B) Contexte international
« Le grand reset sera probablement lié à l'endettement des états, une inflation grave, une grande perte d'emplois dû à la technologie, un fort chômage à plus de 25 %, et donc à un effondrement économique global (qui serait plus facile avec la dislocation de la Russie voire impossible sans cela). Or la banqueroute de l'Etat français annoncée par l'économiste Bernard Monot, pourrait être la principale cause qui fera advenir cette Grand bascule qu'est le grand reset (géo)politique si les Français n'ouvrent pas les yeux, c'est à dire l'avènement de cette nouvelle organisation politique planétaire fondée sur les ruines des nations adviendra. L'agenda principal pour mettre en place ce nouveau paradigme à l'autorité ploutocratique (qui sera composée d'entités déjà créées comme le Forum économique de Davos (incarnant l'organisation du programme politique oligarchique mondialiste), les grandes multinationales occidentales, le FMI, l'OMC, l'OMS, la commission européenne, la BCE) est : acte 1, appauvrissement des nations détourné des décisions politiques par le coronalibi, le climatlibi et l'ukrainolibi, acte 2, la banqueroute proprement-dite, acte 3, la surveillance et le contrôle des populations pour éviter une révolution populaire, acte 4, tentative de mettre en place un gouvernement mondial (occidental pour commencer) facilitée par cette surveillance. Un programme écrit noir sur blanc sur le site du Forum de Davos... En sachant que Larry Fink président-directeur général de Black Rock, Christine Lagarde onzième directeur général du FMI et désormais Présidente de la Banque centrale européenne, Leyen présidente de la Commission européenne, sont des membres du comité direction de Davos. Or Davos peut dans un sens être déjà considéré comme un gouvernement mondial (mais non officiel), car son agenda est aussi suivi par les politiciens de beaucoup de pays puisque étant souvent des youngs global leaders (jeunes dirigeants pour la globalité, pour le mondialisme) et ayant participé à mettre sous pression leur pays respectifs par l'endettement massif. (Mais à notre époque un pays en dette peut aussi corresponde à une économie relativement importante dont par rapport à un pays modeste voire pauvre économiquement même s'il est sans dette. En tout cas ces derniers demeurent plus pieux, sauf s'ils s'occupent moins de leurs faibles et du bon développement général.) D'ailleurs la pandémie devait être le début officiel du Nouvel Ordre Mondial via de nouvelles mesures politiques liées à la 4e révolution industrielle liée au numérique, au contrôle oligarchique et au transhumanisme, comme le pass sanitaire aurait dû être perpétuel sans les grandes manifestations qui eurent lieu contre lui. Surtout que ce WEF de Davos est porté par la force du Pentagone et correspond donc à une grande partie du réseau américano-sionisto-mondialiste dont avec aussi la finance internationaliste, des services de renseignement, les services spéciaux type CIA et les médias dominants (subventionnés). L’arme la plus puissante pour menacer voire contrôler l’existence d’un pays ou d’un régime n'est pas l’arme nucléaire, c'est la panique continue de ses habitants face à l’avenir, la guerre civile et leur méfiance totale envers les autorités en place. D'ailleurs en France les sionistes et la gauche bourgeoise qui sont au pouvoir cherche à se maintenir coût que coût contre les peuples, dont jusqu'à la guerre civile voire mondiale. La crise énergétique signifie qu'il faudra payer beaucoup plus cher le chauffage, le carburant, l’électricité. C'est synonyme d'un impôt énergétique qui s’abat sournoisement en prétextant la faute à Poutine, alors que cela n’a rien à voir puisqu’il s’agit de décisions 100 % françaises, ou plutôt néolibérales. Or c'est par ses actions insensées que l’Occident s’est jeté dans une crise énergétique si grave, probablement aussi afin que la pandémie soit facilement et amicalement oubliée, et pour continuer la plan mondialiste de soumission de la France et de contrôle des français qui propage l'insoumission. Certains (toujours les mêmes idiots utiles) ne verront donc qu’une simple coïncidence dans le fait qu’on nous prépare déjà à de prochaines coupures des réseaux mobiles qui sont actuellement les plateformes préférées (et de loin) d’échange d’information et de partage sur les réseaux sociaux. Compte-tenu de la consommation relativement modérée des équipements de ces réseaux, on se demande un peu pourquoi le téléphone mobile devrait tomber en premier en cas de pénurie d’électricité… À moins de considérer qu’il s’agit ici de préparer les esprits à un contrôle non de l’énergie (ou pas essentiellement) mais plutôt de l’information. (« La cours des comptes a tiré la première la sonnette d’alarme. Le déficit budgétaire de l’État pour l’année en cours dérape dangereusement pour s’établir à un niveau bien au-dessus des 4,9 % annoncés par le gouvernement. L’INSEE confirme dans la foulée, ce sera officiellement 5,5 %. Le gouvernement tremble de nouveau devant les agences de notations qui font peser la menace d’une énième dégradation de la note de la France. Il n’en faut pas plus pour que le petit théâtre médiatique se mette en branle et nous rejoue une énième fois la pièce de la France en faillite qui, en mauvais père de famille, dépense plus qu’elle ne gagne. Les explications et préconisations des experts autoproclamés sont les mêmes depuis quarante ans mais rien n’y fait, ce fameux « mur de la dette » ne cesse de croître et nous menace de la faillite. Pour le péquin moyen, c’est incompréhensible. Comment dépense-t-on autant d’argent alors que tous les services publics élémentaires se dégradent à vue d’œil ? Et la France n’est-elle pas la championne des prélèvements obligatoires et des impôts ? Mais où va l’argent ? Dans tout ce brouhaha, difficile de comprendre. Cependant, un argument mis en avant et répété sans cesse par la caste doit nous mettre la puce à l’oreille : la France n’a pas connu un budget à l’équilibre depuis 1974. Comment se fait-il que pendant la période qui court de l’après-guerre au milieu des années soixante-dix, nous avons connu un excédent budgétaire annuel et quasiment pas de dette ? Paradoxal quand on sait que ce fut une période faste en termes de dépenses et d’investissements, ayant pour conséquence une élévation spectaculaire du niveau de vie couplée à une modernisation sans précédent du pays. Les fameuses Trente Glorieuses. Au sortir de la guerre, la France est pourtant exsangue, tout est à reconstruire et les finances sont à sec. Invitée aux banquets des vainqueurs un peu par hasard, elle n’a pas connu la saigné de 14-18 et sa population pleine d’espoir et dynamique a de l’énergie à revendre. La question, dès lors, est la suivante : comment amorcer la pompe pour mettre en marche cette force de travail qui ne demande qu’à s’épanouir ? À défaut d’avoir de l’argent la France hérite du régime de Vichy des outils de financement de l’économie qui laissent les coudés franches à l’État en l’affranchissant de la finance privée. Le cadre théorique concernant la question monétaire était bien différent à l’époque. L’argent que possède un État n’était pas considéré comme une ressource finie, possession de tiers auprès desquels l’État doit emprunter. C’est au contraire une conception totalement juridique. Par la loi, l’État s’arroge le monopole de l’émission de monnaie et rend son utilisation obligatoire pour tout échange sur son territoire au détriment de tous les autres : devises étrangères, or ou argent métal. Les taxes et impôts prélevés sur ses administrés, entreprises comme ménages, renforcent ce rôle central en garantissant son utilisation par les agents économiques privés. Dans ces conditions, la monnaie n’est pas une dette que l’État rembourse à des agents extérieurs contre intérêts. C’est un bien public à disposition de l’économie, un support pour permettre les échanges en son sein. Et plus un moteur est gros, plus il consomme d’huile pour fonctionner. Il en va de même de l’économie d’un État avec sa monnaie : plus il connaît de transactions, plus il lui faut de monnaie pour y répondre. Sous la houlette d’un groupe de hauts fonctionnaires brillants et soucieux de l’intérêt général, un mécanisme génial de financement de l’État et de l’économie va voir le jour. On lui donnera le nom de « circuit du Trésor ». L’État, via le Trésor, émet de la monnaie qu’il investit dans l’économie par des politiques de grands travaux ou via ses différentes agences et grandes entreprises publics. Mais l’État n’est pas qu’investisseur, il est aussi banquier. Banques commerciales, grandes entreprises, organismes sociaux ont un compte au Trésor, ils sont tenus d’y placer leurs liquidités. On les appelle les « correspondants du Trésor ». L’État centralise ainsi une énorme masse monétaire, un « dépôt à vue », qu’il peut mobiliser également pour financer l’économie. Une telle politique génère de d’inflation mais celle-ci reste bien inférieure à la croissance économique qu’elle génère. En outre, la centralisation des comptes offre un outil de politique monétaire redoutable. En exigeant de ses correspondants des seuils minimaux d’immobilisation de leur trésorerie, il influe directement sur la masse de monnaie en circulation. Seuils qui évoluent selon les circonstances : plus l’inflation est forte, plus les montants demandés sont élevés et inversement. L’État peut offrir un rendement aux dépôts laissés au Trésor mais il en décide seul du taux selon les circonstances. Le monde à l’envers ! C’est à cette période que naissent des agences et instituts permettant un pilotage précis et performant de l’économie. L’INSEE ou le commissariat au plan en sont les meilleurs exemples. Cette architecture monétaire va permettre la reconstruction de la France, garantir sa modernisation et son indépendance et assurer des services publics de grandes qualités. Tout cela avec une dette inexistante. Sous la houlette du général de Gaulle, la France va connaître une période faste et heureuse : les fameuses Trente Glorieuses. » (Article « Dette : le débat interdit. (Partie 1) Le circuit du Trésor : quand l’État faisait la loi » de Ian Purdom)) Une crise alimentaire et énergétique associée à l'inflation détruisent principalement un pays comme l'a montré le Sri Lanka. Or cette dernière a eu plus lieu à cause d'une promesse présidentiel ayant arrêté les engrais et pesticides synthétiques. C'est pourquoi il faut faire attention que cela ne le devienne pas une révolution orange encore manipulée comme il sera expliqué plus tard, même si avec les révolutions oranges beaucoup de pays ont compris qu’ils avaient intérêt à surveiller les mouvements subversifs. En effet le Sri Lanka est un carrefour et une plaque tournante des corridors maritimes de l’Asie et donc de la Chine avec ses routes de la soie vers l’Afrique, le Proche et le Moyen Orient, l’Europe et au delà. 50% du trafic pétrolier et 75% du trafic international des containers passent près de ses côtes. Outre ses infrastructures portuaires parmi les plus modernes et les plus importantes au monde comme celle d’Hambantota construites par la Chine, le Sri Lanka dispose du plus grand port en eau profonde de l’Asie du Sud Est : Trincomalee. L’impérialisme US et les anciennes ou plutôt actuelles puissances coloniales ne peuvent être indifférentes et ignorer la place originale de ce pays dans la région, quoi que leur politique a toujours été perversement que les autres nations ne seraient pas civilisées si elles ne les suivaient pas. Cela n’est pas sans expliquer l’acharnement mis ces vingt dernières années pour déstabiliser le Sri Lanka, le diviser, contribuer directement à des changements de régime et remettre en selle les forces de l’oligarchie locale dépendante de Londres, Bruxelles et Washington. La dette sri-lankaise appartient à 90% aux pays occidentaux