L) Suite 12
Or il est vrai que tous les grands partis, qu’ils soient nommément de droite ou de gauche, que ce soit à Paris, à Berlin ou à Londres, ont étrangement agi généralement en suivant simultanément le même agenda mondialiste, américano-sioniste, néolibéral, sanitaire, belliqueux, anti-social et anti-national. C'est pourquoi par une démocratie participative voire une démocratie directe momentanée dont par quelques référendums à questions multiples, ce mouvement des gilets jaunes peut finaliser une belle synthèse politique entre libéralisme, socialisme et royalisme (ou présidence religieuse), c'est à dire entre marché économique juste (et donc pieux dont à travers un capitalisme plus de production que financier), gauche (pieuse et équitable) du travail et du social (dont avec une forme de zakat), et droite (pieuse) des valeurs (dont à travers l’État souverain monothéiste et la loi naturelle), contre monopole financier (étant impie), gauche sociétale wokiste (lgbtiste, étant impie) et laïcisme supranational (étant impie). En résumé il s'agirait d'une conclusion amenant à un système proche du Califat islamique, tout en précisant ce dernier. Ainsi quels que soient les acteurs de la France des Gilets jaunes, l’avenir nous dira si le sérieux l’emporte sur le frivole, le fond sur la forme, le vrai sur le spectaculaire. Surtout que avons atteint un monde où il existe souvent un professionnalisme de la forme (apparence, expression) au détriment du professionnalisme du fond (vérité, sujets essentiels) comme le prouvent les médias de masse par rapport à certains excellents internautes en partie ostracisés par le système dont parfois voire souvent youtube. En tout cas ce mouvement aura révélé dans une grande clarté le pire de l'humanité qu'est le politico-médiatico-financier corrompu et le meilleur de l'humanité qu'est le peuple soudé pour le Bien. Ce qui annonce probablement la proximité de la fin des temps, puisque l'évidence du meilleur chemin honorable apparaît donc de plus en plus nettement. D'ailleurs suite à cela, le système cherche à récupérer l'orientation du changement de paradigme voulu par le peuple pour continuer de garder la main. En effet la ligne nationale-sioniste opposée à la précédente socialo-universelo-sioniste, toutes deux liées à la haute finance corrompue, permettrait de dévier la contestation sociale de la colère du peuple vers une guerre civile raciale ou ethno-confessionnelle, sournoisement donc sous couvert de défense patriotique, plutôt qu'une lutte des classes pouvant réellement renverser la ploutocratie mondiale actuelle. Surtout que la métamorphose de la lutte des classes met de plus en plus aux prises producteurs et expropriateurs. C'est à dire que pour garder l'influence politique des très riches mondialistes et sionistes, les perverses élites essayeraient d'organiser au final une guerre civile chaude en France, afin d'espérer un coup d’État qui permettrait à un militaire atlantiste, oligarchique et national-sioniste de prendre le pouvoir dans un prétexte sécuritaire. Cela afin donc d'éviter une victoire populaire dans une lutte des classes, alors qu'il est pourtant impératif que par des réformes structurelles nécessaires à la société, le peuple parvienne à empêcher l’oligarchie mondialiste de continuer sa domination, car sa prédation économique et usurière gravement inégalitaire est inévitablement esclavagisante puis destructrice du peuple et de la nation, de même que sa cancel culture wokiste et lgtbiste... Or si le pervers pouvoir profond planétaire cherche quand même le contrôle total voire la montée des tensions à notre époque moderne jusqu'au chaos, cela prouve qu'il suit en réalité le plan démoniaque de pourrissement des âmes jusqu'en Enfer dans une image de fin des temps. Ainsi tout en sauvant le monde, tous les citoyens d'une nation doivent rester uni au maximum dans la solidarité et la charité pour sauver leurs âmes et les policiers doivent donc les rejoindre pour sauver les leurs. Le nationaliste Lucien Cerise suivants a expliqué malgré au final sa grave erreur politique de soutenir les sionistes faussement identitaires français, puisque ces derniers sont largement plus pro-Israël et pro-USA voire pro-mondialisme de l'UE : « La convergence des populismes et des Gilets jaunes démontre que le peuple est encore capable de réagir de manière autonome quand il est menacé dans sa survie. Cette preuve d’un fort instinct de conservation inquiète particulièrement le pouvoir, qui essaye de diaboliser la vitalité des Gilets jaunes et de leurs soutiens politiques en les qualifiant d’extrême droite, comme si cela faisait encore peur aujourd’hui, ou en accusant telle puissance étrangère d’en tirer les ficelles, sur le principe des révolutions colorées que les gouvernements occidentaux ont pourtant souvent désiré, voire appuyé, pour y placer des pantins à la tête de leur pays. En effet l’oligarchie a essayé plusieurs tactiques, qui ont toutes échoué : cogner sur les manifestants en crevant les yeux de certains pour qu’ils aient peur de manifester ; aider les casseurs d'extrême gauche manipulés (prouvant que ces faux antifas puisque servant le fascisme financier sont utiles au système surtout que rarement condamné fortement) pour donner une mauvaise image du mouvement ; gagner du temps avec le « grand débat », en espérant que le mouvement s’essouffle ; diaboliser les Gilets jaunes avec des accusations d’antisémitisme ou d’homophobie auxquelles personne ne croit. En fait, c’est une idiocratie totalitaire qui s’installe en France. Le modèle appliqué est celui d’Israël, cet État volontairement instable et « défaillant », car il a besoin de maintenir une tension permanente autour de lui pour se trouver une raison d’être. » D'ailleurs en partie similairement à la France oligarchico-mondialisto-européenne, Israël est un régime hybride aux frontières et limites floues ou plutôt à la réalité schizophrénique, dont en plus car militariste et suprémaciste mais tolérant envers les perversités de la gay pride, du mariage homosexuel et de la transsexualité, nationaliste alors que singulièrement contre les autochtones, et même prétendument théocratique alors que pourtant donc ultra libéral libertaire. De plus donc, beaucoup de juifs en Israël ne sont pas croyants et se prétendent démocrates tout en pensant ainsi illégitimement que Dieu leur a promis la Palestine... Surtout qu'Israël étant en réalité suprémaciste et se prétendant donc pourtant mensongèrement la seule démocratie au Moyen-Orient montre donc de plus en plus la perverse théocratie raciale en son fond. En effet par sa guerre à Gaza, Israël se met de lui-même au banc des nations en s'affirmant comme une théocratie militaire et raciale, car cela contrevient à tous les fondamentaux du mondialisme occidental, en particulier la laïcité et les Droits de l'Homme... D'ailleurs il y a eu auparavant des manifestations contre la volonté du gouvernement de rendre plus étatique le système judiciaire, et le gouvernement israélien a même arrêté ses subventions au journal de gauche Haaretz, en plus en précisant selon le ministre de la Communication, Shlomo Karhi, que le cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu a pris cette décision à l'unanimité. Les écritures religieuses sont même devenues un registre cadastral en Israël, ce qui est clairement incompatible avec ses prétendus principes laïques défendus apparaissant désormais comme une manipulation pour une grande partie de l'humanité. En partie par son instrumentalisation de la shoah et donc la racialisation de sa religion, on peut en plus rappeler qu'Israël est le seul état ethnico-racial (car donc plus que ethnico-religieux) au monde, dont depuis les nazis, puisque un israélien arabe ne peut atteindre le niveau avantageux de citoyenneté d'un juif en droit dont à travers un impôt plus élevé et l'interdiction d'acheter des logements dans de nombreux quartiers par des arrêtés communaux. En effet cela oppresse les non-juifs et permet d'éviter toute prise de pouvoir démocratique par les palestiniens. Ce qui montre donc qu'Israël est une fausse démocratie, à l'image des élections dans l’Afrique du Sud qui pratiquait l’apartheid et n’accordait donc le droit de vote qu'aux blancs, alors qu'au départ la citoyenneté israélienne devait suivre la conception romaine de la citoyenneté comme toutes les nations modernes et mêmes les empires chrétiens et les califats. Or l'instrumentalisation de la shoah est donc aussi le moyen principal pour empêcher toute critique sur ce sujet, sur le colonialisme sioniste et sur la domination illégitime, néfaste et insupportable de la communauté juive voire israélienne organisée sur la France et l'Occident... En effet la hiérarchisation de la souffrance à travers la victimisation supérieure par la shoah synonyme de haine perpétuelle a permis à Israël de continuer sa politique raciste, coloniale, théologique (très inexactement) et nationale, même lors de l'époque antiraciste, anti-coloniale, républicaine et mondialiste de la fin du 20e siècle et du début du 21e. Or comment peut-on décréter qu’Israël est un État juif alors que la moitié de la population est composée d’Arabes musulmans et chrétiens ? Ainsi Israël n'est pas une démocratie mais plutôt une théocratie sans piété ni souvent foi, dont donc dans le sens d'être perversement pendant un temps son propre messie (collectif, voire Dieu lui-même, dans une forme d'hybris extrême provenant de leur anthropomorphisme concernant Dieu dont comme il sera revu en l'ayant perversement associé à l'idole Yahvé auquel ils ont illusoirement attribué des regrets et même une femme du nom d'« Ashera » tel du paganisme ; c'est à dire que chez les chrétiens, Dieu et son sens paternel s'est faussement fait homme, et que chez les juifs, Dieu (ou seulement sa fausse partie féminine qu'est Ashera) s'est mensongèrement fait peuple tel du panthéisme), jusqu'à ce qu'Israël devienne une monarchie religieuse avec l’avènement de leur faux-messie qui est l'antéchrist. Alors que la grandeur (dont du pouvoir) d'Israël ou du peuple ou des élites juifs ne correspond pas du tout à la grandeur de Dieu, mais plutôt à de la grandeur humaine sinon c'est donc de l’idolâtrie, quoique ni Israël ni les juifs ne peuvent accéder à la grandeur, puisque cet état a été interdit par Dieu et l'islam est venu pour prévaloir sur toutes les autres religions selon le Coran. Israël brisant donc les limites naturelles, il n'est pas étonnant qu'il dépasse les frontières par la colonisation, mais aussi qu'il en paye le prix comme l'attaque du Hamas synonyme de grand châtiment divin à venir tôt ou tard. D'ailleurs la gay pride organisée aussi en Israël est conforme à l'épreuve de soumission aux pays alignés sur l'Occident, puisque l'autorisation du lgbtisme dans une société est un marqueur principal de l'impérialisme américano-sioniste et du mondialisme oligarchique lié au judaïsme politique et messianique. Sauf que ces gay pride étant diaboliques, il ne s'agit plus ici plus de politique même bassement oppressante, mais encore plus gravement de survie et de salut de l'homme ici-bas et dans l’au-delà. Et quand les pays sont trop anti-lgbt comme ceux musulmans en particulier l'Arabie Saoudite, la fête diabolique d'Halloween autorisée remplace la gay pride, et si la célébration d'Halloween est aussi interdite, ce sera le commerce et donc la normalisation avec l'entité sioniste, l'autorisation de vente d'alcool au diplomate voire la défense du territoire israélien. Israël incarne donc parfaitement la postmodernité corrompue et ses contradictions insolubles prouvant son évidente perversité gravement condamnée par Dieu, dont puisque mélangeant fortement sacré et corruption, ce qui explique encore pourquoi Dieu avait interdit la recréation de cet État. En effet à cause de cet État, un néofascisme décadent s’implante partout, mélange de néolibéralisme, de lgbtisme et de « menace extrémiste et donc terroriste (dont moraliste, climatique, sanitaire, inflationniste, écologiste, énergétique) » pour nous faire basculer dans un univers concentrationnaire parsemés de barbelés et de checkpoints, dont à travers le pass sanitaire, le pass vert et la suppression de l’argent liquide (ou la grande limitation de son retrait) qui nous rendra encore plus esclaves par les monnaies numériques supra-nationales de banques centrales, si une blockchain décentralisée n'est pas créée. Surtout que de plus en plus de banques menacent d'enquête ceux retirant plus de 500 euros en liquide de leur compte, avec comme excuse honteuse de lutte contre le terrorisme. (En sachant que même dans une société acceptant des cryptomonnaies décentralisées pouvant correspondre à de pures actions financières modernes quand ce ne sont pas un stable coin, l'argent liquide (qui doit être basé sur une valeur intrinsèque, ou représenter la richesse du pays selon sa quantité en circulation afin d'éviter les planches à billets destructrice d'économie par l'inflation, ou être adossé au prix de l'or ou l'argent et échangeable contre eux pour être licite) peut continuer à être utilisé pour faciliter les transactions du quotidien. Surtout que payer en liquide, c’est non seulement un moyen de maîtriser ses dépenses et de bénéficier d’une capacité d’achat immédiate, mais c’est aussi donc un acte de résistance contre le possible contrôle (crédit) social généralisé et la perte de confidentialité des paiements de l'euro numérique à venir. D'autant plus que selon Charles Gave : « L'or (l'argent, les métaux précieux, le pétrole, le gaz, le riz, les dattes) c'est de la monnaie, le reste (monnaie fiduciaire) c'est du crédit (en particulier au niveau international). ») Mais avec la volonté du gouvernement de Netanyahou de lier le pouvoir judiciaire à celui exécutif, Israël devient donc de plus en plus monarchique, ce qui va faire fuir de nombreux libéraux israéliens du pays si ce gouvernement y parvient, d'autant plus s'il annexe en plus toute la Palestine y compris donc Jérusalem entièrement. De même sous un sournois prétexte de lutte contre le terrorisme pour la sécurité publique et la sûreté de l’État, puisque en réalité pour la domination du messianisme juif et oligarchique, le système tend à valider la fin de la liberté d'expression (dans les médias du système et de plus en plus sur internet), à interdire des manifestations, et à débuter le fichage totale de la population (activité sur les réseaux sociaux, comportements et habitudes de vie, opinion politique, conviction philosophique ou religieuse, appartenance syndicale, orientation sexuelle, etc). Or l’histoire de France, les fondamentaux de la politique française, sa position géographique, sa culture et sa religion traditionnelle qu'est le catholicisme sont incompatibles avec Israël qui est ethnocentrique, avec le judaïsme politique qui est synonyme du projet ploutocratique des élites financières, juives, perverses et lgtbistes, et avec l’impérialisme anglo-américain protestant, laïciste, oligarchique et sioniste. C’est ce qu’avait compris et exprimé le général de Gaulle et Jacques Bainville avant lui. Selon l'article de Youssef Hindi « Des temps bibliques au judéo-nazisme », les origines et fondements du judaïsme politique sont principalement matérialistes, sournoisement politiques et basés sur de prétendues promesses de domination impériale et universelle. Concernant le judaïsme politique d'aujourd’hui en Occident, au Proche-Orient et ailleurs, cet article précise qu'il est basé plus ou moins différemment sur l’extrême droite européenne antisémite réorientée par le lobby pro-israélien, sur le lobby pro-israélien qui importe le néo-conservatisme en Europe, sur l’Union européenne, le mondialisme oligarchique dont de l'UE et le complexe militaro-industriel américano-sioniste, sur l'islamophobie malgré la soumission à lui des monarchies pétrolières, sur la pénétration des réseaux pro-israéliens dans les institutions de l’UE, sur les réseaux israéliens et chrétiens sionistes en Europe, et sur Israël, les takfiristes, et les nazis ukrainiens. Au fur et à mesure que la France s’enfonce dans des alliances contre-nature avec les États-Unis et Israël, et qu’elle transfert sa souveraineté à l’Union européenne, elle sort par conséquent de l’Histoire dont donc le Général de Gaulle. En effet la France ne peut que disparaître si elle continue d’accepter d’être dirigée par un personnel politique inféodé à l’Amérique, au lobby judéo-sioniste, à l'UE mondialiste et aux puissances d’argent. Ainsi le destin de la France, pays millénaire, est plutôt de renouer avec son juste milieu ayant souvent tendu à équilibrer les USA et l'Eurasie, l'hégémon anglais et l'empire américain, l'Afrique et l'Europe, la chrétienté et le modernisme. Or afin d'éviter de prendre par la force des parties des institutions sur tout le territoire pour récupérer le pouvoir en démocratie, et plutôt d'opter pour une victoire en douceur par des assemblées communales et des référendums citoyens réformant progressivement le système totalement si nécessaire, l’union de l’ensemble des patriotes est possible sous plusieurs conditions selon Lucien Cerise : « 1) savoir discipliner son ego, car les sources de division sont essentiellement d’origine psychologique. 