C) La morale correspond à la science des mots (suite 3)
De plus l'hyper démocratie laïciste égalitariste avilit jusqu'à la disparition de la hiérarchie pourtant synonyme d'ordre bénéfique (à part parfois dans des domaines comme celui de la recherche scientifique), puisque cela va jusque dans le secteur de l'enseignement, de la sécurité, et même de la famille. Surtout que ce qu’il y a d'autant plus pervers avec la démocratie actuelle par rapport à celle originel de la Grèce antique, c’est que l’on peut y cacher une dictature mondialiste, perverse et sioniste en toute légalité, dont à travers le financement important nécessaire à tous les partis et la falsification du vote par correspondance ou procuration de moins en moins vérifiable. En effet à travers la Ve République qui est un régime de type semi-présidentiel et à travers les fréquents états d'urgence et donc d'exception amenant souvent des lois pérennes, la France est de moins en moins une démocratie, car à Athènes, le pouvoir était entre les mains de l’assemblée, et à Rome, le Sénat régnait. Rappelons que les mêmes mots désignent rarement les mêmes réalités selon les lieux et les époques. La guerre pour la démocratie permet même la dictature. Etienne Chouard affirme que lorsque les élus et les représentants rédigent les constitutions, ils les d'abord pour les protéger eux-mêmes. Ils établissent leur propre puissance en tant que représentants, tout en nous rendant impuissants en tant que citoyens. Cela entraîne une impuissance politique générale que tout le monde déplore : « Un citoyen digne de ce nom est constituant sinon ce n’est pas un citoyen, c’est un électeur. Un électeur c’est un enfant politique alors qu’un citoyen c’est un adulte politique, c’est quelqu’un qui est souverain avec les autres citoyens. Pour l’instant les règles de notre représentation font que nos représentants décident tout et nous rien. Ils ne sont pas nos serviteurs. Ils sont nos maîtres. » Enfin, la réalité et les limites du bien et du mal, du vrai et du faux, de la liberté et de l'esclavage, des devoirs et des libertés ne peuvent être définies par la démocratie, car ces valeurs ont leur essence propre, ce qui prouve que comme pour les mathématiques et la physique, il existe une transcendance et donc une intelligence supérieure à leur origine. « Accorder le droit de vote à des personnes qui n’ont pas de bases solides en la matière revient à lâcher sur autoroute des adolescents amateur de jeux vidéos de course automobile (surtout qu'on ne devrait pas voter pour quelqu'un avec qui on n'est pas entièrement d'accord et totalement confiant, sauf si c'est pour un Bien qui semble très important). Les gens qui ne connaissent de la vie politique que ce que leur en disent les médias n’ont en général que peu de connaissance de l’histoire, aucune notion de philosophie politique, une compréhension très limitée des principaux mécanismes économiques et surtout une vision essentiellement émotionnelle des événements. La vision du monde change en fonction de ces connaissances. Nos choix politiques peuvent n’être déterminés que par nos intérêts ou ce que nous croyons être nos intérêts. La connaissance, elle, est un processus d’amélioration continu qui modifie sans cesse notre vision du monde, et accessoirement nos choix politiques. Sur cette base il faut apprendre à rechercher de l’information de qualité, être capable de relativiser les informations qui nous plaisent, ne pas rejeter irrévocablement celles qui nous perturbent, ne pas se soumettre aux sirènes et facilités de la propagande, et exercer un véritable esprit critique fondé sur de solides connaissances théoriques fertilisées par notre expérience et l’observation de la vie politique. En sachant que l'influence, la planification, l'ingénierie sociale, le piratage mental vers le consentement, ont remplacé la propagande devenue mal connotée aux USA par rapport à l'URSS. En effet la caste mondialiste est basée sur une l'infrastructure que sont les GAFAMS qui produisent une super structure qu'est la bataille culturelle des narratifs dont via des manipulations sociales psychologiques. C'est à dire que le Capital mondialiste a engendré un monde où les manipulations politico-financiaro-médiatiques atteignent désormais une complexité largement supérieure à la capacité critique moyenne de la population. Cette large manipulation se fait en plus souvent dans un changement