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C) Un récit de la Création (suite 2)

Pour revenir plus précisément sur le sionisme juif satanique, il faut noter qu'un peuple d'Europe de l'Est dénommé « Khazars » s'est converti par intérêt au judaïsme et incarne probablement une image du peuple de Gog et Magog américano-sionisto-wokisto-usurier comme il sera revu. Il s'agit de la plupart des juifs ashkénazes dont les élites perverses comme la famille Rothschild composent principalement les élites et politiciens sionistes d'Israël et dirigent principalement les élites et politiciens mondialistes de la planète, de même que tous ceux les suivant ou suivant les vagues de la phrase suivante. Ainsi ces élites corrompues, l'alliance judéo-chrétienne sionisto-laïque ou néoconservatrice provenant des anglo-saxons antiques et des ashkénazes, le mondialisme wokiste ploutocratique, et le manipulé faux Etat islamique daechiste, wahhabite et barbare soutenu par les Seoud pourraient être une partie ou les conséquences des vagues malveillantes d'envahissement du monde par le peuple maudit de Gog et Magog pour le projet sioniste du faux messie :
La mère des Croyants, Zaynab la fille de Jahch (SDP) a dit : « Le Messager d'Allah (SBDSL) sortit un jour effrayé en ayant le visage rouge, et dit : « La ilaha il Allah » (il n'y a pas de divinité à part Allah), malheur aux arabes d’un mal qui s’approche ! Aujourd’hui, la barrière de Gog et Magog s’est ouverte comme ceci, et il fit un anneau avec son pouce et son index. » Elle dit : « Je dis : ô Messager d’Allah ! Allons-nous périr alors que parmi nous se trouvent des gens pieux ? » Il répondit : « Oui, si les turpitudes deviennent nombreuses (ou : oui, si les mauvais sont plus nombreux). » (Boukhari et Mouslim)
(S18v99) « Nous les (le peuple de Gog et Magog) laisserons, ce jour-là (comme épreuves de la fin des temps), déferler (par vagues : possible conversion progressive des khazars au judaïsme à partir du huitième siècle) comme les flots les uns sur les autres (en empirant progressivement la situation mondiale), et on soufflera dans la Trompe et Nous les rassemblerons tous. »
C'est à dire que ce peuple corrompu et ceux qui le suivent infiltrent puis submergent progressivement le monde comme les vagues d'une marée (thalassocratie amorale) submergent les unes après les autres une plage (téllurocratie christique), puisque ils pervertissent puis contrôlent mondialement de nombreuses parties des pouvoirs politique, médiatique, judiciaire, religieux, commercial, scientifique (dont des conseils nationaux de médecine lors du covid), artistique, institutionellement transnational, financier et militaire, tout en accroissant l'égarement des infidèles, des incroyants et des criminels.
En effet ces élites juives ashkénazes qui n'ont pas d'origine sémites, l'alliance wokiste occidentale, tout gouvernement corrompu mondialiste, le supranational ploutocratique et le wahhabisme en partie pervers sont souvent liés à la perversion du sacré, des lois naturelles, des valeurs de la famille traditionnelle, de la dignité humaine et de la réalité religieuse, et donc liés à l'oubli ou au détournement du véritable monothéisme, comme le confirment de nombreux rabbins, prêtres et imams.
Ainsi pour se propager, ce satanique système international cherchera effectivement à donner des postes importants seulement à des gens aux antécédents condamnables, afin qu’ils trahissent leur nation ou leur peuple sans pouvoir désobéir.
Or le peuple de Gog et Magog pourrait donc aussi correspondre en partie aux khazars impies, aux infidèles parmi les juifs, les chrétiens et les musulmans, et aux divers polythéistes dont hindous, chinois et japonais. En effet selon l'extrait de verset suivant, Gog et Magog est un peuple voleur, agresseur et corrompu lié à seulement deux époques dont celle finale de l’apocalypse, et selon certains commentateurs Gog serait leur chef, ce qui signifierait que le faux messie (antéchrist) serait Gog et que les communautés ou populations empêchant le véritable christianisme et l'authentique islam seraient Magog :
(S18v94) « Ils (un peuple) dirent (dans l'antiquité) : “Ô Zul-Qarnayn, les Yajuj (Gog) et les Majuj (Magog) commettent du désordre sur terre.” »
Par conséquent Gog et Magog organisent les circonstances de la fin des temps dont par rapport à l'évolution de l'Etat d'Israël.
-sociétés secrètes impies, perverties ou infiltrées, type sectes illuminati et franc-maçonne lucifériennes de plus en plus répandues à travers de nombreuses loges, parmi lesquelles des super loges sataniques sont réservées aux plus hautes élites perverses. Ce qui n'est pas étonnant puisque certaines sont la suite des templiers ayant succombé après des découvertes à Jérusalem à la tentation de la sorcellerie cachée par le Prophète Salomon (paix sur lui). Or ces sectes étant organisées en degré de connaissances secrètes, seuls les plus haut membres sont au courant de leurs véritables sens, buts et influences, qui sont souvent athées, wokistes, polythéistes, sionistes (dont B’nai B’rith) ou/et donc sataniques. En effet ces sectes cherchent à remplacer le bien du monothéisme favorisant l'équité, l'aide aux pauvres et l'humanisme, par le mal du laïcisme favorisant au bout du compte la corruption, les élites et la division populaire. C'est à dire qu'elles affaiblissent la digne recherche populaire du bien commun au profit de l'indigne oppression d'usuriers et de lobbyistes égoïstes favorisant fortement leurs propres intérêts :
Houdheyfa (SDP) rapporte que le Prophète (SBDSL) a dit : « Par celui qui tient mon âme dans Sa main, vous commanderez le bien et interdirez le mal ou bien vous ne serez certainement pas loin de voir Dieu envoyer sur vous un châtiment venant de Lui. Vous L’invoquerez alors et Il ne répondra pas à votre appel. » Aïcha (SDP) interrogea le Prophète (SBDSL) : « Ô Messager d’Allah ! Serions-nous (quand même) anéantis alors qu’il y a parmi nous des gens vertueux ? » Il dit alors : « Oui, si la perversion est répandue (dans votre région pour empêcher la propagation de son mal). » (Tirmidhi)
Il faut savoir que la franc-maçonnerie opérative originelle (basée des règles de construction particulières voire cachées), qui était au départ une coopérative en patie honnête jusqu'en 1724 composée par d'excellents maçons, des constructeurs et des bâtisseurs même si ses temples étaient déjà influencés en apparence sur celui de Jérusalem, fut progressivement remplacée par une maçonnerie spéculative sournoisement infiltrée en grande partie et en différentes loges par le communautarisme, le talmudisme, les protestants anglais, les banquiers, les marchands cupides et des révolutionnaires, afin de la détourner de sa finalité pour qu'elle coupe le lien entre l’Église catholique et l'État, puis prenne le pouvoir par l’usure et les groupes de pression : la république c'est la loge maçonnique, et la loge maçonnique c'est la synagogue de Satan... En effet la franc-maçonnerie infiltrée par le mal finit par réaliser en grande partie le pervers plan messianique juif de l’Antéchrist provenant de textes satanisés vers le matérialisme, dont en participant à organiser les révolutions française, bolchevique, nazie, jusque à l'influence extrême du Forum économique de Davis et du lobby sioniste à travers le monde.
Cette franc-maçonnerie spéculative fut donc une infiltration, puis une subversion, puis un sabotage, et enfin une dislocation de la France, en faisant que des catholiques de toutes catégories sociales en particulier ceux de l'administration deviennent de plus en plus franc-maçons, jusqu'à Vatican II qui est une orientation impie vers la laïcité voire le laïcisme oligarchique comme le prouve d'ailleurs le Pape actuel, car on ne peut servir deux maîtres.
Surtout que ce paradigme est donc anti-religion, et donc anti-valeurs traditionnelles, et donc anti-système stable, et donc anti-vie, comme le prouve le Covid, les vaccins ARN dangereux voire mortels, l'avortement de masse légalisé, et le suicide se généralisant dont chez les jeunes.
N’ayant que le chaos comme seul modus operandi, les franc-maçons actuels ne font donc qu’usurper perversement le nom et les qualités des véritables maçons, bâtisseurs de cathédrales, maîtres d’un savoir qui, par l’alliance de la tête et de la main, sous l’égide du cœur, générait l’harmonie des formes.
Selon le pianiste mondialement connu Stéphane Blet, ancien membre du rite écossais ancien et accepté qui compte 33 degrés, le trentième degré représente un rituel de vengeance talmudique où il faut symboliquement poignarder le roi et le pape notamment, ainsi que cracher sur sa religion.
C'est à dire qu'en prouvant la perversion de la franc-maçonnerie actuelle, la signification de ses codes secrets, des mots de passe et des rituels changent en fonction de l’avancement de l’adepte dans les degrés : à l’Apprenti une explication, au Grand Maître une autre !
Ainsi il est clair que le sommet de la pyramide franc-maçonne correspond à Satan et que son but est l’avènement de l'antéchrist (faussement) juif en tant que chef du monde, du grand Israël voire seulement d'Israël.
