permettant un meilleur développement, État imposant sévèrement la classe moyenne entrepreneuriale et contrôlant au goutte à goutte les aides sociales dans une forme d'hyper étatisme avantageant excessivement les multinationales surtout que moins imposées.
-grands gestionnaires de fonds privés massifs type Blackrock et Vanguard (aussi de plus en plus too big to fail de même donc que les nations hébergeant leur siège social) s'occupant encore sous une forme de mondialisme privé des retraites de certaines nations et contrôlant même les banques centrales en gérant environ un tiers du capital d'investissement mondial. Et derrière Big Pharma, il y a aussi Black Rock et Vanguard, ce qui prouve le totalitarisme de la haute finance internationale. Surtout que cela est en plus associé au totalitarisme du Big Tech qui ne paye pas d’impôts chez nous et se fait un profit massif sur la numérisation de l’économie, c’est-à-dire par sa destruction de l’économie productive et réelle en faveur d’une économie virtuelle de services. Thierry Meyssan explique que la France est en train de vivre un changement profond, comparable à la période qui a vu la fin de l’Ancien Régime et l’avènement de la société contemporaine. Ce bouleversement, qui devrait durer environ une quinzaine d’années, est lié à la nécessité de passer d’une société organisée sur le mode industriel à une économie digitale. Selon lui, ce bouleversement est comparable à la Révolution française et au Directoire, qui ont également duré une quinzaine d’années. Il souligne également que la redistribution des richesses n’est pas la solution aux problèmes actuels de la France (sauf pour les bas salaires quoiqu'en plus il y a d'abord l'endettement à rembourser). Selon lui, il est nécessaire de redistribuer les fonctions dans la société comme Napoléon choisit le mérite pour attribuer les hautes fonctions et plus la naissance, même s'il a repris ensuite des nobles puisque quand ces derniers étaient compétents, ce qui constitue un bouleversement majeur. De plus honteusement avec internet et les réseaux sociaux, ce Big Tech partage lucrativement avec les gouvernements corrompus, les données tirées de la surveillance de tout citoyen dont de récalcitrants à ce totalitarisme bancaire, sanitaire, financier, économique, mondialiste, wokiste, sioniste et ploutocratique.
-banques privées trop influentes ayant atteint le summum de leur corruption, puisque étant parvenues à endetter de très nombreuses nations, et donc à les contrôler égoïstement et donc dangereusement. En effet cela a entraîné des privatisations jusqu'à parfois diminuer fortement la qualité de secteurs indispensablement publics comme celui hospitalier, puisque voulant souvent satisfaire des intérêts particuliers d'actionnaires cupides divergeant par essence du bien commun. Surtout que cela suit généralement le plan du mondialisme oligarchique et sioniste cherchant inconséquemment à tout privatiser si nécessaire jusqu'au chaos pour la grande richesse et le grand pouvoir de quelques uns, comme l'ont sous-entendu Franklin Delano Roosevelt, président des États-Unis de mars 1933 à avril 1945 qui a dit « Je crois sincèrement que les établissements bancaires sont plus dangereux que des armées de métier », et le célèbre industriel Henry Ford qui a dit « Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin ». « Apparus à l’apogée des empires coloniaux européens, les Rothschild ont profité des vastes richesses qui affluaient sur le continent pour créer des entreprises dans les domaines de la banque d’affaires et de la banque privée, de la gestion d’actifs, du capital-risque, de l’assurance, des matières premières, de la dette souveraine, des médias, des transports, de l’immobilier, des produits pharmaceutiques, de l’exploitation minière et de l’énergie. Les Rothschild détiennent également des participations et des investissements allant de 5% à 50% ou plus dans toute une série de grandes entreprises européennes, américaines et asiatiques, de Glencore Mining et TotalEnergies à Siemens, Exxon, Chevron, Repsol, Shell, Mitsubishi, Itochu Corp et Rio Tinto Mining Corporation. Le monde de la haute finance est incroyablement petit, les Rothschild étant supposés occuper une place prépondérante parmi les familles de banquiers telles que les Rockefeller, les Morgan, les Barclays, les Lazard, les Warburg et d’autres qui contrôlent les plus grandes banques privées du monde, de JPMorgan Chase et Citigroup à HSBC, Deutsche Bank, Societie Generale et d’autres. Dans son livre «Big Oil & Their Bankers», le chercheur Dean Henderson a découvert que les Rothschild et une clique de sept autres familles de banquiers détiennent une participation majoritaire dans la Réserve fédérale de New York, la banque la plus puissante de la Fed et le cœur du système financier américain. D’autres enquêteurs pensent que les Rothschild contrôlent la ville de Londres et la Banque d’Angleterre, ou qu’ils en sont les propriétaires à part entière, bien que cela ait été contesté. Une poignée de personnalités politiques, dont plusieurs pères fondateurs de l’Amérique, ont mis en garde contre la menace que représentait la montée en puissance des clans bancaires à leur époque. Dans une lettre adressée à John Taylor en 1816, Thomas Jefferson a qualifié le système bancaire américain de «tache» dans «toutes nos constitutions, qui, si elle n’est pas couverte, aboutira à leur destruction» et balayera «la fortune et la morale de nos citoyens». «Je crois sincèrement que les établissements bancaires sont plus dangereux que les armées permanentes, et que le principe consistant à dépenser de l’argent qui sera payé par la prospérité, sous le nom de financement, n’est rien d’autre qu’une escroquerie à grande échelle à l’égard de l’avenir», a averti Jefferson. 200 ans plus tard, l’influence des Rothschild sur les politiciens du monde entier est devenue impossible à dissimuler, les membres éminents de la famille côtoyant des personnalités telles que Ronald Reagan, Bill Clinton, Henry Kissinger, Margaret Thatcher, François Mitterrand, Petro Porochenko, Emmanuel Macron et d’autres, soit en profitant de leurs relations d’affaires et de leur pouvoir économique et commercial, soit, dans le cas de Macron, en l’embauchant comme banquier d’affaires avant qu’il n’entame sa carrière politique. Ainsi négliger les actions de ces forces de l’ombre, ou pire, les rejeter comme de simples «théories du complot», risque de donner une vision trop simpliste des événements et des processus qui se déroulent dans le monde moderne. » (Ilya Tsukanov) « La France de Macron produit de la dette, qui fournira l’année prochaine 80 milliards de bénefs aux grands prêteurs, et que les pauvres devront rembourser en services publics, leur seule monnaie d’échange, leur seul trésor. On ne nous demande pas notre avis, on prend dans notre poche. Moins d’un an avant sa mort, Michel Rocard se lâche «Ça fait longtemps que l’homme politique a perdu le pouvoir au profit des grandes banques. Le consortium des grandes banques systémiques a pris le commandement de la planète sur l’organisation financière» — Michel Rocard » (Rédac ER) Rappelons que tant qu'elles ne seront pas remplacées par une banque nationale simplement de dépôts, les grandes banques privées too big to fail garderont en otage les peuples, mais aussi car leurs faillites suite à des spéculations inconséquentes sont assurées par les contribuables. Or les gouvernements et les ministres du pouvoir occidental actuel appartenant généralement à ce système n'ont de cesse de satisfaire l’appétit insatiable de la Banque et de la Bourse, c’est-à-dire les puissances de l’argent, en cherchant réellement à tout privatiser. Ils sont devenus des esclaves de ces ordres supérieurs. Ils sont entre le chien du capital et l’os du peuple, et c’est pour cette raison qu’ils nementent ou trahissent souvent. Il y a bien un pacte de corruption entre les puissances de l’argent et le système politico-médiatique.
-rachat à travers des sociétés écrans de nombreuses actions par la société les produisant pour les revendre plus chères.
-crises financières permettant indignement une concentration du capital par les grandes banques et multinationales et détruisant tyranniquement le marché libre essentiel selon le capitalisme et le monothéisme. En effet en rachetant les petites, moyennes ou faibles moyennes et grandes entreprises ainsi donc que leurs parts de marché et en imposant progressivement aux États de transformer leurs monnaies en monnaies numériques centralisées, la tyrannique centralisation financière et ploutocratique s'amplifie constamment.
-centralisation (concentration) de l'économie par les multinationales, centralisation (concentration) de la finance par les grandes banques d’investissement (dont Goldman Sachs) et centralisation (concentration) de la création monétaire par les banques centrales. Ces dernières sont le système chéri de la ploutocratie actuelle qui va jusqu'à provoquer des guerres civiles comme en Grèce et au Liban pour préserver avidement ses privilèges et son pouvoir égoïstes. La centralisation du système sera donc toujours le problème du capitalisme par son oppression, ses combines et son chantage. Alors il est désormais évident que la décentralisation par la blockchain, par les cryptomonnaies d'investissement populaire, et par la création de la subsistance de base dans un retour au village est bien la solution pour adapter la technologie moderne jusque dans le monde rural devant le faciliter et pour ne plus donner seulement aux peuples les miettes de cette ploutocratie. C'est pourquoi le peuple doit amplifier la lutte cherchant à orienter cette ploutocratie vers l'Eden terrestre complété qui peut être basé sur ce possible nouveau paradigme du bien commun utilisant très noblement ces nouvelles technologies que sont la blockchain et la crytomonnaie décentralisées, voire utilisant en plus les grandes sociétés mondiales bien gérées et bien imposées. Surtout que la monnaie est d'abord une affaire de confiance, ce qui est facilité quand elle est cryptée et liée à une blockchain décentralisée, dont à travers la valeur intrinsèque des cryptomonnaies prouvant leur pureté, puisque basée sur l'achat et les transactions y étant liés. D'autant plus que par rapport à la folle planche à billet, la création de coins d'une cryptomonnaie est limitée et souvent liée à de la création de richesse. Ainsi cela pourrait rééquilibrer financièrement tous les continents et par conséquent résoudre le problème de l'immigration de masse. Ainsi la cryptomonnaie portant déjà dans son nom une justice économique par son impossibilité d'être malhonnêtement dupliquer et la blockchain étant d'une transparence absolue, cela semble correspondre en plus à un divin ennoblissement forcé de l'humanité jusqu'à la sainteté économique en particulier apparemment si l'IA y est bien associée dont en tant que vérification, mais qui ne sera légitimement validée qu'à ceux ayant le cœur pieux, comme aujourd'hui la piété n'est validée qu'à ceux n'agréant pas le corrompu système occidental malgré l'obligation de l'utiliser. En effet la blockchain décentralisée et donc incontrôlable par le système corrompu est un outil probablement prophétique puisque pouvant certainement guérir les grosses maladies économiques de notre époque que sont les grandes crises financières mondiales, comme la fission nucléaire a arrêté les guerres mondiales. C'est à dire que la blockchain décentralisée n'appartient à personne ou plutôt appartient à tout le monde, puisque toute information et mouvement sont enregistrés partout dans le réseau. Ceci induisant que ce probable ultime système de l'humanité correspond probablement à un des sens supplémentaires du noble plan divin irréprochable, surtout que comme le bombe atomique est donc apparue à la fin de la deuxième guerre mondiale pour préserver par la dissuasion la planète de grandes guerres militaires mondiales trop destructrices de civilisation, la cryptomonnaie et la blockchain décentralisées sont apparues à la fin de la crise financière mondiale de 2008 pour probablement par la pure transparence bien comprise préserver la planète des grandes crises financières mondiales trop destructrices de civilisation. D'ailleurs on peut même dire que cette invention de la cryptomonnaie est un grand signe de Dieu, car elle a empêché l'oppression extrême des USA et du dollar sur le monde, dont lors de la fermeture du Swift à la Russie suivie par l'abandon du Swift par les BRICS. Et il faut donc rappeler qu'apparemment aussi pour préserver la planète de grandes nations perverses trop destructrices de civilisation, la création des BRICS eut lieu en 2009. Dans ce sens de protection mondiale, le message du Mahdi sera probablement la solution aux grands problèmes politcico-économico-social. Ainsi on apprend aussi à imaginer de manière illimitée ce que le monde pourrait le plus honorablement être à travers cette pure transparence de la blockchain. Une des applications est par exemple la traçabilité de l'itinéraire d'un produit pour rassurer les consommateurs ou la traçabilité des dépenses d'une société d'assurance pour rassurer ses assurés. Surtout que quand cette société d'assurance sera liée à diverses sociétés comme des aéroports pour rembourser rapidement des billets, cela facilitera sa fonction. Or il faut donc se méfier que le système bancaire occidental ne parvienne pas à créer à une monnaie électronique unique centralisée et donc dominatrice ultimement, car un des principaux aspects d'un Etat qu'est la création monétaire pourrait rendre les nations obsolètes comme l'euro et l'union européenne tendent à le faire. Il s'agirait là d'une des possibles faces du messianimse juif erroné cherchant la gouvernance globale, car l'atlanto-sionisme militaire pour le grand Israël par le chaos semble cacher ou transférer son projet sioniste à la domination économique de l'euro-mondialisme davossien liant le public (nations) et le privé (multinationales, grands fonds d'investissement, grosses banques et banques centrales). Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « La gouvernance mondiale du Partenariat Public-Privé Global (GPPP) et le Great Reset » à l'adresse https://strategika.fr/2021/11/05/la-gouvernance-mondiale-du-partenariat-public-prive-global-gppp-et-le-great-reset/ Ainsi la création monétaire devrait être effectuée seulement en fonction de la réalité du nombre d'échanges et en l'adossant à l'or, les banques ne devraient pas être des centres de profits privés mais un service public de dépôt, et les entreprises et les Etats devraient se satisfaire d'équilibrer leur compte s'il n'y a pas de croissance. De plus comme lorsqu'une banque détient physiquement l'équivalent de la somme lors de l'octroi d'un crédit, le remboursement du capital d’un crédit ne pose pas de problème, qu’en est-il des intérêts ? Ces derniers n’ont fait l’objet d’aucune création monétaire équivalente de la part de la banque. Leur paiement implique forcément l’accroissement de la masse monétaire par l’endettement d’autres acteurs économiques. On comprend aisément que de la sorte le problème n’est que repoussé, car l’équation globale au niveau macroéconomique n’est jamais résolue. En effet dans ce système, l’argent nécessaire au remboursement des emprunts (capital plus intérêts) sera toujours supérieur à la monnaie disponible pour le faire. Ce point est crucial car il montre que dans le néolibéralisme répandu de nos jours, le déséquilibre intrinsèque au concept d’argent-dette s’apparente à une gigantesque cavalerie follement nocive : les emprunts contractés appellent obligatoirement d’autres emprunts pour pouvoir être remboursés. C'est d'ailleurs une raisons principales de la grosse crise financière des subprimes de 2008. L’endettement global de l’économie n’y a donc pas vocation à être résorbé. Bien au contraire, son expansion sans limite est le gage de sa survie. Dans un tel système, tous les experts qui prétendent que la priorité doit être le désendettement sont, soit des incompétents, soit des menteurs. Théoriquement il est censé exister des garde-fous à la logique de l’argent-dette, mais ceux-ci sont largement inopérants. Les emprunts sont classés selon leur profil de risque auquel on attribue un coefficient de pondération, ce qui permet par exemple aux prêts non performants, c’est-à-dire ceux pour lesquels les chances de remboursement sont faibles, d’avoir à proportion égale, un poids plus important dans le calcul des encours. À l’inverse, les prêts dits performants ne représentent presque rien. On le devine, en introduisant de la subjectivité, on ouvre la porte aux abus. Cela est d’autant plus vrai que le régulateur permet aux grandes banques d’utiliser leur propre modèle de calcul de risque. Le conflit d’intérêts est évident : les banques sont financièrement incitées à minimiser voire à nier le niveau de risque des encours. En outre, la complexité des calculs et le volume considérable d’informations à récolter, fait qu’il est très difficile de contrôler et de mettre en doute la parole des banques. Ce qui prouve encore l'importance d'une blockchain décentralisée. Et pour que le tableau soit complet, un entre-soi très malsain existe entre les directions des grandes banques et les principaux services de l’État comme le Trésor, l’Inspection des finances et les organes de contrôle et de régulation. En effet les allers-retours de ce personnel hautement qualifié entre le public et le privé sont la norme. Si le cadre juridique de la création monétaire existe, son application n’est pas assez stricte et laisse trop de place à l’interprétation et à la connivence pour qu’il soit réellement efficace. Dès lors, ne reste qu’une possible autorégulation. Qu’en est-il réellement ? Pour les économistes néolibéraux, l’absence de contrainte légale efficace n’est pas un problème car le marché est censé in fine s’auto-réguler. Pour eux la concurrence opère une sélection naturelle afin par exemple que les banques mal gérées disparaissent. Ceci devant purifier le secteur puisque la peur de la faillite doit amener les cadres dirigeants à faire preuve de mesure dans l’octroi de crédit et les actionnaires à favoriser le renforcement des fonds propres aux dividendes. Or en France nous sommes face à un cartel de quatre acteurs principaux qui se partagent plus de 90 % du système bancaire. En effet chacune de ces banque représente un risque systémique et les répercussions d’une faillite seraient apocalyptiques pour l’économie française. C’est pourquoi elles bénéficient toujours du secours financier des États et des banques centrales lorsque les choses se gâtent. De même les expressions suivantes volontairement absconses : politique d’assouplissement quantitatif (quantitative easing), structure de défaisance, fond commun de créances, etc, sont en réalité les outils utilisés par les gouvernements et les banques centrales pour racheter les créances douteuses des banques privées, afin d’assainir leur bilan et leur permettre de repartir à zéro ou presque. Le scandale du Crédit Lyonnais (LCL), celui de Dexia, la crise des subprimes de 2008, puis celle grecque de 2011 et celle de 2020 l’ont très largement prouvé. Que ce soit par la loi ou par le marché, on le voit bien, le risque d’aléa moral des dirigeants et actionnaires des banques, c’est à-dire la maximisation de leur intérêt individuel au détriment de la collectivité, n’est absolument pas maîtrisé. Des crises capitalistiques ont très probablement été provoquées avec la même méthode : on harponne, on laisse grossir et quand c’est plein, on crève l’abcès (la bulle spéculative), puis on récupère les morceaux à bas prix qui reprendront de la valeur. Or tout cela cache un projet corrompu beaucoup plus vaste. En effet la porte ouverte par les banques centrales à l’endettement illimité est une incitation directe à l’arrosage d’argent public, soit sous la forme de salaires de fonctionnaires, soit sous la forme de postes bidons, soit sous la forme de subventions nationales ou de subventions à des myriades d’organisations publiques et privées qui sont chargées de faire avancer l’agenda de la Commission européenne selon ses différents actes stratégiques comme le Green Deal, les migrations de masse ou la digitalisation rapide de l’économie. La Désunion européenne, c’est plutôt comme ça qu’il faudrait appeler l’Union européenne. Une union impossible depuis l’Europe des Six, où chaque pièce rapportée n’a fait qu’affaiblir l’ensemble. Ajoutez par-dessus une Commission toute puissante, non élue mais choisie par les 27 exécutifs, un Parlement aussi inutile que pléthorique, où le régime des partis, c’est-à-dire de la division permanente, paralyse tout. Dans cette (dés)organisation d’inspiration américaine – à travers des agents européistes – qui a pour objet le grignotage des souverainetés nationales des grandes nations européennes, réduites à l’état de vassaux hypersolvables au profit d’un pouvoir profond otaniste, les jeux sont déjà faits. Ainsi l'UE sert à entretenir les grands partis dans leur soumission à elle et donc sa pérennité, puisqu'ils verront leurs eurodéputés toucher 10 000 euros par mois (sans les frais et les assistants parlementaires, ce qui est largement plus que le salaire d'un député et même d'un ministre roumains). Il y en a même qui ne font rien, parce que de toute façon le job est quasi fictif, d’un point de vue productif pour les Européens. Ainsi, c’est une excellente opportunité salariale pour les seconds couteaux des partis, à part la tête de liste, envoyés à Strasbourg. La politique sérieuse et le staff important, eux, restent en France. Eurodéputé, C’est donc un bon plan pour les partis mais pas pour les électeurs, qui financent un second Parlement, aussi inutile que le précédent. A-t-on déjà vu un parlement s’opposer à la guerre ou un à président ivre de pouvoir qui mène son pays à la guerre ? Alors, elle est où la démocratie là-dedans ? Cela pourrait être considéré comme de l'antiparlementarisme primaire, un des marqueurs de l’extrême droite ou du fascisme des années 30. Sauf que ça ne l'est pas, et c’est plutôt le régime antidémocratique de la Commission qui l’est, comme le régime Macron l’est en France. Leyen et Macron, qui décident pour l’Europe et la France, sont les vrais fachistes. Or la digitalisation empêche une grande partie de la corruption de l'économie et des fonctionnaires. Dans tous les cas, il s’agit du financement par la dette de dépenses improductives, en violation complète des traités européens, qui obligeaient les États nationaux à s’endetter auprès des marchés et non de leur banque centrale, tout en respectant des critères strictes d’endettement à l'égard du PIB et du budget. Au lieu de quoi, les marchés servent de corne d’abondance à la gabegie budgétaire qui finance tout et n’importe quoi, en l’absence de contrôle sérieux des dépenses, ce qui suppose la complicité de quantités d’organismes d’audit et de surveillance qui mettent leur vigilance entre parenthèses sous prétexte de pseudos urgences exceptionnelles (comme le Covid ou donc le climat, l'immigration ou la digitalisation de l'économie mais aussi la guerre et l'inflation). Et tout cela amène à la vente des biens publiques, en démontrant donc une arnaque évidente contre les États. D'ailleurs, les taux négatifs sont le signe principal de l’appauvrissement national par la destruction de la production de richesse, la mise au chômage de millions de productifs, des prélèvements publiques sur l’épargne et la réduction du patrimoine des ménages, afin de transférer les moyens monétaires vers des causes idéologiques qui signent la fin des États nations livrés sans défense aux prédateurs de la finance déguisés en sauveurs modernistes de l’humanité et de la planète et recherchant un gouvernement mondial du privé à travers le nouvel ordre mondial. Par la dette et l’inflation, les forces néolibérales grignotent aussi une partie de l’épargne et des revenus des français, jusqu'à ce que l’épargne sera possiblement bloquée par les banques pour des raisons d’urgence nationale. On peut tout imaginer, puisqu’on est entrés dans une période historique où l’oligarchie, qui pense tenir désormais toutes les commandes, peut faire ce qu’elle veut. Il n’y a d'ailleurs plus de force d’opposition officielle viable, ni politique, ni médiatique, ni syndicale. Or le nouvel ordre mondial à travers un gouvernement mondial du privé possiblement par son contrôle du public et de ses politiciens sera dictatorial voire tyrannique et paraît donc utopique à mettre en place, puisque démocratiquement il y a trop de différences entre les diverses idéologies des peuples de la planète pour que cela fonctionne. Surtout que Ian Purdom précise que la planche à billets provoque une grave hyperinflation, qui est en réalité une dépréciation forte de la monnaie désormais reconnue unanimement dont dans les pays occidentaux, comme la livre en Angleterre, le dollar aux USA et l'euro dans l'Union Européenne : 10 euros aujourd’hui offrent un pouvoir d’achat bien inférieur à ce à quoi on pouvait prétendre en 1987 pour le même montant, c'est à dire 65 francs. D'autant plus que suite aux choix politiques des dernières décennies, l’inflation ne s'est pas propagée dans l’économie de manière uniforme. Ce qui a pour conséquence une explosion des inégalités sociales bien sûr encore en faveur des très riches devenant toujours plus riches au détriment des autres, en particulier car obtenant plus facilement des prêts des banques. De plus la profusion d’argent des planches à billets ne finance en réalité pas l’économie réelle ni n’a même vocation à le faire. Elle est cloisonnée dans la sphère financière, c'est à dire en circuit fermé parmi les différents acteurs que sont les banques, les fonds de pensions, les gestionnaires d’actifs, les chambres de compensation, etc. Ce qui prouve qu'au début, cette inflation ne se répercute pas dans l’économie réelle mais seulement au profit des très riches. Le marché des « repos » qui opère tel une gigantesque banque génère aussi une création monétaire qui pousse le prix des actifs à la hausse : actions, obligations, produits dérivés et même l’immobilier, puisque des studios à louer sont follement proches de 900 euros par mois dans les grandes villes de France, soit plus de ¾ du SMIC. Cette inflation du prix des actifs basée sur aucune création de valeurs génère artificiellement un effet richesse envers les propriétaires et les gestionnaires de ces actifs dont les actionnaires, les traders, les salariés des banques, et les administrateurs de fonds de pension et de société de gestion d’actifs. Le décrochage des 1 % ultra riches de la population vient essentiellement de là, c’est à-dire de cette incroyable machinerie qu’est la finance mondialisée permettant de créer artificiellement de l’inflation à destination des plus aisés. Les limites, la défaillance, l’inutilité, la perversité et l'impiété de ce monde financier, mercantile et « moderne » a été clairement mis à nu sous les yeux impuissants des peuples du monde par le coronavirus, dont car ayant tué principalement les personnes âgées et les faibles en santé, à l'image de son idéologie qu'est le darwinisme rabaissant et écartant les faibles et les pauvres, et pourtant enseignée dès l'école primaire. En effet entre 1987 et 2019 la valorisation boursière du CAC 40 a été multipliée par 20, les prix de l’immobilier ancien à Paris par 6 et la fortune des 500 Français les plus riches par 7 ! Le nombre de millionnaires en France est en forte hausse : il dépassait les deux millions fin 2018. Avec le temps, l’effet richesse obtenu grâce à l’inflation du prix des actifs doit mécaniquement se résorber par le rattrapage des autres facteurs de production. L’inflation se diffusant progressivement dans l’économie par les échanges, elle finit par toucher uniformément l’ensemble de l’économie. Ceci nous permet d’affirmer que même avec du retard, le coût du travail aurait dû rattraper le coût du capital. Or ce n’est pas ce que nous constatons. Depuis 1987, le SMIC mensuel calculé en euro constant n’a été multiplié que par 2.3, passant ainsi de 637 à 1521 euros aujourd’hui. Nous sommes très loin des multiplicateurs constatés pour les actifs financiers et immobiliers. Si le SMIC avait suivi la même progression que la masse monétaire, il s’établirait à 3248 euros. C'est à dire que s'il y avait eu une indexation des salaires, le SMIC vaudrait actuellement plus du double. Ce qui est une forme d'inflation massive, surtout que le salaire minimum permettait avant de faire vivre correctement une famille avec une femme au foyer et trois enfants, alors que de nos jours, deux salaires minimum (mari et femme) permettent juste de s'en sortir, tout en devant en plus gérer les bébés ou/et enfants après le travail souvent épuisant. Un tel scénario pourrait immanquablement amené la France vers une hyperinflation généralisée amplifiée par le Covid, la guerre en Ukraine et la crise énergétique et incontrôlée, telle que l’a connue la république de Weimar dans les années 20, synonyme de destruction de valeur dont de la monnaie, du capital et même des plus riches. Dans de telles conditions, si la perverse organisation monétaire et financière en place veut se maintenir, le bas coût du travail doit être utilisé comme un contrepoids déflationniste afin de garder l’inflation sous contrôle. La politique de rigueur mise en place à partir de 1984 et qui a toujours cours aujourd’hui vise prioritairement cet objectif. Les salaires et les retraites sont comprimés tout d’abord par une indexation sur des chiffres qui sous-estiment l’inflation, comme le gel du point d’indice pour les fonctionnaires, des blocages du niveau de salaires des employés, des pensions pour les retraités et des différentes allocations sociales. Depuis plusieurs décennies, le flux ininterrompu d’une immigration en âge de travailler a dans ce sens déséquilibré le marché du travail, c'est à dire afin que délibérément, la demande soit très supérieure à l’offre. De cette manière, les salaires subissent une pression à la baisse qui neutralise l’ajustement au niveau d’inflation qu’ils auraient dû normalement connaître. Voilà pourquoi en parallèle de l’hypertrophie monétaire, la France connaît sur la même période la présence d’un chômage de masse que les manipulations statistiques cachent de moins en moins. Ainsi un chômage de masse est la condition indispensable du fonctionnement d’un système monétaire régi par l’argent-dette. Si on prend une définition non tronquée du chômage, c’est-à-dire, l’ensemble des personnes en âge de travailler qui ne travaillent pas, nous pouvons raisonnablement en conclure que ce taux se situe plus près des 20 % aujourd’hui en France au lieu de 9 % annoncé par l'INSEE. Ce rôle crucial joué par le travail pour contrebalancer l’inflation induite par la création monétaire, explique qu’au-delà des déclarations de principe et des postures, aucune politique sérieuse ne sera mise en place pour combattre le chômage. Il en est exactement de même pour l’immigration. Cependant, le chômage et l’immigration ne sont pas les seuls leviers à disposition pour contrebalancer l’inflation induite par une hypertrophie monétaire. D’autres leviers efficaces existent, qui ne sont aussi pas sans conséquences nuisibles pour la société. Les premiers étant sans aucun doute, les accords de libre-échange ainsi que l’adhésion à l’OMC, qui permettent d’ouvrir grand nos marchés à des marchandises venues de pays à bas coût, respectant peu voire pas les normes économique, environnementale et sociale nationales. L’impact sur les prix est considérable. En effet, un tee-shirt venu du Bangladesh ou un écran plat sorti d’une usine chinoises coûtent entre 5 et 20 fois moins cher à produire qu’en France. Dans le panier du français moyen, c’est une bouffée d’oxygène qui lui a indéniablement permis de contrebalancer en partie les hausses de prix subies ailleurs. Cela s’est malheureusement donc fait au détriment de l’emploi chez lui. En effet les délocalisations et l’incroyable désindustrialisation du globalisme constatées en France depuis des décennies en sont le corollaire. Là encore, on comprend pourquoi malgré les promesses, aucune politique sérieuse n’a été mise en œuvre pour stopper ce phénomène. Alors que la désindustrialisation empêche la grosse croissance et donc le désendettement massif de la France. « François Asselineau déplore le niveau de désindustrialisation atteint par la France et donne des solutions pour inverser cette tendance mortifère pour notre pays. Le président de l'UPR démontre qu'une nation ne peut pas avoir une politique industrielle lorsqu'elle est dépossédée de sa monnaie et dévitalisée par des délocalisations à outrance. Il accuse les différents gouvernements français de n'avoir rien fait pour endiguer le déclin de l'industrie française. François Asselineau propose plusieurs mesures pour réindustrialiser la France, notamment la réduction du coût du travail, la réduction des impôts sur les entreprises et l’investissement dans les nouvelles technologies. Cependant, il souligne que ces mesures ne seront efficaces que si la France quitte l’euro et sort de l’Union européenne pour s’extraire des situations de concurrence asymétrique. » (Média en 4-4-2) Autre levier utilisé ces dernières années, l’uberisation, souvent synonyme de transition du salariat protégé par les syndicats à tout petit patron surchargé de travail et mal payé. En effet cette ubérisation est un moyen de baisser les salaires car les immigrés devenus des patrons d'une entreprise unipersonnelle acceptent d'être moins payés que le prix minimal de l'heure travaillée au niveau national et que les heures supplémentaires, d'où la défense et l'organisation occulte de l'immigration avec les mondialistes oligarchiques. Ce néologisme, provenant de la société californienne Uber, décrit comment les start-up mettent en relation directe les entreprises et les clients sur ces nouveaux marchés que constituent les plateformes numériques. Ainsi dans de nombreux secteurs, ce phénomène vient bousculer des professions déjà établies dont en leur faisant subir souvent une concurrence déloyale de la part de ces nouveaux entrant qui ne respectent pas les mêmes contraintes réglementaires et sociales. Cela fut particulièrement criant dans des secteurs comme l’hôtellerie ou les taxis, de simples particuliers sans enregistrement ni autorisation préalable s’improvisant chauffeurs ou chambres d’hôtes. Cette concurrence déloyale permet un nivellement par le bas des conditions de travail et de l’encadrement social, ce qui autorise une compression des prix. Là encore malgré les protestations, la timidité du gouvernement à y répondre s’explique par le besoin de contrebalancer l’inflation et le chômage illusoirement. En effet l'uberisation professionnelle correspond principalement à une entreprise unipersonnelle qui ne crée donc pas d'emploi et qui ne tient souvent pas plus d'un an. Ainsi même l'ubérisation de la politique synonyme aussi de grand effondrement est en cours. La destruction en règle de la France depuis Chirac-Sarkozy-Lagarde concerne aussi les partis politiques. L'ubérisation de la politique se voit à travers Zemmour, Macron, LREM, RN, LR, LFI... En effet avec LREM lors de l'élection présidentielle de 2022, nous découvrons de nouveaux partis politiques, vite créés, bâclés et usagés. Cette ubérisation gagne les services publics, l’hôpital et tout le reste, et reflète notre vie ordinaire : nous sombrons dans un modèle apportant la misère et la précarité pendant qu’au sommet s’édifient des fortunes colossales qui ne se basent sur rien mais organisent notre dystopie parce qu’elles contrôlent de grands médias, la création des films et notre mental. Enfin pour contrebalancer l’inflation, le dernier levier et sûrement le plus important pour les années futures est la robotisation, c’est-à-dire la substitution de tout travail humain par des machines. Cela est déjà largement avancé dans l’industrie. Les chaînes de montages automobiles connaissent des taux d’automatisation vertigineux. Les services commencent à être touchés. L’apparition de caisses automatiques dans les supermarchés et les stations services, et l’émergence des voitures autonomes, dernier échelon vers un remplacement pur et simple des chauffeurs déjà complètement assistées par les GPS, vont dans ce sens. Même les secteurs à très haute valeur ajoutée comme la recherche, la conception et la gestion, nécessitant normalement connaissances et expertises humaines, sont aujourd’hui en phase d’être concurrencés par des algorithmes de plus en plus complexes et avec l’intelligence artificielle réalisant des avancées stupéfiantes dans tous les domaines. Les chiffres officiels de l’inflation calculés par l’INSEE et utilisés par le gouvernement pour réajuster les salaires sont complètement faussés. La France connaît en réalité une hyperinflation qui est le résultat d’une création monétaire totalement débridée et sans aucun garde-fou. Et comme cette inflation se fait donc en majorité en faveur des plus riches, cela explique l’explosion des inégalités en France depuis plus de 30 ans et la perte des valeurs dont pour y résister ou l'oublier. Cette inégalité est organisée par l’activité de certains groupes. En effet des organisations perverses comme la Commission trilatérale se coordonnent pour s’emparer du contrôle de l'occident et consolider les quatre centres du pouvoir : politique, monétaire, intellectuel et religieux. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article de Matthew Ehret « Comment la Commission trilatérale a conduit un coup d’état bancaire en Amérique » à l'adresse suivante https://lesakerfrancophone.fr/comment-la-commission-trilaterale-a-conduit-un-coup-detat-bancaire-en-amerique Les classes moyennes et populaires sont prises en étau, entre d’un côté une augmentation des prix qui grignote toujours plus leur niveau de vie, et de l’autre des politiques d’ajustement qui précarisent voire détruisent leurs conditions de travail. Cette logique mortifère semble sans limite et nous conduit tout droit vers une société ultra-inégalitaire ou la richesse et le savoir sont concentrés entre les mains d’une infime minorité de pseudos experts, d'élites économiques et de dirigeants. D'ailleurs à cause du néolibéralisme et sur fond d’affrontement entre Bruxelles et la Cour constitutionnelle allemande, un milliardaire comme George Soros est descendu dans l’arène pour alerter l’UE sur les périls qui la menaceraient et pour montrer la voie. Mais avec quelle légitimité ? Pierre-Antoine Plaquevent pointe la nature antidémocratique de la « gouvernance » promue par ce milliardaire hongrois. Il explique l'hydre mondialiste : « Le projet de Soros, c’est un mode de gestion (en partie cachée) de l’humanité par des personnalités non élues. Le milliardaire Bill Gates (avec Warren Buffet) est une sorte de ministre qui s’occupe de la santé sans aucun diplôme en médecine et promeut la vaccination numérique à l’échelle planétaire et donc la surveillance et la dictature mondiales ainsi que le puçage, l'écologie, l'agriculture et la biotechnologie. George Soros est le philanthrope (ministre des affaires étrangères, de la culture, de la diversité divisante, et de l'ultra-libéralisme) en faveur des migrants(, de la promotion du LGBTisme, des antifas et des femens, et donc de la destruction des politiques prônant la souveraineté des individus, des familles traditionnelles et des nations). (De même Rockfeller pourrait être le ministre de l'intérieur puisque cherchant à diminuer le nombre d'humains dont par le coronavirus, et Rothschild serait le ministre de l'économie puisque son immense fortune non révélée et l'usure bancaire influencent grandement la finance internationale. Surtout que l'économie, et donc les banques et les multinationales, et donc les grands centres financiers contrôlent la politique.) C’est une sorte de gouvernement (pervers du faux messie) qui passe par-dessus les États. »
-FMI imposant à de nombreuses nations endettées comme conditions de prêts, des réajustements structurels défavorables aux peuples au profit de la caste mondialisée ultra riche (grosses banques, grands gestionnaires de fonds d'actifs massifs, multinationales, GAFAM, complexe militaro-industriel) sous forme de chantage économique et d'austérité. C'est à dire que demandant toujours plus de libéralisme économique contre du financement pour préserver le pays.
-pouvoir économique d'abord financier contrôlant donc presque totalement le pouvoir politique. Surtout que si l’État finit par ne plus pouvoir rembourser de dette, il ne pourra plus payer ses fonctionnaires et devra se vendre à la découpe. Ainsi le projet de nos gouvernants est-il réellement de réduire la dette qui nous rend esclave de leur système ?
-rachat des banques régionales et donc populaires par celles too big to fail nationales voire supranationales et donc oligarchiques voire mondialistes.
-banque Rothschild ayant un accord avec le fisc qui leur permet de verser 80% des rémunérations au sein des trusts (entreprises internationales influentes souvent écran et perverses) situés dans des paradis fiscaux. Or un trust est aussi souvent une concentration financière réunissant plusieurs entreprises sous une direction unique, et un trust international est une entreprise assez puissante pour dominer un marché. En sachant que la loi antitrust désigne des lois visant à empêcher les pratiques anticoncurrentielles pour protéger donc la concurrence et ainsi aussi les consommateurs face à des prix excessifs.
-produits financiers à haut rendement ayant été inventé dans les années 80 et étant destructeurs de richesses productives. La banque ne développe plus le capitalisme car elle est devenue prédatrice en vivant sur la destruction accélérée de la richesse industrielle. Il en s'agit pas seulement d'une logique dérive de l'accumulation capitaliste cherchant toujours plus de profit, mais d'abord d'un plan oligarchique de contrôle du monde.
-hedge funds étant des fonds de placements les moins régulés et les moins encadrés par la législation américaine. Ils sont les mettre du jeu car à part eux il ne reste que Black Rock et Vanguard. C’est là que se font les plus grosses plus-values et où l'on trouve le plus d’abus. La justice américaine, qui pourtant dispose de grands moyens, peine a réprimer les grandes escroqueries de la haute finance, alors qu'elle n'hésite pas à sanctionner des banques européennes. Ainsi, un hedge fund est un fonds de couverture. Par extension, on inclut parfois sous l'appellation de hedge fund tout fonds alternatif, c'est-à-dire un fonds qui n'est pas dédié à l'investissement en actions ou en obligations cotées, et qui est ouvert au public. La gestion alternative (Hede funds) est un mode de gestion de portefeuille alternative risqué par lequel le fonds d'investissement qui investit mobilise des actifs liquides et recourt à des montages financiers complexes et à des techniques de management du risque pour améliorer ses performances. Un hedge fund recueille de l'argent auprès d'investisseurs qualifiés, crée un fonds commun avec les investissements, puis utilise le capital accumulé pour s'engager dans diverses activités d'investissement et de négociation non réglementées. Comment les hedge funds gagnent de l'argent ? Traditionnellement, les hedge funds prélèvent une commission de 15 à 20% sur les éventuels profits mais surtout des frais entre 1,5 et 2% des montants déposés par leurs clients, et ce chaque année. Les principales stratégies des hedge funds sont les suivantes : .anticipations macro-économiques telles que la croissance des PIB, taux d'intérêts, taux de change ou encore des prix des matières premières. .investissements sur les marchés émergents. .arbitrage des déformations et mouvements de la courbe des taux (analyse comparée des taux longs et taux courts). .pratique du "Events driven" qui regroupe différentes stratégies qui consistent à prendre position sur des titres afin de tirer partie d'anomalies de prix lors de situations spéciales telles que les fusions-acquisitions (merger arbitrage) ou restructuration de dettes de sociétés en faillite (distressed). Le gérant d'un fonds à stratégie "events driven" va par exemple spéculer sur l'écart entre le prix annoncé par l'acquéreur lors d'une OPA et le prix réel auquel se déroule ensuite l'opération sur le marché. .utilisation d'algorithmes destinés à prendre des positions spéculatives "long" ou "short" sur des contrats futures sur tout type de support (indices, matières premières...).
-suite à l'inflation de années 75-80 et la pseudo crainte de l'explosion de la demande ingérable vu la démographie humaine de plus en plus grande, il a été décidé par le système que l'augmentation des salaires en rapport à l'augmentation des prix devait être arrêtée et orientée vers une modification du partage de la richesse en faveur des ultra riches, des actionnaires, et au détriment de ceux qui produisent la richesse, les salariés, comme le prouve clairement notre époque actuelle.
-domination de l'empire apatride anglo-saxon désormais plus par la propriété des flux et non la détention de propriétés, ce qui rend donc la propriété juridique dépassée, et montre son pouvoir sur la matière.
-quinquennat de Macron ayant fait chuter la balance des échanges français et connu une inflation record, sauf pour les riches qui bénéficient seuls d’une indexation de leurs titres, alors que les cas d’impayés se multiplient, et que la justice, qui n’a d’yeux que pour le droit établi par la bourgeoisie pour la bourgeoisie, étale ou punit.
-prétentions erronées que nous sommes dans une économie socialiste selon la droite et dans une économie capitaliste selon la gauche, alors que c'est ni l'une ni l'autre, mais plutôt un système financier destructeur dans lequel un capital fictif détermine l'économie qui ne va ni à l'être humain ni à la production de biens, car elle dérape de plus en plus dans la spéculation financière. Le choix entre une économie raisonnablement socialiste ou ultra libérale doit se faire par rapport à la communauté humaine ou l'individu. C'est à dire que l'accumulation de richesse très au-delà du raisonnable crée des produits d'hyper luxe, ce qui déstabilise la société dont en détruisant les services publiques dont les aides sociales font partie. Le choix est donc simple car il suffit de préférer pieusement l’humanisme raisonnable à l'égoïsme extrême.
-vente (casino) à découvert ayant été follement autorisée.
-dans une affaire contre le monopole de Google, le juge Amit Mehta a déclaré que Google avait investi des milliards de dollars pour s’assurer d’être le moteur de recherche par défaut sur les smartphones et les navigateurs. « Google est un monopole, et il a agi comme tel pour préserver son emprise sur le marché », a affirmé le juge Mehta dans une décision détaillée de 277 pages. Ce jugement pourrait bien inspirer d’autres régulateurs à travers le monde à intensifier leurs efforts pour limiter l’influence des géants de la tech.
-concurrence déloyale puisque seuls les riches voire ultra-riches peuvent se payer des publicités en particulier télévisuelles.
-jours-amende plutôt que temps de prison utilisables donc injustement seulement par ceux qui peuvent se le permettre, ce qui est encore le signe d'une tyrannie ploutocratique.
