Z) Fin (3) suite 1
L’opération d’hypnose de masse du 11 Septembre, analysée avec l’aide de Douglas Rushkoff (un utopiste juif) comme exemple classique de coercition, avait pour but de faire de l’islamophobie la principale suggestion post-hypnotique, afin de la mettre au service d’un Choc des civilisations dont le principal bénéficiaire serait le sionisme. Surtout que le racisme antimusulman est actuellement de rigueur, mais le simple humour sur les juifs et même sur les sionistes est interdit, et vaut toutes les relégations, toutes les répressions. Pourtant il y avait un humour même à Auschwitz et au Goulag. La loi est simple : plus la vie est dure, plus l’humour est nécessaire. Les populations oppressées ont besoin de ce contrepoids. Or ceux qui nous rendent la vie dure aujourd’hui veulent en plus nous amputer l’humour ! Ça devient dangereux pour le système... Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Déconstruire l’islamophobie » du sakerfrancophone à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Deconstruire-l-islamophobie-57337.html Et « Dans l’ère covidienne en France, l’hypnotiseur est le pouvoir, à savoir l’État, l’appareil médiatico-politique et ses relais aux ordres de l’oligarchie, et l’hypnotisé est le peuple français. (Mais cette état de sidération traumatique s'estompe avec le temps). » (Extrait de l'article « Tyrannie sanitaire et folie collective – Youssef Hindi » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/09/tyrannie-sanitaire-et-folie-collective/) Le journal « NZZ am Sonntag » a rapporté les déclarations d’Ueli Maurer ex-conseiller fédéral suisse au sujet de la gestion de la pandémie lors d’une interview à Hoch2.tv, fin décembre 2023 : « La pandémie était une hypnose de masse » et une « hystérie sciemment attisée » (en faveur de Big Pharma, et donc de l'OMS et donc des mondialistes oligarchiques et sionistes). De plus en plus de voix raisonnables, de personnalités unanimement connues et largement reconnues, tant au plan national qu’international, se font aujourd’hui entendre tant sur le conflit israélo-palestinien que sur le conflit ukrainien, voire sur la crise Covid, en prenant parfois le risque de subir les foudres de l’oligarchie financière mondiale, largement sionisée, et des autorités gouvernementales et médias qu’elle contrôle, quasiment tous sous influence des lobbies pro-Israël. Ces voix de plus en plus nombreuses et de plus en plus puissantes viennent de tous les pays et de toutes les communautés, juive comprise. Ce ne sont pas les «Nouveaux Justes» qui manquent au sein de cette communauté aujourd’hui en crise. Lorsque quelqu’un comme Ilhan Omar (qui a subi un traumatisme horrible à la suite du plan sioniste déclenché par le 11 Septembre, visant à détruire « sept pays en cinq ans » selon la vidéo de l'ancien général des armées Wesley Clark, dont son pays natal la Somalie) voit les puissants États-Unis, une nation de 300 millions d’habitants, travailler avec obéissance pour le petit Israël comme une sorte de golem zombie (humain robotisé, esclavagisé plus ou moins consciemment), on comprend pourquoi le mot « hypnose » est entré dans son esprit et sur son compte Twitter. Ainsi qu'il a été montré, sa métaphore de l’hypnose est à la fois éclairante et appropriée, surtout que les médias et l'industrie du cinéma qu'est Hollywood y participent incontestablement comme à travers le monde. En effet à travers des films d'anticipation, cette industrie cinématographique permet même de PREPARER les peuples à diverses évolutions mondiales servant les intérêts des oligarchies corrompues. Ces films dévoilent même des réalités de l'actuel mondialisme technologiste, transhumaniste, wokiste, oligarchiques et sionistes sans que les populations de ne réveillent, ce qui prouve leur aveuglement. De plus à travers de nombreux clips, séries et films, d'évidents messages subliminaux sataniques même envers les jeunes augmentent sans arrêt. D'ailleurs il est désormais clair que cette hypnose de masse a pour but final d'établir le mondialisme ploutocratique impie : « « Ils sont les machinistes de l’univers. Qui se révolte contre eux parle contre les dieux »… Bardèche ne croyait pas si bien dire, le petit maître à penser de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari n’a-t-il pas commis un opuscule titré Homo Deus. Ce cuistre s’imagine en effet que nous serons bientôt, après le mariage de l’homme et de la machine, comme des dieux ? Difficile d’être plus prétentieusement mégalomaniaque. Bref, ces gens se prennent pour des petits démiurges appartenant à une caste sacerdotale ayant pour mission de « réparer le monde » – tikkoun olam – alors que leur seul génie est celui de la destruction, de la trahison et du mensonge. Lénine promit « la Paix et la Terre » mais omit de dire qu’il s’agissait seulement du sol à labourer et en aucun cas des moissons et des récoltes qui furent derechef confisquées… S’ensuivit la famine de 1921/1922 la guerre civile étant alors close, répétition avant l’Holodomor de 1932/33 et leurs affreux cortèges de tragédies cannibales. « Welcome to 2030, I own nothing, have no privacy and life has never been better » (« Bienvenue en 2030, je ne possède rien, je n’ai pas d’intimité et la vie n’a jamais été plus belle ») nous déclarait le 12 novembre 2016 la claudette Ida Auken, députée danoise, membre éminent du Forum économique mondial… » (Jean-Michel Vernochet) En conclusion, une précision va de soi : il est évident que les élites juives ne sont pas les seules personnes impliquées dans le secteur de l’hypnose de masse. « En espérant que nous n’arrivions pas à la fin du monde (c’est-à-dire à la catastrophe nucléaire), nous sommes certainement à la fin d’un monde, la fin de la sphère publique, d’un système d’organisation du monde, de structures conceptuelles. La notion de sphère publique – nous le savons depuis Mill et Tocqueville jusqu’à Habermas et Arendt – est fondamentale pour la notion de démocratie, puisque la démocratie suppose une opinion publique informée, critique, capable de discernement. Ce qui a rendu possible cette forme de gouvernement, ce sont les « corps intermédiaires » (partis, associations, etc.) qui sont la condition de possibilité d’un décryptage critique et pluriel, et sans pluralisme des informations et des interprétations, il n’y a pas de sphère publique. Un processus entamé depuis longtemps, mis en évidence par de nombreux penseurs de manière différenciée – de Baudrillard à Byung-Chul Han – montre que cette notion de sphère publique s’est effondrée. En effet, nous sommes passés d’une partitocratie malmenée à une médiocratie : les médias nous font vivre dans la réalité qu’ils construisent. Ils ont ainsi construit la figure du héros Zelensky, et ils ont également construit le nationalisme ukrainien, qui ne se serait pas développé sous la forme que nous lui connaissons aujourd’hui sans les médias. La télévision ne représente pas la réalité, elle la produit, elle la fait advenir, et pas seulement parce qu’elle la falsifie (elle le fait aussi), mais parce qu’elle transforme un modèle en réalité. Le modèle était : la construction du nationalisme ukrainien, la construction de la figure du héros. Les images, la narration ont fait du modèle une réalité. Mais de la manière dont ils l’ont construit, ils peuvent le détruire en deux jours : il leur suffit de commencer à transmettre d’autres images, d’autres informations, par exemple, il leur suffit de répandre la rumeur selon laquelle en Ukraine, les États-Unis, avec l’accord de Zelensky, possédaient des laboratoires d’armes biologiques, une nouvelle qui circule dans les médias. Il leur suffit de diffuser des nouvelles bouleversantes : le mythe de la lutte de la liberté contre la barbarie s’effondrerait, le récit changerait, et le changement de récit changerait l’expérience. Les médias peuvent faire advenir la réalité qu’ils souhaitent. Maduro était donc le dictateur, et en un instant, il devient un interlocuteur, des sanctions contre Maduro à l’achat de pétrole auprès de lui. Dans peu de temps, s’il le souhaite, il se fera le chantre de la liberté. Le public médiatisé n’a plus de mémoire culturelle et communicationnelle (Assman) : il vit dans l’instant, il oublie dans l’instant. Les médias ne construisent pas une histoire, mais une série d’instants fragmentés. Ce qui n’est pas sans signification dans la « vraie réalité ». Une sphère publique qui n’a plus d’influence sur les décideurs cesse d’exister, nous le savons depuis Locke, qui avait saisi le pouvoir d’interdiction de la sphère publique, pouvoir qui a cessé d’exister. Et c’est pour cela que la modernité est terminée. Il est désormais clair que tout se joue dans la sphère médiatique. Nous ne sommes pas seulement passés du gouvernement économique au gouvernement de la société, comme le souligne également Foucault à juste titre : nous sommes passés du gouvernement de la société au gouvernement de l’opinion. Et nous paierons cher cette classe (médiatico-)politique inepte, sans aucun sens de la mesure, qui parle comme un ivrogne au bar, sans penser que – s’il n’y a pas de guerre nucléaire – il faudra rétablir les relations. » (Extraits de l'article « La guerre en Europe, la fin de la sphère publique. La fin d’un monde » à l'adresse https://strategika.fr/2023/09/20/la-guerre-en-europe-la-fin-de-la-sphere-publique-la-fin-dun-monde/) « Avant, les hommes de science po ne disaient pas tout, mais c’était pour le bien du peuple. On mentait par omission, mais il y avait une certaine morale, disons un code d’honneur. Les journalistes ne mentaient pas, ils relayaient, car ils étaient choisis pour leur « sérieux ». En revanche, Macron, Trudeau, Leyen, Biden, ça a la langue fourchue. C’est aussi parce que la démocratie n’existe pas, qu’il s’agit d’une tyrannie déguisée, et que le discours politique doit en permanence cacher cette dure vérité aux naïfs. Le pouvoir doit faire croire aux naïfs que ce sont eux qui décident, ce qui est du plus grand comique. Le mensonge n’est que la conséquence logique de cet état de fait. D’où notre proposition : le mensonge est consubstantiel à la tyrannie démocratique. Aujourd’hui, et c’est le problème numéro un des « démocrates » occidentaux, il est plus difficile de mentir, ou de ne pas dire la vérité. Le mensonge, surtout s’il est grossier, est débunké sur les RS, de manière quasi simultanée : les désinformateurs de l’oligarchie sont attendus au tournant. Heureusement pour les