X) Suite 24
Extraits de l'interview « Pierre Chaillot (Décoder l’éco) : C’est à nous de forcer les dirigeants à obéir à nos valeurs et pas l’inverse » à l'adresse https://lemediaen442.fr/pierre-chaillot-decoder-leco-cest-a-nous-de-forcer-les-dirigeants-a-obeir-a-nos-valeurs-et-pas-linverse/ : « Nous sommes dirigés (comme beaucoup de pays) par les sociaux-démocrates-néolibéraux alliés de la haute finance : les spécialistes de la stratégie du choc. Cette stratégie du choc a été utilisée par les élites avec ce coronavirus. Pour rappel, Naomi Klein a expliqué,dans son livre « La Stratégie du choc », comment des désastres (catastrophes naturelles, changements de régime, attentats) qui conduisent à des chocs psychologiques, permettent aux chantres du capitalisme d’appliquer la doctrine de l’école de Chicago de Milton Friedman. Ils imposent, à l’occasion de ces désastres, des réformes économiques que Naomi Klein qualifie d’ultra-libérales, telles que la privatisation de l’énergie ou de la Sécurité sociale. Tout ceci profitant à la ploutocratie d'une minorité d’ultra-riches, au détriment de la quasi-totalité de la population. Cette stratégie du choc a permis que l’exécutif prenne officiellement tous les pouvoirs avec l’état d’urgence (histoire d’arrêter de faire semblant d’avoir un Parlement et un Sénat). Le Conseil scientifique a reçu directement ses ordres d’un cabinet américain privé qui travaille pour Big Pharma (et qui a rendu riche notre président). Ce même cabinet paye le fils du président du Conseil d’État et celui de la présidente de la Commission européenne (dont le mari travaille aussi pour Big Pharma). La seule manière d’attaquer l’état d’urgence sanitaire était devant le Conseil d’État, mais il a tout débouté sans même mettre les formes. Tout est verrouillé. Les décisions prises coûtent des milliards d’euros qui vont dans les poches de Big Pharma, du gouvernement ukrainien ou d'ailleurs. Cet argent vient de la dette qui permettra de justifier la plus grande crise austéritaire que nous n’avons jamais connue. Il faudra y ajouter un paramètre : tout cet argent créé va générer la plus grosse inflation que nous ayons connue, synonyme de difficulté économique. La vraie question est : jusqu’à quel point vont-ils faire pire ? Beaucoup de spécialistes (mais pas que) prédisent donc une inflation record, mais il reste la question épineuse du portefeuille. Bientôt le gouvernement va présenter la facture de la dette, puis virer les fonctionnaires, privatiser les services publics et les retraites (comme d’habitude en fait, mais plus fort). La destruction covidienne systématique des économies et des schémas globaux de coopération économique, puis la guerre en Ukraine rebat les cartes. En suivent l’inflation, l’insécurité économique. Le marché tout-puissant a montré sa faiblesse : le Roi est nu et il est temps de l’accepter. Le marché ne peut empêcher ni les guerres, ni les catastrophes naturelles, ni le fanatisme des dirigeants. Il était en soi surprenant de le croire que l’existence en commun d’intérêts économiques pouvait empêcher les conflits et les crises, mais c’est une autre question, celle des limites de la logique des marchands. Paradoxalement, le délabrement de l’hôpital fait que l’hôpital est de plus en plus cher. Il faut regarder le coût de la santé supporté par nos impôts pour voir que ça coûte de plus en plus cher de soigner de moins en moins bien. La raison est simple. La tarification à l’acte n’a jamais eu pour but de faire que l’hôpital coûte moins cher. La tarification est construite de façon à rendre rentable certaines interventions et non rentables d’autres interventions. Elle pousse les hôpitaux à faire le tri dans les malades et les soins à proposer. Les médecins et directeurs d’hôpitaux sont très nombreux à le dénoncer. Beaucoup sont partis dégoûtés. Il y a dorénavant à la tête des grands hôpitaux français plus de financiers que de médecins. C’est la seule manière de s’adapter aux règles. Ces financiers se débrouillent pour mettre en place des services « rentables », autrement dit, « facturés très cher pour un minimum de coût, notamment un minimum de temps de soignants mobilisés ». C’est la dérive inhumaine du capitalisme : supprimer l’humain pour ne garder que le capital. L’aboutissement de ça, c’est supprimer le soignant pour le remplacer par une machine qui fera une analyse de sang et prescrira des médicaments à partir d’un algorithme. C’est clairement le chemin que nous prenons au plus grand bonheur de ceux qui détiennent le capital : quelques ultra-riches financiers. Précisons que c’est aussi débile qu’inefficace. C’est un humain qui décide des règles qui régissent l’algorithme. Il sera aussi limité que la manière dont on l’aura implémenté. Il reproduira les mêmes erreurs que son créateur. Il sera probablement fondé sur les statistiques moyennes des humains, alors que nous sommes justement tous différents. Il sera évidemment conçu pour maximiser la rentrée d’argent de celui qui vend les médicaments prescrits. Il ne faut pas se faire d’illusion sur l’objectif des financiers. Ce n’est donc pas un délabrement que nous vivons, mais bien la trajectoire d’un « projet » : la transformation des services publics en entreprises capitalistiques privées. Il s’agit bien de faire disparaître les médecins qui voient des patients, par des algorithmes qui gèrent des consultations à distance, et de ne garder au maximum que des « exécutants ». C’est ce que sont les médecins qui prescrivent des médicaments, opérations ou vaccins, sur la base de ce qui est demandé par le gouvernement plutôt que par ce qu’ils croient profondément bon pour le patient. Trop ont baissé leur garde ces dernières années en décidant d’appliquer des protocoles bien rémunérés et sans risques pour eux (pas pour le patient) plutôt que de prendre leurs responsabilités. Le métier est en train de basculer. Il y a exactement la même bascule du côté de l’enseignement et pour les mêmes raisons. On remplace les profs par des exécutants qui sont embauchés pour passer des vidéos ou des diaporamas du ministère, au lieu de mettre des moyens et d’ouvrir l’enseignement à des gens pour qui ce serait une passion. Ce n’est pas encore une majorité, mais c’est le but. Une fois ces services publics détruits, on pourra facilement les privatiser. Les transports publics, les services publics en général, les banques, les mutuelles ou l’énergie, c’est exactement la même chose aussi : automatiser, virer les humains et ne garder que des exécutants. » Le libéralisme mondialiste arrive à son paroxysme avec le Covid et la globalisation forcée qu’il porte, il s’y suicide pour essayer de passer au post-modernisme mondialiste oligarchique, faute d’avoir une autre idéologie l’obligeant à ne pas tomber dans les excès que l’on observe déjà aujourd’hui. On peut revenir sur la petite recommandation de Bourguignon, qui devrait normalement démissionner rapidement : « Je n’irais pas jusqu’à l’obligation vaccinale mais je (le) demande. Il suffit de regarder un hall de gare ou un train bondé pour savoir qu’il faut se protéger soi-même et les autres. C’est quasiment un devoir citoyen. » Que signifie cette étrange phrase ? Que les Français sont en mauvaise santé dans les gares ? Que la promiscuité des transports favorise la contamination ? Mais comment cette dame peut-elle voir que les gens se contaminent ? Et avant le covid, la promiscuité ne présentait-elle pas de problèmes ? La foule serait-elle l’ennemi de l’individu sain ? Le collectif serait-il mortifère ? Faut-il s’isoler pour survivre ? Quand on creuse un peu, on tombe inévitablement sur les principes néolibéraux de destruction du tout collectif, de toute défense immunitaire sociale, de toute solidarité humaine, exactement le programme d’Ayn Rand, la mère de l’individualisme libéral luciférien. Nous aurions pu bâtir dans la difficulté de cette crise sanitaire une société plus solidaire, plus empathique et plus unie, mais le système a fait de cette période un modèle de division, de haine et d’individualisme, ce qui signifie qu'il en est bien à l'origine. Il est temps d’en tirer les conclusions et de reprendre le cours national, qui est la seule voie permettant le développement des hommes et des sociétés. Il faut renationaliser les élites. Il s'agit d'une guerre des nerfs non perdue d'avance entre le peuple et les oligarchies perverses. Mettre en lumière le pervers pouvoir profond occulte en le dénonçant fait partie de ce qu'il y de pire pour lui et correspond donc à une des meilleures premières armes pour le vaincre. « Avertissement à ceux qui participent à cette collaboration qu’ils pensent passive : Le principe de la dilution de la responsabilité se réfère à la tendance à diviser la responsabilité personnelle par le nombre de témoins présents. Vous contrôlez des pass sanitaires, pensez être dans votre bon droit, ne pas commettre de crime ? Attention ! L’histoire nous rappelle que les choses sont beaucoup plus compliquées. Violer des droits fondamentaux n’est pas sans risque, puisque le crime contre l’humanité est imprescriptible et vous poursuivra jusqu’à la fin de votre vie. Sachez que tout citoyen que vous êtes, vous n’êtes pas couvert parce que vous avez obéi à une loi ou à un ordre, la preuve étant que le statut des Juifs est l’ensemble des obligations et interdictions définies sous le régime de Vichy étaient 100 % légaux et pourtant il y a eu des poursuites. Ce que l’État vous dit de faire ne vous couvre en rien face à vos responsabilités. Il est même préférable, en ces temps où nous sentons tous cette odeur de soufre, d’imiter un Oskar Schindler plutôt que les collabos. Nous invitons tous les citoyens à documenter les refus au nom de la dictature sanitaire, prendre des photos, avoir des témoins, preuves écrites, noter les dates, les lieux, l’heure. Aux chirurgiens qui refusent d’opérer des patients non-vaccinés, aux médecins qui refusent de soigner, à la sécurité devant les hôpitaux qui interdit l’entrée, sachez que Macron ne sera pas là pour vous défendre. A bon entendeur ! » (Aldo Sterone) A ce sujet voici l'hommage qu'a rendu le Général de l'armée française Christian Blanchont aux non-vaccinés : « Ils sont là à vos côtés, ils semblent normaux, mais ce sont des super-héros, car les non-vaccinés incarnent sans aucun doute le meilleur de l’humanité. Même si j’étais entièrement vacciné, j’admirerais les non-vaccinés pour avoir résisté à la plus grande pression que j’aie jamais vue, y compris de la part de conjoints, de parents, d’enfants, d’amis, de collègues et de médecins. Les personnes qui ont été capables d’une telle personnalité, d’un tel courage et d’une telle capacité critique incarnent sans aucun doute le meilleur de l’humanité. On en retrouve partout, dans tous les