Recherche

Menu principal

PDF Imprimer Envoyer

L) Suite 12



De même précieusement, la confiance des autres pays dans le système juridique et bancaire occidental, qui ne défend donc plus comme auparavant absolument le droit de propriété dans une forme de totalitarisme, a aussi logiquement pris fin. C'est à dire que ces pays en dehors de l'occident se débarrassent de leurs dollars et euros, ce qui pourrait en plus participer précieusement à empêcher la troisième guerre mondiale. Une grande partie des peuples occidentaux n'ont aussi plus confiance aux médias et politiciens du système, tellement leur propagande est grossière et leur censure est évidente, et l'internet libre dénonce ce totalitarisme. Alors que l’Allemagne n'est pas en guerre avec la Russie en Ukraine, il est même interdit d'avoir une opinion en arborant la lettre « Z » soutenant l'action russe en Ukraine ! Tous les médias russes s’adressant à un public occidental ont été interdits par les « démocraties » à partir du 24 février 2022, c’est-à-dire à partir pourtant de l’application par l’armée russe de la résolution 2202 du Conseil de sécurité demandant le respect du cessez-le-feu. Désormais en Allemagne, partager l’interprétation russe et même citer cette résolution internationale est honteusement assimilé à de la « propagande ».
Après le vol des subprimes, les révolutions oranges, la participation à des guerres, l’état d’urgence, les gilets borgnes, le covid, le gel des comptes bancaires, la fermeture de chaînes de télévisions, les confiscations de biens étrangers, le « démocratique » système wokisto-oligarchiquo-atlantisto-sioniste passe au pénal pour imposer sa tyrannie totalitaire.
Or il n’est pas naturel que l’homme renonce à sa liberté. Mais quatre branches de fabrique du consentement existent :
1. L’habitude : un accident tragique, dont les effets vont s’amplifier, va rendre nécessaire de vivre avec moins de liberté. Cela peut durer au point d’oublier le monde d’avant.
2. La manipulation : engourdir le peuple par les jeux, l’alcool…
3. Le profit et la complicité de la partie de la population la plus instruite : pour elle le pain et les jeux ne suffisent pas. Il lui faut le plaisir de dominer ses semblables. Sa micro domination et les bénéfices qu’elle en tire lui font oublier son statut de dominée. Ainsi elle ne remet pas en question le système.
4. La condamnation morale de quiconque oserait penser autrement.
À cette théorie ne manquent plus que les exemples pratiques : bien-pensance, confinement, vaccins, crise Ukrainienne.
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. » (Serge Carfantan)
Le commandement des anciens despotismes était : « Tu ne dois pas. » Le commandement des anciens totalitaires était : « Tu dois. » Notre commandement totalitaire est celle de l'hypnose qui correspond à faire de la parole d'autrui notre réalité : « Tu es Charlie (ou autre : tu es le vaccin, tu es ukrainien). »
Le totalitarisme numérique à la devanture verte dans lequel veut nous faire entrer le grand reset de Davos est une numérisation du monde en valeur et donc une transformation des éléments de la nature gratuits en possibles actifs, même l'eau, les aliments OGM, les rivières et leurs dénominations.
Résister au totalitarisme n'est pas d'abord d'élever mais déjà de garder sa capacité de discernement et de jugement intacte. Car si vous critiquez le gouvernement, vous êtes un complotiste, si vous pensez autrement, vous êtes un cerveau malade, si vous dites la vérité, vous êtes un antisémite, si vous aimez votre patrie, vous êtes un fasciste, si vous vous défendez face à l’agression, vous êtes un fou, encore des preuves de l'inversion des valeurs du système. Surtout que par la puissance télévisuelle actuelle des grands médias, l'être humain ressemble de plus en plus à un robot, et devient de plus en plus prévisible dans ses réactions, de plus en plus plat dans ses dimensions, de plus en plus vide dans son intérieur.
« La formation du totalitarisme est souvent insidieuse dans la mesure où elle est presque toujours vendue au public comme « humanitaire » ; une solution pour le plus grand bien du plus grand nombre. Mais au-delà de cela, les tyrans vont également exploiter les idéaux de la population cible et utiliser ces principes contre elle. Nos idéaux de liberté ne sont pas nécessairement applicables universellement en tout temps et en toutes circonstances ; nous devons poser certaines limites afin d’empêcher l’oligarchie d’utiliser le libéralisme comme un outil pour s’implanter. Cette bataille pour l’équilibre est le drame déterminant de toutes les sociétés qui s’efforcent d’être libres. Cela peut sembler hypocrite, et l’anarchiste typique et certains libertariens peuvent rejeter complètement l’idée qu’il devrait y avoir des limites à ce que les gens (ou les entreprises) peuvent faire, surtout lorsqu’il s’agit de leur propriété privée. Mais à quel moment les droits de propriété privée empiètent-ils sur les droits des autres ? Est-ce tout simplement noir ou blanc ? Tout est-il permis ? Et que se passe-t-il si une foule de petites entreprises dans un endroit donné décident d’appliquer des mandats écrasant la liberté en même temps que les grandes entreprises ? Et si elles étaient toutes manipulées par des incitations ou des pressions gouvernementales ? Et si les gouvernements n’avaient pas besoin de mettre en œuvre le totalitarisme directement au début parce que les entreprises le font pour eux ? La dynamique de la propriété privée change-t-elle dans ce cas ? … Beaucoup de gens ne semblent pas comprendre qu’il existe différents types de monopoles dont nous devons nous préoccuper. Les monopoles dans les médias sociaux et les communications en sont un exemple, mais qu’en est-il des monopoles d’idéologie en général ? Vous pouvez avoir une centaine de petites entreprises et de grandes surfaces dans une communauté, mais si elles décident toutes d’appliquer collectivement les mandats covid, ou si elles sont toutes contraintes d’appliquer les mandats covid, alors tout choix a été supprimé du marché. C’est un monopole idéologique qui est tout aussi dangereux que n’importe quel monopole d’entreprise.
En fin de compte, dans le sillage des contrôles covid et de la censure massive en ligne, il est temps pour ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté d’avoir une discussion franche sur la question de savoir où se situe la limite des droits des entreprises. Le problème a pris de l’ampleur il y a quelques années, lorsque les grandes entreprises technologiques qui contrôlent la majorité des sites de médias sociaux ont décidé qu’elles allaient commencer à cibler activement les utilisateurs conservateurs par des interdictions sous de faux prétextes puis une censure pure et simple. Les tyrans de la médecine ont créé ce qu’ils pensent être une impasse pour les conservateurs : si nous nous opposons à ce que les entreprises soient autorisées à demander aux clients et aux employés des passeports de vaccination, nous violons l’un de nos principes fondamentaux : le principe de la propriété privée. Mais est-ce vraiment le cas ? Comme indiqué plus haut, les monopoles sont destructeurs de la liberté. J’irais même jusqu’à dire qu’ils sont intrinsèquement mauvais dans la mesure où ils ne conduisent jamais qu’à l’asservissement du public. De plus, les monopoles idéologiques peuvent être légalisés, ou même créés artificiellement grâce à la couleur de la loi. Les confinements n’ont jamais été votés par un corps législatif et n’ont jamais été votés par le public, ils ont été prononcées comme des édits venus d’en haut, sans aucun contrôle ni équilibre des pouvoirs. Les passeports vaccinaux ont été mis en œuvre de la même manière. » (Extraits de l'article de Brandon Smith « Passeport vaccinal : les droits des entreprises sont-ils plus importants que la liberté individuelle ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Passeport-vaccinal-les-droits-des-entreprises-sont-ils-plus-importants-que-la-liberte-individuelle-64879.html)
Après la guerre contre le covid, Emmanuel Macron repart même encore en guerre en aidant l'Ukraine face à la Russie, sauf qu'il y a un grand changement : la soumission volontaire est devenue la sobriété volontaire. Ne cherchons pas la différence, car il n'y en a pas même si la sobriété pieuse existe. Selon la technique éprouvée par McKinsey de manipulation des masses, voici le nouveau plan en quatre parties dévoilé en avant-première par le président. Sa méthode n'est plus celle du quoi qu'il en coûte » mais celle du « pas tout d'un coup », meilleur moyen pour faire accepter en douceur l'inacceptable. D'abord 1. la sobriété volontaire sans contrainte ; ensuite 2. la sobriété avec plus de contraintes ; 3. le rationnement avec des coupures. La quatrième partie du plan sera une surprise. On la découvrira en tant voulu. Lorsqu'on sera en dictature ? Lorsque le CNR macronien aura remplacé définitivement l'Assemblée nationale ?
A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « LE MEURTRE DE L'ESPRIT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=4BWY7gbw-Tk , et de lire les excellents articles « Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » – Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/31/dr-robert-malone-psychose-de-formation-de-masse-covid-19-pourquoi-tant-de-gens-croient-au-mensonge-du-vaccin/ , « Que faire ? Désobéir à l’apartheid biopolitique et bâtir la cité chrétienne – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/01/que-faire-desobeir-a-lapartheid-biopolitique-et-batir-la-cite-chretienne-pierre-antoine-plaquevent/ , « Psychopathologie du totalitarisme » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/30/psychopathologie-du-totalitarisme/ , et « Contre la société de surveillance : la conception européenne de la liberté » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/05/contre-la-societe-de-surveillance-la-conception-europeenne-de-la-liberte/
« Tous les éleveurs savent bien comment on dresse les bêtes. Les gouvernements devenus les gestionnaires du « parc humain » usent de toutes les techniques à leur disposition pour dresser le cheptel humain. La dynamique dans laquelle nous sommes engagés est très exactement celle du totalitarisme, si l’on veut bien admettre que le totalitarisme peut exister sans camps de concentration ni fours crématoires, instruments archaïques que la technologie moderne peut aisément remplacer. Il n’y a donc aucune « servitude volontaire » (mais il y a particulièrement la servitude « volontaire » par la peur utilisée par le système). La crainte, appuyée sur la puissance de l’imagination(, de la télévision et du confort même modeste) suffit pour expliquer l’apparente passivité des individus. Ils peuvent même aimer leur tyran par désir d’en être aimés. Tout cela s’appuie sur des structures archaïques, tant du point de vue de chaque individu que du point de vue de l’histoire de l’humanité. « On retrouve le besoin du père, c’est-à-dire le besoin de protecteur qui nous garantit à la fois contre les éléments extérieurs, contre les autres et aussi contre soi-même. Il s’agit de ne pas être abandonné, de ne pas être livré à soi-même, donc de s’abandonner à d’autres. » (Croyance et soumission, p. 188) Le problème devient dramatique quand celui à qui l’on s’est abandonné n’a rien d’une figure « paternelle », même en faisant des efforts d’imagination, et quand la survie élémentaire apparaît comme l’enjeu immédiat. C’est généralement dans ce genre de situation que sortent les piques et que les carcans qui nous emprisonnent sont brisés. » (Denis Collin)
Les idéologies totalitaires ont toujours ignoré la science, contrairement aux oligarques du Forum de Davos qui en ont fait leur cheval de bataille pendant le covid pour justifier la suppression de nos libertés de manière autoritaire, ce qui de manière inédite a été particulièrement facilitée à travers la formidable machine de guerre moderne du système dont de ses très influents médias en particulier télévisuels. Ces restrictions ont d'abord été liées au terrorisme, puis la cause virale a été prétextée pour les imposer, et le système pourrait même aller encore plus loin dans ce sens jusqu'à se servir des problèmes du climat, de la guerre en Ukraine, de l'inflation et des pénuries, dont il est pourtant responsable. Un système de surveillance de masse se cache derrière ce techno-solutionnisme que l’on veut nous vendre, en particulier à travers un euro numérique centralisé.
