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A) Suite 1 (1)


De plus dans la relation sociale, il semble important de suivre le conseil suivant d'Omar Ibn Al-Khattab (SDP) le deuxième calife de l'islam : « J'aime que l'homme soit tel un enfant avec les siens, et comme un homme quand on a besoin de lui. » En effet, la simplicité heureuse des enfants et la grandeur serviable des humains adultes sont parmi les meilleurs atouts pour réussir notre vie :
Ali Ibn Abou Talib (SDP) raconte : Tous les émigrants que je connais sont partis en cachette sauf Omar Ibn Alkhattab (SDP). Quand il voulut émigrer, il attacha son sabre à son ceinturon, mit son arc sur son épaule et prit ses flèches dans sa main. Puis il partit à la Kaaba, tandis que les notables de Qouraych étaient autour d'elle. Il tourna sept fois autour de la Kaaba et pria deux rakaat à l'emplacement d'Ibrahim. Ensuite il alla à leurs cercles un par un et dit : « Que vos visages soient enlaidis ! Quiconque veut que sa mère le pleure, que ses enfants deviennent orphelins et sa femme veuve, qu'il me rencontre derrière cette route (hors de la terre sacrée). » Aucun d'eux ne le suivit.
Ainsi nous pouvons apprécier tous les bienfaits divins avec les yeux pétillants d'un enfant ouvrant de magnifiques cadeaux devant un merveilleux sapin de noël. D'ailleurs il est clairement possible de reconnaître la bienfaisante sagesse divine à travers les nobles sentiments, les précieuses relations familiales, l’aspect pratique du corps humain, les beaux vêtements, les loisirs, la nature, les agréables parfums et les bonnes saveurs des aliments licites que nous aimons consommer. Dans ce sens, la bonne nourriture qui permet de nous faire subsister et qui symbolise donc principalement le maintien permanent de la Création par la puissance créatrice divine prouve donc que Dieu crée effectivement tout en permanence avec sagesse.
Avant d'être musulman, Omar Ibn Al-Khattab (SDP) avait aussi dit que si l'intégrité et la bonne moralité pouvaient être une religion, il s'y convertirait. Par conséquent il avait vu juste, puisqu'il s'est converti à l'excellente éthique de l'islam demandant les évidents droits et devoirs inhérents à une société humaine et invitant à la meilleure noblesse comportementale. L'éthique, c'est être en fonction des situations juste, bienveillant, bienfaisant, généreux ou altruiste raisonnablement, à travers une personnalité douce, élégante, pudique, courageuse et persévérante.

Par ailleurs Allah est la solution à tous les problèmes quand nous L'invoquons et agissons intelligemment, car même si rarement Son omnisciente bienveillance mondiale n'en résout pas certains, Il nous amène au moins à une résignation, une compréhension ou un pardon apaisants.
En effet même si des aspects nobles de la vie semblent parfois difficiles, lorsqu'on la regarde sous l'angle de son aspect éphémère et de la valeur suprême proposée qu'est la pieuse dignité, la facilité peut finalement prendre le dessus. Surtout qu'au départ, certaines choses sont parfois difficilement apprises avant de devenir facilement utilisées. Dans ce sens, le bonheur ne s'achète pas, il se cultive à l'intérieur de soi. Et heureusement que le bonheur ne s'achète logiquement pas, car par la grâce de Dieu envers tout être humain, il est légitimement souvent une somme de bons petits moments dont ceux passés avec nos proches, dans les bienfaits divins, au sein des œuvres cultuelles ou à travers la bienfaisance sociale :
(ExtS2v216) « Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors qu'elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu'elle vous est mauvaise. »
(S94v5/6) « A côté de la difficulté est certes une facilité ! A côté de la difficulté est certes une facilité ! (ou, « A travers la difficulté vient la facilité ! A travers la difficulté vient la facilité ») ! »
Aslem rapporte : Abou Ooubeyda écrivit à Omar, (SDP) et lui évoqua les masses byzantines en lui faisant part de ses craintes. Omar lui écrivit (en faisant allusion aux versets (S94v5/6) « A côté de la difficulté est certes, une facilité. A côté de la difficulté est certes, une facilité » : « Toute difficulté qui atteint le serviteur croyant, Allah mettra après elle un soulagement, et une difficulté ne vaincra pas deux facilités. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « La religion est facile à pratiquer. Quiconque s’impose de la pratiquer de manière extrême se verra terrassé par elle. Efforcez-vous de suivre le droit chemin de manière parfaite, sinon, faites votre possible et espérez la récompense divine. Adorez Allah en cheminant vers Lui le matin, le soir et une partie de la nuit. » (Boukhari, livre de la foi : 39)
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Laissez moi tant que moi-même je vous laisse, car ceux qui étaient avant vous ont péri (par trop de précision religieuse) à cause de leurs questions (trop nombreuses) et de leur opposition à leurs Prophètes. Quand je vous interdis quelque chose, abandonnez-le totalement, et quand je vous ordonne quelque chose, faites-en ce que vous pouvez. » (Boukhari)
Selon Anas (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Facilitez et ne rendez pas la tâche pénible, annoncez la bonne nouvelle et ne faites pas fuir les gens. » (Boukhari et Mouslim)

Aïcha (SDP) rapporte : « Chaque fois que le Prophète (SBDSL) était face à une alternative, il choisissait toujours la solution la plus simple (facile) tant qu'elle ne constituait pas un péché (ce qui signifie que la recherche du confort raisonnable est valide). Mais si c'était un péché, il en était le plus éloigné des hommes. Le Prophète ne s'est jamais vengé pour lui-même, sauf si les interdits divins étaient bafoués. Dans ce dernier cas, il se vengeait pour Dieu le Très-Haut. » (Boukhari et Mouslim)
Ibn Omar (SDP) rapporte que le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Le croyant ne doit pas s'humilier (lui-même face au destin par trop de zèle ou d'inconséquence). » J'ai demandé : « Ô Messager d'Allah ! Comment s'humilierait-il ? » Il dit : « Il s'expose à des épreuves qu'il ne peut supporter. »
Selon Raja Ibn Abou Raja, le Prophète (SBDSL) lui dit : « La meilleure façon de pratiquer votre religion est la plus facile, la meilleure façon de pratiquer votre religion est la plus facile, la meilleure façon de pratiquer votre religion est la plus facile. »

(S6v125) « Et puis quiconque Allah veut guider, Il lui ouvre la poitrine à l’islam (ce qui facilite sa vie). Et quiconque Il veut égarer, Il rend sa poitrine étroite et gênée, comme s’il s’efforçait de monter au ciel (manque d'oxygène). »
(S92v4-11) « Vos efforts sont divergents. Celui qui donne (des aumônes) et craint (Allah) et déclare véridique la plus belle récompense (le Paradis) Nous lui faciliterons la voie au plus grand bonheur (déjà ici-bas). Et quand à celui qui est avare, se dispense (de l'adoration d'Allah), et traite de mensonge la plus belle récompense, Nous lui faciliterons la voie à la plus grande difficulté (déjà ici-bas par insatisfaction ou seulement dans l'au-delà puis en Enfer suite à une insouciante perversité), et à rien ne lui serviront ses richesses quand il sera jeté (au Feu). »
(S16v97) « Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne oeuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie (déjà ici-bas). Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions. »
(S87v8) « Nous te mettrons sur la voie la plus facile. »

Et si nous ne parvenons pas à ressentir certains passages de l'existence avec facilité dont en se résignant parfois difficilement au destin, il faut se rappeler le sentiment de Dieu à notre égard pendant ces moments :
(ExtS2v207) « Et Allah est Compatissant envers Ses serviteurs. »
(S42v19) « Allah est Doux envers Ses serviteurs. Il attribue (Ses biens) à qui Il veut. Et c'est Lui le Fort, le Puissant. »

Or pour maintenir notre cœur dans la facilité de la décontraction même si certains sentiments ou émotions sont forts ou difficiles, il faut ressentir nos certitudes, notre confiance, notre force, notre dignité et notre assurance en Dieu, tout en cherchant à réaliser nos regards de noble espérance que nous avions pour notre destin et le monde lors de notre humble enfance :
(S2v153) « Ô les croyants ! Cherchez secours dans l’endurance et la Salât, car Allah est avec ceux qui sont endurants. »
Par conséquent, nous ne devons pas rester dans nos doutes, nos peurs et notre incapacité.
Dans ce sens, ma soumission au Seigneur vient d’abord de ma compréhension et de mon amour concernant Ses toujours irréprochables décisions justes ou miséricordieuses liées à Son omniscience, qui démontrent Sa sainteté et Sa suprême dignité permanentes. Or si ces raisons sont insuffisantes pour me soumettre complètement à Lui et Ses glorieuses voies du Bien, et donc pratiquer correctement la religion, augmenter les bonnes actions et éviter les mauvaises, je place la crainte révérencielle avant ces causes. En effet, je veux être parmi ceux qui auront la meilleure mention à l'examen de l’inévitable noblesse morale qui découle de Dieu, l'Excellent Philosophe ayant de nombreux attributs et la capacité de partager l'existence.