La kabbale (juive) pervertie les mots et la franc-maçonnerie moderne fait de même, ce qui confirme son infiltration par le sionisme. C’est ainsi qu'aujourd'hui dans la propagande du système, le mal peut devenir le bien et la guerre peut signifier la paix. Cette inversion des valeurs et du sens des mots a été lentement, délibérément et insidieusement distillée dans toute la société, et jusque dans la perverse devise française de la nouvelle religion athée qu'est la laïcité : « liberté, égalité, fraternité », devenus « libéralisme prédateur et libertaire au lieu de liberté de culte et d'entreprendre du monothéisme, égalité des droits pour les homosexuels et les transsexuels au lieu d’égalité devant la loi du monothéisme, et fraternité de l'athéisme laïque franc-maçon au lieu de fraternité en religion et par rapport à Adam et Eve ». Inversion invisible aux profanes, mais qui particulièrement à notre époque devenue wokiste, s’éclaire dès lors que l’on se souvient qu’elle est issue d’un ordre franc-maçon très cloisonné et très hiérarchisé.
Les perverses valeurs de la république laïco-maçonico-bourgeoise ont été appliquées par la violence dès sa création, en particulier à Louis XVI, aux vendéens, aux prêtres, aux opposants et au petit peuple. Le Donbas attaqué par le pouvoir central kievien correspond d'ailleurs aux vendéens modernes qui ont aussi refusé la révolution de Maïdan comme les vendéens ont refusé la révolution française. Par des éborgnement et des mains coupées, cette violence républicaine a d'ailleurs été réutilisée contres les gilets jaunes afin de protéger son impie organisation sociétale : le consumérisme dévastateur, la luxure, la pornographie, le mariage pour tous, la transsexualité, la corruption gouvernementale, la pédocriminalité, l’abrutissement de masse, le métissage, le vol des nations par la guerre ou l'oligarchie mondialiste, la dilution des nations par des organisations supra-nationales.
Puis sous couvert de tolérance et d’égalitarisme dont donc aussi à l’insu des membres de ses degrés inférieurs, cette perverse secte néo-maçonne put œuvrer à son véritable but : l’avènement du mondialisme et dans un second temps de la synarchie. Cette dernière peut être définit comme une révolution ou un complot du haut de la pyramide sociale contre son bas dont en le rabaissant moralement, afin d’enrichir extrêmement et donc de mettre définitivement au pouvoir les pervers oligarques, politiciens et banquiers.
Concernant les sociétés secrètes étant des formes de complots, il est intéressant de voir la vidéo du docteur en philosophie Holger Strohm « Le plus grand massacre de l’histoire de l’humanité » à l'adresse suivante : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Complotisme-55811.html , et de voir les vidéos « Q(anon) - We Are The Plan (Nous sommes le plan) » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=MRtEgdgj_XQ et « Q - The Plan To Save The World REMASTERED (Le plan pour sauver le monde) » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=KVeDKuHPDK8
Les (Q)Anon, grand mouvement créé possiblement par des supporters de Trump, se définissent comme des patriotes du monde entier qui veulent faire sauter le système pyramidal de contrôle et qui aiment le bien, la famille, la libre entreprise et toute religion croyant en Dieu et défendant les valeurs traditionnelles. Ils disent que vous trouverez dans Q toutes les vérités qui sont cachées à l’humanité depuis toujours. Selon eux la lutte va bien au-delà de celle contre l’État profond, c’est la lutte ultime pour un nouveau paradigme. C’est à dire que les humains doivent choisir entre la liberté et la dépopulation, la décroissance, l’esclavage absolu par l’IA et donc la ploutocratie de la haute finance satanique engendrant le trafic humain. Car le système a mis les êtres les plus pervers et les plus corrompus à la tête des multinationales et des États. Il s'agit une mafia criminelle qui dirige le monde. Enfin ils pensent que le processus populaire engagé au niveau mondial contre ce système corrompu est irréversible, puisque de plus en plus de grandes révélations publiques arrivent avec les technologies modernes de communication comme internet et la blockchain. Il faut noter que pour tendre à réussir même un plan indigne, les gens sont obligés de suivre une forme de logique, ce qui est d'autant plus encadrable par Dieu dans Son stratagème.
(S6v123) « Ainsi, Nous avons placé dans chaque cité de grands criminels qui y ourdissent des complots (en incarnant un chemin de l'indignité à ne pas suivre pour s'ennoblir). Mais ils ne complotent que contre eux-mêmes (à cause de la rétribution du Jour du Jugement Dernier) et ils n'en sont pas conscients. »
(S6v129) « Et ainsi accordons-Nous à certains injustes l'autorité (pouvoir, richesse) sur d'autres, à cause de ce qu'ils ont acquis (les injustes par corruption et les autres par insouciance, incroyance ou impiété). »
(ExtS8v29) « Ils complotèrent, mais Allah a fait échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes (par évidence puisqu'Il est omniscient). »
(S16v26-28) « Ceux qui ont vécu avant eux ont certes comploté, mais Allah attaqua les bases mêmes de leur bâtisse. Le toit s'écroula au-dessus d'eux et le châtiment les surprit d'où ils ne l'avaient pas senti. Puis le Jour de la Résurrection (et donc de la Rétribution), Il les couvrira d'ignominie, et (leur) dira : “Où sont Mes associés pour lesquels vous combattiez ?” Ceux qui ont le savoir diront : “L'ignominie et le malheur tombent aujourd'hui sur les mécréants.” Ceux à qui les anges ôtent la vie alors qu'ils sont injustes envers eux-mêmes se soumettront humiliés(, et diront) : “Nous ne faisions pas de mal !” Mais, en fait, Allah sait bien ce que vous faisiez. »

Ainsi on comprend pourquoi de plus en plus de français, intoxiqués par un siècle de laïcité puis de laïcisme maçonniques, se retournent contre leur propre civilisation pour la détruire. Ces âmes perdues sont le triste produit de la guerre lancée contre la chrétienté. Tous les supports ont été utilisés par les agents plus ou moins conscients du pouvoir profond à cet effet : la presse, le cinéma, la télévision, l’école et d'autres domaines ont tiré et tirent toujours à boulets rouges sur le christianisme, car il s’oppose radicalement au mondialiasme wokiste, ploutocratique et sioniste. On peut dire que la laïcité, voire la christianophobie puisque la laïcité a été inventée pour ça, est la religion du pervers pouvoir profond. Et chaque jour se devine l’origine satanique de ce pouvoir par preuve que la vision de la franc-maçonnerie mondialiste est avant tout prométhéiste. Il n’y a qu’à se baisser : destruction des nations et de leurs cultures par l’immigration de masse, destruction de l’amour par la pornographie, destruction de l’esprit de connaissance et de la morale par l’avidité commerciale et l'abrutissement télévisuels de nombreux programmes... Surtout que les ultra riches mondialistes envoient leurs enfants dans les grandes écoles et les préservent de la télévision, tout en voulant que les autres pensent seulement à avoir du pain et des jeux dans une forme de matérialisme insouciant facilitant leur soumission.
Il est possible de voir à ce sujet sur « Youtube.com » les vidéos « les arrivées (la série) », « Conférence de rabbins anti-sionistes avec Dieudonné », « Dr Salim Laibi : Comment on en est arrivé là », « Le satanisme à Hollywood (le satanisme dans l’industrie du divertissement) », « Comprendre le marxisme culturel 26.04.2019 » de Pierre-Antoine Plaquevent et Xavier Moreau, « ARTE Francais - Goldman Sachs - 24 sept 2013 - LD », « 2012, l'effondrement économique global ? » du Dr Ahmad Meera et toutes celles du Cheikh Imran Hosein et d' Alain Soral.
Cependant les trois forces qui font peur à l’élite mondialiste, c'est à dire le réseau national, le populisme et les réseaux sociaux, sont en train de se cimenter, et la domination va donc être plus difficile que prévue. En effet, les dominants sont au courant que ce qui a été séparé par la force se réunifiera naturellement, et toutes les forces oligarchiques n’y pourront rien. La droite des valeurs (monothéistes) et la gauche du travail (de production) sont faites pour s’entendre, et l’histoire le montrera comme cela a commencé en Amérique avec Trump, en Grande-Bretagne avec le Brexit, en Italie avec Salvini, en Hongrie avec Horban et en France avec les gilets jaunes. Car la fusion est inévitable à cause des coups tordus de la dominance ayant fait que la gauche peverse des mœurs légitime ce que la droite perverse de l’argent paresseusement spéculative lui demande : régression sociale, conflits triangulés, destruction de la famille traditionnelle, provocations raciales, répression sous forme d’attentats terroristes et de mutilations de manifestants, intensification de la propagande...