2) structurer cette union dans des organisations de masse et des organisations d’avant-garde. 3) ne pas confondre le rôle des organisations de masse populaire, qui doivent s’adapter à la moyenne pour conquérir la majorité du peuple, avec celui des organisations d’avant-garde qui servent de brise-glace par une minorité active, que peuvent être des dissidents exemplairement unis, développant le grand collectif et préparant voire commençant la mise en place d'un changement de paradigme pour faciliter l'orientation du futur réveil de la masse. Les marxistes cultivaient une avant-garde et trois types d’organisations de masse : le syndicat, la coopérative, le parti politique. C’est en appliquant cette méthode qu’ils ont infusé dans la société et pris le pouvoir dans de larges régions du monde, preuve que ça marche. Il ne faut donc pas mépriser et abandonner le champ des partis politiques conventionnels sous prétexte qu’ils ne sont pas intelligents. En effet, leur rôle est de viser la quantité, pas la qualité. On ne gagne pas avec des groupuscules, surtout désargentés. Quand on n’a pas les millions, il faut être des millions ! C’est la cohésion compacte d’un troupeau nombreux qui protège les herbivores contre les prédateurs. Isolés, ils sont des proies faciles. (Mais à notre époque, le champ politique est tellement corrompu ou infiltré, qu'il est préférable de créer d'abord un nouveau parti voire de nouveaux élus au niveau local comme George Galloway en Angleterre, réellement patriotes, laïquement modérés et authentiquement nationalistes. Cependant un bon mouvement particulier pourraient aussi percer dans un grand parti.) » Cependant les partis politiques ne proposant que deux, trois ou quatre candidats éligibles en nombre de voix et étant donc plus facilement infiltrable ou soumis au pouvoir financier et donc médiatique, surtout que la création puis la vie d'un parti politique sont très coûteuses et que les apparitions télévisuelles très importantes pour s'adresser à de très nombreux électeurs sont limitées, un retournement des forces policières voire militaires contre le système paraît nécessaire pour que les patriotes puissent changer complémentent les choses. Suite donc une révolution par les urnes, par la force ou par des organisations populaires dans chaque commune, département et région, la juriste Valérie Bugault propose de fonder la France sur les groupements d'intérêts au niveau professionnel, culturel et spirituel, comme il sera revu. En sachant que les slogans d'un parti politique aujourd'hui ne devraient être que : « Nous neutraliserons les GAFAM et nous leur interdirons de censurer, nous neutraliserons Black Rock et le Big Pharma (qui sont corrélés) et nous leur interdirons de nous donner des ordres, nous interdirons la franc-maçonnerie et nous leur interdirons de comploter, et nous dénoncerons la partialité des médias, nous oublierons le progressisme lgbtiste, transhumaniste et mondialiste, et nous reviendrons aux valeurs traditionnelles (monothéistes, naturelles, familiales et sociales authentiques). » D'ailleurs de petits candidats nouveaux portant ces revendications, provenant d'organisation populaire et n'appartenant à aucun partis ne seront souvent plus invités dans les médias comme les dissidents actuels, ce qui prouve encore le mensonge de la démocratie de nos jours. Ainsi la politique peut être une stratégie anti-coups ou/et une hypocrisie de circonstance, quand s'il s'agit de suivre une stratégie non perdante comme Poutine avant de prendre le pouvoir en Russie. Or la franc-maçonnerie portant la ploutocratie progressiste s’est infiltrée dans tous les rouages démocratiques : les deux chambres, la justice, la police, les ministères. Tout cela par complot, cooptation, préférence à l’embauche et ruse. La République idéale est donc morte depuis longtemps. Les différentes composantes du pouvoir sont organisées en strates, strates dont les degrés d’implication varient largement. Plus on s’éloigne du centre du pouvoir, moins l’intérêt est grand et plus l’assentiment devient un enjeu. Or la police est le point nodal de cette structure puisque se maintenant en grande partie par elle. Les mondialistes du système corrompu s'y appuient dessus autant que sur les crises qu'ils organisent. Le paradoxe du globalisme ultra-libéral voulant ainsi aussi effacer les frontières est donc qu'il a besoin de certains pouvoirs régaliens de l’État comme la police et l'armée pour contrôler les individus. C'est pourquoi un État soumis au globalisme est en réalité totalitaire et faible. Par conséquent pour retrouver un État équitable et fort, il faut rendre sa souveraineté à Dieu et donc à la nation dont en retrouvant la création de monnaie, la loi naturelle, une banque nationale, l'indépendance médiatique et le contrôle sur son économie, sa finance et sa justice, si nécessaire par une dictature éclairée comme les romains le faisaient parfois par mesure d'exception. En effet la dictature légale peut être le contraire de l'actuelle tyrannie anomique (sans lois : lgbtsime, usure, wokisme, transhumanisme, éducation à la sexualité à l'école), qui provient pour beaucoup du scientisme ayant basculé vers l'athéisme, dont jusqu'à avoir déshumanisé l'homme et mécanisé le vivant, car il préfère être dans l'erreur à un milliardième prêt (voire beaucoup plus), plutôt que s'approcher du vrai (qu'est Dieu) en tolérant l'incertitude (n'existant pourtant presque plus de nos jours vu les découvertes scientifiques modernes comme il a été vu et sera revu). « Le péril du scientisme est de détruire le bon sens, d’effacer l’intuition et de déshumaniser notre réalité. Surtout que dans notre société, nous avons tendance à accorder une grande importance aux chiffres et aux études scientifiques dans le sens matérialiste. Nous avons l’impression que tout doit être mesuré, pesé et classé pour être crédible, alors que cette obsession de la mesure peut fait oublier parfois voire souvent que nous sommes avant tout des êtres humains, avec toutes les complexités et les subtilités que cela implique. En effet les êtres humains sont perçus comme de simples cerveaux, déconnectés de leur dimension spirituelle et émotionnelle, et cela conduit à une perte de sens et de valeurs, puisque oubliant que ce qui fait notre humanité ne peut être mesuré. Renouer avec l’intuition, le bon sens et l'analyse multi-causale est crucial pour préserver notre humanité et la vérité, surtout que la recherche scientifique a souvent corrigé la science précédente. Pourtant de nos jours « La science jouit d'un prestige qui est celui de l'exactitude, tandis que la nature humaine perd de plus en plus de crédit du fait qu'elle est faillible et sensible. Ainsi le bon sens et l’intuition humaines sont souvent dévalorisés car ils ne sont pas chiffrables, alors qu'ils sont essentiels pour comprendre le monde qui nous entoure. A se contenter de savoir, on finit par ne plus comprendre. On a tellement laisser à la science le monopole de la vérité, qu'on ne se considère plus capable de comprendre n'importe quoi, si ce n'a pas été validé par une étude alors que la recherche académique est en pourtant de plus en plus politisé et que la science s'est donc souvent corrigée elle-même. Or on n'a pas besoin d'une étude pour comprendre intuitivement ce qu'il y a dans un regard, et ce que ce regard me dit de la personne. La vérité c'est que notre expérience, elle est à mi-chemin entre les faits et les opinions, les intuitions et le bon sens, surtout qu'on ressent avant de percevoir puis de comprendre, en fonction du contexte. Le scientisme est l'imitation de la méthode scientifique dans des domaines qui ne sont pas ceux de la science, comme le croyance que la science est la seule voie d’accès à la vérité, que la science peut tout expliquer et que ce qu'elle ne peut pas expliquer n'existe pas. Petit à petit, c'est donc l’intuition et le bon sens qui se perdent, la capacité de sentir et de comprendre au delà des chiffres et des statistiques. Cette fascination pour la science détruit le sens commun, et on en vient à rejeter toute croyance non scientifique, ce qui équivaut en fait à une négation de la valeur des choses et de la dignité humaine. C'est à dire que l'homme croyant perçoit spirituellement l'eau et la glace comme deux grands miracles différents, alors que la science les rabaisse matériellement à une température plus ou moins élevée. Dans ce sens, beaucoup savent que l'amour est bien plus que de la biologie. Ce qui n’empêche évidemment pas de prendre le rassurant de la rigueur scientifique, comme il est préférable d'être opéré par un médecin que par une personne qui ferait l'éloge de son intuition. Mais pour tout ce qui touche à l'homme dans ce qu'il a de plus immatériel et de plus réfractaire à la statistique et aux angles droits, l'intuition et la compréhension par sympathie sont encore ce que l'on a de mieux. Ainsi renouer avec l'intuition et la compréhension par sympathie, c'est préserver la bonne nature humaine dont pour soigner le mal-être d'un autre humain. Car en dépit du ridicule qui semble y avoir aujourd'hui à parler d'âme ou d'esprit, chacun sent bien dans sa manière de vivre le monde, de vivre la vie qu'il n'est pas qu'un assemblage d'atomes et que quelque chose en lui résiste à la matière. Le réductionnisme matérialiste résume le monde à ce qui est visible, et donc sans surprise le langage, fait humain et spirituel par excellence, devait faire les frais du scientisme et de son encombrante maladresse, en particulier à travers la promotion inutile voire impie, perturbante et oppressante de l'écriture inclusive et de la "féminine universelle", alors qu'en plus compliquantes comme il sera revu. Selon Bergson, l'intelligence qui est solidaire de la méthode scientifique, doit figer ses objets, conjurer la fluidité du vivant pour opérer ses divisions, parce c'est ce que l'intelligence fait, c'est toujours séparer, compartimenter ou/et temporaliser, alors que l'intuition est la voie d'accès à ce qui est vivant et fluide, et ainsi à une vue d'ensemble synonyme donc d'analyse multi-causale, dont en pouvant s'inspirer du symbolisme présent dans la nature. Or dans la réalité pratique de tous les jours, le langage procède nécessairement de la durée, et ce cas est par conséquent particulièrement révélateur du complexe des sciences humaines vis à vis de la science dure, qui les poussent à en imiter les méthodes mais à troquer la compréhension pour un savoir limité voire dégradé. Le scientisme ne peut donc qu'échouer à rendre compte de l'expérience humaine et même du sens ultime de l'univers parce qu'il est dans la nature de son fonctionnement d'en négliger l'essentiel. L'expérience humaine est fondamentalement qualitative, alors que le scientisme réduit tout à la quantité, au nombre, en considérant donc que tout ce qui ne s'y réduit pas n'existe pas. Ainsi le scientisme ramène à tout ce qu'il y a de plus élémentaire et de plus matériel, tout en utilisant souvent des modalités simplistes. Comme le remarquait déjà René Guénon, il y a souvent dans la modernité (qu'il appelle le règne de la quantité irréfléchie) une hostilité au mystère et une phobie de l'incertain au prix de notre raison d'être, car ce qui disparaît avec l'intangible, c'est tout ce qui donne du sens profond et donc véritable à la vie, et c'est tout ce que rejette les insouciants, les athées et les agnostiques. En effet en perdant de vue l’aspect qualitatif des choses, on perd de vue le fond moral de l'existence, le fait que notre manière de vivre le monde, de vivre les autres n'a rien à voir avec la géométrie ou la physique des particules. Ce qui nous guide d'abord, c'est le sens commun, le sentiment intuitif de certaines valeurs et vertus, l'évidence continue qu'on habite pas le monde de la même manière que les objets. Le dernier effet du scientisme et le plus pervers, c'est de miner la distinction fondamentale entre personne et objet. Dans l'esprit scientiste, on n'est pas des personnes, on est des cerveaux, et ils s'imaginent pouvoir comprendre tout ce qu'il y a à comprendre en démêlant ou entremêlant des câbles. Ils sont tellement obsédés par la matière, qu'ils veulent rendre tangibles ce qui par essence ne l'est pas, et on les voit fouiller dans le cerveau de toute les espèces connues dans l'espoir de trouver la cause secrète d'on ne sait quoi. S'ils pouvaient matérialiser le vide pour en mesurer enfin l'épaisseur, ce serait sans doute pour eux l’accomplissement définitif. Le scientisme en se détournant des évidences aboutit à une sorte de passion du sous-terrain. Il cherche la vie dans des scanners, alors qu'il n'y a sûrement pas un meilleur moyen de lui tourner le dos à tout jamais. Les scientistes oublient qu'on ne réagit pas en fonction de ce qui se trame dans notre cerveau mais en fonction de ce qu'on ressent, de ce qu'on vit, de ce qu'on voit. Et plutôt que de s'en tenir aux évidences, ils préfèrent monter des expériences tordues perturbant nos convictions évidentes. En fait ça s'explique en partie car la science est par essence portée vers la découverte. C'est à dire que la science, c'est l'avancée perpétuelle : on ne fait pas de la science pour découvrir ce qu'on sait. Alors nécessairement donc quand on joue au scientifique, on joue à découvrir ce qui n'est pas connu ni donc commun. Par conséquent le science est par essence en opposition au sens commun, et c'est très bien comme ça s'agissant de la science au sens propre (science dure et non sciences humaines). Or une étude sur la langage pour rester sur cet exemple comme il est neutre, ne peut ainsi être que porter par le vœux de découvrir le vice caché. En effet ça ne ferait aucun sens de dire qu'on a fait une étude sur la langue française pour dire qu'elle est bonne et vertueuse. On ne peut faire qu'une étude plus ou moins malhonnête pour montrer qu'elle est sournoise et mauvaise, alors qu'elle est riche et précise. En sachant que chercher toujours l'erreur est aussi l'objectif principal de nombreux partis politiques en particulier progressistes, même s'ils pervertissent le sens de vertus dont religieuses comme la liberté en défendant le lgbtisme. La science humaine qui veut fonctionner comme la science dure finit donc par remplacer son mandat de transmission par un mandat de découverte, et plutôt que d’œuvrer au partage de ce qu'on a de plus réel, profond et précieux, elle travaille le cœur désinvolte à son saccage méthodique. Si la science nous a permis de sortir d'un état sauvage, elle risque de nous y reconduire en étouffant l'esprit auquel elle avait d'abord donné de l'air. Surtout que vivre l'existence selon les lois superficielles du scientisme, c'est faire une croix sur l'enthousiasme, voire parvenir à la perte totale de sens. Est-ce qu'une froide formule mathématique sur un papier décrivant la mécanique des vagues donne plus envie de vivre, d'explorer et de croire en quelque chose d'intelligent à leur origine que leur magnifique réalité visuelle ?... Et ceci vaut pour tous les sujets, dont même la satisfaction de nos besoins primaires et évidemment ceux qui les dépassent. Même Enstein qu'on ne peut soupçonner d'être hostile à la science disait que la science sans la religion (sans une forme de foi) était aveugle et donc follement nihiliste. Autrement dit pour tirer sainement profit de la curiosité qui nous pousse à examiner des rats, il ne faut pas devenir un rat soi-même, car à force de mesurer seulement ce qu'il se passe dans les têtes, on perd de vue ce qui pourrit dans les cœur. Les scientistes considèrent que tout ce qui est vrai doit pouvoir se toucher en oubliant que le plus important est souvent impalpable. La science devenue scientiste est incapable de répondre aux questions qui comptent le plus, et les acteurs