O) Suite 15 (1)
Remarquer cela, c’est de l’éthique au sens le plus intense du terme, ça concerne même l’Habeas corpus. C’est revenir à l’époque où le Seigneur avait le droit de disposer des corps des gens. On est dans ce genre de dérive aujourd’hui, avec la pointe redoutable que, puisque c’est pour la santé, refuser revient à risquer de mettre en danger la vie des autres. On est en train de dériver vers un totalitarisme qui ne dit pas son nom, dont avec le vaccin à ARN. En effet il s'agit d'un type nouveau que l’on n’a encore jamais expérimenté sur l’être humain, avec de possibles signatures nanoparticulaires provenant de matière aimantée (superparamagnétiques) permettant à une autorité extérieure de savoir si on l’a reçu ou pas, et avec un passeport vaccinal qui permettait d’être autorisé à se déplacer ou non. D'ailleurs comment se fait-il qu’un type comme Bill Gates, qui est informaticien, se retrouve au centre de tout l’échiquier comme celui qui finance le plus les institutions de santé dans les pays et à travers le monde ? Il y a quelque chose d’anormal qu’il se retrouve dans cette position, à dicter le jeu, à avoir ses entrées à l’Élysée comme au Palais fédéral ou à la Maison-Blanche, à être le principal financeur de l’OMS, à subventionner des médias ou encore une agence d’état comme Swissmedic. La situation que nous vivons avec le coronavirus est en fait apocalyptique, dans le sens littéral (et non pas mystique) de « dévoilement » : quand les choses sont dévoilées dans leur réalité. Là on est dans une espèce de dévoilement à large échelle concernant la manière dont la gouvernance des pays a vrillé en privilégiant les intérêts privés qui tendent à l’emporter sur le bien commun, avec à l’arrière-plan du fait des groupes qui ont le vrai pouvoir comme les GAFAM, une forme de délire transhumaniste qui est en train de prendre presque irrésistiblement le pouvoir sur les systèmes sociétaux. Un professeur de neuro-marketing (branche qui étudie comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu) n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Je le vois dans l’hystérisation de beaucoup de positions, avec une forme de polarisation extrême et la perte de capacité à réfléchir et à avoir envie de discuter constructivement et calmement des choses, synonyme donc une perte de compétence dialogique et réflexive. » Le Dr Rachel Bocher chef de service en psychiatrie au CHU de Nantes précise qu'il n’y a pas de santé sans santé mentale : « La santé mentale est l’oubliée de la crise du Covid. Il y a les patients qui vont moins bien à cause de la crise, mais l’isolement social, la peur de la maladie, de la mort, du chômage, de la solitude, ont aussi des conséquences sur des populations en détresse psychologique aggravée. Et ce n’est honteusement pas pris en compte, alors que les maladies sont souvent d'origine psychosomatique. (Par exemple une personne sous stress depuis longtemps (voire depuis son enfance) sécrète plus de cortisol, qui, sur le long terme, va entre autres, développer un état inflammatoire chronique du corps. Les multiples facettes du Moi toxique sont donc dangereuses. Pour améliorer la société, il faut donc prioritairement se soigner psychiquement soi-même plutôt que de motiver les autres à le faire, car c'est beaucoup plus efficace pour soi et les autres par l'exemplarité. Dans ce sens, il faut atteindre la fitra pour progressivement abandonner les schémas dysfonctionnels du passé, se libérer de cette part toxique en soi et enfin s'ouvrir à la plénitude de notre bonne identité.) Ce qu’on demande aux pouvoirs publics, c’est d’agir vite et d’agir ensemble. » Selon Alexandra Henrion-Caude (généticienne de renommée mondiale, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Hôpital Necker) : « Avec le Covid19, le port du masque généralisé est devenu obligatoire pour la première fois et il y a donc une méconnaissance des conséquences psychologiques que cela peut entraîner dont une augmentation forte de la méfiance, de la confiance aveugle et donc de mauvaises réactions, surtout qu'affaiblissant la forme des travailleurs en les rendant moins efficaces au travail ainsi qu'auprès de leur proches chez eux. Elle précise aussi que le confinement, la distanciation sociale (synonyme de distension), le port du masque par les non malades, le gel hydroalcoolique détruisant des éléments antivirus des mains et la peur causée voire accentuée sont des décisions irresponsables parce qu'elles amputent une partie de notre système de défense immunitaire (et l'importance morale et psychologique des liens sociaux dont la proximité avec nos proches), car elles empêchent l'immunisation collective, alors que ça a toujours été le cas dans l'Histoire puisque l'homme est fait pour vivre en société. (Surtout que le port du masque pour tous pourrait être compris comme empêchant les personnes asymptomatiques de participer à l'immunité collective, d'autant plus qu'avec le pass sanitaire on les empêche aussi d'aller dans les lieux publics de contact.) Or les nouveaux cas de contamination ne sont pas des malades mais aussi des asymptomatiques, ce qui prouve que le terme « asymptomatique » est illégitime et synonyme de folie cherchant à perturber les populations. Surtout que la transmission asymptomatique est un mensonge et qu'un affaiblissement du système immunitaire a lieu par le stress de la peur apportée principalement par les grands médias, par la dépression du confinement, par la distanciation sociale angoissant le peuple, par la baisse d'air pur lié au port du masque, par l'interdiction des sports collectifs et la fermeture des salles sport. » D'ailleurs pendant la crise sanitaire du covid, la manipulation provenait sournoisement de la fréquente alternance entre mesures liberticides dites sanitaires, récompenses à ceux qui les suivent et opérations de terreur. En effet l’oppression avait empirer, dont par des annonces contradictoires aliénantes. C'est à dire que lorsqu'un gouvernement donne des ordres et contre-ordres amenant par de l'autorité obscure une désorientation populaire jusqu'au réflexe de l'obéissance, cela peut aller jusqu'à de l'aliénation par la peur voire plutôt par la souffrance psychologique (comme la paranoïa) d'autant plus manipulable : (ExtHadith) Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous d'accomplir des bonnes œuvres car il va y avoir des périodes de troubles et de tentations telles des parties d’une nuit sombre (sans clarté mentale). » (Mouslim) Voici la logique qu'a souvent utilisé le système : a) Le message affirme quelque chose ; b) il affirme quelque chose sur sa propre affirmation ; c) ces deux affirmations s’excluent et toute critique est inacceptable. Exemple : a) Vaccinez-vous pour protéger les autres. b) Les autres doivent se vacciner pour vous protéger, même si vous l’êtes déjà. c) Après la vaccination, portez un masque, continuez les gestes barrières. Ce qui n'est pas étonnant car la domestication (ingénierie sociale) est basée sur la récompense de la friandise et la crainte de la réprimande. Et si vous essayez de vous y retrouver, vous risquez fort de tourner en rond et de terminer épuisé. Essayez donc de demander à un ordinateur de résoudre ce genre d’injonctions paradoxales. Il va devenir fou. Vous serez obligé de le débrancher. Il n’y a pas d’autre solution. Il faut donc repérer les failles de raisonnement de la propagande médiatique, car ces paradoxes nous indiquent comment et jusqu’à quel point on nous manipule. Un professeur de neuro-marketing, qui est la branche étudiant comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu, n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale lors du covid, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Ça s'est vu à travers l’hystérisation de beaucoup de positions, leur polarisation extrême, la perte de capacité à réfléchir et le refus fréquent de discuter constructivement ou calmement des choses. C'est à dire que cela a été aussi synonyme d'une perte de compétence dialogique et réflexive. Les portes de l’asile étaient tombées, les fous étaient partout, ils se mélangeaient avec le personnel. On ne savait plus qui était fou, qui était normal, qui était le psychiatre, le schizophrène, le gestionnaire, l’infirmière, le visiteur, le ministre de la santé, le président de la république. Tout avait fusionner. Surtout que la campagne pro-vaccination divisant le peuple était bourrée de doubles contraintes et d'injonctions paradoxales, alors qu'au niveau familial un parent n'élève pas ses enfants en les montant les uns contre les autres, et qu'au niveau social le dirigeant aurait donc dû en faire de même vis a vis de son peuple. C'est d'ailleurs ce qui a réveillé beaucoup de gens, car cela leur a mis définitivement en pleine lumière que l'oligarchie perverse mondialiste était l'ennemi principal peuples. Le projet du système est donc de continuer à saturer d’informations contradictoires les populations jusqu'à la nausée, afin qu’elles ne sachent plus qui croire et que croire. Car dès lors, leur cerveaux embrumés sont prêts à recevoir n’importe quelle injonction, puisque cette dernière sera en revanche parfaitement claire et univoque : masquez-vous, confinez-vous, vaccinez-vous, diminuez le chauffage, faites du covoiturage, soutenez l'Ukraine, etc. Si le pouvoir utilise l'absurde, c'est parce qu'il déstabilise et fait peur. C'est pourquoi les gens doivent retrouver la logique, la cohérence et le sens (dont aussi du monothéisme authentique), car ils libèrent et restaurent la confiance. Le naufrage populaire actuel montre aussi que la superstition technologique prend négativement le pouvoir dans de nombreux secteurs. En effet qui influence les décisions des Etats en panique : la technologie de modélisation informatique ; qui a profité massivement du confinement : la technologie internet ; qui a entravé le traitement des malades par des médicaments existants et bon marché : la technologie pharmaceutique qui prétend créer un vaccin contre le coronavirus alors que cela na jamais été fait. Or cette privation des libertés au profit du système oligarchique et mondialiste pourrait aller jusqu'au pass carbone (ou possiblement nommé : pass vert, pass écologique, ou pass énergétique) synonyme d'une surveillance et d'un contrôle fortement accrus à travers le numérique. « La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » (Florence Scovel Shinn) Les vrais ravages du covid sont donc ailleurs, car même quelques dizaines de milliers de morts (et encore les chiffres sont abusivement généreux) ce n’est rien en comparaison des dégâts sociaux entraînés : suspension de salariés non vaccinés, contraintes sur les déplacements ou sur les corps, guerres intra-familiales, soupçons entre collègues, tensions entre individus dans l’espace social, dépressions, troubles anxieux généralisés, affaiblissement de l'immunité naturelle, psychotropes (légaux ou illégaux), suicides, etc. Alors que selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, les personnes ayant reçu le vaccin contre la grippe expulse six fois plus de matière virale que ceux n'étant pas vaccinés, ce qui participerait à créer des mutants, et indiquerait que les mutants covid proviennent des vaccins ARN, pouvant en plus modifier le génome des vaccinés et des enfants qu'ils mettent au monde. Dans quelques mois il faudra faire attention aux effets indésirables à moyen et long terme qui sont déjà nombreux et de la vaccination et aux mutants résistants à la vaccination sélectionnés par les vaccins. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Alexandra Henrion-Caude sur TVLibertés » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alexandra-Henrion-Caude-sur-TVLibertes-la-video-censuree-par-YouTube-62537.html La Covid-19 est une maladie respiratoire. Elle se transmet donc a priori comme les autres maladies respiratoires : par l’air. Si c’est le cas, les seuls masques utiles doivent être hermétiques, comme des masques à gaz utilisés par les armées ou les laboratoires P4. Les masques chirurgicaux sont au contraire de fausses protection car ils n’adhèrent pas à la peau et laissent passer l’air en de nombreux endroits. Dans le cas où la Covid-19 se transmet comme toutes les autres maladies respiratoires (ce qui est a priori l’hypothèse la plus probable), la prévention doit être d’aérer les espaces fermés. Ce que l’OMS avait déclaré au début de la pandémie. Cependant, un autre problème surgit. On a installé au cours des dernières années des systèmes de climatisation dans de nombreux immeubles. Si l’air climatisé absorbe des vapeurs d’eau contaminée, toutes les autres personnes respirant cet air risquent d’être contaminées. Il faut distinguer les systèmes de climatisation qui expulsent l’air à l’extérieur de ceux qui fonctionnent en circuit fermé, diffusant éventuellement la maladie dans tout l’établissement. Les contaminations liées à une épidémie de légionellose (une infection bactérienne pulmonaire grave) lors de la convention de l’American Legion en 1976 à Philadelphie, et en 2000 à des patients de l’hôpital européen Georges Pompidou à Paris, de même que les abattoirs étant des espaces climatisés en circuit fermé et à basse température, laissent à penser que cette hypothèse devrait être prise très au sérieux. Envisager cette hypothèse, c’est envisager d’admettre que de nombreux bâtiments modernes doivent être réhabilités, comme on l’a fait avec l’hôpital Pompidou. Ce sont des budgets conséquents comparables à ceux que l’on dépense pour désamianter des immeubles. Ce qui paraît clairement exagéré vu le nombre de mort qu'il y a eu pendant le covid. Or si cela devient nécessaire, les haut-fonctionnaires politiques soumis au Big Pharma ignoreront cette question. Ils préféreront ne rien changer, agir comme d’autres États et rendre obligatoire le port du masque dont pour contrôler la population. Surtout qu'il faut remarquer que l'obligation du port du masque parfois pendant 8 heures au travail plus des heures dans les transports en commun et magasins pendant des mois, amenant de la fatigue, de la santé diminuée et des désagréments, jettera encore plus de gens et d'indécis dans la prétendue libération par le vaccin. Cela s'appelle de la fabrique d'esclavage par consentement. Extrait de la vidéo « Ce qu’il en coûte de forcer un consentement » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=0nbfz8QyjQg&t=840s : « À partir de quel moment, une pratique sadomasochiste devient-elle répréhensible ? Combien de coups de fouet avant qu’un juge s’en mêle ? Peut-on marquer au fer rouge une victime consentante ? La torturer ? L’électrocuter ? À combien de milliampères ? La perte de conscience entraîne-t-elle la perte du consentement ? Question subsidiaire : Qui donc est habilité à définir ces limites ? Je prie mes lecteurs les plus pudiques d’excuser cette entrée en matière cruelle : C’est celle qu’a choisie le professeur de droit Estelle Brosset dans un excellent papier « Le consentement en matière de santé et le droit européen » de 2013. Le consentement est un sujet qui dépasse largement la sphère strictement sanitaire et ne peut être traité en vase clos : il paraîtrait bizarre de refuser des soins, ou leur remboursement, à quelqu’un qui a refusé le vaccin contre la maladie qui le touche mais pas à un masochiste qui s’inflige des blessures volontaires. Ne faudrait-il pas dès lors faire payer son SIDA au concupiscent qui omet de se protéger ? Sans doute, ces gens ne font-ils de tort qu’à eux-mêmes mais que dire alors du chauffard accidenté par sa propre inconscience ? Faut-il soigner celui-là malgré le risque mortel qu’il fait peser sur la société ? Il faudrait encore nous pencher sur le cas des criminels, des responsables d'accident dont de voitures, des imprudents ou simplement des insouciants qui provoquent des dégâts ou font peser des risques insensés à la collectivité. Ainsi une personne non-vaccinée, faute de médecin complaisant, doit-elle payer la taxe de son pass tous les jours pour avoir le droit de se faire soigner ? Il vous est peut-être aussi pénible de lire ces lignes qu’il m’est de les écrire. Et pourtant nos droitsdelhommistes bon chic bon teint, dans leur folie, ont ouvert cette énième boîte de Pandore à l’hémicycle comme à la télé. Le Parti Radical de Gauche a même demandé le non-remboursement des soins de santé aux réfractaires, Singapour l’a déjà fait. En Autriche on a menacé de prison des non-vaccinés, alors qu'il est mondialement reconnu que les vaccins ARN ont seulement été créés pour atténuer les symptômes du covid et que ne pas se faire vacciner ne concerne donc pas un possible danger de transmission du virus. Ces gens ne sont pas à une aberration près mais puisqu’ils poussent l’obscénité jusque-là, il nous faut bien tenter de refermer cette boîte de Pandore avant que le diable n’en sorte. Or la question du consentement et plus largement du rapport entre l’individu et l’État est vieille comme Léviathan. À vrai dire, il n’y a rien de nouveau sous le soleil si ce n’est notre amnésie historique et nos lacunes en philosophie politique. Il nous faut donc remonter petit à petit à la source et prendre le temps de réfléchir un instant : À quel moment l’individu doit-il s’effacer devant le collectif ? La question est d’importance car il en va de nos politiques sanitaires mais également des questions écologiques et certainement aussi des questions financières. Je ne crois pas être hors sujet en traitant aujourd’hui, une nouvelle fois, de la question du consentement. » Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui prudemment ne veulent pas se faire vacciner, car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute. En effet la liberté impose la responsabilité. Cela signifie être libre d’agir et chacun est donc responsable de ses actes et de leurs conséquences, sur lui-même et sur autrui. Cependant depuis de nombreuses années et surtout suite à la large perte de liberté provenant de la gestion sanitaire du Covid, le système a développé la déresponsabilisation, l'infantilisation et l’obéissance aveugle à l’autorité perverse même si c'est dangereux, ou les sanctions et l'humiliation. Ceux qui refusaient les masques ont été rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs, alors qu'il n'y a même pas de consensus scientifique à ce sujet. Des milliers de gens ont vu leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer. Les vieillards étaient abandonnés. Les jeunes ont été emprisonnés dans un monde masqué et confiné. Les adultes ont été précarisés. Les gens d’une même famille ont été séparés de même que toute la société dont par les gestes barrières aussi désocialisant que déshumanisant. La réflexion populaire a été paralysée. Sa contestation, sanctionnée. Le gouvernement par « experts » et médias interposés, a poursuivi cette stratégie du choc en annonçant toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de Covid, quelle que soit la réalité des faits. Surtout que ces vagues sont même devenues des variants du covid pour éviter de dire Covid-20 ou Covid-21 et même bientôt des variants de variants. D'ailleurs pour certains qui s'illusionnent sans cesse, la raison de l'échec de la vaccination en Israël (40 % des contaminés étaient vaccinés) a été simple : avec le variant indien l’immunité collective ne fonctionne qu’avec 90 % de vaccinés. Ce niveau de vaccination étant inatteignable, le virus se propage. Malgré cela on retrouve le sempiternel « si l’Europe ne marche pas, c’est qu’il faut plus d’Europe », « si le communisme n’a pas marché, c’est qu’il fallait plus de communisme », « si le nazisme n’a pas marché, c’est qu’il... », non pardon. Le tout-vaccin est donc une très mauvaise stratégie, d’abord parce qu’elle est coûteuse (mais rentable, ceci expliquant cela), ensuite parce qu’elle est dangereuse (aucun recul nécessaire), enfin parce qu’elle ne prendra pas en charge tous les variants qui pourraient apparaître. Cela comme si la crise Covid-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple, et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Marx et le délire administratif à la française » à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/25/marx-et-le-delire-administratif-a-la-francaise/ Le philosophe Diego Fusaro explique que le système tend même à devenir un médecin décidant dictatorialement tout pour le peuple qui serait devenu un malade : « Ce nouveau mode de gouvernance reconfigure le capitalisme lui-même, par le passage d’une société libérée de toute entrave aussi bien sociétale qu’économique, à une société de contrôle total, telle une sorte d’immense hôpital dans lequel l’ancienne relation entre administrés et gouvernants est redéfinie sur la base du lien inédit entre malades et médecins. » Or le confinement a été criminel : il a empêché certains malades d'être traités, il a participé à la mort de personnes vulnérable psychologiquement, il a détruit l’économie et donc augmenté fortement l'inflation, il a produit du chômage, des faillites, de la dépression et des violences, et il a donc mis en danger la santé publique. Surtout que faire quotidiennement peur par le nombre de morts ou de contaminés d'une épidémie n'est absolument pas conforme au serment médical mais plutôt à de l'idéologie mortifère malthusienne. En effet les conséquences d’une solution ne doivent pas être pire que celles du problème auquel elle prétend répondre. C'est à dire que le remède ne doit pas être pire que le mal. Ainsi les gouvernants qui ont décidé du confinement ont analysé son bénéfice/risque de manière erronée. Leur