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L) Suite 12 (1)

C'est à dire que certains spécialistes arabes et mondiaux affirment que le complexe militaro-industriel des États-Unis a manipulé le groupe Al-Qaïda pour le lier de près ou de loin aux terribles attentats du World Trade Center afin donc de pourvoir envahir divers pays musulmans pour contenir la Russie, l’Inde et la Chine, et bien sûr afin de contrôler une partie des voies d'approvisionnements en hydrocarbures entre le Proche-Orient et l'Asie, de voler leur pétrole et de vendre toujours plus d'armes. Cela fut d'autant plus possible sans l'opposition véritable de ces grandes puissances concurrentes. Mais suite au renouveau économique et militaire de la Russie puis aux nombreuses prises de territoire de la Syrie en 2015 par Daech synonyme de danger terroriste pour la Russie et de possible future annexion israélienne jusqu'au Grand Israël impie, cela prit en partie fin, surtout aussi avec la guerre en Ukraine. En effet ce temps d'attente par la Russie lui permit de finaliser certaines armes modernes comme ses DCA S-400/500, ses boucliers électromagnétiques, ses missiles hypersoniques et ses missiles pouvant détruire des satellites. Mais cela lui permit aussi essentiellement d'être assez forte économiquement pour tenir le coût de la guerre en Syrie puis d'affronter les sanctions actuelles liées à son intervention en Ukraine, et donc également la course aux armements, à leur livraison et à leur utilisation dans cette guerre face à l'union militaire de plusieurs pays qu'est l'Otan.Il faut noter que la course aux armements appauvrit les peuples et donc l'humanité, et qu'elle est à nouveau recherchée par les USA pour appauvrir la Russie comme contre l'URSS en 1980. Or suite à l'invention de la bombe atomique, la course aux armements sert en réalité seulement pour la défense, l'influence ou l'extension impériales, sous risque donc de s'effondrer économiquement, à moins de parvenir à vendre le surplus. De plus à la différence de la Syrie et de l'Ukraine, il faut comprendre que la Libye n’appartenait pas à Sa sphère de sécurité ni d'influence, comme le Proche-Orient n'appartient pas à la sphère de sécurité ni d'influence de la Chine ou de l'Inde, même si il le devient de plus en plus car c'est un centre mondial de pressions internationales.
Ainsi comme la Russie aurait pu continuer à être encerclée par des fortifications, des aérodromes et des garnisons de l’OTAN en Ukraine normalement neutre, qui auraient travaillé à sa dégradation interne, elle a logiquement décidé sa démilitarisation, surtout qu'une attaque militaire contre les russophones du Donbass se préparait. Car les Américains ne veulent pas d’une guerre mondiale, ils pensent vaincre la Russie par la pression et la menace, dont car elle est le dernier pilier chrétien, militaire et énergétique fasse à l'empire américano-sioniste et au catholicisme institutionnel devenant une hérésie. Un discours du président Poutine évoque d'ailleurs que l'Occident détruit délibérément les normes morales et l'institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles, a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles (dont le dernier en Europe), et a une population partageant dans une grande majorité ce choix de même que la grande majorité des peuples du monde.
Dans ce sens d'obligation chronologique, le début de la guerre en Ukraine organisée par les occidentaux, pour participer au grand reset ou espérer l'effondrement de la Russie, devait attendre le formatage des peuples occidentaux par la crise du covid, qui devait attendre les outils le rendant possible comme le smartphones répandus et le QR code. Selon Orwell, la guerre ne détruit pas l’adversaire, elle détruit les surplus et elle renforce le pouvoir de l’élite sur la masse affamée et abrutie, comme deux des sournois sens cachés du grand reset.
Or comme selon le plan divin la souveraineté russe est divinement d'abord basée sur la vente de gaz, cela a donc heureusement permis à la Russie de freiner l'apparition du grand Israël interdit par Dieu et à de combattre cette innovation malfaisante gravement erronée qu'est l'islamisme politique destructeur et meurtrier de masse, qui devrait d'ailleurs s'appeler simplement terrorisme plutôt que terrorisme islamique, comme on ne fait pas d'amalgame avec les autres religions et les idéologies politiques même quand elles sont terroristes. Il faut noter que comme par son intervention en Syrie, la Russie a donc aussi sauvé la Syrie, mais qu'en plus elle protège l'Iran, a autorisé la Corée du Nord à avoir la bombe atomique et supporte la Chine dont en ayant pris de front l'occident dominateur belliqueux, ces nations ne peuvent que soutenir la Russie en Ukraine.
Ainsi, nous assistons probablement à la fin de l'espoir des mondialistes de démembrer la Russie puis de dominer la Chine, malgré les difficultés des décennies précédentes. Pour le comprendre, nous devons rembobiner jusqu’en 1998, il y a 24 ans : l’économie russe était en ruine, la première guerre contre la Tchétchènie était pour l’essentiel perdue et l’Occident était occupé à piller ce qui restait de l’économie soviétique. Les sentiments séparatistes étaient même légion et le pays aurait pu s’effondrer à tout moment, réalisant ainsi le vieux rêve occidental de rayer la Russie de la carte politique. Mais l’Occident ne pouvait pas attendre et a décidé de donner un coup de grâce à la Russie en déclenchant la deuxième guerre de Tchétchénie. Et là, quelque chose a mal tourné : au lieu de l’ivrogne président Eltsine, Poutine est arrivé au pouvoir et a gagné la deuxième guerre de Tchétchénie. L’apparition de Poutine sur la scène mondiale a été une surprise totale pour l’État profond occidental, qui a alors réalisé qu’il avait besoin d’un tout nouveau plan pour détruire la Russie à coup sûr cette fois. L’objectif principal de ce nouveau plan était encore la poursuite de la domination mondiale des États-Unis, mais désormais suite au démembrement, à la dévoration et à l’engloutissement réels de leur principal adversaire géopolitique qu'est la Russie pour ensuite en finir avec la Chine. La Russie devait être contenue simultanément à l’ouest via l’Ukraine, au sud-ouest via la Syrie puis le Caucase et au sud via l’Afghanistan. Le commerce du pétrole et du gaz naturel de la Russie devait être perturbé, ses liens économiques avec l’économie mondiale rompus et sa politique perturbée par des manifestations internes.
Cette cette déstabilisation états-unienne du proche orient espère aussi au bout du compte une guerre permanente entre sunnite et chiite similaire à celle sans fin contre le terrorisme, puisque permettant aussi leur honteuses ventes d'armes indéfiniment puis donc leur exploitation des ressources des pays dans le chaos comme en Afghanistan, Irak, Libye et Syrie :
Twaban (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Peu s'en faut que les nations ne se liguent contre vous à la manière de mangeurs se conviant à manger du même plat (pétrole et gaz du Moyen-Orient et Maghreb, comme donc le prouvent les guerre en Irak, Libye, Syrie, Yémen et Palestine). » L'un des compagnons demanda : « Serons-nous en minorité ce jour-là, ô Envoyé de Dieu ? » « Non, vous serez nombreux, mais (sans plus de valeur) que l'écume charriée par un torrent (car divisés), et Dieu ôtera du coeur de vos ennemis la crainte que vous leur inspiriez et Il mettra de la faiblesse dans les vôtres », répondit le Prophète (SBDSL). Un autre demanda : « De quelle nature sera cette faiblesse ? » « L'amour de ce monde et la crainte de la mort (vous faisant oublier la défense des faibles et de la morale) », finit le Prophète (SBDSL).
C'est également dans ce sens que le pouvoir profond occidental lié à divers lobbies pervers et certains de leurs services spéciaux comme la CIA organisent divers foyers de tensions dans le monde. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que le complexe militaro-industriel, wall street et le judéo-protestantisme soient les composants principaux de l'Etat profond américain et du désordre international.
