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O) Suite 15 (1)


Sous une forme de protection élémentaire pour la santé mais instrumentalisée, les décisions gouvernementales ont criminellement été mauvaises socialement, psychologiquement et économiquement. Ainsi il est clair que cette dictature sanitaire était une tyrannie se poursuivant, car elle a finalement eu un but très supérieur à la surveillance par un vaccin éventuellement numérique : appauvrir et détruire les États pour distribuer toujours plus de richesses et de pouvoir aux oligarques qui sont d'ailleurs les seuls à s'être enrichi pendant le covid, en plus beaucoup. Surtout que tout cela peut servir à aller jusqu'à la tyrannie écologique sous de pseudos prétextes comme la lutte contre l'effet de serre.
Les masques commencent à tomber ! : Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à GlaxoSmithKline, qui possède (accidentellement) Pfizer ! Celui qui fabrique le vaccin contre le virus qui a (accidentellement) commencé au laboratoire biologique de Wuhan et qui a été (accidentellement) financé par le Dr Fauci, qui (accidentellement) fait la promotion du vaccin ! GlaxoSmithKline est (accidentellement) gérée par la division financière de Black Rock, qui gère (accidentellement) les finances de la société Open Foundation (Fondation SOROS), qui gère (accidentellement) la société française AXA! Le milliardaire Soros possède (accidentellement) la société allemande Winterthur, qui a (accidentellement) construit un laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l'allemand Allianz, qui a (accidentellement) Vanguard comme actionnaire, qui (accidentellement) est actionnaire de Black Rock, qui (accidentellement) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d'investissement mondial. Black Rock est aussi (par coïncidence) un actionnaire important de MICROSOFT, propriété du milliardaire Bill Gates, qui (par coïncidence) est un actionnaire de Pfizer (qui vous vous souvenez ? vend un vaccin miracle) et (par coïncidence) est maintenant le premier sponsor de l'OMS ! Maintenant vous comprenez comment une chauve-souris morte vendue dans un marché humide en Chine a infecté la PLANÈTE ENTIÈRE ! Les marionnettistes du Grand Reset se moquent ouvertement du monde (entier). On imagine leurs séances de brainstorming arrosées d'alcool, et leurs grands éclats de rire quand ils s'amusent à chercher le nouveau nom du variant suivant concocté pour leurs victimes.
Derrière Big Pharma et ses médias se cachent Vanguard : Edmond De Rothschild, la famille Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller ; Black Rock : Rothschild, Elisabeth II, Al Gore, Warren Buffett, George Soros, Carlos Slim.
De la même manière que le consommateur a été trompé sur la médicalisation comme voie de bonne santé, il est probable qu’il le soit encore sur les possibilités curatives d’implants et autre processeurs connectés. Et si d’aventure nous gagnions en forme grâce à la science, il resterait toujours le marché (illégitime) de la gestion du vieillissement ou de l’immortalité. Sans surprise, la liste des produits dérivés est longue... Nous n’avons plus de temps à perdre pour devenir responsables et autonomes en matière de santé. » (Extraits de l'article « La (perverse) déification de la science à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-science-gagnera-67699.html)
Surtout que le coronavirus n'est pas un virus tueur mais amplificateur de comorbidité. Et c'est plutôt le problème des perturbateurs endocriniens (venant de la mauvaise gestion environnementale comme l'utilisation des pesticides, de particules lourdes du secteur pétrochimique ou d'hormones de croissance dans l'élevage industriel se retrouvant dans l'eau) qu'il est grandement prioritaire de traiter, car souvent à l'origine de nombreuses de ces comorbidités tels les cancers (de plus en plus tôt), les diabètes type 2, l'obésité, les maladies auto-immunitaire, et diverses maladies génétiques dégénératives.
Il faut savoir qu'un premier type de vaccin correspond à injecter du virus inactivé pour entraîner la réaction immunitaire contre cet éventuel futur virus activé (originel, fort).
Un deuxième type de vaccin vient de la culture en laboratoire d'une protéine (recombinante) équivalente à celle portant le virus dans laquelle on introduit le gêne du vrai virus (qui détient le secret de fabrication de la vraie protéine entourant le virus), puis on les fait produire (aussi en laboratoire) dans des cellules qui sont de véritables usines à protéine virale fabriquée, puis on éclate les cellules afin de nettoyer la protéine virale puis de l'injecter dans les personnes.
Le vaccin génétique ARN (Pfizer via une particule de graisse possiblement porcine voire humaine provenant de fœtus avortés servant probablement en plus à d'autres composés du vaccin : lire à ce sujet l'article États-Unis : Big Pharma et le trafic de fœtus à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-Big-Pharma-et-le-trafic-de-foetus-65127.html) ou ADN (AstraZeneca via un adénovirus recombinant, désarmé, inoffensif de chimpanzé pouvant être avec la particule porcine précédente une interprétation de la marque de la bête évoquée dans la Bible) envoie à nos cellules une portion (partie du virus sars cov 2) du secret de fabrication de la protéine spike (portant normalement le virus qui incarne la maladie) afin de la faire produire par nos propres cellules et de faire réagir le système immunitaire contre cette partie du sars cov 2. (Pour provoquer une réponse immunitaire artificielle, des scientifiques ont même très gravement mis au point des particules synthétiques semblables au coronavirus. Ces dernières imitent les structures-clés du pathogène : la protéine « Spike », la protéine d’enveloppe et sa protéine membranaire.) Or la plupart des vaccins autorisés actuellement, comme Pfizer ou AstraZeneca, sont basés sur la protéine Spike seule, ce qui les rend moins efficaces au fil du temps car la protéine Spike du virus mute. En effet en visant et donc imitant plusieurs parties du virus originel, ces vaccins ne peuvent être résistants aux variants. De plus ces derniers vaccins posent un certain nombre de problèmes (surtout car pouvant se recombiner avec d'autres virus, devenir impuissants ainsi que le système immunitaire face à des variants ou créer dont possiblement suite à une création trop importante de protéine spike une réponse immunitaire trop forte, et pouvant donc ensuite amener à une défense immunitaire affaiblie et en baisse), comme des thromboses, des AVC, des myocardites, beaucoup de désordres du coeur, infarctus du myocarde, des attaques, des myélites transverses, des encéphalites, des méningites, des embolies majeures ou mineures, péricardites, de la tolérance réduite à l’effort. Or comme le précisent certains savants dont le vaccinologue Geert Vanden Bossche, cela peut même modifier le fonctionnement des cellules et créer des variants surtout qu'auparavant un vaccin comme contre la rougeole était en rapport avec la nature, alors la protéine spike fabriquée par le virus sars cov 2 pour faciliter son déplacement et s'introduire nuisiblement dans son hôte n'est pas créée spontanément par le corps humain. Ce qui fait que les personnes vaccinées fabriquant cette protéine sont devenus des OGM humains, et qu'ils sont la première grande partie de l'humanité à être entrée massivement dans le pervers transhumanisme mondialiste (la production de la protéine spike inexistante dans le corps humain prouve que les vaccinés sont désormais des êtes humains augmentés). Surtout si ce virus est une construction humaine inexistante dans la nature et probablement une arme biologique créée en laboratoire, puisque divers laboratoires (dont chinois et ukrainiens) travaillaient sur l'augmentation de la charge virale (gain de fonction ou de viralité signifiant plus virulent plus transmissible) des coronavirus. D'autant plus que la protéine spike est donc produite désormais par les cellules des vaccinés, alors que cette protéine spike apparaît de plus en plus comme toxique pour l'organisme par sa multiplication trop importante et ses effets déchirants se voyant à travers l'augmentation de crises cardiaques, l'apparition de troubles cognitifs précoces tel presque un début d'Alzheimer puisque à partir de trentenaires, et l'affaiblissement voire la destruction ou la perversion du système immunitaire puisque suractivé à cause de l'ARN messager et laissant donc passer dans le corps des vaccinés une grande partie du reste des dangers sanitaires. En effet selon divers savants, les "vaccins" ARN ordonnent à TOUTES les cellules de fabriquer un maximum de protéines Spike qui est la plus dangereuse du virus, puis nos défenses immunitaires attaquent nos cellules qui contiennent du Spike. De plus il a été  trouvé que quasiment toutes les pathologies du virus étaient dues principalement à la toxicité de la spike. C’est donc simple à comprendre. Les vaccinés sont donc transformés en usine pour fabriquer de la protéine spike qui est en fait la partie toxique. Ainsi les vaccins transforment les humains en usine à fabriquer une molécule toxique.
De plus la majorité des Israéliens se sont fait piéger, car leurs trois doses n’ont servi à rien, si ce n’est à faciliter l’entrée du dernier variant dans leurs corps. Surtout que ces vaccins génétiques obligent donc le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active, ce qui signifie qu'ils sont en réalité un accélérateur de propagation du virus. Le professeur Perronne précise même que ce ne sont pas des vaccins mais des boosters de virus.