« Ne pas se soucier du droit à la vie privée parce que l’on n’a rien à cacher, c’est comme ne pas se soucier de la liberté d’expression parce que l’on n’a rien à dire. Nous devons refuser les systèmes d’identité numérique (et de monnaies) centralisés, et le bitcoin apporte une nouvelle fois une solution élégante. »  (Edward Snowden)
Or le transhumanisme auquel les pervers oligarques veulent en plus accéder et la dégradation de la santé qu'ils provoquent aux moins riches dont par la vente de cigarette, le covid, de mauvais vaccins, de la malbouffe et des produits alimentaires pas assez purs correspond en plus au système d'esclavage le plus oppressif, totalitaire et destructeur de l'humanité dans l'histoire, surtout que nombreux meurent avant ou dans le début de leur retraite.
Et cela même si le tyrannie climatique, bancaire, sanitaire, numérique, inflationiste et économique correspond à un calme totalitarisme sournois servant les plus riches en particulier lors du covid, car ce fut à travers de la torture psychologique devenant des traumatismes dont envers les enfants : masques, confinements, pass sanitaire, censures, mise en avant de la peur du climat, du terrorisme, des virus, de la Russie, des pénuries. Alors que les vraies et donc nobles élites doivent normalement servir le collectif.
Vincent Pavan, enseignant-chercheur en mathématiques à l’Université Aix-Marseille, qui est à l’origine de panneaux en ville relayant des chiffres des risques liés à la vaccination, a même été suspendu. Participant au célèbre (et salutaire) collectif Réinfo-Covid, il était déjà sur la sellette pour son opposition au port du masque et en général aux mesures inutiles et liberticides prises lors de la crise sanitaire. La goutte d’eau des panneaux publicitaires fit déborder le vase de l’intolérance universitaire pourtant protégée par la loi : sa liberté d’expression a donc été sanctionnée sans appel. Un scandale de plus dans une tyrannie ordinaire. L’indifférence du troupeau impie, matérialiste et démocratique ayant le confort de base mène au fascisme laïciste, affairiste et politique.
Tocqueville : « l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre ; mais elle est en même temps une des plus restreintes et des moins dangereuses. »
          Pour parvenir à leur alliance à travers le socialisme d'un super Etat totalitaire mondialiste, les milliardaires multiplient en plus les petites règles compliquées dont donc avec le Covid qui les a fait progresser et la masse qui les a beaucoup acceptées :
« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement (soumis au mondialisme) est le berger. » (Tocqueville)
La croyance à l’illusion qu’« on va tous mourir du virus » provoque l’impératif de survivre avant celui de comprendre ; le cerveau reptilien ayant la primauté sur le néo-cortex et la raison. Il n’est donc pas nécessaire que le fait scientifique soit avéré ou confirmé par le plus grand scientifique ou le Pouvoir lui-même. C'est pourquoi afin de mieux contrôler la population et d'augmenter massivement l'endettement de la France, il fallait prolonger le pass qui prolonge aussi la peur du danger sanitaire, comme bientôt les pass climatique ou/et économique. En effet cela fait enraciner cette croyance collective dans la société et provoque peu à peu un dressage des esprits par auto-conditionnement ainsi donc qu'une neutralisation générale de la réaction et de la raison. Tout ça via l’Écran. Peu importe qu’on n’ait pas de télé, car des affichages suffisent pour diffuser la Peur sur toute la ville et sur toutes les ondes, c'est à dire pourvu qu’on la voit et qu’on parle de la peur ; peu importe que ça soit en bien ou en mal, qu’on est raison ou tort.
« Le Pr Mattias Desmet enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires. Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes. Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique amplifiées par la perte de liens sociaux physiques, ce qui était déjà une perte de sens. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable qu'elle risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation. Un agent comme le coronavirus ou la Russie peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse. Grâce au Covid ou à la Russie, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés. La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas et qui sera expliqué plus tard), les gens s'estiment victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié. À l’instar de cette fable des Animaux malades de la peste, les consommateurs sevrés par ces crises orchestrée sentent qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire incarné par le groupe des non vaccinés (mais aussi des complotistes ou anti-vaccins selon les étiquettes de circonstance désignés eux aussi comme des dangers publics) fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux , et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).
(« Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme » : extrait de l'article « Pr Didier Raoult : « Quand on menace les gens de les confiner ou de ne plus les soigner, c’est de la dictature » à l'adresse https://lemediaen442.fr/pr-didier-raoult-quand-on-menace-les-gens-de-les-confiner-ou-de-ne-plus-les-soigner-cest-de-la-dictature/)
Dans ce processus sournois synonyme de bassesse, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples ont renoncé à leurs droits et libertés. Une fois cet « engoncement (ce resserrement) » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, et à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance, impliquerait nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante précédente, ce qui serait perspective psychiquement insupportable. Cela explique pourquoi les « covidistes » sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer. Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend même les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes. » (Extrait de l'article « Viol des esprits et psychose de masse » à l'adresse https://strategika.fr/2021/10/06/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/
Or une société malade qui a perdu ses repères (ses valeurs) crée toujours du totalitarisme, de l'injustice sociale ou des guerres. En effet généralement suite à une époque difficile, cela va créer des hommes forts qui eux-mêmes vont concevoir une société plus juste et plus faciles à vivre. Puis avec le temps, les hommes la composant vont perdre de leur vigueur et de leur vigilance. Alors ces sociétés dégénèrent et s'avachissent en raison de la faiblesse des hommes qui les constituent parce qu'ils ne rencontrent plus d'épreuves qui les fortifient. Ainsi elles sombrent dans la destruction, et c'est à nouveau l'émergence d'une époque difficile. C'est pourquoi lors des premiers califats, le djihad pieux intérieur qui est de se maîtriser religieusement et le djihad pieux extérieur qui est le combat militaire, servaient principalement à maintenir la force et la stabilité de la société.
Ainsi on ne doit pas négocier avec l'expérience totalitaire, car moins on négocie avec elle et plus vite on la fera couler, d'autant plus avec de massifs boycotts intelligents et unis, car le destin du totalitarisme est de s'autodétruire, de s'effondrer, puisqu'il est contraire à toutes les lois de la nature, de l'espèce, de l'esprit, de l'âme, de l'intelligence. Surtout qu'impopulairement car souvent par rapport à la modestie du peuple, la nomenklatura y a généralement droit à tout même à certaines interdictions imposées au peuple.
L’émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ? Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ? En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ? Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ? En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ? Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ? En quoi vivons-nous le prolongement de notre fermeture de cœur ? La charité serait-elle le remède au totalitarisme ?
Selon la psychologue clinicienne Ariane Bilheran, la meilleure solution contre le totalitarisme tyrannique synonyme de guerre auto-destructrice et contre la société du spectacle qui ne valorise plus la discipline, l'effort et l'être, mais la séduction, la consommation et l'avoir, est la charité et non la solidarité. En effet la solidarité est une chaîne qui détient l'exigence de la réciprocité et donc de l'interdépendance. Alors que la charité, très souvent pratiquée par les prophètes Jésus et Mouhamed, ne cherche qu'à donner sans condition, qu'à aider sans vouloir recevoir (à part de Dieu quand on est croyant), mais dans l'espoir que l'être ou les êtres humains aidés dont dans leurs droits soient guidés et propagent cette charité en la pratiquant.
Selon saint Thomas d’Aquin, la charité est la vertu suprême théologique (et christique, du monothéisme authentique), et c'est donc celle qui nous fait le plus grandir car elle est synonyme de miséricorde par excellence, mais elle ne doit pas amener à la pauvreté de celui qui la pratique. Elle peut aussi se voir dans l'hospitalité individuelle ou collective. Et lors d'une épidémie quand c'est possible, il est donc préférable de préserver l'amour entre humains dont par des contacts tendres, plutôt que l'amour de soi dont par la crainte des autres, surtout que Dieu contrôle même les virus et que le martyr qui doit être recherché se gagne avant tout par le secours (dont le lien) envers l'humain, la vie et la foi.
Or nous sommes arrivés à un point tel que la survie n'est plus mesurée par des critères moraux, spirituels ou humains. Le peuple a même été traité par les vaccins expérimentaux comme des bestiaux voire des cobayes sous la propriété totalitaire de l'Etat. Malheureusement, nous savons que jamais personne ne s’empare du pouvoir avec l’intention d’y renoncer. Pour certains le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin.
Suite à l'effondrement du messianisme communiste (totalitarisme d'apparence militaire) et du messianisme capitaliste libéral (totalitarisme d'apparence chic et donc plus vicieux), le pire totalitarisme est donc celui de la société libertaire d'hyper consommation, parce qu'il est organisé par une ploutocratie, et que le virtuel et l'impiété, c'est à dire le numérique, l'athéisme, le progressisme, le Lgbtisme, le féminisme, la GPA, la transsexualité, le transhumanisme, le wokisme, la cancel culture, luttent contre le réel après l'avoir follement qualifié de fascisme, alors que ce n'est que par toute cette évidente inversion des valeurs imposée que le fascisme tend à revenir mondialement à travers cette gauche sociétale ayant particulièrement formaté les jeunes générations.