décision n'était ni nécessaire, ni utile ni promotionnée, mais gravement destructrice d'économie. Il faut éviter de tout mettre en péril en se faisant gouverner par le virus, et chercher ce qui sert l'intérêt général, c'est à dire à ce que les mesures sanitaires soient prioritairement voire exclusivement pour les personnes faible en santé (fragiles, obèses, âgées...). Pasteur sur son lit de mort a prononcé comme un mea culpa « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». C'est à dire que c'est le terrain (stress, dépression, mauvaise hygiène de vie, fatigue physique, corps faible), qui crée la maladie et pas le microbe. De plus la pollution et donc les ravages de la surconsommation semblent bien plus dangereux pour la santé que le Covid-19, mais l’intérêt général disparaît au profit des règles du marché. Lors du Covid, tout a été surréaliste jusqu'à faire culpabiliser les peuples concernant leur gestion de la pandémie, leurs économies affaiblies et la dette nationale. Surtout qu'une génération traumatisée devient manipulable à vie, et qu'il est clairement illégitime que la santé soit passée aux mains de technocrates qui empêchent des médecins de prescrire certains médicament comme la chloroquine. Il est intéressant de ire à ce sujet l'article « Les enfants traumatisés : Merci la stratégie anti-covid ! » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/19/les-enfants-traumatises-merci-la-strategie-anti-covid/ Un médecin de ville a critiqué fortement la politique sanitaire mise en place par le gouvernement, qui a totalement mis sur la touche les généralistes, alors qu'ils devraient au contraire être en première ligne. Il s’insurge notamment à propos de l’affirmation par les autorités de l’inefficacité de thérapeutiques qui ont pourtant fait leurs preuves. On rappellera à cette occasion que c’est cette prétendue absence d’alternative qui permet aux différents vaccins d’être mis sur le marché. Avec le port du masque obligatoire et son impact négatif sur le système immunitaire, plus le confinement, le système a tout fait pour inventer, provoquer, ou surestimer de nouvelles vagues (prouvant l'inutilité des masques et la tyrannie sanitaire) dont en grossissant leur importance et développant une situation économique et sociale catastrophique synonyme de stress. Avoir peur de la mort pour tuer la Vie, c’est l’absurdité à l’état pur, comme s'il fallait brûler par peur d'un moustique (épidémie du Covid peu mortelle) une maison (l'économie nationale). C'est une remise en cause grave du principe de proportionnalité. De plus s'arrêter de vivre à force d’avoir peur de mourir est aussi absurde, surtout qu'avec la foi, il existe des valeurs supérieures à la simple survie physique. Dans ce sens de mesures très disproportionnées, on peut aussi prendre l'exemple d'un gouvernement qui interdirait la vente de motos à cause des accidentés à moto. On peut finalement se demander si ces vagues successives, si utiles aux progrès d’un mondialisme coercitif, ne reprendront pas pour museler des peuples au propre comme au figuré et à leur faire accepter l’inacceptable. Surtout que selon le média en 4-4-2 : « Rétrospectivement, on s’aperçoit que dans quinze départements, la baisse des contaminations avait commencé avant la date où l’on pouvait espérer voir un effet du confinement. On constate en outre comme on pouvait le prévoir, que cette idée, qui a consisté in fine à entasser les gens dans les magasins et les supermarchés entre 17 et 18 heures pour contrer ce que certains élus ont appelé de façon complètement hors-sol et méprisante « l’effet apéro », n’a finalement pas eu le résultat escompté voire a été logiquement contraire. Or il s’agissait « surtout » d’enfoncer dans nos crânes de Gaulois réfractaires forcément irresponsables, que notre santé est directement proportionnelle à notre obéissance aveugle à toute décision étatique, aussi absurde soit-elle. Et Dieu sait que si le monde entier applique des mesures de restrictions anti-Covid à plus ou moins grande échelle, le monde entier qualifie pourtant la France d’Absurdistan en ce domaine. » Professeur Raoult : « Je pensais et je pense toujours que la peur est pire que le mal. Et c’est ce qu’il se passe. Il y a trop d’affolement, trop de nervosité, trop de panique. On regardera à la fin. Le poids de la mortalité à côté du poids social(, économique, psychologique et même médical par les reports d'opérations du cœur par exemple, suite au blocage de lits pour les éventuels malades du Covid à venir) va être négligeable. En revanche le poids social(, économique, psychologique et même médical) va être considérable car la peur n’a pas su être gérée (voire a été priorisée). » Concernant les paragraphes précédents, il est aussi intéressant de voir la vidéo « Les malades au service de l'agenda technologique – Le Zoom – Olivier Rey -TVL » ou comment la (défense de la, l'idolâtrie de la) vie est venue prendre la place du sacré (au service de la tyrranie oligarchique), à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=CxSA4PQehFg&list=WL&index=5&t=604s Les Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana (et aussi le médecin Louis Fouché), représentants du français digne, compétent, ayant du savoir-faire, sensé, virile, pondéré, pragmatique, intègre et réfractaire, affirment que cette organisation sanitaire basée sur le mensonge est principalement politique, économique et sociale, et donc non médicale. Ces professeurs plus l'avocat Di Vizio, la chercheuse Henrio-Caude et le médecin Fouché correspondent à la petite bourgeoisie qui commence enfin à s'associer aux gilets jaunes et qui touche donc un public plus large pour une sage révolution populaire. Ainsi il faut remercier ces personnes là, car ils aident au lieu de décourager, rassurent au lieu de terroriser, libèrent au lieu de tyranniser, renseignent au lieu de dissimuler. On peut noter ici que le premier amendement états-unien stipule pourtant que votre discours peut seulement être limité si vous causez du tort à autrui, et que les cardiologues disant que les vaccins ont multiplié par 100 les myocardites chez les jeunes sont donc encore plus légitimes à parler publiquement puisqu'ils empêchent le tort à autrui. En tout cas tous ces professeurs expliquent qu'il s'agit en réalité de thérapie génique non maîtrisée et dont les mauvaises conséquences pourraient se voir sur des années. Selon le politicien russe de gauche populaire M. Kourguinian, il s’agirait même possiblement d’une arme biologique de fabrication américaine qui se renforce avec les vaccins américains. D'ailleurs le puissant variant Delta et d’autres sortes de Covid sont peut-être le résultat de son interaction avec les vaccins. Pourtant toutes les mesures liberticides entravant le développement des enfants comme l'interdiction du sport et les masques sur la respiration pendant l'école étaient déjà clairement synonyme d'une catastrophe civilisationnelle. Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage, liée aux masques. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes. Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain. « Chez des gens malades, le port du masque peut amener une hypoxie discrète qui mènera, à des niveaux d’oxygène dangereusement faibles sans toutefois que l’augmentation de dioxyde de carbone n’alerte l’organisme comme elle le ferait normalement. Dans pareil cas, le port du masque peut conduire à la mort, d’autant que le malade ne s’alertera pas de sa difficulté à respirer, pensant que c’est le masque qu’il porte qui en est la cause momentanée. En l’espèce, il ne fait qu’aggraver la (toute) maladie. Obliger les gens à porter un masque est donc criminel. » (Claude Janvier) Le masque a été le principal outil permettant de maintenir la tyrannie sanitaire car c'est le signe principal qui fait exister la pandémie illusoire et qui montre que le peuple déshumanisé est soumis au pouvoir. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Coronavirus. L’obscène. » à l'adresse https://www.mondialisation.ca/coronavirus-lobscene/5662611 Or si désormais le système ne laisse pas d’échappatoire au peuple par rapport à l'inflation, la guerre en Ukraine, la dépréciation monétaire et la crise énergétique, il sera acculé et forcé de se battre avec l’énergie du désespoir, ce qui le rend plus déterminé et plus fort. Ainsi le système corrompu a reproché illégitimement à ces professeurs dissidents d'être des optimistes au pays des pessimistes, des empiristes et des moralistes de la précaution. Selon le nouveau vocable totalement inversé de notre ère diabolique, le système a même été jusqu'à inventer des mots honteux comme « rassuristes » contre ces personnes noblement insoumises. Le système a aussi été jusqu'à diagnostiquer des problèmes mentaux à un docteur et l'enfermer en hôpital psychiatrique. De plus, des docteurs travaillant sournoisement pour l'industrie pharmaceutique se sont souvent énervés contre ces Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana dans des débats, alors que dans une évidente logique d’alliance bienveillante contre un mal à combattre, les débats entre médecins devraient toujours rester cordiaux. Ainsi ces professeurs ont combattu dignement contre les basses injonctions de ces docteurs esclaves du Big Pharma, car régulièrement basées sur des théories peu vérifiables ou sur des pseudo analyses s'avérant fausses ultérieurement. De même près de 250 scientifiques français, universitaires et professionnels de santé ont critiqué la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire. Ces interprétations erronées concernent en partie l'attribution de la mort par Covid à des personnes déjà gravement malades ou ayant une comorbidité, surtout que 92% des victimes ont plus de 65 ans et leur âge médian est de 85 ans alors que l'espérance de vie est de 82 ans en France. Ainsi cela prouve la malveillance des mesures sanitaires, comme le changement de critères par un passage de « morts » à « hospitalisés » puis à « contaminés » pour calculer la gravité de la deuxième vague. Ce système tyrannique a même réussi à mettre dans les têtes d'une partie du peuple que la simple circulation inévitable du virus pouvait demander des mesures restrictives, ce qui facilite le contrôle de la population dont en empêchant des manifestations importantes. Normalement un gouvernement et ses médias soumis cherchent à minimiser le nombre de morts et non à les amplifier en les exagérant ou en falsifiant les statistiques. Or étonnamment, le Covid-19 n'a pas bénéficié pas de cette jurisprudence, et sa comptabilité morbide n’a été qu’une longue accumulation spectaculaire et sans fin de cadavres sur des années, alors que le nombre de morts de ses deux premiers épisodes correspondaient à deux épisodes de grippe qui n'a d'ailleurs