Le texte suivant est un résumé écrit des présentations des docteurs Bhakdi et Burkhardt lors du symposium Doctors for COVID Ethics qui a été diffusé en direct par UKColumn le 10 décembre 2021 :
« Une erreur fondamentale à la base du développement des vaccins Covid-19 a été de négliger la distinction fonctionnelle entre les deux grandes catégories d’anticorps que le corps produit pour se protéger des microbes pathogènes.  La première catégorie (IgA sécrétoire) est produite par les cellules immunitaires (lymphocytes) qui sont situées directement sous les muqueuses qui recouvrent les voies respiratoires et intestinales. Les anticorps produits par ces lymphocytes sont sécrétés à travers et à la surface des muqueuses.  Ces anticorps sont donc sur place pour rencontrer les virus transmis par l’air, et ils peuvent être en mesure d’empêcher la liaison virale et l’infection des cellules. La deuxième catégorie d’anticorps (IgG et IgA circulants) se trouve dans la circulation sanguine. Ces anticorps protègent les organes internes de l’organisme contre les agents infectieux qui tentent de se propager via la circulation sanguine. Les vaccins qui sont injectés dans le muscle – c’est-à-dire à l’intérieur du corps – n’induiront que des IgG et des IgA circulants, et non des IgA sécrétoires. De tels anticorps ne peuvent pas et ne protégeront pas efficacement les muqueuses de l’infection par le SARS-CoV-2. Par conséquent, les « percées infectieuses » actuellement observées chez les personnes vaccinées ne font que confirmer les défauts de conception fondamentaux des vaccins. Les mesures d’anticorps dans le sang ne peuvent jamais fournir d’informations sur l’état réel de l’immunité contre l’infection des voies respiratoires. L’incapacité des anticorps induits par le vaccin à prévenir les infections par coronavirus a été signalée dans des publications scientifiques récentes. Les vaccins peuvent déclencher une autodestruction. Une infection naturelle par le SARS-CoV-2 (coronavirus) reste, chez la plupart des individus, localisée aux voies respiratoires. En revanche, les vaccins amènent les cellules situées au plus profond de notre organisme à exprimer la protéine de pointe virale, ce qui n’était pas prévu par la nature. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui fera intervenir à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous constatons aujourd’hui que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, ce qui entraîne une myocardite, voire un arrêt cardiaque soudain et la mort. Comment et pourquoi de telles tragédies qui pourraient être liés à la vaccination sont restés des conjectures, faute de preuves scientifiques. Cette situation est maintenant rectifiée. L’analyse histopathologique montre des preuves claires d’une pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans plusieurs organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produise très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel. Sans aucun doute, l’injection de vaccins génétiques Covid-19 met des vies en danger de maladie et de mort. »
« De plus un vaccin utilisant une seule protéine, générant de fait une immunité « étroite » contre peu d’antigènes, aura une probabilité plus forte d’induire un échappement par mutation du virus. Les vaccins ARNm peuvent donc beaucoup participer gravement à la mutation fréquente du covid, surtout que pouvant finalement devenir des mutants plus résistants en particulier face aux vaccins s'affaiblissant avec le temps plutôt qu'à l'immunité naturelle. Il faudrait donc normalement une large couverture des différentes souches du virus et un contrôle de l’échappement immunitaire par sélection de variants. C'est pourquoi des combinaisons d'anticorps monoclonaux neutralisant le virus et non concurrentes pourraient être utiles. » (Passages résumés de l'excellente interview : « Ne faisons pas un remède pire que le mal" : l'entretien essentiel, avec Christian Vélot » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=nLyP03Iq4-4)
Christian Vélot précise ailleurs : « Évidemment, comme c’est pour échapper au système immunitaire, plus il y a d’entraves lors de la multiplication du virus (des embûches, des anticorps), plus il va essayer de les esquiver, plus on va générer de variants. Si vous avez une population non vaccinée, le virus va circuler et les gens vont l'attraper ; alors évidemment si ça donne une maladie grave il faut faire quelque chose, mais si les gens ne sont pas fragiles, ils vont développer leur immunité naturelle. (Surtout que si ils préservent ou développent leur immunité mentale et intellectuelle (sérénité intérieure et raison posée), leur immunité physique sera plus forte, puisque toute deux s'alimentent mutuellement. C'est pourquoi à notre époque et d'autant plus face aux actuelles crises sanitaires, économique, climatique, ukrainienne, inflationniste et wokiste, la défense personnelle, familiale et sociale commence par l'immunité mentale et intellectuelle liée à la piété.) Si on a une vaccination digne de ce nom face à cette maladie grave, c’est-à-dire un vaccin qui anéantit le virus, qui le bloque, pas de problème de faire une vaccination massive, aucun problème. Mais lorsqu’on a un vaccin aussi imparfait que ceux qu’on nous propose, devrais-je dire ceux qu’on nous impose, que sont les vaccins génétiques aujourd’hui, qui ne protègent ni de la contamination ni de la contagion, donc qui laissent circuler le virus, … donc si on fait une vaccination massive avec un vaccin qui laisse circuler le virus, on se place dans des conditions d’émergence et de sélection de virus variants. Alors c'est un mensonge de dire que les personnes qui ne sont pas vaccinées sont des égoïstes qui ne pensent pas à la collectivité. »
La protéine Spike peut provenir du SARS-CoV-2, mais aussi donc des vaccins ARN et ADN puisqu’ils commandent à nos cellules de la fabriquer afin d’entraîner notre organisme à neutraliser le virus qui la porte. Le Pr Perronne a même dit : « On est en train de modifier les cellules des gens. » Normalement un vaccin permet l'apparition d'anticorps devant rester dans le bras pour détruire les antigènes. Cependant cette protéine se répand dangereusement dans le corps dont dans le cerveau et le cœur. La protéine Spike est donc nocive, car elle ne reste pas dans les membranes des cellules qui font la transcription de l'ARN entré dans la cellule, c'est à dire dans l'endroit où l'ARN est traduit par le ribosome en une protéine « spike », alors qu'il était annoncé que cette protéine était la meilleure cible sur le coronavirus, puisque les anticorps vont s'accrocher à elle afin de l'empêcher de faciliter l'entrée du virus. Or la façon dont les vaccins ADN et ARN procurent réellement la protection est de la cytotoxicité (détérioration) cellulaire provenant de la création de lymphocytes T cytotoxiques. C'est à dire que ces derniers peuvent très dangereusement attaquer toutes les cellules créatrices et porteuses de la protéine Spike, surtout que cette dernière se répand donc souvent massivement dans le corps, le cerveau et le cœur en créant des problèmes comme des dégénérescences mentales et physiques, des maladies cognitives, de la psychose pouvant aller jusqu'au suicide, des incohérences mémorielles, la stérilité des ovaires, des myocardites (gonflement du cœur par conséquent contraire à l'affinement de sa sensibilité et de sa noblesse pieuses à l'image de certains êtres humains). D'autant plus qu'il s'agit d'un sacrifice de cellules par le système immunitaire qui les attaque.
Ces vaccins sont donc bien clairement une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe Spike (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19) saturant et donc infectant désormais même le foie. La protéine Spike est ainsi fabriquée par nos cellules qui ont été ni plus ni moins piratées comme le vaccin ARN était entré par un mensonge pour les produire à la différence des autres vaccins qui sont reconnus pour activer le système immunitaire. Or c'est un risque non nul que cette fabrication devienne anarchique et provoque ce qui a déjà été rencontré et évoqué de nombreuses fois, c’est-à-dire des concentrations dans le cerveau, le cœur ou les gonades, entraînant des phénomènes thrombotiques graves, voire mortels, des fausses couches ou une stérilité, féminine comme masculine.
Selon le Dr Ryan Cole, les organes touchés par les injections massives de protéines Spike sont les poumons, les reins, les ovaires, les testicules, le foi. En sachant que certains savants disent que l'ARN artificiel des vaccins pourraient même possiblement entré dans l'ADN humain. Le vaccin ADN est en réalité un adénovirus recombinant, mais c'est aussi de la technologie de thérapie génique et tout ce qui découle de la traduction de la protéine spike est identique à ce vaccin dont le ARN. Ceci indiquant que nous vivons très probablement la fin des temps.
La vaccination à ARNm consistant donc à pirater le corps humain et précisément ses cellules afin qu’elles utilisent leur propre machinerie pour fabriquer la protéine S (dite protéine spike, une des quatre protéines structurelles du SARS-CoV-2) via l’information de construction que constitue le fameux brin d’ARN messager, il en ressort que la prolifération de la protéine spike dans le corps humain, s’il est parfois contenu et limité, peut dans d’autres cas se répandre dans le corps entier et faire son œuvre qui consiste à s’amarrer aux récepteurs ACE-2, entraînant une inflammation des tissus pouvant conduire à la mort. En effet à l’autopsie apparaissent souvent des lésions disséminées jamais vues, avec une forte infiltration de lymphocytes au niveau des tissus, signant des problèmes inflammatoires disséminés dans le corps, des inflammations rhumatismales, des micro-thromboses d’artères. Les micro-thromboses dans le corps entraînent des risques à moyen ou long terme. Dans le foie, la régénération est possible, mais pas dans les poumons où il existe un risque de pression dans les artères pulmonaires et donc d’insuffisance cardio-respiratoire. Quant aux myocardites constatées, souvent soignées dans un premier temps, elles ont un diagnostic à 5 ans défavorable, avec environ 50% de décès sur un tel terme, selon le Dr Ochs.
Par rapport à autant de gravité sanitaire, Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, a même été jusqu'à affirmer que les pays occidentaux mènent une guerre contre toutes les religions mais également contre le code génétique de toutes les civilisations humaines dont pour la domination oligarchique.
« Le covid est une arme biologique qui a été utilisée par les forces globalistes pour mettre sous contrôle les populations. La Russie a oscillé entre obligation vaccinale et liberté totale, sans doute parce qu’elle s’était persuadée qu’il fallait maintenir une forme de dialogue avec l’Occident. Identiquement, il y avait un mouvement de balancier entre des phases un peu idéalistes de rapprochement avec l’ouest et des phases de réalisme géopolitique. Aujourd’hui les liens de dépendance politique, économique mais aussi idéologique sont rompus. L’hégémonie culturelle de l’Occident, la pensée unique (et leur idéologie ploutocratique malthusienne) ont fait leur temps. Depuis le début de l’opération spéciale, la Russie trace sa propre route. » (Daria Douguine)  Des chercheurs israéliens ont montré que le coronavirus SARS-CoV-2 provoquait des répercussions sur le système cardiaque et vasculaire en général. On imagine aisément que la vaccination à ARNm, en piratant la cellule humaine pour lui faire produire le virus, reproduit les mêmes symptômes. C'est pourquoi que le taux important de remplissage des urgences américaines est moins étonnant, alors même que l’épidémie est en recul aux États-Unis.