Or « On avait loué la manière dont la femme de droite Meloni avait pris le pouvoir en Italie, après les dernières élections législatives. Son élection avait fait naître des espoirs chez certains responsables des droites européennes. La fermeté de Mme Meloni sur les sujets sociétaux et les questions migratoires, couplée à sa capacité d’accéder aux responsabilités, promettait des répliques ailleurs en Europe et des lendemains qui chantent pour les conservateurs. Mais l’état désastreux des finances italiennes a placé rapidement le gouvernement de Mme Meloni dans la perspective de subir le fameux « mouvement européen de stabilité », autrement dit la purge à la grecque réservée aux pays endettés : la tutelle et la ruine. Voulant éviter cela à tout prix, Mme Meloni a accepté d’assouplir sa politique migratoire par rapport à ses déclarations de campagne en échange du maintien des aides européennes. Jusque-là, rien, au fond, que de très réaliste, et on comprend bien que dans certaines circonstances, nécessité fasse loi. Malheureusement, la perspective est à la fois plus large et plus « dépitante ». Le soutien désormais probable de Mme Meloni et de ses amis à la présidente de la Commission sonnerait le glas de toute volonté de faire évoluer la politique de l’Union de l’intérieur en s’appuyant sur le groupe des conservateurs pour faire pression sur l’exécutif européen. Aujourd’hui, pour l’Union européenne, l’heure est à déployer des efforts pour parvenir à la paix en Ukraine, et certainement pas pour alimenter des fantasmes guerriers dont nous sommes les premières victimes. La complicité des gouvernants européens aux débordements intrusifs de la Commission n’a que trop duré. Celle-ci agit trop souvent en dehors des traités, sans véritable mandat, à part celui que lui confère la passivité des exécutifs des pays membres. Elle nous asphyxie. Elle nous ruine. Elle nous pousse vers la guerre contre la volonté des peuples et sans que nous ayons aucun moyen de la conduire. Elle prépare l’avènement d’un État européen tentaculaire qui accentuera l’étouffement de nos libertés. Au-delà de la capacité de changer ses orientations, soyons conscients de ceci : la question n’est plus seulement de savoir si nous voulons de cette Europe-là, mais de se demander si nous voulons y rester sans changement radical. Ou plutôt de le demander par référendum au peuple français. » (Extraits de l'article « L’insoutenable soutien de Meloni à von der Leyen » de Jean-Frédéric Poisson)
« Surtout qu'il faut comprendre que des milliers d’étudiants sont manipulés et envoyés par la gauche des valeurs sur le front social sans armes ni défenses. On sait ici par expérience, que le gauchisme est un plan du champ de bataille social complètement faux, élaboré par des cyniques qui prennent ainsi facilement le pouvoir sur les jeunes esprits en utilisant pour cela perversement leur volonté de vivre dans un monde plus juste et de changer (un peu) les choses. À l’arrivée rien ne change bien sûr : les étudiants pauvres embrigadés par les sections gauchistes restent pauvres, et surtout idiots, idiots comme synonyme d’ignorants. Ils restent pauvres, idiots et sans emploi, ou alors avec des emplois minables qui les dévalorisent et qui les rendent frustrés, haineux. Cela crée toute une classe de revanchards sociaux qui ne trouvent plus que la révolution violente pour changer les choses. Et ça tombe bien, c’est ce que leurs directeurs de pensée leur inculquent ! Mais à une condition : qu’ils ne touchent pas au pouvoir profond, celui de la Banque et d'occultes réseaux d'influence, et qu’ils tournent leur ressentiment personnel contre les « fascistes » (dans le sens « patriotes ») , cette catégorie des français qui justement ne se laissent pas arnaquer par l’hyperclasse, ou qui lui résistent frontalement. Les gauchistes sont bien l’armée inconsciente, prolétarisée et sous-payée du Capital. » (La rédaction d’E&R)
D'autre part, il semble important de préciser que l'infiltration des religions monothéistes par des agents souvent sionistes, qui ont ensuite lancé des courants de pensées pervertissant le sens de certains textes sacrés afin d'égarer les gens jusqu'à divers actes odieux pour de malfaisantes raisons politiques, géopolitiques, économiques, financières ou sataniques, paraît évident à notre époque. Mais l'humanité ne doit pas oublier qu'elle n'est pas exempt de tout reproche, puisque notre insuffisance de pratique religieuse et de service social participent à cet effondrement spirituel général :
(S5v13) « Et puis à cause de leur violation de l'engagement, Nous les avons maudits et endurci leurs cœurs, (car) ils détournent les paroles de leur sens et oublient une partie de ce qui leur a été rappelé. Tu ne cesseras de découvrir leur trahison, sauf d'un petit nombre d'entre eux. Pardonne-leur donc et oublie (leurs fautes), car Allah aime certes les bienfaisants. »
(S41v40) « Ceux qui dénaturent le sens de Nos versets (du Coran) ne Nous échappent pas. Celui qui sera jeté au Feu sera-t-il meilleur que celui qui viendra en toute sécurité le Jour de la Résurrection ? Faites ce que vous voulez car Il (Dieu) est clairvoyant sur tout ce que vous faites »

Dans ce sens, le judaïsme, qui était déjà une hérésie par rapport au mosaïsme, est devenu une orthodoxie à travers le sionisme ou le messianisme mondialiste, suite à des hérésies rabbiniques sciemment propagées donc pour des intentions particulières souvent perverses sur deux voire trois millénaires jusqu'à aujourd'hui. De même le wahhabisme est une hérésie devenue une orthodoxie, alors que la seule orthodoxie est celle des pieux califes jusqu'à Ali selon un hadith et l'Histoire.
-familles semblant maudites type tribu Saoud ayant trahi le califat islamique et répandu le wahhabisme, famille royale Windsor d'Angleterre ayant répandu un christianisme cupide, ou banquiers Rothschild sionistes ayant financé la révolution bolchevique russe anti-orthodoxie, facilité l'accès d'Hitler à un pouvoir militairement fort, et créé le centre financier usurier de la « city » à Londres ayant amené à ceux de « Wall Street » et de « Tel Aviv » qui incarnent ensemble le premier maillon de la chaîne de causalités de l'esclavagisation actuelle des nations et des peuples. En effet ces principaux centres financiers mondiaux appliquent et développent l'usure amenant toujours plus de dette jusqu'à ce qu'elle soit impossible à rembourser pour un pays, afin d'imposer des lois supranationales ou l'austérité, favorisant le rachat de grandes parties de ce pays par l'oligarchie mondialiste. De plus cette famille Rothschild est sioniste par excellence, puisqu'elle a acheté des terres en Palestine à l’Angleterre pour y rétablir un foyer national juif pourtant clairement interdit par Dieu dans Ses derniers Livres révélés, car ayant toujours déstabilisé le monde même avant sa recréation. Jacob Rothshild a d'ailleurs officiellement dit à un journaliste : « Ma famille a créé l’État d’Israël. » Or cet état et son complexe militaro-industriel a aussi été financé par BlackRock, McKinsey, des grosses entreprises de la City, des grosses banques, des gros comptes offshore (Israël est d'ailleurs très dérégulé financièrement et lié aux paradis fiscaux), des oligarques ashkénazes d'Europe en particulier de l'Est, des fondations, des philanthropes, des grandes sociétés de la Silicon Valley et le complexe militaro-industriel occidental (qui a été le fournisseur principal de l'Arabie Saoudite dans sa guerre contre le Yémen et s'est encore plus enrichi ainsi). C'est pourquoi selon  Marc Gabriel Draghi Israël est en réalité un consortium capitaliste et messianiste, dont en remarquant en plus que le plupart des colonies juives en Palestine ne sont pas financés par l'Etat ou l'administration israéliens mais par le privé dont étranger, ce qui montre que les acteurs privés dont étrangers y contrôlent le public comme de plus en plus en Occident. En sachant que le rachat de terres en Palestine a commencé en 1836 via des associations et que le projet sioniste est donc antérieur à Herzl. De toute façon l'Etat d'Israël est d'autant plus logiquement interdit, puisque normalement le judaïsme n'est plus valable par la réforme depuis la venue de Jésus le Messie. Mais il faut savoir que ces terres sont principalement pour les juifs pauvres, et que les élites de la diaspora juive sioniste tel BHL ou globaliste tel Soros n'y vivent pas, et n'y ont même pas de résidence secondaire pour les vacances. C'est pourquoi il est étonnant qu'Hitler ait autorisé voire obligé seulement le transfert de juifs riches allemands vers la Palestine, ce qui renforça l'économie sioniste sur place.