étrangement pas été comptabilisée chaque année. Une fois constaté que le Covid-19 a légèrement augmenté le nombre de morts chez les plus de 75 ans en moyenne, on doit s’interroger sur l’environnement qui a pu favoriser cette surmortalité. Or l’environnement de la santé en 2020 est le résultat de décennies de descentes aux enfers entre restrictions budgétaires, gestion bureaucratique, utilisation de modèles statistiques, raréfaction de l’anamnèse médicale, dépréciation du traitement individualisé, interdiction des thérapeutiques naturelles prophylactiques, etc. Le Pr Ioannidis, à l’origine d'une étude sur l’inefficacité des mesures sanitaires, a expliqué les dangers de l’idéologie dominante dans une interview. C'est à dire que pendant le covid, la censure politique et médiatique a été intense contre les médecins dont les positions n’entreraient pas dans le discours officiel. Les médias et politiciens dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond. Mais la norme, la conformité au discours officiel s’est-elle à ce point installée comme une vérité dans l’esprit de la population ? Il semblerait que non. En effet de nombreuses voix se sont levées contre la dictature sanitaire. Les préjugés idéologiques contre le Pr Raoult, le Pr Perronne, le Dr Fouché, le Pr Montagnier, le Pr Henrion-Caude, le Pr Fourtillan et tant d’autres condamnés par la bien-pensance, ont pris de moins en moins. C’est rassurant de voir que les professionnels de santé et la population, dans une grande partie, ne se contentèrent pas de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Les médias mainstream ont eu beau beau multiplier les fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels) et les sondages douteux, le peuple y a cru de moins en moins. En effet il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, wokiste, esclavagiste, sioniste et oligarchique. Quand la facilité de la conformité devient plus désagréable que le risque de penser par soi-même, c’est signe de bonne santé mentale car synonyme d'une libération mentale. Surtout que comme le Système dispose de deux armes principales que sont la propagande et la censure allant ensemble et croissant ensemble, le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système va jusqu'à être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, il doit donc même devenir un hors-la-loi. C’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation. Macron avait raison, nous sommes en guerre, mais entre peuples et mondialistes oligarchiques. La guerre contre le virus a d'ailleurs été une guerre spectaculaire dans le sens où Guy Debord l’aurait analysée. C'est à dire qu'il ne faut pas chercher à lui donner crédit, mais plutôt à faire tomber ce château de carte pour que se dévoilent les véritables raisons de son existence et de sa théâtralisation. Si l’épidémie n’était pas voulue et ne cachait pas un plan pervers, les responsables politiques auraient eu un autre comportement. Surtout que pour amplifier la gravité de la crise sanitaire, il y a eu une saturation des lits de réanimation en y mettant des gens qui, normalement, n’y avaient pas droit. En effet la députée Martine Wonner a dit à l'assemblée nationale qu'elle n’avait jamais vu mettre en réanimation des patients qui ont juste besoin de 2 à 3 litres d’oxygène par jour. De même que par rapport au nombre de morts peu nombreux pendant l’épidémie, cela signifie que le système a littéralement créé la crise sanitaire afin de l’exploiter. D'ailleurs sous une forme de protection élémentaire pour la santé mais instrumentalisée, les décisions gouvernementales ont donc criminellement été mauvaises socialement, psychologiquement et économiquement. « Les masques commencent à tomber ! : Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à GlaxoSmithKline, qui possède (accidentellement) Pfizer ! Celui qui fabrique le vaccin contre le virus qui a (accidentellement) commencé au laboratoire biologique de Wuhan et qui a été (accidentellement) financé par le Dr Fauci, qui (accidentellement) fait la promotion du vaccin ! GlaxoSmithKline est (accidentellement) gérée par la division financière de Black Rock, qui gère (accidentellement) les finances de la société Open Foundation (Fondation SOROS), qui gère (accidentellement) la société française AXA! Le milliardaire Soros possède (accidentellement) la société allemande Winterthur, qui a (accidentellement) construit un laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l'allemand Allianz, qui a (accidentellement) Vanguard comme actionnaire, qui (accidentellement) est actionnaire de Black Rock, qui (accidentellement) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d'investissement mondial. Black Rock est aussi (par coïncidence) un actionnaire important de MICROSOFT, propriété du milliardaire Bill Gates, qui (par coïncidence) est un actionnaire de Pfizer (qui vous vous souvenez ? vend un vaccin miracle) et (par coïncidence) est maintenant le premier sponsor de l'OMS ! Maintenant vous comprenez comment une chauve-souris morte vendue dans un marché humide en Chine a infecté la PLANÈTE ENTIÈRE ! Les marionnettistes du Grand Reset se moquent ouvertement du monde (entier). On imagine leurs séances de brainstorming arrosées d'alcool, et leurs grands éclats de rire quand ils s'amusent à chercher le nouveau nom du variant suivant concocté pour leurs victimes. Derrière Big Pharma et ses médias se cachent Vanguard : Edmond De Rothschild, la famille Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller ; derrière Black Rock : Rothschild, Elisabeth II, Al Gore, Warren Buffett, George Soros, Carlos Slim. De la même manière que le consommateur a été trompé sur la médicalisation comme voie de bonne santé, il est probable qu’il le soit encore sur les possibilités curatives d’implants et autre processeurs connectés. Et si d’aventure nous gagnions en forme grâce à la science, il resterait toujours le marché (illégitime) de la gestion du vieillissement ou de l’immortalité. Sans surprise, la liste des produits dérivés est longue... Nous n’avons plus de temps à perdre pour devenir responsables et autonomes en matière de santé. » (Extraits de l'article « La (perverse) déification de la science à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-science-gagnera-67699.html) Surtout que le coronavirus n'est pas un virus tueur mais amplificateur de comorbidité. Et c'est plutôt le problème des perturbateurs endocriniens, venant de la mauvaise gestion environnementale comme l'utilisation des pesticides, de particules lourdes du secteur pétrochimique ou d'hormones de croissance dans l'élevage industriel se retrouvant dans l'eau, qu'il est grandement prioritaire de traiter, car souvent à l'origine de nombreuses de ces comorbidités tels les cancers (de plus en plus tôt), les diabètes type 2, l'obésité, les maladies auto-immunitaire, et diverses maladies génétiques dégénératives. Il faut savoir qu'un premier type de vaccin correspond à injecter du virus inactivé pour entraîner la réaction immunitaire contre cet éventuel futur virus activé (originel, fort). Un deuxième type de vaccin vient de la culture en laboratoire d'une protéine (recombinante) équivalente à celle portant le virus dans laquelle on introduit le gêne du vrai virus (qui détient le secret de fabrication de la vraie protéine entourant le virus), puis on les fait produire (aussi en laboratoire) dans des cellules qui sont de véritables usines à protéine virale fabriquée, puis on éclate les cellules afin de nettoyer la protéine virale puis de l'injecter dans les personnes. Le vaccin génétique ARN (Pfizer via une particule de graisse possiblement porcine voire humaine provenant de fœtus avortés servant probablement en plus à d'autres composés du vaccin : possibiuité de lire à ce sujet l'article États-Unis : Big Pharma et le trafic de fœtus à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-Big-Pharma-et-le-trafic-de-foetus-65127.html) ou ADN (AstraZeneca via un adénovirus recombinant, désarmé, inoffensif de chimpanzé pouvant être avec la particule porcine précédente une interprétation de la marque de la bête évoquée dans la Bible) envoie à nos cellules une portion (partie du virus sars cov 2) du secret de fabrication de la protéine spike (portant normalement le virus qui incarne la maladie) afin de la faire produire par nos propres cellules et de faire réagir le système immunitaire contre cette partie du sars cov 2. (Pour provoquer une réponse immunitaire artificielle, des scientifiques ont même très gravement mis au point des particules synthétiques semblables au coronavirus. Ces dernières imitent les structures-clés du pathogène : la protéine « Spike », la protéine d’enveloppe et sa protéine membranaire.) Or la plupart des vaccins autorisés actuellement, comme Pfizer ou AstraZeneca, sont basés sur la protéine Spike seule, ce qui les rend moins efficaces au fil du temps car la protéine Spike du virus mute. En effet en visant et donc imitant plusieurs parties du virus originel, ces vaccins ne peuvent être résistants aux variants. De plus ces derniers vaccins posent un certain nombre de problèmes (surtout car pouvant se recombiner avec d'autres virus, devenir impuissants ainsi que le système immunitaire face à des variants ou créer dont possiblement suite à une création trop importante de protéine spike une réponse immunitaire trop forte, et pouvant donc ensuite amener à une défense immunitaire affaiblie et en baisse), comme des thromboses, des AVC, des myocardites, beaucoup de désordres du coeur, infarctus du myocarde, des attaques, des myélites transverses, des encéphalites, des méningites, des embolies majeures ou mineures, péricardites, de la tolérance réduite à l’effort. Or comme le précisent certains savants dont le vaccinologue Geert Vanden Bossche, cela peut même modifier le fonctionnement des cellules et créer des variants surtout qu'auparavant un vaccin comme contre la rougeole était en rapport avec la nature, alors la protéine spike fabriquée par le virus sars cov 2 pour faciliter son déplacement et s'introduire nuisiblement dans son hôte n'est pas créée spontanément par le corps humain. Ce qui fait que les personnes vaccinées fabriquant cette protéine sont devenus des OGM humains, et qu'ils sont la première grande partie de l'humanité à être entrée massivement dans le pervers transhumanisme mondialiste (la production de la protéine spike inexistante dans le corps humain prouve que les vaccinés sont désormais des êtes humains augmentés ou plutôt déshumanisés voire dégradés). Surtout si ce virus est une construction humaine inexistante dans la nature et probablement une arme biologique créée en laboratoire, puisque divers laboratoires (dont chinois et ukrainiens) travaillaient sur l'augmentation de la charge virale (gain