Le biologiste Clemens Arvay se demande en plus si les vaccins actuels à ARNm et à vecteur contre le SRAS-CoV-2 pourraient poser des problèmes à l’avenir en raison des anticorps qui renforcent l’infection. Une étude évaluée par des pairs et publiée dans le Journal of Infection met en garde contre les anticorps favorisant l’infection qui, selon l’étude du modèle de biologie moléculaire, sont formés en réponse à la vaccination et ont pu favoriser l’infection avec les variants Delta désormais dominants. Il préconise ainsi le principe de précaution.
De plus les vaccins à ARNm covid "reprogramment" (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives, innées et particuliers, qu’ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses. C'est pourquoi il est clairement possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique. Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite.
Et les vaccin ARN peuvent donc détruire l’immunité corporelle, cela pourrait faire des dégâts incalculables, puisqu'ils vont s’étaler sur des années voire probablement sur des décennies.
Lire à ce sujet l'article « Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise à un rythme alarmant » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/21/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/
D'ailleurs des médecins du monde entier signalent une augmentation de la famille des virus de l’herpès, ainsi que du zona, du virus du papillome mono et humain (VPH) dans les biopsies cervicales, les frottis des femmes, et des biopsies tissulaires des hommes, un système immunitaire approprié dans le corps pour garder le cancer sous contrôle. Les médecins signalent que les cancers de l’endomètre, les mélanomes invasifs et divers autres cancers ont ainsi augmenté suite à la vaccination. On prévoit déjà que l’incidence de divers cancers sera aussi importante chaque année. En outre, de nombreuses infections opportunistes secondaires qui sont souvent observées chez les patients atteints du VIH se manifestent également chez ceux qui ont reçus le vaccins ARN ou été infectés par le SARS-CoV-2 (qui contiendrait d'ailleurs artificiellement une séquence du VIH suite à une manipulation en laboratoire selon le Professeur Montanier, surtout que selon cet article à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/12/les-preuves-biochimiques-et-statistiques-officielles-confirment-a-100-que-moderna-a-cree-le-covid-19/, les preuves biochimiques et statistiques officielles affirmeraient que Moderna a créé le Covid-19).
Il faut noter que les variants du virus corona proviennent d'une pression immunitaire immense des vaccins ARN et de la vaccination massive empêchant l'immunité naturelle (ou innée) collective. Toute cette histoire correspond donc à une manipulation des peuples par la pseudo science biologique et génétique.
Surtout que la chloroquine vient d'un arbre et est donc en conformité avec la médecine prophétique basée sur l'utilisation des végétaux, et qu'en réalité, le seul vaccin valable et réellement efficace est la bonne hygiène de vie renforçant notre système immunitaire. En effet de plus en plus de chercheurs affirment que c'est la mauvaise hygiène de vie liée à des pratiques immorales, un état psychique faible, la pauvreté, la pharmacologie corrompue, ou le manque de sanitaire, qui affaiblissent et effondrent le système immunitaire, et non les virus, les bactéries ou les métastases.
Si le Covid instrumentalisé par les oligarchies perverses attaque en priorité les pays développés et émergents, c'est avant tout pour soumettre leurs économies et supprimer la liberté de commerce, et probablement voire d'abord pour ménager les oppressifs grands groupes financier privés dénoncés par les gilets jaunes et la réalité de l'hyper classe pédocriminelle le révélait l'affaire Jeffrey Epstein impliquant Bill Gates.
Les quatre principales raisons de la continuité du Covid, liées au fait que mêmes les oligarchies perverses savent que le système va s'effondrer, semblent être par ordre d’importance et de priorité :
.Prétendu grand reset qui probablement sera seulement partiel afin d’endormir les peuples pour continuer de les appauvrir par cette mesure sournoise préservant le système d'usure internationale. Il s'agit d'imposer par un chemin inverse à l'affrontement, un totalitarisme consenti dont à cause de la crise du Covid, l'inflation, la crise énergétique, l'engagement climatique et la guerre en Ukraine, c'est à dire en partant du libéralisme plutôt que du communisme.
.Fin de l’argent papier.
.Finir de subordonner la plupart des pays aux grosses sociétés pour que ces entreprises gouvernent presque entièrement le monde.
.Enrichir l'industrie pharmaceutique avec les vaccins, voire contrôler le peuple par des passeports sanitaires, puis par un passeport écologique puis une identité numérique.
« La « vaccination » est exigée comme une marque de confiance, sinon d’allégeance au régime en place. Dans les manifestations contre le « pass sanitaire », les cris de « Liberté ! » se font entendre. Cela se comprend et se justifie. Pour autant, le problème n’est pas tant celui du sacrifice d’une « liberté » abstraite et individuelle (celui-ci se justifierait sous d’autres régimes et sous d’autres cieux), mais bien plutôt qui le demande et pour quel objectif. Macron ne fait qu’accélérer les tendances destructrices de la nation déjà en cours et vient offrir aux destructeurs plus de moyens coercitifs. La décision du Conseil constitutionnel du jeudi 5 août 2021 validant la loi sur le « pass sanitaire » vient parachever un coup d’État fomenté en France de longue date. Pourtant, ne nous y trompons pas. Ce n’est ni l’« État » et encore moins l’« État français » qui est actuellement en guerre contre le peuple de France. Au contraire, on assiste à la faveur de cette crise du covid à une soumission totale de l’appareil d’État au profit d’un effacement complet (et définitif ?) de ce dernier. Le piège se referme sur le peuple français, désormais aux mains d’une oligarchie bancaire, financière, pharmaceutique, qui fait régner son pouvoir par la terreur policière, médiatique et judiciaire, et dont « Macron » est le nom en France mais qui peut s’écrire « Biden » aux États-Unis ou « Trudeau » au Canada. Crise politique, économique et sociale avant d’être sanitaire, le nombre de décès hier, puis le nombre de cas infectés, enfin celui des vaccinés aujourd’hui, sont devenus pour des raisons et dans des conditions qui restent à éclaircir (mais qui pour le moment ne changent rien à l’affaire), le nouvel étalon-mesure de la compétition géopolitique entre les blocs. Comme la course aux armements était celui de la Guerre froide. En l’état actuel du Nouvel Ordre mondial, une nation d’importance n’a d’autre choix que de se soumettre à cette nouvelle échelle des valeurs géopolitiques, sous peine de disparaître de la scène internationale et de subir opprobre, sanctions, embargo, voire à terme destruction. » (René Perriot)
D'ailleurs la crise du coronavirus orchestrée presque mondialement est très probablement une épreuve de la fin des temps pour imposer l'identification numérique à l'humanité après en avoir rendu une grande partie inculte et incroyante, et donc pour la faire obéir massivement dont afin d'obliger les gens réveillés à suivre l'organisation de la majorité endormie. Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui ne veulent pas se faire vacciner car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute.
Comme le prouvent la concentration des pouvoirs pendant l'état d'urgence et le pouvoir donné au préfet dont à l'aide d'une stratégie d'hystérisation du peuple le faisant souvent agir contre ses propres intérêts et contre sa propre santé physique et mentale, cette affaire de dictature liée au covid-19 restera donc dans l’histoire comme la plus vaste opération de contrôle social jamais orchestré par les perverses oligarchies politiques, médiatiques, bancaires, mondialistes et sionistes via le terrorisme sanitaire également instrument mystérieux de pilotage des nations. En effet, cela correspond à avoir créé un problème pour le résoudre par une solution compatible avec le nouvel ordre mondial. Cette organisation autour du covid a même presque été telle une nouvelle religion avec ses interdits (couvre feu), son clergé (comités médicaux soumis au pouvoir), ses rites (masques et gel hydroalcoolique). Cette crise sanitaire plus le vol de l'élection présidentielle américaine par Biden et sont parti démocrate dont à cause du grand nombre des votes par correspondance lié à cette crise covid ont révélé la fin de la superstition démocratique.
La décision de la première institution juridique qu'est le Conseil Constitutionnel, cette espèce de Cour suprême à la française massivement infiltrée par les mondialistes, de valider le pass sanitaire, prouve tout cela et n’est donc pas surprenant. Au départ, elle devait être « une arme contre la déviation du régime parlementaire », celui de la IVe République, selon les propres mots de Michel Debré, le premier ministre du général de Gaulle. Soixante ans plus tard, le régime parlementaire a disparu, il ne reste que le régime présidentiel, et le Conseil Constitutionnel n’est donc même pas une arme contre ce dernier. C’est pour cette raison que nous sommes en dictature : il n’y a plus de frein institutionnel au délire présidentiel, l’homme des puissances occultes, c’est-à-dire de la Banque, des réseaux maçonniques et de la clique mondialiste qui rassemble les tordus du réseau Epstein, le Big Pharma, le Big Tech et les fonds de pension. Toute cette armada, avec sa puissance financière incommensurable et son organisation des crises covid, inflationniste, énergétique et ukrainienne, a lancé une attaque atomique sur la France, affaiblie depuis 20 ou 40 ans (selon qu’on est droite ou de gauche) par l’attalisme qui en ronge les institutions.