âges, niveaux d’éducation, pays et opinions. Ils sont d’un genre particulier ; ce sont les soldats que toute armée de lumière souhaite avoir dans ses rangs. Ils sont les parents que tout enfant souhaite avoir et les enfants que tout parent rêve d’avoir. Ce sont des êtres au-dessus de la moyenne de leurs sociétés, ils sont l’essence des peuples qui ont construit toutes les cultures et conquis les horizons. Ils sont là, à vos côtés, ils semblent normaux, mais ce sont des super-héros. Ils ont fait ce que les autres ne pouvaient pas faire, ils ont été l’arbre qui a résisté à l’ouragan des insultes, de la discrimination et de l’exclusion sociale. Et ils l’ont fait parce qu’ils pensaient être seuls, et croyaient être seuls. Exclus des tables de Noël de leurs familles, ils n’ont jamais rien vu d’aussi cruel. Ils ont perdu leur emploi, ils ont laissé leur carrière sombrer, ils n’avaient plus d’argent… mais ils s’en fichaient. Ils ont subi d’incommensurables discriminations, dénonciations, trahisons et humiliations… mais ils ont continué. Jamais auparavant dans l’humanité il n’y a eu un tel « casting », nous savons maintenant qui sont les résistants sur la planète Terre. Des femmes, des hommes, des vieux, des jeunes, des riches, des pauvres, de toutes races et de toutes religions, des non vaccinés, les élus de l’arche invisible, les seuls qui ont réussi à résister quand tout s’est effondré. C’est vous, vous avez passé un test inimaginable que beaucoup de marines, commandos, bérets verts, astronautes et génies les plus coriaces n’ont pu surmonter. Vous êtes fait de l’étoffe des plus grands qui aient jamais vécu, ces héros nés parmi les hommes ordinaires qui brillent dans l’obscurité. » Pour faire soutenir l'insoutenable à une population, le système lui fait croire que c'est pour éviter quelque chose de plus insoutenable. En parlant de manipulation des masses, il est bon de rappeler les principes de Chomsky retrouvés dans un thread, avant que le linguiste ne verse dans le délire mondialiste : 1) Détourner l’attention du public vers des sujets non pertinents. Les submerger d’information pour garder leur esprit occupé. 2) Les gouvernants présentent les choses aux citoyens comme un problème exigeant une solution externe. Ils proposent eux-mêmes la solution. Il s’agit de l’une des stratégie de manipulation de masse destinée à prendre des décisions impopulaires. 3) La gradualité est une autre stratégies de manipulation de masse destinées à introduire progressivement des mesures que les personnes n’accepteraient généralement pas. Elle consiste à les appliquer peu à peu, de manière à les rendre pratiquement imperceptibles. 4) Différer. Cette stratégie consiste à faire croire aux citoyens que si une mesure paraît temporairement préjudiciable, elle peut apporter de grands bénéfices à l’ensemble de la société à l’avenir. L’objectif est que les personnes s’habituent à la mesure et ne la rejettent pas. 5) Infantilisation. Les gouvernants utilisent des gestes, des mots et des attitudes paternalistes, conciliants et imprégnés d’une grande naïveté. L’objectif est de surmonter les résistances des individus pour neutraliser le sens critique de la population. 6) Recourir aux émotions. L’ objectif est de bâillonner l’esprit critique des individus en générant des émotions. Le but est de créer une sorte de « court-circuit » avec la part la plus rationnelle de l’individu. 7) Créer des publics ignorants. L’ignorance signifie ne pas donner aux personnes les outils nécessaires pour qu’elles puissent analyser la réalité par elles-mêmes. Leur présenter des données anecdotiques, mais ne pas les laisser connaître les structures internes des faits. 8) Promouvoir des publics complaisants. La plupart des tendances ne sont pas créées spontanément. Elles sont presque toujours induites et promues à partir d’un centre de pouvoir qui exerce son influence pour créer des vagues massives de goûts, d’intérêts ou d’opinions. 9) Renforcement de l’auto-culpabilité. Faire croire aux individus qu’ils sont seuls responsables des problèmes dont le gouvernement est la cause. Ils sont dès lors amenés à croire que l’environnement est parfait et que si une défaillance se produit, elle est de leur responsabilité. Toutes ces stratégies de manipulation de masse visent à maintenir le monde comme il convient aux plus puissants, dont donc en bloquant la capacité critique et l’autonomie de la plupart des personnes. On peut se laisser manipuler passivement, ou offrir une résistance autant que faire se peut comme les russes et le chinois. « Après être devenue une organisation sponsorisée par des multinationales sous Kofi Annan, l’ONU s’est transformée en une annexe du département d’État sous Ban Ki-moon et António Guterres. La Russie et la Chine sont conscientes, comme tous les autres États, du fait que l’ONU ne remplit plus du tout sa fonction. Au contraire, l’Organisation aggrave les tensions et participe à des guerres (tout au moins en Syrie et dans la Corne de l’Afrique). Aussi Moscou et Beijing développent-ils d’autres institutions. Ainsi, les États-Unis et le Royaume-Uni, puis l’Union européenne et le Japon ont pris des mesures économiques très dures contre la Russie. Ils n’ont pas osé dire que c’était une guerre visant à maintenir leur autorité sur le monde et les ont donc désignées sous le vocable de « sanctions », bien qu’il n’y ait pas eu de tribunal, de plaidoirie de la défense, ni de sentence. Bien sûr, il s’agit de sanctions illégales car décidées hors des instances des Nations unies. Mais les Occidentaux, qui se prétendent les défenseurs de « règles internationales », n’ont que faire du droit international. Bien sûr, le droit de veto des cinq membres permanents du Conseil empêche que l’on prenne des sanctions contre l’un d’entre eux, mais c’est précisément parce que le but de l’ONU n’est pas de se conformer à l’idéologie anglo-saxonne, mais de préserver la paix mondiale. Or non seulement le refus occidental du gaz russe a fait monter les prix au profit du premier exportateur, la Russie, mais cette entorse au discours libéral (reflétant le Grand Reset) a effrayé les autres États qui, pour se rassurer, se sont tournés vers Moscou. La Chine, elle, que les Occidentaux présentent comme un vendeur de camelote, fait tomber ses proies dans une spirale d’endettement, et vient même d’annuler la plupart des dettes à son égard de 13 États africains. Dans les faits, l'Organisation de Coopération de Shanghai incarne déjà les principes de Bandung, fondés sur la souveraineté des États et la négociation, face à ceux des Occidentaux, fondés sur la conformité à l’idéologie anglo-saxonne (amenant au grand reset davossien par la soumission d'une grande partie des peuples). » (Extraits de l'article « Le conflit en Ukraine précipite la fin de la domination occidentale » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-conflit-en-Ukraine-precipite-la-fin-de-la-domination-occidentale-69396.html) En perspective de ce grand reset, l’oligarchie mondialiste, qui a des représentants bien accrochés au pouvoir chez nous, essaye d'autant plus de nous d'imposer des choses dont on n’a pas envie, et qui détruisent notre quotidien : la peur du climat, une immigration massive qui défigure la France et sa culture, une confusion des genres pour créer une confusion mentale chez les jeunes, des doses de produits dangereux déguisés en vaccins qui font perdre notre intégrité à la fois immunitaire et sociale ; on le voit, les attaques pleuvent de partout. Et on ne parle même pas du terrorisme islamique qui surgit des « failles » du renseignement et du terrorisme climatique provenant de certains scientifiques. Tout cela afin que les nations tendent vers le supranational dont à travers des organisations comme l'ONU, l'Union Européenne, la BCE, l'OTAN, la BRI, le FMI, le Forum de Davos, la COP, les GAFAM, l'OMS, surtout que par exemple il y a bien longtemps que la BRI et l'OTAN auraient pu arrêter leur utilité, mais pour préserver leur structure, elles trouvèrent des stratagèmes afin de continuer à se faire financer. L'obsession messianique d'une certaine élite perçoit les pandémies, les guerres et les révolutions comme des occasions d’opérer un saut qualitatif vers le gouvernement mondial. C'est pourquoi augmenter les taux à ce stade précaire ferait s’effondrer le fragile système financier américain et mondial, ouvrant la voie à une crise où les citoyens pourraient demander une aide d’urgence sous la forme de monnaie numérique et d’une Grande Réinitialisation (Grand Reset). Il convient de noter que tous les krachs boursiers majeurs aux États-Unis depuis octobre 1929, y compris ceux de 2007-2008, ont été le résultat d’actions délibérées de la Fed, déguisées sous le prétexte de « contenir l’inflation ». Cette fois, les dégâts pourraient être considérables. En septembre, l’Institute of International Finance, basé à Washington, a estimé que les niveaux d’endettement mondiaux, qui comprennent la dette des gouvernements, des ménages, des entreprises et des banques, ont augmenté de 4800 milliards de dollars pour atteindre 296 000 milliards de dollars à la fin du mois de juin, soit 36 000 milliards de dollars de plus qu’avant la pandémie. Sur ce total, 92 000 milliards de dollars sont dus par des marchés émergents tels que la Turquie, la Chine, l’Inde et le Pakistan. La hausse des taux d’intérêt déclenchera des crises de défaut de paiement dans le monde entier, les emprunteurs étant incapables de rembourser. Cette situation a été délibérément créée par les banques centrales, la Fed en tête, depuis la crise de 2008 dont en poussant les taux d’intérêt à zéro et même au négatif. Car chacun de ces événements « apocalyptiques » sera l’occasion et le prétexte de tenter d’imposer aux peuples de l’Occident et de sa périphérie une gouvernance dite mondiale, oligarchique, tyrannique, sanitaire, numérique, collectiviste et policière. Or ce pseudo socialisme à outrance par le libéralisme, aboutissant au communisme dévoyé détenu par une poignée de technocrates ultra riches comme en union soviétique, est la doctrine antisociale qui tend et aboutit à faire de l’État le maître absolu de toutes choses, c’est-à-dire des personnes et des biens, des corps et des âmes. Ainsi l’Antéchrist se présentant comme l’apôtre et le chef de cette œuvre de fausse et détestable charité sociale, comme le propagateur et le soutien de ce plan de fraternité cosmopolite et démoniaque, il deviendra la personnification parfaite de ce régime, dont la réalisation sera complète sous son sceptre en particulier par la centralisation massive de l'économie, l'oppression du système bancaire et l'inflation monétaire. « La grande distribution prévoit une augmentation des prix dans l’alimentaire, annonce Le