De ce fait l'être humain peut devenir un avocat et un chevalier de Dieu, en particulier en devenant un prédicateur défendant fréquemment Sa dignité, et celles de Son dernier message, de Son ultime Prophète (SBDSL), d'être musulman, de la paix et de la bienfaisance. Surtout que Ses livres et Sa religion révélées sont un digne guide pour s'ennoblir par la piété, avoir des précisions sur Son identité, marcher dans la sagesse d'un cadre légal juste, inviter à la meilleure miséricorde quand c'est possible, inciter à la générosité, défendre les faibles, grandir les qualités morales, aimer la famille, respecter autrui, valoriser le Paradis, et ainsi se rapprocher de Lui :
(ExtS9v40) « Si vous ne lui (Prophète ou religion) portez pas secours... Allah l'a déjà secouru »
(S75v36) « L'homme pense-t-il qu'on le laissera sans obligation (cadre légal juste, éprouvant et pieusement fortifiant, devoirs familiaux, bon chemin à suivre) à observer ? »
(ExtS22v67) « Et appelle à ton Seigneur (et donc vers l'islam). Tu es certes sur une voie droite. »
(ExtS22v40/41) « Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa religion et les faibles). Allah est assurément Fort et Puissant, (pour) ceux qui, si Nous leur donnons la puissance sur terre, accomplissent la Salat, acquittent la Zakat, ordonnent le convenable et interdisent le blâmable. »
(S34v6) « Et ceux à qui le savoir a été donné voient que ce qu'on t'a fait descendre de la part de ton Seigneur est la vérité qui guide au chemin du Tout Puissant, du Digne de Louange. »
Le serment du chevalier : « Sois sans peur face à tes ennemis. Sois brave et droit pour être aimé de Dieu. Dis toujours la vérité, même si ça doit te coûter la vie. Sauvegarde les faibles, et garde-toi du mal. Tel est ton serment. Et ceci (une gifle) pour ne pas l’oublier. Debout (de ta position à genoux), chevalier ! »
Ainsi même si parfois par adaptation au contexte, il y a dans les trois dernières religions monothéistes quelques différences dans la manière d'honorer le Créateur et la vie collective, dont au niveau des lois sociales et de la fréquence ou de la pratique de certains œuvres cultuelles, les piliers principaux sont identiques : attestation de l’unicité divine et de la mission du prophète de l'époque, prière, jeûne, impôt et pèlerinage. L'islam qui correspond à ces cinq piliers a donc bien été transmis par tous les Prophètes. Il faut noter que ces cinq piliers résument le cadre moral général du monothéisme authentique, et que les pratiquer correspond au premier degré de la satisfaction divine, dont car étant probablement le minimum pour entrer au Paradis plus par bénédiction divine que par miséricorde divine, puisque le Prophète (SBDSL) a annoncé à ses compagnons qu'un homme, qui lui avait juré qu'il ne pratiquerait que ces cinq piliers obligatoires suite à sa conversion à l'islam, était promis au Paradis.Par l’envoi de Prophètes successifs et la création de miracles, Dieu ravivait aussi nécessairement la foi en confirmant les messages précédents, rétablissant la vérité sur des textes religieux falsifiés (jusqu'au Coran puisque il est le seul livre révélé divinement infalsifiable comme il sera expliqué plus tard), ramenant la justice sociale, diversifiant les preuves historiques de la présence divine, éprouvant noblement les croyants et réparant leur division suite des des interprétations divergentes avec le temps, puisque le Prophète précédent annonçait toujours le Prophète suivant. De plus cela servait donc à adapter parfois quelques lois bienfaisantes en fonction de la connaissance, du niveau de science, du contexte historique, du nombre de personnes, du niveau d'oubli ou de perversion des lois religieuses, et du comportement général des différents peuples.

Ainsi tout en éprouvant la foi, la piété et le niveau moral des diverses populations, les Messagers se suivant ont été souvent des mises à jour de la religion unique depuis Adam et les Prophètes ont été des rappeleurs. En effet les lois conjugales transmises à Adam et Eve ont été complétées par celles transmises pour leur relation avec leurs enfants, puis au sein d'une famille, et au niveau tribal, régional, national et mondial, qui elles-mêmes ont parfois été légèrement modifiées pour une question d'équilibre social. En fait la révélation progressive des lois divines à l'ensemble de l'humanité se terminant par le Prophète (SBDSL) peut être comparée à l'éducation progressive d'un enfant, ou à l'organisation progressive du code de la route en fonction de l'évolution des voitures, du comportement général des conducteurs et du nombre d’utilisateurs. D'ailleurs respecter les bonnes règles morales et donc religieuses doit être aussi naturel que de suivre le code route :
(S46v27) « Nous avons assurément fait périr les cités autour de vous, et Nous avons diversifié les signes afin qu'ils reviennent (de leur mécréance). »
(S2v213) « Les gens formaient (à l'origine) une seule communauté (croyante). Puis, (après leurs divergences ou impiétés,) Allah envoya des Prophètes comme annonciateurs et avertisseurs (pour rétablir les vérités morales ou la justice, ce qui entraîna inévitablement du sectarisme dont par rapport aux adeptes du précédent Prophète ou aux diverses interprétations religieuses), et (puis) Il fit descendre avec eux (les Messagers) le Livre contenant la vérité, pour régler parmi les gens leurs divergences. Mais, ce sont (certains parmi) ceux-là mêmes à qui il avait été apporté, qui se mirent (également) à en disputer, après que les preuves leur furent venues, (encore) par esprit de rivalité ! Puis Allah, de par Sa Grâce, guida ceux qui crurent vers cette vérité sur laquelle les autres disputaient. Et Allah guide qui Il veut vers le chemin droit. »
(S11v118) « Et si ton Seigneur avait voulu, Il aurait fait des gens une seule communauté. Or, ils ne cessent d'être en désaccord (et deviennent des sectes séparées) »
(S3v19) « Certes, la religion acceptée d'Allah, c'est l'islam. Ceux auxquels le Livre a été apporté ne se sont disputés, par agressivité entre eux, qu'après avoir reçu la science. Et quiconque ne croit pas aux signes (dont versets) d'Allah... alors Allah est prompt à demander compte ! »
(S30v30) « Dirige tout ton être vers la religion exclusivement (pour Allah), telle est la nature qu'Allah a originellement donnée aux hommes. Pas de changement à la création d'Allah. Voilà la religion de droiture, mais la plupart des gens ne savent pas. Revenez repentants vers Lui, craignez-Le, accomplissez la Salat et ne soyez pas parmi les associateurs, »
(S33v62) « Telle était la loi établie par Allah envers ceux qui ont vécu auparavant et tu ne trouveras pas de changement dans la loi d'Allah. »
(S98v5) « Il ne leur a été commandé, cependant, que d'adorer Allah en Lui vouant un culte exclusif, d'accomplir la Salat et d'acquitter la Zakat. Et voilà la religion de droiture. »
(S42v13) « Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu'Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t'avons révélé (mode de vie du Prophète Mouhamed), ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus : “établissez la religion, et n'en faites pas un sujet de division.” Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent. »
(S2v136) « Dites : Nous croyons en Dieu, et en ce qu’on nous a révélé, et en ce qu’on a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les tribus, et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux Prophètes, venant de Leur Seigneur. Nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes soumis. »
(ExtS13v11) « En vérité, Allah ne modifie point l'état (la stabilité, ou la désorganisation) d'un peuple, tant que les (individus qui le composent) ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes (les règles religieuses, ou leurs règles impies). »
(S3v81) « Et lorsqu’Allah prit cet engagement des Prophètes : « Chaque fois que Je vous accorderai un Livre et de la Sagesse, et qu’ensuite un Messager vous viendra confirmer ce qui est avec vous, vous devrez croire en lui, et vous devrez lui porter secours. » Il (Dieu) leur dit : « Consentez-vous et acceptez-vous Mon pacte à cette condition ? » « Nous consentons. », dirent-ils. « Soyez en donc témoins, et Me voici avec vous parmi les témoins. », reprit Allah. »
(S33v7/8) « Lorsque Nous prîmes des Prophètes leur engagement, de même que de toi, de Noé, d'Abraham, de Moïse, et de Jésus fils de Marie, et Nous avons pris d'eux un engagement solennel, (ce fut) afin (qu'Allah) interroge les véridiques sur leur sincérité. Et Il a préparé aux infidèles un châtiment douloureux. »
(S28v52-55) « Ceux (les fidèles authentiques, les pieux) à qui, avant lui (le Coran), Nous avons apporté le Livre (Bible), y croient (au Coran). Et (en effet) quand on le leur récite (le Coran), ils disent : “Nous y croyons. Ceci est bien la vérité émanant de notre Seigneur. Déjà avant son arrivée, nous étions soumis (à Dieu).” Voilà ceux qui recevront deux fois leur récompense pour (leur croyance en ces deux livres et donc pour) leur endurance, pour avoir répondu au mal par le bien, et pour avoir dépensé de ce que Nous leur avons attribué, et quand ils entendent des futilités, ils s'en détournent et disent : “A nous nos actions, et à vous les vôtres. Paix sur vous. Nous ne recherchons pas les ignorants.” »
(ExtS25v18) « au point qu'ils en ont oublié le Livre du rappel (Coran). Et ils ont été des gens perdus. »
(S5v48) « Et sur toi (Mouhamed) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité pour confirmer le Livre qui était avant lui (L'Evangile) et pour prévaloir sur lui. Juge donc parmi eux d’après ce qu’Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t’est venue. A chacun de vous (humanité divisés en peuple avec le temps) Nous avons assigné une législation (similaire) et un plan à suivre. Si Allah avait voulu, certes Il aurait fait de vous tous une seule communauté. Mais Il veut vous éprouver en ce qu’Il vous donne. Concurrencez donc dans les bonnes œuvres. C’est vers Allah qu’est votre retour à tous, alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez. »