progressif de notre perception de la normalité et de la vertu traditionnelle ou bien comprise, dont via du ludique, du politique et du cinématographique qui donne confiance et donc hypnotise, tout en faisant croire que nous entendons ce que nous voulons par une déviation du sens des valeurs et par une propagation d'éléments de langages propres au système. Ce n'est pas l’avidité des riches qui détruit la démocratie, mais l’absence de citoyens véritables en nombre suffisant pour créer un rapport de force. Un citoyen capable d’effectuer tranquillement des réflexions simples ne se laisse pas prendre. Il écoute les spécialistes compétents, comprend les arguments cohérents et ne se laisse pas prendre au jeu des autorités politiques et de leurs spécialistes de plateau télé. Un peuple correctement éduqué ne se laisse pas prendre à une propagande qui ne se crédibilise que par la répétition, l’hystérie, le jeu sur l’émotionnel. Que manque t-il aux peuples pour reprendre leur destin en mains ? La connaissance. La compréhension des choses. D’où l’importance pour le pouvoir de contrôler l’accès à la connaissance, à contrôler les esprits par l’imposition constante d’une fausse connaissance, l’information. Qui dit confort dit (risque de) conformisme. Il est tellement plus facile, sécurisant, de se conformer à la norme, qu’elle quelle soit, que de faire l’effort d’exister par soi-même. Gageons que le déclin du quotient intellectuel dans les pays occidentaux ne provient pas des classes populaires. Celles-ci souffrent terriblement des politiques libérales menées depuis le début des années quatre-vingt. La souffrance ouvre les yeux, à défaut de faire ouvrir des livres, encore que le bas peuple se cultive plus politiquement que la majorité des gens des classes moyennes. (Or l'ancienne secrétaire adjointe au Logement et au Développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, dénonce que ce n’est pas une récession que nous vivons en 2022, c’est une guerre pour détruire les classes moyennes.) Ce sont ceux qui ne souffrent pas encore assez et qui refusent de s’intéresser à la politique qui font le jeu du pouvoir. La plupart des gens ne vivent pas. Ils ne font que subir leur vie. Ils réagissent aux événements, anticipent peu, et probablement pas du tout en ce qui concerne un domaine qui ne leur apparaît pas comme essentiel à leurs vies. » (Extraits de l'article « Réflexions sur la citoyenneté au travers de l’élection du 10 avril » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/17/reflexions-sur-la-citoyennete-au-travers-de-lelection-du-10-avril/) Il est possible de voir aussi à ce sujet l'excellente vidéo « Alain Soral – De la politique (2009) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alain-Soral-De-la-politique-2009-67919.html Or il faut admettre que cette idée laïque d'inviter à dépasser dans la dignité les barrières communautaires par la citoyenneté et donc par la supériorité de la nation demeure intéressante dont car elle peut permettre une gestion plus équitable des communautés confessionnelles et du secteur commercial privé, sauf qu'il faut y associer la volonté de bienveillance pieuse, car sans transcendance elle serait trop plate (puisque sans transcendance) pour élever les foules vers une noblesse stabilisatrice suffisante et encore moins maximale. C'est ce qui se passe actuellement en Russie avec son retour à l'Orthodoxie d'Etat et ce qui est l'essence du califat islamique originel facilitant en plus certaines règles aux non musulmans comme l'allégement de l'impôt social. D'ailleurs l'idée de Robespierre de reconnaître Dieu dans la constitution d'unir le peuple par la citoyenneté, les lois naturelles et bienveillantes, et l'interdiction de pratiques immorales ressemble aussi clairement au Califat islamique originel. Pour comprendre ce principe de vraie et fausse laïcité et même de légitime ou illégitime laïcité, il faut remonter à l’Antiquité, qui est une période pendant laquelle la religion, la politique et le droit étaient intimement liés et unis, puis se sont séparés en partie. Ensuite même si Jésus était aussi un précurseur, lorsqu'il fit la distinction entre le le pouvoir religieux et pouvoir politique lors de sa célèbre réponse éclairée aux pharisiens « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », il faut comprendre que c'était dans le cas où un peuple croyant voire pieux est dominé par un autre