J) Suite 10 (1)
En résumé, l’article V de l’OTAN, la lutte idéologique de la démocratie laïque contre l’islam et le christianisme catholique et orthodoxe, le contrôle de l'Europe par l'union européenne dont par la chute du mur de Berlin, l’isolement de la Russie et de la Chine, la pression sur les cultivateurs afghans afin de produire du pavot générant des milliards de bénéfices pour la CIA, le contrôle des approvisionnements en pétrole ou en gaz et l'hégémonie mondiale états-unienne, sont ou ont été à l’origine des interventions occidentales en Afghanistan, Irak, Libye, Yémen (par la coalition arabe pro-américaine) et Syrie, et auparavant au Vietnam et contre l'Allemagne. C'est pourquoi il arrive souvent que certaines des informations médiatiques discréditant le sacré soient des manipulations politiques ou économiques instrumentalisant la religion, et que le talion soit autorisé lorsque les bombardements d'une armée détruisent des villages, bien que dans ce cas le pardon est évidemment plus sage, en particulier pour éviter une image déplorable de l'islam : (S2v194) « Le talion s'applique à toutes choses sacrées (dont les innocents font partie, mais ce verset semble plutôt parler du sang (coup blessant), du bien (vol) et de l'honneur (trahison) de chacun). Donc, quiconque transgresse contre vous, transgressez contre lui, à transgression égale. Et craignez Allah. Et sachez qu'Allah est avec les pieux. » Or en prenant l'exemple d'une société tribale comme en Libye, il est parfois impossible et donc dangereusement illogique d'y installer la démocratie, car il faudrait d'abord en changer la base de leur organisation sociale jusqu'à ce que les gens deviennent des individus en dehors de tribus, à part évidemment donc si c'est pour honteusement déstabiliser longuement le pays, voire le diviser en sous pays plus faibles. Surtout qu'il est évident qu'après l'intervention américaine pour imposer prétendument la démocratie dans les dictatures de l'Irak et la Lybie, les problèmes d'eau, d'électricité et de sécurité sont apparus alors qu'auparavant ce n'était pas du tout le cas. Il ne faut donc pas intervenir n'importe comment, mais les Etats-Unis le savent et ne s'en inquiètent pas car il vise d'abord l'affaiblissement de la nation combattue. Paul Wolfowitz écrivait en 1991 que Washington ne doit pas chercher à être le meilleur dans ce qu’il fait, mais à être le premier par rapport aux autres. Cela implique, notait-il, que pour maintenir leur hégémonie, les États-Unis ne doivent pas hésiter à se faire du mal, s’ils en font beaucoup plus aux autres dont par de la déstabilisation massive voire de la destruction. Nous faisons tous les frais de cette manière de raisonner. L’histoire nous démontre une fois de plus qu’il ne faut jamais se contenter des explications fournies par les dirigeants et la plupart des grands médias. En effet par une basse propagande d'état bien connue, ils ne tirent jamais la population vers le haut. Or cette perverse laïcisation américano-sioniste du monde est en réalité d'abord une des épreuves principales du faux messie, puisque effaçant les lois divines (jusqu'à empêcher les crèches et les sapins de noël dans l'espace public, prouvant que Paris et la France sont pour l'instant dominées depuis quelques temps par un démon sioniste et des sionistes, surtout suite à l'incendie de Notre-Dame de Paris et la privatisation de l'Hôtel-Dieu qui sont le cœur même de la cité au cœur de la capitale, et suite à des Menorah qui sont elles autorisées à être installées aux quatre coins de Paris lors de la fête juive d'hanouka dont à la Bastille, à la Concorde, à l'Hôtel de Ville qui sont des endroits symboliques forts, et donc suite à une occupation visible et revendiquée synonyme d'une arrogance qui les perdra), tentant les croyants et égarant les incroyants, comme le confirme Imran Hossein dans cette excellente vidéo : « Le Coran, la laïcisation et le crime ». Concernant ce sujet le livre de Youssef Hindi « les mythes fondateurs du choc des civilisations » est également intéressant à lire. Or en s'imposant finalement comme le nazisme par le viol du droit international, l'invasion de certaines nations souvent musulmanes (Irak, Afghanistan, Libye, Syrie dont pour voler le pétrole), ou la manipulation de nombreux pays (dont d'Amérique du sud), et donc par l'oppression sur des peuples étrangers, et en étant aussi stricte qu'un État religieux par ses objectifs hégémoniques ou l'imposition de ses lois wokistes souveraines, il apparaît que ce sont autant de signes prouvant l'illusion d'un honorable monde occidental uni aux Etats-Unis. Surtout qu'afin de préserver son hégémonie, cet empire états-unien thalassocratique est la plus grande source de chaos, comme le fut aussi souvent l'empire précédent anglais aussi thalassocratique auquel il est d'ailleurs lié, ce qui amène à comprendre que ce sont les empires terrestres qui recherchent le plus la stabilité générale... En effet la disparition du sacré et l’augmentation de la corruption s'amplifient très dangereusement au niveau des États et des sociétés, en favorisant encore plus les élites dirigeantes et cupides, comme l'ont prophétisé de nombreux textes religieux chrétiens et islamiques sur la fin des temps. C'est à dire que pour garder leurs privilèges comme depuis toujours, les élites souvent corrompues, et parfois opposées entre elles, manipulent les peuples depuis deux siècles à travers l'utilisation de diverses idéologies modernes athées (républicanisme, communisme, nazisme, libéralisme, laïcisme, libertarisme, freudisme, Nietzschéisme) et en les faisant ainsi fréquemment mourir dans des guerres souvent injustifiées ayant déjà causé plus de victimes que les guerres de religion. Or la fin inexorable de l'hégémonie sioniste aura bien lieu par l'effondrement de la courte histoire de la haute finance mondialisée à outrance, en grande partie donc due aux péchés des élites trop cupides oppressant les peuples. En effet le plus grand problème mondial lié au système et à une partie de l'humanité est l'ampleur de leur corruption pouvant amener à la guerre civile généralisée sur laquelle vivront en réalité peu de temps les mondialistes. Par conséquent pour empêcher cette autodestruction de l'humanité, le retour d'un grand califat bien guidé devient vraiment nécessaire dont donc face à cette très dangereuse gouvernance mondiale perverse se mettant en place en occident : (S30v41) « La corruption (et le malheur) est apparue sur la terre et dans la mer à cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains, afin qu’Allah leur fasse goûter une partie de ce qu’ils ont œuvré (comme mal) ; peut-être reviendront-ils (vers Allah). » Dans ce sens s'éloignant d'un vital juste milieu politique, il faut bien comprendre que par l'ouverture des frontières, la délocalisation des industries ou l'immigration massive, l’hyper-socialisme et l’hyper-libéralisme se ressemblent, appauvrissent tout le monde sauf les élites très riches, et ne relèvent donc pas du tout le niveau économique général des catégories sociales pauvres ou bourgeoises artisanales et entrepreneuriales, comme le pensent certains par un prétendu ruissellement économique du haut vers le bas, alors que depuis toujours le ruissellement, c’est du bas en haut. La pensée mondialiste (capitalisme 2.0 ou libéralisme 2.0) rejoint donc la pensé communiste (dans une forme de communisme 2.0) dont en réduisant l'être humain à sa fonction économique, mais en déconstruisant en plus l'anthropologie naturelle (dont sexe et mariage traditionnels) par rapport à l'URSS pour plus appuyer la domination perverse des oligarchies corrompues. Voir à ce sujet l'excellente vidéo « Le libéralisme libertaire contre la vérité de l'homme » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=KPxcy62tyrk&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ « Or l'ultra libéralisme des mondialistes n'est pas un communisme 2.0, car on ne peut définir l’ultra privatisation de tous les aspects de vie comme du socialisme. En effet le postmoderne est fondé sur la personnalité dominante produite par le capitalisme avancé, narcissique et féministe, alors que les sociétés du camp socialiste en avaient été exemptes... C'est un terrorisme d’État (ploutocratique monopolisant le capital) synonyme d'une dictature militaire effective (réelle) sous couvert d’une fictive terreur sanitaire et énergétique, dont la brutalité est proportionnelle au degré de soumission antérieure des peuples. Évidemment la définition n’a pas l’éclat ni la brièveté sonore de l’expression communisme 2.0, mais elle est beaucoup plus vraie. » (Félix Niesche) Tout internationalisme laïque en particulier laïciste même communiste et surtout libéral est donc compatible avec l'actuel mondialisme ploutocratique. D'ailleurs c'est le judéo-christianisme laïcisé qui fut à l'origine du libéralisme et du communisme. Cependant il s'agit plus d'un soviétisme 2.0 que du communisme 2.0 : « La réalité, c’est que, comme l’annonçait Marx, la logique du Capital conduit, in fine, à un monopolisme totalitaire qui, en valeur absolue, ressemble beaucoup au totalitarisme soviétique. Un soviétisme 2.0 dont à travers l’actionnariat mêlé des différents complexes militaro-industriels, agroalimentaires et pharmacochimiques, et des fameux GAFA, dans le rôle du parti unique. » (Alain Soral) Ainsi le grand reset recherché par l'oligarchie mondialiste suite à son plan d'effondrement global n'est pas une remise à zéro ni un changement du système, mais une exagération de ce dernier jusqu'au soviétisme 2.0. En effet il s'agit au final d'une soviétisation de l'économie occidentale d'autant plus car l'ultra libéralisme est similaire à l'union soviétique qui était synonyme de socialisme corporatif profitant seulement à une poignée d'humain hyper riches et non de socialisme réellement populaire. Il s'agit d'une destruction du capitalisme par les très grands capitaux, c'est à dire d'une autodestruction provenant en grande partie des banquiers et servant à la monopolisation du monde au profit de la haute finance internationaliste. On croyait dans les années 70 que l’URSS allait manger le monde, alors que c’est l’Amérique Woke et démocrate, synonyme de fascisme gauchiste et libéral vendu au capital, qui dévore le monde et tend à un soviétisme 2.0, dont à travers l'UE qui peut donc désormais être surnommée UERSS surtout qu'elle risque de finir comme l'URSS. Or le wokisme est une illégitime colonisation idéologique, puisque finissant par effacer follement ou plutôt perversement le sens de toute identité, même authentique. Le wokisme correspond au freudo-marxisme (détruisant le sérieux économique et l'idéologie du travail du marxisme par la frivolité du désir synonyme de gauche sociétale) et à une attaque globale contre la autorité personnifiée pourtant nécessaire pour éviter le chaos de la division et contre la stabilité familiale. En effet le pseudo complexe d'œdipe freudo-marxiste ne peut mener qu'à la destruction de la famille et des valeurs traditionnelles, surtout quand cela est diagnostiqué à des enfants par des psychologues ayant appris sans réfléchir ni