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C) Suite 3 (2)

De plus, des tactiques journalistiques empêchant le réveil des gens tendent vers un effet de distraction par la diffusion de nouvelles non pertinentes, ou idiotes (rapports concernant la famille royale britannique, ragots, etc), ou annonciatrices de peur et de malaise (racisme généralisé, résurgences imaginaires du fascisme, homophobies diverses, persécution des migrants, etc), car cela permet aussi la dissimulation de bonnes informations ou critiques contre le système. Un des nombreux travers de la presse mainstream, c’est aussi de minimiser les événements importants affaiblissant le système, et de maximiser les événements futiles voire affaiblir les mouvements populaires dont par des rumeurs. C’est le temps qui finit par renverser ces perspectives populaires, mais la progressive prise de conscience populaire se fait de plus en plus rapidement, en particulier chez les jeunes ne se servant pas des réseaux sociaux et d'internet seulement comme de la distraction. Sinon certaines analyses populaires correctes peuvent même sans aucun scrupule être censurées ou considérées comme des fake news. Surtout que via ces médias dominants honteusement soumis, le système ose en plus promotionner la loi sur les fake news apportant de la méfiance du peuple envers toute nouvelle idée et donc pensée, d'autant plus que même s'il est juste de prévenir les gens des mauvaises influences, il faut d'abord se méfier de ceux qui disent de nous méfier, en particulier quand ils se victimisent alors qu'ils sont loin d'être irréprochables mais plutôt la source principale de mensonge. Ainsi pour comprendre toute cette perversion journalistique du système, il est intéressant de lire à ce sujet la charte de Munich de 1971 concernant normalement le journalisme intègre à l'adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich
Par ailleurs les grands médias du système cherche souvent à faire croire que 80 % du peuple pense d'une certaine manière pour orienter l'opinion publique, dont en créant de faux sondages, en établissant des débats abêtissant qui opposent des virulentes personnes fermées à la contradiction ou à la recherche de compréhension même historique, et en invitant d'agressifs hommes limités intellectuellement pour ridiculiser et donc discréditer son camp, surtout quand c'est face à une élégante et intelligente (voire simplette) femme par essence faible (ou face un homme s'exprimant correctement). C'est à dire que dans une forme de disproportion, le système arrive à convaincre les gens par leurs propres intuitions, d'autant plus que pour canaliser l'opinion les services utilisent souvent donc des polémistes. D'ailleurs la surmédiatisation de certains faits divers à des fins de manipulations (dont les agressions provenant de l'immigration ou de l'extrême droite pour diviser la société française) y participe aussi beaucoup.
Par occultation ou pseudo prétexte inversant la nécessité de défense, ces médias et politiciens vont jusqu'à honteusement faire commencer la guerre en Ukraine à cause de la Russie et non à cause des 8 ans de bombardements ukrainien sur le Donbass que Zelensky prévoyait ensuite d’écrabouiller militairement, ni de l'extension à outrance de l'OTAN, celle à Gaza à cause du 7 octobre et non à cause des agressions israéliennes répétées, des territoires occupés, de la politique de colonisation et de la politique ethnique, et celle avec l'Iran à cause de son attaque contre le territoire israélien n'ayant pas causé de morts et non à cause de la destruction du consulat iranien par Israël en Syrie ayant causé de nombreux morts. Ils vont même jusqu'à qualifier de pro-russe, tout gouvernement défendant sa souveraineté nationale, dont celui de Trump.
Des sujets comme le patriotisme authentique sont donc aussi écartés ou peu élevés. Le patriotisme en France est persécuté, parce qu’il constitue une résistance à l’entreprise de démoralisation mondialiste. En Russie, le patriotisme est au pouvoir, et ça change tout. Si la Russie est en guerre aujourd’hui, c'est parce que le patriotisme ne rime pas avec agressivité, mais avec défense : défense de son territoire historique, bien sûr, mais aussi de ses valeurs, les valeurs chrétiennes que l’Europe a oubliées.
Certaines attaques journalistiques occidentales contre des politiciens ou autres personnalités occidentaux peuvent par ailleurs être considérées comme la volonté de déstabiliser le pouvoir et donc la nation dans un but d'augmenter la tyrannie suite à des manifestations, mais c'est aussi donc possiblement une menace pour l’ordre social, le vivre-ensemble, la sécurité.
De plus, des tactiques journalistiques empêchant le réveil des gens tendent vers un effet de distraction par la diffusion de nouvelles non pertinentes, ou idiotes (rapports concernant la famille royale britannique, ragots, etc), ou annonciatrices de peur et de malaise (racisme généralisé, résurgences imaginaires du fascisme, homophobies diverses, persécution des migrants, etc), car cela permet aussi la dissimulation de bonnes informations ou critiques contre le système. Un des nombreux travers de la presse mainstream, c’est aussi de minimiser les événements importants affaiblissant le système, et de maximiser les événements futiles voire affaiblir les mouvements populaires dont par des rumeurs. C’est le temps qui finit par renverser ces perspectives populaires, mais la progressive prise de conscience populaire se fait de plus en plus rapidement, en particulier chez les jeunes ne se servant pas des réseaux sociaux et d'internet seulement comme de la distraction. Sinon certaines analyses populaires correctes peuvent même sans aucun scrupule être censurées ou considérées comme des fake news. Surtout que via ces médias dominants honteusement soumis, le système ose en plus promotionner la loi sur les fake news apportant de la méfiance du peuple envers toute nouvelle idée et donc pensée, d'autant plus que même s'il est juste de prévenir les gens des mauvaises influences, il faut d'abord se méfier de ceux qui disent de nous méfier, en particulier quand ils se victimisent alors qu'ils sont loin d'être irréprochables mais plutôt la source principale de mensonge. Ainsi pour comprendre toute cette perversion journalistique du système, il est intéressant de lire à ce sujet la charte de Munich de 1971 concernant normalement le journalisme intègre à l'adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich

La fake news est même devenue le moyen de décrédibiliser toute information qui viendrait contredire la version médiatique, surtout car la répétition d’un mensonge, ce clou enfoncé dans la tête du public, devient une semi-vérité. En effet après la crise des subprimes, les critiques des journalistes mainstream ont été si fortes contre le système que les oligarchies ont décidé de racheter tous les médias grand public. Les médias mainstream ne font donc plus de l’information impartiale mais bien de la propagande partiale du système corrompu, surtout que ce sont principalement eux qui se servent de fake news.