et à leurs institutions financières. Leur objectif commun étant de conduire le mouvement populaire dans une impasse en faveur donc des oligarques pro-occident. Ces événements ne sauraient être isolés de ceux qui sont liés à la crise ukrainienne, au climat de russophobie et de divagations antichinoises dans lequel nous baignons, alors que la Chine qui a beaucoup contribué dans le passé au développement des infrastructures du Sri Lanka(Ports, Aéroports, routes, etc..) s’est engagée à continuer d'apporter sans condition son soutien politique, économique et financier au Sri Lanka. Cela est fait pour diminuer l'influence de plus en plus grande des BRICS qui doivent donc faire attention à toute nation en particulier stratégique comme le prouve cette crise sri-lankaise liée à la volonté de contrôle du rimland par les anglo-américain. D'ailleurs comme l’effondrement des investissements étrangers vers l’Inde et leur forte baisse vers la Chine, ainsi qu’un contexte économique et géopolitique volatil amènent les deux mastodontes démographiques et économiques d’Asie à retrouver le chemin de la collaboration, ainsi que de resserrer les rangs avec leurs autres partenaires eurasiatiques : Russie, Bangladesh, pays membres de l’ASEAN, il n’en a pas plus fallu à l’hégémon anglo-américain pour déstabiliser de nouveau le Rimland eurasiatique, en déclenchant à la hâte une révolution de couleur au Bangladesh. D'ailleurs cette révolution orange au Bangladesh a eu raison du vilain régime de Sheikh Hasina, rendue responsable de la sanglante répression des émeutes étudiantes qui auraient fait 450 morts. Le pouvoir bangladais a été pris au piège, et aujourd’hui c’est Yunus, l’homme des Américains mondialistes, qui « conseille » le gouvernement provisoire. « Ce cas du Bangladesh montre que l’intégration progressive de l’ASEAN – et de l’Asie du Sud – dans la matrice SCO/EAEU/BRICS/BRI est plus urgente que jamais. Selon Lavrov, l’ASEAN prête déjà attention à la volonté de Poutine de construire un système de sécurité unifié à l’échelle de l’Eurasie. A l'issue de la session ASEAN-Russie au sommet est-asiatique au Laos, M. Lavrov a déclaré que l'ASEAN « a montré son intérêt pour l'initiative du président Poutine, que j'ai déjà mentionnée, sur la formation d'un système de sécurité eurasien qui serait indivisible et égalitaire ». La route sera longue et semée d’embûches. Mais si les « RIC » des BRICS (Russie-Inde-Chine) parviennent à se ressaisir géopolitiquement et à renouveler de facto le fameux triangle de Primakov , la possibilité de nouvelles révolutions colorées déstabilisant plusieurs nœuds de l’Asie de l’Est s’évanouira avec le temps. » (Pepe Escobar) Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), sont un groupe de pays (tendant à s'élargir) qui s'est créé telle une affaire de circonstances fasse à une affaire d'idées qu'est l'occident tyranniquement hégémonique lié à l'OTAN. C'est à dire que par rapport aux populations pro-occidentales, il faut logiquement de la géopolitique mondialiste, conservatrice et multipolaire, face à la géopolitique mondialiste, américano-wokisto-sioniste et unipolaire. De manière générale, les BRICS plaident pour une refondation des organisations internationales comme le Conseil de Sécurité de l'ONU et les organisations de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale) afin qu'elles reflètent mieux l'émergence des nouvelles puissances et le caractère multipolaire du monde au 21e siècle, surtout qu'il se propage au niveau mondial, une lassitude du statu quo international économico-militaro financier actuel en grande partie perverti par les USA. Or les BRICS ne sont pas un groupe de pays monolithique ayant tous les mêmes intérêts. Ils peuvent converger, un peu, beaucoup ou passionnément, tous ensemble ou par groupe en fonction des sujets. Par exemple pour diviser les BRICS, des pays comme la Pologne préfèrent laisser à l’Inde s’approprier une part du gâteau des échanges commerciaux qui était auparavant réservée à la Chine. En effet pour Varsovie, l’alliance sino-russe est perçue sous un jour très différent suite à février 2022. L’accord Orlen-ArcelorMittal n’est qu’une étape dans ce processus. Or il marque en même temps un jalon dans l’évolution des relations économiques entre la Pologne et l’Inde, ce qui peut tenter l'Inde à quitter les BRICS pour concurrencer la Chine, mais qui pour l'instant fait encore développer les BRICS. Il pourrait aussi tout à fait y avoir création d’une monnaie BRICS mais possiblement sans l’Inde, l’Afrique du Sud et ni le Brésil attachés au dollar. En effet cette monnaie pourrait par exemple n’être lancée que par la Russie et la Chine et les autres pourraient l’utiliser sans en faire officiellement partie. (« Relisons (des extraits de) ce qu’a dit Vladimir Poutine dans son discours important de Sotchi le 24 octobre 2014, sur le thème « Ordre mondial : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? » : « Aujourd’hui, le monde est plein de contradictions. Nous devons être francs en nous demandant mutuellement si nous avons un filet de sécurité fiable et bien en place. Malheureusement, il n’y a aucune garantie et aucune certitude que le système actuel de sécurité mondiale et régionale soit en mesure de nous protéger des bouleversements. Ce système a été sérieusement affaibli, fragmenté et déformé. Les organisations internationales et régionales de coopération politique, économique, et culturelle traversent également des temps difficiles. Oui, un grand nombre des mécanismes actuels visant à assurer l’ordre mondial ont été créés il y a très longtemps, y compris et surtout dans la période suivant immédiatement la Seconde Guerre mondiale. Permettez-moi de souligner que la solidité du système créé à l’époque reposait non seulement sur l’équilibre des forces et les droits des pays vainqueurs, mais aussi sur le fait que les « pères fondateurs » de ce système se respectaient mutuellement, n’essayaient pas de mettre la pression sur les autres, mais tentaient de parvenir à des accords. L’essentiel est que ce système doit se développer, et malgré ses diverses lacunes, il doit au moins être capable de maintenir les problèmes mondiaux actuels dans certaines limites et de réguler l’intensité de la concurrence naturelle entre les nations. Je suis convaincu que nous ne pouvons pas prendre ce mécanisme de freins et contrepoids que nous avons construit au cours des dernières décennies, parfois avec les plus grands efforts et difficultés, et tout simplement le détruire sans rien reconstruire à sa place. Sinon, nous serions laissés sans instruments autres que la force brute. ») Or rien n'est inéluctable au niveau économique et social si on favorise d'abord sa propre nation avant de s'orienter vers les autres nations, car tout est une question de bonne gestion politique ferme. En effet on sait comment rétablir l'autorité, l'atteinte à la pudeur, l'outrage aux bonnes mœurs, surtout qu'étant des lois existant toujours. Il est clair que Poutine estime indispensable d’avoir un «système de sécurité mondiale et régionale» qui serve de «filet de sécurité fiable et bien en place». Il a besoin d’«organisations internationales et régionales de coopération politique, économique, et culturelle», et la seule chose qu’il déplore est leur affaiblissement. Bref, il prône un Ordre Mondial, avec ou sans majuscule. On comprend qu’il pense en tout premier lieu à l’ONU, avec son Assemblée générale et son Conseil de sécurité. Il n’y a pas de langue de bois dans ce discours : Poutine ne minimise pas l’état d’impuissance dans lequel est tombé l’ONU. Cela donne d’autant plus de poids à son appel à sauver l’ONU. Malgré ses défauts et ses défaillances, l’ONU reste un rempart, ou tout au moins un obstacle, à l’unilatéralisme impérial de la nation qui possède près de la moitié des armes du monde, et des bases militaires sur tous les continents. En attendant que Jésus revienne avec ses anges (au Vatican ?), nous avons besoin de l’ONU. La doctrine officielle sous Bush fils en 2001, défend la nécessité de la guerre préventive « afin de décourager des compétiteurs potentiels d’aspirer à un rôle régional ou global plus grand ».Voilà le Nouvel Ordre Mondial que souhaitent les néoconservateurs (dont le vrai nom est «crypto-sionistes») ; c’est le contraire que celui que prônaient les conservateurs authentiques qui avaient soufflé à George Bush Sr. son discours du 6 mars 1991, pour limiter les dégâts de la première Guerre du Golfe. La vraie question est bien celle que posait Vladimir Poutine en 2014 : « Ordre mondial : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? » » (Extraits de l'article « Qui veut la mort de l’ONU ? – Laurent Guyénot » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/25/qui-veut-la-mort-de-lonu-laurent-guyenot/) L'attitude arrogante des USA est fondée, avant tout, sur la croyance d’être une nation supérieure élue par Dieu pour gouverner le monde à tout jamais – les lois sont écrites pour les nations inférieures. Croyance, qui est aussi profonde que l’ignorance non seulement de l’histoire peu enviable de tous les empires du passé, mais également de sa propre histoire. L’ignorance qui lui fait oublier l’humilité pouvant rappeler la réalité historique : les seules capacités et aptitudes possédées par les Etats-Unis d’Amérique ont été, cela fait seulement 200 ans, de faire pousser le coton par des esclaves et de perpétrer les massacres à grande échelle des populations indigènes du continent et du monde, afin de voler leurs terres et ressources. Avant le départ de Bachar al-Assad, le Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples, en la personne de son président Adnan Azzam, a organisé un colloque "Pour la paix en Syrie, stop à l'embargo inhumain contre le peuple syrien" vendredi 10 juin 2022, place de la Bastille à Paris. Citoyens français et franco-syriens engagés de longue date dans les associations humanitaires et culturelles à travers le monde se sont rendus à plusieurs reprises en Syrie depuis 2011, et ont constaté, année après année, la dégradation dramatique des conditions de vie du peuple syrien et les souffrances inadmissibles qui en découlent pour les populations civiles. Coupures d’électricité quotidiennes, absence d’éclairage public, manque d’énergie, d’essence et de gazole, pas de chauffage, manque de nourriture, de matières premières, de médicaments et de produits de première nécessité, telle est l’oppression constante que subit le peuple syrien à cause des sanctions auxquelles la France est hélas associée. Il possible de voir à ce sujet les interventions de l'excellente vidéo « Pour la paix en Syrie, Stop à l'embargo ! » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=1nN8x1iGh6k&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=2 , et l'important article « Claude Janvier : "La Syrie est devenue le symbole de la résistance face à l’impérialisme américain" » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Claude-Janvier-La-Syrie-est-devenue-le-symbole-de-la-resistance-face-a-l-imperialisme-americain-73961.html De plus en 2022, les États-Unis ont pillé 82% du pétrole syrien. Déclarant que l’armée américaine a pillé 82 % de la production pétrolière de la Syrie, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré que depuis début août, environ 800 pétroliers ont été transférés vers des bases américaines en dehors de la Syrie. Et il a donc appelé les États-Unis à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Syrie tout en évoquant la nécessité de lever les sanctions imposées par l’Amérique contre la Syrie et de verser des compensations au peuple syrien pour le pillage de leur pétrole. Ce qui signifie que le passage à l'électrique est une chimère et que la fin de la Syrie était clairement recherchée. Le ministère syrien du Pétrole a signalé que le pays a subi de lourdes pertes depuis le début de la