de fonction ou de viralité signifiant plus virulent plus transmissible) des coronavirus. (Or par une évidente décision divine, même les maladies créées en laboratoire se répandant dans la nature changent rapidement, car elles évoluent généralement pour devenir plus infectieuses mais moins mortelles. C'est à dire que plus un virus est fort moins il contamine, et moins il est fort plus il contamine.) D'autant plus que la protéine spike est donc produite désormais par les cellules des vaccinés, alors que cette protéine spike apparaît de plus en plus comme toxique pour l'organisme par sa multiplication trop importante et ses effets déchirants particulièrement des vaisseaux sanguins se voyant à travers l'augmentation de crises cardiaques, l'apparition de troubles cognitifs précoces tel presque un début d'Alzheimer puisque à partir de trentenaires, et l'affaiblissement voire la destruction ou la perversion du système immunitaire puisque suractivé à cause de l'ARN messager et laissant donc passer dans le corps des vaccinés une grande partie du reste des dangers sanitaires. En effet selon divers savants, les "vaccins" ARN ordonnent à TOUTES les cellules de fabriquer un maximum de protéines Spike qui est la plus dangereuse du virus, puis nos défenses immunitaires attaquent nos cellules qui contiennent du Spike. De plus il a été trouvé que quasiment toutes les pathologies du virus étaient dues principalement à la toxicité de la spike. C’est donc simple à comprendre. Les vaccinés sont donc transformés en usine pour fabriquer de la protéine spike qui est en fait une partie toxique. Ainsi les vaccins transforment les humains en usine à fabriquer une molécule toxique. De plus la majorité des Israéliens se sont fait piéger, car leurs trois doses n’ont servi à rien, si ce n’est à faciliter l’entrée du dernier variant dans leurs corps. Surtout que ces vaccins génétiques obligent donc le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active, ce qui signifie qu'ils sont en réalité un accélérateur de propagation du virus. Le professeur Perronne précise même que ce ne sont pas des vaccins mais des boosters de virus. Le texte suivant est un résumé écrit des présentations des docteurs Bhakdi et Burkhardt lors du symposium Doctors for COVID Ethics qui a été diffusé en direct par UKColumn le 10 décembre 2021 : « Une erreur fondamentale à la base du développement des vaccins Covid-19 a été de négliger la distinction fonctionnelle entre les deux grandes catégories d’anticorps que le corps produit pour se protéger des microbes pathogènes. La première catégorie (IgA sécrétoire) est produite par les cellules immunitaires (lymphocytes) qui sont situées directement sous les muqueuses qui recouvrent les voies respiratoires et intestinales. Les anticorps produits par ces lymphocytes sont sécrétés à travers et à la surface des muqueuses. Ces anticorps sont donc sur place pour rencontrer les virus transmis par l’air, et ils peuvent être en mesure d’empêcher la liaison virale et l’infection des cellules. La deuxième catégorie d’anticorps (IgG et IgA circulants) se trouve dans la circulation sanguine. Ces anticorps protègent les organes internes de l’organisme contre les agents infectieux qui tentent de se propager via la circulation sanguine. Les vaccins qui sont injectés dans le muscle – c’est-à-dire à l’intérieur du corps – n’induiront que des IgG et des IgA circulants, et non des IgA sécrétoires. De tels anticorps ne peuvent pas et ne protégeront pas efficacement les muqueuses de l’infection par le SARS-CoV-2. Par conséquent, les « percées infectieuses » actuellement observées chez les personnes vaccinées ne font que confirmer les défauts de conception fondamentaux des vaccins. Les mesures d’anticorps dans le sang ne peuvent jamais fournir d’informations sur l’état réel de l’immunité contre l’infection des voies respiratoires. L’incapacité des anticorps induits par le vaccin à prévenir les infections par coronavirus a été signalée dans des publications scientifiques récentes. Les vaccins peuvent déclencher une autodestruction. Une infection naturelle par le SARS-CoV-2 (coronavirus) reste, chez la plupart des individus, localisée aux voies respiratoires. En revanche, les vaccins amènent les cellules situées au plus profond de notre organisme à exprimer la protéine de pointe virale, ce qui n’était pas prévu par la nature. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui fera intervenir à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous constatons aujourd’hui que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, ce qui entraîne une myocardite, voire un arrêt cardiaque soudain et la mort. Comment et pourquoi de telles tragédies qui pourraient être liés à la vaccination sont restés des conjectures, faute de preuves scientifiques. Cette situation est maintenant rectifiée. L’analyse histopathologique montre des preuves claires d’une pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans plusieurs organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produise très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel. Sans aucun doute, l’injection de vaccins génétiques Covid-19 met des vies en danger de maladie et de mort. » « De plus un vaccin utilisant une seule protéine, générant de fait une immunité « étroite » contre peu d’antigènes, aura une probabilité plus forte d’induire un échappement par mutation du virus. Les vaccins ARNm peuvent donc beaucoup participer gravement à la mutation fréquente du covid, surtout que pouvant finalement devenir des mutants plus résistants en particulier face aux vaccins s'affaiblissant avec le temps plutôt qu'à l'immunité naturelle. Il faudrait donc normalement une large couverture des différentes souches du virus et un contrôle de l’échappement immunitaire par sélection de variants. C'est pourquoi des combinaisons d'anticorps monoclonaux neutralisant le virus et non concurrentes pourraient être utiles. » (Passages résumés de l'excellente interview : « Ne faisons pas un remède pire que le mal : l'entretien essentiel, avec Christian Vélot » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=nLyP03Iq4-4) Ce docteur en biologie et maître de conférences en génétique moléculaire à l'université Paris-Sud 11, Christian Vélot, précise ailleurs : « Évidemment, comme c’est pour échapper au système immunitaire, plus il y a d’entraves lors de la multiplication du virus (des embûches, des anticorps), plus il va essayer de les esquiver, plus on va générer de variants. Si vous avez une population non vaccinée, le virus va circuler et les gens vont l'attraper ; alors évidemment si ça donne une maladie grave il faut faire quelque chose, mais si les gens ne sont pas fragiles, ils vont développer leur immunité naturelle. (Surtout que si ils préservent ou développent leur immunité mentale et intellectuelle (sérénité intérieure et raison posée), leur immunité physique sera plus forte, puisque toute deux s'alimentent mutuellement. C'est pourquoi à notre époque et d'autant plus face aux actuelles crises sanitaires, économique, climatique, ukrainienne, inflationniste et wokiste, la défense personnelle, familiale et sociale commence par l'immunité mentale et intellectuelle liée à la piété.) Si on a une vaccination digne de ce nom face à cette maladie grave, c’est-à-dire un vaccin qui anéantit le virus, qui le bloque, pas de problème de faire une vaccination massive, aucun problème. Mais lorsqu’on a un vaccin aussi imparfait que ceux qu’on nous propose, devrais-je dire ceux qu’on nous impose, que sont les vaccins génétiques aujourd’hui, qui ne protègent ni de la contamination ni de la contagion, donc qui laissent circuler le virus, … donc si on fait une vaccination massive avec un vaccin qui laisse circuler le virus, on se place dans des conditions d’émergence et de sélection de virus variants. Alors c'est un mensonge de dire que les personnes qui ne sont pas vaccinées sont des égoïstes qui ne pensent pas à la collectivité. » La protéine Spike peut provenir du SARS-CoV-2, mais aussi donc des vaccins ARN et ADN puisqu’ils commandent à nos cellules de la fabriquer afin d’entraîner notre organisme à neutraliser le virus qui la porte. Le Pr Perronne a même dit : « On est en train de modifier les cellules des gens. » Normalement un vaccin permet l'apparition d'anticorps devant rester dans le bras pour détruire les antigènes. Cependant cette protéine se répand dangereusement dans le corps dont dans le cerveau et le cœur. La protéine Spike est donc nocive, car elle ne reste pas dans les membranes des cellules qui font la transcription de l'ARN entré dans la cellule, c'est à dire dans l'endroit où l'ARN est traduit par le ribosome en une protéine « spike », alors qu'il était annoncé que cette protéine était la meilleure cible sur le coronavirus, puisque les anticorps vont s'accrocher à elle afin de l'empêcher de faciliter l'entrée du virus. Or la façon dont les vaccins ADN et ARN procurent réellement la protection est de la cytotoxicité (détérioration) cellulaire provenant de la création de lymphocytes T cytotoxiques. C'est à dire que ces derniers peuvent très dangereusement attaquer toutes les cellules créatrices et porteuses de la protéine Spike, surtout que cette dernière se répand donc souvent massivement dans le corps, le cerveau et le cœur en créant des problèmes comme des dégénérescences mentales et physiques, des maladies cognitives, de la psychose pouvant aller jusqu'au suicide, des incohérences mémorielles, la stérilité des ovaires, des myocardites (gonflement du cœur par conséquent contraire à l'affinement de sa sensibilité et de sa noblesse pieuses à l'image de certains êtres humains). D'autant plus qu'il s'agit d'un sacrifice de cellules par le système immunitaire qui les attaque. Ces vaccins sont donc bien clairement une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe Spike (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19) saturant et donc infectant désormais même le foie. La protéine Spike est ainsi fabriquée par nos cellules qui ont été ni plus ni moins piratées comme le vaccin ARN était entré par un mensonge pour les produire à la différence des autres vaccins qui sont reconnus pour activer le système immunitaire. Or c'est un risque non nul que cette fabrication devienne anarchique et provoque ce qui a déjà été rencontré et évoqué de nombreuses fois, c’est-à-dire des concentrations dans le cerveau, le cœur ou les gonades, entraînant des phénomènes thrombotiques graves, voire mortels, des fausses couches ou une stérilité, féminine comme masculine. Selon le Dr Ryan Cole, les organes touchés par les injections massives de protéines Spike sont les poumons, les reins, les ovaires, les testicules, le foi. En sachant que certains savants disent que l'ARN artificiel