-discours de Guiraud à l'assemblée nationale étant parfait de bout en bout, car c’est une démonstration implacable concernant les transferts de richesses qui échappent à la plupart des français au profit de la tyrannie ploutocratique, car ne comprenant rien à l’économie qu’elle soit micro ou macro, et à l'injuste système occulte actuel : « Madame la Présidente, je partage le plaisir du président de la Commission des finances de vous voir assis à ce siège. Mesdames et Messieurs les ministres, chers collègues, pour reprendre une citation connue je commencerais mon propos par ce constat : si la population comprenait parfaitement notre système budgétaire je crois qu’il y aurait une révolution demain matin. Permettez-moi donc de participer, à ma modeste échelle, à cette saine pédagogie. Non seulement nous n’approuvons pas ces comptes de l’État – gardez votre souffle, chers collègues, il y en a pour 15 minutes – non seulement nous n’approuvons pas ces comptes de l’État mais nous avons besoin d’un débat sur la transformation profonde de notre système de financement public, une transformation absolument scandaleuse, au sens premier du terme, d’abord parce que profondément inégalitaire, ensuite parce qu’on se rend tous compte actuellement que cela met en péril nos comptes publics et enfin parce qu’elle est profondément antidémocratique. Sous la présidence Macron notre pays n’a jamais levé autant d’argent issu des impôts de son histoire. Nous n’avons jamais été aussi riches. Il suffit d’observer l’évolution des recettes fiscales nettes de l’État avant qu’Emmanuel Macron ne prenne le pouvoir. Les recettes fiscales nettes de l’État s’élèvent à 285 milliards d’euros. Elles passent à 295 milliards en 2017, même montant pour 2018, elles retombent en 2019 à 281 milliards d’euros et à partir de 2021 elles vont remonter sans jamais s’arrêter : 295 milliards à nouveau en 2021 et aux alentours de 323 milliards d’euros en 2022, en 2023 et en 2024. Et elles sont estimées à 357 milliards d’euros en 2025. 357 milliards d’euros. L’État est assis sur une montagne d’or, celle des Français. Et comme tout dragon il a caché une partie du trésor dans la montagne parce qu’en plus de ces 357 milliards d’euros il faut rajouter les recettes d’un impôt dont on ne parle décidément pas assez – c’est pourtant le premier impôt du pays – c’est la TVA. Dans le présent projet de loi de finance on nous parle par exemple de 106 milliards d’euros de recette de TVA cette année pour l’État, mais c’est curieux parce que la France n’a pas collecté seulement 106 milliards d’euros de la TVA ; notre pays a prélevé le double de cette somme sur les Français car les recettes de la TVA – l’impôt le plus injuste, hein – ont explosé sous le mandat Macron. On est passé de 163 milliards d’euros de TVA nette collectée en 2017 à 186 milliards d’euros en 2021, et à 217 milliards d’euros en 2024. En 7 ans de mandat Macron les recettes de TVA ont bondi de plus de 50 milliards d’euros. Cinquante milliards d’euros supplémentaires, c’est-à-dire juste le budget de notre défense nationale, rien que ça ! Et alors si nous sommes si riches mais que le budget de l’État est en grave déficit, mais qu’est-ce qui se passe ? Mais qu’est-ce qui se passe ? Où va cette masse d’argent considérable payée par les Français, les plus précaires, au supermarché notamment, au caddy, dans des produits alimentaires dont le prix a explosé avec l’inflation ? Où va cette fortune payée avec la sueur et les larmes de certaines familles ? C’est un député d’une ville, Roubaix, qui connaît un taux de pauvreté à plus de 40 % qui vous parle. Où va cette fortune ? Mais on est face à un véritable scandale d’État car une chose est désormais connue et reconnue : cette fortune va de moins en moins dans le budget de l’État. Je vous donne un fait indiscutable : 100 milliards d’euros de la TVA ne vont plus dans le budget de l’État, c’est-à-dire l’équivalent de deux fois le budget de notre défense nationale. Et ce sans qu’il y ait eu un seul débat d’ampleur nationale sur le détournement de cet argent, et c’est pas un détail. L’argent du budget de l’État, il sert à financer la solidarité. L’argent du budget de l’État, il sert à financer les services publics. L’argent du budget de l’État, c’est la transition écologique et surtout l’argent du budget de l’État, il est discuté tous les ans ici à l’Assemblée. Mais là on a 100 milliards, 100 milliards, hein, d’euros, qui ont été exfiltrés du budget de l’État sans qu’on ne sache vraiment à quel moment on en a discuté dans notre assemblée, sur décision des gouvernements Macron, sans débat national, juste comme ça. C’est quand même, permettez-moi, c’est étonnant vu que vous parlez, collègue Cazeneuve, quand on discute du financement de nos écoles, de nos hôpitaux, de nos armées, le gouvernement nous dit qu’on est à l’euro près, mais quand on ausculte chaque pupitre de classe pour voir à la loupe, voire même au télescope si on n’a pas dépensé un centime d’euro, vous êtes là, mais quand 100 milliards d’euros s’envolent du budget de l’État vous regardez vos pompes. Permettez-moi de relever quand même cette hypocrisie. Pour que tout le monde comprenne, il y a quand même, il y a des graphiques éloquents, c’est celui du rapport de la commission des finances du Sénat sur le projet de loi de finance 2024. Rien que visuellement c’est saisissant. Vous voyez il y a un graphique : en 2017 l’argent de la TVA revenait presque uniquement à l’État ; en 2024, regardez bien, c’est le rouge l’argent de la TVA qui vient à l’État, ça a rétréci au lavage quand même, hein ! Ça a rétréci au lavage et maintenant on voit deux nouveaux acteurs qui perçoivent la TVA : la Sécu sociale et les collectivités locales, et personne se demande pourquoi. Donc je vais commencer par la Sécurité sociale, vous allez voir pourquoi je suis contre, chers collègues : le gouvernement a littéralement créé une TVA sociale. Littéralement. Une TVA sociale c’est-à-dire la mesure qui était défendue par Nicolas Sarkozy, qui a fait chuter parfois, en partie, des gouvernements, reprise récemment par le responsable des républicains Éric Ciotti – enfin ça c’était avant la bataille du QG des Républicains, cette bataille épique qui opposa Valérie Pécresse contre Éric Ciotti suspendu à son balcon ; cette TVA sociale, idée aussi simple que dangereuse, c’est-à-dire on diminue les cotisations patronales en les faisant financer par la TVA. Donc ce que les Français des classes populaires ou moyennes payent de TVA dans leur caddy de course part directement financer des cadeaux fiscaux aux entreprises, dont on sait à qui elles bénéficient majoritairement. Je vous donne un indice ça commence par CAC, ça finit par 40. Et dans son dernier livre le ministre Bruno Lemaire, avant son exil en Suisse, évoquait d’ailleurs cette TVA sociale, il la chiffrait même : il disait 5 points ; 5 points c’est-à-dire un montant de 60 milliards d’euros de TVA qui irait dans le budget de la Sécurité sociale. Ça serait un choc sans précédent sur la consommation des Français qui peinent à boucler leur fin de mois, eh bien regardez, les 60 milliards d’euros ils sont là sous vos yeux, voilà la TVA sociale. Et quand on lit les documents budgétaires de l’État, on les voit, 60 milliards d’euros pile, et on parle d’un phénomène qui est quand même très récent, hein, c’est peut-être pour ça que tout le monde l’a vu, parce que ça a commencé en 2019, alors qu’on était sur des montants relativement faibles, hein, avant, de TVA transférée vers la Sécurité sociale, d’un coup on se met à transférer, en 2019, alors que c’était, avant, 10 milliards, en 2019 on se met à transférer 46 milliards d’euros de l’argent de la TVA vers la Sécu. Un quart du produit de la TVA qui part d’un coup vers la Sécu. Et depuis cette date c’est comme au PSG, les montants des transferts explosent : on passe à 53 milliards d’euros de TVA transférés à la Sécu en 2021 puis à 57 milliards d’euros transférés en 2022, et pour l’année 2023, donc on en revient à notre graphique, 60 milliards d’euros de TVA. Et si vous avez des doutes sur les raisons de ces transferts, c’est la Cour des comptes qui vous le rappelle dès 2019. Dès 2019, dans son rapport sur les recettes fiscales de l’État, je cite : « l’affectation aux administrations de Sécurité sociale d’une nouvelle fraction importante de TVA prenant principalement en charge le coût des baisses de cotisations sociales, décidée en contrepartie de la suppression du crédit d’impôt sur la compétitivité et l’emploi ». Voilà, la boucle est bouclée, c’est celle d’une politique libérale ultra agressive décidée par un État qui ordonne à la Sécu de supporter de plus en plus le poids d’une politique destinée aux grandes entreprises en la forçant à se priver de milliards d’euros à cause des exonérations de cotisations. Mais pour éviter l’explosion du budget de la Sécu, parce que si on compense pas, le budget de la Sécu explose, pour éviter son explosion le gouvernement fait financer ses cadeaux aux entreprise avec l’argent de la TVA. L’argent issu de l’impôt le plus injuste du pays est directement aspiré par l’État pour le redonner immédiatement au grand patronat, c’est ça la TVA sociale. Et alors on pourrait croire que ça s’arrête là, mais non même pas, parce que le même sort est désormais réservé aux collectivités locales. Vous avez exactement le même phénomène qui s’abat sur les collectivités locales. En 2017 l’État transférait, accrochez-vous, zéro euro de TVA aux collectivités locales. Pourquoi ? Bah tout simplement parce que les collectivités locales avaient quelque chose qui est, certes, en voie de disparition avec vous et qui s’appelle les impôts locaux, mais la politique macroniste s’est aussi distinguée par la suppression de ces impôts locaux : suppression progressive de la CVAE, suppression de la taxe d’habitation. C’est-à-dire la suppression d’impôts qui étaient payés soit par les entreprises soit par les Français, mais avec une nuance quand même de taille pour la taxe d’habitation, parce que même si la taxe d’habitation était payée par une partie des classes moyennes, la taxe d’habitation était majoritairement payée par les 20 % des Français les plus riches. Donc un supprimant ces impôts vous avez épargné encore une fois les Français les plus aisés, vous avez épargné les entreprises. Sauf que sans ces impôts, comme la Sécu, le budget des collectivités locales, il tient plus. Elle fonctionne plus et vous le savez. Et donc c’est la raison pour laquelle vous avez, là aussi, fait payé avec l’argent de la TVA votre politique de cadeaux faits aux plus riches et aux entreprises ; et on passe de zéro euro d’argent de la TVA transféré en 2017 à plus – encore une fois c’est dans le graphique – de 50 milliards d’euros de TVA transférés en 2024. Vous avez donc, sans débat parlementaire, demandé aux Français des classes populaires et moyennes, et qui payent la TVA sans pouvoir y échapper, eux, de porter sur leur dos tous les cadeaux fiscaux que vous avez faits aux Français les plus aisés et aux grandes entreprises. Et quand on vous piste sur vos politiques budgétaires, parce que faut être un fin limier – vous vous êtes bien cachés pendant quelques années – on voit que vous êtes en train de construire rien d’autre qu’un État capitaliste, prédateur, carnassier. Un État qui demande toujours plus d’efforts aux plus pauvres, un État qui s’appuie toujours et encore plus sur la TVA pour tout financer et pour tout piloter. J’en veux pour preuve un article extrêmement récent du journal Alter Éco, qui nous donne des faits simples : en 2019 le taux de prélèvement obligatoire des 5 % des Français les plus pauvres était de 58 % quand le taux de prélèvement obligatoire des 5 Français les plus riches était de 51 %. En d’autres termes les classes laborieuses de ce pays portent sur leurs épaules la politique de classe violente, agressive, que vous infligez au pays. Et en plus d’être d’une brutalité inouïe pour les Français qui s’en sortent plus, mais elle est d’une inefficacité terrible : c’est votre budget qui nous mène dans le mur actuellement ! Et alors vous allez me dire, d’ailleurs vous m’avez déjà déclaré dans une récente commission « oui, mais en contrepartie les recettes de l’impôt sur les sociétés ont augmenté, c’est la preuve qu’on a redonné de la confiance aux entreprises », c’est une relation de cause à effet un peu étrange, moi je trouve, la confiance. Permettez-moi d’être un peu bas du front mais moi à mon avis c’est l’augmentation générale des prix qui a augmenté, surtout une hausse logique du résultat net des entreprises qui a fait qu’il y a plus d’impôts sur les sociétés sur ces dernières années. Et on pourrait se dire, bon ça y est ils vont nous lâcher avec la TVA, même pas : vous continuez, vous continuez parce que puisqu’il faut presser le citron jusqu’au bout des Français, vous envisagez de taper encore avec la TVA, cette fois sur les abonnements au gaz et à l’électricité en multipliant par quatre le taux de TVA sur le gaz et l’électricité. Et on pourrait se dire c’est fini avec la TVA, toujours pas, puisque vous allez encore utiliser la TVA dans le budget pour frapper les collectivités locales, c’est ce que vous annoncez récemment, avec les efforts de 5 milliards d’euros demandés aux collectivités. Quand je parle d’État carnassier c’est pas une métaphore, hein, l’argent de la consommation populaire est entre les mâchoires, maintenant, d’un État capitaliste vorace profondément inégalitaire et avec ça l’État mâchouille aussi le peu qu’il nous reste de démocratie sociale et le peu qu’il nous reste de démocratie locale, parce qu’en fait vous êtes en train d’entrer dans le financement de la Sécurité sociale, vous êtes en train d’entrer dans le financement des collectivités locales, vous êtes en train de les empêcher de se développer seules, avec des impôts locaux pour les collectivités locales, avec des cotisations sociales ou patronales pour la Sécurité sociale. Et on connaît la suite : une fois que vous aurez pris le pouvoir complètement dans ces budgets-là, vous allez nous expliquer quoi ? Bah qu’il n’y a plus d’argent et que vu qu’il n’y a plus d’argent faut faire péter le budget des collectivités locales ; et vu qu’il n’y a plus d’argent faut faire péter le budget de la Sécurité sociale ; et la suite est connue, l’argent de la Sécurité sociale, pour vous, n’a pas d’autre vocation que d’aller dans le privé pour que le privé puisse enfin se faire ce qu’il rêve depuis 1945 dans ce pays, remettre une logique de marché sur un de nos trésors qui est la solidarité et la solidarité entre tous les travailleurs de ce pays. Pour ces raisons-là, pour toutes ces raisons-là, nous allons rejeter en bloc cette loi et les prochaines lois de finance parce qu’elles s’appuient vraiment sur le vol de l’argent des Français qui consomment, qui n’ont pas d’autre choix que de consommer pour vivre, et c’est précisément parce qu’ils n’ont pas d’autre choix que nous serons là pour les défendre. » Il ne faut donc plus douter une minute que nos dirigeants sont avides, traîtres voire diaboliques au détriment du peuple ! -réformes fiscales d’Emmanuel Macron ayant amené à dividendes en hausse et l'investissement en berne selon l'article à cette adresse https://lemediaen442.fr/les-reformes-fiscales-demmanuel-macron-dividendes-en-hausse-investissement-en-berne/
-kilo d'uranium extrait passant de 1 dollar au Niger et à 500 dollars en France qui est son cours mondial, donc dans une forme de vol des pays pauvres et riches par les ultra-riches mafias politique et commerciale dirigeant ces pays.
-capitalisme financier ayant détruit le service public français de l’électricité, qui était pourtant le meilleur du monde, dont car le plus efficace et le moins cher, pour en faire une entreprise privée, inefficace et chère dont à cause des règles de l'union européenne.
-oligarques, banques commerciales, gestionnaires d'actifs et multinationales se moquant donc honteusement de l'appauvrissement de tout pays tant qu'ils gagnent de l'argent.
-illégitimité que le capital (actionnaires) gagne toujours plus voire beaucoup plus que le travail (salariés), en particulier sans négociation permanente comme en Allemagne.
-amoralisme dans la phase terminale du grand capital par preuve de l'expression « buisness is buisness ».
-écroulement possiblement provoqué de la plate-forme centralisée FTX d'échange de cryptomonnaies pour détourner des les populations des cryptomonnaies décentralisées, comme l'écroulement possiblement provoqué de l'Angleterre depuis son Brexit pour faire craindre la sortie de l'Union Européenne mondialiste, surtout que cette nation est toujours contrôlée par le même pouvoir profond qu'avant. En effet le Brexit n'a pas permis d'abroger des lois et jurisprudence de l'union européenne et donc de se développer à cause de de la majorité des députés, des médias et de l'administration publique pour envisager un retour dans l'UE ou au moins un alignement plus grand avec elle dont dans au niveau du commercial. De plus cet effondrement de FTX peut servir à ce que les régulateurs aient une raison de passer des lois qui rendront le pouvoir des cryptomonnaies décentralisées à des structures centralisées.
-baisse de la dette par l'inflation synonyme d'un gros impôt supplémentaire pour le peuple et de perte de valeur de la monnaie. Cette inflation est très probablement voulue voire organisée par les mondialistes corrompus pour éviter d'être accusés de cette dette dont à cause de leur usurière finance internationaliste prédatrice et de la folle planche à billets. Or l'inflation peut aussi incarner la récupération de la zakat non gérée ni donnée.
-délocalisation synonyme de déréglementation en particulier au détriment des producteurs nationaux et au profit des trusts.
-monopoles détruisant les effet bénéfiques du marché, et nécessitant des lois anti-trusts dont aux USA.
-grand reset occidental au niveau économique en partie déjà réalisée avec la crise des subprimes (et la préparation de monnaies numériques centralisées) ayant fait que certaines banques sont devenues oppressivement too big to fail ainsi donc que certaines grandes nations momentanément ou tant que ce système perdure. Or depuis des décennies voire de siècles, ce système cherche indignement à accomplir ce grand reset complètement, puisque voulant la domination supranationale privée totale en utilisant la perversion du sacré à travers son inversion ou sa transformation. Cette restructuration (ce grand reset) qui obsède le Forum Economique Mondial est un oligarchique système collectiviste mondial basé sur les concepts de Schwab de la 4e révolution industrielle, de l’économico-politique partagé voire du capitalisme des parties prenantes (gouvernance d’entreprise). Elle laisse entendre que si la fragmentation de l'économie est nécessaire, sa trop grande fragmentation pourrait être gênante surtout pour leur ploutocratie.
-autoentrepreneur étant le pire statut du monde pour les travailleurs. En effet être en autoentreprise, c’est payer trois fois, en tant qu’employé par la précarité, en tant qu’employeur par les charges, et en temps que payeur de la TVA désormais. Sans oublier qu’en cas de chômage, il n'y a pas d'indemnités. Tu payes des impôts comme un vulgaire CDI, tu te prends les charges « patronales » dans la figure, et maintenant donc la TVA, au profit des mutlinationales.
-gouvernement s’apprêtant à asséner un coup fatal aux micro-entrepreneurs avec l’article 10 du Projet de loi de finances 2025, qui prévoit un abaissement brutal du seuil de franchise en base de TVA. Cette réforme clairement au profit de la centralisation économique, sous couvert d’alignement fiscal, risque de plonger des centaines de milliers de petites entreprises dans une situation économique intenable, une partie d’entre eux travaillant avec des particuliers, ou des associations, qui ne pourront pas suivre la hausse des factures.
-fonds vautour très spéculatifs vidant les caisses des États qui doivent alors sacrifier leurs services publics, et allant même jusqu'à spéculer contre les denrées alimentaires de première nécessité en créant des famines et contre des pays du tiers monde dont la dette devrait évidement être annulée. Selon Pierre Jovanovic, ces fonds vautour sont même en train de s’emparer de tout ce qui ne marche pas en France. Derrière l’écran de la grippe qui a été transformée miraculeusement en pandémie covid par les sorciers mondialistes, cela va même jusqu'à la destruction des derniers services publics français au profit des multinationales qui salivent devant les beaux morceaux, et au profit des banques qui vont gérer les fusions-acquisitions à venir. Or le privé lucratif ne peut par exemple plus logiquement s'occuper des maisons de retraites, car il recherche progressivement toujours plus de profit, ce qui finit généralement par se faire au détriment du nombre de personnel, du confort et du bon traitement des usagers, comme l'a prouvé l'affaire des EPHAD en France.
-argent public massivement transféré au secteur privé lors de chaque crise. Les dernières crises, comme la pandémie du Covid, les guerres, ou le krach de 2008, ont toutes un point commun : à chaque fois s’opère un transfert massif de l’argent du contribuable au profit du secteur privé. C’est devenu systématique : les contribuables paient l’entier des coûts des crises, et les privés encaissent l’entier des bénéfices. A ce sujet, il est intéressant de lire l'article « A chaque crise, l’argent public est massivement transféré au secteur privé » à l'adresse https://strategika.fr/2023/03/15/a-chaque-crise-largent-public-est-massivement-transfere-au-secteur-prive/
-gros déséquilibre dans le partage de la valeur ajoutée, car la capital touche trop par rapport au travail.
- « Énorme scandale de l'administration ayant dépensé 155 milliards d'euros pour ses achats de fourniture ou encore de mobilier. Les catalogues d'achat coûtent très cher à l'État. Les prix qui y sont affichés sont plus élevés que ceux des magasins traditionnels. Voici des exemples : une ampoule, 48 € ; un passe-câble, 80 € ; une chaise pliante, 68 €, alors qu'une chaise identique est vendue chez un magasin de mobilier suédois bien connu des Français pour la somme de 15 €... Énorme scandale : l'administration a dépensé 155 milliards d'euros pour ses achats de fourniture ou encore de mobilier. Les catalogues d'achat coûtent très cher à l'État. Les prix qui y sont affichés sont plus élevés que ceux des magasins traditionnels. Voici des exemples : une ampoule, 48 € ; un passe-câble, 80 € ; une chaise pliante, 68 €, alors qu'une chaise identique est vendue chez un magasin de mobilier suédois bien connu des Français pour la somme de 15 €... Mais alors, comment cela est possible. Pourquoi ? Voici la réponse : pour faire ses achats, la puissance publique est obligée de passer des appels d’offre. C’est une obligation qui est encadrée par le code des marchés publics et c’est pour éviter toute corruption (sic)… Le problème réside dans la complexité des procédures d’appel d’offres, qui excluent de fait les petites entreprises. En conséquence, ce sont les grandes entreprises qui répondent aux critères des marchés publics avec des catalogues de produits bien établis. Ces grandes entreprises se trouvent ainsi en situation de quasi-monopole et pratiquent des prix très élevés. L’État, n’ayant pas d’autres options, est contraint de réaliser des achats groupés et se retrouve obligé de payer des sommes exorbitantes. Ils sont vraiment très forts. On nous parle d’économies à faire d’ici 2025 avec un Michel Barnier qui souhaitait que l’effort de 60 milliards d’euros soit réparti équitablement, ou qui pense même à la suppression d’un jour férié pour redresser les comptes publics. » (Média en 4-4-2) -retraite par capitalisation plutôt que par répartition prouvant la privatisation du système national. D'ailleurs le budget de l'armée est de 400 milliards sur 5 ans, alors qu'il suffirait de 15 à 20 milliards par an sur la même période pour sauver la retraite par répartition à 62 ans, et que les personnes âgées devraient être prioritaires.
-105% de taxe sur l'essence étant prise au peuple, alors le kérozène des Falcon X7 des 600 milliardaires se rendant à la grand-messe satanisto-mondialiste de Davos, est lui à... 100 % ...détaxé ! 100 % et plus de taxes pour les pauvres, 100 % de détaxe pour les riches : voilà un beau résumé de la démocratie laïciste, ce paravent de la dictature oligarchique ou/et sioniste en tous lieux et tous temps.
-faux argument de ne pas indexer les salaires sur les prix sous prétexte de ne pas créer complètement une boucle inflationniste, pour cacher que lorsque seuls les prix augmentent et pas les salaires, cela correspond à de la paupérisation du peuple au profit de l'oligarchie.
-Jacques Delors ayant supprimé l’échelle mobile des salaires pour obéir aux ultralibéraux, et donc trahi les Français.
-travailleurs sans papier travaillant à bas prix et permettant ainsi également la stagnation des salaires, dont car ne pouvant donc pas être dans des syndicats.
-devant l’effondrement du pouvoir d’achat des Français, le duo de clowns mondialistes Le Maire-Macron promettant le plein emploi, alors que malheureusement, même les défenseurs du libéralisme à la française n’y croient pas. Le mot d’ordre gouvernemental, c’est « Atteindre le plein emploi et réindustrialiser le pays », deux mensonges en forme de gifles pour les chômeurs et les pauvres. Depuis que Macron a été élu, il y a une diminution considérable du pouvoir d’achat de 7 à 10 %, c’est énorme.
-Français ne parvenant plus à s’élever par le travail, malgré les promesses du président Emmanuel Macron dans son livre « Révolution ». Or si c'était au moins pour que tout le monde puisse manger et avoir le confort de base et donc la sécurité permettant de vivre et non de survivre, ce ne serait pas trop grave, mais à travers le médiatico-politique parlant principalement d'impiété à travers sa défense du mariage homosexuel, de la transsexualité, de l'avortement de masse, du sionisme, etc, il s'agit d'une totale dégénérescence sociétale, et donc morale, et donc spirituelle, ne profitant qu'aux ultra-riches en plus malthusianistes. -arnaque de la hausse des prix pour engranger de la TVA que le gouvernement a provoqué (ou laissé faire) afin de rembourser l’argent gratuit de la parenthèse covidiste. Or le prix des matières premières chute (malgré la psychose ukrainienne), alors que le prix des produits de consommation courante en magasins monte. C’est aussi le cas pour le couple pétrole brut-carburant à la pompe.
-hausse de la taxe foncière qui va frapper les possédants de plein fouet. On extrait de ce racket ceux qui ont les moyens de protéger leur argent des effets délétères de la politique macronienne, par exemple qui peuvent se payer des fiscalistes et autres spécialistes de l’évasion fiscale ou de l’évitement de l’impôt. Macron n’est pas la France. Macron c’est McKinsey, Rothschild, Pfizer et BlackRock. C’est ça qui a été sifflé. C’est aussi l’inflation à deux chiffres, la facture délirante d’électricité, le TGV inabordable, le litre de carburant qui dépasse les 2 euros, le panier de la ménagère qui se vide, les milliards envoyés à la pute de l’OTAN Zelensky, les insultes faites au peuple, le dangereux vaccin obligatoire, le masque de la honte, les mensonges permanents...
-pour obéir aux ultralibéraux, suppression de l'échelle mobile des salaires qui consiste à augmenter sagement les salaires en fonction de l'augmentation des prix afin de conserver le pouvoir d'achat des salariés.
-augmentation de 70 % des smicards sur l'année 2023.
-vrais travailleurs et patrons de ce pays qui payent taxes sur taxes et impôts sur impôts pour avoir de moins en moins de sécurité, santé et éducation.
-environ 30 % de la TVA reversée aux multinationales via les collectivités territoriales.
-autoroutes payées par les citoyens à travers l'impôt et les péages puis vendus au secteur privé à travers des sociétés dont les bénéfices ont déjà pulvérisé toutes les prévisions les plus optimistes au détriment des citoyens, alors que l'argent des péages devrait en grande partie servir à améliorer les services publics et les aides sociales.
-chèque énergie et bientôt chèque alimentaire à cause de de l'inflation étant des digues pour le système oligarchique qui appauvrissent en plus la classe moyenne qui elle paye des impôts et subira donc ensuite le plus cette inflation jusqu'à aussi toucher ces chèques à la différence des ultra riches.
-injustice du prêt même à 4 % par an pour acheter une maison, car au bout de 20 ans, cela revient à 50% d’intérêts. Ce qui signifie que la maison finit par valoir 1,5 fois sa valeur, et que s'il n'y a pas une hausse de 50 % du prix de la maison sur les 20 ans, l'acheteur perd de l'argent. Ce qui permet aux banques mondialistes de capter une grande partie de la richesse nationale.
-destruction honteuse d'innombrables denrées alimentaires ou de biens consommables pour garder l'équilibre des prix ou les faire fluctuer sur les marchés financiers.
-problème d'approvisionnement dû à des mouvements grévistes servant parfois les gouvernements et rendant ensuite impopulaires certaines manifestations pourtant légitimes.
-grande gravité de la pénurie d'essence à notre époque car étant presque similaire à celle de la pénurie de pain au 18e siècle.
-spéculation pouvant être créée par une ou des multinationales d'un secteur pour leurs propres profits.
-avant en Espagne au moins 4 pompistes, une personne à l'accueil et la patron arrivant à s'en sortir financièrement au sein d'une station d'essence moyenne en ville, alors que maintenant même sur une autoroute avec en plus magasin et des camions, il ne s'y trouve souvent qu'un seul travailleur.
-paysans ayant été appauvri par le mondialisme qui achète moins cher dans des pays pauvres où le coût du travail est plus bas ainsi que par le rachat bourgeois de plus en plus monopolistique des terres, et ayant peu de pouvoir politique car étant devenu 2% de la population en tant qu'agriculteurs, alors qu'avant la révolution française ils correspondaient à 90 % de la population et qu'ils sont les garants de l'autonomie alimentaire.
-stratégie du choc dans les provocations d'effondrements d'exchanges pour faciliter voire ravir l'acceptation des cryptomonnaies centralisées de banques centrales.
-annonces de pénuries pour faciliter des augmentations de prix comme pour l'essence et l'énergie. Cette inflation constante de prix est un moyen de faire toujours plus d'argent pour les financiers internationalistes. Or « La vérité concernant l'inflation est (aussi) que ce ne sont pas les prix qui montent mais la monnaie qui -enfin- se déprécie. L’idéologie économique dominante repose sur la falsification, l’inversion et la mystification. Elle repose sur une structuration de vos perceptions et de votre savoir. Elle repose sur une forme, une gestalt. Elle repose par exemple sur la création d’invariants là où en réalité il y a du variable. Elle repose sur l’illusion qui fait croire ce que l’on voit. Ils vous font oublier que les prix des choses ne sont pas les mêmes selon que vous avez une masse monétaire de M, de 2M, de 5M ! Ils posent un invariant et vous vous croyez que ce sont les prix des biens et services qui montent. Ils ont réussi à faire sorte que vous croyiez au maintien de la valeur de la monnaie, ce qui leur a permis, leur permet et leur permettra d’en émettre toujours plus à leur profit ou à celui de leur copains. Objectivement, en terme systémique, Nous ne sommes pas dans une période de hausse des prix, nous sommes dans un période de destruction de la valeur d’échange de la monnaie; tout le reste, comme les chaînes d’approvisionnement, les raretés, les sanctions, etc tout cela ce sont des « causa proxima », des causes proches, circonstancielles. Ce sont des modes Nécessité de la Necessité qui elle est de déprecier ce qui est en excès. Il faut bien que la Nécessaire dépréciation se la monnaie sur-émise soit visible à un endroit, c’est ce que l’on voit, mais cela pourrait être ailleurs, sur autre chose. L’hyperinflation c’est une prise de conscience sociale, c’est une vérité sue, partagée, propagée, une vérité dont tout le monde sait qu’elle est sue : un savoir commun. C’est la vérité que ce ne sont pas les prix qui montent mais la monnaie qui se déprécie. » (Extraits de l'article de Bruno Bertez & Mohamed A. El-Erian)
-menaces souvent fausses de pénuries afin de faciliter des augmentations de prix comme pour l'essence, l'énergie et même l'eau, car cette inflation de prix est un moyen donc de faire toujours plus d'argent, mais aussi d'obtenir toujours plus de contrôle sur les populations pour les financiers internationalistes, et de détourner l'attention du peuple pour faire passer des lois néolibérales ou mondialises. Le « capitalisme du désastre » et les récits de crise actuels servent à manipuler l’opinion publique et à faire accepter une série de mesures douloureuses, qui sans cela, ne bénéficieraient pas d’un soutien politique suffisant. Ces mesures sont promues par de puissants intérêts financiers espérant en tirer des gains atteignant des milliards de dollars. Ils cherchent à obtenir le contrôle total de l’alimentation et de la manière dont elle est produite. Leur vision fait partie d’un programme plus large visant à redéfinir la façon dont l’humanité vit, pense et agit. Les grosses manifestations d’agriculteurs néerlandais ont fait la une des journaux pendant une grande partie de l’année 2022. Ce sont les projets visant à réduire de moitié la production d’azote des Pays-Bas d’ici 2030 qui ont provoqué ces manifestations massives. Le gouvernement leur oppose la sortie nécessaire de l’agriculture animale, citant l’impact de ses émissions sur le climat. Cette « transition alimentaire » va souvent de pair avec la promotion de « l’agriculture de précision », du génie génétique, des aliments synthétiques fabriqués en laboratoire, des jardins verticaux et de la réduction du nombre des agriculteurs et d’exploitations agricoles. Cette transition est présentée comme étant « respectueuse du climat », conformément au récit relatif à « l’urgence climatique ». Le militant Willem Engel affirme que le gouvernement néerlandais ne cherche pas à éliminer les agriculteurs pour des raisons environnementales, mais plutôt pour faire place à la « Tristate City », une mégalopole d’environ 45 millions d’habitants s’étendant jusqu’à l’Allemagne et la Belgique. Engel soutient donc que la « crise de l’azote » est une manipulation visant à faire passer des mesures qui permettront de remodeler le paysage national, surtout qu'il affirme que le principal émetteur d’azote aux Pays-Bas n’est pas l’agriculture mais l’industrie. Ces événements aux Pays-Bas sont-ils la première étape d’une campagne visant à faire accepter aux populations les cultures génétiquement modifiées, les « aliments » fabriqués en laboratoire, et l’entassement de 90 % de l’humanité dans des mégapoles ?
-oligarchie mondialiste ultra-libérale construisant logiquement sa prise de pouvoir dans l'Occident hégémonique par la déconstruction naturelle, sexuelle, conjugale, familiale, sociétale, sociale, économique et nationale.
-fausse ou provoquée inflation finançant la guerre occidentale en Ukraine.
-perverse oligarchie transatlantique mondialiste basée sur le fascisme de la puissance financière anglo-saxonne.
-rouleau compresseur néolibéral, uberisation de l’économie et tyrannie européiste détruisant mécaniquement le tissu économique de base, les petites unités de production de proximité et les PME au profit des groupes, des chaînes, de la fordisation du secteur. On voit déjà surgir des pseudo-boulangeries qui travaillent avec des centrales d’achat, qui font de l'argent avec un personnel tournant qui s'épuise régulièrement, et qui est placé ici et là au gré des besoins. Et n’oublions pas les supermarchés, qui font de la mauvaise baguette, mais à un prix défiant toute concurrence. À l’arrivée, c’est l’artisan à l’ancienne qui souffre, la petite structure familiale qui disparaît.
-Union européenne ayant rendu les Européens plus pauvres par ses sanctions infligées à la Russie.
-pénurie alimentaire mondiale due aux restrictions nationales souvent légitimes, aux spéculations souvent irresponsables et aux sanctions économiques indignes voire aux sabotages criminels. Il faut donc de plus en plus lutter contre la racine du problème, plutôt que d'intervenir quand il s'est déjà présenté. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Crise alimentaire : l'impasse » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Crise-alimentaire-l-impasse-71571.html
-haute trahison des leaders européens suite à leur abandon et leur fausse accusation concernant la destruction de Nord-Stream II.
-ultra-libéralisme (néolibéralisme) produisant dans des pays pauvres, et amenant la baisse des salaires des pays riches, l'emprunt massif de la population, des crises comme celle des subprimes et donc la faillite des PME voire de certaines grandes entreprises commerciales et industrielles au profit des la haute finance. Il s'agit donc de la mise en faillite du monde de la production et de l’économie réelle au profit du monde de l’économie fictive et parasitaire.
-Antoine Armand, ministre français de la dette, estimant qu'en moyenne, un Français travaille nettement moins que ses voisins européens et que ça a de mauvaises conséquences économiques, alors que nous vivons à l'époque de l'IA, de la numérisation et de la robotisation massives, que Karine Dubernet lui a répondu que c'est celui qui le dit qui est car il y a eu 87 % d'absentéisme chez ses copains députés pendant le débat du budget au Parlement et les 13 autres qui y sont allés c'était pour dormir, qu'un Boulanger dans le Tarn-et-Garonne, qui a instauré la semaine de 4 jours pour les salariés, 10 semaines de congés payés, un salaire minimum de 2 000 euros net, défend selon lui le BIB « Bonheur Intérieur Brut », et qu'il est donc possible de faire trois jours par semaine à 1500 euros net et un mi-temps sur deux ou quatre jours à 1000 euros pour une femme, au foyer le reste du temps.
-imposition des retraites par capitalisation plutôt que par répartition, au service de la prédation des grands argentiers comme Blackrock ou Vanguard.
-peur des employés de s'attaquer aux grandes entreprises pour défendre leur droit salarial, alors qu'un juge prud’homal peut les condamner plus facilement que les petites puisque ces dernières risquent parfois une cessation d'activité suite à un jugement ou des dommages et intérêts.
-femmes de 75 ans devant souvent travailler comme serveuses aux USA pour subsister.
-grosses aides financières de l'Etat à de grandes sociétés touchées par la crise économique qui licencient quand même des employés.
-évasion fiscale (parfois sous forme d'optimisation fiscale légale dont vers des Paradis fiscaux) qui entraînerait une perte de 100 milliards d'euros annuellement pour la France voire 4 fois plus selon diverses sources, et 11 000 milliards d’évasion fiscale dans les paradis fiscaux selon les Pandora Papers dont à cause d'Amazone, Lactis... (Il faut noter que par rapport à cette évasion fiscale, le RSA repart directement dans l'économie.) Or elle est quand même étrangement organisée par l'Etat puisque ne bloquant pas le système banquaire swift aux paradis fiscaux, alors qu'il l'interdit à la Russie qui a heureusement pu ne pas se soumettre à l'occident en créant intelligemment son propre système, à la différence de la faible Grèce qui a du se soumettre, car couper le swift aurait été pour elle similaire à l'explosion d'une arme atomique financière. Le plus grave, c'est que quand le sage montre les 11 000 milliards d'évasion fiscale au niveau mondial, l'abruti regarde le RSA de son voisin. Lorsqu'on voit ce que par rapport à un petit entrepreneur les milliardaires engrangent en échappant à de lourds impôts grâce à la défiscalisation (parfois légale) ou à des magouilles préparées par des avocats spécialisés ou des financiers payés à prix d’or, on ne peut qu’être scandalisés par ce double traitement. C'est un système très compliqué pour que les gros passent à travers les mailles du filet, et que les petits souffrent. La justice fiscale, ce n’est pas d’assassiner un fonctionnaire des impôts, c’est de protéger les petits en difficulté et de ponctionner les puissants, quand ils franchissent la ligne rouge. Car les petits devant survivre avant tout n’ont souvent pas le choix, alors que les puissants l’ont. Surtout que pour les uns, c’est donc la survie qui est en jeu, alors que pour les autres, c’est un peu de leur argent. « L'évasion fiscale est au cœur de la criminalité financière et politique, dénoncée avec vigueur par Stéphanie Gibaud, une lanceuse d'alerte de 58 ans. Elle travaillait chez UBS, la plus grande banque suisse. Découvrant un trafic d'évasion fiscale massif, elle a informé les autorités françaises. Pourtant, après les avoir aidées à récupérer de l'argent, elle a été abandonnée et plongée dans une situation précaire. Pour Stéphanie, l’évasion fiscale signifie bien plus que des chiffres. Elle relie cette pratique aux conséquences terribles : les services publics en péril, les urgences médicales surchargées, les déserts médicaux, et même des drames comme des accouchements en voiture faute de maternités accessibles. Les plus riches, via des montages financiers, échappent aux obligations des citoyens, privant ainsi la société de ressources essentielles. Elle pointe du doigt les grandes entreprises du CAC40, les actionnaires et les connexions avec des hommes politiques, dénonçant une mafia d’État où se mêlent politique, finance et intérêts privés. Malgré son rôle crucial dans la révélation de ces pratiques, Stéphanie a été marginalisée, privée de protection en tant que lanceuse d’alerte et salariée du service public. Le manque d’intérêt des médias, la séparation des affaires Cahuzac et Bettencourt liées à UBS, et le refus de la justice de prendre en compte son témoignage soulignent les difficultés rencontrées par ceux qui osent dénoncer ces pratiques. Stéphanie, aujourd’hui privée de reconnaissance et de protection, incarne les failles d’un système où l’État lui-même ne respecte pas ses propres lois. » (Le Média en 4-4-2) En sachant que les méga-PDG savent évidemment comme payer un minimum d’impôts en France : Engie, Alstom, Safran, TotalEnergies, Suez, Veolia, Thalès, Airbus, Sanofi, Orange, CMA CGM... Il faut noter qu'en France, la fraude aux aides sociales est de 40 milliards d'euros, alors que la somme des amende non payées par les grandes surfaces commerciales y ayant dépassé leur dimension licite s'élève à 418 milliards. « Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a été condamné par le tribunal administratif de Paris pour ne pas avoir fait appliquer la loi par ses préfets. Cette décision fait suite à une plainte déposée par l'association "En toute franchise", qui lutte pour la défense des petits commerçants contre les grandes surfaces. L’association reproche à l’État de ne pas avoir contrôlé les surfaces illicites des magasins de grande distribution, qui représentent plus de 6 millions de mètres carrés exploités illégalement en France. Selon les représentants de l’association, cette négligence de l’État a permis aux grandes surfaces de prospérer au détriment des petits commerçants, créant ainsi une concurrence déloyale. Cette décision du tribunal administratif est une grande victoire pour l’association « En toute franchise », qui envisage désormais d’aller plus loin en saisissant le tribunal pour toutes les surfaces illicites de la grande distribution. Les représentants de l’association espèrent que cette décision permettra de récupérer les 418 milliards d’euros d’infractions non perçus par l’État. » (Média en 4-4-2) Le président, qui voulait « emmerder » les français non vaccinés, devrait en plus plutôt emmerder les gens qui font évader chaque année des milliards d’euros, et les nationaux qui sont cités dans les Pandora Papers. En effet, ça lui donnera largement de quoi financer une éducation nationale digne de ce nom pour les enfants et les enseignants désabusés, un système hospitalier entretenu et aux bonnes conditions de travail, et un système de santé qui sera digne pour les patients et les soignants. Ainsi les citoyens ne se déchireront pas pour un lit de réanimation comme pour du PQ ou de l’essence. Pourtant les orientations du système depuis des décennies montrent que les classes moyennes payent de plus en plus d’impôts et reçoivent pourtant de moins en moins de contre partie, alors que les ultra riches payent de moins en moins d’impôts et reçoivent encore et toujours plus. La grande évasion fiscale des multinationales se poursuit avec la somme colossale de plus de 1 000 milliards en 2022. En effet Une somme colossale de plus de 1 000 milliards de dollars a été mise en lumière par l'Observatoire européen de la fiscalité. Cette somme représente les bénéfices transférés par de grandes entreprises vers des paradis fiscaux pour l'année 2022. Malheureusement, malgré les tentatives des États d'imposer davantage ces entreprises, il semble que peu de changements significatifs soient à l'horizon. Or la réalité est l'évasion fiscale annuelle est probablement beaucoup plus importante, car elle est en grande partie illisible et donc non mesurable, comme le prouvent le problème des caisses d'assurance maladie, et les trust légalisés en France synonyme de corruption puisque permettant à nouveau l'anonymat concernant l'argent personnel pour contourner la loi interdisant justement l'anonymat des comptes bancaires des paradis fiscaux, à travers la circulation permanente de l'argent internationalement sous couvert de faux investissement.
-anonymat encore dans certains paradis fiscaux étant essentiel au blanchiment des énormes sommes d'argent en espèces provenant du trafic de drogue ayant environ une valeur mondiale de 250 milliards de dollar.