guerre jusqu’au milieu de cette année : environ 105 milliards de dollars, à la suite de l’opération de pillage de pétrole par les États-Unis, en plus des dégâts matériels causés au secteur pétrolier du pays. Outre le pétrole, les céréales et le blé syriens sont également l’objet de pillages et de contrebande par l’armée américaine qui a saisi en juin dernier 40 camions de blé dans le nord-est Syrie et les a fait passer en contrebande dans ses bases corrompues dans le nord de l’Irak. D'ailleurs sur les 1000 milliards de pétroles qui ont été produits par l'Irak en grande partie liés aux USA depuis la fin de la guerre en Irak, 150 milliards ont disparu par la corruption. En 2024, alors que la plupart des Syriens souffraient en plus de conditions économiques difficiles en raison des sanctions illégales imposées par les États-Unis et leurs alliés occidentaux, Washington intensifiait le pillage des ressources syriennes dans les zones qu’ils occupent illégalement à l’est de l’Euphrate. Les Syriens affirmaient que les États-Unis voulaient affaiblir l’État et son armée aussi afin de protéger le régime israélien, et également donc afin d'éloigner le peuple syrien de la Palestine et de l’Axe de la Résistance. Et c'est effectivement ce qui s'est passé. En sachant que par rapport à Daech et aux autre mouvements extrémistes du même genre, les mouvements de Résistance qui ont émergé au cours des dernières décennies au Moyen-Orient comme le Hezbollah au Liban et Ansarallah au Yémen, ne sont pas eux des « islamistes barbares » qui entendent détruire l’héritage chrétien et juif en Palestine, au Levant ou dans l’ensemble du monde musulman ou arabe. « Le camp occidental ne dispose plus du poids économique qu’il avait encore, il y a 23 ans et qui lui permettait de dominer de la tête et des épaules l’économie et la finance mondiale. D’autant que l’opération de dédollarisation des échanges mondiaux initiée par la Russie et mise en oeuvre par la totalité des pays BRICS n’a pas encore produit ses premiers résultats. Un nombre croissant de pays se rallient jour après jour aux échanges hors dollars pour échapper aux pressions, voire aux sanctions et à l’extraterritorialité du droit états-unien, attachée à l’emploi du dollar dans les transactions. Cette dédollarisation qui ne fait que commencer pourrait avoir des effets d’une ampleur inédite sur l’économie mondiale, boostant les économies s’affranchissant du dollar et précipitant le déclin des États qui s’accrochent aux « règles », désormais obsolètes, du passé. (Or le dollar tendra toujours à se renforcer particulièrement en affaiblissant les autres monnaies pour préserver voire agrandir son hégémonie, dont en continuant d'attirer de très nombreux humains moyennement voire faussement patriotes par la stabilité de sa valeur et donc par sa sécurité pourtant de plus en plus illusoire, plutôt que vers leurs monnaies locales. D'où la nécessaire communication envers les peuples pour qu'ils comprennent l'importance de se libérer de l'oppression US. En sachant que malgré un renforcement du dollar en 2024 face à diverses monnaies, sa perte de valeur est importante pour les consommateurs aux USA, et qu' « Aujourd’hui en août 2024, une nouvelle étape vient d’être franchie : pour la première fois depuis des décennies, la part du dollar dans les réserves mondiales est tombée sous la barre des 60 %. Cette chute du dollar dans les réserves mondiales, qui s’établit désormais à 59 % en 2024, contre 72 % en 2002, ne relève pas simplement d’une réallocation de capitaux. Elle incarne un rejet progressif du modèle économique américain, exacerbé par les préoccupations autour de la dette colossale des États-Unis, estimée à 35 trillions de dollars. Les BRICS, en multipliant les initiatives pour promouvoir leurs monnaies locales, envoient un message fort : ils ne souhaitent plus être tributaires d’une devise dont la stabilité est de plus en plus remise en question. Ce déclin, loin d’être anodin, est le reflet de changements profonds impulsés par les économies émergentes, en particulier les membres du bloc BRICS, qui cherchent à redéfinir les règles du jeu financier global. À mesure que les banques centrales des pays en développement se détournent du dollar pour privilégier l’or et leurs devises locales, un nouvel ordre monétaire pourrait se dessiner. Parallèlement, l’Europe n’est pas épargnée par cette mutation. L’euro, autrefois perçu comme une alternative crédible au dollar, a également vu sa part dans les réserves mondiales décliner, passant de 28 % en 2008 à 19 % aujourd’hui. Le yuan chinois, en particulier, bénéficie de cette dynamique, renforçant ainsi la position de la Chine sur la scène économique mondiale. Si cette tendance se poursuit, le paysage monétaire international pourrait bien être dominé par une multitude de devises, réduisant l’influence des monnaies traditionnelles et ouvrant la voie à une ère de fragmentation monétaire. Les États-Unis et l’Europe sauront-ils s’adapter à ce nouveau paradigme, ou seront-ils relégués au second plan d’une économie mondiale de plus en plus multipolaire ? » (Luc José A.)) Le déclassement de l’occident prendra sans doute quelques années, mais il est désormais inéluctable et irréversible. La guerre en Ukraine, survenant après la phase aiguë de la crise Covid, aura précipité les choses. L’opération spéciale aura pleinement joué son rôle en obtenant, par l’économie, plus que par la force des armes, un affaiblissement durable de la coalition occidentale et de l’ idéologie néoconservatrice et mondialiste de sa gouvernance. » (Extraits de l'article « Économie mondiale: bras de fer BRICS-OTAN en données chiffrées » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/17/economie-mondiale-bras-de-fer-brics-otan-en-donnees-chiffrees/) Pour autant le peuple sait faire preuve d’une grande intelligence collective face aux épreuves. Il l’a montré dans le passé ! Tôt ou tard il retrouvera la voie qui lui permettra de nouvelles avancées sociales et politiques. Surtout que le projet du grand reset se transforme de plus en plus en grand réveil. D'ailleurs les Réseaux Sociaux sont une intelligence doublée d’une mémoire collectives, une sorte de méta-cerveau. Alors bien sûr, tous les jeunes et moins jeunes ne sont pas méfiants sur les intentions des adultes en charge de la direction de la société et de la communication de masse. Beaucoup tombent dans les pièges tendus, et on ne peut pas les en blâmer : pour beaucoup il a fallu aussi des années pour les déterminer, les neutraliser et les dénoncer afin éviter que d’autres ne tombent dedans. Beaucoup d'ailleurs n'ont pas lu de livre ni recouper des informations et sont donc seulement de paresseux croyants soumis au système, aux vaccin ARN, au réchauffement climatique, aux méchants russes, aux gentils israéliens, etc... La recherche d’alternatives et l’aspiration à une nouvelle architecture mondiale fondée sur un monde multipolaire, le multilatéralisme, la non ingérence, la non intervention et le respect de la souveraineté sont en effet à l’ordre du jour. C’est à dire tout à la fois la charte des Nations-Unies, les principes de Bandung et ce que l’on retrouve dans cette formule de Xi Jiping en faveur d’une “communauté de destin”. D’une certaine manière la radicalisation des événements au Sri Lanka peuvent réserver des retournements de situation inattendus. Au fond le système capitaliste et de domination impérialiste est devenue anachronique incapable qu’il est de répondre aux défis qui sont ceux de l’humanité toute entière. Il doit céder la place. Voici venir le temps des révolutions, les vraies celles qui doivent être conduites à leurs termes par les peuples à travers la solidarité et un internationalisme de notre temps. » (Jean Pierre Page) « La majeure partie de la planète a déjà compris, toute seule, ce qui est ou n’est pas « démocratique » dans le langage américain : ceux qui suivent les dictats américains sont démocratiques ; ceux qui souhaitent suivre leurs propres conseils sont antidémocratiques. C’est tout ce qu’il y a à faire : les démocrates sont obéissants tandis que les désobéissants sont des dictateurs qui doivent être renversés. Ce schéma étant de toute évidence égoïste et idiot, le cercle d’obéissance ne cesse de se rétrécir et ne comprend plus que les pays de l’UE et de l’OTAN, plus les pays anglo-saxons et quelques colonies et dépendances éparpillées. Et même ce cercle est maintenant visiblement en train de s’effilocher sur les bords. Le spectre déclinant de l’unité occidentale (dont en faveur l'UE) est donc clair, en particulier par rapport à l’argent et aux armes donné massivement aux voleurs ukrainiens (sans se préoccuper de leur destination), à l’imposition des sanctions autodestructrices à la Russie (sans se préoccuper de savoir avec quoi son propre peuple chauffera ses maisons ou fera pousser sa nourriture) ou à la division au sein de l'Otan. (Il s'agit d'une lutte entre le monde unipolaire vassalisant les nations aux USA et le monde multipolaire mettant à égalité les nations.) Or la capacité des États-Unis à commander le monde entier est terminée, malgré des décennies passées à vouloir en faire toujours plus sa succursale. Le monde unipolaire est mort ; le monde n’est pas encore multipolaire, il est pour l'instant non-polaire. Personne ne se soucie particulièrement de définir précisément l’un ou l’autre de ces nouveaux pôles. Les pays ne se trouvent plus le long d’un spectre ou même sur une carte : ils sont dans un maillage multidimensionnel. » (Dmitry Orlov) « Le conflit entre l’Occident et la Russie remonte à plus de mille ans, et prend racine dans l’histoire et la géopolitique. Le Grand Schisme d’Orient en 1054 a marqué le début de cette rivalité, séparant l’Église orthodoxe de l’Église de Rome et affaiblissant le pouvoir des papes et des souverains affiliés à l’Église romaine. Au fil des siècles, d’autres acteurs sont venus s’ajouter au jeu, notamment l’expansionnisme germanique vers l’Est, incarné par Hitler avec l’Opération Barbarossa en 1941. L’impérialisme britannique a également joué un rôle majeur, cherchant à encercler l’Empire tsariste. Aujourd’hui, le conflit entre l’Occident et la Russie a évolué, avec de nouveaux acteurs tels que les États-Unis et Israël. L’Occident s’identifie au bloc capitaliste libéral, tandis que la Russie est vue comme le pilier du bloc eurasiatique. La Russie continue de poser des limites à l’expansionnisme occidental et donc de respecter l'importance des limites tel un père, en rappelant notamment les échecs de Napoléon et d’Hitler dans leurs tentatives d’invasion. L’idée de partage de la Russie, formulée par des intellectuels ukrainiens comme Youriï Lipa en 1941, refait surface dans les débats contemporains. Certains groupes, soutenus par des acteurs de l’état profond anglo-américain et peut-être même par George Soros (et sa société ouverte internationaliste comme il sera revu), cherchent à affaiblir la Russie en encourageant les revendications nationales et régionales au sein de la Fédération de Russie. Ces initiatives ont conduit à la création d’un forum appelé « Forum des Peuples Libres de la Post-Russie », qui se réunit régulièrement pour discuter de l’éclatement territorial de la Russie. Les réunions ont eu lieu dans diverses villes européennes, américaines et japonaises, et sont financées par des acteurs externes. Il est crucial de surveiller de près ces développements, car ils pourraient avoir des implications significatives sur la stabilité de la région et les relations internationales. L’Occident doit être conscient des idéologies suprémacistes et expansionnistes qui animent certains groupes ukrainiens et veiller à ne pas les soutenir tacitement. La Russie et l’Ukraine partagent une histoire complexe et des relations tendues, mais la solution aux conflits régionaux ne réside pas dans l’encouragement de