des vaccins pourraient même possiblement entré dans l'ADN humain. Le vaccin ADN est en réalité un adénovirus recombinant, mais c'est aussi de la technologie de thérapie génique et tout ce qui découle de la traduction de la protéine spike est identique à ce vaccin dont le ARN. Ceci indiquant que nous vivons très probablement la fin des temps. La vaccination à ARNm consistant donc à pirater le corps humain et précisément ses cellules afin qu’elles utilisent leur propre machinerie pour fabriquer la protéine S (dite protéine spike, une des quatre protéines structurelles du SARS-CoV-2) via l’information de construction que constitue le fameux brin d’ARN messager, il en ressort que la prolifération de la protéine spike dans le corps humain, s’il est parfois contenu et limité, peut dans d’autres cas se répandre dans le corps entier et faire son œuvre qui consiste à s’amarrer aux récepteurs ACE-2, entraînant une inflammation des tissus pouvant conduire à la mort. En effet à l’autopsie apparaissent souvent des lésions disséminées jamais vues, avec une forte infiltration de lymphocytes au niveau des tissus, signant des problèmes inflammatoires disséminés dans le corps, des inflammations rhumatismales, des micro-thromboses d’artères. Les micro-thromboses dans le corps entraînent des risques à moyen ou long terme. Dans le foie, la régénération est possible, mais pas dans les poumons où il existe un risque de pression dans les artères pulmonaires et donc d’insuffisance cardio-respiratoire. Quant aux myocardites constatées, souvent soignées dans un premier temps, elles ont un diagnostic à 5 ans défavorable, avec environ 50% de décès sur un tel terme, selon le Dr Ochs. Par rapport à autant de gravité sanitaire, Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, a même été jusqu'à affirmer que les pays occidentaux mènent une guerre contre toutes les religions mais également contre le code génétique de toutes les civilisations humaines dont pour la domination oligarchique. « Le covid est une arme biologique qui a été utilisée par les forces globalistes pour mettre sous contrôle les populations. La Russie a oscillé entre obligation vaccinale et liberté totale, sans doute parce qu’elle s’était persuadée qu’il fallait maintenir une forme de dialogue avec l’Occident. Identiquement, il y avait un mouvement de balancier entre des phases un peu idéalistes de rapprochement avec l’ouest et des phases de réalisme géopolitique. Aujourd’hui les liens de dépendance politique, économique mais aussi idéologique sont rompus. L’hégémonie culturelle de l’Occident, la pensée unique (et leur idéologie ploutocratique malthusienne) ont fait leur temps. Depuis le début de l’opération spéciale, la Russie trace sa propre route. » (Daria Douguine) Des chercheurs israéliens ont montré que le coronavirus SARS-CoV-2 provoquait des répercussions sur le système cardiaque et vasculaire en général. On imagine aisément que la vaccination à ARNm, en piratant la cellule humaine pour lui faire produire le virus, reproduit les mêmes symptômes. C'est pourquoi le taux important de remplissage des urgences américaines est moins étonnant, alors même que l’épidémie est en recul aux États-Unis. Le biologiste Clemens Arvay se demande en plus si les vaccins actuels à ARNm et à vecteur contre le SRAS-CoV-2 pourraient poser des problèmes à l’avenir en raison des anticorps qui renforcent l’infection. Une étude évaluée par des pairs et publiée dans le Journal of Infection met en garde contre les anticorps favorisant l’infection qui, selon l’étude du modèle de biologie moléculaire, sont formés en réponse à la vaccination et ont pu favoriser l’infection avec les variants Delta désormais dominants. Il préconise ainsi le principe de précaution. De plus les vaccins à ARNm covid "reprogramment" (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives, innées et particuliers, qui régulent à la baisse la voie dite TLR4, étant connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses. C'est pourquoi il est clairement possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique. Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite. Et comme les vaccin ARN peuvent donc détruire l’immunité corporelle, cela pourrait faire des dégâts incalculables, puisqu'ils vont s’étaler sur des années voire probablement sur des décennies. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise à un rythme alarmant » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/21/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/ D'ailleurs des médecins du monde entier signalent une augmentation de la famille des virus de l’herpès, ainsi que du zona, du virus du papillome mono et humain (VPH) dans les biopsies cervicales, les frottis des femmes, et des biopsies tissulaires des hommes, un système immunitaire approprié dans le corps pour garder le cancer sous contrôle. Les médecins signalent que les cancers de l’endomètre, les mélanomes invasifs et divers autres cancers ont ainsi augmenté dont apr réactivation suite à la vaccination. On prévoit déjà que l’incidence de divers cancers sera aussi importante chaque année. En outre, de nombreuses infections opportunistes secondaires qui sont souvent observées chez les patients atteints du VIH se manifestent également chez ceux qui ont reçus le vaccins ARN ou été infectés par le SARS-CoV-2, qui contiendrait d'ailleurs artificiellement une séquence du VIH suite à une manipulation en laboratoire selon le Professeur Montanier, surtout que selon cet article à l'adresse https://strategika.fr/2022/07/12/les-preuves-biochimiques-et-statistiques-officielles-confirment-a-100-que-moderna-a-cree-le-covid-19/, les preuves biochimiques et statistiques officielles affirmeraient que Moderna a créé le Covid-19. Il faut noter que les variants du virus corona proviennent d'une pression immunitaire immense des vaccins ARN et de la vaccination massive empêchant l'immunité naturelle collective. Toute cette histoire correspond donc à une manipulation des peuples par la pseudo science biologique et génétique. Surtout que la chloroquine vient d'un arbre et est donc en conformité avec la médecine prophétique basée sur l'utilisation des végétaux, et qu'en réalité, le seul vaccin valable et réellement efficace est la bonne hygiène de vie renforçant notre système immunitaire. En effet de plus en plus de chercheurs affirment que c'est la mauvaise hygiène de vie liée à des pratiques immorales, un état psychique faible, la pauvreté, la pharmacologie corrompue, ou le manque de sanitaire, qui affaiblissent et effondrent le système immunitaire, et non les virus, les bactéries ou les métastases. De récentes découvertes ont montré que les protéines Spike (en particulier des vaccins ARN) enveloppent et donc cachent en réalité du graphène qui tue donc discrètement, car servant de batterie et augmentant l'irradiation provenant des antennes 4G et non du covid. En effet ce processus augmente les cancers, surtout à travers des récidives, quand une personne fragile est proche d'une de ces antennes, et encore pire lors d'un contact avec la 5G largement plus puissante dont la mise en place de cette dernière pourrait augmenter par 4 voire plus le nombre de morts. Cette 5G fut d'ailleurs étrangement expérimentée à Wuhan après les premières injections de vaccins pour la grippe contenant du graphène en 2019 (l'année avant le début de la prétendue pandémie covid) et de la microtechnologie (s'assemblant en routeur qui peuvent s'agripper au système nerveux central en créant des maladies dégénérative ou au système neuronal pouvant ainsi agir sur les réactions comportementales au niveau cognitifs suite à de l'énergie reçue via le graphène). Un article rapporte que le professeur E. Alphandery a justifié la présence de graphène dans les « vaccins » contre Covid. La nouvelle aurait pu faire l’effet d’une bombe, mais elle est passée relativement inaperçue. Un article publié dans la revue scientifique Journal of Materials Chemistry B en février 2022 révèle l’utilité de nano matériaux métalliques et d’oxyde de graphène dans les vaccins contre Covid. Toute la presse subventionnée avait qualifiée cette information de complotiste. Suite à la campagne mondiale de dénigration contre les scientifiques qui ont affirmé que les vaccins Covid regorgeaient de graphène et d’oxyde de graphène, les allégations du Pr Alphandéry n'étaient normalement donc pas choquantes. Il n’est pourtant nulle part mentionné que les vaccins contre Covid contiennent de l’oxyde de graphène, pas davantage dans la composition des vaccins mentionnée par les fabricants que sont Moderna, Pfizer BioNtech, Johnson & Johnson et AstraZeneca. L’ANSM aurait-elle menti par omission ? L'avantage pour les mondialistes malthusiens est de dissimuler les conséquences souvent mortelles de la mise en place de l'ARN et de la 5G irradiant donc apparemment le graphène contenu dans vaccins contre la grippe et le covid injectés dans le corps et irradiant donc certaines cellules le temps que ce graphène se désagrège sur plusieurs jours voire semaines. Pour compenser l'effet d'irradiation de l'oxyde de graphène, il est possible de consommer des antioxydants comme le zinc, mais pour dégrader et neutraliser le graphène, il faut consommer des enzymes comme la myéloperoxydase que l'on trouve dans les radis violets (piquants). Il est intéressant de voir à ce sujet l'entretien « Le b.a.