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Q) Suite 17 (1)


-grand reset financier recherché prétendument pour effacer les dettes, alors qu'elle seront seulement diminuées avec la condition honteuse que le pouvoir des ultra riches mondialistes augmente beaucoup dont au niveau supranational, même au détriment des autres.
Alors qu’en temps normal il suffit d’une petite proposition de loi (liberticide ou antipopulaire) sur un sujet mineur pour déclencher les foudres des syndicats, le soulèvement des partis, les hurlements des députés et les pétitions des people, et que là la France plonge dans les profondeurs d’une crise économico-sociale sans précédent amenant à ce grand reset, l’opposition officielle regarde ailleurs. C’est tellement surréaliste qu’on a du mal à y croire. Rares sont les personnalités politico-médiatiques qui osent dire tout simplement aux Français, en état de sidération durable, ce qu’il se passe vraiment : on bascule dans la tyrannie mondialiste d’une collusion entre multinationales, institutions mondialistes ou européistes et gouvernements corrompus. Ces derniers étaient depuis des années secoués par l’insoumission des peuples dont les gilets jaunes, des peuples régénérés et regonflés politiquement par les échanges horizontaux structurants sur l’Internet, qu’ils ont fini par opter pour le pire : détruire la démocratie (ou ce qu’il en restait) par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique, afin de diminuer la contestation, imposer leurs décisions sataniques, appauvrir le pays pour conserver leur pouvoir, étouffer la liberté d’expression pour garder la main sur la parole publique, et actionner la répression à la moindre demande de justice. Avant que ces potentats ne finissent dans les poubelles ou les fosses de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû sortir (mais ils ne sont que le salaire de l’ignorance et de la crédulité des peuples), il faudra résister en bloc, échanger sous les radars et organiser la défense. Dans la guerre désormais ouverte entre une oligarchie déchaînée et les peuple, les français disposent de plusieurs armes :
.le nombre : la plupart des Français vaccinés ne l’ont pas fait pour des raisons sanitaires ou parce qu’ils croyaient à la propagande politico-médicale, mais bien parce qu’ils voulaient continuer à vivre normalement ;
.les réseaux sociaux : même s’ils sont soumis à une censure inégalée, ils sont acquis à la résistance ;
.la rue : les manifestations maintiennent la pression et entretiennent le sens du collectif ;
.le travail de conscientisation politique et d'amélioration religieuse.
C'est important car comme Jean-Paul Brighelli l'a dit : « Le Covid est la maladie qu’attendait le post-libéralisme. Un prétexte pour restructurer complètement l’économie capitaliste. »
En effet il ne s'agit pas d'une remise à zéro de l’économie pour de meilleurs conditions de travail ou de vie, c’est un anéantissement des forces économiques dites traditionnelles pour laisser la place à la néo ou post économie, celle qui satisfait la Banque et le pouvoir profond. Le système veut répandre cela comme une transition vers une nouvelle normalité basée entre la crise financière, le Covid, le vaccin, l'inflation, la sionisme, le wokisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, l'effondrement économique et l'acceptation des peuples. La même chose s’est opérée aux États-Unis au début du 20e siècle quand l’organisation traditionnelle économique, basée sur des cellules de production familiales, a dû laisser la place, par la force et par la publicité (du pseudo bonheur vanté par les magazines), au grand esclavage du travail industriel, qui a fait sortir le fier artisan de chez lui pour le transformer en ouvrier éteint contrôlable par le salariat, cet esclavage rémunéré. Stuart Ewen a décrit ce processus de destruction à la fois sociale, économique et humaine, ce premier Grand Reset de l’époque dite moderne, dans son ouvrage « La Société de l’indécence ». Mais comme cela a au final facilité le progrès scientifique et donc amené le confort, cela n'a donc rien à voir avec la tyrannie oligarchique en plus possiblement populicide du grand reset. De plus ce futur grand reset serait prétendument aussi un changement de paradigme vers un monde numérisé beaucoup plus écologique et moins consommateur dont d'énergie, alors que la demande en pétrole revient fortement et le prix du gaz permettant de ne pas avoir froid l'hiver augmente.
Pour s'établir en faveur de la tyrannie du big money, ce grand reset se sert du big tech, du big brother, du big data, du big market, du big buisness, du big bank, du big pharma et du big média.