Figaro. Michel-Edouard Leclerc, président du groupe d’hypermarchés du même nom a d’ailleurs précisé « une sacrée hausse de prix ». Il ne faut pas s’en étonner. Ceci était prévu par une des rares théories économiques qui fonctionnent : l’effet Cantillon. Richard Cantillon (1680-1734) est un financier et économiste d’origine irlandaise qui a fait fortune en France en anticipant l’effondrement du système de John Law (l’inventeur de la monnaie-papier). Il se penche sur la grande inflation du 16e siècle, provoquée par l’afflux d’or provenant de la conquête du Nouveau Monde. Il explique, et c’est tout l’intérêt de son analyse, que l’augmentation des prix ne s’est pas faite de façon uniforme, mais par vagues. L’afflux d’or, considérable pour l’époque, revient au roi d’Espagne Philippe II, qui le dépense essentiellement en armement, notamment pour construire l’« Invincible Armada », censée tenir tête à la marine anglaise. Cet afflux de commandes provoque une hausse des prix dans le secteur de l’armement, donc une augmentation de la richesse des fabricants, puis, à un niveau moindre, chez les fournisseurs (bois, fer), et ainsi de suite en décroissant jusqu’au secteur agricole, en bas de l’échelle. Le paysan qui veut acheter des planches et des clous pour réparer sa charrette constate une hausse des prix, sans qu’il ait pu augmenter les siens. Il est donc perdant. Lorsque les prix agricoles finissent par augmenter, la hausse reprend de plus belle dans l’armement et dans les autres secteurs, suite à l’arrivée continue de métaux précieux. La structure des prix est ainsi continuellement déformée au profit de ceux qui sont proches de l’or et au détriment de ceux qui en sont éloignés. La richesse des premiers augmente quand celle des derniers régresse. C’est l’effet Cantillon. Quel rapport avec ce qui se passe aujourd’hui ? Nous constatons le même phénomène. Cette fois, la source de richesse ne provient pas de l’or des Incas, mais des banques centrales. Aux États-Unis, au Japon et en Europe, elles ont décidé, depuis la crise de 2008, d’abaisser leurs taux directeurs à environ 0 % et de faire une politique « d’assouplissement quantitatif » (Quantitative easing) consistant à acquérir d’importantes quantités d’obligations d’État pour faciliter le financement du déficit budgétaire, dont le volume a explosé avec la crise du Covid. Ce déluge de monnaie profite aux banques et au secteur financier en général (sa taille par rapport au PIB ne cesse de croître), à ses investissements (actions, obligations) et aux secteurs financés par les banques (immobilier). L’inflation est présente depuis longtemps dans les actifs (immobilier, actions), mais désormais, la dernière vague de l’effet Cantillon arrive avec la hausse des prix des biens de consommation courante (énergie, alimentation, biens durables). Les producteurs de matières premières (un actif qui est vendu en permanence, contrairement à l’immobilier et aux actions qui sont un placement), craignant une perte de pouvoir d’achat lorsqu’ils voient la planche à billets des banques centrales, décident d’augmenter leurs prix, et l’inflation se généralise. L’inflation n’est pas uniforme, elle fonctionne par vagues, c’est l’enseignement de Richard Cantillon. Cela implique une déformation de la structure des prix. Cette déformation ne dépend pas des conditions réelles mais d’un phénomène monétaire. Les informations transmises par les prix sont donc erronées, ce qui génère des mini-bulles (prix du gaz), des pénuries (semi-conducteurs), tout un tas de dysfonctionnements délétères pour l’économie. « L’inflation est transitoire » affirment les banques centrales, mais il n’y a rien de plus faux étant donné qu’elles alimentent cet afflux monétaire avec leur planche à billets ! Elles sont le problème. Nous n’en avons pas fini avec l’inflation et les dégâts qu’elle provoque dont la centralisation massive de l'économie aux mains d'une poignée d'ultra riches et de technocrates. » (Philippe Herlin) Dans un article rédigé par Charles Abi Nader, Al-Mayadeen s’est penché sur la crise en Ukraine et la tension sur l’île de Taiwan et a écrit que l'influence des Etats-Unis s'est sérieusement affaiblie et que le monde unipolaire n'existe plus. En effet l'affaire ukrainienne est très sensible pour Washington, car la perte de l'Ukraine ou la perte d’un régime pro-US en Ukraine est humiliante. Mais ce qui est plus important, c'est de savoir quelle sera la position de l'Amérique après cette perte, et après que la guerre en Ukraine s'arrête dans l'intérêt de la Russie, bien sûr. Cette seule question, suffit à ébranler tous les fondements de l'établissement de l'OTAN, qui a longtemps été le levier majeur pour asseoir l'influence américaine en Europe et dans le monde aussi, notamment avec l'énorme soutien direct et indirect que l'Ukraine a obtenu pour affronter les Russes. Dans cet article, Charles Abi Nader évoque la situation qui régit à Taïwan et l'affrontement entre les USA et la Chine et écrit : « C'est en Europe de l'Est, où l'empire américano-sioniste s'efforcent en vain d'éviter de boire cette coupe amère (d'effondrement), mais qu'en est-il de la situation en Asie de l'Est et dans le Pacifique du Nord-Est, plus précisément à Taïwan et en mer de Chine méridionale ? Il ne semble pas que la situation des Américains dans cette région soit meilleure qu'en Ukraine et en Europe de l'Est, et selon l'introduction de la troisième édition du « Livre blanc », la Chine a entamé le processus de restitution de Taïwan, processus qui ne semble pas être long. Et donc, dans un geste sans précédent, la Chine a commencé ses manœuvres autour de l'île de Taïwan et du détroit de Taïwan, et en contrepartie, les Etats-Unis ont ramené leur seul porte-avions, « l'USS Ronald Reagan » à des centaines de kilomètres, loin du lieu de la manœuvre chinoise. Il convient de noter que selon les quatre rapports stratégiques annuels de sécurité nationale américaine, l'essentiel du budget de la défense US est consacré à l'Asie de l'Est et à la Chine, et malgré cela, nous assistons à cette position de faiblesse des Etats-Unis, qui montre l'affaiblissement de l'influence américaine dans cette région. Et sans aucun doute, si nous jetons un coup d’œil à la position chancelante des Etats-Unis en Ukraine, nous concluons que le système unipolaire, qui était occupé par l'Amérique, commence à être ébranlé aujourd'hui, et qu'elle est sur la voie du déclin et qu’elle n’est plus la superpuissance d’antan. Le déclin des Etats-Unis, qui fait référence au déclin de la puissance géopolitique, militaire, économique, financière, sociale et culturelle de l'Amérique, est une question qui a été prédite et soulignée par les scientifiques et les penseurs aux Etats-Unis et dans d'autres parties du monde. » La suite possible du scénario politique mondial pourrait aussi être fortement lié au fait que la Bank of America a déclenché une tempête de réactions dans les camps des partisans et des opposants au changement climatique, lorsqu’elle a publié l’un de ses énormes tomes de « Recherche thématique » c'est à dire en étant une des premières banques à quantifier le coût de la plus grande remise en question économique, écologique et sociale de l’histoire moderne. En résumé, pas moins de 150 000 milliards de dollars de nouveaux investissements en capital seraient nécessaires pour atteindre un monde « zéro carbone » sur 30 ans (ce qui équivaut à 5 000 milliards de dollars d’investissements annuels) c’est-à-dire deux fois le PIB mondial actuel qui est de 75 000 milliards. Il va sans dire que le secteur privé est loin de disposer du capital nécessaire pour réaliser cet investissement. C’est pourquoi la Bank of America (BofA) estime généreusement qu'une très grande partie de la facture devra être payée par les banques centrales sous la forme de dizaines de milliards de dollars d’assouplissement quantitatif. Et comme l’assouplissement quantitatif est essentiellement une monétisation de la dette, et que 150 000 milliards de dollars de nouvelles dettes auraient des conséquences dévastatrices sur l’économie, la BofA a eu l’amabilité de partager ses calculs sur l’ampleur de l’inflation que provoquerait ce projet de milliardaires : le scénario de « monétisation totale », dans lequel les banques centrales injecteraient 5 000 milliards de dollars de liquidités chaque année via un assouplissement quantitatif durant 30 ans, entraînerait une inflation supplémentaire de 3 % pendant une bonne décennie. Il s’agirait d’une inflation s’ajoutant à celle déjà en cours. À ce stade, la sonnette d’alarme devrait être tirée, même par les progressistes les plus écervelés, car malgré tous les avantages vantés, les coûts commencent à apparaître et (au moins pour les deux ou trois prochaines générations) ils seront absolument écrasants pour la classe moyenne, tout en permettant aux 1 % les plus riches de piller et de saccager pratiquement tous les actifs du monde par la grosse inflation annuelle de 3 % liée à ce projet, si il n'y a pas des révolutions populaires avant. Pensez-y comme au plus grand vol mandaté de l’histoire du monde, et vous comprendrez soudain pourquoi tous les milliardaires en jet privé soutiennent si bruyamment un monde « zéro carbone » qui n'est même pas sûr d'atténuer le problème et encore moins de réussir. Alors que l’idée que les émissions anthropiques de dioxyde de carbone provoqueront un réchauffement catastrophique de la planète n’est même pas une théorie, car c’est une hypothèse comme le fut la fausse hypothèse du trou dans la couche d'ozone causé par les molécules CFC, car tout ce qui a été observé jusqu’à présent, ce sont seulement quelques fluctuations climatiques et une légère augmentation de la température moyenne de la planète depuis la toute fin de l’ère préindustrielle. Surtout que des réchauffements temporaires d’un ordre de grandeur similaire se sont produits pendant l’ère préindustrielle elle-même. Pour être promue au rang de théorie, cette hypothèse doit être confirmée par l’observation. C’est assez délicat, car même si un réchauffement planétaire catastrophique devait être observé pendant la durée de vie plutôt courte de la civilisation humaine, il faudrait encore prouver, d’une manière ou d’une autre, que les émissions anthropiques de dioxyde de carbone en sont la cause principale. Cela semble être une très mauvaise idée de dépenser des milliers de milliards de dollars de fonds publics pour une hypothèse non vérifiée. Mais la suite possible de la politique mondiale pourrait aussi se voir à travers le biais de l’initiative B3W. C'est à dire que le G7 propose d’investir 40 000 milliards de dollars dans les infrastructures des pays en développement d’ici 2035 pour empêcher une nouvelle influence chinoise sur la scène mondiale. En effet