hommes po, les journalistes mainstream mentent aussi. C’est dans leur intérêt : les médias mainstream étant en perdition, ils ont besoin de l’argent de l’État, d’où le combo soudé « homme po-journaliste ». Cependant, chaque nouveau mensonge qui s’ajoute à la pile de mensonges agrandit la fracture entre le combo et le peuple. On a lu chez un journaliste mainstream que le peuple ou le concept de peuple n’existait pas, donc voici notre définition : est peuple tout ce qui n’appartient pas au système médiatico-politique, ce qui inclut évidemment des piliers économiques. » (Extraits de l'article « La démocratie, c’est le mensonge » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-democratie-c-est-le-mensonge-73617.html) Tous les gouvernements et toutes les entreprises hypnotisent leurs sujets et leur personnel pour obtenir d’eux une obéissance loyale dont évidemment par la télévision. Toute religion implique un degré d’hypnose de masse ; et le mysticisme (la piété), le cœur de la religion, implique un certain degré d’auto-hypnose. Et même les parents hypnotisent régulièrement leurs enfants pour les endormir par des histoires répétitives. Une partie de tout cela est normal et sain, comme le prouve le Coran en nous invitant au rappel religieux fréquent de Dieu et de ses voies du Bien. Mais ce qu'il faut comprendre, c’est que d'abord pour leur profit puis pour leur messianisme erroné, les élites juives (sataniques) ont eu un succès inhabituel dans l’utilisation de la manipulation hypnotique de masse, ce qui signifie que cela a été utilisé excessivement et massivement dont par les grands médias télévisuels du système amoral et abrutissant. Parmi ces stratégies, les idiotes et instrumentalisées minorités agissantes sont comme des enfants mal élevés : ça casse et ça salit tout, c’est jamais content, ça gémit, ça geint, ça pleurniche, c'est rancunier, ça réclame, ça fait des caprices, ça parle mal, ça veut dominer, ça divise, et ça finit par se prendre des claques par le réel, si les parents ne le font pas avant. En sachant le prolongement de ces pleurniches en particulier celles arabe et noire prolongent celle juive, toutes au détriment de l'universalisme christique. Surtout que la fin de ces pleurniches stopperait aussi la pleurniche des lgbt et des féministes. D'autant plus que toute minorité exigeant le respect et insistant lourdement sur la discrimination dont elle ferait l’objet finit toujours par lorgner vers le tiroir-caisse, c’est-à-dire nos poches. Toute pleurniche est le préalable à une demande de réparation, sur le fameux modèle de on est là pour réparer le monde. Or toutes ces oppositions créées ou entretenues empêchent d'abord un mouvement social de grande ampleur. C'est le principe premier de l’oligarchique ingénierie (anti)sociale, néocapitaliste, mondialiste, néoconservatrice et sioniste : créer donc un mouvement sociétal car étant antisocial. Par conséquent il ne faut plus parler de minorités agissantes car faisant croire à un rétablissement de la justice pour de pauvres victimes, mais plutôt de minorités tyranniques servant à faire adhérer une partie de la majorité à leurs objectifs qui profitent en réalité d'abord aux mondialistes oligarchiques. Ces minorités sont d'ailleurs comparables et liées à la minorité occidentale voulant imposer son ploutocratique système colonial au monde. C'est pourquoi après avoir réussi à acheter et donc gérer les grands médias afin de contrôler l'information propagée et donc d'orienter une grande partie de l'opinion publique en leur faveur, ces mondialistes élites très riches, souvent cupides ou défendant des intérêts particuliers cachés par définition opposés au bien commun, sont généralement à l'origine du financement des associations de ces idiotes minorités manipulées. Le livre « La fabrique du consentement (par le conditionnement) » de N.Chomsky et E.Herman confirme que le système de propagande en milieu démocratique est lié à l'influence des avides propriétaires ultra riches de la publicité et du conformisme qui va uniformiser l'information dans les médias de masse sans qu'il y ait besoin de coercition ou d'un état autoritaire qui impose une ligne trop directement. Il s'agit d'une industrialisation de la psychologie sociale amenant à l'étouffement de la conscience dont par un joug culturel de la bien-pensance de plus en plus mondialiste et wokiste (cancel culture). Il est intéressant de lire à ce sujet la lettre-pétition d'un collectif de psychologues qui demande l'arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations sur la population française, en particulier celles liées à la crise sanitaire, au climat et à la guerre en Ukraine, à l'adresse https://lemediaen442.fr/un-collectif-de-psychologues-demande-larret-immediat-de-chantage-et-de-discriminations-du-gouvernement/ L'énorme propagande fait même passer le minuscule israélien pour un pays majeur tels la Chine, la Russie ou les USA, dont dans les pays arabes et musulmans. « L’essentiel est donc de résister à la propagande, de ne pas se laisser engourdir par les violons officiels parlant de choses qui n’existent pas : État de droit, indépendance de la justice, grands médias objectifs n’ayant d’autre souci que la recherche de la vérité, etc L’important, c’est de bien décrire la réalité, sans se laisser égarer par les fausses apparences, concrètement par la propagande nous disant, par exemple, que nous vivons dans un « État de droit ». Ce n’est en aucune manière le cas. Je ne dirais pas que le droit ne joue aucun rôle dans le régime occidental. Mais le droit est surtout aujourd’hui un instrument de pouvoir, plus exactement encore d’intimidation. Les autorités l’appliquent ou ne l’appliquent pas suivant l’intérêt qu’elles ont ou non à l’appliquer. Elles-mêmes, en tout état de cause, se considèrent comme au-dessus des lois : en témoigne, entre autres, leur recours de plus en plus fréquent aux services spéciaux pour gérer certaines situations (y compris d’ordre privé, comme on l’a vu récemment en Suisse). L’hybris, il est vrai, leur fait parfois perdre le sens des limites, en sorte qu’elles en subissent ensuite les conséquences. Mais on ne dira pas que cela ait un quelconque lien avec l’ État de droit. C’est juste lesdites limites se rappelant à leur bon souvenir. Il en va de même de l’utilisation du droit à des fins de règlements de compte et autres échanges de bons procédés (comme, bien sûr, cela n’arrive jamais). Plus fondamentalement encore, le droit est une épée de Damoclès. Il peut vous tomber dessus à tout moment, pour tout et à peu près n’importe quoi. Mais il ne tombe jamais par hasard. En ce sens, comme je viens de le dire, il a rôle d’intimidation. Ce qui précède va à l’encontre d’une thèse à l’heure actuelle très à la mode, celle du gouvernement des juges. Il y aurait ainsi trop de droit en Occident et pas assez de démocratie. Il n’y a en réalité pas plus de droit que de démocratie. Le gouvernement des juges n’a rien à voir avec l’État de droit. C’est un pouvoir comme les autres, à la limite même plus dangereux encore que les autres, car plus hypocrite. Certains me reprocheront peut-être mon manque de nuance. Mais je dis la réalité. Revenons-en maintenant à l’étiquetage. Le mot totalitarisme s’impose tout naturellement (« Tout dans l’État, rien en dehors de l’État, rien contre l’État »), mais il faut alors parler d’une nouvelle espèce de totalitarisme : la pierre angulaire en est les services spéciaux articulés aux NTIC, d’une part, au contrôle de l’information de l’autre. On pourrait aussi parler de tyrannie, mais en précisant bien que le tyran est aujourd’hui collectif : c’est la suprasociété (autre nom de la Nouvelle Classe). Dictature, pareil, sauf que la dictature actuelle n’a bien sûr rien à voir avec l’institution du même nom dans l’ancienne Rome. On parle d’autre chose, à certains égards même du contraire, puisque à Rome la dictature était instaurée pour six mois et qu’au bout de ces six mois le dictateur rentrait dans le rang : c’était un régime d’exception. Aujourd’hui, à l’inverse, l’exception est devenue la règle, comme on le voit avec les lois antiterroristes. La résistance « Cela va du simple non-consentement silencieux à la guerre de partisans, en passant par la résistance passive, la désobéissance civile, la grève, le sabotage, l’émeute, le refus de payer l’impôt, etc. » Aristote explique dans la Politique que le propre d’un régime tyrannique est d’« employer tous les moyens pour empêcher le plus possible tous les citoyens de se connaître les uns les autres » (1313 b 4-5). Ne se connaissant plus les uns les autres, il leur est dès lors difficile de se révolter. C’est en soi déjà une forme d’atomisation. L’atomisation est aussi un produit de la civilisation technique. C’est très bien décrit par Hannah Arendt dans Les Origines du totalitarisme. L’atomisation est le terreau même du totalitarisme. Mais ce que dit aussi Arendt, c’est que le totalitarisme fait aller l’atomisation jusqu’au bout d’elle-même. Beaucoup de traits du régime actuel se laissent interpréter sous cet angle. On l’a vu par exemple avec les mesures de confinement liées au Covid-19. Sous couvert de lutte contre la pandémie, le régime a testé son aptitude à contrôler les allées et venues des citoyens et surtout à les isoler les uns des autres. Ce n’est pas en vain, par ailleurs, que les dirigeants se sont fixé pour objectif la déconstruction de la famille traditionnelle, en fait de la famille tout court : le but étant que rien ne fasse plus écran entre la multitude des individus et l’État. La cancel culture et la destruction de l’école traditionnelle pourraient aussi s’interpréter sous cet angle. En règle générale, le lien social passe par le partage d’une culture commune. Si le but est d’« employer tous les moyens pour empêcher le plus possible tous les citoyens de se connaître les uns les autres », la liquidation de la culture ne peut pas ne pas apparaître comme un objectif souhaitable. L’asservissement passe ici par l’analphabétisme de masse. On est habitué depuis toujours à avoir un accès facile aux classiques et à la culture. C’est encore dans une certaine mesure le cas. Mais moins aujourd’hui déjà qu’hier. Cela le sera probablement moins encore demain. C’est le pendant laïc de la sécularisation. Après la sortie de la religion, la sortie de la culture. Tant la culture que la religion font obstacle à l’automatisme, partant aussi à la domination totale. Il est donc normal