Ainsi toutes les longues crises économico-sociales sont d'abord le seul moyen d'affaiblir les grandes économies et donc nations car cela détruit leurs mécanismes de défense, afin de les faire accepter plus facilement l'agenda du grand reset unipolaire mondialiste dont avec les petites qui suivront servilement, sauf si ces grandes et petites nations s'orientent vers la multipolarité proposée par l'axe russo-chinois. Et comme ce grand reset, qui est un renforcement déguisé du système mondialiste actuel, devra se faire en rapport avec les aspirations populaires, les crises entretenues et donc prolongées comme celles du Covid (occidentale), de l'inflation et de la guerre en Ukraine sont aussi des ingénieries sociales servant à fatiguer les peuples pour diminuer ces aspirations. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'ARNAQUE du Grand Reset » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ&t=328s
Extrait de l'interview de Lucien Cerise à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Lucien-Cerise-Nous-allons-entrer-dans-le-royaume-de-la-deglingue-definitive-et-de-l-effondrement-62824.html :
« Une ingénierie sociale et une fabrique de l’opinion sont clairement en cours avec la grande réinitialisation de l'économie et de nos cerveaux par le système. Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Son action est le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution.
(Dans ce sens, la tyrannie masquée crée le chaos car le peuple réclame toujours l'ordre et donc son autorité, au moins le temps que cette manipulation se révèle clairement, et le pouvoir oligarchique qui est contre les français divise ces derniers pour que lui ne se soit pas considéré comme leur ennemi principal.)
En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. Or pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus. Ce que l’on appelle le « risque » est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Selon Ellen Brown c’est ce cercle de représentants des banques centrales des G7 et de Black Rock qui se voit plusieurs fois en semaine à New York qui serait responsable de l’application et de l’extension du confinement Covid et des mesures Covid. Cela s’est passé presque simultanément dans un très grand nombre de pays qui sont sous tutelle des G7 à partir de mars 2020. Donc les explications sociologiques et psychologiques sont intéressantes, mais il faut aussi regarder les conditions économiques et financières qui sont déterminantes. Et arrêtons de trop exagérer l’importance de Davos. Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif. De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire. … Le monde peut donc sombrer dans l’inintelligence artificielle pouvant avoir de bugs ou être trafiquée et le stade terminal de l’idiocratie si les pieux ne s’approprient pas la blockhain et la cryptomonnaie décentralisée synonyme de perfection économique. Surtout qu'avec le covid, le mondialisme supranational ploutocratique peut désigner l’abolition de toute régulation commerciale d'une nation possiblement jusqu'à l'interdiction de la liberté d'entreprendre. »
Or avec l’aide des Big Data et des nouvelles technologies, l’OTAN entend même modifier non pas ce que pensent les individus mais leur manière de penser, et ainsi faire de tout un chacun une arme.  De même les mondialistes du forum de Davos vont se servir du Big Data pour tenter d’arriver à leur fin comme le prouve cette citation de la revue « The Economiste » qui est lié au Rothschild : « les données sont plus précieuses que le pétrole. » Or comme le Big Bata prouve que l'information est une richesse et les réseaux sociaux la maîtrise de plus en plus, cela signifie que les américano-sionistes et mondialistes la perdent et qu'ils n'ont plus que l'argent comme avantage, et sont donc affaiblis. Dans l'essai « Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle » issu d’un think tank, l’OTAN dresse les contours d’un virage stratégique majeur qu’elle s’apprête à effectuer. Jusqu’à présent, l’organisation transatlantique définissait cinq domaines opérationnels pour ses activités militaires, à savoir : la terre, la mer, les air, l’espace et le cyber-espace. Mais pour les têtes pensantes de cette alliance, les conflits présents et à venir ne seront plus seulement « cinétiques », c’est à dire cantonnés au mouvement et à la destruction physique, mais se situeront (et se gagneront) ailleurs.
