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O) Suite 15



-BCE (dont le bilan correspond très étonnamment à 80 % du PIB européen) appauvrissant les banques par les taux négatifs afin de les racheter facilement lors de leur faillite tel un pyromane pompier, et créant des centaines de milliards d'euros lors de crises comme celles des subprimes ou celle sanitaire pour ne pas sauver des vies mais pour maintenir le système financier tout enrichissant des monopolistiques intérêts oligarchiques au détriment des contribuables.
-BCE s'associant à la supranationalisation des moyens de productions et étant liée à la monopolisation des grosses multinationales privées dont des services publiques. C'est pourquoi il faut dissoudre (se réapproprier) les banques selon la loi française en leur enlevant leurs capacités juridiques voire commerciales, afin de les nationaliser, récupérer les 12 500 milliards qu'elles ont spoliés (accaparés dont par l'usure) sur le travail des français depuis des décennies, annuler les dettes, prêter sans intérêt qu'au producteur d'emplois et de richesse, reconstruire les services publiques, relever grandement le salaire minimum et ramener le niveau de la France sur le podium des grandes puissances mondiales. Surtout que la France ayant un climat tempéré, une position géographique importante, un bon développement économique, de nombreux prix Nobel une armée et la bombe atomique, elle a vraiment tous les moyens pour réussir face à des ingérences étrangères comme celles des USA, de l'Angleterre ou d'Israël, ou celles privées comme la BCE, le FMI, Black Rock ou les GAFAM, ou celles militaires comme l'OTAN. Et il faut donc y croire, car c'est entièrement possible.
En sachant que cela devient très urgent puisque selon Claude Janvier concernant l’État profond américain : « Les États-Unis pillent l’Europe depuis 1917 (dont via la haute finance, les multinationales et les pseudo cabinets de conseil tel Mc Kinsey). »
Selon Mélenchon, la Banque centrale européenne doit même annuler la part de la dette de la France qu’elle a dans ses coffres. C’est la seule voie pour relancer notre économie. Il ne faut pas des économies de plus mais des dépenses supplémentaires. Pour l’hôpital, l’école, et tous les services publics.
-travailleurs détachés (venant de l'étranger) précaires par centaines pour désolidariser les ouvriers dans leurs légitimes revendications, surtout que ces travailleurs détachés proviennent de sous-traitants comme dans les chantiers navals de Saint-Nazaire.
-robotisation à outrance entraînant le chômage de masse, car pour les robots : pas de salaire, pas de vacances ni de week-end, pas d'arrêt maladie ni de congé maternité, pas d’horaire de travail limité ni de pause même la nuit (travail 24/7 sauf le temps de recharge si impossible de les garder branchés), pas de syndicalisme ni de grève ni de prud’homme. En sommes que du bénéfice pour les patrons privilégiant l'argent à l'humain, le matérialisme à Dieu, alors que l'argent doit demeurer un outil au service de l'homme même s'il travaille peu et non l'inverse jusqu'à la déshumaniser dont donc via la robotisation. La technique et la technologie sont un outil, que les humains doivent utiliser noblement au risque de s'anéantir.
Or « Cette maladie de la civilisation occidentale nommée "la modernité" est une inversion du rapport entre les moyens et les fins. Dans la perspective occidentale, les moyens sont devenus une fin : la science et la technologie ne sont plus adaptées à l'environnement ; elles ne sont plus au service de l'homme. Tout au contraire, l'homme et son environnement sont subordonnés au développement autonome (ou à outrance technologiquement). » (Roger Garaudy)
-robotisation des forces de l’ordre (robots chiens et drones automatiques possiblement sous forme de moustiques) pour surveiller et oppresser la population, tout en enlevant donc l'élément moral du policier humain afin que cela soit soumis inconditionnellement au système ploutocratique et sioniste. -politique des caméras de rue prétendant sécuriser, alors que surveillant d'abord le peuple et amenant en réalité au résultat suivant : un gouffre budgétaire des contribuables au profit des sociétés privées, plus de PV pour les habitants, une délinquance qui s’adapte aux angles morts, et des caméras-piétons. Ce qui veut dire que ces caméras servent bien d'abord à filmer voire ficher les manifestants ou les quidams avec le consentement de la loi. Or ça n’empêchera même pas les tabassages et les gazages, puisqu’un policier a le droit de se défendre contre la violence des manifestants pouvant être instrumentée par des actions sous faux drapeau, même quand il s’agit de familles avec femmes et enfants.
-Non respect de la charte de non prolifération des armes atomiques à l'étranger comme celle états-unienne en Italie et en Allemagne, et bouclier anti-missiles dont nucléaires pouvant devenir offensif même si il est devenu obsolète par l'invention russes des missiles hypersoniques dont nucléaires. Il faut noter que la prolifération des armes nucléaires augmente évidemment le risque et donc l'insécurité mondiale.
Or ces boucliers anti-missiles autour de la Russie, de l’Iran et et de la Chine appartiennent aussi souvent aux très nombreuses bases militaires oppressives et menaçantes US, dont car pouvant envahir ces pays de plusieurs endroits à proximité.
-tyrannie financière déréglant les marchés ou les bourses, spéculation à outrance dont par le trading à haute fréquence ne préservant plus aussi un marché libre et équitable ni un système économique humain juste, et finance internationaliste soudoyant de nombreux politiciens pour favoriser les gains du privé souvent transnational au détriment de l’intérêt publique national. En effet la république est sous le contrôle de lobbies et d'occultes réseaux d'influence qui n'obéissent en réalité qu'à la haute finance mondialisée par la malhonnêteté de grands fonds d'investissements, des banques, de multinationales, des médias dominants et de nombreux politiciens. Même les institutions finissent par être détournées de leurs objectifs suite à la pression de ces lobbies dont ceux des assurances, des banques, du secteur pharmaceutique et du sujet climatique. Pour une question d'équilibre et de lutte contre l’oppression, il paraît donc souvent nécessaire de créer des bons lobbies opposés au lobbies pervers, comme celui des climato-septiques contre les climato-urgentistes aux USA ou celui des catholiques ou/et des musulmans qui devrait se créer contre le sionistes en France.
Au sujet de cette disparition du vital marché libre et équitable au détriment des peuples, par des formes corrompues de monopoles ou de protections au service de certaines multinationales servant la cupidité, l'oppression et l'avidité financières des élites mondialistes perverses, l'article « La guerre psychologique derrière l’effondrement économique » est intéressant à lire à l'adresse http://lesakerfrancophone.fr/la-guerre-psychologique-derriere-leffondrement-economique
Or il faut noter qu'un actif doit avoir une valeur utilitaire, c'est à dire qu'il doit reposer sur un sous-jacent créateur de richesse éthique (concrète, or, biens, connaissance, développement) protégeant la dignité humaine et l'intégrité physique. Ainsi la spéculation inconséquente doit être interdite, mais l'investissement dont dans le productif doit être encouragé, surtout que ça atténue la lutte des classes.
Alors que l'économie n'est pas une science mathématique basée sur des théorèmes mais une science sociale logique comme le prouve le Coran et son système économique. Pourtant elle est devenue une idéologie et donc une croyance pour certains économistes, et ils ont donc tout faux. D'ailleurs le système dette pour augmenter la croissance ne fonctionne plus, puisque la dette mondiale augmente plus rapidement que le PIB mondial, et un changement de paradigme est donc nécessaire, surtout que le remboursement de cette dette montée désormais à 400 % est impossible. Ceci est lié au grand danger de la rapidité inédite dans l'histoire de la concentration des richesses dans peu de mains. D'autant plus qu'on ne peut plus faire croire qu'un groupe d'individus très égoïstes va finalement générer le bien-être pour une société.
La lutte des classes provient à l'origine de l'opposition entre les prophètes juifs souvent pauvres au service du peuple modeste et la domination perverse des élites juives riches très peu nombreuses de leur communauté, dont les rabbins. Car cette domination sur le reste de la population se faisait par l'usure ou la spéculation souvent jusqu'à son appauvrissement généralisé voire jusqu'à l'esclavage. Ainsi par le rappel prophétique évoquant pieusement la justice, les paysans menaçaient les élites d’arrêter de travailler voire finissaient par s'enfuir, en entraînant donc la destruction de la société si leurs dettes n'étaient pas effacées. Ce dernier cas de figure était au final rare, car aucun riche n'étant prêt à aller jusqu'à la disparition de la société, la dette était donc annulée et les justes règles religieuses économico-sociales étaient restaurées.
Ceci prouve que pour éviter le chaos, il faut grandement combattre la dette publique. Sinon donc chaque nation deviendra un gigantesque marché privé amenant une mondialiste ploutocratie corrompue puis destructrice, dont après que les services publiques par essence au service du bien commun aient été détruits par la privatisation. Surtout que cela entraînerait possiblement un gouvernement mondial privé corrompu puisque favorisant seulement les ultra-riches comme le prouve notre époque. En effet la perverse oligarchie internationale actuelle ne nous asservit pas que par le système bancaire, la technologie, la théorie du genre ou les problèmes sanitaires, mais principalement par l'argent qui a toujours été un gros moyen de pression sur des nations dans l'histoire de l'humanité. Or comme il a été vu, ce monopole de contrôle privé, qui pourrait devenir un système plus ou moins mondial, sera peut être récupéré au final par Jésus lors de son retour pour gérer le monde ou une partie du monde parfaitement :
(S7v182/183) « Ceux qui traitent de mensonges Nos enseignements, Nous allons les conduire graduellement vers leur perte par des voies qu’ils ignorent. Et Je leur accorderai un délai, car Mon stratagème est solide (jusqu'à même pouvoir récupérer les efforts que les oligarchies perverses ne voulaient s'offrir qu'à elles-mêmes, surtout que l'histoire a prouvé que c'est souvent selon le niveau de science révélé divinement à certains qu'elle a évolué) ! »
Ainsi plutôt que de suivre cette sagesse très nécessaire d'annulation des dettes pour protéger la société, cette pratique de la spéculation et de l'usure est arrivée dans un cercle vicieux infernal à un niveau tellement grave, qu'elle parvient désormais à appauvrir un pays, pour ensuite investir dans la guerre causée par cet appauvrissement, et enfin encore plus s'enrichir indéfiniment en participant perpétuellement à sa reconstruction, pour à nouveau l'appauvrir, et recauser une guerre, quand ce n'est pas pour préserver le chaos afin de voler ses matières premières. Par conséquent, seuls les peuples honnêtes réveillés peuvent lutter contre cette injustice mondiale se généralisant, dont en récupérant, possiblement par la blockchain et la cryptomonnaie étatiques décentralisées, le pouvoir face à ce corrompu système politique, financier et monétaire international. Ce qui prouve comme de tout temps, le nécessaire rôle prophétique populaire face à ce système totalement perverti amenant à l'hégémonie de l'empire américano-sioniste nocive mondialement :
(S13v11) « En vérité, Allah ne modifie point l'état d'un peuple (par un chef sage apparaissant par exemple), tant que les (individus qui le composent) ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes (déjà au niveau de leur rejet du système en place et de leur volonté de changement, en prouvant ainsi que la société ne s'améliore pas principalement par le haut de la pyramide sociale ni par la force). »
-pouvoir économique mondial de plus en plus pris par les grands fonds d'investissement, les grosses banques et les multinationales aux mains d'oligarques tous actionnaires les uns des autres, puisque influençant fortement l'orientation financière et donc politique de la planète. D'ailleurs la finance internationaliste a souvent profité voire organisé des crises économiques et des ventes d'armes lors de guerres, afin de racheter des biens bas prix à leurs fins, encore une image du mondialisme privé des pervers ultra-riches. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Eustace Mullins en 2000 : Les banques centrales sont un danger pour la santé » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Eustace-Mullins-en-2000-Les-banques-centrales-sont-un-danger-pour-la-sante-67680.html
-grandes entreprises dominatrices de la plupart des secteurs économiques appartenant souvent donc aux mêmes actionnaires et nuisant gravement à la pluralité des origines sociales humaines ou à l'évolution de beaucoup d'être humain et donc à de possibles excellents projets nouveaux, puisque supprimant les PME (artisanat) au profit de l'industrie et ainsi de la centralisation économique, et donc monopolisant, et donc détruisant l'importante concurrence des travailleurs compétents qui ont été empêchés de réussir dans leur première entreprise.