mouvements radicaux. Au lieu de cela, une approche diplomatique et la recherche de solutions pacifiques sont essentielles pour favoriser la stabilité et la coopération dans la région. Il est impératif que l’Occident s’engage dans un dialogue constructif avec toutes les parties concernées pour résoudre les différends régionaux et promouvoir la paix. Ignorer ou soutenir des groupes extrémistes ne fera que compliquer davantage la situation déjà fragile en Europe de l’Est. » (Intervention « L’Occident collectif rêve de l’éclatement territorial de la Russie » de Lucien Cerise résumé par le média en 4-4-2) « Vaincre la Russie en exterminant son (propre) peuple apparaît de plus en plus comme le grand pari de l'union européenne(, surtout que certains messianistes juifs prédisent et recherchent la destruction de l'Europe et y participe pour que leur messie arrive comme il sera vu). On a donc le retour du vaccin obligatoire, des confinements, des pénuries et la grande suppression de l’électricité car il est bon disent nos médias aux ordres (jusqu’où iront nos génocidaires journalistes si dignes de nos génocidaires élites ?) de protéger le climat ou la terre ou Gaïa ou je ne sais quoi. La guerre contre la Russie a servi depuis le début comme je l’ai dit à nous préparer au grand reset et à la coupure d’énergie si nécessaire pour mettre fin au réchauffement climatique – c’est-à-dire à la vie humaine qui va avec. Ces sanctions étant autodestructrices, elles ont donc pour but principal d’imposer le reset. Les règles nouvelle normalité voulue par les mondialistes organisant ce grand reset synonyme de mise en esclavage comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée et une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée), contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma (l'industrie pharmaceutique), le Big Tech et la sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement. Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique. On glisse vers une situation à la britannique, où le culte du profit, la destruction du public au profit du privé sont rois. Or avec une relative pénurie alimentaire ou un affaiblissement de l'approvisionnement des matières premières voire une grosse crise économique, le système peut éviter d'avoir à donner des contre-ordres concernant la tyrannie sanitaire pour continuer d’apeurer le peuple, de faire disparaître les PME (l'artisanat) au profit de l'industrie massive et donc de la centralisation économique, et ainsi de contrôler de plus en plus toutes les ressources, toutes les technologiques et tous les services, surtout que cela va empirer à cause des actes occidentaux ayant poussé la Russie à entrer en guerre contre l'Ukraine. En cas de coupure totale de courant (ce qui est le seul moyen avéré de protéger la planète des éruptions solaires), 90% de la population disparaîtrait en occident. Mais tout cela nous est imposé par les élites et par Davos et tout cela est basé sur la guerre contre la Russie. Or on ne la gagne pas et cela se sait maintenant en haut lieu et en bas lieu mais tout le monde s’en fout ou presque. L’objectif de la guerre contre la Russie est de nous faire crever, pas de reprendre la Crimée (on en est incapables de toute manière, mais c’est un autre problème). Orwell a bien dit qu’une guerre ingagnable est une guerre bonne pour l’élite qui ruine la population et qui aplatit le niveau de vie donc la capacité de réagir. (« Quand la CIA infiltrait la culture » est un documentaire de Hans-Rüdiger Minow, 2006 qui explique que dans l’après-guerre, les services secrets américains ont lancé une vaste opération d’infiltration des milieux européens de la culture. Ils se sont servis de personnalités comme Hannah Arendt, Heinrich Böll, Leonard Bernstein, George Orwell et Jackson Pollock comme armes de guerre froide. Pendant la Guerre froide, la CIA a consacré plusieurs millions de dollars du plan Marshall afin de manipuler artistes et intellectuels de gauche (en sachant que cela fait partie des autres fréquentes techniques très sournoises de la CIA avec la manipulation politique, l'instrumentalisation populaire et les assassinats dans une centaine de pays dont comme les forces spéciales US), qu’elle essaie de soustraire à l’influence marxiste et de gagner à la cause américaine. (Or sans son ouvrage « Les origines du plan Marshall » Annie Lacroix-Riz démonte les rouages de ce plan qui déjà en lui-même fera de l'Europe une colonie américaine. La Charte de l’Atlantique, les accords Blum-Byrnes, le système de Bretton Woods forment le prologue du Plan Marshall. Ils ont été extorqués par les Etats-Unis à une Europe en guerre. Ces accords léonins enchaîneront l'Europe à l'atlantisme jusqu'à aujourd'hui. Ils sont l'aboutissement d'un plan américain de conquête du monde élaboré à la fin du dix-neuvième siècle.) Un organisme, le Congrès pour la liberté de la culture, dont le siège se trouve à Paris, et quelques fondations servent de couverture. Ils soutiennent en particulier l’art non figuratif. Beaucoup d’écrivains travaillèrent pour la CIA et en profitèrent, consciemment ou inconsciemment. Actuellement, les intellectuels sur papier n’ont plus guère d’influence. Les médias ont pris la relève. Avec ou sans CIA ?) Mais concluons : le malthusianisme obtus est la philosophie de base de nos maîtres anglo-saxons. Le pauvre (99% de la population) n’a pas été « invité au banquet de la nature », il doit donc crever, dût-on comme Macron lui couper le courant qu’on gardera pour les efforts zélés de Zelenski. (D'ailleurs les dirigeants européens avaient dit : "On lance un embargo sur le pétrole/gaz, on va détruire l'économie russe." Puis Poutine a fermé les robinets. Et les dirigeants européens disent désormais : "Poutine refuse de nous vendre du pétrole et du gaz ! Il se sert de l'énergie comme une arme économique contre nous.") C’est Poutine qui guette une révolution européenne : et si elle n’avait pas lieu ? » (Nicolas Bonnal) Début de l’article « La stratégie du Kremlin pour provoquer l’effondrement de l’Occident » à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/11/la-strategie-du-kremlin-pour-provoquer-leffondrement-de-loccident/ : « Vous vous étonnez que la Russie ne riposte pas vigoureusement aux diverses attaques présentées comme « substantielles » par les occidentaux ? Sabotage des pipelines Nord-Stream2, assassinat de Daria Dugina, attaque hier du pont de Crimée ? Vous vous étonnez que la Russie ait d’elle-même stoppé en mars dernier l’offensive de Kiev alors qu’il était évident pour tout le monde qu’elle pouvait prendre la capitale sans problème puisque l’Ukraine n’avait à ce moment aucune aide occidentale ? Vous vous étonnez que la Russie n’utilise pas la totalité de la gamme de ses armes? Plusieurs fois j’ai lu par exemple l’étonnement que les chars Armata ne soient pas au combat. Vous vous étonnez que la Russie ait appelé 300.000 réservistes alors même qu’elle n’a envoyé en Ukraine qu’environ 15% de ses forces militaires d’engagés ? Vous vous étonnez que la Russie n’ait pas encore liquidé Zelenski? Nous *savons* ou il se trouve quasiment en permanence et il serait facile d’envoyer une dizaine de missiles dans le lieu de sa présence. Il n’y a pourtant rien d’étonnant à ceci si on se rappelle les interventions de Vladimir Poutine où il explique les raisons de l’opération militaire en Ukraine. La raison est un combat contre non pas l’Ukraine en elle-même, mais contre le système occidental actuel qui, pour assouvir ses objectifs d’hégémonie mondiale, doit détruire la Russie. L’Ukraine est le terrain où se joue ce combat, rien de plus. Que se passerait-il aujourd’hui si nos forces avaient pris Kiev en mars ? Que se passerait-il aujourd’hui si nous avions déployé toutes nos forces pour prendre la totalité de l’Ukraine ? La Russie se serait agrandie, avec de nouvelles frontières. Et rien d’autre n’aurait changé, les pays occidentaux continueraient leur diktat mondial en distribuant menaces et sanctions ! QUI est la victime du sabotage du Nord-Stream2 ? Les pays d’Europe (au profit du gaz liquéfié US, surtout que l’Ukraine a tenté de saboter le gazoduc TurkStream, le dernier à alimenter l’Europe). La conséquence sera un effondrement économique grandiose dans les mois voire les semaines à venir, et nous l’espérons des révoltes dans ces pays contre les gouvernements en place. »
A ce sujet également, voici des extraits de l'article « Et si l’objectif russe n’était pas de vaincre l’Ukraine, mais de vaincre l’Occident ? par Dominique Delawarde » à l'adresse https://strategika.fr/2022/10/12/et-si-lobjectif-russe-netait-pas-de-vaincre-lukraine-mais-de-vaincre-loccident-par-dominique-delawarde/ : « Dès le début de l’opération en Ukraine, j’ai commencé à me poser de nombreuses questions sur ses buts, ses objectifs et son résultat final. Les actions de notre armée et de nos autorités ont clairement indiqué que la Russie ne s’efforçait pas d’achever rapidement l’opération. Voyez comme c’est étrange : Retrait volontaire des troupes près de Kiev ; Refus de la prise d’initiative ; Arrêt des opérations offensives et passage en défensif ; Négociations délibérément dénuées de sens ; Étranges échanges de prisonniers ; Frappes quasi-exclusivement contre des cibles militaires ; Refus catégorique d’endommager les infrastructures stratégiques “civiles” ; Référendums organisés à la hâte ; Refus d’attaquer les QG et centres de décision ennemis. Et il existe de nombreuses autres bizarreries qui ne sont pas typiques des actions d’une équipe qui a l’intention de remporter une victoire rapide et décisive (notamment : pas d’attaque contre la DCA, contre les voies d’approvisionnement etc). Dans le bras de fer OTAN-Russie qui se déroule sur le théâtre ukrainien, il y aura un vainqueur et un vaincu en fin de partie. Et c’est bien le degré de résilience économique et sociale de chacune des parties en conflit qui désignera le vainqueur. Pour moi, le temps joue aujourd’hui en faveur de la Russie qui n’a donc aucun intérêt à précipiter les choses et qui ne prend d’ailleurs aucune mesure dans ce sens, d’autant que les gestions européenne et US suicidaires de ce conflit, par des sanctions boomerang, risque fort de provoquer, à court terme, un profond déclin voire un effondrement économique occidental durable tout à fait comparable dans son ampleur et dans ses conséquences à celui que l’ex-URSS a connu en 1990. Or au niveau mondial, ce sont les sociétés européennes qui sont principalement mises en stress voire en rupture par ces sanctions, surtout que les USA profitent que l'UE s'adresse désormais à eux plutôt qu'à la Russie dont pour le gaz et que les subventions données à l'Ukraine permettent de faire fonctionner leur complexe militaro-industriel, ce qui prouve l’aspect glouton de l'impérialisme américain puisque au risque de la disparition de l'Ukraine, de la Russie ou/et de l'UE. (En sachant que suite au considérable effondrement économique, sanitaire et militaire de l'URSS, l'espérance de vie y a diminué de 20 ans en six mois.) Si après un hiver douloureux, une inflation à deux chiffres entraînant une baisse importante du pouvoir d’achat et du niveau de vie en occident, des faillites d’entreprises et des troubles sociaux qui ne peuvent que s’y multiplier, un effondrement partiel ou total de leur économie, les gouvernances des pays membres de l’OTAN réalisent qu’elles n’ont d’autres choix que d’accepter de nouvelles règles, celles du monde multipolaire tel qu’il se dessine aujourd’hui, alors seulement la Russie aura gagné la partie. On ne le répétera jamais assez, l’enjeu du bras de fer OTAN-Russie dépasse largement les frontières de l’Ukraine. Pour la Russie et les États qui la soutiennent, il s’agit de neutraliser une fois pour toute l’hégémon « US-OTAN-dollar » et de revoir le fonctionnement des organismes qui lui sont plus ou moins associés et/ou soumis (FMI, OMC, et même ONU). » C'est pourquoi après que le corrompu système oligarchique ait créé un énorme problème économique au niveau mondial en vantant et portant sournoisement la croissance illimitée alors que nous vivons sur une planète limitée, le grand reset du système ne peut que mentir lorsqu'il prétend y répondre correctement pour le bien de tous... Surtout que la domination de l'Ukraine par l'occident faisait partie du projet du grand reset et que la guerre avec la Russie était dans les plans, car dans le calcul mondialiste, la Russie devait s'effondrer économiquement puis donc se morceler comme la Yougoslavie qui commença par subir la première révolution colorée, ce qui aurait fait que la Chine aurait suivi et que le pervers mondialisme ploutocratique aurait triomphé. Cette implosion-explosion yougoslave a aussi engendré pour la première fois un effet détonnant, régional et virtuellement mondial, en raison de l’implication des puissances globales attirées par le vide à remplir, suite à l'effondrement de l'URSS et donc à la transition fréquente du système politique socialiste à celui nationaliste. Mais ce n'est pour l'instant clairement pas le cas. Le président Poutine a clairement identifié les véritables responsables des problèmes de l’Europe et des États-Unis, et donc les enemis du monde : une classe d’oligarques qui se sentent autorisés à diriger le planète. Poutine, Khadirov et leurs gouvernements relèvent donc enfin louablement le niveau des élites blanches et donc de l'homme blanc auprès du monde. Poutine est même allé jusqu'à préciser véridiquement que ces élites et leur système wokiste sont sataniques, ce qui correspond clairement à une grande épreuve de fin des temps, et amène donc à dénoncer et à lutter contre toute la corruption du système occidental que ce soit au niveau géopolitique, militaire, politique, mondialiste, économique, financier, monétaire, social, éducationnel, sociétal, etc. D'ailleurs lors de sa première investiture en tant que président de la Russie, il a mis fin radicalement au pillage et donc à l'appauvrissement de son pays par des oligarques non patriotes qui eut lieu de 1991 à 1999. (Vladimir Poutine a aussi dans ce sens réussi à redresser l’économie russe après la crise de 1998, souvent appelée « la crise noire ». Cette période a été marquée par l’effondrement de la Bourse de Moscou et un défaut de paiement sur la dette. Cependant, la Russie a réussi à rembourser ses créanciers étrangers, bien que l’épargne ait été liquidée et la monnaie dévaluée. Cette dévaluation a été bénéfique pour la Russie, augmentant sa compétitivité et permettant un redécollage économique. Poutine, arrivé au pouvoir en 1999, a immédiatement mis en place des réformes économiques libérales, simplifiant le système fiscal et rendant les impôts plus accessibles et compréhensibles pour tous.) Alors que si les USA n'ont pas mis plus de pression sur la Russie nucléaire suite à l'effondrement de l'URSS, c'est parce qu'ils croyaient que le découpage de la Russie allait se faire progressivement avec la continuité de la corruption des oligarques russes après Eltsine et avec Poutine, mais ce dernier a très noblement changé de cap pieusement. Ainsi lors d'un discours il a expliqué que l’ancien ordre mondial unipolaire était mort et expliqué comment l’Occident se suicidait pour répondre aux souhaits de la bande du Forum Economique Mondial de Davos. C'est à dire que les organisateurs du grand reset ont compris les limites de leur pseudo utopie. Pourtant ces perverses élites oligarchiques, mondialisées et apatrides contrôlant de nombreux gouvernement continuent d’œuvrer à l'effondrement de leur propre système, car comme il ne les favorise plus, ils veulent le détruire pour en reconstruire un qui leur est encore plus favorable. Il faut noter qu'il y a actuellement une baisse de la valorisation de l'ensemble des classes d'actifs au même moment tel un crack de tout : actions, obligations, cryptomonnaies, matières premières dont alimentaires et énergétiques, métaux précieux, immobilier, entreprises technologiques. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente vidéo « Great Reset : Des pénuries organisées à la famine - Politique & Eco n°345 avec Marc Gabriel Draghi » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=G02pWD1-jtk&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ Les causes du plus grand crack financier sont en réalité simples. En effet quand les banques ont inscrit dans leur bilan des biens qui ont connu des prix en forte baisse, elles vont donc accuser une perte, ce qui crée logiquement souvent un effet boule de neige. Surtout que quand les banques affichent des pertes, elles doivent renforcer leurs fonds propres en recherchant toujours plus d'argent et limitant grandement les prêts pour éviter la solvabilité et donc garder l'équilibre du système financier. C'est à dire que tout cela provoque un affaiblissement des banques, et donc un danger pour le système bancaire européen, et même des faillites bancaires risquant un effondrement du système bancaire par leurs logiques propagations, et ainsi une nationalisation des comptes bancaires qui ne sont garantis qu'à hauteur d'une valeur 100000 euros. Surtout que la crise obligataire pourrait déjà faire imploser le système financier et mettre l'économie mondiale à terre, puisque avec l'élévation de taux d'intérêts sur une longue durée, les grosses institutions financières sont fragilisées, car elles perdent beaucoup d'argent suite à la baisse de valeur de leurs obligations. D'ailleurs l'augmentation des taux amène même les pays qui empruntent à devoir finalement payer les intérêts de la dette comme premier poste de dépense de l’État avant l'éducation ou la défense, ce qui y entraîne une inquisition fiscale, voire une disparition de l'économie capitaliste au niveau de l'occident mais aussi d'une grande partie du monde. Ce qui mènerait probablement à la censure d'internet et à l'obligation d'ouvrir ses portes sous prétexte de lutte contre les punaises de lit, et donc à un totalitarisme de l'oligarchie mondialiste pour contrôler les populations insoumises et résistantes. Mais tout peuple peut reprendre son bon destin en main à tout moment. « « Nous exhortons tous les pays du monde à ne pas acheter à la Russie les céréales volées en Ukraine, nous les exhortons à vérifier leur origine », a ainsi déclaré Peter Stano, porte-parole des Affaires étrangères de la Commission européenne, signe d’une certaine nervosité à Bruxelles. Car, sur le terrain, l’armée russe est en train de gagner la guerre. A terme, c’est non seulement le Donbass, déjà pratiquement libéré du joug de Kiev, mais tout le territoire au sud d’une ligne Odessa-Kharkov qui pourrait rejoindre le monde russe auquel il avait toujours appartenu. (Surtout qu'il y a eu nettement plus de progrès dans les infrastructures et l'administratif au Donbass depuis qu'il a rejoint la Russie, donc même pendant la guerre, que depuis 25 ans sous le joug kievien en paix. En sachant que le Donbass est une riche région industrielle dont le développement remonte à l’Empire russe, puis à l’Union soviétique, et qui a suscité les convoitises. La dureté du travail des mines, ainsi que la mémoire de la Grande Guerre patriotique, ont contribué à forger la mentalité résiliente et inflexible de sa population. C’est sans surprise que ces régions ont refusé le narratif post coup d'état Maïdan cherchant à les déraciner de leur identité, et qu’elles reviennent désormais à la Russie.) Derrière l’armée, le rouble, les administrations et les entreprises russes chargées de la reconstruction suivent déjà. La République de Donetsk a affirmé que son intégration comme sujet de la Fédération de Russie était déjà en cours. A terme, Kiev serait hors-jeu et la Russie contrôlerait l’Ukraine utile, non seulement industrielle, mais aussi maritime et agricole. Cette Novorossiya, nouvelle Russie, produit 50% du blé ukrainien. L’Occident s’opposera-t-il à son exportation pour des motifs idéologiques ? «Ils essaient de limiter l’exportation de nos engrais et les prix ont grimpé. Ça n’a rien à voir avec nous. C’est le résultat de leurs erreurs commises depuis longtemps», a expliqué Vladimir Poutine. « C’est aux Occidentaux de décider maintenant », avait déjà résumé Sergueï Lavrov. (Surtout que le blocage des ports de la mer noire à l'ouest par des mines marines, les blocages bancaires et la destructions de voies ferrées en partie par les Ukrainiens sont des décisions atlantistes ayant augmenté fortement les prix du blé et des engrais.) » (Alexandre Keller, pour Strategika) « Bien entendu, nous rejetons fermement les accusations de la ministre française, qui sont dépourvues de tout bon sens et de toute preuve(, concernant la pseudo instrumentalisation de la faim comme arme de guerre par la Russie). Pour le reste, nous ne pouvons que répéter ce que nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises. Comme le disent les Français eux-mêmes, les faits sont têtus. Il est évident pour tout observateur objectif que l’Initiative céréalière de la mer Noire a servi les intérêts des grandes entreprises américaines et européennes sous une couverture humanitaire. Au cours de sa réalisation, seuls 3% des 33 millions de tonnes de céréales ont été acheminés vers les pays les plus pauvres. De son côté, la Russie, qui détient 20% du marché mondial du blé, en a exporté 60 millions de tonnes l’année dernière. C’est donc notre pays qui contribue de manière significative à assurer la sécurité alimentaire mondiale. Notre pays continue de fournir des produits agricoles et des engrais aux marchés mondiaux, malgré les sanctions unilatérales illégales adoptées par les Occidentaux, qui auraient dû être levées conformément au second accord d’Istanbul – le mémorandum Russie-ONU sur la normalisation des exportations de produits agricoles nationaux. » (Commentaire de Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères) « En ce qui concerne l’Ukraine, une partie considérable des volumes exportés de céréales proviennent des terres agricoles appartenant non pas aux ukrainiens, mais… bien à des géants occidentaux de l’agro-industrie. En mars 2020, sous l’influence des lobbies occidentaux auprès du FMI, l’Ukraine a adopté la loi autorisant à racheter les terres agricoles par des entreprises étrangères, ce qui était interdit auparavant. Ceci était la condition du FMI – l’organisation contrôlée par les « atlantistes » – pour que l’Ukraine accède à la nouvelle ligne de crédit du Fond. Depuis ce méfait désastreux accompli par les élites politiques actuelles ukrainiennes contre les intérêts nationaux de l’Ukraine, seulement en 3 ans suivant son adoption, près de 40% des terres cultivables du pays sont devenues la propriété d’acteurs économiques étrangers. La prise de contrôle de l’agriculture ukrainienne, principalement par des puissances occidentales, était d’autant plus facile, que si les prix à l’achat d’un hectare de terre arable en Union Européenne varie en moyenne de 4 à 70.000 USD, le même hectare en Ukraine leur revenait seulement à 1-2.500 dollars, en sachant que la qualité générale de la terre cultivable ukrainienne est sensiblement meilleure que celle européenne. Aujourd’hui, plus de 52% des terres cultivables ukrainiennes, soit 17 millions d’hectares, appartiennent seulement à 3 entreprises : les américains Cargill et DuPont et l’allemand Bayer (dont les terres en Ukraine ont été acquises par l’américain Monsanto, société acquise, ensuite, par l’allemand). Et ils ne sont pas les seuls nouveaux propriétaires étrangers heureux des sols ukrainiens : toute une série d’autres géants de second rang sont également présents dans le pays. (D'ailleurs il y aurait en plus une très grande valeur financière en métaux et en minerais dans les sols ukrainiens.) Tout ceci étant évidemment facilité par les centaines