D'ailleurs la technocratique corporatocratie occidentale des oligarques provient de l'expansion du réseau des ONG et des médias qui a déjà assuré la colonisation d'une grande partie de l’esprit collectif même des anciens peuples captifs de l’Empire soviétique. La « thérapie de choc », l’instauration du régime de libre-échange, l’imposition de prêts exorbitants, la privatisation de masse et la libéralisation des prix ont quant à elles assuré la colonisation économique. Le diktat des vainqueurs de la Guerre Froide après l'effondrement de l'Union Soviétique a imposé le paradigme libéral comme une idéologie unique à caractère axiomatique ayant généralement produit l’uniformisation et la vassalisation du spectre politique dont dans l'espace ex-communiste. L’imposition de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce, à l’Union européenne ou/et à l’OTAN ont achevé le processus de soumission de la plupart de ces pays ex-communistes. La crise des subrprimes, le Covid, les mesures sanitaires, l'inflation, la crise énergétique et la guerre en Ukraine ont elles servi à faire souffrir les peuples occidentaux en particulier européens pour leur faire accepter plus facilement le grand reset, cette utopique convergence ploutocratique d'intérêts d'oligarques pervers au niveau occidental voire mondial. Ce qui prouve que ce sont les pays parmi les plus riches qui sont principalement visés, surtout aussi car leurs peuples sont potentiellement les plus capables de se rebeller et d'empêcher le grand reset mondialiste une fois réveillés ou/et plus soumis. Et vu tout ce qu'aujourd'hui il y a à prendre en compte comme l'évolution scientifique, humaine, religieuse, économique, énergétique et autre, le futur est de moins en moins contrôlable par des think tanks à la différence de Dieu L'Omniscient.
Cependant les élites perverses organisant le grand reset lié au progressisme et au mondialisme pensent follement ou veulent faire croire sataniquement que l'Histoire humaine est une évolution illimitée, puisque son but final serait de fusionner notre identité physique, digitale et biologique, dans une forme de transhumanisme numérisé n'ayant pas de limite jusqu'à la robotisation des hommes, et signant donc la fin de la nature humaine.
« L'humanité est passé par quatre époques : une époque où le monde vivait sans machine, puis avec des machines, puis avec des machines remplaçant l'homme, puis l'homme devenant (dangereusement) une machine (transhumaniste, en sachant que des microprocesseur ont déjà été installés dans une boîte crânienne). » (Virilio)
C'est pourquoi tout humain en particulier monothéiste doit dénoncer toute cette perverse idéologie mondialiste transhumaniste, surtout qu'elle sera entièrement contrôlée par les oligarchies corrompues.
-plutôt que d'augmenter la rémunération minimale de l'heure travaillée des salariés et de baisser les charges des PME leur permettant un meilleur développement, État imposant sévèrement la classe moyenne entrepreneuriale et contrôlant au goutte à goutte les aides sociales dans une forme d'hyper étatisme avantageant excessivement les multinationales surtout que moins imposées.

-capitalisme informatisé, supranational, abusif, oppressif et parasitaire qui déstabilise voire détruit dont par les automatisées industries et la cupide finance mondialiste spéculative, le capitalisme entrepreneurial de la moyenne bourgeoisie et de l'économie réelle de nombreuses nations, et donc les métiers de la production, et donc les peuples, et donc la vie humaine, et donc la géopolitique, et donc le monde. En effet le capitalisme financier apatride s'oppose en réalité au capitalisme entrepreneurial familial.
Ainsi il faut bien comprendre que dans l'excellente civilisation divine de l'islam, l'économie nécessite logiquement les sages règles essentielles apportées par le Coran pour garder un équilibre vital au même niveau que les sciences naturelles ou les sciences physiques, et que généralement quand elle est juste, elle influe souvent favorablement sur la politique et la géopolitique, même si c'est avant tout les idées pieuses ou impies qui sont le moteur de l'Histoire (lié aussi aux rapports de force) comme le prouve Youssef Hindi dans ses livres. L'Histoire n'est pas principalement la résultante d'un rapport de production ou d'opposition simple entre prolétariat et bourgeoisie ni donc une mécanique auto-entraînée, mais plutôt un rapport de croyances comme du temps de l'empire romain, chrétien ou musulman, quoiqu'il est arrivé évidemment que l'économie fasse une partie de l'Histoire. En effet il existe aussi parfois une dictature du réel dont concernant la nécessité d’approvisionnements en énergie, en matières premières ou en aliments dont à l'étranger.
Cependant actuellement l'évolution historique provient donc d'abord d'idées religieuses perverties, en particulier de celle croyant que le peuple juif serait son propre (faux) messie, dont l'esprit pourrait être le sionisme, la sacralité pourrait être la lutte contre l'antisémitisme (au point qu'on parle désormais plus d'antisémitisme et de lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme que de Dieu et Sa cause christique sacrée), corps pourrait être la réapparition de l'Etat d'Israël interdite par Dieu et le système pourrait être le financier mondialisme laïciste oligarchique diminuant la piété noblement insoumise et inspirante en autorisant usure, mariage homosexuel, changement de sexe, jeux d'argent, pornographie, etc.