-divers faux philanthopes milliardaires (tels Georges Soros et Bill Gates) investissant mensongèrement dans le tiers monde et manipulant les nations au profit des très riches, des mondialistes, des sionistes, du Lgbtisme ou de divers projets politiques ou idéologiques déshonorables. En effet tel des loups déguisés en agneau, ils utilisent entre autres les droits de l'Homme, le Caritatif ou l’Écologie pour faire avancer un agenda de contrôle des ressources et des peuples, dont évidemment par la corruption de membres des fonctions publique et politique. D'ailleurs tel son nom l'indique, l'Open Society Fondation de Soros (réseau de fondations créé en 1979 prétendant promouvoir la gouvernance démocratique, les Droits de l'Homme, et des pseudos réformes importantes au niveau économique, social et légal, alors que participant en réalité à la centralisation économique oligarchique par le rabaissement moral lié au wokisme) ne se cache pas de distribuer des milliards pour faire triompher ses idées perverses : financement de mouvements ou associations pour l'avortement, pour l'euthanasie ou pour le Lgbt. Aucunes nouvelles lois impies n'arrivent par hasard. Surtout car la corruption fonctionne encore mieux quand avant d'être financière et personnelle, elle est intellectuelle et morale à travers le wokisme aveuglant spirituellement le peuple, et se propage dans les responsables et les organes principaux de la société. D'ailleurs l'Open Society de George Soros se distingue par le fait que douze de ses collaborateurs sont devenus juges à la Cour Européenne Des droits de l'Homme située à Strasbourg, et par le fait qu’elle finance six autres ONG souvent mises en cause dans des affaires de corruption. La présence massive de juges issus d’un même réseau d’ONG témoigne de l’oppressive emprise car donc impartiale de grandes fondations privées sur le système européen de protection des Droits de l’Homme. En effet la CEDH est possiblement corrompue, puisque elle-même a admis ses liens avec l’Open Society de Soros. Surtout que l’idéologie des Droits de l’Homme n’est que la face visible de l’opération de destruction mondialiste des nations. C'est à dire que fréquemment, des ONG, fondations et organisations caritatives sont engagées dans une ingénierie sociale, puisqu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. Quand ce type de projet réussit, cela équivaut à un contournement extrême de la démocratie, car cela provient souvent de l'utilisation de leur argent pour orienter des idéologies, manipuler des groupes, voire gagner des élections, en amplifiant certaines voix et en taisant les autres. Surtout quand cela sert donc les perverses élites mondialistes concentrant toutes les richesses. D'ailleurs l'organisation Black Lives Mater financée aussi par Georges Soros est un mouvement de riches blancs de gauche qui s'attaquent à d'autres blancs plus pauvres qui n'ont rien à se reprocher à part d'être souverainistes puisqu'en plus ils sont généralement non racistes. Ainsi ces riches blancs de gauche augmentent leur domination financière et politique en se servant des noirs comme armes, ce qui rend ce mouvement comparable au final à du suprémacisme blanc.
Dans ce sens pour changer certains régimes désobéissants, le dominateur système américano-sioniste cherche de moins en moins l'intimidation militaire ou l'assassinat de responsables politique, mais plus la révolution colorée, surtout que cela modèle une grande partie du peuple.
Or il faut savoir parfois attendre patiemment et pacifiquement, car ces pervers ingénieurs sociaux vont ensuite souvent trop loin par fatuité, c'est à dire jusqu'à perdre la partie.
-syndicats recevant des millions de subventions de l'État et de l'UE, et étant donc fortement influencés par ces derniers.
-grandes sociétés privées qui s'enrichissent en asphyxiant l’économie française, en pervertissant le rôle de l'Etat et en dérégulant le marché libre et équitable, par le biais de la finance internationaliste, d'associations à but non lucratif, de politiciens corrompus et des syndicats laxistes pouvant être condamnés pour haute trahison dont donc pour le profit de l'oligarchie mondialiste au détriment de leur peuples et de leur nation. En effet ceci est par exemple prouvé par le fait que la sécurité sociale est un pool d’assureurs privés qui mutualisent un risque et possèdent donc la totalité du marché de la santé, alors que la juste politique européenne de la concurrence interdit aux entreprises de s’entendre pour fixer des prix ou se partager les marchés, d’abuser d’une position dominante sur un marché, d'exclure des concurrents potentiels, ou de fusionner si cette opération permet de contrôler le marché tel un monopole.
Tout personne morale ou physique trahissant les intérêts de son pays pour soi ou autrui est condamnable de haute trahison et donc de peine de mort, surtout quand çà a été fréquent.
-Faux experts économiques qui disent toujours sur les plateaux TV que tout ira mieux avec le temps, alors qu'ils naviguent à vue, ou sont incompétents voire corrompus, et que tout empire toujours. Ils suivent l'idéologie des théories économiques dites classiques, alors qu'elles sont responsables du chômage de masse en favorisant les ultra-riches. Il est intéreesant de voir à ce sujet  l'excellente vidéo « [Présidentielle 2022] – Faut-il punir les chômeurs pour le chômage ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uNXAlL26mus&list=WL&index=4
-capitalisation et donc vente au privé des retraites, et annulation de leur équité pour une confusion injuste d'égalité devenant inégalité, puisque les régimes spéciaux pour la retraite sont en rapport avec la difficulté ou l'espérance de vie des divers métiers. Cette recherche de l'égalité absolue aveugle provient du pseudo progressisme servant le mondialisme oppressif, alors qu'elle est donc absurde par rapport à l'équité et va même jusqu'à créer diverses inégalités comme lorsque des transsexuels hommes devenues femmes participent aux épreuves ou compétitions sportives féminines en les gagnant toutes. La droite politique authentique, c’est l’égalité des chances. La gauche politique actuelle, c’est l’égalité du résultat, ce qui n’existe pas dans le monde réel. Or nous sommes même dans un fou monde occidental, car il promeut donc injustement l'égalité au détriment de l'équité, alors que c'est seulement l'équité (c'est à dire la justice réfléchie, morale et donc authentique synonyme de meilleure noblesse puisque non mathématique) qui réalise le bien commun, révèle la véritable raison apaisante, réconforte les âmes, guérit les blessures psychologiques, assure la stabilité interne de chacun, et nous pousse donc tous à rationaliser le dialogue et l’action collective dans la bienveillance optimale pour surmonter tout problème important et toute crise dangereuse :
(ExtS16v90) « Certes, Allah commande l'équité, »
« La société laïciste est devenue suprêmement impie par sa déchéance, dont car le stupide progressisme ultra égalitaire en tout partout, se prétendant de raison et humaniste, se croit à son apogée. Ce qui prouve qu'il s'agit bien que  nous vivons une époque de chaos voire d'apocalypse (révélation), puisque dans une contradiction maximale. Or inévitablement par plus ou moins de violence, notre époque s'orientera soit vers une société numérique progressiste déshumanisée dont suite à l'abrutissement des dernières décennies et donc à la soumission des peuples, soit vers une société retournant à l'équité pieuse authentique suite à une exaspération populaire massive.