foi. De plus le wokisme recherche donc la cancel culture, c'est à dire l'effacement de la culture et de l'Histoire pour imposer ses perverses lois anti-conservatrices et donc anti-civilisationnelles. Capitalisme et communisme laïques ne sont ainsi dans le fond et la forme que du matérialisme absolu. Par conséquent, le concept erroné de mondialisme ultralibéral peut être facilement dénoncé et donc combattu par cette exacerbation de ses grosses contradictions internes, surtout donc que finissant par le soviétisme 2.0. Or la Chine et la Russie ont pris ce que le capitalisme avait de bon tout en gardant ce que le communisme avait de bon. Alors que l'Occident a pris ce que le communisme et le capitalisme avaient de pire. Il faut noter que ces élites financières mondialistes très riches voire sournoisement nationalistes ne correspondent donc pas à la bourgeoisie conservatrice, endormie par une dose de psychotrope télévisuelle quotidienne participant à lui faire nier diverses réalités de l'oppression et la tyrannie de certains lobbies (devenus des mafias) les appauvrissant en réalité. Ainsi lorsque la mondialisation profite uniquement à l’enrichissement (relatif) des pays sous-développés comme la Chine, dont au détriment de l'Europe puisque se sous-développant (se dégradant), il ne faut pas s’étonner que les classes populaires ne s’y retrouvent pas. Pour elles, la mondialisation renvoie avant tout aux délocalisations, à la désindustrialisation et aux plans de licenciement qui vont avec, à la mise en concurrence dans des conditions de dumping avec des travailleurs pauvres de l’autre bout du monde faisant baisser les salaires, à l’immigration qui augmente de façon incontrôlable alors que la plupart des immigrés ne devraient pas abandonner le combat pour améliorer leur pays d'origine (si ils ont la possibilité d'y prêcher et si leur niveau religieux est suffisant), et donc au chômage de masse, à la stagnation voire la diminution du salaire minimum et au déclassement social, même si il est logique que le salaire d'un ouvrier et ou d'un employé ne soit pas très élevé pour préserver la stabilité de l'économie car sinon tout le monde créerait son entreprise. En effet nous sommes passés d'une proposition de mondialisation heureuse à un mondialisme forcé par la peur climatique, terroriste, sanitaire et énergétique. Il y a des gens qui sont motivés par le succès, le mérite, l’espoir, la prospérité, la foi, l’optimisme, l’amour et l’honneur. Et puis, il y a les personnes guidées par la peur qui évitent tout risque, en particulier la mort dont en martyr. Pourtant les obéissants par la peur se considèrent toujours comme des vertueux plutôt que des lâches quels que soient les ordres impies qu'ils suivent. Cependant ils ne sont donc certainement pas prêt à vertueusement mourir pour leur Seigneur. Or l'islam et le christianisme (et donc le véritable monothéisme surtout que toute l'humanité descend d'Adam et Eve) dépassant les nations et les races (comme normalement l'authentique patriotisme de la droite populiste dépassent les races), l'éventuelle disparition de ces deux dernières programmée malhonnêtement par des forces occultes mondialistes provoquant l'immigration de masse et des lois supranationales n'est pas grave, surtout car les pratiques christique ou musulmane amènent à un comportement irréprochable apportant le pouvoir au peuple par les habitudes prophétiques démodant toute société impie. En effet ce ne sont pas les histoires des nations ni des peuples (ethnies) qui comptent, c'est l'histoire de la révélation. Ainsi le plus grave correspond à la disparition du véritable monothéisme et pas au métissage des populations, en particulier car la piété authentique amènerait une politique profitable au pays et le métissage généralisé arrêterait au moins la bassesse idiote du racisme de couleur surtout donc que toute l'humanité descend d'Adam et Eve. En effet la supercherie du droit-de-l’hommisme associée à la manipulations des minorités ne résout pas les véritables problèmes mais les entretient, d'autant plus que les États-Unis wokistes se servent du Conseil des Droits de l'Homme pour s'ingérer dans les affaires intérieures d'autres pays puis en oubliant rapidement ces droits afin de dominer ces nations. C'est à dire que l'universalisme frelaté des droits de l'homme correspond seulement l'idéologie planétaire du marché et que la république n'est qu'une anti-france. Ainsi, notre époque est fertile en tours de passe-passe idéologiques abjects. L’un des pires hélas est d’avoir fait passer l’ingérence pour une idée progressiste. Les interventions occidentales se réclament des « droits de l’homme » pour liquider ou déstabiliser et donc remplacer des gouvernements qui déplaisent aux pays de l’OTAN. Elles invoquent volontiers la « démocratie » pour bafouer la souveraineté des autres États. On voit même des capitalistes fournir des armes à de prétendus « révolutionnaires » arabes sous les applaudissements d’organisations de gauche occidentales ravies d’apporter une caution progressiste aux opérations de la CIA. Par exemple dans sa dernière interview accordée à une chaîne de télévision grecque deux jours avant d’être abattu, le premier ministre suédois Olof Palme, en février 1986, interrogé sur la Communauté économique européenne (le prédécesseur de l’Union européenne qui se préparait déjà à le devenir), a déclaré que la Suède n’avait pas l’intention d’y adhérer et qu’elle était préoccupée par la suppression de l’indépendance nationale et le degré de centralisation de l’entité. Pourtant après cet assassinat, la Suède a rapidement donné son accord pour rejoindre la Communauté économique européenne et a libéré les banques étrangères pour qu’elles entrent dans le pays, ce qui était interdit depuis le 19e siècle. Le pays s’aligna même de plus en plus au plan international sur le bloc de l’OTAN, en affaiblissant donc sa politique étrangère indépendante. L’assassinat de Palme comme celui du premier ministre japonais Shinzo Abé, ne visait pas seulement à les éliminer physiquement, mais à éliminer toute trace d’indépendance vis-à-vis des instances financières et militaires anglo-américaines, car malgré des décisions fréquentes favorisant les USA et le mondialisme, ils ont montré un fond d'abord nationaliste, en particulier aussi lorsque Abé a négocié un traité de paix avec la Russie, qualifié d'opération de sécurité l'intervention russe en Ukraine, remis en cause de l'Otan et voulu réarmer le Japon, à l'encontre des orientations de la partie majeure de la haute bourgeoisie libérale japonaise soumise aux USA malgré leurs deux bombes atomiques. Ce qui a dû participer honteusement à son assassinat. A propos du contexte entourant la mort de Abé, lire l'article « Quand les mondialistes franchissent le Rubicon : L’assassinat de Shinzo Abe » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/03/quand-les-mondialistes-franchissent-le-rubicon-lassassinat-de-shinzo-abe/ Cette américano-sioniste domination impériale, cupide et autoritaire du système occidental parvient aussi jusqu'à pénétrer des pays comme la France, puisque sa souveraineté économique se dissout dans l'industrie internationale, sa souveraineté politique dans l'Union Européenne, et sa souveraineté militaire dans l'OTAN, en permettant donc à l'OTAN de s'étendre toujours plus vers l'Est jusqu'à causer la situation de guerre en Ukraine. La France ne peut plus jouer son rôle diplomatique, échapper aux conflits de la politique américaine et garder son indépendance énergétique, tant qu'elle fait partie de l'Union européenne et de l'OTAN. En effet l'actuel conflit donc en Ukraine entre l'OTAN par procuration (dont en se servant en plus encore de mercenaires étrangers mais aussi même de mercenaires pouvant être des militaires ayant prétendument démissionné dont pour faire fonctionner certaines armes occidentales livrées et venant des pays de l'OTAN comme les Etats-unis, l'Angleterre, la France, le Canada) et la Russie sans procuration en fait la démonstration. La Déclaration universelle des droits de l’homme expose un idéal que beaucoup tente de mettre en pratique. Mais tous les maux devant être combattus n'y sont dangereusement pas tous inscrits. Surtout qu'elle institue une hiérarchie entre ces droits, ce qui empêche en réalité d'améliorer concrètement les choses. Certaines puissances s'en servent même pour en accuser d’autres de violer les droits de l’homme afin de mieux cacher leurs propres crimes. Par conséquent, il arrive souvent que l’arbre de la justice laïque cache la forêt de l'injustice américano-sioniste. Par ces manipulations, de nombreux occidentaux sont persuadés de la supériorité morale de leur civilisation. Et ils ne s'émeuvent donc pas des crimes de leurs dirigeants que les autres peuples endurent, comme lorsque leurs gouvernements fournissent des armes à des terroristes pour provoquer le chaos, voler les ressources de diverses nations voire changer le régime en place, en particulier à travers leurs guerres par procuration dans le monde musulman (Daech en Syrie, Arabie Saoudite au Yémen, division en Libye) dont dans des pays qui assuraient pourtant la paix interconfessionnelle, une laïcité modérée et le développement. Ces guerres par procuration utilisées aussi ailleurs dans le monde comme en Ukraine cherchent à morceler les nations pour les rendre plus faibles, plus dociles et donc soumises à la politique, la géopolitique, la monnaie et le système économique de l'empire américano-sioniste ultra corrompu. C’est pourtant précisément cette arrogance que conteste la Déclaration universelle des droits de l’homme en posant l’égalité de chacun en droit et en dignité. C'est pourquoi hormis les réactionnaires qui pensent que les hiérarchies sociales sont fondées en nature et qu’il y a des hommes faits pour commander et d’autres pour obéir, tout le monde est d’accord pour dire qu’il faut défendre les véritables droits de l’homme. Mais il faut admettre que les uns et les autres ne parlent pas de la même chose. Si l’on entend par cette expression la possibilité pour chacun de jouir du bien commun, alors l’accès (de plus en plus rare) à l’emploi, au logement, aux soins et à l’éducation fait partie prioritairement des droits de l’homme (ou des droits humains, ne jouons pas sur les mots) au même titre que la liberté d’expression ou le cadre légal naturel. Prendre au sérieux les droits de l’homme, c’est aussi normalement y inclure les droits collectifs, c’est-à-dire la possibilité de vivre dans des conditions morales et matérielles décentes. Or les droits de l'Homme ne valident que deux entités légitimes : l'individu et l'humanité. Ils ne considèrent donc pas toute autre structure existante même importante : la famille, la patrie, le peuple, la nation, les frontières. Cela en prétendant même à travers un antiraciste radicalisme destructeur de certains Etats, dissidents ou entreprises, lutter légitimement contre toutes les discriminations qui deviennent paradoxalement des revendications servant leur domination. Lorsqu’un groupe d’individus s’estime victime de discriminations « systémiques » subies en raison de l’une