Ce démoniaque pouvoir profond très nocif de l'occident souhaite donc aussi la destruction de l'islam, du catholicisme et du christianisme orthodoxe, car ces religions sont en opposition au laïcisme hyper consommateur de leur capitalisme libéral libertaire enrichissant seulement les très riches en particulier par l'usure. De plus cet internationaliste pouvoir oligarchique pervers cherche la maîtrise de divers territoires dont certains donc pour agrandir leur principale colonie qu'est Israël, devenu par rapport au monde leur capitale ou Etat leader, puisque permettant par la pseudo suprématie victimaire des juifs liée à la shoah de prétexter honteusement la belliqueuse et dominatrice politique internationale des américano-sionistes mondialistes, dans une forme donc d'instrumentalisation claire de cette shoah.
Afin d'amplifier cette orientation aux pays occidentaux lors des dernières décennies, diverses autorisations législatives furent données pour la création de chaînes d'informations privées partisanes, des groupes de réflexion ultra-libéraux subventionnés par les très riches leur permettant en plus de payer moins d'impôts apparurent, et des groupes de discussions avec des citoyens représentant la population furent organisés dont afin de plus facilement manipuler le peuple à accepter par exemple la guerre en Irak et en Syrie ou la Russophobie. Surtout que des sociétés privées type « behavioral insigts team (l'équipe d'analyse comportementale) » étudient la psychologie humaine pour modifier le comportement de la population, en particulier à travers les enfants, dont pour faire croire que l'autorité a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant être raccourci par une révolution comme il a déjà été vu. De plus avec les récentes découvertes scientifiques, les lois de plus en plus perverses amenant bientôt à valider la sélection des gênes pour le fœtus, la GPA et les utérus artificiels (mauvais pour les fœtus puisque perdant environ six mois d'éducation liée aux sensations, émotions, réactions, actions, langage et vie de la maman et de la famille mais aussi certaines vibrations du monde) voire les clonages, les élites mondialistes corrompues pourront créer des armées de serviteurs sous prétexte d'adoption, voire créer des êtres humains supérieurs qui n'hésiteront pas à faire disparaître les anciennes générations plus faibles.
Tout cela confirme donc encore la nécessité urgente du retour d'un Califat bien guidé à travers l'union de tous les pays musulmans pour qu'il participe à l'assagissement du monde, surtout que défendant la religieuse loi naturelle, propageant la justice, combattant l'impiété de l'extrémisme et s'étendant sur des zones très riches en hydrocarbures et très stratégiques géopolitiquement dont vis à vis du commerce international et des nouvelles routes de la soie.
Surtout que selon l'analyste géopolitique français Bruno Guigue, le terrorisme ne s’est jamais aussi bien porté depuis que les USA prétendent le combattre, et les États souverains qui affrontent ce terrorisme pour de vrai (aujourd’hui comme hier) figuraient depuis longtemps sur la liste noire des faucons du Pentagone. Afghanistan envahi, Irak laminé, Libye pulvérisée, Soudan tronçonné, Syrie agressée, Iran sanctionné, Yémen affamé : la guerre contre la terreur est l’alibi d’une destruction méthodique des structures étatiques du « grand Moyen-Orient », pour reprendre l’expression de Michel Raimbaud. Selon Thierry Meyssan, le scénario US de la guerre entre l'Irak et le Koweït a d'abord permis d'appuyer la domination des USA au Moyen-Orient, puisque ayant finalement attaqué l'Irak dont suite à une alliance avec la plupart des pays de cette région sauf  déjà la Syrie et la Palestine, puis un changement radical de politique eut lieu car ils voulurent ensuite déstabiliser toutes les institutions politiques du grand Moyen-Orient allant de l'Afghanistan au Maroc sauf Israël voire l'Arabie, afin d'empêcher le développement de toute cette région, d'y éviter l'apparition d'une grande puissance concurrente et donc continuer de la maîtriser dont en exploitant et contrôlant ses ressources en particulier avec des proxies comme Daech et Al-Qaïda. On ne comprend pas la politique occidentale dans la région si l’on refuse d’admettre que la guerre contre la terreur était en fait une guerre pour la terreur, destinée à perpétuer le chaos dans une partie du monde aussi riche en puits de pétrole qu’en peuples récalcitrants. Contrairement au discours convenu des chancelleries occidentales sur « notre ennemi mortel, l’islamisme radical » (discours destiné aux naïfs), les terroristes coupeurs de tête n’ont jamais causé le moindre tort à l’hégémonie US (ni à Israël), qui a précisément besoin de leur nocivité pour se perpétuer. En effet à la fois mercenaires et boucs-émissaires, les djihadistes en tous genres ont fourni des hommes de mains jetables à l’empire du crime. Ainsi progressivement, les États-Unis retirent leurs troupes des conflits où elles étaient engagées et y substituent des mercenaires djihadistes sur le terrain et des sanctions économiques synonyme d'une version moderne du siège médiéval. En effet ce que les arrogants, méprisants, despotiques et tyranniques dirigeants états-uniens échouent à faire directement ou par procuration militairement, ils veulent y parvenir en affamant population, femmes et enfants. Il s'agit d'un terrorisme économique quand il n'est pas militaire. C'est à dire qu'ils imposent des embargos ou des blocus qui sont des actes de guerres et établissent des sanctions économiques même vis à vis de leurs pays alliés qui passeraient outre leur politique perverse contre diverses nations ou régions particulières du monde. Alors que les sanctions sont plus destructrices que la guerre conventionnelle et affectent l’ensemble de la population du pays visé. (Il s'agit donc de la guerre à mort de l'inégalitaire sans limite (anglo-américain, judéo-protestant et thalassocratique) car touchant donc aussi des civils, au contraire de la guerre conventionnelle de l'égalitaire raisonnable (Iran, Arabie, Russe, Chine, tellurocratie) évacuant les civils ou ne visant que des cibles militaires.) Ces actions stratégiques sont d'autant plus perverses qu'elles s'effectuent en dehors de tout droit international dans une forme de jungle animale opposée à l'humanisme qu'ils prétendent pourtant sournoisement défendre, surtout qu'elles ne sont pas dénoncées par des organisations comme l'ONU et l'OMC prétendant défendre la justice internationale, alors qu'elles sont pourtant plus graves que leur bombe nucléaire sur Hiroshima puisque 500 000 enfants irakiens en sont morts lors de l'embargo contre l'Irak à l'époque de Saddam Hussain. C'est pour ça qu'il est insupportable que la morgue moralisatrice des dirigeants occidentaux corresponde à l’écran de fumée qu’ils jettent complaisamment sur ces tas de cadavres dont ils sont responsables. C’est non seulement une insulte à l’intelligence des peuples qui les écoutent, mais surtout, et c’est de loin le plus grave, c'est une ignominie méprisante à l’égard des peuples qu’ils ont condamnés à la mort ou à la misère. Dans cette entreprise mortifère où le false flag est la règle et le bombardement aveugle le mode opératoire, de Kaboul à Bagdad, de Tripoli à Sanaa, et de Mossoul à Damas, les États-Unis battent tous les records, mais leurs supplétifs français et britannique, ces roquets de l’Empire, ne sont pas en reste dans l’exécution du crime de masse. Quel autre pays dans le monde outre ces trois-là peut se vanter d’avoir fait autant de guerres chez les autres dont par procuration, imposé autant de sanctions économiques, et déstabilisé autant de nations souveraines ? S’ils avaient une vague idée de ce qu’est le patriotisme, leurs citoyens descendraient dans la rue pour imposer la fin de cet acharnement criminel contre des populations qui ne leur ont rien fait, et dont certaines avaient même la candeur de croire aux valeurs usurpées par un Occident failli. Or suite à l'échec américain de contrôler selon la stratégie Mackinder le Heartland (environ les territoires de la Russie et proches de la Russie, ce qui montre l'importance essentielle de la Russie orthodoxe) par le contrôle du (ou d'une partie) Rimland (l’Europe et tous les territoires de l’Asie au sud de la Russie jusqu'à la l'océan indien et l'océan pacifique, en résumé les zones côtières de l'Eurasie puisque l'empire américano-sioniste est une thalassocratie) en partie avec leur influence en Afghanistan (dont toutes les guerres subies sont liées à cette volonté de contrôler le Heartland depuis que la géopolitique moderne existe, c'est à dire vers la fin du 19e siècle), Irak, Syrie, Géorgie, Ukraine et Caucase, les USA ont redéployé leurs forces selon la stratégie Spykman afin de contrôler le Rimeland (côtes de l'Eurasie) dont en cherchant à contenir la Chine.