Ainsi actuellement, deux chemins d’égalité sont en concurrence et en lutte. Il s'agit du combat suprême au sein d’une même modernité : celui du dieu mathématique, maçonnique et kabbaliste et celui de la fraternité réelle du Dieu d’amour. Dit autrement encore : le règne menteur de l’égalité formelle, face au règne moral de la fraternité réelle (à travers l'équité) ; le pouvoir des nombres ou l’amour. ... Par conséquent la modernité égalitaire perverse a en plus durablement chassé du monde le principe aristocratique, alors que le réel impose partout une évidence hiérarchique, que ce soit dans le monde animal, celui de la culture ou de l’entreprise... Dans notre monde, cette contradiction entre aspiration à l’égalité, synonyme de justice, et impératif hiérarchique, a été humainement résolue par la proposition du Christ, sa « loi naturelle » au sein de laquelle la nécessité hiérarchique est tempérée, moralisée par le souci de l’autre, et basée sur la compassion, comme le sous-entend sa parole : « aimer vous les uns les autres ». Ce chemin d’égalité, qui est tout autre que l’égalité formelle (illégitime) issue de révolution et de la raison mathématique et qui conduit au pouvoir technocratique, puise son origine dans la double composante de l’intelligence humaine, affective et cognitive. Ainsi c’est logiquement de l’effacement de cette dimension de l’intelligence et du message du Christ que provient notre descente vers ce monde froidement mathématique et technocratique qui semble de plus en plus dominé par le diable. ... Pourtant la France originelle avait inventé un processus égalitaire légitime (car synonyme d'équité) basé sur sa double culture grecque et chrétienne, la logique d’Aristote et la charité du Christ qui fondent l’humanisme français, nos valeurs helléno-chrétiennes. … « L’inégalité au nom de l’égalité ! » est un coup de génie qui embrasse toute l’époque, car telle la suprême arnaque sortie de la tête même du diable. (En effet c'est finalement d'abord l'inégalité économique qui apparaît au profit des privilèges de la super classe, comme le prouvent les prêts étudiants US exorbitants. Et cette inversion des valeurs dont donc de l'égalité va jusqu'à empirer vers toujours plus de folie et donc d'impiété, en particulier à travers la transsexualité, le transhumanisme, le mariage pour tous.) Nous avons donc en tant que français helléno-chrétiens authentiques, dans ce combat à mener contre la bête, la froide bête mathématique et technocratique judéo-anglo-saxonne du tout puissant Marché, un rôle fondamental d’opposant historique à jouer. Surtout que la France étant aussi la fille aînée de l’Église, le mère des révolutions et la patrie du cœur et des idées, elle peut donc être en première ligne une fois encore pour y jouer son rôle et y tenir son rang ! … En effet même si pour ce rôle, la France est logiquement au cœur de l'enjeu de la domination satanique du monde, elle détient aussi une grande énergie par ses intellectuels dissidents de diverses origines et donc une des meilleurs opportunités par son histoire pour trouver le chemin du triomphe ultime de la vérité et des peuples. » (Alain Soral)
« La Révolution française peut être définie comme la bourgeoisie qui a pris le pouvoir au nom de la Raison égalitaire, l’axiomatique des droits de l’homme… Mais ce pouvoir bourgeois pris au nom de l’égalité formelle, conduit très vite, dans le réel, à la nouvelle inégalité sociale du monde bourgeois. Et la bourgeoisie, progressivement, se voit d’abord contrainte d’expliquer cette inégalité par la Raison, puis d’abandonner une Raison intenable qui, de plus en plus, vient contredire sa propre domination. Ainsi, historiquement, la bourgeoisie est d’abord la classe de la conquête du pouvoir par la Raison égalitaire pour devenir, in fine, la classe de la destruction de cette même Raison pour se maintenir au pouvoir. D’abord l’égalitarisme formel des droits de l’homme, puis l’égalitarisme mensonger de la démocratie parlementaire et enfin l’égalitarisme fou du LGBTIsme et de l’animalisme ! Après la promesse puis le mensonge, le chaos ! La modernité (et l'égalité à outrance) a durablement chassé du monde le principe aristocratique. L’inégalité (en particulier l'inéquité) règne donc en douce, honteuse et menteuse, tandis que le réel impose partout une évidence hiérarchique, que ce soit dans le monde animal, celui de la culture ou de l’entreprise…  Dans notre monde, cette contradiction entre aspiration à l’égalité, synonyme de justice, et impératif hiérarchique a été humainement résolu par la proposition du Christ, sa « loi naturelle » où la nécessité hiérarchique est tempérée, moralisée par le souci de l’autre, la compassion, le « aimez-vous les uns les autres ». Dans le livre, je démontre que ce chemin d’égalité, qui est tout autre que l’égalité formelle issu de la Raison mathématique et qui conduit au pouvoir technocratique, puise son origine dans la double composante de l’intelligence humaine, affective et cognitive, et que c’est de l’effacement de cette dimension de l’intelligence et du message du Christ que provient notre descente vers ce monde qui semble de plus en plus dominé par le diable… Sans renier Marx, je me retrouve donc radicalement chrétien en passant par le thomisme et Piaget ! L’homme, qui a été chassé du jardin d’Éden parce qu’il a mordu la pomme qui est le fruit de l’arbre de connaissance, a pu ainsi développer ses potentialités de puissance par la maîtrise des mathématiques appliquées. Mais s’il oublie, dans ce processus de puissance, le souci de l’autre, il va à sa propre destruction collective. C’est là que l’on comprend que la parole d’amour du Christ est aussi la Raison incarnée, le Logos… » (Alain Soral)
Il est aussi intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Comprendre l'époque – Entretien avec Alain Soral » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Comprendre-l-Epoque-visionnez-la-version-integrale-et-illustree-de-l-entretien-d-Alain-Soral-avec-66049.html
La mathématisation du monde devenue amorale en particulier au niveau économique et financier sert donc désormais seulement la domination des pervers mondialistes ultra riches. En effet cette pseudo nécessité de mathématisation de l'économie et donc de la politique sert seulement la forte oppression de l'hyper classe globaliste dans la lutte des classes.
En effet les mathématiques via les innombrables chiffres économiques, statistiques et prospectifs sont devenues un outil de manipulation et de contrôle, mais en réalité jusqu'à l'autodestruction à cause de l'hypercentralisme oligarchique et globaliste, puisque ce système finit même par se manger lui-même dont par les planches à billets nombreuses, la vaste dérégularisation et la globalisme massif. Surtout qu'avec l'idéologie wokiste, cette démocratie tend à devenir une dictature parfaite via l'IA ou le transhumanisme pour compenser les erreurs humaines voire remplacer l'homme, dont aussi afin de sauver la planète et plus l'humanité.
Ainsi « Il faut faire descendre l’intelligence dans le cœur. Les membre de l'occident politique ont fermé leur cœur, ils sont dans le rationalisme insensible et inéquitable, car au final follement égalitaire. L’orgueil humain fait qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de nous exposer leurs croyances, leur “religion”. Cela rejoint la question spirituelle car à un moment il faudra choisir. Cela n’est plus une question d’intelligence, c’est un choix spirituel, du cœur. » (Pierre-Antoine Plaquevent)
Surtout que l’égalitarisme actuel
devenu un totalitarisme égalitariste correspond en plus au culte impie de l’indifférencié au niveau naturel, familial, ethnique et national (arasement de toute les différences même sexuelles à travers la possible transsexualité), car ces deux premiers niveaux sont évidemment anti-monothéisme authentique et les deux derniers appartiennent au monothéisme authentique seulement en cas d'union pieuse au sein d'un califat ou d'un empire chrétien. Or pour gérer au mieux l'équité qui est la véritable égalité, le monothéisme authentique est logiquement et donc dignement hiérarchique dans l'indépendance, afin que le dirigeant politique soit le plus libre de jugement pour rechercher la meilleure noblesse dont donc dans des intérêts divergents en fonction du contexte. De plus le véritable égalitarisme serait normalement de donner les mêmes chances de réussir dont en vivant dès la naissance dans un bon domicile, un bon environnement et avec des moyens compensant les handicaps au moins physiques, ce qui est loin d'être le cas dans le pseudo système égalitariste occidental actuel, et ce qui prouve que l'égalitarisme parfait est impossible, et que l'équité est bien le meilleur chemin. Surtout que dans une conclusion contraire à sa prétention originelle, tout ce projet de l'égalitarisme a fini par faire de la démocratie un système contrôlé par la minorité oligarchique mondialiste, dominatrice, amorale, et donc inégalitaire, puisque n'hésitant pas pour son profit à restreindre voire effacer la religion, la liberté et même le peuple, comme le prouvent les manipulations ayant amené la franc-maçonnerie, la Révolution française, Mai 68, la crise de subprimes, le covid, l'inflation, la crise énergétique, la guerre en Syrie et la guerre en Ukraine. Il est intéressant d'écouter à ce sujet la fin de la vidéo de Youssef Hindi « "Comprendre l'époque" d'Alain Soral - Commentaire » à partir de la minuté 48 et 6 seconde à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=mB6tr6S6nuc
En sachant que les deux grands empires qui ont gagné la deuxième guerre mondiale ont été tout deux basés sur un principe égalitaire différent même si tous deux ont fini par comprendre comme le républicanisme égalitariste que l'existence de classes sociales est inévitable : l'égalité du marché pour les USA, et l'égalité de classe sociale pour l'URSS.
Or la laïcité égalitaire et antiraciste (gauchiste) est d'abord en réalité au service du judaïsme et de l'oligarchie inégalitaires (suprémacistes) se servant d'un discours de valeurs mensonger et manipulateur dont de défenses des minorités en particulier perverses comme les Lgbt. Dans ce sens pour garder le pouvoir, ce système a intérêt de faire baisser la conscience politique du peuple dont donc par le lgbtisme, mais aussi le contrôle de l'information en particulier des médias grand public, la pornographie, la dévalorisation du sacré, le féminisme, l'immigration massive de jeunes incultes, l'éducation à la sexualité, etc. C'est pourquoi le gauchiste voulant l'égalité et donc l'équité authentique doit donc sortir du gauchisme.

Ce pseudo égalitarisme favorisant en réalité les ultra riches est devenue la seule idée politico-médiatique autour duquel tournent le monde occidental et une grande partie de ses peuples. C'est donc un système de domination inégalitaire qui avance sous le masque de l'égalité. Ce qui n'est pas étonnant car le tyrannique égalitarisme à outrance est porté par le pervers américano-sionisme unipolaire et donc totalitaire par essence. Ainsi la vraie liberté ne peut être liée qu'à un monde multipolaire dont car permettant le choix de l'exil, ce qui est une des possibles raisons pour laquelle le califat ne fut pas mondial.
Le modernisme égalitariste occidental actuel ne prenant pas en compte le contexte, il peut même devenir un danger massivement mortel, comme si nous donnions les mêmes outils à un étudiant en médecine et à un professeur de médecine en diminuant les nombres de personnes soignées, plutôt que de donner plus d'outils à ce professeur de médecine afin que plus de personnes soient soignées.
Comme souvent afin d'égarer les humains dont à travers cet égalitarisme impie, le Diable peut utiliser un chemin de lumière pour pousser les hommes à se servir à outrance de certaines bonnes valeurs. Ce mal illicite est comparable dans le cadre légal religieux à l'excès de consommation d'un besoin comme quand quelqu'un mange trop de nourriture licite.
De plus la hiérarchie et la qualité des choses (nature divine des choses) s'oublient progressivement car notre époque ultra libérale amène désormais souvent principalement à voir et donc privilégier la quantité plutôt que la qualité, par exemples à travers la mesure de la température faisant oublier la qualité (nature) de la glace et celle du feu établies par Dieu, à travers le bas intérêt financier des opérations de changement de sexe, et à travers la gloutonne économie moderne n'hésitant pas à s'enrichir avec la quantité au détriment de la qualité comme le prouvent les restaurants MC Donalds. En effet comme selon l’idéologie libérale, la recherche du gain est nécessaire pour toute économie capitaliste si elle veut prospérer, elle doit aller au-delà de ses besoins même concernant des territoires géopolitiques, à la différence du califat s’accommodant de la stagnation grâce à ces divines et donc excellentes lois divines. Il faut donc plutôt au moins s'engager pour la qualité en même temps que la quantité.
