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O) Suite 15


-asservissement ou précarité des salariés par un actionnariat prédateur et par l'obligation de se bancariser dans une sorte d'esclavage financier des peuples par les élites. Or selon Serge Ayoub pour un nouveau contrat social, il faudrait transformer les salariés en associés par une possible participations aux responsabilités, au capital et aux bénéfices dans une forme de copropriété des entreprises et donc de la France, et donc sans lutte avec le patron mais plutôt dans un travail constructif en tant que petits patrons respectant évidemment le grand patron et sa rémunération plus élevée puisque ayant pris des risques, eu l'idée ou mis de l'argent pour la création de la société. C'est à dire revenir si ce n'est à une grande charité chrétienne sociale au moins à un capitalisme plus productif et patrimonial dans un esprit donc beaucoup plus familial puisque appartenant généralement à des familles, plutôt que de rester au sein d'un capitalisme financier et donc gravement spéculatif dans un esprit esclavagiste puisque appartenant généralement à des banques et des actionnaires. Surtout que l'ultra-libéralisme moderne, détruisant les valeurs humaines si importantes au travail, risque une dégradation morale générale du peuple synonyme de folie collective pouvant devenir violente. Ainsi il faut que le capital travaille et que le travail possède, car le capital est le produit d'un travail collectif, et il faut donc voir le travail plus humain et le réformer dans ce sens sans oublier également de rémunérer légitimement les tâches collectives en plus des individuelles quand elles ne sont réalisables qu'à plusieurs, surtout que la production des salariés et la vie en société en sont améliorées. Dans ce sens et comme il pense véridiquement que la société doit être une des causes conduisant au bonheur de chacun, il estime que les travailleurs, agriculteurs, pêcheurs et entrepreneurs étant les principaux acteurs de la vie économique, leurs représentations au parlement pour choisir un budget national harmonieux seraient complètement logiques. De plus il propose même d'aller jusqu'à une union sacrée des travailleurs et entrepreneurs français dans une forme de banque coopérative d'investissement prélevant les heures supplémentaires d'un éventuel retour à 39 ou 40 heures qui ferait environ 65 milliard par an, et qui pourrait, suite à des votes ou chaque travailleur aurait une voix, rembourser rapidement la dette nationale puis racheter les grandes sociétés étrangères défaillantes au niveau des salaires et des conditions de travail. En effet cela dégagerait des bénéfices annuels pour chaque travailleur français, relèverait le paiement de l'heure travaillée, créerait de l'emploi, et permettrait de recevoir environ 120 000 euros supplémentaires au début de la retraite (dont la meilleure démographie pour stabiliser ce système est de deux voire trois enfants par femme) par la récupération de cet argent investi hebdomadairement comme s'il s'agissait d'un compte retraite complémentaire.
Il est intéressant de relier cette analyse à la parole de René de la Tour du Pin provenant de son livre « Vers un ordres social chrétien » où il explique que le corporatisme est de considérer l'homme comme un frère, par opposition au libéralisme qui le considère comme une chose et au socialisme qui le considère comme une bête : « Le Travail n‘a pas pour but la production des richesses mais la sustentation de l'homme, et la condition essentielle d'un bon régime du travail est de fournir en suffisance d'abord au travailleur, puis à toute la société, les biens utiles à la vie ». (Voir vidéo « Le corporatisme, une solution d'avenir... » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?time_continue=188&v=hn2GA-1-GtQ)
En effet au niveau politique, le corporatisme fournit aux élus les représentations des droits et des intérêts des divers secteurs professionnels, et au niveau économique, il empêche la spéculation en laissant les corps professionnels dictés eux-mêmes l'intérêt de la sécurité et de la loyauté du métier pour son bien et le bien de la communauté nationale, pour que la propriété du métier puisse être garantie à tous ceux qui vivent de cette profession, et pour qu'ils aient l'occasion de s'unir en comité. L'effondrement économique de la France pourrait d'ailleurs même s'orienter vers le corporatisme établissant qu'une entreprise appartient aussi à ses ouvriers et ses employés à la place des actionnaires et à un niveau évidemment inférieur au patron. Mais par un Etat devant bien le contrôler sans l'empêcher d'être une institution de la liberté, le privilège du corporatisme ne doit pas devenir un monopole préjudiciable au bien commun national. Ainsi il apparaît qu'il ne faut pas vivre pour travailler, mais travailler pour vivre pieusement, en famille et dans une solidarité sociale épanouissante.
-chroniqueurs de plateaux TV (donnant leur avis et venant souvent du monde du spectacle) sélectionnés d'abord pour leur profil (âge, origine, poids) et non donc pour leur connaissances profondes des dossiers traités, afin de formater l'opinion publiques souvent en participant à l'abrutissement généralisé comme la plupart des grands médias ou en accusant sans argument de complotismes certains avis. C'est pourquoi la connaissance est la meilleure arme des peuples pour lutter contre le système actuel, car un peuple éclairé n'est pas manipulable dont en choisissant l'espoir, la défense du droit du travail et l'organisation pour le bien commun, plutôt que le désespoir, la soumission au capital ultra riche et la désorganisation face aux intérêts particuliers dont oligarchiques.
-création ex-nihilo par la banque centrale européenne de centaines de milliards d'euros donnés sans réel contrôle aux banques privées et donc aux riches chaque année.
-puissances d’argent tenant les banques centrales.
-banques centrales rachetant parfois plus d'un milliard d'actions par heure pour préserver diverses entreprises en prouvant donc la perverse centralisation (monopolisation) à outrance, et dont le covid a consolidé cette concentration financière ainsi que désormais la guerre en Ukraine. Surtout que le monopolisme empêche la concurrence source de progrès. Le pervers pouvoir profond mondial de ce système corrompu dépense donc souvent beaucoup pour maintenir l'économie mondiale, malgré de plus en plus de dommages collatéraux contre l'humanité par preuve des mesures mortifères liées au covid et aux sanctions contre la Russie, car toujours dans le but d'obtenir plus d'influence par sa récupération de la centralisation de l'économie dont à travers sa pratique de l'usure d'abord bancaire et la monopolisation de ses multinationales. Or tout ceci est souvent caché derrière une lutte des classes, alors que c'est une guerre à mort entre le système bancaire (privé) et le souverainisme des nations (public), voire entre la numérisation artificielle et le vivant naturel. Quand Christine Lagarde présidente du FMI explique que nous sommes pieds et poings liés à la dette, elle sous-entend qu'il s'agit du nom moderne de la soumission voire l'exclavagisation des nations aux intérêts de la suprémacie financière... Or l'Histoire a montré que l’annulation de la dette a été fréquente lorsque les peuples se sont révoltés massivement.
-taux négatifs très nuisibles économiquement et étant donc le véritable virus qui détruit la société, et de 2008 à 2020, nombre de 55 banques espagnoles passé à 12 en prouvant donc aussi la centralisation à outrance vers le possible monopole tyrannique. En 2018, fait historique inédit, le loyer de l’argent est donc devenu négatif, malgré de grands avertissements divins importants depuis des siècles contre l'usure en particulier massive et répandue. En clair, prêter coûte désormais au prêteur, ce qui est une impossibilité comptable du système pervers actuel. A cette date clé, le Capitalisme a alors commencé à s’autodétruire. Ce fut d'ailleurs suivi par la séquence de la pandémie, puis de la guerre. Pour l’instant, le système ne tient que par la planche à billet et donc l'inflation, mais aussi encore par la confiance dans le dollar, même si elle est de plus en plus érodée.
-FMI dont l'actionnariat sont des Etats qui participent donc à un système d’usure international au niveau publique, plutôt que d'au moins y investir si ce n'est pas de prêter sans intérêts.
-centralisation de l'union européenne de plus en plus par la dette puisque gérer de plus en plus par la BCE collectivement. Surtout que paradoxalement depuis le Brexit, la centralisation au sein de l’Union Européenne s’est accélérée. Chaque crise est utilisée à cet effet : le coronavirus et désormais la guerre en Ukraine. De plus, l’Union Européenne attaque ses propres membres lorsque ceux-ci sont considérés comme déviant de ce mécanisme de centralisation s'appuyant en partie l'immigration massive et le Lgbtisme.
-BCE (dont le bilan correspond très étonnamment à 80 % du PIB européen) appauvrissant les banques par les taux négatifs afin de les racheter facilement lors de leur faillite tel un pyromane pompier, et créant des centaines de milliards d'euros lors de crise comme celles des subprimes ou celle sanitaire pour ne pas sauver des vies mais pour sauver le système financier voire enrichir des intérêts particuliers au détriment des contribuables.
-BCE s'associant à la supranationalisation des moyens de productions et étant liée à la monopolisation des grosses multinationales privées dont des services publiques. C'est pourquoi il faut dissoudre (se réapproprier) les banques selon la loi française en leur enlevant leurs capacités juridiques voire commerciales, afin de les nationaliser, récupérer les 12 500 milliards qu'elles ont spoliés (accaparés dont par l'usure) sur le travail des français depuis des décennies, annuler les dettes, prêter sans intérêt qu'au producteur d'emplois et de richesse, reconstruire les services publiques, relever grandement le salaire minimum et ramener le niveau de la France sur le podium des grandes puissances mondiales. Surtout que la France ayant une armée et la bombe atomique par rapport à des pays plus faibles, elle a vraiment tous les moyens pour réussir face à des ingérences étrangères comme celles des USA, de l'Angleterre ou d'Israël, ou celles privées comme la BCE, le FMI ou les GAFAM. Et il faut donc y croire, car c'est entièrement possible.
-robotisation des forces de l’ordre (robots chiens et drones automatiques possiblement sous forme de moustiques) pour surveiller et oppresser la population, tout en enlevant l'élément moral du policier humain afin que cela soit soumis inconditionnellement au système ploutocratique et sioniste.
-politique des caméras de rue prétendant sécuriser, alors que surveillant d'abord le peuple et amenant en réalité au résultat suivant : un gouffre budgétaire des contribuables au profit des sociétés privées, plus de PV pour les habitants, une délinquance qui s’adapte aux angles morts ; et des caméras-piétons. Ce qui veut dire que ces caméras servent bien d'abord à filmer voire ficher les manifestants ou les quidams avec le consentement de la loi. Or ça n’empêchera même pas les tabassages et les gazages, puisqu’un policier a le droit de se défendre contre la violence des manifestants pouvant être instrumentée par des actions sous faux drapeau, même quand il s’agit de familles, avec femmes et enfants.