que l’État total cherche à les supprimer. Il ne sera vraiment tranquille que quand toute trace en aura été effacée. À partir de là, on voit bien qu’on ne peut pas se contenter de dire que le livre nous aide à résister. Il nous aide, certes, à résister, c’est un adjuvant aux forces morales, mais lui-même est aujourd’hui très exposé. C’est l’autre aspect de la question. Les grands textes nous fortifient moralement, mais nous-mêmes, en sens inverse, avons à prendre leur défense, car l’époque ne leur est guère favorable. On pense en particulier aux mesures de protection qu’il conviendrait de mettre en œuvre pour les soustraire à la censure, et à terme aux autodafés appelés très probablement à se multiplier ces prochaines années. Elles aussi, ces mesures de protection, relèvent du recours aux forêts. Ajouterais-je que, pour utiles et importants qu’ils soient, les grands textes ne permettent pas à eux seuls de répondre à toutes les questions que nous nous posons sur nous-mêmes et sur la conduite à tenir en l’époque troublée qui est la nôtre. Il en faudrait d’autres reprenant certes les textes en question mais les complétant en même temps, un peu comme ont su si bien le faire les humanistes à l’époque de la Renaissance lorsque, s’inspirant de la sagesse antique et s’appropriant les préceptes des moralistes stoïciens et épicuriens, ils ont écrit leurs propres ouvrages pour répondre aux questionnements spécifiques de leur temps. En sachant que les vertus stoïciennes personnelle sont principalement le courage, la tempérance, la justice, et la sagesse (permettant en plus l'accès au bonheur). Nous seuls, sur la base de notre propre expérience personnelle, en même temps que des expériences vécues avec d’autres, pouvons apporter une réponse sinon complète, du moins relativement appropriée. » (Extraits de l'article « La fin du G7 » de Serge Berthier) Lorsqu’on pense aux moyens chaque fois plus puissants dont dispose le système, un esprit ne peut évidemment rester libre qu’au prix d’un effort continuel comprenant ses rouages anciens, nouveaux et futurs, tout en les dénonçant et les évitant au maximum. Dans ce sens, la tendance lourde du transhumanisme et de l’ingénierie sociale consiste en plus à le placer le vivant entièrement sous contrôle informatique. Surtout que cette manipulation médiatique et donc politique et donc économique du peuple par les ultra riches dominateurs pour les ultra riches dominateurs est extrêmement simplifiée à travers les multiples partis divisant et donc affaiblissant aussi le peuple. D'autant plus que les plus importants sont financés par cette hyper classe, et que l'actuelle démocratie représentative est loin d'une représentation proportionnelle (qui est intéressante car elle amène à avoir un représentant pour chaque parti et donc chaque électeur, afin qu'il puisse proposer possiblement de bonnes idées ou analyses à l'assemblée nationale), ou d'une démocratie participative, et encore plus loin d'une démocratie directe dont cette dernière serait tout de même trop difficile à mettre en place puisque le peuple doit y voter chaque loi bien qu'il devrait au moins le faire par des référendums concernant les grandes lois dont sociétales. Or le mandat impératif obligeant les élus à consulter régulièrement ses électeurs, particulièrement avant des prises de décisions importantes, correspond au système le plus démocratique. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « La démocratie et son spectacle » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-democratie-et-son-spectacle-62122.html « Il convient de rappeler une évidence qui peut valoir l’excommunication médiatique : nous ne sommes évidemment pas en Démocratie, mais dans un système que l’on devrait nommer « Représentatie », où nous désignons des représentants qui votent les lois comme bon leur semble (y compris l’inverse des promesses), sans rendre de comptes, sans pouvoir être contredits et encore moins démis. Bref, les représentants décident et pas le peuple. En réalité, ce système majoritaire est une des grandes causes de l’échec politique dans lequel la France s’est enfermée. Car ce scrutin a pour effet, par nature, de donner une majorité à une minorité. Et au fil des années, le duopole PS/UMP a perdu de plus en plus de poids, et donc la « minorité devenue majoritaire » a représenté de moins en moins d’électeurs. La « majorité » de l’Assemblée ne représente donc plus qu’une part de plus en plus infime de la population. Cela démontre que, non seulement, la politique majoritaire est de moins en moins soutenue, mais surtout qu’elle est même probablement de plus en plus « mauvaise », de plus en plus inefficace, sans quoi elle trouverait plus de soutiens. Le scrutin majoritaire agit donc comme une assurance qui empêche l’élimination naturelle de politiques rejetées par une vaste majorité de la population. La conséquence logique est une désaffection de plus en plus marquée des électeurs, qui trouvent logiquement de moins en moins d’intérêt à aller voter. Dans ces conditions, un mode de scrutin proportionnel apparaît comme une nécessité démocratique. Tout l’attrait du mode de scrutin proportionnel allemand est qu’on répartit les 400 députés restants de façon à ce que chaque parti ait, AU FINAL, le nombre de députés exact qu’il aurait eu avec une répartition entièrement proportionnelle sur liste. Par exemple, si le RN a obtenu 34 % des bulletins au scrutin de liste, il doit donc avoir 204 députés au final (34 % x 600 sièges). On en arrive alors au point central : comment gouverner avec le scrutin proportionnel ou le scrutin majoritaire quand il ne donne pas la majorité absolue à un parti ou à une coalition constituée avant le vote ? Il y a deux possibilités après un tel scrutin. La première serait que les partis arrivent à se mettre d’accord après l’élection pour constituer une coalition qui regroupe une majorité de députés sur un programme commun de gouvernement, ce qui est d’ailleurs le cas le plus fréquent. Par exemple, en Allemagne, le PS, les Verts et les Libéraux se sont mis d’accord après les élections de 2021. Bien entendu, il reste aussi aux partis la possibilité de créer un programme qui regroupe plus de 50 % des électeurs, comme cela a été le cas lors des législatives en 1981… Seconde possibilité : aucune coalition majoritaire n’arrive à se mettre d’accord après l’élection sur un programme de gouvernement. Cela signifie-t-il que nous retomberions dans « l’instabilité de la IVe République », où l’Assemblée n’arrêtait pas de faire tomber les gouvernements ? Si la proportionnelle était bien le mode de scrutin de la IVe République, rappelons à nouveau qu’il s’agit du mode de scrutin de la quasi-totalité des pays européens, qui fonctionnent visiblement normalement. Enfin, il y a une solution très simple pour limiter le risque d’instabilité : ne pas demander de vote de confiance lors de l’investiture et mettre en place une « motion de défiance constructive », comme en Allemagne ou dans la collectivité de Corse. Le principe est simple : l’Assemblée peut faire tomber un gouvernement, mais à la condition qu’une majorité des députés propose un nouveau chef de gouvernement pour prendre la suite. Cela réduit donc drastiquement la fréquence des renversements. Dans ces conditions, le gouvernement peut donc se maintenir assez facilement, mais il n’a bien entendu toujours pas de majorité. Cela l’oblige donc à négocier texte par texte pour qu’il puisse être adopté. Mais quand il le sera, ce sera bien par des députés représentant plus de 50 % des électeurs, ce qui n’est plus le cas depuis des décennies. C’est bien entendu une autre culture politique que celle de l’affrontement permanent et surjoué. Il faut également prévoir un dispositif pour s’assurer qu’un Budget minimal puisse être adopté (par reconduction de l’existant ?), ce qui n’est pas le cas actuellement. Au final, moins de lois seront votées, mais ce sera probablement de meilleures lois, bien plus soutenues. La tendance à vouloir voter toujours plus de lois, à les cumuler sans cesse sans analyser leurs effets, est aussi une pathologie du système actuel. Et puis peut-on vraiment se dire démocrate et estimer normal que soit appliqué tout son programme et rien que son programme quand celui-ci n’a obtenu le soutien que de 20 %, 30% ou 35 % des électeurs ? La proportionnelle a aussi des conséquences intéressantes. Elle pousse par exemple à constituer des partis plus homogènes, qui n’ont plus à se regrouper avant les élections, ce qu’ils commencent à faire en France depuis deux ans. Il n’y a plus besoin de constituer des coalitions avant les élections, donc de créer des programmes chimériques pour appâter l’électeur, pour systématiquement le trahir ensuite. La négociation a lieu après la victoire électorale, et le programme est donc censé être réaliste, et rapidement voté. Enfin, comme on le voit, elle redonne du pouvoir au Parlement, dont la faiblesse est une des causes de nos problèmes. C’est bien entendu une autre façon de faire de la politique, où une « opposition » ne va pas rejeter 100 % des textes et une « majorité » ne va pas adopter 100 % des textes. Quoi qu’il en soit, proportionnelle ou pas, c’est probablement le futur politique qui se profile pour nous, donc autant adapter nos institutions pour en rationaliser le fonctionnement. » (Extraits de l'article de « Stop au sadisme électoral : la proportionnelle maintenant ! » Olivier Berruyer) Or selon Montesquieu et Etienne Chouard, le tirage au sort est la seule procédure démocratique, dont pour éviter la corruption entre politique, économie et finance. Dans ce sens, Chouard affirme si que s'il y a une révolution populaire, la nouvelle constitution devra désormais être écrite par les représentés dans une forme de pédagogie excellente et non par les représentants, afin que ces deniers ne réécrivent pas leur pouvoir et l'impuissance populaire. Cette constitution devra se faire d'abord au niveau communal car la démocratie est la plus logique et légitime au niveau local. Chaque commune devra donc choisir quels mandats organisés, la durée de ces mandats, si les représentants sont élus ou tirés au sort, si ces représentants sont des maîtres ou serviteurs, comment on surveille ces représentants, comment on les renvoie en cas d’insatisfaction, comment la population garde le pouvoir par le RIC concernant les sujet considérés comme importants, comment on change la constitution quand on estime qu'on