-ba de Béa Bach #17 – Graphène, l’inquiétante inconnue (entretien ERTV avec Ricardo Delgado) » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-b-a-ba-de-Bea-Bach-17-Graphene-l-inquietante-inconnue-entretien-ERTV-avec-Ricardo-Delgado-68366.html Le Pr Alphandéry est conseiller scientifique de la Start Up Nanobactérie. Créée en 2008, elle est leader mondial dans le domaine des applications médicales des nanoparticules magnétiques synthétisées par les bactéries magnétotactiques, appelées les magnétosomes. Selon elle des nanoparticules magnétiques sont à l’origine de la réaction magnétique présentée dans des vidéos montrant des pièces, des fourchettes et même des téléphones portables aimantés au point d’inoculation. Le fact-checking nous dit pourtant que c’est un montage et qu’il n’y a pas de magnétisme. Pourtant à l’été 2021, les japonais ont retourné 1,6 millions de sérums anti Covid Moderna à cause de particules métalliques trouvées dans ces produits. Sûrement les japonais n’étaient-ils pas davantage informés de la composition des vaccins. Merci donc au Pr Alphandéry de nous avoir donné quelques confirmations, surtout que les vaccinations ont eu lieu sans le consentement libre et éclairé des patients. Ce qui est normal dans une tyrannie mais pas dans une démocratie. Et comme il est apparu que le système a beaucoup tricher avec le covid, similairement à avoir crié faussement au loup, cela entraîne donc le risque d'imprudence massive face à une éventuelle prochaine pandémie. Face à la mort, il y a trois niveaux de sécurité que nous devons évaluer : risque aigu, risque subaiguë, et risque à long terme. Or sous tous les angles d’approche du problème des vaccins ARN, on a un Risque aigu (court terme) : caillots de sang, inflammation du cœur, fausse couche, règles abondantes et déréglées ; un Risque subaiguë (moyen terme) : réaction immunitaire pathologique désastreuse ; et un Risque à long terme : des cancers, de la fertilité, augmentation des maladies auto-immunes, les maladies auto-immunes résultant d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme, c'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde. Le vaccin n'a donc jamais été apporté pour le covid. Le covid a été apporté pour le vaccin et ses énormes bénéfices. Une fois qu'on a compris çà, tout fait sens. Ainsi le but ultime du vaccin pourrait bien de faire baisser ultérieurement sans être inquiété la population mondiale par la continuité de l'épidémie, la stérilisation, la mort, des effets secondaires, la baisse du niveau d'accueil hospitalier, la dépression, le dysfonctionnement du système immunitaire, etc. Surtout que ce vaccin n’est étonnamment pas nécessaire, puisque personne n’en a besoin. En effet les enfants ont 99,998% de chances de survivre, et les jeunes adultes de 18 à 45 ans en ont 66,68%. D’après le CDC, une personne ayant déjà eu le covid 19 détient des anticorps naturellement induits qui ont milliard de fois plus d'efficacité que l’immunité artificiellement induite par le vaccin. Alors pourquoi faire vacciner quelqu’un avec un poison mortel qui va créer des anticorps inférieurs ou dangereux quand il a déjà des anticorps sains ? De plus lorsque la population à haut risque qui a un taux de mortalité de 7,5 % est traitée les gens dans le bon délai, c'est à dire dans les premier jours avec de l'hydroxychloroquine, de l'ivermectine ou/et du zinc, vous réduisez le taux de mortalité de 85 %. Donc, sur 600 000 Américains, 510 000 auraient pu éviter d’aller à l’hôpital et d’y mourir. En effet ces substance sont des pistes très sérieuses pour être immunisé face au covid. Donc la question suivante est aussi très logique : si il est possible de réduire le taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5%, pourquoi utiliser un poison mortel qui ne fonctionne pas, mais qui a des effets secondaires horribles ? D'autant plus qu'à cause des oppressantes mesures sanitaires qui ont été prises, des collectifs liés au secteur psychiatrique ont dénoncé en plus par rapport aux enfants l'augmentation des suicides, des divorces, des addictions, des dépressions, des isolements, du manque d'empathie puisque ne voyant pas les expressions du visage, le sourire, la tristesse, et par rapport aux nourrissons, l'accumulation de retard de langage par les nourrissons. Des professionnels pédiatriques dont en pédopsychiatrie ont aussi relevé de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation sur les enfants, lors de l'impact traumatique de la gestion sanitaire du Covid : nouvelles maltraitances dans les établissement scolaires, une condamnation de la tendresse et de l'empathie, un interdit implicite à l'altérité, une entrave au développement relationnel et psychomoteur ainsi que des retards voire des régressions dans les apprentissages dont de l'élocution, de l'articulation et de l'expression des sentiments à cause des masques, une fragilisation de l'autorité bienveillante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et une augmentation des discours paradoxaux. Tous ces problèmes ont donc en plus amener à une souffrance psychique croissante chez les enfants risquant d'entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l'acte suicidaire. Il est possible de lire l'article complet « À propos des impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/A-propos-des-impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-62231.html L'avenir de tous ces enfants devient alors compromis à cause donc du processus de développement normal altéré au delà de toute imagination. Or cet oppressant port du masque sur des années scolaires peut plus tard finir par devenir synonyme de grande bienveillance et d'une grande maturité sociales pour ces générations, si leur sensibilité important liée à ce traumatisme est bien canalisée et orientée tel vers un pieux entonnoir affinant jusqu'au meilleur Bien. Une maman s’est heurtée au devoir de neutralité des écoles mais aussi au refus de l’inspection académique (qui estime que se soucier du bien-être des enfants est « une perte de temps ») de répondre à un questionnaire sur l’impact du masque à l’école. Pourtant cela permettrait de rassurer certains parents inquiets et d’alerter d’autres trop confiant. Elle a donc décidé de mener directement une étude d’impact sur le port du masque à l’école, avec un questionnaire, auprès de 1 826 enfants. Les réponses des 1 826 enfants, du primaire au lycée, à ce questionnaire, exprimées en pourcentages, sont édifiantes mais surtout inquiétantes : Sur le plan physique : Conséquences directes du port du masque : difficultés à respirer ; essoufflement ; humidité sous le masque ; maux de tête et vertiges ; démangeaisons et irritations du visage ; difficultés pour bouger et pour jouer ; buée sur les lunettes ; fatigue et somnolence ; maladies diverses malgré le respect des règles sanitaires ; saignements de nez, nausées, malaises ; mauvaise haleine ; acné amplifiée ; lésions cutanées ; soif ; douleurs derrière les oreilles. Mais aussi, mains abîmées par les lavages répétés ; encoprésie (défécation involontaire). Sur le plan relationnel : Pénibilité du masque tout au long de la journée ; moins envie d’aller en classe ; tristesse de devoir garder les distances avec ses camarades ; moins de joie ; plus de colère ; agitation, besoin de se défouler après les cours ; peur de la punition ; nécessité de se cacher ; mentir ou désobéir pour baisser le masque ; peur de moins supporter le masque avec l’arrivée du printemps ; peur de l’avenir ; nécessité de consulter un psychologue ou un autre thérapeute ; déscolarisation temporaire ; isolement social. Mais aussi peur de la maladie peur de mourir ou de faire mourir l’autre ; angoisse ; irritabilité ; culpabilisation ; insomnie ; cauchemars ; démotivation ; dépression ; sentiment de maltraitance, de surveillance permanente, d’exclusion et de répression ; dévalorisation de soi-même ; perte de confiance dans les enseignants ; rejet de l’institution scolaire. Sur le plan cognitif : Conséquences directes du port du masque : difficulté à se concentrer, à se faire entendre à l’oral et à comprendre son correctement son professeur/instituteur ; champ de vision réduit. Mais aussi retard dans les apprentissages ; augmentation de la dysphasie. Certains enfants se sentent toutefois mieux par le sentiment d’être responsables, d’être protégé et de protéger les autres. Mais aussi par des parents plus rassurants et plus bienveillants. Suite à une blessure de guerre lui ayant apportée des séquelles d'un syndrome de stress post-traumatique après une mission de cinq mois en Afghanistan, l'ancien médecin militaire Madame Bonni a porté plainte contre le gouvernement : « Suite à mon expérience traumatique, je me permets de demander à mettre un terme aux abus du gouvernement lié au covid, car la population française subit une persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires, et par des mesures en tout sens : gestes barrière, masques déconseillés puis obligatoires, confinement à échelles variables, couvre-feu, obligation de rester chez soi en cas de symptôme, drame des Ephad (dont à travers le rivotril qui a tué de nombreuses personnes âgées dans les EPHAD lors du covid), fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants, des dancing, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mise au chômage, travail et enseignement à distance, etc. Cela se paye d'une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont source de traumatisme psychique qui auront toujours plus de conséquences : isolement, violence, burnout, dépression, intoxication médicamenteuse, usage de stupéfiants, suicide. En particulier les jeunes générations sont privées d'un accès au savoir qu'elles ne rattraperont jamais et spécialement les tout petits sont en danger parce qu'ils sont privés de phases essentielles à leur humanisation (de leur premier souffle jusqu'aux années d'apprentissage de la parole et de la socialisation dont à travers la masque inadmissible à partir de six ans). » Cette dénonciation ne correspond-t-elle pas un génocide et donc bien à une dépopulation voulue par les pervers mondialistes selon l'article 211-1 du code pénal : « Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ; soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ; mesures visant à entraver les naissances ; transfert forcé d'enfants. Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. » Convention d'Ovedio à laquelle la France est soumise : article 2 : « La primauté, l'intérêt et le bien-être de l'être humain doit prévaloir sur le seul intérêt de la société et de la science. » En règle générale, le génocide ne signifie pas nécessairement la destruction immédiate d’une nation, sauf lorsqu’il est réalisé par des meurtres en masse de tous les membres d’une nation. Il entend plutôt signifier un plan coordonné de différentes actions visant à la destruction de fondements essentiels de la vie de groupes nationaux, dans le but d’exterminer les groupes eux-mêmes. Un tel plan aurait pour objectifs la désintégration des institutions politiques et sociales, de la culture, de la langue, des sentiments nationaux, de la religion et de la vie économique de groupes nationaux, ainsi que la suppression de la sécurité personnelle, de la liberté, de la santé, de la dignité, voire de la vie des personnes appartenant à ces groupes. Le génocide vise le groupe national en tant qu’entité, et les actions en question sont dirigées contre des individus, non pas en qualité, mais en tant que membre du groupe national, et la pensée génocidante correspond donc à un génocide de la pensée et une condamnation. Or ce sont une description et une énumération très précises de tous les maux mortels dont de la tyrannie sanitaire, financière, médiatique, économique et numérique qui touchent l’Europe de l’Ouest et la France en particulier. D'autant plus que toutes ces mesures sanitaires terroristes ont fait empirer le médiocre moderne individualisme sociétal, en le faisant devenir de l'hyper individualisme, qui est par conséquent encore plus loin de l’immunité collective. Si à cela, on rajoute des vaccins contenant des métaux lourds mauvais pour la santé ou/et