K) Suite 11
Or si le pervers pouvoir profond planétaire cherche quand même le contrôle total voire la montée des tensions à notre époque moderne jusqu'au chaos, cela prouve qu'il suit le plan démoniaque de pourrissement des âmes jusqu'en Enfer dans une image de fin des temps. Ainsi tout en sauvant le monde, le peuple doit rester uni au maximum dans la solidarité et la charité pour sauver leurs âmes et les policiers doivent donc les rejoindre pour sauver les leurs. Lucien Cerise précise : « La convergence des populismes et des Gilets jaunes démontre que le peuple est encore capable de réagir de manière autonome quand il est menacé dans sa survie. Cette preuve d’un fort instinct de conservation inquiète particulièrement le pouvoir, qui essaye de diaboliser la vitalité des Gilets jaunes et de leurs soutiens politiques en les qualifiant d’extrême droite, comme si cela faisait encore peur aujourd’hui, ou en accusant telle puissance étrangère d’en tirer les ficelles, sur le principe des révolutions colorées que les gouvernements occidentaux ont pourtant souvent désiré, voire appuyé, pour y placer des pantins à la tête de leur pays. En effet l’oligarchie a essayé plusieurs tactiques, qui ont toutes échoué : cogner sur les manifestants en crevant les yeux de certains pour qu’ils aient peur de manifester ; aider les casseurs d'extrême gauche manipulés (prouvant que ces faux antifas puisque servant le fascisme financier sont utiles au système surtout que rarement condamné fortement) pour donner une mauvaise image du mouvement ; gagner du temps avec le « grand débat », en espérant que le mouvement s’essouffle ; diaboliser les Gilets jaunes avec des accusations d’antisémitisme ou d’homophobie auxquelles personne ne croit. En fait, c’est une idiocratie totalitaire qui s’installe en France. Le modèle appliqué est celui d’Israël, cet État volontairement instable et « défaillant », car il a besoin de maintenir une tension permanente autour de lui pour se trouver une raison d’être. Israël est un régime hybride aux frontières et limites floues, militariste mais tolérant envers la gay pride, alors qu'en plus théocratique et pourtant libéral libertaire. Or la gay pride est devenue une épreuve de soumission aux pays alignés sur l'occident, puisque l'autorisation du Lgbtisme dans une société est un marqueur principal de l'impérialisme américano-sioniste et au-delà de ça du mondialisme, sauf que ces gay pride étant diaboliques, il ne s'agit plus ici plus de politique même bassement oppressante, mais encore plus gravement de survie et de salut de l'homme ici-bas et dans l’au-delà. (Quand les pays sont trop anti-Lgbt comme l'Arabie Saoudite, la fête diabolique d'Halloween autorisée remplace la gay pride). Israël incarne donc parfaitement la postmodernité et ses contradictions insolubles prouvant son évidente perversité gravement condamnée par Dieu, puisque mélangeant fortement sacré et corruption, ce qui explique encore pourquoi Dieu avait interdit la recréation de cet Etat. En effet à cause de cet Etat, un néofascisme décadent s’implante partout, mélange de LGBT et de « menace terroriste (dont climatique, sanitaire, inflationniste, énergétique) » pour nous faire basculer dans un univers concentrationnaire parsemés de barbelés et de checkpoints, dont à travers le pass sanitaire, le pass vert et la suppression de l’argent liquide qui nous rendra encore plus esclaves par les banques si une blockchain décentralisée n'est pas créée. Surtout que de plus en plus de banques facturent le dépôt d'argent, alors qu'auparavant elles donnait des intérêts pour cela, et menacent d'enquête ceux retirant plus de 500 euros en liquide de leur compte, avec comme excuse honteuse de lutte contre le terrorisme d'autant plus qu'il devient étrangement utile dans ce cas. Or même dans une société acceptant des cryptomonnaies pouvant correspondre à de pures actions financières modernes quand ce ne sont pas un stable coin, l'argent liquide (qui doit être basé sur une valeur intrinsèque, ou représenter la richesse du pays selon sa quantité en circulation afin d'éviter les planches à billets destructrice d'économie, ou être adossé au prix de l'or ou l'argent et échangeable contre eux) peut continuer à être utilisé pour faciliter les transactions du quotidien. Surtout que selon Charles Gave : « L'or (l'argent, les métaux précieux, le pétrole, le gaz, le riz, les dattes) c'est de la monnaie, le reste (monnaie fiduciaire) c'est du crédit (en particulier au niveau international) » De même sous un pseudo prétexte de lutte contre le terrorisme pour la sécurité publique et étrangement la sûreté de l'Etat, le système tend à valider la fin de la liberté d'expression (dans le médias du système et de plus en plus sur internet), du cash, de la liberté de la presse, de l'autorisation des manifestation, et à débuter le fichage totale de la population (activité sur les réseaux sociaux, comportements et habitudes de vie, opinion politique, conviction philosophique ou religieuse, appartenance syndicale, etc). Or l’histoire de France, les fondamentaux de la politique française, sa position géographique, sa culture, sa religion traditionnelle, le catholicisme, sont incompatibles avec Israël et le judaïsme politique synonyme du projet des élites juives perverses, pas plus qu’ils ne le sont avec l’impérialisme anglo-américain protestant. C’est ce qu’avait compris et exprimé le général de Gaulle et Jacques Bainville avant lui. Selon l'article de Youssef Hindi « Des temps bibliques au judéo-nazisme », les origines et fondements du judaïsme politique sont principalement matérialistes, sournoisement politiques et basés sur de prétendues promesses de domination impériale et universelle. Concernant le judaïsme politique d'aujourd’hui en Occident, cet article précise qu'il est basé sur l’extrême droite européenne antisémite réorientée par le lobby pro-israélien, sur le lobby pro-israélien qui importe le néo-conservatisme en Europe, sur l’Union européenne et le complexe militaro-industriel américano-sioniste, sur l'islamophobie malgré la soumission à lui des monarchies pétrolières, sur la pénétration des réseaux pro-israéliens dans les institutions de l’Union européenne, sur les réseaux israéliens et chrétiens sionistes en Europe, et sur l'Union européenne, Israël et les nazis ukrainiens. Au fur et à mesure que la France s’enfonce dans des alliances contre-nature avec les États-Unis et Israël, et qu’elle transfert sa souveraineté à l’Union européenne, elle sort donc de l’Histoire. La France ne peut que disparaître si elle continue d’accepter d’être dirigée par un personnel politique inféodé à l’Amérique, au lobby judéo-sioniste et aux puissances d’argent. Le destin de la France, pays millénaire, est donc plutôt de renouer avec la longue durée de la droite souverainiste authentique, et avec une politique continentale eurasiatique et méditerranéenne ; et non pas de prendre pour exemple Israël qui est un petit État ethnique fabriqué de toutes pièces il y a quelques décennies. Ainsi pour éviter de prendre par la force des parties des institutions sur tout le territoire afin de récupérer le pouvoir en démocratie, et plutôt opter pour une victoire plus douce avec l'intention d'une progressive réforme totale du système par des assemblées communales et des référendums citoyens, l’union de l’ensemble des patriotes est possible sous plusieurs conditions : 1) savoir discipliner son ego, car les sources de division sont essentiellement d’origine psychologique. 2) structurer cette union dans des organisations de masse et des organisations d’avant-garde. 3) ne pas confondre le rôle des organisations de masse populaire, qui doivent s’adapter à la moyenne pour conquérir la majorité du peuple, avec celui des organisations d’avant-garde qui servent de brise-glace par une minorité active, que peuvent être des dissidents orientant l'organisation de masse populaire. Les marxistes cultivaient une avant-garde et trois types d’organisations de masse : le syndicat, la coopérative, le parti politique. C’est en appliquant cette méthode qu’ils ont infusé dans la société et pris le pouvoir dans de larges régions du monde, preuve que ça marche. Il ne faut donc pas mépriser et abandonner le champ des partis politiques conventionnels sous prétexte qu’ils ne sont pas intelligents. En effet, leur rôle est de viser la quantité, pas la qualité. On ne gagne pas avec des groupuscules, surtout désargentés. Quand on n’a pas les millions, il faut être des millions ! C’est la cohésion compacte d’un troupeau nombreux qui protège les herbivores contre les prédateurs. Isolés, ils sont des proies faciles. » Suite donc à une révolution par les urnes, par la force ou par des organisations populaires dans chaque commune et région, la juriste Valérie Bugault propose elle de refonder la France sur les groupements d'intérêts au niveau professionnels, culturels, et spirituels. Or les partis politiques ne proposant que deux, trois ou quatre candidats éligibles en nombre de voix et étant donc plus facilement infiltrable ou soumis au pouvoir financier surtout que la création puis la vie d'un parti politique est très coûteuses, un retournement des forces policières voire militaires contre le système paraît nécessaire pour que les patriotes puissent changer complémentent les choses. Surtout que les slogans d'un parti politique aujourd'hui ne devraient être que : « Nous neutraliserons les GAFAM et nous leur interdirons de censurer, nous neutraliserons BlackRock et le Big Pharma (qui sont corrélés) et nous leur interdirons de nous donner des ordres, nous interdirons la franc-maçonnerie et nous leur interdirons de comploter, et nous oublierons le progressisme wokiste et nous reviendrons aux valeurs traditionnelles (monothéistes). » D'ailleurs les petits candidats nouveaux portant ces revendications, provenant d'organisation populaire et n'appartenant à aucun partis ne sont souvent plus invités dans les médias, ce qui prouve le mensonge de la démocratie actuelle. De plus en démocratie, comme les partis politiques peuvent s'écarter de la vérité (noblesse, piété authentiques) pour récupérer des électeurs, cela prouve qu'ils ne sont que de gestion de la passion (émotion) des foules pour la quantité et pas de la gestion de la raison éthique des individus pour la qualité, le vrai, le juste, le noble, le beau, le bien dont commun. La franc-maçonnerie portant la ploutocratie progressiste s’est infiltrée dans tous les rouages démocratiques : les deux chambres, la justice, la police, les ministères. Tout cela par complot, cooptation, préférence à l’embauche et ruse. La République idéale est donc morte depuis longtemps. Les différentes composantes du pouvoir sont organisées en strates, strates dont les degrés d’implication varient largement. Plus on s’éloigne du centre du pouvoir, moins l’intérêt est grand et plus l’assentiment devient un enjeu. Or la police est le point nodal de cette structure puisque se maintenant en grande partie par elle. Les mondialistes du système corrompu s'y appuient aussi dessus autant que sur les crises qu'ils organisent. Extraits de l'article « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 » sur « Le Saker Francophone » : « Le hasard, comme le disait Einstein, « c’est Dieu qui se promène incognito », et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine. Or c'est peut-être certainement le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or. Mais ce n'est certainement pas le cas dans le domaine des affaires politiques, de l’ingénierie sociale, du contrôle des populations et évidemment des crises financière, des guerres voire des pandémies, car Dieu n’y est (généralement) pour rien. L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont ou ne proviennent bien souvent rien d’autres que de zones d’incertitudes, de risques, d'organisations ou/et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent la finance, des lobbies, les réseaux, les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont souvent déclenchées à des fins précises et aux moments voulus. Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus, un ralentissement économique, un confinement des populations, une guerre géopolitique, une crise énergétique, et des pénuries dont alimentaires, l’homme est partout. Il pense à tout (ce qu'il y a de pire). Des recherches pour prétendument transformer des insectes en cyborgs afin qu’ils modifient génétiquement des plantes pour augmenter leur rendement sont même effectuées officiellement, alors qu'officieusement selon la revue Science, en 2018, il pourrait s’agir de l’inverse : stériliser les cultures des pays ennemis et y provoquer des famines afin de les soumettre par la dette et y implanter des bases militaires. Surtout que ces insectes cyborgs en particulier volants peuvent déjà être des caméras minuscules et donc surveiller des populations. Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de terrorisme médiatique, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes, l’homme pense vraiment à tout. Pour conditionner une grande partie du peuple jusqu'aux sentiments, la fabrique du consentement par le conditionnement vous répétera une idée jusqu’à ce que vous la répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, comme ils ont répandus le refus de visiter les grands-parents pendant la longue période du covid. (Concernant la prostration d'une grande partie du peuple français et des autres peuples il est intéressant de lire l'article « Pourquoi le Français va réélire Macron à hauteur de 60% – Nicolas Bonnal avec Edouard Drumont. » à l'adresse https://strategika.fr/2022/04/21/pourquoi-le-francais-va-reelire-macron-a-hauteur-de-60-nicolas-bonnal-avec-edouard-drumont/) De même la stratégie de domination de la corporatocratie atlantiste correspond à façonner l’esprit collectif. C'est à dire qu'après 30 ans de sélection, de scolarisation et d’organisation dans une toile d’araignée qui couvre l’ensemble de la société dont à travers les médias et des sociétés secrètes, les centres de commandement occidentaux parviennent extrêmement facilement à générer des partis et des gouvernements dociles comme la plupart aujourd’hui. Etienne de la Boétie dans son discours de la servitude volontaire précise : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a pas seulement perdu sa liberté mais bien gagné sa servitude. » L'Homme d'Etat Nazi Joseph Goebbels disait : « Un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge, mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui s'est passé politiquement autour du covid, et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier (prix Nobel de Médecine) a dit que nous vivons dans un monde de fou. En réalité, les gouvernements créent chez de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle les jugements entre en contradiction les uns avec les autres et amènent à des situations de blocages et d’égarement. Nombreux sont ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes qu'ils n’auraient sûrement pas acceptées si leur raison fonctionnait normalement. Le fait de porter un masque entretient un climat de terreur qui repose sur une menace invisible te imperceptible. Ce qui amplifie les angoisses, le stress et impacte directement le système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Or la peur n'empêche pas de mourir, elle n'empêche donc que de vivre (heureux, bien, au mieux). D'ailleurs par rapport à avant l'époque moderne où même les enfants mourraient souvent, cette peur et ce rejet de la mort et donc de Dieu est une inquiétante chose nouvelle vu les décisions absurdes que les gens acceptent, mais peu étonnante vu notre époque laïciste et wokiste de cancel culture. L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme, le virus ou les pénuries, et les français l’ont accepté. Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens, et lorsqu’ils sont biaisés, apeurés ou plus tout à fait fonctionnels, c’est tous nos repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons alors dans une position d’extrême vulnérabilité voire de perdition, comme des baleines dépourvus de leur système d’écholocation. Puis nous perdons confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent, et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité. C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons aveuglément tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice. » Ainsi la future tyrannie financière mondiale synonyme de totalitarisme bancaire et oligarchique prenant le pouvoir progressivement doit être impérativement combattue, car elle amènera, inévitablement par la dette asservissante synonyme d'esclavage moderne puis au chaos. Par conséquent un retour profond du social et donc un sérieux changement d'idéologie politique doivent avoir lieu par le peuple contre les autorités perverses et par les faibles et honnêtes gens contre les riches corrompus. C'est à dire que sans réaction populaire forte, la Banque tiendra tout le monde par la dette puis détiendra tout le pouvoir au détriment des politiciens, des peuples et des PME productrices. Article de Gilad Atzmon « La façade démocratique » : « Le jour de l’élection (états-unienne de 2020), d’innombrables commentateurs progressistes et libéraux dans tous les grands médias ont été assez stupides pour admettre que la bataille en jeu ne portait pas vraiment sur « Trump ou Biden » mais sur l’American way, et pour ainsi dire sur l’avenir, dont du discours public et de la vie publique aux États-Unis. Les progressistes et les libéraux étaient suffisamment confiants pour croire qu’avec près de 100 millions de bulletins de vote remis avant le jour des élections, les Américains avaient déjà donné un spectacle sans précédent de rejet de tout ce qui peut ressembler, même légèrement, à des « valeurs conservatrices ». Ils étaient convaincus que l’Amérique avait déjà fait son choix. Pour eux, je dois supposer que l’élection n’était qu’une formalité et que la bataille était déjà gagnée. Mais quelques heures plus tard, il est apparu que les enquêteurs les avaient une nouvelle fois complètement trompés. Les partisans de Trump ont refusé de s’évaporer. Ils se sont considérablement développés et se sont même étendus démographiquement dans certains territoires électoraux « inattendus » traditionnellement associés et acquis à la politique démocratique. La signification évidente de cette élection est que l’Amérique, comme la plupart des autres États occidentaux, est divisée en deux sociétés opposées qui ont très peu en commun. Ce qui est bien plus inquiétant, c’est le fait que les deux côtés de la division ne peuvent pas se tolérer l’un l’autre. Autant la gauche, les progressistes et les libéraux sont convaincus de la validité absolue de leur mode de pensée, au point qu’ils insistent pour les imposer par des mesures autoritaires et tyranniques, au moins autant de personnes n’y croient pas, n’embrayent nullement, ou/et rejettent farouchement ces valeurs. De nombreux Américains n’acceptent pas le schéma identitaire. Beaucoup d’Américains ne sont pas du tout convaincus que le genre ne soit pas binaire. Je suppose que le plus décevant et le plus inquiétant pour le Comité National Démocrate est le fait que des membres de « minorités diverses », comme les appellent les démocrates, ont changé de camp. Ils sont devenus de fervents partisans de Trump. Regardez par exemple le groupe fusionnel cubain qui chantait « Je vais voter pour Donald Trump. Ce qui est très facile à expliquer, car le Parti démocrate propose aux Noirs, aux homosexuels, aux Latinos et aux « minorités diverses » d’être marginalisés à jamais dans un amalgame d’« Autres unis » et pas d'américains unis. Alors que le GOP « Great Old Party, Le Génial Parti Expérimenté (républicain) » offre à ces personnes une intégration immédiate dans le royaume américain en tant que personnes ordinaires. Il suffit de se procurer une casquette de baseball rouge et de se joindre à son prochain rassemblement local. C’est cette unité existentielle la plus fondamentale qui était si vive jadis dans le discours révolutionnaire de gauche, mais qui s’est finalement matérialisée seulement sous la forme d’un tsunami populiste pour une résistance politique de droite. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, le Parti républicain est devenu le parti de la classe ouvrière américaine, car ce sont des gens qui se définissent par leur adhésion aux valeurs familiales, à l’église et au travail, et qui se considèrent comme les « Américains ». Le Parti démocrate, qui prétendait être la voix de ces travailleurs, s’est progressivement transformé en un conglomérat urbain identitaire de la gauche sociétale impie, c'est en un collectif de personnes croyant au à la construction personnelle ou sociale même contre-nature. Il s'agit de personnes qui insistent pour que quiconque puisse pouvoir se définir et s’identifier à n'importe quoi en ne pensant donc pas prioritairement à êtres unis par la patrie. Ces gens veulent être considérés même illégitimement « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant qu'objet », « en tant que juif ». Nous avons pratiquement appris à nous battre les uns contre les autres au lieu de nous unir en un seul peuple. Au lieu d’éliminer les différences, nous avons construit de nouveaux murs de ghetto en soulignant et en célébrant chaque ligne de démarcation possible (blanc/noir, homme/femme, hétérosexuel/Lgbtq, etc.). Au lieu d’identifier Wall Street, la propagande médiatique et les géants de la technologie comme notre ennemi mondial féroce, ils sont en fait devenus les catalyseurs et les fournisseurs d’argent dans une guerre qui est souvent contre nous-mêmes. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, la gauche a fini par adopter l’aspect idéologique hitlérien le plus encombrant et le plus problématique : contrairement au fascisme italien qui adhérait au concept de « socialisme du peuple italien », ou au premier nazisme qui défendait l’idée de « l’égalité des germanophones », Hitler a insisté sur le « socialisme pour une seule race ». Hitler affirmait que la politique des gens est intrinsèque à leur classement biologique. Contrairement à la pensée traditionnelle de la gauche inclusive, axée sur les classes, la gauche contemporaine pousse les gens à s’identifier politiquement en termes biologique, c'est à dire « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant que juif (car c'est d'abord une ethnie alors que les ashkénazes n'y appartiennent pas et que les chrétiens et les musulmans sont dans leurs confessions respectives par le choix) », etc.. Alors que le GOP se rapproche de plus en plus d’une politique de classe universelle (nationale). Le matin du 3 novembre, la presse libérale était prête à annoncer que la philosophie du « en tant que » avait gagné. Mais dans l’état actuel des choses, cette bataille entre le peuple des « en tant que tel » et les « Américains » pourrait dégénérer en un véritable conflit violent, car il n’y a personne en Amérique ou ailleurs qui sache comment unir la population dans un simple concept de peuple. Encore une fois, ce n’est pas vraiment un phénomène américain. La même division et l’absence d’une perspective d’unification politique sont actuellement apparentes dans tous les États occidentaux. Pour comprendre la politique des identités et son impact désastreux sur la société contemporaine, lisez donc mon ouvrage Being in Time... Trump ou Biden, la question n’est pas là. Il s’agit de l’opposition entre urbain et rural. Il s’agit d’un débat entre mondialistes et nationalistes. Il s’agit de Cosmopolitains contre Patriotes. (Il s'agit du capitalisme spéculatif contre le capitalisme productif. Il s'agit de la droite des valeurs contre la gauche sociétale.) Il s’agit de Tribal contre Universel. Il ne s’agit pas de démocrates contre républicains. Il s’agit des minorités contre les américains. Il s’agit des « en tant que tels » contre le peuple authentique. Il s’agit d’une « grande réinitialisation » contre un désir de grandeur. Il s’agit de Jérusalem contre Athènes. Nous sommes en train de revivre les derniers jours de la république de Weimar (pouvant amener à un quatrième Reich, possiblement celui de l'antéchrist). » Les conservateurs et les modérés n’ont presque plus rien en commun avec la gauche politique ; les conservateurs veulent la liberté d’expression, le droit à l’autodéfense, le droit à des informations honnêtes et exactes, l’autonomie, la liberté économique, des frontières sûres et un petit gouvernement. Les gauchistes soutiennent la censure de masse, le désarmement, les fermetures d’entreprises, les mandats de verrouillage, les frontières ouvertes, l’État-nounou, la centralisation et la tyrannie. Il est peut-être temps de nous séparer et de construire les sociétés que nous voulons, et bien loin les uns des autres. Extrait de l'article « Élections de 2020 aux États-Unis : de la théorie du complot au fait de complot » de Andrew Korybko − Le 12 février 2021 − Source Oriental Review : « Le magazine Time a reconnu dans un article que ce que l’auteur appelle lui-même une « conspiration », lancée par une « cabale bien connectée de gens puissants », « a fait en sorte que des États changent de système et de lois électoraux » et « ont réussi à faire pression sur les sociétés de médias sociaux », parmi d’autres actions visant à abattre Trump « démocratiquement ». La révélation de ces éléments constitue une tentative des Démocrates d’infléchir leur puissance narrative d’après-scrutin à l’encontre de leurs opposants, et de provoquer les plus instables d’entre eux à sur-réagir de manière violente, d’une manière qui pourrait être exploitée pour justifier leurs accusations et la phase suivante de leur « conspiration ». Après avoir réussi à ourdir ce que Nebojsa Malic, du journal RT, décrit à raison comme une révolution de couleur, et à remporter ce que l’auteur du présent article a décrit par le passé comme la guerre hybride terroriste contre l’Amérique, ils sont assez ivres de pouvoir pour passer à pleine vitesse et sans hésitation à l’étape suivante dans la poursuite de cet objectif. Les Démocrates ont pris la décision délibérée de faire arborer fièrement par l’un de leurs organes de communication les plus visibles ce qu’ils décrivent eux-mêmes comme une « conspiration » quant à une « cabale bien connectée de gens puissants » ourdie contre Trump. Cette action a été menée pour humilier et démoraliser leurs opposants politiques, et sans doute pour provoquer les éléments les plus instables et à risque, comme les plus radicaux pratiquants du culte QAnon, à une surréaction à base d’actions violentes, qui pourrait donc par la suite être exploitée comme justification de la phase suivante de leur « conspiration ». Plusieurs messages ont été envoyés : les Démocrates ont réussi à prendre le contrôle de toutes les institutions, et les utilisent désormais comme armes servant à supprimer politiquement leurs opposants, en pratiquant le « deux poids, deux mesures » ; cette révélation était bien connue depuis longtemps par toutes les parties, mais n’a été reconnue publiquement par les coupables que pour des raisons de calendrier stratégique ; et nul ne pourra jamais plus prendre pour argent comptant les affirmations des Démocrates et de leurs mandataires (institutions y comprises). En vérité, au moment où s’est refermée une guerre hybride contre les États-Unis, une autre ne fait que commencer. » Ce type de guerre hybride parvient à la destruction et donc la soumission d'une nation au profit des puissances privées d'argent à travers la promotion de l'athéisme, l'abrutissement télévisuel, le divertissement excessif de plus en plus infantile, le matérialisme, le progressisme, la destruction de la famille, la malbouffe, la pornographie, la suppression du service militaire qui apportait de la discipline, la démocratie perverse, l'immigration de masse, la privatisation à outrance, la fin de sa propre création monétaire, la disparition de ses frontières, l'endettement par l'usure, la désindustrialisation, la stagnation des salaires alors que tout augmente en particulier l'énergie, la destruction de la classe moyenne et de la moyenne bourgeoisie, l'inflation, la disparition des acquis sociaux, la guerre, les masques ainsi que la distanciation sociale et les confinements affaiblissant l’immunité collective, créant des problèmes psychologiques et entravant la circulation de la vérité. Or la lutte contre tout ce plan maléfique nécessite une intelligente victoire impérative du bien pour éviter une possible guerre civile ou une troisième guerre mondiales qu’entraînera inexorablement ce système dont l'usure financière massive de la finance internationaliste est le pilier principal. Heureusement que l'espoir dans ce sens est de mise en particulier donc dans une probable époque de fin des temps qu'est la nôtre, car à travers l'Histoire c'est souvent le camp le moins pire qui a triomphé (bien que cela a parfois servi à atteindre une autre phase du pervers mondialisme), voire dans quelques cas le meilleur. Dans ce sens les gilets jaunes voulant redonné le pouvoir au peuple ont laissé une très bonne trace indélébile en France et dans la mémoire de son peuple dont par leurs manifs massives sur les Champs-Élysées. En effet plutôt que de laisser au pouvoir les élites corrompues favorisant les riches, cela permettrait de beaucoup mieux gérer l'Etat avec des référendums d'initiative citoyenne comme en Suisse, par le droit des peuples de disposer d'eux-mêmes. Ceci prouvant au passage le sommet de l'absurdité de qualifier le mouvement populaire des gilets jaunes comme fasciste et antisémite, alors que c'est dans l'actuelle ploutocratie que l'autorité est très éloignée du peuple et apparaît plus comme fasciste au contraire de la démocratie directe des référendums populaires voulus par les gilets jaunes. Surtout que le bas de la pyramide sociale ayant une meilleure conception du bien commun que le haut aura une gestion beaucoup plus utile pour le peuple de centaines de milliards d'euros du budget de l'Etat souvent gaspillés ou servant des intérêts privés. Cependant après cette possible future défaite du pouvoir profond, ces référendums populaires devront être protégés de certaines mauvaises influences privées, extérieures ou de pays étrangers par un pouvoir fort comme un général patriote momentanément, un nouveau roi ou un président à vie suite à un conseil national de résistance puis de transition, car il gouvernera sincèrement pour les intérêts du peuple par exemple à travers la réindustrialisation, le retour à une banque nationale, la récupération de la création monétaire et une autonomie alimentaire. Le président de la République ne peut avoir d’avis sur tout, mais ils doit penser les affaires étrangères et la Défense, la Police et la Justice (qui quand elle devient politique n'est plus la Justice), la Monnaie et les Impôts. C’est ce que l’on appelle les fonctions régaliennes. Actuellement, un dirigeant souverainiste devrait repenser cet ensemble pour rétablir le contrat social, dont car les inégalités de patrimoine se sont considérablement accrues. Au cours des dernières décennies, les classes moyennes ont fondu comme neige au soleil et une hyper classe sociale est apparue en prenant le pouvoir sur de nombreuses nations et s’est présentée à la vue de tous par les éborgnements de nombreux manifestants Gilets jaunes. L’homme le plus riche du pays dispose d’une fortune égale à ce qu’un smicard ne parvient pas à gagner brut en un million et demi d’années. Cet écart astronomique renvoie le pays à une organisation médiévale et rend impossible tout fonctionnement démocratique. Aucun des derniers candidats élus n’a présenté de vision juste du pays dont à travers d'intelligentes mesures sectorielles. Privée d’un président digne de ce nom depuis 20 ans voire plus, la France est à la dérive. C'est pourquoi il faut bien un responsable politique dans la durée (au minimum 15 ans voire plus, sauf si RIC stoppe ses fonctions suites à de fréquentes ou trop graves malhonnêtes anti-patriotiques) capable de fixer des objectifs nouveaux et de repenser l’architecture du système. Ainsi il est clair que l'Union Européenne pourrait alors plus favorablement tendre vers une Europe des nations (confédération européenne). Et si le patriotisme triomphe, chaque nation devra quitter la législation européenne mais préserver son utile marché commun, si nécessaire en conservant une monnaie commune après avoir rétablie les monnaies nationales adossées au prix de l'or (comme le demande le christianisme et l'islam) ou en imposant si nécessaire des droits de douanes pour préserver les entreprises d'un pays. Or il faut noter que le dollar est indexé sur le pétrole (en représentant l'hégémonique puissance financière états-uniennes basée sur la confiance au complexe militaro-industriel américain et faisant vivre l'économie des pays et leurs industries) et que la Livre sterling est indexée sur le diamant (en représentant l'ancien empire colonial anglais thalassocratique basé donc sur une flotte maritime militaire supérieure). Ainsi face à cette oppression, le plus prioritaire semble bien pour