s'est trompé concernant la réalité des pouvoirs établis, comment on produit la monnaie, etc. Car sans RIC, on peut constater que l'élection par représentation enlève finalement tout pouvoir au peuple, puisque il ne s'agit pas plus de voter des lois mais d'élire des maîtres, même possiblement dans le cas de créer une assemblée constituante : décider qui décide, ce n'est pas décidé. Il suffit de décider qu’une journée par an qui sera réservée à un vote de par exemple 5 ou 7 référendums. Puis à partir de ces différentes constitutions, une grande constitution devra voir le jour à Paris dans une forme de fédération ces communes. Afin qu'il n'y ait pas trop de représentants à ce moment là puisqu'il y a 36 000 communes en France, les communes de moins de 500 habitants devront établir leur constitutions avec d'autres afin d'atteindre entre 2000 et 5000 habitants. Enfin cette fédération ou plutôt confédération de devra évidemment pas devenir une dictature et encore moins une tyrannie par une chambre de contrôle citoyen renouvelée annuellement par tirage au sort. Le tirage au sort lié à l'écriture de la constitution par le peuple au niveau communal puis national telle une confédération, lié au contrôle citoyen hebdomadaire avant, pendant et après le mandat ou au mandat court ; baisse la corruption (car beaucoup de citoyens ne sont ni des crapules ni des abrutis et la responsabilité discutant pour le bien commun peut changer tout le monde positivement dont grâce donc à cette intelligence collective réelle, car personne n'est structurellement mauvais en particulier à notre époque de grande égarement médiatique), et correspond ainsi au processus constituant populaire permanent qui est la meilleure démocratie, surtout quand les experts informent télévisuellement et le peuple décide dont à travers le RIC. Il s'agit comme lors du CNR de faire travailler ensemble droite et gauche contre un ennemi plus ou moins extérieur, surtout que l'extrême droite et l'extrême gauche seront souvent d'accord sur différents sujets comme les retraites ou le nucléaire, et que sur les sujets de désaccords comme concernant l'avortement ou l'immigration, l’alternance des lois votées se fera par rapport aux plus nombreux. « N’oublions pas qu’en France, sous la Ve République, la démocratie s’exerce de manière indirecte mais également directe, normalement par référendum, à défaut par la rue. Les deux sont indissociables : une démocratie purement directe ou indirecte est catastrophique. … Mais dans les crises terminales comme celle que nous traversons, lorsqu’il n’y a plus aucun intérêt à agir, peuvent s’exprimer les valeurs supérieures de morale et de devoir. Foutu pour foutu un peuple se met alors à faire ce qu’il a à faire. » (Guy de la Fortelle) Or le mandant impératif est clairement aussi intéressant comme l'explique cet article du média en 4-4-2 : « Ce qui nous empêche actuellement d’être dans un système démocratique ce sont tout bonnement les représentants élus (et tous, sans exception en passant de la gauche à la droite). Mais pourquoi ? Parce que dans une démocratie avec des représentants, les citoyens ont le contrôle sur eux et peuvent à tout moment demander la révocation de celui qui ne ferait pas son travail pour lequel il a était élu. Un représentant avec des conflits d’intérêts, incriminé dans une affaire de justice et / ou qui ne tient pas compte de ce qu’a décidé la majorité des citoyens (comme pour le référendum de 2005 sous Sarkozy par exemple), pourrait à la demande de ceux-ci, et à n’importe quel moment de son mandat, être révoqué. Voilà pourquoi dans notre système représentatif actuel, la démocratie est inexistante et pourquoi aucun de nos élus ne se bat vraiment pour qu’il le soit. Le seul élu à ma connaissance ayant proposé cela pour son potentiel futur poste de chef d’état est Jean Lassalle. Pour quelle raison ? Sans tenir compte de son programme, c’est le seul candidat qui se présentait avec un mandat impératif. Le mandat impératif c’est quoi ? C’est un mode de représentation dans lequel les élus ont l’obligation de respecter les directives de leurs électeurs sur la base desquelles ils ont été désignés, sous peine de révocation. Voilà pourquoi à mon sens il était le seul à donner du sens à l’élection présidentielle. S’il ne respectait pas ses promesses, nous pouvions le révoquer à tout moment. Je vous laisse décider quoi penser des autres candidats qui eux ne se sont jamais présentés avec ce mandat en vous vendant de faux RIC à tour de bras. Après tout, les promesses sans engagement de la part de ceux qui les font, n’engagent finalement que ceux qui les croient (nous, les petits électeurs crédules). » La fabrique du consentement a été aussi organisée et donc encore plus facilitée par l'abrutissement et l'inculture de plus en répandus mondialement. En effet l’hédonisme, le plaisir, le matérialisme et le modernisme à outrance sont des armes du système rendant stupides de très nombreuses personnes jusqu’à l’asservissement virtuel. Cela va jusqu'à ridiculiser l’épargne, la prévoyance, la respectabilité, la pudeur, la retenue, tous les bons sentiments d’antan. D'ailleurs une des plus fortes images incarnant la fabrique du consentement a été de faire accepter aux gens de se signer soi-même un papier pour pouvoir sortir pendant le confinement et de sortir un QR code confirmant la vaccination pour entrer dans un restaurant tels un apartheid sanitaire pour les non vaccinés et du bétail pour les obéissants. Surtout qu'à travers l'Histoire, les oligarchies corrompues du monde sont devenues très expertes dans la manipulation. D'autant plus qu'avec les médias, elles arrivent encore plus facilement à défendre l'élite perverse tout en attaquant les vrais défenseurs du peuple, sans avoir l’air de s’en prendre au peuple et tout en ayant l’air d’être quand même un peu contre le pouvoir. Leurs intérêts les obligent à faire dans ce « populaire » pour mieux tromper les intérêts du peuple en l'influençant, le manipulant, l'orientant ou transformant sa cause, et donc s'appropriant ses nouvelles aspirations, tandis que les commanditaires supérieurs attaquent les résistants qui sont vraiment populaires par leur volonté de bien commun. Toujours dans le but de diviser pour régner, on est passé par exemple du socialo sionisme immigrationniste au national sionisme perversement identitaire. C'est à dire qu'auparavant, les musulmans et immigrés étaient prétendument les victimes des français, et que maintenant, les français sont prétendument les victimes des musulmans et des immigrés. Par une nouvelle ingénierie sociale du système auquel sont liés certains lobbies dont la LICRA (ligue loin d'être acceptée massivement comme représentation par les juifs français du quotidien), la société civile est donc en train de passer en force à l’antiracisme 2.0 au détriment de l'union des peuples, mais au profit des oligarques souvent sionistes dont à travers la préservation de leurs privilèges injustes et de leur pouvoir politique, alors que ce même système avait donc monté les immigrés contre les Français dans les années 80 dans l'antiracisme 1.0. L’association de bienfaisance israélienne Livra, pourtant élue par personne, a même menacé directement et sans complexe le député LFI Thomas Portes pour son soutien aux palestiniens, pourtant élu LFI dans la 3e circonscription de Seine-Saint-Denis (93) avec 54 % des voix ! Où est le respect de la République ? « Oui, il faut garder cette idée que l’antisémitisme c’est ce qui permet de définir la santé d’une démocratie. » (Anne Hidalgo, lors de la 11e convention nationale du CRIF, le14/11/21) « à partir du moment où l’on sait que "l’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme". Il faut poser la question : "À qui profite le crime ?" et chercher qui se trouve à la tête (occulte) du futur Gouvernement Mondial. » (Yann Moncomble, L’Irrésistible Expansion du mondialisme, 1981) Par rapport à cela, Malcolm X a noblement dit : « Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés (les innocents) et aimer ceux qui les oppriment (les coupables). » De plus les gens sont souvent plus indignés par une parole (islamophobe, anticatholique, antisémite, antinationale) écrite sur un mur ou dite dans un média que par la pauvreté. Par conséquent l'apparition de la démocratie est une épreuve révélant le niveau social des humains, des oligarques, des politiciens et de nombreux peuples face à la raison, à la piété, à différentes valeurs, à l'oppression, à la manipulation ou à la création de guerres illégitimes. L’antisémitisme n’a pas sa place dans le débat sur l'identité française, car il s'agit plutôt d’anti-talmudisme, parce que la République est antifrançaise car la France est chrétienne, et que le Talmudisme est pro républicain et donc anti français car il est plus que christophobe, il est christicide. En dissolvant l'association catholique civitas, le système a montré qu’il a fait de la France une tyrannie, mais aussi qu'il a eu très probablement peur de la possible évolution rapide et massive de ce parti politique. L’antisémitisme n’a pas sa place dans le débat sur l'identité française, car il s'agit plutôt d’anti-talmudisme, parce que la République est antifrançaise car la France est chrétienne, et que le Talmudisme est pro républicain et donc anti français car il est plus que christophobe, il est christicide. En dissolvant l'association catholique civitas, le système a montré qu’il a fait de la France une tyrannie. D'ailleurs de grandes décisions tyranniques comme cette dissolution sont simplement déclarées sur Twitter sans la moindre consultation à l'assemblée nationale. Le système politico-judiciaire reproche même à Civitas de défendre la royauté sociale du Christ en France, de dénoncer l'action de la franc-maçonnerie, de dénoncer la théorie du genre, de dénoncer la propagande Lgbt à l'école. Tout défenseur de la liberté d'expression devrait donc supporter Civitas, sinon la défense des valeur authentiques ne pourra plus être exprimée publiquement. De plus le judaïsme étant une religion et une race, il peut être défendu par la lutte contre la discrimination raciale ou religieuse, et est donc difficilement critiquable publiquement et surtout médiatiquement. En fait pour la domination mondiale des oligarchies sionistes ou corrompues, ce nouvel ordre mondial tente bien d'imposer progressivement la religion universelle noachide erronée ou mal interprétée pour les non juifs qu'est