de milliers de morts ukrainiens qui appartiennent aussi souvent à des ethnies que les bandéristes ne veulent plus, comme ils voulaient faire une épuration ethnique voire un génocide dans le Donbass, ce qui a donc entraîné la légitime opération spéciale russe. En sachant que la soumission à des conditions d'existence mettant en péril la vie d'un groupe de population correspond déjà à un génocide, et encore plus le massacre contre ce groupe. La très corrompue classe politique actuellement installée à Kiev a fait le nécessaire pour qu’à moyen/long terme la quasi-intégralité des terres arables du pays n’appartiennent plus aux ukrainiens. Si l’ouverture totale du marché européen a été tout-à-fait bénéfique à de grands groupes-négociants en céréales et à de hauts fonctionnaires européens qui les représentent d’une manière évidente, cela n’a pas été le cas des agriculteurs des pays-producteurs de céréales frontaliers de l’Ukraine. (Or ces achats de terre massifs pourraient servir d'option de repli aux ashkenaze israéliens, en particulier suite à la mort de millions d’ukrainiens, à la volonté de vengeance des ashkénazes contre les la nazis d'Ukraine ou ukro(néo)nazis de la deuxième guerre mondiale, et à l'ancien royaume khazar juif dans cette région, sauf si en cas d'épuration ethnique à Gaza et en Cisjordanie, cela permettrait l'arrivée de nouveaux juifs.) » (Extraits de l'article « « L’ACCORD CEREALIER » : LES SOMMETS DU CYNISME » à l'adresse https://strategika.fr/category/actualite/) Pour la caste ultra riche qui nous dirige, la crise du Covid et la guerre en Ukraine ont été l’occasion rêvée d’imposer à l’humanité entière une forte accélération dans l’avènement de ce Great Reset piloté par les Etats-unis, mais cela a permis aussi aux peuples de se rapprocher en fonction du niveaux des âmes. En attendant l'occident peut ne pas s’ennuyer à faire formellement entrer l’Ukraine comme pays dans l’Union européenne quand on peut tranquillement laisser la Pologne s’emparer d'une grande partie du territoire. De plus le groupe de pression qu'est l'union européenne oligarchique veut même probablement parvenir à un coup d'état contre la France suite à cette crise ukrainienne dont en achetant son armée et finir de l'endetter à mort. Ce n'est pas étonnant quand on connaît l'immonde analyse de Jean Monnet (un des pères fondateurs de la Communauté européenne, mais aussi de nombreux mondialistes oligarchiques et sionistes) : « L'Europe se fera dans les crises et elle sera la somme des solutions apportés à ces crises. » Or étrangement, peu de solutions bonnes sont trouvées. En effet où en sera l'économie dans six mois, dans un an, dans deux ans, dans dix ans ? En temps de paix, nous avons déjà eu la monstruosité arbitraire de l’extraterritorialité du droit américain, puisque pouvant empêcher les alliés des USA de commercer avec un pays non soumis. En temps de guerre en Ukraine, un temps qui justifie tout, où s’arrêteront les exigences de nos « protecteurs » surtout vu leurs manipulations de la guerre contre le covid ? Il s'agit d'un processus synonyme de ruine programmée et consentante de l’Europe pour la vendre bradée à la découpe aux États-Unis, comme le prouve l'attentat contre le gazoduc Nord Stream 2 sans plainte en particulier de l'Allemagne. L’ingénierie sociale ayant fait d’immense progrès en un siècle, la manipulation des foules est terriblement efficace, et les peuples envoûtés semblent laisser aux 1 % les plus puissants du monde le soin de les exploiter ainsi que leur descendance. Signification de l'expression « ingénierie sociale » : Par rapport à la la manipulation, l'ingénierie sociale vise le changement durable à travers le formatage caché des esprits. Il s'agit de décrire un objet ou une interaction puis de l'utiliser via un détournement de sens le plus occultement possible. C'est synonyme d'un hameçonnage qui est généralement de faire sournoisement croire à une réalité pour arriver à un but autre, comme un poisson croit qu'il va manger le ver au bout d'un hameçon, alors que c'est lui qui va être mangé. Actuellement, l’ingénierie sociale mondialiste tend à répandre le wokisme, le transhumanisme, l'écologisme et le ploutocratisme. Depuis la deuxième guerre mondiale et avant avec Hitler, l'origine psychologique de l'agissement d'un être humain a été totalement décortiqué au niveau individuel et collectif. Et le peuple peut ainsi se faire manipuler par les médias dont par l'orientation de son être à travers donc l'émotionnel transmis particulièrement à travers certaines publicités et informations télévisuelles. Ce qui est logique, car l'émotionnel est souvent ce qui fait le plus agir un individu. Le Great Reset consiste à déconstruire le social et le sociétal pour construire une ploutocratie supranationale dont en ouvrant de nouveaux marchés économiques pervers, puisque la tradition monothéiste les limites car elle rejette la transsexualité, l'homophobie, la famille non traditionnelle, les idéologies matérialistes, le transhumanisme, l'extravagance et le mondialisme. Or la gauche sociétale sur laquelle ce dernier s'appuie n'assume pas. Alors on change les mots. Par exemple, on remplace le mot « détruire » (la nature humaine à travers le transhumanisme, la famille traditionnelle à travers le mariage homosexuel, les frontières à travers les entités supranationales) par « déconstruire ». D'ailleurs c'est d'abord via le glissement de la question sociale par la gauche vers la question sociétale que cela a sournoisement commencé, c'est à dire de la grande question économique vers celle sexuelle inutile. Or ce fut la suite du glissement de la gauche idéaliste (ou sociale) vers la gauche (i)réaliste (libérale). Le libertaire n'a pas été le prolongement de la gauche socialiste (marxiste), mais le moyen de la détruire de l'intérieur. Et dans un sens tout de même utile pour le système, cette gauche sociétale permet ainsi dans une forme d'alliance de faire avancer le libéralisme-libertaire sous couvert de gauchisme. D'ailleurs c'est l'instrumentalisation de la lutte antiraciste, et désormais contre l'homophobie et la transphobie qui a permis le passage de la gauche sociale à la gauche sociétale, alors que le plus célèbre et apprécié président US de gauche que fut JF. Kennedy n'a pourtant jamais défendu le wokisme, le Lgbtisme ni même l'homosexualisme, mais plutôt l'antiracisme envers les noirs et les prolétaires. Le libertaire a été orienté au service de la propagation du libéral, c'est à dire que le Lgbtisme est la gauche (sociétale) du capital (par preuve qu'elle n'est pas attaquée et même promotionnée par le système dont en plus par Davos, alors que se prétendant révolutionnaire contre le capitalisme patriarcal), et que la finance internationaliste est sa droite. (En sachant que selon le président vénézuélien Maduro, la perverse droite extrême financière vénézuélienne est soutenue par le sionisme international, ce qui prouve que le populisme authentique préserve la souveraineté du peuple.) Cette gauche wokiste, cancel, permet au libéralisme de triompher du sérieux de gauche. (Pourtant initialement, la gauche était divisée seulement en deux grandes tendances préservant la famille traditionnelle : celle étatitse de Marx et Lénine, et celle anarcho-libertaire anti-étatique avec des municipalités, des soviets (forme d'organisation spontanée des ouvriers, des paysans et des soldats) et des syndicalistes, qui est celle du socialisme utopique de Proudhon.) Or pour subsister, la gauche a désormais absolument besoin du progressisme pour faire croire qu’elle lutte pour les libertés, même les plus insolites, les plus dangereuses ou les plus minoritaires. C’est le piège dans lequel elle s’est fourrée avec le woke, qui lui revient donc en pleine figure par son importance électorale s'étant grandement affaiblie. Ainsi par sa trahison très profonde de ses fondamentaux au détriment de tout ce qu'est la gestion réelle d'une société, cette gauche corrompue tendra à beaucoup moins défendre l'unissante justice économique et donc la lutte des classes, que la divisante et souvent perverse lutte des sexes, des races et des âges, de même que la cancel culture niant tout le reste. La droite des valeurs représente plus la justice mais actuellement elle est souvent dans l'impiété laïciste et la gauche des valeurs représente plus l'amour (la miséricorde) mais actuellement elle est plus dans l'impiété laïciste, ce qui prouve l'importance de la piété et de la raison pour être dans la noblesse authentique et éviter la division par le jugement de valeurs incorrectes ou les opinions inexactes concernant les sens réels de la science et de la philosophie, dont aussi à cause ou au service d'une idéologie erronée. On pourrait également dire que la droite authentique correspond à la tradition, à la foi, et à la pureté de la vérité originelle et de la juste hiérarchie, alors que la gauche authentique correspond à la raison, à la modernité et à l'espoir espoir du meilleur futur. Ainsi les analyses de ce site concernant l'évolution de la France dans l'Histoire des derniers siècles peuvent protéger les générations futures, comme l'époque de la révélation en Arabie nous guide par son exemplarité. Dans ce sens il faut remarquer les immenses bénéfices qu'ont gagné divers groupes tel que Amazon, Google et Facebook lors de la crise sanitaire du coronavirus : les maîtres du capital demeurent les maîtres dans la croissance comme dans la crise, voire amplifient leur pouvoir. D'autant plus que la volonté de croissance du Capitalisme sert d'abord à maintenir le système de la haute finance mondialisée basé sur l'argent dette dominateur, synonyme de pervers crédits bancaires informatiques usuriers esclavagisant basés sur la vague promesse d'un remboursement futur. Le mode de production capitaliste se soucie pas de la santé humaine. Toute la comédie du covid est une fable ridicule. Le But est de discipliner, de réduire, intellectuellement et physiquement, d’installer la pire tyrannie. En effet si rien n'encadre le Great reset amenant à ce que le privé ultra riche prenne le pouvoir sur les nations, le contrat social sera remplacé par la loi du marché actuellement perversement dérégulée et profitant donc principalement aux ultra riches corrompus. La ploutocratie favorisera toujours les riches, alors qu'un régime indépendant sera plus juste envers toutes les catégories sociales, comme l'ont prouvé les rois qui contrôlaient le prix du pain pour les petites gens, et même la démocratie pourrait donc injustement favoriser sans équité le peuple au détriment des patrons et donc être moins bonne que le chef pieux à l'autorité suprême, quoique pendant un temps il est préférable que les bonnes règles sociétales principales et importantes soient votées par référendum. Or avec la révolution bourgeoise de 1789, ce juste prix de la morale est devenu le faux juste prix de l'offre et de la demande concernant les produits de bases pour survivre. En croyant à la loi du marché plutôt qu'à la piété, la royauté finit par être écartée par cette loi du marché, et donc par les mathématiques et la bourgeoisie. Par conséquent il faut un juste milieu entre l'autorité (souveraineté) pieuse et la loi du marché en particulier donc concernant les produis de premières nécessités. Et il ne faut donc pas se servir de l'esprit sans le cœur. Or il suffit au peuple français de vouloir retourner à la laïcité modérée pour retrouver les racines monothéistes de la France, une sincère solidarité nationale, les véritables valeurs morales, des mesures protectionnistes, une purification économique et un air de liberté religieuse pour chacun. Surtout que la France qui brillait naguère par sa diplomatie, sa politique étrangère et sa position de non alignée est désormais à la remorque des Etats-Unis, de l’OTAN, et de l’UE : c'est une vassalisation qui nuit aux Français, aux