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Q) Suite 17 (1)


-étrange perquisition chez le président Donald Trump. Tout le monde s’attend à des enquêtes et des perquisitions dans le cadre d’enquêtes sur des accusations de fraude fiscale et de malversations financières au sein de l’empire financier de Trump, mais pas en raison de possession de documents de nature politique. Trump a donc pris les devants et paré à un éventuel procès, chantage voire assassinat en cachant des pièces dont la divulgation serait susceptible d’ébranler l’État profond US, comme concernant l'assassinat de Kennedy, apparenté à un coup d’État de l’État profond par un très grand nombre d’analystes politiques aux États-Unis, et donc concernant le rôle réel de la Commission Warren chargée d’un rapport officiel sur cet assassinat politique et d’autres aspects relatifs aux liens entre l’administration Johnson, la CIA, la mafia juive, les exilés cubains, Israël, la dynastie Bush et le complexe militaro-industriel. En effet beaucoup de ces d'informations secrètes pourraient remettre en cause la prise en otage des États-Unis par un pouvoir occulte non institutionnel et anticonstitutionnel et pourraient ainsi provoquer un début d’une seconde révolution américaine. Indubitablement, l’État profond et ses branches chargées de la propagande qualifient tout questionnement autour de l’assassinat de Kennedy en dehors des conclusions de la Commission Warren comme de vulgaires théories complotistes, allant même à en créer quelques-unes ou à tolérer des adaptations cinématographiques à des fins de diversion ou de noyade du sujet. Or Trump connaît donc possiblement désormais la genèse et l'organisation ultra corrompue voire actuellement en plus grandement anti-patriotique du camp ennemi. En tout cas vu la non déclassification de ce dossier par les gouvernements américains alors qu'ayant dépassé 50 ans, cela prouve qu'il y a eu un complot.
-démocratie occidentale correspondant en réalité au pouvoir de l'argent et de l'usure, et se transformant donc en une mort de la démocratie par la tyrannie financière, monétaire et bancaire privée qui détient la création monétaire à travers par exemple la FED des Etats-Unis et la Banque centrale de l'Union européenne, et qui cherche l'hégémonie mondiale. Ceci avait été expliqué et annoncé depuis longtemps par l'américain Ezra Pound, au point qu'il fut enfermé au pays de la liberté que sont les USA en hôpital psychiatrique pendant dix ans tel en union soviétique, car dérangeant trop le spectre politique, de la droite à la gauche, du fascisme à l'antifascisme, tous entièrement soumis au système bancaire usurier de la finance internationaliste. De plus après avoir exposé la tyrannie internationale de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis, (dont car un groupe de banquiers privés de haut vol aurait conspiré et rédigé, pour servir perfidement ses propres intérêts, les statuts de la Réserve fédérale, puis aurait réussi à faire adopter ce document comme loi par le Congrès américain,) Eustace Mullins a montré, en éclairant preuves à l’appui ce type d'infiltration totalitaire, la prise de contrôle similaire par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire, cette mainmise sur des parties importantes de l'Etat a été encore permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes. Le système des banques centrales privées prend ainsi clairement le pouvoir sur les nations et le politique. En effet il y a une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien social. Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financières et monétaires planétaires, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont finalement concentrés entre les mains de peu de personnes. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est donc dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement. Surtout que par ses planches à billets, la politique des banques centrales privées de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la perverse haute finance privée de l’argent frais à profusion, ainsi que des garanties d'États et de l’économie réelle. Partant de ce constat concernant l'oppression économique bancaire du privé, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus donc fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus ! Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « De l'Etat profond au gouvernement mondial - Politique & Eco n°291 avec Valérie Bugault - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=AVZiNDMKOjk&list=WL&index=6
Selon la juriste Valérie Bugault, les institutions françaises n’existent plus et l’Etat est mort, car nous sommes dirigés par des puissances financières apatrides. Il est possible de voir à ce sujet la vidéo « Trahison des institutions : la mort de l'Etat ? - Politique & Eco n°313 avec Valérie Bugault - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=sm4DJyZ_R7M
Ce scandale démocratique est d'autant plus évident lorsqu'on connaît son fonctionnement corrompu très bien expliqué dans cette vidéo « FR 0:15 / 16:12 Aubry, Mélenchon, Le Pen : faux votes, vrais scandales ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=W8FWThds--s
-France créant la monnaie de 15 pays africains et oppressant donc ces pays souvent jusqu'à l'appauvrissement pour bénéficier massivement de l'exploitation de leurs ressources, puisque les crédits (principal moyen de développement) accordés à ces pays sont seulement validés par la France voire l'Union Européenne dans une forme d'esclavage à cause de ce pervers privilège de création monétaire étranger, et sont souvent usuriers, insuffisants, ou en partie volés par la corruption politique africaine.
-ministre européiste Colonna, aligné sur les Américains, menaçant le Niger, sans se rendre compte qu’il outrepasse les lois internationales avec son ingérence dans les affaires intérieures d’un autre pays. Il est étonnant de remarquer que de plus ou moins loin, le retour du souverainisme en Afrique (Mali, Burkina Faso, Niger, etc) fait suite à la guerre en Libye. D'ailleurs finalement, les États-Unis ont formellement qualifié la prise de pouvoir des militaires au Niger cet été de « coup d’État » et annoncé, en conséquence, la suppression de quelque 500 millions de dollars d’aide économique. Or le Niger a appris à être résilient puisque l’héritage de la France de 100 ans de domination (néo)coloniale sur le Niger correspond à fournir 10% de l’électricité française par de l’uranium de pays africain, tandis que 85% de la population nigérienne n’a pas accès à l’électricité. Jusqu’ici les maîtres chanteurs oppressifs que sont les USA croyaient pouvoir se faire une place au Niger après le départ de la France et de ses institutions de ce pays, mais les choses ne se sont pas passées comme le prévoyait l’administration américaine. Les États-Unis ont conclu qu’un coup d’État militaire avait eu lieu au Niger. Conformément à l’article 7008 de la loi de crédits annuelle du département d’État, les États-Unis suspendent la plupart de leurs aides au gouvernement du Niger après avoir temporairement suspendu certains programmes d’aide étrangère au gouvernement du Niger, totalisant près de 200 millions de dollars.
Or après l'AES (Alliance des Etats du Sahel : Niger-Mali-Burkina Faso s'émancipant vers la souveraineté totale grâce à la Russie), le rêve des États-Unis d’Afrique se dessine. Et il serait donc étonnant que les pays musulmans ne s'unissent pas dans une fédération synonyme de califat, alors que les USA, l'URSS (devenue en partie la Russie), l'UE, la Russie, et possiblement bientôt l'Afrique y soient parvenus.
En effet à travers le monde, il y a un changement de paradigmes africain (contre le néocolonialisme occidental, culturel, économique, philosophique), européo-centriste, droite- gauche (contre Lgbt et wokisme) : les peuples reviennent à des réalités et à l'ordre naturel suite à avoir été occultés par l'universalisme idéologique laïciste (coup d'état républicain) pendant des années, qui refuse même les référendums, car il sait que le peuple va gifler son système. C'est un prolongement voire une similitude avec les changements de la guerre civilisationnelle en Ukraine, que souhaitent évidemment gagner la Russie, mais aussi l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du sud, car leurs valeurs naturelles sont similaires à celles de la Russie et en opposition à celles inversées de l'Occident Politique : c'est la civilisation coca-cola et Lgbt contre la civilisation des icônes et de la vertu, mais aussi la fin de l'ordre solide établi après 1945 dont grâce au droit international sérieux.

-Zelenski avec son alliance aux néonazis ukrainiens suprémacistes et Nethanyahou avec son parti Likoudnik suprémaciste juif étant les principaux risque de troisième guerre mondiale, alors qu'étant donc tous deux basés sur une radicale vision inégalitaire, raciale et illusoirement hégémonique puisque à une époque d'armes nucléaires. Pour régler ces problèmes, Poutine pourrait laisser les israéliens qui le veulent abandonner la Palestine pour recréer une Khazarie vers Odessa, puisque les ashkénazes sont issues de cette région, mais en la démilitarisant comme l'Ukraine.
-crises financières permettant indignement une concentration du capital par les grandes banques et multinationales et détruisant tyranniquement le marché libre essentiel selon le capitalisme et le monothéisme. En effet en rachetant les petites, moyennes ou faibles moyennes et grandes entreprises ainsi donc que leurs parts de marché et en imposant progressivement aux États de transformer leurs monnaies en monnaies numériques centralisées, la tyrannique centralisation financière et ploutocratique s'amplifie constamment.
-inféodation sordide de la presse aux puissances d’argent, qui tiennent les banques centrales, les vaccins, leurs effets secondaires, les politiques migratoires provocantes et aberrantes, le wokisme et l’agenda antisexuel (qui est un agenda malthusien ou pour mieux dire encore génocidaire).
-en Gironde 90 départs de feu quasi en même temps lors de l'été 2022, prouvant que cela provenait d'une organisation et non de pyromanes isolés. C'est comme les centaines d'entreprises agro-alimentaire qui ont brûlé en quelques semaines aux USA, ce qui a grandement favorisé la centralisation de ce secteur économique... En effet cette multiplication des départs de feu, alimentée par les médias et la psychose ambiante permet d'orienter l'opinion publique vers le terrorisme climatique et les mesures politiques favorisant l'oligarchie en vue du grand reset. Cette technique ressemble férocement aux départs de feux sociaux dans les banlieues françaises d'immigrées en octobre 2005, sous le protectorat du ministre de l'intérieur Nicolas Sarkozy, puisque cela lui profitera par la grande peur des bourgeois l'ayant élu président en 2007, c'est à dire après avoir choisi d'être le candidat grand pompier national contre le feu banlieusard (relire la théorie du triangle avec le sauveur, le bourreau et la victime). Cette ingénierie sociale qui consistait à faire monter les tensions, quitte à les provoquer, a donc fonctionné à merveille pour cet agent américano-sioniste. Ainsi à notre époque encore plus corrompue, ce type d'ingénierie sociale est de plus en plus utilisé dans de nombreux secteurs politiques.