Le musicien Gilad Atzmon nous donne son analyse de la situation en Palestine occupée. Le moins que l’on puisse dire est qu’il n’est pas optimiste puisqu’il prévoit la fuite en masse des juifs ashkénazes vers l’Europe, fuite qui aurait commencé. Atzmon sait sans doute de quoi il parle puisque lui-même a quitté définitivement l’entité il y a a un certain nombre d’années tout en renonçant au judaïsme. Il est aujourd’hui citoyen britannique et, en marge de son travail artistique, il dénonce de manière radicale le sionisme :
« Dans ce court article, nous découvrirons la dynamique par laquelle les juifs ashkénazes sionistes ont forcé les juifs arabes à quitter leur pays et à faire l’Aliya pour être la chair à canon d’Israël. Mais aujourd’hui, alors que la situation est fatale, les descendants de ces sionistes ashkénazes fuient vers l’Europe, laissant derrière eux les juifs arabes pour faire face au désordre qu’ils ont eux-mêmes créé. Le sionisme est né en Europe. Il s’agissait essentiellement d’un mouvement de libération ashkénaze. Certains agitateurs juifs européens laïcs reconnaissaient que la culture juive européenne n’était pas saine : elle était trop capitaliste, exploiteuse, non productive, détachée du sol et aliénée de la condition humaine générale. Les premiers sionistes ont juré d’arranger tout ça par le biais du «retour à la maison». Ils croyaient que les juifs européens sont ce qu’ils sont parce qu’ils n’ont pas de terre à eux. Les juifs arabes ne faisaient pas partie des premières révolutions sionistes. Ils ont prospéré dans le monde musulman et arabe pendant des centaines d’années. Ils n’ont pas subi de persécutions, encore moins de pogroms ou d’holocaustes, mais cela était sur le point de changer. En 1948, Ben Gourion, le premier Premier ministre israélien, réalisa qu’il avait besoin de beaucoup plus de soldats juifs pour soutenir le rêve d’une patrie juive. Les juifs américains n’avaient pas l’intention de quitter leur Médina dorée et de faire leur Aliya. Faire venir les juifs arabes était la seule voie praticable pour le jeune Israël. Dans les années 1950, Israël a investi beaucoup d’efforts pour forcer les juifs arabes à faire leur Aliya depuis le Yémen, l’Irak, du Maroc, la Tunisie, etc. Lorsque les juifs arabes étaient réticents à rejoindre le rêve sioniste, les Ashkénazes privilégiés du Mossad posaient des bombes dans leurs synagogues pour les pousser dans la «bonne direction». Si vous ne me faites pas confiance sur ce point, recherchez Naeim Giladi sur le net. Les juifs arabes ont été amenés en Israël comme chair à canon. Le jeune Israël avait besoin de gens pour vivre dans les nouvelles villes frontalières. Il fallait beaucoup plus de soldats pour défendre le nouvel État juif. Et il fallait beaucoup de juifs pour constituer une majorité démographique. Les juifs arabes étaient soumis à une vile discrimination raciste de la part de leurs «frères» sionistes ashkénazes. Les juifs yéménites ont été soumis à des expériences médicales extrêmes et non consenties. Leurs bambins étaient emmenés par des Ashkénazes privilégiés et vendus à de riches juifs. Encore une fois, si vous pensez que j’invente ces histoires, recherchez «l’affaire des enfants yéménites». Les juifs arabes étaient surnommés le deuxième Israël, même à l’époque où ils devenaient la grande majorité. Mais le programme ashkénaze n’a pas fonctionné comme prévu. Les juifs arabes, une fois en Israël, n’ont pas adhéré au projet sioniste travailliste. Ils ont dû faire un effort supplémentaire pour se distinguer de «l’ennemi», c’est-à-dire des Arabes. Ils sont devenus des sionistes d’extrême droite. Ils sont devenus l’épine dorsale du parti Likoud et d’autres partis israéliens anti-arabes. Pourtant, petit à petit, ils sont devenus plus influents politiquement et culturellement, ce qui est en fait une bonne chose pour Israël. Ce changement en Israël n’a pas été bien accueilli par les Ashkénazes privilégiés et leur progéniture ultra-privilégiée. Ils n’aimaient pas que le deuxième Israël devienne le premier. Ils n’aimaient pas l’influence croissante des juifs arabes et Israël devenant de plus en plus oriental. Au cours des deux dernières décennies, la plupart des juifs ashkénazes ont réussi à obtenir des passeports européens ou étrangers en fonction de leur ascendance. Étant privilégiés, ils s’achetaient une voie de sortie de la région, acceptant l’idée qu’il n’y avait pas d’avenir pour le pays que leurs parents et ancêtres prétendaient posséder. Les juifs iraniens, irakiens, syriens ou yéménites ne bénéficient pas de ce privilège. Ils ont été violés jusqu’à faire l’Aliya par leurs frères ashkénazes. Ils se retrouvent désormais avec le monstre créé par le sionisme. Ils devront faire face à la colère des Arabes. Ils sont seuls face à cette situation alors que leurs frères ashkénazes partent en masse, acceptant que le désastre qu’ils ont créé ne peut pas être corrigé. » (Gilad Atzmon)
Pour chasser des palestiniens de leurs terres, certains de ces pauvres juifs formèrent les organisation terroristes Hagana en 1920 puis l'Irgoun en 1931 dont la haine contre les non juifs provient du Talmud et dont l'évolution créera ensuite créeront l'armée Tsahal et l'actuel parti d'extrême droite voire suprématiste du Likoud, alors que toutes les communautés vivaient en paix auparavant. Ce qui signifie que cette armée est donc ontologiquement la fusion de deux organisation terroristes. Puis la plupart de tous ces membres entrèrent dans l'administration ou/et l'Etat israélien. Par exemple l’attentat de l’hôtel King David à Jérusalem a été perpétré le 22 juillet 1946 par des terroristes juifs contre des Britanniques à Jérusalem. Cette attaque à la bombe a été préparée et menée par cette organisation extrémiste juive Irgoun, avec l’aval du Mouvement de la résistance hébraïque (structuré en juin 1945 en fédérant la Haganah, l’Irgoun et le Lehi, ou groupe Stern), et visait les autorités britanniques dont les bureaux étaient situés au sein de l’hôtel King David à Jérusalem, alors en Palestine mandataire. Cet attentat a fait de nombreuses victimes (91 morts et 46 blessés), puis provoqué le départ des troupes anglaises, c'est à dire la fin du mandat britannique sur la Palestine. Curieusement, il y a très peu de contenus en français sur cet attentat. Pourtant en 1947 les Anglais ont formé et armé l'armée juive en Palestine.
« Parallèlement et ultérieurement, des jets de bombes dans les marchés des arabes ayant eu 85 % de la Palestine contre 15 % pour les juifs suite à une décision des britanniques se produisirent, puis des massacres de villages arabes, dont ceux de Deir Yassin avant la proclamation de l’État d’Israël et de Qibya après, furent commis. Le village de Deir Yassin avait pourtant décidé de rester neutre par rapport aux deux camps, ce qui prouve que ce massacre visait à faire fuir tous les arabes de la Palestine. D'ailleurs des dizaines de villages et de villes furent ensuite bombardés, détruits, pris ou/et pillés, et les survivants furent tués ou chassés. Tout cela sous le couvert d'une imposture intellectuelle dont pour nier l'ennemi telle à travers l'expression « un peuple sans terre pour une terre sans peuple ». Puis des dizaines de milliers de maisons palestiniennes furent aussi détruites, et des centaines de milliers de palestiniens furent donc victimes d'un nettoyage ethnique, dont plus tard par le grignotage et les expulsions de la progressive colonisation violente ou fourbe. » (Extraits résumés de la vidéo « Abbé Rioult : "Il n'est pas moral de soutenir Israël" à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=hh47v9EYOSo)
Ainsi Israël naquit dans la guerre, vie dans la guerre et mourra dans la guerre dont selon l'eschatologie islamique. Il faut noter que les palestiniens de l'époque, qui étaient généralement de simples paysans sans beaucoup de connaissances, ont logiquement été oppressés puis dominés par l'argent massif, l'industrie, la science, la technologie et l'armement occidentaux associés à l'expérience des sionistes américains, russes et européens. Selon Springmeir et quelques autres, les vrais détenteurs d'une grande partie du pouvoir financier et donc politique mondial sont les 13 familles satanistes multimilliardaires qui sont probablement Rothschild, Soros, Saouds, Payseur, Windsor, Disney, Rockefeller, Schift, Kravis, Van der Bilt, Orsini, Famille du Pont de Nemours, Morgan, ou/et Bush cumulant possiblement ensemble secrètement 500 000 milliards de dollars en or ou diamant dans des paradis fiscaux souvent occidentaux qui servent le pervers messianisme juif, les financements publics US et UE pour soutenir Israël et l'Ukraine dans leurs guerres, le mondialisme oligarchique et la moisson maximale d'âmes pour l'Enfer (pourquoi pas par le feu nucléaire synonyme d'énorme moisson vu l'impiété généralisée, en plus dans le sens d'épreuve principale pour l'humanité, car à la fin des temps dont de la révélation, feu nucléaire qu'il faut donc tendre à empêcher très prioritairement par la géopolitique, la pacifisme, les manifestations et la prédication). En sachant que la société Vanguard qui appartient en grande partie à ces 13 familles n'est pas en bourse mais est actionnaire de BlackRock, et donc que personne ne peut racheter Vanguard. D'ailleurs il est très étonnant qu'aucun membre de ces 13 familles ne soient pas dans le magazine Forbes classant les personnes les plus riches du monde chaque année. Il faut noter que depuis que l'argent a été dématérialisé, ces familles parviennent beaucoup plus facilement à regrouper d'énormes richesses au niveau individuel, car elles n'ont plus besoin d’entrepôts géants pour les garder, mais cela fait que désormais ces richesses sont de plus en en plus basées sur la confiance, dont aussi donc par rapport à un système économique, financier et monétaire y étant lié. Or comme ces 13 familles sont très impies, il est très loin d'être sûr que le moment venu, leur grand sacrifice financier nécessaire pour faire réussir le grand plan du mal au maximum sera suffisant,
à moins qu'ils n'aient pas le choix par du chantage.