-Non respect de la charte de non prolifération des armes atomiques à l'étranger comme celle états-unienne en Italie et en Allemagne, et bouclier anti-missiles dont nucléaires pouvant devenir offensif même si il est devenu obsolète par l'invention russes des missiles hypersoniques dont nucléaires.
-tyrannie financière déréglant les marchés ou les bourses, spéculation à outrance dont par le trading à haute fréquence ne préservant plus aussi un marché libre et équitable ni un système économique humain juste, et finance internationaliste soudoyant de nombreux politiciens pour favoriser les gains du privé souvent transnational au détriment de l’intérêt publique national. En effet la république est sous le contrôle de lobbies et d'occultes réseaux d'influence qui n'obéissent en réalité qu'à la haute finance mondialisée par la malhonnêteté de grands fonds d'investissements, des banques, de multinationales, des grands médias et de nombreux politiciens. Même les institutions finissent par  être détournées de leurs objectifs suite à la pression de ces lobbies dont ceux des assurances, des banques ou du secteur pharmaceutique.
Au sujet de cette disparition du vital marché libre et équitable au détriment des peuples, par des formes corrompues de monopoles ou de protections au service de certaines multinationales servant la cupidité et l'oppression financières des élites mondialistes perverses, l'article suivant est intéressant à lire : « La guerre psychologique derrière l’effondrement économique » à l'adresse : http://lesakerfrancophone.fr/la-guerre-psychologique-derriere-leffondrement-economique
Or il faut noter qu'un actif doit avoir une valeur utilitaire, c'est à dire qu'il doit reposer sur un sous-jacent créateur de richesse éthique (concrète, or, biens, connaissance, développement) protégeant la dignité humaine et l'intégrité physique. Ainsi la spéculation inconséquente doit être interdite, mais l'investissement dont dans le productif doit être encouragé, surtout que ça atténue la lutte des classes.
La lutte des classes provient à l'origine de l'opposition entre les prophètes juifs souvent pauvres au service du peuple modeste et la domination perverse des élites juives riches très peu nombreuses de leur communauté, dont les rabbins. Car cette domination sur le reste de la population se faisait par l'usure ou la spéculation souvent jusqu'à son appauvrissement généralisé voire jusqu'à l'esclavage. Ainsi par le rappel prophétique évoquant pieusement la justice, les paysans menaçaient les élites d’arrêter de travailler voire finissaient par s'enfuir, en entraînant donc la destruction de la société, si leurs dettes n'étaient pas effacées. Ce dernier cas de figure était au final rare, car aucun riche n'étant prêt à aller jusqu'à la disparition de la société, la dette était donc annulée et les justes règles religieuses économico-sociales étaient restaurées.
Ceci prouve que pour éviter le chaos, il faut grandement combattre la dette publique. Sinon donc chaque nation deviendra un gigantesque marché privé amenant une ploutocratie corrompue puis destructrice, dont après que les services publiques par essence au service du bien commun aient été détruits par la privatisation. Surtout que cela entraînerait possiblement un gouvernement mondial privé corrompu favorisant seulement les ultra-riches comme le prouve notre époque. En effet la perverse oligarchie internationale actuelle ne nous asservit pas que par la technologie dont la 5G, par l'éducation dont la théorie du genre, ou par la santé dont à travers le port du masque obligatoire ou des vaccins, mais principalement par l'argent qui a toujours été un gros moyen de pression sur des nations dans l'histoire de l'humanité. Or comme il a été vu, ce monopole de contrôle privé, qui pourrait devenir un système plus ou moins mondial, sera peut être récupéré au final par Jésus lors de son retour pour gérer la terre parfaitement :
(S7v182/183) « Ceux qui traitent de mensonges Nos enseignements, Nous allons les conduire graduellement vers leur perte par des voies qu’ils ignorent. Et Je leur accorderai un délai, car Mon stratagème est solide (jusqu'à même pouvoir récupérer les efforts que les oligarchies perverses ne voulaient s'offrir qu'à elles-mêmes, surtout que l'histoire a prouvé que c'est souvent selon le niveau de science révélé divinement à certains qu'elle a évolué) ! »
Ainsi plutôt que de suivre cette sagesse très nécessaire d'annulation des dettes pour protéger la société, cette pratique de la spéculation et de l'usure est arrivée dans un cercle vicieux infernal à un niveau tellement grave, qu'elle parvient désormais à appauvrir un pays, pour ensuite investir dans la guerre causée par cet appauvrissement, et enfin encore plus s'enrichir indéfiniment en participant perpétuellement à sa reconstruction, pour à nouveau l'appauvrir, et recauser une guerre, quand ce n'est pas pour préserver le chaos afin de voler ses matières premières. Par conséquent, seuls les peuples honnêtes réveillés peuvent lutter contre cette injustice mondiale se généralisant, dont en récupérant, possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie étatiques décentralisées, le pouvoir face à ce corrompu système politique, financier et monétaire international. Ce qui prouve le nécessaire rôle prophétique populaire face à ce système totalement perverti amenant à l'hégémonie nocive mondialement de l'empire américano-sioniste.
-pouvoir économique mondial de plus en plus pris par les grands fonds d'investissement, les grosses banques et les multinationales aux mains d'oligarques tous actionnaires les uns des autres, puisque influençant fortement l'orientation financière et donc politique de la planète. La finance internationaliste a souvent profité des crises économiques, des ventes d'armes lors de guerre, et des biens qu'elles rachètent à bas prix à leurs fins, encore une image du mondialisme privé des pervers ultra-riches. Voir à ce sujet la vidéo « Eustace Mullins en 2000 : Les banques centrales sont un danger pour la santé » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Eustace-Mullins-en-2000-Les-banques-centrales-sont-un-danger-pour-la-sante-67680.html
-grandes entreprises dominatrices de la plupart des secteurs économiques appartenant souvent donc aux mêmes actionnaires et nuisant gravement à la pluralité des origines sociales humaines ou à l'évolution de beaucoup d'être humain et donc à de possibles excellents projets nouveaux, puisque supprimant les PME (artisanat) au profit de l'industrie et ainsi de la centralisation économique, et donc monopolisant, et donc détruisant à l'importante concurrence des travailleurs compétents qui ont été empêchés de réussir dans leur première entreprise.
-divers faux philanthopes milliardaires (tels Georges Soros et Bill Gates) investissant mensongèrement dans le tiers monde et manipulant les nations au profit des très riches, des mondialistes, des sionistes, du Lgbtisme ou de divers projets politiques ou idéologiques déshonorables. En effet tel des loups déguisés en agneau, ils utilisent entre autres les droits de l'Homme, l'Humanitaire ou l'Ecologie pour faire avancer un agenda de contrôle des ressources et des peuples, dont évidemment par la corruption de membres des fonctions publique et politique. D'ailleurs tel son nom l'indique, l'Open Society Fondation de Soros (réseau de fondations créé en 1979 prétendant promouvoir la gouvernance démocratique, les droits de l'homme, et des réformes économiques, sociales et légales, alors que participant en réalité à la centralisation économique oligarchique par le rabaissement moral lié au wokisme) ne se cache pas de distribuer des milliards pour faire triompher ses idées perverses : financement de mouvements ou associations pour l'avortement, pour l'euthanasie ou pour le Lgbt. Aucunes nouvelles lois impies n'arrivent par hasard. Surtout car la corruption fonctionne encore mieux quand avant d'être financière et personnelle, elle est intellectuelle et morale à travers le wokisme aveuglant spirituellement le peuple, et se propage dans les responsables et les organes principaux de la société. D'ailleurs l'Open Society de George Soros se distingue par le fait que douze de ses collaborateurs sont devenus juges à la cour européenne des droits de l'Homme située à Strasbourg, et par le fait qu’elle finance six autres ONG souvent mises en cause dans des affaires de corruption. La présence massive de juges issus d’un même réseau d’ONG témoigne de l’emprise de grandes fondations privées sur le système européen de protection des droits de l’homme, ce qui met donc en cause son impartialité. En effet la CDEH est possiblement corrompue, puisque elle-même a admis ses liens avec l’Open Society de Soros. Surtout que l’idéologie des droits de l’homme n’est que la face visible de l’opération de destruction mondialiste des nations. C'est à dire que fréquemment, des ONG, fondations et organisations caritatives sont engagées dans une ingénierie sociale, puisqu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. Quand ce type de projet réussit, cela équivaut à un contournement extrême de la démocratie, car cela provient souvent de l'utilisation de leur argent pour orienter des idéologies, manipuler des groupes, voire gagner des élections, en amplifiant certaines voix et en taisant les autres. Surtout quand cela sert donc les perverses élites mondialistes concentrant toutes les richesses. D'ailleurs l'organisation Black Lives Mater financée aussi par Georges Soros est un mouvement de riches blancs de gauche qui s'attaquent à d'autres blancs plus pauvres qui n'ont rien à se reprocher à part d'être souverainistes puisque en plus ils sont généralement non racistes. Ainsi ces riches blancs de gauche augmentent leur domination financière et politique en se servant des noirs comme armes, ce qui rend ce mouvement comparable au final à du suprémacisme blanc.
Dans ce sens pour changer certains régimes désobéissants, le dominateur système américano-sioniste cherche de moins en moins l'intimidation militaire ou l'assassinat de responsables politique, mais plus la révolution colorée, surtout que cela modèle une grande partie du peuple.
Or il faut savoir parfois attendre patiemment et pacifiquement, car ces pervers ingénieurs sociaux vont ensuite souvent trop loin par fatuité, c'est à dire jusqu'à perdre la partie.
-grandes sociétés privées qui s'enrichissent en asphyxiant l’économie française, en pervertissant le rôle de l'Etat et en dérégulant le marché libre et équitable, par le biais de la finance internationaliste, d'associations à but non lucratif, de politiciens corrompus et des syndicats laxistes pouvant être condamnés pour haute trahison dont donc pour le profit de l'oligarchie mondialiste au détriment de leur peuples et de leur nation. En effet ceci est par exemple prouvé par le fait que la sécurité sociale est un pool d’assureurs privés qui mutualisent un risque et possèdent donc la totalité du marché de la santé, alors que la juste politique européenne de la concurrence interdit aux entreprises de s’entendre pour fixer des prix ou se partager les marchés, d’abuser d’une position dominante sur un marché, d'exclure des concurrents potentiels, ou de fusionner si cette opération permet de contrôler le marché tel un monopole.