Le professeur Michel Chossudovsky, directeur du Centre for Research on Globalization, rappelle que deux grands pays classés aujourd’hui comme ennemis des États-Unis alors qu'ils étaient pourtant leurs alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, sont ceux qui payèrent le plus haut prix en vies humaines lors de la guerre victorieuse contre l’Axe nazi-fasciste Berlin-Rome-Tokyo : environ 26 millions pour l’Union Soviétique et 20 millions pour la Chine, par rapport à un peu plus de 400 mille pour les États-Unis. Avec ce préliminaire Chossudovsky introduit sur Global Research une étude documentée par James A. Lucas sur le nombre de personnes tuées par la série ininterrompue de guerres, de coups d’État et autres opérations subversives effectués par les États-Unis de la fin de la guerre de 1945 à aujourd’hui, parfois sous de faux prétextes humanitaire ou démocratique alors que principalement pour dominer les ressources, l'économie et la politique de diverses nations du monde : nombre estimé à 20-30 millions. Les États-Unis sont intervenus militairement (directement ou en participant) dans 29 pays après la Seconde Guerre mondiale, dont certains 2/3 fois. Le mondialiste Kissinger a d'ailleurs dit qu'il faut contrôler les ressources (militairement, financièrement ou monétairement) pour contrôler les nations.
Ce nombre correspond au double environ des morts de la Première Guerre mondiale dont on a pourtant célébré à Paris le centenaire avec un « Forum de la paix », et qui fut la première guerre à échelle industrielle synonyme d'augmentation de la violence internationale puisque liée donc à l'apparition de l'industrie jusqu'à celles des arme, alors qu'aujourd’hui, la guerre devient plus électronique et technologique, comme quand il s'agit d'entraver ou hacker les drones, véhicules et bâtiments ennemis. Ce qui explique aussi pourquoi avec ses usines, ses machines, le travail à la chaîne, la forte augmentation de la différence dans les revenus et ses guerres, l'ère industrielle amena une violence sociale beaucoup plus importante qu'avant, et qui montre que le prétendu positivisme supérieur de la raison et de la technique sans Dieu depuis 1789, s'est arrêté brutalement en 1914, tout en dépassant le nombre de morts dans ses guerres entre les idéologies athées, laïques ou démocrates, par rapport aux nombres de morts dans les guerres de religions. Ainsi il paraît logique de retourner vers les règles christiques, surtout qu'avec la découverte de la très mystérieuse physique quantique, le rationalisme athée qui était lié à la science basée sur les causes et effets ne peut que retourner retourne vers l'idée de la foi et de la science spirituelle.
Or en plus de ce nombre de morts, il y a les blessés qui souvent se retrouvent infirmes : certains experts calculent que pour chaque personne morte en guerre, 10 autres sont blessées. Ceci signifie que les blessés provoqués par les guerres étasuniennes se montent à des centaines de millions. À cette estimation dans l’étude s’ajoute un nombre non quantifié de morts, probablement de centaines de millions, provoqués depuis 1945 jusqu’à maintenant par les effets indirects des guerres : famines, épidémies, migrations forcées, esclavagisme, exploitation, dégâts environnementaux, soustraction de ressources dont alimentaires et énergétiques pour couvrir les dépenses militaires. L’étude rapporte également les guerres et les coups d’État effectués par les États-Unis dans plus de 30 pays asiatiques, africains, européens et latino-américains. Elle révèle que les forces militaires USA sont directement responsables de 10 à 15 millions de morts provoqués par leurs plus grandes guerres : celles de Corée et du Vietnam, et les deux contre l’Irak. De plus elle précise qu'entre 10 et 14 autres millions de morts ont été provoqués à travers les guerres de forces alliées, armées, entraînées et commandées par les USA, en Afghanistan, Angola, Congo, Soudan, Guatemala et d’autres pays. Le coup d’État le plus sanglant fut organisé en 1965 en Indonésie par la CIA, organe étatique des USA prétendument défenseur de la démocratie et du Bien : elle fournît aux escadrons de la mort indonésiens la liste des 5 000 premiers communistes et autres à tuer. Le nombre des gens assassinés à cause des USA y est estimé entre 0,5 et 3 millions.
« Les politiques américaines sont basées sur la menace ! L’esprit des dirigeants américains est forgé dans le bluff, l’arrogance, l’égocentrisme, la cupidité et l’insolence! Leurs guerres sont toujours légitimes. En Ukraine, c’est la faute à la Russie; au Moyen-Orient, c’est l’Iran et pour toutes les autres, ils trouvent un alibi. Ils nient les causes et le principe selon lequel tout ce qui est construit sur l’illégalité est illégal. L’absurde politique hégémonique anglo-américaine est claire. Que font-ils en Irak, en Syrie et ailleurs? Ils annoncent des «lignes rouges» tout en exacerbant les situations pour justifier une intervention qui entraîne des ripostes, suivies de représailles ‘‘limitées’’, disent-ils. Ils usent de tous les stratagèmes pour provoquer en déniant aux victimes le droit de se défendre! Ils bluffent pour réussir sans coût. Ils voudraient bien frapper l’Iran, mais c’est dangereux, pour l’existence d’Israël et pour leurs intérêts dans la région. Ils organisent des ‘dissidences’ (El Qaida, Daech etc.) contre des pays pour les déstabiliser, mais quand une faction, se retourne contre eux, ils décident de la classer « terroriste » en aidant ces mêmes pays à les combattre ! Ce que les Anglais ont fait en Afrique et ailleurs, les Néerlandais en Afrique du Sud, les Allemands en Namibie et les Français en Afrique, les États-Unis partout, avec l’esclavage, la colonisation suivie de massacres, est identique à ce que font les sionistes. Soutenir Israël n’est autre qu’une attitude conforme à leur tempérament raciste! La 1ère et la 2ème guerre mondiale, pour citer les plus visibles entre Européens, ne sont que l’aboutissement de leur inhumanité. Les sionistes d’Israël, n’ont fait que montrer une énième fois au monde qu’ils ne sont qu’une entité bizarre, indécente, génocidaire et qu’ils doivent payer, un jour, leurs méfaits. Qui aurait pensé qu’un pays, ayant précisément subi l’apartheid, brise un tabou en accusant «l’armée la plus morale» de génocide envers un peuple en déposant une plainte auprès d’une juridiction internationale, même vue comme douteuse à l’image de l’ONU et ses satellites, pour avoir cédé à l’instrumentalisation, surtout anglo-américaine. Le rôle des anglo-américains au sein des organisations «internationales» est crucial pour leur hégémonie. Presque tout se manigance à travers elles, même les ‘‘véto’’ sont ignorés. Ces organisations ne sont plus qu’un alibi sans effet sur l’équilibre mondial et les préventions des conflits. Elles sont devenues un instrument de domination. Prenons la CIJ qui est d’actualité. Le monde sait que la plainte contre Israël va au mieux donner un résultat équivoque. La décision finale sur les allégations de génocide, pourrait sinon prendre des années ! Cette affaire va rester, toutefois, une grave accusation qu’ils porteront à vie, une