Ainsi pour percevoir la vérité essentielle, il est très bon de fermer la télé pour ne plus être dans le mensonge, et d'ouvrir la fenêtre pour regarder et ressentir le monde.
« Les individus dotés d’une mémoire encore vivace se rappelleront assurément des innombrables platitudes antirusses débitées sur les plateaux de télévision, ces autels de la sottise où défilaient des prétendus experts militaires métamorphosés en oracles de la propagande ukrainienne :
- Les Russes utilisent des casques de 1960, parce qu’ils n’arrivent pas à en produire de nouveaux.
- Ils utilisent des puces de machines à laver pour leurs missiles.
- Leurs chars sont des versions modernisés d’un modèle de 1937.
- La qualité des armes russes est un mythe.
Cependant, ces génies de l’opinion préfabriquée échouaient lamentablement à expliquer pour quelles raisons obscures, compte tenu de l’intrinsèque faiblesse et du niveau élevé d’arriération attribué aux Russes, nous devrions éprouver de la crainte à leur égard. l’Ukraine, une nation environ quinze fois moins peuplée que les États-Unis, a vu périr en moins de deux années de conflit environ cinq fois plus de soldats que les États-Unis en seize années de combat au Vietnam. Et cela, malgré – ou peut-être à cause de – l’armement et la formation « made in OTAN ». On ose à peine imaginer les contours de ce conflit si la Russie n’était pas perçue comme « arriérée » par certains. » (Fernand le Béréen)
On n’a pas fini de mentir, dans les médias officiels : leur haine de Trump va si loin qu’ils ont tenté de transformer en héros mondial de la liberté et de la démocratie un président pédophile, grabataire et belliciste, avec en prime une ordure de fils dégénéré ; leur haine de Poutine est telle qu’ils sont encensé un pauvre clown coké, manipulé par la CIA, qui a mené (avec des néonazis) son pays dans l’abîme. Ils mentent du matin au soir, c’est leur fonction. Et aujourd’hui, avec le drame syrien, ils sont en bug Matrice : ils ont tellement vendu Assad en « boucher de Damas » qu’ils ne savent plus quoi faire des bouchers djihadistes, purs produits de l’alliance sanguinaire israélo-américaine. Les journalistes de Libé en sont venus à applaudir leur pire cauchemar.
Mais aujourd'hui la propagande c'est surtout l'art de détourner l'attention bien plus que de mentir, comme par rapport à la prédation oligarchique, aux massacres israéliens à Gaza et à l'OTAN belliqueux. Pour sa propre propagande, le système inventent, instrumentalise ou exagèrent aussi l'actualité. Ainsi les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent logiquement depuis des décennies, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société du spectacle actuelle a une mémoire de plus en plus courte.
Mais aujourd'hui la propagande c'est surtout l'art de détourner l'attention bien plus que de menti0, comme par rapport à la prédation oligarchique, aux massacres israéliens à Gaza et à l'OTAN belliqueux. Or les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent logiquement depuis des décennies, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société du spectacle actuelle a une mémoire de plus en plus courte.
Jacques Baud, colonel de l'Etat major, ancien membre des renseignements suisses et spécialiste du renseignement et du terrorisme définit l'expression « Fake news » :
« Il s'agit de toutes les informations qui sont partielles, quelquefois biaisées, quelquefois des rumeurs, qui sont devenues des informations sur lesquelles on se base pour juger les activités ou la situation internationale. On a fait avec de vraies rumeurs de fausses nouvelles, et cela biaise notre perception du monde. Bien souvent ce sont des Etats qui cherchent à expliquer ou excuser leur action internationale en masquant une partie de la vérité, occultant une partie de la réalité, afin de diffuser uniquement la partie qu'ils veulent bien communiquer. »
En effet quels sont les faits qui permettent d'affirmer que l'Etat islamique cherche à créer une guerre civile en France ; (que le président syrien Bachar al-Assad a utilisé des armes chimiques ; que Saddam Hussein avait des armes de destructions massives ; que Mouammar Kadhafi tuait son peuple avec des engins militaires ; que les attentats du world trade center ont été organisé par Oussama ben laden) ; que Vladimir Poutine tente de déstabiliser nos démocraties ; que le terrorisme a frappé la France, non pas pour ce qu'elle fait, mais pour ce qu'elle est ; que le génocide au Darfour a fait 400 000 victimes ? Littéralement aucun, mais ces affirmations suffisent à asseoir la politique étrangère des pays occidentaux.
Cela va jusqu'à faire disparaître les responsabilités et récrire la vérité originelle : par exemple l’attaque des « terroristes du Hamas » et celle russe ne venaient évidemment pas de nulle part. C'est à dire que le contexte, l’histoire, la géopolitique, on les occulte : seule l’émotion de l’instant compte.