Or selon Karl Marx, l'histoire d'un totalitarisme revient toujours deux fois, mais la première fois elle vient en tant que tragédie, alors que la seconde, elle revient en tant que farce. Et la plus grande menace pour un totalitarisme impie n'est pas les rebelles violents sur lesquels il pourrait construire une fausse légitimité de défense nationale contre eux, mais les sceptiques, les ironiques et les décontractés dont l'esprit fin, clairvoyant, sage et intelligent peut être contagieux. Or quand la passion ou la peur sont administrées chez le peuple comme ce le fut lors la propagande manipulante et divisante concernant le Covid, l'idéologie politicienne tyrannique prime donc sur la raison, la science et le bon sens. Ainsi malgré la démocratie liée à la république française étant le pouvoir au peuple, le système veut nous faire croire que c'est l'autorité qui a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant en plus être raccourci par une révolution.
Il est intéressant de voir à ce sujet  la vidéo « L'Eloge de la force avec Laurent Obertone - Le samedi politique » à l'adresse : https://www.youtube.com/watch?v=Ue9CqPFtQgo&t=192s
D'ailleurs la dictature sanitaire liée au Covid a clairement fait passé l'autorité à de l'autoritarisme, qui pourrait aller jusqu'à la tyrannie écologico-sanitairo-numérique sous de pseudos prétextes comme la pseudo lutte contre le carbone. En effet on ne peut nier qu'avec la perverse gestion de la crise sanitaire comme pour habituer les peuples aux prochaines crises et au grand reset, un totalitarisme ploutocratique s'est mis en place par les confinements, les couvre-feu, le traçage, les délations, la stigmatisation de populations, les camps, le QR code (faisant rappeler celui de Nuremberg), le passeport (covid) pour circuler sur le territoire national, le règne de la terreur par la propagande, etc. Surtout que les forces progressistes qui ont imposé cette tyrannie sanitaire et numérique ont en partie détruit l’économie productive au profit des grosses puissances financières.
Le passeport covid national liberticide, ayant donc possiblement préparé les peuples à celui énergétique, écologique ou vert encore plus liberticide, peut aussi être la suite liberticide concernant le déplacement commencée lors de la première guerre mondiale et continuée par les passeports et les visas : « Rien peut-être ne rend plus sensible le formidable recul qu’a subi le monde depuis la Première Guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et, de façon générale, à leurs droits. Avant 1914 … chacun allait sans passeport où il voulait sur terre et y demeurait aussi longtemps qu’il lui plaisait. » (Stefan Zweig, Le monde d’hier. Souvenirs d’un Européen, 1942)

Or à notre époque se rapprochant des dix milliards d'humains sur terre et ayant de nombreuses nations aux frontières bien définies, l’utilité de passeport pour gérer le flux de déplacement humain au niveau mondial paraît important, surtout cela n’empêche pas l'immigration illégale de beaucoup. Mais il est important de noter que par une forme d'ouverture et de liberté, il est agréable de passer des frontières sans contrôle comme dans l'union européenne.


« Pour retrouver un peu de cet ancien temps, égalité et réconciliation sont les deux choses que les majorités doivent absolument offrir aux minorités (dont les ultra riches font partie), surtout si elles veulent empêcher ces dernières de donner prise aux techniques de manipulations utilisées par les forces qui veulent transformer tout le monde en esclaves obéissants et désemparés. D'autant plus que par la subordination de la dette usurière, une caste mondialisée ultra riche et donc minoritaire cherche donc le pouvoir politique et parvient même à obtenir des infrastructures de nations, la dématérialisation de la monnaie (en futures monnaies numériques centralisées voire décentralisées gérées par les banques) et le démantèlement des services publiques (dont les moyens hospitaliers étaient déjà insuffisants avant le début du covid) en les faisant devenir payant. Ces majorités qui s’illusionnent et croient qu’elles peuvent résoudre le « problème des minorités » en les expulsant ou en les faisant disparaître ne font que se tromper elles-mêmes. En effet résoudre « simplement » le « problème des minorités » en les réprimant pousse inévitablement celles-ci directement dans la chaude étreinte des grands manipulateurs, et cela transforme ces minorités en une puissante arme contre la majorité. C’est le grand danger de mouvements comme le Rassemblement national en France. Leurs actes ne servent qu’à « armer » les minorités. Surtout que le Rassemblement national dénommé avant Front national ayant été attaqué pendant 40 ans par les forces sionistes, il a finalement été dévirilisé, et une fois dévirilisé (dont jusqu'à changer de nom, qui a tout de même été sage), il a été attaqué sur sa dévirilisation par Zemmour. On saisit l’ingénierie aussi subtile que cruelle. C'est à dire que comme la nouvelle droite de Zemmour en réalité sioniste est fausse puisque étant pour L'Euro, l'Union européenne et le pass sanitaire, cela signifie qu'elle est macronienne. Ainsi ceux qui le suivent participent à éjecter les derniers véritable défenseurs de la droite authentique. L’ennemi te demande de faire la paix, de poser ton arme, puis, sans risque, t’enfonce son épée, que lui n’a pas posée. Bien entendu, cela ne signifie pas que les préoccupations et les griefs émis par ce mouvement sont sans mérite, pas du tout, ce sont leurs pseudo solutions qui sont le véritable danger.
Il n’y a qu’un seul chemin efficace pour désamorcer le potentiel explosif des minorités :
-Expliquer que la domination des élites perverses se fait donc de la manière suivante : libéralisme libertaire, appauvrissement du bas et de la classe moyenne entrepreneuriales de la société, destruction des acquis sociaux, manipulation entre minorité et majorité, racisme, division horizontale, et ainsi lutte verticale entre le peuple et le pouvoir profond évitée.
-Instruire les minorités et leur expliquer qu’elles sont manipulées
-Instruire ceux qui rejoignent les mouvements opposés aux minorités qu’ils sont aussi manipulés
-Offrir aux minorités un avenir fondé sur l’égalité et la réconciliation
-Pointer les projecteurs vers ceux qui soufflent sur les braises du conflit et essaient de tourner les minorités et les majorités les unes contre les autres afin de préserver leurs privilèges corrompus. » (Extraits de l'article « Les minorités manipulées représentent un danger majeur pour les États démocratiques » à l'adresse http://lesakerfrancophone.fr/les-minorites-manipulees-representent-un-danger-majeur-pour-les-etats-democratiques)
          Tous les grands problèmes sociaux mondiaux proviennent principalement des occidentales oligarchies perverses, mondialistes, américano-sionistes, ultra-libérales, wokistes, cupides ou avides de pouvoir. D'ailleurs il faut rappeler qu'exactement 11 ans après le démembrement de l'union soviétique et le discours du président Bush Père américain sur le nouvel ordre mondial séculier à venir, les attentats du 11 septembre 2001 au World Trade Center très probablement effectués sous faux drapeau eurent lieu, ce qui permit au président Bush américain, fils du précédent de même nom, de dire qu’il fera la guerre au terrorisme, car il s'agissait d'une guerre possiblement sans fin permettant aux Etats-Unis leurs perpétuelles ventes d'arme et la préservation de leur hégémonie puisque cet empire est un complexe militaro-industriel, mais cela créa beaucoup d'immigration suite aux guerre en Afghanistan, Irak, Lybie et Syrie. Or s’il avait affirmé qu’il avait l’intention de livrer une bataille à l’islam, cela aurait mis en danger le projet américano-sioniste de domination du monde par l'ultra-libéralisme occidental et l'instabilité des guerres, puisqu'il aurait uni la population musulmane représentant le cinquième de l'humanité. Ainsi après avoir organisé la guerre permanente, l'oligarchie mondialiste des Etats-Unis et de l'Occident veut maintenant les pass sanitaire et énergétique permanents pour augmenter désormais la guerre du tous contre tous et la tyrannie ploutocratique internationale. Ceci prouvant qu'il est grand temps qu'un califat bien guidé et donc sagement constructeur réapparaisse à travers l'union de tous les pays musulmans, afin de purifier le monde qui en est devenu à être organisé par la création puis l'exploitation du chaos pour préserver l'empire américano-sioniste.
Surtout que par rapport à tout ce qui vient d'être évoqué, il est reconnu désormais mondialement que divers services spéciaux occidentaux instrumentalisent le terrorisme djihadiste à des fins politiques ou géopolitiques, d'autant plus que le Président Trump a admis l'origine états-unienne de Daech, comme Al-Qaïda est d'origine états-unienne. En effet cette armée terroriste avait été au départ la rébellion des anciennes armée et administration irakiennes de Saddam Hussein qui furent humiliées à travers leurs licenciements (même de nombreux petits fonctionnaires) organisés par l'envahisseur américain très probablement dans le but de déstabiliser voire disloquer définitivement cette nation. Puis cette armée fut ensuite infiltrée par le wahhabisme de l'Arabie Saoudite soumise aux USA. De même, il est unanimement reconnu que les premiers Talibans ont été soutenus par la CIA.
Par conséquent l’Afghanistan représentait bien aussi un endroit stratégique pour les intérêts américano-sionistes, puisque jouant donc le rôle de voies d’acheminement des hydrocarbures de l’Asie centrale, permettant l'établissement de bases militaires américaines pour contrôler la région, et participant au développement d'un ennemi mondial perpétuel qu'est le terrorisme. Le terrorisme des premiers saoudo-talibans ayant amené l'invasion de l'Afghanistan par les américains a donc effectivement facilité la manipulation mondiale au profit des USA, provoqué toujours plus leurs ventes d'armes, et permis que le terrorisme wahhabite ou takfiriste puisse ne jamais disparaître totalement par preuve que des monarchies arabes pétrolières alliées des États-Unis participent à son financement.