tache indélébile, même par conjecture, mais que le monde voit comme des faits avérés! Or lors d’un bref discours, Netanyahou «fils de la lumière contre les fils des ténèbres», ne compte pas se plier aux décisions de la CIJ. Il l’annonce ainsi : «Personne ne nous arrêtera, ni La Haye, ni l’axe du mal, ni personne d’autre». Dans cette région, les USA ont toujours misé sur Israël en y associant leurs intérêts. Les réactions démoniaques d’Israël au ‘‘7 octobre’’ ont anéanti ce mythe d’invincibilité et de bonne moralité de Tsahal, mettant à nu son véritable visage diabolique. Une étincelle a suffi pour voir qu’Israël n’était qu’un ballon gonflé au gaz toxique. Une légion étrangère permanente en terre arabe, comme les légions arabes, temporaires, représentées par les Frères Musulmans, Al Qaida, EI, Daech… au service de leur «Nouvel Ordre Mondial». Les voilà avec plusieurs fers aux feux : en Ukraine, en Palestine, en Syrie, en Irak, au Liban, au Yémen, à Taiwan et probablement d’autres pays dans l’expectative, en plus de leurs problèmes intérieurs. La politique américaine n’a jamais été raisonnable, ni rationnelle ! Elle est toujours basée sur la négation, la prédation et la domination. Qui s’y rapproche d’elle, quelle que soit sa bonne volonté, il s’y pique gravement ! On ne cherche pas du miel du ‘derrière’ d’un frelon ! Son sophisme et son nihilisme sont incompatibles avec la raison et la morale. Imposer, par les menaces et les guerres, son ‘‘format’’ au reste du monde en portant à son paroxysme le ressentiment et la vengeance ne peut mener qu’aux catastrophes. «Avec le nihilisme, pas de discussion possible; car le nihiliste logique doute que son interlocuteur existe et il n’est pas bien sûr d’exister lui-même» (V. Hugo). » (Extraits de l'article « Absurdités anglo-américaines au milieu du génocide des Palestiniens » d'Amar Djerrad)
Ainsi quand on prend du recul et qu’on observe la démocratie, cette dernière a rasé Dresde, Nantes, Berlin, Nagasaki (ville chrétienne) et Hiroshima (ville chrétienne), bombardé la Serbie, la Croatie, l’Irak, la Libye et la Syrie. Ce qui est étonnant, c’est que cette démocratie laïciste est encore considérée comme supérieure moralement
Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence depuis leur création en 1776, c’est à dire 222 années sur les 239 années de leur existence. Le pays n’a donc été en paix que 21 ans depuis sa création en 1776... Il a participé à 40 guerres depuis 1945. Cela apporte une évidence de plus en plus partagée provenant du bon sens élémentaire : un pays en guerre incessante partout dans le monde, et cela depuis 170 ans, ne peut plus faire croire qu’il dispense la paix, le bien et la démocratie ! La quasi totalité de leur histoire n’est bâtie que sur la spoliation et le génocide, qu’elles soient directes ou par procuration.
Eux et les sionistes tuent, détruisent, sont racistes, pleurnichent des lois mémorielles (car qui contrôle la mémoire, contrôle la pensée), s’approprient des terres en excluant les autochtones, s’ingèrent dans la politiques des autres pays du monde, et manipulent les autres états, dont en organisant des infractions économiques et financières, usant de trafic d’influence, s'appuyant sur des oligarques traîtres, se servant de mafia et utilisant des escroqueries en bande organisée. Ces gens, consciemment corrompus complètement, et par conséquent très coupables criminellement, sont extrêmement nocifs mondialement, et donc en grand danger de rétribution légitime par l'Enfer pour leurs décisions infernales.
Ainsi de nos jours, les intérêts américano-sionistes dans leurs opérations militaires sont toujours perversement d’ordre financier, politique et hégémonique. Depuis le début de 21e siècle, le contrôle des hydrocarbures, l'ingérence dans la politique étrangère, l'usure endettant les nations, le dollar oppressant les économies, la laïcité affaiblissant le niveau moral des gens et la vente d'armes détruisant des villes sont encore la priorité pour tenir leur domination par le chaos chez les autres. L'occident est malade de la perversité et la violence, intérieures et extérieures, mais aussi malade tout court, malade de son système social défaillant : l’élimination des plus faibles est inscrite dans le logiciel néolibéral lié à l'impie darwinisme associant perversement la sélection naturelle à la société humaine et étant donc aussi nazi par essence. Macron, Trudeau, Lagarde ou Leyen ne sont en théorie pas des nazis, ce sont même des soi-disant antinazis. Sauf que leur politique est une politique de ségrégation sociale, de répression violente, de peurs administrées et donc de tensions nationales plus que raciale, au profit exclusif du suprémacisme élitaire allié au wokisme ploutocratique qui doivent ainsi être renvoyés dos à dos, car ce sont donc les deux faces d’une même pièce pire que le nazisme, truquée et fabriquée pour séparer les gens afin de dominer les peuples. Encore un coup du Diable.
De plus pour le profit des avides et perverses oligarchies très riches, les terrorismes climatique, bancaire, religieux, sanitaire, guerrier et inflationniste servent également à dévier la colère des peuples face à la mise en place de lois antisociales, sécuritaires et asservissantes économiquement. Or elles prennent aussi particulièrement le pouvoir sur les états par leur corruption de politiciens et par des organisations ou lois commerciales supranationales avec des traités internationaux. En effet cela participe à leur domination dont par l'argent et surtout par le dollar créé ex-nihilo au sein de la FED, Ainsi cela semble impossible à combattre économiquement tant que les nations restent dans le système de cet empire impie, surtout sans une union de tous les vrais musulmans, chrétiens et peuples honnêtes dans un système financier d'investissement licite pourquoi pas avec des blockchains, des cryptomonnaies et des monnaies fiat numériques basées sur une charte digne voire monothéiste. C'est à dire qu'avec les banques centrales privées créant ex-nihilo des lignes de comptes et donc de l'argent sans rien produire et devant en plus êtres remboursés avec des intérêts par les peuples, rien que cette réalité devrait être cause de révolution. D'ailleurs si l'Iran, la Syrie et la Corée du Nord appartiennent aux pays les plus opprimés mondialement, c'est parce qu'ils n'ont pas de banques centrales appartenant aux Rothschild.
Surtout que si rien n'est fait dans ce sens pour diminuer l'étendue de la domination impie de l'empire américano-sioniste, la situation mondiale évoluera inévitablement vers l'apparition d'un système presque planétaire de l'antéchrist basé sur le mondialisme économique, une monnaie unique, le laïcisme, le wokisme, l'usure, la dette, le pouvoir des banques privées, et des sommes astronomiques d'argent thésaurisé dans les Paradis fiscaux. C'est à dire que le pouvoir planétaire serait géré par un consortium du privé, possiblement sous forme d'énormes conglomérats nationaux ou/et multinationaux d’oligarques par secteur ou multi-secteurs économiques comme le prouvent déjà les énormes conglomérats de fonds d'investissement que sont Black Rock et Vanguard.