l'instant de reprendre le pouvoir de la création monétaire au niveau national, mais aussi pour se protéger du joug de la dette encore pire que l'abomination de l'usure selon les Prophètes Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL), car provenant de prêts à intérêts sans argent au départ, puisque créés ex-nihilo par les ordinateurs des banques. En effet la véritable création de richesse est logiquement liée à la valeur ajoutée, devant en plus être en partie partagée pour équilibrer l'économie et le social comme le prouve le minimum du partage qu'est la zakat obligatoire devant être donné à l'Etat, ou à des pauvres, des faibles ou des associations humanitaires (2,5% sur plus de 3000 euros thésaurisés pendant un an). A cette priorité absolue, il faut donc rajouter momentanément la nécessaire sortie de l'union européenne tant que cette dernière sera soumise à l'OTAN, car tel un dangereux virus, cette organisation répand l’agressivité pour avoir encore une raison d'être. Surtout que les pays la formant devront suivre honteusement la fin du droit international acté par les Etats-Unis lors de leur remise en cause de la résolution de l'ONU comme concernant leur position sur le Golan de la Syrie et leur soutien au Général Haftar en Lybie contre un gouvernement d'union nationale créé par l'ONU. De plus en restant dans l'OTAN, tout pays deviendra par conséquent coresponsable des perverses guerres économiques ou militaires des Etats-unis ne profitant qu'à eux, comme celles contre la Biélorussie, la Birmanie, le Burundi, la Corée du Nord (et Chine), la Fédération de Russie, l’Irak, le Liban, la Libye, le Nicaragua, la République arabe syrienne, la République bolivarienne du Venezuela, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, la République islamique d’Iran, la Serbie, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud, l’Ukraine, le Yémen et le Zimbabwe. C’est une carte fort précise des conflits ou changements politiques conduits ces dernières années par le Pentagone assisté du département US du Trésor pour continuer toujours plus d'imposer le dollar, sauf que certains de ces pays ont réussi à y résister dont par des cryptomonnaies. Mais l'hégémonie du dollar demeure forte par sa liquidité répandue à travers le monde. A ce sujet lire l'intéressant article « Multilatéralisme ou droit international ? » peut être lu à l'adresse suivante : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Multilateralisme-ou-droit-international-57298.html Concernant l'arrivée d'un régime fort et pour parvenir assurément et rapidement à toutes ces nécessités nationales dont donc un rétablissement d'une banque nationale, l'effacement de la dette et un retour aux valeurs chrétiennes, il est impossible de changer quoi que soit tant qu'un pouvoir autoritaire et incorruptible ne sera pas mis en place, pourquoi pas donc en commençant après la prochaine grande crise financière mondiale avec un militaire patriote comme le fut le Général de Gaulle, bien qu'il est inquiétant que de nos jours un général est souvent plus une personne politique en plus souvent atlantiste qu'un militaire patriote. Ensuite le retour de nations vers plus de souveraineté monothéiste pourrait se faire à travers une monarchie intelligemment pieuse ou modérément laïque, c'est à dire dans une forme de remontée chronologique de l'histoire de France en reconnaissant la loi naturelle, la présence du Créateur et un roi, un général ou un président à vie comme nouveau lieutenant de Dieu pouvant donc quand même être changé par un référendum national. Surtout qu'une perverse aristocratie financière sous forme de féodalités financières à combattre est actuellement au pouvoir en occident. En effet ceux qui pensent que l’Ancien Régime appartient au passé se trompent. Il y a toujours des seigneurs et des gueux, la seule différence, c’est que les gueux ne le savent pas, ou ne veulent pas le savoir. C’est tout l’art de la propagande contemporaine que de faire croire aux gueux qu’ils sont libres, voire qu’ils sont des seigneurs ! Or les seigneurs d’antan avaient souvent plus de classe, et pas seulement sociale, car d'abord au niveau de la noblesse pieuse et même au niveau de la noblesse de position. Dans ce sens il faudra trouver des accords entre croyants et incroyants pourquoi pas en les faisant se rejoindre sur la similitude entre diverses règles religieuses et lois naturelles comme par exemple à travers les interdictions du mariage homosexuel, de la transsexualité et de l'usure puisque étant les principales causes de destruction civilisationnelle et même humaine. Cela pourrait aussi être accompagné par l'élection régulière d'un premier ministre par le peuple, pourquoi pas par un scrutin à jugement majoritaire. Voir à ce sujet la vidéo : « (Gilets Jaunes) Vers la démocratie et la fin de la mondialisation ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=yohtcidvaHM Selon Valérie Bugault, ce nouveau système pourrait être basé sur une méritocratie élective dont les candidats auront à prouver par des faits leurs efforts, leur persévérance, leur assurance et leur organisation pour le bien commun. De plus il serait aussi important d'y faire participer de grands électeurs comprenant des associations de parents d'élèves, des syndicats, des organisations humanitaires, des communautés religieuses. Puis l'élu devrait rassembler les forces politiques, économiques, sociales et associatives, et des citoyens tirés au sort pour les interrogés sur les grands sujets et évaluer la meilleure politique d'un juste milieu dans les intérêts de tous tout en favorisant raisonnablement les faibles en cas de désaccord. Enfin cette nouvelle société devrait être organisée autour de trois groupement d'intérêts commercial, culturel et spirituel, eux mêmes organisés en sous groupement d'intérêts, afin que de tirer vers le haut tous ces secteurs, dont en élisant des représentants respectifs qui tendront à faire entre ces secteurs des passerelles, ou des revendications légitimes, voire des contre-pouvoir. C'est à dire suite à des discussions, des négociations et des décisions limitant ou unifiant intelligemment et pacifiquement ces secteurs pour un développement commun. Plus de précisions sont apportées dans les vidéos « Chronique Hebdo #39 avec Valérie Bugault - Revoludroit : vers une réforme efficace des institutions » à l'adresse https://youtu.be/17u7PapyV8g et « Du système de domination au changement de paradigme - Politique & Eco avec Valérie Bugault » à l'adresse https://youtu.be/v5OaJqwobLs De plus comme la France a donc une revanche à prendre avec l'Histoire, puisqu'elle a été une des principales nations à l'origine du droit continental et que la laïcité devenue extrême l'a envahie en premier avant le monde au détriment de sa relation avec Dieu, elle doit d'autant plus revenir à l'Histoire afin d'obtenir une union populaire plus forte grâce à la mémoire (et si possible la conscience) collective(s) et une foi commune, nécessaires à la réussite du projet de réorientation sociale vers les valeurs monothéistes et naturelles incarnant la civilisation par essence... Le président Russe Vladimir Poutine a dit : « Que l'amitié et les bons espoirs qui nous unissent tous en ce moment, continuent de nous accompagner à l'avenir, nous aident dans le travail et participent à la réalisation de nos bons objectifs communs. » Il faut noter que depuis la révolution libérale libertaire de mai 1968, ayant mis fin à la présidence du Général de Gaulle, dernier président réellement patriote de la France, puis permis la prise de pouvoir par une élite politique provenant principalement du cercle sectaire très fermé de L'ENA depuis plusieurs générations, le nombre de chômeurs est passé de 200 mille à 6 millions, car cette élite perverse a trahi la République Française en la vendant à des actionnaires. D'autre part pour encore plus renforcer le pouvoir national, il faut se rappeler que l'empire islamique était divisé en provinces (régions comparable à des pays) dont des gouverneurs géraient les intérêts de chacune, prouvant la nécessité de réduire les zones administratives pour faciliter leur organisation et leurs demandes parfois logiquement particulières. Et c'est pourquoi la nécessité du retour du califat islamique pourrait être basé simplement sur l'union des pays musulmans au niveau économique (dont anti-usure) et pas forcément monétaire, au niveau des dogmes religieux et pas forcément de toute la religion, au niveau du droit naturel (dont contre le mariage homosexuel, la transsexualité, et la transhumanisme) et pas forcément de tout le droit coranique. « Nous appelons l’ensemble du monde islamique, tous les gens sains d’esprit, à s’unir dans des efforts conjoints contre notre ennemi commun (l'Otan américano-sioniste, wokiste, mondialiste et ploutocratique. » (président tchétchène Kadirov) De plus il faut éviter la dissolution de l'Etat par des organisations trop supranationales, comme au niveau de diverses lois commerciales, de certains traités internationaux, de la législation de l'union européenne, du système bancaire et de l'usure donnant trop de pouvoir aux multinationales et banques privées sur de nombreuses nations en rapport avec la mondialisation. En effet dans le monde politico-économique actuel, l'autorité devient plus économique que politique, car le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit. Ainsi depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation privée Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur. Par conséquent sans réel contre pouvoir et souvent par le suivi aveugle de la majorité du peuple, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont probablement souvent orchestrées pour accroître leur domination. Surtout que divers membres d'organisations supranationales dont aussi de l'Union Européenne déclarent tyranniquement que les peuples ne peuvent changer ces organisations ni leurs lois, synonymes de technocratie opaque, internationaliste et oligarchique. Il ne s'agit donc pas d'un combat populaire contre des défaillants ignorants, mais contre des menteurs sachant. Pour reconstituer une forte autorité patriote, il peut donc s’avérer nécessaire de revenir à des structures locales et régionales mettant l’accent sur l’autonomie, puis de les recombiner progressivement en de plus grandes entités politiques cultivant de bilatéraux liens régionaux et relations commerciales. Au fur et à mesure que ce processus suivra son cours, le plus grand défi partout dans le monde sera de tenir en laisse l’oligarchie transnationale n'enrichissant qu'elle même, et donc de museler ou d’écraser comme en Russie et en Chine les oligarques non coopératifs. Ensuite chacun devra développer à nouveau sa pensée jusqu’à ce qu’il puisse voir clairement et agir de manière productive. Ce ne sera pas une tâche facile pour ceux qui ont été conditionnés à penser globalement, et nous devons nous attendre à ce que ceux dont les ambitions mégalomaniaques ont été contrecarrées organisent un grand désordre. Et c'est dans ce sens que les crises, l'appauvrissement