C'est à dire que certains spécialistes arabes et mondiaux affirment que le complexe militaro-industriel des États-Unis a manipulé le groupe Al-Qaïda pour le lier de près ou de loin aux terribles attentats du World Trade Center afin donc de pourvoir envahir divers pays musulmans pour contenir la Russie, l’Inde et la Chine, et bien sûr afin de contrôler une partie des voies d'approvisionnements en hydrocarbures entre le Proche-Orient et l'Asie, de voler leur pétrole et de vendre toujours plus d'armes. Cela fut d'autant plus possible sans l'opposition véritable de ces grandes puissances concurrentes. Mais suite au renouveau économique et militaire de la Russie puis aux nombreuses prises de territoire de la Syrie en 2015 par Daech synonyme de danger terroriste pour la Russie et de possible future annexion israélienne jusqu'au Grand Israël impie, cela prit en partie fin, surtout aussi avec la guerre en Ukraine. En effet ce temps d'attente par la Russie lui permit de finaliser certaines armes modernes comme ses DCA S-400/500, ses boucliers électromagnétiques, ses missiles hypersoniques et ses missiles pouvant détruire des satellites. Mais cela lui permit aussi essentiellement d'être assez forte économiquement pour tenir le coût de la guerre en Syrie puis d'affronter les sanctions actuelles liées à son intervention en Ukraine, et donc également la course aux armements, à leur livraison et à leur utilisation dans cette guerre face à l'union militaire de plusieurs pays qu'est l'Otan. De plus à la différence de la Syrie et de l'Ukraine, il faut comprendre que la Libye n’appartenait pas à Sa sphère de sécurité ni d'influence, comme le Proche-Orient n'appartient pas à la sphère de sécurité ni d'influence de la Chine ou de l'Inde, même si il le devient de plus en plus car c'est un centre mondial de pressions internationales. Ainsi comme la Russie aurait pu continuer à être encerclée par des fortifications, des aérodromes et des garnisons de l’OTAN en Ukraine normalement neutre, qui auraient travaillé à sa dégradation interne, elle a logiquement décidé sa démilitarisation, surtout qu'une attaque militaire contre les russophones du Donbass se préparait. Car les Américains ne veulent pas d’une guerre mondiale, ils pensent vaincre la Russie par la pression et la menace, dont car elle est le dernier pilier chrétien, militaire et énergétique fasse à l'empire américano-sioniste.
Dans ce sens d'obligation chronologique, le début de la guerre en Ukraine organisée par les occidentaux, pour participer au grand reset ou espérer l'effondrement de la Russie, devait attendre le formatage des peuples occidentaux par la crise du covid, qui devait attendre les outils le rendant possible comme le smartphones répandus et le QR code. Selon Orwell, la guerre ne détruit pas l’adversaire, elle détruit les surplus et elle renforce le pouvoir de l’élite sur la masse affamée et abrutie, comme deux des sournois sens cachés du grand reset.
Or comme selon le plan divin la souveraineté russe est divinement d'abord basée sur la vente de gaz, cela a donc heureusement permis à la Russie de freiner l'apparition du grand Israël interdit par Dieu et à de combattre cette innovation malfaisante gravement erronée qu'est l'islamisme politique destructeur et meurtrier de masse, qui devrait d'ailleurs s'appeler simplement terrorisme plutôt que terrorisme islamique, comme on ne fait pas d'amalgame avec les autres religions et les idéologies politiques même quand elles sont terroristes. Il faut noter que comme par son intervention en Syrie, la Russie a donc aussi sauvé la Syrie, mais qu'en plus elle protège l'Iran, a autorisé la Corée du Nord à avoir la bombe atomique et supporte la Chine dont en ayant pris de front l'occident dominateur belliqueux, ces nations ne peuvent que soutenir la Russie en Ukraine.
Ainsi, nous assistons probablement à la fin de l'espoir des mondialistes de démembrer la Russie puis de dominer la Chine, malgré les difficultés des décennies précédentes. Pour le comprendre, nous devons rembobiner jusqu’en 1998, il y a 24 ans : l’économie russe était en ruine, la première guerre contre la Tchétchènie était pour l’essentiel perdue et l’Occident était occupé à piller ce qui restait de l’économie soviétique. Les sentiments séparatistes étaient même légion et le pays aurait pu s’effondrer à tout moment, réalisant ainsi le vieux rêve occidental de rayer la Russie de la carte politique. Mais l’Occident ne pouvait pas attendre et a décidé de donner un coup de grâce à la Russie en déclenchant la deuxième guerre de Tchétchénie. Et là, quelque chose a mal tourné : au lieu de l’ivrogne président Eltsine, Poutine est arrivé au pouvoir et a gagné la deuxième guerre de Tchétchénie. L’apparition de Poutine sur la scène mondiale a été une surprise totale pour l’État profond occidental, qui a alors réalisé qu’il avait besoin d’un tout nouveau plan pour détruire la Russie à coup sûr cette fois. L’objectif principal de ce nouveau plan était encore la poursuite de la domination mondiale des États-Unis, mais désormais suite au démembrement, à la dévoration et à l’engloutissement réels de leur principal adversaire géopolitique qu'est la Russie pour ensuite en finir avec la Chine. La Russie devait être contenue simultanément à l’ouest via l’Ukraine, au sud-ouest via la Syrie puis le Caucase et au sud via l’Afghanistan. Le commerce du pétrole et du gaz naturel de la Russie devait être perturbé, ses liens économiques avec l’économie mondiale rompus et sa politique perturbée par des manifestations internes.
          Cette cette déstabilisation états-unienne du proche orient espère aussi au bout du compte une guerre permanente entre sunnite et chiite similaire à celle sans fin contre le terrorisme, puisque permettant aussi leur honteuses ventes d'armes indéfiniment puis donc leur exploitation des ressources des pays dans le chaos comme en Afghanistan, Irak, Lybie et Syrie :
Twaban (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Peu s'en faut que les nations ne se liguent contre vous à la manière de mangeurs se conviant à manger du même plat (pétrole du Moyen-Orient et Maghreb). » L'un des compagnons demanda : « Serons-nous en minorité ce jour-là, ô Envoyé de Dieu ? » « Non, vous serez nombreux, mais (sans plus de valeur) que l'écume charriée par un torrent (car divisés), et Dieu ôtera du coeur de vos ennemis la crainte que vous leur inspiriez et Il mettra de la faiblesse dans les vôtres », répondit le Prophète (SBDSL). Un autre demanda : « De quelle nature sera cette faiblesse ? » « L'amour de ce monde et la crainte de la mort (vous faisant oublier la défense des faibles et de la morale) », finit le Prophète (SBDSL).
          C'est également dans ce sens que le pouvoir profond occidental lié à divers lobbies pervers et certains de leurs services spéciaux comme la CIA organisent divers foyers de tensions dans le monde. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que le complexe militaro-industriel, wall street et le judéo-protestantisme soient les composants principaux de l'Etat profond américain et du désordre international.
          Ce démoniaque pouvoir profond très nocif de l'occident souhaite donc aussi la destruction de l'islam, du catholicisme et du christianisme orthodoxe, car ces religions sont en opposition au laïcisme hyper consommateur de leur capitalisme libéral libertaire enrichissant seulement les très riches en particulier par l'usure. De plus cet internationaliste pouvoir oligarchique pervers cherche la maîtrise de divers territoires dont certains donc pour agrandir leur principale colonie qu'est Israël, devenu par rapport au monde leur capitale ou Etat leader, puisque permettant par la pseudo suprématie victimaire des juifs liée à la shoah de prétexter honteusement la belliqueuse et dominatrice politique internationale des américano-sionistes mondialistes.
          Afin d'amplifier cette orientation aux pays occidentaux lors des dernières décennies, diverses autorisations législatives furent données pour la création de chaînes d'informations privées partisanes, des groupes de réflexion ultra-libéraux subventionnés par les très riches leur permettant en plus de payer moins d'impôts apparurent, et des groupes de discussions avec des citoyens représentant la population furent organisés dont afin de plus facilement manipuler le peuple à accepter par exemple la guerre en Irak et en Syrie ou la Russophobie. Surtout que des sociétés privées type « behavioral insigts team (l'équipe d'analyse comportementale) » étudient la psychologie humaine pour modifier le comportement de la population, en particulier à travers les enfants, dont pour faire croire que l'autorité a le pouvoir, alors qu'il est prêté uniquement par le peuple un certain temps pouvant être raccourci par une révolution comme il a déjà été vu. De plus avec les récentes découvertes scientifiques, les lois de plus en plus perverses amenant bientôt à valider la sélection des gênes pour le fœtus, la GPA et les utérus artificiels (mauvais pour les fœtus puisque perdant environ six mois d'éducation liée aux sensations, émotions, réactions, actions, langage et vie de la maman et de la famille mais aussi certaines vibrations du monde) voire les clonages, les élites mondialistes corrompues pourront créer des armées de serviteurs sous prétexte d'adoption, voire créer des êtres humains supérieurs qui n'hésiteront pas à faire disparaître les anciennes générations plus faibles.
          Tout cela confirme donc encore la nécessité urgente du retour d'un Califat bien guidé à travers l'union de tous les pays musulmans pour qu'il participe à l'assagissement du monde, surtout que défendant la religieuse loi naturelle, propageant la justice, combattant l'impiété de l'extrémisme et s'étendant sur des zones très riches en hydrocarbures et très stratégiques géopolitiquement dont vis à vis du commerce international et des nouvelles routes de la soie.
Surtout que selon l'analyste géopolitique français Bruno Guigue, le terrorisme ne s’est jamais aussi bien porté depuis que les USA prétendent le combattre, et les États souverains qui affrontent ce terrorisme pour de vrai (aujourd’hui comme hier) figuraient depuis longtemps sur la liste noire des faucons du Pentagone. Afghanistan envahi, Irak laminé, Libye pulvérisée, Soudan tronçonné, Syrie agressée, Iran sanctionné, Yémen affamé : la guerre contre la terreur est l’alibi d’une destruction méthodique des structures étatiques du « grand Moyen-Orient », pour reprendre l’expression de Michel Raimbaud. On ne comprend pas la politique occidentale dans la région si l’on refuse d’admettre que la guerre contre la terreur était en fait une guerre pour la terreur, destinée à perpétuer le chaos dans une partie du monde aussi riche en puits de pétrole qu’en peuples récalcitrants. Contrairement au discours convenu des chancelleries occidentales sur « notre ennemi mortel, l’islamisme radical » (discours destiné aux naïfs), les terroristes coupeurs de tête n’ont jamais causé le moindre tort à l’hégémonie US (ni à Israël), qui a précisément besoin de leur nocivité pour se perpétuer. En effet à la fois mercenaires et boucs-émissaires, les djihadistes en tous genres ont fourni des hommes de mains jetables à l’empire du crime. Ainsi progressivement, les États-Unis retirent leurs troupes des conflits où elles étaient engagées et y substituent des mercenaires djihadistes sur le terrain et des sanctions économiques synonyme d'une version moderne du siège médiéval. En effet ce que les arrogants, méprisants, despotiques et tyranniques dirigeants états-uniens échouent à faire directement ou par procuration militairement, ils veulent y parvenir en affamant population, femmes et enfants. Il s'agit d'un terrorisme économique quand il n'est pas militaire. C'est à dire qu'ils imposent des embargos ou des blocus qui sont des actes de guerres et établissent des sanctions économiques même vis à vis de leurs pays alliés qui passeraient outre leur politique perverse contre diverses nations ou régions particulières du monde. Ces actions stratégiques sont d'autant plus perverses qu'elles s'effectuent en dehors de tout droit international dans une forme de jungle animale opposée à l'humanisme qu'ils prétendent pourtant sournoisement défendre, surtout qu'elles ne sont pas dénoncées par des organisations comme l'ONU et l'OMC prétendant défendre la justice internationale, alors qu'elles sont pourtant plus graves que leur bombe nucléaire sur Hiroshima puisque 500 000 enfants irakiens en sont morts lors de l'embargo contre l'Irak à l'époque de Saddam Hussain. C'est pour ça qu'il est insupportable que la morgue moralisatrice des dirigeants occidentaux corresponde à l’écran de fumée qu’ils jettent complaisamment sur ces tas de cadavres dont ils sont responsables. C’est non seulement une insulte à l’intelligence des peuples qui les écoutent, mais surtout, et c’est de loin le plus grave, c'est une ignominie méprisante à l’égard des peuples qu’ils ont condamnés à la mort ou à la misère. Dans cette entreprise mortifère où le false flag est la règle et le bombardement aveugle le mode opératoire, de Kaboul à Bagdad, de Tripoli à Sanaa, et de Mossoul à Damas, les États-Unis battent tous les records, mais leurs supplétifs français et britannique, ces roquets de l’Empire, ne sont pas en reste dans l’exécution du crime de masse. Quel autre pays dans le monde outre ces trois-là peut se vanter d’avoir fait autant de guerres chez les autres dont par procuration, imposé autant de sanctions économiques, et déstabilisé autant de nations souveraines ? S’ils avaient une vague idée de ce qu’est le patriotisme, leurs citoyens descendraient dans la rue pour imposer la fin de cet acharnement criminel contre des populations qui ne leur ont rien fait, et dont certaines avaient même la candeur de croire aux valeurs usurpées par un Occident failli. Or suite à l'échec américain de contrôler selon la stratégie Mackinder, une grande partie du Heartland (terres de l'Eurasie) grâce à leur influence en Afghanistan, Irak, Syrie, Géorgie, Ukraine et Caucase,  les USA ont redéployé leurs forces selon la stratégie Spykman afin de contrôler le Rimeland (côtes de l'Eurasie) dont en cherchant à contenir la Chine.