« Or dans le cas des feux en Gironde, si l’incendie volontaire était compris comme un acte de grève par des français à des postes stratégiques, cela pourrait transformer le grand reset en grande révolution populaire. En effet si ces feux proviennent de pompiers congédiés pour non vaccination, syndiqués ou très remontés contre la politique gouvernementale et le corps des officiers, alors tout le système saute. C'est à dire que dans ces conditions, allumer un feu, non seulement cela fait du bien aux sapeurs pompiers qui se sont engagés pour combattre le feu et qui en ont marre de ramasser des SDF ivres ou des pendus victimes du néolibéralisme, mais en plus cela fait avancer leurs revendications syndicales, puisque en évoquant obligatoirement ce sujet les médias du système rappelleraient inévitablement la réalité des sous-effectifs et mettraient mécaniquement, par l’effet de masse populaire (c'est à dire involontairement alors qu’ils sont inféodés au pouvoir visible), la pression sur le gouvernement qui s'en retrouverait coincé. C’est le principe de la grève dans les usines ou les services publics : mettre la pression sur les dirigeants économiques ou responsables politiques, qui en l’occurrence sont très liés. Dans ce cas, l’acte (criminel) d’allumer un feu fait prendre conscience au grand public et aux médias du système délétère qui rend le travail des pompiers de plus en plus difficile. On peut donc dire que la politique de désorganisation extrêmement risquée de la sécurité civile a pour résultat la série d'incontrôlables incendies volontaires (ou involontaires) qui font péter le système de gestion informatique mondialiste qui tient sur la loi des non-séries et sur au moins un minimum de contrôle. Une théorie pas tirée par les cheveux : des pompiers nous l’ont chuchotée à demi-mot. Allumer un feu, c’est accentuer la faiblesse du système, la multiplication des incendies en série ayant le même effet qu’une grève nationale. Il y a donc des pyromanes « politiques » parmi les pompiers, c’est-à-dire des « attentats » contre l’oligarchie terroriste de l’Intérieur et de la Défense soumis anti-patriotiquement au mondialisme, puisque les pompiers sont avant tout des soldats, mais du feu. » (Rédaction ER)
-rachat à travers des sociétés écrans de nombreuses actions par la société les produisant pour les revendre plus chères.
-au sein des nations développées occidentales esprit politique souvent anti-industriel et anti-scientifique pour le profit des multinationales produisant dans des pays pauvres. En effet la vérité scientifique ne prime plus, c’est le « consensus » qui prime ; et un consensus (en plus souvent prétendu ou incomplet), ça s’achète ou se gagne dont par l'argent ou la manipulation... Détournée par le marketing et la propagande, la recherche scientifique n'arrive pas à trouver sa place dans les médias. La politique, elle, s'inspire largement de ces deux techniques, car les procédés sont les mêmes pour la vente d'un produit et la vente d'un consensus. Le nazi Joseph Goebbels du troisième Reich a dit : « À force de répétitions et à l’aide d’une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible de prouver qu’un carré est en fait un cercle. » Plus récemment, Luc Dupont, professeur à l’Université d’Ottawa explique : « Mener une campagne publicitaire, cela signifie frapper sur le même clou pendant des semaines, voire des mois. » Il affirme même que ce type de manipulation existait déjà à l'époque de Napoléon. D'ailleurs pour nous soyons guidés régulièrement dans la noblesse, le Coran évoque l'importance du rappel de Dieu dont à travers la tradition prophétique.
-problème posé par le fait que les hauts fonctionnaires sortent tous d'une seule école qui est L'ISP (ayant remplacé l'ENA), car ayant donc la main mise sur la France alors que pourtant ça ne marche pas politiquement, socialement et économiquement depuis plusieurs décennies.
-nombreux policiers hautement gradés présents chez les francs-maçons. Ainsi on ne peut même pas parler de collusion ou d’interpénétration, mais plutôt affirmer que les grandes loges sont des succursales du renseignement.
-privatisation des services publiques dont à travers des cliniques privées, des armées privées et même des firmes privées pouvant déjà arrêter des personnes n'ayant pas payé des amendes. Le mondialisme à la domination entièrement privée n'est pas impossible puisque « la compagnie anglaise des indes orientales » créée en 1600 (et qui était une union d'entreprises ayant construit un empire marchand de comptoirs et d'escales sur le littoral de l'océan Indien dans une économie du privilège dont en étant exemptée de taxes et en ayant le monopole exclusif du commerce oriental pendant 50 ans) puis sa grande armée privée étaient plus forte que n'importe quelle nation. D'ailleurs grâce à elles du 16e au 19e siècle, cela a permis aux États européens de démultiplier leurs échanges maritimes avec l'Asie et de se placer au centre de l'économie mondiale, car elles transportaient les richesses produites sur tous les continents, et multipliaient les échanges de marchandises et d'hommes.   
-armées, unités de renseignement et services spéciaux appartenant donc souvent à plusieurs entreprises privées. Dans un rapport exclusif, le magazine américain Newsweek fait la lumière sur une armée américaine secrète qui compte près de 60 000 personnes. Ces dizaines de milliers de personnes font partie d’un vaste programme baptisé « Réduction de signature » (signature reduction). Cette force soutenue par quelque 130 entreprises privées, ainsi que des dizaines d’organisations gouvernementales peu connues est chargée de tout un éventail de missions. Il est possible de lire l'article complet à l'adresse https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202105171045614037-les-usa-auraient-mis-en-place-une-force-clandestine-de-quelque-60000-hommes/
-lors du dernier sommet du G7 fin juin 2022, choix des dirigeants occidentaux de confier au Canada et à la Carnegie Endowment for International Peace le soin de combattre la propagande russe sur la question ukrainienne. En effet ce recours à une fondation américaine de droit privé pour conduire une mission politiquement aussi sensible étonne. Il s’explique simplement par les liens privilégiés que cette officine entretient avec la CIA et avec le Deep State américain, lequel a trouvé ici un moyen commode de mettre les médias occidentaux sous tutelle. En effet selon les chiffres fournis par le rapport, Facebook et l’Open Society Foundation de George Soros lui ont donné entre 1 et 2 millions de dollars, comme la Fondation Gates, comme Microsoft, comme Google, comme les gouvernement américain, britannique, norvégien, japonais, suédois, allemand, canadien, indien, palestinien et taïwanais. La Carnegie Endowment est en plus dirigée par des éminences démocrates, et son Président jusqu’en 2021, est même devenu directeur de la CIA grâce à l’ancien vice-président d’Obama, devenu entre-temps Président des Etats-Unis. Mais bien entendu, la Carnegie Endowment est présenté comme un think-tank indépendant et non-partisan... On comprend ici que la Carnegie Endowment n’a pas été choisie par hasard par le G7 pour mener la guerre contre la propagande russe, ou plutôt la propagande contre la Russie. Il s’agit d’une structure souple, agile, et parfaitement sous contrôle de l’aile démocrate du Deep State, ce qui n’est probablement pas le cas du Global Engagement Center créé en 2017 pour assumer cette mission, puisque étant délibérément torpillé par les démocrates. En outre, l’ancien président de la Carnegie Endowment peut facilement mobiliser celle-ci pour la charger des missions que la CIA peine à exécuter, faute d’un savoir-faire éprouvé. C’est la conception américaine du soft power : les missions de service public, même lorsqu’elles sont régaliennes, sont confiées à des organismes extérieurs et opaques, dont l’intérêt premier est d’échapper au contrôle du Sénat et de permettre des opérations « spéciales » qu’une démocratie ne peut d’ordinaire se permettre. Le soft power d’un pays repose aussi principalement sur quatre sources : la culture, la qualité économique (dont force économique), les valeurs politiques et la politique étrangère. Or pour diviser la coopération entre la Russie, la Chine et le monde arabo-musulman au profit de l'Occident, les USA utilisent plus le soft power du cinéma et des médias. Par conséquent il est important d'y répondre en partie de la même manière dont pour permettre à travers des chaînes TV des dialogues entre intellectuels et politiciens de divers pays et peuples synonymes de fenêtres sur leurs caractéristiques en faisant attention en ne pas diviser mais coopérer, mais en sachant qu'il est impossible battre celui US, que chaque peuple a sa culture à tolérer voire respecter et à prendre en compte dans le monde multipolaire, et que face à l'hegemon américano-sioniste il vaut mieux privilégier le hard power économique comme la Chine voire militaire comme la Russie, tout en étant ouvert au tourisme quand c'est possible pour faire mentir le soft power mensonger et manipulateur US. Dans la pratique, la Carnegie Endowment prône une gouvernance mondiale où les USA et la Chine joueraient un rôle leader en coopérant pour défendre la paix. Or une certitude se dégage : la stratégie de l’Occident est aujourd’hui en réalité incertaine, car il existe un pôle au sein du gouvernement profond qui préconise une lutte à mort contre la Russie en prenant soin de l’isoler de la Chine. Cette évolution par rapport à la doctrine Kissinger est probablement en cours d’évolution. En effet les Américains, trop sûrs d’eux et de leur domination éternelle, n’ont pas vu qu’ils ne pourraient pas toujours tenir sur tous les fronts à la fois dont de l’Europe de l’est, du proche orient et de la mer de Chine. Ils ont d'ailleurs lâché l'Afghanistan et une partie du Proche-Orient dont en laissant en partie Israël se débrouiller avec ses voisins.
-technocrates dirigeants des instituts de recherche à la place de scientifiques.
-esprit de recherche et d'innovation freiné par un conformisme intellectuel dont dès l'éducation nationale et par la rigueur académique. Il est d'ailleurs intéressant de regarder différentes expériences sur le conformisme (comme l'expérience Milgram) pouvant apparaître ou être utilisé perversement dans tous les secteurs d'activités même au niveau du contrôle social par des gouvernements corrompus. D'ailleurs la liberté académique est presque totalement restreinte en rapport avec le wokisme, et en réalité tous les éléments composant la nation sont de plus en plus encadrés culturellement par le système dans une forme de pensée unique.