Dans son ouvrage « Gouverner par les fake news », Jacques Baud évoque dans ce sens les principaux conflits contemporains, que les pays occidentaux ont orchestré et géré à coups de fake news ces trente dernières années. Pour obtenir encore plus de discernement dans ce contexte de fake news, il est intéressant de voir également l'excellente vidéo « Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien [IDRISS ABERKANE] » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=M8W-9_40m98&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Depuis plus de 10 ans, le journalisme français a faux sur tous les tableaux, ce qui révèle son agonie, sa soumission et sa propagande : crise des subprimes, guerre en Syrie, attentats de 2015, Gilets jaunes, covid, vaccin ARN, Russie, et enfin Palestine. Il mérite un zéro pointé. Il a baladé ses téléspectateurs, ses auditeurs et ses lecteurs qui ne comprennent plus rien au monde et à la France. Il désoriente, omet, truque, condamne, accélérant sa déchéance. Plus il s’affaiblit, dont aussi économiquement parlant, plus il ment dont donc à cause de sa soumission aux puissances d'argent et aux subventions de l’État.
Tous ces désinformations, mensonges, manipulations et censures peuvent être mis an rapport avec la parole christique suivante : (Evangile de Jésus Christ selon saint Jean, ext 8;32) « la vérité vous rendra libres »

Surtout que le système sait que l'expérience Milgram a prouvé que la grande majorité des gens obéissent aveuglément à ce qu'ils considèrent comme une autorité, ce que les médias mainstream deviennent faussement de plus en plus pour eux. Le mensonge est devenu si institutionnel que la République s’est séparée en deux mondes : ceux qui gouvernent et mentent, ceux qui obéissent et subissent le mensonge. Certes, le mensonge a toujours fait partie de la politique. Mais le temps aidant et la démocratie déclinant, le mensonge politique est devenu une industrie, une organisation à part entière, et un mode de gouvernement structuré par des officines qui ne laissent plus aucune place à l’amateurisme et remplacent la vérité par une « narration » et un programme.
De plus le concept d’info de gauche est aussi grotesque que celui de l’info de droite, c’est comme si on nous demandait de choisir un pied sur les deux : ça n’aide pas à marcher. L’info n’est évidemment ni de gauche ni de droite, et ne parlons même pas de la vie : elle est au-dessus et au-delà de ces concepts foireux.
« À une époque où l'information est abondante mais souvent manipulée, où les médias semblent dicter la réalité, un concept émerge, celui du "Médiavers", développé par le philosophe Alexis Haupt. Dans cette ère de l'hyper-connectivité où tout un chacun peut accéder à une pléthore d'informations en quelques clics, se pose une question cruciale : qu'est-ce qui empêche les individus de se libérer du Médiavers ?
Au cœur du Médiavers réside un manque fondamental : celui de la volonté de savoir. Les médias, contrôlés par des intérêts particuliers, déforment la réalité et manipulent les masses. Dans cet univers parallèle, les véritables enjeux sont occultés, reléguant des sujets essentiels au second plan. Dans le Médiavers, les déclarations sensationnalistes de certaines organisations, telles que l’OMS, sont amplifiées, détournant l’attention du véritable enjeu. Par exemple, une alarmante augmentation des cas de cancer va être attribuée à des causes superficielles telles que la pollution, l’alcool et la cigarette, alors que des facteurs plus profonds et systémiques sont négligés.
Mais le Médiavers va au-delà de la simple manipulation de l’information. Il façonne la perception de la réalité chez les individus, créant une dichotomie entre ce qui est présenté par les médias et ce qui est vécu dans le monde réel. Les personnes piégées dans le Médiavers nient les réalités évidentes sous leurs yeux, préférant croire ce qui leur est présenté par les médias. La psychologie des individus en proie au Médiavers est intrigante. Leur perception de la réalité est déformée, et ils peuvent nier les faits les plus flagrants pour adhérer à un récit prédéfini. Même lorsque des preuves tangibles contredisent les récits médiatiques, ils choisissent de les ignorer, préférant vivre dans une illusion confortable. Il est crucial de reconnaître les dangers du Médiavers. En concentrant l’attention sur des problèmes superficiels ou en déformant la réalité, il détourne l’attention des véritables enjeux. Par exemple, les préoccupations concernant des figures politiques éloignées peuvent occulter les menaces plus proches et plus pressantes qui affectent les individus au quotidien.
Dans le Médiavers, on fait semblant d'apprendre que Biden n'a plus toute sa tête. Dans le monde réel, on sait tous qu'il ne dirige rien depuis le début. Conclusion : tant que la masse vivra dans le Médiavers, elle sera condamnée à ne rien comprendre à ce qu'il se passe.
Sortir du Médiavers est essentiel pour embrasser la vérité et reconnaître les véritables défis auxquels nous sommes confrontés. Cela nécessite un esprit critique, une volonté de remettre en question les récits prédominants et une recherche active de la vérité. En cette ère où la désinformation prolifère, la capacité à discerner la vérité du mensonge est plus précieuse que jamais. Le Médiavers représente donc un défi majeur pour la société contemporaine. En nous piégeant dans une illusion médiatique, il entrave notre capacité à percevoir la réalité telle qu’elle est. Se libérer du Médiavers est donc une première étape cruciale vers la prise de conscience et l’action, car seule une compréhension authentique de la réalité peut nous permettre de relever les défis auxquels nous sommes confrontés. » (Le Média en 4-4-2)
Jérome le Filiatre du journal libération reconnaît que les médias ont majoritairement renoncé à être un contre-pouvoir critique de tous les ordres établis. En effet ce quatrième pouvoir est devenu le premier synonyme de sournois parti oligarchique tyrannique, alors que devant normalement encadrer les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, surtout qu'un cinquième pouvoir apparaissant avec les GAFAM censure de plus en plus politiquement ses utilisateurs. C'est à dire que les médias dominants financés désormais par divers grands capitalistes libéraux-libertaires dont devenus un pouvoir n'informant plus, mais formant la mentalité des populations vers ce système néfastement progressiste et ploutocratique. Lorsque des journaux déficitaires sont rachetés, même par des oligarques dissidents au système, ce n'est pas pour gagner de l'argent mais de l'influence, dont en pouvant faire des enquêtes devenant des articles rabaissant des ennemis. En effet les médias dominants appartenant aux ultra riches, ils peuvent même faire accélérer voire dicter des enquêtes à la police envers quiconque ne suit pas le pouvoir profond. Le pire, c’est le contrôle de la presse et des réseaux sociaux par le pouvoir politique. Les patrons de radio et de journaux sont remplacés par des macronistes, qui doivent faire la relation « parfaite » du réel selon les intérêts du pouvoir. C’est une atteinte grave à la liberté de la presse et à la démocratie.