A ce sujet il est unanimement reconnu que la dette mondiale actuelle est de 250 000 voire 300 000 milliards de dollars, et que de tout cet endettement mondial, les créances dues à des pays dits riches comme 45 milliards d'euros pour la France ne peuvent même pas en être déduites, car cela ne changerait presque rien par rapport à leur dette puisque la France est endettée à plus de 2 000 milliards de dollars.
Pourtant « Les 300 000 milliards de dettes que nous portons (au niveau mondial) ne sont qu’une fiction dont l’immense majorité n’est jamais que de l’intérêt composé. L’engrenage dans lequel nous sommes pris pourrait nous amener à préférer sacrifier 300 millions de vies humaines plutôt que 300 000 milliards de dollars de dettes dans le monde. Car selon la FEMA, l’agence fédérale qui gère les catastrophes naturelles aux États-Unis, la vie d'un américain vie vaut 7,5 millions de dollars. En Russie elle ne dépasse pas 2 millions. Elle vaut 3 millions d’euros en France et un million en moyenne mondiale. Sur l’échelle du grand marchandage humain, notre temps dévolu sur cette terre nous rapproche davantage d’un Moujik (paysan russe) que de l’oncle Sam et 300 billions de dettes seraient équivalentes à 300 millions de ces vies humaines à un million de dollar. Les 300 000 pertes estimées du conflit ukrainien équivaudraient donc statistiquement autour 450 milliards de dollars. Ne croyez pas que cela ne compte pas dans l’engagement des troupes : aussi dégueulasse que cela soit, il est infiniment moins coûteux de perdre un soldat ukrainien que français ou américain.
Nous retrouvons ici la grande question économique de la richesse : Vient-elle de la terre (et des ressources du sous-sol) comme avançaient déjà les physiocrates ou des hommes comme le pensaient les mercantilistes, déjà au XVIIIe siècle ? Combien d’hommes vaut l’Ukraine ? Combien d’homme serait-il économiquement rationnel — mais certainement pas raisonnable — de sacrifier pour l’accès aux terres ukrainiennes ? Nous avons avancé grossièrement 450 milliards pour les 300 000 décès et blessés de la guerre jusqu’ici. Ce chiffre sordide est à comparer aux 700 milliards estimés pour reconstruire l’Ukraine. Ces 700 milliards ne sont pas tant un coût matériel en plus du coût humain qu’une richesse à prélever sur le pays par le vainqueur grâce à la magie du crédit et des contrats de reconstruction. Ainsi pourrions-nous entrevoir la fin de cette guerre d’ici quelques mois avec le renversement de cette équation macabre et donc une sorte de paix blanche à la coréenne où chacun sauve son investissement de chair et d’os si nous nous en tenons aux équilibres économiques et financiers. Attention, je ne suppose pas qu’il existe des gens dans d’obscurs bureaux qui tiennent cette comptabilité mais dans la société capitaliste qui est la nôtre, dirigée par le capital, c’est-à-dire le fric, c’est lui qui emporte la décision en dernière analyse, non pas de manière concertée mais mécanique, systémique. Nous nous confrontons ici à un problème : Cette guerre n’est pas tant celle de la Russie contre l’Ukraine mais de la Chine contre les États-Unis (il me semble l’avoir déjà souligné au mois de mars 2022) et jusqu’ici le vainqueur véritable ne sera pas celui qui paie le prix du sang. Nous retrouvons ici cette dérive financière de la dissociation du risque et du gain : Je ne parle pas de contamination et de métastase du cancer financier en vain.
Ce que nous observons aujourd’hui, c’est le veau d’or, la monnaie en tant qu’idole qui, au lieu de libérer les échanges, apporter l’abondance et la paix, apporte la guerre et la disette, asservit nos vies, pire les sacrifie dans une sorte de mécanisme primitif. Ce ne sont pas tant les crises qui décident des guerres que notre refus de ces crises ou plutôt des liquidations qu’elles exigent face aux dérives monétaires du crédit et des dettes. À défaut de traiter notre cancer monétaire et d’amputer la tumeur de la dette, celle-ci fait des métastases dans les sphères économiques, sociales, politiques et militaires donc. Il n’est plus vraiment question de diplomatie ou plutôt nous sommes dans la diplomatie du billet vert. La guerre moderne est la continuation de la dette par d’autres moyens. Il existe de très nombreuses manières d’estimer la valeur de la vie :
-calculer les besoins d’une personne pour vivre dignement : Se loger, se nourrir, s’habiller, se chauffer, se déplacer, se soigner
-calculer les richesses monétaires et — plus difficilement — non monétaires créées par chaque vie
-calculer le PIB par habitant et le multiplier par l’espérance de vie ce qui nous donne une sorte de valeur intérieure brute de la vie.
Or la valeur économique, productive, d’une vie avoisine un million de dollars.
Bruno Bertez a fait suivre récemment une analyse russe selon laquelle la guerre d’Ukraine affaiblirait considérablement les États-Unis par le renchérissement des matières premières entraînant l’inflation et faisant peser un poids insupportable sur le système monétaire américain. L’ours russe a tendance ici à vendre la peau du grizzli américain avant de l’avoir tué et les Américains font généralement preuve d’une adaptabilité déconcertante dans ce genre de situation et il s’agit de se demander si l’hypersexualisation de la société américaine a fini d’user ce caractère remarquable. Les Russes ont en tout cas parfaitement compris que la prédation américaine des ressources du globe sert la protection du billet vert et la capacité à imprimer sans fin des dollars et ils attaquent indirectement l’Amérique sur son maillon faible : La guerre d’Ukraine n’a jamais été un expansionnisme local. Nous avons vu que la valeur statistique d’une vie humaine peut-être calculée sous l’angle de la production ou de sa consommation de richesses. Si un Ukrainien, peuple martyre, produit beaucoup plus de richesses qu’il n’en consomme… Chez nous, la tendance est inverse. Je ne vous apprendrai rien en notant qu’en Occident nous consommons statistiquement bien plus que la (faible) part de richesse qui est attribuée à notre travail. Pour le dire crûment, il devient rationnel (mais toujours pas raisonnable) pour une cleptocratie de détruire des vies quand celles-ci coûtent davantage qu’elles ne produisent ou plutôt qu’elles coûtent davantage que l’on veut bien accorder à leur travail. Depuis 2009 l’Occident a produit 5 fois plus de crédits, de dettes que de richesses, 5 fois plus de promesses que de capacité à les honorer. Comme j’ai pu l’analyser par ailleurs, cette débauche de capital a fait pression à la baisse sur les salaires réels comme elle a favorisé un comportement prédateur dans les relations internationales (dont aussi à cause de l'immigration massive organisée, de l'ultra-libéralisme et de la centralisation économique internationale à outrance). Nos économies ne créant plus assez de croissance pour répondre aux attentes du capital, du travail et des partenaires internationaux, le grand capital qui est roi en système capitaliste, a vampirisé le travail et l’étranger (aux bas salaires et aux faibles coûts de production). Entre autres dysfonctionnements cela a créé un cercle vicieux, la moindre attractivité du travail plombant encore davantage les perspectives de croissance ravivant la prédation et ainsi de suite. Nous devrions nous rendre compte que dans le système actuel nous ne sommes plus tant des « agents économiques » qui participent à créer la richesse commune que des ayants droit de cette même richesse déjà disparue par la magie de la monnaie et dont les revendications insolvables deviennent gênantes. Bien sûr nous pourrions corriger cette dérive, accepter notre faillite, prendre nos pertes, retrousser nos manches et corriger nos excès capitalistiques et financiers, (c'est à dire que la grand capital arrête sa prédation à outrance, que les populations riches diminuent leur consommation, que les ba salaires augmentent et que les populations pauvres laxistes améliorent leur hygiène de vie). La haute bourgeoisie d’affaire atlantiste pourrait également vouloir que rien ne change et continuer à sacrifier sa population et ses « partenaires » étrangers plutôt que d’accepter la ruine dont elle est responsable. Consciemment ou non, ces gens pourraient bien préférer sacrifier 300 millions de vies dans le monde que 300 000 milliards des dettes du même monde qui finiront malgré tout dans les poubelles de l’hyperinflation. Chaque euro de dette pourrait se régler en livre de chair. Chaque euro de dette, chaque dollar, que nous refuserons de régler ou d’annuler se réglera en livre de chair. À bon entendeur et à votre bonne fortune, » (Extraits de l'article « La guerre est la continuation de la DETTE par d’autres moyens » de Guy de la Fortelle)
Ainsi cette dette de 250 000 milliards à 300 000est bien détenue quelque part et constitue donc un gros levier de chantage pour contrôler des nations (et il n'y a que la coopération de ces dernières qui pourraient les rendre libres), surtout quand on sait que seulement 100 milliards de prêt à un pays relance les investissements dans son territoire, et qu'en enlevant les USA et la Chine du PIB mondial, la moyenne mondial d'un PIB est de 256 milliards de dollars. De plus la personne la plus riche du monde détient environ 150 milliards de dollars et cela descend vite à moins de dix milliards pour les cents premiers, ce qui correspond environ à 2 000 milliards. Et le plus gros fond d'investissement « Black Rock » gère environ 6000 milliards de dollars, Goldman Sachs gère environ 1500 milliards, puis les 100 plus grandes banques d'investissement gèrent probablement en moyenne 500 milliards, mais leur enrichissement n'est donc en plus pas lié seulement à l'usure. (En effet en les liant au taux du Libor et aux banques internationales, il a été calculé que les transactions commerciales sur un an au niveau mondial sont d'un montant de 300 000 milliards d'euros, ce qui est considéré en finance comme le chiffre le plus important du monde, dont en étant dix fois supérieur à la dette américaine.) En cumulant le tout, on arrive à peine à environ 60 000 milliards. Donc il reste presque 200 000 milliards de dette au niveau mondial qui se trouvent bien quelque part, en sachant que la famille Rothschild représente seulement la partie immergée de l'iceberg qu'est l'organisation MegaGroupe regroupant les familles sionistes les plus riches des Etats-Unis et qui pourrait donc représenter encore plus d'argent et permettre un chantage pour l'agranduissement d'Israël. Surtout qu'en prêtant chaque mois à des États ne parvenant étrangement qu'à payer seulement les intérêts de la dette, ces types de très riche famille sioniste ou de grande société privée mondialiste perçoivent des intérêts énormes les enrichissant toujours plus. Ce qui leur permet d'influencer toujours plus voire totalement une grande partie de l'économie et donc de la politique du monde, même si elles semblent dépenser parfois beaucoup pour préserver ce système.