« J’ai beaucoup de liberté parce que je suis prix Nobel. Et comme je suis en plus à la retraite, je ne dépends plus de l’université ni de l’institut Pasteur, et je m’exprime donc vraiment sans aucune contrainte, ni pression. Mais je considère que je suis un privilégié parce que beaucoup de mes jeunes collègues n’ont pas cette liberté car ils sont dans un système qui les oblige, pour maintenir leur position, à accepter sinon des mensonges, au moins des mensonges par omission. » (Pr Luc Montagnier)
-musulmans renfermés sur eux-même dans leurs quartiers en Occident à cause d'une non ouverture occidentale envers eux même au niveau économique amenant à la radicalisation islamiste dont donc aussi par leur complexe d'infériorité.
-cursus académique (et enseignement scolaire) ne servant donc généralement pas à augmenter le niveau de savoir des gens mais leur niveau de conformité, tout empêchant donc la pensée critique (en particulier contre le progressisme woke) qui était pourtant autrefois un élément fondamental des universités américaines.
-FMI imposant à de nombreuses nations endettées comme conditions de prêts, des réajustements structurels défavorables aux peuples au profit de la caste mondialisée ultra riche (grosses banques, grands gestionnaires de fonds d'actifs massifs, multinationales, GAFAM, complexe militaro-industriel) sous forme de chantage économique et d'austérité. C'est à dire que demandant toujours plus de libéralisme économique contre du financement pour préserver le pays.
-pouvoir économique d'abord financier contrôlant donc presque totalement le pouvoir politique. Surtout que si l’État finit par ne plus pouvoir rembourser de dette, il ne pourra plus payer ses fonctionnaires et devra se vendre à la découpe. Ainsi le projet de nos gouvernants est-il réellement de réduire la dette qui nous rend esclave de leur système ?
-les trois grandes agences de notation, S&P, Moody’s et Fitch, se montrant particulièrement influentes lors des élections d'une nation et s'ingérant donc souvent dans la vie politique des nations.

-les agences de notation, les banques spéculatives, les organisations supranationales et les grandes multinationales dirigeant donc aussi l'économie de nombreux pays au détriment de leur pouvoir politique et des volontés populaires, et mettant en péril la société puisque elles rachètent fréquemment des secteurs publics dans une période où tout s'automatise avec internet et où le besoin de payer des personnes physiques devient ainsi moins important. En effet pour cupidement gagner toujours plus de bénéfices, elles réinvestissent peu dans la qualité de ces services publics essentiels à la société, puisque n'ayant souvent pas de compte à rendre à l’État et au peuple. Surtout que la qualité et les emplois de ces services publics sont aussi diminués à travers la diminution des régions par un regroupement au niveau administratif.
Dans ce sens, il n'est pas étonnant que ce système espère parvenir à dominer le monde par des monopoles privés sous forme de consortiums politiques. Or ces monopoles ou oligopoles (très peu de vendeurs pour beaucoup d'acheteur) n'ayant pas de concurrence et recherchant généralement le profit maximum pour une poignée d'actionnaires ultra-riches, elles organisent l'augmentation des prix tout en diminuant la qualité, ce qui prouve que la privatisation à outrance est très nocive pour une nation. A ce sujet il est intéressant de voir l'excellente vidéo « CE QU'ON NE VOUS DIT JAMAIS SUR l'ÉTAT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=oqn5K89L7d8&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Pour comprendre le monde actuel qui perd ses repères à travers l'oubli de sa religion, de la famille traditionnelle, de ses valeurs, de sa politique, de son économie, de sa souveraineté et de son histoire au profit des multinationales privées, il suffit de savoir que par manque d'argent une station de métro de Rio est désormais appelé Coca-cola. Surtout qu'en plus, les grandes multinationales sont souvent honteusement exonérées d'impôts, dont jusqu'à mille milliards d'Euros en Europe, par la corruption ou par un chantage aux nombreux emplois qu'elles fournissent pourtant de moins en moins, puisque se servant de plus en plus de pots-de-vin, de l'automatisation pour la production, de la délocalisation pour la fabrication, de la main d’œuvre étrangère pour baisser les salaires et de comptes sur internet pour les services, alors qu'ils leur arrivent souvent de licencier des employés malgré souvent d'énormes bénéfices qui devraient en plus être taxés d'au moins 5 % pour la justice sociale, voire des aides gouvernementales comme lors de la crise sanitaire et de celle des subprimes. En effet en automatisant voire robotisant de plus en plus les services et l'industrie, en confiant la fabrication à des usines dans des pays du tiers-monde où le prix de la main d’œuvre est bas et l'utilisation d'enfant est fréquente, ces multinationales font diminuer l'emploi en occident et rendent les riches de plus en plus riches et les pauvres et la classe moyenne entrepreneuriales de plus en plus pauvres. Par conséquent un a un, les acquis des siècles de lutte politique et syndicale, rebaptisés « privilèges », « avantages » ou « anomalies » par les ultra-libéraux oligarques mondialiste sans honneur, sont joyeusement sabrés par cette nouvelle élite affairiste internationale décomplexée.
Or suite au réveil des peuples et au risque de chaos généralisé, tout cela pourrait finalement servir à un nécessaire changement d'outil paradigmatique purificateur de l'économie mondiale dont à travers la blockchain décentralisée, la cryptomonnaie décentralisée, et le revenu minimum universel. En effet par rapport au manque de compréhension, de connaissance, de volonté, de préparation et d'organisation populaires devant pourtant actuellement changer nécessairement de paradigme pour l'amélioration voire la préservation de la paix sociale, il semblerait que cela ne puisse commencer que par la continuité du plan occulte des élites mondialistes corrompues, c'est à dire afin que ces outils modernes de ce nouveau système servent ensuite honnêtement l'Eden terrestre complété. Ça serait encore un énième voire ultime mal pour un bien dans le scénario divin de la Création.
Tout cela est difficile à comprendre car le Capital déjà obèse ne cesse pourtant d’enfler vertigineusement. Les fortunes indécentes et inutiles vomissent en cascades des comptes en banque des oligarques parasitaires souvent apatrides du CAC 40 (Bourse) complètement déconnecté de l'économie réelle et la détruisant.
Ici on peut se demander quand un pays a été définitivement mis en esclavage au profit d'intérêts privés ou d'organisations supranationales comme l'Union Européenne. D'abord, il faut bien sûr lui supprimer sa monnaie (chose faite), obtenir la gestion de ses banques (chose faite), lui voler sa Bourse (chose faite), et au final lui détruire toute imprimerie high-tech (comme c'est le cas pour l’usine Arjowiggins de Crèvecœur en Seine et Marne) qui lui permettrait de fabriquer de nouveaux billets de banque nationaux si par malheur (du point de vue de tous les idolâtres européistes ou mondialistes), il lui venait la mauvaise idée de reprendre son indépendance.
Les ultra-riches mondialistes sont tellement avides que souvent par manque de foi, les infirmières se suicident, les policiers se suicident, les paysans se suicident, les profs se suicident, les cheminots se suicident, les chômeurs se suicident, et les étudiants se suicident. Il est possible de voir à ce sujet l'article « Décadence de l’Occident Par qui et pour qui ? » à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Decadence-de-l-Occident-57132.html
C'est pourquoi le Covid-19, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Ukraine et la guerre en Palestine sont utilisés à détourner l'attention de cette réalité. Ils sont invoqués tour à tour pour légitimer les dépressions, les suicides, la crise économique. Tout est bon pour éviter de pointer du doigt les décisions politiques désastreuses et le néolibéralisme wokiste qui sont la véritable cause de ces victimes collatérales.
De même les réflexions sur les processus mondiaux ou nationaux au niveau climatique, politique, économique, sur lesquels nous n’avons pas ou peu d’influence, servent à éclipser le plus important. Comment prier correctement ? Comment construire une relation avec Dieu ? Comment ne pas juger et espérer la guidée pour tous ? Tout d’abord, nous devons chercher des réponses à ces questions, car c’est ce que nous pouvons influencer.
Or pour pouvoir devenir très riches afin de dépenser pieusement dans le bien commun plus que les très riches impies dans le mal privé, comme ce sera probablement le cas pour certains à la proche fin des temps afin de combattre l'injustice voire sauver l'humanité, il faut devenir une élite morale religieuse parfois suite à des épreuves particulières difficiles, à un grand cœur obtenu par une noble éducation, à un suivi fréquent de la tradition prophétique, à un rapprochement profond de Dieu, ou/et à une prédication inconditionnelle à travers le bonne parole et de nombreuses bonnes actions.
-les états démocratiques déficitaires ou hommes politiques ne parvenant jamais à équilibrer les comptes de leur budget, ne pouvant donc plus ni gouverner ni faire campagne sans grossir ses dettes auprès des banques privées et des grandes sociétés d'investissement, et ne pouvant donc les supprimer, et se faisant donc acheter ou se soumettant à elles par leur influence, mais aussi aux multinationales, aux actionnaires et à leur oppression mondiale, comme le prouve la crise financière de 2008 dont le système bancaire a été sauvé par les contribuables, après avoir pourtant fait perdre l'emploi et leur vie stable à des millions de citoyens dont à travers la perte de maisons. Comme s'il devait y avoir forcément des gagnants et des perdants, alors qu'avec plus de modestie, de compassion, de modération et de sagesse, nous pourrions tous vivre dans une harmonieuse coexistence.