En mettant uniquement la souffrance en avant, les médias érigent même un mur émotionnel pour le vrai travail d’investigation, mais cela ne nous empêche pas de douter, de réfléchir, de travailler. C'est pourquoi la presse actuelle se vautre dans le sang, dans l’exhibition, dans les larmes, avec un sadisme confondant. Partager la souffrance annuellement pendant des décennies des victimes ne sert à rien pour ceux qui ont survécu, ainsi que pour les témoins et les proches : l’empathie ne leur enlèvera pas un gramme de douleur, car la douleur nous ramène à notre peau, à notre individualité, à notre solitude devant la mort, alors que les morts, eux, ne souffrent plus. Les médias qui collaborent avec le Système disposent donc de plusieurs instruments pour ne pas dire ou ne pas chercher la vérité : la diversion, la minimisation, l’indifférence, l’oubli, le mensonge par omission, le mensonge direct, et le poignantisme. Et pour éviter une grande prise de conscience populaire en Occident sur certains sujets comme la guerre au Yémen, il sont très rarement évoqués dans les médias dominants. Car comme le dit l'expression : « loin des yeux, loin du cœur ».
Il est également fréquent de constater que tous les journaux télévisés relatent les mêmes nouvelles, avec des analyses souvent identiques, et en utilisant souvent les mêmes images, car cela tend par une perversité manichéenne à déterminer un horizon à l’intérieur duquel il faut prendre parti au risque de devenir un bouc émissaire. En effet ceux qui ne se conforment pas sont utilisés pour assurer l’équilibre du système : ils sont un ennemi de l’humanité, un haineux insatiable, une cible à maintenir en vie et à frapper souvent pour maintenir ou orienter l'opinion publique soumise.
Le Système dispose donc de deux armes principales, la propagande et la censure, qui vont ensemble, et qui croissent ensemble, car le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système doit être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité dont sur internet censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, le citoyen doit donc devenir un hors-la-loi, surtout que c’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, qui d’ailleurs est déjà en cours, mais contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation.
Or en plus de la propagande et de la censure très honteuses, le système a même mis en place le fact-checking. En effet les médias mainstream ont inventé les journalistes fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels). Mais de plus en plus de gens ne croient plus en ces fact-checkeurs, ni aux sondages, ni aux mensonges du gouvernement. Ils ne se contentent plus de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Et ils ont raison car il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, sioniste, esclavagiste, wokiste, oligarchique et ploutocratique.
Selon Jean-Yves Le Gallou, la société occidentale peut être facilement qualifiée de « société de propagande » (dont par les fake news donc). Il développe cette pensée et son expertise en rappelant qu’une société où la propagande est massive constitue le premier déterminant du contrôle du comportement social, surtout qu'amenant souvent à l'endoctrinement. Et sur cette base, l’auteur examine le goulag mental imposé aux Européens et propose d’y résister, en prônant un plan audacieux en trois parties concrètes : dissidence, rébellion et sécession.
Surtout que pour couper oppressément certains débats importants, le bon complotisme est même souvent perversement associé à de l'antisémitisme par le biais honteux que le négationnisme de la Shoah est un complotisme.
Une autre technique journalistique du système corrompu est d’émouvoir les gens pour distraire leur attention et leur masquer certaines choses. C'est à dire qu'ils jugent ce qu’ils voient sans suffisamment de profondeur critique. De la sorte, on parvient sans leur mentir à leur faire croire à des illusions.
Le système, le pouvoir et les médias dominants en arrivent même à établir la limite du débat avant une campagne électorale majeure, sinon c'est la marginalisation, ou l'accusation de communisme, de fascisme, de malhonnêteté, de folie ou désormais de conspiration. Alors que le fascisme dans sa définition élémentaire est la fusion entre les grandes entreprises et l’État comme dans le monde occidental actuel clairement.
Un organe gouvernemental de contre-propagande prétendument envers les complotistes (dont ceux concernant le covid ou la guerre en Ukraine) devenant clairement de la propagande tyrannique est de plus apparu, surtout qu'utilisant souvent la menace voire pire.
Cette contre-propagande se fait aussi souvent à travers de faux comptes créés sur les GAFAM et généralement gérés par des algorithmes. Tout cela est d'autant plus facilité aux chaînes d'informations vu l'amère nullité fréquente des autres programmes télés non payants.