et le rabaissement moral des peuples de notre époque sont recherchées et organisées par les élites perverses pour mieux les dominer. En fait dangereusement, le capitalisme des oligarchies corrompues actuelles pense d'abord à fabriquer les richesses par la production, et pense seulement après coup à la distribution des ressources par la vente selon le marché de l'offre et de la demande. En effet ce système est très défaillant, puisque les marchandises ne trouvant plus d'acheteurs à cause de leur appauvrissement organisé aussi par ces oligarchies corrompues, cela amène de la surproduction ou de la saturation des marchés synonyme de gaspillage sur fond d'épuisement des richesses naturelles, d'oppression financière, de pertes de droits civiques et de gens sans logements. Ainsi face à ce système grandement erroné, la grande utilité des référendums d'initiative citoyenne ratifiés par des centaines de milliers de gens est de permettre la possibilité de reprendre intelligemment ces points et les points qui pourraient être uniquement présents ou déraisonnablement présents dans le programme d'un parti vainqueur ou vaincu, afin de les améliorer, les valider ou les annuler, tout en unifiant donc aussi la population par l'intelligence dans une forme réelle de démocratie. De plus comme le contexte de vie peut parfois être différent en fonction de certaines zones, des référendums d'initiative citoyenne pourraient également être mis en place au niveau communal, départemental ou régional. Or si un peuple et son gouvernement tendaient à suivre sincèrement les règles monothéistes authentiques, ces référendums ne seraient plus nécessaires, à part au niveau local, départemental et régional pour appliquer celles-ci dans la vie sociale d'une certaine manière quand il y a des avis différents et en fonction du contexte, et donc inviter à leur plus haute noblesse. Mais la démocratie actuelle a été presque totalement vidée de son sens, et le pouvoir se contente désormais d’entretenir maladroitement l’illusion démocratique à l’usage des masses, biberonnées dès leur naissance à la propagande. Or nous ne vivons pas dans un régime totalitaire visible, car cela se caractérise par définition par la confiscation du pouvoir par un parti unique, nous vivons dans un régime totalitaire invisible, car un pouvoir profond caché dans la plupart des grands partis ne tolère aucune forme de grande opposition organisée. On peut noter que les principaux totalitarismes athées sont le nazisme, le communisme et le libéralisme, qui sont la fermeture, le social et l'individualisme portés à outrance par un manque de confiance en Dieu, car voulant trop sécuriser l'incertitude de l'environnement nous entourant. Cela montre aussi que trop de sécurité détruit la sécurité et que le juste milieu entre ces idées incarne la perfection du christianisme et de l'islam authentiques : (ExtS2v143) « C’est ainsi que Nous avons fait de vous la Communauté du juste milieu » Le totalitarisme est un régime tyrannique à parti unique n’admettant aucune opposition et dans lequel l’État tend à orienter toutes les activités de la société et à en interdire certaines arbitrairement ou partialement dont au profit des autorités. Cela signifie que c'est une dictature utilisant souvent des règles indignes qui vont jusqu'à s’exercer dans toutes les sphères privée et intime, quadriller toute la société et tout le territoire, et imposer à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire. Il faut noter que la tyrannie est différente de la dictature, car cette dernière peut être éclairée. Le totalitarisme se voit aussi à travers la censure systématique, la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales, même en dehors de la politique. En politique, mais donc aussi en science, en médecine et en économie, le totalitarisme n'aboutit qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables comme le prouve la fin de Hitler. « On reconnaît un système totalitaire au fait que les criminels sont ménagés et les adversaires politiques criminalisés. » (Alexandre Soljenitsyne) Or le totalitarisme moderne invisible auquel l'occident est confronté va plus loin encore que la simple tyrannie ou sa définition précédente, car il ne s'impose pas comme celui visible, mais s'installe tranquillement petit à petit à l'insu des gens dont par des lois de plus en plus liberticides liées aux crises climatiques, sécuritaires, terroristes, sanitaires, énergétiques et économiques. Surtout que par ses médias, ce ploutocratique et sioniste système totalitaire entend désormais s’immiscer dans la sphère intime de la pensée en imposant insidieusement à tous les citoyens l’adhésion à la banalité d'une idéologie obligatoire qu'est la démocratie laïciste ultra libérale libertaire synonyme d'amoralité, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la société. C'est une confirmation de plus que le principal totalitarisme authentique est celui ploutocratique sous un déguisement. En effet il a parfois voire souvent été déguisé dont actuellement à travers le néolibéralisme laïque et avant à travers l'union soviétique et son oligarchie administrative, et est apparu souvent à travers l’Histoire dont en perdurant depuis des siècles jusqu'à nos jours. Ainsi il faut remarquer que ce totalitarisme ploutocratique déguisé est compatible avec nos institutions démocratiques, comme le multipartisme infiltré, les syndicats soumis et une presse faussement « libre », car ce totalitarisme caché ne présuppose pas la tyrannie, mais l'organise par la finance de ces domaines. C'est à dire que la tyrannie visible n’est qu’un moyen pour imposer le totalitarisme, et elle pourrait donc, en théorie, être remplacée par d'autre moyen invisible dont donc cette idéologie amorale ou un ensemble de moyens permettant par l'acceptation du peuple son instauration. Surtout donc qu'une douce (invisible) tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale (visible) tyrannie grossières avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation et l'argent alors que la deuxième est violente et évidente ce qui entraîne plus de réactions d'opposition. Le totalitarisme soviétique militaire était donc beaucoup moins puissant que le totalitarisme progressiste car ce dernier est habillé de façon moderne. Surtout que pour pouvoir changer ce système d'autant plus quand le peuple n'a plus droit aux armes comme sous Staline et en France, il ne lui reste plus qu'à attendre que ce système s'effondre sous ses contradictions, à prendre à mains nues les lieux de pouvoir, ou à subir un massacre massif de manifestants pacifiques afin d'espérer que la police ou l'armée le rejoigne. Or la violence fasciste peut même être qualifiée de surface par rapport à celle de ce totalitarisme progressiste, car elle n'avait pas attaqué en profondeur les fondamentaux anthropologiques de notre société. En effet la société de consommation progressiste va jusqu'au changement de sexe par la mutilation favorisée par la doxa Lgbt, ce qui signifie qu'on est passé du réversible à l’irréversible, c'est à dire du travestissement vestimentaire réversible au travestissement sexuel irréversible car destructeur organiquement et fertilement en stérilisant donc l'occident blanc. Par conséquent, l'occident qui a inventé le progressisme perverti finit logiquement par se suicider. Ce qui prouve encore qu'avec la disparition progressive de la piété, l'humanité finit par s'autodétruire, et que l'envoi au long de l'Histoire de Prophètes rappelant les vérités monothéistes était légitime et bien synonyme de sauvetage de l'humanité, même si la destruction divine est nécessairement donc souvent intervenue sur certains hommes ayant refusés leurs messages. « Il existe une question fondamentale qui hante les pages de l’histoire et qui n’a jamais été traitée de manière satisfaisante. Il existe de nombreuses écoles de pensée sur le pourquoi et le comment de l’émergence de la tyrannie dans une société donnée et toutes ratent la cible en termes d’explications, principalement parce qu’elles laissent toutes leurs préjugés gouverner leurs conclusions et les aveugler sur les aspects plus profonds du pouvoir et de la conspiration. L’hypothèse commune en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’elles n’ont pas l’intention de tenir. Il s’agit d’une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu’il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine. Dans notre ère moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Il faut les inciter à se conformer, mais seulement cela, car il faut aussi leur faire croire que c’était LEUR idée depuis le début. Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-asservissement, la population finira par se rebeller, quelle que soit l’oppression du régime. Une tyrannie de mille ans ne peut exister que si un certain nombre de personnes sont amenées à l’applaudir, ou si elles en bénéficient directement. Et c’est là que se trouve la véritable clé du totalitarisme : il ne prospère que parce qu’une partie inhérente de toute société donnée l’aime secrètement et souhaite qu’il existe. Nous pourrions appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils ne sont pas nécessairement inconscients de ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui, et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des globalistes qui lancent des conspirations de base et cherchent à exercer de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient pas accomplir grand-chose sans l’aide de l’armée d’aberrations sociopathes qui vivent parmi nous. Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des confinements covid et de la pression pour les vaccinations forcées. Il est clair que certaines personnes sont trop préoccupées par les décisions de santé personnelle des autres. La science et les statistiques prouvent que le virus ne devrait pas être une crainte pour eux, mais ils ignorent la science. Ils ont soif du goût du pouvoir. Ils sont devenus un culte qui ignore toute logique et exige la fidélité à leur récit frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement que nous nous conformions. Et c’est ainsi que commence le conflit épique, une histoire aussi vieille que la civilisation elle-même. Il y a deux types de personnes dans ce monde : ceux qui veulent contrôler les autres, et ceux qui veulent qu’on les laisse tranquilles. Mais qu’est-ce qui motive les maniaques du contrôle ? Pourquoi sont-ils tels qu’ils sont ? Examinons quelques-unes des causes : Le moteur de la peur : Il y a des gens qui sont motivés par le succès, le mérite, l’espoir, la prospérité, la foi, l’optimisme, l’amour et l’honneur. Et puis il y a les personnes guidées par la peur. Il existe des centaines de peurs différentes, mais seulement quelques façons de réagir à chacune d’entre elles. Les collectivistes répondent à la peur par un besoin désespéré de microgérer leur environnement ; ils croient que s’ils peuvent dicter le comportement des gens et les événements dans une certaine mesure, ils peuvent éliminer les résultats inattendus et être libérés de la peur. Le niveau d’influence que ces personnes recherchent est si loin d’elles qu’elles ne pourront jamais l’atteindre. En d’autres termes, elles ne seront jamais satisfaites tant qu’elles n’auront pas obtenu davantage. Leurs peurs les hanteront toujours, car les peurs ne peuvent être traitées de l’extérieur, mais seulement de l’intérieur. De plus, les choses qu’elles craignent tournent souvent autour de leur propre narcissisme et sont de leur propre fabrication. Elles ont peur de l’échec, mais travaillent rarement assez dur pour réussir. Elles ont peur de s’exposer, mais uniquement parce qu’elles mentent constamment. Elles craignent les conflits, mais uniquement parce qu’elles sont faibles de corps et de caractère. Elles ont peur de la mort, car elles ne croient en rien de plus grand qu’elles-mêmes. Elles revendiquent la domination de leur environnement parce qu’elles croient à tort qu’elles peuvent tromper le destin et les conséquences de leurs propres choix terribles. La sécurité de la foule : La question de la peur s’étend à l’état d’esprit commun des totalitaires et à la façon dont ils trouvent la sécurité. L’idée de se tenir sur ses deux pieds et de défendre ses principes face à l’opposition leur est complètement étrangère. Ils évitent ces situations à tout prix et la notion de risque leur est odieuse. Ils cherchent donc plutôt à se fondre dans la foule. Cela leur permet de se sentir en sécurité dans l’obscurité tout en exerçant une force par le biais d’une action collective. Ils peuvent se sentir puissants tout en étant pitoyables et faibles. Ces personnes opèrent presque toujours par le biais de grands groupes à l’esprit unique qui punissent toute dissension dans les rangs, généralement avec des gardiens qui modèrent les motivations de la ruche. La foule elle-même est une arme, son seul but, au-delà du confort de ses adhérents, est de détruire les personnes qui n’ont pas les mêmes croyances ou valeurs que les contrôleurs. Il n’y a pas de but défensif à la foule, c’est un outil pour assassin, c’est une bombe nucléaire. Et, comme nous l’avons vu dans toutes les dictatures modernes, des bolcheviks en Russie aux fascistes en Allemagne en passant par les communistes dans la Chine de Mao, la foule totalitaire est capable d’assassiner plus de personnes que n’importe quelle arme nucléaire existante, tout cela au nom du « plus grand bien du plus grand nombre ». Une fausse piété à la place de l’estime de soi : Tous les tyrans se croient justes dans leur cause, même lorsqu’ils savent que leurs actions sont moralement odieuses. Par exemple la secte covid soutient constamment que les personnes qui refusent les obligations, les confinements et les vaccins mettent les autres en danger, et que c’est pourquoi nous devons être « forcés » à nous soumettre. La plupart d’entre eux savent, d’après les données, que le covid n’est pas une menace, mais le récit leur donne l’occasion d’appliquer leur pouvoir par le biais d’un « jugement moral », et donc ils mentent, et ils continuent à mentir au sujet des données jusqu’à ce qu’ils pensent que le mensonge sera accepté comme une réalité. Il s’agit d’un aspect commun à la plupart des sectes et des religions fondamentalistes qui se sont égarées – l’habitude des adhérents de privilégier les mensonges aux faits et aux preuves, non pas parce qu’ils essaient de protéger leur foi, mais parce que cela leur donne la possibilité de se sentir pieux et supérieurs à ceux qu’ils sont déterminés à blesser. Ceux qui ne sont pas d’accord sont qualifiés d’hérétiques, de moins que rien, de terroristes sans foi ni loi. La foule anti-mandat est ainsi dépouillée de son humanité et est dépeinte comme démoniaque. Les personnes qui veulent rester libres deviennent des monstres, et les monstres totalitaires deviennent des héros chargés de sauver le monde. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson « les obéissants se considèrent toujours comme vertueux plutôt que lâches. » L’amour d’une cage : J’ai l’impression de comprendre cet état d’esprit dans une certaine mesure, mais je suis toujours choqué par la façon dont les gens qui grattent pour avoir du pouvoir sur les autres semblent aussi aimer être les esclaves du système. Je ne suis pas sûr que ce soit ironique, car l’autoritarisme tient certaines de ses promesses de « sécurité » tant que les personnes impliquées sont prêtes à renoncer à tout élan de liberté. Si vous faites ce que l’on vous dit à tout moment et que vous servez le système sans faillir, il y a de bonnes chances que vous puissiez vous accrocher aux maigres nécessités de la survie. Vous vivrez une vie, mais probablement pas une vie heureuse. Pour ceux qui se surpassent et mettent de côté tout principe personnel afin d’atteindre les objectifs du système, ils peuvent même jouir d’un minimum de richesse par rapport à leurs pairs. Vous voyez, dans une société despotique, les personnes les plus dépourvues d’honneur sont celles qui sont les plus récompensées. Ils n’ont pas besoin de mérite, d’accomplissement, de compétences ou même d’intelligence ; tout ce qu’ils doivent faire, c’est vendre leur âme et faire tout ce qu’il faut pour attirer l’attention de l’oligarchie. Ils n’ont pas besoin d’être bons dans quoi que ce soit, tout ce qu’ils ont à faire c’est d’être méchants, et pour certaines personnes, c’est facile. De cette façon, le système devient une couverture confortable dans laquelle des déviants inutiles peuvent être emmaillotés. Ils s’y enveloppent et se prélassent dans sa chaleur. Ils ne sont pas concernés par la liberté, car celle-ci leur semble froide. La liberté peut être isolante et l’existence du choix est terrifiante. Lorsque tous vos choix sont faits pour vous, il n’y a jamais de doute ou de stress interne. Tout ce que vous devez faire, c’est vous réveiller chaque jour et obéir. Pour les personnes faibles et ignorantes, la soumission est un cadeau plus qu’une malédiction. Ils croient qu’une cage est faite pour être dorée, pas pour s’en échapper, et que quiconque cherche à s’échapper doit être fou ou dangereux. Si des personnes libres existent, les esclaves sont obligés de remettre en question leur propre condition et leur propre conformité, donc tout le monde doit être asservi pour éliminer tout doute de la société. L’esprit de ruche est placé au-dessus de tout. Les rebelles et les libres : Les petits tyrans qui infiltrent l’humanité considèrent probablement les défenseurs de la liberté comme des créatures extraterrestres venues de bien au-delà des limites de leur univers. Ils n’arrivent pas à comprendre comment il est possible pour quelqu’un de défier le système, de s’opposer à la foule ou à la collectivité, même s’il est en infériorité numérique ou si le risque est élevé. Ils supposent qu’il s’agit d’une forme de folie ou d’un manque d’intelligence ; car comment quelqu’un d’intelligent pourrait-il penser avoir une chance de se défendre contre la dictature ? Les gens voulant la liberté par-dessus tout sont des individualistes par nature, mais nous nous soucions également des libertés des autres. Il existe un récit de propagande commun qui prétend que les individualistes sont « égoïstes », mais ce n’est pas du tout le cas. Il ne suffit pas que nous soyons les seuls à échapper à l’esclavage, nous ne resterons pas non plus à regarder les autres être contraints à l’esclavage. Nous sommes prêts à risquer nos vies non seulement pour nous sauver, mais aussi pour sauver les générations futures de l’autocratie. Alors que les passeports vaccinaux et les obligations continuent de s’intensifier, les totalitaires se trouveront encore plus désorientés, car chaque nouveau mécanisme de contrôle donnera un élan encore plus grand à la rébellion, et franchement, à ce stade, ce sera nous, ou eux. Ils ne cesseront pas leur quête de domination et nous ne nous y plierons pas, nous sommes donc dans une impasse. Nos deux tribus ne peuvent coexister au sein de la même société, peut-être même pas sur la même planète. La vérité est que si le volontarisme était un idéal valorisé, alors tout ce combat pourrait être évité. Si le culte collectiviste était prêt à accepter l’idée qu’il peut choisir de vivre dans un environnement hautement micro-géré, alors que d’autres peuvent choisir de vivre indépendamment, alors il n’y aurait pas de crise. Nous pourrions facilement suivre des chemins différents. Mais ce n’est pas ainsi que pensent les totalitaires : pour eux, tous les gens sont des biens meubles, nous sommes des biens à mettre au pilori et à rééduquer jusqu’à ce que nous voyions la lumière. Et si nous ne voyons pas la lumière, nous devons être éliminés et effacés. C’est pourquoi ils sont totalement responsables de la guerre qui s’annonce. Ils ne peuvent s’empêcher de s’emparer de nos gorges et de nos esprits. Ils sont accros à la suprématie. Ils vivent dans un rêve fiévreux et la seule drogue qui leur rafraîchit les veines est l’oppression totale de tous ceux qui les entourent. Je vois ce qui va se passer et ce n’est pas joli pour les deux camps, mais ce sera particulièrement horrible pour les collectivistes parce qu’ils ne peuvent pas imaginer un scénario dans lequel ils perdent. Ils sont tellement certains de leur prééminence et de la sécurité de leurs prisons auto-imposées qu’ils verront l’échec comme un fantôme, un fantôme qui ne peut pas les toucher. Il suffirait d’une poignée de défaites mineures pour les faire tomber, mais il faudrait pour cela que les défenseurs de la liberté deviennent plus organisés qu’eux. La conclusion est la suivante : les systèmes tyranniques sont planifiés par des groupes et des gouvernements élitistes et ce sont eux qui profitent le plus de la destruction des libertés publiques. Il s’agit bel et bien d’une conspiration, et le confinement en réponse à la pandémie et le recours forcé aux vaccins ne font pas exception. Cependant, les systèmes tyranniques ne pourraient pas être viables sans l’aide d’un plus grand contingent psychopathe de la population, et ces personnes se rassemblent pour que des choses terribles se produisent. C’est comme s’ils entendaient un sifflet à chien silencieux lorsque le totalitarisme s’élève, ou qu’ils sentaient le sang des victimes innocentes dans l’air. Appelez-les gauchistes, collectivistes, appelez-les comme vous voulez, mais sachez que les globalistes ne sont pas notre seule préoccupation. Il y a un mur de pions égocentriques et avides de pouvoir sur le chemin, et ils veulent tous les morceaux qu’ils peuvent obtenir de la table des puissants. Ils ne sont pas inconscients, ils n’ont pas été trompés pour faire les choses qu’ils font. Ce sont des gens tristes et pathétiques, mais leurs ambitions sont toujours dangereuses, et ils continueront à sortir du bois au fur et à mesure que l’agenda de la secte Covid et mondialiste progresse. » (Brandon Smith Article traduit par lesakerfrancophone.fr) Voici l'article « Dix astuces pour transformer un homme en mouton » du Média en 4-4-2 : « Macron a utilisé le bâton contre les Gilets Jaunes, la carotte pour les moutons (le privilège de pouvoir aller au café avec un pass). Après des débats parlementaires (carotte) totalement inutiles, Élisabeth Borne démolit la démocratie à coups de 49-3 (le bâton). Mais nous restons en démocratie tant que les Français y croient. Par quels moyens est-il possible de faire croire au père Noël ? Voici les techniques de manipulation de masse telles que le linguiste américain Noam Chomsky les a analysées dans « La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie » : La recette utilise dix ingrédients que tout cabinet de conseil qui se respecte utilise à foison. 