Ukrainiens et à beaucoup d'autres parties du monde. L'un des buts de la crise ukrainienne a même été de vassaliser l'Union européenne aux américains dont en récupérant des cerveaux pas chers suite à des pays de plus en plus ruinés à cause de sanctions suicidaires contre la Russie. D'ailleurs selon divers accords, en cas de guerre, l'OTAN dirigée par les Etats-unis fait des autres pays constituant cette organisation ses vassaux militaires et non ses alliés. La guerre tragique qui se déroule actuellement sur les champs de bataille ukrainiens n’est pas entre la Fédération de Russie et l’Ukraine, mais entre la Fédération de Russie et l’OTAN contrôlée par les États-Unis. Les accords de Minsk ont seulement servi à remitilariser l'Ukraine contre le Donbass qui a refusé le coup d'état atlantiste de 2014 à Kiev, comme l'ont prouvé Petro Porochenko et François Hollande qui ont admis que l'Ukraine n'avait jamais prévu de mettre en œuvre les accords de Minsk mais qu'elle avait besoin de 4 à 5 ans pour former une armée sur les standards de l'OTAN. Et c'est pourquoi il est logique qu'elle ne put être déclenchée qu'en 2022. Le Président russe Poutine a d'ailleurs dit à ce sujet : « Ce sont eux qui ont commencé la guerre en 2014 (en bombardant le Donbass). Notre objectif (opération spéciale) est d’arrêter cette guerre. » Cette organisation atlantiste également appelée « l’Occident collectif », promeut une idéologie agressive de violence organisée, une doctrine politiquement, économiquement et militairement renforcée, connue par euphémisme sous le nom de « globalisme ». Cela signifie l’hégémonie du monde occidental, qui s’appelle avec arrogance « la communauté internationale », sur l’ensemble de la planète, puisque cela correspond seulement à un bloc principal de pays soutenant le projet d'hégémonie entièrement mondiale des USA : Israël, Grande Bretagne, France, Union Eurpéenne, Canada, Australie, Japon, Corée du Sud, soit environ 35 pays sur 195 pays. Des experts américains ont même proposé de faire un OTAN économique (mondialiste) probablement avec eux comme décideur principal tel que dans l'OTAN militaire. La France et l’Allemagne ont également présenté une mondialiste proposition commune en réponse à la loi américaine sur la réduction de l’inflation (Inflation Reduction Act ou IRA), plaidant pour la création d’un mondialiste partenariat économique vert entre l’Union européenne et les États-Unis. Dans un communiqué conjoint, le ministre français de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, et son homologue allemand, Robert Habeck, appellent à la création d’un partenariat prévoyant l’élaboration conjointe de normes, l’accès à des régimes de subventions et une politique industrielle verte ambitieuse. « Par rapport à la pensée unique médiatique, je pense que nous mettons de l’huile sur le feu en permanence, nous ne sommes pas un front uni, nous sommes à la remorque des États-Unis et de l’OTAN. Moi je pense qu’il faut aussi quitter l’OTAN d’ailleurs pour avoir une vraie politique de paix. Et avoir une vraie politique de paix ce n’est pas avoir des sanctions qui tuent l’agriculture française et l’industrie française, et qui augmentent les tarifs pour les consommateurs français comme ça va être dramatique si nous faisons l’embargo sur le pétrole russe, mais c’est d’avoir une politique de négociation de la neutralité ukrainienne, d’aller faire des référendums dans le Donbass pour aller voir ce que veulent faire les populations locales. » (Florian Philippot) Le peuple français est une forme de génie simple de l’alliance unique de caractéristiques habituellement opposées comme l’a démontré Geert Hofstede : l’individualisme (à travers la consommation et un ressenti fort) et le sens du collectif (à travers les aides sociales mais un resenti faible), la familiarité et le sens de la hiérarchie, la finesse et la robustesse, la légèreté et la profondeur. Or ce peuple donné au monde pour être une force d’équilibre, pour tempérer les excès des autres grandes puissances et incarner une alternative catholique fondée sur la foi, l’honneur et le bien commun à un monde anglo-saxon protestant, dominé par l’argent, l’individualisme et le contrat, n’ose plus assumer sa singularité et multiplie les marques de soumission à l’égard de puissances rivales, alors qu'avant de devenir individualiste, le français était généralement relié à l’ascendance et à la descendance, tout en étant lié à Dieu. D'ailleurs l'union de Chirac, Schröder et Poutine fut le dernier front diplomatique européen puissant lors de l'opposition à la guerre américaine conte l'Irak. En effet la France est passée d'une société organique dans laquelle la famille était naturelle à une société de contrat dans laquelle le mariage détient des conditions juridiques. C'est à dire que le catholicisme laïcisé universaliste français a été attaqué par le mondialisme alliant ploutocratie, judaïsme, maçonnerie et monde anglo-saxon. Or philosophiquement, une société ayant une faible densité démographique et peu de développement peut être de type organique (naturelle), surtout si à sa tête se trouve une dynastie royale basée donc sur la sang, mais lorsque la démographie augmente grandement, il paraît logique que cette société devienne de type contractuel. D'ailleurs la révélation coranique concernant les règles du mariage eut lieu lorsque la communauté musulmane s’agrandit beaucoup, puisque la sourate « les femmes » fut révélée lors de la période médinoise, en tant que 94e sourates révélées au niveau chronologique même si elle est actuellement en quatrième position selon l'ordre du Coran. Il faut noter que dans un société de contrat, il paraît possible de progressivement récupérer entièrement le pouvoir, le droit et la loi monothéistes par le contrat collectif.
L’Occident :
« L’Occident masque son double jeu derrière le discours des droits de l’homme. L’Occident. est une entité voyou qui dépasse ceux qu’elle condamne. Ceux qui dénoncent le terrorisme comme une menace existentielle sont aussi ceux qui l’exploitent pour leurs propres intérêts. L’Occident se pose en juge moral, en chantre des droits de l’homme, tout en orchestrant dans l’ombre des massacres et des coups tordus. Du Kosovo à la Syrie, de l’Irak à l’Ukraine, l’histoire récente est une longue suite d’opérations clandestines où le terrorisme a été une pièce maîtresse du jeu occidental. La réalité est implacable : l’Occident est un empire du mensonge et du chaos. Il se pare des atours de la vertu pour mieux imposer sa loi, et utilise les méthodes les plus abjectes tout en accusant ses adversaires des pires crimes. Ne soyez pas dupes. Ceux qui prétendent combattre le terrorisme sont souvent ceux qui l’organisent en coulisses. Il est temps d’ouvrir les yeux sur les véritables responsables du désordre mondial. » (Ali Reza Jalali)
La France :
Il faut noter que la réussite de cette révolution française de 1789 est liée aux jacobins qui étaient des francs-maçons. C'est à dire que ce Club des jacobins était une société de pensée qui a constitué, pendant la Révolution française, à la fois un groupe de pression et un réseau d'une remarquable efficacité. L'action du club, essentielle dès le début de 1790, devient dominante entre 1792 et 1794. En un sens, la Révolution française a été une révolution manquée. Seulement 11 ou 12 ans après cette révolution, un empire puissant a été créé par Napoléon, une monarchie absolue pire que celle de son prédécesseur Louis XVI qui avait été décapité pendant la révolution. Dans la période de 12 ans entre la Révolution française et l'avènement de Napoléon, trois groupes différents sont arrivé au pouvoir. Chaque nouveau groupe a massacré et anéanti le groupe précédent et à son tour, a été massacré par le groupe suivant au pouvoir. Les gens vivaient dans les pires conditions et dans un chaos total. Ce sont les réalités de la Révolution française. Autrement dit, les objectifs initiaux ont été atteints d'une façon ou d'une autre puis détournés. La révolution 1789 eut lieu contre la monarchie française. La Révolution française fut une révolution populaire mais planifiée par la bourgeoisie. D'ailleurs ce mouvement n'avait rien d'idéologique, ils voulaient d'abord un gouvernement populaire et démocratique. Trois ou quatre ans après la révolution en 1789, le groupe qui avait fait la révolution a été écarté par un groupe plus extrémiste. Pendant les onze premières années, de célèbres personnalités politiques de différents groupes révolutionnaires ont été exécutées. Ainsi à quelques exceptions près, ceux qui avaient fait la révolution se sont au final effectivement éloignés de la trajectoire initiale. Chaque Français devrait lire ces lignes de l’abbé Jacques-François Lefranc, assassiné en 1792 : « Voici le tableau que nous offrira la France. L’autorité y tombera dans l'avilissement, la majesté du trône y sera foulée aux pieds, le crime y sera impuni, les propriétés envahies, la force publique sans exercice, l'innocence opprimée, la justice sans vigueur, tous les vices en honneur, les lois ne seront publiées que pour faire la terreur de ceux qui les respecteront. L’intrigue, l'orgueil, l'intérêt ouvriront le chemin aux premières places de l'état, on s'y soutiendra par le crime et l'injustice. On abusera de l'autorité dont on aura été revêtu, pour faire le malheur de tous ceux qui y auront recours.On s'attribuera les fonds publics, on les dissipera pour soudoyer les factions.On déclamera contre des vices anciens, pour détourner les yeux de dessus les forfaits inouïs dont on se sera souillé; on s'environnera de tous les hommes usés dans la crapule et la débauche, et pour lesquels il n'y a rien de sacré. On aura l'air de poursuivre avec une sévérité outrée,des fautes légères contre l'ordre public,et on ne voudra pas seulement examiner les crimes qui saperont le fondement de l'état. On privera l'état de toutes ses ressources et on dira qu'il est régénéré. On dira que la liberté y règne et que chacun y vit heureux... »
Le Moyen Orient :
Avec l’effondrement de la Syrie, trois projets géopolitiques différents s’affrontent désormais plus directement, sans plus aucun tampon : la Turquie, Israël et l’Iran. En sachan tqu'il y a aussi l'axe de la résistance en partie iranienne. En conclusion, les trois projets continueront à s’affronter en Syrie et en Irak, avec des alliances tactiques qui peuvent changer en fonction des opportunités. Dans un contexte, nous pouvons voir – dans un rôle anti-Assad et anti-Iran – les Turcs et les Israéliens unis, mais dans d’autres, la situation peut changer complètement. Par exemple, la relation entre les Kurdes de Syrie et d’Irak et les trois protagonistes du soulèvement arabe est très difficile à déchiffrer. Les Israéliens, les Turcs et les Iraniens ont tous des amis et des ennemis potentiels parmi les Kurdes. Par exemple, s’il est vrai que les Kurdes syriens et irakiens sont en contact avec les sionistes, l’Iran exerce également une réelle influence, notamment parmi les Kurdes irakiens; et il n’est pas exclu que, dans un rôle anti-turc, cette collaboration intermittente s’étende à l’est de l’Euphrate en Syrie, une zone que les Iraniens connaissent bien en raison de la guerre contre ISIS dans les régions voisines. (Ali Reza Jalali)
L'orientation vers le monde multipolaire :
Idéalement, l’Europe pourrait être l’un des nombreux partenaires économiques de la Russie dans l’Initiative de Grande Eurasie. La renaissance de lignes de démarcation militarisées sur le continent européen rend les Européens excessivement dépendants des États-Unis et la Russie devient trop dépendante de la Chine. Il y a donc de fortes incitations systémiques à rétablir une certaine connectivité économique entre les Européens et les Russes après la guerre d’Ukraine, même si ce sera dans un format plus eurasien car l’Initiative de Grande Europe ne pourra plus être relancée.