Ainsi plutôt que de tendre vers l'égalitarisme formel et donc fou et donc impie du progressisme wokiste, il faut bien revenir à l'égalitarisme réel et donc juste et donc pieux de l'équité authentique, dont donc par une nécessaire et ainsi respectable hiérarchie noblement indépendante. En effet cette dernière tendra à la meilleure équité dans la plupart des domaines par sa logique défense des valeurs supérieures tels la vision collective, le bien commun, l'intérêt général, les particularités de toute entité, le respect pour autrui et le partage.
-loi totalitaire validant l'écoute téléphonique, en sachant que le système peut écouter les conversations via les Box Tv, les télécommandes de Box, et les consoles de jeux vidéos ainsi que tous les appareils avec un micro connectées.
-pour éviter la concurrence du peuple avec le grand capital, honteuse clause d'honorabilité distribuée à discrétion par les milieux autorisés, nécessaire pour créer une assurance ou une banque.
-subsistance de base divinement gratuite généralement désormais souvent privatisée et payante comme l'eau, certains terrains pour y construire une demeure, des aliments transgéniques brevetés, la fabrication du vivant comme la viande, le système immunitaire naturel (avec les vaccins ARN) et même l'oxygène (à travers la taxe carbone et le masque sanitaire). Il faut tout de même noter qu'il est logique de faire payer certains éléments comme l'eau et l'énergie, car cela permet d'éviter leur utilisation abusive. Mais pour les pauvres un juste milieu gratuit ou une aide financière pour leur consommation raisonnable doivent être offerts.
-obligation désormais de passer par un médiateur payant avant d’aller au tribunal prétendument ou volontairement surchargé. Or le médiateur devant être payé par le plaignant coûte dans les 3 000 euros, et c’est lui qui décide si l’affaire mérite d’être présentée au tribunal. Ceci prouvant que même la justice étatique a été accaparée par les très riches.
-divers sujets ou actes choquants évoqués médiatiquement par avance dans une forme de communication subliminale pour préparer le peuple à accepter plus facilement des mesures gouvernementales liberticides.
-suspension (levée) et non abolition (suppression) des mesures liberticides sanitaires, en plus non dénoncée par les médias, la justice et les comités sanitaires, ce qui prouvent le naufrage de ces institutions. Les grands médias sont même devenus honteusement des lanceurs d'injonctions formatant et infantilisant le peuple pour cacher la tyrannie oligarchique du système. Or avec le nouveau narratif du système concernant la guerre entre la Russie et l'Ukraine, la levée est passée à suppression probablement temporaire.
-déplorable désignation par la système de la droite patriote dont anti-avortement d' « ultra » voire de « nazi », alors que correspondant à la gauche républicaine des années 80.
-prétendu souci grandement erroné du gouvernement français de vouloir protéger la sécurité du pays, car Moscou ne cesse d’affirmer qu’il n’a évidemment aucune intention d’envahir l’Europe qui est sous l'OTAN. Rien ne permet de démontrer l’expansionnisme russe dont se repaient politiciens occidentaux et médias mainstream, alors que tout indique l'expansion de l'OTAN. La Russie justifie son implication en Ukraine ainsi : préoccupée par la sécurité de ses frontières face à l’expansion de l’OTAN vers l’Est, elle se devait d’agir (voir le Communiqué de presse du Ministère russe des Affaires étrangères du 17/02/2022). Rappelons-nous en effet que des accords tacites, érigés entre les Etats-Unis et l’URSS, puis la Russie, assuraient la non expansion de l’OTAN plus à l’Est. Or, cet accord a été enfreint dès 1999, et l’expansion s’est poursuivie année après année. Qui plus est, au lendemain de la révolution de Maïdan, un réseau d’espionnage de la CIA a été mis en place le long de la frontière russe, selon un article du New York Times. Quant à l’installation de laboratoires biologiques aux frontières de la Russie pour développer des armes létales, l’ex sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques des États-Unis, Victoria Nuland, a nourri la rumeur en affirmant : « L’Ukraine possède des installations de recherche biologique. Nous craignons que … les forces russes ne cherchent à en prendre le contrôle. » Il convient d’insister sur les différents recours diplomatiques auxquels a procédé la Russie afin d’éviter toute intervention militaire en Ukraine.
-menace russe pouvant être utilisée pour la cohésion de l'UE. Or la guerre de l'UE est aussi intérieure contre les peuples, ce qui signifie que le système est dans une guerre très risquée à deux fronts, car ces peuples deviennent les alliés objectifs des russes. Surtout que cette guerre étant en grande partie religieuse, celui qui la perd sera donc considéré du côté du mal car Dieu n'aura pas été avec lui.
-Covid et Russie désignés comme bouc émissaire pour amplifier l'inflation, la guerre énergétique et la crise économique planétaire servant la monopolisation oligarchique jusqu'à la tyrannie du grand reset globaliste voulu par les membres de l'hyper classe du forum économique mondial de Davos.
-existence de 280 taxes et impôts divers en France au lieu de la seule zakat (impôt unique de l'islam) dont la valeur est 2.5% prélevé sur tout montant d'argent et toute quantité de denrées non périssables supérieurs à 3 000 euros thésaurisés pendant un an, pour que cela soit donné à l'Etat et son fonctionnement dont pour construire les routes principales, entretenir l'armée et soutenir les faibles (orphelins, veuves, handicapés, pauvres), et pour que cela incite à investir. Surtout que les multinationales sont beaucoup moins touchées par ces taxes et impôts français que les PME et les citoyens.
-industrialisation de l'agriculture et contrôle voire achat progressifs par le groupe international Mosanto de toutes les terres cultivables du monde amenant un dangereux monopole dans le secteur agricole et appauvrissant donc toujours plus les agriculteurs indépendants qui devraient s'unir pour rivaliser.
« Les terres agricoles françaises sont devenues un nouveau terrain de jeu pour les multinationales. Les terres agricoles françaises, autrefois protégées par des lois séculaires, sont en train de se transformer en marchandise. Alors que le monde paysan français fait face à une crise des vocations et à un vieillissement problématique, un phénomène inquiétant se profile : l'accaparement des terres par des multinationales et des fonds d'investissement. Depuis une dizaine d’années, des entreprises comme Fleury Michon, Auchan, L’Oréal, Alto ou Chanel, ainsi que des sociétés étrangères saoudiennes ou chinoises, manifestent un intérêt croissant pour les terres agricoles françaises. Ces nouveaux propriétaires fonciers, opportunistes, achètent des hectares de bonnes terres cultivables, souvent au mépris des lois en place depuis le Moyen-Âge. Les jeunes agriculteurs, face à des prix du foncier en hausse, sont contraints de se tourner vers le salariat, souvent précaire et mal rémunéré. Cette situation pourrait avoir des répercussions dramatiques sur la diversité, la productivité et la réputation de nos produits agricoles. » (Média en 4-4-2)
Les grandes manifestations des agriculteurs en 2024 ne sont pas un phénomène allemand, mais le symptôme d’une politique mise en œuvre dans tout l’Occident pour redistribuer les terres agricoles des petits agriculteurs aux grandes entreprises. Mais ce n’est qu’une partie d’un programme beaucoup plus vaste. La suppression de l’exonération fiscale du diesel agricole a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, l’étincelle qui a allumé un feu de la protestation. Le mécontentement, qui couvait depuis longtemps contre la politique « verte » insensée et destructrice et contre la manière arrogante avec laquelle elle est imposée par l’UE et la coalition « Feux tricolores » (socialistes, libéraux et verts) au pouvoir à Berlin, a éclaté en une gigantesque vague de manifestations et de rassemblements. Dépassant le monde agricole, des chauffeurs de camion et de bus, des enseignants, des médecins, des artisans, des boulangers, des restaurateurs et d’autres personnes touchées par les différentes coupes (qui doivent notamment servir à financer les budgets de la défense et de la protection du climat) se sont joints aux manifestations. Ce mouvement des paysans allemands commence à s’étendre en Europe : l’Allemagne commence à souffrir économiquement et socialement de la politique pro-américaine, et donc anti-européenne, de l’Amérique, qui est un faux allié. Et avec la Russie, l’Europe de Leyen a un faux ennemi. Tout est inversé, aujourd’hui.
« Les revendications de Sébastien Béraud, éleveur de Haute-Loire, s’articulent autour de la nécessité de réformer le système agricole, incluant la Politique Agricole Commune (PAC), les accords de libre-échange, et les pratiques de facturation. Selon Sébastien, les subventions ne résolvent pas les problèmes réels des paysans qui demandent des prix équitables plutôt que des aides déguisées. « On essaie de monter un mouvement indépendant, parce qu’on n’a pas envie de partir avec les syndicats, parce qu’on se fait souvent trahir, et on n’a pas le temps d’arriver au bout, on a déjà été vendu. » L’homme pointe du doigt le rôle de la FNSEA, principal syndicat agricole, qu’il accuse de ne pas défendre véritablement les paysans (et dont le président appartient en plus curieusement aux seigneurs de l’agrobusiness). Il dénonce le monopole exercé par de grands groupes agroalimentaires sur les prix du lait, soulignant le manque de concurrence dans le secteur. Malgré l’existence de syndicats alternatifs, la FNSEA conserve une influence prépondérante, explique-t-il, en raison de la division des voix lors des élections. « La FNSEA, c’est un syndicat de l’agroalimentaire, de tout ce qui tourne autour de nous, des coopératives, aussi bien d’achat que de vente de produits. Donc, ils sont plus là pour défendre les paysans. Ils sont la tête de l’Europe. Ils sont là pour signer les accords de libre-échange, en fait. Ce sont nos bourreaux. (La FNSEA est donc comparable au MEDEF du monde agricole, surtout qu'elle est gérée par certains globalistes et n'a pas bougé auparavant alors que de nombreux agriculteurs modestes se pendaient, mais seulement quand les grandes exploitation ont commencé à être touchées par le système de l'UE.) » » (Le Média en 4-4-2)
Il y a donc une grande divergence chez les agriculteurs après l'appel à la suspension des blocages par la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs. Loin de faire l’unanimité, une note des RG va enfoncer le clou concernant les syndicats puisqu’une révélation du journal Le Monde annonce que la FNSEA exerçait une pression sur les pouvoirs publics pour stopper les convois. Pour être plus explicite, la FNSEA a demandé à la police d’intervenir contre les agriculteurs.