Ainsi, on n'attend évidemment pas des grandes banques qu'elles misent sur la faillite de pays, de populations ou de grandes entreprises comme beaucoup le font actuellement, mais qu'elles financent dans l'économie réelle les investissements durables et rentables non pas pour satisfaire les marchés ou la finance casino, mais pour le bien commun, l'écologie et donc la satisfaction des peuples. D'ailleurs le mouvement pacifique « Occupy Wall-Street » de 2011 a désigné les banques, les banquiers et la  la haute finance comme responsables pour 2008, et contesté les abus du capitalisme financier. Mais le cas Kerviel a encore montré que l'hyerclasse dit aux européens que certaines banques sont too big to fail et qu'en cas de leur faillite, ce sont donc les pays et ainsi les contribuables qui paieront tels des esclaves.
Surtout que l'économie réelle étant basée sur des mois voire des années, il est encore plus honteux que par rapport à la période suivant la fin de la deuxième guerre mondiale, dans laquelle un actionnaire devait conserver en moyenne une action cinq ans à travers une nécessaire honnêteté d'investissement dans un projet entrepreneurial, désormais ce temps moyen de conservation, par une loi totalement incompréhensible ayant autorisé le trading à haute fréquence, soit possiblement passé à une minute puis jusqu'à la conservation folle d'une simple micro seconde gérée par des algorithmes. Ce qui prouve nettement le déplorable basculement dans la cupidité au détriment de la réussite commune et dans la priorité pour l'argent sur l'humain. Ceci prouvant aussi encore que pour de plus gros bénéfices des grands actionnaires, la privatisation n'a pas pour essence d'améliorer la société, les services publics et les entreprises étatiques, puisqu'elle cherchera à baisser toujours plus lucrativement le nombre d'employés, le coût de l’entretien, et donc la qualité en général.
Encore dans le domaine de cette finance casino, les marchés financiers (Bourses) ne remplissent plus leur rôle, car ils ne sont plus des marchés où les entreprises vont trouver de l’argent pour financer des activités saines à long terme, puisqu'ils sont désormais des instruments de pari et de jeu d'argent en plus trafiqués avec le trading à haute fréquence. Il est donc urgent de revenir à une finance basée sur le réel. Surtout qu'en ajoutant à la finance casino l'immigration de masse, les salaires et retraites stagnent voire baissent inévitablement.
Et quand les contribuables doivent en plus assurer les faillites des grandes banques privées n'hésitant pas à miser sur notre faillite ou celle de pays, c'est à dire sans aucun risque pour elles sous prétexte qu'elles sont trop importantes à la société pour disparaître (Banques Too Big To Fail, Trop Grosses Pour Echouer car supportant prétendument vitalement un pays puisque n'existant plus de banque nationale ni seulement de dépôt), et donc en devenant une tyrannie totalitaire, le monde tourne vraiment à l'envers puisque faisant évaporer la justice et ainsi matérialiser la possibilité de conflit. D'autant plus donc qu'uniquement les pertes de ces grandes banques sont socialisées (mutualisées, nationalisées) comme lors de la grave crise financière des subprimes de 2008, alors que leurs gains sont privatisés. Ainsi comme il n'y a plus de risque qui justifie le profit dans le capitalisme, cela signifie la fin du capitalisme actuel, comme le prouvent l'utilisation de la crise du Covid, l'inflation et la guerre en Ukraine servant le projet du grand reset du forum économique de Davos qui veut terminer la centralisation de toute l'économie vers les ultra riches mondialistes et sionistes. Surtout que les faillites des petites et moyennes banques, l'apparition des banques centrales et l'euro numérique à venir annoncent une amplification de la centralisation financière et un changement des banques traditionnelles même too big to fail. En effet le but caché des monnaies numériques créées, régies et centralisées par les banques centrales privées est de leur donner un grand contrôle. D'ailleurs l'établissement de l'Euro numérique pourrait être en partie momentanément synonyme de réussite du grand reset mondialiste.
Ceci signifiant qu'en plus avec le rachat de nombreuses obligations aux banques et de nombreuses actions aux entreprises dont multinationales par les banques centrales comme la BCE, il s'agit bien d'une socialisation et donc d'une supranationalisation de l'économie internationale synonyme de tyrannie oligarchique mondialiste, surtout donc quand c'est une banque centrale utilisée par plusieurs pays comme la BCE. Il faut noter que l'étape suivante du nouvel ordre mondial lors des prochains cracks financiers sera probablement le rachat entier des dettes nationales par des puissances étrangères ou privées.

Extraits de l'excellent article « Les mondialistes vont avoir besoin d’un virus plus létal... au fur et à mesure que la fraude économique sera exposée » consultable à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-mondialistes-vont-avoir-besoin-d-un-virus-plus-letal-63053.html :
« Le vieux mantra « Too big to fail » est un mensonge. Rien n’est trop grand pour faire faillite, et cela inclut l’économie américaine et le dollar. Il suffit d’un seul instant, voire d’une simple révélation que le système du schéma de Ponzi est non pas imparable mais insoutenable. Sans une croissance tangible du secteur manufacturier et une classe moyenne forte, une économie ne peut pas survivre longtemps. Un système en perte de vitesse basé sur des « produits financiers » illusoires et une comptabilité créative est condamné à s’effondrer à terme. Il a suffi que le FMI critique les politiques qu’il avait initialement approuvées et annonce qu’il supprimait l’aide financière, et l’enfer s’est déchaîné en Argentine. L’idée que le système est une fraude, mais fonctionne, a disparu. En effet le monde sait maintenant qu’il s’agit d’une fraude dysfonctionnelle et que l’effondrement ne saurait être très loin. En outre, la collusion entre les banques, les fonds spéculatifs et les grandes entreprises technologiques a été révélée de manière flagrante. Ces relations sont censées rester cachées dans l’éther. Elles sont évidentes pour toute personne ayant des connaissances et un sens financier, mais elles ne sont pas censées être dévoilées au grand jour. Certains pourraient dire que l’establishment a été forcé de se démasquer (avec le Covid) suite à l’action d’activistes. Peut-être. Mais lorsque les criminels commencent à admettre ouvertement leurs crimes, c’est probablement parce qu’ils pensent qu’il est trop tard pour que quiconque puisse faire quoi que ce soit. Le fait est que les banquiers et les mondialistes ont des moyens pour éviter d’assumer la responsabilité des catastrophes qu’ils provoquent. En effet lorsqu’une escroquerie éclate, ils ont toujours des boucs émissaires pour porter le chapeau. Surtout qu'avec le temps, cela a créé une dynamique viciée dans laquelle les élites financières qui ont construit l’économie comme une bombe à retardement sont traitées comme des victimes ou des héros, et les personnes qui disent la vérité sur les fraudes sont traitées comme des méchants et des criminels. Les activistes des marchés boursiers et les guérilleros des marchés de l’argent sont-ils responsables de toute crise qui pourrait éclater dans un avenir proche ? Non, bien sûr que non, mais ils auraient pu être quand même blâmés. En effet si le krach s'était produit lors de la présidence de Trump, les investisseurs militants auraient pu être blâmés, Trump aurait pu être blâmé, et les conservateurs et les militants de la liberté aurait pu être blâmés. Mais si le Big Krach se produit avec les mondialistes aux commandes, ils seront légitimement les seuls à être blâmés. »
Cette dernière analyse rejoint celle de Youssef Hindi ayant dit qu'il vaut mieux que Macron et la Banque soient au pouvoir quand l'effondrement économique arrivera. Par conséquent le vol de la présidence à Trump pourrait aussi être un mal pour un bien organisé par Dieu.
De plus cette finance visible profitant de ce système corrompu représente seulement 0.01 % de la population, alors que les autres 99.99 % invisibles en subissent les mauvaises conséquences, et que l'inverse serait déjà totalement injuste. Tout cela étant aussi gravement injuste et bas que la plupart des journalistes qui cachent ces vérités et participent donc au mensonge, à la corruption, à la manipulation, à la division et au chaos, alors qu'ils sont pourtant souvent subventionnés par l'Etat et donc les contribuables.
A ce sujet il paraît très étonnant que les politiciens ayant très mal géré l'Etat ne soient pas écartés définitivement du pouvoir, et qu'on demande toujours au peuple de payer ou de vivre moins bien pour réparer leurs erreurs. Ainsi ceux qui ne sont pas contre tout ce système corrompu, en se satisfaisant donc d'être des esclaves soumis à ce pervers pouvoir des banques, des oligarchies, des mondialistes, des wokistes, des sionistes et de divers lobbies, plutôt qu'à l'irréprochable sagesse divine, reconnaîtront au Jour du Jugement Dernier leur valeur inférieure à celle des déchets. Il est est intéressant de lire à ce sujet l'article « La domination bancaire en cinq étapes » à l'adresse suivante http://lesakerfrancophone.fr/les-5-etapes-de-la-domination-mondiale

-assemblées nationales ne représentant plus majoritairement le peuple sur certains sujets, à cause d'un système d'élection représentative divisant le peuple plus que le liant, et des députés ou présidents étant souvent commandés par leur partis politiques ou des groupes de pressions, votant certaines lois souvent par des absences, ou validant certaines politiques nationales ou internationales que seuls des référendums devraient valider. Les franc-maçons représentent même 40% des parlementaires alors qu'ils sont 0,34 % des électeurs. Les franc-maçons e leurs idées ont donc participé à élaborer la doctrine révolutionnaire puis les lois validant l'avortement, la crémation, le mariage homosexuel, le lgbtisme et l'euthanasie, alors qu'ils représentent 0.34 % des Français et pourtant 30 à 40 % de l'assemblée nationale, et votent donc pour 99.6 % des français. Par conséquent, ce système est clairement anti-démocratique surtout que seulement qu'au sein de la franc-maçonnerie, seuls les maîtres des degrés supérieurs décident et connaissent le sens réel des symboles maçonniques ainsi que sa véritable finalité. En sachant qu'il y avait déjà 30 % de conventionnels et constituants après 1789, alors que leurs idées politiques ont donc été sous-tendues jusqu'à nos jour par la doctrine ésotérique de la franc-maçonnerie en particulier du Rite écossais Ancien et Accepté.