Concernant des sujets chauds bouillants comme le sionisme ou des vérités sur le couple présidentiel, personne ou presque et encore moins les journalistes n’y va pleinement, même pas les humoristes, car il est difficile de s’affranchir du Conseil de l’Ordre des humoristes, un groupe occulte dirigé dans l’ombre par des oligarques, des avocats et des médiateurs. Les oligarques établissent la liste des humoristes à surveiller, les médiateurs dénoncent leurs « dérapages » selon le règlement qui leur a été distribué, et les avocats anéantissent toute vie économique et médiatique des dissidents. C'est à dire que ces procès publics servent d’exemple pour faire régner la terreur dans le métier. Et elle règne ! Et les humoristes d'un média sont aussi un bon thermomètre de la tendance d’un journal, d’une station radio ou d’une télé au niveau du socialo-sionisme atlantiste et mondialiste ou du national sionisme atlantiste et mondialiste. Sur les plateaux TV, on voit d'ailleurs de plus en plus souvent sans voix dissidentes, des invités étant exclusivement soumis à la pensée unique et mentant même parfois à plusieurs pour orienter le peuple plus facilement vers les intérêts oligarchiques, c'est à dire par cet obscurcissement de l’esprit critique des téléspectateurs.
Désormais tout journaliste ne faisant pas de propagande d’État est également combattu férocement par l’appareil répressif. Cette répression est similairement protéiforme car se caractérisant dans sa forme douce par la diabolisation (comme lors de la plandémie d’innombrables journalistes indépendants et médias alternatifs ont été étiquetés « complotistes ») et dans sa forme brutale par un harcèlement d'organismes subventionnés, de campagnes de calomnies et d'associations victimaires, dont à travers des procès à répétition visant la ruine ou tout bonnement des agressions physiques envers des dissidents. Un journaliste honnête ne peut donc connaître que la déchéance professionnelle, économique et donc sociale face aux apôtres de la fausse liberté d’expression et de la vérité institutionnelle. Dans ce sens les éditeurs filtrent aussi la dissidence afin par exemple de ne pas évoquer Israël ou les néoconservateur.
C'est pourquoi ce système de l'antéchrist basé sur une technique de censure inavouée et de manipulation très développée au cours de l'histoire jusqu'à tous ces aspect mais aussi à l'hypnose comme il sera revu, il est la plus difficile épreuve qu'aura connu l'humanité : :
D’après Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous de faire des bonnes actions avant d’en être empêchés par l’une de ces sept choses que vous devez attendre : Une pauvreté qui vous fait oublier. Une richesse qui vous pousse à une arrogance outrancière. Une maladie ruinant votre santé. Une vieillesse affaiblissant votre esprit. Une mort mettant fin à vos jours. L’arrivée du faux Messie et c’est le pire de ce que vous cache l’avenir. Ou l’Heure (de la fin du monde) et l’Heure est plus mortelle et plus amère encore. »
Ainsi il y a la censure traditionnelle, reconnaissable par tous, c'est à dire quand certaines personnes ne sont pas invitées dont sur des plateaux TV, et celle journalistique qui invite mais qui est oppressive dont donc en embrouillant le discours, en s’indignant de propos tenus ou en évitant certains sujets. Alors que la télé-réalité donne souvent la parole à des stupides, des incultes ou/et des pervers. Dans ce sens, des africains ont dit plutôt humoristiquement que comme les occidentaux ne connaissent pas la faim
et ont généralement suffisamment d'argent de même que trop de temps-libre, ils sont devenus trop (déraisonnablement) créatifs dont aussi au niveau des programmes TV inintéressants, de l'art grotesque, de vacances épuisantes ou sans enrichissement personnel, de dangereuses actions sportives extrêmes, de l'orientation vers le LGBT, et particulièrement du festival Burning Man aux USA, etc, tout en oubliant le caritatif.
Avec toutes les techniques qui viennent d'être vues, le journaliste n’est alors plus journaliste, il est l’envoyé en plateau d’un projet de destruction d’une parole alternative par le système tyranniquement totalitaire. En effet force est de constater que ces méthodes ne relèvent pas de l’erreur journalistique et vont bien au-delà de la simple mauvaise foi. C’est bien d’une manipulation systématique qu’il s’agit. D'ailleurs le régime de Kiev et les médias occidentaux sont parvenus à instaurer un véritable totalitarisme médiatique.
Par conséquent le journaleux est honteusement devenu partial et donc un influenceur voire un militant politique soutenant la pensée unique, et par conséquent les grands médias sont devenues des organisations politiques au service du pouvoir. D'ailleurs les journaleux n’enquêtent plus sur une rumeur ou une réalité dénonçant le système mais sur ceux qui la propagent. En sachant que le temps d'un chroniqueur télé prônant la gauche politique n'est pas décompte, alors que celui d'un invité prônant la droite politique est décompté.
Avant que la prise de la radio et des émissions fédérales ne s'installe il y a environ un siècle, les Américains avaient une saine méfiance à l'égard de la propagande militaire. Maintenant que le journalisme indépendant prend forme sur Internet, le D.C. les impérials doivent retravailler plus dur pour fouetter le prochain lot de fièvre de guerre. Espérons qu'ils continuent d'échouer. Seuls 73 000 Américains se sont portés volontaires pour servir pendant les six premières semaines après la déclaration de guerre par le Congrès. Cela a conduit à la loi de 1917 sur les services sélectifs. La guerre était impopulaire et 350 000 appelés ne se sont jamais présentés au service. Dans les années 1930, un sondage montrerait que plus de 70 % ont reconnu que c'était « une erreur pour les États-Unis d'entrer dans la dernière guerre ».
Désormais, un journaliste devient donc souvent un chômeur, et donc un journaliste prostitué réussit donc souvent à entrer dans les médias mainstrream en tant en réalité qu'attaché de presse partial du système. D'ailleurs ces médias mainstrean souvent dénommés par ailleurs « grands médias », « médias dominants », « médias subventionnés », ou autre, devraient plutôt être appelés « médias traîtres ». Surtout qu'il est reconnu internationalement que la France est devenue un des pays les moins biens informés par ces médias.