-Faux experts économiques qui disent toujours sur les plateaux TV que tout ira mieux avec le temps alors qu'ils naviguent à vue, ou sont incompétents voire corrompus. Ils suivent l'idéologie des théories économiques dites classiques, alors qu'elles sont responsables du chômage de masse en favorisant les ultra-riches : voir à ce sujet  l'excellente vidéo « [Présidentielle 2022] – Faut-il punir les chômeurs pour le chômage ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uNXAlL26mus&list=WL&index=4
-capitalisation et donc vente au privé des retraites, et annulation de leur équité pour une confusion injuste d'égalité devenant inégalité, puisque les régimes spéciaux pour la retraite sont en rapport avec la difficulté ou l'espérance de vie des divers métiers. Cette recherche de l'égalité absolue aveugle est utilisée à travers le progressisme servant l'oppression du mondialisme, alors qu'elle est donc absurde par rapport à l'équité et va même jusqu'à créer diverses inégalités comme lorsque des transsexuels hommes devenues femmes participent aux épreuves ou compétitions sportives féminines en les gagnant toutes. La droite politique authentique, c’est l’égalité des chances. La gauche politique actuelle, c’est l’égalité du résultat, ce qui n’existe pas dans le monde réel. Or nous sommes dans un fou monde occidental qui promeut l'égalité injustement au détriment de l'équité, alors que c'est seulement l'équité (c'est à dire la justice réfléchie, morale et donc authentique synonyme de meilleure noblesse puisque non mathématique) qui réalise le bien commun, réconforte les âmes, guérit les blessures psychologiques, assure la stabilité interne de chacun, et nous pousse donc tous à rationaliser le dialogue et l’action collective dans la bienveillance pour surmonter toute crise dangereuse :
(ExtS16v90) « Certes, Allah commande l'équité, »
« La société laïciste est devenue suprêmement impie par sa déchéance, dont car le stupide progressisme ultra égalitaire en tout partout, se prétendant de raison et humaniste, se croit à son apogée. Ce qui prouve qu'il s'agit bien que  nous vivons une époque de chaos voire d'apocalypse (révélation), puisque dans une contradiction maximale. Or inévitablement par plus ou moins de violence, notre époque s'orientera soit vers une société numérique progressiste déshumanisée dont suite à l'abrutissement des dernières décennies et donc à la soumission des peuples, soit vers une société retournant à l'équité pieuse authentique suite à une exaspération populaire massive.
Ainsi actuellement, deux chemins d’égalité sont en concurrence et en lutte. Il s'agit du combat suprême au sein d’une même modernité : celui du dieu mathématique, maçonnique et kabbaliste et celui de la fraternité réelle du Dieu d’amour. Dit autrement encore : le règne menteur de l’égalité formelle, face au règne moral de la fraternité réelle (à travers l'équité) ; le pouvoir des nombres ou l’amour. ... Par conséquent la modernité égalitaire perverse a en plus durablement chassé du monde le principe aristocratique, alors que le réel impose partout une évidence hiérarchique, que ce soit dans le monde animal, celui de la culture ou de l’entreprise... Dans notre monde, cette contradiction entre aspiration à l’égalité, synonyme de justice, et impératif hiérarchique, a été humainement résolue par la proposition du Christ, sa « loi naturelle » au sein de laquelle la nécessité hiérarchique est tempérée, moralisée par le souci de l’autre, et basée sur la compassion, comme le sous-entend sa parole : « aimer vous les uns les autres ». Ce chemin d’égalité, qui est tout autre que l’égalité formelle (illégitime) issue de révolution et de la raison mathématique et qui conduit au pouvoir technocratique, puise son origine dans la double composante de l’intelligence humaine, affective et cognitive. Ainsi c’est logiquement de l’effacement de cette dimension de l’intelligence et du message du Christ que provient notre descente vers ce monde froidement mathématique et technocratique qui semble de plus en plus dominé par le diable. ... Pourtant la France originelle avait inventé un processus égalitaire légitime (car synonyme d'équité) basé sur sa double culture grecque et chrétienne, la logique d’Aristote et la charité du Christ qui fondent l’humanisme français, nos valeurs helléno-chrétiennes … « L’inégalité au nom de l’égalité ! » est un coup de génie qui embrasse toute l’époque, car telle la suprême arnaque sortie de la tête même du diable. (En effet c'est finalement d'abord l'inégalité économique qui apparaît au profit des privilèges de la super classe. Et cette inversion des valeurs dont donc de l'égalité va jusqu'à empirer vers toujours plus de folie et donc d'impiété, en particulier à travers la transsexualité, le transhumanisme, le mariage pour tous.) Nous avons donc en tant que français helléno-chrétiens authentiques, dans ce combat à mener contre la bête, la froide bête mathématique et technocratique judéo-anglo-saxonne du tout puissant Marché, un rôle fondamental d’opposant historique à jouer. Surtout que la France étant aussi la fille aînée de l’Église, le mère des révolutions et la patrie du cœur et des idées, elle peut donc être en première ligne une fois encore pour y jouer son rôle et y tenir son rang ! … En effet même si pour ce rôle, la France est logiquement au cœur de l'enjeu de la domination satanique du monde, elle détient aussi une grande énergie par ses intellectuels dissidents de diverses origines et donc une des meilleurs opportunités par son histoire pour trouver le chemin du triomphe ultime de la vérité et des peuples. » (Alain Soral)
Voir à ce sujet la vidéo « Comprendre l'époque – Entretien avec Alain Soral » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Comprendre-l-Epoque-visionnez-la-version-integrale-et-illustree-de-l-entretien-d-Alain-Soral-avec-66049.html
La mathématisation du monde devenue amorale en particulier au niveau économique et financier sert donc désormais seulement la domination des pervers mondialistes ultra riches.
L’égalitarisme actuel devenu un totalitarisme égalitariste impie correspond en plus au culte impie de l’indifférencié au niveau naturel, familial, ethnique et national (arasement de toute les différences même sexuelles à travers la possible transsexualité), car ces deux premiers niveaux sont évidemment anti-monothéisme authentique et les deux derniers appartiennent au monothéisme authentique seulement en cas d'union pieuse au sein d'un califat ou d'un empire chrétien. Surtout que pour gérer au mieux l'équité qui est la véritable égalité, le monothéisme authentique est logiquement et donc dignement hiérarchique dans l'indépendance, afin que le responsable politique  soit le plus libre de jugement pour rechercher la meilleure noblesse dont donc dans des intérêts divergents de certains et en fonction du contexte. De plus le véritable égalitarisme serait normalement de donner les mêmes chances de réussir dont en vivant dès la naissance dans un bon domicile, un bon environnement et avec des moyens compensant les handicaps au moins physiques, ce qui est loin d'être le cas dans le pseudo système égalitariste occidental actuel, et ce qui prouve que l'égalitarisme parfait est impossible, et que l'équité est bien le meilleur chemin. Surtout que dans une conclusion contraire à sa prétention originelle, tout ce projet de l'égalitarisme a fini par faire de la démocratie un système contrôlé par la minorité oligarchique dominatrice, amorale et donc inégalitaire, puisque n'hésitant pas pour son profit à restreindre voire effacer la religion, la liberté et même le peuple comme le prouvent les manipulations du covid, de l'inflation, de la crise énergétique et de la guerre en Ukraine. A ce sujet écouter la fin de la vidéo de Youssef Hindi « Comprendre l'époque" d'Alain Soral - Commentaire » à partir de la minuté 48 et 6 seconde à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=mB6tr6S6nuc
Ce pseudo égalitarisme favorisant en réalité les ultra riches est devenue la seule idée politico-médiatique autour duquel tournent le monde occidental et une grande partie de ses peuples. C'est donc un système de domination inégalitaire qui avance sous le masque de l'égalité. Ce qui n'est pas étonnant car le tyrannique égalitarisme à outrance est porté par l’unipolaire pervers américano-sioniste totalitaire par essence. Ainsi la vraie liberté ne peut être liée qu'à un monde multipolaire dont car permettant le choix de l'exil, ce qui est une des possibles raisons pour laquelle le califat ne fut pas mondial.
Le modernisme égalitariste occidental actuel ne prenant pas en compte le contexte, il peut même devenir un danger massivement mortel, comme si nous donnions les mêmes outils à un étudiant en médecine et à un professeur de médecine en diminuant les nombres de personnes soignées plutôt que de donner plus d'outils à ce professeur de médecine afin que plus de personnes soient soignées.
Comme souvent afin d'égarer les êtres humains dont à travers cet égalitarisme impie, le Diable peut utiliser un chemin de lumière pour pousser les hommes à se servir à outrance de certaines bonnes valeurs. Ce mal illicite est comparable dans le cadre légal religieux à l'excès d'un besoin comme quand quelqu'un mange trop de nourriture licite.
De plus la hiérarchie et la qualité (nature divine des choses) s'oublient progressivement car notre époque ultra libérale amène désormais souvent principalement à voir et donc privilégier la quantité plutôt que la qualité, par exemple à travers la mesure de la température faisant oublier la qualité (nature) de la glace et celle du feu établies par Dieu, et à travers la basse et gloutonne économie moderne n'hésitant pas à s'enrichir avec la quantité au détriment de la qualité comme le prouvent les restaurants MC Donalds.
Ainsi plutôt que de tendre vers l'égalitarisme formel et donc fou et donc impie du progressisme wokiste, il faut bien revenir véridiquement et noblement à l'égalitarisme réel et généreux de l'équité du monothéisme authentique, dont par une nécessaire et ainsi respectable hiérarchie noblement indépendante. En effet cette dernière tendra à la meilleure équité dans la plupart des domaines par sa logique défense des valeurs supérieures tels la vision collective, le bien commun, les particularités de toute entité, le respect pour autrui et le partage.
-pour éviter la concurrence du peuple avec le grand capital, honteuse clause d'honorabilité distribuée à discrétion par les milieux autorisés, nécessaire pour créer une assurance ou une banque.