Cependant si l'entre-aide et la fédération dans des groupes populaires apparaissent pour lutter contre ces crises, cela donnera une force incroyable à ces gens et les rendra finalement plus vivant qu'avant le confinement telle une bonne thérapie. Il n’est nullement besoin de tomber dans un quelconque « complotisme » pour comprendre que l'oligarchie perverse veut imposer une stérilisation et une centralisation de tout et donc la diminution des interactions sociales afin de dominer le monde. L’observation des faits, leur accumulation et la mise en perspective du sens véritable que visent ces actions impose à tout cerveau éveillé cette terrible conclusion. Surtout que l'OMS servant de plus en plus des intérêts particuliers a amené le mondialisme à fermer les frontières à des pays récalcitrants au plan de vaccination du Covid en particulier ceux refusant aussi des mesures de l'OMC servant aussi de plus en plus des intérêts particuliers.
L’OMS n’est pas un organisme médical mais de santé. Là réside toute la nuance : elle n’a pas autorité à prendre des décisions sanitaires sinon faire des recommandations. Elle est par conséquent et inéluctablement à la merci des pressions politiques. L’OMS, en tant qu’énorme machine administrative, se caractérise par une inertie, un morcellement du travail et des méandres administratifs qui ne font que ralentir son objectif premier. L’OMS est l’organe des Nations unies qui a le plus de procédures en cours au Tribunal administratif de l’Organisation internationale du travail (ILOAT). Bien entendu, il y a en plus des dysfonctionnements et des situations beaucoup plus graves qui relèvent de comportements déplacés, d’abus de position de force, etc, et qui viennent s’ajouter au versant administratif de ce mauvais fonctionnement.
On comprend alors la finalité de la crise sanitaire affaiblissant les économies nationales au profit des ultra riches : il s’agit de tuer le capitalisme, le libéralisme, le libre marché, désigné ici sous le terme de néolibéralisme. Ce programme socialiste se rapproche autant du « socialisme de marché » à la chinoise que du « capitalisme de connivence » que nous connaissons malheureusement en Occident. L’objectif, c’est l’étatisation de la société soumises au grands groupes privés, décrite comme allant de soi, et le confinement semble être une image de notre avenir. Ce qui est proposé dans ces pages n’est rien d’autre qu’un processus de violence révolutionnaire destructeur de nos libertés fondamentales. Pour synthétiser : Great Reset = Covid + réchauffement climatique + crise énergétique + guerre en Ukraine = destruction du capitalisme et de nos libertés. On comprend donc pourquoi les gouvernements (en tout cas les plus étatistes) s’acharnent à détruire l’économie par des confinements stricts, longs et répétés : cela ne relève pas de leur incompétence comme le croient les naïfs, ça fait partie du plan antéchristique, c’est le Great Reset mis en œuvre, la destruction de la petite et moyenne entreprise, l’explosion de la précarité, la mise sous dépendance (de l’État) de millions de personnes, et la restriction des libertés comme on ne l’avait jamais vu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en somme un bond incroyable de l’étatisme soumis au privé dans tous les domaines. Et avec le Covid, le pli étant pris, ça continuera avec la lutte contre la prétendue urgence du réchauffement climatique encore plus tyranniquement mondialiste. Dans l’éternel combat entre la liberté et la tyrannie, cette dernière marque incontestablement des points. Ceci sous l'excuse donc de « nous n’avons pas le choix », comme dans toutes les idéologies totalitaires. Cette « pandémie » a donc été un outil de façonnage des nouvelles mentalités et une orientation vers des Etats qui feront juste le lien entre super riches et le reste du peuple.
A cause d'un mondialisme à outrance qui a détruit les économies, une démondialisation se met ainsi finalement en place, mais seulement pour le peuple et la classe moyenne, et toujours sans les nations, pour que l'oligarchie mondialiste reste des deux côtés de l'économie comme d'habitude pour gérer les crises (récessions) et les croissances. Or cette fois dont à travers le covid, cette oligarchie mondialiste cherche à arrêter la démocratisation de l'économie (dont elle a profité) et donc du low-coast liés au tourisme de masse prolétaire et de la moyenne bourgeoisie, car ce système leur rapporte de moins en moins d'argent, mais aussi car avec l'automatisation et le numérique, elle n'a plus besoin de la masse prolétaire pour faire tourner l'économie et cela pourrait même aller jusqu'à un génocide massif progressif dont à cause des futurs effets secondaires des vaccins déjà importants. Ainsi les seuls qui profiteront du monde ouvert d'avant seront cette oligarchie mondialiste. Surtout que cette crise du Covid associée à la crise énergétique pourrait durer longtemps, d'autant plus que même en devant lutter contre, on pourrait ne rien y faire selon le plan divin, c'est à dire s'il s'agit de laisser un plan diabolique se réaliser momentanément à des fins morales, de changement de paradigme bénéfique à l'humanité, ou/et de réveil spirituel massif. En effet le système ne peut plus nous vendre la mondialisation heureuse ou la respectabilité des élites médiatiques, politiques ou économiques par preuve des crises sanitaires et énergétiques. Les masques tombent et la tyrannie se voit de plus en plus clairement comme lors des persécutions contre des médecins et dissidents, car dans tout plan ou affrontement, la radicalité apparaît dans les temps derniers que sont également la fin des temps selon les prophéties monothéistes. Surtout que rares sont désormais ceux, la lassitude aidant, qui se permettront encore une réflexion désobligeante devant un nez dénudé hors du masque sanitaire, même s'il persiste les attitudes inacceptables de personnes qui se transforment en petits tyrans ou grotesques chefaillons, puisque cette division populaire entre pro-masques et anti-masques a effacé gravement l'empathie et évité la lutte des classes, à tel point que pendant les confinements, 70 % des appels téléphoniques à la police ont été des délations de personnes ne respectant pas les consignes de sécurité sanitaire.
Il apparaît donc que cette crise du covid pourrait aussi avoir cherché à détruire la morale traditionnelle (chrétiennement humaniste, dont donc en effaçant le côté compatissant des gens et en montant les gens les uns contre les autres) et à construire une tyrannie ultra numérisée et robotisée, pour faire du maximum de la population des esclaves lobotomisés par leur consentement paresseux, c’est à dire, esclaves jusque dans leurs esprits et leurs cœurs, dont à travers le télétravail faisant économiser des loyers de bureaux aux multinationales, voire les faisant transformer lucrativement en appartements à louer, et donc en centralisant encore plus l'économie au profit des très riches. D'ailleurs la crise du covid a en plus servi à préparer le peuple à l'inflation du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine favorisant encore plus le télétravail et centralisant encore plus l'économie, car les PME ne pourront tenir financièrement par rapport aux multinationales des super riches. D'autant plus que les ultra riches sont plus préservés des problèmes de l'inflation par rapport à la classe moyenne et qu'ils payent souvent peu voire pas d'impôts par rapport à eux.
De plus après avoir détruit le Réel (économique, en particulier la classe moyenne) par des capitaux virtuels usuriers, les oligarchies corrompues réinvestissent dans le Réel avec des capitaux virtuels. En effet par l’hypercontrainte voire l’hyperviolence, elles ont une volonté délibérée de nuire pour accaparer un maximum de ressources. C'est pourquoi un des buts des crises sanitaire, inflationniste, énergétique et ukrainienne, est de ruiner l’UE au profit des USA.
La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante : « Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre. »
La définition légale d’une conspiration est la suivante : « Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. »
Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’une conspiration (dans les juridictions de droit commun) ou d’une entreprise criminelle commune (ECC) en vertu du droit international.
Ainsi il est clair que la gestion politique du COVID-19 est un arnaque qui a été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés. Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres. En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même. Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions. Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage. Et il ne fait donc aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés. Dans les juridictions de droit commun, l’innocence est présumée, mais les preuves qu’un préjudice a été délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par la plupart des gouvernements du monde, ont clairement trouvé leur origine dans les groupes de réflexion mondialistes et les institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie peu dangereuse. Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que malgré leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre les preuves librement disponibles suggérant que la dangerosité du COVID-19 est très exagérée. Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.
« Seule certitude, les Français ont compris que le futur sera chaotique. Les inconséquences de la prétendue « stratégie » de vaccination en sont le prélude amer. Gestion sanitaire sournoise, décroissance économique, chômage en mode panique, finances de l’État et des entreprises sur le fil du rasoir, restructurations de secteurs entiers : autant de pierres d’achoppement qui mettront face à face un exécutif au bout du rouleau et une opinion publique à cran. » (Le Figaro)
On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée et une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée), contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma, le Big Tech et la sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement. Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique.
On glisse vers une situation à la britannique, où le culte du profit, la destruction du public au profit du privé sont rois. En France, le basculement dans le totalitarisme néolibéral va tuer, c’est évident, des gens qui ne devraient pas mourir. C’est sous nos yeux, sous Macron 1er. Quand on pense aux 10 000 soignants que Véran a mis dehors car ils ne veulent pas du satané vaccin, et histoire de redresser les comptes de l’hôpital public, sous couvert de pandémie, on se dit que le cynisme est un crime. Il ne fait pas bon être fragile dans la France de Macron et ses sbires. Notre système de santé a été détruit sciemment par les politiciens corrompus qui ont ouvert la porte à tous les diables du privé. Quand on vote pour ces gens-là, on le paye très cher, dans sa chair.
Or avec une relative pénurie alimentaire ou un affaiblissement de l'approvisionnement des matières premières voire une grosse crise économique, le système peut éviter d'avoir à donner des contre-ordres concernant la tyrannie sanitaire pour continuer d’apeurer le peuple, de faire disparaître les PME (l'artisanat) au profit l'industrie et ainsi de la centralisation économique, et donc de contrôler de plus en plus toutes les ressources, toutes les technologiques et tous les services, surtout que cela va empirer à cause des actes occidentaux ayant poussé la Russie à entrer en guerre contre l'Ukraine.
