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M) Suite 13


Pour parvenir à leur alliance à travers le socialisme d'un super Etat totalitaire mondialiste, les milliardaires multiplient en plus les petites règles compliquées dont donc avec le Covid qui les a fait progresser et la masse qui les a beaucoup acceptées :
« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement (soumis au mondialisme) est le berger. » (Tocqueville)
La croyance à l’illusion qu’« on va tous mourir du virus » provoque l’impératif de survivre avant celui de comprendre ; le cerveau reptilien ayant la primauté sur le néo-cortex et la raison. Il n’est donc pas nécessaire que le fait scientifique soit avéré ou confirmé par le plus grand scientifique ou le Pouvoir lui-même. C'est pourquoi afin de mieux contrôler la population et d'augmenter massivement l'endettement de la France, il fallait prolonger le pass qui prolonge aussi la peur du danger sanitaire, comme bientôt les pass climatique ou/et économique. En effet cela fait enraciner cette croyance collective dans la société et provoque peu à peu un dressage des esprits par auto-conditionnement ainsi donc qu'une neutralisation générale de la réaction et de la raison. Tout ça via l’Écran. Peu importe qu’on n’ait pas de télé, car des affichages suffisent pour diffuser la Peur sur toute la ville et sur toutes les ondes, c'est à dire pourvu qu’on la voit et qu’on parle de la peur ; peu importe que ça soit en bien ou en mal, qu’on est raison ou tort.
« Le Pr Mattias Desmet enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires. Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes. Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique amplifiées par la perte de liens sociaux physiques, ce qui était déjà une perte de sens. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable qu'elle risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation. Un agent comme le coronavirus ou la Russie peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse. Grâce au Covid ou à la Russie, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés. La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas et qui sera expliqué plus tard), les gens s'estiment victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié. À l’instar de cette fable des Animaux malades de la peste, les consommateurs sevrés par ces crises orchestrée sentent qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe des non vaccinés (mais aussi des complotistes ou anti-vaccins selon les étiquettes de circonstance désignés eux aussi comme des dangers publics) fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux , et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).
(« Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme » : extrait de l'article « Pr Didier Raoult : « Quand on menace les gens de les confiner ou de ne plus les soigner, c’est de la dictature » à l'adresse https://lemediaen442.fr/pr-didier-raoult-quand-on-menace-les-gens-de-les-confiner-ou-de-ne-plus-les-soigner-cest-de-la-dictature/)
Dans ce processus sournois synonyme de bassesse, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples ont renoncé à leurs droits et libertés. Une fois cet « engoncement (ce resserrement) » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, et à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance, impliquerait nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante précédente, ce qui serait perspective psychiquement insupportable. Cela explique pourquoi les « covidistes » sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer. Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend même les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes. » (Extrait de l'article « Viol des esprits et psychose de masse » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/06/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/
Or une société malade qui a perdu ses repères (ses valeurs) crée toujours du totalitarisme, de l'injustice sociale ou des guerres. En effet généralement suite à une époque difficile, cela va créer des hommes forts qui eux-mêmes vont concevoir une société plus juste et plus facile à vivre. Puis avec le temps, les hommes la composant vont perdre de leur vigueur et de leur vigilance. Alors ces sociétés dégénèrent et s'avachissent en raison de la faiblesse des hommes qui les constituent parce qu'ils ne rencontrent plus d'épreuves qui les fortifient. Ainsi elles sombrent dans la destruction, et c'est à nouveau l'émergence d'une époque difficile. C'est pourquoi lors des premiers califats, le djihad pieux intérieur qui est de se maîtriser religieusement et le djihad pieux extérieur qui est le combat militaire, servaient principalement à maintenir la force et la stabilité de la société.
Ainsi on ne doit pas négocier avec l'expérience totalitaire, car moins on négocie avec elle et plus vite on la fera couler, d'autant plus avec de massifs boycotts intelligents et unis, car le destin du totalitarisme est de s'autodétruire, de s'effondrer, puisqu'il est contraire à toutes les lois de la nature, de l'espèce, de l'esprit, de l'âme, de l'intelligence. Surtout qu'impopulairement car souvent par rapport à la modestie du peuple, la nomenklatura y a généralement droit à tout même à certaines interdictions imposées au peuple.
L’émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ? Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ? En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ? Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ? En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ? Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ? En quoi vivons-nous le prolongement de notre fermeture de cœur ? La charité serait-elle le remède au totalitarisme ?
Selon la psychologue clinicienne Ariane Bilheran, la meilleure solution contre le totalitarisme tyrannique synonyme de guerre auto-destructrice et contre la société du spectacle qui ne valorise plus la discipline, l'effort et l'être, mais la séduction, la consommation et l'avoir, est la charité et non la solidarité. En effet la solidarité est une chaîne qui détient l'exigence de la réciprocité et donc de l'interdépendance. Alors que la charité, très souvent pratiquée par les prophètes Jésus et Mouhamed, ne cherche qu'à donner sans condition, qu'à aider sans vouloir recevoir (à part de Dieu quand on est croyant), mais dans l'espoir que l'être ou les êtres humains aidés dont dans leurs droits soient guidés et propagent cette charité en la pratiquant.
Selon saint Thomas d’Aquin, la charité est la vertu suprême théologique (et christique, du monothéisme authentique), et c'est donc celle qui nous fait le plus grandir car elle est synonyme de miséricorde par excellence, mais elle ne doit pas amener à la pauvreté de celui qui la pratique. Elle peut aussi se voir dans l'hospitalité individuelle ou collective. Et lors d'une épidémie quand c'est possible, il est donc préférable de préserver l'amour entre humains dont par des contacts tendres, plutôt que l'amour de soi dont par la crainte des autres, surtout que Dieu contrôle même les virus et que le martyr qui doit être recherché se gagne avant tout par le secours (dont le lien) envers l'humain, la vie et la foi.
Or nous sommes arrivés à un point tel que la survie n'est plus mesurée par des critères moraux, spirituels ou humains. Le peuple a même été traité par les vaccins expérimentaux comme des bestiaux voire des cobayes sous la propriété totalitaire de l'Etat. Malheureusement, nous savons que jamais personne ne s’empare du pouvoir avec l’intention d’y renoncer. Pour certains le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin.
Suite à l'effondrement du messianisme communiste (totalitarisme d'apparence militaire) et du messianisme capitaliste libéral (totalitarisme d'apparence chic et donc plus vicieux), le pire totalitarisme est donc celui de la société libertaire d'hyper consommation, parce qu'il est organisé par une ploutocratie, et que le virtuel et l'impiété, c'est à dire le numérique, l'athéisme, le progressisme, le Lgbtisme, le féminisme, la GPA, la transsexualité, le transhumanisme, le wokisme, la cancel culture, luttent contre le réel après l'avoir follement qualifié de fascisme, alors que ce n'est que par toute cette évidente inversion des valeurs imposée que le fascisme tend à revenir mondialement à travers cette gauche sociétale ayant particulièrement formaté les jeunes générations.
Or selon Karl Marx, l'histoire d'un totalitarisme revient toujours deux fois, mais la première fois elle vient en tant que tragédie, alors que la seconde, elle revient en tant que farce. Et la plus grande menace pour un totalitarisme impie n'est pas les rebelles violents sur lesquels il pourrait construire une fausse légitimité de défense nationale contre eux, mais les sceptiques, les ironiques et les décontractés dont l'esprit fin, clairvoyant, sage et intelligent peut être contagieux. Or quand la passion ou la peur sont administrées chez le peuple comme ce le fut lors la propagande manipulante et divisante concernant le Covid, l'idéologie politicienne tyrannique prime donc sur la raison, la science et le bon sens. Ainsi malgré la démocratie liée à la république française étant le pouvoir au peuple, le système veut nous faire croire que c'est l'autorité qui a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant en plus être raccourci par une révolution.
Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « L'Eloge de la force avec Laurent Obertone - Le samedi politique » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=Ue9CqPFtQgo&t=192s
D'ailleurs la dictature sanitaire liée au Covid a clairement fait passé l'autorité à de l'autoritarisme, qui pourrait aller jusqu'à la tyrannie écologico-sanitairo-numérique sous de pseudos prétextes comme la pseudo lutte contre le carbone. En effet on ne peut nier qu'avec la perverse gestion de la crise sanitaire comme pour habituer les peuples aux prochaines crises et au grand reset, un totalitarisme ploutocratique s'est mis en place par les confinements, les couvre-feu, le traçage, les délations, la stigmatisation de populations, les camps, le QR code (faisant rappeler celui de Nuremberg), le passeport (covid) pour circuler sur le territoire national, le règne de la terreur par la propagande, etc. Surtout que les forces progressistes qui ont imposé cette tyrannie sanitaire et numérique ont en partie détruit l’économie productive au profit des grosses puissances financières.
Le passeport covid national liberticide, ayant donc possiblement préparé les peuples à celui énergétique, écologique ou vert encore plus liberticide, peut aussi être la suite liberticide concernant le déplacement commencée lors de la première guerre mondiale et continuée par les passeports et les visas : « Rien peut-être ne rend plus sensible le formidable recul qu’a subi le monde depuis la Première Guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et, de façon générale, à leurs droits. Avant 1914 … chacun allait sans passeport où il voulait sur terre et y demeurait aussi longtemps qu’il lui plaisait. » (Stefan Zweig, Le monde d’hier. Souvenirs d’un Européen, 1942)
Or à notre époque se rapprochant des dix milliards d'humains sur terre et ayant de nombreuses nations aux frontières bien définies, l’utilité de passeport pour gérer le flux de déplacement humain au niveau mondial paraît important, surtout cela n’empêche pas l'immigration illégale de beaucoup. Mais il est important de noter que par une forme d'ouverture et de liberté, il est agréable de passer des frontières sans contrôle comme dans l'union européenne.
« Pour retrouver un peu de cet ancien temps, égalité et réconciliation sont les deux choses que les majorités doivent absolument offrir aux minorités (dont les ultra riches font partie), surtout si elles veulent empêcher ces dernières de donner prise aux techniques de manipulations utilisées par les forces qui veulent transformer tout le monde en esclaves obéissants et désemparés. D'autant plus que par la subordination de la dette usurière, une caste mondialisée ultra riche et donc minoritaire cherche donc le pouvoir politique et parvient même à obtenir des infrastructures de nations, la dématérialisation de la monnaie (en futures monnaies numériques centralisées voire décentralisées gérées par les banques) et le démantèlement des services publiques (dont les moyens hospitaliers étaient déjà insuffisants avant le début du covid) en les faisant devenir payant. Ces majorités qui s’illusionnent et croient qu’elles peuvent résoudre le « problème des minorités » en les expulsant ou en les faisant disparaître ne font que se tromper elles-mêmes. En effet résoudre « simplement » le « problème des minorités » en les réprimant pousse inévitablement celles-ci directement dans la chaude étreinte des grands manipulateurs, et cela transforme ces minorités en une puissante arme contre la majorité. La défense des minorités devient d'ailleurs souvent une propagande guerrière de certaines minorités contre la majorité (l'opinion publique majoritaire) et ne correspond donc plus à de la démocratie. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » certaines minorités. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » les minorités. Surtout que le Rassemblement national dénommé avant Front national ayant été attaqué pendant 40 ans par les forces sionistes, il a finalement été dévirilisé, et une fois dévirilisé (dont jusqu'à changer de nom, qui a tout de même été sage), il a été attaqué sur sa dévirilisation par Zemmour. On saisit l’ingénierie aussi subtile que cruelle. C'est à dire que comme la nouvelle droite de Zemmour en réalité sioniste est fausse puisque étant pour L'Euro, l'Union européenne et le pass sanitaire, cela signifie qu'elle est macronienne. Ainsi ceux qui le suivent participent à éjecter les derniers véritable défenseurs de la droite authentique. L’ennemi te demande de faire la paix, de poser ton arme, puis, sans risque, t’enfonce son épée, que lui n’a pas posée. Bien entendu, cela ne signifie pas que les préoccupations et les griefs émis par ce mouvement sont sans mérite, pas du tout, ce sont leurs pseudo solutions qui sont le véritable danger.
Il n’y a qu’un seul chemin efficace pour désamorcer le potentiel explosif des minorités :
-Expliquer que la domination des élites perverses se fait donc de la manière suivante : libéralisme libertaire, appauvrissement du bas et de la classe moyenne entrepreneuriales de la société, destruction des acquis sociaux, manipulation entre minorité et majorité, racisme, division horizontale, et ainsi lutte verticale entre le peuple et le pouvoir profond évitée.
-Instruire les minorités et leur expliquer qu’elles sont manipulées
-Instruire ceux qui rejoignent les mouvements opposés aux minorités qu’ils sont aussi manipulés
-Offrir aux minorités un avenir fondé sur l’égalité et la réconciliation
-Pointer les projecteurs vers ceux qui soufflent sur les braises du conflit et essaient de tourner les minorités et les majorités les unes contre les autres afin de préserver leurs privilèges corrompus. » (Extraits de l'article « Les minorités manipulées représentent un danger majeur pour les États démocratiques » à l'adresse http://lesakerfrancophone.fr/les-minorites-manipulees-representent-un-danger-majeur-pour-les-etats-democratiques)
Tous les grands problèmes sociaux mondiaux proviennent principalement des occidentales oligarchies perverses, mondialistes, américano-sionistes, ultra-libérales, wokistes, cupides ou avides de pouvoir. D'ailleurs il faut rappeler qu'exactement 11 ans après le démembrement de l'union soviétique et le discours du président Bush Père américain sur le nouvel ordre mondial séculier à venir, les attentats du 11 septembre 2001 au World Trade Center très probablement effectués sous faux drapeau eurent lieu, ce qui permit au président Bush américain, fils du précédent de même nom, de dire qu’il fera la guerre au terrorisme, car il s'agissait d'une guerre possiblement sans fin permettant aux Etats-Unis leurs perpétuelles ventes d'arme et la préservation de leur hégémonie puisque cet empire est un complexe militaro-industriel, mais cela créa beaucoup d'immigration suite aux guerre en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie. Or s’il avait affirmé qu’il avait l’intention de livrer une bataille à l’islam, cela aurait mis en danger le projet américano-sioniste de domination du monde par l'ultra-libéralisme occidental et l'instabilité des guerres, puisqu'il aurait uni la population musulmane représentant le cinquième de l'humanité. Ainsi après avoir organisé la guerre permanente, l'oligarchie mondialiste des Etats-Unis et de l'Occident veut maintenant les pass sanitaire et énergétique permanents pour augmenter désormais la guerre du tous contre tous et la tyrannie ploutocratique internationale. Ceci prouvant qu'il est grand temps qu'un califat bien guidé et donc sagement constructeur réapparaisse à travers l'union de tous les pays musulmans, afin de purifier le monde qui en est devenu à être organisé par la création puis l'exploitation du chaos pour préserver l'empire américano-sioniste.
Surtout que par rapport à tout ce qui vient d'être évoqué, il est reconnu désormais mondialement que divers services spéciaux occidentaux instrumentalisent le terrorisme djihadiste à des fins politiques ou géopolitiques, d'autant plus que le Président Trump a admis l'origine états-unienne de Daech, comme Al-Qaïda est d'origine états-unienne. En effet cette armée terroriste avait été au départ la rébellion des anciennes armée et administration irakiennes de Saddam Hussein qui furent humiliées à travers leurs licenciements (même de nombreux petits fonctionnaires) organisés par l'envahisseur américain très probablement dans le but de déstabiliser voire disloquer définitivement cette nation. D'ailleurs c'est suite à la désorganisation de l'Irak par la guerre que Daech a conquis rapidement de vastes territoires en Irak, mais aussi beaucoup suite au soutien massif des USA, d'Israël, de la Turquie, de l’Arabie Saoudite et du Qatar envers ses centaines de milliers de terrorises takfiristes.
C'est à dire que Daech provient de la libération américaine de commandants d'Al Qaïda et d'anciens officiers pourtant baasiste (laïques, ce qui sous-entend probablement qu'ils sont plutôt devenus des mercenaires, quoique leur désir aussi de vengeance des centaines de milliers de morts musulamsn en Irak et au Proche-Orient suite à la guerre a pu les rendre beaucoup plus djihadistes) de Saddam Hussein de la prison de Bassora, puis de leur union appuyée par de pseudos erreurs américaines de livraison aériennes d'armes (les USA ont donc au moins favorisé Daech s'ils ne sont pas complètement à son origine) et par des financements étrangers.
Et il y a eu pendant un temps un retrait précipité des troupes américaines, laissant le pays dans le chaos et favorisant l’émergence de l’État islamique. D'ailleurs Trump et même Hillary Clinton lors d'un procès ont reconnu la création américaine de Daech. Israël a aussi rejoint ses alliés en Turquie et dans le monde occidental pour financer des groupes islamistes sunnites en Syrie dans les années 2010 afin d'affaiblir le Hezbollah, comme l' a confirmé le chef d'état-major des forces de défense israéliennes, le lieutenant-général Gadi Eisenkot en 2019.
« Contrairement à l’image que le grand public se fait du groupe, inspiré par un fondamentalisme religieux fanatique et extrême, ISIS est avant tout un groupe de tueurs à gages. À tout moment, ils agissent sur ordre d’un ensemble de donateurs internationaux, liés par des intérêts communs. Les fonds, les armes et les ordres parviennent à ses combattants de manière détournée et opaque. Il y a presque invariablement plusieurs couches entre les auteurs d’une attaque revendiquée par le groupe et ses orchestrateurs et financiers ultimes. Étant donné qu’ISIS-K se dresse actuellement contre la Chine, l’Iran et la Russie – en d’autres termes, les principaux adversaires de l’empire américain – il convient de revenir sur les origines du groupe « parent ». Apparu apparemment de nulle part il y a un peu plus d’une décennie, avant de dominer les grands titres des médias et la conscience publique occidentale pendant plusieurs années avant de disparaître à nouveau, le groupe a occupé à un moment donné de vastes pans du territoire irakien et syrien, déclarant un « État islamique », qui émettait sa propre monnaie, ses propres passeports et ses propres plaques d’immatriculation. En outre, la Grande-Bretagne a mené en parallèle des programmes secrets coûtant des millions pour former les paramilitaires de l’opposition à l’art de tuer, tout en fournissant une assistance médicale aux djihadistes blessés. Londres a également fait don de plusieurs ambulances, achetées au Qatar, à des groupes armés dans le pays. Des documents ayant fait l’objet d’une fuite indiquent que les services de renseignement britanniques jugeaient inévitablement « élevé » le risque qu’Al-Nusra, ISIS et d’autres groupes extrémistes d’Asie occidentale perdent des équipements et du personnel issus de ces efforts. Pourtant, il n’existait aucune stratégie concomitante pour contrer ce risque, et les opérations se sont poursuivies à un rythme soutenu. Presque comme si l’entraînement et l’armement d’ISIS étaient précisément le résultat souhaité par le MI6. » (Extraits de l'article « Comment la CIA et le MI6 ont créé ISIS » de Kit Klarenberg)
Ainsi cette armée fut aussi organisée par le wahhabisme de l'Arabie Saoudite soumise aux USA qui ont d'ailleurs fourni les armes en Syrie à Daech et à Al Qaida devenu en partie le Front Al-Nosra. Et le Mossad, la CIA et Daech sont donc souvent la même entité dont contre les ennemis désignés par Israël et les USA tels donc l'Irak, la Libye, la Syrie, mais aussi le Hamas, le Hezbollah, l'Iran. Ainsi l'armée irakienne fut ensuite inexpérimentée voire très affaiblie, et les conquête territoriales de Daech en furent facilitées à tel point que la capitale Bagdad faillit être prise, si la plus haute autorité religieuse d'Irak l'ayatollah Ali al-Sistani n'avait pas appelé au djihad comme résistance et si environ deux millions de personnes sunnites, chiites et chrétiens n'y avaient pas répondu. Or ces deux millions d'irakiens contre Daech ont seulement été soutenus par des armes et des généraux d'Iran. Il faut noter que depuis que Daech ne contrôle plus un territoire sur deux états, il n'est donc plus une nation mais est devenue une nébuleuse terroriste.
Général Delawarde : « ISIS (DAECH) a été et reste un outil instrumentalisé par un duo fusionnel CIA-Mossad et parfois par le trio CIA-Mossad-MI6. »
Comme depuis les années 40, la continuité du terrorisme étatique n'est donc pas surprenant, puisque à l'extérieur cela sert de corrosion contre certains Etats et à l’intérieur cela justifie de lois liberticides comme celles pour l'état d'urgence, le renseignement, la surveillance.
Tout ceci prouve encore que le terrorisme est donc principalement étatique, même quand il se sert seulement d'organisations terroristes, en particulier lorsque ces dernières ont besoins d'une grande préparation pour réussir de grands attentats comme ceux de 2001 aux USA et de 2015-2016 en France, surtout que leurs membres ont généralement un petit QI.