(S33v40) « Mouhamed n'a jamais été le père de l'un de vos hommes, mais (il est) le Messager d'Allah et le dernier des Prophètes. Allah est Omniscient. »
(S12v111) « Dans leurs récits (des Prophètes) il y a certes une leçon pour les gens doués d'intelligence. Ce (le Coran) n'est point un récit fabriqué (par Mouhamed). C'est au contraire la confirmation de ce qui existait déjà avant lui (la Thora et l'Evangile), un exposé détaillé de toute chose, un guide et une miséricorde (du Seigneur) pour des gens qui croient. »
Abou Hourayra (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Les Prophètes sont d'un père unique, mais de mères différentes, (c'est-à-dire qu'ils puisent leur science à une source unique mais que les adaptations faites en vue des diverses communautés sont multiples) et leur religion est unique. Nul n'est plus en droit de se réclamer de Jésus fils de Marie que moi-même, car entre lui et moi il n'y a aucun Prophète. »
Cependant certains textes révélés à un Prophète précédent pouvaient perdre leur sens quand un nouveau Prophète arrivait, comme lorsque Dieu orienta à l'époque de Moïse (paix sur lui) le peuple d'Israël vers un ennoblissement exemplaire pour les autres peuples par son apprentissage des relations convenables au niveau tribal, puis par son apprentissage des relations convenables au niveau national et donc son passage du tribal vers le national aux temps du roi Saul et des Prophètes-Messagers rois David et son fils Salomon (paix sur eux même s'il était en partie dans l'universel dont par rapport à la reine de sabbat), puis par son apprentissage des relations convenables au niveau universel et donc son passage du national vers l'universel et donc la mondialisation monothéiste avec la venu des Messagers Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL)
et de leur amour pour l'humanité, dont car sinon cela aurait été impossible, comme l'ont prouvé grecs guerriers tribaux pourtant philosophes et les romains guerriers dominateurs pourtant juristes. En effet pour recommencer à guider l'humanité s'étant à nouveau majoritairement égarée après le déluge lié au Prophète Noé (paix sur lui, qui fut plus régional que mondial selon des savants musulmans afin de n'être une punition que sur la grande majorité du peuple de Noé) et la venue du Prophète Abraham (paix sur lui), Dieu a décidé de faire du peuple juif son principal représentant prophétique, en lui donnant un certain temps par un contexte de relations tribales puis nationales généralement violent, des règles dures envers les impies, car à leur époque, ils étaient souvent confrontés à des barbares sans foi ni loi ou des polythéistes guerriers.
Ainsi l'histoire du peuple juif depuis au moins trois millénaire dont un passage hégémonique lors de l'établissement de leur royaume en Judée est une preuve de la présence divine affichée mondialement depuis ce temps là. Ensuite avec la disparition progressive des peuples barbares par la sagesse exemplaire du royaume d’Israël, de la philosophie grecque ou du commerce, les nobles règles sociales internes du judaïsme purent donc se propager au niveau mondial avec la venue des Messagers Jésus puis Mouhamed.
Surtout que par sa sainteté généreuse innée ayant pu incarner et donc accomplir les excellentes règles monothéistes au niveau social suite à des révélations suffisantes, Jésus est venu rappeler l'esprit authentique du message divin dans ce sens, c'est à dire en interprétant correctement la lettre. Puis Mouhamed en le suivant, a montré à l'imperfection humaine le moyen d'atteindre ce saint esprit par son excellente imitation de son caractère, de sa moralité et de son comportement, et par sa mise en œuvre de l'ennoblissement maximal lié en plus à la possible noblesse constante de l'adoration permanente apportée par les règles de l'ultime révélation qu'est le Coran.
Par conséquent l'ancien testament authentique est la lettre de la révélation, le nouveau testament authentique est le rappel de l'esprit de la révélation, et le Coran est la conclusion du sens de la révélation. La tradition prophétique de Mouhamed est donc venu pour adapter et conclure l'ensemble de la révélation divine depuis nos parents, Adam et Eve, afin de proposer à la partie finale de l'humanité un ennoblissement maximal synonyme de saint esprit excellent. De plus cette histoire de la révélation montre bien que la valeur du mérite de la piété par le choix, en particulier au niveau vers les nobles caractère, moralité, comportements sociaux utiles et vie religieuse, est moralement supérieure à la valeur de l'élection d'appartenir à un peuple élu à recevoir les principaux Prophètes comme les juifs ou les arabes. Mais cette valeur supérieure qu'est la piété par choix ne dépasse évidemment pas la valeur suprême qu'est la rang élevé de l'élection des Prophètes, surtout qu'ils ont de toute manière dû être pieux par excellence pour obtenir ou ne pas perdre leur noble grade suprême. Or la valeur supérieure qu'est la piété par choix est confirmée par l'infériorité de l'élection de l'excellent saint esprit inné du Prophète Jésus (paix sur lui, et des anges) par rapport à l''ennoblissement personnel maximal synonyme aussi de sainteté excellente du Prophète Mouhamed (SBDSL) :
Bible (Évangile de Jésus-Christ selon saint Mathieu, 10:34) : (Jésus a dit) : « N’allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais bien le glaive (du verbe, de la vérité, de la justice, de la noblesse et de la religion contre l'oppression et l'égarement moral). »
Bible (Évangile, Lettre de Saint Paul aux éphésiens (6, 13:17) « Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice, les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix, et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais. Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. »
Napoléon Bonaparte :« Savez-vous ce que j’admire le plus au monde ? C’est l’impuissance de la force pour organiser quelque chose. Il n’y a que deux puissances dans le monde : le sabre et l’esprit. J’entends par l’esprit les institutions (ou idéologies) civiles et religieuses. À la longue, le sabre est toujours battu par l’esprit. »
Abou Hourayra (SDP) a dit : « On a demandé au Messager de Dieu (SBDSL) : « Quel est le plus noble des hommes ? » Il dit : « C’est le plus pieux (à travers ses choix, son caractère, sa moralité et son comportement) d’entre eux (et donc premièrement le Prophète (SBDSL) puisque ayant reçu et mis en pratique au mieux la religion complète même s'il ne le dit pas par pudeur). » On lui dit : « Ce n’est pas à ce sujet que nous t'interrogeons. » Il dit (au niveau de l'élection par son ascendance la plus hautement honorable puisque étant le seul Prophète n'ayant que des Prophètes sur les trois générations le précédant) : « C’est alors Joseph, Prophète de Dieu, fils de Prophète de Dieu (Jacob), lui-même fils de Prophète de Dieu (Isaac), lui-même fils de l’ami intime de Dieu (Prophète Abraham). » Ils dirent : « Ce n’est pas à ce sujet que nous t’interrogeons. » Il dit : « C’est alors au sujet des souches des arabes que vous m’interrogez ? Sachez alors que les meilleurs d’entre eux (sont ceux ayant eu le meilleur comportement et donc pas la meilleure position sociale) dans la période préislamique (qui) sont les meilleurs dans l’islam (par la piété), à condition qu'ils aient appris (leur religion). »
Le Messager d’Allah (SBDSL) a dit : « Ô vous les gens ! Votre Seigneur est unique et votre père est unique ; vous descendez tous d’Adam et Adam provient de la terre. Assurément, le plus noble d’entre vous auprès d’Allah est le plus pieux, et l’arabe (malgré son appartenance au dernier peuple élu car ayant reçu l'ultime Messager) n’a pas plus de mérite que le non-arabe sauf s’il se distingue par la piété. »
Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Celui qui ne s'élève pas par son propre labeur (sage caractère, noble moralité, utile comportement social, pratique religieuse complète et mode de vie prophétiques atteints) ce ne sont pas ses origines qui vont l'élever. » (Mouslim)
(S4v49) « N'as-tu pas vu ceux-là qui se déclarent purs (par l'élection juive ou arabe voire le sectarisme type wahhabisme) ? Mais c'est Allah qui purifie qui Il veut (par la piété authentique), et ils ne seront point lésés fût-ce d'un brin de noyau de datte. »
Par la nouvelle alliance demandée par Jésus (paix sur lui), les membres du charitable christianisme prédicateur authentique sont donc logiquement devenus le nouvel Israël (nouveau peuple prophétique) incarnant la responsabilité prophétique (au moins au niveau de leur représentation du comportement de Jésus ou de leurs transmissions de ses paroles), surtout puisque Jésus est né juif et que son saint esprit inné est par conséquent l'incarnation et le rappel parfaits du véritable sens principal des lois et enseignements de l’ancien testament. Et le Prophète (SBDSL) se réclamant de Jésus et concluant le monothéisme authentique, les musulmans correspondent donc à l'ultime Israël (ultime peuple prophétique) :
(S45v16) « Nous avons effectivement apporté aux Enfants d'Israël le Livre, la sagesse, la prophétie, et leur avons attribué de bonnes choses, et les préférâmes aux autres humains (de leur époque) »
Bible (Deutéronome 4, 5/6) « Voici, je vous ai enseigné des lois et des ordonnances, comme l'Eternel, mon Dieu, me l'a commandé, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession. Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples, qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront : cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent ! »
(Ext hadith) Abou Hourayra (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Nul n'est plus en droit de se réclamer de Jésus fils de Marie que moi-même (dont car le Prophète Mouhamed est le deuxième et dernier prophète universaliste après Jésus, puisque ayant aussi pour mission de transmettre un message divin à toute l'humanité), car entre lui et moi il n'y a aucun Prophète. »

D'ailleurs le grand amour de Jésus le Messie pour l'humanité a bien montré à son peuple juif cette nécessité de retour à la profondeur spirituelle et cet ordre divin affectueux d'orientation vers l'universel dorénavant.