Un retour en partie au monde d'avant pour l'élection présidentielle a cependant été possible afin de faire réélire le fils de la banque. Mais qu'en partie car une fois qu'un gouvernement a ordonné que des enfants de 6 ans portent traumatiquement des masques pendant 8 heures à l'école, c'est que le pire est dans un sens atteint et qu'il n'est pas prêt de s'arrêter. Et il faut espérer se tromper fortement à ce sujet.
Sous prétexte de lutte contre la pandémie, nous sommes en train d’assister aux premières étapes d’une ère dirigée par les multinationales. En effet dans le silence le plus complet, la réunion du G7 au niveau des chefs d’Etat s’est tenue par visioconférence. Prétextant la nécessité d’une coalition plus forte des différents États du monde pour faire face au Covid-19 et au nom, bien sûr, de la démocratie, le G7 s’est mis d’accord sur deux points : le G7 annonce participer au programme COVAX de l’organisation GAVI ; il affirme sa ligne mondialiste avec des mesures économiques et politiques qui dépassent le cadre des Etats. Le programme COVAX, qui sera directement présidé par le GAVI (Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation), vise à favoriser et accélérer la vaccination dans le monde. Les Etats du G7, en acceptant d’y participer, lèguent leur pouvoir au GAVI pour produire et homologuer les vaccins. Cela permet à une entité privée supranationale de prendre des décisions sur la base d’un accord préalable des Etats. Le programme COVAX s’inscrit encore plus mondialement dans un partenariat plus large appelé ACT-A, puisque accepté par le G20 en avril 2020. Lire à ce sujet l'article « Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial » à l'adresse https://strategika.fr/2021/11/06/comment-le-g20-instaure-progressivement-un-nouvel-ordre-politique-mondial/
Mis en place par l’OMS, l’ACT-A est une initiative mondiale pour lutter contre les maladies et met en lien les Etats avec l’OMS, le CEPI, le GAVI, et la fondation Bill et Melinda Gates. Etant donné que Bill Gates finance très largement les trois organisations précitées, en réalité c’est un partenariat entre les Etats et Bill Gates.
Les responsables politiques disent qu'ils ont fait ce qu’ils pouvaient face à la crise du Coronavirus : ils ont juste endetté la France sur 400 ans, détruit notre système immunitaire, traumatisé à vie nos enfants, écrasé l’économie, détruit nos droits fondamentaux, volé un an et demi de notre vie, annulé des RTT pour les soignants, supprimé des lits d’hôpitaux et fait fermer un service d’urgence en pleine pandémie. Surtout que même si le rôle de l’État est de protéger le citoyen contre un danger extérieur, les non-vaccinés ne représentent un danger que pour eux-mêmes.
Les sept étapes du passage de la pandémie au totalitarisme privé peuvent être résumée ainsi : L’état d’urgence immédiat ; une intense propagande ; l’imposition des tests sans réglementation ; le maintien des mesures restrictive ; l'arrivée des passeports immunitaires ; une impulsion concertée de l’OMS, de Bill Gates, de ses collaborateurs et des entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques des gouvernements et des universités ; l'orientation vers la privatisation de la santé et du contrôle des populations.
« Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le pass sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.
On peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un pass sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre leurs mouvements avec cette mesure sans précédent. Tout porte à croire que les décrets qui se succèdent, comme s’ils émanaient d’une seule personne (que pourrait être le cabinet Kinsey), doivent s’inscrire dans un processus de transformation des institutions et des paradigmes de gouvernance des sociétés dans lesquelles nous nous trouvons. Une transformation d’autant plus insidieuse que, comme cela s’était produit avec le fascisme, elle se déroule sans changement dans le texte de la Constitution, subrepticement.
Le modèle ainsi érodé et annulé est celui des démocraties parlementaires avec leurs droits, leurs garanties constitutionnelles. Et à leur place apparaît un paradigme de gouvernement dans lequel, au nom de la biosécurité et du contrôle, les libertés individuelles sont vouées à subir des limitations croissantes. La concentration exclusive de l’attention sur les infections et la santé, en effet, semble nous empêcher de percevoir quel est le sens de cette grande transformation qui s’opère dans la sphère politique. Et cela nous empêche de réaliser que, comme les gouvernements eux-mêmes ne se lassent pas de nous le rappeler, la sécurité et l’urgence ne sont pas des phénomènes transitoires, mais constituent la nouvelle forme de gouvernementalité. Dans cette perspective, il est plus urgent que jamais que les parlementaires considèrent la transformation politique en cours avec une extrême attention, qu’ils ne se concentrent pas uniquement sur la santé. … La transformation politique en cours est à terme vouée à vider le Parlement de ses pouvoirs, en le réduisant comme il se passe actuellement, à simplement approuver au nom de la biosécurité, des décrets qui émanent d’organisations et de personnes qui ont bien peu à voir avec le Parlement. » (Gorgio Agamben)
La plupart des dirigeants même Poutine se sont soumis aux mesures liberticides du covid d'abord car c'était un possible grand danger, mais aussi car cela pourra leur resservir pour calmer leur peuple si nécessaire, comme pourrait servir les bons de rationnement par rapport à des pénuries tel un contrôle de toutes les ressources. Or M.Poutine a probablement autorisé momentanément les confinements et un pass sanitaire plus pour gérer la pandémie et la panique occidentales afin d'apaiser son opinion publique, surtout qu'il a refusé de forcer les gens à se faire vacciner car la nature du virus était obscure.
Par ailleurs « Outre l’aspect mercantile des tests RT-PCR et autres, pudiquement baptisés antigéniques, ces outils sont liés à la collecte de matériel génétique et non à un quelconque diagnostic, voire en plus à un recensement déguisé. En termes plus bruts, la pandémie a été une occasion rêvée pour la collecte forcée et massive de matériel génétiques à des populations (identité génétique de chacun) non consentantes en temps normal, mais trompées sur l’usage et la destination de cette collecte. Cela explique en partie pourquoi le président Emmanuel Macron et son proche entourage ont refusé de se soumettre à un test RT-PCR ou à un test antigénique lors de son déplacement en Fédération de Russie. Ils ne sont pas les seuls. Ils savent que ces « tests » sont des moyens de collecte d’ADN à des fins non médicales. Les manipulations sur le génome humain ne sont plus un secret. L’usage sécuritaire et policier des échantillons ADN est par contre connu même si celui-ci donne lieu à des controverses. Demeurent des questions d’ordre logistique : Comment collecter des photographies faciales de milliards de personnes sans mettre en œuvre une logistique colossale ? Traquer le déplacement de ces milliards de personnes et pouvoir scanner l’empreinte digitale et l’iris de chaque individu ? Mieux son ADN ? On dispose aujourd’hui d’éléments de réponse à ces questions. L'imposition aux fabricants de smartphones d'interdire les batteries amovibles, puis par effet de tendance les impositions d'inclure des senseurs de plus en plus précis, des lecteurs généralistes d’empreinte et des technologies de reconnaissance faciale, se sont avérées autant de mesures insuffisantes. Il fallait un fermage massif et autofinancé de matériel génétique humain. C’est ce qui s'est fait depuis 2020 avec l’émergence de véritables fermiers généraux de l’ADN humain de plus de sept milliards d’individus sur un total de près de huit milliards d’habitants. Donc l'humanité s'est fait trompée par le biais de la fabrique de la peur à travers une ingénierie sociale classique, qui s'est poursuivie par la contrainte de soumettre les gens à une collecte consentie de leur matériel génétique sous un prétexte fallacieux de pseudo diagnostic. Or on ne sait toujours pas à ce jour l’usage réel qui pourra être fait de tout ce matériel génétique collecté sur l'humanité. » (article Strategika.fr)
Le pass vaccinal n’est qu’un essai du crédit à la chinoise qui s’en vient : la disparition de la monnaie liquide, la mutualisation des informations personnelles économiques et de santé au sein d’une carte électronique ou même d’une application, le flicage intégral des déplacements, la reconnaissance faciale, les chantages à l’assurance au regard de votre santé ou de votre façon de vivre, etc.
D'ailleurs le chaos du soir de la finale de la ligue des champions 2022 en France a possiblement été organisé afin de justifier un accroissement de la surveillance des citoyens à travers la mise en place progressive la reconnaissance faciale. En France, on est habitués au laisser-aller calculé, afin de tenir en respect la population respectueuse des lois... C’est le principe des kapos qui font régner la violence dans les camps (nazis ou soviétiques) : en entretenant une insécurité de basse intensité, la racaille du bas sert les dessins de la racaille du haut.
La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires » (qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr), les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg causées par la vaccination obligatoire. Même l’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès, en particulier concernant les atteintes au corps.
Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible, ce qui annonce de possibles événements plus graves pour passer à un stade supérieur, comme le prouvent l'inflation, la crise énergétique, les pénuries, les coupures, la guerre en Ukraine. Sinon avec l’augmentation de l’immunité dans la population et avec Omicron, il y aura beaucoup d’immunité naturelle en plus de la vaccination, et nous avancerons rapidement vers un scénario qui sera plus proche de l’endémicité et donc de la perte de contrôle par le système. Surtout qu'avec des rappels tous les quatre mois, il y aura potentiellement des problèmes de réponse immunitaire, et qu'avec l’administration continue de doses de rappels, cela entraîne évidemment la lassitude de la population. Nous en sommes donc au point où nous pouvons dire de façon acceptable que nous pouvons désormais vivre avec le virus, et où le système va effectivement continuer d'avancer son agenda par d'autres grands événements.
« Or pour le système, vivre avec le virus endémique ne signifie pas de diminuer fortement les mesures liberticides et contraignantes.
Un Article du Guardian explique que vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection, que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais que rien ne changera en ce qui concerne les masques ou les (soi-disant) vaccins et que tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements.
Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir. Mais pourquoi assouplissent-ils le discours ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse par des révolutions populaires. Peut être ont ils aussi le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario...
Or on peut suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement : des chocs environnementaux et économiques qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques, à des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage, à un chaos inflationniste, à la mise hors service ou au remplacement d’Internet, à des problèmes avec la Russie, voire à une cyber-attaque mondiale, et donc à tout ce qui pourrait accélérer leur grand reset… » (Extraits de l'article « Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/14/ce-que-signifie-vraiment-vivre-avec-le-covid-et-la-prochaine-etape-dans-le-plan-de-la-gouvernance-mondiale/)
L'idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes de la shoah et du Sida.
Or il suffirait d’arrêter de se faire tester pour que la pyramide de Fauci s’effondre, et que les oukases des gouvernements ne puissent plus se fonder sur des stats affolantes. C’est l’affolement qui crée le test, le test qui crée la répression, et la répression qui crée l’affolement. C'est une machine infernale, un cercle vicieux, une boucle cybernétique folle, mais qui peut donc être arrêtée facilement si les gens ne se font plus testés.
« En décembre 2021, l'OMS s’est réuni en toute urgence pour adopter le Traité pandémique, dont l’intérêt est de sortir la gouvernance des limites posées par les textes en vigueur, qui ne sont pourtant pas si contraignantes que cela, comme l’expérience le montre. Plusieurs éléments apparaissent. Il s’agit notamment de renforcer le travail sur les données génétiques, et de donner un fondement à la limitation globale des droits de l’homme, au transfert des compétences étatiques vers l’OMS, etc. L’intérêt de l’adoption d’un Traité, et non pas d’une modification du règlement sanitaire, est politique et juridique : la ratification au plus haut niveau va impliquer les décideurs politiques dans les pays, et juridiquement le Traité va entrer dans l’ordre juridique national. Ce Traité doit également être global, car il doit non seulement interagir avec les autres instruments juridiques internationaux déjà existants, mais il doit en simplifier les mécanismes et élargir leur champ d’action donc au niveau supranational. Surtout, il permet de se réapproprier la définition de la pandémie, qui va permettre de lancer ces mécanismes de gouvernance. Dans la négociation de ce Traité, les ONG et les entreprises, notamment pharmaceutiques, sont considérées, en plus des « partenaires » qualifiés de scientifiques qui font la comm covidienne, comme des sujets de premier choix. La question des conflits d’intérêt est abordée pour être immédiatement écartée, puisqu’ils détiennent des « informations » importantes... Même s’il va falloir du temps pour ratifier ce Traité, il est attendu qu’il provoque un effet politique de mobilisation dans les pays, et donc de facto, des effets avant même son entrée formelle en vigueur. Ces mécanismes s’appuient évidemment sur le principe de loyauté internationale, ce qui effectivement fonctionne très bien au niveau des élites dirigeantes, quel que soit le pays. Si la forme et la question du financement sont très développées dans le projet publié, la question du contenu est touchée de manière assez floue, car c’est bien le point le plus sensible.
Si les formulations sont vagues, l’ONU donne le ton : il faut renforcer les pouvoirs de l’OMS sur les politiques nationales et sur les hommes. Sans oublier, évidemment, une hausse du financement. Dans cette nouvelle vision de la gouvernance globale, l’OMS doit être, je cite, « plus indépendante », la question étant de savoir de qui ?... Et il se trouve même des voix pour affirmer qu’un traité, c’est trop long, et qu'il faut aller encore plus vite dans le renoncement de la gouvernance nationale et du transfert des compétences. Évidemment, tel est le cas des Etats-Unis, puisque à la fin, ils sont les bénéficiaires politiques directs de ce mouvement. Ce qui en fait ressemble à une sorte de chantage : soit vous renoncer définitivement à ce qu’il vous reste de souveraineté et adoptez un traité en ce sens, soit, de toute manière, nous prendrons ces compétences. Et il n’y a aucune raison d’attendre la moindre résistance des élites gouvernantes de nombreuses nations en particulier occidentales.
La crise du coronavirus a donc permis d’accélérer le mouvement de globalisation qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques n'étaient plus adaptés à la nouvelle situation. C'est à dire que le défaut de base légale était de plus en plus flagrant car l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne pouvait entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Ainsi au son du « plus jamais ça ! », comme s’il s’agissait d’une guerre sainte, mais qui est en réalité diabolique car menée contre l'humanité, l’ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique désarmant les Etats et renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » de l’OMS. Il n’est plus question de droits, encore moins fondamentaux, ni d’Etats souverains, mais d’une étrange « sécurité » totale et totalitaire, réduisant les Etats à des instruments répressifs dépossédés de tout pouvoir réel et les hommes à des cellules en danger de contamination qu’il faut sauver d’elles-mêmes. Puisque tant qu’il restera une cellule contaminée, le monde sera en danger et devra être, pour le mieux, contrôlé au niveau supranational... » (Karine Bechet-Golovko)
Aujourd’hui, il apparaît de plus en plus clairement que le peuple israélien avait été choisi (élu ?) pour servir les desseins covidémentiels de l’Oligarchie Mondiale. Et si Israël n’avait été créé que dans le but d’abriter une population qui servirait d’outil pour tous les projets hégémoniques de l’empire anglo-sioniste ? Israël s’est même enfoncé dans l’hystérisation covidémentielle.
« La "nouvelle normalité" est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire. Ce qu’ils appellent le Great Reset, c’est une rupture de civilisation. Cette « nouvelle normalité » qu’ils veulent nous imposer, et dont le Pass Sanitaire est la première étape, est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire issues de l’univers carcéral :
1) Il s’agit d’abord de généraliser le régime de la liberté conditionnelle : l’exercice de chacun de vos droits fondamentaux sera désormais conditionné par votre degré d’obéissance au système. Vos libertés les plus élémentaires seront donc modulées en fonction de votre conduite.
2) En pratique, il s’agit d’instaurer un système implicite de notation permettant de classer les citoyens selon leur degré d’obéissance et de conformité. Votre note détermine alors le nombre de libertés qui vous sont accordées, et qui pourront vous être retirées à tout moment.
3) Exemple : Les non-vaccinés sont notés 0 : libertés limitées au strict minimum. Les double-vaccinés sont notés 1 : privilèges temporaires, mais en sursis.
4) Les triple-vaccinés sont notés 2 : gain de quelques semaines de libertés supplémentaires, grâce à leur collaboration.
5) Évidemment, la responsabilité de nouvelles restrictions sera toujours attribuée aux citoyens les plus mal notés, afin d’horizontaliser la violence et le ressentiment grâce à la logique du bouc-émissaire.
6) La menace d’un reconfinement strict permet de relativiser ces restrictions. Ce processus de domestication sociale vise aussi à remplacer les formes traditionnelles de socialité par de nouveaux rapports exclusivement déterminés par l’attitude envers l’autorité.
7) Le but du Pass Sanitaire, du pass écologique du Grand Reset est de substituer aux solidarités naturelles, un régime de méfiance et de délation généralisée.
8) De telles méthodes d’ingénierie comportementale ont notamment été éprouvées dans les prisons de haute sécurité dites « Supermax » aux États-Unis, mais aussi en Chine dont le crédit social est déjà une réalité citée en exemple par nombre de responsables politiques occidentaux.
9) À terme, le Pass Sanitaire intégrera d’autres critères pour devenir une sorte de Multipass universel qui prendra en compte par exemple, votre empreinte carbone, vos attitudes politiques ou syndicales, vos habitudes de consommation, vos fréquentations, etc.
10) Ce régime de ségrégation systématique pourra être instauré par étapes, au gré des narrations de crises (dont énergétique, internet, alimentaire) déployées par les médias, et sera rendu possible par les nouvelles technologies de surveillance et de traçage : reconnaissance faciale, identité numérique, QR Code, etc.
11) Il n’y a rien de complotiste, c’est une dynamique générale déjà bien engagée. Par exemple, l’extension des ZFE (Zones à Faibles Émissions) et de la vignette Crit’Air préfigure déjà une forme de ségrégation écologique qui pourrait bientôt concerner l’ensemble du territoire.
12) Autre exemple : Google a décidé unilatéralement de booster le référencement des boutiques « LGBT Friendly » et « Black Owned » au détriment des autres.
13) Demain, les entreprises qui refuseront ces labels pourront être tout simplement déréférencées et condamnées à la mort économique. Voilà pourquoi la question du Pass Sanitaire est prioritaire. L’issue de ce combat déterminera le monde dans lequel nous vivrons demain.
14) Le choix est simple, et personne ne pourra s’y dérober : la liberté ou l’esclavage, la condition d’homme libre ou celle d’animal domestique. »  (Vincent Vauclin)
Avec la tyrannie sanitaire, nous n'avons certains droits qu’après avoir été vaccinés. Nous passons donc d’un « État de droit » à un « État de devoir ». Le devoir de se soumettre pour avoir des droits, c’est le principe d’une dictature.
Un glissement voulu par le Système (et ses sbires) a donc eu lieu entre la sécurité sanitaire dont il se moque et la surveillance totalitaire qui est son objectif majeur dissimulé. Le covid n’est qu’un prétexte pour entrer dans cette nouvelle société qui disposera et dispose déjà d’outils de correction sociale, c’est-à-dire de soumission et de coercition. Partager notre vie entière avec un groupe privé, partenaire du gouvernement, c’est l’idée du « portefeuille d’identité numérique », sur les rails en Europe. Avec ce contrôle étouffant, la liberté disparaît. Or diverses techniques dont celle du QR code paraissent inévitables, surtout qu'une partie de la vie publique en particulier économique peut avoir une légitimité à être transparente, comme le prouve la zakat et les paiements par carte bancaire. Le plus gênant serait de se sentir toujours filmer bien qu’avec un smatphone nos déplacements sont toujours connus. Sinon il faut jeter les smartphones. Or ce système et ces informations devraient être gérés par l’Etat et l’utilisation de ces dernières devraient être sous le contrôle éthique d’organismes citoyens pour améliorer la vie et pour les transmettre à la justice si elles sont nécessaires.