la laïcité, synonyme de démocratie pouvant s'égarer à travers l'oubli des commandements divins. En effet soit cette religion universelle noachide a été perversement inventée, soit elle est désormais pervertie car elle ne devait servir qu'à civiliser les non juifs barbares de l'antiquité en les amenant progressivement vers le monothéisme authentique qu'était le mosaïsme, devant être complété par le christianisme, puis conclu par l'islam. D'ailleurs l'erreur de l'interprétation précisant que la loi noachide est toujours réservée aux non juifs est prouvée par le mariage du Prophète Salomon (paix sur lui) avec la reine de sabbat après qu'elle se soit convertie. Et si des populations ne se convertissaient pas, les juifs de l'antiquité devaient effectivement probablement les faire tendre vers les valeurs monothéistes dont à travers le commerce licite noachide. Surtout que les Messagers Jésus et Mouhamed étant venus mettre à jour le monothéisme, certaines de ces lois noachides sont d'autant plus perverties, puisque par le Talmud fréquemment erroné, les non juifs sont encore souvent illégitimement considérés au même niveau que les animaux car n'étant plus barbares, et parce que le nouveau sens malhonnête de ces lois ne cherche même plus à orienter les non juifs exclusivement vers les valeurs monothéistes, alors que les véritables christianisme et islam y invitent tous les humains incontestablement. Certaines lois noachides perversement inventées, désormais corrompues ou encore bonnes sont les suivantes : -obligation d’avoir des magistrats pour faire respecter les lois (désormais des droits de l'homme laïques souvent impies). -sacrilège désormais des négationnistes concernant la shoah devenue la mortifère religion imblasphémable du mondialisme américano-sioniste, très étonnamment seul événement de la longue Histoire de l'humanité dont aucun aspect de la thèse officielle ne peut être remis en cause par de la recherche historique en France alors qu'autorisée aux Etats-Unis au nom de leur premier amendement tant que cela ne prône pas la violence ou la haine, ou sacrilège de l'opposition à la laïcité démocratique du nouvel ordre mondial alors que par ce système politique une sorte d'«expertocratie» (politiques, banques et multinationales) proche d'une dictature financière des très riches qui assied de plus en plus son pouvoir sur le reste de l'humanité par la sournoise idée erronée que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à «ceux qui savent» (les élites oligarchiques, ploutocratie favorisant inévitablement les très riches injustement) le soin de conduire les affaires publiques. Il s'agit d'une caste ploutocratique s'appuyant sur les médias mainstream, ayant beaucoup de membres très riches et technocratique, et ayant beaucoup de membres travaillant pour l'union européenne. La vérité, c’est que nous sommes idéologiquement dominés. Les trois moyens pour qualifier ou plutôt disqualifier le peuple et surtout les dissidents sont : l’invisiblisation (on ne parle pas d'eux, c’est le plus simple et cela fait d'eux des fantômes politiques néantifiables), l’infériorisation (du peuple considéré comme un ramassis d’abrutis socialement frustrés et sous-scolarisés ne pouvant donc prendre de décisions importantes, c’est le manipulateur portrait médiatique habituel concernant l’électeur patriote moyen), la diabolisation. Il faut noter que la shoah permet une sacralisation internationale du sionisme (ou du messianisme juif liés à la haute finance mondialisée) fondé sur une lecture littéraliste et erronée de l'ancien testament. C'est à dire que dans une époque de désacralisation du christianisme et du catholicisme, le système parvient donc pourtant à sacraliser Israël, le judaïsme et les juifs. Pourtant le sentiment de l'identité juive tend même à ne se baser sans religiosité que sur la mémoire du génocide de la Shoah et l’État d'Israël aux valeurs occidentales, tout en préservant contradictoirement un identitaire aspect racial de pseudos descendants d'hébreux. Gilad Atzmon explique : « Au contraire, le peuple doit faire la politique et raconter le passé, à mesure que nous avançons, car l’Histoire devient une aventure qui a du sens, seulement à partir du moment où nous avons revisité et révisé le passé (pour avoir l'entière vérité surtout car il n'y a que les vainqueurs qui écrivent l'Histoire. L'écrivain Balzac précise : « Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, menteuse qu'on enseigne, l'Histoire ad usum delphini (expurgée) puis l'Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse. »). Lorsque l’Histoire se transforme en un chapitre scellé et intouchable, elle est réduite à une religion. L'occident sous une très grande pression sioniste devient rapidement un endroit très sombre. La liberté d’expression est réduite à la nostalgie. De manière assez désastreuse, la plupart des partis politiques jouent un rôle clé dans cette catastrophe naissante. Il faut donc se lever face à cette chasse aux sorcières et à ce changement tyrannique au sein des sociétés, et rester à l’écoute des dernières voix qui résistent de manière permanente, surtout que malheureusement, les politiciens, les universitaires, les journalistes, et les autres artistes, s’inclinent très rapidement. Camille Desmoulins : « Les despotes maladroits se servent des baïonnettes, alors que « l’art de la tyrannie » consiste à faire la chose avec les juges (la loi). » Au lieu de commander l’oubli, le droit international actuel ordonne, sous peine de poursuites, de cultiver la mémoire des horreurs en particulier envers les peuples qui les ont commises. Il s’agit de nourrir dans le cœur des hommes la flamme de la vengeance. C’est une culture de haine qui va même jusqu'à la perplexité de voir des personnes âgées sionistes pourrir la vie des gens au lieu d’être un exemple d’amour, de pardon et de générosité. Le progressisme qu'utilise le sionisme s'appuie pourtant sur une prétendue générosité envers par exemple les Lgbt, et le sionisme s'appuie aussi sur une réparation politico-financière (n'existant que pour les juifs suite au tribunal de Nuremberg ayant en plus facilité la recréation impie de l'Etat d'Israël en 1948 non reconnue par certains pays), l'idéologie de la minorité tyrannique, la culpabilisation systématique des majorités, et la dette éternellement due et irremboursable. Ainsi la shoah est devenue une religion de haine à la différence du christianisme authentique qui est une religion d'amour. Tel est le sens caché des lois françaises Pleven ou Gayssot, qui prétendent lutter contre la haine en condamnant haineusement de blasphème le révisionnisme (impossibilité totalement injuste d'apporter des preuves contre la thèse officielle). Cependant malgré que la lutte contre l'antisémitisme sert de plus en plus à diviser une nation pour la contrôler, elle sert quand même dans un sens (selon le plan divin) à faire tenir le vivre ensemble actuel, dont en incarnant une partie de la dénonciation de la bassesse du racisme car beaucoup doivent dépolluer leur esprit d'indignes stéréotypes attribués à des ethnies, et même si l'islamophobie est répandue par une partie du système puisque utilisant souvent le lexique de la doxa islamophobe. De même les partis socialistes, nationalistes et libéraux sont importants pour le respect des races, des rangs sociaux, des valeurs traditionnelles et de la liberté, et la démocratie permet de dire des vérités très importantes même si le système devient relativement oppressif dans ce cas. Or si les institutions juives veulent que tout le monde comprenne l’Holocauste en termes numériques, il serait peut-être raisonnable d’attendre des Juifs qu’ils connaissent le nombre de crimes colossaux contre l’humanité perpétrés en grande partie ou partiellement par des juifs. L’historien moderne obéissant sans intégrité aux hommes politiques est investi d’une mission sacrée : souffler sur les braises pour entretenir le foyer de la guerre civile (possiblement larvée) mondiale. (Le « ni pardon ni oubli » utilisé à travers diverses minorités perverses est l’arme la plus puissante de nos maîtres avides en nous empêchant de découvrir l’autre, de peur qu’on discute, qu’on se comprenne, qu’on apprenne, qu’on se réconcilie et qu'on construise ensemble dans le bien commun. En effet ce « ni pardon ni oubli » pousse à la domination par la division et donc la guerre et donc le chaos et donc le nihilisme et donc l'Enfer, alors que les pardonneurs lâchent prise, empruntent le meilleur chemin et donc triomphent, en particulier quand ils sont dans l'amour inconditionnel et donc la meilleure expression même envers leurs ennemis. Tous les mouvements radicaux de contestation minoritaire comme les Lgbt, les antiracistes, les environnementaux, et cætera, ne sont plus des mouvements de défense mais d’agression, de division et de destruction, et sont donc devenus dangereusement extrémistes. En effet la jurisprudence du communautarisme victimaire qui exige des compensations donne en réalité des avantages aux minorités par rapport à celui qui est normal, qui n'a droit à rien, qui est même en dette avec elles, et qui doit donc s'excuser auprès des noirs, des juifs, des homosexuels, des femmes, parce que lui est le méchant normal ! Ce qui permet à ces minorités de retourner les accusations valables sur certains de leurs mauvais comportements. Alors que les droits des minorité non perverses doivent être reconnus mais pas au détriment de ceux de la majorité, surtout que religieusement certains dogmes et pratiques cultuelles peuvent changer, mais pas les justes règles sociales et économiques. Or la plupart des responsables politiques, la majorité silencieuse et les forces de police soumises aux mondialistes ont plus de responsabilité par rapport à cette dégénérescence de la France que les perverses minorités actives voire agressives que la majorité supporte de moins en moins. En effet la majorité silencieuse est opprimée par la ou les perverses minorités non silencieuses agissantes. On peut même dire qu'éhontément, des minorités sont agressives bruyament, idéologiquement et même tyranniquement contre la majorité silencieuse. Il s'agit de la tyrannie de minorités souvent perverses et manipulées empêchant le bon sens commun des bonnes personnes. Mais on ne doit pas oublier la force des valeurs millénaires de la majorité contre la tyrannie d'une minorité corrompue et décadente. La France est devenue une dictature de sionistes