Le professeur Michel Chossudovsky, directeur du Centre for Research on Globalization, rappelle que deux grands pays classés aujourd’hui comme ennemis des États-Unis alors qu'ils étaient pourtant leurs alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, sont ceux qui payèrent le plus haut prix en vies humaines lors de la guerre victorieuse contre l’Axe nazi-fasciste Berlin-Rome-Tokyo : environ 26 millions pour l’Union Soviétique et 20 millions pour la Chine, par rapport à un peu plus de 400 mille pour les États-Unis. Avec ce préliminaire Chossudovsky introduit sur Global Research une étude documentée par James A. Lucas sur le nombre de personnes tuées par la série ininterrompue de guerres, de coups d’État et autres opérations subversives effectués par les États-Unis de la fin de la guerre de 1945 à aujourd’hui, parfois sous de faux prétextes humanitaire ou démocratique alors que principalement pour dominer les ressources, l'économie et la politique de diverses nations du monde : nombre estimé à 20-30 millions. Le mondialiste Kissinger a d'ailleurs dit qu'il faut contrôler les ressources (militairement, financièrement ou monétairement) pour contrôler les nations.
Ce nombre correspond au double environ des morts de la Première Guerre mondiale dont on a pourtant célébré à Paris le centenaire avec un « Forum de la paix », et qui fut la première guerre à échelle industrielle synonyme d'augmentation de la violence internationale puisque liée donc à l'apparition de l'industrie jusqu'à celles des arme, alors qu'aujourd’hui, la guerre devient plus électronique et technologique, comme quand il s'agit d'entraver ou hacker les drones, véhicules et bâtiments ennemis. Ce qui explique aussi pourquoi avec ses usines, ses machines, le travail à la chaîne, la forte augmentation de la différence dans les revenus et ses guerres, l'ère industrielle amena une violence sociale beaucoup plus importante qu'avant.
Or en plus de ce nombre de morts, il y a les blessés qui souvent se retrouvent infirmes : certains experts calculent que pour chaque personne morte en guerre, 10 autres sont blessées. Ceci signifie que les blessés provoqués par les guerres étasuniennes se montent à des centaines de millions. À cette estimation dans l’étude s’ajoute un nombre non quantifié de morts, probablement de centaines de millions, provoqués depuis 1945 jusqu’à maintenant par les effets indirects des guerres : famines, épidémies, migrations forcées, esclavagisme, exploitation, dégâts environnementaux, soustraction de ressources dont alimentaires et énergétiques pour couvrir les dépenses militaires. L’étude rapporte également les guerres et les coups d’État effectués par les États-Unis dans plus de 30 pays asiatiques, africains, européens et latino-américains. Elle révèle que les forces militaires USA sont directement responsables de 10 à 15 millions de morts provoqués par leurs plus grandes guerres : celles de Corée et du Vietnam, et les deux contre l’Irak. De plus elle précise qu'entre 10 et 14 autres millions de morts ont été provoqués à travers les guerres de forces alliées, armées, entraînées et commandées par les USA, en Afghanistan, Angola, Congo, Soudan, Guatemala et d’autres pays. Le coup d’État le plus sanglant fut organisé en 1965 en Indonésie par la CIA, organe étatique des USA prétendument défenseur de la démocratie et du Bien : elle fournît aux escadrons de la mort indonésiens la liste des 5 000 premiers communistes et autres à tuer. Le nombre des gens assassinés à cause des USA y est estimé entre 0,5 et 3 millions.
Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence depuis leur création en 1776, c’est à dire 222 années sur les 239 années de leur existence. Le pays n’a donc été en paix que 21 ans depuis sa création en 1776... Il a participé à 40 guerres depuis 1945. Cela apporte une évidence de plus en plus partagée provenant du bon sens élémentaire : un pays en guerre incessante partout dans le monde, et cela depuis 170 ans, ne peut plus faire croire qu’il dispense la paix, le bien et la démocratie ! La quasi totalité de leur histoire n’est bâtie que sur la spoliation et le génocide, qu’elles soient directes ou par procuration.
Eux et les sionistes tuent, détruisent, sont racistes, pleurnichent des lois mémorielles, s’approprient des terres en excluant les autochtones, s’ingèrent dans la politiques des autres pays du monde, et manipulent les autres états, dont en organisant des infractions économiques et financières, usant de trafic d’influence, s'appuyant sur des oligarques traîtres, se servant de mafia et utilisant des escroqueries en bande organisée. Ces gens, consciemment corrompus complètement, et par conséquent très coupables criminellement, sont extrêmement nocifs mondialement, et donc  en grand danger de rétribution légitime par l'Enfer pour leurs décisions infernales.
Ainsi de nos jours, les intérêts américano-sionistes dans leurs opérations militaires sont toujours perversement d’ordre financier, politique et hégémonique. Depuis le début de 21e siècle, le contrôle des hydrocarbures, l'ingérence dans la politique étrangère, l'usure endettant les nations, le dollar oppressant les économies, la laïcité affaiblissant le niveau moral des gens et la vente d'armes détruisant des villes sont encore la priorité pour tenir leur domination par le chaos chez les autres. L'occident est malade de la perversité et la violence, intérieures et extérieures, mais aussi malade tout court, malade de son système social défaillant : l’élimination des plus faibles est inscrite dans le logiciel néolibéral lié à l'impie darwinisme associant perversement la sélection naturelle à la société humaine et étant donc aussi nazi par essence. Macron, Trudeau, Lagarde ou Leyen ne sont en théorie pas des nazis, ce sont même des soi-disant antinazis. Sauf que leur politique est une politique de ségrégation sociale, de répression violente, de peurs administrées et donc de tensions nationales plus que raciale, au profit exclusif du suprémacisme élitaire allié au wokisme ploutocratique qui doivent ainsi être renvoyés dos à dos, car ce sont donc les deux faces d’une même pièce pire que le nazisme, truquée et fabriquée pour séparer les gens afin de dominer les peuples. Encore un coup du Diable.
De plus pour le profit des avides et perverses oligarchies très riches, les terrorismes climatique, bancaire, religieux, sanitaire, guerrier et inflationniste servent également à dévier la colère des peuples face à la mise en place de lois antisociales, sécuritaires et asservissantes économiquement. Or elles prennent aussi particulièrement le pouvoir sur les états par leur corruption de politiciens et par des organisations ou lois commerciales supranationales avec des traités internationaux. En effet cela participe à leur domination dont par l'argent et surtout par le dollar créé ex-nihilo au sein de la FED, Ainsi cela semble impossible à combattre économiquement tant que les nations restent dans le système de cet empire impie, surtout sans une union de tous les vrais musulmans, chrétiens et peuples honnêtes dans un système financier d'investissement licite pourquoi pas avec des blockchains, des cryptomonnaies et des monnaies fiat numériques basées sur une charte digne voire monothéiste. C'est à dire qu'avec les banques centrales privées créant ex-nihilo des lignes de comptes et donc de l'argent sans rien produire et devant en plus êtres remboursés avec des intérêts par les peuples, rien que cette réalité devrait être cause de révolution. D'ailleurs si l'Iran, la Syrie et la Corée du Nord appartiennent aux pays les plus opprimés mondialement, c'est parce qu'ils n'ont pas de banques centrales appartenant aux Rothschild.
Surtout que si rien n'est fait dans ce sens pour diminuer l'étendue de la domination impie de l'empire américano-sioniste, la situation mondiale évoluera inévitablement vers l'apparition d'un système presque planétaire de l'antéchrist basé sur le mondialisme économique, une monnaie unique, le laïcisme, le wokisme, l'usure, la dette, le pouvoir des banques privées, et des sommes astronomiques d'argent thésaurisé dans les Paradis fiscaux. C'est à dire que le pouvoir planétaire serait géré par un consortium du privé, possiblement sous forme d'énormes conglomérats nationaux ou/et multinationaux d’oligarques par secteur ou multi-secteurs économiques comme le prouvent déjà les énormes conglomérats de fonds d'investissement que sont Black Rock et Vanguard. Ainsi, ce système mondial appartiendrait à très peu d'humains en plus anonymes par la juridiction actuelle et cristalliserait le pouvoir politique, tout en facilitant l'accaparement excessif contraire à la civilisation et en se rapprochant donc d'un monopole injuste comme c'est déjà le cas, c'est à dire sous formes d'énormes fusions multiples ou de multinationales gestionnaires d'énormément d'actifs type donc Blackrock et Vanguard, telles des supers structures économiques internationales tendant vers le chantage du supranational sur la souveraineté des pays. Cette dystopie est presque déjà en cours puisque l’individu moyen tend de plus en plus à travailler que pour survivre, plutôt qu'afin de accumuler des richesses pour développer l’avenir. A Hong Kong, territoire indépendant où la moitié des sièges à la législature doivent représenter des intérêts commerciaux, c'est déjà le cas puisque les intérêts des entreprises privées « font la Loi ». Les grandes banques et transnationales privées pourraient même racheter tous les Etats dont occidentaux prochainement en faillite en les unissant dans une gouvernance globale, en faisant de leur PDG des ministres permanents et en transformant les présidents nationaux en députés mondiaux, possiblement par une organisation internationale basée en Israël similaire à l'assemblée de Union européenne.