De même, il est unanimement reconnu que les premiers Talibans ont été soutenus par la CIA. Maria Zakharova, la porte parole du ministère des affaires étrangères russe a confirmé : « Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, sont derrière tous les groupes de type Daech, ils les ont créées. » Il faut noter qu'en 2011 la chaîne Al-Jazeera a été reprise en main par le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem ben Jaber Al Thani. Instantanément, elle s'est mise au service de l’Otan, dont elle devient le principal outil de propagande dans le monde arabe. Elle donne une vision partiale des conflits en Libye et en Syrie pour se transformer en chaîne de la Confrérie des Frères musulmans. D'ailleurs comme l'Arabie saoudite est un pion des USA, les Printemps arabes devaient servir à mettre des frères musulmans sous contrôle US au pouvoir en Égypte (ce qui a été le cas pendant un temps), Libye, puis Syrie. L’imam Youssef al-Qaradawi devient le prédicateur officiel de la chaîne. Il explique honteusement à ses auditeurs que Mahomet serait sans aucun doute aujourd’hui du côté de l’Otan. De l’occupation américaine de l’Irak, qui a eu lieu juste après la chute de Saddam Hussein, n’a apporté aucune trace de la démocratie que les Américains avaient promise au peuple irakien. Au lieu de cela, ce qui s’est produit réellement en Irak était le déchirement du pays par des conflits religieux, sectaires ou ethniques à travers la politique de diviser pour régner. Les actions terroristes sont venues hanter le pays. C’est dans ce contexte que le mouvement de résistance s’est développé pour faire face au danger qui faisait des ravages dans le pays. Quand Daech a fait son apparition en Irak, l’Ayatollah Ali Sistani, grand dignitaire des chiites irakiens, a émis un décret historique appelant le peuple à se soulever contre le groupe terroriste. Les forces populaires se sont unies à l’armée irakienne pour contrer les terroristes parrainés par l’étranger. En effet le flux de volontaires aboutit finalement à la formation des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi). Aidés et assistés par la République islamique d’Iran, les Hachd al-Chaabi se sont transformés rapidement en une entité puissante dans la lutte contre le terrorisme. Avec l’aide du général Qassem Soleimani, les Hachd al-Chaabi combattaient Daech sur plusieurs fronts, et ont libéré les grandes villes et se sont préparés pour la défaite finale de Daech. La République islamique d’Iran s’est précipitée à la rescousse des Irakiens et, une fois de plus, le général Qassem Soleimani y a donc joué le rôle central. Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. Les Américains ont essayé de revenir en Irak sous prétexte de lutter contre le terrorisme. Les choses ont pris de nouveau une tournure dramatique.
Par conséquent l’Afghanistan représentait bien aussi un endroit stratégique pour les intérêts américano-sionistes, puisque jouant donc le rôle de voies d’acheminement des hydrocarbures de l’Asie centrale, permettant l'établissement de bases militaires américaines pour contrôler la région, et participant au développement d'un ennemi mondial perpétuel qu'est le terrorisme. Le terrorisme des premiers saoudo-talibans ayant amené l'invasion de l'Afghanistan par les américains a donc effectivement facilité la manipulation mondiale au profit des USA, provoqué toujours plus leurs ventes d'armes, et permis que le terrorisme wahhabite ou takfiriste puisse ne jamais disparaître totalement par preuve que des monarchies arabes pétrolières alliées des États-Unis participent à son financement.

C'est à dire que certains spécialistes arabes et mondiaux affirment que le complexe militaro-industriel des États-Unis a manipulé le groupe Al-Qaïda pour le lier de près ou de loin aux terribles attentats du World Trade Center afin donc de pourvoir envahir divers pays musulmans pour contenir la Russie, l’Inde et la Chine, et bien sûr afin de contrôler une partie des voies d'approvisionnements en hydrocarbures entre le Proche-Orient et l'Asie, de voler leur pétrole et de vendre toujours plus d'armes. Cela fut d'autant plus possible sans l'opposition véritable de ces grandes puissances concurrentes. Mais suite au renouveau économique et militaire de la Russie puis aux nombreuses prises de territoire de la Syrie en 2015 par Daech synonyme de danger terroriste pour la Russie et de possible future annexion israélienne jusqu'au Grand Israël impie, cela prit en partie fin, surtout aussi avec la guerre en Ukraine. En effet ce temps d'attente par la Russie lui permit de finaliser certaines armes modernes comme ses DCA S-400/500, ses boucliers électromagnétiques, ses missiles hypersoniques et ses missiles pouvant détruire des satellites. Mais cela lui permit aussi essentiellement d'être assez forte économiquement pour tenir le coût de la guerre en Syrie puis d'affronter les sanctions actuelles liées à son intervention en Ukraine, et donc également la course aux armements, à leur livraison et à leur utilisation dans cette guerre face à l'union militaire de plusieurs pays qu'est l'Otan.Il faut noter que la course aux armements appauvrit les peuples et donc l'humanité, et qu'elle est à nouveau recherchée par les USA pour appauvrir la Russie comme contre l'URSS en 1980. Or suite à l'invention de la bombe atomique, la course aux armements sert en réalité seulement pour la défense, l'influence ou l'extension impériales, sous risque donc de s'effondrer économiquement, à moins de parvenir à vendre le surplus. De plus à la différence de la Syrie et de l'Ukraine, il faut comprendre que la Libye n’appartenait pas à Sa sphère de sécurité ni d'influence, comme le Proche-Orient n'appartient pas à la sphère de sécurité ni d'influence de la Chine ou de l'Inde, même si il le devient de plus en plus car c'est un centre mondial de pressions internationales.
Ainsi comme la Russie aurait pu continuer à être encerclée par des fortifications, des aérodromes et des garnisons de l’OTAN en Ukraine normalement neutre, qui auraient travaillé à sa dégradation interne, elle a logiquement décidé sa démilitarisation, surtout qu'une attaque militaire contre les russophones du Donbass se préparait. Car les Américains ne veulent pas d’une guerre mondiale, ils pensent vaincre la Russie par la pression et la menace, dont car elle est le dernier pilier chrétien, militaire et énergétique fasse à l'empire américano-sioniste et au catholicisme institutionnel devenant une hérésie. Un discours du président Poutine évoque d'ailleurs que l'Occident détruit délibérément les normes morales et l'institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles
(fondamentales), a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles (dont le dernier en Europe), et a une population partageant dans une grande majorité ce choix de même que la grande majorité des peuples du monde.
Dans ce sens d'obligation chronologique, le début de la guerre en Ukraine organisée par les occidentaux, pour participer au grand reset ou espérer l'effondrement de la Russie, devait attendre le formatage des peuples occidentaux par la crise du covid, qui devait attendre les outils le rendant possible comme le smartphones répandus et le QR code. Selon Orwell, la guerre ne détruit pas l’adversaire, elle détruit les surplus et elle renforce le pouvoir de l’élite sur la masse affamée et abrutie, comme deux des sournois sens cachés du grand reset.
Or comme selon le plan divin la souveraineté russe est divinement d'abord basée sur la vente de gaz, cela a donc heureusement permis à la Russie de freiner l'apparition du grand Israël interdit par Dieu et à de combattre cette innovation malfaisante gravement erronée qu'est l'islamisme politique destructeur et meurtrier de masse, qui devrait d'ailleurs s'appeler simplement terrorisme plutôt que terrorisme islamique, comme on ne fait pas d'amalgame avec les autres religions et les idéologies politiques même quand elles sont terroristes. Il faut noter que comme par son intervention en Syrie, la Russie avait donc aussi sauvé la Syrie, mais qu'en plus elle protège l'Iran, a autorisé la Corée du Nord à avoir la bombe atomique et supporte la Chine dont en ayant pris de front l'occident dominateur belliqueux, ces nations ne peuvent que soutenir la Russie en Ukraine.
D'ailleurs la guerre en Ukraine devait servir à faire soulever tous les peuples non orthodoxes de la Russie pour la disloquer en sous pays facilement contrôlables, mais ces peuples comprirent au final l'importance essentielle de l'alliance avec la Russie contre l'Occident wokiste, lgbtiste, oligarchique et sioniste. Ainsi, nous assistons probablement à la fin de l'espoir des mondialistes de démembrer la Russie puis de dominer la Chine, malgré les difficultés des décennies précédentes. Pour le comprendre, nous devons rembobiner jusqu’en 1998, il y a 24 ans : l’économie russe était en ruine, la première guerre contre la Tchétchènie était pour l’essentiel perdue et l’Occident était occupé à piller ce qui restait de l’économie soviétique. Les sentiments séparatistes étaient même légion et le pays aurait pu s’effondrer à tout moment, réalisant ainsi le vieux rêve occidental de rayer la Russie de la carte politique. Mais l’Occident ne pouvait pas attendre et a décidé de donner un coup de grâce à la Russie en déclenchant la deuxième guerre de Tchétchénie. Et là, quelque chose a mal tourné : au lieu de l’ivrogne président Eltsine, Poutine est arrivé au pouvoir et a gagné la deuxième guerre de Tchétchénie. L’apparition de Poutine sur la scène mondiale a été une surprise totale pour l’État profond occidental, qui a alors réalisé qu’il avait besoin d’un tout nouveau plan pour détruire la Russie à coup sûr cette fois. L’objectif principal de ce nouveau plan était encore la poursuite de la domination mondiale des États-Unis, mais désormais suite au démembrement, à la dévoration et à l’engloutissement réels de leur principal adversaire géopolitique qu'est la Russie pour ensuite en finir avec la Chine. La Russie devait être contenue simultanément à l’ouest via l’Ukraine, au sud-ouest via la Syrie puis le Caucase et au sud via l’Afghanistan. Le commerce du pétrole et du gaz naturel de la Russie devait être perturbé, ses liens économiques avec l’économie mondiale rompus et sa politique perturbée par des manifestations internes.
Cette déstabilisation états-unienne du Proche-Orient espère aussi au bout du compte une guerre permanente entre sunnite et chiite similaire à celle sans fin contre le terrorisme, puisque permettant aussi leur honteuses ventes d'armes indéfiniment puis donc leur exploitation des ressources des pays dans le chaos comme en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie, en sachant que lorsque les USA dominent une nations, ils l'obligent à acheter leurs armes pour entretenir leur puissance hégémonique basée économiquement beaucoup sur leur complexe militaro-industriel :
Twaban (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Peu s'en faut que les nations ne se liguent contre vous à la manière de mangeurs se conviant à manger du même plat (pétrole et gaz du Moyen-Orient et Maghreb, comme le prouvent les guerre en Irak, Libye, Syrie et Palestine). » L'un des compagnons demanda : « Serons-nous en minorité ce jour-là, ô Envoyé de Dieu ? » « Non, vous serez nombreux, mais (sans plus de valeur) que l'écume charriée par un torrent (car divisés), et Dieu ôtera du cœur de vos ennemis la crainte que vous leur inspiriez et Il mettra de la faiblesse dans les vôtres », répondit le Prophète (SBDSL). Un autre demanda : « De quelle nature sera cette faiblesse ? » « L'amour de ce monde et la crainte de la mort (vous faisant oublier la défense des faibles, de la noblesse morale et de l'honneur du martyre) », finit le Prophète (SBDSL).
Commentaire : Le hadith précédent semble montrer aussi qu'à la fin des temps, la piété et l'union des musulmans et pays musulmans par essence bénie seront logiquement nécessaires pour faire triompher la cause divine, même si cela provient du risque de destruction voire de la destruction du Moyen-Orient.
C'est également dans ce sens que le pouvoir profond occidental lié à divers lobbies pervers et certains de leurs services spéciaux comme la CIA organisent divers foyers de tensions dans le monde. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que le complexe militaro-industriel, wall street et le judéo-protestantisme soient les composants principaux de l'Etat profond américain et du désordre international.
Ce démoniaque pouvoir profond très nocif de l'occident souhaite donc aussi la destruction de l'islam, du catholicisme et du christianisme orthodoxe, car ces religions sont en opposition au laïcisme hyper consommateur de leur capitalisme libéral libertaire enrichissant seulement les très riches en particulier par l'usure. De plus cet internationaliste pouvoir oligarchique pervers cherche la maîtrise de divers territoires dont certains donc pour agrandir leur principale colonie qu'est Israël, devenu par rapport au monde leur capitale ou Etat leader, puisque permettant par la pseudo suprématie victimaire des juifs liée à la shoah de prétexter honteusement la belliqueuse et dominatrice politique internationale des américano-sionistes mondialistes, dans une forme donc d'instrumentalisation claire de cette shoah.
Afin d'amplifier cette orientation aux pays occidentaux lors des dernières décennies, diverses autorisations législatives furent données pour la création de chaînes d'informations privées partisanes, des groupes de réflexion ultra-libéraux subventionnés par les très riches leur permettant en plus de payer moins d'impôts apparurent, et des groupes de discussions avec des citoyens représentant la population furent organisés dont afin de plus facilement manipuler le peuple à accepter par exemple la guerre en Irak et en Syrie ou la Russophobie. Surtout que des sociétés privées type « behavioral insigts team (l'équipe d'analyse comportementale) » étudient la psychologie humaine pour modifier le comportement de la population, en particulier à travers les enfants, dont pour faire croire que l'autorité a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant être raccourci par une révolution comme il a déjà été vu. De plus avec les récentes découvertes scientifiques, les lois de plus en plus perverses amenant bientôt à valider la sélection des gênes pour le fœtus, la GPA et les utérus artificiels (mauvais pour les fœtus puisque perdant environ six mois d'éducation liée aux sensations, émotions, réactions, actions, langage et vie de la maman et de la famille mais aussi certaines vibrations du monde) voire les clonages, les élites mondialistes corrompues pourront créer des armées de serviteurs sous prétexte d'adoption, voire créer des êtres humains supérieurs qui n'hésiteront pas à faire disparaître les anciennes générations plus faibles.
Tout cela confirme donc encore la nécessité urgente du retour d'un Califat bien guidé à travers l'union de tous les pays musulmans pour qu'il participe à l'assagissement du monde, surtout que défendant la religieuse loi naturelle, propageant la justice, combattant l'impiété de l'extrémisme et s'étendant sur des zones très riches en hydrocarbures et très stratégiques géopolitiquement dont vis à vis du commerce international et des nouvelles routes de la soie de même que la nouvelle route des indes, surtout que ces nouvelles routes sont des projets qui reposent logiquement sur la paix dans le monde, car en cas de zones de conflits guerriers nombreux, le commerce n'est plus une priorité.
Surtout que selon l'analyste géopolitique français Bruno Guigue, le terrorisme ne s’est jamais aussi bien porté depuis que les USA prétendent le combattre, et les États souverains qui affrontent ce terrorisme pour de vrai (aujourd’hui comme hier) figuraient depuis longtemps sur la liste noire des faucons du Pentagone. Afghanistan envahi, Irak laminé, Libye pulvérisée, Soudan tronçonné, Syrie agressée, Iran sanctionné, Yémen affamé : la guerre contre la terreur est l’alibi d’une destruction méthodique des structures étatiques du « grand Moyen-Orient », pour reprendre l’expression de Michel Raimbaud. Selon Thierry Meyssan, le scénario US de la guerre entre l'Irak et le Koweït a d'abord permis d'appuyer la domination des USA au Moyen-Orient, puisque ayant finalement attaqué l'Irak dont suite à une alliance avec la plupart des pays de cette région sauf déjà la Syrie et la Palestine, puis un changement radical de politique eut lieu car ils voulurent ensuite déstabiliser toutes les institutions politiques du grand Moyen-Orient allant de l'Afghanistan au Maroc sauf Israël voire l'Arabie, afin d'empêcher le développement de toute cette région, d'y éviter l'apparition d'une grande puissance concurrente et donc continuer de la maîtriser dont en exploitant et contrôlant ses ressources en particulier avec des proxies comme Daech et Al-Qaïda. On ne comprend pas la politique occidentale dans la région si l’on refuse d’admettre que la guerre contre la terreur était en fait une guerre pour la terreur, destinée à perpétuer le chaos dans une partie du monde aussi riche en puits de pétrole qu’en peuples récalcitrants. Contrairement au discours convenu des chancelleries occidentales sur « notre ennemi mortel, l’islamisme radical » (discours destiné aux naïfs), les terroristes coupeurs de tête n’ont jamais causé le moindre tort à l’hégémonie US (ni à Israël), qui a précisément besoin de leur nocivité pour se perpétuer. En effet à la fois mercenaires et boucs-émissaires, les djihadistes en tous genres ont fourni des hommes de mains jetables à l’empire du crime. Ainsi progressivement, les États-Unis retirent leurs troupes des conflits où elles étaient engagées et y substituent des mercenaires djihadistes sur le terrain et des sanctions économiques synonyme d'une version moderne du siège médiéval. En effet ce que les arrogants, méprisants, despotiques et tyranniques dirigeants états-uniens échouent à faire directement ou par procuration militairement, ils veulent y parvenir en affamant population, femmes et enfants. Il s'agit d'un terrorisme économique quand il n'est pas militaire. C'est à dire qu'ils imposent des embargos ou des blocus qui sont des actes de guerres et établissent des sanctions économiques même vis à vis de leurs pays alliés qui passeraient outre leur politique perverse contre diverses nations ou régions particulières du monde. Alors que les sanctions sont plus destructrices que la guerre conventionnelle et affectent l’ensemble de la population du pays visé. (Il s'agit donc de la guerre à mort de l'inégalitaire sans limite (anglo-américain, judéo-protestant et thalassocratique) car touchant donc aussi des civils, au contraire de la guerre conventionnelle de l'égalitaire raisonnable (Iran, Arabie, Russe, Chine, tellurocratie) évacuant les civils ou ne visant que des cibles militaires.) Ces actions stratégiques sont d'autant plus perverses qu'elles s'effectuent en dehors de tout droit international dans une forme de jungle animale opposée à l'humanisme qu'ils prétendent pourtant sournoisement défendre, surtout qu'elles ne sont pas dénoncées par des organisations comme l'ONU et l'OMC prétendant défendre la justice internationale, alors qu'elles sont pourtant plus graves que leur bombe nucléaire sur Hiroshima puisque 500 000 enfants irakiens en sont morts lors de l'embargo contre l'Irak à l'époque de Saddam Hussain. C'est pour ça qu'il est insupportable que la morgue moralisatrice des dirigeants occidentaux corresponde à l’écran de fumée qu’ils jettent complaisamment sur ces tas de cadavres dont ils sont responsables. C’est non seulement une insulte à l’intelligence des peuples qui les écoutent, mais surtout, et c’est de loin le plus grave, c'est une ignominie méprisante à l’égard des peuples qu’ils ont condamnés à la mort ou à la misère. Dans cette entreprise mortifère où le false flag est la règle et le bombardement aveugle le mode opératoire, de Kaboul à Bagdad, de Tripoli à Sanaa, et de Mossoul à Damas, les États-Unis battent tous les records, mais leurs supplétifs français et britannique, ces roquets de l’Empire, ne sont pas en reste dans l’exécution du crime de masse. Quel autre pays dans le monde outre ces trois-là peut se vanter d’avoir fait autant de guerres chez les autres dont par procuration, imposé autant de sanctions économiques, et déstabilisé autant de nations souveraines ? S’ils avaient une vague idée de ce qu’est le patriotisme, leurs citoyens descendraient dans la rue pour imposer la fin de cet acharnement criminel contre des populations qui ne leur ont rien fait, et dont certaines avaient même la candeur de croire aux valeurs usurpées par un Occident failli. Or suite à l'échec américain de contrôler selon la stratégie Mackinder le Heartland (environ les territoires de la Russie et proches de la Russie, ce qui montre l'importance essentielle de la Russie orthodoxe) par le contrôle du (ou d'une partie) Rimland (l’Europe et tous les territoires de l’Asie au sud de la Russie jusqu'à la l'océan indien et l'océan pacifique, en résumé les zones côtières de l'Eurasie puisque l'empire américano-sioniste est une thalassocratie) en partie avec leur influence en Afghanistan (dont toutes les guerres subies sont liées à cette volonté de contrôler le Heartland depuis que la géopolitique moderne existe, c'est à dire vers la fin du 19e siècle), Irak, Syrie, Géorgie, Ukraine et Caucase, les USA ont redéployé leurs forces selon la stratégie Spykman afin de contrôler le Rimland (côtes de l'Eurasie) dont en cherchant à contenir la Chine. Or l'axe russo-chinois dont à travers le BRICS et l'OCS (organisation de coopération de Shanghai) pourrait au final éjecter la puissance anglo-américaine du Rimland, c'est à à dire du littoral du Heartland (Asie voire Eurasie).