-liens entre paradis fiscaux dont Dubaï, blanchiment d'argent de la drogue, grosses banques type HSBC, rachat de la dette de pays, oppression militaire.
-spéculation non réglementée dont sur les produits alimentaires de base.
-pseudo mesures sociales pour compenser les mauvaises conséquences de la corruption politique
-pénuries dont de l'eau et de l'électricité attribuées à la surconsommation alors que provenant du manque d'investissement (pas d'entretien des tuyaux transportant l'eau, ni d'entretien du réseau électrique, ni de prévisions sérieuses) et de la corruption politique.
-crise énergétique étant en fait une stratégie planifiée de longue date par les milieux affairistes et politiques occidentaux, afin de démanteler les économies industrialisées, au nom d’un « Agenda vert » dystopique. Les origines de cette évolution actuelle sont à rechercher dans une période plus ancienne au lancement de l'action militaire russe en Ukraine courant février 2022. L’impact combiné de l’Agenda GES frauduleux de Larry Fink (Black Rock) dans l’Administration Biden, et de la folie « zéro carbone » de l’UE, est en train de créer la pire crise énergétique et inflationniste de l’Histoire dont afin de détruire l’épargne populaire, appauvrir la classe moyenne et organiser le grand reset.
-donc principal problème de l’énergie chère rendant tout plus cher et entretenant dangereusement une inflation continue : diminuer, même un peu, sa consommation revient très concrètement à diminuer la production de richesse et, par conséquence logique, à provoquer faillites, chômage et, au final, misère, sauf pour les ultra riches centralisant toujours plus l'économie. Dont en plus suite au covid et la guerre en Ukraine selon les données de la Banque de France fin mai 2024, la France enregistre 60 210 entreprises de toutes tailles confondues qui sont entrées en procédure de défaillance ou de cessation de paiement sur un an, et ce chiffre inclut les 5 161 entreprises de taille intermédiaire (ETI) et les grosses PME. Ainsi, ce bilan dépasse même celui du triste record des 4 825 défaillances comptabilisées en septembre 2009 après la crise financière mondiale. Les secteurs clés, tels que l’industrie, l’information/communication et le transport sont grandement impactés et la tendance les concernant ne fait que s’aggraver.
-facturation de la sépulture et impossibilité d'y laisser en paix pour toujours le corps d'une personne décédée, puisque devant honteusement payer un loyer sous peine d'envoyer son corps dans un ossuaire voire à la destruction.
-afin de gagner plus d'argent ou de faire travailler l'argent dans les bourses au détriment du peuple, gouvernements mettant la main sur des comptes inactifs et des assurances vie non réclamées de personnes décédées ou retardant la récupération des fonds de retraites et les remboursements de la sécurité sociale comme des mutuelles retardent certains remboursements, banques augmentant les agios ou freinant la mise à disposition de chèques déposés et de virements passés, et certaines sociétés pouvant repousser jusqu'au milieu du mois le paiement des salaires ou augmentant les frais de dossier pour factures impayées.
-installations de nombreux parcs éoliens et solaires coûteux dans les pays riches de l’Ouest, tout en menaçant d’imposer toutes sortes d’amendes et de frais aux nations moins riches qui sont obligées de brûler du charbon afin d'empêcher leur développement économique et garder leur domination sur elles. Mais maintenant que ce stratagème a échoué dont à travers la guerre en Ukraine, l’Occident n’est plus riche et, après avoir refusé de se servir du gaz naturel russe, propre et abondant, il est occupé à rouvrir ses centrales électriques au charbon mises en veille et à trouver suffisamment de charbon pour les alimenter. Pendant ce temps, l’agenda vert est jeté par la fenêtre. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « C’est la fin pour les programmes d’aide somptueux de l’UE : Le “Green Deal” meurt en premier (à cause du financement envers l'Ukraine pour faire la guerre) » à l'adresse https://strategika.fr/2023/08/19/cest-la-fin-pour-les-programmes-daide-somptueux-de-lue-le-green-deal-meurt-en-premier/
L’oubliée icône du mondialisme écologique Greta Tunberg a même brièvement fait la une de certains journaux en étant maintenant soupçonnée d’être un agent russe.
-aides financières gouvernementales sous conditions administratives complexes cassant en réalité ceux qui produisent, notamment des indépendants, car ils sont tenus par ces « aides ». On les rend dépendants, soumis. Même chose en Afrique quand les agricultures locales ont été tuées par le riz subventionné américain. C'est à dire qu'on retrouve toujours les mêmes principes du mauvais capitalisme partout. On parle du mauvais capitalisme parce qu’il y a un bon capitalisme, celui qui est cadré par un État fort, pas à travers le système actuel où le tissu productif est détruit par un État faible à la solde de ses véritables ennemis, la véritable 5e colonne, les néolibéraux américano-sioniste, qu'on peut même associé aux néoconservateurs américains dans ce type de cas.
-selon l'avocat François Taquet dans son livre « URSSAF : un cancer français », tous les ans dans les PME, 90% des contrôles opérés par les agents des URSSAF donnant lieu à un redressement. Et cela en vertu de lois de plus en plus incompréhensibles, de méthodes malhonnêtes et d'un pouvoir absolu : celui de sanctionner sans même passer devant le juge tout en favorisant les grandes entreprises. Résultat, les Unions de recouvrement de la Sécurité sociale et des allocations familiales captent chaque année plus de 500 milliards d'euros, soit six fois les recettes de l'impôt sur le revenu. Pour François Taquet, les URSSAF se sont donc développées tel un cancer, puisque échappant progressivement à tout contrôle...
-industrialisation de l'agriculture et contrôle voire achat progressifs par le groupe international Mosanto de toutes les terres cultivables du monde amenant un dangereux monopole dans le secteur agricole et appauvrissant donc toujours plus les agriculteurs indépendants qui devraient s'unir pour rivaliser. « Les terres agricoles françaises sont devenues un nouveau terrain de jeu pour les multinationales. Les terres agricoles françaises, autrefois protégées par des lois séculaires, sont en train de se transformer en marchandise. Alors que le monde paysan français fait face à une crise des vocations et à un vieillissement problématique, un phénomène inquiétant se profile : l'accaparement des terres par des multinationales et des fonds d'investissement. Depuis une dizaine d’années, des entreprises comme Fleury Michon, Auchan, L’Oréal, Alto ou Chanel, ainsi que des sociétés étrangères saoudiennes ou chinoises, manifestent un intérêt croissant pour les terres agricoles françaises. Ces nouveaux propriétaires fonciers, opportunistes, achètent des hectares de bonnes terres cultivables, souvent au mépris des lois en place depuis le Moyen-Âge. Les jeunes agriculteurs, face à des prix du foncier en hausse, sont contraints de se tourner vers le salariat, souvent précaire et mal rémunéré. Cette situation pourrait avoir des répercussions dramatiques sur la diversité, la productivité et la réputation de nos produits agricoles. » (Média en 4-4-2) Les grandes manifestations des agriculteurs en 2024 ne sont pas un phénomène allemand, mais le symptôme d’une politique mise en œuvre dans tout l’Occident pour redistribuer les terres agricoles des petits agriculteurs aux grandes entreprises. Mais ce n’est qu’une partie d’un programme beaucoup plus vaste. La suppression de l’exonération fiscale du diesel agricole a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, l’étincelle qui a allumé un feu de la protestation. Le mécontentement, qui couvait depuis longtemps contre la politique « verte » insensée et destructrice et contre la manière arrogante avec laquelle elle est imposée par l’UE et la coalition « Feux tricolores » (socialistes, libéraux et verts) au pouvoir à Berlin, a éclaté en une gigantesque vague de manifestations et de rassemblements. Dépassant le monde agricole, des chauffeurs de camion et de bus, des enseignants, des médecins, des artisans, des boulangers, des restaurateurs et d’autres personnes touchées par les différentes coupes (qui doivent notamment servir à financer les budgets de la défense et de la protection du climat) se sont joints aux manifestations. Ce mouvement des paysans allemands commence à s’étendre en Europe : l’Allemagne commence à souffrir économiquement et socialement de la politique pro-américaine, et donc anti-européenne, de l’Amérique, qui est un faux allié. Et avec la Russie, l’Europe de Leyen a un faux ennemi. Tout est inversé, aujourd’hui. « Les revendications de Sébastien Béraud, éleveur de Haute-Loire, s’articulent autour de la nécessité de réformer le système agricole, incluant la Politique Agricole Commune (PAC), les accords de libre-échange, et les pratiques de facturation. Selon Sébastien, les subventions ne résolvent pas les problèmes réels des paysans qui demandent des prix équitables plutôt que des aides déguisées. « On essaie de monter un mouvement indépendant, parce qu’on n’a pas envie de partir avec les syndicats, parce qu’on se fait souvent trahir, et on n’a pas le temps d’arriver au bout, on a déjà été vendu. » L’homme pointe du doigt le rôle de la FNSEA, principal syndicat agricole, qu’il accuse de ne pas défendre véritablement les paysans (et dont le président appartient en plus curieusement aux seigneurs de l’agrobusiness). Il dénonce le monopole exercé par de grands groupes agroalimentaires sur les prix du lait, soulignant le manque de concurrence dans le secteur. Malgré l’existence de syndicats alternatifs, la FNSEA conserve une influence prépondérante, explique-t-il, en raison de la division des voix lors des élections. « La FNSEA, c’est un syndicat de l’agroalimentaire, de tout ce qui tourne autour de nous, des coopératives, aussi bien d’achat que de vente de produits. Donc, ils sont plus là pour défendre les paysans. Ils sont la tête de l’Europe. Ils sont là pour signer les accords de libre-échange, en fait. Ce sont nos bourreaux. (La FNSEA est donc comparable au MEDEF du monde agricole, surtout qu'elle est gérée par certains globalistes et n'a pas bougé auparavant alors que de nombreux agriculteurs modestes se pendaient, mais seulement quand les grandes exploitation ont commencé à être touchées par le système de l'UE.) » » (Le Média en 4-4-2) Il y a donc une grande divergence chez les agriculteurs après l'appel à la suspension des blocages par la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs. Loin de faire l’unanimité, une note des RG va enfoncer le clou concernant les syndicats puisqu’une révélation du journal Le Monde annonce que la FNSEA exerçait une pression sur les pouvoirs publics pour stopper les convois. Pour être plus explicite, la FNSEA a demandé à la police d’intervenir contre les agriculteurs. « L'agriculture française nourrit très bien les spéculateurs boursiers, et elle nourrit très bien les administratifs. Aujourd’hui en France, on est à peu près à six personnels administratifs pour un agriculteur. L’agriculteur nourrit très bien ces populations-là... C’est (pourtant) pas la fonction première d’un paysan de nourrir ces gens-là. » (Michel Chanu) De plus il existe en France une concurrence déloyale dont par rapport au prix du coût du travail, à la taxe sur le carburant et aux normes moins nombreuses d'autres nations, surtout que c'est lié à des traités de libre-échange. Ainsi le prix de vente est fréquemment inférieur au coût de production pour les agriculteurs français et les subventions européennes devant aider à relever le niveau général des économiques européennes (au moins momentanément ou/et une année sur deux) ne suffit plus à équilibrer l'équité, car le but était en réalité au final de tout amener vers le bas au profit des industriels, des multinationales et donc des oligarques souvent mondialistes, dont en accusant les français de mal acheté et les industriels de mal commercé malgré que le système le permette ou plutôt y pousse par l'appauvrissement du peuple. (Or il est étonnant que la sanction évitant à la Russie de vendre plus cher son pétrole en Europe plutôt que d'abord via l'Inde, l’Europe s'appauvrisse aussi dans ce sens, ce qui fait relever le niveau économique d'un pays comme l'Inde.) « L'agriculture a pour objet de nourrir les gens pas de mettre en concurrence les paysans de la planète. » (José Beauvais) En plus les agriculteurs européens viennent de voir 50 milliards leur passer sous le nez en 2023 pour aller en Ukraine et dans la poche de son proxénète l’Amérique. Car non seulement Kiev les transformera en armes (et en corruption), rallongera la guerre et les souffrances du peuple ukrainien, mais aussi subventionnera une agriculture prédatrice qui achèvera les derniers petits producteurs européens au coût de production plus cher que ceux oligarchiquement industriels ou ceux extra-européens. « La politique de l’UE en matière agricole est claire : on dégage le petit producteur français, et on importe massivement la production venue d’Ukraine, qui ne coûte pas cher (un paysan ukrainien gagne 250 euros par mois) et qui n’est pas soumise aux normes, les fameuses normes européennes qui sont justement faites pour tuer notre agriculture. Ceux qui en savent un peu plus sur l’Europe et l’agriculture rappelleront que l’Ukraine est déjà entrée dans l’UE en douce, et qu’elle est le cheval de Troie de l’agriculture américaine. Une bonne partie des terres agricoles ukrainiennes (productrices de blé) ont été achetées par trois compagnies américaines contre l'avis des paysans et c'est Zelensky qui a forcé l'achat. Le problème profond est là. C’est pour ça que le couple Leyen-Macron est pour la guerre en Ukraine, pour la destruction de l’État ukrainien, pour la corruption, et pour l’esclavagisation de leurs peuples, surtout que le système globaliste pouvant de moins en moins piller les autres nations dont les résistants Niger, Mali et Burkina faso, il s'en prend de plus en plus aux peuples riches d'occident. Un projet tout simplement nazi, dans le genre Lebensraum, où l’UE aurait remplacé la Grande Allemagne. Les dégâts, on les voit chez nous : deux paysans se pendent chaque jour. Et tous ceux qui s’opposent à ce projet authentiquement fasciste sont traités de fascistes. » (Rédaction ER) D'ailleurs le libre échange renforce seulement les forts, alors qu'il est inutile voire nocif dont économiquement et écologiquement quand la production nationale a atteint un grand niveau, en particulier jusqu'à pouvoir exporter après avoir était suffisante à sa population. Par conséquent il faut retrouver la souveraineté voire une autonomie alimentaires, dont en comptant sur le soutien des citoyens pour privilégier une consommation locale. Ces manifestations des agriculteurs, initialement observées en Allemagne, se sont transformées en un mouvement continental exprimant un mécontentement généralisé envers les politiques agricoles de l'Union européenne. Le monde paysan, qui pèse encore 300 000 exploitations (contre 900 000 en 1992), est un monde disparate qui s'est donc centralisé vers les plus riches sans beaucoup perdre le niveau d'exploitation nationale agricole quoique 40 % de la consommation alimentaire en France provient de l'importation (ce qui permet la paix sociale à travers des bas prix vu que les bas salaires stagnent depuis des décennies, et donc aussi menace alimentairement le peuple en cas d'arrêt de cette importation puisque contrôlée principalement par les ultra-riches, alors que la France pourrait normalement nourrir 500 millions de personnes à elle seule, ce qui en fait possiblement avec la Russie et le Brésil les premiers greniers à nourriture du monde, et qu'avec l'Europe, elle pourrait donc profiter au niveau de ses ventes agricoles du développement de l'Afrique au climat souvent compliqué et qui aura toujours plus besoin de se nourrir), mais où les petits luttent donc toujours plus pour leur survie dans un monde en voie d’ultralibéralisation dont via l'Union Européenne. En effet à l’origine de leurs problèmes, sauf pour ceux qui touchent des subventions de la PAC, se trouve l’Union européenne. Certains profitent de l’Europe, d’autres pas. Alors que la France était le deuxième exportateur mondial au niveau agricole, elle est même passée maintenant en dessous du cinquième rang. Ceux qui en profitent le plus sont généralement les grands propriétaires terriens synonyme d'industriels agricoles, puisque les subventions européennes sont proportionnelles à cela. On découvre que l’Ukraine, via ses produits à très bas coût (le salaire moyen de l’agriculteur ukrainien est de 200 euros !), est déjà entrée dans l’UE, et va accélérer la disparition de la petite paysannerie française. La révolte agricole en France est donc aussi un appel à l’action contre les seigneurs de l’agrobusiness. Les agriculteurs sont encouragés à résister contre les seigneurs agricoles, les monopoles industriels, les lobbys et les politiques qui les exploitent. La nécessité de construire une agriculture française durable et transmissible de génération en génération devient ainsi importante. Dans ce sens, il est important de créer des fermes et des épiceries solidaires. Max du « Média en 4-4-2 » déplore la superficialité des débats autour du soutien aux agriculteurs, appelant à une réflexion approfondie sur les enjeux fondamentaux du modèle agricole. Il critique le recours massif aux pesticides et aux produits chimiques, pointant du doigt les conséquences désastreuses sur l’environnement et la santé publique. Il précise : « En 2024, on n’est pas capable d’avoir un modèle agricole qui produise de la nourriture de qualité, pour qu’on soit en bonne santé, qui protège la santé des agriculteurs et leur activité économiquement. En plus de ça, cela détruit l’environnement, et pire que tout, cela engraisse les industriels, les grands groupes, sur le dos de ceux qui s'épuisent à se lever à 5h du matin pour aller traire leurs vaches, pour aller dans les champs, faire tout leur métier que personne n’a envie de faire. » « Jean-Jacques Le Moel, producteur de lait bio, exprime son indignation face aux propositions de Gabriel Attal, dénonçant une déconnexion totale des politiques vis-à-vis des réalités agricoles. Selon Jean-Jacques, les initiatives actuelles répondent à un agenda 2030 axé sur la réduction des émissions de carbone, mettant ainsi en danger la survie des paysans. Jean-Jacques Le Moel critique vivement les objectifs de diminution des émissions de carbone d’ici 2030 et 2050, soulignant l’importance du carbone dans la photosynthèse et la production d’oxygène. Selon lui, les politiques sacrifient délibérément les agriculteurs au profit de cet agenda, laissant les paysans « crever ». Il met en lumière l’hypocrisie entourant l’Agenda 2030 de l’ONU, qui, selon lui, conduit à une décroissance générale (seulement en partie puisque en faveur de la centralisation oligarchique de l'économie occidentale puis mondiale. C'est pourquoi l'énergie devient la priorité des priorités pour contrer ce révolutionnaire mondialisme oligarchico-écologiste, comme le prouvent l'affaiblissement de la France à cause de la coercition de l'UE contre EDF (qui pourrait vite redevenir un très bon pilier de l'économie française et même de l'Europe par une nouvelle mise en valeur de son parc nucléaire dont en sortant en plus du système de l'UE), et la désindustrialisation de l'Allemagne à cause de la destruction des sanctions contre la Russie et de la destruction des gazoducs Nord-Stream 2.) » (Le Média en 4-4-2) Mais « Le haut des agriculteurs, ce sont les militants de la FNSEA, ce syndicat proche du gouvernement de droite et dont les membres éminents profitent des prébendes de l’Union européenne. En bas il y a la petite paysannerie, celle qui est étranglée par l’industrie agroalimentaire, la grande distribution et les normes européennes, quasi strangulatoires Les agriculteurs en colère luttent donc, à l’instar des Gilets jaunes, pour leur survie. Pour certains, il s’agit d’une survie économique, sociale, physique même ; pour les autres, de la survie de méthodes de production dont l’oligarchie ne veut plus. Si l’on se réfère au mouvement des Gilets jaunes, massif, populaire et trans-courants au départ, puis gauchisé et neutralisé à l’arrivée, on remarque que le mouvement paysan de 2024 y ressemble mais avec les éléments politiques et chronologiques dans un autre ordre : droitisé et contrôlé au départ, il dérape à l’arrivée. Si la grève n’a été déclenchée par la FNSEA, c’est elle qui négocie avec Attal-Macron, ce qui permet au gouvernement de se poser en pacificateur social à l’écoute des paysans. Or, comme souvent, la base déborde l’organisation oligarchique, et c’est ce qu’on peut voir avec l’incendie de la préfecture d’Agen. Le ministre de l'intérieur Darmanin, par un non-interventionnisme très inhabituel, prouve que la Macronie va résoudre le problème par le haut, les choses étant peut-être même arrangées depuis le départ. Cela donnera à Attal l’imprimatur social dont il a besoin pour les 2 ans qui viennent et qui mènent à l’échéance 2027. Tout cela se passe au-dessus de la vraie souffrance paysanne, qui va encore voir ses effectifs et revenus diminuer, sous la pression de l’oligarchie européiste, dont Macron est l’un des piliers. Les blocages de routes ne sont pas factices, la menace sur Rungis et Paris avec ses 3 jours de vivres n’est pas factice, mais tout laisse à penser que le petit Attal va en sortir grandi : les ingénieurs sociaux lui ont concocté une Gilets jaunes sur mesure, contrôlée partiellement de l’intérieur et de l’extérieur. Sarkozy, en octobre 2005, avait lui aussi, avec son équipe de conseillers, provoqué et organisé l’incendie des banlieues pour l’éteindre (difficilement, quand même) et finir en vainqueur de l’ordre et de la sécurité à la présidentielle 2007. (D'ailleurs quand un politicien dit qu'il va arranger les choses en supprimant ou baissant une taxe que le système créée ou augmentée comme c'est la cas avec Attal, il y a vraiment de quoi se poser des questions à ce sujet et sur le véritable sens d'une bonne décision en faveur du peuple. Surtout qu'aller dans le sens du social n'a pas eu lieu pour les gilets jaunes et les retraites. Or cette préparation oligarchique peut aussi être synonyme dela peur du peuple. Le pouvoir, qui craint l’émeute comme la peste, n’a pas oublié – les traumas se transmettent – l’affaire de Montredon-des-Corbières. C’est l’historien Mickael Wilmart qui nous la remet en mémoire dans un thread. Cela explique peut-être pourquoi les forces de l’ordre n’osent pas trop tabasser les paysans. La vraie colère populaire est la hantise des gouvernants, mais surtout des mauvais gouvernants, qui réagissent par la panique et par une répression d’autant plus féroce qu’ils sont généralement lâches. Car les élites mondialistes ont tenté d’annihiler les paysans locaux. En effet rien de plus éloigné du producteur sédentaire que l'oligarchique nomade parasite apatride... Or « Quand l’agriculture était en honneur, il n’y avait ni misère ni oisiveté, et il y avait beaucoup moins de vices. » (Jean-Jacques Rousseau). « Et justement, le vice, c’est l’essence même de ces élites. Il est temps de se réveiller, car on obtiendra rien de cette bande de psychopathes incestueux, drogués, partousards et libertins. Mettez tous les vices que vous voulez, ils les possèdent tous. » (Arthur Sapaudia)) Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas, dans ce soulèvement général, un vrai soulèvement, mais ce dernier, sincère, non contrôlé, est voué à l’échec. S’il n’est pas contrôlé par les organisateurs du mouvement, il sert leurs desseins, car les révoltés sont comme des chiens fous tenus, sans le savoir, en laisse. Leur violence, qui donne sa crédibilité au mouvement et leur force aux revendications, sert de fer de lance aux organisateurs. La politique est impitoyable. Tout cela n’empêche pas un vrai débat autour de l’agriculture française, sa survie dans le libéralisme européiste, son poids politique par rapport à l’écologie, et sa lutte des classes interne. Un débat qui génère quelques règlements de comptes. » (Rédaction ER) « Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. A l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. (Et dans ce sens) comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). (C'est à dire que) la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. (Ace sujet) Jean-François Auzolle dénonce la PAC, la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… » (Média en 4-4-2) Certains agriculteurs manifestent pour la forme, sachant que leur syndicat a déjà obtenu des avantages (que le grand public ne saura pas), d’autres pour leur survie. Trop de normes bureaucratiques, revenus trop bas, inflation, concurrence des produits étrangers, flambée des prix du carburant : la litanie des revendications se retrouve donc dans la plupart des pays confrontés au mécontentement agricole. Cependant selon la vidéo « Les paysans trahis une fois de plus par le syndicat » la chaîne youtube « Philippe est dans le pré », le problème principal des agriculteurs en France est que les marges de l'industrie agroalimentaire et des grandes surfaces ne sont pas encadrées via un code tel celui de la route avec les quatre centrales d'achat(, c'est à dire cette industrie et la grande distribution se gavent sur les dos des agriculteurs). De plus Philippe évoque l'importance de changer la fiscalité en prélevant l'impôt sur le salaire des paysans touchant en moyenne entre 500 et 1200 euros, et non sur le bénéfice de l'entreprise qui n'est pas un revenu réel. Il précise aussi que l’État doit mettre un terme à l'imposition sur les droits de succession de terres agricoles, car ce sont des investissements lourds non rentables, puisque ils dégagent pas plus de 2% de bénéfices alors que nourrissant la population, tandis que l'industrie en dégage autour de 20% et les services au-delà de 25 %. Enfin il propose d’arrêter le libre-échange pour aller vers un échange basé sur la coopération, car sinon cela a un très mauvais impact sur l’économie, les emplois et la souveraineté. Par conséquent, Philippe conclue qu'il faut arrêter la diversion avec les écolos, les normes et les GNR, puis refondre un modèle basé sur une meilleure répartition de la valeur entre producteurs et acheteurs de l'industrie agro-alimentaire. « Il y a plusieurs raisons à la crise actuelle des agriculteurs, mais une revient comme un mantra : l’Union européenne et la « hyène » Leyen. Pas seulement pour les normes à la con, mais surtout pour la porte ouverte aux importations massives des grands pays exportateurs (Brésil, Argentine, Ukraine), importations à bas coût et de basse qualité qui tuent les producteurs français. Sur le plateau de CNEWS, l’éleveur Béraud, dont le TikTok cartonne, balance la sauce à la gueule de tout le monde : journalistes flippés et traîtres politiques : « Je voudrais rebondir sur les accords de Mercosur que vous nous dites, OK, mais y a pas que ça. Y a eu les accords de Nouvelle-Zélande qui vont faire importer du lait alors qu’on sait pas quoi faire du lait français ! (...) Y a trois jours c’était les accords avec le Chili, tous les jours on dirait qu’ils nous provoquent, mais ils veulent vraiment le chaos ! » « Il y a 2 morts par jour, 50 exploitations qui disparaissent tous les jours, on peut plus, monsieur. On est à 300 euros, les députés ils ont pris 300 euros d’augmentation, les sénateurs 700, on se fout de notre gueule, ils nous poussent à bout ! » « Tous les jours il y a des accords de libre-échange, donc la seule solution, moi j’en vois pas d’autre, les mesurettes ils arriveront jamais à calmer la détresse des agriculteurs, ils n’y arriveront pas ! La seule solution, en plus c’est nous les éleveurs qu’on est tributaires de cette folie de von der Leyen, cette hyène, mais elle est complètement folle cette femme, signer des accords de libre-échange toutes les semaines, pour faire entrer quoi ? De la viande alors qu’on sait pas quoi en faire de la viande en France, la nôtre elle part en Chine et on fait entrer de la viande aux hormones, nous on fait du label limousine, charolais, Aubrac, on fait rentrer de la viande aux hormones défiant toute concurrence d’Argentine... » « Ils veulent faire disparaître l’élevage pour nous mettre leur farine d’insectes, leurs steaks cellulaires avec l’intelligence artificielle, ils vont multiplier les cellules-souches dans des entrepôts où il y aura un bilan carbone soi-disant très bon parce qu’ils auront un impact au sol très faible ! (...) Ils veulent vous faire manger des choses que vous avez pas envie parce qu’ils veulent vous nourrir à pas cher parce que demain, le consommateur français n’aura plus un rond pour pouvoir se nourrir... » Conclusion : les paysans français n’ont rien à attendre du pouvoir, des mesurettes d’Attal ou des promesses de Macron, un exécutif qui est inféodé à la Commission européenne, qui elle-même travaille pour l’ennemi, c’est-à-dire le mondialisme destructeur des productions nationales. Nous sommes bien en guerre, mais pas contre les Russes. (L'UE peut donc être étonnamment comparée à l'URSS 2.0 puisque la commission est tel un nouveau politburo (du comité central soviétique), dont car toutes deux sont de la bureaucratie non élue mais grande décideuse et le nombre de membre est similaire. En sachant que l'économie de pénurie à cause de la guerre, d'une crise énergétique ou d'une inflation massive correspond au plus grand contrôle oligarchique puisque rationnant la population par des tickets ou des euros numériques réservés à certaines consommations.) » (Rédaction ER) Gérard Schivardi, maire de Mailhac, dans une conférence de presse au salon de l’Agriculture : « Pour l’Union européenne, à terme, il ne doit pratiquement plus y avoir d’agriculture en Europe. Un exemple : la plus grosse subvention de la PAC, 62 millions d’euros est versée au groupe agroalimentaire “DOU” qui délocalise au Brésil l’élevage de poulets... Les prix imposés aux producteurs par les grands groupes de la distribution et de l’agroalimentaire sont, la plupart du temps, en dessous des coûts de production. Cela ne peut plus durer. À cause de la spéculation sur les céréales, beaucoup d’éleveurs ne peuvent plus acheter de quoi nourrir leur bétail. La BCE interdit toute hausse des prix à la production. La PAC n’est qu’un instrument au compte des groupes financiers qui contrôlent l’agroalimentaire et la distribution. » « La Macronie a poussé sa caricature du libéralisme jusqu’au bout : l’exécutif français est désormais officiellement une caste baignée dans l’entre-soi. Plus que le symptôme d’une déconnexion, c’est la preuve d’une séparation. Une séparation voulue par cette élite parisienne de technocrates pour laquelle le travailleur français est une variable d’ajustement à contenir et à « redresser ». La réforme des retraites avait acté la rupture institutionnelle, la récente loi sur l’immigration censurée par le Conseil d’État dans le dos de la représentation citoyenne la confirme. En 2024, le Parlement n’a plus de raison d’être ; sauf qu’il reste trois ans de gouvernance à la Macronie, c’est-à-dire trois ans de réformes à imposer à la France périphérique donc autant de 49.3 et de passages en force. Seule (sans le soutien des parisiens), la révolte du secteur primaire ne suffira sûrement pas à faire chuter le régime en place et donc à changer les choses, si tant est que ce soit son objectif ; rejointe par d’autres actifs essorés par la gestion rothschildienne dans une perspective de défense légitime des intérêts des travailleurs, la perspective s’élargit. C’est là où cet outil historique des syndicalistes révolutionnaires de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qu’est la grève générale fait figure de déterminant. Utilisée en réaction à l’usage de la force étatique légale par la bourgeoisie, elle permit aux prolétaires de l’époque d’éviter toute compromission politique et interdisait toute corruption par la « paix sociale ». Quoi qu’il en soit, les dés sont jetés depuis longtemps pour la Macronie : son destin est de devenir officiellement un État policier chargé de taxer toujours plus les Français sans leur garantir aucun service et aucune qualité de vie réelle en contrepartie. Et pour achever sa mutation, cet État sera obligé de toucher d’une manière ou d’une autre à la Constitution, ce qui, dans le contexte décrit ci-dessus, équivaudra à convoquer un Congrès revanchard et politiquement… assiégé ! La révolution est souvent une question de timing, au-delà des divisions de principe… Il faut pousser. » (Extraits de l'article « Du siège de Paris à la grève générale ? » de Pierre de Brague à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Du-siege-de-Paris-a-la-greve-generale-74868.html) N’ayant gagné que quelques miettes, sans avoir pu remettre en cause tout un système de taxes, de normes, de concurrences déloyales mais aussi le poids écrasant de l’Europe, les petits ou faibles agriculteurs sont pour l'instant abandonnés par ceux-là même qui ont juré sur les plateaux de télévision les avoir compris et prendre en compte leurs revendications. Mais si les paysans échouent à Rungis, les barrages continuent en France et des centrales de logistique de la grande distribution restent bloquées ou devraient l’être bientôt. On verra si le gouvernement et le système les déconsidéreront dont en les arrêtant possiblement pour les pousser à vouloir stopper leur profession par désespoir au traités de libre-échange augmentant cupidement les bénéfices et donc au profit de l'industrie agro-alimentaire centralisant avidement l'économie. Cette crise agricole a donc soulevé des questions plus larges sur l’avenir de l’agriculture française et européenne, et sur la nécessité de repenser notre modèle alimentaire pour plus de durabilité et de justice sociale. Or sans surprise suite à cette manifestations des agriculteurs par rapport aux traîtres dirigeants mondialistes et ploutocratiques, rien n'a été fait sur la fiscalité ni sur les prix devant être à hauteur des coûts de production ni donc sur la rémunération des petits agriculteurs ainsi que sur le manque annuel de 50 000 à 80 00 euros sur un an par de nombreuses exploitations agricoles, ni donc concernant les 700 suicides d'agriculteurs annuellement. Il faut noter qu'en France, l'importation alimentaire représente 40% de la consommation, ce qui rapproche de devenir dépendant d'autres pays géo-stratégiquement comme du Brésil, de la Nouvelle-Zélande et d'Australie. D'ailleurs douze pays sont tellement exportateurs que la France peut descendre jusqu'à 80 % pourcent et toujours fonctionner. « La géopolitique de la semence est un sujet complexe et fascinant. Le marché des semences est mondialisé, et celui qui contrôle les semences contrôle l’alimentation, influençant ainsi une grande partie de l’existence humaine. Des entreprises comme Monsanto, désormais Bayer, dominent ce secteur, mais elles ne sont que la partie visible d’un immense iceberg. Les semences voyagent à travers le monde, des containers de graines de tomates produites en Asie pour être cultivées en Amérique latine ou en Afrique, illustrant l’ampleur de ces échanges internationaux. Derrière ces opérations, des laboratoires de recherche monumentaux et des financements colossaux visent à maintenir une longueur d’avance sur la concurrence. Cette course à l’innovation pose des questions éthiques et environnementales, notamment sur la diversité génétique et l’adaptabilité des cultures face aux changements climatiques. Les producteurs locaux, souvent regroupés en coopératives, jouent un rôle crucial dans la préservation de cette diversité, essentielle pour l’avenir de notre alimentation. » (Média en 4-4-2) Pour amplifier ses achats et sa domination sur de plus en plus de terres cultivables du monde, le groupe cupide et dominateur Mosanto dépose même d'abjects brevets de créations alimentaires, puisqu'il est honteux de breveter le vivant par la modification génétique de divers fruits ou légumes, dont afin que les agriculteurs locaux voulant continuer de travailler après la perte de leurs terres au profit de Mosanto doivent toujours plus acheter leurs semences ne se renouvellant pas et leur insecticide les appauvrissant toujours plus car le besoin d'insecticide augmente chaque année suite à l'étrange adaptation des insectes. Déposséder les paysans de leur terre jusqu'à l'expropriation dont en Hollande sous prétexte écologique, est un des buts principaux des mondialistes. Aux USA les cinq plus grands milliardaires détiennent la très grande majorité des terres agricoles. La fin de ce droit de propriété finira par une gestion oligarchique de ce qui est cultivé et mangé, et le moins bon et moins savoureux sera pour le peuple, et le meilleur sera pour les élites perverses, car ces dernières n'hésiteront pas à augmenter leur mage au maximum même ainsi. Et si l'industrie pharmaceutique pousse les Etats à être contre la médecine naturelle, c'est justement parce qu'on ne peut pas breveter une plante. D'ailleurs la loi contre le sectarisme peut servir à empêcher les voix dissidentes même scientifiquement sanitaires, jusqu' à l'abjecte autorisation la dénonciation suite discussion privée, digne de la gestapo. Dans ce sens, la tendance lourde du transhumanisme et de l’ingénierie sociale consiste en plus à le placer le vivant entièrement sous contrôle informatique. Ce système de vente de semences stériles OGM devant être protégées par toujours plus de produits chimiques devient donc souvent encore plus perversement du monopole. Surtout qu'inévitablement, cela est fréquemment validé par des gouvernements de pays pauvres se maintenant donc dans le sous-développement et la dépendance alimentaire, d'autant plus quand on veut faire de l'Afrique un continent à l'énergie verte possiblement insuffisante. Or ces dangereux OGM dont car protégés par des pesticides dangereux pourraient en plus servir à accélérer la dépopulation, surtout qu'ils ont toujours subi peu de contrôles sanitaires dont sur les effets à long terme. Mais l'organisation « Semences sans frontière » et l'entreprise Kokopelli luttent honorablement contre cela en soutenant des projets de culture vivrières par des semences reproductibles commercialisés voire offertes et des conseils donnés dont sur la réalité de l'agriculture, la gestion d'une culture et le meilleur rendement en nutriment. Il est possible de voir à ce sujet la vidéo « Documentaire : Kokopelli, un monde en semence » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uqGLFxrydEU&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1 Des multinationales très perverses veulent donc même centraliser pour leur profit oppressif la production décentralisée et gratuite de la nature, comme le prouve le raisin OGM sans pépin de Mosanto, c'est à dire en stérilisant la nature et l'occident pour créer des marchés contrôlables par un monopole. Le capital permettant la centralisation monopolistique dans des États autoritaires, ou pauvres ou prétendument libres et démocratiques s'oppose ainsi en réalité au libéralisme bien compris, c'est à dire à celui décentralisé. De plus dans de nombreux cas, comme lorsque les brevets génétiques de Mosanto donnent des plantes plus fortes, cela correspond en réalité au bout de trois ans à une grande perte de revenus pour les agriculteurs, puisqu'il y a un besoin en eau grandement supérieur pour les irriguer, en plus donc du non renouvellement des graines qu'il faut par conséquent leur racheter et d'une utilisation de glyphosate dans leurs herbicides toujours plus nécessaires détruisant en outre gravement toute autre plants naturelle comestible. En Inde les conséquences néfastes de cette agriculture ont été vastes. -injuste vente à la découpe des fleurons de l’industrie aux multinationales apatrides. Or si un pays ne possède ni les matières premières de base, ni les usines, ni le marché, c’est-à-dire ni la production, ni la transformation, ni les clients, une industrie finit logiquement par se délocaliser en se rapprochant vers un ou plusieurs de ces éléments. Sauf qu'avec le mondialisme, c'est plutôt souvent cupidement organisé dans des pays pauvres pour gagner plus d'argent sur l'heure travaillée. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente intervention suivante concernant la perte de souveraineté énergétique de la France alors qu'elle était leader de la production d'électricité en Europe : « Souveraineté énergétique de la France : "Il faut se réveiller", enjoint Arnaud Montebourg » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=Ca3FdfOM5-8 Aujourd’hui, les sales petites tractations des ultralibs, qui vendent les meilleurs morceaux de la France au plus offrant (en général américain), ont remplacé les grands travaux, ces avancées technologiques productives qui ont fait la richesse et la gloire de notre pays. Il n'y a plus de vision, plus d’intérêt commun, qu’une oligarchie qui se gave et qui pille le trésor national. Et ce, à tous les niveaux. Aujourd’hui, comme l’écrit Todd dans sa chronique du Point, on ne produit plus, on consomme. Et on est dirigés par des dingues. L’OTAN perd même sa guerre contre une Russie dont le PIB représente 3,3 % du PIB de l’Occident. Nos économies apparaissent pour une part fictives, sur le point de se décomposer. « Une civilisation se juge selon la manière dont elle juge les paysans. Et ramener le problème paysan au seul problème économique est déjà une forme de mépris. Certes, il ne saurait être question d’une sentimentalité utopiste de « retour à la terre » et les pâtres enrubannés et sentencieux appartiennent au domaine de la littérature édifiante et non à celui de la révolution politique. Il ne s’agit pas de savoir s’il y a trop de paysans ou pas assez, si c’est un bien ou un mal qu’en cinquante ans, de 1910 à 1960, la classe paysanne soit passée dans la nation française de 70 % à 20 % seulement. Il ne s’agit pas seulement de statistique. Il s’agit d’abord de respecter les hommes et les femmes de la terre en tant que tels : les paysans sont des producteurs ce qui est déjà hautement louable dans une société qui sécrète tant de parasites, mais ce sont aussi et surtout les dépositaires d’un certain nombre de vertus. Un homme comme André Siegfried l’avait parfaitement compris, quand il écrivait : « L’agriculture n’est pas seulement une technique de production, c’est un genre de vie impliquant toute une conception de l’homme. » Ce n’est pas diminuer les fraiseurs-ajusteurs ou les oto-rhino-laryngologistes, les agrégés de l’Université ou les contrôleurs du Métropolitain, que de reconnaître aux vignerons, aux herbagers ou au riziculteurs un certain nombre de qualités spécifiques que les citadins ne possèdent pas ou ne possèdent plus, parce qu’ils ne sont pas, comme les paysans, liés à un village et à un terroir, au vent et au soleil, à une maison et à une lignée. Par essence, la paysannerie est opposée à tout ce qui cherche à nier le réel, à tout ce qui veut imposer l’abstraction et l’uniformisation. Le paysan sait que les terres et les hommes sont différents parce que telle est la première Loi qu’il constate tous les jours. Il peut distinguer un bon champ d’un mauvais, comme il sait reconnaître un bon ouvrier d’un feignant. Une saine méfiance paysanne place l’expérience vécue et personnelle à la source de toute opinion. Ces individualistes qui savent s’associer, et qui devront de plus en plus s’associer pour survivre, sont profondément rebelles à tout collectivisme théorique. Le socialisme rural, s’il limite la grande propriété et s’il multiplie les coopératives, restera toujours par essence différent du communisme urbain, voué aux métropoles termitières et aux usines concentrationnaires. Il ne s’agit pas de nier la nécessité de l’industrialisation et encore moins les vertus de l’ouvrier. Il s’agit de considérer le paysan comme le gardien d’une autre tradition et nous dirions même d’une autre civilisation qui plonge ses racines dans le Haut Moyen Âge, époque à laquelle les dernières tribus errantes de paysans-guerriers se sont enracinées à l’Occident dans leur longue marche vers les derniers feux du soleil. Que la civilisation rurale soit par nature réactionnaire est une affirmation qui appartient au seul domaine de la propagande : qui connaît les paysans jutlandais ou frisons comprend très vite ce que peut signifier un authentique socialisme rural dans un pays où il arrive qu’un cultivateur-exploitant soit ministre ou même président du conseil. La paysannerie ne peut survivre qu’en se révoltant contre les féodalités. Elle est la gardienne naturelle des libertés civiques. Le communisme ne s’y est pas trompé qui a fait de la lutte contre les « koulaks » un des épisodes les plus sanglants de la révolution rouge. Le capitalisme ne s’y trompe pas davantage qui prend la relève pour détruire aujourd’hui, plus hypocritement et plus efficacement sans doute, le monde paysan. Une propagande d’autant plus habile qu’elle est sournoise tend à rejeter le paysan hors de la vie moderne. Il n’occupe aucune place sentimentale dans la nation française, où la centralisation forcenée autour de Versailles puis de Paris a non seulement rejeté dans les ténèbres extérieures les paysans mais avec eux tous les provinciaux. Fait plus grave encore : des paysans eux-mêmes en viennent à chercher leurs mots d’ordre non plus dans leur seule tradition, mais dans les journaux, les cabinets et les partis de leurs pires ennemis. Le masochisme qui anime un bon nombre des dirigeants syndicaux et juvéniles de la paysannerie, si prompts à ridiculiser « l’agriculture de papa » est exactement semblable au masochisme des citoyens standardisés des pays ex-colonisateurs qui depuis quelques années se frappent la poitrine et encaissent avec une humilité repentante les pires calomnies de leurs anciens sujets. Posséder une terre et la « faire valoir » semble quelque chose de répréhensible et même de séditieux dans une société de plus en plus soumise à l’idée de partage et de communion universels. Le mépris pour les paysans est surtout sensible en Occident. Il semble se renforcer en Amérique ou les droits des États sont de plus en plus attaqués par le pouvoir fédéral, toute centralisation s’effectuant contre les campagnes. Il semble en revanche s’atténuer en Russie où la classe dirigeante est souvent d’origine rurale et où la vague d’hostilité aux milieux cosmopolites a de profondes racines paysannes. Les jeunes nations du tiers monde ont compris toute la puissance révolutionnaire que peut recéler la paysannerie. L’enracinement du communisme dans les masses paysannes asiatiques, s’il n’est pas aussi profond que nous l’affirme Pékin, est cependant le gage le plus certain de son avenir. (…) Le malaise paysan sera sans doute résolu, contrairement à l’opinion des marchands et des planistes, par le maintien et même le développement des petites exploitations familiales. La transformation de nombreuses fermes de culture en fermes d’élevage devrait par ailleurs permettre la survie d’innombrables paysans européens. L’esclavage scandaleux provoqué par les domaines démesurés, cette plaie de l’Europe méridionale, devra faire place à une véritable libération paysanne, où chacun pourra être « maître sur sa terre » et la transmettre intégralement au plus capable de ses enfants.Démembrer les domaines féodaux (qu’ils soient aux mains d’individus ou de sociétés), multiplier les petits propriétaires et les libérer de leurs dettes, rassembler les parcelles et améliorer les sols, tels sont les grands impératifs de structure. Là encore, l’exemple danois est éloquent, à condition que l’on se décide enfin à considérer la paysannerie non dans le cadre des grands états-nations européens mais dans son seul cadre naturel qui est celui des provinces ou des régions. Il n’existe pas d’agriculture française alors qu’il existe une agriculture alsacienne ou limousine. La paysannerie ne peut se comprendre que dans le cadre géographique, sentimental, historique d’une ethnie bien particulière. Si les paysans sont tellement suspects c’est aussi parce qu’ils parlent généralement en famille une langue différente de celle qui est écorchée à l’ORTF et qu’ils se sentent plus Breton ou Picard, plus Auvergnat ou Normand que Français – et cela d’autant plus que le Français-type c’est toujours le Parisien. Ces fantassins exemplaires dont les noms se retrouvent par familles entières sur les monuments aux morts sont finalement les moins nationalistes et les moins chauvins des hommes. Ils connaissent le prix du sang. Et ils savent que les barrières entre les différents États européens ne tiennent pas compte des seules réalités et des seules vérités qu’ils défendent : celles des paysages où, sans frontières, chevauchent les nuages et roulent les fleuves de notre monde. Le paysan au cours de nos dernières guerres mondiales est devenu voyageur. Des garçons qui n’avaient jamais quitté leur village se sont retrouvés artilleur en Flandre ou cavalier en Serbie, parachutiste en Écosse ou charretier en Silésie. Sensibles aux différences qui existent de ferme à ferme, de village à village, de pays à pays, ils furent également sensibles aux similitudes. Un paysan mieux qu’aucun autre pouvait comprendre qu’il n’y a pas de différence essentielle entre lui et un paysan du Sussex, de Bavière ou d’Ukraine. À peu de choses près même rythme de vie au fil des saisons et des travaux, même soumission à la pluie ou au gel, même respect de la femme, même indifférence pour les jongleurs d’abstraction, même dureté au labeur, même âpreté au gain, même fidélité à la religion chrétienne et aux vertus païennes. Il faut bien reconnaître que le contraste était violent quand leurs fils ont débarqué en Algérie. Malgré une langue de civilisation commune, les paysans français découvraient chez les paysans arabes un univers économique, sentimental ou religieux complètement différent. On peut expliquer ainsi leur hostilité foncière à l’idée d’intégration et la force d’inertie qu’ils ont opposée dans les derniers mois de la guerre. C’est là un aspect méconnu de l’attitude du « contingent » et qui ne satisfait d’ailleurs pas tellement ceux qui méprisent tout autant les paysans arabes que les paysans français et réservent leurs tendresses aux artisans de la révolution fellouze, pharmaciens ou adjudants, qui sont des gens de « leur monde ». De ces idées qui viennent comme des herbes folles il me plairait qu’on retienne la notion instinctivement différenciée – et par conséquent enrichissante – que les paysans peuvent avoir de l’unité européenne. Ce sont eux et peut-être eux seuls qui permettront l’Europe des peuples, rigoureusement différente de l’Europe des banques, des parlements ou des congrès. Rien n’est plus instructif que d’écouter à une table de ferme un paysan dans la force de l’âge, et cette noueuse génération pour qui 45 ans est la course du bel et rude automne. Beaucoup, au hasard d’une conversation coupée de longs silences et d’ironie imperceptible, en viennent à évoquer les années où ils furent prisonnier de guerre et employés de ferme tous ensemble, en Allemagne. Ce mélange de rancœur et d’attachement échappe bien vite à toutes les définitions des historiens. Voilà des hommes qui ont appris à distinguer les braves gens et les salauds. Pour eux il n’y a pas deux fermes pareilles et pourtant toutes les fermes se ressemblent du Cotentin à la Poméranie… Ces hommes-là qui n’ont pas lu La Ville, le plus beau livre « activiste », ont pourtant parfaitement compris ce que signifie pour les paysans européens « la possession ». « La possession réglait tout, la possession n’était pas seulement l’argent et les biens, c’était l’héritage et la lignée et la famille et la tradition et l’honneur, c’était le passé, le présent, l’avenir. Si quelqu’un perdait sa ferme, il perdait plus que sa propriété. Il perdait parce qu’il gouvernait mal son bien. Mal gouverner son bien, ne pas savoir penser à sa ferme, perdre sa ferme, était encore plus un opprobre qu’un malheur… » Et Ernst von Salomon dans ce roman va finalement beaucoup plus loin que dans Les Réprouvés parce qu’il aborde un problème hors du temps et hors d’un pays. Il met la Ferme à sa vraie place : « La communauté de lutte des paysans était de prime abord cimentée par la Ferme. La Ferme dominait, traçait, élargissait les frontières. Elle s’affirmait comme cette volonté suprême que la classe ouvrière devait chercher en un chef. » On ne saurait mieux définir quel est l’esprit des paysans libres, ces hommes des sillons, des clos et de cet océan de blé qui roule ses vagues sur les vieilles terres d’Europe. Ces paysans européens connaissent dans leur village les liens de parenté. Ils savent ce que furent les vieux et ce que promettent les fils. Ils savent ce qui distingue les gens de ce côté-ci de la rivière ou de la forêt et les gens de l’autre côté, et comment il faut parler dans une foire avec ceux-ci et avec ceux-là. Et pourquoi il faut se taire. Les paysans européens, d’instinct, mettent les hommes et les choses à leur rang et savent qu’il n’est pas naturel et qu’il n’est pas utile de les faire changer de place. Ce sont des hommes redoutables pour ceux qui rêvent d’un monde où les maisons seront toutes pareilles, où les journaux diront tous la même chose, où les originaux (par la tradition) et les individualistes (propriétaires terriens modestes) seront pourchassés (par le collectivisme oligarchique)… Ces paysans qui ne nous connaissent pas, qui ne nous lisent pas, qui sont hostiles à tout ce que nous avons de théorique et de sentimental, d’intellectuel et de citadin, ces hommes-là, fatalement, parce que c’est « la nature des choses », se trouvent dans le sens de notre volonté traditionaliste et révolutionnaire. Ils sont nos alliés. Et ils sont notre espoir. » (Jean Mabire – Notre espérance est dans la révolte paysanne) « Nous devrons nous occuper à finaliser, dès maintenant, la phase de dérégionalisation des régions rurales amorcée au début de la "Crise Economique" de 1929. Surpeupler les villes était notre tandem de la "Révolution Industrielle". Les propriétaires ruraux, par leur indépendance économique, leur capacité à produire la base de l’alimentation des Etats, est une menace pour nous, et nos Plans futurs. Entassés dans les villes, ils seront plus dépendants de nos industries pour survivre. Nous ne pouvons nous permettre l’existence de groupes indépendants de notre "Pouvoir". Donc éliminons les propriétaires terriens en faisant d’eux des esclaves obéissants des Industries étant sous notre contrôle. Quant aux autres, permettons-leur de s’organiser en Coopératives Agricoles que nos Agents infiltreront pour mieux les orienter selon nos priorités futures. » (Protocoles de Toronto, 1967) A notre époque le monde paysan et non le monde des agriculteurs est encore plus héroïque par sa survie au milieu d’un écosystème de technocrates ministériels, d’autocrates bruxellois, de grands propriétaires terriens monsantistes. Ces hommes de la terre constituent le premier vivier de la résistance française. Or l’agriculture représente moins de 2% de l’emploi total en 2024 ! La lutte des classes ne sera donc pas paysanne même si personne ne doute de la bravoure autant que du désespoir de certains paysans ! Et avec l'évolution technologique, l’agriculture vivrière, bocagère, familiale d’antan risque même de disparaître, quoique avec seulement 2 % de paysans l'autonomie et donc la souveraineté alimentaire et nationale, le système français peut devoir changer...