« Entendant que Londres est à la fois un centre financier en plein essor et la première destination pour les super riches du monde, tout le monde serait pardonné de supposer qu’il s’agit d’un bien sans faille pour l’économie britannique. Mais il y a de bonnes preuves que le centre financier de Londres est devenu un trou noir sur le reste de la Grande-Bretagne et son économie plus traditionnelle. Les réformateurs néolibéraux étaient de bonne sagesse que la croissance du secteur financier bénéficierait à d'autres secteurs de l'économie : non seulement il y avait plus d'argent fluctuant à la recherche de possibilités d'investissement, mais un secteur financier plus large signifie plus de connaissances circulant sur les marchés qu'il étudie, des marchés plus efficaces, et donc des investissements plus efficaces. Depuis le krach financier de 2008, on a beaucoup appris de ceux qui remettent en question cette hypothèse. Une étude réalisée en 2015 par la Banque des règlements internationaux a conclu que : La croissance du système financier d'un pays est un frein à la croissance de la productivité. En d'autres termes, une croissance plus forte du secteur financier réduit la croissance réelle. En d'autres termes, les booms financiers ne sont pas, en général, favorables à la croissance, probables parce que le secteur financier est en concurrence avec le reste de l'économie pour les ressources. La «Financialisation» a évincé les services manufacturiers et non financiers, évincé le gouvernement de personnel qualifié, les disparités régionales enracinées, favorisé la recherche de loyers financiers à grande échelle, une dépendance économique accrue, une inégalité accrue, a contribué à priver le droit de vote majoritaire et a exposé l'économie à des crises violentes. La Grande-Bretagne est soumise à la « capture du pays » avec l'économie limitée par la finance, et le politique et les médias sous son influence. En 2018, un trio d'économistes a tenté d'en mettre un certain nombre sur le coût de cette « malédiction financière ». Ils ont conclu qu'en seulement une période de 20 ans, de 1995 à 2015, une financiarisation excessive a coûté à l'économie britannique 4 500 milliards d'euros en croissance non réalisée. La déréglementation a également permis au Royaume-Uni de devenir un centre mondial de fraude financière. Un rapport de 2016 a estimé que la fraude financière coûte au Royaume-Uni 193 milliards d'euros par an, soit plus que l'ensemble du budget du Service national de santé. Margaret Hodge, l'ancienne directrice du Comité des comptes publics du Royaume-Uni, a désigné la Grande-Bretagne comme « le pays de choix pour chaque kleptocrat, escroc et despote dans le monde ». Dans un cas très médiatisé qui a démontré ce rôle que joue Londres, la ville était au centre d'un vaste programme de blanchiment d'argent russe où les initiés russes ont blanchi jusqu'à 80 milliards de dollars d'argent sale, la faisant passer par des sociétés fictives enregistrées à Londres. La City de Londres – le quartier financier semi-indépendant déréglementé de Londres – est également au centre de l’économie mondiale de la « banque parallèle », qui est maintenant estimée à la moitié des actifs mondiaux. La Grande-Bretagne a créé, depuis les années 1950, un écosystème financier profondément complexe qui utilise des juridictions britanniques déréglementées offshore comme les îles Cayman et Jersey, permettant aux super riches du monde de dissimuler leurs richesses et leurs activités commerciales de la fiscalité et de la réglementation. La déréglementation par le gouvernement britannique du « marché de l’Eurodollar » du commerce offshore – faite consciemment à une époque de déclin colonial britannique pour essayer de maintenir le pouvoir financier britannique – a permis à la City de Londres de devenir « le principal centre névralgique du système offshore mondial plus sombre qui cache et protège la richesse volée du monde ». La City de Londres bénéficie ainsi de priver le monde de centaines de milliards d'impôts perdus et de faciliter la fraude et la tromperie à grande échelle. En s'appuie sur la finance pour remplacer la croissance économique autrefois fournie par la production industrielle et l'innovation, la Grande-Bretagne a suivi le cours d'autres grands empires autrefois grands. Les anciens hégémons capitalistes comme Gênes et les Pays-Bas ont également encouragé la spéculation financière et ont essayé de construire leurs économies sur l'usure au fur et à mesure qu'elles se dégradent. Pour la Grande-Bretagne, cela a permis au pays de maintenir un niveau de puissance économique auquel ses citoyens étaient habitués, mais il s'agit d'une situation précaire. La transformation de la Grande-Bretagne en un État migratoire est allée de pair avec son adhésion au néolibéralisme. En 2010, le démographe David Coleman a produit une analyse qui prévoit que les Britanniques blancs deviennent minoritaires d'ici 2066. Étant donné que l'immigration s'est considérablement développée depuis lors, ce chiffre peut probablement être révisé à l'avance. Le statut de minorité est déjà une réalité quotidienne pour de nombreux Britanniques blancs, qui sont maintenant une minorité dans les grandes villes comme Manchester, Birmingham, Leicester et Londres - où les deux tiers des résidents de la capitale sont des minorités ethniques. L'élection des travaillistes face aux conservateurs en juillet 202 est la réponse aux décennies de trahison de leur base patriotique devenue une fatigue absolue pour le peuple. Et le consensus néolibéral Thatcher-Blair-Cameron qui gouverne la Grande-Bretagne depuis près d'un demi-siècle a maintenant fait passé le pays d'une nation fière et cohésive à une zone économique post-nationale, de plus en plus subordonnée au capital financier américain et dans un état de déclin terminal. » (Extraits de l'article « La grande trahison britannique » à l'adresse https://strategika.fr/2024/07/13/the-great-british-betrayal/)
« La crise de 2008 devait sonner le glas de notre système monétaire fondé sur la dette avec intérêts. La crise dite des subprimes, soit l’effondrement du château de cartes des crédits immobiliers américains, a provoqué à son tour l’effondrement d’un château de cartes bien plus grand : celui de la finance internationale... La finance n’est rien d’autre que le business de la dette. Cette dernière est sa matière première : la finance émet de la dette, puis la fait circuler, la fait rouler (soit le fait d’emprunter pour rembourser la dette précédente), la restructure, la titrise, etc. Mais comment la finance a-t-elle pu devenir à ce point hégémonique si celle-ci ne repose que sur de la dette ? La dette est un fardeau social porté par les individus. Un fardeau puissant devenu presque un outil d’aliénation. Celui qui ne paye pas ses dettes devient coupable d’une faute, il est excommunié de la société. La finance quant à elle – « la main du dessus » dans les contrats de prêts – a le droit de vie ou de mort sociale, tout autant sur les individus que sur les États qui font défaut à leurs engagements en ne s’acquittant pas de leur dette. Si par moment la dette est une solution de dernier recours pour des ménages qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts, le plus souvent elle répond à l’impatience des consommateurs qui sont pressés d’assouvir leurs envies matérielles. Il est aisé de pointer du doigt le financier, mais il faut reconnaître que la finance répond à une demande des impatients : celle d’accélérer le temps, d’assouvir des envies aujourd’hui plutôt que demain ! Mais comme tout service rendu, cette accélération du temps offerte par le financier a un coût humain : celui de perdre une partie de sa liberté (car un ménage endetté est continuellement emprisonné par l’idée de rembourser sa dette), mais aussi celui de sacrifier son temps pour travailler davantage afin de payer les intérêts (contraint dans certains cas d’exercer un métier qui ne lui plaît pas forcément, mais qui permet d’assurer le remboursement des mensualités). Ainsi, la dette permet au financier de faire commerce du temps : il amène à aujourd’hui le fruit de votre travail futur, tout en prenant sa part lorsque vous aurez fini de lui payer la somme empruntée et que vous continuerez à lui payer les intérêts ! La dette est une arme puissante entre les mains des financiers qui pourrait expliquer à elle seule pourquoi la finance a pris le dessus sur notre économie et sur notre société dans son ensemble. Comme si le pouvoir d’endetter son monde ne suffisait pas, la finance a pris au cours du temps le contrôle sur un outil tout aussi puissant pour asseoir son pouvoir, à savoir la monnaie, en profitant de la confiance que les individus portent en cette dernière. Au cours des siècles, la plus grande ingéniosité de la finance a été de faire de la monnaie la coquille de la dette. En effet, de nos jours, l’immense majorité de la monnaie est créée par les banques commerciales lors de l’octroi d’un crédit à un ménage ou à une entreprise, ou lors de l’achat de l’émission d’une dette d’État ou de multinationale. Ce pouvoir de création monétaire est immense. Lorsqu’un individu, une entreprise, un État, demande à