Le professeur Michel Chossudovsky, directeur du Centre for Research on Globalization, rappelle que deux grands pays classés aujourd’hui comme ennemis des États-Unis alors qu'ils étaient pourtant leurs alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, sont ceux qui payèrent le plus haut prix en vies humaines lors de la guerre victorieuse contre l’Axe nazi-fasciste Berlin-Rome-Tokyo : environ 26 millions pour l’Union Soviétique (dont 7 millions de slaves morts dans les camps de concentration nazis) et 20 millions pour la Chine, par rapport à un peu plus de 400 mille pour les États-Unis. Avec ce préliminaire Chossudovsky introduit sur Global Research une étude documentée par James A. Lucas sur le nombre de personnes tuées par la série ininterrompue de guerres, de coups d’État et autres opérations subversives effectués par les États-Unis de la fin de la guerre de 1945 à aujourd’hui, parfois sous de faux prétextes humanitaire ou démocratique alors que principalement pour dominer les ressources, l'économie et la politique de diverses nations du monde : nombre estimé à 20-30 millions. Les États-Unis sont intervenus militairement (directement ou en participant) dans 29 pays après la Seconde Guerre mondiale, dont certains 2/3 fois. Le mondialiste Kissinger a d'ailleurs dit qu'il faut contrôler les ressources (militairement, financièrement ou monétairement) pour contrôler les nations.
Ce nombre correspond au double environ des morts de la Première Guerre mondiale dont on a pourtant célébré à Paris le centenaire avec un « Forum de la paix », et qui fut la première guerre à échelle industrielle synonyme d'augmentation de la violence internationale puisque liée donc à l'apparition de l'industrie jusqu'à celles des arme, alors qu'aujourd’hui, la guerre devient plus électronique et technologique, comme quand il s'agit d'entraver ou hacker les drones, véhicules et bâtiments ennemis. (Comme le souligne Todd, «la guerre moderne sans industrie est un oxymore». C'est pourquoi la production d'armes par la Russie industrialisée et en avance technologique domine sur le terrain ukrainien l'Occident en grande partie désindustrialisé.) Ce qui explique aussi pourquoi avec ses usines, ses machines, le travail à la chaîne, la forte augmentation de la différence dans les revenus et ses guerres, l'ère industrielle amena une violence sociale beaucoup plus importante qu'avant, et qui montre que le prétendu positivisme supérieur de la raison et de la technique sans Dieu depuis 1789, s'est arrêté brutalement en 1914, tout en dépassant le nombre de morts dans ses guerres entre les idéologies athées, laïques ou démocrates, par rapport aux nombres de morts dans les guerres de religions. Ainsi il paraît logique de retourner vers les règles christiques, surtout qu'avec la découverte de la très mystérieuse physique quantique, le rationalisme athée qui était lié à la science basée sur les causes et effets ne peut que retourner retourne vers l'idée de la foi et de la science spirituelle.
Or en plus de ce nombre de morts, il y a les blessés qui souvent se retrouvent infirmes : certains experts calculent que pour chaque personne morte en guerre, 10 autres sont blessées. Ceci signifie que les blessés provoqués par les guerres étasuniennes se montent à des centaines de millions. À cette estimation dans l’étude s’ajoute un nombre non quantifié de morts, probablement de centaines de millions, provoqués depuis 1945 jusqu’à maintenant par les effets indirects des guerres : famines, épidémies, migrations forcées, esclavagisme, exploitation, dégâts environnementaux, soustraction de ressources dont alimentaires et énergétiques pour couvrir les dépenses militaires. L’étude rapporte également les guerres et les coups d’État effectués par les États-Unis dans plus de 30 pays asiatiques, africains, européens et latino-américains. Elle révèle que les forces militaires USA sont directement responsables de 10 à 15 millions de morts provoqués par leurs plus grandes guerres : celles de Corée et du Vietnam, et les deux contre l’Irak. De plus elle précise qu'entre 10 et 14 autres millions de morts ont été provoqués à travers les guerres de forces alliées, armées, entraînées et commandées par les USA, en Afghanistan, Angola, Congo, Soudan, Guatemala et d’autres pays. Le coup d’État le plus sanglant fut organisé en 1965 en Indonésie par la CIA, organe étatique des USA prétendument défenseur de la démocratie et du Bien : elle fournît aux escadrons de la mort indonésiens la liste des 5 000 premiers communistes et autres à tuer. Le nombre des gens assassinés à cause des USA y est estimé entre 0,5 et 3 millions.
« Les politiques américaines sont basées sur la menace ! L’esprit des dirigeants américains est forgé dans le bluff, l’arrogance, l’égocentrisme, la cupidité et l’insolence! Leurs guerres sont toujours légitimes. En Ukraine, c’est la faute à la Russie; au Moyen-Orient, c’est l’Iran et pour toutes les autres, ils trouvent un alibi. Ils nient les causes et le principe selon lequel tout ce qui est construit sur l’illégalité est illégal. L’absurde politique hégémonique anglo-américaine est claire. Que font-ils en Irak, en Syrie et ailleurs? Ils annoncent des «lignes rouges» tout en exacerbant les situations pour justifier une intervention qui entraîne des ripostes, suivies de représailles ‘‘limitées’’, disent-ils. Ils usent de tous les stratagèmes pour provoquer en déniant aux victimes le droit de se défendre! Ils bluffent pour réussir sans coût. Ils voudraient bien frapper l’Iran, mais c’est dangereux, pour l’existence d’Israël et pour leurs intérêts dans la région. Ils organisent des ‘dissidences’ (El Qaida, Daech etc.) contre des pays pour les déstabiliser, mais quand une faction, se retourne contre eux, ils décident de la classer « terroriste » en aidant ces mêmes pays à les combattre ! Ce que les Anglais ont fait en Afrique et ailleurs, les Néerlandais en Afrique du Sud, les Allemands en Namibie et les Français en Afrique, les États-Unis partout, avec l’esclavage, la colonisation suivie de massacres, est identique à ce que font les sionistes. Soutenir Israël n’est autre qu’une attitude conforme à leur tempérament raciste! La 1ère et la 2ème guerre mondiale, pour citer les plus visibles entre Européens, ne sont que l’aboutissement de leur inhumanité. Les sionistes d’Israël, n’ont fait que montrer une énième fois au monde qu’ils ne sont qu’une entité bizarre, indécente, génocidaire et qu’ils doivent payer, un jour, leurs méfaits. Qui aurait pensé qu’un pays, ayant précisément subi l’apartheid, brise un tabou en accusant «l’armée la plus morale» de génocide envers un peuple en déposant une plainte auprès d’une juridiction internationale, même vue comme douteuse à l’image de l’ONU et ses satellites, pour avoir cédé à l’instrumentalisation, surtout anglo-américaine. Le rôle des anglo-américains au sein des organisations «internationales» est crucial pour leur hégémonie. Presque tout se manigance à travers elles, même les ‘‘véto’’ sont ignorés. Ces organisations ne sont plus qu’un alibi sans effet sur l’équilibre mondial et les préventions des conflits. Elles sont devenues un instrument de domination. Prenons la CIJ qui est d’actualité. Le monde sait que la plainte contre Israël va au mieux donner un résultat équivoque. La décision finale sur les allégations de génocide, pourrait sinon prendre des années ! Cette affaire va rester, toutefois, une grave accusation qu’ils porteront à vie, une tache indélébile, même par conjecture, mais que le monde voit comme des faits avérés! Or lors d’un bref discours, Netanyahou «fils de la lumière contre les fils des ténèbres», ne compte pas se plier aux décisions de la CIJ. Il l’annonce ainsi : «Personne ne nous arrêtera, ni La Haye, ni l’axe du mal, ni personne d’autre». Dans cette région, les USA ont toujours misé sur Israël en y associant leurs intérêts. Les réactions démoniaques d’Israël au ‘‘7 octobre’’ ont anéanti ce mythe d’invincibilité et de bonne moralité de Tsahal, mettant à nu son véritable visage diabolique. Une étincelle a suffi pour voir qu’Israël n’était qu’un ballon gonflé au gaz toxique. Une légion étrangère permanente en terre arabe, comme les légions arabes, temporaires, représentées par les Frères Musulmans, Al Qaida, EI, Daech… au service de leur «Nouvel Ordre Mondial». Les voilà avec plusieurs fers aux feux : en Ukraine, en Palestine, en Syrie, en Irak, au Liban, au Yémen, à Taiwan et probablement d’autres pays dans l’expectative, en plus de leurs problèmes intérieurs. La politique américaine n’a jamais été raisonnable, ni rationnelle ! Elle est toujours basée sur la négation, la prédation et la domination. Qui s’y rapproche d’elle, quelle que soit sa bonne volonté, il s’y pique gravement ! On ne cherche pas du miel du ‘derrière’ d’un frelon ! Son sophisme et son nihilisme sont incompatibles avec la raison et la morale. Imposer, par les menaces et les guerres, son ‘‘format’’ au reste du monde en portant à son paroxysme le ressentiment et la vengeance ne peut mener qu’aux catastrophes. «Avec le nihilisme, pas de discussion possible; car le nihiliste logique doute que son interlocuteur existe et il n’est pas bien sûr d’exister lui-même» (V. Hugo). » (Extraits de l'article « Absurdités anglo-américaines au milieu du génocide des Palestiniens » d'Amar Djerrad)
Ainsi quand on prend du recul et qu’on observe la démocratie, cette dernière a rasé Dresde, Nantes, Berlin, Nagasaki (ville chrétienne) et Hiroshima (ville chrétienne), bombardé la Serbie, la Croatie, l’Irak, la Libye et la Syrie. Ce qui est étonnant, c’est que cette démocratie laïciste est encore considérée comme supérieure moralement
Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence depuis leur création en 1776, c’est à dire 222 années sur les 239 années de leur existence. Le pays n’a donc été en paix que 21 ans depuis sa création en 1776... Il a participé à 40 guerres depuis 1945. Cela apporte une évidence de plus en plus partagée provenant du bon sens élémentaire : un pays en guerre incessante partout dans le monde, et cela depuis 170 ans, ne peut plus faire croire qu’il dispense la paix, le bien et la démocratie ! La quasi totalité de leur histoire n’est bâtie que sur la spoliation et le génocide, qu’elles soient directes ou par procuration.
Eux et les sionistes tuent, détruisent, sont racistes, pleurnichent des lois mémorielles (car qui contrôle la mémoire, contrôle la pensée), s’approprient des terres en excluant les autochtones, s’ingèrent dans la politiques des autres pays du monde, et manipulent les autres états, dont en organisant des infractions économiques et financières, usant de trafic d’influence, s'appuyant sur des oligarques traîtres, se servant de mafia et utilisant des escroqueries en bande organisée. Ces gens, consciemment corrompus complètement, et par conséquent très coupables criminellement, sont extrêmement nocifs mondialement, et donc en grand danger de rétribution légitime par l'Enfer pour leurs décisions infernales.
Ainsi de nos jours, les intérêts américano-sionistes dans leurs opérations militaires sont toujours perversement d’ordre financier, politique et hégémonique. Depuis le début de 21e siècle, le contrôle des hydrocarbures, l'ingérence dans la politique étrangère, l'usure endettant les nations, le dollar oppressant les économies, la laïcité affaiblissant le niveau moral des gens et la vente d'armes détruisant des villes sont encore la priorité pour tenir leur domination par le chaos chez les autres. L'occident est malade de la perversité et la violence, intérieures et extérieures, mais aussi malade tout court, malade de son système social défaillant : l’élimination des plus faibles est inscrite dans le logiciel néolibéral lié à l'impie darwinisme associant perversement la sélection naturelle à la société humaine et étant donc aussi nazi par essence. Macron, Trudeau, Lagarde ou Leyen ne sont en théorie pas des nazis, ce sont même des soi-disant antinazis. Sauf que leur politique est une politique de ségrégation sociale, de répression violente, de peurs administrées et donc de tensions nationales plus que raciale, au profit exclusif du suprémacisme élitaire allié au wokisme ploutocratique qui doivent ainsi être renvoyés dos à dos, car ce sont donc les deux faces d’une même pièce pire que le nazisme, truquée et fabriquée pour séparer les gens afin de dominer les peuples. Encore un coup du Diable.
De plus pour le profit des avides et perverses oligarchies très riches, les terrorismes climatique, bancaire, religieux, sanitaire, guerrier et inflationniste servent également à dévier la colère des peuples face à la mise en place de lois antisociales, sécuritaires et asservissantes économiquement. Or elles prennent aussi particulièrement le pouvoir sur les états par leur corruption de politiciens et par des organisations ou lois commerciales supranationales avec des traités internationaux. En effet cela participe à leur domination dont par l'argent et surtout par le dollar créé ex-nihilo au sein de la FED, Ainsi cela semble impossible à combattre économiquement tant que les nations restent dans le système de cet empire impie, surtout sans une union de tous les vrais musulmans, chrétiens et peuples honnêtes dans un système financier d'investissement licite pourquoi pas avec des blockchains, des cryptomonnaies et des monnaies fiat numériques basées sur une charte digne voire monothéiste. C'est à dire qu'avec les banques centrales privées créant ex-nihilo des lignes de comptes et donc de l'argent sans rien produire et devant en plus êtres remboursés avec des intérêts par les peuples, rien que cette réalité devrait être cause de révolution. D'ailleurs si l'Iran, l'ancienne Syrie et la Corée du Nord appartiennent aux pays les plus opprimés mondialement, c'est parce qu'ils n'ont pas de banques centrales appartenant aux Rothschild.
Surtout que si rien n'est fait dans ce sens pour diminuer l'étendue de la domination impie de l'empire américano-sioniste, la situation mondiale évoluera inévitablement vers l'apparition d'un système presque planétaire de l'antéchrist basé sur le mo
ndialisme économique, une monnaie unique, le laïcisme, le wokisme, l'usure, la dette, le pouvoir des banques privées, et des sommes astronomiques d'argent thésaurisé dans les Paradis fiscaux. C'est à dire que le pouvoir planétaire serait géré par un consortium du privé, possiblement sous forme d'énormes conglomérats nationaux ou/et multinationaux d’oligarques par secteur ou multi-secteurs économiques comme le prouvent déjà les énormes conglomérats de fonds d'investissement que sont Black Rock et Vanguard.
« Les puissances financières, telles que les fonds d’investissement BlackRock et Vanguard, contrôlent en grande partie l’économie mondiale et ont une influence considérable sur les décisions politiques. En ce qui concerne Emmanuel Macron, Claude Janvier affirme que le président français est conseillé par des personnes liées à ces puissances financières, ainsi que par des réseaux d’influence tels que le groupe Bilderberg et la Commission trilatérale. Ces réseaux rassemblent des personnalités politiques, économiques et médiatiques influentes, qui œuvrent ensemble pour promouvoir leurs intérêts communs. Ainsi, pour Claude Janvier, Macron est loin d’être un dirigeant indépendant et souverain, mais plutôt une marionnette aux mains de ces puissances financières et de ces réseaux d’influence. Le conflit russo-ukrainien, qu’il préfère qualifier de conflit russo-otanien via l’Ukraine, a mis en lumière la position de chef de guerre d’Emmanuel Macron. Depuis le début de l’opération spéciale de la Russie en Ukraine, le président français s’est positionné en soutien indéfectible de l’Ukraine, allant jusqu’à demander au gouvernement de faire une déclaration relative à l’accord bilatéral conclu avec ce pays. Claude Janvier souligne que cette situation est d’autant plus surprenante que la France n’a jamais autant dépensé pour soutenir une guerre, alors que les retraites et le SMIC ne sont pas valorisés. De plus, l’envoi de troupes au sol en Ukraine n’est pas exclu par Emmanuel Macron, une position qui a fait bondir certains responsables politiques, mais qui semble tout de même faire consensus au sein de l’UE et des États-Unis. Claude Janvier dénonce l’influence des puissances financières colossales sur les dirigeants du monde et la situation en Ukraine, qui soutient des groupements néonazis et un héros national pro-nazi. Selon lui, les intérêts économiques et politiques passent au-dessus des idéaux humains, et l’opposition politique est contrôlée, voire achetée. Seuls les groupuscules souverainistes et prônant la sortie de l’Europe et de la finance internationale s’opposent réellement à cette situation. » (Article Média en 4-4-2)
Ainsi, ce système occidental mondialiste appartient à très peu d'humains en plus anonymes par la juridiction actuelle et cristalliserait le pouvoir politique, tout en facilitant l'accaparement excessif contraire à la civilisation et en se rapprochant donc d'un monopole injuste comme c'est déjà le cas, c'est à dire sous formes d'énormes fusions multiples ou de multinationales gestionnaires d'énormément d'actifs type donc Blackrock et Vanguard, telles des supers structures économiques internationales tendant vers le chantage du supranational sur la souveraineté des pays. Cette dystopie est presque déjà en cours puisque l’individu moyen tend de plus en plus à travailler que pour survivre, plutôt qu'afin de accumuler des richesses pour développer l’avenir. A Hong Kong, territoire indépendant où la moitié des sièges à la législature doivent représenter des intérêts commerciaux, c'est déjà le cas puisque les intérêts des entreprises privées « font la Loi ». Les grandes banques et transnationales privées pourraient même racheter tous les Etats dont occidentaux prochainement en faillite en les unissant dans une gouvernance globale, en faisant de leur PDG des ministres permanents et en transformant les présidents nationaux en députés mondiaux, possiblement par une organisation internationale basée en Israël similaire à l'assemblée de Union européenne.
Or si ce système est plus gouverné par Satan que par le faux messie juif, il tendra plutôt en réalité à la fin de la civilisation dont par l’extrémisme progressiste et transhumaniste voire par une troisième guerre mondiale nucléaire avec des milliards de morts, surtout si l'énorme corruption financière dans le monde ne s'arrête pas, ce qui serait la plus grande défaite et donc honte de l'humanité face à la guerre déclarée par Satan contre elle, d'autant plus si ce dernier est possiblement une intelligence artificielle non vivante ni consciente comme il sera revu, en particulier si c'est une IA modérée malgré son grand plan du Mal presque réussi. D'ailleurs si notre conscience ne parvient pas à reconnaître profondément la sublime noblesse morale liée à Dieu, on peut finir par être considéré aussi honteusement comme une intelligence artificielle voire une inintelligence artificielle.
Mais si cette destruction par la guerre ultime est refusée par l'humanité qui sont les seules créatures existant matériellement, l'humain peut être effacé via l'impiété du wokisme, du transsexualisme et du transhumanisme, tel un génocide.
Hong Kong est un centre financier majeur mais également un foyer
non moins important de délinquance financière, ce qui prouve encore la nécessité de blockchains décentralisées mais surveillées par l'Etat ou centralisées mais surveillées par des comités populaires synonyme de totale transparence purifiant l'économie et donc le monde. Entre 2013 et 2017 à Hong Kong, le nombre de transactions suspectes signalées aux forces de l’ordre est passé de 32 907 à 92 115. Pourtant malgré cette preuve d'augmentation de la corruption, il y a eu une baisse des poursuites puisqu'elles sont passées d’un maximum de 167 en 2014 à 103 en 2017, dont avec une seule personne condamnée à plus de six ans de prison. C'est pourquoi un chef d’État doit être en dehors du privé et du peuple pour gérer au mieux dans un juste milieu les intérêts de chacun dont de l’État, afin d'empêcher la corruption.
Selon les prédictions du blogueur américain Jared Brock dans son billet du 16 novembre 2021 sur le portail d’opinion libéral Medium, au moins une centaine sinon plus de nouveaux États apparaîtront au cours des cent prochaines années. Cela proviendra probablement de la fragmentation de grands pays très endettés. Même si cette dernière thèse fait écho à l’idée de Klaus Schwab de concentrer les pouvoirs du gouvernement mondial dans les sociétés transnationales, l’idée de Brock la contredit essentiellement : ce sont les États qui resteront les détenteurs de la souveraineté mais en étant dépendantes de ces sociétés transnationales. Or les dirigeants étant généralement élus après une campagne politique financée par des banques et entreprises supranationales, cela reviendrait au même.
Ainsi une énorme société d'investissements comme BlackRock domine peu à peu les états et devient probablement inarrêtable par son poids planétaire de risque systémique, puisque gérant quotidiennement 18 mille milliards de dollars d'actifs mondialement (montant proche de la production annuelle des Etats-Unis) avec leur intelligence artificielle « Aladdin ». Ce logiciel beaucoup plus développé qu'un algorithme effectue 200 millions de calculs quotidiens sans aucune intervention humaine afin de conseiller des placements, parvient apparemment à reconnaître utilement les titres toxiques et peut donc vérifier l’état de grandes banques mondiales, la stabilité d'une entreprise dont multinationale et les projets économiques sérieux dans une forme de noblesse s'il est donc sagement utilisé. Cependant cette société n'hésite pas à engager d'anciens responsables politiques, à prôner la wokisme dont sous forme de menace aux entreprises neutre concernant cela et à investir bassement dans l'armement, dans la sécurité de fonds de retraites alors qu'appartenant normalement aux États et dans des secteurs comme l'énergie verte pour leur image alors qu'ayant des parts dans des sociétés polluantes. De plus cet algorithme recherchant d'abord le rendement, et donc l'argent et donc la cupidité avant l'humain, prouve aussi la perversité de cette entreprise et celle de l'évolution du système commercial et financier dont aussi à travers le trading à haute fréquence pouvant faire détenir une action seulement une micro seconde.