les dirigeants du G7 veulent s’affirmer face aux défis posés par la Chine par le lancement d’un vaste plan mondial d’infrastructures pour les pays en développement. Pendant ce temps, le ministère chinois des Affaires étrangères a critiqué les informations sur un futur plan américain d’infrastructures pour contrer l’initiative chinoise d’« Une ceinture, une route (nouvelles routes de la soie) ». En réaction à de telles mesures, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a déclaré lors d’une conférence de presse, qu’il y avait suffisamment de potentiel pour une coopération mondiale sur la question et que fondamentalement, il n’y avait rien de tel que de rivaliser ou de remplacer une initiative par une autre. Il a déclaré que l’initiative chinoise « Une ceinture, une route » s’était considérablement développée au cours des huit dernières années et était devenue l’un des plus grands cadres de coopération internationale. Lors d’un sommet du G7, le groupe a adopté l’initiative de CGI (Clean Green Initiative). Ce plan d’investissement massif dans les infrastructures vise à contrer l’initiative chinoise et à freiner l’influence mondiale croissante de Pékin. Bien que la portée exacte du CGI ne soit pas encore connue, il est susceptible de cibler le développement de l’infrastructure indopacifique avec le soutien des États-Unis, de l’Australie et du Japon, qui privilégie la transparence financière et la durabilité environnementale de chaque projet ainsi que son impact sur l’économie. Le général Mark Milley, l’officier militaire le plus haut gradé des États-Unis, a récemment rendu publique une de ses révélations : le monde n’est plus unilatéral (hégémonie des États-Unis) ou bilatéral (comme c’était le cas lors de la guerre froide entre les États-Unis et l’Union soviétique). Elle est désormais tripartite, avec trois grandes puissances engagées dans une « guerre tripolaire » : les États-Unis, la Russie et la Chine. L’Occident, après l’effondrement de l’URSS, a commis à l’égard de la Russie presque toutes les erreurs qui pouvaient être commises. Le plus fondamental d’entre elles a été l’attitude vis-à-vis de la Russie comme avec un pays vaincu, qui doit renoncer volontairement à tout intérêt national. C’est la cause de tous les problèmes ultérieurs qui ont conduit à la seconde guerre froide actuelle. Et maintenant, la « vraie » Alliance militaire de l’Occident devient l’AUKUS, et l’OTAN se transforme en une structure franchement factice. C’est l’AUKUS qui est conçue pour résoudre la mission principale de Washington, c'est à dire la dissuasion vis-à-vis de la Chine dans une alliance principale avec l'Australie et la grande Bretagne. Cet AUKUS comprend principalement des alliés vraiment proches et fiables des États-Unis : les Anglo-saxons. Quant à l’incapacité de l’OTAN contre la Russie, elle sera masquée par une rhétorique anti-russe de plus en plus dure et agressive et un ensemble d’actions démonstratives mais totalement dénuées de sens sur les frontières russes. Or les États-Unis ont perdu la course aux armements contre la Russie et la Chine et il est peu probable qu’ils la rattrapent un jour. D’autre part, ni la Russie ni la Chine ne sont susceptibles d’attaquer les États-Unis. Il n’y a d'ailleurs aucune raison de le faire, étant donné qu’elles peuvent obtenir un effacement progressif de l’influence américaine sans recourir à une action militaire à grande échelle. Maintenir une position défensive forte tout en projetant leur puissance dans leurs sphères d’intérêt en expansion serait tout à fait suffisant. Face à cela pour maintenir leur hégémonie, les États-Unis se servent bassement de la guerre hybride, c'est à dire composée d'une guerre économico-financière sous forme de sanctions, d’impressions agressives de dollars et de blanchiment d’argent légalisé à grande échelle, d'une guerre informationnelle jouée sur Internet, d'une guerre médicale utilisant de nouveaux agents pathogènes, médicaments et vaccins, et d'une guerre culturelle sous forme de promotion et de défense de systèmes de valeurs conflictuels, etc. Cette guerre hybride est aussi composée d'activités militaires limitées à l’utilisation de tiers sacrifiables, à la fomentation de putschs et de guerres civiles, aux actions de sociétés militaires privées, etc... Ainsi la conflictualité hybride composée d'ingérences, de soutiens aux révolutions de couleur, de guerre de communication, d'installation de bases militaires, d'extension de l'OTAN, de livraisons d’armement, est maintenue dans certaines régions du monde dont aux frontières de la Russie ; d’où les crises en Ukraine, en Géorgie, en Biélorussie et dans le Caucase. L'empire américano-sioniste amoral dont car gravement menteur et tricheur amplifie donc sa pression aux portes de la Russie, ce qui apporte un grand danger à l'humanité, car la Russie nucléaire orthodoxe n'est pas du style à tricher pour continuer de jouer mais plutôt du style à renverser la table comme le sous-entendent ses déclarations. Or les Etats atlantistes sont ravis de présenter la Russie comme l’agresseur, dont afin de renforcer l’OTAN qui cherche à justifier son utilité. Surtout que cette accusation cherche aussi à faire porter juridiquement la responsabilité du début de la guerre à la Russie un ennemi, car dans ce cas lors d'une guerre internationale, on efface la dette. Et c'est peut être ce qui est recherché par les Etats-Unis ou/et l'occident voire par le système mondialiste à moins que les peuples les en empêchent. Résumé de la vidéo « FR Chronique Hebdo #21 - Avec Valérie Bugault - L’ État Français n’existe plus » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=BY-jSJWMh-o&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ : Or « L'actuel système parlementaire représentatif français provenant de la révolution française infiltrée par le monde anglo-saxon est basé sur une fausse séparation des pouvoirs. Ce système provient donc de l'Angleterre alors qu'il y était lié au droit maritime associé à la priorité pour le commerce (association d'hégémonie impériale thalassocratique par l'économie) qui est en réalité une forme de ploutocratie permettant de dominer les autres nations. Ce qui n'a rien à voir avec le droit continental originel français qui ne mettait pas en avant le commerce et dont ses juristes ont ensuite abandonné leur utilité sociale par ce nouveau système ou par la corruption souvent d'origine maçonnique. La France s'est fait vendre de l'intérieur. L'union européenne mondialiste n'a pas soumis la France. C'est la France qui s'est soumise en créant l'union européenne. Les entités publiques y sont gravement soumises à des entités privées dans une inversion totale du sens, puisque il n'y a pas d'entités privées si il n'y pas de gens pour les réguler et déterminer leur règles. Donc c'est une imposture synonyme de la fin de l'Etat de droit du pouvoir politique au profit de la tyrannie financière et économique. De même depuis les accords du Latran (entre l'Italie et le Vatican) et ensuite Vatican II, l’Eglise n’existe plus que par sa capacité financière gérée par les banquiers et financiers internationaux puis par sa soumission au prêt usurier accentué par la révolution française qui l'introduit en France. Ce pouvoir spirituel a été acheté et donc manipulé par le pouvoir temporel et matérialiste. Il faut savoir que la mise en place de ce système d'usure est lié à Norman Montagu directeur de la banque centrale d'Angleterre (servant les oligarchies perverses internationales et donc la ploutocratie jusqu'à l'établissement par des politiciens soumis de règles dont des paradis fiscaux telle des trusts anonymes bancaires pierre angulaire de la domination monopolistique du capital) qui eut des discussions avec J.P Morgan émissaire américain du pouvoir financier de la banque Rothschild et Allen Dulles (aussi à l'origine de la CIA et de l'OTAN) afin de manigancer la création de la Banque des Règlements Internationaux (BRI). Cette BRI provient donc principalement de la City (internationalisme financier qui n'est jamais abordé au collège, au lycée ni même à l'université) qui est depuis sa création la principale cause de déstabilisation des nations soumises et non soumises à son hégémonie dont en étant alliée avec les mafias (souvent liés à des mercenaires, des djihadistes manipulés, des troupes irrégulières) puisque s’alimentant mutuellement. » A ce sujet il est très intéressant de voir l'entretien « Ukraine : la subversion de la finance internationaliste - Le Zoom - Morad El Hatab - TVL » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=xqSAS9krTt4&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ La domination destructrice par la subversion (dont en plus à travers l'usure et le wokisme actuellement) de cette perverse finance internationale (avant tout ploutocratique et sioniste) a pour origine des banquiers commerçants (vénitiens, espagnols, hollandais) qui se sont associés pendant le 18è siècle au gouvernement anglais en prenant leur quartier général à la City puis à Wall-Street. Après la révolution en 1651 de Cromwell en Angleterre, les juifs sont autorisés à venir y vivre, et c'est à ce moment là que se crée cette association : thalassocratie commerciale, protestantisme calviniste, puritanisme, anti-catholicisme et juifs de Hollande qui y contrôlaient le système bancaire et le commerce puis qui créèrent la City et la compagnie des Indes en Angleterre. « Après Waterloo, aucune puissance n'a pu contrebalancer celle des usuriers. » (Brooks Adams) Ainsi une autre suite possible du scénario mondial est de dénoncer prioritairement le système avant les personnes, car les personnes changent. C'est à dire que c'est l'agenda, le contrôle du terrain et les armes juridiques du système à combattre en priorité et à réformer, dont à travers la réhabilitation du rapport de force à l'intérieur de l'économie, et donc à travers la réhabilitation de l'entreprise participative, du champs hors du commerce, du système monétaire, et donc à travers l'histoire juridique et la culture historique traditionnelle. Or ni la France, ni les Etats Unis, ni l'Europe ne cherchent à s'émanciper de la finance internationaliste apatride, mais dans une guerre géopolitique majeure, la Chine le fait légitimement dont en s'orientant vers le droit continental et le développement culturel des pays. En effet l’État en étant hors du champs commercial avait pour fonction d'organiser le plus sereinement possible la vie en commun. Il faut donc réorganiser l'intégralité de la société à travers l'association du peuple aux trois groupements d’intérêts principaux synonyme de contre-pouvoirs même entre eux et lors des élections : celui commercial, celui non commercial dont fait partie le développement de la communauté (instruction, sport, culture, art), et celui spirituel (ayant aussi des contre-pouvoirs dans ce groupement par les divers avis des différentes religions). » « Le droit commercialo-maritime anglo-saxon est d'origine impérialiste et globaliste. La société à mission est la négation exacte du modèle de droit continental et français. La société à mission est un poisson pilote de la disparition de la « liberté d’entreprendre. La « société à mission » joue le rôle, de dupe, de poisson pilote permettant d’habituer les français à la future disparition de la « liberté d’entreprendre » puisque les appuis bancaires de ces sociétés dépendront de la future conformité de leur mission revendiquée à la cause « zéro carbone » nouvellement inventée et promue par les grands argentiers de ce monde ! Il faut remarquer, car la chose est à la fois typique et pathétique, que cette « société à mission » s’est justement parée des vertus de la nécessité de libérer l’entreprise, pour in fine avancer vers l’objectif inverse, celui de la ligoter définitivement. La juste dénonciation de la financiarisation et de l’appropriation capitalistique par les initiateurs de cette loi n’a, en fin de compte, pour seule finalité que la disparition de la liberté d’entreprendre puisque l’existence de toute société sera désormais officiellement dépendante du « fait du prince » financier, c’est-à-dire de la banque fournisseuse de crédit et engagée dans la course au « zéro carbone ». L’entreprise à mission est la négation exacte de la participation. Sur le fond, il est évident pour tout juriste formé au droit continental que l’entreprise est, en elle-même et sans autre subterfuge, une forme d’organisation sociale, par hypothèse incluse dans la Société politique. Il est tout aussi évident qu’en droit continental traditionnel l’entité publique qu’est l’État a seul la charge de réglementer l’économie, notamment en réglementant l’entreprise, et que l’objectif de cette réglementation est de développer le groupe politique, entendu comme un principe collectif. Tout au contraire, la société à mission véhicule l’idée selon laquelle les banquiers globalistes réglementent l’entreprise et l’économie des Nations en fonction de leur seul intérêt catégoriel supranational ; cet intérêt est aujourd’hui affiché comme étant celui de la « décarbonisation ». Pourtant la société, qu’elle soit civile ou commerciale, a naturellement pour objectif spontané le développement de la collectivité, du groupe au sens politique du terme ; ce qui est également – soit dit en passant – l’objectif premier de la monnaie. Cet intérêt collectif se réalise par le moyen de l’épanouissement des entrepreneurs qui mettent en œuvre une idée, qui réalisent un projet. Or entreprise et monnaie ont été dévoyés par le non-droit anglo-saxon qui n’en finit pas de subvertir tous les concepts du Droit continental civil adossé au droit naturel, fondé sur des Nations autonomes et souveraines, qui ont fait la « civilisation européenne ». Ce principe réglementaire, qu’il ne serait être question d’appeler « Droit », a pour objectif de rendre les sociétés commerciales dépendantes des seuls objectifs de la haute banque, identifiés et diffusés par le FEM, lequel se réuni à Davos au moment même de la rédaction de ce texte. A titre de conclusion, il est intéressant de noter le nom des organismes qui ont promu l’intempestive et inopportune « société à mission » : outre, bien sûr, le Parlement composé de « représentants du peuple » toujours prêts à trahir les intérêts nationaux, nous retrouvons le Collège des Bernardins, l’institut Montaigne issu du groupe AXA, l’école des mines de Paris… Tout un programme industrialo-financier sous égide d’un catholicisme qui a renié tout à la fois ses principes initiaux et le droit continental dont il était à l’origine. Dans les coulisses de la « société à mission », on retrouve le vaste programme de disparition du libre-arbitre, de subversion de notre État, de notre Droit et de notre souveraineté, par des intérêts catégoriels, devenus supranationaux, relayés par des organismes internationaux tels que le FEM ou l’ONU. » (Extraits de l'article « La “société à mission” : antithèse de la participation » à l'adresse https://strategika.fr/2023/04/03/la-societe-a-mission-antithese-de-la-participation/) Malgré les crises covid, inflationniste et énergétique l'ayant révélée clairement, l'oligarchie financière qui a pris le pouvoir aurait pu donc ne jamais se cacher car elle nous tient par le droit, en particulier de l'UE, des USA et donc du système anglo-saxon. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « Il n’existe pas de "valeurs communes" entre les Européens et les USA » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Il-n-existe-pas-de-valeurs-communes-entre-les-Europeens-et-les-USA-66593.html « Le professeur Korbel assurait que pour dominer le monde, il suffisait que Washington impose une réécriture des relations internationales dans des termes juridiques anglo-saxons. En effet, en plaçant le contrat au-dessus de la Loi, le droit anglo-saxon privilégie sur le long terme les riches et les puissants par rapport aux pauvres et aux misérables. » (Thierry Meyssan) Or une alliance internationaliste basée sur de sérieux patriotes conservateurs (Poutine, Trump, Xi) apparaît de plus en plus contre la subversion internationaliste basée sur d'impies financiers mondialistes. Dans ce sens, il est important de fusionner les expériences anti-subversives de l'histoire. Par exemple, l’extension mondiale des relations financières sous l’égide des fonds d’investissement et des banques anglo-américaines impose des rendements financiers supérieurs à 15 %, incompatibles avec l’industrialisation des pays en croissance, incompatibles avec le maintien d’entreprises artisanales, familiales, indépendantes, incompatibles avec la présence de banques de proximité finançant l’activité locale par crédit à long terme à faible taux (6 à 7 %), et plus encore, incompatibles avec l’autonomie stratégique des Nations et la résilience de l’environnement. Bref, la mobilité internationale des capitaux et des services détermine des abus de droit qui entravent sans cesse davantage la liberté des Nations et prétendent leur interdire d’adopter le système économique qui leur convient comme concernant le financement public des entreprises stratégiques. Voilà pourquoi la globalisation conduit à la guerre, puisqu’elle appelle une uniformisation des règles incompatible avec la liberté des peuples. Voilà pourquoi tout ce qui permet l’application des lois américaines et des principes juridiques, comptables et commerciaux américains suscite non seulement un rejet, mais des alternatives qui auront bientôt marginalisé cette puissance qui se prenait pour le monde, et qui devient donc une Nation provinciale, intolérante et décomposée, dont le reste du monde s'écarte de plus en plus voire se passerait volontiers. Ainsi le droit à outrance a progressivement occultés les droits et devoirs authentiques, ceux monothéistes. C'est à dire que le système pousse fortement à la mise au pas administrative fiscale et juridique du droit social français en faveur du droit anglo-saxon et donc des oligarques. En effet Macron a été choisi pour mettre au pas le droit social français : réforme de la sécurité sociale, de l'assurance chômage, de la SNCF, de la fiscalité, et disparition de l'argent liquide. Or le social, l'institutionnel et le géopolitique peuvent faire changer les opinions des hommes politiques pro-macron si il y a trop de problèmes. Dr Malone a déclaré : « Je suis devenu convaincu que nous avons une très grave situation qui est essentiellement la croissance et l’expansion de la tyrannie mondialiste qui est harmonisée, gérée, alignée entre les États-nations, et elle semble être alignée au détriment des peuples sur les intérêts économiques d’un petit groupe de fonds d’investissement qui représente la majeure partie du capital occidental mondial. Et ce qui m’inquiète particulièrement ainsi que beaucoup d’autres, c’est que cette réserve de capitaux est si grande maintenant, qu’elle a plus de pouvoir que les États-nations individuels et peut dicter la politique économique et la politique nationale dans différents États-nations. Surtout que ce capital a en plus acquis tous les principaux médias, toutes les Big Tech et toutes les grandes sociétés de vaccins et de produits pharmaceutiques. » C’est en raison de cette préoccupation que le Dr Malone a ensuite explicitement approuvé l’appel de l’archevêque Viganò à une alliance anti-mondialiste. En effet dans une lettre ouverte Monseigneur Viganò a appelé à la création d’une alliance internationale anti-mondialiste : « Depuis maintenant deux ans, nous assistons à un coup d’État mondial dans lequel une élite financière et idéologique a réussi à prendre le contrôle d’une partie des gouvernements nationaux, des institutions publiques et privées, des médias, de la justice, des politiciens et des chefs religieux. Tous, sans distinction, sont devenus esclaves de ces nouveaux maîtres qui assurent pouvoir, argent et affirmation sociale à leurs complices. Les droits fondamentaux, qui jusqu’à hier étaient présentés comme inviolables, ont été foulés aux pieds au nom d’une urgence : aujourd’hui urgence sanitaire, demain urgence écologique, puis urgence internet. Ce coup d’État mondial prive les citoyens de toute possibilité de défense, puisque les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont complices de la violation de la loi, de la justice et de l’objet pour lequel ils existent. C’est un coup d’État global car cette attaque criminelle contre des citoyens s’étend au monde entier, à de très rares exceptions près. C’est une guerre mondiale, où les ennemis sont nous tous, même ceux qui, sans le vouloir, n’ont pas encore compris la signification de ce qui se passe. C’est une guerre menée non pas avec des armes mais avec des règles illégitimes, des politiques économiques perverses et des limitations intolérables des droits naturels. Des organisations supranationales, financées en grande partie par les conspirateurs de ce coup d’État, s’ingèrent dans les gouvernements des nations individuelles, et dans la vie, les relations et la santé de milliards de personnes. Ils le font pour de l’argent, certes, mais plus encore pour centraliser le pouvoir afin d’établir une dictature planétaire. C’est la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial, l’Agenda 2030 des Nations Unies. C’est le plan du Nouvel Ordre mondial, dans lequel une république universelle asservit tout le monde et une religion de l’humanité annule la foi en Christ. Face à ce coup d’État mondial, il est nécessaire de former une alliance anti-mondialiste internationale qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature, qui n’ont pas l’intention de devenir les esclaves d’un pouvoir sans visage, qui ne veulent pas annuler leur propre identité, leur propre individualité, leur propre foi religieuse. Si l’attaque est globale, la défense doit aussi être globale. J’appelle les dirigeants, les dirigeants politiques et religieux, les intellectuels et toutes les personnes de bonne volonté, les invitant à s’unir dans une alliance qui lance un manifeste anti-mondialiste, réfutant point par point les erreurs et les déviations de la dystopie du Nouvel Ordre mondial et proposant des alternatives concrètes pour un programme politique inspiré par le bien commun, les principes moraux du christianisme, les valeurs traditionnelles, la protection de la vie et de la famille naturelle, la protection de l’entreprise et du travail, la promotion de l’éducation et de la recherche, et le respect de la Création. Cette alliance anti-mondialiste devra rassembler les nations qui entendent échapper au joug infernal de la tyrannie et affirmer leur propre souveraineté, en concluant des accords de collaboration mutuelle avec des nations et des peuples qui partagent leurs principes et le désir commun de liberté, de justice et de bonté. Elle devra dénoncer les crimes des élites, identifier les responsables, les dénoncer devant les tribunaux internationaux, et limiter leur pouvoir excessif et leur influence néfaste. Elle devra empêcher l’action des lobbies, surtout en luttant contre la corruption des agents de l’État et de ceux qui travaillent dans l’industrie de l’information, et en gelant les capitaux servant à déstabiliser l’ordre social. Dans les nations où les gouvernements sont inféodés aux élites, pourront être mis en place des mouvements de résistance populaire et des comités de libération nationale, comprenant des représentants de tous les secteurs de la société qui proposeront une réforme radicale de la politique, inspirée par le bien commun et fermement opposée au projet néo-malthusien de l’agenda mondialiste. J’invite tous ceux qui veulent défendre la société chrétienne traditionnelle à se réunir dans un forum international, qui se tiendra le plus tôt possible, dans lequel des représentants de diverses nations se réuniront pour présenter une proposition sérieuse, concrète et claire. Mon appel s’adresse aussi aux dirigeants politiques et aux gouvernants soucieux du bien de leurs citoyens, laissant de côté les anciens systèmes de partis politiques et la logique imposée par un système asservi au pouvoir et à l’argent. J’appelle ainsi les nations chrétiennes ensemble, d’est en ouest, invitant les chefs d’État et les forces saines des institutions, de l’économie, du travail, des universités, de la santé et de l’information à se joindre à un projet commun, perturbant les anciens systèmes et mettant de côté les hostilités qui sont désirées par les ennemis de l’humanité au nom de Divide et impera (diviser pour régner dont en cherchant et préservant des lignes de fractures historiques pour créer du chaos comme ce le fut dans le Donbass ; pour conserver leur pouvoir et leurs privilèges, les perverses élites occidentales actuelles amplifient même toutes les fractures sociales à l’exception de la fracture de classe : guerre des sexes, guerre ethnique, guerre sanitaire, guerre des âges, guerre des valeurs). Nous n’acceptons pas les règles de notre adversaire, car elles sont précisément faites pour nous empêcher de réagir et d’organiser une opposition efficace et percutante. J’appelle les nations et leurs citoyens à s’allier sous la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le seul Roi et Sauveur, le Prince de la Paix : In hoc signo vinces (par ce signe, tu vaincras). Fondons cette alliance antimondialiste, donnons-lui un programme simple et clair, et libérons l’humanité d’un régime totalitaire qui rassemble en lui les horreurs des pires dictatures de tous les temps. Si nous continuons à tarder, si nous ne comprenons pas la menace qui pèse sur nous tous, si nous ne réagissons pas en nous organisant en une résistance ferme et courageuse, ce régime infernal qui s’installe partout ne sera pas arrêté. Et que Dieu tout-puissant nous assiste et nous protège. » (Monseigneur Viganò) « (Concernant la suite en France par rapport aux diverses évolutions du monde possibles,) L’effondrement des partis politiques, subséquent à la mort des idéologies structurantes, a laissé apparaître le clivage fondamental de la société française, à savoir l’opposition entre peuple et oligarchie. (En fait, la nouvelle sociologie de la France au niveau politique se compose désormais en d'un bloc élitaire, d'un bloc social-souverainiste et d'un bloc social-immigrationniste.) Cette oligarchie a investi les organes de l’État et l’a transformé en système politique totalitaire, tyrannique ; utilisant la police comme une milice dans sa guerre privée menée contre le peuple. Le duo Zemmour/Macron consiste à donner l’illusion de la recomposition du clivage politique gauche/droite. Débarrassée de l’extrême droite goy et de tout son héritage, la nouvelle droite, appuyée par la finance internationale et représentée par Zemmour, influencera Macron, ramené sur des positions néoconservatrices. C’est la naissance du macro-zemmourisme, qu’on devrait plutôt appeler le macro-sarkozysme. Cette reconfiguration politique qui consiste à renouveler le bail du Système accentuera l’opposition oligarchie/peuple car les catégories populaires, la France périphérique et les classes moyennes paupérisées n’auront définitivement plus de représentant politique prétendant défendre leurs intérêts. Zemmour comme Macron valident l’euro, l’Union européenne, l’OTAN, la financiarisation de l’économie (sur laquelle Zemmour ne dit plus mot puisqu’il est soutenu par des banquiers), la tyrannie, le pass sanitaire et tout ce qui s’en suivra. La violence politique augmentera alors en intensité et la désignation de l’ennemi principal (les faux opposants comme le franc-maçon Mélenchon, le gauchiste libertaire Onfray et l'écologiste Jadot dont les idéologies vont toutes dans le sens du grand reset progressiste, oligarchique et mondialiste) sera facilité. … Surtout que l'actuel parti unique en France (car tout parti arrivant au pouvoir suit l'Union Européenne) empêche la dernière sous-pape de sécurité face au mécontentent du peuple puisque ce dernier ne peut même plus l'exprimer au niveau électoral, et va donc entraîner plus de violence politique populaire, en particulier lorsque les classes moyennes seront touchés en plus des Gilets jaunes qui étaient en grande majorité modestes. En effet le droit européen, la Cour de justice de l’Union Eropéenne, la Cour européenne des Droits (laïciste) de l’Homme, et donc la Commission Européenne ont pris le pouvoir sur les nations. Pour en finir avec la repentance apportant de la soumission perverse et avec le système de rente basée sur la dette/culpabilité du peuple français, il ne faut pas se contenter de dire comme Zemmour « Pétain a sauvé les juifs français », ce qui revient au fond à protéger les juifs collabos qui ont donné des juifs étrangers, des enfants juifs, pour préserver leur position. Il faut aller plus loin et reconnaître la culpabilité des israélites collabos, leurs crimes, et la culpabilité du CRIF et du Consistoire qui les a blanchis. Jusqu’ici, ceux qui sont chargés des péchés de la collaboration, les bouc-émissaires, sont les Français, et eux exclusivement ; disculpant ainsi les israélites collabos qui sont englobés dans la catégorie des juifs victimes exclusives du nazisme et de Vichy. Si Éric Zemmour veut, comme il l’affirme, en finir avec la repentance, c’est de cette histoire qu’il doit parler. Tous les coupables doivent être désignés afin que soit levé le poids de la culpabilité(, de la soumission manipulable) et de la dette qui pèse sur les Français. » (Youssef Hindi) En effet l'Etat français n'est plus protecteur car violemment, il détruit le peuple psychologiquement, socialement et désormais physiquement (œils crevés de dizaines de gilets jaunes et vaccins ARN aux effets secondaires graves), ce qui amènera à une réponse violente légitime du peuple contre l'Etat. « Depuis des décennies, les Blancs sont la cible d’un véritable lavage de cerveaux culpabilisateur pour les désarmer psychologiquement et affaiblir leur instinct de conservation. Des millions d’Européens autochtones sont ainsi envahis par les peuples d’autres continents et paralysés moralement à la simple idée de se défendre contre ce « génocide par substitution », pour reprendre l’expression d’Aimé Césaire. La ligne directrice de ce piratage mental de masse consiste en la promotion d’une pensée universaliste, dérivant dans un égalitarisme qui est en fait le masque d’un système inégalitaire et mondialiste au profit des ultra-riches. Il existe quatre régimes politiques, dont le régime hitlérien, qui ont affirmé une supériorité blanche, donc leur propre supériorité. Comment se fait-il que ces régimes aient causé directement ou indirectement autant de morts parmi les Blancs, et qu’au minimum ils n’aient pas été capables d’assurer durablement la sécurité physique et culturelle des Blancs ? Avec des amis comme ça, les Blancs n’ont plus besoin d’ennemis. L’élitisme racial hitlérien, hybride de positivisme et d’irrationalisme, a été le pire ennemi du nationalisme blanc. Hitler pouvait dominer l’Europe, et peut-être le monde, par une simple guerre économique et culturelle, et en gérant l’Allemagne en « bon père de famille ». Mais il voulait plus, notamment une guerre militaire pour envahir la Russie, comme il l’écrit dans Mein Kampf dès 1925, mais probablement pour permettre la recréation de l'Etat d'Israël par ses liens avec des réseaux occultes. L’expansionnisme racial et le prométhéisme scientifique de la doctrine national-socialiste expliquent son caractère instable et probablement mégalomaniaque à moins donc qu'il servait un plan occulte, dont les conséquences ultimes ont été au bout du dompte la mort principalement d'énormément de blancs et leur dévalorisation par l'humanité. En effet Hitler et les dirigeants influents du national-socialisme allemand ont été les pires ennemis du blanc au regard des conséquences que leurs 15 années d’action ont eu sur toute une civilisation (Nuremberg, reductio ad hitlerum, repentance permanente, ethno-masochisme, rabaissement jusqu'à faire accepter lgbtisme et immigration massive, pénalisation de la liberté d’expression). Or le suprémacisme blanc actuel est désormais en fait pour l’essentiel un suprémacisme ploutocratique techno-scientifique (lié en grande partie aux juifs blancs ashkénazes, aux sionistes et aux mondialistes) encore plus dangereux que les précédents, car soluble dans le mondialisme