peuple, mais que dans le cas ou un peuple croyant voire pieux détient le pouvoir, il faut évidemment lié le politique et le religieux au moins au niveau du droit, au minimum selon les grands principes religieux qui sont éternels et la base juridique devant définir tout le droit. Ce qui prouve clairement qu'il est possible de vivre même en tant que population musulmane sous la dominance d'un pouvoir non musulman, en particulier si la prédication est pacifiquement pratiquée. Ainsi il est possible de continuer de travailler dans une administration où le voile est interdit, si on le met dans sa vie privée, de même que la zakat doit être payée même s'il existe un impôt ou d'autres taxes sur le revenus, puisque ces derniers n'empêchent pas la thésaurisation et donc la stérilité de l'économie. Dans ce sens on peut remarquer que le calife incarne le pouvoir politique (temporel) et religieux (spirituel), alors qu'en attendant la révélation de l’islam qui correspond à la révélation complète, Jésus représentant plus le divin a donc laissé la place à l'humain vers le politique dont pour que logiquement il établisse progressivement la perfection du spirituel dans l'organisation de la société par donc un ennoblissement, dont pour y instaurer l'équité et relativement le bonheur avant celui absolu du Paradis, et parce que la politique est par nature changeante comme par rapport au progrès scientifique ou à l'apparition de nouvelles catégories sociales. Puis donc la révélation complète qu'est l'islam a permis d'unir définitivement l'humain dans le politique (temporel) et le religieux (spirituel) à travers le califat devant choisir le meilleur (le plus sage) homme sans dynastie à la différence des rois juifs, et en étant ainsi particulièrement légitime pour cela, puisque donc dans un rang de valeur prophétique qui sont les meilleurs des hommes comme d'ailleurs les quatre premiers califes, quelques rois-prophètes juifs (dont David et Salomon) et évidemment que le Prophète (SBDSL). De plus les droits (laïques) de l'Homme donnant les mêmes droits aux humains quelle que soit leur couleur existe aussi déjà en islam. Or la laïcité qui cherche normalement la tolérance et le bien-vivre ne devrait pas actuellement ridiculement mesuré la longueur d'une robe ou enlever un voile sous menace de ne plus transmettre l'importance essentielle du savoir, ou empêché une mère voilée d'accompagner les sorties scolaires au risque de les annuler. La laïcité antique correspondait à sortir le politique du religieux, alors qu'aujourd'hui elle sert à sortir le religieux du politique, et en plus ce n'est même plus une séparation mais une opposition. Ainsi quand on est un vrai républicain, il ne doit y avoir aucun corps intermédiaire entre le citoyen et la communauté nationale. Par conséquent aucun politicien ne devrait défiler pour une communauté, en particulier contre une autre, ce qui n'est souvent pas le cas, comme lors de la manif contre l'antisémitisme (en réalité pour Israël car suite à la guerre entre Israël et la Palestine) et non le racisme en général. Israël n'est même pas pieusement juif par sa religion (puisqu'il s'y trouve beaucoup d'athées juifs, dont car le judaïsme des pseudos lumières au cours de la Haskala (réunion au final similairement impie pour le judaïsme que Vatican II pour les catholiques) provenant aussi en partie du sabbato-frankisme a permis sa réformation ou son athéisme pour faciliter aux juifs la vie européenne dont via le socialisme, en sachant que ce judaïsme rabbinique est probablement issu du judaïsme pharisien après la destruction du second Temple en 70 ap J-C, puis s'est structuré au IIe au VIe siècle de l'ère chrétienne, date à partir de laquelle il fut reconnu comme la norme du judaïsme, avant de devenir ce judaïsme réformé au XVIIIe siècle dans une forme de cancel culture dont concernant la destruction du temple et ensuite l'interdiction divine de la recréation de l'Etat d'Israël avant l’avènement du Messie, et c'est pourquoi il ne faut pas confondre les hébreux du mosaïsme (devenus en grande partie chrétiens puis musulmans) et les juifs du judaïsme dont ceux ashkénazes, ce que ne font pas les élites sionistes et anglo-saxonnes), mais donc honteusement par son suprématisme (racial, puisque être juif est lié essentiellement au sang de la mère). En effet la fraternité authentique ne se trouve donc logiquement pas dans la citoyenneté