« Jésus a annoncé sans équivoque la rupture inévitable avec Israël tout entier : « Le royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. » (Matthieu 21:42-44) Dans les derniers écrits néotestamentaires, notamment l’Évangile selon Jean, se cristallise cette séparation irréversible entre les disciples du Christ et le peuple juif. Ces deux communautés se dressent désormais comme deux entités étrangères l’une à l’autre, s’excluant mutuellement, au point que le Jésus dépeint par Jean évoque les coutumes juives comme des usages extérieurs à sa propre essence. Ainsi, le quatrième évangile s’érige en un document singulier dans le Nouveau Testament, où l’Église et la Synagogue se figent comme deux entités fermées, cloisonnées de manière irrévocable. Dans le sillage de ces fondements scripturaires, s’est épanouie la théologie du remplacement chère à Justin Martyr. Cette doctrine, s’inscrivant dans une perspective où le destin divin se métamorphose, prétend que le christianisme s’est substitué au judaïsme selon le dessein de Dieu. Ainsi, le peuple élu d’Israël, jadis choisi par la main divine, se voit déchu de son statut et frappé de malédiction pour avoir rejeté et condamné le Sauveur, Jésus-Christ. Les faveurs et les promesses divines accordées à l’« ancien Israël » sont transmises à l’Église chrétienne (catholique puis orthodoxe, première, deuxième et troisième Rome), laquelle devient le « nouvel Israël » au sens spirituel, c'est à dire le « nouveau peuple de Dieu ». Il s’ensuit que le judaïsme, désormais, ne détient qu’une valeur relative, subordonnée au christianisme, considéré comme sa préfiguration imparfaite et son témoin dépassé. Dans les premières heures du christianisme, une transformation s’est ainsi opérée, métamorphosant une secte juive en une foi majoritairement peuplée de gentils, détachés émotionnellement et culturellement de leurs racines hébraïques. Il n’est donc pas surprenant de voir surgir au IIe siècle des figures éminentes désireuses de prendre leur distance par rapport au judaïsme. Il serait ainsi audacieux de prétendre que le christianisme est, par son essence, porté à embrasser les idées sionistes et d’affirmer qu’un chrétien sioniste est un croyant qui s’assume tandis que son coreligionnaire non sioniste serait un disciple tiède. Ces considérations négligent les profondes différences qui séparent le judaïsme du christianisme. Avant d’être de nature théologique, ces différences furent sociologiques, politiques et étroitement liées à des événements historiques. En adoptant très tôt le supersessionisme et une lecture allégorique, le christianisme proposa une interprétation nouvelle des promesses de rétablissement d’Israël contenues dans l’Ancien Testament. Cette exégèse chrétienne a ainsi entravé le sionisme plutôt que de le favoriser, contrairement aux théologiens protestants qui se rendirent coupables de cette erreur dès les premiers jours de la Réforme. Il est à noter que l’attrait du protestantisme pour les idéaux sionistes s’explique, entre autres, par un mouvement opposé à celui observé au sein de l’Église catholique. Alors que cette dernière a vu les chrétiens judaïsants être progressivement marginalisés, les protestants ont renoué des liens avec les rabbins et les kabbalistes. Alors que le pré-millénarisme de l’Église primitive avait sombré dans l’oubli au profit de l’amillénarisme, les théologiens de la Réforme ont délaissé l’interprétation allégorique pour une lecture littérale des Écritures. Si nous voulions compléter ce constat historique avec des considérations eschatologiques, nous pourrions voir dans les croyances amillénaristes de l’Église catholique le fameux « katechon (d'abord incarné en Europe post-christique par la France fille aînée de l'Eglise, puis par l'empire romain germanique, puis actuellement par la Russie orthodoxe) » dont parle l’apôtre Paul dans la seconde épitre aux Thessaloniciens, et désignant une mystérieuse entité dont la mission consiste à faire obstacle à l’émergence de « l’apostasie » et à « l’homme du péché, le fils de la perdition » (2 Thess. 2:4).
En sachant que tout humain retenant par sa noblesse morale tel un katechon les forces de l’antéchrist devant finir par amener Jésus à réapparaître est important même si cela paraît paradoxal, car même si cela finit par la mort voire par une bataille perdue momentanément, cela entretient la vérité, l'exemplarité, le bon chemin et donc la guerre sainte par et pour lesquels Jésus reviendra triompher en réalité. D'ailleurs l'amplification des forces obscures jusqu'à l’avènement de l'antéchrist permet de révéler, confirmer ou préciser de nombreuses nobles morales. Selon cette perspective, la foi universelle prônée par Jésus et Paul, qui englobe tous les êtres, s’oppose à l’interprétation tribale et suprémaciste du judaïsme. Tandis que la Synagogue s’érige en un tribalisme foncièrement ethnocentrique et racial, l’Église se dresse comme une foi universelle accueillant quiconque, indépendamment de ses origines ethniques ou culturelles. Là où la première maintient son assise dans l’observance rigide de la Loi mosaïque et dans une identité ethnico-religieuse, la seconde s’ouvre aux âmes de toute provenance et célèbre la foi en Jésus-Christ. En vérité, le divin évangile d’amour, porté par le Christ et son disciple Paul, se dresse tel un remède salvateur face à l’âpre haine, inscrite au cœur même du tribalisme et du suprémacisme juif. Il s'agissait donc d'une Nouvelle Alliance venant parachever l’ancienne, conformément à la lecture que font les chrétiens de l’Ancien Testament et de sa promesse. D’où la fameuse phrase : "Je ne suis pas venu abolir la loi mais l’accomplir" supposément prononcée par le Christ et validant à la fois l’élection du peuple juif, comme avant-garde spirituelle, mais le déchargeant de cette élection, dorénavant partagée par tous et universelle dans une nouvelle alliance selon Alain Soral. D'ailleurs selon Irénée de Lyon (130-202), un champion de la foi chrétienne a dit : « Si Dieu a promis à Abraham l’héritage de la terre et s’il ne l’a pas reçu durant tout son séjour ici-bas, il faut qu’il le reçoive avec sa postérité, c’est-à-dire avec ceux qui craignent Dieu et croient en lui, lors de la résurrection des justes. Or sa postérité, c’est l’Église, qui, par le Seigneur Jésus (et ses suiveurs dont les musulmans), reçoit la filiation adoptive à l’égard d’Abraham, (surtout qu'Israël est une nation toute petite et que les juifs du monde sont peu nombreux). » Cette conviction selon laquelle l’Église avait supplanté l’ancien Israël fut ultérieurement désignée sous le terme de « théologie de la substitution » ou de supersessionnisme. » (Fernand le Béréen)
Après le christianisation de l'empire romain, cette nouvelle alliance fut principalement incarnée au niveau géopolitique par la création de la France lors du baptême de Clovis, devenu premier vicaire français du Christ en 496 par l'Évêque Saint Rémi de Reims. La France fut donc le premier grand Etat aux racines chrétiennes, et donc la fille aînée (des nations) de l'Eglise, mais aussi beaucoup car ce pays porta largement et longtemps le catholicisme. Ce nouveau peuple prophète que sont devenus les chrétiens a donc été particulièrement lié à la création de cette France catholique avec le Christ comme clé de voûte de l'Etat lors de ce sacre de Clovis. Suite à ce roi Clovis s'étant converti au catholicisme lors d'une victoire militaire miraculeuse après un serment sincère et son génie politique voyant que c'était le catholicisme qui avait permis à l'empire romain de se maintenir presque deux siècles de plus à sa fin, il s'agit donc de l'alliance ancestrale éternelle de reconnaissance et de service envers Dieu ayant fondée la France et étant donc essentielle pour sa pérennisation. Cette consécration religieuse de Clovis fut d'ailleurs confirmée via le miracle de la colombe apportant une sainte ampoule (fiole contenant une huile sacrée servant à enduire le rois lors de leur prise de pouvoir dont pour les honorer et les adoucir) ce jour de son baptême en tant que premier roi chrétien français. Il s'agit bien là d'un signe visible provenant du ciel et annonçant donc de l'élection de Dieu du peuple français comme un de ses représentants principaux dont à travers la race royale des