ultra avec comme auxiliaires des féministes hystériques, des antiracistes militants qui sont en fait des racistes, des homosexuel prétendant se défendre contre l'homophobie alors qu'en fait on découvre derrière des réseaux pédophiles : c'est un contexte abject ! c'est un contexte horrible ! D'ailleurs le réseau LGBT est très présent au sommet de l'Etat, ce qui n'est pas étonnant car les forces occultes les contrôlent plus facilement, puisque l'homosexualité est le pouvoir de se faire désirer par la voie du mal jusqu'à la soumission, et donc l'orientation d'obéir au mal jusqu'à la célébrité, la richesse et/ou l'autorité. En sachant que pour garder son pouvoir un tyran ou futur tyran divisera beaucoup la société, car la majorité en particulier grande laisse peu de liberté d'actions alors que de nombreuses minorités en particulier grandes défendent sur lequel s'appuie le pouvoir à tour de rôle permet au tyran d'agir avec toujours une partie de la société en sa faveur. Ainsi il n'est pas étonnant que la caste oligarchique mondialiste et malthusianiste (ayant donc une forme de suprémacisme tel le nazisme en réalité) s'appuie sur le nihilisme des lgbtistes. Les JO, l'Eurovision, la fête de la musique, le foot, la musique, les séries TV et le cinéma sont tous devenus des festivals woke qui amènent à se demander si on va bientôt célébrer le wokisme toute l'année. Car le Lgbtisme appartient logiquement au post modernisme impie et est devenu une religion, car il est condamnable de ne pas croire au changement irrationnel de sexe d'un collègue, puisque comme pour un miracle irrationnel par essence. Or « Nous (la majorité silencieuse mondiale) sommes des milliards à être la norme, et c'est donc nous qui la définissons. Et elle n'a pas à se plier pour accommoder des ultra-minorités (Lgbt+ devenant extrémiste) qui deviennent trop visibles par rapport à leur degré de représentativité réelle, comme dans le sens qu'aucune association de nains ne demande à mettre les interrupteurs de lumière à 30 cm du sol. » (Aldo Sterone) Dans ce sens « En vérité, la communauté musulmane française souffre d’un manque malsain de bonne représentativité (en particulier depuis l'attaque du système contre Tarik Ramadan, mais aussi en général au niveau politique, médiatique, économique et même des réseaux sociaux). Si l’on retire les quelques députés LFI issus de banlieue, et Hindi parce qu’on est juge et partie, quel Maghrébin fait le poids ? Jamel ? Oublié depuis le scandale CopyComic. Sifaoui ? Noyé dans le fonds Marianne. Belattar ? Brûlé au 3e degré par le macronisme. Zéribi ? Proche du PS. Zineb ? Elle vient juste de sortir sa palestine (et veut des shorts pour les femmes). Les juifs, qui sont 10 fois moins, sont 10 fois mieux représentés que les musulmans, soit un écart injustifiable de 1 à 100. Alors des figures émergent, en marge du Système, qui ne permet pas l’accession de Maghrébins brillants à la lumière, sauf s’ils sont siono-compatibles, ce qui les condamne sur les RS. C’est pourquoi beaucoup de cerveaux se cassent de France, retournant au Maghreb en position de force ou dans les pays du Golfe. À la place, on se tape les racailles du bled, qui nous déverse son trop-plein de galériens. Une meilleure représentativité politique calmerait non seulement les antagonismes, mais ferait rester les meilleurs et fuir les tocards. Là, on est à l’envers : à cause du parti pris pro-Israël des médias mainstream, on fait violence à toute une communauté qui se sent solidaire des Palestiniens. On importe de la racaille qui salit l’image des musulmans, et on laisse partir des éléments de valeur. Voilà le résultat de 40 ans de SOS Racisme, déguisé en macronisme aujourd’hui. Dans ces conditions, les leaders musulmans qui percent ne peuvent être que cabossés, et critiquables. Et c’est donc le Système qui a fait Bassem (quoiqu'il est en grande partie bon et utile), et qui voudra bientôt le démolir, s’il commence à s’opposer, c’est-à-dire à parler sionisme. Il y a 25 ans, en Russie, un certain Vladimir prenait le pouvoir, et changeait les choses, au nez et à la barbe des Occidentaux. À sa façon, il a fait une taqîya (dissimulation bénie). » Il est intéressant d'écouter à ce sujet l'émission « C’est parti mon qui-QUI ?! #18 – De quoi le gouvernement Attal est-il le nom ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/C-est-parti-mon-qui-QUI-18-De-quoi-le-gouvernement-Attal-est-il-le-nom-74787.html Ainsi ceux qui attendaient une fin des temps avec des orcs comme dans le film "le seigneur des anneaux" doivent comprendre qu'ils ont en réalité une apparence plus présentable (quoique le travestissement ne soit pas mieux) : une douce tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale tyrannie grossières avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation et l'argent alors que la deuxième est violente et visible ce qui entraîne plus de réactions d'opposition. En effet quelle que soit la conséquence de la vaccination, elle n'était que le prélude au pass sanitaire puis vaccinal, la procédure nécessaire, au marquage général de toute la population, à la surveillance voire au contrôle absolus sur le peuple par les oligarchies perverses. Alors que dans les années 90, il aurait été impensable qu'un pass soit créé pour contrôler les gens par rapport au sida.) Dès lors on peut se demander qui est le plus coupable devant le tribunal de l’Histoire, un homme recherchant la vérité pour apaiser les tensions et faciliter la paix comme le Professeur Robert Faurisson condamné par des lois visant à entretenir la haine et la guerre, ou les législateurs violant des règles morales en votant ces lois et les magistrats les appliquant sans réfléchir un minimum. » « Finalement, la question (dont par rapport à l'existence des chambres à gaz des nazis) n’est plus tant de savoir si l’histoire est libre ou non. Il faut distinguer selon que l’histoire est brûlante ou non, c’est-à-dire actuelle ou pas, politique ou sans enjeu. Lorsque l’histoire est présente (il peut s’agir de faits récents comme des faits très lointains), l’histoire n’est jamais libre. Sauf la liberté absolue pour l’historien d’enfreindre l’interdit, à ses risques et périls. Mais il est une distinction cardinale en la matière. Certains interdits, comme celui de Créon, sont des prolongements de la guerre, tandis que d’autres, comme l’éclair de Zeus évoqué par Carl Schmitt dans un texte de 1947, sont des gages de paix. Entretien de la mémoire dans un cas, effacement de la mémoire dans l’autre. » (Maître Damien Viguier) Ce qui irrite les gardiens de la mémoire, c’est qu’à Auschwitz avec les jeunes qui font des selfies (dont de nombreux ados israéliens) ou à Buchenwald où les promeneurs font du sport, la vie reprend ses droits, et les reprend sur la mort. La réalité serait-elle révisionniste ? Le culte des morts est une chose, le culte de la mort (comprendre son exploitation) en est une autre. Même si les livres d’Histoire ont un sens, et il y en a beaucoup sur le sujet de la déportation avec des niveaux très inégaux, on ne pourra pas empêcher les enfants de faire du foot dans le bloc 41, de se bécoter devant un crématoire ou de jouer au chat et à la souris, aux gendarmes et aux voleurs, voire aux SS et aux juifs derrière l’infirmerie. Pour les jeunes, le devoir de mémoire est encore un « devoir (pénible à faire à la maison) », et ça ne les intéresse pas. Et ceux qui recrachent leur leçon apprise par cœur ne valent pas mieux que les cancres. C’est la morbidité de ce culte qui le rend inadéquat et immangeable aux jeunes générations, qui ne pensent qu’à vivre et à s’amuser, pas à mourir et à se morfondre. Cultiver la mort, c’est l’histoire épuisante et absurde du rocher de Sisyphe. Or piégé par sa vanité et aspiré par son propre flux, les phrases du sioniste sortent parfois toutes seules et il a du mal à les contrôler. La pensée inconsciente, celle qui sous-tend le discours, a tendance à vouloir sortir du carcan du langage logique, et le sioniste dit alors tout sans s’en rendre compte tellement son ambiguïté et sa duplicité débordent. Il valide implicitement l’amalgame populiste entre « banque » et « juifs ». Ce qui n’est pas une preuve en soi, mais qui montre que les sionistes présents dans les grands médias ne sont là que pour protéger les sujets tabous. Les gardiens du Système ont fabriqué l’arme de l’antisémitisme dans ce but : ils décident de ce qui est tabou et de ce qui ne l’est pas. C'est la définition objective d’un pouvoir religieux. -interdiction du polythéisme (désormais en reconnaissant la démocratie des droits de l'homme laïciste comme seul système politique valable ou la volonté divine que les juifs soient le peuple prêtre de l'humanité organisant cette nouvelle société à travers cette fausse idéologie prétendant éclairer la vérité comme depuis l'époque des lumières alors que servant à rabaisser moralement les peuples pour les dominer) -interdiction d'inceste (comme avant) -interdiction de meurtre (comme avant). Il faut noter que les personnes noachides sont d'abord les non juifs soumis au judaïsme et donc à ce laïcisme, et que les autres peuvent voire doivent être détruits. Or toute doctrine même religieuse se liant voire se soumettant au sionisme comme l'évangélisme états-unien, le protestantisme anglais et le wahhabisme saoudien peut également être considéré comme noachide et avoir une résidence secondaire en Israël, de même que ceux qui croient en Dieu à travers la laïcité et qui ne croient donc pas authentiquement en Lui puisque Ses lois christiques ou coraniques font partie de la foi, ou ceux croyant seulement en la laïcité, puisque par ses lois, elle est soumise à la domination des minorités dont prioritairement des juifs comme il sera revu. Dans ce sens pour les collabos de France info, les choses sont simples : si on aime la Russie, alors on est forcément un esclave de Poutine, le nouveau maître du monde pas libre, puis un complice de ses prétendus crimes de guerre. Bref, on est une ordure intégrale. En revanche, si on relaie la propagande israélo-américaine, on reste dans le camp du bien, même quand l’Empire écrase des pays entiers sous sa botte. Les médias dominants se permettent donc éhontément de massacrer tout un peuple et de dénoncer les pseudos crimes des autres. Il s'agit d'une énorme machine de propagande sioniste, liberticide et mortifère, qui opère en Occident. Lorsque vous définissez par des termes précis ce que sont le viol ou