ni dans la patrie mais dans le monothéisme véritable. Surtout qu'aucune neutralité n'existant en politique, la prétendue neutralité de la laïcité est clairement fictive, d'autant plus qu'elle est venue pour écarter le catholicisme, le christianisme ou l'islam des États, afin d'y favoriser le sionisme, le capitalisme financier carnassier devenu en plus numérique et donc désormais la surveillance voire le contrôle massifs, puisque la reproduction et la propagation élargies de ce système ne peut plus se faire sans ces technologies. D'ailleurs le sionisme à la différence du judaïsme et encore plus du Mosaïsme correspond principalement à la recherche du pouvoir et de l'argent par de perverses élites juives dans le monde et en Palestine. Selon l'intelligente analyse d'Alain Soral, la fondation du judaïsme (stoppant complètement le Mosaïsme authentique) est post-chrétienne, puisque talmudiste, qui est la haine du Christ, la mort du Christ et le refus du Christ comme Messie saint, universaliste et aimant l'humanité. La révolution française marqua donc finalement l’apparition de l’homme citoyen aveugle, car dominé par les forces de l’idée dont en pensant que la raison humaine même sans piété pourrait prétendument exceller. Puis il apparut logiquement des constitutions égarées puis perverses, surtout qu'il n'est pas étonnant que la raison sans Dieu se soit orientée de plus en plus vers l'actuel matérialisme à outrance dont au niveau individuel et politique. A notre époque de laïcisme pervers et donc de nécessité à un retour moral, une marche en arrière vers sa laïcité modérée originelle, dans une forme de douce contre-révolution progressive et donc en souplesse comme sous la Russie de Poutine, devient ainsi nécessaire en France, c'est à dire dans un retour à son cœur spirituel comme la Russie, en sachant que comme pour la France catholique (christianisme de rite romain) qui provient du baptême de Clovis, la Russie orthodoxe (christianisme de rite byzantin) provient aussi d'un baptême qui est celui du prince Vladimir premier en 988. En sachant qu'en ayant sortie la Russie de l’abîme, Poutine est légitime comme dirigeant mais aussi comme tsar (monarque, roi), puisque étant désigné et acclamé par l'enthousiasme populaire tel que c'est arrivé souvent dans l'histoire dont pour des empereurs romains et byzantins. Or pour se réconcilier avec le religion, l'état devra passer par une réforme téhologico-politico-juridique. Il s'agit de propager une école politique contre-révolutionnaire sans forcément jusqu'au retour à une monarchie mais au moins à une république chrétienne, d'ailleurs comme en Russie. En effet en suivant le chemin inverse de la régression religieuse depuis la révolution française ayant commencé l'effacement du catholicisme charitable jusqu'à presque sa disparition de nos jours, reconnaître Dieu dans la constitution comme selon Robespierre et Poutine peut être considéré comme un premier pas incontournable vers l'importance de plus de piété chez le peuple, les institutions nationales et la recherche scientifique, surtout que cela préserve le monde de la nocive corruption. D'ailleurs la Russie est un modèle de société qui pourrait plaire aux occidentaux par rapport à des pays comme la Chine et l'Arabie saoudite. Surtout que la Russie reconnaît et donc est en partie soumise à Dieu mais sans idéologie officielle à part la loi naturelle puisque le mariage homosexuel et la propagande Lgbt y sont interdits (à la différence de l'UE les encourageant voire les exigeant), même si Poutine demande la bénédiction orthodoxe suite à son investiture présidentielle. Selon Jacques Cheminade, la France et les français doivent être des bâtisseurs de nation, en permettant à chaque être humain au niveau national et international de développer ses pouvoirs créateurs et ses capacités à connaître, comprendre et intervenir dans les affaires publiques, caritatives, sociales et politiques. Être français, c’est donc être humaniste dans le sens anti-oligarchique et traditionnel, c’est-à-dire être centré sur les besoins de nos frères humains dominés et pas sur ceux de nos ennemis dominants, comme le firent les musulmans de l'époque de la révélation. Or la domination en soi n’est pas négative, si elle est éclairée avec des buts nobles et équitables. Ce retour à l'ordre moral christique authentique devient même essentiel, car le laïcisme devenu une tyrannie