des sciences humaines qui s'en inspirent se tuent à être exactes dans l'inessentiel. Comment ne pas ruiner tout sens des valeurs, qu'elles soient morales ou esthétiques, à partir du moment où vous dites ne croire au mal ou au beau que dans la mesure où vous pourriez en découvrir l'existence au microscope. Le règne de la quantité pour reprendre Guénon, c'est nécessairement celui du relativisme, de l'équivalence générale. L'obsession des moyens, et l'oubli total des fins, sans lesquelles la technique n'a pourtant aucun sens, c'est l'essence du relativisme scientifique et le terreau d'un monde sans vérité. Surtout que la valeur est ressentie, est fonction de l'intuition, et est inscrite dans le fond affectif de l'existence, et qu'écarter le ressenti, c'est donc supprimer la valeur. Voilà comme Victor Hugo parlait de l'intuition : « L'intuition est à la raison ce que la conscience est à la vertu(, car c'est un guide invisible mais essentiel.) » Là où le raisonnement s'arrête, l'intuition continue. Malheur au penseur qui n'en tient pas compte, et qui n'emploie pas à sa philosophie, à sa science et à sa sagesse, ce regard de l'aigle intérieur scrutant la terre vastement et précisément depuis le ciel sous le soleil moral. A se vautrer dans la technique, les moyens et les outils, on perd non seulement son bon sens, mais aussi le sens même de la réalité, puisqu'on finit naturellement par la nier. D'ailleurs certains personnes comme les transgenres, les transsexuels et les transhumanistes vont même follement jusqu'à dire que la réalité n'existe pas et qu'elle est une construction sociale que l'on peut donc interpréter comme on veut par rébellion ou/et liberté. Or il y a quelque chose de vital, d'équilibré et d'éternel dans ce qui est juste, beau et bon, et c'est tout ce que le scientisme ne peut bassement, défectueusement et tristement pas voir par l'essence de son élan qui est celui de la nouveauté et de la découverte. Au détriment même de ce qui rend la vie d'être sublimement vécue, le scientiste cherche à tout prix à découvrir même des foutaises pour autant qu'on a un article publié, ou réduire la vie à un graphique pour autant qu'il donne bonne conscience à son inanité incroyante. Le pire, c'est que le scientiste ne cherche donc pas seulement à découvrir et à être célèbre, mais à être bon, dont en coupant les ponts avec le vieux monde, et en prétendant se rapprocher des portes de l'éden à venir, même si son éden est un enfer scientifique, transhumaniste, amoral, fade et éphémère, en particulier par rapport au sublime, délicieux et inimaginable Paradis éternel de Dieu. Il ne s'agit pas ici de rabaisser la science, mais de dénoncer l'illégitimité de la méthode scientifique concernant des sujets éminemment humains, puisque la composante humaine ne peut être traitée scientifiquement sans cesser par cela-même d'être humaine. La vérité, le sens, le but, le bien, l'important, ne sont pas des faits scientifiques. Il y a des choses qui ne se mesure pas et c'est tant mieux. Il y a des choses qui se comprennent et qui ne s'explique pas. Et souvent ce sont des choses qui appartiennent à notre humanité, ou/et qui préservent l'espoir du meilleur sens possible concernant notre existence. Surtout que sinon le scientisme ne peut mener qu'à l'anomie et au chaos comme René Guénon le démontre : « La matière (déifiée par le scientisme) est essentiellement multiplicité et division, et c'est pourquoi tout ce qui en procède ne peut engendrer que des luttes et des conflits de toute sorte entre les peuples comme entre les individus. En effet plus on s'enfonce dans la matière, plus les éléments de division et d'opposition s'accentuent et s'amplifient. » » (Texte de la vidéo « La science (devenue scientisme) nous tue (notre bonne nature humaine) » de La Cartouche) « Environ 6000 chaînes de télévision dans le monde appellent à tout moment les experts tels des scientistes pour étudier avec eux des événements complexes ou prévoir un avenir meilleur. Ils sont consultés à tout moment : lorsqu’il y a un attentat, une nouvelle petite menace, un problème global concernant le climat, la croissance, la dette et bien sûr maintenant le football et l’art. Récemment, un excellent écrivain, M. John Freed, qui se trouve être l’expert d’un expert, a révélé dans son livre que ces experts se trompent souvent, qu’ils sont souvent dangereux et qu’ils sont surestimés et trop consultés. Pensez aux données suivantes fournies par le livre de M. Freed : Il commence par écrire qu’environ deux tiers des résultats publiés dans les meilleures revues médicales sont réfutés en l’espace de quelques années. Et c’est encore pire ! Pas moins de 90 % des connaissances médicales des médecins se sont révélées substantiellement ou complètement erronées. Il y a une chance sur douze que le diagnostic d’un médecin soit si erroné qu’il cause un préjudice important au patient. Et il n’y a pas que la médecine. Les économistes ont constaté que toutes les études publiées dans les revues économiques sont susceptibles d’être erronées. John Freed affirme ensuite que l’interprétation des experts peut empêcher des actions politiques : « Lorsqu’on nous donne l’avis d’un expert, nous perdons en fait notre capacité à prendre nos propres décisions. Le cerveau s’arrête un peu face à l’avis d’un expert. Lorsque nous entendons un expert, nous renonçons à notre propre jugement. » Je pense qu’il a partiellement tort ; à cause des experts, nous prenons souvent de mauvaises décisions. Plus c’est faux, mieux c’est ! Par exemple, nous décidons d’aider Wall Street, les banques et les fonds spéculatifs afin de ruiner les nations américaines et européennes, puis nous décidons de réduire les aides sociales. Par exemple, nous décidons d’attaquer l’Irak, de bombarder la Libye, de déstabiliser l’Égypte et d’atomiser l’Iran. L’expert est là pour dissiper le doute. L’expert néoconservateur doit être engagé contre tous les ennemis occidentaux — ou supposés tels — avec son mélange post-moderne de messianisme et de jargon scientifique. Bien sûr, M. Freed confirme et prouve que « les experts éditent et donc manipulent les données ». Cette expression me rappelle la périphrase du Dr Reich, ancien secrétaire au travail de l’administration Clinton : les manipulateurs de symboles. Ces personnes sont les nouvelles professions nées avec la dictature de l’informatique et la nouvelle société de contrôle. Leur expertise altère et manipule continuellement la réalité. Comment faire la différence avec un film de terreur hollywoodien et une scène d’attentat à la bombe surcommentée comme à Boston ? Demandez à un expert ! L’immédiateté et l’irréfutabilité sont les caractéristiques de la vérité qui nous parvient par le biais des ordinateurs : oui, il y a un réchauffement global ; oui, Saddam Hussein possède des armes de destruction massive ; oui, la crise est terminée grâce à l’assouplissement quantitatif de la Fed ; oui, il y a assez de pétrole de schiste pour mille ans et plus dans le Colorado, oui, HTS va arrêter la tyrannie en Syrie. Surtout qu' un point supplémentaire très important souligné par Freed est le suivant : nous sommes noyés sous des flux d’informations et de nouvelles qui altèrent notre compréhension ou produisent une désensibilisation. » (Extraits de l'article « Comment les experts occidentaux peuvent être une arme de destruction massive » de Nicolas Bonnal) Extraits de l'article « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 » sur « Le Saker Francophone » : « Le hasard, comme le disait Einstein, « c’est Dieu qui se promène incognito », et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire qu'au sens probabiliste du terme, c'est le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine. Or c'est peut-être certainement le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or. Mais ce n'est très souvent pas le cas dans le domaine des affaires politiques, de l’ingénierie sociale, du contrôle des populations et évidemment des crises financière, des guerres voire des pandémies, car Dieu n’y est généralement pour rien. Ainsi l’homme y est quasiment pour tout, les crises ne proviennent que de zones d’incertitudes, de logiques risques ignorés, d'idéologie erronées, d'organisations perverses ou/et d’avidité oligarchique, et les grandes crises sont des périodes, au cours desquelles ceux qui maîtrisent la finance, des lobbies, des réseaux, les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus, un ralentissement économique, un confinement des populations, une guerre géopolitique, une crise énergétique, l'inflation forte, et des pénuries dont alimentaires, l’homme égaré ou corrompu est partout, probablement car soumis plus ou mois consciemment au démoniaque faux-messie. Cet homme pense à tout (ce qu'il y a de pire). Des recherches pour prétendument transformer des insectes en cyborgs afin qu’ils modifient génétiquement des plantes pour augmenter leur rendement sont même effectuées officiellement, alors qu'officieusement selon la revue Science en 2018, il pourrait s’agir de l’inverse : stériliser les cultures des pays ennemis et y provoquer des famines afin de les soumettre par la dette et y implanter des bases militaires. Surtout que ces insectes cyborgs en particulier volants peuvent déjà être des caméras minuscules et donc surveiller des populations voire tuer des personnes en injectant du poison. Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de terrorisme médiatique, de la tyrannie sanitaire, de l’intimidation et de la répression des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes, ce type d'homme pense vraiment à tout. Pour conditionner une grande partie du peuple jusqu'aux sentiments, la fabrique du consentement par le conditionnement dont par des personnes prétendument scientistes vous répétera une idée jusqu’à ce que vous la répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, comme ils ont répandus le refus de visiter les grands-parents pendant la longue période du covid. De même la stratégie de domination de la corporatocratie atlantiste correspond à façonner l’esprit collectif. C'est à dire qu'après 30 ans de sélection, de scolarisation et d’organisation dans une toile d’araignée qui couvre l’ensemble de la société dont à travers les médias et des sociétés secrètes, les centres de commandement occidentaux parviennent extrêmement facilement à générer des partis et des gouvernements dociles comme la plupart d'aujourd’hui. Étienne de la Boétie dans son discours de la servitude volontaire précise : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a pas seulement perdu sa liberté mais bien gagné sa servitude. » L'Homme d’État Nazi Joseph Goebbels disait : « Un mensonge répété à quelqu’un reste toujours un mensonge, mais un mensonge répété 1000 fois et partout devient une vérité (même au niveau scientifique comme la théorie de l'évolution et au niveau de nombreuses infos passées en boucle sur BFM, LCI ou CNews) ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui s'est passé politiquement autour du covid, et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier (prix Nobel de Médecine) a dit à ce sujet que nous vivons dans un monde de fou. » En réalité, les gouvernements créent de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle les jugements entre en contradiction les uns avec les autres et amènent à des situations de blocages et d’égarement. Nombreux sont ainsi beaucoup plus vulnérables et beaucoup plus perméables à des consignes qu'ils n’auraient sûrement pas acceptées si leur raison fonctionnait normalement. Le fait par exemple de porter un masque selon des scientistes entretient un climat de terreur qui repose sur une menace invisible et imperceptible. Ce qui amplifie les angoisses et le stress, et impacte donc directement le processus de survie empêchant toute réflexion profonde et le système immunitaire s’affaiblissant à force d’anxiété, surtout qu'un système immunodéprimé en particulier suite à deux mois de confinement est très fragile et bloque donc souvent un humain même mentalement par la maladie. Encore du point de vue psychologique, nous savons que la peur est en plus très mauvaise conseillère. C'est à dire comme il a été vu que lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Or la peur n'empêche pas de mourir, elle n'empêche donc que de vivre heureux, bien et au mieux. D'ailleurs par rapport à avant l'époque moderne où même les enfants mourraient souvent, cette peur et ce rejet de la mort et donc de Dieu est une chose nouvelle inquiétante vu les décisions absurdes que les gens acceptent, mais peu étonnante vu notre époque laïciste et wokiste de cancel culture. Sous prétexte de lutter contre le terrorisme, le virus ou les pénuries, les français ont même accepté que l’état d’urgence n’a en réalité fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements. Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens, et lorsqu’ils sont biaisés, apeurés ou plus tout à fait fonctionnels, c’est tous nos repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons alors dans une position d’extrême vulnérabilité voire de perdition, comme des baleines dépourvus de leur système d’écholocation. Puis nous perdons confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent, et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité voire nous voulons son amplification, surtout si elle se prétend scientiste. C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons aveuglément tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice. 80 % de la population a d'ailleurs accepté le vaccin ARN, alors qu'en plus, il était non conforme à la procédure de contrôle et de sécurité habituels. Ainsi la tyrannie financière mondiale recherchée par les élites globalistes perverses, synonyme de totalitarisme bancaire, oligarchique, lgbtiste et sioniste prenant tout le pouvoir progressivement d'abord en Occident dont donc souvent dans une ambiance ou une apprence de scientisme, doit être impérativement combattue, car elle mènera inévitablement à la dette asservissante synonyme d'esclavage moderne envers les peuples, puis à la monopolisation, puis à la dépopulation ou/et au chaos. Par conséquent un retour profond du social et donc un sérieux changement d'idéologie politique doivent avoir lieu par les faibles et honnêtes gens contre les riches corrompus, puis par le peuple contre les autorités perverses. C'est à dire que sans réaction populaire forte et unie, ce système tiendra tout par la dette et détiendra donc le pouvoir au détriment des politiciens, des peuples, des PME productrices et de la santé en général. Or selon l'article suivant de Gilad Atzmon « La façade démocratique » montrant la profonde division du peuple US, cela pourrait être aussi plus ou moins similairement le cas des peuples dans les autres pays occidentaux, quoique la réélection de Trump en 2024 si elle parvient à ses buts, cela pourrait leur donner de l'espoir : « Le jour de l’élection (états-unienne de 2020), d’innombrables commentateurs progressistes et libéraux dans tous les grands médias ont été assez stupides pour admettre que la bataille en jeu ne portait pas vraiment sur « Trump ou Biden » mais sur l’American way, et pour ainsi dire sur l’avenir, dont du discours public et de la vie publique aux États-Unis. Les progressistes et les libéraux étaient suffisamment confiants pour croire qu’avec près de 100 millions de bulletins de vote remis avant le jour des élections, les Américains avaient déjà donné un spectacle sans précédent de rejet de tout ce qui peut ressembler, même légèrement, à des « valeurs conservatrices » (de Trump). Ils étaient convaincus que l’Amérique avait déjà fait son choix. Pour eux, je dois supposer que l’élection n’était qu’une formalité et que la bataille était déjà gagnée. Mais quelques heures plus tard, il est apparu que les enquêteurs les avaient une nouvelle fois complètement trompés. Les partisans de Trump ont refusé de s’évaporer. Ils se sont considérablement développés et se sont même étendus démographiquement dans certains territoires électoraux « inattendus » traditionnellement associés et acquis à la politique démocratique. La signification évidente de cette élection est que l’Amérique, comme la plupart des autres États occidentaux, est divisée en deux sociétés opposées qui ont très peu en commun. Ce qui est bien plus inquiétant, c’est le fait que les deux côtés de la division ne peuvent pas se tolérer l’un l’autre. Autant la gauche, les progressistes et les libéraux sont convaincus de la validité absolue de leur mode de pensée, au point qu’ils insistent pour les imposer par des mesures autoritaires et tyranniques, au moins autant de personnes n’y croient pas, n’embrayent nullement, ou/et rejettent farouchement ces valeurs. De nombreux Américains n’acceptent pas le schéma identitaire. Beaucoup d’Américains ne sont pas du tout convaincus que le genre ne soit pas binaire. Je suppose que le plus décevant et le plus inquiétant pour le Comité National Démocrate est le fait que des membres de « minorités diverses », comme les appellent les démocrates, ont changé de camp. Ils sont devenus de fervents partisans de Trump. Regardez par exemple le groupe fusionnel cubain qui chantait « Je vais voter pour Donald Trump. Ce qui est très facile à expliquer, car le Parti démocrate propose aux Noirs, aux homosexuels, aux Latinos et aux « minorités diverses » d’être marginalisés à jamais dans un amalgame d’« Autres unis » et pas d'américains unis. Alors que le GOP « Great Old Party, Le Génial Parti Expérimenté (républicain) » offre à ces personnes une intégration immédiate dans le royaume américain en tant que personnes ordinaires. Il suffit de se procurer une casquette de baseball rouge et de se joindre à son prochain rassemblement local. C’est cette unité existentielle la plus fondamentale qui était si vive jadis dans le discours révolutionnaire de gauche, mais qui s’est finalement matérialisée seulement sous la forme d’un tsunami populiste pour une résistance politique de droite. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, le Parti républicain est devenu le parti de la classe ouvrière américaine, car ce sont des gens qui se définissent par leur adhésion aux valeurs familiales, à l’église et au travail, et qui se considèrent comme les « Américains ». Le Parti démocrate, qui prétendait être la voix de ces travailleurs, s’est progressivement transformé en un conglomérat urbain identitaire de la gauche sociétale impie, c'est à dire en un collectif de personnes croyant follement à la construction personnelle ou sociale même contre-nature. Il s'agit de personnes qui insistent pour que quiconque puisse pouvoir se définir et s’identifier à n'importe quoi en ne pensant donc pas prioritairement à êtres unis par la patrie. Ces gens veulent être considérés même donc illégitimement « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant qu'objet », « en tant que juif ». Nous avons pratiquement appris à nous battre les uns contre les autres au lieu de nous unir en un seul peuple. Au lieu de s'unir en dehors de nos différences, nous avons construit de nouveaux murs de ghetto en soulignant et en célébrant chaque ligne divisante de démarcation possible (blanc/noir, homme/femme, jeune/vieux, hétérosexuel/lgbt, etc.). Au lieu d’identifier Wall Street, la propagande médiatique et les géants de la technologie comme notre ennemi mondial féroce, ils les ont laissé devenir les catalyseurs et les fournisseurs d’argent dans la guerre mondialiste oligarchique et soniste qui est souvent contre la population conservatrice et souverainiste. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, la gauche a fini par adopter l’aspect idéologique hitlérien le plus encombrant et le plus problématique : contrairement au fascisme italien qui adhérait au concept de « socialisme du peuple italien », ou au premier nazisme qui défendait l’idée de « l’égalité des germanophones », Hitler a insisté sur le « socialisme pour une seule race ». Hitler affirmait que la politique des gens est intrinsèque à leur classement biologique. Contrairement à la pensée traditionnelle de la gauche inclusive, axée sur les classes, la gauche contemporaine pousse les gens à s’identifier politiquement en termes biologique, c'est à dire « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant que juif (car c'est d'abord une ethnie alors que les ashkénazes n'y appartiennent pas et que les chrétiens et les musulmans sont dans leurs confessions respectives par le choix) », etc.. Alors que le GOP se rapproche de plus en plus d’une politique de classe universelle (nationale). Le matin du 3 novembre, la presse libérale était prête à annoncer que la philosophie du « en tant que » avait gagné. Mais dans l’état actuel des choses, cette bataille entre le peuple des « en tant que tel » et les « Américains » pourrait dégénérer en un véritable conflit violent, car il n’y a personne en Amérique ou ailleurs qui sache comment unir la population dans un simple concept de peuple. Or on verra ce que ça donne avec donc la réélection de Trump.) Encore une fois, ce n’est pas vraiment un phénomène américain. La même division et l’absence d’une perspective d’unification politique sont actuellement apparentes dans tous les États occidentaux. Pour comprendre la politique des identités et son impact désastreux sur la société contemporaine, lisez donc mon ouvrage Being in Time... Trump ou Biden, la question n’est pas là. Il s’agit de l’opposition entre urbain et rural. Il s’agit d’un débat entre mondialistes et nationalistes. Il s’agit de Cosmopolitains contre Patriotes. (Il s'agit du capitalisme spéculatif contre le capitalisme productif. Il s'agit de la droite des valeurs et de la gauche du travail contre la droite de la finance internationaliste et la gauche sociétale.) Il s’agit de Tribal contre de l'Universel. Il ne s’agit pas de démocrates contre républicains. Il s’agit des minorités contre les américains. Il s’agit des « en tant que tels » contre le peuple authentique. Il s’agit d’une « grande réinitialisation » contre un désir de grandeur humaine authentique. Nous sommes en train de revivre les derniers jours de la république de Weimar (pouvant amener à un quatrième Reich oligarchique et sioniste, possiblement donc celui de l'antéchrist). » Commentaire d'un internaute : « Les conservateurs et les modérés n’ont presque plus rien en commun avec le gauchisme politique ; les conservateurs veulent la liberté d’expression, le droit à l’autodéfense, le droit à des informations honnêtes et exactes, l’autonomie, la liberté économique, des frontières sûres et un petit gouvernement. Les gauchistes soutiennent la censure de masse, le désarmement, les fermetures d’entreprises, les mandats de verrouillage, les frontières ouvertes, la centralisation, l’État-nounou et la tyrannie. Il est peut-être temps de nous séparer, de construire les sociétés que nous voulons loin les uns des autres et de voir qui sera le plus épanoui. » Or il y a une guerre hybride qui tend à l'affaiblissement de tout le peuple puis donc à la soumission d'une nation au profit des puissances privées d'argent, à travers la promotion de l'athéisme, l'abrutissement télévisuel, le divertissement excessif de plus en plus infantile, le matérialisme, le progressisme, la destruction de la famille, la malbouffe, la pornographie, la suppression du service militaire qui apportait de la discipline, la démocratie pervertie, l'immigration de masse, la privatisation à outrance, la fin de sa propre création monétaire, la disparition de ses frontières, l'endettement par l'usure, la désindustrialisation, la stagnation des salaires alors que tout augmente en particulier l'énergie, les loyers, la destruction de la classe moyenne et de la moyenne bourgeoisie, l'inflation, la disparition des acquis sociaux, la guerre, et les mesures sanitaires diminuant l’immunité collective et créant des problèmes psychologiques. Et tout cela ainsi que les planches à billets, l'économie de guerre participent aussi à l'endettement massif et donc la dilution de la France par les forces obscures, car nation historique du juste milieu dont au niveau économique, diplomatique, intellectuel et moral. En effet c’est l’élite globaliste oligarchique perverse qui porte les coups les plus durs à son ennemi que sont les peuples, on le voit avec la politique du 49-3, les planches à billets, l'inflation, le gros endettement de la nation, la stérilisation des Assemblées, la privatisation de l’exécutif, la mainmise sur les médias, la corruption endémique, la surpuissance de la Banque, la délocalisation, l'immigration de masse, le blocage des salaires, la hausse des loyers, les taxes nouvelles, l'éborgnement des gilets jaunes, l'oppression covidiste, les faveurs envers l'Ukraine et Israël. Ainsi la lutte contre tout ce plan maléfique demande une urgente victoire impérative du bien, dont pour éviter une guerre civile ou une troisième guerre mondiales, puisque c'est ce qu'entraîne inexorablement son pilier principal qu'est la massive usure financière internationale. Heureusement que l'espoir est de mise en particulier à notre probable époque de fin des temps, car à travers l'Histoire, c'est souvent un camp parmi les moins pires qui a finalement triomphé (bien que cela a parfois servi à atteindre une autre phase du pervers mondialisme), voire dans quelques cas parmi les plus bons. Noblement dans ce sens selon la juriste Valérie Bugault, un nouveau système pourrait être basé sur une méritocratie élective dont les candidats auront à prouver par des faits leurs efforts, leur persévérance, leur assurance et leur organisation pour le bien commun. De plus il serait aussi important d'y faire participer de grands électeurs comprenant des associations de parents d'élèves, des syndicats, des organisations humanitaires, des communautés religieuses. Puis l'élu après s'être entouré d'excellents conseillers devrait rassembler les forces politiques, économiques, sociales, associatives et religieuses mais aussi des citoyens tirés au sort, afin de les interroger sur les grands sujets et évaluer la meilleure politique d'un juste milieu dans les intérêts de tous, tout en favorisant raisonnablement les faibles en cas de désaccord ou d'équité difficile. Enfin cette nouvelle société devrait être organisée autour des trois groupement d'intérêts commercial, culturel et spirituel, eux-mêmes organisés en sous groupement d'intérêts, afin de tirer vers le haut tous ces groupements et donc forces, dont en élisant des représentants respectifs qui tendront à faire des passerelles entre ces secteurs, ou des revendications particulières légitimes, voire des contre-pouvoir utiles. Or plusieurs groupements d'intérêts peuvent se créer au sein d'un seul secteur, comme il y a une différence entre grands et petits producteurs ou entre industriels et artisans. C'est à dire que suite à d'intelligentes négociations pacifiques, il faut prendre des décisions limitant ou évidemment mieux unifiant ces secteurs pour un développement commun. Plus de précisions sont apportées dans les vidéos « Chronique Hebdo #39 avec Valérie Bugault - Revoludroit : vers une réforme efficace des institutions » à l'adresse https://youtu.be/17u7PapyV8g et « Du système de domination au changement de paradigme - Politique & Eco avec Valérie Bugault » à l'adresse https://youtu.be/v5OaJqwobLs Valérie Bugault dit par ailleurs que quel que soit le système politique, s'il est lié à la représentation parlementaire associée à une banque centrale indépendante, il s'agit forcément d'une ploutocratie, que nous ne devons plus valoriser la vie, l'humain et la réalité qu'au vu du rendement, en retournant vers une conception plus politique qu'économique pour retrouver des valeurs qui permettent de refaire société, de prospérer en tant qu'individu et collectivité, et que pour sortir de l'hégémonie financière, il faut arrêter de considérer la monnaie comme une marchandise, en finir avec l'anonymat des capitaux déresponsabilisant et développer la doctrine sociale de l’Église au 19e siècle de participation, qui est le partage du pouvoir décisionnel dans le monde capitaliste entre les improductifs patrons et les productifs salariés et donc les développeurs de l'entreprise dont concernant l'avenir des richesses créées. Or concernant l'impôt, il n'y a que l'équité de la zakat qui unira et pacifiera tout le peuple. De plus comme la France a une revanche à prendre avec l'Histoire, puisqu'elle a été une des principales nations à l'origine du bon droit continental et que la mauvaise laïcité devenue laïciste puis néolibérale l'a envahie en premier avant le monde au détriment de sa relation avec Dieu, elle doit donc bien revenir à l'Histoire afin d'exemplairement obtenir une union populaire plus forte grâce à la mémoire (et si possible la conscience) collective(s) et une foi commune, nécessaires à la réussite du projet de digne réorientation sociale. Cette mémoire collective et cette foi commune pourraient être basées sur les valeurs hélleno-chrétiennes, naturelles et défendant les faibles, car incarnant la civilisation par essence. Le président Russe Vladimir Poutine a dit : « Que l'amitié et les bons espoirs qui nous unissent tous en ce moment, continuent de nous accompagner à l'avenir, nous aident dans le travail et participent à la réalisation de nos bons objectifs communs. » Il faut noter que depuis la révolution libérale-libertaire de mai 1968 (pré-révolution de couleur), ayant mis fin à la présidence du Général de Gaulle, dernier président réellement patriote de la France, puis y ayant permis la prise de pouvoir par une élite politique provenant principalement du cercle sectaire très fermé de L'ENA depuis plusieurs générations, le nombre de chômeurs est passé de 200 mille à 6 millions, car cette élite perverse a trahi la République Française en la vendant à des actionnaires. D'autre part pour encore plus renforcer le pouvoir national, il faut se rappeler que l'empire islamique était divisé en provinces (régions comparable à des pays) dont des gouverneurs géraient les intérêts de chacune, prouvant la nécessité de bonnes zones administratives pour faciliter leur organisation et leurs demandes parfois logiquement particulières. En rappelant que par rapport aux diverses discussions avec les différentes tribus d'Arabie, le Prophète (SBDSL) accorda des particularités voire des autonomies tant que la zakat était payée et la paix préservée, et par rapport aux régions conquises même non musulmanes par les premiers califes qui suivirent, ces dernières firent de même mais avec la jizia. Et c'est pourquoi la grande importance et donc la grande valeur voire la nécessité du retour du califat islamique, dont pour urgemment stabiliser l'Afrique, le Maghreb, le Korassan, le Proche-Orient, et ainsi le Monde, pourrait être basé simplement sur l'union des pays musulmans telle une confédération plutôt qu'une fédération, avant le retour de Jésus et possiblement grâce au Mahdi, donc sans ouverture des frontières nécessaire, mais en pouvant faciliter les voyages entres certains pays ou pour certaines personnes dont du commerce, de la politique, de la justice, de la police voire de l'armée, c'est à dire sans visas. En effet l'histoire a prouvé que tout grand Empire doit déléguer une grande partie de son pouvoir pour sa pérennité, comme donc les gouverneurs de région au sein du califat, mais aussi les seigneurs au sein du royaume de France, voire donc les chefs d'état au sein une future confédération musulmane synonyme de retour symbolique du califat. Ce qui signifierait que les califes que seront le Mahdi puis Jésus n'auraient aussi donc qu'un très honorable rôle symbolique d'unification pacifique, en sachant d'ailleurs que toutes les nations resteront probablement en grande partie les mêmes après le retour de Jésus et la mise en place de son califat, mais probablement souvent avec des changements politiques ou la création en son sein de mini-empires synonyme de grandes régions basées sur la langue. Surtout qu'une confédération est d'autant plus préférable, car les pays musulmans sont clairement à différents niveaux d'islam et ont parfois voire souvent des interprétations de cette religion en partie différentes. Cette confédération pourrait donc se lier au niveau de quelques grands principes moraux et pas forcément de tous, au niveau des dogmes religieux et pas forcément de toute la religion, au niveau économique (dont anti-usure et pro-leasing) et pas forcément monétaire ni multi-secteur, au niveau du droit naturel (dont contre le mariage homosexuel, la transsexualité, le transgenrisme et le transhumanisme) et pas forcément de tout le droit coranique, au niveau d'un système type swift et pas forcément de tout le système bancaire international (en sachant qu'avec l'invention de la blockchain, les systèmes type SWIFT ne sont en réalité plus nécessaires), au niveau d'une monnaie commune et pas forcément unique (ce qui n’empêche pas de mettre éventuellement des