de ses caractéristiques identitaires (sexe, couleur de peau, orientation sexuelle…), il va souvent jusqu'à se refermer su lui. Cela se traduit souvent par des événements organisés en « non-mixité », c’est-à-dire interdits (aux hommes, aux Blancs, aux hétérosexuels…). Signe qu’une fracture béante sépare la gauche identitaire de la gauche universaliste. Les militants des droits de l’homme ne s’intéressent donc qu’aux droits individuels et délaissent ostensiblement les droits collectifs. Que des individus soient emprisonnés ou empêchés de s’exprimer par des gouvernements autoritaires leur est insupportable, mais que des masses d’affamés subissent la loi d’airain du capital mondialisé leur est indifférent. Leur compassion pour l’humanité souffrante est étrangement sélective. Ils ne se mobilisent que pour des minorités ou des individus isolés, ils agissent au cas par cas en sélectionnant les individus ou les groupes qu’ils jugent dignes de leur attention, et on ne les voit jamais prendre fait et cause pour une majorité ou une classe socialement opprimées dont par des minorités ou la haute finance. Le vocabulaire de la plupart des ONG, majoritairement anglo-saxonnes, en témoigne clairement. Elles entendent combattre la discrimination et non l’exploitation, l’exclusion, la pauvreté, la privation de liberté dont d'expression infligée à quelques-uns, ou la misère imposée au grand nombre. Leur philosophie est celle de l’individualisme libéral, qui ne connaît que des individus porteurs de droits, et se soucie peu de savoir s’il y a parmi eux des riches et des pauvres. Ne parlons pas de la lutte des classes, ce gros mot qu’elles ne veulent même pas entendre prononcer. La seule lutte qui compte à leurs yeux, c’est celle qui vise à aligner des individus abstraits sur un standard restreint aux libertés formelles (et individuelles) en oubliant allègrement que ces libertés n’existent que sous certaines conditions collectives. Or les minorités (ou majorités) manipulées représentent un danger majeur contre la paix sociale des États démocratiques et donc de guerre civile au moins larvée. Cependant certains y pousse en France, comme le sioniste Eric Zemmour attisant les tensions et l'état profond organisant les chaos migratoire terroriste, prétendument climatique (synonyme de paupérisation par l'écologisme inconséquent), sanitaire, énergétique, économique et sécuritaire, ce qui entraîne un grand mécontentent, et donc une forte répression, et donc un chaos social synonyme de grande division populaire. Zemmour n’est au fond qu’un journaliste de droite qui flatte la droite la plus bête et la plus lâche du monde : celle qui se plaint depuis 50 ans des effets (immigration, disparition du catholicisme, appauvrissement de la bourgeoisie entrepreneuriale des PME) dont elle chérit les causes (haute finance, sionisme). Il s'agit donc principalement d'un terrorisme d'Etat médiatique, sécuritaire, climatique, économique, et actuellement plus sanitaire, militaire (conte l'Ukraine) et énergétique, afin d'oppresser prioritairement le peuple pour le contrôler. En effet les autres oppressent actuellement moins fortement en faveur du mondialisme, car ce sont les terrorismes sanitaire et climatique qui accélèrent plus les projets supranationaux et donc transnationaux, puisque la santé et le climat sont trans-partisanes. Ces terrorismes d'Etat car probablement organisés par l'Etat sont confirmés par les répressions gouvernementales qui y sont liées : la répression terroriste des années 2015-2016, la répression migratoire (2016-2017), la répression policière (anti-Gilets jaunes de 2018-2019), la répression sanitaire (2020-2021), la répression vaccinale (2021-2022), et enfin la petite dernière qui consiste à couper l'énergie pour s’assurer de la tranquillité définitive du peuple mais aussi finalement d'accélérer le grand reset au profit de la centralisation ploutocratique. En effet avec tout ce grave contexte paupérisant peuple, un étonnant terrorisme économico-financier provenant des multinationales se profile à l'horizon et au profit du grand reset, puisque ce lobby a convaincu suffisamment de députés pour empêcher une taxe de 25 % sur les superprofits même ceux provenant des crises. D'ailleurs pour maintenir l'union d'un globalisme visant à effacer les Etats, un ennemi de l'humanité doit toujours exister : danger climatique, terrorisme islamique, covid, rebelle qualifié sournoisement de tyran tels Saddam Hussain, Mouammar Khadafi, Bachar Al Assad, Poutine. Ces peurs sont donc probablement une préparation mentale pour le grand reset oligarchique, mais qui pourrait finalement être remplacé par l'Eden terrestre complété suite au réveil moral et spirituel des peuples. Or pour l'instant, la menace, c’est la coupure, les coupures. Moins d’électricité, moins de continuité électrique, moins de gaz, moins d'essence, moins de chaleur en hiver, moins de clim en été, et même possiblement donc moins d’Internet, c’est la réponse présidentielle. C'est une quatrième menace tyrannique mondialiste cherchant la concentration économique qui vient s’ajouter aux menaces climatique, djihadiste, policière (qui plane sur les Gilets jaunes), et sanitaire (une 8e vague). Laurent Grandin, le président d’Interfel, l’interprofession des fruits et légumes dont de ses PME, s’alarme : « Nous sommes dans une filière de produits périssables. Contrairement à l’industrie, on ne peut pas se permettre de se mettre en activité partielle pendant 6 mois ou de composer avec des coupures d’électricité parce qu’au redémarrage il n’y aura plus rien. » Or cette gouvernance par le chaos se sert de plus en plus aussi de la gouvernance par le faux, ou l’inversion. En effet on peut dire aujourd’hui que le faux gouverne : le discours rassurant cache des catastrophes, et le discours catastrophiste cache des choses rassurantes. Pour le peuple, s’entend. Par exemples, le discours catastrophiste sur le covid a caché le fait qu’il s’agissait d’une grippe non pas bénigne, mais augmentée en laboratoire. Et la délinquance augmentant depuis des décennies est amoindrie voire occultée ou/et récupérée par le système. Pour résoudre tous ces problèmes, la manière globale doit être recherchée, c'est à dire en y répondant au niveau de l'arborescence à la base de chaque problème plutôt qu'au niveau d'un seul facteur. La destruction programmée par Schwab et ses amis de la production en Europe mène inexorablement à un chômage de masse, à une paupérisation de la classe moyenne et à une extinction de nos pays. Sans revenir à Machiavel (« celui qui contrôle la peur des gens devient maître de leurs âmes »), on retrouve toujours la stratégie de McKinsey dans le discours macronien. La peur étant le meilleur outil marketing, Macron s'en sert beaucoup pour faire oublier les inégalités sociales, l'inflation, la corruption, la maltraitance des enfants, la déconsidération envers les personnes âgées... Tellement confiant dans ce contexte, Macron a même donné un milliard d’euros à l’Ukraine du président Zelensky, tout en alertant après un conseil des ministres que la France vivait la fin de l’abondance. Ila ainsi déclaré : « Ce que nous vivons est une grande bascule, un grand bouleversement ... c’est la fin de l’abondance de terre, de matière, de technologie, de l’eau… » Les oligarques corrompus peuvent se rassurer, car ce n’est pas la fin de l’abondance pour acheter des armes ou donner quelques milliards aux oligarques ukrainiens qui vont abondamment profiter des plages de Marbella dans leurs nouveaux yachts. Il faudra qu'un jour les Français comprennent bien ce concept de multiterrorisme : djihadiste (à vérifier), social (c’est tout vu), économique (l’inflation galope), médiatique (la liberté d’expression est privatisée), politique (il n’y a plus d’opposition réelle), juridique (la justice est sous influence), sanitaire (le pays est maintenu dans l’incertitude et l’affaiblissement immunitaire), policier (on tabasse les Gilets jaunes au lieu de tabasser les responsables du chaos), climatique (pour amener à des organisations supranationales puis un gouvernement mondial), énergétique pour concentrer l'économie... Tout cela est synonyme de harcèlement moral, financier et policier, facilitant la propagande perverse et donc le contrôle du peuple par le pouvoir profond et visible, puisque certains responsables politiques ont été jusqu'à dire qu'il fallait s'habituer à vivre avec le virus et désormais avec les pénuries, comme auparavant certains ont dit qu'il fallait s'habituer à vivre avec le terrorisme. « Nombre de Français n’en peuvent plus de ces grands discours et de ces cérémonies de deuil (et de pessimisme) qui se succèdent au fil des mois. Pour légitimes et émouvants qu’ils soient, leur répétition nous démoralise (mais sert à démotiver une révolution) et renforce le sentiment que l’État est impuissant (alors que sournois). » (Le Goff) Or toutes ces formes de terrorisme d'Etat sont d'autant plus de perverses manipulations politiques car elles sont honteusement récupérées voire organisées par les mondialistes. En fait la crise sanitaire est arrivée car les mesures contre le terrorisme et pour le climat ne suffisaient pas à l’accentuation du mondialisme sur les peuples. Profitant de cette fausse pandémie, l’oligarchie a déconstruit à une vitesse hallucinante tout le mur de protection sociale français, celui qui protégeait nos concitoyens de la violence capitaliste. Richard Horton, patron du Lancet, après avoir noté que les scientifiques sont tout aussi corruptibles que les politiques (bien placé pour le savoir et affirmant même que les régimes autoritaires ont mieux géré la crise que les démocratie) finit son ouvrage "La catastrophe du covid-19" ainsi : « Le transfert du pouvoir vers la science (synonyme de Biocratie vivant sur un état d'urgence permanent) pourrait s’avérer être une subversion dangereuse des derniers vestiges de nos valeurs démocratiques. » En effet la science qui est un rapport de force devient progressivement une religion en particulier à travers la biologie totalitariste erronée concernant le covid. Beaucoup assistent sans rien dire (ou sidérés) à cette centralisation économique mondialiste, y voyant un effet « normal » de la mondialisation, quelque chose de fatal, contre lequel on ne peut rien. C’est exactement ce que veulent les ingénieurs sociaux à l’origine de cette opération. Mais le match contre le peuple n’est pas terminé. Voir à ce sujet l'intéressante vidéo « Manipulation de masse : jusqu'où va la mythification ? - Le Zoom - Stanislas Berton - TV » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=aRrZJJgHh2I&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1&t=3s Actuellement le pouvoir mondialiste joue donc sur le chaos (destruction du travail, de la classe moyenne et des libertés) pour se maintenir, alors que normalement le pouvoir lutte contre le chaos pour maintenir un ordre profitable à tous. Surtout que le virus, le terrorisme islamique et le climat étant sans frontières et donc à portée mondiale, ils favorisent encore plus sournoisement l'utopique gouvernement mondial tyrannique du privé recherché par le mondialisme