wokiste proclame un libéralisme libertaire sans limite, sans transcendance et donc sans Dieu, transhumaniste, et donc dans un désordre amoral logiquement destructeur dont par une addiction croissante au matériel profitant aux appétits les plus vils et aux idéologies les plus perverses. En effet cette fausse religion occulte qu'est le laïcisme (dont car certains se servent de la laïcité comme de l'anticléricalisme ou les confondent) fait oublier les véritables valeurs monothéistes voire les inverse souvent, ce qui ouvre la porte aux manipulations maléfiques en tout genre et donc au malheur, au mal-être et au chaos. D'ailleurs avant 1789, la nécessité de chacun à travers sa communauté en Dieu était source d'épanouissement personnel et de bonheur, mais avec la diminution du sentiment de ce lien après la révolution, des maux comme la dépression, l'augmentation du taux de suicide et l'addiction de toute sorte sont logiquement apparus. Ainsi le laïcisme est aussi synonyme d'athéisme corrompu. En effet alors que le digne aristocratie authentique cherchaient à faire monter les meilleurs socialement par le mérite, l'indigne république antinomique fait monter au pouvoir des criminels individualistes, avides et tribaux. On en est même arrivé à un système archaïque puisque on autorise le massacre d'innocents par l'IVG et on sauve les coupables par le fin de la peine de mort. Et c'est pourquoi il n'est pas étonnant qu'une grande partie du peuple soit égarée tel par une secte (franc-maçonne), puisque ayant progressivement accepté ou ignoré les injustices graves de ce système, dont jusqu'à acceptant l'agenda (grandes lignes) mondialiste du grand reset à venir synonyme de la liquidation des structures nationales par l'économie numérique centralisée via l'UE. Cette mise en place du grand reset semble attendre la crise du capital (de la dette) à venir qui doit suivre celle technologique de 2000 et celle financière de 2008, afin de voler la démocratie par la tyrannie des banques que seules le nouveau système russo-chinois et les blockchains décentralisées liée à des cryptomonnaies peuvent arrêter, sans avoir à supprimer le cash si il est échangeable contre l'or. (Or cette grosse crise internationale des subprimes de 2008 pourrait plutôt indiquer que l'occident a perdu ou perdra aussi finalement la guerre froide mais qui est devenue glaciale et donc encore plus dangereuse puisque la Russie est revenue à l’orthodoxie et que l'occident n'entretient presque plus de contact avec elle, dont car il s'est écarté du christianisme authentique et même de la démocratie d’inspiration socialiste, qui exige plus de progrès, plus de répartition des richesses et plus de paix sociale.) Le ploutocratique agenda mondialiste du grand reset est résumé à cette adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Derriere-le-Covid-19-l-agenda-mondialiste-du-Great-Reset-61504.html Cependant le grand reset est également en rapport avec l'agenda 2030 porté par l'ONU, et donc lié à toutes les nations, qui l'applique plus ou moins. « (De plus) Le grand reset sera probablement lié à l'endettement des états, une inflation grave, une grande perte d'emplois dû à la technologie, un fort chômage à plus de 25 %, et donc à un effondrement économique global (qui serait plus facile avec la dislocation de la Russie voire impossible sans cela). Or la banqueroute de l'Etat français annoncée par l'économiste Bernard Monot, pourrait être la principale cause qui fera advenir cette Grand bascule qu'est le grand reset (géo)politique si les Français n'ouvrent pas les yeux, c'est à dire l'avènement de cette nouvelle organisation politique planétaire fondée sur les ruines des nations adviendra. L'agenda principal pour mettre en place ce nouveau paradigme à l'autorité ploutocratique (qui sera composée d'entités déjà créées comme le Forum économique de Davos (incarnant l'organisation du programme politique oligarchique mondialiste), les grandes multinationales occidentales, le FMI, l'OMC, l'OMS, la commission européenne, la BCE) est : acte 1, appauvrissement des nations détourné des décisions politiques par le coronalibi, le climatlibi et l'ukrainolibi, acte 2, la banqueroute proprement-dite, acte 3, la surveillance et le contrôle des populations pour éviter une révolution populaire, acte 4, tentative de mettre en place un gouvernement mondial (occidental pour commencer) facilitée par cette