l’escroquerie, vous avertissez le violeur ou l’escroc des bornes qu’il ne doit pas franchir. Vous lui laissez donc la possibilité de jouer avec la limite. Et c'est ce que pourrait empêcher une loi cherchant à assimiler l'antisionisme à l'antisémitisme pour encore plus faciliter l'ingérence israélienne dans toute nation. Alors que selon les juifs orthodoxes israéliens, Israël est certainement devenu un pays où l’antisémitisme est en hausse, car les sionistes brutalisent fréquemment et sans pitié les juifs. Encore selon eux, le sionisme est aujourd’hui une nouvelle forme d’antisémitisme, c'est à dire que si vous êtes un juif opposé au sionisme et à Israël en Israël, vous risquez d’être battu chaque jour, harcelé par les sionistes et constamment perquisitionné et insulté par la police. Avant un antisémite était quelqu'un qui n'aimait pas les juifs, aujourd'hui cela apparaît comme quelqu'un que les juifs n'aiment pas, qui critique le judaïsme (même celui politique, globaliste, sioniste ou/et messianiste), qui refuse de se soumettre à la domination juive, qui demande justice pour les palestiniens, ou désormais qui est simplement sensible à la souffrance des gazaouis et choqué par la violence des israéliens, même ceux qui à notre époque mondialiste antiraciste sont contre le suprémacisme juif et le sionisme dont des partis et des politiciens, ce qui fait que sournoisement aujourd'hui, celui qui se tient au coté du christ dont ainsi les musulmans et dénonce donc la trahison des juifs pharisiens devient antisémite. Ainsi on peut aussi dire que celui qui ne sert plus les intérêts du lobby israéliste devient antisémite. « Être antisémite, en France aujourd’hui, c’est aussi simplement être contre le masque, le pass sanitaire, la surveillance généralisée, la répression policière des colères populaires, la justice franc-maçonne de classe, la décadence sexuelle des ministres, l’oligarchie financière omnipotente et intouchable, la paupérisation de la classe moyenne, la confiscation des médias publics, la tyrannie européiste, la propagande pro-israélienne permanente et grossière, la criminalisation des musulmans, la condamnation des chrétiens, le génocide à Gaza, le terrorisme de l’OTAN, le risque de guerre mondiale entretenu par l’axe américano-israélien. (Par exemple, le New York Times et la presse mainstream US ont grossièrement accusé Kennedy d’avoir affirmé que le vaccin anti-covid aurait été conçu pour affecter certains groupes ethniques de la population tout en épargnant les seuls juifs ashkénazes qui sont souvent aux manettes du mondialisme ou d'Israël.) L’antisémitisme, c’est à la fois très vaste et très clair. Au fond, ça n’a plus vraiment à voir avec les juifs, ça devient une opinion politique générale : c’est l’autre nom pour résistance. » (Rédaction ER) Il faudrait donc demander aux intellectuels juifs une définition précise de l'antisémitisme afin de pouvoir savoir la limite de la critique voire si on a le droit de critiquer le judaïsme et ses élites... En effet actuellement on est soit un antisémite soit un sioniste mondialiste ou souverainiste : il n’y a pas de milieu, et encore moins de juste milieu. Comme le disait le stupide GW Bush après l’attentat du Mossad sur le sol américain en 2001, vous êtes avec nous ou contre nous, vous êtes des pro-CIA ou de vils terroristes islamistes, vous êtes l'axe du Bien ou vous êtes l'axe du mal, ce qui prouve qu'il s'agit du domaine moral voire religieux normalement déconsidéré par l'Occident démocratique. (Les bons pays sont, par ordre d’importance : les USA, la perfide Albion (Angleterre), le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ce sont les fameux Five eyes qui se sont ligués, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, pour surveiller le monde communiste, et aujourd’hui le monde non aligné, tout en protégeant Israël.) Et cet honteux choix basique imposé entre le « pour nous » et le « contre nous » est repris lors du Covid en faveur du vaccin ARN, de la guerre dans le Donbass en faveur de l'Ukraine et de la guerre à Gaza en faveur d'Israël. Or avec la multipolarité se répandant mondialement, les oppressifs USA peuvent finir seuls avec le raciste Israël et le cupide Royaume-Uni dans ce pseudo axe du bien. Quant au terrorisme du Mossad et de la CIA, ça n’entre pas en ligne de compte, trop compliqué pour le grand public, cet enfant. C'est à dire qu'on peut blasphémer, sauf la religion juive ; on peut critiquer les gouvernements, sauf Israël ; on peut s’attaquer aux communautés, sauf à la communauté juive ; on peut être contre toute politique, sauf contre le sionisme ; on peut rire de tout, sauf des juifs si on n’est pas juif ; on dit qu'une agression sur quelqu'un est de la violence, sauf sur un juif car c’est du racisme ; on peut remettre en cause n’importe qui, sauf un juif sinon c'est considéré comme antisémite. Cela mène ainsi à ce que les militaires, les policiers et même beaucoup de juges soient souvent dans l'incapacité de comprendre la logique de l'adversaire, en particulier quand il agit à travers une ingérence étrangère ou privée, car ils ont un déficit de culture générale et un manque d'imagination ; que les diplomates soient souvent corrompus et manquent de courage ; et que la plupart des dirigeants occidentaux soient incompétents ou indignes. En matière de politique au sein de l'occident, tout l’enjeu devient donc de conserver le pouvoir de décider si dans tel ou tel cas on applique ou non la notion polémique en particulier de l'antisémitisme. Les partisans du système actuel corrompu font ainsi de la conservation du pouvoir leur priorité, dont même en infiltrant, influençant ou/et récupérant des orientations populaires pour devenir une opposition contrôlée qui fera comme d'habitude de fausses promesses électorales afin d'ensuite continuer constamment à favoriser l'oligarchie. En effet actuellement, nous sommes dans une opposition contrôlée judéo-maçonnique synonyme d'auto-alternance pour l'oligarchie. C'est à dire que l'Occident en particulier la France et les USA sont entre une droite judéo-nationale sioniste et une gauche judéo-maçonique. Par les finances de nombreux milliardaires, cela correspond en France à un renouvellement contant du bail du système politique tout en feignant de s'opposer à lui, jusqu'à possiblement parvenir à deux partis uniques comme aux USA. Ainsi le retour au sacré, à la religion, à Dieu et donc à la justice sociale des peuples ne doit pas être récupéré ou orienté par ces perverses idéologies, car elles s'en détourneront toujours. En effet beaucoup d'infiltrés dans la politique et les gouvernements s'ingèrent et soumettent désormais les pays pour des tiers, dont par la dette, le formatage de l'éducation nationale, les médias, le contrôle de l'approvisionnement, les théories anthropologiques de l'évolution et de l'hominisation, ou une idéologie perverse : Principe clé chez les penseurs chinois : « Le summum de la l'art de la guerre c'est de gagner sans livrer bataille, c'est de soumettre l'ennemi sans verser le sang, et même sans qu'on se rende compte qu'on lui livre bataille (sauf si cela signifie rabaisser la noblesse excellente). » (Sun Tzu) C'est à dire que ce principe ne peut être valide que si c'est dans l'optique de répandre le monothéisme authentique, car si c'est utilisé perversement ce n'est plus le jeu des Echecs mais cela devient le jeu chinois « go » et donc de l'échec au Jugement Dernier puisque ayant pour but d'encercler l'adversaire (voire la société adverse) et de le priver de liberté en particulier au niveau de l'expression, du mouvement, de l'action économique et de la pratique religieuse, comme c'est clairement le cas en France et en occident actuellement à cause des mondialistes oppressant à travers la surveillance numérique, de l'ultra-libéralisme, de la dette, des grands médias, du progressisme enseigné à l'école, de la guerre en Ukraine, etc. A ce sujet il est intéressant de voir l'excellente vidéo « La guerre invisible de l'Etat profond contre la France - Le Zoom - Stanislas Berton - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=kK5iH7BZrGA&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ , de voir la vidéo « Pression Sociale et Auto-Conformisme Naturel du Mougeon ou le contrôle mental auto-induit » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=GpXuxGzAJTo&t=455s , et de lire article « Le monde entier sera-t-il un jour comme Hollywood ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-monde-entier-sera-t-il-un-jour-comme-Hollywood-63365.html Les magistrats sont évidemment sensibles aux caps pris par les politiques mais sont de plus en plus soumis aux mondialistes, sans compter qu’ils ont eux aussi des idées politiques possiblement similaires, sans parler des ambitieux et des francs-maçons. C’est déplorable en particulier car ils oublient souvent que dans un État de droit, leur mission est précisément de veiller au respect des bornes. En effet le principe de séparation des pouvoirs devrait leur rester présent sans cesse à l’esprit, surtout qu'un État où ce principe est violé n’est qu’une tyrannie. C'est à dire qu'un État où les magistrats condamnent les gens qui s’opposent aux politiques publiques corrompues est clairement une dictature perverse. Ainsi un tyran est un dirigeant qui ne veut pas le bien commun pour le peuple, alors que le dictateur peut être éclairé dans ce sens. Or grâce à la caméra s'étant répandue via les smartphones, le pouvoir de la baïonnette (par la force, par les tueries de masses voire par le génocide) tend heureusement à disparaître en particulier dans les pays développés, ce qui équilibre le combat entre le peuple et la tyrannie. Pour ne pas entrer en tyrannie et pacifiquement manifester noblement quand il le faut, le peuple doit donc absolument jauger quand des niveaux sécuritaires liberticides sont légitimement exceptionnels, deviennent malhonnêtement des restrictions temporaires, ou demeurent tyranniquement une permanente autorité excessive, car dans les démocraties occidentales, le respect des libertés est normalement la règle, et les restrictions, l’exception. En effet il devrait être évident pour tout citoyen d’une nation démocratique particulièrement occidentale en état d'urgence, que des « état d’urgence » sans fin ou fréquents peuvent facilement se transformer en une véritable dictature voire tyrannie, surtout que le régime d'exception suspend la loi voire la constitution : l'état d'urgence