des pervers ultra riches souvent sionistes. D'autant plus que les mesures brutales et liberticides israéliennes contre le terrorisme s'étant peu répandues internationalement ont souvent été utilisées contre le covid à travers le monde en particulier occidental, dans une forme de gazzaïfication sioniste habituant les populations. Le covid, l'inflation et la guerre énergétique liée à celle en Ukraine ont donc été organisée pour qu'ils soient donc de nouveaux atouts accélérateurs du mondialisme synonyme de saut qualitatif vers la grande réinitialisation. En effet selon divers mondialistes, il s'agit d'une courte fenêtre de tir pour accélérer la mise en place great reset. Ces crises sont donc un accélérateur historique (saut qualitatif) au niveau de la domination économique oligarchique et du plan des globalistes occidentaux. Cependant cela peut aussi servir à l'union révolutionnaire du peuple, puisque la moyenne bourgeoisie se rapproche de la modeste France périphérique. C'est à dire que l'apatride oligarchie occidentale de nature financière et commerciale, devenant de plus en plus contestée de l'intérieur par le populisme et de l'extérieur par la Chine et la Russie, cherche à accélérer l'avènement de la grande réinitialisation devant amener tout l'occident et les pays en dépendant dans un axe unipolaire américano-siono-mondialiste au détriment du libre arbitre de l'action économique de leurs gouvernements et citoyens. Il faut noter que l'énorme crise des subprimes en 2008 (synonyme de paris colossaux perdus voire voulus par les banques pour asseoir leur pouvoir voire leur nécessité oppressive dans une forme de too big to fail c'est à dire trop grosses pour faire faillite), ayant ruiné une grande partie de la classe moyenne américaine et du monde au profit des ultra riches, fut le premier saut qualitatif de la finalisation du nouvel ordre mondial avant celui du covid. Selon Bill Gates, la crise énergétique en partie liée à la guerre en Ukraine doit aussi servir d’accélérateur pour la transition énergétique étant une composante du grand reset. Et le saut qualitatif (accélérateur historique) suivant se fera très probablement en 2022/2023 à travers les faillites, les pénuries et l'inflation, dont l'origine sera aussi probablement attribuée mensongèrement à la guerre en Ukraine. Surtout qu'il y a en même temps, les grosses bulles obligataire (possiblement les plus synonyme de passage au grand reset), immobilières, cryptomonnétaire, technologique et écologique au sein de mégas bulles, puisque les Etats n'ont jamais été aussi endettés au cours de l'Histoire de l'humanité. Les problèmes économiques dont suite à la crise des subprimes, à celle du covid et à celle en Ukraine sont tellement nombreux et graves que les spécialistes économiques ne sont même plus invités sur les plateaux TV des médias dominants. D'autant plus que les sanctions contre la Russie finiront par entraîner une diminution de l’approvisionnement alimentaire. Et les mondialistes et les médias ignorent même délibérément la plus grande menace qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créée par les banques centrales, surtout que ces dernières pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires “trop grosses pour faire faillite”. Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes d’aide sociale. Ajoutez à cela les nombreux billions de dollars que la Fed a imprimés depuis le crash du crédit en 2008 : c’est une fête destructrice du dollar au profit des mondialistes qui n’a jamais cessé et dont le public ressent de plus en plus les conséquences. La Réserve fédérale n'est donc pas une institution bancaire ayant pour mission de protéger les intérêts financiers américains. La Fed est plutôt un kamikaze idéologique mondialiste qui attendait pour pouvoir commencer à se faire exploser afin de faire délibérément dérailler ou détruire l’économie américaine au profit des mondialistes ou/et des sionistes au moment opportun. Ainsi ces banquiers et les mondialistes avaient besoin d'événements de couverture pour cacher leur attaque économique calculée, sinon ils seraient entièrement responsables du désastre qui en résulterait. La crise des subprimes, la pandémie de covid, les confinements, les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, la guerre en Ukraine, la crise énergétique et l'inflation ont fourni ces événements de couverture. Heureusement et donc étrangement pour les banquiers centraux que donc la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée sur la pandémie et sur Poutine. De plus en plus d’émeutes de la faim apparaissent dans les îles tropicales, en Afrique, partout où l’on a moins à manger. Le sabotage des pipelines, des gazoducs et des usines d’engrais par Biden et compagnie va étendre cette famine dans le monde. Même dans nos temps critiques, ils veulent dépeupler, contrôler et se rendent compte que il n'y a pas beaucoup d'opposition, la population étant mentalement trop vieille ou trop jeune et conditionnée jusqu'à la dépendance dont par le terrorisme écologique, les smartphones et la télévision. On filmera le Titanic en coulant. L’agenda de dépopulation est accompagné par la numérisation puis la confiscation de l’argent. La masse des veaux maintenus sous hypnose n’y verra que du feu, surtout que si des gens ont intérêt à fermer les yeux par rapport à leur situation personnelle (au niveau professionnel, social, personnel, financier), ils ne veulent ou ne vont pas voir la perversité du système. Car cette humanité a été formaté depuis plusieurs générations pour se laisser exterminer dont via des fils tels Soleil vert, Roller ball, Blade runner. Lire à ce sujet l'article « États-Unis : l’instabilité économique est-elle l’objectif derrière la "rupture de la chaîne d’approvisionnement" ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Etats-Unis-l-instabilite-economique-est-elle-l-objectif-derriere-la-rupture-de-la-chaine-d-66292.html Voir aussi à ce sujet la vidéo « Great Reset : le "monde d'après" est un cauchemar - Politique & Eco n°320 avec Marc-Gabriel Draghi » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=waEglmyG6Io Cette oligarchie ne délaisse pas le réchauffement pour autant. Cela se verrait un peu trop. Comme pour les séries télé, un bon crossover permet de réunir des publics différents. Surtout que selon une intrigante étude, voilà maintenant le réchauffement climatique (implicitement anthropique) impliqué dans l’apparition du virus qui a paralysé le monde. Encore une étude que l’on doit à des modélisateurs de salon, déjà critiquée, mais que les médias s’empressent de propager. L’important est d’en parler, pour conforter le nouveau sens commun voulu par les lobbyistes du réchauffement, Or de nombreux citoyens oublient qu'ils ont le de droit de dire non à diverses mesures liberticides dont du code de travail voulu par le pervers mondialisme néolibéral. D'ailleurs en plus d'avoir tempéré les mouvements révolutionnaires à travers le monde tels ceux aux USA, en France et en Angleterre, cette destruction du code du travail français a été une des utilisations voire raisons principales de la crise des subprimes, du covid, de l'inflation, de la guerre en Ukraine, de la crise énergétique et des pénuries. Et c'est pourquoi il faut d'autant plus refuser la peur facilitant l'imposition du nouveau paradigme dicté par les mondialistes. Toute société ou entreprise qui exigerait à nouveau une preuve de vaccination au nom du gouvernement ou des mondialistes devrait être encore mise au piquet et mise au pas. Toute entreprise concurrente qui refuserait à nouveau de demander des passeports vaccinaux devrait encore être soutenue par le public et protégée des représailles du gouvernement. Le Montana a rendu illégal le fait que des entreprises demandent des passeports vaccinaux, mais de nombreux États ne l’ont pas fait. D'autant plus qu'avec le pass sanitaire, cela touchait gravement à la liberté de déplacement, à la discrimination sanitaire et à la surveillance de masse, surtout que comme les policiers qui contrôlaient le pass sanitaire, les députés qui devaient voter des lois et les routiers qui pouvaient facilement bloquer le gouvernement, n’avaient pas d'obligations vaccinales, cela montre que cette politique sanitaire correspondait bien à une mise sous contrôle du peuple, alors que le pass sanitaire est pourtant interdit selon le droit international. Il ne leur reste plus que la peur pour retenir le peuple. Or le pass sanitaire aussi possiblement été un détournement d'attention par rapport à de futures lois perverses au niveau de la bioéthique, de la lutte contre le changement climatique, de la retraite, de la finance, des institutions. Le professeur Alexandra Henrion-Caude a dit : « Le pass sanitaire, c’est la destruction de toute forme de paix sociale ! » En effet s'il faut une piqûre ou un pass pour être libre, c’est que le peuple ne l'est pas et que la rébellion voire la révolution devient nécessaire. Sinon il ne reste plus à l'oligarchie mondialiste que de parachever la gouvernance mondiale par le contrôle, la surveillance totale et le terrorisme, telles la mise en avant des de l’autre, du climat, du virus, de l'inflation, des pénuries, des religions, de la mort, de la vie, de l’avenir. Mais l’Homme finit par s’habituer à sa peur et à la vaincre, c’est le courage ! Surtout que nous sommes à la fin d’un cycle, celui de la modernité dans l'abondance. Bien sûr, tous ces terrorismes s’ils sont vrais dans leur manifestation et leur promotion, sont faux dans leur origine ou exagérés dans leur réalité : ils sont produits pour étouffer, dévitaliser et soumettre l’ensemble du pays au système. Cette gestion nationale par la peur, le stress et les électrochocs est la marque d’une oligarchie psychiatrique en plein travail. Pendant la crise sanitaire, du covid, la manipulation provenait sournoisement de la fréquente alternance entre mesures liberticides (dites sanitaires), récompenses à ceux qui les suivent et opérations de terreur. En effet l’oppression avait empirer, dont par des annonces contradictoires aliénantes. C'est à dire que lorsqu'un gouvernement donne des ordres et contre-ordres amenant par de l'autorité obscure une désorientation populaire jusqu'au réflexe de l'obéissance, cela peut aller jusqu'à de l'aliénation par la peur voire plutôt par la souffrance psychologique (comme la paranoïa) d'autant plus manipulable : (ExtHadith) Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous d'accomplir des bonnes œuvres car il va y avoir des périodes de troubles et de tentations telles des parties d’une nuit sombre (sans clarté mentale). » (Mouslim) Un professeur de neuro-marketing (branche qui étudie comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu) n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Je le vois dans l’hystérisation de beaucoup de positions, avec une forme de polarisation extrême et la perte de capacité à réfléchir et à avoir envie de discuter constructivement et calmement des choses, synonyme donc une perte de compétence dialogique et réflexive. Les portes de l’asile sont tombées, les fous sont partout, ils se