contenant désormais de l'ARN pour faire des hommes des organismes métaboliquement voire génétiquement modifiés (dont dans leur reproduction) dépendant du secours de l'industrie pharmaco-chimique, c’est jackpot : une humanité totalement rendue esclave de big pharma pour sa survie et perpétuation, surtout que la partie de l'OGM apportée au corps humain des citoyens pourrait un jour appartenir à leurs concepteurs par le brevet y étant lié comme pour les aliments génétiquement modifiés. Le PDG de Pfizer a même admis que les vaccinés sont « susceptibles » d’être à inoculés semestriellement. Leurs systèmes immunitaires seraient donc désormais dépendant de l’approvisionnement constant de Big Pharma en substances ARN. Il est à noter que l'origine du vaccin prototype de Pfizer est judéo-protestante et que celui de moderna est israélo-américaine. Par conséquent il ne faut pas s'étonner qu'il soit possible que le commerce autour des problèmes climatiques puisse également amplifier ou cacher certaines vérités à des fins financières ou politiques dont à travers la prétendue lutte contre le CO2 alors qu'il est en réalité non polluant car nourrissant la biomasse (des études de la NASA ont montré que dans un mécanisme divin de survie, la végétation a augmenté partout dans le monde parce que nous stockons davantage de CO2, ce qui prouve que la menace du CO2 est sournoisement fabriquée pour le mondialisme oligarchique), à travers le trou qui s'est refermé qu'il y avait dans la couche d'ozone, et à travers le réchauffement climatique, comme à travers la théorie stupide de l'hominisation pourtant enseignée dès l'école ou diverses théories scientifiques aussi erronées. En effet pour toujours plus s'enrichir ou étendre leur pouvoir, des puissances supranationales (lobbies, organisations mondialistes dont OMS, multinationales industrielles dont pharmaceutique) parfois plus riches que les Etats cherchent toujours à manipuler les peuples par la corruption ou des complots comme contre la chloroquine. Le corps médical international a donc laissé le grand art de sa profession lui être retiré par des politiciens, de faux scientifiques, des laboratoires pharmaceutiques corrompus, des forces d'argent cupides et des lobbies dominateurs. En 2015, Bill Gates, l’ami du pédocriminel Epstein, avait dessiné le scénario qui ressemble étrangement à la situation actuelle, certainement plus par cynisme meurtrier que par prémonition géniale. Project Veritas a publié une vidéo mettant en cause un cadre de Pfizer, Jordon Trishton Walker, qui prétend que sa société explore un moyen de « faire muter » le Covid-19 via une « évolution dirigée » pour devancer le développement de futurs vaccins. Walker affirme que l’évolution dirigée est différente du gain de fonction, qui est défini comme « une mutation qui confère une activité nouvelle ou accrue à une protéine ». En d’autres termes pour toujours plus de contrôle mondialiste, cela signifie qu’un virus tel que le Covid-19 peut devenir plus puissant en fonction de la mutation/expérience scientifique réalisée sur lui. -techniques fines de manipulation du vivant à l’échelle génétique. Or les possibilités de plus en plus fines d’agir sur le vivant amènent heureusement à de nombreux « ratages » qui éveillent la conscience critique. -coût exorbitant de certains médicaments provenant de la corruption entre laboratoires, industrie pharmaceutique et responsables politiques, pourtant souvent malgré un petit coût de production parfois vendu jusqu'à mille fois plus cher. Dans les médias mainstream, on en arrive à dire que la maladie est incurable mais que le vaccin va nous sauver. Surtout que comme tout est fait pour empêcher les protocoles de santé publique sérieux de s’appliquer, une seule politique se met en œuvre : celle de la panique organisée. D'autant plus que le problème depuis des années est que l'industrie pharmaceutique n’a plus grand-chose à découvrir. Certains scientifiques affirment même que les grandes sociétés pharmaceutiques (recherchant en plus souvent le brevet de la création chimique plutôt que des solutions naturelles) n'ont rien compris au fonctionnement du corps humain. Or comme l'industrie pharmaceutique cherche à gagner toujours plus d’argent, elle en arrive à vendre des produits qui ont peu d’intérêt. Et elle y parvient par la corruption et le lobbying, alors que depuis des décennies, les dépenses médicales se sont continuellement accrues sans pour autant que le peuple ne bénéficie d'une amélioration généralisée des niveaux de santé. Le système médical va même jusqu'à nous amener à une dépendance envers lui dont par les effets secondaires et l'accoutumance. En clair : on ne prend aucune décision, on attend, on mobilise des milliards (la fameuse « levée de fonds ») pour la « recherche », on vend des médicaments, on teste des traitements et on promet un vaccin efficace qui n’arrive jamais. Dans le cas du SIDA, cette cavalerie court depuis 40 ans. Combien de temps va-t-elle durer pour le Covid-19 ? Tout le monde peut donc remarquer que l'industrialisation médicale n'a pas fait reculer la mort ni créer de meilleure santé, mais plutôt provoquer de la perte de liberté dans nos choix sanitaires et de la soumission au système pharmaceutique. Las, le profit a même fini par peser beaucoup plus lourd dans la balance que le soin, car une population malade ou convaincue de l’être est une manne éternelle pour ces grands groupes (Big Pharma). On a donc surmédicamenté une population frileuse, de plus en plus asphyxiée par le sacro-saint principe de précaution, une population fragilisée par toutes sortes de maladies plus ou moins imaginaires ou exagérées, ou alors carrément inguérissables, mais qui généraient des budgets de recherche pharaoniques (cancer, sida). Tout devenait un marché, une pathologie à éradiquer : la tristesse, l’ennui, l’angoisse, la peur, ces choses tout à fait naturelles que l’on peut combattre par l’information, la religion, la bonne action ou le plaisir. Oui mais l’info ou le plaisir, ça ne rapporte rien. Il fallait du médicament. Et on en a eu : les populations occidentales se sont mis à consommer tout et n’importe quoi, jusqu’à abîmer leur santé. Les gens qui ne dorment plus qu’à coups de somnifères et ne se réveillent plus qu’à coups d’excitants, ce n'est pas la santé. Beaucoup de médecins ont prescrit et prescrivent encore ce que les commerciaux (très bien payés) des sociétés du Big Pharma leur ont conseillé de vendre. Tous y gagnent, et l’homme occidental devient un malade en puissance à la recherche d’une santé parfaite qu’il ne trouvera jamais. À trop pousser le bouchon, le Big Pharma et ses commerciaux ont rebuté les populations qui ont finalement pris en charge leur santé, faisant plus confiance à leur instinct et à des médecins honnêtes qu’à des néolibéraux déguisés avec des blouses blanches ou à des politiciens prenant le pouvoir sur le choix de prescription des médecins. A ce sujet il est intéressant de lire et signer la « Déclaration des praticiens – Global summit covid – Rome » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/04/declaration-des-praticiens-global-summit-covid-rome/ Le Big Pharma tue plus que le coronavirus. Certains chiffres sont particulièrement angoissants : chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe à la suite d’effets médicamenteux qualifiés de « secondaires ». Les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies. L’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens. D'ailleurs comme l'explique le Professeur Joyeux, l'industrie pharmaceutique corrompt aussi cupidement les politiciens pour obliger dangereusement la vaccination excessive de 11 vaccins aux jeunes enfants, alors que des statistiques montrent que le développement national, la prévention, la surveillance, l'endiguement, la bonne hygiène de vie et les bonnes normes sociales sont plus efficaces contre les épidémies que les vaccins. En effet quand le niveau de vie s'élève, les maladies régressent partout de la même façon, que les sujets soient vaccinés ou non. Or on ne peut consommer de la vrai prévention médicale que lorsque les comportements voulant la transmettre sont gratuits : cuisiner maison, accompagner à pieds ses enfants à l'école, partager la bonne humeur, donner généreusement, ou se coucher plus tôt avec un bon livre. Mais avec l'apparition des check up médicaux se prétendant préventifs alors que souvent mis en avant voire tendant à devenir obligatoires, une nouvelle manifestation de la financiarisation, de l'oppression et du contrôle de la médecine moderne étatique ou de multinationales est apparue. De plus cela entraîne la patient potentiel à se comporter en permanence comme un objet dont le médecin a la charge, alors que c'est exactement de cette façon qu'on se transforme en patient à vie. Or il n'y a donc pas que le médicament qui soigne miraculeusement, et il existe aussi la médecine prophétique, le naturel, le placebo, la bonne hygiène de vie dont le sport et la bonne alimentation physique, intellectuelle, et mentale. Mais le symbolisme de la médecine actuelle comme les blouses blanches reprend souvent cupidement ces rôles. Pour préserver voire augmenter le rendement de l'industrie pharmaco-chimique, l'industrie agroalimentaire appartenant généralement aux mêmes gros actionnaires crée souvent des aliments en partie toxiques, afin que cette industrie pharmaco-chimique puisse affirmer pouvoir désintoxiquer les malades. En effet comme tout cela rapporte énormément d'argent, les membres de ce système pervers assoient en plus leur pseudo sérieux sur l'achat de scientifiques médiocres voire corrompus pour signer leurs études incorrectes, alors que leurs médicaments traitent principalement les symptômes plutôt que la maladie pour pouvoir toujours en vendre. Ainsi Big Pharma (l'industrie pharmaceutique) est constamment tentée de créer des médicaments peu efficaces mais chers pour s'enrichir toujours plus. Ces études dont sur le covid sont d'ailleurs souvent d'autant plus fausses par rapport aux points suivants : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays, et lien entre l'Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé. Cette mainmise mondiale oppressive de l’industrie pharmaco-chimique sur la santé va jusqu'à en faire le premier marché mondial, c'est à dire avant ceux des armes ou du pétrole. Selon l'ONU, ce marché est donc même le plus corrompu du monde, surtout qu'il correspond en plus à la glu qui bloque toute saine action ou tout véritable progrès au niveau médical, qu’il soit scientifique ou thérapeutique. Ainsi le but final de cette industrie pharmaco-chimique ne peut qu'être de détruire l’immunité pour que les gens soient malades de tout, tout le temps.
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