taxes sur certains produits entre nations ni de continuer aussi avec les monnaies intérieures), au niveau de l'alliance militaire dont contre le terrorisme et pas forcément au sein d'une seule armée, et au niveau d'un calife symbolique qui changerait chaque année à travers le chef de chaque grande nation se succédant mais avec un parlement principal décisionnaire, car l'essentiel est vraiment l'union musulmane bénie et donc consolidant les pays musulmans, en particulier face à l'Union Européenne, les USA et l'Occident. Surtout que pour les pays musulmans, il n'y a de résistance à l’impérialisme américano-sioniste ou mondialisto-oligarchico-wokiste que par l'union transnationale ou au moins internationale. En effet il est grand temps d'arrêter les caprices enfantins voire le mépris impie de la division empêchant les nations musulmanes de nouer des liens plus étroits et de renforcer leurs relations, afin de promouvoir l’islam dans le monde entier, de tendre à recréer le califat, et donc de trouver des solutions dans ces sens. D'autant que l'influence de l'hégémon américano-sioniste ou mondialisto-oligarchico-wokiste s’agrandit seulement par la division, la déstabilisation et la guerre en particulier intra-monde musulman, et que la civilisation dont celle musulmane va au-delà des nations. D'autant plus que 52 pays du monde sont à majorité musulmane et que certains sont désunis et proche de l'autodestruction voire du retour au moyen âge, alors qu'ils correspondent ensemble à 1,3 milliards de personnes, ce qui en ferait le bloc hégémonique mondial en cas d'union dont par leurs positions géographiques, propagerait la noblesse morale authentique qu'est l'islam et diminuerait les graves problèmes de l'immigration massive vers l'Occident. D'ailleurs Tom Benoît porte un regard particulièrement optimiste sur le Moyen-Orient, qu’il compare souvent à l’Europe à ses débuts. Il souligne l’innovation et l’entrepreneuriat florissants dans cette région, contrastant avec ce qu’il perçoit comme un déclin en Europe. Il met en avant la capacité des Émirats à attirer les meilleurs talents et à créer un environnement propice aux affaires. Selon lui, le Moyen-Orient pourrait bien devenir la nouvelle puissance économique mondiale. En sachant que les outils vitaux ayant préservé divers peuples et donc la vitale coopération étendue et efficace qui a permis une population organisée au cours de l'histoire jusqu'à la mondialisation actuelle, sont la loi, la technique et la monnaie (et souvent la religion ou la culture communes), en particulier lorsqu'il s'agissait d'union sérieuse (coexistence puissante) augmentant la protection contre l'élimination ou la domination. Or les lumières franc-maçonnes en grande partie défectueuses à l'origine du pervers mondialisme actuel prétendent donc dangereusement que l'humanité réussira mieux sans religion ni culture ni nation, mais seulement avec la science, la technique, l'économie, le consumérisme et la monnaie comme composants de l'idéologie politique. De plus il est enrichissant savoir que Sumer et l'Égypte seraient les premières nations du monde (agrégats de tribus), mais que l'Égypte était plus nationaliste (ethnique) et Sumer était plus une nation-empire (multi-ethnique). La nation se fit ensuite par la géographie, le lieu de naissance, la religion, l'hérédité, l'ethnie, la langue ou/et l'allégeance, puis par la race comme en Allemagne et Turquie. Or ce sont les états modernes qui ont le plus relié les individus de race, d'ethnie ou de religion différentes, mais au profit des capitalistes libéraux, du consumérisme moderne et donc de la séparation des classes, et au détriment du sacré étatique, du patrimoine historique et culturel, des nations-empires multiculturelles et donc d'une unification populaire plus grande, sauf avec les nouveaux empires impies, cupides et oligarchiques comme les USA et l'UE. D'où l'importance des BRICS basés sur la loi naturelle et la justice économique, et du retour du califat. En sachant que la nation moderne arabe et même le panarabisme a pour origine des principes juridiques étrangers en particulier de France et d’Angleterre, alors que l'islam comme le monothéisme a donné le califat, l'émirat, le sultanat ou le royaume (qui sont des régimes traditionnels basés essentiellement sur l'allégeance), et donc pas de nations arabes, dont par preuve qu'avant le califat il n'y avait que des guerres tribales en Arabie et donc pas de nation unie. D'ailleurs selon la volonté du plan israélien Oded Yinon et le projet US officiel de recomposition du Moyen-Orient, ces dernières ont souvent été créées pour effacer les régimes traditionnels musulmans dont par le socialisme et diviser toujours plus le monde musulman au niveau ethnique dont par le droit aux peuples de disposer d'eux-même. Or selon Roger Garaudy, « le nationalisme » est une invention européenne. En effet depuis les traités de Westphalie (1648) qui sonnèrent progressivement le glas de la « chrétienté » qui unissait l’Europe (puis de l'islam qui unissait le Moyen-Orient), les « unités nationales » se constituèrent sur la base de l’économie de marché internationale basée sur le concept de marché national libre progressivement à outrance, protégé par chaque État, protégés par une armée. Dans un sens excellemment opposé, les travaux de la rencontre au sommet des États de l’AES tenue en juillet 2024 ont abouti à des décisions importantes pour la marche de l’Alliance des États du Sahel. La déclaration de Niamey confère à l’AES le statut de confédération régie par des textes dont la teneur a été livrée aux participants à la fin de la rencontre. Cette confédération est fondée sur des principes comme le respect de la souveraineté et l’intégrité territoriale des États, la non-agression entre les États confédérés, l’interdiction de toute mesure coercitive, la solidarité, la sécurité collective, et la défense des intérêts des populations de l’espace confédéré. En signant le Traité créant la Confédération « Alliance des États du Sahel (AES) », les chefs d’État ont réaffirmé leur détermination à accélérer la dynamique enclenchée avec le soutien des peuples de l’AES, afin de vaincre l’adversité sous toutes ses formes et amorcer la paix et le développement économique. Cette étape marque un tournant décisif de la vie de l’AES en tant que confédération en lui conférant un statut juridique fort, et une valeur politique incontestée comme sources d’inspiration et d’action des peuples du Sahel, d'Afrique, et même du monde musulman pour tendre vers un califat sous forme aussi de confédération, pouvant d'ailleurs se liée à celle de l'AES puisque étant des pays musulmans. Surtout que l’existence de liens historiques, géographiques et culturels, la soif d’une souveraineté totale, la nécessité d’une mutualisation des efforts et des actions au regard des expériences vécues, la volonté de promouvoir les droits des peuples et le développement économique de l’espace ont constitué les ferments des textes produits au cours de ce sommet des États de l’AES en juillet 2024, qu'en plus des questions de sécurité et de défense, la coordination de l’action diplomatique et de développement occupe désormais une place de choix au sein de la Confédération AES, et qu'une des décisions à la clôture de cette rencontre tripartite historique des trois pays, a été la mise en place d’une présidence annuelle tournante tel un calife tournant annuellement de la Confédération AES, qui est débuté par le Mali.
Dans le sens possible d'un retour proche du califat sous forme de confédération, le ministre russe des Affaires étrangères a mentionné lors de sa conférence de presse annuelle tenue le jeudi 18 janvier 2023 et consacrée à description des réalisations de la diplomatie russe en 2023, que l'Iran était l'un des cinq membres du cercle rapproché de la Russie, avec lesquels les relations sont importantes pour Moscou. « En ce qui concerne notre cercle restreint, je dois absolument mentionner ces pays du Moyen-Orient : l'Iran, la Turquie, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Qatar. » En effet les nations musulmanes peuvent sagement réinventer le califat en s'inspirant des quatre premiers califes et du califat abbasside avec Bagdad comme capitale, car ce dernier correspond à une forme d'âge d'or de l'islam, puisqu'il était florissant au niveau intérieur à travers la paix entre les sunnites, les chiites, les philosophes soufis et les quatre écoles religieuses, et au niveau extérieur par son expansion. Surtout que des salles annexes des grandes mosquées des cours religieux et scientifiques gratuits y étaient proposées, ce qui provoqua une grande effervescence intellectuelle, scientifique, philosophique, pieuse et sociale dans le monde. Il faut noter que chacun de ces califats étaient commandes par un dirigeant éclairé dont car conseillé par une concertation de pieux, qui tendait à prendre en compte équitablement tout individu et tout groupe, comme le faisaient également les gouverneurs de provinces. Ainsi il ne faut pas oublier de s'inspirer de ce qui est éternel et non caricatural dans le califat à réinventer, tout en faisant attention à ne pas répéter les erreurs des califats qui ont mené à la fin de cette institution sacrée. « Nous appelons l’ensemble du monde islamique, tous les gens sains d’esprit, à s’unir dans des efforts conjoints contre notre ennemi commun (l'Occident américano-sioniste, wokiste, lgbtiste, belliqueux, mondialiste, transhumaniste et ploutocratique. » (président tchétchène Kadirov) Dans ce sens et même pour les nations occidentales, des référendums d'initiative citoyenne demandé au minimum par des centaines de milliers voire un million de gens sont grandement utiles, car ils permettent de traiter des points qui pourraient être uniquement présents ou déraisonnablement présents dans le programme d'un parti vainqueur ou vaincu. En effet cela pourrait améliorer, valider ou annuler ces points, tout en unifiant ainsi la population par l'intelligence collective d'une réelle démocratie. De plus comme le contexte de vie peut parfois être différent en fonction de certaines zones, des référendums d'initiative citoyenne pourraient également être mis en place au niveau communal, départemental ou régional. En sachant qu'un état réellement monothéiste a moins besoin de référendums, puisque le collectif bon sens pieux, religieux et équitable parvient plus souvent à trouver le meilleur chemin. Mais la démocratie actuelle a été presque totalement vidée de son sens, et le pouvoir se contente désormais d’entretenir maladroitement l’illusion démocratique à l’usage des masses, surtout que biberonnées dès leur naissance à la propagande. Or nous ne vivons pas dans un régime totalitaire visible, car cela se caractérise par définition à travers la confiscation du pouvoir par un parti unique devenant ensuite souvent une tyrannie militaire, nous vivons dans un régime totalitaire invisible, car un pouvoir profond caché dont au sein du gouvernement et de la plupart des grands partis ne tolère aucune forme de grande opposition organisée. D'ailleurs tel un parti unique dissimulé en plusieurs, tous les grands partis français sont d'accord concernant le droit à l'usure, le mariage homosexuel, le lgbtisme, la constitutionnalisation de l'avortement et la supranationalisation de l'UE oligarchique. Ici on peut noter que les principaux totalitarismes athées sont le nazisme, le communisme et l'ultra-libéralisme libertaire, qui sont la fermeture, le social et l'individualisme portés à outrance par un manque de confiance en Dieu, car voulant trop sécuriser l'incertitude de l'environnement nous entourant, ou voulant dominer ou manipuler la population. Cela montre aussi que trop de sécurité détruit la sécurité et que le juste milieu entre ces idées incarne la perfection du christianisme et de l'islam authentiques : (ExtS2v143) « C’est ainsi que Nous avons fait de vous la Communauté du juste milieu » Le totalitarisme est donc un régime tyrannique à parti unique contrôlé par un pouvoir profond plus ou moins visible n’admettant aucune opposition, et dans lequel l’État tend à en interdire certaines activités de la société arbitrairement ou partialement, puis à orienter toutes les autres d'abord au profit des autorités. Cela signifie que c'est une dictature utilisant souvent des règles indignes qui vont jusqu'à s’exercer dans toutes les sphères privée et intime, à quadriller toute la société et tout le territoire, et à imposer à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire. Il est donc important de noter que la tyrannie est différente de la dictature, car cette dernière peut être éclairée. Le totalitarisme se voit aussi à travers la censure systématique, la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales, même en dehors de la politique. La contagion délirante est aussi un signe du totalitarisme comme lors du covid. Or en politique, mais donc aussi en science, en médecine et en économie, le totalitarisme n'aboutit qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables comme le prouve la fin d'Hitler, car le scénario divin organisant une grande partie du destin de l'humanité doit se réaliser. « On reconnaît un système totalitaire au fait que les criminels sont ménagés et les adversaires politiques criminalisés. » (Alexandre Soljenitsyne) Or le totalitarisme moderne invisible auquel l'occident est confronté va plus loin encore que la simple tyrannie visible ou sa définition précédente, car il ne s'impose pas comme celui visible, mais s'installe tranquillement petit à petit à l'insu des gens dont par des lois de plus en plus liberticides liées aux crises climatique, financière, terroriste, lgtbiste, sanitaire, guerrière, énergétique, inflationniste, économique et banlieusarde. Surtout que par ses médias, ce ploutocratique et sioniste système totalitaire entend désormais s’immiscer dans la sphère intime de la pensée en imposant insidieusement à tous les citoyens l’adhésion à la banalité d'une idéologie obligatoire qu'est la démocratie laïciste ultra libérale-libertaire synonyme d'amoralité ou plutôt d'immoralité wokistes, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la société. En effet c'est une confirmation de plus que le pire totalitarisme est celui ploutocratique sous un déguisement. C'est à dire qu'il a parfois voire souvent été déguisé dont actuellement à travers le néolibéralisme laïciste et avant à travers l'union soviétique et son oligarchie administrative, et est apparu fréquemment à travers l’Histoire dont en perdurant depuis des siècles jusqu'à nos jours. Ainsi il faut remarquer que ce totalitarisme ploutocratique déguisé est compatible particulièrement avec les institutions républicaines souvent d'ailleurs créées pour cela par des franc-maçons et des sionistes, avec le multipartisme infiltré, avec les syndicats soumis et avec des médias faussement « libres », car ce totalitarisme caché ne présuppose pas la tyrannie, mais l'organise par le financement de ces domaines. C'est à dire que la tyrannie visible n’est qu’un moyen pour imposer le totalitarisme, et qu'elle peut donc être remplacée par un moyen invisible comme donc cette impie idéologie ploutocratique, américano-sioniste, mondialiste, wokiste et lgbtiste, dont à travers un ensemble de faux-semblants et de manipulations faisant accepter son instauration par le peuple. En effet tant que la population pense faire le bien, elle peut souvent être manipulée pour soutenir un mal immense. Surtout donc qu'une douce (invisible) tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale (visible) tyrannie grossière avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation soumettant, alors que la deuxième est violente et évidente jusqu'à des réactions d'opposition. A notre époque dans l'Union Européenne faussement démocratique, nous sommes arrivés au sommet du totalitarisme soft et affiné, surtout que poussant les dissidents plus à la dépression par l'oppression détournée, absurde, calomnieuse, politique, médiatique et judiciaire en plus souvent liée à de petites personnes en tout, qu'à la fatigue par le combat plus physique. (Mais en cas d'une énorme crise nationale, c'est la dictature ou la tyrannie de l'uniforme militaire ou policier qui réordonne tout, pas les talons aiguilles, ni les petites personnes en tout, ni le chéquier des très riches.) D'ailleurs les révolutions républicaine en France, communiste en Russie, fasciste en Italie et national-socialiste en Allemagne qui étaient basées