De même la république franc-maçonne lié au messianisme oligarchique, juif et supranational veut que les peuples deviennent des républicains laïcistes et apatrides et donc une sorte de messie collectif (à l'image des dérives donc du peuple juif mais aussi du prolétariat dans le Marxisme sauf que dans une forme entièrement universaliste) pour faire advenir les temps messianiques. Différents Think-tank dans le monde comme le CFR et le club Bibelberg sont les principaux centre de décisions pour les intérêts de cette oligarchie mondialisto-financière cherchant une sioniste pax cosmopolitica pour remplacer l'actuelle pax americana.
« Chez Nexus, Étienne Chouard, ancien professeur de droit et d’économie à l'origine de la proposition du Référendum d’Initiative Citoyenne lors de l'épisode des gilets jaunes, nous explique qu’aujourd’hui nous devons voir les causes du problème et non ses conséquences. Nous devons comprendre cette potentialité à ce qu’il y ait des tyrans dans notre système politique afin d’en corriger sa constitution :
« Nous sommes dans une démission du processus constituant. Nous sommes trop infantilisés par l’élection. »
« Les néolibéraux détruisent les services publics, les systèmes d’entraides et assistances depuis la fin des années 70 en travestissant leur actes en mettant les mots à l’envers avec régression = réforme ou plan de licenciement = plan de sauvegarde de l’emploi. La réforme des retraites est une escroquerie langagière, réforme veut dire amélioration et là, on a à faire à une régression, une agression sociale. Une bonne constitution doit faire peur au pouvoir. Les gens qui sont au pouvoir sont dangereux, si on ne le voit pas avec les retraites ou les guerres, on ne le verra jamais. »
« Nous avons en France la constitution la plus tyrannique. Chez nous le parlement a été rationalisé par le coup d’état de 1958. Le contrepouvoir du parlement dans la 5e république est factice. Depuis 1958 les parlementaires sont appelés des godillots. »
« On laisse les riches acheter les médias qui ces derniers deviennent des pourchasseurs de complotistes ! C’est complètement mis à l’envers ! » « La constitution et ses textes sont les plans de notre prison politique et, dans cette constitution, il n’y a pas le peuple ! Ce n’est pas aux hommes du pouvoir d’écrire les règles du pouvoir ! »
« 1789, c’est le début du capitalisme par le prise de pouvoir des marchands. Avant, ils n’avaient pas la possibilité de légiférer. Aujourd’hui, ils ont pris le contrôle de la monnaie, des armées, etc. »
Sur la guerre au sens large, Étienne Chouard nous dit :
« La guerre est intimement liée aux gens de pouvoirs apatrides qui sont aux commandes politiques. Il faudrait :
. Pas de guerre sans référendum . Ceux qui la veulent vont la faire, et au front
. Tous les 6 mois on revote et vous verrez qu’on aura plus de guerre si tous les pays appliquent cette constitution »
« Nous devons devenir des adultes politiques. La monnaie, les services publics comme l’eau, les écoles, les mairies, etc, nous devons nous en occuper. Le chômage est une construction politique, c’est un outil d’oppression pour faire peur. » » (Le Média en 4-4-2)
Or le plan du faux messie peut plus correspondre actuellement au national sionisme prétendant revenir dans des nations non juives à la société traditionnellement chrétienne, alors qu'il servira le sionisme une fois au pouvoir dont en participant à la division du peuple. Mais lorsque ces impostures seront reconnues massivement, cela peut tout de même participer à faire revenir la véritable tradition monothéiste christique. Surtout qu'en ne croyant pas aux récompenses célestes, en ayant muté en une politique déguisée d'athéisme globaliste tout de même messianique puisque afin d'arriver ensuite à une théocratie en Israël, et en essayant de diluer l'humanité dans une irréalité basée sur une stupide rébellion impie dont à travers la défense du contre-nature wokiste par opposition à la raison et au verbe représentant le naturel, l'historique, l'intelligence et la piété, ce judaïsme là est extrêmement égaré et donc facilement condamnable.