La monnaie :
Selon l'économiste et ministre russe Glazyev, un système de paiement en dehors de SWIFT peut être mis en place par le biais d’un réseau de monnaies numériques gérées par l’État – à ne pas confondre avec les cryptomonnaies soutenues uniquement par des spéculateurs privés. Glazyev défend également avec force l’adoption du rouble numérique. Il affirme que c’est le moyen de suivre les transactions de la blockchain et d’empêcher l’utilisation non intentionnelle des fonds, comme le détournement vers les marchés spéculatifs. Dans ce sens, l'intéressant article suivant fait même penser qu'un excellent nouveau système économique mondial est possible, dont en le basant éventuellement sur un stable-coin (monnaie stable, token stable) ou des stable-coins liés à l'or et à l'argent, voire en plus à la valeur en bourse des métaux précieux, de l'énergie, des pierres précieuses, des matières premières et des matières alimentaires principales, dans une forme de valeur moyenne d'un panier moyen de biens possiblement associé à un panier de monnaies : « Vers un nouveau système financier mondial ? Entretien avec Sergei Glazyev, économiste et ministre russe » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Vers-un-nouveau-systeme-financier-mondial-Entretien-avec-Sergei-Glazyev-economiste-et-ministre-68004.html « Glazyev explique que son idée principale a été élaborée il y a longtemps. L’idée de base est qu’une nouvelle monnaie devrait d’abord être introduite sur la base d’une loi internationale, signée par les pays intéressés par la production de cette nouvelle monnaie. Pas par le biais d’une sorte de conférence, comme celle de Bretton Woods, qui n’a aucune légitimité. Dans un premier temps, tous les pays ne seront pas inclus. Les pays des BRICS suffiront – plus l’OCS. En Russie, nous avons déjà notre propre SWIFT – le SPFS. Nous avons notre système de change, nous avons des relations de correspondance entre les banques, des consultations entre les banques centrales, nous sommes complètement autosuffisants». Tout cela conduit à l’adoption d’une nouvelle monnaie internationale : «Nous n’avons pas vraiment besoin de nous étendre à grande échelle. Les BRICS suffisent. L’idée de la monnaie, c’est qu’il y a deux paniers : le premier, ce sont les monnaies nationales de tous les pays impliqués dans le processus, comme le DTS, mais avec des critères plus clairs, plus compréhensibles. Le deuxième panier est celui des matières premières. Si vous avez deux paniers, et que nous créons la nouvelle monnaie comme un indice de matières premières et de monnaies nationales, et que nous avons un mécanisme pour les réserves, selon le modèle mathématique qui sera très stable. Stable et pratique». Ensuite, c’est la faisabilité qui compte : «L’introduction de cette monnaie en tant qu’instrument de transaction ne serait pas trop difficile. Avec une bonne infrastructure et l’approbation de toutes les banques centrales, c’est aux entreprises d’utiliser cette monnaie. Elle devrait être sous forme numérique, ce qui signifie qu’elle peut être utilisée sans le système bancaire, et qu’elle sera au moins dix fois moins chère que les transactions actuelles effectuées par l’intermédiaire des banques et des bureaux de change. Si les banques centrales introduisent des monnaies nationales numériques et autorisent leur utilisation dans le commerce international, c’est aussi un bon modèle. Dans ce cas, les échanges de cryptomonnaies peuvent facilement équilibrer les paiements – et c’est un mécanisme très bon marché. Ce qu’il faut, c’est un accord des banques centrales pour permettre à une certaine quantité de monnaies nationales sous forme numérique de participer aux transactions internationales». Ici, dans la CEE, nous étudions l’idée d’un marché commun des changes. Nous avons déjà préparé un projet, avec quelques expériences. La première étape est la création d’un réseau d’information, d’échanges dans différents pays. Cette expérience a été plutôt réussie. La deuxième étape consistera à mettre en place une communication en ligne entre les bourses, et enfin nous passerons à un mécanisme commun de formation des prix, que nous ouvrirons à tous les autres pays. Le principal problème est que les principaux producteurs de matières premières, en premier lieu les compagnies pétrolières, n’aiment pas passer par les bourses. Il faut donc une décision politique pour s’assurer qu’au moins la moitié de la production de matières premières passe par les bourses. Un mécanisme où l’offre et la demande s’équilibrent. Pour l’instant, le prix du pétrole sur les marchés étrangers est «secret». C’est une sorte de pensée de l’époque coloniale. Comment tricher ? Nous devons créer une législation pour ouvrir toutes ces informations au public». Les gens ont été éduqués dans le paradigme de l’équilibre financier, totalement libertaire. Ils ne se soucient pas que les prix soient manipulés par les spéculateurs, ils ne se soucient pas de la volatilité des monnaies nationales, ils pensent que c’est naturel (…) C’est une sorte de secte religieuse. Les sectes religieuses ne créent pas d’innovation». En réalité, les problèmes sont profonds et ne cessent de s’aggraver : «Le problème, ce sont nos régulateurs, éduqués par le FMI, et le deuxième problème, c’est la corruption. Si vous négociez le pétrole et le gaz en dollars, une grande partie des bénéfices est volée, il y a beaucoup de sociétés intermédiaires qui manipulent les prix. Les prix ne sont que la première étape. Le prix du gaz naturel lors de la première transaction est environ 10 fois inférieur à la demande finale. Il existe des barrières institutionnelles. La majorité des pays n’autorisent pas nos entreprises à vendre du pétrole et du gaz au client final. Par exemple, il n’est pas possible de vendre du gaz aux ménages. Néanmoins, même sur le marché ouvert, très compétitif, nous avons des intermédiaires entre le producteur et le consommateur – au moins la moitié des revenus sont soustraits au contrôle du gouvernement. Ils ne paient pas d’impôts». Pourtant, des solutions rapides existent : «Lorsque nous avons été sanctionnés il y a deux ans, le transfert du dollar américain et de l’euro vers les monnaies nationales n’a pris que quelques mois. C’était très rapide». (Or commercer et donc obtenir en partie les monnaies de pays étrangers obligent à y investir avec à travers étapes financières d'un cahier blanc et partager les bénéfices pendant au moins dix ans, si la monnaie n'est pas échangeable contre de l'or.) En ce qui concerne les investissements, Glazyev souligne le succès du commerce localisé, mais les flux de capitaux ne sont toujours pas au rendez-vous : «Les banques centrales ne font pas leur travail. Le taux de change entre le rouble et le renminbi fonctionne bien. Mais l’échange rouble-roupie ne fonctionne pas. Les banques qui conservent ces roupies, qui ont beaucoup d’argent, accumulent des taux d’intérêt sur ces roupies et peuvent jouer avec. Je ne sais pas qui est responsable de cette situation, notre banque centrale ou la banque centrale indienne». La principale conclusion des sérieux avertissements de Glazyev est qu’il appartiendrait à la NDB – sous l’impulsion des dirigeants des BRICS – d’organiser une conférence d’experts mondiaux et de l’ouvrir à la discussion publique. Glazyev a évoqué la métaphore d’un vélo qui continue de rouler – alors pourquoi inventer un nouveau vélo ? Eh bien, le temps – multipolaire – est venu pour un nouveau vélo hypersonique. » (Extraits de l'article La route de la dédollarisation est semée d’embûches : Entretien avec Sergei Glazyev)
Solutions possibles :
« Alexandre Douguine explore le potentiel d’une alliance tripolaire entre le MAGA, le MEGA et le MRGA pour résister au libéralisme mondialiste. L’UE, dirigée par les mondialistes libéraux d’extrême gauche, est clairement hostile aux États-Unis de Trump. Mais le mouvement MEGA (« Make Europe Great Again ») relève d’une tendance plus délicate. Reconnaissant envers les États-Unis pour s’être libérés de la dictature mondialiste, le mouvement MEGA ne peut pas être un simple outil obéissant aux Américains. Où est la grandeur ? Certainement pas dans la soumission totale. MEGA ne peut donc pas être inconditionnellement pro-américain. Lorsque Steve Bannon est venu en Europe en 2017 pour tenter de soutenir le populisme de droite, il a découvert que la droite européenne (la Nouvelle Droite en premier lieu) était bien différente de ce qu’il présumait. Elle est gaulliste, sociale, anticapitaliste et anti-américaine. MEGA partage avec MAGA le rejet de DEI (« Diversity, Equity, Inclusiveness »), du wokisme, du libéralisme, du globalisme. Bien sûr, mais les valeurs traditionnelles de la vieille Europe diffèrent considérablement des valeurs traditionnelles du Nouveau Monde – initialement colonie de culture protestante anglo-saxonne, suffisamment éloignée de l’anglicanisme pour ne pas parler de la distance qui la sépare de l’Europe du Sud catholique. L’Europe en tant que continent n’est pas une simple prolongation des États-Unis, comme pourrait le croire le MAGA. Le mondialisme libéral de gauche n’est pas la seule source d’hostilité virtuelle à l’Amérique de Trump. Je propose une triple alliance contre le mondialisme: MAGA + MEGA + MRGA (« Make Russia Great Again », pour l’Empire russe, l’Eurasie). Ces trois univers ont des points communs et en même temps des différences. Mais il y a un ennemi commun – les mondialistes libéraux de gauche, le wokisme, le Swamp, Soros. Les trois univers ont un ennemi intérieur – les élites libérales de gauche sont le principal obstacle pour Trump, pour le populisme européen et pour la Russie également (l’héritage d’Eltsine). Il est facile de prévoir quelle stratégie ces élites adopteront. Les élites libérales aux États-Unis, en Europe et en Russie essaieront d’opposer les États-Unis à l’Europe et à la Russie, l’Europe aux États-Unis et à la Russie. La Russie à MAGA et MEGA. Elles joueront sur les différences et les gestes impérialistes maladroits de chaque pôle, inévitables avec la montée du patriotisme post-libéral. Les États-Unis, l’Europe et la Russie ne sont pas des ennemis absolus les uns des autres. L’élite mondialiste libérale de gauche est l’ennemie absolue des États-Unis, de l’Europe et de la Russie. Et cette élite libérale mondialiste tente d’opposer chacun d’entre nous à l’autre en travaillant de l’intérieur. Divide et impera. MAGA – MEGA – MRGA. Ecoumène tripolaire chrétien. Ni unis, ni hostiles, ni divisés. Coexistence dynamique. » (Article strategika.fr)
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