De plus il existe en France une concurrence déloyale dont par rapport au prix du coût du travail, à la taxe sur le carburant et aux normes moins nombreuses d'autres nations, surtout que c'est lié à des traités de libre-échange. Ainsi le prix de vente est fréquemment inférieur au coût de production pour les agriculteurs français et les subventions européennes devant aider à relever le niveau général des économiques européennes (au moins momentanément ou/et une année sur deux) ne suffit plus à équilibrer l'équité, car le but était en réalité au final de tout amener vers le bas au profit des industriels, des multinationales et donc des oligarques souvent mondialistes, dont en accusant les français de mal acheté et les industriels de mal commercé malgré que le système le permette ou plutôt y pousse par l'appauvrissement du peuple. (Or il est étonnant que la sanction évitant à la Russie de vendre plus cher son pétrole en Europe plutôt que d'abord via l'Inde, l’Europe s'appauvrisse aussi dans ce sens, ce qui fait relever le niveau économique d'un pays comme l'Inde.)
« L'agriculture a pour objet de nourrir les gens pas de mettre en concurrence les paysans de la planète. » (José Beauvais)
En plus les agriculteurs européens viennent de voir 50 milliards leur passer sous le nez en 2023 pour aller en Ukraine et dans la poche de son proxénète l’Amérique. Car non seulement Kiev les transformera en armes (et en corruption), rallongera la guerre et les souffrances du peuple ukrainien, mais aussi subventionnera une agriculture prédatrice qui achèvera les derniers petits producteurs européens au coût de production plus cher que ceux oligarchiquement industriels ou ceux extra-européens.
« La politique de l’UE en matière agricole est claire : on dégage le petit producteur français, et on importe massivement la production venue d’Ukraine, qui ne coûte pas cher (un paysan ukrainien gagne 250 euros par mois) et qui n’est pas soumise aux normes, les fameuses normes européennes qui sont justement faites pour tuer notre agriculture. Ceux qui en savent un peu plus sur l’Europe et l’agriculture rappelleront que l’Ukraine est déjà entrée dans l’UE en douce, et qu’elle est le cheval de Troie de l’agriculture américaine. Une bonne partie des terres agricoles ukrainiennes (productrices de blé) ont été achetées par trois compagnies américaines contre l'avis des paysans et c'est Zelensky qui a forcé l'achat. Le problème profond est là. C’est pour ça que le couple Leyen-Macron est pour la guerre en Ukraine, pour la destruction de l’État ukrainien, pour la corruption, et pour l’esclavagisation de leurs peuples, surtout que le système globaliste pouvant de moins en moins piller les autres nations dont les résistants Niger, Mali et Burkina faso, il s'en prend de plus en plus aux peuples riches d'occident. Un projet tout simplement nazi, dans le genre Lebensraum, où l’UE aurait remplacé la Grande Allemagne. Les dégâts, on les voit chez nous : deux paysans se pendent chaque jour. Et tous ceux qui s’opposent à ce projet authentiquement fasciste sont traités de fascistes. » (Rédaction ER)
D'ailleurs le libre échange renforce seulement les forts, alors qu'il est inutile voire nocif dont économiquement et écologiquement quand la production nationale a atteint un grand niveau, en particulier jusqu'à pouvoir exporter après avoir était suffisante à sa population.
Par conséquent il faut retrouver la souveraineté voire une autonomie alimentaires, dont en comptant sur le soutien des citoyens pour privilégier une consommation locale.
Ces manifestations des agriculteurs, initialement observées en Allemagne, se sont transformées en un mouvement continental exprimant un mécontentement généralisé envers les politiques agricoles de l'Union européenne.
Le monde paysan, qui pèse encore 300 000 exploitations (contre 900 000 en 1992), est un monde disparate qui s'est donc centralisé vers les plus riches sans beaucoup perdre le niveau d'exploitation nationale agricole quoique 40 % de la consommation alimentaire en France provient de l'importation (ce qui permet la paix sociale à travers des bas prix vu que les bas salaires stagnent depuis des décennies, et donc aussi menace alimentairement le peuple en cas d'arrêt de cette importation puisque contrôlée principalement par les ultra-riches, alors que la France pourrait normalement nourrir 500 millions de personnes à elle seule, ce qui en fait possiblement avec la Russie et le Brésil les premiers greniers à nourriture du monde, et qu'avec l'Europe, elle pourrait donc profiter au niveau de ses ventes agricoles du développement de l'Afrique au climat souvent compliqué et qui aura toujours plus besoin de se nourrir), mais où les petits luttent donc toujours plus pour leur survie dans un monde en voie d’ultralibéralisation dont via l'Union Européenne. En effet à l’origine de leurs problèmes, sauf pour ceux qui touchent des subventions de la PAC, se trouve l’Union européenne. Certains profitent de l’Europe, d’autres pas. Alors que la France était le deuxième exportateur mondial au niveau agricole, elle est même passée maintenant en dessous du cinquième rang. Ceux qui en profitent le plus sont généralement les grands propriétaires terriens synonyme d'industriels agricoles, puisque les subventions européennes sont proportionnelles à cela. On découvre que l’Ukraine, via ses produits à très bas coût (le salaire moyen de l’agriculteur ukrainien est de 200 euros !), est déjà entrée dans l’UE, et va accélérer la disparition de la petite paysannerie française.
La révolte agricole en France est donc aussi un appel à l’action contre les seigneurs de l’agrobusiness. Les agriculteurs sont encouragés à résister contre les seigneurs agricoles, les monopoles industriels, les lobbys et les politiques qui les exploitent. La nécessité de construire une agriculture française durable et transmissible de génération en génération devient ainsi importante. Dans ce sens, il est important de créer des fermes et des épiceries solidaires.
Max du « Média en 4-4-2 » déplore la superficialité des débats autour du soutien aux agriculteurs, appelant à une réflexion approfondie sur les enjeux fondamentaux du modèle agricole. Il critique le recours massif aux pesticides et aux produits chimiques, pointant du doigt les conséquences désastreuses sur l’environnement et la santé publique. Il précise : « En 2024, on n’est pas capable d’avoir un modèle agricole qui produise de la nourriture de qualité, pour qu’on soit en bonne santé, qui protège la santé des agriculteurs et leur activité économiquement. En plus de ça, cela détruit l’environnement, et pire que tout, cela engraisse les industriels, les grands groupes, sur le dos de ceux qui s'épuisent à se lever à 5h du matin pour aller traire leurs vaches, pour aller dans les champs, faire tout leur métier que personne n’a envie de faire. »
« Jean-Jacques Le Moel, producteur de lait bio, exprime son indignation face aux propositions de Gabriel Attal, dénonçant une déconnexion totale des politiques vis-à-vis des réalités agricoles. Selon Jean-Jacques, les initiatives actuelles répondent à un agenda 2030 axé sur la réduction des émissions de carbone, mettant ainsi en danger la survie des paysans. Jean-Jacques Le Moel critique vivement les objectifs de diminution des émissions de carbone d’ici 2030 et 2050, soulignant l’importance du carbone dans la photosynthèse et la production d’oxygène. Selon lui, les politiques sacrifient délibérément les agriculteurs au profit de cet agenda, laissant les paysans « crever ». Il met en lumière l’hypocrisie entourant l’Agenda 2030 de l’ONU, qui, selon lui, conduit à une décroissance générale (seulement en partie puisque en faveur de la centralisation oligarchique de l'économie occidentale puis mondiale. C'est pourquoi l'énergie devient la priorité des priorités pour contrer ce révolutionnaire mondialisme oligarchico-écologiste, comme le prouvent l'affaiblissement de la France à cause de la coercition de l'UE contre EDF (qui pourrait vite redevenir un très bon pilier de l'économie française et même de l'Europe par une nouvelle mise en valeur de son parc nucléaire dont en sortant en plus du système de l'UE), et la désindustrialisation de l'Allemagne à cause de la destruction des sanctions contre la Russie et de la destruction des gazoducs Nord-Stream 2.) » (Le Média en 4-4-2)
Mais « Le haut des agriculteurs, ce sont les militants de la FNSEA, ce syndicat proche du gouvernement de droite et dont les membres éminents profitent des prébendes de l’Union européenne. En bas il y a la petite paysannerie, celle qui est étranglée par l’industrie agroalimentaire, la grande distribution et les normes européennes, quasi strangulatoires Les agriculteurs en colère luttent donc, à l’instar des Gilets jaunes, pour leur survie. Pour certains, il s’agit d’une survie économique, sociale, physique même ; pour les autres, de la survie de méthodes de production dont l’oligarchie ne veut plus. Si l’on se réfère au mouvement des Gilets jaunes, massif, populaire et trans-courants au départ, puis gauchisé et neutralisé à l’arrivée, on remarque que le mouvement paysan de 2024 y ressemble mais avec les éléments politiques et chronologiques dans un autre ordre : droitisé et contrôlé au départ, il dérape à l’arrivée. Si la grève n’a été déclenchée par la FNSEA, c’est elle qui négocie avec Attal-Macron, ce qui permet au gouvernement de se poser en pacificateur social à l’écoute des paysans. Or, comme souvent, la base déborde l’organisation oligarchique, et c’est ce qu’on peut voir avec l’incendie de la préfecture d’Agen. Le ministre de l'intérieur Darmanin, par un non-interventionnisme très inhabituel, prouve que la Macronie va résoudre le problème par le haut, les choses étant peut-être même arrangées depuis le départ. Cela donnera à Attal l’imprimatur social dont il a besoin pour les 2 ans qui viennent et qui mènent à l’échéance 2027. Tout cela se passe au-dessus de la vraie souffrance paysanne, qui va encore voir ses effectifs et revenus diminuer, sous la pression de l’oligarchie européiste, dont Macron est l’un des piliers. Les blocages de routes ne sont pas factices, la menace sur Rungis et Paris avec ses 3 jours de vivres n’est pas factice, mais tout laisse à penser que le petit Attal va en sortir grandi : les ingénieurs sociaux lui ont concocté une Gilets jaunes sur mesure, contrôlée partiellement de l’intérieur et de l’extérieur. Sarkozy, en octobre 2005, avait lui aussi, avec son équipe de conseillers, provoqué et organisé l’incendie des banlieues pour l’éteindre (difficilement, quand même) et finir en vainqueur de l’ordre et de la sécurité à la présidentielle 2007. (D'ailleurs quand un politicien dit qu'il va arranger les choses en supprimant ou baissant une taxe que le système a créée ou augmentée comme c'est la cas avec Attal, il y a vraiment de quoi se poser des questions à ce sujet et sur le véritable sens d'une bonne décision en faveur du peuple. Surtout qu'aller dans le sens du social n'a pas eu lieu pour les gilets jaunes et les retraites. Or cette préparation oligarchique peut aussi être synonyme dela peur du peuple. Le pouvoir, qui craint l’émeute comme la peste, n’a pas oublié – les traumas se transmettent – l’affaire de Montredon-des-Corbières. C’est l’historien Mickael Wilmart qui nous la remet en mémoire dans un thread. Cela explique peut-être pourquoi les forces de l’ordre n’osent pas trop tabasser les paysans. La vraie colère populaire est la hantise des gouvernants, mais surtout des mauvais gouvernants, qui réagissent par la panique et par une répression d’autant plus féroce qu’ils sont généralement lâches. Car les élites mondialistes ont tenté d’annihiler les paysans locaux. En effet rien de plus éloigné du producteur sédentaire que l'oligarchique nomade parasite apatride... Or « Quand l’agriculture était en honneur, il n’y avait ni misère ni oisiveté, et il y avait beaucoup moins de vices. » (Jean-Jacques Rousseau). « Et justement, le vice, c’est l’essence même de ces élites. Il est temps de se réveiller, car on obtiendra rien de cette bande de psychopathes incestueux, drogués, partousards et libertins. Mettez tous les vices que vous voulez, ils les possèdent tous. » (Arthur Sapaudia)) Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas, dans ce soulèvement général, un vrai soulèvement, mais ce dernier, sincère, non contrôlé, est voué à l’échec. S’il n’est pas contrôlé par les organisateurs du mouvement, il sert leurs desseins, car les révoltés sont comme des chiens fous tenus, sans le savoir, en laisse. Leur violence, qui donne sa crédibilité au mouvement et leur force aux revendications, sert de fer de lance aux organisateurs. La politique est impitoyable. Tout cela n’empêche pas un vrai débat autour de l’agriculture française, sa survie dans le libéralisme européiste, son poids politique par rapport à l’écologie, et sa lutte des classes interne. Un débat qui génère quelques règlements de comptes. » (Rédaction ER)
« Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. A l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. (Et dans ce sens) comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). (C'est à dire que) la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. (Ace sujet) Jean-François Auzolle dénonce la PAC, la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… » (Média en 4-4-2)
Certains agriculteurs manifestent pour la forme, sachant que leur syndicat a déjà obtenu des avantages (que le grand public ne saura pas), d’autres pour leur survie.