(S98v6) « Les infidèles parmi les gens du Livre ainsi que les associateurs iront au feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement. De toute la création, ce sont eux les pires. »
Les juifs américains ou français (les deux gros bataillons de la diaspora) qui ont voulu il y a trois ans faire leur migration (aliyah) en Israël pour découvrir ce prétendu plus beau pays du monde en sont pour leurs frais : cette entité née par la force et la ruse en 1948, qui était déjà une dictature militaire tournée contre les Arabes de l’extérieur et les Palestiniens de l’intérieur, est devenue en deux ans à peine une dictature pour ses propres citoyens, malgré les lois racistes et raciales qui avantagent les juifs sur les Arabes. Là-bas, c’est Vichy tous les jours, avec la piqûre désormais en plus. Et là-bas comme chez nous, la dictature des élites perverses avance en parallèle du progressisme, c’est-à-dire des injonctions calculées de la tribu mondialiste. Et on ne parle même pas du terrorisme préventif, de la corruption endémique au sommet de l’État, des viols successifs du droit international, du wokisme, comme chez nous. Pourtant il y a un siècle, le sionisme était de gauche, et de gauche pure, c'est à dire sociale et non sociétale. Mais après sa transformation par le talmudisme, il est aujourd’hui une dictature militaire en Israël couplée à un wokisme mondialiste qui fait croire sournoisement aux minorités à l’égalité, et à la majorité à la démocratie. Les avancées micro-communautaires ne sont en fait que les petits espaces de « liberté » accordés par la dictature à ses soutiens idéologiques.
Comme dans le mondialisme occidental, la progressiste lutte folle et donc impie des perverses élites israéliennes contre l'intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence que par choix, cherche donc à maléfiquement transcender les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres et de toute chose pour faire advenir de faux temps messianiques, puisque étant gravement ou plutôt perversement et diaboliquement basés sur la croyance qu'ils seront modernes dont à travers l’idéologie libérale laïciste, c'est à dire sans lois morales naturelles ou monothéistes et donc sans lois comme dans le jardin d'Eden originel.
« Pour les Européens, l’Amérique était une terre vierge juridiquement. Il n’y avait de droit que celui qu’ils y importaient. Le droit tel qu’il existait sur le continent européen n’avait pas cours en Amérique. Les princes et les peuples européens « s’étaient mis d’accord pour considérer que dans certains espaces l’opposition entre droit et non-droit n’existait pas ». Et cela s’est traduit par la non application, sur le sol américain, du droit européen. Le calviniste Isaac de La Peyrère (1594-1676) avança même l’hypothèse que les premiers habitants de l’Amérique seraient les descendants d’une humanité antérieure à Adam. L’autre idée, fondamentalement religieuse aussi, est celle d’absence de loi dans ce monde à la fois nouveau et primitif. Absence de loi dans ce « jardin d’Éden », puisque la loi (connaissance du bien et du mal) n’existait pas avant le premier péché ; et absence de loi dans le monde nouveau correspondant à l’ère messianique, où la loi est levée puisque « le lion et l’agneau paîtront ensemble » d’après l’eschatologie biblique. » (Youssef Hindi)
C'est à dire que ces messianistes égarés voire diaboliques veulent abolir toutes les règles dont pour atteindre l'immortalité par la science dans une interprétation donc corrompue du sens religieux du retour promis à l'Eden terrestre mais complété, où il n'était interdit que de manger d'un fruit. D'ailleurs la laïcité ultra libérale, oligarchique et inégalitaire des USA et de l'Occident euro-atlantiste se répandant au niveau mondial était pour certains la fin de l'Histoire, en particulier après l’effondrement de l'URSS. Or évidemment, l'Eden terrestre complété réapparaîtra complété seulement par une élévation morale de l'humanité suivant les authentiques lois monothéistes entièrement révélées ainsi que le caractère, la moralité, le comportement et la tradition prophétiques, et donc l'ennoblissement maximal, et certainement pas par la laïciste disparition légiférée de la loi naturelle divine et monothéiste qui autoriserait transsexualité, mariage homosexuel, ploutocratisme, et même transhumanisme numérique qui pourrait être une purification physique par le métal et une élévation intellectuelle par l’électricité alors que déshumanisant. Les USA allant dans ce sens sont donc anomiques (sans lois) voire antinomiques et ainsi antichristiques. Il est intéressant de lire à ce sujet le très bon article « COVIDisme, sécuritarisme et racialisme : armes d’auto-aliénation » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/COVIDisme-securitarisme-et-racialisme-armes-d-auto-alienation-60201.html
En effet, il est absolument certain que c'est par le respect général des intelligents commandements divins que la parfaite paix bénie du Jardin d'Eden reviendra sur terre et pas par le suivi général d'un fou libertarisme humain. Dans ce sens comme il a déjà été vu, les pays occidentaux doivent comprendre intelligemment que pour leur propre pérennité et celle de l’Afrique, ils devraient plutôt développer ce continent plutôt que de baser leur économie à le piller, puisque il finira par ne plus rien rester, ce qui détruira aussi les bases de cette économie occidentale, qui s'effondrera comme tous les empires de l'Histoire, alors que de nouveaux consommateurs des produits occidentaux entretiendraient leur économie. En effet comme la plupart des choses, les empires ont une naissance, une croissance, une dégénérescence et une mort, mais parfois une résurrection comme le futur retour du califat bien guidé qui sera en plus complété.