et convergeant dans ses grandes lignes avec le Great Reset. Ainsi les impies liens historiques complexes entre les mouvements suprémacistes blancs (néonazis), la franc-maçonnerie, le sionisme, le mondialisme et les projets transhumanistes du Great Reset sont clairs, puisque même si en apparence ils sont contradictoires, les objectifs politiques de ces mouvements convergent pourtant régulièrement. D'ailleurs toutes ces entités partagent un fondement de l'occultisme qui est la quête de l’humain augmenté, voire partagent tout l'occultisme. À notre époque mondialisée, nous pouvons cependant coordonner de manière rationnelle l’entretien des différences, des distances et des souverainetés. Il faut défendre un internationalisme ethno-différentialiste, pour que tous les peuples autochtones luttent ensemble mais chacun chez soi contre le mondialisme nivelant. Dans cette perspective, le blogueur Antonin Campana propose de se placer sous la protection de la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones. C’est une excellente idée ! » (Lucien Cerise) « Le gouvernement sud-africain sous l’égide de l’ANC (African National Congress) était déjà en train de passer au communisme intégral en 2018-2019 avant la pandémie de Covid. Dans le cadre des amendements proposés à la constitution, ils ont exigé que des « réparations » soient prises aux fermiers blancs sous la forme de saisies de terres, qui seraient ensuite redistribuées aux citoyens noirs. Il s’agit de l’argument classique de la théorie de la race critique : parce que le colonialisme a existé, tous les bénéficiaires et leurs supposés descendants doivent des réparations aux descendants des indigènes qui ont perdu leurs terres. Le problème est que seuls les descendants des colons blancs sont tenus de payer des droits. C’est exactement la même voie que suivent les socialistes/marxistes du parti Démocrate aux États-Unis, certains États et villes exigeant que des réparations pour les Noirs soient inscrites dans la loi à cause de l’esclavage, il y a près de 200 ans. Le mouvement des réparations est minuscule, mais comme toutes les autres initiatives de justice sociale, il gagne en puissance parce que les politiciens et les entreprises le soutiennent artificiellement, alors qu'il n'y pas eu de réparations dans l'histoire même quand des blancs ont été mis en esclavage. Pourquoi ? C’est facile : il s’agit de diviser pour mieux régner. Comme nous l’avons vu l’été dernier avec les 1 milliard de dollars de dommages causés par les émeutes « majoritairement pacifiques de Back Lives Matter (BLM) », le conflit racial est une arme efficace pour les élites pour créer le chaos. Après tout, BLM a reçu la majeure partie de son financement initial par la Fondation Ford et la Fondation Open Society de George Soros. Il s’agit d’un mouvement fabriqué de toutes pièces, construit autour d’affirmations erronées de la théorie critique des races, mais il est suffisant pour faire régner la violence à l’échelle nationale. La réponse du gouvernement sud-africain au Covid a été brutale et continue. Les mesures de confinement ont été parmi les plus strictes au monde : couvre-feu, interdiction de se réunir à l’intérieur ou à l’extérieur, interdiction de consommer de l’alcool et restriction des déplacements dans certaines zones. Une grande majorité de la population a été empêchée de participer à l’économie normale. Des émeutes ont éclaté à Johannesburg et ailleurs, avec plus de 200 morts et des milliards de dollars de dégâts matériels et de vols. Dans ce cas, il est difficile de condamner catégoriquement les pillages car le gouvernement empêchait les citoyens de gagner leur vie au nom des confinements Covid. Surtout que cela s’ajoutait au niveau de pauvreté déjà élevé de l’Afrique du Sud, et au fait que contrairement aux États-Unis et à leur monnaie de réserve mondiale, l’Afrique du Sud n’a pas la même capacité à imprimer des chèques de relance pour apaiser les masses et dissimuler les dégâts. Lorsque le gouvernement sabote activement la capacité de millions de personnes à travailler et à nourrir leurs familles, la seule option qui reste à la plupart d’entre elles est le vol ou la révolution. Les chaînes d’approvisionnement du pays ont été complètement interrompues et les seuls points de vente au détail ayant des stocks sont ceux qui ont été protégés par l’armée ou ceux qui ont été protégés par des propriétaires armés de fusils et de battes de baseball. Seuls 6 % de la population ont été autorisés à posséder des armes à feu en vertu de la bureaucratie et de la paperasserie du contrôle des armes à feu en Afrique du Sud. Le gouvernement avait le quasi-monopole de la force et il est peu probable que les émeutiers ont changé grand-chose en termes de politique. En revanche, ils rendront la vie infernale au reste de la population. L’agitation civile dans cette région est, à mon avis, un avant-goût de ce qui est à venir aux États-Unis et dans d’autres nations occidentales. Nous avons déjà assisté à des émeutes en France, en Italie et dans d’autres parties du monde occidental à cause de la législation qui rendrait obligatoire l’utilisation des vaccins expérimentaux à ARNm par le biais de passeports vaccinaux. La seule raison pour laquelle la tyrannie médicale a été repoussée aux États-Unis est qu’environ 50 % des ménages américains sont armés. Les millions de propriétaires d’armes à feu créent une dissuasion contre la tyrannie. Par rapport à la crise sanitaire, il existe d'autres différences entre les États-Unis et l’Afrique du Sud en termes de motivations et d’économie, mais l’écart n’est pas aussi important que certains pourraient le penser. Les États-Unis présentent des signes similaires de déclin en termes de pauvreté, de fermeture de petites entreprises et d’inflation. Le taux de chômage et le taux de pauvreté de l’Afrique du Sud semblent beaucoup plus élevés, mais les États-Unis ont la capacité de cacher la pauvreté réelle grâce à des mesures de relance temporaires, des programmes d’aide sociale et des moratoires sur les expulsions. Lorsque les chèques sociaux seront épuisés et que les expulsions reprendront, nous assisterons à un nouveau pic massif des niveaux de pauvreté aux États-Unis. En outre, l’inflation des prix de base a atteint des sommets inégalés depuis 30 ans en raison des milliers de milliards de dollars imprimés et de la dévaluation du dollar, ainsi que des chaînes d’approvisionnement en difficulté. (« Selon Vyacheslav Volodin, voici les cinq raisons pour lesquelles le dollar perd de plus en plus du terrain : 1. Le dollar n’est pas soutenu par des biens et des ressources réelles. Après le retrait des États-Unis des accords de Bretton Woods, le dollar n’est plus lié à l’or. La presse à imprimer américaine n’est freinée par rien. D’où l’énorme dette nationale américaine et l’inflation record de Biden. 2. Le dollar étant utilisé comme un instrument de lutte politique dont à travers des sanctions illégales tels que les restrictions de paiement et le vol des réserves de change, cela n’ajoute pas à la confiance des autres nations dans la sécurité de leur argent. 3. Des changements de nature géopolitique sont en cours comme le modèle unipolaire devient dépassé. En effet comme il y a une demande de multipolarité dans le monde, une alternative au dollar en est une conséquence. La croissance des règlements mutuels en devises nationales en est la preuve. 4. La réticence de Washington à admettre ses propres erreurs et à y remédier. 5. La nature cyclique de l’histoire montre une régularité : chaque monnaie mondiale a sa propre période d’environ 100 ans. Le real portugais a été remplacé par le real espagnol. Puis vinrent le florin néerlandais, le franc français, la livre sterling et le dollar américain. Ce dernier sera également remplacé par une nouvelle. Aujourd’hui, nous pouvons dire que ce ne sera probablement pas par l’euro, car il perd de plus en plus du terrain même s'il aurait pu servir aux oligarques mondialistes comme empire succédant à celui américain. Il s'agira plutôt des monnaies des États à économie souveraine. La question de la vitesse reste ouverte, mais il est évident que le processus de dé dollarisation dans le monde a commencé et qu’il ne peut être arrêté. » Source : Politikus) Il faut noter que lorsque l'URSS s'est effondrée, le rouble a été fortement dévalué au point que le troc fut utilisé sur les marchés en Russie, et qu'il est donc important de faire attention à l'effondrement économique occidental et à la valeur monétaire de l'euro et du dollar en investissant par exemple dans l'or et l'argent. Or l'effondrement occidental pourrait être beaucoup plus grave que celui de l'union soviétique dont monétairement. D'ailleurs ce qui est parmi le plus inquiétant, c’est que beaucoup de pays comme la France vivaient de la capacité à s’endetter à taux très bas en euros. Ce ne sera sans doute plus possible suite à la guerre en Ukraine. On pourrait même imaginer que Washington a utilisé cette crise pour tuer cette monnaie concurrente et s'attendre donc à une déstabilisation de l’Union européenne par sa propre monnaie. Pour l’instant, l’augmentation de la demande créée par les chèques Covid donne l’illusion que l’économie est en train de se redresser, mais tout comme les ventes de maisons sont en train de plonger après un pic récent, il en sera de même pour la demande dans la plupart des secteurs de l’économie. Cela ne signifie pas pour autant que les prix vont baisser avec la demande. Par exemple, les prix du bois d’œuvre sont en baisse à mesure que la demande diminue, mais après avoir augmenté de 300 % dans certaines régions, ils ont encore un long chemin à parcourir et ne reviendront probablement jamais à leur niveau d’avant la pandémie. Nous observons actuellement la même dynamique dans les ventes de logements par rapport aux prix des logements. Lorsque la demande diminue mais que l’inflation des prix continue d’augmenter ou reste élevée, c’est le signe d’une crise stagflationniste. (La stagflation, c'est aussi gravement la récession synonyme de perte massive d'emploi associée donc à l'inflation.) Et si c’est le cas, l’économie américaine va s’effondrer de manière spectaculaire, en entraînant des niveaux de pauvreté similaires à ceux de l’Afrique du Sud. L’impression monétaire est une solution temporaire qui conduit à des désastres à plus long terme. Ce n’est également qu’une question de temps avant qu’un variant Covid (comme la variant Delta) ne soit utilisé comme excuse pour ramener les confinements dans tout le pays. Et ne vous y trompez pas, ils tenteront de mettre en place des mandats de plus en plus durs, similaires à ceux de l’Afrique du Sud, afin d’intimider les gens pour qu’ils se soumettent à la piqûre et aux passeports. À ce