-productions, transformations et même standards de téléconseillers organisés donc dans des pays pauvres prenant en plus le travail des nationaux.
-existence de 280 taxes et impôts divers en France au lieu de la seule zakat (impôt unique de l'islam) dont la valeur est 2.5% prélevé sur tout montant d'argent et toute quantité de denrées non périssables supérieurs à 3 000 euros thésaurisés pendant un an, pour que cela soit donné à l'Etat et son fonctionnement dont pour construire les routes principales, entretenir l'armée et soutenir les faibles (orphelins, veuves, handicapés, pauvres), et pour que cela incite à investir. Surtout que les multinationales sont beaucoup moins touchées par ces taxes et impôts français que les PME et les citoyens.
-rapport accablant de la Cour des comptes européenne révèlant que 7,4 milliards d’euros de subventions versés entre 2021 et 2023 ont échappé à tout suivi rigoureux. Pire : 30 ONG, soit moins de 1 % des bénéficiaires, ont capté 40 % des fonds, sans justification transparente. Certaines entités, estampillées « ONG », n’en avaient même pas le statut légal. Dans un contexte déjà marqué par le « Pfizergate », la Commission a durci en catimini ses règles d’accès aux documents. Désormais, les avis juridiques, enquêtes réglementaires et dossiers sensibles sont systématiquement classés « non divulgués ». Deux plaintes ont été déposées, dénonçant une violation des principes démocratiques.
-pour éviter la concurrence du peuple avec le grand capital, honteuse clause d'honorabilité distribuée à discrétion par les milieux autorisés, nécessaire pour créer une assurance ou une banque.
-subsistance de base divinement gratuite généralement désormais souvent privatisée et payante comme l'eau, certains terrains pour y construire une demeure, des aliments transgéniques brevetés, la fabrication du vivant comme la viande, le système immunitaire naturel (avec les vaccins ARN) et même l'oxygène (à travers la taxe carbone et le masque sanitaire). Il faut tout de même noter qu'il est logique de faire payer certains éléments comme l'eau et l'énergie, car cela permet d'éviter leur utilisation abusive. Mais pour les pauvres un juste milieu gratuit ou une aide financière pour leur consommation raisonnable doivent être offerts.
-banques centrales rachetant parfois plus d'un milliard d'actions par heure pour préserver diverses entreprises en prouvant donc la perverse centralisation (monopolisation) à outrance, et dont le covid a consolidé cette concentration financière ainsi que désormais la guerre en Ukraine et l'inflation. Ainsi tout monopole doit devenir étatique (public) et toute entente commerciale dans le privé et donc en dehors de ça est évidemment interdite. Surtout que le monopolisme empêche la concurrence source de progrès. Le pervers pouvoir profond mondial de ce système corrompu dépense donc souvent principalement pour préserver ce dernier, malgré de plus en plus de dommages collatéraux contre l'humanité par preuve des mesures mortifères liées au covid, aux sanctions contre la Russie et à l'inflation, car toujours dans le but d'obtenir plus d'influence par cette centralisation de l'économie dont à travers sa pratique de l'usure d'abord bancaire et la monopolisation de ses multinationales. Or tout ceci est souvent caché derrière une lutte des classes, alors que c'est une guerre à mort entre le système bancaire (privé) et le souverainisme des nations (public), voire entre la numérisation artificielle et le vivant naturel. Quand Christine Lagarde présidente du FMI explique que nous sommes pieds et poings liés à la dette, elle sous-entend qu'il s'agit du nom moderne de la soumission voire de l'esclavagisation des nations aux intérêts de la suprématie financière. Or l'Histoire a montré que l’annulation de la dette a été fréquente lorsque les peuples se sont révoltés massivement.
-gouvernement de Macron ayant creusé la dette et donc la dépendance du pays de près de 1000 milliards d’euros de 2017 à 2024 dont par le covid, pour atteindre plus de 3000 milliards d'euros, soit une augmentation de 50 % en seulement 7 ans, et ne pouvant donc donner de leçons à personnes. Il apparaît donc que sa seule feuille de route est de mettre la France éternelle au pas à l’horizon mondialiste 2030, fût-ce au prix d’une casse sociale inouïe, car c’est le seul fil rouge des sept dernières années, années de malheur pour le peuple français.
-de 2008 à 2020, nombre de 55 banques espagnoles passé à 12 en prouvant donc aussi la centralisation à outrance vers le possible monopole tyrannique.
-taux négatifs très nuisibles économiquement et étant donc le véritable virus qui a détruit la société. En effet en 2018, fait historique inédit, le loyer de l’argent était donc devenu négatif, malgré de grands avertissements divins importants depuis des siècles contre l'usure en particulier massive et répandue. En clair, prêter coûte désormais au prêteur, ce qui est une impossibilité comptable du système pervers actuel. A cette date clé, le Capitalisme a alors commencé à s’autodétruire. Ce fut d'ailleurs suivi par la séquence de la pandémie, puis de la guerre. Pour l’instant, le système ne tient que par la planche à billet et donc l'inflation, mais aussi encore par la confiance dans le dollar, même si elle est de plus en plus érodée. Pourtant en disant à Pierre d'aller pécher et donc travailler pour avoir une pièce d'argent dans la bouche du poisson, alors qu'il aurait pu transformer une pierre en argent, Jésus montre la très grave création monétaire ex-nihilo dont donc de la planche à billet. Mais cela n'a rien à voire avec sa miraculeuse multiplication des pains, puisqu'il s'agissait de prôner la croissance et le développement de tous en particulier des pauvres dans ce cas. Or « La politique monétaire des grandes banques centrales (planche à billets) n'a pas abouti à une augmentation du PIB mais à une augmentation des valorisations financières. 77 % de la hausse de la valeur de la richesse nette du monde depuis 20 ans à été dans des valorisations financières et uniquement 23 % à été dans l'augmentation de la valeur ajoutée. C'est un système qui fait que les 3/4 de l'activité humaine sont concentrées sur l'augmentation des valeurs financières qui bénéficie en fait qu'à 10 % de la population. Il s'agit donc d'un système profondément inégalitaire et qui favorise les jeux boursiers et les spéculations immobilières, mais pas la valeur réelle. » (Jacques de Larosière)
-asservissement ou précarité des salariés par un actionnariat prédateur et par l'obligation de se bancariser dans une sorte d'esclavage financier des peuples par les élites et oligarques corrompus. Or selon Serge Ayoub pour un nouveau contrat social, il faudrait transformer les salariés en associés par une possible participations aux responsabilités, au capital et aux bénéfices dans une forme de copropriété des entreprises et donc de la France, et donc sans lutte avec le patron mais plutôt dans un travail constructif en tant que petits patrons respectant évidemment le grand patron et sa rémunération plus élevée puisque ayant pris des risques, eu l'idée ou mis de l'argent pour la création de la société. C'est à dire revenir si ce n'est à une grande charité chrétienne sociale au moins à un capitalisme plus productif et patrimonial dans un esprit donc beaucoup plus familial puisque appartenant généralement à des familles, plutôt que de rester au sein d'un capitalisme financier et donc gravement spéculatif dans un esprit esclavagiste puisque appartenant généralement à des banques et des actionnaires. Surtout que l'ultra-libéralisme moderne, détruisant les valeurs humaines si importantes au travail, risque une dégradation morale générale du peuple synonyme de folie collective pouvant devenir violente. Ainsi il faut que le capital travaille et que le travail possède, car le capital est le produit d'un travail collectif, et il faut donc voir le travail plus humain et le réformer dans ce sens sans oublier également de rémunérer légitimement les tâches collectives en plus des individuelles quand elles ne sont réalisables qu'à plusieurs, surtout que la production des salariés et la vie en société en sont améliorées. Dans ce sens et comme il pense véridiquement que la société doit être une des causes conduisant au bonheur de chacun, il estime que les travailleurs, agriculteurs, pêcheurs et entrepreneurs étant les principaux acteurs de la vie économique, leurs représentations au parlement pour choisir un budget national harmonieux seraient complètement logiques. De plus il propose même d'aller jusqu'à une union sacrée des travailleurs et entrepreneurs français dans une forme de banque coopérative d'investissement prélevant les heures supplémentaires d'un éventuel retour à 39 ou 40 heures qui ferait environ 65 milliard par an, et qui pourrait, suite à des votes ou chaque travailleur aurait une voix, rembourser rapidement la dette nationale puis racheter les grandes sociétés étrangères défaillantes au niveau des salaires et des conditions de travail. En effet cela dégagerait des bénéfices annuels pour chaque travailleur français, relèverait le paiement de l'heure travaillée, créerait de l'emploi, et permettrait de recevoir environ 120 000 euros supplémentaires au début de la retraite (dont la meilleure démographie pour stabiliser ce système est de deux voire trois enfants par femme) par la récupération de cet argent investi hebdomadairement comme s'il s'agissait d'un compte retraite complémentaire. Il est intéressant de relier cette analyse à la parole de René de la Tour du Pin provenant de son livre « Vers un ordres social chrétien » où il explique que le corporatisme est de considérer l'homme comme un frère, par opposition au libéralisme qui le considère comme une chose (la statut de l'être humain selon le capitalisme est d'ailleurs essentiellement la main d’œuvre voire la location comme celle du ventre lors d'une GPA, et il s'agit donc d'une marchandisation et ainsi effectivement d'une chosification du corps en plus tyrannique, puisque possiblement bientôt jusqu'à la vente de rein autorisée principalement pour les pauvres envers les riches, même ayant juste un rein un peu défectueux) et au socialisme qui le considère comme une bête : « Le Travail n‘a pas pour but la production des richesses mais la sustentation de l'homme, et la condition essentielle d'un bon régime du travail est de fournir en suffisance d'abord au travailleur, puis à toute la société, les biens utiles à la vie. » Il est intéressant de voir à se sujet la vidéo « Le corporatisme, une solution d'avenir... » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=188&v=hn2GA-1-GtQ En effet au niveau politique, le corporatisme fournit aux élus les représentations des droits et des intérêts des divers secteurs professionnels, et au niveau économique, il empêche la spéculation en laissant les corps professionnels dictés eux-mêmes l'intérêt de la sécurité et de la loyauté du métier pour son bien et le bien de la communauté nationale, pour que la propriété du métier puisse être garantie à tous ceux qui vivent de cette profession, et pour qu'ils aient l'occasion de s'unir en comité. D'ailleurs au Moyen-âge en France, la solidarité organique des corporations et la charité de l'Eglise s'occupant des pauvres demandait peu d'état et donc d'arbitrage. L'effondrement économique de la France pourrait d'ailleurs même s'orienter vers le corporatisme établissant qu'une entreprise appartient aussi à ses ouvriers et ses employés à la place des actionnaires et à un niveau évidemment inférieur au patron. Mais par un Etat devant bien le contrôler sans l'empêcher d'être une institution de la liberté, le privilège du corporatisme ne doit pas devenir un monopole préjudiciable au bien commun national. Surtout que la société française est aujourd'hui dans une déviance du corporatisme originel via l'actuel système techno-mondialisto-oligarchico-economico-financier. En sachant que le bon mutualisme français au cours du 19e siècle semble aussi important à retrouver et à relier avec ce corporatisme. Ainsi il apparaît qu'il ne faut pas vivre pour travailler, mais travailler pour vivre pieusement, en famille et dans une solidarité sociale épanouissante et joyeuse. D'ailleurs nous sommes à une époque technologique moderne qui mériterait même de diviser le temps de travail complet de moitié sans perte de salaire, mais aussi surtout car de cernier a stagné depuis des décennies.
-dette des pays émergents atteignant des niveaux alarmants : 211 % de leur PIB collectif, selon le FMI. Turquie, Égypte, Inde… Ces économies, autrefois dynamiques, sont aujourd’hui asphyxiées par des emprunts en dollars, une inflation galopante et des garanties publiques opaques. Avec 60 % du PIB mondial concerné, une crise majeure déclencherait un chaos financier global. Les banques européennes, exposées à hauteur de 1 700 milliards de dollars, seraient en première ligne, rappelant douloureusement 2008. La BCE anticipe déjà un scénario noir : -3 % de croissance, une explosion du chômage. Reste une question : comment éviter le naufrage ?
Sociaux :
-antifascistes (gauchistes) ayant les visages couverts, étant anonymes, empêchant les regroupements pro-palestiniens, et étant donc paradoxalement des alliés objectifs de l'extrême droite fasciste du Likoud belliqueux d'Israël suprémaciste, messianique et fanatique religieusement, surtout qu'ils ne vont pas empêcher les manifs pro-israéliennes.
-musulmans renfermés sur eux-même dans leurs quartiers en Occident à cause d'une non ouverture occidentale envers eux même au niveau économique amenant à la radicalisation islamiste dont donc aussi par leur complexe d'infériorité.
-dans ce contexte égarant et déstabilisant, mauvais comportements de quelques jeunes blancs, arabes ou noirs souvent par effet de groupe dans certains quartiers en rapport avec leur manque de débouché social, qu'on ne peut évidemment pas comparer avec les dignes familles blanches, arabes et noires qui travaillent honnêtement pour subvenir à leurs besoins, participer à la vie économique nationale et transmettre la religion. En effet ces jeunes sont déchirés entre la rue, les copains, l’admiration des « grands », l’école dans laquelle souvent ils ne brillent guère, et la vie souvent très modeste voire pauvre des parents. -acte d'agression devenu anti-juif lorsque la personne se déclare juive ensuite.
-police de proximité dans les quartiers avec des locaux n’existant plus et devant être tout de même liée à une police extérieure normale pour éviter la corruption.
Géopolitiques :
-Hitler étant venu au pouvoir parce que la grande bourgeoisie l’a décidé. Ce ne sont pas des fables. Or il ne faut pas confondre, la « bourgeoisie » avec cette« grande bourgeoisie d’affaires ». « Une petite élite de banquiers, intellectuels et industriels bien loin des préoccupations d’un médecin, d’un ingénieur, d’un patron de PME ou d’un notaire. C’est bien cette grande bourgeoisie d’affaires en grande partie américaine et juive qui a porté Hitler au pouvoir. Il suffit de rappeler le Cercle Keppler des industriels et banquiers pro-Hitler et l’Industrielleneingabe (la pétition des industriels) que Wilhelm Keppler aidé de Hjalmar Schaft fit signer en 1932 à 20 grands banquiers et patrons, et demandant au président Hindenburg de nommer Hitler chancelier. Bien sûr l’argent de Wall Street et les grands industriels et banquiers allemands ne se seraient pas tournés vers les nazis si la population n’avait été exaspérée par les crises à répétition des années 1920 dont pas la planche billet folle des banquiers et l'oppression anglo-américano française. Il n’y a qu’à se baisser pour observer l’enchaînement presque mécanique des appétits et intérêts qui a conduit à la Seconde Guerre mondiale. Et cette petite musique résonne à nouveau. À nouveau, les puissances financières et affairistes se sont mondialisées et concentrées dans un nombre incroyablement faible de mains. À nouveau elles sont acculées par des populations exaspérées. Non, la grande démocratie libérale mondialisée N’est PAS la barrière au fascisme comme le prétendent les incultes, et les serviteurs et tenants du pouvoir en place. Nous nous fourvoyons dans une direction qui a déjà mené une fois à la catastrophe. Dans des périodes aussi troublées, il n’y a pas d’autre solution que de repartir de la vérité des faits, aussi durs soient-ils, de l’honnêteté. Oui la grande bourgeoisie d’affaires allemande, européenne et américaine a joué un rôle prédominant dans la montée du Nazisme et oui nous sommes à un moment où nous ferions bien de nous rappeler cette partie de notre histoire au risque d’avoir à la revivre. De nombreux intervenants dans les grands médias du système sont le révélateur de la stratégie d’enfumage du pouvoir qui n’est plus qu’une somme d’intérêts particuliers. Or ce pouvoir est aujourd’hui aux abois et réagit par des lois d’exceptions. Vous me direz que je suis bien loin d’une chronique économique ou financière, mais nous vivons une époque où les banquiers se mêlent de politique plus que de raison et moi je me mêle de banquiers. Et comment vous dire autrement que la prudence est plus que jamais de mise. » (Extraits de l'article « Quand les banquiers se mêlent de politique | Investisseur Sans costume » à l'adresse https://www.investisseur-sans-costume.com/quand-les-banquiers-se-melent-de-politique/)
-capitalisme informatisé, supranational, abusif, oppressif et parasitaire qui déstabilise voire détruit dont par les automatisées industries et la cupide finance mondialiste spéculative, le capitalisme entrepreneurial de la moyenne bourgeoisie et de l'économie réelle de nombreuses nations, et donc les métiers de la production, et donc les peuples, et donc la vie humaine, et donc la géopolitique, et donc le monde. En effet le capitalisme financier apatride s'oppose en réalité au capitalisme entrepreneurial familial. En sachant que les professions liées aux bars, aux restaurants, aux boîtes de nuit, aux hôtels et aux casinos ne sont pas prioritaires. Ainsi il faut bien comprendre que dans l'excellente civilisation divine de l'islam, l'économie nécessite logiquement les sages règles essentielles apportées par le Coran pour garder un équilibre vital au même niveau que les sciences naturelles ou les sciences physiques, et que généralement quand elle est juste, elle influe souvent favorablement sur la politique et la géopolitique, même si c'est avant tout les idées pieuses ou impies qui sont le moteur de l'Histoire (mais souvent tempérées par les rapports de force et les conditions de vie dont matérielle et sécuritaire) comme le prouve Youssef Hindi dans ses livres. Ainsi par rapport à Bertrand Badi affirmant concernant l'analyse géopolitique (athée) que deux visions s'opposent : l'une qui dit que c'est le rapport de force biologique et économique, l'autre qui dit que c'est le rapport de force culturel et symbolique (dont religieuse), c'est beaucoup plus la deuxième qui est exacte. C'est à dire que l'Histoire n'est pas principalement la résultante d'un rapport de production ou d'opposition simple entre prolétariat et bourgeoisie ni donc une mécanique auto-entraînée, mais plutôt un rapport de croyances comme du temps de l'empire romain, chrétien ou musulman, quoiqu'il est arrivé évidemment que l'économie fasse une partie de l'Histoire. En effet il existe aussi parfois une dictature du réel dont concernant la nécessité d’approvisionnements en énergie, en matières premières ou en aliments dont à l'étranger. Cependant actuellement l'évolution historique provient donc d'abord d'idées religieuses perverties, en particulier de celle croyant que le peuple juif serait son propre (faux) messie, dont l'esprit pourrait être le sionisme, la sacralité pourrait être la lutte contre l'antisémitisme (au point qu'on parle désormais plus d'antisémitisme et de lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme que de Dieu et Sa cause christique sacrée), corps pourrait être la réapparition de l'Etat d'Israël interdite par Dieu et le système pourrait être le financier mondialisme laïciste oligarchique diminuant la piété noblement insoumise et inspirante en autorisant usure, mariage homosexuel, changement de sexe, jeux d'argent, pornographie, etc. De même la république franc-maçonne lié au messianisme oligarchique, juif et supranational veut que les peuples deviennent des républicains laïcistes et apatrides et donc une sorte de messie collectif (à l'image des dérives donc du peuple juif mais aussi du prolétariat dans le Marxisme sauf que dans une forme entièrement universaliste) pour faire advenir les temps messianiques. Différents Think-tank dans le monde comme le CFR et le club Bibelberg sont les principaux centre de décisions pour les intérêts de cette oligarchie mondialisto-financière cherchant une sioniste pax cosmopolitica pour remplacer l'actuelle pax americana. « Chez Nexus, Étienne Chouard, ancien professeur de droit et d’économie à l'origine de la proposition du Référendum d’Initiative Citoyenne lors de l'épisode des gilets jaunes, nous explique qu’aujourd’hui nous devons voir les causes du problème et non ses conséquences. Nous devons comprendre cette potentialité à ce qu’il y ait des tyrans dans notre système politique afin d’en corriger sa constitution :
« Nous sommes dans une démission du processus constituant. Nous sommes trop infantilisés par l’élection. »
« Les néolibéraux détruisent les services publics, les systèmes d’entraides et assistances depuis la fin des années 70 en travestissant leur actes en mettant les mots à l’envers avec régression = réforme ou plan de licenciement = plan de sauvegarde de l’emploi. La réforme des retraites est une escroquerie langagière, réforme veut dire amélioration et là, on a à faire à une régression, une agression sociale. Une bonne constitution doit faire peur au pouvoir. Les gens qui sont au pouvoir sont dangereux, si on ne le voit pas avec les retraites ou les guerres, on ne le verra jamais. »
« Nous avons en France la constitution la plus tyrannique. Chez nous le parlement a été rationalisé par le coup d’état de 1958. Le contrepouvoir du parlement dans la 5e république est factice. Depuis 1958 les parlementaires sont appelés des godillots. »
« On laisse les riches acheter les médias qui ces derniers deviennent des pourchasseurs de complotistes ! C’est complètement mis à l’envers ! »
« La constitution et ses textes sont les plans de notre prison politique et, dans cette constitution, il n’y a pas le peuple ! Ce n’est pas aux hommes du pouvoir d’écrire les règles du pouvoir ! »
« 1789, c’est le début du capitalisme par le prise de pouvoir des marchands. Avant, ils n’avaient pas la possibilité de légiférer. Aujourd’hui, ils ont pris le contrôle de la monnaie, des armées, etc. » Sur la guerre au sens large, Étienne Chouard nous dit :
« La guerre est intimement liée aux gens de pouvoirs apatrides qui sont aux commandes politiques. Il faudrait :
. Pas de guerre sans référendum
. Ceux qui la veulent vont la faire, et au front
. Tous les 6 mois on revote et vous verrez qu’on aura plus de guerre si tous les pays appliquent cette constitution »
« Nous devons devenir des adultes politiques. La monnaie, les services publics comme l’eau, les écoles, les mairies, etc, nous devons nous en occuper.
Le chômage est une construction politique, c’est un outil d’oppression pour faire peur. » » (Le Média en 4-4-2)
Or le plan du faux messie peut plus correspondre actuellement au national sionisme prétendant revenir dans des nations non juives à la société traditionnellement chrétienne, alors qu'il servira le sionisme une fois au pouvoir dont en participant à la division du peuple. Mais lorsque ces impostures seront reconnues massivement, cela peut tout de même participer à faire revenir la véritable tradition monothéiste christique. Surtout qu'en ne croyant pas aux récompenses célestes, en ayant muté en une politique déguisée d'athéisme globaliste tout de même messianique puisque afin d'arriver ensuite à une théocratie en Israël, et en essayant de diluer l'humanité dans une irréalité basée sur une stupide rébellion impie dont à travers la défense du contre-nature wokiste par opposition à la raison et au verbe représentant le naturel, l'historique, l'intelligence et la piété, ce judaïsme là est extrêmement égaré et donc facilement condamnable. (S98v6) « Les infidèles parmi les gens du Livre ainsi que les associateurs iront au feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement. De toute la création, ce sont eux les pires. » Les juifs américains ou français (les deux gros bataillons de la diaspora) qui ont voulu il y a trois ans faire leur migration (aliyah) en Israël pour découvrir ce prétendu plus beau pays du monde en sont pour leurs frais : cette entité née par la force et la ruse en 1948, qui était déjà une dictature militaire tournée contre les Arabes de l’extérieur et les Palestiniens de l’intérieur, est devenue en deux ans à peine une dictature pour ses propres citoyens, malgré les lois racistes et raciales qui avantagent les juifs sur les Arabes. Là-bas, c’est Vichy tous les jours, avec la piqûre désormais en plus. Et là-bas comme chez nous, la dictature des élites perverses avance en parallèle du progressisme, c’est-à-dire des injonctions calculées de la tribu mondialiste. Et on ne parle même pas du terrorisme préventif, de la corruption endémique au sommet de l’État, des viols successifs du droit international, du wokisme, comme chez nous. Pourtant il y a un siècle, le sionisme était de gauche, et de gauche pure, c'est à dire sociale et non sociétale. Mais après sa transformation par le talmudisme, il est aujourd’hui une dictature militaire en Israël couplée à un wokisme mondialiste qui fait croire sournoisement aux minorités à l’égalité, et à la majorité à la démocratie. Les avancées micro-communautaires ne sont en fait que les petits espaces de « liberté » accordés par la dictature à ses soutiens idéologiques. Comme dans le mondialisme occidental, la progressiste lutte folle et donc impie des perverses élites israéliennes et celles occidentales contre l'intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence que par choix, cherche donc à maléfiquement transcender les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres et de toute chose pour faire advenir de faux temps messianiques, puisque étant gravement ou plutôt perversement et diaboliquement basés sur la croyance qu'ils seront modernes dont à travers l’idéologie libérale laïciste, c'est à dire comme aussi selon la marxisme messianique, sans lois monothéistes voire morales ou naturelles et donc sans lois comme dans le jardin d'Eden originel. Ce qui est stupide ou naïf voire satanique, surtout vu le niveau de développement de la science dont religieuse, philosophique et scientifique. Ainsi la dictature légale peut être le contraire de l'actuelle tyrannie anomique (sans lois : Lgbtsime, usure, wokisme), qui provient pour beaucoup du scientisme ayant basculé vers l'athéisme, dont ayant déshumanisé l'homme et mécanisé le vivant. « Pour les Européens, l’Amérique était une terre vierge juridiquement. Il n’y avait de droit que celui qu’ils y importaient. Le droit tel qu’il existait sur le continent européen n’avait pas cours en Amérique. Les princes et les peuples européens « s’étaient mis d’accord pour considérer que dans certains espaces l’opposition entre droit et non-droit n’existait pas ». Et cela s’est traduit par la non application, sur le sol américain, du droit européen. Le calviniste Isaac de La Peyrère (1594-1676) avança même l’hypothèse que les premiers habitants de l’Amérique seraient les descendants d’une humanité antérieure à Adam. L’autre idée, fondamentalement religieuse aussi, est celle d’absence de loi dans ce monde à la fois nouveau et primitif. Absence de loi dans ce « jardin d’Éden », puisque la loi (connaissance du bien et du mal) n’existait pas avant le premier péché ; et absence de loi dans le monde nouveau correspondant à l’ère messianique, où la loi est levée puisque « le lion et l’agneau paîtront ensemble » d’après l’eschatologie biblique. » (Youssef Hindi) C'est à dire que ces messianistes égarés voire diaboliques veulent abolir toutes les règles dont pour atteindre l'immortalité par la science dans une interprétation donc corrompue du sens religieux du retour promis à l'Eden terrestre mais complété, où il n'était interdit que de manger d'un fruit. D'ailleurs la laïcité ultra libérale, oligarchique et inégalitaire des USA et de l'Occident euro-atlantiste se répandant au niveau mondial était pour certains la fin de l'Histoire, en particulier après l’effondrement de l'URSS. Or évidemment, l'Eden terrestre complété réapparaîtra complété seulement par une élévation morale de l'humanité suivant les authentiques lois monothéistes entièrement révélées ainsi que le caractère, la moralité, le comportement et la tradition prophétiques, et donc l'ennoblissement maximal, et certainement pas par la laïciste disparition légiférée de la loi naturelle divine et monothéiste qui autoriserait transsexualité, mariage homosexuel, ploutocratisme, et même transhumanisme numérique qui pourrait être une purification physique par le métal et une élévation intellectuelle par l’électricité alors que déshumanisant. Les USA allant dans ce sens sont donc anomiques (sans lois) voire antinomiques et ainsi antichristiques. Il est intéressant de lire à ce sujet le très bon article « COVIDisme, sécuritarisme et racialisme : armes d’auto-aliénation » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/COVIDisme-securitarisme-et-racialisme-armes-d-auto-alienation-60201.html En effet, il est absolument certain que c'est par le respect général des intelligents commandements divins que la parfaite paix bénie du Jardin d'Eden reviendra sur terre et pas par le suivi général d'un fou libertarisme humain.
Dans ce sens comme il a déjà été vu, les pays occidentaux doivent comprendre intelligemment que pour leur propre pérennité et celle de l’Afrique, ils devraient plutôt développer ce continent plutôt que de baser leur économie à le piller, puisque il finira par ne plus rien rester, ce qui détruira aussi les bases de cette économie occidentale, qui s'effondrera comme tous les empires de l'Histoire, alors que de nouveaux consommateurs des produits occidentaux entretiendraient leur économie. En effet comme la plupart des choses, les empires ont une naissance, une croissance, une dégénérescence et une mort, mais parfois une résurrection comme le futur retour du califat bien guidé qui sera en plus complété. D'ailleurs comme l'effondrement systémique d'un empire est aussi lié à son expansion excessive s'éloignant toujours plus de son centre, cela pourrait expliquer pourquoi les États-Unis se retirent de diverses parties du monde, surtout qu'il est de plus en plus temps que leur économique hégémonie destructrice laisse la place à un système apportant la stabilité que pourrait incarner le retour prophétisé d'un califat bien-guidé lié à la multipolarité mondiale. En effet les lois islamiques concernant l'économie ayant été établies par le Sage Seigneur Omniscient, cela correspond clairement à un théorème mathématique où la moindre erreur dans cette équation posera de gros problèmes tôt ou tard telle une construction mal montée finira par s'écrouler, comme l'annoncent et le représentent la crise financière de 2008 ayant appauvri des millions de gens et tous les problèmes économiques, financiers et monétaires mondiaux actuels. C'est à dire que par opposition au corrompu système économique international imposé par les Etats-unis, le divin système économique du califat islamique apporterait évidemment une meilleure stabilité mondiale par sa justice, son équité, ses valeurs naturelles, son harmonie, son interdiction de l'usure et son impôt social (zakat) prélevé sur l'argent thésaurisé afin d'éviter que le système financier pourrisse comme l'eau stagnant et ne circulant pas pourrie. En effet il s'agit d'un système ne pouvant qu'éviter les grandes crises économiques du capitalisme de plus en plus instable par un libéralisme libertaire à outrance, une hyper consommation que de moins en moins de personnes arrivent à suivre et une amplification des écarts de richesse, n'avantageant que les intérêts des ultra riches.
Surtout que selon Aristote et le monothéisme, l'économie est une branche de la morale et doit être surdéterminée par les valeurs transcendantes, et sa place devient donc une succursale de la morale devant aussi logiquement faire tendre l’humanité à une noble gestion empathique des autres. Ainsi l'économie doit être sous contrôle de la morale et donc du politique. Cependant l'économie a illégitimement et donc perversement pris le dessus sur le politique, dont à travers les mathématiques (appartenant prétendument au monde scientifique) qui pourtant la servait auparavant, alors que l'économie correspond à des rapports de force humains : production, consommation, entre-aide, création de richesse, domination ou parasitisme. Or si ce bon changement de paradigme n'arrive pas progressivement dont possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie éthiques décentralisées ou/et la multipolarité des BRICS+, le système financier américain étant basé sur de mauvaises règles économiques (planches à billets massives baissant fortement la valeur du dollar, usure, trading à haute fréquence, spéculation immorale), dont la plupart des pays dépendent par le pétrodollar, s’effondrera donc inexorablement en les entraînant avec lui. Ce qui pourrait provoquer un chaos économico-social presque planétaire bien plus grave que la crise de 1929 ou celle de 2008, surtout que le statut de réserve mondiale du dollar (monnaie la plus utilisée dans la majorité des échanges commerciaux dans le monde) signifie que les dollars sont susceptibles d’être détenus massivement à l’étranger dans des banques et des entreprises étrangères pour être utilisés dans le commerce mondial. La fin du dollar comme monnaie internationale sera d'ailleurs par exemple probablement la fin de l'Union Européenne, car les USA chercheront des actifs pour maintenir leur monnaie, jusqu'à prélever l'argent publique voire particulier de l'UE, puisque les multinationales liées à l'UE ont une grande partie de leur bilan en dollar. D'ailleurs suite à l'oppression économique, financière, monétaire ou/et miliaire des USA envers une nation, tout ambassadeur américain commence par aller voir le gouverneur de la banque centrale locale pour lui demander d'acheter des bons du trésors américain en dollar et donc de la dette américaine. D'ailleurs Guy de la Fortelle partage l’idée de Charles Gave selon laquelle les pertes accumulées par les banques centrales et les États pourraient déjà les amener à prélever directement de l’argent sur les comptes bancaires des citoyens. Il faut noter que cette monnaie de réserve mondiale est irréligieuse car elle est basée sur l'usure, puisqu'il faut que les USA émette de la dette pour que les autres pays en achète. Surtout que la force du dollar était fondée pendant les dernières décennies sur la fiabilité et le caractère protecteur de la superpuissance américaine au niveau économique et militaire, alors que maintenant, elle est fondée sur les sanctions, l'extraterritorialité, le chantage, les embargos. Il y a donc un processus logique de reprise d'autonomie par les nations en particulier via ces BRICS+. Après avoir vu comment la monnaie américaine, par étapes successives, avait réussi à s’emparer du monopole des échanges internationaux, notamment ceux du pétrole, les banquiers internationaux ont méthodiquement poursuivi leur conquête du monde. Après avoir anéanti les monnaies du tiers-monde et de certains pays « émergents », porté un coup fatal à la monnaie japonaise, tenté de détruire l’euro en germe avant de l’utiliser pour écarter l‘Allemagne de la Russie après l’écroulement de l’URSS et la réunification allemande, ces banquiers se sont attaqués aux monnaies asiatiques. Du coté de l’extrême-orient, l’axe financier City-Wall street, après s’être attaqué au Japon, qui devenait un rival dangereux, a continué à couper les têtes qui dépassaient. En ligne de mire, les pays du Sud Est asiatique qui avaient, depuis 1970, connu un développement économique important, résultant d’une mobilisation de l’épargne très importante. Des investissements sans précédent dans ces pays permirent de mettre en valeur leurs ressources respectives. Cela eut pour effet une régression de la pauvreté et une augmentation du niveau d’éducation de leurs habitants. La rupture avec le consensus de Washington de 1989 devint alors évidente car la doctrine, essentiellement néo-libérale, qu’il prônait ne pouvait que renforcer l’emprise des banquiers internationaux sur l’économie de ces pays, qui auraient dû faire faire appel à eux pour se développer, au prix d’un endettement exponentiel. Ces dettes, contractées en dollars devaient être remboursées dans cette monnaie et toute dépréciation des monnaies de ces pays ne faisait qu’accroître leur dépendance. En outre, cela permettait aux banquiers internationaux de les obliger à se constituer d’importantes réserves en dollars, ce qui supposait d’imprimer encore davantage de billets américains et donc d'en inonder la planète afin de la dominer en grande partie pour que le dollar devienne essentiel ainsi donc que les USA. Les banquiers sont passés à l’attaque en déclenchant une véritable guerre des monnaies dont le but était de déprécier le plus possible ces monnaies nationales.