D'ailleurs comme l'effondrement systémique d'un empire est aussi lié à son expansion excessive s'éloignant toujours plus de son centre, cela pourrait expliquer pourquoi les États-Unis se retirent de diverses parties du monde, surtout qu'il est de plus en plus temps que leur économique hégémonie destructrice laisse la place à un système apportant la stabilité que pourrait incarner le retour prophétisé d'un califat bien-guidé lié à la multipolarité mondiale.
En effet les lois islamiques concernant l'économie ayant été établies par le Sage Seigneur Omniscient, cela correspond clairement à un théorème mathématique où la moindre erreur dans cette équation posera de gros problèmes tôt ou tard telle une construction mal montée finira par s'écrouler, comme l'annoncent et le représentent la crise financière de 2008 ayant appauvri des millions de gens et tous les problèmes économiques, financiers et monétaires mondiaux actuels.
C'est à dire que par opposition au corrompu système économique international imposé par les Etats-unis, le divin système économique du califat islamique apporterait évidemment une meilleure stabilité mondiale par sa justice, son équité, ses valeurs naturelles, son harmonie, son interdiction de l'usure et son impôt social (zakat) prélevé sur l'argent thésaurisé afin d'éviter que le système financier pourrisse comme l'eau stagnant et ne circulant pas pourrie. En effet il s'agit d'un système ne pouvant qu'éviter les grandes crises économiques du capitalisme de plus en plus instable par un libéralisme libertaire à outrance, une hyper consommation que de moins en moins de personnes arrivent à suivre et une amplification des inégalités économiques n'avantageant que les intérêts des ultra riches.
Surtout que selon Aristote et le monothéisme, l'économie est une branche de la morale et doit être surdéterminée par les valeurs transcendantes, et sa place devient donc une succursale de la morale devant aussi logiquement faire tendre l’humanité à une noble gestion empathique des autres. Ainsi l'économie doit être sous contrôle de la morale et donc du politique. Cependant l'économie a illégitimement et donc perversement pris le dessus sur le politique, dont à travers les mathématiques (appartenant prétendument au monde scientifique) qui pourtant la servait auparavant, alors que l'économie correspond à des rapports de force humains : production, consommation, entre-aide, création de richesse, domination ou parasitisme.
Or si ce bon changement de paradigme n'arrive pas progressivement dont possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie éthiques décentralisées, le système financier américain étant basé sur de mauvaises règles économiques (planches à billets massives baissant fortement la valeur du dollar, usure, trading à haute fréquence, spéculation immorale), dont la plupart des pays dépendent par le pétrodollar, s’effondrera donc inexorablement en les entraînant avec lui. Ce qui pourrait provoquer un chaos économico-social presque planétaire bien plus grave que la crise de 1929 ou celle de 2008, surtout que le statut de réserve mondiale du dollar (monnaie la plus utilisée dans la majorité des échanges commerciaux dans le monde) signifie que les dollars sont susceptibles d’être détenus massivement à l’étranger dans des banques et des entreprises étrangères pour être utilisés dans le commerce mondial. La fin du dollar comme monnaie internationale sera d'ailleurs par exemple probablement la fin de l'Union Européenne, car les USA chercheront des actifs pour maintenir leur monnaie, jusqu'à prélever l'argent publique voire particulier de l'UE, puisque les multinationales liées à l'UE ont une grande partie de leur bilan en dollar. D'ailleurs suite à l'oppression économique, financière, monétaire ou/et miliaire des USA envers une nation, tout ambassadeur américain commence par aller voir le gouverneur de la banque centrale locale pour lui demander d'acheter des bons du trésors américain en dollar et donc de la dette américaine. D'ailleurs Guy de la Fortelle partage l’idée de Charles Gave selon laquelle les pertes accumulées par les banques centrales et les États pourraient déjà les amener à prélever directement de l’argent sur les comptes bancaires des citoyens. Il faut noter que cette monnaie de réserve mondiale est irréligieuse car elle est basée sur l'usure, puisqu'il faut que les USA émette de la dette pour que les autres pays en achète. Surtout que la force du dollar était fondée pendant les dernières décennies sur la fiabilité et le caractère protecteur de la superpuissance américaine au niveau économique et militaire, alors que maintenant, elle est fondée sur les sanctions, l'extraterritorialité, le chantage, les embargos. Il y a donc un processus logique de reprise d'autonomie par les nations en particulier via ces BRICS+.