stade, le gouvernement américain aura non seulement des émeutes de masse sur les bras, mais aussi une rébellion armée. Il ne fait aucun doute que les chaînes d’approvisionnement s’effondreront, si elles n’ont pas déjà été perturbées par le coût de la guerre en Ukraine, des confinements ou une crise financière connexe. La question qui se posera alors sera la suivante : Qui va reconstruire ? Si ce sont les élites de davos et la secte Covid, alors la liberté disparaîtra à jamais. Si ce sont des gens épris de liberté, alors il y aura peut-être une chance de sortir notre civilisation du gouffre. Tout dépend de qui restera debout après le chaos. L’Afrique du Sud est un avertissement pour les Américains : Ne prenez pas trop vos aises. Ne vous laissez pas aller à la complaisance. Soyez prêts à la prochaine mauvaise nouvelle. Préparez-vous en conséquence, et comprenez qu’un combat s’annonce. L’establishment fera le pari que les troubles et le désastre économique créeront un consentement fabriqué. Ils pensent que le public sera suffisamment désespéré et qu’il implorera le totalitarisme comme solution. Ne vous retrouvez pas parmi les désespérés, et si vous le pouvez, organisez votre communauté pour résister à la tempête. Enfin, rappelez-vous toujours qui sont les personnes qui ont causé ce désordre en premier lieu. Les émeutiers et les pillards vont constituer un problème, mais ils ne sont pas le véritable ennemi. Il faut s’attaquer au système mais aussi aux personnes qui se cachent derrière son rideau si nous voulons retrouver la paix. » (Brandon Smith) La menace qui pèse sur le monde est celle d’une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, de l’homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l’existence sans tranhumanisme dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d’un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu’en parlant ainsi, cela fasse seulement allusion au communisme ou à l’hitlérisme qui ont disparus. En effet le monde moderne et sa démocratie tendent à disparaître au profit d'un dirigisme universel. Il faut savoir que les sociétés secrètes, organisées depuis un siècle dans toutes les parties de l’Europe, ou plutôt dans le monde entier, sous divers noms et sous diverses formes sont le vrai foyer où se fomentent les projets détestables pour l'humanité, et d’où part le mouvement, la force d’agression qui s’attaque à l’Église et aux puissances temporelles. Parmi elles, la Franc-maçonnerie en partie aussi synonyme de la synagogue de Satan est un pouvoir occulte anti-France et compte donc parmi les responsables secrets du changement d’ordre qu'est la Révolution française, puisque ayant remis en cause la France catholique, la France royale et la France éternelle. En plus des sociétés secrètes mondialistes, les mondialistes sociétés ploutocratiques très influentes (dont à travers les médias, leur liens dans la politique et le contrôle des réseaux sociaux) comme les organisations Davos (dont les stratégies sont souvent suivies par l'Union Européenne), Bidelberg (étant une sorte de maçonnerie mondialiste perverse comme le Bohemian club prenant le pouvoir maçonnique et étant le bras armé politico-idéologique de l'OTAN qui est le bras armé de Wall Street), Trilatérale et Council on Foreign Relations (« arme miracle » de la géopolitique atlantique) agissent de moins en moins cachées, car avec internet elles sont de plus en plus dévoilées. On peut également évoquer les évangélistes et le réseau du comité des 300 comprenant : Washington, CIA, CIR, BRI, FMI, Forum économique de Davos, Grandes banques, B'NAI B'RITH, Organisation sioniste mondiale, GAFAMS, etc, le tout très probablement piloté par quelques décisionnaires du 33 e degré maçonnique satanique et contrôlé par le chantage concernant de graves crimes. Surtout que la franc-maçonnerie étant internationale, elle facilite l'établissement d'un plan mondialiste, d'autant plus quand ses hauts degrés sont occupés par de hauts responsables politiques, financiers et économiques dans chaque pays. D'ailleurs cela fait plusieurs décennies que la république française mène une guerre civile hybride et sans merci contre son propre peuple. Celle-ci explose à l’occasion d’événements violents, puis s’apaise pour un bref moment. Mais l’on peut être quasi certain que ce populicide républicain perdurera jusqu’à l’extinction de la France-pays réel, de ses forces vives, de sa culture, de ses coutumes et de sa religion ancestrale. Selon l'entretien avec l'ancien résistant, membre des services de renseignements français, devenu journaliste et écrivain, et engagé à l'extrême droite, Pierre de Villemarest, à l'adresse https://youtu.be/SCpLqzsUfjk, des organisations secrètes mondialistes liées entre elles existent depuis 1814 en passant par 1918 et 1945 : la société fabienne (capitaliste pour les élites et socialiste ou collectiviste pour le peuple, et dont un premier symbole était un loup déguisé en agneau) et la synarchie de Vienne sont les ancêtres d'organisations ploutocratique ou/et mondialistes dont de la Trilatérale et du club Bidelberg. Ceci est d'autant plus prouvé, car elles tiennent le même langage depuis deux siècles. Elles veulent que 300 multinationales maximum contrôlent toute l'économie, le monétaire, le financier et le technocrate. Ces sociétés sont d'autant plus secrètes que pour y entrer, il faut être coopté par au moins 2 membres, même pour des non initiés pouvant servir de caution au plan caché. Or ces organisations peuvent ne pas rechercher la place suprême du pouvoir souvent éphémère, car elles préfèrent demeurer indispensables intellectuellement et économiquement aux divers dirigeants et gouvernements se suivant, afin que leur influence et leur projet soient continus. Il est intéressant de voir aussi à ce sujet la vidéo « Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat ! » qui précise que les conspirateurs sont les véritables parasites de cette planète, à l'adresse https://lemediaen442.fr/le-discours-de-john-f-kennedy-revelant-lexistence-des-societes-secretes-10-jours-avant-son-assassinat/ « Imaginer que la direction planifiée de la vie économique sur une vaste région habitée par des peuples différents pourrait s’effectuer par des procédés démocratiques, c’est ignorer complètement les problèmes que pareil plan soulève. Le planisme, à l’échelle internationale plus encore qu’à l’échelle nationale, n’est que l’application de la force brute : un petit groupe impose à tous les autres un standard de vie et un plan de travail qu’il estime juste. L’économie des grands espaces, conçue par les Allemands ne peut être réalisée que par une race de seigneurs imposant impitoyablement ses buts et ses idées à tous les autres. La brutalité et le manque de scrupules à l’égard des désirs et des idéaux des petits peuples ne sont pas simplement une manifestation de leur méchanceté spécifique, mais découlent logiquement de la tâche qu’ils ont entreprise. Celui qui parle de race des seigneurs dans le cadre de l’unification européenne qui se profile dès la fin de la guerre de 40, c’est Friedrich Von Hayek. Il a été souvent récupéré par les néolibéraux mais sa Route de la servitude reste un modèle. Hayek prédit que selon la volonté des anglo-saxons vainqueurs de cette guerre, le modèle nazi allemand sera plus ou moins suivi lors de la construction européenne, ce qui se confirmera par la caste (seigneurs) de la commission de l'union européenne, surtout que cette union européenne a été faite par des agents americano-sionistes et l'oligarchie perverse. » (Nicolas Bonnal pour Strategika) Le Bilderberg qui s'est réunit à Washington en 2022, a été un conseil de guerre de haut niveau, présidé par Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN. Après 2 ans d'interruption dus au Covid, ce sommet mondial de l'élite a donc été relancé à Washington DC, avec une liste d'invités de haut niveau comprenant les chefs de l'OTAN, de la CIA, du GCHQ, du conseil de sécurité nationale des États-Unis, 2 premiers ministres européens, une bonne dose de milliardaires de la technologie et Henry Kissinger. Surtout qu'il apparaît de plus en plus nettement que pour établir leur gouvernement mondial, c'est à dire un monde technocratique et ploutocratique sans états, ni nations, ni églises, ni syndicats, ni corps intermédiaires, ni frontières, ni traditions, ni biens (tout en location) etc, et ainsi avoir le contrôle total, ces sociétés secrètes participent fortement à ce que les populations soient désorganisées dont par des crises et vivent dans des sociétés déstructurées dont par les grands médias achetés et des organisations supranationales s'étant établies progressivement depuis des décennies selon un agenda clair. Le dernier traité de l’OMS sur la pandémie demande même que les pays délivrent les pleins pouvoirs à l’OMS afin de déclarer des pandémies et de décider quel protocole doit être suivi, quelles que soient les constitutions des pays. Pour l'instant certains dirigeants l'ont accepté et d'autre l'ont refusé. Ce mondialisme ploutocratique allant dans le sens du socialisme, aboutissant au communisme, est la doctrine antisociale qui tend et aboutit à faire de l’État (et les ultra riches derrière) le maître absolu de toutes choses, c’est-à-dire des personnes et des biens, des corps et des âmes. « On a d'ailleurs droit comme avec Schwab et Davos à l’abolition de la propriété privée. Or l'orientation vers fin de la propriété privée, qui est pourtant l'essence du capitalisme, indique même clairement une soviétisation de l'économie surtout cela ne concerne pas les ultra riches. Selon Davos : « Les propriétaires, graduellement courbés et accablés sous un joug impitoyable et intolérable de charges et d’impôts, solliciteront alors, comme un moyen de s’exonérer et de vivre en paix, la faveur de passer à l’état de fermiers ou de tenanciers. Et selon son caprice ou ses intérêts, le système expulsera les uns et acceptera les autres, tenant à la fois les hommes par la terre et la terre par les hommes. Le nom de propriétaire aura péri. A part les ultra riches, il n’y aura dès lors ni classes élevées, ni classes inférieures ; il n’y aura ni pauvres, ni riches, ni petits, ni grands, si ce n’est ceux que le système lui plaira de combler et d’élever autant que durera son caprice. » Car le patriotisme (ainsi que la famille traditionnelle) n’est déjà plus qu’une étroitesse d’esprit pour ces cosmopolites ultra libéraux wokiste, ces prochains dominateurs de l’opinion. » (Extraits de l'article « Gougenot et l’avènement apocalyptique du mondialisme totalitaire (1865) » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/14/gougenot-et-lavenement-apocalyptique-du-mondialisme-totalitaire-1865/)
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