francs. Par ce sacre, Jésus Christ valide donc la bonne orientation chrétienne de cette nation, et par l'acte de foi du peuple autour de cet engagement, l'unité politique nationale française et donc la nation française sont créées. Mais la révolution ayant amené les Droits de l'Homme en effaçant les droits de Dieu a donc enlevé le bénédiction sur la France tant qu'elle ne retrouve pas son rôle originel honorant le chemin de Jésus et la grandeur de Dieu, même si ces Droits de l'Homme au début ont été en grande grande partie une laïcisation de l'Evangile. En sachant qu'il y a eu une inversion entre les élites devenues catholiques après le peuple lors du baptême de Clovis et le peuple devenant progressivement dégénéré après les élites de la gauche bourgeoise suite à la révolution de 1789. C'est d'ailleurs la révolution qui a aboli la séparation entre le pouvoir temporel et celui spirituel dans ce sens. D'ailleurs si des situations se réalisent dans le destin divin comme la révolution française, c'est aussi pour pousser les pieux à analyser aux mieux cela et pour en sortir le peuple ainsi que le pays vers le haut, si nécessaire en préservant certaines caractéristiques de cette révolution comme les droits de l'homme fondamentaux que sont la liberté, la propriété, la sûreté et la lutte contre l'oppression. Il faut noter que la chrétienté a souvent été divisée par les pouvoir du roi (pouvoir temporel) et du pape (pouvoir spirituel), alors que le calife en islam est dans un sens d'unification importante à la fois pape et roi comme le Prophète David. Ce qui est entièrement légitime quand on est pieusement sage et connaisseur des règles religieuses, et c'est pourquoi Jésus incarnera parfaitement la position de calife quand il reviendra.
Puis pour conclure les messages divins tout en rapportant de la foi au monde et en relançant la prédication abandonnée généralement avec le temps par les juifs et les chrétiens à cause du matérialisme ou/et de l'oubli inhérent à la nature humaine, le Coran fut révélé et les musulmans devinrent donc le dernier peuple prophète, en particulier par leur pratique de ce monothéisme totalement complété qu'est l'islam synonyme de rappels fréquents de Dieu, de tradition prophétique entière, d'adoration permanente et donc de grande spiritualité :
(S3v187) « Allah prit, de ceux auxquels (juifs et chrétiens) le Livre (Bible) était donné, cet engagement : “Exposez-le, certes, aux gens et ne le cachez pas.” Mais ils (beaucoup) l'ont jeté derrière leur dos (s'en sont détournés) et l'ont vendu à vil prix (échangé contre une vie matérialiste). Quel mauvais commerce ils ont fait ! »
Surtout que le Coran et le Prophète (SBDSL) affirmant clairement que la prédication fait partie de la religion complète et donc de l'ennoblissement humain suprême, l'islam se propagea rapidement. Ce qui réactiva inévitablement la pieuse propagation des valeurs monothéistes à travers le monde par les chrétiens, dans une forme de concurrence et de défense de leurs intérêts par rapport aux musulmans, prévue par le subtile stratagème divin bienveillant.
Ce nouveau peuple prophète que sont les musulmans, comme le peuple prophète précédent que sont les chrétiens, étaient donc désormais seulement basés noblement sur la fraternité religieuse universelle, particulièrement légitime puisque liée à Adam et Eve, et plus sur celle tribale, même si l’Évangile a été révélé aux juifs et le Coran aux arabes. De plus, ces peuples n'étaient pas uniquement prophète au niveau de leur nation guidant les autres, car chaque individu pouvait désormais officiellement prêcher l'humanité alors qu'avant c'était officieux.
Depuis Adam et Eve et la fin des premières générations s'étant de plus en plus égarées jusqu'à Noé, puis jusqu'à Abraham, puis jusqu'à lui, et l'humanité s'étant répandue jusqu'à créer des nations, Moïse fut donc le premier prophète chef politique du premier peuple prophète (plus dans le sens de peuple prêtre selon certains juifs dont pour promouvoir le monothéisme) que furent les tribus (peuple) d'Israël, mais qui manquèrent souvent à cette tâche par leurs péchés et leur égarement, puis définitivement après leur rejet de Jésus le Messie, alors que le peuple juif avait pourtant été aussi désigné prophète pour l'accueillir. Et c'est pourquoi après la dernière destruction du Temple juif à Jérusalem en 70 de notre ère, le judaïsme n'existe normalement plus dont car l’ancien testament est clos depuis cette date.
(Mais l'impie car interdite reconstruction d’Israël (détruit d'abord par les Assyriens en -587 avant donc que Juda ne soit détruit par les babyloniens en -570 puis Jérusalem par les romains en 70) et du troisième temple est centrale dans l’eschatologie biblique. La destruction du second Temple fut l’ultime traumatisme qui eut un effet durable sur le messianisme : quand les Juifs comprirent qu’ils avaient perdu définitivement leur existence nationale après les troubles qui suivirent la destruction du second Temple et la fin de l’ancien monde, certains eurent une conscience vive mais erronée  du caractère cryptique et mystérieux du message messianique, et d'autres devinrent consciemment pervers voire sataniques.)
Or ce premier peuple prophète, ayant reçu en premier les lois divines inter-tribales puis donc nationales, complétant celles tribales révélées progressivement au Prophète Noé et ensuite au Prophète Abraham et à ses descendants Prophètes, a donc quand même participé à répandre les valeurs monothéistes dans le monde pendant un certain temps.
Par conséquent toute cette histoire prophétique a logiquement préparé la venue du saint esprit inné de Jésus incarnant la perfection exemplaire du monothéisme authentique révélé depuis Adam jusqu'au niveau national. Dans ce sens, il a rappelé que la noblesse authentique de caractère et de moralité était le principal but à atteindre religieusement par l'humanité, c'est à dire en étant toujours juste quand c'est nécessaire et miséricordieux dès que c'est possible. Puis ce saint esprit inné de Jésus a logiquement orienté la loi religieuse vers l'universalisme, dont en annonçant la venue de l'ultime Messager Mouhamed, puisque ce dernier allait montrer à la nature imparfaite humaine comment parvenir à ce saint esprit par l'adoration permanente, pour laquelle Jésus reviendra logiquement afin d'épanouir sa sainteté totalement :
Bible (Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean, 14:26) : « Le Paraclet (Mouhamed), l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom (pour guider les gens vers un saint esprit similaire au mien), vous communiquera toute chose, et vous ferra ressouvenir de tout ce que je vous ai dit. »
(Ext hadith) Abou Hourayra (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Nul n'est plus en droit de se réclamer de Jésus fils de Marie que moi-même, car entre lui et moi il n'y a aucun Prophète. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Dieu ne perdra pas une communauté dont je suis le fondateur et Jésus le terme. »

En effet chez les juifs, même le Décalogue (les Dix Commandements Divins) sont seulement envers les proches et n'ont donc pas un sens universaliste pour eux, chez les juifs. Alors que quand Jésus y fait souvent référence, il tend d'abord à souligner le principe fondamental liant tous ces préceptes et qui n’est autre que l’amour universel : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même. » (Luc 10, 27) Jésus rappelle ainsi que l’amour pour Dieu et pour son prochain doit être l’élément structurant de nos relations ; que c'est lui qui nous guide au mieux envers Dieu et entre humains. Les Dix Commandements, ou les Dix Paroles (ce qui a donné son autre nom, Décalogue), représentent un code éthique délivré par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï, c'est à dire un résumé de Sa Loi synonyme de renouvellement de son alliance avec les hommes. Ce code éthique, composé donc de dix recommandations résumant ainsi aussi le chapitre biblique (Exode 20) à ce sujet, invite les humains à être libérés de l’esclavage et à vivre en paix. Ces instructions sont d’ordre moral et religieux et servent à nous guider afin de devenir des êtres excelle ment épanouis. Les 10 Commandements, que l’on peut aussi appeler « Loi de Dieu », sont divisés en deux catégories.