surveillance. Un programme écrit noir sur blanc sur le site du Forum de Davos... En sachant que Larry Fink président-directeur général de Black Rock, Christine Lagarde onzième directeur général du FMI et désormais Présidente de la Banque centrale européenne, Leyen présidente de la Commission européenne, sont des membres du comité direction de Davos. Or Davos peut dans un sens être déjà considéré comme un gouvernement mondial (mais non officiel), car son agenda est aussi suivi par les politiciens de beaucoup de pays puisque étant souvent des youngs global leaders (jeunes dirigeants pour la globalité, pour le mondialisme) et ayant participé à mettre sous pression leur pays respectifs par l'endettement massif. (Mais à notre époque un pays en dette peut aussi corresponde à une économie relativement importante dont par rapport à un pays modeste voire pauvre économiquement même s'il est sans dette. En tout cas ces derniers demeurent plus pieux, sauf s'ils s'occupent moins de leurs faibles et du bon développement général.) D'ailleurs la pandémie devait être le début officiel du Nouvel Ordre Mondial via de nouvelles mesures politiques liées à la 4e révolution industrielle liée au numérique, au contrôle oligarchique et au transhumanisme, comme le pass sanitaire aurait dû être perpétuel sans les grandes manifestations qui eurent lieu contre lui. Surtout que ce WEF de Davos est porté par la force du Pentagone et correspond donc à une grande partie du réseau américano-sionisto-mondialiste dont avec aussi la finance internationaliste, des services de renseignement, les services spéciaux type CIA et le médias dominants (subventionnés). L’arme la plus puissante pour menacer voire contrôler l’existence d’un pays ou d’un régime n'est pas l’arme nucléaire, c'est la panique continue de ses habitants face à l’avenir, la guerre civile et leur méfiance totale envers les autorités en place. D'ailleurs en France les sionistes et la gauche bourgeoise qui sont au pouvoir cherche à se maintenir coût que coût contre les peuples, dont jusqu'à la guerre civile voire mondiale. La crise énergétique signifie qu'il faudra payer beaucoup plus cher le chauffage, le carburant, l’électricité. C'est synonyme d'un impôt énergétique qui s’abat sournoisement en prétextant la faute à Poutine, alors que cela n’a rien à voir puisqu’il s’agit de décisions 100 % françaises, ou plutôt néolibérales. Or c'est par ses actions insensées que l’Occident s’est jeté dans une crise énergétique si grave, probablement aussi afin que la pandémie soit facilement et amicalement oubliée, et pour continuer la plan mondialiste de soumission de la France et de contrôle des français qui propage l'insoumission. Certains (toujours les mêmes idiots utiles) ne verront donc qu’une simple coïncidence dans le fait qu’on nous prépare déjà à de prochaines coupures des réseaux mobiles qui sont actuellement les plateformes préférées (et de loin) d’échange d’information et de partage sur les réseaux sociaux. Compte-tenu de la consommation relativement modérée des équipements de ces réseaux, on se demande un peu pourquoi le téléphone mobile devrait tomber en premier en cas de pénurie d’électricité… À moins de considérer qu’il s’agit ici de préparer les esprits à un contrôle non de l’énergie (ou pas essentiellement) mais plutôt de l’information. (« La cours des comptes a tiré la première la sonnette d’alarme. Le déficit budgétaire de l’État pour l’année en cours dérape dangereusement pour s’établir à un niveau bien au-dessus des 4,9 % annoncés par le gouvernement. L’INSEE confirme dans la foulée, ce sera officiellement 5,5 %. Le gouvernement tremble de nouveau devant les agences de notations qui font peser la menace d’une énième dégradation de la note de la France. Il n’en faut pas plus pour que le petit théâtre médiatique se mette en branle et nous rejoue une énième fois la pièce de la France en faillite qui, en mauvais père de famille, dépense plus qu’elle ne gagne. Les explications et préconisations des experts autoproclamés sont les mêmes depuis quarante ans mais rien n’y fait, ce fameux « mur de la dette » ne cesse de croître et nous menace de la faillite. Pour le péquin moyen, c’est incompréhensible. Comment dépense-t-on autant d’argent alors que tous les services publics élémentaires se dégradent à vue d’œil ? Et la France n’est-elle pas la championne des prélèvements obligatoires et des impôts ? Mais où