1. La distraction : Afin de manipuler les gens, l’une des armes les plus puissantes est la distraction. Déplacer votre attention vers des nouvelles moins importantes ou insignifiantes vous permet en fait de détourner votre intérêt de questions beaucoup plus vitales qui, dans ce cas, passent en arrière-plan. Exemples : LGBT, corrida, IVG, migrants, racisme, Ukraine, foot, mais jamais : répartition des richesses, prise de décision par les citoyens, indépendance industrielle et politique, corruption. 2. Problème et solution : Montrer un certain thème comme un problème vous permet de créer une solution souvent impopulaire et qui a déjà été décidée a priori. Aggraver un service public pour pouvoir proposer sa privatisation. Des exemples ? Hôpitaux, écoles, SNCF, RATP, Poste, etc. 3. Gradualité : Dans certains cas, pour manipuler les masses, il est nécessaire de le faire progressivement. Dans le cas de l’élimination de certains droits fondamentaux, par exemple, il est préférable de les éliminer à petites doses afin de ne pas provoquer de protestations des citoyens. Par exemple, les retraites trois mois plus tard chaque année, c’est indolore et c’est pour notre bien. 4. Différer : Dans ce cas, une certaine réforme intervient, garantissant qu’à court terme, bien que négative pour les citoyens, elle sera positive pour tous. De cette façon, les gens sont moins susceptibles de protester, en attendant les avantages. Quand il s’avère que ces avantages étaient faux, il sera déjà trop tard et les gens auront pris l’habitude de changer. Exemples : masques, pass assis, debout, couché, cas asymptomatique, contact, signalé, diesel ou électricité, ça dépend du moment. Ainsi le covid recule et la planète sera sauvée ! 5. Infantiliser le public : Dans les publicités et les discours politiques, les gens ont souvent tendance à parler aux auditeurs comme s’ils étaient des demeurés. De cette façon, le sens critique est éliminé. Exemples : signez vous-même votre autorisation de sortie d’une heure. Faites cuire les nouilles à 19 heures. Fermez les fenêtres, ouvrez les fenêtres, etc. 6.Utiliser les émotions : Les messages qui tentent de manipuler la masse n’invitent pas à la réflexion mais, au contraire, sont basés sur des émotions. Actuellement la peur du covid qui, cette année, c’est pratiquement sûr, va tuer Papi et Mamie dans l’obscurité totale due aux coupures d’électricité, est largement utilisée. Et ça marche ! 7. Garder le public ignorant : Un public ignorant est le meilleur allié de la manipulation de masse. Pour cette raison, la détérioration du système éducatif est une arme très puissante pour contrôler les citoyens. Quoi de mieux que des écoliers muselés et qu’une école qui ferme ses portes dès qu’il y a un « cas contact » ou une pénurie d’électricité ? 8. Un public consentant : Les médias rivalisent de vulgarité et de médiocrité. Il suffit d’appuyer sur un bouton de télécommande et c’est souvent n'importe quoi. 9. Renforcer le sentiment de culpabilité : Cette stratégie de manipulation de masse a tendance à faire croire aux gens que tous leurs problèmes viennent d’eux-mêmes. Au lieu de se rebeller contre le système, les citoyens penseront donc qu’ils sont directement responsables de ce qui se passe. Eh oui ! Ce ne sont pas les sanctions contre la Russie qui réduisent nos approvisionnements en gaz et pétrole, mais notre gaspillage énergétique. Fini le temps de l’abondance ! Les millions de chômeurs sont un peu responsables, non ? 10. Connaître l’être humain : Les cabinets sont de bon conseil : crever les yeux et arracher les mains ne suffit pas à faire accepter l’inacceptable. Leurs moyens de manipulation ne sont pas compliqués, ils sont de l’ordre du marketing, d’une grosse entourloupe commerciale. Cela dit, ils ne sont pas loin du sadisme, puisqu’il s’agit de transformer l’humain en objet, le vivant en rouage d’un système et les victimes en complices. Connaître l’être humain pour mieux le détruire, tel est l’apport des cabinets de conseil qui ont coûté un milliard à la collectivité. » « La « démocratie totalitaire » est un type de démocratie par laquelle un pouvoir instaure une société totalitaire. Le terme de « démocratie totalitaire » est utilisé pour la première fois par Bertrand de Jouvenel, c’est le titre du chapitre XIV de son livre Du Pouvoir (1945). Il rappelle que « le Pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n’est donc qu’une fiction et c’est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. » Jouvenel indique aussi quela compétition des partis « machinisés » aboutit à la dictature d’un parti, c’est-à-dire d’une équipe, succédant à une équipe précédente qui, par sa propre vision totalitaire de la démocratie, laisse à celle qui lui succède un État très étendu. La dictature y est bien pire que dans les monarchies d’autrefois, car le pouvoir faussement démocratique y est bien plus absolu. En effet dans ce système progressivement totalitarisé, un homme, une équipe, disposent de ressources immenses accumulées dans l’arsenal du Pouvoir, c'est à dire de nombreux de leviers étendus entassés successivement. Il n’existe dans la Société aucune contre-force capable d’arrêter le Pouvoir. Qui donc les a détruits, ces corps puissants sur lesquels les monarques de jadis n’osaient point porter la main ? (Et le califat authentique apparaît donc encore comme le meilleur système politique). … On bute alors sur Huxley : « La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude. » On verra si, au bout du rouleau sur le plan moral et financier, cette démocratie totalitaire occidentale (aussi folle que celle athénienne au IVème siècle, voyez là aussi mes textes) peut encore perdurer. » (Nicolas Bonnal, pour Strategika) Comme dans les totalitarismes du XXe siècle, les gouvernements occidentaux brandissent des ennemis de l’intérieur : Gilets jaunes, « truckers », « complotistes », antivax, prorusses, survivalistes, autonomistes… Ce qui s'est très gravement joué à Ottawa suite à la grande grève des camionneurs au niveau du gel des comptes bancaires de manifestants a été décisif, comme ce qui s'est joué dans le gel des comptes et la saisie des biens de riches russes et de certains Etats, et dans la fermeture des chaînes RT et Sputnik par rapport à la guerre en Ukraine. De même la fiabilité des Etats-Unis comme partenaire financier ne peut plus être espérée. En effet depuis qu'ils ont cherché artificiellement à ce que la Russie face un défaut de paiement, tout pays qui ne leur serait pas suffisamment vassalisé pourrait également subir ces attaques. Ce sont des méthodes de mafieux. Et le système financier global actuel n’est qu’un instrument de cette mafia qui a remplacé de nombreux états dont donc en occident mais aussi suite à l'effondrement de l'URSS. C'est à dire que si les mondialistes parviennent à imposer le contrôle bancaire, la censure et de multiples entorses au droit de propriété comme ils le font avec les russes à l'image des nazis envers les juifs, ils parviendront à imposer l’agenda tyrannique totalitaire de contrôle social et économique davossien. La chaîne d’infos RT France a été liquidée sur décision de l’Union européenne, incarnée par la commissaire politique corrompue Ursula von der Leyen (soumise aux lobbies et à l'OTAN), qui se comporte donc en autocrate. Et personne, dans la presse française, n’a hurlé contre ce viol de souveraineté, cette censure abjecte et ces blocages de comptes bancaires. C'est pourquoi le système d'une blockchain populaire nationale pour avoir des valises de cryptomonnaies (dont la principale serait une monnaie étatique contrôlée par des comités populaires renouvelés ou inversement) imposables (contenant donc cette cryptomonnaie nationale synonyme de stable coin mais aussi possiblement des cryptomonnaies privées devant être synonyme d'investissements économiques et non de simples spéculations pour ces dernières) imbloquables par rapport à un gouvernement tyrannique semble vraiment devenir une priorité. Surtout qu'une blockchain décentralisée peut aussi empêcher la censure informationnelle. Il faut savoir que le contrôle totalitaire d'une nation peut partiellement se faire en trois phase : japonisation des banques centrales (comme désormais l'UE et les USA), soviétisation des économies par la dette (l'Etat se rend propriétaire de tous les outils de productions et de toute l'économie, et envoie les fiche de paie), et enfin libanisation de l'économie (effondrement de la monnaie et de l'économie, puis rachat de nombreux secteurs publiques par les grands fonds privés ou étrangers). C'est une image du grand reset et du messianisme juif erroné basé sur le mondialisme américano-sioniste. De plus la suspension de grandes banques russes du système Swift réalise ce que de nombreux pays envisageaient comme possibilité extrême ; celle d’une instrumentalisation politique totalitaire du système de paiement international basé au Luxembourg. Les banques américaines et européennes ont créé le système SWIFT pour garder le contrôle des flux monétaires et empêcher les institutions financières indépendants à les concurrencer. Or ni les États-Unis, et encore moins l’UE, ne contrôlent directement le système SWIFT, même s’ils exercent une influence significative sur son organe directeur, qui est en théorie assujetti à la loi belge. Le système est la propriété conjointe de plus de 2 000 banques et institutions financières, sous la supervision de la Banque nationale de Belgique, en partenariat avec les principales banques centrales du monde, la Réserve fédérale américaine et la Banque d’Angleterre. Pourtant tous ont laissé l’administration américaine prendre le contrôle du système SWIFT et s’en servir comme arme en radiant de ce système bancaire toute personne ou tout gouvernement prétendument hostiles, de façon à paralyser les économies de ces pays et souvent aux dépens même de l'Europe. C'est la mentalité kamikaze à laquelle fait allusion le président russe, une mentalité que l'Occident a si souvent reproché aux Moyen Orientaux. Or cela provoque la mise en place de solutions alternatives comme la Chine en propose déjà. De même la confiance des autres pays dans le système juridique et bancaire occidental, qui ne défend donc plus comme auparavant absolument le droit de propriété dans une forme de totalitarisme, a aussi logiquement pris fin, ce qui amène ces pays en dehors de l'occident à ne plus détenir de dollar et d'euros, ce qui pourrait participer à empêcher la troisième guerre mondiale. Une grande partie des peuples occidentaux n'ont aussi plus confiance aux médias et politiciens du système, tellement leur propagande est grossière et leur censure est évidente, comme le prouve souvent l'internet libre dénonçant ce totalitarisme. Alors que l’Allemagne n'est pas en guerre avec la Russie en Ukraine, il est même interdit d'avoir une opinion en arborant la lettre « Z » soutenant l'action russe en Ukraine ! Tous les médias russes s’adressant à un public occidental ont été interdits par les « démocraties » à partir du 24 février 2022, c’est-à-dire à partir pourtant de l’application par l’armée russe de la résolution 2202 du Conseil de sécurité demandant le respect du cessez-le-feu. Désormais, en Allemagne, partager l’interprétation russe et même citer cette résolution internationale est honteusement assimilé à de la « propagande ». Après le vol des subprimes, les révolutions oranges, la participation à des guerres, l’état d’urgence, les gilets borgnes, le covid, le gel des comptes bancaires, la fermeture de chaînes de télévisions, les confiscations de biens étrangers, le "démocratique" système progessisto-oligarchiquo-atlantisto-sioniste passe au pénal pour imposer sa tyrannie totalitaire. Or il n’est pas naturel que l’homme renonce à sa liberté. Mais quatre branches de fabrique du consentement existent : 1. L’habitude : un accident tragique, dont les effets vont s’amplifier, va rendre nécessaire de vivre avec moins de liberté. Cela peut durer au point d’oublier le monde d’avant. 