Pourtant avant, le journaliste était le preux chevalier et la sentinelle impartiale du peuple qui bravait le pouvoir pour défendre la veuve, l’orphelin, l'oppressé, l’innocent... Ceci est une des nombreuses preuves que la dévouée noblesse chevaleresque (liée à celle de la magistrature monothéiste) a été remplacée honteusement par la cupide bourgeoisie (qui dans ce contexte fut une forme de fin du tribalisme comme le prouve les mondialistes juifs alliés aux mondialistes non juifs), puisque la noblesse est incontestablement ce qui est supérieur moralement et que la cupidité n'en fait pas partie.
Mais avec aussi le journalisme civil (indépendant) comme celui de Tucker Carlson, dont son interview de Trump lui a été quémandée par FoxNews après l'avoir licencié, montre que le journalisme mainstream (contrôlé) est précieusement en train de disparaître, ce qui corrobore en plus avec les pressions sur Musk et Durov et ce que devrait comprendre les politiciens souverainistes et conservateurs dont car n'ayant pas de temps décompté. D'ailleurs cette interview sur X a cumulé plus d'un milliard de vue, cette plate-forme d'information est proche de devenir la première du monde, et la large réélection de Trump grâce aux réseaux sociaux montrent la grande victoire de ces deniers contre les médias mainstream.
« CNN, figure de proue des médias mainstream, plonge dans une crise profonde. Une vague de licenciements massifs, des audiences en déroute, et un public qui déserte. Ce bouleversement aux États-Unis n’est que le présage d’une chute annoncée des grands médias subventionnés en France. Sous la houlette de son nouveau patron, Mark Thompson, CNN prépare une véritable purge. Des centaines de licenciements sont imminents, frappant à tous les niveaux de l’organisation : des équipes de production jusqu’aux stars du petit écran, qui coûtent des millions chaque année. Anderson Cooper, Erin Burnett, Kaitlan Collins… aucun nom ne semble à l’abri. Selon des sources proches de CNN, ce « bain de sang » est inévitable : les anciens visages de la chaîne ne s’intègrent plus dans une stratégie orientée vers le numérique. Laurence Haïm a annocé : « CNN prévoit de licencier vite des dizaines de personnes selon Puck Medias..L'audience est en quotidienne de 800 000 personnes par rapport à 13 millions en 2016. La crise est terrible.Personne ne sait si Anderson Cooper  sera touché sachant  que son salaire est de plusieurs millions de dollars par an. .la vedette  Chris Wallace a annoncé son départ ce matin. » Pour CNN, cette crise n’est pas un simple « ajustement » mais une chute vertigineuse, marquant un tournant historique. Ce qui se profile, c’est la fin d’un modèle autrefois intouchable, où l’information était centralisée et contrôlée par une poignée de grandes chaînes. Aujourd’hui, cette ère s’effondre, laissant place à des médias indépendants et connectés, loin des circuits de pouvoir, c'est à dire via internet et des réseaux sociaux. La soirée électorale américaine en a été la démonstration : CNN ne fait plus le poids face à ses concurrents MSNBC et Fox News. Le public s’éloigne et les audiences s’effondrent, frappées par un désintérêt grandissant pour un média perçu comme aligné avec le pouvoir. Ce recul spectaculaire révèle un désaveu général pour le mainstream et pourrait sonner la fin de CNN tel qu’on le connaît. L’érosion de la confiance dans les médias traditionnels, déjà bien visible aux États-Unis, se manifeste également en France. À l’instar de CNN, les médias historiques français pourraient bientôt subir un déclin similaire. » (Média en 4-4-2)
Lassés par des informations jugées partiales ou biaisées, une partie du public s’est déjà tournée vers d’autres canaux pour s’informer. Entre médias alternatifs, blogs indépendants et réseaux sociaux en constante évolution, les options ne manquent pas.
Or on voit de plus en plus qu’entre le champ politique mainstream et la dissidence avancée, il y a des opinions évolutives, qui sont en train de glisser d’un champ à l’autre, même sur la guerre en Ukraine, le covid ou l'impie tyrannie mondialiste, bancaire, sioniste, oligarchique, wokiste et transhumaniste.