-subsistance de base divinement gratuite généralement désormais souvent privatisée et payante comme certains terrains pour y construire une demeure, l'eau, des aliments transgéniques brevetés et même l'oxygène (à travers la taxe carbone et le masque sanitaire) et le système immunitaire naturel (avec les vaccins ARn). Il faut tout de même noter qu'il est logique de faire payer certains éléments comme l'eau et l'énergie, car cela permet d'éviter leur utilisation abusive. Mais pour les pauvres un juste milieu ou une aide financière pour leur consommation raisonnable doivent être offerts.
-obligation désormais de passer par un médiateur payant avant d’aller au tribunal prétendument ou volontairement surchargé. Or le médiateur devant être payé par le plaignant coûte dans les 3 000 euros, et c’est lui qui décide si l’affaire mérite d’être présentée au tribunal. Ceci prouvant que même la justice étatique a été accaparée par les riches.
-divers sujets ou actes choquant évoqués médiatiquement par avance dans une forme de communication subliminale pour préparer le peuple à accepter plus facilement des mesures gouvernementales liberticides.
-suspension (levée) et non abolition (suppression) des mesures liberticides sanitaires, contexte non dénoncé par les médias, la justice et les comités sanitaires, ce qui prouvent le naufrage de ces institutions. Les grands médias sont même devenus honteusement des lanceurs d'injonctions formatant et infantilisant le peuple pour cacher la tyrannie oligarchique du système. Or avec le nouveau narratif du système concernant la guerre entre la Russie et l'Ukraine, la levée est passée à suppression probablement temporaire.
-Covid et Russie désignés comme bouc émissaire pour amplifier la crise économique mondiale servant les intérêts du grand reset mondialiste voulu par les membres oligarchiques du forum économique mondial de Davos.
-existence de 280 taxes et impôts divers en France au lieu de la seule zakat (impôt unique de l'islam) dont la valeur est 2.5 % prélevé sur tout montant d'argent et toute quantité de denrées non périssables supérieurs à 3 000 euros thésaurisés pendant un an, pour que cela soit donné à l'Etat et son fonctionnement dont pour construire les routes principales, entretenir l'armée et soutenir les faibles (orphelins, veuves, handicapés, pauvres). Surtout que les multinationales sont beaucoup moins touchés par ces taxes et impôts français que les PME et les citoyens.
-industrialisation de l'agriculture et contrôle voire achat progressif par le groupe international Mosanto de toutes les terres cultivables du monde amenant un dangereux monopole dans le secteur agricole et appauvrissant donc toujours plus les agriculteurs indépendants qui devraient s'unir pour rivaliser. Surtout que ce groupe cupide et dominateur dépose d'abjects brevets de créations alimentaires, puisque il est honteux de breveter le vivant par la modification génétique de divers fruits ou légumes, dont afin que les agriculteurs locaux voulant continuer de travailler après la perte de leurs terres au profit de Mosanto doivent toujours plus acheter leurs semences ne renouvellant pas et leur insecticide les appauvrissant toujours plus car le besoin d'insecticide augmente chaque année suite à l'étrange adaptation des insectes.
Ce système de vente de semences stériles OGM devant être protégées par toujours plus de produits chimiques devient donc souvent encore plus perversement du monopole. Surtout qu'inévitablement, cela est fréquemment validé par des gouvernements de pays pauvres se maintenant donc dans le sous-développement et la dépendance alimentaire.
Mais l'organisation « Semences sans frontière » et l'entreprise Kokopelli luttent honorablement contre cela en soutenant des projets de culture vivrières par des semences reproductibles commercialisés voire offertes et des conseils donnés dont sur la réalité de l'agriculture, la gestion d'une culture et le meilleur rendement en nutriment.
Voir la vidéo « Documentaire : Kokopelli, un monde en semence » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uqGLFxrydEU&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1
Des multinationales très perverses veulent donc même centraliser pour leur profit oppressif la production décentralisée et gratuite de la nature comme le prouve le raisin OGM sans pépin de Mosanto, c'est à dire en stérilisant la nature et l'occident pour créer des marchés contrôlables par un monopole. Le capital permettant les monopoles dans des États autoritaires, ou pauvres ou prétendument libre et démocratique s'oppose ainsi en réalité au libéralisme bien compris, c'est à dire à celui décentralisé. De plus dans de nombreux cas,comme lorsque les brevets génétiques de Mosanto donnent des plantes plus fortes, cela correspond en réalité au bout de trois ans à une grande perte de revenus pour les agriculteurs, puisqu'il y a un besoin en eau grandement supérieur pour les irriguer, et donc un non renouvellement des graines qu'il faut par conséquent leur racheter et une utilisation de glyphosate dans leurs herbicides toujours plus nécessaires détruisant toutes autres plantes comestibles. En Inde les conséquences néfastes de cette agriculture ont été vastes.
-injuste vente à la découpe des fleurons de l’industrie aux multinationales apatrides. Or si un pays ne possède ni les matières premières de base, ni les usines, ni le marché, c’est-à-dire ni la production, ni la transformation, ni les clients, une industrie finit logiquement par se délocaliser en se rapprochant vers un ou plusieurs de ces éléments, sauf qu'avec le mondialisme, c'est plutôt souvent cupidement organisé dans des pays pauvres pour gagner plus d'argent sur l'heure travaillée.
Voir à ce sujet l'excellente intervention concernant la perte de souveraineté énergétique de la France alors qu'elle était leader de la production d'électricité en Europe : « Souveraineté énergétique de la France : "Il faut se réveiller", enjoint Arnaud Montebourg » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=Ca3FdfOM5-8
-productions, transformations et même standards de téléconseillers organisés donc dans des pays pauvres prenant en plus le travail des nationaux.
-algorithme(rythme) envoyant des notifications fréquentes sur les smartphones pour voler l'attention des gens dont pour la publicité, en les perturbant ainsi tout en les rendant addicts.
-lien entre Haute Finance mondialisée, industrie militaire, atlantisme (appartenance à l’OTAN sous commandement des USA) dominant de nombreux pays. Cela correspond à la profonde modification des sociétés occidentales où, désormais, les richesses ne sont plus réparties, mais échoient à un groupuscule de multimilliardaires transnationaux. Cette évolution, si elle persiste, marquera la fin de la démocratie parlementaire. Dans ce nouveau système politique, les « techniciens » ont plus de pouvoir que les « politiques », comme le démontre avant tout le curriculum de Mario Draghi l'ancien premier ministre de l'Italie qui auparavant est passé de directeur exécutif de la Banque mondiale à Washington, à directeur du ministère du Trésor à Rome où il a été l’artisan des privatisations des plus grandes entreprises publiques italiennes, à vice-président de l’étasunienne Goldman Sachs (une des plus grandes banques d’affaire du monde), à gouverneur de la Banca d’Italia et à président de la Banque centrale européenne (BCE). L'italien Draghi qui résume donc clairement le basculement du monde occidental dans la tyrannie est en plus un des protagonistes du Groupe des Trente, qui est une puissante organisation internationale de financiers créée en 1978 par la fondation Rockefeller avec siège à Washington.
-Invocation des libertés (dont de sécurité) pour y mettre fin par exemple à travers le gel des comptes en banques de manifestants comme au Canada, preuve d'une continuité pire de la tyrannie bancaire suite à la crise des subprimes de 2008.
-important montant d'argent des nations donné à des organisations supranationales privées mondialistes d'ultra riches comme le GAVI (« l’alliance du vaccin) dont l’origine et le contrôle sont en réalité liés à la Fondation Sanitaire Bill-et-Melinda-Gates), et qui n’a pourtant donc aucune légitimité populaire ni même démocratique. Ainsi on assiste à la mise en place d’un gigantesque système de corruption, comme toujours sous le prétexte de l’urgence dont donc médicale.