sur la relation des gens en dehors du monothéisme authentique, avait en réalité moins d'autorité qu'aujourd'hui, puisque dans l'actuel ultra-libéralisme supranational, libertaire, inclusif et décadent, tout étant divisé et donc non révolutionnaire, cela correspond au pouvoir le plus exclusif de l'histoire quoique une majorité défendant la loi naturelle demeure. Mais comme la tyrannie par la force n'est plus tenable, elle se fait donc logiquement désormais par la subversion via les médias de masse et de plus en plus via les réseaux sociaux liés au smartphone, quoique la dissidence y reste forte. Le totalitarisme soviétique militaire était donc beaucoup moins puissant que le totalitarisme progressiste, car ce dernier est habillé de façon moderne. Surtout que pour obtenir plus pouvoir par un pseudo-saut qualitatif d'autant plus quand le peuple n'a plus droit aux armes comme sous Staline et en France, le totalitarisme mondialiste, ploutocratique, progressiste et sioniste n'a qu'à attendre que le système précédent s'effondre sous ses contradictions, à activer les réseaux oligarchiques et à prendre les places de pouvoir, voire à espérer un massacre de manifestants pacifiques pour qu'une révolution orange puisse se produire. Or la violence fasciste peut même être qualifiée de surface par rapport à celle de ce totalitarisme mondialiste, ploutocratique, progressiste et sioniste, car elle n'avait pas attaqué en profondeur les fondamentaux anthropologiques de notre société. En effet pour démoraliser (pousser à la déchéance morale) et donc dominer les peuples, la mondialiste, ploutocratique, progressiste, sioniste et désormais malthusianiste société de consommation est allé jusqu'à légaliser le changement de sexe par la mutilation voulue par la folle doxa lgbt, ce qui signifie qu'on est passé du réversible à l’irréversible, c'est à dire du travestissement vestimentaire réversible au travestissement sexuel irréversible car destructeur organiquement et fertilement puisque stérilisant. Par conséquent l'Occident, qui a progressivement subi voire accepté le perverti progressisme lgbtiste, transhumaniste et donc nihiliste, finit logiquement par se suicider au profit des élites corrompues, mondialistes, ploutocratiques, progressistes et sionistes. Ce qui prouve encore qu'avec la disparition progressive de la piété, l'humanité finit par s'autodétruire, et que l'envoi au cours de l'Histoire de Prophètes rappelant les vérités monothéistes était légitime et bien synonyme de sauvetage de l'humanité, même si la destruction divine est nécessairement souvent intervenue pour empêcher la propagation du grand mal de certaines populations ayant en plus refusé leur message. D'ailleurs la tyrannie ne prospère que grâce à une partie de la population qui l'aime secrètement et souhaite son existence. En effet les insouciants abrutis, les idiots utiles et les aberrations sociopathes sont les complices de l'oppression, car généralement ils motivés par la peur, la sécurité de la foule et une fausse exemplarité. La compréhension de ces motivations est essentielle pour lutter contre la tyrannie. « Il existe une question fondamentale qui hante les pages de l’histoire et qui n’a jamais été traitée de manière satisfaisante. Il existe de nombreuses écoles de pensée sur le pourquoi et le comment de l’émergence de la tyrannie dans une société donnée et toutes ratent la cible en termes d’explications, principalement parce qu’elles laissent toutes leurs préjugés gouverner leurs conclusions et les aveugler sur les aspects plus profonds du pouvoir et de la conspiration. L’hypothèse commune en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’elles n’ont pas l’intention de tenir. Il s’agit d’une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu’il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine. Dans notre ère moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Il faut les inciter à se conformer, mais seulement cela, car il faut aussi leur faire croire que c’était LEUR idée depuis le début. Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-asservissement, la population finira par se rebeller, quelle que soit l’oppression du régime. Une tyrannie de mille ans ne peut exister que si un certain nombre de personnes sont amenées à l’applaudir, ou si elles en bénéficient directement. Et c’est là que se trouve la véritable clé du totalitarisme : il ne prospère que parce qu’une partie inhérente de toute société donnée l’aime secrètement et souhaite qu’il existe. Nous pourrions appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils ne sont pas nécessairement inconscients de ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui, et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des globalistes qui lancent des conspirations de base et cherchent à exercer de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient pas accomplir grand-chose sans l’aide de l’armée d’aberrations sociopathes qui vivent parmi nous. Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des confinements covid et de la pression pour les vaccinations forcées. Il est clair que certaines personnes sont trop préoccupées par les décisions de santé personnelle des autres. La science et les statistiques prouvent que le virus ne devrait pas être une crainte pour eux, mais ils ignorent la science. Ils ont soif du goût du pouvoir. Ils sont devenus un culte qui ignore toute logique et exige la fidélité à leur récit frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement que nous nous conformions. Et c’est ainsi que commence le conflit épique, une histoire aussi vieille que la civilisation elle-même. Il y a deux types de personnes dans ce monde : ceux qui veulent contrôler les autres, et ceux qui veulent qu’on les laisse tranquilles. Mais qu’est-ce qui motive les maniaques du contrôle ? Pourquoi sont-ils tels qu’ils sont ? Examinons quelques-unes des causes… Le moteur de la peur : Il y a des gens qui sont motivés par le succès, le mérite, l’espoir, la prospérité, la foi, l’optimisme, l’amour et l’honneur. Et puis il y a les personnes guidées par la peur. Il existe des centaines de peurs différentes, mais seulement quelques façons de réagir à chacune d’entre elles. Les collectivistes répondent à la peur par un besoin désespéré de microgérer leur environnement ; ils croient que s’ils peuvent dicter le comportement des gens et les événements dans une certaine mesure, ils peuvent éliminer les résultats inattendus et être libérés de la peur. Le niveau d’influence que ces personnes recherchent est si loin d’elles qu’elles ne pourront jamais l’atteindre. En d’autres termes, elles ne seront jamais satisfaites tant qu’elles n’auront pas obtenu davantage. Leurs peurs les hanteront toujours, car les peurs ne peuvent être traitées de l’extérieur, mais seulement de l’intérieur. De plus, les choses qu’elles craignent tournent souvent autour de leur propre narcissisme et sont de leur propre fabrication. Elles ont peur de l’échec, mais travaillent rarement assez dur pour réussir. Elles ont peur de s’exposer, mais uniquement parce qu’elles mentent constamment. Elles craignent les conflits, mais uniquement parce qu’elles sont faibles de corps et de caractère. Elles ont peur de la mort, car elles ne croient en rien de plus grand qu’elles-mêmes. Elles revendiquent la domination de leur environnement parce qu’elles croient à tort qu’elles peuvent tromper le destin et les conséquences de leurs propres choix terribles. La sécurité de la foule : La question de la peur s’étend à l’état d’esprit commun des totalitaires et à la façon dont ils trouvent la sécurité. L’idée de se tenir sur ses deux pieds et de défendre ses principes face à l’opposition leur est complètement étrangère. Ils évitent ces situations à tout prix et la notion de risque leur est odieuse. Ils cherchent donc plutôt à se fondre dans la foule. Cela leur permet de se sentir en sécurité dans l’obscurité tout en exerçant une force par le biais d’une action collective. Ils peuvent se sentir puissants tout en étant pitoyables et faibles. Ces personnes opèrent presque toujours par le biais de grands groupes à l’esprit unique qui punissent toute dissension dans les rangs, généralement avec des gardiens qui modèrent les motivations de la ruche. La foule elle-même est une arme, son seul but, au-delà du confort de ses adhérents, est de détruire les personnes qui n’ont pas les mêmes croyances ou valeurs que les contrôleurs. Il n’y a pas de but défensif à la foule, c’est un outil pour assassin, c’est une bombe nucléaire. Et, comme nous l’avons vu dans toutes les dictatures modernes, des républicains en France aux bolcheviks en Russie, en passant par les fascistes en Allemagne et les communistes dans la Chine de Mao, la foule totalitaire est capable d’assassiner plus de personnes que n’importe quelle arme nucléaire existante, tout cela au nom du « plus grand bien du plus grand nombre ». Une fausse piété (exemplarité) à la place de l’estime de soi : En effet tous les tyrans se croient donc justes dans leur cause, même lorsqu’ils savent que leurs actions sont moralement odieuses. Un autre exemple est la secte covid qui soutient constamment que les personnes qui refusent les obligations, les confinements et les vaccins mettent les autres en danger, et que c’est pourquoi il faut les « forcer » à se soumettre. Pourtant la plupart d’entre eux savent, d’après les données, que le covid n’est pas une menace, mais le récit tyranniquement totalitaire leur donne l’occasion d’appliquer leur infime pouvoir par le biais d’un « jugement moral » de la foule, et donc ils se mentent, ils mentent et ils continuent à mentir au sujet des données jusqu’à ce qu’ils pensent que le mensonge sera accepté comme une réalité. Il s’agit d’un aspect commun à la plupart des sectes et des religions fondamentalistes qui se sont égarées. En effet il s'agit d'une habitude des adhérents de privilégier fanatiquement les mensonges à la raison, aux faits et aux preuves, non pas parce qu’ils essaient de protéger leur foi, mais parce que cela leur donne la possibilité de se sentir pieux et supérieurs par rapport à ceux qu’ils sont déterminés à humilier, soumettre voire blesser. Ceux qui ne sont pas d’accord sont ainsi qualifiés de moins que rien, d’hérétiques, de danger. La foule anti-mandat est ainsi dépouillée de son humanité et devient donc démoniaque, en particulier quand elle considère les personnes voulant rester libres tels des monstres, et les monstres totalitaires tels des héros chargés de sauver le monde. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson « les obéissants se considèrent toujours comme vertueux plutôt que lâches ». L’amour d’une cage : J’ai l’impression de comprendre cet état d’esprit dans une certaine mesure, mais je suis toujours choqué par la façon dont les gens qui grattent pour avoir du pouvoir sur les autres semblent aussi aimer être les esclaves du système. Je ne suis pas sûr que ce soit ironique, car l’autoritarisme tient certaines de ses promesses de « sécurité » tant que les personnes impliquées sont prêtes à renoncer à tout élan pieux de liberté. Si vous faites ce que l’on vous dit à tout moment et que vous servez le système sans faillir, il y a de bonnes chances que vous puissiez vous accrocher aux maigres nécessités de la survie. Vous vivrez une vie, mais probablement pas une vie heureuse. Pour ceux qui se surpassent et mettent de côté tout principe personnel afin d’atteindre les objectifs du système, ils peuvent même jouir d’un minimum de richesse par rapport à leurs pairs. Vous voyez, dans une société despotique, dystopique ou/et tyrannique, les personnes les plus dépourvues d’honneur sont celles qui sont les plus récompensées. Ils n’ont pas besoin de mérite, d’accomplissement, de compétences ou même d’intelligence ; tout ce qu’ils doivent faire, c’est vendre leur âme et faire tout ce qu’il faut pour attirer l’attention de l’oligarchie ou du pouvoir. Ils n’ont pas besoin d’être bons dans quoi que ce soit, tout ce qu’ils ont à faire c’est d’être méchants, et pour certaines personnes, c’est facile. De cette façon, le système devient une couverture confortable dans laquelle des déviants inutiles peuvent être emmaillotés. Ils s’y enveloppent et se prélassent dans sa chaleur. Ils ne sont pas concernés par la liberté, car celle-ci leur semble froide. Leur liberté peut être isolante et l’existence du choix peut leur être terrifiant. Lorsque tous vos choix sont faits pour vous, il n’y a jamais de doute ou de stress interne. Tout ce que vous devez faire, c’est vous réveiller chaque jour et obéir. Pour les personnes faibles moralement ou incultes, la soumission dans l'indignité est un cadeau plus qu’une malédiction. Ils croient qu’une cage est faite pour être dorée, pas pour s’en échapper, et que quiconque cherche à s’échapper doit être fou ou dangereux. Si des personnes libres existent, ces esclaves sont obligés de remettre en question leur propre condition et leur propre conformité, et deviennent même des petits tyrans, puisque tout le monde doit être asservi pour éliminer tout doute chez eux et dans la société. Les endormis tendent même à rabaisser les nouveaux croyants en leur rappelant leurs mauvais anciens surnom ou passé, alors qu'ils cherchent évidemment à s'améliorer. L’esprit de ruche est placé au-dessus de tout. Les rebelles et les libres : Ces petits tyrans qui infiltrent l’humanité considèrent probablement les défenseurs de la liberté comme des créatures extraterrestres venues d'au delà des limites de leur univers. Ils n’arrivent pas à comprendre comment il est possible pour quelqu’un de défier le système, de s’opposer à la foule ou à la collectivité, même s’il est en infériorité numérique ou si le risque est élevé. Ils supposent qu’il s’agit d’une forme de folie ou d’un manque d’intelligence ; car comment quelqu’un d’intelligent pourrait-il penser avoir une chance de se défendre contre la dictature ? Les gens voulant la liberté par-dessus tout sont des individualistes par nature, mais nous nous soucions également des libertés des autres. Il existe un récit de propagande commun qui prétend que les individualistes sont « égoïstes », mais ce n’est pas le cas pour beaucoup car ils ont besoin du système et donc de la foule bons ou mauvais. Pour nous les gens libres, il ne suffit pas que nous soyons les seuls à échapper à l’esclavage, et nous ne restons pas non plus à regarder les autres être contraints à l’esclavage. Nous sommes prêts à risquer nos vies non seulement pour nous sauver, mais aussi pour sauver les générations futures de l’autocratie et des soumis à elle. Alors que les passeports vaccinaux et les ordres et contre-ordres en tout genre du en même temps tyrannique continuent de s’intensifier, les totalitaires se trouveront encore plus désorientés, car chaque nouveau mécanisme de contrôle donnera un élan encore plus grand à la rébellion, et franchement, à ce stade, ce sera nous, ou eux. Ils ne cesseront pas leur quête de domination et nous ne nous y plierons pas, nous sommes donc dans une impasse. Nos deux tribus ne peuvent coexister au sein de la même société, peut-être même pas sur la même planète. La vérité est que si le volontarisme était un idéal valorisé, alors tout ce combat pourrait être évité. Si le culte collectiviste était prêt à accepter l’idée qu’il peut choisir de vivre dans un environnement hautement micro-géré, alors que d’autres peuvent choisir de vivre indépendamment, alors il n’y aurait pas de crise. Nous pourrions facilement suivre des chemins différents. Mais ce n’est pas ainsi que pensent les totalitaires : pour eux, tous les gens sont des biens meubles, nous sommes des biens à mettre au pilori et à rééduquer jusqu’à ce que nous voyions la lumière. Et si nous ne voyons pas la lumière, nous devons être éliminés et effacés. C’est pourquoi ils sont totalement responsables de la guerre qui s’annonce. Ils ne peuvent s’empêcher de s’emparer de nos gorges et de nos esprits. Ils sont accros à la suprématie. Ils vivent dans un rêve fiévreux et la seule drogue qui leur rafraîchit les veines est l’oppression totale de tous ceux qui les entourent. Je vois ce qui va se passer et ce n’est pas joli pour les deux camps, mais ce sera particulièrement horrible pour les collectivistes parce qu’ils ne peuvent pas imaginer un scénario dans lequel ils perdent. Ils sont tellement certains de leur prééminence et de la sécurité de leurs prisons auto-imposées qu’ils verront l’échec comme un fantôme, un fantôme qui ne peut