Mais la résistance monétaire a déjà commencé non seulement au sein des Etats en conflit direct avec USA et leur dollar, mais aussi dans des Etats non en conflit avec eux, à commencer par les pays du Sud-Est asiatiques qui veulent créer leur propre fonds monétaire. La Thaïlande avait essayé par exemple de se mesurer aux banquiers internationaux mais avait perdu, car elle avait fait appel au FMI et perdit ainsi toute autorité pour décider des mesures économiques à prendre face à la dépréciation de sa monnaie, laquelle se traduisait par une nouvelle augmentation de la dette devenue insoutenable. Hongbing Song résume la situation dans le livre « La guerre des monnaies » : « La deuxième raison de la défaite financière de la Thaïlande vient de ce qu’elle n’avait aucune conscience des risques. Surtout, elle n’était pas préparée psychologiquement à la guerre que l’énorme puissance se mouvant au cœur de l’axe Londres/Wall street allait mener contre elle sans jamais la déclarer. Les autres dirigeants asiatiques n’étaient pas mieux préparéset répétèrent les mêmes erreurs que celles qui conduisirent à la double défaite financière de la Thaïlande, se trompant sur la direction prise par l’ennemi et livrant ainsi leurs pays aux pirates financiers et au FMI. Les loups solitaires suivent chacun leur propre logique, mais quand ils chassent en meute, ils appliquent le principe de la division du travail. Très vite, Soros, accompagné de Citibank, Goldman Sachs et d’autres grands groupes bancaires, coordonnèrent leurs actions prédatrices. Les « proies » blessées qui gisaient à terre se laissèrent achever par le FMI dans une vente aux enchères qui fit saliver les entreprises européennes et américaines.
Ces banques ont appliqué le principe de la « vente par appartements » et réalisèrent des gains phénoménaux. Le Japon proposa alors de créer un fonds monétaire asiatique, qui ne servirait qu’aux pays d’Asie lorsque ceux-ci auraient des difficultés financières. Évidemment, la finance « mondialisée » mit tout en œuvre pour détruire ce projet : « Nous pensons que l’institution appropriée pour s’occuper d’un problème comme celui-ci doit être trans-régionale et internationale, plutôt qu’une (institution) régionale nouvellement créée, parce que le problème à lui-même des ramifications qui vont bien au-delà des frontières de cette région » déclarait Strobe Talbott, Secrétaire adjoint du Département d’État américain. Le vice-secrétaire d’État au Trésor américain, Laurence Summers, passa immédiatement à l’action en évoquant que ce fonds asiatique encouragerait les pays dans leur laxisme budgétaire. Bref, la finance mondiale mit tout en œuvre pour garder son emprise dominante sur la planète. Plusieurs pays, dont le Japon, rentrèrent dans le rang en faisant amende honorable, mais certains ne s’y résignèrent pas. Ce fut le cas de la Malaisie, dont le Premier Ministre Mahatir Bin Mohamad, laissa éclater sa colère en posant les bonnes questions : « Qui sont ces banquiers qui peuvent mettre à la disposition de leurs clients des milliers de milliards de dollars ? Quelle est la ressource en capital de ces banques ? Combien d’argent a-t-il été investi dans celles-ci et par qui ? Comment ces banques peuvent-elles devenir plus riches que la plupart des pays dans le monde ? »
Ce premier ministre s’attaquait au principe même de la création du dollar en tant qu’argent-dette, mais les peuples du monde n’étaient pas préparés à écouter ce discours, pourtant plein de bon sens. Après le Japon, la Thaïlande et la Malaisie, vint le tour de la Corée du Sud. Bien qu’alliée depuis toujours aux USA, les financiers internationaux ne lui firent aucun cadeau et, bien au contraire, les conditions exigées par le FMI furent particulièrement sévères. Mais, trop, c’était trop et le gouvernement sud-coréen rejeta en bloc le diktat du FMI et refusa la faillite de ses entreprises et de son système bancaire. La crise financière fut surmontée au printemps 1998 et la balance commerciale se redressa vite. Ils comprirent alors que l’économie devait être dirigée uniquement au niveau national, ce qui fut fait. Le prix à payer par le peuple coréen fut lourd, mais les axes choisis par les gouvernants étaient bons et, en 2010, l’économie sud-coréenne occupait le quinzième rang mondial. Les autres pays d’Asie suivirent la même voie et l’ensemble du continent put ainsi échapper à la mainmise des banquiers internationaux. D’autant plus que les systèmes financiers chinois et indiens n’avaient pu être pénétrés par eux en raison de leurs protections nationales. Cette victoire financière remportée en Asie aurait dû agir comme un voyant d’alarme pour les financiers mondialistes. D’autant plus que la crise des « subprimes » allait souffler un vent de panique sur le système bancaire occidental dès 2007. Dès lors, c’est tout le système dollar qui était fragilisé. Certains monétaristes avaient déjà identifié les deux types de monnaies et l’avaient résumé en « monnaie-dette » et monnaie « non-endettée ». La première est émise contre une dette, c’est-à-dire une promesse de remboursement futur, mais n’a pas de valeur économique. Elle est souvent appelée monnaie fiduciaire, ou monnaie de confiance. La seconde représente une valeur, souvent une quantité de masse d’un métal précieux (or ou argent par exemple) et est appelée monnaie désendettée. Au début, le dollar était une monnaie indexée sur l’or, donc désendettée. C'est à partir de la création de la FED que les « mauvais dollars » apparurent. La FED fut créée en 1913 pour financer la guerre l’année suivante... Hongbing Song écrit (page 323) : « A partir de 1913, les « dollars de mauvaise qualité » expulsèrent petit à petit les « dollars de bonne qualité » d’or et d’argent des réserves intégrales. Les banquiers internationaux qui voulaient créer un système financier mondial monopolistique de réserves fractionnaires atteignirent leur objectif et parvinrent même à exclure le gouvernement du domaine d’émission de la monnaie. Ils firent leur possible pour diaboliser l’or et l’argent, et dans les années 60, ils réussirent à abolir le dollar-argent. En 1971, ils mirent fin à ce qu’il restait de la relation entre l’or et le dollar. Dés lors, le système des réserves fractionnaires avait bouclé la boucle du monopole. » « Le fait que les pays asiatiques aient pu se soustraire à l’emprise de cette finance mondiale a montré qu’on pouvait parfaitement vivre sans être soumis à cette servitude. Longtemps considérée comme une monnaie incontournable pour les échanges commerciaux internationaux, le dollar a progressivement perdu de son éclat. De plus, cette extra-territorialité du droit américain liée à l’emploi du dollar semble se retourner aujourd’hui contre lui.
De même que l’épidémie de COVID a mis en lumière les dangers d’un mondialisme qui retirait toute autonomie de production aux pays ayant cru qu’ils pouvaient renoncer à leur industrie, les événements géopolitiques actuels montre que les peuples ont de la mémoire. Beaucoup se souviennent de ce qu’ils ont de ce qu’ils ont vécu, notamment en Asie, sous la tutelle de la finance internationale et le règne du dollar. Mais l’Afrique et l’Amérique du Sud sont dans le même cas, et cela commence à faire beaucoup. Ils comprennent que les tensions actuelles vont bien au delà d’une simple dispute territoriale et que ce qui est en jeu est un bouleversement complet de la géopolitique planétaire. La réflexion des pays asiatiques qui voulaient créer leur propre fonds de soutien en s’exonérant de la tutelle du dollar a continué son chemin. Cette réflexion s’est nourrie de l’évolution de la situation économique mondiale et de nombreux indices montrent qu’ils étudient la mise en service d’une nouvelle monnaie de réserve internationale qu’ils utiliseraient pour leurs transactions. Il semblerait également que d’autres pays, parmi lesquels figure la Russie soient partie-prenante dans cette nouvelle monnaie. Contrairement au dollar, l’hypothèse que cette monnaie soit de type « désendettée » semble probable. Mais il paraît également plausible, voire probable, que cette « régionalisation » fasse tache d’huile et s’étende aux autres continents, qui deviendraient alors des espaces autonomes les uns par rapport aux autres. Cela risque de sonner le glas du dollar, du moins à son monopole en tant que monnaie de réserve internationale. La question qui émerge alors est celle de l’acceptation ou non de cette situation par la finance mondialiste, qui pourrait être tentée, comme certains joueurs de poker, de jouer le tout pour le tout… » (Fin de l'article « Le billet vert vient de perdre encore du terrain là où il attendait le moins » à l'adresse https://french.presstv.ir/Detail/2022/08/14/687360/Dollar-) Dans ce sens, cet article « Ascension et chute de l’argent-dette » produit par lecourrierdesstrateges.fr le 19 juillet 202 anticipe également que la fin du dollar est proche :
« Sans remonter trop loin dans le temps, la « monnaie » ainsi nommée car les deniers romains étaient frappés dans le temple de Junon (Moneta en latin), permettait l’échange de denrées ou de services qui, pendant longtemps, avaient fait l’objet du troc. Sans remonter aux origines préhistoriques de la monnaie, voici une brève histoire de celle-ci qui porte sur son évolution et comment ceux qui dirigent aujourd’hui le monde ont réussi à en prendre le contrôle, en généralisant l’émission de « fausse monnaie ». Le passage de l’or au papier pris un certains temps. Depuis le moyen-âge, les pièces d’or et d’argent s’étaient généralisées, probablement parce que les métaux précieux étaient rares et surtout non sensibles à la corrosion tout en étant très ductiles. Une évolution intéressante s’était produite au fil du temps sous forme d’une pratique devenue courante exercée par les orfèvres, qui faisaient commerce de l’or. Les rues n’étant pas sûres et les habitations non plus, leurs clients avaient pris l’habitude de laisser l’or qui leur appartenait dans leurs coffres et d’obtenir un « certificat de possession d’or » qu’ils donnaient en contre-partie lorsqu’ils réalisaient des achats. Ces certificats étaient de moins en moins échangés contre de l’or par les vendeurs qui prirent l’habitude d’en faire un moyen de paiement pour leurs propres achats. Ainsi naquirent, vers la fin du dix-septième siècle, les billets de banque, prolongements logiques de ces certificats. Toutefois, la contre-valeur de ces billets de banque s’exprimait par une certaine quantité d’un métal donné, généralement de l’argent pour les faibles valeurs et de l’or au-delà. Ces billets gardaient encore leur convertibilité en or, c’est à dire que la banque qui les émettait pouvait les échanger contre leur valeur en or. En théorie, la totalité des billets émis devait être couverte par le stock d’or de la banque. En réalité, les banquiers, dignes héritiers des orfèvres, avaient depuis longtemps réalisé que seule une faible part de ce stock partait vers l’extérieur. Ils prirent ainsi quelques libertés et imprimèrent un peu plus de billets qu’ils n’avaient d’or en réserve. Ainsi naquît le système des « réserves fractionnaires ». Puis le passage de la Banque d’Angleterre à la Réserve Fédérale eut lieu. La révolution anglaise de 1688, renforçant les pouvoirs du Parlement, empêchait Guillaume d’Orange de lever l’impôt comme il le souhaitait pour financer ses guerres. D’origine allemande, il fit appels à des compatriotes banquiers pour venir à son secours. Ceux-ci acceptèrent à la condition qu’ils créent leur propre banque qui s’appellerait la « Banque d’Angleterre ». Elle lui prêterait les sommes dont il avait besoin et, en échange, obtint le droit d’émettre pour un certain montant des billets supplémentaires. Naturellement, tout ce qui était prêté au Trône faisait l’objet de paiement d’intérêts. Cette banque fut créée en 1694 et servit de modèles à toutes les banques centrales suivantes. A l’époque, la norme pour la monnaie était d’être adossée à l’or et à l’argent. La Banque ne France fut créée en 1800 et l’unité monétaire était le « Franc-or » connu sous le nom de « Napoléon » pièce frappée à son effigie. Cette monnaie a gardé une valeur constante jusqu’en août 1914, date à laquelle elle perdit sa convertibilité en or car la Banque de France, comme les autres banques centrales des pays belligérants, devaient financer la guerre par le crédit et donc la « planche à billets » ainsi que par l’emprunt. C’est la création de la Réserve Fédérale en décembre 1913 qui, conjointement à la Banque d’Angleterre, a permis une autre partie de ces financements, notamment parce que les emprunts qu’elles consentaient à leurs pays respectifs étaient garantis par l’impôt payé par les contribuables et ceci figurait dans la loi qui établissait ce système de banques. En France, cet impôt ne fut payé qu’à partir de 1916. La Réserve Fédérale est une victoire des banquiers internationaux. Après plus d’un siècle de guerre incessante entre les tenants d’une banque centrale « indépendante » et ceux qui voulaient que la constitution américaine soit respectée en donnant au peuple américain le contrôle exclusif de sa monnaie et les banquiers internationaux, qui voulaient reprendre l’exclusivité de ce contrôle. On prête à Mayer Amshel Bauer (fondateur de la lignée des Rothschild) la phrase : « Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois ». Même apocryphe, cette phrase explique parfaitement le pouvoir exorbitant que détiennent ceux qui contrôlent l’émission de la monnaie. Convaincre le peuple américain de se laisser ainsi berner n’a pas été chose facile et de nombreux ouvrages font le récit des différentes étapes. On retiendra simplement qu’il a fallu plusieurs tentatives pour imposer cette banque centrale ainsi qu’une crise financière orchestrée en 1907, une réunion secrète à l’île Jekill fin 1910, un changement de Président en janvier1913 et une longue bagarre au Congrès pour aboutir à l’adoption (sans majorité ) du Federal Reserve Act le 23 décembre 1913 à 23 heures 30. Cependant, cette prise de contrôle de la monnaie américaine n’était que partielle, car le dollar restait lié au cours de l’or par le « Gold Exchange Standard » qui limitait la quantité de billets émise. Les banquiers qui possédaient la FED s’employèrent à faire disparaître cette ultime barrière qui allaient leur permettre de créer sans limite de la monnaie à partir de rien et sans contre-partie économique, ce qui correspond assez bien à la définition de la fausse monnaie. Ceci fut réalisé le 15 août 1971, par le discours de Nixon à la Maison Blanche. Il ouvrait ainsi une nouvelle ère, qui perdure encore mais dont plusieurs économistes prédisent la fin prochaine. » D'ailleurs dans ce sens gravement impie, le dollar et l’Euro sont en plus souvent utilisés comme un instrument de sanction et de chantage allant jusqu’à déposséder les états et leurs citoyens de leurs avoirs ou de leurs biens inscrits sur leur territoire. Cette oppression va même, paradoxalement, jusqu’à renier leur principe cardinal, berceau du libéralisme, qui est le marché, en s’évertuant à vouloir imposer au vendeur russe un prix plafond de son énergie pour l’empêcher de réaliser des « superprofits », suite à la forte augmentation des prix qui est pourtant une conséquence de leurs sanctions synonyme de justice divine. En raison des liens de la dette, la plupart des pays du monde seront en plus entraîner dans la chute du système dollar. Pour le moment le dollar a cessé d’être la seule devise dominante. Or il est sécurisé que sur sa propre dette, sur rien d’autre. Alors que l’euro, lui, est sécurisé par le niveau économique élevé d’une vingtaine de pays, sans compter les économies des pays de l’Europe orientale, de l’Europe centrale et du Nord. Mais l'UE était une économie puissante tant qu'elle se nourrissait du fort potentiel des ressources russes. En face, la devise américaine, c’est une bulle de savon. Ainsi il est de notoriété publique que la capacité des États-Unis à poursuivre leur activité dépend essentiellement de leur capacité à importer des produits en échange de dollars (qu’ils peuvent donc simplement imprimer selon leurs besoins), possiblement ainsi jusqu'à détruire l'économie de certains pays. Les matières premières comme le pétrole sont évaluées en dollars. Les pays qui empruntent en dollars peuvent voir leurs remboursements s’envoler si la valeur de la monnaie américaine augmente. Les pays ayant un compte excédent utilisent leurs revenus pour acheter des bons du Trésor américain, permettant ainsi aux États-Unis de pouvoir arranger d’énormes déficits commerciaux et budgétaires. De plus les États-Unis et leurs alliés occidentaux contrôlent le Fonds monétaire international et la Banque mondiale depuis leur création en 1944, le directeur général du FMI a toujours été un Européen et le président de la Banque mondiale, un Américain. Grâce à leurs sièges permanents au Conseil de sécurité de l’ONU, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France peuvent opposer leur veto à toute initiative qui ne leur plaît pas. À eux deux, les États-Unis et l’UE peuvent empêcher les principaux pays en développement d’exercer une réelle influence au sein de l’Organisation mondiale du commerce. La raison pour laquelle ces dollars sans valeur sont toujours honorés repose sur le statut du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale liée à l'empire militaire US et ses 800 bases à travers 177 pays dans le monde. Or ce statut se réduit heureusement rapidement de nos jours même si il est toujours important, car cela fait trop longtemps que par le dollar qui est du papier et donc un tigre de papier, les Etats-Unis vivent à crédit très au dessus de leurs moyens réels sur les autres pays jusqu'à acheter une grande partie du monde, ce qui empêchait ces derniers de se développer jusqu'à la dédollarisation actuelle qui amène donc de grands changements économiques mondiaux, surtout qu'ils vivent aussi de l'usure de leur banques et que le dollar imprimé à volonté peut évidemment corrompre de nombreuses personnes, que leur balance commerciale extraordinairement déficitaire leurs permet de faire chanter tout le monde ou presque, en particulier l’Europe déjà ruinés et les pays dans le même cas... D'autant plus que comme les USA produisent le dollar ex-nihilo et que les autres nations lui vendaient leur pétrole, le dollar permet donc d'avoir du pétrole gratuit telle une arnaque, en particulier car les USA n'autorisent que le dollar chez eux, alors que certaines nations étrangères l'acceptent telle une monnaie forte. C'est similaire à l'occident qui a d’abord pillé ses colonies, puis en a fait de même ailleurs, mais avec des méthodes économiques plus sophistiquées. Et le statut du dollar en tant que monnaie de réserve a donc en plus beaucoup à voir avec le système des pétrodollars et le fait que les pays importateurs de pétrole du monde entier (à part actuellement la Russie, la Chine, l'Iran et le Venezuela) doivent obtenir ou emprunter exclusivement des dollars afin d’acheter du pétrole, tandis que les pays exportateurs de pétrole doivent exclusivement accepter le dollar comme paiement, même si cela se fait au détriment de leur économie. C'est pourquoi si le pétrodollar disparaît, le niveau de vie de l’Américain moyen sera divisé par dix. « Si le reste du monde se débarrasse de ses dollars devenus inutiles, comment financer les déficits et le niveau de vie des Américains ? Hyperinflation et banqueroute du pays seront irrémédiablement au programme. Dés lors que signifie « America’s first » pour un politique américain un tant soit peu lucide ? La préservation coûte que coûte du statut du dollar dans les échanges internationaux : les 95 milliards votés ce samedi par la Chambre des représentants en sont l’application concrète. (Or cela signifie d'abord que les Etats-Unis volent leurs propres citoyens pour financer le vol d’Israël les terres palestiniennes.) Taïwan, Israël et l’Ukraine sont les foyers d’insurrection d’un « Sud global » emmené par la Chine, la Russie et l’Iran, décidé à mettre fin à la prédominance du dollar, mais aussi au pervers droit anglo-saxon en faisant donc passer le droit authentique et donc le bien au Sud. On peut commenter sans fin la trahison d’un Mike Johnson et y voir un nouvel épisode théâtral et caricatural d’un politique qui brade ses idéaux pour de basses considérations. Cependant, cet épisode semble plus probablement confirmer la fin de l’innocence et du romantisme d’un mouvement trumpiste qui doit admettre la glaciale réalité que traverse son pays (, mais s'approche de la troisième guerre mondiale possiblement plus que le démocrate Biden actuellement au pouvoir, surtout que cela sera exacerbé par les sionistes qui en cas d'effondrement des USA ne pourront réaliser leur projet. Mais Trump ne veut aussi possiblement pas se mettre à dos le complexe militaro-industriel qui est en plus un lobby puissant, mais en revanche il veut très certainement que l'armée américaine puisse logiquement reconstituer ses stocks. Or s'il est réélu président US, Trump promet toujours de ramener la paix en Ukraine et aidera possiblement seulement au petit Israël, surtout que la situation économique des USA pourrait ne pas supporter de défendre militairement le grand Israël au milieu de peuples musulmans antisionistes. Mais son éventuelle victoire pourrait finalement ne pas changer la donne dont pour laisser Israël continuer son annexion plus rapidement et moins médiatiquement, surtout avec la pression des sionistes, du lobby militaro-industriel, du Pentagone et de tout le reste du système US et mondialistes ne voulant pas aussi lâcher l'Ukraine, d'où la victoire nécessaire de la Russie pour que la fin des temps reste régionale c'est à dire principalement au Moyen Orient). » (Ian Purdom) « Aujourd’hui encore, même après avoir vu pendant quatre ans des preuves du contraire, les partisans de Trump croient toujours qu’il va mettre fin aux guerres, assécher le marais et mener le combat contre l’État profond. Ils croient qu’il combattra l’État profond même après avoir emprisonné Assange. Ils croient qu’il mettra fin aux guerres même après avoir intensifié les agressions de style guerre froide contre la Russie, tué des dizaines de milliers de Vénézuéliens avec des sanctions créant la famine, opposé son veto aux tentatives de sauver le Yémen du génocide soutenu par les États-Unis, fomenté une guerre civile en Iran en utilisant des sanctions créant la famine et des opérations de la CIA dans le but déclaré de provoquer un changement de régime, passé à deux doigts de déclencher une guerre à grande échelle contre l’Iran en assassinant le général Qassem Soleimani, occupé les champs pétroliers syriens dans le but d’empêcher la reconstruction de la Syrie, augmenté considérablement le nombre de troupes au Moyen-Orient et ailleurs, augmenté considérablement le nombre de bombes larguées quotidiennement par l’administration précédente, tuant un nombre record de civils. Ses partisans pensent encore qu’il va assécher le marais après avoir rempli son cabinet de monstres néoconservateurs sortant du marais, comme John Bolton et Elliott Abrams. Trump est devenu le personnage central de la politique américaine autour duquel tout tourne, et que l’élection soit remportée par ceux qui le soutiennent ou par ceux qui s’opposent à lui, le statu quo impérial est assuré de rester inchangé. Alors que les Américains sont de plus en plus mécontents de la nature abusive du gouvernement de leur pays, un homme est apparu et a conduit les Démocrates et les Républicains à croire que la meilleure façon de s’en prendre à lui est de prendre une position très émotionnelle, pour lui ou contre lui (même au point de ne pas trouver la tentative d'assassinat sur Trump inacceptable). Alors qu’en réalité, qu’il gagne ou qu’il perde n’a aucune importance pour ceux qui ont le pouvoir réel. Trump aspire tout l’oxygène de la salle pour empêcher un vrai discours sur des choses réelles. Sous Biden au moins, nous avons vu une réelle opposition à des choses réelles comme les atrocités soutenues par les États-Unis à Gaza, mais sous Trump, ce furent quatre années où les deux factions politiques traditionnelles hurlèrent à propos de bêtises inventées avec l’illusion qu’elles combattaient le pouvoir. Et c’est tout ce que la politique électorale traditionnelle a toujours été dans l’empire américain : une fausse révolution, un leurre mis en scène pour le public, tous les deux ou trois ans, pour qu’il n’y en ait pas de vraie. Une cérémonie symbolique où le public fait semblant de jeter le statu quo abusif à la mer pour avoir l’impression que la bataille contre ses oppresseurs a été gagnée. Et puis leurs oppresseurs continuent de les opprimer. Tous les deux ou trois ans, le public a la possibilité de choisir entre deux laquais fiables de l’empire oligarchique, et tous les maux de cet empire sont alors imputés au vainqueur. Le public dirige alors sa colère contre le laquais plutôt que contre la structure de pouvoir réelle qui l’opprime, après quoi il organise une autre élection pour se débarrasser du scélérat une fois pour toutes. Ils s’embrassent, pleurent, célèbrent, et la machine d’oppression continue ainsi sans interruption. Ce petit groupe est la classe ploutocratique dont la machine de propagande et de corruption légalisée a une immense influence sur la politique américaine, ainsi que sur la machine de guerre impériale et les groupes d’intérêts spéciaux avec lesquels la classe ploutocratique est alliée. Il est nécessaire de former des coalitions de soutien au sein de ce groupe de pouvoir si l’on veut devenir président dans la démocratie gérée que sont les États-Unis, et aucune partie de ce groupe de pouvoir ne soutiendra un président qui ne fera pas avancer de manière fiable les intérêts de l’empire oligarchique. C’est pour cette raison que même les politiciens qui se présentent sur des plateformes relativement progressistes font eux-mêmes partie de ce leurre à révolutionnaire, à moins qu’ils n’exigent un démantèlement complet de l’oligarchie et de l’empire. Les politiciens qui se présentent aujourd’hui comme progressistes aux États-Unis n’offrent qu’une légère opposition à certains aspects de l’empire et de l’oligarchie, soutenant simplement un empire oligarchique qui fournit aux Américains des soins de santé. Puisque maintenir les Américains pauvres, occupés et soumis à la propagande est une dynamique essentielle au cœur d’un empire oligarchique mondial, cette position est absurde ; les oligarques ne veulent pas que les Américains ordinaires aient de l’argent à dépenser en dons de campagne et du temps libre pour rechercher ce qui se passe réellement dans leur monde, car ils pourraient alors se mêler des rouages de l’empire. Une structure de pouvoir construite sur l’injustice économique ne permettra jamais la justice économique. La porte d’un changement significatif en Amérique via la politique électorale a été fermée, verrouillée, condamnée, soudée et barricadée avec une tonne d’acier massif. La seule chose qui puisse mettre fin à l’oppression et à l’exploitation est la fin de l’empire oligarchique lui-même, et la seule chose qui puisse mettre fin à l’empire oligarchique est l’action directe du peuple américain : un activisme de masse, des grèves nationales et une désobéissance civile comme la nation n’en a jamais vu auparavant, en nombre suffisant pour faire tomber les institutions ploutocratiques qui maintiennent le statu quo. Le problème est que cela n’arrivera jamais tant que les Américains seront convaincus avec succès par la propagande de se contenter de leurs fausses et illusoires révolutions. Il y a zéro pour cent de chance que cette politique électorale mène à la fin de l’empire, mais un effort concerté de sensibilisation de la part de ceux qui comprennent ce qui se passe pourrait bien y parvenir. Tout changement positif dans le comportement humain est toujours précédé d’une prise de conscience accrue, qu’il s’agisse de la prise de conscience des conséquences de sa dépendance conduisant à la sobriété ou de la prise de conscience accrue des injustices du racisme conduisant à des lois de justice raciale. Faire prendre conscience aux gens que les médias de masse nous mentent sur la réalité, les sensibiliser aux horreurs de la guerre, aux dynamiques sous-jacentes de l’injustice économique qui écrase les Américains, peut conduire à une réaction en chaîne qui voit la collectivité utiliser le pouvoir de son nombre pour se débarrasser des chaînes de l’oppression aussi facilement que l’on enlève un lourd manteau par une chaude journée. Ce qu’il faut, c’est que les gens s’éveillent à la vérité. Un empire entier est construit sur des paupières closes. (Et on va d'ailleurs voir si Trump élu, il y a un grand bon changement pour le peuple ou plus aucun espoir pour les USA à part leur dislocation puisque il sera difficile de faire plus virilement révolutionnaire que Trump.) » (Caitlin Johnstone) Or comme tout empire ayant toujours plus agrandi son influence militaire, ce plan d'aide peut accélérer l'effondrement des USA, surtout s'il ne s'oriente donc pas bientôt vers l’isolationnisme modéré (non interventionniste, mondialisation modérée), plutôt que l'interventionnisme. Mais selon Ivan Mikhailovitch Frakov : « Il est de bon ton en Russie dans certains milieux d’imaginer que la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis sera une bonne affaire pour la Russie. Une dangereuse illusion, tout simplement. D’abord la victoire de Trump est tout sauf certaine, il est même prévisible qu’il sera battu par la probable candidate Harris ou par tout autre candidat désigné par les “démocrates”. De la même manière qu’il a été battu par Biden. Trucage ou pas, la question n’est pas là, tout simplement les “démocrates” ne peuvent pas perdre. Mais même si Trump était élu… Souvenons-nous déjà que c’est durant son premier mandat de 2017 à 2021 que les ukrainiens ont intensifié les massacres de civils au Donbass, ce qui a amené l’intervention de la Russie quelques mois plus tard. Il aurait été facile à Trump de faire cesser tout ça simplement en coupant l’approvisionnement en armes et en argent à l’Ukraine. Mais la réalité est que le but des Etats-Unis depuis la chute de l’Union Soviétique est de faire main basse sur la Russie et ses richesses. Tous les présidents ont la même feuille de route, seuls quelques détails dans la manière d’atteindre leur but ne les séparent. Et pour ceci l’Ukraine est la plateforme idéale. » Cependant selon la rédac ER « De l’autre côté de l’Atlantique, il n’y a pas une droite face à une gauche, mais deux droites : l’une populaire, antiwoke et isolationniste, l’autre élitaire, woke et interventionniste, les deux étant plus ou moins sionistes selon les circonstances. Objectivement, malgré ses défauts, Trump est plus proche du diptyque « gauche du travail et droite des valeurs » que tous les autres candidats, là-bas et ici. » Dans un discours enflammé, la députée trumpiste Marjorie Taylor Greene a dénoncé les souffrances quotidiennes des Américains, qui peinent à joindre les deux bouts et à payer leur alimentation ou leur essence. Selon elle, les États-Unis devraient exiger la paix plutôt que de financer les guerres sanglantes du complexe militaro-industriel, qui se nourrissent des cadavres en Ukraine. Surtout que parallèlement à ces fonds de 95 milliards, le Congrès a pris la décision radicale de la possibilité de la confiscation des actifs russes pour qu’ils servent à payer la guerre en Ukraine, alors que c’est du vol flagrant comme l'a déclaré le président de la Douma Viacheslav Volodine, et qui selon les autorités russes ouvre la voie à une réponse symétrique. Ceci devrait faire réfléchir les pays européens. Et, étrangement, ils réfléchissent encore lorsqu’il s’agit d’argent. Environ 280 milliards d’actifs russes sont à ce jour gelés à l’étranger. Sur cette somme, seulement 5 à 6 milliards se trouvent aux États-Unis. L’impact y sera donc limité. En revanche, 210 milliards sont gelés en Europe. Si les pays européens suivent la voie américaine, et c’est bien ce qui est recherché par les États-Unis, certes les Américains verront leurs investissements couverts, mais les pays européens, eux, s’écrouleront. Les conséquences financières, et politiques, seront colossales. C’est bien la raison pour laquelle, pour l’instant, ils hésitent encore à faire le grand saut, malgré des pressions américaines de plus en plus fortes. Dans la logique américaine, les pays européens prenant le gros de la réaction russe, libèreraient les États-Unis d’une grande partie des représailles et les actifs russes spoliés formellement par les Européens financeront in fine l’industrie militaire américaine, c’est-à-dire l’économie américaine. Les Européens seront encore une fois les dindons de la farce. « Les BRICS pourraient tenter de créer une nouvelle monnaie de réserve constituée d’un panier pondéré de leurs monnaies. (Or) Cela n’est pas nécessaire et pourrait entraîner des tensions entre les membres des BRICS en raison de différends sur les parts de chaque monnaie dans le panier. Une monnaie de réserve n’est plus nécessaire. Une monnaie de réserve était nécessaire à la fin de la Seconde Guerre mondiale, car les autres économies industrialisées étaient détruites. Comme les États-Unis étaient la seule économie intacte, le rôle est revenu au dollar américain. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Les banques centrales peuvent conserver leurs réserves sous la forme des devises de leurs partenaires commerciaux. Ce que cela signifie pour Washington, c’est que les États-Unis vont commencer à avoir des problèmes de financement pour leurs importants déficits budgétaires et commerciaux. Tant que le dollar était la monnaie mondiale, les banques centrales étrangères gardaient leurs réserves dans la dette du Trésor américain. À mesure que les déficits budgétaires et commerciaux des États-Unis augmentaient, les réserves du système bancaire mondial augmentaient également. La situation est en train de changer. Si une douzaine de pays représentant environ la moitié de la population mondiale et 40 à 45 % du PIB mondial cessent d’utiliser le dollar, le marché des banques centrales étrangères pour la dette américaine se contracte considérablement. Ayant délocalisé leur production, les États-Unis sont désormais dépendants des importations. La diminution de l’utilisation du dollar signifie une diminution de l’offre de clients pour la dette américaine, ce qui signifie une pression sur la valeur d’échange du dollar et la perspective d’une hausse de l’inflation due à la hausse des prix des importations. » (Paul Craig Roberts, économiste américain) Des pays exportateurs de pétrole ont tenté à trois reprises de cesser de vendre leur pétrole contre des dollars : l’Irak, la Libye et dernièrement la Russie. Nous savons ce qui est arrivé à l’Irak et à la Libye : ils ont été bombardés jusqu’à annihilation. Mais une telle option n’est pas possible à l’égard de la Russie ayant l'arme nucléaire, le missile hypersonique, la meilleure armée du monde, une autonomie économique, des ressources énergétiques importantes et une alliance avec la Chine, même lorsqu’en plus elle annonce s'éloigner du dollar comme monnaie de réserve et dans le commerce international pour s'orienter avec ses partenaires vers un système de relations internationales hors de la zone ou du système dollar. À en juger par la façon dont une réunion de Genève a résonné dans toute l’Europe, les effets de ce changement se font fait beaucoup sentir. La russophobie coûtait déjà cher : ceux qui s’y adonnent ne parviennent pas à obtenir la remise pour client fidèle. Les Européens de l’Est qui pensaient avoir un brillant avenir en jouant les chiens de poche russophobes de l’Oncle Sam ont tiré cette leçon d’eux-mêmes de la manière la plus dure et la plus douloureuse qui soit. Dans ce sens, la partie de l'Ukraine russophobe n’a même pas été un sujet de discussion lors du sommet de Genève. Conformément à l’adage d’Oscar Wilde selon lequel « il n’y a qu’une seule chose dans la vie qui soit pire que de parler d’elle, c’est de ne pas en parler ». De plus avec Nord Stream 2 ayant été terminé, il n'est donc pas étonnant que les USA aient organisé la guerre en Ukraine et la destruction des ces gazoducs synonyme de gaz peu cher. Cependant il est très étonnant que ce plus gros problème économique car énergétique pour l'Europe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale ait été déplateformée des télévisons et radios mainstream.
Par la création des tensions jusqu'à la guerre dans l'est de l'Ukraine et à Gaza, l'empire américano-sioniste cherchait à mettre toujours plus de sanctions contre la Russie afin d'affaiblir son économie comme par la guerre en Syrie et en Azerbaïdjan, mais aussi à préserver des présidents comme Macron, continuer la guerre hybride mondiale de l'occident atlantiste anglo-saxon et favoriser principalement les Etats-Unis. D'ailleurs concernant le laboratoire expérimental qu'est Gaza, on peut désormais parler de guerre de 5e génération, puisque des drônes-sniper avec reconnaissance faciale y ont été déployé de même que des drones-suicide associé à l'IA, ce qui signifie que des machines peuvent désormais tuer toute forme de vie dans un territoire donné (possiblement jusqu'au Grand Israël), et que l'humanité est encore proche d'un grand danger. Il n’est donc pas utopique d’imaginer un avenir dans lequel des légions de drones, dirigées par un seul opérateur, s’affrontent sur le champ de bataille. Des drones de reconnaissance, d’attaque, kamikaze et de soutien utilisés simultanément pour accomplir différentes tâches, comme c’est déjà le cas sur les champs de bataille en Ukraine. La réduction du nombre de soldats en première ligne permettrait de diminuer considérablement le risque de pertes humaines. En outre, la vitesse et la précision des drones assureraient une plus grande efficacité des attaques et un risque moindre de causer des dommages collatéraux. Toutefois, ce scénario soulève également d’importantes questions d’éthique et de responsabilité. La déshumanisation de la guerre pourrait conduire à un abaissement du seuil de conflit, et donc à un recours accru à la force. En outre, la réduction, voire l’absence, de contrôle humain direct sur les drones pourrait rendre difficile l’attribution de la responsabilité des éventuels dommages collatéraux. Si, à première vue, l’idée de centaines de drones tournoyant autour du champ de bataille, dirigés par un seul legatus legionis, peut sembler relever de la science-fiction, le développement rapide de la technologie en fait une réalité de plus en plus imminente. Or les armes EMP pourrait régler facilement le problème. Mais le premier porte-drone qui est chinois prouve actuellement leurs avantages stratégiques, car les drones ne sont pas chers, sont équipés d’explosifs performants, et sont une arme redoutable par leur capacité de saturation donc de faible coût, et ainsi un outil idéal d’attrition (d’usure) des armées occidentales très technologiques. La guerre hybride signifie qu'elle est totale et sans limite comme contre la Russie, la Palestine et toute nation insoumise. C'est à dire qu'elle se bat à tous les niveaux, dont manipulant des gouvernements, orientant des armées publiques, utilisant des armées privées de mercenaires par procuration, militarisant des civils comme à travers des milices ou des médias privés, se servant de sanctions économiques, et bloquant de nombreux journalistes indépendants ou médias alternatifs. Dans ce sens, le sacrifice de l'Ukraine a poussé les européens à rejeter fortement la Russie de l'Europe au profit des Etats-unis et de l'OTAN revalorisés. Surtout que la mise en service du gazoduc russe Nord Stream 2 en lien avec l'Europe n'ayant pu être établi suite à son sabotage et que l'augmentation du prix de l'énergie qui en a suivi rendant compétitif le gaz de schiste et gaz liquéfié américains, permet au camp americano-wahhabo-sioniste d'espérer vendre son gaz à l'Europe. D'autant plus que cette ressource pourrait devenir la source d'énergie principale du 21e siècle dont possiblement selon un hadith, si ce n'est pas le nucléaire modernisé et plus propre qui le devient. En effet les milliardaires de la tech s’emparent silencieusement de l’énergie atomique pour alimenter leurs projets d’intelligence artificielle. (En sachant qu'il existe une guerre similaire de l'impérialisme US contre le nucléaire civil français en Europe, dont car fournissant des réacteurs nucléaires à divers pays d'Europe de l'Est.) Or l'ouverture du gazoduc Nord Stream 2 baisserait instantanément le prix du gaz, calmerait les tensions et tendrait voire parviendrait à la fin de la guerre.