-cabinets de conseil privés comme celui appelé Mc Kinsey lié au gigantesque fond de pensions BlackRock et donc à la finance internationaliste dans une forme de lobby (dont les membres passent du privé à la politique publique et inversement) gérant les nations occidentales par des conseils à leurs gouvernements, ce qui pourrait être une image voire la réalité d'un gouvernement mondial de l'occident, surtout suite la suppression du corps diplomatique français dont la fonction pourrait en plus aussi être confiée à Mc Kinsey. Surtout que ce cabinet à base anglo-saxonne est lié au système du pacte de corruption. Que fait un cabinet de conseil privé dans le Conseils de défense (dont lors de la crise sanitaire) d’une République une et indivisible ? La réponse gouvernementale est simple : expertise. D'autant plus que la pieuvre McKinsey est reliée aux plus grandes multinationales de la planète, du Big Pharma au Big Tech, qui ont toutes engrangé de gigantesques profits éhontés sur la politique sanitaire internationale lors du Covid. En effet alors que cette politique sanitaire internationale fut un désastre pour les peuples, elle fut très juteuse pour elles. Le conflit d’intérêt, doublé du délit d’initiés, est incontestable : la branche « Conseil » de McKinsey a dicté une politique unique dans près de 65 pays occidentaux visant à enrichir l'autre branche « Fonds d’investissement », et tout ceci en vidant les comptes publics et en anéantissant beaucoup de PME de plusieurs pays, comme ils continuent avec l'inflation, la crise énergétique et la guerre en Ukraine. Les sociétés de conseils, et en particulier McKinsey, sont au centre du monde de l’industrie et de la finance américains. Tous leurs fameux conseils ont les mêmes finalités dont d’enrichir ces entreprises américaines grâce aux impôts des Français, de maintenir au pouvoir l'oppression oligarchique ou/et de privilégier certaines minorités ou idéologies. D'ailleurs, ce que l’on appelle maintenant « l’affaire McKinsey » dégage des fumets particulièrement malodorants, à base de soupçons de corruption, de connivences, de conflits d’intérêts, de fraudes fiscales, de faux témoignages, et autres joyeusetés qui donnent avec insistance de la France l’image d’une république bananière. Or on en ressort encore plus stupéfait avec la lecture du rapport de la commission d’enquête du Sénat, puisque ayant révélé le volume invraisemblable des achats étatiques de ces missions externes, leurs fréquentes inutilités sournoises, et le montant vertigineux de leurs rémunérations. Dans une démocratie normale, une commission sénatoriale ou parlementaire aurait convoqué le président en exercice pour lui demander des comptes sur cette stupéfiante pénétration privée et mondialiste au cœur de l’État, et l’aurait démis de ses fonctions, le temps de l’innocenter ou de l’accuser. Le cabinet international McKinsey et Company de conseil en stratégie dont le siège est situé à New York City est même le pivot central qui a permis la globalisation des multinationales qui comptent, l’agencification et la corporatisation des administrations publiques. Et là où se trouve McKinsey se trouvent les banquiers d’affaires de la City et de Wall Street. McKinsey est donc l’entreprise-clef qui a permis d’abord l’atomisation des entités publiques et entreprises privées nationales, puis l’intégration de leurs processus d’activités au niveau mondial. Grâce à cette restructuration puissante, systématique et planétaire, les PIB nationaux ont été vidés, les substances des entreprises riches nationales ont été vampirisées, et les gouvernements n’ont plus de pouvoir sur les structures étatiques devenues indépendantes. De plus, ce cabinet a travaillé pour stimuler les ventes de l’analgésique OxyContin ayant tué 450 000 personnes, a participé à la descente aux enfers de la banque volante que fut Swissair, correspond probablement à l'origine du pass sanitaire, et est main dans la main avec Pfizer. Ce qui prouve donc il y a bien un axe Pfizer-Kinsey-Macron ou Pfizer-Kinsey-France, mais sans l’accord des Français. Tout ceci se passe au-dessus de nos têtes, et ce n'est pas avoir l’esprit mal tourné ni être complotiste que d'aller chercher ces graves infos qui révèlent clairement l’hydre mondialiste. Or il ne s’agit que de l’une des têtes de cette hydre perverse. Car nous avons aussi le Big Bank (avec ses grandes institutions financières tels les grosses banques centrales et privées et les grands fonds de pension types Vanguard et BlackRock), le Big Pharma (Pfizer, Moderna et compagnie, devenus célèbres depuis le plan covidiste), le Big Tech (dit aussi GAFAM), et bien sûr le Big Business (incarné par le CAC40 en France). Mais il ne faut pas oublier les plus grosses entreprises, ni l’industrie du numérique, de la santé, de l'argent, ni les services de renseignement, de police et de défense, qui protègent tout cela, plutôt que les peuples. C’est à peu près ça, aujourd’hui, l’oligarchie. Un ensemble de puissances dont les intérêts se croisent forcément. Partout se tissent des liens forts entre ces géants, qui se partagent le gâteau du monde. On dirait presque un Yalta économique (partage du monde) entre Big Tech, Big Bank, Big Business (et encore, ces trois là peuvent se caser simplement dans Big Bank, vu les liens importants entre grosses banques, grands gestionnaires d'actifs, multinationales et gouvernements occidentaux corrompus), Big Brother (dans lequel on case le renseignement, la police, la répression gouvernementale) et le Big Pharma (qui est le dernier arrivé dans ce carré de tête est bien ayant servi de déclencheur au basculement dans le monde d’Après suite à son plan pandémique). Ainsi il faut être sûr que toutes ces têtes de l’hydre sont prêtes à nous manger tout crus. Les scandales derrière Kinsey (Enron, opiacés), Google (censure, CIA), Pfizer (effets secondaires, corruption) le prouvent nettement, mais sont honteusement effacés par le Big Média, qui n’entre même pas en tant que tête dans l’hydre puisque ce sont seulement des larbins nécessaires au fonctionnement de la domination planétaire de cette hydre mondialiste. Or si l’on veut 7 têtes à cette hydre pour des raisons symboliques, on rajoutera ce Big Média (médias mainstream, Hollywood, Netflix, etc) qui est un haut-parleur unique; disant la même chose du matin au soir,  d'une chaîne TV à un autre, d’un pays à l’autre, afin d'enfoncer la propagande wokisto-mondialiste dans la tête de l'humanité. Lire à ce sujet le bon article « Santé, finances… c’est McKinsey qui gouverne » à l'adresse https://lemediaen442.fr/sante-finances-cest-mckinsey-qui-gouverne/
-aides financières gouvernementales sous conditions administratives complexes cassant en réalité ceux qui produisent, notamment des indépendants, car ils sont tenus par ces « aides ». On les rend dépendants, soumis. Même chose en Afrique quand les agricultures locales ont été tuées par le riz subventionné américain, on retrouve toujours les mêmes principes du mauvais capitalisme partout. On parle du mauvais capitalisme parce qu’il y a un bon capitalisme, celui qui est cadré par un État fort, pas à travers le système actuel où le tissu productif est détruit par un État faible à la solde de ses véritables ennemis, la véritable 5e colonne, les néolibéraux américains, qu'on peut même associé aux néoconservateurs américains, dans ce type de cas.
-selon l'avocat François Taquet dans son livre "URSSAF : un cancer français", tous les ans dans les PME, 90% des contrôles opérés par les agents des URSSAF donnant lieu à un redressement. Et cela en vertu de lois de plus en plus incompréhensibles, de méthodes malhonnêtes et d'un pouvoir absolu : celui de sanctionner sans même passer devant le juge tout en favorisant les grandes entreprises. Résultat, les Unions de recouvrement de la Sécurité sociale et des allocations familiales captent chaque année plus de 500 milliards d'euros, soit six fois les recettes de l'impôt sur le revenu. Pour François Taquet, les URSSAF se sont donc développées tel un cancer, puisque échappant progressivement à tout contrôle...
-renversement de pouvoir du politique vers le médiatique suite à l’animateur Cyril Hanouna ayant insulté le jeune député LFI Louis Boyard de « merde ». Un député de la République pèse moins qu’un animateur télé, quel que soit le résultat du procès en diffamation intenté par la « victime ». On parle ici bien sûr du pouvoir politique visible, pas du pouvoir profond qui, lui, est inaltérable, puisqu’il n’est pas élu et se transmet par cooptation, communautaire et/ou réseautaire.
-diversification grandement exagérée des institutions dont médicales ainsi que de leurs niveaux hiérarchiques faisant passer la démocratie à une bureaucratie type soviétique et utilisant l'argent publique pour payer le très nombreux personnel étant donc souvent de trop et ayant sournoisement souvent des liens.
-décisions politiques sanitaires basées donc sur d'obscurs comités d'experts tout de même connus pour leurs liens avec l'industrie pharmaceutique. Alors qu'au cours du « Global COVID Summit », 17 000 médecins et scientifiques médicaux ont bravé l'interdit de s'exprimer malgré les risques pour leur carrière. Ils dénoncent la mainmise oppressive des lobbies pharmaceutiques au détriment de la santé des patients. Surtout que l'oppressif système cherche prétendument la pureté sanitaire et donc biologique tel à travers le prêt de 750 milliards de la BCE synonyme d'esclavage suite au pseudo risque zéro, alors que c'est impossible car de nombreuses bactéries et microbes sont utiles à notre corps, et que le monothéisme recherche d’abord la pureté spirituelle dont de la solidarité et de l’interdiction de l'usure. Et le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et de l’industrie pharmaceutique.
A cette adresse https://www.youtube.com/watch?v=gGXkrhmDyl4 , il est expliqué que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés » est fausse : 1. On fait une étude fantaisiste ou truquée. 2. Les politiques s’en servent (dont en rejetant l’hydroxychloroquine). 3. On avoue l’arnaque. 4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (dont en préférant le peu efficace doliprane à l’efficace hydroxychloroquine pour ensuite participer aux bénéfices de la vente des vaccins ARN).
Par les vaccins, tests, masques et pass vaccinal, la médecine ou plutôt Big Pharma a même perversement accélérer la ruine de l'occident au profit de la perverse oligarchie mondialiste, comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV, d'autant plus que de nombreux gens aiment se plaindre de maladie pour recevoir de l'attention.
Surtout qu'il est apparu que la crise sanitaire due au coronavirus n'était pas majeure, et que cela concernait plutôt une gigantesque opération de mystification au détriment des peuples, orchestrée par la propagande médiatique, l'OMS mondialiste et donc les labos de Big Pharma, afin de faire pression sur les gouvernements à coups de statistiques faussées pour masquer l’énorme crise systémique financière qui couve depuis au moins deux décennies et clairement depuis 2008 à cause de l'idéologie globaliste ploutocratique.