mélangent avec le personnel, on ne sait plus qui est fou, qui est normal, le psychiatre, le schizophrène, le gestionnaire, l’infirmière, le visiteur, le ministre de la santé, le président de la république, tout fusionne. Doubles contraintes, injonctions paradoxales, la campagne pro-vaccination divisant le peuple en était bourrée, alors qu'au niveau familial un parent n'élève pas ses enfants en les montant les uns contre les autres, et qu'au niveau social le dirigeant doit évidemment en faire de même vis a vis de son peuple, ce qui met définitivement en pleine lumière l'oligarchie perverse mondialiste comme l'ennemi des peuples. Voilà sa logique : a) Le message affirme quelque chose ; b) il affirme quelque chose sur sa propre affirmation ; c) ces deux affirmations s’excluent. Enfin, toute critique est inacceptable. Exemple : a) Vaccinez-vous pour protéger les autres. b) Les autres doivent se vacciner pour vous protéger, même si vous l’êtes déjà. c) Après la vaccination, portez un masque, continuez les gestes barrières. Et si vous essayez de vous y retrouver, vous risquez fort de tourner en rond et de terminer épuisé. Essayez donc de demander à un ordinateur de résoudre ce genre d’injonctions paradoxales. Il va devenir fou. Vous serez obligé de le débrancher. Il n’y a pas d’autre solution. Il faut donc repérer les failles de raisonnement de la propagande médiatique (deux mots indissociables). Des paradoxes qui nous indiquent comment et jusqu’à quel point on nous manipule. Le projet est donc de continuer à saturer jusqu'à la nausée les populations d’informations contradictoires, afin qu’elles ne sachent plus qui croire et que croire. Dès lors, leur cerveaux embrumés sont prêts à recevoir n’importe quelle injonction qui, elle, enfin, est parfaitement claire et univoque : masquez-vous, confinez-vous, vaccinez-vous, etc. Si le pouvoir utilise l'absurde, c'est parce qu'il déstabilise et fait peur. C'est pourquoi les gens doivent retrouver la logique, la cohérence et le sens (dont aussi du monothéisme authentique), car ils libèrent et restaurent la confiance, comme depuis qu'il a été découvert que la foudre est un phénomène naturel et n'est plus associé à des superstitions craintives. Le naufrage populaire actuel montre que la superstition technologique prend négativement le pouvoir dans de nombreux secteurs. En effet qui influence les décisions des Etats en panique : la technologie de modélisation informatique ; qui a profité massivement du confinement : la technologie internet ; qui a entravé le traitement des malades par des médicaments existants et bon marché : la technologie pharmaceutique qui prétend créer un vaccin contre le coronavirus alors que cela na jamais été fait et que même le vaccin de la grippe n'est pas fiable. Ce qui n'est pas étonnant car la domestication (ingénierie sociale) est basée sur la récompense de la friandise et la crainte de la réprimande. Or la domestication par la peur se fait principalement par certains sous forme d'hallucination (exagération) personnelle par rapport au contenu réel de la menace politique. Cette privation des libertés au profit des oligarques pouvant aller bientôt jusqu'au pass carbone est d'autant plus inquiétante qu'elle est accompagnée d'une surveillance d'Etat fortement accrue à travers le numérique. Pourtant les Français et tous les peuples ont toujours envie de liberté, de légèreté, alors qu'ils sont entrés dans un monde qui s’assombrit lourdement. Autrefois patrie des libertés et des droits de l’homme, la France est devenue celle des droits de l’oligarque, qui a tout pouvoir sur les gens, les pauvres, les résistants. Il fallait ajouter les pauvres dans la liste parce que si l’on n’est pas riche aujourd’hui, on a toutes les chances de goûter à l’une des branches de la répression : celle sociale avec la destruction des services publics, ce patrimoine du pauvre ; celle économique avec la très forte inflation ; celle du prix de l’essence qui va faire regretter aux Gilets jaunes d’avoir déposé les armes ; celle médiatique avec la chasse aux pensants qu'il ne faut même pas qualifié de malpensants puisque ce sont tout simplement les Français qui pensent qui sont persécutés ; celle juridique parce que la justice a littéralement abandonné la protection du peuple au profit de celle de l’oligarchie ; celle politique parce que le choix binaire laissé aux Français dans les élections, truquées de A à Z, exclut tout changement réel. En Israël ça a été l’enfer lors de la crise covid : passeport pour être libre ; vaccination tous les 6 mois ; passeport sanitaire dès trois ans, bracelet électronique pour ceux qui reviennent de l'étranger voire camps d'internement (apparaissant ou se préparant aussi ailleurs) ; collèges, compagnies aériennes, hôtels, hôpitaux et grandes chaînes de magasins qui exigeait un passeport vaccinal pour l’emploi ou pour faire des achats. L’effet d'une tyrannie médicale même privée, puisque celle du covid était liée l'OMS suprnationale privatisée, peut donc être aussi important que si c'était un gouvernement qui l'imposait. En l’absence de protections juridiques de l’État pour limiter l’ingénierie sociale par les mastodontes que sont les consortiums du privé (grands groupes industriels), l’establishment dispose donc de tous les outils dont il a besoin pour imposer des conditions oppressantes. Ces sociétés ou organisation ne représentent plus l’entreprise privée ou le marché libre. Elles sont plutôt des appendices du pouvoir de l’establishment qui reçoivent en plus souvent des milliards de dollars des contribuables pour financer leurs opérations (subventions à des organisations supranationales, aides aux entreprises, subventions de la presse). Elles ne doivent plus être traitées comme si elles avaient les mêmes droits que les entreprises normales. Les peuples doivent donc lutter pour un système politique qui ne soit ni tout état ni tout m arché, encore une preuve de la noblesse du juste milieu demandée sur terre par Dieu. Or sur un plan médiatique où tout est traité selon la même importance, l’effet terreur empêche en plus de prendre du recul sur la décision politique du jour précédent. C’est comme un interrupteur de peur pour qui empêche la raison de rester claire. Ainsi pour ne pas entrer en tyrannie et pacifiquement manifester légitimement quand il le faut, le peuple doit absolument jauger quand des niveaux sécuritaires liberticides sont temporaires, deviennent exceptionnels, ou demeure une généralisation autoritaire. C'est pourquoi il faut constater que la crise sanitaire avait vite laissé place à un régime de sécurité sanitaire (sauf par exemple en Suède), dérivant allègrement toujours plus loin vers un système sécuritaire tout court. Surtout qu'avec des peurs amplifiées par les médias mainstream comme celle du Covid qui n'a pourtant été pas plus grave qu'une grosse grippe, une grande partie du peuple s'auto-alimente cette peur et cette tyrannie sécuritaire seul ou mutuellement. En effet la surmortalité nationale du covid par rapport aux années précédente n'est clairement pas distinguable surtout que les morts habituels de la grippe saisonnière et des comorbidités ont été attribués au covid. Les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Il est décevant que pour beaucoup, le fantasme de leur santé lié à la crise du covid est passé avant leur liberté, alors qu'auparavant ils étaient prêts à mourir pour leur liberté. La France est étudiée tel dans Hôpital Psychiatrique à ciel ouvert. Les chocs terroristes dont sanitaires sont récupérés voire organisés pour cibler et orienter des millions de Français par rebond ou division. Ainsi les divers terrorismes, utilisés par divers pouvoirs dont de certains lobbies, permettent une modification momentanée des lois qui progressivement passent finalement d'exception à permanentes afin d'établir progressivement une tyrannie oligarchique au fil des décennies. Il n’y a pas de « situation normale » et de « situation d’exception » sans une norme qui permette de les distinguer. » (Hermann Heller, La crise de la théorie de l’État) La mise en place de la tyrannie commence par tuer tous les symboles de liberté, puis continue par tuer directement la liberté, puis finit par tuer le peuple, comme le prouvent la crise du covid, le système ploutocratique actuel et une partie des ultra-riches mondialistes qui revendiquent la nécessité d'une diminution massive de la population mondiale. Le 7 juin 2017, après consultation du conseil français de défense sanitaire, par son « Nous sommes en guerre », Macron a remplacé l’état d’urgence contre le terrorisme, régime d’exception, par l’état d’urgence sanitaire intégré au droit commun. Le vocabulaire guerrier remplace le vocabulaire médical. L’exception fait place à la banalité du droit commun. La stratégie du choc, l’affolement de la population, c’est la tâche des médias. La comédie du vote par le Parlement de la prorogation de l’urgence sanitaire et de sa durée a été maintes fois jouée. Prévu pour deux mois à partir du 23 mars 2020, l’état d’urgence sanitaire a été prolongé jusqu’au10 juillet, puis par un régime transitoire jusqu’au 31 octobre 2020, lui-même prolongé jusqu’au1er avril et finalement jusqu’au 30 septembre 2021. Et ce régime dit transitoire était à chaque fois censé organiser la « sortie » de l’état d’urgence sanitaire ! Macron envisageait même de passer de l’État de droit avec ses exceptions temporaires à l’État d’urgence permanent. Que ce soit inclus dans la Constitution ou voté par un Parlement aux ordres, qu’importe. La tyrannie mondialiste s’instaurait. Mais comme les conséquences du covid ne furent pas très graves, elle ne put finalement pas s'établir complètement quoique l'affaiblissement de la France au profit du mondialisme usurier a été amplifiée puisque sa dette a augmenté de 750 milliards d'euros. Ainsi pour sauver le pays, Macron et sa bande doivent être remplacés par un gouvernement de salut public composé de personnalités qui ne sont pas entre les mains de la Banque, du Big tech, du Big Pharma ou/et des forces occultes. Il apparaît donc qu'une tyrannie par la peur, des menaces ou des sanctions, qu'elle soit militaire ou sanitaire, demeure une tyrannie. En effet quand la liberté est conditionnée par des mesures sanitaires ou militaires, il n'y a plus de liberté. Le mardi 9 février 2021, les députés français ont donc validé la prolongation de l'état d'urgence jusqu’au 1er juin. Ce régime d’exception permettait au gouvernement de décider sans l'assemblée nationale des mesures de confinement, de couvre-feu, ou de tout autre disposition qu’il estimait nécessaire. L’état d’urgence sanitaire est un leurre tyrannique qui permet de restreindre ou interdire les déplacements, de mettre les gens en quarantaine, d'ordonner des mesures de placement ou de maintien en isolement, d'ordonner la fermeture provisoire d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public, de limiter ou d'interdire les rassemblements sur la voie publique ainsi que les réunions de toute nature, d'ordonner la réquisition de biens et services, de prendre des mesures temporaires de contrôle des prix, de