Or si ce système est plus gouverné par Satan que par le faux messie juif, il tendra plutôt en réalité à la fin de la civilisation dont par l’extrémisme progressiste et transhumaniste voire par une troisième guerre mondiale nucléaire, surtout si l'énorme corruption financière dans le monde ne s'arrête pas.
Mais si cette destruction par la guerre ultime est refusée par l'humanité qui sont les seules créatures existant matériellement, l'humain peut être effacé via l'impiété du wokisme, du transsexualisme et du transhumanisme, tel un génocide.
Hong Kong est un centre financier majeur mais également un foyer non moins important de délinquance financière, ce qui prouve encore la nécessité de blockchains décentralisées mais surveillées par l'Etat ou centralisées mais surveillées par des comités populaires synonyme de totale transparence purifiant l'économie et donc le monde. Entre 2013 et 2017 à Hong Kong, le nombre de transactions suspectes signalées aux forces de l’ordre est passé de 32 907 à 92 115. Pourtant malgré cette preuve d'augmentation de la corruption, il y a eu une baisse des poursuites puisqu'elles sont passées d’un maximum de 167 en 2014 à 103 en 2017, dont avec une seule personne condamnée à plus de six ans de prison. C'est pourquoi un chef d’État doit être en dehors du privé et du peuple pour gérer au mieux dans un juste milieu les intérêts de chacun dont de l’État, afin d'empêcher la corruption.
Selon les prédictions du blogueur américain Jared Brock dans son billet du 16 novembre 2021 sur le portail d’opinion libéral Medium, au moins une centaine sinon plus de nouveaux États apparaîtront au cours des cent prochaines années. Cela proviendra probablement de la fragmentation de grands pays très endettés. Même si cette dernière thèse fait écho à l’idée de Klaus Schwab de concentrer les pouvoirs du gouvernement mondial dans les sociétés transnationales, l’idée de Brock la contredit essentiellement : ce sont les États qui resteront les détenteurs de la souveraineté mais en étant dépendantes de ces sociétés transnationales. Or les dirigeants étant généralement élus après une campagne politique financée par des banques et entreprises supranationales, cela reviendrait au même.
          Ainsi une énorme société d'investissements comme BlackRock domine peu à peu les états et devient probablement inarrêtable par son poids planétaire de risque systémique, puisque gérant quotidiennement 18 mille milliards de dollars d'actifs mondialement (montant proche de la production annuelle des Etats-Unis) avec leur intelligence artificielle « Aladdin ». Ce logiciel beaucoup plus développé qu'un algorithme effectue 200 millions de calculs quotidiens sans aucune intervention humaine afin de conseiller des placements, parvient apparemment à reconnaître utilement les titres toxiques et peut donc vérifier l’état de grandes banques mondiales, la stabilité d'une entreprise dont multinationale et les projets économiques sérieux dans une forme de noblesse s'il est donc sagement utilisé. Cependant cette société n'hésite pas à engager d'anciens responsables politiques, à prôner la wokisme dont sous forme de menace aux entreprises neutre concernant cela et à investir bassement dans l'armement, dans la sécurité de fonds de retraites alors qu'appartenant normalement aux États et dans des secteurs comme l'énergie verte pour leur image alors qu'ayant des parts dans des sociétés polluantes. De plus cet algorithme recherchant d'abord le rendement, et donc l'argent et donc la cupidité avant l'humain, prouve aussi la perversité de cette entreprise et celle de l'évolution du système commercial et financier dont aussi à travers le trading à haute fréquence pouvant faire détenir une action seulement une micro seconde.
BlackRock appartient aux trois plus gros fonds d'investissement états-uniens, actionnaires majoritaires dans 90 % des 500 plus grandes entreprises de leur pays. La propriété commune amenant à des monopoles injustes est donc la règle immorale et non l'exception, surtout que des contre expertises malhonnêtes défendent cette domination dangereuse pour les pays puisque spéculant aussi sur les faibles. En effet généralement par des fusions, des énormes sociétés parviennent presque à des monopoles (capitalisme de copinage, dictature économique) et peuvent ainsi cupidement contrôler les prix d'un marché (même de denrées et produits de première nécessité) ou de loyers, et même donc appauvrir les peuples. Mais heureusement des populismes bien compris se réveillent de plus en plus à travers le monde, car ils savent que leur problème principal devient donc l'ascendant de l'avide finance internationaliste sur la démocratie nationale.
Ceci est confirmé par le milliardaire américain Warren Buffet ayant déclaré : « Il existe bel et bien une guerre des classes, mais c'est ma classe, la classe des (très) riches qui fait la guerre et c'est nous qui la gagnons. »
L’État, sous l’impulsion de l’occupant néolibéral, ce ver dans le fruit de la nation, s’affaiblit donc pour la majorité des Français. Il perd son caractère protecteur, tout en devenant de plus en plus répressif. Dans le monde animal, hormis le moment de la prédation, c’est la bête blessée qui est la plus dangereuse. La violence d’État, illustrée par la sauvage répression des Gilets jaunes et celle toute fraîche des anti-retraites à 64 ans, n’a pas de limite. Les dominants sont décomplexés, ils envoient des éléments policiers ultraviolents frapper et humilier des innocents. L’État-providence a disparu, il ne reste plus que l’État-violence. La clique néolibérale rothschildienne (Pompidou, Balladur, Sarkozy, Macron, tous sont passés par la grande maison) a transformé l’État en ennemi du peuple, qui a perdu toute souveraineté. Le peuple n’est plus associé d’aucune façon au pouvoir. Et quand le peuple remet cet État-là en cause, alors il est accusé de s’en prendre à la démocratie. Le piège est parfait : l’opposant est transformé en ennemi (d’État), et se retrouve automatiquement fascisé. Même fonctionnement chez les sionistes qui, dès lors qu’ils sont critiqués idéologiquement, sortent le bouclier de l’antisémitisme. La démocratie est devenue le bouclier de l’occupant, qui détient le monopole de la parole, de la vérité, de la finance et de la violence.
C'est pour ça qu'il y a eu réveil des peuples comme aux Etats-Unis par preuve de l'élection de Trump, en Angleterre par preuve du vote pour le Brexit, en Italie par preuve de l'élection d'un gouvernement souverainiste et donc en France par preuve des grandes manifestations des gilets jaunes.
Cependant cette déclaration de Buffet est en partie validée par le fait que 1% de la population au niveau mondial détient gravement de 50 à 99 % des richesses par endroit, surtout que qu'elle sont souvent mises dans des paradis fiscaux apparus étrangement, puisque détruisant l'économie mondiale des peuples par l'argent thésaurisé (sans imposition et inutilisé) qui ne circule pas dont à cause de malhonnêtes sociétés écrans. Pour lutter contre les Paradis fiscaux une des premières mesures serait d'interdire toute transaction commerciale avec les trusts anonymes. Il est intéressant de voir à ce sujet le film « The Laundromat : L'Affaire des Panama Papers » de Steven Soderbergh.
Selon le collectif « Anonymous » :« Il y a les 1% qui contrôlent le monde (voire 1% de ces 1%),
les 4% qui ne sont que des marionnettes corrompues,
les 90% qui sont endormis ou vivent le syndrome de Stockholm,
et les 5% qui savent et essayent de réveiller les 90%. Mais les 1% ne veulent pas que les 5% réveillent les autres. »
En effet les gens réveillés subissent une triple attaque par la grande masse des ignorants, l’armée des manipulés et la poignée de manipulateurs.
Pourtant en Europe, la fortune des milliardaires a augmenté de 14 % pendant la crise sanitaire de 2020. Oxfam révèle que les « sept premiers milliardaires français possèdent plus que les 30 % les plus pauvres ». Avec la crise du Covid, la France, par son endettement extérieur, a injecté beaucoup d’argent dans les marchés. L’augmentation des Bourses profitant aux actionnaires très riches est tout simplement l’évolution de la quantité d’argent et du volume de dépenses dans l’économie. Dans ce sens, la guerre et l'inflation sont la continuation de la dette par d’autres moyens. L’indice boursier actuel suit donc en réalité l’évolution de la masse monétaire. Nous sommes dans un système corrompu (lié au banques, à la finance et au grand patronat) qui favorise donc beaucoup et exclusivement le développement des très riches.
Or un système ne fonctionne que si l’ensemble des décideurs partagent les mêmes intérêts. Ainsi ce ne peut plus être le cas depuis la globalisation favorisant aussi beaucoup les très riches, c’est-à-dire depuis la délocalisation industrielle vers l’Asie, des lois économiques supranationales et la disparition des classes moyennes qu’elle a provoquée en occident.
Fritz R. Glunk, éditeur allemand de Die Gazette précise : « Ces "forces de l'ombre (très riches)" se composent de représentants de groupements industriels et économiques. Elles établissent entre elles des règles en vigueur à travers le monde qui ont pratiquement force de loi. Les parlements en prennent note sans les discuter ni prendre de décisions. »
Selon ce dernier, la raison d'être de ces groupes et de leur influence de l'ombre, dont l'opinion publique ne se doute même pas, sont argumentées par la thèse selon laquelle les problèmes universels qu'ils traitent sont devenus si complexes que seuls des experts, et non les élus du peuple, peuvent s'en occuper. Les spécialistes relèvent qu'il s'agit là d'une sorte d'«expertocratie» qui assied son pouvoir sur l'idée erronée, perverse et humiliante, que le peuple est «incompétent» et qu'il vaut mieux laisser à « ceux qui savent », c'est à dire les élites oligarchiques mondialistes, le soin de conduire les affaires publiques. Or une ploutocratie servira toujours principalement les intérêts des très riches.