La relation entre Dieu et les humains (1-4) : « Tu n’auras pas d’autres dieux en face de moi. » ; « Tu ne fabriqueras pas d'idole. » ; « Tu n’invoqueras pas en vain le nom du Seigneur ton Dieu pour le mal. » ; « Tu observeras le jour du sabbat pour le sanctifier. »
La relation des humains entre eux (5-10) : « Tu honoreras ton père et ta mère. » ; « Tu ne tueras pas. » ; « Tu ne commettras pas d'adultère. » ; « Tu ne voleras pas. » ; « Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain. » ; « Tu ne désireras rien de ce qui est à ton prochain. »

C'est à dire que par un niveau de lois sociales révélées désormais complet au niveau tribal et national représentant une forme de sainteté sociale, mais ne correspondant pas totalement à l'adoration permanente révélée dans l'islam ni ne comprenant toutes les règles pour la gestion entre états, Jésus devait quand même venir pour incarner cette sainteté sociale, permettre le passage du tribalisme vers l'universalisme d'abord à travers l'humain, et incarner le statut d'humain saint à expliquer et atteindre par le Prophète (SBDSL), avant de revenir pour donc épanouir totalement sa sainteté à travers l'islam.
Ce passage de Jésus à l'universalisme se vit beaucoup par rapport à la gestion des crimes, puisque cela fit noblement passer la responsabilité collective à la responsabilité individuelle afin de terminer les interminables guerres tribales. C'est à dire que la responsabilité individuelle remplaça sagement les relations claniques du monde primitif, car dans ce dernier un membre du clan de l'offensé pouvait venger ce dernier dont en s'attaquant au coupable ou à un membre de son clan.
On peut donc dire que pour maintenir l'ordre civile ou régional, la justice institutionnelle est devenue la vengeance nationale d’État pour le citoyen, et que si cette justice institutionnelle n'est pas préservée ou est corrompue, cela amène à la guerre civile ou régionale, pouvant diviser des nations. Or parmi les raisons de ce passage du tribalisme à l'universalisme était aussi que la plupart de l'humanité connaissait désormais plus ou moins les lois monothéistes à travers le royaume juif en Judée placé donc dans un carrefour géographique principal du monde et le mélange des cultures de l'empire romain auquel il était rattaché en tant que royaume client, c'est à dire en tant qu’État autonome mais vassal économiquement, politiquement ou militairement. (C'est dans ce sens que selon Jésus le Messie, on peut donner par l'intention à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.) Mais c'était également beaucoup pour éviter que l'universalisme tribal juif, lié à son illégitime croyance en l'idole guerrière unique Yahvé (usurpatrice de Dieu et donc satanique comme il sera revu et selon ce qui suit) s'occupant seulement d'eux, devienne une ethnie s'estimant faussement supérieure par l'élection divine et recherchant perversement la domination sur le reste de l'humanité comme certaines sectes juives le prétendent actuellement.
C'est à dire que l'orientation de Jésus vers l'universalisme signifie la sortie du tribalisme et du nationalisme juifs souvent violents, guerriers, dominateurs ou sanglants et donc sauvages même légitimement au nom de la justice, pour plu
s aller vers la paix, l'ouverture, le partage, la douceur, la générosité ou le pardon et donc vers la miséricorde, c'est à dire désormais légitimement au nom d'une noblesse supérieure synonyme de gestion excellente des qualités spirituelles au niveau caractériel et moral :
(Bible Jean 16:8) « Et quand il (le saint esprit de Jésus) sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement (en montrant donc la méconnaissance juive concernant une grande partie du bien et du mal à son époque, dont donc le sens prioritairement spirituel des révélations et non littéraliste, matérialiste et nationaliste) »
Les valeurs monothéistes étant plus ou moins connu mondialement à cette époque, cela a donc également permis à l'amour universel du Christ de venir rappeler aux juifs de ne pas oublier ce principe essentiel de la foi, et donc de chercher à unir les peuples en pratiquant les lois monothéistes aussi avec eux dont à travers le commerce équitable et l'interdiction de l'usure. Il faut noter que cette idéologie d’amour universel provenant légitimement du Christ, car l'humanité descend d'Adam et Eve, il a inversée la haine raciale juive et son saint esprit est venu accomplir les révélations faites depuis le Mosaïsme, est la première dans l’histoire du monde : ça n’existe pas non plus chez les Hindous, ni chez les Chinois, ni chez les Japonais, et ça s’est propagé dans le monde en grande partie par l’empire romain suite à la conversion de Constantin.
Puis le Coran fut révélé en tant qu'ultime message divin pour conclure le monothéisme dont par la possibilité d'adoration permanente et les dernières règles géopolitiques en particulier désormais dans le rapport entre musulmans, chrétiens, juifs, athées et polythéistes. Ce qui permit ainsi désormais à chaque être humain de pouvoir tendre à l'ennoblissement maximal synonyme de sainteté excellente.
D'ailleurs selon certaines explications juives, plus grand est le nombre de mitzvot (prescriptions religieuses) réalisées, plus le monde se rapproche de la perfection et donc de l'ennoblissement maximal. De cette idée acceptée par tous les juifs y compris par les juifs karaïtes, le mysticisme juif a développé l'idée que le tikkoun olam (réparation du monde) déclencherait ou accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie (ou plutôt son retour pour les chrétiens et musulmans) et celles du monde final correspondant à l'Eden terrestre complété. D'ailleurs le marxisme et ainsi le communisme pensait revenir à d'Eden originel donc sans loi de propriété et avec très peu de règles religieuses, tout en l'améliorant avec la dictature inédite du prolétariat, alors qu'il s'agit d'un erroné éden terrestre complété. Car cette réparation du monde se fait en réalité d'abord par rapport à la sainteté perdue par les parents de l'humanité Adam et Eve, et donc au niveau spirituel dont à travers la sainteté de Jésus, de Mouhamed et du Mahdi, c'est à dire par l'excellent code moral de plus en plus approfondi et facilité. La croyance dans le tikkoun olam est l'un des concepts centraux du Zohar (le livre de la Splendeur), et plus encore de l'école lourianique de la Kabbale. D'ailleurs la couverture de la revue Time de novembre 2020 a présenté le « Great Reset » sous la forme d’une planète Terre en réparation, l’ensemble étant constitué d’un échafaudage et de plusieurs ouvriers s’activant à cet effet. Les ambitions mondialistes s’affichent au grand jour : le monde doit être réparé selon des normes bien précises. Or ces dernières favorisent la ploutocratie, le laïcisme et le sionisme, ce qui est une interprétation perverse du tikkoun olam et une sous-estimation de la sagesse irréprochable de Dieu, car selon les précisions véridiques du christianisme et de l'islam, cela correspond en réalité à l'Eden terrestre retrouvé et complété à travers l'ensemble des enseignements religieux révélés depuis Adam et Eve jusqu'à Jésus, Mouhamed et le Mahdi. Or ce sera précédé de la fin des temps dont de la noble révélation morale et donc de la nécessaire utilité du mauvais chemin, à travers des épreuves difficiles apportant diverses compréhensions essentielles et forçant l'apparition de certaines institutions importantes. C'est à dire que la Terre accouchera dans la douleur la pureté de l'Eden complété, comme la femme accouche dans la douleur la pureté du nourrisson innocent.
Dans ce sens, le verset suivant de la Bible affirmant qu'Ismaël, le père des arabes et par conséquent des musulmans, sera multiplié grandement, est clairement accompli par Mouhamed (SBDSL), car il est actuellement suivi par des milliards de personnes après avoir précisé être l'ultime Prophète et ainsi celui à suivre prioritairement. En effet l'islam qualifié de monothéisme pur par Dieu dans le Coran est actuellement la religion ayant le plus d'adeptes au monde, ce qui correspond au cinquième voire au quart de la population mondiale :
Bible (Genèse, 17:19/20) « Dieu dit (à Abraham) : Certainement Sarah, ta femme, t'enfantera un fils ; et tu l'appelleras du nom d'Isaac (père des juifs). J'établirai mon alliance avec lui comme une alliance perpétuelle pour sa postérité après lui (comme le prouve la plupart des Prophètes envoyés chez eux et donc leur rôle de peuple prophète). A l'égard d'Ismaël, je t'ai exaucé. Voici, je le bénirai, je le rendrai fécond, et je le multiplierai à l'infini ; il engendrera douze princes, et je ferai de lui (à partir de lui, les arabes) une grande nation (empire de l'islam). »
Ainsi pour synthétiser rapidement la propagation du monothéisme, le peuple prophète juif était d'abord nécessaire par rapport aux relations tribales puis à celles nationales, dont en devant répondre à ses intérêts vitaux représentant Dieu face à certains peuples infidèles souvent barbares. Puis suite à la compréhension progressive des excellentes valeurs monothéistes par le reste de l'humanité, les règles internes au judaïsme purent lui être proposées à travers la sublime spiritualité universaliste des Prophètes Jésus et Mouhamed. C'est ce qui fut d'ailleurs accepté par une grande partie de l'humanité suite à des actions plus ou moins pacifiques, jusqu'à triompher hégémoniquement au niveau mondial avant les diverses révolutions laïques ou/et athées. Et c'est ce qui se produira à nouveau plus pacifiquement espérons le avec l'apparition du Mahdi et le retour de Jésus (paix sur eux), comme en islam il est reconnu unanimement que Zul-Qarnayn puis le Prophète Salomon (et son pieux royaume des descendants d'Israël) ont fait connaître voire souvent répandu les excellentes valeurs monothéistes dans le monde entier, même si parfois voire souvent, elles ne furent pas longtemps préservées ou furent finalement liées aux autres croyances.