Alors que très étonnamment la France n'est même pas en guerre pour conditionner l’opinion contre l'Ukraine, selon l'article « Guerre de l’information et formatage de l’opinion à l’occasion de la guerre en Ukraine » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/22/guerre-de-linformation-et-formatage-de-lopinion-a-loccasion-de-la-guerre-en-ukraine/ , nous sommes mêmes presque arrivés au stade ultime de la propagande médiatique totalitaire, puisqu'il est parvenu à imposer leur seule version américano-sioniste de la guerre en Ukraine, faire porter l’entière responsabilité de ce conflit à Moscou et neutraliser tout point de vue divergent :
« Invention d’une histoire, construction d’une menace ; émotion, passionner le débat pour empêcher toute analyse rationnelle ; Diabolisation, Poutine = Hitler ; Culpabilisation et menace des peuple envers les peuples occidentaux qu'ils sont les suivants si ils n'aident pas financièrement et militairement l'Ukraine ; matraquage médiatique, saturation informationnelle ayant pour double objectif d’empêcher toute réflexion critique et d’imposer un point de vue par la répétition et les images « chocs » ; partialité ; dissimulation des causes véritables du conflit, des événements historiques y ayant conduit, des responsabilités de l’ensemble des acteurs impliqués ; inversion des réalités, les groupes ultranationalistes ukrainiens sont des « gentils nazis » ; inventions et mensonges délibérés ; affirmations non étayées ; grossissement des faits, mettre l’accent sur des faits isolés, peu représentatifs ; présentation orientée des événements ; inversion des accusations, dont concernant des crimes de guerre ; dissimulation de faits favorables à la Russie ; dissimulation de faits défavorables à Kiev ; négation, rejet systématique et sans argument de la version des faits adverses ou des commentaires neutres, rejet de la réalité de certains faits pourtant avérés ; interdiction, impossibilité d’accéder aux chaînes d’information et aux sites internet russes ; ciblage des commentateurs indépendants qui contestent la version des faits construite par l’Ukraine ou qui mettent en lumière ses contradictions, disqualification en les traitant de pro-russes, de conspirationnistes et en les désignant à l’opprobre populaire ; polarisation de l’opinion, implication de l’opinion occidentale dans un conflit qui ne la concerne pas directement, volonté d’en faire un allié et d’un acteur pour peser davantage sur les gouvernements ; diversion, concentrer l’attention du public sur la guerre d’Ukraine permet également à l'oligarchie de faire passer des lois néolibérales anti-sociales dont au détriment des peuples. »
Alors que sur TF1 le 29 mai 2022, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a rappelé le devoir de protéger la Russie et les civils du Donbass :
« Nous demandons que le régime de Kiev cesse de tuer des civils dans le Donbass comme il le fait depuis huit longues années, depuis le coup d’État en Ukraine en 2014. Mais il faut aussi dénazifier l’Ukraine, parce que les idées et les actes néo-nazis font maintenant partie de la vie en Ukraine. (Or en déclarant officiellement comme buts de guerre en Ukraine la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine, on pourrait traduire cela d’un mot de la part de la Russie : désaméricanisation.) Pendant des années, nous avons essayé de persuader l’Occident que l’Ukraine ne devait pas être entraînée dans l’Otan. Or l’Otan s’était déjà rapprochée à cinq reprises de la frontière russe, contrairement à toutes les promesses faites lorsque l’Union soviétique a disparu L’hypocrisie de l’Occident s’est parfaitement illustrée par les réactions aux décisions prises par les États-Unis et l’Otan dans des situations telles que la Yougoslavie en 1999, l’Irak en 2003 et la Libye, en 2011. Toutes ces aventures militaires ont été lancées par les États-Unis sous prétexte que ces foyers de tension représentaient une menace pour eux. Et cette menace était à plus de dix mille kilomètres des côtes américaines. Pourtant, tout le monde a suivi Washington, pour détruire d’abord la Yougoslavie, puis l’Irak, puis la Libye. Plus d’un million de civils sont morts dans ces conflits et personne n’a rien dit. Tout le monde a trouvé ça normal. Parce que le souverain du monde, les États-Unis, commandent à tous les autres pays occidentaux. En Europe, à l’exception de la guerre en Irak où la France et l’Allemagne se sont opposées aux actions injustifiées et totalement inacceptables de Washington, dans tous les autres cas, tous les pays européens ont rapidement convenu que les États-Unis avaient le droit de déclarer une menace pour leur sécurité, n’importe où dans le monde, et de faire ce qu’ils voulaient. La Russie n’a pas déclaré une menace pour sa sécurité du jour au lendemain. Elle a, pendant de nombreuses années, exhorté l’Occident à ne pas faire de l’Ukraine un pays antirusse. En d’autres termes, la menace qui pèse directement sur nos frontières, et contre laquelle nous mettons en garde depuis de nombreuses années, a été complètement ignorée. C’est pourquoi notre opération militaire était inévitable. »
Cette propagande d'Etat ou d'Etat profond (lobbies) a même été jusqu'à faire devenir inexistant des débats TV ou radio entre professeurs aux analyses divergentes comme concernant les vaccins ARN, surtout que certains de ces derniers contiendraient perversement des modifications génétiques de l'être humain voire des cellules humaines provenant de fœtus avortés et il faut donc les refuser absolument d'autant plus le temps que leur évaluation qui doit normalement durer dix ans se termine. Alors que concernant tout sujet politique, il faut faudrait urgemment arrêter les débats stériles et adopter une approche intégrante, c'est à dire en s'ouvrant aux arguments de l’autre.
On peut noter ici que le premier amendement états-unien stipule pourtant que votre discours peut seulement être limité si vous causez du tort à autrui, et que les cardiologues disant que les vaccins ont multiplié par 100 les myocardites chez les jeunes sont donc encore plus légitimes à parler publiquement puisqu'ils empêchent le tort à autrui. Actuellement, il semble qu’il n’y ait qu’un seul jeu en ville, celui joué par les maîtres du Covid et donc Big pharma (la plupart des médicaments sont créés par une poignée de multinationales : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments), les géants du numérique, le FMI, le tout orchestré par la fondation Rockefeller. Or Poutine n'a pas voulu se battre contre cette force extraordinaire, car il a justement pensé que la Russie pouvaient se débrouiller dans le cadre des règles qu’ils avaient fixées, ou jusqu'à que ça se tasse ou le temps que les masques tombent. Car Poutine est un dirigeant cherchant à protéger son peuple le plus honorablement possible même lors de son suivi partiel de l'OMS mondialiste pendant le Codiv ou lors de sa décision de déclencher l'intervention militaire spéciale en Ukraine. Surtout que ce n’est que sous l’état d’urgence que l’on détermine qui détient la véritable souveraineté. Le souverain qui déclare l’état d’urgence et qui prend des décisions dans ses conditions, en s’appuyant non pas tant sur la loi que sur la volonté et l’esprit. Le sujet ne naît que dans l’état d’urgence. Dans les autres cas, il s’agit d’un sujet conditionnel (soit un sujet, soit un objet), et seul l’état d’urgence met tout à sa place. D'ailleurs il est admirable que Poutine ait réussi à rendre sa fierté et sa liberté à une grande nation qui a connu le communisme dure et l'effondrement économique ensuite. A ce sujet il est intéressant de voir à travers de l'humour et de l'émotion, l'excellent portrait de Vladimir Poutine à l'adresse https://youtu.be/anDPH40utkA
Ainsi l’occident devrait s’occuper de ses propres problèmes, en commençant par les géants du numérique. Ce ne sera pas facile comme nous l’apprend l’affaire dans laquelle le juge Hinkle a statué que Facebook et Microsoft devaient jouir de leur droit « divin » privé de bloquer les politiciens qu’ils n’aiment pas, mais une loi du Texas est en train de lutter contre cela. En effet les dissidents au système mondialiste actuel sont privés de toutes les voies de communication grand public : télévision et principaux réseaux sociaux, même le président Trump. Certains dissidents sont même désormais emprisonnés pour avoir dénoncé des groupes internationaux (en particulier la mafia juive) participant à des activités délictueuses : trafic d’êtres humains, d’organes, d’armes, de drogue, de blanchiment d’argent ; escroqueries en tous genres ; assassinats commandités ; rackets ; prostitution,etc. Ainsi même si ce sont des membres du système judiciaire, ceux qui s’en prennent à eux sont complices de ces criminels. Il s'agit d'un appareil d’état au service du crime organisée, puisqu'il emprisonne ceux qui dénoncent les criminels et laisse donc en liberté ces criminels. Et c'est donc incontestablement un état mafieux dirigé par des criminels. Cette répression contre ces nobles opposants au système provient du fait qu’ils désignent clairement et ouvertement les ennemis lobbyistes et mafieux s'enrichissant avec la corruption massive et menaçant ainsi l’avenir existentiel de pays dont la France.