Jean-Dominique Michel : « Un ensemble de soignants, pédopsychiatres, infirmières, virologues interviewés dans une vidéo belge disent quelque chose de très juste : on a tout réduit à la biologie. Les relations, les affects, les liens avec les autres, le sens que l’on donne à sa vie, et le système économique, tout cela est hyper déterminant pour la santé, au moins autant que la biologie. Mais on s’est concentrés uniquement sur la biologie : on a complètement effacé le reste et on n’a pas pensé aux impacts du reste en créant des réalités qui ne peuvent être qu’hyper traumatiques. C’est une des critiques du confinement et des masques. On n’a pas du tout pensé aux impacts de déshumanisation que cela allait avoir à tellement d’endroits. Surtout que dans un laboratoire P4 comme Wuhan, le port de combinaison intégrale et des sas de décontamination sont utilisés pour lutter contre un virus comme le Covid, alors à quoi sert un petit masque ? De plus comme un masque arrête les bactéries présentes dans les muqueuses humides et chaudes de la bouche, cela forme une petite étuve personnelle dans lequel les germes peuvent proliférer. (Si « Dieu, qui est omniscient », avait voulu nous protéger par là, il nous aurait pourvu de paupières de bouche et de nez... Or il n’en a rien fait. Demandons-nous pourquoi ? C'est pour l'immunité collective, rappelant bien l'importance du bon lien social.) Par conséquent il aurait fallu réunir des compétences beaucoup plus larges. Mais dans une forme d'hystérie hygiéniste amenant de la psychose dans tout et de la perte de liberté, les autorités étaient tellement dans leur panique sanitaire qu’elles s’en sont totalement remises aux médecins. Or, ce n’est pas juste aux médecins de dire comment il faut organiser une réponse sociétale à une épidémie, ou en tout cas pas sans le concours de nombreux autres ordres de compétences et de savoir. Il y a une forme de dérive totalitaire qui est en train de se mettre en œuvre, y compris dans notre pays. Que le Conseil fédéral ait cherché à obtenir du Parlement la possibilité de garder des pleins pouvoirs jusqu’en 2022, y compris en oppressant par la vaccination, constitue une transgression majeure de notre système de droit comme de notre système politique. Remarquer cela, c’est de l’éthique au sens le plus intense du terme, ça concerne même l’Habeas corpus. C’est revenir à l’époque où le Seigneur avait le droit de disposer des corps des gens. On est dans ce genre de dérive aujourd’hui, avec la pointe redoutable que, puisque c’est pour la santé, refuser revient à risquer de mettre en danger la vie des autres. On est en train de dériver vers un totalitarisme qui ne dit pas son nom, dont avec le vaccin à ARN. En effet il s'agit d'un type nouveau que l’on n’a encore jamais expérimenté sur l’être humain, avec de possibles signatures nanoparticulaires provenant de matière aimantée (superparamagnétiques) permettant à une autorité extérieure de savoir si on l’a reçu ou pas, et avec un passeport vaccinal qui permettait d’être autorisé à se déplacer ou non. D'ailleurs comment se fait-il qu’un type comme Bill Gates, qui est informaticien, se retrouve au centre de tout l’échiquier comme celui qui finance le plus les institutions de santé dans les pays et à travers le monde ? Il y a quelque chose d’anormal qu’il se retrouve dans cette position, à dicter le jeu, à avoir ses entrées à l’Élysée comme au Palais fédéral ou à la Maison-Blanche, à être le principal financeur de l’OMS, à subventionner des médias ou encore une agence d’état comme Swissmedic. La situation que nous vivons avec le coronavirus est en fait apocalyptique, dans le sens littéral (et non pas mystique) de « dévoilement » : quand les choses sont dévoilées dans leur réalité. Là on est dans une espèce de dévoilement à large échelle concernant la manière dont la gouvernance des pays a vrillé en privilégiant les intérêts privés qui tendent à l’emporter sur le bien commun, avec à l’arrière-plan du fait des groupes qui ont le vrai pouvoir comme les GAFAM, une forme de délire transhumaniste qui est en train de prendre presque irrésistiblement le pouvoir sur les systèmes sociétaux. Un professeur de neuro-marketing (branche qui étudie comment les messages publicitaires impactent le cerveau à notre su ou à notre insu) n’en revenait pas de l’impact de trois mois de matraquage sur l’amygdale, ce centre neurobiologique de la vigilance au cœur du cerveau émotionnel. De jour en jour, le traitement médiatique a créé une sur-stimulation de l’amygdale, ce qui a eu pour conséquence de faire disjoncter les connexions avec le cortex, obérant la capacité de penser. Je le vois dans l’hystérisation de beaucoup de positions, avec une forme de polarisation extrême et la perte de capacité à réfléchir et à avoir envie de discuter constructivement et calmement des choses, synonyme donc une perte de compétence dialogique et réflexive. »
Le Dr Rachel Bocher chef de service en psychiatrie au CHU de Nantes précise qu'il n’y a pas de santé sans santé mentale : « La santé mentale est l’oubliée de la crise du Covid. Il y a les patients qui vont moins bien à cause de la crise, mais l’isolement social, la peur de la maladie, de la mort, du chômage, de la solitude, ont aussi des conséquences sur des populations en détresse psychologique aggravée. Et ce n’est honteusement pas pris en compte, alors que les maladies sont souvent d'origine psychosomatique. Ce qu’on demande aux pouvoirs publics, c’est d’agir vite et d’agir ensemble. »
Selon Alexandra Henrion-Caude (généticienne de renommée mondiale, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Hôpital Necker) :
« Avec le Covid19, le port du masque généralisé est devenu obligatoire pour la première fois et il y a donc une méconnaissance des conséquences psychologiques que cela peut entraîner dont une augmentation forte de la méfiance, de la confiance aveugle et donc de mauvaises réactions, surtout qu'affaiblissant la forme des travailleurs en les rendant moins efficaces au travail ainsi qu'auprès de leur proches chez eux. Elle précise aussi que le confinement, la distanciation sociale (synonyme de distension), le port du masque par les non malades, le gel hydroalcoolique détruisant des éléments antivirus des mains et la peur causée voire accentuée sont des décisions irresponsables parce qu'elles amputent une partie de notre système de défense immunitaire (et l'importance morale et psychologique des liens sociaux dont la proximité avec nos proches), car elles empêchent l'immunisation collective, alors que ça a toujours été le cas dans l'Histoire puisque l'homme est fait pour vivre en société. (Surtout que le port du masque pour tous pourrait être compris comme empêchant les personnes asymptomatiques de participer à l'immunité collective, d'autant plus qu'avec le pass sanitaire on les empêche aussi d'aller dans les lieux publics de contact.) Or les nouveaux cas de contamination ne sont pas des malades mais aussi des asymptomatiques, ce qui prouve que le terme « asymptomatique » est illégitime et synonyme de folie cherchant à perturber les populations. Surtout que la transmission asymptomatique est un mensonge et qu'un affaiblissement du système immunitaire a lieu par le stress de la peur apportée principalement par les grands médias, par la dépression du confinement, par la distanciation sociale angoissant le peuple, par la baisse d'air pur lié au port du masque, par l'interdiction des sports collectifs et la fermeture des salles sport. »
« La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » (Florence Scovel Shinn)
Les vrais ravages du covid sont donc ailleurs, car même quelques dizaines de milliers de morts (et encore les chiffres sont abusivement généreux) ce n’est rien en comparaison des dégâts sociaux entraînés : suspension de salariés non vaccinés, contraintes sur les déplacements ou sur les corps, guerres intra-familiales, soupçons entre collègues, tensions entre individus dans l’espace social, dépressions, troubles anxieux généralisés, affaiblissement de l'immunité naturelle, psychotropes (légaux ou illégaux), suicides, etc.
De plus avec l'annonce que de rapides auto-tests Covid payants seront disponibles en pharmacie, Alexandra Henrion-Caude précise que cela nous dirige bien vers une société à 2 vitesses, car quand il faudra présenter son test négatif pour entrer quelque part, les moins aisés ne pourront se le permettre.
Selon cette généticienne également, les personnes ayant reçu le vaccin contre la grippe expulse six fois plus de matière virale que ceux n'étant pas vaccinés, ce qui participerait à créer des mutants, et indiquerait que les mutants covid proviennent des vaccins ARN, pouvant en plus modifier le génome des vaccinés et des enfants qu'ils mettent au monde. Dans quelques mois il faudra faire attention aux effets indésirables à moyen et long terme de la vaccination comme ADE (Antibody-Dependant Enhancement) et aux mutants résistants à la vaccination sélectionnés par les vaccins. Surtout que tous les confinements obligent les gens à se rassembler sur moins de surface dont dans des commerces appartenant généralement à des multinationales d'oligarques.
Voir vidéo « Alexandra Henrion-Caude sur TVLibertés » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alexandra-Henrion-Caude-sur-TVLibertes-la-video-censuree-par-YouTube-62537.html
La Covid-19 est une maladie respiratoire. Elle se transmet donc a priori comme les autres maladies respiratoires : par l’air. Si c’est le cas, les seuls masques utiles doivent être hermétiques, comme des masques à gaz utilisés par les armées ou les laboratoires P4. Les masques chirurgicaux sont au contraire de fausses protection car ils n’adhèrent pas à la peau et laissent passer l’air en de nombreux endroits. Dans le cas où la Covid-19 se transmet comme toutes les autres maladies respiratoires (ce qui est a priori l’hypothèse la plus probable), la prévention doit être d’aérer les espaces fermés. Ce que l’OMS avait déclaré au début de la pandémie. Cependant, un autre problème surgit. On a installé au cours des dernières années des systèmes de climatisation dans de nombreux immeubles. Si l’air climatisé absorbe des vapeurs d’eau contaminée, toutes les autres personnes respirant cet air risquent d’être contaminées. Il faut distinguer les systèmes de climatisation qui expulsent l’air à l’extérieur de ceux qui fonctionnent en circuit fermé, diffusant éventuellement la maladie dans tout l’établissement. Les contaminations liées à une épidémie de légionellose (une infection bactérienne pulmonaire grave) lors de la convention de l’American Legion en 1976 à Philadelphie, et en 2000 à des patients de l’hôpital européen Georges Pompidou à Paris, de même que les abattoirs étant des espaces climatisés en circuit fermé et à basse température, laissent à penser que cette hypothèse devrait être prise très au sérieux. Envisager cette hypothèse, c’est envisager d’admettre que de nombreux bâtiments modernes doivent être réhabilités, comme on l’a fait avec l’hôpital Pompidou. Ce sont des budgets conséquents comparables à ceux que l’on dépense pour désamianter des immeubles.
Pour un haut-fonctionnaire soumis au Big Pharma, il vaut mieux ignorer cette question. Ne rien changer, agir comme d’autres États et rendre obligatoire le port du masque. Surtout qu'il faut remarquer que l'obligation du port du masque parfois pendant 8 heures au travail plus des heures dans les transports en commun et magasins pendant des mois, amenant de la fatigue, la diminution de la santé et des désagréments, jetteront encore plus de gens et d'indécis dans la prétendue libération par le vaccin. Cela s'appelle de la fabrique d'esclavage par consentement.
Extrait de la vidéo « Ce qu’il en coûte de forcer un consentement » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=0nbfz8QyjQg&t=840s :
« À partir de quel moment, une pratique sadomasochiste devient-elle répréhensible ? Combien de coups de fouet avant qu’un juge s’en mêle ? Peut-on marquer au fer rouge une victime consentante ? La torturer ? L’électrocuter ? À combien de milliampères ? La perte de conscience entraîne-t-elle la perte du consentement ? Question subsidiaire : Qui donc est habilité à définir ces limites ? Je prie mes lecteurs les plus pudiques d’excuser cette entrée en matière cruelle : C’est celle qu’a choisie le professeur de droit Estelle Brosset dans un excellent papier « Le consentement en matière de santé et le droit européen » de 2013.
Le consentement est un sujet qui dépasse largement la sphère strictement sanitaire et ne peut être traité en vase clos : il paraîtrait bizarre de refuser des soins, ou leur remboursement, à quelqu’un qui a refusé le vaccin contre la maladie qui le touche mais pas à un masochiste qui s’inflige des blessures volontaires. Ne faudrait-il pas dès lors faire payer son SIDA au concupiscent qui omet de se protéger ?
Sans doute, ces gens ne font-ils de tort qu’à eux-mêmes mais que dire alors du chauffard accidenté par sa propre inconscience ? Faut-il soigner celui-là malgré le risque mortel qu’il fait peser sur la société ? Il faudrait encore nous pencher sur le cas des criminels, des responsables d'accident dont de voitures, des imprudents ou simplement des insouciants qui provoquent des dégâts ou font peser des risques insensés à la collectivité. Ainsi une personne non-vaccinée, faute de médecin complaisant, doit-elle payer la taxe de son pass tous les jours pour avoir le droit de se faire soigner ? Il vous est peut-être aussi pénible de lire ces lignes qu’il m’est de les écrire.