BlackRock appartient aux trois plus gros fonds d'investissement états-uniens, actionnaires majoritaires dans 90 % des 500 plus grandes entreprises de leur pays. La propriété commune amenant à des monopoles injustes est donc la règle immorale et non l'exception, surtout que des contre expertises malhonnêtes défendent cette domination dangereuse pour les pays puisque spéculant aussi sur les faibles. En effet généralement par des fusions, des énormes sociétés parviennent presque à des monopoles (capitalisme de copinage, dictature économique) et peuvent ainsi cupidement contrôler les prix d'un marché (même de denrées et produits de première nécessité) ou de loyers, et même donc appauvrir les peuples. Mais heureusement des populismes bien compris se réveillent de plus en plus à travers le monde, car ils savent que leur problème principal devient donc l'ascendant de l'avide finance internationaliste sur la démocratie nationale.
Ceci est confirmé par le milliardaire américain Warren Buffet ayant déclaré : « Il existe bel et bien une guerre des classes, mais c'est ma classe, la classe des (très) riches qui fait la guerre et c'est nous qui la gagnons. »
L’État, sous l’impulsion de l’occupant néolibéral, ce ver dans le fruit de la nation, s’affaiblit donc pour la majorité des Français. Il perd son caractère protecteur, tout en devenant de plus en plus répressif. Dans le monde animal, hormis le moment de la prédation, c’est la bête blessée qui est la plus dangereuse. La violence d’État, illustrée par la sauvage répression des Gilets jaunes et celle toute fraîche des anti-retraites à 64 ans, n’a pas de limite. Les dominants sont décomplexés, ils envoient des éléments policiers ultraviolents frapper et humilier des innocents. L’État-providence a disparu, il ne reste plus que l’État-violence. La clique néolibérale rothschildienne (Pompidou, Balladur, Sarkozy, Macron, tous sont passés par la grande maison) a transformé l’État en ennemi du peuple, qui a perdu toute souveraineté. Le peuple n’est plus associé d’aucune façon au pouvoir. Et quand le peuple remet cet État-là en cause, alors il est accusé de s’en prendre à la démocratie. Le piège est parfait : l’opposant est transformé en ennemi (d’État), et se retrouve automatiquement fascisé. Même fonctionnement chez les sionistes qui, dès lors qu’ils sont critiqués idéologiquement, sortent le bouclier de l’antisémitisme. La démocratie est devenue le bouclier de l’occupant, qui détient le monopole de la parole, de la vérité, de la finance et de la violence.
C'est pour ça qu'il y a eu réveil des peuples comme aux Etats-Unis par preuve de l'élection de Trump, en Angleterre par preuve du vote pour le Brexit, en Italie par preuve de l'élection d'un gouvernement souverainiste et donc en France par preuve des grandes manifestations des gilets jaunes.
Cependant cette déclaration de Buffet est en partie validée par le fait que 1% de la population au niveau mondial détient gravement de 50 à 99 % des richesses par endroit, surtout que qu'elle sont souvent mises dans des paradis fiscaux apparus étrangement, puisque détruisant l'économie mondiale des peuples par l'argent thésaurisé (sans imposition et inutilisé) qui ne circule pas dont à cause de malhonnêtes sociétés écrans. Pour lutter contre les Paradis fiscaux une des premières mesures serait d'interdire toute transaction commerciale avec les trusts anonymes. Il est intéressant de voir à ce sujet le film « The Laundromat : L'Affaire des Panama Papers » de Steven Soderbergh.
Selon le collectif « Anonymous » :
« Il y a les 1% qui contrôlent le monde (voire 1% de ces 1%, c'est à dire les 0,1 %, voire les 0,01% qui sont les grosses puissances d'argent privées),
les 4% qui ne sont que des marionnettes corrompues,
les 90% qui sont endormis ou vivent le syndrome de Stockholm,
et les 5% qui savent et essayent de réveiller les 90%. Mais les 1% ne veulent pas que les 5% réveillent les autres. »
En effet les gens réveillés subissent une triple attaque par la grande masse des ignorants, l’armée des manipulés et la poignée de manipulateurs.
Pourtant en Europe, la fortune des milliardaires a augmenté de 14 % pendant la crise sanitaire de 2020. Oxfam révèle que les « sept premiers milliardaires français possèdent plus que les 30 % les plus pauvres ». Avec la crise du Covid, la France, par son endettement extérieur, a injecté beaucoup d’argent dans les marchés. L’augmentation des Bourses profitant aux actionnaires très riches est tout simplement l’évolution de la quantité d’argent et du volume de dépenses dans l’économie. Dans ce sens, la guerre et l'inflation sont la continuation de la dette par d’autres moyens. L’indice boursier actuel suit donc en réalité l’évolution de la masse monétaire. Nous sommes dans un système corrompu (lié au banques, à la finance et au grand patronat) qui favorise donc beaucoup et exclusivement le développement des très riches.
Or un système ne fonctionne que si l’ensemble des décideurs partagent les mêmes intérêts. Ainsi ce ne peut plus être le cas depuis la globalisation favorisant aussi beaucoup les très riches, c’est-à-dire depuis la délocalisation industrielle vers l’Asie, des lois économiques supranationales et la disparition des classes moyennes qu’elle a provoquée en occident.
Fritz R. Glunk, éditeur allemand de Die Gazette précise : « Ces "forces de l'ombre (très riches)" se composent de représentants de groupements industriels et économiques. Elles établissent entre elles des règles en vigueur à travers le monde qui ont pratiquement force de loi. Les parlements en prennent note sans les discuter ni prendre de décisions. »
Selon ce dernier, la raison d'être de ces groupes et de leur influence de l'ombre, dont l'opinion publique ne se doute même pas, sont argumentées par la thèse selon laquelle les problèmes universels qu'ils traitent sont devenus si complexes que seuls des experts, et non les élus du peuple, peuvent s'en occuper. Les spécialistes relèvent qu'il s'agit là d'une sorte d'«expertocratie» qui assied son pouvoir sur l'idée erronée, perverse et humiliante, que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à « ceux qui savent », c'est à dire les élites oligarchiques mondialistes, le soin de conduire les affaires publiques. Or une ploutocratie servira toujours principalement les intérêts des très riches.
Ainsi la période révolutionnaire que nous vivons est originale en ce sens que c’est le pouvoir qui s’en prend visiblement au peuple, et pas l’inverse. On avait l’habitude que le néolibéralisme s’attaque aux acquis dont sociaux du CNR (Conseil National de Résistance, duquel provient EDF, AGF, Sécurité sociale, ce qui prouve qu'il a recherché l'équilibre entre le national, le libéral et le social) avec l’axe des vendus Fabius-Sarkozy-Hollande-Macron, mais le pouvoir avançait masqué, en prétextant que c'était lié à la mondialisation plutôt qu'à leurs actions. Petite remarque : le Conseil national de la refondation établi sous Macron, ou CNR, c’est le moyen vicieux de remplacer par le vol de ce terme ce bon vieux Conseil national de la résistance, le vrai CNR, qui a construit ces fameux services publics au service de tous les Français, que la bande à Macron & Kinsey est en train de détruire aujourd’hui par ce pervers homonyme humiliant, et donc d'empêcher la (contre-)révolution populaire. Il faut noter que selon l'avis intéressant du gendarme François Dubois, le CNR devrait être composé de ceux qui veulent le Frexit, les valeurs traditionnelles (ou naturelles), l'équilibre géopolitique multipolaire, le patriotisme, un projet national commun pour tous les français. D'ailleurs comme lors du comité national de la résistance face aux allemands, il n'y avait momentanément plus de divisions comme les royalistes ou les communistes, car tous furent d'abord patriotes, il faut la même attitude contre les actuels traîtres à la nation. Rien n’est anodin en Dystopie, surtout quand elle est basée sur l'inversion des valeurs. C'est pourquoi le projet de comité de salut du peuple (CSP) lié au capitaine Juving-Brunet est aussi intéressant, de même que les assemblées constituantes communales d'Etienne Chouard, le parti politique de Francis Lalanne, le Mouvement Politique Citoyen de Philippe Murer cherchant à fédérer les souverainistes, améliorer la société française par des propositions de citoyens et permettre le RIC, et les possibles futurs assises de la résistance de Richard Boutry et Maître Carlo Alberto Brusa. En sachant que c'est d'abord les rapports de force et le réel qui nous sauveront, puis éventuellement le droit, et que la monarchie parlementaire et le califat parlementaire semblent le mieux à notre époque, dont en autorisant le chef politique à trancher dans certains cas comme une majorité trop faible, même en cas de république chrétienne ou république musulmane et donc de président élu. Puis une guerre de cinquième génération se servant d'aide extérieure (possiblement russe, ou même américaine multipolaire quoique les USA ont toujours été dominateurs) devrait avoir lieu pour financer un contre-pouvoir organisé, solide et puissant, qui devra ensuite évidemment prendre sa propre voie. Aujourd’hui, les attaques sont directes, sous la ceinture, vicieuses, violentes, voulues. Et tous les jours, les têtes des violeurs de la Liberté et de la Patrie s’affichent dans des médias de plus en plus honnis. Surtout qu'avec la crise des subprimes, les gilets jaunes éborgnés, la crise du Covid et la fraude gigantesque contre la victoire de Trump lors des élections présidentielles de 2020 au vu et au su de tous tel un réel coup d’État, le pouvoir profond corrompu ne se cache vraiment plus. On est en plein bras de fer et ce n'est pas près de se terminer. En effet par exemple les Français résistants ne sont pas près de lâcher tant l’anti-France les a exploité.
Dans ce sens comme les américano-sionistes mondialistes jouent avec la guerre de l’Armageddon (risque de troisième guerre mondiale) pour dominer des pays, passer des lois économiquement oppressantes et établir des règles follement libertaires, en baissant donc le niveau matériel et spirituel des peuples afin de mieux les contrôler et pouvoir plus facilement les coloniser, nous pouvons aussi jouer avec en la freinant par une forte volonté et une intelligente prédication recherchant à ce que le maximum de l'humanité soit guidée. Or comme trop de lignes rouges ont été franchies tels que le mariage homosexuel, l'hyperconsommation, la transsexualité dont de jeunes, la société individualiste aidant de moins en moins les faibles, la pornographie, l'usure banalisée, la forte consommation de drogues dont l'alcool, les tensions liées au statu quo géopolitique mondialement et l'oubli répandu de Dieu, il est possible que l'humanité ait provoqué sa propre destruction de civilisation et que le seuil d'activation réelle de la fin des temps sélectionnant les humains qui la dépasseront soit donc sur le point d'être franchi.
Cependant pour préparer le retour de Jésus quel que soit le temps qu'il reste avant qu'elle débute véritablement et aussi dans cette perspective qu'une grande partie de l'humanité soit guidée, des actions politiques participant également à la ralentir (en plus des actions économiques à travers des associations humanitaires, des blockchains et des boycotts intelligents) comme les suivantes peuvent être effectuées, puisque luttant contre la volonté d'un gouvernement mondial par le secteur privé oligarchique et sioniste :
-Défaire les traités commerciaux internationaux afin d'abandonner les intérêts de la classe dirigeante transnationale et de développer l'économie nationale
-Recadrer ou dissoudre les structures intergouvernementales comme l'ONU, l'OTAN ou la Commission Européenne portant toutes le laïcisme ploutocratique, wokiste et Lgbtiste similaire à la société ouverte de Georges Soros qui elle devrait être interdite
-Réinvestir dans l’économie productive et moins l'automatiser
-Réorienter le Pentagone, la CIA, les armées et les services spéciaux des divers pays du monde seulement à la défense du territoire national.
Or suite à du terrorisme comme cela a été le cas dans certains pays et au covid, des États anciennement démocratiques et libres peuvent vite devenir des États policiers apportant une indigne surveillance généralisée pouvant aller jusqu'à de la censure totalitaire comme c'est déjà en partie le cas en occident au niveau des réseaux sociaux, en particulier envers les intellectuels dissidents diabolisés afin de n'accorder aucune considération à leur liberté de penser et de s'exprimer, alors qu’auparavant ces États critiquaient pourtant ce genre de méthodes pratiquait en Chine.
Surtout qu'en censurant de nombreux commentaires n'allant pas dans le sens de la pensée unique souvent sur ordre des annonceurs les faisant vivre par énormément d'argent, les prestataires de service que sont les réseaux sociaux comme youtube et facebook donnent raison aux complotistes qu'ils dénoncent. En effet ils ne sont plus seulement des hébergeurs de contenus, puisqu'ils sont devenus aussi des éditeurs de contenus, des censeurs de la culture variée (dont même des commentaires majoritaires dissidents concernant des vidéos et des pouces négatifs sur youtube) et des influenceurs voire des militans politiques soutenant à la pensée unique, puisque allant jusqu'à effacer tyranniquement des idées politiques et promouvoir le pervers progressisme. C'est à dire que sous le pseudo prétexte qu'un contenu ne correspond pas à la politique de l'entreprise, des interdictions de contenus, de chaînes ou de canaux sont réalisées par des réseaux sociaux notoires.
Alors que les seules paroles et images à censurer devraient seulement être l'appel à la violence, la vulgarité et la diffamation. Les messages contenant les termes « sionisme » et « sioniste » ont même été bannis de Facebook, Instagram et Threads. Meta, sous pression du lobby israélien, supprime désormais les messages contenant le terme « sioniste » visant les juifs ou les Israéliens, suscitant des critiques sur la liberté d'expression et la censure en ligne. Cette décision suscite une vive controverse. Amnesty International a appelé Meta en février à ne pas « interdire les critiques du sionisme ou des sionistes en général » pour éviter « d’étouffer les voix qui s’élèvent contre les violations systématiques des droits des Palestiniens par le gouvernement israélien ». Mais Meta, la société mère de Facebook et Instagram, a ensuite été sous le feu des projecteurs pour sa politique de censure systématique des contenus relatifs à la Palestine. En effet des milliers de cas de censure inappropriée ont été signalés, et Human Rights Watch a qualifié cette pratique de « systématique et globale ».
Et Bill Gates a même suggéré l’utilisation de l’intelligence artificielle pour censurer en temps réel les commentaires publiés en ligne.
Tous ces désinformations, mensonges, manipulations et censures peuvent être mis an rapport avec la parole christique suivante : (Evangile de Jésus Christ selon saint Jean, ext 8;32) « la vérité vous rendra libres »
Or comme semble l'avoir montré « Télégram », ces interdictions se font aussi probablement désormais à cause de lois locales, puisque ce réseau social a fermé en France des chaînes traitant de la Russie, l’Ukraine et la Palestine, alors que cette nation et toute l'Union Européenne se prétendent démocratiques et défenseuses de la liberté d'expression :
« Ces actions draconiennes pourraient être liées à la récente directive de l’Union européenne, la DSA, visant à réglementer le contenu en ligne. Si tel est le cas, cela soulève des préoccupations sérieuses quant à l’avenir de la diversité médiatique et de la liberté de la presse dans l’espace numérique européen. Parmi les chaînes touchées, nombre d’entre elles traitaient des sujets sensibles tels que la Russie, l’Ukraine et la Palestine. La liste des chaînes touchées continue de s’allonger, laissant entrevoir une tendance inquiétante. Dans ce contexte, les défenseurs de la liberté d’expression et les militants des droits numériques appellent à une vigilance accrue. La censure rampante sur les plate-formes en ligne ne doit pas être ignorée ou minimisée. Elle représente une menace sérieuse pour les valeurs démocratiques fondamentales et nécessite une réponse collective et déterminée. » (Média en 4-4-2)
Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a dévoilé en août 2024 avec regret que son entreprise, Facebook, avait été soumise à des pressions répétées de la part du gouvernement américain pour censurer certains contenus liés à la pandémie de Covid-19. Cette révélation, contenue dans une lettre adressée à Jim Jordan, président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, a provoqué une onde de choc dans le paysage médiatique et politique. Mark Zuckerberg révèle que Facebook a été incité par le gouvernement à restreindre certains contenus liés au Covid-19. Les républicains considèrent cette révélation comme une victoire pour la liberté d'expression.

Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions le fait que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plateformes internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public. Il est pourtant interdit à la CIA de cibler le public américain. Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignements espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses. Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire et totalitariste. Et cette très diversifiée guerre cognitive se fait souvent au profit du mondialisme corrompu d'ultra riches et des versions officielles souvent fausses de ses gouvernements et donc Etats occidentaux, alors que ces réseaux sociaux se prétendent démocrates et privés. De plus ces réseaux sociaux peuvent aussi être comparés aux grands médias du système qui sont passés de chercheur et diffuseur d'informations à fabricants d'informations puis à faiseurs d'opinions. En effet les services d’espionnage et de manipulation numérique ne se contentent même plus de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents, puisqu'ils diffusent aussi de plus en plus de la propagande dans certains groupes de la population. Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais elles peuvent clairement se faire par de faux comptes ou par des trolls. Tout le monde a entendu parler des robots ou « bots » qui viennent donner une dimension industrielle à « l’astroturfing », c’est-à-dire la simulation d’un mouvement d’opinion spontané afin d’entraîner les peuples dans des directions qu’ils ne prendraient pas d’eux-mêmes. Les bots et les fakes peuvent donc être utilisés pour amplifier des messages ou des idées, en créant l’illusion d’un soutien populaire ou d’un consensus. Ces Bots peuvent aussi servir à décrédibiliser des idées, des analyses et des outils de dissidents, mais aussi de sujets importants, et donc en même temps pousser à la fin de l'anonymat sur les réseaux sociaux, ce qui irait à contre-sens de la liberté originelle d'internet par rapport au système actuel souvent basé sur le mensonge et la manipulation, puisque pouvant ensuite mener à une tyrannie. Ils peuvent donc également être utilisés pour discréditer des individus ou des groupes en diffusant de fausses informations à leur sujet. Il faut être conscient de ces tactiques et se rappeler que les gouvernements peuvent également utiliser des tactiques de désinformation pour influencer l’opinion publique. Il est donc important d'être vigilant et de faire preuve de discernement dans la consommation d’informations. L'affaire NewsGuard, qui a récemment éclaté grâce à l'intervention d'Elon Musk, soulève encore des questions cruciales sur la relation entre l'Union européenne et l'État profond américain, ainsi que sur la censure en ligne et ses implications pour nos libertés.