prendre toute mesure réglementaire limitant la liberté d’entreprendre. La liste n’est pas exhaustive. De quoi n'avoir rien à envier à une dictature militaire. L’Assemblée nationale a même modifié le 1er mars 2021 son propre règlement intérieur pour prévoir durablement comment organiser ses travaux « en période de crise » de tout type. Les institutions sont en roue libre. On vote des lois à 5 heure du matin à 40 députés. Et on les revote, si jamais elles n’ont pas été votées de manière conforme… Ainsi avec les réseaux sociaux censurés, les opinions politiques fichées, l'état d’urgence détourné, la guerre provoquée et les pénuries organisées dont très gravement au niveau de l'énergie et même de certains produits alimentaires, ça commence clairement à faire beaucoup et donc trop. Et si des entités comme Apple, Facebook, Mozilla, Microsoft commencent à refuser à certains des applications, des recherches, des comptes et des sites, cette tyrannie n'aura même pas besoin de fermer internet... Par conséquent les philosophes, les penseurs, les journalistes, les juristes, les politiciens, les hommes dignes de ces nom devraient lutter de toutes leurs forces, de tous leurs mots et de toutes leurs fonctions contre cette tyrannie. Or cela se fait honteusement de plus en plus rare. De plus en cas de rachat par les mondialistes de tous les serveurs privés pour amplifier la censure ou l'isolement de dissidents, ils pourraient prétexter que leurs sites qu’ils hébergent ne correspondent pas à leur politique ou ne fonctionnent plus suite à laissé passer des virus informatiques. Le choix des russes de créer leurs propres réseaux internet a donc été très judicieux. Dans ce sens la blockchain populairement bien utilisée devient donc de plus en plus la seule voie de liberté pour internet, en particulier si elle est liée à des satellites appartenant à un pays ou une société privée honnêtes. Reste à savoir comment les peuples, certains politiques, les juges, les policiers et les militaires vont réagir si la tyrannie mondialiste s'aggrave. Or pour lutter contre toute tyrannie qui ne tue pas les opposants, la désobéissance civile doit nécessairement être collective et pacifique par rapport aux diverses injustices, si nécessaire jusqu'à se laisser frapper par les forces de l'ordre lors d'une manifestation afin d'obtenir le soutien de l'opinion publique pour la cause recherchée. Ceci afin de commencer une nouvelle politique sur des bases inverses à la violence et à la division utilisées par le pouvoir précédent. On peut donc se servir de la force (violence) de l'adversaire... Un pouvoir autoritaire qui se raidit avoue déjà que l'autorité lui échappe, surtout que selon Aristote, la Politique est l'art de commander à des hommes libres. La destruction économique, les pénuries et la soumission sociale que la plupart des gens croient être la conséquence d’une pandémie ou d'une guerre sont en réalité l’objectif premier des gouvernements et derrière eux de l’oligarchie mondialiste, dont particulièrement de sa partie française puisque connectée essentiellement au tout mondial. Il faut donc demeurer lucides, réalistes et ne pas se laisser tirer vers le bas, car à travers les crises organisées, le système actuel veut nous faire sombrer dans un état dépressif permanent avec la peur et la culpabilisation, pour mieux nous manipuler et nous dominer. C'est à dire qu'ils cherchent à nous empêcher de penser droit pour limiter notre volonté de justice. Cette dictature occidentale oligarchique synonyme du mondialisme est donc pire qu'une mafia, car c'est une perverse organisation climatique, bancaire, terroriste, sanitaire, énergétique et économique. Surtout que la populaire soumission volontaire est plus forte par la sécurité médicale que par la sécurité anti-terroriste. Mais qui veut vraiment d’une autoritaire société aseptisée recherchant prétendument le risque zéro, comme ce le fut à travers les confinements ayant mis sous cloche tout un pays et ayant gelé toute activité, toute pensée, et surtout toute réaction. Alors que la vraie médecine se fait avec un cœur honnête pour les patients et pas avec la peur pour un profit inconséquent. De plus si la santé préoccupait vraiment le système politique, il interdirait la cigarette, les pesticides, la malbouffe, le stress, ou tout ce qui détruit aussi beaucoup plus de vies que le Covid. Surtout qu'au début, il s'agissait d'une politique de crise sanitaire, mais que ça s'est transformé en une politique de sécurité sanitaire, puis ensuite en une politique d'Etat sécuritaire sous prétexte sanitaire devenant une tyrannie. Or le contexte actuel demande pourtant vertueusement à regarder ce qui nous rapproche voire ce qui nous rassemble dans la dignité, dont en dénonçant l'indignité plutôt que ce qui nous différencie ou nous divise, afin de parvenir à une ère de paix, de prospérité, d'échange et d'harmonie. En effet la main mise sur tout, partout et tout le temps par les oligarchies perverses apparaît de plus en plus indignement, dont à travers une répression féroce, visible, assumée, de plus étonnamment surtout policière, alors que la police doit garantir les libertés individuelles au lieu de les réprimer. C'est à dire que normalement, la police est un service public agissant pour l’intérêt général du peuple et non pour l’intérêt particulier du pouvoir en place servant le mondialismes des élites corrompues. Tout va crescendo telle une courbe exponentielle. Pied au plancher, ces oligarchies ne s’arrêteront plus, comme le prouve la perverse, patiente et méticuleuse destruction dissimulée des nations par la peur jusqu'à l'esclavage. Robert Kennedy Jr : « La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur. » « Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre : parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement. » Quand quelqu'un comme Zemmour travaille à la guerre civile, cela signifie toujours qu'il est un agent étranger. De même la déclaration suivante de François Molins procureur de la République et figure de la lutte contre le terrorisme en France, à propos d'anciens terroristes islamiques qui sortaient de prison synonyme de transmission de peur concernant les musulmans, participe aussi grandement au risque de guerre civile par une étrange annonce prémonitoire d'attentats : « On court un risque majeur de voir sortir de prison à l’issue de leur peine des gens qui ne seront pas du tout repentis (de leurs idées terroristes), qui risquent même d’être encore plus endurcis compte tenu de leur séjour en prison. » C'est à dire que pour éviter de recevoir la lutte verticale (peuple contre élites), le pouvoir est prêt à créer plus de problème violents intersociaux amenant une guerre civile plus ou moins chaude, dont afin que le français moyen demande plus de sécurité et donc d'Etat et donc de surveillance et donc de contrôle. C'est à dire que le pouvoir profond pervers peut organiser de toute pièce des incidents interethniques ou interconfessionnels, dont en leur donnant une dimension excessive par les médias mainstream pour mettre encore plus le feu aux poudres afin de diviser fortement le peuple. Or avec toutes ces tensions, les peuples commencent à se réveiller sous les coups, car c’est toujours la souffrance qui rend lucide (comme le prouvent les fréquentes épreuves divines difficiles envoyées aux peuples s'égarant), jamais le confort (ça explique pourquoi le système fournit un confort au moins minimum aux français, et les penseurs agrémentés par le Système sont des niais quand ils ne sont pas corrompus). La guerre civile tant annoncée en France par les sionistes et qui ressemble fortement à une prophétie auto-réalisatrice, ne sera donc pas une guerre entre les chrétiens et les musulmans, mais une guerre entre Français et Antifrançais, si guerre il y a. Cependant les apprentis sorciers de l’oligarchie peuvent la déclencher, mais ils ne pourront pas la contrôler : elle leur échappera et l'habituel retour pour arrêter l'oligarchie dont sioniste adviendra. Surtout qu'il pourrait y avoir plusieurs camps s'unissant contre le système : les hommes de bonne volonté, les patriotes, les religieux, les anti-sionistes, etc... Dans ce sens, heureusement que suite à des frigos commençant à être vides, les pacifiques gilets jaunes intelligemment patriotes, issus de couches populaires périphériques, significativement accompagnés de femmes souvent mères de familles, recréant la noblesse des liens collectifs ayant disparu à cause de l'individualisme matérialiste moderne et télévisuel, réveillant définitivement les valeurs morales chrétiennes, précieusement apolitiques sans leader recréant l'âme du peuple par un retour au lien social et donc spirituel qui se rerépand précieusement dans la France actuelle, rendant à nouveau la France meneuse moralement du monde éclairé, freinant probablement la fin des temps, et par conséquent sagement révolutionnaires sous une forme d'extrême centrisme pieux, identifient de plus en plus ces forces occultes promotionnées par des médias d'information privés, et ne sont donc pas tombés dans ce piège grossier et honteux d'une guerre civile ethnoconfessionnelle ne servant que le pouvoir et les privilèges des élites corrompues du haut de la pyramide sociale (et de pouvoir, symbole représentant le plus la franc-maçonnerie). Or les gilets jaunes sont en réalité politiquement uni hors des partis traditionnels divisant et donnant toujours le pouvoir aux élites, ceci prouvant qu'il n'existe plus de gauche politique et de droite politique car toute deux sont de plus en plus d'accord sur le pire comme le mondialisme politique et l'union européenne, et qu'il existe donc désormais seulement le souverainisme politique qui va récupérer tous les déçus de cette gauche devenue mondialiste et même de son extrême. Cela ne se fera peut être seulement qu'à la fin de vie des boomers qui sont ceux votant le plus pour le mondialisme (dont par peur de la pandémie exagérée, du terrorisme manipulé ou du changement climatique inventé, ce qui prouve que la peur est effectivement l’ennemie de l’intelligence), et donc lorsqu'il ne restera face à la moyenne bourgeoisie naïvement mondialiste que le bloc national sous forme d'extrême droite portée par les actifs en dehors de la haute finance et l'islamo-gauchisme sous forme d'extrême gauche portée principalement par les jeunes conservateurs. C'est pourquoi vers une forme pieuse d'extrême centrisme socialo-national, la droite nationale chrétienne doit se rapprocher des musulmans de gauche surtout car ils reconnaissent la mission divine de Jésus. Or par l’inversion droite des valeurs/droite de la haute finance mondialisée et gauche du travail/gauche écolo-sanitairo-sociétale, Macron, tel un faux messie, un antichrist ou/et une bête est ainsi un usurpateur pervers de l’extrême centrisme normalement donc national-socialiste bien compris, c'est à dire correspondant à une bourgeoise droite française religieuse avant tout sociale mais s'opposant ensuite à la lutte des classes tout en permettant à chacun la liberté d'entreprendre professionnellement, littérairement, artistiquement, sportivement, spirituellement, tout