Et pourtant nos droitsdelhommistes bon chic bon teint, dans leur folie, ont ouvert cette énième boîte de Pandore à l’hémicycle comme à la télé. Le Parti Radical de Gauche a même demandé le non-remboursement des soins de santé aux réfractaires, Singapour l’a déjà fait. En Autriche on a menacé de prison des non-vaccinés, alors qu'il est mondialement reconnu que les vaccins ARN ont seulement été créés pour atténuer les symptômes du covid et que ne pas se faire vacciner ne concerne donc pas un possible danger de transmission du virus.
Ces gens ne sont pas à une aberration près mais puisqu’ils poussent l’obscénité jusque-là, il nous faut bien tenter de refermer cette boîte de Pandore avant que le diable n’en sorte. Or la question du consentement et plus largement du rapport entre l’individu et l’État est vieille comme Léviathan. À vrai dire, il n’y a rien de nouveau sous le soleil si ce n’est notre amnésie historique et nos lacunes en philosophie politique.
Il nous faut donc remonter petit à petit à la source et prendre le temps de réfléchir un instant : À quel moment l’individu doit-il s’effacer devant le collectif ? La question est d’importance car il en va de nos politiques sanitaires mais également des questions écologiques et certainement aussi des questions financières. Je ne crois pas être hors sujet en traitant aujourd’hui, une nouvelle fois, de la question du consentement. »
Or il faut évidemment laisser en paix les gens qui prudemment ne veulent pas se faire vacciner, car leur droit sur leur santé est grandement légitime, surtout que l’humanité a survécu avant les vaccins et survivra après eux sans aucun doute. En effet la liberté impose la responsabilité. Cela signifie être libre d’agir et chacun est donc responsable de ses actes et de leurs conséquences, sur lui-même et sur autrui. Cependant depuis de nombreuses années et surtout suite à la large perte de liberté provenant de la gestion sanitaire du Covid, le système a développé la déresponsabilisation, l'infantilisation et l’obéissance aveugle à l’autorité perverse même si c'est dangereux, ou les sanctions et l'humiliation.
Ceux qui refusaient les masques ont été rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs, alors qu'il n'y a même pas de consensus scientifique à ce sujet. Des milliers de gens ont vu leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer. Les vieillards étaient abandonnés. Les jeunes ont été emprisonnés dans un monde masqué et confiné. Les adultes ont été précarisés. Les gens d’une même famille ont été séparés de même que toute la société dont par les gestes barrières aussi désocialisant que déshumanisant. La réflexion populaire a été paralysée. Sa contestation, sanctionnée. Le gouvernement par « experts » et médias interposés, a poursuivi cette stratégie du choc en annonçant toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de Covid, quelle que soit la réalité des faits. Cela comme si la crise Covid-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple, et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante.
Lire à ce sujet l'article « Marx et le délire administratif à la française » à l'adresse https://strategika.fr/2021/09/25/marx-et-le-delire-administratif-a-la-francaise/
Surtout que ces vagues sont même devenues des variants du covid pour éviter de dire Covid-20 ou Covid-21 et même bientôt des variants de variants. Or cela met la puce à l’oreille à beaucoup, puisque c'est une série, et une série sans fin probable.
D'ailleurs pour certains qui s'illusionnent sans cesse, la raison de l'échec de la vaccination en Israël (40 % des contaminés étaient vaccinés) est simple : avec le variant indien l’immunité collective ne fonctionne qu’avec 90 % de vaccinés. Ce niveau de vaccination étant inatteignable, le virus se propage. On retrouve le sempiternel « si l’Europe ne marche pas, c’est qu’il faut plus d’Europe », « si le communisme n’a pas marché, c’est qu’il fallait plus de communisme », « si le nazisme n’a pas marché, c’est qu’il... », non pardon. Le tout-vaccin est donc une très mauvaise stratégie, d’abord parce qu’elle est coûteuse (mais rentable, ceci expliquant cela), ensuite parce qu’elle est dangereuse (aucun recul nécessaire), enfin parce qu’elle ne prendra pas en charge tous les variants qui pourraient apparaître.
Le philosophe Diego Fusaro explique que le système tend même à devenir un médecin décidant dictatorialement tout pour le peuple qui serait devenu un malade : « Ce nouveau mode de gouvernance reconfigure le capitalisme lui-même, par le passage d’une société libérée de toute entrave aussi bien sociétale qu’économique, à une société de contrôle total, telle une sorte d’immense hôpital dans lequel l’ancienne relation entre administrés et gouvernants est redéfinie sur la base du lien inédit entre malades et médecins. »
Or le confinement a été criminel : il a empêché certains malades d'être traités, il a participé à la mort de personnes vulnérable psychologiquement, il a détruit l’économie et donc augmenté fortement l'inflation, il a produit du chômage, des faillites, de la dépression et des violences, et il a donc mis en danger la santé publique. Surtout que faire quotidiennement peur par le nombre de morts ou de contaminés d'une épidémie n'est absolument pas conforme au serment médical mais plutôt à de l'idéologie mortifère malthusienne. En effet les conséquences d’une solution ne doivent pas être pire que celles du problème auquel elle prétend répondre. C'est à dire que le remède ne doit pas être pire que le mal. Ainsi les gouvernants qui ont décidé du confinement ont analysé son bénéfice/risque de manière erronée. Leur décision n'était ni nécessaire, ni utile ni promotionnée, mais gravement destructrice d'économie. Il faut éviter de tout mettre en péril en se faisant gouverner par le virus, et chercher ce qui sert l'intérêt général, c'est à dire à ce que les mesures sanitaires soient prioritairement voire exclusivement pour les personnes faible en santé (fragiles, obèses, âgées...). Pasteur sur son lit de mort a prononcé comme un mea culpa « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». C'est à dire que c'est le terrain (stress, dépression, mauvaise hygiène de vie, fatigue physique, corps faible), qui crée la maladie et pas le microbe.
De plus la pollution et donc les ravages de la surconsommation semblent bien plus dangereux pour la santé que le Covid-19, mais l’intérêt général disparaît au profit des règles du marché.
Depuis cette histoire de « Covid », qui est le nom de code donné par le (futur) gouvernement mondial à l’ingénierie actuelle de soumission des nations par la destruction des économies et du moral des peuples, tout devient surréaliste jusqu'à faire culpabiliser les peuples concernant leur gestion de la pandémie, leurs économies affaiblies et la dette nationale. Surtout qu'une génération traumatisée devient manipulable à vie, et qu'il est clairement illégitime que la santé soit passée aux mains de technocrates qui empêchent des médecins de prescrire certains médicament comme la chloroquine.
Lire à ce sujet : « Les enfants traumatisés : Merci la stratégie anti-covid ! » à l'adresse https://strategika.fr/2022/03/19/les-enfants-traumatises-merci-la-strategie-anti-covid/
Un médecin de ville a critiqué fortement la politique sanitaire mise en place par le gouvernement, qui a totalement mis sur la touche les généralistes, alors qu'ils devraient au contraire être en première ligne. Il s’insurge notamment à propos de l’affirmation par les autorités de l’inefficacité de thérapeutiques qui ont pourtant fait leurs preuves. On rappellera à cette occasion que c’est cette prétendue absence d’alternative qui permet aux différents vaccins d’être mis sur le marché.
Avec le port du masque obligatoire et son impact négatif sur le système immunitaire, plus le confinement, le système fait tout pour inventer, provoquer, ou surestimer de nouvelles vagues (prouvant l'inutilité des masques et la tyrannie sanitaire en cours) dont en grossissant leur importance et développant une situation économique et sociale catastrophique synonyme de stress.
Avoir peur de la mort pour tuer la Vie, c’est l’absurdité à l’état pur, comme s'il fallait brûler par peur d'un moustique (épidémie du Covid peu mortelle) une maison (l'économie nationale). C'est une remise en cause grave du principe de proportionnalité. On peut finalement se demander si ces vagues successives, si utiles aux progrès d’un mondialisme coercitif, finiront par cesser tant elles sont utiles à museler des peuples (au propre comme au figuré) et à leur faire accepter l’inacceptable. Pour critiquer ces illégitimes mesures disproportionnées, on peut aussi prendre l'exemple d'un gouvernement qui interdirait la vente de motos à cause des accidentés à moto.
Surtout que selon le média en 4-4-2 : « Rétrospectivement, on s’aperçoit que dans quinze départements, la baisse des contaminations avait commencé avant la date où l’on pouvait espérer voir un effet du confinement. On constate en outre comme on pouvait le prévoir, que cette idée, qui a consisté in fine à entasser les gens dans les magasins et les supermarchés entre 17 et 18 heures pour contrer ce que certains élus ont appelé de façon complètement hors-sol et méprisante « l’effet apéro », n’a finalement pas eu le résultat escompté voire a été logiquement contraire. Or il s’agissait « surtout » d’enfoncer dans nos crânes de Gaulois réfractaires forcément irresponsables, que notre santé est directement proportionnelle à notre obéissance aveugle à toute décision étatique, aussi absurde soit-elle. Et Dieu sait que si le monde entier applique des mesures de restrictions anti-Covid à plus ou moins grande échelle, le monde entier qualifie pourtant la France d’Absurdistan en ce domaine. »
Professeur Raoult : « Je pensais et je pense toujours que la peur est pire que le mal. Et c’est ce qu’il se passe. Il y a trop d’affolement, trop de nervosité, trop de panique. On regardera à la fin. Le poids de la mortalité à côté du poids social(, économique, psychologique et même médical par les reports d'opérations du cœur par exemple, suite au blocage de lits pour les éventuels malades du Covid à venir) va être négligeable. En revanche le poids social(, économique, psychologique et même médical) va être considérable car la peur n’a pas su être gérée (voire a été priorisée). »
De plus s'arrêter de vivre à force d’avoir peur de mourir est aussi absurde, surtout qu'avec la foi, il existe des valeurs supérieures à la simple survie physique.