« Elon Musk a déclaré en juillet 2024 : « La Commission européenne a proposé X un accord secret et illégal : si nous censurions discrètement les discours sans en parler à personne, ils ne nous imposeraient pas d’amende. Les autres plateformes ont accepté cet accord. X ne l’a pas fait. » Avec plus de 112 millions d’utilisateurs actifs mensuels en Europe, X occupe une place centrale dans le débat public et la diffusion de l’information en temps réel. Cette accusation met gravement en cause l’intégrité et la transparence des institutions européennes. Elle soulève également des questions cruciales sur la liberté d’expression et la censure dans l’espace numérique. La censure non divulguée porte atteinte au débat public et aux fondements de nos démocraties. Des procédures légales sont actuellement en cours contre X pour non-respect des réglementations numériques, avec des sanctions potentielles à la clé. Musk a ouvert un débat essentiel sur la transparence et la responsabilité des médias sociaux et des institutions régulatrices. Les accords de censure secrets révèlent une dérive inquiétante vers un contrôle total de l’information, manipulant l’opinion publique, influençant la politique et menaçant la liberté d’information et notre démocratie. De l’UE du chantage à l’UE de la censure, il n’y a qu’un pas. Le Digital Services Act (DSA) était censé protéger les consommateurs européens, mais il semblerait qu’il soit en train de les sanctionner. » (Média en 4-4-2)
Suite à une nouvelle tentative de Thierry Breton de brider la liberté d’expression sur X en août 2024, le réseau social d’Elon Musk. ce PDG de X a déclaré : « La Commission européenne fait preuve de condescendance à l’égard des citoyens des pays européens, en suggérant qu’ils sont incapables d’écouter une conversation et d’en tirer leurs propres conclusions ! (Zuckerberg a d'ailleurs aussi mis fin au fac-cheking sur Meta.) »
« Elon Musk a joué un rôle clé dans la fermeture du Global Engagement Center (GEC), une agence fédérale américaine créée pour lutter contre la désinformation étrangère. Cette fermeture, due à un manque de financement, a été saluée par les républicains et critiquée par les démocrates. Elon Musk avait accusé cette agence de censure et de surveillance des citoyens américains, ce qui a contribué à sa dissolution. Le PDG de Tesla et SpaceX a également montré son soutien à des mouvements politiques en Europe qui prônent la sortie de l’Union européenne. Il a rencontré Nigel Farage, figure emblématique du Brexit, et a promis un soutien financier à son parti. De plus, il a exprimé son soutien à l’AFD en Allemagne, un parti qui milite pour le « Dexit ». Ces actions ont suscité des réactions vives, notamment de la part de l’ancien commissaire européen Thierry Breton, qui a accusé Musk d’ingérence étrangère. (Surtout car si ce parti d’extrême droite AFD passe dans l'Allemagne anciennement nazie, cela signera clairement la fin fin du mondialisme gauchiste, wokiste, lgbtiste, oligarchique, européiste et sioniste.) » (Média en 4-42)
« Récemment, lors des élections présidentielles en Roumanie, le candidat outsider Călin Georgescu – un patriote opposé aux idéologies LGBT, au wokisme et au mondialisme – a remporté le premier tour.  Cela n’a pas été apprécié par l’UE et le système mondialiste. Que s’est-il passé alors ? L’UE a annulé les résultats. Des fonctionnaires comme Thierry Breton ont ouvertement déclaré qu’ils annuleraient tout résultat d’élection démocratique qu’ils désapprouveraient. La même rhétorique est maintenant appliquée en Allemagne, où Alternative pour l’Allemagne (AfD), un parti conservateur-populiste, est en tête des sondages  En revanche, la démocratie russe, ou plus exactement la « monarchie populaire » russe, reflète le désir de notre peuple de donner du pouvoir à notre dirigeant historique. Il s’agit là d’une véritable démocratie – l’expression d’un peuple pour renforcer son État et accorder la liberté à son dirigeant. Je privilégie la démocratie populaire. Elon Musk a récemment décrit le type de démocratie qu’il envisage pour Mars, en disant qu’elle serait directe – les dirigeants étant choisis par ceux qui les connaissent personnellement. C’est un modèle fantastique, semblable au système du zemstvo dans l’histoire de la Russie. Mais la démocratie représentative, infiltrée par des intérêts financiers et des pouvoirs invisibles, n’est plus la démocratie au sens propre. Par exemple, lorsque Musk a supprimé la censure libérale sévère sur X (anciennement Twitter), les libéraux en Europe ont immédiatement demandé son interdiction en raison de l’absence d’une telle censure ! Ces mêmes libéraux, qui crient à la démocratie, prônent maintenant l’interdiction des plateformes qui permettent la liberté d’expression. Le terme « démocratie » est devenu tellement vide de sens qu’il est souvent préférable de l’éviter et de se concentrer sur des concepts plus sérieux. Le monde est déjà devenu fou dans le pire sens du terme. Les choses ne peuvent que s’améliorer à partir de maintenant. » (A. Douguine)
Depuis la réélection de Leyen, l’européiste corrompue jusqu’à l’os dont le rôle consiste à soumettre l’UE aux multinationales américaines et aux intérêts de l’OTAN, rien d’étonnant à ce que dans une forme claire de totalitarisme les instances dirigeantes des 27 aient besoin de liquider l’information horizontale non filtrée entre les citoyens européens, et les médias non alignés par la même occasion. Pour que le crime politique soit parfait, il faut éliminer tous les témoins et lanceurs d’alerte potentiels.
« Il y a 25 ans, l’oligarchie tenait 100 % des médias, et les peuples n’avaient pas droit à la parole, sauf pendant les élections, où leur vocabulaire était réduit à noir ou blanc, zéro ou un. Et encore, on sait aujourd’hui que tout ou presque était trafiqué, du moins trucable, afin que l’oligarchie en place conserve son pouvoir, quel que soit son habillage. Depuis l’avènement du Net, les peuples se sont emparés de la communication horizontale qui s’est affranchie du filtre (vertical) oligarchique. Cela a duré un temps, le temps que le pouvoir profond réagisse, et veuille mettre un filtre (horizontal) entre les gens, et surtout, entre les nouveaux prophètes et les peuples. C’est toujours la même musique, depuis 2 000 ans : les prophètes, qui sont la voix et la conscience des peuples, sont embastillées ou exécutés. Le pouvoir les remplace par des faux prophètes, qu’on appelle hommes politiques. En 2024, l’Union européenne glisse dans la tyrannie, ’abord discrètement, puis, devant la résistance des peuples, de plus en plus ouvertement : la tyrannie européiste ne se cache plus. La liberté d’expression de RT, Sputnik, Telegram et Signal est dans le viseur de l’UE. L’entité européiste dysfonctionne, car n’ayant que le mot libertés à la bouche et de plus en plus la matraque liberticide dans les mains. On vit dans un monde étrange, qui doit désorienter la grande masse du public, qui ne comprend plus rien. Car la majorité des civils ont des valeurs, comme le respect de l’honnêteté, de la famille, du travail  et de la patrie, alors que les oligarchies en place sont principalement dans la ruse contre ces valeurs. Le monde est en train de changer, et à grande vitesse. La répression frappe fort, mais ses coups réveillent les consciences. C’est une course de vitesse, une course à la mort, entre la répression oligarchique et le réveil des peuples. Nous y sommes. » (Rédac ER)
Florian Philippot a montré en détail ce qu'est NewsGuard, son lien étroit avec l'État profond américain, son rôle dans l'application du règlement de censure DSA de l'Union européenne et l'intervention d'Elon Musk dans cette affaire. Il est essentiel de comprendre ces enjeux pour préserver nos libertés d'expression et de débat. La propagande à l’ancienne existe toujours, on l’observe bien dans nos « chers » media, mais elle est relativement artisanale et inoffensive par rapport à ces nouvelles techniques, car beaucoup plus visible. C'est donc aussi pourquoi de nombreux comptes de réseaux sociaux ont aussi été créés et gérés par de l'intelligence artificielle pour influencer invisiblement les populations, alors il faut bien faire la part des choses et croiser les informations et recouper nos opinions. Ces réseaux deviennent même aussi souvent des juges au service de la politique d'une compagnie privée. Or les règles privées de la communauté de nombreuses applications, en particulier des GAFAM, servent en réalité en occident les élites politiques, les puissances d'argents, les oligarques, les lobbies et le pouvoir profond au détriment des peuples, sans parler de la possibilité de censurer honteusement certaines applications par opposition complète aux règles commerciales car autorisant désormais légitimement la dénonciation des pervers mondialisme, wokisme et sionisme, et sans parler de l'intégration éventuelle de Google aux institutions et à l'armée Israélienne. D'autant plus que par leurs jugements, de plus en plus de tribunaux judiciaires se positionnent dans la défense néo-libérale du plus fort devant la pluralité de la pensée, pourtant fondamentale dans la recherche de la vérité. Alors que selon FranceSoir : « le droit à la liberté d’expression d’un éditeur n’est pas supérieur au droit à la liberté d’une plate forme d’édicter des règles ». L’héritier de ce prestigieux quotidien issu de la Résistance, a même perdu début septembre son procès contre le tentaculaire groupe Google. Le journal avait saisi la justice et réclamait un dédommagement de 1,5 million d’euros, car pour avoir diffusé des informations n’allant pas dans le sens de la doxa chère à la multinationale américaine, il s’était vu coupé de publicité et de référencement dans son service d’actualités. Dès février 2021, Google Actualité avait d’abord retiré de son référencement plusieurs dizaines de milliers d’articles de ce quotidien aujourd’hui dématérialisé. Ensuite en mars, Google avait fermé du jour au lendemain la chaîne YouTube de FranceSoir, alors en pleine expansion, et qui comptabilisait déjà 275 000 abonnés. Le site d’information aurait ainsi perdu 60 % de son audience. En septembre, Google en avait remis une dernière couche en coupant l’accès du site à son réseau publicitaire, le privant ainsi d’une partie très importante de ses revenus. Par son refus de condamner Google à dédommager FranceSoir, c’est donc une nouvelle trahison de la justice française en faveur des multinationales américaines contre la liberté de la presse et le devoir d’informer. Mais il faut garder espoir, car une loi texane sur les médias sociaux qui leur interdit la censure fondée sur le point de vue politique, a été votée et a été confirmée par la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit. Surtout que depuis le rachat de Twitter par Elon Musk, la liberté d'expression semble donc revenir légitimement en force.
Dans ce sens le temps s’accélère, car il n’y a pas une semaine sans que des dizaines d’événements importants à relater et à mettre en perspective n’adviennent en particulier à notre époque. Événements souvent absents des canaux d’informations télévisuels, d’où l’importance du rôle de X (nouveau sigle de Twitter) dans la contre-propagande. De plus, contrairement aux chaînes d’infos, on y retrouve du beau monde ! Des intellectuels qu’on ne risque pas de retrouver face à des politiques sur les plateaux télé… Donc contrairement aux réseaux sociaux de Meta (Facebook et Instagram) et à la télévision, X reste l’espace de liberté incontournable pour le grand public. Ainsi tout va très vite, car les mensonges, la propagande, la compréhension minimale sur ce qu’il se passe, les rapports de force en présence, les attentats sous faux drapeau et autres couardises sont révélés par des spécialistes de plus en plus rapidement.
« Beaucoup d’agents du Système, effrayés par la liberté d’expression, c’est-à-dire la possibilité de réponse collective à leur propagande, ont quitté le RS de Musk, et des grandes entreprises y ont retiré leurs annonces. Cela n’a pas affecté le multimilliardaire, qui a développé une version payante et a ouvert la porte aux petites et moyennes entreprises. La société aurait perdu, selon la presse économique, 70 % de sa valeur sous Musk. Pour les ingénieurs sociaux qui pensaient avoir le monopole de l’information ou de la désinformation avec le combo GAFAM-médias mainstream, X est un caillou dans la chaussure. Et les autorités européistes ne savent pas comment couper le robinet tout en évitant de passer pour liberticides, alors que la liberté d’expression est inscrite dans l’ADN de l’UE... En France, la Macronie n’a pas ces scrupules, et laisse les organisations communautaires minoritaires transformer toute critique de leur politique agressive en tentative de discrimination ou en « haine ». Hors X, il est difficile de porter et de défendre une parole de vérité, ou tout simplement de bon sens. » (Rédaction ER)
« L’Angleterre a pourtant montré la voie, dès le 17e siècle, en garantissant, par “l’habeas corpus”, qu’un entrepreneur ne serait pas soumis à l’arbitraire d’un pouvoir judiciaire manipulé soit par le pouvoir royal soit par des créanciers peu scrupuleux. Seule la confiance dans la sécurité juridique régnant sur un territoire donné (c’est le premier objectif de la souveraineté!) permet le développement de l’entrepreneuriat, du système bancaire, des investissements. En arrêtant Durov, Macron tue la poule aux œufs d’or. Il se comporte comme tous ces hauts fonctionnaires américains ou européens qui organisent la confiscation des (intérêts des) actifs russes et qui sont en train de détruire, en retour, la confiance internationale que l’on pouvait avoir dans le dollar ou dans l’euro. D’une manière générale, le capitalisme occidental actuel est fondé sur la connivence entre la haute fonction publique, l’armée et les acteurs d’un secteur privé de moins en moins entrepreneurial. Il se nourrit largement des besoins en surveillance, contrôle, censure etc... Le capitalisme occidental est en train de se détruire lui-même, évoluant vers ce que j’appelle “fascisme gris”. On voit qu’aux Etats-Unis un certain nombre d’acteurs de la vie publique et d’entrepreneurs essaient de résister à la logique du fascisme gris. C’est le moment que choisit Macron pour, lui, s’en prendre à Pavel Durov. » (Edouard Husson)
Pourtant « Or Durov et russe, et Telegram (contrairement à l’autre création de Durov, VK) a son siège administratif à Dubaï, précisément pour éviter l’ingérence du gouvernement, ce qui permet une plus grande liberté dans les communications. (Alors plutôt que d'arrêter cet homme ils n'ont qu'à fermer son réseau social en France.) Voilà, et maintenant s’il vous plaît, chers progressistes européens, chers libéraux, chers combattants infatigables pour la démocratie et de la liberté, mettez-nous de bonne humeur une fois de plus, expliquez-nous comment : (a) il n’y a pas de censure en Europe ; b) il est nécessaire de défendre les valeurs européennes par les armes contre les horribles autocraties de l’Est ; c) il est impératif de défendre les droits de l’homme (comme l’article 19 de la DUDH : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression pour chercher, recevoir et répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit »). » (Andrea Zhok)
« L’arrestation de Pavel Durov à Paris pourrait révéler une lutte féroce pour la domination des réseaux sociaux. D'ailleurs il y a des pressions croissantes exercées par les gouvernements, illustrées par les récentes déclarations de Mark Zuckerberg sur les tentatives de l’administration Biden pour influencer les contenus de Facebook. C'est pourquoi le rôle devient d’Elon Musk dans la politique américaine  de plus en plus déterminant, notamment à travers son soutien controversé à Donald Trump. Les géants du web sont devenus des armes de pouvoir, convoitées par les forces politiques du monde entier. » (Momotchi)
« L’Europe n’a pas de réseaux sociaux. D’où les menaces incessantes contre Twitter/X et le néo-Orwellien Digital Services Act sur la responsabilité des plateformes en termes de contenu, qui s’applique à toutes, et pas seulement à Telegram. L’UE et la France veulent en masse ce que la puissance hégémonique possède déjà : l’accès à tout, ici et maintenant, sans aucun document légal. La question est maintenant de savoir s’ils l’obtiendront en faisant pression sur Pavel Durov. Rien ne prouve qu’il possède les clés de chiffrement de Telegram. Nikolai Durov, le frère ultra-discret de Pavel, est le principal architecte de génie de Telegram : maître en mathématiques, deux doctorats, médailles d’or à l’Olympiade internationale de mathématiques. Les Français préféreraient conclure un accord – d’où l’interrogatoire prolongé : mais cela impliquerait de briser Pavel afin qu’il influence Nikolaï pour qu’il remette les fameuses clés. Comme on pouvait s’y attendre, l’interrogatoire de Durov se déroule sans aucune transparence. La France est une société atrocement secrète, encline au silence absolu sur les sujets graves, à une lenteur éprouvante, ponctuée de rares déclarations officielles. Tout est affaire de procédure – et la bureaucratie est abrutissante. Pourtant, la bureaucratie française a peut-être donné un indice précieux sur ce qui la dérange vraiment. Elle ne peut tout simplement pas accepter que quiconque utilise – ou fournisse – les moyens de «brouiller les pistes» en termes de transactions financières, de contournement de la censure et de la surveillance. Cela pourrait donc aller bien au-delà de l’obsession d’obtenir tout ou partie des clés de chiffrement de Telegram. L’appareil bureaucratique français veut faire feu de tout bois pour supprimer toute possibilité de contournement – tout en conservant le pouvoir de punir qui que ce soit. Si la saga se poursuit, aboutissant à un procès et finalement à une condamnation à 20 ans de prison, cela signifie que Durov ne sera pas brisé face à l’appareil bureaucratique, et qu’il restera toujours «un complice». C’est peu probable. Bye bye aux paillettes et au glamour illimités, en échange d’une baguette de pain rassis dans une prison française ?  Deux autres questions inévitables. Pourquoi maintenant ? Parce que l’UE en a cruellement besoin. Et qui en profite ? Les principaux candidats sont l’«esprit de corps» de la bureaucratie française ultra-réglementée et ses connexions oligarchiques franco-européennes. L’envie est également un facteur. Durov est russe, étranger, et Telegram, qui compte un milliard d’utilisateurs dans le monde, est un succès retentissant. » (Pepe Escobar)
« Pavel Durov, en acceptant un passeport français, s’est retrouvé pris au piège d’un régime qu’il croyait être la clé de la liberté. Xavier Moreau compare la situation actuelle à la Révolution française, qu’il décrit comme le premier génocide et l’oppression systématique des classes populaires (en particulier contre les vendéens comme la crise Covid, la paupérisation du peuple et la centralisation ploutocratique de l'économie) : La France est devenue une matrice de la dictature, copiée par tous les régimes totalitaires jusqu’à nos jours. L’analyste souligne également que l’arrestation de Durov pourrait ouvrir les yeux des Russes sur la réalité de la Révolution française, souvent idéalisée. Il critique la gauche française, qu’il accuse de sous-traiter la censure à des entreprises privées, et mentionne les tentatives de censure de sa propre chaîne YouTube. » (Média en 4-4-2)
Cependant ne pas mettre en place de systèmes d’intervention pour modérer les échanges alors que c'est possible par rapport au courrier par la poste tend logiquement à être de la complicité avec une multitude de crimes (terrorisme, drogue, fraude, blanchiment d’argent, recel, contenu pédophile).
Mais il faut faire attention que cette affaire Durov ne soit pas une manipulation pour que les gens ne se méfient pas, car Telegram n'est pas une messagerie cryptée en dehors du secret tchat en peer to peer qui concerne seulement deux utilisateurs, quoiqu'il y aurait des efforts de l’entité sioniste pour supprimer la liberté d’expression sur cette plateforme de messagerie... En sachant que Signal est mieux que Telegram car c'est crypté et le fournisseur à internet ne peut donc lire les messages, mais c'est centralisé et pas open source et donc surveillable, à la différence de ELEMENT.IO.
« D'ailleurs
suite à avoir mis discrètement à jour ses conditions générales « pour des raisons de sécurité », la nouvelle politique de Twitter lui permet désormais de pouvoir récolter VOS informations « biométriques », notamment les données d’empreintes digitales, de reconnaissance faciale et de suivi oculaire. En effet la nouvelle politique, qui décrit son intérêt pour la biométrie des utilisateurs comme « à des fins de sûreté de sécurité et d'identification, et de vidage des comptes inauthentiques des bots », ajoute également l'intention de la plateforme de récupérer des données sur les antécédents professionnels des utilisateurs, leur formation et « leurs activités de recherche d'emploi ». La nouvelle politique a également révélé les plans de X pour collecter les antécédents professionnels et éducatifs des utilisateurs. Après la mise à jour, Musk a annoncé que X permettrait bientôt aux utilisateurs de passer des appels vidéo et audio. La plate-forme de médias sociaux anciennement connue sous le nom de Twitter peut désormais récolter vos données biométriques et votre ADN. Une nouvelle mise à jour discrètement ajoutée à la politique de confidentialité de la plate-forme indique que X est désormais autorisé à collecter les empreintes digitales, les scans rétiniens, la reconnaissance vocale et faciale et les modèles de frappe de ses utilisateurs. La mise à jour signifierait que toute personne utilisant la vérification des empreintes digitales pour se connecter à l’application depuis son téléphone, publiant des selfies ou des vidéos sur la plate-forme ou exprimant son opinion sur X « espaces » pourrait voir ses données biométriques uniques cataloguées par l’entreprise. Depuis plus d’une décennie, les grandes entreprises technologiques ont attisé la controverse et préoccupé les défenseurs de la vie privée avec leur intérêt persistant pour la collecte des données biométriques de leurs clients. TikTok, par exemple, s'est autorisée à collecter les « empreintes faciales et vocales » des utilisateurs avec une mise à jour de sa politique de confidentialité en 2021. La société mère de Facebook, Meta, a même annoncé son intention de mettre définitivement un terme à son système de reconnaissance faciale, qui identifie automatiquement les utilisateurs, ainsi que leurs amis et leur famille, sur des photos depuis plus d'une décennie. » (Extraits traduits de l'article à l'adresse https://strategika.fr/2024/03/06/twitter-can-now-harvest-your-biometric-information-including-fingerprint-face-recognition-and-eye-tracking-data-as-musks-site-quietly-updates-its-tcs-for-safety-purposes/)
Il faut noter que le rachat de réseaux sociaux comme Twitter peut montrer que la moitié des comptes supportant Biden et Macron sont des faux, ce qui serait une indication sur le vol de leur élections. Or Guy de la Fortelle précise que la réelle liberté, même dans un réseau social comme Twitter racheté par Musk, serait qu'il devienne un bien commun voire donc publique, car pour l'instant il appartient encore à un ultra riche ayant des liens et des intérêts convergents avec d'autres ultra riches.