2. La manipulation : engourdir le peuple par les jeux, l’alcool… 3. Le profit et la complicité de la partie de la population la plus instruite : pour elle le pain et les jeux ne suffisent pas. Il lui faut le plaisir de dominer ses semblables. Sa micro domination et les bénéfices qu’elle en tire lui font oublier son statut de dominée. Ainsi elle ne remet pas en question le système. 4. La condamnation morale de quiconque oserait penser autrement. À cette théorie ne manquent plus que les exemples pratiques (virus, confinement, bien-pensance, crise Ukrainienne…). « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. » (Serge Carfantan) Le commandement des anciens despotismes était : « Tu ne dois pas. » Le commandement des anciens totalitaires était : « Tu dois. » Notre commandement totalitaire est celle de l'hypnose qui correspond à faire de la parole d'autrui notre réalité : « Tu es Charlie (ou autre : tu es le vaccin, tu es ukrainien). » Le totalitarisme numérique à la devanture verte dans lequel veut nous faire entrer le grand reset de Davos est une numérisation du monde en valeur et donc une transformation des éléments de la nature en possibles actifs, même l'eau, les rivières et leurs dénominations. Résister au totalitarisme n'est pas seulement de se soulever mais d'abord de garder sa capacité de discernement et de jugement intacte. Sinon si vous critiquez le gouvernement, vous êtes un complotiste. Si vous pensez autrement, vous êtes un cerveau malade. Si vous dites la vérité, vous êtes un antisémite. Si vous aimez votre patrie, vous êtes un fasciste. Si vous vous défendez face à l’agression, vous êtes un fou ! Encore une preuve de l'inversion des valeurs de ce système. Par la puissance télévisuelle actuelle des grands médias, l'être humain ressemble de plus en plus à un robot, et devient de plus en plus prévisible dans ses réactions, de plus en plus plat dans ses dimensions, de plus en plus vide dans son intérieur. « La formation du totalitarisme est souvent insidieuse dans la mesure où elle est presque toujours vendue au public comme « humanitaire » ; une solution pour le plus grand bien du plus grand nombre. Mais au-delà de cela, les tyrans vont également exploiter les idéaux de la population cible et utiliser ces principes contre elle. Nos idéaux de liberté ne sont pas nécessairement applicables universellement en tout temps et en toutes circonstances ; nous devons poser certaines limites afin d’empêcher l’oligarchie d’utiliser le libéralisme comme un outil pour s’implanter. Cette bataille pour l’équilibre est le drame déterminant de toutes les sociétés qui s’efforcent d’être libres. Cela peut sembler hypocrite, et l’anarchiste typique et certains libertariens peuvent rejeter complètement l’idée qu’il devrait y avoir des limites à ce que les gens (ou les entreprises) peuvent faire, surtout lorsqu’il s’agit de leur propriété privée. Mais à quel moment les droits de propriété privée empiètent-ils sur les droits des autres ? Est-ce tout simplement noir ou blanc ? Tout est-il permis ? Et que se passe-t-il si une foule de petites entreprises dans un endroit donné décident d’appliquer des mandats écrasant la liberté en même temps que les grandes entreprises ? Et si elles étaient toutes manipulées par des incitations ou des pressions gouvernementales ? Et si les gouvernements n’avaient pas besoin de mettre en œuvre le totalitarisme directement au début parce que les entreprises le font pour eux ? La dynamique de la propriété privée change-t-elle dans ce cas ? … Beaucoup de gens ne semblent pas comprendre qu’il existe différents types de monopoles dont nous devons nous préoccuper. Les monopoles dans les médias sociaux et les communications en sont un exemple, mais qu’en est-il des monopoles d’idéologie en général ? Vous pouvez avoir une centaine de petites entreprises et de grandes surfaces dans une communauté, mais si elles décident toutes d’appliquer collectivement les mandats covid, ou si elles sont toutes contraintes d’appliquer les mandats covid, alors tout choix a été supprimé du marché. C’est un monopole idéologique qui est tout aussi dangereux que n’importe quel monopole d’entreprise. En fin de compte, dans le sillage des contrôles covid et de la censure massive en ligne, il est temps pour ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté d’avoir une discussion franche sur la question de savoir où se situe la limite des droits des entreprises. Le problème a pris de l’ampleur il y a quelques années, lorsque les grandes entreprises technologiques qui contrôlent la majorité des sites de médias sociaux ont décidé qu’elles allaient commencer à cibler activement les utilisateurs conservateurs par des interdictions sous de faux prétextes puis une censure pure et simple. Les tyrans de la médecine ont créé ce qu’ils pensent être une impasse pour les conservateurs : si nous nous opposons à ce que les entreprises soient autorisées à demander aux clients et aux employés des passeports de vaccination, nous violons l’un de nos principes fondamentaux : le principe de la propriété privée. Mais est-ce vraiment le cas ? Comme indiqué plus haut, les monopoles sont destructeurs de la liberté. J’irais même jusqu’à dire qu’ils sont intrinsèquement mauvais dans la mesure où ils ne conduisent jamais qu’à l’asservissement du public. De plus, les monopoles idéologiques peuvent être légalisés, ou même créés artificiellement grâce à la couleur de la loi. Les confinements n’ont jamais été votés par un corps législatif et n’ont jamais été votés par le public, ils ont été prononcées comme des édits venus d’en haut, sans aucun contrôle ni équilibre des pouvoirs. Les passeports vaccinaux ont été mis en œuvre de la même manière. » (Retrouver cet article complet de Brandon Smith « Passeport vaccinal : les droits des entreprises sont-ils plus importants que la liberté individuelle ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Passeport-vaccinal-les-droits-des-entreprises-sont-ils-plus-importants-que-la-liberte-individuelle-64879.html) Après la guerre contre le covid, Emmanuel Macron repart même encore en guerre en aidant l'Ukraine face à la Russie, sauf qu'il y a un grand changement : la soumission volontaire est devenue la sobriété volontaire. Ne cherchons pas la différence, car il n'y en a pas même si la sobriété pieuse existe. Selon la technique éprouvée par McKinsey de manipulation des masses, voici le nouveau plan en quatre parties dévoilé en avant-première par le président. Sa méthode est celle du « pas tout d'un coup », meilleur moyen pour faire accepter en douceur l'inacceptable. D'abord 1. la sobriété volontaire sans contrainte ; ensuite 2. la sobriété avec plus de contraintes ; 3. le rationnement avec des coupures. La quatrième partie du plan sera une surprise. On la découvrira en tant voulu. Lorsqu'on sera en dictature ? Lorsque le CNR macronien aura remplacé définitivement l'Assemblée ? A ce sujet voir vidéo « LE MEURTRE DE L 'ESPRIT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=4BWY7gbw-Tk Lire aussi à ce sujet les excellents articles « Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » – Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/31/dr-robert-malone-psychose-de-formation-de-masse-covid-19-pourquoi-tant-de-gens-croient-au-mensonge-du-vaccin/ ; « Que faire ? Désobéir à l’apartheid biopolitique et bâtir la cité chrétienne – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/01/que-faire-desobeir-a-lapartheid-biopolitique-et-batir-la-cite-chretienne-pierre-antoine-plaquevent/ ; « Psychopathologie du totalitarisme » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/30/psychopathologie-du-totalitarisme/ ; « Contre la société de surveillance : la conception européenne de la liberté » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/05/contre-la-societe-de-surveillance-la-conception-europeenne-de-la-liberte/ « Tous les éleveurs savent bien comment on dresse les bêtes. Les gouvernements devenus les gestionnaires du « parc humain » usent de toutes les techniques à leur disposition pour dresser le cheptel humain. La dynamique dans laquelle nous sommes engagés est très exactement celle du totalitarisme, si l’on veut bien admettre que le totalitarisme peut exister sans camps de concentration ni fours crématoires, instruments archaïques que la technologie moderne peut aisément remplacer. Il n’y a donc aucune « servitude volontaire » (mais il y a particulièrement la servitude « volontaire » par la peur utilisée par le système). La crainte, appuyée sur la puissance de l’imagination(, de la télévision et du confort même modeste) suffit pour expliquer l’apparente passivité des individus. Ils peuvent même aimer leur tyran par désir d’en être aimés. Tout cela s’appuie sur des structures archaïques, tant du point de vue de chaque individu que du point de vue de l’histoire de l’humanité. « On retrouve le besoin du père, c’est-à-dire le besoin de protecteur qui nous garantit à la fois contre les éléments extérieurs, contre les autres et aussi contre soi-même. Il s’agit de ne pas être abandonné, de ne pas être livré à soi-même, donc de s’abandonner à d’autres. » (Croyance et soumission, p. 188) Le problème devient dramatique quand celui à qui l’on s’est abandonné n’a rien d’une figure « paternelle », même en faisant des efforts d’imagination, et quand la survie élémentaire apparaît comme l’enjeu immédiat. C’est généralement dans ce genre de situation que sortent les piques et que les carcans qui nous emprisonnent sont brisés. » (Denis Collin)
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