en pouvant organiser le bien commun, devenir propriétaire et donc s'élever socialement autrement que par la guerre. En effet le nationalisme (patriotisme) bien compris peut être similaire au socialisme bien compris et vice versa. Or le système et sa nouvelle cancel culture cherche donc à réécrire l'histoire des partis politiques ou des événements nationaux du passé afin d'orienter les nouvelles générations vers une pensée unique favorisant les oligarchies corrompues. Ces dernières sont souvent alliées au projet messianiste juif, mais parfois elles sont concurrentes voire dangereuses pour l'une ou l'autre. Par exemple il y a l'aile gauche libérale (pro-finance, pro-euro et pro-union européenne) du judaïsme politique incarné par la diaspora juive universellement impérialiste qui vise la gouvernance mondiale dont par l'usure. Et celle-ci est parfois mise en danger par le likoud israélien néoconservateur trop extrême-droitiste juif à la mauvaise réputation par sa violence politique, puisque cela fait logiquement monter l'antisémitisme à l'étranger. Ce messianisme Israélien vise lui prioritairement l'impérialisme territorial par la recherche du Grand Israël hégémonique, dont en infiltrant l'extrême droite de différentes nations pour perversement sioniser son éventuel accès au pouvoir afin qu'elle valide comme d'autres partis politiques sa soumission à la finance libérale pro-euro et pro-union européenne. En effet pour empêcher la patriotique jonction entre extrême gauche et extrême droite, le mécanisme est simple : il suffit d’associer le peuple injustement au fascisme voire à l'antisémitisme, comme les gilets jaunes finirent par être traités d'antisémites par les médias du système oligarchique et par ses idiots serviles ou commandés antifas en revanche dans une forme réelle de fascisme. Ce qui prouve que le fascisme, c'est du réductionnisme. Les gauchistes peuvent alors revendiquer de représenter (eux et eux seuls) le peuple, après l’avoir nettoyé de ses éléments non pas les plus antisémites, mais les plus radicalement anti-oligarchiques. L’oligarchie peut alors poursuivre sa politique de destruction sociale tranquillement. Il faut noter que la création d'une nation passe d'abord par le social, puis prioritairement par le national, si nécessaire suite à des guerres défensives pour préserver d'abord le social comme lors de la mise en place du califat. Ainsi quand c'est possible, un gouvernement doit évidemment rechercher à la paix entre citoyens et les droits de chacun. En effet, l'ordre républicain n'est réel que lorsque l'intérêt général est garanti et les droits du peuple sont défendus, et non pas quand le pouvoir n'est au service que d'une poignée d'individus, et c'est pourquoi selon la constitution française, la révolte citoyenne pour rétablir cet ordre juste est obligatoire face à la ploutocratie égoïste actuelle cherchant en plus à diviser sans arrêt le peuple pour accentuer ses privilèges : Article 16 de la déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. » Article 35 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen 1793 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » D'ailleurs pour rediviser le peuple suite aux gilets jaunes, le président Macron a organisé le grand débat national par segmentations. Donc on avait un débat avec les maires ruraux, les femmes, les femmes célibataires, les jeunes, bref il s’agissait pour nos politiques publicitaires, nos panélistes politiques, de re-segmenter ce qui venait de se recomposer. Commentaire d'un internaute : « Les gouvernements et les médias occidentaux actuels sont les instruments des gros capitalistes. Leur rôle est de nous faire peur afin de passer les lois de soumission et de répression qui serviront les gros capitalistes. Pour cela, ils utilisent l’incertitude et propagent le doute dans les esprits. Ainsi le cerveau devient paralysé et des charges émotionnelles lui sont envoyées pour le faire réagir dans la direction voulue. Sinon ils envoient des terroristes, des virus et maintenant des militaires (devant faire respecter le confinement) pour accélérer le projet de domination. Nous sommes en tyrannie. Dans la constitution il est écrit que c’est un devoir de se rebeller contre la tyrannie. Plus les mondialistes veulent régner, plus ils augmentent la tyrannie, et plus celle-ci développe la cohésion des peuples. Nous sommes beaucoup à nous rebeller, et les médias officiels font tout pour cacher cette info. Nous, le peuple, sommes les 99% (dont au moins 25 % de réveillés) face au 1 % ultra riches (détenant de 50 à 99 % des richesses). » L'abbé Pierre a dit des bourgeois qui accumulent avidement les richesses : « Vous avez probablement plus de sang sur vos mains d’inconscients que n’en aura jamais le désespéré qui a pris des armes pour essayer de sortir de son désespoir (en particulier si il parvient quand même à changer les choses pacifiquement par de grandes manifestations par exemple) ! » Voir vidéo de Michel Drac à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?time_continue=7&v=0w-4i0JtlpI Le soulèvement des Gilets jaunes est la lame de fond d’un mouvement qui va balayer tranquillement, inarrêtablement, les élites. Ce mouvement est comparable à un tremblement de terre sociologico-politique, d’abord sociologique et ensuite politique, dû à la confrontation de deux plaques majeures : les élites françaises mondialisées, et la classe moyenne française, qui a fait la richesse et la force de la France, et de son État. Les événements populaires qui se poursuivent ne sont que des répliques de ce choc majeur, fondamental, et ce ne sont pas les tentatives terroristes misérables de la dominance qui y changeront quoi que ce soit. La classe moyenne n’est pas morte, elle se recompose, et reconstitue sa force. Surtout que la différence entre le combat sportif et le combat politique, c'est que dans le combat politique même si on est largement mené, la victoire est toujours possible : de défaite en défaite jusqu'à la victoire. Or aucune révolution n’a abouti sans cadres intellectuels issus de la bourgeoisie, mais l’histoire n’est pas terminée. Le processus d’appauvrissement de la petite bourgeoisie est déjà bien avancé, mais elle ne le sait pas encore, elle est dans le déni d’une réalité qui la rattrapera bientôt, et elle sera tirée du rêve dans lequel elle s’est enfermée mentalement ; un rêve où elle appartient au sommet de la pyramide sociale, alors qu’en terme de niveau de vie elle est plus proche des professions intermédiaires. D’ailleurs, des catégories supérieures ont participé aux manifestions contre le pass sanitaire et à celles contre l'inflation et contre les pénuries. D’après Stéphane Sirot, spécialiste des grèves et du syndicalisme, « les manifestants sont assez diplômés et font partie, pour un certain nombre d’entre eux, de ce qu’on appelle communément classes moyennes ». La tyrannie sanitaire, numérique et économique accompagnant et justifiant la pulvérisation de ce qui reste de tissu économique et du code du travail essaye de coaguler des catégories socio-professionnelles jusque-là atomisées. Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), sur l’ensemble de l’année 2020 du covid et des confinements, « 8,8 % des heures de travail dans le monde ont été perdues (par rapport au quatrième trimestre 2019), ce qui équivaut à 255 millions d’emplois à temps plein », soit quatre fois plus d’heures de travail disparues que durant la crise financière de 2008. Il faut par conséquent prendre avec des pincettes le taux de chômage en France, qui est de 8,1 % de la population active au premier trimestre 2021, car il n’intègre que les demandeurs d’emploi inscrits au Pôle emploi, et non pas ceux qui ont été radiés ou qui ne sont plus à la recherchent d’un emploi. Or l'origine des ces gilets jaunes est en plus un mélange de crise religieuse, de crise de régime, de crise socio-économique et de crise de la démocratie. En effet la condition indispensable de la pérennité d’un régime est qu’il soit adossé à une religion (ou à une idéologie) structurante lui donnant sa légitimité et facilitant donc l'union du peuple dans la fraternité et la solidarité dont face à un éventuel ennemi pervers commun. Mais les peuples ont compris que leur véritable ennemi est la finance internationale qui brise les valeurs morales de la société à l'intérieur par le libertaire et vise la fin des frontières à l'extérieur parle libéralisme, tout à au nom d'une pseudo marche vers le progressisme et le modernisme. Ainsi suite à une excessive gourmandise stupide du système oligarchique dans une époque intéressante de nouvelle grammaire sociale, politique et sociétale, puisque se découvrant chaque jour par l'apparition des réseaux sociaux et de nombreux moyens vidéos tels les smartphones rendant la société irréversiblement plus horizontale et juste, le pouvoir profond cupide désormais beaucoup plus calculateur car sous pression a subi un gros impact de retour au réel provenant de ces Français en gilets jaunes (synonymes d'urgence) représentant la rare union du prolétariat (salariés, ouvriers) et de la classe moyenne (petits patrons). Nous sommes même arrivés à une époque où celui qui tire avec une arme à feu le premier est mort politiquement. Habituellement divisé par les élites, mais tendant actuellement vers la quintessence de ses convergences, le peuple vient de dire « Non » à la prospérité exclusive pour les très riches par une austérité pour le reste, au démantèlement de l’État providence, aux privatisations, aux guerres à l’étranger, à l’immigration de masse, bref, à toutes les plaies qui tombent sur l'Occident depuis une trentaine d’années. Ils ont dit « Non » à la dystopie. La dystopie est une forme de société au bonheur inaccessible, telle une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie, que de nombreux films de science fiction souvent hollywoodiens ont traité au service de la ploutocratie corrompue actuelle en cherchant à habituer l'humanité à ce que ce type de système advienne au profit de cette hyperclasse perverse. Ils ont donc dit « Non » à la dystopie apportée par la caste politico-médiatico-économique actuelle oppressante, et « Oui » à leurs aspirations sincères et légitimes pour un monde plus juste, car chaque peuple crée son chemin propre et imprévisible vers son idéal collectif, et capitalise ses expériences sur ce chemin. En particulier par internet, la lumière du peuple servant la vérité est venue dénoncer le mensonge, la corruption et la perversité se propageant par les forces occultes et des réseaux d'influence souvent du privé et de lobbies. Le glas a sonné, c’est la fin : les banquiers ne pourront plus nous serrer la vis comme ils le projetaient tout en se reposant sur leurs double menton. Or pour triompher les gilets jaunes doivent impérativement encourager les forces de l'ordre à les rejoindre (ainsi que les professions importantes comme les médecins, les pompiers, les avocats, les camionneurs, les distributeurs d'énergie), plutôt que de les accabler afin de les diviser entre pro-manifestants et anti-manifestants, comme le pouvoir profond cherche