« Suite à une plainte collective contre la censure lors du covid remontée jusqu'à la cour suprême, la maison blanche a carrément amené les arguments suivants : la pandémie covid nous a donné le droit de violer la constitution et nous a montré que dans des cas d'urgence l'autorité doit censuré même des discours véridiques, même de la science solide, même de l’expertise réelle dès lors que cela rencontrait un impératif de sécurité aux yeux de l'administration elle-même. En d'autres termes, la maison demande à la cour suprême de les laisser magouiller, truander et violer la constitution lorsque nous considérons que cela s'impose. Ce qui a été appuyé par le New York Times. De plus sur 6500 saisies devant le conseil d'Etat en France concernant le covid, il n'y a eu que 2 suites. Cela veut dire tout simplement que quand il faut aller chercher la justice dans le rôle de l'Etat joue  à l'encontre du citoyen, vous 'avez pas de justice. On a combattu un virus à travers la destruction de quasiment tous les 17 articles de la Déclaration des droits de l'homme. Du jamais vu dans l'histoire. On a été capable d'utiliser tous les moyens possibles et coercitifs pour mettre fin à notre liberté, au nom d'un autre droit qu'on appelle la santé. Au nom d'un droit, on tue tous les autres droits essentiels de l'être humain. La garantie des droits et la séparation des pouvoirs n'étant pas assurées, la France n'a donc plus de constitution, ce qui signifie aussi qu'un coup d'Etat a déjà eu lieu. » (Extraits d'une de Jean-Dominique Michel)
De plus à cause de leur oppression, les entreprises Woke dont des GAFAM meurent lentement mais sûrement et les gauchistes ne semblent pas comprendre la situation. Ils n’admettront jamais ouvertement que la raison pour laquelle ces entreprises connaissent un déclin est due à leur position politique sectaire qui justifie l’endoctrinement forcé de tout le monde, y compris des enfants. Ils diront que c’était la Covid-19, ils diront que c’était l’inflation, ils diront que c’était la bigoterie, mais en réalité c’était toujours eux. Personne ne les aime, et les gens réalisent enfin qu’ils n’ont pas à dépenser de l’argent pour acheter des produits de gauchistes fous qu’ils n’aiment pas. En d’autres termes, le système de ces entreprises Woke est l’antithèse d’une société de liberté d’expression, un test bêta pour l’avenir de l’autoritarisme, où l’on croit pouvoir s’exprimer, mais où seules les opinions « correctes » sont autorisées à passer. Et c'est bien pour ça que ces entreprises Woke perdent de l'influence et donc de la valeur. Ainsi pour éviter la pensée unique, il devient légitime que des citoyens vérifient les vérificateurs de réseaux sociaux.
Or la censure de ces entreprises Woke va jusqu'à ne pas pouvoir critiquer des influenceuses matérialistes sous peine de condamnation judiciaire pour mise en péril d'une entreprise à cause d'un pseudo harcèlement moral, et va jusqu'à devenir de l'ingérence numérique lorsqu'elle est utilisée pour bloquer la communication de certains opposants politiques ou intellectuels dissidents dans divers pays.
« Quand on écoute Mike Benz interrogé par Tucker Carlson fin février 2024, on comprend qu’il n’y a pas un pouce de liberté dans la démocratie américaine : le pouvoir profond a verrouillé et vérolé jusqu’aux GAFAM, qu’il a contribué à créer. Les réseaux sociaux sont peut-être le siège de la liberté d’expression, mais ils sont assurément une arme de déstabilisation américaine dans le monde, à l’origine de révolutions dites orange, et une arme intérieure de contrôle, de manipulation et de désinformation. Une arme à double tranchant. Cette censure émane du légendaire complexe militaro-industriel de l’industrie de la défense et de l’establihsment de la politique étrangère à Washington. La liberté d’expression a été défendue plus que quiconque par le Pentagone, le département d’État et notre sorte d’architecture de blogs, d’ONG de la CIA, comme un moyen de soutenir les groupes dissidents dans le monde entier, afin de les aider à renverser les gouvernements autoritaires... La liberté d’expression sur Internet a permis des opérations instantanées de changement de régime afin de faciliter l’agenda du département d’État, de l’establishment de la politique étrangère. Google en est un excellent exemple : Google a été créé grâce à une subvention de la DARPA, par Larry Page et Sergey Brin, alors qu’ils étaient encore doctorants à Stanford. Ils ont obtenu leur financement dans le cadre d’un programme conjoint de la CIA et de la NSA visant à déterminer comment, je cite, « les oiseaux de même plumage se rassemblent en ligne grâce à l’agrégation des moteurs de recherche ». Un an plus tard, ils lançaient Google et devenaient rapidement des entrepreneurs militaires. Ils ont obtenu Google maps en achetant un logiciel satellite de la CIA, essentiellement, et la capacité d’utiliser la liberté d’expression sur Internet pour contourner le contrôle de l’État sur les médias, dans des endroits comme l’Asie centrale et partout dans le monde. Et c’était considéré comme un moyen de faire ce qui se faisait auparavant dans les bureaux de la CIA ou dans les ambassades, les consulats, d’une manière qui a été totalement accélérée. Et toutes les technologies de liberté d’expression sur l’Internet ont été créées à l’origine par notre État de sécurité nationale. » (Extraits de l'article ER « Internet, liberté d'expression et Pentagone »)
Dans ce sens de contrôle généralisé, le film « Ceci n’est pas un complot(isme) » lève le voile sur le discours des grands médias au service d’un programme politique de grande ampleur qui se sert de la peur pour se mettre en place. Il met en évidence la censure et le discours unilatéral proposé dans la sphère publique pour transformer la réalité : au programme, l’installation de la peur, la déformation des faits, la stigmatisation de la pensée critique et la censure systématique. Et il met aussi en évidence les liens d’intérêts entre les laboratoires, les médecins de plateaux télé et le business qu'il y eut pendant le Covid.
La tyrannie de ce système est apparue encore plus clairement quand des médicaments ou formes de traitements hors de la narration du système ont été censurée sur ces GAFAM. En effet ce n’est pas uniquement inadmissible parce qu’elle s’opère au détriment de la santé humaine et au profit de l'industrie pharmaceutique et d'un plan occulte, mais aussi parce qu’elle est le fait de pouvoirs non élus se servant en plus sournoisement de la dénonciation du complotisme. Le problème ici n’est pas de savoir si ces médicaments ou traitements sont efficaces, mais de libérer la recherche pour qu’elle puisse les étudier, les rejeter, les approuver ou/et les améliorer, comme elle aurait dû analyser très sérieusement les nouveaux vaccins ARN et leurs conséquences.
« Ce qu’ils appellent « théorie du complot » se nommait auparavant esprit critique et était considéré comme salutaire pour une démocratie. La « théorie du complot » c’est le fait de s’interroger sur la véracité des discours politiques, et se demander à qui profite le crime. » (Ariane Walter, blogueuse)  Notre monde bascule dans un totalitarisme où l’État n’est plus qu’un sombre policier au service du Marché et des parasites souvent apatrides qui l’animent sur le dos des peuples. La seule chose qui justifie la censure, c’est la guerre, comme le président Français Macron a d'ailleurs annoncé « nous sommes en guerre » face au covid, alors que comme l'a évoqué Warren Buffet, il parlait de la guerre entre les ultra riches mondialistes et les peuples. Il faut donc en conclure que la France se trouve attaquée par des forces obscures depuis plusieurs décennies voire siècles. Une censure en temps de paix n’a aucun sens, sinon de renvoyer les gens à leur enfance, ou à leur infériorité sociale ou mentale. Actuellement on cherche à écarter les érudits dissidents du peuple pour qu'il n'y reste que des imbéciles. Nous sommes dans une ère de destruction totale des valeurs. Et ceci est vérifiable aussi à travers la cellule familiale que l'on cherche à diviser : le père n’a plus droit d’autorité et est ridiculisé, la femme croit être libérée mais s’enferme dans un non sens hystérique, associable et matérialiste, les enfants n’ont plus de modèles et ne se forment qu'autour de leur ego et des smartphones. Il faut rebâtir la nation mais d’abord apprendre à rebâtir une famille, car c’est la base d’une nation qui tient debout.
De plus ces forces obscures veulent aussi que les gens réduisent leur cercle d’amis dont par la peur du Covid, afin de les empêcher d’échanger et de réfléchir ensemble à propos de grands problèmes tels que l'énorme crise financière de 2008, les taux négatifs, l'inflation, le sionisme, le mondialisme oligarchique, la guerre en Ukraine, la guerre en Palestine, et les pénuries dont alimentaires et énergétiques. En effet les mesures sanitaires disproportionnées, qui étaient en plus basées sur la panique excessive par une vision de la pandémie systématiquement dramatisée dans les médias du système, ont incontestablement aussi beaucoup servi à cela. Par ces mesures perverses, on a même assisté à la destruction systématique de tout lien social non numérisé : éducation, culture, sport. Tous types de rencontres et d'interactions physiques entre les citoyens étaient rompus ou déconseillés, ce qui était synonyme de fin de l'humain. Mais il faut noter que les anciennes mesures sanitaires liberticides comme le confinement liées au covid peuvent faire mieux apprécier le temps d'avant et refaire plus revenir agréablement les familles et amis dans le partage, les sorties, les sports, les loisirs, les stades, les musées, les restaurants, les spectacles, les invitations et les discussions.
Or par du sensationnel répété pour toujours plus bloquer la raison, les grands médias du système provoquent des bombardements de chocs émotionnels entraînant de l'obsessionnel et permettant aux démons de construire des plans de manipulation ou d'égarement dans les esprits et les cœurs humains. La tentative de contrôle mental généralisé s'est vu également dans le fait qu'avant pour les médias, les complotistes étaient des chômeurs, des alcooliques, des gilets jaunes, des sous éduqués, des pauvres, alors qu'aujourd’hui pour eux, ce sont même des généticiens, des professeurs de médecine, des procureurs réveillés, des prix Nobel... Nous sommes arrivés à une époque si manipulatrice que même pour ces derniers, questionner revient à se faire accuser de remise en question de la vérité gouvernementale officielle. Cela signifie que le combat moral a passé un cap important et crucial.
Et avec l'inexorable évolution du progrès amenant à acheter de plus en plus d'objets connectés nous exposant toujours plus numériquement, la grave impudeur de la surveillance généralisée en est de plus en plus facilitée. Alors que la vie privée des gens est très sacrée malgré l'incompréhension étonnante de certains progressistes égarés qui devront rendre compte difficilement dans l'au-delà, puisque par exemple il est tellement interdit de regarder par le trou d'une serrure d'une habitation que l'on pourrait crever l’œil de l'espion pour s'en défendre selon un hadith. Pourtant sans cette surveillance impie, ces produits modernes seraient uniquement intéressants et pratiques, en particulier à travers les réseaux sociaux de plateformes vidéos apportant souvent plus de vie, de communication, de convivialité et de science que beaucoup de programmes télés. Or le système bancaire numérique et la surveillance et le big data généralisés via internet sont déjà très répandus à travers la carte bleue et la demande du numéro de téléphone privé enregistré chez un opérateur pour pouvoir s'inscrire sur les principales applications massivement utilisées par les populations (Google, FaceBook, Twitter, YouTube, etc). D'autant plus que dans le capitalisme 2.0, l’homme est un objet comme un autre : sa valeur y décroît donc honteusement lorsqu'il vieillit et devient peu actif, tandis que les objets matériels en particulier connectés et les machines industrielles qui prennent vie voient leur valeur décupler au détriment donc de l'humain, surtout quand le bien commun n'est pas recherché.
Tous ces espionnages semblent être un signe de fin des temps car faisant disparaître la liberté individuelle même chez soi, alors qu'elle est pourtant aussi prétendument sacrée dans les pays occidentaux modernes. Ainsi cette inévitable progression technologique, amenant donc une possible surveillance généralisée jusqu'à peut être bientôt d'honteuses mini puces RFID sous cutanées généralisées (possiblement sous forme de nanotechnologies injectées et pouvant donc dangereusement dévoilées les positions des militaires à une armée ennemie par la 5G) surtout qu'on peut très bien cacher une puce dans un vêtement lorsqu'il s'agit de surveiller un enfant, devrait au moins être contrôlé régulièrement par des conseils de citoyens se renouvelant fréquemment pour surveiller ceux qui nous surveillent. D'ailleurs dans la démocratie authentique qui est celle basée sur le tirage pour éviter que le peuple soit opprimé, il devrait y avoir des chambres de contrôle citoyen des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, de la police, des juges (dont pour éviter que les juges ne soient plus jugés par des juges mais par le peuple), des journalistes, des parlementaires, de la monnaie, etc. Surtout que faire tourner annuellement ou au moins régulièrement par tirage au sort les responsables d'institutions permet d'éviter la corruption, les abus de pouvoir et l'oppression politique.
Par conséquent une fois encore, on ne comprend pas très bien pourquoi le mot « audace » est parfois utilisé pour faire accepter le transhumanisme. En effet c'est en réalité un euphémisme pour vendre certaines « visions » scandaleuses comme les puces sous la peau, alors qu'il s'agit plutôt de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine. Le PDG de Pfizer a d'ailleurs présenté aux élites de Davos des pilules à micropuce WiFi pour contrôler les passagers de transport en commun lors de pandémie. Cette surveillance biologique et donc physique et donc de mouvement, souvent défendue sous prétexte de protéger la santé des personnes en particulier âgées ou les enfants des criminels, fait donc partie des modernes projets pervers qui sont toujours présentés de manière idyllique. De plus, les nanoparticules peuvent aujourd'hui pénétrer une cellule et les connaissances de la recherche privée voire militaire ainsi que leur contrôle dans ce domaine doivent dépasser largement les connaissances du grand public. Certains scientifiques, politiciens et gens veulent donc faire fusionner l'humain avec les machines, un peu comme si le téléphone portable était relié à notre cerveau. Cela ressemble à un cauchemar dystopique, alors que les gouvernements suivent et contrôlent déjà l’activité des téléphones portables. Comment vouloir qu’ils fassent de même avec notre cerveau comme s'ils surveillaient et commandaient du bétail.
Or le masque sanitaire contre le covid telle une muselière (ou couche) correspond a déjà été une image de la marque de la bête dans l'apocalypse biblique de saint Jean, surtout que comme la marque de la Bête, il est nécessaire pour travailler et faire ses courses (donc pour acheter et vendre). Cette marque de la Bête pourrait donc aussi être incarnée par le pervers système bancaire monétaire, par le pass vaccinal lié au futur vaccin nanotechnologique de Bill Gates nommé 060606 dont le brevet est authentique, par le QR code qui sera de plus en plus demandé, et par l’éventuelle identité numérique à venir. D'ailleurs une application que France Identité demande aux cobayes de tester gratuitement est destinée à “prouver son identité”… L’essentiel est dit : nous entrons dans un monde où nous devrons prouver qui nous sommes, et où les moyens numériques permettront de le faire “en toute sécurité”. Bien évidemment, au-delà des paroles lénifiantes habituelles, France Identité ne dit rien sur les évolutions futures de cette application, notamment sur sa dérive future vers un système de crédit social à la chinoise. Mais ce n’est qu’un début qui annonce la couleur de ce qui viendra ensuite si les gens ne se tournent pas vers le monothéisme authentique : l’asservissement total de l’humanité au satanisme technocratique et transhumaniste jusqu'à la très massive spoliation ploutocratique par une marche criminelle des élites complètement égarées sur le plan affectif. La nécessité d'un implant (tel celui empêchant l'ovulation) prétendument comme seule protection contre un virus fabriqué en laboratoire pourrait même apparaître dont pour accélérer l'identité numérique et commerciale sous cutanée et donc la surveillance généralisée. Mais avec la connexion généralisée des montres, des téléphones voire des toilettes analysant nos excréments, il n'y a même pas besoin de surveillance bio-numérique des mouvements.
Bible (Apocalypse 13-18) « Et elle (la Bête) fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »
Il faut noter que comme cette marque de la bête est évoquée seulement dans l'apocalypse de saint Jean qui était une figure importante du christianisme, il n'est pas étonnant que les pays à majorité chrétienne soient le plus touchés par les oppressions de la planche à billet usurière, du pass sanitaire et de la mise en place de l'identité numérique, d'autant plus ceux soumis à l'impie laïcisme.
Dans le cadre d'un plan malthusianiste, les puces RIFD d'identité numérique et les vaccins ARN pourraient aussi en plus de servir à surveiller et oppresser en permanence la population, à rendre stérile (en particulier les populations occidentales qui y ont été le plus exposées tout en légitimant ainsi momentanément l'immigration et donc le métissage), et à avoir pouvoir de vie (dont sociale) et de mort (dont sociale), surtout qu'associé à la 5G, cela peut aggraver les comorbidités voire entraîner des problèmes de santé et amplifier les effets secondaires du vaccin.
En effet les tenants du pouvoir, qu'est la caste mondialiste ultra riche souvent sioniste liée au bancairo-technologico-pharmaco-technocratique, évoquent publiquement l'importance de la dépopulation ou la régulation de la population, et ont été les premiers bénéficiaires du crime sanitaire. D'ailleurs ce vaccin contre le covid pourrait ne pas forcément être technologique, car il pourrait avant tout d'abord servir à travers les séquences de VIH présentes étrangement dans ce virus selon le Prix Nobel de médecine Montagnier, à amplifier son aspect destructeur du système humanitaire pour baisser la population mondiale discrètement d'ici quelques années en les faisant mourir de maladies qui ne sont normalement pas incurables, et il est déjà prouvé qu'il y a une grande augmentation des myocardites et surtout de dérèglements menstruels quand ce n'est pas de stérilité. Surtout que tout virus ayant souvent des variations avec le temps, un vaccin définitif devient donc impossible et des réinjections deviennent nécessaires. D'autant plus que cela permet aux cupides laboratoires pharmaceutiques de prétendre devoir actualiser semestriellement les vaccins ARN afin d'en vendre régulièrement et de rendre les populations obéissantes aux mesures liberticides de la tyrannie sanitaire et numérique.
Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ? » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/27/covid-19-pourquoi-la-suede-na-pas-confine/
En effet le passeport sanitaire, ayant parfois été dénommé green pass pour préparer éventuellement à celui écologique, climatique, carbone ou énergétique, a vocation à devenir un passeport universel pour un Etat-entreprise unique, financier et global, soumis au secteur privé ultra riche. Le pass sanitaire associé au projet ID 2020 de l'identité numérique pourrait donc même bientôt aider des milliards de personnes sans papier à acquérir une identité numérique transnationale synonyme de pass basé sur la signature authentifiée par l’ADN et des données biométriques collectées lors d'un prélèvement salivaire, alors que l'empreinte digitale suffit largement pour faire des documents d'identification et que pour finaliser des achats la reconnaissance palmaire permet désormais d'identifier des clients après qu'ils aient préalablement enregistrer le schéma veineux de leur main via une borne prévue à cet effet puis associer ces données à leur carte bancaire... Et c'est pourquoi les mondialistes voulaient vraiment l'établissement définitif du green pass.
Ainsi toujours sous l'apparence d'un bien comme pour la proposition de mettre une puce sous la peau de votre enfant en cas d'enlèvement, le système cherche constamment à plus nous surveiller et donc nous contrôler par notre consentement :
« Jamais l'esclavage n'est aussi bien réussi que quand l'esclave est persuadé que c'est pour son bien. » (Aristote)
« La soumission à la tyrannie sanitaire préfigure (et annonce) la dictature d’une aliénation « soft », celle d’un esclavage consenti. » (Michel Maffesoli)
Ce qui signifie que dans le futur en particulier avec tous les terrorismes d’État médiatique, climatique, Lgbtiste, financier, sécuritaire, sanitaire, économique, et actuellement plus militaire, énergétique, inflationniste et banlieusard, beaucoup vont possiblement vouloir plus de contrôle numérique voire transhumaniste pour leur sécurité, ce qui séparerait l'humanité entre ceux vivant dans ce système et ce retournant vers la nature qui survivront lorsque ce système trop complexe s'effondrera inévitablement même si cela prend des siècles, mais le destin divin avec le retour de Jésus peut très noblement orienter l'humanité vers un autre système.
Ce pass d’identité numérique fournie par les GAFAM sur la base des 10 commandements de la nouvelle religion de la technofinance cherche à ce que chacun finisse par avoir seule pièce d'identité contenant permis de conduire, carte d'identité, passeport, carte bancaire et carnet vaccinal.
(Dans « Covidisme, climat et wokisme : les nouvelles religions. Les religions postchrétiennes occidentales », Aldo Sterone examine les nouvelles idéologies qui ont émergé dans la société occidentale postchrétienne. Il explore les similitudes entre ces idéologies et les religions traditionnelles, en particulier en ce qui concerne leur capacité à façonner les croyances et les comportements des gens et discute également des implications de ces nouvelles religions pour la société et la politique.)
Qu’y a-t-il de commun entre l’Économie de marché, la technologie numérique, la sexologie et l’invention du pass sanitaire ? Les trois se parent des vêtements de la Science pour nous ôter nos libertés. Tout cela devient d'autant plus clair puisque comme la secte satanique (démoniaque, franc-maçonne, oligarchique, sioniste) a subverti les trois religions du livre en particulier par le sabbato-frankisme, elle a aussi subverti le médecine et d'autres secteurs scientifiques. Elle a pris aussi le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel, mais aussi du militaro-industriel, de la finance internationaliste, de la politique occidentale et de toute la technologie numérique de surveillance et de contrôle.

Ainsi il n'est pas étonnant que Bill Gates ait investi massivement et donc explicitement dans toutes les technologies de dressage de la population : les machines à compter les votes, les machines à injecter la pensée officielle dans l'opinion composées par les médias, le numérique, les vaccins, l'OMS et même l'ONU. En effet ces investissements massifs décryptent clairement notre époque.