pas les toucher. Mais il suffirait d’une poignée de défaites mineures pour les faire tomber et leur faire donc clairement réaliser leur défaite, mais il faudrait pour cela que les défenseurs de la liberté deviennent plus organisés qu’eux. (Or c'est ce qui commence probablement avec la réélection de Trump.) La conclusion est la suivante : Les systèmes tyranniques sont planifiés par des groupes et des gouvernements élitistes et ce sont eux qui profitent le plus de la destruction des libertés publiques. Il s’agit bel et bien d’une conspiration, et le confinement en réponse à la pandémie et le recours forcé aux vaccins n'a pas fait exception. Cependant, les systèmes tyranniques ne pourraient pas être viables sans l’aide d’un plus grand contingent psychopathe de la population, et ces personnes se rassemblent pour que des choses terribles se produisent. C’est comme s’ils entendaient un sifflet à chien silencieux lorsque le totalitarisme s’élève, ou qu’ils sentaient le sang des victimes innocentes dans l’air. Appelez-les gauchistes, collectivistes, appelez-les comme vous voulez, mais sachez que les globalistes ne sont pas notre seule préoccupation. Il y a un mur de pions égocentriques, impies et avides de pouvoir sur le chemin, et pour se sentir vivants ils veulent tous les miettes qu’ils peuvent obtenir de la table des puissants. Ils ne sont pas inconscients, ils n’ont pas été trompés pour faire les choses qu’ils font. Ce sont des gens minables, mais leurs petites ambitions en foule sont toujours dangereuses, et ils continueront à sortir du bois au fur et à mesure que l’agenda de la secte Covid et mondialiste progresse. » (Brandon Smith, article traduit par lesakerfrancophone.fr) « La « démocratie totalitaire » est un type de démocratie par laquelle un pouvoir instaure une société totalitaire. Le terme de « démocratie totalitaire » est utilisé pour la première fois par Bertrand de Jouvenel, c’est le titre du chapitre XIV de son livre Du Pouvoir (1945). Il rappelle que « le Pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n’est donc qu’une fiction et c’est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. » Jouvenel indique aussi que la compétition des partis « machinisés » aboutit à la dictature d’un parti, c’est-à-dire d’une équipe, succédant à une équipe précédente qui, par sa propre vision totalitaire de la démocratie, laisse à celle qui lui succède un État très étendu. La dictature y est bien pire que dans les monarchies d’autrefois, car le pouvoir faussement démocratique et véritablement indigne y est bien plus absolu puisque n'ayant que de mauvais conseillés. En effet dans ce système progressivement totalitarisé, un homme, une équipe, disposent de ressources immenses accumulées dans l’arsenal du Pouvoir précédent, c'est à dire de nombreux leviers étendus entassés successivement. Il n’existe dans la Société (presque) aucune contre-force capable d’arrêter le Pouvoir en particulier actuel, dont selon Huxley : « La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude. » On verra si, au bout du rouleau sur le plan moral et financier, cette démocratie totalitaire occidentale (aussi folle que celle athénienne au 4e siècle, voyez là aussi mes textes) peut encore perdurer. » (Nicolas Bonnal, pour Strategika.fr) Montesquieu l’avait déjà dit : dans une démocratie parlementaire, il est important qu’il y ait occasionnellement des élections, parce que cela tient le peuple en haleine. Il suffit de lui ménager des espoirs dans l’alternance (De l’esprit des lois, liv. 11, chap. 6). Les mécontents ont toujours une bonne raison de se tenir tranquille dans le faux espoir, parce que dans deux, cinq ou dix ans, il y a des élections qui vont porter au pouvoir les artisans du changement. En sachant que pour montrer les faiblesses de la démocratie dan certains cas, les inventeurs de la démocratie que sont les Grecs finirent esclaves de Rome, Jésus fut condamné à la crucifixion suite à un vote démocratique, et Hitler a pris le pouvoir démocratiquement. Aujourd'hui comme dans les totalitarismes du 20e siècle, les gouvernements occidentaux brandissent des ennemis de l’intérieur : Gilets jaunes, camionneurs, complotistes, antivax, prorusses, survivalistes, autonomistes, etc. D'ailleurs ce qui s'est très gravement joué à Ottawa suite à la grande grève des camionneurs au niveau du gel des comptes bancaires de manifestants a été décisif, comme ce qui s'est joué dans le gel des comptes et la saisie des biens de riches russes et de certains États, et dans la fermeture des chaînes RT et Sputnik par rapport à la guerre en Ukraine. De même la fiabilité des États-Unis comme partenaire financier ne peut plus être espérée. En effet depuis qu'ils ont cherché artificiellement à ce que la Russie face un défaut de paiement, tout pays qui ne leur serait pas suffisamment vassalisé pourrait également subir ces attaques. Ce sont des méthodes de mafieux. Et le système financier global actuel n’est qu’un instrument de cette mafia qui a remplacé de nombreux états dont donc en Occident mais aussi suite à l'effondrement de l'URSS, dont ils ne peuvent donc désormais plus critiquer leur tyrannie totalitariste. C'est à dire que si les mondialistes parviennent à imposer le contrôle bancaire, la censure et de multiples entorses au droit de propriété comme ils le font avec les russes à l'image donc des soviets envers le peuple mais aussi des nazis envers les juifs, ils parviendront à imposer l’agenda totalitaire de contrôle social et économique de la tyrannie davossienne. La chaîne d’infos RT France a d'ailleurs été liquidée sur décision de l’Union européenne davossienne, incarnée par la commissaire politique corrompue Ursula von der Leyen (soumise aux lobbies et à l'OTAN), qui se comporte donc en autocrate alors que même pas élue. Et personne dans la presse française n’a hurlé contre ce viol de souveraineté, cette censure abjecte, ces blocages de comptes bancaires et donc cette tyrannie anti-démocratique. C'est pourquoi une décentralisée blockchain monétaire populaire nationale semble vraiment devenir une priorité. Surtout qu'une blockchain décentralisée peut aussi empêcher la censure informationnelle. Il faut savoir que le contrôle totalitaire d'une nation peut partiellement se faire en trois phase : japonisation des banques centrales (comme désormais l'UE et les USA), soviétisation des économies par la dette (l’État se rend propriétaire de tous les outils de productions et de toute l'économie, et envoie les fiche de paie), et enfin libanisation de l'économie (effondrement de la monnaie et de l'économie par la dette et donc l'usure, puis rachat de nombreux secteurs publiques par les grands fonds privés ou étrangers). D'ailleurs le libanais Nasrallah a dit : « Le prix de la capitulation au Liban signifiait l’hégémonie politique et économique d’Israël sur notre pays. » C'est une image du grand reset et du messianisme juif tyrannique erroné basés sur le ploutocratique mondialisme américano-sioniste. De plus la suspension de grandes banques russes du système Swift réalise ce que de nombreux pays envisageaient comme possibilité extrême ; celle d’une instrumentalisation politique totalitaire du système de paiement international basé au Luxembourg. Les banques américaines et européennes ont créé le système SWIFT pour garder le contrôle des flux monétaires et empêcher les institutions financières indépendants à les concurrencer. Or ni les États-Unis, et encore moins l’UE, ne contrôlent directement le système SWIFT, même s’ils exercent une influence significative sur son organe directeur, qui est en théorie assujetti à la loi belge. Le système est la propriété conjointe de plus de 2 000 banques et institutions financières, sous la supervision de la Banque nationale de Belgique, en partenariat avec les principales banques centrales du monde, la Réserve fédérale américaine et la Banque d’Angleterre. Pourtant tous ont laissé l’administration américaine prendre le contrôle du système SWIFT et s’en servir comme arme en radiant de ce système bancaire toute personne ou tout gouvernement prétendument hostiles, de façon à paralyser les économies de ces pays et souvent aux dépens même de l'Europe. C'est la mentalité kamikaze à laquelle fait allusion le président russe, une mentalité que l'Occident a si souvent reproché aux Orientaux. Or cela a précieusement provoqué la mise en place de solutions alternatives multipolaires par la Russie et la Chine. Cependant ce SWIFT, qui un système international de télécommunication bancaire, aurait dû normalement être en dehors de toute forme de politique. C'est un scandale absolu, car même pendant la deuxième guerre mondiale, les gouverneurs de toutes les banques centrales continuaient de travailler avec l'Allemagne nazie. Ce qui révèle encore la réalité du mondialisme oligarchique et sioniste depuis des siècles. Or depuis que l'échange d'information via internet et l'échange de valeur via la cryptomonnaie et la blockchain sont apparus, la fin des systèmes oppresseurs type mainstream et swift est proche, surtout avec les satellites internet privés, mais ce qui n'empêche pas de créer aussi un système type swift sain y étant lié. Après le vol des subprimes, les révolutions oranges, la participation à des guerres, l’état d’urgence, les gilets borgnes, le covid, le gel des comptes bancaires, la fermeture de chaînes de télévisions, les confiscations de biens étrangers, le « démocratique » système mondialisto-gauchisto-oligarchico-sioniste passe au pénal pour imposer sa tyrannie totalitaire de plus en plus visible et décomplexée, dont en empêchant certains candidats ou partis à des élections présidentielles en Europe. Or il n’est pas naturel que l’homme renonce à sa liberté. Mais quatre branches de fabrique du consentement existent : 1. L’habitude : un accident tragique, dont les effets vont s’amplifier, va rendre nécessaire de vivre avec moins de liberté. Cela peut durer au point d’oublier le monde d’avant. 2. La manipulation : engourdir le peuple par les jeux, l’alcool… 3. Le profit et la complicité de la partie de la population la plus instruite : pour elle le pain et les jeux ne suffisent pas. Il lui faut le plaisir de dominer ses semblables. Sa micro domination et les bénéfices qu’elle en tire lui font oublier son statut de dominée. Ainsi elle ne remet pas en question le système. 4. La condamnation morale de quiconque oserait penser autrement. À cette théorie ne manquent plus que les exemples pratiques : bien-pensance (sournoise et en réalité indigne), confinement, vaccins, crise Ukrainienne. « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. » (Serge Carfantan) Le commandement des anciens despotismes était : « Tu ne dois pas. » Le commandement des anciens totalitarismes était : « Tu dois. » Notre commandement totalitaire est celle de l'hypnose qui correspond à faire de la parole d'autrui notre réalité : « (Dis que) Tu es Charlie (ou autre : tu es le vaccin, tu es ukrainien ; c'est à dire ceux qui pour éviter de réfléchir finissent par traiter les autres de complotistes même envers des humoristes), alors que le journal Charlie est anti-religieux, wokiste, lgbtiste, franc-maçon et sioniste. » « Les commandements pour les membres politiques, médiatiques, économiques et idéologiques de ce Système sont par ordre d’importance : l'oligarchie oligarchico-mondialiste ou/et sioniste tu écouteras - les Russes tu condamneras - les Chinois tu craindras - le Hamas (et LFI) tu maudiras - l’antisémitisme tu dénonceras - les médias tu croiras - le progressisme tu défendras. » (Rédac ER) Surtout qu'une population sous stress climatique, bancaire, terroriste, lgtbiste, sanitaire, alimentaire, immigrationniste, économique, inflationniste, guerrier finit par accepter ou vouloir plus facilement le totalitarisme. La démocratie est donc meilleure pour un temps de paix et de justice sociales. D'ailleurs chez les romains en cas de problèmes exceptionnels, la dictature était autorisée voire obligatoire. Tout régime totalitaire tient donc sur trois choses : la narration dominante, la peur et l'appareil de répression contre ceux la refusant, tout en faisant croire que cette narration est acceptée ou au moins tolérée par la très grande majorité. « Bien se pénétrer de cette vérité de base qu’il n’existe pas de liberté politique, qu’il n’y en a jamais eu, qu’il n’y en aura jamais et que ce qu’on appelle ainsi est une affabulation grossière, un mythe absurde et dégradant, tout juste bon pour camoufler aux yeux des débiles mentaux d’inévitables tyrannies. La notion même d’organisation sociale – quelle qu’en soit l’étiquette : fasciste, démocratique, monarchiste, communiste – exclut l’hypothèse de la liberté. À moins d’opter pour l’anarchie (c’est une solution mais une solution totalement utopique), il faut bien se résigner à limiter les prérogatives de l’individu. Et c’est ici que commence l’imposture des libéraux. Ils concèdent que certaines restrictions sont nécessaires, mais qu’ils sauvegardent l’essentiel, qu’ils assurent, dans le cadre de l’État démocratique, le respect de la personne humaine avec autrement d’efficacité que les despotes. Or rien n’est plus contraire à ce qu’on peut constater partout, chaque jour. L’homme moyen des démocraties n’influe ni plus ni moins que l’homme moyen des pays totalitaires sur les destinées de sa patrie. Il n’est ni plus ni moins consulté sur l’opportunité de faire la guerre ou la paix, de maintenir ou de dévaluer la monnaie, il ne décide ni plus ni moins le taux de la fiscalité ou les règlements de police. Et s’il s’avise de transgresser des lois qu’il n’a pas faites, s’il est objecteur de conscience, braconnier ou satyre, ou s’il s’avise, plus simplement – comme Maurice Bardèche – de se heurter par ses écrits au conformisme de la démocratie, il atterrit sur la paille humide des cachots aussi précipitamment, aussi sûrement que dans n’importe quelle dictature. (Or) les seuls hommes valables sont ceux qui risquent leur peau pour une bonne cause. Ainsi s’opère la véritable sélection. Les autres, ceux qui ne risquent jamais rien, les bourgeois, les prudents, les habiles ne sont qu’un misérable troupeau. Et même s’ils meurent vieux, ils meurent sans avoir vécu... » (Cousteau) « La psychologue Yoanna Micoud explique comment la peur peut être utilisée pour réduire l'intelligence collective d'une population et la rendre soumise. Le processus consiste à effrayer les gens, à les isoler et à les monter les uns contre les autres. En situation de stress, notre système nerveux se met en mode de protection et déconnecte la partie la plus évoluée de notre cerveau, le néocortex, qui nous permet de réfléchir et de mettre du sens sur les choses. Nous nous retrouvons alors dans un état de déconnexion et d’obéissance, où nos réactions sont automatiques et irrationnelles dans la plupart des cas. En utilisant la peur de manière chronique et intense, il est donc possible de maintenir une population dans cet état de stress et de réduire ainsi son intelligence collective. L’emprise psychologique en période de crises dominantes met en lumière les impacts de la peur et de la manipulation des foules. D'ailleurs selon elle, les troubles psychologiques voire traumatismes mentaux résultant de la pandémie de Covid-19 ont été massifs (et ils durent plus ou moins consciemment chez beaucoup). » (Média en 4-4-2) Dans ce sens, les médias mainstream forment l'opinion publique et des ONG sournoises les appuient en faisant des manifestations souvent avec peu de personnes mais filmées pour faire croire qu'elles sont beaucoup plus nombreuses. Il s'agit de la gouvernance par une ou des minorités souvent tenues par le privé, le publique ou l'étranger via du financement plus ou moins important au détriment de la majorité, et c'est pourquoi il est important que ces ONG déclarent les sommes qu'elles reçoivent du secteur privé, publique et étranger. Le phénomène de croyance sectaire dans lequel tout questionnement, doute ou opposition face au discours officiel de l'autorité sont désignés comme des complotistes voire des ennemis est une grande marque du totalitarisme largement connue, en particulier quand beaucoup de gens ne prennent plus de distance ou sont dans le déni voire le délire par rapport à la propagande de masse du système à travers un matraquage contenant seulement quelques vérités et beaucoup de manipulations. Le totalitarisme numérique et collectiviste à la devanture verte dans lequel veut nous faire entrer le grand reset de l'oligarchie mondialiste