« Les puissances financières, telles que les fonds d’investissement BlackRock et Vanguard, contrôlent en grande partie l’économie mondiale et ont une influence considérable sur les décisions politiques. En ce qui concerne Emmanuel Macron, Claude Janvier affirme que le président français est conseillé par des personnes liées à ces puissances financières, ainsi que par des réseaux d’influence tels que le groupe Bilderberg et la Commission trilatérale. Ces réseaux rassemblent des personnalités politiques, économiques et médiatiques influentes, qui œuvrent ensemble pour promouvoir leurs intérêts communs. Ainsi, pour Claude Janvier, Macron est loin d’être un dirigeant indépendant et souverain, mais plutôt une marionnette aux mains de ces puissances financières et de ces réseaux d’influence. Le conflit russo-ukrainien, qu’il préfère qualifier de conflit russo-otanien via l’Ukraine, a mis en lumière la position de chef de guerre d’Emmanuel Macron. Depuis le début de l’opération spéciale de la Russie en Ukraine, le président français s’est positionné en soutien indéfectible de l’Ukraine, allant jusqu’à demander au gouvernement de faire une déclaration relative à l’accord bilatéral conclu avec ce pays. Claude Janvier souligne que cette situation est d’autant plus surprenante que la France n’a jamais autant dépensé pour soutenir une guerre, alors que les retraites et le SMIC ne sont pas valorisés. De plus, l’envoi de troupes au sol en Ukraine n’est pas exclu par Emmanuel Macron, une position qui a fait bondir certains responsables politiques, mais qui semble tout de même faire consensus au sein de l’UE et des États-Unis. Claude Janvier dénonce l’influence des puissances financières colossales sur les dirigeants du monde et la situation en Ukraine, qui soutient des groupements néonazis et un héros national pro-nazi. Selon lui, les intérêts économiques et politiques passent au-dessus des idéaux humains, et l’opposition politique est contrôlée, voire achetée. Seuls les groupuscules souverainistes et prônant la sortie de l’Europe et de la finance internationale s’opposent réellement à cette situation. » (Article Média en 4-4-2)
Ainsi, ce système occidental mondialiste appartient à très peu d'humains en plus anonymes par la juridiction actuelle et cristalliserait le pouvoir politique, tout en facilitant l'accaparement excessif contraire à la civilisation et en se rapprochant donc d'un monopole injuste comme c'est déjà le cas, c'est à dire sous formes d'énormes fusions multiples ou de multinationales gestionnaires d'énormément d'actifs type donc Blackrock et Vanguard, telles des supers structures économiques internationales tendant vers le chantage du supranational sur la souveraineté des pays. Cette dystopie est presque déjà en cours puisque l’individu moyen tend de plus en plus à travailler que pour survivre, plutôt qu'afin de accumuler des richesses pour développer l’avenir. A Hong Kong, territoire indépendant où la moitié des sièges à la législature doivent représenter des intérêts commerciaux, c'est déjà le cas puisque les intérêts des entreprises privées « font la Loi ». Les grandes banques et transnationales privées pourraient même racheter tous les Etats dont occidentaux prochainement en faillite en les unissant dans une gouvernance globale, en faisant de leur PDG des ministres permanents et en transformant les présidents nationaux en députés mondiaux, possiblement par une organisation internationale basée en Israël similaire à l'assemblée de Union européenne.
Or si ce système est plus gouverné par Satan que par le faux messie juif, il tendra plutôt en réalité à la fin de la civilisation dont par l’extrémisme progressiste et transhumaniste voire par une troisième guerre mondiale nucléaire, surtout si l'énorme corruption financière dans le monde ne s'arrête pas.
Mais si cette destruction par la guerre ultime est refusée par l'humanité qui sont les seules créatures existant matériellement, l'humain peut être effacé via l'impiété du wokisme, du transsexualisme et du transhumanisme, tel un génocide.
Hong Kong est un centre financier majeur mais également un foyer non moins important de délinquance financière, ce qui prouve encore la nécessité de blockchains décentralisées mais surveillées par l'Etat ou centralisées mais surveillées par des comités populaires synonyme de totale transparence purifiant l'économie et donc le monde. Entre 2013 et 2017 à Hong Kong, le nombre de transactions suspectes signalées aux forces de l’ordre est passé de 32 907 à 92 115. Pourtant malgré cette preuve d'augmentation de la corruption, il y a eu une baisse des poursuites puisqu'elles sont passées d’un maximum de 167 en 2014 à 103 en 2017, dont avec une seule personne condamnée à plus de six ans de prison. C'est pourquoi un chef d’État doit être en dehors du privé et du peuple pour gérer au mieux dans un juste milieu les intérêts de chacun dont de l’État, afin d'empêcher la corruption.
Selon les prédictions du blogueur américain Jared Brock dans son billet du 16 novembre 2021 sur le portail d’opinion libéral Medium, au moins une centaine sinon plus de nouveaux États apparaîtront au cours des cent prochaines années. Cela proviendra probablement de la fragmentation de grands pays très endettés. Même si cette dernière thèse fait écho à l’idée de Klaus Schwab de concentrer les pouvoirs du gouvernement mondial dans les sociétés transnationales, l’idée de Brock la contredit essentiellement : ce sont les États qui resteront les détenteurs de la souveraineté mais en étant dépendantes de ces sociétés transnationales. Or les dirigeants étant généralement élus après une campagne politique financée par des banques et entreprises supranationales, cela reviendrait au même.
Ainsi une énorme société d'investissements comme BlackRock domine peu à peu les états et devient probablement inarrêtable par son poids planétaire de risque systémique, puisque gérant quotidiennement 18 mille milliards de dollars d'actifs mondialement (montant proche de la production annuelle des Etats-Unis) avec leur intelligence artificielle « Aladdin ». Ce logiciel beaucoup plus développé qu'un algorithme effectue 200 millions de calculs quotidiens sans aucune intervention humaine afin de conseiller des placements, parvient apparemment à reconnaître utilement les titres toxiques et peut donc vérifier l’état de grandes banques mondiales, la stabilité d'une entreprise dont multinationale et les projets économiques sérieux dans une forme de noblesse s'il est donc sagement utilisé. Cependant cette société n'hésite pas à engager d'anciens responsables politiques, à prôner la wokisme dont sous forme de menace aux entreprises neutre concernant cela et à investir bassement dans l'armement, dans la sécurité de fonds de retraites alors qu'appartenant normalement aux États et dans des secteurs comme l'énergie verte pour leur image alors qu'ayant des parts dans des sociétés polluantes. De plus cet algorithme recherchant d'abord le rendement, et donc l'argent et donc la cupidité avant l'humain, prouve aussi la perversité de cette entreprise et celle de l'évolution du système commercial et financier dont aussi à travers le trading à haute fréquence pouvant faire détenir une action seulement une micro seconde.
BlackRock appartient aux trois plus gros fonds d'investissement états-uniens, actionnaires majoritaires dans 90 % des 500 plus grandes entreprises de leur pays. La propriété commune amenant à des monopoles injustes est donc la règle immorale et non l'exception, surtout que des contre expertises malhonnêtes défendent cette domination dangereuse pour les pays puisque spéculant aussi sur les faibles. En effet généralement par des fusions, des énormes sociétés parviennent presque à des monopoles (capitalisme de copinage, dictature économique) et peuvent ainsi cupidement contrôler les prix d'un marché (même de denrées et produits de première nécessité) ou de loyers, et même donc appauvrir les peuples. Mais heureusement des populismes bien compris se réveillent de plus en plus à travers le monde, car ils savent que leur problème principal devient donc l'ascendant de l'avide finance internationaliste sur la démocratie nationale.