va l’argent ? Dans tout ce brouhaha, difficile de comprendre. Cependant, un argument mis en avant et répété sans cesse par la caste doit nous mettre la puce à l’oreille : la France n’a pas connu un budget à l’équilibre depuis 1974. Comment se fait-il que pendant la période qui court de l’après-guerre au milieu des années soixante-dix, nous avons connu un excédent budgétaire annuel et quasiment pas de dette ? Paradoxal quand on sait que ce fut une période faste en termes de dépenses et d’investissements, ayant pour conséquence une élévation spectaculaire du niveau de vie couplée à une modernisation sans précédent du pays. Les fameuses Trente Glorieuses. Au sortir de la guerre, la France est pourtant exsangue, tout est à reconstruire et les finances sont à sec. Invitée aux banquets des vainqueurs un peu par hasard, elle n’a pas connu la saigné de 14-18 et sa population pleine d’espoir et dynamique a de l’énergie à revendre. La question, dès lors, est la suivante : comment amorcer la pompe pour mettre en marche cette force de travail qui ne demande qu’à s’épanouir ? À défaut d’avoir de l’argent la France hérite du régime de Vichy des outils de financement de l’économie qui laissent les coudés franches à l’État en l’affranchissant de la finance privée. Le cadre théorique concernant la question monétaire était bien différent à l’époque. L’argent que possède un État n’était pas considéré comme une ressource finie, possession de tiers auprès desquels l’État doit emprunter. C’est au contraire une conception totalement juridique. Par la loi, l’État s’arroge le monopole de l’émission de monnaie et rend son utilisation obligatoire pour tout échange sur son territoire au détriment de tous les autres : devises étrangères, or ou argent métal. Les taxes et impôts prélevés sur ses administrés, entreprises comme ménages, renforcent ce rôle central en garantissant son utilisation par les agents économiques privés. Dans ces conditions, la monnaie n’est pas une dette que l’État rembourse à des agents extérieurs contre intérêts. C’est un bien public à disposition de l’économie, un support pour permettre les échanges en son sein. Et plus un moteur est gros, plus il consomme d’huile pour fonctionner. Il en va de même de l’économie d’un État avec sa monnaie : plus il connaît de transactions, plus il lui faut de monnaie pour y répondre. Sous la houlette d’un groupe de hauts fonctionnaires brillants et soucieux de l’intérêt général, un mécanisme génial de financement de l’État et de l’économie va voir le jour. On lui donnera le nom de « circuit du Trésor ». L’État, via le Trésor, émet de la monnaie qu’il investit dans l’économie par des politiques de grands travaux ou via ses différentes agences et grandes entreprises publics. Mais l’État n’est pas qu’investisseur, il est aussi banquier. Banques commerciales, grandes entreprises, organismes sociaux ont un compte au Trésor, ils sont tenus d’y placer leurs liquidités. On les appelle les « correspondants du Trésor ». L’État centralise ainsi une énorme masse monétaire, un « dépôt à vue », qu’il peut mobiliser également pour financer l’économie. Une telle politique génère de d’inflation mais celle-ci reste bien inférieure à la croissance économique qu’elle génère. En outre, la centralisation des comptes offre un outil de politique monétaire redoutable. En exigeant de ses correspondants des seuils minimaux d’immobilisation de leur trésorerie, il influe directement sur la masse de monnaie en circulation. Seuils qui évoluent selon les circonstances : plus l’inflation est forte, plus les montants demandés sont élevés et inversement. L’État peut offrir un rendement aux dépôts laissés au Trésor mais il en décide seul du taux selon les circonstances. Le monde à l’envers ! C’est à cette période que naissent des agences et instituts permettant un pilotage précis et performant de l’économie. L’INSEE ou le commissariat au plan en sont les meilleurs exemples. Cette architecture monétaire va permettre la reconstruction de la France, garantir sa modernisation et son indépendance et assurer des services publics de grandes qualités. Tout cela avec une dette inexistante. Sous la houlette du général de Gaulle, la France va connaître une période faste et heureuse : les fameuses Trente Glorieuses. » (Article « Dette : le débat interdit. (Partie 1) Le circuit du Trésor : quand l’État faisait la loi » de Ian Purdom)) Une crise