Trop de normes bureaucratiques, revenus trop bas, inflation, concurrence des produits étrangers, flambée des prix du carburant : la litanie des revendications se retrouve donc dans la plupart des pays confrontés au mécontentement agricole. Cependant selon la vidéo « Les paysans trahis une fois de plus par le syndicat » la chaîne youtube « Philippe est dans le pré », le problème principal des agriculteurs en France est que les marges de l'industrie agroalimentaire et des grandes surfaces ne sont pas encadrées via un code tel celui de la route avec les quatre centrales d'achat(, c'est à dire cette industrie et la grande distribution se gavent sur les dos des agriculteurs). De plus Philippe évoque l'importance de changer la fiscalité en prélevant l'impôt sur le salaire des paysans touchant en moyenne entre 500 et 1200 euros, et non sur le bénéfice de l'entreprise qui n'est pas un revenu réel. Il précise aussi que l’État doit mettre un terme à l'imposition sur les droits de succession de terres agricoles, car ce sont des investissements lourds non rentables, puisque ils dégagent pas plus de 2% de bénéfices alors que nourrissant la population, tandis que l'industrie en dégage autour de 20% et les services au-delà de 25 %. Enfin il propose d’arrêter le libre-échange pour aller vers un échange basé sur la coopération, car sinon cela a un très mauvais impact sur l’économie, les emplois et la souveraineté. Par conséquent, Philippe conclue qu'il faut arrêter la diversion avec les écolos, les normes et les GNR, puis refondre un modèle basé sur une meilleure répartition de la valeur entre producteurs et acheteurs de l'industrie agro-alimentaire.
« Il y a plusieurs raisons à la crise actuelle des agriculteurs, mais une revient comme un mantra : l’Union européenne et la « hyène » Leyen. Pas seulement pour les normes à la con, mais surtout pour la porte ouverte aux importations massives des grands pays exportateurs (Brésil, Argentine, Ukraine), importations à bas coût et de basse qualité qui tuent les producteurs français. Sur le plateau de CNEWS, l’éleveur Béraud, dont le TikTok cartonne, balance la sauce à la gueule de tout le monde : journalistes flippés et traîtres politiques : « Je voudrais rebondir sur les accords de Mercosur que vous nous dites, OK, mais y a pas que ça. Y a eu les accords de Nouvelle-Zélande qui vont faire importer du lait alors qu’on sait pas quoi faire du lait français ! (...) Y a trois jours c’était les accords avec le Chili, tous les jours on dirait qu’ils nous provoquent, mais ils veulent vraiment le chaos ! » « Il y a 2 morts par jour, 50 exploitations qui disparaissent tous les jours, on peut plus, monsieur. On est à 300 euros, les députés ils ont pris 300 euros d’augmentation, les sénateurs 700, on se fout de notre gueule, ils nous poussent à bout ! » « Tous les jours il y a des accords de libre-échange, donc la seule solution, moi j’en vois pas d’autre, les mesurettes ils arriveront jamais à calmer la détresse des agriculteurs, ils n’y arriveront pas ! La seule solution, en plus c’est nous les éleveurs qu’on est tributaires de cette folie de von der Leyen, cette hyène, mais elle est complètement folle cette femme, signer des accords de libre-échange toutes les semaines, pour faire entrer quoi ? De la viande alors qu’on sait pas quoi en faire de la viande en France, la nôtre elle part en Chine et on fait entrer de la viande aux hormones, nous on fait du label limousine, charolais, Aubrac, on fait rentrer de la viande aux hormones défiant toute concurrence d’Argentine... » « Ils veulent faire disparaître l’élevage pour nous mettre leur farine d’insectes, leurs steaks cellulaires avec l’intelligence artificielle, ils vont multiplier les cellules-souches dans des entrepôts où il y aura un bilan carbone soi-disant très bon parce qu’ils auront un impact au sol très faible ! (...) Ils veulent vous faire manger des choses que vous avez pas envie parce qu’ils veulent vous nourrir à pas cher parce que demain, le consommateur français n’aura plus un rond pour pouvoir se nourrir... » Conclusion : les paysans français n’ont rien à attendre du pouvoir, des mesurettes d’Attal ou des promesses de Macron, un exécutif qui est inféodé à la Commission européenne, qui elle-même travaille pour l’ennemi, c’est-à-dire le mondialisme destructeur des productions nationales.  Nous sommes bien en guerre, mais pas contre les Russes. (L'UE peut donc être étonnamment comparée à l'URSS 2.0 puisque la commission est tel un nouveau politburo (du comité central soviétique), dont car toutes deux sont de la bureaucratie non élue mais grande décideuse. En sachant que l'économie de pénurie à cause de la guerre, d'une crise énergétique ou d'une inflation massive correspond au plus grand contrôle oligarchique puisque rationnant la population par des tickets ou des euros numériques réservés à certaines consommations.) » (Rédaction ER)
Les antifascistes, dans leur lutte supposée contre l’oppression, ne devraient pas se comporter en agents de la censure et de l’intimidation. Leur action aveugle ne fait que discréditer leurs revendications et porter atteinte à la liberté d’expression. Il est également nécessaire de rappeler les paroles de Lionel Jospin, qui soulignait qu’au cours des années du mitterrandisme, la France n’a jamais été confrontée à une menace fasciste réelle. Trop souvent, le discours antifasciste est galvaudé et utilisé à des fins politiques sans lien avec la réalité du contexte. Rappelons-nous également qu’il y a un an, des antifas agressaient à Lyon « Les Masques blancs » en mettant à la poubelle les portraits des victimes du vaccin et ne participant à dénoncer l'oppression liberticide des mesures sanitaires lors du covid, voire en accusant ce mouvement apolitique d'antisémites, similairement au fascisme des chaînes TV du système comme BFM TV. Il faut en finir avec cette arnaque de ces antifas.
« La Macronie a poussé sa caricature du libéralisme jusqu’au bout : l’exécutif français est désormais officiellement une caste baignée dans l’entre-soi. Plus que le symptôme d’une déconnexion, c’est la preuve d’une séparation. Une séparation voulue par cette élite parisienne de technocrates pour laquelle le travailleur français est une variable d’ajustement à contenir et à « redresser ». La réforme des retraites avait acté la rupture institutionnelle, la récente loi sur l’immigration censurée par le Conseil d’État dans le dos de la représentation citoyenne la confirme. En 2024, le Parlement n’a plus de raison d’être ; sauf qu’il reste trois ans de gouvernance à la Macronie, c’est-à-dire trois ans de réformes à imposer à la France périphérique donc autant de 49.3 et de passages en force. Seule (sans le soutien des parisiens), la révolte du secteur primaire ne suffira sûrement pas à faire chuter le régime en place et donc à changer les choses, si tant est que ce soit son objectif ; rejointe par d’autres actifs essorés par la gestion rothschildienne dans une perspective de défense légitime des intérêts des travailleurs, la perspective s’élargit.  C’est là où cet outil historique des syndicalistes révolutionnaires de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qu’est la grève générale fait figure de déterminant. Utilisée en réaction à l’usage de la force étatique légale par la bourgeoisie, elle permit aux prolétaires de l’époque d’éviter toute compromission politique et interdisait toute corruption par la « paix sociale ». Quoi qu’il en soit, les dés sont jetés depuis longtemps pour la Macronie : son destin est de devenir officiellement un État policier chargé de taxer toujours plus les Français sans leur garantir aucun service et aucune qualité de vie réelle en contrepartie. Et pour achever sa mutation, cet État sera obligé de toucher d’une manière ou d’une autre à la Constitution, ce qui, dans le contexte décrit ci-dessus, équivaudra à convoquer un Congrès revanchard et politiquement… assiégé !  La révolution est souvent une question de timing, au-delà des divisions de principe… Il faut pousser. » (Extraits de l'article « Du siège de Paris à la grève générale ? » de Pierre de Brague à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Du-siege-de-Paris-a-la-greve-generale-74868.html)
N’ayant gagné que quelques miettes, sans avoir pu remettre en cause tout un système de taxes, de normes, de concurrences déloyales mais aussi le poids écrasant de l’Europe, les petits ou faibles  agriculteurs sont pour l'instant abandonnés par ceux-là même qui ont juré sur les plateaux de télévision les avoir compris et prendre en compte leurs revendications. Mais si les paysans échouent à Rungis, les barrages continuent en France et des centrales de logistique de la grande distribution restent bloquées ou devraient l’être bientôt. On verra si le gouvernement et le système les déconsidéreront dont en les arrêtant possiblement pour les pousser à vouloir stopper leur profession par désespoir au traités de libre-échange augmentant cupidement les bénéfices et donc au profit de l'industrie agro-alimentaire centralisant avidement l'économie.