Ainsi la période révolutionnaire que nous vivons est originale en ce sens que c’est le pouvoir qui s’en prend visiblement au peuple, et pas l’inverse. On avait l’habitude que le néolibéralisme s’attaque aux acquis dont sociaux du CNR (Conseil National de Résistance, duquel provient EDF, AGF, Sécurité sociale, ce qui prouve qu'il a recherché l'équilibre entre le national, le libéral et le social) avec l’axe des vendus Fabius-Sarkozy-Hollande-Macron, mais le pouvoir avançait masqué, en prétextant que c'était lié à la mondialisation plutôt qu'à leurs actions. Petite remarque : le Conseil national de la refondation établi sous Macron, ou CNR, c’est le moyen vicieux de remplacer ce bon vieux Conseil national de la résistance, le vrai CNR, qui a construit ces fameux services publics au service de tous les Français, que la bande à Macron & Kinsey est en train de détruire aujourd’hui par ce pervers homonyme humiliant. Rien n’est anodin en Dystopie, surtout quand elle est basée sur l'inversion des valeurs. Aujourd’hui, les attaques sont directes, sous la ceinture, vicieuses, violentes, voulues. Et tous les jours, les têtes des violeurs de la Liberté et de la Patrie s’affichent dans des médias de plus en plus honnis. Surtout qu'avec la crise des subprimes, les gilets jaunes éborgnés, la crise du Covid et la fraude gigantesque contre la victoire de Trump lors des élections présidentielles de 2020 au vu et au su de tous tel un réel coup d’État, le pouvoir profond corrompu ne se cache vraiment plus. On est en plein bras de fer et ce n'est pas près de se terminer. En effet par exemple les Français résistants ne sont pas près de lâcher tant l’anti-France les a exploité.
Dans ce sens comme les américano-sionistes mondialistes jouent avec la guerre de l’Armageddon (risque de troisième guerre mondiale) pour dominer des pays, passer des lois économiquement oppressantes et établir des règles follement libertaires, en baissant donc le niveau matériel et spirituel des peuples afin de mieux les contrôler et pouvoir plus facilement les coloniser, nous pouvons aussi jouer avec en la freinant par une forte volonté et une intelligente prédication recherchant à ce que le maximum de l'humanité soit guidée. Or comme trop de lignes rouges ont été franchies tels que le mariage homosexuel, l'hyperconsommation, la transsexualité dont de jeunes, la société individualiste aidant de moins en moins les faibles, la pornographie, l'usure banalisée, la forte consommation de drogues dont l'alcool, les tensions liées au statu quo géopolitique mondialement et l'oubli répandu de Dieu, il est possible que l'humanité ait provoqué sa propre destruction de civilisation et que le seuil d'activation réelle de la fin des temps sélectionnant les humains qui la dépasseront soit donc sur le point d'être franchi.
Cependant pour préparer le retour de Jésus quel que soit le temps qu'il reste avant qu'elle débute véritablement et aussi dans cette perspective qu'une grande partie de l'humanité soit guidée, des actions politiques participant également à la ralentir (en plus des actions économiques à travers des associations humanitaires, des blockchains et des boycotts intelligents) comme les suivantes peuvent être effectuées, puisque luttant contre la volonté d'un gouvernement mondial par le secteur privé oligarchique et sioniste :
-Défaire les traités commerciaux internationaux afin d'abandonner les intérêts de la classe dirigeante transnationale et de développer l'économie nationale
-Recadrer ou dissoudre les structures intergouvernementales comme l'ONU, l'OTAN ou la Commission Européenne portant toutes le laïcisme ploutocratique, wokiste et Lgbtiste similaire à la société ouverte de Georges Soros qui elle devrait être interdite
-Réinvestir dans l’économie productive et moins l'automatiser
-Réorienter le Pentagone, la CIA, les armées et les services spéciaux des divers pays du monde seulement à la défense du territoire national.
Or suite à du terrorisme comme cela a été le cas dans certains pays, des États anciennement démocratiques et libres peuvent vite devenir des États policiers apportant une indigne surveillance généralisée pouvant aller jusqu'à de la censure totalitaire, en particulier envers les intellectuels dissidents diabolisés afin de n'accorder aucune considération à leur liberté de penser et de s'exprimer.
Surtout qu'en censurant de nombreux commentaires n'allant pas dans le sens de la pensée unique souvent sur ordre des annonceurs les faisant vivre par énormément d'argent, les prestataires de service que sont les réseaux sociaux comme youtube et facebook donnent raison aux complotistes qu'ils dénoncent. En effet ils ne sont plus seulement des hébergeurs de contenus, puisqu'ils sont devenus aussi des éditeurs de contenus, des censeurs de la culture variée et des soutiens à la pensée unique, puisque allant jusqu'à effacer tyranniquement des idées politiques et promouvoir le pervers progressisme. Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions le fait que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plateformes internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public. Il est pourtant interdit à la CIA de cibler le public américain. Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignements espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses. Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire et totalitariste. Et cette très diversifiée guerre cognitive se fait souvent au profit du mondialisme corrompu d'ultra riches et des versions officielles souvent fausses de ses gouvernements et donc Etats occidentaux, alors que ces réseaux sociaux se prétendent démocrates et privés. De plus ces réseaux sociaux peuvent aussi être comparés aux grands médias du système qui sont passés de chercheur et diffuseur d'informations à fabricants d'informations puis à faiseurs d'opinions. En effet les services d’espionnage et de manipulation numérique ne se contentent même plus de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents, puisqu'ils diffusent aussi de plus en plus de la propagande dans certains groupes de la population. Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais elles peuvent clairement se faire par de faux comptes ou par des trolls. Tout le monde a entendu parler des robots ou « bots » de twitter qui viennent donner une dimension industrielle à « l’astroturfing », c’est-à-dire la simulation d’un mouvement d’opinion spontané afin d’entraîner les peuples dans des directions qu’ils ne prendraient pas d’eux-mêmes. La propagande à l’ancienne existe toujours, on l’observe bien dans nos « chers » media, mais elle est relativement artisanale et inoffensive par rapport à ces nouvelles techniques, car beaucoup plus visible. C'est donc aussi pourquoi de nombreux comptes de réseaux sociaux ont aussi été créés et gérés par de l'intelligence artificielle pour influencer invisiblement les populations, alors il faut bien faire la part des choses et croiser les informations et recouper nos opinions. Ces réseaux deviennent même aussi souvent des juges au service de la politique d'une compagnie privée. Or les règles privées de la communauté de nombreuses applications, en particulier des GAFAM, servent en réalité en occident les élites politiques, les puissances d'argents, les oligarques, les lobbies et le pouvoir profond au détriment des peuples, sans parler de la possibilité de censurer honteusement certaines applications par opposition complète aux règles commerciales comme le réseau social twitter car autorisant désormais légitimement la dénonciation des pervers mondialisme, wokisme et sionisme, et sans parler de l'intégration éventuelle de Google aux institutions et à l'armée Israélienne. D'autant plus que par leurs jugements, de plus en plus de tribunaux judiciaires se positionnent dans la défense néo-libérale du plus fort devant la pluralité de la pensée, pourtant fondamentale dans la recherche de la vérité. Alors que selon FranceSoir : « le droit à la liberté d’expression d’un éditeur n’est pas supérieur au droit à la liberté d’une plate forme d’édicter des règles ». L’héritier de ce prestigieux quotidien issu de la Résistance, a même perdu début septembre son procès contre le tentaculaire groupe Google. Le journal avait saisi la justice et réclamait un dédommagement de 1,5 million d’euros, car pour avoir diffusé des informations n’allant pas dans le sens de la doxa chère à la multinationale américaine, il s’était vu coupé de publicité et de référencement dans son service d’actualités. Dès février 2021, Google Actualité avait d’abord retiré de son référencement plusieurs dizaines de milliers d’articles de ce quotidien aujourd’hui dématérialisé. Ensuite en mars, Google avait fermé du jour au lendemain la chaîne YouTube de FranceSoir, alors en pleine expansion, et qui comptabilisait déjà 275 000 abonnés. Le site d’information aurait ainsi perdu 60 % de son audience. En septembre, Google en avait remis une dernière couche en coupant l’accès du site à son réseau publicitaire, le privant ainsi d’une partie très importante de ses revenus. Par son refus de condamner Google à dédommager FranceSoir, c’est donc une nouvelle trahison de la justice française en faveur des multinationales américaines contre la liberté de la presse et le devoir d’informer. Mais il faut garder espoir, car une loi texane sur les médias sociaux qui leur interdit la censure fondée sur le point de vue politique, a été votée et a été confirmée par la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit. Surtout que depuis le rachat de Twitter par Elon Musk, la liberté d'expression semble donc revenir légitimement en force. Il faut noter que le rachat de réseaux sociaux comme Twitter peut montrer que la moitié des comptes supportant Biden et Macron sont des faux, ce qui serait une indication sur le vol de leur élections. Or Guy de la Fortelle précise que la réelle liberté, même dans un réseau social comme Twitter racheté par Musk, serait qu'il devienne un bien commun voire donc publique, car pour l'instant il appartient encore à un ultra riche ayant des liens et des intérêts convergents avec d'autres ultra riches.
De plus à cause de leur oppression, les entreprises Woke dont des GAFAM meurent lentement mais sûrement et les gauchistes ne semblent pas comprendre la situation. Ils n’admettront jamais ouvertement que la raison pour laquelle ces entreprises connaissent un déclin est due à leur position politique sectaire qui justifie l’endoctrinement forcé de tout le monde, y compris des enfants. Ils diront que c’était la Covid-19, ils diront que c’était l’inflation, ils diront que c’était la bigoterie, mais en réalité c’était toujours eux. Personne ne les aime, et les gens réalisent enfin qu’ils n’ont pas à dépenser de l’argent pour acheter des produits de gauchistes fous qu’ils n’aiment pas. En d’autres termes, le système de ces entreprises Woke est l’antithèse d’une société de liberté d’expression, un test bêta pour l’avenir de l’autoritarisme, où l’on croit pouvoir s’exprimer, mais où seules les opinions « correctes » sont autorisées à passer. Et c'est bien pour ça que ces entreprises Woke perdent de l'influence et donc de la valeur. Ainsi pour éviter la pensée unique, il devient légitime que des citoyens vérifient les vérificateurs de réseaux sociaux.
Or la censure de ces entreprises Woke va jusqu'à ne pas pouvoir critiquer des influenceuses matérialistes sous peine de condamnation judiciaire pour mise en péril d'une entreprise à cause d'un pseudo harcèlement moral, et va jusqu'à devenir de l'ingérence numérique lorsqu'elle est utilisée pour bloquer la communication de certains opposants politiques ou intellectuels dissidents dans divers pays.