Or suite donc au rappel de l'esprit de la lettre des textes sacrés juifs et à la mise à jour universaliste du monothéisme par Jésus, de nombreux juifs (principalement les lévites devenus ensuite les pharisiens et les talmudistes) refusèrent perversement son message, surtout car ils sentaient justement que l’universalisme chrétien allait dilué l'élection juive et leurs réseaux jusqu'à leur disparition. Alors que pour établir ou confirmer leur dignité, ils auraient dû s'en servir pour propager le message de Jésus qui entre parenthèse n'a pas eu besoin d'eux ni de leurs réseaux pour s'étendre grandement sur terre, surtout que beaucoup d'autres juifs se firent baptisés. C'est pourquoi c'est en tendant vers l'universalisme et non le communautarisme que les juifs sont bénis, c'est en étant charitables et non cupides que les chrétiens sont bénis, et c'est en étant unis et non divisés que les musulmans sont bénis :
(Evangile de Jésus Christ selon saint Jean 10, 7-9) : Jésus leur dit encore : « En vérité, en vérité, je vous le dis, je (mon message et ma moralité) suis la porte des brebis (vrais croyants, pieux, faibles, soumis ou/et donc musulmans puisque le Prophète Mouhamed s'est réclamé de suivre Jésus). Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands (pharisiens, impies) ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages (Paradis céleste).… »
Commentaire : Ce passage de l'Evangile ne s'adresse pas aux faibles, ni aux tribus isolées (sauvages) n'ayant pas reçu le message christique et qui auront une épreuve de foi au Créateur unique lors de leur mort, ni aux croyants sincère en Dieu l'unique (dont en Son Jugement Dernier, Son Paradis et Son Enfer), ni à ceux tendant vers les règles monothéistes authentiques et ayant reconnu Jésus en tant que Messie, ni donc les musulmans, mais s'adresse principalement aux pharisiens, sionistes, mécréants, polythéistes, oligarques pervers, dirigeants corrompus, ou satanistes puisque s'étant détourné perversement de Jésus. En effet tout n'est que mensonge, erreur, injustice, imposture et mystification dans le projet sioniste que de nombreux infidèles suivent plus ou moins inconsciemment : faux sémites (khazars, ashkénazes ne méritant pas d'être associés victimairement au terme antisémitisme), faux juifs car les vrais de la Palestine sont devenus chrétiens ou musulmans sémites, fausses voire perverses interprétations des textes sacrés juifs, utilisation sournoise de ces falsifications, illégitime but de domination sur les nations par la finance usurière et sur les peuples par la perverse laïcité affaiblissant la pieuse noblesse, fausse terre promise à la fin des temps sur les terres palestiniennes musulmanes au milieu de pays musulmans arabes ne voulant pas de déstabilisation, interdiction de retour des juifs en terre sainte sous forme d'Etat selon l'Ancien Testament, l'Evangile et le Coran, faux messie (surnommé en plus « le trompeur » et « le charlatan » par le Prophète Mouhamed possiblement donc même par rapport à son plan).
En résumé, en ayant atteint un niveau suffisant de pratique religieuse, de règles sociales, de caractère pieux, de moralité authentique et de contexte international civilisé, la sainteté humaine pouvait donc désormais être mise en exemple par Jésus et s'épanouir dans l'universel, puis pour tout temps par la venue de l'adoration permanente de l'ultime Prophète (SBDSL), dont afin que les musulmans et Jésus lors de son retour puissent connaître le plus grand ennoblissement. Or en rappelant que la venue d'un nouveau Prophète permet avant tout de renouveler, parfaire, propager et donc renforcer la foi en confirmant les messages divins précédents, c'est l'union dans la tolérance et les meilleures idées communes où les croyants des différentes communautés monothéistes doivent se rejoindre pour lutter contre l'égarement tel que la laïcité.
En effet cette dernière n'est autre qu'une nouvelle religion occulte remplaçant les précédentes et se voulant mondiale voire unique, appelée aussi « sécularisation » ou plutôt « franc-maçonnerie (ploutocratico-sionisto-lgbtiste républicaine) » selon Alain Bauer, surtout que les impies lois votées à l’assemblée nationale proviennent souvent de la franc-maçonnerie ayant très probablement Satan comme dirigeant comme il sera revu. D'autant plus que le sommet de sa pyramide sociale flottant au-dessus du reste est la finance transnationale à outrance, son église du système libéral-libertaire est la classe politico-médiatique, son dogme sournois est l'urgence climatique car se servant de l'écologie afin de cacher la régression économico-sociale du capitalisme néolibéral, son avant-garde républicaine sont la communauté juive (organisée, selon l'ancien premier Ministre Manuel Valls), et le temple de sa république est l'éducation nationale puisque servant d'abord perversement au formatage progressiste des jeunes et donc sataniquement à leur détournement de la noblesse authentique, de la loi naturelle et des règles monothéistes.
C'est à dire que l’Éducation nationale préfère produire des intellectuels bons à rien pour le peuple, mais qui s’avèrent être des idiots utiles pour le pouvoir (le système). Surtout que cela permet de maintenir la population paupérisée et donc maintenue à tout prix à l’écart de toute forme d’indépendance. Ainsi de cherchant plus la véritable édification intellectuelle de nos enfants, elle multiplie les annonces tous azimuts : vaccination, éducation sexuelle, lutte contre le harcèlement, laïcisme, numéros verts, abaya, inclusion, identité de genre...
Ce qui n'est pas étonnant car cette perverse pyramide de pouvoir est le symbole représentant le plus l'impiété de la franc-maçonnerie et de son pouvoir profond corrompu, puisque liée ésotériquement à la sorcellerie des pharaons polythéistes. La maçonnerie est d'ailleurs clairement une contre-église avec ses temples, ses tenues et ses rites, alors que rabaissant pourtant les rituels chrétiens et islamiques. On peut même dire que les membres et la population qui croient en ce laïciste système ultra-libéral de l'oligarchie occidentale dominatrice et belliqueuse forment une secte, en plus soumise en réalité au sionisme et donc au satanisme.
Ainsi le symbole de la pyramide dans ce système américano(puisque dessinée sur le billet d'un dollar)-sioniste(puisque le temple maçonnique reprend la forme de celui de Salomon) franc-maçon (puisque la franc-maçonnerie est à l'origine de lois impies comme l'avortement, le mariage homo, l'autorisation de changement de sexe) est une lutte pour détourner l'humanité du symbole du cube de la kaaba (et donc de l'islam), qui représente d'ailleurs pour les humains un bloc parfait d'union en Dieu (par l'équité) par opposition à l'inégalité pyramidale en Satan.
Alain Bauer a d'ailleurs déclaré que le Grand Orient de France (qui est la plus ancienne obédience maçonnique française et la plus importante d'Europe continentale et qui était au départ déiste puis est devenue athéiste) est l’église occulte (car réservée à des initiés et donc non populaire) de la république et sa boite à outil. Ainsi pour le peuple, ce n'est  pas une nouvelle religion qui compensa la destruction du catholicisme part la laïcicté surtout que la franc-maçonnerie est à l'origine de cette dernière. Par conséquent, le peuple va finir dans l'athéisme grandissant jusqu'à nos jours synonyme de vide religieux ayant entraîné l'atomisation de la société, le nihilisme, l'avortement de masse, les suicides, ce qui est donc le résultat catastrophique de la destruction de ce catholicisme.
La laïcité va ensuite être liée au marxisme, au républicanisme, au capitalisme et au libéralisme athées, car comme la réplique prétend en la figure messianique du peuple et plus du christ, chacune de ces idéologies va transformer la forme du messie (sauveur, messianisme lié à un seul individu) en messie (messianisme) collectif (sauveurs collectifs, peuple messie) comme celui aussi transformé du judaïsme chez le rabbin kabbaliste Louria puisque ayant messianisé le peuple juif.