Cette crise agricole a donc soulevé des questions plus larges sur l’avenir de l’agriculture française et européenne, et sur la nécessité de repenser notre modèle alimentaire pour plus de durabilité et de justice sociale.
Or sans surprise suite à cette manifestations des agriculteurs par rapport aux traîtres dirigeants mondialistes et ploutocratiques, rien n'a été fait sur la fiscalité ni sur les prix devant être à hauteur des coûts de production ni donc sur la rémunération des petits agriculteurs ainsi que sur le manque annuel de 50 000 à 80 00 euros sur un an par de nombreuses exploitations agricoles, ni donc concernant les 700 suicides d'agriculteurs annuellement.
Il faut noter qu'en France, l'importation alimentaire représente 40% de la consommation, ce qui rapproche de devenir dépendant d'autres pays géo-stratégiquement comme du Brésil, de la Nouvelle-Zélande et d'Australie. D'ailleurs douze pays sont tellement exportateurs que la France peut descendre jusqu'à 80 % pourcent et toujours fonctionner.
« La géopolitique de la semence est un sujet complexe et fascinant. Le marché des semences est mondialisé, et celui qui contrôle les semences contrôle l’alimentation, influençant ainsi une grande partie de l’existence humaine. Des entreprises comme Monsanto, désormais Bayer, dominent ce secteur, mais elles ne sont que la partie visible d’un immense iceberg. Les semences voyagent à travers le monde, des containers de graines de tomates produites en Asie pour être cultivées en Amérique latine ou en Afrique, illustrant l’ampleur de ces échanges internationaux. Derrière ces opérations, des laboratoires de recherche monumentaux et des financements colossaux visent à maintenir une longueur d’avance sur la concurrence. Cette course à l’innovation pose des questions éthiques et environnementales, notamment sur la diversité génétique et l’adaptabilité des cultures face aux changements climatiques. Les producteurs locaux, souvent regroupés en coopératives, jouent un rôle crucial dans la préservation de cette diversité, essentielle pour l’avenir de notre alimentation. » (Média en 4-4-2)
Pour amplifier ses achats et sa domination sur de plus en plus de terres cultivables du monde, le groupe cupide et dominateur Mosanto dépose même d'abjects brevets de créations alimentaires, puisqu'il est honteux de breveter le vivant par la modification génétique de divers fruits ou légumes, dont afin que les agriculteurs locaux voulant continuer de travailler après la perte de leurs terres au profit de Mosanto doivent toujours plus acheter leurs semences ne se renouvellant pas et leur insecticide les appauvrissant toujours plus car le besoin d'insecticide augmente chaque année suite à l'étrange adaptation des insectes. Déposséder les paysans de leur terre jusqu'à l'expropriation dont en Hollande sous prétexte écologique, est un des buts principaux des mondialistes. Aux USA les cinq plus grands milliardaires détiennent la très grande majorité des terres agricoles. La fin de ce droit de propriété finira par une gestion oligarchique de ce qui est cultivé et mangé, et le moins bon et moins savoureux sera pour le peuple, et le meilleur sera pour les élites perverses, car ces dernières n'hésiteront pas à augmenter leur mage au maximum même ainsi. Et si l'industrie pharmaceutique pousse les Etats à être contre la médecine naturelle, c'est justement parce qu'on ne peut pas breveter une plante. D'ailleurs la loi contre le sectarisme peut servir à empêcher les voix dissidentes même scientifiquement sanitaires, jusqu' à l'abjecte autorisation la dénonciation suite discussion privée, digne de la gestapo. Dans ce sens, la tendance lourde du transhumanisme et de l’ingénierie sociale consiste en plus à le placer le vivant entièrement sous contrôle informatique. Ce système de vente de semences stériles OGM devant être protégées par toujours plus de produits chimiques devient donc souvent encore plus perversement du monopole. Surtout qu'inévitablement, cela est fréquemment validé par des gouvernements de pays pauvres se maintenant donc dans le sous-développement et la dépendance alimentaire, d'autant plus quand on veut faire de l'Afrique un continent à l'énergie verte possiblement insuffisante. Or ces dangereux OGM dont car protégés par des pesticides dangereux pourraient en plus servir à accélérer la dépopulation, surtout qu'ils ont toujours subi peu de contrôles sanitaires dont sur les effets à long terme.
Mais l'organisation « Semences sans frontière » et l'entreprise Kokopelli luttent honorablement contre cela en soutenant des projets de culture vivrières par des semences reproductibles commercialisés voire offertes et des conseils donnés dont sur la réalité de l'agriculture, la gestion d'une culture et le meilleur rendement en nutriment. Il est possible de voir à ce sujet la vidéo « Documentaire : Kokopelli, un monde en semence » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=uqGLFxrydEU&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ&index=1
Des multinationales très perverses veulent donc même centraliser pour leur profit oppressif la production décentralisée et gratuite de la nature, comme le prouve le raisin OGM sans pépin de Mosanto, c'est à dire en stérilisant la nature et l'occident pour créer des marchés contrôlables par un monopole. Le capital permettant la centralisation monopolistique dans des États autoritaires, ou pauvres ou prétendument libres et démocratiques s'oppose ainsi en réalité au libéralisme bien compris, c'est à dire à celui décentralisé. De plus dans de nombreux cas, comme lorsque les brevets génétiques de Mosanto donnent des plantes plus fortes, cela correspond en réalité au bout de trois ans à une grande perte de revenus pour les agriculteurs, puisqu'il y a un besoin en eau grandement supérieur pour les irriguer, en plus donc du non renouvellement des graines qu'il faut par conséquent leur racheter et d'une utilisation de glyphosate dans leurs herbicides toujours plus nécessaires détruisant en outre gravement toute autre plants naturelle comestible. En Inde les conséquences néfastes de cette agriculture ont été vastes.
-injuste vente à la découpe des fleurons de l’industrie aux multinationales apatrides. Or si un pays ne possède ni les matières premières de base, ni les usines, ni le marché, c’est-à-dire ni la production, ni la transformation, ni les clients, une industrie finit logiquement par se délocaliser en se rapprochant vers un ou plusieurs de ces éléments. Sauf qu'avec le mondialisme, c'est plutôt souvent cupidement organisé dans des pays pauvres pour gagner plus d'argent sur l'heure travaillée. Il est intéressant de voir à ce sujet l'excellente intervention suivante concernant la perte de souveraineté énergétique de la France alors qu'elle était leader de la production d'électricité en Europe : « Souveraineté énergétique de la France : "Il faut se réveiller", enjoint Arnaud Montebourg » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=Ca3FdfOM5-8
Aujourd’hui, les sales petites tractations des ultralibs, qui vendent les meilleurs morceaux de la France au plus offrant (en général américain), ont remplacé les grands travaux, ces avancées technologiques productives qui ont fait la richesse et la gloire de notre pays. Il n'y a plus de vision, plus d’intérêt commun, qu’une oligarchie qui se gave et qui pille le trésor national. Et ce, à tous les niveaux. Aujourd’hui, comme l’écrit Todd dans sa chronique du Point, on ne produit plus, on consomme. Et on est dirigés par des dingues. L’OTAN perd même sa guerre contre une Russie dont le PIB représente 3,3 % du PIB de l’Occident. Nos économies apparaissent pour une part fictives, sur le point de se décomposer.