davosssienne est une numérisation monopolistique du monde en valeur et donc une transformation des éléments de la nature gratuits en possibles actifs, même l'eau, les aliments OGM, les rivières et leurs dénominations comme des stations de métro et une partie de la forêt amazonienne prennent des noms de marques au Brésil. Résister au totalitarisme n'est pas d'abord d'élever mais déjà de garder sa capacité de discernement et de jugement intacte même quand il est religieux. Car si vous critiquez le gouvernement, vous êtes un complotiste, si vous pensez autrement, vous êtes un cerveau malade, si vous dites la vérité, vous êtes un antisémite, si vous aimez votre patrie, vous êtes un fasciste, si vous vous défendez face à l’agression, vous êtes un fou, encore des preuves de l'inversion des valeurs du système. Surtout que par la puissance télévisuelle actuelle des grands médias, l'être humain ressemble de plus en plus à un robot, et devient de plus en plus prévisible dans ses réactions, de plus en plus plat dans ses dimensions, de plus en plus vide dans son intérieur. Pour disqualifier son adversaire, le trotskiste avait pour habitude de le qualifier de bourgeois avant 1945, ou de fasciste après, histoire de l’interdire de parole. C’était facile : pendant que l’adversaire en question fouillait dans sa tête pour trouver la parade, le trots envoyait une nouvelle salve et l’achevait. Un siècle après la naissance du trotskisme, le débat français en est toujours là. « La formation du totalitarisme est souvent insidieuse dans la mesure où elle est presque toujours vendue au public comme « humanitaire » ; une solution pour le plus grand bien du plus grand nombre. Mais au-delà de cela, les tyrans vont également exploiter les idéaux de la population cible et utiliser ces principes contre elle. Nos idéaux de liberté ne sont pas nécessairement applicables universellement en tout temps et en toutes circonstances ; nous devons poser certaines limites (dont naturelles contre le lgbtisme, le transsexualisme et le transhumanisme) afin d’empêcher l’oligarchie d’utiliser le libéralisme comme un outil pour s’implanter et tout marchandiser même indignement. Cette bataille pour l’équilibre est le drame déterminant de toutes les sociétés qui s’efforcent d’être libres. Cela peut sembler hypocrite, et l’anarchiste typique et certains libertariens peuvent rejeter complètement l’idée qu’il devrait y avoir des limites à ce que les gens (ou les entreprises) peuvent faire, surtout lorsqu’il s’agit de leur propriété privée. Mais à quel moment les droits de propriété privée empiètent-ils sur les droits des autres et d'une société convenable ? Est-ce tout simplement noir ou blanc ? Tout est-il permis ? Et dans un sens similaires mais opposé, que se passe-t-il si une foule de petites entreprises dans un endroit donné décident d’appliquer des mandats écrasant la liberté en même temps que les grandes entreprises ? Et si elles étaient toutes manipulées par des incitations ou des pressions gouvernementales ? Et si les gouvernements n’avaient pas besoin de mettre en œuvre le totalitarisme directement au début parce que les entreprises le font pour eux ? La dynamique de la propriété privée change-t-elle dans ce cas ?... Beaucoup de gens ne semblent pas comprendre qu’il existe différents types de monopoles dont nous devons nous préoccuper. Les monopoles dans les médias mainstream, les banques et les communications en sont un exemple, mais qu’en est-il des monopoles d’idéologie en général ? Vous pouvez avoir une centaine de petites entreprises et de grandes surfaces dans une communauté, mais si elles décident toutes d’appliquer collectivement les mandats covid, ou si elles sont toutes contraintes d’appliquer les mandats covid, alors tout choix a été supprimé du marché. C’est un monopole idéologique qui est tout aussi dangereux que n’importe quel monopole d’entreprise ou idéologique. En fin de compte, dans le sillage des contrôles covid et de la censure massive en ligne, il est temps pour ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté d’avoir une discussion franche sur la question de savoir où se situe la limite des droits des entreprises et de l'idéologie libbertaire. Le problème a pris de l’ampleur il y a quelques années, lorsque les grandes entreprises technologiques qui contrôlent la majorité des sites de médias sociaux ont décidé qu’elles allaient commencer à cibler activement les utilisateurs conservateurs par des interdictions sous de faux prétextes puis une censure pure et simple. De même que les associations lgbtistes veulent se montrer à l'école sous forme perveres d’enseignements à la tolérance. Et les tyrans de la médecine ont créé ce qu’ils pensent être une impasse pour les conservateurs : si nous nous opposons à ce que les entreprises soient autorisées à demander aux clients et aux employés des passeports de vaccination, nous violons l’un de nos principes fondamentaux : le principe de la propriété privée. Mais est-ce vraiment le cas ? Comme indiqué plus haut, les monopoles sont destructeurs de la liberté. J’irais même jusqu’à dire qu’ils sont intrinsèquement mauvais dans la mesure où ils ne conduisent jamais qu’à l’asservissement du public. De plus, les monopoles idéologiques peuvent être légalisés, ou même créés artificiellement grâce à la couleur de la loi. Les confinements n’ont jamais été votés par un corps législatif et n’ont jamais été votés par le public, ils ont été prononcées comme des édits venus d’en haut, sans aucun contrôle ni équilibre des pouvoirs. Les passeports vaccinaux ont été mis en œuvre de la même manière. » (Extraits de l'article de Brandon Smith « Passeport vaccinal : les droits des entreprises sont-ils plus importants que la liberté individuelle ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Passeport-vaccinal-les-droits-des-entreprises-sont-ils-plus-importants-que-la-liberte-individuelle-64879.html) Après la guerre contre le covid, Emmanuel Macron repart même encore en guerre en aidant l'Ukraine face à la Russie, sauf qu'il y a un grand changement : la soumission volontaire est devenue la sobriété volontaire. Ne cherchons pas la différence, car il n'y en a pas même si la sobriété pieuse existe. Selon la technique éprouvée par McKinsey de manipulation des masses, voici le nouveau plan en quatre parties dévoilé en avant-première par le président. Sa méthode n'est plus celle du « quoi qu'il en coûte » mais celle du « pas tout d'un coup », meilleur moyen pour faire accepter en douceur l'inacceptable. D'abord 1. la sobriété volontaire sans contrainte ; ensuite 2. la sobriété avec plus de contraintes ; 3. le rationnement avec des coupures. La quatrième partie du plan sera une surprise. On la découvrira en tant voulu. Lorsqu'on sera en dictature ? Lorsque le CNR macronien aura remplacé définitivement l'Assemblée nationale ? A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « LE MEURTRE DE L'ESPRIT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=4BWY7gbw-Tk , et de lire les excellents articles « Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » – Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/31/dr-robert-malone-psychose-de-formation-de-masse-covid-19-pourquoi-tant-de-gens-croient-au-mensonge-du-vaccin/ , « Que faire ? Désobéir à l’apartheid biopolitique et bâtir la cité chrétienne – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/01/que-faire-desobeir-a-lapartheid-biopolitique-et-batir-la-cite-chretienne-pierre-antoine-plaquevent/ , « Psychopathologie du totalitarisme » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/30/psychopathologie-du-totalitarisme/ , et « Contre la société de surveillance : la conception européenne de la liberté » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/05/contre-la-societe-de-surveillance-la-conception-europeenne-de-la-liberte/ « Tous les éleveurs savent bien comment on dresse les bêtes. Les gouvernements devenus les gestionnaires du « parc humain » usent de toutes les techniques à leur disposition pour dresser le cheptel humain. La dynamique dans laquelle nous sommes engagés est très exactement celle du totalitarisme, si l’on veut bien admettre que le totalitarisme peut exister sans camps de concentration ni fours crématoires, instruments archaïques que la technologie moderne peut aisément remplacer. Il n’y a donc aucune « servitude volontaire » (mais il y a particulièrement la servitude « volontaire » par la peur utilisée par le système). La crainte, appuyée sur la puissance de l’imagination(, de la télévision et du confort même modeste) suffit pour expliquer l’apparente passivité des individus. Ils peuvent même aimer leur tyran par désir d’en être aimés. Tout cela s’appuie sur des structures archaïques, tant du point de vue de chaque individu que du point de vue de l’histoire de l’humanité. « On retrouve le besoin du père, c’est-à-dire le besoin de protecteur qui nous garantit à la fois contre les éléments extérieurs, contre les autres et aussi contre soi-même. Il s’agit de ne pas être abandonné, de ne pas être livré à soi-même, donc de s’abandonner à d’autres. » (Croyance et soumission, p. 188) Le problème devient dramatique quand celui à qui l’on s’est abandonné n’a rien d’une figure « paternelle », même en faisant des efforts d’imagination, et quand la survie élémentaire apparaît comme l’enjeu immédiat. C’est généralement dans ce genre de situation que sortent les piques et que les carcans qui nous emprisonnent sont brisés. » (Denis Collin) Les idéologies totalitaires ont toujours ignoré la science, contrairement aux oligarques du Forum de Davos qui en ont fait leur cheval de bataille et de Troie pendant le covid pour justifier la suppression de nos libertés de manière autoritaire, ce qui de manière inédite a été particulièrement facilitée à travers la formidable machine de guerre moderne du système dont donc de ses très influents médias en particulier télévisuels. Un système de surveillance de masse se cache donc derrière tout ce techno-solutionnisme que l’on veut nous vendre, en particulier aussi beaucoup si un euro numérique centralisé est adopté. Le 12 mars 2024, lors d’une audition au Sénat, la ministre de la Culture Rachida Dati déclarait attendre les conclusions des États généraux de l’information dans l’éventualité d’une révision de la loi de 1986. La liberté d’expression que nos lois protègent en France risque d’être remise en question par l’introduction de la JTI de RSF. L’ONG, censée défendre la liberté de la presse et le respect des droits de l’homme, pourrait en devenir le premier fossoyeur quand ses certificateurs deviendront les nouveaux commissaires politiques du régime. Le nouveau nom de ce ministère de l’Information serait alors la « certification de l’information ». Comme à son habitude, le sens des mots est inversé par le gouvernement. Pour défendre la liberté de la presse, on veut en réalité la limiter ; pour garantir le pluralisme des médias, on veut censurer les opinions ; pour préserver l’objectivité et la non-politisation de l’information, on veut donner la certification des médias à des certificateurs extérieurs, tout autant subjectifs et politisés. Par un tour de passe passe, ce serait la fin définitive de l’indépendance des médias par rapport au pouvoir politique. Dans ce sens liberticides, un pas supplémentaire vient d’être franchi dans la surveillance de notre utilisation d’internet. A la demande du gouvernement des États-Unis, un juge a ordonné à YouTube de fournir les noms, adresses, numéros de téléphone et activités des utilisateurs de comptes YouTube, ainsi que les adresses IP, de tous ceux qui ont visionné certaines vidéos sélectionnées. Bien sûr, on vous dira que c’est dans un contexte très particulier relatif à une enquête criminelle fédérale (concernant un vendeur de Bitcoins soupçonné de blanchiment d’argent). Mais les faits sont là : Google, la société mère de YouTube, a été contrainte de livrer les données de dizaines de milliers d’utilisateurs (on parle de vidéos vues plus de 30 000 fois). Et demain avec la criminalisation de la pensée ? Si on considère la criminalisation de la pensée qui se propage largement en Occident, comment ne pas craindre qu’à l’avenir de telles mesures soient prises concernant les spectateurs de vidéos dites “complotistes”, “d’ultra-droite”, “anti-vax” ou encore “russophiles”. Rappelons que la république française a renforcé cette année son arsenal répressif, permettant même de poursuivre devant les tribunaux ceux qui contesteront le discours officiel en matière de santé et de remèdes ou encore de condamner ceux qui auraient tenu des propos “discriminatoires” dans un cadre privé. Des groupes de défense des droits civiques ont exprimé leur inquiétude, affirmant que de telles ordonnances menacent de transformer des spectateurs innocents de YouTube en suspects criminels. Notons que les personnes qui regardent des vidéos sans être connectées à un compte ne sont pas à l’abri, puisque le gouvernement des États-Unis a également demandé l’adresse IP des spectateurs des vidéos incriminées. « Ce que nous regardons en ligne peut révéler des informations très sensibles sur nous – nos convictions politiques, nos passions, nos croyances religieuses, et bien plus encore », a déclaré John Davisson, conseiller principal au Electronic Privacy Information Center (Centre d’information sur la vie privée électronique). Et il a aussi dit : « Il est normal de s’attendre à ce que les forces de l’ordre n’aient pas accès à ces informations sans motif valable. Cette ordonnance renverse cette hypothèse. » D'ailleurs Albert Fox-Cahn, directeur exécutif du Surveillance Technology Oversight Project, s’inquiète même en plus de ce qu’on appelle « les mandats de géofence », qui obligent Google à fournir des données sur tous les utilisateurs se trouvant à proximité d’un lieu de crime. Mais une grande partie de la population ne se préoccupe de rien d'autres que leur confort. Or « Ne pas se soucier du droit à la vie privée parce que l’on n’a rien à cacher, c’est comme ne pas se soucier de la liberté d’expression parce que l’on n’a rien à dire. Nous devons refuser les systèmes d’identité numérique (et de monnaies) centralisés, et le bitcoin apporte une nouvelle fois une solution élégante. » (Edward Snowden) Alors que le transhumanisme auquel les pervers oligarques veulent accéder et la dégradation de la santé qu'ils provoquent aux moins riches dont par la vente de cigarette, l'alcool en particulier dur, le covid, de mauvais vaccins, des programmes télés abrutissants, de la malbouffe et des produits alimentaires pas assez purs correspond au système d'esclavage le plus oppressif, totalitaire et destructeur de l'humanité dans l'histoire, surtout que nombreux meurent avant ou dans le début de leur retraite. Et cela donc même si leur tyrannie climatique, bancaire, sanitaire, lgtbiste, numérique, inflationiste et économique correspond à un calme totalitarisme sournois servant les plus riches. Alors que les vraies et donc nobles élites doivent normalement servir le collectif. « Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme » : extrait de l'article intéressant du « Pr Didier Raoult : « Quand on menace les gens de les confiner ou de ne plus les soigner, c’est de la dictature » à l'adresse https://lemediaen442.fr/pr-didier-raoult-quand-on-menace-les-gens-de-les-confiner-ou-de-ne-plus-les-soigner-cest-de-la-dictature/ Vincent Pavan, enseignant-chercheur en mathématiques à l’Université Aix-Marseille, qui est à l’origine de panneaux en ville relayant des chiffres des risques liés à la vaccination, a même été suspendu. Participant au célèbre (et salutaire) collectif Réinfo-Covid, il était déjà sur la sellette pour son opposition au port du masque et en général aux mesures inutiles et liberticides prises lors de la crise sanitaire. La goutte d’eau des panneaux publicitaires fit déborder le vase de l’intolérance universitaire pourtant protégée par la loi : sa liberté d’expression a donc été sanctionnée sans appel. Un scandale de plus dans une tyrannie ordinaire. L’indifférence du troupeau impie, matérialiste et facilement voire indignement soumis ayant le confort de base mène au fascisme laïciste (de la bien-pensance et du politiquement correct), affairiste et politique. Tocqueville : « L’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures apparues sur la terre ; mais elle est en même temps une des plus restreintes et des moins dangereuses. »
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