Concernant l'analyse de la situation politique basée sur une tyrannie sanitaire et des réponses à y apporter, il est intéressant de voir la vidéo : « Jean-Dominique Michel et Philippe Bobola : crise sanitaire, crise du monde moderne » à l'adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Jean-Dominique-Michel-et-Philippe-Bobola-crise-sanitaire-crise-du-monde-moderne-66217.html
Plus qu’une opération de recyclage, l’opération de sidération mondiale du Covid-19 est une extension de celle du SIDA et une accélération du processus d’exploitation oligarchique. Cela peut aussi être une politique de fuite en avant et de passage en force qui tient à l’urgence d’imposer à tout prix la société de contrôle et de surveillance généralisée à laquelle les mondialistes oligarchiques travaillent depuis plusieurs décennies : les passeports sanitaires, le traçage par smartphone et les puces à ADN n’étant que la poursuite des projets secrets des outils de l’État profond américain que sont Microsoft et IBM. C'est pourquoi ceux qui font le vaccin ou en tout cas ceux qui acceptent le passeport sanitaire sont comparables à ceux qui prenaient la carte de parti communiste sous Staline, car ils consentent à la mise en place d'une société totalitariste.
Certains spécialistes précisent que tant que la micro-puce reste dans la seringue, elle est inactive, mais dès son contact avec le liquide injectable, il se produit une activation radioélectrique de la puce. C'est à dire qu'au contact du graphène, la puce s’active électriquement et émet son signal Bluetooth dont par la 5G électromagnétique ou par le système nerveux électrique, générant son code de marquage. L’élimination progressive du graphène, par certains mécanismes naturels méconnus du corps, nécessiterait une réinjection régulière de graphène, afin de maintenir la puce active, d’où des rappels ad vitam æternam. Lors d’injections multiples, plusieurs puces se retrouvent donc dans un même corps, et la première puce injectée doit donc désactiver les puces suivantes, tout en mémorisant le nombre d’injections, afin de ne générer qu’un seul code par sujet inoculé.
De récentes découvertes ont montré que les protéines Spike (en particulier des vaccins arn) enveloppent et donc cachent en réalité du graphène qui tue donc discrètement, car servant de batterie et augmentant l'irradiation provenant des antennes 4G et non du covid. En effet ce processus augmente les cancers, surtout à travers des récidives, quand une personne fragile est proche d'une de ces antennes, et encore pire lors d'un contact avec la 5G dont la mise en place de cette dernière pourrait augmenter par 4 voire plus le nombre de morts. Cette 5G fut d'ailleurs étrangement expérimentée à Wuhan après les premières injections de vaccins pour la grippe contenant du graphène en 2019 (l'année avant le début de la prétendue pandémie covid) et de la microtechnologie (s'assemblant en routeur qui peuvent s'agripper au système nerveux central en créant des maladies dégénérative ou au système neuronal pouvant ainsi agir sur les réactions comportementales au niveau cognitifs suite à de l'énergie reçue via le graphène.
Un article rapporte que le professeur E. Alphandery a justifié la présence de graphène dans les « vaccins » contre Covid. La nouvelle aurait pu faire l’effet d’une bombe, mais elle est passée relativement inaperçue. Un article publié dans la revue scientifique Journal of Materials Chemistry B en février 2022 révèle l’utilité de nano matériaux métalliques et d’oxyde de graphène dans les vaccins contre Covid. Toute la presse subventionnée avait qualifiée cette information de complotiste. Suite à la campagne mondiale de dénigration contre les scientifiques qui ont affirmé que les vaccins Covid regorgeaient de graphène et d’oxyde de graphène, les allégations du Pr Alphandéry n'étaient pourant donc  pas choquantes. Il n’est pourtant nulle part mentionné que les vaccins contre Covid contiennent de l’oxyde de graphène, pas davantage dans la composition des vaccins mentionnée par les fabricants que sont Moderna, Pfizer BioNtech, Johnson & Johnson et AstraZeneca. L’ANSM aurait-elle menti par omission ? Le Pr Alphandéry est conseiller scientifique de la Start Up Nanobactérie. Créée en 2008, elle est leader mondial dans le domaine des applications médicales des nanoparticules magnétiques synthétisées par les bactéries magnétotactiques, appelées les magnétosomes. Or des nanoparticules magnétiques ne pourraient-elles pas être à l’origine d’une réaction magnétique avec des vidéos montrant des pièces, des fourchettes et même des téléphones portables aimantés au point d’inoculation ? Le fact-checking nous dit pourtant que c’est un montage et qu’il n’y a pas de magnétisme. Pourtant à l’été 2021, les japonais ont retourné 1,6 millions de sérums anti Covid Moderna à cause de particules métalliques trouvées dans ces produits. Sûrement les japonais n’étaient-ils pas davantage informés de la composition des vaccins. Merci donc au Pr Alphandéry de nous avoir donné quelques confirmations, surtout que les vaccinations ont eu lieu sans le consentement libre et éclairé des patients. Ce qui est normal dans une tyrannie mais pas dans une démocratie. Or comme il est apparu que le système a beaucoup tricher avec le covid, similairement à avoir crié faussement au loup, cela entraîne donc le risque d'imprudence massive face à une éventuelle prochaine pandémie, mais l'avantage pour les mondialistes de dissimuler les conséquences néfastes voire très souvent mortels de la mise en place de la 5G irradiant donc apparemment le graphène des vaccins contre la grippe et le covid injectés dans le corps et irradiant donc certaines cellules le temps que ce graphène se désagrège sur plusieurs jours voire semaines. Pour compenser l'effet d'irradiation de l'oxyde de graphène, il est possible de consommer des antioxydants comme le zinc, mais pour dégrader et neutraliser le graphène, il faut consommer des enzymes comme la myéloperoxydase que l'on trouve dans les radis violets (piquants). (Voir à ce sujet l'entretien « Le b.a.-ba de Béa Bach #17 – Graphène, l’inquiétante inconnue (entretien ERTV avec Ricardo Delgado) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-b-a-ba-de-Bea-Bach-17-Graphene-l-inquietante-inconnue-entretien-ERTV-avec-Ricardo-Delgado-68366.html)
L’observation des réseaux à l’œuvre derrière les personnalités majeures des deux « opérations » dessine sous nos yeux une architecture cohérente et distincte : d’un côté le complexe-militaro industriel américain sous pilotage oligarchique, de l’autre un pouvoir clairement communautaire installé au sein de la superstructure française principalement articulée autour des réseaux de l’INSERM et de l’institut Pasteur et des réseaux politiques. Les ramifications de ce Nouvel Ordre mondial, à la fois mondialiste, oligarchique et sioniste, sont notamment interconnectées par le Mossad israélien, comme le prouve l’emblématique affaire pédophile Epstein. Surtout que certaines associations et personnalités juives défendant la mémoire de la Shoa parlent très étrangement de complotisme à propos de la pédophilie de réseau alors que ce système est aussi oppressif et meurtrier que le nazisme, de même qu'à propos des anti-vaccins alors que toute injection forcée a été interdite au tribunal de Nuremberg.
Rappelons encore une fois que les grands mécènes Bill Gates et Bill Clinton aux États-Unis, Pierre Bergé et Jack Lang (que Bernard Kouchner connaît bien) en France, sont mouillés jusqu’au cou dans cette tentaculaire affaire de chantage et de pédocriminalité. Et si le véritable remède aux « épidémies » du SIDA, du Covid-19 et de la pédocriminalité était d’ordre politique ? Après tout, le parasitisme oligarchique est un virus qui dépasse de loin le cadre de la science...
C’est ici que nous devons comprendre les développements horribles en Australie et en Nouvelle-Zélande : les confinements ont été normalisés dans ces pays et les gouvernements n’ont pas eu besoin d’une réelle excuse pour les justifier. Ils annonçaient simplement qu’il y avait une poignée de cas de Covid et que les confinements devaient revenir, que les voyages et manifestations étaient interdits, et que les droits et libertés fondamentaux étaient suspendus.
Cette tyrannie est d'autant plus flagrante grâce à l’expert en sécurité de l’information Ehden Biber qui a rapporté les détails de l’accord public entre les Etats et Pfizer, suite à de possible fuites facilitées par les Services de Renseignements allemands ou russes :
.Interdit pour l’acheteur de résilier le contrat si un autre vaccin est achevé ou approuvé plus tôt.
.Pfizer peut définir lui-même presque toutes les conditions aux limites. -Pfizer n’est pas responsable du non-respect des dates de livraison.
.La non-conformité ne donne pas non plus à l’acheteur le droit d’annuler la commande de certaines quantités du produit.
.L’acheteur renonce à tous les droits et recours auxquels il peut avoir droit en vertu de la loi, de l’équité ou autre, découlant de ou liés aux défaillances de Pfizer (livraisons).
.Si des personnes vaccinées tombent malades à cause d’un lot défectueux, l’acheteur n’a aucun moyen de suivre (traçabilité) la dose et, si nécessaire, de retirer d’autres doses du marché.
.L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et que le vaccin peut avoir des effets indésirables qui ne sont pas actuellement connus.
.L’acheteur s’engage par la présente à indemniser Pfizer, BioNTech (et) leurs sociétés affiliées (…) de et contre tous les procès, réclamations, actions, demandes, pertes, dommages, responsabilités, indemnités de départ, pénalités, amendes, frais et dépenses pour défendre et tenir inoffensif.