alimentaire et énergétique associée à l'inflation détruisent principalement un pays comme l'a montré le Sri Lanka. Or cette dernière a eu plus lieu à cause d'une promesse présidentiel ayant arrêté les engrais et pesticides synthétiques. C'est pourquoi il faut faire attention que cela ne le devienne pas une révolution orange encore manipulée comme il sera expliqué plus tard, même si avec les révolutions oranges beaucoup de pays ont compris qu’ils avaient intérêt à surveiller les mouvements subversifs. En effet le Sri Lanka est un carrefour et une plaque tournante des corridors maritimes de l’Asie et donc de la Chine avec ses routes de la soie vers l’Afrique, le Proche et le Moyen Orient, l’Europe et au delà. 50% du trafic pétrolier et 75% du trafic international des containers passent près de ses côtes. Outre ses infrastructures portuaires parmi les plus modernes et les plus importantes au monde comme celle d’Hambantota construites par la Chine, le Sri Lanka dispose du plus grand port en eau profonde de l’Asie du Sud Est : Trincomalee. L’impérialisme US et les anciennes ou plutôt actuelles puissances coloniales ne peuvent être indifférentes et ignorer la place originale de ce pays dans la région, quoi que leur politique a toujours été perversement que les autres nations ne seraient pas civilisées si elles ne les suivaient pas. Cela n’est pas sans expliquer l’acharnement mis ces vingt dernières années pour déstabiliser le Sri Lanka, le diviser, contribuer directement à des changements de régime et remettre en selle les forces de l’oligarchie locale dépendante de Londres, Bruxelles et Washington. La dette sri-lankaise appartient à 90% aux pays occidentaux et à leurs institutions financières. Leur objectif commun étant de conduire le mouvement populaire dans une impasse en faveur donc des oligarques pro-occident. Ces événements ne sauraient être isolés de ceux qui sont liés à la crise ukrainienne, au climat de russophobie et de divagations antichinoises dans lequel nous baignons, alors que la Chine qui a beaucoup contribué dans le passé au développement des infrastructures du Sri Lanka(Ports, Aéroports, routes, etc..) s’est engagée à continuer d'apporter sans condition son soutien politique, économique et financier au Sri Lanka. Cela est fait pour diminuer l'influence de plus en plus grande des BRICS qui doivent donc faire attention à toute nation en particulier stratégique comme le prouve cette crise sri-lankaise. liée à la volonté de contrôle du rimland par les anglo-américain. D'ailleurs comme l’effondrement des investissements étrangers vers l’Inde et leur forte baisse vers la Chine, ainsi qu’un contexte économique et géopolitique volatil amènent les deux mastodontes démographiques et économiques d’Asie à retrouver le chemin de la collaboration, ainsi que de resserrer les rangs avec leurs autres partenaires eurasiatiques : Russie, Bangladesh, pays membres de l’ASEAN, il n’en a pas plus fallu à l’hégémon anglo-américain pour déstabiliser de nouveau le Rimland eurasiatique, en déclenchant à la hâte une révolution de couleur au Bangladesh. D'ailleurs cette révolution orange au Bangladesh a eu raison du vilain régime de Sheikh Hasina, rendue responsable de la sanglante répression des émeutes étudiantes qui auraient fait 450 morts. Le pouvoir bangladais a été pris au piège, et aujourd’hui c’est Yunus, l’homme des Américains mondialistes, qui « conseille » le gouvernement provisoire. « Ce cas du Bangladesh montre que l’intégration progressive de l’ASEAN – et de l’Asie du Sud – dans la matrice SCO/EAEU/BRICS/BRI est plus urgente que jamais. Selon Lavrov, l’ASEAN prête déjà attention à la volonté de Poutine de construire un système de sécurité unifié à l’échelle de l’Eurasie. A l'issue de la session ASEAN-Russie au sommet est-asiatique au Laos, M. Lavrov a déclaré que l'ASEAN « a montré son intérêt pour l'initiative du président Poutine, que j'ai déjà mentionnée, sur la formation d'un système de sécurité eurasien qui serait indivisible et égalitaire ». La route sera longue et semée d’embûches. Mais si les « RIC » des BRICS (Russie-Inde-Chine) parviennent à se ressaisir géopolitiquement et à renouveler de facto le fameux triangle de Primakov , la possibilité de nouvelles révolutions colorées déstabilisant plusieurs nœuds de l’Asie de l’Est s’évanouira avec le temps. » (Pepe Escobar)
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