Voici un extrait édifiant d’un article du site mondialisation.ca datant de novembre 2012 en partie sur la guerre en Syrie, article qui prend une nouvelle couleur lorsqu’on le met en perspective avec le conflit russo-européen de 2022 :
« De plus en plus tout porte à croire que le gaz est le vrai fond du problème de la guerre contre la Syrie. C’est à partir de fuites émanant d’un géant pétrolier occidental que le quotidien Al-Akhbar a obtenu des informations fiables sur les détails d’un projet qatari soutenu par les États-Unis, et concernant la construction d’un nouveau gazoduc qui transporterait le gaz du Qatar vers l’Europe via la région syrienne de Homs. Cette ville et sa région sont donc le « nœud » ou le « cœur géographique » de ce projet qui, du même coup, offrirait des avantages stratégiques à la Turquie et à Israël dans l’équation du commerce gazier mondial. Ce nouveau gazoduc devrait emprunter une « voie terrestre » qui démarre du Qatar, traverse le territoire saoudien, puis le territoire jordanien en évitant ainsi le territoire irakien, pour arriver en territoire syrien et plus précisément à Homs (voire aussi en Israël afin d'y faire partir une portion sous-marine vers l'Europe pour éviter que trop de nations prennent des droits de passage). À partir de Homs le gazoduc devrait bifurquer dans trois directions : Lattaquié sur la côte syrienne, Tripoli au nord du Liban (ou en Israël donc), Turquie. Le but principal de ce projet est d’acheminer le gaz qatari et israélien vers le continent européen pour le distribuer à toute l’Europe, avec un triple objectif. Le premier : casser le monopole gazier russe en Europe. Le second : libérer la Turquie de sa dépendance du gaz iranien. Le troisième : donner à Israël une chance d’exporter son gaz vers l’Europe par voie terrestre et au moindre coût. ... Toujours selon les mêmes sources, la Russie aurait informé le Liban qu’elle ne sera pas d’accord avec ce dernier projet d’exploitation du gaz méditerranéen avant d’obtenir des garanties de l’Occident lui attestant qu’il ne chercherait pas à changer le « régime » en Syrie ; exigence qui ne serait nullement incompatible avec la poursuite des travaux de prospection gazière par des sociétés russes dans le secteur (syrien ou libanais). Ceci, parce que ces sociétés ne doivent pas s’absenter au moment du boom gazier méditerranéen ; sans oublier que l’Iran, l’Irak, et la Syrie ont un projet commun partant de leurs propres territoires. Il consiste tout simplement à ce qu’un gazoduc iranien, traverse l’Irak pour arriver à Homs, avant de bifurquer vers Lattaquié et Tripoli… » Depuis l'intervention spéciale de la Russie en Ukraine, les USA sont même de retour à Raqqa et Israël tire encore plus de missiles vers la Syrie. D'ailleurs le vendredi 27 mai 2022 Sergueï Lavrov a déclaré lors d'une réunion avec des responsables de régions russes : « L'Occident a annoncé une guerre totale contre nous, contre le monde entier russe. ... On peut dire avec certitude que cette situation est avec nous pour longtemps. » Comme il a déjà été vu, la guerre en Ukraine entretenue par l'Occident cherchait aussi à enliser la Russie dans une guerre supplémentaire à celle de Syrie dont car étant les grosses premières guerres russes depuis celle en Afghanistan où beaucoup de soldats russes combattent au sol et pour lui mettre encore plus de grandes sanctions, afin de finir par la dominer financièrement dont pour la faire quitter la Syrie au profit des sionistes voulant le grand Israël (c'est ce qui est d'ailleurs arrivé) et dans l'espoir que cette déstabilisation de la Russie y provoque un changement de régime favorable à l'occident voire une fragmentation territoriale, surtout que la Russie est un des dernier pays à pouvoir empêcher l'empire occidentale américano-wahhabo-sioniste de triompher. D'ailleurs il faut comprendre que la Russie d'après l'URSS et d'avant Poutine correspondait en grande partie à ce que l'Occident politique voulait d'elle, puisqu'elle était exploitée ou plutôt volée par les libéraux. Et sans poutine et avec la destruction du proche Orient, il serait rester la Chine à dominer quoiqu'elle aurait pu vite se soumettre et donc faire aussi voler dont à cause de position d'empire du milieu et de son pacifisme. C'est pourquoi le rôle de l’État Hébreu dans les diverses crises aux frontières de la Russie n'est pas étonnant, en particulier donc en Syrie, en Ukraine et en Azerbaïdjan. Pour l’axe de la Résistance irano-libano-syrano-irakien, la guerre Ukraine/Russie demeure une reproduction à la lettre près du complot anti-Syrie de 2011 qui oppose en réalité les USA-OTAN à la Russie, c'est à dire le mondialisme face au souverainisme, l'impie et oligarchique laïcisme progressiste face au pieux et populaire monothéisme chrétien. Effectivement, cela continue clairement d'avoir en ligne de mire la Russie elle-même, sa cohésion nationale, son économie, son armée, sa sécurité, voire son intégrité territoriale. Résumons nous : les intérêts russes ont commencé à être menacés par les séparatismes tchétchène (BHL a accouru), syrien (BHL a accouru), libyen (BHL a accouru), géorgien, kazakh, ukrainien (BHL a accouru), et azerbaïdjanais dont certains comme ce dernier sont liés à une volonté d'expansion turque. Dans ce sens, la souveraineté de la France considère comme inacceptables que les DOM, la Nouvelle Calédonie, la Corse, la Savoie, la Provence, le Pays Basque, la Bretagne et l'Alsace soient indépendantes, tandis que par son soutien comme celui des USA et de l'UE à l'Ukraine et à l'expansion de l'OTAN vers l'Est, elle menace la souveraineté des républiques Russes ou russophones. En effet tout alliance alliance militaire de nations à la frontière d'une nation est un grand danger pour cette dernière et la stabilité régionale voire planétaire, comme l'a prouvé l'origine de la première guerre mondiale et celle donc en Ukraine. Ce qui n'est pas étonnant car la France républicaine qui a en réalité été principalement soumise aux Anglo-Saxons ne pouvait qu'emboîter leur pas anti-russe. Mais quels idiots sont ces Macron, Biden Scholz et Leyen, surtout que vouloir mettre des missiles nucléaires en Ukraine à quatre minutes de Moscou est synonyme de pistolet sur la tempe de la Russie dont dan une lutte d'influence. D'autant plus que par son affaiblissement géopolitique et une grosse inflation, l’Europe paye aujourd’hui le prix de son alignement sur l’axe américano-sioniste, le prix de sa faiblesse politique, le prix de sa soumission au mondialisme, le prix de ses élites corrompues, et que la France et l'Allemagne sont déjà en économie de guerre alors qu'elles ne l'ont pas déclarée. Le conflit ukrainien a même désormais passé au profit des USA la laisse énergétique à la France, à l'Allemagne et à l'Union Européenne, après leur avoir passés les laisses monétaire, militaire, juridique et technologique : le post impérialisme européen est finalement l'impérialisme américain. Ainsi la cible des sanctions européennes contre la Russie, voulues, demandées voire organisées par les USA, pourrait en plus être le couple franco-allemand dont principalement l’économie allemande. En effet, il n’y a pas de gagnants en UE dans la guerre des sanctions avec la Russie voulue par les États-Unis. Or la dramatisation politicienne de l’économie de guerre en Europe dont suite à l'élection de Trump est une tentative de détourner l’attention des problèmes interne. David Baverez appelle à une réévaluation des priorités européennes, notamment en matière de défense et de production, pour éviter de devenir dépendant des États-Unis et de la Chine. Surtout que dans l’affaire ukrainienne, la France et l’Allemagne sont donc en train de tout perdre même si les Allemands tentent de poursuivre leurs achats de gaz russe. Le succès de l'économie allemande a été attaqué, car celui-ci était fondé sur une triple dépendance : à l'égard des Etats- Unis qui assumaient les coûts de sa défense, de la Russie qui fournissait à son industrie un gaz bon marché et de la Chine qui était à la fois sous-traitante, consommatrice et investisseuse. A l'image de la guerre Iran/Irak ayant affaibli ces nations avec la satisfaction américaine, l'idée des américains pourrait être de détruire les camps européen et russe, pour ensuite arriver sur les ruines comme lors de la première et la deuxième guerre mondiale, afin de profiter des matières premières et énergétiques, de s'ingérer dans la politique, le financier, l'économique et le militaire, et d'espérer leurs éclatements en pays plus petits au sein d'une organisation mondialiste supranationale, comme depuis la fin de la deuxième guerre mondiale puisque selon l'ONU il y avait 51 états dans le monde en 1945, puis c'est passé à 180 en 1990 et à 195 en 2024, même si actuellement, il n'y a que quatre grands états qui sont à l'origine des événements principaux dans le monde et les autres ne font que les suivre plus ou moins : USA, Russie, Chine et Israël. D'ailleurs l'effondrement de l'industrie allemande et donc d'une grande partie de l'économie européenne a lieu à cause de la destruction des gazoducs Nord-Stream II par les ukrainiens, les USA ou /et l'Angleterre. Surtout que cela permettrait aux Etats-Unis de voir s’éloigner leur terreur géopolitique cardinale : l’alliance germano-russe possiblement tournée vers la Chine, et qu'ils n'auraient plus ensuite qu'à s'occuper de la Chine, à reconstruire l'Europe, à piller les ressources naturelles russes et donc à asseoir définitivement leur hégémonie sur toute la Terre. Alors pourquoi l’Europe devrait se battre pour des intérêts US en Ukraine ?!! Ainsi le duo anglo-américain pousse donc bien très probablement l’Europe au suicide, et conjointement à l’affaiblissement des deux blocs russe et européen, dont car sans eux, la Chine ne tiendra pas longtemps seule face la prédation hégémonique ou plutôt totalitaire. Rappelons que, du point de vue américain, ce qui était « épatant » dans la deuxième guerre mondiale, c’est que l’Allemagne et la Russie se massacraient mutuellement. Or pour l'empire américano-sioniste, la guerre en Ukraine est aussi un terrain d’entraînement de l'Otan et de ses armes, tout en étant une étude de celles russes. De toute façon, l’Europe est en faillite économiquement, politiquement, éthiquement et spirituellement. Et avec le prix du gaz augmentant fortement voire avec des pénuries en Allemagne, cela permettrait en plus aux USA de se réindustrialiser, car les grands industriels allemands immigreraient vers eux, sauf s'ils comprenaient que le prix de l'énergie est beaucoup plus intéressant en Russie. Or comme l'Allemagne est le premier fournisseur industriel des machines outils à l'industrie de la Chine, les USA pourraient préférer l'effondrement de l'Allemagne dont à cause de l'augmentation du prix du gaz, afin donc d'affaiblir la Chine. En 2023, il ne s’agit plus de projet de société contre projet de société, de capitalisme contre communisme, mais de la vassalisation économico-énergético-militaire terminale de l’Europe, et de victoire définitive du laïque système néolibéral post moderniste occidental en Eurasie, voire aussi au Moyen Orient. Pour ce qui concerne la France, depuis toujours, l’Amérique essaye de nous faire haïr par le monde entier, car elle ne partage pas : ni les richesses ni l’admiration. La France, qui était autrefois respectée dans le monde, est devenue, sous l’égide du couple Sarkozy-Macron, une pauvre petite Amérique, haïe de l’Afrique, de l’Asie et de ses anciens grands partenaires historiques, la Chine et la Russie. Depuis 1945, en effet, la grande Allemagne est devenue un satellite de l’Empire américain. Et aujourd’hui, 82 ans après l’opération Barbarossa, elle entre à nouveau en guerre – via l’OTAN – contre la Sainte Russie, sous la pression d’une Amérique qui a détruit le cordon ombilical énergétique et essaie de détruire celui spirituel entre les deux grandes nations. Avant Lénine, à la fin du XIXe siècle, le socialisme français radical infuse la société russe, nourrissant les élans révolutionnaires. Depuis Poutine, c’est la Russie qui inspire les Français (patriotes) avec sa vision du monde... gaulliste ! Si les Français et les Russes ont été alliés pendant les deux guerres mondiales, ensuite, les Anglo-Américains ont à nouveau relancé leur jeu séparatiste. En attendant l’Europe se saigne déjà pour l’Amérique. Alors jusqu’où se saignera-t-elle pour des intérêts qui ne sont pas les siens ? Les Européens naïfs ont cru aux discours de « leur » présidente corrompue Ursula von der Leyen et de ses prédécesseurs, qui soutenaient en substance que l’UE était synonyme de paix, de démocratie et de croissance, alors qu'elle a été créé en partie à travers de descendants de nazis et même d'anciens nazis récupérés par l'occident pour leur pseudo importance intellectuelle, comme le premier président de la commission européenne Walters Hallstein était juriste pour la parti nazi d'Hitler et Hans Spiedel l'ancien un Général Allemand dans l’armée nazie pendant la deuxième guerre mondiale est devenu le commandant en chef des forces terrestres de l'Otan pour le « Centre Europe », les juifs doivent bien comprendre cela et donc que beaucoup de leurs élites sont perverses ou ont été infiltrées comme ça l'est aussi en partie pour le christianisme et l'islam. En effet nous Européens sommes aujourd’hui en guerre, en tyrannie et en décroissance. Sous prétexte d’écologie, on nous prépare à une violente décroissance, un futur sinistre où l’on disposera de moins d’énergie, de moins d’eau, de moins de nourriture, de moins de vie en somme. Pour cela, il faut faire comprendre aux masses humaines qu’elles sont responsables de la dégradation de la Terre et du climat. Et pour mieux les préparer à l’acceptation de leur propre disparition, rien de mieux que le chômage endémique (vous ne servez à rien), la dépression (vous êtes perdus), la perte de sens (il n’y a plus de Dieu), et les drogues (on oublie tout). Pour prétendument lutter contre le CO2 et avancer donc vers la décroissance, il a même été demandé à la quatrième région agricole d’Italie d’arrêter de produire.
Ainsi ce rabaissement de l'Europe semble pouvoir aussi servir au cas où le mondialisme occidental ne triomphe pas et donc afin qu'elle s'effondre avant les Etats-Unis pour que ces derniers puissent s'adapter à ce nouveau paradigme. Et cette guerre de l’OTAN contre la Russie en Ukraine pourrait en plus être le moyen d'asphyxier économiquement la Chine (qui a d'ailleurs probablement pour cela anticiper le développement de son marché intérieur), c'est à dire en brisant une partie des routes de la soie, et donc en la coupant ou la tenant aussi éloignée de l’Europe comme la Russie. En effet la grande Amérique paraît savoir qu’elle a perdu la guerre contre le monde, surtout qu'acculée devant la montée de la puissance combinée sino-russe, qui est l'association de l’atelier du monde couplé à une importante et moderne puissance militaire et nucléaire qui possède les premières ressources minières et énergétiques du monde, elle n’a toujours plus que le chaos pour survivre même en l’installant encore en Europe via les sanctions contre la Russie. Or cela peut donc être finalement tout l'Occident qui s'effondre à cause de la guerre en Ukraine : Sapir, Todd et même Kissigner le savent : les PIB des pays occidentaux sont remarquables quantitativement, mais sont trompeurs qualitativement. Le secteur des services, qui pèse pour 80 % dans le PIB américain et français, compte peu en période de crise, quand on passe d’une économie de paix à une économie de guerre. La Russie, avec son secteur industriel pur de 25 %, réussit mieux la transition. L’Allemagne a la même proportion industrielle de 25 %, mais elle pèche du côté de l’énergie, dont les Russes ne manquent pas. Par conséquent, la vision occidentale d’une Russie économiquement et donc militairement faible parce qu’elle ne pèserait que 3,3 % dans le PIB mondial est une erreur : en vérité, la Russie pèse plus du double, et plus encore en cas de guerre, car elle dispose du combo énergie-production en plus de son lien à la Chine. Ainsi l’objectif géostratégique central des États-Unis en Europe pourrait donc être finalement celui-ci : consolider, par un partenariat transatlantique plus authentique après un effondrement de l'Euro, la tête de pont états-unienne sur le continent eurasien, afin qu’une Europe américano-atlantiste puisse devenir un tremplin plus viable pour projeter en Eurasie l’ordre international mondialiste. En effet pour eux l’Eurasie et l’Asie centrale seront atlantiques ou ne le seront pas. Dans ce sens dont au détriment de la stabilité du monde, les mondialistes états-uniens cherchent même à évincer dangereusement la Chine des chaînes logistiques régionales et mondiales. Or cet énorme plan de Washington cherchant à vassaliser définitivement l'Allemagne, la France et la commission européenne de Bruxelles est très risqué, car cela conduirait à l’effondrement de la division du travail établie en Asie du Sud-Est, ce qui exacerberait la hausse des prix mondiaux et pourrait provoquer une crise dans des secteurs économiques entiers des pays développés, y compris les États-Unis. C'est à dire que malgré cela, le mondialisme espère tenir assez pour réussir ce plan. Ainsi l’effondrement des États-Unis, de l'Allemagne, de la France, de l'Union européenne et d'une grande partie du monde sont toutes recherchées par la bande mondialiste de Davos et la plupart des sionistes afin d'espérer passer à un stade supérieur de mondialisation ploutocratique. C'est d'ailleurs pourquoi en 20 ans, les Français ont subi trois chocs pétroliers si l’on peut dire. Le premier, c’est le passage à l’euro, avec une hausse des prix qui ne sera jamais compensée par la hausse des salaires. Le deuxième, c’est la crise financière de 2008. Et le troisième, c’est le pack écologisme-covidisme-ukrainisme, qui autorise toutes les répressions économiques, autrement dit le racket des ménages et des PME. Et on ne parle même pas des dépenses de santé qui augmentent, des mutuelles qui resserrent leurs contrats, et des assureurs qui durcissent par tous les moyens même les plus tordus leurs remboursements. De tous côtés, les ménages et les PME sont attaqués. La vraie guerre est là, et elle ne fait que commencer. Le Maire, Attal, Macron, Dussopt et compagnie mentent car ils n’ont pas le choix : la Banque, leur employeur, les presse de détruire le système social français, pour le remplacer par un système asocial à l’américaine. En effet cette politique de destruction ou de mise au pas de la France, devenue de plus en plus lisible, évidente et explosive, n’est donc pas le fruit du hasard ou d’idiots. C’est un projet, un projet de soumission totale de le France, dont la culture, l’histoire et l’esprit, ne cadrent pas avec les principes amoraux inhumains de l’Empire anglo-saxon, qui sont la prédation, la domination, l’uniformisation. Et au bout du compte, l’extermination. Combien de temps ce mensonge tiendra-t-il ? C’est toute la question, et la seule question politique du moment. Il est loin le discours d’Attali qui promettait en 1996 la paix, le plein-emploi et la croissance à 500 millions d’Européens grâce à l'UE... Or la guerre est proche, l’euro-chômage dépasse celui des années 30 et la décroissance productive est programmée. La Syrie et l’Ukraine sont deux champs de bataille à mettre en perspective générale par rapport aux grandes oppositions géopolitiques du monde, car l’affrontement des volontés y a précédé la bataille d’acier. La guerre peut être conventionnelle ou nucléaire, régionale ou à l’échelle mondiale. L’enjeu, c’est la domination globale des États-Unis sur tous les plans, ce que la Russie comprend en affirmant que l’affrontement en Ukraine peut être le début de la troisième guerre mondiale si son existence est encore plus menacée. Or la guerre en Ukraine peut aussi incarner la crise terminale du pervers nouvel ordre mondial puisque reflétant la cancel culture américaine contre le conservatisme russe chrétien associé au conservatisme chinois. Car l'occident est désormais moins puissant que le reste du monde économiquement. Ce qui pourrait être voulu par l'élite financière apatride messianique sioniste afin de pousser l’hémisphère nord blanc et chrétien (USA, Russie et Europe) à s'autodétruire financièrement, ou économiquement, voire nucléairement. D'ailleurs malgré que le soutien militaire aux nouvelles républiques indépendantes Donetsk et Lougansk aurait été suffisant pour les protéger de l'armée ukrainienne, si la Russie a envahi d'autres grandes régions, c'est probablement parce que cela aurait pu inciter le reste de l'Ukraine à entrer dans l'OTAN tel suite à un signe de faiblesse russe... Or comme de toute manière 150 000 hommes de l'armée Ukrainienne s'étaient réunis devant le Donbass et s'apprêtaient à y intervenir pour faire un nettoyage ethnique, alors que 900 000 citoyens russes y habitaient et que la Russie avait reconnu l'indépendance de ces territoires selon le droit international, cela a obligé le Kremlin à encercler cette armée, surtout que l'Ukraine était proche de créer sa propre bombe atomique probablement sale (voire d'installer des missiles nucléaires dans le Donbass par l'OTAN, c'est à dire à deux minutes de Moscou alors que la Pologne est à dix minutes) et avait un programme biologique militaire financé par les États-Unis. D'autant plus que le territoire de l’ancienne Ukraine, culturellement majoritairement russe, religieusement majoritairement orthodoxe, linguistiquement majoritairement russophone, historiquement majoritairement partie intégrante de la Russie, est un morceau originel de la Russie. Alors que la fédération de Russie se renforce et que l’Occident intolérant se rapproche de son propre effondrement de même que l'Ukraine intolérante, il est d'ailleurs naturel que la Russie commence à rassembler ses brebis égarées et ses fils prodigues dont donc russophiles ukrainiens, surtout que le démembrement de la Russie (division en plus petits états) après celui de l'URSS est recherché par l'occident oligarchique. Surtout que selon le ministre des affaires étrangères Sergueï Lavrov, le régime de Kiev avait délibérément interdit de parler russe dans l’est de l’Ukraine, et s'était donc déjà clairement engagé dans le racisme et l’inimitié avec la Russie. Le reproche fait à la Russie par les occidentaux concernant le non respect du droit international et de la souveraineté des États est donc honteux, surtout que la Russie a suivi le droit international et que l’Ukraine fait partie de sa zone de sécurité, et que par des guerres ou des déstabilisations politiques, l'Occident ne les a très souvent pas respectés ces dernières décennies dont en Yougoslavie, Irak, Libye, Syrie, Afrique et Amérique du Sud. Il faut en plus distinguer ceux qui ont déclenché la guerre en Ukraine de ceux qui l’ont rendue inévitable et comprendre donc que la destruction des installations militaires ukrainiennes et la démilitarisation de toute l'Ukraine était devenue logique, car certains protagonistes allaient y chercher une guerre d'usure et donc coûteuse pour la Russie. Surtout que cette démilitarisation de l'Ukraine correspond aussi probablement au début éncessaire de la démilitarisation de la dangereuse finance internationaliste jusqu'à sa neutralité. En effet contre le progressiste mondialisme satanique ploutocratique, la guerre comme nécessité et comme une chance pour la survie du monde était devenue inévitable. Il est intéressant de voir à ce sujet l'article « La City et Wall Street jouent le sort du monde en Ukraine » à l'adresse https://lemediaen442.fr/la-city-et-wall-street-jouent-le-sort-du-monde-en-ukraine/ , et l'entretien « Russie, OTAN, Ukraine : La guerre à nos portes – Romain Bessonnet dans le Samedi Politique » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=fnXrgGie0AU Mais on peut même parler de libération de l'Ukraine au moins de l'Est puisque tenue par des bataillons néonazis et des straussiens. Le Philosophe juif Leo Strauss dont de nombreux adeptes sont des hauts responsables de l'Ukraine avait affirmé indispensable pour le peuple juif d’instaurer lui-même une dictature mondiale pour échapper à une « nouvelle Shoah ». Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Vladimir Poutine déclare la guerre aux (juifs) Straussiens » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Vladimir-Poutine-declare-la-guerre-aux-Straussiens-67423.html La réponse à la question de savoir pourquoi la Russie a attendu si longtemps pour envahir l'Ukraine depuis le coup d'Etat de Maidan de 2014 qui a continuellement bombardé les populations de l'est de son pays, c'est qu’elle n’était pas prête : l’économie russe n’avait pas encore été blindée contre toutes les sanctions possibles ; elle devait être indépendante d'une dette usurière ; son autonomie alimentaire devait être certaine ; toutes les méthodes diplomatiques pour résoudre le problème n’avaient pas été essayées ; ses nouvelles armes n'avaient pas encore été testés ; son armée n’était pas encore prête à gérer simultanément cette guerre avec celle en Syrie ; et le droit international de reconnaissance des états du Donbass et de Lougansk de légitime défense n'était pas encore activé.
Or la crise en Ukraine pourrait aussi s'agir d'un scénario plus ou moins arrangé pour renforcer le globalisme occidental dont à travers une expansion de l'OTAN et de l'UE, stabiliser la nation ukrainienne en faillite à cause d'une énorme corruption, changer du sujet de l'oppressive gestion condamnable du covid, trouver un bouc émissaire pour l'inflation liée au poison de la planche à billet et possiblement faire grandir la Russie et donc le globalisme eurasien (ou seulement asiatique) mais d'abord dans le but d’agrandir le globalisme occidental avec ce renforcement de l'UE, de l'OTAN et de l'Occident mondialiste. En effet le conflit en Ukraine est plus ou moins accepté par l'Occident et/ou la Russie probablement aussi car il s'y trouvait trop de corruption déstabilisant son système national et menaçant donc l'ordre international. D'ailleurs vu le niveau économique et financier du Liban, sa reprise en main par l'axe américano-sioniste guerrier est possiblement un scénario accepté similairement, sauf que c'est dans un sens contraire, puisque Israël appartient au camp du mal et la Russie appartient au camp du bien. Ce qui signifierait qu'il existe des règles dans l'évolution du scénario géopolitique. C'est à dire que quand une nation est trop corrompue ou/et désunie, elle finit par se faire dominer par l'axe américano-sioniste et donc le camp du Mal, et lorsqu'une région comme le Donbass reste pieusement unie, elle finit par entrer dans le camp du Bien. Dans ce sens la Moldavie est entrée dans l'UE et la Géorgie est devenue pro-russe, dont car cette dernière comme toutes les autres anciennes républiques soviétiques limitrophes de la Russie l'anti-modèle qu'est devenu la révolution de Maiden et ses conséquences jusqu'à la guerre en Ukraine et ses pseudos valeurs LGBT. (En sachant que des tensions croissantes en Géorgie ont été signalées, avec des groupes antigouvernementaux cherchant à s’organiser en groupes de résistance contre les forces de l’ordre. Cette fois, ce n'est pas nationalistes d'extrême droite comme en Ukraine, mais des individus ressemblant à des Black Blocs d'extrême gauche, souvent vus dans les manifestations en Europe occidentale, ont affirmé leur intention de s’organiser en groupes de résistance. Cette situation laisse présager une possible escalade des manifestations et une tentative de révolution de couleur, similaire au Maidan ukrainien.) Et en sachant que sinon, lorsque des pays comme le Liban qui était bord du gouffre économique est détruit par Israël ou l'Ukraine très corrompue économiquement et donc aussi au bord du gouffre est en partie détruite par la Russie, cela permet généralement ensuite de relancer son économie, surtout si la corruption s'arrête. Après avoir déclaré le mardi 6 septembre 2022 qu’à cause des importantes livraisons vers l’Ukraine, les stocks de matériel militaire des pays de l’Union européenne étaient à un niveau « très bas », le chef de la diplomatie européenne a d'ailleurs conseillé aux 27 États membres de procéder à des achats groupés de matériels militaires, ce qui est une forme de début d'Europe de la défense. Or cela peut être un leurre puisque le Traité de Lisbonne a attribué la défense européenne à l'Otan et donc aux Etats-Unis, ce qui est très étonnant puisque le centre de décision sur ce qui se passe en Europe est ainsi non européen. Il pourrait donc s'agir d'un nouveau partage du monde plus ou moins entendus. C'est en tout cas ce qu'il faut espérer comme le plus probable car le moins pire militairement et donc le mieux pacifiquement même si une guerre économique à mort est actuellement aussi très probablement en cours dont pour parvenir au grand reset voulu par les mondialistes oligarchiques, et surtout car cela pourrait annoncer le retour proche de Jésus sans troisième guerre mondiale. En effet le sacrifice de l’Ukraine telle une pièce d’échec pourrait aussi être voulu par les mondialistes pour mensongèrement attribuer à la Russie, les conséquences du libéralisme corrompu volant la souveraineté des Etats, l'affaiblissement économique généralisé suite à la gestion néfaste du covid, la raison principale de l'inflation que les banques centrales et de nombreux gouvernements ont créé dont particulièrement par les planches à billets, la préservation de l'Europe dans l'influence américaine, le sacrifice des populations pour les marchés financiers, la prétendue nécessité de continuer massivement la perverse planche à billet, la justification de l’effondrement économique, et donc l’orientation inexorable vers le grand reset, sinon la future régularisation des bourses gravement déconnectées gravement du monde réel. Or la forte inflation liée à la crise du covid grandement amplifiée par la guerre en Ukraine provient aussi avant tout des sanctions occidentales. Accusé Poutine de tout facilite aussi l'entrée dans une économie de guerre, alors qu'il s'agit d'une étonnante décision politique française ou européenne, puisque les USA entretiennent eux toujours des liens avec la Russie pour le pétrole, le blé et la station spatiale internationale. « Surtout que cette invasion russe sert à renforcer le protectorat des USA sur l'UE et donc à en faire un débouché commercial encore plus important pour leurs armes et leur médiocre gaz de schiste liquide. Pour triompher, se maintenir voire s'effondrer en dernier, les USA sont prêts à se battre jusqu'au dernier ukrainien mais aussi européen. Le sacrifice des européens sera le prix à payer pour que les USA les défendent : étonnant... » (Chaîne youytube « Trouble fait »)
Or le Great Reset pourrait arriver au moment de l'effondrement de l'UE suite à une hyper inflation. Les responsables gouvernementaux parlent de « pic » pour l’inflation. Mais celle-ci durera tant que ses causes sont toujours présentes : les planches à billets massives de la banque centrale pour financer les déficits budgétaires des nations (qui ne diminuent pas), la transition énergétique qui renchérit le prix de l’électricité (dont à cause du coût des éoliennes que l’on continue d’installer), les sanctions irréfléchies prises contre la Russie (s’imposer un blocus, c’est original), les pénuries (gaz, pétrole, semi-conducteurs), et désormais la baisse du cours de l’Euro. En face, la timide remontée des taux d’intérêt initiée par la BCE ne pèse pas bien lourd. En effet l'efficace première mesure d’exception pour fixer les prix en cas d'hyperinflation ou risque de guerre est la taxation des profits des grandes entreprises afin de financer les dépenses additionnelles prévues pour mettre en place un fonds de protection de la baisse des charges domestiques et un fonds de défense nationale qui sont deux éléments clefs. C'est d'ailleurs ce que Viktor Orbán a fait après avoir expliqué que dans les circonstances actuelles (guerre en Ukraine et inflation des produits de première nécessité dont alimentaires et énergétiques), la hausse des taux bancaires et des prix proposés par les multinationales leur permettaient des marges plus élevées. Il faut noter que la Russie a une économie réelle car productrice, alors que l'économie occidentale est virtuelle car basée sur la spéculation et l'usure d'une hyper classe volant jusqu'à la classe moyenne. C'est pourquoi en plus des sanctions depuis 2014 qui ont poussé la Russie à un saut qualitatif nationaliste dont par la construction de machines outils agricoles et un système bancaire propres, elle représente logiquement l'exemplaire fer de lance noble des pays voulant préserver leur souveraineté et donc leur liberté et leur dignité face au pervers mondialisme. -narratif donc contre la Russie appauvrissant et centralisant encore plus économiquement la France en particulier suite au covid, va probablement durer plus longtemps et aggraver plus fortement que celui du covid surtout si il est saupoudré de ce dernier. Avec ces sauts qualitatifs importants fréquents et généraux, il est clair que les temps s'accélèrent comme prophétisé, et que la grand reset peut arriver plus rapidement que vers 2030. Reste à savoir si les nobles orientations géo-économique proposées par l'axe russo-chinois l'empêcheront et triompheront.
L’astuce occidentale va donc être de poutiniser l’inflation ne profitant qu'aux ultra riches, la centralisation de l'économie et la paupérisation qui figurent entre les lignes dans le programme de la Banque, qui mange sur notre dos, et qui a d’ailleurs commencé à dévorer notre dos. La Banque actuelle est cannibale, elle se moque que nous vivions bien ou mal, du moment qu’elle augmente ses profits, dont par l'usure. Pourtant en France pendant le covid, les grandes fortunes ont engrangé 236 milliards, ce qui correspond quasiment à ce que l’État réclame aux français pour ses aides et prêts bancaires de 2020, alors qu'ils avaient été empêchés de travailler. De plus comme l'intervention russe en Ukraine provient d'une expansion très abusive de l'OTAN, de perversions économiques mondiales très importantes, d'institutions internationales très corrompues, de messianismes religieux très pervers, et d'une hégémonie américano-sioniste très affaiblie, c'est bien probablement un grand pas de plus effectuer dans la fin des temps. Surtout qu'il y a actuellement en Ukraine un très dangereux lien énormément manipulateur entre sionisme et nazisme, car similairement à la deuxième guerre mondiale lorsque Hitler fut financé en grande partie par la finance sioniste et oligarchique anglo-saxonne, puisque le Président Ukrainien Zelinski est juif et certains de ses bataillons sont nazis. L'organisation de la guerre par procuration et la destruction morale des peuples par un messianisme immoral (laïciste, mondialiste, oligarchique, sioniste, wokiste, indigne, vulgaire, transhumaniste, impie) synonyme de fin de l'humanité continuent de pire en pire.
Comme le gouvernement ukrainien ne propose pas de trêve ni de négociation à cause des USA, le président Poutine a apparemment seulement le choix entre :
.entrer massivement mais prudemment dans Kiev, c'est à dire si possible seulement par quelques petites vagues au cas où il y aurait une bombe atomique, et seulement si la guerre devait se prolonger.
.se satisfaire de l'Est et du Sud de l'Ukraine sans Kiev, bien qu'avec le temps cela pourrait changer si aucun accord de paix partageant l'Ukraine n'est trouvé, surtout que l'Ukraine non libérée (en particulier les régions russophobes de l'Ouest de l'Ukraine pouvant créer de la résistance civile et souvent contrôlées par de grands groupes néo-nazis) pourrait continuer de bombarder les populations civiles libérées, et que cela est plus que probable suite à huit ans de bombardements sur sa propre population civile depuis 2014 et suite au lâche assassinat immonde de Daria Douguine, un leader brillant, orthodoxe et reconnu de la jeune génération de conservateurs russes, remarquable journaliste, politologue, chercheur en philosophie antique, et fille aimante de son célèbre père le philosophe Alexandre Douguine. En effet c'est un flagrant signe d’indignité et d’impuissance dans les zones de combats en Ukraine, surtout qu'elle n'était pas une militaire mais une journaliste indépendante qui devait donc être considérée comme innocente. Ainsi ceux et celles (dont des journalistes mainstream) qui se sont réjouis de son assassinat ne peuvent être que des diables. C’est une preuve de l'agonie de l'empire américano-sioniste et donc du système occidental impie ainsi que des mondialistes affairistes le composant principalement. Il sait très bien qu’il en répondra, mais dans une haine satanique frénétique, il essaie de rendre la chose aussi douloureuse que possible. Tuer le plus cher, le plus pur, le plus sincère, le plus russe. Et cette fois, il a réussi. Il s'agit d' « un crime ignoble et cruel a mis fin à la vie de Daria Douguine, une personne brillante et talentueuse avec un vrai cœur russe : gentil, aimant, sympathique et ouvert », a déclaré Poutine dans un message à la famille de Daria publié par le Kremlin. Or grâce au très digne espoir d'Alexandre Douguine que le martyr de sa fille soit source d'une profonde force noble et pieuse pour les russes en particulier les militaires (et espérons-le pour tous les combattants du Bien dans le monde), et comme selon un enseignement religieux les pages du destin dont dans le bien comme dans le mal que nous recevons sont désormais sèches auprès de Dieu, cela pourrait être l'interprétation principale de ce très douloureux et très triste événement. C'est à dire que le forces du Bien sont les plus nobles, les plus pieuses, les plus fortes et donc les meilleures quand elles vivent et agissent avec le filament ultra sensible présent dans le très fin et très profond centre du cœur que la mort de Daria a incontestablement révélé ou touché. Les forces du bien ont donc passé un cap important, surtout que si cet attentat fait de l'Ukraine un État terroriste pour la Russie, le droit international au niveau de la guerre disparaît ainsi donc que d'éventuelles négociations pour un armistice, ce qui signifie que sur le plan juridico-militaire l'objectif peut désormais être l'élimination du régime ukrainien. Et comme cet assassinat odieux incarne presque le meurtre de la pureté, de la gentillesse, de la douceur, de la grâce, de l'intelligence, de la finesse, de la simplicité, de la vaillance, de l'enthousiasme et de l'enjouement de la mère jeune de Jésus, mais aussi son martyr, il faut prier pour que cela apporte au monde aussi beaucoup de bienfaisance, de volonté de justice, de foi, de dignité, de piété, d'effort et de combat que les sacrifices de Jésus qui était un homme, mais également beaucoup de vérité dont concernant les importantes réalités métapolitiques, multipolaires et eschatologiques actuelles à connaître en particulier par rapport au rôle de la Russie dans le monde contre l'impie globalisme. Surtout que ce sont des raisons pour lesquelles elle a été assassinée, d'autant plus qu'étant jeune elle jouait un rôle dans le réveil des jeunes générations de plusieurs nations. Daria était donc une pieuse orthodoxe construisant notre temps qui a été assassinée par les impies forces détruisant notre monde. Daria recevra donc très probablement la Satisfaction divine, le martyr et donc le plus haut niveau du Paradis pour cela, c'est à dire la plus haute récompense. Et comme le réveil mondial contre la mal s'amplifiait déjà auparavant, son martyr pourrait donc faire passer les militaires russes et les forces mondiales du bien à un stade ultime de certitude, de volonté et de bravoure pour la foi, la justice, la meilleure noblesse, la charité et le monothéisme. Concernant l’assassinat de Daria Douguine, il est aussi intéressant de lire l'excellent article « Que l’optimisme eschatologique de Daria Douguine continue de nous guider – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/09/06/que-loptimisme-eschatologique-de-daria-douguine-continue-de-nous-guider-pierre-antoine-plaquevent/ En effet selon cet article, Daria était aussi solaire et irradiait donc naturellement ceux qui la côtoyaient de son être intérieur, de sa foi, de sa piété, de sa culture et de son agréable personnalité positive, joyeuse et fraîche. Cela ne pouvait que générer une jalousie diabolique dans les rangs du Malin et chez certaines sorcières à son service. Quelle leçon pour toute la sorcellerie du féminisme mondialiste ! En revenant à la géopolitique et à ce choix possible de Poutine, la Russie pourrait donc se satisfaire de l'Ukraine utile (Sud et Est), car il est clair que ces zones sont russophiles alors que le reste est sauvage ou/et ukronazi. Ce qui donnerait l'Ouest à l'Union Européenne ou/et à l'Otan possiblement en l'intégrant dans la Pologne. Or comme l'Ukraine est fortement corrompue, il ne serait pas étonnant que même dans ces régions, les anti-corruptions de mêmes que les corrompus changent de vestes en devenant des pro-russes. En effet après avoir laissé des corrompus participer à un système politique comme celui de l'Ukraine, il ne faut pas s'étonner que ces corrompus trahissent ce système dès qu'il rencontre de gros problèmes, surtout que mentir sciemment pour une mauvaise cause apporte la compréhension qu'on ne peut pas mourir en martyr pour elle.
.réussir de bonnes négociations avec l'Ukraine, mais elle paraissent désormais inutiles, car la propagande anti-russe y restera à jamais, et la disparition de l'Ukraine par une totale conquête territoriale russe ou un partage avec la Pologne devient donc nécessaire, quoique cette dernière solution signifierait l'entrée de l'Ukraine dans l'Otan, ce qui parait trop dangereux, puisque si les ukrainiens continuaient ensuite de bombarder la Russie, cela conduirait à une guerre probablement nucléaire entre l'Otan et la Russie. Le Ministre des affaites étrangères russes Lavrov est d'ailleurs arrivé à New York pour une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies portant sur l’Ukraine et la tête de Zelensky en donnant un dernier avertissement pour résoudre le problème ukrainien aux conditions de Moscou avant la grande offensive russe, car «il est encore temps». Même s’il semble en rester très peu. Bien évidemment, Sergueï Lavrov n’a pas parlé directement de l’offensive décisive de l’armée russe en Ukraine qui ne saurait tarder. Cependant, la réunion à laquelle il participait a été organisée à la demande de la Russie et devait clairement servir à exprimer devant les membres de l’ONU la position définitive de Moscou sur l’Ukraine destinée aux incendiaires occidentaux. Lavrov a ainsi indiqué au monde entier qu’il y avait deux raisons existentielles pour lesquelles Moscou ne pouvait arrêter l’opération militaire spéciale avant d’avoir atteint ses objectifs. Parce que «si cette opération devait subitement cesser, alors le régime de Kiev panserait ses blessures puis reprendrait sa course à l’extermination de tout ce qui est russe et de l’identité russe présente sur cette terre depuis des siècles, à la fois culturelle, historique et religieuse». C’est un premier point. Deuxièmement, le régime de Zelensky ferait toujours plus la promotion d’un nationalisme total étranger à la majorité de la population ukrainienne, réprimerait la dissidence, renforcerait la dictature, et les occidentaux «continueraient à regarder ce qui se passe en fermant les yeux et à se taire en guise d’approbation», car ils ont besoin de ce type artificiel d’Ukraine pour lutter contre la Russie.
.s'arrêter donc au Dniepr si c'est validé par un accord de neutralité et de démilitarisation de l'Ukraine avec l'interdiction de partis nazis. En effet si l’Ukraine se démilitarise réellement, la Russie pourrait alors parvenir à un accord permettant à une force de paix voire à l’OTAN d’entrer en Ukraine en sécurité jusqu’au Dniepr. Surtout que les territoires russes du Donbass jusqu'au Dniepr ont voté pour élire Poutine et donc confirmer leur rattachement voulu à la Russie, et que l'Ukraine garderait donc un accès à la mer noire dont via la région d'Odessa. En sachant que cette possibilité et donc la fin de la guerre seraient certaines si les pays occidentaux et l'OTAN arrêtaient de fournir des armes à l’Ukraine. D'ailleurs l’effondrement complet de la capacité de combat ukrainienne serait une solution possible de terminer la guerre, car cela s’accompagnera presque certainement de l’effondrement de l’architecture politique qui repose exclusivement sur ces capacités militaires – et non sur une quelconque légitimité politique. Ce que Moscou ne peut pas prévoir, c’est comment et sous quelle forme ce démantèlement pourrait se produire. Il faut espérer que cela soit repris par un gouvernement pro-russe.
.Vu l'espoir du Sud global sur la multipolarité de l'axe russo-chinois et la perte d'influence russe en Syrie, si l'Ukraine n'est pas totalement démilitarisée, il vaut mieux la conquérir jusqu'à Odessa voire plus et affaiblir l'Occident par des dépenses militaires, surtout que la Russie pourrait ainsi faire passer son gaz vers l'Europe via la Roumanie. En effet suite à la chute de Bachar al-Assad en particulier suite aux grosses sanctions économiques occidentales, la Russie devrait récupérer toute l'Ukraine au moins donc jusqu'à Odessa, afin de redonner une grande confiance aux pays du Sud Global, dont car elle sera ensuite libre et avait pourtant auparavant réussi à maintenir la Syrie jusqu'à l'abandon des généraux même avec sa guerre en Ukraine, d'où l'importance pour ces pays du Sud Global de s'unir pour contourner de futures grosses sanctions éventuelles comme en Syrie, motiver pieusement leurs troupes et de préparer des militaires à récupérer la place des généraux fuyant. .prendre toute l'Ukraine pour éviter une escalade de troisième guerre mondiale nucléaire dont suite à des frappes ukrainiennes sur des civils avec des missiles occidentaux. Surtout que selon la nouvelle doctrine militaire, suite à l'approbation pour que l’Ukraine utilise des missiles à longue portée, Moscou peut légitimement riposter par le tir de missiles nucléaires contre l'Ukraine, mais aussi contre les bases militaires des pays permettant les tirs longue portée de l'Ukraine. Or « Je tiens à souligner une fois de plus que l’utilisation de telles armes (missiles à longue portée vers le territoire russe) par l’ennemi n’est pas en mesure d’affecter le déroulement des opérations de combat dans la zone de l’opération militaire spéciale. Nos troupes progressent avec succès sur toute la ligne de contact combatif. Toutes les tâches que nous nous fixons seront accomplies. » (Vladimir Poutine, Président de Russie) .si des missiles occidentaux sont trop nombreux vers la Russie, des forces militaires occidentales vont soutenir au sol l'armée ukrainienne ou si certaines de leur piste de décollage permettent à des avions ukrainiens d'aller tuer des soldats russes, tout en voulant préserver le combat au sein du territoire ukrainien dont le Donbass, mais en recherchant au final l'entrée de l’Ukraine dans l'Otan en cas de victoire ou en bombardant des territoires russes, la Russie pourrait après avoir effectué une frappe nucléaire tactique en Ukraine sur un site militaire comme l’île au serpent voire en Europe sur un site vide tel un coup de semonce devant faire prendre conscience sérieusement des énormes risques d'une escalade, régler le problème en rasant nucléairement une petite ville voire des grandes villes d'Ukraine de l'ouest, pour éviter la troisième guerre mondiale (et finir donc quand même par démilitariser, neutraliser et dénazifier l'Ukraine, en sachant que selon les accords de Minsk initiaux, il devait en plus ne plus exister de complexe militaro-industriel, ni de blindés, ni d'Otan, ni de forces armés étrangères en Ukraine), sauf si cela est empêché par les combats et trop nombreux morts d'armées occidentales comme ceux français (surtout que le nombre de soldats de l'armée professionnelle française est insuffisant et donc que la conscription de quiconque pourrait advenir dont des jeunes), voire par un ou des missiles russes frappant la France après que des forces militaires françaises aient frappé les forces russes, voire donc par la Russie ayant réussi à retourner l'opinion publique occidentale contre leurs gouvernements. L'ambassadeur russe à Londres a d'ailleurs annoncé qu’il a été dit à l’ambassadeur britannique que l’utilisation de missiles anglais contre la Russie conduirait désormais la Russie à se réserver le droit de riposte sur des installations militaires britanniques au Royaume-Uni même et dans le monde, ce qui serait encore plus légitime en livrant des armes à des pays tiers pour frapper les intérêts occidentaux. De plus les F16 étant des avions à double casquette (bombes conventionnelles et bombes nucléaires) et, par conséquent, si l’un d’eux intervient dans le ciel ukrainien, la Russie a dit qu'elle tapera sur sa base où se trouvent les aménagements pour le nucléaire, qu’elle se trouve en Roumanie ou en Pologne. .récupérer la Novarussia et conserver la neutralité de l'Ukraine tout en lui demandant donc un changement de régime si un accord n'est pas trouvé. Surtout qu'avec l'invasion du territoire russe à Koursk par les ukrainiens, cela devient de plus en plus possible, quoique cette invasion a servi à multiplier par deux le nombre de volontaires russes, ce qui va à l'encontre de l'espoir ukrainien de déstabiliser la Russie par cette invasion, alors que si les ukrainiens et occidentaux n'étaient pas entrés dans la wokisme dont une de ses particularités est la déconsidération de l'histoire, ils auraient su que ce n'était jamais arrivé en Russie. .et si la Russie est envahie sur son territoire, Poutine peut utiliser la dissuasion nucléaire. Surtout que la destruction des infrastructures électriques ukrainiennes par l'armée russe désormais est un avertissement similaire à l'attaque d'une bombe nucléaire, afin de montrer le sérieux de Poutine concernant sa possibilité d'utiliser l'arme nucléaire pour protéger la Russie et le monde du mondialiste empire americano-wahhabo-sioniste, d'autant plus que possiblement par ordre divin, car la Russie ne peut perdre cette guerre ou plutôt cet empire impie ne peut triompher selon le scénario divin pour l'humanité.