Pourtant chaque fois que vous évaluer un traitement, vous devez l’évaluer sous trois angles : Est-ce qu’il est sûr/sans danger ? Est-ce qu’il marche ? Est-ce qu’on en a besoin ? Les deux pays les plus vaccinés au monde sont les Seychelles (80%) et Israël (85%). Cependant ces deux pays ont fait face à une épidémie de variants Delta. Alors si vous avez vacciné la majorité de votre population, pourquoi faire encore face à une épidémie ? Pourquoi avoir une troisième injection de quelque chose qui n’a pas marché les deux premières fois ? Voilà pour le sujet de la sûreté.
À présent vient le vrai problème. Il y a trois niveaux de sécurité face à la mort que nous devons évaluer : risque aigu, risque subaiguë, et risque à long terme. Or sous tous les angles d’approche du problème des vaccins ARN, on a un Risque aigu (court terme) : caillots de sang, inflammation du cœur, fausse couche, règles abondantes et déréglées ; un Risque subaiguë (moyen terme) : réaction immunitaire pathologique désastreuse ; et un Risque à long terme : des cancers, de la fertilité, augmentation des maladies auto-immunes, les maladies auto-immunes résultant d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme, c'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde.
Le vaccin n'a donc jamais été apporté pour le covid. Le covid a été apporté pour le vaccin et ses énormes bénéfices. Une fois qu'on a compris çà, tout fait sens. Or le but ultime du vaccin pourrait être en plus de faire baisser ultérieurement sans être inquiété la population mondiale par la continuité de l'épidémie, la stérilisation, la mort, des effets secondaires, la baisse du niveau d'accueil hospitalier, la dépression, le dysfonctionnement du système immunitaire, etc.
Surtout que ce vaccin n’est pas nécessaire et personne n’en a besoin. En effet les enfants ont 99,998% de chances de survivre, et les jeunes adultes de 18 à 45 ans en ont 66,68%. D’après le CDC, une personne ayant déjà eu le covid 19 détient des anticorps naturellement induits qui ont milliard de fois plus d'efficaccité que l’immunité artificiellement induite par le vaccin. Alors pourquoi faire vacciner quelqu’un avec un poison mortel qui va créer des anticorps inférieurs ou dangereux quand il a déjà des anticorps sains ? De plus lorsque la population à haut risque qui a un taux de mortalité de 7,5 % est traitée les gens dans le bon délai, c'est à dire dans les premier jours avec de l'hydroxychloroquine, de l'ivermectine ou/et du zinc, vous réduisez le taux de mortalité de 85 %. Donc, sur 600 000 Américains, 510 000 auraient pu éviter d’aller à l’hôpital et d’y mourir. En effet ces substance sont des pistes très sérieuses pour être immunisé face au covid. Donc la question suivante est aussi très logique : si il est possible de réduire le taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5%, pourquoi utiliser un poison mortel qui ne fonctionne pas, mais qui a des effets secondaires horribles ?
En 2015, Bill Gates, l’ami du pédocriminel Epstein, avait dessine le scénario qui ressemble étrangement à la situation actuelle, certainement plus par cynisme meurtrier que par prémonition géniale.
Project Veritas a publié une vidéo mettant en cause un cadre de Pfizer, Jordon Trishton Walker, qui prétend que sa société explore un moyen de « faire muter » le Covid-19 via une « évolution dirigée » pour devancer le développement de futurs vaccins. Walker affirme que l’évolution dirigée est différente du gain de fonction, qui est défini comme « une mutation qui confère une activité nouvelle ou accrue à une protéine ». En d’autres termes, cela signifie qu’un virus tel que le Covid-19 peut devenir plus puissant en fonction de la mutation/expérience scientifique réalisée sur lui.
-coût exorbitant de certains médicaments provenant de la corruption entre laboratoires, industrie pharmaceutique et responsables politiques, pourtant souvent malgré un petit coût de production parfois vendu jusqu'à mille fois plus cher. Dans les médias mainstream, on en arrive à dire que la maladie est incurable mais que le vaccin va nous sauver. Surtout que comme tout est fait pour empêcher les protocoles de santé publique sérieux de s’appliquer, une seule politique se met en œuvre : celle de la panique organisée. D'autant plus que le problème depuis des années est que l'industrie pharmaceutique n’a plus grand-chose à découvrir. Certains scientifiques affirment même que les grandes sociétés pharmaceutiques (recherchant en plus souvent le brevet de la création chimique plutôt que des solutions naturelles) n'ont rien compris au fonctionnement du corps humain. Or comme l'industrie pharmaceutique cherche à gagner toujours plus d’argent, elle en arrive à vendre des produits qui ont peu d’intérêt. Et elle y parvient par la corruption et le lobbying, alors que depuis des décennies, les dépenses médicales se sont continuellement accrues sans pour autant que le peuple ne bénéficie d'une amélioration généralisée des niveaux de santé. Le système médical va même jusqu'à nous amener à une dépendance envers lui dont par les effets secondaires et l'accoutumance.
En clair : on ne prend aucune décision, on attend, on mobilise des milliards (la fameuse « levée de fonds ») pour la « recherche », on vend des médicaments, on teste des traitements et on promet un vaccin efficace qui n’arrive jamais. Dans le cas du SIDA, cette cavalerie court depuis 40 ans. Combien de temps va-t-elle durer pour le Covid-19 ? Tout le monde peut donc remarquer que l'industrialisation médicale n'a pas fait reculer la mort ni créer de meilleure santé, mais plutôt provoquer de la perte de liberté dans nos choix sanitaires et de la soumission au système pharmaceutique.
Las, le profit a même fini par peser beaucoup plus lourd dans la balance que le soin, car une population malade ou convaincue de l’être est une manne éternelle pour ces grands groupes (Big Pharma). On a donc surmédicamenté une population frileuse, de plus en plus asphyxiée par le sacro-saint principe de précaution, une population fragilisée par toutes sortes de maladies plus ou moins imaginaires ou exagérées, ou alors carrément inguérissables, mais qui généraient des budgets de recherche pharaoniques (cancer, sida). Tout devenait un marché, une pathologie à éradiquer : la tristesse, l’ennui, l’angoisse, la peur, ces choses tout à fait naturelles que l’on peut combattre par l’information, la religion, la bonne action ou le plaisir. Oui mais l’info ou le plaisir, ça ne rapporte rien. Il fallait du médicament. Et on en a eu : les populations occidentales se sont mis à consommer tout et n’importe quoi, jusqu’à abîmer leur santé. Les gens qui ne dorment plus qu’à coups de somnifères et ne se réveillent plus qu’à coups d’excitants, ce n'est pas la santé. Beaucoup de médecins ont prescrit et prescrivent encore ce que les commerciaux (très bien payés) des sociétés du Big Pharma leur ont conseillé de vendre. Tous y gagnent, et l’homme occidental devient un malade en puissance à la recherche d’une santé parfaite qu’il ne trouvera jamais. À trop pousser le bouchon, le Big Pharma et ses commerciaux ont rebuté les populations qui ont finalement pris en charge leur santé, faisant plus confiance à leur instinct et à des médecins honnêtes qu’à des néolibéraux déguisés avec des blouses blanches ou à des politiciens prenant le pouvoir sur le choix de prescription des médecins : A ce sujet lire et signer la « Déclaration des praticiens – Global summit covid – Rome » à l'adresse  https://strategika.fr/2021/10/04/declaration-des-praticiens-global-summit-covid-rome/
Le Big Pharma tue plus que le coronavirus. Certains chiffres sont particulièrement angoissants : chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe à la suite d’effets médicamenteux qualifiés de "secondaires". Les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies. L’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. Il faut donc faire attention que le pouvoir profond ne cherche pas à inoculer de force un vaccin portant des identifications numériques, à une humanité dont l’esprit aura préalablement été façonné pour l'accepter suite à l'avoir préparé par la peur. Cette ingénierie globale du coronavirus provenant d'une fabrication humaine selon le Professeur Montagné est la preuve que les élites prédatrices du Nouvel Ordre mondial ont perdu la main à moins que cela serve beaucoup à une orientation vers la dictature du pouvoir profond.
D'ailleurs l'industrie pharmaceutique corrompt aussi cupidement les politiciens pour obliger dangereusement la vaccination excessive de 11 vaccins aux jeunes enfants comme l'explique le Professeur Joyeux, alors que des statistiques montrent que le développement national, la prévention, la surveillance, l'endiguement, la bonne hygiène de vie et les bonnes normes sociales sont plus efficaces contre les épidémies que les vaccins. En effet quand le niveau de vie s'élève, les maladies régressent partout de la même façon que les sujets soient vaccinés ou non.
Or on ne peut consommer de la vrai prévention que lorsque les comportements voulant la transmettre sont gratuits : cuisiner maison, accompagner à pieds ses enfants à l'école, partager la bonne humeur, donner généreusement, ou se coucher plus tôt avec un bon livre. Mais avec l'apparition des check up médicaux se prétendant préventifs alors que souvent mis en avant voire de plus en plus obligatoires, une nouvelle manifestation de la financiarisation, de l'oppression et du contrôle de la médecine moderne étatique ou de multinationales est apparue. De plus cela entraîne la patient potentiel à se comporter en permanence comme un objet dont le médecin a la charge, alors que c'est exactement de cette façon qu'on se transforme en patient à vie. Or il n'y a pas que le médicament qui soigne miraculeusement, car il existe aussi la médecine prophétique, le naturel, le placebo, la bonne hygiène de vie dont le sport et la bonne alimentation physique, intellectuelle, et mentale. Mais le symbolisme de la médecine actuelle comme les blouses blanches reprend souvent cupidement ces rôles.