-grands gestionnaires de fonds privés massifs type Blackrock et Vanguard (aussi de plus en plus too big to fail de même donc que les nations hébergeant leur siège social) s'occupant encore sous une forme de mondialisme privé des retraites de certaines nations et contrôlant même les banques centrales en gérant environ un tiers du capital d'investissement mondial. Et derrière Big Pharma, il y a aussi Black Rock et Vanguard, ce qui prouve le totalitarisme de la haute finance internationale. Surtout que cela est en plus associé au totalitarisme du Big Tech qui ne paye pas d’impôts chez nous et se fait un profit massif sur la numérisation de l’économie, c’est-à-dire par sa destruction de l’économie productive et réelle en faveur d’une économie virtuelle de services.
Thierry Meyssan explique que la France est en train de vivre un changement profond, comparable à la période qui a vu la fin de l’Ancien Régime et l’avènement de la société contemporaine. Ce bouleversement, qui devrait durer environ une quinzaine d’années, est lié à la nécessité de passer d’une société organisée sur le mode industriel à une économie digitale. Selon lui, ce bouleversement est comparable à la Révolution française et au Directoire, qui ont également duré une quinzaine d’années. Il souligne également que la redistribution des richesses n’est pas la solution aux problèmes actuels de la France (sauf pour les bas salaires quoiqu'en plus il y a d'abord l'endettement à rembourser). Selon lui, il est nécessaire de redistribuer les fonctions dans la société comme Napoléon choisit le mérite pour attribuer les hautes fonctions et plus la naissance, même s'il a repris ensuite des nobles puisque quand ces derniers étaient compétents, ce qui constitue un bouleversement majeur.
De plus honteusement avec internet et les réseaux sociaux, ce Big Tech partage lucrativement avec les gouvernements corrompus, les données tirées de la surveillance de tout citoyen dont de récalcitrants à ce totalitarisme bancaire, sanitaire, financier, économique, mondialiste, wokiste, sioniste et ploutocratique.

-grand reset financier recherché prétendument pour effacer les dettes, alors qu'elle seront seulement diminuées avec la condition honteuse que le pouvoir des ultra riches mondialistes augmente beaucoup dont au niveau supranational, même au détriment des autres.
Alors qu’en temps normal il suffit d’une petite proposition de loi (liberticide ou antipopulaire) sur un sujet mineur pour déclencher les foudres des syndicats, le soulèvement des partis, les hurlements des députés et les pétitions des people, et que là la France plonge dans les profondeurs d’une crise économico-sociale sans précédent amenant à ce grand reset, l’opposition officielle regarde ailleurs. C’est tellement surréaliste qu’on a du mal à y croire. Rares sont les personnalités politico-médiatiques qui osent dire tout simplement aux Français, en état de sidération durable, ce qu’il se passe vraiment : on bascule dans la tyrannie mondialiste d’une collusion entre multinationales, institutions mondialistes ou européistes et gouvernements corrompus. Ces derniers étaient depuis des années secoués par l’insoumission des peuples dont les gilets jaunes, des peuples régénérés et regonflés politiquement par les échanges horizontaux structurants sur l’Internet, qu’ils ont fini par opter pour le pire : détruire la démocratie (ou ce qu’il en restait) par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, afin de diminuer la contestation, imposer leurs décisions sataniques, appauvrir le pays pour conserver leur pouvoir, étouffer la liberté d’expression pour garder la main sur la parole publique, et actionner la répression à la moindre demande de justice. Avant que ces potentats ne finissent dans les poubelles ou les fosses de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû sortir (mais ils ne sont que le salaire de l’ignorance et de la crédulité des peuples), il faudra résister en bloc, échanger sous les radars et organiser la défense. Dans la guerre désormais ouverte entre une oligarchie déchaînée et les peuple, les français disposent de plusieurs armes :
.le nombre : la plupart des Français vaccinés ne l’ont pas fait pour des raisons sanitaires ou parce qu’ils croyaient à la propagande politico-médicale, mais bien parce qu’ils voulaient continuer à vivre normalement ;
.les réseaux sociaux : même s’ils sont soumis à une censure inégalée, ils sont acquis à la résistance ;
.la rue : les manifestations maintiennent la pression et entretiennent le sens du collectif ;
.le travail de conscientisation politique et d'amélioration religieuse.
C'est important car comme Jean-Paul Brighelli l'a dit : « Le Covid est la maladie qu’attendait le post-libéralisme. Un prétexte pour restructurer complètement l’économie capitaliste. »
En effet il ne s'agit pas d'une remise à zéro de l’économie pour de meilleurs conditions de travail ou de vie, c’est un anéantissement des forces économiques dites traditionnelles pour laisser la place à la néo ou post économie, celle qui satisfait la Banque et le pouvoir profond. Le système veut répandre cela comme une transition vers une nouvelle normalité basée entre la crise financière, le Covid, le vaccin, l'inflation, la sionisme, le wokisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, l'effondrement économique et l'acceptation des peuples. La même chose s’est opérée aux États-Unis au début du 20e siècle quand l’organisation traditionnelle économique, basée sur des cellules de production familiales, a dû laisser la place, par la force et par la publicité (du pseudo bonheur vanté par les magazines), au grand esclavage du travail industriel, qui a fait sortir le fier artisan de chez lui pour le transformer en ouvrier éteint contrôlable par le salariat, cet esclavage rémunéré. Stuart Ewen a décrit ce processus de destruction à la fois sociale, économique et humaine, ce premier Grand Reset de l’époque dite moderne, dans son ouvrage « La Société de l’indécence ». Mais comme cela a au final facilité le progrès scientifique et donc amené le confort, cela n'a donc rien à voir avec la tyrannie oligarchique en plus possiblement populicide du grand reset. De plus ce futur grand reset serait prétendument aussi un changement de paradigme vers un monde numérisé beaucoup plus écologique et moins consommateur dont d'énergie, alors que la demande en pétrole revient fortement et le prix du gaz permettant de ne pas avoir froid l'hiver augmente.
Pour s'établir en faveur de la tyrannie du big money, ce grand reset se sert du big tech, du big brother, du big data, du big market, du big buisness, du big bank, du big pharma et du big média.
Ainsi toutes les longues crises économico-sociales sont d'abord le seul moyen d'affaiblir les grandes économies et donc nations car cela détruit leurs mécanismes de défense, afin de les faire accepter plus facilement l'agenda du grand reset unipolaire mondialiste dont avec les petites qui suivront servilement, sauf si ces grandes et petites nations s'orientent vers la multipolarité proposée par l'axe russo-chinois. Et comme ce grand reset, qui est un renforcement déguisé du système mondialiste actuel, devra se faire en rapport avec les aspirations populaires, les crises entretenues et donc prolongées comme celles du Covid (occidentale), de l'inflation et de la guerre en Ukraine sont aussi des ingénieries sociales servant à fatiguer les peuples pour diminuer ces aspirations. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'ARNAQUE du Grand Reset » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ&t=328s
Extrait de l'interview de Lucien Cerise à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-Nous-allons-entrer-dans-le-royaume-de-la-deglingue-definitive-et-de-l-effondrement-62824.html :
« Une ingénierie sociale et une fabrique de l’opinion sont clairement en cours avec la grande réinitialisation de l'économie et de nos cerveaux par le système. Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Son action est le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution.
(Dans ce sens, la tyrannie masquée crée le chaos car le peuple réclame toujours l'ordre et donc son autorité, au moins le temps que cette manipulation se révèle clairement, et le pouvoir oligarchique qui est contre les français divise ces derniers pour que lui ne se soit pas considéré comme leur ennemi principal.)
En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. Or pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus. Ce que l’on appelle le « risque » est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Selon Ellen Brown c’est ce cercle de représentants des banques centrales des G7 et de Black Rock qui se voit plusieurs fois en semaine à New York qui serait responsable de l’application et de l’extension du confinement Covid et des mesures Covid. Cela s’est passé presque simultanément dans un très grand nombre de pays qui sont sous tutelle des G7 à partir de mars 2020. Donc les explications sociologiques et psychologiques sont intéressantes, mais il faut aussi regarder les conditions économiques et financières qui sont déterminantes. Et arrêtons de trop exagérer l’importance de Davos. Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif. De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire. … Le monde peut donc sombrer dans l’inintelligence artificielle pouvant avoir de bugs ou être trafiquée et le stade terminal de l’idiocratie si les pieux ne s’approprient pas la blockhain et la cryptomonnaie décentralisée synonyme de perfection économique. Surtout qu'avec le covid, le mondialisme supranational ploutocratique peut désigner l’abolition de toute régulation commerciale d'une nation possiblement jusqu'à l'interdiction de la liberté d'entreprendre. »
Or avec l’aide des Big Data et des nouvelles technologies, l’OTAN entend même modifier non pas ce que pensent les individus mais leur manière de penser, et ainsi faire de tout un chacun une arme.  De même les mondialistes du forum de Davos vont se servir du Big Data pour tenter d’arriver à leur fin comme le prouve cette citation de la revue « The Economiste » qui est lié au Rothschild : « les données sont plus précieuses que le pétrole. » Or comme le Big Bata prouve que l'information est une richesse et les réseaux sociaux la maîtrise de plus en plus, cela signifie que les américano-sionistes et mondialistes la perdent et qu'ils n'ont plus que l'argent comme avantage, et sont donc affaiblis. Dans l'essai « Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle » issu d’un think tank, l’OTAN dresse les contours d’un virage stratégique majeur qu’elle s’apprête à effectuer. Jusqu’à présent, l’organisation transatlantique définissait cinq domaines opérationnels pour ses activités militaires, à savoir : la terre, la mer, les air, l’espace et le cyber-espace. Mais pour les têtes pensantes de cette alliance, les conflits présents et à venir ne seront plus seulement « cinétiques », c’est à dire cantonnés au mouvement et à la destruction physique, mais se situeront (et se gagneront) ailleurs.