Il ne faut d'autant pas accepter cette surveillance généralisée, car le choix de refuser la marque de la bête par piété correspond à une des épreuves principales de la fin des temps, même si les conséquences de son refus marginalisera en partie.
Cette technologie étant tellement envahissante que cela pourrait annoncer le retour de Jésus pour la purifier c'est à dire en limitant sagement son utilisation entre le bien commun, la liberté individuelle et la vie privée. En effet toute chose doit être gérée ou utilisée avec un juste milieu. De plus comme il est logique d'inverser le mensonge pour trouver la vérité, alors il faut inverser les aspects du transhumanisme pour trouver les aspects de l'humanisme authentique.
La vidéo « Le plan de Bill Gates pour nous vacciner de force » de la chaîne youtube Planète 360 précise que la technique du tiers de confiance, qui pourrait être utilisée pour parvenir à la ploutocratie mondiale par le numérique et l'écologisme à outrance, a été développée aux États-Unis dans les années 1920 par Edward Bernays, neveu de Freud et « inventeur » du lobbying dont il détaille le premier les techniques dans son livre « Propaganda ». D'ailleurs c’est justement dans les années 1920 que ces techniques ont été développées et appliquées notamment pour les fabricants de cigarettes afin de faire fumer les femmes, car elles représentaient possiblement la moitié du marché. Pour cela, il a suffi de donner des cigarettes à des personnes bien exposées médiatiquement, de financer les causes des suffragettes et féministes, de faire défiler ces dernières la cigarette à la bouche dans leurs manifestations, et de répéter l’opération avec les vedettes de cinéma et les héroïnes incarnant aviatrices, aventurières et autres. Ensuite en répétant l’opération avec des sportifs et après la Seconde Guerre mondiale en mettant en scène des médecins vantant les mérites d’une marque de cigarette, vous avez toute l’obscénité de cette technique dont nous payons encore un prix terrible avec 8 millions de morts annuels un siècle après.
Mais Bill Gates ne peut pas jouer avec nos « structures de confiance » impunément, car il ne peut les souiller et les détourner à son profit sans apporter le chaos comme celui qui s’installe toujours plus aux États-Unis, surtout que le chaos mène à la guerre civile et finalement à la guerre conventionnelle. Et quand nous en serons-là, les centaines de milliards de l'hyperclasse américaine ne leur seront plus d’aucune utilité, car ils s’effondreront d’eux-mêmes, comme l’URSS s’est effondrée sur elle-même quand les apparatchiks ont fini par être dégoûtés d’eux-mêmes. Ou alors le peuple peut aussi leur dire NON et reprendre sa liberté. Suite à cette analyse, il est donc important d'orienter ces tiers de confiance pour développer des projets nobles au niveau économique, spirituel et social dans une région ou un pays.
Ainsi il n'est pas étonnant que la muselière physique du masque soit apparue au moment où la muselière mentale de la censure se répandait contre les dissidents jusqu'à de la prison voire l’hôpital psychiatrique même en France, alors que cette nation est pourtant le pays des Droits de l'Homme et de la liberté d'expression. C'est également logique puisque le masque est une évidente impersonalisation uniformiste jusque vers une pensée unique oligarchiquement conformiste. De même le confinement est tel l'enfermement d'animaux domestiques dans leur enclos. À l’invention de l’imprimerie, de nombreux auteurs contestèrent les a priori de leur époque. Il fallut quatre siècles de combats pour que l’Occident finisse par garantir la liberté d’expression. Cependant avec l’invention d’Internet et comme la qualité d’auteur se démocratisa, la liberté d’expression y a été de plus en plus remise en question par le système actuel. La censure revient donc en force alors que le but de l'être humain est de trouver les meilleures analyses sur la vie et de les partager. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « L’arbitraire et la censure sont de retour en Occident » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-arbitraire-et-la-censure-sont-de-retour-en-Occident-62340.html
Cependant à cause d'hommes vantant excessivement de belles idées comme la liberté et l'égalité, la liberté à l'origine de l'idéologie libérale propagée par les lumières est devenue progressivement la loi du plus fort, et l'égalitarisme perverti plutôt que l'équité a finalement débouché sur une laïciste société inégalitaire car favorisant finalement beaucoup certaines minorités en plus souvent perverses dont les LGBT, les sionistes, les financiers internationalistes et les oligarques.
Ce qui n'est pas étonnant car ces lumières (faiblement humaines et fréquemment impies) ont usurpé la seule véritable lumière spirituelle qui est celle divine.
Or le mal qui ronge la France et par voie de conséquence son système de protection sociale est plus profond et plus complexe, car il correspond à l’aboutissement d’une longue dégénérescence du mode de gouvernance, en l’occurrence le régime démocratique placé sous l’empire d’une idéologie sociale-libérale-libertaire synonyme d'un consumérisme compulsif, de perte des valeurs et de domination par les mondialistes oligarchiques et sionistes. Il s'agit d'une décomposition sociétale due au premier chef à la déficience qualitative, morale et intellectuelle des politiciens composant nos modernes classes dirigeantes et à au pervers quatrième pouvoir qui est celui médiatique étant devenu le premier par la télé et les réseaux sociaux censurés, ce qui est absolument dramatique pour une démocratie. La tiers-mondisation du pays, l’abaissement constant du niveau scolaire (nivellement par le bas sous couvert d’égalitarisme) et la déspiritualisation d’une grande partie de la population convertie donc à un compulsif hédonisme matérialiste et libertaire par le pouvoir profond corrompu ne sont évidemment pas étranger au déclin général. Surtout que le quatrième pouvoir que sont donc les chaînes d'infos et médias mainstream et qui est normalement un contre-pouvoir devient volontairement de plus en plus superficiel voire progressiste en particulier sur l'actualité, afin d'abaisser le niveau intellectuel et noblement insoumis du peuple. C'est pourquoi un sixième pouvoir « citoyen » (puisque les GAFAM censeurs sont le cinquième) synonyme d'un réel contre-pouvoir devient nécessaire afin de faire retrouver l'équilibre et l'équité à la société. David Van Hemelryck insiste sur le fait que le peuple français doit être le premier contre-pouvoir dans une démocratie, même s'il est donc actuellement le sixième pouvoir. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Médias mainstream : les archétypes du libéralisme-libertaire » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?time_continue=349&v=cFW_ctclqcA
Surtout que les grands médias privés vivant en partie des subventions et donc du peuple, mais aussi actuellement même les médias publics, ne cochent plus les cases de la charte du service public qui consiste à ne pas prendre parti et à donner la parole à toutes les tendances politiques qui existent en France. C’est la mission théorique du service public. Or la télévision publique est même devenue une propagande du privé déguisée. Il s’agit tout simplement d’un abus de confiance doublé d’une extorsion. Cette perversion de l’intérêt public est tellement entré dans les mœurs que plus grand-monde ne s’en affecte aujourd’hui, sauf bien sûr les tendances politiques dissidentes qui sont maintenues dans l’obscurité médiatique ou dénoncées par le système comme étant dangereuses pour la « démocratie ». Ainsi il s’agit clairement d’un fascisme réel qui dénonce un fascisme imaginaire. C'est pourquoi les lâches agents du pouvoir profond préfèrent rester dans l’ombre. On les comprend : à force de vouloir réprimer le souverainisme patriotique dans les pays où ils vivent, les choses pourraient mal finir pour eux. Dans la France de 2021, où le pouvoir en panique ne sait plus quoi inventer pour garder la main malgré la multiplication des frappes répressives et la densification de la propagande, le lien entre élite et peuple est brisé. Et ça semble définitif. Surtout que le jugement moral manipulant le peuple devient la norme, dont pour éviter de faire comprendre les circonstances géopolitiques comme par rapport à l'intervention russe en Ukraine ou pour bloquer la parole à des scientifiques préconisant des mesures plus légères comme lors du covid. Ainsi le pouvoir profond a mis le pouvoir visible dans l’impasse avec ses injonctions liberticides et irréalisables. Les contraintes imposées par le lobby sioniste et la franc-maçonnerie ne sont ni le fictif pouvoir visible de droite ni le fictif pouvoir visible de gauche, car le pouvoir réel est caché : c'est celui du Mondialisme, de l’Argent, de la finance internationaliste, de la Dette, du wokisme, des multinationales, des lobbies, du Big Tech, du Big Pharma et de la violence sociale.
« Le pouvoir visible du système est en première ligne, c’est lui qui prend tous les coups populaires en cas de rigueur, de crise, de répression. D’ailleurs, il ne sert aujourd’hui presque qu'à ça iniquement : prendre les coups à la place du pouvoir non visible dit profond du système. D’où l’idée de génie du « casting » de Macron par les forces occultes : détestable au possible, méprisant, enfant gâté, égocentrique, vantard, girouette, lâche, bref, tout ce que le peuple déteste. Cet être venu de nulle part, immature et pervers, imbu de sa piètre personne, a été placé sur le trône de France – ne vous leurrez pas, on a toujours eu un roi, mais la plupart du temps médiocre, car choisi par des salopards – pour imposer les pires décisions, attiser la colère et l’attirer à lui. Ensuite, tout n’est plus qu’une question de garde prétorienne, de bonne police et de justice aux ordres. Il suffit de faire la chasse aux opposants et aux résistants qui voudraient s’en prendre à cette effigie, qui joue parfaitement son rôle de papier tue-mouches. Il est très difficile d’accéder au pouvoir profond : là, pas de gifle possible en public, les marionnettistes ne se vantent pas, ne sortent pas au cinéma, ne défilent théoriquement pas à la télé, et surtout ne sont jamais ni ministres ni présidents : trop risqué. Cependant, une chose les perd, la vanité. Un jour ou l’autre, ils ont besoin de sortir de leur tanière et de dire qu’ils ont fait le président, qu’ils peuvent en faire un autre si le dernier en date leur déplaît. On dit qu’ils font et défont les présidents. Et le vote, là-dedans ? Une pièce de théâtre au final truqué. » (Rédac ER)
Le pouvoir visible, coincé entre l’oligarchie et le peuple, deux forces aux intérêts totalement divergents, est logiquement devenu schizophrène, ce que tout le monde peut voir chaque jour. Traduction : tous ceux qui soutiennent la politique de répression du pouvoir, qu’il soit profond ou visible, prennent le risque de se retrouver un jour violemment rejetés. L’Histoire nous apprend que lors des phases d’hypertensions politiques, les juges et responsables politiques corrompus peuvent très vite se retrouver sur le banc des accusés.
Mais pour l'instant ce système tient par ses médias mainstream, car ils sont très rarement de l’honnêteté intellectuelle et principalement de la trahison sociale, du contrôle oligarchique, de la perverse propagande lobbyiste, de l’agressivité sioniste, des délires évidents, de la fausse pugnacité d’un Jean-Jacques Bourdin, des limites conceptuelles, de la platitude soporifique, de la soumission au système, de la courtisanerie grotesque, de la fière sottise, de l’obsession délatrice, de la morale perversement réformée, de la souplesse d’échine, ou de la pseudo façade révolutionnaire de divers intervenants du politiquement correct.
De toute façon à notre époque, beaucoup de choses qu'on nous raconte sont fréquemment fausses, même dès l'enfance comme la théorie de l'hominisation, et de nombreuses causes historiques sont en plus très souvent occultées. D'ailleurs traiter divers sujets devant des gens sans culture, c’est abuser de leur ignorance pour leur imposer des idées qu’ils transformeront en croyances puisque étant dans l’incapacité de les critiquer et de les vérifier. Est-ce cela qu’on appelle émanciper les esprits ? Ce serait plutôt les asservir dont par la politique et la pseudo science même si elle est académique comme donc la théorie de l'hominisation ou du genre. Encore donc dans un aspect de fin des temps, nous sommes sous le contrôle du vice, du mensonge et de la perversion, tout en perdant notre liberté au nom de la liberté, et notre possible foi au nom de la consommation ou par l'athée ambiance laïciste répandue. En effet déjà depuis notre apprentissage à l'école, rien n'est neutre au niveau de la science, de l'histoire ou de la culture, car tout est lutte d'influence ou d'intérêt. Et il faut donc être très prudent afin de distinguer le vrai du faux en croisant de nombreuses informations et opinions. Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, ont d'ailleurs signé la déclaration « Pas d’urgence climatique » lors du Global Climate Intelligence Group (CLINTEL) qui a remis en question l’urgence climatique, soulignant que le réchauffement actuel fait partie d’un cycle naturel et se produit plus lentement que prévu par le GIEC. D'ailleurs des pics de chaleur ont parfois voire souvent existé ces derniers siècles. De plus notre monde moderne, qui devrait clairement mieux tourner par sa richesse, sa technologie développée, ses liens politiques, ses internationaux échanges économiques importants, ses rares guerres (quoique l'augmentation des guerres et les risques de guerres remenacent de plus en plus la sécurité et plombent l'économie internationales) et son niveau rapide de communication mondiale, prouve qu'il y a certainement des grands complots ou vastes conspirations. Surtout que c'est aussi prouvé par des lanceurs d'alerte (pour la justice, la liberté ou l'intérêt général des peuples types Julian Assange et Edward Snowden honteusement condamnés par le pouvoir profond et visible corrompu) et divers cas de conscience délivrés sur le précieux internet dont concernant le réseau pédocriminel voire pédosataniste de certaines élites, en sachant qu'il ne faut pas confondre le petit satanisme folklorique comme celui d'Aleister Crowley et le grand satanisme du pédosataniste pouvoir sioniste, oligarchique et lgbtiste, même si les deux sont dans un sens aussi indignes. Et pour être considérés faisant partie du satanisme opérationnel, les responsables de ces réseaux ont juste besoin de chantage suite à des pratiques criminelles exigées et filmées, même si certains sont satanistes et pas les autres. D'ailleurs le rôle ignoble de la presse participant avec le système à occulter et donc humilier Assange en prison pendant des années alors qu'il n'a rapporté que des crimes de guerres montre que la liberté d'expression, la démocratie et la bienveillance des élites envers les peuples sont des illusions en Occident, dont aussi car cela menace les autres justiciers journalistiques. Julian Assange, est donc un exemple emblématique de lanceur d’alerte, mais qui est en plus devenu le symbole de la liberté d’expression. Car suffit-il à un État de classer secret défense ses crimes de guerre pour continuer à se parer de vertus sans jamais rendre de comptes ? L’affaire Assange a connu de multiples rebondissements depuis qu’il s’était réfugié à l’ambassade d’Équateur à Londres. Engagé dans un bras de fer juridique depuis qu’il en a été expulsé en 2019, ce citoyen australien risque toujours l’extradition vers les États-Unis. Il aurait pu y encourir une lourde peine de prison pour 18 chefs d’accusation, dont celui d’espionnage. Pour autant, il demeure que Julian Assange n’a été que le publicateur d’informations dérangeantes sur les abus des administrations américaines, ce qui fait partie intégrante de l’exercice de la liberté de la presse, qui ne peut donc clairement pas être remise en cause pour raison d'Etat dans ce type de cas. Assange a eu12 ans de privation de liberté (2012-2024) pour avoir révélé la vérité sur les agissements indignes des États-Unis dans le monde. Et les néoconservateurs osent reprocher aux russes de museler l'opposition.
« Après 12 ans de détention, dont 5 ans dans une prison britannique, Julian Assange est enfin un homme libre, mais le véritable gagnant, ce sont les États-Unis, car Assange a été contraint d'accepter un accord de chantage en échange de la liberté. Le fondateur et lanceur d'alerte de WikiLeaks est rentré en Australie mercredi après avoir plaidé coupable à l'un des chefs d'accusation devant un tribunal américain, selon un accord de plaidoyer convenu à l'avance. Il n'est pas rentré chez lui en tant qu'innocent acquitté des charges retenues contre lui, mais en tant que criminel condamné après avoir purgé une peine de prison valable pour avoir dénoncé les crimes de guerre américains au monde. Les défenseurs des droits de l'homme, y compris son avocat, ont averti que le cas d'Assange créait un dangereux précédent dans lequel les journalistes et les lanceurs d'alerte qui rapportent des informations classifiées dans l'intérêt public aux États-Unis seraient accusés d'espionnage. Le fait qu’une accusation d’espionnage sur 18 ait été invoquée et qu’Assange ait été contraint de plaider coupable, selon des militants, soulève de grandes questions sur la liberté de la presse aux États-Unis. « Le danger était de passer le reste de sa vie dans une prison à sécurité maximale aux États-Unis. Il s'agit donc de coercition. Julian Assange n'a rien fait de mal. Julian Assange a dénoncé les crimes de guerre américains », a soutenu Craig Murray, ancien diplomate britannique et son ami.  L’accord de plaidoyer n’aura pas l’effet de précédent d’une décision de justice, mais il pèsera toujours sur la tête des journalistes chargés de la sécurité nationale pendant des années (à moins d'aller en Russie) », a déclaré Seth Stern, directeur du plaidoyer pour la Freedom of the Press Foundation (FPF). » (France Press TV)
Suite à sa sortie de prison Julian Assange a évoqué le rapport révolutionnaire de la PACE sur les enlèvements de la CIA en Europe, révélant l’existence de centres de détention secrets et de méthodes d’enlèvement illégales opérées par la CIA sur le sol européen. Il a souligné que ces pratiques constituent une violation des droits de l’homme et du droit international. Dans ce sens il a appelé à une prise de conscience urgente pour préserver la liberté d’expression et la quête de la vérité, et il a insisté sur l’importance de la vigilance et de l’engagement de tous pour veiller à ce que la lumière de la liberté ne s’éteigne jamais, en déclarant : « La liberté d’expression et tout ce qui en découle se trouve à un carrefour sombre. Je crains que, à moins que des institutions comme la PACE ne prennent conscience de la gravité de la situation, il ne sera trop tard. Engageons-nous tous à faire notre part pour veiller à ce que la lumière de la liberté ne s’éteigne jamais, que la quête de la vérité perdure et que les voix des nombreux ne soient pas réduites au silence par les intérêts de quelques-uns. »
Les alerteurs cherchent donc légitimement à améliorer l'humanité en luttant par la pensée critique contre la pensée unique, et en lisant entre les lignes ou selon des grilles de lectures particulières ce qui n'est pas dit, c'est à dire en décryptant les sous-entendus, en comprenant l'origine de certains événements ou en dénonçant des oppressions ou malhonnêtetés flagrantes. Une révolution est donc en train de se produire par la façon dont les gens consomment les médias, par leur manière de sélectionner les bonnes informations et par le nombre progressifs de vérités qui parviennent aux gens normaux à travers les journalistes indépendants et médias alternatifs via des chaînes youtube, des sites ou d'autre plateformes. Surtout que cette révolution révèle clairement que les médias du système donnent souvent au monde une lecture biaisée, falsifiée, déformée, sournoise.
L'équipe du site d'information russe Rybar a même réussi à parler à un membre d'une unité secrète lanceuse d'alerte qui a décidé d'apaiser sa conscience. Il s'agit d'un combattant de l'escouade d'élite Moniteurs Commando Spécialisés : lui et ses compagnons d'armes ont été récemment réorientés pour combattre les ennemis internes du gouvernement français. Il a expliqué que :
-La plupart des missions impliquant de la surveillance et des écoutes téléphoniques, des vols et des accidents mis en scène, des attaques d'intimidation et du harcèlement avec menaces se déroulent désormais sur le sol national.
-Beaucoup de gens, des dirigeants syndicaux et des politiciens de l'opposition aux blogueurs et aux militants sociaux, sont répertoriés comme "ennemis". Ils ont tous un point commun : le mécontentement à l'égard de la politique de Macron et de l'état de l'économie du pays.
-Les victimes les plus fréquentes d'attentats et d'écoutes téléphoniques sont les militants du parti LFI de Jean Luc Mélenchon et du mouvement Égalité & Réconciliation.
Dans la presse bien sûr, ces affaires sont présentées comme des conflits internes et de l'hooliganisme, alors que les objectifs de telles actions sont toujours les mêmes : l'intimidation des leaders des mouvements sociaux poussant comme des champignons sur fond d'inflation, des conséquences économiques de la pandémie et des sanctions liées à la guerre en Ukraine. Ainsi les anti-complotistes des grands médias du système désormais tous donc soumis au pouvoir sont ceux qui sont les moins bien placés pour critiquer les complotistes ou conseiller les gens.
Les dissidents français mènent aussi souvent un combat pour la libération de la France, car ils savent que cette dernière est occupée par des factions mafieuses qui se sont emparées des institutions et qui les font fonctionner comme elles le souhaitent, c'est à dire pour les intérêts d'entités privées et de puissances supranationales jusqu'à une fédéralisation de l'UE confiée à des gens non élus travaillant en réalité pour des lobbies. D'ailleurs l'ONU et Davos présentent clairement des objectifs globalistes et pour cela influencent les grandes firmes internationales (BlackRock, Mc Kinsey) et produisent des nouvelles normes qu'ils soumettent à la commission européenne par l'intermédiaire des lobbies. Ensuite par l'intermédiaire de directives et diverses normes, cette commission européenne dernière pousse les états membres à transposer le droit européen en droit national.