« A ce jour, les atlantistes ont subi une double défaite contre la Russie. Militairement, après avoir fait violemment reculer la Russie dans les premiers mois de cette phase active de la guerre, la Russie a tout d’abord stabilisé le front et avance, lentement mais sûrement. Idéologiquement, la déglobalisation, encore impensable fin 2021, s’installe dans le pays et force les élites globalistes russes encore au pouvoir soit à s’adapter, soit à faire profil bas. L’intérêt pour l’Ukraine n’a pas changé et son importance dans le jeu géopolitique entre le monde global et la Russie n’a pas baissé miraculeusement. C’est toujours l’angle d’attaque pour frapper la Russie au cœur. C’est toujours le conflit primaire, car la Russie présente un danger existentiel et civilisationnel pour le monde global, à la différence de la Chine qui n’est qu’un concurrent commercial. Et c’est bien pour cela que Trump annonce un appel téléphonique rapide avec Poutine, et c’est bien pour cela qu’il ne cesse de parler de négociations, sans rien préciser de concret par ailleurs, pour faire monter et l’intérêt et l’attente. La Russie en aura-t-elle le courage politique et se donnera-t-elle les moyens militaires de sa paix durable ? En tout cas, ce n’est pas Trump, qui va lui offrir sur un plateau. Alors comment régler la question ukrainienne aujourd’hui ? La reconnaissance juridique des nouvelles frontières de la Russie, qui est déjà en soi irréaliste pour l’Occident, laisse de toute manière ouverte la question du reste du territoire. Comment garantir qu’il ne soit pas réarmé (et qu'il soit dénazifié) ? Comment garantir la présence d’un gouvernement politique, qui ne soit pas une marionnette atlantiste et qui ne soit pas dirigé ensuite vers la Russie ? La Russie a le choix de négocier maintenant et de se battre pour les miettes, que Trump voudra bien lui laisser, ou de remporter une victoire militaire et d’établir de faire signer leur capitulation aux armées atlantistes. Ce n’est pas tout à fait la même « paix », qui en ressortira, ni pour la Russie, ni pour le monde. Car dans le premier cas, la globalisation continuera à exister, donc le danger sera toujours présent et le combat reprendra. Dans le second cas, nous pourrons établir un nouvel ordre international, qui ne soit pas celui de la globalisation. » (Karine Bechet-Golovko) Or c'est la résilience économique et sociale des deux partis en conflit qui pourrait désigner le vainqueur. Mais selon Xavier Moreau, la Russie a déjà gagné la guerre en Ukraine, car elle a su défendre ses intérêts stratégiques dans la région. Or il explique que l’Ukraine a été utilisée comme un pion par les États-Unis et l’OTAN dans leur stratégie contre la Russie, et que Moscou a réagi en conséquence pour protéger sa sécurité nationale. « À l’époque de la guerre froide, une équation complexe s’est dessinée. Les puissances occidentales, tels des funambules au-dessus du précipice, ont choisi la prudence plutôt que l’audace. Leurs pas hésitants, guidés par une conscience aiguë du danger, les ont maintenues en équilibre précaire. Nul « esprit de défaite » ne les a paralysées, mais plutôt une inflexible lucidité. Car entrer en guerre ouverte avec Moscou, c’était risquer l’embrasement généralisé, la conflagration nucléaire, l’anéantissement mutuel. Les heures les plus sombres de la guerre froide ont vu les protagonistes se défier, se jauger, mais jamais franchir la ligne rouge(, ce qui paraît beaucoup moins clair aujourd'hui). Les pacifistes, jadis porteurs de l’étendard de la paix, sont même désormais insultés, affublés des étiquettes de « lâches », de « poutinistes » ou de « pétainistes » (par le médiatico-politique). Ironie cruelle, ces épithètes proviennent de ceux-là mêmes qui, tels des architectes de l’obscurité, érigent en France un régime de plus en plus totalitaire et orwellien tout en cautionnant les dérives bandéristes du régime de Kiev. Surtout que ce sont les grands corrompus qui veulent la guerre aujourd'hui, et la guerre mondiale, afin d'enfouir leurs énormes méfaits sous un énorme méfait mondial. Les gens respectables condamnent donc naturellement le génocide en cours en Palestine, quand les non-respectables tentent, sans succès, de nazifier le mouvement pour la paix. Avec ces derniers, on est chez Orwell. Dans la presse française, on est pris en étau entre les injonctions du pouvoir profond et du pouvoir visible – c’est-à-dire le combo CRIF-Macron – et la rue, cette France chrétienne qui ne supporte pas que le fort écrase le faible et en plus accuse le faible de tous les maux. « On l’a vu avec Trump : les pacifistes sont toujours considérés comme des nazis. Celui qui veut l’humanité cuite au nucléaire (péril chinois, russe, arabo-iranien, nord-coréen, etc.) est le héros humanitaire et démocrate et nobélisable. En ordonnant à Sarkozy de détruire la Libye riche de pétrole et antisioniste plus pour le camp américano-sioniste, BHL précisait qu’il le faisait parce qu’il détestait la guerre. Toute ressemblance avec la novlangue, etc. Après la guerre Céline se désignera comme pacifiste. Mais les pacifistes sont alors les nazis, comme Charles Lindbergh et les partisans d’America First en Amérique (Hitchcock les accuse de nazis les pacifistes ricains : voyez mon livre). John T. Flynn reprochera à Lindbergh sa bourde du 11 septembre (tiens, tiens, c’est le jour du honni discours de Des Moines !) lorsque Lindbergh accuse le gouvernement américain, les Anglais mais aussi les Juifs de pousser à la guerre. C’était la fin pour les pacifistes américains, et ils seraient nazifiés ad vitam. Depuis lors toutes les interventions militaires sont jugées favorablement et célébrées en Amérique. C’est le Truman (Harry) chaud qui commence ! Raser et bombarder le monde au nom de la lutte contre la barbarie. Sinon on est nazi. Évidemment on pourrait dire que l’on se paie de mots et qu’on n’ira pas loin. Le grand scénariste Dalton Trumbo était opposé à l’intervention contre l’Allemagne jusqu’au 22 juin 41. Il était communiste, et il croyait au pacte germano-soviétique. Il dit aussi dans une autre lettre notre écrivain : « Je n’ai jamais été nazi. Je suis un pacifiste et c’est tout. J’ai été antisémite par pacifisme. » Cela suffit à diaboliser le pacifisme. D’où les guerres à mort à venir contre la Chine ou la Russie etc. Trump devra faire guerre ou il sera tué et remplacé : par amour de la paix. L’économiste-philosophe-historien-pacifiste juif libertarien Murray Rothbard souligne cette infamie avec le sourire. Mais c’est hélas somme ça. C’est parce qu’on adore la paix partout qu’on veut la guerre, la guerre universelle. Il faut faire un monde sûr pour la démocratie dit le couillon Wilson qui brise l’Europe et crée en 1918 le soviétisme et les conditions du nazisme. Mais rien ne les arrêtera. (Surtout que quand un pacifiste n’est pas traité de nazi, il est traité de lâche. Mais il faut espérer que les peuples contiendront les gouvernements.) » (Extraits de l'article « Céline et la malédiction du pacifisme – Nicolas Bonnal ») Dans ce paysage où la pensée unique s’impose, où les raisonnements binaires se multiplient, la population française a déjà été malmenée lors de l’épisode COVID. Les confinements, les restrictions, les discriminations et les incertitudes ont laissé des cicatrices profondes. Alors que les vents de la guerre se lèvent à l’horizon, il ne fait désormais nul doute que ce caractère totalitaire s’accentuera, tel un étau se resserrant sur notre liberté et notre dignité. Quand les temps se durcissent, les mots se font lames et les discours se muent en armes. Tandis que les tambours de la guerre résonnent, la France retient son souffle, se demandant si elle sera emportée par la tempête ou si elle saura résister. » (François Dubois) Il s'agit donc d'une situation où la troisième guerre mondiale peut se déclarer avec une grosse étincelle, pouvant même être un attentat sous faux drapeau dont de messianistes très égarés, mais heureusement pour le moment les dirigeants des grandes nations comprennent l'immense indignité d'une guerre nucléaire.
Ainsi il se dégage trois options aux réalités extraodinaires : grosse amplification rapide du globalisme messianiste jusqu'au grand reset, changement de paradigme mondial vers le multipolaire voire l'Eden terrestre complété, ou troisième guerre mondiale messianiste à cause des milliards d’aides militaires se débloquant pour l’Ukraine, de la dangereuse immense lutte économique inédite actuellement, d'un combat idéologique semblant à mort, des médias soufflant sur le feu et de l’annonce de Poutine qu’il ira jusqu’au bout pour défendre son pays. Poutine a d'ailleurs dénoncé : « L'Occident n'a pas besoin d'un pays comme la Russie, c'est pourquoi ils ont soutenu la cinquième colonne (sioniste, ultra libérale, Lgbtiste, mondialiste ou/et oligarchique), le séparatisme et le terrorisme en Russie. » « La cinquième colonne et le régime des réformateurs libéraux russes des années 1990 sont synonymes. Ce pouvoir de l’oligarchie russe lié aux États-Unis est devenu une cinquième colonne lorsque Vladimir Poutine a accédé à la présidence et qu’il a redonné à l’État sa centralité et récupéré ce qui lui a été volé par des oligarques souvent d’origine juive. Cette cinquième colonne se divise en deux catégories, selon Douguine : une cinquième colonne qui s’oppose ouvertement à Poutine, notamment par des manifestations de rue ; et une autre, sournoise, composée d’oligarques, de politiciens, de fonctionnaires, d’analystes, d’experts, de dirigeants communautaires, de propriétaires de médias qui ont trouvé le moyen, même en étant atlantistes et même radicalement anti-Poutine, de rester dans le régime politique, après l’arrivée de Poutine et sa politique patriotique. La seconde catégorie, qui est autour de Poutine, qui le soutient, et que Poutine maintient en place, est la plus dangereuse, car elle accompagne ses actions dans le sens des intérêts atlantistes, et parfois même sabote ses réformes et ses mesures patriotiques visant à renforcer la souveraineté russe. » (Youssef Hindi interrogé par le journal « Rivarol ») Ainsi Poutine a déploré que l'Occident ne cherche pas seulement à frapper l'économie russe, mais voulait également créer la sédition et le chaos en Russie. De plus il a déclaré : « On dit que nous avons déclenché la guerre dans le Donbass, mais ce n'est pas le cas. Cette guerre a été déclenchée par l'Occident, qui a soutenu (à notre frontière) le coup d'État armé illégal en Ukraine en 2014, puis le génocide des habitants (russophones) du Donbass. » Dans ce sens Biden a même déclaré que les Russes voulaient le modèle intelligemment neutre de la Finlande pour l'Europe, mais qu'ils ont donc finalement eu le modèle OTAN, surtout que du matériel militaire s'installant un peu partout dans les pays de l'OTAN européens est déjà en cours. Un occidental embargo économique presque total contre la Russie, la fermeture des espaces aériens avec elle, une censure de temps de guerre, une forte propagande de guerre, la rupture imminente des relations diplomatiques, la tentative de vol des réserves d’or de la Russie, l'appel à la création d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine, la remise en cause par la Turquie atlantiste de la Convention de Montreux et la pression de l'OTAN, sont d'ailleurs toutes des actions éminemment anti-russes poussant vers une escalade irréversible des tensions, genre une troisième Guerre mondiale dans l'espoir que comme la Seconde et dans sa suite, ce soit la mise au pas voire la dislocation de la Russie, l'enterrement vivant de l’Europe chrétienne et la réussite du projet mondialiste, oligarchique et sioniste. Comme il a déjà été vu, si la guerre en Ukraine a eu lieu, c'est aussi très probablement car l'hégémonie américaine voulait empêcher les routes modernes de la soie pour lutter contre l'hégémonie chinoise. C'est à dire que la hideuse séparation du mur de Berlin au siècle dernier se reforme à Kiev, mais de manière plus grande. En effet cette fois par le sang des ukrainiens qui en est donc le prix à payer, le rideau de fer tente d'avoir les dimensions d’une Grande Muraille de Fer de 3 500 km allant du golf de Finlande au golf persique pour endiguer l'eurasisme. (En sachant qu'il faut le lier à la ceinture supérieure du Rimland dans laquelle il y a des crises comme en Ukraine, Haut-Karabakh et Xinjiang, coupant le lien entre Europe, Russie, Chine et Iran. Comme ces régions en crise, le Moyen-Orient se trouve sur la bordure de l’ensemble russo-chinois dont les Etats-Unis cherchent l’encerclement, car les projets de grands développements eurasiatiques s’y multiplient et entrent en concurrence avec les USA, provoquant des points de tension. Seule la perspective d’une destruction nucléaire mutuelle freine encore l’escalade meurtrière entre l'Occident et l'Eurasie. Entre les deux mais aussi entre la droite conservatrice lourdement et très négativement sioniste et la gauche pro-palestinienne lourdement et très négativement lgbtiste, la France n’offre plus de troisième voie et se retrouve coincée entre le communautarisme d'une part et des élites vendues au millénarisme globaliste d'autre part. Pour en sortir, elle devra renouer avec sa souveraineté stratégique et rejoindre le concert des puissances réalistes, celles qui placent l’État et le politique au centre de la nation et du système des relations internationales.) Or ce rideau est une catastrophe européenne, mais pas américaine. C'est à dire que cette guerre économique de l’OTAN contre la Russie en Ukraine pourrait bien être aussi un moyen d’essayer d'asphyxier la Chine économiquement en brisant donc une partie des routes de la soie, particulièrement en coupant celles permettant de la tenir éloignée de l’Europe de même que pour la Russie. Il est intéressant de voir à ce sujet l'intéressante vidéo « S'élève la Grande Muraille de Fer » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=26k0GwC9924&list=WL&index=3
Cette nouvelle muraille immense se voit d'autant plus en scrutant les événements dans des pays autour de la Russie : Moldavie, Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan, Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Finlande et Suède. En effet les États-Unis et Israël veulent faire perdre l'influence de la Russie particulièrement dans ces pays limitrophes avec elle, dont en les déstabilisant et en imprimant quelques centaines de millions de dollars pour soudoyer et corrompre leurs élites. Dans ce sens, on peut encore évoquer la campagne médiatique menée par Israël sur la guerre d'Ukraine, qui incite ouvertement à la haine envers la Russie. Par conséquent, le rôle du régime sioniste au côté de Kiev et de Washington au détriment de la Russie ne fait plus de doute. Surtout que le régime d’Israël voulait atteindre les limites du Grand Israël et donc impérativement sortir la Russie de Syrie, et c'est ce qui est arrivé. Lors de la cruciale année 2022, la guerre principale de l’Empire américano-sioniste unipolaire s'est donc révélée sur trois fronts contre le monde non-aligné, à savoir la Russie, la Chine et l’Iran multipolaires ayant de nombreux liens économiques internationaux. C'est pourquoi un nombre croissant de pays ne suit plus aveuglément les Américains mise à part logiquement l’Union Européenne corrompue. Même les pétromonarchies du Golfe diversifient leurs dépendances sécuritaires, dont auprès de la Russie, après avoir essayé d'obtenir le parapluie nucléaire israélien... Le 21 mars 2022, le président Biden ne s’est pas caché de cette lutte d'influence planétaire. En effet devant un parterre de chefs d’entreprises, il a déclaré : « C’est le moment où les choses changent. Il va y avoir un Nouvel Ordre mondial et nous devons le diriger. Et nous devons unir le reste du monde libre pour le faire. » C'est à dire que lors de cette réunion trimestrielle des PDG de la Business Roundtable, un lobby des dirigeants des grandes entreprises américaines dont font partie General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan, Bank of America, Boeing, FedEx, Exxon Mobil, Johnson & Johnson, Joe Biden a annoncé vouloir diriger le nouvel ordre mondial comme s'il ne cachait plus son objectif et motiver les troupes. Ce nouvel ordre pourrait couper le monde en deux blocs hermétiques, c'est à dire via une coupure telle que nous n’en avons jamais connue, sans comparaison possible avec le rideau de fer de la Guerre froide. Ce n'est pas étonnant car l'économie casino qui est déployée depuis des décennies par l'occident ne pouvait mener qu'à cette grande crise mondiale. Or si les nouvelles routes de la soie sont devenues essentielles pour la stabilité et donc le développement voire la survie du monde, mais que des zones de conflit les empêchent dont à cause de l'empire américano-wahhabo-sioniste, il apparaît encore une fois que la réapparition d'un Califat islamique bien guidé est nécessaire dont clairement vu sa positon géographique. L’évolution du conflit en Ukraine est très significative, car donc deux mondes s’y opposent : le monde des pays souverains porté par la Russie et la Chine, et celui de la globalisation écrasée par l’Atlantisme voulant empêcher l’Europe de se rapprocher de la Russie et de la Chine. Même si les armes grondent sur le territoire ukrainien, c'est bien un conflit mondial, car l’existence et la disparition de l’un de ces deux mondes est en jeu, comme le prouve donc la réaction très violente de l’Occident dont à travers son blocus financier et économique contre la Russie. C'est à dire que même selon la Maison Blanche, la Russie est désormais un paria de la globalisation économique et financière. Ce qui prouve que c’est bien un combat pour la globalisation qui se mène, surtout suite à la tentative d’isolement géographique avec la fermeture du Ciel de l’UE et d’autres pays à la Russie, aux sanctions politiques contre les dirigeants russes qui bloquent le fonctionnement d'organisations supranationales comme l’ONU, à l’isolement de la Russie par rapport aux grandes manifestations sportives dont avec l'interdiction de son drapeau, quand elle y participe, au blocage de la diffusion des médias russes dans le monde libre, etc. Dans ce combat de géants, l’Ukraine n’est donc effectivement pas l’enjeu principal, même si elle est une vitrine résumant le combat général et qu'elle a été son détonateur. En effet, c'est un détonateur travaillé depuis des années qui a fini par révéler clairement l'oppressif système géopolitique américano-sioniste unipolaire et donc totalitaire à travers l'oubli wokiste, mondialiste et ploutocratique, puisque ayant montré qu'il refuse l'existence d'un grand pays exemplaire comme la Russie préservant son histoire, ses richesses, ses traditions, sa culture, son autonomie économique et son orthodoxie chrétienne, et donc une grande partie de l'Histoire de l’humanité. Selon l’analyse politique de Christof Lehmann d'il y a plus de dix ans : « Des collègues américains du Pentagone m’ont dit, sans équivoque, que les États-Unis et le Royaume-Uni ne permettraient jamais que les relations entre l’Europe et l’Union soviétique (la Russie) se développent au point de remettre en question la primauté et l’hégémonie politiques, économiques ou militaires des États-Unis et du Royaume-Uni sur le continent européen. Un tel développement sera empêché par tous les moyens nécessaires, c'est à dire jusqu'à provoquer une guerre en Europe centrale s'il le faut. » Voilà, c’est écrit noir sur blanc. Washington ne va pas se laisser faire ni jouer le mort pendant que de nouveaux centres de pouvoir se développent sur la planète. Ce n’est pas ce qui va se passer. Les États-Unis vont identifier les nations qui pourraient leur causer des problèmes et faire tout ce qu’ils peuvent pour les écraser. C’est ainsi que fonctionnent les empires. Ils n’attendent pas qu’on les fasse tomber de leur piédestal. Ils prennent le taureau par les cornes et agissent de manière préventive. Le secrétaire adjoint à la Défense des USA Paul Wolfowitz a d'ailleurs articulé les rouages de la politique étrangère des États-Unis comme suit : « Notre premier objectif est d’empêcher la réémergence d’un nouveau rival, sur le territoire de l’ancienne Union soviétique ou ailleurs, qui représente une menace de l’ordre de celle que représentait autrefois l’Union soviétique. Il s’agit d’une considération dominante qui sous-tend la nouvelle stratégie de défense régionale et qui exige que nous nous efforcions d’empêcher toute puissance hostile de dominer une région dont les ressources seraient, sous un contrôle consolidé, suffisantes pour générer une puissance mondiale. » Cela correspond à la doctrine fondamentale qui guide la politique étrangère des États-Unis, c'est à dire identifier les menaces potentielles à l’hégémonie des États-Unis, puis les anéantir sans pitié.
-grand reset financier recherché prétendument pour effacer les dettes, alors qu'elle seront seulement diminuées avec la condition honteuse que le pouvoir des ultra riches mondialistes augmente beaucoup dont au niveau supranational, même au détriment des autres. Alors qu’en temps normal il suffit d’une petite proposition de loi (liberticide ou antipopulaire) sur un sujet mineur pour déclencher les foudres des syndicats, le soulèvement des partis, les hurlements des députés et les pétitions des people, et que là la France plonge dans les profondeurs d’une crise économico-sociale sans précédent amenant à ce grand reset, l’opposition officielle regarde ailleurs. C’est tellement surréaliste qu’on a du mal à y croire. Rares sont les personnalités politico-médiatiques qui osent dire tout simplement aux Français, en état de sidération durable, ce qu’il se passe vraiment : on bascule dans la tyrannie mondialiste d’une collusion entre multinationales, institutions mondialistes ou européistes et gouvernements corrompus. Ces derniers étaient depuis des années secoués par l’insoumission des peuples dont les gilets jaunes, des peuples régénérés et regonflés politiquement par les échanges horizontaux structurants sur l’Internet, qu’ils ont fini par opter pour le pire : détruire la démocratie (ou ce qu’il en restait) par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, afin de diminuer la contestation, imposer leurs décisions sataniques, appauvrir le pays pour conserver leur pouvoir, étouffer la liberté d’expression pour garder la main sur la parole publique, et actionner la répression à la moindre demande de justice. Avant que ces potentats ne finissent dans les poubelles ou les fosses de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû sortir (mais ils ne sont que le salaire de l’ignorance et de la crédulité des peuples), il faudra résister en bloc, échanger sous les radars et organiser la défense. Dans la guerre désormais ouverte entre une oligarchie déchaînée et les peuple, les français disposent de plusieurs armes : .le nombre : la plupart des Français vaccinés ne l’ont pas fait pour des raisons sanitaires ou parce qu’ils croyaient à la propagande politico-médicale, mais bien parce qu’ils voulaient continuer à vivre normalement ; .les réseaux sociaux : même s’ils sont soumis à une censure inégalée, ils sont acquis à la résistance ; .la rue : les manifestations maintiennent la pression et entretiennent le sens du collectif ; .le travail de conscientisation politique et d'amélioration religieuse. C'est important car comme Jean-Paul Brighelli l'a dit : « Le Covid est la maladie qu’attendait le post-libéralisme. Un prétexte pour restructurer complètement l’économie capitaliste. » En effet il ne s'agit pas d'une remise à zéro de l’économie pour de meilleurs conditions de travail ou de vie, c’est un anéantissement des forces économiques dites traditionnelles pour laisser la place à la néo ou post économie, celle qui satisfait la Banque et le pouvoir profond. Le système veut répandre cela comme une transition vers une nouvelle normalité basée entre la crise financière, le Covid, le vaccin, l'inflation, la sionisme, le wokisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, l'effondrement économique et l'acceptation des peuples. La même chose s’est opérée aux États-Unis au début du 20e siècle quand l’organisation traditionnelle économique, basée sur des cellules de production familiales, a dû laisser la place, par la force et par la publicité (du pseudo bonheur vanté par les magazines), au grand esclavage du travail industriel, qui a fait sortir le fier artisan de chez lui pour le transformer en ouvrier éteint contrôlable par le salariat, cet esclavage rémunéré. Stuart Ewen a décrit ce processus de destruction à la fois sociale, économique et humaine, ce premier Grand Reset de l’époque dite moderne, dans son ouvrage « La Société de l’indécence ». Mais comme cela a au final facilité le progrès scientifique et donc amené le confort, cela n'a donc rien à voir avec la tyrannie oligarchique en plus possiblement populicide du grand reset. De plus ce futur grand reset serait prétendument aussi un changement de paradigme vers un monde numérisé beaucoup plus écologique et moins consommateur dont d'énergie, alors que la demande en pétrole revient fortement et le prix du gaz permettant de ne pas avoir froid l'hiver augmente. Pour s'établir en faveur de la tyrannie du big money, ce grand reset se sert du big tech, du big brother, du big data, du big market, du big buisness, du big bank, du big pharma et du big média. Ainsi toutes les longues crises économico-sociales sont d'abord le seul moyen d'affaiblir les grandes économies et donc nations car cela détruit leurs mécanismes de défense, afin de les faire accepter plus facilement l'agenda du grand reset unipolaire mondialiste dont avec les petites qui suivront servilement, sauf si ces grandes et petites nations s'orientent vers la multipolarité proposée par l'axe russo-chinois. Et comme ce grand reset, qui est un renforcement déguisé du système mondialiste actuel, devra se faire en rapport avec les aspirations populaires, les crises entretenues et donc prolongées comme celles du Covid (occidentale), de l'inflation et de la guerre en Ukraine sont aussi des ingénieries sociales servant à fatiguer les peuples pour diminuer ces aspirations. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'ARNAQUE du Grand Reset » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ&t=328s Extrait de l'interview de Lucien Cerise à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-Nous-allons-entrer-dans-le-royaume-de-la-deglingue-definitive-et-de-l-effondrement-62824.html : « Une ingénierie sociale et une fabrique de l’opinion sont clairement en cours avec la grande réinitialisation de l'économie et de nos cerveaux par le système. Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Son action est le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution. (Dans ce sens, la tyrannie masquée crée le chaos car le peuple réclame toujours l'ordre et donc son autorité, au moins le temps que cette manipulation se révèle clairement, et le pouvoir oligarchique qui est contre les français divise ces derniers pour que lui ne se soit pas considéré comme leur ennemi principal.) En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. Or pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus. Ce que l’on appelle le « risque » est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Selon Ellen Brown c’est ce cercle de représentants des banques centrales des G7 et de Black Rock qui se voit plusieurs fois en semaine à New York qui serait responsable de l’application et de l’extension du confinement Covid et des mesures Covid. Cela s’est passé presque simultanément dans un très grand nombre de pays qui sont sous tutelle des G7 à partir de mars 2020. Donc les explications sociologiques et psychologiques sont intéressantes, mais il faut aussi regarder les conditions économiques et financières qui sont déterminantes. Et arrêtons de trop exagérer l’importance de Davos. Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif. De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire. … Le monde peut donc sombrer dans l’inintelligence artificielle pouvant avoir de bugs ou être trafiquée et le stade terminal de l’idiocratie si les pieux ne s’approprient pas la blockhain et la cryptomonnaie décentralisée synonyme de perfection économique. Surtout qu'avec le covid, le mondialisme supranational ploutocratique peut désigner l’abolition de toute régulation commerciale d'une nation possiblement jusqu'à l'interdiction de la liberté d'entreprendre. » Or avec l’aide des Big Data et des nouvelles technologies, l’OTAN entend même modifier non pas ce que pensent les individus mais leur manière de penser, et ainsi faire de tout un chacun une arme. De même les mondialistes du forum de Davos vont se servir du Big Data pour tenter d’arriver à leur fin comme le prouve cette citation de la revue « The Economiste » qui est lié au Rothschild : « les données sont plus précieuses que le pétrole. » Or comme le Big Bata prouve que l'information est une richesse et les réseaux sociaux la maîtrise de plus en plus, cela signifie que les américano-sionistes et mondialistes la perdent et qu'ils n'ont plus que l'argent comme avantage, et sont donc affaiblis. Dans l'essai « Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle » issu d’un think tank, l’OTAN dresse les contours d’un virage stratégique majeur qu’elle s’apprête à effectuer. Jusqu’à présent, l’organisation transatlantique définissait cinq domaines opérationnels pour ses activités militaires, à savoir : la terre, la mer, les air, l’espace et le cyber-espace. Mais pour les têtes pensantes de cette alliance, les conflits présents et à venir ne seront plus seulement « cinétiques », c’est à dire cantonnés au mouvement et à la destruction physique, mais se situeront (et se gagneront) ailleurs. D'ailleurs la technocratique corporatocratie occidentale des oligarques provient de l'expansion du réseau des ONG et des médias qui a déjà assuré la colonisation d'une grande partie de l’esprit collectif même des anciens peuples captifs de l’Empire soviétique. La « thérapie de choc », l’instauration du régime de libre-échange, l’imposition de prêts exorbitants, la privatisation de masse et la libéralisation des prix ont quant à elles assuré la colonisation économique. Le diktat des vainqueurs de la Guerre Froide après l'effondrement de l'Union Soviétique a imposé le paradigme libéral comme une idéologie unique à caractère axiomatique ayant généralement produit l’uniformisation et la vassalisation du spectre politique dont dans l'espace ex-communiste. L’imposition de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce, à l’Union européenne ou/et à l’OTAN ont achevé le processus de soumission de la plupart de ces pays ex-communistes. La crise des subrprimes, le Covid, les mesures sanitaires, l'inflation, la crise énergétique et la guerre en Ukraine ont elles servi à faire souffrir les peuples occidentaux en particulier européens pour leur faire accepter plus facilement le grand reset, cette utopique convergence ploutocratique d'intérêts d'oligarques pervers au niveau occidental voire mondial. Ce qui prouve que ce sont les pays parmi les plus riches qui sont principalement visés, surtout aussi car leurs peuples sont potentiellement les plus capables de se rebeller et d'empêcher le grand reset mondialiste une fois réveillés ou/et plus soumis. Et vu tout ce qu'aujourd'hui il y a à prendre en compte comme l'évolution scientifique, humaine, religieuse, économique, énergétique et autre, le futur est de moins en moins contrôlable par des think tanks à la différence de Dieu L'Omniscient. Cependant les élites perverses organisant le grand reset lié au progressisme et au mondialisme pensent follement ou veulent faire croire sataniquement que l'Histoire humaine est une évolution illimitée, puisque son but final serait de fusionner notre identité physique, digitale et biologique, dans une forme de transhumanisme numérisé n'ayant pas de limite jusqu'à la robotisation des hommes, et signant donc la fin de la nature humaine. « L'humanité est passé par quatre époques : une époque où le monde vivait sans machine, puis avec des machines, puis avec des machines remplaçant l'homme, puis l'homme devenant (dangereusement) une machine (transhumaniste, en sachant que des microprocesseur ont déjà été installés dans une boîte crânienne). » (Virilio)
C'est pourquoi tout humain en particulier monothéiste doit dénoncer toute cette perverse idéologie mondialiste transhumaniste, surtout qu'elle sera entièrement contrôlée par les oligarchies corrompues.
-néolibéralisme, étant de la régression sociale et historique, puisqu’on efface un bon siècle de victoires populaires – chèrement acquises – contre la Banque. Et là, on ne parle pas des banques de dépôt, même si elles ne sont pas toutes innocentes (voir l’affaire Clearstream), mais des banques d’affaires qui gagnent gros sur la revente des meilleurs morceaux de la France au plus offrant (BlackRock). Et tant pis pour les effets secondaires de cette politique, à savoir la casse sociale : c’est l’État qui gère le merdier, avec de plus en plus de flics, forcément. C’est pour ça que la Banque ne peut pas être patriote : elle est par essence mondialiste, transfrontalière. Les nations, pour elle, sont un obstacle majeur. Il faut soit les soumettre, soit les détruire, au cas où elles n’accepteraient pas son pouvoir. La paupérisation que les Français subissent actuellement, c’est le pendant du profit de la Banque vivant de l'endettement : crise des subprimes, quoiqu'il en coûte Covid, sanctions rétroactives contre la Russie, aide financière à l'Ukraine, etc... Pour prétendument se désendetter, l'État revend même le patrimoine français. Mais qui détient la dette ? À qui profite le crime ? L’ultralibéralisme détruit l’État protecteur des plus faibles au profit des plus forts, des plus riches dont étrangers, même s'ils payent vraiment la taxe foncière. Pour entretenir la "crise sanitaire" en France, les tests PCR et antigéniques ont été une arme redoutable. Leur coût exponentiel a atteint des proportions astronomiques, dépassant les 8,8 milliards d'euros. Pendant ce temps, le coût de construction d'un hôpital est estimé à environ 300 millions d'euros... Ces chiffres révèlent un dysfonctionnement majeur (voire volontaire) dans les priorités gouvernementales, mettant en lumière une gestion chaotique de la crise par le président Emmanuel Macron et son administration. Il est temps de remettre en question les choix politiques et de demander des comptes sur la manière dont les fonds publics sont dépensés.
-démocratie US s'étant construite sur le génocide des amérindiens, participant au génocide des palestiniens et ayant détruit l’Afghanistan, l'Irak, la Libye et la Syrie. En sachant que se la guerre était légitime pour répandre la démocratie, la guerre pour défendre l'ordre de Dieu est encore plus légitime, quoique l'idée de démocratie était importante à propager pour responsabiliser le peuple et éviter les tyrans grossiers, en particulier dans les pays arabes et musulmans.
-en temps de paix autant qu’en temps de guerre, la domination occidentale sur le reste du monde, autant que celle des États-Unis sur leurs alliés, passant par l’instrumentalisation du droit. Ainsi, les tribunaux internationaux ne cherchent aucunement à rendre la justice, mais à confirmer l’ordre du monde et à châtier ceux qui le contestent. Le droit états-unien et le droit européen (extraterritoriaux) servent aussi à contraindre le reste du monde à respecter les politiques de Washington et de Bruxelles.
-lors du dernier sommet du G7 fin juin 2022, choix des dirigeants occidentaux de confier au Canada et à la Carnegie Endowment for International Peace le soin de combattre la propagande russe sur la question ukrainienne. En effet ce recours à une fondation américaine de droit privé pour conduire une mission politiquement aussi sensible étonne. Il s’explique simplement par les liens privilégiés que cette officine entretient avec la CIA et avec le Deep State américain, lequel a trouvé ici un moyen commode de mettre les médias occidentaux sous tutelle. En effet selon les chiffres fournis par le rapport, Facebook et l’Open Society Foundation de George Soros lui ont donné entre 1 et 2 millions de dollars, comme la Fondation Gates, comme Microsoft, comme Google, comme les gouvernement américain, britannique, norvégien, japonais, suédois, allemand, canadien, indien, palestinien et taïwanais. La Carnegie Endowment est en plus dirigée par des éminences démocrates, et son Président jusqu’en 2021, est même devenu directeur de la CIA grâce à l’ancien vice-président d’Obama, devenu entre-temps Président des Etats-Unis. Mais bien entendu, la Carnegie Endowment est présenté comme un think-tank indépendant et non-partisan... On comprend ici que la Carnegie Endowment n’a pas été choisie par hasard par le G7 pour mener la guerre contre la propagande russe, ou plutôt la propagande contre la Russie. Il s’agit d’une structure souple, agile, et parfaitement sous contrôle de l’aile démocrate du Deep State, ce qui n’est probablement pas le cas du Global Engagement Center créé en 2017 pour assumer cette mission, puisque étant délibérément torpillé par les démocrates. En outre, l’ancien président de la Carnegie Endowment peut facilement mobiliser celle-ci pour la charger des missions que la CIA peine à exécuter, faute d’un savoir-faire éprouvé. C’est la conception américaine du soft power : les missions de service public, même lorsqu’elles sont régaliennes, sont confiées à des organismes extérieurs et opaques, dont l’intérêt premier est d’échapper au contrôle du Sénat et de permettre des opérations « spéciales » qu’une démocratie ne peut d’ordinaire se permettre. Le soft power d’un pays repose aussi principalement sur quatre sources : la culture, la qualité économique (dont force économique), les valeurs politiques et la politique étrangère. Or pour diviser la coopération entre la Russie, la Chine et le monde arabo-musulman au profit de l'Occident, les USA utilisent plus le soft power du cinéma et des médias. Par conséquent il est important d'y répondre en partie de la même manière dont pour permettre à travers des chaînes TV des dialogues entre intellectuels et politiciens de divers pays et peuples synonymes de fenêtres sur leurs caractéristiques en faisant attention en ne pas diviser mais coopérer, mais en sachant qu'il est impossible battre celui US, que chaque peuple a sa culture à tolérer voire respecter et à prendre en compte dans le monde multipolaire, et que face à l'hegemon américano-sioniste il vaut mieux privilégier le hard power économique comme la Chine voire militaire comme la Russie, tout en étant ouvert au tourisme quand c'est possible pour faire mentir le soft power mensonger et manipulateur US. Dans la pratique, la Carnegie Endowment prône une gouvernance mondiale où les USA et la Chine joueraient un rôle leader en coopérant pour défendre la paix. Or une certitude se dégage : la stratégie de l’Occident est aujourd’hui en réalité incertaine, car il existe un pôle au sein du gouvernement profond qui préconise une lutte à mort contre la Russie en prenant soin de l’isoler de la Chine. Cette évolution par rapport à la doctrine Kissinger est probablement en cours d’évolution. En effet les Américains, trop sûrs d’eux et de leur domination éternelle, n’ont pas vu qu’ils ne pourraient pas toujours tenir sur tous les fronts à la fois dont de l’Europe de l’est, du proche orient et de la mer de Chine. Ils ont d'ailleurs lâché l'Afghanistan et une partie du Proche-Orient dont en laissant en partie Israël se débrouiller avec ses voisins.
-États-Unis bafouant le droit international en voulant confisquer les avoirs russes pour financer l’Ukraine, ce qui serait un dangereux précédent dont car légitimement la Russie y répondrait proportionnellement. D'ailleurs Maria Zakharova prévient dans ce sens que la réponse de la Russie à l’utilisation des avoirs gelés pour l’Ukraine sera extrêmement préjudiciable pour Bruxelles. Elle affirme que la Russie dispose de suffisamment de biens et de fonds européens, laissant entendre que l’Europe devra d’abord payer le prix de ses « folies » avec son propre portefeuille. Or l’Union européenne a annoncé en septembre 2024 un prêt de 35 milliards d’euros à Kiev financé par les avoirs gelés russes. Il ne fait aucun doute que le projet du G7 de s’approprier l’argent russe dans les banques occidentales était déjà assez mauvaise, mais en utiliser les intérêts pour financer les besoins de l’Ukraine est, pour le moins, un acte de brigandage. Les États-Unis ont tout à gagner si le gel actuel des relations entre la Russie et l’Europe atteint un point de non-retour, car l’Europe est sûre de supporter le poids des représailles de Moscou. Si le G7 adopte une telle mesure, il affaiblira le système financier mondial. En violant effrontément le droit international, le G7 créera un précédent qui sapera la confiance dans les institutions européennes. Il sera intéressant de voir comment les dirigeants du G7 expliqueront aux pays «d’ouverture», issus en grande partie des BRICS, que la Russie est une exception et qu’une telle pratique ne sera pas un jour utilisée contre l’Inde, la Turquie, l’Arabie saoudite ou tout autre État.
-France créant la monnaie de 15 pays africains et oppressant donc ces pays souvent jusqu'à l'appauvrissement pour bénéficier massivement de l'exploitation de leurs ressources, puisque les crédits (principal moyen de développement) accordés à ces pays sont seulement validés par la France voire l'Union Européenne dans une forme d'esclavage à cause de ce pervers privilège de création monétaire étranger, et sont souvent usuriers, insuffisants, ou en partie volés par la corruption politique africaine.
-Banque ayant conseillé la Grèce tout en pariant contre elle.
-agents d'influence (généralement des oligarques mondialistes) en faveur de l'étranger contre son propre pays souvent pour des intérêts personnels même en Russie dont lors du covid.
-crises des subprimes de 2008, Covid et grave augmentation du prix de l'énergie à cause de l'UE pour l'électricité et de la guerre provoquée par l'Ukraine pour le gaz amenant, en particulier à travers une grosse inflation et de nombreux licenciements et fermetures d'entreprises, une grande crise voire une profonde domination économiques et donc politiques sur la France et d'autres nations.
-dumping qui est une pratique consistant à vendre sur les marchés extérieurs à des prix inférieurs à ceux du marché national, ou même inférieurs au prix de revient, et qui est au cœur des tensions économiques actuelles. En effet la Chine, en particulier, utilise cette stratégie pour inonder les marchés mondiaux de produits à des prix imbattables, mettant en péril les industries locales. Cette pratique, bien que critiquée, reste redoutablement efficace. La Chine, considérée comme l’atelier du monde, produit une multitude de biens à des coûts extrêmement bas. Cette capacité de production massive et bon marché est due à plusieurs facteurs, notamment les subventions gouvernementales, les faibles coûts de main-d’œuvre, et des normes environnementales moins strictes. Cette stratégie permet à la Chine de dominer divers secteurs, allant des jouets électroniques aux panneaux solaires. Le dumping chinois a des répercussions majeures sur les économies locales. En Europe et aux États-Unis, de nombreuses industries ont été décimées par la concurrence chinoise. Par exemple, l’industrie textile américaine a vu ses activités divisées par deux depuis la fin des années 90. En France, des entreprises emblématiques comme Thomson et Seb ont dû se réinventer ou céder face à la montée en puissance des produits chinois. Face à cette menace, plusieurs pays ont mis en place des mesures protectionnistes. Les États-Unis ont augmenté les droits de douane sur les produits chinois, tandis que l’Union européenne a également relevé ses tarifs. Ces mesures visent à compenser les prix bas et à protéger les industries locales. Cependant, ces actions ne sont souvent qu’un pansement temporaire. Pour contrer durablement le quasi-monopole chinois, il est crucial de réduire la dépendance aux produits chinois.
-ministre européiste Colonna, aligné sur les Américains, menaçant le Niger, sans se rendre compte qu’il outrepasse les lois internationales avec son ingérence dans les affaires intérieures d’un autre pays. Il est étonnant de remarquer que de plus ou moins loin, le retour du souverainisme en Afrique (Mali, Burkina Faso, Niger, etc) fait suite à la guerre en Libye. D'ailleurs finalement, les États-Unis ont formellement qualifié la prise de pouvoir des militaires au Niger cet été de « coup d’État » et annoncé, en conséquence, la suppression de quelque 500 millions de dollars d’aide économique. Or le Niger a appris à être résilient puisque l’héritage de la France de 100 ans de domination (néo)coloniale sur le Niger correspond à fournir 10% de l’électricité française par de l’uranium de pays africain, tandis que 85% de la population nigérienne n’a pas accès à l’électricité. Jusqu’ici les maîtres chanteurs oppressifs que sont les USA croyaient pouvoir se faire une place au Niger après le départ de la France et de ses institutions de ce pays, mais les choses ne se sont pas passées comme le prévoyait l’administration américaine. Les États-Unis ont conclu qu’un coup d’État militaire avait eu lieu au Niger. Conformément à l’article 7008 de la loi de crédits annuelle du département d’État, les États-Unis suspendent la plupart de leurs aides au gouvernement du Niger après avoir temporairement suspendu certains programmes d’aide étrangère au gouvernement du Niger, totalisant près de 200 millions de dollars. Or après l'AES (Alliance des Etats du Sahel : Niger-Mali-Burkina Faso s'émancipant vers la souveraineté totale grâce à la Russie), le rêve des États-Unis d’Afrique se dessine. Et il serait donc étonnant que les pays musulmans ne s'unissent pas dans une fédération synonyme de califat, alors que les USA, l'URSS (devenue en partie la Russie), l'UE, la Russie, et possiblement bientôt l'Afrique y soient parvenus. En effet à travers le monde, il y a un changement de paradigmes africain (contre le néocolonialisme occidental, culturel, économique, philosophique), européo-centriste, droite- gauche (contre Lgbt et wokisme) : les peuples reviennent à des réalités et à l'ordre naturel suite à avoir été occultés par l'universalisme idéologique laïciste (coup d'état républicain) pendant des années, qui refuse même les référendums, car il sait que le peuple va gifler son système. C'est un prolongement voire une similitude avec les changements de la guerre civilisationnelle en Ukraine, que souhaitent évidemment gagner la Russie, mais aussi l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du sud, car leurs valeurs naturelles sont similaires à celles de la Russie et en opposition à celles inversées de l'Occident Politique : c'est la civilisation coca-cola et Lgbt contre la civilisation des icônes et de la vertu, mais aussi la fin de l'ordre solide établi après 1945 dont grâce au droit international sérieux.