D'ailleurs la technocratique corporatocratie occidentale des oligarques provient de l'expansion du réseau des ONG et des médias qui a déjà assuré la colonisation d'une grande partie de l’esprit collectif même des anciens peuples captifs de l’Empire soviétique. La « thérapie de choc », l’instauration du régime de libre-échange, l’imposition de prêts exorbitants, la privatisation de masse et la libéralisation des prix ont quant à elles assuré la colonisation économique. Le diktat des vainqueurs de la Guerre Froide après l'effondrement de l'Union Soviétique a imposé le paradigme libéral comme une idéologie unique à caractère axiomatique ayant généralement produit l’uniformisation et la vassalisation du spectre politique dont dans l'espace ex-communiste. L’imposition de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce, à l’Union européenne ou/et à l’OTAN ont achevé le processus de soumission de la plupart de ces pays ex-communistes. La crise des subrprimes, le Covid, les mesures sanitaires, l'inflation, la crise énergétique et la guerre en Ukraine ont elles servi à faire souffrir les peuples occidentaux en particulier européens pour leur faire accepter plus facilement le grand reset, cette utopique convergence ploutocratique d'intérêts d'oligarques pervers au niveau occidental voire mondial. Ce qui prouve que ce sont les pays parmi les plus riches qui sont principalement visés, surtout aussi car leurs peuples sont potentiellement les plus capables de se rebeller et d'empêcher le grand reset mondialiste une fois réveillés ou/et plus soumis. Et vu tout ce qu'aujourd'hui il y a à prendre en compte comme l'évolution scientifique, humaine, religieuse, économique, énergétique et autre, le futur est de moins en moins contrôlable par des think tanks à la différence de Dieu L'Omniscient.
Cependant les élites perverses organisant le grand reset lié au progressisme et au mondialisme pensent follement ou veulent faire croire sataniquement que l'Histoire humaine est une évolution illimitée, puisque son but final serait de fusionner notre identité physique, digitale et biologique, dans une forme de transhumanisme numérisé n'ayant pas de limite jusqu'à la robotisation des hommes, et signant donc la fin de la nature humaine.
« L'humanité est passé par quatre époques : une époque où le monde vivait sans machine, puis avec des machines, puis avec des machines remplaçant l'homme, puis l'homme devenant (dangereusement) une machine (transhumaniste, en sachant que des microprocesseur ont déjà été installés dans une boîte crânienne). » (Virilio)
C'est pourquoi tout humain en particulier monothéiste doit dénoncer toute cette perverse idéologie mondialiste transhumaniste, surtout qu'elle sera entièrement contrôlée par les oligarchies corrompues.
-plutôt que d'augmenter la rémunération minimale de l'heure travaillée des salariés et de baisser les charges des PME leur permettant un meilleur développement, État imposant sévèrement la classe moyenne entrepreneuriale et contrôlant au goutte à goutte les aides sociales dans une forme d'hyper étatisme avantageant excessivement les multinationales surtout que moins imposées.

-capitalisme informatisé, supranational, abusif, oppressif et parasitaire qui déstabilise voire détruit dont par les automatisées industries et la cupide finance mondialiste spéculative, le capitalisme entrepreneurial de la moyenne bourgeoisie et de l'économie réelle de nombreuses nations, et donc les métiers de la production, et donc les peuples, et donc la vie humaine, et donc la géopolitique, et donc le monde. En effet le capitalisme financier apatride s'oppose en réalité au capitalisme entrepreneurial familial. En sachant que les professions liées aux bars, aux restaurants, aux boîtes de nuit, aux hôtels et aux casinos ne sont pas prioritaires.
Ainsi il faut bien comprendre que dans l'excellente civilisation divine de l'islam, l'économie nécessite logiquement les sages règles essentielles apportées par le Coran pour garder un équilibre vital au même niveau que les sciences naturelles ou les sciences physiques, et que généralement quand elle est juste, elle influe souvent favorablement sur la politique et la géopolitique, même si c'est avant tout les idées pieuses ou impies qui sont le moteur de l'Histoire (mais souvent tempérées par les rapports de force et les conditions de vie dont matérielle et sécuritaire) comme le prouve Youssef Hindi dans ses livres.
Ainsi par rapport à Bertrand Badi affirmant concernant l'analyse géopolitique (athée) que deux visions s'opposent : l'une qui dit que c'est le rapport de force biologique et économique, l'autre qui dit que c'est le rapport de force culturel et symbolique (dont religieuse), c'est beaucoup plus la deuxième qui est exacte. C'est à dire que l'Histoire n'est pas principalement la résultante d'un rapport de production ou d'opposition simple entre prolétariat et bourgeoisie ni donc une mécanique auto-entraînée, mais plutôt un rapport de croyances comme du temps de l'empire romain, chrétien ou musulman, quoiqu'il est arrivé évidemment que l'économie fasse une partie de l'Histoire. En effet il existe aussi parfois une dictature du réel dont concernant la nécessité d’approvisionnements en énergie, en matières premières ou en aliments dont à l'étranger.
Cependant actuellement l'évolution historique provient donc d'abord d'idées religieuses perverties, en particulier de celle croyant que le peuple juif serait son propre (faux) messie, dont l'esprit pourrait être le sionisme, la sacralité pourrait être la lutte contre l'antisémitisme (au point qu'on parle désormais plus d'antisémitisme et de lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme que de Dieu et Sa cause christique sacrée), corps pourrait être la réapparition de l'Etat d'Israël interdite par Dieu et le système pourrait être le financier mondialisme laïciste oligarchique diminuant la piété noblement insoumise et inspirante en autorisant usure, mariage homosexuel, changement de sexe, jeux d'argent, pornographie, etc.
De même la république franc-maçonne lié au messianisme oligarchique, juif et supranational veut que les peuples deviennent des républicains laïcistes et apatrides et donc une sorte de messie collectif (à l'image des dérives donc du peuple juif mais aussi du prolétariat dans le Marxisme sauf que dans une forme entièrement universaliste) pour faire advenir les temps messianiques. Différents Think-tank dans le monde comme le CFR et le club Bibelberg sont les principaux centre de décisions pour les intérêts de cette oligarchie mondialisto-financière cherchant une sioniste pax cosmopolitica pour remplacer l'actuelle pax americana.
« Chez Nexus, Étienne Chouard, ancien professeur de droit et d’économie à l'origine de la proposition du Référendum d’Initiative Citoyenne lors de l'épisode des gilets jaunes, nous explique qu’aujourd’hui nous devons voir les causes du problème et non ses conséquences. Nous devons comprendre cette potentialité à ce qu’il y ait des tyrans dans notre système politique afin d’en corriger sa constitution :
« Nous sommes dans une démission du processus constituant. Nous sommes trop infantilisés par l’élection. »
« Les néolibéraux détruisent les services publics, les systèmes d’entraides et assistances depuis la fin des années 70 en travestissant leur actes en mettant les mots à l’envers avec régression = réforme ou plan de licenciement = plan de sauvegarde de l’emploi. La réforme des retraites est une escroquerie langagière, réforme veut dire amélioration et là, on a à faire à une régression, une agression sociale. Une bonne constitution doit faire peur au pouvoir. Les gens qui sont au pouvoir sont dangereux, si on ne le voit pas avec les retraites ou les guerres, on ne le verra jamais. »
« Nous avons en France la constitution la plus tyrannique. Chez nous le parlement a été rationalisé par le coup d’état de 1958. Le contrepouvoir du parlement dans la 5e république est factice. Depuis 1958 les parlementaires sont appelés des godillots. »
« On laisse les riches acheter les médias qui ces derniers deviennent des pourchasseurs de complotistes ! C’est complètement mis à l’envers ! » « La constitution et ses textes sont les plans de notre prison politique et, dans cette constitution, il n’y a pas le peuple ! Ce n’est pas aux hommes du pouvoir d’écrire les règles du pouvoir ! »
« 1789, c’est le début du capitalisme par le prise de pouvoir des marchands. Avant, ils n’avaient pas la possibilité de légiférer. Aujourd’hui, ils ont pris le contrôle de la monnaie, des armées, etc. »
Sur la guerre au sens large, Étienne Chouard nous dit :
« La guerre est intimement liée aux gens de pouvoirs apatrides qui sont aux commandes politiques. Il faudrait :
. Pas de guerre sans référendum . Ceux qui la veulent vont la faire, et au front
. Tous les 6 mois on revote et vous verrez qu’on aura plus de guerre si tous les pays appliquent cette constitution »
« Nous devons devenir des adultes politiques. La monnaie, les services publics comme l’eau, les écoles, les mairies, etc, nous devons nous en occuper. Le chômage est une construction politique, c’est un outil d’oppression pour faire peur. » » (Le Média en 4-4-2)
Or le plan du faux messie peut plus correspondre actuellement au national sionisme prétendant revenir dans des nations non juives à la société traditionnellement chrétienne, alors qu'il servira le sionisme une fois au pouvoir dont en participant à la division du peuple. Mais lorsque ces impostures seront reconnues massivement, cela peut tout de même participer à faire revenir la véritable tradition monothéiste christique. Surtout qu'en ne croyant pas aux récompenses célestes, en ayant muté en une politique déguisée d'athéisme globaliste tout de même messianique puisque afin d'arriver ensuite à une théocratie en Israël, et en essayant de diluer l'humanité dans une irréalité basée sur une stupide rébellion impie dont à travers la défense du contre-nature wokiste par opposition à la raison et au verbe représentant le naturel, l'historique, l'intelligence et la piété, ce judaïsme là est extrêmement égaré et donc facilement condamnable.