toujours à diviser le peuple. Surtout que les forces de l'ordre doivent avant tout être des gardiens de la paix, même si ces gardiens de la paix sont donc depuis quelques temps devenus des forces de l'ordre (ou plutôt désordre) oligarchique. Cependant étant donnée la violence policière ayant crevé des yeux et arraché des mains, et donc la soumission des forces de l'ordre au système, le round 2 des gilets jaunes doit se faire en dehors de la force ou de la violence face à des policiers armés, c'est à dire pacifiquement dont à travers la sortie du système par l'éveil du peuple sur les réseaux sociaux (mais le mieux est de le faire via une web radio privée créée par des résistants), par le boycott en particulier des médias, par le suivi des dissidents authentiques, par l'union des petits patrons, par la technologie blockchain et par les cryptomonnaies décentralisée. En vérité, la meilleure action non-violente, c’est bien le boycott, dont par rapport au vote des élections de politiciens traîtres, aux grand médias, aux membres ou entreprises de l'oligarchie perverse, aux programmes TV abrutissants. Or par rapport aux gilets jaunes, les manifestations contre le pass sanitaire ayant été plus grandes, plus fortes, plus unies (pas de backblock), multi catégories sociales, plus remplies de femmes et plus pacifique, c'est un très bon signe dans ce sens. De plus à travers la convergence de la manif pour tous, de la manif des gilets jaunes et de la manif contre le pass sanitaire, il s'agit d'une très importante convergence des gens de bon sens, des gens pour le bien commun et des gens monothéistes. Mais à part ces nobles manifestations pieusement légitimes et malgré la paupérisation ainsi que la tyranisation mondialiste de la France, une grande partie du peuple ne se mobilisent que pour des absurdités : le changement climatique, la cause LGBTQ, le lexique trop masculin. Or pour faire avancer désormais plus grandement les revendications populaires, il est très très important de ne plus manifester mais créer des sit-in (assises), car c'est le meilleur moyen de s'organiser comme l'ont prouvé les gilets jaunes en prenant les ronds-points pour y discuter s'y organiser concrètement, et donc pour les faire devenir les meilleurs médias. Or sans ce type d'assises afin de s'organiser pour le bien commun, manifester en groupe dehors dans ce sens est meilleur que de manifester seul devant un ordinateur, surtout que des couples se sont mariés à travers la bonne cause de ce genre de manifestations. Cependant la neutralisation des mouvements populaires par le gauchisme est fréquente dont à travers les casseurs antifas, l'accusation de nazisme par les médias et des manifestations séparées divisantes : les Français d’un côté, les gauchistes de l’autre. Une manière de scinder dès le départ la force populaire, afin d’éviter cette fameuse unité qui pourrait mener à un changement de paradigme favorisant le bien commun et plus la ploutocratie seulement. Autrement dit, le gauchisme mondialiste dénationalise les mouvements populaires, ce qui est la fonction organique du trotskisme, ce plus sûr allié de la Banque à gauche. La peur à cause de prétendus complotistes équivaut aussi à la peur de désigner les vrais responsables et coupables des crises, c’est-à-dire du basculement total de la France dans le camp néolibéral mondialiste, le camp de la Banque, dont Macron est le serviteur. Or avec le progressisme wokiste transsexualiste qui ne peut plus durer car majoritairement donc rejeté par chaque peuple : nous assistons à la fin d'une époque résumant la fin du siècle juif, la fin de l'époque moderne ayant commencé avec la réforme protestante, la fin de la révolution française débutée en 1789, la fin de la période ayant commencé par l'hégémonie américaine après la deuxième guerre mondiale et la fin de la période ayant commencé avec la chute de l'URSS et étant visible à travers le retour de la Russie à l'orthodoxie chrétienne et ainsi à un bon niveau de vie souverain au niveau politique, et donc économique, et donc social. Ainsi même si comme le dit Karl Marx une étape de chaos doit souvent être nécessaire pour un saut qualitatif sociétal, le processus révolutionnaire lancé semble innarêtable, comme de fait l’élimination du vieil ordre féodal, qui restreignait en partie injustement la liberté d'entreprendre de déménager de chacun, était en place bien des années avant la Révolution de 1789. Le passage du saut qualitatif du mondialisme par la crise des subprimes, le Covid, l'inflation, la guerre en Ukraine et la crise énergétique qui dure et qui mute, c'est à dire d’un état à un autre du système capitaliste. En effet cela apporte une dictature monopoliste du capital financier qui marque la fin du capitalisme entrepreneurial et libéral, ce qui est prouve que le système en place se débat et qu'on a passé un nouveau degré dans le combat des classes. Or l’impérialisme a épuisé tout son carburant. C'est pourquoi après avoir démantelé les États-nations, il détruit maintenant la démocratie politique, qui n’est pas la démocratie sociale, et apprend la nouvelle musique militaire aux peuples. Et pour détruire complètement la démocratie, il faut détruire aussi son fondement : la classe moyenne entrepreneuriale, car elle est la base nécessaire à la démocratie politique et la principale classe révolutionnaire. Par sa mue informatique, le capital a pu retrouver une deuxième peau, mais c’est la peau d’un Serpent venimeux : les GAFAM. Ce post-capitalisme numérique porte le fascisme comme la nuée porte l’orage. Or comme Paris dicte la mode, les révolutions françaises ont souvent défini le futur de l’humanité, et il faut donc se réjouir du réveil anti-mondialisme de ce peuple. En 1789, les Parisiens insurgés avaient enterré l’Ancien Régime, proclamé l’avènement de la démocratie, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. En 1848 les mêmes déclenchaient le printemps des nations, la grande révolution pan-européenne. En 1871, la Commune de Paris est devenue l’avant-garde de toutes les révolutions socialistes. Ainsi la Révolution de 1789 vantée partout dans les écoles, n'est pas similaire pas à celle la Commune de 1871, car la première était en réalité la victoire écrasante de la bourgeoisie sur le peuple, avec tout ce que ça sous-entend de mépris, de séparatisme social, et de violence, alors que la deuxième était une intelligente et légitime revendication ouvrière. Les guerres mondiales, le bain de sang de Verdun et l’occupation nazie avaient maintenu le peuple français en mode survie, et la révolution suivante a traîné jusqu’en 1968. Et voilà qu’en 2018, la France périphérique (les gilets jaunes) a mis un point final au projet néolibéral radical de mise en esclavage de l’humanité. Les Américains peuvent en prendre de la graine. L’immigration, c’est un bon sujet de propagande, mais ce n’est pas cela qui amènera de grands changements sociaux. Bien sûr, les gilets jaunes s’opposent à la migration de masse et veulent y mettre un terme, mais ils équilibrent cette revendication avec une autre : stop au pillage de l’Afrique. Effectivement, l’Afrique va de mal en pis parce qu’elle est toujours exploitée par les pays développés. La balance des paiements entre l’Afrique et la France penche du côté de la France, et la principale raison de la migration africaine vers la France est là. Les Africains suivent leur argent, c’est tout. Si les populistes US devaient adopter une revendication semblable, ils devraient équilibrer leurs envies de murs en appelant les firmes US à cesser de pomper leurs plus-values dans les veines de l’Amérique latine. Noam Chomsky l’a parfaitement expliqué : les Centre-américains ne se précipiteraient pas aux US si les US ne cherchaient pas à déstabiliser leurs pays, juste pour le profit. Honduras, Guatemala, El Salvador : autant de pays mis en coupe réglée par les US, et autant de gisements de réfugiés pour cogner à leur porte. Ceci vaut pour l’Europe comme pour les MENA, les États du Moyen-Orient et du Maghreb. Si les Européens n’avaient pas bombardé la Libye et miné la Syrie, si les US n’avaient pas envahi l’Irak, il n’y aurait pas de réfugiés, pas d’immigration, légale ou illégale. Ainsi les peuples qui ont élu des dirigeants occidentaux partis en guerre doivent comprendre qu'attaquer une nation apporte forcément des réfugiés dans le pays qui l'attaque et la détruit, et que le bénéfice de ces invasions va aux riches, tandis que ce sont les classes moyennes qui en font les frais. Tous les grands partis, qu’ils soient nommément de droite ou de gauche, que ce soit à Paris, à Berlin ou à Londres, ont agi de même et suivi perversement le même agenda néolibéral, anti-social et anti-national. C'est pourquoi par une démocratie directe, ce mouvement des gilets jaunes peut finaliser une belle synthèse politique entre libéralisme, socialisme et royalisme (ou présidence religieuse), c'est à dire entre marché économique juste (et donc pieux dont à travers un capitalisme plus de production que financier), gauche (pieuse) du travail et du social, et droite (pieuse) des valeurs (état souverain monothéiste), contre monopole financier (étant impie), gauche sociétale wokiste (étant impie) et laïcisme supranational (impie). En résumé il s'agirait d'une conclusion amenant à un système proche du Califat islamique. Quelles que soient les acteurs de la France des Gilets jaunes, l’avenir nous dira si le sérieux l’emporte sur le frivole, le fond sur la forme, le vrai sur le spectaculaire. En tout cas ce mouvement aura mis dans une grande clarté le pire de l'humanité qu'est le politico-médiatique corrompu et le meilleure de l'humanité qu'est le peuple solidairement soudé pour le Bien, annonçant probablement la proximité de la fin des temps, puisque l'évidence du chemin honorable apparaît de plus en plus nettement. Suite à cela, le Système cherche à récupérer l'orientation du changement de paradigme voulu par le peuple pour continuer de garder la main. En effet la ligne nationale-sioniste, opposée à la précédente socialo-universelo-sioniste, permettrait de dévier la contestation sociale de la colère du peuple vers une guerre civile raciale ou ethno-confessionnelle sous couvert de défense des « valeurs », plutôt qu'une lutte des classes pouvant réellement renverser la ploutocratie mondiale actuelle. C'est à dire que pour garder l'influence politique des très riche mondialistes, les élites globalistes essayeraient d'organiser une guerre civile en France et ailleurs pour espérer déclencher un coup d'Etat qui permettrait à un militaire atlantiste de prendre le pouvoir dans un prétexte sécuritaire. Cela afin donc d'éviter une victoire populaire dans une lutte des classes, alors qu'il est pourtant impératif que par de progressives réformes structurelles nécessaires à la société le peuple parvienne à empêcher l’oligarchie mondialiste de continuer sa domination, car sa prédation usurière gravement inégalitaire et donc indignement oppressante et donc dangereusement divisante, est inévitablement destructrice de tout, de même que sa cancel culture wokiste...
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