Cependant il n'existe pas de régime ou de forme politique qui soit susceptible d’accorder à ses opposants une liberté sans limite. Autrement dit, un opposant réel doit prendre sa liberté politique à ses risques et périls, car c'est uniquement dans ce sens que la liberté est toujours absolue. Mais l'opposant, le dissident, doit supporter la répression. En bref, quel que soit le régime, la liberté laissée par ce dernier est toujours limitée, et lorsque la limite est franchie, celle de l’opposant commence. Or la violence dans l’extrémisme politique ou identitaire est souvent de la lâcheté politique face au pouvoir tyrannique, car il faut avant tout avoir du courage social pacifique malgré des persécutions. Dans ce sens, l'identitaire français doit légitimement être universaliste par rapport à celui anglo-saxon qui est communautaire, en particulier puisqu'il est catholique et droit de l'hommiste, et que l'identitaire ethno-racial conduit à la balkanisation en faveur de l'empire américano-sioniste, comme l'a montré le président Yougoslave Milosevic à travers sa grande Serbie divisante qui y a beaucoup participé au contraire de l'impérialiste unifiant du précédent président yougoslave Tito. C'est à dire que quelles que soient les épreuves, il faut avoir de la virilité politique en devenant constamment un dissident authentique principalement par la dénonciation fréquente du pouvoir profond pervers et la promotion fréquente de l'association entre la droite des valeurs (patriote, catholique, monothéiste) et la gauche du travail (socialiste et nationaliste).
En effet pour que le peuple français triomphe, il faut que la droites des valeurs (classe moyenne, manif contre la mariage pour tous, manif contre l'allongement des cotisations retraites, manif contre le pass sanitaire) doit s'unir avec avec la gauche du travail (prolétariat, gilets jaunes en particulier ceux du canal historique christique qui voulaient simplement vivre dignement de leur travail, de leur salaire) contre la droite libérale unie à la gauche libertaire. Or il y a une importante rééducation à faire de la classe moyenne, car elle a été flattée par l'hyper classe pendant des décennies afin de l'appauvrir aujourd'hui, et une importante diminution de l'immigration massive à mettre en place, car n'étant pas concernée par ces sujets et les divisant plutôt qu'y participant.
Ensuite pour renforcer le combat pour la vérité et le bien commun, l'étape suivante après la dissidence est de créer une résistance organisée autour d'une économie forte et d'une nécessaire hiérarchie intelligente, telle une armée avec son avant garde, son arrière garde et ses flans, composée par les diverses catégories sociales. Or à notre époque, la Résistance c’est avant tout dénoncer le vrai coupable, attaquer l’ennemi à sa racine et donc voir la réalité principale du Mal : le néolibéralisme guerrier basé sur la cupidité et donc sur l'intense amour inconséquent de l'argent menant au pouvoir, ce qui est aussi la principale face cachée du sionisme internationaliste.
Ainsi pour bassement contrer ces opposants dénonciateurs de l'ingérence sioniste, les avocats d'association de défense juive font généralement le récit d’événements de la Seconde Guerre mondiale puis invoquent sournoisement le pseudo risque de prochains malheurs comme le pseudo retour du nazisme. Pourtant ce sont des plaidoiries que l’on retrouve comme argument décisif dans les motifs des décisions de justice. Et une propagande massive du système via sa presse, sa radio, ses chaînes d'information et ses sites internet se fait le relais des mêmes propos. Les magistrats sont des gens comme les autres. Si les noms de Dieudonné, Soral ou Ryssen suscitent l’effroi dans le grand public, après de tels récits, pourquoi les magistrats réagiraient-ils différemment ?
En effet bon nombre de personnes sont parfaitement indifférentes au sort d’autrui et au contexte profond, en ne se préoccupant que de leur confort personnel. C'est à dire que les gens travaillent de moins en moins pour construire ensemble et de plus en plus uniquement pour favoriser leurs intérêts personnels. Quant à ceux qui pourraient avoir un soupçon d’intelligence ou simplement de réflexion, ils reculent devant l'oppression, les mensonges et les manipulations du système.