-Zelenski avec son alliance aux néonazis ukrainiens suprémacistes et Nethanyahou avec son parti Likoudnik suprémaciste juif étant les principaux risque de troisième guerre mondiale, alors qu'étant donc tous deux basés sur une radicale vision inégalitaire, raciale et illusoirement hégémonique puisque à une époque d'armes nucléaires. Pour régler ces problèmes, Poutine pourrait laisser les israéliens qui le veulent abandonner la Palestine pour recréer une Khazarie vers Odessa, puisque les ashkénazes sont issues de cette région, mais en la démilitarisant comme l'Ukraine.
-possibilité de fusion entre l'Otan et de l'UE pour plus de coercition mondialiste dans le futur.
-Banque ne voulant pas renoncer à (ni même diminuer, ou échelonner plus largement) ses intérêts sur la dette, et étant prête à démolir les services publics, le patrimoine de ceux qui n’en ont pas, pour conserver son argent mal gagné dont car provenant de prêts créés ex-nihilo.
-refus de nettoyer l'influence des entreprises massives (dont multinationales et banquières) sur les gouvernements, et la capture des agences de réglementations par ces entreprises.
-principe écologiste de la raréfaction des ressources ravissant les mondialistes ultra riches puisque pour eux, rareté signifie hausse des prix à leur profit et exclusivité à pouvoir se les payer toutes. D'ailleurs la COP 29 (Conférence sur les changements climatique 2029), qui se déroulait en Azerbaïdjan, a pris une tournure inattendue dans ce type d'arnaque écologique. En effet les délégations africaines et asiatiques ont décidé de quitter le sommet en raison de propos jugés inacceptables de la part des pays occidentaux, car ces derniers, en particulier ceux européens, ont proposé une redistribution de la richesse mondiale via des quotas carbone. C'est à dire que cette proposition visait à limiter la production économique des pays pauvres au profit des pays riches. Les délégations africaines et asiatiques ont jugé ces propos inacceptables, estimant qu’elles étaient victimes d’une injustice flagrante.
-Union européenne étant l'imposition de lois sociales et sociétale aux nations leur permettre de rester dans le marché européen des ultra riches. Il faut donc sortir de l’Eurosystème et de la Banque centrale européenne pour sauver la France authentique ou au moins raisonnablement monothéiste.
-cause de nombreuses pertes d'emplois et faillites à cause de l'obéissance aux règles stupides du marché européen et aux lois quasi religieuses de la Commission Européenne tels le prix de l’électricité à cause du marché européen de l'électricité ayant limité EDF, le devoir de payer pour certifier qu'un produit est produit en France, et l'absence fréquent de droits de douanes.
-commission européenne voulant regrouper les dettes des pays européens dans une forme encore plus supranationale donc esclavagisée et tyrannique. Pour l'économiste Tom Benoît, la souveraineté nationale et la liberté des médias sont essentielles pour garantir la stabilité économique et financière. Cet économiste explique que la crise de l’Euro est insidieuse et que l’élite européenne pousse à une dette à l’échelle européenne. Il critique la politique de Michel Barnier, qui, selon lui, ne fait que perpétuer un système de surendettement sans proposer de véritables solutions. Il souligne l’importance de réaliser un audit complet sur l’origine exacte de la dette extérieure du pays pour comprendre où va l’argent. Tom Benoît souligne que la mondialisation atteint son paroxysme, avec des échanges mondialisés et une économie locale territoriale protégée de plus en plus rare. Il critique le néolibéralisme, qui a conduit à une oppression accrue et à une destruction des nations, des cultures et des modes de vie traditionnels. Selon lui, le système actuel est plus puissant que jamais, malgré les crises récurrentes.
-multinationales dont banques pouvant faire apparaître leurs bénéfices où elles veulent, c'est à dire dans les territoires où les impôts sont faibles voire inexistants, ce qui ne les fait pas participer au développement des pays. Dans ce sens pour retrouver la souveraineté nationale, il est impératif de contrôler la monnaie en recréant le Franc et de détruire la banque centrale indépendante, car c'est évidemment l'état qui doit contrôler et administrer l'espace financier, alors qu'actuellement c'est le privé parfois derrière un état étranger qui s'en occupe. Il est donc important de changer de grands acteurs financiers. Surtout que sinon les grande entités financières corrompues perdurent même sans les états au point de sécuriser des ports avec des milices privées quand un pays est déstabilisé par la guerre civile, dont à cause de mercenaires payés par ces entités pour former des groupes djihadistes.
-Europe et donc France se réveillant avec la gueule de bois après l'élection de Trump, en ayant tout misé sur les démocrates, c’est-à-dire la guerre, le woke, le vaccin, la finance internationaliste et le mondialisme. Ce qu’il faut, pour tenir tête à l’Amérique et à la Chine, c’est tout simplement des Trump européens et une Europe des nations. Surtout que vu la large victoire de Trump lors de sa réélection, cela signifie que le républicanisme trumpiste va durer longtemps aux USA et que la guerre civile est écartée. En sachant que cette réélection de Trump dont par Robert Kennedy, Elon Musk et même le système comme le Grand Capital était logique car cela correspond à la fin d'un cycle qui était celui du mondialisme oligarchique wokiste, surtout face à la création des BRICS et donc au risque même pour les très riches états-uniens de ne plus rien gagner, de même qu'au risque de guerre civile ou au risque de fin des Etats-Unis suite à une cessions d’états. Et dans ce sens c'est pour le mieux, d'autant plus que Trump correspond au véritable social, puisque sa politique est basée sur la production réelle des entreprises, les valeurs traditionnelles (fondamentales) et la culture générale, alors qu'Harris correspond à la perversion du sociétal, puisque sa politique allait être basée encore sur la production fictive de la finance, le wokisme lgbtisme et la culture du spectacle abrutissant. Mais Harris était aussi la candidate de l'empire US, alors que Trump était le candidat de la nation US, ce qui n'a rien avoir. En sachant qu'Hollywood correspond à de la création de richesse par la fiction, alors que Trump correspond à la création de richesse par le réel. Il faut noter qu'Harris d'origine indienne aurait pu être une figure diplomatique de premier ordre pour tendre vers un commerce pacifique international et multipolaire dont par rapport aux BRICS et via le futur rôle possiblement important de l'Inde en particulier pour concurrencer la Chine, surtout elle avait pris en compte le conservatisme des électeurs de Trump en cas de grand score de ce dernier malgré sa défaite. Mais pour le sud global en particulier suite à la trahison du noir Obama dont car ayant voulu installé la gay pride même en Afrique, le chef crédible et légitime des USA demeurait Trump comme Poutine pour la Russie, surtout que face au wokisme la question sociétale devenait de plus en plus urgente dont en Europe, et que pour l'UE l'oppressante tutelle US devait s’arrêter. En sachant que le mépris des électeurs de Trump par le système médiatico-politique, au point de devenir une forme de racisme autorisé puisque de gauche, a été leur principal carburant électoral jusqu'à un grand écart entre républicains et démocrate, et que le système à notre époque très médiatique dont aux niveaux des analyses de la politique a rapidement confirmé son élection. Or c’est d’abord une superbe, précieuse et très intéressante victoire des réseaux sociaux contre le système médiatico-polique occidental wokiste et lgbtiste ! Le message politique de Donald Trump après sa victoire est clair : il s’agit de la reprise de contrôle du pays par les Américains dans la grandeur. En effet cette réélection de Trump marque la fin du mondialisme hégémonique US au profit de l'isolationnisme national US, la victoire du protectionnisme par rapport au libre-échange, la fin de l'immigration illégale massive, la maîtrise sur le pouvoir profond, la fin de la déconnexion des élites et l'establishment, la victoire du patriotisme et de la souveraineté nationale, l'affaiblissement de l'Otan, la fin du Mondialisme par le wokisme lgbtiste et par le bellicisme dans ce sens, le refus de la dilution du patriotisme et de l'identité naturelle et traditionnelle par le wokisme, la fin du cauchemar orwellien qu'est le gauchisme woke internationaliste, la paix par rapport aux faucons dont en Ukraine, la justice contre la corruption, la fin de l'oppression de Big Pahrama et de l'OMS, l'affaiblissement du néoféminisme car une femme n'est toujours pas arrivé au pouvoir aux USA (les nombreuses célébrités du monde du spectacle ayant supporté Harris n’auront servi qu’à une chose : rassurer ou conforter son public cible, car cela a aussi fait fuir les derniers indécis qui attendaient du sérieux ; et c'est aussi parce que les femmes sont plus émotionnelles que les hommes et qu'elles font donc souvent de la politique comme ça, à la Hidalgo ou à la Kamala, qu'elles deviennent rarement voire qu'elles ne doivent jamais devenir dirigeantes en particulier des plus puissantes nations. En sachant que si Harris étaient passée, elle n'aurait été liée à un pouvoir profond de femme mais plutôt soumise à un pouvoir profond d'hommes blancs anglo-saxons de plus de 50 ans, que les femmes suivent souvent plus leur mari que l'inverse, qu'une addition de minorités en plus souvent incompréhensibles voire délirantes et terrifiantes ne fait pas la majorité ni une nation même en mettant le féminisme plus en avant, que le combat sociétal concernant l'avortement, le sexe, la race, les gros et l'âge ne correspond évidement pas à un programme politique dont puisque la base vitale d'une nation ne peut être que la famille traditionnelle, que sa défense d'un monde lgbtiste ne pouvant clairement pas maintenir le monde était voué à l'échec dont à cause de l'hystérie fréquente des personnes Lbgt, que Trump accompagné sa femme Melania élégante, distinguée et catholique s'est adressé aux citoyens par rapport à la question économique, sécuritaire, libertaire et industrielle, dont à travers la fin de la bien-pensance wokiste ou inclusive, tel le représentant de l'énergie vitale du peuple ayant en plus finalement par exaspération fait unité contre ce wokisme et cette perverse inclusivité, que la marginalité de masse ne peut évidemment pas non plus faire société, et que les gauchistes wokistes et lgbtistes qui critiquent encore le bon réveil des peuples du monde vers les valeurs traditionnelles suite à la très large victoire de Trump sont en réalité tels des fous isolés dans leur camisole de force et leur chambre individuelle au sein d'un hôpital psychiatrique), la fin de la mauvaise santé (avec R. Kennedy), le retour à la liberté d'expression plus grande (avec E. Musk), l’affaiblissement de l'UE, la fin du déclin occidental, et donc le triomphe des nouveaux médias et réseaux sociaux sur les médias traditionnels. Dans ce sens le duo de choc Musk et Ramaswamy a même été choisi pour un gouvernement plus léger, agile et efficace. En effet Donald Trump a nommé Elon Musk à la tête d’un ministère inédit dédié à l’efficacité gouvernementale, surnommé « Doge ». Ce duo audacieux, Musk et Ramaswamy, a aussi pour mission de réduire la bureaucratie fédérale et d’économiser 2 000 milliards de dollars, avec pour objectif un gouvernement plus léger d’ici 2026. Et le richissime propriétaire de X et patron de Space X et Tesla, soutien inconditionnel de Trump pendant la campagne, a donc été désigné par le président élu des États-Unis à la tête de ce ministère nouvellement créé, pour « démanteler la bureaucratie gouvernementale, sabrer les régulations excessives, couper dans les dépenses inutiles, et restructurer les agences fédérales », a déclaré le président élu dans un communiqué. Sur X, Guillaume Kasbarian a commenté, en anglais : « Félicitations pour avoir accepté ce super défi @elonmusk ! J’ai hâte de partager avec vous les meilleures pratiques pour lutter contre l’excès de bureaucratie, réduire la paperasse, et repenser les organisations publiques pour améliorer l’efficacité des agents publics. » Les réactions aux remerciements adressés par M. Kasbarian ont rapidement afflué. « On pensait que le trumpisme en France se limitait à l’extrême droite. Pour la députée « insoumise » Gabrielle Cathala ce message annonce « le programme de Kasbarian : privatiser, enterrer les services publics, démanteler l’État au profit des plus fortunés ». « La Macronie sombre chaque jour un peu plus dans la collusion avec l’extrême droite autoritaire et violente », s’inquiète la députée du Val-d’Oise. Ensuite cette victoire signe – enfin ! – la défaite du camp néo-conservateur et des bellicistes qui empoisonnent la politique américaine depuis des décennies avec leur interventionnisme militaire, leurs invasions, leurs ingérences incessantes dans les affaires des autres Etats. Ceux qui ont organisé le coup d’Etat de Maidan en Ukraine en 2014, les Victoria Nuland, Robert Kagan, Hunter Biden, le fils du président impliqué dans la corruption du groupe gazier ukrainien Burisma, John Bolton et le pire d’entre eux, Antony Blinken, véritable va-t-en-guerre déguisé en diplomate, s’en trouveront pour leurs frais. Le pouvoir de nuisance de cette très influente clique va s’en trouver fortement réduit. C’est une bonne nouvelle pour la démocratie aux Etats-Unis mais aussi hors des Etats-Unis.
-forum de Chisinau, édition 2023, intitulé « Agenda 21 de l’ONU et Great Reset. La chute du libéralisme à la technocratie et au transhumanisme » ayant été massivement organisé. Nous sommes différents en ce qui concerne l’ethnicité et la citoyenneté, en termes d’appartenance religieuse ou non religieuse, en tant que vision sur des aspects particuliers de la situation internationale d’aujourd’hui. Mais nous sommes unis dans notre lutte métapolitique contre la tyrannie mondialiste qui pousse le monde dans une réalité génocidaire et l’esclavage des survivants dans une prison mondiale dystopique.
-sur les 100 milliards qu'envoie les USA annuellement à Israël, 100 millions revenant via le lobby juif AIPAC pour arroser et donc influencer le vote des politiciens US.
-en Allemagne, députés ayant adopté une résolution contre l’antisémitisme liant honteusement la protection des juifs à la défense d’Israël.
-ultra libéralisme qui empêcherait la plupart des nations à être concurrentes économiquement avec la Chine surpeuplée même en renonçant à tous leurs droits sociaux, tout comme en boxe on ne demanderait pas à un poids plume de monter sur le ring face à un poids lourd.
-cartels mexicains transformant des produits chimiques fournis par des laboratoires chinois en opioïdes synthétiques pour les introduire aux États-Unis. La production et la distribution de cette drogue mortelle ont suscité de vives inquiétudes à l’échelle internationale. En effet, le Fentanyl est responsable de la mort de dizaines de milliers d’Américains chaque année. Malgré les appels à la Chine pour qu’elle réprime les réseaux de production de produits chimiques précurseurs, la coopération entre les États-Unis, la Chine et le Mexique en matière de lutte contre la drogue reste minimale. Ce qui montre que les élites mondialistes malthusianistes travaillent avec le pires mafias. D'ailleurs McKinsey & Company, l’entreprise de conseil en gestion de renommée mondiale — celle qui a organisé la politique vaccinale du gouvernement français —, a joué un rôle significatif dans la promotion de cette drogue. McKinsey a conseillé des fabricants d’opioïdes tels que Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson et Mallinckrodt sur la manière d’augmenter leurs ventes, malgré l’indignation publique croissante face à l’épidémie d’opioïdes. Pour ne rien arranger aux suspicions, l’équipe de recherche de l’Université du Montana qui travaille sur le vaccin contre le Fentanyl est dirigée par Jay Evans. Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que Jay Evans a passé 15 ans chez GSK (GlaxoSmithKline), une grande entreprise pharmaceutique qui a fabriqué et distribué du Fentanyl. Cette connexion entre Evans et GSK soulève des questions sur les intérêts de la recherche pour lutter contre les effets dévastateurs du Fentanyl. Ce serait une façon de gagner sur tous les tableaux pour GSK. C'est pourquoi même si pour les 700 000 décès d’overdose de Fentanyl, McKinsey a versé une amende de 650 millions de dollars pour éviter un procès, ça arrange en réalité l'oligarchique système désormais malthusianiste puisque avec la robotisation et l'IA les ouvriers ne sont presque plus nécessaires, surtout que si tous ces mort ont acheté plus de 1000 euros chacun de Fentanyl, MacKinsey n'a pas perdu d'argent.
-presse ukrainienne affirmant que ce sont les occidentaux (dont très étonnamment la commission européenne car se disant pacifique) qui en réalité empêchent les négociations de paix avec la Russie, probablement car sinon l'Ukraine ne recevra plus subventions et s'effondrera grandement.
-alors que des pressions avaient été effectuées par l'occident envers la Russie concernant la protection des pays les plus pauvres, Vladimir Poutine a déclaré : « Dans le cadre du Programme alimentaire mondial des Nations unies, qui vise précisément à aider les pays les plus nécessiteux, seuls deux navires ont été chargés. Je répète : seulement 2 sur 87. Ce ne sont que 3 %, qui ont été envoyés aux pays en développement (car les autres ont été volés par les européens). Je veux dire que de nombreux pays européens ont agi comme des colonialistes au cours des décennies et des siècles précédents. Ils continuent d’agir de la même manière aujourd’hui. Une fois de plus, ils ont simplement trompé les pays en développement et continuent de les leurrer (malgré un risque de famine massive répandue dont aussi en ayant détruit un oléoduc d'ammoniac très important car servant à la minéralisation massive d'engrais). »
-comme on le voit avec la crise du gaz russe et la hausse des produits pétroliers, État stratège devenu une illusion au profit du mondialisme. Surtout qu'en imprimant seulement des euros, l'UE, a une production virtuelle, alors qu'en exploitant ses ressources de matières premières, la Russie a une production réelle.
-USA se servant des autres nations dont de leurs alliés exclusivement comme des outils pour leur propres objectifs, même si cela doit aller jusqu'à l'affaiblissement économique voire la destruction militaire de ces nations.
-nombreux scandales entourant l’aide humanitaire. Les chiffres donnent le tournis ! Par exemple : sur les 28 milliards de dollars d’aide humanitaire collectés durant les six premières années de guerre (soit presque l’équivalent de 200 dollars par an pour chaque habitant), 32 000 tonnes de blé américain ont été détruites car impropres à la consommation, 3 000 tonnes de nourriture ont été contaminée et balancée en 2019 et début 2020 alors que 80% des enfants étaient en besoin urgent d’aide humanitaire... Ainsi malgré que le marketing fonctionne très bien puisque les aides abondent, pourquoi le Yémen reste t-il plongé dans cette grave crise humanitaire ? Romain Molina précise : C’est une excellente question que beaucoup d’activistes, économistes et humanitaires yéménites ont posée depuis des années. Avec autant d’aide humanitaire, comment expliquer qu’il n’y a pas de progrès et que, pis encore, le Yémen s’enfonce peu à peu dans une crise humanitaire sans précédent ? Bien entendu, l’aide humanitaire ne peut résoudre une situation totalement, surtout en temps de guerre, et les complications sont nombreuses. Il serait bien trop facile de rejeter la simple faute sur les agences onusiennes, mais de nombreux soucis existent qui impactent directement l’aide promise aux Yéménites. Nous avons documenté des cas de nourriture avariée, pourrie, les milliers de tonnes de nourriture jetée à cause d’un stockage permissif ou de dates de péremption passées... Il y a un consensus, du nord au sud, sur l’incapacité des agences onusiennes à gérer correctement les flux alimentaires, notamment World Food Program, dont certains produits, au lieu d’être donnés à la population, se retrouvaient même au marché noir. Nous avons aussi obtenu des documents internes à WFP sur les sommes réservées au Yémen : c’était le plus gros programme de donation, mais de très loin ; on est sur des milliards. Pour au final, quoi ? Alors, évidemment, les seigneurs de guerre et autres personnes avides au niveau local en profitent. Il y a aussi des soucis de stockage, peu d’entrepôts permettant de garder les aliments en bonne condition, sans compter les aléas de la guerre, les retards au port quand les marchandises arrivent. Cependant, après avoir discuté avec beaucoup de gens dans ce milieu, une question arrive : est-ce que le programme de WFP est réellement adapté pour aider les gens ? Est-ce que ces donations, par milliards, ne seraient pas plus utiles si elles étaient injectées aussi dans l’économie locale, a fortiori d’un pays comme le Yémen disposant de terres agricoles ? Est-ce que faire tout ce chemin et avoir autant de coût logistique est utile ? La plupart des donations termine ici : transport, logistique, frais, salaires gargantuesques des expatriés, etc. Et le pire, dans cette histoire, c’est qu’il y a une caisse noire – on en est sûr, mais on est seulement à 95 % sur la personne en bénéficiant principalement à l’ONU, donc nous continuons d’amasser des preuves ! On va refaire des spots marketing montrant des enfants chétifs, avec la peau sur les os, pour dire « le Yémen souffre de famine » afin d’inciter les donations. Mais qu’est-ce qui est réellement fait avec ces donations ? Et comment expliquer que Martin Griffiths, ancien envoyé spécial de l’ONU au Yémen, ait pu bénéficier d’une promotion comme chef de l’humanitaire de l’ONU avec un tel bilan et un tel gaspillage ?
-USA pouvant agrandir sans fin leur endettement puisque ce sont eux qui impriment le dollar et l'impose par les armes, mais en corrélation avec le risque de grandes dévaluation monétaire ou inflation économique.
-compétition ligue des champions de foot participant à une ascendance qualitative de l’Angleterre, de l’Espagne, de l’Allemagne, de l'Italie et de la France et donc de l'Europe de l'Ouest sur l'Europe de l'Est voire sur le monde, alors qu'il s'agit principalement d'une question d'argent.
-construction européenne qui a été faite dans le dos des peuples des années 50 jusqu'à Masstricht, ayant été initiées par deux individus proches des Etats-Unis, Robert Schuman et Jean Monnet qui étaient rétribués par la CIA, plus personne ne le nie.
-Union européenne que ne lâchera pas ou orientera Davos, car elle est devenue, suite à la fin des tarifs douaniers extérieurs communs, une annexe du marché planétaire de masse mondialiste, puis via la commission européenne, une intégration économique dans le privé sans État car organisé autour de bureaucrates non élus plus synonyme de PDG et de gourous, alors que c'était au départ une coopération de nations qui aurait mieux fait de devenir une confédération. L’un des signes les plus frappants de l’antichristianisme de l’Union européenne est que sa Constitution ne commémore pas les racines chrétiennes de l’Europe, comme l’ont relevé les papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Cela n'évoque que les traditions gréco-romaines et des Lumières, mais pas du christianisme. Étienne Chouard explique que le Parlement européen est colégislateur avec le Conseil, qui est composé de membres de l’exécutif au niveau national. Cette situation va à l’encontre du principe de séparation des pouvoirs, qui protège les libertés publiques en affaiblissant et en contrôlant les pouvoirs pour qu’ils se fassent peur les uns les autres et nous protègent contre les abus de pouvoir. Le Conseil est donc composé de membres qui, quand ils prennent le train pour se déplacer dans les institutions européennes, enfilent un costume de législateur, alors qu’ils font partie des exécutifs qui contrôlent la police et l’armée. Il souligne que le pouvoir exécutif est le pouvoir le plus dangereux, car il détient la force armée, et qu’il doit être le plus astreint et le plus surveillé. Cependant, dans les institutions européennes, le pouvoir exécutif s’est arrogé le droit d’écrire les constitutions, ce qui est une aberration, car la Constitution devrait être écrite par les représentés pour protéger leurs libertés contre les abus de pouvoir. Étienne Chouard rappelle que le contrat social d’une Constitution se fait entre les représentés, à un moment où il n’y a pas encore de représentants, et qu’il est important de décider si nous voulons des représentants qui seront nos serviteurs ou nos maîtres. Il est également important de décider de la durée et de la nature de leur mandat, ainsi que de la manière dont ils seront désignés, élus ou tirés au sort.
-Union européenne centralisant le pouvoir au service de la haute finance et des multinationales, et donc du privé. Cette UE, massivement infiltrée par les tentacules de l'oligarque George Soros, est qualifiée à juste titre de système le plus corrompu au monde par le Premier ministre hongrois Viktor Orbàn. Il faut noter que l'Hongrie d'Orbàn est souvent critiquée négativement par la commission européenne alors qu'il a été élu à plus de 55 %, ce qui est grandement plus légitime que 30 000 fonctionnaires et 27 commissaires que personne n'a élu et dont beaucoup ne sont pas connus. De plus les directives de la commission européennes sont toujours plus lourdes, contraignantes, formalistes et uniformisantes, ce qui entravent la compétitivité économique sur la scène mondiale. Or dans tous les domaines qui ne sont pas de compétences européennes, la commission européenne a trouvé un biais que sont l'Etat de droit et les valeurs (sans jamais les définir très clairement mais étant de plus en plus laïcistes, wokistes et donc perverses) permettant d'intervenir dans les politiques internes de tous les Etats membres. C'est pourquoi de plus en plus d’États veulent désormais s'orienter vers une Europe des nations (dont aussi vu les langues, histoires et cultures différentes entre chaque nation, en sachant que la filiation formant en grande partie une nation est importante pour en faciliter la cohésion) plutôt que de continuer à faire de l'union européenne un État centralisé bruxellois. « Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial. Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des USA, revoyez votre copie. Washington, leur a demandé d’y aller doucement avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ». Ça devrait éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que par exemple l’Iran, la Syrie et le Venezuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder. Quand vous vous faites abîmé les sinus par un test RT-PCR, savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Et bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates. Souriez, vous êtes tracés. La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » (au cas où vous perdriez le nord) afin de traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets. Bientôt, vous serez l’heureux propriétaire d’un portefeuille d’identité numérique européen, couplé avec votre passe vaccinal, avec votre photo d’identité cachée dans votre QR code. Il s'agit d'une prétendue identité fiable et sécurisée pour tous les Européens, alors que servant d'abord la surveillance généraliésé. Le Grand Reset écrit par Klaus Schwab explique les plans de l’oligarchie mondiale. L’un d’entre eux décrit qu’il ne subsistera, dans peu de temps, que 3 ou 4 grands groupes agro-alimentaires et ses franchises mondiales. Le certificat Covid, puis écologique puis identitaire est en cours, car le portefeuille d’identité numérique à été voté à l’unanimité en 2021 au sein de l’UE, peu importe le parti politique. Que va donc contenir votre E-wallet ou portefeuille électronique ? Tout : carte d’identité (la nouvelle CI française est écrite en anglais), permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale.
Un des article phare du fondement de l’UE est la liberté de circulation. Mais comme lors du covid, tout pourrait être balayé d’un revers de la main. Bienvenu dans un crédit social à la Chinoise, sauce européenne, avec la bénédiction de l’oncle Sam. 25 % de la population en Europe ne possède pas de smartphone. Ceux-là ne pourront bientôt plus bouger, à moins de s’en procurer un. Et si une personne n’a pas de passe vaccinal et refuse la pass écologique et le portefeuille électronique ? Elle ne sera rien, n’aura droit à rien, et ne pourra franchir aucune frontière, puisqu’elle n’aura pas d’identité. L’identité numérique est vendue comme un service qui ne sera pas obligatoire :« ne cherchez plus vos papiers dans vos poches, à la place, exhibez votre E-wallet dans votre smartphone ». Très subtil. Personne n’y sera obligé, sauf que dans les faits, il sera obligatoire, à moins de vivre dans son coin, retiré de tout, en cultivant ses endives. Et encore... Facultatif demain, obligatoire après demain. Prochaine étape, la puce sous la peau. Encore mieux que le smartphone. Cerise sur le gâteau, votre E-wallet sera géré par des sociétés privées. Toutes vos pathologies, vos penchants, votre bon ou mauvais cholestérol seront à la vue des assurances, des banques, et des institutions. Pratique, car vous saurez pourquoi votre assurance a subitement majoré vos échéances ou pourquoi votre banquier vous refuse un prêt. Un oppressif futur s’ouvre devant chacun de nous. Tout, absolument tout, sera contrôlé. Y compris le tri de vos déchets. La taxonomie verte est aussi sur les rails au sein de l’UE. Vous triez bien, un bon point, vous vous trompez, un mauvais point. Pendant ce temps-là, les grands pollueurs continueront de pourrir la planète sans être inquiétés. » (Article relayé par strategika.fr)
-droites souverainistes omettant gravement le spirituel car il est déterminant et ne s'unissant pas dont car 40 000 adhérents à 100 euros représente 4 millions d'euros. En sachant que cet argent fourni par les adhérents participe aussi à diviser tout le champs politique en nombreux partis.
-capitalisme financier spéculatif détruisant le capitalisme industriel ou productif.
-différents millénarismes, messianismes (sionisme, destinée manifeste US, mondialisme supranational, etc) rendant difficile la rationalisation des rapports entre grandes puissances et autres nations.
-guerre mondiale perpétuelle contre les nations ennemis de la société ouverte planétaire et donc de l'accomplissement total de la démocratie libérale, sous le pseudo prétexte d'une guerre juste contre les dirigeants et nations autoritaires, dans une forme de guerre perpétuelle comme corollaire de la paix perpétuelle.
-accords d'Abraham cherchant à légitimer injustement l'existence de l'Etat d'Israël actuel interdit par Dieu, tout en divisant les nations musulmanes, mais aussi les populations contre leur gouvernement normalisateur.
-France n’étant pas Macron, France n'étant pas Netanyahou, car la France c’est autre chose, c’est l’indépendance, la paix et la raison, et France vendant pourtant des armes en douce à Israël, qui ne tue presque que des civils, parce que c’est plus facile que des combattants, et parce que ce pouvoir religieux bourré de haine est devenu fou.
-disparition de la France bientôt actée. En effet la commission des Affaires constitutionnelles (AFCO) au parlement européen vient de voter un projet de réforme des Traités européens qui transformerait officiellement l’UE en un État, en effaçant donc la France et les pays européens.
-commission européenne et BCE appartenant toutes deux au domaine du privé et étant donc synonyme d'un début de gouvernement mondial du privé ou/et du supranational, surtout qu'inféodées aux puissantes multinationales, à l'OTAN ou/et à l’atlantisme, ce qui signifie antinationales, d'autant plus si la création de l'Euro numérique est confiée à Amazon, encore sous prétexte de prendre sagement un tiers de confiance indépendant des États. D'ailleurs les multinationales reversent très peu d’impôts aux nations qu’elles ratissent, et la BCE détient 30 % de la dette de l'Italie. De plus Mme von der Leyen a méprisé et menacé de sanctions l’Italie, si le peuple ne votait pas correctement le dimanche 18/09/2022 pour un président pro-union européenne. Un projet de révision des traités européens a été approuvé par les députés européens mercredi 22 novembre. C’est une décision qui est passée un peu inaperçue ces derniers jours compte tenu de l’intensité de l’actualité. Le Parlement européen a approuvé, cette semaine, un rapport pour réviser les traités européens et a adopté la résolution qui l’accompagnait. Ce rapport a été dénoncé par la cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, sur France Inter, jeudi 23 novembre. Selon elle, ce rapport dépouille en réalité les Nations de l’intégralité quasiment de leur souveraineté. Il transformerait Ursula von der Leyen, présidente de la Commission, en présidente de l’Union européenne. Les commissaires ne seraient plus choisis par les États, mais par ce soi-disant président. Il s’attribue les pouvoirs en matière de santé, de fiscalité, d’immigration, etc. C’est évidemment inadmissible. Et même sans demander leur avis aux peuples européens comme avant de choisir le camp du Big Pharma privé lors du Covid, l’oligarchie européiste et donc supranationale de Bruxelles a choisi de s'associer à Zelensky, alors que lui est pourtant ultra nationaliste. Mais c'est seulement en apparence, car ce juif est évidemment prêt à rejoindre l'union européenne et l'OTAN. La présidente de la Commission européenne Mme von der Leyen, en grosse soumise du Pentagone, montre ainsi qu'elle veut la guerre en ayant déclaré « pas de cessez-le-feu, pas d’apaisement », alors que c'est normalement aux députés français ou au peuple de la valider souverainement. Ce qui fait illégitimement passer l'Union Européenne, normalement basée uniquement sur une économie et quelques règles politiques communes, à une Europe de la défense, d'autant plus avec la commission européenne demandant, achetant et organisant la livraison massive d'armes à l'Ukraine avec l'argent des cotisations de ses nations membres, mais surtout avec la probable fédéralisation proche de l'UE. On peut rappeler que depuis Maastricht, de fausses élites nous ont vendu l’Europe comme une garantie de croissance, d’emploi, de démocratie et de paix. Or nous sommes aujourd’hui en décroissance, en chômage de masse prêt à exploser, en tyrannie de la commission européenne et en guerre. Surtout donc qu'avec cette question militaire en plus, les pays européens ont encore plus de mal à tenir leur économie, leurs prix, et leur paix sociale. Il semble que ce Nouvel Ordre mondial si cher au président américain (Joe Biden annonce vouloir diriger le nouvel ordre mondial avec General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan...) passe avant la vie des Ukrainiens, des Russes et des Occidentaux qui paient la facture des sanctions. C’est là où la stratégie de l’enlisement de la Russie dans le conflit montre ses limites : les conséquences sociales de la guerre peuvent finalement faire sauter les régimes dits démocratiques alors que mondialistes des pays européens, plutôt que le régime de la Russie dit autocratique alors que patriotique. Or les centaines de milliards d'euros pour l'Ukraine servent aussi aux USA puisque l'Ukraine leur achète des armes au détriment de la dette des français, des leurs hôpitaux, de leurs écoles et donc même de leur industrie de l'armement, mais aussi des autres nations, comme si les USA avaient besoin de financement pour survivre. D'ailleurs la vente de leur GNL à l'Europe suite à la destruction des gazoducs Nord Stream 2 et la vente de leurs armes (qui a augmenté au niveau mondial de 58% sur 2023) aussi à l'Europe par rapport à la situation en Ukraine participent également à les entretenir. Depuis la défense russe en Ukraine, l’industrie de la défense américaine a en effet enregistré une augmentation spectaculaire 17,5 % dans l’industrie de l’armement jusqu'à début 2024. Or cela pourrait aussi être encore un vol pour le secteur privé oligarchique et une volonté des membres de l'Otan de maintenir leurs emplois payés au sein de cette organisation militaire internationale. Surtout que l’aide à l’Ukraine se fait à fonds perdu puisque Kiev sera incapable de rembourser quoi que ce soit, compte tenu de la déliquescence du pays. L’Iran a critiqué le nouveau secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) pour avoir « bizarrement » défini l’agenda de la nouvelle administration américaine, lui conseillant plutôt de répondre de l’insécurité mondiale croissante due aux politiques de certains États membres de l’alliance militaire occidentale. « Le nouveau secrétaire général de l’OTAN, qui prétend avoir une bonne relation avec le président américain élu, insiste bizarrement pour fixer l’ordre du jour de la prochaine administration américaine », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un message publié, ce jeudi 5 décembre, sur son compte X. Il a ajouté que la prescription du nouveau chef de l’OTAN, Mark Rutte, ne vise qu’à provoquer davantage de « militantisme » en dressant un tableau « polarisé » de la politique mondiale, qui est « loin d’être bénin et responsable ». Dans ce droit fil, le porte-parole de la diplomatie iranienne a souligné que les « politiques égocentriques et totalitaires » de certains membres de l’OTAN ont conduit à l’insécurité croissante qui sévit dans le monde, y compris en Europe. Le secrétaire général de l’OTAN « devrait se sentir responsable de répondre » à l’insécurité croissante à travers le monde, a indiqué Baghaï.
-UE soumise à la banque centrale, soumise à la banque des banques, soumis au FMI, soumis à Bidelberg (qui est une émanation du grand capital), soumis à certains lobbies, soumis à l’oligarchie mondialiste.
-article du Figaro en 2024 ayant fait croire que Giorgia Meloni aurait réduit de 65% le nombre d'immigrants depuis le début de l'année en Italie. Bien que l'article précise qu'il s'agit du nombre de migrants illégaux, de nombreux lecteurs sont passés à côté de cette nuance ô combien importante. Si les français élisent Le Pen, Bardella, Maréchal ou Zemmour, les électeurs français découvriront que ceux-ci font comme Meloni : obéissant aux ordres de l’Union Européenne qu’ils refusent de quitter, ils augmenteront plus le nombre de migrants légaux favorisant l'oligarchie capitaliste mondialiste par la baisse du coût du travail qu’ils ne diminueront le nombre de migrants illégaux. -selon Youssef Hindi dont via des documents, réel lobbying israélien au sein des institutions européennes et dans les partis et les états européens pour pousser l'occident vers un pro-sionisme. -Mme von der Leyen accusant le président Poutine élu démocratiquement d’autocrate, alors quelle est l'autocrate de la commission européenne subventionnée par les cotisations des pays de l'UE. Surtout qu'elle a donc décidé d'acheter des armes pour l'Ukraine sans consultation avec le parlement européen auparavant, ce qui montre la réalité du futur gouvernement mondial voulu par les mondialistes, certains lobbys, la finance internationaliste et diverses multinationales. Pourtant Leyen Pro-vax en plus donc pro-guerre, pro-migrants a étonnamment été reconduite pour un second mandat en juin 2024 par les dirigeants des 27. Dans le cas d’une deuxième administration Trump, la situation change. L’expulsion des migrants illégaux sera la question principale et les gauchistes américains essaieront de l’empêcher. Ils considèrent les migrants comme la clé de leur royaume, le moyen de « détruire le capitalisme » et d’introduire le socialisme selon le plan oligarchique de Davos. L’expulsion des clandestins les ramènerait des décennies en arrière. Les gauchistes se révolteront (possiblement jusqu'à la guerre civile) plutôt que de perdre.
-éminents spécialistes occidentaux de l’analyse de l’information, de la psychologie et de la géopolitique travaillant dans les services de sécurité ukrainiens avant, après et pour la guerre.
-sur un petit territoire français en Palestine, gendarmes français mis ne prison par des policiers israéliens, alors que le lobby juif et l’État israélien demandent un soutien indéfectible à la France depuis des décennies.
-silence très coupable dont de Marine Le Pen, Bardella, Zemmour et Rioufol, face ces agressions envers des gendarmes français par Israël. Pourquoi les politiques français, notamment ceux de droite et d'extrême droite, sont-ils restés silencieux face à l'agression violente de deux gendarmes français par la police israélienne à Jérusalem ? Ce silence inquiétant révèle-t-il une priorité géopolitique au détriment de la défense des forces de l'ordre françaises ?
-choix même de la dénomination de « l’État d’Israël », lors de son autoproclamation par son armée le 14 mai 1948, visant à ne pas choisir entre « République d’Israël » voulue par les juifs laïques et celui de « Royaume d’Israël » choisi par les juifs religieux, en sachant que nous assistons à une évolution vers une théocratie assumée à « Jérusalem ».
-Emmanuel Macron pris en tenaille entre les historiques réseaux libanais et les récents réseaux israéliens, et autorisant pourtant Netanyahou à venir sur son territoire dans une forme de lâche soumission, puisque la France est à l'origine de du droit international et de sa CPI ayant demandé son arrestation pour génocide.
-alors que dans d’autres pays les crimes israéliens sont dénoncés quotidiennement, chez nous, ils produisent la gêne d’un pan entier du Système, qui est de fait complice ou corrompu par l’israélisme. Ce génocide agit donc comme un révélateur et un accusateur des soumis à l'ingérence étrangère.
-supporter israéliens de foot brûlant les drapeaux néerlandais et palestiniens en Hollande, sifflant pendant l'hommage aux victimes en Espagne, appelant à la mort des Arabes et au génocide des enfants, puis se faisant logiquement tabasser, et pourtant de nombreux médias occidentaux en particulier français dénonçant de l'antisémitisme. Voilà comment fonctionne le Mossad : attiser la haine, attendre une réponse et ressortir la Shoah pour parvenir à un objectif indigne. En effet cet incident à Amsterdam est clairement un cas d’école de propagande déguisée. En sachant que les médias et l’État français, soutenant les massacres en Palestine, utilise cette affaire pour détourner l’attention et diviser l’opinion publique. « La justice, pour une raison X ou Y, prend souvent le parti des plaignants communautaires juifs, mais le génocide en cours en Israël a tout changé : à un moment donné, comme dans les grands procès d’assises, la vox populi compte, fait masse. Une justice qui penche trop vers l’injustice rend les gens dingues, eux qui souffrent déjà de l’injustice sociale due au poids de l’oligarchie. Un poids que l’on retrouve dans les médias menteurs, dans la ponction fiscale devenue racket, et dans la répression tous azimuts de la parole publique : il y a des gens qui vont en prison pour avoir dénoncé les crimes israéliens. Si la justice penche trop du côté de l’oligarchie, en prenant à chaque fois la défense des membres de ce nouvel Ancien Régime, la colère populaire ne peut que monter et se faire savoir. Aux États-Unis, les injustices du Système ont remis Trump en selle. L’oligarchie, c’est le pouvoir des très peu sur les beaucoup. Ça ne peut objectivement pas durer, (surtout en démocratie)l’histoire nous l’apprend. Ceux qui détiennent ce pouvoir, qui va avec les moyens répressifs, qu’ils soient policier, judiciaire ou médiatique, ne peuvent pas tenir longtemps contre une écrasante majorité. » (Rédac ER)
-Non respect de la charte de non prolifération des armes atomiques à l'étranger comme celle états-unienne en Italie et en Allemagne, et bouclier anti-missiles dont nucléaires pouvant devenir offensif même si il est devenu obsolète par l'invention russes des missiles hypersoniques dont nucléaires. Il faut noter que la prolifération des armes nucléaires augmente évidemment le risque et donc l'insécurité mondiale. Or ces boucliers anti-missiles autour de la Russie, de l’Iran et et de la Chine appartiennent aussi souvent aux très nombreuses bases militaires oppressives et menaçantes US, dont car pouvant envahir ces pays de plusieurs endroits à proximité.
Concernant d'autres importants problèmes de notre époques bien expliqués et intelligemment solutionnés en proposition, il est intéressant de voir la vidéo « Comprendre Macron pour le combattre - Le Zoom - Pierre Le Vigan - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=z7eHjvuVQhY
Ainsi comme le prouve l'énumération de tous les problèmes précédents, une oligarchie oppressive s'est accaparée à travers des siècles tout ce qui est vital et parfois divinement gratuit pour l’homme afin d'en faire commerce pour leur propres profits : entreprises d'eau, d’énergie, d’agroalimentaire, de santé, de location de terrain, de construction, d'autoroute, et de communication. C'est à dire qu'il s'agit d'une gouvernance mondiale par le lobbying de milliardaires, leur confiscation de la démocratie, et donc leur détournement du bien commun en faveur de leurs intérêts particuliers. Surtout que les multinationales dont le capital est par essence pratiquement insaisissable puisque se trouvant dans divers pays et la cryptomonnaie centralisée se développant deviennent des acteurs majeurs du mondialisme dans le monde économique dont en imposant des lois comme le prouvent les contrats supranationaux et l'Union Européenne favorisant les très riches entreprises et les très grandes banques too big to fail. De même en cas de grande crise économique mondiale, les banques centrales privées rachetant les titres de la dette publique des pays voire des actions de multinationales peuvent décider de s'approprier définitivement la plupart des biens du monde pour prétendument gérer au mieux les peuples. Les plus grosses multinationales comme les GAFAM parviennent même à obtenir le pouvoir des Etats démocratiques dont par la censure qu'ils peuvent mettre en place contre laquelle personne ne peut rien puisque ce sont des entreprises privées. Or toute cette mise en place d'une gouvernance mondiale a de grands atouts, car le socialisme et le libéralisme sur lesquels la plupart des pays sont basés recherchent souvent le mondialisme de manières différentes ou proviennent à leur origine d'une idée mondialiste. D'ailleurs selon Martin Peltier, les 3 révolutions s'appuyant sur une idée de mondialisme en utilisant le drapeau arc en ciel, que sont la lutte contre le climat, le LGBT et le vivre ensemble sud-africain, servent avec l'aide de la haute finance ultra-libérale à subvertir plus ou moins consciemment le monde traditionnel qui est celui des nations, de la famille et des religions.
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