Après avoir vu comment la monnaie américaine, par étapes successives, avait réussi à s’emparer du monopole des échanges internationaux, notamment ceux du pétrole, les banquiers internationaux ont méthodiquement poursuivi leur conquête du monde. Après avoir anéanti les monnaies du tiers-monde et de certains pays « émergents », porté un coup fatal à la monnaie japonaise, tenté de détruire l’euro en germe avant de l’utiliser pour écarter l ‘Allemagne de la Russie après l’écroulement de l’URSS et la réunification allemande, ces banquiers se sont attaqués aux monnaies asiatiques. Du coté de l’extrême-orient, l’axe financier City-Wall street, après s’être attaqué au Japon, qui devenait un rival dangereux, a continué à couper les têtes qui dépassaient. En ligne de mire, les pays du Sud Est asiatique qui avaient, depuis 1970, connu un développement économique important, résultant d’une mobilisation de l’épargne très importante. Des investissements sans précédent dans ces pays permirent de mettre en valeur leurs ressources respectives. Cela eut pour effet une régression de la pauvreté et une augmentation du niveau d’éducation de leurs habitants.
La rupture avec le consensus de Washington de 1989 devint alors évidente car la doctrine, essentiellement néo-libérale, qu’il prônait ne pouvait que renforcer l’emprise des banquiers internationaux sur l’économie de ces pays, qui auraient dû faire faire appel à eux pour se développer, au prix d’un endettement exponentiel. Ces dettes, contractées en dollars devaient être remboursées dans cette monnaie et toute dépréciation des monnaies de ces pays ne faisait qu’accroître leur dépendance. En outre, cela permettait aux banquiers internationaux de les obliger à se constituer d’importantes réserves en dollars, ce qui supposait d’imprimer encore davantage de billets américains et donc d'en inonder la planète afin de la dominer en grande partie pour que le dollar devienne essentiel ainsi donc que les USA. Les banquiers sont passés à l’attaque en déclenchant une véritable guerre des monnaies dont le but était de déprécier le plus possible ces monnaies nationales.
Mais la résistance monétaire a déjà commencé non seulement au sein des Etats en conflit direct avec USA et leur dollar, mais aussi dans des Etats non en conflit avec eux, à commencer par les pays du Sud-Est asiatiques qui veulent créer leur propre fonds monétaire. La Thaïlande avait essayé par exemple de se mesurer aux banquiers internationaux mais avait perdu, car elle avait fait appel au FMI et perdit ainsi toute autorité pour décider des mesures économiques à prendre face à la dépréciation de sa monnaie, laquelle se traduisait par une nouvelle augmentation de la dette devenue insoutenable.
Hongbing Song résume la situation dans le livre « La guerre des monnaies » :
« La deuxième raison de la défaite financière de la Thaïlande vient de ce qu’elle n’avait aucune conscience des risques. Surtout, elle n’était pas préparée psychologiquement à la guerre que l’énorme puissance se mouvant au cœur de l’axe Londres/Wall street allait mener contre elle sans jamais la déclarer. Les autres dirigeants asiatiques n’étaient pas mieux préparéset répétèrent les mêmes erreurs que celles qui conduisirent à la double défaite financière de la Thaïlande, se trompant sur la direction prise par l’ennemi et livrant ainsi leurs pays aux pirates financiers et au FMI. Les loups solitaires suivent chacun leur propre logique, mais quand ils chassent en meute, ils appliquent le principe de la division du travail. Très vite, Soros, accompagné de Citibank, Goldman Sachs et d’autres grands groupes bancaires, coordonnèrent leurs actions prédatrices. Les « proies » blessées qui gisaient à terre se laissèrent achever par le FMI dans une vente aux enchères qui fit saliver les entreprises européennes et américaines.