(S98v6) « Les infidèles parmi les gens du Livre ainsi que les associateurs iront au feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement. De toute la création, ce sont eux les pires. »
Les juifs américains ou français (les deux gros bataillons de la diaspora) qui ont voulu il y a trois ans faire leur migration (aliyah) en Israël pour découvrir ce prétendu plus beau pays du monde en sont pour leurs frais : cette entité née par la force et la ruse en 1948, qui était déjà une dictature militaire tournée contre les Arabes de l’extérieur et les Palestiniens de l’intérieur, est devenue en deux ans à peine une dictature pour ses propres citoyens, malgré les lois racistes et raciales qui avantagent les juifs sur les Arabes. Là-bas, c’est Vichy tous les jours, avec la piqûre désormais en plus. Et là-bas comme chez nous, la dictature des élites perverses avance en parallèle du progressisme, c’est-à-dire des injonctions calculées de la tribu mondialiste. Et on ne parle même pas du terrorisme préventif, de la corruption endémique au sommet de l’État, des viols successifs du droit international, du wokisme, comme chez nous. Pourtant il y a un siècle, le sionisme était de gauche, et de gauche pure, c'est à dire sociale et non sociétale. Mais après sa transformation par le talmudisme, il est aujourd’hui une dictature militaire en Israël couplée à un wokisme mondialiste qui fait croire sournoisement aux minorités à l’égalité, et à la majorité à la démocratie. Les avancées micro-communautaires ne sont en fait que les petits espaces de « liberté » accordés par la dictature à ses soutiens idéologiques.
Comme dans le mondialisme occidental, la progressiste lutte folle et donc impie des perverses élites israéliennes contre l'intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence que par choix, cherche donc à maléfiquement transcender les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres et de toute chose pour faire advenir de faux temps messianiques, puisque étant gravement ou plutôt perversement et diaboliquement basés sur la croyance qu'ils seront modernes dont à travers l’idéologie libérale laïciste, c'est à dire sans lois morales naturelles ou monothéistes et donc sans lois comme dans le jardin d'Eden originel.
« Pour les Européens, l’Amérique était une terre vierge juridiquement. Il n’y avait de droit que celui qu’ils y importaient. Le droit tel qu’il existait sur le continent européen n’avait pas cours en Amérique. Les princes et les peuples européens « s’étaient mis d’accord pour considérer que dans certains espaces l’opposition entre droit et non-droit n’existait pas ». Et cela s’est traduit par la non application, sur le sol américain, du droit européen. Le calviniste Isaac de La Peyrère (1594-1676) avança même l’hypothèse que les premiers habitants de l’Amérique seraient les descendants d’une humanité antérieure à Adam. L’autre idée, fondamentalement religieuse aussi, est celle d’absence de loi dans ce monde à la fois nouveau et primitif. Absence de loi dans ce « jardin d’Éden », puisque la loi (connaissance du bien et du mal) n’existait pas avant le premier péché ; et absence de loi dans le monde nouveau correspondant à l’ère messianique, où la loi est levée puisque « le lion et l’agneau paîtront ensemble » d’après l’eschatologie biblique. » (Youssef Hindi)
C'est à dire que ces messianistes égarés voire diaboliques veulent abolir toutes les règles dont pour atteindre l'immortalité par la science dans une interprétation donc corrompue du sens religieux du retour promis à l'Eden terrestre mais complété, où il n'était interdit que de manger d'un fruit. D'ailleurs la laïcité ultra libérale, oligarchique et inégalitaire des USA et de l'Occident euro-atlantiste se répandant au niveau mondial était pour certains la fin de l'Histoire, en particulier après l’effondrement de l'URSS. Or évidemment, l'Eden terrestre complété réapparaîtra complété seulement par une élévation morale de l'humanité suivant les authentiques lois monothéistes entièrement révélées ainsi que le caractère, la moralité, le comportement et la tradition prophétiques, et donc l'ennoblissement maximal, et certainement pas par la laïciste disparition légiférée de la loi naturelle divine et monothéiste qui autoriserait transsexualité, mariage homosexuel, ploutocratisme, et même transhumanisme numérique qui pourrait être une purification physique par le métal et une élévation intellectuelle par l’électricité alors que déshumanisant. Les USA allant dans ce sens sont donc anomiques (sans lois) voire antinomiques et ainsi antichristiques. Il est intéressant de lire à ce sujet le très bon article « COVIDisme, sécuritarisme et racialisme : armes d’auto-aliénation » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/COVIDisme-securitarisme-et-racialisme-armes-d-auto-alienation-60201.html
En effet, il est absolument certain que c'est par le respect général des intelligents commandements divins que la parfaite paix bénie du Jardin d'Eden reviendra sur terre et pas par le suivi général d'un fou libertarisme humain. Dans ce sens comme il a déjà été vu, les pays occidentaux doivent comprendre intelligemment que pour leur propre pérennité et celle de l’Afrique, ils devraient plutôt développer ce continent plutôt que de baser leur économie à le piller, puisque il finira par ne plus rien rester, ce qui détruira aussi les bases de cette économie occidentale, qui s'effondrera comme tous les empires de l'Histoire, alors que de nouveaux consommateurs des produits occidentaux entretiendraient leur économie. En effet comme la plupart des choses, les empires ont une naissance, une croissance, une dégénérescence et une mort, mais parfois une résurrection comme le futur retour du califat bien guidé qui sera en plus complété.
D'ailleurs comme l'effondrement systémique d'un empire est aussi lié à son expansion excessive s'éloignant toujours plus de son centre, cela pourrait expliquer pourquoi les États-Unis se retirent de diverses parties du monde, surtout qu'il est de plus en plus temps que leur économique hégémonie destructrice laisse la place à un système apportant la stabilité que pourrait incarner le retour prophétisé d'un califat bien-guidé lié à la multipolarité mondiale.
En effet les lois islamiques concernant l'économie ayant été établies par le Sage Seigneur Omniscient, cela correspond clairement à un théorème mathématique où la moindre erreur dans cette équation posera de gros problèmes tôt ou tard telle une construction mal montée finira par s'écrouler, comme l'annoncent et le représentent la crise financière de 2008 ayant appauvri des millions de gens et tous les problèmes économiques, financiers et monétaires mondiaux actuels.
C'est à dire que par opposition au corrompu système économique international imposé par les Etats-unis, le divin système économique du califat islamique apporterait évidemment une meilleure stabilité mondiale par sa justice, son équité, ses valeurs naturelles, son harmonie, son interdiction de l'usure et son impôt social (zakat) prélevé sur l'argent thésaurisé afin d'éviter que le système financier pourrisse comme l'eau stagnant et ne circulant pas pourrie. En effet il s'agit d'un système ne pouvant qu'éviter les grandes crises économiques du capitalisme de plus en plus instable par un libéralisme libertaire à outrance, une hyper consommation que de moins en moins de personnes arrivent à suivre et une amplification
des écarts de richesse n'avantageant que les intérêts des ultra riches.
Surtout que selon Aristote et le monothéisme, l'économie est une branche de la morale et doit être surdéterminée par les valeurs transcendantes, et sa place devient donc une succursale de la morale devant aussi logiquement faire tendre l’humanité à une noble gestion empathique des autres. Ainsi l'économie doit être sous contrôle de la morale et donc du politique. Cependant l'économie a illégitimement et donc perversement pris le dessus sur le politique, dont à travers les mathématiques (appartenant prétendument au monde scientifique) qui pourtant la servait auparavant, alors que l'économie correspond à des rapports de force humains : production, consommation, ent
re-aide, création de richesse, domination ou parasitisme.
Or si ce bon changement de paradigme n'arrive pas progressivement dont possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie éthiques décentralisées, le système financier américain étant basé sur de mauvaises règles économiques (planches à billets massives baissant fortement la valeur du dollar, usure, trading à haute fréquence, spéculation immorale), dont la plupart des pays dépendent par le pétrodollar, s’effondrera donc inexorablement en les entraînant avec lui. Ce qui pourrait provoquer un chaos économico-social presque planétaire bien plus grave que la crise de 1929 ou celle de 2008, surtout que le statut de réserve mondiale du dollar (monnaie la plus utilisée dans la majorité des échanges commerciaux dans le monde) signifie que les dollars sont susceptibles d’être détenus massivement à l’étranger dans des banques et des entreprises étrangères pour être utilisés dans le commerce mondial. La fin du dollar comme monnaie internationale sera d'ailleurs par exemple probablement la fin de l'Union Européenne, car les USA chercheront des actifs pour maintenir leur monnaie, jusqu'à prélever l'argent publique voire particulier de l'UE, puisque les multinationales liées à l'UE ont une grande partie de leur bilan en dollar. D'ailleurs suite à l'oppression économique, financière, monétaire ou/et miliaire des USA envers une nation, tout ambassadeur américain commence par aller voir le gouverneur de la banque centrale locale pour lui demander d'acheter des bons du trésors américain en dollar et donc de la dette américaine. D'ailleurs Guy de la Fortelle partage l’idée de Charles Gave selon laquelle les pertes accumulées par les banques centrales et les États pourraient déjà les amener à prélever directement de l’argent sur les comptes bancaires des citoyens. Il faut noter que cette monnaie de réserve mondiale est irréligieuse car elle est basée sur l'usure, puisqu'il faut que les USA émette de la dette pour que les autres pays en achète. Surtout que la force du dollar était fondée pendant les dernières décennies sur la fiabilité et le caractère protecteur de la superpuissance américaine au niveau économique et militaire, alors que maintenant, elle est fondée sur les sanctions, l'extraterritorialité, le chantage, les embargos. Il y a donc un processus logique de reprise d'autonomie par les nations en particulier via ces BRICS+.
Après avoir vu comment la monnaie américaine, par étapes successives, avait réussi à s’emparer du monopole des échanges internationaux, notamment ceux du pétrole, les banquiers internationaux ont méthodiquement poursuivi leur conquête du monde. Après avoir anéanti les monnaies du tiers-monde et de certains pays « émergents », porté un coup fatal à la monnaie japonaise, tenté de détruire l’euro en germe avant de l’utiliser pour écarter l ‘Allemagne de la Russie après l’écroulement de l’URSS et la réunification allemande, ces banquiers se sont attaqués aux monnaies asiatiques. Du coté de l’extrême-orient, l’axe financier City-Wall street, après s’être attaqué au Japon, qui devenait un rival dangereux, a continué à couper les têtes qui dépassaient. En ligne de mire, les pays du Sud Est asiatique qui avaient, depuis 1970, connu un développement économique important, résultant d’une mobilisation de l’épargne très importante. Des investissements sans précédent dans ces pays permirent de mettre en valeur leurs ressources respectives. Cela eut pour effet une régression de la pauvreté et une augmentation du niveau d’éducation de leurs habitants.