Dont par rejet de la religion des prêtres qui est l'institution catholique, la laïcité devint donc la religion de la république comme le prouve en partie la transformation d'églises en temples de la raison et en culte de l'Etre Suprême, car la révolution se devait d'être positive et pas seulement destructive de la monarchie de droit divin liée à l’Église catholique. Puis avec l'arme de la république laïque que fut la loi 1905 de séparation des églises et de l'état, la laïcité devint la religion d'Etat de la république dont donc pour arrêter le catholicisme à l'école puis laisser place au sionisme mondialiste d'Etat. Ainsi les catholiques vont considérés que les franc-maçons, les athées, les protestant et les juifs sont leurs ennemis, puisqu’ils sont surreprésentés dans le régime républicain qui les détestent et leur fait la guerre.
La religion monothéiste de la famille est ainsi de plus en plus remplacée et donc effacée par la religion laïque de l’Etat. Ainsi l'éducation monothéiste au sein de la famille devient essentielle, puisque sinon le système, ses médias et ses politiciens en Occident nous égarent vers l'Enfer telle une église impie :
(S3v64) « Dis : “Ô gens du Livre (de la Bible), venez à une parole commune entre nous (musulmans) et vous : que nous n'adorions qu'Allah, sans rien Lui associer, et que nous ne prenions point les uns les autres pour seigneurs en dehors d'Allah.” Puis, s'ils tournent le dos, dites : “Soyez témoins que nous, nous sommes soumis.” »
Pouvoir profond : personne ou organisation sans responsabilité « officielle » qui dicte la conduite au gouvernement d’un pays, souvent pour de pervers intérêts particuliers (étrangers ou privés) au détriment du bien commun en particulier national.
Le pouvoir profond place donc aussi en priorité la maximisation de ses profits privés ou particuliers au détriment du domaine public, dont par la corruption voire l'assassinat politique tel celui de Kennedy comme il sera revu.
« Le concept d’État profond représente la haute administration non élue et choisie par le chef de l’État pour décider de la politique et de la gestion des dépenses publiques. Avec plus de 3.100 milliards de dette (source Ministère de l’Economie et des finances 2024), la France est sous la tutelle du lobby bancaire et Emmanuel Macron n’y est pas étranger. Diplômé de l’école nationale de l’administration puis inspecteur des finances, il quittera la fonction publique pour une banque privée bien connue, à savoir la banque Rothschild, et deviendra son plus jeune associé gérant. Ce management transversal s’appelle « pantoufler ». À ce sujet, passer de la fonction publique dans le secteur privé s’appelle du « pantouflage » et pose, en général, des problèmes éthiques et déontologiques, du fait d’une transparence souvent absente. Le terme de « rétro pantouflage » désigne, à l’inverse, le passage du secteur privé vers la fonction publique. Le retour d’Emmanuel Macron dans l’administration française s’effectuera au ministère de l’Économie, véritable « cheval de Troie » du pouvoir bancaire afin de privatiser et de détruire, hélas, l’économie de notre pays. Les privatisations sont rendues légales grâce à une assemblée nationale, muée depuis bien trop longtemps en banale chambre d’enregistrement des ordres émanant du chef de l’Etat et de son Premier ministre. Pour bâtir son réseau dans la haute administration, Emmanuel Macron utilise les cercles de réflexions répertoriés dans notre livre, qui sont de véritables lobbies décisionnels, lui permettant de nommer les futurs agents aux postes stratégiques. Ces hauts fonctionnaires obéissent, sans faillir, aux puissances étrangères qui en réalité, sont les véritables commanditaires et donneurs d’ordres à l’Élysée. Toute cette engeance pousse notre pays vers la ruine, pille l’épargne des Français, et enfonce le peuple français vers une paupérisation de plus en plus visible. Mais revenons à la dette publique. Elle correspond à l’ensemble des emprunts publics contractés par l’État, la Sécurité sociale, les organismes divers d’administration centrale (ODAC) et les collectivités territoriales. Le détail de cette dette, tel que présenté sur le site de l’Insee, se fonde sur la définition de la dette des administrations publiques au sens du Traité de Maastricht. Pendant plus de trente ans, la France a connu une politique budgétaire laxiste. « L’État providence », souvent utilisé comme vache à lait par les banques, a dépensé sans compter pour financer la dette publique et assurer les salaires des fonctionnaires.
C
ependant, entre la dette corrélée au PIB et la dette publique, un flou persiste, particulièrement visible dans le bilan comptable de l’État français, notamment dans le registre « hors bilan bancaire ». Ce compte bancaire est fréquemment employé pour dissimuler les dettes embarrassantes ; une pratique courante dans le monde financier pour camoufler des actifs toxiques et des soldes négatifs ; qui pourraient ternir l’image d’une banque ou d’une multinationale, influant ainsi sur sa cotation boursière. Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron, le triumvirat de l’enfer, ont généré donc une dette de plus de 3 100 milliards d’euros à laquelle il faut ajouter le hors bilan bancaire :
Extraits de l’article d’Atlantico du 29 mars 2024 « Engagements hors bilan. Pire que la dette et les déficits, les engagements hors bilan de l’Etat français » :
« En revanche, on trouve dans le hors bilan de l’Etat une dépense quasi certaine liée aux retraites que l’Etat s’est engagé à verser à ses personnels. Fin 2022, les engagements de retraite de l’Etat vis-à-vis des fonctionnaires civils et militaires représentaient 1 683 milliards d’euros, soit 65% du PIB. La dette publique ne tient pas compte de tous les engagements donnés par l’Etat. Ce n’est pas en soi une anomalie, sauf dans le cadre des retraites des fonctionnaires. Le dernier compte général de l’Etat intègre 2 200 milliards d’euros d’engagements hors bilan pouvant donner lieu à une implication indirecte de l’Etat. L’Etat garantit, par exemple, les livrets d’épargne réglementés soit 560 milliards d’euros d’engagements hors bilan, apporte 126 milliards de garantie au mécanisme européen de stabilité (MES), garantit 75 milliards d’euros de prêts au titre des PGE, pourrait en théorie être engagé pour le même montant vis-à-vis du plan de relance européen, soutient le commerce extérieur à hauteur de 60 milliards, garantit la dette de l’Unedic à hauteur de 52 milliards… Les données sur les engagement hors bilan de l’Etat sont publiques et fournies chaque année dans les comptes de l’Etat sur le site des ministères économiques et financiers pour un montant total de 3 800 mds€ (montant à comparer aux 3 088 mds€ de dette indiqués par l’INSEE à la fin de 3ème trimestre 2024), dont la moitié comme engagements de retraite de l’Etat. »
« Si l’on additionne 3100 Mds€ de la dette publique plus les 3800 Mds€ des sommes mentionnées dans le hors bilan bancaire, on obtient un total vertigineux de plus de 6 900 milliards d’euros. Bagatelle ! Le reste de la situation en France est catastrophique. Entre le trafic de drogue qui explose, le nombre de SDF en constante augmentation, la criminalité en hausse, le bradage de nos industries, la crise sanitaire sous gérée, l’empêchement des médecins de soigner, la suppression des lits d’hôpitaux –17.600-, la destruction de la justice, la privatisation de la Française des jeux, la carte blanche donnée au sulfureux cabinet conseil McKinsey, la répression sanglante des Gilets Jaunes, les dettes, et la poussée très dangereuse d’une guerre contre la Fédération de Russie avec des provocations inutiles répétées sans cesse, on peut se demander si tout cela est bien réel. Malheureusement oui. Étonnamment tout s’écroule, sauf le complexe militaro-industriel français. En effet, notre pays vient de décrocher la médaille d’argent mondiale en 2024 pour les ventes d’armes juste derrière les USA. La France est à l’image de feu son paquebot qui, jadis, était une de nos fiertés. Touché, démantelé, coulé. Heureusement que les preuves existent, bien que noyées sous un déluge de fausses informations, de discours trompeurs, de photos alléchantes, et masquées par des courbes et des graphiques trafiqués. L’élite au pouvoir semble intouchable. Il ne faut pas oublier qu’elle obéit au doigt et à l’œil à la finance internationale, ainsi qu’à leur idéologie mortifère. Mais le problème réside essentiellement dans la présence des seconds couteaux, au-delà des marionnettistes. Il s’agit de toute l’armada des petits chefs de la République exécutant avec un zèle absolu les ordres, soutenus par une presse obéissante et soumise, par une majorité d’artistes généreusement subventionnés par le ministère de la Culture et avec, malheureusement, une partie importante de la classe moyenne qui, soit se contente de ses propres préoccupations, soit se considère comme le justicier de l’État, donnant du fil à retordre à une minorité consciente des enjeux, tout en essayant de garder le cap envers et contre tous. Soit, nous allons vers une causalité de plus en plus étendue, à savoir la compréhension des véritables enjeux, soit nous nous enfonçons dans une complaisance d’acceptation passive des événements menaçants notre survie, celle de nos voisins et de toute la population de la Terre. Identifier les vrais responsables de nos maux et du déclin rapide de la France, permet, non seulement de comprendre, mais aussi de pouvoir y remédier. Rien n’est écrit, tout peut changer. » (Claude Janvier Écrivain, co-auteur du livre avec François Lagarde : « L’État Profond Français. Qui, comment, pourquoi ? » pour le Média en 4-4-2)