s’endetter, il confère à la banque le pouvoir de créer la monnaie correspondante, dans la mesure où les emprunteurs sont capables de rembourser. La banque n’a guère besoin de posséder les sommes prêtées, il lui suffit d’en disposer une infime partie de côté, au cas où les choses se passeraient mal et où quelques emprunteurs feraient défaut. Pour comprendre à quel point la dette a « colonisé » notre monnaie, il suffit de se dire qu’aux billets et aux pièces près, la monnaie disparaîtrait si tous les endettés remboursaient en même temps toutes leurs dettes. Sachant que de nos jours, la majorité (plus de 90 %) de la monnaie est constituée de lignes de compte sur des registres informatisés logés dans les serveurs des banques, et que les pièces et les billets ne représentent qu’une petite partie de la monnaie, on se rend compte à quel point la dette a pris en otage la monnaie. Or, la monnaie est aussi un liant social. C’est une convention sociale puissante qui renferme en elle la confiance de chaque agent économique. Nous sommes prêts à vendre notre travail contre de la monnaie, car nous avons confiance en elle ; nous savons que cette monnaie est une convention sociale, qui conserve (plus ou moins bien) son pouvoir d’achat quand elle est dépensée au moment opportun. La finance a donc réussi à marier sa matière première, la dette, avec une convention sociale qui renferme notre confiance, la monnaie. Comment voulez-vous qu’elle ne soit pas puissante ? Après la crise de 2008 et l’effondrement annoncé du système-dette, les banques centrales ont décidé d’agir dans l’urgence pour repousser à plus tard l’effondrement du château de cartes. En effet, pour éviter « l’effet domino » (une faillite en entraînant une autre), système inhérent à la finance, les banques centrales ont créé de la monnaie à partir de rien, en appuyant sur un clavier d’ordinateur, pour inonder les marchés financiers de nouvelles liquidités, et ce par un mécanisme complexe : l’achat de titres de dettes d’états et de multinationales sur le marché secondaire. Jouant auparavant le rôle d’arbitre au-dessus de la mêlée des marchés, les banques centrales sont devenues de « vulgaires acteurs financiers ». La monnaie centrale était créée, puis échangée contre des dettes. Ce qui revient dans l’Ancien Monde à transformer du plomb (les dettes d’États et de multinationales) en or (la monnaie centrale). Avec les taux négatifs très répandus jusqu’en 2021, les banques centrales donnaient paradoxalement plus de valeur au plomb qu’à l’or. Cela aurait dû sonner comme un « red flag » (drapeau rouge) sur les dérives des politiques monétaires des banques centrales occidentales. Ces dysfonctionnements monétaires, nommés officiellement « politiques monétaires non conventionnelles », ont été permis grâce à une expansion monétaire historique : les bilans des banques centrales entre 2008 et 2022 ont été multipliés par 7, avec une accélération soutenue de la création monétaire au moment de la crise sanitaire. Cette création monétaire des banques centrales, initiée après la crise des subprimes, a permis lors de son instauration de limiter les pertes des banques, puis de les éponger. Les bilans des banques commerciales ont agi comme un trou noir assoiffé de liquidités nouvelles, consommant toute la monnaie créée, laissant presque supposer que la monnaie était « magique ». Étant donné la facilité déconcertante avec laquelle les marchés financiers ont consommé la monnaie de banque centrale, sans provoquer d’inflation dans l’économie dite réelle, les banquiers centraux ont continué de verser les milliards sur les marchés financiers jusqu’à créer des bulles en tout genre sur les actifs financiers. Bien entendu, la première bulle financière a été créée sur le marché de la dette. Cette bulle obligataire confirme l’effet décrit par Cantillon (économiste irlandais du XVIIIe siècle) : la monnaie créée engendre d’abord une hausse des prix là où elle est injectée. Mais comme le stipule la théorie émise par Cantillon, « une injection de monnaie dans l’économie exerce un effet progressif et différencié sur les prix au fur et à mesure que la monnaie se propage par les échanges, à partir du point où elle a été injectée ». Les marchés actions et le marché de l’immobilier ont très rapidement suivi le pas des marchés obligataires. Jusqu’en 2020, la monnaie créée par les banques centrales a engendré une inflation des prix à la consommation très modeste, puisque jusque-là, cette même monnaie est restée enfermée dans la sphère financière, créant ainsi des bulles et des inégalités de richesse de plus en plus criantes. L’austérité budgétaire et la pression sur les salaires ont aussi permis de limiter l’inflation des prix à la consommation, et de « justifier » la politique de création monétaire des banques centrales. Tant que la montagne de monnaie n’était pas captée par les radars des indices qui calculent l’inflation du panier de la ménagère, les banques pouvaient s’en donner à cœur joie pour nourrir le monstre insatiable que représente la finance. On pourrait dire que tant que l’inflation enrichissait Wall Street (la finance et ses initiés) sans impacter Main Street (l’économie réelle), les banques centrales pouvaient continuer la création de monnaie « magique ». Le Covid, le grain de sable dans le système ? Tout se passait bien pour la finance et les banques centrales : des marchés financiers en lévitation malgré une croissance en berne et une inflation des prix à la consommation modérée. Mais un élément imprévu, le Covid-19, vint contester ce déroulement monétaire presque idyllique. Cette fois, le réel s’est mêlé au monde virtuel de la finance : l’économie s’est mise à l’arrêt, les chaînes de production et d’approvisionnements se sont rompues ; en même temps, les États accéléraient leur endettement pour garantir les emprunts des entreprises en difficulté et pour subventionner les ménages et les entreprises. Ralentissement économique couplé à une hausse vertigineuse de la création monétaire : c’est un vrai coup de ciseaux ! Jamais les spéculateurs n’ont eu entre leurs mains autant de liquidités pour jouer sur la hausse des matières premières et parier sur la hausse des cours, pariant sur une reprise économique soutenue post-confinements. Quant à ceux qui ont réellement une utilité à acheter les matières premières, jamais il n’a coûté si peu financièrement de « prendre de l’avance sur le temps » en constituant des stocks grâce à un endettement peu coûteux, voir gratuit jusqu’au début de l’année 2022. La montagne de liquidités monétaires disponible, à laquelle il faut ajouter les dysfonctionnements des chaînes de production et des chaînes d’approvisionnements, a provoqué une hausse des cours des matières premières quasi hystérique durant l’année 2021 (bien avant la guerre en Ukraine). Comme le résumait si finement l’homme politique et écrivain Jean Mistler : « Il y a inflation quand la monnaie devient plus encombrante que les denrées ». L’inflation finit par toucher les consommateurs Depuis l’automne 2021, l’inflation ne touche plus seulement les actifs purement financiers et immobiliers, ou les marchés des matières premières, mais aussi l’économie réelle. Nous sommes véritablement passés d’une « Wall-Street-Inflation » à une « Main-Street-Inflation ». Même si les causes de l’inflation ne trouvent pas uniquement leurs origines dans un phénomène monétaire, croire que la montagne de monnaie créée par les banques centrales allait rester hermétiquement dans le monde de la finance sans se frayer un chemin vers l’économie réelle est une pure illusion, que de nombreux économistes continuent de penser. Ne serait-ce que le financement de la dépense publique ou l’offre de liquidités offerte avec insistance aux spéculateurs sur les matières premières, la montagne de monnaie créée par les banques centrales a joué un rôle dans la hausse des prix à la production et à la consommation. Seuls des universitaires de salon peuvent continuer de le nier. Aucun trader n’ayant les mains dans le cambouis n’ose dire que l’inflation des prix des matières premières n’a pas été facilitée par les banques centrales. De même, seuls des keynésiens aveuglés par leur monde théorique peuvent penser qu’une accélération de la dépense publique ne génère pas d’inflation, même s’ils savent pertinemment que cette dépense publique n’a pas servi l’investissement stratégique source de richesse, mais a servi au sauvetage du monde financier et à subventionner une économie réelle à l’arrêt. Avec une inflation à deux chiffres dans certains pays de l’Union Européenne, ce sont les déposants qui se font spolier le fruit de leur travail passé. De même, avec des salaires qui n’augmentent pas au même rythme que l’inflation, ce sont les travailleurs qui se font sucrer une partie de leur pouvoir d’achat, ou ce qui revient au même, une partie de leur temps de travail. De plus en plus d’anciens gouverneurs de banques centrales font aujourd’hui le constat amer de la fuite en avant monétaire des banques centrales occidentales. Avant eux, la Directrice du Fonds Monétaire International, Kristalina Georgieva, a fustigé les politiques monétaires accommodantes de la dernière décennie, lors