La rupture avec le consensus de Washington de 1989 devint alors évidente car la doctrine, essentiellement néo-libérale, qu’il prônait ne pouvait que renforcer l’emprise des banquiers internationaux sur l’économie de ces pays, qui auraient dû faire faire appel à eux pour se développer, au prix d’un endettement exponentiel. Ces dettes, contractées en dollars devaient être remboursées dans cette monnaie et toute dépréciation des monnaies de ces pays ne faisait qu’accroître leur dépendance. En outre, cela permettait aux banquiers internationaux de les obliger à se constituer d’importantes réserves en dollars, ce qui supposait d’imprimer encore davantage de billets américains et donc d'en inonder la planète afin de la dominer en grande partie pour que le dollar devienne essentiel ainsi donc que les USA. Les banquiers sont passés à l’attaque en déclenchant une véritable guerre des monnaies dont le but était de déprécier le plus possible ces monnaies nationales.
Mais la résistance monétaire a déjà commencé non seulement au sein des Etats en conflit direct avec USA et leur dollar, mais aussi dans des Etats non en conflit avec eux, à commencer par les pays du Sud-Est asiatiques qui veulent créer leur propre fonds monétaire. La Thaïlande avait essayé par exemple de se mesurer aux banquiers internationaux mais avait perdu, car elle avait fait appel au FMI et perdit ainsi toute autorité pour décider des mesures économiques à prendre face à la dépréciation de sa monnaie, laquelle se traduisait par une nouvelle augmentation de la dette devenue insoutenable.
Hongbing Song résume la situation dans le livre « La guerre des monnaies » :
« La deuxième raison de la défaite financière de la Thaïlande vient de ce qu’elle n’avait aucune conscience des risques. Surtout, elle n’était pas préparée psychologiquement à la guerre que l’énorme puissance se mouvant au cœur de l’axe Londres/Wall street allait mener contre elle sans jamais la déclarer. Les autres dirigeants asiatiques n’étaient pas mieux préparéset répétèrent les mêmes erreurs que celles qui conduisirent à la double défaite financière de la Thaïlande, se trompant sur la direction prise par l’ennemi et livrant ainsi leurs pays aux pirates financiers et au FMI. Les loups solitaires suivent chacun leur propre logique, mais quand ils chassent en meute, ils appliquent le principe de la division du travail. Très vite, Soros, accompagné de Citibank, Goldman Sachs et d’autres grands groupes bancaires, coordonnèrent leurs actions prédatrices. Les « proies » blessées qui gisaient à terre se laissèrent achever par le FMI dans une vente aux enchères qui fit saliver les entreprises européennes et américaines.
Ces banques ont appliqué le principe de la « vente par appartements » et réalisèrent des gains phénoménaux. Le Japon proposa alors de créer un fonds monétaire asiatique, qui ne servirait qu’aux pays d’Asie lorsque ceux-ci auraient des difficultés financières. Évidemment, la finance « mondialisée » mit tout en œuvre pour détruire ce projet : « Nous pensons que l’institution appropriée pour s’occuper d’un problème comme celui-ci doit être trans-régionale et internationale, plutôt qu’une (institution) régionale nouvellement créée, parce que le problème à lui-même des ramifications qui vont bien au-delà des frontières de cette région » déclarait Strobe Talbott, Secrétaire adjoint du Département d’État américain. Le vice-secrétaire d’État au Trésor américain, Laurence Summers, passa immédiatement à l’action en évoquant que ce fonds asiatique encouragerait les pays dans leur laxisme budgétaire. Bref, la finance mondiale mit tout en œuvre pour garder son emprise dominante sur la planète. Plusieurs pays, dont le Japon, rentrèrent dans le rang en faisant amende honorable, mais certains ne s’y résignèrent pas. Ce fut le cas de la Malaisie, dont le Premier Ministre Mahatir Bin Mohamad, laissa éclater sa colère en posant les bonnes questions : « Qui sont ces banquiers qui peuvent mettre à la disposition de leurs clients des milliers de milliards de dollars ? Quelle est la ressource en capital de ces banques ? Combien d’argent a-t-il été investi dans celles-ci et par qui ? Comment ces banques peuvent-elles devenir plus riches que la plupart des pays dans le monde ? »
Ce premier ministre s’attaquait au principe même de la création du dollar en tant qu’argent-dette, mais les peuples du monde n’étaient pas préparés à écouter ce discours, pourtant plein de bon sens. Après le Japon, la Thaïlande et la Malaisie, vint le tour de la Corée du Sud. Bien qu’alliée depuis toujours aux USA, les financiers internationaux ne lui firent aucun cadeau et, bien au contraire, les conditions exigées par le FMI furent particulièrement sévères. Mais, trop, c’était trop et le gouvernement sud-coréen rejeta en bloc le diktat du FMI et refusa la faillite de ses entreprises et de son système bancaire. La crise financière fut surmontée au printemps 1998 et la balance commerciale se redressa vite. Ils comprirent alors que l’économie devait être dirigée uniquement au niveau national, ce qui fut fait. Le prix à payer par le peuple coréen fut lourd, mais les axes choisis par les gouvernants étaient bons et, en 2010, l’économie sud-coréenne occupait le quinzième rang mondial. Les autres pays d’Asie suivirent la même voie et l’ensemble du continent put ainsi échapper à la mainmise des banquiers internationaux. D’autant plus que les systèmes financiers chinois et indiens n’avaient pu être pénétrés par eux en raison de leurs protections nationales. Cette victoire financière remportée en Asie aurait dû agir comme un voyant d’alarme pour les financiers mondialistes. D’autant plus que la crise des « subprimes » allait souffler un vent de panique sur le système bancaire occidental dès 2007. Dès lors, c’est tout le système dollar qui était fragilisé.
Certains monétaristes avaient déjà identifié les deux types de monnaies et l’avaient résumé en « monnaie-dette » et monnaie « non-endettée ». La première est émise contre une dette, c’est-à-dire une promesse de remboursement futur, mais n’a pas de valeur économique. Elle est souvent appelée monnaie fiduciaire, ou monnaie de confiance. La seconde représente une valeur, souvent une quantité de masse d’un métal précieux (or ou argent par exemple) et est appelée monnaie désendettée. Au début, le dollar était une monnaie indexée sur l’or, donc désendettée. C'est à partir de la création de la FED que les « mauvais dollars » apparurent. La FED fut créée en 1913 pour financer la guerre l’année suivante...
Hongbing Song écrit (page 323) : « A partir de 1913, les « dollars de mauvaise qualité » expulsèrent petit à petit les « dollars de bonne qualité » d’or et d’argent des réserves intégrales. Les banquiers internationaux qui voulaient créer un système financier mondial monopolistique de réserves fractionnaires atteignirent leur objectif et parvinrent même à exclure le gouvernement du domaine d’émission de la monnaie. Ils firent leur possible pour diaboliser l’or et l’argent, et dans les années 60, ils réussirent à abolir le dollar-argent. En 1971, ils mirent fin à ce qu’il restait de la relation entre l’or et le dollar. Dés lors, le système des réserves fractionnaires avait bouclé la boucle du monopole. »
« Le fait que les pays asiatiques aient pu se soustraire à l’emprise de cette finance mondiale a montré qu’on pouvait parfaitement vivre sans être soumis à cette servitude. Longtemps considérée comme une monnaie incontournable pour les échanges commerciaux internationaux, le dollar a progressivement perdu de son éclat. De plus, cette extra-territorialité du droit américain liée à l’emploi du dollar semble se retourner aujourd’hui contre lui. De même que l’épidémie de COVID a mis en lumière les dangers d’un mondialisme qui retirait toute autonomie de production aux pays ayant cru qu’ils pouvaient renoncer à leur industrie, les événements géopolitiques actuels montre que les peuples ont de la mémoire. Beaucoup se souviennent de ce qu’ils ont  de ce qu’ils ont vécu, notamment en Asie, sous la tutelle de la finance internationale et le règne du dollar. Mais l’Afrique et l’Amérique du Sud sont dans le même cas, et cela commence à faire beaucoup. Ils comprennent que les tensions actuelles vont bien au delà d’une simple dispute territoriale et que ce qui est en jeu est un bouleversement complet de la géopolitique planétaire. La réflexion des pays asiatiques qui voulaient créer leur propre fonds de soutien en s’exonérant de la tutelle du dollar a continué son chemin. Cette réflexion s’est nourrie de l’évolution de la situation économique mondiale et de nombreux indices montrent qu’ils étudient la mise en service d’une nouvelle monnaie de réserve internationale qu’ils utiliseraient pour leurs transactions.  Il semblerait également que d’autres pays, parmi lesquels figure la Russie soient partie-prenante dans cette nouvelle monnaie. Contrairement au dollar, l’hypothèse que cette monnaie soit de type « désendettée » semble probable. Mais il paraît également plausible, voire probable, que cette « régionalisation » fasse tache d’huile et s’étende aux autres continents, qui deviendraient alors des espaces autonomes les uns par rapport aux autres. Cela risque de sonner le glas du dollar, du moins à son monopole en tant que monnaie de réserve internationale. La question qui émerge alors est celle de l’acceptation ou non de cette situation par la finance mondialiste, qui pourrait être tentée, comme certains joueurs de poker, de jouer le tout pour le tout… » (Fin de l'article « Le billet vert vient de perdre encore du terrain là où il attendait le moins » à l'adresse https://french.presstv.ir/Detail/2022/08/14/687360/Dollar-)