Concernant les quatre paragraphes précédents voir vidéo « Les malades au service de l'agenda technologique – Le Zoom – Olivier Rey -TVL » ou comment la (défense de la, l'idolâtrie de la) vie est venue prendre la place du sacré (au service de la tyrranie oligarchique), à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=CxSA4PQehFg&list=WL&index=5&t=604s
Les Professeurs Raoult, Toussaint, Perronne et Toubiana (et aussi le médecin Louis Fouché), représentants du français digne, compétent, ayant du savoir-faire, sensé, virile, pondéré, pragmatique, intègre et réfractaire, affirment que cette organisation sanitaire basée sur le mensonge est principalement politique, économique et sociale, et donc non médicale. Ces professeurs plus l'avocat Di Vizio, la chercheuse Henrio-Caude et le médecin Fouché correspondent à la petite bourgeoisie qui commence enfin à s'associer aux gilets jaunes et qui touche donc un public plus large pour une sage révolution populaire. Ainsi il faut remercier ces personnes là, car ils aident au lieu de décourager, rassurent au lieu de terroriser, libèrent au lieu de tyranniser, renseignent au lieu de dissimuler.
Or le système corrompu leur reproche illégitimement d'être des optimistes au pays des pessimistes et des empiristes au pays des moralistes de la précaution. Selon le nouveau vocable totalement inversé de notre ère diabolique, le système a même été jusqu'à inventer des mots honteux comme « rassuristes » contre ces personnes noblement insoumise. Le système voudrait même leurs diagnostiquer des problèmes mentaux pour les enfermer en hôpital psychiatrique. Des docteurs travaillant sournoisement pour l'industrie pharmaceutique s'énervent même souvent sur eux dans des débats, alors que dans une évidente logique d’alliance bienveillante contre un mal à combattre, les débats entre médecins devraient toujours rester cordiaux. Ainsi ces professeurs combattent souvent dignement dans les tranchées de la controverse scientifique de Big Pharma fréquemment illégitime, car régulièrement basée sur des théories peu vérifiables ou sur des pseudo analyses s'avérant fausses ultérieurement.
De même près de 250 scientifiques français, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire. Ces interprétations erronées concernent en partie l'attribution de la mort par Covid à des personnes déjà gravement malades ou ayant une comorbidité, surtout que 92% des victimes ont plus de 65 ans et leur âge médian est de 85 ans alors que l'espérance de vie est de 82 ans en France. Ainsi cela prouve la malveillance des mesures sanitaires, comme le changement de critères par un passage de « morts » à « hospitalisés » puis à « contaminés » pour calculer la gravité de la deuxième vague. Le système tyrannique a même réussi à mettre dans les têtes d'une partie du peuple que la simple circulation inévitable du virus pouvait demander des mesures restrictives, ce qui facilite l'empêchement de manifestations importantes. Normalement un gouvernement et ses médias soumis cherchent à minimiser le nombre de morts et non à les amplifier en les exagérant ou en falsifiant les statistiques. Or étonnamment, alors que ses deux premiers épisodes correspondent à deux épisodes de grippe qui n'a d'ailleurs étrangement pas été comptabilisée chaque année, le Covid-19 ne bénéficie pas de cette jurisprudence, et sa comptabilité morbide n’est qu’une longue accumulation spectaculaire et sans fin de cadavres sur des années. Une fois constaté que le Covid-19 a légèrement augmenté le nombre de morts chez les plus de 75 ans en moyenne, on doit s’interroger sur l’environnement qui a pu favoriser cette surmortalité. Or l’environnement de la santé en 2020 est le résultat de décennies de descentes aux enfers entre restrictions budgétaires, gestion bureaucratique, utilisation de modèles statistiques, raréfaction de l’anamnèse médicale, dépréciation du traitement individualisé, interdiction des thérapeutiques naturelles prophylactiques, etc.
Le Pr Ioannidis, à l’origine d'une étude sur l’inefficacité des mesures sanitaires, explique les dangers de l’idéologie dominante dans une interview. La censure politique et médiatique est intense ces derniers temps contre les médecins dont les positions n’entreraient pas dans le discours officiel. Les médias et les hommes politiques dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond. Mais la norme, la conformité au discours officiel s’est-elle à ce point installée comme une vérité dans l’esprit de la population ? Il semblerait que non. De plus en plus de voix s’élèvent contre la dictature sanitaire. Les préjugés idéologiques contre le Pr Raoult, le Pr Perronne, le Dr Fouché, le Pr Montagnier, le Pr Henrion-Caude, le Pr Fourtillan et tant d’autres condamnés par la bien-pensance, prennent de moins en moins. C’est rassurant de voir que les professionnels de santé et la population, dans une grande partie, ne se contentent plus de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Les médias mainstream auront beau multiplier les fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels) et les sondages douteux, nous y croyons de moins en moins. En effet il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, wokiste, esclavagiste et oligarchique. Quand la facilité de la conformité devient plus désagréable que le risque de penser par soi-même, c’est signe de bonne santé mentale.
Les professeurs populaires critiquant la gestion de la crise sanitaire ont donc souvent été mal traités par les médias du Système. Ainsi pourquoi venir chez les chiens de garde du Système, nous direz-vous, et pourquoi accueillir des adversaires de la politique sanitaire délétère, ajouterez-vous ? Parce que les Raoult, Fouché, Henrion-Caude, Toubiana, Toussaint, Perronne, Delépine et consorts ont besoin de divulguer leur message rationnel et préventif au gros de la population qui est encore otage de la propagande des médias mainstream. Il s’agit ni plus ni moins de libération mentale. Mais alors, pourquoi les chiens de garde du Système invitent-ils leurs adversaires idéologiques ? Parce que ces nouvelles stars, très populaires, qui sont les guides et représentants réels du peuple du point de vue sanitaire, font de l’audience et apaisent en partie les populations réveillées, et que les stars fabriquées par le Système n’en font justement plus. Il suffit de regarder les réactions à l’encontre de ces dernières sur les réseaux sociaux pour comprendre ce rejet, pourtant très atténué par une censure grandissante.
Le Système dispose de deux armes, la propagande et la censure, qui vont ensemble, et qui croissent ensemble : le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système doit être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, il doit devenir un hors-la-loi. C’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, qui d’ailleurs est déjà en cours, mais contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation.
Macron avait raison, nous sommes en guerre (entre peuples et mondialistes oligarchiques). Et l’on aura compris que cette guerre contre le virus n’est pas faite pour être gagnée mais pour durer puisqu'il s'agit en réalité d'une grosse lutte et donc guerre des classes entre le peuple et l'hyper classe mondialiste. Car une guerre qui dure fournit au système politique tyrannique les moyens de coercition qu’il recherche, aux forces économiques des sources de profits gigantesques, et aux manipulateurs de toute sorte des avancements de leurs pions. Surtout que même en prenant les chiffres gouvernementaux et les analyses officielles les plus alarmistes, en aucun cas une surmortalité aussi faible ne justifie que l’on martyrise à ce point les peuples. Les confinements, les couvre-feux, les ports du masque obligatoires, les restrictions extravagantes des libertés fondamentales, rien ne peut trouver une justification face à de tels chiffres, surtout que la prévention et des traitements ont réduit presque à zéro toute mortalité, hors comorbidités. La guerre contre le virus étant donc une guerre spectaculaire dans le sens où Guy Debord l’aurait analysée, il ne faut pas chercher à lui donner crédit, mais plutôt à faire tomber ce château de carte pour que se dévoilent les véritables raisons de son existence et de sa théâtralisation. Si l’épidémie n’était pas voulue et ne cachait pas un plan pervers, les responsables politiques auraient eu un autre comportement. Surtout que pour amplifier la gravité de la crise sanitaire, il y a eu une saturation des lits de réanimation en y mettant des gens qui, normalement, n’y avaient pas droit. En effet la députée Martine Wonner a dit à l'assemblée nationale qu'elle n’avait jamais vu mettre en réanimation des patients qui ont juste besoin de 2 à 3 litres d’oxygène par jour. De même que pour le nombre de morts peu nombreux pendant l’épidémie, ils créent littéralement la crise sanitaire afin de l’exploiter.
Sous une forme de protection élémentaire pour la santé mais instrumentalisée, les décisions gouvernementales ont criminellement été mauvaises socialement, psychologiquement et économiquement. Ainsi il est clair que cette dictature sanitaire était une tyrannie se poursuivant, car elle a finalement eu un but très supérieur à la surveillance par un vaccin éventuellement numérique : appauvrir et détruire les États pour distribuer toujours plus de richesses et de pouvoir aux oligarques qui sont d'ailleurs les seuls à s'être enrichi pendant le covid, en plus beaucoup. Surtout que tout cela peut servir à aller jusqu'à la tyrannie écologique sous de pseudos prétextes comme la lutte contre l'effet de serre.
Les masques commencent à tomber ! : Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à GlaxoSmithKline, qui possède (accidentellement) Pfizer ! Celui qui fabrique le vaccin contre le virus qui a (accidentellement) commencé au laboratoire biologique de Wuhan et qui a été (accidentellement) financé par le Dr Fauci, qui (accidentellement) fait la promotion du vaccin ! GlaxoSmithKline est (accidentellement) gérée par la division financière de Black Rock, qui gère (accidentellement) les finances de la société Open Foundation (Fondation SOROS), qui gère (accidentellement) la société française AXA! Le milliardaire Soros possède (accidentellement) la société allemande Winterthur, qui a (accidentellement) construit un laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l'allemand Allianz, qui a (accidentellement) Vanguard comme actionnaire, qui (accidentellement) est actionnaire de Black Rock, qui (accidentellement) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d'investissement mondial. Black Rock est aussi (par coïncidence) un actionnaire important de MICROSOFT, propriété du milliardaire Bill Gates, qui (par coïncidence) est un actionnaire de Pfizer (qui vous vous souvenez ? vend un vaccin miracle) et (par coïncidence) est maintenant le premier sponsor de l'OMS ! Maintenant vous comprenez comment une chauve-souris morte vendue dans un marché humide en Chine a infecté la PLANÈTE ENTIÈRE ! Les marionnettistes du Grand Reset se moquent ouvertement du monde (entier). On imagine leurs séances de brainstorming arrosées d'alcool, et leurs grands éclats de rire quand ils s'amusent à chercher le nouveau nom du variant suivant concocté pour leurs victimes.
Derrière Big Pharma et ses médias se cachent Vanguard : Edmond De Rothschild, la famille Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller ; Black Rock : Rothschild, Elisabeth II, Al Gore, Warren Buffett, George Soros, Carlos Slim.