Ceci est confirmé par le milliardaire américain Warren Buffet ayant déclaré : « Il existe bel et bien une guerre des classes, mais c'est ma classe, la classe des (très) riches qui fait la guerre et c'est nous qui la gagnons. »
L’État, sous l’impulsion de l’occupant néolibéral, ce ver dans le fruit de la nation, s’affaiblit donc pour la majorité des Français. Il perd son caractère protecteur, tout en devenant de plus en plus répressif. Dans le monde animal, hormis le moment de la prédation, c’est la bête blessée qui est la plus dangereuse. La violence d’État, illustrée par la sauvage répression des Gilets jaunes et celle toute fraîche des anti-retraites à 64 ans, n’a pas de limite. Les dominants sont décomplexés, ils envoient des éléments policiers ultraviolents frapper et humilier des innocents. L’État-providence a disparu, il ne reste plus que l’État-violence. La clique néolibérale rothschildienne (Pompidou, Balladur, Sarkozy, Macron, tous sont passés par la grande maison) a transformé l’État en ennemi du peuple, qui a perdu toute souveraineté. Le peuple n’est plus associé d’aucune façon au pouvoir. Et quand le peuple remet cet État-là en cause, alors il est accusé de s’en prendre à la démocratie. Le piège est parfait : l’opposant est transformé en ennemi (d’État), et se retrouve automatiquement fascisé. Même fonctionnement chez les sionistes qui, dès lors qu’ils sont critiqués idéologiquement, sortent le bouclier de l’antisémitisme. La démocratie est devenue le bouclier de l’occupant, qui détient le monopole de la parole, de la vérité, de la finance et de la violence.
C'est pour ça qu'il y a eu réveil des peuples comme aux Etats-Unis par preuve de l'élection de Trump, en Angleterre par preuve du vote pour le Brexit, en Italie par preuve de l'élection d'un gouvernement souverainiste et donc en France par preuve des grandes manifestations des gilets jaunes.
Cependant cette déclaration de Buffet est en partie validée par le fait que 1% de la population au niveau mondial détient gravement de 50 à 99 % des richesses par endroit, surtout que qu'elle sont souvent mises dans des paradis fiscaux apparus étrangement, puisque détruisant l'économie mondiale des peuples par l'argent thésaurisé (sans imposition et inutilisé) qui ne circule pas dont à cause de malhonnêtes sociétés écrans. Pour lutter contre les Paradis fiscaux une des premières mesures serait d'interdire toute transaction commerciale avec les trusts anonymes. Il est intéressant de voir à ce sujet le film « The Laundromat : L'Affaire des Panama Papers » de Steven Soderbergh.
Selon le collectif « Anonymous » :
« Il y a les 1% qui contrôlent le monde (voire 1% de ces 1%, c'est à dire les 0,1 %, voire les 0,01%),
les 4% qui ne sont que des marionnettes corrompues,
les 90% qui sont endormis ou vivent le syndrome de Stockholm,
et les 5% qui savent et essayent de réveiller les 90%. Mais les 1% ne veulent pas que les 5% réveillent les autres. »
En effet les gens réveillés subissent une triple attaque par la grande masse des ignorants, l’armée des manipulés et la poignée de manipulateurs.
Pourtant en Europe, la fortune des milliardaires a augmenté de 14 % pendant la crise sanitaire de 2020. Oxfam révèle que les « sept premiers milliardaires français possèdent plus que les 30 % les plus pauvres ». Avec la crise du Covid, la France, par son endettement extérieur, a injecté beaucoup d’argent dans les marchés. L’augmentation des Bourses profitant aux actionnaires très riches est tout simplement l’évolution de la quantité d’argent et du volume de dépenses dans l’économie. Dans ce sens, la guerre et l'inflation sont la continuation de la dette par d’autres moyens. L’indice boursier actuel suit donc en réalité l’évolution de la masse monétaire. Nous sommes dans un système corrompu (lié au banques, à la finance et au grand patronat) qui favorise donc beaucoup et exclusivement le développement des très riches.
Or un système ne fonctionne que si l’ensemble des décideurs partagent les mêmes intérêts. Ainsi ce ne peut plus être le cas depuis la globalisation favorisant aussi beaucoup les très riches, c’est-à-dire depuis la délocalisation industrielle vers l’Asie, des lois économiques supranationales et la disparition des classes moyennes qu’elle a provoquée en occident.
Fritz R. Glunk, éditeur allemand de Die Gazette précise : « Ces "forces de l'ombre (très riches)" se composent de représentants de groupements industriels et économiques. Elles établissent entre elles des règles en vigueur à travers le monde qui ont pratiquement force de loi. Les parlements en prennent note sans les discuter ni prendre de décisions. »
Selon ce dernier, la raison d'être de ces groupes et de leur influence de l'ombre, dont l'opinion publique ne se doute même pas, sont argumentées par la thèse selon laquelle les problèmes universels qu'ils traitent sont devenus si complexes que seuls des experts, et non les élus du peuple, peuvent s'en occuper. Les spécialistes relèvent qu'il s'agit là d'une sorte d'«expertocratie» qui assied son pouvoir sur l'idée erronée, perverse et humiliante, que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à « ceux qui savent », c'est à dire les élites oligarchiques mondialistes, le soin de conduire les affaires publiques. Or une ploutocratie servira toujours principalement les intérêts des très riches.
Ainsi la période révolutionnaire que nous vivons est originale en ce sens que c’est le pouvoir qui s’en prend visiblement au peuple, et pas l’inverse. On avait l’habitude que le néolibéralisme s’attaque aux acquis dont sociaux du CNR (Conseil National de Résistance, duquel provient EDF, AGF, Sécurité sociale, ce qui prouve qu'il a recherché l'équilibre entre le national, le libéral et le social) avec l’axe des vendus Fabius-Sarkozy-Hollande-Macron, mais le pouvoir avançait masqué, en prétextant que c'était lié à la mondialisation plutôt qu'à leurs actions. Petite remarque : le Conseil national de la refondation établi sous Macron, ou CNR, c’est le moyen vicieux de remplacer ce bon vieux Conseil national de la résistance, le vrai CNR, qui a construit ces fameux services publics au service de tous les Français, que la bande à Macron & Kinsey est en train de détruire aujourd’hui par ce pervers homonyme humiliant. Rien n’est anodin en Dystopie, surtout quand elle est basée sur l'inversion des valeurs. C'est pourquoi le projet de comité de salut du peuple (CSP) lié au capitaine Juving-bunet est intéressant. Aujourd’hui, les attaques sont directes, sous la ceinture, vicieuses, violentes, voulues. Et tous les jours, les têtes des violeurs de la Liberté et de la Patrie s’affichent dans des médias de plus en plus honnis. Surtout qu'avec la crise des subprimes, les gilets jaunes éborgnés, la crise du Covid et la fraude gigantesque contre la victoire de Trump lors des élections présidentielles de 2020 au vu et au su de tous tel un réel coup d’État, le pouvoir profond corrompu ne se cache vraiment plus. On est en plein bras de fer et ce n'est pas près de se terminer. En effet par exemple les Français résistants ne sont pas près de lâcher tant l’anti-France les a exploité.
Dans ce sens comme les américano-sionistes mondialistes jouent avec la guerre de l’Armageddon (risque de troisième guerre mondiale) pour dominer des pays, passer des lois économiquement oppressantes et établir des règles follement libertaires, en baissant donc le niveau matériel et spirituel des peuples afin de mieux les contrôler et pouvoir plus facilement les coloniser, nous pouvons aussi jouer avec en la freinant par une forte volonté et une intelligente prédication recherchant à ce que le maximum de l'humanité soit guidée. Or comme trop de lignes rouges ont été franchies tels que le mariage homosexuel, l'hyperconsommation, la transsexualité dont de jeunes, la société individualiste aidant de moins en moins les faibles, la pornographie, l'usure banalisée, la forte consommation de drogues dont l'alcool, les tensions liées au statu quo géopolitique mondialement et l'oubli répandu de Dieu, il est possible que l'humanité ait provoqué sa propre destruction de civilisation et que le seuil d'activation réelle de la fin des temps sélectionnant les humains qui la dépasseront soit donc sur le point d'être franchi.