« Une civilisation se juge selon la manière dont elle juge les paysans. Et ramener le problème paysan au seul problème économique est déjà une forme de mépris. Certes, il ne saurait être question d’une sentimentalité utopiste de « retour à la terre » et les pâtres enrubannés et sentencieux appartiennent au domaine de la littérature édifiante et non à celui de la révolution politique. Il ne s’agit pas de savoir s’il y a trop de paysans ou pas assez, si c’est un bien ou un mal qu’en cinquante ans, de 1910 à 1960, la classe paysanne soit passée dans la nation française de 70 % à 20 % seulement. Il ne s’agit pas seulement de statistique. Il s’agit d’abord de respecter les hommes et les femmes de la terre en tant que tels : les paysans sont des producteurs ce qui est déjà hautement louable dans une société qui sécrète tant de parasites, mais ce sont aussi et surtout les dépositaires d’un certain nombre de vertus. Un homme comme André Siegfried l’avait parfaitement compris, quand il écrivait : « L’agriculture n’est pas seulement une technique de production, c’est un genre de vie impliquant toute une conception de l’homme. » Ce n’est pas diminuer les fraiseurs-ajusteurs ou les oto-rhino-laryngologistes, les agrégés de l’Université ou les contrôleurs du Métropolitain, que de reconnaître aux vignerons, aux herbagers ou au riziculteurs un certain nombre de qualités spécifiques que les citadins ne possèdent pas ou ne possèdent plus, parce qu’ils ne sont pas, comme les paysans, liés à un village et à un terroir, au vent et au soleil, à une maison et à une lignée. Par essence, la paysannerie est opposée à tout ce qui cherche à nier le réel, à tout ce qui veut imposer l’abstraction et l’uniformisation. Le paysan sait que les terres et les hommes sont différents parce que telle est la première Loi qu’il constate tous les jours. Il peut distinguer un bon champ d’un mauvais, comme il sait reconnaître un bon ouvrier d’un feignant. Une saine méfiance paysanne place l’expérience vécue et personnelle à la source de toute opinion. Ces individualistes qui savent s’associer, et qui devront de plus en plus s’associer pour survivre, sont profondément rebelles à tout collectivisme théorique. Le socialisme rural, s’il limite la grande propriété et s’il multiplie les coopératives, restera toujours par essence différent du communisme urbain, voué aux métropoles termitières et aux usines concentrationnaires. Il ne s’agit pas de nier la nécessité de l’industrialisation et encore moins les vertus de l’ouvrier. Il s’agit de considérer le paysan comme le gardien d’une autre tradition et nous dirions même d’une autre civilisation qui plonge ses racines dans le Haut Moyen Âge, époque à laquelle les dernières tribus errantes de paysans-guerriers se sont enracinées à l’Occident dans leur longue marche vers les derniers feux du soleil. Que la civilisation rurale soit par nature réactionnaire est une affirmation qui appartient au seul domaine de la propagande : qui connaît les paysans jutlandais ou frisons comprend très vite ce que peut signifier un authentique socialisme rural dans un pays où il arrive qu’un cultivateur-exploitant soit ministre ou même président du conseil. La paysannerie ne peut survivre qu’en se révoltant contre les féodalités. Elle est la gardienne naturelle des libertés civiques. Le communisme ne s’y est pas trompé qui a fait de la lutte contre les « koulaks » un des épisodes les plus sanglants de la révolution rouge. Le capitalisme ne s’y trompe pas davantage qui prend la relève pour détruire aujourd’hui, plus hypocritement et plus efficacement sans doute, le monde paysan. Une propagande d’autant plus habile qu’elle est sournoise tend à rejeter le paysan hors de la vie moderne. Il n’occupe aucune place sentimentale dans la nation française, où la centralisation forcenée autour de Versailles puis de Paris a non seulement rejeté dans les ténèbres extérieures les paysans mais avec eux tous les provinciaux. Fait plus grave encore : des paysans eux-mêmes en viennent à chercher leurs mots d’ordre non plus dans leur seule tradition, mais dans les journaux, les cabinets et les partis de leurs pires ennemis. Le masochisme qui anime un bon nombre des dirigeants syndicaux et juvéniles de la paysannerie, si prompts à ridiculiser « l’agriculture de papa » est exactement semblable au masochisme des citoyens standardisés des pays ex-colonisateurs qui depuis quelques années se frappent la poitrine et encaissent avec une humilité repentante les pires calomnies de leurs anciens sujets. Posséder une terre et la « faire valoir » semble quelque chose de répréhensible et même de séditieux dans une société de plus en plus soumise à l’idée de partage et de communion universels.  Le mépris pour les paysans est surtout sensible en Occident. Il semble se renforcer en Amérique ou les droits des États sont de plus en plus attaqués par le pouvoir fédéral, toute centralisation s’effectuant contre les campagnes. Il semble en revanche s’atténuer en Russie où la classe dirigeante est souvent d’origine rurale et où la vague d’hostilité aux milieux cosmopolites a de profondes racines paysannes. Les jeunes nations du tiers monde ont compris toute la puissance révolutionnaire que peut recéler la paysannerie. L’enracinement du communisme dans les masses paysannes asiatiques, s’il n’est pas aussi profond que nous l’affirme Pékin, est cependant le gage le plus certain de son avenir. (…) Le malaise paysan sera sans doute résolu, contrairement à l’opinion des marchands et des planistes, par le maintien et même le développement des petites exploitations familiales. La transformation de nombreuses fermes de culture en fermes d’élevage devrait par ailleurs permettre la survie d’innombrables paysans européens. L’esclavage scandaleux provoqué par les domaines démesurés, cette plaie de l’Europe méridionale, devra faire place à une véritable libération paysanne, où chacun pourra être « maître sur sa terre » et la transmettre intégralement au plus capable de ses enfants.Démembrer les domaines féodaux (qu’ils soient aux mains d’individus ou de sociétés), multiplier les petits propriétaires et les libérer de leurs dettes, rassembler les parcelles et améliorer les sols, tels sont les grands impératifs de structure. Là encore, l’exemple danois est éloquent, à condition que l’on se décide enfin à considérer la paysannerie non dans le cadre des grands états-nations européens mais dans son seul cadre naturel qui est celui des provinces ou des régions. Il n’existe pas d’agriculture française alors qu’il existe une agriculture alsacienne ou limousine. La paysannerie ne peut se comprendre que dans le cadre géographique, sentimental, historique d’une ethnie bien particulière. Si les paysans sont tellement suspects c’est aussi parce qu’ils parlent généralement en famille une langue différente de celle qui est écorchée à l’ORTF et qu’ils se sentent plus Breton ou Picard, plus Auvergnat ou Normand que Français – et cela d’autant plus que le Français-type c’est toujours le Parisien. Ces fantassins exemplaires dont les noms se retrouvent par familles entières sur les monuments aux morts sont finalement les moins nationalistes et les moins chauvins des hommes. Ils connaissent le prix du sang. Et ils savent que les barrières entre les différents États européens ne tiennent pas compte des seules réalités et des seules vérités qu’ils défendent : celles des paysages où, sans frontières, chevauchent les nuages et roulent les fleuves de notre monde. Le paysan au cours de nos dernières guerres mondiales est devenu voyageur. Des garçons qui n’avaient jamais quitté leur village se sont retrouvés artilleur en Flandre ou cavalier en Serbie, parachutiste en Écosse ou charretier en Silésie. Sensibles aux différences qui existent de ferme à ferme, de village à village, de pays à pays, ils furent également sensibles aux similitudes. Un paysan mieux qu’aucun autre pouvait comprendre qu’il n’y a pas de différence essentielle entre lui et un paysan du Sussex, de Bavière ou d’Ukraine. À peu de choses près même rythme de vie au fil des saisons et des travaux, même soumission à la pluie ou au gel, même respect de la femme, même indifférence pour les jongleurs d’abstraction, même dureté au labeur, même âpreté au gain, même fidélité à la religion chrétienne et aux vertus païennes. Il faut bien reconnaître que le contraste était violent quand leurs fils ont débarqué en Algérie. Malgré une langue de civilisation commune, les paysans français découvraient chez les paysans arabes un univers économique, sentimental ou religieux complètement différent. On peut expliquer ainsi leur hostilité foncière à l’idée d’intégration et la force d’inertie qu’ils ont opposée dans les derniers mois de la guerre. C’est là un aspect méconnu de l’attitude du « contingent » et qui ne satisfait d’ailleurs pas tellement ceux qui méprisent tout autant les paysans arabes que les paysans français et réservent leurs tendresses aux artisans de la révolution fellouze, pharmaciens ou adjudants, qui sont des gens de « leur monde ». De ces idées qui viennent comme des herbes folles il me plairait qu’on retienne la notion instinctivement différenciée – et par conséquent enrichissante – que les paysans peuvent avoir de l’unité européenne. Ce sont eux et peut-être eux seuls qui permettront l’Europe des peuples, rigoureusement différente de l’Europe des banques, des parlements ou des congrès. Rien n’est plus instructif que d’écouter à une table de ferme un paysan dans la force de l’âge, et cette noueuse génération pour qui 45 ans est la course du bel et rude automne.  Beaucoup, au hasard d’une conversation coupée de longs silences et d’ironie imperceptible, en viennent à évoquer les années où ils furent prisonnier de guerre et employés de ferme tous ensemble, en Allemagne. Ce mélange de rancœur et d’attachement échappe bien vite à toutes les définitions des historiens. Voilà des hommes qui ont appris à distinguer les braves gens et les salauds. Pour eux il n’y a pas deux fermes pareilles et pourtant toutes les fermes se ressemblent du Cotentin à la Poméranie… Ces hommes-là qui n’ont pas lu La Ville, le plus beau livre « activiste », ont pourtant parfaitement compris ce que signifie pour les paysans européens « la possession ». « La possession réglait tout, la possession n’était pas seulement l’argent et les biens, c’était l’héritage et la lignée et la famille et la tradition et l’honneur, c’était le passé, le présent, l’avenir. Si quelqu’un perdait sa ferme, il perdait plus que sa propriété. Il perdait parce qu’il gouvernait mal son bien. Mal gouverner son bien, ne pas savoir penser à sa ferme, perdre sa ferme, était encore plus un opprobre qu’un malheur… » Et Ernst von Salomon dans ce roman va finalement beaucoup plus loin que dans Les Réprouvés parce qu’il aborde un problème hors du temps et hors d’un pays. Il met la Ferme à sa vraie place : « La communauté de lutte des paysans était de prime abord cimentée par la Ferme. La Ferme dominait, traçait, élargissait les frontières. Elle s’affirmait comme cette volonté suprême que la classe ouvrière devait chercher en un chef. » On ne saurait mieux définir quel est l’esprit des paysans libres, ces hommes des sillons, des clos et de cet océan de blé qui roule ses vagues sur les vieilles terres d’Europe. Ces paysans européens connaissent dans leur village les liens de parenté. Ils savent ce que furent les vieux et ce que promettent les fils. Ils savent ce qui distingue les gens de ce côté-ci de la rivière ou de la forêt et les gens de l’autre côté, et comment il faut parler dans une foire avec ceux-ci et avec ceux-là. Et pourquoi il faut se taire. Les paysans européens, d’instinct, mettent les hommes et les choses à leur rang et savent qu’il n’est pas naturel et qu’il n’est pas utile de les faire changer de place. Ce sont des hommes redoutables pour ceux qui rêvent d’un monde où les maisons seront toutes pareilles, où les journaux diront tous la même chose, où les originaux (par la tradition) et les individualistes (propriétaires terriens modestes) seront pourchassés (par le collectivisme oligarchique)… Ces paysans qui ne nous connaissent pas, qui ne nous lisent pas, qui sont hostiles à tout ce que nous avons de théorique et de sentimental, d’intellectuel et de citadin, ces hommes-là, fatalement, parce que c’est « la nature des choses », se trouvent dans le sens de notre volonté traditionaliste et révolutionnaire. Ils sont nos alliés. Et ils sont notre espoir. » (Jean Mabire – Notre espérance est dans la révolte paysanne) « Nous devrons nous occuper à finaliser, dès maintenant, la phase de dérégionalisation des régions rurales amorcée au début de la "Crise Economique" de 1929. Surpeupler les villes était notre tandem de la "Révolution Industrielle". Les propriétaires ruraux, par leur indépendance économique, leur capacité à produire la base de l’alimentation des Etats, est une menace pour nous, et nos Plans futurs. Entassés dans les villes, ils seront plus dépendants de nos industries pour survivre.  Nous ne pouvons nous permettre l’existence de groupes indépendants de notre "Pouvoir". Donc éliminons les propriétaires terriens en faisant d’eux des esclaves obéissants des Industries étant sous notre contrôle. Quant aux autres, permettons-leur de s’organiser en Coopératives Agricoles que nos Agents infiltreront pour mieux les orienter selon nos priorités futures. » (Protocoles de Toronto, 1967)