Ces banques ont appliqué le principe de la « vente par appartements » et réalisèrent des gains phénoménaux. Le Japon proposa alors de créer un fonds monétaire asiatique, qui ne servirait qu’aux pays d’Asie lorsque ceux-ci auraient des difficultés financières. Évidemment, la finance « mondialisée » mit tout en œuvre pour détruire ce projet : « Nous pensons que l’institution appropriée pour s’occuper d’un problème comme celui-ci doit être trans-régionale et internationale, plutôt qu’une (institution) régionale nouvellement créée, parce que le problème à lui-même des ramifications qui vont bien au-delà des frontières de cette région » déclarait Strobe Talbott, Secrétaire adjoint du Département d’État américain. Le vice-secrétaire d’État au Trésor américain, Laurence Summers, passa immédiatement à l’action en évoquant que ce fonds asiatique encouragerait les pays dans leur laxisme budgétaire. Bref, la finance mondiale mit tout en œuvre pour garder son emprise dominante sur la planète. Plusieurs pays, dont le Japon, rentrèrent dans le rang en faisant amende honorable, mais certains ne s’y résignèrent pas. Ce fut le cas de la Malaisie, dont le Premier Ministre Mahatir Bin Mohamad, laissa éclater sa colère en posant les bonnes questions : « Qui sont ces banquiers qui peuvent mettre à la disposition de leurs clients des milliers de milliards de dollars ? Quelle est la ressource en capital de ces banques ? Combien d’argent a-t-il été investi dans celles-ci et par qui ? Comment ces banques peuvent-elles devenir plus riches que la plupart des pays dans le monde ? »
Ce premier ministre s’attaquait au principe même de la création du dollar en tant qu’argent-dette, mais les peuples du monde n’étaient pas préparés à écouter ce discours, pourtant plein de bon sens. Après le Japon, la Thaïlande et la Malaisie, vint le tour de la Corée du Sud. Bien qu’alliée depuis toujours aux USA, les financiers internationaux ne lui firent aucun cadeau et, bien au contraire, les conditions exigées par le FMI furent particulièrement sévères. Mais, trop, c’était trop et le gouvernement sud-coréen rejeta en bloc le diktat du FMI et refusa la faillite de ses entreprises et de son système bancaire. La crise financière fut surmontée au printemps 1998 et la balance commerciale se redressa vite. Ils comprirent alors que l’économie devait être dirigée uniquement au niveau national, ce qui fut fait. Le prix à payer par le peuple coréen fut lourd, mais les axes choisis par les gouvernants étaient bons et, en 2010, l’économie sud-coréenne occupait le quinzième rang mondial. Les autres pays d’Asie suivirent la même voie et l’ensemble du continent put ainsi échapper à la mainmise des banquiers internationaux. D’autant plus que les systèmes financiers chinois et indiens n’avaient pu être pénétrés par eux en raison de leurs protections nationales. Cette victoire financière remportée en Asie aurait dû agir comme un voyant d’alarme pour les financiers mondialistes. D’autant plus que la crise des « subprimes » allait souffler un vent de panique sur le système bancaire occidental dès 2007. Dès lors, c’est tout le système dollar qui était fragilisé.
Certains monétaristes avaient déjà identifié les deux types de monnaies et l’avaient résumé en « monnaie-dette » et monnaie « non-endettée ». La première est émise contre une dette, c’est-à-dire une promesse de remboursement futur, mais n’a pas de valeur économique. Elle est souvent appelée monnaie fiduciaire, ou monnaie de confiance. La seconde représente une valeur, souvent une quantité de masse d’un métal précieux (or ou argent par exemple) et est appelée monnaie désendettée. Au début, le dollar était une monnaie indexée sur l’or, donc désendettée. C'est à partir de la création de la FED que les « mauvais dollars » apparurent. La FED fut créée en 1913 pour financer la guerre l’année suivante...
Hongbing Song écrit (page 323) : « A partir de 1913, les « dollars de mauvaise qualité » expulsèrent petit à petit les « dollars de bonne qualité » d’or et d’argent des réserves intégrales. Les banquiers internationaux qui voulaient créer un système financier mondial monopolistique de réserves fractionnaires atteignirent leur objectif et parvinrent même à exclure le gouvernement du domaine d’émission de la monnaie. Ils firent leur possible pour diaboliser l’or et l’argent, et dans les années 60, ils réussirent à abolir le dollar-argent. En 1971, ils mirent fin à ce qu’il restait de la relation entre l’or et le dollar. Dés lors, le système des réserves fractionnaires avait bouclé la boucle du monopole. »