Cependant pour préparer le retour de Jésus quel que soit le temps qu'il reste avant qu'elle débute véritablement et aussi dans cette perspective qu'une grande partie de l'humanité soit guidée, des actions politiques participant également à la ralentir (en plus des actions économiques à travers des associations humanitaires, des blockchains et des boycotts intelligents) comme les suivantes peuvent être effectuées, puisque luttant contre la volonté d'un gouvernement mondial par le secteur privé oligarchique et sioniste :
-Défaire les traités commerciaux internationaux afin d'abandonner les intérêts de la classe dirigeante transnationale et de développer l'économie nationale
-Recadrer ou dissoudre les structures intergouvernementales comme l'ONU, l'OTAN ou la Commission Européenne portant toutes le laïcisme ploutocratique, wokiste et Lgbtiste similaire à la société ouverte de Georges Soros qui elle devrait être interdite
-Réinvestir dans l’économie productive et moins l'automatiser
-Réorienter le Pentagone, la CIA, les armées et les services spéciaux des divers pays du monde seulement à la défense du territoire national.
Or suite à du terrorisme comme cela a été le cas dans certains pays et au covid, des États anciennement démocratiques et libres peuvent vite devenir des États policiers apportant une indigne surveillance généralisée pouvant aller jusqu'à de la censure totalitaire comme c'est déjà en partie le cas en occident au niveau des réseaux sociaux, en particulier envers les intellectuels dissidents diabolisés afin de n'accorder aucune considération à leur liberté de penser et de s'exprimer, alors qu’auparavant ces États critiquaient pourtant ce genre de méthodes pratiquait en Chine.
Surtout qu'en censurant de nombreux commentaires n'allant pas dans le sens de la pensée unique souvent sur ordre des annonceurs les faisant vivre par énormément d'argent, les prestataires de service que sont les réseaux sociaux comme youtube et facebook donnent raison aux complotistes qu'ils dénoncent. En effet ils ne sont plus seulement des hébergeurs de contenus, puisqu'ils sont devenus aussi des éditeurs de contenus, des censeurs de la culture variée (dont même des commentaires majoritaires dissidents concernant des vidéos et des pouces négatifs sur youtube) et des soutiens à la pensée unique, puisque allant jusqu'à effacer tyranniquement des idées politiques et promouvoir le pervers progressisme. C'est à dire que sous le pseudo prétexte qu'un contenu ne correspond pas à la politique de l'entreprise, des interdictions de contenus, de chaînes ou de canaux sont réalisées par des réseaux sociaux notoires. Or comme semble l'avoir montré « Télégram », ces interdictions se font aussi probablement désormais à cause de lois locales, puisque ce réseau social a fermé en France des chaînes traitant de la Russie, l’Ukraine et la Palestine, alors que cette nation et toute l'Union Européenne se prétendent démocratiques et défenseuses de la liberté d'expression : « Ces actions draconiennes pourraient être liées à la récente directive de l’Union européenne, la DSA, visant à réglementer le contenu en ligne. Si tel est le cas, cela soulève des préoccupations sérieuses quant à l’avenir de la diversité médiatique et de la liberté de la presse dans l’espace numérique européen. Parmi les chaînes touchées, nombre d’entre elles traitaient des sujets sensibles tels que la Russie, l’Ukraine et la Palestine. La liste des chaînes touchées continue de s’allonger, laissant entrevoir une tendance inquiétante. Dans ce contexte, les défenseurs de la liberté d’expression et les militants des droits numériques appellent à une vigilance accrue. La censure rampante sur les plate-formes en ligne ne doit pas être ignorée ou minimisée. Elle représente une menace sérieuse pour les valeurs démocratiques fondamentales et nécessite une réponse collective et déterminée. » (Média en 4-4-2)
Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions le fait que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plateformes internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public. Il est pourtant interdit à la CIA de cibler le public américain. Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignements
espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses. Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire et totalitariste. Et cette très diversifiée guerre cognitive se fait souvent au profit du mondialisme corrompu d'ultra riches et des versions officielles souvent fausses de ses gouvernements et donc Etats occidentaux, alors que ces réseaux sociaux se prétendent démocrates et privés. De plus ces réseaux sociaux peuvent aussi être comparés aux grands médias du système qui sont passés de chercheur et diffuseur d'informations à fabricants d'informations puis à faiseurs d'opinions. En effet les services d’espionnage et de manipulation numérique ne se contentent même plus de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents, puisqu'ils diffusent aussi de plus en plus de la propagande dans certains groupes de la population. Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais elles peuvent clairement se faire par de faux comptes ou par des trolls. Tout le monde a entendu parler des robots ou « bots » qui viennent donner une dimension industrielle à « l’astroturfing », c’est-à-dire la simulation d’un mouvement d’opinion spontané afin d’entraîner les peuples dans des directions qu’ils ne prendraient pas d’eux-mêmes. Ces Bots peuvent aussi servir à décrédibiliser des idées, des analyses et des outils de dissidents, mais aussi de sujets importants, et donc en même temps pousser à la fin de l'anonymat sur les réseaux sociaux, ce qui irait à contre-sens de la liberté originelle d'internet par rapport au système actuel souvent basé sur le mensonge et la manipulation, puisque pouvant ensuite mener à une tyrannie. L'affaire NewsGuard, qui a récemment éclaté grâce à l'intervention d'Elon Musk, soulève encore des questions cruciales sur la relation entre l'Union européenne et l'État profond américain, ainsi que sur la censure en ligne et ses implications pour nos libertés. Florian Philippot a montré en détail ce qu'est NewsGuard, son lien étroit avec l'État profond américain, son rôle dans l'application du règlement de censure DSA de l'Union européenne et l'intervention d'Elon Musk dans cette affaire. Il est essentiel de comprendre ces enjeux pour préserver nos libertés d'expression et de débat. La propagande à l’ancienne existe toujours, on l’observe bien dans nos « chers » media, mais elle est relativement artisanale et inoffensive par rapport à ces nouvelles techniques, car beaucoup plus visible. C'est donc aussi pourquoi de nombreux comptes de réseaux sociaux ont aussi été créés et gérés par de l'intelligence artificielle pour influencer invisiblement les populations, alors il faut bien faire la part des choses et croiser les informations et recouper nos opinions. Ces réseaux deviennent même aussi souvent des juges au service de la politique d'une compagnie privée. Or les règles privées de la communauté de nombreuses applications, en particulier des GAFAM, servent en réalité en occident les élites politiques, les puissances d'argents, les oligarques, les lobbies et le pouvoir profond au détriment des peuples, sans parler de la possibilité de censurer honteusement certaines applications par opposition complète aux règles commerciales car autorisant désormais légitimement la dénonciation des pervers mondialisme, wokisme et sionisme, et sans parler de l'intégration éventuelle de Google aux institutions et à l'armée Israélienne. D'autant plus que par leurs jugements, de plus en plus de tribunaux judiciaires se positionnent dans la défense néo-libérale du plus fort devant la pluralité de la pensée, pourtant fondamentale dans la recherche de la vérité. Alors que selon FranceSoir : « le droit à la liberté d’expression d’un éditeur n’est pas supérieur au droit à la liberté d’une plate forme d’édicter des règles ». L’héritier de ce prestigieux quotidien issu de la Résistance, a même perdu début septembre son procès contre le tentaculaire groupe Google. Le journal avait saisi la justice et réclamait un dédommagement de 1,5 million d’euros, car pour avoir diffusé des informations n’allant pas dans le sens de la doxa chère à la multinationale américaine, il s’était vu coupé de publicité et de référencement dans son service d’actualités. Dès février 2021, Google Actualité avait d’abord retiré de son référencement plusieurs dizaines de milliers d’articles de ce quotidien aujourd’hui dématérialisé. Ensuite en mars, Google avait fermé du jour au lendemain la chaîne YouTube de FranceSoir, alors en pleine expansion, et qui comptabilisait déjà 275 000 abonnés. Le site d’information aurait ainsi perdu 60 % de son audience. En septembre, Google en avait remis une dernière couche en coupant l’accès du site à son réseau publicitaire, le privant ainsi d’une partie très importante de ses revenus. Par son refus de condamner Google à dédommager FranceSoir, c’est donc une nouvelle trahison de la justice française en faveur des multinationales américaines contre la liberté de la presse et le devoir d’informer. Mais il faut garder espoir, car une loi texane sur les médias sociaux qui leur interdit la censure fondée sur le point de vue politique, a été votée et a été confirmée par la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit. Surtout que depuis le rachat de Twitter par Elon Musk, la liberté d'expression semble donc revenir légitimement en force.