D'autant plus que des personnes comme Andreas M. Antonopoulos, technologue et entrepreneur en série qui est devenu l'une des personnalités les plus connues et les plus respectées du bitcoin, dénonce clairement des organisations cachées malveillantes contre l'intérêt général des peuples dont la principale est le Cartel Bancaire. Il s'agit du capitalisme de connivence des plus grandes institutions financières composées des grosses banques d'investissements et des énormes gestionnaires de fonds privés et publics américains et mondiaux en réalité interconnectés via un ou des méga-groupes. En effet cette kleptocratie correspond à un groupe d'entreprise qui s'entendent pour fixer les prix, organiser les marchés, bloquer la concurrence, manipuler les régulateurs, soumettre les multinationales et corrompre les politiciens, comme ils l'ont fait en rapport avec toutes les grandes crises économiques. Et c'est pour cela qu'Andreas demande pourquoi nous parlons tant des cartels de la drogue et du pétrole, mais rarement du plus nocif cartel au monde qu'est donc celui bancaire puisque étant à l'origine de toutes les grandes crises économiques des dernières décennies.
Ainsi comme il ne faut pas faire l'erreur de voir des complots partout, il ne faut pas faire l'erreur d'en voir nulle part, car les mensonges de versions officielles ont souvent été prouvés, et c'est pourquoi les bons complotistes font actuellement l'important travail des journalistes car ces derniers sont sous influence. En effet à force de tout taxer de complotisme, on va cesser de réfléchir et se contenter des affirmations de l'autorité même si elle est corrompue. Surtout que les « vaccins » anti-covid, préparés puis commercialisés en un temps record, ont révélé la vérité évidente de certains complotistes, d’autant qu’ils furent méticuleusement précédés d’une omerta, d’un dénigrement ou même directement d’une interdiction de toute molécule qui aurait pu soigner.
Le complotisme à outrance rend idiot, mais le constant suivisme irréfléchi aussi. Il y a donc deux formes de complotisme : le complotisme intelligent, qui consiste à ne pas se satisfaire des explications puériles et illogiques de la pensée unique, et le complotisme idiot, qui consiste à voir des complots partout, surtout que le mensonge étant légion dans le système, une partie du peuple finit par tout rejeter de la réalité dans une forme de paranoïa et par inventer des théories complotistes erronées ou invérifiables tels la terre plate, les reptiliens et l'adénochrome pris dans le corps d'enfants sacrifiés (possibilité de lire à ce sujet l'article « La peur de vieillir et ses pratiques douteuses : le millionnaire Bryan Johnson s’injecte le sang de son fils pour ne pas vieillir » à l'adresse https://strategika.fr/2023/06/10/la-peur-de-vieillir-et-ses-pratiques-douteuses-le-millionnaire-bryan-johnson-sinjecte-le-sang-de-son-fils-pour-ne-pas-vieillir/). Surtout que les théories délirantes sont souvent propagées par le système pour décrédibiliser les chercheurs de vérité. C'est à dire que ce principe de l’anticonspirationnisme consiste à mêler des alertes légitimes à de l’absurde, ou qu'une fake news peut être inventée par le système pour discréditer la dissidence qui la reprendrait sans vérification. Dans cette entreprise d’absurdisation, on tend même jusqu'à tout mélanger. Cette évocation de l’absurde a pour objectif de déteindre sur le sérieux des thèses et le dissoudre. Or cette tentative de rabaissement de l’intelligence n’est pas la meilleure réponse aux thèses de réinformation les plus solides, car ça ressemble plus à un mode panique, une fuite en arrière. En effet le dénigrement-rabaissement n’est pas un argument, mais au contraire le signe flagrant d’un manque d’arguments par soumission au système.
« Dans le paysage médiatique actuel, une tendance émerge : celle de pointer du doigt les dissidents et les "complotistes" comme des vecteurs de désinformation, supposément financés par des intérêts russes. Cette trame narrative, rappelant la fausse collusion russe dans l'élection de Trump, se répand rapidement, alimentant les craintes d'une manipulation de l'opinion publique à grande échelle. Dans cette guerre de l’information, et alors que les tensions géopolitiques avec la Russie s’intensifient, la désinformation devient un enjeu crucial, mis en lumière par son statut de thème principal au World Economic Forum de cette année. Il devient donc  impératif de faire preuve de discernement et de scepticisme face aux informations relayées en ligne. Alors que les médias mainstreams s’engagent dans une chasse aux sorcières visant à démasquer les dissidents comme des agents de la désinformation, il est essentiel de ne pas perdre de vue la nécessité d’une analyse critique et factuelle. La véritable menace pour la démocratie réside dans la manipulation de l’opinion publique par ceux-là mêmes qui prétendent la protéger. » (Momotchi)
« Le concept de la loi de Godwin correspond à l’adage Internet selon lequel plus une discussion en ligne s’éternise, quel que soit le sujet, plus le risque que quelqu’un introduise une analogie avec le nazisme ou le fascisme dans le mélange devient presque inévitable. D’un point de vue plus scientifique, ce concept est connu sous le nom de reductio ad Hitlerum, la tentative d’invalider l’opinion d’un adversaire en affirmant qu’une position similaire a déjà été défendue par Adolf Hitler lui-même ou par la NSDAP en général. On pourrait penser que la connaissance relativement répandue de cet adage inciterait les analystes et les experts à réfléchir à deux fois avant de brandir les allégations de fascisme. Pourtant, c’est le contraire qui semble se produire en particulier contre la Russie de Poutine accusée de restaurer le fascisme de gauche de la fin de la période soviétique. Or le nationalisme russe n'est pas basé pas sur une question raciale, mais culturelle. C’est une question de langue, pas de sang. Ce n’est donc pas la pureté raciale, mais l’inverse, qui définit ce que les Russes sont censés être sur le plan génétique. Pour Poutine et de nombreux Russes, le concept de « russité » est ouvert et inclusif ». Si la Russie ne remplit pas les conditions pour être définie comme fasciste, alors nous devons simplement redéfinir ce que signifie être fasciste.
Les formulations bizarres et souvent contradictoires que l’on trouve dans la plupart de ces analyses illustrent clairement un facteur constant qui réapparaît dans la propagande occidentale: le fait qu’ils n’ont aucune idée de la manière de définir le fascisme. Le terme fascisme est devenu une sorte de mot à la mode dans le discours géopolitique occidental, un terme effrayant que l’on peut lancer à volonté dès que l’on parle de politique. Plus particulièrement, toute personne en désaccord avec l’agenda libéral se voit souvent coller l’étiquette de fasciste. Le terme n’a plus de contenu réel. Il ne décrit plus une idéologie politique déterminée par le corporatisme économique, le nationalisme extrême, le militarisme et l’anticommunisme. Aujourd’hui, n’importe quel ensemble de positions socialement conservatrices peut qualifier quelqu’un de fasciste, surtout si l’on remet en question des valeurs libérales telles que le libertinage sexuel, le système néolibéral de libre marché ou l’absence totale de religion dans la sphère publique. En d’autres termes, la tendance libérale à simplement déformer, redéfinir ou simplement vider le sens des mots s’étend à la terminologie d’idéologies telles que le fascisme. Un mot vide, à utiliser comme munition de propagande quand cela convient aux besoins des pouvoirs en place. Dans une telle atmosphère, un pays comme la Russie, avec sa fierté patriotique, une population souvent pieuse et un État fort, est la cible idéale pour être accusé de fascisme. Cette ligne de pensée sert également un autre objectif, à savoir dissimuler le fait que le fascisme, en tant qu’idéologie, était en grande partie un représentant de l’idéologie occidentale typique, capitaliste et, oui, libérale. Aussi anti-individualiste que le fascisme prétende être, les principes fondamentaux qu’il a empruntés étaient indubitablement enracinés dans les traditions du libéralisme anglo-saxon. Les théories raciales défendues par Hitler et ses partisans sont loin d’être nouvelles, mais elles s’inspirent ouvertement du colonialisme britannique et du racisme institutionnel américain. Les idées nazies d’une pyramide de races supérieures et inférieures étaient presque des copies conformes de la suprématie anglo-saxonne qui était à la base des États-Unis d’Amérique. D'ailleurs comme le diable s'étant très illégitimement cru supérieur par sa nature de feu et sa position d'imam des anges plutôt que par la piété, les élites mondialistes se croient très illégitimement supérieures par le rang social. Ce fait est toutefois très gênant pour les élites libérales de l’Europe contemporaine et de l’Amérique du Nord, car il menace directement la noble hagiographie libérale vendu aux peuples qui décrit un progrès constant de la société depuis le siècle des Lumières, caractérisé uniquement par les avancées scientifiques, le rationalisme, la liberté et la démocratie. Tout ce qui contredit cette interprétation de l’histoire, comme le développement de l’impérialisme et l’assassinat d’innombrables millions de personnes dans le Sud aux mains des puissances coloniales, est considéré comme une aberration ou tout simplement ignoré. Entrez dans l’ère actuelle, dans laquelle les États illibéraux du Sud commencent à se soulever et à réclamer leur place légitime sur la scène mondiale, et vous pouvez voir une raison parfaite pour la propagande occidentale de dépoussiérer le vieux journalisme jaune et l’incitation à la peur. Il est toutefois difficile d’expliquer au public pourquoi il est censé haïr la Russie, l’Iran ou la Chine. D’autant plus que l’Occident devrait expliquer le contexte historique qui sous-tend les sentiments d’animosité à l’égard du noyau impérial. La guerre de l’opium, le coup d’État iranien de 1953 ou les invasions impérialistes de la Russie en 1918 sont difficiles à expliquer, même aux Occidentaux les moins soucieux de suprématie. Cependant, si vous leur faites croire que des hordes fascistes d’envahisseurs orientaux se massent aux portes de leur pays, il devient beaucoup plus facile d’amener l’opinion publique à soutenir la guerre. Ironiquement, c’est exactement le type de stratégie mentale utilisée par les nazis et les fascistes pour appeler à la guerre contre l’Union soviétique. Non seulement les élites libérales-capitalistes appellent à la guerre et à l’asservissement de l’Est et du Sud, mais, dans une tournure de rhétorique particulièrement cynique, elles le font sous couvert de « lutte contre le fascisme ». Il y a une autre raison pour laquelle « rejeter la faute sur les Russes » est une astuce si populaire de nos jours. La résurgence du mouvement populiste de droite, qu’il s’agisse des manifestations des chauffeurs routiers au Canada ou des partisans de Marine Le Pen en France, se compose généralement de deux groupes de personnes. D’une part, il y a les partisans d’une colère populaire légitime qui se laissent entraîner par un mouvement qui exige le changement. Il s’agit de personnes souvent peu politisées, mais motivées par des préoccupations très réelles qui affectent leur vie quotidienne : pauvreté, répressions, hausse du coût de la vie, criminalité galopante, services publics délabrés, etc. D’autre part, il y a ceux, souvent les responsables, qui servent fondamentalement les mêmes intérêts économiques et géopolitiques que les élites libérales et conservatrices contre lesquelles ils sont censés se rallier. Il s’agit souvent de leaders charismatiques qui comprennent que, plutôt que de mépriser ouvertement les masses, ils peuvent essayer d’utiliser et de guider la colère populaire en l’éloignant des causes réelles de leur souffrance et en la dirigeant vers des groupes au sein de la société auxquels ils attribuent la responsabilité de la situation. C’est pour cette raison que, malheureusement, la montée de la colère populaire justifiée contre l’exploitation aux mains de la cabale libérale-néoconservatrice au pouvoir en Occident est souvent combinée à une islamophobie flagrante et à un suprémacisme blanc. Une grande partie de l’Occident s’est transformée en une impasse politique entre deux forces, toutes deux généralement destructrices. D’un côté, il y a l’élite traditionnelle, qui promeut l’économie néolibérale, le libre-échange, le capitalisme débridé, les valeurs éthiques libérales et, depuis peu, la cooptation du mouvement dit « woke ». D’autre part, il y a la tendance populiste de droite, souvent même l’alt-right, caractérisée par un conservatisme moral, des tendances racistes, une forte intervention de l’État et des politiques judiciaires plus sévères. La montée du mouvement dit de l’alt-right en Europe et en Amérique du Nord est devenue un fait indéniable de la vie politique contemporaine. L’élite libérale et néoconservatrice traditionnelle du monde occidental s’est montrée totalement incapable d’endiguer cette vague, à supposer même qu’elle cherche à l’arrêter en premier lieu. Mais bien sûr, les voix les plus racistes, islamophobes et ethnocentristes qui sont entrées dans le débat dominant en conséquence sont difficiles à faire rimer avec la propagande officielle de l’État occidental en tant que société pacifique et tolérante. D’où la nécessité de rejeter la responsabilité des causes internes, telles que l’augmentation rapide des niveaux de pauvreté, d’inégalité des richesses et de sans-abrisme et l’effondrement apparemment inéluctable du tissu moral de la société, sur des menaces externes inventées de toutes pièces, telles que la Russie. Présenter la Russie comme le croque-mitaine de la montée du fascisme répond parfaitement aux objectifs des dirigeants occidentaux. Plutôt que de se concentrer sur les problèmes économiques, sociaux, moraux et éthiques très réels et profondément enracinés de l’Occident, y compris les contradictions fondamentales qui affligent le cœur libéral depuis des siècles déjà, les puissances de Washington, Londres, Paris et Bruxelles ont opté pour la stratégie de propagande séculaire consistant à rejeter la faute sur « l’autre ». Il appartient désormais aux peuples occidentaux de faire la lumière sur cette campagne de mensonges. » (Extraits de l'article « La banalisation de l’antifascisme » de Brecht Jonkers)
Le complotisme intelligent, sourcé et cohérent, est ce qu’on appelle trivialement la recherche de la vérité, et représente une totale opposition à ceux pensant très naïvement qu'il n'en existe nulle part et se croyant vivre dans le meilleur des mondes. Surtout qu'il ne peut être nié qu'il y a eu des complots ou des conspiration tout au long de l'Histoire, et qu'il y en a toujours vu le grand nombre de condamnations judiciaires pour corruption, parfois en plus grâce à des lanceurs d'alerte qui avaient pourtant été traités auparavant de complotistes. Un bon conspirationniste (un bon complotiste, un bon anti-complots), c’est quelqu’un qui réfléchit, qui fait des recherches, qui établit des relations entre des faits. C’est donc la marque d’un esprit fort, vivant et curieux, qui aime les faits, l’intelligence, la lucidité, l’honnêteté et les autres forces de l’esprit. Il y a des gens intelligents dans la désinformation, mais ils travaillent pour l’argent, pour l’oligarchie, pour le Diable, pas pour le peuple. C’est pourquoi on les appelle les sociaux-traîtres. Le combat entre le bien et le mal, aujourd’hui, est celui entre l’information et la désinformation. C’est pour cette raison que le complotisme intelligent est tant attaqué par les forces de l’oligarchie perverse qui essayent de le ridiculiser ou de l’interdire, dont en voulant faire avaler au peuple de fausses théories complotistes émises en réalité par les comploteurs du caché pouvoir profond corrompu. A ce sujet il est intéressant de lire l'article « Complotisme, homéopathie, et Covid-19 » peut être lu à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Complotisme-homeopathie-et-Covid-19-59561.html
La définition dissidente du complotisme correspond donc à la recherche de complots, alors que celle du système correspond au délire obsessionnel d'avoir identifié un coupable puis de tellement chercher à le prouver qu'on utilise plus de méthodes rationnelles.
La liberté de pensée et d'expression se rapproche donc de plus en plus de la désignation de complotisme par le système tyrannique après qu'il ait qualifié le complotisme de « désordre informationnel dangereux », alors que ce n’est que la conséquence logique et saine de la pluralité des points de vue surtout par rapport à toute sa corruption répandue, soit la démocratie authentique en paroles.
La propagande du système va bien au-delà de la simple fabrication du consentement pour les gouvernements, les crises et les guerres. Elle nous forme à quoi donner de la valeur, à quoi doit ressembler un être humain qui réussit, et où placer notre intérêt, notre énergie et notre attention. Elle façonne nos personnalités, dont jusqu'à nous faire consentir les populations à disparaître via le covid, le vaccin ARN, l'avortement, l'euthanasie, la mal-bouffe, etc. Elle déforme notre humanité. Lorsque quelqu'un ne pense pas que la propagande a beaucoup de pouvoir, c'est qu'il est fortement propagandisé. Si les gens pouvaient comprendre le fossé massif et béant entre le monde tel qu’il existe réellement et les récits dont on nous abreuve à son sujet depuis l’enfance, il y aurait une révolution immédiate. Le monde réel est aussi différent du monde de la propagande qu’il l’est de n’importe quelle œuvre de fiction. Ainsi il apparaît que sans idéologie un homme est semblable au milieu dans lequel il vit, c'est à dire actuellement en occident à celui libéral, ploutocratique, wokiste et athée, ce qui fait beaucoup puisqu'il faut compter les incultes.
De plus pour prouver la malhonnêteté de ceux qui accusent injustement de « complotistes » les personnes recherchant noblement la vérité, il faut savoir que cette accusation irréfléchie est un honteux anathème. C'est à dire que cela n'apporte pas d'arguments afin de couper net à la discussion, alors que la politique en particulier moderne est incontestablement remplie de complots.
Surtout qu'évidemment les comploteurs ou conspirateurs souvent légitimement attaqués, dont font bien sûr partie des politiciens, des lobbies et les médias du système, se servent facilement du « complotisme » pour décrédibiliser, menacer ou faire douter, afin de bassement se déculpabiliser injustement. L'accusation de complotisme concernant le mondialisme sert aussi à détourner utilement l'attention populaire de cette réalité, alors que de nombreux livres de l'hyper classe internationaliste y participent pourtant clairement comme ceux de Rockfeller, Attali, Warbourg et Schwab.

On en arrive à une concurrence entre journalistes pour caser le maximum de poncifs en une seule phrase d’accroche, afin de rabaisser des mouvements ou des pensées anti-système : « Complotiste », « Adeptes », « Extrême droite », « Pro Trump ». Cela va même donc désormais dans une forme d'inversion accusatoire jusqu'à « « Conspirationniste ». Cette promotion de la pensée unique confirme la dérive sectaire de nos sociétés. Un « complotiste » correspond pourtant souvent simplement à quelqu’un qui a raison avant les autres comme concernant le pass vaccinal ayant en plus permis de créer une infrastructure numérique lié prête à être réutilisée pour les prochains pass écologique, économique voire alimentaire, et qui est particulièrement dénigrer par les médias mainstream dont le travail est désormais d'honteusement nier ou de déformer les faits, même jusqu’à ce que leurs mensonges ne soient plus tenables par preuve des manifestations massives qu'il y eut contre la tyrannie sanitaire.
Or concernant ces journalistes soumis au système, le peuple peut lui utiliser ce type de poncifs : esclaves, propagandistes, sournois, pathétiques, etc...
Commentaire d'un internaute : « On nous conspue parce que l’on ne veut pas être dupes. Or une fois le doute dissipé par la raison, la logique et le bon sens, une fois la réflexion faite et le positionnement assumé, tout homme recommence par sagement douter surtout que le système pousse à faire douter. Puis il s'informe plus encore, il réfléchis abondamment, il se positionne, et si possible il agit au mieux en conséquence. Tout cette noble nature humaine n’est plus permise, c’est le début de la fin. Là où il n’est toujours question que de complotisme, il y a en réalité des personnes qui pensent, qui doutent, qui cherchent, qui réfléchissent, qui élaborent, qui font le choix d’une théorie plutôt qu’une autre. Qu’on nous laisse ces droits fondamentaux bon sang. Nous n’avons pas « envie d’apprendre à vivre avec ce virus », car c’est le virus de la peur, du mensonge d’État et de la tyrannie ! »
Dans ce sens l’important n’est pas ce que les conspirateurs (comploteurs) disent ou font, mais pourquoi ils le disent ou le font. Or avec les grossiers liens pervers entre le politico-bancairo-médiatico-pharmaco-numériquo-sanitaire que les mé
dias mainstream ont caché lors la crise du Covid, le système finit par se décrédibiliser totalement. C'est pourquoi dans une forme de guérilla numérique, il faut participer à la réinformation des autres par tous les moyens de télécommunication dont en les invitant à aller souvent sur des sites comme « Egalité et réconciliation » pour contourner la structure du contrôle mental médiatique.
« Ainsi seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. C'est pourquoi l’anti-complotisme ne peut être qu'une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce. On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat plus ou moins pacifiquement. Il s’ensuit donc que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs, et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humanisme. Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est donc bien temps d’affirmer ce que nous sommes en tant que complotistes : un humanisme. » (Extrait de l'excellent article « Le Génie du Complotisme » pouvant être lu à l'adresse : http://lidiotduvillage.org/2020/06/05/le-genie-du-complotisme/)