amène au régime d'exception qui amène au plein pouvoir donner à l’État finalement contre la population. Lorsque on permet aux politiciens de violer nos droits en temps de crise, ils créeront des crises pour violer nos droits. Quand on connaît l'Histoire et la ploutocratie actuelle, il n’y a aucune raison pour que cela n’arrive pas aussi à des nations libres. Et cela signifie plus que jamais,qu’il est temps de penser à un plan B. Surtout que le système actuel sait créer des problèmes ou des crises tel le covid pour le résoudre avec plus de restrictions et de mesures liberticides. En effet ce nouvel ordre mondial démocratique, laïque, progressiste, sioniste, matérialiste, bancaire, sanitaire, lobbyiste et oligarchique n'arrange rien et amplifie voire crée des problèmes en sa faveur. Le fait que des personnes à la rue meurent de plus en plus dans les pays développés est suffisant pour montrer la dégradation morale s'étendant à cause de cette basse politique depuis des décennies. A ce sujet il est intéressant de lire article « Pour l’Union européenne le moment d’utiliser la force est venu » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-l-Union-europeenne-le-moment-d-utiliser-la-force-est-venu-57628.html Dans notre ère contemporaine, nous sommes donc plongés au cœur d'un univers façonné par la persuasion de masse, un monde complexe où les notions de vérité et de réalité sont devenues floues. Surtout avec les technologies émergentes qui ont donné naissance à une nouvelle ère, dans laquelle les deepfakes, les opérations psychologiques (psyops), les bots, et une multitude d'informations relatives coexistent dans un paysage médiatique tumultueux. Les deepfakes brouillent la frontière entre vérité et mensonge, les psyops manipulent l’opinion publique, les bots inondent Internet de contenus automatisés, et les faits relatifs prennent des proportions déformant souvent la perception humaine de la réalité. Dans ce sens, l’histoire de la grenouille qui se laisse progressivement cuire dans son bocal sans réagir est éloquente. C'est à dire que si l’on réchauffe son eau peu à peu, elle devient insensible et se laisse mollement anesthésier par la chaleur jusqu'à ne plus avoir l’énergie nécessaire pour sauter et sauver sa peau lorsque la température devient mortelle, comme le peuple par rapport aux mesures politiques, fiscales, financières, monétaires et économiques de plus en plus perverses. De même « Les ONG influencent aussi de fait l’opinion publique et nos politiques, par le truchement de divers financements et subventions. En théorie, ces ingérences sont liées à un objectif bénéfique, non lucratif. Ce dernier peut être humanitaire, comme dans le but d’aider les populations les plus défavorisées. Il peut être aussi environnemental, dans l’idée de soutenir le développement durable. Mais lorsque l’ONG (ou la fondation philanthropique privée, au statut quelque peu différent), est créée par des multi-milliardaires dont les intérêts sont largement représentés par ailleurs dans les domaines du commerce ou de l’industrie, leurs intentions profondes peuvent questionner. Les mécanismes bien huilés de certaines ONG : Par exemple, quid d’une forme de lobbying afin de favoriser indirectement les intérêts privés précités ? Quid des pratiques en matière de défiscalisation menées sous couvert d’une activité philanthropique ? Et enfin, que se passe-t-il si une ONG finance des associations (comme celles victimaires ou communautaires sionistes et Lgbtistes) dont l’activité déclenche des polémiques clivantes au sein du débat public d’un pays ? L’expert en lobbying et en affaires publiques Daniel Guéguen, dans son ouvrage “Lobbyiste, révélations sur le labyrinthe européen” (éd. Anthémis) répond en partie à la première question. Derrière des mécanismes alambiqués et obscurs, les institutions européennes ont fait un pont d’or aux ONG, qui ont su mettre au point des méthodes de lobbying à ses yeux plus redoutables que celles des “anciens lobbies industriels” (du secteur automobile ou pétrolier, par exemple). Entre les ONG et le monde de l’entreprise se sont tissées des « liaisons dangereuses » qui peuvent, « au minimum, agir comme aiguillon culturel, social ou moral et, au maximum, structurer les réseaux au sein desquels elles s’insèrent, notamment grâce aux outils visibles interférant dans la vie des acteurs économiques : labels, normes, rapports, critères de notation… » Telle industrie qui sait manier ce levier peut en retirer de grands bénéfices. (Par ailleurs) Les phénomènes “sociétaux” sont médiatisés à outrance et les crises majeures sont mises sous le tapis. D'ailleurs les lois sur la propriété immobilière (peu médiatisées), votées au prétexte climatique, risquent d’entraîner la saisie de biens immobiliers de nombreux copropriétaires incapables de payer les travaux qui sont exigés d’eux. Ces lois vont interdire de vendre, de louer ou même d’assurer, les logements non conformes. Ces contrôles climatiques sur l’immobilier s’appliqueront également sur les locaux industriels et commerciaux et vont concerner à la fois les locataires et les propriétaires. Ces obligations vont entraîner la faillite de milliers de petites entreprises, de commerçants et artisans qui ne pourront pas faire face aux travaux demandés, alors qu’ils sont déjà très affaiblis et affectés après l’épisode de la crise du Covid et de sa gestion. La diminution du nombre de PME est aussi un objectif affiché du Forum de Davos et de l’UE. Déjà en 2015, cette dernière estimait qu’elles étaient trop nombreuses en France et que cela affectait la productivité de notre pays ! En France, 25 000 chefs d’entreprise sont d'ailleurs devenus chômeurs en 6 mois en 2023. Cachez ces lois (et réalités)... mais suivez l’Agenda 2030... Toutes ces lois, dont personne ne parle, qui autorisent potentiellement en partie ou pleinement la saisie des comptes en banque, des biens mobiliers, des biens immobiliers, pourraient donc être la cause de milliers de faillites et des millions de chômeurs. Oui, et personne n’en parle ou ne semble s’en soucier ! Si dérèglement climatique il y a, on peut aussi dire que l’horizon social, financier et économique n’est pas dégagé ni empli d’espoir pour les Français. Des émeutes, accompagnées de pillages et de destructions se sont produites pendant près d’une semaine. La réparation et la reconstruction coûteront très cher à un pays déjà très endetté, ce qui provoque une inquiétude grandissante sur le futur chez nos concitoyens. C’est la raison pour laquelle il faut se rappeler ce qui s’est passé en Grèce à l’encontre des contribuables. Dans l’optique de limiter ces pillages et ces destructions, le gouvernement laisse se mettre en place une censure exacerbée (pour ne pas dire totale ?) que l’on devine être, une nouvelle fois, pilotée par l’UE. L’agenda 2030 est de la même façon appuyé par certaines Organisations non gouvernementales. Décidé en 2015 entre 193 pays membres de l’ONU, il représente « un plan d’action pour l’humanité » en mettant en place par exemple des ODD (Objectifs de développement durable). Les ONG militent pour la tenue de ces ODD et orientent leurs contenus. Le « meilleur moyen de soumettre une population », comme nous l’a remarquablement expliqué Gustave Le Bon (ou le Professeur Mattias Desmet) est bien de « provoquer une psychose de masse », de faire monter sa peur et son angoisse, ce qui lui fera accepter toutes les mesures autoritaires prises par son gouvernement puisque ces mesures seront prises « dans son intérêt ». Or que la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques est la psychose de masse, car une psychose de masse est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction. Deux exemples de psychoses de masse sont les chasses aux sorcières américaines et européennes des 16e et 17e siècles et la montée du totalitarisme au 20e siècle (nazisme, bolchévisme, impérialisme états-unien progressiste). Qu’il s’agisse de mesures financières, climatiques, ou destinées à renforcer la sécurité des individus. Le Covid et les premiers vaccins étaient une forme de mise en bouche, qui semble avoir fait ses preuves. Peu de personnes ont réellement refusé jusqu’au principe d’une vaccination anti-Covid-19 expérimentale, sans respect ni pour le principe de précaution, ni pour une science aux études solides (cf. à propos de la transmission du virus chez les vaccinés, par exemple, qui n’a jamais été testée). Et pourtant, à l’heure actuelle, l’UE en arrive encore à commander de nouveaux vaccins censés être efficaces contre une maladie qui n’est plus à l’ordre du jour mais qui va utiliser les mêmes technologies… qui n’ont pas encore fait leur preuve. Le tout sans aucune transparence, avec des contenus rendus inaccessibles au citoyen ! De qui se moque-t-on ? Cela ne s’apparente en rien à un fonctionnement démocratique normal, puisque par définition, l’interdiction de critique est une interdiction du débat, qu’il soit scientifique, sécuritaire, ou démocratique. Selon la Cour des comptes européenne, entre 2014 et 2017, l’UE a versé 11,3 milliards d’euros aux ONG. En France, il y a des dizaines de voies et de mécanismes administratifs obscurs pour accéder à ces subventions qui sont, au bout du bout, payées par le contribuable français. Plus des trois quarts de ces financements concernent d’ailleurs des ONG non françaises. Ces ONG pratiquent un lobbying continu à Bruxelles et jouent le rôle de sherpa pour intimer la bonne parole d’un nouveau monde, afin qu’il devienne plus proche d’une “société ouverte”, le concept cher à George Soros, ou de l’idée de la santé que se fait Bill Gates qui en vient à se prétendre médecin. Des ONG qui vont parfois faire en sorte, que cela soit réalisé directement ou indirectement, que des chiffons rouges s’agitent devant une opinion publique médusée, comme sous hypnose.. Ou de persuader nos administrations et nos politiques que le domaine de la santé doit être géré différemment, ou que l’information doit être considérée autrement. Cela se termine par la censure des réseaux sociaux et une gabegie auprès de Big Pharma. Nous payons pour cela. Une société fermée. Et nous regardons ailleurs. » (Extraits de l'article « L’étonnant rôle des ONG et des sociétés philanthropiques en temps de crise(s), deuxième partie : cachez ces projets de loi que vous ne devez pas voir » à l'adresse https://strategika.fr/category/actualite/)
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