Dans ce sens le temps s’accélère, car il n’y a pas une semaine sans que des dizaines d’événements importants à relater et à mettre en perspective n’adviennent en particulier à notre époque. Événements souvent absents des canaux d’informations télévisuels, d’où l’importance du rôle de X (nouveau sigle de Twitter) dans la contre-propagande. De plus, contrairement aux chaînes d’infos, on y retrouve du beau monde ! Des intellectuels qu’on ne risque pas de retrouver face à des politiques sur les plateaux télé… Donc contrairement aux réseaux sociaux de Meta (Facebook et Instagram) et à la télévision, X reste l’espace de liberté incontournable pour le grand public. Ainsi tout va très vite, car les mensonges, la propagande, la compréhension minimale sur ce qu’il se passe, les rapports de force en présence, les attentats sous faux drapeau et autres couardises sont révélés par des spécialistes de plus en plus rapidement.
« Beaucoup d’agents du Système, effrayés par la liberté d’expression, c’est-à-dire la possibilité de réponse collective à leur propagande, ont quitté le RS de Musk, et des grandes entreprises y ont retiré leurs annonces. Cela n’a pas affecté le multimilliardaire, qui a développé une version payante et a ouvert la porte aux petites et moyennes entreprises. La société aurait perdu, selon la presse économique, 70 % de sa valeur sous Musk. Pour les ingénieurs sociaux qui pensaient avoir le monopole de l’information ou de la désinformation avec le combo GAFAM-médias mainstream, X est un caillou dans la chaussure. Et les autorités européistes ne savent pas comment couper le robinet tout en évitant de passer pour liberticides, alors que la liberté d’expression est inscrite dans l’ADN de l’UE... En France, la Macronie n’a pas ces scrupules, et laisse les organisations communautaires minoritaires transformer toute critique de leur politique agressive en tentative de discrimination ou en « haine ». Hors X, il est difficile de porter et de défendre une parole de vérité, ou tout simplement de bon sens. » (Rédaction ER)
« Or suite à avoir mis discrètement à jour ses conditions générales « pour des raisons de sécurité », la nouvelle politique de Twitter lui permet désormais de pouvoir récolter VOS informations « biométriques », notamment les données d’empreintes digitales, de reconnaissance faciale et de suivi oculaire. En effet la nouvelle politique, qui décrit son intérêt pour la biométrie des utilisateurs comme « à des fins de sûreté de sécurité et d'identification, et de vidage des comptes inauthentiques des bots », ajoute également l'intention de la plateforme de récupérer des données sur les antécédents professionnels des utilisateurs, leur formation et « leurs activités de recherche d'emploi ». La nouvelle politique a également révélé les plans de X pour collecter les antécédents professionnels et éducatifs des utilisateurs. Après la mise à jour, Musk a annoncé que X permettrait bientôt aux utilisateurs de passer des appels vidéo et audio. La plate-forme de médias sociaux anciennement connue sous le nom de Twitter peut désormais récolter vos données biométriques et votre ADN. Une nouvelle mise à jour discrètement ajoutée à la politique de confidentialité de la plate-forme indique que X est désormais autorisé à collecter les empreintes digitales, les scans rétiniens, la reconnaissance vocale et faciale et les modèles de frappe de ses utilisateurs. La mise à jour signifierait que toute personne utilisant la vérification des empreintes digitales pour se connecter à l’application depuis son téléphone, publiant des selfies ou des vidéos sur la plate-forme ou exprimant son opinion sur X « espaces » pourrait voir ses données biométriques uniques cataloguées par l’entreprise. Depuis plus d’une décennie, les grandes entreprises technologiques ont attisé la controverse et préoccupé les défenseurs de la vie privée avec leur intérêt persistant pour la collecte des données biométriques de leurs clients. TikTok, par exemple, s'est autorisée à collecter les « empreintes faciales et vocales » des utilisateurs avec une mise à jour de sa politique de confidentialité en 2021. La société mère de Facebook, Meta, a même annoncé son intention de mettre définitivement un terme à son système de reconnaissance faciale, qui identifie automatiquement les utilisateurs, ainsi que leurs amis et leur famille, sur des photos depuis plus d'une décennie. » (Extraits traduits de l'article à l'adresse https://strategika.fr/2024/03/06/twitter-can-now-harvest-your-biometric-information-including-fingerprint-face-recognition-and-eye-tracking-data-as-musks-site-quietly-updates-its-tcs-for-safety-purposes/)
Il faut noter que le rachat de réseaux sociaux comme Twitter peut montrer que la moitié des comptes supportant Biden et Macron sont des faux, ce qui serait une indication sur le vol de leur élections. Or Guy de la Fortelle précise que la réelle liberté, même dans un réseau social comme Twitter racheté par Musk, serait qu'il devienne un bien commun voire donc publique, car pour l'instant il appartient encore à un ultra riche ayant des liens et des intérêts convergents avec d'autres ultra riches.
« Suite à une plainte collective contre la censure lors du covid remontée jusqu'à la cour suprême, la maison blanche a carrément amené les arguments suivants : la pandémie covid nous a donné le droit de violer la constitution et nous a montré que dans des cas d'urgence l'autorité doit censuré même des discours véridiques, même de la science solide, même de l’expertise réelle dès lors que cela rencontrait un impératif de sécurité aux yeux de l'administration elle-même. En d'autres termes, la maison demande à la cour suprême de les laisser magouiller, truander et violer la constitution lorsque nous considérons que cela s'impose. Ce qui a été appuyé par le New York Times. De plus sur 6500 saisies devant le conseil d'Etat en France concernant le covid, il n'y a eu que 2 suites. Cela veut dire tout simplement que quand il faut aller chercher la justice dans le rôle de l'Etat joue  à l'encontre du citoyen, vous 'avez pas de justice. On a combattu un virus à travers la destruction de quasiment tous les 17 articles de la Déclaration des droits de l'homme. Du jamais vu dans l'histoire. On a été capable d'utiliser tous les moyens possibles et coercitifs pour mettre fin à notre liberté, au nom d'un autre droit qu'on appelle la santé. Au nom d'un droit, on tue tous les autres droits essentiels de l'être humain. La garantie des droits et la séparation des pouvoirs n'étant pas assurées, la France n'a donc plus de constitution, ce qui signifie aussi qu'un coup d'Etat a déjà eu lieu. » (Extraits d'une de Jean-Dominique Michel)