d’un débat avec Christine Lagarde (Présidente de la BCE) et Jérôme Powell (Président de la FED). Selon elle, « Nous prenons des décisions avec un objectif en tête (sauver l’économie), et nous réfléchissons rarement à ce qui pourrait arriver qui ne soit pas notre objectif (inflation) ». Lors de ce débat, la directrice du FMI expliquait l’inflation par « trop de monnaie en circulation pour pas assez de biens ». Elle comparait les dirigeants des grandes instances monétaires à « des enfants de 8 ans qui jouent au football et qui ne peuvent se concentrer que sur le ballon sans faire attention à quoi que ce soit d’autre ». Ces dirigeants sont pris par les urgences de l’instant présent, et n’ont que la création monétaire comme réponse à donner, sans réfléchir au long terme, et à la fuite sans issue du système-dette. De son côté, Jacques de Larosière, ancien directeur du Trésor et du FMI, et ancien gouverneur de la Banque de France, ne mâche pas ses mots : « En réalité, derrière cette poussée d’inflation et ces phénomènes d’offre sur les matières premières, il y a une création monétaire qui a été excessive, et qui s’est petit à petit propagée dans le corps économique et social. C’est cet excès de création monétaire qui finit par nous rattraper avec l’inflation. » L’ex-gouverneur de la Banque de France précise bien qu’il fustige « l’excès » de création monétaire, à savoir le surplus de création monétaire qui ne correspond à aucune création de valeur réelle, mais qui sert juste la finance, la spéculation, la dépense publique stérile (en termes de croissance économique). Il finit par résumer les effets pervers des politiques monétaires accommodantes : « L’inflation est néfaste, car cela tue l’économie, cela tue les revenus réels, cela appauvrit les populations, en particulier les moins riches, et donc c’est une taxe qui ne dit pas son nom, qui n’est pas votée par le Parlement, et qui finit par être régressive du point de vue social. » Quelques jours après, ce fut au tour de Lord Mervyn King, ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, de fustiger les politiques expansionnistes des banques centrales occidentales, dans une émission sur la chaîne britannique BBC. Il déclarait ainsi : « Toutes les banques centrales occidentales ont curieusement fait la même erreur. Pendant le Covid, alors que l’économie se contractait à cause du confinement, les banques centrales ont décidé que c’était le bon moment pour imprimer beaucoup de monnaie. C’était une erreur qui a conduit à l’inflation. Il y avait trop de monnaie pour trop peu de biens, et la conséquence a été l’inflation. C’était prévisible. C’était prédit. Et c’est arrivé. » L’inflation des prix à la consommation fait perdre du pouvoir d’achat aux ménages. Avec une monnaie qui perd de sa valeur, les citoyens perdent confiance en la monnaie. Elle n’est plus une réserve de valeur qui garde presque hermétiquement le fruit du travail passé. Or, nous avons vu que cette confiance est un des deux piliers de la finance et du système-dette. Les garants du pouvoir financier ne peuvent pas laisser filer cette confiance des citoyens dans la monnaie ! S’ils font cette erreur, ils savent pertinemment qu’ils laissent filer le levier qu’il leur confère un pouvoir presque infini sur les peuples et leurs gouvernants. Dans ce contexte, les banquiers centraux ont décidé – depuis le début de l’année 2022 – d’agir en urgence et de restaurer cette confiance en remontant agressivement les taux d’intérêt, et en réduisant drastiquement la création de nouvelle monnaie centrale. Cette hausse des taux, couplée à un ralentissement de la création monétaire (qui sert à racheter les dettes publiques et les dettes des multinationales) a pour objectif de rendre la monnaie « plus chère » et « plus rare ». Ainsi, s’il y a moins de monnaie en circulation, alors la demande sera plus faible, et la pression à la hausse sur les prix est censée ralentir dans un moindre degré. Un des objectifs annoncés du Président de la FED est ainsi de provoquer une récession « maîtrisée » en créant du chômage : « Nous pensons que pour faire baisser l’inflation, il faudra un ralentissement du marché du travail et une croissance sous le potentiel (…). Nous avons besoin d’une augmentation du chômage, d’un ralentissement du marché. » Créer du chômage peut sembler cynique comme décision pour le quidam, surtout si on sait combien les banques ont été accommodantes pour sauver les marchés financiers depuis 2008. Mais c’est ainsi que fonctionne la logique du système-dette. La morale n’y a pas sa place, le bien être des ménages n’est pas une variable prise en compte dans ce système. Dans l’esprit des banquiers centraux, il faut restaurer la confiance dans la monnaie, quoiqu’il en coûte. Rien ne semble les arrêter, pas même une récession économique qui est en réalité leur objectif annoncé. Mais une récession gentille nous disent-ils, « un atterrissage en douceur » de l’économie. Le cynisme est à son comble quand on sait que les banques centrales veulent créer une récession qui va surtout toucher les plus modestes, pour rectifier les excès de leurs politiques monétaires passées qui ont surtout permis aux plus riches de gonfler indécemment leurs patrimoines ! Depuis les annonces d’un resserrement monétaire, les marchés financiers ont commencé leur baisse. Leurs capitalisations se sont réduites de presque 20 % : un record historique. Il en résulte une situation inédite : une montagne de dette publique et privée. En prenant exemple sur la politique de Paul Volcker dans les années 1980 (ex-président de la FED qui fit le choix de remonter les taux d’intérêt à 18 % face à l’inflation), les gouverneurs de banques centrales actuelles savent-ils que l’endettement public et privé rapporté à la richesse créée annuellement a plus que doublé entre-temps ? Avec la remontée historique des taux initiée depuis février 2022 par les institutions monétaires, la charge de la dette pour les États, les entreprises, et les ménages risque de devenir insoutenable. Ainsi, en France, la charge de la dette pour 2023 dépassera les 60 milliards d’euros, soit autant que le budget de l’Éducation nationale. Aux États-Unis, la charge de la dette avoisine maintenant les 800 milliards de dollars, soit autant que le budget militaire du « gendarme du monde ». De toute évidence, les banques centrales seront face à un choix cornélien : laisser les faillites se produire et provoquer une purge financière qui sera suivie d’une récession économique sans précédent et d’un chaos social, ou essayer de gagner encore un peu de temps en baissant les taux et en rouvrant les vannes de la monnaie magique, quitte à provoquer toujours plus d’inflation et à tuer toute confiance résiduelle en la monnaie, ce qui signifiera la faillite de la monnaie-dette et des banques centrales. Les ménages en détresse et les dirigeants politiques préféreront probablement gagner du temps et mourir à petit feu, plutôt que d’accepter une récession économique qui est inscrite dans la logique même de la monnaie-dette (génératrice de cycles du fait du caractère exponentiel des intérêts). Mais ce sont les marchés qui risquent encore une fois d’obliger les banques centrales à intervenir grâce au fameux « too big to fail » (trop gros pour faire faillite). En effet, le système-dette est un système qui se nourrit de lui-même. Les dettes sont consenties en contrepartie d’une garantie, un collatéral : une maison, une action, un titre de dette. Plus le prix de ce collatéral augmente, et plus la capacité d’endettement est grande, et plus les prix des actifs augmentent. Si le prix de ce collatéral baisse comme c’est le cas en ce moment, en 2022, avec la baisse récente de 20 % des marchés financiers, les garanties ne sont plus suffisantes. Devant ce scénario, soit les emprunteurs apportent des liquidités, soit ils sont contraints de vendre leurs actifs financiers. Mais comme la monnaie se fait de plus en plus rare du fait des politiques monétaires des banques centrales, les agents financiers sont dans l’obligation de vendre leurs actifs, ce qui accélère encore plus la baisse des marchés, générant une sorte de spirale infernale. Si les marchés baissent violemment, c’est tout le système-dette qui risque de s’effondrer sur lui-même. Une situation explosive que les banquiers centraux devront gérer en intervenant, comme ce fut le cas à la suite de la crise de 2008. Si les banques centrales interviennent, la situation étant bien plus explosive qu’en 2008, la quantité de monnaie nécessaire pour sauver la finance risque d’être cette fois gigantesque. Lorsque cette montagne de monnaie finira par se frayer un chemin des marchés financiers vers l’économie réelle (ce n’est qu’une histoire de temps), et inévitablement dépasser la quantité nécessaire pour l’économie réelle, elle risque de provoquer une inflation d’une telle ampleur que plus personne n’aura confiance dans la monnaie-dette. Les banques centrales le savent, et depuis quelques années, elles s’activent en coulisses pour avoir un plan B. Ce plan est l’instauration d’une monnaie numérique de banque centrale... » (Article « « La finance n’est rien d’autre que le business de la dette » d'Anice Lajnef »)