Dans ce sens de contrôle généralisé, le film « Ceci n’est pas un complot(isme) » lève le voile sur le discours des grands médias au service d’un programme politique de grande ampleur qui se sert de la peur pour se mettre en place. Il met en évidence la censure et le discours unilatéral proposé dans la sphère publique pour transformer la réalité : au programme, l’installation de la peur, la déformation des faits, la stigmatisation de la pensée critique et la censure systématique. Et il met aussi en évidence les liens d’intérêts entre les laboratoires, les médecins de plateaux télé et le business qu'il y eut pendant le Covid.
La tyrannie de ce système est apparue encore plus clairement quand des médicaments ou formes de traitements hors de la narration du système ont été censurée sur ces GAFAM. En effet ce n’est pas uniquement inadmissible parce qu’elle s’opère au détriment de la santé humaine et au profit de l'industrie pharmaceutique et d'un plan occulte, mais aussi parce qu’elle est le fait de pouvoirs non élus se servant en plus sournoisement de la dénonciation du complotisme. Le problème ici n’est pas de savoir si ces médicaments ou traitements sont efficaces, mais de libérer la recherche pour qu’elle puisse les étudier, les rejeter, les approuver ou/et les améliorer, comme elle aurait dû analyser très sérieusement les nouveaux vaccins ARN et leurs conséquences.
« Ce qu’ils appellent « théorie du complot » se nommait auparavant esprit critique et était considéré comme salutaire pour une démocratie. La « théorie du complot » c’est le fait de s’interroger sur la véracité des discours politiques, et se demander à qui profite le crime. » (Ariane Walter, blogueuse)  Notre monde bascule dans un totalitarisme où l’État n’est plus qu’un sombre policier au service du Marché et des parasites souvent apatrides qui l’animent sur le dos des peuples. La seule chose qui justifie la censure, c’est la guerre, comme le président Français Macron a d'ailleurs annoncé « nous sommes en guerre » face au covid, alors que comme l'a évoqué Warren Buffet, il parlait de la guerre entre les ultra riches mondialistes et les peuples. Il faut donc en conclure que la France se trouve attaquée par des forces obscures depuis plusieurs décennies voire siècles. Une censure en temps de paix n’a aucun sens, sinon de renvoyer les gens à leur enfance, ou à leur infériorité sociale ou mentale. Actuellement on cherche à écarter les érudits dissidents du peuple pour qu'il n'y reste que des imbéciles. Nous sommes dans une ère de destruction totale des valeurs. Et ceci est vérifiable aussi à travers la cellule familiale que l'on cherche à diviser : le père n’a plus droit d’autorité et est ridiculisé, la femme croit être libérée mais s’enferme dans un non sens hystérique, associable et matérialiste, les enfants n’ont plus de modèles et ne se forment qu'autour de leur ego et des smartphones. Il faut rebâtir la nation mais d’abord apprendre à rebâtir une famille, car c’est la base d’une nation qui tient debout.
De plus ces forces obscures veulent aussi que les gens réduisent leur cercle d’amis dont par la peur du Covid, afin de les empêcher d’échanger et de réfléchir ensemble à propos de grands problèmes tels que la crise bancaire, les taux négatifs, l'inflation, le guerre en Ukraine, les pénuries dont alimentaires et énergétiques. En effet les mesures sanitaires disproportionnées, qui étaient en plus basées sur la panique excessive par une vision de la pandémie systématiquement dramatisée dans les médias du système, ont incontestablement aussi beaucoup servi à cela. Par ces mesures perverses, on a même assisté à la destruction systématique de tout lien social non numérisé : éducation, culture, sport. Tous types de rencontres et d'interactions physiques entre les citoyens étaient rompus ou déconseillés, ce qui était synonyme de fin de l'humain. Mais il faut noter que les anciennes mesures sanitaires liberticides comme le confinement liées au covid peuvent faire mieux apprécier le temps d'avant et refaire plus revenir agréablement les familles et amis dans le partage, les sorties, les sports, les loisirs, les stades, les musées, les restaurants, les spectacles, les invitations et les discussions.
Or par du sensationnel répété pour toujours plus bloquer la raison, les grands médias du système provoquent des bombardements de chocs émotionnels entraînant de l'obsessionnel et permettant aux démons de construire des plans de manipulation ou d'égarement dans les esprits et les cœurs humains. La tentative de contrôle mental généralisé s'est vu également dans le fait qu'avant pour les médias, les complotistes étaient des chômeurs, des alcooliques, des gilets jaunes, des sous éduqués, des pauvres, alors qu'aujourd’hui pour eux, ce sont même des généticiens, des professeurs de médecine, des procureurs réveillés, des prix Nobel... Nous sommes arrivés à une époque si manipulatrice que même pour ces derniers, questionner revient à se faire accuser de remise en question de la vérité gouvernementale officielle. Cela signifie que le combat moral a passé un cap important et crucial.
Et avec l'inexorable évolution du progrès amenant à acheter de plus en plus d'objets connectés nous exposant toujours plus numériquement, la grave impudeur de la surveillance généralisée en est de plus en plus facilitée. Alors que la vie privée des gens est très sacrée malgré l'incompréhension étonnante de certains progressistes égarés qui devront rendre compte difficilement dans l'au-delà, puisque par exemple il est tellement interdit de regarder par le trou d'une serrure d'une habitation que l'on pourrait crever l’œil de l'espion pour s'en défendre selon un hadith. Pourtant sans cette surveillance impie, ces produits modernes seraient uniquement intéressants et pratiques, en particulier à travers les réseaux sociaux de plateformes vidéos apportant souvent plus de vie, de communication, de convivialité et de science que beaucoup de programmes télés. Or le système bancaire numérique et la surveillance et le big data généralisés via internet sont déjà très répandus à travers la carte bleue et la demande du numéro de téléphone privé enregistré chez un opérateur pour pouvoir s'inscrire sur les principales applications massivement utilisées par les populations (Google, FaceBook, Twitter, YouTube, etc). D'autant plus que dans le capitalisme 2.0, l’homme est un objet comme un autre : sa valeur y décroît donc honteusement lorsqu'il vieillit et devient peu actif, tandis que les objets matériels en particulier connectés et les machines industrielles qui prennent vie voient leur valeur décupler au détriment donc de l'humain, surtout quand le bien commun n'est pas recherché.
          Tous ces espionnages semblent être un signe de fin des temps car faisant disparaître la liberté individuelle même chez soi, alors qu'elle est pourtant aussi prétendument sacrée dans les pays occidentaux modernes. Ainsi cette inévitable progression technologique, amenant donc une possible surveillance généralisée jusqu'à peut être bientôt d'honteuses mini puces RFID sous cutanées généralisées (possiblement sous forme de nanotechnologies injectées et pouvant donc dangereusement dévoilées les positions des militaires à une armée ennemie par la 5G) surtout qu'on peut très bien cacher une puce dans un vêtement lorsqu'il s'agit de surveiller un enfant, devrait au moins être contrôlé régulièrement par des conseils de citoyens se renouvelant fréquemment pour surveiller ceux qui nous surveillent.
          Par conséquent une fois encore, on ne comprend pas très bien pourquoi le mot « audace » est parfois utilisé pour faire accepter le transhumanisme. En effet c'est en réalité un euphémisme pour vendre certaines « visions » scandaleuses comme les puces sous la peau, alors qu'il s'agit plutôt de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine. Le PDG de Pfizer a d'ailleurs présenté aux élites de Davos des pilules à micropuce WiFi pour contrôler les passagers de transport en commun lors de pandémie. Cette surveillance biologique et donc physique et donc de mouvement, souvent défendue sous prétexte de protéger la santé des personnes en particulier âgées ou les enfants des criminels, fait donc partie des modernes projets pervers qui sont toujours présentés de manière idyllique. De plus, les nanoparticules peuvent aujourd'hui pénétrer une cellule et les connaissances de la recherche privée voire militaire ainsi que leur contrôle dans ce domaine doivent dépasser largement les connaissances du grand public. Certains scientifiques, politiciens et gens veulent donc faire fusionner l'humain avec les machines, un peu comme si le téléphone portable était relié à notre cerveau. Cela ressemble à un cauchemar dystopique, alors que les gouvernements suivent et contrôlent déjà l’activité des téléphones portables. Comment vouloir qu’ils fassent de même avec notre cerveau comme s'ils surveillaient et commandaient du bétail.
          Or le masque sanitaire contre le covid telle une muselière (ou couche) correspond a déjà été une image de la marque de la bête dans l'apocalypse biblique de saint Jean, surtout que comme la marque de la Bête, il est nécessaire pour travailler et faire ses courses (donc pour acheter et vendre). Cette marque de la Bête pourrait donc aussi être incarnée par le pervers système bancaire monétaire, par le pass vaccinal lié au futur vaccin nanotechnologique de Bill Gates nommé 060606 dont le brevet est authentique, par le QR code qui sera de plus en plus demandé, et par l’éventuelle identité numérique à venir. Mais ce n’est qu’un début qui annonce la couleur de ce qui viendra ensuite si les gens ne se tournent pas vers le monothéisme authentique : l’asservissement total de l’humanité au satanisme technocratique et transhumaniste jusqu'à la très massive spoliation ploutocratique par une marche criminelle des élites complètement égarées sur le plan affectif. La nécessité d'un implant (tel celui empêchant l'ovulation) prétendument comme seule protection contre un virus fabriqué en laboratoire pourrait même apparaître dont pour accélérer l'identité numérique et commerciale sous cutanée et donc la surveillance généralisée. Mais avec la connexion généralisée des montres, des téléphones voire des toilettes analysant nos excréments, il n'y a même pas besoin de surveillance bio-numérique des mouvements.
Bible (Apocalypse 13-18) « Et elle (la Bête) fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »
Il faut noter que comme cette marque de la bête est évoquée seulement dans l'apocalypse de saint Jean qui était une figure importante du christianisme, il n'est pas étonnant que les pays à majorité chrétienne soient le plus touchés par les oppressions de la planche à billet usurière, du pass sanitaire et de la mise en place de l'identité numérique, d'autant plus ceux soumis à l'impie laïcisme.
Dans le cadre d'un plan malthusianiste, les puces RIFD d'identité numérique et les vaccins ARN pourraient aussi en plus de servir à surveiller et oppresser en permanence la population, à rendre stérile, et à avoir pouvoir de vie (dont sociale) et de mort (dont sociale), surtout qu'associé à la 5G, cela peut aggraver les comorbidités voire entraîner des problèmes de santé et amplifier les effets secondaires du vaccin.